Poutine un « tueur » ? Réponse du Président russe à Biden

[Source : Le Cri des Peuples]

[…] Polina Bolbochan, Coordinatrice des bénévoles du Festival international de musique et représentante de l’Université fédérale de Crimée : Monsieur le Président, j’ai une question un peu personnelle pour vous. Hier, le Président Biden a été assez dur dans son entretien, y compris à votre égard. Que lui diriez-vous ?

Vladimir Poutine :

En ce qui concerne la remarque de mon homologue américain [qui a qualifié Poutine de « tueur » à qui il ferait « payer cher ses actions »], nous nous sommes effectivement, comme il l’a dit, rencontrés en personne. Que lui répondrais-je ? Je dirais « Restez en bonne santé ! ». Je lui souhaite une bonne santé. Je dis cela sans ironie ni arrière-pensées. C’est mon premier point.

Deuxièmement, en adoptant une approche plus large de cette question, je voudrais dire que les événements difficiles, dramatiques et sanglants abondent dans l’histoire de chaque nation et de chaque État. Mais lorsque nous évaluons d’autres personnes, ou même d’autres États et nations, nous semblons toujours être face à un miroir, nous nous voyons toujours dans le reflet, car nous projetons notre for intérieur sur l’autre personne.

Vous savez, je me souviens que quand nous étions enfants et que nous jouions dans la cour de récréation, nous avions des disputes de temps en temps et nous disions [en réponse à une insulte] : « C’est celui qui le dit qui l’est ». Ce n’est pas une coïncidence ou juste une blague d’enfants. Ce propos exprime une vérité psychologique très profonde. Nous nous voyons toujours dans une autre personne et pensons qu’elle est comme nous, et évaluons les actions de l’autre en fonction de notre propre vision de la vie.

[Voir : L’utilité des miroirs et de l’observateur]

En ce qui concerne le gouvernement américain, la classe dirigeante — je ne parle pas du peuple américain, qui est majoritairement composé de gens honnêtes, dignes et sincères qui veulent vivre en paix et en amitié avec nous, une chose dont nous avons conscience et que nous apprécions, et nous comptons sur lui pour l’avenir —, mais pour ce qui est de la classe dirigeante américaine, son état d’esprit s’est formé dans des circonstances plutôt difficiles dont nous sommes tous conscients. Après tout, la colonisation du continent américain par les Européens est allée de pair avec l’extermination des populations locales, le génocide, comme on dit aujourd’hui, le génocide pur et simple des tribus indiennes suivi d’une période très dure, longue et difficile de l’esclavage, une période très cruelle. Tout cela a fait partie de la vie en Amérique tout au long de l’histoire des États-Unis et jusqu’à ce jour. Sinon, d’où viendrait le mouvement Black Lives Matter ? Jusqu’à ce jour, les Afro-Américains sont confrontés à l’injustice et même à l’extermination.

La classe dirigeante des États-Unis a tendance à aborder les questions de politique intérieure et étrangère en se basant sur de telles considérations [racistes et criminelles]. Après tout, les États-Unis sont le seul pays à avoir utilisé des armes nucléaires, qui plus est contre un État non nucléaire, le Japon, à Hiroshima et à Nagasaki à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Il n’y avait absolument aucun besoin militaire justifiant ce bombardement. Ce n’était rien d’autre que l’extermination de civils. J’en parle, car je sais que les États-Unis et leurs dirigeants sont déterminés à maintenir certaines relations avec nous, mais sur des sujets qui intéressent les États-Unis et selon leurs propres termes. Même s’ils croient que nous sommes comme eux, nous sommes différents ! Nous avons un code génétique, culturel et moral différent. Mais nous savons comment défendre nos intérêts. Nous travaillerons avec les États-Unis, mais dans les domaines qui nous intéressent et à des conditions qui nous semblent bénéfiques pour nous. Ils devront en tenir compte malgré leurs tentatives visant à arrêter notre développement, malgré les sanctions et les insultes. Ils devront en tenir compte et reconnaître [qu’ils doivent traiter avec nous sur un pied d’égalité et non depuis une position de domination, de pression et de coercition].

En gardant à l’esprit nos intérêts nationaux, nous développerons nos relations avec tous les pays, y compris les États-Unis. C’est en gros tout ce que je veux dire à ce sujet. […]




De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

[Source : Les 7 du quebec]

Par Dominique Delawarde.

Contexte historique, affaire Médiator

Le 29 mars prochain, l’un des plus grands scandales sanitaires ayant directement concerné notre pays va trouver son épilogue. C’est celui du Médiator.

Près de 5 000 victimes, 376 avocats,  25 prévenus révèlent l’ampleur de ce  scandale dans lequel sont impliqués le laboratoire pharmaceutique Servier (le corrupteur), mais surtout les présumés corrompus, de l’appareil exécutif, politique ou sanitaire de notre pays, poursuivis par la justice (source pour la liste nominative ci dessous: Wikipedia)

Marie Thèrèse Hermange, ancienne sénatrice, rapporteur du rapport sénatorial sur le Médiator de 2011, mise en examen pour trafic d’influence ou complicité de trafic d’influence (selon les sources). Claude Griscelli, Professeur de médecine, soupçonné d’avoir fait modifier le rapport sénatorial sur le Médiator de 2011 par Marie Thèrèse Hermange, consultant médical au laboratoire Servier pour 90000 euros/an. Mis en examen pour trafic d’influence. Jean-Michel Alexandre, président de la commission d’autorisation de mise sur le marché (AMM) au ministère de la Santé de 1985 à 1993, puis directeur de l’évaluation du médicament de l’Agence du médicament de 1993 à 2000. À sa retraite, il devient consultant pour Servier via une société écran, rémunéré plus de 1,1 million d’euros pour la période 2001-2009. Il est soupçonné d’avoir été mis sous influence financière par Servier lorsqu’il était fonctionnaire. Éric Abadie (décédé), directeur de l’évaluation à l’Afssaps à partir de 2007, chargé de la pharmacovigilance, mis en cause pour avoir caché que son épouse était l’avocate des laboratoires Servier. Dominique Maraninchi mis en examen pour homicides et blessures involontaires comme représentant légal de l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament). Michel Detilleux, Jean-Roger Claude et Bernard Rouveix: experts rémunérés par Servier qui siégeaient simultanément à des commissions des autorités de santé statuant notamment sur des produits du groupe pharmaceutique, ils sont mis en examen pour «prise illégale d’intérêts». Jacques Massol, ancien membre de la Haute Autorité de santé et de la Direction générale de la santé, et François Lhoste, ancien chargé de mission au ministère de la Santé, sont mis en examen pour «prise illégale d’intérêts».

Outre les chefs d’inculpation retenus contre les personnes physiques, ceux retenus contre les personnes morales  (laboratoire Servier, ses filiales et l’ANSM sont, eux aussi édifiants: «tromperie aggravée», «homicides et blessures involontaires», et «escroquerie» au préjudice de la sécurité sociale et des mutuelles.

Rappelons que les effets nocifs du Médiator  étaient dénoncés dès 1997 dans «la revue Prescrire», que ce médicament avait été retiré du marché en Italie (2003) et en Espagne (2004) pour ses effets nocifs, mais qu’il a pu se maintenir en France jusqu’en Novembre 2009 grâce à la corruption par «Big Pharma» qui gangrène les institutions politiques et sanitaires de la France. Il est surprenant et choquant pour les honnêtes gens et pour les victimes, qu’il ait fallu 11 ans pour que justice soit rendue dans cette affaire alors que plusieurs prévenus et de nombreux plaignants sont déjà décédés.

Il ne serait pas surprenant, en revanche, que l’ampleur et l’étendue de la corruption étant ce qu’elles sont devenues, aujourd’hui, dans notre pays, le verdict du 29 mars dans le procès du «Médiator» soit plus clément qu’attendu pour les corrupteurs et les corrompus …«Selon que vous serez puissant ou misérable les jugements de cour vous rendront blanc ou noir …..».

C’est dans ce contexte judiciaire que survient la pandémie de la Covid-19. Il nous faut bien constater, hélas, ce qui apparaît de plus en plus clairement dans la gestion calamiteuse de cette épidémie en France, que rien n’a véritablement changé pour ce qui est de la corruption  encore trop importante d’une partie de notre personnel politique et de nos institutions sanitaires.

Ce n’est pas sans raisons que Transparency International a déjà dénoncé cette corruption par l’industrie pharmaceutique, 
https://www.lesechos.fr/2016/06/transparency-international-denonce-la-corruption-dans-lindustrie-pharmaceutique-207127  et  que celle-ci a été, dans le passé, régulièrement pointée du doigt, arguments à l’appui, par certains médias.   
https://www.monde-diplomatique.fr/2003/10/RIVIERE/10610

Ce qui pose problème aujourd’hui, c’est que les médias mainstream français ne dénoncent plus ce genre de «détails». Ils font cause commune avec les laboratoires pour une raison très simple. Une poignée de milliardaires ont pris le contrôle de 90% des médias en France. La connivence et la collusion entre eux et les politiques au pouvoir qui accordent les subventions sont d’un intérêt mutuel bien compris. Leur connivence et leur collusion avec les milliardaires qui contrôlent Big Pharmales GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft), les banques et la spéculation boursière, sont également d’un intérêt mutuel bien compris. Les requins ne se dévorent pas entre eux, surtout lorsqu’ils appartiennent au petit monde qui contrôle la finance et l’économie mondiale et qu’ils appartiennent, le plus souvent, à la même communauté.

Corrupteurs et corruptibles 

Mais pour qu’il y ait des corrupteurs, encore faut-il qu’il y ait des responsables politiques et sanitaires prêts à se laisser corrompre. C’est, hélas, trop souvent le cas au sein de la commission européenne et du parlement européen mais aussi au sein des exécutifs de tous les états de l’UE, et, pour ce qui nous concerne, au sein de l’exécutif français et de ses instances sanitaires.

En janvier 2020, 11 882 lobbies étaient inscrits au registre européen dit «de transparence»:   
https://www.touteleurope.eu/actualite/fact-checking-bruxelles-strasbourg-nids-de-lobbyistes.html Selon les sources, de 25 000 à 30 000 lobbyistes exerceraient leur influence à Bruxelles dont 7 526 accrédités auprès d’un parlement qui ne compte pourtant que 751 membres …..

L’affaire du Remdesivir

Analyser les sagas concernant l’achat massif par l’Europe et la promotion surprenante d’un médicament notoirement nocif (Remdesivir) qui rappelle fâcheusement le précédent du Médiator.  Analyser le choix d’un cabinet de conseil sur la stratégie vaccinale d’une campagne de vaccination française chaotique et désorganisée, avec des vaccins encore «expérimentaux» et donc non «aboutis», tout cela est édifiant pour qui accepte de se livrer à cet exercice.

Il ne fait plus aucun doute aujourd’hui que le bras de fer mené par les suppôts corrompus de Big Pharma et leurs relais complices des médias mainstream contre la chloroquine et l’azytromicine recommandées par le professeur Raoult n’avait qu’un seul but: promouvoir le Remdesivir et le vaccin, au plus grand profit de Big Pharma …. La pitoyable étude du Lancet, rétractée pour fraude avérée, mais prétexte, en France, à l’interdiction faite aux médecins de ville de prescrire, a montré de triste manière jusqu’où les corrupteurs de Big Pharma pouvaient aller et à quel point ils pouvaient réussir leur manœuvre  auprès d’un appareil exécutif peut être plus corrompu qu’ailleurs.

La technique utilisée dans cette «guerre de l’information» était bien connue et a été parfaitement décrite par Anne Morelli.  Le 3ème principe élémentaire de cette propagande de guerre contre la chloroquine a été utilisé: il consistait à répéter un mantra (ce que BFMTV et France Intox savent faire et font à longueur de journée): «le chef du camp adverse (Raoult) a le visage du diable (ou «du charlatan de service»).

Faire douter l’opinion, salir, décrédibiliser, détruire le chef du camp adverse, c’est remporter la partie. Manque de chance pour les corrompus, Raoult est un «géant» et il n’était pas seul. Il avait à ses côtés son équipe de professeurs d’élite de l’IHU de Marseille, tous plus titrés les uns que les autres, dont aucun n’a fait défaut ou n’a trahi ses convictions malgré les sollicitations dont ils ont du faire l’objet. Il avait derrière lui des dizaines de milliers de médecins français, des centaines de milliers de médecins dans le monde entier qui soutenaient et appliquaient son protocole.  Une étude anglosaxonne a d’ailleurs montré que les deux médicaments les plus prescrits contre la Covid dans le monde, par les médecins de terrain, ont été   1 – l’Azytromycine 54% et 2 – la chloroquine 49% avec des résultats «observés» bien meilleurs que dans tous les pays qui ont fait l’impasse sur ces traitements efficaces et peu onéreux. https://www.maltraites-ledoc.com/

S’agissant de la stratégie vaccinale en France, les plus hauts niveaux de l’État français ont fait appel à un cabinet US (Mc Kinsey) pour la diriger. Ceci doit inciter le citoyen français à se poser quelques séries de questions:

1 – N’existe-t-il pas, en France, suffisamment de structures compétentes pour remplir ce genre de mission ? Pourquoi faire appel et sous traiter à un cabinet de conseil US une mission qui concerne directement les intérêts et la santé des français ? La gestion US de la crise sanitaire, la plus mauvaise au monde si l’on s’en tient aux résultats, doit-elle être considérée comme un modèle à suivre par nos dirigeants ?

2 – Pourquoi choisir le «sulfureux» cabinet conseil Mc Kinsey dont l’histoire récente a été marquée par des scandales à répétition ? Ce cabinet vient tout juste de verser 573 millions de dollars pour clore les procédures engagées contre lui par 49 États US, après la mort de 500 000 Américains suite à un usage abusif d’opioïdes (conseillés par McKinsey). Ce cabinet est  également  à la  base du  plus gros scandale financier de l’Histoire: ENRON !   voir le paragraphe scandales et controverses sur l’article de Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/McKinsey_%26_Company

3 – N’y aurait-il pas encore derrière le choix d’un cabinet mafieux, US de surcroît, une nouvelle saga de corruption dont l’appareil d’État français semble aujourd’hui avoir le secret?

S’agissant des attitudes contrastées de l’exécutif sur l’administration du vaccin AstraZeneca à la population, on note celle de Mr Véran s’accrochant,  comme ses prédécesseurs  l’avaient fait en soutien du Médiator, à l’innocuité  du produit, s’opposant aux décisions prises dans 7 pays européens et en Afrique du Sud.  On note avec amusement teinté de scepticisme et de mépris pour  l’intéressé, que le vaccin est, pour lui, inoffensif donc recommandé malgré quelques «rares??» effets secondaires. https://www.francesoir.fr/societe-sante/deces-post-vaccination-le-droit-de-savoir  mais qu’en revanche, la chloroquine qui, administrée aux bonnes doses en début de maladie, est efficace et sans aucun effet secondaire sur des millions de patients, reste interdite de prescription en France (?????)

S’agissant du Président, qui gère beaucoup mieux que son ministre son risque pénal en se défaussant sur la décision de l’Agence Européenne du médicament, il n’ignore pas, évidemment, que cette agence européenne est aujourd’hui la plus corrompue de toute, ce que l’on peut comprendre lorsque des dizaines de milliards de profit sont en jeu pour Big Pharma… On connaît d’avance la préconisation qui sera faite et qui ne tiendra, évidemment, aucun compte de l’intérêt et de la santé des populations européennes.

Lorsqu’on prend conscience du marigot putride de corruption dans lequel baignent nos institutions européennes et nationales, on ne s’étonne plus qu’un sondage récent révèle qu’Emmanuel Macron inspire principalement de la “colère” (28%), du “dégoût” et  du “désespoir”  (21%), de la honte (18%) aux Français 
https://www.tvlibertes.com/actus/un-sondage-revele-quemmanuel-macron-inspire-principalement-de-la-colere-du-degout-et-du-desespoir-aux-francais

Rien d’étonnant non plus que des appels argumentés à la résistance civile se multiplient sur la toile: 
https://videos.files.wordpress.com/kAglcnp3/appel-a-la-resistance-civile-et-au-reveil-des-consciences_mp4_dvd.mp4

Rien ne vaut, pour conclure, un peu d’humour lié à la situation que nous connaissons:

Moins drôle :  La crise sanitaire a coûté plus de 160 milliards d’euros à l’État en 2020 (lefigaro.fr)




Le responsable de l’enquête norvégienne confirme que le vaccin d’AstraZeneca a provoqué des caillots sanguins rares dus à une réaction immunitaire inattendue

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

Le chef de l’enquête norvégienne et médecin Pal Andre Holme, qui a examiné les trois professionnels de santé hospitalisés, a confirmé que c’est bien le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca qui a provoqué les caillots sanguins rares dus à une réaction immunitaire inattendue.

Auparavant, l’un des trois agents de santé admis au Rikshospitalet de Norvège est décédé. Ils ont tous été traités pour une maladie très rare :

  • Ils sont arrivés avec une douleur aiguë;
  • Ils avaient des caillots sanguins dans des endroits inhabituels, comme l’estomac et le cerveau;
  • De plus, ils avaient des saignements et un faible nombre de plaquettes.

Plus tard, l’Union européenne a convoqué un sommet d’urgence sur les vaccins après que plus d’une douzaine de pays européens ont décidé de ne plus utiliser le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca en raison de graves incidents de caillots sanguins signalés dans de nombreux pays.

Un groupe du Rikshospitalet, dirigé par le responsable de l’enquête norvégienne et médecin Pal Andre Holme, s’est efforcé de découvrir pourquoi trois agents de santé de moins de 50 ans ont été admis pour de graves caillots sanguins après avoir pris le vaccin d’AstraZeneca.

Les experts ont travaillé sur la base d’une hypothèse selon laquelle les vaccins ont déclenché une réaction immunitaire inattendue chez les agents de santé malades, ce qui a provoqué une combinaison de caillots sanguins et une diminution des plaquettes.

Alors que nous attendons la décision de l’Agence européenne des médicaments, le principal investigateur et médecin norvégien a confirmé de manière sensationnelle que le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca a déclenché une réaction immunitaire inattendue à l’origine des rares caillots sanguins.

“En collaboration avec le département d’immunologie avancée des plaquettes de l’UNN, nous avons maintenant détecté des anticorps spécifiques contre les plaquettes qui peuvent provoquer une telle réaction, dont nous avons déterminé la cause”, explique le chercheur.

Nous avons la raison. Et il n’y a rien d’autre que le vaccin qui puisse expliquer la réponse immunitaire que nous avons observée.

Parce que nous n’avons pas d’autres antécédents chez ces patients qui peuvent donner une réponse immunitaire aussi forte. Je suis pratiquement sûr que ce sont ces anticorps qui en sont la cause, et je ne vois pas d’autre raison que celle-là – c’est le vaccin qui la déclenche.

M. Holme insiste sur le fait que ce ne sont pas les anticorps présents dans le sang en général qui posent problème. “Nous parlons d’anticorps très spécifiques”.

On prend le vaccin pour obtenir une réponse immunitaire à ce contre quoi on doit être protégé. On obtient alors, entre autres, le développement d’anticorps. Certains anticorps peuvent alors réagir de manière à activer les plaquettes, comme dans ces cas-là, et provoquer un caillot de sang. Et comme ces anticorps sont à la surface, ils sont éliminés de la circulation, d’où un taux de plaquettes trop faible.

Le comité des effets secondaires de l’Agence européenne des médicaments (EMA), où siège également la Norvège, se réunit jeudi au sujet de cette affaire et devrait faire une déclaration.

Une fois que l’EMA aura publié une déclaration, il appartiendra aux autorités nationales de décider de la marche à suivre pour leurs pays respectifs.


Sources : 
https://greatgameindia.com/astrazeneca-immune-response-blood-clots/
https://www.vg.no/nyheter/innenriks/i/QmwR1V/professor-om-mistenkte-vaksinebivirkninger-aarsaken-er-funnet
Traduction par https://cv19.fr




Vaccins et traitements : les masques tombent et vont tomber

[Source : Le quotidien du médecin]

Par Gérard Maudrux

Le vaccin Astra Zeneca bat de l’aile. Est-ce la petite goutte d’eau qui va faire déborder le vase ? C’en est une, il va y en avoir d’autres, dans les semaines et les mois à venir, et encore dans quelques années on découvrira des secrets bien gardés.

On a mis des années pour admettre que le nuage de Tchernobyl ne s’était pas arrêté à la frontière, et que le discours rassurant des autorités de l’époque était mensonger, et de plus dangereux car a empêché de prendre les précautions qu’il fallait.

L’histoire se répète car rien n’a changé dans notre pays. Cette fois, c’est la gestion, et surtout le traitement de l’épidémie de Covid-19 qui va exploser en montrant ses dessous. Christian Perronne écrivait il y a 9 mois Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ?. Oui, et il pourrait en écrire un second car il y en a eu d’autres, notamment la gestion des traitements, de la recherche à la validation.

Le vaccin Astra Zeneca n’est que la partie émergée de l’iceberg des traitements. Vous l’avez lu partout : de plus en plus d’accidents avoués, de plus en plus d’accidents cachés, mais encore hier, nos gouvernants, nos scientifiques, la presse, nous expliquaient qu’il ne fallait pas céder au complotisme. Il a fallu que le reste du monde bouge, car sans eux, nous aurions toujours le même discours, les mêmes mensonges. On tente encore de nous rassurer, l’OMS, l’Europe vont nous rassurer et dire que nous avions raison. Ce discours montre que nos autorités sont incapables de voir ce qui se passe sur le terrain, d’en tirer des conclusions, et d’agir. Ils s’en remettent aux autres pour observer, pour décider. Que va-t-il sortir de ces décisions Européennes ? Un discours rassurant, mais croyez-vous que les pays qui ont décidé d’arrêter, en leur âme et conscience, sans attendre les autres, vont se déjuger ? Face à cette situation, même si on redonne l’autorisation, croyez-vous que les gens vont accepter de l’Astra ?

Le problème Astra révèle nombre de problèmes, et vous verrez que cela va suivre avec les autres traitements qui ont été bloqués systématiquement. Pour l’Ivermectine, vous apprendrez bientôt bien pire. Nous allons apprendre aussi que les antibiotiques, ça marche, et vous saurez un jour pourquoi et qui a bloqué tout cela depuis le début. D’autres masques vont tomber progressivement. La vérité finit toujours par sortir un jour.

Astra, après le Remdesivir, le Bambalaba, le refus de certaines RTU, c’est la faillite de nos autorités sanitaires. Chargées de vérifier, de certifier, elles ont montré qu’elles en étaient incapables. Le Boeing 737 Max est un autre exemple de ces « certifications ». Le dossier, la certification ont été faits par Boeing, les autorités « compétentes » n’ont fait que valider. Il a fallu des morts pour voir comment cela se passait en réalité. Cela se passe exactement de la même manière avec les médicaments. Le labo fait le dossier, ceux qui sont chargés de vérifier ne vérifient pas (d’ailleurs on a vu que maintenant on commandait avant de savoir si cela allait être certifié). Pourquoi les effets secondaires actuels, ne sont pas apparus dans les études ayant servi à la certification ? Tout est là. On n’est même pas sûrs de l’immunité, de sa durée, mais on valide quand même, sans précautions. Et quand il n’y a pas de labo pour monter leur propre dossier de validation, comme pour l’Ivermectine, les autorités ont des problèmes, on dirait qu’elles ne savent pas faire.

Nos autorités, pour traiter le Covid ne font rien, elles s’en remettent à l’industrie pharmaceutique. « Des chercheurs qui cherchent, on en trouve. Des chercheurs qui trouvent, on en cherche », disait le Général De Gaulle. 50 ans après, on cherche toujours.

Pour revenir à l’Ivermectine, et à d’autres traitements qui pourraient rendre service, tombés dans le domaine public, avez-vous remarqué d’où viennent les études ? Inde, Bangladesh, Iran, Irak, Colombie, Pérou, république Dominicaine, Argentine, etc. Rien, strictement rien chez nous. On n’a plus de chercheurs ? Regardez pour les vaccins, 200 dans le monde, combien au pays de Pasteur ? Nous sommes tombés très très bas. Non seulement nous sommes très bas, mais nous refusons de voir ce qui se passe dans ces pays qui ne méritent pas notre attention. Ce sont des « petits », nous nous somme un grand pays, qui a marqué le monde avec sa médecine, nous n’avons de leçons à recevoir de personne.

Pourtant il y a des médecins qui cherchent à traiter, qui demandent à tester ici et là, mais on leur refuse, c’est pour cela que nous ne publions rien. Et quand il y en a un qui passe outre, qui a les moyens de le faire, tout le monde lui tombe dessus et le traite de charlatan. Alors où est-ce que cela s’arrête ? Connaissez-vous l’Inserm ? Le comité REACTing ? C’est là que passent une bonne partie des bonnes volontés qui se font casser.

C’est là qu’est passé un de nos confrères qui après avoir constaté les bienfaits d’une cure d’Ivermectine en Ehpad (avant la même histoire en Seine et Marne), a voulu reproduire la chose dans d’autres Ehpads pour vérifier, prouver. Il avait les fonds, un groupe prêt à suivre, réponse : non, on ne vérifie pas, on ne cherche pas de traitement. Pire ces gens ne savaient pas ce qui se passait dans les Ehpads, ne voulaient pas le croire, ne connaissaient pas l’Ivermectine, l’Onchocercose. Tout ce qu’ils ont sorti comme excuse, c’est l’étude frauduleuse de 1997 (patients badigeonnés avec 2 insecticides mortels en sus de Ivermectine). « Vous allez tuer les patients », avec un médicament qu’ils ne savaient pas avoir le meilleur rapport bénéfice/risque au monde. Ils ont refusé de regarder.

Franz-Olivier-Giesbert dans Le Point du 11 mars, racontait que du temps des communistes, il racontait à un cadre du PC avoir vu des prostituées en bas de son hôtel. « C’est impossible, lui a-t-on répondu, il n’y a pas de prostituées en Union Soviétique ». « Si, si, j’ai bien vu, venez vérifier avec moi ». « C’est inutile, le communisme a mis fin à la prostitution ». Pas besoin d’aller voir, c’est comme ça. Eh bien il en est de même avec l’Ivermectine. Allez voir Mme Castigliola de l’Inserm, membre du comité REACTing, que l’on voit partout, qui écrit partout contre l’Ivermectine. Pas la peine de faire des essais pour savoir si cela marche, parce que cela ne marche pas, point. Voilà pourquoi on n’essaie pas de trouver un traitement pour le Covid.

Et ces gens-là, pendant qu’on rame sur le terrain avec les patients, s’auto-congratulent, se distribuent des médailles, comme pour les 7 d’or. Les Grands prix de l’Inserm 2020 ont récompensé ceux qui ont œuvré pour le traitement de l’épidémie du Covid. De Gaulle aurait bien aimé savoir ce qu’ils ont trouvé pour justifier ces prix.

Voici les lauréats des prix 2020 décernés en décembre :

Grand Prix, Dominique Costagliola, qui « a mis son expertise de la recherche anti-VIH au service de la lutte anti-Covid dans le cadre de REACTing ».

Prix recherche, Florence Ader, « qui a piloté Discovery » (avec succès, on attend toujours le résultat). « Si à ce jour, les premiers traitements proposés n’ont pas fait preuve d’efficacité, le formidable réseau de recherche clinique créé à cette occasion est opérationnel pour permettre d’essayer de nouveaux traitements candidats contre la covid-19. » (Sic)

France Mentré, « responsable méthodologie de Discovery ». Méthode, on l’a vu, efficace.

Prix OPECST-INSERM, Yazdan Yazdanpanah. Tête pensante de REACTting avec La Castafiore.

Prix innovation, Frédérique Lesaulnier. Déléguée à la protection des données.

Hélène Espérou. Chargée des projets de recherches cliniques.

Jean Christophe Hébert, montages juridiques des projets de recherche.

Voilà pour la brochette de chercheurs récompensés pour leur « excellence scientifique au service de la lutte contre la pandémie de Covid-19 », ce n’est pas moi qui le dit, c’est l’Inserm, c’est le titre du communiqué. Moi en matière d’excellence, je n’ai pas vu de traitement sortir, et n’ai vu que des blocages et des échecs. J’ai dû rater quelque chose.

Il fut un temps où l’on récompensait la réussite et les résultats, maintenant on récompense ceux qui bloquent, cachent et échouent.

Pourquoi ont-ils échoué ? Tout comme les soviets niaient les prostituées en refusant de regarder dans la rue, nos « excellents scientifiques » nient l’existence de traitements car ils refusent de regarder. Les pays étrangers refusent Astra après avoir vu ce qui se passait sur le terrain, nous avons continué à le saluer parce que notre « élite » refuse de regarder ce qui se passe sur le terrain. Et si leurs décisions ne sont guidées que par ce qui se passe chez nos voisins, à l’OMS ou à l’Agence Européenne du médicament, à quoi servent toutes nos agences, comités et fonctionnaires ?

Avec un Président qui depuis 2 mois ne peut plus voir ces « conseils scientifiques » (j’en ai 2 preuves matérielles), ne supporte plus son ministre de la Santé, a dû prendre la main sur Astra ; avec un Ministère qui asphyxié par le nombre de (hauts) fonctionnaires énarques est obligé d’avoir recours systématiquement à des agences étrangères pour des expertises (on paye des gens pour faire le boulot, et on le fait faire à d’autres, cf les 28 études commandées) ; avec des agences qui ne savent que suivre les avis des agences étrangères et des gros labos ; avec nos nombreuses institutions de chercheurs qui ne cherchent pas et refusent que d’autres cherchent, chez nous, on n’a pas de prostituées (des labos), mais le bordel. Maintenant, vous me direz que ce n’est pas vrai, il n’y a plus de bordel depuis la Loi Marthe Richard du 13 avril 1946, je vous répondrais si, si, regardez par la fenêtre et vous verrez, encore faut-il que vous regardiez.




Le passeport sanitaire est-il un prélude à l’apartheid ?

Par Alain Tortosa

Celui-ci s’inscrit totalement dans l’optique de séparation des peuples et de la création de castes.

La quête de la sécurité, objet de notre asservissement

Depuis des dizaines d’années, la dictature nous est vendue au nom de la fameuse « sécurité ».

Dans les années 1970, il était possible de fumer dans des avions, dans des trains, dans des restaurants.

Le casque n’était pas obligatoire en moto ni même les ceintures de sécurité dans les autos. Il n’y avait pas de radars sur les routes… Il était possible de se baigner à ses risques et périls avec un drapeau rouge et la mer démontée… Et qui aurait eu l’idée de mettre un casque pour faire du ski ?

Toutes ces libertés, que vous avez le droit de considérer aujourd’hui comme « irresponsables » sont grignotées d’années en années pour notre « bien » et notre « sécurité ».

Rendez-vous compte qu’il y a sur la planète plus de caméras de surveillances que d’humains tout ça pour notre « sécurité » et demain ce sera la « 5G » !

Il n’existe plus d’imprévus, plus de hasards, plus de catastrophes ou de morts naturelles…

Dans cette société folle où l’accident a disparu, il n’y a plus que des « responsables ».

Ce monde est à ce point fou et délirant, qu’un ouragan dévastateur n’est plus une catastrophe naturelle, mais directement induite par l’activité humaine et le fameux réchauffement climatique, outil merveilleux au service de la dictature !

C’est donc au nom de cette « sécurité » que les hommes demandent de plus en plus leur asservissement.

Et nous arrive un virus conduisant à la généralisation de la paranoïa

Chance, opportunité ou travail en laboratoire, voici qu’un gentil virus nous est arrivé en 2020. Rendez-vous compte qu’il avait d’odieux, de tuer des humains, alors même que la mort naturelle est devenue quasi interdite dans nos sociétés modernes où tout événement doit être maîtrisé.

Alors, erreur de fabrication ou pas, ce gentil virus ne tuait quasi personne et, de plus, sa nature darwinienne, faisait qu’il agissait par sélection naturelle, faisant perdre quelques semaines ou quelques mois d’espérance de vie à des personnes proches du décès, aux défenses immunitaires défaillantes.

Qu’à cela ne tienne, les autorités de « santé », notre « ami » Bill, l’OMS, les politiques et les « gentils » médecins corrompus nous ont bien sûr lavé le cerveau tous les jours depuis un an, nous mentant et nous expliquant que le « fléau » n’épargnait personne, pas même les enfants !

Nous voyons sur nos écrans quasi tous les jours des chefs de service sans la moindre conscience oser nous dire qu’ils placent en réanimation des personnes jeunes et en bonne santé alors que ce n’est que pur mensonge statistique. Et pourquoi ? Pour avoir plus de budget ? Obtenir de nouveaux lits de réanimation, une promotion ?

Vaste question…

Ce virus n’était pas, de fait, suffisamment mortel et surtout trop sélectif pour faire paniquer la population mondiale.

Pour faire de nous des esclaves terrorisés, décérébrés et obéissants, il était vital de faire de tout humain un psychopathe qui s’ignore et une menace pour tous les autres.

Les autorités, dans leur plus grande ignominie, n’ont donc pas hésité à mettre en scène des petits-enfants responsables de la mort de leurs grands-parents.

Vous, moi, mon voisin et même des nouveau-nés sommes devenus des porteurs asymptomatiques qui s’ignorent, pouvant propager la mort. Le délit de bonne santé était généralisé !

Comment accepter une telle « incertitude », un tel « risque » pour nos vies dans un monde aseptisé où tout doit être sous contrôle et sécurisé ?

Pas au 21e siècle !

C’est ainsi que le port du masque a été imposé pour rendre réelle et visible une épidémie dont vous et moi ignorerions encore l’existence sans cette manipulation mondiale.

En 2019 l’évocation d’un port du masque obligatoire, en tout lieu et en toute circonstance pour la population générale, vous aurait fait sourire et vous vous seriez moqué de l’auteur d’une telle « blague ».

Aujourd’hui, vous voyez des jeunes de 15 ans qui le portent partout et tout le temps, qui ne cherchent même pas à tricher et qui trouvent « normal » le fait de porter cette muselière qui relève de la patte de lapin d’un point de vue épidémiologique.

La paranoïa a donc été installée …

Associée à l’escroquerie du « vaccin »

Et oui, quoi de plus approprié qu’un vaccin mondial pour sauver la planète !

Le génie du marketing et de la manipulation est tel que nous avons fait de ces substances expérimentales, non testées comme il se doit… Substances qui, de plus, pourraient favoriser les variants et des formes plus graves de maladie grâce aux anticorps facilitant ET, cerise sur le gâteau, qui n’empêche pas la contagion.. Et pourtant l’injection du produit a été transformée par la propagande en « un geste solidaire » !

Alors même que le risque de mourir de ce virus est statistiquement nul pour une personne en bonne santé (même âgée) et ceci d’autant plus qu’elle reçoit un traitement…
…Les autorités et les médecins corrompus n’hésitent pas à parler d’un rapport bénéfice vs risque favorable pour ces médicaments expérimentaux et une population non concernée par la maladie !

Et comme nous sommes dans une « démocratie qui respecte les droits de l’homme », si si, ne riez pas, la vaccination n’est pas « obligatoire » en France.

Elle n’est pas « obligatoire », mais en revanche le chantage au vaccin est devenu non seulement nécessaire, mais « moral » !

Nous avons d’un côté le « bon » français, celui qui se vaccine « pour les autres », même si le vaccin ne protège pas, ce qui est officiel, et d’un autre côté, le « mauvais français », « l’égoïste », le « jaune » qui ne pense qu’à lui et qui va encombrer les réanimations qui débordent déjà.

Rendez-vous compte que par son « irresponsabilité », ce fumier de « jaune » va prendre la place d’un « bon » français qui sera privé d’un lit de réanimation « mérité » comme il se doit… Certains « idéalistes » nostalgiques du régime de Vichy regretteront que nous ne puissions pas laisser les « jaunes » crever sur le bord du trottoir, et ce « pour l’exemple ».

J’en profite au passage pour vous rappeler l’escroquerie de la notion de « vaccin solidaire ».
En quoi le « bon » français vacciné risquerait de partir en réanimation et en quoi il pourrait être mis en danger par un non-vacciné, à moins d’avouer que son « vaccin » est inefficace et donc une vaste escroquerie ?!

Alors, ce fameux passeport vaccinal est-il un outil de justice ?

Nous sommes devenus comme les conducteurs d’une voiture avec son bonus / malus. Il devient de fait « normal » de « protéger » et récompenser le « bon » français en l’autorisant par exemple à aller au restaurant avec son gel, sa distanciation et son masque, ce que certains appellent « retrouver ses libertés », tandis que le « jaune », le « mauvais » français devrait être assigné à résidence ad vitam æternam pour ne pas exposer les « bons »…

Pour nous endormir, on nous parle désormais de « Passeport sanitaire », mais plus de « passeport vaccinal » ! À cela je répondrais simplement par « Mon cul ! »

D’aucuns se moquent de nous en nous laissant croire que ce sera un passeport sanitaire et non pas un passeport vaccinal comme l’a confirmé ces jours-ci le commissaire européen Thierry Breton en indiquant qu’il y aurait les vaccinés, les guéris et les PCR négatifs…

Un test PCR négatif de moins de trois jours, qui finira tôt ou tard par devenir un test PCR négatif de moins de 10 minutes, permettrait d’aller au resto.

Pour illustrer mon propos, je me permets un bref retour en arrière… Chaque fois qu’il y a un de ces fameux « clusters de positifs », on vous explique qu’il est le fruit de l’irrespect des mesures sanitaires, pour la simple raison qu’une fausse science ne peut pas se tromper.
« Le masque est efficace », on vous l’a assez dit, non ?
Donc s’il y a des clusters c’est qu’il est « mal utilisé »… ben voyons…

Donc demain, par axiome, il aura été décidé que :

« le vacciné protège la population » et ne peut PAS, de fait, être un vecteur de propagation.
Donc si d’aventure dans un lieu dans lequel sont présents vaccinés et non vaccinés, il y a un cluster celui-ci ne pourra QUE être causé par les non-vaccinés. CQFD.

Les reportages de « bons » Français vaccinés ou de « Von Barbier » ne manqueront pas de nous rappeler que « c’est à cause des « jaunes » qu’il y a eu un cluster », ou « à quoi bon se vacciner si c’est pour être mis en danger et contaminés par des « jaunes » !».

Donc à très court terme, après la mise en œuvre du passeport, les non-vaccinés ne seront plus admis dans des lieux recevant du public !

Il est impossible que la masse des vaccinées, avec l’aide de la propagande, accepte d’être en

présence et menacée par des non-vaccinés…

Quelques mois devraient donc se passer entre la dictature « douce » et la dictature « dure »

Le discours officiel finira par être :

« Je serais protégé dans un restaurant, mais alors… »
« Pourquoi accepter d’être mis en danger dans un bus ? »
« Pourquoi accepter d’être mis en danger au supermarché ? »
« Pourquoi accepter d’être mis en danger à l’école ? »
« Pourquoi accepter d’être mis en danger à son travail ? »
« Pourquoi accepter d’être mis en danger n’importe où ? »

Donc au nom de quelle logique le passeport vaccinal ne serait-il pas obligatoire PARTOUT ?

Si le passeport vaccinal est moral et acceptable au restaurant, il en sera de même partout !

De fait, quasi tout le monde acceptera de se faire vacciner pour pouvoir échapper à l’assignation à résidence et continuer à vivre !

Et je ne parle pas uniquement des moutons terrorisés, mais aussi d’une majorité de résistants…

Qui a protégé ses enfants du masque et les a retirés de l’école ? 0,2%, 0,5% de la population ?

Alors, ne pas prendre l’avion si on n’est pas vacciné, on s’en fout…
À la rigueur, le train ou le bus, on peut accepter et prendre la voiture.
Le supermarché interdit aux non-vaccinés est encore acceptable grâce aux drives…

Mais quand on va vous dire que vos enfants ne pourront plus aller à l’école s’ils ne sont pas vaccinés contre le Covid, vous direz quoi ?
Combien de parents ont refusé les 11 vaccins obligatoires en France ?

Et vous, allez-vous alors vacciner vos enfants et ne pas vous vacciner ?
Combien d’entre vous qui avez un crédit, qui avez besoin de nourrir vos enfants, allez avoir le courage ou la possibilité de vous faire licencier pour sauver la démocratie, votre santé ou celle de vos enfants ?

C’est facile d’être un héros sur papier, mais un peu moins avec un pistolet sur la tempe !

Aujourd’hui, des soignants se font vacciner à la pelle en France par peur du licenciement ou d’être mis dans un placard même si le vaccin n’est pas encore obligatoire, alors imaginez s’il l’était !

Fiction ? Délire complotiste ? Il n’y a qu’à voir ce qu’il se passe dans la « démocratie israélienne » ou un employeur pourrait licencier un employé non vacciné !

Bref si le passeport vaccinal est mis en œuvre pour les restaurants il le sera tôt ou tard pour TOUTES les activités humaines…

Et au même titre que nous trouvons totalement logique et évident de mettre une ceinture de sécurité au volant, nous trouverons totalement logique et évident de disposer d’un passeport sanitaire pour tout déplacement toujours au nom de la fameuse « sécurité ». Et il en sera de même lorsqu’une puce RFID ou un dispositif similaire nous sera implanté dans le bras afin de connaître tous nos déplacements…

C’est quoi la suite ? Assignation à résidence, camps d’internement ou apartheid ?

C’est le nombre qui décidera… si le nombre de personnes non vaccinées est relativement faible alors l’État pourra se contenter d’assigner à résidence les « jaunes » que nous serons.

En revanche, si nous sommes nombreux, et si, hélas, nous n’avons pas réussi à déjouer l es plans immondes de l’Ausweis sanitaire, alors l’État n’aura pas de choix de créer l’apartheid.

Sans compter que l’apartheid peut être une merveilleuse opportunité de croissance et de nouveaux marchés pour le libéralisme.

Pour le coup, aussi bien les « bons » Français qui ne voudront pas fréquenter les « jaunes », que nous, les « jaunes » qui voudront pouvoir vivre « librement », serions satisfaits..

Avez-vous envie de fréquenter des restaurants avec passeport vaccinal, masque et gel à volonté ? Pas moi.

Si nous avions droit à nos restaurants libres, nos cinémas libres, nos écoles libres, nos bus libres, nos supermarchés libres, nos centres de soin libres, moi je signe immédiatement… dès lors que la dictature sanitaire sera encore présente.

merci.

Alain Tortosa.

16 mars 2021.

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210316-passeport-vaccinal.pdf




La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle

[Source : reseauinternational.net]

Par Edy Fernandez

La contagion, problème très actuel, et question que beaucoup se posent, n’est pas le fait de germes censés être pathogènes qui viendraient nous agresser de l’extérieur, mais se produit essentiellement par transmission d’informations et entrée en résonance avec ladite information.

Dans l’univers, tout est vibratoire. Ces vibrations, ces fréquences, ces ondes sont porteuses d’informations. Nous y sommes perpétuellement soumis, traversés, impactés à notre insu. Or les facteurs de stress dans l’environnement, sources de nos maladies, sont multiples, quotidiens. Ils représentent une information, négative, de basse vibration, qui nous impacte plus ou moins selon notre état mental et physique.

Ces facteurs peuvent être aussi bien le froid et la grisaille que l’effet des ondes ou une engueulade avec notre moitié. Ou la peur, ou la guerre. Ils sont légion.

Lorsqu’une population est soumise aux mêmes facteurs de stress, aux mêmes conditions environnementales, un certain nombre de personnes vont développer des symptômes plus ou moins similaires en fonction de leur terrain individuel, de leur état de santé et de leur état psychologique. On va alors extrapoler sur une contagion de personne à personne, ce qui est (presque) totalement erroné, la contagion de personne à personne n’étant pas due à de vilaines bébêtes, mais à la transmission d’une information morbide par l’intrication quantique de l’eau et/ou l’électromagnétisme. On peut parler d’effet de mimétisme.

Les facteurs de stress dans l’environnement sont des vibrations basses. Si nous vibrons à la même hauteur que ces facteurs de stress, qui peuvent aussi être le fait des personnes que nous côtoyons, nous entrons en résonance et sommes impactés par ces informations au pouvoir plus ou moins délétère. C’est une porte ouverte. Nous sommes alors susceptibles de « tomber » malades, car le stress se transmet, de la même façon que le rire et la joie. La peur en est un exemple flagrant. On parle alors d’effet nocebo, l’inverse de l’effet placebo. La suggestibilité et la croyance à la base de ces effets sont des facteurs hautement sous-estimés, notamment par les sciences matérialistes, ils sont pourtant au cœur du problème actuel.

L’effet nocebo, un élément crucial pour comprendre les phénomènes qui nous impactent négativement, est trop largement mésestimé. Il est pourtant le fait de notre inconscient, de notre subconscient et de l’inconscient collectif, qui sous-tendent tous nos comportements. On pourrait aisément dire qu’il s’apparente à la sorcellerie. Par exemple, les informations anxiogènes quotidiennes véhiculées par médias et médecins suffisent à entrer en résonance avec ces basses vibrations qui nous rendent malades et peuvent même nous tuer, par le pouvoir de la croyance et de la suggestibilité. Il suffit de baisser en énergie et en cohérence et d’être dans l’état de réceptivité adéquat pour entrer en résonance avec ces vibrations morbides et en devenir victimes. Peur, colère, angoisse, tristesse nous mettent en état de fragilité extrême.

C’est pourquoi il est essentiel de chercher à vibrer le plus haut possible, par l’amour, la joie, la gratitude, afin d’échapper aux basses vibrations de l’environnement qui nous entraînent quasi inévitablement vers le stress et la maladie. La maladie étant toujours porteuse de messages dans l’optique d’une guérison réelle, qui n’est pas celle de l’illusion transitoire apportée par les médicaments et la chimie, car il est surtout question de prise de conscience, de changement et de cohérence de vie.

À ce sujet, il y a un excellent livre de Joe Dispenza, spécialiste reconnu de l’épigénétique, qui traite intelligemment de ces éléments mal connus et controversés. Il s’intitule : « Le placebo, c’est vous ».

N’ayant pas la prétention de détenir la vérité, qui est assurément complexe, ceci correspond juste à ce que je pense et ressens actuellement. Je m’inspire également des réflexions des Drs Alain Scohy et Tal Schaller, ainsi que d’autres. À vous de voir si tout cela vous parle.


[Voir aussi :
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La théorie des germes : Une erreur fatale]




Pétition : NON au passeport vaccinal

[Source : leslignesbougent.org]

Par Rodolphe Bacquet

Vos libertés sont en jeu !

Adressé à : M. Olivier Véran, Ministre de la Santé et des Solidarités

Alors que les campagnes de vaccination battent leur plein en France et partout en Europe, de plus en plus de pays envisagent l’instauration d’un passeport vaccinal.

ATTENTION : le gouvernement, jouant sur les mots, parle désormais de “passeport sanitaire”.

C’est strictement la même chose.

Un tel “passeport” restreindrait :

  • Votre liberté de vous déplacer.
  • Votre droit de fréquenter certains lieux.
  • Votre droit d’accéder à certains services.

C’est de la vaccination obligatoire déguisée. Et c’est du fichage.

POUR NOUS, LE PASSEPORT VACCINAL C’EST NON !

La Présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a annoncé qu’un projet de législation sur un tel passeport serait présenté le 17 mars 2021, ce qui permettrait un “retour gradué” à la libre circulation. (1)

Nous devons réagir D’URGENCE, avant que ce projet aboutisse.

Mettre en place un passeport vaccinal n’a AUCUN SENS :

1. Ce n’est pas parce que vous êtes vacciné que vous n’êtes pas contagieux, et même Pfizer et Moderna l’ont reconnu ! Leurs vaccins portent sur la diminution des symptômes du Covid-19… pas sur l’absence de contagiosité de la personne vaccinée. (2)

2. Que le vaccin soit fiable ou non, le bienfait attendu d’un passeport vaccinal est limité et ne justifie absolument pas de nous priver de notre liberté de choix :

  • si le vaccin protège efficacement, ceux qui l’ont reçu ne devront pas craindre de se retrouver près de personnes non vaccinées.
  • si le vaccin ne protège que partiellement, un passeport vaccinal engendrerait un faux sentiment de sécurité. (3)

3. Refuser de se faire vacciner est un droit. Début mars, seuls 59% de nos concitoyens se disent prêts à subir une vaccination Covid. (4) Cette méfiance est d’autant plus compréhensible que nous avons encore très peu de recul sur l’innocuité et l’efficacité des vaccins sur le long terme.

4. Il est beaucoup trop tôt pour ce genre de mesures. La France accuse un retard important en termes de vaccination. Avec seulement 0,10% de sa population qui a reçu les 2 doses du vaccin, notre pays est le “mauvais élève de l’Union Européenne”. (5) Comment pourrait-on imposer un passeport vaccinal alors que la plupart de la population n’a pas encore accès au vaccin ?

Disons “non”, maintenant à un tel projet !

Si, vous aussi, vous refusez qu’un passeport vaccinal devienne un laisser-passer pour certains (les citoyens vaccinés) et une restriction de libertés pour les autres (les non-vaccinés)…

…alors signez cette pétition !

Je signe la pétition contre le passeport vaccinal

Demain, une ségrégation par le vaccin ?

Pour encourager le passeport vaccinal, l’argument du “retour à la normale” est employé.

Le gouvernement et les médias font croire qu’un passeport vaccinal vous permettra de voyager plus librement, de revoir vos proches fréquemment. Ce serait donc “pour votre bien”.

C’est le contraire qui se produira.

Ce passeport accroîtra les restrictions et portera une grave atteinte à nos libertés individuelles.

Ce ne sont pas seulement les restrictions d’accès à un pays, un restaurant, un cinéma, un musée, qui sont en cause.

C’est le jour où un petit-fils sera exclu de l’école car il ne sera pas vacciné.

C’est le jour où un frère perdra son emploi car son passeport vaccinal ne portera pas la case “Covid”.

Malheureusement, cette ségrégation est déjà dans les têtes de tous !

Au Vatican, les opposants aux vaccins Covid sont qualifiés de “négationnistes suicidaires” par le Pape François et les employés qui refusent l’injection sont menacés de licenciement. (6)

En Suisse, l’Union patronale suisse (UPS) a estimé que : “Dans le secteur privé, il doit être possible pour les employeurs de faire la différence entre les salariés vaccinés et non vaccinés” (7)

Tout cela est inacceptable.

Nous n’accepterons pas cette manière détournée d’imposer le vaccin à toute la population. (8)

Un tel passeport irait à l’encontre de la résolution 2361/2021 prise par le Conseil de l’Europe le 27 janvier dernier.

Cette résolution stipule que toute obligation de vaccination est désormais illégale par défaut : personne ne peut être vacciné contre sa volonté, sous la pression. (9)

Que dit cette résolution ?

  • Que les 47 États membres sont obligés de signaler avant toute injection que la vaccination n’est PAS obligatoire (7.3.1) ;
  • Que les personnes non vaccinées ne doivent pas subir de discrimination (7.3.2) ;
  • Que la discrimination est également expressément interdite en cas de risques sanitaires existants ou si une personne ne souhaite pas être vaccinée (7.3.2)
  • Que les fabricants de vaccins sont tenus de publier toutes les informations sur la sécurité des vaccins (7.3.4).

L’obligation d’un tel vaccin serait une atteinte aux droits de l’Homme, ni plus ni moins.

Je signe la pétition contre le passeport vaccinal

Renoncer aux vaccins Covid, c’est un droit

Nous ne portons aucun jugement sur ceux qui ont choisi de se faire vacciner.

Qu’on ne porte pas de jugement sur ceux qui choisissent d’y renoncer !

Certains ont peur des dangers pour leur santé, manquent de confiance en l’efficacité ou la fiabilité des vaccins Covid, ont besoin de plus de recul, etc…

Ils en ont le droit !

Chaque individu est libre de l’usage qu’il fait de son corps, conformément à ses choix. (10) Le droit de disposer de son corps a été reconnu par la Cour Européenne des Droits de l’Homme en 2002 ! (11)

Le passeport vaccinal nous privera de cette liberté de décider de notre santé.

Le passeport vaccinal menacera la protection de nos données personnelles.

Après les confinements, l’enfermement de nos aînés dans les Ehpads, le port du masque obligatoire, l’application TousAntiCovid et le traçage numérique, le passeport vaccinal sera le coup de grâce à nos libertés individuelles.

Ne nous laissons pas faire !

Je signe la pétition contre le passeport vaccinal

Mettre en place un passeport vaccinal serait enfin un véritable catalyseur d’inégalités : les vaccinés du Covid auront des droits que les autres n’auront pas.

Nous devons refuser qu’un fossé se creuse entre personnes vaccinées et non-vaccinées, qu’ils soient riches ou pauvres, en bonne santé ou malades.

C’est pourquoi nous exigeons du gouvernement :

  • Qu’à la réunion du 17 mars de la Commission européenne, jour de présentation du projet de passeport vaccinal, il déclare renoncer officiellement et définitivement à la mise en place de tout passeport vaccinal, certificat de vaccination ou passeport sanitaire
  • Qu’il reconnaisse la liberté de choix de chacun face à la vaccination contre le Covid-19
  • Qu’il définisse un cadre strict pour empêcher le secteur privé d’imposer des obligations vaccinales à ses salariés
  • Qu’il poursuive les recherches sur les vaccins en s’assurant que la sécurité de tous est garantie.

Signez et partagez cette pétition pour faire valoir votre liberté !

Plus nous serons nombreux, moins le passeport vaccinal aura de chances de s’imposer !

Je signe la pétition contre le passeport vaccinal

À l’attention de M. Olivier Véran, Ministre de la Santé et des Solidarités

Monsieur le Ministre de la Santé,

Votre devoir est de protéger la santé des Français.

Jusqu’à présent, votre stratégie se concentre sur la vaccination généralisée de la population, et nous espérons que cela portera ces fruits.

Certains Français refusent de se faire vacciner. C’est aussi de votre devoir que de respecter leur liberté et de les protéger.

