Un mythe contagieux

[Source : miriaf.co.uk via RI]

[Traduction : Marie Claire Tellier]

Par Miri

[Note de Joseph : une argumentation profane pleine de bon sens et que l’on peut étayer par des articles sourcés et plus spécialisés présents dans le dossier Vaccins et virus, comme :
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
Go Virus Go !
et concernant la 5G par des articles du dossier 5G et ondes pulsées comme :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
et Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux]

« Nous n’attrapons pas les maladies. Nous les construisons. »

Antoine Bechamp

Chaque fois que j’opine sur le sujet de la prétendue pandémie — que tout a été mis en scène, que les tests sont faux, les chiffres truqués —, sans faute, j’obtiens toujours le refrain d’un certain nombre d’individus : « Je suis d’accord que la menace était exagérée et que les restrictions étaient absurdes, mais il y avait bien un virus. J’étais vraiment malade ».

Nous devons donc examiner ces affirmations un peu plus en détail, car si vous êtes conscient de la nature frauduleuse des tests, des chiffres et du vaccin, mais que vous n’avez pas encore vu la fraude épique et la fabrication derrière l’idée du « virus » (et, en fait, des virus en général), vous manquez une partie cruciale du tableau. Peut-être la partie la plus importante, en fait, car si vous continuez à croire qu’« il y avait un virus » et qu’il était responsable de la mauvaise santé des gens, alors vous êtes, en fin de compte, vulnérable pour tomber dans ce genre de canulars à nouveau.

Je vais donc faire un certain nombre d’affirmations plutôt audacieuses, et je vais les étayer.

  1. Il n’y avait, et il n’y a, aucun nouveau virus respiratoire appelé « Covid ».
  2. Comme il n’y avait pas de Covid, il ne causait pas de maladie, non seulement parce que ce virus particulier n’existe pas, mais parce que :
  3. Les virus ne causent pas de maladie.

Ces affirmations sont toutes vraies et relativement faciles à prouver, mais la raison pour laquelle les gens réagissent avec tant de force contre elles n’est pas parce qu’ils ont des preuves solides, crédibles et reproductibles du contraire (ils n’en ont pas, car il n’y en a pas), mais parce que l’idée que les virus causent des maladies est un principe fondamental de la société moderne et quelque chose qui nous est inculqué pratiquement dès la naissance, étant donné que l’une des toutes premières choses que l’on dit aux nouveaux parents est de vacciner leur bébé pour le protéger contre les virus.

Il convient de noter que le système immunitaire d’un nourrisson est généralement trop immature pour produire la réponse en anticorps que les vaccins sont censés produire et, traditionnellement, les nourrissons n’étaient pas vaccinés avant l’âge de deux ans pour cette raison. La raison pour laquelle on les injecte aujourd’hui dès la naissance est, de l’aveu des tsars de la vaccination, de « former les parents » — par exemple, si votre bébé a parfaitement survécu jusqu’à l’âge de deux ans sans aucun vaccin, vous pourriez très bien en conclure qu’il est très bien sans eux. On ne peut pas accepter cela, alors le régime d’injections commence tout de suite, pour faire croire aux parents que leur enfant n’a survécu à la petite enfance que grâce à toutes les injections.

Cette propagande — selon laquelle les virus sont dangereux et nous devons nous en protéger — est ensuite répétée tout au long de notre enfance, lorsqu’on nous dit d’éviter les amis malades au cas où nous « attraperions » quelque chose d’eux, qu’on nous demande de rester à la maison lorsque nous sommes malades afin de ne pas « répandre nos microbes », etc., et qu’on nous endoctrine encore davantage à l’école, non seulement par le biais des cours de biologie et d’histoire où l’on nous apprend à vénérer Edward Jenner, mais aussi par la vaccination qui a désormais lieu dans les locaux scolaires.

