Le réseau 5G périlleux – La vitesse au lieu de la sécurité

[Version française non corrigée : http://www.relaxation-sante.com/]

[Source : The Truth About Cancer — (La vérité sur le cancer)]

Le réseau 5G périlleux – La vitesse au lieu de la sécurité

Par Ty Bollinger

Close up of group of friends reading messages on smartphones and using wifi

Aujourd’hui, la plupart des Américains sont constamment connectés au monde de l’information numérique via les smartphones et autres appareils mobiles. On estime que 95% possèdent un type de téléphone portable, tandis que 77% possèdent un smartphone – qui fonctionne actuellement sur la technologie 4G.1,2

Selon des experts techniques, au moins une centaine d’opérateurs de télécommunication du monde entier se préparent à passer à la technologie 5G, qui devrait être pleinement déployée d’ici 2020. Il sera nécessaire de faire fonctionner les 28 milliards d’appareils en ligne estimés en ligne. avant 2021.2 Avant de poursuivre, comprenons ce que signifient tous ces «G» et ce à quoi la 5G est conçue.

Qu’est-ce que la 5G et que fera-t-il?

Le «G» en 3G, 4G et 5G signifie «génération». La première technologie de téléphonie sans fil a marqué l’apparition de la première génération. Plus tard, la 2G a commencé lorsque les gens ont pu envoyer des messages texte entre leurs téléphones.

L’avènement de la 3G a permis aux gens de passer des appels, envoyer des SMS et de naviguer sur Internet à l’aide de leur téléphone, tandis que la 4G offrait un accès sans fil plus rapide et une meilleure connectivité. L’évolution à long terme (LTE) a donné à la 4G un accès encore meilleur et des vitesses plus rapides.

La 5G a été conçue pour étendre considérablement la technologie 4G LTE afin d’augmenter considérablement la capacité de stockage, tout en augmentant les vitesses de connexion et de navigation.

À l’heure actuelle, les entreprises de sans fil en sont encore au stade des tests et des prototypes en ce qui concerne la technologie 5G. Cependant, la 5G est déjà en cours de déploiement dans plusieurs villes test, notamment Sacramento, Washington DC, Atlanta, Dallas, Miami et New York.3

Selon Verizon, lorsqu’elle se matérialisera enfin, la 5G fournira « environ 50 fois le débit de la 4G LTE actuelle, une latence de quelques millisecondes » et sera en mesure de «gérer de manière exponentielle davantage d’appareils connectés à Internet», ce qui devrait «prendre en charge la [… ] explosion de l’Internet of Everything ».2

La technologie 5G devrait avoir des effets positifs sur le support client, la productivité des employés et la qualité des produits. Les joueurs, qui dépendent des connexions hautes performances nécessaires pour jouer sur les réseaux mobiles, vont également adorer la 5G.

La 5G aura également un impact considérable sur ce qu’on appelle «l’Internet des objets» – le réseau d’appareils physiques, de véhicules et d’appareils ménagers contenant l’électronique et les logiciels qui leur permettront de se connecter efficacement les uns aux autres, tout en collectant des données. et échanger des informations.

Il ne fait aucun doute que le lancement de la 5G entraînera une augmentation spectaculaire de l’utilisation du téléphone portable, du nombre d’émetteurs, ainsi que du nombre et de la variété d’appareils compatibles avec Internet.

woman feeling pain from cell phone

C’est très excitant du point de vue technologique, mais que signifie la 5G pour notre santé et notre bien-être, d’autant plus qu’il a déjà été prouvé qu’une exposition à un rayonnement équivalent à celui d’une tour de téléphonie cellulaire provoquait le cancer chez des souris lors d’expériences en laboratoire?4

Voyons comment la 5G sera déployée pour comprendre les effets qu’elle est susceptible d’avoir sur notre santé.

Comment la 5G sera-t-elle déployée?

Pour permettre le déploiement 5G, les fournisseurs de services sans fil utiliseront des ondes submillimétriques et millimétriques dans des gammes de fréquences comprises entre 6 GHz et 100 GHz et au-delà, de sorte que davantage de données puissent être transmises dans le même délai.3,5

Cependant, ces ondes haute fréquence ne peuvent pas transporter de données très loin.Pour les utiliser, les entreprises de téléphonie mobile devront mettre en place une vaste infrastructure comprenant littéralement des milliers de petits émetteurs afin d’accroître la portée et la capacité du signal. On estime qu’un émetteur devra être placé tous les deux à dix maisons séparément.3

Pourquoi devrions-nous nous préoccuper de cela?

Les champs électromagnétiques (CEM) non ionisants sont générés par des appareils émettant des rayonnements RF, notamment des téléphones portables, des téléphones sans fil et leurs stations de base, une connexion Wi-Fi, des antennes de diffusion, des compteurs intelligents et même des moniteurs pour bébé. Les dispositifs et infrastructures électroniques utilisés pour fournir de l’électricité générant des champs électromagnétiques à très basse fréquence produisent également des champs électromagnétiques.

La proximité de ces appareils, des tours de téléphonie mobile et des émetteurs augmente le risque d’effets néfastes sur la santé du fait de l’exposition aux CEM. L’augmentation massive du nombre d’émetteurs requis pour permettre le déploiement de la 5G signifie qu’il peut devenir impossible d’éviter l’exposition.

cell phone tower

Malgré les protestations communautaires et les litiges municipaux, de nombreux gouvernements d’États, ainsi que le gouvernement fédéral, souhaitent autoriser l’installation d’émetteurs 5G devant les maisons sans le consentement des propriétaires.6

La perspective de tant d’émetteurs émettant des radiations a alarmé les experts de la santé qui s’inquiètent à juste titre de leurs éventuels effets néfastes sur notre santé, en particulier compte tenu des résultats préliminaires d’une étude du gouvernement fédéral.7

Le déploiement de la 5G entraînera des niveaux de RF supérieurs à ceux de la 3G et de la 4G

Les documents montrent que les entreprises sont conscientes du fait que le déploiement de la 5G entraînera des niveaux plus élevés de rayonnements radiofréquences nocifs à proximité des émetteurs 5G, par rapport aux 3G et 4G.8 Selon un expert de haut niveau dans le domaine des champs électromagnétiques et de la santé chez Ericsson Research, le déploiement proposé du réseau 5G présentera des défis difficiles – telles que des évaluations plus complexes de la conformité aux CEM et des exigences de conception de site, ainsi que des zones d’exclusion plus vastes.8

Des pays tels que la Chine, l’Inde, la Pologne, la Russie, l’Italie et la Suisse ont des limites de rayonnement inférieures à celles des États-Unis. Jusqu’à présent, ils ont refusé l’autorisation du déploiement de la 5G, car l’accroissement correspondant des niveaux de rayonnement dépasserait ces limites.

Selon Ericsson, si la limite nationale des champs électromagnétiques pour un pays donné est le dixième de la limite standard internationale proposée en 1998 par la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP) 9, la taille de la zone out « très difficile ». Si la limite nationale était égale à un centième de celle de l’ICNIRP, la taille de la zone d’exclusion rendrait apparemment le déploiement de la 5G «un problème majeur, voire impossible».

La 5G affectera-t-elle notre santé?

Avant de discuter des ramifications de la 5G sur la santé, tenez compte de ceci: des preuves scientifiques publiées et examinées par des pairs indiquent que même les technologies sans fil actuelles d’exposition aux radiofréquences posent un risque grave pour la santé des êtres humains, des animaux, des plantes et de l’environnement.3

Par exemple, il a été démontré que les fréquences sans fil dans la plage millimétrique et submillimétrique interagissent directement avec notre peau, en particulier les glandes sudoripares. Notre peau est notre plus grand organe. L’ICNIRP, tout en élaborant des recommandations sur les limites d’exposition du public, semble envisager de classer notre peau comme une extrémité. En d’autres termes, notre peau serait classée dans la catégorie des membres plutôt que de la tête ou du torse, ce qui lui permettrait d’être exposée à plus de radiations que ce qui serait autrement autorisé.3

Dans son rapport «Un avenir sans fil 5G: cela nous donnera-t-il une nation intelligente ou contribuera-t-il à un pays insalubre?». Cindy Russell soulève d’autres préoccupations concernant la sécurité de base des technologies sans fil actuellement utilisées10. Elle souligne que les fréquences 5G proposées n’ont pas été testés pour la sécurité à court ou à long terme.

5G LTE

Le rapport de M. Russell, fondé sur un examen des dizaines d’études réalisé en 1998,11 explique les fondements scientifiques de l’électrosensibilité et des dommages biologiques causés par les CÉM. Il détaille en outre les nombreux effets indésirables des fréquences de la 5G, notamment les arythmies, la variabilité du rythme cardiaque, les effets bactériens, la résistance aux antibiotiques, les effets sur le système immunitaire, les effets de la chromatine, les effets tératogènes, la modification de l’expression des gènes et la cataracte.10,11

Le Dr. Russell prévient: « La possibilité d’induction d’effets néfastes sur la santé par une irradiation locale de faible intensité MMW (ondes millimétriques) est potentiellement importante pour la définition de normes de santé et de sécurité et requiert une attention particulière. »

Pour protéger la santé publique, le Dr Russell recommande, entre autres, les étapes suivantes :

  • Déploiement des technologies 5G uniquement après l’achèvement d’études sur leur impact sur la santé
  • Création d’une agence multidisciplinaire indépendante chargée de définir les règles de sécurité, les tests avant commercialisation et les besoins en matière de recherche dans un environnement transparent avec la participation du public
  • Étiquetage des informations sur les champs électromagnétiques sur les dispositifs, ainsi que des avertissements de précaution appropriés.

Il a également été démontré que les champs électromagnétiques déclenchent le stress oxydatif,10 défini comme un déséquilibre entre les radicaux libres et les espèces réactives de l’oxygène et leur élimination par des mécanismes de protection appelés antioxydants. Ce déséquilibre est connu pour déclencher de nombreuses maladies aiguës et chroniques.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) classe actuellement les champs électromagnétiques associés aux RF comme «potentiellement cancérogènes pour l’homme».3,5 Toutefois, selon une récente monographie publiée dans la revue Environmental Research, l’utilisation du téléphone portable est associée à un risque accru de lésions cérébrales, tumeurs du nerf vestibulaire et des glandes salivaires, ainsi qu’un risque potentiellement plus élevé de cancers du sein, des testicules et de la thyroïde.12

Sur la base de ces preuves, les auteurs de la monographie recommandent que la catégorisation actuelle du RFR par le CIRC en tant que cancérogène possible pour l’homme soit transformée en cancérogène pour l’homme.

Les champs électromagnétiques peuvent sérieusement compromettre notre santé. Malheureusement, comme il s’agit de la première génération à être exposée dès sa naissance à des niveaux de radiofréquences artificiels aussi élevés, il faudra des années, voire des décennies, pour que toutes les conséquences sur la santé soient connues.

Pour ces raisons, de nombreux experts recommandent vivement que des recherches sur les effets de la 5G sur la santé humaine soient menées et que les limites d’exposition existantes soient réexaminées et révisées afin de garantir la protection des personnes et de l’environnement.

Par exemple, M. Russell appelle les longueurs d’ondes RF auxquelles nous sommes actuellement exposés «une toxine pour les systèmes biologiques» et recommande un moratoire sur le déploiement de la 5G, ainsi que la création de conseils consultatifs indépendants sur la santé et l’environnement, composés de membres possédant une expertise spécifique des effets biologiques de Exposition RF.13

Les études du programme national de toxicologie

La FDA a chargé le National Toxicology Program (NTP) d’étudier l’exposition aux RF des téléphones portables car, comme nous l’avons déjà vu, la plupart des Américains l’utilisent. En outre, les directives de sécurité actuelles visent uniquement à protéger les utilisateurs contre les blessures graves en raison de la chaleur générée par les téléphones cellulaires, alors que les effets potentiels sur la santé d’une exposition à long terme au rayonnement des téléphones portables sont mal connus. Certaines études humaines ont montré des preuves limitées d’un risque accru de cancer lié à l’utilisation d’un téléphone cellulaire.

Pour ces études, les rats ont été exposés à des fréquences 2G et 3G de 900 et 1900 mégahertz – actuellement utilisées dans les appels vocaux et les textos aux États-Unis – pendant un total d’un peu plus de 9 heures par jour, pendant 10 minutes à 10 heures et 10 minutes. minute par incréments. Des résultats partiels, rapportés en mai 2016, ont révélé une faible incidence de tumeurs dans le cerveau et le cœur de rats mâles.7 Des tumeurs ont été rapportées ailleurs, chez des rats mâles et femelles, mais ces résultats ne sont pas encore concluants.14

microscope

Les résultats complets de ces études, attendus plus tard en 2018 ou début 2019, aideront le gouvernement fédéral à mieux comprendre les risques, pour la santé, de l’exposition aux rayonnements des téléphones cellulaires et joueront probablement un rôle important dans la détermination des futures politiques gouvernementales en matière de sécurité d’utilisation du téléphone cellulaire.

Un appel extraordinaire

Le numéro de décembre 2015 de l’European Journal of Oncology contient un document extraordinaire appelé «International EMF Scientist Appeal» (Appel international de scientifiques de la FEM), dans lequel plus de 240 scientifiques de 40 pays – qui sont eux-mêmes activement engagés dans l’étude des effets biologiques et sur la santé des substances non ionisantes. CEM – ont publié une déclaration selon laquelle le poids global des preuves rapportées dans les études scientifiques examinées par des pairs est fortement favorable à la prise de mesures de précaution supplémentaires pour réduire ou éliminer l’exposition.15

Cet appel a été soumis aux Nations Unies, à l’OMS et au Programme des Nations Unies pour l’environnement, ainsi qu’à tous les pays membres des Nations Unies.

Le paragraphe d’introduction dit :

De nombreuses publications scientifiques récentes ont montré que les CEM affectent les organismes vivants à des niveaux bien inférieurs à la plupart des directives internationales et nationales. Les effets incluent un risque accru de cancer, un stress cellulaire, une augmentation des radicaux libres nocifs, des dommages génétiques, des changements structurels et fonctionnels du système reproducteur, des déficits d’apprentissage et de mémoire, des troubles neurologiques et des effets négatifs sur le bien-être général de l’homme. Les dommages vont bien au-delà de la race humaine, car il existe de plus en plus de preuves d’effets nocifs sur la vie tant végétale qu’animale.

puppy smelling flower

Selon les scientifiques qui ont rédigé le présent appel, les agences responsables de la mise en place de normes de sécurité ont échoué à créer et à appliquer des directives appropriées pour protéger notre santé et notre bien-être, en particulier les enfants, qui sont plus sensibles aux CEM.

Par exemple, en 1998, l’ICNIRP a publié les «Lignes directrices pour limiter l’exposition aux champs électriques, magnétiques et électromagnétiques variables dans le temps (jusqu’à 300 GHz)».9 Ces lignes directrices sont acceptées par l’OMS et de nombreux pays. En fait, l’OMS a appelé toutes les nations à adopter ces directives afin d’encourager la normalisation mondiale des normes de sécurité relatives aux CEM.

En 2009, l’ICNIRP a publié un communiqué dans lequel elle affirmait réaffirmer ses principes directeurs de 1998, car apparemment, la littérature scientifique publiée depuis «ne fournit aucune preuve d’effets néfastes inférieurs aux restrictions de base et ne nécessite pas de révision immédiate de ses principes limiter l’exposition aux champs électromagnétiques à haute fréquence ».16

Plus de 240 scientifiques ayant signé l’appel sont en profond désaccord avec l’ICNIRP. Ils affirment que de plus en plus de preuves scientifiques contredisent les affirmations de la CIPRNI – autrement dit, que ces directives sont insuffisantes pour protéger la santé publique.

L’OMS a adopté la classification du CIRC des champs électromagnétiques à très basse fréquence en 2002 et la RF en 2011. Selon cette classification, les champs électromagnétiques sont un possible cancérigène pour l’homme, comme nous l’avons noté précédemment. Malgré cela, l’OMS maintient qu’il n’y a pas suffisamment de preuves pour justifier l’abaissement des limites d’exposition aux CEM.

Les signataires de l’appel ont recommandé que le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) finance un comité multidisciplinaire indépendant chargé d’explorer d’autres options permettant de réduire l’exposition humaine aux RF et aux champs électromagnétiques à très basse fréquence.

Les signataires déclarent en outre que, même s’il est essentiel que l’industrie soit impliquée et coopère dans ce processus, elle devrait être empêchée d’influencer de quelque manière que ce soit ses processus ou ses conclusions.

Enfin, les signataires de ce document ont également demandé collectivement que des mesures soient prises pour :

  • Protégez les enfants et les femmes enceintes
  • Renforcer les directives et les normes réglementaires
  • Encourager les fabricants à développer une technologie plus sûre
  • Maintenir une qualité d’alimentation adéquate et assurer un câblage électrique approprié dans les services publics responsables de la production, du transport, de la distribution et de la surveillance de l’électricité, afin de minimiser les courants de terre nocifs
  • Informer pleinement le public des risques potentiels pour la santé liés à l’énergie électromagnétique et enseigner les stratégies de réduction des méfaits
  • Sensibiliser les professionnels de la santé aux effets biologiques de l’énergie électromagnétique et les former à traiter les patients présentant une sensibilité électromagnétique
  • Persuader les gouvernements de financer la formation et la recherche sur les champs électromagnétiques et la santé indépendamment de l’industrie, tout en imposant une coopération entre l’industrie et les chercheurs
  • Veiller à ce que les médias divulguent les relations financières des experts avec l’industrie lorsqu’ils citent leurs opinions sur les aspects liés à la santé et à la sécurité des technologies d’émission de CEM
  • Établissez des zones exemptes de radiations, appelées zones blanches.

Que pouvez-vous faire pour réduire votre exposition aux champs électromagnétiques et à l’électricité sale?

Comme nous l’avons vu, de nombreux experts s’inquiètent des effets sur la santé de l’augmentation massive proposée des émetteurs nécessaires au déploiement de la 5G et s’efforcent de nous protéger de leurs effets nocifs. En attendant, nous devons nous protéger autant que possible en attendant que les limites d’exposition existantes soient révisées. Voici quelques recommandations pour réduire ou éliminer l’exposition aux CEM nocifs et à l’électricité sale:17,18

  1. Conservez tous les appareils dans une autre pièce la nuit. Portez-les dans un sac plutôt que dans des vêtements
  2. Essayez d’avoir des conversations téléphoniques sur une ligne fixe au lieu de mettre votre téléphone cellulaire à la tête pendant de longues périodes.
  3. Les écouteurs et les chargeurs peuvent augmenter l’exposition aux CEM des téléphones portables. Ne les utilisez donc pas pendant la charge.
  4. Évitez les casques traditionnels. Optez plutôt pour des oreillettes à tube à air qui produisent un son de qualité sans exposition aux champs électromagnétiques
  5. La mise en mode avion de votre téléphone cellulaire interrompt la connectivité avec les tours, minimisant ainsi l’exposition aux radiations.
  6. Débarrassez-vous des couvertures chauffantes, des matelas à eau et des coussins chauffants électriques
  7. Utilisez un étui de téléphone de qualité conçu pour bloquer diverses formes de rayonnement.
  8. Achetez des rallonges blindées et mises à la terre et des cordons d’alimentation pour un usage domestique
  9. Modifiez le disjoncteur de votre chambre pour exclure les détecteurs de fumée, les alarmes, etc., puis désactivez-le la nuit.
  10. Utilisez des réveils à piles
  11. Laissez au moins huit pouces d’espace entre votre lit et votre mur. Le câblage (même dans les murs) peut émettre un champ magnétique important
  12. Placez votre lit le plus loin possible des sources de champs magnétiques puissants, y compris le poteau électrique, le réfrigérateur et le centre de divertissement à domicile.
  13. Oubliez les casques Bluetooth. Utilisez le mode haut-parleur pour maintenir votre téléphone aussi loin que possible de votre corps.
  14. Si vous utilisez un ordinateur portable à la maison, évitez le Wi-Fi et optez pour des connexions Ethernet câblées.
  15. Achetez un compteur de fréquence radio qui vous permettra de localiser les points chauds EMF
  16. Réduisez ou supprimez les gradateurs de lumière, les produits sans fil, les imprimantes, les scanners, les ordinateurs, les téléviseurs et autres appareils permettant d’économiser de l’énergie.

Sources et Références




Monnaies sociales et complémentaires

Dans divers endroits du monde, il existe déjà des dispositifs alternatifs aux monnaies officielles pour faciliter les échanges de travaux, de services, de produits ou de biens.
Par exemple, la page https://www.ritimo.org/Monnaies-sociales-complementaires mentionne :

Monnaies sociales & complémentaires

8 décembre 2011

Les monnaies dites sociales et complémentaires (ou Monnaies Complémentaires Communautaires, MCC) désignent des dispositifs d’échange, des outils de paiement, organisés autour d’une unité de compte spécifique, permettant d’échanger des biens et services et utilisés en complément du système monétaire officiel du pays en question (le dollar, l’euro, etc.). Largement ignorées de la science économique dominante, ces monnaies occupent pourtant une place de choix dans la recherche de modèles économiques alternatifs, et attirent de plus en plus d’intérêt des acteurs locaux. Dans le contexte français, elles s’inscrivent dans la mouvance de l’économie sociale et solidaire, mais il s’agit d’un phénomène à l’échelle mondiale, visible notamment en Amérique du Sud, en Amérique du Nord, en Europe et en Asie (notamment au Japon). Si les innovations foisonnent, notamment depuis les années 1980, leur impact réel reste encore marginal, que ça soit en termes économiques, sociaux ou environnementaux.

Définition développée

Partout où elles émergent, les sociales et complémentaires s’inscrivent dans une histoire et un contexte particuliers, et le mouvement d’ensemble se caractérise par une diversité foisonnante. D’après certaines estimations, il y aurait dans les années 2000 plus de 4000 dispositifs de ce type à l’œuvre dans le monde [1], mais ce chiffre est à prendre avec beaucoup de précaution, vu l’absence de données fiables. Par exemple l’enquête de l’économiste Jérôme Blanc sur la période de 1988-1996 a répertorié 465 monnaies dans 135 pays différents [2].
Cette diversité va au-delà des monnaies sociales et complémentaires : celles-ci ne sont en réalité qu’une partie d’une catégorie plus large, celle des « monnaies parallèles », où on retrouve également des dispositifs mis en place par les entreprises (cartes de fidélité, différentes sortes de « points » gagnés, etc.) dans un but strictement commercial, notamment pour fidéliser leurs clients. Comme ces dernières, les monnaies sociales et complémentaires circulent en parallèle de la monnaie principale du pays donné, en la complétant mais sans vouloir la remplacer. Ce qui distingue les deux groupes, ce sont les objectifs assignés aux monnaies et les motivations de leurs promoteurs : les monnaies sociales et complémentaires poursuivent des objectifs d’ordre social : cohésion territoriale, renforcement du lien social, relocalisation des échanges locaux, sobriété énergétique, consommation responsable, etc.
Ces objectifs sociaux peuvent s’appuyer sur des outils techniques différents : billets physiques ou transactions électroniques, monnaie locale ou monnaie-temps, systèmes d’échange locaux… Quelle que soient leurs modalités concrètes, explique l’économiste Marie Fare, « toutes ces monnaies ont pour caractéristique essentielle d’être restreintes dans leur usage, qu’il s’agisse d’une frontière territoriale ou d’un groupe spécifique d’utilisateurs. Cette limite représente une contrainte mais offre aussi, en retour, trois effets potentiellement positifs au regard du développement soutenable :
 relocalisation des activités ;
 stimulation des échanges locaux ;
 changement des comportements individuels [3] ».
Soulignant le lien entre monnaie, emploi et crédit, Bernard Lietaer vante les mérites du WIR qui, selon James Stodder, est un facteur explicatif de la stabilité de l’économie suisse, de par sa capacité de résilience face aux mouvements financiers mondiaux [4]. Qu’elles soient comptabilisées sur la base du temps horaire (« banques du temps » en Italie, Time dollar en Amérique du Nord), ou pour financer des prestations non couvertes par l’Assurance maladie (Fureai Kippu au Japon) ou dans le cadre d’échanges locaux (LETS, SEL, projet SOL, etc.), elles font preuve d’une réelle utilité sociale, voire écologique (Voir le cas du Projet Interreg Européen pour une monnaie de réduction carbone, avec les villes de Breme, Bristol, Bruxelles et Dublin). Certaines d’entre elles (Chiemgauer en Bavière) sont des monnaies fondantes appelées encore monnaies franches [5], qui sont périssables dans la mesure où elles se déprécient si elles sont thésaurisées et qu’elles ne circulent pas dans le cadre d’échanges.
S’inscrivant à l’encontre de l’utopie d’une suppression de l’outil monétaire, qui omet son rôle de vecteur des échanges et d’instrument de médiation sociale, les monnaies sociales et complémentaires véhiculent ainsi une autre approche de l’économie : la monnaie et le système monétaire doivent répondre aux besoins de la société, et les objectifs économiques doivent être subordonnés aux objectifs sociaux et/ou environnementaux.
Face à la compétence régalienne des États de batte la monnaie (constitutive de la souveraineté), les monnaies complémentaires supposent donc une véritable révolution des mentalités et sont, comme l’évoque Jérôme Blanc « une invite à une révision critique du concept de monnaie [6] ». Raison qui amène également Pierre Calame, dans la réflexion sur l’œconomie, à invoquer « le droit de créer des monnaies locales et la possibilité de paiement partiel des impôts locaux en monnaies locales [7] ».

Exemples

Parmi les monnaies complémentaires en circulation, on peut citer :
 le Wir Suisse, qui serait utilisé par près d’une PME sur cinq ;
 le Ithaca Hours (créée en 1997 à Ithaca, État de New York) ou le Time dollar : on signalerait l’existence de plus de 400 réseaux de la sorte en Amérique du Nord (Etats-Unis et Canada) ;
 au Japon, le Fureai Kippu ou le Yamato Love (LOcal Value Exchange, initié par la mairie de la ville de Yamato où un tiers des habitants utilisent ce système de monnaie complémentaire, chacun créant son propre sous-système à partir d’une carte à puce qui permet de comptabiliser et d’effectuer les échanges) [8] ;
 en Allemagne, le Chiemgauer, le Roland, ou encore le Regio (RegioNetzwerk, avec 28 systèmes locaux opérationnels et 35 autres en formation).
 le C3 en Uruguay : Circuito de Crédito Comercial, une monnaie alternative développée en Uruguay afin de soutenir le développement des PME et dans une perspective de relocalisation de l’économie.
 les SOL, comme le SolViolette à Toulouse [9],
 le Banco Palmas dans le Nordeste du Brésil,
 Etc.

Parmi d’autres projets de monnaies complémentaires ou parallèles :
 le Terra TRC (Trade Reference Currency), projet sur lequel travaille Bernard Lietaer , conçu pour fonctionner à l’échelle mondiale, réservé à des transactions multimillionnaires entre grandes entreprises. Le Terra « est une monnaie complémentaire dont l’objectif spécifique est d’encourager les entreprises à penser à long terme [10] » et qui « a la caractéristique « de s’appuyer sur un panier de ressources en matière première afin d’éviter le décollage par rapport à l’économie réelle [11] » ;
 les systèmes envisagés dans le cadre du programme européen EQUAL et préconisé dans le Rapport “Reconsidérer la Richesse” de Patrick Viveret ; le Saber, la création d’une monnaie favorisant la réduction carbone dans le cadre d’un projet Interreg européen, ou encore celui du WIR européen ;
 Enfin, le principe de l’Open Money ou monnaie libre développé par le français Jean-François Noubel et le Canadien Michael Linton, qui repose sur une question en apparence simple : pourquoi chacun n’aurait-il pas le droit d’inventer sa monnaie ?

Historique de la définition et de sa diffusion

Sur le plan théorique, ce débat concerne le rôle de la monnaie (et de la création monétaire) dans l’économie. Pour l’économie néoclassique (la théorie « quantitative » de la monnaie), la monnaie est un intermédiaire neutre aux échanges, un bien particulier qui facilite les échanges mais qui n’y intervient pas. Pour les critiques de cette théorie, la monnaie est au contraire un outil à la fois malléable et puissant, dont l’impact sur l’économie réelle est profond : différents systèmes monétaires façonnent différemment le comportement des agents économiques et donnent lieu à des formes d’échanges différents. Aussi Bernard Lietaer, un des principaux promoteurs des monnaies sociales et complémentaires aujourd’hui, affirme-il que « l’effet du type d’argent utilisé n’est pas neutre ni sur la transaction, ni sur la relation entre les utilisateurs [12] ; par exemple, il n’est pas neutre pour l’économie réelle que « Moins de 5% des échanges quotidiens sur les marchés financiers correspondent à des biens et services réels [13] ».
Ce courant critique parmi les économistes, qui inspire souvent les promoteurs des monnaies sociales et complémentaires, remonte à Silvio Gesell et son ouvrage L’ordre économique naturel [14]. Gesell retrace les trois fonctions de la monnaie – moyen d’échange, unité de compte et réserve de valeur – et observe les contradictions qui émergent lorsque la même monnaie est utilisée pour stimuler les activités (faciliter la production et les échanges) et pour accumuler des réserves de valeur (l’épargne qui cherche tantôt un retour sur capital maximal, tantôt la sécurité). Formulée par Gesell au début du XIXe siècle, cette analyse trouverait sa démonstration avec la Grande dépression et résonnerait dans la Théorie générale de John Maynard Keynes, malgré les critiques de ce dernier à l’égard de l’auteur de L’ordre économique naturel. En temps de crise économique, la préférence à liquidité réduit la circulation de la monnaie (réduction des crédits par les banques, préférence aux placements à vue des épargnants) et étouffe encore l’économie réelle. La solution proposée par Gesell consiste à séparer les deux fonctions en créant une monnaie « fondante » (qui perd une partie de sa valeur de façon programmée, incitant les acteurs à la dépenser et lieu d’accumuler les réserves), dédiée uniquement à stimuler les échanges. De cette distinction fondamentale découle l’idée d’une pluralité des monnaies qui est à la base des projets de monnaies sociales et complémentaires, qu’ils soient ou non inspirés des travaux de S. Gesell.

Utilisations et citations

La pluralité monétaire ne commence pourtant pas avec S. Gesell ; historiquement, c’est la pluralité et la complémentarité, et non une monnaie unique contrôlée par l’Etat central, qui est la règle. Pourtant, observe Jérôme Blanc, « nos économies contemporaines fonctionnent généralement sur la base d’un principe d’exclusivité monétaire nationale, au sens où, dans un État contemporain quelconque, la monnaie doit généralement être :
  unique car elle ne relève que d’une seule autorité et l’ensemble des instruments monétaires dérive de cette autorité ;
  exclusive car on lui confie le rôle de pouvoir d’achat généralisé et elle est la seule à posséder ce rôle. Elle est ainsi censée couvrir la totalité du champ des pratiques monétaires internes au territoire considéré,
  et propre à l’État dans le territoire duquel elle circule, au sens où l’autorité monétaire en question est l’État lui-même [15] ».

Les monnaies parallèles, qu’elles soient sociales ou autres, viennent bousculer ce principe ; d’où les controverses dont elles font l’objet. Si l’histoire moderne a vu l’instauration du monopole des Etats (ou plutôt du système bancaire formés par les banques privées et la banque centrale) sur la création monétaire, le thème de la pluralité monétaire est revenu dans les années 1920, dans le sillage de la Grande dépression. Les années d’entre-deux-guerres donneraient ainsi lieu à une série d’expérimentations monétaires dans le but de relancer l’économie locale. De cette première génération des monnaies complémentaires, ne reste aujourd’hui que la monnaie suisse WIR, utilisée actuellement par environ 60 000 PME suisses. Son intérêt principal est de fournir aux entreprises l’accès au crédit lorsque le système bancaire traditionnel le leur refuse : « Confrontées au resserrement du crédit et à la crise de liquidité, les PME suisses augmentent leurs transactions en WIR ; lorsque la conjoncture s’améliore, elles reviennent au franc suisse [16] », ce qui explique la capacité de résilience de l’économie suisse.
Une nouvelle vague de monnaies sociales et complémentaires commence au début des années 1980 ; Marie Fare parle à cet égard de quatre générations des monnaies. Les deux premières apparaissent dans les années 1980 avec les systèmes d’échange locaux (SEL) et les banques de temps. « Il s’agit de systèmes de crédit mutuel basés sur une unité de compte interne (…) ou sur le temps, donc avec l’heure d’activité comme unité de compte [17] ». Une troisième génération débute en 1991 avec l’Ithaca Hour. « Ces modèles visent à insérer la monnaie sociale dans la consommation quotidienne, et dépendent par conséquent de la participation des entreprises et des commerces locaux. Ils se veulent plus efficaces dans leur gestion et prétendent avoir plus d’impact que les générations précédentes, puisque les échanges ne concernent pas un cercle restreint des adhérents mais un territoire entier. » Le cas le plus connu mondialement est celui la monnaie brésilienne Palmas, lancée à Fortaleza en 2000.
Enfin, une quatrième génération de monnaies sociales a émergé au début des années 2000. « Elle a pour particularité de combiner plusieurs objectifs jusqu’ici demeurés séparés et d’impliquer plusieurs types d’acteurs. La complexité technique de ces projets alourdit leur coût financier et conduit leurs promoteurs à nouer des partenariats avec les collectivités locales, les entreprises, voire les organisations nationales ou internationales – et à expérimenter avant de se lancer à une échelle plus large ».

Si les innovations foisonnent [18], notamment depuis les années 1980, leur impact réel reste encore marginal, que ça soit en termes économiques, sociaux ou environnementaux. En termes de volumes échangés, la monnaie suisse WIR reste loin devant toutes les autres. Son volume des échanges s’élevait en 2008 à 1,5 milliards de francs suisses [19], un chiffre très supérieur au poids d’autres monnaies parallèles mais qui reste modique (0,35%) une fois rapporté à la masse monétaire globale.

Notes

[1Jérôme Blanc, Exclusion et liens financiers : Monnaies sociales, rapport 2005-2006, Paris : Economica, 2006, 547 p. & Marie Fare, Monnaies sociales comme outil du développement soutenable, février 2012, publié sur le site de l’Institut Veblen pour les réformes économiques : http://veblen-institute.org/Monnaies-sociales-comme-outil-du?lang=fr

[2Jérôme Blanc, Les monnaies parallèles : évaluation du phénomène et enjeux théoriques, publié sur le site de l’IRE : http://i-r-e.org/fiche-analyse-219_fr.html ; Version originale publiée dans la Revue d’économie financière, septembre 1998, n°49, pp.81-102

[3Marie Fare, Op. cit.

[4Bernard Lietaer, Créer des monnaies régionales pour traiter la crise globale, séance du 13 mai 2009 à l’Ecole de Paris du management, organisée en collaboration avec l’IRE (Initiative internationale pour repenser l’économie) et Prospective 2100, Compte rendu rédigé par Yves Dougin : http://www.i-r-e.org/bdf/docs/bl130509.pdf

[5Selon le principe popularisé par l’économiste états-unien Irving Fisher et imaginé avant lui par Silvio Gesell, selon lequel cette monnaie se déprécie à chaque période donnée, si on ne lui applique pas un timbre d’un montant équivalent à la perte

[6Cf. Jérôme Blanc, Les monnaies parallèles : évaluation du phénomène et enjeux théoriques : http://www.i-r-e.org/bdf/docs/blancmops1998hal.pdf

[7cf. Pierre Calame « essai sur l’œconomie », Éditions Charles Léopold Mayer, février 2009, http://www.i-re.org/bdf/docs/annexe_7_aot_avec_intro_agencements_institutionnels_oeconomie.pdf

[8Bernard Lietaer, Créer des monnaies régionales pour traiter la crise globale, Op.cit.

[9Sur l’engouement autour du Sol Violette, voir : Sol Violette : quatre fois plus d’utilisateurs que prévu, http://www.recma.org/node/1546

[10Terra economica (revue) N°40, Op. Cit

[11Patrick Viveret, Reconsidérer la richesse, Op.cit

[12Bernard Lietaer, 2009, Op.cit.

[13Chiffres donnés lors de sa conférence à Lille : Mutation mondiale, crise et innovation monétaire, Éditions de l’Aube, juin 2008, cité par Patrick Viveret, Reconsidérer la richesse, EDD : http://encyclopedie-dd.org/encyclopedie/developpement-durable/1-1-de-l-eco-developpement-au/reconsiderer-la-richesse.html ; et « Bernard Lietaer, a pu avancer qu’avant la crise, sur les 3 200 milliards de dollars qui s’échangeaient quotidiennement sur les marchés financiers, seuls 2,7% correspondaient à des biens et services réels !… » Vive la sobriété heureuse, Avant première de la leçon inaugurale 2009 de Patrick Viveret in Les défis de l’agriculture au XXIe siècle – Leçons inaugurales du Groupe ESA : www.vintagemaster.com/IMG/pdf/Post3_Les_defis_de_l_agri.pdf ; voir à ce sujet la carte proposée par le Monde Diplomatique : http://www.monde-diplomatique.fr/cartes/speculation

[14Gesell, Silvio, L’ordre économique naturel, traduit de l’allemand : Die natürliche Wirtschaftsordnung durch Freiland und Freigeld, 1911, 8e édition, par Swinne Félix, Marcel Rivière, Paris, 1948

[15Jérôme Blanc, 1998, Op.cit.

[16Wojtek Kalinowski (2012), Pluralité monétaire et stabilité économique : l’expérience suisse, Institut Veblen pour les réformes économiques, février 2012 : http://veblen-institute.org/IMG/pdf/pluralite_monetaire_et_stabilite_economique_fr_oct_2011_.pdf

[17cette citation et les suivantes sont extraites de Marie Fare, Monnaies sociales comme outil du développement soutenable, février 2012, Op.cit.

[18Bernard Lietaer déclare ainsi : « Lorsque j’ai commencé à m’intéresser à ce phénomène, au début des années 1990, il y avait environ 300 monnaies complémentaires dans le monde, dont le WIR. Il y en a aujourd’hui plus de 5 000 ! », cf. Bernard Lietaer, Créer des monnaies régionales pour traiter la crise globale, Op.cit

[19Gwendolyn Hallsmith & Bernard Lietaer, Creating Wealth : Growing Local Economies with Local Currencies, New Society Publishers, 2011




ALERTE DE SÉCURITÉ POUR LES FÊTES

[Source : Stoppons la 5G]

SmartPhones, montres «intelligentes» et jouets Wi-Fi exposent votre enfant aux rayonnements sans fil

Songez-vous à donner pour Noël à votre enfant son premier téléphone portable ? Ou bien un système de jeu de réalité virtuelle, une montre «intelligente» ou un jouet Wi-Fi cool? Ne faites pas cette erreur. Les téléphones intelligents et les jouets Wi-Fi présentent de graves risques pour la santé et la sécurité.

Alors que les jouets dotés du Wi-Fi, les montres «intelligentes» et certains téléphones portables sont commercialisés spécialement pour les enfants, les parents ignorent souvent que ces appareils émettent des rayonnements radiofréquences, également appelés micro-ondes. De nombreuses études ont démontré que les faibles niveaux de rayonnement sans fil non ionisant provenant des téléphones cellulaires et d’autres appareils Wi-Fi transmettant des micro-ondes peuvent avoir des effets nocifs, indiquant que les appareils sans fil présentent de graves risques pour la santé, en particulier pour les enfants.

LES EXEMPLES DE JOUETS POUR NOËL ÉMETTANT DES MICRO-ONDES COMPRENNENT…

Téléphones portables et smartphones … et oui, même les smartphones des enfants exposent les enfants aux rayonnements des micro-ondes. Les manuels d’instructions indiquent : « cet appareil génère, utilise et peut émettre de l’énergie radiofréquence ».

Montres intelligentes : l’Apple Watch porte un avertissement en petits caractères précisant que l’utilisateur doit garder une distance de 1 cm de l’antenne, alors que ce même appareil est présenté comme «portable». Mais quel parent donne à son enfant une Apple Watch et lui dit de ne pas se reposer la tête sur son bras – ce qui crée un contact corporel direct avec la montre?

Les casques de réalité virtuelle nécessitent souvent que l’utilisateur attache un téléphone mobile devant son visage, plaçant ainsi très proche de ses yeux un appareil émettant des rayonnements.

Les poupées connectées au Wi-Fi et au téléphone portable utilisent la technologie Wi-Fi et la reconnaissance vocale pour engager un dialogue bidirectionnel, mais comme cette fonction nécessite une connexion Internet sans fil, le nouvel ami de votre enfant est également un appareil radio émettant des micro-ondes qui peut enregistrer et renvoyer des informations à l’entreprise.

Les tablettes tactiles sont commercialisées auprès des enfants dès la petite enfance, mais les tablettes émettent des rayonnements micro-ondes lorsqu’elles sont connectées par voie sans fil à Internet. L’exposition peut être réduite en ne donnant la tablette aux enfants qu’en mode avion après avoir téléchargé des films ou des jeux.

Systèmes de jeux sans fil : les consoles de systèmes de jeux vidéo ont des antennes sans fil et la plupart des manuels d’instructions indiquent : « Cet équipement doit être installé et utilisé avec au moins 20 cm (8 pouces) et plus entre l’émetteur [la console] et le corps de la personne. »

Drones: les drones ont des antennes émettrices et utilisent parfois des smartphones pour communiquer.

Comme les smartphones, jouets intelligents et autres appareils intelligents pour la maison — contribuant à ce que l’on appelle l’Internet des objets — sont devenus omniprésents dans notre vie quotidienne, nous pensons rarement au fonctionnement de cette technologie. Mais cela n’a rien à voir avec la magie des fêtes : c’est un rayonnement micro-ondes. En fait, tous les appareils sans fil, des smartphones au Wi-Fi en passant par les animaux connectés, sont des radios micro-ondes bidirectionnelles qui envoient et reçoivent un type de rayonnement électromagnétique non ionisant également appelé rayonnement radiofréquence (RF) ou micro-ondes.

De nombreux médecins sont inquiets du fait que cette exposition quotidienne affectera la santé des enfants à long terme. Avant d’acheter à votre enfant un jouet Wi-Fi ou son premier téléphone portable à Noël, assurez-vous de connaître ces faits. Pour en savoir plus, visiter www.EHTrust.org.


FICHE D’INFORMATION SUR LE WI-FI ET LES TÉLÉPHONES INTELLIGENTS

1. De nouvelles études révèlent que le rayonnement micro-ondes des smartphones pourrait provoquer le cancer du cerveau

L’étude historique de 25 millions de dollars du Programme national de toxicologie du NIH/NIEHS aux États-Unis a révélé qu’une exposition quotidienne à long terme aux rayonnements des téléphones portables entraînait des cancers du cerveau et du nerf cardiaque chez les rats mâles, ainsi que des dommages à l’ADN. Des études sur des humains ayant utilisé des téléphones portables près de leur tête pendant plus de 10 ans montrent qu’ils développent les mêmes types de cancers.

2. Le rayonnement d’un smartphone est lié à des lésions cérébrales, au TDAH, à des problèmes de fertilité, etc.

Le respect des directives gouvernementales a généralement été présenté comme une protection suffisante et les téléphones portables, ainsi que les appareils sans fil sont donc considérés comme sans danger par le public. Cependant, des études révisées par des pairs montrent que de très faibles intensités de rayonnement, bien en deçà des limites réglementaires gouvernementales, peuvent gravement nuire à la santé. Même si ce rayonnement dégage moins d’énergie que les rayons X, il peut causer de nombreux problèmes de santé.