Ayant eu vent du projet imminent de passeport vaccinal de la Commission européenne, nous vous demandons solennellement :

  • De signifier à la Commission européenne votre rejet officiel et définitif de la mise en place du passeport vaccinal, certificat de vaccination, passeport sanitaire ou toutes les formes qu’il pourrait prendre,
  • De reconnaître la liberté de choix de chacun face à la vaccination contre le Covid-19,
  • De définir un cadre strict pour empêcher le secteur privé d’imposer des obligations vaccinales à ses salariés,
  • De poursuivre les recherches sur les vaccins en vous assurant que la sécurité de tous est garantie.

Nous comptons, Monsieur le Ministre, sur votre compréhension des enjeux derrière cette pétition et vous prions de croire en l’expression de notre haute considération.

Je signe la pétition contre le passeport vaccinal

Auteur : Rodolphe Bacquet, Rédacteur en chef d’Alternatif Bien-Être


Sources

  1. https://www.france24.com/fr/europe/20210301-union-europ%C3%A9enne-un-projet-de-l%C3%A9gislation-sur-un-passeport-vaccinal-propos%C3%A9-en-mars 
  2. Kern, J. (2021). Covid-19 : la vaccination signifie-t-elle l’arrêt du port du masque ? Futura-sciences, Santé.https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-covid-19-vaccination-signifie-t-elle-arret-port-masque-84711/
  3. https://www.tdg.ch/le-passeport-vaccinal-non-merci-909596024175
  4. https://www.lejdd.fr/Societe/sondage-covid-19-la-campagne-francaise-de-vaccination-durement-jugee-en-france-et-a-letranger-4028281
  5. https://www.capital.fr/economie-politique/deuxieme-dose-du-vaccin-la-france-est-encore-en-retard-par-rapport-a-ses-voisins-europeens-1392790
  6. https://www.europe1.fr/international/covid-19-au-vatican-ceux-qui-refusent-le-vaccin-risquent-le-licenciement-4026269
  7. https://www.lepoint.fr/monde/suisse-licencier-les-employes-qui-refusent-la-vaccination-25-02-2021-2415500_24.php
  8. https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/les-non-dits-du-passeport-vaccinal-1290601 
  9. Assemblée parlementaire. (2021). Résolution 2361 : Vaccins contre la covid-19 : considérations éthiques, juridiques et pratiques. https://pace.coe.int/fr/files/29004/html
  10. https://cours-de-droit.net/le-droit-de-disposer-de-son-corps-et-le-droit-a-l-integrite-physique-a121609240/#:~:text=L’Expression%20contest%C3%A9e%20%C2%AB%20libre%20disposition,capacit%C3%A9%20et%20de%20sa%20personne
  11. Cour eur. D.H., arrêt Pretty c. Royaume-Uni du 29 avril 2002, §§ 61-62 et 66, http://echr.coe.int (7 mai 2014)



Le passeport vert a-t-il encore un avenir ?

Par Jean-Michel Grau

Après la déconfiture du vaccin d’Astra-Zeneca, suspendu successivement par l’Autriche, l’Italie, l’Irlande, l’Estonie, la Lituanie, la Lettonie, le Luxembourg, le Danemark, la Norvège, l’Islande, la Bulgarie, les Pays-Bas, l’Allemagne et la France, le passeport vert a-t-il encore un avenir ?

On peut raisonnablement se poser la question à l’heure où la décision de continuer à vacciner avec ce vaccin mortifère est suspendue à l’avis de l’Agence européenne du médicament (EMA).

En effet, les effets secondaires se sont multipliés ces dernières semaines sur les personnes vaccinées dans les pays européens par Astra-Zeneca, avec les nombreux cas de formation de caillots sanguins observés, depuis le décès d’une femme de 49 ans en Autriche pour cause de mauvaise coagulation sanguine suite à l’injection de ce vaccin.

Il a, entre autres, été constaté des troubles de la coagulation intravasculaire avec parfois des embolies pulmonaires. Selon un biochimiste interrogé, « il n’est pas impossible que les composantes de ce vaccin entraînent des jambes lourdes se transformant en thromboses. » Enfin, certains parlent de « micro-arrêts cardiaques », tel ce chef de corps des sapeurs-pompiers des Bouches-du-Rhône ayant décidé de suspendre l’injection du vaccin d’Astra-Zeneca auprès de son personnel, suite aux pertes de connaissance répétées d’un agent des sapeurs-pompiers d’Arles, 48 heures après l’injection du vaccin. (([1] medias-presse.info/le-chef-de-corps-des-pompiers-des-bouches-du-rhone-suspend-toute-vaccination-avec-astrazeneca-apres-de-nombreux-effets-secondaires-parmi-les-pompiers/140870/))

Tous ces effets secondaires inquiétants entraînant la rétractation en cascade d’un nombre croissant de pays européens de la vaccination par Astra-Zeneca n’ont pas empêché jusqu’à aujourd’hui le Premier ministre ainsi que le ministre de la santé français de clamer haut et fort qu’il fallait « avoir confiance en ce vaccin et se faire vacciner. » Sauf que, dès qu’on a su que l’Allemagne suspendait, elle aussi, le vaccin d’Astra-Zeneca « à titre préventif » après le signalement d’effets indésirables, la France qui ne peut rien décider sans l’Allemagne, lui a immédiatement emboîté le pas.

On attend maintenant la décision de l’EMA qui doit décider « si et comment les nouvelles connaissances sur ces effets indésirables se répercutent sur l’autorisation du vaccin. » Malgré les suspensions d’une quinzaine de pays d’Europe du vaccin d’Astra-Zeneca pour de graves effets secondaires tels des thromboses, l’EMA reste « fermement convaincue que les bénéfices l’emportent sur les risques » et reporte sa décision finale au 18 mars.

Cette nouvelle déconvenue pour Astra-Zeneca vient s’ajouter aux problèmes de production et de livraison que rencontrent aussi ses concurrents occidentaux Pfizer-BioNTech et Moderna. Ainsi, le laboratoire anglo-suédois a annoncé dernièrement une nouvelle baisse des livraisons dans l’UE, invoquant « des restrictions d’exportation » pour les vaccins fabriqués hors UE.

Rappelons que « le vaccin Astra-Zeneca se compose d’un virus de singe (un adénovirus), modifié génétiquement pour y intégrer une petite partie du virus contre lequel on souhaite développer une immunité » explique le Dr Steve Pascolo, immunologiste à l’Université de Zurich. (([2] topsante.com/medecine/maladies-infectieuses/zoonoses/vaccin-covid-astra-zeneka-efficacite-securite-641593))

Il faut bien savoir qu’aucun des vaccins disponibles en Europe à ce jour n’a reçu d’autorisation définitive de mise sur le marché de l’EMA, mais seulement une autorisation provisoire, que ce soit le vaccin Astra-Zeneca, le vaccin Pfizer-BioNTech ou encore le vaccin Moderna, tous encore en phase 3 d’expérimentation. Et l’on peut comprendre pourquoi !

Comme le dit la généticienne Alexandra Henrion-Claude à propos des vaccins Pfizer et Moderna :

« Je travaille depuis 12 ans sur l’ARN… Je suis très malheureuse de ce qui se passe… Administrer de l’ARN à des individus sains me paraît de l’ordre de la folie… C’est inconcevable, compte tenu de la versatilité de cette molécule, sa capacité à interagir avec une multitude de molécules… L’essai de Pfizer se terminera en 2022. D’ici là, toute personne qui se fera vacciner sera un sujet de protocole biomédical, c’est-à-dire un cobaye. » (([3] reseauinternational.net/des-dizaines-de-milliers-deffets-secondaires-plus-de-4-000-morts-en-europe/))

Un collectif de médecins du monde entier a ainsi adressé une lettre ouverte à Emer Cooke, directeur de l’Agence européenne du médicament (EMA) à Amsterdam, lui enjoignant de retirer l’approbation de l’utilisation des vaccins à base génétique jusqu’à ce qu’ils aient terminé leur phase d’expérimentation. Dans le cas contraire, l’administration des vaccins constituera une expérimentation humaine, qui entre en violation du Code de Nuremberg. (([4] nouveau-monde.ca/fr/lettre-ouverte-de-medecins-et-de-scientifiques-a-lagence-europeenne-du-medicament-sur-la-securite-des-vaccins-covid-19/))
(Passible de « Crime contre l’humanité. » Ndlr)

Pour bien comprendre ce qui se joue aujourd’hui avec le marché juteux des vaccins, il convient de savoir que l’autorisation de mise sur le marché des vaccins est conditionnée à l’absence de traitement.

On comprend mieux pourquoi les laboratoires s’évertuent à financer des études dont l’objectif est de court-circuiter tout traitement disponible et très peu onéreux comme l’hydroxychloroquine, perçu par l’industrie pharmaceutique comme une menace juridico-financière. En témoigne l’attaque démentielle dont l’hydroxychloroquine est l’objet ainsi que son promoteur le professeur Raoult qui rappelle fort à propos que cette molécule utilisée depuis 70 ans dans le monde entier a soigné des milliards de malades, dont 14000 rien qu’à Marseille.

Il faut croire que la puissance financière des labos pharmaceutiques était suffisamment forte pour financer une étude démontrant l’inefficacité de l’hydroxychloroquine et publiée illico presto dans la prestigieuse revue du Lancet qui s’est ridiculisée au passage, l’étude en question ayant été démasquée quelques jours après comme étant totalement bidon. Trop tard : notre ministre de la santé s’était déjà engouffré dans la brèche pour interdire la molécule maudite. Le mal était fait. C’est une attaque en règle dont fait l’objet l’hydroxychloroquine sur tous les plateaux télé H24 où les médecins de service collectionnent les conflits d’intérêts avec les labos. L’azithromicine, l’ivermectine et la colchicine, autres molécules à la fois efficaces et bon marché, ont ainsi eu le droit au même sort médiatico-politique. Fermez le ban. Adieu traitements, bonjour les vaccins !

Aujourd’hui, le nombre de décès officiels post vaccination recensés par l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) se monte à 251 morts en France. (([5] francesoir.fr/societe-sante/deces-post-vaccination-le-droit-de-savoir)) C’est un chiffre dont personne ne veut parler, et pour cause ! Dans ce recensement, on est frappé d’apprendre que les effets indésirables des vaccins Covid, catégorie à laquelle appartiennent les décès, concernent 23% de la tranche d’âge 16-49 ans et 45% des 50-64 ans !

Dans ces conditions, peut-on encore raisonnablement parler de « passeport vert »?

Rappelons brièvement ce qu’est le passeport vert : le « passeport vert », anciennement « passeport vaccinal », puis « passeport sanitaire » est un passeport conditionnant le droit d’entrée à certains lieux (restaurants, cinémas, théâtres, musées…), à certains transports (avion, train…) à l’injection préalable d’un vaccin contre le Covid19. En d’autres termes, la promesse de devenir un citoyen de seconde zone en cas de refus de se faire piquer… Ce passeport est d’autant plus absurde qu’il risque fort d’être renouvelé chaque année vu le haut degré d’inefficacité des vaccins sur tous les variants et en revanche l’incertitude concernant leur réelle efficacité sur la transmission du virus…

Ce passeport vert, voulu par l’Europe bleue aux étoiles jaunes, s’avère ni plus, ni moins qu’un passeport discriminatoire pour créer des alpha plus et des bêta moins, version 2.0 du roman dystopique d’Aldous Huxley.

Voilà le Meilleur des Mondes que nous promet l’Union européenne si ce passeport vert voit le jour.

Un monde qui nous fait revenir 800 ans en arrière, au temps des lépreux et des pestiférés.

« Le combat contre ce passeport n’est donc pas seulement un combat pour la liberté. Il est aussi un combat pour l’égalité et pour la fraternité. » (([6] Florian Philippot, Covid-19 la grande bascule, 2021))

Pourtant, le passeport vert est bien inscrit à l’agenda européen.

C’est ce qu’a affirmé très officiellement la Commission européenne le 15 janvier 2021 par la voix de sa présidente qui explique que « ce passeport doit être mis en place avant juin pour préserver la saison touristique… » (sic) (([7] lejdd.fr/Societe/covid-19-a-quoi-va-ressembler-le-passeport-vert-que-lue-veut-mettre-en-place-des-juin-4031373))

On se demande bien comment, alors que l’écrasante majorité des infrastructures touristiques (hôtels, restaurants, bars…) sont actuellement encore fermées et que beaucoup sont déjà en quasi-faillite…

À l’heure où la stratégie des vaccins s’avère déjà être un monumental échec, comme le montre la déconfiture d’Astra-Zeneca et probablement bientôt celles de Pfizer-BioNTech et de Moderna, concernant à la fois les effets secondaires importants, la morbidité, mais aussi la production et la distribution, les concepteurs européens du passeport vert essayent encore de se raccrocher à ce qu’ils peuvent, à savoir le résultat d’un test négatif.

Mais quels tests ? Ceux de Drosten, le conseiller de Merkel dont on sait aujourd’hui qu’ils sont bidon, car faussant le protocole des tests PCR en préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, provoquant des résultats positifs dans l’écrasante majorité des cas avec des traces infimes de virus, ou bien les tests du Professeur Raoult, honni par tout l’establishment pharmaco-financier pour son franc-parler et son professionnalisme ?

Sans compter que ces passeports peuvent générer des inégalités entre les États membres en fonction de l’avancée des campagnes vaccinales, mais aussi des problèmes de confidentialité des données, de préservation du secret médical, de cybersécurité. Enfin, ces passeports seront perçus comme un chantage d’imposer la vaccination que ne manquera pas de faire remarquer l’armée d’avocats qui planche déjà sur la question.

Au-delà des ratés des vaccins, le passeport vert est-il légal ?

Voici en résumé ce que Xavier Bioy, professeur de droit public, Nicolas Hervieu, juriste en droit public, et Serge Slama, professeur de droit public ont répondu à la question de France Info. (([8] francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-passeport-vaccinal-serait-il-legal_4238285.html))

La création d’un « passeport vert » se heurte à un premier obstacle de taille, relève Xavier Bioy.

« Interdire l’accès à une longue liste de lieux ou de services publics ou privés à toute personne non vaccinée, cela revient à créer une obligation vaccinale. Problème : le vaccin contre le Covid 19 n’est pas obligatoire. »

Jean-Philippe Derosier, professeur de droit public, y voit lui aussi, une incohérence juridique de taille : « Les actes quotidiens de la vie vont devoir requérir le vaccin, si bien que, en réalité, il sera obligatoire sans le dire. C’est cette incohérence, ou le caractère excessif des restrictions de la liberté d’aller et venir et de la liberté individuelle qui pose problème dans cet article du projet de loi.»

Autre écueil : le passeport vert ne peut être instauré tant qu’il existe une inégalité des citoyens face au vaccin. (Or les difficultés de production, de logistique et d’approvisionnement rencontrées par les fabricants et les producteurs de vaccins sont telles que l’on ne peut raisonnablement imaginer vacciner toute la population volontaire avant fin 2022… Ndlr)

« Il faudrait que le vaccin soit réellement accessible à tous » fait observer Serge Slama. « Tant que ce n’est pas le cas, les pouvoirs publics ne peuvent décider de permettre le retour à la vie normale à ceux qui sont vaccinés, alors que les autres seraient privés d’activités collectives, sous couvre-feu ou confinés. » « Ce serait trop discriminatoire. » appuie Nicolas Hervieu.

Autre chausse-trappe : le champ d’application. Il ne suffit pas qu’une loi dise qu’on peut exiger d’un usager ou d’un client qu’il présente la preuve de sa vaccination, encore faut-il qu’un décret détermine la liste précise des lieux et services autorisés à le faire. S’agirait-il des lieux culturels, des administrations, des transports, de tous les commerces « essentiels » comme « non essentiels » ? Dans ce dernier cas, « ce serait impossible », tranche Nicolas Hervieu.

« Vous empêchez des gens de subvenir à des besoins fondamentaux parce qu’ils ne sont pas vaccinés, donc vous les contraignez à se faire vacciner. »

Or, une fois de plus, ce vaccin n’est pas obligatoire.

Autre limite : les modalités de contrôle. « Comment prouve-t-on qu’on est vacciné, et qui peut le contrôler ? Cela touche à des données personnelles de santé qui sont particulièrement protégées. Cela pose la question de savoir si le moindre commerçant peut s’ingérer dans votre vie personnelle pour déterminer si vous êtes vacciné ou non, et si vous ne l’êtes pas, pour quelle raison. »

Le juriste met en garde contre le caractère « très intrusif » d’une telle mesure et contre « les grands risques de discriminations fondées sur la situation de santé » auxquels on expose les Français.

« Si vous n’êtes pas vacciné, vous pourriez être contraint d’indiquer au commerçant que vous avez une contre-indication, ce qui peut révéler un état de santé défaillant qui peut conduire le commerçant à adopter un certain comportement. »

« Sur ce point, c’est la justice administrative qui serait saisie par des personnes s’estimant discriminées », précise Xavier Bioy.

De son côté, Nicolas Hervieu avertit le législateur :

« C’est un terrain miné juridiquement. C’est très dangereux. »

Sans même parler du risque politique d’une mesure si décriée, conclut France Info.

Après la déconfiture prévisible des vaccins, on peut en conclure que le passeport vert qui ne repose que sur eux voit son avenir sérieusement compromis. Le Grand Reset eugéniste de Klaus Schwab et Bill Gates qui ne tient que par la vaccination généralisée afin de supprimer toute liberté pour mettre en œuvre la spoliation programmée des classes moyennes, ne tient plus qu’à un fil. Ciseaux, vite !





Les mesures prises contre la propagation de l’épidémie ont-elles vraiment sauvé des vies ?

[Source : AgoraVox le média citoyen]

par Décoder l’éco

Nous sommes en 2021 et des mesures de restrictions continuent d’être appliquées dans une grande partie des pays occidentaux. Pour les gouvernements, il s’agit de la bonne façon de protéger les gens de l’épidémie. Dans les vidéos précédentes, nous avons vu de plein de manières différentes que la mortalité sur l’année 2020 n’est finalement pas impressionnante. On a vu que le nombre de décès en France en 2020 s’explique d’abord par le vieillissement des français.


Le nombre de décès en France augmente tous les ans depuis 2010 du fait du vieillissement de la génération des baby-boomers.

De plus, il n’y a pas eu d’épidémie sérieuse en 2019 et donc c’est une année avec très peu de décès.

C’est un peu pareil pour 2018 en atténué. L’année 2020 est donc ce que l’on appelle une année moisson pendant laquelle nous avons eu beaucoup de décès de personnes qui d’habitude seraient décédées un an ou deux ans plus tôt. Il s’agit donc d’un phénomène de rattrapage des années 2018 et 2019. Les années moissons ont lieu tous les 2 à 3 ans. Ce phénomène est détaillé dans cette vidéo.

C’est notamment pour cette raison que l’âge des personnes décédées de la Covid est très élevé.

Enfin, jusqu’ici la forte mortalité des années moissons était en partie compensée par une baisse régulière de la mortalité ce que l’on résume en disant que l’espérance de vie augmente. Depuis quelques années l’espérance de vie a commencé à stagner, comme si nous étions arrivés à une sorte de palier. Ce palier est peut-être naturel ou est peut-être le signe que la politique de santé reposant sur la rentabilité financière n’est pas la bonne. On détaille aussi ce phénomène dans cette vidéo.

Tous ces éléments sur la mortalité 2020 pour la France sont détaillés dans une dizaine de vidéos de ma chaîne. Le même type d’analyse commence à arriver dans des papiers scientifiques français ou d’autres pays comme la Belgique ou la Suisse par exemple. Puisque le phénomène des baby-boomers, la faible mortalité de l’année 2019 et la stagnation de l’espérance de vie ont touché quasiment tout le monde occidental, ces analyses vont se démultiplier avec l’arrivée des chiffres définitifs et complets pour l’année 2020.

Si vous lisez ou regardez les médias, vous avez pu voir les discours des politiques et des journalistes changer. Au fur et à mesure que tombent toutes les analyses de la mortalité dans les pays occidentaux, tout le monde se rend compte aujourd’hui que la catastrophe annoncée n’est finalement pas arrivée du tout. Pour mémoire, la catastrophe a été annoncé par des illuminés comme Neil Ferguson qui annonce la fin du monde à chaque grippe un peu sérieuse. En France, 400 000 morts de la Covid étaient annoncées sur l’année quelles que soient les mesures. Ajoutées aux 600 000 décès habituels, cela aurait dû faire 1 million de morts en France en 2020. On en a finalement eu 660 000. Pour le plaisir des yeux, on peut aussi se remémorer la prédiction du personnage à la levée du confinement.

A la fin de chaque confinement, il prévoit une reprise de l’épidémie qui entraîne un nouveau confinement. Pour lui, cette maladie est éternelle et ne respecte pas les codes des autres épidémies, elle continue donc l’été.

La réalité a été bien évidemment complètement différente. Voici les décès quotidiens qui ont finalement été enregistrés en France en 2020. On voit bien l’épidémie de printemps et l’épidémie de novembre.

On peut voir en rouge les périodes de confinement qui montrent que l’effet rebond n’a absolument pas eu lieu. On a eu en 2020 deux périodes épidémiques complètement distinctes. On verra en détail ce qu’on peut déduire de l’impact des mesures.

La plupart des politiques et journalistes ont arrêté de prétendre que 2020 a été une hécatombe, mais affirment maintenant que si le monde s’en est aussi bien sorti, c’est grâce à l’efficacité de leurs mesures. Ils se servent donc de ce raisonnement pour continuer à maintenir les restrictions en tout genre. Plutôt que de devoir prouver que les restrictions servent à quelque chose, ils les appliquent et annoncent la fin du monde si jamais on les enlève. Il faut bien se rendre compte de la stupidité et de la dangerosité de ce raisonnement. Si des gens coulent du nez et qu’un charlatan leur donne de la mort au rat en guise de médicament, vous aurez la moitié des gens qui vont mourir et le charlatan va en déduire : « ouf, heureusement que je leur ai donné mon médicament, vous avez vu comme ce virus était dangereux ! ». 

C’est ce type de raisonnement qui a justifié les saignées pendant des siècles. Heureusement depuis, on est passé à autre chose. Avec ce type de raisonnement, on peut aussi faire un sacrifice tous les jours pour que le soleil continue à se lever.

Il suffit de promettre la catastrophe si on arrête. Ce principe de faire peur, c’est la base du charlatanisme. Juste si on réfléchit 2 minutes. Lorsque l’on a une épidémie, que l’on prend des mesures et qu’au final on a plus de décès que d’habitude sur une courte période, on n’en déduit pas que les mesures sont bonnes et que le virus est dangereux. A minima, on en déduit que la combinaison virus-mesure n’est pas bonne du tout. Donc il serait peut-être temps de remettre en question les mesures prises.

Les défenseurs de ces mesures s’appuient toutefois sur des études scientifiques pour annoncer le nombre de vies sauvées grâce à leurs décisions. Dans cette vidéo, on va commencer par montrer que les études défendant les mesures et quantifiant les vies sauvées sont basées sur une arnaque intellectuelle. Les chiffres et modèles mathématiques ne sont pas utilisés pour comprendre un phénomène, mais ils sont dévoyés pour faire la promotion des mesures. On verra en détail l’arnaque dans un article publié dans la revue NATURE considérée comme l’une des plus grandes revues scientifiques de notre époque.

Dans la deuxième partie , on va regarder, ce qu’il se passe en France pendant les périodes épidémiques et ce que l’on peut déduire des mesures prises en 2020.

  1. Casser la propagande des mauvaises études « scientifiques »

Aujourd’hui, l’idée que les mesures ont forcément un impact positif est durement ancrée dans tous les esprits. A la fois, le côté intuitif de se dire que si on empêche les humains de se voir, ils vont moins se contaminer influence notre jugement objectif, mais, bien plus grave, un certain nombre d’articles parus dans de grands journaux scientifiques défendent cette thèse. Tous les articles que j’ai pu lire sur le sujet ont la même structure et les mêmes erreurs de raisonnement. Il me paraît assez étonnant de constater que soit, personne ne comprend rien à ce qu’est une modélisation, soit tout le monde ferme les yeux et fait semblant de ne pas voir que tout le raisonnement est pris à l’envers.

Pour vous le montrer, je vais partir d’un exemple qu’une personne m’a envoyé en commentaire d’une de mes vidéos.

 Je vous invite à lire cette étude qui respecte parfaitement les codes des articles scientifiques et qui a été diffusé par le très grand journal Nature. Cette étude fait le constat que les mesures appliquées depuis un an maintenant par une grande partie des pays du monde, en tout cas, ceux qui vivent au rythme de la télé, ont eu des coûts économiques et sociaux énormes. Cette étude prétend donc faire un exercice pour évaluer le nombre de vies sauvées par les mesures prises et ainsi démontrer l’intérêt des gestes barrières ou du confinement.

Les chercheurs utilisent pour cela une méthode qui estime le nombre de personnes qui n’ont pas été contaminées grâce à la mise en place des mesures.

Il faut saluer la volonté de recherche, parce que c’est une vraie question. En revanche, on va voir que la méthode utilisée met des paillettes plein les yeux, mais que c’est une arnaque intellectuelle.

Premier problème : l’utilisation de données de mauvaise qualité

Si vous suivez mes vidéos, vous savez que je n’utilise qu’un seul type de données : les décès remontés à l’état civil français. Pour cela j’ai 2 sources. Le site de l’Insee propose les statistiques des décès quotidiens, avec plein de croisements possibles. Sur data.gouv.fr, on peut récupérer directement les fichiers sources, à savoir les enregistrements des décès à l’état civil depuis 1970.

Avec ces sources, j’ai tous les décès, tout français qui décède est compté. C’est donc la même méthode qui s’applique depuis 1 demi-siècle pour tous les français. Sur ces décès, depuis 50 ans, on voit des pics qui correspondent aux épidémies ou aux canicules. A chaque fois j’ai l’âge des gens et l’endroit où ils sont morts. Cette méthode permet de faire de la statistique sérieuse sur long terme. En plus, avec les données du recensement de la population, on sait aussi de manière très précise le nombre de personnes vivantes en France depuis 50 ans. Pareil, pour faire des comparaisons ou des modèles, on est très solides.

Dans l’article de NATURE, les données utilisées ne sont absolument pas solides et ne peuvent être comparées à rien de connu. Il s’agit du nombre de personnes considérées comme infectées par la Sars-Cov2 remontés par les différents pays.

Pour savoir qui est infecté par ce virus, il n’y a pas d’autre solutions que de se fier aux résultats des tests remontés par les différents pays.

Dans la vidéo précédente, j’ai expliqué dans le détail pourquoi les résultats des tests ne permettent pas de connaître le nombre de personnes infectées dans un pays. C’est un très mauvais indicateur qui rend d’emblée fausse l’analyse.

Pour mémoire on ne peut pas du tout additionner les résultats de tests sur un même pays ni faire des comparaisons dans le temps avec ces données et encore moins comparer ce qu’il se passe d’un pays à l’autre :

  1. Les tests ne sont pas du tout réalisés tous les jours sur toute la population. A partir du moment où on commence à trouver des personnes positives, on en a fait un peu plus tous les jours. Fatalement plus on fait de test, plus on trouve de cas positifs et de faux positifs.
  2. En plus du nombre, la stratégie des tests a aussi évolué. Au début, en mars-avril on ne testait que les personnes pour qui on avait des soupçons. Donc on trouvait un taux de positivité bien plus élevé que la réalité dans la population, puisqu’on ne testait que ceux dont on pensait déjà qu’ils étaient positifs. Ensuite l’été en choisissant de tester tout le monde après l’épidémie, on a trouvé beaucoup de négatifs et les positifs étaient certainement pour beaucoup de faux positifs. En septembre, nous avons eu une pénurie de tests et la stratégie est redevenue ciblée donc ne reflétant pas la population totale. Cet hiver tout le monde a pu se faire tester, donnant l’impression d’une chute du taux de positivité, alors qu’il s’agissait juste d’un changement de stratégie.
  3. La technologie de test n’est pas non plus la même partout. Le type de test utiliser, et même dans le cas des RT-PCR, les choix d’amorces faits par les labos vont nécessairement donner des résultats différents. Ainsi, sommer les résultats de tests différents qui ont des résultats différents ça n’a pas de sens. Il ne s’agit pas des mêmes tests.
  4. En plus de la technologie, les méthodes d’interprétation des tests ne sont pas les mêmes partout et ont pu changer au cours du temps, notamment avec des préconisations du nombre de cycles. Non seulement on ne peut rien additionner proprement, mais on ne peut même pas comparer les nouveaux résultats aux anciens.
  5. Même au sein du même pays, tous ces paramètres sont différents selon les régions, avec les ARS qui interviennent et les labos de manière plus ou moins marqué selon les choix personnels de chefs et la pression politique.

Il faut insister sur ce point, les résultats de tests ne sont pas un bon indicateur statistique. Ils n‘ont juste pas été conçu pour ça. Les tests sont un élément de diagnostic individuel. Santé publique France les publie uniquement pour donner une idée des grandes tendances, pas pour quantifier les malades. 

On sait donc déjà que les données sont mauvaises, mais ça n’empêche pas de travailler, j’ai déjà vu pire, surtout dans les articles médicaux. Savoir qu’on a des données pourries, mais qui ne sont pas inventées de toutes pièces, c’est déjà pas mal. Petit clin d’œil au Lancet et sa super étude à charge contre l’hydroxychloroquine.

Maintenant on passe au vrai problème : l’arnaque du modèle.

Deuxième problème : l’utilisation dévoyée du modèle mathématique

Le bon cheminement lorsque l’on fait des statistiques un peu poussées pour étudier un phénomène, c’est d’analyser les données que l’on a pour en déduire un modèle. Dans le cas précis de l’épidémie, le cheminement logique serait de regarder nos données et de comprendre la courbe de propagation. On analyse ce que l’on voit dans chaque pays pour estimer d’abord la manière dont se propage l’épidémie, puis les différents facteurs qui peuvent avoir un lien avec la propagation. C’est compliqué parce que beaucoup de facteurs jouent et qu’on a vu que la qualité des données est très mauvaise, mais c’est une démarche de connaissance. Pour ce faire, il faudrait notamment prendre des pays qui confinent et des pays qui ne confinent pas, comme la Suède.

Ici les auteurs font exactement l’inverse. Ils supposent déjà connaître le modèle de propagation de la maladie et ensuite ils disent que si la propagation que l’on constate ne correspond pas au modèle, c’est grâce aux mesures qui sont prises. Evidemment, ils ne prennent dans leur analyse que des pays qui ont confiné.

Dans le détail, il y a carrément 2 arnaques dans le raisonnement du papier, une dans chaque partie.

Première arnaque : présupposer le modèle de propagation

Pour obtenir leur modèle, les auteurs disent savoir à l’avance le type de courbe que suit la propagation épidémique. C’est ce que l’on appelle faire de la statistique paramétrique. On connaît déjà la fonction et on cherche juste ses paramètres. C’est une technique utilisée en économie comme c’est d’ailleurs précisé dans cet article. En économie, on a en effet beaucoup de recul et de données pour avoir bien bossé des modèles. Pourtant ils ne marchent pas de façon géniale, sinon le métier de trader n’existerait plus et on n’aurait plus de crise financière. Lorsque l’on fait des statistiques médicales, on n’est pas vraiment sensé faire de la statistique paramétrique. On doit plutôt faire des statistiques non-paramétriques, c’est-à-dire ne pas supposer déjà savoir comment ça se passe. Rien qu’ici les auteurs dévoient déjà le principe de modélisation.

Ils font donc de la statistique paramétrique en affirmant qu’une épidémie suit toujours une loi exponentielle. Une exponentielle, c’est ce qui arrive si l’on considère que chaque personne va en contaminer d’autres régulièrement.

Par exemple, si chaque contaminé contamine une personne chaque jour. Le premier jour, on a 1 contaminé. 2 le deuxième jour, 4 le 3e jour, puis 8, 16, 32, 64 etc…

On voit des exponentielles lorsque l’on fait des expériences en laboratoire. Dans la nature, c’est plus rare. Dans la vidéo précédente, je vous ai montré que pour faire le test RT-PCR, on déclenche une réaction exponentielle. Pour réussir, on met plein de produit réactif dans un tube à essai, on chauffe et on mélange très fort. C’est la seule manière d’avoir une exponentielle en début de réaction, il faut beaucoup de produits au même endroit en mélangeant fort pour qu’ils réagissent entre eux.

Pour les virus, c’est pareil. Si vous voulez avoir une réaction exponentielle à l’échelle d’un pays, il va vous falloir tous les jours récupérer vos malades et les balancer par hélicoptère au milieu de gens qui n’ont jamais attrapé la maladie, qui y sont sensibles et forcer tout ce petit monde à se faire des plein de bisous. Si vous n’apportez pas tous les jours des gens sains à proximité des malades, de plus en plus vite, vous n’aurez pas d’exponentielle.

Imaginons un virus qui se propage de façon exponentielle parmi des humains qui vivent à proximité les uns des autres. On va faire une exponentielle à base 2. C’est-à-dire que notre nombre d’infectés va doubler tous les jours. C’est ce qui se passe si chaque malade infecte une personne saine chaque jour.

On a notre 1er infecté le premier jour, il va en contaminer 1 autre. On a donc 2 malades au 2e jour. Chacun en contamine un nouveau. On en aura 4 au 3e jour. Puis 8, puis 16, puis 32, puis 64. Arrivé à 128, on se rend compte d’un problème. Pour réussir à faire 128, il faut réussir à contaminer des humains qui sont plus loin. Il faut donc imaginer des déplacements des contaminés vers l’extérieur pour améliorer la cadence. Pour faire 256, c’est pire. Il faut réussir à contaminer d’un coup 3 couches supplémentaires d’humains sains.

Plus ça va pire c’est. Pour faire 512, il faudrait contaminer 3 couches d’un coup. Il faudrait carrément que nos malades fassent des sprints toute la journée pour trouver des nouvelles personnes à contaminer Pour aller à 1024, ce serait 5 couches, là il faudrait des vélos, pour aller à 2048, 7 couches, il faudrait faire la contamination en voiture. Plus on avance et pire c’est. Pour suivre l’exponentielle 15 jours, il faudrait mettre en place une sacrée logistique pour être sûr de mélanger tout le monde.

La propagation exponentielle, autant ça peut exister en laboratoire, autant dans la vraie vie c’est assez peu crédible. Dans un pays comme la France par exemple qui est au bout du bout du continent, le plus souvent les maladies arrivent par l’est ou par le sud.

La progression de l’épidémie a donc peu de chance de ressembler à une exponentielle. On va plutôt voir une vague qui avance sur le territoire et qui ne touche d’ailleurs jamais le territoire en entier de façon uniforme.

Ça dépend de la météo, de la période de l’année et d’un tas de facteurs qu’on ne maîtrise absolument pas. Quand l’épidémie arrive dans un endroit très peuplé comme l’Île-de-France, les contaminations s’accélèrent puisqu’il y a plus monde au même endroit, et quand elle traverse la campagne, cela ralentit.

Si on reprend notre exemple, une propagation par vague, cela se passe comme si le virus se déplaçait sur le territoire, non pas en accélérant, mais plutôt à une vitesse constante.

On peut avoir une propagation de type linéaire. C’est-à-dire que l’on imagine l’épidémie arriver comme une vague et se propager en ligne.

Dans l’exemple, elle arriverait de l’Est et avancerait vers l’Ouest. On aurait ainsi chaque jour à peu près le même nombre de contaminés.

 Un peu plus quand la vague arrive en ville et un peu moins en campagne.

On peut aussi avoir une propagation de type carrée. Ici on imagine que le premier va contaminer la couche autour de lui.

Le 2e jour, on a donc 9 contaminés. On peut voir que ce type propagation démarre plus fort que l’exponentielle, mais elle va croître beaucoup moins vite. Le 3e jour on aura 25 contaminés. Puis 49, 81, 121 etc. Cette propagation ne suppose pas que les gens ont besoin d’être déplacés de plus en plus vite pour en contaminer de nouveaux.

La propagation linéaire arriverait par exemple si l’épidémie arrive en ligne d’un pays voisin, alors que la propagation au carré arriverait si des contaminations avaient lieu de façon parachutée sur le territoire, par exemple avec des passagers d’avions.

On a donc 3 propositions de modèle, l’exponentielle, la loi linéaire ou la loi carrée. Pour savoir quel modèle à la plus de chance de ressembler à la réalité, on peut regarder ce qu’il s’est passé depuis 50 ans en France du point de vue de la mortalité pendant les épidémies. Observe-t-on plutôt des exponentielles, des loi linéaires ou des lois carrées ? La différence entre les 3 est énorme. Voici un graphique avec ce que donne une propagation exponentielle, une propagation au carré et une propagation linéaire. Tous les raisonnements qui défendent les mesures prises sont basés sur la propagation exponentielle. Si c’est faux, tous les modèles s’effondrent.

Si on trace la courbe des décès pour chaque cas, exponentiel, carré ou linéaire, voici ce que cela donne.

L’exponentielle est en bleue, elle démarre doucement puis fini par s’envoler. La carrée est en gris. Elle démarre plus rapidement que l’exponentielle, mais finit par se faire rattraper et dépasser. La plus rapide au début en orange est la courbe linéaire. Elle peut démarrer fort, mais se fait toujours dépasser par les 2 autres.

Voici les décès enregistrés en France depuis 50 ans. Je vous ai mis en rouge l’année 2020. La courbe orange derrière c’est l’année 1969 et sa célèbre grippe de Hong-Kong pendant laquelle on n’a pas vécu la psychose de cette année, alors qu’elle a fait bien plus de décès en proportion.

Je vous rappelle qu’en 1969, il n’y avait que 50 millions de français contre 65 millions en 2020 aujourd’hui. Mais encore pire, en 1969, il n’avait que 6,8 millions de plus de 65 ans contre 12,7 millions en 2020. Le pic en vert, c’est la canicule de 2003. C’est le record absolu du nombre décès sur une seule journée en France.

Enfin, attention de ne pas se faire avoir avec le graphique. Il donne l’impression que les français ne meurent que pendant les périodes épidémiques. Il a donc l’air impressionnant. Il ne faut pas oublier que depuis 50 ans, il y a en fait 1500 personnes qui décèdent en France tous les jours. Pendant les épidémies, on ne passe pas de 0 à 2500, mais de 1500 à 2500.

On peut d’ailleurs noter que depuis 1968, le nombre de personnes qui décèdent en période calme est très stable, autour de 1500. Ce qui a évolué c’est que plus on a de personnes âgées, et plus on voit les bosses en période épidémique. Conclusion, plus on a de personnes âgées et fragiles, plus on verra de décès concentrés en période épidémique, rien de plus normal.

On va essayer de trouver si on voit des exponentielles dans ce graphique. La méthode pour identifier une exponentielle est assez simple, il suffit de calculer l’augmentation des décès d’un jour à l’autre. On fait donc juste une soustraction entre le nombre de mort de chaque jour, avec le nombre de de morts de la veille.

Sur notre exemple, on peut voir que si les décès suivent une exponentielle, alors en faisant la différence par rapport à la veille, on va retrouver une exponentielle. Si vous avez fait des maths, ce qu’on est en train de faire, c’est ce qu’on appelle la dérivée. La dérivée d’une exponentielle, c’est une exponentielle. Si les décès suivent une loi carrée, alors en faisant la différence on tombe sur une courbe linéaire, soit une droite oblique. Si les décès suivent une loi linéaire, alors on verra quelque chose de plat.

Vu la complexité des modèles mathématiques proposés dans l’article de Nature, je pense que ces scientifiques maitrisent la soustraction pour vérifier, a minima, qu’ils ne racontent pas des bêtises.

Voilà ce que ça donne sur les décès depuis 50 ans en faisant la soustraction du nombre de décès chaque jour avec la veille.

Globalement, on ne voit pas grand-chose. Les grands évènements qui font vraiment beaucoup de morts, sont les canicules l’été, comme celle de 2003 ou des crashs d’avions.

On constate surtout que le nombre de décès en France peut augmenter ou diminuer de 200 d’un jour à l’autre sans que l’on puisse constater que ça soit anormal. Aussi, tous les épisodes de mortalité épidémiques ont l’air d’avoir une progression entre 0 et 200 de plus par jour, ce qui est finalement du même ordre que les variations habituelles. Cela suggérerait pour l’instant, non pas une exponentielle, ni même en loi carrée, mais carrément une progression linéaire de la maladie comprise entre 0 et 200.

Pour y voir un peu plus clair et chercher plus finement une exponentielle, on va faire 2 choses. On va faire un lissage, c’est-à-dire qu’on va faire une moyenne du nombre de décès de chaque jour avec le jour précédent et le jour d’après. Cela va permettre de diminuer les variations naturelles d’un jour sur l’autre dû au hasard. On va aussi zoomer en ne gardant que des années où l’on sait qu’on a eu de fortes épidémies, pour essayer d’y voir quelque chose. Je garde donc 1969, 2012, 2015, 2017 et 2020.

On voit un peu mieux, ici on sait juste que d’un jour sur l’autre le nombre de décès lissé varie de plus ou moins 50 et que c’est normal. Donc pour identifier une période épidémique, il faut que l’on ait une augmentation sur plusieurs jours d’affilée. Pour regarder cela, on va toujours regarder la différence, mais on va faire la moyenne sur 4 jours. De cette façon, si on a une alternance de + 50 et -50, on trouvera 0. Si on a plusieurs jours d’affilée d’augmentation, on le verra mieux.

Voilà le graphique total, sur lequel on observe toujours que les augmentations n’ont pas l’air de suivre des lois exponentielles. Du côté des épidémies hivernales, il n’y a qu’au moment de la grippe de Hong-Kong et l’épidémie de Covid de printemps où on peut voir une progression qui sort un peu du lot. Si on la regarde en détail, on voit une belle ligne droite qui suggère une loi carrée.

Pour la grippe de Hong-Kong cela correspond à ce que certaines analyses ont faites de l’épidémie, à savoir qu’elle s’était répandue plus vite grâce aux transports par avions qui se démocratisaient.

Les creux que l’on voit sont en partie à cause des différences entre le week-end et le lundi. Pendant la Covid, la majorité de la surmortalité est venue de décès à domicile. On a donc beaucoup de remontées de décès lorsque les médecins constatent les décès les lundis et beaucoup moins le week-end. Même en faisant le lissage, la différence est tellement forte que l’on ne s’en débarrasse pas totalement.

On reviendra quand même en détail sur les hausses de mortalité pendant cette période dans la deuxième partie de la vidéo. On verra qu’elles ont lieu à des dates étonnamment bien connues.

Si je vous mets le graphique total France métropolitaine depuis 50 ans, vous pouvez voir qu’on n’a jamais vu de maladie que se propageait de manière exponentielle.

Quasiment tout ce qu’on peut observer relève plutôt d’une propagation linéaire. Les courbes sont en effet très plates et seule la grippe de Hong-Kong de 1969 et la Covid de printemps ont pu suivre une propagation au carré. La Covid de la Toussaint respecte très bien le principe de loi linéaire.

Donc supposer un modèle exponentiel, et dire que ce modèle est valable jusqu’à ce que presque toute la population soit infectée, cela n’a pas le moindre rapport avec la réalité de ce que l’on observe pour les autres maladies depuis 50 ans. Il paraît donc tout à fait normal que la Covid-19 respecte ce schéma, sans avoir à imaginer que les mesures ont un quelconque rapport avec ça.

Donc soit les auteurs sont complotistes et suggèrent en fait que c’est un virus d’un genre nouveau créé dans un laboratoire ultramoderne et qui réussit à se déplacer à une vitesse supersonique, soit ils se sont complètement plantés de modèle. Peut-être qu’ils ne comprennent pas ce qu’ils sont en train de faire, ou peut-être qu’ils ont écrit ce papier uniquement pour défendre les mesures actuelles.

La première arnaque de ce papier c’est donc de dire que la propagation du virus est exponentielle, sans le prouver et sans préciser que c’est contraire à ce qu’on sait des propagations épidémiques.

Un fois que nos auteurs ont affirmé que le virus va se propager de manière exponentielle, ils doivent calculer les paramètres de leur exponentielle.

Pour ce faire, ils n’utilisent que les toutes premières données d’infections, celles qui ont lieu entre le moment où on démarre les tests et le confinement. En effet, puisqu’ils veulent montrer que le confinement casse l’exponentielle, ils ne peuvent utiliser que les résultats de tests qui ont lieu avant. Ils corrigent quand même ces données en prenant en compte les gestes barrières et la distanciation. Pour les auteurs, la propagation serait nécessairement plus haute sans ces mesures, leur modèle en rouge est donc supérieur à la réalité. Pour résumer, les auteurs calent un modèle hyper structurant sur uniquement quelques jours, avec des données que tout le monde sait médiocres. D’ailleurs ils précisent que ça ne marche pas génial et que quand les données étaient vraiment trop loin de leur supposé modèle, ils ont considéré que c’est parce qu’elles étaient mauvaises et les ont enlevées.

Ils remarquent aussi que d’un pays à l’autre les soi-disant exponentielles sont très différentes. Ils en déduisent que c’est dû aux spécificités des habitants et pas du tout à la qualité des statistiques, ni de leur modèle. C’est bien pratique.

On a donc une exponentielle qu’ils calent sur le début. Si on reprend notre exemple, une exponentielle c’est assez plat au début, donc c’est difficile de distinguer les paramètres là-dessus. On peut aussi facilement la confondre avec une loi carrée si les données sont médiocres comme ici.

Si on demande à la machine de caler une exponentielle sur les 20 premiers jours, elle trouvera les paramètres qui collent le mieux. Si on demande à la machine de caler une loi linéaire ou carrée sur ces mêmes jours avec les mêmes données, elle donnera également les meilleurs paramètres. On peut avoir dans les 3 cas une très bonne précision avec les mêmes données. La moindre des choses c’est d’essayer plusieurs solutions et de prouver que l’on a choisi la meilleure.

A ce stade, l’article a supposé une loi exponentielle qui n’existe jamais et a calé son modèle sur un tout petit nombre de données que l’on sait mauvaises et qui ne sont pas cohérentes entre elles. Mais ce n’est pas encore le pire.

Deuxième arnaque : attribuer les différences aux mesures de confinement

Enfin arrive la plus grosse arnaque du modèle, celle qui consiste à dire que si la courbe réelle des personnes infectées est différente de la courbe du modèle, c’est parce que les mesures fonctionnent. C’est ce qu’il y a dans la deuxième partie du papier avec les graphiques bleus et rouges. La partie rouge, c’est la poursuite de l’exponentielle que les auteurs ont calculée. Le trait noir c’est ce qui s’est passé et le trait bleu c’est le modèle des auteurs en prenant en compte les présupposés bénéfices du confinement.

Comme on l’a vu dans l’exemple les lois exponentielles et carré peuvent être confondues au début. Il est assez facile de construire une loi carrée qui est exactement pareille que la loi exponentielle pendant une vingtaine de jour et qu’ensuite elles se séparent. C’est exactement ce que font les auteurs.

Quand ensuite ils constatent que la courbe rouge se sépare de la courbe noire, cela ne prouve absolument pas les effets des confinements, mais juste que le modèle exponentiel ne colle pas.

Cette démarche des auteurs est d’une malhonnêteté intellectuelle très grave. La base de la statistique c’est que les faits n’expliquent pas les causes. Lorsque vous mesurez quelque chose, vous ne pouvez pas savoir d’emblée d’où vient ce résultat. Coller un modèle exponentiel pour ensuite dire qu’il ne correspond pas à la réalité et conclure qu’on a sauvé des vies c’est honteux.

La supposition hyper forte que fait l’article caché derrière son modèle, c’est que le confinement déclenche la fin de la propagation exponentielle sans apporter aucune preuve que l’exponentielle existe, ni que les mesures ont un impact.

Derrière, toutes les soi-disant vies sauvées prouvées par l’article, ne sont que le résultat des données pourries et des suppositions prises pour faire le modèle : propagation exponentielle de la maladie jusqu’à ce que presque toute la population soit infectée et efficacité des mesures sans jamais le prouver.

La plupart des articles avec un modèle mettent en place la même arnaque. J’en ai lu un certain nombre sur des sujets médicaux. Ils proposent un modèle sorti du chapeau, ils mettent les résultats que l’on observe en face et ils déduisent l’efficacité de leur produit miracle.

D’ailleurs tous les pays de l’étude ont mis en place un confinement, cela permet aux auteurs de ne pas se confronter à des pays comme la Suède, qui ont le même type de courbe sans jamais avoir confiné.

Pour conclure sur cette première partie, il n’existe pas d’analyse avec des données solides qui aujourd’hui montre l’efficacité des mesures.

Un modèle mathématique, ça n’est ni bien, ni mal, c’est juste le résultat de ce que l’on met dedans. On doit s’en servir pour essayer de comprendre la réalité, pas s’en servir pour cacher un raisonnement fallacieux.

Passons maintenant à la deuxième partie, j’espère avoir été clair sur le fait qu’aucune étude avec modèle ne montre quoi que ce soit sur l’intérêt du confinement. On va regarder ce qu’il s’est passé en détail en France pendant des périodes épidémiques, du point de vue de la mortalité, pour essayer de déduire ce que l’on peut sur les mesures.

  1. Que voit-on en France sur la propagation des virus et que peut-on en déduire sur les mesures ?

Aujourd’hui, l’idée que les mesures ont forcément un impact positif est durement ancrée dans tous les esprits. Dans la première partie, on a montré que les études essayant de le prouver utilisent des données pourries et un raisonnement fallacieux.

Ici on va regarder ce qu’on peut dire des épidémies en France, sans préjuger savoir comment une épidémie se propage, et en utilisant la statistique beaucoup plus fiable de la totalité des décès sur le territoire de France métropolitaine.

Pour ça on va regarder ce qu’il s’est passé en France pendant 4 périodes de mortalité dues à des épidémies. On va regarder la grippe de 2015, la grippe de 2017, La covid de printemps 2020 et la Covid de Toussaint 2020. On va se focaliser sur les plus de 65 ans, car ce sont les seuls âges pour lesquels on a observé une surmortalité pendant la Covid.

Plus précisément, on va regarder la surmortalité, c’est-à-dire les décès en plus que ceux que l’on a d’habitude. Pour référence à chaque fois, j’ai pris le mois de juin. C’est un mois toujours très bas, car il n’y jamais d’épidémies, ni de canicules qui augmentent la mortalité en juin.

On observe déjà que dans les 4 cas, la période pendant laquelle le nombre de décès augmente dure environ un mois. De manière très simple avec ce constat, on ne voit pas du tout d’effet de mesure qui ralentirait la progression épidémique. On a une montée qui dure un mois et ensuite, le nombre de décès descend. Si on est au printemps, le nombre de décès descend jusqu’à son niveau de printemps puis d’été. Si on est au début de l’hiver, le nombre de décès descend un peu, mais reste plus élevé qu’en été avec toutes les maladies hivernales qui traînent.

Voyons un peu dans le détail comment se propagent les épidémies en France à un niveau plus fin. Avec les fichiers de décès on a la commune de décès des français. On peut donc faire les regroupements que l’on veut. Le niveau département est un peu petit, c’est un peu pénible d’étudier 100 territoires à la fois. Le niveau région est un peu gros, j’ai pris un intermédiaire en choisissant les anciennes régions, avec un petit raffinement pour l’Île-De-France en la séparant en 3 zones : Paris, IDF Est et IDF Ouest.

Voici ce que cela donne pour la grippe de 2015. On observe ici la surmortalité en France entre janvier et mars 2015.

On voit que les régions ne sont pas touchées avec la même intensité, mais surtout qu’elles ne sont pas touchées en même temps. Les régions du Sud ont été les premières touchées. Voici donc la chronologie de la propagation.

Le 20 janvier, on constate une augmentation de la mortalité dans les 5 régions du Sud. Sur ces territoires, il faut entre 5 et 15 jours pour arriver au maximum de la mortalité. Cela dépend du temps que la propagation met à atteindre les territoires les plus peuplés de chaque région.

La région PACA qui est la première touchée est celle qui connaîtra la plus forte hausse de mortalité.

Il faut aussi avoir en tête que les décès sont probablement décalés de 15 jours à 3 semaines par rapport aux contaminations.

Autour du 25 janvier, on voit la mortalité augmenter aussi dans 3 régions un peu plus au nord. C’est le signe d’un probable décalage de l’épidémie et donc d’une remontée. Pendant ce temps, le nombre de décès continue à augmenter dans les premiers territoires touchés.

Autour du 27 janvier, on voit l’épidémie atteindre l’Ile-de-France. Aussi bien Paris que les départements limitrophes. Ainsi, La propagation semble faire un saut, ce qui pourrait correspondre à des contaminations dues aux nombreux échanges parisiens avec le reste de la France et du monde.

Fin janvier, la surmortalité commence à être visible dans les parties Nord et Est de la France.

Début février, la surmortalité remonte au Nord et avance vers l’Ouest, ces territoires seront finalement assez peu touchés.

Les dernières régions connaissent une hausse de la mortalité à partir de la mi-février.

En conclusion, on a donc vu que l’épidémie de grippe 2015 semble être arrivée par le Sud, qu’elle met une grosse quinzaine de jour à se propager partout au sein d’une région, et qu’elle met également une grosse quinzaine de jour à se propager sur toute la France. Finalement, la propagation totale met donc un mois. Les premières régions touchées sont celles qui ont la plus forte mortalité.

Pour l’épidémie de grippe 2017, on va raconter presque la même histoire.

La première différence avec 2015 est que l’origine de l’épidémie est plutôt à chercher à l’Est. La région Rhône-Alpes est la première à connaître une surmortalité. Comme pour ce que l’on a vu en 2015, c’est la première région touchée qui connais la plus forte mortalité.

La mortalité va ensuite augmenter progressivement vers le Sud et le Nord, puis l’Ouest. Les derniers territoires touchés sont la Bretagne et les Pays de la Loire, et cette fois-ci la Corse.

On voit que le pic met aussi environ 15 jours à être atteint dans une région à partir du moment où cela commence à augmenter. Enfin, mis à part la Corse, toutes les régions concernées par l’épidémie sont touchées en 15 jours également.

