Un médecin explique la glande pinéale et sa destruction par des produits chimiques toxiques

Publié par Laurent Freeman

UN BREF APERCU

Les faits : Le Dr Klinghardt partage ses préoccupations concernant les divers facteurs environnementaux qui affectent directement nos glandes pinéales

Réfléchissez bien:Vivez-vous un mode de vie sain ?

Êtes-vous soucieux de votre santé ?

Il est important de s’inquiéter, mais de
ne pas avoir peur. Il y a des choses que nous pouvons faire pour
demeurer en santé dans un environnement qui a besoin d’énormément de
changement.

La glande pinéale,
que beaucoup de cultures appellent aussi le troisième œil ou le siège
de l’âme, est située dans votre cerveau et beaucoup croient que c’est la
porte vers l’au-delà. La diméthyl-tryptamine (DMT) est produite ici
naturellement et est libérée en petites quantités lorsque nous rêvons et
lorsque le corps physique meurt.

La Glande pinéale ou « Troisième oeil »

Beaucoup de mystiques et de cultures à
travers le monde croient que cette glande est notre connexion directe
avec le Soi, ou Conscience. Malheureusement, il a été démontré que
divers produits chimiques dans notre environnement bloquent l’accès à
cette glande, ce qui, à son tour, peut rendre plus difficile la
connexion avec notre nature spirituelle et, par conséquent, avec notre
vrai moi.

Jetez un coup d’œil (Vidéo) Les secrets de la glande pinéale pour en savoir plus sur cet organe étonnant.

Rencontrez le Dr Dietrich Klinghardt

Dietrich Klinghardt est fondateur de la
Klinghardt Academy (USA), de l’American Academy of Neural Therapy,
directeur médical de l’Institute of Neurobiology, et clinicien en chef
du Sophia Health Institute, situé à Woodinville, Washington. Il est
également fondateur et président de l’Institut de neurobiologie en
Allemagne et en Suisse. La Klinghardt Academy (USA) dispense des
enseignements au monde anglophone sur les interventions biologiques et
les techniques d’évaluation Autonomic Response Testing.

Klinghardt a enseigné aux universités de
l’Illinois, de l’Utah, de Fribourg, d’Adélaïde, de la Capital
University (Washington DC) et autres, ainsi qu’aux facultés de médecine
de Genève et Zurich. Entre 1996 et 2005, il a été professeur agrégé au
Département de neurobiologie appliquée de l’Université Capital. Il est
régulièrement invité à donner des ateliers dans le cadre de la
prestigieuse Medicine Week à Baden-Baden, en Allemagne, et des
conférences internationales sur les maladies de Lyme et les maladies
associées (ILADS). Parmi ses livres, on trouve la Psychokinésiologie
innovante “Une nouvelle approche en médecine psychosomatique” sur la
psychothérapie musculaire guidée par le feedback-guid. Plusieurs de ses
enseignements, manuels, DVD de séminaires et outils cliniques sont
disponibles sur son site Web www.klinghardtacademy.com.

Dans la vidéo qui suit, le Dr Klinghardt partage ses préoccupations concernant les divers facteurs environnementaux qui affectent directement nos glandes pinéales.

Cette vidéo nous rappelle à tous d’être conscients de ces toxines – ce que nous mettons dans notre corps et ce à quoi nous nous exposons.

“La glande pinéale est la partie la plus sensible de notre système nerveux central et elle est très sensible à 4 choses : aluminium, glyphosate, fluor et WiFi.”

Lors du troisième Symposium
international sur les vaccins en mars 2014 et dans le cadre du 9e
Congrès international sur l’auto-immunité, la Dre Stephanie Seneff,
scientifique du MIT, a fait une présentation intitulée “Rôle de la
glande pinéale dans les lésions neurologiques à la suite d’un vaccin
avec adjuvant à l’aluminium”.

Dans son article souvent cité, elle
explique combien de troubles neurologiques courants, comme l’autisme et
la maladie de Parkinson, par exemple, ont une origine commune. Il s’agit
d’un apport insuffisant de sulfate au cerveau et d’une exposition
accrue aux métaux toxiques (p. ex. aluminium, mercure) en raison de
notre capacité réduite à les détoxifier et à les éliminer. Elle montre
également que ces métaux interfèrent avec la synthèse des sulfates,
provoquant l’accumulation de débris cellulaires.

Il explique ensuite que le sulfate
d’héparane dans les lysosomes est essentiel au recyclage des débris
cellulaires, des ordures et des dommages qui pourraient mener à des
maladies. De multiples études ont montré qu’une carence en sulfate
d’héparane entraîne l’autisme. En résumé, l’article souligne l’idée que
l’autisme et la maladie d’Alzheimer, dont les taux continuent
d’augmenter, sont causés par une grave carence en sulfate au cerveau, et
que la glande pinéale, que René Descartes appelle “le siège de l’âme”
peut synthétiser le sulfate stimulé par la lumière solaire et
l’administrer par la mélatonine sulfate. L’aluminium, le mercure et le
glyphosate, ensemble, peuvent faire dérailler ce processus. Ils
travaillent en synergie.

En conclusion, les chercheurs déclarent :

“Dans cet article, nous avons développé
l’argument que le glyphosate, l’ingrédient actif de l’herbicide Roundup
et l’aluminium, un métal toxique omniprésent dans notre environnement,
agissent en synergie pour induire un dysfonctionnement de la glande
pinéale qui mène au trouble du sommeil caractéristique de plusieurs
maladies neurologiques, dont l’autisme, le THADA, la dépression, la
maladie d’Alzheimer, la SLA, le trouble anxieux et la maladie de
Parkinson. Nous soutenons en outre que l’altération de l’apport de
mélatonine et de sulfate au cerveau en raison de lésions pinéales peut
expliquer comment le sommeil perturbé peut entraîner des lésions
neurologiques plus générales, et nous proposons que cela constitue un
élément important du processus de la maladie. L’augmentation constante
de l’utilisation du glyphosate sur les cultures de maïs et de soja
s’harmonise remarquablement bien avec l’augmentation des troubles du
sommeil et de l’autisme, ainsi que d’autres maladies neurologiques. Nous
avons montré comment la perturbation des enzymes CYP et la promotion de
l’anémie et de l’hypoxie, dues à la fois à l’aluminium et au
glyphosate, et la perturbation des bactéries intestinales par le
glyphosate, peuvent provoquer une pathologie entraînant des carences en
mélatonine et en sulfate du liquide céphalorachidien, qui est
caractéristique de l’autisme et de la maladie d’Alzheimer.
L’insuffisance de sulfate entraîne une altération du recyclage lysosomal
des débris cellulaires, et l’insuffisance de mélatonine entraîne des
troubles du sommeil, des maladies vasculaires et une diminution de la
protection contre les lésions ROS dans le cerveau.”

Voici une ventilation facile à comprendre du document, gracieuseté du Dr Jess.

Alors, que pouvons-nous faire ?

Comme il le dit, il espère que ce n’est
qu’une coïncidence que tous ces facteurs combinés soient si destructeurs
pour nos glandes pinéales, mais y a-t-il vraiment des coïncidences ?
Heureusement, nous pouvons éviter certains de ces contaminants.

Prenons le fluorure par exemple,
certains d’entre nous, surtout si nous vivons en Europe, à l’exclusion
du Royaume-Uni, ou dans de nombreuses régions du Canada, n’ont pas à se
soucier du fluorure dans notre eau, mais malheureusement la plupart des
Américains et les Français n’ont pas ce luxe. Il existe différents
filtres à eau qui éliminent le fluorure, et l’achat d’eau filtrée comme
l’eau distillée ou l’osmose inverse est également une option.

En ce qui concerne le glyphosate, un
pesticide utilisé en abondance dans l’agriculture moderne, une solution
très simple consiste à passer aux produits biologiques et à limiter ou à
éviter considérablement les aliments transformés, notamment les
organismes génétiquement modifiés (OGM). Je comprends que les produits
biologiques peuvent être chers, auquel cas faites de votre mieux !
Songez à utiliser les listes Clean 15 et Dirty Dozen pour savoir quels
aliments devraient toujours être achetés biologiques et lesquels ne sont
pas si importants.

WiFi – Celui-ci est un peu plus délicat,
car il est un peu partout ! La plupart d’entre nous l’avons dans nos
maisons, et on peut la trouver un peu partout dans les villes. Bien sûr,
vous pouvez toujours revenir à une bonne vieille connexion Internet
filaire, mais à moins de vivre au milieu de nulle part, vous ne pouvez
pas vraiment y échapper complètement. C’est pourquoi c’est une bonne
idée de passer du temps loin des écrans et de s’entraîner à la mise à la
terre (marcher sur la terre nue sans chaussures, étreindre les arbres,
nager dans des plans d’eau naturels) le plus souvent possible. Cela vous
aidera à mettre votre énergie à la terre et à émettre des ions négatifs
dans votre corps. Le simple fait d’être dans la nature, loin du WiFi,
pour une longue période de temps ou aussi souvent que vous le pouvez,
fera certainement du bien à votre corps, à votre esprit et à votre
esprit !

En ce qui concerne l’aluminium –
celui-ci est délicat… l’aluminium se trouve dans de nombreux aliments,
de nombreux médicaments d’ordonnance, des vaccins et des chemtrails.
Heureusement, nous pouvons détoxifier l’aluminium du corps en suivant
des protocoles sécuritaires et faire ce que nous pouvons pour limiter
notre exposition aux facteurs environnementaux.

Dernières réflexions

Comme l’a dit le médecin, ces quatre
facteurs combinés sont ceux qui causent le plus de dommages, donc si
nous pouvons faire ce que nous pouvons pour limiter de façon drastique
notre exposition à ces substances autant que possible, c’est un énorme
pas dans la bonne direction. Il est également important de savoir que
l’information fournie ici n’est pas conçue pour vous faire peur ou pour
vous faire peur, mais pour vous sensibiliser et vous donner les moyens
de prendre les meilleures décisions pour votre santé et votre sécurité
et celles de vos proches.

Le premier pas vers le changement est la
prise de conscience, et afin de créer tout type de changement, nous
devons d’abord être conscients.

Beaucoup d’amour

Source : Alanna Ketler https://galacticconnection.com/doctor-explains-the-pineal-gland-its-destruction-by-toxic-chemicals/?fbclid=IwAR1KZr8FJruQS_I9w4P0tjIbM7GB4__dhx_DcPtyzT72tMnoJPkQoC02mAk




Quelques bons gros mensonges scientifiques

[Source : Le Saker Francophone]

Par Denis G. Rancourt − Le 8 juin 2010 − Source Activist Teacher

Denis Rancourt.JPG

« La majorité des politiciens, selon les preuves dont nous disposons, ne sont pas motivés par la vérité, mais par le pouvoir, et par la préservation de ce pouvoir. Pour qu’ils puissent conserver ce pouvoir, il est essentiel que les gens restent dans l’ignorance, qu’ils vivent sans connaître la vérité, y compris la vérité de leur propre vie. Nous ne sommes donc environnés que d’un étalage de mensonges, dont nous nous nourrissons. »

Harold Pinter, discours du Prix Nobel (de Littérature), 2005.

La préservation des structures hiérarchiques qui contrôlent nos vies dépend du « vaste étalage de mensonges duquel nous nous nourrissons »
de Pinter. Les institutions en place, qui nous positionnent dans la
hiérarchie, comme les écoles, les universités, les médias de masse ou
les sociétés de productions audiovisuelles, ont comme fonction
principale de créer et de préserver cet étalage. Les scientifiques de
l’establishment répondent à ces mécanismes, ainsi que tous les
intellectuels ayant pour fonction d’« interpréter » la réalité.

En fait, scientifiques et « experts » définissent
la réalité afin qu’elle se conforme avec l’étalage mental dominant, qui
mute pour s’adapter en permanence au moment. Ils inventent et
construisent également de nouvelles branches de l’étalage, afin de
souscrire aux intérêts de groupes de pouvoir spécifiques, en leur
offrant de nouvelles voies ouvertes à l’exploitation. Ces grands prêtres
sont récompensés de leurs bons et loyaux services par un statut de
classe élevé.

Le mensonge de l’argent

Les économistes en constituent un exemple des plus probants. Ce n’est
sans doute pas par accident que ce soit aux États-Unis, à la fin du XIXe siècle, que les économistes soient devenus les premiers analystes professionnels à « pénétrer par effraction »
dans une bataille visant à définir les limites de la liberté académique
des universités. À partir de ce point, le système académique allait
imposer une stricte séparation opérationnelle entre le travail d’enquête
et la théorisation, considérés comme des disciplines acceptables, et la
réforme sociale considérée comme inacceptable 1.

Tout universitaire désireux de préserver sa position comprit ce que
cela signifiait. L’effet de bord en fut que les universitaires devinrent
maîtres en l’art de cultiver une image importante de soi, malgré la
limitation mortelle de leur pertinence sociale, avec des verbiages du
genre : « La vérité est notre arme la plus puissante », « la plume est plus forte que l’épée », « une bonne idée peut changer le monde », « la raison nous sortira des ténèbres », etc.

Ainsi l’entreprise de l’économie fut-elle dévolue à masquer le
mensonge de l’argent. La pratique d’emprunts toxiques, la fixation des
prix, et les contrôles monopolistiques étaient les principales menaces à
la justice naturelle d’un marché libre, et ne constituaient que des
erreurs dans le cadre d’un système autorégulé, qui restait modérable par
l’ajustement des taux d’intérêts et par d’autres « protections ».

Pendant tout ce temps, aucune théorie économique dominante ne fit
jamais mention du fait que tout l’argent qui circule, sans exception,
est créé de toutes pièces par un système bancaire à réserve
fractionnaire, détenu par des intérêts privés obscurs et secrets, et
disposant du permis de fabriquer et de distribuer de la dette qui doit
être remboursée (avec intérêts) par l’économie réelle ; de quoi
poursuivre la concentration de la propriété et du pouvoir face à toute
économie, locale ou régionale.

Aux restants, la tâche de gagner de l’argent plutôt que simplement le
fabriquer, sans jamais en accumuler. La classe moyenne court en
permanence derrière le paiement d’un loyer ou le remboursement d’un
emprunt immobilier. L’esclavage salarial est perpétré et de plus en plus
déclassé dans les zones stables, et se voit installé, dans ses
variantes les plus vicieuses, dans tous les territoires nouvellement
conquis.

Il est tout à fait singulier que la plus grande escroquerie à l’exploitation (la création monétaire privatisée, ou dette) jamais promulguée et appliquée à la planète tout entière ne figure même pas dans les théories économiques.

Les économistes sont tellement occupés à modéliser les évolutions des
profits, des retours sur investissements, des chiffres de l’emploi, de
la valeur des marchés boursiers, et les bénéfices des
fusions-acquisitions pour les exploiteurs du milieu de l’échelle, qu’ils
ne remarquent pas leur propre évitement de ces éléments fondamentaux.
Ils modélisent le schéma de construction tout en refusant de reconnaître
que le terrain où l’édifice est bâti se situe en zone sismique, et que
les vautours planent déjà en cercle au-dessus de leurs têtes.

Et pendant ce temps, les financiers rédigent et amendent les règles à
leur gré, selon un processus qui, lui non plus, ne figure pas dans les
théories macroéconomiques. Le seul élément humain considéré par les
économistes dans leurs modèles mathématiques « prédictifs » est
le comportement du consommateur de bas niveau, en aucun cas les
manipulations en haut du système. La corruption est la norme, mais non
écrite. Les économies, les cultures, les infrastructures des nations
sont volontairement détruites pour s’attirer de nouveaux bataillons
d’esclaves, via des dettes nationales grandissantes, pour les
générations à venir ; et les économistes couvrent ces dettes en
expliquant les conséquences catastrophiques supposées qui surviendraient
si ces dettes n’étaient pas remboursées…

Des outils de gestion pour les maîtres, un rideau de fumée pour nous autres — merci les experts économistes.

La médecine : le mensonge de la santé

Qui n’a pas entendu quelque DM (Docteur en Médecine) interviewé à la
radio, émettant l’affirmation assurée que l’espérance de vie a augmenté
grâce à la médecine moderne ? Rien n’est plus éloigné de la vérité.

L’espérance de vie a augmenté dans le monde développé du fait de
l’absence historique de guerres civiles et territoriales, d’une
nourriture meilleure et plus accessible, d’une baisse des accidents (du
travail, et autres), et de meilleures conditions de vie et de travail en
général. Le seul indicateur de santé individuelle au sein d’un pays, et
d’un pays à l’autre, est le statut économique, indépendamment de
l’accès aux technologies médicales et pharmaceutiques.

C’est en fait pire que cela : la médecine porte en fait des impacts
négatifs sur la santé. Les erreurs médicales (sans compter les décès non
attribués à l’administration d’un « traitement » dans les
règles) constituent le troisième vecteur de décès aux USA, après les
troubles cardiaques et les cancers, et l’écart est très important entre
cette sous-estimation très conservatrice des décès par erreurs médicales
et la quatrième cause de décès2.
La médecine n’ayant que peu de moyens de régler les problèmes
cardiaques et les cancers, et la médecine n’ayant qu’un impact positif
statistiquement marginal dans le domaine des interventions traumatiques,
nous en concluons que la santé publique se trouverait améliorée si tous
les docteurs en médecine s’évaporaient purement et simplement. Et
pensez une minute au temps perdu et au stress que les gens malades
s’épargneraient…

L’hôpital constitue l’un des endroits les plus dangereux de notre
société. On compte parmi les erreurs médicales les mauvais diagnostics,
les erreurs de prescriptions, les prescriptions de médicaments qui ne
devraient pas être combinés entre eux, les interventions non
nécessaires, et les traitements mal administrés, dont chimiothérapies,
traitements par radiations, et opérations réparatrices.

Le mensonge s’étend jusqu’au mythe selon lequel les docteurs en
médecine sont proches de comprendre le corps humain. Et ce mensonge bien
gardé nous encourage à faire confiance aux docteurs, ce qui ouvre la
porte à un filon fort juteux pour la big pharma.

La première chose que les volontaires de Médecins sans frontière (MSF) doivent faire pour apporter une aide significative aux zones sinistrées est d’« oublier leur formation médicale » et d’aller travailler sur les tâches prioritaires : l’eau, la nourriture, les abris, et la prévention de propagation des épidémies ; pas la vaccination, ni les opérations, ou les prescriptions médicales… La santé publique résulte de la sûreté, de la stabilité, de la justice sociale, et du pouvoir d’achat économique, pas d’unités d’IRM (Imagerie par résonance magnétique) ou de prescriptions de traitements.

Ces têtes de nœud appliquent de manière routinière des « traitements recommandés »
et prescrivent des médicaments dangereux pour tout : pour les niveaux
de tensions élevés dus à un mode de vie sédentaire et à une mauvaise
nutrition, pour l’apathie à l’école, pour l’anxiété à se trouver dans un
lieu public, pour les fonctions érectiles postadolescence, pour les
troubles du sommeil non conventionnels, et pour tous les effets
secondaires des propres drogues qu’ils prescrivent.