Les écoles ne sont pas des environnements cliniques et sont donc des lieux totalement inadaptés à l’application de puissantes interventions médicales, mais elles procèdent quand même à la vaccination : de manière rituelle et dans le cadre du programme contraignant de modification du comportement et de la pensée — en nous convainquant que nous ne parvenons à survivre jusqu’à l’âge adulte que grâce à toutes ces injections.

Inutile de dire que si on vous fait de la propagande, littéralement du jour de votre naissance jusqu’à l’âge adulte, avec l’idée que les virus sont contagieux et causent des maladies, vous allez y croire. C’est aussi mon cas. Pourtant, je peux vous assurer que ce n’est pas vrai et que, comme la plupart de ce qui est enseigné dans les écoles publiques (y compris les écoles de médecine), c’est une propagande sournoise conçue par les classes dirigeantes pour maintenir la plèbe à sa place.

La peur des virus contagieux est une arme tellement épique pour les classes dirigeantes qu’il s’agit vraiment de l’un de leurs plus grands et plus diaboliques coups de maître, qui leur permet de tout faire, de la stérilisation des jeunes (voir les vaccins contre le VPH) à l’euthanasie des personnes âgées (voir les vaccins contre la grippe), en passant par l’imposition d’une tyrannie anti-humaine à la population quand bon leur semble, simplement en déclenchant la peur de la population qu’ils ont créée à propos des « virus mortels ». Rappelez-vous qu’une interprétation du mot PEUR est une fausse preuve qui semble réelle.

Ainsi, pour démonter le canular des « virus mortels » (et c’est un canular), nous devons d’abord examiner comment la théorie conventionnelle des modèles de maladie caractérise les virus. Ils sont dépeints presque comme des méchants de dessins animés, des mercenaires microscopiques capables de sauter dans l’air d’une personne à l’autre, de prendre d’assaut la myriade de défenses complexes de votre corps, puis de commencer à faire des choses ignobles à l’intérieur de vous qui provoquent des maladies redoutables.

Pourtant, un virus n’est pas un être vivant comme l’est, par exemple, un parasite. Un parasite peut en effet vous être transmis par une personne infectée et provoquer toutes sortes de symptômes désagréables, car les parasites sont vivants et ont donc la capacité de se nourrir — d’absorber de l’énergie — ce qui leur donne la possibilité de faire des ravages sur leurs hôtes. La clé pour se débarrasser d’un parasite est donc de l’affamer (les parasites, comme la plupart des entités pathogènes, y compris le cancer, aiment le sucre).

Un virus, en revanche, n’a pas la capacité de se nourrir. Il ne peut pas respirer. Il n’a pas de cerveau ou de système nerveux. Il n’est pas « vivant », quelle que soit la définition raisonnable que l’on donne à ce terme. Dans ce cas, un défenseur de la contagion virale peut-il expliquer comment une entité non vivante, qui ne peut absorber d’énergie pour se nourrir, est néanmoins capable de parcourir d’énormes distances, de vaincre les membranes puissamment protectrices de notre peau, de nos yeux, de notre nez et de notre bouche, de notre système digestif, puis d’avoir ENCORE l’énergie (qu’elle n’avait pas au départ) pour commencer à provoquer de graves symptômes de maladie ?

Pas étonnant qu’ils doivent commencer à nous faire de la propagande avec ce genre de choses à l’âge de cinq ans, sinon personne n’y croirait jamais.

Quelque chose qui n’est pas vivant et qui n’a pas d’alimentation en énergie ne peut pas se comporter de la manière dont la théorie de la « contagion virale » dit que les virus le font. J’ai déjà écrit que l’ensemble du domaine de la vaccinologie est essentiellement une escroquerie, fondée sur une pseudo-science et un charlatanisme dépassés depuis longtemps — tout comme le domaine de la virologie conventionnelle. C’est de la science-fiction, pas un fait fondé sur des preuves. Personne n’a pu prouver — jamais — que les virus volent dans l’air, s’insèrent dans les gens et commencent à causer des maladies.