La principale différence avec l’épidémie de 2015 vient du fait que beaucoup de régions ne seront pratiquement pas touchées par l’épidémie. En particulier, plus l’épidémie arrive tard et moins l’intensité est importante, les derniers territoires touchés ont ainsi peu de décès. Ainsi tout se passe comme si les conditions n’étaient plus réunies pour que la maladie fasse beaucoup de décès. Cela peut venir de la météo, du comportement des gens, des congés ou d’autre chose. On apprend surtout qu’une épidémie ne se comporte pas de façon uniforme sur le territoire.

Passons maintenant à l’épidémie de Covid de la Toussaint 2020.

On se retrouve dans la même configuration que l’épidémie de grippe 2017. Elle démarre en Rhône-Alpes et se déplace ensuite dans toutes les directions et en particulier vers le Sud. On observe une vitesse de propagation à l’intérieur des régions pour atteindre le pic similaire à d’habitude et des passages d’une région à l’autre qui se font tranquillement. Donc, toutes les mesures barrières, les masques, la distanciation, le couvre-feu, font que la propagation a exactement la même forme que d’habitude.

On observe aussi, que comme l’épidémie de 2017, toutes les régions ne sont pas touchées. Il est utile de rappeler à ce moment que puisque l’on ne meurt qu’une seule fois, les régions qui ont eu une forte surmortalité au printemps, notamment l’Île-de-France et l’Alsace-Lorraine, n’en ont pas à la Toussaint. Cela donne une idée de l’espérance de vie des personnes décédées de cette maladie au printemps.

Pour finir d’enfoncer le clou, mettons les dates de confinement pendant cette période.

Sachant qu’il faut compter entre 15 jours et 3 semaines entre la contamination et le décès, on peut décaler de 15 jours nos courbes par rapport au confinement pour avoir une idée des contaminations.

Il est donc clairement visible que ce confinement a eu lieu complètement après la bataille. Tous ceux qui vont perdre leur entreprise, ou ont perdu un proche isolé à la suite de cette décision doivent rigoler un bon coup en voyant cette courbe.

Finissons par l’épidémie de mars-avril, qui rappelons-le est la seule pour laquelle on soupçonne une vitesse de propagation supérieure à d’habitude : une loi carrée plutôt qu’une loi linéaire.

On voit nettement dans cette propagation que l’épidémie est arrivée de l’Est. En Alsace puis en Lorraine avec quelques jours de décalage, l’épidémie suit son cours normal, avec une augmentation classique du nombre de décès. Les régions d’Île-de-France, et de Rhône-Alpes sont atteintes en même temps que la Lorraine. Rhône-Alpes voit une augmentation classique de son nombre de décès. En revanche les territoires parisiens sont anormalement hauts. Le nombre de décès augmente bien plus vite que d’habitude sur ces territoires.

Pour mémoire, je remets les dates de confinement du mois de mars.

Encore une fois, puisqu’il y a environ 15 jours entre le moment de la contamination et le décès, voilà ce que ça donne si on décale les courbes.

Donc au moment où le confinement est décidé, la propagation épidémique a déjà eu lieu sur tous les territoires concernés et commençait à ralentir. On est plus de 15 jours après le début de l’épidémie. On peut donc supposer comme pour tous les autres cas qu’elle a voyagé en France et au sein des territoires déjà touchés. Pour le dire clairement, c’est bien trop tard pour espérer sauver quelqu’un. Toutes les courbes des territoires touchées suivent le même type de cloche que d’habitude.

Concernant la fin de mortalité de l’épidémie, je constate que depuis 50 on a vu qu’une seule fois de la surmortalité pendant le mois de mai, en 1979. Il faut rappeler que cette année-là, il a neigé début mai. La météo était donc exceptionnelle et a pu favoriser le maintien de la mortalité hivernale jusque tard dans l’année.

Je vous rappelle qu’à partir du mois d’avril 2020 et pendant tout le confinement, les enfants ont pu aller jouer dehors. Le redoux signant habituellement la fin de la surmortalité hivernale, la fin de l’épidémie est on ne peut plus classique.

A ce stade, je ne vois pas comment on pourrait conclure d’un lien entre une baisse de la propagation ou la fin de la propagation et les mesures. En revanche ce n’est pas la même chose pour la mortalité. Reprenons le graphique avec les dates de confinement réalisés et en ne gardant que les territoires les plus touchés.

Est-ce qu’il n’existerait pas un lien entre les mesures prises et une mortalité plus élevée que d’habitude ? On remarque assez fortement que la période entre 17 mars et le 23 mars correspondant à la mise en application des plus fortes mesures prises est parfaitement synchronisée avec l’augmentation des décès.

Donc plutôt que d’affirmer que les mesures sont bénéfiques et que si on ne le met pas, il va y avoir une hécatombe, il faudrait plutôt le prouver.

Rappelons ici les mesures structurantes qui ont été prises :

  1. Le confinement, c’est-à-dire une limitation extrême des mouvements et l’ordre à tous les français de rester chez eux.
  2. L’interdiction aux médecins de ville d’appliquer leur art, autrement-dit de proposer des traitements pour limiter le risque de complication. Le débat s’est focalisé sur l’hydorxychloroquine, mais l’interdiction ne se limite pas à cette molécule, mais à toute substance en dehors du doliprane.

L’impact du confinement

On a vu un peu avant que les différentes périodes de confinement arrivent en décalage avec l’épidémie. C’est normal puisque le confinement total arrive à partir du moment où on commence à avoir des décès dans la population. Seulement à partir du moment où on note des décès, c’est que le virus circule déjà depuis au plus de 3 semaines. Il a donc eu tout le temps de se propager sur le territoire français. Encore une fois, on ne voit aucun signe d’une vitesse de propagation de cette épidémie qui serait différente d’avant. Rappelons à ce stade qu’il n’y avait en mars-avril, ni masques, ni gel hydroalcoolique et la mode des gestes barrières n’avait pas percé non plus. Tous les travailleurs s’en souviennent je pense.

Cherchons donc quels liens on peut trouver entre le confinement strict et la mortalité.

Beaucoup d’internaute m’ont dit que le confinement strict avait permis de sauver de nombreuses vies par l’absence des accidents de voiture. C’est un argument intéressant qui mériterait un courrier à la sécurité routière. Finalement la méthode est simple pour diminuer la mortalité sur les routes, pourquoi n’y a-t-on pas pensé avant ? Plus sérieusement, il y a environ 3 600 décès sur la route par an en France, cela fait 300 par mois, cela fait environ 600 décès sur la période de confinement. Les ¾ de ces décès concernent des moins de 65 ans.

C’est normal, car ce sont plutôt les moins de 65 ans qui prennent leur voiture tous les jours pour aller au travail. La Covid au contraire touche les plus de 65 ans. On a donc sauvé une partir des 600 décès possibles, mais en écrasante majorité des jeunes, alors qu’ils ne risquent rien avec la Covid.

Maintenant, comparons avec d’autres effets de cette politique du rester chez soi. Le 7 mai 2020, dans son bulletin épidémiologique, Santé publique France tire la sonnette d’alarme sur le renoncement au soin.

Devons-nous être surpris de constater que lorsque l’on fait peur aux gens en leur ordonnant de rester chez eux, ils obéissent ? Ils obéissent tellement bien qu’ils ne vont pas à l’hôpital lorsqu’arrivent les signes d’un AVC ou d’un infarctus. En France, on dénombre environ 120 000 infarctus par an, cela fait 20 000 pendant la période de confinement.

Du côté des AVC, 150 000 sont comptabilisés chaque année, soit 25 000 en 2 mois.

Contrairement aux accidents de la route, les AVC et les infarctus touchent majoritairement le même public que les victimes de la Covid.

Pour bien se rendre compte des échelles de comparaison entre ces 3 risques, voici le graphique correspondant :

Sachant que Santé publique France nous révèle que pendant la dernière semaine de confinement, les hôpitaux ont relevé 300 personnes de moins aux urgences AVC et 300 personnes de moins aux urgences cardiaques qu’à la même époque en 2019. Doit-on en déduire qu’en 2020, les français ont eu le bon goût de ne pas faire d’AVC et de crises cardiaques pour laisser toute la place aux malades de la Covid, ou plutôt qu’ils n’ont pas été pris en charge à cause du confinement. Ce ratio étalé sur 8 semaines représente pas loin de 5 000 personnes non soignées. Sachant que la surmortalité de la période de mars-avril est d’environ 30 000, ce n’est pas négligeable.

Ajoutons en plus que pendant 2 mois, la quasi-totalité des examens de dépistages, de cancers, mais par seulement a été annulée ou reportée.

Sachant qu’en France, il y a d’habitude 200 000 dépistages du cancer du sein tous les mois, on peut donc avoir raté jusqu’à 400 000 dépistages pendant ce confinement.

Pour le cancer colorectal, c’est exactement la même chose, jusqu’à 400 000 dépistages ratés sur une période de 2 mois.

Cela signifie que le système de santé, avec une annulation totale, pourrait avoir accumulé près de 800 000 dépistages de retard rien que sur ces deux pathologies. La somme de toutes les pathologies non dépistées pendant ces 2 mois peut donc être bien plus élevée.

Ce constat est confirmé dans un article du figaro précisant qu’en 5 mois le nombre de dépistage a chuté de 23 % en 2020, alors que du fait du vieillissement de la population, il ne cesse d’augmenter.

Il est difficile d’évaluer combien de personnes décéderont de ne pas avoir été dépistées à temps. L’article du figaro avance le chiffre de 1000 à 6000 personnes. Si on considère qu’il s’agit d’un journal qui a soutenu la thèse d’un virus extrêmement mortel, et donc la nécessité de mesures fortes, on imagine sans peine qu’a minima, ils n’ont pas pris les chiffres mettant le plus à mal leur ligne.

On peut également ajouter à ce non-dépistage, les opérations reportées qui étaient destinées à retirer des tumeurs. Il y en a u plus de 30 000 sur la période. Ces reports sont autant de pertes de chances pour ceux qui les ont subies.

Si on résume, lorsque l’on regarde uniquement les effets collatéraux des mesures, à savoir la non-prise en charge des patients du fait de l’ordre de rester chez soi, les reports d’opérations et le non-dépistage, on a plusieurs milliers, voire une dizaine de milliers de personnes qui sont décédées ou décéderont de ces décisions prises pour cette période de 2 mois. Ce chiffre est à mettre en face de la surmortalité de l’année 2020.

L’impact de l’interdiction de soin par les médecins de ville

Peut-être est-il important de commencer par rappeler à nos chers décideurs et journalistes la politique de soin menée en France depuis plus de 30 ans.

Sur le site de l’Insee et de la DREES on peut suivre les différents effectifs des établissements de santé depuis 20 ans.

On apprend notamment que depuis 20 ans le nombre de lits d’hôpitaux a baissé de 100 000. Ainsi, en 1998, il y avait 8 lits d’hôpitaux pour 1000 habitants et il n’en reste plus que 6 en 2018.

Tout cela pendant que la population française passait de 58 millions à 65 millions et plus précisément les plus de 65 ans passait de 9 millions à 13 millions.

Pendant que le nombre de lits baissait drastiquement, le nombre de médecins augmentait très légèrement, passait de 3,3 pour 1000 habitants en 1998 à 3,4 pour 1000 habitants en 2018.

C’est une politique assumée de limiter le recours à l’hôpital pour reporter le soin vers les médecins de ville. La gauche, comme la droite ont lancé de nombreuses réformes dans ce sens. Citons par exemple la tarification à l’acte, mise en place par un certain Jean Castex.

Ou encore la mise en place des 35h à l’hôpital, mais sans rajouter de personnel soignant. Au bilan, on a juste eu moins d’heures de soignants, donc moins de soins. Derrière cette avancée pour les travailleurs de l’hôpital se cache une désorganisation du parcours de santé pour entraîner un renoncement.

Cette idée de faire renoncer aux français l’accès à l’hôpital et surtout aux urgences était au cœur de la réforme de santé du candidat Fillon pour les élections de 2017.

Son programme était de supprimer la bobologie de l’hôpital. Pour lui, comme pour les précédents, la saturation chronique de l’hôpital due au vieillissement et au manque de place est une bonne chose, car on doit payer moins cher. Il faut donc empêcher les français d’aller à l’hôpital pour soigner des maladies ou blessures jugées pas assez importante. En résumé, l’hôpital est l’endroit où l’on soigne les maladies grave et les cancers, pour le reste, il faut payer. Cette politique est juste le prolongement de ce qui est réalisé par la gauche ou la droite depuis 30 ans. Son erreur a été de l’afficher clairement. C’est finalement le candidat Macron qui a gagné sans afficher son programme et qui a pu continuer tranquillement cette politique.

La raison affichée de cette stratégie est évidemment qu’il faut que la santé coûte moins chère au français, soit plus efficace et moderne. Dans les faits, les coûts des soins médicaux français n’ont jamais été aussi élevés, ils sont passés de 154 milliards d’euros en 2006 à 204 milliards d’euros en 2018. Une augmentation de 30% du budget consacré pour une saturation toujours plus forte. Ce sont 50 milliards d’euros qui vont dans les bonnes poches pour soigner uniquement les bonnes personnes.

Donc en résumé, la politique menée depuis 30 ans, c’est de supprimer au maximum les places à l’hôpital et donc le recours à l’hôpital et en particulier aux urgences. Le rôle est donné aux médecins de villes et à leurs prescriptions pour limiter l’arrivée des français à l’hôpital. Cette politique est connue et affichée depuis 30 ans. Les technocrates et politiques au pouvoir le savent très bien.

A partir du moment où l’on sait cela, à votre avis, que se passe-t-il si tout d’un coup pendant une période épidémique, on interdit aux médecins de villes de prescrire et on ordonne aux français de ne se rendre qu’à l’hôpital et uniquement lorsque leurs symptômes se sont aggravés ?

La réponse est simple, puisque les médecins de ville n’ont pas pu assurer leur rôle de premier soin pour empêcher un certain nombre d’aggravation, l’hôpital se retrouve saturé parce qu’il n’est pas du tout prévu pour ça. La saturation hospitalière des mois de mars-avril n’est pas du fait du seul virus, mais vient directement de la stratégie choisie. Tout s’est passé comme-ci le gouvernent français au mois de mars avait complètement oublié la politique mise en place depuis 30 ans et ce qu’elle implique. La raison la plus probable de ce choix stupide, vient du fait qu’ils n’avaient absolument rien compris à leur propre politique. C’est ce qui arrive lorsque l’on suit bêtement une idéologie.

Ce choix de ne pas laisser les médecins de ville proposer des traitements a aussi entraîné une dégradation plus rapide de la santé des patients. De plus certains patients auraient pu ne pas rentrer dans un état grave s’ils avaient pu bénéficier de premiers soins de la part d’un médecin à la suite d’un diagnostic. Tout cela a aussi renforcé la saturation hospitalière.

Tout cela a été quantifié par les défenseurs du confinement eux-mêmes. Arnaud Fontanet et Simon Cauchemez ont publié un article dans Science, au sein duquel ils utilisent les données hospitalières françaises et notamment le temps de passage et réanimation et de décès depuis la prise en charge du patient. Les courbes les plus intéressantes ont été supprimés depuis par les auteurs, mais le site de l’Institut Pasteur permet toujours de consulter la version préprint, c’est-à-dire déposée, mais pas encore publiée. Au pages 31 et 33, on peut consulter le nombre de jours que mettent les patients arrivant à l’hôpital avant d’aller en réanimation (graphique de gauche) et le nombre de jours qu’ils mettent avant de décéder (graphique de droite).

On apprend grâce à eux que 50% des patients arrivant à l’hôpital sont placés en ranimation dès de le premier jour et que 17% des patients décèdent dès le premier jour. Ces ratios énormes sont juste la preuve apportée par les auteurs que les gens arrivent trop tard à l’hôpital. On voit d’ailleurs que la différence entre le nombre de décès au jour 1 et le nombre de décès au jour 2 est énorme. Cela montre qu’une grosse partie des arrivées n’est juste pas sauvable. Les auteurs en déduisent d’ailleurs qu’il y a 2 courbes séparés entre ceux arrivant trop tard et les autres. Si on fait preuve de juste un peu d’honnêteté, on déduit de cet énorme ratio de décès au premier jour que les soins sont trop tardifs. Il est donc très probable que les décédés des jours suivants soient également pour beaucoup du fait de personnes dont l’état a eu le temps de s’aggraver et dont certain auraient pu en réchapper si les soins avaient été précoces. En voyant ces courbes, je n’arrive juste pas à imaginer ce qui a pu es passer dans la tête des auteurs. Comment ont-ils ou avoir l’idée de publier ces courbes ? Les ont-ils seulement regardées 2 secondes avant d’appliquer mécaniquement un modèle dessus ? Comment peut-on voir ces courbes et se dire qu’on a fait du bon boulot et qu’on va le diffuser mondialement ? Ces gens sont sur une autre planète.

Enfin, grâce à eux, j’ai pu montrer un article faisandé dans Nature, dans the Lancet et dans Science, comme ça il n’y a pas de jaloux.

Cette épidémie a laissé un marqueur de dangerosité fort dans l’esprit des soignants de l’hôpital, notamment parce qu’ils n’ont pas l’habitude de recevoir autant de monde si mal en point en même temps. Il faut dire qu’en effet, d’habitude les médecins de ville soignent une bonne partie des malades. D’habitude on ne laisse pas la situation empirer jusqu’à ce qu’il soit trop tard.

Cet abandon de soin en France a été analysé et quantifié dans un article très fourni.

Ce graphique est réalisé avec les données de décès de l’Insee, anonymisées avec l’information du lieu de décès. La courbe bleue représente les décès à l’hôpital et la courbe rouge les décès en dehors de l’hôpital. On peut suivre ici les décès mois par mois. Les échelles sont très légèrement différentes. On constate que le nombre de décès à l’hôpital comme en dehors suit les mêmes pics et les mêmes creux. On constate surtout que jusqu’en 2010 les courbes se suivent assez bien. En revanche, depuis 2010 le nombre de décès en dehors de l’hôpital augmente tandis que le nombre de décès à l’hôpital reste stable. Ce graphique révèle que le système de soin ne s’est pas adapté au besoin des gens en termes de santé. Depuis 10 ans, la population âgée augmente du fait du vieillissement des baby-boomers. Depuis 10 ans, l’abandon de soin est donc manifeste. On s’étonne de voir l’espérance de vie stagner en France, finalement c’est peut-être juste dû à la politique de soin et au manque de place pour soigner nos vieux de plus en plus nombreux.

Toujours avec ces mêmes données, j’ai regardé ce qu’il se passe quotidiennement depuis 2018. Les échelles sont cette fois-ci les mêmes entre les 2 courbes.

Avant 2020, la courbe rouge est toujours sous la courbe bleue. Depuis 2020 c’est l’inverse. On constate que l’abandon de soin ne se limite pas à la période épidémique, mais persiste même en période calme, en particulier en mai et tout l’été 2020. L’abandon de soin n’est pas un problème de saturation de l’hôpital en période épidémique, mais un problème permanent. Ne devrait-on pas en déduire que lorsque l’on ne soigne pas les gens, ils meurent plus ?

En conclusion, dans cette vidéo, on a d’abord vu l’arnaque intellectuelle qui se cache derrière les études scientifiques pro-confinement, même celles publiées pourtant par des grands journaux. On a vu qu’elles ne prouvaient rien du tout et dévoyaient les statistiques et la modélisation mathématique pour promouvoir un discours politique.

Dans la deuxième partie on a vu qu’en France, on ne voit pas d’effets bénéfiques des différentes mesures sur la propagation de l’épidémie aussi bien au printemps 2020 qu’à la Toussaint. Pour la Toussaint, on voit clairement que le confinement est arrivé après la bataille. Pour le printemps, on a vu que le confinement et l’interdiction de soin pour les médecins de ville arrive exactement au moment où le nombre de décès augmente. On a ensuite vu en détail tous les indices qui montrent que les choix pris au printemps ont beaucoup plus de raison d’avoir augmenté les décès que de les avoir diminués.

Maintenant que l’on a vu tout ça, est-ce qu’il n’est pas grand temps d’arrêter de promouvoir bêtement les décisions qui ont été prises et de continuer la même politique de santé depuis 30 ans ? N’est-il pas grand temps de se réveiller et de repenser le système dans le bon sens ? Si on pouvait tirer le bilan de toutes les bêtises accumulées depuis plus d’un an, on pourrait au moins se dire que ça aura servi à nous faire progresser. Mais à quel prix ?




Deep State et Deep Church: le programme commun

[Source : Benoit et Moi (benoit-et-moi.fr)]

Mgr Vigano a accordé une longue interview à Deutsche wirtschafts nachrichten (« Actualités économiques allemandes »), un site consacré, comme son nom l’indique, aux nouvelles économiques. Il y expose (comme l’annonce le « chapeau » de l’article), « sa vision des développements politiques et sociaux actuels », autour du covid et du fameux Great Reset. Une grande partie est plus ou moins constituée de redites par rapport à de précédentes interventions du prélat, mais ici dans le contexte inédit d’un journal non religieux. Inutile de crier au complotisme, les arguments de l’archevêque (dont il faut saluer le courage, il en faut pour ramer ainsi publiquement à contre courant) sont évidemment à lire avant tout à la lumière de la foi, et les rejeter en le faisant passer pour un illuminé n’est tout simplement pas une réponse.

Un monde dans lequel l’État profond devait prévaloir réaliserait les pires scénarios décrits par l’Apocalypse, les Pères de l’Église et les mystiques.

Un royaume infernal dans lequel tout ce qui rappelle, même de loin, la société chrétienne – de la religion aux lois, de la famille à l’école, de la santé au travail – doit être banni et renversé, perverti

Archevêque Carlo Maria Viganò: L’État profond et l’Église profonde ont le même programme 

(Duc in Altum, 7 mars 2021, ma traduction)

Deutsche wirtschafts nachrichten – Votre Excellence, comment vivez-vous personnellement la crise du coronavirus ?

Carlo Maria Viganò – Mon âge, mon statut d’archevêque et mon habitude d’une vie retirée ne sont peut-être pas représentatifs de ce que la majorité des gens doivent endurer; néanmoins, je me suis moi-même trouvé depuis un an dans l’impossibilité de voyager pour rendre visite à des personnes qui ont besoin d’un mot de réconfort. S’il y avait eu une véritable pandémie, je n’aurais eu aucun problème à accepter de bon gré les décisions des autorités civiles et ecclésiastiques, car j’aurais reconnu en elles la volonté de protéger les personnes contre l’infection. Mais pour qu’il y ait pandémie, il faut d’abord que le virus soit isolé, qu’il soit grave et qu’il ne puisse pas être traité à temps, et que les victimes du virus représentent une grande partie de la population. Nous savons cependant que le Sars-CoV-2 n’a jamais été isolé, mais seulement séquencé; qu’il aurait pu être traité à temps, en utilisant les thérapies disponibles, mais qu’au contraire l’OMS et les autorités sanitaires locales ont boycottées, imposant des protocoles absurdes et des vaccins expérimentaux; que le nombre de décès en 2020 est absolument conforme à la moyenne des années précédentes. Ce sont des faits qui sont maintenant acceptés par la communauté scientifique, dans le silence d’omertà des médias.

Nous avons été témoins d’un plan qui n’a rien de scientifique et qui devrait susciter l’indignation universelle. Nous savons, de l’aveu même des personnes concernées, que cette pseudo-pandémie a été planifiée depuis des années, d’abord en sapant les systèmes de santé nationaux et en limitant les plans de lutte contre la pandémie. Nous savons qu’un scénario très précis a été suivi, conçu pour donner une réponse unique dans tous les États membres et pour standardiser le diagnostic, l’hospitalisation, le traitement et, surtout, les mesures de confinement et l’information des citoyens au niveau mondial. Un metteur en scène continue de gérer le Covid-19 dans le seul but d’imposer par la force des restrictions aux libertés naturelles, aux droits constitutionnels, à la libre entreprise et au travail.

Le problème n’est pas le Covid lui-même, mais l’utilisation qui en a été faite pour réaliser le Great Reset que le Forum économique mondial avait annoncé il y a quelque temps et qui est maintenant mis en œuvre point par point, avec l’intention de rendre inévitables ces changements sociaux qui autrement auraient été rejetés et condamnés par la majorité de la population. Comme la démocratie, tellement vantée tant qu’elle pouvait être pilotée grâce à l’influence des médias, n’aurait pas permis de mener à bien ce projet d’ingénierie sociale voulu par l’élite mondialiste, il fallait la menace d’une pandémie – présentée comme dévastatrice par le mainstream – pour convaincre la population mondiale de subir des confinements, des lockdowns, c’est-à-dire de véritables assignations à résidence, l’arrêt des activités, la suspension des cours et même l’interdiction de pratiquer un culte; et tout cela a été réalisé avec la complicité de toutes les parties concernées, en particulier les dirigeants, les responsables de la santé et la hiérarchie de l’Église elle-même.

Les dommages qui en ont résulté et qui continuent à en résulter sont énormes et, à bien des égards, irréparables. Je ressens une douleur indescriptible en pensant aux conséquences dévastatrices de la gestion de cette pandémie: des familles détruites, des enfants et des jeunes dont l’équilibre psychophysique a été affecté et qui ont été privés du droit aux relations sociales, des personnes âgées qu’on a laissé mourir seules dans les maisons de retraite, des cancéreux et des personnes souffrant de maladies graves complètement négligées, des entrepreneurs acculés à la faillite, des fidèles privés des sacrements et de l’assistance à la messe… Mais ce sont les effets d’une guerre, et non d’un syndrome de grippe saisonnière qui, s’il est traité à temps, donne un taux de survie de 99,7% chez des sujets non touchés par des maladies antérieures. Et il est significatif que dans cette course folle vers l’abîme, même les principes de base d’une vie saine soient ignorés, juste pour affaiblir notre système immunitaire: nous sommes confinés chez nous, tenus à l’écart de la lumière du soleil et de l’air frais, pour subir passivement le terrorisme médiatique de la télévision.

Avec quelle sévérité seront-ils jugés, ceux qui ont sciemment interdit des traitements et prescrit des protocoles de traitement manifestement erronés afin d’obtenir un nombre de décès qui légitiment l’alarme sociale et des mesures d’endiguement absurdes? Ceux qui ont délibérément créé les conditions d’une crise économique et sociale mondiale, pour détruire les petites et moyennes entreprises et faire croître les multinationales; ceux qui ont boycotté ou interdit les traitements disponibles au profit des entreprises pharmaceutiques; ceux qui ont présenté des sérums génétiques comme des vaccins, soumettant la population à une expérience dont les résultats sont encore inconnus et dont les effets secondaires sont certainement plus graves que les symptômes mêmes du Covid; ceux qui soutiennent le récit apocalyptique dans les sièges des parlements et dans les rédactions des médias, à quelle punition seront-ils soumis? Et comment les sommets de la hiérarchie catholique, qui se sont rendus complices de cette grotesque farce, se justifieront-ils devant Dieu, lorsqu’ils se présenteront devant Lui pour être jugés ?

D. W. – Dans une lettre que vous avez envoyée au président des États-Unis d’alors, Donald Trump, vous faites allusion non seulement à un « État profond » [/Deep State] – terme qui est devenu très courant – mais aussi à une « Église profonde » [/Deep Church]. Pouvez-vous expliquer ce que vous entendez par là?

C. M. V. – L’expression « État profond » rend très bien l’idée d’un pouvoir parallèle, dépourvu de légitimité mais opérant néanmoins dans les affaires publiques pour la poursuite d’intérêts particuliers. Au bien commun que l’État a le devoir de promouvoir, l’État profond oppose le profit de l’élite. De façon analogue, nous ne pouvons pas ne pas reconnaître qu’au cours des dernières décennies, un pouvoir similaire a été consolidé dans la sphère ecclésiale, que j’ai appelée l’Église profonde, et qui fait passer la poursuite de ses propres intérêts avant les fins propres à l’Église du Christ, en premier lieu le salus animarum.
Ainsi, tout comme dans les affaires publiques il existe des pouvoirs occultes qui guident les choix des gouvernements et suivent l’agenda mondialiste, dans l’Église catholique il y a un lobby très puissant qui usurpe l’autorité de la Hiérarchie avec les mêmes objectifs. En substance, l’État et l’Église sont occupés par un pouvoir illégitime qui a pour but ultime leur destruction et l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. Et il ne s’agit pas de théories de conspiration ou de politique-fiction: ce qui se passe sous nos yeux le prouve au-delà de tout doute raisonnable, au point que le Secrétaire général des Nations unies a récemment déclaré que le virus a été utilisé pour réprimer la dissidence.

D. W. – Dans quelle mesure Deep State et Deep Church se recoupent-ils, au moins dans le monde occidental?

C. M. V. – Le recoupement entre Deep State et Deep Church s’articule sur plusieurs fronts. Le premier est sans aucun doute d’ordre idéologique: la matrice révolutionnaire, anticatholique et fondamentalement maçonnique de la pensée mondialiste est la même, et ne date pas de 2013. Pour être honnête, il suffirait de considérer la concomitance temporelle significative entre la célébration du Concile œcuménique Vatican II et la naissance du mouvement dit étudiant: l’aggiornamento doctrinal et liturgique a représenté pour les nouvelles générations une poussée propulsive qui a eu des répercussions immédiates dans les sphères sociales et politiques.
Le second front réside dans la dynamique interne du Deep State et de la Deep Church: tous deux comptent parmi leurs membres des personnages déviants non seulement intellectuellement et spirituellement, mais aussi moralement. Les scandales sexuels et financiers qui ont impliqué de très hauts représentants à la fois de la politique, des institutions et de la hiérarchie catholique montrent que la corruption et le vice sont d’une part un élément qui les unit, et d’autre part un moyen de dissuasion efficace en raison du chantage commun auquel ils sont tous soumis. Les perversions de politiciens et de prélats connus les obligent à obéir à l’agenda mondialiste même lorsque leur coopération semble déraisonnable, inconsidérée ou contraire aux intérêts des citoyens et des fidèles. C’est pourquoi il y a des dirigeants à la botte de l’élite qui détruisent l’économie et le tissu social de leur pays; c’est pourquoi, symétriquement, il y a des cardinaux et des évêques qui propagent la théorie du gender et un faux œcuménisme au scandale des catholiques: tous deux servent les intérêts de leur maître, trahissant leur mission au service de la nation ou de l’Église.
D’autre part, le projet d’établissement du Nouvel Ordre Mondial ne peut pas ne pas se donner une religion universelle d’inspiration maçonnique, à la tête de laquelle doit se trouver un leader religieux œcuménique, paupériste, écologiste et progressiste. Qui mieux que Bergoglio pour ce rôle, sous les applaudissements de l’élite et l’enthousiasme insensé des masses endoctrinées dans le culte idolâtre de la pachamama ?

D. W. – Quelles sont les preuves ou les indices ?

C. M. V. – Je pense que la manifestation la plus évidente s’est produite en même temps que la pandémie. L’alignement du sommet de la Hiérarchie sur la gestion insensée de l’urgence Covid – une urgence provoquée à dessein et amplifiée servilement par les médias du monde entier – a été jusqu’à interdire les célébrations liturgiques avant même que l’autorité civile ne le demande; interdire l’administration des Sacrements même aux mourants; de ratifier avec des cérémonies surréalistes la narration mainstream, en répétant ad nauseam tout le lexique du néo-langage: résilience, inclusion, rien ne sera plus jamais pareil, nouvelle Renaissance, build back better, etc.; parrainer comme un « devoir moral » un sérum produit avec du matériel fœtal provenant d’avortements, qui est encore en cours d’essai et dont les effets secondaires à long terme sont inconnus. Et ce n’est pas tout: le Conseil pour un capitalisme inclusif promu par les leaders mondialistes avec la participation du Vatican, donne la ratification officielle au Great Reset du Forum économique mondial, incluant le revenu universel et la transition écologique. À Santa Marta, ils ont même commencé à parler de transhumanisme, ignorant obstinément le caractère anti-chrétien de cette idéologie afin de montrer leur obéissance à la dictature de la pensée unique. Tout cela est horrifiant et on se demande combien de temps encore le Seigneur tolérera un tel affront de la part de ses ministres.

D’autre part, l’insistance obsessionnelle sur l’écologisme malthusien a conduit à la nomination de personnalités notoirement anti-catholiques à l’Académie pontificale pour la vie, partisanes du déclin démographique par la stérilisation, l’avortement et l’euthanasie. Tous, sous la direction d’un prélat à la loyauté bergoglienne avérée, ont complètement déformé les objectifs de l’Académie fondée par Jean-Paul II, en fournissant à l’idéologie dominante un soutien autorisé et prestigieux comme celui de l’homme qui, même s’il l’usurpe, détient toujours l’autorité dans l’Église catholique. Il n’est pas surprenant que la liste des universitaires ait récemment inclus le professeur Walter Ricciardi, un des soi-disant « experts » qui, en Italie, a préconisé jusqu’au bout le lockdown et l’utilisation de masques, en l’absence de toute preuve scientifique de leur efficacité et contre les recommandations mêmes de l’OMS. Hier, il a été rapporté que le médiateur des contrats d’approvisionnement chinois pour l’urgence Covid en Italie, Mario Benotti, a été recommandé par le cardinal Pietro Parolin (…)

Tout cela révèle la connivence de l’État profond et de l’Église profonde, dans une combinaison vile destinée à détruire la souveraineté nationale d’une part et la mission divine de l’Église d’autre part. Des liens inquiétants apparaissent avec la fraude électorale américaine, avec le virus créé dans le laboratoire de Wuhan, et enfin avec les relations commerciales avec la dictature chinoise, principal fournisseur de masques (non conformes aux normes communautaires) à l’Italie et à de nombreux autres pays. Il me semble que nous sommes bien au-delà des simples indices.

D. W. – Une objection de ceux qui rejettent une telle chose comme théorie du complot serait la suivante: comment est-il possible que dans pratiquement tous les pays du monde, presque tous les hommes politiques participent à ce jeu? Qui pourrait avoir tant de pouvoir et d’influence qu’il pourrait mettre la moitié du monde à l’isolement?

C. M. V. – Je vais répondre par un exemple. L’Église est une institution supranationale, présente dans le monde entier avec des diocèses, des paroisses, des communautés, des couvents, des universités, des écoles, des hôpitaux. Tous ces organismes reçoivent leurs ordres du Saint-Siège, et lorsque le Pape ordonne une prière ou un jeûne, tous les catholiques du monde obéissent [il vaudrait mieux dire « doivent obéir », ndt]; si un dicastère de la Curie romaine donne des directives, tous les catholiques du monde les suivent [idem]. Le contrôle est capillaire et immédiat, grâce à une structure hiérarchique efficace. La même chose se produit, limitée aux frontières nationales, également dans les États: lorsque le législateur légifère, les organes responsables exécutent.
De la même façon, l’État profond et l’Église profonde fonctionnent ainsi: tous deux se servent d’une structure fortement hiérarchisée, dans laquelle la composante « démocratique » est pratiquement absente. Les ordres sont donnés d’en haut et celui qui les reçoit les exécute immédiatement, conscient que sa propre désobéissance peut déterminer l’échec professionnel, la condamnation sociale et, dans certains cas, même la mort physique. Cette obéissance découle du chantage: je te promeus, je te donne du pouvoir, je te rends riche et célèbre, mais en échange tu fais ce que je te dis. Si tu obéis et fais preuve de loyauté, ton pouvoir et ta richesse augmentent; si tu désobéis, tu es fini. J’imagine que pour les lecteurs allemands, la référence au Faust de Goethe est spontanée.

Les hommes politiques qui dirigent les nations aujourd’hui font tous, à de rares exceptions près, partie de l’État profond. Si ce n’était pas le cas, ils ne seraient pas là où ils sont. Pensons au cas des élections présidentielles américaines du 3 novembre dernier: le président Trump n’étant pas considéré comme aligné sur la pensée unique, il a été décidé de l’évincer par une fraude électorale d’une ampleur sans précédent, et contre la volonté même du peuple. Les procès en cours aux États-Unis confirment la fraude et les irrégularités, et dans les mois à venir, je pense que de nouvelles preuves de cette fraude apparaîtront, qui se trouve avoir amené à la Maison Blanche un démocrate, un catholique progressiste, parfaitement en phase avec le programme du Great Reset. A y regarder de plus près, la démission de Benoît XVI et l’élection de Jorge Mario Bergoglio semblent répondre à la même dynamique et obéir au même lobby de pouvoir.

En Allemagne aussi des rapports sont apparus qui montrent que des données ont été falsifiées dans la gestion de la pandémie afin de légitimer la violation des droits des citoyens. Et malgré le nombre alarmant de personnes qui ont souffert d’effets secondaires ou sont décédées à la suite du soi-disant vaccin, le martèlement constant sur la vaccination obligatoire continue, alors qu’il est maintenant clair qu’elle ne garantit pas l’immunité et n’évitera ni la distanciation sociale ni les masques obligatoires.

Il y a des raisons de croire que la gestion de Covid a été organisée sous une seule « régie » et avec un seul scénario. Il y a quelques jours à peine, le gouverneur de l’État de New York, Andrew Cuomo, a admis qu’il avait reçu de l’Imperial College de Londres, financé par la Fondation Bill & Melinda Gates l’instruction d’admettre des personnes âgées dans les RSA [Résidence sanitaire assistancielle (en italien Residenza sanitaria assistenziale) ; sortes d’EPHAD]- des personnes âgées qui sont mortes à la suite de protocoles de traitement erronés, intubées et sous assistance respiratoire -. Et comme par hasard, les parrainages du « philanthrope » américain concernent de nombreuses instances nationales – même gouvernementales – qui dépendent financièrement d’un particulier qui théorise le dépeuplement de la planète par une pandémie.

Vous me demanderez: qui pourrait avoir autant de pouvoir et d’influence pour pouvoir envoyer la moitié du monde dans l’isolement? Ceux qui disposent d’énormes ressources, comme certaines personnalités connues, parmi lesquelles Bill Gates et George Soros, se distinguent; ceux qui sont capables de financer l’OMS elle-même, en dirigeant ses décisions et en réalisant de très gros bénéfices, étant également actionnaires de sociétés pharmaceutiques.

D. W. – Dans votre lettre au président d’alors, Donald Trump, vous parlez d’un affrontement entre les forces de la lumière et les forces des ténèbres. Si vous regardez maintenant l’année 2020, comment cette confrontation a-t-elle évolué jusqu’à présent ?

C. M. V. – Comme toujours dans les événements terrestres, la guerre entre le bien et le mal, entre les enfants de la lumière et les enfants des ténèbres, semble toujours pencher en faveur de ces derniers. Satan, qui est princeps hujus mundi, a de nombreux adeptes très organisés et une infinité de serviteurs. A l’inverse, les bons semblent numériquement inférieurs et mal organisés, souvent anonymes et presque toujours dépourvus de tout pouvoir ou de moyens économiques qui leur permettraient d’agir avec la même efficacité que leurs ennemis. Mais il en a toujours été ainsi, car la victoire n’appartient pas au bien, mais au Christ. Ego vici mundum: c’est moi qui ai vaincu le monde, nous avertit Notre Seigneur. Nous donnons notre pauvre contribution, parfois même héroïque, mais sans la grâce de Dieu nous ne pouvons rien: sine me nihil potestis facere.

L’année 2020 nous a obligé à regarder dans les yeux la Méduse mondialiste, nous montrant à quel point il est facile pour l’État profond d’imposer une tyrannie sanitaire à des milliards de personnes. Un virus non isolé, avec un taux de survie très élevé, a été accepté comme instrumentum regni, avec la complicité des dirigeants, des médias, de la hiérarchie ecclésiastique elle-même. La crise économique déclenchée par les lockdowns doit rendre inévitable l’annulation de la dette et l’établissement d’un revenu universel, en échange de la renonciation à la propriété privée et de l’acceptation du suivi par le passeport santé. Ceux qui refusent le vaccin peuvent être internés dans des camps de détention qui sont déjà prêts dans de nombreux États, dont l’Allemagne. Les violations des droits constitutionnels et religieux seront tolérées par les tribunaux, au nom d’une urgence éternelle qui prépare les masses à la dictature. C’est ce qui nous attend, selon les aveux des auteurs du Great Reset eux-mêmes.

Mais cette succession d’exacerbations, motivées par des raisons désormais risibles et démenties par l’évidence, est en train de fissurer de nombreuses certitudes, auxquelles les masses ont jusqu’à présent donné un assentiment fidéiste souvent proche de la superstition. Les premières accusations de « négationnisme » à l’encontre de ceux qui contestent les absurdités des soi-disant « experts » ont fait comprendre à beaucoup de gens que le Covid se voit présenter les connotations d’une religion précisément pour ne pas être remis en question, car d’un point de vue scientifique il devrait être considéré comme tous les autres coronavirus des années passées. Ces contradictions ouvrent les yeux de nombreuses personnes, même face à la complaisance servile éhontée des médias et à la multiplication de la censure des dissidents sur les réseaux sociaux.

D. W. – Que serait le monde si les forces que vous appelez des ténèbres devaient l’emporter?

C. M. V. – Un monde dans lequel l’État profond devait prévaloir réaliserait les pires scénarios décrits par l’Apocalypse, les Pères de l’Église et les mystiques. Un royaume infernal dans lequel tout ce qui rappelle, même de loin, la société chrétienne – de la religion aux lois, de la famille à l’école, de la santé au travail – doit être banni et renversé, perverti. Hétérosexuels persécutés, familles hommes-femmes interdites, enfants nés par mères porteuses, histoire censurée, religion discréditée, honnêteté et discipline bafouées, honneur pointé du doigt comme un concept fasciste, virilité condamnée comme « toxique », maternité déplorée comme « non durable », vieillesse forcée à l’euthanasie, maladie considérée uniquement comme une opportunité de profit, santé considérée avec suspicion. Et il nous faudra aussi voir répudier, après deux siècles d’endoctrinement, la fameuse démocratie au nom de laquelle ceux qui nous gouverneront le feront sans élections, au nom de la santé publique.
Ce n’est que dans le royaume du Christ qu’il peut y avoir la paix et la vraie concorde; dans la tyrannie de Satan, il y a la terreur, la répression, la guerre contre le bien et la licence des vices les plus infâmes.

D. W. – Selon vous, que peut-on faire pour éviter une telle évolution ?

C. M. V. – Nous devons veiller à ce que ce qui s’est passé jusqu’à présent ne puisse pas atteindre son but final. Nous pouvons et devons dénoncer les tromperies et les mensonges dont nous sommes nourris chaque jour par ceux qui nous considèrent comme des serviteurs stupides et pensent qu’ils peuvent nous soumettre sans aucune réaction de notre part. S’il existe des lois qui protègent les droits naturels des citoyens, nous devons tous élever la voix et protester avec courage, en exigeant du pouvoir judiciaire que les responsables de ce coup d’État mondial soient jugés et condamnés.
Nous ne pouvons pas permettre, sous la menace d’une pandémie fabriquée, que les nations soient prostrées par une crise économique et sociale induite, ni que les peuples soient soumis à des restrictions de leurs libertés en violation de la loi et du bon sens lui-même. Si nous pouvons rester fermes et ne pas reculer face à ces répétitions générales de la dictature, l’État profond se retirera et attendra des temps plus propices, et nous aurons le temps d’éviter l’instauration de la tyrannie. Si nous le laissons faire, nous rendrons ce plan infernal irréversible.
N’oublions pas, en tant que catholiques, que nous avons une très grande responsabilité, tant envers nos pasteurs qu’envers nos dirigeants. Notre obéissance peut et doit échouer lorsqu’on nous demande d’obéir à des lois injustes ou contraires au Magistère immuable de l’Église. Si notre opposition est aussi ferme et courageuse qu’au temps des Martyrs, nous aurons fait notre part pour obtenir du Ciel ces grâces qui peuvent changer la destinée de l’humanité et retarder la persécution des derniers temps.

C’est pourquoi nous prions avec confiance la Sainte Vierge, Reine des victoires et Secours des chrétiens, afin qu’elle soit notre chef de file dans cette bataille historique. Que le glorieux Archange Michel soit à ses côtés, chassant Satan et les autres mauvais esprits en enfer, qui ad perditionem animarum pervagantur in mundo.


[Voir aussi :
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres]




Crise sanitaire : « toutes nos libertés sont anéanties au nom d’un droit à la vie devenu tyrannique »

[Source : Imper’média (impermedia.com)]

Le jeune avocat Thibault Mercier* dénonce une gestion de la crise sanitaire extrêmement anxiogène. En focalisant leur communication sur la létalité du virus, les pouvoirs publics gouvernent par la peur, empêchant nos concitoyens d’exercer leur libre arbitre. Entretien.

L’imper.- Quelles sont les libertés qui sont mises à mal, depuis bientôt un an, par les restrictions sanitaires liées à l’épidémie de covid-19 ? 

C’est malheureusement une liste à la Prévert qu’il s’agit d’établir : liberté d’aller et venir, de culte, du commerce et de l’industrie, d’information, d’expression, etc. Pour autant ces libertés ne sont pas intouchables et certaines sont parfois, sinon contradictoires, au moins divergentes. C’est d’ailleurs le travail du juriste de pouvoir les mettre en balance et de faire en sorte que les atteintes qui leur sont portées soient proportionnées à la nécessité et au but recherché. Le souci dans cette crise est que toutes nos libertés, certaines arrachées durement au long de notre histoire ont été quasiment anéanties sous couvert de principe de précaution et d’un droit à la vie dévoyé et devenu quasiment tyrannique. Rappelons tout de même que l’immense majorité des personnes touchées par la Covid-19 guérissent.

Thibault Mercier

La semaine passée, Emmanuel Macron évoquait un possible assouplissement des mesures sanitaires, voire une sortie du couvre-feu. Pourtant Olivier Véran affirmait en conférence de presse que l’heure n’était pas au relâchement. Que pensez-vous de la communication vacillante du gouvernement ? 

Beaucoup a déjà été dit sur le fiasco de la communication gouvernementale ces derniers mois notamment sur les annonces contradictoires relatives à l’utilité des masques ou encore à la dangerosité du virus en février 2020. Doit-on y voir de l’amateurisme ou du cynisme ? Peut-être un peu des deux. Je déplore en tout cas le fait que l’exécutif utilise la communication pour tester l’opinion. Je pense notamment aux nombreuses « fuites » dans la presse quelques jours avant que soient prises de nouvelles restrictions. En fonction des retours, nous avons vu que le gouvernement avait su, parfois utilement, modérer la dureté des mesures initialement envisagées et endosser le beau rôle. Il en ressort une perte de confiance voire une défiance des citoyens envers le politique et la presse.

Les circonstances sont toujours exceptionnelles pour ceux qui n’aiment pas la liberté.

L’association que vous présidez a déposé en octobre dernier, un référé liberté qui conteste la légalité du couvre-feu. En quoi cette mesure est-elle illégale? 

Il nous semblait sidérant que l’État se permette de parquer sa population comme du bétail 12h par jour sans aucune possibilité de sortir de chez soi, ne serait-ce que pour prendre l’air. Qui pourrait honnêtement penser que se balader seul en extérieur après 18 ou 20h permettrait la propagation du virus ? Nous avons donc soutenu devant le Conseil d’État que l’atteinte portée à nos libertés par ce couvre-feu était totalement disproportionnée par rapport au but recherché (la lutte contre la propagation du virus et protection de la vie). D’une, il n’y avait alors aucun vrai consensus scientifique sur l’efficacité du couvre-feu (ou du confinement – les dernières études commencent même à prouver que la balance bénéfice risque pencherait en défaveur de ces mesures) et de deux, le droit à la vie et à la santé invoqué pour justifier ces mesures est totalement réducteur : les couvre-feu et autres confinements relèvent d’une approche réduite à la seule biologie de la vie qui oublie que la santé est également, selon la définition de l’OMS, « un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». Protéger la vie implique donc de prendre en compte l’ensemble de ses aspects qui sont tout aussi sociaux, culturels, spirituels, politiques et économiques que sanitaires.
Le juge du Conseil d’État a malheureusement balayé notre recours d’un revers de manche sans
même prendre la peine de motiver pleinement sa décision puisque selon lui « la situation sanitaire actuelle » suffisait à justifier cette mesure.

Vous me direz que les circonstances sont exceptionnelles et justifient ces mesures ? mais peu importe : les circonstances sont toujours exceptionnelles pour ceux qui n’aiment pas la liberté. Et d’ailleurs nous voyons que nous ne sommes plus du tout dans une période exceptionnelle. La lutte contre le virus est devenue une politique publique classique. Quoi qu’il en soit, d’autres solutions existent et auraient permis des atteintes plus proportionnées à nos libertés publiques (jauges, distanciations sociales, etc). Il nous semble enfin qu’il est nécessaire d’apprendre à vivre avec le virus, et plus généralement avec la mort, plutôt qu’à rêver de son impossible disparition. Le gouvernement, obsédé par le risque zéro, a préféré les méthodes les plus radicales. Nos libertés ne sont plus que des concessions que l’État nous accorde. Ce dernier nous considère incapable de les exercer de manière responsable et préfère donc nous punir de manière préventive.

C’est encore une fois le règne des experts qui prévaut dans notre société française moderne qui ne croit plus en rien sauf en la science et la raison.

La France a été qualifiée de « démocratie défaillante » ; par l’hebdomadaire britannique The Economist. La démocratie française peut-elle reprendre du poil de la bête selon vous ? 

Après 2 ans d’état d’urgence durant lesquels l’exécutif aura eu les coudées franches pour gouverner par ordonnances et décrets (donc en créant du droit à la place du Parlement), il n’est pas certain que la démocratie française en ressorte indemne. Dans cette crise on a d’ailleurs souvent eu l’impression que le Parlement avait été remplacé par les conférences de presse d’Oliver Véran et de Jean Castex, elles-mêmes dictées par un conseil scientifique non élu et sans aucune légitime démocratique. Nos gouvernants auraient ainsi pris des mesures murmurées par des technocrates coupés du réel qui savaient mieux que quiconque ce qui était bon pour nous. Qui par exemple avait décidé du seuil de 5000 cas par jour pour déconfiner ? Y a-t-il eu un débat démocratique sur cette question à laquelle l’ensemble de nos libertés étaient (et son encore) conditionnées ?

Que penser également de l’annonce de créer un comité de 35 citoyens tirés au sort pour se prononcer sur la vaccination ? N’est-ce pas le rôle de nos députés et sénateurs que de contrôler le travail de l’exécutif et de produire la loi ? C’est encore une fois le règne des experts qui prévaut dans notre société française moderne qui ne croit plus en rien sauf en la science et la raison et qui est prête à abdiquer sa liberté pour la remettre à des sachants non élus et parfois déconnectés des réalités de terrain. De nombreux élus locaux avaient d’ailleurs tiré la sonnette d’alarme pour réclamer plus de subsidiarité dans la gestion de la crise.

Est-ce que nos dirigeants sont allés trop loin par rapport aux résultats sanitaires escomptés ? 

Quand on se compare avec d’autres pays ayant pris des mesures moins fortes, on se rend compte que les mesures de restrictions n’ont pas servi à grand-chose dans la lutte contre l’épidémie et ont eu et auront des conséquences à moyen et long termes qui seront désastreuses sur notre économie, nos modes de vie, notre culture, notre morale, voire notre civilisation. Je ne donne pas cher de nos sociétés modernes dans le futur si nous ne sommes plus capables de prendre le risque raisonnable de vivre tellement la peur de la mort, le principe de précaution poussé à l’extrême et l’individualisme des baby-boomers nous paralysent dans nos actions. Tout ce foin pour un virus à la létalité si peu élevé ? Que fera-t on si un variant d’Ebola se répand sur la surface du globe …? Par ailleurs, on ne peut qu’être inquiet quant aux coups de boutoirs portés par le gouvernement à notre culture et à notre art de vivre tant les mesures prises viennent détruire tout ce qui fait notre art de vivre et nos spécificités en tant que peuple et culture : le Ricard entre amis au bistro en jouant à la belotte, les soirées théâtre avant une bonne bouffe à la brasserie du coin font partie de notre identité ! Quel avenir pour la Nation française quand tous ses citoyens se nourriront de fast food livrée par un chauffeur Uber Eat en regardant Netflix ?

La liberté, même au prix de la douleur ou du désordre social, sera toujours préférable à la compromission et à la soumission.

Il semble toutefois y avoir une grande acceptabilité de ces mesures par la population…

Au vu de la communication anxiogène, culpabilisante et infantilisante utilisée par le gouvernement et relayée sans filtres par les médias depuis un an dans cette crise, il n’est pas étonnant que les citoyens français aient été placés dans un état de sidération les empêchant d’exercer leur libre arbitre. La peur de la mort les paralyse et il semble que certains préfèrent «mourir guéri » plutôt que de réagir face aux mesures du gouvernement qui vient les enserrer dans une sorte d’étau liberticide.
Il y a donc aussi une certaine demande de mesures strictes de la part d’une partie de la population qui, couplée au fait que nos libertés sont désormais vues comme des concessions que l’État nous accorde, entraînent une sorte de furie réglementaire. D’ailleurs nous voyons chaque jour un peu plus que notre époque abhorre la liberté : elle n’a quasiment plus qu’un besoin désormais : la SÉCURITÉ ! Sécurité qu’il revient à l’État de garantir à tout prix. Cette recherche de sécurité, d’un confort plan-plan, ce dégout du risque nous fait abdiquer notre liberté et notre libre-arbitre pour les remettre docilement à l’État ou au juge, qui se chargera de les exercer à notre place. Pourtant, la liberté, même au prix de la douleur ou du désordre social, sera toujours préférable à la compromission et à la soumission. Et les inconvénients de cette liberté, même chers payés, seront toujours inférieurs à ses avantages. Des initiatives de résistance fleurissent néanmoins çà et là et c’est le signe heureux que l’apathie n’a pas encore touché l’ensemble de notre population.

Est-ce « complotiste » de craindre une dérive de l’état d’urgence ? 