Dans un renversement de la logique professionnelle mais non moins
remarquable, les docteurs prescrivent des drogues pour supprimer des
symptômes qui sont des indicateurs de risques, au lieu de s’occuper des
causes de ces risques : ils ne font qu’agresser le corps encore plus.

Les effets que la médecine a eu et continue d’avoir sur nous sont
incroyables : il s’agit simplement d’une manière de plus de nous garder à
l’état de stupidité (l’ignorance de notre propre corps) et
artificiellement dépendants de la hiérarchie de contrôle. Les gens
économiquement défavorisés ne meurent pas d’un manque de « soins »
médicaux — ils meurent des contraintes qui pèsent sur leurs vies et des
dettes résultant directement de leur pauvreté. Combien de docteurs en
médecine ont formulé cette vérité évidente à la radio?

LES MENSONGES DES SCIENCES DE L’ENVIRONNEMENT

L’exploitation par extraction de ressources, par expropriation
territoriale, et par la création et la préservation d’esclaves salariés
dévastent les populations indigènes et l’environnement sur des échelles
continentales. Il est donc vital de couvrir ces crimes sous un voile
d’analyses d’experts et sous une diversion de politiques de
développement. Une classe importante d’intellectuels rend ici service,
en la matière des scientifiques et consultants en environnement.

Les scientifiques en environnement travaillent naïvement ou en
connaissance de cause main dans la main avec les charlatans de la
finance et du monde de l’entreprise, les médias dominants, les
politiciens, les bureaucrates d’état et internationaux, pour masquer les
vrais problème et pour générer des opportunités de profits aux élites
au pouvoir. Voici des exemples notables de cas spécifiques.

Le fréon et la couche d’Ozone

Connaissez-vous quelqu’un qui a été tué par le trou dans la couche d’ozone ?

Le protocole de Montréal de 1987, interdisant les chlorofluorocarbones (CFC), est considéré
comme un cas d’école, voyant la science, conjuguée à une gouvernance
responsable, amènent à un traité emblématique protégeant la Terre et
tous ses habitants. N’est-ce pas merveilleux ?

Au moment où le brevet de DuPont [Une entreprise géante de chimie, NdT]
sur le Fréon (TM), le réfrigérant CFC le plus usité au monde, allait
expirer, les médias dominants s’emparèrent d’observations et
d’hypothèses scientifiques impénétrables quant à la concentration de
l’ozone dans les hautes couches de l’atmosphère, aux abords des pôles.

Il s’ensuivit une mobilisation internationale pour criminaliser les
CFC ; et DuPont développa et breveta un réfrigérant de remplacement, qui
fut promptement homologué.

Un prix Nobel de chimie fut attribué en 1995 à une preuve en
laboratoire que les CFC peuvent appauvrir l’ozone dans des conditions
atmosphériques simulées. En 2007, il fut démontré que ces travaux
avaient pu être fortement biaisés par une surestimation du taux
d’épuisement d’un ordre de grandeur, ce qui invalidait le mécanisme
proposé d’épuisement de la couche d’ozone par les CFC 3.
Sans parler du fait que les expériences en laboratoires sont très
différentes des hautes couches de l’atmosphère… L’attribution du prix
Nobel serait-elle biaisée par les médias et les pressions d’intérêts
particuliers ?

Mais c’est encore mieux que cela. Il s’avère que le réfrigérant de
remplacement de DuPont est, sans grande surprise, moins inerte que ne
l’était le Fréon. Il s’ensuit qu’il corrode les composants du cycle de
réfrigération beaucoup plus rapidement. Les anciens frigidaires et
congélateurs avaient une durée de vie pratiquement illimitée, et voilà
qu’à présent ils sont bons à jeter en huit ans environ. La conséquence
en a été un empilement dans des proportions inédites d’appareils
électroménagers en fin de vie dans les sites de décharges en Amérique du
Nord ; encouragés par la propagande verte vantant des consommations
électriques ultraefficaces des nouveaux appareils, testés à porte fermée
(vous avez bien lu, ces modélisations supposent que l’on n’ouvre jamais
la porte du frigo, pour consommer moins et obtenir la note « A+++ »).

En outre, on nous a frénétiquement exhortés à éviter le soleil,
l’index des UV maintient entières notre peur du cancer et notre
dépendance à l’establishment médical, et une nouvelle industrie de
blocage du soleil, comparable à une ligue de protection des vampires »,
a été créée. Et, bien sûr, les chimistes universitaires sont à la
recherche de la molécule de blocage du soleil parfaite, qui pourra être
brevetée par la big pharma. Et dès que le brevet sera posé, ma
prédiction est que nous verrons des interviews dans les médias, avec des
experts en cancer de la peau…

Les pluies acides et la forêt boréale

Dans les années 1970, c’étaient les pluies acides. Des milliers de
scientifiques du monde entier (comprendre : de l’hémisphère nord)
étudiaient ce « problème des plus urgents pour la planète ».
La forêt boréale constitue le plus grand écosystème terrestre, et on
signalait que ses millions de lacs mouraient du fait des pluies acides
qui tombaient du ciel.

Les centrales à charbon laissaient s’échapper des sulfures dans
l’atmosphère, rendant la pluie acide. Il fut postulé que les pluies
acides rendaient les sols et les lacs acides dans la forêt boréale, mais
cette acidification fut en pratique impossible à détecter. Des lacs
sauvages, au cœur des parcs nationaux, devaient faire l’objet d’études
pour essayer de détecter une acidification statistiquement
significative.

Pendant ce temps, les lacs et leurs bassins versants étaient en cours
de destruction du fait de l’industrie des maisons de campagne, de
l’agriculture, de l’exploitation forestière, de l’extraction minière, de
la surpêche et du tourisme. Aucune de ces destructions, locales ou
régionales, ne fit jamais l’objet de la moindre étude ni de la moindre
médiatisation. Au lieu de cela, les scientifiques pointèrent leur regard
vers de lointaines centrales à charbon, vers la distribution
atmosphérique, et postulèrent que des réactions chimiques se
produisaient au sein des gouttes de pluie. Une étude découvrit que la
reproduction en aquarium d’une espèce de poissons se montrait très
sensible à l’acidité (pH). On écrivit de longs traités sur l’équilibre
des charges des cations et sur leur transport, et l’attention fut
détournée du terrain, vers un problème aseptisé de chimie atmosphérique,
résultant de l’industrialisation et du progrès, mais pas d’exploitants
identifiables.

Pour ce qui me concerne, physicien et praticien des sciences de la
terre, devenu scientifique de l’environnement, j’ai moi-même lu
pratiquement chaque article scientifique écrit au sujet des pluies
acides ; je n’y ai pas trouvé un seul exemple de démonstration d’un
impact négatif sur les lacs ou sur les forêts du aux pluies acides. À
mon avis, en opposition des affirmations répétées des auteurs
scientifiques, la recherche sur les pluies acides démontre que les
pluies acides ne peuvent pas constituer la source du problème.

Ce modèle de blanchiment des exploiteurs, coordonné par les élites,
allait se répéter à une échelle encore plus importante quelques
décennies plus tard, avec le réchauffement climatique mondial.

Le réchauffement climatique : une menace pour l’humanité

En 2005 et 2006, plusieurs années avant que le scandale du Climategate de novembre 2009 n’explose la bulle médiatique qui maintenait l’opinion publique dans l’acceptation des crédits de carbone, du système de plafonnement, et du filon financier associé, chiffré en milliers de milliards de dollars, qui peut encore fonctionner, j’exposai le scandale de la cooptation au réchauffement planétaire dans un article qu’Alexander Cockburn, décrivit dans The Nation comme « l’une des meilleures études sur la fabrication du mythe de l’effet de serre, du point de vue de la gauche » 4 5 6.

Mon étude amena David F. Noble à explorer la question, et à écrire The Corporate Climate Coup [« Le coup d’État climatique des multinationales », NdT],
pour exposer la manière dont les médias s’emparèrent du sujet par suite
de la compréhension par le secteur de la finance du potentiel
gigantesque de bénéfices que le passage au vert pouvait constituer7.

Les paragraphes d’introduction de Global Warming: Truth or Dare? sont reproduits ici 4.:

J’avance également qu’il existe de fortes motivations
sociétales, institutionnelles, et psychologiques, derrière la
construction puis le maintien du mythe d’une grande menace de
réchauffement planétaire (le mythe du réchauffement climatique, pour
faire court). Je décris ces motivations s’agissant des travaux de la
profession scientifique, ainsi que du réseau des multinationales, de la
finance mondiale, et de ses ombres gouvernementales.

J’affirme que la force la plus destructrice de la planète, et de
loin, réside dans les financiers menés par le pouvoir, et les sociétés
mues par la recherche du profit, ainsi que leurs cartels soutenus par la
puissance militaire ; et que le mythe du réchauffement planétaire
constitue une fausse piste qui contribue à cacher cette vérité. À mon
avis, les activistes qui, quelles que soient leurs justifications,
entretiennent le mythe du réchauffement planétaire, ont été mis sous
contrôle, ou à tout le moins, se sont fait neutraliser.

D’autres extraits suivent 4.:

Les scientifiques en environnement et les agences
gouvernementales sont financés pour étudier et examiner des problèmes
qui ne menacent pas les intérêts corporatifs ni financiers. Il n’est
donc pas surprenant qu’ils s’en prennent à la dévastation à l’échelle
d’un continent, due à l’extraction des ressources, par la lorgnette du
CO2. Le principal inconvénient de cette stratégie et qu’on ne prend pas
le contrôle d’un monstre affamé en lui demandant de chier moins que ce
qu’il avale.

Le réchauffement climatique constitue un problème strictement dans
l’imaginaire de la classe moyenne du monde développé. Personne d’autre
ne s’en préoccupe. Les travailleurs des usines, exploités dans le Tiers
Monde se fichent du réchauffement climatique. Les enfants irakiens ayant
subi des mutations génétiques du fait de l’uranium appauvri qui y a été
répandu par les guerres étasuniennes se fichent du réchauffement
climatique. Les populations indigènes dévastées ne sont pas non plus
concernées par le réchauffement climatique, sauf peut-être comme
représentation de la seule solidarité à laquelle nous pourrions
souscrire.

Ce n’est pas un sujet de limitation des ressources. [« Les montants
dépensés pour l’alimentation des animaux de compagnie aux USA et en
Europe chaque année équivalent aux montants nécessaires pour apporter
une nourriture et des soins médicaux de base à l’ensemble des
populations du Tiers Monde, et encore resterait-il une assez coquette
somme à dépenser. » (rapport de développement de l’ONU, 1999)]. C’est un
sujet d’exploitation, d’oppression, de racisme, de pouvoir, et
d’avidité. La justice économique, humaine, et animale amène d’elle-même
une pérennité économique qui est elle-même toujours fondée sur des
pratiques renouvelables. La reconnaissance des droits élémentaires des
populations indigènes modère automatiquement l’extraction de ressources
et préserve les habitats naturels. Empêcher les guerres et les
interventions impérialistes tarit automatiquement l’exploitation à
l’échelle des nations. Un vrai contrôle démocratique de la politique
monétaire permet très largement de supprimer l’extorsion basée sur la
dette. Etc.

Et il y a une critique approfondie de la science qui sert à nourrir une tendance à grand bruit, et un aveuglement intéressé 4.. Le Climategate ne fait que confirmer ce qui devrait sauter aux yeux de tout scientifique en exercice : cette science constitue une mafia quand elle ne se résume pas à une pilule soporifique.

[Développement récent (mars 2011) : déconstruction tranchante du récit de la science climatique dominante – ICI.]

Conclusion

Cela continue sans s’arrêter. Que reste-t-il, qui n’est pas mensonge ?

Considérez l’escroquerie récente au H1N1 — un autre cas d’école. Le
cirque se poursuit et fait dans le grotesque : des gels antiseptiques à
chaque porte en un clin d’œil, des lycéens se shootant en buvant
l’alcool des gels, obsolescence de la souche virale avant que le vaccin —
pré-payé — ne puisse même être produit, efficacité non prouvée, aucune
exigence que l’efficacité en soit garantie, des garanties du
gouvernement aux fabricants contre les poursuites lancées par les
clients, dans les universités, des agents de sécurité enseignant aux
étudiant la bonne manière de tousser, etc.

De la folie pure. Quelque chose a-t-il déclenché notre réflexe de stupidité génétiquement enraciné de pays développé ? Cela s’inscrit-il dans notre marche vers le fascisme8 ?

En voici encore un échantillon. Les éducateurs promeuvent le mensonge selon lequel nous apprenons parce que nous recevons un enseignement. Le mensonge de l’éducation est franchement dénoncé par les éducateurs radicaux9 10.

Les professeurs d’université conçoivent des programmes comme si les étudiants apprenaient effectivement chaque élément qui y est professé, alors qu’en réalité les étudiants n’apprennent pas les éléments qui y sont professés : chacun n’apprend que ce qu’il apprend. On pourrait chambouler complètement l’ordre dans lequel les cours sont donnés, et l’on ne verrait pas de différence notable quant à ce que les étudiants en retiennent. Les étudiants produisent des absurdités et les professeurs n’en sont pas gênés. L’obéissance et l’endoctrinement sont les vrais composantes de tout le processus, et la seule compétence réellement exigée est de faire semblant. Les étudiants le savent, et ceux qui l’ignorent ne savent pas ce qu’ils savent, et ne se connaissent pas eux-mêmes. 8.9.10..

Choisissez n’importe quelle opinion d’expert ou n’importe quel paradigme dominant : ils sont les constituants d’un racket.

Nous n’acceptons pas la vérité, parce que la vérité est brutale.

Denis G. Rancourt était professeur titulaire à 
temps plein de l’Université d’Ottawa au Canada. Il suivit une formation 
de physicien et pratiqua la physique, les sciences de la terre, et la 
science de l’environnement, domaines en lesquels il fut financé par une 
agence nationale et dirigea un laboratoire reconnu à l’international. Il
 a publié plus de cent articles dans des journaux scientifiques de 
premier plan. Il a développé des cours d’activisme populaire et a 
constitué un critique franc de l’administration universitaire. Il est un
 défenseur des droits des Palestiniens. Il a été mis à la porte en 2009 
par un président qui est un défenseur inconditionnel de la politique 
israélienne. [Voir www.academicfreedom.ca]
Note du Saker Francophone

Il a aussi publié une longue étude sur les tenants et les aboutissants de la globalisation.

Traduit par Vincent, relu par Olivier pour le Saker Francophone

Notes

  1. « No Ivory Tower – book » écrit par Ellen W. Schrecker
  2. Interview radiophonique du Dr. Barbara Starfield: CHUO 89.1 FM, Ottawa; 21 janvier 2010
  3. Nature 449, 382-383 (2007)
  4. « Global Warming: Truth or Dare? – essay » par Denis G. Rancourt
  5. « Questioning Climate Politics – Denis Rancourt says the ‘global warming myth’ is part of the problem »; April 11, 2007, interview par The Dominion
  6. Climate Guy blog
  7. « The Corporate Climate Coup – essay » par David F. Noble
  8. “Canadian Education as an Impetus towards Fascism – essay” par Denis G. Rancourt
  9. « Pedagogy of the Oppressed – book » par Paulo Freire
  10. “The Ignorant Schoolmaster – book” par Jacques Rancière



Un biologiste ciblé pour avoir exposé le pesticide changeur de genre – l’atrazine – qui empoisonne l’Amérique

[Source : Sott]

[Auteur de la version originale anglaise : Christina Sarich]

Tyrone Hayes

Le biologiste Tyrone Hayes est un professeur à l’Université de
Californie avec un message important. L’un des pesticides les plus
couramment utilisés en agriculture [NdT : interdit en France depuis
2003], l’atrazine, est responsable selon ses recherches, de la
féminisation des amphibiens. Plus important encore, le produit chimique
élimine efficacement les chromosomes mâles à un rythme alarmant, il
suffit de niveaux trois fois inférieurs à ceux qui se trouvent
actuellement dans notre eau potable. Ce n’est pas seulement le plomb et
le fluor qui doivent nous préoccuper, mais un perturbateur endocrinien
connu, créé par Syngenta, qui modifie complètement notre patrimoine
génétique.

Hayes combat Syngenta depuis des décennies pour signaler les effets
nocifs de l’atrazine. Ses articles scientifiques décrivent comment
l’atrazine perturbe les gonades masculines, produisant des lésions
testiculaires associées à une réduction du nombre de cellules germinales
chez les poissons, amphibiens, reptiles et mammifères téléostés, et
induit une féminisation partielle et/ou complète chez les poissons,
amphibiens et reptiles. Ces effets sont forts (càd statistiquement
significatifs), uniformes d’une classe de vertébrés à l’autre
et spécifiques. La réduction des niveaux d’androgènes et l’induction de
la synthèse d’œstrogènes – démontrée chez les poissons, les amphibiens,
les reptiles et les mammifères – représentent des mécanismes plausibles
et cohérents qui expliquent ces effets.

Les puissants de l’agro alimentaire s’en prennent à un lanceur d’alerte

D’autres scientifiques se sont depuis fait connaitre pour corroborer les affirmations de Hayes, mais ce n’est qu’après que Syngenta eût déposé un document de 102 pages visant à discréditer le scientifique.

L’atrazine est utilisée sur tout, des champs de maïs (75 pour cent
d’entre eux sont pulvérisés avec de l’atrazine aux États-Unis) aux
fermes d’arbres de Noël, et c’est un des produits chimiques les plus répandus en agriculture.
Syngenta a demandé à Hayes de faire des recherches sur le produit
chimique, mais après qu’il ait trouvé des résultats auxquels le
fabricant d’atrazine ne s’attendait pas, il a été ciblé d’une manière
qui, avec le temps, est malheureusement devenue familière aux lanceurs
d’alerte.

Le plomb, le fluor et maintenant l’atrazine

Alors que nous nous inquiétons du fluor et du plomb, à juste titre, dans
notre eau potable, un produit chimique encore plus sinistre s’infiltre
dans nos eaux souterraines et finit par s’infiltrer dans les réserves
d’eau municipales.

L’atrazine affecte négativement les hommes, en rétrécissant
littéralement leurs gonades, ou en les amenant à devenir des femmes,
mais elle affecte aussi les femmes, causant de faibles niveaux
d’œstrogènes et des règles irrégulières. Dans l’ensemble, ce produit
chimique agit exactement comme beaucoup d’autres poisons figurant à
l’ordre du jour de l’ONU le font – des chimiothérapies aux vaccins, des
BPA qui sont des xénoestrogènes connus aux produits pharmaceutiques, en
passant par les contraceptifs oraux qui passent sans encombres grâce du
réseau des eaux usées à nos eaux potable – ce qui rend la fertilité
telle une roulette russe génétique.

