COVID-19 : qui est complotiste?

[Source : Mondialisation.ca]

Par Dr Pascal Sacré

Afin de nous trouver sur la même longueur d’ondes, il me faut définir ce mot.

Complotiste : défenseur d’une théorie du complot

C’est comme de dire, raciste : défenseur d’une théorie du racisme.

Nous n’allons pas loin, avec ça.

Un synonyme est conspirationniste.

Qu’est-ce qu’une théorie du complot ou de la conspiration ?

Ce qui est sûr, c’est que ces mots sont péjoratifs, mauvais. 

Personne n’aime cette étiquette : « complotiste », « théoricien de la conspiration ».

Depuis le 11 septembre 2001, ce mot déjà ancien [1] est utilisé pour disqualifier toute personne qui tient des propos contraires aux versions officielles

Analysons cette phrase car chaque mot est important.

Par officielles, beaucoup veulent dire : gouvernementales

Ce n’est pas tout à fait ça.

Si vous dites que Donald Trump, pourtant président officiel et chef élu du gouvernement des USA, raconte des conneries, a utilisé les Russes pour être élu [2] ou veut annuler les prochaines élections américaines [3], toutes théories du complot contre lui, contre Trump, tous les journalistes occidentaux vous applaudiront. Ils ne vous traiteront pas de conspirationniste même si, selon la définition, c’est ce que vous êtes en diffamant ainsi.

Dans le cas du COVID-19 de 2020, si vous dites que tous les docteurs (et il n’y en a pas deux, dix ou cent, mais des milliers à travers le monde) qui disent que l’hydroxychloroquine soigne le COVID-19 sont des fous échappés d’un asile d’aliénés [4], une fois encore, les journalistes vous féliciteront. En tout cas, même sans preuve de ce que vous avancez, personne ne vous traitera de théoricien du complot.

Pourtant, c’est une théorie et c’est dirigé contre des docteurs diplômés, officiels. 

En faisant cela, vous accusez des médecins [5] dont certains travaillent à l’Université ou dans des
hôpitaux reconnus, depuis des dizaines d’années, tels que le professeur d’épidémiologie Harvey Risch [6] de la Yale School of Public Health, le professeur Didier Raoult,  directeur de l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée infection à Marseille, le docteur Christian Perronne [7], professeur des universités-praticien hospitalier français, spécialisé dans le domaine des pathologies tropicales et des maladies infectieuses émergentes et ancien président de la commission spécialisée « Maladies transmissibles » du Haut Conseil de la santé publique, en plus de nombreux médecins moins connus mais tout aussi fiables et sérieux, médecins de famille, de terrain, généralistes ou spécialistes [8 à 13].

Vous êtes un fameux « théoricien conspirationniste » si vous pensez que tous ces docteurs diplômés mentent ou veulent vous manipuler, Dieu saurait pourquoi.

Pourtant, personne ne vous traitera de ça.

La vérité, c’est que vous serez étiqueté « complotiste » si et seulement si vous tenez des propos contraires aux versions officielles des personnes, institutions, gouvernements adoubés, reconnus.

Adoubés, reconnus par qui ?

  1. Par les institutions internationales (Organisation Mondiale du Commerce, Organisation Mondiale de la Santé, Fond Monétaire International, Forum économique mondial, Organisation des Nations-Unies, Commission Européenne, Agence européenne du Médicament…). 
  2. Par des relais nationaux qui rendent compte à ces institutions internationales et ce, dans tous les domaines importants, sanitaires, médicaux, éducatifs, médiatiques, économiques… [14]

Tout cela forme un système cohérent, transnational, supranational, animé de buts communs et utilisant un langage précis et étudié.

Il faut bien saisir que ce système est indépendant des hommes politiques et survit aux changements électoraux. Il se perpétue, quoi qu’il arrive, non pas au travers d’un président, d’une personne en particulier, mais au travers de ces institutions qui traversent tous les scandales [15 à 18] et toutes les attaques sans prendre une égratignure.

Qui dirige ce système ? 

Je ne vous répondrai pas ici d’abord parce que c’est un autre travail qui mériterait un article à part entière et ensuite, parce que de nombreux chercheurs ont déjà brillamment cerné ce sujet [19 à 22].

Donc, être président, chef de gouvernement, médecin diplômé et représenter une autorité valable et sérieuse ne suffisent pas pour vous protéger de toute contestation en arguant que le contestataire serait un complotiste.

Non.

Pour cela, pour bénéficier de cette protection, il faut appartenir à ce système, parler son langage et poursuive ses buts.

Ainsi, Anthony Fauci aux propos pourtant critiquables et contradictoires [23] ne sera jamais traité de complotiste. 

Le professeur Harvey Risch, oui.

Ainsi, les journaux qui affirment que le Remdesivir est efficace dans le COVID-19, contrairement à l’hydroxychloroquine, ne seront jamais qualifiés de complotistes.

Ceux qui disent le contraire, études et médecins à l’appui, oui. 

Le problème, c’est que Trump a dit qu’il était pour l’hydroxychloroquine aussi, et cela, c’est le discrédit à tous les coups.

On dit que le Remdesivir a prouvé son efficacité face au Covid-19, dans un journal belge du 11 août 2020 [24]. 

Les mots sont importants. 

Le mot « prouvé », en l’occurrence, est faux. 

Mais qui s’en apercevra, si vous n’êtes ni docteur, ni au fait des études en question ?

En attendant, un mensonge passe comme une évidence, une vérité.

Un seul traitement par le Remdesivir rapportera 2500 $ par patient à la firme Gilead [25].

L’hydroxychloroquine, rien ou quasi.

Les termes « complotisme » ou « théorie de la conspiration » n’ont rien à voir avec la vérité ou avec la crédibilité, cela a à voir avec le conformisme aux idées dominantes, dictées par le système qui poursuit implacablement ses buts.

Un autre mot important est le mot « théorie ». Théories de la conspiration

Cela sous-entend des divagations sans fondements, sans preuves.

Pourtant, de nombreuses affirmations étiquetées « théories de la conspiration » n’ont rien de théorique.

Il est rare d’avoir une preuve formelle au moment de son affirmation. Celle-ci peut découler de recherches, de réflexions, de présomptions.

En médecine légale ou en sciences criminelles, vous n’aurez pas toujours de preuves irréfutables mais un faisceau de présomptions solides (mobile, faits indirects et cohérents) qui suffit à condamner un accusé, selon la loi.

Prenons la « théorie conspirationniste » selon laquelle l’industrie pharmaceutique ferait pression pour discréditer l’hydroxychloroquine et privilégier ses produits coûteux, les antiviraux comme le Remdesivir ou les vaccins.

Ce serait bien d’avoir une preuve irréfutable de cela mais je vois mal un dirigeant de cette industrie écrire un tel aveu puis le laisser traîner afin qu’il tombe entre les mains d’un journaliste honnête. Ce serait vraiment suicidaire, vous ne trouvez pas ? Et de toute façon, on discréditerait ce dirigeant, ou ce journaliste, jusqu’à ce que leur parole soit sans valeur.

Par contre, comme on le ferait dans n’importe quelle enquête policière, y a-t-il un faisceau de présomptions solides ?

1) Cette industrie a-t-elle un mobile ?

Oui.

Cette industrie a un fameux mobile pour faire cela : l’argent.

Il ne s’agit pas de milliers ou de centaines de milliers d’euros qui pousseraient pas mal de gens à commettre des meurtres, mais de milliards d’euros [26-27].

2) Cette industrie a-t-elle les moyens de faire cela ?

Oui.

On le sait grâce au témoignage de personnes de l’intérieur, comme John Virapen ex-PDG d’Eli Lilly & Company en Suède [28], ou d’anciens rédacteurs en chef de grandes revues médicales comme Marcia Angell [29] (New England Journal of Medicine) ou Richard Horton [30] (Lancet).

3) Celle industrie l’a-t-elle déjà fait ?

Oui.

Il y a des cas avérés, prouvés qui illustrent la corruption de médecins par l’industrie pharmaceutique, comme celui de l’anesthésiste Scott Reuben ayant falsifié des données concernant l’efficacité de l’antidépresseur Effexor (venlafaxine), produit par la firme Wyeth (fusionnée avec Pfizer) dans les douleurs neuropathiques et postopératoires [31].

Et ce n’est qu’un exemple [32]. Plus récemment, vous avez le Lancet-Gate: « Mensonges scientifiques sur le coronavirus » et corruption des grandes sociétés pharmaceutiques.

Même lorsque les preuves sont là, avez-vous déjà vu un journaliste qui avait accusé quelqu’un de « théoricien du complot » faire son mea culpa, s’excuser de sa méprise et rétablir la réputation du « théoricien » en question ? Et surtout, rétablir la vérité ?

Pour seul exemple, je vais prendre l’histoire des bébés koweïtis arrachés à leur couveuse et jetés à terre par les soldats irakiens pour justifier l’intervention américaine en Irak en 1990. Le président Georges Bush senior s’en est servi à plusieurs reprises, dans plusieurs discours enflammés. 

C’était un mensonge [33]. 

Nous le savons. 

Pourtant, quiconque qui l’aurait su ou compris, et l’aurait dit à ce moment aurait été traité de « théoricien du complot » de connivence avec Saddam Hussein.

Pour la petite histoire et vous démontrer que ces techniques n’ont pas cessé en 1991 ou après la preuve de ce mensonge, la firme malhonnête derrière ce mythe est la même firme qui a aidé en 2020 l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à faire croire à la pandémie COVID-19 et à faire respecter ses diktats : la firme Hill & Knowlton [34].

Alors, qu’est-ce que ça veut dire, complotiste, et qui l’est vraiment ?

On le voit, ça ne veut rien dire.

C’est une étiquette péjorative, mauvaise, qui ne vous sera pas donnée si vous mentez, ou si vous critiquez une personne ou un gouvernement qui justement dérange le système.

Elle vous sera donnée si ce que vous dites, même si c’est vrai, plausible, prouvé, va à l’encontre du discours autorisé du système.

Vérifiez par vous-même.

Critiquez les docteurs qui défendent l’usage de l’hydroxychloroquine dans le COVID-19, et vous ne serez pas accusés de complotisme. 

Vous serez écoutés, approuvés.

Critiquez Anthony Fauci ou les conseils de sécurité nationaux contre le COVID-19, alors oui, vous serez accusés de complotisme, et même de tous les maux.

Très souvent, cela n’a rien à voir avec des théories.

Les faits avancés sont parfois prouvés, très souvent étayés de nombreux arguments solides et plausibles.

Les mots sont très importants. Ne sous-estimez pas leur importance. Ce sont eux qui dirigent nos pensées.

Je le sais en tant que docteur, mais également en tant que passionné de communication à visée thérapeutique.

Comme les tous premiers médecins de l’Antiquité, je sais que les mots peuvent guérir.

Ils peuvent aussi rendre dociles ou malades.

« Complotiste », « conspirationniste », « théoricien du complot » ne servent qu’à couper court à tout débat.

Qu’à faire rejeter la personne que le système dominant veut discréditer, pour que cette personne ne soit plus écoutée.

C’est cela qui est dangereux ; pas les « théories du complot ».

Ce qui est vraiment dangereux est de ne même pas vouloir débattre et d’exclure des idées, des personnes et des opinions sous prétexte qu’elles dérangent.

C’est cela qui sème les graines d’une société totalitaire ; pas les théories du complot.

C’est en refusant tout débat, toute discussion et en brandissant ce genre d’expression disqualifiante, que le pire vient.

Dr Pascal Sacré


Image en vedette : pixabay.com

Notes :

[1] Théorie du complot, Wikipédia

[2] Ingérence : comment la Russie a biaisé la campagne de 2016 au profit de Trump

[3] Comment Trump pourrait saboter l’élection pour la remporter

[4] Hydroxychloroquine: Goliath contre David, acte I : les détracteurs

[5] Covid-19 – Hydroxychloroquine, David contre Goliath, acte II : les supporteurs

[6] L’hydroxychloroquine agit chez les patients à haut risque, et dire le contraire est dangereux, Harvey Risch M.D., Ph.D., professeur d’épidémiologie à la Yale School of Public Health.

[7] Christian Perronne : “À Garches, nous avons de bons résultats avec l’hydroxychloroquine”, 15 avril 2020, Fervent défenseur du traitement à l’hydroxychloroquine et à l’azithromycine, pour le Pr Christian Perronne la question de son efficacité ne se pose plus. Chef du service infectiologie de l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches, il le constate tous les jours depuis le début de l’épidémie : le traitement du Pr Raoult soigne et réduit considérablement les passages en réanimation.

[8] Riposte à la covid-19 : la saine colère du Dr BELLATON, Source : page Facebook de Silviane Le Menn, 20 avril 2020.

[9] Coronavirus : le bilan très positif d’un praticien lorrain qui prescrit l’hydroxychloroquine, le Républicain Lorrain, Philippe Marque, 6 avril 2020. Le bilan est plus que positif : « J’ai utilisé ce protocole sur une dizaine de patients hospitalisés, qui ont donc un Covid-19 déjà relativement inquiétant, et je n’ai eu ni décès ni aucune évolution vers un stade grave nécessitant une réanimation. »

[10] Un médecin mosellan constate l’efficacité d’un protocole à base d’azithromycine, le Républicain Lorrain, Thierry Fedrigo, 11 avril 2020. Deux médecins mosellans et l’une de leurs consœurs belges semblent avoir mis au point une combinaison médicamenteuse efficace contre le coronavirus. Tablant sur l’azithromycine sans recourir à l’hydroxychloroquine prônée par l’infectiologue Didier Raoult, ils ont constaté une chute nette des hospitalisations de leurs patients traités.

[11] Un médecin néerlandais soigne les patients atteints de coronavirus, mais le gouvernement néerlandais n’est pas content, Amari Roos, 10 avril 2020

[12] Des médecins algériens attestent de l’«efficacité quasi totale» de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19, 27 avril 2020. Les chefs de services de maladies infectieuses d’un hôpital à Blida et d’un autre à Alger affirment que le protocole à base d’hydroxychloroquine, suivi dans le traitement des patients atteints du coronavirus, donne un résultat positif « quasi-total »

[13] Après l’Algérie, le Maroc encense l’efficacité de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19, 1 mai 2020. Le protocole thérapeutique à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine utilisé contre le Covid-19 « a donné des résultats positifs » au Maroc, a déclaré le ministre de la Santé, précisant que les « effets secondaires sont minimes ».

[14] Ordres nationaux tels que l’Ordre des Médecins, l’Ordre des Pharmaciens, Hautes Autorités de Santé, Sciensano en Belgique…

[15] Agence européenne du médicament : des experts sous influence ?, 12 décembre 2017.

[16] Covid-19: les conseillers du pouvoir face aux conflits d’intérêts, paru le 31mars 2020, écrit par Rozenn Le Saint et Annton Rouget.

[17] Coronavirus : des liens troubles entre labos et conseils scientifiques, Valeurs actuelles, 3 avril 2020.

[18] L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe va enquêter sur l’OMS et le scandale « pandémique », Mondialisation.ca,  F. William Engdahl, 6 janvier 2010

[19] Anthony C Sutton : économiste, historien et écrivain britannique. Sutton fut chercheur à Stanford au sein de la fondation Hoover de 1968 à 1973. Il enseigna l’économie à l’UCLA. Il étudia à Londres, Göttingen et UCLA et fut titulaire d’un doctorat en sciences de l’Université de Southampton, en Angleterre. En 1972, au sein de la Hoover Institution à Stanford : Wall Street et l’ascension de Hitler , Wall Street et la révolution bolchévique

[20] Carroll Quigley : historien américain et professeur d’histoire à l’Université de Georgetown de 1941 à 1976. Quigley est né à Boston où il étudie par la suite et où il décroche deux diplômes et un doctorat d’histoire de la proche et très réputée université Harvard. À l’Université de Georgetown  : Tragedy and Hope: A History of the World in Our Time

[21] Pierre Hillard :  essayiste français, docteur en science politique : La marche irrésistible du nouvel ordre mondial , Chroniques du mondialisme

[22] Michael Parenti, historien, politologue et critique culturel américain. Il a enseigné dans des universités américaines et étrangères. À lire absolument : L’Horreur impériale

[23] Lancet-Gate: « Mensonges scientifiques sur le coronavirus » et corruption des grandes sociétés pharmaceutiques., Mondialisation.ca, Prof Michel Chossudovsky, 15 juillet 2020. Le Dr Anthony Fauci, conseiller de Donald Trump, présenté comme « le meilleur expert américain en maladies infectieuses », a joué un rôle clé dans le salissage du remède HCQ qui avait été approuvé des années plus tôt par le CDC, ainsi que dans la légitimation du Remdesivir de Gilead.

[24] Le remdesivir, médicament qui a prouvé son efficacité face au Covid-19, 11 août 2020.

[25] Le traitement au remdesivir coûtera 2.340 dollars, selon Gilead, 29 juin 2020

[26] COVID-19 : au plus près de la vérité. Vaccins., Mondialisation.ca, Dr Pascal Sacré, 2 août 2020

[27] COVID-19: au plus près de la vérité – Hydroxychloroquine (HCQ), Mondialisation.ca, Dr Pascal Sacré, 29 juillet 2020

[28] Médicaments effets secondaires : la mort, les laboratoires nous trompent. John Virapen, le cherche midi éditions, 2014

[29] La vérité sur les compagnies pharmaceutiques, comment elles nous trompent, comment les contrecarrer, Marcia Angell, MD, ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, traduction en français, les éditions le mieux-être, 2005.

[30] COVID-19 : le côté obscur de la science révélé, Mondialisation.ca, Dr Pascal Sacré, 26 mai 2020

[31] Top Pain Scientist Fabricated Data in Studies, Hospital Says, 11 Mars 2009

[32] Du Nujol au Tamiflu : la guerre menée par l’industrie pharmaceutique contre nos santés, Mondialisation.ca, Dr Pascal Sacré, 16 juin 2010

[33] l’affaire des Couveuses de la Mort et le début de la Guerre du Golfe

[34] COVID 19 – Contrat de l’OMS avec la société de relations publiques Hill & Knowlton


La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2020




Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant!

[Source : Le Tribunal de l’infaux]

Photo : Article de Politico de 2017. « Voici le médecin le plus puissant du monde : Bill Gates. L’influence du magnat de l’informatique sur l’Organisation mondiale de la Santé suscite des critiques concernant des priorités mal placées et une influence excessive. »

Voici la 4e partie d’une série de 5 articles sur Bill Gates, Jeff Yates, le vaccin contre la COVID-19 et la « controversée hydroxychloroquine »

1ère partie : Information contrôlée : Bill Gates, Jeff Yates, le vaccin contre la COVID-19 et la «controversée hydroxychloroquine»

2e partie : L’OMS, Bill Gates et les vaccins

3e partie : Dons de la Fondation Bill & Melinda Gates : des cadeaux empoisonnés pour les Indiens

Afin de bien comprendre le texte qui suit et d’éviter des attaques sur le manque de sources et de preuves, nous reproduisons intégralement la 2e partie : L’OMS, Bill Gates et les vaccins, texte que vous avez possiblement raté puisqu’il a été censuré par Facebook.

Si vous souhaitez passer directement à la 4e partie, copiez-collez ceci dans la barre de recherche : Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant! [NdNM : ou voir plus bas]

L’OMS, Bill Gates et les vaccins

Au cours des deux dernières décennies, Bill Gates est devenu à la fois le plus grand donateur privé de l’OMS et le kingpin des vaccins.

Parmi les recommandations du triumvirat d’Event 201, (plus de détails dans la première partie) on trouve l’augmentation des stocks de vaccins de l’OMS et l’on suggère CEPI et Gavi comme collaborateurs de l’OMS :

« L’industrie, les gouvernements nationaux et les organisations internationales doivent travailler ensemble pour augmenter les stocks internationaux de contre-mesures médicales (CMM) afin de permettre une distribution rapide et équitable lors d’une pandémie grave.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) dispose actuellement d’un stock virtuel de vaccins contre la grippe, avec des contrats en place avec des sociétés pharmaceutiques qui ont accepté de fournir des vaccins si l’OMS en faisait la demande. Ce modèle de stock virtuel pourrait être étendu pour accroître la capacité de l’OMS à distribuer des vaccins et des produits thérapeutiques aux pays qui en ont le plus besoin en cas de grave pandémie. Cela devrait également inclure tout stock de vaccins expérimentaux disponibles pour tout pathogène du plan de R&D de l’OMS et pouvant être déployé dans le cadre d’un essai clinique pendant les épidémies en collaboration avec CEPI, Gavi et l’OMS. » (C’est l’auteure qui souligne dans toutes les citations.)

Notons que des vaccins expérimentaux contre le SRAS-CoV-2 sont actuellement testés en Afrique du Sud.

La Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) est une fondation qui récolte des dons pour financer des projets de recherche et développement de vaccins.

La CEPI, qui a reçu 100 millions de dollars de la Fondation Gates à ses débuts, est selon la revue Nature, « la plus grande initiative de développement de vaccins contre des virus potentiellement à l’origine d’épidémies ». Inaugurée au Forum économique mondial de Davos en 2017, la Coalition est aujourd’hui un joueur clé dans le développement d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2.

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La fondation a été critiquée par Médecins Sans Frontières (MSF) en mars 2019 à la suite d’un changement de politique concernant les prix des vaccins qu’elle finance. La politique élaborée conjointement avec MSF garantissait « que les vaccins développés par la coalition seraient abordables ».