Une étude de la Yale University School of Medicine a révélé que les souris exposées aux radiofréquences avant la naissance présentaient une hyperactivité accrue, des troubles de la mémoire et un développement cérébral anormal. Cette étude est l’une des nombreuses qui ont lié le rayonnement sans fil à des impacts tels que des cellules cérébrales endommagées, une activité cérébrale altérée, des problèmes de mémoire, des maux de tête et des problèmes de sommeil. De nombreuses études indiquent que le téléphone portable et le rayonnement Wi-Fi endommagent le sperme. Les connexions entre l’exposition électromagnétique et l’autisme et le TDAH ont conduit les médecins à recommander de réduire l’exposition à ces rayonnements. Plus de 140 médecins, scientifiques et éducateurs ont signé la déclaration conjointe du projet BabySafe insistant sur la nécessité que les femmes enceintes réduisent leur exposition aux rayonnements des téléphones portables en raison des préoccupations liées aux effets de cette exposition sur le développement cérébral prénatal.

3. La réalité virtuelle avec les smartphones expose les yeux aux micro-ondes et est liée aux problèmes de vue et d’équilibre chez les enfants

Les smartphones sont placés dans un casque de réalité virtuelle (RV) pour emmener les enfants à l’aventure dans des endroits lointains, mais lorsque les chercheurs ont évalué l’exposition aux rayonnements sans fil, ils ont constaté que les intensités de rayonnement les plus élevées se trouvaient dans l’œil et le lobe frontal du cerveau alors que les téléphones étaient positionnés devant du visage. Des tests de sécurité n’ont jamais été effectués pour de telles expositions répétées aux yeux.

Même sans rayonnement d’un smartphone, la technologie RV est liée à des problèmes visuels chez les enfants en raison du placement du casque devant les yeux. Une étude récente de l’Université de Leeds a révélé qu’un jeu RV de 20 minutes a conduit à des problèmes de vue et d’équilibre chez les enfants. Comprenant que les yeux des enfants sont plus vulnérables, les instructions concernant les casques RV avertissent généralement que les casques ne doivent pas être utilisés par des enfants de moins de 13 ans, car «regarder des vidéos ou jouer à des jeux avec [un casque de réalité virtuelle] peut affecter le développement visuel des enfants. « Les ophtalmologistes et les scientifiques qui étudient le rayonnement des téléphones portables émettent aussi de tels avertissements.

4. Les téléphones portables n’ont jamais été testés pour la sécurité à long terme ni pour une utilisation par des enfants

Les téléphones portables n’ont jamais été testés avant leur mise en marché pour d’assurer de leur sécurité à long terme. Les limites de sécurité pour le rayonnement des téléphones portables ont été fixées il y a 20 ans, sur la base d’une science vieille de 30 ans, utilisant un modèle d’un grand homme adulte. Après qu’un rapport du Government Accountability Office ait recommandé un examen des lignes directrices américaines sur l’exposition humaine, la FCC a ouvert un dossier et de nombreux scientifiques ont soumis des commentaires d’experts qualifiant les normes actuelles d’«inadéquates» pour protéger les enfants. Les parents supposent qu’ils achètent des appareils et des jouets qui ont été jugés «sans danger», mais aucune agence de santé américaine n’a jamais effectué une évaluation systématique des risques pour la santé des rayonnements sans fil. Les sociétés de téléphonie cellulaire informent leurs actionnaires que les appareils sans fil peuvent présenter un risque financier, et la plupart des compagnies d’assurance excluent les dommages de responsabilité civile liés à l’exposition aux rayonnements des téléphones cellulaires en raison de leur évaluation de ce type de rayonnement comme étant à haut risque.

5. Les fabricants de jouets «intelligents», de gadgets sans fil portables et de téléphones intelligents émettent des avertissements en petits caractères qui sont impossibles à respecter

Tous les téléphones portables comportent des avertissements écrits qui indiquent aux utilisateurs de maintenir une distance minimale de séparation entre le téléphone et le corps. Les fabricants testent les rayonnements du téléphone à cette distance.

Par exemple, le manuel du Samsung LG G6 stipule à la page 158: «Pour se conformer aux exigences d’exposition RF de la FCC, une distance de séparation minimale de 0,39 pouces (1,0 cm) doit être maintenue entre le corps de l’utilisateur et l’arrière du téléphone.» Les enfants se souviennent-ils de placer leurs téléphones dans leurs poches avec l’arrière du téléphone tourné vers l’extérieur?

De nombreux jouets sans fil avertissent également de garder une distance de sécurité par rapport à l’appareil. Par exemple, il y a une montre connectée à Internet dont Verizon dit: «vous et votre enfant pouvez être heureux d’avoir cette montre». Mais seriez-vous heureux de sangler un appareil sur le poignet de votre enfant qui comporte un avertissement dans le manuel recommandant ceci : « Une distance de séparation minimale de 0,39 pouces (1 cm) doit être maintenue entre la bouche (le visage) de l’utilisateur et l’avant de l’appareil »? L’Apple Watch comporte également un avertissement précisant que l’utilisateur doit garder une distance de 1 cm de l’antenne, tandis que le même appareil est présenté comme étant «portable» directement sur la peau. Mais quel parent avertit son enfant en lui donnant une Apple Watch de ne pas poser sa tête sur son bras, car cela créerait un contact corporel avec la montre?

De nombreuses consoles de systèmes de jeux vidéo déclarent également aux utilisateurs: « Cet appareil doit être installé et utilisé avec au moins 20 cm (8 pouces) et plus entre l’émetteur et le corps de la personne. » De nombreux ordinateurs portables indiquent également que les antennes doivent être à environ 8 pouces du corps. Savez-vous où se trouve l’antenne sur l’appareil de votre enfant?

6. Lorsque les téléphones portables sont testés au contact du corps, le rayonnement viole les limites de sécurité du gouvernement

L’année dernière, la France a dévoilé les résultats de ses mesures de rayonnement portant sur des centaines de téléphones portables suite à la pression d’un médecin français faisant la une des journaux. Les résultats des tests ont révélé que lorsque les téléphones étaient testés dans des positions de contact avec le corps, jusqu’à 90% des téléphones dépassaient les limites de rayonnement, certains excédant plus de 3 fois les limites européennes et plus de 9 fois les limites américaines équivalentes. Cela signifie que la plupart des téléphones pourraient dépasser de 3 à 9 fois le niveau rayonnement autorisé dans votre corps. Les résultats des tests français s’appliquent aux téléphones vendus dans le monde entier car la situation est la même dans tous les pays. Les fabricants n’ont pas à tester les téléphones ou les appareils sans fil en position de contact corporel direct.

Ainsi, lorsqu’un enfant place un téléphone ou une tablette sur ses jambes pour regarder une vidéo, ou est couché au lit avec cet appareil sur sa poitrine à faire du streaming de musique, son corps peut absorber ces rayonnements à des niveaux bien supérieurs aux limites gouvernementales.

7. L’Organisation mondiale de la santé a classé le rayonnement micro-ondes des smartphones comme un cancérogène possible en 2011 et les preuves scientifiques actuelles indiquent qu’il s’agit en fait d’un agent cancérogène avéré pour l’homme

En 2011, le Centre international de recherche sur le cancer de l’Organisation mondiale de la santé (OMS/CIRC) a classé les radiofréquences comme un agent possiblement cancérogène de classe 2B. Cependant, en raison des résultats récemment publiés du National Toxicology Program (NTP) américain et de plusieurs autres études publiées depuis lors, les conseillers de longue date de l’OMS et du CIRC concluent que ce rayonnement devrait être considéré comme un agent cancérogène pour l’homme causant le gliome – le même type de cerveau du cancer dont sont morts les sénateurs Ted Kennedy et John McCain.

Des chirurgiens ont publié des rapports de cas de cancers inhabituels chez de jeunes femmes ayant l’habitude de ranger leur téléphone portable dans leur soutien-gorge. Les tumeurs étaient situées directement sous les zones où les antennes des téléphones étaient positionnées.

8. L’American Academy of Pediatrics recommande aux familles de réduire l’exposition dux enfants aux radiofréquences et a demandé au gouvernement fédéral de rendre plus strictes les limites de rayonnement sans fil

Les enfants ont des crânes plus minces, des têtes plus petites et une teneur en eau plus élevée dans leurs tissus en développement. En conséquence, le rayonnement des téléphones portables pénètre plus profondément et plus intensément dans le cerveau d’un enfant par rapport à celui d’un adulte. Selon le Centre international de recherche sur le cancer de l’Organisation mondiale de la santé, « chez les enfants utilisant des téléphones portables, le dépôt moyen d’énergie RF peut être deux fois plus élevé dans le cerveau et jusqu’à dix fois plus élevé dans la moelle osseuse du crâne ». L’American Academy of Pediatrics a réitéré ce fait et la vulnérabilité unique des enfants dans leurs lettres appelant le gouvernement fédéral à renforcer les limites d’exposition aux rayonnements des téléphones portables.

Après que les résultats du National Toxicology Program ont été rendus publics, l’American Academy of Pediatrics a publié un communiqué de presse recommandant aux parents de « limiter l’utilisation des téléphones portables par les enfants et les adolescents » et a recommandé dix mesures au public pour réduire l’exposition aux rayonnements des téléphones portables.

9. Le Département de la Santé publique de la Californie vient de publier des conseils en matière de santé publique recommandant de réduire l’exposition aux rayonnements des téléphones portables

Les directives publiées par la Californie pour réduire l’exposition aux rayonnements radiofréquences des téléphones portables ont fait la une des journaux nationaux et ont mis en garde contre le fait que « les enfants peuvent être exposés à des risques plus élevés » car ils seront exposés aux rayonnements des téléphones portables pendant « toute leur vie ». Selon le Département, « des expériences de laboratoire et des études sur la santé humaine ont suggéré la possibilité que l’utilisation fréquente et à long terme des téléphones cellulaires soit liée à certains types de cancer et à d’autres effets sur la santé, notamment : le cancer du cerveau et les tumeurs du nerf acoustique et des glandes salivaires, une baisse de la qualité du sperme et des spermatozoïdes inactifs ou moins mobiles, des maux de tête et des effets sur l’apprentissage et la mémoire, l’ouïe, le comportement et le sommeil. »

Le Département de la santé publique du Connecticut a également émis des conseils pour réduire le rayonnement des téléphones portables, tout comme le magazine Consumer Reports. L’année dernière, le Maryland State Children’s Environmental Protection Council a émis des recommandations visant à réduire le rayonnement radiofréquence (du Wi-Fi) dans les salles de classe des écoles publiques. Plusieurs organisations médicales à l’échelle internationale et dans plus d’une douzaine de pays recommandent aux enfants de minimiser leur exposition aux téléphones sans fil.

10. Même lorsqu’ils sont en «veille», les smartphones, les jouets connectés et les montres émettent des rayonnements

Un téléphone peut être déposé sur votre table de chevet, placé dans votre poche ou niché dans la ceinture de votre pantalon de yoga, mais il rayonne toujours. Certaines applications peuvent être en cours de mise à jour, les SMS et les notifications arrivent. Le téléphone se connecte constamment à la tour cellulaire la plus proche en émettant des micro-ondes pulsées plusieurs fois par seconde. De même, les jouets Wi-Fi vérifient toujours leur connectivité avec le routeur Wi-Fi même lorsqu’ils ne sont pas utilisés. Chaque fois qu’un appareil établit cette connexion près de votre corps, vous êtes exposé à un rayonnement pulsé [que de nombreux experts scientifiques considèrent désormais comme un agent cancérogène avéré].

La réglementation sur les téléphones portables a été établie il y a des décennies et la façon dont les gens utilisent les téléphones a radicalement changé. À cette époque, les adultes utilisaient des téléphones avec des clips de ceinture et le Wi-Fi était inexistant. Aucun test de sécurité à long terme n’a été effectué. Aucune recherche pour évaluer les risques pour les enfants n’a été effectuée.


FICHE D’INFORMATION POUR LA FAMILLE

Réduire les expositions à la maison

1. Ne laissez pas votre enfant utiliser un téléphone cellulaire

Attendez le plus longtemps possible avant de permettre à votre enfant de se servir d’un téléphone portable ou sans fil. Envisagez plutôt de lui offrir un appareil photo numérique qui prend des vidéos. Si votre enfant aime parler au téléphone, choisissez pour lui un téléphone fixe filaire au lieu d’un téléphone portable. Si vous voulez vraiment le gâter, envisagez un cadeau dont il se rappelera, comme emmener votre enfant et ses meilleurs amis à un dîner spécial ou à un concert.

2. Adoptez des habitudes technologiques plus saines

Familiarisez-vous avec les recommandations de l’American Academy of Pediatrics sur la réduction des rayonnements des téléphones portables dans votre famille. Par exemple, éloignez le téléphone de votre tête en mettant le son sur le haut-parleur. N’utilisez pas et ne transportez pas de téléphones dans votre poche et tenez-les éloignés de votre corps. Faites attention quand un enfant est dans vos bras de ne pas utiliser de téléphone portable ou de tablette ou d’ordinateur sans fil près de son corps. Renseignez-vous sur les moments où l’intensité du rayonnement est la plus élevée, comme lors de la diffusion de vidéos, lorsque vous voyagez en voiture ou lorsque le signal de réception est faible. Minimisez l’utilisation d’un téléphone dans ces conditions et expliquez à vos enfants pourquoi c’est vraiment mieux ainsi.

3. Investissez dans un téléphone fixe filaire à domicile

Vos enfants peuvent passer des appels vocaux sur un téléphone fixe filaire. N’oubliez pas que même les téléphones fixes sans fil émettent des rayonnements, tout comme les téléphones portables. Une base de téléphone sans fil est toujours allumée et transmet sans arrêt, même lorsque vous ne passez pas d’appel. Remplacez votre téléphone sans fil par un téléphone fixe filaire. Transférez à votre domicile ou à votre bureau les appels reçus sur votre téléphone portable lorsque cela est possible.

4. Activez le mode avion et désactivez chaque fois que cela est possible le Wi-Fi et le Bluetooth

Le mode avion avec le Wi-Fi à OFF et le Bluetooth à OFF désactive les antennes à l’intérieur d’un appareil, arrêtant les transmissions micro-ondes. Chaque ordinateur, ordinateur portable, tablette ou périphérique de transmission sans fil possède une touche de fonction ou un commutateur dans les paramètres qui désactive les émetteurs Wi-Fi, et un autre qui désactive aussi le Bluetooth. Chaque fois que vous avez l’intention de remettre à un enfant un appareil compatible Wi-Fi ou Bluetooth, n’oubliez pas d’activer le mode avion et de désactiver séparément les connexions Wi-Fi et Bluetooth. Essayez de régler les appareils sur ces paramètres le plus possible et apprenez à vos enfants à le faire eux-mêmes.

5. Connectez votre smartphone et votre appareil sans fil avec un adaptateur pour cordon de connectivité

Vous pouvez facilement connecter de nombreux téléphones, tablettes et ordinateurs à Internet sans exposition aux micro-ondes. La plupart des appareils sans fil ont un port USB, Lightning ou Ethernet afin que vous puissiez le brancher pour accéder à Internet par câble. De nombreux appareils peuvent être câblés à Internet en obtenant simplement quelques accessoires et adaptateurs. Chaque fois que vous achetez des appareils électroniques, choisissez un appareil qui se connecte avec des fils, et non uniquement avec une connexion Wi-Fi.

6. Mise hors tension lorsqu’ils ne sont pas utilisés

N’oubliez pas: les appareils sans fil se connectent en permanence à leurs réseaux chaque fois qu’ils se branchent ou s’allument. Vous pouvez facilement réduire l’exposition de votre famille aux rayonnements secondaires en désactivant les réseaux [des routeurs Wi-Fi] et les appareils sans fil lorsque vous n’êtes pas en train de les utiliser, comme lorsque vous dormez. Pensez à éteindre les appareils sans fil et leurs équipements connexes – par exemple, les imprimantes, les jeux, les divertissements, les systèmes informatiques et les accessoires – lorsqu’ils ne sont pas utilisés en les éteignant ce qui permet également d’économiser beaucoup d’énergie et est tout à fait sensé. Branchez ces appareils sur un interrupteur d’alimentation pour pouvoir les éteindre facilement. Il s’agit souvent de la première étape que prennent les gens lorsqu’ils s’efforcent de remplacer le sans fil par des connexions filaires.

7. Sortez les appareils électroniques de la chambre

Ne laissez pas vos enfants utiliser un téléphone portable ou une tablette tactile au lit. Sachez que la lumière bleue des écrans et le rayonnement sans fil peuvent sérieusement affecter notre sommeil. Alors assurez-vous d’éteindre tous les écrans et appareils électroniques au moins une heure avant le coucher. De nombreux téléviseurs, systèmes de jeux et ordinateurs plus récents émettent également des rayonnements sans fil même si vous ne les utilisez pas, et il est donc préférable de les retirer de la chambre et de les déconnecter complètement de leur source d’alimentation. Gardez les écrans et les appareils électroniques dans les zones familiales. Au lieu de dormir avec votre téléphone portable, procurez-vous un réveil à pile pour votre table de nuit. Cela supprime la tentation de vérifier «rapidement» le téléphone.

Des incendies ont également été signalés suite à une explosion de composants électroniques et de téléphones portables sur la recharge. Les adolescents poseront des appareils électroniques sur leur lit, sans savoir que les coussins souples bloquent la circulation d’air sous la batterie et provoquent l’échauffement de l’appareil. Sachez que les chargeurs génèrent d’autres types de champs électromagnétiques qui sont également liés à des problèmes de santé. Chargez toujours les téléphones portables et les appareils technologiques à l’extérieur de la chambre, sur une table ou un comptoir.

8. Les enfants ne devraient jamais utiliser la réalité virtuelle avec des smartphones allumés

Le cerveau des enfants n’est pas complètement myélinisé et les yeux absorbent facilement le rayonnement en raison de leur forte teneur en eau. Il n’est pas recommandé de placer un appareil bidirectionnel rayonnant des micro-ondes directement devant les jeunes yeux. Compte tenu de la multitude de risques pour la sécurité que la réalité virtuelle pose aux enfants, envisagez des alternatives de divertissement comme regarder un film en famille sur un écran de télé sans Wi-Fi.

Ce document est tiré et traduit de HOLIDAY SAFETY ALERT où de nombreux compléments d’information scientifique sont disponibles, ainsi que des recommandations de cadeaux qui n’exposeront pas vos enfants à de tels risques mortels. Vous y trouverez également des liens intégrés dans le texte.

En complément, lire aussi sur le blog Stoppons la 5G…

Exposer des enfants aux rayonnements d’appareils sans fil : DANGER EXTRÊME !




L’utilisation militaire cachée de la technologie 5G

[Source : Réseau International]

par Manlio Dinucci.

Au Sommet de Londres les 29 pays de l’OTAN se sont engagés à «
garantir la sécurité de nos communications, 5G incluse ». Pourquoi cette
technologie de cinquième génération de la transmission mobile de
données est-elle si importante pour l’OTAN ?

Alors que les technologies précédentes étaient finalisées pour
réaliser des smartphones toujours plus avancés, la 5G est conçue non
seulement pour améliorer leurs prestations, mais principalement pour
relier des systèmes digitaux qui ont besoin d’énormes quantités de
données pour fonctionner de façon automatique. Les plus importantes
applications de la 5G seront réalisées non pas dans le domaine civil
mais dans le domaine militaire.

Les possibilités offertes par cette nouvelle technologie sont expliquées par le rapport Defense Applications of 5G Network Technology, publié par le Defense Science Board, un comité fédéral qui fournit du conseil scientifique au Pentagone :

« L’émergente technologie 5G,
commercialement disponible, offre au Département de la Défense
l’opportunité de profiter à coûts mineurs des bénéfices de ce système
pour ses propres exigences opérationnelles
».

Autrement dit, le réseau commercial de la 5G, réalisé par des
sociétés privées, sera utilisé par les forces armées étasuniennes avec
une dépense beaucoup plus basse que celle qui serait nécessaire si le
réseau était réalisé uniquement dans un but militaire. Les experts
militaires prévoient que la 5G aura un rôle déterminant dans
l’utilisation des armes hypersoniques : missiles, y compris armés de
têtes nucléaires, qui voyagent à une vitesse supérieure à Mach 5 (5 fois
la vitesse du son). Pour les guider sur des trajectoires variables, en
changeant de cap en une fraction de seconde pour échapper aux missiles
intercepteurs, il faut recueillir, élaborer et transmettre d’énormes
quantités de données dans des temps très rapides. La même chose est
nécessaire pour activer les défenses en cas d’attaque avec de telles
armes : n’ayant pas de temps pour prendre une décision, l’unique
possibilité est de se fier à des systèmes automatiques 5G.

La nouvelle technologie aura un rôle clé aussi dans la battle network (réseau
de bataille). Étant capable de relier en même temps dans une aire
circonscrite des millions d’appareils émetteurs-récepteurs, elle
permettra aux militaires -départements et individus- de transmettre les
uns aux autres, pratiquement en temps réel, des cartes, photos et autres
informations sur l’opération en cours.

Extrêmement importante aussi sera la 5G pour les services secrets et les forces spéciales. Elle rendra possible des systèmes de contrôle et d’espionnage beaucoup plus efficaces que ceux d’aujourd’hui. Elle accroîtra la létalité des drones-tueurs et des robots de guerre, en leur donnant la capacité d’identifier, suivre et frapper des gens sur la base de la reconnaissance faciale et autres caractéristiques. Le réseau 5G, étant un instrument de guerre à haute technologie, deviendra automatiquement aussi la cible de cyberattaques et d’actions guerrières effectuées avec des armes de nouvelle génération.

En plus des États-Unis, cette technologie est développée par la Chine
et d’autres pays. Le contentieux international sur la 5G n’est donc pas
seulement commercial. Les implications militaires de la 5G sont
pratiquement complètement ignorées parce que même les critiques de cette
technologie, y compris divers scientifiques, concentrent leur attention
sur les effets nocifs pour la santé et l’environnement à cause de
l’exposition à des champs électromagnétiques à basse fréquence.
Engagement qui est de la plus grande importance, mais qui doit être uni à
celui contre l’utilisation militaire de cette technologie, financé
indirectement par les utilisateurs ordinaires. Une des plus grandes
attractivités, qui favorisera la diffusion des smartphones 5G, sera
celle de pouvoir participer, en payant un abonnement, à des war games
d’un impressionnant réalisme en direct avec des joueurs du monde
entier. De cette façon, sans s’en rendre compte, les joueurs financeront
la préparation à la guerre, celle bien réelle.

Manlio Dinucci

Édition de il manifesto

https://ilmanifesto.it/luso-militare-nascosto-della-tecnologia-5g/




Chronique de l’opposition mondiale à la 5G en 2019: Comment les télécoms sont en train de perdre la bataille pour imposer la 5G contre la volonté de la population

[Source : Mondialisation.ca]

Par Claire Edwards et Jean Hudon

Une série de photos du photographe américain Eric Pickersgill montre des gens regardant l’endroit où se trouve normalement leur téléphone
[Note de NM : Les liens présents dans le tableau plus bas ne sont pas fonctionnels et renvoient seulement sur des images partielles de celui-ci. La version anglaise de l'article comporte par contre des liens effectifs vers les vidéos ou les documents cités.]

Tous les faits consignés ici sont appuyés par des hyperliens vers les documents, articles ou vidéos d’origine, où les lecteurs peuvent vérifier les informations présentées et effectuer des recherches plus approfondies.

Les opérateurs de télécommunications et les médias traditionnels
voudraient vous faire croire que rien ne pourra arrêter la course au
déploiement de la 5G ; que vous n’êtes rien ni personne face à un
sinistre programme de centaines de milliards de dollars imposé par
certaines des entités les plus puissantes de la planète.

Ils pensaient que s’ils appelaient «5G» ou cinquième génération leur
prétendue nouvelle «technologie de communication», adaptée de la
technologie militaire Active Denial System (Système de Déni
Actif : système d’armes à énergie dirigée développé par l’armée
américaine pour disperser, par exemple, des manifestants), le public
supposerait simplement qu’elle est comparable à la 4G, 3G ou 2G ; et que
s’ils pouvaient caractériser son lancement comme une course, le public
n’aurait pas le temps de découvrir à quel point la technologie 5G peut
être mortelle. Comme ils avaient tort ! Le public a non seulement
découvert le pot aux roses, mais de plus en plus de gens savent
désormais à quel point les précédentes générations de technologies sans
fil, qui seront utilisées simultanément avec la 5G, sont également
mortelles.

Vous trouverez ci-dessous la preuve que dans nombre de pays les
contestations sont considérables et grandissantes. Les opérateurs de
téléphonie cellulaire ont perdu la guerre de la propagande, malgré le
contrôle qu’ils exercent sur les grands médias, qui gardent le silence
sur les dangers de la 5G, et sur les médias sociaux et YouTube, et qui
ont fait disparaître d’innombrables comptes afin de faire taire les
opposants.

Alors que cet article allait être publié, un soutien est arrivé d’une source inattendue. Dans un discours passionné prononcé devant l’Assemblée générale des Nations Unies le 24 septembre 2019, le Premier ministre britannique Boris Johnson a déclaré que l’autoritarisme numérique ne s’agit pas d’un fantasme dystopique, mais d’une réalité émergente. Il a qualifié l’Internet des objets, les villes «intelligentes» et l’intelligence artificielle d’immense nuage orageux qui s’assombrisse sur la race humaine at qui s’amoncèle pour redessiner l’avenir de l’humanité sans que celle-ci ne puisse le contrôler ni peut-être bientôt plus s’en cacher.

Il a demandé si l’on peut confier nos vies et nos espoirs à des algorithmes, et si l’on doit permettre aux machines de nous condamner à un avenir froid et cruel dans un monde orwellien conçu pour la censure, la répression et le contrôle. Il a rappelé la Déclaration universelle des droits de l’homme et a soutenu ses idéaux de défense de la liberté d’opinion et d’expression, de la protection du caractère privé du domicile et de la correspondance, ainsi que du droit de chercher et de communiquer des informations et des idées.

S’adressant aux comités académiques, aux conseils d’administration et
aux groupes de l’industrie responsables de l’élaboration des normes qui
sont actuellement en cours de définir les règlements qui régiront le
futur, d’émettre des jugements éthiques et de choisir ce qui sera rendu
possible ou non, il les a exhorté à trouver le juste équilibre entre
liberté et contrôle, entre innovation et réglementation, entre
l’entreprise privée et le contrôle du gouvernement. Il a insisté sur le
fait que les jugements éthiques inhérents à la conception de nouvelles
technologies doivent être rendus transparents pour tous et que des
efforts conjoints doivent être déployés pour convenir d’un ensemble
commun de principes mondiaux définissant les normes et les critères qui
guideront le développement des technologies émergentes.

Vous trouverez ci-dessous la liste des actions prises en 2019 visant à
mettre fin à la 5G, ainsi que des rapports et des plaintes discréditant
cette tentative machiavélique d’imposer au monde une technologie
désastreuse. Il ne s’agit pas d’une liste exhaustive et je présente mes
excuses à tous ceux et celles dont j’ai peut-être négligé ici de
mentionner les efforts. J’aimerais aussi exprimer toute ma
reconnaissance envers tous ceux et celles qui ont contribué au succès de
cette contestation mondiale.

Cependant, nous ne pouvons pas nous permettre de sous-estimer
l’ampleur de ce défi et, en particulier, nous devons œuvrer ensemble
pour empêcher l’utilisation des orbites terrestres et de la stratosphère
pour saturer la Terre de rayonnements 5G, car cela mettrait en danger
l’ionosphère et la planète toute entière. Nous devons également veiller à
ce que l’installation des lampadaires à DEL émettant de la lumière
bleue dans le cadre de ce programme anti-vie soit rapidement inversée.

Les efforts entrepris pour arrêter la 5G continuent de prendre de
l’ampleur et nous devons continuer à travailler ensemble et sans relâche
pour protéger toute vie sur Terre jusqu’à ce que ce plan dément soit
relégué aux livres d’histoire en tant que complot le plus diabolique de
l’histoire de l’humanité.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Claire Edwards et Jean Hudon, Mondialisation.ca, 2019




Pourquoi l’establishment élitiste est-il si obsédé par la viande ?

[Source : Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith − Le 18 octobre 2019 − Source Alt-Market.com


Je ne sais pas combien de personnes l’ont remarqué, mais au cours des trois derniers mois, il a été impossible pour une personne de lancer une galette de hamburger de bœuf dans n’importe quelle direction sur la boussole sans lire un article sur les « effets destructeurs » de l’industrie carnée en termes de « changement climatique ». Il y a aussi eu d’innombrables articles grand public sur les bienfaits supposés énormes pour la santé d’un régime végétarien ou végétalien. Ce récit a culminé dans un raz-de-marée d’histoires sur les entreprises de viande à base de légumes comme Beyond Meat et leur ascension vers la célébrité sur le marché boursier. On dit dans la rue que les régimes à base de viande suivent la voie du Dodo, et bientôt, par nécessité environnementale, nous serons TOUS végétariens.

Depuis au moins dix ans, les Nations Unies promeuvent énergiquement le concept d’un monde sans viande, fondé sur l’affirmation selon laquelle l’utilisation accélérée des terres et les émissions de gaz à effet de serre sont en train de tuer la Terre. En Occident, les militants de gauche qui rêvent d’une utopie socialiste ont adopté une sorte de manifeste avec le Green New Deal, et une partie intégrante de leur agenda est la fin de la disponibilité de la viande pour le commun des mortels (il est intéressant de noter que le programme Green New Deal correspond presque parfaitement avec l’Agenda 21 et l’Agenda 2030 des Nations Unies). Certains de ces élitistes ont plaidé en faveur d’une forte taxation des produits carnés pour réduire leur consommation parmi le grand public ; d’autres ont plaidé pour une interdiction totale.

Le problème de cette révolution alimentaire, c’est qu’elle repose
principalement sur la science de la malbouffe et des données triées sur
le volet, ainsi que sur des mensonges et de la propagande pure et
simple. La majorité des études et des articles traitant de cette
question sont résolument biaisés, tendancieux et collectivistes par
nature. Pourquoi les élites ciblent-elles la consommation de viande
humaine et pourquoi sont-elles prêtes à mentir sur ses effets pour nous
faire abandonner nos hamburgers et nos steaks ? Quel est le véritable
programme ici… ?

Premièrement, abordons la question du changement climatique. L’ONU
affirme que la production alimentaire humaine doit changer radicalement
pour mettre un terme au réchauffement de la planète et aux dommages
causés à l’environnement, et ces changements doivent se concentrer
principalement sur la production de viande et les « gaz méthane ».
En d’autres termes, ils affirment que les pets de vache tuent la
planète. C’est une histoire plutôt commode pour les élites alors
qu’elles font avancer leur programme de taxation du carbone. Il semble
que tout ce que nous faisons en tant qu’humains doit être surveillé,
restreint ou imposé, de la respiration à la procréation en passant par
la consommation de viande, sinon la Terre est « condamnée ».

Dans des articles précédents, j’ai beaucoup écrit sur les liens directs entre l’hystérie de l’ONU en matière de réchauffement climatique et les pressions en faveur d’un gouvernement mondial. En particulier, j’ai mentionné les écrits de l’ancien secrétaire général adjoint de l’ONU, Robert Muller. Dans son manifeste rassemblé sur un site Web intitulé « Good Morning World« , Muller affirme que la gouvernance mondiale doit être réalisée en utilisant l’idée de « protéger la Terre » et l’environnementalisme comme éléments clés. Par crainte de l’apocalypse environnementale, le public pourrait être convaincu d’accepter le gouvernement mondial comme un État providence nécessaire pour empêcher la société de se détruire.

Muller a lancé de tels programmes au début des années 1990, dont le ton était semblable à celui du groupe de réflexion du Club de Rome, un groupe de consultants de l’ONU qui a appelé à mettre un terme à la croissance démographique humaine. Dans son livre blanc intitulé « La première révolution mondiale« , le Club de Rome a déclaré :

En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pouvons
nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du
réchauffement de la planète, les pénuries d’eau, la famine et ainsi de
suite, correspondraient à nos attentes. Dans leur ensemble et dans leurs
interactions, ces phénomènes constituent une menace commune qui doit
être affrontée tous ensemble. Mais en désignant ces dangers comme
l’ennemi, nous tombons dans le piège, dont nous avons déjà mis en garde
nos lecteurs, à savoir la confusion entre symptômes et causes. Tous ces
dangers sont causés par l’intervention humaine dans les processus
naturels et ce n’est qu’en changeant les attitudes et les comportements
que l’on peut les surmonter. Le véritable ennemi est donc l’humanité
elle-même.

La déclaration est tirée du chapitre 5 – Le Vide, qui traite
de leur position sur la nécessité d’un gouvernement mondial. La
citation est relativement claire : un ennemi commun doit être conjuré
afin d’amener l’humanité à s’unir sous une seule bannière, et les élites
considèrent la catastrophe environnementale, causée par l’humanité
elle-même, comme le meilleur facteur de motivation possible.

D’après les aveux publics des fonctionnaires de l’ONU et du Club de
Rome, nous pouvons voir que le changement climatique est un récit motivé
par l’idéologie et non par la science, et que l’objectif réel est la
gouvernance mondiale et non la sauvegarde de la planète. Quant à la « science » dont ces idéologues prétendent qu’elle soutient leurs revendications, il n’y en a pas.

Il n’y a absolument aucune preuve tangible à l’appui de l’allégation
selon laquelle il existe un lien de cause à effet entre les émissions de
carbone et la hausse des températures. En fait, il y a plus de preuves
pour démontrer que l’inverse est vrai – que des températures plus
élevées entraînent une augmentation des populations animales et donc des
émissions de carbone et donc plus de nourriture pour la végétation.
Demandez à n’importe quel « expert » de la NOAA, de la NASA ou
du GIEC sur le réchauffement climatique quel pourcentage de
l’augmentation de la température est causé par les voitures par rapport
aux vaches et quelles preuves existent pour appuyer leurs affirmations ?
Ils ne seront pas en mesure de produire une réponse.

Ils prétendront simplement que les preuves sont irréfutables parce
que les températures et les niveaux de carbone augmentent. En d’autres
termes, leur argument est que la corrélation est toujours égale à la
causalité. Mais les températures augmentent-elles vraiment ? Et si toute
la base de l’hystérie du réchauffement climatique était fabriquée ?

La NOAA a été prise en flagrant délit à plusieurs reprises. En
revenant aux statistiques de température précédemment enregistrées et en
les ajustant pour les rendre plus basses, la NOAA donne alors
l’impression que la Terre se réchauffe dans une tendance historique.
Cependant, l’enregistrement de la température inaltérée montre que la
Terre a toujours eu des périodes de réchauffement qui se déroulent selon
des cycles naturels, suivies d’un refroidissement puis d’une activité
solaire accrue. Vous connaissez ce gigantesque réacteur nucléaire dans
le ciel qui est 1,3 million de fois plus grand que la Terre ? Ouais, ça a
beaucoup plus à voir avec le climat de la Terre que les pets de vache…

Si l’on compare les données de la NOAA sur les changements de température au cours du dernier siècle depuis 1999 aux données que la NOAA a publiées au cours des dernières années, il est facile de voir les ajustements qu’ils ont apportés à leurs propres données plus anciennes afin de donner l’impression qu’il y a un réchauffement planétaire constant. Les changements de la NOAA donnent également l’impression que les changements de température suivent de près l’augmentation des émissions de carbone.

Ici, nous voyons le canular sur le changement climatique en action,
ainsi que les Nations Unies et la conspiration du Club de Rome pour
créer une menace environnementale qui fournira une justification au
gouvernement mondial. Mais qu’est-ce que tout cela a à voir avec la
viande ?

Le mythe du changement climatique n’est qu’un moyen d’atteindre de
multiples objectifs. Et l’une des choses que les élites utilisent pour y
arriver, ce sont les habitudes alimentaires de la société. Le but de la
guerre contre la viande est moins clair, mais j’ai quelques théories
basées sur des preuves historiques et scientifiques qui montrent que les
oligarchies au pouvoir ont toujours essayé de limiter la consommation
de viande de la « classe paysanne » lorsque cela était possible.

Dans l’Europe féodale du Moyen Age, la présence de viande dans le
régime alimentaire était rare pour la classe paysanne. Les animaux de
ferme étaient une propriété strictement contrôlée, donnée aux paysans
comme outils pour travailler la terre et non pour manger. La chasse au
gibier sauvage était difficile car les familles royales au pouvoir
revendiquaient souvent la propriété de tous les meilleurs terrains de
chasse du pays. Après de multiples révoltes paysannes, comme la Grande
révolte paysanne de 1381 en Angleterre, les élites ont interdit les
parties de chasse, soupçonnées de servir de couverture aux paysans pour
s’entraîner aux tactiques militaires et planifier des rébellions.

Les paysans surpris en train de braconner « le cerf du roi »
étaient sévèrement punis – y compris par la pendaison, la castration,
l’aveuglement et le fait d’être cousus dans une carcasse de cerf et
pourchassés par des chiens féroces.

Cela n’empêchait pas les paysans de manger de la viande par moments.
Quand c’était possible, ils mangeaient du petit gibier. Mais leur régime
alimentaire se composait principalement de potage et de bouillie à base
de céréales, de haricots et de légumes-racines, ainsi que de pain de
seigle noir. En étudiant le Moyen-Âge, les chercheurs ont découvert que
pour les serfs et les pauvres, un souper à la viande était considéré
comme un événement spécial.

Dans le Japon féodal, la consommation de viande, et pas seulement la
chasse, a été spécifiquement interdite pendant plus de 1000 ans, à
partir de 675. L’interdiction était basée sur la fusion des croyances
bouddhistes et du shintoïsme. Bien sûr, alors que la loi était appliquée
pour les paysans, l’élite de la classe dirigeante et la classe des
guerriers samouraïs n’ont jamais vraiment abandonné la viande. La viande
était souvent consommée par les élites, sous les auspices de
l’amélioration de la santé. Lorsqu’elles étaient offertes en cadeau à un
seigneur féodal, les viandes marinées étaient étiquetées « médicaments » afin d’éviter toute contestation ouverte des lois.

Cette interdiction sélective s’est poursuivie jusqu’à l’arrivée des Européens sur les côtes japonaises et la réintroduction des plats de viande a commencé à se répandre. Vers la fin des années 1800, l’interdiction de la viande a été officiellement levée. Les Japonais de l’époque croyaient que les Occidentaux avaient un physique supérieur en raison de leur régime à base de viande, et que le physique japonais avait été maîtrisé par leur régime à base de légumes et de céréales. Il y a une part de vérité dans cette observation.

Aujourd’hui, l’idéologie végétarienne n’est pas une philosophie
autonome. Elle est inexorablement liée à d’autres idéologies telles que
le socialisme, le globalisme et les formes extrémistes de
l’environnementalisme. Il y a très peu de promoteurs végétariens qui ne
sont pas politiquement motivés. Cela a provoqué une vague de propagande,
tentant de réécrire l’histoire de l’alimentation humaine pour l’adapter
à leur récit bizarre.

Même si les êtres humains sont omnivores depuis des millions d’années, la campagne contre la viande prétend que les humains étaient végétariens depuis toujours. Ils le font en comparant les humains à nos plus proches parents évolutionnaires, comme les chimpanzés et les gorilles, et en soutenant que ces animaux ont un régime végétal strict (ce qui n’est pas exactement vrai).

Bien sûr, les tribus amérindiennes, vivant au plus près de la façon dont nos ancêtres préhistoriques vivaient il y a longtemps, avaient une alimentation riche en viande, mais ne vous attendez pas à ce que les environnementalistes acceptent cette réalité. Ce qu’ils ne mentionnent pas, c’est qu’il y a plus de 2 millions d’années, les ancêtres humains ont rompu avec leur régime végétal et ont commencé à manger de la viande. En plus de cela, le régime alimentaire a changé notre constitution physique. Nous sommes devenus beaucoup plus forts et plus intelligents.

Oui, c’est vrai, l’augmentation de la viande dans l’alimentation humaine suit presque exactement l’évolution de l’intelligence humaine et les progrès des outils et de la technologie.

Il a été démontré que les régimes végétariens et végétaliens réduisent le QI global en raison d’un manque de nutriments nécessaires à la santé du cerveau. C’est parce que le cerveau humain a BESOIN d’acides gras tels que le DHA et le DPA qui se trouvent principalement dans les graisses saturées des viandes. Dans le monde végétal, il n’existe pas de substitut à de nombreux acides gras. Il a été démontré que les graisses saturées provenant de protéines animales augmentent les fonctions cognitives ainsi que la mémoire.

Le cerveau utilise près de 20 % de l’apport calorique du corps humain pour fonctionner, et une grande partie de cet apport nécessite des graisses saturées et même du cholestérol. Contrairement à des décennies de désinformation, les graisses animales sont bonnes pour vous. Les athlètes professionnels doivent aussi souvent revenir à un régime à base de viande afin de développer une structure musculaire supérieure, et un autre facteur qui est rarement mentionné est l’augmentation des composés oestrogéniques dans les aliments à base de plantes (principalement le soja), qui peuvent réduire la testostérone.

Et c’est ici que nous arrivons au cœur du problème. C’est peut-être
par pure coïncidence, ou peut-être par simple observation de la part des
dynasties élitistes, mais la consommation de viande a toujours été liée
à une classe paysanne indisciplinée. En effet, la consommation de
viande contribue directement à l’amélioration des fonctions cognitives,
de la mémoire et de la masse musculaire.

Alors que l’on discute beaucoup de la façon dont la viande artificielle comme « Beyond Meat » a effectivement copié le goût ou l’apparence d’un hamburger normal, on discute peu sur ce qui lui manque. « Beyond Meat »
a zéro cholestérol et pas d’acides aminés ou d’acides gras comme les
oméga 3 ou des vitamines comme la B12. Il utilise de l’huile de noix de
coco pour imiter les graisses animales saturées, ce qui ne reproduit pas
la valeur de la graisse animale pour le cerveau ou le corps humain.
Essentiellement, un hamburger « Beyond Meat » est conçu pour copier le goût d’un hamburger sans aucun des avantages.

Ma théorie ? Les élites de l’ONU et d’autres organisations
globalistes cherchent à l’éliminer de notre régime alimentaire fondé sur
le mensonge parce qu’un tel changement pourrait contribuer à une
population plus nombreuse et plus faible qu’il serait plus facile à
contrôler.

La fausse viande est également hautement transformée et utilise une
méthode compliquée pour imiter les structures protéiques du bœuf. Elle
ne peut être créé que dans un laboratoire et produite en série dans une
usine. Vous ne pourrez jamais faire votre propre hamburger « Beyond Meat ».
Autrement dit, en interdisant ou en taxant la viande pour la propulser
dans l’oubli et en la remplaçant par un substitut industriel,
l’establishment aura rendu la société effectivement dépendante d’eux
pour une partie importante de leurs besoins alimentaires. Non seulement
ils espèrent nous rendre plus stupides et plus faibles, mais ils
espèrent aussi nous rendre désespérément dépendants.

Brandon Smith

Traduit par Hervé, relu par Kira pour le Saker Francophone




La vie sociale des plantes

[Source : Le temps d’y penser]

« La vie sociale des plantes »

30 Décembre 2016

Rédigé par Le Temps D’y Penser et publié depuis Overblog


Hiérarchiser le vivant est une erreur, le respecter dans son ensemble est un acte d’humanité.

