Vélocité des Vampires au Pouvoir

Par Lucien SA Oulahbib

Il faudrait avoir les poings du vrai Hulk (aujourd’hui effacé) ou tout le moins de King Kong et à défaut Tyson, Akim, Zembla, Blek le Rock (ce rebelle qui aura réussi, lui) pour briser la table des immondices qui amoncellent (plusieurs dizaines de milliers d’euros par mois pour les plus à plaindre) l’argent maudit de leur corruption salace (« les conflits d’intérêts ») et des substances vénéneuses (je te casse une jambe et te fournis les béquilles) permettant à leurs sbires vampirisés disséminés dans les tentacules du Pouvoir de continuer leur mascarade démentielle, monstrueuse, tous ces pauvres petits porte-flingues en jabots et jarretelles folles et mignons iels dessinés façon Prohibition made in Al Capone et fête de la musique jusqu’au bout de la nuit sous les plafonds dorés de la République française, cette farce de plus en plus bananière mais cybernétique.

Combien de temps encore pour un tel carnaval macabre à l’ombre en fleurs du millefeuille étatique  ?… Nul ne le sait sans doute.

Mais comment ces officines (sau) poudrées et gavées jusqu’à la moelle de subventions et donations diverses effectuées par les nouveaux oligarques de la finance facile (comme il existe une easy listening) empruntant à qui mieux mieux puisque garantis par des banques complices elles-mêmes soutenues par les banques centrales qui leur rachètent les titres émis (alors que le moindre prêt du « sans-dent » est épluché au centuple ou alors octroyé chichement pour un tiers selon les parrainages pour donner le change), comment ces arrivistes nouveaux riches à la recherche de danseuses adéquates (ONG) pour les blanchir dans les Salons faisandés, comment toutes ces Méduses fallacieuses (mais au visage d’ange) peuvent-elles encore pérorer, punir, exclure ?…

Alors que le nombre d’injectés hospitalisés croît bien plus vite que le PIB promis par M. Col Roulé, et ce non pas parce qu’il y a bien plus d’injectés que de non-injectés, mais tout simplement parce que cela ne marche pas, même si cela ne se voit pas pour les Tartufes VIP comme le remarque cet éminent médecin M. Gayet (à 53:04) et qu’au fond l’image d’une médecine égalitaire s’effondre, les gueux remplacent les rats de labo qu’il s’agira aussi de parquer dans leur cage à métaverse (C02 en renfort du Covid-19), les puissants continuant eux leur mascarade multiforme décrite plus haut (« je décale, je décale, je décale ») jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de cale du tout : le gigantesque radeau de la méduse peut alors s’élancer mais plutôt façon Titanic, aidé en cela par les nouveaux clowns tueurs de service tous ces pseudo-révolutionnaires en chambre, plastique et papier mâché, contents par exemple de voter en priorité une constitutionnalisation de l’IVG, regrettant sans doute que leurs mères ne l’aient pas effectuées. Ils ne seraient en effet pas là pour systématiser une mesure qui devait rester exceptionnelle et qu’ils brandissent fièrement pour acter l’effondrement démographique du méchant blanc hétérosexuel complotiste en puissance au profit du gentil noir d’Afrique (pas des DOM-TOM trop durs à cuire) qu’il convient de déverser ici et là selon les exigences méta de la cuisine électorale locale (la France et ses 400 kebabs).

Et tout ce « marais » de l’extrême centre (droite comprise) à l’extrême gauche (ultras en « avant-garde ») tout pétri de pudibonderies « anticomplotistes », confié aux émissions propagandistes (bien plus nocives que celles de la 5 G) lève donc haut le menton, ne rabat pas du tout son caquet malgré les démentis cinglants du Réel, bien au contraire, puisqu’il punit « éthiquement » les médecins qui ont soigné, ainsi que les soignants ayant refusé de s’injecter un produit qui ne marche pas et même tue.

Est-ce aussi cette « éthique » qui valide également ces autres énormités statistiques se faisant passer pour de « la » science alors que cela reste des « estimations » concernant par exemple cette impérieuse élimination d’un CO2 qui sans son émission verrait détruire la flore et la faune, la prolifération des déserts, est-ce d’ailleurs l’excès de CO2 qui aurait créé le Sahara, le désert de Gobi, le Sinaï ?… Oui-da, c’est la même moraline…

Mais alors, veut-on vraiment revenir à cette époque post glaciaire où dit-on le froid et les bêtes féroces dominaient si violemment qu’ils empêchaient de se réchauffer et se nourrir convenablement tant il était difficile de faire pousser et élever quelque chose comme nous le relatent les contes et archives ?… L’on se plaint maintenant d’avoir des étés indiens courant jusqu’au 15 novembre en donnant comme exemples nocifs des inondations au Pakistan et au Bangladesh alors qu’elles ont toujours existé et que ce dernier pays a fait de remarquables progrès dans leur canalisation comme le remarque l’éminente climatologue Judith Curry en autres choses.

En fait, toute la lumpen-intelligentsia et autres « naintellectuels » (selon la nouvelle formule judicieuse) issus du marxisme-léninisme et du catholicisme congelé (se prenant aussi pour César au lieu de se contenter d’honorer la révélation du divin) toute cette faune bigarrée voilant ainsi sa fin de course se sait de plus en plus remplacée par l’intelligence artificielle et à terme par les cyborgs « à visage humain » (ou animal : tête de taureau ou de moustique).

Elle cherche donc bien sûr à se recycler, pour s’assurer une belle retraite (de Russie à défaut d’Ukraine…) dans le millénarisme, le catastrophisme, le misérabilisme, se transformant en sorciers et sorcières jetant du haut de leurs citadelles assiégées des boules de sorts faits de mots fétiches pétris d’histoire qu’une huile méta permettra d’enflammer ces boules de suif faites en suies égotistes et affects esseulés, tous ces jeunes-vieux rabougris en un décervelage massif soldé leur ayant enlevé toute logique et raison qui tenait encore un peu debout, toute leur viande dans des habits idéologiques présentables aujourd’hui en lambeaux gringes.

Une belle hécatombe (qui aurait comblé le Comte Dracula psalmodiant les Chants de Maldoror) malgré les resucées trop cuites d’un gaullo-communisme à la sauce marxo-aronienne version chic (dernier numéro de la revue Commentaire) se drapant dans des toges de sénateurs romains qui ressemblent de plus en plus plutôt à des qamis sortis tout droit du Soumission de Houellebecq en vue des « accommodements raisonnables » à l’anglo-saxonne version Hidalgo ou comment manipuler le terme « patrimoine » de telle sorte que tel le gonflement de la grenouille UE ce terme peut absorber tous ceux qui savent faire la différence entre celui qui devient une pièce du puzzle national et celui qui envisage de le dessiner à son seul profit.

Comment se débarrasser d’un tel fléau au Pouvoir ? Déjà en refusant l’ankylose de son endormissement, ensuite en ne cherchant pas à leur plaire, donnant par exemple des gages à leurs sortilèges se justifiant ainsi alors qu’ils sont eux-mêmes ce qu’ils d-énoncent : un amas de séditieux en pleine cavalerie pour éviter la banqueroute ; mais comme le réel s’effondre sous leur galop, ils accélèrent, à coup de cravaches (punitions et exclusions à tout va) croyant ainsi y échapper…