En juin 2018, « apparemment en raison du mécontentement des acteurs de l’industrie vis-à-vis de cette politique, la CEPI a pris la décision de rédiger une nouvelle politique d’accès » et adopté « une politique d’une faiblesse alarmante ». Cette nouvelle politique risque de donner lieu à « des accords lucratifs pour les sociétés pharmaceutiques qui peuvent fixer leurs propres prix sans tenir compte de la nature abordable des vaccins qu’elles développent grâce à un financement public et philanthropique ».

En résumé, la CEPI récolte des fonds publics et philanthropiques, lesquels sont versés aux pharmaceutiques pour qu’elles développent des vaccins grâce auxquels elles s’enrichissent.

La structure de financement de la CEPI repose sur la vente de « bons de vaccins » par l’organisation Gavi, l’Alliance des vaccins fondée par la Fondation Gates.

Gavi est le second donateur privé de l’OMS.

Elle se décrit comme « une organisation internationale visant à améliorer l’accès à de nouveau vaccins et à des vaccins sous-utilisés aux enfants vivant dans les pays les plus pauvres du monde ».

On peut lire sur le site de Gavi :

« La Fondation Gates a fait une contribution financière de 750 millions de dollars pour fonder Gavi en 1999. La Fondation est un partenaire clé de Gavi dans la formation de marchés pour les vaccins. »

gavi gates
« Notre meilleur investissement. »

Les acteurs d’Event 201, financé entre autres par la Fondation Bill and Melinda Gates, ont donc recommandé aux « hauts dirigeants des gouvernements étasunien et internationaux et [aux] leaders des industries mondiales » d’augmenter les stocks de vaccins de l’OMS, financée par la Fondation Gates, en passant par deux organisations financées par la Fondation Gates.

Ce genre de philanthropie tentaculaire est-elle totalement désintéressée?

Il semblerait que non.

Le 17 mars 2020, The Nation publiait une enquête sur la Fondation Bill and Melinda Gates, Bill Gates’s Charity Paradox.

Grâce aux dons déductibles d’impôts faits par son organisme de bienfaisance, Bill Gates a accru sa fortune. Rien de surprenant ni d’illégal là-dedans, il n’est pas le seul à profiter des avantages fiscaux que confère une fondation.

Ce qu’il y a toutefois de plus pertinent dans le cas qui nous préoccupe est que sa fondation a fait des dons à de nombreuses sociétés pharmaceutiques desquelles il détient des actions ou des obligations :

« The Nation a trouvé près de 250 millions de dollars de subventions caritatives de la Fondation Gates à des entreprises dans lesquelles la fondation détient des actions et des obligations : Merck, Novartis, GlaxoSmithKline, Vodafone, Sanofi, Ericsson, LG, Medtronic, Teva et de nombreuses nouvelles entreprises, les subventions étant destinées à des projets tels que le développement de nouveaux médicaments et de systèmes de surveillance de la santé et la création de services bancaires mobiles.

Une fondation qui accorde une subvention à une entreprise qu’elle possède en partie – et dont elle pourrait bénéficier financièrement – semble être en conflit d’intérêts évident […] »

Gates-conflit-intérêts

Le journaliste Tim Schwab conclut que « la fondation fait plus que simplement s’associer à des entreprises : elle subventionne leurs coûts de recherche, ouvre des marchés pour leurs produits et finance leurs revenus d’une manière qui, dans l’ensemble, n’a jamais fait l’objet d’un examen public ».

Sujet d’article pour Gérald Fillion peut-être?

Bill Gates finance donc « la plus grande initiative de développement de vaccins », la CEPI, et une myriade d’autres sociétés et institutions impliquées dans le développement de vaccins, il finance également la formation de marchés pour les vaccins (Gavi), il investit dans les sociétés pharmaceutiques qui profitent de la vente de vaccins, et à titre de donateur privé numéro un et deux (Gavi) de l’OMS, il est dans une position idéale pour influencer les politiques mondiales de santé publique du genre « vaccinons la planète ».

Ce beau modèle philanthropique d’intégration verticale nous amène à la question suivante : l’OMS agit-elle en fonction des intérêts de ses donateurs ou dans l’intérêt des peuples?

L’ancienne directrice de l’OMS Margaret Chan, a répondu à cette question en entrevue au New York Times en 2014 :

« Q: Quel rôle le financement joue-t-il dans la réponse de l’OMS aux éclosions?

R: Mon budget est largement affecté, il est donc motivé par ce que j’appelle les intérêts des donateurs.»

Cela ouvre toute grande la porte aux conflits d’intérêts.

Rappelons que d’autres types de conflits d’intérêts au sein de l’OMS se sont manifestés dans toute leur splendeur lors de la fausse pandémie de grippe A H1N1 en 2009. L’OMS, dont les conseillers étaient liés à l’industrie pharmaceutique, avait recommandé la vaccination à grande échelle, incitant ainsi les gouvernements à acheter des quantités astronomiques de vaccins.

Les revenus des ventes de ces vaccins auraient atteint 6,9 milliards selon JP Morgan.

Le Conseil de l’Europe a d’ailleurs sévèrement critiqué l’OMS, l’accusant de « défaut de transparence », de « gaspillage de l’argent public » et d’« incitation à une crainte injustifiée ».

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Est-ce l’histoire qui se répète?

Si les États-Unis mettent réellement un terme à leur financement de l’OMS en 2021, la Fondation Bill et Melinda Gates deviendra son plus important donateur*.

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L’influence écrasante du milliardaire ne s’arrête pas là.

À cela s’ajoute du financement lié à des membres du Groupe stratégique consultatif d’experts de l’OMS sur la vaccination, composé de 15 personnes. Quatre d’entre elles ont participé à divers projets ou études financées par la Fondation Bill and Melinda Gates et/ou GAVI et l’un d’entre eux est actuellement membre d’un comité de la Fondation Gates. Les institutions de trois d’entre eux ont reçu des subventions de la Fondation. Leur déclaration d’intérêts est ici.

Cela ne signifie pas que ces experts agissent dans l’intérêt de la Fondation Gates, mais il serait naïf de croire que cette dernière n’a aucune influence sur leurs décisions.

On ne mord pas la main qui nous nourrit.


Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant!

Dès le début de la pandémie de coronavirus, Bill Gates est devenu un expert des pandémies, des maladies infectieuses, des vaccins, et des mesures de santé publique. Il fait depuis office de personne ressource pour les grands médias sur tout ce qui touche le coronavirus.

La liste d’entrevues des grands médias avec Bill Gates à ce sujet est consternante.

Le voici par exemple en entrevue à Fox News, avançant que nous pourrions avoir besoin de plusieurs doses de ce vaccin contre la COVID qui n’existe toujours pas.

Dans une longue entrevue à CBSN, il s‘exprime librement sur la nécessité du confinement, le retour à l’école, les déclarations de Donald Trump, les essais cliniques des vaccins et leurs effets secondaires (sujet avec lequel il n’est visiblement pas à l’aise, à environ 15 minutes), la désinformation sur les vaccins et les tests sur le coronavirus.

Contrairement à des médecins qui voient des patients chaque jour, mais se font censurer, Bill Gates peut se permettre de dire n’importe quoi.

Notons que la recherche sur les vaccins contre les infections virales, incluant les coronavirus, fait face un problème d’innocuité particulier, soit l’augmentation de la susceptibilité à l’infection induite par la vaccination. Lorsque ce phénomène se produit, les sujets vaccinés ont plus de chances d’être infectés par un virus contre lequel ils ont été vaccinés.

Le Dr. Fauci, à la tête du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) et figure de proue du Groupe de travail de la Maison-Blanche sur le coronavirus, l’a lui-même rappelé en conférence de presse il y a quelques mois (à 3:00 dans la vidéo) :

« Est-ce que le vaccin peut empirer votre situation? Il existe des maladies pour lesquelles on vaccine des personnes et elles deviennent infectées par ce contre quoi vous tentez de les protéger et, ainsi, vous augmentez l’infection. »

Les scientifiques ne sont d’ailleurs jamais parvenus à fabriquer un vaccin efficace contre un coronavirus.

Le 25 avril dernier le Business Insider rapportait que « le médecin hygiéniste en chef du Royaume-Uni, Christopher Whitty, a déclaré […] à une commission parlementaire qu’il y avait des preuves “préoccupantes” suggérant qu’il pourrait être impossible de stimuler l’immunité au virus. » (C’est l’auteure qui souligne dans toutes les citations.)

L’article débute ainsi :

« Les scientifiques craignent qu’il s’avère impossible de produire un vaccin efficace contre les coronavirus et pensent que le monde devra simplement apprendre à s’adapter à la menace permanente de la COVID-19. »

On ajoute plus loin :

« Les doutes sur la possibilité de disposer d’un vaccin viable reposent en grande partie sur le fait qu’aucun vaccin n’a jamais été approuvé aux États-Unis ou au Royaume-Uni contre d’autres formes de coronavirus.

M. Whitty a déclaré à la commission que les autres formes de coronavirus montrent que “l’immunité [au virus] diminue relativement rapidement”. »

Un vaccin possiblement impossible? Voilà une mission à la hauteur de notre homme, en qui les chefs d’État on tellement confiance qu’ils précommandent des doses de ce vaccin pratiquement mort-né à coup de millions de doses.

Sur son blogue, Bill nous parle de la course au vaccin : « l’humanité n’a jamais eu de tâche aussi urgente que de créer une vaste immunité contre le coronavirus », affirme-t-il.

Rappelons que le taux de mortalité de la COVID-19, qui était surestimé à 3 ou 4 % en février, serait maintenant d’environ 0,4 % « pour les personnes symptomatiques » selon les « meilleures estimations » du Centers for Disease Control (CDC). Si l’on se fie au journal Métro, il y aurait jusqu’à 75 % d’asymptomatiques, donc le taux de mortalité peut être estimé au mieux à environ 0,1 % au pire à environ 0,3 %.

Mais il y a urgence selon le « philanthrope ». L’humanité entière doit être immunisée contre ce virus historique grâce à un vaccin.

Heureuse nouvelle, la BBC publiait récemment un article selon lequel des chercheurs, en effectuant des tests sur des échantillons de sang prélevés il y a des années, ont découvert que 40 à 60 % des gens étaient déjà immunisés contre la COVID-19 avant même que la maladie n’apparaisse.

« Plus bizarre encore, lorsque les chercheurs ont testé des échantillons de sang prélevés des années avant le début de la pandémie, ils ont trouvé des cellules T spécifiquement adaptées à la détection des protéines à la surface de la Covid-19. Cela suggère que certaines personnes avaient déjà un degré de résistance préexistant contre le virus avant qu’il n’infecte un être humain. Et il semble que cette résistance soit étonnamment répandue : 40 à 60% des personnes non exposées possédaient ces cellules […]

Le fait que les coronavirus puissent mener à des cellules T durables est ce qui a récemment inspiré les scientifiques à vérifier d’anciens échantillons de sang prélevés sur des personnes entre 2015 et 2018pour voir s’ils en contiendraient qui pourraient reconnaître la COVID-19. Comme c’est effectivement le cas, on peut penser que leur système immunitaire a appris à le reconnaître après avoir été confronté par le passé à des virus du rhume avec des protéines de surface similaires. »

bbc article immunity

Étrange découverte qui soulève énormément de questions, mais ne nous écartons pas du sujet.

Sur son blogue donc, Bill nous disait le 30 avril dernier ce que nous devons savoir sur le vaccin contre la COVID-19 :

« L’une des questions que l’on me pose le plus souvent ces jours-ci est quand est-ce que le monde pourra revenir à ce qu’il était en décembre, avant la pandémie de coronavirus. Ma réponse est toujours la même : quand nous aurons un médicament presque parfait pour traiter la COVID-19, ou quand presque chaque personne sur la planète aura été vaccinée contre le coronavirus.

La première solution ne risque pas d’arriver de sitôt […] Ce qui nous laisse avec un vaccin. »

Vous avez bien lu : presque chaque personne sur la planète devra être vaccinée avant que l’on retrouve une vie normale.

Vaccin que les scientifiques jugent pratiquement impossible à fabriquer.

Adieu la vie normale, bonjour la « menace permanente »?

Il le répète dans cette vidéo, « c’est le vaccin qui nous permettra de retourner à la normale » :

Comme si l’humanité n’avait jamais survécu à un coronavirus sans vaccin et sans le totalitarisme ambiant.

Le mantra est répété par de nombreuses personnes « faisant autorité », comme les autorités québécoises de santé publique, lesquelles ont « fait comprendre » aux Québécois un mois plus tard qu’un « retour à la complète normalité, c’est-à-dire comme en janvier dernier, n’est pas envisageable avant l’avènement d’un vaccin [d]ans au moins un an ou plus ».

Le professeur Didier Raoult, spécialiste des maladies infectieuses connu pour son utilisation soi-disant controversée de l’hydroxychloroquine croit que « c’est un défi idiot » :

« Quand on ne sait pas gérer une maladie infectieuse, on nous sort le coup du vaccin ! Il est déjà difficile de vacciner correctement contre la grippe, alors contre un nouveau virus… Honnêtement la chance qu’un vaccin pour une maladie émergente devienne un outil de santé publique est proche de zéro. On peut avoir des surprises mais je suis sceptique. »

Mais bon, qu’est-ce qu’il en sait comparativement à Bill Gates, ingénieur en informatique et philanthrope totalement désintéressé?

Ironie à part, s’il y a un domaine dans lequel Bill Gates excelle, c’est le domaine financier. Tout le monde s’entend là-dessus et comme il est rare de s’entendre ces temps-ci, profitons-en!

Investir dans les vaccins, c’est payant!

En 2019, Bill Gates a déclaré en entrevue à CNBC qu’il avait investi 10 milliards dans les vaccins et que le « retour sur investissement est de plus de 20 pour un » :

https://youtu.be/6cfcaK8gBaA

« Si l’on regarde les bénéfices économiques, il s’agit d’un chiffre assez important comparé à tout le reste », dit-il en riant.

Bill Gates valait 54 milliards de dollars en 2010 et en vaut plus de 113 aujourd’hui.

Payant la philanthropie. Mais il affirme qu’il ne se doutait pas que ce genre d’entreprise serait lucrative.

Right.

Difficile de croire qu’il aurait investi 10 milliards de dollars sans aucune stratégie, sans savoir si cela serait lucratif.

Revenons à Gavi, « partenaire clé dans la formation de marchés pour les vaccins », fondée et financée par la Fondation Gates.

Dans un document sur les opportunités d’investissements chez Gavi pour la période 2021-2025, on nous explique ce que sont les « obligations de vaccins », structure de financement employée également par la CEPI, elle aussi financée par la Fondation Gates :

« L’Infrastructure internationale de financement pour la vaccination (IFFIm) utilise les engagements à long terme des gouvernements donateurs pour vendre des « obligations de vaccins » sur les marchés de capitaux, ce qui permet de mettre immédiatement à disposition des volumes importants de fonds pour les programmes de Gavi […]

L’IFFIm a transformé le paysage financier de Gavi, en doublant presque le financement des programmes de vaccination au cours des premières années de fonctionnement de l’IFFIm […]

Ces engagements à long terme soutiennent l’émission d’obligations et de sukuks [obligations islamiques] de vaccins émis sur différents marchés et dans différentes devises et lesquels se sont révélés remarquablement populaires auprès des investisseurs institutionnels et individuels qui souhaitent un rendement fondé sur le marché et une opportunité d’investissement éthique. Avec la Banque mondiale comme gestionnaire de la trésorerie, l’IFFIm a obtenu des donateurs des promesses de dons qui lui ont permis de réunir plus de 6 milliards de dollars US durant la période 2006-2018. »

Entre 2000 et 2020, Gavi a récolté 20,9 milliards de dollars des gouvernements, des banques, des multinationales et des organismes de bienfaisance.

gavi-funders

Les obligations de vaccins seraient « une forme unique de véritables investissements socialement responsables ».

Évidemment, plus on vend de vaccins, plus ces obligations sont rentables, et le meilleur moyen d’y arriver est par l’implantation de programme nationaux d’immunisation.

L’OMS peut donner un petit coup de pouce aux détenteurs d’obligations de vaccins en préconisant l’immunisation comme mesure de santé publique.

Gavi peut de son côté, travailler à la création de marchés pour les vaccins dans les pays en développement, quoiqu’en temps de pandémie, c’est comme mettre une rondelle dans un filet ouvert, surtout lorsque les grands médias surfent sur sa vague et, mieux encore, sur une possible deuxième vague, effrayant les populations, qui se jetterons sur le premier vaccin comme la misère sur le pauvre monde.

Augmenter le prix des vaccins est également souhaitable afin d’atteindre des taux de rendement supérieurs, ce dont semble s’être chargé la CEPI.

Bref, une pandémie « nécessitant » un vaccin est un cadeau du ciel pour quiconque a des investissements dans les vaccins. Personne ne peut le nier.

« Philanthropie monopolistique »

Pour revenir à l’OMS, grâce à sa fondation et à Gavi, le poids de Bill Gates sera largement supérieur à celui de tous les pays donateurs si les États-Unis mettent un terme à leur financement en 2021.

À moins que la philosophie de l’OMS ait changé depuis Margaret Chan, la réponse de l’organisation à l’éclosion de COVID-19 est motivée par les intérêts de ses donateurs, incluant Bill Gates.

Le philanthrope dit vouloir « améliorer la santé » afin de remédier au problème de surpopulation :

Pourtant, ses priorités iraient à l’encontre de ses propres objectifs selon un article de Politico de 2017.

« Certains milliardaires se contentent de s’acheter une île. Bill Gates, lui, s’est procuré une agence sanitaire des Nations Unies à Genève.

Au cours de la dernière décennie, l’homme le plus riche du monde est devenu le deuxième donateur de l’Organisation mondiale de la Santé […] Cette largesse lui donne une influence démesurée sur son programme […]

Selon ses détracteurs, il en résulte que les priorités de M. Gates sont devenues celles de l’OMSPlutôt que de se concentrer sur l’amélioration des soins de santé dans les pays pauvres – ce qui permettrait, selon eux, de contenir de futures épidémies comme celle d’Ebola – l’agence consacre une part disproportionnée de ses ressources à des projets dont les résultats sont mesurables, comme l’effort d’éradication de la polio, que préfère M. Gates […]

Il y a dix ans déjà, lorsque M. Gates a commencé à injecter des fonds dans l’éradication du paludisme, de hauts fonctionnaires – dont le chef du programme de lutte contre le paludisme de l’OMS – ont exprimé leur inquiétude quant au fait que la fondation faussait les priorités de la recherche. “Le terme souvent utilisé était celui de ‘philanthropie monopolistique’, l’idée que M. Gates adoptait son approche de l’informatique et l’appliquait à la Fondation Gates”, a déclaré une source proche du conseil d’administration de l’OMS […]

Les cotisations versées par les États membres représentent désormais moins d’un quart du budget biennal de l’OMS, qui s’élève à 4,5 milliards de dollars. Le reste provient des contributions volontaires des gouvernements, de Gates, d’autres fondations et d’entreprises. Comme ces fonds sont généralement destinés à des projets ou à des maladies spécifiques, l’OMS ne peut pas décider librement de la manière de les utiliser.

L’éradication de la polio est de loin le programme le mieux financé de l’OMS, avec au moins 6 milliards de dollars qui lui ont été alloués entre 2013 et 2019, en grande partie parce qu’environ 60 % des contributions de la Fondation Gates sont destinées à cette cause […]

Mais l’attention portée à la polio a conduit l’OMS à demander des fonds pour d’autres programmes, notamment pour soutenir les systèmes de santé des pays pauvres avant que la prochaine épidémie ne frappe. »

Tel que mentionné dans la 3e partie, Dons de la Fondation Bill & Melinda Gates : des cadeaux empoisonnés pour les Indiens, « les cas de polio causés par des virus vaccinaux dans le monde entier ont été plus nombreux que ceux causés par des poliovirus naturels (sauvages) » et « la fréquence d’administration du vaccin oral contre la polio est directement ou indirectement liée à l’incidence de la paralysie flasque aiguë (PFA) non poliomyélitique ». Les chercheurs suggèrent que ce vaccin est lié à 491 000 cas supplémentaires de PFA non poliomyélitique survenus entre 2000 et 2017.

Les contradictions ne s’arrêtent pas là.

Alors qu’il serait lui-même responsable du sous-financement des systèmes de santé des pays les plus pauvres, ce qui minerait leur capacité à faire face à une pandémie, Bill Gates nous disait dans un Ted Talk en 2015, que nous n’étions pas prêts pour la prochaine pandémie.

Selon le Business Insider :

« Bill Gates a plaidé pendant des années en faveur de la préparation aux pandémies et, en 2015, dans un célèbre TED Talk, il mettait en garde contre le nombre de décès potentiellement effarant qu’une pandémie mondiale pourrait engendrer. »

https://youtu.be/aYPPHX9ZyPk

Vaccinons la planète

En somme, Bill Gates est à la fois le « médecin le plus puissant de la planète » et le kingpin des vaccins, à la tête d’un vaste réseau qui touche à tout ce qui entoure les vaccins et les programmes d’immunisation. (Toutes les sources et explications détaillées de ce résumé sont dans la 2e partie : L’OMS, Bill Gates et les vaccins)

Bill Gates finance des organismes qui récolte du financement et créent des marchés pour les vaccins, il finance la recherche, le développement et la production de vaccins, ainsi que la production de matériel comme des seringues et des fioles, tout en investissant dans les pharmaceutiques.