NDLR : Cet article aborde un sujet sensible qui a tendance à déchaîner les passions. Merci, avant de commenter, de le lire intégralement afin de bien comprendre l’intégralité de mon raisonnement et de ne pas buter sur le début qui part volontairement de 0 pour arriver à ma position claire exprimée en toute fin. Bonne lecture et au plaisir de débattre sereinement avec vous !

Si je me permets de paraphraser Jean Marie Pelt c’est pour aborder un sujet qui me tient à cœur et qui n’est pas sans rapport avec de nombreux discours que je peux entendre, tout particulièrement lors des consommations excessives d’aliments de ces périodes festives.

Ici je vais revenir, non pas pour détruire, mais pour compléter et faire relativiser certains arguments lancés par les porte-parole de ceux allant du simple refus de manger de la viande à l’attitude plus drastique de ne plus utiliser quelques produits que ce soit issus de l’exploitation animale (soit pour résumer des végétariens aux végans).

Alors là tout de suite je sais que je m’aventure en terrain glissant tant ces militants de la cause animale défendent leur cause avec une passion certaine dont, au passage, pourraient s’inspirer nos responsables politiques totalement dénués de toute passion. Mais, en tant que biologiste (j’ai un master 2 en écologie), certains arguments me font tiquer et un en particulier : l’accusation que l’on me fait d’être spéciste et ce que cette notion induit.

Qu’est-ce dont que ce nouveau mot en « iste » ? Et bien, c’est une sorte d’application à l’ensemble du vivant du concept de racisme. Pour faire simple, c’est le fait de considérer que l’homme est par essence une espèce supérieure aux autres. D’après Wikipédia : « Le spécisme (du mot anglais speciesism de même sens) est la considération morale supérieure que les humains accordent à leur propre espèce, et le traitement discriminatoire qui en découle ». On peut aussi trouver cette définition (wiktionnaire) « Discrimination basée sur l’espèce, qui fait de l’espèce en soi un critère pour déterminer la manière dont un être peut être traité. » ce qui est grosso modo la même chose. Enfin, d’après veganfrance.fr le spécisme c’est la « Discrimination basée sur l’espèce, qui fait de l’espèce en soi un critère justifiant un comportement portant préjudice aux droits fondamentaux d’un être vivant »

Soyons clairs ! Je n’ai rien contre cette définition. Elle est nette et limpide. Clairement, elle s’applique à l’ENSEMBLE du vivant, quel qu’il soit. Là où je tique, c’est, tout d’abord, qu’en tant que biologiste, je ne peux être qualifié ainsi, car une des premières leçons de biologie évolutive est de dire que TOUTES les espèces présentes sur terre sont d’égale évolution, de la bactérie vivant au fin fond des océans, aux majestueux albatros en passant par le chêne centenaire. En biologie on refuse l’idée qu’il y est des espèces supérieures, ou plus utiles à l’écosystème, que d’autres. On ne peut être biologiste et spéciste.

Voilà pour mon cas personnel, mais plus généralement si je comprends bien cette définition, elle englobe l’ensemble des espèces, donc du vivant tout entier. Or ce vivant est divisé en grandes catégories : les bactéries, les archées et les eucaryotes (dont nous faisons partie) eux-mêmes divisés entre animaux, végétaux et champignons. Dès lors, les défenseurs de la cause animale sont aussi spécistes puisqu’ils se nourrissent d’aliments végétaux ou fongiques (champignons) qui, dans notre système actuel, sont ultra majoritairement issus d’un modèle agricole productiviste niant la réalité naturelle pour produire toujours plus. Les végétaux et champignons sont dès lors placés en dessous des animaux et on accepte leur exploitation sur le critère de l’espèce. Peut-être ai-je mal compris la définition, auquel cas merci de me l’expliciter, je prendrai toute remarque constructive avec grand plaisir !

Maintenant que ce point est clair, revenons à ma démonstration sur les plantes. Nombre d’études et d’observations tendent à prouver que les végétaux sont bien plus complexes que les simples plantes vertes inanimées. Je vous mettrai des sources en bas de cet article pour que vous puissiez vérifier par vous-même que « la vie sociale des plantes » ce n’est pas qu’un effet d’annonce. Plusieurs exemples me viennent à l’esprit pour illustrer mon raisonnement.

Tout d’abord, je pense aux mycorhizes qui, en plus d’être un putain de bon moyen de gagner une partie de scrabble, sont en réalité une association symbiotique (= réciproquement bénéfique) entre des champignons et des racines de plantes. De véritables échanges de composés chimiques, mais aussi d’informations circulent ainsi à travers les racines des plantes, sous nos yeux. Dans la même verve a été observé un véritable processus de communication entre les végétaux en réponse à une menace : lorsqu’un pathogène ou un insecte parasite attaque un arbre, il existe des cas où celui-ci émet des molécules dans l’atmosphère entraînant ainsi, chez ses voisins, une sécrétion de molécules de défense vis-à-vis de ce pathogène. Je pense aussi à la capacité de certaines jeunes pousses à « explorer » leur environnement immédiat afin, par exemple, de trouver un support sur lequel se développer. Enfin, il est tout à fait possible de voir une plante réagir à une situation stressante (en biologie, le stress est l’ensemble des réponses d’un organisme soumis à des pressions ou contraintes de la part de son environnement). Je pense par exemple à des plantes s’adaptant à la sécheresse ou à l’inondation ou alors à une attaque de pathogènes, mais aussi à des lésions (couper une branche).

Tout ceci amène à penser que le monde végétal est bien plus complexe qu’il n’y paraît et qu’une vision anthropocentrique et anthropomorphique des plantes amène à considérer comme impossible l’existence de phénomènes tels que la douleur, la peur, le stress. Or, s’il existe une règle à retenir pour tout bon scientifique, c’est que « l’absence de preuves n’est pas la preuve de l’absence » et je vous ai ici fourni tout un tas de preuves.

Avant que l’on me fasse tout procès que ce soit clair pour tout le monde : je ne nie pas la souffrance animale, je récuse simplement qu’on rabaisse les plantes à de simples êtres de second ordre de facto, par rapport aux animaux auxquels il est plus facile de s’identifier, par la négation de ce qu’elles pourraient ressentir. De même, il ne sera jamais possible de savoir ce que ressent exactement un animal, car, même si la similitude des structures sensorielles des animaux d’élevage (c’est différent pour les invertébrés) et des humains du point de vue de la douleur est réelle, il est impossible de savoir ce que ressent un animal. Peut-être même que nous minorons ce qu’ils vivent (comme l’inverse), bien que très peu probable. Bref, dans le doute, principe de précaution oblige, il faut prévoir au moins pire et donc corriger drastiquement les conditions d’élevage et d’abattage.

Nous arrivons donc à la conclusion de mon propos. Ce que je voulais ici c’était écorner la notion de spécisme souvent employée à mon avis à tort tout en vous prouvant que les végétaux sont des organismes tout aussi complexes et potentiellement tout aussi sensibles que les animaux, même si les manifestations de ces phénomènes passent par des canaux auxquels les êtres humains ne sont pas sensibles.

Mais alors, me direz-vous, tout va bien. On peut continuer comme on fait en traitant tout le monde pareil ? Ou alors on ne va pas non plus faire souffrir les plantes, car c’est tout aussi horrible ? Personnellement mon avis est que d’un point de vue environnemental (et de santé publique) il est INDISPENSABLE que tout le monde réduise sa consommation de protéines carnées et que ce qui est consommé soit élevé dans des modes d’élevages bannissant l’intensif. Et pour les plantes, me direz-vous ? Eh bien, tout pareil, ou presque. Ma philosophie est que le mal que nous faisons n’est pas de manger de la viande, mais d’industrialiser le vivant. En mettant sur un pied d’égalité animal et végétal, un élevage intensif ou productivité se fait au détriment de toute considération du développement naturel du vivant. C’est le même procédé qu’un vaste champ de céréales en open field que l’on cultive avec comme seule motivation d’avoir toujours plus de rendement. Dans les 2 cas, on entasse du vivant en le dopant pour produire le plus possible.

NB : L’élevage peut avoir un impact écologique et paysager très positif dans nos contrées, car il maintient une diversité paysagère et écologique que nous apprécions tous lors de nos promenades dans les pâturages alpins ou les prairies calcaires couvertes d’orchidées qui disparaîtraient sous d’épaisses forêts en quelques décennies sans élevage). Évidemment que détruire une forêt amazonienne pour y mettre des bœufs c’est une hérésie de ce point de vue.

Pour enfin finir, que faire ? Arrêter avec les pratiques intensives de l’agriculture qui détruisent le vivant et le biotope (le support pour faire simple) sur lequel il se trouve. Respecter le vivant dans son intégralité comme faisant partie d’un tout sans le hiérarchiser de façon trop radicale. Privilégier le local et les petits producteurs qui aiment leur métier, qui aiment leurs bêtes et qui aiment leur terre.

En vous remerciant d’avoir lu jusqu’au bout ce propos que je voulais vous tenir depuis longtemps. Pensez y en préparant vos repas de fêtes !

Che De Fermont.


[Sources]

La liste des sources qui ne sont pas déjà insérées dans l’article, n’hésitez pas à les lire et à les écouter, elles reprennent le gros de ce que je dis en plus approfondi.

Conférence « végétal sans végéter » https://www.youtube.com/watch?v=ZxQwnE_Zjv8 de Pierre Kerner, Maître de conférences à l’université Paris Diderot

« sentir bouger, communiquer : les plantes aussi ! » site web de l’INRA (institut national pour la recherche agronomique http://www.inra.fr/Chercheurs-etudiants/Biologie-vegetale/Tous-les-dossiers/Sentir-bouger-communiquer-les-plantes-aussi

Planête Gaïa « le plantes communiquent ! » http://planete.gaia.free.fr/vegetal/botanique/com.chimiquement.html

snpn « l’élevage en zone humide » http://www.snpn.com/IMG/pdf/ZHI_75-76_Elevage_en_zone_humide.pdf [Lien non fonctionnel]

actu-environnement « Pelouses sèches, un réservoir de biodiversité aujourd’hui menacé » http://www.actu-environnement.com/ae/news/preservation-espaces-naturels-pelouses-calcaires-22254.php4

Communauté de Communes des Pays de l’Ormes « Les Pelouses Calcaires » http://www.ccpom.fr/les-competences/environnement/pelousescalcaires [Lien non fonctionnel]


[Voir aussi : L’intelligence des plantes]




L’intolérance aux ondes est souvent confondue avec l’électrohypersensibilité

[Source : La maison du 21e siècle]

[Auteur :] Pierre Dubochet

L’auteur est un ingénieur radio suisse devenu expert en pollution électromagnétique après avoir été lui-même handicapé par les ondes. Son site : http://pierredubochet.ch/

Un cerveau humain traite chaque seconde des milliards et des milliards d’informations (plus exactement 1024 [1 suivi de 24 zéros]) sous forme d’impulsions électriques. C’est sans aucune comparaison possible avec les plus puissants supercalculateurs électroniques, misérables escargots.

L’organisme perçoit l’environnement de
différentes manières grâce à d’innombrables récepteurs sensoriels
généraux ou spécialisés adaptés pour traiter un stimulus propre, par
exemple la température, la pression, la vibration, la faim, la soif,
l’étirement, la lumière, l’équilibre, le son, le goût, l’odeur…

C’est
notamment grâce à la spécialisation de ses terminaisons nerveuses que
l’Homme a pu augmenter son efficacité et ses chances de survie.
  
Ces informations se propagent électriquement dans nos cellules jusqu’à
notre cerveau. Une partie de ces informations produisent des réponses
réflexes. D’autres informations sont traitées par l’inconscient. Une
toute petite partie devient notre perception consciente.

Affinités de la modulation numérique avec les transmissions nerveuses

Il
se trouve que la modulation numérique produite par les appareils sans
fil présente de fortes affinités avec certaines transmissions
électriques de nos tissus nerveux. Durant notre évolution, notre
organisme n’a pas conçu de protection contre cette électricité qui
dépasse maintenant des millions de millions de fois le rayonnement
naturel.
  
Lorsque nous sommes touchés par un environnement
hostile, par exemple une différence de température, un manque d’oxygène,
un empoisonnement ou l’exposition à ces rayonnements, notre corps
produit des protéines de stress. Ces protéines aident à l’autodéfense.
Elles activent un réflexe de vigilance qui permet d’échapper aux
attaques environnementales.

À courte durée, le stress est
bénéfique. Lorsqu’il devient chronique — ce qui est le cas quand nos
bureaux, nos habitats reçoivent constamment ces rayonnements — le stress
faire courir de nombreux risques sur les fonctions nerveuses,
cardiovasculaires et digestives. L’exposition chronique risque aussi
d’épuiser le système endocrinien et le système immunitaire.

Fatigabilité, état inflammatoire et intolérance aux rayonnements

Tout cela mène à diverses possibilités. Une fatigabilité accrue. Un état inflammatoire plus ou moins étendu, avec augmentation du risque de maladies chroniques. Une diminution de la tolérance aux rayonnements.

L’intolérance
aux rayonnements est souvent confondue avec l’électrohypersensibilité,
ou EHS. Être intolérant aux ondes ne signifie pas qu’on les détecte. Un
sujet intolérant souffre de symptômes handicapants après un temps
variable, car son organisme ne parvient pas à gérer la présence d’un
élément physique, que ce soit un aliment, un produit chimique, ou un
rayonnement.

On parle d’électrohypersensibilité lorsque les rayonnements peuvent être perçus par les nocicepteurs, les récepteurs de la douleur.

Modification de l’équilibre énergétique 

L’exposition
à des rayonnements excite un nombre important de cellules qui
déclenchent des phénomènes indésirables. Cela nuit aux équilibres
biologiques. L’organisme compense ces réactions indésirables en
mobilisant d’autres cellules.

L’exposition chronique à des
rayonnements augmente donc la consommation d’énergie. Les besoins accrus
peuvent conduire à des carences en vitamines, en oligoéléments et en
aminoacides.

La présence de rayonnement contraint l’organisme à
modifier la consommation d’énergie. L’équilibre énergétique est
essentiel pour les enfants et plus encore pour les bébés. Le nourrisson
dort environ seize heures par jour. Ainsi, la majeure partie de son
énergie sert à sa croissance et un peu d’énergie seulement sert aux
muscles.

Toute exposition chronique aux rayonnements peut modifier
l’équilibre énergétique et entraîne des conséquences pour l’être en
devenir.

Notre personnalité, fruit d’infimes variations électriques

Encore
une chose. Notre cerveau est dans une logique d’adaptation constante.
Nos activités mentales, intellectuelles et physiques affectent à la fois
le nombre et la localisation des connexions entre les neurones.

Trois
exemples. Les chauffeurs de taxi utilisent constamment leur mémoire
vidéospatiale. Ils ont un hippocampe plus volumineux que la moyenne. Les
musiciens professionnels ont un cortex — zone qui contrôle les
mouvements des doigts — plus dense que la  normale. Celui qui médite
durant des années développe la région préfrontale gauche du cortex,
siège des émotions positives, et développe plus facilement des ondes
cérébrales gamma.

Les infimes variations  électriques naturelles
du cerveau s’ajustent constamment pour produire nos capacités
intellectuelles et notre personnalité.
  
Notre cerveau ne fait
pas la distinction entre les champs électriques internes naturels et des
champs électriques artificiels physiquement ressemblants. Le
rayonnement des appareils sans fil déstructure notre cerveau. 

Le rayonnement modifie des trajectoires de vie

Le
rayonnement des appareils sans fil modifie des trajectoires  de vie. Il
rend l’apprentissage plus difficile. Il transforme la personnalité. Il
épuise. Il favorise les maladies chroniques. Il favorise la
dégénérescence des tissus du cerveau. Il crée des variantes du
vieillissement normal. 

Aujourd’hui plus que jamais, nous avons
besoin de privilégier la vision scientifique de la médecine
environnementale et son approche préventive. 

Vous avez certainement des amis qui seraient intéressés de lire cet article. Ils apprécieront que vous partagiez maintenant le lien de cette page à votre réseau.


[Voir aussi sur La maison du 21e siècle :

Sur le blogue Nouveau Monde : dossier 5G et ondes pulsées]


Au sujet de l’auteur

Ingénieur suisse handicapé par le rayonnement électromagnétique, Pierre est conférencier, auteur et consultant en hygiène électromagnétique et chargé de cours en Haute École de la santé. En 2010, il constate qu’il a plus de difficultés à se concentrer et à maîtriser son état d’esprit selon les endroits. Petit à petit, d’autres symptômes apparaissent. Pressions derrière les yeux, douleurs articulaires, sensations de vertige, acouphènes, maux de tête, variations de température, troubles de la vision, de la concentration, d’idéation, etc. Il a perdu presque toute mémoire à court terme : il doit tout noter. À cette période, son organisme est tellement stressé qu’il lui est impossible de dormir plus de trois heures par jour durant près d’une année. Vingt années de recherches sur l’esprit lui servent à différencier effet physiologique et effet psychologique. Ses recherches poussées lui apprennent qu’il est exposé à un niveau extrêmement significatif de rayonnements non ionisants qui traversent ses murs. Après plus d’une année, il comprend le lien formel entre cette exposition et la sérieuse dégradation de sa qualité de vie. Pierre n’a pas été informé professionnellement des effets de l’exposition aux ondes, et la question ne l’avait pas effleuré. Pierre a relié l’exposition à des champs électriques à basse fréquence, des champs magnétiques à basse fréquence, au Wi-Fi, au DECT, à la téléphonie mobile, à différents effets dans ses cellules. Il a fait sa force de ces années de souffrance, qui lui ont donné un talent et une expérience uniques dans la création d’environnements sécuritaires qui accélèrent le rétablissement. Il conserve ce savoir à jour en entretenant des liens étroits avec les experts du monde entier. Pierre —souvent cité dans la littérature relative aux rayonnements non ionisants— a les compétences pour mesurer le rayonnement non ionisant et pour proposer des solutions d’atténuation et de blindage. Il se déplace sur site pour protéger les personnes des effets de l’exposition aux rayonnements non ionisants dans l’environnement privé et professionnel et pour les inciter à se protéger de toute exposition inutile. Enfant, Pierre est attiré par le son. En 1982, il s’oriente vers une profession spécialisée et devient ingénieur. Sollicité par le directeur d’une station de radio, il occupe le poste de chef technique, puis fonde une société qui introduit des services numériques révolutionnaires dans les années 1990. Il s’intéresse à la méditation qu’il pratique pour son bien-être.




Lettre à notre fils qui se bat « pour le climat »

[Source : Nice Provence Info via Les moutons enragés]

Mon chéri,

Vendredi, plutôt que d’aller au lycée, tu as participé à la manifestation pour la défense du climat et le sauvetage de la planète.
Tu n’imagines pas combien nous avons été fiers de te voir engagé dans
une cause aussi essentielle. Profondément émus par tant de maturité et
de noblesse d’âme, nous avons été totalement conquis par la pertinence
de ton combat.

Aussi, je t’informe que ta mère et moi avons décidé d’être
indéfectiblement solidaires et, dès aujourd’hui, de tout faire pour
réduire l’empreinte carbone de notre famille.

Alors pour commencer, nous nous débarrassons tous les smartphones de
la maison. Et puis aussi de la télévision. Tu ne verras aucune
objection, naturellement, à ce que ta console subisse le même sort : on
dit qu’ils contiennent des métaux rares que des enfants, comme toi,
extraient sous la terre dans des conditions honteuses.

Évidemment, nous avons entrepris de résilier aussi tous les
abonnements téléphoniques et la box d’accès à l’internet. Nous avons
pris conscience que tous ces gigantesques data-centers qui stockent les
données des réseaux sociaux et des films en « steaming » sont des
gouffres énergétiques. J’ai aussi contacté un plombier pour faire
retirer le système de climatisation particulièrement énergivore. Nous
nous le remplacerons par des ventilateurs basse consommation dont nous
nous efforcerons de ne pas faire une utilisation abusive.

Nous pensons également qu’il est nécessaire de corriger nos modes de
vie : nous cesserons donc de partir en vacances au ski ou à l’étranger.
Ni même sur la Côte d’Azur avec le camping-car que, d’ailleurs, nous
avons la ferme intention de revendre. Et bien sûr, fini l’avion ! Pour
l’été prochain, ta mère et moi avons programmé de remonter le canal du
Midi par les berges, à vélo. Comme tu iras désormais au collège avec ton
VTT, cela te fera un excellent entraînement.
Oui, parce que la batterie de ta trottinette électrique n’étant pas
recyclable, il te faudra oublier ce mode de locomotion. Mais c’est déjà
fait, j’imagine.

Ah ! pour tes vêtements, nous avons décidé de ne plus acheter de
marques (ces vêtements sont fabriquées par des mains d’enfants dans les
pays du tiers-monde comme tu le sais). Tu nous approuveras, nous en
sommes persuadés. Nous envisageons par conséquent de t’acheter des
vêtements en matières éco-responsables, comme le lin ou la laine, que
nous choisirons de préférence écrus (les teintures sont parmi les plus
grands polluants).

Dans la foulée, nous nous mettrons à l’alimentation bio et
privilégierons les circuits courts. Et pour aller au plus court, nous
songeons même à acheter des poules afin d’avoir des œufs frais à portée
de main : tu vas adorer ! Ta mère a même pensé à un mouton pour tondre
le gazon. Et puis, j’ai adressé une candidature en bonne et due forme à
la mairie pour obtenir l’affectation d’une parcelle dans les jardins
familiaux partagés. Nous comptons sur toi pour nous aider à cultiver nos
légumes. Il va sans dire que, dans cette démarche, nous bannirons les
aliments industriels. Désolé pour le Coca et le Nutella dont tu faisais
grande consommation et dont tu devras te priver à présent. Mais nous ne
doutons pas un instant de ton approbation.

Enfin, pour palier le manque de distractions par écrans interposés,
le soir, nous nous remettrons à la lecture (dans des livres en papier
recyclé, cela va de soi) ou nous jouerons aux échecs et pourquoi pas aux
petits chevaux : il y a une éternité que nous n’avons pas fait une
partie de ce jeu désopilant. Nous achèterons un plateau et des pièces en
bois du Jura, comme il se doit. Et nous veillerons à nous coucher plus
tôt pour économiser la lumière.

Voilà, nous sommes certains que tu adhèreras pleinement à ce
sympathique programme qui s’inscrit en ligne directe dans ton combat
pour sauver la planète. Et nous te remercions encore de nous avoir
ouvert les yeux.

Tes parents qui t’admirent et qui t’aiment.

(courrier écrit sur du papier recyclé)


[Voir aussi :




Un point de vue à contre-courant sur Greta et le Climat

[Source : Sott.net]

[NdNM : L'auteure de l'article suivant émet l'hypothèse (pour elle quasi certitude) d'une prochaine nouvelle ère glaciaire. Cependant, peu d'éléments semblent pouvoir actuellement la supporter, même si localement au Québec, ces dernières années, les hivers tendent à devenir plus long et plus rigoureux en termes de quantité de neige et/ou de températures et si d'autres lieux du monde semblent être affectés par une même tendance.
Des passages particuliers ont été surlignés en jaune par le présent blogue.]

Greta Thunberg, ou la fausse prophétesse de la Croisade des enfants

[Auteur :] Laura Knight-Jadczyk

Comme le savent peut-être les lecteurs de SOTT, les prophéties, c’est mon « affaire » depuis plus de 25 ans. Et j’en ai souvent bavé. En dépit d’un « palmarès » plus long que les deux bras, j’ai souvent l’impression d’être Cassandre.

Greta thunberg mural bristol
© Inconnu
Une peinture murale de Greta Thunberg à Bristol, Royaume-Uni

Cela fait maintenant quelques années que je n’ai rien écrit publiquement, mis à part mes posts sur notre forum, et la raison en est principalement le « complexe de Cassandre » susmentionné. J’ai fini par me rendre compte que rien, absolument rien n’inverserait la machine et ne préviendrait la dégringolade de l’humanité, désormais au bord de l’extinction. En outre, dès le début, on s’est employé énergiquement à étouffer mes avertissements et à me mettre hors jeu, pour ainsi dire.

Comme ça n’a pas réussi, la censure globale imposée par Google, Facebook, Twitter et les médias mainstream a pris le relai et a laissé des traces. Il fut un temps où SOTT.net comptait six millions de lecteurs par mois – aujourd’hui, nous pouvons nous estimer heureux si nous en comptons deux millions. Les redirections en provenance de FB et de Twitter étaient notre principal mode de diffusion ; aujourd’hui, elles sont quasi inexistantes.

Quoi qu’il en soit, je ne suis pas encore morte, et tout se déroule globalement selon les prédictions de notre « projet prophétique » – l’Expérience cassiopéenne – et nous avons une bonne idée de la façon dont ça va se terminer.

Greta Thunberg, elle, n’en a aucune idée. Et la médiatisation de son ignorance est littéralement criminelle ce qui, puisqu’elle y participe de son plein gré, même si ce n’est qu’une « enfant », fait également d’elle une criminelle. Évidemment, elle ne s’en rend pas compte, parce qu’elle a été profondément conditionnée – elle et toute une génération d’enfants sur la planète ; mais n’en a-t-il pas toujours été ainsi ? Les paroles changent, mais c’est le même refrain, le but étant la manipulation et le contrôle de l’humanité.

Prophète contre prophète

Laissez-moi vous conter une petite parabole de l’Ancien Testament que j’ai relatée à ma façon il y a trente ans.

greta prophet house fire
© Inconnu

Il était une fois deux rois de deux petits royaumes qui étaient apparentés par mariage. Le premier roi décida de rendre visite à son beau-frère, le second roi. À son arrivée, il fut accueilli par le second roi, qui avait préparé toutes sortes d’amusements et de divertissements.

Après moult célébrations et réjouissances, le second roi dit à son beau-frère, le premier roi, qu’il tendait à considérer tous ses biens comme des possessions mutuelles, et qu’il espérait que le premier roi voyait les choses de la même façon. Cela rendit le premier roi quelque peu nerveux, et il se demanda ce que tout cela signifiait. Il ne fut pas long à le découvrir. Le second roi voulait faire la guerre à l’un de ses voisins, s’emparer de ses terres et de ses biens, mais, pour ce faire, il lui fallait de l’aide. Il savait que son beau-frère ne nourrissait pas ce genre d’ambition, et il s’était employé à l’amadouer afin d’obtenir son aide.

Quelque peu déconcerté par cette requête, le premier roi demanda s’il était possible de faire appel à plusieurs prophètes pour découvrir si ce plan était avisé. Le second roi convoqua volontiers quatre cents prophètes. Tous, à l’unanimité, louèrent le projet et la perspicacité de leur roi. Mais le premier roi était toujours mal à l’aise – son instinct lui disait que quelque chose ne tournait pas rond. Il demanda s’il restait un prophète à consulter. Il s’avéra que c’était le cas, mais le second roi prévint le premier de ne pas attendre grand chose de cet individu car il y avait de l’animosité entre eux, et ces sentiments négatifs rendait ce dernier prophète hostile à tout dessein du second roi. Ayant copieusement diffamé ce dernier prophète, il le fit appeler.

Comme de bien entendu, le dernier prophète contredit les quatre cents autres et annonça au second roi qu’il mourrait s’il partait en guerre. Pour le punir de son insolence, le second roi fit jeter l’oracle impudent en prison, pour le faire méditer sur son outrecuidance jusqu’au retour des rois et de leur armée. Insistant sur la véracité de sa prophétie, le dernier prophète fit remarquer au roi qu’il serait fort étonné s’il revenait.

Mais le perfide second roi avait un plan. Ayant persuadé son beau-frère de l’accompagner, il s’arrangea pour combattre habillé en simple soldat, tandis que son beau-frère se rendit sur le champ de bataille en habit royal.

Il s’avéra que les soldats du camp rival avaient reçu l’ordre de rechercher et de tuer immédiatement le second roi (mais pas l’autre). Au cours du combat, les soldats ennemis se lancèrent à la poursuite du seul homme habillé en roi et, découvrant qu’il n’était pas celui qu’ils cherchaient, dans un accès de rage et de frustration, ils se tournèrent vers le soldat le plus proche et le tuèrent – ce soldat était le roi malfaisant. Prophétie accomplie.

On peut tirer plusieurs leçons importantes de cette histoire. La première est qu’une prophétie est inexorable, à moins de changer radicalement d’attitude et d’orientation. On ne peut pas tromper la réalité quantique ! La deuxième leçon est que les chances de réalisation d’une vraie prophétie sont les mêmes que celles évoquées dans cette histoire : quatre cents contre un. Une troisième leçon, et non des moindres, est que les gens veulent rarement entendre la vérité parce qu’il est difficile de renoncer aux jeux de pouvoir et aux rationalisations. Et enfin, la façon la plus simple d’ignorer la vérité est d’éliminer le prophète, soit littéralement, soit en le diffamant.

L’histoire de Jonas révèle l’autre face de la médaille : Dieu demanda à Jonas de prophétiser la destruction de Ninive, cité du pêché et de la décadence. Jonas fit bien son travail (motivé, il faut dire, par une méditation forcée dans le tube digestif d’un gros poisson). Or à son grand étonnement, les habitants de Ninive se repentirent et rentrèrent dans le droit chemin, si bien que la catastrophe fut évitée ! Mais au lieu d’être rempli de joie, Jonas en fut mortifié. Il avait le sentiment d’avoir été pris pour un imbécile. Humilié et en colère, il partit bouder dans son coin. Au cours d’une petite discussion, Dieu lui fit remarquer que l’illumination prophétique pouvait servir d’autres desseins – à savoir, le repentir et le changement.

Aujourd’hui, nous avons des prophètes des temps modernes – statisticiens et scientifiques de tout poil – qui prévoient tendances et probabilités. Dans la plupart des cas, dans les affaires privées comme publiques, les décisions sont fondées sur ce type de données. Puisque ces méthodes « divinatoires » modernes reposent sur des tonnes de statistiques qui reflètent des actions purement matérielles, le caractère inspirant d’un idéal n’est ni pris en compte, ni prévu. En conséquence, les prédictions sur lesquelles notre culture fonde ses activités entraînent l’évolution dans son sens le plus strict – à savoir, une spirale infernale et inexorable menant au déclin et à la dégénérescence.

À cet égard, les prédictions eschatologiques peuvent servir de tremplin amenant à une prise de conscience, laquelle contribuerait à faire naître ces aspirations supérieures, qui pourraient alors agir de façon à mitiger les événements futurs. Si suffisamment de gens développent la conviction que quelque chose d’effroyable est sur le point de se produire si nous ne changeons pas nos mœurs et nos comportements, cela pourrait créer l’élan nécessaire et faire naître l’aspiration à certains idéaux, entraînant alors une possible altération des réalités quantiques.

Lorsque j’ai commencé à publier les transcriptions de l’Expérience cassiopéenne, j’ai pensé naïvement que les gens comprendraient qu’à moins de changer en profondeur nos attitudes fondamentales vis-à-vis de la réalité, l’humanité allait sombrer.

Mais ce changement radical ne s’est pas produit ; en fait, j’ai du mal à imaginer un monde plus enlisé dans les mensonges, un monde plus en proie à l’aveuglement que celui-ci. Mais je ne suis guère étonnée. Je l’avais prédit il y a trente ans.

Dans un de ses contes, Gurdjieff décrit parfaitement ce qui se passe avec les libéraux/gauchistes/démocrates/que sais-je encore (insérez le nom du parti qui représente l’Establishment dans votre pays) :

« Un conte oriental parle d’un très riche magicien qui avait un bon nombre de moutons. Mais ce magicien était très avare car il ne voulait pas embaucher de bergers, ni ne voulait ériger de barrière autour du pâturage où les moutons paissaient. En conséquence, les moutons vagabondaient souvent dans la forêt, tombaient dans des ravins et ainsi de suite, mais surtout ils s’enfuyaient, parce qu’ils savaient que le magicien voulait leur chair et leur peau, et ils n’aimaient pas cela.

Alors le magicien trouva un remède. Il hypnotisa ses moutons et leur suggéra tout d’abord qu’ils étaient immortels et qu’il ne leur serait fait aucun mal lorsqu’on les écorcherait, qu’au contraire, cela leur ferait beaucoup de bien et serait très agréable ; deuxièmement il leur suggéra qu’il était un bon maître qui aimait ses troupeaux tellement qu’il était prêt à faire tout pour eux ; et, en troisième lieu, il leur suggéra que si quoi que ce soit devait arriver, cela n’arriverait pas tout de suite et sûrement pas dans la journée, donc ils n’avaient pas besoin d’y penser. Au-delà de cela, le magicien suggéra à ses moutons qu’ils n’étaient pas du tout des moutons ; il suggéra à certains d’entre eux qu’ils étaient des lions, à d’autres qu’ils étaient des aigles, à d’autres qu’ils étaient des hommes et à d’autres qu’il étaient même des magiciens.

Ainsi tous ses soucis et inquiétudes à propos des moutons prirent fin. Ils ne s’enfuirent plus jamais et attendirent calmement le moment où il aurait besoin de leur chair et de leurs peaux. »

Cela décrit bien la condition des masses à l’heure actuelle. Pour s’éveiller, il faut d’abord réaliser qu’on dort profondément. Pour ce faire, il faut reconnaître et comprendre pleinement la nature des forces qui agissent pour nous maintenir dans cet état de sommeil ou d’hypnose. Il est absurde de penser qu’on peut y parvenir en puisant les informations à la source même qui induit l’hypnose. Gurdjieff poursuit :

« Théoriquement [l’homme] peut [s’éveiller], mais pratiquement cela est presque impossible, parce qu’aussitôt qu’un homme ouvre les yeux, s’éveille pour un moment, toutes les forces qui le retiennent dans le sommeil s’exercent de nouveau sur lui avec une énergie décuplée, et immédiatement il retombe endormi, rêvant très souvent qu’il est éveillé ou qu’il s’éveille. »

C’est dans l’éveil de l’humanité que réside l’espoir de mitiger les catastrophes prophétisées. Pour mettre fin aux conditions qui ont contribué à la situation déplorable dans laquelle se trouve l’humanité, une mise en lumière et une compréhension de ces conditions est nécessaire. Le Faux prophète – la propension de l’humanité à se fourvoyer – doit être terrassé.

« Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtements de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ? (…) Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits. (Matthieu 7:15,23) »

Chacun admettra volontiers qu’il y a probablement trop de violence à la télévision et sur Internet, et que les publicités dont on nous bombarde quotidiennement tiennent plus de l’attrape-nigaud que d’autre chose, mais rares sont ceux qui appréhendent réellement la véritable nature et l’étendue de l’influence hypnotique des médias. Plus rares encore sont ceux qui ont la moindre idée de l’objectif que cache le consumérisme. Comme l’écrivent Wallace et Wallechinsky dans The People’s Almanac [« L’almanach du peuple », ouvrage non traduit en français – NdT] :

« Après la Seconde Guerre mondiale, la télévision entra dans une ère de prospérité… On fit appel à des psychologues et à des sociologues pour qu’ils étudient les comportements humains face aux techniques de vente ; autrement dit, pour qu’ils découvrent comment manipuler les gens à leur insu. Le Dr. Ernest Dichter, président de l’Institute of Motivational Research [Institut de recherche sur la motivation – NdT] déclara en 1941 :
« L’agence de publicité gagnante est celle qui manipule les motivations et désirs humains, et créé un besoin à l’égard de biens de consommation auxquels le public était jusqu’alors peu habitué – voire même qu’il rechignait à acquérir. »

Discutant de l’influence de la télévision, Daniel Boorstin écrit : « Voici enfin un supermarché de « l’expérience de substitution ». Une programmation réussie offrira du divertissement – sous l’apparence de l’instruction ; de l’instruction – sous l’apparence du divertissement – de la persuasion politique – avec tout l’attrait de la publicité ; et de la publicité – avec tout l’attrait du spectacle. »

La télévision programmée sert non seulement à répandre le consentement et l’uniformité, mais elle représente également une approche industrielle délibérée. »

Bien qu’il ait été démontré que la télévision nuit gravement aux enfants, et qu’on puisse attribuer la plupart des aspects destructeurs de la société aux valeurs déliquescentes promues à la télévision, on constate un effet plus profond et plus insidieux sur la psyché humaine. Comme cité plus haut, il s’agit d’une manipulation planifiée et délibérée visant à susciter le consentement, à répandre l’uniformité et à hypnotiser les masses de sorte qu’elles se soumettent à l’autorité toute-puissante : la télévision.

Un jour, on demanda à Allen Funt, créateur et présentateur de l’émission populaire « Candid Camera » [Caméra cachée – NdT], ce qu’il avait découvert de plus troublant sur les gens dans le cadre de son métier. Sa réponse fut glaçante quand on considère les ramifications : « Le pire, et ça, je le vois tous les jours, c’est de voir à quel point les gens se soumettent facilement à n’importe quelle figure d’autorité, ou même aux signes d’autorité les plus minimes. Un type bien habillé monte l’escalator à contre-sens, et la plupart des gens feront demi-tour et s’escrimeront à remonter l’escalator. Un jour, nous avons placé un panneau sur la route : « Delaware Closed Today » [Delaware : Fermé aujourd’hui – NdT] ». Les automobilistes ne se posèrent même pas la question. Certains demandèrent même : « Est-ce que le New-Jersey est ouvert ? » [cité par Wallace & Wallechinsky – NdT]

L’image qui se dessine est celle d’une société délibérément artificielle faite d’uniformité télévisuelle, de pauvreté intellectuelle et créative, de grogne sociale et de décadence. Manifestement, les médias sont chargés de propager ces conditions.

GQ magazine greta thunberg

On pourrait s’attendre à ce que les professionnels de la motivation développent, dans l’intérêt de leurs clients industriels, une programmation visant à instaurer des conditions sociales bénéfiques – ce qui est tout à fait à leur portée. Il apparaît que l’autorité finale en matière de programmation audiovisuelle est entre les mains des publicitaires, eux-même épaulés par les industries vendeuses de produits et d’idées. Avec toutes les données psychologiques auxquelles ils ont accès, on pourrait s’attendre à ce qu’ils imposent une programmation visant à améliorer des conditions sociales qui leur coûtent de l’argent. Plus de vingt-cinq milliards de dollars sont dépensés chaque année pour apprendre aux travailleurs à lire et à écrire, au terme d’un parcours éducatif conjuguant instruction publique et zapping télé.

Il est admis que l’effondrement social qui s’annonce, lequel coûte à ces géants industriels de vastes sommes d’argent, est principalement attribuable aux frustrations et aux mécontentements générés par la vision faussée de la réalité présentée dans les médias. Pourquoi n’utilisent-ils pas leurs ressources financières pour aider les professionnels de la motivation à concevoir des programmes susceptibles d’entraîner des changements positifs ?

Se peut-il que les conditions de la société, y compris la réponse programmée aux « signes d’autorité les plus infimes », soient voulues ? Oserait-on suggérer qu’ils n’ont pas accès aux chiffres et aux études portant sur l’influence nuisible de la télé et des médias, et qu’ils ne réalisent pas que ça leur coûte de l’argent ? Si c’est le cas, alors ils sont trop stupides pour s’ériger en arbitres de nos valeurs, et nous devrions leur tourner le dos. Si ce n’est pas le cas, il nous faut supposer qu’il y a un but à cette manipulation.

De nombreux éléments de preuve viennent étayer l’idée que ce dessein, ou que l’objet de cette manipulation, est de créer un démantèlement psychologique et social suffisant pour permettre l’instauration d’un gouvernement totalitaire, lequel sera réclamé par le peuple. On postule en outre que l’« élite des ultra-riches » cherche à contrôler la planète en sous-main, et c’est à cette fin qu’ils orchestrent les événements et financent certaines activités qui seront perçues par les masses comme des « aléas » politiques et internationaux.

Or comme l’a dit Franklin D. Roosevelt : « En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un événement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi. »

Et il était bien placé pour le savoir.

De nombreuses preuves viennent étayer l’idée que les guerres sont fomentées et menées dans le but exprès de redistribuer clandestinement ces équilibres de pouvoir financier. Qu’importe si nos pères, frères, grand-pères, oncles, cousins et fils périssent dans ces entreprises, il s’agit de simples jeux de « relations internationales » auxquels s’adonnent ceux qui, du fait de leur argent et de leur position, ne trouvent rien d’autre à faire pour passer le temps ou exercer leur intelligence.

Or il y a une conséquence à ce jeu d’échecs mondial, et les joueurs comme les pions l’ignorent.

Réalité façonnée par l’idéologie versus réalité objective

Regardons les choses en face : à cause des éléments pathologiques qui parviennent invariablement au pouvoir, l’existence sur cette planète n’a jamais été un long fleuve tranquille ni une promenade de santé. Mais la situation actuelle est aussi précaire qu’au temps de Sodome et Gomorrhe, juste avant qu’une comète n’explose apparemment dans le ciel et ne raye ces deux cités de la carte ; ou bien qu’au temps de la légendaire Atlantide à la veille de sa destruction. Et cela devrait nous faire réfléchir. Dans son ouvrage The life of reason [« L’Âge de raison », ouvrage non traduit en français – NdT], George Santayana écrit : « Ceux qui ne peuvent pas se rappeler le passé sont condamnés à le répéter ». Mais les libéraux/la gauche sont occupés à effacer et à réécrire l’Histoire, guidés par leurs idéologies post-modernistes/marxistes, qui se rapprochent en essence du credo YCYOR [« You Create Your Own Reality » : On se crée sa propre réalité – NdT]. Les faits irréfutables et la physique classique – la réduction du paquet d’onde – ont été jetés au rebut et remplacés par l’idée délirante selon laquelle l’incertitude quantique pouvait être appliquée à la réalité brute, matérielle.

Tandis que le cerveau interagit avec son environnement, les circuits synaptiques se combinent pour former des cartes synaptiques du monde perçu par les sens. Ces cartes décrivent de petits segments de ce monde – formes, couleurs, mouvements – et sont dispersées dans tout le cerveau. À mesure que le réseau synaptique cérébral évolue – et ce depuis la naissance (ou même avant) – ces cartes traitent les informations simultanément et en parallèle. Sur la base de ces cartes synaptiques du monde, nous pouvons développer une vision plus ou moins objective de la réalité.

La physique classique affirme que le futur existe déjà, tout comme le présent et le passé. Tout ce qui arrivera s’est déjà produit. Mais pour une raison inconnue, notre mental ne peut faire l’expérience du futur que séquentiellement, dans ce que nous appelons le présent.

De son côté, la physique quantique affirme qu’il est impossible de prédire le futur avec une certitude absolue. Le futur n’existe pas encore dans un état défini. L’incertitude quantique ne nous interdit pas toute connaissance du futur. Elle nous donne des outils pour faire des prédictions, mais seulement en termes de probabilités.

Bohr et d’autres éminents physiciens de l’École de Copenhague affirment que la réalité objective est un concept ambigu au niveau quantique. En physique, notre connaissance ne se développe que lorsque nous mesurons concrètement quelque chose, et même alors, la façon dont nous décidons de prendre ces mesures affectera les résultats obtenus.

blind men elephant
© Inconnu

C’est un ventilateur ! C’est un mur ! C’est une corde ! C’est un arbre ! C’est un serpent ! C’est une lance ! Poser la même question de différentes manières peut appeler des réponses qui sembleront contradictoires, mais une seule expérience ne saurait fournir en elle-même des informations contradictoires. Certaines expériences montrent des électrons sous forme d’ondes, et d’autres les montrent sous forme de particules. Dans aucune expérience, les électrons n’apparaissent simultanément sous forme d’ondes et de particules. Bohr appelait cela la complémentarité.