Tout ce que l’on a pu prouver, c’est que lorsque les gens sont malades, ils sont testés positifs pour certains virus. Si le test est fiable (et c’est un grand « si » — il ne l’est certainement pas s’il s’agit de la PCR), alors tout ce que cela prouve, c’est qu’un virus est présent dans le corps d’une personne au moment où elle est malade. Cela ne prouve pas que le virus est responsable de la maladie ni que la personne a attrapé le virus d’une autre personne.

Donc, revenons aux personnes qui disent « il y avait définitivement un virus. J’étais vraiment malade. »

Le fait que vous étiez malade ne prouve pas qu’il y avait un virus. Cela prouve seulement que vous étiez malade. Même si vous avez été testé positif au test Covid — et même si ce test était fiable (ce qui n’est pas le cas) — cela ne prouve pas qu’un virus est responsable de vos symptômes. Cela montre simplement qu’il est présent lorsque vous êtes malade. C’est un peu comme si vous disiez : « Des déchets ont été jetés dans mon jardin, puis des rats sont apparus. Il est donc clair que les rats sont la cause des ordures dans les jardins. »

La principale raison pour laquelle les gens semblent avoir du mal avec cela — avec l’idée qu’il n’y a pas de Covid et que les virus en général ne causent pas de maladie — est qu’ils sont catégoriques : la maladie qu’ils ont connue en 2020 était « différente de toutes celles que j’ai eues auparavant ».

Écoutez : je n’essaie pas de dévaloriser l’expérience de quiconque en disant cela, mais, sérieusement — j’entends cela CHAQUE année. Chaque année, sans exception, les gens disent qu’ils ont été très malades et qu’ils n’ont jamais été aussi malades de leur vie. Dans certains cas, bien sûr, ils ont raison — à un moment donné, nous sommes plus malades que nous ne l’avons jamais été — mais souvent, les gens oublient à quel point les maladies « normales » peuvent vous faire sentir mal. Un « simple » rhume peut vous faire rester au lit pendant des jours, vous sentir absolument mal et ne pas être en mesure d’accomplir les tâches quotidiennes les plus élémentaires. Nous disons que les rhumes ne sont pas graves, non pas parce qu’ils ne vous font pas sentir sérieusement mal, mais parce qu’ils ne durent pas longtemps et n’ont pas d’effets secondaires graves.

La grippe, quant à elle, n’est certainement pas anodine et peut vous donner l’impression d’être aux portes de la mort — et elle peut entraîner des hospitalisations, en particulier pour les personnes présentant des comorbidités. Il est donc faux de dire « ce n’était pas un rhume ou une grippe normale parce que je me suis sentie très mal ». Les rhumes normaux, et surtout les grippes, peuvent vous rendre très malade.

Il est cependant théoriquement possible que vous ayez vécu quelque chose de différent en 2020, car il est théoriquement possible que les classes dirigeantes aient manipulé l’environnement d’une manière ou d’une autre pour augmenter les symptômes de mauvaise santé, par exemple en augmentant les champs électromagnétiques (lorsque nous sommes allés dans une zone 5G fortement saturée, mon mari a rapidement saigné du nez, le premier et le dernier qu’il ait jamais eu depuis que je le connais), ou en mettant plus de poisons que d’habitude dans l’eau du robinet, comme ils l’ont fait dans le célèbre scandale de l’empoisonnement à l’aluminium de Camelford.

Il est possible qu’ils aient fait cela. Mais — et c’est là le point essentiel, alors pardonnez-moi si je le répète plusieurs fois — il n’est pas possible qu’ils aient libéré un virus qui ait causé des problèmes de santé, car ce n’est pas quelque chose que les virus sont capables de faire.

Si, comme le veut la théorie du complot soutenue par l’establishment, « Covid a été produit dans un laboratoire et libéré », savez-vous ce qui se passerait ? Rien. Si un virus était fabriqué dans un laboratoire et pulvérisé partout, il tomberait par terre et ne ferait rien, et l’histoire s’arrêterait là.