Faut-il croire qu’un produit chimique qui provoque une castration
chimique complète chez les grenouilles africaines mâles à griffes n’aura
pas finalement des effets similaires sur nous ? Plus de 3600
tonnes de cette substance sont utilisées chaque année, mais avec toutes
les tentatives de faux drapeaux et les crises de l’eau à Flint, au
Michigan, qui peut se tenir informé des nombreuses méthodes qu’ils
utilisent pour éliminer les masses ?

La population des États-Unis est censée chuter de 78,2 %, passant de
316+ millions à 69 millions de personnes SEULEMENT en 2025, selon un
site Web du gouvernement, et beaucoup ont fait des déclarations
admettant vouloir réduire la population de la terre.

Même le CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) en décembre 2014, a offert la comparaison choquante dans les totaux de population de 2007 à 2013, où ils déclarent « Il y a eu 3,93 millions de naissances aux États-Unis en 2013, en baisse de moins de 1% par rapport à 2012 et 9% par rapport au sommet de 2007. Le taux général de fécondité aux États-Unis était à son plus bas niveau en 2013. »

Est-ce la vraie raison pour laquelle Tyrone Hayes est visé ?

Il dit que nous fabriquons des  » bébés toxiques  » en raison du poison
chimique le plus vendu par l’une des plus grandes compagnies chimiques
au monde. Il est interdit dans l’UE, mais encore largement utilisé aux
États-Unis, et même réenregistré par l’Environmental Protection Agency
l’année même où il a été interdit à l’étranger. 0,1 partie par milliard
d’exposition à l’atrazine change le sexe d’une grenouille. Combien de
parties par milliard cela prendra-t-il pour empêcher votre capacité de
reproduction ? Il est peut-être temps d’écouter M. Hayes.

Traduction Sott.net


[Vidéos en anglais :









]




Vaccinations obligatoires : j’ai choisi mon camp !

[Source : La lettre du Dr Rueff]

Par Dr. Dominique Rueff

LA PÉTITION QUE J’AI SIGNÉE

Parmi les pétitions qui circulent contre les 11 vaccins obligatoires, je vous recommande celle-ci, à laquelle je m’associe pleinement et que j’ai signée.

>> JE SIGNE LA PÉTITION EN CLIQUANT ICI <<

Dr Dominique Rueff


Chère amie, cher ami,

Oui, j’ai choisi mon camp dans l’affaire des 11 vaccins.

Dès que l’on commence à s’intéresser à ce débat on est immédiatement frappé par le dogmatisme des prises de positions.

D’un côté les « pro », de l’autre les « anti ». A chaque fois que
l’on est confronté à un dogme, on pourrait, pardon, on devrait
s’interroger : mais qu’y a-t-il derrière, qu’y a-t-il que l’on ne nous
dit pas ?

Je n’ai pas l’ambition démesurée de répondre à cette question, encore moins d’ériger un troisième dogme.

Je souhaiterais plutôt vous proposer une réflexion personnelle qui
vous permettra de vous positionner dans ce débat complexe et enflammé.

Je voudrais d’abord éliminer, d’emblée, les deux camps les plus « ultra » :

– D’un côté les « archi-contre », qui sont et restent
fondamentalement contre toute vaccination, qui vous taxent
systématiquement de « militer contre les médecines naturelles », de
« défendre Big Pharma » dès que vous vous exprimez ;

– De l’autre « les archi-pour », ceux qui défendent sans nuance toute
obligation vaccinale quelle que soit le vaccin, sa nécessité, l’âge,
les conditions physiques[1] ou immunologiques de la personne vaccinée,
le danger potentiel du vaccin…et vous traitent de « sectaires
authentiques » dès que vous annoncez la moindre réserve.

Cela fait, revenons au débat, qui est quasiment un débat « postélectoral ».

Car la Ministre de la santé précédente n’avait pas caché ses opinions
favorables qui sont reprises par la Ministre actuelle[2] : inscrire
dans la loi l’obligation vaccinale, avant l’âge de deux ans, pour ces 11
vaccins : poliomyélite, tétanos, diphtérie, coqueluche, rougeole,
oreillons, rubéole, hépatite B, bactérie Haemophilus influenzae,
pneumocoque, méningocoque C, avec une durée théoriquement limitée à 5
ans.

Impossibilité de remettre le DTP sur le marché ?

Cette affaire est très curieuse et soulève, au final, le problème de la liberté d’expression.

Saisi de 2300 requêtes de citoyens et de nombreuses pétitions[3]  que
vous n’avez pu ignorer, le 8 février 2017, le Conseil d’Etat a enjoint
le gouvernement français de rendre disponible sur le marché la triple
vaccination DTP. On a argumenté qu’il y avait eu des complications
allergiques (tiens je croyais que les vaccins étaient inoffensifs ?) ce
qui expliquerait son remplacement, sur le marché par un vaccin
hexavalent recommandé en 2002, coûtant 7 fois plus cher, et remboursé
depuis 2006.

Répondant à cette injonction, Marisol Touraine, alors Ministre de la
Santé, a saisi, début 2017, l’Agence Nationale pour la Sécurité des
Médicaments (ANSM) et s’est vue répondre par les « experts » qu’il était
impossible d’envisager et d’obtenir autorisations et validations d’une
tel vaccin dans ce délai. Je cite l’article du journal « Le Monde » du 8
février 2017 où François Béguin et Juliette Garnier écrivaient : « Face
à cette impossibilité de remettre sur le marché le vaccin DTP, a
fortiori dans un délai aussi court, le gouvernement pourrait donc
décider de changer les règles en matière d’obligation vaccinale »
.

« Le travail annoncé s’inscrira dans la réflexion engagée sur la
politique vaccinale qui pourrait faire évoluer le cadre législatif
actuel » avait annoncé Marisol Touraine
. En d’autres termes, « c’est une forte incitation à rendre tout obligatoire »,
avait-elle estimé le 31 janvier, en marge des vœux à la presse,
précisant toutefois que cette formule était une « demi-boutade ».

Volonté de dissimuler les preuves ?

La réplique n’était-elle pas déjà dans les cartons (!!!) puisque le 2 décembre (je cite le même journal) « le
Comité d’Orientation de la Concertation Citoyenne mis en place par Mme
Touraine pour restaurer la confiance envers la vaccination, avait
préconisé de rendre obligatoires les vaccins contre onze maladies[4]
 ».

Ce comité, présidé par le Professeur Fischer et de nombreux médecins
qui n’ont jamais caché leurs opinions favorables à l’obligation
vaccinales (et leurs liens avec l’industrie) a rendu ses conclusions le
30 novembre 2016.

Les critiques ne se sont pas fait attendre : “Les avis de ces
jurys relatifs à la sécurité des vaccins n’ont pas été pleinement pris
en compte, alors que cette question contribue à la défiance actuelle de
la population envers la vaccination
”, écrit Virginie Bagouet, le 2 décembre 2016 (APM – Agence de Presse Médicale) “Certains sujets ont été balayés d’un revers de main, comme s’ils dérangeaient” ajoute Laurence Cohen, sénatrice.

Le « Comité traitant de la myosfascite à macrophage » dit « E3M »[5]
 a refusé l’invitation de ces experts,  le 12 juin 2016[6], à cause d’un
manque d’indépendance (conflits d’intérêts entre des membres du comité
et l’industrie pharmaceutique) ayant déclaré, je cite E3M ; « qu’il y
avait une absence d’experts réellement indépendants qui n’est pas
conforme à la loi »…. « Il existe deux versions des annexes du rapport.
L’une (453 pages) comprenant les débats internes du comité sur les
conflits d’intérêts et la charte de l’expertise, l’autre (446 pages) qui
les a fait disparaître. Selon l’heure de la journée, il était possible
d’accéder à l’une ou l’autre version des rapports.

Selon l’association de « Malades de la myofascite à macrophages »
cette volonté de dissimuler les preuves est très grave. Elle conclut : « Face
à la méfiance des Français vis-à-vis de la politique vaccinale, le
comité Fischer a choisi le passage en force : extension de l’obligation
vaccinale, refus d’entendre les attentes de la population pour des
vaccins sans aluminium, mépris pour la démarche de concertation
citoyenne et, pire, violation de la loi en refusant d’appliquer la
Charte de l’expertise »
.

La pertinence et les dangers de chaque vaccination

Pardonnez-moi d’être un peu technique, mais il me paraît important d’être précis.

Alors, les vaccins sont-ils bénéfiques ou dangereux ?

Sujet qui prendrait beaucoup de place si je devais aborder chaque vaccination une à une.

Bien qu’il ait été rédigé par des médecins qui semblent plutôt
favorables à d’autres approches préventives, le petit « Pocket » publié
en 2008 aux éditions Jouvence « Qui aime bien vaccine peu » rédigé par
un groupe médical dit « Groupe médical de réflexion sur les vaccins »
nous propose un certain nombre de pistes.

Parmi ces dernières, je cite l’interrogation à propos de la
vaccination contre l’Haemophilus B (HIB). Cette dernière est
partiellement reprise par Sylvain Fèvre qui publie sur son blog[7], la
courbe de disparition de cette maladie de 1991 à 2014 en s’interrogeant
sur le rôle exact de la vaccination dans cette disparition. A ce propos,
le « groupe médical de réflexion[8] » composé de médecins
essentiellement suisses, cite une étude de pharmacovigilance menée par
un laboratoire fabricant « qui admet 4,4 effets secondaires pour 100.000 vaccinés, soit un chiffre 4 fois supérieur à celui de la maladie » et de ce fait recommande de ne pas vacciner avant l’âge de 4 ans.

Au chapitre « peurs et responsabilités », on avance souvent
l’argument que se vacciner permet de mieux protéger les
« non-vaccinés ». C’est un argument qu’il semble difficile d’avancer
pour des maladies non transmissibles d’homme à homme comme le tétanos.

Précisons que 18 pays européens[9] n’obligent à aucune vaccination.
Leurs dirigeants sont-ils plus irresponsables que les nôtres ?

Selon les auteurs de « Qui aime bien vaccine peu » la justification
de chaque vaccination devrait dépendre de cinq facteurs (pages 13 et
14) :

  1. La gravité de la maladie : une maladie bénigne comme la varicelle justifie t’elle d’éventuelles complications vaccinales ?
  2. La fréquence de la maladie dans la population à vacciner : une maladie très rare justifie-t-elle la prise d’un risque vaccinal ?
  3. L’efficacité d’éventuels traitements : si une maladie est facile à
    diagnostiquer et à soigner – comme la tuberculose- dans une population
    aisée bénéficiant d’une couverture sanitaire efficace, l’usage
    systématique du vaccin n’est-il pas discutable ?
  4. L’efficacité du vaccin qui, et contrairement au discours des
    vaccinalistes fanatiques (ou en conflits d’intérêts non déclarés ?) 
    n’est pas toujours facile à prouver car la grande majorité des maladies
    infectieuses, même celles qui n’ont pas de vaccin, ont diminué
    d’intensité et de gravité au cours des derniers siècles, du fait des
    progrès de l’hygiène et des traitements.
  5. Les effets secondaires du vaccin : les médecins, auteurs de cet
    ouvrage affirment que les complications sont bien plus fréquentes que
    celles que nous annoncent les « vaccino-intégristes ». Lisez le livre du
    Professeur Romain Gherardi (Toxic Story) et regardez des extraits ou la
    totalité du film  « L’aluminium, les vaccins et les deux lapins »[10].
  6. Même si la preuve de la relation entre myofascite et injections
    intra-musculaires de vaccins contenant de l’aluminium n’a pas été
    définitivement reconnue par toutes les instances officielles
    internationales, on est en droit, au nom du « principe de précaution »
    d’avoir des doutes, pour sa santé et surtout pour celle de  ses propres
    enfants.
  7. Romain Gherardi reconnaît, lui-même, qu’il faudra encore beaucoup de
    moyens financiers pour présenter des preuves formelles. Est-ce
    seulement une question de moyens ou une volonté de protéger certains
    intérêts ?

Quelques vaccins « à la loupe » selon le Comité Médical de Réflexion sur les Vaccins

Concernant le vaccin contre l’hépatite B, qui a fait
l’objet de nombreuses polémiques, rappelons que le nombre de cirrhoses,
observées après avoir contracté une telle hépatite, est plus limité
qu’on ne le dit. Les auteurs suggèrent donc que ce vaccin devrait être
réservé aux populations à risque.

La Cour de Justice de l’Union européenne s’est prononcée, ce 21 juin 2017,
en faveur d’un lien de cause à effet entre la vaccination contre
l’hépatite B et la survenue de la sclérose en plaques (SEP). Un avis qui
ne repose pas sur des faits scientifiques mais sur « des indices
graves, précis et concordants ». La famille de ce patient français,
aujourd’hui décédé, après rejet du pourvoi devant la cour d’Appel de
Paris avait saisi la Cour de Cassation qui s’est finalement tournée vers
la Cour de Justice Européenne.

Le vaccin contre la varicelle n’est efficace qu’à
70% et l’immunité baisse rapidement après 3 ans. C’est une maladie
bénigne et le vaccin devrait donc être réservé aux populations à risque.

La rubéole est une maladie bénigne sauf chez la
femme enceinte. De ce fait, si la vaccination des petits enfants est un
non-sens, celle des jeunes filles devrait être systématique après
résultats d’un test sanguin indiquant qu’elles ne sont pas naturellement
protégées.

Les oreillons sont une maladie bénigne dont les
complications sont plus rares qu’on ne le pense. L’inflammation des
testicules ne touche généralement qu’un seul côté et ne conduit pas
systématiquement à l’infertilité. Je suis bien placé pour le savoir
puisque ma fille est née juste après que j’ai eu cette maladie à l’âge
de… 25 ans. Le comité ne justifie la vaccination que pour les
adolescents qui n’ont pas acquis d’immunité naturelle.

Le vaccin contre la rougeole a longtemps été
suspecté de favoriser la survenue de l’autisme. Il semble qu’aujourd’hui
ces accusations ne soient plus de mise. Cette maladie est le plus
souvent bénigne chez les jeunes enfants qui vont alors acquérir une
immunité certaine et durable. Le comité recommande de reculer l’âge de
la vaccination à la puberté si cette immunité n’a pas été acquise.

Rappelons que les trois vaccins (rougeole, oreillons, rubéole) sont
associés dans le ROR qui est généralement pratiqué dans la petite
enfance. Ces trois vaccins font partie de la liste proposée à
l’obligation vaccinale précoce !

Le docteur Michel Georget[11] confirme bien, dans son dernier
ouvrage, « que le rôle majeur attribué aux vaccinations dans la
régression des maladies infectieuses est tout à fait contestable ».

Bien qu’elle ne fasse pas partie des « obligations vaccinales » je crois utile de s’intéresser à la vaccination que l’on propose aux jeunes filles pour les protéger du virus HPV, en partie responsable du cancer du col de l’utérus.

J’avais fait une mise au point à propos de ce vaccin, en 2013, sur
mon blog personnel[12]. A ce propos, les mêmes experts suisses du
« groupe médical de réflexion » soulignent :

  • Que le vaccin ne couvre pas toutes les infections HPV ;
  • Que la période d’essai (4 ans) de ce vaccin a été trop courte ;
  • Qu’infection HPV ne signifie pas « cancer » ;
  • Qu’il n’y a pas de preuve scientifique de l’efficacité de ce vaccin ;
  • Que d’autres facteurs sont responsables du cancer du col ;
  • Que « le système américain de pharmaco vigilance a recueilli
    jusqu’en avril 2009, 10699 déclarations d’effets secondaires, dont 501
    hospitalisations, 2148 cas avec des séquelles persistantes et 33 décès
     ».

Ils notent que cette vaccination pourrait inciter à un refus de
protection plus généraliste contre les maladies sexuellement
transmissibles (MST) et notamment contre celui du préservatif et
recommandent, pour l’instant, de sursoir à cette vaccination.

Quand un expert de l’industrie des vaccins parle des risques… de la vaccination !

Le Dr Jean-François Saluzzo, Directeur de Production des vaccins
viraux chez Sanofi Pasteur et chef de projet Recherche &
Développement pour les vaccins anti-SIDA, anti-dengue et contre le SARS
et également consultant pour l’OMS a fait d’incroyables confidences dans
une vidéo publiée, avec d’autres propos, sur le site « initiative citoyenne »[13].

Il évoque clairement la possibilité d’introduire un virus à l’homme
par l’intermédiaire d’un vaccin. Pour lui, c’est le risque principal de
la vaccination, le risque qui préoccupe prioritairement l’industriel et
qui alimente de nombreux débats aux Etats-Unis.

Il souligne également, dans cette même vidéo, le risque potentiel lié
à la mauvaise désactivation de vaccins produits à partir de cultures de
cellules animales [14] et termine en rappelant « qu’il n’existe pas de recette pour fabriquer un vaccin » sinon il y a longtemps que l’on aurait un vaccin contre le HIV !

Disposer de son corps

Ce débat de Société va maintenant beaucoup plus loin que
celui de la liberté des vaccinations : celui de la liberté de disposer
de son corps.

Je reprends partiellement les propos du Docteur Sylvain Fèvre publiés le 30 juin 2017 sur le site chronimed : « Il est vrai que la rougeole a tué des enfants en France. C’est un argument qui fait réfléchir la ministre sur l’extension de l’obligation vaccinale. Entre le 1/01/2008 et le 31/12/2016, dix enfants sont morts de la rougeole. Dix morts en huit ans. On ne parle ici que de la mortalité, il y a évidemment aussi les complications à prendre en compte. Parlons froidement de la mortalité. Posons-nous la question suivante : quelle est la première cause de mortalité des enfants de moins de 15 ans en France ?

Réponse : Les accidents domestiques

230 décès chez les moins de 15 ans parmi les 15 à 20 000 décès
annuels. S’il faut réfléchir à rendre obligatoire le vaccin contre la
rougeole, maladie qui a tué à 10 reprises en 8 ans, alors que
pourrions-nous imposer pour éviter les 230 décès annuels d’enfants
causés par les accidents domestiques ? Allons plus loin.

Le tabac tue 79 000 personnes par an en France soit 216 décès/j
ce qui en fait la première cause de mortalité évitable. Quant à
l’alcool, c’est 49 000 morts par an et 1 200 000 malades. Un seul
ministre de la santé a-t-il déjà réfléchi à interdire le tabac et
l’alcool ?

Et les maladies cardiovasculaires, je vous laisse aller chercher
le nombre de morts. Pourrait-on envisager l’obligation d’exercice
physique pour les prévenir ? Pourrait-on envisager l’obligation de prise
de médicaments pour éviter qu’elles ne s’aggravent chez ceux qui en
souffrent ?

N’est-ce pas dans cette logique-là où l’on souhaite nous
entraîner ? Je suis modeste médecin, non expert, je propose des vaccins,
je pratique des vaccins, l’extension de l’obligation vaccinale
faciliterait mon quotidien et me ferait gagner du temps. Malgré tout, je
crains que cela radicalise et gonfle les rangs des « antis » tout en
glorifiant des experts suffisamment pédants et loin de la réalité de
terrain. Quant à l’effet sur les esprits nuancés, je le vois proche de
zéro.