La mécanique quantique laisse l’observateur dans le doute quant à la nature réelle de la réalité. S’agit-il d’ondes, ou de particules ? Nous l’ignorons, et aucune expérience ne nous le dira. Détecter l’un des deux attributs exclut automatiquement toute connaissance de l’autre.

L’univers recèle de nombreux états futurs possibles, ou potentialités, représentés par la fonction d’onde. La fonction d’onde s’effondre et se fonde constamment dans le présent, à mesure que les nombreux états possibles fusionnent en un seul état, à mesure que le présent se déroule et que les possibilités deviennent réalité.

Un grand nombre de gens se sont mis dans la tête que l’incertitude quantique signifiait qu’on est capable de « créer sa propre réalité » en fonction de ses croyances, ou de ce sur quoi on porte son attention. Cette idée, populaire chez nombre d’adeptes du « New Age », est en fait le fondement de la plupart des religions (qu’elles en soient ou non conscientes).

Notre univers semble être composé de matière/énergie et de conscience. En soi, la matière/énergie « préfère », semble-t-il, l’état chaotique. Telle qu’elle, la matière/énergie ne recèle même pas les concepts de « création » ou « d’organisation ». C’est la conscience qui donne vie à ces concepts et qui, de par son interaction avec la matière, pousse l’univers soit vers le chaos et la dégénérescence, soit vers l’ordre et la création.

Ce phénomène peut être mis sous forme de modèle mathématique et simulé sur un ordinateur utilisant l’EEQT – Event Enhanced Quantum Theory [Théorie quantique en matière d’événements – NdT] ). Nous ignorons si l’EEQT simule fidèlement l’interaction de la conscience avec la matière. Mais il y a des chances que ce soit le cas, parce qu’elle semble décrire les phénomènes avec plus d’exactitude que la mécanique quantique orthodoxe ou ses théories rivales (théorie de De Broglie-Bohm, théorie GRW, etc.)

Les enseignements de l’EEQT peuvent être décrits simplement comme suit :

Appelons notre univers matériel « le système ». Le système est caractérisé par un certain « état ». Il est utile de représenter l’état du système par un point sur un disque. Le point au centre du disque, son origine, est l’état de chaos. On pourrait également le décrire comme le « potentiel infini ». Les points sur la circonférence représentent les « purs états » d’être, c’est-à-dire des états de « connaissance pure, non trouble ». Entre les deux, il y a des états mitigés. Plus l’état se rapproche de la circonférence, plus il est pur et « organisé ».

Un « observateur » extérieur – une « unité de conscience » – se fait une idée (peut-être exacte, peut-être erronée, peut-être entre les deux) de l’état réel du système, et l’observe à travers le prisme de la « croyance » qu’il entretient au sujet dudit état. Si l’observation se prolonge, l’état du système accomplit un « saut » quantique. En ce sens, on se « crée » effectivement « sa propre réalité » ; mais comme toujours, le diable est dans les détails.

Les détails en question sont que l’état résultant de l’observation du système sera plus pur ou plus chaotique, selon la « direction » du saut, laquelle dépendra du degré d’objectivité de l’observation : à savoir, dans quelle mesure l’observation se rapproche de la réalité de l’état.

D’après l’EEQT, si les attentes de l’observateur sont proches de l’état réel du système, le « saut » orientera ce dernier vers un état plus organisé, moins chaotique.

they live billboards
© Inconnu

Vous voyez des signes tout autour de vous, mais êtes-vous sûr de les lire correctement? Si, à l’inverse, les attentes de l’observateur tendent vers la négation de l’état réel (c’est-à-dire, quand les croyances de l’observateur sont fausses par rapport à l’état RÉEL – la réalité objective) alors le « saut » orientera le système vers un état plus chaotique, moins organisé. En outre, ce saut prendra en règle générale beaucoup plus de temps.

Autrement dit, si la connaissance de l’observateur quant à l’état réel du système est proche de la vérité, alors l’acte même d’observation et de vérification provoquera un saut rapide et l’état résultant sera plus organisé, plus pur. Si la connaissance de l’observateur quant à l’état réel est fausse, alors ce changement d’état prendra beaucoup plus de temps, et tendra vers le chaos.

En résumé, ceux quoi « croient » en la possibilité de « créer une réalité » différente de ce qui EST, contribuent à répandre le chaos et l’entropie. Si vos convictions, même les plus inébranlables, sont aux antipodes de la vérité, vous entrez en essence en conflit avec la vision que l’Univers a de lui-même, et je peux vous assurer que ce n’est pas vous qui gagnerez. Vous attirerez la destruction sur vous-même et sur tous ceux qui se livreront avec vous à ce genre de « bras de fer » avec l’Univers.

À l’inverse, si vous êtes capable de voir l’Univers tel qu’il se voit lui-même, objectivement, sans ciller, en acceptant la réalité et en réagissant en adéquation avec cet état de fait, vous vous « alignerez » alors sur l’énergie créatrice de l’Univers, et votre propre conscience deviendra un transducteur d’énergie génératrice d’ordre ; vos actions seront en adéquation avec ce qui est. Votre énergie d’observation, offerte de manière inconditionnelle, couplée aux actions appropriées, contribuera à ordonner le chaos, à créer à partir d’un potentiel infini.

[NdNM : voir aussi dans La Loi de Karma la notion d'action dans le sens de l'Ordre cosmique : "Un tel Ordre, engendré sciemment, s’adapte à l’Ordre ancien qu’il complète et perfectionne. C’est cette action de la Liberté que  l’on nomme Création"]

Greta Thunberg : une fausse prophétesse génératrice de chaos

Hier, j’ai regardé le discours à l’ONU de cette jeune fille mentalement et psychologiquement déficiente (ce n’est pas une enfant : les libéraux/gauchistes pensent qu’un jeune de 16 ans devrait avoir des relations sexuelles et changer de sexe s’il en a envie, alors arrêtons de qualifier Greta d’enfant !).

[NdNM : les Asperger représentent une population particulière au sein de la population générale et à ce titre, certains d'entre eux peuvent présenter des handicaps ou limitations alors que d'autres peuvent être surdoués, à peu près dans les mêmes proportions que pour la population générale. Cependant, en absence de connaissance d'un éventuel dossier clinique, médical ou psychologique de Greta, on ne peut affirmer que cette jeune Asperger soit en plus mentalement déficiente. Si l'on se base sur La jeune militante du climat Greta Thunberg répond à ses détracteurs, il semble qu'elle ne souffre pas de déficience intellectuelle notable.]
children's crusade
© Inconnu

La Croisade des enfants de 1212 s’est terminée en catastrophe.Thunberg a été acclamée comme le nouveau prophète de l’Apocalypse. En dehors du fait que ses singeries me rappellent la Croisade des Enfants de 1212 (alllez voir ce qui leur est arrivé) ou encore cette pauvre Jeanne d’Arc dérangée, voire les malheureux enfants de Joseph Goebbels, exploités et assassinés par leurs parents parce qu’ils ne supportaient pas la destruction de leurs rêves gauchistes/nazis de domination planétaire, je suis pour le moins outrée qu’on ait laissé les Libéraux/la gauche moderne pousser leurs délires à un point tel que les jeunes d’aujourd’hui sont terrifés d’être en vie.

Je me suis procuré une transcription du discours de Thunberg [sur Amnesty en français – NdT] et je vais le commenter. En réponse à la question : « Quel est votre message aux dirigeants du monde ? », elle déclare :

« Mon message est que nous vous surveillerons. »

Je ne vois pas l’utilité de surveiller quoi que ce soit lorsqu’on ne sait pas ce qu’on doit chercher ni comment l’identifier. C’est le cas de Greta et de ceux qui la manipulent ; il vivent depuis trop longtemps dans leur monde poste-moderniste YCYOR pour avoir la moindre idée de ce qui se passe et de la façon dont eux-mêmes ont été manipulés. Greta poursuit :

« Je ne devrais pas être là, je devrais être à l’école, de l’autre côté de l’océan, et pourtant vous vous tournez tous vers nous les jeunes, en quête d’espoir. Comment osez-vous ? »

C’est vrai, elle ne devrait pas « être là ». Mais elle ne fait même pas l’effort de réfléchir au fait que rien en politique n’arrive par hasard. Elle n’est qu’un pantin manipulé par ceux-là même qui entraînent l’humanité vers le chaos, de sorte que les masses acceptent un système totalitaire afin de se sentir en sécurité.

« Vous avez volé mes rêves et mon enfance avec vos paroles creuses ». « Je fais pourtant partie de ceux qui ont de la chance. Les gens souffrent, ils meurent. Des écosystèmes entiers s’effondrent, nous sommes au début d’une extinction de masse, et tout ce dont vous parlez, c’est d’argent, et des contes de fées de croissance économique éternelle ? Comment osez-vous ? »

Il est vrai que les maîtres ès manipulation de notre monde ont volé les rêves d’à peu près chaque habitant de la planète, mais pas de la manière dont Greta se l’imagine ; pire, elle ne se rend même pas compte qu’elle n’est qu’un pion utilisé pour voler toujours plus de rêves à toujours plus de gens !

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© Inconnu

Oui, les gens souffrent et meurent et des écosystèmes entiers s’effondrent, mais cela n’a rien à voir avec les activités et la technologie humaines, et tout à voir avec les cycles naturels régis par le Soleil et autres interactions cosmiques. Oui, il est sans doute vrai que sommes au milieu (et non au début) d’une extinction de masse, sauf que celle-ci à bien moins à voir avec l’activité humaine au sens physique qu’avec notre activité psychique/psychologique et mentale et nos attitudes les uns envers les autres. La propre attitude de Greta est un parfait exemple d’état psychologique générateur de chaos sur notre planète. Ses saillies sur l’argent, la croissance économique etc. sont déplacées. Aucune des idées avancées par les réchauffistes pour résoudre le problème inexistant du réchauffement climatique anthropique ne changera quoi que ce soit à l’inexorable progression vers une ère glaciaire, et causera en réalité encore plus de souffrances ; cela ne fera qu’empirer les choses.

[NdNM : une hypothèse très similaire à celle du passage ci-dessus surligné en jaune avait été émise dans Urane, l'éducation et le lois cosmiques, publié en 1991 aux éditions Arista.]

« Depuis plus de trente ans, le message de la science est limpide. Comment osez-vous continuer à détourner le regard, et venir ici dire que vous en faites assez, quand les politiques et les solutions dont nous avons besoin sont toujours inexistantes ? »

Là, on voit bien que les croyances de Greta sont aux antipodes de la VÉRITÉ. La science n’est PAS « limpide » depuis trente ans, la science n’est qu’un autre outil au service des politiques post-modernes et marxistes, et ça fait bien plus de trente ans que ça dure. Quant à savoir s’il existe des solutions pour faire face à une ère glaciaire, je répondrai qu’elles sont effectivement inexistantes.

Mais peut-être que les marionnettistes qui tirent les ficelles de Greta, et ceux qui tirent les ficelles de ces derniers, l’avaient prévu ainsi. Est-ce une théorie du complot saugrenue que de suggérer que les individus au sommet de la pyramide savent qu’une ère glaciaire – et NON un réchauffement climatique – se profile, et que la théorie du réchauffisme est là pour détourner l’attention de scientifiques aisément corruptibles, de sorte qu’ils contribuent au chaos ultime qui ne manquera pas d’exploser lorsqu’un rebond glacial nous submergera subitement ?

Imaginez l’humanité entière qui fait ses valises en prévision d’un voyage dans les îles, mais qui est redirigée en cours de route vers l’Antarctique.

« Vous dites que vous nous entendez, et que vous comprenez l’urgence, mais quelles que soient ma tristesse et ma colère, je ne veux pas le croire. Parce que si vous compreniez réellement la situation, et que vous continuiez pourtant à ne pas agir, alors vous seriez des monstres. Et ça, je refuse de le croire. »

Greta a tout faux : les maîtres ès tromperie à l’origine de la grande escroquerie du réchauffement climatique sont réellement des monstres avec un grand M. Là encore, les croyances de Greta sont aux antipodes de la Vérité.

« Selon une idée répandue, il suffirait de réduire de moitié nos émissions en dix ans, mais cela ne nous donne que 50 % de chances de rester en-dessous des 1,5 degrés, et nous risquons de déclencher des réactions en chaîne irréversibles au-delà de tout contrôle humain. »

Ici aussi, Greta avale des couleuvres. La vérité est que l’ère glaciaire pourrait être retardée ou mitigée par les émissons, alors nul besoin de s’en inquiéter. Ce qu’elle propose en essence, c’est de remplir sa valise avec des vêtements d’été en prévision d’une croisière dans les îles.

« 50 pour cent est peut-être acceptable pour vous, mais ces chiffres ne prennent pas en compte les points de bascule, la plupart des boucles de rétroaction, le réchauffement additionnel caché par la pollution toxique de l’air, ni l’aspect d’équité et de justice climatique. Ils s’appuient aussi sur l’idée que ma génération aspirera des centaines de milliards de tonnes de votre CO2 de l’atmosphère, avec des technologies balbutiantes.

Alors ce risque de 50 pour cent n’est simplement pas acceptable pour nous. Nous devons vivre avec les conséquences.

Avec une chance de 6 à 7 pour cent de rester sous la barre des 1,5 degrés d’augmentation de la température, dans le meilleur des scénarios donné par l’IPCC. Le monde avait encore 420 gigatonnes de CO2 à émettre au premier janvier 2018. À ce jour, ce chiffre est déjà descendu à moins de 350 gigatonnes.

Comment pouvez-vous faire semblant de croire que ce problème peut être résolu en continuant à faire des affaires comme d’habitude, et en s’appuyant sur quelques solutions techniques ? Avec les niveaux d’émission d’aujourd’hui, ce budget de CO2 restant sera entièrement dépensé dans moins de huit ans et demi. »

Ouais, c’est clair que ça sort directement du cerveau de cette jeune handicapée mentale !

record snow new england
© Inconnu

Ce que nous avons vu ces derniers hivers n’est qu’un avant-goût de ce qui nous attend… et de ce qui nous attend… et de ce qui nous attend ! Bien sûr, elle ne fait que répéter les affirmations et les chiffres brandis par les réchauffistes, chiffres fondés sur des postulats erronés : par exemple, l’allégation selon laquelle l’augmentation des niveaux de CO2 dans l’atmosphère provoque des conditions météorologiques extrêmes, alors qu’il s’agit d’une simple corrélation. L’arnaque du réchauffement climatique n’est absolument pas la vérité – elle ne s’approche même pas de la réalité objective. Cette théorie est tellement biaisée que toute action entreprise sur cette base produira invariablement l’effet inverse de ce qu’on cherche en apparence : à savoir, la dégradation des conditions environnementales, une augmentation des inégalités, et un cruel manque de préparation aux changements climatiques !

J’ai une info pour toi, Greta : espérons que les taux actuels d’émissions contribuent à repousser l’ère glaciaire – bien que je doute que ce soit possible. Déjà, des signes indiquent que dans peu de temps, le silence de la glace s’abattra de nouveau sur de vastes régions du globe, les productions agricoles en pâtiront, les gens mourront de faim, les épidémies s’abattront sur des populations affaiblies et affamées, et il est probable que 75% de la population mondiale périsse en conséquence. Ça s’est déjà produit, ça va se reproduire, et toutes les ères glaciaires sont précédées de périodes de réchauffement.

« Il n’y aura aucune solution, ni aucun plan, présenté ici aujourd’hui qui prenne en compte ces chiffres, parce que ces chiffres sont trop dérangeants, et vous n’êtes pas assez mûrs pour dire les choses comme elles sont.

Vous nous laissez tomber, mais la jeunesse commence à comprendre votre trahison. Les yeux de toutes les générations futures vous regardent, et si vous choisissez de nous trahir, je dis que nous ne vous pardonnerons jamais.

Nous ne vous laisserons pas vous en tirer. C’est ici que nous fixons la limite. Le monde se réveille. Le changement arrive, que cela vous plaise ou non.

Merci. »

C’est vrai, la vague/l’onde du changement est déjà là, mais Greta et ses proxénètes n’ont pas la moindre idée de sa véritable nature, ni des préparations psychiques/psychologiques qui permettraient de surfer sur cette « onde ». Remplis d’amertume envers l’humanité, la société et la création elle-même, ils ont propulsé des adolescents activistes vegan sous-alimentés et immatures sur le devant de la scène, afin de créer un climat de vengeance ; ce faisant, ils se sont alignés sur les forces de la destruction.

Cela me rappelle la Croisade des enfants, où des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants partirent délivrer Jérusalem des Infidèles et finirent vendus comme esclaves à Constantinople.

Bon, c’est du quatre cents contre un. Je vais parier sur l’ère glaciaire et me préparer en conséquence. Greta, ses maîtres et ses adeptes n’ont qu’à faire faire leurs valises pour une croisière dans les îles si ça leur chante. Moi, je vais m’acheter des Moon boots et des raquettes à neige.

La Croisade des enfants 2.0 est en train de plonger le monde dans l’hystérie, mais c’est une fausse prophétie. Prenez garde !


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Laura Knight-Jadczyk

Floridienne de septième génération, historienne/mystique,
auteur de 14 livres et de nombres d’articles publiés sur papier et sur
Internet, Laura Knight-Jadczyk est la fondatrice de Sott.net et
l’inspiratrice de l’Expérience cassiopéenne. Elle vit en France avec son
mari, le physicien mathématicien polonais Arkadiusz Jadczyk, quatre de
ses cinq enfants, sa famille élargie, huit chiens, cinq oiseaux et un
chat.




Les preuves que les ondes radio sont cancérogènes

[Source : La maison du 21e siècle]

[Auteur :] André Fauteux

Conseiller de longue date de l’OMS et professeur émérite d’épidémiologie, le Dr Anthony B Miller a dirigé l’unité d’épidémiologie de l’Institut national du cancer pendant 15 ans.Les dernières données scientifiques prouvent que le rayonnement de radiofréquences (RF) est un cancérigène humain de classe 1 et que le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) devrait le désigner comme tel, a déclaré le Dr Anthony B Miller lors de cette conférence prononcée à la foire Écosphère Montréal le 14 septembre 2019 (téléchargez ses diapositives ici : https://maisonsaine.ca/wp-content/uploads/2019/09/rfr-miller.pdf).

Plusieurs études, notamment Interphone (impliquant plusieurs pays), CERENAT (en France) et celles dirigées par l’oncologue Lennart Hardell (en Suède) ont montré que le risque de gliome – le cancer du cerveau le plus mortel – double chez les utilisateurs à long terme de téléphones cellulaires et quintuple dans certaines situations, notamment si l’on commence à utiliser un cellulaire régulièrement avant l’âge de 21 ans.

Le rayonnement RF, aussi émis par les antennes, les moniteurs sans fil pour bébés, les téléphones sans fil ainsi que les dispositifs Bluetooth et Wi-Fi, est probablement aussi une cause évitable de cancer du sein, explique le Dr Miller qui s’oppose au déploiement de la technologie sans fil de 5e génération (5G) sans prendre en compte ses implications pour la santé publique.

Conseiller de longue date auprès de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et professeur émérite d’épidémiologie à l’École de santé publique de l’Université de Toronto, le Dr Miller a dirigé l’unité d’épidémiologie de l’Institut national du cancer du Canada pendant 15 ans. En 2011, il fut l’expert mandaté par le CIRC pour valider les références sur lesquelles l’organisme affilié à l’OMS avait fondé sa désignation du rayonnement RF en tant que « cancérogène possible» du groupe 2B.

Visionner sa conférence sur notre chaîne Youtube : 
https://www.youtube.com/maison21e




80 communes françaises ont pris un arrêté contre les pesticides

[Source : Libération]

Par Benjamin Monnet — 19 septembre 2019

Depuis le mois de septembre, les arrêtés pour interdire ou encadrer l’usage de pesticides se multiplient dans les collectivités françaises. Ces municipalités et départements concernent 5,1 millions de Français.

  •   80 communes françaises ont pris un arrêté contre les pesticides

Tous les jours, retrouvez le Fil vert, le rendez-vous environnement de Libération. Aujourd’hui, le green graph.

Après que le gouvernement a proposé début septembre une distance minimale de cinq à dix mètres entre l’épandage de pesticides et les habitations, et qu’une consultation en ligne a été lancée pour recueillir l’avis des citoyens, les arrêtés municipaux pour interdire ou encadrer l’usage de pesticides se sont multipliés en France métropolitaine.

A LIRE AUSSI : De plus en plus d’arrêtés antipesticides

Qu’il s’agisse d’un village principalement composé de surfaces agricoles ou d’une grande métropole dans laquelle le premier utilisateur de glyphosate s’appelle la SNCF, que la mairie soit aux couleurs du PCF ou de l’UDI, Libération les a recensés sur cette carte animée. Leur point commun ? Ils sont – presque – tous contestés par la préfecture puis annulés par le tribunal administratif. 

Présentée comme précurseuse, la commune bretonne de Langouët n’a toutefois pas été la première à interdire l’usage du glyphosate sur son territoire. En 2012 et 2016, plusieurs communes ont pris des arrêtés dans ce sens. Puis, en mars 2019, Dijon est devenu la première métropole à adopter un arrêté antiglyphosate, au nom du «principe de précaution».

Toutefois, comme on le constate avec le graphique, le nombre d’arrêtés interdisant ou limitant l’usage des pesticides sur une commune a véritablement explosé depuis le printemps 2019, suivant le cas, très médiatisé, de Daniel Cueff, le maire de Langouët. Le nombre total d’arrêtés municipaux recensé par Libération concerne aujourd’hui 80 communes.

62 arrêtés municipaux, soit 77,5% du total, ont été pris après le 18 mai 2019, jour où le maire breton signa le sien. On observe une très nette accélération depuis le 27 août, date à laquelle le tribunal administratif de Rennes a suspendu l’arrêté de Daniel Cueff. Depuis, cela représente une moyenne d’environ deux arrêtés municipaux signés chaque jour. 

Parmi les municipalités prenant des arrêtés antipesticides, 75% se situent sur la gauche de l’échiquier politique (hors sans-étiquettes). Les mairies PS représentent à elles seules 30% des arrêtés pris. Le Parti communiste est également très présent, particulièrement en région parisienne, avec des villes comme Gennevilliers ou Stains. 

Parmi toutes ces villes, 21 (soit 26,25% du total) ont pris des arrêtés antipesticides sans posséder le moindre hectare de terre agricole utilisée. Ces arrêtés peuvent cependant empêcher l’utilisation de produits phytosanitaires dans l’entretien des espaces verts d’une copropriété ou d’une entreprise.

Au contraire, dans onze communes concernées par un arrêté, les terres agricoles utilisées représentent plus de 50% de la superficie, à l’image de Saint-Eloi-de-Fourques en Normandie ou de Ruelle-sur-Touvre, en Charente. En moyenne, ces terres représentent 23% de la surface de la commune ayant limité ou interdit l’usage de pesticides. 

Parfois symboliques, ces arrêtés ont également été pris par deux départements. Dernier en date, la Seine-Saint-Denis qui, après le Val-de-Marne, a interdit mercredi 18 septembre l’usage de pesticides sur son territoire. Au total, plus de 5,1 millions de Français vivent dans des communes ou départements ayant adopté un décret antipesticides. 

Encore faut-il que celui-ci soit validé par la préfecture, ce qui n’a jamais été le cas en 2019. Le 16 septembre, le tribunal administratif de Besançon a suspendu les arrêtés pris par les communes d’Audincourt et de Boussières, estimant qu’interdire les pesticides n’est pas du ressort des maires.

Il faut remonter à 2016 pour trouver trace d’un arrêté antipesticides validé par la préfecture. C’était à Balacet, dans l’Ariège : une commune dont les 23 habitants vivent désormais loin de tout produit phytosanitaire. 

La cartographie interactive que nous utilisons ici pour rassembler nos données a été réalisée par Libé Labo à partir des publications dans la presse et des déclarations spontanées d’élus.




DU HARCÈLEMENT ÉLECTROMAGNÉTIQUE DES POPULATIONS À LA NEURO-POLITIQUE DU NOUVEL ORDRE

[Source : Morphéus]

Les armes à micro-ondes sont utilisées contre les
populations depuis des dizaines d’années. En Angleterre, dans les années 80,
lors des grèves de mineurs, Margaret Thatcher avait fait installer des
émetteurs dans les quartiers populaires où ils vivaient, afin de les rendre
apathiques. Il s’agit en l’occurrence d’armes qui émettent des extrêmement
basses fréquences (ELF : Extremely Low Frequency) ou à l’inverse des ultra
hautes fréquences (UHF), dont le but est d’interférer sur le cerveau humain.

C’est l’Institut Tavistock, spécialisé dans la
modification du comportement humain, qui aurait développé ce système à partir
des années 50. Dans les années 60, le Dr Ross Adey a travaillé sur le Pandora
Project pour la CIA et le MI5, dans le domaine du contrôle mental à distance
(RMCT : Remote Mind Control Technology). Il a exploité les ondes ELF (1 à 20
Hz) qui avaient des effets psychologiques et biologiques sur l’homme. Ils ont
trouvé que les fréquences de 6 à 16Hz avaient des effets importants sur le
cerveau et les systèmes nerveux et endocrinien. Plus tard, il s’est avéré que
ces ondes peuvent également endommager l’ADN. Il a combiné des ondes ELF avec
des ondes UHF notamment, pour en amplifier les effets nocifs. Sur la base US de
Greenham Common en Angleterre, autour de laquelle des pacifistes (dont une
grande majorité de femmes) manifestaient, ces armes furent utilisées. Fin 1984,
ces femmes visées par de hauts niveaux de radiations micro-ondes, ont été
atteintes de cancer, nombre d’entre elles sont mortes. Ces armes permettent
d’induire un cancer à distance en altérant l’ADN. Ces armes utilisées
secrètement contre les civils engendrent des paralysies temporaires, une
désorientation, des brûlures dans certains cas d’exposition, des vertiges, des
amnésies. Des scientifiques indépendants avaient constaté les hauts niveaux de
radiations électromagnétiques autour de la base Greenham Common, preuve de
l’utilisation de ces armes contre des manifestantes.

Armes
ELF

Les armes à très basse fréquence (ELF) sont
étalonnées selon certaines fréquences cérébrales étudiées et connues des
militaires. 6,66 Hertz engendre la dépression, 4,5 hertz provoque une attaque
cardiaque, d’autre vont moduler l’humeur de la victime irradiée en la rendant
schizophrénique, paranoïaque, suicidaire, violente ou apathique.

Ce type d’arme fut utilisé sur les populations
chypriotes par l’armée anglaise, mais également sur les catholiques d’Irlande
du Nord dans les années 80

MASER

Le système nommé MASER envoie des micro-ondes
spéciales qui permettent de faire de la « télépathie synthétique ».
Aujourd’hui on peut lire les pensées de quelqu’un à distance après avoir scanné
les ondes électromagnétiques émises par le sujet dans différentes situations.

Manipulation du système nerveux

On sait aussi, semble-t-il, manipuler le système
nerveux d’une cible en diffusant certains type d’ondes. D’après Tim Rifat,
l’Angleterre utiliserait des systèmes manipulant le système nerveux contre des
citoyens récalcitrants au moins depuis la fin des années 80. Vicki Casagrande,
ingénieure américaine, a expliqué devant une commission sur le harcèlement
électromagnétique que les victimes pouvaient être totalement contrôlées à
distance : « Les muscles peuvent être relâchés ou contractés, que ce soit
légèrement ou violemment. Mais, ces effets peuvent aussi être placés dans le
cerveau juste comme une sensation (…) Les victimes peuvent avoir froid par 40°C
dehors, ou avoir chaud par -15°C. ». L’ingénieure Casagrande explique que
certaines victimes auraient eu des implants dans le cerveau depuis les années
60, 70.

300
plaintes

Actuellement, dans l’état du Missouri, un élu a
recensé 300 plaintes concernant le harcèlement électromagnétique. Certaines des
victimes sont simplement harcelées dans le cadre d’expérimentations. Un certain
nombre d’associations comme (l’International Committee on Offensive Microwave
Weapons) se sont montées pour aider les victimes, ou pour tenter d’alerter
l’opinion et les décideurs politiques.

Armes
interférométriques

Les armes électromagnétiques évoquées plus haut
ont déjà 50 ans ou plus. Elles ont un inconvénient majeur, les sujets finissent
par comprendre qu’ils sont victimes d’une attaque électromagnétique. Des
systèmes beaucoup plus sophistiqués indolores pour manipuler les cerveaux sont
à l’œuvre actuellement. On sait parfaitement simuler artificiellement
l’activité interférométrique de n’importe quelle zone du cerveau humain. Avec
l’assistance de l’intelligence artificielle, il devient possible de remodeler
un cerveau à distance en modifiant l’inconscient puis le conscient d’un
individu. De fait, nous voyons la 5G et la densification du smog
électromagnétique comme des extensions intégrées de ces technologies. Les
cerveaux ainsi baignés et modulés demanderont eux-mêmes plus d’asservissement
sans même s’en rendre compte. Illusions de liberté, de fraternité ou
d’égalité seront induites par des techno-scientifiques aux commandes du
formatage cérébral des populations. C’est l’arme ultime d’asservissement des
peuples.

L’asservissement techno-politique

Zbigniew Brzezinski lieutenant de David
Rockefeller a toujours affiché sa volonté politique d’asservir les populations
à l’aide de technologies :

« La société sera dominée par une élite de
personnes libérées des valeurs traditionnelles qui n’hésiteront pas à réaliser
leurs objectifs aux moyens de techniques épurées avec lesquelles ils
influenceront le comportement du peuple et contrôleront la société dans tous
les détails, jusqu’au point où il sera possible d’exercer une surveillance
quasi permanente sur chacun des habitants de la planète ».

« Cette élite cherchera tous les moyens pour
parvenir à ses fins politiques, comme de nouvelles techniques pour influencer
le comportement des masses, ainsi que pour obtenir le contrôle et la soumission
de la société ».

Hitler en aurait rêvé mais un homme comme Zbigniew
Brzezinski dispose de l’intelligence artificielle et de toutes les sciences
psychotroniques modernes pour parvenir à ses fins. Son rêve de contrôle mental
des masses est à portée de main avec le concours des transhumanistes. Laurent
Alexandre transhumaniste accompli, décrit notre cerveau comme « un ordinateur
fait de viande ». Quant à Marc Roux, président de l’association française
transhumaniste, il affirme : « Nous avons aujourd’hui les outils pour
intervenir sciemment sur notre propre condition. Nous pensons qu’il peut y
avoir de bonnes raisons de modifier notre biologie, même de manière invasive,
radicale et irréversible. » En Suisse, le Human Brain Project, largement
financé par l’Union européenne, a pour but de créer un cerveau artificiel en
travaillant sur les interactions entre les neurones et des processeurs
électroniques. Le programme est annoncé sans détour. « L’audacieux programme
transhumaniste va se répandre… Cela fait partie de la nature non démocratique
de la technologie… »

Si techniquement tout cela est devenu possible, en
revanche cette approche induit, par pressions électromagnétiques, une telle
destruction qu’elle mène à un lent suicide programmé de l’humanité.
Rationnellement, il convient de faire machine arrière. Mais il semble que la
rationalité ne soit plus à l’ordre du jour. Nous ne savons plus si la caste
mondialiste agit et pense par elle-même ou si elle a été assimilée par sa
propre technologie de contrôle neuronal. Face à ce fléau, la révolution consciente
des peuples devient le seul garde-fou et le temps nous est compté.




La douleur du corps pourrait être liée à la douleur spirituelle et émotionnelle

[Source : Esprit Spiritualité Métaphysique]

Lorsque la vie devient difficile, au bout d’un certain temps on a l’impression d’être sur des montagnes russes émotionnelles. Mais saviez-vous que ces émotions peuvent dégrader votre santé physique?

Le Dr. Susan Babel, psychologue spécialisée dans la dépression causée par des traumatismes, a déclaré dans le magazine Psychology Today, « Des études ont démontré que la douleur chronique pourrait être causée par une blessure physique, mais aussi par le stress et les problèmes émotionnels ».

Nous savons tous que le stress émotionnel peut conduire à des maux d’estomac, au syndrome du côlon irritable, à des maux de tête, et même entraîner d’autres plaintes physiques ainsi qu’une douleur chronique.

Une raison logique à cela: des études ont montré que plus les gens sont anxieux et stressés, plus leurs muscles sont tendus et contractés, entraînant ainsi au fil du temps une fragilisation et une inefficacité des muscles dans leur ensemble.

« Plus subtilement, on peut développer des symptômes psychosomatiques ou des symptômes liés au stress à cause de problèmes émotionnels non résolus »

« Souvent, la douleur physique avertit une personne qu’il y a encore du travail à faire sur le plan émotionnel, et qu’il peut aussi s’agir d’un signe de traumatisme non résolu dans le système nerveux », poursuit-elle. Mais quelle est la signification des diverses douleurs que vous ressentez? Jetons-y un oeil.

La douleur du corps est liée à la douleur spirituelle et émotionnelle :

Cette analyse n’a aucune base scientifique ce ne sont là que des constatations de l’auteur

1) Des douleurs dans votre tête

Les douleurs dans votre tête, comme les maux de tête et les migraines, peuvent être déclenchées par le stress du quotidien. Assurez-vous tous les jours de prendre assez de temps pour vous détendre. Pratiquez une activité plaisante pour diminuer votre tension.

2) Des douleurs au niveau du cou

douleur-du-corps (7)

Les douleurs dans le cou peuvent indiquer que vous avez des difficultés à pardonner aux autres, ou même que vous avez du mal à vous pardonner. Si vous sentez des douleurs dans le cou, pensez aux choses que vous aimez chez vous et les autres personnes. Faites délibérément une démarche vers le pardon.

3) Des douleurs dans les épaules

Les douleurs dans vos épaules peuvent indiquer que vous portez un véritable fardeau émotionnel. Voilà d’où vient le dicton « Porter sur les épaules, se dit d’un fardeau dont on a les épaules chargées ». Cherchez à résoudre le problème par des stratégies proactives et faites part de ce fardeau à d’autres personnes dans votre vie.

4) Des douleurs dans le haut du dos

Si vous avez des douleurs dans le haut du dos, vous avez probablement un manque de soutien émotionnel. Vous vous sentez peut-être mal aimé ou vous retenez probablement votre amour. Si vous êtes célibataire, il est peut être temps de chercher quelqu’un.

5) Des douleurs lombaires

Man with enhanced spinal column, rear view (Digital Composite)

Les douleurs lombaires peuvent indiquer que vous vous souciez trop de l’argent ou que vous êtes en manque de soutien émotionnel. Il est peut être temps de demander une augmentation de salaire pour le travail fourni ou envisager un planificateur financier pour vous aider à mieux gérer votre argent. N’ayez pas peur d’aller vers les autres pour du soutien.

6) Des douleurs dans les coudes

Les douleurs dans les coudes sont dues au fait de résister aux changements dans votre vie. Si vos bras sont rigides, cela peut signifier que vous êtes trop rigide dans votre vie. Il est peut être temps de penser à faire des compromis et de faire bouger les choses. Du moins, de suivre le courant.

7) Des douleurs dans les mains

Avec vos mains, vous établissez le contact et le rapport social avec les autres. Si vous sentez une douleur au niveau de la main, cela peut signifier que vous n’allez pas assez loin. Essayez de vous faire de nouveaux amis. Déjeunez avec votre associé. Établissez un lien.

8) Des douleurs dans les hanches

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Si vous avez peur de bouger, cela peut se manifester par des douleurs au niveau des hanches. Les douleurs aux hanches peuvent être un signe que vous êtes trop résistant aux changements et aux déménagements. Cela peut également se traduire par une prudence dans la prise de décisions. Si vous avez de grandes idées, il est temps de prendre une décision.

9) Des douleurs dans les genoux

Les douleurs dans les genoux peuvent avoir différentes causes, mais cela peut être le signe d’un ego démesuré. Vous pensez peut-être que vous êtes un peu trop merveilleux. Soyez humble. Consacrez un peu de temps à des activités bénévoles. Assurez-vous de vous souvenir que vous êtes mortel. Vous n’êtes qu’un être humain.

10) Des douleurs dans les mollets

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La douleur du corps

Généralement les douleurs dans les mollets se déclenchent par une tension émotive quelconque. Le stress peut aussi être le principal coupable. La jalousie peut entraîner une douleur au niveau des mollets. Il est peut-être temps de lâcher prise.

11) Des douleurs dans les chevilles

Les douleurs dans les chevilles peuvent être le signe que vous vous privez de plaisir. Cela peut indiquer qu’il est temps de pimenter un peu plus votre vie amoureuse.

12) Des douleurs dans les pieds

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Lorsque vous êtes déprimé, il peut vous arriver de ressentir une certaine douleur au niveau des pieds. Trop de négativité peut se manifester par des douleurs dans vos pieds. Cherchez les petites joies de la vie. Adoptez un nouvel animal de compagnie ou trouvez-vous un nouveau passe-temps. Cherchez des moments de satisfaction et de joie.

Comme indiqué dans l’article, « Bien que nous ne soyons pas toujours conscients de l’effet persistant du traumatisme, en croyant que l’événement traumatique est déjà derrière nous, le corps peut avoir des atomes crochus avec des problèmes non résolus ».

La prochaine fois que vous ressentirez une douleur physique, essayez de regarder à l’intérieur de vous-même et soyez attentif à vos pensées, à ce qui vous retient dans le passé, et aux émotions qui vous perturbent. La douleur agit comme un signe d’avertissement spirituel, et que la guérison doit se faire.

Sources La douleur du corps est liée à la douleur spirituelle et émotionnelle: https://simpleorganiclife.org/emotional-pain/ et

Psychology Today

Cet article est basé uniquement sur des témoignages, la culture et l’expérience personnelle de ou des auteurs et sur les manifestations riches et nombreuses qu’ils ont eu l’immense chance et bonheur de recevoir.
Sandra Véringa



Fake News de la BBC sur la 5G décodés : Impacts sur la santé niés malgré des preuves scientifiques accablantes

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Claire Edwards

[Écouté sur] BBC radio : Under the Radar Episode 4 – 5G Friend or Foe? (La 5G : Ami ou ennemi ?, juillet 2019)


Lettre ouverte au producteur du programme « Under the Radar » de la BBC

J’espérais pouvoir laisser à d’autres le soin de réfuter les dernières fausses nouvelles sur la 5G publiées par la BBC, mais je me sens obligée d’intervenir avec les preuves puisque la BBC ne les fournit pas, étant peut-être corrompue comme d’autres par sa collaboration avec diverses sociétés de télécommunications selon une rumeur récente qui circule (Transparency International : Investigating Corruption in the Media and Telecoms Industries (Enquête sur la Corruption dans les Industries des médias et des télécommunications)).

Bien que je salue vos efforts pour attirer l’attention du public sur les questions concernant le déploiement de la 5G sans un seul test préalable pour vérifier ses implications pour la santé ou la sécurité, et votre succès à convaincre la BBC d’aborder finalement au moins certaines de ces questions, même si c’est à travers d’une émission de radio peu connue et brève plutôt que de rendre justice à cette urgence planétaire sans précédente en la traitant à travers d’un programme de télévision complet, vous semblez inconscient du biais évident dans la production du programme.

Examinons comment ce programme donne l’impression que ceux qui s’opposent à la 5G sont en quelque sorte des porteurs de chapeau en papier aluminium ignorants et stupides au lieu de ce qu’ils sont réellement : des personnes pleinement informées et intelligentes, qualifiées et expérimentées dans le domaine des champs électromagnétiques (CEM), vivement alarmées par les faits concernant la 5G et ses conséquences très réelles extrapolées de la science sur les conséquences désastreuses des générations sans-fil 14.

Tout d’abord, le présentateur nous informe que 230 scientifiques sont préoccupés par la mise en œuvre du programme 5G, alors qu’en fait, des milliers de scientifiques et de médecins ont exprimé leurs préoccupations jusqu’ici dans au moins 60 appels : Doctors & Scientists Appeals For Stronger Electromagnetic Radiation Regulations ; Appel international demandant l’arrêt du déploiement de la 5G sur Terre et dans l’espace – 134 458 signataires dans 198 pays (2 août 2019). Le présentateur dénigre délibérément les 230 scientifiques mentionnés en employant la phrase vernaculaire « Qu’est-ce qu’ils ont à rouspéter ? » de préférence à la phrase plus formelle et respectueuse « Pourquoi s’inquiètent-ils ? »

La Dr Erica Mallery-Blythe nous dit que les ondes millimétriques de la 5G interfèrent avec la biologie, que la recherche est incomplète et qu’il n’y a pas eu de consultation publique ni de tests de santé et de sécurité adéquats pour la 5G.

La science sur les rayonnements électromagnétiques

Il est à noter – bien que cela ne soit évidemment pas mentionné dans le programme – que les constatations de la Dr Mallery-Blythe sont étayées par l’étendue de la science qui a irréfutablement établi les effets biologiques des rayonnements électromagnétiques
(Irradié: Une compilation et une analyse complètes de la littérature sur les champs de radiofréquences et les impacts biologiques négatifs des champs électromagnétiques non ionisants (en particulier les champs de radiofréquences) sur les organismes biologiques (416 pages) ;
le portail CEM de l’Université d’Aachen avec plus de 28.000 études.
Il fut un temps où même la BBC était prête à remettre en question la sécurité du WiFi – oups ! – vous croyiez que nous avions oublié ? (BBC Panorama, 2007 : WiFi Warning Signal (Signal d’alarme sur le sans-fil), mais c’était probablement avant que la BBC elle-même s’est mise à s’acoquiner avec l’industrie des télécommunications, tout comme le New York Times (Who has NY Times in their pocket? (Qui a le NY Times dans sa poche ?) ; et NY Times 5G ties uncovered (Les liens 5G du NY Times découverts)).

Les informations de la Dr Mallery-Blythe sont immédiatement minées par le segment suivant, qui se déroule sur un circuit de course, où nous entendons, dans des tons enthousiastes qui rappellent les mecs du programme Top Gear (A vitesse supérieure), comment ils testent la capacité de la 5G de se connecter aux voitures à très haute vitesse. Cette recherche porte sur le développement de véhicules autonomes, mais nous n’en sommes pas informés.

Peter Claydon, directeur du projet AutoAir, nous dit que « l’organisation internationale » ICNIRP (Comité international des rayonnements non ionisants) remonte aux années 1960 et se compose d’un groupe d’experts médicaux et que le Royaume-Uni fonde les lignes directrices sur l’installation de la technologie sans-fil sur les recommandations de l’ICNIRP.

