« Vacciner » un enfant contre le covid nécessite l’accord des deux parents

Par Nicole Delépine

Merci encore aux députés et sénateurs qui ont mis fin à la scandaleuse loi d’urgence sanitaire !

La suppression de cette négation de notre démocratie a entraîné la suppression de nombreuses mesures dérogatoires du droit commun et en particulier celle qui permettait à un parent de faire « vacciner » son enfant contre l’avis de l’autre, ainsi que le rappelle la Direction Générale de la Santé :

« DGS-Urgent n° 2022-73 : Évolution du formulaire d’autorisation parentale nécessaire à la vaccination contre la Covid-19 de toutes les personnes mineures

À la suite de la promulgation de la loi du 30 juillet 2022 mettant fin aux régimes d’exception créés pour lutter contre l’épidémie liée à la Covid-19, l’autorisation des deux parents est à nouveau nécessaire pour la vaccination de toutes les personnes mineures, en vertu du principe posé aux articles 371-1 et 372 du code civil, sauf impossibilité pour l’un des deux parents de recueillir l’accord de l’autre parent. »

Ainsi si un seul des deux parents n’est pas dupe des mensonges d’état prétendant que la pseudo vaccination anti-covid serait utile et sans danger, il peut à nouveau protéger son enfant.

Rappelons en effet que :

Les enfants ne risquent rien du covid (3 fois moins que de la grippe saisonnière).1 2 3

Les enfants ne constituent pas un vecteur de transmission.4 5 6 7 8 9 10 11 12

Les pseudo vaccins actuels n’empêchent pas d’attraper la covid :

Les pseudo vaccins n’évitent pas les transmissions.

Les pseudo vaccins n’évitent pas les formes graves :

Les pseudo vaccins exposent les enfants qui les reçoivent à de nombreuses complications dont des myocardites.

Les enfants n’ont rien à gagner des pseudo vaccins, leurs proches non plus.

Les pseudo vaccins anti-covid n’auraient jamais dû être autorisés chez l’enfant car leur balance avantage/risque est très fortement défavorable.

Protégez votre enfant, refusez les pseudo vaccins anti-covid !