En 2017, je crois surtout que notre société a passé ce stade
d’infantilisation et que pour lutter contre les morts prématurées, il y a
d’autres priorités à réfléchir. »

Les quelques études et citations précédentes montrent que beaucoup de
ces vaccinations que l’on propose de rendre obligatoires avant l’âge de
deux ans ne sont, en l’état de la science, ni formellement
indispensables à tous, ni totalement sans dangers.

Aucune loi ne devrait donc permettre :

  • De les imposer à tous sans une raison particulière ;
  • De les pratiquer sans s’être assuré que la personne ou
    l’enfant ne présentait pas un risque ou une contre-indication
    particulière ;
  • De les imposer sans une explication médicale (dûment
    écrite), un dialogue singulier patient-malade (ou parent) surtout
    lorsqu’il est demandé.

L’information de chaque patient est une obligation déontologique
absolue. Pouvoir injecter 11 vaccins à un patient, sans qu’il y ait une
obligation légale d’informer celui-ci des effets secondaires possibles,
est choquant.

Lorsque l’on menace ou condamne des parents, lorsqu’on refuse
l’entrée en crèche à leurs enfants, il leur faut toutes les informations
légales pour se défendre.

« Info Vaccins France » est une association informant sur les
différents problèmes juridiques soulevés par l’obligation vaccinale. Son
site[15] vous permettra un accès à toutes ces informations.

La Ministre devait aussi intégrer dans sa proposition que la décision
de rendre obligatoire de multiples vaccinations est en train de mettre
une partie de l’Italie dans la rue[16] et selon le journal « Marianne »,
du 16 juin 2017[17], 130 familles italiennes ont demandé un asile
politique en Autriche ! Véridique !

Elle est probablement en train d’y réfléchir puisqu’à
l’heure où j’écris ces lignes elle annonce chercher un moyen légal de
proposer une exemption aux parents qui seraient réticents. A
mon avis, du « jamais vu dans l’histoire » : au moment où l’on annonce
la promulgation d’une loi, on annonce simultanément qu’il y aura une
façon « légale » de la contourner.

Quel semble son état d’esprit ?

Dans une interview donnée ce 9 juillet 2017 à Ruth Elkrief (BFMTV)
elle compare déjà ces récalcitrants auxquels rien n’est promis
aux….témoins de Jéhovah !

Les « moutons enragés » se définissent eux-mêmes comme un groupe de
parole, un groupe de « voltigeurs » qui en a marre des petits secrets et
réclame une meilleure information. Sur leur site[18], en date du 4
juillet 2017, ils publient une quantité importante d’informations sur :

  • La sécurité des vaccins et leurs contre-indications ;
  • Le scepticisme du public et d’une grande partie du corps médical ;
  • La prise en charge, en France, de l’indemnisation et la décision aux Etats Unis de la Cour Suprême en 2010[19] ;
  • La longue liste publiée aux États-Unis, par les « Centers for
    Disease Control » (Centres pour le contrôle et la prévention des
    maladies) des personnes qui ne devraient pas être vaccinées.

Enfin ils concluent, comme je le ferais moi-même : « les vaccins obligatoires sont fondamentalement en contradiction avec la notion de propriété de son propre corps ».

En l’absence d’une innocuité formellement démontrée ou d’une
situation particulière établissant scientifiquement d’une façon
clairement compréhensible la nécessité d’une obligation vaccinale, nulle contrainte légale n’est admissible.

On en est loin. Et les arguments du docteur Saluzzo[20] le démontrent clairement.

Selon le site « Atlantico »[21], le gouvernement serait-il prisonnier de Sanofi ?

Les pétitions contre les 11 vaccins obligatoires sont une étape.

Vous êtes, bien entendu, libres de les signer en vous rendant sur le site de l’une d’entre elles [22]. Voici celle que j’ai signée personnellement : cliquez ici.

Les Italiens sont descendus dans la rue. Que feront les Français ? Sans faire de procès d’intention systématique, refusons d’être gouvernés et dirigés par la peur ou les menaces et d’être traités comme des ignorants. Réclamons, au vu de l’histoire des vaccins et de la seule science, le droit au doute et au recul, le droit de disposer d’un élémentaire principe de précaution pour son propre corps et celui de nos enfants.

Ajoutons que la Suède vient d’interdire l’obligation vaccinale au
prétexte que « l’obligation violerait les droits constitutionnels des
citoyens de choisir ce qui peut ou non convenir à leur propre santé ».
Ce pays monarchiste aurait-il une autre conception des droits
constitutionnels que notre République ?

Je ne voudrais pas terminer sans citer un article de l’Obs du 25 juin
2017 signé d’Elodie Lepage qui définit les limites de l’obligation
vaccinale (même pour les partisans de la vaccination) [23].

J’ai choisi mon
camp : celui de défendre, avec force et vigueur, notre liberté de
conscience, celui de l’absence de dogmatisme, celui de l’humanisme ! Je
suis donc opposé au projet d’obligation vaccinale tel qu’actuellement
projeté par le gouvernement de notre pays.

Je vous remercie de m’avoir lu jusqu’au bout.

Surveillez bien votre boîte aux lettres !

Docteur Dominique Rueff




« Les enfants non vaccinés ne présentent pas plus de risques pour la population que les enfants vaccinés », explique une immunologiste de Harvard aux législateurs étasuniens

[Source : Tribunal de l’infaux]

« Les enfants non vaccinés ne présentent pas plus de risques pour la population que les enfants vaccinés », explique une immunologiste de Harvard aux législateurs étasuniens

Voici une lettre ouverte de Tetyana Obukhanych (ci-dessus), docteure en immunologie, aux législateurs étasuniens concernant les fausses idées reçues sur la vaccination. La lettre a été écrite en 2015.

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Tetyana Obukhanych brosse un portrait de la vaccination infantile complètement différent de celui qui est véhiculé par les médias et démontre que les doutes face à la vaccination sont tout à fait justifiés. À l’heure où l’on bannit les personnes non vaccinées des espaces publics aux États-Unis, il convient de lire attentivement cette lettre et de comprendre que l’inefficacité des vaccins semble être une partie du problème dans la resurgence des maladies virales comme la rougeole et la coqueluche.

Docteure Obukhanych est l’auteure du livre Les vaccins sont-ils une illusion?, dans lequel elle « remet en question les théories traditionnelles sur les vaccins » et explique entre autres « pourquoi les vaccins ne peuvent pas immuniser durablement contre les maladies infectieuses », que « l’immunité de groupe est un leurre » et « comment les vaccins peuvent ouvrir la voie à d’autres maladies ».

La version originale de cette traduction se trouve ici.


Lettre ouverte de la docteure Tetyana Obukhanych aux élus envisageant actuellement de légiférer sur la vaccination

Cher législateur,

Je m’appelle Tetyana Obukhanych et je
suis titulaire d’un doctorat en immunologie. J’écris cette lettre dans
l’espoir qu’elle corrigera plusieurs fausses idées reçues sur les
vaccins et afin de vous aider à avoir une compréhension juste et
équilibrée de la vaccination, s’appuyant sur une théorie acceptée et de
nouvelles découvertes scientifiques.

Les enfants non vaccinés représentent-ils une menace plus grande pour la population que les enfants vaccinés?

On entend souvent que ceux qui
choisissent de ne pas faire vacciner leurs enfants pour des raisons de
conscience mettent la population en danger. Ce raisonnement est derrière
la plupart des mesures législatives visant à mettre un terme aux
exemptions de vaccination actuellement envisagées par les législateurs
fédéraux et étatiques partout au pays.

Vous devez savoir que la nature de la
protection offerte par de nombreux vaccins modernes, incluant la plupart
des vaccins recommandés par le CDC [Centres for Disease Control] pour
les enfants, ne concorde pas avec ce raisonnement.

J’ai décrit ci-dessous les vaccins
recommandés qui ne peuvent pas prévenir la transmission des maladies,
soit parce qu’ils ne sont pas conçus pour prévenir la transmission des
infections (ils sont plutôt destinés à prévenir les symptômes de la
maladie), soit parce qu’ils sont destinés à des maladies non
transmissibles.

Les personnes qui n’ont pas reçu les
vaccins mentionnés ci-dessous ne représentent pas une menace plus grande
que les autres pour la collectivité, par conséquent la discrimination à
l’encontre d’enfants non vaccinés dans une école publique ne serait pas
justifiée.

1. Le VPI (vaccin inactivé contre la poliomyélite) ne peut pas empêcher la transmission du poliovirus. (Voir
l’annexe pour l’étude scientifique, point 1.) Le virus sauvage de la
poliomyélite est inexistant aux États-Unis depuis au moins deux
décennies. Même si ce virus était réimporté par des voyageurs, le vaccin
antipoliomyélitique n’a aucune incidence sur la sécurité des espaces
publics. Veuillez noter que l’éradication du virus sauvage de la
poliomyélite est attribuée à l’utilisation d’un autre vaccin, le VPO ou
vaccin oral contre le poliovirus. Bien qu’il puisse prévenir la
transmission du poliovirus sauvage, l’utilisation du VPO a été
abandonnée depuis longtemps aux États-Unis et remplacée par le VPI pour
des raisons de sécurité.

2. Le tétanos n’est pas une maladie contagieuse, mais plutôt une maladie contractée par la contamination d’une plaie profonde par des spores de C. tetani. Vacciner
contre le tétanos (avec le vaccin combiné DCaT) ne peut pas modifier la
sécurité des espaces publics. Ce vaccin est uniquement destiné à la
protection personnelle.

3. S’il est conçu pour prévenir les effets pathogènes de la toxine diphtérique, le vaccin à base d’anatoxine diphtérique (également inclus dans le vaccin DCaT) n’est pas conçu pour prévenir la transmission de C. diphtheriae ni la colonisation de l’hôte. La
vaccination contre la diphtérie ne peut altérer la sécurité des espaces
publics. Ce vaccin est lui aussi uniquement destiné à la protection
personnelle.

4. Le vaccin acellulaire contre la
coqueluche (le dernier élément du vaccin combiné DCaT), actuellement
utilisé aux États-Unis, a remplacé le vaccin anticoquelucheux à germes
entiers à la fin des années 1990. Il s’en est suivi une recrudescence
sans précédent de la coqueluche. Une expérience chez des primates
infectés délibérément par la coqueluche a par ailleurs révélé que le
vaccin acellulaire contre la coqueluche ne peut pas prévenir la
transmission de B. pertussis [l’agent de la coqueluche] ni la
colonisation de l’hôte. La FDA a publié un avertissement concernant
cette découverte cruciale [1].

En outre, la réunion en 2013 du Comité
des conseillers scientifiques du CDC a révélé d’autres données
alarmantes selon lesquelles les variants de la coqueluche
(souches n’exprimant pas la pertactine) actuellement en circulation aux
États-Unis ont acquis un avantage sélectif et infectent ceux qui sont à
jour de leurs rappels de DCaT
. Cela signifie que les personnes qui sont à jour sont plus susceptibles d’être infectées, et donc d’être contagieuses, que les personnes qui ne sont pas vaccinées.

5. Parmi les nombreux types d’H. Influenzae,
le vaccin Hib ne protège que contre le type b. Alors que l’introduction
du vaccin contre l’Hib avait uniquement pour but de réduire le portage
symptomatique et asymptomatique (sans symptômes de la maladie), cette mesure a involontairement eu pour effet de rendre d’autres souches d’H. influenzae dominantes (les types a à f).
En cette ère de vaccination des enfants contre l’Hib, ces autres types
ont provoqué une maladie invasive très grave et une incidence croissante
de celle-ci chez les adultes (voir le point 4 de l’annexe pour l’étude
scientifique). La population en général est plus vulnérable à cette
maladie invasive qu’avant le début de cette campagne de vaccination.
Discriminer les enfants qui ne sont pas vaccinés contre l’H. influenzae de type b n’a aucun sens d’un point de vue scientifique à une époque où ce sont d’autres souches de la maladie qui dominent.

6. L’hépatite B est un virus transmissible par le sang. Il
ne se propage pas dans un cadre communautaire, en particulier chez les
enfants qui ont peu de chances de se livrer à des comportements à haut
risque, tels que le partage de seringues ou les rapports sexuels. La
vaccination des enfants contre l’hépatite B ne peut avoir d’impact
significatif sur la sécurité des espaces publics. De plus, l’admission à
l’école n’est pas interdite pour les enfants porteurs de l’hépatite B
chronique. Interdire l’admission à l’école de ceux qui ne sont tout
simplement pas vaccinés – et ne sont même pas porteurs de l’hépatite B –
constituerait une discrimination déraisonnable et illogique.

En résumé, une personne qui n’a pas reçu les vaccins VPI, DCaT, Hib et HepB
pour des raisons de conscience ne présente pas plus de danger pour le
public qu’une personne qui a reçu ces vaccins. Aucune discrimination
n’est justifiée.

À quelle fréquence les événements indésirables graves liés aux vaccins se produisent-ils?

On dit souvent que la vaccination entraîne rarement des effets indésirables graves.

Malheureusement, cette affirmation n’est pas étayée par la science.

Une étude récente réalisée en Ontario, au Canada, a montré qu’en réalité la vaccination
conduisait à une visite à la salle d’urgence de 1 enfant sur 168 après
leur rendez-vous pour la vaccination à 12 mois, et de 1 enfant sur 730
après leur rendez-vous pour la vaccination à 18 mois
(voir le point 5 de l’annexe pour une étude scientifique).

Lorsque le risque d’effets indésirables
est manifestement si élevé après la vaccination d’un enfant en bonne
santé et nécessite une visite à l’urgence, la vaccination doit demeurer
un choix pour les parents. Ceux-ci peuvent bien entendu ne pas vouloir
assumer ce risque immédiat afin de protéger leurs enfants de maladies
généralement considérées comme bénignes ou auxquelles leurs enfants
pourraient ne jamais être exposés.

La discrimination à l’encontre
des familles opposées aux vaccins pour des raisons de conscience
peut-elle prévenir de futures épidémies de maladies virales, telles que
la rougeole?

Les scientifiques qui font de la
recherche sur la rougeole sont conscients depuis longtemps du « paradoxe
de la rougeole ». Je cite un article de Poland & Jacobson (1994),
« Impossibilité de parvenir à l’élimination de la rougeole : le
paradoxe apparent des infections rougeoleuses chez les personnes
immunisées
 ». Arch Intern Med 154: 1815-1820 :

« Le paradoxe apparent est que
lorsque les taux d’immunisation contre la rougeole atteignent des
niveaux élevés dans une population, la rougeole devient une maladie des
personnes immunisées
[2]. »

Des recherches ultérieures ont montré que
derrière le « paradoxe de la rougeole » se trouve une fraction de la
population ayant ce que l’on appelle une FAIBLE RÉPONSE VACCINALE. Les
personnes ayant une faible réponse au vaccin sont celles qui répondent
mal à la première dose du vaccin contre la rougeole. Ces personnes
développent alors une faible réponse immunitaire à la vaccination
suivante et retournent rapidement dans la réserve de « sujets
sensibles » dans un délai de 2 à 5 ans, bien qu’elles soient
complètement vaccinées [3].

La revaccination ne peut corriger cette
faible réactivité : il semble qu’une prédisposition immunogénétique soit
en cause [4]. Aux États-Unis, on a estimé que 4,7 % des enfants avaient
une faible réponse au vaccin [5].

Des études sur les épidémies de rougeole au Québec, au Canada et en Chine confirment que des épidémies de rougeole se produisent encore, même lorsque les taux de vaccination sont parmi les plus élevés (de
95 à 97 % ou même de 99 %, voir les points 6 et 7 de l’annexe pour les
études scientifiques). En effet, même chez les patients qui répondent
bien au vaccin, les anticorps induits par le vaccin diminuent avec le
temps. L’immunité vaccinale n’équivaut pas à une immunité permanente
acquise après une exposition naturelle.

Il a été prouvé que les personnes
vaccinées qui développent une rougeole à un stade avancé sont
contagieuses. En fait, deux épidémies majeures de rougeole en 2011 (au
Québec, au Canada, et à New York, dans l’État de New York) ont été
réimportées par des personnes précédemment vaccinées [6] [7].

L’ensemble de ces données montre
clairement que l’élimination des exemptions de vaccins, auxquelles
seulement un petit pourcentage de familles ont recours, ne résoudra pas
le problème de la résurgence de la maladie et n’empêchera pas non plus
la réimportation et les éclosions de maladies précédemment éliminées.

La discrimination à l’encontre
de ceux qui s’objectent à la vaccination pour des raisons de conscience
est-elle la seule solution pratique?

La majorité des cas de rougeole déclarés
lors des éclosions récentes aux États-Unis (y compris la récente
épidémie à Disneyland) touche des adultes et de très jeunes bébés, alors
qu’avant l’introduction de la vaccination, la rougeole touchait
principalement des personnes âgées de 1 à 15 ans.

L’exposition naturelle au virus de la
rougeole a résulté en une immunité permanente contre la réinfection,
alors que l’immunité vaccinale s’estompe avec le temps, laissant les
adultes non protégés par les vaccins de leur enfance. La rougeole est
plus dangereuse pour les nourrissons et les adultes que pour les enfants
d’âge scolaire.

Malgré les risques élevés d’exposition
avant l’introduction de la vaccination, la rougeole n’affectait
pratiquement jamais les bébés de moins d’un an en raison du mécanisme
robuste de transfert de l’immunité maternelle.

La vulnérabilité actuelle des très
jeunes bébés à la rougeole est le résultat direct de la longue campagne
de vaccination de masse du passé
. Au cours de celle-ci, leurs mères,
elles-mêmes vaccinées dans leur enfance, n’ont pas été en mesure de
contracter la rougeole naturellement et sans danger à un âge scolaire,
et de produire une immunité à vie, laquelle aurait été transférée à
leurs bébés et les aurait protégés de la rougeole durant leur première
année de vie.

Heureusement, une solution thérapeutique
existe pour imiter l’immunité maternelle aujourd’hui affaiblie. Les
nourrissons, ainsi que d’autres personnes vulnérables ou
immunodéprimées, peuvent recevoir de l’immunoglobuline, un
traitement qui peut sauver des vies en fournissant des anticorps contre
le virus et permettant de prévenir la maladie ou d’améliorer l’état de
santé suivant l’exposition à celle-ci
(voir l’annexe, point 8).