Il affirme haut et fort que les investissements dans les vaccins sont hautement lucratifs, fonde un organisme (Gavi) dont le but est de développer des marchés pour les vaccins et dont le financement provient de la vente d’« obligations de vaccins » à d’importants investisseurs, obligations vendues également par une autre organisation qu’il finance (CEPI), vouée à la recherche et au développement de vaccins, et qui, selon MSF, « risque maintenant de financer des accords lucratifs pour les sociétés pharmaceutiques […] grâce à un financement public et philanthropique ».

Gates est au cœur d’un réseau de coordination entre gouvernements nationaux, organisations multilatérales, société civile, secteur privé et organisations philanthropiques, toutes impliquées dans un plan d’action mondial pour les vaccins.

Et il a une influence écrasante à l’OMS.

wall street journal invest
Sauver des vies tout en obtenant un bon rendement par l’IFFIm.

Et Bill nous dit qu’il faut vacciner la planète entière.

Et. On. L’écoute.

C’est Si. Dé. Rant.

Sidérant.

L’ingénieur en informatique est sur toutes les tribunes à parler d’un vaccin contre la COVID-19 comme s’il était une sommité dans le domaine médical, alors que de nombreux médecins et experts sont dénigrés et censurés sans arrêt parce qu’ils osent préconiser des remèdes existants, abordables et efficaces, non seulement selon leur expérience sur le terrain, mais selon de nombreuses études.

Il est évident que s’il existe un remède peu coûteux contre la COVID-19, comme par exemple, l’hydroxychloroquine, cela ne sert ni les intérêts du multimilliardaire qui investit dans les pharmaceutiques et finance la vente d’obligations de vaccins, ni de ceux qui investissent dans ces obligations – dont de nombreux gouvernements et multinationales – ni les intérêts des pharmaceutiques qui doivent produire ces vaccins.

Ça fait beaucoup de monde riche et influent à qui profiterait la vaccination planétaire, laquelle serait évidemment freinée, voire inutile si un remède peu coûteux, efficace et reconnu pour son innocuité était disponible.

À la lumière de ce qui précède, nul ne s’étonnera du fait que la Fondation Gates a financé des études vouées à l’échec sur l’hydroxychloroquine.

C’est ce que nous verrons dans la suite et fin de cette série : Attaques orchestrées contre l’hydroxychloroquine, le décrypteur et les géants de la tech.


*Le deuxième donateur de l’OMS pour la période 2018-2019 selon l’ONU est le Royaume-Uni avec 8,1 millions de dollars de plus que la Fondation Gates.




Comment leurs masques rendent bêtes et méchants

[Source : Réseau International]

par Nicolas Bonnal

Dans notre tradition chrétienne et biblique le fait de cacher sa face est un délit spirituel ; et si Dieu cache sa face, la situation est spirituellement très grave. Exemple :

11 Il dit en son cœur : Dieu a oublié, il cache sa face, il ne verra pas, à jamais (psaume 10).

Le masque comme on sait ne prétend pas (ou plus) nous guérir de cet affreux virus qui ne tue plus personne et ne sert qu’à établir le nouvel ordre mondial et son grand Reset, en abolissant ce qui restait de liberté et en diminuant la population de deux milliards à coups de vaccins – pour commencer. A court terme on a pu voir aussi que le masque altère la santé et le caractère de la personne humaine, raison pourquoi certains le veulent définitif et obligatoire. Quand on hait (Gates-Attali-Davos-Soros, etc.) on ne compte pas.

Mais voyons ce qui dit un psychiatre du système, préposé à la manipulation – ou à la location – du cerveau humain et de ses clics acheteurs. Patrick Fagan dans un article puissant paru dans le mensuel britannique The Critic explore les raisons pour lesquelles les masques “rendraient les gens stupides” et seraient une forme de “déshumanisation.”

Fagan écrit :[…]

« Les masques peuvent désormais être ajoutés à la liste des obligations qui vous rendent stupides. […] voici les faits qui expliquent pourquoi vous ne devriez absolument, catégoriquement, pas porter de masque. Ils vous rendent influençables ; ils vous rendent plus susceptible de suivre les directives de quelqu’un d’autre et de faire des choses que vous ne feriez pas autrement. En bref, ils vous privent de votre fonction exécutive — votre conscience. »

Le masque déresponsabilise et rend plus fou : voyez les BLM et les Antifa que Trump laisse faire aux USA pour obéir à ses sponsors, tout en espérant être réélu par son électorat de petits blancs affolés (les oligarques étant eux euphoriques et patients comme on sait).

Fagan donne deux exemples caractéristiques de cette répugnante civilisation consumériste (je rappelle que le mot consommation veut aussi dire mort en latin) :

« Un excellent exemple nous vient d’une étude réalisée par Mathes et Guest (1976), qui ont demandé aux participants s’ils seraient prêts, et combien ils devraient être payés, pour porter une pancarte à la cafétéria de l’université disant “la masturbation, c’est chouette” Les résultats ont montré que lorsque les gens portaient un masque, ils étaient plus susceptibles de porter l’affiche et qu’il leur fallait moins d’argent pour le faire (30 dollars contre 48 dollars en moyenne).

Pendant ce temps, Miller et Rowold (1979) ont présenté un bol de chocolats aux participants à Halloween et leur ont dit qu’ils n’avaient le droit d’en prendre que deux chacun. Lorsque les enfants pensaient qu’ils n’étaient pas surveillés, ils se servaient eux-mêmes. Les enfants sans masque ont enfreint la règle, en prenant plus de chocolats, 37% du temps, contre 62% pour les enfants masqués. Les auteurs ont conclu que les masques “entraînent une diminution des inhibitions comportementales”. […] »

Le masque sert à désinhiber : qu’il s’agisse de BLM, des racailles, de Macron ou de sa police toujours sordide et brutale (quoiqu’en pensent certains), on voit très bien les effets de cette désinhibition. Depuis qu’on ne voit plus leurs visages, casqués ou masqués, les flics sont odieux. Fagan :

« Les effets désinhibiteurs du port d’un masque sont décrits par les psychologues en termes de suspension des mécanismes de contrôle du surmoi, permettant aux impulsions subconscientes de prendre le dessus. Saigre (1989) a écrit que les masques “raccourcissent” les systèmes de défense conscients et encouragent une “régression massive” vers un état plus primitif ; Castle (1986) a écrit que les mascarades du XVIIIe siècle permettaient aux porteurs de masques de libérer leurs pulsions hédonistes et sexuelles réprimées ; et Caillois (1962) a écrit de la même façon sur les carnavals masqués européens impliquant des activités libidinales, notamment “les indécences, les bousculades, les rires provocateurs, les seins à découvert, les imitations de bouffonnerie, une incitation permanente à l’émeute, les festins et les excès de paroles, de bruit et de mouvement”. Au XIIe siècle, le pape Innocent III a interdit les masques dans le cadre de sa lutte contre l’immoralité ; et en 1845, l’État de New York a rendu illégal le port de masques en public par plus de deux personnes, après que des agriculteurs aient porté des masques pour attaquer leurs propriétaires. »

[NdNM : ces effets désinhibiteurs semblent similaires à ceux de l’alcool]

L’altération de l’identité est évidente, ce qui explique la symbolique contre-initiatique des bals masqués de Venise aux Rothschild en passant par Fanny Hill :

« Du point de vue de la neuro-imagerie, les masques sont connus pour inhiber l’identité et le contrôle des impulsions – tous deux associés à la fonction exécutive dans le cortex préfrontal (par exemple, Glannon, 2005 ; Tacikowski, Berger & Ehrsson, 2017). En d’autres termes, les masques font taire le Jiminy Cricket dans le cerveau. »

Grâce aux masques on doit aussi se taire (cf. la muselière) :

« Il n’est pas étonnant que le fait de se couvrir la bouche nous fasse taire psychologiquement. Des études ont montré que les vêtements ont un effet puissant sur notre façon de penser (ou non), via un principe connu sous le nom de cognition encapsulée : le port d’une blouse de laboratoire améliore la fonction cognitive (Adam & Galinsky, 2012), le port d’une blouse d’infirmière augmente l’empathie (López-Pérez et al., 2016), et le port de marques contrefaites augmente la probabilité de tricher dans un test (Gino, Norton & Ariely, 2010). De même, dans le monde du langage corporel, le fait qu’une personne mette sa main sur sa bouche est un signe qu’elle écoute attentivement : elle est prête à recevoir des informations, et non à les remettre en question. »

On pense à Tom Cruise dans la scène du billard du film incontournable Eyes Wide Shut. J’ai expliqué ailleurs la haute symbolique maçonnique de cette « tenue ».

Les masques rendent stupides en nous privant d’air, ajoute Fagan :

« Il existe également une raison plus fondamentale pour laquelle les masques peuvent rendre stupide : la diminution du flux d’oxygène vers le cerveau. Les voiles faciaux réduisent la fonction ventilatoire à long terme (Alghadir, Aly & Zafar, 2012), et les masques chirurgicaux peuvent réduire l’oxygénation du sang chez les chirurgiens (Beder et al., 2008) : croyez-le ou non, se couvrir la bouche rend la respiration plus difficile. En examinant le masque facial N95, une étude de 2010 (Roberge et al.) a conclu que “les niveaux de dioxyde de carbone et d’oxygène étaient respectivement nettement supérieurs et inférieurs aux normes ambiantes du lieu de travail” à l’intérieur du masque. »

Les gouvernements soumis au N.O.M. étendent leur pouvoir pour fabriquer le gentil troupeau résigné prophétisé par Tocqueville :

« Le fait que les masques ne fonctionnent probablement même pas nous amène à la dernière raison pour laquelle le port d’un masque inculque la stupidité et la conformité : à travers un bombardement de mensonges, de contradictions et de confusion, l’État submerge votre capacité à raisonner clairement. »

Fagan donne l’exemple du communisme. On pourrait donner celui de Robinson obligeant le pauvre Vendredi à faire n’importe quoi (creuser et boucher des trous) pour éprouver sa puissance de colonial armé et la soumission de l’indigène. Fagan :

« Comme l’a écrit Theodore Dalrymple, “Dans mon étude des sociétés communistes, je suis arrivé à la conclusion que le but de la propagande communiste n’était pas de persuader ou de convaincre, ni d’informer, mais d’humilier ; et donc, moins elle correspondait à la réalité, mieux c’était. Lorsque les gens sont contraints de se taire lorsqu’on leur raconte les mensonges les plus évidents, ou pire encore lorsqu’ils sont contraints de répéter eux-mêmes ces mensonges, ils perdent une fois pour toutes leur sens de la probité. Consentir à des mensonges évidents, c’est en quelque sorte devenir soi-même mauvais. La volonté de résister à quoi que ce soit est ainsi érodée, et même détruite. Une société de menteurs émasculés est facile à contrôler ».

Fagan conclut un texte brillant et courageux :

« Le but des masques faciaux n’est pas de protéger les humains, mais de diminuer l’humanité – de voler aux gens leur ego, leur identité et leur autonomie. »

Et nous citerons encore la bible, tout en demandant à nos lecteurs de découvrir les vidéos de l’extraordinaire rabbin Amnon Itshak qui a dénoncé la volonté folle de Netanyahou de pucer tous les enfants israéliens :

9 Ne me cache pas ta face, ne repousse point ton serviteur avec colère (psaume 27)

Ou aussi :

7 tu as caché ta face, j’ai été épouvanté (psaume 30)

Nicolas Bonnal


Sources :

https://thecritic.co.uk/face-masks-make-you-stupid/

https://covidinfos.net/covid19/les-masques-vous-rendent-stupides-selon-le-psychologue-patrick-fagan-qui-denonce-une-forme-de-deshumanisation/1939/

Bonnal –  Les mystères de Stanley Kubrick (Dualpha, Amazon.fr)




TRUMP APPORTE SON SOUTIEN AUX GILETS JAUNES

https://www.youtube.com/watch?v=d1rhvSHT97w




Coïncidences concernant Trump et Israël

Trump
est né le 14 juin 1946 et ce jour-là
il y avait eu une lune de sang.

700 jours plus tard, il y a eu la création de l’État d’Israël (14 mai 1948).

Trump est devenu président à 70 ans 7 mois et 7 jours, durant l’année 5777 du calendrier hébreu.

Il a ensuite reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël pour le 70e anniversaire de sa création.

On peut également noter que l’ancien État d’Israël a disparu en 70 après Jésus-Christ.




Le message de Jimmy Carter à Donald Trump : « Savez-vous pourquoi la Chine est en train de nous dépasser ? »

Jimmy Carter
Photo : John Amis / Associated Press

[Source : Chroniques du YÉTI]

Le message de Jimmy Carter à Donald Trump : « Savez-vous pourquoi la Chine est en train de nous dépasser ? »

Le week-end dernier, le président Trump a appelé l’ex-président Carter pour s’entretenir avec lui du problème chinois. Et voici les propos que Jimmy Carter tint en retour à Donald Trump :

« Vous craignez que la Chine nous passe
devant, et je suis d’accord avec vous. Mais savez-vous pourquoi la Chine
est en train de nous dépasser ?

J’ai normalisé les relations
diplomatiques avec Pékin en 1979. Depuis cette date, savez-vous combien
de fois la Chine a été en guerre avec qui que ce soit ? Pas une seule
fois. Et nous, nous sommes constamment restés en guerre.

Les États-Unis sont la nation la plus
belliqueuse de l’histoire du monde, parce qu’ils désirent imposer des
valeurs américaines aux autres pays. La Chine, elle, investit ses
ressources dans des projets tels que les chemins de fer à grande vitesse
au lieu de les consacrer aux dépenses militaires.

Combien de kilomètres de chemin de fer à
grande vitesse avons-nous dans ce pays ? Nous avons gaspillé 3 000
milliards de dollars en dépenses militaires. La Chine n’a pas gaspillé
un centime pour la guerre, et c’est pourquoi elle est en avance sur nous
dans presque tous les domaines.

Et si on avait pris 3 000 milliards pour
les mettre dans les infrastructures américaines, nous aurions un chemin
de fer à grande vitesse. Nous aurions des ponts qui ne s’effondrent pas.
Nous aurions des routes qui seraient maintenues correctement. Notre
système éducatif serait aussi bon que celui de la Corée du Sud ou de
Hong Kong. »

Source : WABE (traduction : Bruno Guigne)




Trump ferme la porte du marché américain de la 5G à Huawei, Pékin et Macron réagissent

[Source : RT France]

Un décret signé par Donald Trump a relancé la guerre commerciale entre les deux premières puissances économiques sur le marché de l’internet de cinquième génération. Pékin dénonce une entrave à la libre concurrence et Macron un acte «pas approprié».

Le président américain Donald Trump a interdit le 15 mai aux réseaux américains de télécoms de se fournir en équipements auprès de sociétés étrangères jugées à risque, une mesure «d’urgence nationale» ciblant d’abord la Chine et l’opérateur Huawei.

Lire aussi : Au Royaume-Uni la place de Huawei dans le futur réseau 5G provoque une crise politique grave

Pékin ne s’y est d’ailleurs pas
trompé et a mis jeudi Washington en garde contre «une atteinte» aux
relations commerciales. «Nous exhortons les Etats-Unis à mettre fin à
leurs actions incorrectes […] pour éviter de nuire davantage aux
relations économiques et commerciales», a réagi lors d’une conférence de
presse un porte-parole du ministère chinois du Commerce. Selon la
Maison Blanche, le décret est justifié parce que des «adversaires
étrangers exploitent de façon croissante des vulnérabilités dans les
services et les infrastructures technologiques de l’information et de la
communication aux Etats-Unis».

Pour Pékin, il s’agit seulement
d’une manœuvre déloyale faussant la concurrence. Huawei a pour sa part
dénoncé par voie de communiqué des «restrictions déraisonnables qui
empiéteront sur [ses] droits». L’entreprise chinoise qui se présente
comme «le leader sans rival de la 5G» estime en outre que ces
restrictions ne feront que «cantonner les Etats-Unis à des alternatives
inférieures et plus coûteuses». Le décret présidentiel assure répondre
aux «actes malveillants favorisés par internet, dont l’espionnage
économique et industriel au détriment des Etats-Unis et de sa
population».

Un contexte de guerre commerciale

C’est la
mesure la plus sévère prise par le gouvernement de Donald Trump contre
le secteur technologique chinois en pleine expansion, en particulier
dans les pays émergents d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie. Elle a
pour contexte l’affrontement commercial entre les deux premières
économies mondiales qui a pour le moment consisté en l’instauration de
barrières douanières réciproque visant certaines catégories de produits
que se vendent les deux pays.

Cela fait un certain
temps que les Etats-Unis abusent de leur puissance pour jeter de façon
délibérée le discrédit sur les entreprises chinoises et les refouler
ainsi à tout prix, ce qui n’est ni juste, ni respectable

Interrogées
sur l’éventualité de l’adoption à Washington d’un tel décret, les
autorités à Pékin avaient préalablement dénoncé un abus de pouvoir
visant selon elles à écarter les entreprises chinoises du libre jeu de
la concurrence. «Cela fait un certain temps que les Etats-Unis abusent
de leur puissance pour jeter de façon délibérée le discrédit sur les
entreprises chinoises et les refouler ainsi à tout prix, ce qui n’est ni
juste, ni respectable», a commenté Geng Shuang, porte-parole de la
diplomatie chinoise.

Avec le secrétaire d’Etat américain Mike
Pompeo en première ligne, les Etats-Unis mènent depuis plusieurs mois
une charge contre Huawei, qu’ils soupçonnent d’espionnage pour le compte
de Pékin.

Les Etats-Unis ont donc exclu la firme chinoise du
déploiement de la 5G sur leur sol et tentent de convaincre leurs alliés
occidentaux d’en faire autant en avertissant des multiples dangers
d’espionnage dans un monde où la cinquième génération augmentera la
foule d’objets connectés, des voitures aux caméras de sécurité.

Le
25 mai, le ministère américain du Commerce a aussi placé Huawei sur une
liste d’entreprises auprès desquelles on ne peut commercer qu’après
avoir obtenu un feu vert des autorités, ce qui revient à des sanctions
directes contre l’entreprise chinoise.

L’arrestation en décembre
de la directrice financière de Huawei à Vancouver (Canada), à la demande
de la justice américaine, avait déjà envenimé les choses. Meng Wanzhou
est soupçonnée d’avoir menti à plusieurs banques pour que Huawei puisse
accéder au marché iranien entre 2009 et 2014, en violation des sanctions
américaines. Elle risque une extradition vers les Etats-Unis.

L’arrestation
de Meng Wanzhou a été suivie quelques jours plus tard par
l’interpellation en Chine de deux ressortissants canadiens, une
détention qualifiée «d’arbitraire» par Ottawa.

Depuis Paris, Macron réagit au décret de Trump

Réagissant
au décret de Donald Trump sur la 5G et l’équipementier chinois Huawei
le président français Emmanuel Macron a jugé pour sa part «pas
approprié» de «lancer maintenant une guerre technologique ou une guerre
commerciale vis-à-vis de quelque pays que ce soit».

«Notre perspective n’est pas de bloquer Huawei ou toute autre entreprise mais de préserver notre sécurité nationale et la souveraineté européenne», a aussi déclaré Emmanuel Macron, qui s’exprimait en anglais, au salon VivaTech à Paris. Il a ajouté : «La France et l’Europe sont pragmatiques et réalistes. Nous voulons développer l’emploi, les affaires, l’innovation. Nous croyons à la coopération et au multilatéralisme.»

https://francais.rt.com/economie/62135-trump-ferme-porte-marche-americain-5g-huawei-pekin-macron-reagissent




Trump et le Congrès présentent des informations sur les observations d’OVNIS par des pilotes de la Marine Américaine – Le lien avec la Force Spatiale et la divulgation d’informations

[Source : Stop Mensonges]

Par DR MICHAEL SALLA le 22 JUIN 2019

Le président Trump et des membres du
Congrès Américain ont récemment pris connaissance de séances
d’informations sur les observations d’OVNIS par des pilotes de la Marine
Américaine. Combinés au Pentagone, reconnaissant qu’il avait créé un
programme classifié d’étude des OVNIS de 2007 à 2012 avec un financement
du Congrès, les séances d’informations suscitent de plus en plus de
spéculations sur la question de savoir si nous sommes sur le point de
faire officiellement des divulgations sur les ovnis et leur véritable
origine.

En outre, les séances d’information ont
lieu simultanément avec la législation visant à créer une force spatiale
progressant régulièrement au Congrès. Cela soulève la question
intrigante de savoir si Trump et les membres du Congrès sont au courant
que la Force Spatiale est nécessaire pour traiter le sujet des OVNIS vus
par les pilotes de la Marine, considérés par le Pentagone comme une
menace potentielle.

Dans une interview accordée à l’animateur de la chaîne ABC, George Stephanopoulos, le Président Donald Trump a admis qu’il avait reçu l’information sur les observations d’OVNI par des pilotes de la Marine Américaine survenues en 2004 et 2015. Dans un article du 15 juin intitulé “Trump informé sur les observations d’OVNI dans la Marine”. Matthew Choi de Politico a écrit sur ce que Trump a dit à Stephanopoulos :

“Je veux les laisser penser ce qu’ils
pensent”, a déclaré Trump à propos des pilotes de la marine. «J’ai eu
une très brève réunion à ce sujet. Mais les gens disent qu’ils voient
des OVNIS. Est-ce que je le crois? Pas particulièrement.»