L’État d’urgence en lui-même ne doit pas être vu comme une hérésie juridique, c’est au contraire un outil normal dont dispose l’ensemble des systèmes juridiques sophistiqués depuis la Rome antique. Il est normal que l’exécutif puisse décider de cet état d’exception pour permettre à la Nation de faire face à des circonstances exceptionnelles. Je note néanmoins que tout état d’exception entraîne un risque d’abus et qu’il est donc nécessaire de l’encadrer de manière précise : il ne doit être possible qu’en cas de circonstances mettant en péril sa survie, limité dans le temps et des garde-fous doivent être prévus (un contrôle du Parlement et la possibilité de faire des recours contre les décisions de l’exécutif). Mais depuis un an on voit bien que ces conditions ne sont pas remplies. L’État d’urgence sanitaire aura été en place quasiment deux ans (puisque la loi de transition sera en place jusqu’au 31 décembre 2021). Deux ans durant lesquels l’exécutif aura quasiment les pleins pouvoirs sachant que le Parlement est quasiment devenu une chambre d’enregistrement du Gouvernement et que les juges administratifs valident trop docilement l’ensemble des mesures liberticides prises depuis mars 2020. Cet état d’urgence sanitaire laissera sans aucun doute des traces indélébiles sur nos libertés : le contrôle social mis en place permettra désormais de recourir au couvre-feu ou au confinement sans que le peuple ne dise mot. Si l’état d’urgence pris sous couvert de lutte contre le terrorisme avait fait de chaque citoyen un terroriste potentiel, cet état d’urgence sanitaire fait de chaque citoyen un malade potentiel. Je vous laisse imaginer les conséquences dramatiques pour le « vivre ensemble » si cher à nos gouvernements.

  • Thibault Mercier est avocat au barreau de Paris et président du cercle « Droit et Liberté ».



COVID-19 — La Cour pénale internationale de La Haye a accepté la plainte pour violation du code de Nuremberg du gouvernement israélien. MàJ

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Le week-end dernier, une plainte de l’organisation « People of Truth » a été déposée auprès du Tribunal de La Haye par les avocats Ruth Machnes et Aryeh Suchovolsky, du cabinet A. Suchovolsky & Co., concernant des violations du Code de Nuremberg par le gouvernement israélien et d’autres parties. Or, la plainte déposée la semaine dernière devant la Cour pénale internationale a été acceptée. Elle est maintenant en attente d’une décision.

L’avocate Ruth Machnes Suchovolsky a déclaré le 5 mars dernier à Israel News que « dans le même temps, la plainte sera également déposée au tribunal de Nuremberg, avec l’avocat allemand Reiner Fuellmich. Lundi, la plainte sera déposée à la Haute Cour par Aryeh Suchovolsky en Israël, concernant la violation du Code de Nuremberg. » L’avocate ajouta six jours plus tard : « L’expérience que Pfizer mène dans l’État d’Israël a été menée en violation du Code de Nuremberg, qui appartient au droit pénal international et est sous la juridiction du tribunal de La Haye. Nous attendons maintenant une décision. »

Cour pénale internationale (lettre d'acceptation)
La lettre d’acception de la Cour pénale internationale, signée par Mark Dillon.

La plainte déposée auprès du tribunal se lit comme suit :

Nous nous adressons à vous au nom de l’association «Anshei Emet», une association en cours d’établissement, dont les membres sont des avocats, des médecins, des militants du public et en général, qui ont fait le choix d’exercer leur droit démocratique de ne pas recevoir le traitement médical expérimental (Immunisation Corona), et qui estiment que de grandes pressions, dures et illégales, sont exercées sur eux au nom du gouvernement d’Israël, des membres de la Knesset, des ministres, des hauts représentants élus du public, des chefs de villes et plus encore.

Nous souhaitons commencer par des connaissances de base sur le sujet: Le vaccin Corona est un traitement médical innovant, qui n’a obtenu que récemment l’approbation de la FDA aux États-Unis (dans le cadre d’une procédure d’urgence uniquement), une approbation qui n’est pas définitive et avec des détails sur 22 effets secondaires du vaccin. En outre, il est clair pour tous les facteurs médicaux que le sujet de l’influence à long terme du traitement n’a pas été testé scientifiquement (tests et recherches), et l’effet à long terme et la sécurité du traitement sur ses receveurs sont inconnus. Il est important de préciser que jamais jusqu’à présent n’ont été administrés dans le monde entier des immunisations par cette technologie médicale d’introduction d’un M-ARN synthétique dans le corps, et toutes les immunisations précédentes ont fonctionné d’une manière totalement différente, par l’introduction d’un ou virus affaibli et excitation naturelle du système immunitaire contre lui. Comme détaillé par un virologue senior, les risques anticipés par ce traitement médical innovant sont ci-joints en Annexe 1 à ma lettre.

« Code de Nuremberg » — Un code d’éthique médical publié sur la base des lois en vertu desquelles les criminels nazis ont été jugés pour avoir mené d’horribles expériences médicales pendant la Seconde Guerre mondiale, dans le procès des médecins connu sous le nom de procès de Nuremberg. Le Code de Nuremberg a ensuite constitué la base de la législation de la Déclaration d’Helsinki ainsi que la base de la loi sur les droits des patients en Israël. Nous avons l’intention de vous présenter et de détailler comment, dans l’État d’Israël cette année, le gouvernement d’Israël avec ses ministres et ses membres de la Knesset, les chefs de villes et d’autres hauts responsables, enfreignent le code de Nuremberg de manière illégale, de manière flagrante. et extrême, et à notre regret, non seulement dans un seul aspect mais beaucoup, trop!

a) Consentement éclairé pour participer à une expérience médicale — un premier principe du Code de Nuremberg est la volonté et le consentement éclairé de la personne à recevoir un traitement et à participer à une expérience. La personne est censée activer la liberté de choix sans l’intervention d’un facteur employant la force, la tromperie, la fraude, la menace, la sollicitation ou tout autre type de liaison ou de coercition. Lorsque les chefs du ministère de la Santé ainsi que le Premier ministre ont présenté le vaccin en Israël et ont commencé la vaccination des résidents israéliens, les vaccinés n’ont pas été informés, qu’en pratique, ils participent à une expérience médicale et que leur consentement est requis à cet effet en vertu du Code de Nuremberg, et seulement lorsqu’il est devenu évident que le Premier ministre avait effectivement signé un accord avec la société Pfizer (le fabricant), il a d’abord été publié et également déclaré par le Premier ministre, qu’il s’agissait bien d’une expérience médicale , et que c’était là l’essence de l’accord. Il s’agit en fait d’une expérience médicale génétique sur des êtres humains, réalisée sans consentement éclairé et sous une infraction grave et flagrante du Code de Nuremberg.

b) L’accord Bibi-Pfizer. Après factum, il est devenu clair que le Premier ministre d’Israël a signé un accord avec la Pfizer Company (la société de fabrication), en vertu duquel il recevra une énorme quantité de millions de portions de vaccins, et avec une préférence par rapport aux autres pays, et en contrepartie, les vaccinés (résidents d’Israël) serviront d’«expérimentateurs» pour la société pharmaceutique. Il a été convenu que la société pharmaceutique recevrait d’Israël toutes ses informations médicales et personnelles secrètes à son insu ou sans son consentement préalable. En outre, nous devons déclarer que jusqu’à ce moment, le contenu de l’accord concernant la plupart des résidents de l’État d’Israël, n’a pas été publié, ce qui est la transparence obligatoire en vertu de la loi, et il a été publié avec « black-out » / dissimulation d’un grand nombre d’informations incluses dans cet accord. Il convient de dire et de rappeler que nous ne vivons pas dans un pays de dictature, de sorte qu’à l’évidence, un tel accord doit être soumis à une transparence totale envers le large public.

c) Traitements alternatifs. En ce qui concerne le consentement éclairé pour un traitement médical, et sur la base des principes du Code de Nuremberg, il existe une obligation de détailler et de suggérer à un patient plusieurs alternatives de traitement, en détaillant également le processus médical (et tout ce qui y est inclus). comme les avantages et les inconvénients / bénéfices et risques, existant dans chaque traitement, pour lui permettre de prendre une décision personnelle intelligente concernant le traitement qu’il préfère. Comme indiqué, cela doit être fait sans exercer de pressions et librement, en tant que personne libre. Malgré tout ce qui précède, l’État d’Israël et le ministère de la Santé ne présentent pas aux citoyens israéliens les alternatives actuellement existantes pour traiter la maladie de Corona, qui se sont avérées efficaces et avec peu d’effets secondaires, et non dangereuses. Ils sollicitent les citoyens et leur font pression (tout en violant de manière flagrante le processus de consentement éclairé), dissimulent les informations concernant les vaccinations et créent une atmosphère sévère de peur et de coercition.

d) Un quatrième principe est que l’expérience sera menée pour éviter les souffrances ou les blessures physiques. On sait que le traitement a causé la mort de nombreuses personnes, des blessures et des dommages graves (y compris une incapacité et une paralysie) après l’administration du vaccin. Malgré ce fait, le gouvernement n’a pas ordonné l’ouverture d’une enquête sur la question. Il est intéressant de constater que le ministère de la Santé a ouvertement admis que 41% des policiers, des militaires, du personnel éducatif et médical, qui avaient été vaccinés, souffraient d’effets secondaires graves et mettaient leur vie en danger. Il est également étonnant qu’il n’y ait pas de rapports complets sur le nombre de morts ou de blessés, comme on peut s’y attendre dans un tel processus médical au profit du public participant à l’expérience.

e) Un cinquième principe stipule que l’expérience ne doit pas être menée lorsqu’il y a des raisons de supposer que la mort ou des blessures réelles se produiront. Concernant la violation de ce principe, voir ci-dessus. Comme indiqué, concernant les données sur les cas de décès, nous les citoyens n’entendons que de bouche à oreille sur les réseaux sociaux (par des amis, des voisins ou des proches) et non sur les médias centraux.

f) Un principe supplémentaire est que le facteur responsable de l’expérience sera prêt à l’arrêter à n’importe quel stade s’il existe une raison raisonnable de supposer que cela causera des blessures, une invalidité ou la mort du participant à l’expérience. Il a déjà été prouvé que beaucoup de gens sont morts du traitement, ont été blessés, sont devenus invalides et paralysés; cependant, le gouvernement israélien continue d’imposer cette dangereuse expérience aux citoyens israéliens.

g) Voici des publications récentes, qui démontrent les violations flagrantes et criminelles du Code de Nuremberg au nom du gouvernement, des ministres et des membres de la Knesset, des chefs de villes et des hauts fonctionnaires, ainsi que des employeurs :

Vous trouverez ci-dessous quelques exemples (parmi tant d’autres) de violations du Code de Nuremberg (qui seront jointes à l’annexe 2 de ma lettre).

Exercez une pression économique :

  1. L’Association des fabricants, appuyée par un avis juridique, menace d’envoyer en congé sans solde tout salarié qui ne sera pas vacciné.
  2. Le ministre de la Santé, Yuli Edelstein, souhaite promulguer une loi qui empêchera l’arrivée des non-vaccinés sur un lieu de travail.
  3. Ne pas refuser les frais de chômage.

L’exercice de la pression sociale :

  1. 1. Une menace pour empêcher l’accès aux divertissements, aux loisirs et à la réception de services de la communauté.
  2. Les artistes, les leaders d’opinion et les représentants du public, qui dans tous les coins choisissent de faire de la propagande, et de manière agressive et insultante, proposent même des punitions et des sanctions. (Membre de la Knesset Ayelet Shaked, membre de la Knesset Smotrich, le ministre de la Santé Edelstein, membre de la Knesset Benet, animateur de l’émission matinale Avri Gilad, le chanteur Yoram Gaon, Judy Nir Moses et autres)
  3. Des véhicules avec des systèmes de sonorisation errant dans les rues exhortant les gens à arriver pour les vaccinations, des conversations et des avis agressifs des compagnies d’assurance maladie, et même en fixant des rendez-vous pour les vaccinations sans le souhait des assureurs, et plus encore.

Incitations interdites pour les vaccinés :

  1. Recevoir une nuit gratuite dans un hôtel, des jours de vacances, etc., offerts par les propriétaires de diverses entreprises à leurs employés.
  2. Réductions dans divers établissements commerciaux, privés et publics, ainsi qu’une carte d’avantages promue par le gouvernement.

Le Premier ministre israélien a déclaré à plusieurs reprises que les citoyens israéliens participent à cette expérience médicale innovante au profit de tous les citoyens du monde, qui, pour une raison quelconque, ne se précipitent pas pour obtenir le traitement médical susmentionné, et ils attendent avec impatience de voir les expérimentateurs israéliens. Il en est de même de l’accord signé par le gouvernement avec la société Pfizer, occulté en de nombreux endroits, soulevant des questions sur les accords conclus par le gouvernement avec la société Pfizer.

Il est souligné par la présente que les moyens actuellement activés contre les citoyens, y compris la proposition de législation contre quiconque n’a pas été vacciné, contredisent non seulement le Code de Nuremberg et l’autonomie de l’individu sur son corps, mais également la législation en vigueur en Israël, y compris la loi fondamentale sur la dignité et la liberté des personnes, la loi sur la liberté d’occupation, la loi sur les droits des patients, la loi sur l’égalité des chances au travail, l’interdiction de la discrimination dans les produits, services et la loi sur l’accès aux divertissements et aux lieux publics, et d’autres lois.

Par conséquent, et compte tenu de ce qui précède, nous adressons à votre honneur deux demandes principales :

  1. Interrompre immédiatement l’expérience médicale et l’administration de vaccins au public des citoyens israéliens.
  2. Donner instruction au Gouvernement d’entamer toutes les procédures législatives qui enfreignent le principe du consentement éclairé d’une personne pour recevoir le traitement médical décrit ci-dessus, et qui nie le statut juridique en Israël et dans la démocratie israélienne, y compris le fait d’éviter de légiférer sur le Passeport vert, remise des noms de ceux qui ne sont pas vaccinés aux autorités locales ou à toute autre législature nuisible.
  3. Agir avec la sévérité la plus requise contre toute entité publique / commerciale / professionnelle, qui viole les lois de l’État sur les sujets de l’emploi ou les autres sujets nécessaires pour empêcher la contrainte, la coercition ou la sollicitation de vacciner, ainsi que l’objet de discrimination, contre ceux qui ont fait le choix de ne pas recevoir le traitement médical innovant susmentionné.
  4. Nous vous demandons de porter à votre attention qu’une copie de ce document sera également transmise aux canaux médiatiques du monde entier car la violation du Code de Nuremberg est pertinente dans tous les pays du monde libre.
  5. Enfin, il est précisé que ce n’est que récemment qu’une décision a été prise au Parlement européen le “27/1/21”, enjoignant toutes les autorités de ne pas exercer de pression ou de sollicitation sur les personnes pour qu’elles prennent le vaccin Corona de quelque manière que ce soit. Par conséquent, tout ce qui est bon pour les États européens avancés l’est certainement aussi pour Israël — et l’équilibre est évident.

Représentation légale et élection de domicile
Les candidats seront représentés aux fins de cette procédure par

Avec respect

Cour pénale internationale (signatures)

Par conséquent, toute correspondance ultérieure ne doit être envoyée qu’aux adresses postales et / ou électroniques indiquées ci-dessus. Toute notification au sens du Statut de la Cour adressée de cette manière sera considérée comme valable.
UNE FOIS DÉPOSÉ ET TRAITÉ



banniereFABIENeBay001




Le Chef de Corps des pompiers des Bouches-du-Rhône suspend toute vaccination avec AstraZeneca après de nombreux effets secondaires parmi les pompiers

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Medias Presse Info vient de recevoir copie d’un document interne au corps des sapeurs pompiers. En date de ce dimanche 14 mars 2021, le Colonel Grégory Allione, Chef de corps des sapeurs pompiers des Bouches-du-Rhône, écrit :

Sur proposition du médecin chef, suite à la déclaration d’effets indésirables sérieux 48 heures après une injection du vaccin AstraZeneca chez l’un de nos collègues, je décide de suspendre jusqu’à nouvel ordre toute injection avec ce type de vaccin auprès des personnels du SDIS 13 (ndlr : Service d’incendie et de secours des Bouches-du-Rhône).

L’ensemble de nos autorités de gouvernance (Préfet et Président) et l’agence régionale de santé (DG ARS) sont informées. Le médecin chef est en contact avec le centre de pharmacovigilance. Les autorités de santé sont auprès de notre collègue pour étudier l’ensemble des éléments médicaux et scientifiques relatifs à nos suspicions actuelles.

Merci à vous de prévenir celles et ceux qui avaient RDV dès demain.

Nous allons rechercher des solutions pour être approvisionnés avec d’autres vaccins pour poursuivre la campagne de vaccination de nos agents.

Cette décision fait suite à des informations reçues hier, samedi, au sujet de pompiers qui, après vaccination, présentent des effets secondaires générant un profond mal être, au point pour certains de se trouver en position d’arrêts maladies.

Vendredi 12 mars 2021, un agent de la garde des sapeurs pompiers d’Arles a fait un malaise et a eu des pertes de connaissance répétées. Ces pertes de connaissance sont liées à des micro-arrêts cardiaques. Ce pompier a été réanimé par des compressions thoraciques au Centre Hospitalier d’Arles et est actuellement aux soins intensifs. Le pompier en question avait reçu une injection du vaccin AstraZeneca 48h auparavant.

Cette décision du Colonel Grégory Allione est d’autant plus important que celui-ci est aussi Président de la Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France (285.000 sapeurs-pompiers).

Qu’en pense le ministre Véran, toujours défenseur du vaccin AstraZeneca alors que dix pays de l’Union Européenne ont déjà suspendu l’utilisation de ce vaccin ?




Lettre ouverte de médecins et de scientifiques à l’Agence Européenne du Médicament sur la sécurité des vaccins COVID-19

[Source : Les DéQodeurs (lesdeqodeurs.fr)]

A l’attention de nos lecteurs : Nous avons vérifié minutieusement la traduction de tous les termes médicaux, mais faute de compétences scientifiques aussi pointues dans l’équipe, nous ne saurions garantir une parfaite traduction d’ensemble des processus biochimiques mis en cause. Nous nous excusons pour toute éventuelle imprécision.


A Emer Cooke, directeur exécutif, Agence Européenne du Médicament (EMA), Amsterdam, Pays-Bas :

28 février 2021

Mesdames, Messieurs

En tant que médecins et scientifiques, nous sommes en principe favorables à l’utilisation de nouvelles interventions médicales qui sont développées et déployées de manière appropriée, après avoir obtenu le consentement éclairé du patient. Cette position englobe les vaccins au même titre que les thérapeutiques.

À L’ATTENTION PERSONNELLE URGENTE DE : EMER COOKE, DIRECTEUR EXÉCUTIF DE L’AGENCE EUROPÉENNE DU MÉDICAMENT

Nous constatons qu’un large éventail d’effets secondaires est signalé à la suite de la vaccination de jeunes individus auparavant en bonne santé avec les vaccins à base génétique COVID-19. En outre, de nombreux médias du monde entier ont rapporté que des résidences pour personnes dépendantes et de soins avaient été frappées par le COVID-19 quelques jours après la vaccination de leurs résidents. Tout en reconnaissant que ces événements peuvent tous être de malheureuses coïncidences, nous sommes préoccupés par le fait qu’il y a eu et qu’il continue d’y avoir un examen inadéquat des causes possibles de maladie ou de décès dans ces circonstances, en particulier en l’absence d’examens post-mortem.

En particulier, nous nous demandons si les questions essentielles concernant la sécurité des vaccins ont été traitées de manière adéquate avant leur approbation par l’Agence Européenne du Médicament (EMA).

De toute urgence, nous demandons par la présente que l’EMA nous fournisse des réponses aux questions suivantes :

1. Après une injection intramusculaire, on peut s’attendre à ce que les vaccins à base génétique puissent atteindre la circulation sanguine et se diffusent dans tout le corps [1]. Nous demandons des preuves que cette possibilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

2. En l’absence de telles preuves, on peut s’attendre à ce que les vaccins restent piégés dans la circulation et soient absorbés par les cellules endothéliales. Il y a des raisons de penser que cela se produira en particulier aux endroits où la circulation sanguine est lente, c’est-à-dire dans les petits vaisseaux et les capillaires [2]. Nous demandons des preuves que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

3. En l’absence de telles preuves, on peut s’attendre à ce que, lors de l’expression des acides nucléiques des vaccins, les peptides dérivés de la protéine de spicule soient présentés par la voie du CMH I – voie de passage à la surface luminale des cellules. De nombreux individus sains possèdent des lymphocytes CD8 qui reconnaissent ces peptides, ce qui peut être dû à une contamination antérieure par le COVID, mais aussi à des réactions croisées avec d’autres types de Coronavirus [3 ; 4] [5]. Nous devons supposer que ces lymphocytes vont attaquer les cellules concernées. Nous demandons la preuve que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

4. En l’absence de telles preuves, on peut s’attendre à ce que des lésions endothéliales avec déclenchement ultérieur de la coagulation sanguine par activation plaquettaire se produisent en d’innombrables endroits du corps. Nous demandons des preuves que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

5. En l’absence de telles preuves, il faut s’attendre à ce que cela entraîne une baisse du nombre de plaquettes, l’apparition de D-dimères dans le sang et une myriade de lésions ischémiques dans tout le corps, y compris dans le cerveau, la moelle épinière et le cœur. Des troubles hémorragiques pourraient survenir à la suite de ce nouveau type de syndrome de CIVD, y compris, entre autres, des saignements abondants et des accidents vasculaires cérébraux hémorragiques. Nous demandons des preuves que toutes ces possibilités ont été exclues dans des modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

6. La protéine spiculaire du SRAS-CoV-2 se lie au récepteur ACE2 des plaquettes, ce qui entraîne leur activation [6]. Une thrombocytopénie a été signalée dans des cas graves d’infection par le SRAS-CoV-2 [7]. Une thrombocytopénie a également été signalée chez des personnes vaccinées [8]. Nous demandons des preuves que le danger potentiel d’activation plaquettaire qui conduirait également à une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) a été exclu avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA.

7. La propagation du SRAS-CoV-2 à travers le monde a créé une pandémie de maladie associée à de nombreux décès. Cependant, au moment de l’examen de l’approbation des vaccins, les systèmes de santé de la plupart des pays n’étaient plus sous la menace imminente d’être submergés de cas car une proportion croissante du monde avait déjà été contaminée et que le pire de la pandémie avait déjà diminué. Par conséquent, nous exigeons des preuves concluantes de l’existence d’une urgence réelle au moment où l’EMA a accordé une autorisation de mise sur le marché conditionnelle aux fabricants des trois vaccins, afin de justifier leur autorisation d’utilisation chez l’homme par l’EMA, prétendument en raison d’une telle urgence.

En l’absence de l’ensemble de ces preuves, nous demandons que l’approbation de l’utilisation des vaccins à base génétique soit retirée jusqu’à ce que toutes les questions ci-dessus aient été correctement traitées par l’EMA avec le zèle nécessaire.

Il existe de sérieuses inquiétudes, y compris, mais sans s’y limiter, celles décrites ci-dessus, selon lesquelles l’approbation des vaccins contre le COVID-19 par l’EMA était prématurée et imprudente, et que l’administration des vaccins constituait et constitue toujours une « expérimentation humaine », ce qui était et est toujours en violation du Code de Nuremberg.

Compte tenu de l’urgence de la situation, nous vous demandons de répondre à ce courriel dans un délai de sept jours et de répondre à toutes nos préoccupations sur le fond. Si vous choisissez de ne pas vous conformer à cette demande raisonnable, nous rendrons cette lettre publique.

Une copie de cet e-mail est adressée à :

Charles Michel, Président du Conseil de l’Europe

Ursula von der Leyen, Présidente de la Commission européenne.

Les médecins et les scientifiques peuvent signer la lettre ouverte en envoyant leur nom, leurs qualifications, leurs domaines d’expertise, leur pays et toute affiliation qu’ils souhaitent citer, à l’adresse
Doctors4CovidEthics@protonmail.com.

– Références

[1] Hassett, K. J. ; Benenato, K. E. ; Jacquinet, E. ; Lee, A. ; Woods, A. ; Yuzhakov, O. ; Himansu, S. ; Deterling, J. ; Geilich, B. M. ; Ketova, T. ; Mihai, C. ; Lynn, A. ; McFadyen, I. ; Moore, M. J.; Senn, J. J. ; Stanton, M. G. ; Almarsson, Ö. ; Ciaramella, G. et Brito, L. A.(2019). Optimisation des nanoparticules lipidiques pour l’administration intramusculaire de vaccins ARNm, Thérapie moléculaire. Nucleic acids 15 : 1-11.

[2] Chen, Y. Y. ; Syed, A. M. ; MacMillan, P. ; Rocheleau, J. V. et Chan, W. C. W.(2020). Flow Rate Affects Nanoparticle Uptake into Endothelial Cells, Advanced materials 32 : 1906274.

[3] Grifoni, A. ; Weiskopf, D. ; Ramirez, S. I. ; Mateus, J. ; Dan, J. M. ; Moderbacher, C. R. ; Rawlings, S. A. ; Sutherland, A. ; Premkumar, L. ; Jadi, R. S. et al.(2020). Targets of T Cell Responses to SARS-CoV-2 Coronavirus in Humans with COVID-19 Disease and Unexposed Individuals, Cell 181 : 1489-1501.e15.

[4] Nelde, A., Bilich, T., Heitmann, J. S., Maringer, Y., Salih, H. R., Roerden, M., Lübke, M., Bauer, J., Rieth, J., Wacker, M., Peter, A., Hörber, S., Traenkle, B., Kaiser, P. D., Rothbauer, U., Becker, M., etc.; Junker, D. ; Krause, G. ; Strengert, M. ; Schneiderhan-Marra, N. ; Templin, M. F. ; Joos, T. O. ; Kowalewski, D. J. ; Stos-Zweifel, V. ; Fehr, M. ; Rabsteyn, A. ; Mirakaj, V. ; Karbach, J. ; Jäger, E. ; Graf, M. ; Gruber, L.-.C. ; Rachfalski, D. ; Preuß, B. ; Hagelstein, I. ; Märklin, M. ; Bakchoul, T. ; Gouttefangeas, C. ; Kohlbacher, O. ; Klein, R. ; Stevanović, S. ; Rammensee, H.-G. et Walz, J. S.(2020). Les peptides dérivés du SRAS-CoV-2 définissent la reconnaissance des cellules T hétérologues et induites par le COVID-19, Nature immunology.

[5] Sekine, T., Perez-Potti, A., Rivera-Ballesteros, O., Strålin, K., Gorin, J.-B., Olsson, A., Llewellyn-Lacey, S., Kamal, H., Bogdanovic, G., Muschiol, S. et autres (2020). Robust T Cell Immunity in Convalescent Individuals with Asymptomatic or Mild COVID-19, Cell 183 : 158-168.e14.

[6] Zhang, S. ; Liu, Y. ; Wang, X. ; Yang, L. ; Li, H. ; Wang, Y. ; Liu, M. ; Zhao, X. ; Xie, Y. ; Yang, Y. ; Zhang, S. ; Fan, Z. ; Dong, J. ; Yuan, Z. ; Ding, Z. ; Zhang, Y. et Hu, L.(2020). Le SARS-CoV-2 se lie à l’ACE2 des plaquettes pour favoriser la thrombose dans le COVID-19, Journal of hematology & oncology 13 : 120.

[7] Lippi, G. ; Plebani, M. and Henry, B. M.(2020).Thrombocytopenia is associated with severe coronavirus disease 2019 (COVID-19) infections : A meta-analysis, Clin. Chim. Acta 506 : 145-148.

[8] Grady, D. (2021). A Few Covid Vaccine Recipients Developed a Rare Blood Disorder, The New York Times, 8 février 2021.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos sentiments distingués,

Professor Sucharit Bhakdi MD, professeur émérite de microbiologie médicale et d’immunologie, ancien président de l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène, Université Johannes Gutenberg de Mayence (médecin et scientifique) (Allemagne et Thaïlande)

Dr Marco Chiesa MD FRCPsych, psychiatre consultant et professeur invité, University College London (médecin) (Royaume-Uni et Italie)

Dr C Stephen Frost BSc MBChB Spécialiste en radiologie diagnostique, Stockholm, Suède (médecin) (Royaume-Uni et Suède)

Dr Margareta Griesz-Brisson MD PhD, consultante en neurologie et neurophysiologie (études de médecine à Fribourg, en Allemagne, formation spécialisée en neurologie à l’université de New York, spécialisation en neurophysiologie au centre médical du Mont Sinaï, à New York ; doctorat en pharmacologie avec un intérêt particulier pour la neurotoxicologie chronique de faible niveau et les effets des facteurs environnementaux sur la santé du cerveau), directrice médicale de la London Neurology and Pain Clinic (médecin et scientifique) (Allemagne et Royaume-Uni).

Professeur Martin Haditsch MD PhD, Spécialiste (Autriche) en hygiène et microbiologie, Spécialiste (Allemagne) en microbiologie, virologie, épidémiologie/maladies infectieuses, Spécialiste (Autriche) en maladies infectieuses et médecine tropicale, Directeur médical, TravelMedCenter, Leonding, Autriche, Directeur médical, Labor Hannover MVZ GmbH (médecin et scientifique) (Autriche et Allemagne)

Professeur Stefan Hockertz, professeur de toxicologie et de pharmacologie, toxicologue agréé européen, spécialiste en immunologie et immunotoxicologie, PDG de tpi consult GmbH. (Scientifique) (Allemagne)

Dr Lissa Johnson, BSc BA(Media) MPsych(Clin) PhD, psychologue clinique et psychologue du comportement, experte en psychologie sociale de la torture, de l’atrocité, de la violence collective et de la propagande de la peur, ancien membre du groupe consultatif d’intérêt public de l’Australian Psychological Society (psychologue clinique et scientifique du comportement) (Australie).

Professeur Ulrike Kämmerer PhD, professeur associé d’immunologie expérimentale de la reproduction et de biologie tumorale au département d’obstétrique et de gynécologie de l’hôpital universitaire de Würzburg, Allemagne, virologue moléculaire de formation (diplôme, thèse de doctorat) et immunologiste (habilitation), reste engagée dans des recherches actives en laboratoire (biologie moléculaire, biologie cellulaire (scientifique) (Allemagne).

Professeur associé Michael Palmer, MD, Département de chimie (a étudié la médecine et la microbiologie médicale en Allemagne, enseigne la biochimie depuis 2001 dans son université actuelle au Canada ; se concentre sur la pharmacologie, le métabolisme, les membranes biologiques, la programmation informatique ; la recherche expérimentale se concentre sur les toxines bactériennes et les antibiotiques (Daptomycine) ; a écrit un manuel sur la pharmacologie biochimique, Université de Waterloo, Ontario, Canada (médecin et scientifique) (Canada et Allemagne).

Professeur Karina Reiss PhD, Professeur de biochimie, Université Christian Albrecht de Kiel, Expertise en biologie cellulaire, biochimie (scientifique) (Allemagne)

Professeur Andreas Sönnichsen MD, Professeur de médecine générale et de médecine de famille, Département de médecine générale et de médecine de famille, Centre de santé publique, Université médicale de Vienne, Vienne (médecin) (Autriche)

Dr Michael Yeadon BSc (Joint Honours in Biochemistry and Toxicology) PhD (Pharmacology), anciennement Vice-président et Directeur scientifique Allergy & Respiratory, Pfizer Global R&D ; Co-fondateur et PDG, Ziarco Pharma Ltd ; Consultant indépendant (Scientifique) (Royaume-Uni)
DOCTORS4COVIDETHICS.MEDIUM.COMUrgent Open Letter from Doctors and Scientists to the European Medicines Agency regarding …
Emer Cooke, Executive Director, European Medicines Agency, Amsterdam, The Netherlands




Dr Mark Trozzi, le seul médecin honnête et courageux en Ontario qui respecte le serment d’Hippocrate : « Nous sommes manipulés ! »

[Source : Guy Boulianne]

Je m’appelle Mark Trozzi. Je suis médecin. J’ai obtenu mon diplôme en 1990 de l’Université de Western Ontario. Je pratique la médecine d’urgence depuis vingt-cinq ans et j’ai été de garde dans plusieurs unités d’urgence depuis le début de la soi-disant « pandémie », y compris une salle d’urgence spécialement désignée pour le COVID-19. Je suis professeur avancé de traumatologie de la vie au College of Surgeons of America, et j’occupe des postes d’enseignant à Sunnybrook Health Sciences dans le Advanced Life Support Department, ainsi qu’à l’Université Queen’s et à l’Université d’Ottawa.

Ce qui suit sont mes observations et opinions. Je suis tenu par mes convictions personnelles et religieuses de parler ouvertement et honnêtement. Je n’ai pas le pouvoir de vous dire « la vérité », mais je partagerai mes expériences honnêtes, mes perceptions et mes résumés de centaines d’heures de recherche sur le sujet du covid-19.

Au début de cette « pandémie », j’étais prudent et donc méticuleux avec l’utilisation du masque N95, le lavage des mains, l’isolement social et la distanciation, etc. J’ai étudié la science des coronavirus et j’ai été profondément impliqué dans de nombreux exercices des urgences pour modifier notre pratique de manière profonde pour faire face au « virus tueur » qui nous a été annoncé. Cependant, diverses choses m’ont vite fait considérer que nous étions trompés et manipulés. Voici quelques-unes :

La première vague

La « première vague » de la « pandémie » a été absolument la période la plus calme de ma carrière. J’ai travaillé très dur et été très occupé au cours des vingt-cinq dernières années aux urgences. Cependant, tant dans mon service d’urgence régulier que dans mon service d’urgence « désigné COVID-19 », il n’y avait presque pas de patients et presque pas de travail. J’ai eu plusieurs longs quarts de travail à l’urgence sans un seul patient. Pendant ce temps, quand j’allais à l’épicerie locale, le public de propagande, que Dieu les bénisse, me conduisait à l’avant de la ligne de distance antisociale, me remerciant pour tout ce que je traversais en tant que médecin d’urgence de première ligne. Ils croyaient que les urgences et les hôpitaux étaient pleins de patients mourant de covid, et que je devais être épuisé et risquer de mourir moi-même à cause de l’exposition. J’ai commencé à contacter des médecins et des amis partout au Canada et aux États-Unis, et j’ai trouvé le même schéma : des hôpitaux vides,

Enquête précoce

Au début de mes études, j’ai étudié le zinc et l’hydroxychloroquine, qui, sur la base d’une bonne physiologie, peuvent véritablement aider les rares personnes très atteintes de ce virus du rhume. J’ai été surpris que ce traitement ait été simplement écarté et rejeté par la plupart de la communauté médicale.

Préoccupations précoces

Dr. Mark Trozzi

En recherchant l’Organisation mondiale de la santé, de l’ONU, j’ai appris que la dictature chinoise (RPC) avait soutenu un ******* communiste « Dr » Tedros, à la tête de l’OMS, et j’ai appris comment la RPC avait été impliquée dans la libération du virus, la couverture pendant des semaines, la disparition et la suppression des médecins et scientifiques chinois honnêtes, la propagation du virus dans le monde (épargnant Pékin où vit l’élite de la RPC), et les abus dramatiques du peuple chinois dans son verrouillage au bon moment, qui a été filmé et transmis au monde pour créer la panique qui nous a tous poussés à abandonner nos économies et nos droits civils.

Les renards gardent le poulailler

J’ai appris comment l’administrateur en chef de la santé publique du Canada, le Dr Tam, siège au comité de surveillance de l’OMS avec le Dr Tedros, ce qui en fait essentiellement un agent ******; et je l’écoutais souvent – ******* dissertations aux Canadiens concernant le covid-19.

Ma perception de la situation

Je perçois qu’à tous les niveaux, l’administration hospitalière n’a apparemment eu d’autre choix que de se soumettre au déploiement descendant sans fin de la part des gouvernements, de nouvelles règles, protocoles et procédures discutables. Mes conversations honnêtes avec mes collègues au sujet de mes recherches et observations sont devenues un problème. Pris dans ce dilemme, un administrateur important que je respecte énormément, m’a dit que « mes pensées mettaient les autres mal à l’aise et rendaient difficile de garder tout le monde motivé et conforme » à tous les nouveaux protocoles et restrictions. Sympathique à la triste situation, j’ai maintenu ma position clinique en promettant de « me mordre la langue chaque fois que je pensais que j’allais parler du COVID-19 » à l’hôpital. C’était finalement impossible pour moi d’un point de vue éthique, et je me suis récemment retiré des urgences pour éviter les conflits.

Ai-je déjà vu un patient Covid-19 ?

Je n’ai jamais vu un patient atteint du COVID-19. J’ai vu des tests PCR positifs chez des personnes asymptomatiques, et j’ai vu des gens être emprisonnés chez eux et isolés de leur famille et de leurs amis. Mes recherches sur le test PCR m’ont convaincu personnellement qu’il est trompeur, manipulable et utilisé pour drainer l’argent et la dette future des contribuables sans fin, afin d’enrichir considérablement les criminels mêmes qui dirigent ce scandale. Ma province à elle seule a effectué environ 50 000 tests PCR par jour. Pendant ce temps, notre gouvernement fédéral apporte des centaines de milliers de doses d’injections expérimentales potentiellement dangereuses de matériel génétique viral modifié, les qualifiant de « vaccins » et les faisant gérer par l’armée. Est-ce raisonnable pour une maladie virale principalement bénigne et non mortelle ?

La suppression de l’information ?

J’ai observé la suppression des médecins et des scientifiques qui ont effectué des études sur les anticorps sériques, dont les résultats ont montré que le virus était beaucoup plus répandu, mais généralement non mortel, et asymptomatique ou très léger dans la plupart des cas, et que dans de nombreuses régions, nous avions probablement déjà atteint l’immunité naturelle du troupeau d’ici l’été 2020.

Regardez cette étude réalisée à Wuhan même, qui montre que le virus y a été fait avant le 1er juin 2020, deux mois seulement après la fin de leur bref verrouillage, et que personne ne le propageait, pas même les très rares personnes avec un test PCR « positif. » (Et ils n’étaient pas malades).

La Chine

J’ai remarqué qu’après le verrouillage théâtral de la Chine, ils sont rapidement retournés aux affaires comme d’habitude, alors que toutes nos économies étaient gelées, ils ont acquis un contrôle énorme sur le marché mondial. Cela semble une stratégie formidable mais maléfique !

Manipulation politique des travailleurs de la santé

J’ai l’impression que beaucoup de choses que nous avons apprises à la faculté de médecine sur les maladies infectieuses ont été écartées et remplacées par des listes en constante expansion de mandats souvent ******* par des responsables de la santé publique. Les médecins, les infirmières et les enseignants sont particulièrement importants pour le succès de cette tromperie COVID-19, car nous sommes des leaders dans la société et les gens font confiance à nos conseils. Il n’est donc pas surprenant que je trouve que la liberté d’expression et de pensée a été très supprimée dans nos rangs. Plutôt que d’endurer les punitions de la dissidence, nous pouvons choisir de faire l’expérience des avantages à courte vue comme des jours extrêmement calmes aux urgences, en remplaçant notre travail pratique traditionnel par des sessions Zoom à domicile, et accéder à une variété de nouveaux codes COVID-19 *******. À un moment donné, il existait une option pour gagner plus d’argent que ce que je gagne normalement en travaillant dans une salle d’urgence occupée,

De nombreux facteurs de motivation positifs et négatifs sont utilisés pour manipuler les médecins, les infirmières et les enseignants canadiens, afin de participer par inadvertance à cette grande tromperie covid, mais cela détruit notre société. Pour reprendre une métaphore du Titanic : « même les suites de luxe du Titanic se retrouvent au fond de l’océan quand il coule ». En outre, une grande partie de ce qui est fait, y compris les injections génétiques virales expérimentales, semble violer le code de Nuremberg concernant l’expérimentation médicale avec le plein consentement éclairé des participants. Les médecins et les infirmières doivent prendre des décisions difficiles. Ma carrière d’urgentologue m’a toujours donné l’occasion de pratiquer mes convictions religieuses et éthiques d’honnêteté et de gentillesse, tout en gagnant bien ma vie. Maintenant, maintenir la carrière que j’aime exigerait de participer à la tromperie,

Je sympathise avec tous mes collègues médecins et infirmières. Nous sommes tous victimes de l’abus de covid.

Enquête plus approfondie

J’ai recherché et perçu comment les oligarques corrompus semblent avoir planifié ce crime contre l’humanité. Cette planification comprenait l’événement 201 qui était une simulation d’une pandémie corona menée par la Fondation Bill & Melinda Gates, le Forum économique mondial et l’Université Johns Hopkins en octobre 2019, et la planification de simulation d’épidémie virale 2010 de la Fondation Rockefeller appelée « Opération Lockstep ». Ces deux projets décrivaient comment une épidémie virale serait utilisée pour instaurer un système autoritaire avec la perte de nos droits de l’homme et de nos libertés. J’ai également observé comment leurs cohortes dans les grandes technologies comme Google, Facebook, Twitter et YouTube ont travaillé pour nous censurer et nous tromper tous; c’est une véritable propagande.

Concernant l’utilisation des masques faciaux :

Le port forcé de masques par la plupart de la population mondiale n’est pas unanimement soutenu par la vraie science. Ces masques nuisent considérablement à notre santé psychologique, sociale, dermatologique, dentaire et oto-rhino-laryngotique. Bien que je sois généralement en bonne santé, les masques m’ont donné des éruptions cutanées et des symptômes nasaux chaque fois que je devais les porter pendant des périodes prolongées, qui disparaissent chaque fois que je ne les porte pas pendant quelques jours. Ce que je trouve le plus dérangeant, c’est l’élimination des expressions faciales, et donc une interaction sociale visuelle normale.

Concernant les vaccinations Covid-19 :

L’histoire des tentatives passées de vaccins contre les coronavirus, a révélé des effets secondaires très dangereux sur des modèles animaux, et les efforts ont été abandonnés. Pourquoi prendrions-nous un vaccin dangereux pour une maladie généralement bénigne, contre laquelle nous développons de toute façon une immunité collective ? Le déploiement actuel de « vaccins » expérimentaux coûteux et accélérés enterre les contribuables dans une dette sans fin envers les riches et puissants méchants de cette histoire. Pourtant, nous, les gens qui ont été emprisonnés et maltraités dans ce scandale, sommes manipulés pour prendre de nouvelles injections étranges, dans l’espoir de retrouver une partie de notre liberté. De plus, les soi-disant « vaccins » ne sont pas des vaccins (sauf si nous changeons la définition des vaccins). Ce sont plutôt des injections de gènes du virus Corona. Voir la section « Ce n’est pas un vaccin ».

Décisions difficiles

Récemment, j’ai pris des décisions personnelles difficiles : abandonner un revenu et une sécurité personnelle, pour choisir une voie éthique et honnête, qui peut contribuer à un résultat vrai et juste, et au retour de notre société libre et des libertés civiles. Je crois que nous en sommes presque tous victimes, peu importe où nous en sommes sur la voie de la récupération de la vérité.https://archive.org/embed/experimental-m-rna-gene-therapy-covid-19


Thérapie génique expérimentale d’ARNm Covid-19

Voici la définition de : « vaccin ».

« Une préparation d’un agent pathogène affaibli ou tué, tel qu’une bactérie ou un virus, ou d’une partie de la structure de l’agent pathogène qui, lors de son administration à un individu, stimule la production d’anticorps ou l’immunité cellulaire contre l’agent pathogène mais est incapable de provoquer une infection grave. » — Le dictionnaire American Heritage® de la langue anglaise, 5e édition

Pour plus de définitions du « vaccin », visitez : medical-dictionary.thefreedictionary.com/vaccine.

Vaccin-ARN

Ainsi, un vaccin signifie une injection ou une dose avalée d’une bactérie, d’un virus ou d’un autre organisme infectieux affaibli, mort ou fragmenté, contre laquelle vous essayez de vous immuniser. Bien que l’injection soit morte ou trop faible pour provoquer une maladie grave, elle présente au système immunitaire certaines des marques de surface du parasite, également appelées « antigènes ». Cela permet à votre corps de préparer des anticorps et des défenses cellulaires contre le parasite, donc si à l’avenir, vous le rencontrez, votre système immunitaire le tuera rapidement sans que vous ne tombiez malade. C’est une grande science vieille de 150 ans attribuée à son fondateur Louis Pasteur.

Maintenant : veuillez vous référer à la page 11 sur l’un ou l’autre des briefings EAU « vaccin » covid (Moderna ; Pfizer) pour trouver dans la section 4.1 Composition du vaccin : « Le vaccin contient un ARN messager nucléosidique modifié (modRNA) codant pour la glycoprotéine de pointe virale (S ) du SRAS-CoV-2. » ou « Le vaccin contient un acide ribonucléique messager synthétique (ARNm) codant pour la glycoprotéine de pointe stabilisée avant fusion (S) du virus SARS-CoV-2. »

Par conséquent, ces nouvelles injections sont du matériel génétique covid-19. Ils sont une partie modifiée du code génétique du virus covid-19, annoncé pour entrer dans vos cellules, interagir avec et utiliser vos ribosomes qui ne produisent normalement que les parties complexes ou « protéines » de votre propre cellule en fonction de votre code génétique et de votre ARN messager. Naturellement, à l’intérieur de vos cellules, vos ARN messagers amènent vos nombreuses conceptions de protéines naturelles à partir de leur copie papier dans votre ADN, aux ribosomes de vos cellules en dehors du noyau. Par conséquent, votre ARN messager transporte normalement des éléments de votre code génétique de votre ADN qui se trouve dans les noyaux de vos cellules, à vos ribosomes, qui lisent les codes et produisent votre machinerie cellulaire appelée « protéines ».

Cependant, lorsque les ribosomes sont engagés par l’injection d’ARN messager viral, vos cellules commencent à produire une partie du virus : la « glycoprotéine de pointe du SRAS-CoV-2 ». C’est donc là qu’elle commence à avoir une relation avec les vaccins, mais c’est très différent. Ici, vos propres cellules contiennent des gènes viraux, qui les dirigent pour dépenser des nutriments et de l’énergie pour produire et pomper des copies d’une partie du virus covid-19 dans votre circulation. L’argument de vente optimiste ici est que vous vous retrouvez avec certaines parties du virus covid-19 flottant dans votre corps pour, espérons-le, stimuler une réponse immunitaire saine.

D’autre part, cette injection de gène viral hautement expérimentale comporte des risques inconnus et de graves préoccupations, y compris celles expliquées ici par le Professeur Dolores Cahill.




L’obligation vaccinale pour les soignants est-elle justifiée ?

Par Dr Gérard Delépine

Depuis maintenant près de 3 semaines, le gouvernement et les médias s’agitent pour promouvoir une obligation vaccinale chez les soignants alors qu’il n’existe aucune preuve que le vaccin est capable d’empêcher les transmissions de la maladie, ni que les médecins contaminent leurs malades, ni que les vaccins sont sans risque et enfin que l’obligation d’un traitement expérimental est contraire à la déclaration d’Helsinki.

Il montre ainsi une fois de plus son autoritarisme et l’absence de logique médicale de sa stratégie basée sur la peur.

Mais reportons-nous aux faits démontrés, et en particulier les données publiées par l’OMS.

Les vaccins paraissent incapables d’éviter les transmissions

Les maigres données fournies par les laboratoires sur les résultats phase 3 ne démontrent pas que les vaccins soient capables de diminuer les contagions. Et leurs résultats finaux ne seront pas connus au plus tôt, avant 2023.

L’évolution de l’épidémie dans les 3 pays champions de la vaccination constitue donc les seules données objectives actuellement disponibles pour l’analyse. Pour l’instant, elles montrent que les vaccins n’empêchent pas la contagion et même peut-être les augmentent transitoirement.

Les Émirats Arabes Unis représentent le champion arabe de la vaccination commencée le 23 décembre 2020 avec plus de 40 % de sa population vaccinée depuis cette date. D’après les courbes OMS du 11 mars 2021, a été suivie d’une augmentation considérable (+200 %) des contaminations journalières, leur nombre passant de 1226 cas le 23/12 à 6688 le 18/2 avant de se stabiliser au double d’avant la vaccination.

Après neuf mois d’épidémie, les EAU comptaient 1955

Israël représente actuellement le champion de la vaccination Pfizer en nombre de citoyens vaccinés. La vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

L’augmentation des contaminations n’a été amoindrie que depuis le reflux global de l’épidémie dans tous les pays, vaccinés ou pas, confinés ou pas. Et dans l’immédiat de mars, l’incertitude plane en Israël(([1] i24NEWS 28 février 2021,)) : « le coefficient de reproduction en hausse, l’épidémie en passe de se propager ». De plus le vaccin ne paraît pas non plus protéger les vaccinés longtemps des contaminations puisque B. Netanyahou a déclaré le 1/3(([2] I 24)) : « Il est important de dire que le vaccin est efficace pendant une période limitée. Nous nous préparons au scénario pessimiste, selon lequel il faudra renouveler les vaccins tous les six mois ».

La Grande-Bretagne est le second champion de la vaccination. Au 1er mars 2021, un total de 21 322 717 doses de vaccin avait été administré. Commencée le 4 décembre, la vaccination a été suivie pendant 6 semaines d’une augmentation considérable (+300 %) des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 1 674 138 contaminations. 3 mois après le démarrage de la campagne de vaccination, le 11 mars 2021, ce chiffre est passé à 4 229 002 cas confirmés (+165 %).(([3] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3235868/fr/strategie-de-vaccination-contre-la-covid-19-place-du-covid-19-vaccine-astrazeneca))

Ce n’est qu’après le déclin mondial de l’épidémie que le nombre quotidien des contaminations a baissé en Grande-Bretagne.

Cette évolution immédiatement défavorable du nombre des contaminations après vaccination dans les 3 pays champions de la vaccination suggère que le vaccin est incapable de prévenir la transmission de la maladie.

D’ailleurs cette incertitude sur la capacité de prévenir la transmission par le vaccin Astra Zeneca est reconnue par la haute autorité de santé. « Au vu des données limitées à ce jour sur l’impact de la vaccination avec le vaccin d’Astra Zeneca sur le risque de transmission du SARS-CoV-2, la HAS insiste sur la nécessité de maintenir l’ensemble des gestes barrières et des mesures de distanciation sociale ».

Alors, pourquoi vouloir imposer ce vaccin, soi-disant pour protéger les autres ?

Les médecins et les infirmières ne contaminent pas les malades

La recherche sur PubMed des articles répondant aux mots clefs « Nosocomial Covid » le 12/3/2021 permet de lister 613 publications.

Si elles insistent sur le risque de contamination que courent les soignants et les patients hospitalisés au contact des malades du Covid19, aucun article ne rapporte la contamination d’un patient par un médecin ou une infirmière en France. Il faut certainement y voir là l’effet de la conscience professionnelle de ces soignants qui arrêtent de travailler au moindre soupçon de Covid débutant. Il faut aussi souligner l’importance des garanties de maintien de salaire des personnels au contact des personnes fragiles en cas d’arrêt maladie.

Dans les Ehpad suédois, le personnel souvent peu qualifié et mal payé ne l’était plus s’il arrêtait de travailler. Pour cette raison, beaucoup de ces personnes peu qualifiées préféraient travailler même quand elles se savaient malades, entraînant des foyers mortifères de contamination. La sécurité a un coût ; ne pas maintenir le salaire complet de ces personnels en cas de maladie peut aboutir à des catastrophes sanitaires.

La retenue de salaire du jour de carence aux soignants malades après la vaccination dans certains hôpitaux et la perte de la prime d’assiduité participent peut-être aussi à la réticence des soignants français à se faire vacciner.

Le personnel soignant français n’est pas un facteur d’infection nosocomiale, mais la surcharge et la promiscuité dans certains hôpitaux pourrait l’être. Rouvrir des lits où ils manquent cruellement chaque hiver constitue une nécessité sanitaire malheureusement ignorée par nos dirigeants. Et parlons de l’ensemble des lits de médecine interne, d’infectiologie, etc. et sortons de la polémique sur les lits de réanimation qui n’auraient pas diminué !

Néanmoins cent mille lits au moins ont disparu en vingt ans et le service de réanimation ne travaille pas sur une île déserte, les patients ne trouvant pas de lits en médecine atterrissent parfois en réa pour bénéficier d’un personnel soignant suffisant et la sortie de réa nécessite aussi des lits de médecine interne pour récupérer les patients améliorés, mais pas encore sortants.

Les discussions sur les TV des lits de réa qui n’ont pas diminué sont hors sol de la réalité quotidienne de l’hôpital et de son fonctionnement. Le personnel soignant a diminué drastiquement au bénéfice des administratifs (oui le budget est stable relativement au PIB, mais l’important est de savoir à quoi on attribue l’argent). Les lits permettant l’accueil précoce et à proximité des malades et les hôpitaux locaux ont disparu, fermés au bénéfice des grandes machines bureaucratiques à essais que sont les centres hospitaliers universitaires concentrés dans les grandes villes.

Oui le nombre de lits de réa est stable en chiffre absolu (si on compte tous ses versants : unité de soins continue, de soins intensifs et enfin de réanimation qui permet de jouer sur les tarifications à l’activité afin que les lits lucratifs soient à peu près toujours pleins (donc « saturés »)… mais a diminué de plus de 10 % si on le ramène à la population ce qui explique que les réa soient constamment saturées chaque hiver depuis 10 ans. La manipulation quotidienne utilisant ce nombre de lits de « réa » est une imposture. Le mal hospitalier est réel, plus profond et plus complexe que ces explications quotidiennes de médecins loin du malade et pire d’éditorialistes loin de la réalité.

Les vaccins actuels sont expérimentaux

Un traitement est expérimental tant que les essais phase trois n’ont pas été terminés, analysés, publiés et validés par les agences sanitaires. Et que des médecins indépendants des firmes pharmaceutiques aient pu vérifier la pertinence et la cohérence des données fournies. Actuellement aucun des vaccins anticovid19 mis sur le marché ne satisfait à ces exigences de sécurité. Ils sont donc tous expérimentaux.

Le plus avancé, celui de Pfizer, aura son essai phase 3(([4] Les candidats vaccins qui semblent suffisamment efficaces après les essais animaliers et les essais humains phase1 et2 poursuivent leur développement en phase III. A ce stade, le nouveau vaccin est comparé à l’absence de vaccin. Les personnes reçoivent, de façon aléatoire, soit un placebo supposé inerte, soit le vaccin en cours d’évaluation afin de mesurer son efficacité et sa toxicité.)) terminé dans deux ans, en 2023, d’après le site gouvernemental américain qui enregistre tous les essais sur l’homme (clinical trials.gov à https://clinicaltrials.gov/ct2/home).