Donc, aucun virus n’a rendu qui que ce soit malade, et personnellement, je doute même qu’il y ait eu une tentative coordonnée ou nationale d’augmenter la maladie par d’autres moyens, parce que ce n’était tout simplement pas nécessaire. La télévision a créé toute la peur, l’hystérie et la conformité nécessaires, chez des personnes en parfaite santé. Ils n’avaient pas besoin d’être rendus malades pour croire à la pandémie et se conformer à la tyrannie.

Cependant, je vais le répéter encore une fois parce que c’est tellement vrai — le pouvoir de l’esprit est exceptionnellement fort. Si vous croyez qu’il existe un virus dangereux et que vous pouvez l’« attraper », vous êtes beaucoup plus susceptible de développer les symptômes de ce prétendu virus que les personnes qui ne croient pas en son existence.

Nous savons tous à quel point l’esprit peut être rusé dans ce domaine. Par exemple, si vous tapez « mal de tête » sur Google, en cinq minutes, vous vous serez convaincu que votre mal de tête bénin dû à la déshydratation est en fait une tumeur cérébrale, car vous avez certainement tous les autres symptômes d’une tumeur cérébrale… C’est tout simplement la vérité que lorsque nous avons certaines croyances sur notre santé, notre corps commence à manifester ces symptômes. Si vous avez cru à l’existence de Covid — même si vous avez vu à travers d’autres parties de la pandémie — que vous étiez simplement plus susceptibles de développer les symptômes que l’on nous a indiqués Covid.

Il est également crucial de noter que rien ne prouve qu’il y ait eu plus de maladies graves en 2020 qu’au cours des autres années. Lorsque je dis « il n’y a pas de Covid », cela est souvent interprété à tort comme si je disais « il n’y a pas de maladies graves et de décès ». Bien sûr qu’il y en a, et bien sûr qu’il y en a toujours eu – des millions de personnes ont été malades en 2020, dont certaines gravement, comme toutes les autres années. Des dizaines de milliers de personnes sont mortes, comme chaque année. Mais, lorsque vous retirez de l’équation les décès institutionnels induits par les médicaments et les ventilateurs (par exemple, les maisons de soins et les hôpitaux qui tuent des patients qui, avec les traitements appropriés, auraient pu guérir), vous pouvez constater que les taux de maladie et de décès en 2020 n’étaient en rien exceptionnels ou inhabituels.

Pour être clair, il n’y a pas eu plus de patients souffrant de maladies respiratoires graves en 2020 que les années précédentes, c’est juste que les années précédentes, ces patients étaient diagnostiqués avec la grippe et la pneumonie et en 2020, ils étaient diagnostiqués avec le Covid. Alors bien sûr, vous avez pu être malade en 2020, voire très malade. Mais rien ne prouve que vous étiez plus susceptible d’être malade en 2020 qu’en 2019, 2018 ou 2017.

De plus, et c’est un point crucial que l’establishment voulait absolument supprimer au plus fort de la fausse peste, en étant très sévère avec ceux qui l’exposaient, les hôpitaux étaient plus vides qu’ils ne l’avaient jamais été dans l’histoire. Si toutes ces personnes étaient frappées par une nouvelle maladie mystérieuse et grave, où étaient-elles ? Pourquoi les hôpitaux n’étaient-ils pas « débordés », comme on nous l’avait dit ? Pourquoi les débordements d’urgence de Nightingale n’ont-ils jamais été utilisés ?

C’est parce que la grande majorité des personnes malades n’avaient que des maladies saisonnières ordinaires et n’étaient pas assez malades pour aller à l’hôpital — comme chaque année. C’est pourquoi, et c’est un fait incontestable, s’il y avait eu une nouvelle maladie grave, les hôpitaux auraient été pleins à craquer. Ils ne l’étaient pas.

En outre, rappelez-vous tous les ministres « hypocrites » qui enfreignaient toutes les règles, organisaient des fêtes et avaient des liaisons, etc. Demandez-vous si ces célèbres politiciens égoïstes auraient agi de la sorte s’ils avaient cru qu’il y avait le moindre risque qu’ils attrapent « un virus dangereux ».