Trump était ici en train de reconnaître
qu’il ne croyait pas aux OVNIS, qui ont la connotation d’être un
vaisseau spatial piloté par des extraterrestres. En lisant entre les
lignes ici, Trump laisse entendre que ce que les pilotes de la Navy ont
vu n’étaient pas des OVNIS, mais quelque chose d’autre dont lui et le
Pentagone savent ce que c’est.

Lorsqu’on lui a demandé s’il connaissait s’il existait un lien extraterrestre avec ces observations, il a répondu à Stephanopoulos :

«Je pense que nos grands pilotes le
sauraient. Et certains d’entre eux voient des choses un peu différentes
qu’avant. … Nous regardons cela, et vous serez le premier à savoir.»

Trump semblait détourner l’attention de
ce qu’il savait vraiment sur le lien avec les extraterrestres, mais il a
notamment insisté sur le fait que son administration était attentive à
ce que les pilotes de la Navy avaient rapporté. Encore une fois, lisant
entre les lignes, Trump dit que son administration cherche activement
des réponses au phénomène OVNI, et qu’il le découvrira, il le
transmettra à Stephanopoulos et au grand public.

Quelques jours plus tard, le 19 juin, Politico a publié un article relatant trois sénateurs américains qui avaient également reçu des informations classifiées sur les observations d’OVNI par des pilotes de la marine. Bryan Bender a écrit dans «Les Sénateurs ont été informés des observations d’OVNIS par la Marine» :

Selon des responsables du Congrès et de
l’armée, trois autres sénateurs américains ont reçu mercredi une réunion
classifiée du Pentagone au sujet d’une série de rencontres de la Marine
avec des avions non identifiés.

L’un d’entre eux était le sénateur Mark
Warner (D-Va.), Vice-président du Comité du Renseignement du Sénat, dont
le bureau a confirmé la réunion d’information à POLITICO.

 «Si les pilotes de la marine se
heurtent à des interférences inexpliquées dans les airs, le sénateur
Warner pense que nous devons aller au fond des choses», a déclaré sa
porte-parole, Rachel Cohen, dans un communiqué.

Justifier leur intérêt pour les observations de pilotes de la Marine en tant que «problème de sécurité» constitue un moyen pratique pour les membres du Congrès de s’intéresser activement aux rapports OVNIS, qui ont été officiellement rejetés et ridiculisés pendant des décennies. Cette politique officielle remonte à 1953 quand un groupe de scientifiques parrainé par la CIA a présenté un rapport accablant sur les observations d’OVNI qui recommandait un programme d’éducation du public pour rejeter et ridiculiser toutes observations d’OVNIS (ou soucoupe volante) pour des raisons de sécurité nationale.

Depuis lors, la presse grand public a
rapporté des observations d’OVNIS de manière à systématiquement se
moquer et ridiculiser le sujet. Ce qui est très inhabituel aujourd’hui,
c’est que les pilotes de la marine en service obtiennent maintenant la
permission de parler de leurs observations et que la presse accorde une
grande attention à leurs comptes rendus dans des articles sans
aucunement les tourner en ridicule.

Cela est amplement démontré dans les nombreux reportages grand public parus après que le New York Times et Politico ont publié des articles simultanés sur les observations d’OVNI de pilotes de la Marine le 16 décembre 2017. Les deux journaux ont discuté des observations d’OVNI des pilotes, ainsi que des fuite de vidéos enregistrés d’OVNIS par leurs instruments, et le lien entre les observations et l’établissement du programme avancé d’identification de la menace aérospatiale (AATIP) en 2007, avec un financement de 22 millions de dollars du Congrès.

Tout cela coïncide avec la formation de la Space Force en tant que sixième branche de l’armée américaine, qui est actuellement débattue par les deux chambres du Congrès. Au cours des dernières semaines, deux comités de la défense du Congrès ont approuvé l’adoption de projets de loi autorisant la création d’une Space Force. Il faudra encore un mois ou deux à la Chambre des représentants et au Sénat pour adopter leurs projets de loi respectifs, puis résoudre les différences de langage et de priorités entre les deux versions afin de les inclure dans la Loi sur les autorisations de défense nationale pour 2020.

Une chose devient de plus en plus
claire: la Force Spatiale bénéficie d’un véritable soutien bipartite au
Congrès, ce qui semble être le résultat de l’intérêt actuel des médias
et du Congrès pour les OVNIS généré par les rapports de pilotes de la
Marine et les révélations du Pentagone concernant son programme
AATIP. Le sénateur Warner, un démocrate, a-t-il été informé, par ses
informateurs du Pentagone, que les OVNIS vus par les pilotes
constituaient une menace inconnue, et que c’est pourquoi la Force
Spatiale est nécessaire?

Quelques semaines plus tôt, le sénateur Ted Cruz avait déclaré que la Space Force était nécessaire pour lutter contre les pirates de l’espace. Il ne parlait pas de visiteurs extraterrestres, mais plutôt d’éléments voyous de différents pays ou d’entreprises susceptibles de contester la suprématie américaine dans l’espace.

Ce n’est pas une coïncidence si les
membres du Congrès sont informés des rapports des pilotes de la Navy sur
des ovnis qui ont amené le Pentagone à installer son programme AATIP en
2007. On leur dit que les ovnis étaient une menace inconnue, en même
temps où l’administration Trump et Le Pentagone font pression pour la
mise en place de la Space Force.

On s’attend généralement à ce que la Space Force soit officiellement créée et mise en place sous le Département de la Force Aérienne en 2020, à l’instar des relations entre le Département de la Marine et la US Marine Corps. Après son lancement officiel, la Force Aérienne sera prête à dévoiler les technologies spatiales classifiées qu’elle a secrètement développées depuis des décennies dans un Programme Spatial Secret, décrit en détail dans mon livre paru récemment, US Air Force Secret Space Program : Alliances extraterrestres et force spatiale .

La divulgation officielle est susceptible de se dérouler en différentes étapes. La première sera que beaucoup d’observations d’OVNIS impliquent des technologies classifiées développées par l’USAF, ainsi que des technologies aérospatiales similaires développées par la Russie et la Chine. La divulgation d’un Programme Spatial Secret de la Force aérienne sera un moyen optimal de surprendre le public américain par des informations sur les véhicules anti-gravité d’apparences et de formes différentes mis en place depuis plusieurs décennies.

La deuxième étape de la divulgation implique probablement des annonces futures concernant la capture et la rétro ingénierie de technologies non terrestres remontant aux années 1940, décrites dans le Programme Spatial Secret De la US Air Force .

Un document qui révèle une fuite sur le vice-amiral Tom Wilson, ancien directeur de la Defense Intelligence Agency, s’est vu refuser l’accès, en 1997, à un programme d’entreprise classifié impliquant la rétro-ingénierie de technologies avancées non conçues par l’homme.

Le document divulgué identifie plusieurs
scientifiques et anciens responsables militaires qui pourraient être
convoqués devant le Congrès pour témoigner de leur connaissance d’un tel
programme de rétro-ingénierie. En effet, le responsable du programme
AATIP du Pentagone de 2007 à 2017, Luis Elizondo, a donné une interview à
Tucker Carlson le 31 mai, avouant que certaines technologies OVNI
avaient été récupérées et étaient à l’étude par le gouvernement
américain.

Carlson: Pensez-vous que, sur la base de
votre décennie de service au gouvernement américain sur cette question,
le gouvernement américain détient en sa possession des éléments d’un de
ces avions?

Elizondo: Je le pense. Oui.

Carlson: Pensez-vous que le gouvernement américain a actuellement des débris d’OVNI en sa possession?

Elizondo: Malheureusement, Tucker, je
dois vraiment faire attention à mon [accord de non-divulgation], je ne
peux vraiment pas entrer dans beaucoup plus de détails que cela…

Carlson: d’accord.

Elizondo: Mais, ah, tout simplement, oui.

Cela mettrait en place un moyen par
lequel le Pentagone et l’Administration Trump pourraient révéler comment
les technologies extra-terrestres récupérées étaient utilisées par
l’USAF pour la recherche et le développement de technologies
aérospatiales avancées utilisant l’antigravité, le champ de torsion et
d’autres systèmes de propulsion exotiques.

Enfin, après la création de Space Force
et la révélation publique de son arsenal de vaisseaux anti-gravité
hérités de l’USAF, la vérité sur certains des extraterrestres en visite
dans notre monde peut être annoncée. La divulgation extraterrestre peut
être effectuée de manière à ne pas saper la confiance du public dans le
fait que les États-Unis et les autres gouvernements nationaux sont en
mesure de défendre leurs populations contre toute action extraterrestre
hostile.

L’attention médiatique généralisée
accordée aux rapports de pilotes de la US Navy, l’association des OVNIS
avec le programme AATIP et l’adoption par le Congrès de la législation
établissant la Force Spatiale sont tous des signes évidents de
révélations majeures qui s’en viennent.

© Michael E. Salla, Ph.D.

Source : https://www.exopolitics.org/trump-congress-briefed-on-us-navy-pilot-ufo-sightings-the-connection-to-space-force-disclosure/




Trump destitué?

https://youtu.be/ffLfQpA1pzY



COVIDGATE : Robert Kennedy dénonce l’arnaque, Trump démantèle son équipe anti-Covid 19 puis recule

[Source : Strategika]

Par Michèle Marie pour Strategika

Robert F. Kennedy Jr. a récemment lâché une série de bombes au sujet de l’arnaque des vaccins de Bill Gates, censés rapporter des milliards de dollars à l’équipe anti-Covid 19 nommée par Trump en février dernier. Le 4 mai, le président américain a annoncé son démantèlement pour la fin du mois en cours, avant de faire brusquement volte-face 24 heures plus tard.
Cherchez à qui profite le crime…suivez la piste de l’argent, si vous voulez comprendre l’insistance à noircir le tableau et à vacciner la planète entière, a déclaré Kennedy dans une interview du 17 avril dernier. Belle imposture que celle de cette collusion entre Big Pharma, la Fondation Gates et l’agence gouvernementale qui emploie le Dr Anthony Fauci, chef de l’équipe du Covid 19, et qui pourrait recevoir jusqu’à 50 % du produit des ventes des vaccins de Gates. Le NIH (Institut national de la santé) est l’acteur clé dans le processus décisionnel en matière de vaccination et il touchera des sommes colossales si la société pharmaceutique soutenue par Gates, Moderna Inc., obtient le feu vert.

Bobby Kennedy Jr, un démocrate, est le neveu du President assassiné en 1963 et le fils de Robert Kennedy Sr, Procureur général et Sénateur, lui aussi assassiné cinq ans plus tard. Avocat de renom et passionné des questions d’environnement et de santé, il est devenu depuis une quinzaine d’années un ardent activiste anti-vaccins.

Le 15 avril dernier, Bobby Kennedy avait déjà fait d’autres révélations troublantes sur la carrière médicale du Dr Anthony Fauci au sein du gouvernement, dénonçant ses agissements douteux allant de la dissimulation à la fraude pure et simple. Kennedy avait également pris pour cible Dr. Deborah Birx, élève de Fauci et coordinatrice de l’équipe anti-Covid 19,  torpillant au passage Bill Gates, les grandes entreprises pharmaceutiques et les médias.

Le 30 avril, c’était au tour du Sénateur Scott Jensen de faire trembler les murs dans une interview au cours de laquelle il évoqua les magouilles du Covid-19, en se prévalant de son expérience de médecin : 

“A l’heure actuelle, l’assurance maladie détermine que si un patient est admis à l’hôpital pour un COVID-19, l’établissement hospitalier reçoit 13.000 dollars (trois fois plus que pour un autre malade).Si ce patient COVID-19 est placé sous respirateur, l’hôpital reçoit 39.000 dollars, soit trois fois plus que sans respirateur. C’est une pratique courante : vous essayez toujours d’augmenter l’indice de gravité de la pathologie pour obtenir plus de fonds. Et les hôpitaux sont mieux payés quand ils désignent le “coronavirus” comme cause du décès. C’est donc ce qu’on marque sur les certificats de décès.”

Dr Judy Mikovits, une éminente scientifique américaine et une pionnière dans le domaine de la recherche, qui avait brisé le 21 avril un silence de 30 ans pour démasquer le Dr. Fauci, donna le 4 mai une interview explosive qui peut être visionnée ici à la journaliste Tina Aguayo, sur la plateforme d’AmericasVoice.News.  Le compte twitter de la journaliste vient d’être suspendu et si la vidéo de l’émission est  pour l’instant encore visible sur YouTube, il vaut mieux en faire immédiatement une sauvegarde car elle sera bientôt censurée. 

Dr Mikovits y raconte en detail le cauchemar enduré durant ses longues années de recherche sous le contrôle administratif du Dr. Fauci au sein du NIH, la corruption et la cupidité qui y sont les mots d’ordre: menaces, vaccins contaminés, fraude, dissimulation…rien ne manque à son récit.Pas même son emprisonnement de 5 ans par les bons soins du Dr Fauci, sur la base d’un faux témoignage, après qu’il lui ait volé ses découvertes scientifiques non pas une, mais deux fois. Les vaccins tuent, affirme Dr. Mikovits, ou sont à tout le moins responsables de quantité de maux modernes jadis quasi-inexistants, l’autisme, les allergies chroniques, les maladies épidémiques. L’extrême toxicité de leur composition est due aux métaux utilisés comme adjuvants, mais également au fait que les vaccins sont mis au point à partir de cultures de cellules animales (quand elles ne sont pas fœtales).

Les deux dernières minutes de l’interview sont un message adressé au Président Trump :

“Mettez fin aux masques faciaux qui activent les virus et tuent littéralement les gens, en particulier ceux qui ont reçu le vaccin contre la grippe. Nous ne devons pas continuer à respirer notre propre air vicié, les personnes les plus vulnérables peuvent en mourir.Mettez fin au confinement. Licenciez les Dr Anthony Fauci et Deborah Birx.Fermez la FDA [Food and Drug Administration] qui empêche les gens d’avoir accès aux médicaments susceptibles de leur sauver la vie [comme l’hydroxychloroquine]. Mettez fin au programme de vaccination, imposez un moratoire de 5 ans, ne permettez plus qu’aucun autre vaccin ne soit prescrit.Le Covid 19 est un fléau, mais c’est un fléau créé par la corruption, pas par une maladie”.

Comme l’indique cette capture d’écran d’un tweet publié sur la page de Tina Aguayo peu avant qu’elle ne soit censurée, le même Dr Fauci qui s’était opposé à Trump pour l’usage de l’hydroxychloroquine dans le traitement du coronavirus, l’avait adoptée avec enthousiasme en 2013 sans avoir besoin d’aucun test clinique.

Le témoignage du Dr Judy Mikovits est également accessible dans un ouvrage * dont elle est l’auteur, préfacé par Robert Kennedy et paru le 14 avril dernier : “Plague of Corruption: Restoring Faith in the Promise of Science”. [Le fléau de la corruption ou comment rétablir la confiance dans les promesses de la science] 

Quelques heures après son interview, Dr. Mikovits se réjouissait dans un tweet du fait que le President l’avait visionnée avec intérêt. La chose lui avait été rapportée. Elle annonçait aussi une grande nouvelle qui devait être annoncée prochainement.

Et en fait, dès le lendemain, semblant prendre acte de ses dénonciations, Trump annonçait le démantèlement de son équipe anti-Covid 19 pour la fin mai, ainsi que la réouverture de l’économie qui, jusqu’en février dernier, avait été son meilleur atout.Du reste, depuis quelque temps déjà, des doutes l’assaillaient sur le petit jeu malsain joué en coulisse par le Dr Fauci. Il lui en avait même manifesté de l’irritation, notamment le 13 avril dernier en retweetant un appel au renvoi de Fauci.

Or voici qu’en l’espace de 24 heures, un coup de tonnerre est venu trouer cette belle éclaircie : lorsque dans une volte-face inattendue, Trump a déclaré que tous comptes faits, il entendait “conserver indéfiniment” son équipe Covid 19 et, en particulier, les Dr Fauci et Birx. Même CNN en était estomaqué. Pressé de s’expliquer, le président a déclaré qu’en raison de “la popularité de son équipe”, il s’était “rangé à l’avis de ses conseillers”.Dr. Fauci doit comparaitre le 12 mai pour être examiné par une commission du Sénat américain sur la réponse donnée par l’Administration à la crise du Covid 19. Trump a-t-il voulu esquiver une guerre ouverte avec son expert épidémiologiste pour ne pas mettre en danger ses perspectives de réélection  à 6 mois des présidentielles de novembre ? Cela est plus que probable. Saura-t-il mener son embarcation à bon port sans la faire chavirer dans des eaux où pullulent les requins aux dents longues ? C’est à voir.




Mise au pas des plateformes aux Etats-unis, loi Avia en France, Trump versus Macron

[Source : medias-presse.info]

par Francesca de Villasmundo

Alors que la France, via la néfaste loi Avia, sombre dans l’obscurantisme de la censure arbitraire et privée, que les propos des Français vont ainsi être soumis au contrôle subjectif des plateformes Facebook, Twitter, Google and Co, collaborateurs serviles du régime Macron et gardiens fidèles de la pensée unique imposée par la conscience morale universelle qui ne supporte, la pauvrette, aucune contestation ni résistance à son désir de monopole idéologique sur les esprits, aux Etats-Unis, c’est tout le contraire qui se dessine.

Le président Donald Trump a décidé de mettre au pas les plateformes avant tout parce que leur politique de modération, c’est-à-dire la censure qu’elles appliquent aux propos des Américains, est conditionnée par la gauche radicale. Une gauche radicale qui dicte tout autant en France la bonne pensée à tenir sur les réseaux sociaux.

The Radical Left is in total command & control of Facebook, Instagram, Twitter and Google. The Administration is working to remedy this illegal situation. Stay tuned, and send names & events. Thank you Michelle! https://t.co/ZQfcfD3Hk9

— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) May 16, 2020

« La gauche radicale à la maîtrise totale et le contrôle de Facebook, Instagram, Twitter et Google. L’Administration est en train de travailler à remédier à cette situation illégale. Restez à l’écoute, envoyez des noms et des événements. Merci Michelle » a tweeté Trump le 17 mai dernier.

Au pays de l’oncle Donald, Laetitia Avia aurait été renvoyée à ses fourneaux et sa loi de censure mise à la poubelle ! Mais en la très démocratique et libre République française, la loi Avia passe comme une lettre à la poste… Cherchez l’erreur. 

Francesca de Villasmundo




Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres

[Source : medias-presse.info]

Mgr Vigano avait déjà créé la surprise en prenant, le 8 mai dernier, l’initiative d’un Appel qui dénonçait sans ambiguïté les agissements en vue d’instaurer un gouvernement mondial.

Nouvelle audace : Mgr Vigano s’adresse publiquement au président des Etats-Unis Donald Trump dans un courrier qui dénonce l’Etat Profond (Deep State), courrier mis en ligne le samedi 6 juin sur le site LifeSiteNews.

La puissante lettre de l’archevêque Viganò au président Trump : la lutte éternelle entre le bien et le mal se joue en ce moment
L’archevêque Carlo Maria Viganò avertit le président que les crises actuelles liées à la pandémie de coronavirus et les émeutes au nom de George Floyd font partie de la lutte spirituelle éternelle entre les forces du bien et du mal.

7 juin 2020

Dimanche de la Sainte Trinité

Monsieur le Président,

Ces derniers mois, nous avons assisté à la formation d’une dualité que j’appellerais biblique : les enfants de la lumière et les enfants des ténèbres. Les enfants de la lumière constituent la partie la plus visible de l’humanité, tandis que les enfants des ténèbres représentent une minorité absolue. Et pourtant les premiers font l’objet d’une sorte de discrimination qui les place dans une situation d’infériorité morale vis-à-vis de leurs adversaires, qui occupent souvent des positions stratégiques au gouvernement, en politique, dans l’économie et dans les médias. D’une manière apparemment inexplicable, les bons sont pris en otage par les méchants et par ceux qui les aident soit par intérêt personnel soit par peur.

Ces deux camps, qui ont un caractère biblique, suivent la séparation claire entre la progéniture de la Femme et la progéniture du Serpent. D’une part, il y a ceux qui, bien qu’ils aient mille défauts et faiblesses, sont motivés par le désir de faire le bien, d’être honnête, d’élever une famille, de travailler, de donner la prospérité à leur patrie, d’aider les nécessiteux et, par obéissance à la Loi de Dieu, de mériter le Royaume des Cieux. D’un autre côté, il y a ceux qui se servent eux-mêmes, qui n’ont aucun principe moral, qui veulent démolir la famille et la nation, exploiter les travailleurs pour se rendre indûment riches, fomenter des divisions et des guerres internes, et accumuler du pouvoir et de l’argent : pour eux l’illusion fallacieuse du bien-être temporel cédera un jour – s’ils ne se repentent pas – au terrible sort qui les attend, loin de Dieu, dans la damnation éternelle.