Ces vaccins expérimentaux ont d’ailleurs été mis sur le marché avec une autorisation temporaire dite conditionnelle qui ne deviendra définitive qu’après l’examen par les agences des résultats définitifs des résultats des essais phase 3.

Il faut espérer que d’ici là les vaccinations par ces médicaments expérimentaux n’auront pas causé trop de victimes.

Les vaccins actuels ne sont pas sans risques

Les vaccins trop rapidement mis sur le marché ont été suivis de complications dont certaines non décrites dans les rapports préliminaires remis aux agences telles que des syndromes grippaux sévères (obligeant 25 % à 40 % des soignants vaccinés à s’arrêter de travailler), des désordres hématologiques et aussi des morts par accidents cardiaques, thromboses, accidents vasculaires… Comme d’habitude les promoteurs des vaccins nient tout lien de causalité. Il est vrai que démontrer un lien de causalité n’est jamais facile et que dans une affaire récente(([5] En juin 2017, la justice européenne a estimé que la responsabilité d’un vaccin dans le développement d’un effet secondaire grave pourrait être reconnue même en l’absence de certitude scientifique.)) la Cour européenne de justice a pour cette raison jugé qu’un faisceau d’indices graves et concordants suffit à déterminer la responsabilité du vaccin.

Le vaccin Astra Zeneca que l’on veut imposer aux soignants a été refusé par la Suisse et vient d’être suspendu par les agences sanitaires de 9 pays européens et l’Afrique du Sud montrant bien que son efficacité et son innocuité sont douteuses.

L’utilisation d’un médicament expérimental constitue une expérience médicale, même si elle est autorisée par les agences du médicament

La différence avec les essais officiels c’est que la vaccination à grande échelle qui se déroule actuellement n’offre pas les précautions normalement prises en cas d’essai validé par les comités de protection des personnes. Les vaccinés ne sont pas enregistrés comme faisant partie d’un essai et ne bénéficient pas d’une surveillance médicale renforcée comme cela est obligatoire dans les essais cliniques déclarés. Leurs complications ne sont donc pas recensées de manière systématique et les résultats de cette vaccination ne sont pas évalués ni publiés contrairement aux essais traditionnels.

Il est certes admis par la convention d’Helsinki(([6] L’Association Médicale Mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains, y compris la recherche sur du matériel biologique humain et sur des données identifiables. La Déclaration est conçue comme un tout indissociable. Chaque paragraphe doit être appliqué en tenant compte de tous les autres paragraphes pertinents. Conformément au mandat de l’AMM, cette Déclaration s’adresse en priorité aux médecins.)) (([7] https://www.espace-ethique.org/ressources/charte-declaration-position/declaration-dhelsinki)) que, faute d’interventions avérées, le médecin puisse recourir à une intervention non avérée si, selon son appréciation professionnelle, elle offre une chance de sauver la vie, ou préserver la santé du patient. Mais dans tous les cas, le consentement éclairé du patient est indispensable et les nouvelles informations doivent être enregistrées et, le cas échéant, rendues publiques.

Or ce n’est pas le cas, car les informations concernant les vaccins sont sévèrement censurées dans de nombreux pays dont la France(([8] Il y a 3 jours une de mes vidéos a été supprimée de YouTube alors qu’elle ne faisait état que d’informations vérifiées et accessibles ; et mon épouse fait l’objet d’une plainte par le conseil de l’ordre parce qu’elle ne répétait pas la propagande de l’état.)) (([9] France soir a vu son compte Twitter supprimé et une ministre demander de l’exclure des organes de presse)), empêchant tout débat démocratique. Leurs complications ne sont découvertes que si les médias indépendants les révèlent. C’est uniquement par les journaux que l’on a appris la mort, après vaccination de nombreux pensionnaires d’Ehpad en France et à l’étranger et l’hospitalisation du Premier ministre australien Greg Hunt, admis à l’hôpital seulement un jour après avoir reçu une dose du vaccin Oxford/Astra Zeneca Covid(([10] selon plusieurs sources dont le New Daily et le Daily Expose deux sites en ligne. Et la censure quotidienne des médias par YouTube, Facebook ou Twitter devient le jeu à la mode. Mettre rapidement les vidéos susceptibles d’être censurées sur odyssee.com ou planete360 pour pouvoir les retrouver quand les puissants du jour les supprimeront. Puissants du jour, morts demain, ils signent leur faire-part de disparition dont seule la date nous est inconnue. Twitter qui permet la suppression de comptes informatifs se voit supplanté par Telegramm et FB par Signal et bien d’autres. La vérité a toujours raison même si elle prend l’escalier au lieu de l’ascenseur. Le totalitarisme perd toujours, le problème est le nombre de victimes évitables.

Obliger sans consentement libre à être traité par un vaccin expérimental reprend l’attitude de certains médecins nazis

Xavier Bioy, professeur d’université à Toulouse-1 s’insurge à l’AFP de cette comparaison. « C’est très fort : on compare des scientifiques avec des médecins nazis qui mettaient de l’acide dans les plaies des pauvres détenus qui se faisaient torturer dans les camps ».

Il a manifestement oublié que les médecins nazis ont pratiqué de très nombreux essais de vaccins sur les déportés : vaccination contre le paludisme (février 1942 à avril 1945 à Dachau : 1100 cobayes humains et nombre inconnu de victimes). Vaccination contre le typhus par Eugen Haagen au Camp de Natzwiller. Vaccinations contre le typhus exanthématique, le paludisme, la fièvre jaune (485 cobayes humains), la gangrène gazeuse (15 victimes), la dysenterie, l’hépatite, la tuberculose, menées par Erwin Ding-Schuler et Waldemar Hoven au camp de Buchenwald. Comment un universitaire spécialiste de l’éthique peut-il avoir oublié ces faits historiques qui ont précisément conduit à l’élaboration du code de Nuremberg ?

En 1947, les médecins nazis plaidaient pour leur défense « dans un État totalitaire en temps de guerre, il n’y a pas de responsabilité personnelle ; c’est la nécessité d’État qui se substitue à la volonté individuelle, et il n’y a pas de consentement qui vaille : ni des médecins expérimentateurs ni des sujets ; dans ces circonstances, l’intérêt de la science au service de la défense de la Nation prime sur celui de l’individu. » Mais L’absence de consentement éclairé des vaccinés a valu à ces scientifiques nazis la condamnation à mort.

Depuis mars 2020 nous sommes paraît-il, en état de guerre, dans un état de plus en plus totalitaire et cette défense de médecin injectant un vaccin expérimental sans consentement éclairé n’est pas plus recevable aujourd’hui qu’hier.

Comment peut-on envisager de rendre obligatoire un vaccin expérimental, inutile pour le vacciné, dont on n’a pas démontré qu’il pouvait protéger les autres alors qu’il entraîne des complications qui ont justifié son retrait dans 9 pays européens et dans de nombreux pays lointains ?

Vacciner les volontaires après une information loyale, oui. Obliger les autres quels qu’ils soient est criminel !

Enfin, il convient de signaler la position claire du conseil de l’Europe

TOUTE OBLIGATION DE VACCINATION anticovid EST DÉSORMAIS ILLÉGALE *

PAR DÉFAUT LE CONSEIL DE L’EUROPE (à ne pas confondre avec l’UE) auquel appartiennent TOUS les États européens, à l’exception du Belarus, du Kosovo et du Vatican qui est le parrain de la Cour européenne des DROITS DE L’HOMME a décidé́ le 27.01.2021 dans sa résolution 2361/2021, entre autres, que personne ne peut être vacciné contre sa volonté́, sous la pression.

Les 47 États membres sont invités à̀ signaler avant la vaccination que la vaccination n’est pas obligatoire et que les personnes non vaccinées ne doivent pas subir de discrimination.

La discrimination est également expressément interdite en cas de risques sanitaires existants ou si une personne ne souhaite pas être vaccinée.

Les fabricants de vaccins sont tenus de publier toutes les informations sur la sécurité́ des vaccins. Avec cette résolution, la plus importante organisation de défense des droits de l’homme en Europe a désormais établi des normes et des obligations, ainsi que créé des lignes directrices en vertu du droit international, qui doivent être appliquées par les 47 États membres, y compris l’UE en tant qu’organisation.

Les discriminations, par exemple sur le lieu de travail ou les interdictions de voyager pour les personnes non vaccinées, sont donc légalement exclues.

Dans toute procédure judiciaire, contre toute autorité́, tout employeur, tout fournisseur de voyages, tout responsable de maison, etc.


*Perma | pace.coe.int [Cependant, cette résolution n’est pas contraignante]




Appel à la résistance civile et au réveil des consciences

[Source : Réseau International]

Préambule

L’Assemblée nationale et le Sénat ont rendu leur rapport d’enquête sur la gestion de l’épidémie de Covid-19 en France et ils sont évidemment sévères. Ils mettent en lumière l’impréparation et la gestion chaotique de l’État, avec de multiples retards et des incohérences sans fin, et la mise sur la touche des médecins généralistes, privés du droit de soigner !

Des mois et des mois plus tard, le gouvernement persiste dans les mêmes erreurs, multipliant les mesures hasardeuses et arbitraires, avec la même attitude infantilisante, abusive, et souvent même méprisante envers la population. Et quelle maltraitance que de masquer les enfants !

Il porte atteinte au passage, de plus gravement, aux droits constitutionnels et fondamentaux ainsi qu’aux libertés privées et publiques, conduisant le pays à la ruine en détruisant le gagne-pain de millions de citoyennes et de citoyens.

En tolérant des conflits d’intérêts majeurs, en confiant même des responsabilités publiques à des serviteurs de l’industrie pharmaco-vaccinale, il trahit les intérêts et la confiance du peuple français.

On nous présente maintenant un « vaccin » qui n’en est pas un, mais constitue une véritable « thérapie » génique expérimentale, mis précipitamment sur le marché alors qu’il présente des risques potentiellement majeurs pour la santé de la population. Tandis que les autres vaccins annoncés affichent des effets indésirables conséquents pour une infection respiratoire équivalente à la grippe.

Ce projet est tellement contraire au droit, à l’éthique ainsi qu’aux bonnes pratiques médicales que nous devons nous opposer corps et âme à ce que l’État joue ainsi à la roulette russe avec la santé des Français, en dilapidant l’argent public.

Le désastre en cours est symptomatique d’une société à bout de souffle, qui a perdu ses repères, prise dans une bouffée délirante collective malheureusement entretenue au fil des mois par nos gouvernants.

Il est temps de reprendre nos esprits et de revenir sereinement dans la réalité : la létalité réelle du Covid-19 est celle d’une grippe moyenne, avec un âge médian des décès supérieur à l’espérance de vie. Nous disposons en outre de traitements efficaces.

En Suède la vie est normale, sans masques, sans tests, sans confinement, sans mesures humiliantes de contrôle… et sans plus de victimes.

Nous pouvons vivre sans avoir à nous terrer ou à nous déshumaniser. Et nous devons tous retrouver ensemble le chemin de la sérénité et de la raison, en mettant un coup d’arrêt à la fuite en avant de nos gouvernants.

Chacun d’entre nous comme chaque corps constitué a sa part d’action à faire et son rôle à jouer dans ce processus urgent de restauration de la raison et des libertés.

C’est le sens de l’Appel que nous lançons aujourd’hui pour la résistance civile et le réveil des consciences, afin de préserver la lumière de l’avenir.

Dr Fouché : « Le système va s’effondrer tout seul »



APPEL A LA RESISTANCE CIVILE ET AU REVEIL DES CONSCIENCES

Nous invitons Emmanuel Macron

à tirer les conclusions de la longue suite d’errances et de défaillances de sa politique sanitaire, à tirer les conclusions de l’état d’affolement, de confusion et de sidération dans lequel il a plongé le peuple français, et bien d’autres peuples, avec des données fausses et anxiogènes, et enfin à tirer les conclusions de son instrumentalisation de la peur à des fins de neutralisation de la contestation, ainsi qu’à des fins idéologiques de démantèlement de l’économie et des intérêts nationaux au profit des grands groupes mondiaux.

Nous l’appelons

à œuvrer pour la santé réelle des Français, et non pour le profit de l’industrie pharmaceutique, à dissoudre immédiatement le Conseil Scientifique et à le remplacer par un collège des meilleurs experts libres de tous conflits d’intérêt, à cesser de convoquer le Conseil de défense : on ne fait pas la guerre à un virus, à RÉTABLIR LES LIBERTÉS FONDAMENTALES : la liberté d’expression et d’opinion, la liberté de vivre, d’être en liens, et de respirer, à supprimer l’usage des tests inutiles en population générale, et à les rétablir comme outil diagnostic dans la main des seuls médecins, à décréter un moratoire sur toute thérapie génique, appelée à tort vaccinale, autrement dit : à faire abroger la loi d’état d’urgence sanitaire, en particulier son intolérable article 4ter alinéa 3 (*).

Nous appelons les parlementaires français

à rester fidèles à la démocratie et à la Constitution, à rester fidèles à leur mandat de représentation du peuple et à refuser avec courage tous les textes de loi et dispositions portant atteinte aux intérêts, à la dignité et à l’intégrité (physique, psychique, économique, culturelle, politique et sociale) du peuple.

Nous appelons les constitutionnalistes et les professeurs de droit

à dénoncer haut et fort les innombrables mesures anticonstitutionnelles qui nous sont imposées et les lois d’exception totalitaires.

Nous appelons les avocats et les juristes

à multiplier les actions en justice, ainsi qu’à offrir leurs services en pro bono ou avec l’aide juridictionnelle à des particuliers ou des collectifs ayant intérêt à agir pour intenter de telles actions.

Nous appelons le Conseil national de l’Ordre des Médecins

à ne pas sombrer dans l’indignité en condamnant des médecins faisant honneur à leur profession, à protéger sans concession la liberté de prescription, et les médecins lanceurs d’alerte

Nous appelons les forces de l’ordre

à servir non pas un gouvernement autoritaire, mais le peuple, et à renoncer à faire usage de toute violence à l’encontre des protestations légitimes de la population.

Nous appelons les fonctionnaires

à refuser d’appliquer les mesures liberticides.

Nous appelons les chercheurs et les scientifiques

à dénoncer les ravages de la corruption systémique produite singulièrement par l’industrie pharmaceutique, et à participer à mettre en échec l’instrumentalisation frauduleuse de la recherche au profit d’intérêts privés.

Nous appelons les soignants de psychiatrie, les psychosociologues et les sociologues

à neutraliser par leur éclairage la bouffée délirante collective dans laquelle est plongée une grande partie de la population mondiale de manière très inquiétante depuis un an.

Nous appelons les médecins

à rejeter les diktats contraires au serment d’Hippocrate en s’engageant à user de leur liberté de prescription, et à traiter les malades de la meilleure façon, en particulier dans la phase précoce de la Covid-19.

Nous appelons les experts de santé publique

à exiger qu’une balance bénéfices/risques rigoureuse soit faite au sujet de toutes les mesures non strictement médicales potentiellement destructrices pour les personnes et la société.

Nous appelons les pharmaciens

à lever tout obstacle dans la remise de prescriptions hors-AMM.

Nous appelons les responsables de résidences pour personnes âgées

à tenir impérativement compte de la volonté de leurs pensionnaires dans un processus décisionnel impliquant leur consentement éclairé ou celui de personnes de confiance concernées, à toutes mesures les impliquant.

Nous appelons tous les professionnels de la naissance, tous les professionnels de la petite enfance

à veiller au respect de la dignité et des intérêts des tout-petits et de leurs parents.

Nous appelons les enseignants et l’Éducation nationale

à protéger les enfants et les adolescents en refusant le port du masque, à leur donner des informations sur les conséquences, graves, de la bouffée délirante collective, ainsi que leur enseigner les bases de ce qui génère et protège réellement la santé.

Nous appelons les milieux économiques

à s’opposer de toutes leurs forces et de toute leur influence à des décisions absurdes et inutiles qui précipitent vers la faillite et la ruine les forces vives de notre économie réelle au profit des multinationales et des grands groupes mondiaux.

Nous appelons les journalistes

à se désaliéner de leur tutelle économique, à rejeter la politique du buzz, à respecter la Charte des journalistes aujourd’hui bafouée et à remplir pleinement leur rôle et leur mission envers la population en tant que quatrième pouvoir essentiel à la démocratie, en délivrant une information honnête, et en enquêtant sur les dérives en cours.

Nous appelons les artistes

à véhiculer et populariser sous toutes les formes que ce soit l’esprit de résistance civile et le réveil des consciences qui animent cet appel.

Nous appelons les citoyennes et les citoyens

à exercer notre droit et notre devoir, sans supporter aucun chantage à l’exclusion sociale, de refuser une vaccination inutile, risquée servant plus les profits de l’industrie pharmaceutique que la santé, en obtenant au besoin la tenue d’un référendum (d’initiative partagée en France) sur l’intégration au bloc constitutionnel de l’article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793, lequel énonce : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs », car si un gouvernement persiste dans une dérive autoritaire, irresponsable et mortifère, quelle autre alternative laisse-t-il à ses concitoyens sinon celle de résister en masse, et si possible pacifiquement, jusqu’à ce que les gouvernants reprennent raison ou leur remettent leur pouvoir ?


(*) NB : L’article 4 ter alinéa 3 du projet de loi n°494, cité dans la vidéo, est devenu l’article 12 alinéa 3 dans le texte définitif de la loi n°2020-1379 du 14 novembre 2020 autorisant la prorogation de l’état d’urgence sanitaire. Cet article 12 alinéa 3 dispose que :

« (…) Les personnes condamnées et les personnes mises en examen, prévenues et accusées placées en détention provisoire peuvent, sans l’accord ou l’avis préalable des autorités judiciaires compétentes, être incarcérées ou transférées dans un établissement pénitentiaire à des fins de lutte contre l’épidémie de covid-19. Il en est rendu compte immédiatement aux autorités judiciaires compétentes qui peuvent modifier les transferts décidés ou y mettre fin. Ces dispositions sont applicables jusqu’au 31 août 2021 ».

Pour information :

📌COLLECTIFS NATIONAUX DE RESISTANCE

Reinfocovid – reinfocovid.fr
Parents 2021 France – p21france.wixsite.com/collectif
Enfance et libertés – enfance-libertes.fr
Parents 2021 Belgique – parents2021.com/index
Me de Araujo-Recchia – legavox.fr/blog/maitre-de-araujo-recchia/rapport-dictature-2020-terrorisme-etat
Réaction19 – reaction19.fr
Covid-19 Laissons les médecins prescrire – stopcovid19.today
Association BonSens – bonsens.info

📰MEDIAS D’INFORMATIONS LIBRES

Profession Gendarme – profession-gendarme.com
Anthropo-logiques – jdmichel.blog.tdg.ch
Mondialisation – mondialisation.ca
Agoravox – agoravox.fr
FranceSoir – francesoir.fr/rubrique/opinions
Nexus – nexus.fr
Covidinfos.net – covidinfos.net
Baslesmasques – baslesmasques.com
Le Saker Francophone – lesakerfrancophone.fr
Initiative citoyenne – initiativecitoyenne.be
Sud Radio – sudradio.fr
Sébastien Recchia – youtube.com
Franjo – youtube.com
Ingrid Courrèges – youtube.com
agoravox.fr/auteur/tristan
agoravox.fr/auteur/alexandre-gerbi
agoravox.fr/auteur/pierre-chazal
agoravox.fr/auteur/thierry-gourvenec

source : https://rumble.com/




Et il faudrait les croire ?

Par Alain Tortosa

Qu’est-ce qui est vrai dans la parole gouvernementale que nous subissons depuis des mois ?

Le taux d’incidence est un FAUX qui n’est pas caché par le gouvernement.

D’une part parce qu’il est calculé par rapport à des positifs et non des malades. En effet quand le réseau sentinelle(([1] Réseau Sentinelle https://www.sentiweb.fr/document/5224)) indique 10 malades pour 100 000 habitants le gouvernement est capable d’annoncer 200 positifs pour 100 000 habitants.

D’autre part le PCR génère d’autant plus de faux positifs que le nombre de cycles d’amplification est important…

Puis, plus on teste de personnes et évidemment plus on trouve de positifs.

Enfin parce que le PCR ne renseigne ni sur la charge virale, ni sur le fait qu’il a détecté le virus ou des traces de virus, ni si la personne est contagieuse ou pas et ni si une personne asymptomatique sera malade ou pas.

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Le nombre de personnes hospitalisées est un FAUX.

Parce qu’une personne ayant un rendez-vous programmé à l’hôpital pour se faire enlever un ongle incarné, puis tester (parfois de force par chantage) positive, alors même qu’elle est 100% asymptomatique, sera comptabilisée dans les hospitalisations pour Covid de la journée !

Cette donnée n’est pas cachée par les autorités qui reconnaissent être dans l’incapacité de différencier les vraies et les fausses hospitalisations.

Cette tricherie est ainsi assumée dans un document officiel du gouvernement(([2] Parcours hospitalier des patients atteints de la Covid-19 lors de la première vague de l’épidémie https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/sites/default/files/2020-10/DD67.pdf)).

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Le pourcentage de personnes en réanimation est un FAUX.

Cette information est fournie sur le site du gouvernement

Pour la simple raison que le gouvernement nomme « nombre de personnes en réanimation » non pas les personnes en réa, mais la somme des personnes en réa + soin intensif + surveillance continue(([3] https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees)). Soit environ 19000 lits disponibles en France et non 5000 lits.

Au 6 mars, 3689 patients sont officiellement en (fausse) réanimation selon le gouvernement et il affiche 72,9% de taux d’occupation de (fausse) réanimation.

En réalité, ce n’est pas 3689 patients en réanimation, mais 3689 patients en soin critique.

De fait, le taux d’occupation réel de patients en soin critique au 6 mars (seule donnée connue) est donc de 20% (3689 / 19300 lits de soin critique en France).

Et oui, nous sommes à demi confinés, privés de liberté, obligés de porter une muselière, pour un taux d’occupation de 20% des lits de soin critique pour cause officielle de Covid !

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Le nombre de décès pour Covid est un FAUX.

Sont comptabilisés comme le demande officiellement l’OMS(([4] https://www.who.int/classifications/icd/Guidelines_Cause_of_Death_COVID-19-20200423_FR.pdf)), les personnes décédées qui sont ou étaient positives au Covid, quand bien même ils n’étaient pas malades ou pas décédés du Covid.

Toujours selon l’OMS une personne décédée d’un cancer en phase terminale et pour laquelle il n’y aurait qu’un soupçon de Covid, DOIT être comptabilisée comme décédée du Covid. D’autre part, comment Santé Publique France fait-elle pour comptabiliser 87 246 décès alors qu’elle n’a reçu que 37 680 certificats de décès ?

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les confinements qui seraient efficaces ?

Jamais, je dis bien JAMAIS, dans l’histoire du monde un confinement n’a permis de contrôler une épidémie dès lors qu’un virus circulait déjà da ns la zone à contrôler. Il suffisait d’un seul individu pour tout foutre en l’air !

Jamais dans l’histoire du monde on n’a placé en quarantaine dans un même lieu les personnes saines et les personnes contaminées.

L’usage voulait que l’on ne confine que les malades, pas les bien-portants.

À noter que les pays qui ont confiné ont plutôt les pires résultats en termes de mortalité. Les études publiées avant 2020 ne font pas apparaître la moindre efficacité de la mesure.

Et soudain au 21e siècle, par un miracle, les confinements deviendraient efficaces alors même que nous vivons désormais dans un monde global dans lequel il n’y a plus la moindre autosuffisance !

La présence de variants Sud-Africains à Nice n’est-elle pas une preuve de l’inefficacité totale des confinements ?

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les masques qui seraient efficaces pour prévenir les contaminations ?

Jamais dans l’histoire du monde les masques n’ont permis de contrôler une épidémie. Avant 2020, aucune étude n’a pu prouver l’efficacité de la mesure.

Avant 2020, comme pour un confinement, la moindre erreur dans le port du masque annihile totalement son efficacité et les études suggèrent que les groupes masqués seraient plus contaminés que les autres comme l’évoque l’OMS(([5] OMS — Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 
https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/332448/WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf)).

Avant 2020, nous savions que les masques avaient pour objet de bloquer les bactéries, mais pas les virus. Et avec le « succès » tout relatif que nous connaissons au regard des millions d’infections nosocomiales dans les hôpitaux chaque année…

Le seul « masque » efficace est nos défenses immunitaires et le gouvernement a mis en œuvre une politique ne pouvant que conduire à leur amenuisement.

Ici encore, en 2020-2021, il n’est pas possible de montrer l’efficacité du port du masque en

comparant avec les pays qui n’ont pas rendu le masque obligatoire.

Enfin, c’est un virus aéroporté qui est expectoré par notre système respiratoire. De fait

Comment imaginer que des personnes asymptomatiques pourraient être contagieuses comme cela a été notamment prouvé par une étude chinoise sur des millions de personnes suivies ? Sans compter que les modes de transmission sont multiples, par gouttelettes, micro gouttelettes aéroportées qui peuvent rester des heures en suspension et bien sûr par contact d’objets contaminés.

Rappelons que filtrer un virus avec un masque est de même nature que de ramasser du sable fin avec une épuisette ayant des trous de 3 cm !

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les masques seraient inoffensifs?

Comment pourrait-on imaginer que le port 8 à 12 heures par jour d’un dispositif perturbant les échanges gazeux serait inoffensif ?

Comment peut-on croire que ce dispositif dont les humains ne sont pas pourvus à la naissance ne pourrait pas entraîner de contre-indications ?

Baisse de l’oxygénation, augmentation du rythme cardiaque, fatigue respiratoire pour compenser les effets du masque, augmentation du CO2 ne seraient que fakenews ?

Si ces effets n’existaient pas, ils seraient la preuve de l’inefficacité du masque dont l’objet est de filtrer.

Plus le masque est efficace et plus il est dangereux. Et si nous voulions nous protéger de TOUS les virus, il faudrait un masque 100% étanche !

Et passer ses journées à respirer les composés chimiques volatils des masques ne présenterait aussi aucun danger ?

Sans compter que le masque est une pouponnière à virus et bactéries.

Que fait-on de toutes les recommandations de l’OMS qui souligne les différentes contre- indications et dangerosité du port du masque dans une population générale ?

Que fait-on de l’étude allemande sur des milliers d’enfants qui soulignent les effets secondaires ?

Sans compter les effets délétères sur la communication et sur les apprentissages. Et bien sûr les effets catastrophiques sur la relation à autrui.

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les vaccins Anti-Covid seraient efficaces contre le coronavirus ?

Les coronavirus mutent par nature.

Nous savons tous qu’il faut un nouveau vaccin contre la grippe tous les ans et que son efficacité est de moins de 50% et qu’il est d’autant moins efficace que nos défenses immunitaires sont défaillantes.

Et les vaccins Covid seraient « par miracle » efficaces contre les mutants ? Un vaccin n’injecte pas des anticorps, mais provoque une réponse immunitaire.

Comment les personnes à risque pourraient-elles être protégées par un vaccin dès lors que les personnes à risque sont « immuno-défaillantes » ?

Comment peut-on parler d’efficacité dès lors que rien ne prouve que ces vaccins bloquent les contaminations et la contagion ?

Comment peut-on aussi parler d’efficacité dès lors que le risque d’anticorps facilitant est d’autant plus important que les personnes sont vaccinées contre la souche du mois de mars ? De fait, les personnes vaccinées pourraient avoir des anticorps facilitants et feraient des formes beaucoup plus graves de la maladie que si elles n’avaient pas été vaccinées.

De plus aucune étude ne prouve que les vaccins Anti-Covid sont ou seraient efficaces pour diminuer la mortalité de personnes en fin de vie (cible ultra majoritaire du Covid) et d’autant plus versus des protocoles de protection ciblés uniquement sur les personnes à risque ou de renforcement du système immunitaire.

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les vaccins seraient sans danger ?

Comment les autorités de santé pourraient-elles être certaines que les vaccins seraient sans danger alors que les personnes vaccinées sont des cobayes d’une phase III ?

Comment peut-on dire que les milliards injectés (offerts à l’industrie) seraient de nature à comprimer le temps ?

Une phase III dure au moins plusieurs années avant une commercialisation d’un vaccin. Comment peut-on vouloir vacciner des milliards de personnes avec une technologie expérimentale à ARN messager pratiquée par le passé uniquement sur des personnes avec un cancer et en fin de vie et JAMAIS déployée à grande échelle ?

Comment peut-on surveiller l’ampleur des effets secondaires dès lors que les autorités de santé ont décidé de ne surveiller QUE les effets secondaires qui n’étaient pas répertoriés dans les études de laboratoires publiées par le fabricant.(([6] « L’objectif du suivi de pharmacovigilance est de détecter des effets indésirables nouveaux et/ou graves non identifiés dans les essais cliniques. » https://www.ansm.sante.fr/Dossiers/COVID-19-Vaccins/Suivi-hebdomadaire-des-cas-d-effets-indesirables/))

Comment les autorités de santé peuvent-elles affirmer l’innocuité des vaccins sur les seules données et affirmations fournies par les laboratoires pharmaceutiques ?

D’autant plus lorsque l’on sait que Pfizer a préféré négocier 2,3 milliards d’amendes en 2009 pour publicité mensongère et corruption massive de médecins que de prendre le risque d’un procès.

Comment peut-on ignorer la dangerosité induite par la vaccination qui pourrait, en bloquant les virus proches de la souche du mois de mars, favoriser l’apparition de mutants plus résistants. Raison pour laquelle on ne vaccine JAMAIS une population pendant une épidémie !

Comment peut-on ignorer la dangerosité des anticorps facilitants ?

Comment peut-on espérer des études objectives dès lors que les laboratoires bénéficient d’un cadeau pour lequel c’est l’État qui indemniserait les victimes éventuelles et non le laboratoire ? L’État n’a pas vraiment intérêt à étudier les effets secondaires.

Comment peut-on espérer des données objectives dès lors que la pensée unique affirme que nous n’en sortirons que par la vaccination qui est de fait l’UNIQUE voie, mais aussi que tous les traitements possibles, HCQ ou Ivermectine, pour ne citer qu’eux, sont balayés ainsi que des produits préventifs comme la vitamine D ou le Zinc ?

Qui pourrait imaginer, alors que la décision de vacciner la population mondiale a été prise avant même la sortie de vaccins et avec le concours de la fondation Bill Gates, que l’on puisse faire marche arrière ?

Si d’aventure, ce qui semble le cas notamment en Israël, la mortalité augmentait du fait de la vaccination, les variants (facilités par la vaccination ?) seraient obligatoirement désignés comme les coupables et certainement pas la vaccination elle-même et d’autant plus que toutes les personnes impliquées dans cette promotion macabre pourraient être pénalement poursuivies.

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les vaccins auraient un rapport bénéfice/risque positif pour l’ensemble de la population générale ?

Le gouvernement communique-t-il sur le fait que seules 7 personnes en bonne santé de moins de 30 ans seraient mortes du Covid en France ?

Le gouvernement communique-t-il sur le fait que moins de 2000 personnes, a priori en bonne santé, de moins de 70 ans seraient décédées du Covid ?

Comment un vaccin pourrait avoir un rapport bénéfice vs risque positif pour les personnes en bonne santé alors même que le risque de décès de la maladie est statistiquement nul ? Savez-vous que si vous avez moins de 30 ans, vous avez 2 fois plus de risque de mourir frappé par la foudre que du Covid ?

Savez-vous que Pfizer affirme que sa vaccigénie permettrait aux personnes qui ne sont pas à risque de ne pas faire de formes graves de Covid alors même que les personnes en bonne santé ne font PAS de formes graves !

Comment un rapport bénéfice/risque serait positif pour les personnes en bonne santé alors même que le risque de faire une forme grave est quasi nul, le risque de décès statistiquement nul tandis que le vaccin pourrait provoquer des anticorps facilitants et des formes graves chez les personnes en bonne santé ?

Comment un rapport bénéfice/risque collectif pourrait être favorable dès lors que plus l’on vaccine, plus le risque d’apparition de variants plus résistants augmenterait ?

Comment un rapport bénéfice/risque collectif pourrait-il être favorable dès lors qu’aucune étude ne prouve que le vaccin serait de nature à diminuer la contagion et donc protéger les personnes à risque ?

Comment un rapport bénéfice/risque pourrait-il être favorable dès lors que la protéine spike a des ressemblances avec la syncytine et qu’il pourrait provoquer infertilité et fausses couches chez des populations jeunes en âge de procréer (raison pour laquelle les femmes enceintes ou sans contraception ont été totalement écartées des protocoles).

Comment un rapport bénéfice/risque pourrait-il être favorable dès lors que celui-ci n’a pas été étudié et d’autant plus que le coronavirus mute par nature et que plus il y a de mutations et plus le vaccin sera inefficace et à renouveler ?

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Il faudra vacciner 70% de la population pour retrouver ses libertés ?

Que dites-vous aux personnes âgées vaccinées en Ehpad qui, malgré leur vaccin, sont toujours prisonnières et à qui l’on dit que même vaccinées elles peuvent contaminer les non-vaccinés ?!

Que dites-vous aux millions d’Israéliens vaccinés qui doivent continuer à respecter les gestes barrières et porter le masque malgré leur vaccination ?

Que pensez-vous d’une liberté retrouvée qui vous obligera à présenter votre certificat de vaccination pour accéder à des activités de la vie courante comme aller au supermarché ? Savez-vous que votre vaccination ne sera valable que quelques mois et que non seulement vous devrez être vaccinés, mais vaccinés contre les derniers variants pour bénéficier du sésame ?

Vous avez déjà la preuve que votre vaccination ne redonne strictement aucune liberté à l’heure actuelle, qu’elle ne vous empêche pas de tomber malade, et vous croyez que si vos voisins sont vaccinés vous la retrouverez ?

Savez-vous qu’il est mathématiquement IMPOSSIBLE que 70% de la population soit immunisée quand bien même le vaccin serait efficace à 90%, car il faudrait vacciner TOUS les Français qui n’ont pas de contre-indication y compris les nouveau-nés, ce qui est IMPOSSIBLE donc..

Il n’y aura de fait JAMAIS 70% de la population immunisée permettant officiellement

d’éradiquer un virus qui mute tout le temps.

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Et vous, vous les croyez ?

Merci.

Alain Tortosa.
Auteur de « 7milliards d’esclaves, et demain ? » 10 mars de l’an II de la dictature sanitaire.
https://7milliards.fr/tortosa20210310-et-il-faudrait-les-croire.pdf





Vaccin COVID : Le programme de vaccination israélien «Passeport vert» a créé un «apartheid médical», disent des citoyens désemparés

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Si certaines personnes n’ont toujours pas compris les tenants et les aboutissants réels de ce que l’on nomme habituellement la « crise COVID-19 », c’est qu’elles n’ont pas lu l’ensemble des mes articles, au moins depuis le 1er janvier 2020. La crise humanitaire actuelle a été préparée de très longue date par les élites babyloniennes (que l’on nomme aujourd’hui «globalistes»). C’est ce que j’ai tenté d’expliquer dans mon dernier livre «La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués». Cette « crise » dépasse amplement les gouvernements et les tribunaux locaux. Cette « crise » a été concoctée depuis très longtemps dans les repaires de voleurs tels que le groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale, le Council on Foreign Relations et le Forum économique mondial.

Du 30 mai au 2 juin 2019, c’est-à-dire six mois avant le déclenchement de l’opération Covid-19, eut lieu la rencontre de Bilderberg au Palace de Montreux en Suisse, durant laquelle 128 personnalités étaient présentes. Sur la liste, on relevait le secrétaire général de l’OTAN, la directrice générale de l’UNESCO, le président du Council on Foreign Relations, la directrice de la London School of Economics (Société fabienne), le PDG de Microsoft, et l’ancien président de la Commission européenne. Sans oublier Jared Kushner, ancien conseiller personnel et gendre de Donald Trump, ainsi que Willem-Alexander, roi des Pays-Bas et petit-fils du prince nazi Bernhard de Lippe-Biesterfeld, fondateur du groupe Bilderberg.

Parmi les participants se trouvaient aussi les membres de la plus haute hiérarchie militaire de Trump, ainsi que l’ancien PDG de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Michael Sabia, et la juriste québécoise Louise Arbour, aujourd’hui représentante spéciale du Secrétaire général de l’ONU pour les migrations. Le groupe Bilderberg a également reçu une visite « surprise » puisque Mike Pompeo, ancien secrétaire d’Etat américain de Trump, s’est lui aussi rendu en Suisse le 1er juin, comme le rapporte le quotidien belge L’Echo (il n’était pas inscrit sur la liste présentée sur le site du club Bilderberg).

Il est donc évident que cette rencontre du groupe Bildergerg n’avait rien à voir avec un club social. Que complotaient donc ces individus pour l’avenir de l’humanité ? Nous savons que les enjeux principaux — entre autres sujets — étaient l’avenir de l’Europe, les changements climatiques et durabilité, la Chine, l’avenir du capitalisme, la militarisation des médias sociaux, l’importance de l’espace, les cybermenaces et l’éthique de l’intelligence artificielle. Notons que Michael Sabia était aussi présent à la réunion du groupe Bilderberg en 2018 à Turin avec la députée libérale provinciale Dominique Anglade. À ce moment, les participants ont discuté du monde « post-vérité », de l’avenir du travail, de l’informatique quantique et, encore une fois, de l’intelligence artificielle (incluant le développement du réseau 5G).

Le 9 mars dernier, j’ai énuméré la stratégie de mise en esclavage de l’humanité de la façon suivante :

« J’espère que le lecteur aura compris que le coup d’état mondial perpétré par les élites mondialistes et leurs larbins, c’est-à-dire les politiciens fantoches, a été réglé comme une horloge et qu’il est exécuté avec la précision d’un orfèvre. La stratégie consiste en quelques étapes : déclencher une guerre bactériologique sans fin; restreindre les allées et venues de la population; retirer l’identité et faire taire chaque individu; provoquer la fermeture et la faillite des petites et moyennes entreprises; ruiner les gens et les soumettre à quémander leur pain; éliminer une partie de la population par le biais d’une opération eugénique; inoculer dans chaque individu des particules nano-technologiques par le biais de la vaccination obligatoire; déployer les technologies de la 5G, de la robotique, de la surveillance électronique et de l’intelligence artificielle; imposer un carnet de vaccination sans lequel nul ne pourra acheter, ni vendre, ni se déplacer; emprisonner les dissidents et les récalcitrants dans des camps conçus à cet effet; offrir un revenu de base universel aux citoyens dociles selon un schéma “méritocratique”.

« L’une des dernières étapes consistera à instaurer le système de « crédit social » tel qu’il existe déjà en Chine et qui enfermera les individus dans une matrice numérique dont ils ne pourront pas s’échapper, ce qui conduira infailliblement l’humanité toute entière à son asservissement total. »

Au mois de mai 2020, le Premier ministre Benjamin Netanyahu disait explicitement :

« Nous nous préparons à la possibilité qu’avant la découverte du vaccin, nous recevrons une deuxième vague d’épidémie. Cela signifie des technologies que nous n’avons pas utilisées jusqu’à aujourd’hui. Des technologies permises par la loi, que nous utiliserons. Par exemple, des puces sous-cutanées, qu’il y aura sur chacun, sur chaque enfant. Je veux qu’elles soient tout d’abord sur les enfants, qu’il y ait une sorte de capteur qui avertit, comme dans les voitures. Comme une voiture, si tu t’approches trop, ça sonne ! Et non moins important, nous voulons TUER [lapsus?!] nous voulons AIDER, sans avoir recours à une bureaucratie. »

La traduction nous a été donnée par Amnon Itshak, un rabbin Israélien juif d’origine Yémenite (c’est-à-dire un véritable sémite, contrairement aux Khazars comme Benjamin Netanyahu qui se disent juifs, mais ne le sont pas). En 1986, il fonde en Israël “Shofar”, une organisation à but non lucratif qui vise à promouvoir le retour des juifs aux fondements du judaïsme.

Le projet transhumaniste et de domination de la population mondiale a été gravé sur la médaille commémorative de « l’Accord d’Abraham », frappée en Israël par l’organisation qui veut reconstruire le Troisième Temple de Jérusalem. La pièce de monnaie a été émise par Temple Coins pour souligner la signature de « l’Accord d’Abraham », un traité de paix révolutionnaire au Moyen-Orient normalisant les relations entre Israël et les Émirats arabes unis. Pour en savoir plus à ce sujet, je vous convie à lire mon article intitulé « La “grande conjonction” entre les planètes Jupiter et Saturne annonce-t-elle le début de la Grande Réinitialisation pour les occultistes ? ».

Je partage ci-dessous un article de Celeste McGovern intitulé, « Le programme de vaccination israélien “Passeport vert” a créé un “apartheid médical”, disent des citoyens désemparés », qui fut publié le 9 mars dernier sur le site internet de LifeSiteNews.


Le programme de vaccination israélien « Passeport vert »

[Celeste McGovern, 9 mars 2021]  Israël s’est rapidement transformé en pays de ségrégation qui discrimine à l’égard des personnes qui n’ont pas reçu la vaccination expérimentale COVID-19, selon des citoyens israéliens qui appellent à l’aide sur les plateformes médiatiques.

Bracelet électronique Coronavirus

« C’est très fort, ce qui se passe ici en Israël. Je ne sais pas à quel point vous le percevez », a déclaré Ilana Rachel Daniel dans une vidéo publiée le 3 mars sur Bitchute.

« C’est affreux. C’est une situation très, très, très effrayante. Ils sont en train de faire ce passeport vert par lequel la moitié de la population ne pourra pas entrer dans les théâtres, les centres commerciaux ou toutes sortes de choses, à moins d’avoir été vacciné. Ils créent un apartheid médical », dit-elle.

Dans le cadre d’un programme appelé « Operation Back to Life » (Opération retour à la vie), le système du « Passeport vert » limite l’entrée aux gymnases, théâtres, hôtels, restaurants, universités et écoles secondaires enregistrés aux seuls détenteurs d’un passeport de vaccination scannable. « C’est le premier pas vers un retour à une vie presque normale », a déclaré le ministre israélien de la santé, Yuli Edelstein, lors d’une réunion d’information sur le programme qui a commencé à être mis en place la semaine dernière.

Le gouvernement israélien a annoncé une série de nouvelles règles le 6 mars dans une déclaration publiée conjointement par le cabinet du premier ministre, le ministère de la santé et le ministère des transports. Ce document gouvernemental sera en vigueur jusqu’au prochain bilan gouvernemental, le 20 mars. Les élèves du secondaire devaient ainsi être autorisés à retourner en classe cette semaine dans les territoires où 70 % de la population de plus de 50 ans avait été vaccinée.

Les universités et autres établissements d’enseignement devaient ouvrir des cours en personne à partir du dimanche aux détenteurs d’un laissez-passer vert uniquement. Ceux qui n’ont pas été vaccinés seront autorisés à assister aux cours en ligne uniquement. Les restaurants doivent permettre aux détenteurs de Passeports verts, vaccinés, de manger à l’intérieur, tandis que les personnes non vaccinées seront autorisées à se restaurer uniquement à l’extérieur.

Les personnes qui enfreignent l’ordonnance gouvernementale sont menacés d’une amende de 5.000 nouveaux shekels israéliens (NIS), soit environ 1.900 dollars canadiens.

Les étudiants israéliens ont été obligés de se faire injecter le vaccin COVID pour pouvoir passer leurs examens de fin d’études secondaires, selon un rapport de la BBC en janvier. Les résultats des examens de fin d’études peuvent avoir une incidence sur leur inscription à l’université et leur placement dans le service militaire obligatoire.

Le passeport est délivré par un site Internet géré par le gouvernement qui délivre un certificat vert comportant un code QR de haute sécurité pouvant être scanné par texto, courriel ou courrier, selon un rapport du Jerusalem Post. Les Israéliens doivent présenter leur passeport vert pour la numérisation avec une pièce d’identité avant d’entrer dans les entreprises enregistrées.

Le communiqué du gouvernement publié samedi a déclaré que l’interdiction d’entrée des Israéliens par voie aérienne dans le pays est annulée (les passages terrestres restent en place), permettant aux citoyens israéliens et aux résidents permanents d’entrer en Israël. « Ceux qui détiennent des certificats de vaccination ou de récupération pourront quitter Israël librement », ajoute cependant le communiqué.

Plus tôt dans le mois, Edelstein a déclaré au public que « les vaccins ne seront pas obligatoires, mais quiconque falsifie un certificat de vaccin ira en prison ». Le ministre israélien de la Santé a également déclaré que bientôt les employeurs seront tenus de faire vacciner leur personnel ou de subir des tests de coronavirus toutes les 48 heures.

La campagne de vaccination contre le COVID-19 en Israël a été la plus rapide au monde où 10% de la population a reçu des vaccins expérimentaux entre le 19 décembre et la fin de 2020, et 50% des neuf millions d’habitants du pays avaient reçu au moins un vaccin contre le COVID en date du 26 février, selon une déclaration du ministre de la Santé Edelstein. « J’ai convenu avec mon ami, le président-directeur général de Pfizer, Albert Bourla, que nous apporterions expédition après expédition et terminerions la vaccination de la population des plus de 16 ans en Israël en mars »a tweeté le 10 janvier le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu . Bourla de Pfizer a annulé un voyage prévu en Israël parce qu’il n’a pas reçu sa deuxième dose de vaccin COVID-19 de Pfizer, a rapporté le Jerusalem Post. Le PDG a déclaré qu’il ne voulait pas « couper la ligne » pour l’injection de son entreprise et a retardé sa visite dans le pays où il envisage d’établir un site de fabrication.

Le 24 février, le parlement israélien a adopté une loi permettant au gouvernement de partager les noms, adresses et numéros de téléphone des personnes qui n’avaient pas reçu un vaccin Covid avec d’autres autorités dans les ministères de l’éducation et le bien-être. « Ils obligent les gens à porter un bracelet à la cheville, un bracelet de sécurité lorsqu’ils reviennent de voyage », a déclaré Daniel, affilié au parti Rapeh. « C’est absolument insensé. »

Bracelet électronique Coronavirus en Israêl

Les gens se voient offrir des bracelets de cheville de sécurité électroniques, similaires à ceux portés par les prisonniers, pour surveiller où ils se trouvent après avoir voyagé en dehors d’Israël au lieu d’être forcés de loger dans des installations de quarantainea rapporté le Jerusalem Post le 25 février. « Nous appelons cela un “bracelet de liberté” parce que nous n’emprisonnons personne, mais que nous leur donnons plutôt l’opportunité de rentrer chez eux », a déclaré Ordan Trabelsi, président et chef de la direction de SuperCom, la société derrière le système de surveillance.

« Ils nous censurent et nous attaquent et ils n’autoriseront aucun média. Rien. Ils ont enlevé le chef de la licence médicale du parti », a déclaré Ilana Rachel Daniel, affiliée au parti politique israélien Rapeh, qui signifie « guérir » en anglais. Le Parti Rapeh a été fondé par un médecin Aryeh Avni dont la licence médicale a été révoqué par le ministère de la Santé d’Israël le 24 février, lorsqu’un juge a statué qu’il était « une pierre d’achoppement », dont le comportement pose un réel danger pour la sécurité publique et de la santé.

« Ils ont supprimé nos plates-formes de Facebook et maintenant ils ne laissent même pas les médias écrire sur nous. Nous voulons donc demander à tout le monde [inaudible] — partout où nous pouvons aller — de faire connaître ce que nous disons. « Si je m’arrête pour y penser, je pleurerai, tu sais », dit Ilana Rachel, qui peut être entendue fondre en larmes. « Nous continuons de nous battre, vous savez, de nous battre autant que nous le pouvons. »

« Nous avons besoin de l’aide de tout le monde car tout ce qui se passe ici se produira partout », a-t-elle déclaré. « Donc, nous nous battons pour nous-mêmes et nous nous battons pour le monde entier. Nous devons aider… chaque main sur le pont. » Daniel a depuis enregistré une interview d’une heure avec le journaliste britannique James Delingpole.

Dans une autre vidéo, publiée sur la page Facebook Radiant Israel le 18 février, l’Israélien Gilad Rosinger a décrit le système de passeport vert comme un “agenda pré-holocauste”. « Si vous ne vous soumettez pas à cet agenda diabolique, démoniaque et tyrannique, si vous choisissez de dire “vous savez quoi, je ne suis pas prêt à participer à ce programme expérimental”, alors vous êtes maintenant considéré comme un citoyen de seconde zone en Israël. », a déclaré Rosinger. « Mon grand-père était le seul survivant de toute sa famille de l’Holocauste et c’est exactement ainsi que cela a commencé. Avec la discrimination, avec des entreprises essentielles et non essentielles, avec des gens qui disent que les Juifs sont des citoyens de seconde zone », a-t-il dit.

« Eh bien, maintenant, il ne s’agit pas de juifs, ni d’arabes, ni de cela. Non, il s’agit de savoir qui se fera vacciner », a déclaré Rosinger. « Si vous ne le faites pas, vous êtes méchant, vous êtes méchant, vous êtes un citoyen de seconde zone. » Les hauts responsables du gouvernement israélien parlent d’envoyer des policiers au domicile de personnes non vaccinées et d’exiger que leurs noms soient rendus publics, a déclaré Rosinger.

Malgré sa campagne de vaccination agressive, Israël a imposé un troisième verrouillage national strict le 7 janvier 2021 à la suite d’une flambée de nouveaux cas de COVID. Les médias israéliens ont rapporté que 4500 personnes avaient reçu un diagnostic de COVID après avoir reçu un premier vaccin contre le coronavirus, et que parmi elles 375 personnes avaient été hospitalisées.

Appelant la nouvelle société israélienne une « zone crépusculaire » qui est « encouragée » par les médias grand public, il a ajouté que de nombreuses personnes ont peur de s’exprimer. « Nous devons tirer la sonnette d’alarme », a déclaré Rosinger. 

« Où sont les tribunaux internationaux des droits de l’homme à ce sujet ? Où sont les poursuites ? Où est l’indignation ? Vous n’avez même pas besoin de croire en Dieu pour savoir que c’est faux. »

« Israël, malheureusement, a été utilisé comme prototype pour les nations parce que s’il réussit ici, il arrive dans une ville près de chez vous, il arrive dans un pays près de chez vous. Il arrive dans votre ville », a déclaré Rosinger. « C’est pourquoi vous devez vous en soucier. »


« Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent »

Apocalypse 3:9




banniereFABIENeBay001




Plandémie – Le gouvernement belge prévoit d’imposer à ses citoyens le port d’un bracelet électronique permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements

[Source : medias-presse.info]

[Photo : Klaus Schwab, dirigeant du Forum économique mondial et promoteur du Great Reset, entouré du Roi et de la Reine des Belges, de l’ancienne Premier ministre intérimaire Sophie Wilmès et de l’actuel Premier ministre belge Alexander De Croo]

Un gouvernement se prépare à entériner un projet de loi qui l’autoriserait à imposer à ses citoyens le port d’un bracelet électronique permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements. Ce n’est pas une fake news. Cela ne se passe pas en Chine, en Corée du Nord ou en Russie.

Ce pays qui envisage de traiter ses honnêtes citoyens comme des criminels se situe dans l’Union européenne. Et non, il ne s’agit pas de la Hongrie de Viktor Orban.

Ce pays qui très tranquillement pourrait basculer dans le totalitarisme le plut complet, c’est… la Belgique, épicentre des institutions européennes, de l’OTAN et de bien d’autres organismes internationaux.

L’avant-projet de loi en question se présente comme une “loi pandémie” et pourrait fixer dans le marbre des dispositions qu’aucun état dit “démocratique” n’avait osé jusqu’ici inscrire dans son arsenal législatif.

L’idée même d’une “loi pandémie” veut faire penser que notre futur sera rythmé par des successions de “pandémies” qui deviendront notre lot habituel.

L’avant-projet de loi est porté par la ministre belge de l’Intérieur Annelies Verlinden (CD&V, parti flamand classé démocrate-chrétien) au sein d’un gouvernement fédéral de coalition qui rassemble les écologistes, les socialistes et les libéraux francophones et néerlandophones ainsi que les démocrates-chrétiens néerlandophones. Leur objectif est d’entériner la loi pandémie entre fin mars et début avril.

L’Autorité de protection des données (APD) a remis un avis extrêmement négatif concernant cet avant-projet de loi, estimant qu’il “donne lieu à une violation des principes de légalité et de prévisibilité.

L’Autorité de protection des données met en garde :

«À titre d’exemples, l’avant-projet de loi pourrait ainsi permettre d’imposer aux citoyens belges le port d’un bracelet électronique permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements ou de mettre en place des technologies de reconnaissance faciale afin d’identifier les promeneurs dans les parcs et de vérifier qu’ils ne font pas l’objet d’un ordre de quarantaine».

Cet avant-projet de loi pandémie mène en effet directement, sous prétexte sanitaire, à un impressionnant totalitarisme facilité par les outils numériques.

Les points les plus inquiétants de cet avant-projet de loi sont

  • D’imposer aux citoyens belges le port d’un bracelet électronique relié à une banque de données permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements et le respect d’une interdiction de déplacement (ou de déplacement après une certaine heure) ;
  • De photographier les plaques d’immatriculation des véhicules quittant ou rentrant sur le territoire belge, de les relier avec la banque de données existante de la Division de l’Immatriculation des Véhicules (DIV) et d’en appréhender les propriétaires ;
  • De mettre en place des technologies de reconnaissance faciale afin d’identifier les promeneurs dans les parcs et se vérifier qu’ils ne font pas l’objet d’un ordre de quarantaine ;
  • De contrôler les déplacements des citoyens au moyen de la géolocalisation de leur téléphone mobile éventuel ;
  • De recourir à l’identification obligatoire au moyen d’un QR code sur téléphone mobile ou d’une vérification via l’empreinte digitale apposée dans la puce de l’e-ID pour contrôler le droit d’accéder à certains lieux ou transports ou pour contrôler le statut du citoyen (vacciné ou non par exemple).