En résumé :

1) en raison des propriétés des vaccins
modernes, les individus non vaccinés ne présentent pas plus de risque
que les individus vaccinés dans la transmission de la poliomyélite, de
la diphtérie, de la coqueluche et de nombreuses souches d’H. influenzae
autres que le type b; les individus non vaccinés ne posent pratiquement
aucun danger de transmission de l’hépatite B en milieu scolaire et le
tétanos n’est pas du tout transmissible;

2) il existe un risque considérablement
élevé de visite à la salle d’urgence suivant les rendez-vous de
vaccination infantile, ce qui démontre que la vaccination n’est pas sans
risques;

3) les épidémies de rougeole ne peuvent pas être entièrement évitées même si le taux d’immunisation est presque optimal; et

4) l’immunoglobuline est une méthode
efficace de prévention de la rougeole et d’autres maladies virales chez
les personnes immunodéprimée et les nourrissons qui ne peuvent pas être
vaccinés. Ce traitement est disponible pour les personnes susceptibles
d’être exposées à ces maladies.

Ces quatre faits pris ensemble montrent
clairement que dans une école publique, la discrimination à l’encontre
des enfants qui ne sont pas vaccinés pour des raisons de conscience est
totalement injustifiée, car leur statut vaccinal ne présente aucun
risque excessif pour la collectivité.

Cordialement,

~ Docteure Tetyana Obukhanych

Tetyana Obukhanych a
obtenu son doctorat en immunologie à la Rockefeller University, à New
York, dans l’État de New York, avec son mémoire de recherche sur la
mémoire immunologique. Elle a ensuite été impliquée dans la recherche en
laboratoire en tant que chercheuse postdoctorale à la Harvard Medical
School et à la faculté de médecine de l’Université Stanford, avant de se
consacrer pleinement à la parentalité naturelle.

(Source originale: legislature.vermont.gov  – Témoignage devant le Comité sénatorial sur la Santé et le Bien-Être social mercredi, le 22 avril 2015 H.98 – documents publics.)

Note de l’éditeur de Health Impact News, source de la traduction : Cet article a été légèrement modifié pour refléter le texte de la lettre soumise à l’assemblée générale du Vermont, le 22 avril 2015. Ce témoignage fait partie des documents du Comité sénatorial sur la Santé et le Bien-Être social du Vermont. Il est accessible au public ici et ici.)

MISE À JOUR : Les liens ci-dessus sur le site Web du gouvernement du Vermont ne fonctionnent plus. Voici une copie.


Annexe

Point 1 : The Cuba IPV Study
collaborative group. Randomized controlled trial of inactivated
poliovirus vaccine in Cuba. N Engl J Med. 2007 356:1536-44.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17429085

Le tableau ci-dessous, issu de l’étude
cubaine sur le VPI, montre que 91 % des enfants n’ayant pas reçu le
vaccin VPI (groupe témoin B) ont été colonisés par un poliovirus vivant
atténué lors d’une inoculation volontaire et expérimentale. Les enfants
vaccinés avec le VPI (groupes A et C) ont été colonisés de la même
manière à un taux de 94 % à 97 %. Un grand nombre de virus vivants ont
été retrouvés dans les selles des enfants de tous les groupes. Ces
résultats montrent clairement que l’on ne peut pas compter sur le VPI
pour lutter contre les poliovirus.

obukhanych-pic1

Point 2 : Warfel et al.
Acellular pertussis vaccines protect against disease but fail to prevent
infection and transmission in a nonhuman primate model. Proc Natl Acad
Sci USA. 2014 111:787-92.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24277828

« Les babouins vaccinés avec l’aC [le
vaccin acellulaire contre la coqueluche] étaient protégés contre les
symptômes graves associés à la coqueluche mais pas contre la
colonisation, n’éliminaient pas l’infection plus rapidement que les
animaux naïfs [non vaccinés] et transmettaient facilement B. pertussis [l’agent
de la coqueluche] à des contacts non vaccinés. En comparaison, les
animaux précédemment infectés [naturellement immunisés] n’étaient pas
colonisés lors d’une infection secondaire. »

Point 3 : Meeting of the Board of
Scientific Counselors, Office of Infectious Diseases, Centers for
Disease Control and Prevention, Tom Harkins Global Communication Center,
Atlanta (Géorgie), 11-12 décembre 2013.

http://www.cdc.gov/maso/facm/pdfs/BSCOID/201312111112_BSCOID_Minutes.pdf

Résurgence de la coqueluche (p.6)

« Les résultats ont révélé que 85 % des
isolats [provenant de six Sites de surveillance renforcée de la
coqueluche et des épidémies à Washington au Vermont en 2012]
n’exprimaient pas la PRN [pertactine, protéine de B. pertussis]
et que les patients vaccinés étaient beaucoup plus susceptibles d’être
infectés par des souches n’exprimant pas la PRN que les patients non
vaccinés. En outre, lorsque l’on compare les patients non vaccinés aux
patients vaccinés avec le DCaT et ayant reçu toutes les doses requises,
les risques d’infection par des souches n’exprimant pas la PRN
augmentent chez ces derniers, ce qui suggère que la bactérie exprimant
la PRN peut acquérir un avantage sélectif en infectant les personnes
vaccinées avec le DCaT. »

Point 4 : Rubach et al. Increasing incidence of invasive Haemophilus influenzae disease in adults, Utah, USA. Emerg Infect Dis. 2011 17:1645-50.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21888789

Le graphique ci-dessous de Rubach et al. montre le nombre de cas d’infection invasive à H. influenzae (tous types confondus) dans l’Utah au cours d’une décennie de vaccination infantile contre l’Hib.

obukhanych-pic2

Point 5 : Wilson et al. Adverse
events following 12 and 18 month vaccinations: a population-based,
self-controlled case series analysis. PLoS One. 2011 6:e27897.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22174753

« Quatre à 12 jours après la vaccination à
12 mois, on notait une augmentation de l’incidence relative d’un
critère composite de 1,33 (1,29-1,38) par rapport à la période de
contrôle, ou d’au moins un événement au cours de l’intervalle du  
risque pour 168 enfants vaccinés. Dix à 12 jours après la vaccination à
18 mois, l’incidence relative était de 1,25 (95 %, 1,17-1,33), ce qui
représentait au moins un événement excédentaire pour 730 enfants
vaccinés. La hausse du nombre d’événements était due principalement à
une augmentation statistiquement significative des visites à la salle
d’urgence après toutes les vaccinations. »

Point 6 : De Serres et al.
Largest measles epidemic in North America in a decade–Quebec, Canada,
2011: contribution of susceptibility, serendipity, and superspreading
events. J Infect Dis. 2013 207:990-98.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23264672

« La plus importante épidémie de rougeole
en Amérique du Nord au cours de la dernière décennie s’est produite en
2011 au Québec, au Canada. »

« Un événement de « superpropagation » déclenché par 1 importation a entraîné une transmission soutenue et 678 cas. »

« Le patient de référence était un adulte
âgé entre 30 et 39 ans, revenant des Caraïbes. Il avait reçu le vaccin
contre la rougeole dans son enfance. »

« Les enquêtes provinciales [québécoises]
sur la couverture vaccinale menées en 2006, 2008 et 2010 ont
systématiquement démontré que, dès l’âge de 24 mois, environ 96 % des
enfants avaient reçu 1 dose du vaccin contre la rougeole et environ 85 %
d’entre eux avaient reçu 2 doses, ces pourcentages passant
respectivement à 97 % et 90 % à 28 mois. En ajoutant les premières et
deuxièmes doses supplémentaires administrées entre 28 et 59 mois, la
couverture vaccinale de la population contre la rougeole était encore
plus élevée au moment de l’entrée à l’école. »

« Chez les adolescents, 22 % [des jeunes
infectés par la rougeole] avaient reçu 2 doses de vaccin. L’enquête sur
l’éclosion a montré que cette proportion avait été sous-estimée, puisque
la recherche active de cas a permis d’identifier 130 fois plus de cas
parmi ceux qui avaient reçu 2 doses. »

Point 7 : Wang et al.
Difficulties in eliminating measles and controlling rubella and mumps: a
cross-sectional study of a first measles and rubella vaccination and a
second measles, mumps, and rubella vaccination. PLoS One. 2014 9:e89361.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24586717

« La couverture vaccinale contre la
rougeole, les oreillons et la rubéole (RRO) est supérieure à 99,0 % dans
la province de Zhejiang. Toutefois, l’incidence de la rougeole, des
oreillons et de la rubéole demeure élevée. »

Point 8 : Immunoglobulin Handbook, Health Protection Agency.

http://webarchive.nationalarchives.gov.uk/20140714084352/http://www.hpa.org.uk/webc/HPAwebFile/HPAweb_C/1242198450982

IMMUNOGLOBULINE HUMAINE NORMALE :

Indications :

  1. Prévenir ou réduire l’infection chez des contacts immunodéprimés
  2. Prévenir ou réduire l’infection chez la femme enceinte
  3. Prévenir ou réduire l’infection chez les nourrissons de moins de 9 mois

Traduction : Tribunal de l’infaux

Notes de bas de page

1. http://www.fda.gov/NewsEvents/Newsroom/PressAnnouncements/ucm376937.htm

(Modifié pour ajouter : la FDA a apparemment retiré le lien ci-dessus, mais le contenu est archivé ici :

https://web.archive.org/web/20131130004447/https://www.fda.gov/NewsEvents/Newsroom/PressAnnouncements /ucm376937.htm )

2. http://archinte.jamanetwork.com/article.aspx?articleid=619215

3. Poland. Am J Hum Genet. 1998 62:215-220.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9463343

« […] les « faibles répondeurs » qui ont
été réimmunisés et ont développé une faible réponse des anticorps ou un
faible taux d’anticorps, pour ensuite perdre ces anticorps détectables
et développer la rougeole 2 à 5 ans plus tard. »

4. ibid.

« Nos études en cours suggèrent que la
séronégativité après la vaccination [contre la rougeole] se retrouve
chez les membres de la famille rapprochée et que les polymorphismes
génétiques dans les [gènes] HLA influencent de manière significative les
taux d’anticorps […] »

5. LeBaron et al. Arch Pediatr Adolesc Med. 2007 161: 294-301.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17339511

« Les titres ont chuté de manière
significative avec le temps [après la deuxième dose de RRO] pour
l’ensemble de la population étudiée et, lors de la collecte finale,
4,7 % des enfants étaient potentiellement vulnérables. »

6. De Serres et al. J Infect Dis. 2013 207:990-998.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23264672

« Le patient de référence a reçu le vaccin contre la rougeole dans son enfance. »

7.  Rosen et al. Clin Infect Dis. 2014 58:1205-1210.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24585562

« Le patient de référence avait reçu 2 doses de vaccin contenant le virus de la rougeole. »




1968-2018 : la descente aux enfers !

[Source : Les moutons enragés]

1968-2018 : la descente aux enfers !

Auteur : Claude Janvier

La crise sociale des Gilets Jaunes permet d’analyser ce qui s’est réellement passé depuis un peu plus de 50 ans. Les quelques miettes de droits acquis sont de plus en plus enfouies sous une dictature policière mondialiste. 

Les manifestations des Gilets Jaunes réprimées violemment depuis le début, illustrent mes propos ci-dessus. Pour preuve : au moins 10 morts sur des sites occupés par les Gilets Jaunes, 12 yeux crevés, 3 mains arrachés. En tout, 2891 blessés.

Au-delà des exagérations journalistiques qui rabâchent sans cesse que les Gilets Jaunes sont violents, il n’en est rien. Les quelques casseurs infiltrés n’entrent pas dans ce débat, ainsi que les quelques débordements. Si les 200 000 manifestants dans les rues lors de l’acte IV avaient été vraiment violents, le coup d’état aurait déjà eu lieu et l’armée serait depuis sur le pied de guerre. C’est peut-être pour ça que Macron vient d’accorder une prime exceptionnelle aux généraux. Armée bien payée, sécurité renforcée et soulèvement annihilé .  *1

Castaner et quelques procureurs ont beau aboyer que la France est dans un climat insurrectionnel, il n’en est rien. Mais il faut bien justifier l’emploi des armes de guerre, des chars remplis de poudre incapacitante et des milices plus ou moins privées. Excellente excuse aussi pour dédouaner les violences policières de plus en plus nombreuses. Le permis de mutiler et de tuer est open.

Revenons à la descente aux enfers depuis 68. En fait, la dégringolade commence bien avant, au moment où les plans mondialistes ont été mis en place. Impossible dans un court billet de tout exposer, mais dans les grandes lignes, on peut élaborer une synthèse.

À l’ouest la main mise américaine en Europe commence en 1917. Coïncidence ou pas, la révolution bolchevique démarre la même année.

24 octobre 1945, création de l’ONU. Grande base de la mondialisation. L’ONU est là pour garantir la paix dans le monde. Vu le nombre de conflits depuis sa création, elle a échoué. Mais elle permet d’étendre et de dicter la loi des pays industrialisés vers le reste du monde.

Création de l’OMS 7 avril 1948. Sous couvert d’actions humanitaires, pas mal de scandales. Les vaccins en sont un exemple *2 et *3 (Roselyne Bachelot et le H1N1)

Parallèlement, l’AAP (Association Américaine de Psychiatrie, fondée en 1844), explose en budget et en expérimentation diabolique depuis 1945.

Extrait de Wikipédia :  » La lobotomie connaît son essor après la Seconde Guerre mondiale, notamment avec l’invention américaine de Walter Freeman : le pic à glace. On estime que quelque 100 000 patients furent lobotomisés dans le monde entre 1945 et 1954 dont la moitié aux États-Unis. Freeman parcourt les États-Unis dans les années 1950 dans un autocar équipé pour pratiquer des lobotomies « en série », enfonçant ce pic à glace dans le lobe orbitaire des patients après avoir soulevé la paupière (lobotomie trans-orbitale), moyennant parfois une anesthésie locale. Cette pratique, le plus souvent combinée à des électrochocs, a alors un grand succès (grand mouvement de « l’hygiène mentale ») et on estime que Freeman à lui seul lobotomisa quelque 2 500 patients (ou 4 000 patients selon l’article « Lobotomie »).

On cauchemarde. Comment peut-on faire confiance encore aujourd’hui à une pseudo-science qui continue à pratiquer des électrochocs ? Pardon, le terme est plus chic aujourd’hui : l’électrochoc est devenu sismothérapie. Une petite sismo ma chère ? Un électro chic ?

Et pourtant, la psychiatrie et la psychologie ont envahi notre quotidien. Pire que la gangrène. Si vous cherchez qui est responsable du déclin culturel de notre civilisation, vous avez une partie majeure de la réponse. D’œuvres d’art hideuses achetées à prix d’or par nos institutions en passant par le groupe « musical » invité par Macron le 21 juin dernier à l’Elysée conforteront cette déduction. *4 (Jamais entendu quelque chose d’aussi nul et de mauvais goût. Un spectacle dégradé, autorisé, et voulu par le maître des lieux)

Le ministère de l’Éducation nationale n’est pas en reste. Il est totalement anéanti par les Psychs. Pour preuve, le niveau catastrophique des élèves aujourd’hui. Le niveau d’éducation est complètement à la ramasse. Pas étonnant que bon nombre de jeunes soient paumés et incapables de travailler correctement.

En résumé, nous avons la main mise américaine et européenne sur le monde entier. La grande finance internationale (Rothschild, Rockefeller, Morgan Sachs, Georges Soros, Bill Gates), les géants de la chimie (Monsanto, Syngenta), les géants agro-alimentaires (Nestlé, Associated British Foods PLC, Coca-Cola, Danone, Général Mills), les laboratoires pharmaceutiques (Bayer, Hoechst), les ventes d’armes (Palmarès dans l’ordre : USA, Russie, France, Allemagne et Chine), les pétroliers (ExxonMobil, BP, Total), les services secrets et une immigration massive incontrôlée et déstabilisante. (Une immigration bien faite est nécessaire. Pas le pacte de Marrakech que Macron vient de signer *5)

Revenons aux évènements de 1968 :
Les prémices du mouvement de contestation ont effectivement eu lieu le 22 mars 1968, à l’issue d’une assemblée générale emmenée par Daniel Cohn-Bendit à la faculté de Nanterre. (Bien rangé et riche le lascar. Mais pas blanc-bleu).
Ces événements, enclenchés par une révolte de la jeunesse étudiante à Paris, puis gagnant le monde ouvrier  par le biais des syndicats sur une grande partie du territoire, constituent le deuxième plus important mouvement social de l’histoire de France du XXe siècle. (le plus important mouvement social étant celui de 1936)

À l’aube du 21eme siècle le mouvement social des Gilets Jaunes dépasse le mouvement de mai 68. Aura-t-il gain de cause ? Je l’espère.

Paradoxalement, la crise de mai-juin 1968 survient au terme d’une décennie de prospérité inégalée. Sur le plan économique, c’est l’apogée des « Trente Glorieuses », avec un taux de croissance stable de l’ordre de 5  %.

Chiffres de 1968 :
– nombreuses fermetures d’usines dans le textile, la mécanique, la métallurgie
– entre 470 000 et 500 000 demandeurs d’emploi
– cinq millions de personnes sous le seuil de pauvreté
– deux millions de personnes perçoivent des salaires de l’ordre de 400 ou 500 francs par mois.
– Bidonvilles à Nanterre

Chiffres de 2018 :
– Les bidonvilles n’existent plus, mais les SDFs s’entassent sous les ponts. 14,628 millions de personnes touchées par la crise du logement selon la fondation Abbé Pierre *6
– la plupart des usines importantes ont fermé et ou sont délocalisés.
– 3,718 millions de demandeurs d’emploi
– 8,8 millions de pauvres

Pourtant, 68 a débouché sur une augmentation de 35 % du SMIG à 600 francs par mois et de 10 % d’augmentation des salaires. (entre autres)

Cherchez l’erreur. Incompétence des gouvernements depuis 68 ? Incontestablement car la situation s’est considérablement dégradée.

Un vernis social bobo inventé depuis Mitterrand a donné l’impression que le SMICARD était plus heureux. Il n’en est rien.

Les bobos ont brouillé les pistes en changeant les appellations et en nous assommant de taxes indirectes. Ils ont donné l’impression de prendre en considération la France d’en bas. Ça fait plus chic d’appeler sa femme de ménage une technicienne de surface. L’éboueur a eu droit à son terme ronflant : un agent de propreté urbaine et caissière des supermarchés est devenu hôtesse de caisse … Tout ce cirque est à vomir, car la paye et les conditions de travail ont peu évolué. Nombreux CDDs et cadences infernales dans les grandes surfaces….

La loi de 1973, dite « loi Rothschild », du nom de la banque dont était issu l’ancien président de la République, Georges Pompidou, a bien enfoncé le clou. Depuis l’État, passe par le système des banques privées  pour financer son endettement et surtout il n’est plus maître de sa monnaie. Mais au fait Emmanuel Macron, est lui aussi, issu de la banque Rothschild… Voyez-vous le lien ?

Dégringolade masquée mais réelle depuis 68. La mondialisation voulue par une poignée de milliardaires sordides et criminels est de plus en plus omniprésente.