Dans la société, Monsieur le Président, ces deux réalités opposées coexistent en tant qu’ennemis éternels, tout comme Dieu et Satan sont des ennemis éternels. Et il semble que les enfants des ténèbres – que nous pouvons facilement identifier avec l’Etat profond (Deep State) auquel vous vous opposez sagement et qui mène une guerre acharnée contre vous ces jours-ci – ont décidé de montrer leurs cartes, pour ainsi dire, en révélant maintenant leurs plans. Ils semblent si sûrs d’avoir déjà tout sous contrôle qu’ils ont mis de côté cette circonspection qui, jusqu’à présent, avait au moins partiellement caché leurs véritables intentions. Les enquêtes déjà en cours révéleront la véritable responsabilité de ceux qui ont géré l’urgence de Covid non seulement dans le domaine des soins de santé mais aussi dans la politique, l’économie et les médias. Nous trouverons probablement que dans cette opération colossale d’ingénierie sociale, il y a des gens qui ont décidé du sort de l’humanité, s’arrogeant le droit d’agir contre la volonté des citoyens et de leurs représentants dans les gouvernements des nations.

Nous découvrirons également que les émeutes de ces jours ont été provoquées par ceux qui, voyant que le virus s’estompe inévitablement et que l’alarme sociale de la pandémie s’estompe, ont forcément dû provoquer des troubles civils, car ils seraient suivis d’une répression qui, bien que légitime, pourrait être condamnée comme une agression injustifiée contre la population. La même chose se produit également en Europe, en parfaite synchronisation. Il est tout à fait clair que le recours aux manifestations de rue est déterminant pour les objectifs de ceux qui souhaitent voir quelqu’un élu aux prochaines élections présidentielles incarner les objectifs de l’État profond et qui exprime ces objectifs fidèlement et avec conviction. Il ne sera pas surprenant que, dans quelques mois, nous apprenions une fois de plus que derrière ces actes de vandalisme et de violence, il y a ceux qui espèrent profiter de la dissolution de l’ordre social pour construire un monde sans liberté: Solve et Coagula , comme l’enseigne l’adage maçonnique.

Bien que cela puisse sembler déconcertant, les alignements opposés que j’ai décrits se retrouvent également dans les milieux religieux. Il y a des bergers fidèles qui s’occupent du troupeau du Christ, mais il y a aussi des infidèles mercenaires qui cherchent à disperser le troupeau et à remettre les brebis pour être dévorées par des loups voraces. Il n’est pas surprenant que ces mercenaires soient des alliés des enfants des ténèbres et détestent les enfants de la lumière : tout comme il y a un Etat profond , il y a aussi une église profonde qui trahit ses devoirs et renonce à ses engagements appropriés devant Dieu. Ainsi, l’ ennemi invisible, contre lequel les bons dirigeants se battent dans les affaires publiques, est également combattu par les bons bergers de la sphère ecclésiastique. C’est une bataille spirituelle dont j’ai parlé dans mon récent Appel qui a été publié le 8 mai.

Pour la première fois, les États-Unis ont en vous un président qui défend courageusement le droit à la vie, qui n’a pas honte de dénoncer la persécution des chrétiens du monde entier, qui parle de Jésus-Christ et du droit des citoyens à la liberté de culte. Votre participation à la Marche pour la vie , et plus récemment votre proclamation du mois d’avril comme Mois national de la prévention de la maltraitance des enfants, sont des actions qui confirment de quel côté vous souhaitez vous battre. Et j’ose croire que nous sommes tous les deux du même côté dans cette bataille, bien qu’avec des armes différentes.

Pour cette raison, je crois que l’attaque à laquelle vous avez été soumis après votre visite au Sanctuaire national de Saint-Jean-Paul II fait partie du récit médiatique orchestré qui ne cherche pas à combattre le racisme et à ramener l’ordre social, mais à aggraver la situation ; non pas pour rendre justice, mais pour légitimer la violence et le crime ; non pas pour servir la vérité, mais pour favoriser une faction politique. Et il est déconcertant qu’il y ait des évêques – comme ceux que j’ai récemment dénoncés – qui, par leurs paroles, prouvent qu’ils sont alignés du côté opposé. Ils sont soumis à l’Etat profond , au globalisme, à la pensée alignée, au Nouvel Ordre Mondial qu’ils invoquent de plus en plus souvent au nom d’une fraternité universelle qui n’a rien de chrétien, mais qui évoque les idéaux maçonniques de ceux qui veulent dominer le monde en chassant Dieu des tribunaux, des écoles, des familles et peut-être même des églises.

Le peuple américain est mature et a maintenant compris à quel point les médias mainstream ne veulent pas répandre la vérité mais cherchent à la faire taire et à la déformer, répandant le mensonge qui est utile aux fins de leurs maîtres. Cependant, il est important que les bons – qui sont la majorité – se réveillent de leur torpeur et n’acceptent pas d’être trompés par une minorité de personnes malhonnêtes à des fins inévitables. Il faut que les bons, les enfants de la lumière, se réunissent et fassent entendre leur voix. Quelle manière plus efficace de le faire, Monsieur le Président, que par la prière, en demandant au Seigneur de vous protéger, vous, les États-Unis et toute l’humanité, de cette énorme attaque de l’ennemi ? Avant le pouvoir de la prière, les tromperies des enfants des ténèbres s’effondreront, leurs complots seront révélés, leur trahison sera montrée.

Monsieur le Président, ma prière est constamment tournée vers la nation américaine bien-aimée, où j’ai eu le privilège et l’honneur d’être envoyé par le Pape Benoît XVI comme Nonce apostolique. En cette heure dramatique et décisive pour toute l’humanité, je prie pour vous et aussi pour tous ceux qui sont à vos côtés au sein du gouvernement des États-Unis. J’espère que le peuple américain est uni avec moi et vous dans la prière au Dieu Tout-Puissant.

Unis contre l’ennemi invisible de toute l’humanité, je vous bénis ainsi que la Première Dame, la nation américaine bien-aimée, et tous les hommes et femmes de bonne volonté.

+ Carlo Maria Viganò

Archevêque titulaire d’Ulpiana

Ancien Nonce Apostolique aux États-Unis d’Amérique


Donald Trump se dit honoré par la Lettre ouverte de Mgr Vigano et espère qu’elle sera lue par tous


La président des Etats-Unis Donald Trump retweete la lettre ouverte de l’archevêque Viganò et ajoute :
«Tellement honoré par l’incroyable lettre de l’archevêque Viganò».
“J’espère que tout le monde, religieux ou non, la lit!”, écrit encore le président dans un Tweet du mercredi 10 juin 2020 à 19 h.

https://twitter.com/realDonaldTrump/status/1270842639903006720?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1270842639903006720&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.medias-presse.info%2Fdonald-trump-se-dit-honore-par-la-lettre-ouverte-de-mgr-vigano-et-espere-quelle-sera-lue-par-tous%2F121168%2F

Cette lettre de Mgr Viganò dénonce notamment l’Etat profond (Deep State) et les émeutes organisées à la suite de la mort de George Floyd, considérant que nous assistons à un combat biblique qui voit s’affronter les enfants de la Lumière et les enfants des Ténèbres.




Covid-19 – Etats-Unis, deux combats divergents : les Démocrates ciblent Trump, les Républicains, la santé des citoyens ?

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Xavier Azalbert et Sylvestre de Oliveira Costa pour FranceSoir

En France, les thèmes du moment sur les masques et leur utilisation obligatoire, la précision et l’usage généralisé des tests, ainsi que les traitements pour la Covid 19 polarisent les esprits. Et ne parlons pas des attaques que subissent les professeurs Raoult ou Perronne. D’un côté, le gouvernement essaie d’asseoir avec autorité des mesures, dont certaines peuvent être liberticides, comme l’usage obligatoire des masques en extérieur ou l’augmentation du nombre de tests (capacité de plus de 1 million de tests par semaine). De l’autre, l’association savante la SPILF attaque le Pr Raoult devant le Conseil de l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône au motif qu’il aurait, entre autres, fait un mauvais usage de l’hydroxychloroquine. La situation en devient complexe à analyser tant les deux camps s’opposent en instrumentalisant la science à des niveaux micro.

En essayant de prendre un peu de hauteur, nous nous sommes déjà intéressés à ce qui se passe dans d’autres pays (qui soigne le mieux entre la France et l’Italie) afin d’apprendre de nos voisins. Nous proposons aujourd’hui de traverser l’Atlantique pour étudier le cas des Etats-Unis. Le débat sur l’hydroxychloroquine y a pris des tournures politiques avec les recommandations de la FDA de ne pas faire usage de ce traitement pour la Covid-19. Simone Gold, médecin aux Etats-Unis s’est battue, aux côtés de bien d’autres, contre cette décision. Avec l’association America’s Front Line Doctor (les docteurs de terrains), ces médecins ont été censurés sur les réseaux sociaux.

Qu’en est-il vraiment aux Etats-Unis ?

Le diagramme ci-dessous permet de visuellement résumer la situation américaine en regardant les taux de mortalité par million d’habitants en fonction de la politique sanitaire des Etats vis-à-vis de l’usage de l’hydroxychloroquine.

Les Etats ont été séparés en trois groupes en fonction de leur politique sanitaire sur l’hydroxychloroquine pour le traitement de la Covid-19. La politique sanitaire de chaque Etat se réfère à l’information fournie par le site AFLDS.

  • En vert : les Etats où l’hydroxychloroquine est librement prescrite (prescription standard)
  • En jaune : les Etats où il est plus difficile d’obtenir l’hydroxychloroquine
  • En rouge : les Etats où il est impossible d’obtenir l’hydroxychloroquine
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Les Etats où l’hydroxychloroquine est prescrite comme « prescription standard » ont un taux de mortalité moyen de 390 décès par million d’habitants (intervalle compris entre 53 à 530 décès par million). Les Etats où il est plus compliqué de l’obtenir ont une moyenne de 515 décès par million d’habitants (intervalle de 52 à 1315) et ceux où il est impossible de l’obtenir ont une moyenne de 1011 décès par million d’habitants (intervalle 128 à 1807).

Plus intéressant encore, les taux de mortalité sont de 18.2% pour les Etats avec une prescription standard de l’hydroxychloroquine et de 40% et plus pour les Etats où il est évalué difficile ou impossible de l’obtenir. Les Etats prescrivant l’hydroxychloroquine ont donc un taux de mortalité de plus de 56% en moins.

Ces chiffres statistiquement différents demandent à être interprétés plus en profondeur.

Parmi les Etats qui prescrivent l’hydroxychloroquine, on retrouve la Floride qui a une population plus âgée (20.6% de sa population a plus de 65 ans Vs 14.3% en moyenne aux USA) et son taux de mortalité (530 décès par million d’habitants) est inférieur à celui de la moyenne nationale (563 décès par million d’habitants).
A l’opposé, parmi les Etats où il est impossible d’obtenir de l’hydroxychloroquine, on retrouve l’Utah où la population est la plus jeune des USA (seulement 11% ont plus de 65 ans) et où 62% des habitants se disent mormons. Rappelons que les mormons ne boivent pas d’alcool, de thé ni de café et doivent s’abstenir de prendre des médicaments sur ordonnance ou en vente libre.

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Ces quelques éléments permettent de mieux appréhender la situation d’un pays aussi grand que l’Europe. Dans un pays continent, où l’usage de l’hydroxychloroquine divise plus qu’en France où elle a été interdite, le taux de mortalité par million d’habitants est de 563 versus 458 en France. Le taux de mortalité en France est quand même significativement supérieur à celui des Etats ayant prescrit l’hydroxychloroquine en standard (390 par million d’habitants), Etats qui représentent 26% de la population américaine avec approximativement 80 millions d’habitants, donc un peu plus que la population française.

André Savarino, chercheur au Département des Maladies Infectieuses, Instituto Superiore di Sanità à Rome en Italie, avec plus de 3000 citations à son actif, a expliqué à FranceSoir combien l’hydroxychloroquine était politisée aux Etats-Unis, polarisant les débats entre Républicains et Démocrates à quelques deux mois des élections présidentielles américaines.

Le graphique suivant illustre les taux de mortalité des Etats en fonction de leur couleur politique.

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Les Etats en bleu (37% de la population) sont ceux qui sont historiquement démocrates et les Etats en rouge (32% de la population) ceux historiquement républicains, ces Etats n’ayant pas changé de couleur politique au cours des quatre dernières élections présidentielles. Les Etats, que nous avons appelé « incertain » ont changé de couleur politique sur cette même période sont en violet au milieu.

Une tendance apparait. Les Etats démocrates (37.2% de la population) ont un taux de mortalité Covid-19 de 779 décès par millions d’habitants (intervalle 52- 1807) versus 427 décès par millions d’habitants (intervalle 53 – 1072) pour les Etats républicains (31.9% de la population). Il y a donc une nette tendance qui se révèle : le taux de mortalité dans les Etats républicains est 45% inférieur à celui des Etats démocrates.

Focalisons-nous maintenant sur les standards de prescription

La prochaine étape pour analyser la situation américaine est de superposer les pratiques de prescription de l’hydroxychloroquine et la couleur politique des Etats.

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Une tendance apparait là encore. Les Etats ayant prescrit l’hydroxychloroquine en soins standards sont en majorité républicains ou incertains, et les Etats ayant rendu impossible sa prescription sont en majorité démocrates. Cela peut paraitre logique puisque le président Trump, républicain, a été un fervent supporteur de l’hydroxychloroquine alors que la FDA (Federal Drug Administration) et le NAID dirigé par le docteur Fauci (proche de Gilead et opposant de l’hydroxychloroquine, encore à ce jour), qui sont plutôt à tendance social-démocrate, s’y sont opposés.

En se focalisant sur les exceptions parmi les Etats ayant prescrit l’hydroxychloroquine, et pas nettement républicains, on retrouve la Floride, l’un des Etats avec la population la plus à risque puisque relativement âgée. A l’inverse dans les états ayant rendu l’usage de l’hydroxychloroquine quasiment impossible, on retrouve l’Utah et l’Arkansas parmi les bons élèves en termes de taux de mortalité.

A mieux y réfléchir, cette situation aux USA est vraiment très surprenante puisque les Démocrates sont historiquement en faveur des soins pour les Américains. Rappelons que le président Obama a mis en place le programme de santé ObamaCare et avait prévenu le président Trump en 2017 :

« Nous devrions toujours partir d’un postulat : tout changement apporté à notre système de santé doit le rendre meilleur, pas pire pour les travailleurs américains ».

En s’opposant à la prescription standard de l’hydroxychloroquine, un médicament générique et peu onéreux et en favorisant le remdesivir, très coûteux avec des effets secondaires sérieux, approuvé par la FDA et promu par le Dr Fauci, les Démocrates auraient-ils oubliés les paroles de leur ancien président ?

Andréa Savarino a manifestement raison dans son analyse de la politisation des débats autour de l’hydroxychloroquine aux Etats-Unis. Cela a entrainé une inversion des rôles où les Démocrates, historiquement en faveur des plans de santé pour tous, auront été vent debout contre l’hydroxychloroquine. Cette position politique se traduit dans les faits par des taux de mortalité beaucoup plus importants dans les Etats qu’ils contrôlent. Dans le camp d’en face, les Républicains ont fait preuve de pragmatisme. Gageons que ce n’est pas la fin de l’histoire et que se cache encore peut-être derrière la guerre du vaccin. Mais ce combat politique au travers de l’hydroxychloroquine pourrait peser lourd dans la balance lors des élections américaines. Car il s’agit de la vie des gens. Les Etats-Unis déplorent à ce jour plus de 188 000 décès liés à la Covid-19.




D’après Trump et son fils, l’élite militaire invente des guerres pour assurer le profit d’intérêts privés!

[Source : Strategika via Réseau International]

Donald Trump et son fils enfoncent le clou (atomique) : l’élite militaire invente des guerres pour assurer le profit d’intérêts privés!

Depuis le Président Eisenhower et un peu plus tard John Fitzgerald Kennedy, aucun Président US en exercice ou non n’a osé s’attaquer frontalement ou même évoquer le gigantesque complexe militaro-industriel US et sa véritable faune de lobbyistes parasites dont le seul intérêt est d’inventer des guerres (et des prétextes de conflits) rien que pour le profit et uniquement le profit de leurs intérêts privés.

C’est en gros ce que la blogosphère dite alternative et beaucoup d’indépendants ne cessent de répéter depuis des décennies en dehors de la propagande officielle (celle du monde dit libre ayant proclamé la fin de l’histoire et sa victoire définitive sur « les restes » du monde). Affirmer de telles choses dans un média, à l’université ou même autour d’une table privée est passible de vous faire taxer de « complotiste » ou de partisan des théories du complot sinon un ennemi des belles valeurs du monde dit libre.

Donald Trump Jr :
« si vous voulez terminer les guerres sans fin, mettez immédiatement en place un moratoire sur les généraux à la retraite qui servent dans les conseils d’administration
d’entreprises travaillant pour la défense.
Nous serions hors d’Afghanistan mercredi. »

Or, voilà que le Président américain en exercice, en l’occurrence Donald Trump d’affirmer d’un trait :

« I’m not saying the military’s in love with me. The soldiers are. The top people in the Pentagon probably aren’t because they want to do nothing but fight wars, so all of those wonderful companies that make the bombs and make the planes and make everything else stay happy »

[Traduction :] « Je ne dis pas que l’Armée m’aime, mais les soldats oui. Les hauts gradés du Pentagone ne m’aiment pas probablement parce qu’ils ne veulent rien faire d’autre que de se battre dans des guerres afin que toutes ces formidables compagnies qui fabriquent des bombes et des avions et tout le reste demeurent heureuses »

Après cela, rien ne compte plus. La levée de boucliers sera unanime et regroupera tout le spectre politique limité au faux dualisme Républicains vs Démocrates car on touche ici à la poule aux œufs d’or et à la fabrique du mensonge. Les présidentielles US du mois de novembre seront très chaudes.




L’empire mondial de la santé de Bill Gates, deuxième partie

[Source : Entelekheia]

Ceci est la deuxième partie d’une série.
Dans la première partie, nous apprenons comment la Fondation Bill & Melinda Gates travaille à étendre l’influence de l’industrie pharmaceutique auprès de l’OMS, qu’elle contrôle, et des gouvernements du monde.
Dans cette deuxième partie, nous verrons comment la Fondation Bill & Melinda Gates écoule dans les pays pauvres des traitements et des vaccins non approuvés dans les pays développés parce que dangereux, parfois avec des résultats désastreux. Nous verrons aussi que l’annonce de Trump selon laquelle les USA se « retirent » de l’OMS n’est rien d’autre que de la communication à destination de ses électeurs : en fait, les USA continuent de régner sur l’OMS à travers la Fondation Gates et l’agence fédérale américaine USAID.
Dans la troisième partie, nous verrons que la Fondation Gates travaille à vendre non seulement les traitements et vaccins de l’industrie pharmaceutique, mais aussi des semences OGM, sur lesquelles elle travaille en partenariat avec Monsanto.
Dans la dernière partie, nous apprendrons comment la Fondation Gates tente de faire tomber les garde-fous étatiques qui interdisent à l’industrie pharmaceutique occidentale de mettre des produits potentiellement dangereux sur le marché. Nous verrons aussi que l’administration Trump marche main dans la main avec Bill Gates.

Par Jeremy Loffredo and Michele Greenstein
Paru sur The Grayzone sous le titre Why the Bill Gates global health empire promises more empire and less public health


Un « deux poids, deux mesures » mortel

Depuis plus de 20 ans, la Fondation Gates contribue à l’élaboration de politiques de santé mondiales pour les pays pauvres, principalement en Afrique et en Asie du Sud. Ses relations étroites avec l’industrie pharmaceutique semblent avoir influencé ce travail.

Alors que la déclaration de mission de la fondation stipule, « nous voyons une valeur égale dans toutes les vies », une exploration de son histoire récente prouve le contraire. La fondation semble considérer le Sud comme un dépotoir à traitements jugés trop dangereux pour le monde développé et un terrain d’essai pour les traitements qui ne sont pas encore jugés assez sûrs pour le monde développé.

Le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC) est le « fleuron du programme africain de vaccination de Bill Gates et de l’OMS ». Il s’agit d’un lot de trois vaccins administrés à pratiquement tous les enfants du continent africain, mais qui n’est actuellement pas administré aux États-Unis ni dans la plupart des autres pays développés.

Dès 1977, une étude publiée par des professionnels de la médecine britannique dans le Lancet a établi que les risques liés à l’injection de cellules entières de coqueluche (utilisées dans le vaccin DTC) sont plus importants que les risques associés à la contraction de la coqueluche. Après avoir rassemblé des preuves établissant un lien entre le médicament et des lésions cérébrales, des convulsions de type épileptique et même la mort, les États-Unis et d’autres pays occidentaux l’ont progressivement abandonné dans les années 1990 et l’ont remplacé par une version plus sûre (appelée DTaP) qui ne contient pas la cellule entière de la coqueluche.

Cependant, les nations africaines sont toujours incitées financièrement à continuer d’utiliser le vaccin DTC, obsolète et dangereux, la GAVI faisant du DTC une priorité pour les enfants africains.

Il est choquant de constater qu’une étude de 2017 financée par le gouvernement danois a conclu que plus d’enfants africains mouraient des effets secondaires mortels du vaccin DTC que des maladies qu’il permet de prévenir. Les chercheurs ont examiné les données de la Guinée-Bissau et ont conclu que les garçons mouraient à un taux presque quatre fois plus élevé (3,93) que ceux qui n’avaient pas reçu le vaccin, tandis que le taux de mortalité des filles s’élevait à presque dix fois la normale (9,98).