Voir un tel avant-projet de loi surgir en Belgique, cœur des institutions européennes, c’est à n’en pas douter le signe que des  mesures similaires se préparent dans les autres pays de l’UE. Il faut d’ailles noter que Charles Michel, précédent Premier ministre de Belgique, est devenu le président du Conseil européen depuis 2019.

Rencontre entre Bill Gates, Charles Michel et Alexander De Croo avant que le second ne devienne président du Conseil européen et que le troisième ne devienne le nouveau Premier ministre de Belgique

Cela signifie que nous entrons bel et bien dans un nouveau monde, avec un changement complet des paradigmes politiques et sociaux au profit d’un Nouvel Ordre Mondial totalitaire qui fera la synthèse des romans d’anticipation 1984 et Le Meilleur des Mondes.

Au motif de préserver notre santé, les autorités ont choisi de définitivement nous priver de nos libertés les plus élémentaires.

Il nous reste peu de temps pour bloquer cette transformation de notre société.

Article du journal économique belge L’écho au sujet de la loi pandémie



Le ministre australien de la santé hospitalisé dans un état critique quelques jours après sa vaccination… un covid vaccinal?

[Source : LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)]

Par pgibertie

La presse n’a pas fait echo des malheurs du ministre australien victime du Pfizer .

Le Danemark, l’Italie, l’Autriche la Norvège ont décidé de suspendre lAztraZENECA , jeudi 11 mars et jusqu’à nouvel ordre, son utilisation. L’Agence nationale de la Santé du pays a fait état « des rapports de cas graves de formation de caillots sanguins chez des personnes qui ont été vaccinées avec le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca », dont un décès.

L’agence européenne permet de suivre les effets secondaires rapportés : quelques centaines de décès et 20 000 effets secondaires pour Aztra Zeneca . C est en France qu’il y en aurait le plus.

Pour le Pfizer ( près de 100 000 cas et entre 2000 et 5000 décès en Europe) :

Ce qui arrive à Greg Hunt  n’est certainement pas lié à la vaccination, c’est ce qu’il vont dire… Bon certains avouent, comme cet habitué des plateaux lui aussi vacciné qui a été contaminé :Jean-Michel Constantin, chef du service réa à la Pitié-Salpêtrière, a attrapé le Covid via le variant sud-africain après s’être fait vacciner par le Pfizer ! Il est bon de rappeler que le vaccin n’est pas la baguette magique et que le passeport vaccinal est d’une débilité sans nom

Un autre reconnait même l’inavouable  « A court terme, l’effet positif des vaccins risque de ne pas suffire pour compenser l’impact délétère des variants ».

Nous ne nous en sortirons pas sans le recours aux molécules efficaces qui ont permis à l’Inde de soigner 30 millions de patients et d’avoir six fois moins de décès par million d’habitants de plus de 65 ans…

Au moins 5351 morts suite à la vaccination Covid-19 (maj)

https://cv19.fr/2021/03/06/au-moins-5351-morts-suite-a-la-vaccination-covid-19/embed/#?secret=EyrUKgkzSh

Depuis le début deux mondes s’affrontent :

« Aucun effet indésirable fatal n’a été confirmé » mais plusieurs milliers de décès sont directement liés à la vaccination …

Comment passer sous silence les statistiques officielles de l’agence européenne

http://www.adrreports.eu/fr/index.html

VOUS POUVEZ TÉLÉCHARGER LES CAPTURES D’ÉCRAN AU 6 MARS :

Captures ecran au 6 mars: Télécharger

C’est l’information  qui dérange, les vaccins expérimentaux à ARN messagers ne sont pas un long fleuve tranquille. L’accès au site officiel  pour vérifier les remontées est difficile, alors j’ai choisi de fournir les captures d’écran.

Le nombre de cas  rapportés est il sous ou sur évalué ? Étude du rapport sur le Pfizer.

Réponse : tout dépend des pays

Il n’est pas possible que d’un pays à l’autre les effets soient différents et pourtant 40% des cas  rapportés viennent d’Italie et 3% du Royaume uni qui a le plus vacciné . On compte pour le Pfizer 24000 cas d’effets secondaires rapportés en Italie et 8000 en France.

Aucun gouvernement n’a intérêt à majorer le nombre d’effets secondaires, au contraire . La sous évaluation n’est donc pas contestable, si le nombre de cas relevés en Italie est généralisé à toute l’Europe il faudrait multiplier par trois ou quatre le nombre d’effets secondaires réels

Allant également dans le sens de la sous évaluation, le trop faible nombre de cas  enregistrés chez les plus âgés donc plus fragiles. Il semble évident que des effets secondaires associés à une grande fragilité n’ont pas été rapportés mais associés plus à l’état général des malades qu’à la vaccination ;

Plus de 80%  des cas  concernent les moins de 65 ans , ce qui n’est pas normal

Le total officiel est de 90 000 personnes victimes de ces effets secondaires  et de 250 000 cas répertoriés ; une personne pouvant en effet apparaitre deux ou trois fois ( par exemples troubles généraux et problème cardiaques)

Les décès rapportés sont liès au vaccin même si celui-ci n’en est pas obligatoirement la cause unique. Un même décès peut être associéà plusieurs causes. Si nous additionnons les causes signalés  nous doublons ou triplons  le nombre total de décès avoués . Nous obtenons pour le Pfizer 3000 décès reconnus qui n’en sont sans doute que 1500 avoués.

Mais si nous tentons de corriger compte tenu de la sous évalution manifeste il nous faut à nouveau multiplier par trois ou quatre.

Pour le Pfizer le chiffre de 2000 à 5000 décès pour 90 000 cas peut être avancé…




POUR SAVOIR OU EN EST LA vaccination COVID, suivez les cours de bourse

par GÉRARD DELÉPINE

mise à jour le 11 MARS 2021

Il y a quatre semaines dans Économie Matin(([1] L’incertitude plane sur les énormes enjeux financiers des vaccins anti Covid (economiematin.fr))), je m’inquiétais des possibles conséquences financières des incertitudes des résultats des vaccins sur les cours de bourses des entreprises qui les commercialisent. L’évolution actuelle des cours de Pfizer et d’Astra-Zeneca confirme malheureusement mes propos avec, dans le dernier mois, une chute de dix pour cent des cours des deux champions des vaccins anti Covid.

Les vaccins anticovid représentent un marché potentiel de centaines de milliards de dollars, mais ce marché ne remplira ses promesses que si les effets des vaccins sont à la hauteur des espérances suscitées par les médias

Résultats inquiétants du vaccin Pfizer en Israël

La campagne de vaccination par le vaccin Pfizer a commencé le 20/12/2020 et au 9 février 2021 le gouvernement israélien avait réussi la prouesse d’injecter, un total de 6 404 099 doses de vaccin et de vacciner plus de 4 millions de ses concitoyens, mais les résultats actuels sont très préoccupants. D’après les données l’OMS, publiées sur https://covid19.who.int/ incidence et mortalité quotidiennes ont explosé en Israël depuis la vaccination.

Le nombre quotidien de nouveaux cas est passé de 2792 le 20 décembre 2020 à 4800 le 19 février 2021. Et l’épidémie qui touchait peu les enfants avant la vaccination les atteint maintenant de manière préoccupante. En novembre 2020, le ministère israélien de la Santé avait détecté 400 cas de coronavirus chez des enfants de moins de deux ans. En février 2021, ce nombre est passé à 5 800. Fin février, le plus grand média israélien, Ynet s’est alarmé de l’accroissement du pourcentage des jeunes touchés depuis la vaccination « 75,4% des personnes diagnostiquées hier avaient moins de 39 ans. Seuls 5,5% avaient plus de 60 ans. Le nombre de patients critiques est tombé à 858 – le plus bas depuis le 4 janvier. Cependant, ce nombre est plus du double de celui de la mi-décembre, juste avant qu’Israël ne commence son expérience de vaccination de masse ».

La mortalité quotidienne attribuée au Covid19 est passée de 18 le 20 décembre 2020 à 29 le 27/2/21. Malgré la poursuite d’un confinement renforcé, les mois de janvier et de février ont établi le record absolu des mortalités mensuelles avec 1433 morts en janvier et 1145 morts en février. Ces deux mois post vaccination totalisent à eux seuls près de la moitié de la mortalité globale depuis le début de l’épidémie qui atteignait 5881 au 6 mars 2021.

Le premier mars 2021, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a reconnu discrètement l’échec du vaccin Pfizer en précisant(([2] Sur 124 B. N. « Nous nous préparons au scénario pessimiste, selon lequel il faudra renouveler les vaccins tous les six mois »)) :

Il est important de dire que le vaccin est efficace pendant une période limitée. « Nous nous préparons au scénario pessimiste, selon lequel il faudra renouveler les vaccins tous les six mois »

Résultats préoccupants de la vaccination en Grande-Bretagne

La Grande-Bretagne est le second pays dans la course à la vaccination qui a débuté le 4 décembre avec le vaccin développé par Pfizer et BioNTech complété en janvier par le vaccin d’Astra Zeneca. Depuis cette date, un peu plus de 13 millions de personnes ont été vaccinées au Royaume-Uni, dont 25% des adultes et plus de 90% des plus de 75 ans. Depuis lors, le nombre de contaminations quotidiennes est passé de 14 898 le 4 décembre à 68 063 le 9 janvier 2021 pour revenir lentement aux chiffres d’avant la vaccination.

Et malheureusement, la mortalité journalière Covid19 a aussi explosé avec une augmentation de près de 300% (414 le 4 décembre versus 1564 le 14 janvier) pour revenir lentement à un niveau supérieur à de celui observé dans la semaine qui précédait la campagne de vaccination.

De plus, la vaccination des personnes âgées les plus à risques s’est heurtée à de nombreuses complications graves et des décès qui ont suscité une alerte à l’OMS par l’agence sanitaire norvégienne, et dans de nombreux pays à des restrictions à l’utilisation des vaccins pour les plus de 65 ans (pourtant ceux qui en seraient les cibles prioritaires).

Résultats paradoxaux aux Émirats Arabes Unis

Les Émirats Arabes Unis représentent le champion arabe de la vaccination avec plus de 40% de sa population vaccinée depuis le 23 décembre 2020. La campagne de vaccination a été généreuse incluant tous les résidents, quelle que soit leur nationalité. Au 7 mars 2021, un total de 6168330 doses de vaccin avait été administré. Mais l’évolution observée des contaminations et de la mortalité est à l’opposé de ce qui était espéré.

D’après les courbes OMS du 10 mars 2021, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, leur nombre passant de 1226 cas le 23/12 à 6031 le 7/3, nombre dépassant largement les records au plus fort de l’épidémie de la vague précédente (1709 cas le 19 mai 2020). Elle n’a diminué que depuis le reflux mondial de l’épidémie, avec ou sans confinement et majoritairement sans vaccin.

Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, les EAU comptaient 195 818 contaminations. En deux mois post-vaccination, ce chiffre est passé à 413332 (+110 %).

Évolution de la mortalité quotidienne. Aux Émirats Arabes Unis, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière passant de 3 le 23 décembre 2020, à 20 le 23 février 2021. Le 23 décembre avant la vaccination, après neuf mois d’épidémie, les Émirats Arabes comptait Unis 642 morts attribuées au Covid-19. En deux mois post-vaccination, ce chiffre a doublé passant à 1345 (+100 %).

Le mois de février 2021 a établi le record mensuel de la mortalité (363), regroupant à lui seul près de 30 % de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays.

La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé !

Inquiétude pour l’avenir des ventes

Ces augmentations considérables et simultanées des mortalités journalières des décès dans les trois pays champions de la vaccination dans les 2 mois qui suivent la vaccination sont très inquiétantes. Elles confirment que les autorisations conditionnelles de mise sur le marché des vaccins ont été prématurées.

L’espoir dans les vaccins a suscité un optimisme boursier et des hausses importantes du cours des actions des fabricants lorsque leurs produits ont été autorisés à la vente. Depuis, en dépit d’une communication intense vantant l’efficacité des vaccins la prise en compte de ses résultats paradoxaux suscite depuis 3 mois l’inquiétude et la chute des cours de Pfizer et d’Astra-Zeneca.

Cela confirme que pour évaluer les résultats d’un nouveau traitement plutôt que de faire confiance aux articles scientifiques des grandes revues médicales, il est plus rapide de suivre l’évolution du cours de bourse du fabricant.





Appel à la dissolution de l’ordre des médecins

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

APPEL DU 9 mars 2021

Il FAUT DISSOUDRE L’ORDRE DES MEDECINS

Après le rapport accablant de la Cour des Comptes paru en décembre 2019, l’ordre des médecins tente de se justifier et réaffirme « être au service des médecins dans l’intérêt des patient·e·s ». Comme pour l’ensemble des ordres des professions de santé, l’ordre des médecins se présente comme indispensable. Qui l’ordre sert-il vraiment ? Dans l’intérêt de qui ?

1

L’Ordre des médecins affirme représenter l’ensemble des médecins et se targue de pouvoir ainsi conseiller les pouvoirs publics. Mais l’unité professionnelle qu’il affiche est factice. L’obligation faite à chaque médecin de s’y inscrire pour pouvoir travailler conduit l’ordre à être de fait un syndicat obligatoire. Les médecins ne choisissent donc pas d’être représenté.e.s par l’ordre, ils et elles y sont contraint.e.s. Et encore représentés est un grand mot, puisque la participation aux élections départementales est à moins de 30%. Les autres élections sont pyramidales. La démocratie à l’ordre n’est donc ni directe ni représentative. Le rapport de la Cour des Comptes montre bien que sa gouvernance est sociologiquement peu représentative de l’ensemble des médecins en exercice et surtout qu’elle est fermée avec des cumuls de mandats très fréquents. Nous sommes donc en droit de nous demander à qui bénéficient les « conseils » de l’ordre des médecins, a fortiori face à la désorganisation territoriale des soins de premiers recours mais aussi de second recours, sans parler de la crise majeure que traverse l’hôpital public. L’ordre a longtemps pris position contre l’exercice collectif de la médecine, il fait aujourd’hui preuve d’un silence assourdissant face à la privatisation à peine masquée de l’hôpital. Les institutions publiques n’ont visiblement pas besoin de l’ordre pour les « conseiller » et s’intéressent plus aux notes de think-tanks libéraux qu’aux commissions obscures de l’ordre. Les médecins ont toute liberté pour adhérer à des syndicats qui se chargent déjà de les représenter et de défendre leurs intérêts.

2

L’Ordre des médecins se présente comme le garant de la déontologie dans le double but de veiller à la qualité des soins et de défendre l’indépendance et l’honneur des professionnel-le-s. De quelle qualité des soins parle-t-on lorsque l’ordre des médecins conteste le droit à l’IVG pour toutes les femmes ? ou bien lorsqu’il s’oppose au tiers-payant, outil pourtant indispensable à un accès aux soins pour toutes et tous ? Le président actuel de l’ordre des médecins défend ainsi l’existence des dépassements d’honoraires (dont il a bénéficié lui-même dans son exercice professionnel en Seine St Denis) alors que cete pratique remet explicitement en cause l’égalité d’accès à des soins de qualité pour tou·te·s. De quelle indépendance parle-t-on lorsque l’ordre se montre complaisant vis-à-vis des pratiques corruptives exercées par l’industrie pharmaceutique au profit des médecins ? De quel honneur parle-t-on lorsque l’ordre des médecins couvre des soignants violeurs et pédo-criminels, pourtant dénoncés par les patient·e·s victimes ou leurs proches ? Le code de déontologie étant inscrit dans le code de santé publique, le droit commun peut tout à fait en être le garant. Les évolutions pourraient se faire dans un processus concerté entre professionnel·le·s et usager·e·s du système de santé avec le concours du Comité National d’Éthique, comme ce fut le cas pour les dernières lois de bioéthique.

3

L’Ordre des médecins met en avant sa capacité de conseil juridique lors des démarches d’installation, sur les différents statuts et contrats, alors que d’autres structures telles les Unions Régionales des Professionnel·le·s de Santé, les syndicats ou les plateformes d’installation des ARS sont parfaitement aptes à renseigner les médecins.

4

L’Ordre des médecins souligne sa capacité d’entraide pour les professionnel·le·s en difficulté et /ou leurs familles grâce à des fonds dédiés. Le rapport de la Cour des Comptes montre explicitement que les premiers bénéficiaires de cette « entraide » sont les conseillers ordinaux euxmêmes avec des indemnités pouvant aller jusqu’à près de 10 000€ /mois bruts pour le président national qui exerce cette fonction « bénévolement » ! L’ordre semble être aujourd’hui dans l’incapacité de rendre des comptes clairs et exhaustifs sur son patrimoine, initié par la confiscation des biens des syndicats médicaux en 1940 puis développé par les cotisations obligatoires des médecins. Quelle drôle de solidarité !

5

L’Ordre des médecins dit veiller au maintien de la compétence et de la probité des médecins. En réalité il se montre incapable d’identifier les situations problématiques liées à des praticien·ne·s dont l’insuffisance professionnelle ou l’état de santé rendent dangereux l’exercice de la médecine. Malgré sa volonté affichée d’assurer la gestion de la formation continue (DPC), il ne porte à ce jour aucun regard sur les obligations légales de formation qui incombent à chaque médecin. Les inscriptions au tableau valant droit d’exercer pourraient être gérées par le Ministère de la santé (via les Agences Régionales de Santé ? ou tout autre organisme public ?) sous forme d’un registre. Ce dernier vérifierait alors la validation de la formation initiale puis le contrôle de l’obligation de la formation continue (possiblement en lien avec l’ANDPC qui agrée déjà la plupart des organismes de formation). Les médecins sont des humain·e·s comme les autres, c’est pourquoi ils/elles ont besoin, non pas d’un ordre professionnel, mais d’un véritable service de santé au travail pour les accompagner en cas de diminution de leurs facultés physiques et/ou psychiques.

6

L’Ordre des médecins déclare également assurer un rôle d’instance disciplinaire pour les médecins qui ne respecteraient pas les principes de la déontologie. Mais il s’agit d’une justice d’apparat sans compétence juridique réelle. Les jugements sont rendus sans possibilité d’enquête, donc sans contrôler si les faits sont établis ! Les chambres de conciliation appliquent un pseudo respect du contradictoire en contrevenant ouvertement au respect du secret médical. Ce qui aboutit d’un côté à une « tolérance » vis-à-vis de médecins ayant commis des actes violents envers des patient·e·s et de l’autre côté à la condamnation des médecins qui ont établi un lien entre des pathologies et des conditions de travail, c’est-à-dire pour avoir utilisé leurs compétences médicales et fait leur travail. Cette justice d’exception se fait au détriment des intérêts publics et des patient·e·s; elle n’a donc aucune raison d’être. Le droit commun (pénal et/ou civil) est parfaitement capable de remplir ces fonctions juridiques à condition qu’on lui donne les moyens associés, notamment la possibilité de prononcer des sanctions limitant l’exercice médical. Ces différents éléments prouvent l’inutilité de l’ordre puisqu’il se montre incapable de réaliser les missions qui lui sont confiées (voire qu’il s’est arrogées lui-même), et qu’il existe déjà des institutions (ou des organismes publics) pouvant les assurer, sous réserve de leur donner les moyens humains et financiers à la hauteur. Nous insistons sur le fait que cette institution protège des professionnel·le·s de santé corrompu·e·s et maltraitant·e·s, tout en maltraitant des usager·e·s du système de soin et des professionnel·le·s qui tentent de respecter leur éthique professionnelle. Les personnes qui ont à se plaindre de médecins ont donc tout intérêt à se tourner vers la justice de droit commun et non vers cet apparat de justice qu’agite l’ordre des médecins.

Nous demandons donc sa dissolution immédiate et appelons l’ensemble des professionnel·le·s concerné·e·s et plus largement la société tout entière à s’emparer de ce sujet, car la santé est une question bien trop sérieuse pour la confier aux seul·e·s médecins.


Contacts presse :

MIOP = 0614555478
mmiop2016@gmail.com

SNJMG = 0771051381
infos@snjmg.org

SMG = 0622613512
syndmedgen@free.f

Organisations signataires : 

  • Syndicat de la Médecine Générale
  • Syndicat National des Jeunes Médecins Généralistes
  • Mouvement d’Insoumission aux Ordres Professionnels
  • Union Fédérale des Médecins, Ingénieurs, Cadres et Techniciens–CGT
  • Association Santé et Médecine du Travail
  • Pour Une Meuf
  • Méchandicapés
  • Stop Violences Obstétricales et Gynécologiques
  • Touche Pas à Mon Intermittente
  • Collectif National des Droits Des Femmes
  • Marche Mondiale des Femmes de France
  • Association LaSantéUnDroitPourTous
  • Coopération Patients
  • Les Dévalideuses
  • CLE Autisme
  • Association européenne contre les Violences faites aux Femmes au Travail
  • UGICT CGT
  • Héro-ïnes 95
  • Compagnie Les Attentives
  • Globule Noir
  • Parents et Féministes
  • A Nos Corps Résistants
  • Coordination des Associations pour le Droit à l’Avortement et à la Contraception
  • Coordination Action Autonome Noire
  • Le Village 2 Santé
  • Sud Santé Sociaux

[pdf] DISSOL




Le Texas mène à la liberté

[Source : Entre La Plume et l’Enclume (plumenclume.org)]

Par Israël Adam Shamir

L’araignée a découvert une guêpe qui s’échappait de sa toile. Elle est furax. Comment ose-t-elle ? La guêpe avait été capturée, ligotée, empoisonnée. Elle était prête à être tuée et dévorée. Et tout à coup, la voici qui se réveille et qui déchire la toile. Espèce de Neandertalienne! s’exclame l’araignée enragée, vous finirez comme les Néandertaliens, bande de dodos, Ruphus Cucullatus éteints pour toujours !

C’est ce que Biden a dit aux habitants du Texas qui ont osé se libérer de son régime de masques. Biden, le roi des morts et son équipe étaient sûrs de tenir le monde sous leur contrôle ; ils avaient prévu de mener l’humanité à la Grande Réinitialisation, à la fin sinistre de l’Homo Sapiens, à la cruelle dystopie des esclaves masqués gouvernés par les algorithmes de Google. Mais les Texans ont changé le cours de l’histoire. Ils ont été immédiatement suivis par le Mississippi, l’Iowa, le Montana et le Dakota du Nord ; les États qui avaient voté pour Trump et pour la liberté.

La population a accueilli avec joie cette décision sage et courageuse, rapporte le Daily Mail :

Oxford, où se trouve Ole Miss, a vu les gens sortir en force, se précipiter au restaurant et envahir les magasins… En Floride, les Spring Breakers ont également abandonné les masques alors que les étudiants, bikini à l’air, s’engouffraient sur les plages et s’entassaient dans les bars de Miami et de Fort Lauderdale pour donner le coup d’envoi à leurs vacances. Et dans l’Idaho, un groupe s’est réuni pour brûler ses masques devant le Capitole pour protester contre les restrictions COVID-19 après que d’autres États aient décidé cette semaine de s’asseoir sur les ordres et de rouvrir à tout bout de champ. Un groupe d’enfants a rejoint les parents, dont plusieurs étaient armés, pour brûler des photos de Joe Biden et de Nancy Pelosi, avant de jeter leurs masques chirurgicaux au feu ».

Les gouverneurs ont condamné Biden pour son injure à Néandertal. C’est pire qu’une insulte : c’était une menace de meurtre pour les électeurs de l’Union européenne, rien de moins. Les Néandertaliens, nos ancêtres intelligents mais peu bavards, ne sont pas morts d’ennui : ils ont été exterminés par leurs cousins plus avancés. Le président américain a même menacé de « nettoyage » son propre peuple, comme les Néandertaliens ont été nettoyés. Avait-il l’intention de semer un nouveau virus à Houston pour atteindre cet objectif ? Ou bien prévoit-il de remplacer les Texans – trumpistes et déplorables – par un flot de nouveaux immigrants d’Amérique latine qui voteront pour Biden ? Pour ce faire, il a déjà ouvert les portes de la frontière mexicaine et rompu les accords que Trump avait conclus avec les Latino-Américains. Le président Trump a longuement commenté ces changements au Comité d’action politique des conservateurs à Orlando, en Floride, mais il n’est pas facile de trouver et de regarder ce discours, car YouTube en a retiré pratiquement toutes les copies qui ont été publiées. (En voici une que j’ai trouvée.) Je pense que la menace de Biden constitue une bonne raison pour déclencher sa destitution, et à défaut, pour faire sécession.

Les actes de bravoure des Texans ont été très bien accueillis. Un vent de liberté a soufflé sur le monde entier. Des Suédois placides et obéissants, récemment contraints au servage par les masques, ont protesté en faisant brûler leurs masques dans le centre de Stockholm. Les Russes ont vu pratiquement toutes leurs restrictions covidiques levées il y a quelques jours ; les théâtres et les églises fonctionnent comme d’habitude à pleine capacité. Même les Israéliens, les esclaves volontaires des Ténèbres (Exode 21:6), ont obtenu quelques jours de liberté relative (à condition d’avoir un passeport vert pour aller boire un verre) et leur aéroport a été rouvert pour un bref interlude après des mois de siège auto-imposé. Néanmoins, ils ont reçu un avertissement: ils vont devoir retourner à leur quatrième confinement dans quelques jours.

Tout le monde n’est pas content que les gens s’échappent de prison. Il faut une certaine chutzpah  pour apprécier la contemplation d’un cimetière, à la place de ce qui était jusqu’à une date récente une ville animée, mais nos seigneurs et supposés maîtres ne manquent pas de chutzpah. Le gang de Davos, la force qui est derrière les pandémies de Covid-19, dans un moment de vérité, a annoncé : « Les confinements sont en train d’améliorer doucement les villes du monde entier ». Vous avez souffert, mais ils ont apprécié !

Ils nous aiment morts. Ou presque morts. Au moins, qu’on reste là où on est au lieu de nous précipiter partout ailleurs. Le virus leur a fourni une excuse ; la prochaine fois, ils utiliseront un autre script au même effet. Le grand quotidien de fausse gauche The Guardian a déjà proposé de verrouiller le monde tous les deux ans.

En fait, les plans de nos supérieurs ne sont pas nouveaux. En septembre 1944, le secrétaire américain au Trésor, Henry Morgenthau, avait proposé de détruire toutes les capacités industrielles de l’Allemagne. Les installations industrielles devaient être détruites, les mines devaient être dévastées et comblées, les experts en production et en fabrication devaient être retirés de force de la région et mis au travail ailleurs. L’Allemagne allait devenir un État féodal agraire, avec un recul de près de mille ans.

Ce serait merveilleux pour les petites Greta tourmentées par le CO2 ! Un seul problème : le plan Morgenthau n’éliminait pas les vaches, les vaches grasses et péteuses. Dans l’Allemagne heureuse et désindustrialisée, il est vrai que peu d’entre elles auraient survécu à la famine de l’après-guerre, mais elles étaient censées continuer à produire de la viande. Ce point avait été amélioré par le coreligionnaire de Morgenthau, Theodore N Kaufmann. Dans son livre L’Allemagne doit périr, il proposait de stériliser tous les Allemands en âge de procréer, ce qui serait sûrement encore mieux que de nous confiner pour l’amour du CO2.

La Grande Réinitialisation, c’est le plan Morgenthau-Kaufmann, étendu au monde entier, et d’abord aux Européens. Les Allemands ont été sauvés de ce sinistre destin par Josef Staline, le dirigeant russe victorieux. Il n’avait aucune animosité envers les Allemands qu’il avait vaincus ; il a explicitement rejeté ces plans de vengeance judéo-américains (vous pouvez le lire dans sa correspondance avec Roosevelt) et il a procédé à la reconstruction de l’Allemagne socialiste avec son excellente industrie et son agriculture. (De nombreux Ossètes regrettent encore le démantèlement de la RDA en 1990.) Les États-Unis n’ont eu d’autre choix que de le suivre avec leur plan Marshall.

Poutine jouera-t-il le rôle de Staline et nous sauvera-t-il du grand Reset? ? Après tout, il n’y a aucun avantage, du point de vue des Resetteurs, à détruire l’Ouest si l’Est reste en sécurité. Ils veulent aller jusqu’au bout, et sauver la Russie pourrait faire avorter le plan. Poutine est un homme rusé, un maître de l’aïkido, art martial japonais qui consiste à utiliser la force de son adversaire contre lui, et il peut parfaitement sécuriser son royaume. Il penche pour les accomodements avec ses adversaires dominants, puis, lorsqu’ils sont sûrs de leur victoire imminente, il introduit un nouvel élément et retourne le jeu à son avantage.

  • Il était apparemment d’accord avec le récit covidique tel que présenté par les maîtres du discours, et au dernier moment, il a produit son vaccin Sputnik-V, annulant tous les gains de l’ennemi. Ils pensaient que la Russie allait les supplier de leur fournir le vaccin, mais il s’est avéré que c’était l’inverse. Aujourd’hui, les Européens, les Tchèques et les Hongrois ainsi que les Vénézuéliens et les Biélorusses font la queue pour obtenir le vaccin russe qui est plus sûr et plus efficace que les vaccins occidentaux. Il a déjà rapporté 25 milliards de dollars, soit plus que les exportations d’armements (11 milliards de dollars). Le vaccin russe est un vaccin traditionnel, sans technologie d’ARNm douteuse, et il fonctionne. Je ne suis pas un fan des vaccins, mais le vaccin russe semble être un moindre mal, car  les Russes ne sont pas armés face à la vaccination.
  • Il était apparemment d’accord avec le programme des Verts, qui était bel et bien destiné à ruiner la Russie, grand producteur de pétrole et de gaz ; et au dernier moment, il a déclaré que la meilleure façon de minimiser le CO2 c’est d’utiliser l’énergie nucléaire du type de celle produite par le Russe RosAtom. A l’heure actuelle, Rosatom possède le plus grand portefeuille de projets de construction de centrales nucléaires à l’étranger, dont 36 unités de production dans 12 pays. L’Inde, la Chine, la Turquie, l’Iran et le Bangladesh sont devenus les principaux clients de Rosatom. Rosatom met en œuvre le projet de construction d’une centrale nucléaire en Finlande, ainsi qu’en Hongrie et en Biélorussie. Poutine a déclaré que revenir au vent et au soleil, ce serait comme retourner vivre à l’âge des cavernes. L’énergie nucléaire est préférable pour l’avenir, alors que le pétrole et le gaz devraient suffire pour le présent.
  • Il était apparemment d’accord avec Davos, il s’est entretenu avec eux de manière polie et affable. Le leitmotiv de Davos 2021 était que la pandémie de coronavirus a changé le monde de manière irrévocable, et a prouvé l’incapacité des Etats-nations à faire face aux problèmes. Les entreprises mondiales devraient prendre le contrôle de la situation et elles le feront, et elles reconstruiront le monde en mieux. Elles préviendront les épidémies et protégeront le climat. Pourquoi devriez-vous conduire des voitures et piloter des avions, polluer l’air avec des émissions et propager des virus – restez chez vous, nous vous dirons tout et vous en montrerons autant sur une télévision intelligente en 3D avec une immersion totale dans la réalité, comme dans Matrix, qui pourrait bien s’avérer être un film prophétique.
  • Seulement voilà, à Davos, pour la première fois, Poutine a déclaré qu’il n’y avait que peu de bénéficiaires de la mondialisation ; lutter contre le virus c’est bien, mais il faut d’abord empêcher les géants de l’informatique de prendre le contrôle du monde. Ce Poutine qui avait la bouche si suave, si peu conflictuelle, et qui soudain atteint un sommet. Lisez donc l’excellent résumé de son discours à Davos par notre ami Mike Whitney, pour comprendre.
  • Une personne plus simplette, comme moi, serait immédiatement en désaccord avec les salauds et plongerait le pays dans une lutte titanesque avec une faible chance de victoire. Mais un Poutine rusé est d’accord pour commencer, et bat ensuite l’adversaire en utilisant sa force. L’ennemi devrait se méfier lorsque Poutine est d’accord avec lui.
  • Pourtant, Poutine n’est pas tout-puissant, même au cœur de Moscou. Si nous voulons retrouver une vie normale, nous ne pouvons pas compter sur la Russie ou la Chine pour nous servir la victoire sur un plat.

En Russie, la montée du régime Biden et le grand Reset ont été bien jaugés par deux hommes, et leurs évaluations diffèrent. L’un considère que c’est une agression contre la Russie, l’autre dit que c’est une agression contre nous tous, et en premier lieu contre les Américains. Le premier est important car il se rapporte à la politique réelle ; le second est encore plus important car il nous parle de notre destinée.

Le premier, c’est un conseiller de haut rang du ministre russe de la défense, Andrei Ilnitsky, dont la puissante apparition au Sénat russe (Federacii soviétique) en décembre de l’année dernière a fait sensation, lorsqu’il a dit ceci: « Klaus Schwab, au nom des multinationales, a déclaré qu’elles ne nous permettraient pas de revenir à un monde pré-Covid. Elles considèrent le Covid comme leur propre projet. Aucun État national indépendant ne sera plus autorisé à exister ; elles dirigeront le monde ». Selon lui, le virus n’est pas particulièrement mortel mais hautement contagieux, de par sa conception; l’idée serait de saper les systèmes de santé comme une ouverture vers quelque chose de pire. Il a maintenant publié deux articles politiques (ici, sur le site du ministère de la Défense, et ici, dans le journal du Parlement , tous deux en russe).

Ilnitsky compare les récentes déclarations des dirigeants et des experts américains avec le discours de Churchill à Fulton (sur le « rideau de fer ») prononcé il y a exactement 75 ans, le 5 mars 1946, le discours qui a lancé la guerre froide. La désobéissance russe au plan Marshall en 1946 et au grand Reset en 2021 s’est heurtée à une rhétorique guerrière, puis à une guerre hybride. C’est une comparaison pertinente. Le régime Biden est extrêmement agressif. Au cours du premier mois de son règne, Biden a déjà tué plus de Syriens que Trump en quatre ans. Il menace l’Iran, la Russie et la Chine, malgré ses déclarations pacifiques. Il a décidé d’annuler le retrait des troupes d’Afghanistan. Et chaque action brutale est accompagnée d’expressions traîtreuses.

Avec l’accès à la présidence de Biden, l’hypocrisie est de retour, en Amérique et sur la planète. Trump était tout sauf hypocrite ; Trump est parti et l’hypocrisie revient en force. Alors que Trump bombardait la Syrie pour le pétrole, Biden massacre les Syriens car « les États-Unis ont le droit de se défendre », et ce afin de « réduire la tension en Syrie ». Trump avait provoqué l’indignation de l’opinion publique américaine progressiste, tandis que Biden la réjouit. Un exemple typique est celui d’Amy Siskind (sur la photo), une lesbienne juive anti-Trumpist SJW, ancienne directrice de Wall Street. Elle a apprécié le bombardement de la Syrie. Elle a tweeté : « C’est tellement différent d’avoir une action militaire sous Biden. Pas de menaces niveau école primaire sur Twitter. Faites confiance à la compétence de Biden et de son équipe ».

La Russie n’avait pas eu afffaire à une équipe aussi agressive que le régime de Biden depuis les années 1950. Si Biden devait bombarder Moscou, il n’oublierait pas de dire qu’il l’a fait au nom de l’égalité des sexes. Mais un bombardement est très peu probable : La Russie est protégée par son système de périmètre « de main morte » dont la réputation égale celle du Dr Folamour. Mais l’ex-ambassadeur américain McFaul, l’amiral Charles Richard et le secrétaire d’État Anthony Blinken ont demandé que l’on fasse pression sur la Russie. Pour Ilnitsky, les plans de Schwab ne sont qu’un prélude à la véritable guerre américaine contre la Russie, à mener tout d’abord dans le cyberespace. Selon Ilnitsky, « la Russie sera confrontée à une dure confrontation avec les États-Unis. Les menaces pour notre pays seront existentielles ».

Pourquoi le régime Biden est-il si agressif ? Pour la même raison que la France révolutionnaire était  agressive. (Avec très peu de succès, l’URSS a également essayé d’être agressive juste après la révolution de 1917). Biden est une façade pour le nouveau régime planétaire des grandes entreprises. Ces régimes ont le sentiment que l’avenir leur appartient, que l’histoire leur donnera raison, et ils n’hésitent pas à imposer leur programme.

La deuxième voix, plus importante, est celle du philosophe politique russe de premier plan, Alexandre Douguine, dont le Manifeste du grand réveil contre le grand Reset (en anglais) vient de sortir, il y a quelques jours, le 3 mars, et a déjà été traduit dans de nombreuses langues. Pour Douguine, la bataille finale à venir ce n’est pas l’Occident contre l’Orient, ni les États-Unis et l’OTAN contre tous les autres, mais les libéraux contre l’humanité – y compris ce segment de l’humanité sur le territoire de l’Occident qui rejette ses propres élites mondialistes.

En un mot, Douguine propose de répondre à leur grande Réinitialisation par notre grand Réveil, par notre reconnaissance d’un terrible danger imminent. La Réinitialisation proclamée par Schwab est en marche depuis la prise de pouvoir aux États-Unis par Biden. L’objectif des Resetteurs n’est pas seulement le confinement tous azimuts, ni le pouvoir, ni notre appauvrissement ; ils visent à détruire totalement l’Homme. Il s’agit de l’étape finale du projet libéral, qui dépouille l’Homme de tous ses liens collectifs. D’abord, ils se sont débarrassés de l’Église, puis de la race, de la nation, de la classe, du sexe.

L’Église en tant que « corps mystique du Christ » a été détruite et remplacée par des clubs de loisirs créés par le libre consentement de la base… Les socialistes, les sociaux-démocrates et les communistes ont contré les libéraux avec des identités de classe, appelant les travailleurs du monde entier à s’unir pour renverser le pouvoir de la bourgeoisie mondiale. … Parallèlement aux communistes, des forces nationalistes extrêmes sont arrivées au pouvoir en Europe occidentale. Elles agissaient au nom de la « nation » ou d’une « race », opposant à nouveau l’individualisme libéral à quelque chose de « commun », un « être collectif ». En utilisant tactiquement la Russie soviétique, le capitalisme a d’abord réussi à traiter avec les régimes fascistes, et ce fut le résultat idéologique de la Seconde Guerre mondiale. La guerre froide qui s’ensuivit entre l’Est et l’Ouest à la fin des années 1980 se termina par une victoire libérale sur les communistes. Voilà comment le projet de libération de l’individu de toute forme d’identité collective est passé par une autre étape.

Après avoir vaincu l’ennemi extérieur, les libéraux ont découvert deux autres formes d’identité collective. Tout d’abord, le genre. Après tout, le genre est aussi quelque chose de collectif : soit masculin, soit féminin. Le genre devait être aboli, comme toutes les autres formes d’identité collective. La migration de masse atomise les populations en Occident en utilisant une idéologie des droits de l’homme qui s’adresse à l’individu sans tenir compte des aspects culturels, religieux, sociaux ou nationaux. Les libéraux n’avaient plus qu’un dernier pas à franchir : abolir les humains. Après tout, l’humain est aussi une identité collective, ce qui signifie qu’il doit être surmonté, aboli, détruit et que les humains doivent être remplacés – certes partiellement – par des cyborgs, des réseaux d’intelligence artificielle et des produits du génie génétique.

Une personne sans religion, sans patrie, sans peuple d’appartenance, et maintenant sans sexe accède à la Singularité, quand elle est en passe de devenir un ordinateur ou une calculatrice parmi d’autres, c’est-à-dire qu’elle cesse d’être. Douguine retrace le chemin du libéralisme depuis le nominalisme – le modèle d’Occam du début du Moyen Âge – jusqu’à Schwab. Or juste avant leur victoire complète, les Resetteurs butent sur un caillou : le grand Réveil, qui est proche.

Le grand Réveil ne concerne pas les élites et les intellectuels, mais le peuple, les masses, le peuple en tant que tel. Ce n’est pas une question d’analyse idéologique. C’est une réaction spontanée des masses qui réalisent soudainement, comme le bétail devant l’abattoir, que leur sort a déjà été décidé par leurs dirigeants et qu’il n’y a plus de place pour les gens à l’avenir. Le Grand Réveil est spontané, largement inconscient, intuitif et aveugle.

La thèse du grand Réveil ne doit pas être hâtivement chargée de détails idéologiques, qu’il s’agisse du conservatisme fondamental, du traditionalisme, de la critique marxiste du capital ou de la protestation anarchiste pour l’amour de la contestation. Le Grand Réveil, c’est quelque chose de plus organique, de plus spontané et en même temps tectonique. C’est ainsi que l’humanité se voit soudainement éclairée par la proximité de sa fin imminente. C’est pourquoi le grand Réveil nous vient de l’intérieur des États-Unis, là où l’obscurité est la plus profonde. C’est un cri qui sort de l’enfer lui-même, de cette zone où le futur noir est déjà là, en partie arrivé.

Douguine croit en la victoire de l’Homme. Nous sommes des alliés – les déplorables Américains, les populistes européens (qui doivent absolument laisser tomber le différend daté entre la gauche et la droite), les pays islamiques : La Turquie et l’Iran, la Chine géante, qui tente de s’élever sur la vague mondiale, mais s’y oppose néanmoins, et conserve son identité civilisationnelle, et enfin la Russie, avec son expérience de l’opposition mondiale à l’hégémonie. Les ennemis sont forts, mais nous sommes encore plus forts, dit-il.

Le pouvoir des mondialistes est basé sur des illusions qu’ils essaient de nous inculquer de façon maniaque. La grande réinitialisation a été proclamée par une poignée de vieux dégénérés au bord de la démence (comme Biden, le méchant ratatiné Soros, ou le gros bourgeois Schwab) et une racaille marginale et perverse. Ils tiennent les bourses et les presses à imprimer ; les escrocs de Wall Street et les drogués à l’inventivité de la Silicon Valley travaillent pour eux. Des agents de renseignement disciplinés et des généraux d’armée obéissants leur sont subordonnés. Mais cela est négligeable par rapport à l’humanité tout entière, aux gens du travail et de la pensée, aux profondeurs des institutions religieuses et à la richesse fondamentale des cultures.

La libération a déjà commencé au Texas. Leur rejet du régime des masques est la preuve que le peuple américain a compris où on veut le mener. Car Praemonitus praemunitus(([1] Ce proverbe est la devise en latin de nombreux corps d’armées dans le monde et notamment aux États-Unis, mais aussi le titre de la deuxième édition américaine des Protocoles des sages de Sion.)) : un homme averti en vaut deux.


Contacter l’auteur: israelshamir@gmail.com

Traduction: Maria Poumier

Original https://www.unz.com/ishamir/texas-leads-to-freedom/


Note




Pourquoi la dictature sanitaire ne s’arrêtera plus

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Michel Lebon

Retour en arrière, c’était il y a juste un an :
L’interdiction de déplacement en France, vulgarisée dans les médias en novlangue par « confinement », est mise en place pour la première fois du 17 mars 2020 à 12 h pour trois semaines… puis reconduit… jusqu’au 11 mai, soit les 55 jours de Pékin.
Un galop d’essai pour mesurer la soumission de la population à ces mesures liberticides et leur degré d’acceptation.

C’est un succès !

Depuis lors cette interdiction sera sans arrêt reconduite, partiellement ou totalement, jusqu’au couvre-feu militaire.

Par le décret du 29 octobre 2020, une usine à gaz, le gouvernement expose pas moins de 47 articles qui encadrent l’ensemble de toutes ces restrictions prétendues sanitaires. On en retiendra symboliquement la fermeture pure et simple des restaurants.

Novembre… décembre… janvier… février… mars…
Tant que ça marche, on continue.

Soumission - Rébellion

Depuis l’origine, c’est toute une ingénierie sociale qui s’est mise en place avec tous les acteurs intéressés à la chose. Avec la puissance du rouleau compresseur des médias mainstream aux ordres. Avec les encouragements appuyés des labos à vaccins, des industriels des produits dérivés, masques et autres gadgets sanitaires. Et tous les comités Théodule, les agences indépendantes de santé, les experts complices qui leur servent la soupe et les myriades de politiques aux ordres qui passent les lois, trop contents de pouvoir étouffer toute velléité de manifestation de masse des Gilets Jaunes et autres Gaulois réfractaires. Ceux qu’on nomme les complotistes.

Stop dictature sanitaire - Gilets Jaunes

Des milliers de fonctionnaires, agences de santé, rédacteurs, légistes, juristes, sont engagés et produisent des textes, pondent des mesures, des protocoles dans une complexité dont on ne sortira plus. Ils n’ont pas fait tout ça pour rien.

Une crise qui s’installe dans la durée n’est plus une crise, c’est un système

Toutes les institutions publiques communiquent à tout va sur la manière de s’intégrer la crise sanitaire dans la durée. La Région Provence Alpes Côte d’Azur n’est bien entendu pas en reste. Extrait d’un communiqué du président de Région, Renaud Muselier :

Muselier - Région PACA - Mesures anti-Covid_1

Ces mesures reprennent celles qui sont annoncées sur le site internet de la Région.

On y trouve tout et n’importe quoi, jusqu’à l’absurde : le forfait bol d’air, le billet solidaire pour aller au spectacle (fermé), la fête des terrasses ! En passant par Le million ! Le million ! comme au Loto. Mai, juin, juillet 2021… pas question d’un retour à la normale !

L’argent coule à flot pour s’installer durablement dans la crise sanitaire

Imaginez un peu les innombrables services, les innombrables fonctionnaires, les innombrables élus, les sous-traitants qui ont été mobilisés, payés par vos impôts pour sortir toutes ces sornettes. Et vous croyez qu’ils ont fait tout ça pour que tout revienne, tout simplement, à la normale demain ? Trop de personnes trouvent leur intérêt dans cette situation de crise : des actionnaires milliardaires de Big Pharma à toutes ces dizaines de milliers d’élus et de fonctionnaires territoriaux, et nationaux bien sûr.

Tout est bien en place

Pourvu que ça dure ! On commence à entendre par-ci par-là que la sortie de crise ne viendra pas avant l’horizon(*) 2022. Ben voyons !

Âne - Carotte - de funès

Michel Lebon

(*) L’horizon étant une ligne qui recule au fur et à mesure que l’on avance.

Commentaire
  1. L” Ahuri le 9 mars 2021 à 21:02
    Dr Folamour, à faire suivre pour les sceptiques :
    https://planetes360.fr/dans-ce-monde-ou-ils-seront-des-dieux-que-feront-ils-des-inutiles/
    Instructif, non ?



Le vaccin EST la pandémie

[Source : Ciel voilé]

80% des nonnes vaccinées au couvent du Kentucky ont été testées positives au coronavirus deux jours plus tard

Ethan Huff – 3 mars 2021

https://www.naturalnews.com/2021-03-02-vaccine-pandemic-nuns-vaccinated-convent-tested-positive.html

(Natural News) Trente-cinq religieuses des sœurs bénédictines de St. Walburg dans le Kentucky ont été vaccinées au début de ce mois contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), et deux jours plus tard, deux d’entre elles sont mortes et 26 autres ont été testées positives.

Selon Soeur Aileen Bankemper, prieure du couvent, le monastère a été complètement fermé pendant toute cette période, et il n’y a eu aucun mouvement de personnes dans ou hors des locaux.

« Nous [la communauté bénédictine] avons été choquées d’avoir autant de cas [Covid-19] car nous étions extrêmement prudentes, nous ne sortions pas et n’avions pas de visiteurs depuis le début de la pandémie », aurait déclaré Sœur Bankemper.

Les sœurs de l’établissement étaient si prudentes, a-t-elle ajouté, qu’elles ont « redoublé » leurs efforts « après la vague de vacances [de Noël] », pour constater une augmentation des nouveaux cas et quelques décès.

« Vingt-huit sœurs ont été testées positives au COVID-19″, a écrit Mme Bankemper dans un post sur Facebook à propos de ce qui s’est passé après que les femmes aient été vaccinées avec des vaccins à ARN messager (ARNm) de Big Pharma. »

« La majorité d’entre elles ont pu obtenir les anticorps monoclonaux [perfusions d’anticorps] par l’intermédiaire des services de santé de St. Leurs symptômes sont assez bien pris en charge ».

Les sœurs Charles Wolking et Rita Biltz, en revanche, n’ont pas été aussi bien prises en charge. Elles sont mortes toutes les deux le 3 février, deux jours après avoir été vaccinées. Elles ne présentaient aucun symptôme avant leur mort et leurs tests pour le nouveau virus avant l’injection étaient négatifs..

« Elles étaient toutes deux âgées et avaient des problèmes de santé et n’étaient pas en mesure de se battre contre le Covid », a déclaré la sous-prieure Nancy Kordenbrok à un média local.

Les sources de cet article sont notamment les suivantes :




La fraude des anticorps

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

Par Rosemary Frei

Depuis des mois, le monde se concentre sur les tests PCR du nouveau coronavirus, le traçage des contacts et la vaccination.

Entre-temps, une autre partie importante du complexe biomédical Covid a reçu beaucoup moins d’attention : l’utilisation d’anticorps pour détecter, diagnostiquer et traiter l’infection par le nouveau coronavirus.

Des centaines de tests d’anticorps ont été approuvés à ces fins depuis janvier 2020. Et des centaines d’autres sont sur le point de commencer à être commercialisés sous peu.

Cela fait partie de la ruée vers l’or du secteur biomédical : dès l’été dernier, les anticorps étaient en passe de devenir le produit médical le plus lucratif, avec un revenu mondial qui devrait atteindre près d’un demi-billion de dollars d’ici 2024. Il n’est pas rare que les marges bénéficiaires soient de l’ordre de 67 %.

Des géants de l’industrie pharmaceutique tels qu’AstraZeneca, Novartis, GlaxoSmithKline et Eli Lilly sont parmi les entreprises qui s’emparent des plus gros morceaux du marché des anticorps contre les nouveaux coronavirus. Et certaines des agences gouvernementales les plus musclées, dont l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses d’Anthony Fauci et l’Agence des projets de recherche avancée de la Défense américaine, font partie des acteurs (voir, par exemple, l’avant-dernière section de cet article, sur les anticorps utilisés pour traiter le Covid).

Pratiquement toutes les études et tous les supports marketing relatifs au Covid reposent sur l’hypothèse que les scientifiques ont formellement et correctement identifié la présence du nouveau coronavirus (également appelé SARS-CoV-2) dans le matériel avec lequel ils travaillent.

Le travail d’identification est généralement confié à des anticorps qui sont censés se lier au nouveau coronavirus. On suppose que ces anticorps sont capables de repérer le virus et seulement le virus parmi tous les autres organismes et substances qui l’entourent.

Malheureusement, il s’avère que les anticorps ne le font que rarement (voire jamais). Cela est dû, entre autres, à une vérification insuffisante de la précision avec laquelle les anticorps ciblent le virus par les entreprises qui fabriquent et vendent ces produits. Et il y a encore moins de vérification par les organismes gouvernementaux de réglementation.

Faisons un tour de table pour découvrir quelques unes des principales caractéristiques du paysage de l’industrie des anticorps, qui se caractérise par sa complexité et son budget important.

Peut-on créer des anticorps qui ne se lient qu’à un type de virus ou à un autre ?

Les anticorps sont des éléments minuscules et bien adaptés de notre système immunitaire. L’une de leurs principales fonctions est de rechercher les virus et les bactéries susceptibles de déclencher des maladies. Les anticorps interagissent avec ces microbes et participent au processus viral en contrôlant leur prolifération.

Depuis des millions d’années, les humains et nos ancêtres fabriquent des anticorps dans notre corps pour gérer les infections. Puis, il y a quelques décennies, des entreprises se sont lancées dans la découverte et la manipulation d’anticorps, en partenariat avec des laboratoires universitaires.

Il existe deux grandes catégories d’anticorps. La première est celle des anticorps “polyclonaux”. Il s’agit d’anticorps qui se lient à une variété de substances et/ou d’organismes différents.

L’autre catégorie est celle des anticorps monoclonaux. Comme leur nom l’indique, le clonage est impliqué dans leur création. On identifie d’abord un anticorps spécifique à une séquence particulière d’acides aminés (les acides aminés sont les éléments constitutifs des protéines) d’intérêt – par exemple, un anticorps provenant d’une protéine à la surface d’un virus ou d’une bactérie -. Ensuite, la cellule du système immunitaire qui a produit cet anticorps est “clonée” en laboratoire. Ainsi, chaque ensemble d’anticorps monoclonaux se lie à cette séquence particulière d’acides aminés.

J’ai envoyé un courriel à l’un des principaux experts mondiaux anglophones en matière d’anticorps monoclonaux, le professeur Clifford Saper de la Harvard Medical School, afin d’obtenir des éclaircissements sur ce point. Je lui ai demandé s’il est vrai que, comme la plupart des personnes qui prétendent commercialiser des anticorps, il est possible de créer un anticorps monoclonal spécifique (c’est-à-dire qui se lie) à un seul type de virus ou à un seul autre type d’organisme.

M. Saper a répondu :

Non, il n’existe pas d’anticorps monoclonal qui, parce qu’il est monoclonal, ne reconnaisse qu’une seule protéine ou qu’un seul virus. Il se liera à toute protéine ayant la même séquence (ou une séquence très similaire).

Cette déclaration de M. Saper implique que toute tentative d’utiliser un anticorps monoclonal pour vérifier la présence du nouveau coronavirus entraînera un taux élevé de résultats faussement positifs. C’est-à-dire qu’ils indiqueront que le nouveau coronavirus est détecté alors qu’en fait il ne l’a pas été. En effet, il est très probable que l’anticorps monoclonal se lie à autre chose que le virus (c’est ce qu’on appelle une “réaction croisée”).

(Je recommande cet article de Saper, et celui-là et celui-là co-écrit par le professeur de pathologie de Yale David Rimm, à tous ceux qui souhaitent en savoir plus sur la validation des anticorps).

Et en fait, la grande majorité des anticorps et des anticorps monoclonaux commercialisés comme étant spécifiques au nouveau coronavirus ont été développés il y a des années pour détecter le SRAS-CoV-1. Ils ont ensuite été simplement reconvertis pour identifier le SARS-CoV-2 – avec très peu de contrôles, voire aucun, pour savoir s’ils présentent également une réaction croisée avec d’autres organismes ou substances.

J’ai demandé à Zhen Lu de confirmer cette réaffectation. Elle est la responsable marketing pour l’Amérique du Nord de Sino Biological, une société basée à Pékin qui développe et vend, entre autres, des centaines d’anticorps. Lu m’a répondu par e-mail : “Oui, les anticorps sont reproposés [sic]”.