ICNIRP : statut réel et littérature abondante sur la corruption de l’ICNIRP

Le présentateur ne conteste pas Claydon sur l’inexactitude de ses affirmations. L’ICNIRP est en fait une ONG de droit allemand sans statut juridique international. Elle nomme ses propres membres, dont aucun n’est médecin, opère sans aucune transparence et n’a de comptes à rendre à personne. Elle décline toute responsabilité sur son site Web pour toute information qu’il contient, y compris ses propres lignes directrices, qui sont basées sur une science sélectionnée et qui est antérieure à l’avènement des téléphones portables. L’ICNIRP a été accusée de corruption par d’innombrables personnes pendant de nombreuses années, et plus récemment par
(1) Investigate Europe : The 5G Mass Experiment (L’expérience de masse 5G) and The ICNIRP Cartel: Who’s Who in the EMF Research World (Le cartel ICNIRP : Qui est qui dans le monde de la recherche sur les CEM) ;
(2) Dariusz Leszczynski, PhD : Is ICNIRP Reliable Enough to Dictate Meaning of Science to the Governmental Risk Regulators? (L’ ICNIRP est-elle suffisamment fiable pour dicter le sens de la science aux organismes gouvernementaux de réglementation des risques ? ;
(3) Joel M. Moskowitz, PhD : The ICNIRP Cartel and the 5G Mass Experiment  (Le cartel ICNIRP et l’expérience de masse 5G) ;
et (4) Professor Emérite Martin Pall, Response to 2018 ICNIRP Draft Guidelines and Appendices on Limiting Exposure to Time-Varying Electric, Magnetic and Electromagnetic Fields (100 kHz to 300 GHz) (Réponse au projet de lignes directrices et appendices visant à limiter l’exposition aux champs électrique, magnétique et électromagnétique variant dans le temps (de 100 kHz à 300 GHz) et Eight Repeatedly Documented Findings Each Show that EMF Safety Guidelines Do Not Predict Biological Effects and Are Therefore Fraudulent (Huit constatations étayées à maintes reprises montrent chacune que les lignes directrices en matière de sécurité ne prédisent pas des effets biologiques et sont donc frauduleuses).

Le présentateur invite Claydon, qui est clairement une personne purement techniquement qualifiée et ni scientifique des CEM ni médecin, à « rassurer fondamentalement ceux qui craignent que [la 5G] puisse affecter la santé humaine que vous ne pensez pas qu’elle le fera », bien que Claydon ne soit pas qualifié pour fournir un avis scientifique ou médical. Claydon répond avec obligeance : « Non… les recherches qui ont été faites depuis des décennies s’appliquent aussi bien à la 5G qu’à toute autre technologie sans fil dans le passé. »

Les conséquences dévastatrices sur la santé d’utilisation du téléphone portable pendant 20 ans

Fait significatif, Claydon ne fournit aucune assurance que la 5G est sûre. En fait, toute la technologie sans fil est dangereuse, et les résultats sur la santé qui se dégagent des 20 dernières années d’utilisation intensive des téléphones portables révèlent des effets dévastateurs sur la santé, notamment l’autisme, le TDAH, la baisse catastrophique de la fertilité, la démence précoce et une augmentation phénoménale des suicides (voir, par exemple, le rapport de l’Association américaine des compagnies d’assurance de personnes Blue Cross Blue Shield d’avril 2019, intitulé » The Health of Millennials » (Santé de la génération du Millénaire) et Are rises in Electro-Magnetic Field in the human environment, interacting with multiple environmental pollutions, the tripping point for increases in neurological deaths in the Western World? (Les augmentations des champs électromagnétiques dans l’environnement humain interagissant avec de multiples pollutions environnementales, sont-elles le point de basculement où des augmentations de décès neurologiques dans le monde occidental se produisent ?) dans Medical Hypotheses. Extrait :

Nous émettons l’hypothèse que la brusque montée relative de la morbidité neurologique dans le monde occidental (1989-2015) est due à l’augmentation des CEM de fond qui est devenue le point de basculement… Les taux de mortalité neurologique sans précédente, qui se sont produits tous en seulement 25 ans, exigent un réexamen de la sécurité à long terme des CEM par rapport [à l’impact] des augmentations dans les CEM de fond sur la santé humaine. Nous ne voulons pas « arrêter le monde moderne », seulement le rendre plus sûr.

Paul Brodeur, dans son livre intitulé The Zapping of America (Les Etats Unis Zappés), constate :

Le rayonnement micro-ondes peut vous aveugler, modifier votre comportement, causer des dommages génétiques et même vous tuer. Les risques vous ont été cachés par le Pentagone, le Département d’Etat et l’industrie électronique. Avec ce livre, la dissimulation des micro-ondes est terminée.

Ensuite, nous entendons très brièvement quelqu’un qui est décrit de
façon désobligeante comme « un soi-disant réfugié WiFi », qui n’est
alloué que quelques secondes pour nous parler de sa douleur cardiaque et
de ses maux de tête causés par la technologie sans fil.

Vient ensuite un segment plus long dans lequel nous entendons le
sénateur Richard Blumenthal établir, lors d’une audience du Sénat
américain en février 2019, que l’industrie des télécommunications a investi zéro dollar dans les tests de santé et de sécurité de la 5G, de sorte que Blumenthal conclut : « Nous avançons donc à l’aveuglette en matière de santé et de sécurité ».

Une fois de plus, les faits sont rapidement minés par le présentateur
qui nous assure avec insistance que Marc Allera, PDG de la grande
société de télécommunications EE (et donc très peu susceptible de donner
une opinion impartiale), « est convaincu que le nouveau service est
sûr ». Marc Allera est un homme d’affaires et non médecin, et son
assurance est évidemment intéressé et n’a aucun poids scientifique.
Allera parle des « rumeurs extrêmes… dont aucune n’est vraie. Nous
travaillons depuis plus de 30 ans avec des organismes comme l’OMS qui
créent des normes… ».

La corruption à l’Organisation mondiale de la santé (OMS)

L’Organisation mondiale de la santé a commodément oublié qu’elle a co-organisé en 1973 un symposium intitulé « The Biologic Effects and Health Hazards of Microwave Radiation » (Les effets biologiques et les risques pour la santé du rayonnement micro-ondes). Elle n’a pas la prérogative d’approuver unilatéralement les lignes directrices produites par une ONG louche dans des circonstances non transparentes. L’OMS et son projet CEM – au sujet duquel Mike Repacholi, fondateur de l’ICNIRP et ancien directeur du projet CEM de l’OMS, a révélé que jusqu’à la moitié du financement du projet provenait de groupes industriels des services sans fil et électriques – a également été accusé à plusieurs reprises de corruption et de cooptation par l’industrie (Conseil des droits de l’homme de l’ONU, 22 février 2019 : 5G est traitement cruel, inhumain et dégradant selon la Résolution 39/46 ; La dissimulation de l’OMS qui nous coûtera la vie sur Terre ; WHO Watch : Mike Repacholi and the EMF Charade (Mike Repacholi et la Charade des CEM), Microwave News, 2005.

Donnant l’impression que les faits relatifs à la sécurité de la 5G ont maintenant été définitivement établis – par des déclarations péremptoires, erronées et non étayées – le présentateur s’émerveille d’un ton désobligeant : « Malgré les assurances de l’industrie que la 5G est aussi sûre que la 3G, la 4G et la technologie qui la précède, Dr Erica Mallery-Blythe n’est pas convaincue ». Le ton condescendant implique qu’elle ne peut pas être tout à fait saine d’esprit d’insister sur le fait que la 5G n’est pas sûre, bien qu’elle ait entendu les assurances de personnes [ne] possédant [en fait] aucune qualification médicales dans les CEM et préoccupées de leurs propres intérêts.

Le présentateur se met alors à parler très rapidement lorsqu’il admet « qu’aucun test spécifique sur les effets de la 5G sur la santé humaine ne semble avoir été effectué… ». Les qualificatifs « spécifique » et « semble » employés sont trompeurs et inexacts, car en fait aucun test sur les effets de la 5G sur la santé humaine n’a été effectué avant son déploiement sur Terre, dans l’espace et dans la stratosphère.

Avec un « Mais » rapide pour insinuer que cette absence totale des tests de santé et de sécurité de la 5G exigés par la loi est une question négligeable qui ne devrait pas nous préoccuper, il se précipite ensuite à introduire d’un ton confiant un sceptique américain qui ressemble au biologiste britannique Richard Dawkins (qui est systématiquement invité dans les médias britanniques pour débusquer les scientifiques de n’importe quel domaine scientifique dont les preuves contredisent l’orthodoxie des entreprises et leur réduisent les bénéfices). Le présentateur entend bien nous faire comprendre que cet « expert » réglera définitivement la question. Le Dr Steve Novella, professeur adjoint de neurologie à l’Université de Yale, nous informe de la manière suivante, qui fait autorité, comme point culminant du programme :

Le danger potentiel de la 5G est en fait très, très faible. C’est
un champ électromagnétique, mais c’est un rayonnement non ionisant
il n’est pas assez fort pour briser les liaisons chimiques, endommager l’ADN, par exemple [1].
Il y a beaucoup de recherches sur les effets biologiques de la
radiofréquence, les ondes électromagnétiques et le seul effet
reproductible qui en résulte est un léger réchauffement des tissus
[2].

Voilà tout. Il n’y a donc pas vraiment de raison de penser que l’exposition à la 5G par notre technologie est dangereuse. Il n’y a aucune preuve qu’il y ait un risque, qu’il cause un préjudice réel [3].

Quand on y pense, on est baigné par le soleil avec des radiations
électromagnétiques plus intenses et plus fréquentes tous les jours que
ce à quoi vous allez être exposé à travers le 5G !
[4]

Novella a tort à 100% : Voici d’innombrables raisons de penser que l’exposition à la 5G par la technologie sans fil est extrêmement dangereuse

1. « C’est un rayonnement non ionisant. Il n’est pas assez fort
pour briser les liaisons chimiques, endommager l’ADN, par exemple. »

Portail EMF de l’Université d’Aachen, exemple de recherche documentaire sur les « dommages à l’ADN » : 623 articles ont été trouvés
; l’opérateur Swisscom a déposé en 2004 un brevet sur une méthode et un
système de réduction de l’électrosmog dans les réseaux locaux sans fil
qui constate clairement que le WiFi endommage l’ADN.

2. « Il y a beaucoup de recherches sur les effets biologiques des
radiofréquences, des ondes électromagnétiques et le seul effet
reproductible qui en résulte est un léger réchauffement des tissus. »

Irradié
: Une compilation et une analyse complètes de la littérature sur les
champs de radiofréquences et les impacts biologiques négatifs des champs
électromagnétiques non ionisants (en particulier les champs de
radiofréquences) sur les organismes biologiques (416 pages) ; le portail CEM de l’Université d’Aachen avec plus de 28.000 études. Même l’ICNIRP corrompue admet dans ses lignes directrices de 1998
que « par rapport au rayonnement à ondes continues (CW), les champs de
micro-ondes pulsées avec le même taux moyen de dépôt d’énergie dans les
tissus sont généralement plus efficaces pour produire une réponse
biologique, surtout lorsqu’il existe un seuil bien défini qui doit être
dépassé pour obtenir l’effet (ICNIRP, 1996).

3. « Il n’y a aucune preuve qu’il y ait un risque, qu’elle cause un préjudice réel. »

Portail EMF de l’Université d’Aachen : Le cœur du portail CEM est une vaste base de données bibliographiques avec un inventaire de 28.841 publications et 6.390 résumés d’études scientifiques individuelles sur les effets des champs électromagnétiques.

4. « On est baigné par le soleil avec des radiations
électromagnétiques plus intenses et plus fréquentes chaque jour que ce à
quoi vous allez être exposé à travers la 5G ! »

Selon le professeur Olle Johansson, récemment retraité de l’Institut Karolinska en Suède, l’exposition
actuelle du public au rayonnement sans fil (avant l’ajout de la 5G) est
environ un quintillion de fois (1 000 000 000 000 000 000 ou 18 zéros)
supérieure au rayonnement naturel
.

Le rayonnement de fond naturel n’est ni pulsé ni modulé, comme l’explique Arthur Firstenberg, scientifique et co-auteur de l’Appel international demandant l’arrêt du déploiement de la 5G sur Terre et dans l’espace

Le dommage n’a rien à voir avec les niveaux de puissance. C’est ce que personne ne comprend. Le niveau de puissance n’est pertinent que pour un seul type d’effet : le chauffage. Pour tous les autres effets, il est complètement hors de propos. Il y a des effets à puissance proche de zéro, et pour certains effets, il y a une relation de puissance inverse, c’est-à-dire que plus la puissance est faible, plus le dommage est grave. Le DAS [débit d’absorption spécifique, utilisé pour exprimer la puissance absorbée par masse de tissu] n’est absolument pas pertinent pour les effets non thermiques.

Ce n’est pas la puissance qui fait le mal. C’est le degré de cohérence, le type et la profondeur de la modulation, la longueur d’onde, le nombre de fréquences, le nombre de signaux, la largeur de bande, la forme des ondes, la hauteur et la largeur des impulsions, le temps de montée et de descente, et les autres propriétés du rayonnement. Le peu d’importance des niveaux de puissance pour les effets autres que la chaleur a été démontré à maintes reprises. Dans les études de Salford, ce sont les niveaux de puissance les plus faibles qui ont causé le plus de fuites dans la barrière hémato-encéphalique. Blackman, Bawin, Dutta, Schwartz et Kunjilwar, tous dans des laboratoires différents, ont constaté que le flux de calcium provenant des cellules neurales et cardiaques se produisait à des fréquences et à des niveaux d’exposition spécifiques et n’augmentait pas avec la puissance. Dans l’étude de Dutta, une diminution de 3 000 fois de la puissance a causé une augmentation de 4 fois du flux de calcium. Sadchikova et ses collègues soviétiques ont constaté que les employés exposés aux niveaux de puissance les plus bas souffraient plus souvent du mal des ondes radio. Belyaev a constaté que les effets génétiques se produisaient à des fréquences spécifiques et que l’ampleur de l’effet ne changeait pas avec un niveau de puissance supérieur à 16 ordres de grandeur. L’hypothèse selon laquelle la technologie sans fil peut être rendue sûre en réduisant la puissance a été démentie.

Le présentateur résume les conclusions du programme :

J’ai vu pourquoi les gens sont si enthousiastes à l’idée du
déploiement mondial de la 5G… Mais si beaucoup de gens pensent que la 5G
est la meilleure chose depuis le pain tranché, il y a encore ceux qui
croient que si la technologie continue à être déployée sans les tests
qu’ils exigent, nous pourrions bientôt tous être grillés !

Une distorsion sonore est appliquée derrière ces mots, à laquelle
s’ajoute la banalisation de « nous pourrions bientôt être grillés » et
l’intonation qui implique le ridicule de l’idée que les gens peuvent
vraiment être si mesquins qu’ils exigent le respect des lois nationales
et internationales exigeant des tests préalables, des études d’impact
sur l’environnement et l’application du principe de précaution.

Et voilà! Ce programme de la BBC admet en fait qu’aucun test de santé
ou de sécurité n’a été effectué sur la 5G, tout en omettant d’informer
le public que cela est en fait illégal en vertu du droit communautaire
et international et du code de Nuremberg et ignore complètement le
principe de précaution, qui est approuvé par l’UE dans sa résolution 1815 de 2011. Un avis juridique donné par un
cabinet d’avocats danois indique que le déploiement de la technologie
5G est illégal en vertu du droit communautaire et international
(75 pages) :

La conclusion de cet avis juridique est que l’établissement et l’activation d’un réseau 5G, tel qu’il est actuellement décrit, serait en contradiction avec les lois actuelles sur l’homme et l’environnement garantis par la Convention européenne des droits de l’homme, la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant, les réglementations européennes et les Conventions de Berne et de Bonn. … Cela s’applique également lorsque le rayonnement reste dans les limites recommandées par l’ICNIRP et actuellement utilisées au Danemark ainsi que dans l’ensemble de l’UE.

Les contributeurs au programme qui sont effectivement qualifiés et
justifiés d’exiger des tests de santé et de sécurité de la technologie
5G avant son déploiement en vertu (a) d’une qualification médicale et de
connaissances dans ce domaine de la médecine, (b) d’une expérience
personnelle des effets délétères de la technologie sans fil, et (c) de
connaissances juridiques, sont dépeints comme déraisonnables, insensés,
mesquins et extrêmes. Ils seront sans doute bientôt qualifiés de
terroristes – affaire [BBC] à suivre… !

En revanche, les intervenants pro-5G, qui possèdent des
qualifications techniques mais ni médicales dans le domaine des CEM ni
scientifiques, sont vivement encouragés à exposer leurs opinions vides
et sans valeur sur la sécurité de la 5G. Chacun parle après chaque
intervenant anti-5G afin de saper ce qu’il ou elle a dit, et ensemble on
leur accorde le double du temps accordé aux intervenants anti-5G. Des
indices subtils tels que le choix du registre de la langue, les phrases
vernaculaires, la banalisation et l’intonation désobligeante sont
également utilisés pour miner les intervenants anti-5G.

Comme l’a dit Gandhi : « D’abord ils vous ignorent, ensuite ils vous
raillent, ensuite ils vous combattent et enfin, vous gagnez. »  Les fake news
sur la 5G émanant des médias corrompus financées ou cooptés par
l’industrie des télécommunications sont exposées pour ce qu’elles sont :
une tentative maladroite, pitoyable et tardive d’une industrie des
télécommunications avide – qui pensait pouvoir lancer la 5G sur un
public peu méfiant sans se faire épinglée – d’accroître leur mépris pour
le public en le trompant une fois de plus à coup de mensonges et de
manipulation. Je vous préviens : ce génie ne rentrera pas dans la
bouteille.

Peu importe le nombre de fois que vous invitez vos contributeurs
sceptiques à réfuter les nombreuses preuves indiquant les conséquences
catastrophiques probables du déploiement de la 5G sur Terre, dans la
stratosphère et dans l’espace afin d’irradier chaque centimètre carré de
la planète sans que personne ne puisse s’échapper, quel que soit son
âge ou son état de santé, y compris les fœtus pas encore nés – un plan
qualifié par le Professeur Emérite Martin Pall en tant que « l’idée la
plus stupide de l’histoire de l’humanité » – et pour affirmer que cet
ensemble écrasant de preuves n’est pas « réel », « prouvé », « valide »,
« solide », « convaincant », « décisif » ou « établi », le public ne
vous croira pas.

Vous pouvez continuer à imputer le rejet absolu de la 5G par un
public consterné et indigné à la désinformation russe pour détourner
l’attention publique des criminels qui ont planifié son déploiement et
qui sont donc vraiment responsables de ce fiasco technologique
irréfléchi, mais vous foncez tout droit vers l’échec.

Les dirigeants, le personnel et les invités de la BBC devraient
bientôt commencer à respecter la loi et à dire la vérité, sinon ils
pourraient bientôt être tenus responsables d’un complot délibéré,
calculé et malveillant visant à aider et à encourager le génocide et
l’écocide. Des nazis de haut rang ont été pendus pour crimes contre
l’humanité après la tentative de génocide de la deuxième guerre
mondiale. À ma connaissance, personne n’a encore été jugé pour
conspiration en vue de commettre un omnicide. Espérons que vous cesserez
immédiatement de faire preuve d’arrogance et de l’orgueil insondable
dans votre détermination à être parmi les premiers.

Claire Edwards

Article original en anglais :

BBC Fake News on 5G Decoded: Health Impacts Denied Despite Overwhelming Scientific Evidence, publié le 25 août 2019

Traductrices : Dossano Elizabeth et Edwards Claire




Sommet sur la crise du 5G

[Source anglophone : https://the5gsummit.com/]

Vous avez peut-être entendu parler de la 5G, il s’agit du sans fil cellulaire de cinquième génération. Lors d’une audition devant le Sénat américain en février 2019, l’industrie du sans-fil a été forcée de reconnaître qu’elle n’avait pas d’étude de sécurité sur la 5G et qu’elle n’envisageait pas d’en faire. Entre-temps, des milliers d’études indépendantes concluent que les rayonnements sans fil causent des dommages biologiques.

Malgré cela, l’industrie du sans fil collabore avec le gouvernement pour déployer la 5G – c’est une expérience humaine mondiale, à but lucratif,… sans notre consentement.

Qu’est-ce que ça signifie? Des millions de «petites» tours relais seront ajoutées à chaque quartier (ce qui est un grave problème de confidentialité). Chaque tour émet des rayonnements à des niveaux connus pour causer le cancer, la stérilité, des dommages à l’ADN et d’autres dommages… particulièrement à nos enfants, qui sont les plus exposés.

Rejoignez-nous au sommet 5G Crisis: Awareness & Accountability [Crise de la 5G : Conscience et Responsabilité] pour découvrir :

  • Définition de la 5G : recherche, faits et sensibilisation
  • Science sur les dangers des rayonnements 5G et CEM
  • Sources de rayonnement sans fil et «électricité sale» dans votre maison
  • Lien entre la 5G, l’Intelligence Artificielle et la surveillance globale
  • Comment des groupes et des individus s’opposent avec succès à la 5G
  • Des actions simples et responsabilisantes que vous pouvez entreprendre, ici et maintenant
  • Solutions individuelles et technologies révolutionnaires et plus sûres
  • Et davantage !



les cafards et autres parasites

[Source : https://www.futura-sciences.com]

Les cafards deviennent « impossibles à tuer »

Les blattes germaniques, les cafards communs qui envahissent les maisons, deviennent tolérantes à pratiquement tous les insecticides, rapporte une nouvelle étude. Ces nuisibles développent une résistance en l’espace d’une seule génération, y compris à des produits auxquels ils n’ont jamais été exposés.

Se débarrasser des cafards risque de devenir de plus en plus difficile. Ces derniers développent en effet une tolérance aux produits insecticides courants à une vitesse record, ce que vient de mettre en évidence une nouvelle étude de l’Université de Purdue, publiée le 5 juin dans la revue Scientific Reports.

Les chercheurs ont mené différentes études sur la blatte germanique (Blattella germanica) dans des appartements de l’Indiana et de l’Illinois. Trois types d’insecticides courants ont été testés (abamectine, acide borique et thiaméthoxame), seuls ou en association, durant six mois. Dans le premier traitement, les trois insecticides ont été alternés chaque mois pendant trois mois, puis répétés lors un deuxième cycle. La deuxième expérience a utilisé une combinaison de deux insecticides de classes différentes durant six mois. Pour la troisième, le produit pour lequel les blattes présentaient une faible résistance initiale a été retenu. Quel que soit le traitement, les chercheurs ont été incapables de réduire la population des cafards. Avec l’association de deux insecticides et le traitement unique, leur nombre a même augmenté.

Des cafards six fois plus résistants en une seule génération

Pour comprendre cette résistance, les chercheurs ont poursuivi leurs investigations en laboratoire, où ils ont reproduit les mêmes tests sur des colonies de cafards issues des populations préalablement exposées aux insecticides dans les appartements. Ils ont constaté que les cafards développaient une résistance croisée : certains insectes exposés à un seul type d’insecticide (abamectine) montraient une résistance aux autres produits avec lesquels ils n’avaient jamais été en contact. « Nous ne pensions pas que ce type d’adaptation pourrait survenir aussi vite, s’étonne l’auteur principal de l’étude, Michael Scharf, du département d’entomologie de l’Université Purdue. Nous avons vu la résistance des cafards augmenter de quatre à six fois en une génération seulement ».

Loin d’être éradiquée par les cocktails d’insecticides, la blatte germanique développe une multi-résistance qui se transmet rapidement aux générations suivantes. © John Obermeyer, Purdue Entomology
Loin d’être éradiquée par les cocktails d’insecticides, la blatte germanique développe une multi-résistance qui se transmet rapidement aux générations suivantes.
© John Obermeyer, Purdue Entomology 

Les blattes peuvent pondre jusqu’à 50 œufs au cours de leur cycle de reproduction qui dure trois mois. Il suffit qu’un faible nombre d’individus développe une résistance aux insecticides pour que leurs gènes soient transmis à la génération suivante qui deviendra entièrement immunisée, détaille le chercheur. En revanche, le mystère demeure sur le mécanisme exact qui permet aux insectes de devenir tolérants aux produits auxquels ils n’ont pas encore été en contact.

Les cafards, un vecteur majeur de pathogènes et d’allergies

Il est en tous cas certain que cette adaptation étonnamment rapide va rendre le contrôle des populations de plus en plus difficile, s’inquiète Michael Scharf. « L’étude montre que les stratégies actuelles, qui reposent sur l’association de différentes classes d’insecticides ou la rotation des traitements, s’avèrent inefficaces », ajoute-t-il. Ce n’est pas seulement gênant pour le confort des résidents, mais aussi pour leur santé : les cafards sont en effet porteurs d’agents pathogènes et provoquent des allergies. Ils sont même l’un des principaux facteurs de risque d’asthme dans les populations urbaines défavorisées, avance l’étude. Pour venir à bout des nuisibles, Michael Scharf préconise des méthodes alternatives aux produits chimiques, comme des pièges, des aspirateurs et une amélioration générale de l’hygiène dans les appartements.

Ce qu’il faut retenir

  • La
    blatte germanique, l’espèce de cafard la plus courante dans les
    habitations, développe une tolérance aux insecticides en l’espace d’une
    seule génération.
  • Les cafards sont
    aussi capables de résister à des associations de différentes classes de
    produits et à des insecticides auxquels ils n’ont pas encore été en
    contact.
  • D’autres stratégies que les traitements chimiques sont donc à envisager pour lutter contre ces nuisibles.

***

Ne sommes-nous pas là en face de ce qui pourrait être nos futurs ennemis ? Le monde est le reflet de nos actes, de nos pensées, de notre propre santé.  Et quand je vois comment nous traitons la Terre, la Nature, les animaux sauvages, et bien sûr ceux d’élevage, ne pourrait-on voir ici un bel exemple de la loi de réciprocité !  Qu’envoyons-nous comme message autour de nous ?  Où sont les messages de Paix, d’Amour, de Vertus dispensés avec plus ou moins de réussite par les sages venus apporter la Bonne Parole ?  Quels messages envoient les médias, les films, les chansons ?  Où sont les héros d’antan ; d’Artagnan, Robin des Bois, Zorro, etc. qui avaient au moins le mérite de montrer les bons chemins à suivre ?  Quelles qualités ont les héros d’aujourd’hui ?  Cyniques, belliqueux, cruels, cupides, envieux, arrogants, présomptueux, agressifs, violents, belligérants, insensibles, impitoyables, tortionnaires, sanguinaires, mercantiles…  Il y a toujours eu des êtres dans ces basses énergies, mais actuellement c’est quasiment devenu la normalité.  Et que voyons-nous apparaitre doucement mais sûrement ?  Des parasites dont il est de plus en plus difficile de se débarrasser ! Entre certains protozoaires, vers, amibes, virus, bacilles véhiculés par les mouches, moustiques et autres bêtes volantes, sautantes, rampantes, etc. Alors j’imagine que les humains sont entourés de leurs pensées qui prennent formes dans la matière (ce qui arrange sans doute bien les parasites énergétiques qui aiment se nourrir en priorité de souffrance) !  J’aime penser que la Terre de l’Origine était exempte de prédateurs et de parasites.  Juste des charognards pour recycler les corps et ainsi absorber la mémoire cellulaire pour faire évoluer tout l’écosystème…

Je suis allé un peu loin ?  Pas tant que cela finalement.  Nous donnons forme à toutes ces pensées, et
du coup, les basses énergies se matérialisent sous la forme de parasites de toutes
formes.  L’être humain est de plus malade ;
même les enfants sont atteints de cancer, Alzheimer, ostéoporose, j’en passe et
des meilleurs…  Si nous épurons nos
pensées et nos images mentales, le monde changera ; c’est la seule alternative !  Mais j’ai peur que demain n’en soit pas la
veille…




Aperçu de la vie en Corée du Nord

[Source : Le Grand Soir]

Corée du Nord : un voyage au pays du grand-père, du père et du fils afin de ne pas avoir affaire avec le saint Esprit !

[Auteur :] Jidel

Au
préalable quelques interrogations introductives. Est-il plus
socialisant de voir un gamin snobant ses semblables avec sur son
vêtement une virgule horizontale ou un gamin en pantalon bleu, chemise
blanche et foulard rouge bénéficiant d’applaudissements des autres
élèves parce qu’à l’enseignant il a bien répondu ? Est-il plus aliénant
de s’agenouiller devant un acrobate métallique accroché à une croix que
de s’incliner devant une fresque en mosaïque d’un des leaders suprêmes
visitant une usine ? Est-il plus rationnel de tourner à plusieurs
milliers, sous le soleil, autour d’un vaste cube noir dans le désert que
de visiter la maison de naissance du grand-père Kim ? Est-il plus digne
de créer une émeute pour du faux chocolat en réclame dans un
supermarché plutôt que de réaliser collectivement un spectacle vivant
devant le leader suprême ? Est-il plus valorisant d’avoir un dirigeant
qui se qualifie de Jupiter plutôt qu’un leader suprême ? Qu’est-ce qui
est plus louable communiquer pour vous vendre une voiture neuve, un truc
inutile et jetable ou écouter la propagande du leader suprême à propos
des sanctions économiques. Si on n’observe pas les faits de manière un
peu dialectique on peut affirmer que les routes qui montent sont aussi
des routes qui descendent et cela en vertu de notre position sur ladite
route. Pour monter une route qui descend, il suffit de monter à reculons
et cela nos grands prêtres du prêt à porter des idées savent très bien
faire

Dans les lignes suivantes trois questions sont brièvement abordées. Pourquoi aller en Corée du Nord ? Qu’est-ce qu’on peut y apercevoir ? Que retenir ?

Pourquoi y aller ?

– Premièrement, parce qu’une opportunité
s’est présentée, proposée avec un voyage et un séjour organisés par
l’association d’amitié belge avec la Corée. Il existe en Europe comme en
France des associations actives d’amitié avec la Corée du Nord. Il
convient de rappeler que la France se singularise en étant avec
l’Estonie les seuls pays européens à ne pas avoir d’ambassade à
Pyongyang. Cette pratique se calque d’ailleurs sur celles de grands
spécialistes historiques de l’autonomie des peuples que sont Israël, le
Japon et les Etats-Unis. Il parait que le socle de la diplomatie
française consiste à reconnaître les Etats mais pas les gouvernements
c’est d’ailleurs ce que fit la France avec le Chili du général Pinochet.

– Deuxièmement, y aller car selon l’adage il vaut mieux
(si on le peut, bien sûr) voir une fois qu’entendre cent fois. Avec la
Corée du Nord le discours est multiple mais unique et sans nuance,
lorsque des voies solitaires s’expriment, elles peuvent vite être taxées
publiquement « d’illuminés, de derniers staliniens, de frustrés
planétaires… » Des amis, des voisins peuvent même se montrer abasourdis
par votre courage et votre ingéniosité supposés puisque vous êtes
parvenu à entrer dans un pays qu’il est impossible de visiter.

– Troisièmement, un pays qui résiste
depuis si longtemps à l’impérialisme américain ne peut que susciter la
curiosité intellectuelle. Comment construire et structurer une société
ostracisée à ce point et cela depuis 70 ans ?

– Quatrièmement, la confession est sans
vergogne, c’est un reste d’orthodoxie antiimpérialiste, qu’une nation,
un Etat s’obstine dans un modèle de développement socialiste est, à
priori sympathique. Alors la curiosité et l’opportunité aidant, la
visite a lieu au mois de mai 2019 mais il y avait longtemps que
taraudait le souhait de comprendre « comment on peut être coréen du
Nord ? » pour paraphraser Montesquieu et Charvin.

Qu’est-ce qu’on y aperçoit ?

– Il est écrit « aperçu » car
évidemment un séjour de 7 jours est bien court pour approcher un début
d’exhaustivité. De surcroît ce séjour, comme tous les voyages organisés
concentrent les volontés de l’organisateur. Il n’en demeure pas moins
que ce voyage a permis de traverser en de multiples déplacements la
capitale et de la quitter pour un déplacement à la campagne. Les visites
organisées ont décliné des approches industrielles, éducatives,
agricoles et les soins médicaux.

– Alors au titre des visites, il y eut des usines de
textiles, de cosmétiques, de chaussures et de nourriture pour enfants.
Bien sur ces visites sont choisies et montrées pour leur aspect modèle
industriel et pour leurs équipements pédagogiques. L’aspect et la
qualité des produits soutiennent sans soucis la comparaison avec leurs
homologues européens. De ce qui est visible, il est évident que les
procédés de fabrication et l’organisation de la production sont au
niveau de l’occident capitaliste avec une dimension supplémentaire
néanmoins. Le travail humain ne s’apparente pas à de l’exploitation
physique et mentale, le travailleur est respecté et son environnement
professionnel est très soigné.

– Les écoles visitées à Pyongyang
sont sûrement ce que le pays peut offrir de mieux en terme éducatif,
tant en ce qui relève des moyens matériels que des démarches
pédagogiques. Et là encore, c’est impressionnant ! Des contenus de
qualité, une recherche de rigueur, une culture scientifique sans cesse
revendiquée et sollicitée et cela avec les outils les plus performants
qui existent y compris donc ceux dits de la réalité virtuelle. La
discipline, le respect et la volonté de savoir, mis en œuvre en Corée,
requalifieraient définitivement en France le métier d’enseignant. Du
jardin d’enfants à l’école normale tout semble relever du désir de
comprendre et de faire. L’enfant est sollicité dans toute ses
dimensions : sens, muscle et esprit. Du chant, de la musique, de la
danse, du volley, des échecs au pilotage de robot, la personnalité est
conçue et vécue comme multiple.

– La campagne se fut rapide,
une nuit dans un gîte d’accueil thermal un peu rustique mais si
pratique et sans mercantilisme, puis une demi-journée dans une ferme
collective. Des rizières à perte de vue et un accueil chaleureux et
politique par les responsables de la coopérative ont été au menu. Le
contraste avec la capitale est conséquent, les villages traversés sont
plutôt austères, voire pauvres et la population croisée est tout occupée
au labeur manuel. Comme Cuba, embargo oblige notamment ou en
particulier, les engrais sont absents pour le meilleur mais aussi pour
le moins pratique. Entre deux demies journées de travail, les hommes sur
un terrain aménagé s’adonnent avec sérieux et plaisir à d’interminables
parties de volley-ball. Le pays est essentiellement montagneux et s’il
se dit que le sous-sol est potentiellement riche en minerais, il semble
que les sols, eux soient à classer en terme pédologique parmi les sols
pauvres.

– A travers la déambulation urbaine encadrée par
un chauffeur et deux guides, on aperçoit pas mal de pratiques
quotidiennes « bavardes » sur le pays. D’abord la ville de Pyongyang est
splendide ! De toute évidence une vitrine. Mais quelle vitrine ! La
conception actuelle de la ville ; bâtiments et espaces publics relèvent
de la cohérence, de la fonctionnalité et de l’harmonie. Les nouveaux
immeubles sont tout en couleurs accordées et gaies, leurs formes
arrondies peuvent être lisibles sans nécessairement de modes d’emploi
architecturaux élitaires, ici une fleur, là la représentation planétaire
de l’atome. Sens du collectif et rappel de l’histoire se déclinent en
de vastes espaces et en monumentalité où parfois des cheminements
interminables et strictement organisés conduisent en la demeure de Kim
il Sung enfant, ou vers un arc de triomphe le disputant en taille au
nôtre. La circulation automobile est modeste, les transports en communs
pratiques, la marche facilitée à l’extrême par la conception de
l’espace public. Même le carrefour le plus fréquenté de la capitale peut
se traverser sans voisiner avec une auto, des passerelles bleues et
blanches survolent la circulation. Le métro, une copie plus modeste de
celui de Moscou, est tout à la fois esthétique, moderne et fonctionnel.
Les dernières rames proposent en continu des dessins animées. Le domaine
public est tout à la fois impeccable, propre, entretenu et attrayant.
Pas de réclame, pas de graffiti, pas de papier au sol… Par contre il
n’est guère possible d’échapper au poids de l’histoire de la famille
Kim : fresques et statuts sont partout présentes pour rappeler leurs
influences et la population, les riverains organisés entretiennent leurs
abords. Souvent il est loisible de voir quatre, cinq ou plus de
personnes du quartier, penchées sur deux mètres carrés de gazon,
affairées à repiquer plan par plan quelques graminées. Un coup d’œil par
la fenêtre de l’hôtel conduit à constater que la centrale thermique
délivre un gros panache de fumée noire polluante mais les sanctions
« internationales » ne laissent guère que le charbon comme source
d’énergie conséquente. L’usage du téléphone portable est totalement
courant, il est fabriqué par les intelligences et les moyens du pays et
ne permet de communiquer que dans le pays. Dans la rue les policiers
sont rares, les militaires beaucoup plus présents mais tous, à part
devant les ministères, sont sans armes ni bidules. Vigipirate et autres
inventions sécuritaires n’ont pas d’existence !

– A la rubrique loisir, Pyongyang
c’est aussi, un delphinium, un cirque aux numéros les plus prisés au
monde, un magnifique centre aquatique très fréquenté par des habitants
aussi enjoués que mauvais nageurs. Plusieurs fois dans la semaine, des
flots de jeunes femmes dans des tailleurs seyants (sans doute surannés
pour nos modistes), instrument de musique à l’épaule se retrouvent avant
le travail sur une place, à répéter le spectacle collectif vivant, qu’à
l’occasion d’une fête, elles proposeront. Coincé entre plusieurs
immeubles, il est loisible de pratiquer en toute tranquillité et
sécurité, dans des parcs de toutes tailles, le volley-ball, les échecs,
les cartes à jouer, le bavardage et de confier les enfants à des jeux
d’explorations physiques.

– La santé et les soins à l’œil.
C’est le tarif, c’est gratuit moderne et équipé ! Entre le centre pour
enfants handicapés et l’hôpital ophtalmique ultramoderne il est
difficile de concevoir que ce pays est depuis tant d’années sous embargo
strict. Une consultation en ophtalmologie c’est sans délais, en France
cela peut attendre deux années.

– Les arts dans une fabrique. Surprenant ce complexe quasi-industriel par sa taille et ses productions. Sur une surface de plusieurs hectares, des sculptures, des tableaux, des poteries, des dessins animés… sont conçus, produits et vendus. Les artistes y travaillent comme salariés à la commande, sous inspiration avec une esthétique un peu codifiée mais efficace et émouvante.

Que retenir ?

La certitude renouvelée par le concret, le terrain que le sens de la vie humaine se conjugue dans l’épanouissement collectif et la raison scientifique.

-L’épanouissement collectif, opposé ici à l’individualisme
toujours renforcé de nos modes de penser et d’être, est la seule option
face à « l’exterminisme » qui nous menace. Le socialisme comme unique
réponse à la barbarie du capitalisme. Dans les classes coréennes les
élèves qui répondent aux sollicitations des enseignants bénéficient
systématiquement des encouragements de leurs camarades. Le faux nez du
capitalisme : « la permissivité libérale libertaire », chère à
Clouscard, n’existe pas en RPDC, les fantasmes ne s’exposent ni ne se
vendent et la discipline collective est la clef du vivre ensemble.

– La science et la tradition plutôt que le non futur !
Les sciences et le travail ont permis à l’homme de sortir de la
préhistoire, en République Populaire et Démocratique on en reste à cette
affirmation. Les campagnes anti science, anti vaccination, antiogm,
antinucléaire, …, n’ont pas d’écho. La RPDC valorise, développe les
sciences, récemment un vaste équipement pédagogique dédié aux sciences
et une avenue du même nom, en sont l’affirmation concrète.

– Survivance de l’idolâtrie, culte de la personnalité ou
… Certains sont choqués d’autres seulement perturbés par cet aspect de
la vie publique d’une société réellement moderne. Pour l’expliquer, en
dehors de ceux qui disent que la tartine tombe toujours du côté beurré
mais qui, au préalable, ont bien pris le soin de la beurrer sur les deux
faces et sur la tranche (sait-on jamais), il y a la persistance de mode
de production antérieur, le confucianisme, l’état de guerre latent et
les sanctions économiques. Il y a bien sûr la crainte des dirigeants
nord-coréens de la formidable capacité de séduction du capitalisme et
son corollaire l’aliénation. L’Etat a beau assumer la quasi-totalité des
services publics : éducation, santé, logement, la déstabilisation, le
sabotage, peut miner l’édifice socialiste, l’impérialisme n’en serait
pas à son coup d’essai.

– Après plus de trente ans d’occupation japonaise, une dizaine d’années de guerre avec l’impérialisme
étasunien et treize années de rudes sanctions économiques, le pays
existe toujours ! Et pourtant l’importation de produits pétroliers,
chimiques au sens large, de métaux, de produits manufacturés, de denrées
alimentaires sont extrêmement limités. La République populaire mesure
les dégâts induits par les appétits des grandes puissances. Il s’agit
pour elle et dans le contexte actuel de construire en tout indépendance
sa voie vers le socialisme cela en comptant d’abord sur ses propres
forces. La quête d’indépendance en Corée du Nord est économique,
politique et militaire, il suffirait sans doute que le pays baisse la
garde pour être comme la Yougoslavie, l’Iraq, la Syrie, la Lybie en
proie au dépeçage et au retour médiéval.

Kim Jong Un conjugue dans
une même approche le développement de l’économie et celui du nucléaire,
se protéger pour exister et se développer. Un espoir demeure, l’enjeu
étant d’abord coréen, le Parti du Travail professe la réunification de
la nation coréenne du Nord au Sud dans un État fédéral avec une nation
et deux Etats, ce n’est sûrement pas qu’un vœu pieux, c’est aussi une
stratégie politique. L’enjeu n’est pas que coréen, ce n’est pas simple,
quels sont les grands états de ce monde réellement prêts à soutenir ce
désir ? Les 2 Corée réunifiées une belle perspective pour les coréens
mais pour beaucoup une crainte.

– Avec ce voyage il était question de capter un mouvement,
de tenter de saisir à travers un autre développement, un espoir concret
de fonctionnement où nous serions plus dans l’avoir exclusif mais dans
l’être pour faire un autre clin d’œil à Clouscard. Cette société, si
l’impérialisme lui laisse le temps et si les coréens lui résistent, peut
devenir grosse d’harmonie et d’épanouissement.

Jidel

URL de cet article :
https://www.legrandsoir.info/coree-du-nord-un-voyage-au-pays-du-grand-pere-du-pere-et-du-fils-afin-de-ne-pas-avoir-a-faire-avec-le-saint-esprit.html




La guerre de la 5G – L’homme vs la technologie

[Source : Dr. Mercola Fr via Sott]



En bref

  • La 5G fonctionne principalement avec des bandes d’ondes
    millimétriques, dont on sait qu’elles provoquent des sensations de
    brûlure douloureuses. Elles sont également associées à des troubles
    oculaires et cardiaques, à l’affaiblissement du système immunitaire, à
    des dommages génétiques ainsi qu’à des problèmes de fertilité
  • La FCC reconnait qu’aucune étude n’a été effectuée ni financée par
    l’agence ou par l’industrie des télécommunications, s’agissant de la
    sécurité de la 5G, et qu’aucune n’est programmée
  • La FCC a été ‘piégée’ par l’industrie des télécommunications, qui a
    perfectionné les stratégies de désinformation employées avant elle par
    l’industrie du tabac

Dr. Mercola

L’exposition aux champs électromagnétiques (EMF) et aux rayonnements
radiofréquences (RF) représente dans notre monde moderne un danger de
plus en plus important pour la santé.

Le site internet ‘Cellular Phone Task Force’ (« Groupe d’étude sur
les téléphones portables ») possède une longue liste de gouvernements et
d’organisations qui ont émis des mises en garde ou interdit différents
types de technologies sans fil, dans différentes circonstances, depuis
1993.

Les nombreuses préoccupations soulevées par la 5G en matière de santé



(Vidéo en anglais)

Le magazine Fortune rapporte que Sunil Rajgopal, analyste de Wall
Street, a récemment signalé que les préoccupations de plus en plus
nombreuses en matière de santé risquaient de retarder l’implantation de
la 5G.

Certains pays ont déjà pris des mesures pour ralentir le déploiement
de la 5G en raison des risques qu’elle présente pour la santé, souligne
Sunil Rajgopal. La question est : peut-on la stopper ?