Boris Johnson lui-même a fait la fête avec les meilleurs d’entre eux, bien qu’il soit censé être « un survivant du Covid » avec un nouveau bébé vulnérable à la maison ! Pensez-vous qu’il s’exposerait, lui et sa famille, à des risques sérieux en se rendant à des événements « super-propagateurs » comme les fêtes s’il existait réellement un virus qu’il pourrait attraper et propager ? Bien sûr que non. Il n’a jamais eu de « Covid », c’était encore une fois du théâtre politique mal joué. Boris et ses coéquipiers savaient tous qu’ils ne couraient aucun risque pour leur santé en faisant la fête et en s’adonnant à la drague, car ils savaient qu’il n’y avait pas de virus. Rien ne se « propageait ». Rien n’avait été « libéré d’un laboratoire ». Tout cela n’était que de la propagande sans fondement destinée à effrayer les gens pour qu’ils se conforment à la loi, car, si c’était vrai, les ministres se seraient recroquevillés dans des combinaisons de protection à l’intérieur de leurs demeures, en pulvérisant du désinfectant sur le facteur — et non en faisant la fête.

Ces députés ont été cloués au pilori dans la presse et par le public pour leur « hypocrisie », mais ils n’étaient pas hypocrites — ils étaient menteurs. Ils ont fait de la propagande en utilisant des techniques de modification du comportement basées sur la peur, pour faire croire à une menace mortelle qu’ils savaient eux-mêmes ne pas exister.

Et c’est parce que c’est tout ce dont l’élite avait besoin. De la peur. Ils n’avaient pas besoin d’un véritable virus, car ils savaient que le simple fait de dire aux gens qu’il y en avait un suffirait : c’est ainsi que fonctionne la psychologie humaine et c’est le message précis de la fable Les nouveaux habits de l’empereur. Les conspiraquats fous comme moi sont l’équivalent du petit garçon impudent qui saute en l’air sur les lignes de touche en criant « mais l’Empereur est nu ! ». Si vous regardez ce qui est réellement là, plutôt que ce que l’État vous dit de voir, il est évident qu’il l’est. Toutes les preuves réelles montrent qu’il l’est. Mais vous n’avez pas le droit de le dire.

Je sais qu’il est très difficile de se faire à l’idée que les classes dirigeantes puissent nous tromper à une échelle aussi colossale, laissant plus d’une personne perplexe demander, mais POURQUOI, je ne comprends pas POURQUOI ils feraient cela.

Pour répondre à cette question, il faut comprendre que nos classes dirigeantes ont un complexe de Dieu pathologique et croient qu’elles peuvent plier la réalité à leur volonté en remplaçant la réalité objective par leurs mirages, leurs illusions et leurs mensonges. Si je disais à un membre de l’élite dirigeante « les virus ne causent pas de maladies », il me répondrait « c’est vrai, mais parce que maintenant le monde entier croit qu’ils le font et se comporte comme s’ils le faisaient, c’est maintenant la réalité. Nous avons créé cette réalité par le pouvoir même de notre propre volonté ».

On peut penser que les élites dirigeantes sont comme le personnage « Christoff » du film The Truman Show — des obsédés du contrôle impitoyables qui croient avoir le pouvoir et le droit de créer des mondes entiers fabriqués autour des gens, de leur mentir sans relâche et de faire des efforts extraordinaires pour obscurcir la vérité — car lorsque vous pouvez persuader les gens d’investir si profondément dans un mensonge, vous avez un contrôle total sur eux. « Ceux qui peuvent vous faire croire des absurdités peuvent vous faire commettre des atrocités. » – Voltaire. Quelqu’un aurait-il imposé une partie de la tyrannie de Covid, y compris administrer et recevoir des injections mortelles, s’il ne croyait pas aux « virus mortels » ? De toute évidence, non, et c’est donc le pouvoir que les classes dirigeantes exercent aujourd’hui en ayant inventé ce canular vieux de plusieurs siècles.