J’ai également vérifié et reçu la confirmation de Pratiek Matkar, un cadre supérieur de BenchSci, une société de bases de données d’anticorps. Et pour voir par moi-même, je me suis connecté à la base de données de BenchSci (Matkar m’a accordé un compte d’invité), j’ai sélectionné tous les anticorps pour le nouveau coronavirus, et j’ai cherché à savoir quels organismes avaient été utilisés dans les tests de réactivité croisée pour eux. Seul le SRAS-CoV-1 est apparu dans cette vérification.

Tout cela explique une chose que j’ai observée la semaine dernière : Sino Biological vient de modifier le contenu de sa page d’accueil pour la section de son site web consacrée aux anticorps contre le SARS-CoV-2. La page annonce maintenant qu’ils ont introduit de nouvelles “paires d’anticorps assortis” qui fonctionnent mieux pour trouver le virus. Cette paire se compose d’un “anticorps de capture” et d’un “anticorps de détection”.

Et ils affirment que ces paires sont plus précises pour trouver le nouveau coronavirus : qu’elles…

ont une spécificité élevée sans réactivité croisée avec le MERS-CoV, [ou avec les coronavirus humains communs] 229E, NL63, HKU1, [et] OC43.

La seule façon dont je peux interpréter cela est la suivante : ils savent que les anticorps qu’ils commercialisent depuis des mois comme étant spécifiques au nouveau coronavirus se lient à d’autres choses, comme les coronavirus humains communs.

Comment les anticorps sont-ils utilisés dans les tests pour le nouveau coronavirus ?

L’un des principaux types de tests pour le virus contient des anticorps qui sont apparemment spécifiques au nouveau coronavirus. Ils sont conçus pour fonctionner de la manière suivante : si le virus est présent dans un échantillon de sang, les anticorps se lient à celui-ci et, par conséquent, le test donne un signal positif.

L’autre type de test contient des séquences de protéines du nouveau coronavirus ; si des anticorps au virus sont présents dans un échantillon de sang, ils se lient aux séquences de protéines et donnent un résultat positif.

Les fabricants sont censés procéder à des contrôles de précision de leurs kits de test avant de les mettre sur le marché. Ces contrôles consistent essentiellement en une estimation des taux de faux positifs et de faux négatifs (ce dernier est un résultat négatif lorsque l’anticorps ou la protéine en question est contenu dans l’échantillon testé par le kit).

Cependant, les entreprises effectuent ce contrôle de précision superficiel avec seulement quelques échantillons d’un petit nombre de virus – et rarement sur des bactéries ou toute autre substance biologique parmi les millions qui peuvent être présentes dans le sang.

Malgré cette validation très insuffisante et la forte incitation des entreprises à donner une bonne image de leurs produits, comme l’a documenté David Crowe [RIP] en mai dernier, les fabricants enregistrent souvent un taux significatif de faux positifs. Les faux positifs concernent tout, du virus du Nil occidental aux différents types de coronavirus humains.

En général, les entreprises et les gouvernements qualifient ce taux d’insignifiant. Il arrive cependant que les kits de test soient si mauvais qu’ils sont retirés du marché.

Par exemple, un kit de test d’anticorps vendu par une société appelée Chembio Diagnostics a été lancé le 31 mars 2020. La Food and Drug Administration (FDA) américaine lui a presque immédiatement accordé une autorisation d’utilisation d’urgence (Emergency Use Authorization, EUA). Une EUA permet aux entreprises de mettre des produits sur le marché à toute vitesse avec un minimum de surveillance. Le Brésil et l’Union européenne ont également donné leur accord pour que le test Chembio soit vendu sur leur territoire en avril et mai 2020, respectivement.

Puis, en juin 2020, la FDA l’a retiré du marché. L’agence a déclaré :

ce test génère un taux de faux résultats plus élevé que prévu.

(Notez que le tableau supérieur de la page 13 de la notice du produit pour ce test Chembio “révoqué” indique qu’il présente une réaction croisée avec le coronavirus humain 229E).

Mais en novembre 2020, le test d’anticorps Chembio a de nouveau été approuvé pour être utilisé au Brésil. Et le 14 janvier 2021, le test a été approuvé dans l’Union européenne, au Royaume-Uni et en Irlande.

Est-il identique à celui qui était si imprécis qu’il a été retiré du marché en juin dernier ? C’est difficile à dire. Il n’y a pas de notice d’utilisation que j’ai pu trouver pour ce produit. En fait, il y a très peu d’informations à son sujet sur la page web du test ; il faut en faire la demande. J’ai soumis une demande le 23 janvier et je ne l’ai pas encore reçue.

Deux des responsables de la branche de la FDA qui approuvent les dispositifs de test ont rédigé un article dans le New England Journal of Medicine du 18 février 2021. Dans cet article, les deux hommes admettent que les autorisations de la FDA pour les tests sérologiques sont trop souples.

Ils ont indiqué que la FDA a renforcé ses critères d’approbation de ces tests. Ils soulignent également les efforts déployés par d’autres agences gouvernementales pour évaluer les tests sérologiques. Mais ils ne disent pas un mot sur la nécessité d’aller vers une validation objective et approfondie des tests. Ils restent également muets sur le fait que des EUA sont toujours délivrés.

(Il convient également de noter que les listes de la FDA et de Santé Canada des 65 tests sérologiques approuvés à ce jour aux États-Unis et des 19 tests approuvés à ce jour au Canada continuent de donner la sensibilité [identification correcte des échantillons positifs] des tests par “accord en pourcentage positif” et la spécificité [identification correcte des échantillons négatifs] par “accord en pourcentage négatif”. Il s’agit de mesures relatives de la précision – c’est-à-dire comparées à d’autres tests – plutôt que d’une précision objective/absolue, et par conséquent, ce sont de piètres indicateurs en ce qui concerne la précision).

Ian Lipkin est l’une des nombreuses figures majeures du complexe biomédical Covid qui amorce la pompe du pipeline des anticorps. Il est directeur du Center for Infection and Immunity de l’Université de Columbia à New York. M. Lipkin est impliqué à haut niveau dans de nombreuses organisations mondiales, dont l’Organisation mondiale de la santé et la Fondation Bill & Melinda Gates, ainsi que dans des sociétés pharmaceutiques. (Et il est cité dans une “vérification des faits” d’un article de juillet 2020 que j’ai co-signé avec Patrick Corbett, intitulé “Nobody has died from the coronavirus” (Personne n’est mort du coronavirus). Lipkin déclare, entre autres, dans l’article de vérification des faits que “les théoriciens du complot ne sont pas persuadés par les données”.

M. Lipkin est co-auteur d’un article du 12 février 2021, dans lequel lui et son équipe affirment avoir identifié, grâce à une nouvelle technologie de micro-réseau de peptides (puce à antigènes) qu’ils ont inventée, 29 séquences d’acides aminés uniques au nouveau coronavirus. Ils affirment que des anticorps spécifiques aux séquences pourraient être créés – et que ceux-ci pourraient à leur tour être exploités “pour faciliter les diagnostics, l’épidémiologie et la vaccinologie” pour le Covid. (Le seul conflit que Lipkin et certains de ses co-auteurs révèlent dans le paragraphe “intérêts concurrents” à la fin de l’article est qu’ils ont inventé la technologie des micro-réseau de peptides décrite dans l’article).

Les anticorps utilisés pour traiter le covid sont-ils plus efficaces ?

Des anticorps sont également commercialisés pour traiter le covid. Certains sont vendus seuls (en monothérapie) et d’autres par paire. On considère qu’ils confèrent une “immunité passive”.

Les anticorps monoclonaux de type Regeneron, le casirivimab et l’imdevimab, comptent parmi les plus répandus pour le traitement des covidiens. Cette paire aurait été utilisée en octobre 2020 pour traiter le président américain de l’époque, Donald Trump. Le 21 novembre 2020, la FDA a accordé un EUA à ce combo. Il est également en cours d’examen pour approbation par Santé Canada.

J’aimerais me concentrer sur un anticorps monoclonal un peu moins connu appelé bamlanivimab. Il est utilisé à la fois seul et en tant que moitié d’une paire pour le traitement des patients présentant des symptômes du covid au début de la maladie. L’anticorps a été découvert, et son étude clinique a commencé, par l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (qui est dirigé par Anthony Fauci) et une société basée à Vancouver, en Colombie-Britannique, appelée AbCellera Diagnostics. L’anticorps est fabriqué et vendu par Eli Lilly. Il coûte plus de 1 200 dollars par flacon.

Voir aussi : Covid : quand l’ANSM danse le bambalaba avec Lilly

AbCellera est en train de développer un important réservoir d’autres anticorps. Ses capacités dans ce domaine ont été développées au cours des deux dernières années dans le cadre du programme de plate-forme de prévention des pandémies de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA).

(AbCellera a également reçu des centaines de millions de dollars du gouvernement canadien, notamment pour la construction d’une usine de fabrication d’anticorps. Et Peter Thiel, qui a cofondé PayPal et Palantir, est membre du conseil d’administration. John Montalbano est également membre du conseil d’administration de l’Office d’investissement du régime de pensions du Canada et, jusqu’en 2015, il était le PDG de RBC [Banque Royale du Canada] Global Asset Management. Cette situation et une importante couverture médiatique positive ont contribué à propulser la société vers le plus grand appel public à l’épargne d’une société canadienne de biotechnologie à ce jour, le 11 décembre 2020).

Le bamlanivimab a reçu un EUA de la FDA le 9 novembre 2020, pour le traitement des covid léger à modéré. Et Santé Canada a donné une autorisation provisoire à la monothérapie le 17 novembre. Cependant, la pratique clinique au Canada n’est pas encore très avancée, peut-être en raison des résultats peu brillants des essais cliniques (voir ci-dessous).

Mais cela n’a pas dissuadé les gouvernements fédéraux canadien et américain, qui ont acheté ensemble près d’un demi-million de ces tests. Par exemple, tout récemment, le 26 février, le gouvernement américain a acheté 100 000 flacons.

La seule étude sur le bamlanivimab rendue publique avant l’approbation de la FDA le 9 novembre a été publiée le 1er octobre 2020 sur le site web de la revue en ligne bioRχiv. [Mes articles du 3 février 2021 et du 11 février 2021, respectivement sur les nouveaux variants et les documents de modélisation associés, indiquaient que la revue et sa publication sœur medRχiv ne contiennent que des articles non révisés par des pairs et ont été créés par une organisation dirigée par Mark Zuckerberg et son épouse].

L’étude a utilisé des singes rhésus et a fourni de très nombreux détails sur la façon dont l’anticorps a été découvert et examiné pour vérifier sa spécificité par rapport au nouveau coronavirus. Les chercheurs ont conclu que l’anticorps – connu à l’époque sous le nom de LY-CovV555 – a une “puissante activité neutralisante” contre le SARS-CoV-2.

Le 14 janvier, j’ai envoyé un courriel à l’auteur principal de cet article, Bryan Jones. Il est chercheur au sein du programme de recherche en biotechnologie de Lilly. J’ai demandé à Jones où se trouvait dans leur article la preuve que l’anticorps était spécifique au SARS-CoV-2 (et donc qu’il ne se liait pas à autre chose qu’au nouveau coronavirus ou en plus de celui-ci).

Il a répondu rapidement, comme suit :

Bien que nous ayons déterminé que LY-CoV555 est spécifique au SARS-CoV-2 (et ne se lie pas à la protéine de pointe du SARS-CoV), cela n’est spécifié ou détaillé dans aucune des figures ou tableaux [dans le document].

M. Jones m’a indiqué plusieurs parties de l’article et des documents complémentaires publiés avec celui-ci qui, selon lui, montrent, par extrapolation indirecte, que l’anticorps est spécifique au nouveau coronavirus.

Ce n’est pas vraiment convaincant.

Puis, le 22 décembre, une étude publiée dans le New England Journal of Medicine a mis en doute l’utilité du bamlanivimab chez les personnes hospitalisées après avoir reçu un diagnostic covid. L’article notait que fin octobre, l’étude avait été interrompue parce que l’anticorps n’aidait pas plus les patients que le placebo.

Mais cela n’a pas dissuadé Lilly. Le 21 janvier 2021, la société a publié un communiqué de presse concernant une étude sur le bamlanivimab chez les résidents et le personnel des maisons de retraite. Ils ont affirmé que leurs recherches ont montré que l’anticorps “réduisait significativement le risque de contracter un COVID-19 symptomatique”.

Cependant, ils n’ont pas fourni beaucoup d’informations à l’appui de leurs affirmations. L’étude n’a pas été publiée dans un journal ou présentée lors d’une réunion scientifique/médicale. Et il n’y a pas de précisions sur la date à laquelle elle sera publiée.

Malgré cela, le même matin où le communiqué a été envoyé par Lilly, des articles élogieux sont apparus dans les principaux médias, affirmant que l’étude montrait que le bamlanivimab semble réduire de manière significative les symptômes du covid chez les personnes âgées fragiles.

Par exemple, un article de Bloomberg a été publié à 8 heures du matin le 21 janvier avec le titre “Eli Lilly Antibody Cuts Covid-19 Risk Up to 80% in Nursing Home Study” (Les anticorps d’Eli Lilly réduisent le risque de Covid-19 jusqu’à 80% dans une étude sur les maisons de retraite). L’article a été repris dans de nombreux autres médias tels que le Globe & Mail.

L’article citait le directeur scientifique de Lilly, Daniel Skovronsky, qui disait :

Il s’agit d’une situation urgente. Si une épidémie se déclare dans les maisons de retraite et que les gens n’ont pas encore reçu le vaccin, cela pourrait être un moyen de les protéger avant qu’ils ne l’obtiennent.

Et le 21 janvier, un article du New York Times rédigé par la journaliste scientifique chevronnée Gina Kolata cite un expert en vaccins de l’hôpital pour enfants de Boston, Ofer Levy, qui n’était pas l’un des scientifiques impliqués dans l’étude :

Je ne vois ici que des points positifs. C’est une victoire.

Kolata a également rapporté que Lilly prévoit de demander à la FDA un EUA pour le bamlanivimab pour la prévention du Covid chez les personnes âgées fragiles, en se concentrant sur les personnes dans les maisons de retraite et les foyers de soins de longue durée.

En parallèle, Lilly envisage d’utiliser le bamlanivimab en combinaison avec un autre anticorps monoclonal appelé etesevimab. Une étude sur cette combinaison chez les personnes atteintes de covidémie légère ou modérée a été publiée le 21 janvier 2021. Les résultats indiquent qu’elle ne réduit pas les symptômes, mais seulement la charge virale des personnes.

Cela n’a pas dissuadé Lilly non plus ; les médias en parlent comme d’un résultat très positif. Et la FDA aussi : le 9 février, l’agence a publié un EUA pour la combinaison des deux anticorps pour le traitement du COVID léger ou modéré.

Le 16 février, un article publié ce jour-là sur bioRχiv indiquait que le bamlanivimab ne neutralisait pas les variantes sud-africaine et brésilienne du nouveau coronavirus.

Je laisse le dernier mot à Scott Adams

Le créateur de bandes dessinées Dilbert Scott Adams fait cette observation à la page 13 de son livre Loserthink :

Une chose que je peux dire avec certitude, c’est que c’est une mauvaise idée de faire confiance à la majorité des experts dans tout domaine impliquant à la fois une certaine complexité et de grosses sommes d’argent.

Cela résume parfaitement la situation en ce qui concerne les anticorps du nouveau coronavirus.

Méfiez-vous, suivez l’argent et restez à l’écoute.

Mise à jour du 5 mars 2021

Le 22 février 2021, la FDA américaine a publié une nouvelle directive stipulant que les vaccins n’auront pas besoin de tests supplémentaires avant d’être approuvés pour être utilisés contre les nouvelles variantes – au lieu de cela, le gouvernement s’appuiera sur des tests d’anticorps pour déterminer qui a besoin d’un de ces “rappels”. Le 4 mars 2021, les gouvernements du Canada, du Royaume-Uni, de l’Australie, de Singapour et de la Suisse ont suivi le mouvement. Cela montre pourquoi la fraude concernant les anticorps est un élément clé de l’histoire du Covid. Je publierai dès que possible une vidéo et un article complémentaires à ce sujet.

Source : https://off-guardian.org/2021/03/06/the-antibody-deception/
Traduction par https://cv19.fr




L’Académie de médecine brûle le Code de Nuremberg !

[Source : Olivier Demeulenaere]

Dans un communiqué de presse publié aujourd’hui, l’Académie nationale de médecine se prononce pour la vaccination obligatoire des soignants contre le défunt Covid-19… Foulant aux pieds l’éthique qu’ils prétendent défendre, ces charlatans déclarent la guerre aux Français !

« La vaccination des soignants contre la Covid-19 doit devenir obligatoire »

« Avant même que les premiers candidats vaccins aient atteint la phase 3 des essais cliniques de développement, l’idée de rendre obligatoire la vaccination contre le SARS-CoV-2 était débattue comme la seule possibilité de surmonter l’hésitation vaccinale et d’atteindre rapidement une immunité collective efficace contre la pandémie de Covid-19.

Face à un risque infectieux majeur menaçant la collectivité et contre lequel on dispose de vaccins efficaces, le principe d’une obligation vaccinale doit être envisagé, en particulier pour certaines catégories professionnelles et même si la disponibilité des vaccins est encore actuellement limitée.

L’Académie nationale de médecine s’est prononcée à plusieurs reprises pour le maintien de ce principe quand la vaccination s’impose comme le seul moyen d’assurer une réelle protection de la population, notamment dans les collectivités (crèches, écoles, établissements d’hébergement), pour les professions exposées, les voyageurs, les migrants, et lors des épidémies [1]. La pandémie de Covid-19, qui représente la crise sanitaire et économique la plus grave depuis la seconde guerre mondiale, réunit tous les critères pour l’instauration d’une vaccination obligatoire.

La population des soignants est à l’origine de 34% des cas groupés d’infections nosocomiales à SARS-CoV-2 [2]. Pour cette raison, la vaccination contre la Covid-19 est immédiatement accessible pour les professionnels de santé. Afin de protéger leur santé et celle des patients dont ils ont la charge, ils constituent une catégorie légitimement prioritaire dans l’accès au vaccin.

Pourtant, en dépit de cette facilité, les taux de couverture vaccinale chez les médecins, les infirmières, les aides-soignants et les professionnels exerçant dans les EHPADs restent notoirement insuffisants, comparables à ceux relevés contre la grippe [3].

Dans la situation épidémiologique actuelle qui reflète un équilibre instable entre les mesures de restriction, la progression des variants du SARS-CoV-2 et l’extension progressive de la couverture vaccinale, la vaccination de masse représente le principal levier d’action contre la Covid-19. La vaccination systématique des professionnels de la santé, devenue prioritaire, ne saurait être considérée comme facultative.

Considérant que l’hésitation vaccinale est éthiquement inacceptable chez les soignants, l’Académie nationale de médecine recommande de rendre obligatoire la vaccination contre la Covid-19 pour tous les professionnels de santé exerçant dans le secteur public ou libéral, dans les établissements de santé et dans les EHPADs, ainsi que pour les auxiliaires de vie pour personnes âgées ».

Académie nationale de médecine, le 9 mars 2021

(Merci à Eric)


[1] Communiqué de l’Académie nationale de médecine « Obligation vaccinale : protéger sans contraindre, c’est possible », 19 janvier 2016

[2] Santé Publique France. Covid-19, point épidémiologique hebdomadaire, 18 février 2021

[3] Communiqué de l’Académie nationale « Vacciner tous les soignants contre la grippe : une évidente obligation», 19 septembre 2020

Rappels :

Imposer un vaccin expérimental est un comportement nazi

Vaccin et pandémie – Le bon sens du professeur Rancourt




COVID : avec une première class action, les nuages s’accumulent sur la tête de nos élites

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Hervé Coulaud

Début d’une class action, une première en France, visant le gouvernement et les ARS dans leur gestion de la première vague de la Covid-19. Cette procédure est destinée à recevoir des réponses sur le peu d’efficacité dans la conduite de l’action gouvernementale. Une class action permet à un groupe de citoyens et d’associations de se regrouper pour faire poids afin de mener une action en justice. L’action collective qui a sollicité l’audience de ce mercredi 3 mars 2021, au tribunal de grande instance de Paris, est la première du genre en France sur le thème du Covid-19.

Les Français ont connu successivement le manque de masques, puis le manque de tests, puis la pénurie des doses de vaccin. Ce fiasco résulte des hésitations et des déficits dans la gestion logistique de la crise par Macron, Buzyn, Véran et consorts qui risquent désormais ce qu’ils ont depuis des mois essayé d’éviter à tout prix, l’évocation devant les tribunaux de leurs attaques contre le bien-être des citoyens et les libertés fondamentales de notre République.

Un ensemble de mesures idiotes ou prises à contre-temps qui a conduit à la décrédibilisation de la fonction politique, et qui scelle par le credo du « quoi qu’il en coûte » l’abaissement de la France dans le classement mondial des puissances.

Qui est à l’origine de cette action ?

Comme l’évoque le journal « Le Parisien », une soixantaine de personnes morales et civiles se sont lancées dans cette class action – ses instigateurs évoquent même le nombre de 600 en comptant chaque membre des cinq associations représentées, comme Handi-Social, l’AR2S et l’UPGPS.

Les personnes civiles sont des proches de résidents d’Ehpad et de foyers pour personnes handicapées. Au total, 23.518 personnes ont apporté leur contribution sur le site « N’oublions rien » créé pour l’occasion, afin d’assurer notamment les frais de justice. Pour le moment, cette action collective se concentre sur la première vague, jusqu’au 30 juin 2020, « mais on prévoit évidemment d’étendre nos requêtes », fait savoir la dirigeante Sabrina Deliry.

Signe du malaise l’audience débute par la tentative de l’avocat de l’ARS Ile de France d’obtenir un énième renvoi d’audience

Pourtant la présence de nombreux médias révèle que la presse a senti qu’un vrai désir de transparence était bien présent dans l’opinion publique.

En effet on reste coi face au mensonge et la manipulation permanente des chiffres annoncés dans les média mainstream jusqu’alors, multipliés par 3 aux dires de certains professionnels de santé au plus près du terrain qui constatent au quotidien qu’ils ne sont pas le reflet de la réalité qu’ils vivent jour après jour dans les hôpitaux.

Maître Lèguevaques ainsi que les personnes ayant participé à cette “class action » ont pu rappeler la raison de cette assignation. Il demande comment, alors que le gouvernement avait prétendu réquisitionner tous les masques, des millions sont soudainement arrivés dans la grande distribution afin d’être vendus massivement ? Pourquoi, si les stocks étaient constitués pendant le confinement, n’ont-ils pas été réquisitionnés ?

Concernant le tri des malades, l’ARS Ile-de-France a-t-elle donné une échelle de sélection pour aider le personnel de santé à choisir entre soigner et laisser mourir, faute de moyens et selon des critères morbides ?

Les familles veulent également demander des preuves à certains organismes quant à leur transparence dans la gestion de la crise qui a été particulièrement mortelle dans les Ehpad

Car beaucoup de questions subsistent quant à la gestion de la crise dans les maisons de retraite. Sabrina Deliry explique à « France 3 Paris IDF » :

« Résultat : le 9 mars, ils ont confiné totalement les EHPAD, et ont interdit totalement les visites. Donc les familles étaient interdites, mais en parallèle le personnel ne portait pas de masques. C’est quoi cette hypocrisie ? »

L’action des plaignants se concentre sur trois points principaux :

  1. Comprendre la pénurie de masques au début de la crise. La démarche a notamment pour but d’obtenir la date exacte de l’arrivée sur le territoire national de masques achetés par les enseignes Carrefour et Leclerc.
  2. Lever le doute sur des soupçons de « choix thérapeutique » et de « tri des malades » sur des critères discriminatoires comme celui de l’âge.
  3. Faire la lumière sur des suspicions d’euthanasie.

Aucun argument, aucun élément sur le fond n’a été fourni par la défense

Pendant deux heures les avocats se sont surpassés pour exceller dans le jargon technique, technocrate et juridique afin de ne jamais discuter du fond et des choses qui étaient demandées.

Pendant deux heures, tout a été fait pour perdre le tribunal et l’auditoire dans une rhétorique pseudo argumentée et ainsi ne jamais réellement discuter d’éléments précis.

Pendant deux heures, tous les vices de procédures, même mineurs, ont été mentionnés pour noyer les poissons.

Enfin le président annonça la fin de l’audience dès qu’on commença à parler d’éléments concrets, sans doute certaines personnes ne se sentant plus réellement à l’aise ?

Les parties ont choisi une procédure civile qui a pour but de rassembler des preuves en obtenant la publication de documents et d’informations ou en sollicitant des expertises en vue d’éventuelles poursuites.

Toutes les institutions qui ont été visées lors de l’audience, dont l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), l’Agence régionale de santé (ARS) d’Île-de-France, la Ville de Paris, les douanes ou les groupes Carrefour et Leclerc, ont plaidé l’irrecevabilité de ce référé.

Rendez-vous le 9 juin donc, pour la décision. La justice se hâte lentement. Aura-t-on enfin des éléments factuels pour comprendre cette crise sanitaire ? Impossible à ce jour de le dire.

Une première étape pour quoi faire ?

L’objectif est d’obtenir des preuves matérielles permettant aux familles et associations de rassembler des preuves matérielles afin de constituer des dossiers. Une fois que les familles auront ces documents, quand il y aura des fautes et des responsabilités démontrées, chacun Français concerné sera libre d’assigner en justice jusqu’au plus haut niveau de l’Etat, sans se faire écraser par des lobbys hyperpuissants comme ceux des Ehpad.

La question du dédommagement n’intervient pas à cette étape de l’action. Quand un proche est décédé est qu’on vous cache des choses, la colère ne s’apaise pas. Or jusqu’à aujourd’hui les arrêtés qui emprisonnent nos aînés dans les EPHAD ont eu pour effet de priver les gens d’adieux à leurs parents. Le temps est venu désormais d’apaiser cette colère et d’identifier les fautes pour ne pas qu’elles se reproduisent à l’avenir.

Comme le fait remarquer le journal Sud-Ouest, plusieurs procédures ont été engagées contre des ministres devant la Cour de justice de la République (CJR), seule instance habilitée à les juger dans l’exercice de leurs fonctions, notamment pour «abstention de combattre un sinistre».

Par ailleurs, 365 plaintes visant des responsables de l’administration ont été déposées depuis le 24 mars au pôle santé publique du tribunal de Paris et dans le cadre de la gestion de la crise de la Covid-19, le parquet de Paris a ouvert quatre informations judiciaires…à suivre !




Un pas de plus au Canada vers l’achèvement du Nouvel Ordre Mondial — Projet de loi C-273 : Le revenu de base universel, ou l’amorce de la Grande Réinitialisation vers le crédit social et le communisme international

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Projet de loi C-273 : Le revenu de base universel, ou l’amorce de la Grande Réinitialisation vers le crédit social et le communisme international

Tel qu’annoncé par le consultant Jean-Claude Larochelle, le 22 février 2021, la députée Julie Dzerowicz a présenté le Projet de loi C-273, le tout premier projet de loi canadien visant à instaurer un revenu de base national garanti.(([1] Jean-Claude Larochelle : « Projet de loi C-273, le tout premier projet de loi canadien pour un revenu de base universel ». Bourse technique, 7 mars 2021.)) Comme il est expliqué sur la plateforme UBI Works, c’est la première étape pour le gouvernement canadien afin de créer un revenu de base national en répondant à des questions importantes sur la meilleure façon de le mettre en place et de l’appliquer partout au Canada.

Le Projet de loi C-273 prévoit que la ministre des Finances Chrystia Freeland crée une stratégie nationale pour un revenu de base garanti, en incluant des partenariats potentiels avec les provinces, afin de déterminer la meilleure façon de structurer et de mettre en œuvre un revenu de base. Le projet de loi prévoit de soutenir des recherches spécifiques sur le revenu de base afin de déterminer comment il affecterait l’efficacité du gouvernement, comment il pourrait encourager l’esprit d’entreprise, la création d’emplois et les initiatives civiques dans une nouvelle économie, et comment il impacterait les Canadiens et nos communautés. Le projet de loi prévoit également un ensemble de normes nationales pour guider la conception et la mise en œuvre du revenu de base à travers le Canada.(([2] Chambre des communes du Canada : « Projet de loi C-273 – Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti ». Deuxième session, quarante-troisième législature, 69-70 Elizabeth II, 2020-2021. Première lecture le 22 février 2021. [PDF]))

Julie Dzerowicz s’exprime ainsi dans un communiqué de presse en date du 23 février :

« Le monde du travail est en constante évolution, nombre d’entre eux passant à l’économie des petits boulots de contrats temporaires et à court terme; et d’autres étant touchés par l’effet de l’automatisation et de l’Intelligence Artificielle. Il est important pour notre système de protection sociale de mieux refléter les besoins des Canadiens d’aujourd’hui et de demain et d’être beaucoup plus flexible dans la gestion des changements, des interruptions et des transitions de main-d’œuvre. (…) Alors que le Canada traverse cette pandémie, il planifie le post-COVID avec l’intention de dépenser 70 à 100 milliards de dollars sur trois ans pour relancer l’économie canadienne. C’est le moment idéal pour résoudre les problèmes structurels, tester des idées novatrices et mieux reconstruire nos fondements économiques et sociaux. »

(([3] Jessie Cooke : « La députée Julie Dzerowicz présente le projet de loi d’initiative parlementaire C-273 – Loi instituant une stratégie pour un revenu de base garanti ». Bureau de la députée Julie Dzerowicz, Toronto, 23 février 2021. Courriel: julie.dzerowicz.a2@parl.gc.ca | Tél.: 416-525-1949.))

Le terme revenu de base garanti est parfois utilisé de manière interchangeable avec un revenu vital garanti ou un revenu annuel garanti pour désigner un programme d’assistance sociale conçu pour aider les plus bas revenus de la société à vivre au-dessus du seuil de pauvreté en s’assurant qu’ils ont suffisamment d’argent pour subvenir aux besoins de base de la vie comme la nourriture, les vêtements et le logement. Le revenu de base universel est un autre terme utilisé par ses défenseurs. Ce terme est synonyme de « démogrant », qui englobe un modèle où tout le monde est éligible à un chèque.

La députée libérale Annie Koutrakis a déclaré que s’il y avait quelque chose à apprendre de la pandémie COVID-19, c’est qu’il fallait un programme de revenu de base.(([4] Zi-Ann Lum : « Liberal MP Says Some Cabinet Ministers ‘Very Supportive’ Of Basic Income ». HuffPost, February 25, 2021.))

Le revenu de base est une idée utopique qui remonte à 500 ans et qui a toujours été promue par des Socialistes et des Fabiens de la première heure tels que Charles FourierJohn Stuart MillBertrand RussellGeorge D.H. ColeJames MeadeJames Tobin et John Kenneth Galbraith. Elle est fondée sur l’idée que donner de l’argent à ceux qui vivent dans la pauvreté serait un moyen plus efficace de prévenir le crime qu’en punissant des individus. Floyd Marinescu est le fondateur de UBI Works, un groupe à but non lucratif qui préconise le soutien d’un revenu de base universel. Rejoignant la conférence de presse de Dzerowicz, il a déclaré : 

« Chaque crise est une tendance accélérée. Et ce que COVID nous a montré, en accéléré, aurait pu prendre de cinq à dix ans en termes d’impacts des progrès technologiques sur le marché du travail — ce qui profite à certains, mais en nuit à beaucoup d’autres. »



.

L’auteur de la chaîne Grand Angle, Richard Détente, écrit : 

« Le déclin des pays de l’Occident​ n’est plus à démontrer. Les États-Unis​ et l’Europe​ sont des économies appauvries dont les systèmes politiques sont régulièrement mis à mal par les élans démocratiques des peuples. Les élites d’en haut sont en recherche active de nouvelles stratégies destinées à ré-établir une vision progressiste et solide digne de concurrencer la Chine. » 

(([5] Richard Détente : « Great Reset & Théorie monétaire moderne | Moins de liberté contre un revenu universel ? ». Grand Angle, Youtube, 7 décembre 2020.))

Le soutien au revenu de base a pris un nouvel élan pendant la pandémie avec le déploiement par le gouvernement fédéral de l’Allocation canadienne d’intervention d’urgence (CERB) de 2000 $ par mois comme moyen de fournir de l’argent aux Canadiens dont les moyens de subsistance ont soudainement été touchés par le COVID-19. Ce programme, qui a été exécuté à la fois par l’Agence du revenu du Canada et le système d’assurance-emploi, a versé 81,6 milliards de dollars à 8,9 millions de personnes entre le 15 mars et le 3 octobre, selon les données gouvernementales.

Liliane Held-Khawam écrivait le 3 septembre 2019 sur son site internet : 

« Les néolibéraux d’hier et d’aujourd’hui prônent d’une seule et même voix le revenu universel. Après les taux négatifs confiscatoires, il s’agit donc d’une nouvelle étape du concept néolibéral. Probablement l’ultime avant le reset global. Avant de vous réjouir trop de cette supposée manne, dites-vous bien que quelqu’un va payer cette masse financière. Il s’agira très certainement de nouveaux gages que votre gouvernement et/ou des dirigeants de votre collectivité territoriale vont offrir contre cette création monétaire. A moins qu’il ne s’agisse tout bêtement de la redistribution de votre épargne (y compris assurances-vie, retraites, etc.). Dans tous les cas, la Dépossession entre dans sa dernière phase. »

(([6] Liliane Held-Khawam : « Revenu universel, dernière phase avant le reset global ? Vincent Held ». Publié le 3 septembre 2019.))

L’auteure et économiste écrivait plus récemment :

« A l’heure actuelle, il est question d’un passeport vaccinal. Or, plus je me documente sur le sujet, et plus je repense au Programme de Développement Durable de l’ONU pour 2030. J’avais présenté celui-ci dans Coup d’Etat planétaire en tant que nouvelle Constitution planétaire d’un territoire, de frontières et d’une économie atomisés et captés par la haute finance internationale. »

« Ce document officiel est très intéressant et très important car il relègue à l’arrière-plan le passeport national. Pourtant quelque chose de plus est en train de se passer. Les nouveaux documents “officiels” émis par des corporations globalisées signifient la fin des libertés individuelles au profit de l’humain en cours de normalisation et d’uniformisation. Le Green pass n’est rien d’autres que la marche vers la définition de normes standardisées et universelles auxquelles le transhumain idéal devra répondre. La digitalisation fait que l’évaluation permanente (crédit social) sera facilitée d’autant grâce à une connectivité permanente sur fond d’hygiénisme surfait. Les résultats qu’elle indiquera lui permettra de recevoir sa pitance. Zéro carbone bien sûr. »

« Le Green Pass est le sésame qui fait entrer le terrien dans le monde de l’Agenda 2030, un monde atomisé et complexe, incompréhensible au terrien normal. Ce passeport le reliera au Green New Deal de la haute finance, dont l’Agenda 2030 est l’aboutissement d’un long processus démarré avec le président Roosevelt et la fondation de la structure supranationale, enfant de Bretton Woods. »

(([7] Liliane Held-Khawam : « Un passeport vert pour un Etat mondial numérisé ». Publié le 5 mars 2021.))

La dernière lubie des ultra-riches, réunis à Davos, est le “Great Reset”, la « grande réinitialisation ». Derrière les démonstrations d’amitié habituelles, c’est un programme mondial pour surveiller et contrôler le monde grâce à la surveillance numérique. Klaus Schwab a annoncé le Great Reset en juin 2020. Selon le journaliste William Kergroach, cela consistera à nous dépouiller de tous nos actifs privés. Le Great Reset propose une identification électronique liée à votre compte bancaire et à vos dossiers de santé, qui finira, tout simplement, par vous dicter votre vie. Mais ils préfèrent nous dire qu’il faut se débarrasser du capitalisme et de la libre entreprise. Il faut les remplacer par du « développement durable » et du « capitalisme des parties prenantes », où l’entreprise se concentre sur la satisfaction des besoins de ses employés autant que de ses clients.

« La réinitialisation affectera tout, du gouvernement, de l’énergie et des finances à l’alimentation, à la médecine, à l’immobilier, à la police, et même aux interactions entre individus. La protection de la vie privée, bien sûr, est un obstacle majeur dans ce plan. C’est pourquoi ils font tout pour nous amener à renoncer à notre vie privée. Le transhumanisme, qui nous “améliorera” avec des machines, permettra également d’orienter nos pensées. Les mondialistes ont déclenché la pandémie covid-19 pour passer outre les oppositions et nous imposer ces réformes. » 

(([8] William Kergroach : « Leur “Great Reset”, c’est quoi ? ». Riposte Laïque, 16 décembre 2020.))

La dissidence est impensable et la soumission à ce système sera obligatoire. Les Chinois expérimentent déjà ce système. On punit, là-bas, un “mauvais” citoyen en bloquant ses accès à certains endroits ou en bloquant son compte bancaire. Dans un article daté du 12 décembre 2020, William Kergroach va jusqu’à écrire : 

« Plutôt que de mettre en place un revenu minimum garanti pour des masses désœuvrées, les élites mondialistes ont décidé de faire diminuer la population mondiale. La covid n’est que le début d’une guerre bactériologique engagée contre l’humanité. On s’attaque aujourd’hui aux plus âgés, demain, on attaquera dans la masse. Pourquoi ? Parce que les ressources de la planète diminuent, parce que l’on aura de moins en moins de travail à donner aux masses, parce que cela coûte cher et que l’alternative consisterait à ce que les plus riches partagent leurs richesses. »

(([9] William Kergroach : « L’avenir est au chômage mondial, sauf si on diminue la population… ». Riposte Laïque, 12 décembre 2020.))

J’espère que le lecteur aura compris que le coup d’état mondial perpétré par les élites mondialistes et leurs larbins, c’est-à-dire les politiciens fantoches, a été réglé comme une horloge et qu’il est exécuté avec la précision d’un orfèvre. La stratégie consiste en quelques étapes : déclencher une guerre bactériologique sans fin; restreindre les allées et venues de la population; retirer l’identité et faire taire chaque individu; provoquer la fermeture et la faillite des petites et moyennes entreprises; ruiner les gens et les soumettre à quémander leur pain; éliminer une partie de la population par le biais d’une opération eugénique; inoculer dans chaque individu des particules nano-technologiques par le biais de la vaccination obligatoire; déployer les technologies de la 5G, de la robotique, de la surveillance électronique et de l’intelligence artificielle; imposer un carnet de vaccination sans lequel nul ne pourra acheter, ni vendre, ni se déplacer; emprisonner les dissidents et les récalcitrants dans des camps conçus à cet effet; offrir un revenu de base universel aux citoyens dociles selon un schéma « méritocratique ».

L’une des dernières étapes consistera à instaurer le système de « crédit social » tel qu’il existe déjà en Chine et qui enfermera les individus dans une matrice numérique dont ils ne pourront pas s’échapper, ce qui conduira infailliblement l’humanité toute entière à son asservissement total.


Projet de loi C-273 — Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti

SOMMAIRE

Le texte prévoit l’obligation pour le ministre des Finances d’établir une stratégie nationale visant à évaluer des modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans le cadre de la stratégie du Canada en matière d’innovation et de croissance économique. Il prévoit aussi l’obligation de faire rapport relativement à cette stratégie.

2e session, 43e législature,
69-70 Elizabeth II, 2020-2021

CHAMBRE DES COMMUNES DU CANADA

PROJET DE LOI C-273

Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti

Préambule

Attendu :

que tous les Canadiens ont le droit de voir leurs besoins essentiels satisfaits, de participer pleinement à la société et de vivre dans la dignité, quel que soit leur statut d’emploi;

que le gouvernement du Canada s’est engagé à promouvoir ces droits, notamment en réduisant les inégalités de revenu et autres disparités dans les collectivités partout au pays;

que le gouvernement du Canada s’est engagé à appuyer la main-d’œuvre du 21e siècle grâce à des structures de prestation de programmes et de services qui répondent mieux aux perturbations touchant la main-d’œuvre, ainsi qu’à un système d’aide sociale souple et adaptable;

que le gouvernement du Canada est déterminé à veiller à ce que le système d’aide sociale réponde aux besoins actuels et futurs des Canadiens et à rééquilibrer ses structures de prestation de programmes et de services afin d’optimiser la capacité des Canadiens à innover;

qu’un programme de revenu de base garanti pourrait accroître la capacité de croissance de l’économie et améliorer sa productivité;

qu’un programme de revenu de base garanti pourrait permettre à de nombreux Canadiens d’échapper à la pauvreté et leur offrirait la stabilité dont ils ont besoin pour accéder à des programmes d’études, obtenir des occasions d’emploi et réaliser leur plein potentiel,

Sa Majesté, sur l’avis et avec le consentement du Sénat et de la Chambre des communes du Canada, édicte :

Titre abrégé

Titre abrégé

1 Loi sur la stratégie nationale sur le revenu de base garanti.

Définition

Définition de ministre

2 Dans la présente loi, ministre s’entend du ministre des Finances.

Stratégie nationale

Établissement de la stratégie

3 (1) Le ministre établit une stratégie nationale visant à évaluer des modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti au Canada.

Consultation

(2) Pour établir la stratégie, le ministre consulte le ministre de l’Emploi et du Développement social, le ministre de l’Industrie, les représentants des gouvernements provinciaux responsables de l’emploi et du développement social, les chefs des collectivités et des gouvernements autochtones, les représentants des administrations municipales, des experts en matière de projets pilotes sur le revenu de base garanti, des universitaires et des intervenants clés, y compris des représentants d’organisations qui œuvrent dans les domaines du travail et de l’emploi et de l’entrepreneuriat et de l’innovation.

Contenu

(3) La stratégie comprend des mesures visant :

a) à lancer un projet pilote dans une ou plusieurs provinces afin de mettre à l’essai divers modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti;

b) à créer un cadre de normes nationales pour guider la mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans toute province;

c) à appuyer les programmes de recherche qui généreront des données pour guider la conception et la mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans chaque province, notamment par voie de collaboration avec des organisations et des institutions internationales qui possèdent de l’expérience en la matière;

d) à recueillir et à analyser des données afin d’évaluer, pour chaque modèle mis à l’essai, les éléments suivants :

(i) l’effet sur l’administration publique, notamment en ce qui concerne l’efficacité, la souplesse, le coût, la pérennité et la capacité d’adaptation des modèles de prestation de programmes et de services, de même que le potentiel d’un programme de revenu de base garanti pour ce qui est de réduire la complexité des programmes sociaux existants ou de les remplacer, de faire reculer la pauvreté et de soutenir la croissance économique,

(ii) l’effet sur les bénéficiaires et leur famille, notamment en ce qui concerne leur qualité de vie, leur santé physique et mentale, leur recours aux services de santé, de même qu’en ce qui concerne la stabilité du logement, le niveau de vie, l’alimentation, l’épargne, l’éducation, les relations sociales et la participation au marché du travail,

(iii) les bienfaits, directs ou indirects, pour le milieu de vie des bénéficiaires, notamment en ce qui concerne l’entrepreneuriat, la création d’emplois et l’action citoyenne;

e) à développer des paramètres permettant de mesurer les effets et bienfaits mentionnés aux sous-alinéas d)‍(i) à (iii).

Accords fédéro-provinciaux

4 Avec l’agrément du gouverneur en conseil, le ministre peut conclure avec le gouvernement d’une province un accord sur la collecte, l’analyse et l’échange de données dans le but de déterminer la meilleure manière de structurer et de mettre en œuvre un programme de revenu de base garanti dans la province.

Rapports au Parlement

Dépôt de la stratégie nationale

5 (1) Dans les deux ans suivant l’entrée en vigueur de la présente loi, le ministre établit un rapport énonçant la stratégie nationale et le fait déposer devant chaque chambre du Parlement dans les quinze premiers jours de séance de celle-ci suivant l’achèvement du rapport.

Publication

(2) Le ministre publie le rapport sur le site Web du ministère des Finances dans les dix jours suivant la date de son dépôt devant les deux chambres du Parlement.

Rapport

6 Dans les deux ans suivant la date du dépôt du rapport visé à l’article 5 devant les deux chambres du Parlement, le ministre établit, en consultation avec les parties mentionnées au paragraphe 3(2), un rapport faisant état des résultats de la mise en œuvre de la stratégie nationale dans chaque province et énonçant ses conclusions et recommandations, et le fait déposer devant chaque chambre du Parlement dans les quinze premiers jours de séance de celle-ci suivant l’achèvement du rapport.



RÉFÉRENCES :



INTOX : l’AFP ment et nie que les vaccins sont expérimentaux

Par Dr Gérard Delépine

Décodons les décodeurs de l’info qui nous trompent

Dans ce qui est présenté comme une désinfox, terme favori des médias au service du gouvernement, l’AFP prétend que l’utilisation actuelle des vaccins anti covid19 ne serait pas expérimentale et qu’elle serait conforme au code de Nuremberg. Ces deux affirmations sont mensongères !

Les vaccins anticovid19 actuels sont expérimentaux

Un traitement est expérimental tant que les essais phase trois n’ont pas été terminés, analysés, publiés et validés par les agences sanitaires et des médecins indépendants des firmes pharmaceutiques.

Actuellement aucun des vaccins anticovid19 mis sur le marché ne satisfait à ces exigences de sécurité et ils sont donc expérimentaux. Le plus avancé, celui de Pfizer, aura son essai phase 3(([1] Les candidats vaccins qui semblent suffisamment efficaces après les essais animaliers et les essais humains phase1 et2 poursuivent leur développement en phase III. A ce stade, le nouveau vaccin est comparé à l’absence de vaccin. Les personnes reçoivent, de façon aléatoire, soit un placebo supposé inerte, soit le vaccin en cours d’évaluation afin de mesurer son efficacité et sa toxicité.)) terminé dans deux ans, en 2023, d’après le site gouvernemental américain qui enregistre tous les essais sur l’homme (clinical trials.gov à https://clinicaltrials.gov/ct2/home).

Ces vaccins expérimentaux ont été mis sur le marché avec une autorisation temporaire dite conditionnelle qui ne deviendra définitive qu’après l’examen par les agences des résultats définitifs des résultats des essais phase 3.

Il faut espérer que d’ici là les vaccinations par ces médicaments expérimentaux n’auront pas causé trop de dégâts.

L’utilisation d’un médicament expérimental constitue une expérience médicale, même si elle est autorisée par les agences du médicament

La différence avec les essais habituels est que la vaccination à grande échelle qui se déroule actuellement n’offre pas les précautions normalement prises en cas d’essai validé par les comités de protection des personnes.

Les vaccinés ne sont pas enregistrés comme faisant partie d’un essai et ne bénéficient pas d’une surveillance médicale renforcée comme cela est obligatoire dans les essais cliniques officiels. Leurs complications ne sont donc pas recensées de manière systématique et les résultats de cette vaccination ne sont pas évalués, ni publiés obligatoirement contrairement aux essais traditionnels.

Il est certes admis par la Convention d’Helsinki(([2] L’Association Médicale Mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains, y compris la recherche sur du matériel biologique humain et sur des données identifiables. La Déclaration est conçue comme un tout indissociable. Chaque paragraphe doit être appliqué en tenant compte de tous les autres paragraphes pertinents. Conformément au mandat de l’AMM, cette Déclaration s’adresse en priorité aux médecins.)) (([3] https://www.espace-ethique.org/ressources/charte-declaration-position/declaration-dhelsinki)), que faute d’interventions avérées, le médecin peut recourir à une intervention non avérée si, selon son appréciation professionnelle, elle offre une chance de sauver la vie — dans tous les cas, le consentement éclairé du patient est indispensable — ou préserver la santé du patient. Les nouvelles informations doivent être enregistrées et, le cas échéant, rendues publiques.

Or ce n’est pas le cas, car les informations concernant les vaccins sont sévèrement censurées en France(([4] Il y a 3 jours une de nos vidéos a été supprimée de You Tube alors qu’elle ne faisait état que d’informations vérifiées et accessibles ; et mon épouse fait l’objet d’une plainte par le conseil de l’ordre parce qu’elle ne répétait pas la propagande de l’état. C’est le cas de nombreuses vidéos de lanceurs d’alerte, du site Reinfocovid en particulier)), empêchant tout débat démocratique et leurs complications ne sont découvertes que si les médias indépendants les révèlent. C’est uniquement par les journaux que l’on a appris la mort, après vaccination de nombreux pensionnaires d’EHPAD en France et à l’étranger. Pour tenter d’en savoir plus, beaucoup d’entre nous tentent d’explorer les bases de données officielles, mais c’est un parcours du combattant (décès classés par maladie, par tranche d’âges, etc.)[5] http://www.adrreports.eu/fr/index.html et ne tient compte que des cas déclarés volontairement puisque les vaccinés hors essai calibré surveillé sont « bénévoles » et non soumis à surveillance stricte.

Un vaccin expérimental injecté sans consentement éclairé reprend l’attitude de certains médecins nazis

Xavier Bioy, professeur d’université à Toulouse-1 s’insurge à l’AFP de cette comparaison.

« C’est très fort : on compare des scientifiques avec des médecins nazis qui mettaient de l’acide dans les plaies des pauvres détenus qui se faisaient torturer dans les camps ».

Il a manifestement oublié que les médecins nazis, eux aussi scientifiques, ont pratiqué de très nombreux essais sur les vaccins :

vaccination contre le paludisme (février 1942 à avril 1945 à Dachau : 1100 cobayes humains et nombre inconnu de victimes).

Vaccination contre le typhus par Eugen Haagen au Camp de Natzwiller.

Vaccins contre le typhus exanthématique, le paludisme, la fièvre jaune (485 cobayes humains), la gangrène gazeuse (15 victimes), la dysenterie, l’hépatite, la tuberculose menées par Erwin Ding-Schuler et Waldemar Hoven au camp de Buchenwald.

Comment un universitaire spécialiste de l’éthique peut-il avoir oublié ces faits historiques qui ont précisément conduit à l’élaboration du code de Nuremberg ?

En 1947, les médecins nazis plaidaient pour leur défense :

« dans un État totalitaire en temps de guerre, il n’y a pas de responsabilité personnelle ; c’est la nécessité d’État qui se substitue à la volonté individuelle, et il n’y a pas de consentement qui vaille : ni des médecins expérimentateurs ni des sujets ; dans ces circonstances, l’intérêt de la science au service de la défense de la Nation prime sur celui de l’individu. »

Mais L’absence de consentement éclairé des vaccinés a valu à ces scientifiques nazis la condamnation à mort ou emprisonnement.

Depuis mars 2020, nous sommes, paraît-il, en état de guerre selon le chef de l’état, dans un état de plus en plus totalitaire et la défense des médecins vaccinateurs sans consentement éclairé du citoyen n’est pas plus recevable aujourd’hui qu’hier.

Dans les EHPADs, le consentement n’est pas toujours libre et éclairé

Or, dans les EHPADs, le consentement éclairé n’est manifestement pas la règle absolue, d’autant que se précise le chantage d’autorisation de sortie liée à la vaccination totalement incompatible avec un consentement libre que définit ainsi la déclaration d’Helsinki :

« Pour être valide, votre consentement doit être libre et éclairé. Il doit donc être obtenu sans aucune forme de pression ou de menace. Cela signifie également que vous avez reçu toute l’information nécessaire pour prendre vos décisions et qu’il vous a été possible de poser vos questions avant que les soins soient prodigués. Les renseignements doivent vous être fournis dans un langage simple et compréhensible. »

Et encore : 

« lorsqu’il sollicite le consentement éclairé d’une personne pour sa participation à une recherche, le médecin doit être particulièrement attentif lorsque cette dernière est dans une relation de dépendance avec lui ou pourrait donner son consentement sous la contrainte. »

Et certains réclament une obligation vaccinale en commençant par les soignants !

Les soignants sont globalement mieux informés que la population.

Ils ont appris avec inquiétude les effets secondaires éprouvés par leurs collègues des hôpitaux bretons qui ont eu le douteux privilège d’être les premiers vaccinés et dont 25% à 40% ont été contraints d’arrêter de travailler avec retenue de salaire, car une journée de carence leur a été prélevée sur leur salaire et suppression de la prime.

Ils ont de plus eu connaissance des résultats paradoxaux des pays champions de la vaccination qui d’après les courbes de l’OMS ont partout subi de fortes augmentations (parfois transitoires) des contaminations (incidence journalière multipliée par 2 à 4) et de la mortalité.

Leur préjugé favorable à la vaccination s’est ainsi transformé, pour plus de 60 % d’entre eux, en refus éclairé d’un vaccin expérimental.

Le covid19, prétexte de lois sociales régressives ne doit pas nous faire oublier les leçons d’éthique de la dernière guerre mondiale et vouloir par peur imposer une vaccination et se comporter comme certains médecins nazis.

Oui la comparaison est juste avec la médecine nazie, et Alain Jocaerd, Xavier Bioy et l’AFP se sont trompés ou ont menti !





Imposer un vaccin expérimental est un comportement nazi

Par Dr Gérard Delépine

[Voir aussi sur Riposte laïque]

Aucun essai thérapeutique ne doit être proposé sans le consentement libre et éclairé du cobaye. Cette règle fondamentale d’éthique de la recherche, affirmée lors du procès des médecins nazis à Nuremberg et reprise par la déclaration d’Helsinki de l’Association médicale mondiale est totalement bafouée lorsqu’on prône une obligation vaccinale anti-Covid aux soignants.

Mais certains médecins des plateaux télé qui ne précisent jamais leurs liens d’intérêts avec l’industrie, et même le représentant d’un syndicat d’infirmières n’hésitent pourtant pas à en faire la promotion dans les médias !

Violation du Code de Nuremberg

Les vaccins sont expérimentaux. Une obligation vaccinale violerait le Code de Nuremberg et la déclaration d’Helsinki.

Les résultats définitifs du vaccin le plus avancé sont promis pour 2023. Les résultats des vaccins anti- covid n’ayant été ni établis, ni publiés leur utilisation constitue un essai thérapeutique.