Ces chiffres effarants n’ont pourtant pas empêché la Fondation Gates de dépenser des millions par an pour promouvoir le vaccin DTC auprès des systèmes de santé africains.

Il n’y a peut-être pas d’élément plus célèbre du travail de la Fondation Gates que son effort d’éradication de la polio. Pourtant, une fois de plus, les médicaments contre la polio que le monde occidental utilise et ceux qui sont donnés aux pays du Sud sont radicalement différents.

La fondation a dépensé plus d’un milliard de dollars pour distribuer un vaccin oral contre la polio (VOP) qui contient un virus vivant de la polio aux pays africains et asiatiques. Ce virus vivant peut se répliquer dans l’intestin d’un enfant et se propager dans des zones où les conditions sanitaires et la plomberie sont mauvaises. Cela signifie que les gens peuvent contracter le virus à partir du vaccin.

Selon une étude réalisée en 2017 par l’université de Californie San Francisco et l’université de Tel-Aviv, le virus de la polio utilisé dans le VOP a justement fait cela dans au moins deux douzaines de cas examinés par les chercheurs – il a rapidement pris des forces et a commencé à se propager de lui-même.

Ces dernières années, plus d’enfants ont été paralysés par la souche vaccinale du virus du VOP que par la polio de la région. Dans une interview accordée à NPR, le professeur de microbiologie Raul Andino a déclaré : « C’est en fait une énigme intéressante. L’outil même que vous utilisez pour l’éradication de la polio est à l’origine du problème ».

En 2000, les États-Unis ont cessé d’utiliser le VOP. Mais dans le monde en développement, la Fondation Gates utilise ses instruments d’influence pour s’assurer que les gouvernements continuent de l’administrer.

Les dernières épidémies de polio aux Philippines et au Congo sont le résultat du VOP. En 2005, le Clinical Infectious Diseases Periodical d’Oxford a postulé que les épidémies de polio en Chine, en Égypte, en Haïti et à Madagascar étaient également causées par le VOP, déclarant que « le moment où la seule cause de la polio sera probablement le vaccin utilisé pour la prévenir est en vue ».

Quelques années plus tard, le même périodique, tout en affirmant que les pays en développement devraient passer au vaccin anti-polio inactif (VPI) que les États-Unis utilisent, a écrit que le VOP ne donne pas seulement la polio aux enfants, mais « semble également inefficace pour enrayer la transmission de la polio ».

Comme l’a rapporté le British Medical Journal en 2012, « les derniers programmes de vaccination de masse contre la polio [en Inde] menés par la Fondation Bill et Melinda Gates ont entraîné une augmentation des cas [de polio] ».

Selon les médecins indiens, le VOP provoque également des épidémies d’une autre maladie appelée paralysie flasque aiguë (PFA) non poliomyélitique. Après qu’une épidémie de PFA ait paralysé 490 000 enfants entre 2000 et 2017, des médecins ont publié un rapport suggérant que « l’augmentation de la PFA et la diminution ultérieure de ces cas étaient, de fait, un effet négatif du programme de vaccination contre la polio [de l’OMS] ».

La PFA est « cliniquement indiscernable de la polio mais deux fois plus mortelle« . Keith Van Haren, neurologue pour enfants à la Stanford School of Medicine explique que « cela ressemble en fait à la polio, mais ce terme effraie les gens de la santé publique ».

En 2012, le British Medical Journal a noté avec ironie que l’éradication de la polio en Inde « a été réalisée en rebaptisant la maladie ».

Cette même année, l’Indian Journal of Medical Ethics a observé à la fois des épidémies de polio dues à des vaccins et l’augmentation massive de la PFA. Il a comparé les efforts d’éradication en Inde à l’occupation de l’Irak, en déclarant :

Lorsque les États-Unis se sont enlisés en Irak en 2005, Joe Galloway a suggéré que les États-Unis devaient simplement déclarer qu’ils avaient gagné la guerre, puis se retirer. Le moment est peut-être venu d’adopter une stratégie aussi honorable en ce qui concerne l’éradication de la polio ».

Cependant, la Fondation Gates et l’OMS ont maintenu leur cap, en distribuant le VOP dans des pays comme le Nigeria, le Pakistan et l’Afghanistan, où la fondation affirme que l’OMS fournit maintenant « un niveau d’assistance technique sans précédent » pour les campagnes de vaccination contre la polio.

En Syrie, la GAVI, soutenue par la Fondation Gates, avait affecté 25 millions de dollars à la vaccination contre la polio en 2016. Un an plus tard, l’OMS a rapporté que 58 enfants en Syrie avaient été paralysés par la souche du virus dérivée du vaccin.

Malgré le consensus scientifique contre le VOP et l’opposition à de tels programmes dans les pays cibles, le VOP reste administré en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie du Sud dans le cadre de programmes d’ « aide », créant des bénéfices exceptionnels pour des géants pharmaceutiques qui n’auraient peut-être pas pu vendre leurs produits ailleurs.

Des traitements rejetés par l’Occident pour une illusion de choix chez les femmes africaines

La pratique de la Fondation Gates qui consiste à injecter des médicaments dangereux dans les systèmes de santé du Sud ne se limite pas aux vaccins. Elle contribue également à la distribution de contraceptifs réversibles à longue durée d’action (acronyme américain LARC).

Melinda Gates parle souvent des LARCs comme d’un moyen d’apporter une autonomie aux femmes des pays pauvres et leur permettre plus de contrôle sur leur vie. Cependant, certains de ces LARCs ont des effets néfastes, et la distribution de ces produits sans consentement éclairé n’offre aux femmes que peu d’autodétermination.

Un exemple est le Norplant, un implant contraceptif fabriqué par Schering (aujourd’hui Bayer) qui peut empêcher une grossesse jusqu’à cinq ans. Il a été retiré du marché américain en 2002, après que plus de 50 000 femmes aient intenté des poursuites contre la firme et les médecins qui l’avaient prescrit. 70 de ces recours collectifs concernaient des effets secondaires tels que des dépressions, des nausées incoercibles, une chute de cheveux, des kystes ovariens, des migraines et des saignements excessifs.

Un site web sur le développement humain appelé « Degrees », financé par la Fondation Gates, affirme que le Norplant « n’a jamais eu beaucoup d’attrait au niveau mondial » parce que l’insérer et le retirer « s’est avéré lourd ».

Légèrement modifié et rebaptisé Jadelle, ce médicament dangereux a été promu en Afrique par la Fondation Gates, en collaboration avec l’USAID et EngenderHealth. Anciennement appelée la Ligue de Stérilisation pour l’Amélioration de l’Homme, la mission originale d’EngenderHealth, inspirée par la pseudo-science raciste de l’eugénisme, était d’ « améliorer le matériel génétique de la race humaine ». Le Jadelle n’est pas approuvée par la FDA pour être utilisée aux États-Unis.

Ensuite, il y a le Depo-Provera de Pfizer, un contraceptif injectable utilisé dans plusieurs pays d’Afrique et d’Asie. La Fondation Gates et l’USAID ont de nouveau collaboré pour financer la distribution de ce médicament et l’introduire dans les systèmes de santé de pays comme l’Ouganda, le Burkina Faso, le Nigeria, le Niger, le Sénégal, le Bangladesh et l’Inde.

En 2012, Melinda Gates avait promis de fournir des contraceptifs comme le Depo-Provera, qui coûte entre 120 et 300 dollars par an, à au moins 120 millions de femmes d’ici 2020. En 2017, Melinda Gates a écrit un article sur Medium dans lequel elle indiquait qu’elle et ses partenaires étaient sur la bonne voie pour tenir cette promesse, et promettait 375 millions de dollars de fonds supplémentaires pour y parvenir. Cela signifie que Pfizer a gagné entre 14 et 36 milliards de dollars grâce à ce programme.

Il est inquiétant de constater que l’ingrédient actif du Depo-Provera – l’acétate de médroxyprogestérone (MPA) – a été associé à des effets secondaires tels que la formation de caillots de sang dans les poumons, des cas de cécité et de cancer du sein, qui peuvent mettre la vie en danger.

La version unidose de Pfizer, appelée Sayana Press, est destinée à être administrée par des « agents de santé communautaires » [formés à injecter le contraceptif, NdT]. Au Sénégal, cependant, près de la moitié de ces travailleurs étaient de niveau sixième, pas plus.

Le ministère sénégalais de la santé a été contraint de modifier ses lois afin que les travailleurs de la santé puissent distribuer légalement le médicament. Selon le Population Research Institute, les ONG financées par l’USAID ont « tordu le bras au gouvernement » pour qu’il prenne cette décision.

En outre, les dépliants de formation du Sayana Press ne fournissaient pas d’informations sur les effets secondaires du MPA, ce qui constitue une violation des principes du consentement éclairé. Selon les directives de l’OMS, le MPA ne doit pas être utilisé par les femmes souffrant de troubles rhumatismaux. Mais les listes de contrôle des patients en Ouganda, financées par l’USAID, n’indiquaient pas aux agents de santé de demander aux femmes si elles avaient des antécédents de ces troubles.

Les lignes directrices pour formateurs des fournisseurs du Sayana Press ne mentionnent pas non plus que le médicament a été associé à une perte de densité osseuse et à un risque accru de fractures. Comme l’a dit le Population Research Institute, « La FDA exige que les femmes américaines soient informées de ce fait, mais les femmes africaines sont tenues dans l’ignorance ».

En 2015, 70 groupes féministes et universitaires indiens ont signé une déclaration contre l’approbation du Depo-Provera, citant des effets secondaires comme une perte excessive de densité osseuse, une prise de poids, des saignements excessifs et des dépressions. Selon leur déclaration, les organisations de femmes se sont toujours opposées à l’introduction de contraceptifs dangereux comme ceux-ci, et qu’ « il y a des risques pour que les femmes ne reçoivent pas suffisamment d’informations pour choisir une méthode contraceptive de façon éclairée ».

En dépit d’une opposition générale au niveau national et de preuves de plus en plus nombreuses d’effets secondaires négatifs, la Fondation Gates continue de travailler avec l’USAID pour distribuer des médicaments comme le Depo-Provera.

Les pays du Sud, un vivier de cobayes

Les canaux d’influence de Bill Gates ont également contribué à tester des drogues sur des personnes dans les pays pauvres.

Avant qu’un médicament puisse être vendu au public, la FDA et des agences similaires en Europe exigent que la firme productrice teste le médicament sur des sujets humains. La troisième et dernière phase de ces tests avant que le médicament puisse être mis sur le marché est la phase III des essais cliniques, au cours de laquelle les entreprises sont tenues d’administrer le médicament à un grand nombre de personnes dans le cadre d’études contrôlées.

On estime qu’environ 90 % des coûts de développement des médicaments sont engagés dans les essais de phase III. Mais ces firmes peuvent contourner des coûts en menant les essais dans les pays dits « en développement ».

Cette stratégie de réduction des coûts a été résumée par la société de conseil américaine McKinsey, qui a suggéré d’inclure les « marchés émergents » dans les essais de médicaments afin de réduire « une importante perte de revenus ».

Il n’est donc pas surprenant que la Fondation Gates, un client de McKinsey, ait ouvertement déclaré que son « objectif » était d’aider les sociétés pharmaceutiques à sauter les tests de sécurité et à accélérer le processus d’approbation des médicaments pour les firmes pharmaceutiques. Ou, comme ils l’ont dit, « d’affiner les interventions potentielles telles que les candidats-vaccins avant qu’ils n’arrivent à l’étape des essais cliniques de dernière phase, qui sont coûteux et prennent beaucoup de temps ».

Si la réalisation d’essais cliniques sur les pauvres est financièrement avantageuse, elle peut aussi être dangereuse. Citant de nombreux exemples de ce danger, un journal sud-africain a un jour déclaré : « Nous sommes les cobayes des fabricants de médicaments ».

De 2009 à 2011, les essais cliniques de phase III du premier vaccin contre la malaria – financé par la Fondation Gates et fabriqué par GSK – ont eu lieu dans sept pays africains (Ghana, Kenya, Malawi, Mozambique, Burkina Faso, Gabon et Tanzanie).

En 2011, les propres données de GSK ont montré que les enfants de sexe féminin mouraient (de causes diverses) à un taux plus de deux fois supérieur à celui du groupe de contrôle. Les enfants ayant reçu le vaccin présentaient également un risque de méningite dix fois plus élevé que ceux qui n’avaient pas reçu le vaccin.

Pourtant, l’OMS coordonne toujours l’administration du médicament à plus de 700 000 enfants au Ghana, au Kenya et au Malawi, dans le cadre d’un essai clinique non officiel qu’elle appelle une « mise en œuvre pilote ». (C’est le SAGE, aligné sur la décision de Gates, qui a recommandé la mise en œuvre pilote).

Comme ce produit est administré aux enfants dans le cadre du programme de vaccination des pays, l’OMS affirme que le consentement est implicite. Mais les parents ne sont pas toujours informés des risques pour la sécurité, ce qui les rend, dans ce cas aussi, incapables de donner un consentement éclairé pour leurs enfants. Comme le dit le rédacteur en chef adjoint du British Medical Journal, « ‘processus de consentement implicite’ signifie que les receveurs du vaccin contre la malaria ne sont pas informés qu’ils font partie d’une étude ».

La Fondation Gates a également financé des essais cliniques du vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) fabriqués par GSK et Merck. Ces vaccins ont été administrés à 23 000 jeunes filles dans des provinces indiennes reculées, dans le cadre d’une initiative du programme PATH (Program for Appropriate Health and Technology) soutenu par la Fondation Gates.

Une fois de plus, les participants à l’étude ont été privés de la possibilité de donner leur consentement en connaissance de cause, car « les avantages et les inconvénients de la vaccination n’ont pas été correctement communiqués aux parents/tuteurs ».

Selon le professeur Linsey McGoey de l’Université d’Essex, « la plupart des vaccins ont été administrés aux filles dans les ashrams pathshalas (internats pour enfants tribaux), contournant ainsi l’obligation de demander le consentement des parents pour les vaccins ».

Le PATH n’a pas non plus mis en place de système de collecte de retours sur les principales réactions indésirables aux vaccins, ce qui est légalement obligatoire pour les essais cliniques à grande échelle. L’Indian Committee on Health and Family Welfare (Comité indien sur la santé et le bien-être des familles) a poursuivi le PATH en justice pour cette transgression alléguée, l’accusant de violations des droits de l’homme et de maltraitance d’enfants. En 2013, un panel de deux juges a observé qu’alors que les entreprises étrangères « traitent l’Inde comme un paradis pour leurs essais cliniques, cela s’avère un enfer pour l’Inde ».

Un commission d’enquête du Parlement indien a déclaré que le « seul but » du projet financé par Gates était de promouvoir « les intérêts commerciaux des fabricants de vaccins contre le VPH, qui auraient récolté des bénéfices exceptionnels si le PATH avait réussi à faire inclure le vaccin contre le HPV dans le programme global d’immunisation du pays ».

Le rédacteur en chef émérite du National Medical Journal of India a approuvé le rapport du panel, écrivant qu’il s’agissait d’un « cas évident où les Indiens ont été utilisés comme cobayes ».

A suivre…

Traduction Corinne Autey-Roussel pour Entelekheia
Photo Rapheal Nathaniel / Pixabay




Les rayonnements électromagnétiques, le Wi-Fi, les cellulaires et la 5G… selon le Dr Paul Héroux

[Source : Christian Aubry]

Le Dr Paul Héroux présente les dangers de la 5G du point de vue de l’ingénierie chimique. Cette technologie de télécommunication sans fil est actuellement en instance de déploiement un peu partout dans le monde alors que la science démontre clairement ses effets nocifs sur l’environnement et les organismes naturels, incluant le génome humain. La révélation des mensonges des manufacturiers de tabac et de l’industrie pétrolière ne nous a donc rien appris, semble-t-il, puisque nos gouvernements s’apprêtent une fois de plus à mettre en péril l’avenir de l’humanité afin de laisser le champ libre à une poignée d’entreprises multinationales qui veulent nous imposer cette nouvelle dérive industrielle dont, au fond, nous n’avons nul besoin.


[Source : Sylvain Dubé]

Conférence sur les rayonnements électromagnétiques et la G5 présentée par Paul Héroux, Ph. D. Directeur du programme de santé au travail,
Département d’épidémiologie, biostatistiques et santé au travail,
Médecine, Université McGill, Montréal


[Source : La Maison du 21e siècle]

Conférences Foire Écosphère Montréal, 13 août 2016 :

Comment des champs électromagnétiques très faibles peuvent-ils influencer la biologie et la santé?, Paul Héroux Ph.D., Université McGill


[Source : Ouvrir les yeux Podcast]

Ouvrir Les Yeux #1 |

La 5G et Dr. Paul Héroux, Professeur de toxicologie et effets sur la santé de l’électromagnétisme à l’Université McGill

«Avec la 5G, nous allons devoir nous retrouver avec des antennes à chaque 5 maisons. nous On sait déjà de l’épidémiologie que si vous vivez à l’intérieur de 500m d’une antenne de cellulaire, votre santé est affectée. En d’autres termes, vous allez avoir plus de cancer, de symptômes neurologiques et on sait que ce n’est pas bon pour pour la santé.»

Dr. Paul Héroux

À propos de Dr. Paul Héroux

Le Dr. Paul Héroux est un scientifique possédant une expérience en physique (BSc, MSc et PhD), en génie (15 ans) et en sciences de la santé (30 ans). Il a commencé sa carrière de chercheur à l’Institut de Recherche d’Hydro-Québec à Varennes, Québec, un laboratoire d’électrotechnique de renommée internationale. Après avoir complété sa formation par des cours de biologie et de médecine, il s’est intéressé à la santé publique et a été nommé professeur agrégé à la Faculté de médecine de l’Université McGill, où il est actuellement directeur du programme de santé au travail, et également scientifique médical au Département de chirurgie. du Centre universitaire de santé McGill.

« Over 230 scientists from more than 40 countries have expressed their “serious concerns” regarding the ubiquitous and increasing exposure to EMF generated by electric and wireless devices already before the additional 5G roll-out. They refer to the fact that ”numerous recent scientific publications have shown that EMF affects living organisms at levels well below most international and national guidelines”. Effects include increased cancer risk, cellular stress, increase in harmful free radicals, genetic damages, structural and functional changes of the reproductive system, learning and memory deficits, neurological disorders, and negative impacts on general well-being in humans. Damage goes well beyond the human race, as there is growing evidence of harmful effects to both plants and animals. »

Scientist Appeal for 5G Moratorium


Pour écouter la version audio:
  1. sur la plateforme Balados d’Apple: https://podcasts.apple.com/ca/podcast…
  2. sur Spotify: https://open.spotify.com/episode/16Rk…

Études du Dr. Paul Héroux :
  1. Étude 1-Extra-low-frequency magnetic fields alter cancer cells through metabolic restriction https://www.tandfonline.com/doi/full/…
  2. Étude 2-Magnetic Fields Trump Oxygen in Controlling the Death of Erythro-Leukemia Cells https://www.mdpi.com/2076-3417/9/24/5…
Études référées et autres documents référés par Dr. Paul Héroux :
  1. Lettre ouverte destinée à l’Union Européenne https://www.jrseco.com/wp-content/upl…
  2. Études du National Toxicology Program-Cell Phone Radio Frequency Radiation https://ntp.niehs.nih.gov/whatwestudy…
  3. Étude de l’institut Ramazzini https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/2…

[Voir aussi : dossier 5G et ondes pulsées]




Quelques bons gros mensonges scientifiques

[Source : Le Saker Francophone]

Par Denis G. Rancourt − Le 8 juin 2010 − Source Activist Teacher

Denis Rancourt.JPG

« La majorité des politiciens, selon les preuves dont nous disposons, ne sont pas motivés par la vérité, mais par le pouvoir, et par la préservation de ce pouvoir. Pour qu’ils puissent conserver ce pouvoir, il est essentiel que les gens restent dans l’ignorance, qu’ils vivent sans connaître la vérité, y compris la vérité de leur propre vie. Nous ne sommes donc environnés que d’un étalage de mensonges, dont nous nous nourrissons. »

Harold Pinter, discours du Prix Nobel (de Littérature), 2005.

La préservation des structures hiérarchiques qui contrôlent nos vies dépend du « vaste étalage de mensonges duquel nous nous nourrissons »
de Pinter. Les institutions en place, qui nous positionnent dans la
hiérarchie, comme les écoles, les universités, les médias de masse ou
les sociétés de productions audiovisuelles, ont comme fonction
principale de créer et de préserver cet étalage. Les scientifiques de
l’establishment répondent à ces mécanismes, ainsi que tous les
intellectuels ayant pour fonction d’« interpréter » la réalité.

En fait, scientifiques et « experts » définissent
la réalité afin qu’elle se conforme avec l’étalage mental dominant, qui
mute pour s’adapter en permanence au moment. Ils inventent et
construisent également de nouvelles branches de l’étalage, afin de
souscrire aux intérêts de groupes de pouvoir spécifiques, en leur
offrant de nouvelles voies ouvertes à l’exploitation. Ces grands prêtres
sont récompensés de leurs bons et loyaux services par un statut de
classe élevé.

Le mensonge de l’argent

Les économistes en constituent un exemple des plus probants. Ce n’est
sans doute pas par accident que ce soit aux États-Unis, à la fin du XIXe siècle, que les économistes soient devenus les premiers analystes professionnels à « pénétrer par effraction »
dans une bataille visant à définir les limites de la liberté académique
des universités. À partir de ce point, le système académique allait
imposer une stricte séparation opérationnelle entre le travail d’enquête
et la théorisation, considérés comme des disciplines acceptables, et la
réforme sociale considérée comme inacceptable 1.