En 1995, l’OMC a vu le jour. Inconnue du grand public, l’Organisation Mondiale du Commerce a été créée dans le but d’étendre l’hégémonie économique des USA en Europe. [Note du Nouveau Monde : l’ancêtre de l’OMC était le GATT, créé en 1947 et entré en vigueur en 1948]. Le TAFTA (Traité Transatlantique) est toujours dans les tuyaux. Le CETA est déjà en vigueur et c’est un désastre, sauf pour les USA of course. *7

Les mondialistes ont avancé leurs pions soigneusement. La seule inconnue reste le facteur humain. Ils ne pouvaient pas prévoir que les gueux se réveilleraient. Le pion Macron va sauter ou alors la situation va se durcir encore plus. Nous avons déjà un état policier, avec tout juste le droit de s’exprimer. (pour combien de temps encore ?)

Bruxelles à la botte des USA est un rouleau compresseur. Aidé du Gladio de l’OTAN *8, de l’Eurogendfor *9, et des milices privées (Benalla and cie) , les heures les plus sombres de l’histoire risquent de nous envahir de nouveau. D’ailleurs, Edouard Philippe annonce un durcissement de la répression. *10

Face à cette dictature mondiale, un seul adage à appliquer pour nous et nos générations futures :
« Pire que les bruits de bottes, le silence des pantoufles ».

Claude Janvier

*1 http://www.fawkes-news.com/2019/01/le-gouvernement-octroie-une-prime.html

*2 https://www.alterinfo.net/L-OMS-avance-en-secret-pour-mener-a-bien-son-projet-de-vaccination-obligatoire-et-son-programme-demographique_a34965.html

*3 https://www.jp-petit.org/Presse/curseur/enquete_sur_OMS.htm

*4 https://www.youtube.com/watch?v=r8TxKhqY2vM

*5 https://fr.sputniknews.com/international/201812191039364411-pacte-marrakech-information-cachee/

*6 https://www.francebleu.fr/infos/societe/le-nombre-de-sdf-augmente-de-50-en-10-ans-denonce-la-fondation-abbe-pierre-1485854307

*7 https://www.huffingtonpost.fr/jose-bove/nationalisme-ceta-canada_a_21714673/

*8 http://www.alterinfo.net/Reseau-terroriste-de-l-OTAN-La-liaison-djihadistes-et-une-operation-Gladio-2-0-se-confirme_a109934.html

*9 https://lesobservateurs.ch/2014/11/21/arriva-eurogendfor-gestapo-al-soldo-dei-burocrati-di-bruxelles-prove-di-dittatura-ue/

*10 http://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/gilets-jaunes-philippe-au-20h-de-tf1-pour-des-annonces-dordre-public-face-aux-violences/ar-BBRV9Xz?li=BBoJIji&ocid=hpdhp




Dossier Climat

Divers articles du blogue relatifs au climat ont été compilés sous forme d’un nouveau dossier ajouté au menu.

Comme pour les autres dossiers, des liens utiles figurent en fin de page.


Note concernant les dossiers du blogue

Les dossiers traités dans le blogue (sur les Vaccins, la 5G, les implants RFID…) ne proposent pas d’articles qui présentent la version officielle déjà largement diffusée dans les médias dominants (ou « mainstream »). Cette version officielle des défenseurs du Système se réfugie souvent derrière le politiquement correct, le bien-pensant, la pensée unique ou la science matérialiste biaisée par les intérêts politico-financiers. Elle tend à traiter de « complotistes » ceux qui la remettent en question ou qui proposent des points de vue alternatifs, même lorsque ces derniers sont basés sur des faits directement observés dans l’entourage immédiat ou sur l’expérience personnelle (notamment en ce qui concerne les vaccins et les effets des ondes pulsées) ou même lorsqu’ils sont appuyés sur un grand nombre d’études et de recherches indépendantes.




Crime vaccinal – Ils accusent un Prix Nobel de mauvaise science !

[Source : Stop Mensonges]

Comment le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine, est-il devenu
l’Ennemi Public N°1 en France ? C’est ce qu’explique l’article que je
vous fais suivre.

Il a été écrit par Pierre Lance, dont j’aime beaucoup le style.

Régalez-vous !

Eric Müller

PS : Cet article vient de la revue Alternatif Bien-Être et était au départ réservé à ses abonnés. Mais le sujet est tellement important que son rédacteur en chef a décidé de le rendre public. N’hésitez donc pas à le transférer à votre entourage.


LUC MONTAGNIER : L’HOMME À ABATTRE ! par Pierre Lance

Comme tous les gens bien informés le
savent, le complexe pharmaco-industriel mondial (que j’ai surnommé dans
mes ouvrages « le tyrannosaure ») est une véritable mafia qui a mis
toute l’humanité en coupe réglée et qui fait la pluie et le beau temps
au sein de toutes les «Autorités de santé» de dizaines de nations
réputées indépendantes.

Or, en ce qui concerne la santé, ou plus exactement la maladie, aucun
État n’est véritablement libre de ses choix, car la grande majorité de
ses «experts» sont en conflit d’intérêts avec les grands laboratoires,
dont ils sont salariés ou actionnaires. Aussi est-il de plus en plus
urgent que les démocraties, à commencer par la France, veillent à ce que
les décideurs des divers organismes de santé soient totalement
indépendants de l’industrie pharmaceutique, faute de quoi il n’existera
bientôt plus aucune liberté du citoyen en ce qui concerne sa santé et
celle de sa famille. Sous prétexte de le «protéger», des décisions
bafouant délibérément ses droits les plus élémentaires lui seront
imposées.

Un prix Nobel face au tyrannosaure

L’une des plus grandes victoires (que
j’espère provisoire) du « tyrannosaure » a été remportée récemment en
France et en Italie par l’obligation de 11 vaccins infligés à nos bébés,
alors que rien ne pouvait justifier une telle mesure, qui est une
atteinte caractérisée à nos droits constitutionnels. Faut-il que le «
tyrannosaure » soit puissant pour qu’il soit parvenu à circonvenir le
Président Emmanuel Macron, qui fut pourtant élu dans le but de réformer
et fortifier la démocratie française. Toutefois, la guerre des vaccins
n’est pas terminée, et l’on voit de nombreux David saisir leur fronde
afin de terrasser le monstrueux Goliath, empereur des seringues.

Le Pr Luc Montagnier lors d’un congrès à Lindau, en Allemagne

Parmi ces David figure désormais le Professeur Luc Montagnier, Prix
Nobel de physiologie ou médecine, ancien professeur émérite à l’Institut
Pasteur, directeur émérite de recherche au CNRS, ancien professeur à
l’Université de New-York et membre des Académies des sciences et de
médecine. Mais Luc Montagnier étant un esprit libre, qui a toujours
refusé de se plier aux ukases des mandarins conformistes, il a poursuivi
de nombreuses recherches personnelles en sortant des sentiers battus,
ce qui lui a valu de féroces inimitiés. D’autant qu’il a pris fait et
cause pour deux de mes « savants maudits », Mirko Beljanki et Jacques
Benveniste.

Il a même annoncé en 2010 qu’il fuyait le «climat de terreur
intellectuelle» qui sévit en France et il a pris la direction d’un
institut de recherche à l’Université Jiaotong de Shangaï. Mais c’est en
novembre 2017 qu’il a mis le comble à la fureur du « tyrannosaure » en
alertant l’opinion sur les risques liés aux vaccins et en prenant
nettement position, en compagnie du Pr Henri Joyeux, chirurgien
cancérologue, contre la nouvelle loi infligeant aux nouveau-nés 11
vaccins obligatoires.

La presse complice

Dès lors, Luc Montagnier est devenu le
nouvel « homme à abattre » et la mafia médico-pharmaceutique a mobilisé
le ban et l’arrière-ban des mercenaires de la presse conformiste pour
tenter de discréditer Luc Montagnier dans l’opinion publique. La
dernière en date des attaques en règle contre ce grand scientifique est
parue dans « Le Point » (N° 2386 – 24 mai 2018). J’avoue que, jusqu’ici,
je considérais « Le Point » comme un journal sérieux. Depuis ce 24 mai,
il a beaucoup baissé dans mon estime, car il a ouvert ses colonnes à un
article qui déshonore les journalistes qui l’ont commis.

Sous le titre « Mais qu’arrive-t-il au Pr Montagnier ?», deux
folliculaires nommés Thomas Mahler et Violaine de Montclos, à
l’évidence dûment chapitrés par le « tyrannosaure », et dont les
connaissances médicales doivent être proches de zéro, se sont permis
d’aligner un ramassis de moqueries, de rumeurs, de ragots assaisonnés
par une pétition « anti-Montagnier » signée à l’aveuglette par les
moutons de Panurge du corps médical. Les rédacteurs de ce galimatias
nous disent, dès les premières lignes, avoir assisté à la conférence
Montagnier/Joyeux, qu’ils nous présentent ainsi : « Sur la scène du Théâtre Michel, ce 7 novembre 2017, deux personnages donnent (…) une drôle de farce. » 

Ainsi, d’entrée de jeu, le ton est donné : ces deux grands médecins
sont des farceurs, tenez-vous le pour dit. Et ils poursuivent : « Devant un public nombreux qui leur est tout acquis, que prophétisent les deux compères (sic) opposés tous les deux à la vaccination obligatoire ? Un « empoisonnement » général de la populationune «tempête de cytokines» dans le cerveau de nos enfants… (Je
précise que les cytokines sont des substances solubles de signalisation
cellulaire agissant à distance pour réguler l’activité et la fonction
d’autres cellules. Donc, Montagnier et Joyeux ont parfaitement raison :
Il est logique et probable qu’une injection massive de plusieurs vaccins
déclenche un « affolement » des cytokines aux conséquences
imprévisibles.) …et des « corrélations temporelles sérieuses » entre la mort subite du nourrisson et l’injection de vaccins avec adjuvants à base d’aluminium.»

Une interview truffée d’arrière-pensées…

Nos deux plumitifs ont tout de même été
rendre visite à leur victime avant de la flinguer sans sommation et nous
annoncent ainsi l’entrevue : «…Un Luc Montagnier on ne peut plus
sûr de lui nous reçoit dans les bureaux fantomatiques de sa Fondation
mondiale prévention et recherche sida, abritée par le siège parisien de
l’Unesco.» 
J’ignorais que des bureaux pouvaient être «
fantomatiques » et je constate que nos deux rédacteurs du « Point » ont
une approche de la langue française pour le moins approximative.

Ils nous parlent ensuite d’une pétition signée par « plus d’une centaine de membres des Académies des sciences et de médecine » et qui proclame : «
Nous ne pouvons accepter de l’un de nos confrères qu’il utilise son
prix Nobel pour diffuser, hors du champ de ses compétences, des messages
dangereux pour la santé, au mépris de l’éthique qui doit présider à la
science et à la médecine. » 

Or, je précise que l’Académie des sciences compte 262 membres et
l’Académie de médecine 290 (sans compter les membres étrangers). Soit au
total 552 membres, ce qui réduit les signataires de la pétition à la
proportion de moins d’un cinquième des académiciens. Je présume que tous
les autres, qui ont certainement été sollicités, ont refusé d’attaquer
un de leurs pairs sans raison crédible. Mais en outre, le texte de cette
pétition est totalement grotesque. D’abord parce qu’il est absurde de
prétendre que Luc Montagnier « utilise » son prix Nobel dans quelque but
que ce soit. Il est Prix Nobel, point barre, et ne peut avoir aucune
influence sur toutes les personnes qui jugent bon d’en faire état. Quant
aux ahuris qui ont signé ce torchon, on se demande de quel droit ils se
permettent d’interférer dans l’action d’un de leurs confrères qui dit
ce qu’il croit juste et qui parle en s’appuyant sur ses recherches et
ses connaissances, auxquelles ses censeurs n’ont pas accès.

Mais voici que nos deux rédacteurs téléguidés adoptent un autre angle d’attaque et nous disent : « Dans
les années 2000, déjà, il (Montagnier) repêche l’embarrassante théorie
de la mémoire de l’eau popularisée par Jacques Benveniste, que le
découvreur du sida voit comme un «Galilée des temps modernes». En 1988,
cet immunologiste de l’Inserm publiait une découverte qui, d’après Le
Monde, pouvait «bouleverser les fondements de la physique
 ». Après
les annonces sensationnalistes, l’expérience, non reproductible, fait
vite pschitt, et si les milieux complotistes et ésotériques les
encensent, les travaux de Benveniste sont balayés par la communauté
scientifique
. » Là, j’avoue que je reste pantois devant l’ignorance
crasse et la vanité redondante de nos deux gratte-papiers du «Point»,
qui, de toute évidence, n’ont pas la moindre idée de ce dont ils parlent
et se contentent de faire chorus avec tous les pense-petit, les
pisse-vinaigre et les va-d’la-gueule de la prétendue «communauté
scientifique».

Avoir raison ne donne pas bonne presse

Personnellement, je connais très bien
les travaux de Jacques Benveniste, dont les expériences étaient
parfaitement reproductibles (à condition évidemment qu’on veuille bien
se donner la peine d’essayer de les reproduire). Non seulement
Benveniste parvint à établir que l’eau conservait la trace de tout ce
qui la traversait, mais il réussit même à enregistrer ces traces et à
les transmettre par Internet à très longue distance. Seulement voilà,
comme ses travaux donnaient l’explication fondamentale de l’efficacité
de l’homéopathie malgré la disparition de toute substance matérielle (et
donc par un effet de « mémorisation »), il devenait aussitôt « l’homme à
abattre » pour le cartel de la pharmaco-chimie dont l’allopathie
demeure l’irremplaçable vache-à-lait. (Je rappelle que pas un médecin
homéopathe n’est membre de l’Académie de médecine, et que lorsque
celle-ci affecte de mépriser cette thérapie, dont l’efficacité a été
mille fois prouvée, elle se permet de juger une discipline qu’elle n’a
jamais étudiée et à laquelle ses membres ne connaissent rien).

Bref, Jacques Benveniste fut licencié de l’INSERM et privé de tout
soutien et de toute ressource jusqu’à ce que mort s’ensuive. Aussi
doit-on féliciter hautement Luc Montagnier d’avoir le courage de
réhabiliter Jacques Benveniste, car il devient ainsi lui-même la cible
privilégiée des mercenaires du « tyrannosaure ». Son nom vient donc
allonger la liste des excommuniés de l’Eglise du caducée, qui compte
déjà bien des scientifiques célèbres.

Nos deux frelons du «Point», se ridiculisant eux-mêmes sans s’en
rendre compte, ne se privent d’ailleurs pas d’en égratigner quelques-uns
au passage, faisant écho à une prétendue « maladie du Nobel »
diagnostiquée par un pourfendeur américain des « pseudo-sciences » (les
cloportes de la «communauté scientifique» nomment ainsi les sciences
qu’ils ne comprennent pas), notamment Linus Pauling, dont ils n’ont
évidemment pas lu le moindre texte, et qu’ils maltraitent sans vergogne
par ces lignes assassines : «Ainsi Linus Pauling, légende de la physique quantique et double Nobel, qui se fourvoya dans des travaux sur la vitamine C…». 

Or, non seulement Linus Pauling, génie incontestable, ne s’est
nullement fourvoyé, mais c’est grâce à ses expériences que le monde
entier connaît les vertus de la vitamine C (ou acide ascorbique),
substance indispensable aux performances de notre système immunitaire.
Toutefois, la vitamine C (présente dans tous les fruits et légumes et
principalement dans les agrumes) est affligée d’un inconvénient majeur :
elle ne coûte presque rien et ne peut permettre à aucun laboratoire de
faire fortune. C’est pourquoi les spadassins de la mafia pharmaceutique
entreprirent de ridiculiser Linus Pauling et y parvinrent pour une
grande part, grâce à la complicité de journalistes bigleux dont l’esprit
critique était tombé dans les chaussettes. (Toutefois, je suis obligé
de me demander si quelques enveloppes rebondies ne circulent pas dans
les salles de rédaction, afin d’encourager parfois la «bien-pensance».)

Je vous ferai grâce de toutes les autres balivernes qui émaillent ces
trois pages du «Point», dont le seul but est de jeter le discrédit sur
l’un de nos plus brillants chercheurs. On nous dit, et je trouve ça très
amusant, que certaines hypothèses médicales de Luc Montagnier sont «
très controversées ». Parbleu ! Comme si les travaux de tous les
pionniers qui s’aventurent dans les forêts vierges de la connaissance en
traçant leur propre chemin pouvaient ne pas être « controversés » par
la piétaille des conformistes et des médiocres qui ne savent circuler
que sur les autoroutes bien balisées du «scientifiquement correct».
Quoiqu’il en soit, Luc Montagnier et Henri Joyeux viennent d’adresser
une requête au Président Macron pour demander que soit inscrit dans la
Constitution le principe de précaution en matière de santé. Si cette
requête était satisfaite, l’obligation vaccinale généralisée aurait du
plomb dans l’aile, car le moins qu’on puisse dire est qu’elle foule aux
pieds toute précaution envers les enfants fragiles et nos libertés
essentielles du même coup.

Cela dit, je ne veux pas mettre en doute la bonne foi de M. Mahler et de Mme de Montclos, même s’ils se sont laissés trop aisément manipuler par quelques mandarins. Mais je me vois contraint de leur faire un reproche majeur : Leur conscience professionnelle de journalistes aurait dû les inciter, au minimum, à prendre connaissance de tous les arguments scientifiques et médicaux qui ont été développés par les médecins contestataires de l’obligation vaccinale, et notamment ceux du Dr Dominique Rueff, diplômé universitaire de cancérologie, publiée le 15 juillet 2017 (https://www.lettre-docteur-rueff.fr/vaccinations-obligatoires-jai-choisi-camp/).

Enfin je me permettrai d’inciter M. Sébastien Le Fol, directeur de la
rédaction du «Point» et M. Etienne Gernelle, directeur de publication,
dont j’apprécie grandement les éditoriaux, de bien vouloir rappeler à
leurs rédacteurs qu’ils ont un devoir d’objectivité et de loyauté et que
leur travail ne consiste pas à «servir la soupe» à quelque coterie que
ce soit ni à être des «snipers» médiatiques à la solde des ennemis
déclarés de l’un des plus éminents esprits libres de la science
française.

Pierre Lance

Pierre Lance est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages et notamment de la série Savants maudits, chercheurs exclus (4 tomes, 2002 à 2010 – Guy Trédaniel Editeur) qui regroupe les biographies résumées de 48 chercheurs de génie qui furent méconnus, occultés, voire persécutés par la « nomenklatura » scientifique et médicale.