Les essais de 5G ont récemment été interrompus à Bruxelles, en
Belgique, et la Suisse a retardé le déploiement de sa 5G afin de créer
un système qui permette de contrôler les rayonnements.

La ville de Syracuse, dans l’état de New York, essaye également de
mettre en place des mesures de protection, et a « négocié le droit de
réaliser des inspections de sécurité des antennes 5G sur demande », afin
d’apaiser les inquiétudes de la population.

Quel niveau d’EMF l’Homme peut-il supporter ?

L’exposition aux EMF, à de nombreuses fréquences ayant des effets biologiques, telles que celles qu’utilisent les téléphones portables et les Wifi, a été multipliée par environ 1 quintillon en cent ans.

Malheureusement, l’exposition aux EMF est aujourd’hui si généralisée
qu’il est devenu pratiquement impossible de réaliser des études
démographiques contrôlées, car plus aucune population n’échappe
totalement aux rayonnements ni à leurs effets.

Du fait qu’il n’existe plus de groupe de contrôle, il est aujourd’hui très difficile de déterminer leurs effets réels.

Ceci étant dit, une étude d’exposition contrôlée a été réalisée,
révélant que les rayonnements ne sont pas aussi inoffensifs que le
pensent les gens, et de loin.

Au début du 20ème siècle, les États-Unis présentaient deux types de
population : la population rurale, et la population urbaine. Les régions
urbaines étaient généralement reliées aux réseaux électriques, tandis
que les zones rurales ne l’ont été qu’à partir des années 1950.

Les problèmes de santé liés à l’exposition à la 5G

Les préoccupations supplémentaires que font naître la 5G sont liées
aux ondes millimétriques (MMW). On sait que cette largeur de bande, qui
se situe essentiellement entre 30 gigahertz (GHz) et 300 GHz, peut
traverser la peau de l’Homme sur une profondeur allant jusqu’à 2
millimètres, provoquant une sensation de brûlure.

C’est précisément pour cette raison que les MMW ont été choisies
comme agent de lutte antiémeute (Active Denial System) par le
département américain de la défense. Les MMW sont également utilisées
dans les scanners corporels que l’on trouve dans les aéroports.

La recherche a montré que les canaux sudorifères présents dans la
peau agissent comme des récepteurs, ou des antennes, pour les
rayonnements de la 5G, et font ainsi pénétrer les rayonnements dans
l’organisme en provoquant une élévation de la température. Ceci explique
en partie l’effet douloureux.

Les MMW sont également associées à :

  • Des problèmes oculaires chez le rat, tels que l’opacité du
    cristallin, associée au développement de la cataracte, et à des dommages
    oculaires chez le lapin
  • Chez le rat, des effets sur la variabilité de la fréquence
    cardiaque, un indicateur de stress, et des modifications du rythme
    cardiaque (arythmie) chez la grenouille
  • Des douleurs
  • L’affaiblissement du système immunitaire
  • Une diminution de la croissance et à l’augmentation de la résistance des bactéries aux antibiotiques

Comprendre les mécanismes nuisibles des EMF

Ainsi qu’il est expliqué dans mon interview de 2017 du Dr. Martin Pall, professeur émérite de biochimie et de sciences médicales à l’université d’état de Washington, le principal danger des EMF en général est qu’elles provoquent un stress oxydatif excessif qui entraine un dysfonctionnement des mitochondries.

Selon Martin Pall, les CCVD sont 7,2 millions de fois plus sensibles
aux rayonnements micro-ondes que les particules chargées présentes à
l’intérieur et à l’extérieur de nos cellules, ce qui signifie que les
standards de sécurité pour cette exposition sont 7,2 millions de fois
trop élevés.

Les rayonnements micro-ondes basse fréquence ouvrent vos CCVD,
permettant un apport anormal d’ions calcium dans les cellules, ce qui
active l’oxyde nitrique (NO) et le superoxyde, qui réagissent presque
instantanément pour former du péroxynitrite.

Ceci entraîne la fabrication de radicaux libres carbonates, des
espèces réactives de l’oxygène parmi les plus nocives connues, dont on
pense qu’elles sont à l’origine de nombreuses maladies chroniques
actuelles.

Votre organisme est capable de réparer ces dommages grâce à une
famille de 17 enzymes différentes, que l’on appelle les poly
(ADP-ribose) polymérases (PARP).

Cependant, si les PARP fonctionnent bien, elles ont besoin de NAD+
comme carburant, et lorsqu’elles en manquent, elles cessent de réparer
votre ADN.

Le cancer n’est pas le principal danger que font courir les EMF

La tension électrique dans notre organisme joue un rôle important au
regard de la santé et des maladies. L’électricité produite par votre
corps permet à vos cellules de communiquer et d’exécuter les fonctions
biologiques de base qui sont nécessaires à votre survie.

Toutefois, votre organisme est conçu pour fonctionner à des niveaux et à des fréquences très spécifiques.

Il semble logique que le fait d’être entouré d’EMF d’origine humaine,
qui sont 1 quintillion de fois plus élevées que les EMF naturelles de
la Terre, puisse interférer avec la capacité de votre ADN à recevoir et à
transmettre des signaux biologiques.

Le risque de cancer du cerveau est probablement réel

Si les maladies cardiovasculaires, la démence et l’infertilité
surpassent le risque de cancer du cerveau, ce risque existe bien, et
pourrait être bien plus préoccupant que ce que nous imaginons pour les
jeunes enfants, qui grandissent en étant entourés de technologies sans
fil.

Le fait est que nous ne saurons que dans dix ou vingt ans, lorsque
les jeunes enfants d’aujourd’hui auront grandi, si leur exposition in
utéro et l’utilisation précoce de téléphones portables augmente
l’incidence du cancer du cerveau.

De plus en plus de recherches suggèrent que les rayonnements émis par
les téléphones portables influent certainement sur ce risque, et il est
difficile d’ignorer les nombreux rapports anecdotiques convaincants qui
existent à ce propos.

La FCC est la proie d’intérêts, et n’est pas une agence fiable

Le Dr. Davis souligne également un autre problème crucial, le fait
que la FCC a été ‘piégée’ par l’industrie des télécommunications, qui a
perfectionné les stratégies de désinformation employées avant elle par
l’industrie du tabac.

La 5G compromet les prévisions météorologiques

Fait intéressant, en dehors de ses répercussions potentielles sur la
santé, un réseau 5G mondial compromettrait également notre capacité à
établir des prévisions météorologiques ce qui, en plus de faire courir
des risques aux populations civiles, mettrait en péril les forces
navales.

Selon un article paru récemment dans la revue ‘Nature’, une
couverture étendue de la 5G empêcherait les satellites de détecter les
variations de vapeur d’eau, qui permettent aux météorologues de prévoir
les changements de météo et les orages.

Informez-vous à propos des dangers de la 5G pour la santé, et protégez votre famille de ses effets nocifs

J’écris actuellement un livre sur les dangers des EMF, qui sera une
source d’information complète sur les technologies actuelles.

En attendant, pour en savoir plus à propos de la 5G et vous aider à
informer votre entourage, vous pouvez télécharger une fiche
d’information de deux pages sur la 5G, sur le site de l’Environmental
Health Trust.

Vous trouverez également sur ce site une longue liste d’études
scientifiques publiées qui démontrent l’existence de sources
d’inquiétudes.

Pour réduire votre exposition aux EMF, consultez les conseils ci-dessous et appliquez-les au mieux, dans la mesure du possible.

Mesures de protection pour la nuit
Utilisez des filtres Stetzer ou Greenwave pour
éliminer les surtensions transitoires de votre réseau électrique, et
utilisez un appareil de mesure pour vérifier qu’elles se situent dans
les limites de sécurité.
Utilisez un réveil à pile, idéalement non lumineux.
J’utilise personnellement un réveil parlant, comme en utilisent les
malvoyants.
Envisagez de placer le lit de votre bébé dans votre
chambre au lieu d’utiliser un moniteur de surveillance. Vous pouvez
également choisir d’utiliser un moniteur câblé.
Si vous devez utiliser la Wifi, éteignez-là lorsque
vous ne l’utilisez pas, en particulier la nuit. L’idéal est de câbler
l’ensemble de votre maison pour pouvoir vous passer de la Wifi. Il est
important de comprendre que si vous avez un routeur Wifi, cela revient à
avoir une antenne relais dans votre maison. L’idéal est d’éliminer la
Wifi et d’utiliser une simple connexion câblée Ethernet.

Si vous avez absolument besoin d’un routeur, vous pouvez le placer
dans une housse de protection anti-rayonnements lorsque vous ne
l’utilisez pas. Vous trouverez des accessoires de protection en ligne,
mais vous pouvez en fabriquer vous-même avec du tissu de la marque Swiss
Shield.
Si votre ordinateur portable n’est pas équipé d’un port Ethernet,
un adaptateur Ethernet USB vous permettra de vous connecter à internet
via une connexion câblée.

Pour bénéficier d’une protection renforcée, vous
pouvez peindre les murs et le plafond de votre chambre avec une peinture
spéciale qui bloque les RF provenant de sources extérieures, telles que
les antennes relais, les compteurs intelligents et les antennes radio
et télé.
Les fenêtres peuvent être protégées par un écran ou un film
anti-ondes métallisé. Pour votre lit, vous pouvez opter pour un ciel de
lit de protection anti-ondes.
Méthodes pour réduire l’exposition superflue aux EMF dans la journée
Pour réduire votre exposition aux EMF dans la
journée, vous pouvez utiliser des filtres Stetzer pour réduire la
production d’électricité sale ou d’interférences électromagnétiques.
Vous pouvez également les emporter au travail ou lors de vos
déplacements.
Il s’agit sans doute de la meilleure méthode qui soit pour réduire
les dommages provoqués par l’exposition aux EMF, dont la plupart sont
générés par des fréquences que ces filtres parviennent à bloquer.
Utilisez un câble Ethernet pour connecter votre
ordinateur à internet, et veillez à placer votre ordinateur portable en
mode avion. Évitez également les claviers, boules de commande, souris,
systèmes de jeux, imprimantes et téléphones fixes sans fils. Optez pour
les versions filaires.
Évitez de porter votre téléphone portable sur vous à
moins qu’il ne soit en mode avion, et ne le laissez pas dans votre
chambre lorsque vous dormez, sauf également s’il est en mode avion. Les
téléphones portables peuvent émettre des signaux même lorsqu’ils sont en
mode avion, et c’est pourquoi je place le mien dans un sac de Faraday.
Ils sont vraiment très abordables et ne coûtent que 10 dollars les
deux. Je les ai testés et ils sont vraiment très efficaces pour bloquer
les rayonnements.
Lorsque vous utilisez votre téléphone portable,
servez-vous de la fonction haut-parleur et tenez-le au moins à 90 cm de
vous. Essayez de réduire au maximum le temps que vous passez au
téléphone.
J’utilise le mien généralement moins de 30 minutes par mois, et
principalement lorsque je suis en déplacement. Utilisez plutôt des
logiciels de VoIP qui permettent de téléphoner en vous connectant à
internet via un câble ou, mieux encore, utilisez un téléphone fixe.
Mesures de protection générales pour la maison
Si vous utilisez encore un four à micro-ondes, je
vous recommande de le remplacer par un four à convection vapeur, qui
réchauffera vos plats tout aussi rapidement, mais de façon bien plus
sûre.
Évitez d’utiliser des dispositifs « intelligents »
et des thermostats qui fonctionnent avec une signalisation sans fil.
Cela comprend toutes les nouvelles télévisions « intelligentes » (ou «
smart TV »).
Elles sont qualifiées d’intelligentes car elles émettent un signal
Wifi, et contrairement à ce que vous pouvez faire avec votre ordinateur,
il n’est pas possible d’éteindre ce signal. Envisagez d’utiliser un
grand écran d’ordinateur comme télévision, qui n’émet pas de signal
Wifi.
Remplacez les ampoules LFC par des ampoules à
incandescence. L’idéal est d’éliminer toutes les lampes fluorescentes de
votre maison. Elles émettent non seulement une lumière malsaine, mais
elles vous transmettent surtout du courant électrique lorsque vous vous
en approchez.
Les rhéostats sont une autre source d’électricité
sale, il vaut donc mieux installer des interrupteurs classiques on/off
que des rhéostats.
Refusez l’installation de compteurs intelligents
dans la mesure du possible, ou placez une protection sur les compteurs
intelligents déjà en place : il a été démontré que certaines protections
réduisent les rayonnements de 98 à 99 %.

[Voir aussi :




Hier, j’ai surpris France Télécom semant des graines de suicide (nouvelle publication).

[Source : Le Grand Soir]

Auteur : Maxime VIVAS

Suicides à France Télécom : « Je n’y peux rien », déclare l’ex-PDG Didier Lombard, enfin (7 mai 2019) devant un tribunal.
En septembre 2009, il avait parlé de « mode du suicide » à France Télécom.
Il est poursuivi (dix ans après !) pour « harcèlement moral ». 167
personnes se sont constituées partie civile. Parmi elles, des familles
de télécommunicants ayant mis fin à leurs jours.

En octobre 2009,
j’avais écrit sur Le Grand Soir un article sur cette affaire. Je
connaissais bien le sujet, j’avais été ergonome à France Télécom et
j’avais vu monter les drames.
Je remets ici l’article. Il explique ce que Didier Lombard, ex-patron de France télécom ne voudra pas dire.
Quand la décision de mise en examen de Didier Lombard a été prise (en juillet 2012) LGS a republié l’article.
Voici enfin l’ouverture du procès et c’est une troisième occasion de
raconter comment et pourquoi tant de salariés, mes collègues, ont connu
un désespoir qui les a conduits à se suicider.
Maxime Vivas

Les
suicides à France Télécom ne sont pas une mode qui déferle, mais une
éclosion de graines empoisonnées, semées depuis des décennies.

Dans
les années 80/90, j’étais ergonome dans une grande direction de France
Télécom délocalisée de Paris à Blagnac, près de Toulouse. A l’époque,
tous les délocalisés (souvent des couples) étaient volontaires en raison
d’avantages palpables : primes de mobilité, autre qualité de vie, de
transport, de logement.

Cette direction nationale comptait environ
800 personnes à Blagnac et 6000 dans ses directions « régionales » dont
les sièges étaient à Lyon, Metz, Nantes, Paris, Toulouse.

A
Paris, la DG (direction générale), sous l’impulsion d’un DRH éclairé et
de quelques collaborateurs convaincus, avait mis en place un service
national comptant une centaine d’ergonomes ou assimilés pour 150 000
agents.


A quoi sert un ergonome ? En
résumé, c’est un analyste du travail dont la tâche est de créer des
situations où les opérateurs sont placés dans de meilleures conditions
de confort, de sécurité et d’efficacité. Confort, on voit là le profit
pour les agents. Efficacité, on voit celui de l’entreprise. L’intérêt
commun est dans la sécurité, la diminution des accidents de travail.

En
ces lieux de coopération et d’antagonisme que sont les entreprises, les
ergonomes développent des opérations gagnant-gagnant, en collaboration
avec les directeurs d’établissements, les cadres, les agents, les
syndicats et les CHSCT.

Pour arriver à leurs résultats, ils
pratiquent de minutieuses observations du travail, dialoguent avec les
opérateurs, avec les cadres, étudient les locaux, les documents de
travail, les matériels, les notes de service, les modes opératoires,
etc. Ils interviennent sur les ambiances thermique, lumineuse, sonore,
l’agencement des postes de travail, le contenu du travail, son rythme et
son organisation même.

Leur formation emprunte entre autres à la
psychologie, à la sociologie, à la physiologie. Dans le jargon des
directeurs de France Télécom (essentiellement issus de l’école
Polytechnique, comme Didier Lombard, d’ailleurs) adeptes des « sciences
dures », il s’agissait là de « sciences molles », donc de théories
fumeuses.

A l’époque (je doute que cela ait beaucoup changé
depuis), un diplômé d’une grande école, pouvait entrer dans le monde du
travail à moins de 30 ans et gérer illico des dizaines, voire des
centaines de salariés, sans avoir reçu une seule heure de formation sur
ces sciences méprisées. Le fait qu’elles ne soient pas enseignées à
Polytechnique suffisait d’ailleurs à prouver qu’elles servaient tout
juste à sodomiser les diptères.

Le DRH, fondateur de l’équipe
d’ergonomie, parti (ou débarqué), France Télécom n’eut de cesse que de
résorber cette niche de plaisantins dont l’activité faisait obstacle au
management intuitif, ou dépoussiéré en surface par des bonimenteurs en
costars croisés et cravates rayées, pseudos experts de cabinets de
consultants dont les attachés-cases étaient bourrés de recettes magiques
pour améliorer en un temps record la gestion des « ressources
humaines », réduire les coûts du travail, améliorer la productivité.

Le
ramage de ces individus faisait ouvrir un large bec à nos décideurs
qui, ignorants du fonctionnement des hommes et surtout des groupes,
gobaient les théories les plus débiles et les plus coûteuses (donc
excellentes, sinon elles seraient bon marché).

J’ai vécu l’époque
où les ergonomes de France Télécom, en rangs de plus en plus clairsemés,
essayaient, non sans risque pour leur carrière, d’alerter les
dirigeants de leur entreprise sur la dangerosité des solutions qui leur
étaient vendues. L’une d’elle, je ne saurais l’oublier tant elle nous
faisait hurler, était que pour améliorer la productivité, il fallait
« introduire une dose de stress dans l’entreprise ». Quiconque doute de
la véracité de cette information devrait consulter la presse de l’époque
qui promouvait avec ravissement cette méthode de management.

La liste des futurs suicides s’est ouverte ainsi.

Les
ergonomes savaient, parce qu’ils l’avaient étudié et que des
expériences l’avaient scientifiquement démontré, que le stress inhibe
une partie des capacités du cerveau, favorise les erreurs et les
accidents. Ils savaient aussi qu’il provoque des maladies physiques et
atteint la santé psychique.

En face d’eux, des docteurs Diafoirus
prétendaient avoir inventé la pipette pour instiller le poison à doses
millimétrées. Leur geste médical n’étant pas sûr à 100%, des agents
overdosés commencèrent à se jeter par les fenêtres.

L’actuel
patron de France Télécom a sans doute sa part de responsabilité dans la
vague de suicides, mais il n’est pas le seul. Il est celui qu’on peut
attraper quand les autres, ayant dirigé une entreprise nationale naguère
prospère, sont partis en laissant derrière eux une machine commerciale
cotée en bourse, endettée jusqu’au cou, avec un personnel désemparé. Il a
suivi la voie mortifère où les salariés sont vus comme des citrons ou
des fourmis à affoler à coups de pieds pour qu’elles s’agitent. Les
personnels, sans qui l’entreprise n’est rien (pardonnez cette banalité,
écrite au cas où un directeur général me lirait), figuraient et figurent
dans des dossiers noirs étiquetés : « sureffectifs », « coûts à
résorber », « postes à supprimer », « mutations d’office »,
« commercial ».

Quand, il y a une quinzaine d’années, un Ingénieur
général , chef d’un service où je travaillais s’est jeté du haut de
l’escalier de la direction de Blagnac au sortir d’une réunion où il
avait appris que son service était délocalisé à Nantes, ordre fut donné
de nettoyer le sol de marbre rose où il s’était écrasé et de ne pas
alerter la presse, de ne pas écrire un mot dans le journal d’entreprise.

Casser le thermomètre…. Feu vert pour les suicides à venir.

Puis,
débarquèrent les marchands de « Cercles de qualités » attrape-nigauds
qui nous vinrent du Japon après avoir été validés aux States. Une autre
fumisterie abêtissante devant laquelle les ergonomes tordirent le nez
mais qui s’imposa à raison de dizaines de milliers d’exemplaires dans
l’entreprise. Coûteuses bulles de savon qui éclatèrent toutes à la
vitesse de la lumière. Il n’en subsiste plus aucune.

Plus durable
fut l’infantilisation manoeuvrière par les pin’s dont l’accrochage au
revers de la veste des sans-grades et des décideurs donnant l’exemple,
était preuve d’intégration dans la grande famille de France Télécom,
donc de sa cohésion sociale. Et de la supposée capacité des bons
sauvages du bas, à qui on allait voler leur Statut, à se laisser éblouir
par de la bimbeloterie.

Vinrent aussi les promoteurs de
séminaires sans cravate, voire en short. Et en avant pour les jeux de
rôles, les brainstormings, les papers-boards savamment constellés de
gommettes de couleurs variées, les tableaux blancs égayés de cercles, de
carrés, de flèches, de post-its, d’arbres d’Ishikawa, de diagrammes de
Pareto, autant de méthodes dont la possible valeur intrinsèque était
instrumentalisée pour avaliser l’idée erronée qu’il n’est pas besoin
d’un savoir sur l’homme pour résoudre les problèmes de l’homme au
travail. Le « bon sens » dont mon maître en ergonomie disait crûment
qu’il est « la connerie unanimement partagée par un groupe homogène »
suffisait. Les médias ne juraient-ils pas qu’en d’autres lieux, des
« chirurgiens aux mains nues » opéraient de l’appendicite sans ouvrir
les ventres et sans avoir fréquenté l’Académie de médecine ?

Des
escrocs enjoués promettaient la lune, les décideurs naïfs regardaient le
ciel, les ergonomes essayaient de mordre le doigt. Nous avons échappé
de peu aux sauts à l’élastique et aux marches pieds nus sur les braises.
J’ai quitté cette maison quand le triomphe des charlatans planétaires
était si patent qu’il me fallait partir ou me compromettre. D’autres ont
dû rester qui ont étouffé leur spleen dans un noeud coulant.

J’extrais
de mes archives un numéro spécial du journal « L’Autan » que le
syndicat CGT des télécommunications de la Haute-Garonne avait édité pour
dénoncer ces dérives en octobre 1990 (19 ans, déjà !). On y lit que la
direction sise à Blagnac venait de signer un contrat qui lui coûta de 2
millions de francs (304 898 euros) avec deux joyeux drilles, beaux
parleurs qui se faisaient fort de modifier l’état d’esprit de 6000
agents en deux jours de stage. En fait, les malins allaient former 20
animateurs de France Télécom qui auraient ensuite à appliquer la méthode
aux autres avec les documents fournis (vendus !) : cassettes vidéo,
transparents, stylo spécial (sic), un livre écrit par les deux génies et
un test permettant en quelques réponses de se classer soi-même dans un
des 4 types de personnalités existants (4, pas un de plus). Un
syndicaliste curieux découvrit que cette merveille d’introspection
moderne était déjà utilisée dans l’armée états-unienne en 1928. Pour
France Télécom, elle avait été rajeunie par l’adjonction d’un procédé de
grattage, style « Tac au tac ».

Le contrat comportait une règle
idiote à laquelle il était pourtant impossible de déroger, le directeur
national, ayant grade d’Ingénieur Général, y veillant personnellement :
les formations devaient avoir lieu hors de la région d’affectation des
personnels. Des milliers d’agents, souvent
« volontaires-désignés-d’office », parcoururent la France en tout sens,
les Marseillais visitant Brest, les Bordelais fonçant à Strasbourg, les
Lillois découvrant Bayonne. Le chassé-croisé entraîna la perte de
dizaines de milliers d’heures de travail et des millions de francs de
dépenses supplémentaires, nullement inutiles pourtant, auraient dit ceux
qui pensaient que la mobilité forcée doit s’apprendre assez tôt afin
que chacun accepte demain une mutation tous les trois ans avec un
minimum de pendaison sur les lieux de travail.

Pendant ce temps,
les ergonomes reculaient, toujours moins nombreux, toujours moins
écoutés, toujours moins promis à une belle carrière.

Le management
camouflait sa brutalité croissante sous des gadgets clinquants, ruineux
et superflus. Puis, le plus gros de l’opération de décervelage étant
fait, on managea sans masque. A la hussarde.

Il me souvient de ce
jeune chef d’un service d’une cinquantaine d’agents et de cadres, bardé
de diplômes, qui ne comprit pas qu’à son pot de début d’année, seules
trois personnes étaient présentes : sa secrétaire et deux fayots (ou
pétochards). Il alla pleurer dans le bureau de la psychologue affectée
au management qui découvrit en l’interrogeant qu’il ne lui venait jamais
à l’idée de saluer son personnel le matin. Il apprit par elle que cette
perte de temps était malheureusement d’usage, ailleurs.

Je tiens
de source sûre cette histoire d’un jeune cadre sup, arrivant en retard,
essoufflé mais radieux dans la grande salle où se tenait un conseil de
direction. Il s’excusa en annonçant qu’il rentrait de la maternité où sa
femme venait d’accoucher. Un ingénieur, éleveur de chevaux à ses heures
perdues, lui rétorqua : « Et alors ? Quand une de mes juments met bas,
je n’arrive pas en retard. ». La réplique était assez vile pour que le
directeur national lui lance un « Je vous en prie ! » outré.

Mais
personne ne lui a sauté au collet pour le sortir de la pièce. Les futurs
suicides s’alimentent de ces arrogances impunies et donc répétées.

Un
temps, regrettant mes anciens collègues, j’allais déjeuner avec eux au
restaurant d’entreprise. Je n’entendais que lamentations, annonce de
mutations non voulues, obligations de performances, tableaux d’activités
à remplir, fiches d’évaluation individuelles, objectifs chiffrés,
affectations de techniciens supérieurs à la vente de téléphones
portables, craintes pour leurs primes, bon vouloir du N+1 pour
l’avancement, détestation des décideurs. Accablement et rêve de
retraite.

Il me souvient aussi de ces cadres sup se croyant
intouchables, jamais une grève, pas syndiqués, très impliqués, à qui la
direction annonçait un beau jour que leur poste était supprimé, qu’ils
devaient se trouver un « point de chute » et qui vivaient alors des mois
entiers d’inactivité sur le lieu de travail, niés, humiliés. Chacun
d’eux s’employait fébrilement à « se vendre », tremblant qu’on lui
impose un poste à Hazebrouck ou à Triffouilly-Lez-Engelure, charmante
localité qui n’offrirait pas d’emploi à son épouse et de lycée à ses
enfants. Partir ? Mourir ?

J’ai connu un cadre supérieur de 55
ans, chargé de famille, bien décidé à travailler encore 5 ans, acharné à
donner satisfaction jusqu’à sacrifier des soirées et des week-ends, qui
accompagna tous les changements sans lever un sourcil, qui ne broncha
pas quand les premières victimes se plaignirent et que son chef convoqua
un vendredi pour lui dire qu’il avait le droit de partir en préretraite
et que ça serait bien qu’il le fasse. Sur l’air de : « Me suis-je bien
fait comprendre ? ». Viré ! Fissa ! Car son allégeance ne suffisait pas à
effacer l’essentiel : sur un listing, il était un pion sans visage,
sans famille, sans âme et sans chair, une « unité » gonflant un total.

France
Télécom aujourd’hui, c’est vingt ans d’incompétence hautaine, sûre
d’elle et dominatrice, de cruauté, de morgue, d’ignorance crasse et
revendiquée dans la gestion de femmes et d’hommes qui étaient fiers
d’oeuvrer pour le public. Pour le pays.

Au bonheur de préserver le
tissu rural en s’enfonçant dans la montagne pour aller installer un
téléphone à « la petite mémé de l’Ariège » qui enlève la housse
protégeant l’appareil quand les enfants pensent à l’appeler de la ville,
s’est substituée la tâche roublarde de fourguer des contrats
incompréhensibles, des forfaits téléphoniques non souhaités à de pauvres
gens dont le pouvoir d’achat est en chute libre.

Parfois, des agents de France Télécom se lavent de ces souillures en se jetant dans un torrent.

Didier
Lombard, le PDG, peut bloquer quelques-uns des engrenages meurtriers,
embaucher des psychologues, dire à tous qu’il les aime. De son vivant,
il ne réparera pas les dégâts.

Par effet d’hystérésis, le paquebot
dont les machines sont stoppées continue sur sa lancée. Pour l’empêcher
d’échouer, pour éviter le choc qui jettera des poignées de passagers
par-dessus le bastingage, il faudrait faire machines arrière, toutes
[…]
Ah ! qu’accède aux commandes une vraie gauche décidée à tenir tête aux
susnommés, une gauche ayant dans son programme le respect de chacun, la
reconnaissance des services rendus à la population et un chouïa d’amour,
si le mot n’est pas devenu choquant dans les conseils d’administration
et dans les ministères.

Maxime VIVAS

Ex-cadre de France Télécom, ex ergonome européen®, Maxime Vivas a été concepteur de formations en ergonomie et sécurité.

Source :https://www.legrandsoir.info/hier-j-ai-surpris-france-telecom-semant-d…

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https://www.legrandsoir.info/hier-j-ai-surpris-france-telecom-semant-des-graines-de-suicide-nouvelle-publication.html




Crime vaccinal – Ils accusent un Prix Nobel de mauvaise science !

[Source : Stop Mensonges]

Comment le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine, est-il devenu
l’Ennemi Public N°1 en France ? C’est ce qu’explique l’article que je
vous fais suivre.

Il a été écrit par Pierre Lance, dont j’aime beaucoup le style.

Régalez-vous !

Eric Müller

PS : Cet article vient de la revue Alternatif Bien-Être et était au départ réservé à ses abonnés. Mais le sujet est tellement important que son rédacteur en chef a décidé de le rendre public. N’hésitez donc pas à le transférer à votre entourage.


LUC MONTAGNIER : L’HOMME À ABATTRE ! par Pierre Lance

Comme tous les gens bien informés le
savent, le complexe pharmaco-industriel mondial (que j’ai surnommé dans
mes ouvrages « le tyrannosaure ») est une véritable mafia qui a mis
toute l’humanité en coupe réglée et qui fait la pluie et le beau temps
au sein de toutes les «Autorités de santé» de dizaines de nations
réputées indépendantes.

Or, en ce qui concerne la santé, ou plus exactement la maladie, aucun
État n’est véritablement libre de ses choix, car la grande majorité de
ses «experts» sont en conflit d’intérêts avec les grands laboratoires,
dont ils sont salariés ou actionnaires. Aussi est-il de plus en plus
urgent que les démocraties, à commencer par la France, veillent à ce que
les décideurs des divers organismes de santé soient totalement
indépendants de l’industrie pharmaceutique, faute de quoi il n’existera
bientôt plus aucune liberté du citoyen en ce qui concerne sa santé et
celle de sa famille. Sous prétexte de le «protéger», des décisions
bafouant délibérément ses droits les plus élémentaires lui seront
imposées.

Un prix Nobel face au tyrannosaure

L’une des plus grandes victoires (que
j’espère provisoire) du « tyrannosaure » a été remportée récemment en
France et en Italie par l’obligation de 11 vaccins infligés à nos bébés,
alors que rien ne pouvait justifier une telle mesure, qui est une
atteinte caractérisée à nos droits constitutionnels. Faut-il que le «
tyrannosaure » soit puissant pour qu’il soit parvenu à circonvenir le
Président Emmanuel Macron, qui fut pourtant élu dans le but de réformer
et fortifier la démocratie française. Toutefois, la guerre des vaccins
n’est pas terminée, et l’on voit de nombreux David saisir leur fronde
afin de terrasser le monstrueux Goliath, empereur des seringues.

Le Pr Luc Montagnier lors d’un congrès à Lindau, en Allemagne

Parmi ces David figure désormais le Professeur Luc Montagnier, Prix
Nobel de physiologie ou médecine, ancien professeur émérite à l’Institut
Pasteur, directeur émérite de recherche au CNRS, ancien professeur à
l’Université de New-York et membre des Académies des sciences et de
médecine. Mais Luc Montagnier étant un esprit libre, qui a toujours
refusé de se plier aux ukases des mandarins conformistes, il a poursuivi
de nombreuses recherches personnelles en sortant des sentiers battus,
ce qui lui a valu de féroces inimitiés. D’autant qu’il a pris fait et
cause pour deux de mes « savants maudits », Mirko Beljanki et Jacques
Benveniste.

Il a même annoncé en 2010 qu’il fuyait le «climat de terreur
intellectuelle» qui sévit en France et il a pris la direction d’un
institut de recherche à l’Université Jiaotong de Shangaï. Mais c’est en
novembre 2017 qu’il a mis le comble à la fureur du « tyrannosaure » en
alertant l’opinion sur les risques liés aux vaccins et en prenant
nettement position, en compagnie du Pr Henri Joyeux, chirurgien
cancérologue, contre la nouvelle loi infligeant aux nouveau-nés 11
vaccins obligatoires.

La presse complice

Dès lors, Luc Montagnier est devenu le
nouvel « homme à abattre » et la mafia médico-pharmaceutique a mobilisé
le ban et l’arrière-ban des mercenaires de la presse conformiste pour
tenter de discréditer Luc Montagnier dans l’opinion publique. La
dernière en date des attaques en règle contre ce grand scientifique est
parue dans « Le Point » (N° 2386 – 24 mai 2018). J’avoue que, jusqu’ici,
je considérais « Le Point » comme un journal sérieux. Depuis ce 24 mai,
il a beaucoup baissé dans mon estime, car il a ouvert ses colonnes à un
article qui déshonore les journalistes qui l’ont commis.

Sous le titre « Mais qu’arrive-t-il au Pr Montagnier ?», deux
folliculaires nommés Thomas Mahler et Violaine de Montclos, à
l’évidence dûment chapitrés par le « tyrannosaure », et dont les
connaissances médicales doivent être proches de zéro, se sont permis
d’aligner un ramassis de moqueries, de rumeurs, de ragots assaisonnés
par une pétition « anti-Montagnier » signée à l’aveuglette par les
moutons de Panurge du corps médical. Les rédacteurs de ce galimatias
nous disent, dès les premières lignes, avoir assisté à la conférence
Montagnier/Joyeux, qu’ils nous présentent ainsi : « Sur la scène du Théâtre Michel, ce 7 novembre 2017, deux personnages donnent (…) une drôle de farce. » 

Ainsi, d’entrée de jeu, le ton est donné : ces deux grands médecins
sont des farceurs, tenez-vous le pour dit. Et ils poursuivent : « Devant un public nombreux qui leur est tout acquis, que prophétisent les deux compères (sic) opposés tous les deux à la vaccination obligatoire ? Un « empoisonnement » général de la populationune «tempête de cytokines» dans le cerveau de nos enfants… (Je
précise que les cytokines sont des substances solubles de signalisation
cellulaire agissant à distance pour réguler l’activité et la fonction
d’autres cellules. Donc, Montagnier et Joyeux ont parfaitement raison :
Il est logique et probable qu’une injection massive de plusieurs vaccins
déclenche un « affolement » des cytokines aux conséquences
imprévisibles.) …et des « corrélations temporelles sérieuses » entre la mort subite du nourrisson et l’injection de vaccins avec adjuvants à base d’aluminium.»

Une interview truffée d’arrière-pensées…

Nos deux plumitifs ont tout de même été
rendre visite à leur victime avant de la flinguer sans sommation et nous
annoncent ainsi l’entrevue : «…Un Luc Montagnier on ne peut plus
sûr de lui nous reçoit dans les bureaux fantomatiques de sa Fondation
mondiale prévention et recherche sida, abritée par le siège parisien de
l’Unesco.» 
J’ignorais que des bureaux pouvaient être «
fantomatiques » et je constate que nos deux rédacteurs du « Point » ont
une approche de la langue française pour le moins approximative.

Ils nous parlent ensuite d’une pétition signée par « plus d’une centaine de membres des Académies des sciences et de médecine » et qui proclame : «
Nous ne pouvons accepter de l’un de nos confrères qu’il utilise son
prix Nobel pour diffuser, hors du champ de ses compétences, des messages
dangereux pour la santé, au mépris de l’éthique qui doit présider à la
science et à la médecine. » 

Or, je précise que l’Académie des sciences compte 262 membres et
l’Académie de médecine 290 (sans compter les membres étrangers). Soit au
total 552 membres, ce qui réduit les signataires de la pétition à la
proportion de moins d’un cinquième des académiciens. Je présume que tous
les autres, qui ont certainement été sollicités, ont refusé d’attaquer
un de leurs pairs sans raison crédible. Mais en outre, le texte de cette
pétition est totalement grotesque. D’abord parce qu’il est absurde de
prétendre que Luc Montagnier « utilise » son prix Nobel dans quelque but
que ce soit. Il est Prix Nobel, point barre, et ne peut avoir aucune
influence sur toutes les personnes qui jugent bon d’en faire état. Quant
aux ahuris qui ont signé ce torchon, on se demande de quel droit ils se
permettent d’interférer dans l’action d’un de leurs confrères qui dit
ce qu’il croit juste et qui parle en s’appuyant sur ses recherches et
ses connaissances, auxquelles ses censeurs n’ont pas accès.

Mais voici que nos deux rédacteurs téléguidés adoptent un autre angle d’attaque et nous disent : « Dans
les années 2000, déjà, il (Montagnier) repêche l’embarrassante théorie
de la mémoire de l’eau popularisée par Jacques Benveniste, que le
découvreur du sida voit comme un «Galilée des temps modernes». En 1988,
cet immunologiste de l’Inserm publiait une découverte qui, d’après Le
Monde, pouvait «bouleverser les fondements de la physique
 ». Après
les annonces sensationnalistes, l’expérience, non reproductible, fait
vite pschitt, et si les milieux complotistes et ésotériques les
encensent, les travaux de Benveniste sont balayés par la communauté
scientifique
. » Là, j’avoue que je reste pantois devant l’ignorance
crasse et la vanité redondante de nos deux gratte-papiers du «Point»,
qui, de toute évidence, n’ont pas la moindre idée de ce dont ils parlent
et se contentent de faire chorus avec tous les pense-petit, les
pisse-vinaigre et les va-d’la-gueule de la prétendue «communauté
scientifique».

Avoir raison ne donne pas bonne presse

Personnellement, je connais très bien
les travaux de Jacques Benveniste, dont les expériences étaient
parfaitement reproductibles (à condition évidemment qu’on veuille bien
se donner la peine d’essayer de les reproduire). Non seulement
Benveniste parvint à établir que l’eau conservait la trace de tout ce
qui la traversait, mais il réussit même à enregistrer ces traces et à
les transmettre par Internet à très longue distance. Seulement voilà,
comme ses travaux donnaient l’explication fondamentale de l’efficacité
de l’homéopathie malgré la disparition de toute substance matérielle (et
donc par un effet de « mémorisation »), il devenait aussitôt « l’homme à
abattre » pour le cartel de la pharmaco-chimie dont l’allopathie
demeure l’irremplaçable vache-à-lait. (Je rappelle que pas un médecin
homéopathe n’est membre de l’Académie de médecine, et que lorsque
celle-ci affecte de mépriser cette thérapie, dont l’efficacité a été
mille fois prouvée, elle se permet de juger une discipline qu’elle n’a
jamais étudiée et à laquelle ses membres ne connaissent rien).

Bref, Jacques Benveniste fut licencié de l’INSERM et privé de tout
soutien et de toute ressource jusqu’à ce que mort s’ensuive. Aussi
doit-on féliciter hautement Luc Montagnier d’avoir le courage de
réhabiliter Jacques Benveniste, car il devient ainsi lui-même la cible
privilégiée des mercenaires du « tyrannosaure ». Son nom vient donc
allonger la liste des excommuniés de l’Eglise du caducée, qui compte
déjà bien des scientifiques célèbres.

Nos deux frelons du «Point», se ridiculisant eux-mêmes sans s’en
rendre compte, ne se privent d’ailleurs pas d’en égratigner quelques-uns
au passage, faisant écho à une prétendue « maladie du Nobel »
diagnostiquée par un pourfendeur américain des « pseudo-sciences » (les
cloportes de la «communauté scientifique» nomment ainsi les sciences
qu’ils ne comprennent pas), notamment Linus Pauling, dont ils n’ont
évidemment pas lu le moindre texte, et qu’ils maltraitent sans vergogne
par ces lignes assassines : «Ainsi Linus Pauling, légende de la physique quantique et double Nobel, qui se fourvoya dans des travaux sur la vitamine C…». 

Or, non seulement Linus Pauling, génie incontestable, ne s’est
nullement fourvoyé, mais c’est grâce à ses expériences que le monde
entier connaît les vertus de la vitamine C (ou acide ascorbique),
substance indispensable aux performances de notre système immunitaire.
Toutefois, la vitamine C (présente dans tous les fruits et légumes et
principalement dans les agrumes) est affligée d’un inconvénient majeur :
elle ne coûte presque rien et ne peut permettre à aucun laboratoire de
faire fortune. C’est pourquoi les spadassins de la mafia pharmaceutique
entreprirent de ridiculiser Linus Pauling et y parvinrent pour une
grande part, grâce à la complicité de journalistes bigleux dont l’esprit
critique était tombé dans les chaussettes. (Toutefois, je suis obligé
de me demander si quelques enveloppes rebondies ne circulent pas dans
les salles de rédaction, afin d’encourager parfois la «bien-pensance».)

Je vous ferai grâce de toutes les autres balivernes qui émaillent ces
trois pages du «Point», dont le seul but est de jeter le discrédit sur
l’un de nos plus brillants chercheurs. On nous dit, et je trouve ça très
amusant, que certaines hypothèses médicales de Luc Montagnier sont «
très controversées ». Parbleu ! Comme si les travaux de tous les
pionniers qui s’aventurent dans les forêts vierges de la connaissance en
traçant leur propre chemin pouvaient ne pas être « controversés » par
la piétaille des conformistes et des médiocres qui ne savent circuler
que sur les autoroutes bien balisées du «scientifiquement correct».
Quoiqu’il en soit, Luc Montagnier et Henri Joyeux viennent d’adresser
une requête au Président Macron pour demander que soit inscrit dans la
Constitution le principe de précaution en matière de santé. Si cette
requête était satisfaite, l’obligation vaccinale généralisée aurait du
plomb dans l’aile, car le moins qu’on puisse dire est qu’elle foule aux
pieds toute précaution envers les enfants fragiles et nos libertés
essentielles du même coup.

Cela dit, je ne veux pas mettre en doute la bonne foi de M. Mahler et de Mme de Montclos, même s’ils se sont laissés trop aisément manipuler par quelques mandarins. Mais je me vois contraint de leur faire un reproche majeur : Leur conscience professionnelle de journalistes aurait dû les inciter, au minimum, à prendre connaissance de tous les arguments scientifiques et médicaux qui ont été développés par les médecins contestataires de l’obligation vaccinale, et notamment ceux du Dr Dominique Rueff, diplômé universitaire de cancérologie, publiée le 15 juillet 2017 (https://www.lettre-docteur-rueff.fr/vaccinations-obligatoires-jai-choisi-camp/).

Enfin je me permettrai d’inciter M. Sébastien Le Fol, directeur de la
rédaction du «Point» et M. Etienne Gernelle, directeur de publication,
dont j’apprécie grandement les éditoriaux, de bien vouloir rappeler à
leurs rédacteurs qu’ils ont un devoir d’objectivité et de loyauté et que
leur travail ne consiste pas à «servir la soupe» à quelque coterie que
ce soit ni à être des «snipers» médiatiques à la solde des ennemis
déclarés de l’un des plus éminents esprits libres de la science
française.

Pierre Lance

Pierre Lance est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages et notamment de la série Savants maudits, chercheurs exclus (4 tomes, 2002 à 2010 – Guy Trédaniel Editeur) qui regroupe les biographies résumées de 48 chercheurs de génie qui furent méconnus, occultés, voire persécutés par la « nomenklatura » scientifique et médicale.