Tout universitaire désireux de préserver sa position comprit ce que
cela signifiait. L’effet de bord en fut que les universitaires devinrent
maîtres en l’art de cultiver une image importante de soi, malgré la
limitation mortelle de leur pertinence sociale, avec des verbiages du
genre : « La vérité est notre arme la plus puissante », « la plume est plus forte que l’épée », « une bonne idée peut changer le monde », « la raison nous sortira des ténèbres », etc.

Ainsi l’entreprise de l’économie fut-elle dévolue à masquer le
mensonge de l’argent. La pratique d’emprunts toxiques, la fixation des
prix, et les contrôles monopolistiques étaient les principales menaces à
la justice naturelle d’un marché libre, et ne constituaient que des
erreurs dans le cadre d’un système autorégulé, qui restait modérable par
l’ajustement des taux d’intérêts et par d’autres « protections ».

Pendant tout ce temps, aucune théorie économique dominante ne fit
jamais mention du fait que tout l’argent qui circule, sans exception,
est créé de toutes pièces par un système bancaire à réserve
fractionnaire, détenu par des intérêts privés obscurs et secrets, et
disposant du permis de fabriquer et de distribuer de la dette qui doit
être remboursée (avec intérêts) par l’économie réelle ; de quoi
poursuivre la concentration de la propriété et du pouvoir face à toute
économie, locale ou régionale.

Aux restants, la tâche de gagner de l’argent plutôt que simplement le
fabriquer, sans jamais en accumuler. La classe moyenne court en
permanence derrière le paiement d’un loyer ou le remboursement d’un
emprunt immobilier. L’esclavage salarial est perpétré et de plus en plus
déclassé dans les zones stables, et se voit installé, dans ses
variantes les plus vicieuses, dans tous les territoires nouvellement
conquis.

Il est tout à fait singulier que la plus grande escroquerie à l’exploitation (la création monétaire privatisée, ou dette) jamais promulguée et appliquée à la planète tout entière ne figure même pas dans les théories économiques.

Les économistes sont tellement occupés à modéliser les évolutions des
profits, des retours sur investissements, des chiffres de l’emploi, de
la valeur des marchés boursiers, et les bénéfices des
fusions-acquisitions pour les exploiteurs du milieu de l’échelle, qu’ils
ne remarquent pas leur propre évitement de ces éléments fondamentaux.
Ils modélisent le schéma de construction tout en refusant de reconnaître
que le terrain où l’édifice est bâti se situe en zone sismique, et que
les vautours planent déjà en cercle au-dessus de leurs têtes.

Et pendant ce temps, les financiers rédigent et amendent les règles à
leur gré, selon un processus qui, lui non plus, ne figure pas dans les
théories macroéconomiques. Le seul élément humain considéré par les
économistes dans leurs modèles mathématiques « prédictifs » est
le comportement du consommateur de bas niveau, en aucun cas les
manipulations en haut du système. La corruption est la norme, mais non
écrite. Les économies, les cultures, les infrastructures des nations
sont volontairement détruites pour s’attirer de nouveaux bataillons
d’esclaves, via des dettes nationales grandissantes, pour les
générations à venir ; et les économistes couvrent ces dettes en
expliquant les conséquences catastrophiques supposées qui surviendraient
si ces dettes n’étaient pas remboursées…

Des outils de gestion pour les maîtres, un rideau de fumée pour nous autres — merci les experts économistes.

La médecine : le mensonge de la santé

Qui n’a pas entendu quelque DM (Docteur en Médecine) interviewé à la
radio, émettant l’affirmation assurée que l’espérance de vie a augmenté
grâce à la médecine moderne ? Rien n’est plus éloigné de la vérité.

L’espérance de vie a augmenté dans le monde développé du fait de
l’absence historique de guerres civiles et territoriales, d’une
nourriture meilleure et plus accessible, d’une baisse des accidents (du
travail, et autres), et de meilleures conditions de vie et de travail en
général. Le seul indicateur de santé individuelle au sein d’un pays, et
d’un pays à l’autre, est le statut économique, indépendamment de
l’accès aux technologies médicales et pharmaceutiques.

C’est en fait pire que cela : la médecine porte en fait des impacts
négatifs sur la santé. Les erreurs médicales (sans compter les décès non
attribués à l’administration d’un « traitement » dans les
règles) constituent le troisième vecteur de décès aux USA, après les
troubles cardiaques et les cancers, et l’écart est très important entre
cette sous-estimation très conservatrice des décès par erreurs médicales
et la quatrième cause de décès2.
La médecine n’ayant que peu de moyens de régler les problèmes
cardiaques et les cancers, et la médecine n’ayant qu’un impact positif
statistiquement marginal dans le domaine des interventions traumatiques,
nous en concluons que la santé publique se trouverait améliorée si tous
les docteurs en médecine s’évaporaient purement et simplement. Et
pensez une minute au temps perdu et au stress que les gens malades
s’épargneraient…

L’hôpital constitue l’un des endroits les plus dangereux de notre
société. On compte parmi les erreurs médicales les mauvais diagnostics,
les erreurs de prescriptions, les prescriptions de médicaments qui ne
devraient pas être combinés entre eux, les interventions non
nécessaires, et les traitements mal administrés, dont chimiothérapies,
traitements par radiations, et opérations réparatrices.

Le mensonge s’étend jusqu’au mythe selon lequel les docteurs en
médecine sont proches de comprendre le corps humain. Et ce mensonge bien
gardé nous encourage à faire confiance aux docteurs, ce qui ouvre la
porte à un filon fort juteux pour la big pharma.

La première chose que les volontaires de Médecins sans frontière (MSF) doivent faire pour apporter une aide significative aux zones sinistrées est d’« oublier leur formation médicale » et d’aller travailler sur les tâches prioritaires : l’eau, la nourriture, les abris, et la prévention de propagation des épidémies ; pas la vaccination, ni les opérations, ou les prescriptions médicales… La santé publique résulte de la sûreté, de la stabilité, de la justice sociale, et du pouvoir d’achat économique, pas d’unités d’IRM (Imagerie par résonance magnétique) ou de prescriptions de traitements.

Ces têtes de nœud appliquent de manière routinière des « traitements recommandés »
et prescrivent des médicaments dangereux pour tout : pour les niveaux
de tensions élevés dus à un mode de vie sédentaire et à une mauvaise
nutrition, pour l’apathie à l’école, pour l’anxiété à se trouver dans un
lieu public, pour les fonctions érectiles postadolescence, pour les
troubles du sommeil non conventionnels, et pour tous les effets
secondaires des propres drogues qu’ils prescrivent.

Dans un renversement de la logique professionnelle mais non moins
remarquable, les docteurs prescrivent des drogues pour supprimer des
symptômes qui sont des indicateurs de risques, au lieu de s’occuper des
causes de ces risques : ils ne font qu’agresser le corps encore plus.

Les effets que la médecine a eu et continue d’avoir sur nous sont
incroyables : il s’agit simplement d’une manière de plus de nous garder à
l’état de stupidité (l’ignorance de notre propre corps) et
artificiellement dépendants de la hiérarchie de contrôle. Les gens
économiquement défavorisés ne meurent pas d’un manque de « soins »
médicaux — ils meurent des contraintes qui pèsent sur leurs vies et des
dettes résultant directement de leur pauvreté. Combien de docteurs en
médecine ont formulé cette vérité évidente à la radio?

LES MENSONGES DES SCIENCES DE L’ENVIRONNEMENT

L’exploitation par extraction de ressources, par expropriation
territoriale, et par la création et la préservation d’esclaves salariés
dévastent les populations indigènes et l’environnement sur des échelles
continentales. Il est donc vital de couvrir ces crimes sous un voile
d’analyses d’experts et sous une diversion de politiques de
développement. Une classe importante d’intellectuels rend ici service,
en la matière des scientifiques et consultants en environnement.

Les scientifiques en environnement travaillent naïvement ou en
connaissance de cause main dans la main avec les charlatans de la
finance et du monde de l’entreprise, les médias dominants, les
politiciens, les bureaucrates d’état et internationaux, pour masquer les
vrais problème et pour générer des opportunités de profits aux élites
au pouvoir. Voici des exemples notables de cas spécifiques.

Le fréon et la couche d’Ozone

Connaissez-vous quelqu’un qui a été tué par le trou dans la couche d’ozone ?

Le protocole de Montréal de 1987, interdisant les chlorofluorocarbones (CFC), est considéré
comme un cas d’école, voyant la science, conjuguée à une gouvernance
responsable, amènent à un traité emblématique protégeant la Terre et
tous ses habitants. N’est-ce pas merveilleux ?

Au moment où le brevet de DuPont [Une entreprise géante de chimie, NdT]
sur le Fréon (TM), le réfrigérant CFC le plus usité au monde, allait
expirer, les médias dominants s’emparèrent d’observations et
d’hypothèses scientifiques impénétrables quant à la concentration de
l’ozone dans les hautes couches de l’atmosphère, aux abords des pôles.

Il s’ensuivit une mobilisation internationale pour criminaliser les
CFC ; et DuPont développa et breveta un réfrigérant de remplacement, qui
fut promptement homologué.

Un prix Nobel de chimie fut attribué en 1995 à une preuve en
laboratoire que les CFC peuvent appauvrir l’ozone dans des conditions
atmosphériques simulées. En 2007, il fut démontré que ces travaux
avaient pu être fortement biaisés par une surestimation du taux
d’épuisement d’un ordre de grandeur, ce qui invalidait le mécanisme
proposé d’épuisement de la couche d’ozone par les CFC 3.
Sans parler du fait que les expériences en laboratoires sont très
différentes des hautes couches de l’atmosphère… L’attribution du prix
Nobel serait-elle biaisée par les médias et les pressions d’intérêts
particuliers ?

Mais c’est encore mieux que cela. Il s’avère que le réfrigérant de
remplacement de DuPont est, sans grande surprise, moins inerte que ne
l’était le Fréon. Il s’ensuit qu’il corrode les composants du cycle de
réfrigération beaucoup plus rapidement. Les anciens frigidaires et
congélateurs avaient une durée de vie pratiquement illimitée, et voilà
qu’à présent ils sont bons à jeter en huit ans environ. La conséquence
en a été un empilement dans des proportions inédites d’appareils
électroménagers en fin de vie dans les sites de décharges en Amérique du
Nord ; encouragés par la propagande verte vantant des consommations
électriques ultraefficaces des nouveaux appareils, testés à porte fermée
(vous avez bien lu, ces modélisations supposent que l’on n’ouvre jamais
la porte du frigo, pour consommer moins et obtenir la note « A+++ »).

En outre, on nous a frénétiquement exhortés à éviter le soleil,
l’index des UV maintient entières notre peur du cancer et notre
dépendance à l’establishment médical, et une nouvelle industrie de
blocage du soleil, comparable à une ligue de protection des vampires »,
a été créée. Et, bien sûr, les chimistes universitaires sont à la
recherche de la molécule de blocage du soleil parfaite, qui pourra être
brevetée par la big pharma. Et dès que le brevet sera posé, ma
prédiction est que nous verrons des interviews dans les médias, avec des
experts en cancer de la peau…

Les pluies acides et la forêt boréale

Dans les années 1970, c’étaient les pluies acides. Des milliers de
scientifiques du monde entier (comprendre : de l’hémisphère nord)
étudiaient ce « problème des plus urgents pour la planète ».
La forêt boréale constitue le plus grand écosystème terrestre, et on
signalait que ses millions de lacs mouraient du fait des pluies acides
qui tombaient du ciel.

Les centrales à charbon laissaient s’échapper des sulfures dans
l’atmosphère, rendant la pluie acide. Il fut postulé que les pluies
acides rendaient les sols et les lacs acides dans la forêt boréale, mais
cette acidification fut en pratique impossible à détecter. Des lacs
sauvages, au cœur des parcs nationaux, devaient faire l’objet d’études
pour essayer de détecter une acidification statistiquement
significative.

Pendant ce temps, les lacs et leurs bassins versants étaient en cours
de destruction du fait de l’industrie des maisons de campagne, de
l’agriculture, de l’exploitation forestière, de l’extraction minière, de
la surpêche et du tourisme. Aucune de ces destructions, locales ou
régionales, ne fit jamais l’objet de la moindre étude ni de la moindre
médiatisation. Au lieu de cela, les scientifiques pointèrent leur regard
vers de lointaines centrales à charbon, vers la distribution
atmosphérique, et postulèrent que des réactions chimiques se
produisaient au sein des gouttes de pluie. Une étude découvrit que la
reproduction en aquarium d’une espèce de poissons se montrait très
sensible à l’acidité (pH). On écrivit de longs traités sur l’équilibre
des charges des cations et sur leur transport, et l’attention fut
détournée du terrain, vers un problème aseptisé de chimie atmosphérique,
résultant de l’industrialisation et du progrès, mais pas d’exploitants
identifiables.

Pour ce qui me concerne, physicien et praticien des sciences de la
terre, devenu scientifique de l’environnement, j’ai moi-même lu
pratiquement chaque article scientifique écrit au sujet des pluies
acides ; je n’y ai pas trouvé un seul exemple de démonstration d’un
impact négatif sur les lacs ou sur les forêts du aux pluies acides. À
mon avis, en opposition des affirmations répétées des auteurs
scientifiques, la recherche sur les pluies acides démontre que les
pluies acides ne peuvent pas constituer la source du problème.

Ce modèle de blanchiment des exploiteurs, coordonné par les élites,
allait se répéter à une échelle encore plus importante quelques
décennies plus tard, avec le réchauffement climatique mondial.

Le réchauffement climatique : une menace pour l’humanité

En 2005 et 2006, plusieurs années avant que le scandale du Climategate de novembre 2009 n’explose la bulle médiatique qui maintenait l’opinion publique dans l’acceptation des crédits de carbone, du système de plafonnement, et du filon financier associé, chiffré en milliers de milliards de dollars, qui peut encore fonctionner, j’exposai le scandale de la cooptation au réchauffement planétaire dans un article qu’Alexander Cockburn, décrivit dans The Nation comme « l’une des meilleures études sur la fabrication du mythe de l’effet de serre, du point de vue de la gauche » 4 5 6.

Mon étude amena David F. Noble à explorer la question, et à écrire The Corporate Climate Coup [« Le coup d’État climatique des multinationales », NdT],
pour exposer la manière dont les médias s’emparèrent du sujet par suite
de la compréhension par le secteur de la finance du potentiel
gigantesque de bénéfices que le passage au vert pouvait constituer7.

Les paragraphes d’introduction de Global Warming: Truth or Dare? sont reproduits ici 4.:

J’avance également qu’il existe de fortes motivations
sociétales, institutionnelles, et psychologiques, derrière la
construction puis le maintien du mythe d’une grande menace de
réchauffement planétaire (le mythe du réchauffement climatique, pour
faire court). Je décris ces motivations s’agissant des travaux de la
profession scientifique, ainsi que du réseau des multinationales, de la
finance mondiale, et de ses ombres gouvernementales.

J’affirme que la force la plus destructrice de la planète, et de
loin, réside dans les financiers menés par le pouvoir, et les sociétés
mues par la recherche du profit, ainsi que leurs cartels soutenus par la
puissance militaire ; et que le mythe du réchauffement planétaire
constitue une fausse piste qui contribue à cacher cette vérité. À mon
avis, les activistes qui, quelles que soient leurs justifications,
entretiennent le mythe du réchauffement planétaire, ont été mis sous
contrôle, ou à tout le moins, se sont fait neutraliser.

D’autres extraits suivent 4.:

Les scientifiques en environnement et les agences
gouvernementales sont financés pour étudier et examiner des problèmes
qui ne menacent pas les intérêts corporatifs ni financiers. Il n’est
donc pas surprenant qu’ils s’en prennent à la dévastation à l’échelle
d’un continent, due à l’extraction des ressources, par la lorgnette du
CO2. Le principal inconvénient de cette stratégie et qu’on ne prend pas
le contrôle d’un monstre affamé en lui demandant de chier moins que ce
qu’il avale.

Le réchauffement climatique constitue un problème strictement dans
l’imaginaire de la classe moyenne du monde développé. Personne d’autre
ne s’en préoccupe. Les travailleurs des usines, exploités dans le Tiers
Monde se fichent du réchauffement climatique. Les enfants irakiens ayant
subi des mutations génétiques du fait de l’uranium appauvri qui y a été
répandu par les guerres étasuniennes se fichent du réchauffement
climatique. Les populations indigènes dévastées ne sont pas non plus
concernées par le réchauffement climatique, sauf peut-être comme
représentation de la seule solidarité à laquelle nous pourrions
souscrire.

Ce n’est pas un sujet de limitation des ressources. [« Les montants
dépensés pour l’alimentation des animaux de compagnie aux USA et en
Europe chaque année équivalent aux montants nécessaires pour apporter
une nourriture et des soins médicaux de base à l’ensemble des
populations du Tiers Monde, et encore resterait-il une assez coquette
somme à dépenser. » (rapport de développement de l’ONU, 1999)]. C’est un
sujet d’exploitation, d’oppression, de racisme, de pouvoir, et
d’avidité. La justice économique, humaine, et animale amène d’elle-même
une pérennité économique qui est elle-même toujours fondée sur des
pratiques renouvelables. La reconnaissance des droits élémentaires des
populations indigènes modère automatiquement l’extraction de ressources
et préserve les habitats naturels. Empêcher les guerres et les
interventions impérialistes tarit automatiquement l’exploitation à
l’échelle des nations. Un vrai contrôle démocratique de la politique
monétaire permet très largement de supprimer l’extorsion basée sur la
dette. Etc.

Et il y a une critique approfondie de la science qui sert à nourrir une tendance à grand bruit, et un aveuglement intéressé 4.. Le Climategate ne fait que confirmer ce qui devrait sauter aux yeux de tout scientifique en exercice : cette science constitue une mafia quand elle ne se résume pas à une pilule soporifique.

[Développement récent (mars 2011) : déconstruction tranchante du récit de la science climatique dominante – ICI.]

Conclusion

Cela continue sans s’arrêter. Que reste-t-il, qui n’est pas mensonge ?

Considérez l’escroquerie récente au H1N1 — un autre cas d’école. Le
cirque se poursuit et fait dans le grotesque : des gels antiseptiques à
chaque porte en un clin d’œil, des lycéens se shootant en buvant
l’alcool des gels, obsolescence de la souche virale avant que le vaccin —
pré-payé — ne puisse même être produit, efficacité non prouvée, aucune
exigence que l’efficacité en soit garantie, des garanties du
gouvernement aux fabricants contre les poursuites lancées par les
clients, dans les universités, des agents de sécurité enseignant aux
étudiant la bonne manière de tousser, etc.

De la folie pure. Quelque chose a-t-il déclenché notre réflexe de stupidité génétiquement enraciné de pays développé ? Cela s’inscrit-il dans notre marche vers le fascisme8 ?

En voici encore un échantillon. Les éducateurs promeuvent le mensonge selon lequel nous apprenons parce que nous recevons un enseignement. Le mensonge de l’éducation est franchement dénoncé par les éducateurs radicaux9 10.

Les professeurs d’université conçoivent des programmes comme si les étudiants apprenaient effectivement chaque élément qui y est professé, alors qu’en réalité les étudiants n’apprennent pas les éléments qui y sont professés : chacun n’apprend que ce qu’il apprend. On pourrait chambouler complètement l’ordre dans lequel les cours sont donnés, et l’on ne verrait pas de différence notable quant à ce que les étudiants en retiennent. Les étudiants produisent des absurdités et les professeurs n’en sont pas gênés. L’obéissance et l’endoctrinement sont les vrais composantes de tout le processus, et la seule compétence réellement exigée est de faire semblant. Les étudiants le savent, et ceux qui l’ignorent ne savent pas ce qu’ils savent, et ne se connaissent pas eux-mêmes. 8.9.10..

Choisissez n’importe quelle opinion d’expert ou n’importe quel paradigme dominant : ils sont les constituants d’un racket.

Nous n’acceptons pas la vérité, parce que la vérité est brutale.

Denis G. Rancourt était professeur titulaire à 
temps plein de l’Université d’Ottawa au Canada. Il suivit une formation 
de physicien et pratiqua la physique, les sciences de la terre, et la 
science de l’environnement, domaines en lesquels il fut financé par une 
agence nationale et dirigea un laboratoire reconnu à l’international. Il
 a publié plus de cent articles dans des journaux scientifiques de 
premier plan. Il a développé des cours d’activisme populaire et a 
constitué un critique franc de l’administration universitaire. Il est un
 défenseur des droits des Palestiniens. Il a été mis à la porte en 2009 
par un président qui est un défenseur inconditionnel de la politique 
israélienne. [Voir www.academicfreedom.ca]
Note du Saker Francophone

Il a aussi publié une longue étude sur les tenants et les aboutissants de la globalisation.