[Voir aussi :




Cas de rougeole aux États-Unis: l’Association des médecins et chirurgiens américains (AAPS) s’oppose à l’obligation vaccinale imposée par le gouvernement fédéral

[Source : Conscience du peuple]

Cas de rougeole aux États-Unis: l’Association des médecins et chirurgiens américains (AAPS) s’oppose à l’obligation vaccinale imposée par le gouvernement fédéral: quelques citations de la déclaration envoyée au Comité sénatorial de la santé (29 février 2019) ÉTONNANTES DÉCLARATIONS À LIRE, À PARTAGER ET À CONSERVER…

« L’Association des médecins et chirurgiens américains (AAPS) s’oppose fermement à toute ingérence du gouvernement fédéral dans les décisions médicales, y compris les vaccins prescrits. Après avoir été pleinement informés des risques et des avantages d’une procédure médicale, les patients ont le droit de rejeter ou d’accepter cette procédure. La réglementation de la pratique médicale est une fonction de l’État et non pas du gouvernement fédéral. La préemption gouvernementale des décisions des patients ou des parents d’accepter des médicaments ou d’autres interventions médicales constitue une grave atteinte à la liberté individuelle, à l’autonomie et aux décisions des parents en matière d’éducation des enfants. »

« Les vaccins comportent nécessairement des risques, comme l’ont reconnu la Cour suprême des États-Unis et le Congrès. Le programme d’indemnisation des traumatismes liés aux vaccins a déboursé 4 milliards de dollars de dommages et intérêts, et des obstacles importants doivent être surmontés pour obtenir une indemnisation. Les dommages peuvent être si dévastateurs que la plupart des gens préféreraient que leurs fonctions soient rétablies à des dommages-intérêts de plusieurs millions de dollars. »

« La rougeole est la menace très médiatisée utilisée pour obtenir des mandats et constitue probablement la pire menace parmi les maladies évitables par la vaccination, car elle est extrêmement contagieuse. Il y a des épidémies occasionnelles, commençant généralement par une personne infectée venant de quelque part en dehors des États-Unis. La majorité, mais en aucun cas toutes les personnes qui attrapent la rougeole n’ont pas été vaccinées. Presque tous se rétablissent complètement, avec une immunité robuste et permanente. La dernière mort par rougeole aux États-Unis a eu lieu en 2015, selon le Centers for Disease Control and Prevention(CDC). Les complications potentielles de la rougeole, notamment le décès de personnes impossibles à vacciner en raison d’un déficit immunitaire, justifient-elles la révocation des droits de tous les Américains et la création d’un précédent imposant des restrictions encore plus grandes à notre droit de donner ou de refuser le consentement à des interventions médicales? Clairement pas. »

« De nombreuses complications graves ont suivi la vaccination ROR et sont répertoriées dans la notice du fabricant, bien que le lien de causalité n’ait peut-être pas été prouvé. Selon un rapport de 2012 de la Cochrane Collaboration, «la conception et la notification des résultats d’innocuité dans les études de vaccin RRO, avant et après commercialisation, sont largement inadéquates» ( cité par le Centre national d’information sur les vaccins ). »

« La rougeole est un problème épineux et une vaccination forcée ne le réglera probablement pas. De meilleures mesures de santé publique – détection plus précoce, recherche des contacts et isolement; un vaccin plus efficace et plus sûr; ou un traitement efficace sont tous nécessaires. Pendant ce temps, ceux qui choisissent de ne pas vacciner maintenant pourraient le faire en cas d’épidémie ou être isolés. Quoi qu’il en soit, les patients immunodéprimés peuvent choisir l’isolement, car les personnes vaccinées peuvent également transmettre la rougeole même si elles ne sont pas malades. »

Questions que le Congrès doit examiner:

– Les fabricants sont pratiquement à l’abri de toute responsabilité sur leurs produits, de sorte que l’incitation à développer des produits plus sûrs est fortement réduite. Les fabricants peuvent même refuser de mettre à disposition un produit considéré comme plus sûr, tel que le vaccin monovalent contre la rougeole plutôt que le vaccin RRO (rougeole-oreillons-rubéole). Le refus du consommateur est la seule incitation à faire mieux.

– Il existe d’énormes conflits d’intérêts impliquant des relations lucratives avec des fournisseurs de vaccins.

– La recherche sur les effets indésirables possibles du vaccin est à peu près inexistante, de même que la dissidence des professionnels.

-Il existe de nombreux mécanismes théoriques d’effets indésirables des vaccins, en particulier chez les enfants en développement du cerveau et du système immunitaire. Notez les effets dévastateurs du virus Zika ou de la rubéole sur les personnes en développement, même si les adultes peuvent avoir des infections bénignes ou asymptomatiques. De nombreux vaccins contiennent des virus vivants destinés à causer une infection bénigne. Les cerveaux des enfants se développent rapidement – toute interférence avec la symphonie complexe du développement pourrait être destructive.

– Les vaccins ne sont ni sûrs à 100% ni efficaces à 100%. Ils ne constituent pas non plus le seul moyen disponible pour contrôler la propagation de la maladie.

Source:https://aapsonline.org/measles-outbreak-and-federal-vaccine-mandates/?fbclid=IwAR14tPRiZV1l6KSINFXguIacuJBr68XytbAnxGDNYhGw1q_jjiCkCH_QLBQ




Docteur Richard Moskowitz, médecin depuis plus de 50 ans: L’hystérie actuelle au sujet de la rougeole ne repose nullement sur la science ; il s’agit de « scientisme », d’une foi quasi religieuse dans les vaccins

[Source : Initiative Citoyenne]

Docteur Richard Moskowitz, médecin depuis plus de 50 ans: L’hystérie
actuelle au sujet de la rougeole ne repose nullement sur la science ;
il s’agit de « scientisme », d’une foi quasi religieuse dans les vaccins

Brian Shilhavy, Health Impact News,  12 mars 2019

Le Dr Richard Moskowitz, médecin de famille depuis plus d'un demi siècle
Le Dr Richard Moskowitz, médecin de famille depuis plus d’un demi siècle

Le
Dr Richard Moskowitz est médecin depuis 1967. Il a fait ses études à
Harvard en sciences biochimiques et a reçu son diplôme de médecin à
l’Université de New-York en 1963. Après avoir fait un graduat en
philosophie à l’Université du Colorado, il a effectué un stage à
l’hôpital St. Anthony de Denver.

En
2015, lorsque la première hystérie au sujet de la rougeole a éclaté
dans les médias, le Dr Moskowitz a eu la gentillesse de nous autoriser à
publier son article : The Case against immunizations qui
reste l’un de ses écrits les plus brillants sur le sujet que nous ayions
jamais publié. Pour réaliser ce travail, le Dr Moskowitz s’est, bien
entendu, appuyé sur ses connaissances du sujet comme sur des décennies
de pratique de la médecine clinique.

Le
Dr Moskowitz vient de rédiger un autre article sur le thème des
« Epidémies de rougeole » en 2019, ainsi que sur le récent appel à une
vaccination obligatoire.

Il y expose le sophisme selon lequel « la science est bien établie » en matière de rougeole et de vaccins.

« Contrairement à ce que l’on nous a dit, la science est bien loin d’être établie sur l’efficacité des vaccins.

Ces
suppositions ne relèvent pas de la science, mais essentiellement du
scientisme, d’une foi quasi religieuse caractérisée par son dogmatisme
et  par l’étouffement de la pensée critique, du doute, du questionnement
par rapport aux vérités prétendument établies.  La véritable science a
bien d’autres exigences ! Tout ceci fait comprendre pourquoi les médias
s’abstiennent de signaler les dommages et les décès dus aux vaccins. »

Ces épidémies de rougeole : des pensées hors saison

Par le Dr Richard Moskowitz, M.D.

Alliance pour la protection de la Recherche

Extraits :

Avant
que l’hystérie actuelle au sujet de la rougeole ne dégénère encore
plus, un brin de bon sens pourrait nous aider à réfléchir plus
attentivement avant de nous dépêcher de prendre des mesures qui ne
fonctionneront pas et feront vraiment des dégâts.

Refuser
un traitement médical non souhaité est un droit fondamental que toutes
les nations civilisées ont juré de respecter, à la seule exception
possible d’une menace grave et imminente pour la santé publique. Les
quelques épidémies de rougeole localisées qui ne dépassent souvent pas
quelques dizaines ou centaines de cas ne correspondent pas en fait à ce
critère.

Toutes
ces épidémies sont typiques de celles qui se sont produites depuis
l’introduction du vaccin. D’autres épidémies semblables continueront
sans doute de se produire, même si la campagne bien financée de
l’industrie du médicament parvenait à vacciner tout le monde.

Pourtant,
le Département de la santé de l’Etat de Washington a déclaré une
urgence de santé publique sur cette base. Plusieurs autres Etats
envisagent de faire la même chose, et les médias se sont associés avec
enthousiasme à cette politique comme les éditoriaux du New-York Times,
du Boston Globe et autres grands magazines. Les stations radio comme les
émissions débats sur NPR, toutes bien intentionnées, mais propageant
sans cesse des peurs alarmistes et des exagérations, comme s’il
s’agissait de vérités bien établies. Ces médias citent souvent des cas
d’épidémies modestes comme justification suffisante pour éliminer les
exemptions aux vaccinations pour croyance personnelle, et qui ont encore
cours dans divers Etats.

Une
violation flagrante du Premier amendement et l’exemple le plus récent
et le plus inquiétant est la pression exercée par le Congrès sur
Facebook et autres médias sociaux pour censurer les publications qui
osent susciter des questions ou des doutes sur les vaccins, ainsi que
sur l’obligation vaccinale.

D’un
autre côté des politiciens et des journalistes n’ont rien fait de plus
que de croire les informations que des médecins et des autorités de
santé publique leur communiquent.

Malheureusement,
ce qui leur est communiqué ne relève pas seulement d’une mauvaise
éthique, mais aussi d’une mauvaise science, basée sur des hypothèses
totalement contredites par la recherche actuelle, tout en violant les
droits de l’homme les plus fondamentaux, ainsi que les valeurs morales
qui nous sont chères.

Souvent
supposées aller de soi sans même avoir besoin d’être énoncées, encore
moins prouvées, leurs hypothèses fondamentales sont en réalité deux
postulats qui s’appuient l’un sur l’autre pour les soutenir, à savoir 1)
que ces petites épidémies de rougeole et autres maladies infectieuses
contre lesquelles nous vaccinons sont en fait initiées et propagées par
des individus non vaccinés, et 2) que les vaccins sont, non seulement
miraculeusement sûrs, mais également uniformément efficaces pour
immuniser les personnes; de sorte que seules les personnes non vaccinées
restent susceptibles et donc capables de transmettre ces maladies à
d’autres.

Mais
il n’est pas possible d’avoir les deux à la fois. Car si ces postulats
étaient tout à fait vrais, si l’immunité conférée par le vaccin
antirougeoleux était vraiment comparable à l’immunité absolue et
permanente résultant de la maladie et de son rétablissement, les
non-vaccinés ne constitueraient une menace pour personne d’autre
qu’eux-mêmes, sur la base d’un libre choix de leur part ; de sorte que
ceux qui prennent le vaccin n’auraient absolument rien à craindre.

Inversement,
si les personnes vaccinées risquent effectivement de contracter la
maladie à partir de personnes non vaccinées, c’est que le vaccin est
manifestement inefficace au point que tout ce qu’il offre ne peut
constituer une immunité réelle ou authentiquement efficace.

Quoi
qu’il en soit, il existe de nombreuses preuves scientifiques solides
selon lesquelles ces deux hypothèses sont tout simplement fausses.

La
grande majorité des cas de rougeole, d’oreillons et d’autres maladies
que l’on prétend pouvoir être prévenues par un vaccin, au cours
d’épidémies passées ou récentes, ont été, dans 75 à 95% des cas,
observées chez des personnes vaccinées. Une étude récente sur la
rougeole en Chine, où plus de 99% de la population fut vaccinée en
fonction d’une loi rendant cette vaccination obligatoire a néanmoins
permis d’observer plus de 700 épidémies localisées, et ce, en une seule
année, pour un total de près de 26 000 cas.

Il
en va à peu près de même pour les éclosions récentes d’oreillons aux
États-Unis, où 95 à 100% des cas ont été trouvés chez des vaccinés.

Ainsi,
même si toutes les exemptions non médicales étaient éliminées et que
pratiquement tout le monde était vacciné, comme le nécessiteraient les
nouvelles lois proposées, des épidémies similaires continueraient sans
doute de se produire.

En
d’autres termes, la prétendue immunité conférée par les vaccins est une
astuce, une contrefaçon de la réalité et «l’immunité collective»,
objectif justifiant les obligations, généralement lié à un taux de
vaccination de 95% ou plus dans le cas de la rougeole, constitue une
chimère, des vœux pieux que la vaccination ne peut tout simplement pas
atteindre, contrairement à la maladie naturelle. Les experts de la santé
publique savent depuis longtemps que les épidémies de grande ampleur ne
se produisent plus lorsqu’au moins 80% de la population a été atteinte
par la maladie et en a guéri. C’est cela, et seulement cela, qu’est
l’immunité de groupe. S’attendre à ce que le vaccin atteigne un niveau
encore plus élevé, sans épidémie, est un pur fantasme et contraire de la
science pure et dure.

En
outre, des scientifiques ont également démontré que les personnes
vaccinées à partir de virus vivants, tels que la rougeole, les
oreillons, la rubéole, la varicelle, le rotavirus, la poliomyélite orale
et certaines versions de la grippe, les «répandaient» régulièrement
dans leur entourage et étaient donc contagieuses  pendant plusieurs
semaines.

En
ce qui concerne la réapparition de la coqueluche ces dernières années,
par exemple, de nombreuses études ont montré que les épidémies de plus
en plus importantes et fréquentes de la maladie étaient également
transmises par des individus vaccinés, même si la bactérie n’était plus
vivante, en partie par sélection naturelle de souches résistantes aux
vaccins, comme cela a été documenté dans le cas d’autres vaccins non
vivants (HiB, pneumocoques et, éventuellement, poliomyélite injectable).

« En
bref, la volonté de vacciner autant de personnes que possible et
l’intimidation et la colère contre les parents qui choisissent de ne pas
vacciner qui vont de pair, sont non seulement cruels et peu réalistes,
mais contribuent également à créer et à propager les maladies que les
vaccins ont été conçus pour éradiquer. »

Plutôt
que de simplement accepter le fait que les vaccins ont, au mieux, une
efficacité partielle et limitée, nous permettons au CDC et à l’industrie
du médicament de jouer sur nos craintes au point de transformer ces
épidémies localisées de rougeole en un semblant redoutable de menace
imminente, une urgence de santé publique, constituant une menace
sérieuse pour la société, justifiant la vaccination forcée de tous, même
contre la volonté des intéressés si nécessaire, et annulant ainsi tous
les codes et traités auxquels nous avions souscrit: le Code des droits
de l’homme de Nuremberg et la Déclaration d’Helsinki régissant la
recherche biomédicale, qui insistent tous deux sur le droit de chaque
patient et de chaque sujet de donner son consentement éclairé à toutes
les procédures médicales et chirurgicales, en interdisent explicitement
leur administration par la force.

La science n’est pas définitivement établie une fois pour toutes

Contrairement
à ce qu’on nous dit, la science est loin d’avoir dit son dernier mot
sur l’efficacité des vaccins. Cela serait déjà suffisant pour effacer le
mythe selon lequel la vaccination obligatoire serait nécessaire.

Mais ce n’est pas la seule raison, ni même la plus importante.

La sécurité des vaccins est encore très loin d’être établie, pour le dire gentiment et pour de très bonnes raisons.

En
premier lieu, de nombreuses études ont montré que les enfants qui
contractent des infections fébriles aiguës telles que la rougeole, les
oreillons, la rubéole, la varicelle et la grippe et guérissent dans la
suite sont beaucoup moins susceptibles de développer des maladies
auto-immunes chroniques et un cancer au cours de leur vie que les
enfants simplement vaccinés contre ces maladies.

D’autres
études encore relient les risques de décès, d’hospitalisation et
d’autres réactions indésirables graves, non pas à un vaccin ou à des
vaccins en particulier, mais plutôt au nombre total de vaccins
administrés, à la fois simultanément ou au cours de la vie du patient.

En
d’autres termes, ces terribles résultats ne peuvent pas simplement être
considérés comme des bizarreries individuelles, qui ne seraient
spécifiques qu’à certains individus hypersensibles, mais semblent plutôt
être liés à la nature même du processus de vaccination.

Ces
résultats sont déjà plus que suffisants pour remettre en question,
voire discréditer, le respect presque universel accordé au concept de
vaccination, sans parler du chèque en blanc qui permet et même incite
l’industrie pharmaceutique à développer, commercialiser et finalement
imposer de plus en plus de vaccins, partant du principe que les vaccins
sont sans danger et efficaces dans tous les domaines, qu’ils économisent
d’énormes sommes d’argent grâce à la non-prise en charge des patients
atteints de ces maladies, et qu’il est donc correct, voire souhaitable,
d’empiler autant de doses de nombreux vaccins différents qu’il est
possible de commercialiser, souvent sans autre raison que celle de
disposer de la capacité technique pour les fabriquer.

C’est
la même hypothèse qui permet à l’industrie pharmaceutique d’organiser
ses propres études d’innocuité sans véritable contrôle placebo des
individus non vaccinés. Cette façon de procéder limite les effets
indésirables à ceux qui sont examinés quelques heures ou quelques jours
après la vaccination, excluant ainsi automatiquement les maladies
chroniques qui pourraient survenir dans la suite; cela donne à
l’enquêteur principal le pouvoir illimité de déterminer si une réaction
indésirable rapportée est liée ou non à un vaccin, selon des critères
jamais spécifiés; et cela permet au CDC d’insister sur le fait que les
vaccins sont uniformément sûrs et efficaces sans mener leurs propres
études indépendantes, même si le Congrès a légiféré et la Cour suprême a
confirmé que les vaccins sont «inévitablement dangereux», afin
de protéger les fabricants de toute responsabilité par rapport aux décès
et aux dommages qu’ils provoquent, une « faveur » gratuite jamais
accordée à aucune autre industrie.

En bref, ces hypothèses ne relèvent pas de la science, mais simplement du scientisme, une religion qui prétend parler au nom de la science et qui se caractérise par un dogmatisme, qui étouffe l’esprit critique, le questionnement et le doute par rapport à des vérités prétendument établies. La véritable science est en droit d’exiger beaucoup plus. Tout ceci explique pourquoi les médias s’abstiennent de signaler les décès ou les dommages dus aux vaccins sans avoir à s’interroger, et pourquoi la plupart des médecins offrent à leurs enfants les mêmes vaccins que ceux qu’ils administrent à leurs patients.

Ce
qui m’amène à mon dernier point, à savoir que si la vaccination et les
vaccins étaient effectivement sûrs et efficaces dans leur ensemble,
alors les milliers de parents qui croient sincèrement que leurs enfants
sont décédés après avoir été vaccinés ou ont eu la santé endommagée par
les vaccins et doivent vivre chaque jour de leur vie avec cette terrible
réalité, sont soit de fieffés menteurs, ignorants ou stupides, et
méritent donc peut-être même que leurs histoires soient ignorées et
rejetées d’emblée par la communauté médicale, les médias et le grand
public !