Si vous réfléchissez à la théorie des virus en termes simples, vous pouvez commencer à voir qu’elle ne résiste à aucun examen, car il y a 7 milliards de personnes dans le monde, dont beaucoup sont très mobiles, et qui contiennent toutes sortes de virus (on estime que la personne moyenne en contient au moins cinq). Alors pourquoi tout le monde n’est-il pas constamment malade ? Pourquoi ne sommes-nous pas constamment infectés et réinfectés à chaque fois que nous interagissons avec d’autres personnes ? Pourquoi la personne moyenne n’est-elle malade qu’une ou deux fois par an, même les personnes qui ont une vie très mobile et centrée sur les gens, comme celles qui travaillent dans des pubs et entrent en contact avec des centaines d’inconnus potentiellement « porteurs de maladies » chaque semaine ? Plus précisément, pourquoi les infirmières et les médecins ne sont-ils pas constamment atteints de maladies virales, étant donné qu’ils sont constamment en contact avec des personnes malades qui en sont atteintes ?

C’est parce que l’on n’attrape pas les maladies. Comme Antoine Bechamp nous l’a dit, on les construit.

Vous tombez malade lorsque la toxicité de votre corps (due aux toxines présentes dans la nourriture et les boissons, dans l’air, aux CEM, au stress émotionnel, etc.) atteint un point critique et que votre corps a besoin de l’évacuer. C’est ce qu’est un rhume ou une grippe. Une désintoxication de tout le corps qui expulse toutes les toxines (par la toux, les éternuements, la fièvre, etc.). À ce stade, vos cellules produisent des virus pour faciliter la désintoxication et le nettoyage interne. Vous pouvez considérer les virus comme une sorte de savon, et la terrible ironie est qu’ils ne sont pas des ennemis dangereux et malveillants qui essaient de contrecarrer votre bonne santé, bien au contraire. Ils essaient de vous aider, car (et toute l’industrie pharmaceutique est absolument terrifiée par le jour où les gens réaliseront ce fait ineffable) votre corps n’essaie pas réellement de vous tuer. Au contraire, chaque cellule de votre corps se consacre à vous maintenir en vie, et votre corps possède un large éventail de capacités magistrales exclusivement consacrées à vous protéger et à vous préserver.

Les gens tombent souvent malades au même moment parce que a) les personnes qui vivent ou travaillent ensemble sont exposées aux mêmes toxines, et b) nos corps sont synchronisés et communiquent — voir la synchronisation menstruelle — et un corps qui fait une cure de désintoxication peut envoyer des signaux puissants aux corps voisins pour leur dire que cet environnement est un peu toxique et qu’une cure de désintoxication ne serait pas de refus.

Cela ne signifie pas que quelqu’un a « attrapé » quelque chose d’un autre (je le demande à nouveau : pourquoi les médecins et les infirmières ne sont-ils pas constamment malades ? Après tout, ils sont constamment entourés de personnes malades et, à moins qu’ils ne travaillent en combinaison de protection, ils ne peuvent éviter les contacts étroits).

Si la théorie virale et les modèles de contagion étaient un tant soit peu vrais, alors tout le monde, à part les ermites, serait constamment malade, y compris et surtout les personnes qui ont beaucoup de contacts avec les autres. Et pourtant, il n’existe aucune preuve scientifique montrant que quelqu’un qui travaille dans un pub – rencontrant des centaines de nouvelles personnes par semaine — est plus susceptible de tomber malade que quelqu’un qui travaille dans un bureau — voyant la même petite sélection de personnes chaque jour. Si la théorie virale était vraie, non seulement les emplois en contact avec le public seraient trop dangereux et il serait impossible de retenir les employés (parce qu’ils seraient constamment en arrêt maladie), mais la race humaine n’existerait pas, ayant été éliminée par des contagions virales il y a des lustres. En effet, si la théorie virale était vraie, il n’y aurait plus personne en vie pour y croire.