[Voir aussi :




L’origine du réchauffement climatique

[Source : L’origine du réchauffement climatique]

dans Bioéthique, Santé et Science / Sciences — par Claude Eon — 30 décembre 2018

Le réchauffement climatique allégué pour justifier toutes sortes de contraintes, notamment fiscales, est-il le fruit d’une recherche scientifique originelle ? C’est ce que les pouvoirs politiques et médiatiques veulent nous faire croire. La réalité est différente comme le montre le texte ci-après tiré du livre d’Alexander King, (1909-2007) chimiste anglais co-fondateur du Club de Rome et de Bertrand Schneider (1929- ) diplomate français qui fut secrétaire général du Club de Rome. Il existe une version française de ce livre : Questions de survie. La révolution mondiale a commencé. (Calman-Lévy, 1991).

Ce texte, dû à des plumes irrécusables, montre que c’est la recherche politique d’un motif de mobilisation (en vertu du principe discutable de la nécessité d’un ennemi) qui a fixé ce choix arbitraire. Et c’est en fonction de ce choix qu’il a été demandé à la Science de le justifier a posteriori. Ceci est un exemple flagrant de la mise de la science au service d’une idéologie politique. L’Histoire connait sa version officielle, maintenant la Science subit le même sort. Lyssenko a fait école. Hommes politiques et médias s’entendent pour maintenir cette science officielle et interdire toute forme de dissidence. Les contestataires qualifiés sont pourtant fort nombreux mais le prix qu’ils auraient à payer s’ils se manifestaient est manifestement trop élevé. La dictature de la pensée règne ainsi en paix.

Le texte ci-dessous est notre traduction très partielle de l’édition anglaise.

THE FIRST GLOBAL REVOLUTION

Alexander King & Bertrand Schneider

Chapitre 5 LE VIDE

L’ordre de la société est déterminé par la cohésion de ses membres. Jusqu’au milieu du 20èmesiècle ceci était normalement assuré par le patriotisme naturel, le sens d’appartenir à la communauté, renforcé par une discipline morale provenant de la religion et du respect pour l’État et ses dirigeants, aussi éloignés fussent-ils du peuple. La foi religieuse s’est évaporée dans beaucoup de pays; le respect pour la politique s’est aussi affaibli, aboutissant à l’indifférence sinon l’hostilité due partiellement aux médias et partiellement à l’inaptitude des partis à faire face aux problèmes réels; les minorités sont de moins en moins disposées à respecter les décisions de la majorité. Ainsi s’est créé un vide et tant l’ordre que les objectifs dans la société se sont désagrégés.

….

Nous cherchons en vain la sagesse. L’opposition des deux idéologies qui ont dominé le siècle a disparu, créant son propre vide en ne laissant qu’un grossier matérialisme. Rien dans le système gouvernemental et son processus de décision ne semble capable de s’opposer ou de modifier ces tendances, ce qui soulève des questions sur notre avenir, voire la survivance de la race.

….

Il semblerait que les hommes et les femmes ont besoin d’une motivation commune, c’est-à-dire un adversaire commun, pour s’organiser et agir ensemble; dans le vide ces motivations semblent avoir cessé d’exister – ou doivent encore être trouvées.

La nécessité d’avoir des ennemis parait être un facteur historique. Les États ont essayé de surmonter les échecs intérieurs et les contradictions internes en désignant des ennemis extérieurs. Le recours au bouc émissaire est aussi vieux que l’humanité… Unissez la nation divisée pour faire face à un ennemi, qu’il soit réel ou inventé pour la cause. Avec la disparition de l’ennemi traditionnel, la tentation est de désigner comme bouc émissaire des minorités religieuses ou ethniques dont les différences sont perturbantes.

Pouvons-nous vivre sans ennemis ? Tout État est tellement habitué à classer ses voisins en amis ou ennemis que l’absence soudaine d’adversaires traditionnels a laissé les gouvernements et l’opinion publique avec un grand vide. Il faut donc identifier de nouveaux ennemis, imaginer de nouvelles stratégies, inventer de nouvelles armes. Les nouveaux ennemis peuvent avoir changé de nature et de lieu, ils n’en sont pas moins réels. Ils menacent toute la race humaine et leurs noms sont pollution, pénurie d’eau, famine, malnutrition, illettrisme, chômage. Cependant, il semble que la conscience de ces nouveaux ennemis soit insuffisante pour susciter la cohésion mondiale et la solidarité pour la lutte.

Les limites de la démocratie. La démocratie n’est pas la panacée. Elle ne peut pas tout organiser et elle ignore ses propres limites. Il faut admettre franchement ces réalités, même si cela peut paraitre sacrilège. Telle qu’elle est actuellement pratiquée, la démocratie n’est plus bien adaptée pour ses tâches futures. La complexité et la nature technique de beaucoup des problèmes actuels ne permettent pas toujours aux représentants élus de prendre les bonnes décisions au bon moment…Les activités des partis politiques sont tellement concentrées sur les échéances électorales et les rivalités de partis, que finalement ils fragilisent la démocratie qu’ils sont censés servir.

En cherchant le nouvel ennemi pouvant nous unir, nous avons suggéré que la pollution, la menace du réchauffement global, les pénuries d’eau, les famines et autres accompliraient la mission. Dans leur ensemble et leurs interactions, ces phénomènes constituent une menace commune qui demande la solidarité de tous les peuples. Mais en les désignant comme l’ennemi nous tombons dans l’erreur de prendre le symptôme pour la cause. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine et c’est uniquement par un changement des attitudes et des comportements qu’ils pourront être surmontés. Le véritable ennemi c’est l’humanité elle-même.

[https://www.medias-presse.info/lorigine-du-rechauffement-climatique/103082/]




Premier procès en Grande-Bretagne contre le 5G – Et le peuple a gagné

[Source : Stop Mensonges]

Mark Steele, un militant 5G, a souligné
les dangers d’un déploiement 5G secret par le conseil municipal de
Gateshead où les résidents se plaignent de l’augmentation des maladies
et du cancer dans la zone touchée.

Il y a suffisamment de preuves pour
conclure que les nouveaux réseaux 5G intelligents sur le dessus des
nouveaux lampadaires à LED émettent des fréquences de rayonnement de
classe 1 et devraient être traités comme un danger pour le public.

Le Conseil Gateshead a réfuté par
ignorance des preuves claires et a créé de fausses allégations sur des
messages de médias sociaux et des dépliants imprimés affirmant que Mark
Steele répand Pseudo Science et que les réseaux ne sont pas dangereux ou
5G :

« Soyez assuré qu’il n’y a aucun fondement scientifique ou preuve crédible pour ces histoires alarmantes sur les lampadaires qui causent le cancer et d’autres maladies. »

Ils ont abusé des pouvoirs de la police pour bâillonner Mark Steele et hier, il a laissé un homme libre et le conseil municipal de Gateshead pour débourser 11 000 £ de l’argent des contribuables pour couvrir les frais de justice, ce qui équivaut à une triste ignorance.

Au tribunal, aucun des fonctionnaires du Conseil n’a pu expliquer ce qu’est le 5G et leur expert gouvernemental de premier plan a refusé d’assister à l’audience de la Cour. En conclusion, le juge a refusé de bâillonner Mark en déclarant :

« Le public a le droit de savoir. »



VEUILLEZ UTILISER LE MODÈLE DE DEMANDE D’ACCÈS À L’INFORMATION POUR CONTESTER LÉGALEMENT VOTRE CONSEIL MUNICIPAL AU SUJET DE 5G ET DES VILLES INTELLIGENTES : Smombiegate.org

La question secrète du déploiement de la
5G à Gateshead est maintenant officiellement d’intérêt public et sera
traitée comme une affaire marquante pour que d’autres personnes
commencent à utiliser la décision de la Cour pour contester leurs
conseils.

Nous savons que Surrey, Westminster et Luton ont tous ces réseaux de champs électromagnétiques micro-ondes toxiques installés sur leurs nouveaux lampadaires à LED. Nous savons maintenant que même si ces réseaux sont actuellement 2G, 3G ou 4G, ils peuvent être activés 5G en ajustant une « lentille » qui « focalise » la fréquence.

Le juge a déclaré que Mark Steele était
un expert et un ingénieur crédible sur les technologies EMF et GSM, ce
qui prouve que le Conseil de Gateshead est responsable de corruption,
induit le public en erreur, rend les gens malades et tente de
discréditer Mark Steele et tous les autres tels que Smombie Gate qui se
bat pour le déploiement des 5G.

Les conseils se débattent en ce moment,
plus de 50% sont presque en faillite parce que plus de la moitié de
leurs ressources sont consacrées à l’augmentation de l’aide sociale aux
adultes, donc toute proposition de fournisseur avec la promesse d’une augmentation des revenus est irrésistible.

SM : la création du manque d’abondance est à tous les niveaux, PROBLEME, RÉACTION, SOLUTION… le bon vieux modèle satanique…
[Note NM : de la « dialectique hégélienne »]
On appauvrit d’abord les municipalités pour qu’elles soient enclin a accepter l’inacceptable.
Si le problème n’avait pas été créé avant, jamais ces maires n’accepteraient l’appât du gain au détriment de la santé publique. Pareil pour les éoliennes qui sont une calamité écologique et financières à long terme… en plus d’être moches…

Les entreprises de Smart City
s’adressent aux conseils municipaux avec des présentations futuristes
étonnantes détaillant la première étape, qui est d’installer
l’infrastructure 5G, c’est-à-dire les lampadaires sur les rues et les
autoroutes.

Les avantages seront une surveillance policière 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, qui permet de voir à travers les murs,
des panneaux de signalisation intelligents, la diffusion en direct de 4
ko en déplacement, des véhicules et des transports publics sans
conducteur, la réalité virtuelle mobile, la réalité augmentée mobile et
une connexion rapide au nouvel implant cérébral d’Elon Musk, le
Neuralink, qui donne aux gens accès Internet à leur esprit.

Note SM : encore plus d’enfer-me-nent dans le monde cybernétique, une « sous-réalité » dans la « sous-réalité/matrice » du monde des objets séparés expérimentés en 3eme densité.

Toutes ces caractéristiques sont un rêve
mouillé pour les conseils municipaux qui seront les premiers à devenir
des comtés intelligents parce qu’ils seront en mesure d’augmenter les
taxes et que l’économie locale prospérera en théorie.

Note SM : Pure folie… « Père, Pardonne leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ».

En réalité, les preuves scientifiques
s’accumulent à travers la planète que les CEM, RF, 3G, 4G, 5G, WiFI et
WiGIG causent le cancer, tuent les abeilles, chassent la faune sauvage
et diminuent la qualité de vie des populations.

Georgia Guidestones – le plan d’extermination des humains gravé dans la pierre.

Tout cela parce que les grandes
entreprises disent que c’est bon pour les gens et qu’elles continuent de
nous induire en erreur sur les dangers d’une utilisation continue à
proximité et sur la peau, sans parler de ce qu’est réellement la 5G, qui
est une arme efficace sur le champ de bataille.

Nous savons que Gateshead n’est pas le
seul conseil qui induit le public en erreur au sujet du déploiement de
la 5G et cela semble durer depuis quelques années.

Luton, Surrey et Westminster sont les
prochains ainsi que tous les conseils qui ont installé ces tableaux qui
sont installés par des entreprises particulières (nous vous laisserons
faire votre propre travail sur la façon dont vous pensez que ces
entreprises sont !)

Qui paie pour ces déploiements 5G ? Qui a
donné son consentement au nom du peuple ? Qui a fait des recherches
pour prouver la sécurité de la nouvelle infrastructure ?

Comme d’habitude, ces questions
importantes sont dénigrées par les médias et les bénéficiaires des
grandes entreprises. Mais ils verront bientôt notre colère, comme nous
le voyons maintenant dans cette décision.

Tout
l’enfer va se déchaîner en Grande-Bretagne et nous allons leur livrer
bataille. Nous ne serons pas réduits au silence et vous n’empoisonnerez
pas volontairement notre corps et celui de nos familles avec des
radiations de classe 1 – NOUS NE CONSENTONS PAS.

Note SM : Le premier consentement tacite pour manipuler le Libre Arbitre de l’humanité est « l’Acte de Naissance » un contrat de droit maritime qui fait de vous des marchandises soumis à la loi du commerce (Maritime).

Toute la fraude part de là concernant la 3D. Pour le reste cela part du mensonge de l’égo. Et les 2 se rejoignent dans l’Acte de naissance, créant l’illusion d’un objet mortel bien défini (individualisé).

Êtes vous relatif ? Ou Absolu ?

Mark Steele de https://www.saveusnow.org.uk en a fait une grande partie de sa vie. Ce sont des gens comme Mark et vous tous qui s’impliquent qui font une différence dans nos vies.

N’hésitez pas à passer le mot et à
prendre contact avec nous si vous souhaitez obtenir des conseils sur la
façon d’aborder votre Conseil. Nous allons produire un kit de modèles
simple que vous pourrez envoyer à vos conseils très bientôt.

Les 6 liens ci-dessous sont une preuve
suffisante pour convaincre quiconque de ce qui se passe autour de nous
sans notre consentement.

1. Voir la preuve vidéo des signaux 5G toxiques de Gateshead :



2. 18 nouvelles études scientifiques à CE LIEN.

3. Cartographie 3D utilisant le WIFI et le 5G sur CE LIEN.

4. Plans de déploiement de Midlands 5G à CE LIEN.

5. Fuite d’une présentation d’entreprise sur les dangers des pylônes 5G, « Dans les pays où les limites des CEM sont nettement inférieures aux limites scientifiques internationales de l’ICNIRP, le déploiement des réseaux 5G sera un problème majeur » : ICI.

6. Elon Musk’s « 5G Umbrella » qui est prévu pour l’atmosphère terrestre sans notre consentement : ICI.

Sources et références :
Smombiegate.org;
YouTube.com
et vu sur http://humansarefree.com/2018/10/britains-first-court-case-against-5g.html


[Voir aussi :




L’arrivée du 5G: un danger pour la santé?

[Source : QUB radio]

Entrevue avec Paul Héroux, physicien, professeur de toxicologie et des effets de l’électromagnétisme sur la santé à la faculté de médecine de l’Université McGill et directeur du Programme de santé au travail au sein du Département d’épidémiologie, de biostatistique et de santé au travail: L’arrivée du 5G ne se fera pas sans la multiplication du nombre d’antennes requises pour relayer son signal sur notre territoire.

https://www.qub.radio/balado?id=b0c8fd61-64ef-4a06-9781-a96e000052de&episode=f8b0707d-ad28-4784-978e-aa5b00c7eb5c




Le « paysan-chercheur » Félix Noblia invente l’agriculture sans pesticides et sans labour

[Source : Reporterre]

Chloé Rebillard

Après avoir
repris la ferme de son oncle, Félix Noblia a bouleversé la manière de
travailler les sols. Il lance des expérimentations en agroécologie en
souhaitant semer les graines d’un renouveau du monde paysan.

SPÉCIAL SALON DE L’AGRICULTURE — À l’occasion du Salon international de l’agriculture, la vitrine des « puissants » du secteur, Reporterre a choisi de mettre en avant les « petits »,
ceux qui bousculent les codes du milieu. Toute la semaine, nous
présenterons des alternatives qui marchent. Samedi, nous avons fait le
point sur la situation des néo-paysans, lundi, nous avons enquêté sur la floraison des microbrasseries lorraines, mardi, nous avons rencontré des producteurs d’amandes et aujourd’hui, le « paysan-chercheur » Félix Noblia nous fait découvrir ses expérimentations agroécologiques.


  • Bergouey-Viellenave (Pyrénées-Atlantiques), reportage

Trois rues longées de maisons blanches composent le petit village
basque de Bergouey avec, en contrebas, la partie Viellenave qui se love
contre la rivière. Tout autour, des collines vertes sur lesquelles se
succèdent des cultures, des pâturages et des forêts. C’est dans ce décor
que Félix Noblia a déboulé au début des années 2010. Lui, l’enfant de
la côte, qui a grandi entre Bidart et Biarritz, aimant le surf et la
guitare et dont les parents ne sont pas agriculteurs, a décidé de
reprendre la ferme de son oncle sans réelles connaissances en
agriculture. Il est pourtant vite devenu un « paysan-chercheur » et a fait de son exploitation un lieu d’expérimentation pour les techniques d’agroécologie.

Au bord d’un de ses champs, d’un coup de bêche, le jeune homme sort une motte de terre : « Regardez, le réseau racinaire et la faune qui s’y développe, la biologie travaille pour nous ! »
En surface de la motte, un paillage en décomposition nourrit le sol. Ce
paillage est la recette du fonctionnement de sa ferme, car Félix Noblia
pratique le semis direct sous couvert végétal en agriculture
biologique.

En agriculture conventionnelle, le semis direct — c’est-à-dire que le
sol n’est pas travaillé au préalable — est répandu, les mauvaises
herbes étant détruites par du glyphosate. En agriculture biologique, le
travail de la terre par le labour pour arracher les plantes indésirables
est souvent présenté comme inévitable. Or, les deux systèmes ont leurs
inconvénients. En conventionnelle, l’usage des pesticides a des effets
nocifs sur la biodiversité et la santé humaine. En biologique, l’érosion
et l’épuisement des sols menace la durabilité de l’agriculture. Pour
Félix Noblia, le dilemme se résume ainsi : « En utilisant des pesticides, on tue des humains ; en travaillant le sol, on tue l’humanité. » Il a refusé de choisir entre les deux et a converti sa ferme en agriculture biologique tout en pratiquant le semis direct.

« Si tous les agriculteurs
se mettaient à cette technique, nous pourrions stocker tout le carbone
émis par les énergies fossiles et stopper le réchauffement » 

Il s’est inspiré d’agriculteurs étasuniens qui ont développé le semis
direct sous couvert végétal. Le principe consiste à semer des plantes
qu’il passe ensuite au rouleau cranté quand elles ont atteint leur
taille optimale. Elles forment alors un paillage recouvrant le sol, qui
se décompose pour former de l’humus. Puis, il sème les espèces qu’il
cultive : du maïs, de l’orge, du soja, du colza, etc. Sur ses 150
hectares de terres, il a eu l’occasion de tester de nombreuses
combinaisons d’espèces et, grâce aux réussites et aux échecs, d’observer
les rendements les meilleurs : ainsi, il a pu constater que le pois
fourrager constitue le meilleur couvert végétal pour du maïs. Mais, la
nouveauté par rapport à ses prédécesseurs aux États-Unis, c’est sa
conversion en agriculture biologique. Félix Noblia parvient à se passer
de produits phytosanitaires en jouant sur les temporalités : le paillage
étouffe les mauvaises herbes jusqu’à ce que la taille des plantes
issues de ses semis soit suffisante pour concurrencer toute autre
pousse.

Le rouleau cranté que l’agriculteur a fait fabriquer exprès pour pratiquer le couvert végétal.

Selon Félix Noblia, les avantages de cette technique sont
innombrables. Elle lui permet notamment de stocker du carbone dans ses
sols grâce aux plantes en décomposition. « Si
tous les agriculteurs se mettaient à cette technique, nous pourrions
stocker tout le carbone émis par les énergies fossiles et stopper le
réchauffement »,
explique-t-il. Des
scientifiques ont calculé que, pour stocker l’ensemble du carbone émis
par les activités humaines, il faudrait que le sol absorbe 0,4 % de carbone supplémentaire chaque année. L’initiative « 4 pour mille » lancée au moment de la COP21
reprend ce calcul. Or, les paysans qui utilisent cette technique depuis
deux décennies ont vu la croissance du stock de carbone augmenter de
2,5 %. Pour Félix Noblia, « ça
veut dire que, aujourd’hui, on sait comment faire pour arrêter le
réchauffement, mais on constate que les coopératives et les institutions
traînent des pieds, et c’est un euphémisme ! »
.

Les sols en bonne santé évitent également les inondations et
contribuent à filtrer l’eau et donc à la dépolluer. Lors du débordement
d’une rivière sur une de ses parcelles, Félix a pu constater que la
théorie fonctionnait et annonce, non sans fierté : « Je n’ai pas perdu un kilo de terre dans mon champ. » Lui voudrait que les paysans soient rémunérés aussi pour ces services rendus à la société. « La dépollution de l’eau aujourd’hui, c’est cinq fois le budget de la PAC », dit-il.

L’agriculture de
conservation des sols permet aux vers de terre d’être plus présents.
Ils sont un maillon essentiel de la bonne santé d’un sol.

L’agriculteur est également éleveur. Il a un troupeau d’environ 60
vaches, de races angus et blonde d’Aquitaine. Dans ce domaine aussi,
Félix Noblia a changé le mode d’élevage : elles sont en pâturage
tournant dynamique, c’est-à-dire qu’elles ne restent pas plus de 48
heures sur la même parcelle afin de redynamiser les herbes. Cette
technique, très utilisée en agroécologie, a pour objectif de se
rapprocher le plus possible des comportements des animaux en savane. Les
pâturages étant moins sollicités et étant fertilisés par les déjections
des animaux, ils repoussent mieux et avec des apports alimentaires plus
importants.

« De l’alimentation tu feras ta première médecine », disait Hippocrate 

L’autre avantage de cette technique avancé par l’agriculteur concerne
l’alimentation humaine. Dans sa vie précédente, Félix Noblia a fait une
première année de médecine : « Je me suis aperçu que le nombre de cancers explosait et que l’âge auquel ils se déclenchaient avait été avancé de vingt ans ! Or, comme l’a dit Hippocrate, “de l’alimentation tu feras ta première médecine”. Actuellement,
les aliments que nous mangeons ont beaucoup perdu en richesse car les
sols sont pauvres en azote, en phosphore et surtout en oligo-éléments à
cause des techniques d’agriculture moderne. Le taux d’oméga 3 dans le
cerveau humain a baissé de 20 %. »
En pratiquant une agriculture de conservation des sols, il espère changer la donne.

Outre ses innovations déjà en place, l’agriculteur hyperactif
continue d’expérimenter pour inventer de nouvelles façons de construire
avec la nature. Il vient d’installer des panneaux solaires sur l’étable
dans laquelle ses vaches passent les mois d’hiver, de décembre à
février. Cela lui permet d’être autonome en énergie et de revendre le
surplus de production à Enedis. Il envisage également de se lancer dans
le maraîchage en construisant des terrasses et en utilisant la pente
pour irriguer les plantations. Il souhaite aussi innover en
agroforesterie et planter des mûriers blancs qui serviraient également
de pâturage pour son troupeau. Selon sa propre estimation, environ 8 % de ses terres sont aujourd’hui utilisées pour des expérimentations : « Cela fait un trou dans ma trésorerie, mais on n’a plus le temps d’attendre », estime-t-il.

Les panneaux solaires sur l’étable.

Toutes ces expériences sont chronophages et Félix Noblia passe du
temps sur les routes et en conférences pour expliquer ses manières de
faire. Assis au soleil à l’arrière de sa maison où deux ruches sont déjà
actives en ce mois de février à cause d’un temps particulièrement
clément, le jeune homme admet une certaine fatigue : « Dans une autre vie, je faisais du ski, j’allais à des concerts. Aujourd’hui, je n’ai plus le temps de faire la fête. »
Il a trouvé un sens dans cette nouvelle vie consacrée au travail pour
la santé des sols et le renouveau de l’agriculture. Alors que sa
compagne est enceinte de leur deuxième enfant, il confie se battre
également pour eux. Il a lu les essais de collapsologie et est persuadé
que, « si on ne fait rien, en 2100, il n’y aura plus qu’un milliard d’êtres humains sur terre ».
Pour éviter d’en arriver là, Félix Noblia a bien l’intention de
continuer à innover et à convaincre. Autour de lui, des voisins se sont
déjà mis au couvert végétal et il échange avec des agriculteurs de
divers pays sur les techniques d’agroécologie. Les graines d’espoir
qu’il a contribué à semer commencent doucement à germer.




« Les plantes sont extraordinaires : c’est un modèle décentralisé dont tous les membres participent à la décision »

[Source : Basta]

par Olivier Favier

Photo : Libertia, famille des iris, en Nouvelle-Zélande
CC James Gaither

Quand
Stefano Mancuso fonde le laboratoire de neurobiologie végétale en 2005,
parler d’« intelligence des plantes » scandalise encore une large part
de la communauté scientifique. Pour ce botaniste, tout dépend de la
définition du mot : les plantes n’ont pas de système nerveux central,
mais ont une « capacité à résoudre des problèmes ». L’animal
réagit aux difficultés en changeant d’environnement, la plante doit les
surmonter. En étudiant ces stratégies, Stefano Mancuso veut non
seulement changer notre regard sur les plantes, mais aussi utiliser ces
connaissances pour stimuler l’innovation et résoudre des problèmes qui
menacent désormais l’humanité entière.

Basta ! :
Je voudrais revenir sur une première expérience que vous proposez
durant vos conférences. Vous projetez la photographie d’une forêt et
demandez au public ce qu’il voit. Il indique alors invariablement
l’animal qu’on aperçoit dans l’image : un cheval, un lion, un singe. Si
vous présentez en revanche une forêt sans animal, le public répond
aussitôt qu’il n’y a rien à voir. Par cet exemple, vous montrez que nous
ne sommes pas habitués à considérer les plantes. Elles représentent
pourtant 85 % de la biomasse de la planète. Mais leur organisation est
complètement différente de la nôtre, qui est pyramidale, avec un cerveau
qui commande…

Stefano Mancuso : Tout ce que nous construisons au
niveau de nos organisations sociales est bâti sur le modèle du corps
animal. Or les animaux – humains compris – ne représentent que 0,3 % de
la vie sur la terre, bien moins que les trois autres catégories que sont
les végétaux, les champignons et les êtres monocellulaires. L’écrasante
majorité des êtres vivants utilise des modèles différents du nôtre, qui
est très fragile. Il suffit d’enlever la tête et toute l’organisation
s’écroule. Il y a eu des empires, comme ceux des Aztèques et des Incas,
des civilisations très avancées, dont l’organisation reposait
exclusivement sur l’Empereur. Il a suffi aux Espagnols de s’attaquer à
ce dernier pour que tout le système s’écroule instantanément.

Par son organisation horizontale, une plante survit même si,
par exemple, un animal mange ou détruit une partie de son corps, quand
un animal meurt dès qu’un de ses organes vitaux ou son cerveau sont ôtés
ou détruits. Comment ce modèle peut nous inspirer dans l’organisation
des sociétés humaines ?

Dans le modèle du corps animal, le lieu où le problème doit être
résolu est très éloigné de celui où les décisions sont prises. Imaginons
par exemple une organisation mondiale, il y en a beaucoup aujourd’hui.
Disons qu’elle a son siège aux Nations-Unies. Elle doit prendre une
décision sur un problème en Europe ou en Asie. Les informations qu’elle
aura seront nécessairement partielles, et elles n’auront jamais ce degré
de détail des informations obtenues sur place. Gardons toujours
l’exemple de cette organisation mondiale, où toutes les décisions sont
prises par un conseil d’administration d’une dizaine de personnes. Cela
n’arrive jamais dans la nature. Si en revanche toutes les personnes qui
travaillent dans cette organisation ont la possibilité de proposer des
solutions, celles-ci seront nécessairement plus justes.

C’est ce que racontait déjà le « théorème du jury » de Condorcet,
mathématicien et homme politique français, à la fin du 18ème siècle à
propos de la décision à prendre pour un condamné. Selon Condorcet, plus
grand est le nombre des personnes qui composent le jury, plus grande est
la probabilité que la décision prise soit correcte. Nous ne parlons pas
de politique ou d’éthique, mais de mathématiques. C’est pourquoi dans
la nature toutes les organisations sont faites de manière à ce que tous
ses membres participent à la décision.

Pourrions-nous penser à construire nos modèles ainsi ?

Bien sûr. C’est parfois le cas. La structure physique d’internet est
conçue comme une plante. Prenons l’exemple de Wikipédia : dans les
encyclopédies classiques, il y a la direction générale, puis celles des
différents secteurs, puis des spécialistes pour chaque sous-secteur,
bref une pyramide de personnes. Ces encyclopédies produisent en général
un volume tous les deux ou trois ans. Wikipédia en anglais a produit en
dix ans l’équivalent de 38 000 volumes de l’Encyclopædia britannica. On
pourrait penser que la qualité des informations s’en ressent, mais c’est
faux. Une étude comparative a montré que les informations sont plus
détaillées, approfondies et mises à jour que dans l’encyclopédie papier.

C’est une organisation complètement décentralisée qui bénéficie d’un
contrôle mutuel permanent. Je ne connais rien en physique, et je
pourrais écrire que les ondes gravitationnelles sont les soupirs des
fées. Personne ne m’empêche de le faire. Une minute plus tard cependant,
mille physiciens effaceront mon apport et écriront ce qu’est vraiment
une onde gravitationnelle. Un chef n’est pas nécessaire pour dire que ce
qui est écrit est faux. C’est un jeu continuel de la démocratie.

On peut utiliser cela aussi dans le domaine économique. Prenons le
cas de la Morning Star Company, qui transforme environ un quart des
tomates produites en Californie et répond à 40 % de la demande
étasunienne dans ce secteur. Elle n’a pas de manager. En moyenne, dans
les entreprises, le management représente 30 % des dépenses ; et le
reste des effectifs est appelé employés, ou même dipendenti en italien,
ce qui veut dire qu’elles dépendent de ceux qui sont au-dessus d’eux.
C’est une terminologie qui détermine le caractère subalterne du
travailleur. Dans le cas de la Morning Star Company, le terme utilisé
est celui de « collègue ». Cela ne veut pas dire que dans cette
entreprise toute le monde a le même salaire. Il n’y a simplement pas
d’échelle de rémunérations en fonction d’une hiérarchie des postes, mais
selon une évaluation publique des capacités. En d’autres termes il y a
des règles mais elles sont différentes.Je lis, j’aime, je vous soutiens

Dans votre livre L’intelligence des plantes, publié en
français en 2018, vous évoquez Darwin, que vous considérez comme l’un
des plus grands savants de l’Histoire. Vous expliquez que son intérêt
pour les plantes est aussi considérable que méconnu. De lui, à la fin du
19ème siècle, on se souvient d’une lecture partiale et controversée :
le darwinisme social. À cette théorie, Pierre Kropotkine répond par le
concept d’ « entraide », lui aussi facteur d’évolution. Comment s’opère
l’évolution chez les plantes ? S’agit-il seulement de sélection, ou
retrouvons-nous différents mécanismes, parmi lesquels une forme de
solidarité ?

En général, nous croyons que l’évolution est une sorte de lutte pour
la sélection du meilleur. C’est une lecture inventée par les darwinistes
sociaux, qui va donner naissance à toute une série d’horreurs, comme
l’eugénisme. Pour Darwin, le processus de l’évolution sélectionne non le
meilleur mais le plus adapté, ce qui est complètement différent.
Kropotkine, qui était un théoricien de l’anarchisme mais aussi un grand
biologiste, écrit un livre pour réfuter les stupidités du darwinisme
social. Ce qu’il appelle « l’entraide » est une des formes fondamentales
de l’évolution. Il avait raison, même si nous lui donnons un autre nom,
par exemple la « symbiose ».

On a découvert que la « symbiose », c’est-à-dire ce processus par
lequel deux êtres vivants s’unissent pour tirer profit l’un de l’autre
est l’un des grands moteurs de l’évolution : la cellule est née de la
symbiose entre deux bactéries. L’union, la communauté, est une force
beaucoup plus puissante que toute autre forme d’évolution.

De ce point de vue, les plantes sont extraordinaires. Elles ne
peuvent pas se déplacer. Quand tu as des racines, tous ceux qui sont
autour de toi sont fondamentaux. Une plante seule ne peut survivre, elle
a besoin de communauté, mais aussi d’autres organismes. La plante entre
en symbiose avec tous : bactéries, champignons, insectes, et même avec
nous les hommes, par exemple quand nous mangeons du maïs et que nous
emmenons cette plante partout dans le monde. La vie se fonde sur la
création d’une communauté, non sur la sélection d’un meilleur
hypothétique.

Parallèlement à votre laboratoire, vous avez créé une
start-up, PNAT (acronyme pour Project nature), avec d’autres chercheurs.
Ce think tank se définit comme « inspiré par les plantes ». Qu’est-ce
que cela signifie ?

Cette start-up produit des solutions technologiques qui sont en effet
toutes inspirées par les plantes. Nous prenons des solutions végétales
et nous les transposons. C’est le cas du plantoïde qui est un robot
utilisé pour explorer le sous-sol. Au lieu de s’inspirer du modèle
animal, il utilise des sortes de racines, car rien n’est aussi efficace
pour la mission qu’il doit remplir. Celles-ci peuvent se déplacer en
fonction des stimuli envoyés par les capteurs placés à leurs extrémités
et contourner de la sorte une pierre ou une zone polluée. Les feuilles
peuvent mesurer les différents paramètres de l’air ambiant. On imagine
sans peine les applications qu’une telle machine peut avoir pour
l’agriculture, la surveillance et la cartographie des terres.

Nous avons créé aussi la Jellyfish Barge, qui est une sorte de serre
flottante, totalement autosuffisante, elle n’a pas besoin d’eau douce
parce qu’elle dessale l’eau de mer, elle n’utilise pas le sol parce
qu’elle flotte, et pour toute énergie elle n’a besoin que de l’énergie
du soleil. Elle permet de produire suffisamment de fruits et de légumes
pour huit personnes. La Jellyfish Barge a été primée à l’Expo de Milan
en 2015, mais elle n’a pas encore inspiré d’applications concrètes hors
de nos expériences.

Actuellement nous travaillons sur la purification de l’air à
l’intérieur des espaces de vie. Nous passons 80% de notre temps dans des
édifices dont la qualité de l’air est quatre ou cinq fois pire que
celle du dehors. Pour purifier cet air, les plantes sont fondamentales.

Dans La Révolution des plantes, votre deuxième livre traduit en français, qui vient d’être publié chez Albin Michel, vous démontrez que les plantes sont non seulement intelligentes, mais aussi dotées de mémoire et d’une capacité d’apprentissage [1]. Ce sont toutes ces découvertes et redécouvertes qui vous ont inspiré le concept de « droits des plantes ». Mais dans une époque où les droits de tant de catégories de personnes sont niés ou remis en cause – je pense notamment à ceux des migrants – pourquoi jugez-vous important d’ouvrir ce nouveau front ?

Évidemment, parler du droit des plantes quand tant de personnes dans
le monde n’ont pas de droits peut sembler une abomination. Pourtant, je
crois que le processus des droits suit précisément celui de l’évolution.
Au temps des Romains, le père de famille était le seul être vivant qui
avait des droits. L’épouse et les enfants, pour ne rien dire des
esclaves, étaient la propriété du père de famille. Puis certains
pensèrent qu’on pouvait donner des droits au fils aîné et cela créa un
scandale. Chaque fois qu’on parle d’élargir les droits à d’autres êtres
vivants, la première réaction que nous avons est la stupeur. Mais
comment ? Même les plantes ? N’exagérons pas.

Depuis lors, les droits se sont élargis aux femmes, pour les
personnes d’origine différente, puis, en-dehors de la sphère humaine,
pour les animaux. Je suis donc certain que nous donnerons aussi des
droits aux plantes.

Pourquoi est-ce fondamental ? Parce que ce sont des êtres vivants et
que tous les êtres vivants devraient avoir des droits. Par ailleurs, ce
sont des plantes que dépend la vie des autres êtres vivants. Si de
nombreuses espèces animales disparaissent, c’est infiniment regrettable,
mais la survie de l’homme n’est pas compromise. Mais si les forêts
disparaissent, nous risquons de disparaître nous aussi. Donner des
droits aux plantes revient à donner des droits aux êtres humains.

Qu’est-ce que vous entendez par « droits des plantes » ?

Par exemple, les forêts devraient être déclarées intouchables. Elles
devraient être considérées comme des lieux naturels de vie des plantes.
Un autre droit que je considère fondamental est celui de ne pas les
considérer comme des moyens de production. On dit que la façon dont nous
élevons certains animaux est inhumaine, et que l’élevage industriel
devrait être interdit. C’est juste. De la même manière, l’agriculture
intensive et industrielle devrait être interdite. Si nous parvenions à
cela, le bénéfice serait énorme. L’agriculture industrielle représente
probablement 40% de l’impact humain sur l’environnement, plus que les
transports par exemple, et nous n’en avons guère conscience. Quand on
élargit les droits, tous les êtres vivants en profitent, sans exception.

Vous faites souvent référence au Club de Rome, qui, en 1972, décrivait avec précision le problème d’une société dont le modèle de croissance reposait sur une exploitation toujours plus importante de ressources limitées. En ce qui concerne la décroissance, la lenteur, le besoin de créer un autre rapport avec notre planète, il semble que l’Italie ait été capable de produire un discours radicalement nouveau, il y a cinquante ans, à travers certains intellectuels ou écrivains [2]. Pensez-vous que le discours que vous portez sur les plantes prolonge d’une part ces idées, et de l’autre fasse partie de ce grand laboratoire italien, dont on parle si souvent ?

Je pense que toute la partie qui concerne le fait de s’inspirer des
plantes suit la même ligne de la grande discussion qui a commencé en
Italie au début des années 1970 et qu’on nomme aujourd’hui le problème
environnemental.

À l’époque, ce problème était d’ailleurs interprété de manière
beaucoup plus correcte qu’aujourd’hui comme un véritable problème
politique. Ce n’est pas une question qui regarde une frange de personnes
qui aiment la nature. Non, l’environnement est l’unique question
politique, une question très sérieuse dont dépendent toutes les autres.
Il est clair qu’un modèle de croissance qui prévoit une consommation de
ressources toujours plus importante n’est pas durable. C’est une idée
d’une telle évidence et d’une telle banalité qu’elle fait douter de la
capacité logique des hommes.

Je souhaite que le laboratoire italien qui a fonctionné comme
avant-garde d’atrocités mais aussi de nouveautés intéressantes au cours
du siècle dernier puisse cette fois encore avoir une prise réelle sur le
reste du monde. Les chiffres sont très clairs : le protocole de Kyoto,
les Cop 21 et 22 n’ont eu aucune influence sur la production croissante
de dioxyde de carbone. Je pense que la seule possibilité sérieuse que
nous ayons d’inverser cette courbe, c’est d’utiliser les plantes de
manière correcte, par exemple en en recouvrant les villes. Le dioxyde de
carbone est produit en ville, et c’est là que les plantes doivent
l’absorber. Nos villes seraient aussi plus belles, plus saines, et cela
aurait un impact positif sur la santé et la psyché des êtres humains. Il
n’y a donc aucune raison de ne pas le faire.

Propos recueillis par Olivier Favier

Notes

[1] A ce sujet, Stefano Mancuso cite une expérience réalisée sur le mimosa pudique au 18e siècle par un élève du naturaliste français Jean-Baptiste de Lamarck. Cette plante, qui replie ses feuilles devant un danger, cesse de le faire si le stimulus est répété sans être accompagné d’une réelle agression. Si l’expérience est répétée après quelques mois, le mimosa conserve son comportement acquis et fait ainsi l’économie d’une réaction extrêmement coûteuse pour elle en énergie.

[2] Voir par exemple la lecture que fait Pier Paolo Pasolini du nazisme comme totalitarisme consumériste dans son film Salò (1975) et sur sa banalisation dans notre société. Sur ce dernier point, il rejoint les lectures de Goffredo Parise et de Nicola Chiaromonte, toujours inaccessibles en français. On ne peut que mettre leurs lectures en parallèle avec celles produites ailleurs en Europe et aux États-Unis par l’école de Francfort, Herbert Marcuse, Jacques Ellul, Ivan Illich, Jean Baudrillard ou bien sûr Guy Debord, toutes visant à prolonger la critique classique du capitalisme par des concepts tels que « société de consommation », « société du spectacle », « productivisme ». Un mot enfin pour saluer le rôle fondamental joué dans le Club de Rome par son fondateur Aurelio Peccei. Le rapport de 1972 ne prônait pas la décroissance – concept créé la même année par André Gorz – mais « la croissance zéro » pour les pays riches.




François Léger : « Les microfermes sont le chemin vers l’autonomie alimentaire et sociale »

[Source : Reporterre]

Entretien avec François Léger

<img src="https://reporterre.net/local/cache-vignettes/L720xH481/arton17638-31609.jpg?1558107194" alt="François Léger : «<small class="fine"> </small>Les microfermes sont le chemin vers l'autonomie alimentaire et sociale<small class="fine"> 

Comment tendre vers « l’innovation écologique radicale » ?
Pour le chercheur François Léger, chercheur en agroécologie, c’est en
s’intéressant aux microfermes qui permettent l’autonomie alimentaire et
sociale, et en repartant « de l’intime et du sensible pour repenser nos systèmes politiques ».

François Léger est
enseignant-chercheur au sein d’une unité mixte Inra/ AgroParisTech
dédiée à l’agriculture urbaine. De 2011 à 2015, il a coordonné une étude
sur la
« performance économique du maraîchage biologique en permaculture » à la ferme biologique du Bec Hellouin, située dans l’Eure.

François Léger

  • Cet entretien est publié dans le livre Un sol commun, aux éditions Wildproject, paru en mai 2019, et repris en « Bonnes feuilles ».

Marin Schaffner [1] — Quels ont été vos premiers pas dans l’agroécologie ?

François Léger — J’ai fait de la biologie à
l’université, où je me suis intéressé peu à peu à l’écologie des milieux
anthropisés et en particulier des milieux agricoles, ce qui m’a orienté
vers l’agronomie. J’ai enchaîné avec un doctorat d’écologie, sur la
relation de paysans mexicains à leur environnement. Ce qui a été pour
moi essentiel, ça a été de comprendre que ces paysans ne cultivaient pas
simplement du maïs : ils construisaient et géraient durablement un
agroécosystème. Cette « révélation »
m’a orienté vers une interprétation de l’agriculture comme médiation
technique entre les humains et les écosystèmes qu’ils habitent. Et les
rencontres avec certains des promoteurs de l’agroécologie
scientifique dans les années 1980 – Efraïm Hernandez Xolocotzi, Miguel
Altieri – m’ont permis de trouver le cadre théorique qui me faisait
défaut pour explorer cette voie et étudier des systèmes agricoles dans
leur globalité écologique, sociale et culturelle. De retour en France,
j’ai travaillé dans un organisme de recherche-développement en élevage.
J’ai eu à m’occuper des mesures agroenvironnementales à visée de
protection de la forêt méditerranéenne ou de conservation d’espèces et
d’habitats remarquables, impliquant des élevages extensifs. Une part
importante des éleveurs engagés dans ces mesures pratiquait des formes
d’agriculture très éloignées des modèles industriels/productivistes
partout recommandés. J’ai découvert que s’ils étaient généralement moins
efficaces en termes de volumes de production, beaucoup d’entre eux,
parce qu’ils fondaient leur action sur une intelligence écologique
aiguisée, gagnaient finalement mieux leur vie et avaient un bien-être au
travail nettement supérieur à celui de leurs homologues qui s’étaient
pliés à ce modèle dominant. Une bonne partie de mon combat – si je peux
dire – a été ensuite de contribuer à démontrer que vertu écologique,
construction de lien social dans les territoires, bien-être des
individus et efficacité économique n’étaient pas contradictoires. Cette
idée ne rencontrait pas forcément beaucoup de succès. Les verrouillages
cognitifs, scientifiques et institutionnels restaient trop nombreux et
trop forts. Ce n’est qu’il y a quelques années qu’elle a fini par être
partiellement admise, avec l’idée d’une « agriculture écologiquement intensive ». Et il aura fallu attendre 2017 pour que l’Insee publie une étude montrant – pour le lait, le vin et le maraîchage – que, oui, on gagne mieux sa vie en faisant de l’agriculture biologique.