Pourtant,
leurs souffrances, quelle qu’en soit la cause, appellent à tout le
moins à de la prudence, de la retenue et à une simple compassion pour le
point de vue de ceux dont l’expérience vécue est si tragiquement
différente de celle de tous ceux qui ont le privilège d’ignorer ou de se
montrer insensibles à  tous ces drames.

En
tant que médecin de famille qui a soigné bon nombre de ces enfants au
fil des ans, je peux affirmer avec une certitude absolue que la grande
majorité de ces parents ne sont en aucun cas des «anti-vaccins»
ignorants, crédules ou hostiles à la science.

Bien
au contraire, ils sont souvent bien éduqués, bien informés et ont
généralement consacré leur vie à percer le mystère de ce qui est
vraiment arrivé à leurs enfants et ne demandent plus qu’une seule chose,
c’est que les vaccins soient rendus aussi sûrs que possible, sur la
base d’une enquête minutieuse menée par des scientifiques indépendants de l’industrie du médicament.

Après
plus de cinquante ans passés « dans les tranchées », je puis également
attester que le sens instinctif et pratique de parents attentionnés est
souvent un guide beaucoup plus précis et plus fiable sur les causes des
tragédies qu’ils ont subies que des déclarations savantes qui les
prémuniraient contre le besoin de prendre réellement en compte les
détails de leur expérience vécue.

Enfin,
le respect généralisé et presque universel accordé à la vaccination,
fondé sur le catéchisme selon lequel les vaccins sont non seulement sûrs
et efficaces, mais également parmi les réalisations suprêmes de la
médecine moderne, m’a poussé à écrire. J’étais animé d’un réel
pressentiment, comme du sens de l’urgence, à un moment critique de notre
histoire, alors que les droits des patients de refuser un traitement
médical non souhaité ont depuis toujours été considérés comme sacrés. Il
en va de même pour le droit des parents de pouvoir prendre des
décisions au nom de leurs enfants. Ces droits sont aujourd’hui, comme
jamais, remis en question !

Je
me sentirais bien récompensé si mes paroles, mon raisonnement, la
tristesse, la peur et l’indignation que je ressens depuis longtemps à ce
sujet pouvaient favoriser un débat sain et permettraient de faire
davantage avancer le travail scientifique rigoureux qui reste à faire.

Source: Vaccine Impact

Voir aussi:

Audition du Dr Moss s’indignant du ramdam sur la rougeole et de l’omerta sur les 127 décès après ce vaccin…

Aveux
et conscience que l’autisme peut être lié aux vaccins (c’est d’ailleurs
en toutes lettres dans la notice du vaccin Tripedia contre diphtérie,
tétanos, coqueluche)

Les plans mondiaux de vaccination sont pilotés par l’OMS d’où la panique bien concertée et organisée en même temps dans tous les pays, par exemple sur la rougeole




Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910

[Source : Les moutons rebelles]

Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910

Comment l’industrie de la santé et du bien-être ont radicalement changé

J’ai maintenant 68 ans et, depuis des années, je compte sur des solutions médicales alternatives pour presque tous mes problèmes de santé. Un changement de régime, des aromates, des vitamines, des minéraux et une bonne dose de sport ont fini par être tous les médicaments dont j’ai jamais eu besoin.

En 2010, lorsque j’avais 61 ans, j’ai guéri de l’arthrite uniquement grâce à des vitamines et des minéraux. J’étais atteint depuis que j’avais la vingtaine. Mes médecins disaient que mon arthrite n’était pas curable, mais la médecine occidentale se trompait au sujet de l’arthrite.

Après cette simple cure, j’ai arrêté de souffrir, je suis devenu sceptique, et j’ai commencé à faire des recherches sur l’histoire de la médecine en Amérique du Nord. Ce que j’ai découvert est surprenant !

Dès ma jeunesse, j’étais fasciné par la technologie médicale. Quand j’avais environ 7 ans, en 1956, une très vieille voisine utilisait un ancien appareil de stimulation musculaire électrique sur ses muscles jambiers, qui étaient crispés. Elle racontait que ça lui faisait du bien.

En 1963, j’avais 14 ans. Mes parents partirent en vacances dans la Barbade, et me laissèrent avec un couple letton, propriétaire d’une ferme dans la campagne de Hamilton, dans l’Ontario. Ils faisaient pousser de nombreuses plantes mystérieuses appelées « herbes médicinales » guérisseuses dans leur ferme. Lorsqu’il me parlèrent de la phytothérapie en Lettonie, j’étais surpris d’apprendre que les médicaments provenaient d’herbes médicinales.

Mes parents ne connaissaient rien quant au rôle médical des herbes médicinales. Jusqu’alors, dans toute mon éducation, le sujet des « herbes médicinales » n’était jamais abordé. Quand j’ai effectué des recherches à ce sujet à la bibliothèque du coin, j’ai découvert que les herbes médicinales étaient utilisées pour faire des médicaments depuis des milliers d’années. Comment est-ce que l’histoire de la phytothérapie a-t-elle été quasiment effacée vers la moitié du 20ème siècle ?

L’histoire cachée des thérapies alternatives

En tant qu’inventeur, à l’âge de 65 ans, j’ai conçu des appareils électro-médicaux de stimulation cérébrale pour égayer l’humeur et pour relaxer.

Je fus étonné d’apprendre que des machines similaires étaient utilisées en France en 1903. Et j’étais étonné d’apprendre que l’électro-médecine fut utilisée pour la première fois en Egypte Ancienne, à l’aide d’anguilles électriques, qui servaient à traiter les migraines.

Dans la Rome Antique, les poissons électriques étaient utilisés pour traiter l’épilepsie et les maux de tête. L’électro-médecine est restée populaire dans le monde jusqu’au 20ème siècle, sauf en Amérique du Nord, où elle était quasiment inconnue jusqu’à la fin des années 1980. Comment est-ce que le l’usage des traitements électro-médicaux a été pratiquement effacé de notre culture nord-américaine ?

Les origines de la médecine occidentale

La création de la médecine moderne commence avec John D. Rockefeller (1839 – 1937), qui était baron du pétrole, et premier milliardaire d’Amérique. Dans les années 1800, l’industrie pétrochimique furent crées via la « chimie biologique » ou la chimie du charbon. Dans les années 1800, il est devenu apparent que divers remèdes à base d’herbes traditionnels contenaient des ingrédients actifs appelés « alcaloïdes ».

Ces alcaloïdes pouvaient souvent être produits de manière synthétique par l’industrie pétrochimique. Parfois, l’ingrédient actif d’une herbe médicinale pouvait être chimiquement modifié et breveté. Ce nouveau business était appelé « l’industrie pharmaceutique ». Le brevet médical en résultant pouvait se vendre très cher, en comparaison avec l’herbe dont il était dérivé.

Dès le début du 20ème siècle, Rockefeller contrôlait 90% de toute la production pétrolière aux USA, à travers une multitude de compagnies pétrolières qu’il possédait. En 1900, il y avait environ 1 000 voitures qui roulaient à l’essence. Les voitures ne pouvaient donc pas rapporter beaucoup. Cependant, l’industrie pétrochimique était florissante.

L’industrie pétrochimique promettait d’être l’une des parties les plus profitables de l’industrie pétrolière. Rockefeller investissa fortement dans les compagnies pharmaceutiques nouvellement créées. Il fonda la Fondation Rockefeller en 1973, et se focalisa sur les industries pharmaceutiques, et l’éducation médicale.

En 1900, Andrew Carnegie était lui aussi très riche. À la base, il avait fait fortune en investissant dans Columbia Oil en 1862, et il avait fait encore plus fortune dans l’acier. Il lança la Fondation Carnegie en 1905. La fondation était réputée pour son expertise en financement, et dans l’exécution d’entreprises à vocation éducative.

Le rapport Abraham Flexner

Début 1900, la toute récente American Medical Association, ou AMA, comprit que l’éducation médicale était dans un état chaotique. Elle décida donc de créer le Council of Medical Education, en 1904, afin d’étudier le besoin d’améliorations dans l’éducation.

Néanmoins, l’AMA ne pouvait se permettre de financer l’étude. Henry Pritchett, membre de la Fondation Carnegie, proposa de l’argent, et recruta Abraham Flexner pour mener à bien l’étude.

La Fondation Carnegie reprit ensuite la direction du Conseil d’Education Médicale, et investissa des millions de dollars dans le projet. Elle étudia chaque école médicale d’Amérique du Nord, et publia un compte-rendu en 1910, intitulé rapport Abraham Flexner. En toute honnêteté, le rapport Abraham Flexner contribua au moins à standardiser les pratiques médicales. Mais il eut également de nombreux effets négatifs.

L’étude fut financée par la Fondation Carnegie, avec des donations de John D. Rockefeller et d’autres industriels. En 1909, le Council of Medical Education était dirigé par les industriels. Ceux-ci étaient fortement impliqués dans l’industrie pharmaceutique, une branche de l’industrie pétrochimique.

Ces industries entraient directement en compétition avec les méthodes de guérison traditionnelles, telles que la phytothérapie, l’électro-médecine, la naturopathie, le massage, l’alimentation, le sport, etc.

Les effets du compte-rendu sur d’autres branches médicales est bien résumé par l’entrée de Wikipedia sur le rapport Abraham Flexner :

« On ordonna aux écoles médicales offrant un entraînement dans diverses disciplines, y compris la thérapie par champ électromagnétique, la photothérapie, la médecine éclectique, le physio-médicalisme, la naturopathie et l’homéopathie, soit de laisser tomber ces cours de leur cursus, ou de perdre leur habilitation et leur soutien garanti. Quelques écoles résistèrent pendant un moment, mais elles finirent toutes soit par obtempérer, soit par fermer leurs portes. »

Le rapport Abraham Flexner a également marqué le début de la fin de la maïeutique aux USA et au Canada. Après 1910, aux Etats-Unis et au Canada, les Etats et provinces interdirent le métier de sage-femme les uns après les autres.

En 1929, l’Institut Carnegie fut habilité à exercer son autorité sur les écoles médicales du Canada et des USA. Toutes les écoles médicales qui ne respectaient pas le rapport Abraham Flexner mirent la clé sous la porte.

Après 1935, les écoles médicales ne proposaient que des approches pharmacologiques, y compris des vaccins et de la chirurgie. Toutes les autres approches sanitaires traditionnelles furent effectivement éliminées de l’éducation médicale.

Après le publication du rapport, les Afro-Américains et les femmes furent expulsés de la pratique médicale. Ce fut malheureux pour les femmes et les Afro-Américains, parce qu’avant 1910, il y avait beaucoup d’Afro-Américains et de femmes médecins.

En 1950, notre culture médicale nord-américaine avait été purgée de toute approche médicale traditionnelle. Seules les méthodes de l’industrie pharmaceutique, ainsi que les vaccins et la chirurgie, furent conservés.

Au fur et à mesure que les vieux médecins prirent leur retraite, la phytothérapie, la naturopathie, l’électro-médecine, les massages et autres thérapies alternatives furent toutes oubliées, sans exception. Elles furent qualifiées de « médecine de charlatans », un terme popularisé après le rapport Abraham Flexner. La médecine de Rockefeller devint la médecine du courant dominant.

La ré-émergence des approches médicales traditionnelles dans les années 1960

Lorsque j’avais 17 ans, je faisais partie de la sous-culture hippie, et les herbes, les vitamines, les minéraux, l’acupuncture, la marijuana et les massages devinrent subitement cool. Nous avons contribué à la réforme de la scène médicale canadienne. En moins de dix ans, on trouvait des herbes, minéraux et vitamines partout.

Les magasins bio fleurissaient. Des années 1970 à aujourd’hui, des études scientifiques ont montré que les herbes fonctionnaient vraiment. Divers héros du monde scientifique ont protégé notre liberté, notamment des personnes telles que Linus Pauling, pour son soutien apporté à la vitamine C.

Heureusement, les temps changent, et les médecins écoutent les requêtes de leurs patients orientés vers la médecine naturelle. Aujourd’hui, de nombreux physiciens collaborent avec des naturopathes et chiropracteurs.

Mon propre médecin de famille, qui est ouvert d’esprit, ne me force pas à acheter des médicaments sur ordonnance. C’est encourageant de voir des médecins, comme Andrew Weil, qui travaillent sur la promotion d’un modèle de santé plus équilibré, incluant toutes les options, au niveau universitaire.

On ne peut pas blâmer les médecins du 20ème siècle pour leurs penchants pharmacologiques. Leur système éducatif a été compromis par les intérêts des industriels qui ont financé le rapport Abraham Flexner de 1910.

Protéger l’accès aux herbes et aux suppléments

Au Canada et aux USA, au cours de ma vie, il y a eu de nombreuses tentatives visant à établir des standards chers et excessivement rigoureux pour les herbes et suppléments qui sont relativement sûrs, par rapport aux médicaments. Ceci menace les herboristes et autres praticiens de médecine alternative.

C’est une menace sur la disponibilité de ces aides sanitaires. On ne peut que présumer que ces efforts étaient stimulés par les lobbyistes de l’industrie du médicament. Les groupes citoyens des USA et du Canada se sont fortement opposés aux nouvelles législations proposées, et nous les avons efficacement vaincus grâce à des pétitions adressées à nos Membres du Parlement au Canada ou membres du Congrès au USA. Une vigilance constante est requise de la part des citoyens.

Nous devons développer un système de test basique à double aveugle

Les médicaments font l’objet de tests approfondis pour être vérifiés d’un point de vue médical. Les herbes importantes, telles que le curcuma, ou les minéraux tels que le bore, sont raremet analysés, parce qu’ils ne permettent aucun profit. Néanmoins, les générations actuelles et futures seraient fortement récompensées si on réalisait l’analyse d’herbes et de suppléments.

Ceci pourrait être effectué à l’aide de la technologie moderne, en créant un site de test basique à double aveugle, où les données pourraient provenir de personnes ayant décidé de devenir leur propre « cobaye ». Les échantillons et placebo pourraient être envoyés par mail avec des numéros d’identification. On peut le faire ! Qui veut proposer une solution ?

Nous avons besoin d’une approche équilibrée

Les médicaments pharmaceutiques pour le traitement des maladies ont leur place dans le traitement de certaines maladies. Les antibiotiques ont révolutionné le domaine de la santé. Les anesthésiants ont rendu la chirurgie indolore.

Les approches médicales alternatives ont du mérite, et les approches alimentaires peuvent parfois même soigner les maladies, ce qui fait que nous n’aurions plus besoin de traitements ! Ces alternatives doivent co-exister avec la médecine pharmaceutique comme options que les guérisseurs peuvent recommander.

Par Ian Faulkner

Traduit par Valentin MelchisédechChercheurs de Vérités




Si seulement les humains étaient aussi bons que les animaux. Le monde aurait alors de l’espoir

[Source : Réseau international]

Si seulement les humains étaient aussi bons que les animaux. Le monde aurait alors de l’espoir

Je suis dévasté. Ce soir, à 17 heures, j’ai enterré mon merveilleux chat bien-aimé, mon chat mâle Boy, dans le coin sud-est du jardin, près des camélias, un endroit qu’il appréciait.

Boy a été tué par l’industrie pharmaceutique. Le vétérinaire hospitalier et l’homéopathe qui m’ont aidé à essayer de le sauver, ont dit que les vaccins prescrits étaient à l’origine du cancer qui a tué Boy. Pour faire des profits, avec des contributions de campagne, les compagnies pharmaceutiques corrompent les législateurs des États, pour leur faire adopter des lois qui tuent les animaux.

J’ai arrêté les vaccins il y a 4 ans, mais ce n’était pas assez tôt.

La sœur de Boy et moi sommes en deuil.

Il était l’être le plus magnifique et le plus merveilleux que j’ai jamais connu. Un vrai ami. Un être doux et exceptionnel.

Le chagrin que je ressens me rend encore plus conscient du chagrin que tant de dizaines, de centaines de milliers et de millions de familles ressentent pour leurs fils, leurs filles, leurs épouses, leurs maris, leurs parents, leurs cousins, leurs tantes, leurs oncles, leurs amis et leurs animaux de compagnie, qui d’un bout à l’autre du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, ont été massacrés par le gouvernement des États-Unis et ses vassaux européens, et par un gouvernement israélien qui dépend du soutien économique et diplomatique de Washington pour continuer son génocide de Palestiniens.

Guerre, massacre, dévastation et pire encore. Voilà tout ce que représente la ‘civilisation’ occidentale. La ‘civilisation’ occidentale n’est rien d’autre qu’une machine à tuer. Si l’Occident ne vous tue pas avec des bombes, des missiles ou des armes nucléaires et biologiques, il vous tue par la pression économique et financière et les mesures d’austérité du FMI.

Sans fin, des espèces disparaissent à cause d’entreprises privées agréées par le gouvernement corrompu, qui a reçu d’elles des pots-de-vin pour raser une forêt tropicale au profit d’intérêt capitaliste.

Pour l’essentiel, toute la diversité l’écologique a été détruite par les coûts externes du capitalisme, dont les bénéfices dépendent de la destruction de l’environnement de la planète Terre qui entretient la vie.

Quand l’être humain voit le mépris de la ‘civilisation’ occidentale pour la vie de ceux qu’elle prend sous ses bombes et qu’elle exploite, où est la civilisation ? Tout ce qu’on trouve, c’est de l’inhumanité envers les autres pour le profit.

Dans la ‘civilisation’ occidentale, le profit règne. Rien d’autre ne compte ; les gens et leur vie ne comptent pas. La justice ne compte pas. La vérité ne compte pas.

Seul compte le fric. La ‘civilisation’ occidentale a été réduite à du fric par le capitalisme. Rien d’autre ne compte, rien d’autre n’a de valeur.

Boy était meilleur que la race humaine entière. Si les humains pouvaient obtenir une fraction de la bonté de Boy, au lieu d’être au bord de la destruction nucléaire ou écologique, le monde serait un endroit totalement différent.

Mais les humains sont infectés par le mal. À l’époque où le christianisme était encore une puissance religieuse, on savait cela. On allait à l’église pour apprendre à sauver son âme. Aujourd’hui, on apprend la politique identitaire, dont le message est que les Blancs sont coupables, sauf s’ils massacrent les populations des pays du Moyen-Orient qui refusent l’avantage de devenir vassaux de Washington et de faire valoir « la seule démocratie du Moyen-Orient » – Israël – dans son génocide de Palestiniens.

Aujourd’hui, comme nous le voyons avec l’affaire de Julian Assange, la culpabilité ou la malfaisance de quelqu’un dépend entièrement de sa soumission aux apparatchiks dirigeants.

D’un bout à l’autre de la ‘civilisation’ occidentale, ce sont les intérêts financiers corrompus et égoïstes qui nous détruisent.

Paul Craig Roberts

Original : www.paulcraigroberts.org/2018/11/28/if-only-humans-were-as-good-as-animals-then-there-would-be-hope-for-the-world/
Traduction Petrus Lombard