Soyons clairs, il existe divers poisons dans l’environnement et notre monde est plus toxique qu’il ne l’a jamais été. Alors, bien sûr, les gens tombent malades. Si vous empoisonnez un organisme vivant suffisamment souvent, même avec une faible dose de poison, il finit par tomber malade. Mais cela ne signifie pas qu’il y a, qu’il y a eu ou qu’il pourrait y avoir une épidémie virale. Ce n’est pas une chose qui peut arriver, et la raison pour laquelle l’establishment a investi tant d’argent dans les films de « peste » au cours des dernières décennies (Contagion, Outbreak, World War Z, etc.) est de manucurer l’esprit des gens pour qu’ils y croient. Mais l’idée d’une peste virale contagieuse est tout aussi fictive que n’importe lequel des films susmentionnés, et l’établissement vous le dit assez explicitement.

Lorsque j’ai regardé Contagion en 2019, environ un an avant que Covid ne fasse ses débuts, j’ai immédiatement su ce qu’ils nous disaient et j’ai fait un post prédisant une fausse peste, mise en scène pour contraindre les gens à prendre un vaccin dangereux. Non seulement les réalisateurs de Contagion nous ont dit que cela allait arriver (dans les suppléments du DVD, ils déclarent « Contagion n’est pas une œuvre de fiction, cela va se produire pour de vrai, c’est une question de quand, pas de si »), mais Matt Hancock lui-même a confirmé que le Royaume-Uni a basé sa réponse à la pandémie sur le film.

Les scénaristes de la fausse peste ont ensuite donné le premier vaccin à « William Shakespeare », dont la citation la plus célèbre est « all the world’s a stage » — et en rapportant cette sombre petite blague, Matt Hancock n’a littéralement pas pu garder son sérieux.

Donc, vous l’avez. Les producteurs et réalisateurs derrière « Covid ! The Plague Blockbuster » vous ont dit très clairement et dès le début que ce n’est pas réel, que c’est une mise en scène, un scénario et que cela ressemble à un film — et je ne fais donc que répéter leur révélation (parce qu’ils nous disent toujours ce qu’ils font, un phénomène connu sous le nom de « révélation de la méthode », si vous apprenez simplement à interpréter ce qu’ils disent. Par exemple, ils déclarent que le vaccin est « sûr et efficace ». Mais ils ne disent pas pour qui et de quelle manière. Est-il « sûr » parce qu’ils sont immunisés contre les poursuites judiciaires, et « efficace » parce qu’il fait exactement ce qu’ils voulaient qu’il fasse) ?

Pour reprendre notre véritable pouvoir à ces sorciers sombres et maléfiques (remarque : Hollywood porte le nom du bois de l’arbre Holly, traditionnellement utilisé par les sorciers pour fabriquer des baguettes), il est essentiel que nous voyions à travers leurs illusions et que nous n’investissions en aucune façon dans leurs envoûtements et leur magie noire.

L’idée de « virus mortels contagieux » est un canular. Personne n’a jamais pu prouver que les virus sont directement transmissibles ni qu’ils sont à l’origine des symptômes des maladies, et ils ne pourront jamais le prouver, car ce n’est pas vrai.

Il s’agit d’une introduction relativement brève sur le sujet, et il existe une multitude d’informations complémentaires étonnantes, comme le livre Virus Mania et la série documentaire The Viral Delusion (parce que je sais que les gens répondront à ce commentaire par « mais qu’en est-il d’Ebola ? Et la polio ? » — vous trouverez toutes les réponses que vous cherchez dans ces documents, et bien d’autres encore).

Pour conclure, je voudrais simplement répéter ce qu’Antoine Bechamp nous a dit, il y a des centaines d’années, sur la véritable nature de la maladie — parce qu’en fait, cela aurait pu remplacer tout l’essai — « nous n’attrapons pas les maladies. Nous les construisons. »