Or le Code de Nuremberg(([1] Le Code de Nuremberg – rédigé en 1947 est une liste de dix critères contenue dans le jugement du procès des médecins de Nuremberg (décembre 1946 – août 1947). Ces critères indiquent les conditions que doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l’être humain pour être considérées comme « acceptables »
http://www.frqsc.gouv.qc.ca/documents/10191/186011/Code_Nuremberg_1947.pdf/d29861b8-30a7-456e-9a83-508f14f4e6d5)) identifie le consentement éclairé comme préalable absolu à la conduite de recherche mettant en jeu des sujets humains.

« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.

Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision. Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience. »

Imposer un vaccin expérimental à des soignants viole donc le Code de Nuremberg

Violation de la déclaration d’Helsinki de l’Association médicale mondiale

L’Association médicale mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki(([2] Déclaration d’Helsinki de l’Association médicale mondiale 
https://www.fhi360.org/sites/default/files/webpages/fr/RETC-CR/nr/rdonlyres/e3vjr6w3l5e2acb6uezmtjmslkergm5udhzoqwtt3ixs5ntx5e7cp32ppismbsifle2vkurebdhmcn/HelsinkiDeclarationFrench.pdf)) comme l’énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains.

Le Serment de Genève de l’Association médicale mondiale lie le médecin dans les termes suivants : ” la santé de mon patient sera mon premier souci ” et le Code international d’éthique médicale énonce que “le médecin devra agir uniquement dans l’intérêt de son patient lorsqu’il lui procure des soins qui peuvent avoir pour conséquence un affaiblissement de sa condition physique ou mentale”.

Dans la recherche médicale sur les sujets humains, les intérêts de la science et de la société ne doivent jamais prévaloir sur le bien-être du sujet.

Tout médecin qui injecterait un vaccin expérimental à des soignants pour protéger autrui violerait donc aussi les principes éthiques de la médecine.

On ignore totalement les risques des vaccins anti-covid

Actuellement la durée moyenne de surveillance des participants à l’essai est  inférieure à six mois alors que les plus graves complications (dont les narcolepsies) des vaccins anti-grippe H1N1 sont apparus majoritairement après cette date.

Les quelques données que les laboratoires ont présentées(([3] Fernando P. Polack et all Innocuité et efficacité du vaccin à ARNm BNT162b2 Covid-19)) concernant la tolérance des vaccins avec 2 mois de recul (27 % d’événements indésirables) ne signalent que des de réactions transitoires sans conséquences, des maux de tête, de la fatigue, de la fièvre, des lymphadénopathies et ne mentionnent pas qu’ils sont susceptibles de nécessiter des arrêts de travail.

Or dans de nombreux hôpitaux français(([4] La presse de la Manche Covid-19. Dans la Manche, des soignants malades après l’injection du vaccin Astra Zeneca 11 février 2021)) (([5] La dépêche Covid-19 : des soignants bretons victimes de nombreux effets secondaires après le vaccin Astra Zeneca 12 février 2021)) (([6] BFM Covid-19 : face aux effets secondaires, le vaccin Astra Zeneca très critiqué par les soignants 17/2/2021)) la vaccination des soignants a été suivie de très nombreux arrêts de travail aboutissant à désorganiser les équipes soignantes.

Pour éviter de trop perturber le fonctionnement des services, l’Agence du médicament a lancé une alerte et recommandé de vacciner « de façon échelonnée le personnel d’un même service ». Si besoin, elle appelle aussi à utiliser du paracétamol “à la dose la plus faible et le moins longtemps possible” contre ces effets secondaires.

La fréquence de ces effets secondaires, le manque d’information préalable à la vaccination et leurs conséquences ont rendu les soignants méfiants. Mais pas leur représentant syndical pour lequel, si j’étais adhérent de ce syndicat, je me poserais des questions sur les motivations de ce syndicaliste censé me représenter.

Vacciner les soignants ne protègerait pas les soignés

En effet les vaccins paraissent actuellement incapables d’empêcher la transmission de la maladie.

L’évolution précoce de l’épidémie après vaccination dans les 3 pays champions mondiaux de la vaccination (Israël, en Grande-Bretagne, Émirats arabes unis) suggère même que la vaccination pourrait faciliter (au moins transitoirement) les contaminations.

En Israël :

En Grande-Bretagne :

Aux Émirats arabes unis :

Bien sûr, cette corrélation entre vaccination et augmentation des cas n’est que temporelle, le lien de causalité directe ne pouvant pas être affirmé pour l’instant. Mais l’évolution semblable et simultanée des 3 pays les plus vaccinés constitue un signal d’alerte fort.

Mais que vient faire le syndicat des infirmiers dans cette galère de propagande vaccinale inappropriée ?

Violer le Code de Nuremberg et la déclaration d’Helsinki, bases de l’éthique médicale et de la recherche médicale pour un espoir hypothétique de protéger autrui alors que rien ne permet actuellement de l’espérer constitue une faute morale majeure.

Comment un syndicat de soignants, censés les défendre, a-t-il pu accepter de faire de la propagande pour une mesure contraire aux intérêts de ceux qu’il prétend représenter ? Estime-t-il que ses adhérents seraient incapables d’évaluer la balance avantages/risques des vaccins ? Du fait de leur métier, ils sont parmi les mieux informés et leur réticence à se faire vacciner ne reflète que les incertitudes qui pèsent sur des produits mis trop vite sur le marché.

Comment ses rédacteurs ont-ils été si mal renseignés ?

Si le représentant de ce syndicat ne corrige pas rapidement son erreur en rappelant les bases éthiques de la médecine et de la recherche, il montrera qu’il n’a agi que comme allié du gouvernement et militant des firmes pharmaceutiques.

Gérard Delépine 





Mike Stone — Refusez le masque

[Source : henrymakow.com]

Par Mike Stone

[Sur les masques dans le dessin : « Les masques parlent… »

  • Je vis dans la peur
  • Je crois CNN (une chaîne de télévision américaine)
  • Je vais te dénoncer
  • Je crois en l’Agenda 21 (de l’ONU)
  • Je veux la sécurité, pas la liberté
  • Je veux la tyrannie médicale
  • Mes parents nuisent à mon système immunitaire
  • J’aime Bill Gates
  • Je fais ce qu’on me dit de faire
  • Je veux que les vaccins soient obligatoires
  • Je veux le signalement de la vertu
  • Tout est de la faute de Trump
  • La nouvelle normalité]

Je comprends si votre patron est un babouin en état de mort cérébrale et vous oblige à porter un masque pour garder votre travail. Et je comprends si vous devez porter un masque pour entrer dans une banque, la poste, une épicerie, ou pour prendre un bus ou un métro de la ville. Ce sont toutes des excuses acceptables. Mais au-delà de cela, il n’y a aucune raison — et je veux dire AUCUNE RAISON — pour laquelle vous devriez porter un masque. Enlevez cette fichue chose !

Ne savez-vous pas maintenant que tout cela est un canular? Que l’on vous joue du violon et que vous ayez l’air stupide en portant un masque inutile et complètement stupide? Enlevez cette fichue chose !

Je croise des femmes dans la rue. Normalement, mon radar « gars » sonnait immédiatement. Plus maintenant. À l’instant où je vois le stupide masque qu’elles portent, tout désir, toute attraction, tout respect sort par la fenêtre. Comment pouvez-vous respecter quelqu’un d’aussi stupide? Ne savent-elles pas à quel point elles ont l’air pathétique? Si je pouvais voir une fille — une fille n’importe où dans le monde avec le courage et le bon sens de ne pas porter de masque — je pense que je tomberais instantanément et désespérément amoureuse. Enlevez cette fichue chose !

slave-masks.png
Les masques sont utilisés depuis des siècles comme des outils de bâillonnement et de dégradation. Et vous pensez que c’est différent maintenant ?

Les hommes sont encore plus pathétiques. Ne savent-ils pas que les masques sont un signe de soumission, un signe de peur, un signe de lâcheté et de stupidité? Est-ce ainsi qu’ils veulent se présenter au monde? Pensez-y: la seule raison pour laquelle nous sommes obligés de porter des masques est de nous effrayer et de nous soumettre.

C’est la SEULE raison. C’est pourquoi le faux président prétend être contrarié par des États comme le Texas et la Floride qui refusent d’avoir peur. Si chaque homme de ce pays en avait une paire et refusait de porter un masque, tout le château de cartes s’effondrerait. Cela cesserait instantanément. Enlevez cette fichue chose !

Les voitures me dépassent dans la rue. Des dizaines, des centaines d’entre elles. La plupart ont les vitres relevées, mais les chauffeurs portent des masques et des gants. Depuis quand sommes-nous devenus une nation de moutons lâches? Peut-être que ça a toujours été comme ça et que je n’avais tout simplement pas remarqué. Pouvez-vous imaginer entrer en guerre avec la Chine ou la Russie avec tous les hommes féminisés que nous avons cachés derrière des masques et marchant dans les rues de nos villes? On se fairait botter le cul très vite.

Ce n’est pas une question de millénium. Ce n’est pas une question de baby-boomer. Ce n’est pas une question de génération X. L’hystérie de masse que nous vivons concerne tous les âges, jeunes et moins jeunes. Ils sont tous également stupides.

Les faux conservateurs sont tombés sous le charme. Ils remorquent tous la ligne du parti, parlent maintenant de Trump en 2024 et portent leurs stupides masques. Ne me dites pas que vous les écoutez encore.

baloney.png

Si vous êtes étudiant, vous pouvez interroger vos enseignants sur la politique de masques idiots de votre école. Ne soyez pas impoli et ne dites rien qui pourrait les inciter à vous rejeter ou pire. Mais en même temps, demandez-leur de vous expliquer dans un langage clair pourquoi ils ont si peur d’un simple virus du rhume. Demandez-leur quel Dr Fauci mentait : celui qui a dit que les masques étaient inutiles, ou celui qui dit maintenant qu’ils sont essentiels pour arrêter le faux virus? Un de ces faux Faucis mentait. Lequel?

[NdNM : d’autres responsables de la Santé, comme Arruda au Québec ont également fait un virage à 180 degrés en ce qui concerne le port du masque, et toujours dans le même sens : passer de totalement inutile à carrément indispensable.]

Très probablement, votre professeur ne pourra pas vous répondre. Et lorsqu’un enseignant est confronté à une question à laquelle un élève qui est plus intelligent qu’eux ne peut pas répondre, il a tendance à répondre par des menaces et des injures. Alors soyez prêt. Si vous êtes dans l’orchestre de l’école, ou dans toute autre activité de groupe, et qu’ils veulent vous emmener dans des bulles en plastique séparées, dites-leur de [se ?] l’enfoncer.

Alors qu’en est-il de vous? Si vous portez un masque ailleurs qu’à la banque, à la poste, à l’épicerie ou aux transports en ville, vous faites partie du problème. Ne me donnez pas vos excuses pleurnichardes. Ne soyez pas comme les membres de ma famille qui commencent à baver, me disant qu’ils doivent — absolument doivent — voyager en Floride et visiter Disneyland.

Ne soyez pas comme mes amis qui disent la même chose à propos d’aller à Las Vegas. Si vous voyagez comme ça, vous ne donnez pas seulement le pouvoir au mensonge en acceptant leurs demandes de masque, vous mettez votre argent dans les poches mêmes des entreprises qui poussent le canular et qui ont soutenu l’élection bidon. Vous êtes en fait un traître si vous faites cela. Vous faites du commerce avec l’ennemi.

La même chose avec n’importe quel autre endroit qui veut que vous portiez un masque stupide. Si votre dentiste l’exige, sortez. Si vous voyez une pancarte sur la porte d’une entreprise vous demandant de porter un masque, n’entrez pas. Laissez toutes ces entreprises lâches couler.

Bien sûr, si vous n’êtes pas d’accord avec tout ce que je viens de dire, si vous portez un masque pendant que vous lisez ceci, alors je ne peux vraiment rien faire pour vous. Inclinez-vous devant vos maîtres. Rampez aux pieds de ceux qui déforment votre esprit et vous effraient pour que vous vous rendiez. Sachez simplement que c’est entièrement votre choix. Personne ne vous oblige à vous soumettre, à avoir peur, à pleurer comme un bébé. Tout dépend de vous. Enlevez cette fichue chose !


Mike Stone est l’auteur de Based, un roman pour jeunes adultes sur la race, les fréquentations et la croissance en Amérique, et de A New America, le premier roman de l’Alt-Right, une comédie noire qui se déroule le jour du scrutin 2016 à Los Angeles – – Disponible sur Amazon.


Voir aussi (en anglais) – Numbers In The New CDC Report DESTROY The Case For Mask Mandates

cdc-masks.jpg
mark-beast.jpg



Alfred Russel Wallace : Quarante-cinq ans de statistiques d’enregistrement, prouvant que la vaccination est à la fois inutile et dangereuse

[Source : Guy Boulianne]

Voici un texte du naturaliste, géographe, explorateur, anthropologue et biologiste britannique Alfred Russel Wallace, intitulé « To Members of Parliament and Others. Forty-five Years of Registration Statistics, Proving Vaccination to be Both Useless and Dangerous », publié sous forme de brochure de trente-huit pages en 1885; une deuxième édition révisée, éditée par Alexander Wheeler, a été imprimée en 1889 sous le titre « Vaccination Proved Useless & dangerous, From Forty-five Years of Registration Statistics ». À la fin de cet ouvrage se trouve une lettre à l’éditeur, « Quarante-cinq ans de statistiques d’enregistrement. Une correction », qui a été publiée dans The Vaccination Inquirer du 1er février 1895.

Au début des années 1880, Wallace participa au débat sur l’obligation de la vaccination contre la variole. Il pensait à l’origine que c’était une question de choix personnel mais après avoir étudié certaines des statistiques fournies par les militants anti-vaccination, il en vint à mettre en doute l’efficacité du vaccin.

La théorie des microbes, sources de maladies, était alors très récente et loin d’être universellement acceptée ; d’autre part personne n’en savait suffisamment sur le système immunitaire humain pour comprendre pourquoi la vaccination fonctionnait. Quand Wallace enquêta, il découvrit des cas où les défenseurs de la vaccination avaient utilisé des statistiques plus que discutables. Toujours méfiant vis-à-vis de l’autorité, il devint convaincu que la diminution des cas de variole ne devait pas être attribuée à la vaccination elle-même mais à une meilleure hygiène et que les médecins avaient un intérêt particulier à vouloir promouvoir le vaccin. Wallace et d’autres opposants signalèrent que la vaccination, souvent effectuée dans de mauvaises conditions sanitaires, pouvait être dangereuse.

Il témoigna en 1890 devant une commission royale qui enquêtait sur la polémique. Quand les membres de la commission examinèrent la documentation qu’il avait fournie pour appuyer ses dires, ils trouvèrent des erreurs, dont quelques statistiques hasardeuses. The Lancet déclara que Wallace et les autres opposants à la vaccination avaient été très sélectifs dans le choix des statistiques utilisées et n’avaient pas tenu compte de la grande quantité de données qui allaient à l’encontre de leur position. La commission conclut que la vaccination antivariolique était efficace et devrait rester obligatoire, mais elle recommanda que des changements soient opérés dans les procédures afin de les rendre plus sûres et que les pénalités contre ceux qui refusaient de s’y soumettre soient moins sévères.

Bien des années après, en 1898, Wallace écrivit un pamphlet dans lequel il attaquait les conclusions de la commission ; celui-ci fut attaqué à son tour par The Lancet qui déclara qu’il contenait bon nombre des mêmes erreurs que celles énoncées devant la commission.



Alfred Russel Wallace : « Aux parlementaires et autres. Quarante-cinq ans de statistiques d’enregistrement, prouvant que la vaccination est à la fois inutile et dangereuse » (1885)

Partie I. Mortalité et vaccination contre la variole.

Ayant été amené à me renseigner moi-même sur les effets de la vaccination sur la prévention ou la diminution de la variole, je suis arrivé à des résultats aussi inattendus qu’ils me paraissent concluants. La question en est une qui affecte notre liberté personnelle ainsi que la santé et même la vie de milliers de personnes; il devient donc un devoir de s’efforcer de faire connaître la vérité à tous, et spécialement à ceux qui, sur la foi de déclarations fausses ou trompeuses, ont imposé la pratique de la vaccination par des lois pénales.

Je propose maintenant d’établir les quatre énoncés de fait suivants, au moyen des seules statistiques officielles disponibles; et j’adopterai un mode de présentation de ces statistiques dans leur ensemble, qui les rendra intelligibles à tous. Ces déclarations sont :

  1. Que pendant les quarante-cinq ans de l’enregistrement des décès et de leurs causes, la mortalité de la variole a très légèrement diminué, tandis qu’une épidémie de variole extrêmement sévère s’est produite au cours des douze dernières années de la période.
  2. Qu’il n’y a aucune preuve pour montrer que la légère diminution de la mortalité par variole est due à la vaccination.
  3. Que la gravité de la variole en tant que maladie n’a pas été atténuée par la vaccination.
  4. Que plusieurs maladies inoculables ont augmenté à un degré alarmant en même temps que la vaccination forcée.

Les première, deuxième et quatrième propositions seront prouvées à partir des rapports du registraire général de 1838 à 1882; et je rendrai les résultats clairs et incontestables, en présentant les chiffres pour toute la période sous forme de courbes schématiques, de sorte qu’aucune manipulation de celles-ci, en prenant certaines années pour comparaison, ou en divisant la période de manière spéciale, ne sera possible.

Les diagrammes montrent, dans chaque cas, non pas la mortalité absolue mais les décès par million d’habitants, une méthode qui élimine l’augmentation de la population et donne de vrais résultats comparatifs.

La vaccination n’a pas diminué la variole.

Le diagramme I. montre les décès dus à la variole, à Londres, pour chaque année de 1838 à 1882, tandis qu’une ligne supérieure montre les décès des autres principales maladies zymotiques données dans le résumé annuel du registraire général pour 1882, (sauf le choléra, qui n’est qu’une épidémie occasionnelle,) à savoir, — Scarlatine et diphtérie, rougeole, coqueluche, fièvre typhoïde et autres, et diarrhée. Une ligne pointillée entre ceux-ci montre la mortalité due aux fièvres de la classe des typhoïdes.

La première chose clairement apparente dans ce diagramme, c’est la très faible diminution de la variole correspondant aux époques de la vaccination pénale et obligatoire; tandis que l’épidémie de 1871 fut la plus destructrice de toute la période. La diminution moyenne de la mortalité due à la variole de la première à la seconde moitié de la période est de 57 décès par million et par an. En regardant maintenant la courbe supérieure, nous voyons que la mortalité due aux principales maladies zymotiques a également diminué, plus particulièrement au cours des 35 dernières années; mais la diminution de ces maladies n’est pas, proportionnellement, si grande, du fait que les décès par diarrhée ont considérablement augmenté dans la seconde moitié de la période. D’autre part, le typhus et les fièvres typhoïdes ont diminué dans une bien plus grande mesure que la variole, comme le montre la ligne pointillée sur le diagramme, la réduction de la mortalité due à cette seule cause étant de 382 par million, soit plus de six fois plus comme celui de la variole. Chacun admettra que cette remarquable diminution du typhus, etc., est due à un assainissement plus efficace, à une plus grande attention personnelle aux lois de la santé, et probablement aussi à des méthodes de traitement plus rationnelles. Mais toutes ces causes d’amélioration ont certainement eu leur effet sur la variole; et comme la mortalité due à cette maladie n’a pas également diminué, il y a probablement une cause contrebalancée au travail. Jusqu’à présent, par conséquent, à partir de la preuve que la vaccination a diminué la variole à Londres, la tendance des faits du registraire général (et il n’y a pas d’autres faits qui sont dignes de confiance) est de montrer qu’une cause contraire a empêché l’assainissement général d’agir sur cette maladie comme il a agi sur le typhus, et cette cause peut, éventuellement, être la vaccination elle-même.

Nous allons maintenant passer au diagramme II., qui donne une représentation de statistiques similaires pour l’Angleterre et le Pays de Galles, sauf que malheureusement, il y a un blanc dans le dossier pour 1843-46, années pendant lesquelles le registraire général nous informe, « les causes de la mort n’ont pas été distingués. » Ici aussi, nous percevons une diminution similaire de la mortalité par variole, interrompue par l’énorme épidémie de 1871-2, tandis que les autres principales maladies zymotiques représentées par la ligne supérieure, montrent plus d’irrégularité, mais une diminution récente considérable. Pour toute l’Angleterre, comme pour Londres, les tableaux nous montrent que les fièvres typhoïdes ont diminué beaucoup plus que la variole, (mais pour plus de clarté la courbe de typhus est omise,) et nous n’avons donc, encore une fois, aucune raison pour imputer la diminution de la variole à la vaccination. Mais nous pouvons aller plus loin que cette affirmation négative, car nous disposons, heureusement, d’un moyen de tester directement l’efficacité alléguée de la vaccination. Le onzième rapport annuel du Conseil du gouvernement local donne un tableau du nombre de vaccinations réussies, aux dépens des pauvres, en Angleterre et au Pays de Galles, de 1852 à 1881. À partir des chiffres de ce tableau, j’ai calculé les nombres en proportion à la population de chaque année, et ont montré le résultat en pointillé sur mon diagramme II; et je prie pour cela d’attirer l’attention du lecteur, car cela dissipe aussitôt certaines déclarations erronées souvent répétées.

En premier lieu, nous voyons qu’au lieu que la vaccination ait augmenté depuis l’application des lois pénales, elle a en fait diminué; de sorte que la déclaration si souvent faite par les apologistes officiels de la vaccination, et répétée par Sir Lyon Playfair dans son discours à la Chambre des communes l’année dernière, — que l’efficacité progressive de la vaccination légale a diminué la variole, est absolument fausse, car il y a eu une diminution plutôt qu’une augmentation de la « vaccination efficace ». Une augmentation temporaire du nombre de vaccinations a toujours lieu lors d’une épidémie de variole, ou lorsqu’une épidémie est à craindre; mais un examen de la courbe de vaccination ne corrobore pas l’affirmation selon laquelle elle contrôle l’épidémie. Après une inspection minutieuse, on verra qu’à trois reprises, une augmentation considérable des vaccinations a été suivie d’une augmentation de la variole. Laissez le lecteur regarder le diagramme et notez qu’en 1863 il y a eu un très grand nombre de vaccinations, suivies en 1864 par une augmentation de la mortalité par variole. Là encore, le nombre de vaccinations augmenta régulièrement de 1866 à 1869, mais en 1870-71, la mortalité due à la variole augmenta; et encore une fois, en 1876, une augmentation des vaccinations a été suivie d’une augmentation des décès dus à la variole. En fait, si la ligne pointillée indiquait l’inoculation au lieu de la vaccination, elle pourrait être utilisée pour prouver que l’inoculation a provoqué une augmentation de la variole. Je soutiens seulement, cependant, que cela ne prouve pas que la vaccination diminue la mortalité due à la maladie. Au cours de la panique provoquée par la grande épidémie de 1871-2, les vaccinations ont augmenté énormément et ont diminué aussi rapidement que l’épidémie s’est arrêtée, mais rien ne montre que l’augmentation des vaccinations a eu un effet sur la maladie, qui a suivi son cours. puis s’éteignit comme d’autres épidémies.

Il a maintenant été prouvé à partir de la seule série complète de documents officiels qui existent :

  1. Cette petite vérole n’a pas diminué autant ou aussi régulièrement que le typhus et les fièvres alliées.
  2. Que la diminution de la mortalité due à la variole coïncide avec une diminution, au lieu d’une augmentation de l’efficacité de la vaccination officielle.
  3. Que l’une des épidémies de variole les plus graves jamais enregistrées, dans la période de statistiques précises, s’est produite après 33 ans de vaccination officielle, obligatoire et pénale.

Ces trois groupes de faits ne corroborent pas l’affirmation selon laquelle la vaccination a réduit la mortalité due à la variole; et il faut toujours se rappeler que nous n’avons en fait aucun autre corps de statistiques sur lequel fonder notre jugement. L’utilité ou non de la vaccination est purement une question de statistiques. Il nous reste à décider si nous serons guidés par les seules statistiques fiables que nous possédons, ou si nous continuerons à accepter aveuglément les dogmes d’un corps d’hommes professionnels intéressés et certainement pas infaillibles, qui ont autrefois soutenu l’inoculation aussi fermement qu’ils soutiennent maintenant la vaccination. .

La variole n’a pas été atténuée par la vaccination.

On affirme souvent que, bien que la vaccination ne soit pas une protection complète contre la variole, elle diminue cependant la gravité de la maladie et la rend moins dangereuse pour ceux qui la prennent. Cette affirmation est suffisamment répondue par la preuve donnée ci-dessus, qu’elle n’a pas diminué la mortalité due à la variole; mais des preuves plus directes peuvent être apportées.

Les meilleurs enregistrements disponibles montrent que la proportion de décès par rapport aux cas de variole est la même aujourd’hui, bien qu’une grande majorité de la population soit vaccinée, comme c’était le cas il y a un siècle avant que la vaccination ne soit découverte. Dr Jurin, en 1723; les rapports de l’hôpital de la variole de Londres, 1746-1763; Dr Lambert, 1763; et la Cyclopædia de Rees, 1779; donner des nombres variant de 16,5 à 25,3 comme pourcentage de mortalité parmi les patients atteints de variole dans les hôpitaux, — la moyenne de l’ensemble étant de 18,8%.

Passons maintenant à l’époque de la vaccination. M. Marson, 1836-51, et les rapports des hôpitaux de la variole de Londres, Homerton, Deptford, Fulham et Dublin, entre 1870 et 1880, donnent des chiffres variant de 14,26 à 21,7 en pourcentage de décès. des patients atteints de variole, la moyenne étant de 18,5. Et cela, rappelons-le, sous le traitement et l’hygiène améliorés du XIXe par rapport au XVIIIe siècle.

Ces chiffres démontrent non seulement le mensonge de l’affirmation souvent répétée selon laquelle la vaccination atténue la variole, mais ils vont loin pour prouver le contraire — que la maladie a été rendue plus intraitable par elle; ou comment expliquer que la mortalité des patients atteints de variole soit presque exactement la même qu’il y a un siècle, malgré les progrès considérables de la science médicale et les améliorations des hôpitaux et des traitements hospitaliers?

La variole dans l’armée et la marine.

Nous avons ici un test crucial de l’efficacité ou de l’inutilité de la vaccination. Nos soldats et marins sont vaccinés et revaccinés conformément aux réglementations officielles les plus strictes. Ce sont des hommes exceptionnellement forts et en bonne santé, dans la fleur de l’âge, et si la vaccination est d’une quelconque utilité, la variole devrait être presque inconnue parmi eux, et aucun soldat ou marin ne devrait jamais en mourir. Ils sont en fait souvent qualifiés de « population parfaitement protégée ». Voyons maintenant quels sont les faits.

Un rapport vient d’être publié à la Chambre des communes, « Small-pox (Army and Navy) », daté de “août 1884”, donnant la force moyenne, le nombre de décès dus à la variole et le rapport pour mille en chaque service pendant les vingt-trois années 1860-82. Un examen de ce retour nous montre qu’il n’y a pas eu une seule année sans deux morts ou plus dans l’armée, et seulement deux ans sans décès dans la marine. En comparant le rendement de la « vaccination, mortalité », n ° 433, publié par la Chambre des communes en 1877, nous constatons que, dans les vingt-trois années 1850-1872, (la dernière en date,) il y eut de nombreuses années au cours desquelles aucun décès de variole adulte n’a été enregistré pour un certain nombre de grandes villes de 100 000 à 270 000 habitants. Liverpool n’en a eu aucun en 3 des années, Birmingham et Sunderland en 7, Bradford et Sheffield en 8, Halifax en 9, Dudley en 10, tandis que Blackburn et Wolverhampton étaient chacun totalement sans mortalité adulte de petite vérole pendant 11 des 23 années !

Il est vrai que les cas ne sont pas strictement comparables, car pour ces villes, nous n’avons que les décès de personnes âgées de 20 ans et plus donnés séparément, alors que les âges de l’armée et de la marine varient principalement d’environ 17 à 45 ans. Mais, compte tenu de l’état extrêmement insalubre de nombre de ces villes, et de leur grande prépondérance dans la liberté de la variole, il n’y a manifestement plus de place pour l’effet allégué de la revaccination pour assurer à nos soldats et marins l’immunité contre la maladie.

Mais regardons maintenant les moyennes pour toute la série d’années, comme offrant le meilleur et le seul test fiable. En les travaillant soigneusement, je trouve que la mortalité moyenne de la variole pour les 23 ans est, dans l’armée 82,96, que nous pouvons appeler 83 par million, et dans la marine 157 par million. Malheureusement, aucun matériel n’existe pour une comparaison exacte de ces taux avec ceux de la population civile; mais avec beaucoup de travail, j’ai fait la meilleure comparaison possible. À partir du rapport général du recensement, 1881, et des rapports du registraire général pour les mêmes 23 ans que ceux inclus dans le retour de l’armée et de la marine, j’ai pu déterminer la mortalité de la variole chez les hommes en Angleterre et au Pays de Galles entre le les années 15 et 55, considérées comme représentant le mieux celles des deux services; et le résultat est un taux moyen de mortalité due à la variole de 176 par million.

On remarquera que ce n’est guère plus que la mortalité de la marine, bien que plus du double de celle de l’armée, et la question se pose de savoir quelle est la différence due. Et d’abord, pourquoi la mortalité de la variole dans la marine est-elle près du double de celle de l’armée ? Les règlements concernant la revaccination sont les mêmes dans les deux, et sont dans les deux rigoureusement appliqués, et les hommes sont assez égaux en endurance et en santé générale. La cause doit donc être dans les conditions de vie différentes des deux services; et il me semble probable que la différence provient principalement de la ventilation et de l’isolement moins efficaces qui sont possibles à bord des navires par rapport aux hôpitaux de l’armée.

La mortalité générale de la marine par maladie semble (d’après le rapport du registraire général, 1882, tableaux 59 et 65,) être considérablement inférieure à celle de l’armée, de sorte que la plus grande mortalité due à la variole doit être due à une certaine conditions. Mais quels qu’ils soient, les conditions de la population civile sont certainement bien pires. Les deux tiers des familles habitant Glasgow vivent dans des maisons d’une ou deux pièces seulement, et de nombreuses autres villes, y compris Londres, ne sont probablement pas beaucoup mieux. Dans de telles conditions, et avec la faible vitalité induite par une alimentation insuffisante, le surmenage et le mauvais air, nous devrions nous attendre à ce que la mortalité due à la variole de notre population civile soit bien supérieure à celle de la classe choisie des marins qui jouissent d’une nourriture abondante, air frais et assistance médicale. Où est donc la prétendue « sécurité totale » offerte par la revaccination, et comment caractériser les déclarations diffusées aux dépens du public, selon lesquelles « la variole est presque inconnue dans l’armée et la marine ». Si nous voulons tirer une conclusion légitime des faits, c’est que la revaccination à laquelle sont soumis nos soldats et marins rend la variole plus mortelle lorsqu’elle les attaque, car c’est ainsi que nous pouvons expliquer la grande mortalité parmi les hommes en bonne santé choisis sous surveillance médicale constante et vivant dans des conditions sanitaires bien meilleures que la masse de la population civile.

Un autre mode de comparaison peut être fait, montrant que même le taux de mortalité de la variole dans l’armée n’est guère meilleur que celui de certaines grandes villes, au cours de la même période. Le taux par million de la population adulte, entre 15 et 55 ans, sur une moyenne des années 1860-82 pour cinq très grandes villes était le suivant :

Bien sûr, il existe de nombreuses autres villes qui ont une mortalité beaucoup plus élevée, mais très peu sont bien pires que la marine. La pire grande ville que je puisse trouver dans les rapports est Newcastle-on-Tyne, qui, pour la même période, avait une mortalité de la variole adulte de 349 par million. Mais le fait que cinq de nos villes les plus peuplées aient considérablement moins de mortalité de la variole adulte que la marine, et l’une d’elles à peine plus que l’armée, équivaut à une démonstration de l’inutilité de la revaccination la plus complète.

La mortalité générale de notre population adulte est bien supérieure à celle de l’armée et de la marine. D’après les sources officielles d’information déjà citées, je trouve que la mortalité moyenne de la population adulte d’Angleterre, âgée de 15 à 55 ans, pour les années 1860 à 1982, était d’environ 20 000 par million. [[Note de l’éditeur: Wallace néglige ici de prendre en compte le fait qu’il ne traite que de la population masculine adulte de l’Angleterre; cette erreur a été corrigée dans l’édition de 1889 pour réduire le taux par million à 11 300.]]

Celle de la marine, pour la même période, était de 11 000 par million toutes causes confondues, et seulement 7 150 maladies.

Celle de l’armée, chez nous, était de 10 300 par million. À l’étranger, il était presque le double (19400), mais cela incluait tous les décès dus aux victimes, à l’exposition, etc., dans les guerres abyssiniennes, afghanes, zoulou, du Transvaal et autres petites guerres.

Ainsi, le physique supérieur de nos soldats et marins, ainsi que les conditions sanitaires dans lesquelles ils vivent, se manifestent pleinement dans une mortalité par maladie seulement environ la moitié de celle de la population civile adulte d’âge comparable. Si l’on tient compte de la même manière de l’influence de ces causes dans le cas de la variole, il ne reste absolument rien de l’influence protectrice alléguée de la revaccination.

Nous n’entendrons sûrement plus parler des infirmières re-vaccinées dans les hôpitaux de variole, (sur lesquelles nous n’avons pas de statistiques, mais seulement des affirmations vagues et généralement inexactes,) quand nous avons une grande expérience officiellement enregistrée à laquelle se référer, s’étendant sur 23 ans et s’appliquant à plus de 200 000 hommes, dont les résultats contredisent directement toute déclaration professionnelle et officielle quant à la sauvegarde de la revaccination.

La vaccination elle-même est une cause de maladie et de décès.

Comme on l’a maintenant montré, la vaccination est tout à fait impuissante, ni pour prévenir ni pour atténuer la variole. Mais ce n’est pas tout, car il y a de bonnes raisons de croire qu’elle est elle-même la cause de nombreuses maladies et d’une mortalité grave.

Les médecins ont longtemps nié que la syphilis puisse être transmise par la vaccination; mais ceci est maintenant universellement admis, et pas moins de 478 cas de syphilis vaccinale ont déjà été enregistrés. Mais il y a aussi de bonnes raisons de croire que de nombreuses autres maladies du sang sont transmises et augmentées par les mêmes moyens, car il y a eu depuis de nombreuses années une augmentation constante de la mortalité due à ces maladies, ce qui est terrible à envisager. Le tableau suivant donne l’augmentation de cinq de ces maladies du rapport annuel du registraire général pour 1880, (page lxxix., Tableau 34,) et il est très intéressant de noter que, dans la longue liste de maladies qu’il y a tabulée, pas d’autres, (à l’exception de la bronchite, qui suit souvent la vaccination, bien qu’elle ne soit probablement pas transmise par elle,) montrent une telle augmentation frappante et continue, tandis que la grande majorité sont soit stationnaires, soit décroissantes.

Décès annuels en Angleterre par million de vie.

On observe ici une augmentation constante de la mortalité due à chacune de ces maladies, augmentation qui, dans la somme de celles-ci, est régulière et continue. Il est vrai que nous n’avons pas et ne pouvons pas avoir de preuve directe que la vaccination est la seule cause de cette augmentation, mais nous avons de bonnes raisons de croire que c’est la cause principale. En premier lieu, il s’agit d’une vera causa, puisqu’elle inocule directement les nourrissons et les adultes, à une échelle énorme, avec toute maladie du sang qui peut exister sans que l’on s’en doute dans le système des nourrissons dont le pus vaccinal est prélevé. En second lieu, aucune autre cause adéquate n’a été invoquée pour l’augmentation remarquablement continue de ces maladies spéciales, que la diffusion de l’assainissement, de la propreté et des connaissances médicales avancées aurait dû rendre à la fois moins fréquentes et moins mortelles.

L’augmentation des décès dus à ces cinq causes, de 1855 à 1880, dépasse le total des décès dus à la variole au cours de la même période ! De sorte que même si cette dernière maladie avait été totalement abolie par la vaccination, la mortalité générale aurait été augmentée, et il y a de nombreuses raisons de croire que l’augmentation peut avoir été causée par la vaccination elle-même.

Partie II. Mortalité comparée des vaccinés et des non vaccinés.

Dans son discours à la Chambre des communes, le 19 juin 1883, Sir Lyon Playfair a fait la déclaration suivante : « Une analyse de 10 000 cas dans les hôpitaux métropolitains montre que 45% des patients non vaccinés meurent, et 15% seulement. des patients vaccinés » ; et il a en outre montré que des statistiques d’un caractère similaire avaient été publiées dans d’autres pays. Mes lecteurs objecteront sans doute que ces statistiques, si elles sont exactes, sont une preuve complète de la valeur de la vaccination; et on s’attendra à ce que je montre qu’ils sont incorrects ou que j’abandonne toute l’affaire. C’est ce que je suis prêt à faire; et je m’engage maintenant à prouver — premièrement, que les chiffres donnés ici ne sont pas fiables; et, deuxièmement, que ces statistiques donnent nécessairement de faux résultats à moins qu’elles ne soient classées en fonction de l’âge des patients.

Les pourcentages de vaccinés et non vaccinés ne sont pas fiables.

Le simple fait de la mort de la variole est facilement établi et a été enregistré avec précision pendant de nombreuses années.

Mais, que la personne décédée ait été vaccinée ou non, est un fait difficile à déterminer, car la variole confluente (qui seule est généralement mortelle) efface les marques de vaccination dans la plupart des cas, et le décès est alors généralement enregistré parmi les non vaccinés ou douteux. Pour cette seule raison, le dossier officiel — vacciné ou non vacciné — n’est pas du tout digne de confiance et ne peut faire l’objet d’une enquête statistique précise.

Mais il y a d’autres raisons pour lesquelles la comparaison des décès de ces deux classes est sans valeur. Les décès enregistrés comme non vaccinés comprennent :

  1. Nourrissons qui meurent avant l’âge de la vaccination, et qui, par conséquent, n’ont pas de classe correspondante parmi les vaccinés, mais parmi lesquels la mortalité par variole est la plus élevée.
  2. Enfants trop faibles ou malades pour être vaccinés, et dont la faible vitalité rend toute maladie grave mortelle.
  3. Un nombre important mais inconnu de la population criminelle et nomade qui échappe aux agents de vaccination. Ceux-ci sont souvent mal nourris et vivent dans les conditions les plus insalubres; ils sont donc particulièrement susceptibles de souffrir d’épidémies de variole ou d’autres maladies zymotiques.

C’est par l’union aveugle de ces trois classes, ainsi que de celles classées à tort comme non vaccinées en raison de l’effacement de marques ou d’un autre défaut de preuve, que le nombre de décès enregistrés « non vaccinés » est gonflé bien au-delà de ses véritables proportions, et la comparaison avec ceux enregistrés « vaccinés » rendus totalement indignes de confiance et trompeurs.

Il ne s’agit pas d’une simple déduction, car il existe de nombreuses preuves directes que les enregistrements « non vaccinés » et « aucune déclaration » dans les rapports du Greffier général sont souvent erronés. Comme l’argument principal en faveur de la vaccination repose sur cette classe de faits, il convient de donner ici quelques exemples des preuves auxquelles il est fait référence.

  1. M. A. Feltrup, d’Ipswich, donne le cas d’un garçon âgé de 9 ans, décédé de la variole, et a été enregistré dans le certificat comme « non vacciné ». Une recherche dans le registre des vaccinations réussies a révélé que le garçon, Thomas Taylor, avait été vacciné avec succès le 20 mai 1868 par W. Adams. (Suffolk Chronicle, 5 mai 1877.)
  2. Dans « Notes sur l’épidémie de variole à Birkenhead, 1877 ». Par Fras. Vacher, M.D., (p. 9.,) nous trouvons ce qui suit : « En ce qui concerne les patients admis à l’hôpital de la fièvre ou traités à domicile, ceux entrés comme vaccinés présentaient des cicatrices incontestables, comme l’attestent des témoins médicaux compétents, et ceux inscrits comme non vaccinés étaient admis non vaccinés ou sans la moindre marque. ou leurs amis qu’ils avaient été vaccinés ne comptaient pour rien, car environ 80 pour cent des patients inscrits dans la troisième colonne du tableau («inconnu») ont été signalés comme ayant été vaccinés dans l’enfance.  »
  3. Compte tenu de cet aveu important, nous avons la déclaration suivante dans le Dr Russell’s Glasgow Report, 1871-2 (p. 25) : « On disait parfois que des personnes étaient vaccinées, mais aucune marque n’a pu être vue, très fréquemment en raison de l’abondance de l’éruption. Dans certains cas de ceux qui ont récupéré, une inspection avant renvoi a révélé des marques de vaccin, parfois très bonnes ».
  4. Dans le retour des naissances et des décès du registraire général pour Londres, pour la semaine se terminant le 13 octobre 1883, trois décès de variole sont enregistrés au Metropolitan Asylums Hospital à Homerton, et ils sont déclarés être sur trois enfants non vaccinés — un, quatre et neuf ans respectivement — tous de 3, Medland Street, Stepney. Sur ce, la mère de deux des enfants a déclaré que le retour n’était pas vrai. Elle déclare : « Tous mes cinq enfants ont été magnifiquement vaccinés. Mes trois fils ont été attaqués par la variole; les deux plus jeunes sont morts, l’aîné va mieux. » (Signé) Ann Elizabeth Snook, 3, Medland Street, Stepney, 23 octobre 1883. Un compte rendu complet de cette affaire a été publié dans le Bedfordshire Express par M. A. Stapley, ainsi que dans le Vaccination Enquirer de décembre 1883.
  5. En 1872, M. John Pickering, de Leeds, a soigneusement enquêté sur un certain nombre de cas déclarés « non vaccinés » par les médecins de l’hôpital de la variole de Leeds, recherchant les parents, examinant les patients s’ils étaient vivants, ou obtenir le certificat de vaccination s’ils étaient décédés. Le résultat a été que 6 patients, inscrits comme « non vaccinés » et encore vivants, se sont avérés avoir de bonnes marques de vaccination; tandis que 9 autres qui étaient décédés et dont le décès avait été enregistré comme « non vaccinés » se sont avérés avoir été vaccinés avec succès. En plus de ceux-ci, il a été prouvé que 8 cas avaient été vaccinés, certains trois ou quatre fois, mais sans succès, et 4 autres ont été déclarés « inaptes à être vaccinés », mais tous ont été déclarés comme « non vaccinés ». Les détails complets de cette enquête se trouvent dans une brochure de M. Pickering, publiée par F. Pitman, 20 ans, Paternoster Row, Londres.
  6. Comme autre preuve corroborante de la non-fiabilité de tous les dossiers sur le sujet émanant de médecins, la citation suivante d’un article sur les « Certificats de décès », dans le Birmingham Medical Review de janvier 1874, est importante; les italiques sont les miens : « Dans les certificats que nous délivrons volontairement, et auxquels le public a accès, il n’est guère à prévoir qu’un médecin donnera des opinions qui peuvent se prononcer contre lui-même ou se refléter de quelque manière que ce soit. dans de tels cas, il dira très probablement la vérité, mais pas toute la vérité, et attribuera un symptôme important de la maladie à la cause du décès. Comme exemples de cas pouvant être opposés au médecin lui-même, je mentionnerai l’érysipèle de la vaccination, et la fièvre puerpérale. Un décès de la première cause est survenu il n’y a pas longtemps dans ma pratique, et bien que je n’avais pas vacciné l’enfant, pourtant dans mon désir de préserver la vaccination de tout reproche, j’en ai omis toute mention de mon certificat de décès. »

Les faits illustratifs maintenant donnés ne peuvent être supposés être exceptionnels, surtout si l’on considère la grande quantité de temps et de travail nécessaire pour les mettre en lumière; et pris en rapport avec les admissions stupéfiantes d’hommes médecins, dont des exemples viennent d’être donnés, ils prouvent qu’aucune dépendance ne peut être placée sur les registres officiels des proportions de vaccinés et non vaccinés parmi les malades de la variole; tandis que, si la méthode d’enregistrement de M. Vacher est habituellement suivie, environ 80 pour cent. parmi ceux classés par le Greffier général sous la rubrique « aucune déclaration », leurs parents ou amis ont réellement déclaré avoir été vaccinés.

Nos statistiques hospitalières donnent nécessairement de faux résultats.

Mais une question encore plus grave reste à considérer, et c’est une preuve frappante de la preuve brute et imparfaite sur laquelle la question importante de la valeur de la vaccination a été décidée, que le point en question a été entièrement ignoré par tous les avocats anglais de la vaccination, bien qu’elle implique un principe élémentaire de la science statistique.

Ce point est que même si les registres de nos hôpitaux, « vaccinés » et « non vaccinés », étaient strictement corrects, il peut être démontré que de vrais résultats ne peuvent en être déduits sans une comparaison de la mortalité des vaccinés et des non vaccinés à âges correspondants, et ces informations ne sont pas fournies par nos déclarations officielles.

Cependant, la comparaison requise a été faite sur une population d’environ 60 000 habitants, composée des fonctionnaires et des ouvriers employés sur les chemins de fer impériaux autrichiens, par le médecin-chef, le Dr Leander Joseph Keller; et ses résultats au cours des années 1872-3 sont si importants qu’il est nécessaire d’en donner un bref résumé.

  1. Il est démontré que le taux de mortalité des patients atteints de variole est le plus élevé au cours de la première année de vie, diminue ensuite progressivement entre la 15e et la 20e année, puis remonte à la vieillesse; suivant donc exactement la même loi que la mortalité générale.
  2. Le taux de mortalité par variole, parmi plus de 2 000 cas, était de 17,85%. des cas, en étroite concordance avec l’avarie commune. Celui des non vaccinés était de 23,20%, tandis que celui des vaccinés n’était que de 15,61%.
  3. Ce résultat, apparemment si favorable à la vaccination, se révèle être entièrement dû à l’excès de non-vaccinés au cours des deux premières années de la vie, et être un fait purement numérique sans aucun rapport avec la vaccination. Ceci est prouvé comme suit : En prenant, tout d’abord, tous les âges au-dessus de 2 ans, le taux de mortalité des vaccinés est de 13,76, et des non vaccinés 13,15, presque exactement les mêmes, mais avec un léger avantage pour les non vaccinés.

En prenant maintenant les deux premières années, le taux de mortalité est le suivant :

Première année de vie —— Vacciné: 60,46 / Non vacciné: 45,24
Deuxième année de vie —– Vacciné: 54,05 / Non vacciné: 38,10

Ainsi, le taux de mortalité de la variole est en fait moindre pour les non-vaccinés que pour les vaccinés chez les nourrissons, et égal pour tous les âges supérieurs; pourtant la moyenne de l’ensemble est plus élevée pour les non-vaccinés, simplement en raison de la plus grande proportion de non-vaccinés aux âges auxquels la mortalité est la plus élevée universellement.

Il est donc clair que toute comparaison de la mortalité par variole des vaccinés et des non vaccinés, sauf à des âges strictement correspondants, conduit à des conclusions entièrement fausses.

Ce fait curieux et important peut peut-être être rendu plus facilement intelligible par une illustration. Prenons l’ensemble de la population jusqu’à 20 ans et divisons-la en deux groupes : ceux qui vont à l’école et ceux qui ne le font pas. Si la mortalité par variole de ceux-ci était enregistrée séparément, elle serait beaucoup plus élevée chez les non-scolarisés, — composé principalement de nourrissons, et d’enfants trop faiblement pour être envoyés à l’école, parmi lesquels la mortalité est toujours très bon, à tel point qu’un médecin de grande expérience — le Dr. Vernon, de Southport — a déclaré qu’il n’avait jamais vu un enfant de moins d’un an se remettre de la variole. Mais nous devrions sûrement penser à une personne stupide ou folle qui prétend, à partir de ces statistiques, que la scolarité est une protection contre la maladie et que les écoliers forment une « population protégée ». Pourtant, cela est exactement comparable au raisonnement de ceux qui invoquent la plus grande mortalité chez les patients de tous âges non vaccinés contre la variole, comme l’argument le plus fort en faveur de la vaccination !

Les bonnes statistiques et les bons arguments ne peuvent pas être contrariés, ni même affaiblis, par ceux qui sont mauvais. J’ai maintenant montré que l’argument principal invoqué par nos adversaires repose sur des statistiques tout à fait erronées, inexactes au départ et mal interprétées par la suite. Celles que j’ai utilisées, en revanche, sinon absolument parfaites, sont pourtant les meilleures et les plus dignes de confiance qui existent. Je demande aux statisticiens et aux hommes au jugement sans faille de choisir entre eux.

Conclusion de la preuve.

Le résultat de cette brève enquête peut être ainsi résumé :

  1. La vaccination ne diminue pas la mortalité de la variole, comme le montrent les 45 années de statistiques du Greffier général, et les décès dus à la variole de nos soldats et marins « re-vaccinés » étant aussi nombreux que ceux de la population masculine du même âge de plusieurs de nos grandes villes, bien que les premiers soient des hommes cueillis et en bonne santé, tandis que les seconds comprennent plusieurs milliers de personnes vivant dans les conditions les plus insalubres.
  2. Bien qu’ainsi totalement impuissante pour de bon, la vaccination est une certaine cause de maladie et de décès dans de nombreux cas, et est la cause probable d’environ 10000 décès par an par cinq maladies inoculables du caractère le plus terrible et le plus dégoûtant, qui ont augmenté à cette ampleur, régulièrement, d’année en année, depuis que la vaccination est imposée par les lois pénales !
  3. Les statistiques hospitalières, montrant une plus grande mortalité des non-vaccinés que des vaccinés, se sont avérées non fiables; tandis que les conclusions qui en sont tirées se révèlent nécessairement fausses.

Si ces faits sont vrais ou quelque chose de proche de la vérité, l’application de la vaccination par amende et l’emprisonnement des parents réticents est un despotisme cruel et criminel, qu’il appartient à tous les vrais amis de l’humanité de dénoncer et de s’opposer à chaque occasion.

Une telle législation, impliquant comme elle le fait, notre santé, notre liberté et notre vie même, est une question trop grave pour pouvoir dépendre des inexactitudes des fonctionnaires intéressés ou des dogmes d’une clique professionnelle. Certaines des inexactitudes et une partie de l’ignorance sur lesquelles vous vous êtes appuyés ont été exposées ici. La preuve statistique sur laquelle seul un jugement vrai peut être fondé est aussi ouverte à vous qu’à n’importe quel médecin du pays. Par conséquent, nous exigeons que vous, nos représentants, vous acquittiez de votre devoir solennel à notre égard dans cette affaire, en y consacrant une enquête personnelle et des recherches minutieuses; et si vous trouvez que les principaux faits tels qu’énoncés ici sont substantiellement corrects, nous vous demandons de réparer sans délai le mal que vous avez fait.

PAR CONSÉQUENT, NOUS EXHORTONS SOLENNELLEMENT L’ABROGATION IMMÉDIATE DES LOIS PÉNALES INITIALES PAR LESQUELLES NOUS ONT FORCÉ UNE OPÉRATION DANGEREUSE ET INUTILISABLE — UNE OPÉRATION QUI A CERTAINEMENT CAUSÉ BEAUCOUP DE DÉCÈS, QUI EST PROBABLEMENT LA CAUSE D’UNE MORTALITÉ PLUS GRANDE QUE LA VARIOLE ELLE-MÊME, MAIS QUI NE PEUT PAS ÊTRE PROUVÉ AVOIR JAMAIS SAUVÉ UNE SEULE VIE HUMAINE.

Statistiques d’enregistrement de quarante-cinq ans. Une correction. (1895)

Monsieur, – Tout en remerciant mon ami M. Alex. Wheeler pour ses références trop élogieuses au peu que j’ai fait pour la cause de la liberté en ce qui concerne la tyrannie des lois de vaccination, je souhaite faire une remarque sur une partie de son article qui donne une impression erronée. M. Wheeler dit qu’il ne pouvait pas être d’accord avec ma conclusion selon laquelle « la vaccination a peut-être causé plus de décès que la variole elle-même ». Cela ne m’étonne pas, car je n’accepte pas moi-même une telle déclaration, qui n’est certainement pas la mienne. Mes mots, soigneusement choisis, sont : « une opération qui a causé de nombreux décès, qui est probablement la cause d’une mortalité plus grande que la variole elle-même » — et j’attire l’attention sur le changement par rapport au passé dans la première partie de la passage au présent — « est probablement la cause » — dans la dernière partie. Cela signifie clairement, non pas que « la vaccination a peut-être causé plus de décès que la variole » — comme le dit M. Wheeler, sans aucune limitation de temps, ce qui serait bien sûr une absurdité — mais que, à l’heure actuelle, résultat de la vaccination générale depuis une cinquantaine d’années, il est peut-être à présent la cause de plus de décès que la variole. Cette conclusion est tirée du tableau de la mortalité en augmentation constante due à certaines maladies inoculables (page 24 de ma brochure), dont l’augmentation, en trente ans (1850-1880), était de 357 par million (augmentation qui se poursuit depuis), tandis que les décès dus à la variole n’ont pas, depuis de nombreuses années, représenté en moyenne plus d’un cinquième de ce montant. Si, par conséquent, un quart seulement de l’augmentation importante et régulière de ces maladies est dû à la vaccination, alors ma conviction que la vaccination est maintenant la cause d’une mortalité plus grande que la variole elle-même est pleinement justifiée; et dans l’affirmation que c’est « probablement » le cas, je ne pense pas que je me trouverai en minorité parmi les lecteurs de l’Inquirer. Cet effet indirect de la vaccination est encore accru par ses effets directs, qui sont maintenant connus pour être beaucoup plus terribles et pour produire une mortalité bien plus grande que ce qui était auparavant soupçonné ou admis.

Je souhaite profiter de l’occasion pour demander à ceux de vos lecteurs qui pourraient avoir des exemplaires de ma brochure d’effacer de la ligne 11 à la page 21, à la ligne 9 à la page 22, 2e édition (ou, dans la première édition, à partir de la ligne 8 à la page 20 à la ligne 4 de la page 21 – Ed. VI), car les chiffres et les conclusions y figurant sont erronés.