Comment définiriez-vous l’agroécologie en quelques mots ?

L’agroécologie c’est avant tout un déplacement de l’attention de la
production vers les humains pris dans leurs écosystèmes, et même, plus
précisément, pris dans des réseaux d’interactions qui font écosystèmes,
le tout avec une finalité claire : la transformation des systèmes
alimentaires vers un plus grand bien-être des écosystèmes et des
humains. De ce point de vue-là, la devise des permaculteurs « prendre soin de la terre, prendre soin des humains »
me convient, et je dirais même que ce principe est à la base de toute
forme d’écologie politique, dans le sens où il n’y a pas de séparabilité
de l’environnemental et du social.

Tout à l’heure vous parliez « d’intelligence écologique », qu’entendez-vous par là ?

L’intelligence écologique, c’est la capacité à comprendre comment
faire avec le vivant et non contre lui. Mais comment acquérir cette
intelligence, comment la construire, voilà pour moi des questions
essentielles. J’ai passé une bonne partie de ma vie à côtoyer des
paysans qui ne travaillaient pas comme on leur disait de faire, et qui
devaient donc inventer leurs propres corpus de savoirs et de
savoir-faire. Ils m’ont montré que l’une des grandes forces de cette
intelligence écologique pragmatique, c’est qu’elle ne relève pas d’une
connaissance analytique exhaustive, mais plutôt d’une connaissance
holiste, intuitive, poétique et sensible.

L’Occident a réalisé cette abomination qu’est la négation de notre
appartenance à la nature, de notre existence comme corps vivant. À ne
vouloir être que le produit de notre cerveau, nous ne pouvons que nous
servir mal de lui. De là découle notre incapacité à développer une
pensée politique et morale sur l’environnement, puisque nous avons
réduit tout le réel en objets, en utilité immédiate, en valeur
marchande. L’urgence de l’écologie me semble être de reconnecter les
gens aux autres vivants (même aux guêpes et aux araignées, en assumant
la peur qu’elles nous inspirent). Nous devons repartir de l’intime et du
sensible pour repenser nos systèmes politiques. Et, à ce titre, face à
la dégradation de nos conditions de vie, les questions de santé me
semblent être centrales pour l’écologie, parce qu’elles remettent au
premier plan notre propre corporalité.

L’agriculture industrielle n’est-elle pas symptomatique de ce rapport utilitariste au monde ?

Si, bien sûr, puisque c’est une agriculture du détachement. Elle fait
fi de la réalité biologique et sensible du monde, tout en prétendant à
une capacité de contrôle absolu sur un vivant absolument chosifié. Cette
agriculture, et l’alimentation qui va avec, sont consubstantielles de
l’ordre capitaliste du monde. Le modèle de l’agriculture industrielle et
la relation dominatrice au monde qui lui est sous-jacente conduisent à
la destruction de la vie, à la disparition des paysans, à la malbouffe.
Cette souffrance du monde, des animaux, des plantes, des sols, des
humains eux-mêmes, n’a aucune justification.

Vous avez également travaillé sur les microfermes. Quelles analyses avez-vous pu en tirer ?

Le développement agricole de ces soixante dernières années, basé sur
des modèles d’exploitations toujours plus grandes, affirmait que le
progrès exigeait des économies d’échelle permettant de mettre en œuvre
des technologies toujours plus puissantes et sophistiquées. Pourtant, on
constate que même des très petites surfaces, inférieures à un hectare
en maraîchage, font des fermes parfaitement viables. Pour un écologue,
un intérêt majeur de ces toutes petites fermes, c’est que chacune sur
son territoire est une sorte de microcosme écologique, qui permet
notamment d’étudier les bienfaits de la diversité comme source de
résilience. Et, d’autre part, on observe autour des microfermes toute
une série d’enjeux sociaux de la transition écologique, en particulier
de reconstruction de liens sociaux non seulement autour des légumes « sains et bons »,
mais aussi autour de valeurs communes permettant de démarchandiser et
mutualiser des ressources. Tout cela mis bout à bout, on se rend compte
que ces microfermes sont des endroits vraiment intéressants pour penser
les manières concrètes de faire advenir de nouvelles autonomies
alimentaires et sociales.

Depuis votre perspective agroécologique, que pressentez-vous pour les dix prochaines années ?

J’imagine volontiers d’autres mondes. Par exemple, où nos systèmes
alimentaires seraient reconstruits dans une logique de proximité, à base
essentiellement de produits frais. Cela signifierait renoncer aux
produits industrialisés, donc reconsidérer nos façons de cuisiner. Il
faudrait alors repenser aussi nos modes de vie et de travail. Et comment
éviter que les femmes soient à nouveau soumises à la tyrannie du
domestique ? J’en arrive toujours à la
conclusion qu’il n’est de changement que total, même si je ne sais pas
penser le mouvement vers cette utopie réaliste. De plus, comment
stabiliser les connaissances nécessaires, quand le vice du capitalisme
de toujours privilégier l’efficacité immédiate bride la recherche
scientifique et citoyenne sur de nombreuses solutions vertueuses à moyen
ou long terme – notamment dans le biomimétisme, encore grandement
inexploré.

Enfin, la difficulté du changement, c’est son coût. Pour passer d’un
système peu rentable à un système plus rentable (sur les plans
économique, social et écologique), il y a forcément une, deux, trois
années ou plus d’apprentissages durant lesquelles l’efficacité chute. Le
rôle des politiques publiques devrait être de couvrir ce risque-là. Or,
aujourd’hui, il y a beaucoup plus d’argent et d’énergie dépensés pour
maintenir le statu quo en agriculture que pour aller vers l’innovation, et encore moins vers « l’innovation écologique radicale ». Dans ces conditions, pour quelle obscure raison le monde changerait-il ?
Il change pourtant, mais ces changements sont portés par des individus
et des collectifs en marge, négligés et parfois dénigrés. Il faut
travailler avec ces marges et faire que leurs solutions deviennent assez
incontestables pour offrir des horizons crédibles à la société tout
entière.

L’agroécologie a-t-elle des leçons ou des conseils à donner à toutes ces transformations sociales ?

La démonstration apportée au Brésil, en Afrique, en Inde, que des
conduites agroécologiques donnent de meilleurs résultats en termes de
sécurité alimentaire, de qualité de la vie et de l’environnement, est un
acquis important. Il y a partout, en France aussi, une prise de
conscience de l’efficacité des systèmes agricoles écologisés. Mais
ceux-ci imposent des arbitrages nouveaux entre des registres de
performance multiples. Il ne s’agit plus de rechercher un optimum
d’efficacité économique sous contraintes mais de dévoiler les conditions
systémiques de la viabilité, c’est-à-dire du respect simultané et
permanent de seuils minimaux pour une batterie de critères écologiques
et sociaux. Cela implique un changement profond de façon de penser et de
construire la vision de notre futur, dans les sciences, les politiques
publiques. Et dans les têtes de chacun…

 Propos recueillis par Marin Schaffner


[1] Marin Schaffner, ethnologue de formation et voyageur au long cours (Asie du sud-est, Afrique de l’Ouest et quatre coins de France), mène de nombreux projets de recherche, d’animation et d’écriture sur l’écologie, la pédagogie, les migrations et le handicap. Ce livre d’entretiens Un sol commun – Lutter, habiter, penser est son premier ouvrage.




IRENE GROSJEAN dans « Les acteurs du Nouveau Monde » : une naturopathe exceptionnelle, (1° PARTIE)

GUERIR Toutes Les Maladies : Les 4 secrets ETONNANTS de Naturopathie Avec Irène Grosjean




Technologies non divulguées : dématérialisation et voyage dans le temps

[Source : Guy Fawkes News — avec quelques commentaires relatifs à l’article]

[Note de NM : si une partie du pedigree de cette femme médecin peut être vérifiée, il n’en est pas nécessairement de même pour les faits (ou imaginations) rapportés. Sujet à prendre avec un (gros?) grain de sel ?]

Rauni Kilde, médecin

Née en Finlande en 1939. Adolescente, elle a été scolarisée dans 5 pays.

Licence en médecine à l’Université de Turku en 1964,

Docteur en médecine à l’Université de Turku en Finlande en 1967.

Diplôme en médecine tropicale 1970, Institut Karolinska, Stockholm, Suède.

Certificat de médecine sociale 1972 École nordique de santé publique Göteborg, Suède.

Membre du conseil des praticiens généraux de Finlande en 1973,

Spécialiste en médecine générale 1974 Finlande.

Certificat de préparation aux catastrophes 1975

Secrétaire de l’Association des médecins en chef de Finlande de 1975 à 1976.

Ligue des Sociétés de la Croix-Rouge, Genève. Certificat de Défense Civile Nationale 1976

Finlande. Délégué et délégué principal du Gouvernement finlandais à l’OMS pour la médecine tropicale et l’éducation pour la santé, 1978-1979.

Délégué médical en chef de la Croix-Rouge internationale en Malaisie et en Indonésie en 1979 (dans le cadre du programme de réfugiés vietnamiens).

Médecin en chef de la Laponie, 1975-1987.

Directeur par intérim du Département de la santé environnementale et de l’éducation pour la santé à l’Institut national de la santé de Finlande, Helsinki 1978,

Remplaçante également du médecin-chef en Finlande, (appelé chirurgien général en anglais américain).

A travaillé pendant 22 ans dans divers hôpitaux en Finlande et au Pakistan.

Spécialiste en administration de la santé, 1981, Finlande.

Secrétaire de l’Association de défense civile de Laponie, 1981-1983.

Membre du conseil d’administration de la Croix-Rouge de Laponie de 1976 à 1979, présidente du comité de la santé de 1976 à 1984,

Présidente du Collège des infirmières et infirmiers de Laponie de 1978 à 1987

Membre du comité du Conseil nordique de l’Arctic medical Research de 1980 à 1984

Membre du conseil de sécurité de la Laponie de 1975 à 1987

6 mois de cours militaires civils, broche d’or en tant que première femme de la défense civile 1990 Finlande,

Présidente de la Jeune Chambre de commerce Rovaniemi 1981

Femme « Eeva » de l’année 1979 Finlande,

Correspondante de la Société de parapsychologie de l’ONU et médaille d’argent des Nations Unies en 1992,

Présidente et fondatrice de la Parapsychological Association of Lapland Association 1981-86

Présidente honoraire 2002-

Prix de littérature de WSOY, la plus grande maison d’édition des pays nordiques 1983

Présidente du Sailing Club of Lapland 1975-76 (en tant que première femme au monde!)

Prix ​​du CAHRA, citoyens contre les violations des droits de l’homme, pour l’affirmation courageuse de la nécessité de dénoncer et de mettre fin aux atrocités de l’expérimentation humaine neuro-électromagnétique involontaire, 1999
Auteur à succès international en six langues (sur le cœur de l’être humain, la parapsychologie, les contacts cosmiques, le contrôle de l’esprit)

Premier article publié dans le monde dans des revues médicales sur des expériences hors du corps et proches de la mort, 1999 (Duodecim, Finlande, revue de recherche médicale pour 127 ans) et le contrôle mental et la cybernétique (Spekula, Association des médecins et des étudiants de l’Université d’Oulu).

A présenté des affiches lors de conférences médicales internationales de 1999 et 2000 sur le contrôle mental (conférence neurologique et mondiale pour médecins généralistes et conférence 33.

Conférence internationale sur la médecine militaire à Helsinki a eu une présentation par affiches sur la télé-neuro-communication, la micropuce des astronautes et la surveillance de toutes leurs fonctions corporelles et mentales depuis la Terre alors que dans l’espace. Des contacts télépathiques réussis de Lune à Terre ont déjà été publiés. 1973

Public mondial pour les conférences et 60 interviews sur Internet

4 millions de visites pour une vidéo de 10 min en arabe, chinois et japonais langues européenne, coréenne, thaïlandaise, russe et européenne mettant en garde contre le vaccin contre la grippe porcine contenant une puce électronique et un agent stérilisant pour le dépeuplement.

Membre de l’Académie des sciences de New York, 1992-1994.

Biographie dans Who is Who de 1997, en sciences et en génie,

Biographie dans Who is Who de 1999 en médecine et soins de santé

Technologies non divulguées : dématérialisation et voyage dans le temps

Opérations secrètes de psychotronique : Interview du Docteur Rauni Kilde

Source: Ciel Voilé

Et vous, pensez-vous que le voyage dans le temps est possible ? Des théories circulent sur le projet Montauk par exemple, mais les informations à ce sujet sont plutôt contradictoires et rien de définitif ne se dégage réellement. L’armée dément la réalité de ce projet et Al Bielek, supposé survivant de l’expérience de Philardelphie, est présenté par certains comme un affabulateur. L’ingénieur Preston Nicols confirme pourtant son récit et affirme que l’USS l’Edridge est bien devenu invisible et certains marins auraient fait un bon dans le temps de 40 ans. Il s’agit de l’une des théories sur les expériences américaines les plus controversées.

commentaires:

  1. dubnc 23 juin 2019 à 23:35
    Il faut bien que les trilliards « disparus » servent à quelque chose!
  2. sam 24 juin 2019 à 00:08
    J’ai qu’une question :
    Depuis le temps, pourquoi est-elle encore en vie ?
    Les élites ne laissent pas des gens sérieux et qualifiés comme elles s’aventurer dans ce genre de révélations, ils les tuent dès leurs premières paroles, donc personnellement it’s bullshit, les élites sont lucifériennes, extrêmement croyantes, toutes leurs actions sont des rituels, et ils font tout pour nous pousser vers les directions incompatibles avec cette réalité (aliens, ovni, voyage dans le temps etc…).
    Réponses
    1. Anonyme 24 juin 2019 à 02:15
      Parce que les gens n’en n’ont rien à foutre si elle balance, que veux-tu, 98% des gens préfèrent leure petite vie de famille maison barbecue de cadavres torturés, de blagues de culs complètement idiotes, critiquer le voisin, le collègue etc
      Donc voilà elle risque rien, les gouvernements voient très bien que la masse préfère la connerie,ils peuvent donc continuer leur plan sans problème…
    2. Anonyme 24 juin 2019 à 07:43
      Si avec le pédigré qu’elle a et est toujours en vie c’est que la finalité la chose c’est encore et encore de nous embrouillés ..
      Quelques vérités dans un océan de mensonge .. Sinon c’est à nous de faire le trie . Conclusion info vrais mais surtout FAUX
      🙂
    3. hotchiwawa 24 juin 2019 à 09:13
      Avec un pedigree pareil, elle a certainement volé le travail d’autrui
    4. Guy Fawkes 24 juin 2019 à 09:24
      Elle est morte il y a plusieurs années déjà. Cette entrevue n’est pas récente. Ses amis disent qu’elle a été assassinée précisément par les technologies qu’elle dénonçait. Ils disent qu’elle est morte d’un cancer généralisé après 4 jours d’irradiation à haute dose via une arme à énergie dirigée de la NSA (ce qui est invérifiable évidemment) :
      https://eucach.wordpress.com/2015/02/23/eucach-director-magnus-olsson-dr-rauni-kilde-radiated-for-four-days-with-dew-remotely-assassinated-by-nsa/



1 million d’enfants se réunissent et méditent pour la paix mondiale en Thaïlande

[Source : Eveil Homme]

Par Eveilhomme

Un million
d’enfants ont rejoint le V-Star Change the World, un événement annuel de
méditation bouddhiste qui s’est déroulé au temple Phra Dhammakaya, près
de Bangkok.

Cette méditation dure un jour et on pense pouvoir changer le monde.

Le projet V
star pour enfants a été lancé dans le cadre du projet de renaissance de
la moralité dans le monde, lancé par l’abbé du temple bouddhiste Wat
Phra Dhammakaya, Luang Phor Dhammachayo.

Dans le
passé, le temple a suscité la controverse, les critiques affirmant que
l’exercice de méditation est simplement un spectacle, d’autres
assimilant ses activités à un culte. Cependant,
le but du projet était de permettre aux écoliers de se réunir et de se
soutenir mutuellement tout en faisant de bonnes actions au quotidien.

Ces enfants
viennent de 7 000 écoles de Thaïlande et de diverses régions du
monde. L’événement a lieu une fois par an et a commencé en 2008. Les
enfants se réunissent dans la prière et la méditation pour exprimer
leurs souhaits de bien-être et de bien-être, dans l’espoir de panser les
plaies de la Terre nourricière causées par l’humanité. Plus les enfants
envoient des vibrations positives dans l’univers, plus l’effet de ce
programme sera important.

La méditation
est un moyen de dissoudre l’ego afin de libérer tout son potentiel. On
croit réveiller la force de vie qui traverse nos corps.

D’un point de
vue scientifique, la méditation augmente l’énergie électromagnétique
générée par le corps humain et améliore ainsi sa fonction.  Comme
tout est constitué d’énergie électromagnétique, un événement de
méditation de masse tel que celui-ci libère facilement des ondes
positives.

En général,
tout effort visant à penser positivement et à souhaiter du bien à chacun
constitue un pas en avant vers un monde meilleur. L’installation
d’enfants dotés de bonnes mœurs et de bonnes valeurs constitue le
meilleur moyen d’élever des adultes positifs et responsables, ce qui
profitera sans aucun doute au monde entier.

Il existe une
règle universelle et si nous nous réunissons tous et travaillons pour
créer ensemble notre réalité, nous pourrons sans aucun doute améliorer
le monde dans lequel nous vivons. D’un monde axé sur l’argent, plein de
corruption, de mal, d’avidité et de divisions, nous pouvons en faire un
endroit paisible où nous pouvons tous vivre dans l’amour et la paix.

Même le changement le plus important et le plus spectaculaire commence en vous.

Nous sommes
simplement illimités et si nous utilisons notre pouvoir pour nous lever
et combattre la négativité, nous trouverons tous la lumière.


Partagé par www.eveilhomme.com. Partage libre en incluant la source et le lien.




David Icke – La chimie à l’assaut du corps humain Pour la Famille et TOUTES les familles

À partager partout et faire écouter-regarder par la Famille, leur famille, amis, voisins, tous les gens qui n’ont pas le cerveau lobotomisé par les poisons du ciel, de la nourriture, ondes et fréquences nocives, et propagande via médias contrôlés par l’élite. Ce nombre est en grande diminution (ceux qui ont un ADN réfractaire) si on en juge par le résultat des dernières élections. Petit soulagement : l’élection passée le bombardement de fréquences et contrôle mental sera un peu moins fort…

https://youtu.be/ZPMBnYcCvEo



Cellulaire et cerveau font-ils bon ménage ?

[Source : Radio-Canada]

La Vérif : cellulaire et cerveau font-ils bon ménage?

Publié le lundi 5 février 2018

Doigts appuyant sur l'écran d'un téléphone cellulaire.

Un adolescent utilisant un téléphone cellulaire.
Photo : Shutterstock/Champion studio

On consacre en moyenne à son téléphone deux heures et demie par jour. Cela représente 38 jours dans une année et 6 ans et demi d’une vie d’adulte. Comprenons-nous vraiment l’effet des téléphones intelligents sur notre cerveau?

Un texte de Vincent Maisonneuve et Nathalie Lemieux

On utilise le téléphone intelligent pour toutes sortes d’excellentes raisons. La preuve, vous nous lisez peut-être sur votre cellulaire et, pour nous, c’est très bien ainsi!

N’empêche, on commence à peine à mesurer l’impact de ces technologies sur nos vies, nos comportements, notre cerveau et nos rapports avec les autres.

Ce qui se dégage des récentes études scientifiques, c’est qu’une utilisation abusive peut :

  • créer une dépendance
  • changer le fonctionnement du cerveau
  • réduire nos capacités cognitives
  • réduire notre capacité de concentration
  • provoquer de l’anxiété
  • affecter la posture et la respiration
  • affecter la qualité du sommeil

1. La dépendance

En octobre 2016, Frontier Psychiatry publiait une revue des différentes études sur la dépendance au cellulaire. En résumé, il y a un consensus scientifique sur l’existence d’une forme de dépendance au téléphone intelligent.

Cette dépendance peut être associée à des épisodes d’insomnie, de stress, d’anxiété et, dans une moindre mesure, de dépression. Les auteurs vont même jusqu’à prétendre que des similitudes existent entre l’utilisation « problématique » du cellulaire et la consommation de tabac et d’alcool.

2. Changer le fonctionnement du cerveau

Le professeur Hyung Suk Seo, spécialiste en neuroradiologie à l’Université de Corée à Séoul, a utilisé la résonance magnétique pour obtenir un portrait du cerveau d’adolescents accros à leur téléphone mobile. Dr Seo constate qu’une exposition soutenue au cellulaire modifie temporairement le fonctionnement des neurotransmetteurs.

3. Réduire les capacités cognitives

En avril dernier, une étude américaine publiée par l’Université de Chicago démontre que la simple présence d’un téléphone intelligent entraîne chez la plupart des individus une réduction des ressources cognitives disponibles. Depuis 10 ans, le cellulaire nous permet d’avoir le monde au bout des doigts.

Cependant, le fait d’avoir en main notre téléphone intelligent accapare une partie de notre cerveau, laissant ainsi moins de ressources disponibles pour d’autres tâches cognitives. La réduction des capacités cognitives est encore plus marquée chez les utilisateurs qui développent une grande dépendance à leur téléphone.

4. Réduire notre capacité de concentration

Toujours à l’Université de Corée, des étudiants ont été soumis à un exercice pour mesurer l’effet des cellulaires sur leur niveau de concentration. La tâche était simple : appuyer sur une touche lorsqu’une lumière jaune s’allume et ne rien faire lorsque la lumière est verte.

Le groupe A n’avait pas droit au cellulaire. Les participants du groupe B devaient placer leur téléphone derrière eux, à l’abri du regard, mais à portée d’oreille. Pendant l’exercice, les chercheurs ont fait vibrer à deux reprises le téléphone des étudiants du groupe B. Résultat : les étudiants du groupe B ont commis plus d’erreurs.

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Le reportage de Vincent Maisonneuve

5. Provoquer de l’anxiété

La professeure Nancy Cheever de l’Université de la Californie a soumis un groupe d’étudiants à une épreuve en apparence plutôt simple à surmonter. Confinés dans une classe, les étudiants devaient éteindre leur cellulaire et rester assis en silence pendant 60 minutes. Après seulement 10 minutes, les étudiants qui utilisaient le plus leur téléphone au quotidien affichaient un niveau d’anxiété allant de modéré à élevé.

Notez qu’au Québec, un rapport publié par la compagnie Rogers démontre que deux personnes sur trois avouent être démunies dès qu’elles sont déconnectées. Dans les cas extrêmes, certains chercheurs vont jusqu’à qualifier le phénomène de phobie. La nomophobie (No Mobile Phobia) est la peur de ne pas avoir son cellulaire et de manquer quelque chose d’important. Notez cependant qu’il ne s’agit pas d’une phobie reconnue en tant que telle.

6. Affecter la posture et la respiration

En 2016, des chercheurs sud-coréens ont mesuré l’impact du cellulaire sur la posture et la respiration. Les 50 participants avaient tous le même âge, le même poids et la même taille. Ils étaient tous non-fumeurs et en parfaite santé. Les membres du groupe A devaient utiliser leur cellulaire moins de quatre heures par jour.

Ceux du groupe B devaient l’utiliser plus de quatre heures durant la journée. L’étude a démontré qu’une utilisation prolongée du cellulaire avait un effet négatif sur la qualité de la posture et les capacités respiratoires.

7. Affecter la qualité du sommeil

Dans un article consacré au problème de sommeil des étudiants américains publié dans le Journal of the National Sleep Foundation, on apprend que 20 % des jeunes adultes américains affirment se faire réveiller plusieurs fois par semaine par une alerte provenant de leur cellulaire. Quelque 47 % d’entre eux avouent se lever régulièrement la nuit pour jeter un oeil sur leur téléphone.

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Entrevue avec Thierry Karsenti

Ce que recommandent les médecins

Les pédiatres canadiens soulignent que la technologie évolue si rapidement qu’il est difficile d’en mesurer l’effet sur le développement des jeunes enfants. C’est pour cela que les médecins recommandent aux parents de limiter le temps d’écran et, surtout, de donner l’exemple à leurs enfants.

  • Il n’est pas recommandé de laisser les enfants de moins de deux ans passer du temps devant des écrans.
  • Chez les enfants de deux à cinq ans, limiter le temps d’écran à moins d’une heure par jour.
  • Maintenir des périodes sans écran, particulièrement lors des repas familiaux et pour faire la lecture.
  • Éviter les écrans au moins une heure avant le coucher, en raison de leurs effets potentiels sur la suppression de la mélatonine. (La mélatonine est surnommée l’hormone du sommeil. Elle est normalement sécrétée en l’absence de lumière. Elle prévient le corps qu’il est temps de dormir.)



Des scientifiques expliquent comment le champ magnétique terrestre relie tous les êtres vivants.

Des scientifiques expliquent comment le champ magnétique terrestre relie tous les êtres vivants
Par Jonathan ExoPortail

La science a récemment mis en lumière le fait que ce que nous percevions auparavant comme une aura humaine est une réalité. Tous nos corps émettent un champ électromagnétique, et ce fait joue un rôle très important bien au-delà de ce qui est couramment connu pour comprendre notre biologie, et l’interconnectivité que nous partageons avec toute vie. Par exemple, saviez-vous que le cœur émet le plus grand champ électromagnétique de tous les organes principaux du corps ? Ces champs et les informations qui y sont encodées peuvent changer en fonction de ce que nous ressentons, de ce que nous pensons et des différentes émotions que nous éprouvons. Le cœur envoie même des signaux au cerveau par l’intermédiaire d’un système de neurones qui ont à la fois une mémoire à court et à long terme, et ces signaux peuvent affecter nos expériences émotionnelles. L’information émotionnelle qui est modulée et codée dans ces champs change leur nature, et ces champs peuvent avoir un impact sur ceux qui nous entourent. Comme nous le dit Rollin McCraty, Ph.D. et directeur de la recherche à l’Institut de cardiologie, «nous sommes fondamentalement et profondément liés les uns aux autres et à la planète elle-même».

«Les résultats de la recherche ont montré que lorsque nous pratiquons la cohérence cardiaque et que nous transmettons der l’amour et de la compassion, notre cœur génère une onde électromagnétique cohérente dans l’environnement local qui facilite la cohabitation sociale, à la maison, au travail, en classe etc. Au fur et à mesure que de plus en plus d’individus rayonnent la cohérence du cœur, cela crée un champ énergétique qui permet aux autres de se connecter plus facilement avec leur cœur. Donc, théoriquement, il est possible qu’un nombre suffisant de personnes construisant la cohérence individuelle et sociale puisse réellement contribuer à une cohérence globale qui se déploie.» La citation vient de Deborah Rozman, présidente de Quantum Intech. Nous vivons une époque passionnante en ce qui concerne la science, et bien que la science ne soit pas autant mise en avant et étudiée que nous le voudrions, elle reconnaît que nous faisons tous partie d’un réseau géant de connexions qui, non seulement englobe la vie sur cette planète, mais notre système solaire tout entier et ce qui s’y passe.

Alors, qu’est-ce que la cohérence cardiaque exactement ? Eh bien, cela implique l’ordre, la structure et, comme le dit le Dr Rozman, «un alignement à l’intérieur et entre les systèmes – qu’il s’agisse de particules quantiques, d’organismes, d’êtres humains, de groupes sociaux, de planètes ou de galaxies. Cet ordre harmonieux signifie un système cohérent dont le fonctionnement optimal est directement lié à la facilité et à la fluidité de ses processus.» Fondamentalement, les sentiments d’amour, de gratitude, d’appréciation et autres émotions «positives» n’ont pas seulement un effet sur notre système nerveux, mais ils ont un effet sur ceux qui nous entourent, bien au-delà de ce que nous aurions pu penser auparavant. C’est semblable aux études qui ont été menées sur la méditation de masse et la prière. En ce qui concerne leurs effets sur les systèmes physiques, de nombreuses publications ont donné des résultats statistiquement significatifs. Pour une liste sélective d’articles de revues téléchargeables et révisés par des pairs qui font la synthèse d’études de ce type de phénomènes, publiés pour la plupart au 21e siècle. Vous pouvez les trouver ici en anglais. Un autre point qui illustre l’importance de la cohérence est le fait que plusieurs organisations à travers le monde ont mené des méditations synchronisées, des prières, des expériences d’intention, et plus encore. Un certain nombre d’études ont montré que les méditations collectives, la prière ou l’intention ciblée orientée vers un certain résultat positif peuvent avoir des effets mesurables.
Par exemple, une étude a été réalisée pendant la guerre israélo-libanaise dans les années 1980. Deux professeurs de l’Université Harvard ont organisé des groupes de méditants expérimentés à Jérusalem, en Yougoslavie et aux États-Unis dans le but précis d’attirer l’attention sur la zone de conflit à divers intervalles sur une période de 27 mois. Au cours de l’étude, les niveaux de violence au Liban ont diminué de 40 à 80% chaque fois qu’un groupe de méditation était en place. Le nombre moyen de personnes tuées chaque jour pendant la guerre est passé de 12 à 3, et les blessures liées à la guerre ont chuté de 70 %. (1)

Un autre grand exemple est une étude menée en 1993 à Washington, D.C., qui a montré une baisse de 25 % du taux de criminalité lorsque 2 500 personnes ont médité pendant une période de temps spécifique avec cette intention. «L’énergie de chaque individu affecte l’environnement collectif. Les émotions et les intentions de chacun génèrent une énergie qui affecte le monde. Un premier pas dans la diffusion du stress sociétal dans le domaine mondial consiste pour chacun d’entre nous à prendre personnellement la responsabilité de ses propres énergies. Nous pouvons le faire en augmentant notre cohérence personnelle et en augmentant notre taux vibratoire, ce qui nous aide à devenir plus conscients des pensées, des sentiments et des attitudes que nous nourrissons le champ chaque jour. Nous avons le choix à chaque instant de prendre à cœur l’importance de gérer intentionnellement nos énergies. C’est le libre arbitre ou la liberté locale qui peut créer la cohésion mondiale.» – Rozman (1)

L’Initiative de cohérence mondiale :
L’Initiative de cohérence mondiale est une initiative de coopération internationale visant à activer le cœur de l’humanité et à faciliter un changement dans la conscience mondiale. Son objectif premier est d’inviter les gens à participer en ajoutant activement plus d’amour, de soins et de compassion dans le champ planétaire. La deuxième est la recherche scientifique sur la façon dont nous sommes tous énergétiquement connectés les uns avec les autres et avec la planète, et comment nous pouvons utiliser cette inter-connectivité, qui est très réelle, pour élever notre vibration personnelle afin d’aider à créer un monde meilleur. Les hypothèses des chercheurs et des scientifiques à l’origine de ce processus sont les suivantes :

Les champs magnétiques de la Terre sont porteurs d’informations biologiquement pertinentes qui relient tous les systèmes vivants.
Chaque personne affecte ce champ d’information global. Un grand nombre de personnes qui créent des états cohérents d’amour, de compassion, et d’empathie peuvent créer un environnement plus cohérent qui profite aux autres et aide à compenser les discordes et incohérences planétaires actuelles.

Il existe une boucle de rétroaction entre les êtres humains et les systèmes énergétiques/magnétiques de la Terre. La Terre a plusieurs sources de champs magnétiques qui nous affectent tous. Deux d’entre eux sont le champ géomagnétique qui émane du noyau de la Terre et les champs qui existent entre la Terre et l’ionosphère. Ces champs entourent la planète entière et servent de boucliers protecteurs contre les effets nocifs du rayonnement solaire, des rayons cosmiques, du sable et d’autres formes de météorologie spatiale. Sans ces champs, la glace telle que nous la connaissons ne pourrait exister sur Terre. Ils font partie de l’écosystème dynamique de notre planète.

Pensez à l’état actuel de notre planète. Nous ne sommes certainement pas en cohérence, avec toute la violence, la guerre, la haine et la cupidité qui affligent encore notre planète, nous avons beaucoup de travail à faire. Nous ne savons pas encore comment ces pensées, émotions et sentiments affectent la planète entière, ni quel type d’information ces expériences codent dans des champs électromagnétiques uniques, ni comment elles interagissent avec celles de la Terre. Mais les choses changent. Il y a définitivement un changement chez les gens qui désirent une meilleure expérience ici sur la planète Terre. Ces domaines énergétiques sont connus des scientifiques, mais il y a encore beaucoup d’inconnues. L’activité solaire et les rythmes qui se produisent dans les champs magnétiques de la Terre ont un impact sur la santé et le comportement. Cela est bien établi dans la littérature scientifique.

La littérature scientifique établit aussi fermement que plusieurs rythmes physiologiques et comportements collectifs globaux sont non seulement synchronisés avec l’activité solaire et géomagnétique, mais que les perturbations dans ces champs peuvent avoir des effets néfastes sur la santé et le comportement humains. «Lorsque le champ magnétique terrestre est perturbé, il peut causer des problèmes de sommeil, de la confusion mentale, un manque d’énergie habituel ou un sentiment d’être sur les nerfs ou submergé sans raison apparente. À d’autres moments, lorsque les champs de la Terre sont stables et que certaines mesures de l’activité solaire sont accrues, les gens rapportent des sentiments positifs accrus et plus de créativité et d’inspiration. Ceci est probablement dû à un couplage entre le cerveau humain, le système cardiovasculaire et le système nerveux avec des fréquences géomagnétiques de résonance.» (1)

La Terre et l’ionosphère génèrent des fréquences allant de 0,01 hertz à 300 hertz, dont certaines se situent exactement dans la même gamme de fréquences que celles de notre cerveau, de notre système cardiovasculaire et du système nerveux autonome. C’est une façon d’expliquer comment les fluctuations des champs magnétiques de la Terre et du Soleil peuvent nous influencer. Il a également été démontré que les changements dans ces domaines affectent les ondes cérébrales, le rythme cardiaque, la mémoire, la performance athlétique et la santé en général. Les changements dans les champs de la Terre dus à l’activité solaire extrême ont été liés à certaines des plus grandes créations artistiques de l’humanité, ainsi qu’à certains de ses événements les plus tragiques. Nous savons comment ces champs nous affectent, mais qu’en est-il de la façon dont nous affectons ces champs ? C’est la vraie question. Les scientifiques de l’Initiative de cohérence mondiale croient que parce que les ondes cérébrales et les fréquences du rythme cardiaque se superposent à la résonance du champ terrestre, nous ne sommes pas seulement des récepteurs d’informations biologiquement intelligents, mais aussi des sources d’informations dans le champ global, créant ainsi une boucle de rétroaction avec les champs magnétiques de la Terre. La recherche indique que les émotions et la conscience humaines codent l’information dans le champ géomagnétique et que cette information codée est distribuée au monde. Les champs magnétiques de la Terre agissent comme des ondes porteuses de cette information qui influence tous les systèmes vivants et la conscience collective. Cette recherche, qui en est encore à ses débuts, a de grandes ramifications. Il fera valoir que nos attitudes, nos émotions et nos intentions ont beaucoup d’importance et que ces facteurs dans le domaine de la science immatérielle peuvent affecter toute la vie sur Terre. Une intention cohérente et de coopération pourrait avoir un impact sur les événements mondiaux et améliorer la qualité de vie sur Terre. Pratiquer l’amour, la gratitude, l’appréciation et l’amélioration de soi-même en tant qu’individu est l’une des nombreuses étapes de l’action visant à changer notre planète pour le mieux.

Que pouvons nous faire pour aider ?
Donc, la prochaine fois que vous êtes contrarié, en colère ou frustré, essayez de vous observer et de voir comment vous réagissez. Vous devez faire tout ce que vous pouvez pour vous sentir bien, notamment faire de l’exercice, manger sainement, réduire au minimum le temps consacré à l’électronique, passer du temps avec des amis, des animaux et plus encore. Vous pourriez vous entraîner à être moins critique et à travailler sur vos intentions en déterminant si elles viennent d’un «bon» endroit. Vous pourriez être plus reconnaissant, vous pourriez aider les autres, et vous pourriez traiter les autres comme ils veulent être traités. Il y a un certain nombre d’outils que vous pourriez utiliser, comme la méditation, par exemple, pour vous aider avec ces étapes d’action. En fin de compte, si vous êtes en paix avec vous-même et que vous avez le contrôle de vos émotions, vous aidez la planète et les autres autour de vous. Si vous êtes constamment en colère, que vous faites du mal aux autres ou que vous avez des intentions négatives, vous pourriez faire exactement le contraire.

Source : https://www.collective-evolution.com/2018/11/29/scientists-explain-how-earths-magnetic-field-connects-all-living-systems/ Traduction : ExoPortail




Voici tout ce qui ne va pas avec le féminisme dominant.

[Source : Le Grand Soir]

Voici tout ce qui ne va pas avec le féminisme dominant.

Auteur : Caitlin JOHNSTONE

Des médias comme MSNBC et Politico ont fait les manchettes enthousiastes avec des titres comme « Le complexe militaro-industriel est maintenant dirigé par des femmes » et « Comment les femmes ont pris le contrôle du complexe militaro-industriel« . Apparemment, quatre des cinq meilleurs « entrepreneurs » de la défense américaine sont maintenant des femmes, dont je ne me donnerai pas la peine d’apprendre les noms ou d’en rendre compte parce que je m’en fiche.

Ces manchettes sont ridiculisées, et à juste titre, par les critiques de l’état d’esprit au sein de l’establishmentet cette auto-parodie caricaturale du libéralisme d’entreprise. Presque tout dans le libéralisme américain se résume en fin de compte à promouvoir le meurtre de masse, l’exploitation et l’écocide à des fins lucratives tout en brandissant des banderoles « Ouais, Vive la diversité ! » pour que la foule du politiquement correct puisse se sentir bien dans sa peau. Mais le fait que ces histoires existent et ont un auditoire illustre les échecs du féminisme dominant.

Beaucoup d’hommes (et parfois des femmes servilement sectaires) aiment se plaindre du féminisme moderne comme si c’était quelque chose qui blesse les hommes, menace les hommes, diabolise les hommes ou les prive de leur place dans la société ou de tout autre prérogative auquel ils auraient droit. Tout cela n’est que bêtise et caprice d’enfant pour la perte de contrôle des hommes sur les femmes, contrôle qu’ils n’auraient jamais dû avoir, pour commencer ; ce sont des maîtres qui se plaignent de perdre leurs esclaves. Ce n’est pas ça le problème du féminisme dominant. Ce qui ne va pas avec le féminisme dominant est parfaitement illustré dans ce défilé médiatique célébrant l’ascension des femmes au sommet de l’industrie la plus dépravée sur terre.Voir l’image sur Twitter

Le problème que le véritable féminisme cherche à résoudre n’est pas celui du nombre de femmes à la tête des entreprises, ni le fait que les Américains ont refusé en 2016 d’élire une femme pour bombarder, exploiter et opprimer. Le problème a toujours été que nous essayons de valoriser les femmes avec un système de valeurs créé par une poignée d’hommes très puissants. En laissant en place le système de valeurs créé par le patriarcat (c’est-à-dire le capitalisme), nous valorisons maintenant les femmes uniquement pour leur capacité à jouer à des jeux d’hommes. Personne n’est jamais devenu milliardaire en étant mère, même la meilleure mère du monde, et personne ne le sera jamais parce que le capitalisme a été conçu par les hommes, pour les hommes, pour valoriser les qualités des hommes. Ce qui a créé un déséquilibre menaçant pour les espèces parce que l’inégalité fait partie intégrante du système. Dans les années 60, lorsque les hommes ont autorisé à contrecœur les femmes à sortir de leurs cages-foyers, ils l’ont fait à la condition de ne pas changer. Les femmes pouvaient participer au jeu, mais ce sont elles qui devaient changer. Comme d’habitude.

Il est intéressant de revenir à des textes précurseurs comme « The Female Eunuch » de Germaine Greer et de voir combien à l’époque les féministes passaient de temps à réfléchir à la façon dont les femmes pouvaient être payées pour le travail domestique et l’éducation des enfants. Il y a cinquante ans, les féministes voyaient bien comment la violence financière sévissait dans le cadre du mariage parce que les femmes ne sont pas payées pour la majorité de leur travail. Ils comprenaient qu’il fallait corriger cela pour que les femmes puissent un jour être vraiment libres. Si vous n’êtes pas payé, vous ne pouvez pas partir, et si vous ne pouvez pas partir, vous êtes un esclave. Aujourd’hui, et malgré tous les acquis du féminisme, si vous osez suggérer que les femmes soient payées pour avoir des enfants, vous serez raillés. A un moment donné, il fut décidé que, d’accord, très bien, vous pouvez être un faux homme si vous le voulez, mais ne vous attendez pas à être valorisée pour autant. Les hommes ont refusé d’accorder de la valeur au travail des femmes, c’est pourquoi la plus grande partie de ce travail est encore essentiellement de l’esclavage. Ce fut une erreur cruciale et menaçante pour la planète.

En refusant de valoriser les femmes et les compétences qu’elles apportent naturellement, l’humanité a continué à ne pas valoriser le méta travail féminin. Nous avons continué à ne pas valoriser la santé de notre environnement, l’état de notre cohésion sociale, la santé mentale des uns et des autres. En refusant d’accorder une valeur absolue à l’environnement, à la santé, à la solidarité, à la redistribution des biens, au recyclage, à la collaboration et au bonheur, nous renforçons tous leurs contraires.

Beaucoup d’hommes rétorqueront qu’ils sont eux aussi esclaves de la corporatocratie, et c’est vrai. C’est ce que vous obtenez lorsque vous ne changez pas un système de valorisation qui a été créé par des propriétaires d’esclaves pour distraire leurs esclaves de les tuer et pour qu’ils continuent à travailler quand même. C’est ce que vous obtenez quand vous insistez pour que tout le monde change pour s’adapter à un système qui a été créé par le pouvoir pour maintenir le pouvoir en place. Nous rions des peuples autochtones qui ont été bernés à céder de vastes étendues de terres en échange d’une poignée de coquillages, alors que nous mêmes aujourd’hui offrons notre travail, nos terres, nos droits et nos libertés en échange d’une poignée de rectangles de papier.

Le vrai féminisme ne soutient pas que le monde serait mieux loti si les femmes dirigeaient ; passer d’un sexe à l’autre ne changerait pas grand-chose tant que le système actuel d’évaluation des valeurs demeurera en place. Le vrai féminisme soutient que toute l’humanité doit changer son système de valeurs pour un système qui récompense le travail féminin autant que le travail masculin, au lieu de récompenser seulement les femmes quand elles réussissent à gravir l’échelle du paradigme patriarcal.

Lorsque des femmes contrôlent le complexe militaro-industriel, ce n’est pas du féminisme, c’est de la masculinité toxique. C’est le fruit du système de valorisation qui pollue notre air, empoisonne notre eau, remplit les océans de plastique, rase les forêts tropicales et nous rapproche de l’Armageddon nucléaire. Le vrai féminisme, c’est se détourner d’un système de valeurs toxiques qui récompense les sociopathes les plus ambitieux, pour aller vers un système qui valorise l’empathie, la collaboration, l’éducation et la paix.

Caitlin Johnstone

Traduction « tant qu’on accordera plus d’importance à ce que l’on a entre les cuisses qu’entre les oreilles… » par VD pour le Grand Soir avec probablement toutes les fautes et coquilles habituelles.

Source : https://medium.com/@caityjohnstone/this-is-is-that-is-that-is-wrong-wi…

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