Traduit par Vincent, relu par Olivier pour le Saker Francophone

Notes

  1. « No Ivory Tower – book » écrit par Ellen W. Schrecker
  2. Interview radiophonique du Dr. Barbara Starfield: CHUO 89.1 FM, Ottawa; 21 janvier 2010
  3. Nature 449, 382-383 (2007)
  4. « Global Warming: Truth or Dare? – essay » par Denis G. Rancourt
  5. « Questioning Climate Politics – Denis Rancourt says the ‘global warming myth’ is part of the problem »; April 11, 2007, interview par The Dominion
  6. Climate Guy blog
  7. « The Corporate Climate Coup – essay » par David F. Noble
  8. “Canadian Education as an Impetus towards Fascism – essay” par Denis G. Rancourt
  9. « Pedagogy of the Oppressed – book » par Paulo Freire
  10. “The Ignorant Schoolmaster – book” par Jacques Rancière



Forbes: La guerre du réchauffement de la planète contre le capitalisme: une leçon d’histoire importante

[Source : Conscience du peuple]

*
Cet article du Forbes, publié en janvier 2013, est incroyablement
révélateur, voire même la preuve de la fabrication du 
« réchauffement climatique d’origine anthropique ». Vous
comprendrez les origines de cette prétendue « urgence
climatique » menaçant l’humanité d’une catastrophe certaine,
nécessitant un effort unifié des grandes puissances pour susciter
une intervention politique mondiale concertée. Obliger tous les pays
du monde à se soumettre aux diktas du lobby de la « taxe
carbone », création de « ceux qui font pousser l’argent dans
les arbres » et qui font croire que le CO2 contribue au
réchauffement planétaire alors qu’il enrichie la croissance de la
forêt dans laquelle ils récoltent leur papier-monnaie! Sans compter
que ces faussaires et imposteurs ont réussi à taxer l’air! Faut le
faire…

Lors de
la dernière réunion alarmiste des Nations Unies sur le climat à
Doha (2012), le Qatar a connu une sorte de crise provoquée par un
homme sous la forme d’un typhon nommé Christopher
Monckton, troisième vicomte de Benchley, conseiller de l’ancienne
Première ministre Margaret Thatcher et climatologue. Occupant
temporairement un microphone vacant attribué à un délégué de
Birmanie, il a donné à tout l’auditoire une nouvelle très
terrifiante… « depuis
16 ans que nous assistons à ces conférences, il n’y a eu aucun
réchauffement climatique ».

Si ce
n’était pas assez effrayant, entre blasphème et chahuts, Moncton
foudroie l’assemblée en poussant le blasphème le plus total: « Si
nous prenons action comme ils le proposent toujours, le prix de cela
serait bien plus élevé que de prendre des mesures d’adaptation plus
tard. Donc, notre recommandation est que nous devons nous engager
très rapidement à une révision de la science [du climat, des
rapports du GIEC] afin de nous assurer que nous sommes tous sur la
bonne voie. »

Oui,
vous avez bien lu. Il a eu l’audace d’interroger la « science »
derrière les demandes de fonds basées sur la crise climatique de
l’ONU. Et en réalité, ce n’est vraiment pas une si mauvaise idée.

Pour
commencer, rappelons-nous quelques décennies avant cette nouvelle
science, une petite histoire remontant aux années 1970 et au début
des années 1980, lorsque les pays du tiers monde, par la force du
nombre, et les partis verts socialistes européens ont pris le
contrôle des Nations Unies. Ils ont rapidement commencé à réclamer
un nouvel ordre économique international.

À la
fin des années 1980, une peur basée sur des modèles climatiques
théoriques et primitifs qui prédisaient que les émissions de
carbone d’origine humaine provoquaient un réchauffement planétaire
sans précédent et dangereux a parfaitement servi ces objectifs. En
réponse, les Nations Unies ont rapidement établi une
Convention-cadre sur le changement climatique (FCCC) pour organiser
des conférences, ainsi que le Groupe d’experts intergouvernemental
sur l’évolution du climat (GIEC) chargé de mener des études
scientifiques.

[Le
marché du « crédit carbone »: un marché payant pour le
lobby du réchauffement climatique et pour certaines méga
industries!]

La
stratégie centrale de la FCCC pour lutter contre ce qui était promu
comme un changement climatique «anthropique» (créé par l’homme)
était brillante… donner des « crédits carbone » aux
industries de combustibles fossiles qui réduisent leurs émissions
de dioxyde de carbone, puis laisser les autres industries qui
produisent des quantités d’émissions de CO2 en excès acheter des
« crédits carbone » d’elles. En d’autres termes, ils
créeraient un marché commercial pour acheter et vendre de l’air!

Ce
programme commercial du « crédit carbone » serait mis en
œuvre à l’échelle internationale, pays par pays, par le biais du
protocole de Kyoto, pénalisant les pays développés qui émettent
beaucoup de CO2 en les forçant à acheter des crédits à des pays
moins développés (gratuits pour eux). La Chine et l’Inde, qui
émettent d’énormes quantités de CO2, ont obtenu un
laissez-passer en raison de leur statut de pays en développement.

Coup
d’envoi de la clameur de la crise climatique à l’ONU

Le
Directeur exécutif du Programme Environnement de la FCCC, Maurice
Strong [qui a organisé le premier Sommet de l’ONU sur le
climat (Earth) à Rio de Janeiro (1992)] a exposé d’une manière
très franche une priorité sous-jacente: « Nous
pouvons arriver au point où la seule façon de sauver le monde sera
d’amener la civilisation industrialisée à s’effondrer. N’est-ce
pas notre responsabilité d’y arriver? »

En
1966, Maurice
Strong démissionne du poste de PDG de la Power
Corporation du Canada pour prendre la tête de la future
Agence canadienne de développement international. De la fin 1970 à
la fin 1972, il est secrétaire général de la Conférence des
Nations unies sur l’environnement. Cette même année 1972, il
participe également à la fondation
Rockefeller en tant qu’administrateur et membre du comité
exécutif. De 1976 à 1978, il est CEO de Petro-Canada.

Il est l’un des membres fondateurs du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) créé en novembre 1988 à la demande du G7 par deux organismes de l’ONU : l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE).

Strong [qui a fréquenté les multimilliardaires de ce monde toute sa vie] n’a laissé aucun doute vers où et vers qui diriger les blâmes concernant les problèmes mondiaux, il a déclaré dans le rapport de la conférence : « Il est clair que les modes de vie et les modes de consommation actuels de la classe moyenne aisée… impliquant une consommation élevée de viande, la consommation de grandes quantités d’aliments surgelés et de commodité, la propriété de véhicules à moteur, de terrains de golf, de petits appareils électriques, de la climatisation domestique et commerciale et de logements de banlieue n’est pas durable… Un changement est nécessaire pour adopter des modes de vie moins axés sur des modes de consommation dommageables pour l’environnement « .

L’ancien
sénateur américain Timothy Wirth (D-CO), qui représentait alors
l’administration Clinton-Gore en tant que sous-secrétaire
d’État américain pour les questions mondiales, a rejoint Maurice
Strong pour s’adresser au public lors du Sommet sur le climat. Il a
déclaré : « Nous
devons surmonter le problème du réchauffement climatique. Même si
la théorie du réchauffement de la planète est fausse, nous agirons
comme il convient en termes de politique économique et de politique
environnementale. »

S’adressant
également à la conférence de Rio, Richard
Benedick, assistant d’État adjoint, qui a ensuite dirigé les
pisions de la politique du département d’État américain, a convenu
que le protocole de Kyoto devrait être approuvé, qu’il ait ou non
un rapport avec le changement climatique:  « Un
traité sur le réchauffement climatique doit être appliqué même
s’il n’existe aucune preuve scientifique concernant l’effet de
serre [renforcé par l’humain] ».

Timothy
Wirth avait déjà été un proche collègue du sénateur Al Gore,
sénateur de l’époque, et l’avait aidé à organiser ses audiences
du Comité sénatorial des sciences, de la technologie et de l’espace
en 1988, qui avaient déclenché une frénésie du réchauffement
planétaire au cours d’un été chaud sur la Côte Est cette
année-là. Dans une interview
avec PBS Frontline Wirth a raconté: « Nous
avons appelé le bureau météorologique pour savoir quel jour serait
le plus chaud de l’été et nous avons programmé l’audience ce
jour-là et bingo, ce jour a été le plus chaud jamais enregistré à
Washington… nous sommes allés la nuit précédente de l’audience
ouvrir toutes les fenêtres pour que la climatisation ne fonctionne
pas, pour qu’il fasse chaud dans la salle. »

Considérez
que si le climat est généralement défini sur une période d’au
moins trois décennies, le spectacle du sénateur Al Gore, alors
soigneusement mis en scène, ne s’est produit que légèrement plus
d’une décennie après que de nombreux scientifiques eurent prédit
une crise inverse. L’un de ceux-ci était le regretté professeur
Stephen Schneider de l’Université de Stanford, auteur de The Genesis
Strategy, un livre de 1976 qui mettait en garde contre les risques
liés à un refroidissement mondial, constituant une menace pour
l’humanité. Schneider a ensuite modifié cette vue à 180 degrés,
devenant l’auteur principal des éléments importants de trois
rapports séquentiels du GIEC.

Entre
1994 et 1996, lorsque le sénateur Wirth est devenu sous-secrétaire
d’État aux affaires mondiales au sein de l’administration
Clinton-Gore, il a commencé à collaborer étroitement avec Enron
pour faire pression sur le Congrès afin d’accorder à l’EPA le
pouvoir de contrôler le CO2 . Dans les années 1990, Enron était
devenue propriétaire du plus grand gazoduc existant hors de Russie,
un réseau inter-États colossal. Mais comme ce combustible, qui
faisait face à une concurrence féroce sur le marché avec le
charbon, l’entreprise recherchait l’aide nécessaire à
Washington pour faire pencher la balance. Le battage médiatique
croissant à propos de la crise du réchauffement de la planète
annoncée par les auditions très médiatisées du Congrès de 1988,
par le sénateur Al Gore, a été une opportunité de rêve.

Les
Sénateurs Wirth et John Heinz (R-PA) avaient récemment coparrainé
le «Projet 88», qui devait permettre de transformer les problèmes
environnementaux en opportunités commerciales. L’alarme
suscitée par les médias concernant les pluies acides avait fourni
une base à une législation permettant de créer des marchés pour
l’achat et la vente de crédits d’excès de dioxyde de soufre
(SO2) et dioxyde d’azote, et le Projet 88 est devenu le Clean Air
Act de 1990.

Depuis
qu’Enron est devenu un acteur majeur du marché du SO2, cela a amené
cette société et d’autres à se demander… pourquoi ne pas faire
la même chose avec le CO2? Étant donné que le gaz naturel est
moins émetteur de CO2 que le charbon, ce développement changerait
certainement la rentabilité. Mais il y avait un problème.
Contrairement au SO2, le CO2 n’était pas un polluant, du moins pas à
l’époque, et l’EPA n’avait aucun pouvoir pour le réglementer.

Une
lettre datée du 1er septembre 1998, adressée au président Clinton
par Kenneth Lay, président d’Enron, lui demandait de «modérer
les aspects politiques» de la discussion sur le climat en nommant
une «commission du ruban bleu». Son intention était claire:
éliminer les mécréants de la crise climatique et couper le débat
à ce sujet. Auparavant, M. Lay avait eu des contacts directs avec la
Maison-Blanche lorsqu’il aurait rencontré le président Clinton et
le vice-président Gore le 4 août 1997 pour préparer une stratégie
américaine en vue du prochain sommet sur le climat de Kyoto en
décembre. Le protocole de Kyoto a présenté la première étape
vers la création d’un marché du carbone qu’Enron souhaitait
vivement que le Congrès soutienne.

Fin
1997, John Palmaisano, lobbyiste d’Enron, écrivait avec
enthousiasme à Kyoto: « S’il est appliqué, le [Protocole de
Kyoto] fera plus pour promouvoir les activités d’Enron que toute
autre initiative réglementaire autre que la restructuration des
industries de l’électricité et du gaz naturel en Europe et aux
États-Unis. L’approbation des échanges de droits d’émission a
été une nouvelle victoire pour nous… Cet accord sera bénéfique
pour le stock d’Enron !! »

Malheureusement
(pour Enron), cela ne devait pas être. Dans un rare esprit de
solidarité, le Sénat a adopté à l’unanimité (95-0) une
résolution bipartisane du Sénat américain Byrd-Hagel (S Res 98)
précisant que les États-Unis ne seraient signataires d’aucun
accord qui «entraînerait de nuire à l’économie des États-Unis ».
Le président Clinton, qui n’était pas étranger au pragmatisme
politique, a compris le message et n’a jamais soumis la demande
d’approbation nécessaire des États-Unis à la ratification du
Congrès.

Bien que
les États-Unis ne se soient jamais inscrits, le protocole de Kyoto a
été adopté en 1997 et est en vigueur depuis 2005. Les signataires
ont convenu de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre par
rapport aux niveaux de 1990.

Et
comment cela a-t-il fonctionné? Eh bien, le Japon, qui avait promis
une réduction de 6%, a plutôt enregistré une augmentation de 7,4%
malgré 20 ans de stagnation économique; L’Australie, qui s’est
engagée à laisser le carbone n’augmenter que de 8%, a connu une
augmentation de 47,7%; les Pays-Bas, qui ont promis une réduction de
6%, ont enregistré des émissions supérieures de 20% à la fin de
2010; et le Canada, qui s’est engagé à réduire de 6%, a enregistré
une augmentation de 24%. Dans l’ensemble, l’UE a atteint son
objectif grâce principalement au marasme économique, à la
fermeture d’industries inefficaces de l’ère soviétique et à
l’exportation de la production industrielle à l’étranger pour
échapper aux pénalités de plafonnement et d’échange. À
l’instar du Canada, la Nouvelle-Zélande, la Russie et le Japon ont
maintenant renoncé à l’accord.

(….)

Leçons
de science politique du GIEC

En 2006,
l’Institut de recherche en politiques publiques (IPPR), un groupe de
réflexion qui soutient les réductions de CO2, a fourni une analyse
des circonstances entourant les débats sur le réchauffement
climatique qui se déroulaient au Royaume-Uni: « Le
changement climatique est caractérisé par un lexique incorporant un
ton urgent et des codes cinématiques. Il utilise un registre quasi
religieux de mort et de malheur et utilise un langage d’accélération
et d’irréversibilité.”
 Le IPPR a même qualifié
l’alarmisme concernant le climat comme du « climate porn »!

Mike
Hume, directeur du Centre britannique de recherche sur le changement
climatique, a reconnu que même si le changement climatique est réel
et que les êtres humains peuvent y contribuer, « nous devons
prendre une profonde respiration et faire une pause. Le langage de la
catastrophe n’est pas le langage de la science. »

La
situation épeurante sur le climat que les médias mondiaux martèle
allègrement vient du GIEC, un organe de l’ONU, organisation
hautement politisée qui n’effectue aucune recherche climatologique
originale. Au lieu de cela, il publie simplement des évaluations sur
la base d’enquêtes prétendument indépendantes et de recherches
publiées. Toutefois, certaines de ses conclusions les plus
influentes, résumées dans ses rapports, n’ont été ni fondées
sur des recherches véritablement indépendantes, ni correctement
validées par le biais de processus acceptés par les pairs.

Un
exemple est un rapport de 1996 du GIEC qui utilisait des données
sélectives, des graphiques falsifiés et des modifications de texte
apportées après l’approbation par les scientifiques de
l’évaluation et avant leur impression. Frederick Seitz, physicien
de renommée mondiale et ancien président de l’Académie nationale
des sciences des États-Unis, de l’American Physical Society et de
l’Université Rockefeller, a écrit dans le Wall Street Journal : « Je
n’ai jamais assisté à une corruption plus inquiétante que ce
processus d’évaluation par les pairs que les événements ayant
conduit à ce rapport du GIEC. ”

Plusieurs
dizaines de milliers de scientifiques ont officiellement protesté
contre les pratiques non scientifiques du GIEC. Certains critiques
incluent d’anciens alarmistes du changement climatique. James
Lovelock, un scientifique de renom, a prédit que la poursuite des
émissions de CO2 par l’homme entraînerait une calamité climatique.
En 2006, il a déclaré: « Avant la fin du siècle, des milliards
d’entre nous vont mourir et les quelques couples de reproducteurs qui
survivront seront dans l’Arctique, où le climat restera tolérable. »

Récemment,
cependant, il a manifestement réagi au réchauffement climatique en
tant que crise, reconnaissant à MSNBC qu’il avait exagéré le cas
et maintenant reconnu que: « nous ne savons pas ce que le climat
fait. Nous pensions savoir il y a 20 ans. Cela a conduit à des
livres alarmistes… le mien inclus… parce que ça avait l’air
évident… mais ce n’est pas arrivé. » Lovelock a souligné:
« Une vérité qui dérange » d’Al Gore et « The Weather
Makers » de Tim Flannery comme autres publications alarmistes.

Le
Dr. Fritz Vaherenholt, un des fondateurs du mouvement écologiste
allemand qui dirigeait la pision des énergies renouvelables de la
deuxième plus grande entreprise de services publics du pays, est un
autre ancien alarmiste du réchauffement climatique qui est
maintenant un critique acharné du GIEC. Son récent ouvrage
intitulé « Le soleil froid: Pourquoi le désastre climatique ne
se produira-t-il pas », dénonce le GIEC d’incompétence
flagrante et de malhonnêteté, notamment en ce qui concerne
l’exagération alarmante de l’influence climatique des émissions de
CO2 provenant de l’homme.

Vahrenholt
n’est pas le seul scientifique allemand important à avoir découvert
que les prévisions du GIEC sur le réchauffement planétaire sont
exagérées. Hans Joachim Schellnhuber, directeur de l’Institut de
recherche sur l’impact du climat de Potsdam, est également le
conseiller du gouvernement allemand en matière de protection du
climat. Schellnhuber a co-écrit un article réfutant la fiabilité
des modèles climatiques mondiaux sur lesquels étaient fondées
leurs prévisions alarmistes pour 2001, concluant que les tendances
en matière de gaz à effet de serre de CO2 étaient clairement
surestimées.

Schellnhuber
a récemment admis dans un discours à des experts agricoles que « des
températures plus chaudes et des concentrations plus élevées de
CO2 dans l’air pourraient très bien conduire à des rendements
agricoles plus élevés ».

Peter
Moore, cofondateur de Greenpeace, a déclaré lors de sa
comparution sur Fox Business News aux côtés de Stewart Varney en
janvier 2011, que les avantages d’un réchauffement planétaire, dans
la mesure où cela se produit pour une raison quelconque, sont
grandement sous-estimées: « Nous
n’avons aucune preuve que nous sommes la cause du réchauffement
climatique survenu au cours des 200 dernières années …
L’alarmisme nous pousse par des tactiques alarmistes à adopter des
politiques énergétiques qui vont créer une énorme quantité de
pauvreté énergétique chez les pauvres, ce n’est ni bon pour les
hommes, ni pour l’environnement … Dans un monde plus chaud, nous
pouvons produire plus de nourriture. »

Quand
on a demandé à Moore qui était responsable de la promotion de la
peur injustifiée et quelles étaient leurs motivations, il a
déclaré: « Une puissante convergence d’intérêts.
Des scientifiques à la recherche de subventions, des médias à la
recherche de titres, des universités à la recherche d’énormes
subventions, des institutions, des fondations, des groupes
environnementaux et des politiciens voulant faire croire qu’ils
sauvent les générations futures. Et tous ces gens ont convergé sur
cette question. »

S’il
ne fait aucun doute que la crise climatique artificielle génère des
industries scientifiques de plusieurs milliards de dollars et de
réglementation énergétique EPA, l’ONU a des objectifs beaucoup
plus ambitieux. Comme l’a dit Christine Stewart, alors ministre
canadienne de l’Environnement, devant les rédacteurs et les
journalistes du Calgary Herald en 1998, « Peu importe si
la science du réchauffement planétaire est fausse… le changement
climatique [fournit] la plus grande opportunité de rendre justice et
l’égalité dans le monde. « 

Et,
comme le reconnaît un responsable du GIEC, Ottmar Edenhofer, en
novembre 2010, « … il
faut se libérer de l’illusion que la politique climatique
internationale est une politique environnementale. Au lieu de cela,
la politique de lutte contre le changement climatique concerne la
manière dont nous redistribuerons de facto la richesse mondiale …
« 

(…)

Pensez
également aux paroles d’un discours prononcé par le président
français Jacques Chirac, qui
soutenait un objectif clé du protocole de Kyoto en Europe
occidentale: « Pour
la première fois, l’humanité instaure un véritable instrument de
gouvernance mondiale, qui devrait trouver sa place dans le monde.
L’Organisation pour l’environnement que la France et l’Union
européenne souhaiteraient voir instaurer. »

Les
rapports du résumé à l’intention des décideurs du GIEC proposent
des recommandations pour la répartition de la richesse et la
redistribution des ressources, y compris les économies régionalisées
(petites) afin de réduire la demande de transport, réorientant les
modes de vie de la consommation, le partage des ressources via la
copropriété et encourageant les citoyens à profiter de leur temps
libre.

[Traduction
partielle de l’article trouvé sur:

https://www.forbes.com/sites/larrybell/2013/01/22/the-u-n-s-global-warming-war-on-capitalism-an-important-history-lesson-2/#5f7c450229be

Global Warming Petition Project est une pétition lancée en 1998 qui a été signée par 31 487 scientifiques, dont plus de 9 000 titulaires d’un doctorat en science de l’atmosphère, sciences de la Terre, climatologie et environnement. Aucun de ces scientifiques hautement respectés n’acceptent la théorie du réchauffement climatique.