Cauchemar ou manipulation en Inde ? Les Indiens sont-ils victimes de fêtes religieuses, de variants ou de la vaccination ?

Par Alain Tortosa

Les journaux français tournent en boucle et nous alertent sur une situation devenue incontrôlable. Le «journal» Le Monde(([1] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/19/c-est-un-cauchemar-en-inde-new-dehli-reconfinee-face-a-la-flambee-de-l-epidemie-de-covid-19_6077269_3244.html)) titrait le 19 avril :

« C’est un cauchemar : en Inde, New Delhi reconfiné face à la flambée de l’épidémie de Covid-19. »

Analysons les données du gouvernement indien à Delhi…(([2] https://www.covid19india.org/state/DL))

La ville compte un peu moins de 20 millions d’habitants.

Il y a eu officiellement 900 000 positifs en ville depuis le début de la crise, soit 4,6% de la population qui a croisé le virus.

À titre de comparaison, la France comptait au 21 avril un cumul de 8% de positifs(([3] https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees)) soit presque deux fois plus qu’à Delhi, la fameuse ville au bord du gouffre !

Cela s’est traduit par un total de 12 638 décès à Delhi sur 2 saisons, soit 638 décès par million d’habitants.

Manipulation numéro 1

Le taux de mortalité à Delhi du Covid est de 638. Il est de 132 pour l’ensemble de l’Inde(([4] https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&pickerSort=asc&pickerMetric=location&hideControls=true&Metric=Confirmed+deaths&Interval=Cumulative&Relative+to+Population=true&Align+outbreaks=false&country=FRA~IND))

Et de 1487 en France !

Il y a donc plus deux fois plus de décès en France par habitant qu’à Delhi et dix fois plus de décès en France qu’en Inde…

À nombre de morts par habitant équivalant, la France devrait compter aujourd’hui plus d’un million de décès du Covid !

Les «vrais» malades

Les autorités sanitaires indiennes font la différence entre les personnes positives et les cas « actifs », les malades actuels, j’imagine.

Si l’on se réfère à cette donnée, il y avait au 20 avril, 85 575 Covid « active » à Delhi soit 0,43% de la population !

Autre donnée intéressante, le taux de patients « actifs» ramené au nombre cumulé de personnes positives qui est de 9,5%… donc sur 100 positifs, 9 sont actuellement infectés !

Mais hier sur 86 000 tests effectués, 28 395 se sont révélés positifs !

Manipulation numéro 2

Cela correspond à un taux de positivité de 32,82% pour un échantillon de 0,44% de la population.

Ce qui a permis à un «journaliste »de Cnews de déclarer le 21 avril à 11h10 :

« À New Delhi, un habitant sur trois est positif ! ».

Cette affirmation est mathématiquement vraie, mais relève d’une totale manipulation.

En premier lieu, 28 395 positifs correspondent à 0,14% de la population !

Enfin, si l’on se réfère à la seule donnée intéressante, soit le nombre total de cas actifs, il n’y a que 0,43% de la population qui serait malade actuellement à Delhi !

Ce taux de positivité de 33% ne reflète absolument pas la situation de Delhi qui, je le répète, ne compte que 0,43% de malades !

Les décès à Delhi

Comme indiqué en début de document, le nombre de décès à Delhi et en Inde est faible, voir ridiculement faible par rapport à la France.

Mais il y a néanmoins une hausse exponentielle du nombre de décès journaliers qu’il est possible de visualiser sur la courbe suivante :

Entre le 6 février et le 21 mars 2021, l’épidémie avait totalement disparu de Delhi pour prendre depuis une forme visiblement exponentielle à partir du 10 avril.

Pourquoi cette augmentation ?

Les médias ne manquent pas de parler de variants et même désormais de «variantsdoublementmutants»et bien sûr du relâchement de la population pour expliquer le phénomène !

Je vous rappelle une règle d’or édictée par la Sainte Église du Coronavirus qui dit que :

« Lorsque l’épidémie de Covid empire c’est toujours la faute à la population et que lorsque celas’améliore, c’est grâce aux mesures gouvernementales. »

Pour illustrer la culpabilité du public, un article extraordinaire a même été publié dans le BMJ(([5] https://www.bmj.com/content/372/bmj.n854))

Cet article s’étonnait de l’augmentation des cas malgré la campagne de vaccination… question pour le moins pertinente.

Et voici quelles étaient les conclusions :

Le coupable désigné est le Kumbh Mela.(([6] https://www.tourmyindia.com/kumbhmela/bathing-dates.html))

Cette fête religieuse réunit des millions de fidèles qui se purifient dans le Gange. Voici les dates en 2021 ;

Covid-19: India sees new spike in cases despite vaccine rollout

Le début des festivités a eu lieu le 14 janvier alors même que les décès à Delhi n’ont repris que le 22 mars pour devenir réellement importants à partir du 10 avril soit plus de 3 mois après.

Je vous rappelle que lors de la vraie épidémie en France en mars 2020 le délai médian entre la contamination et le décès était d’environ 20 jours.

Manipulation numéro 3

Le nombre de décès à Delhi ne peut s’expliquer par les fêtes religieuses, car ils se produisent 60 jours après le début des fêtes et deviennent importants 90 jours après.

En 2020, la première vague de Covid a eu lieu à Delhi le 11 mai, rien entre janvier et mai. Bref l’hypothèse des fêtes est totalement ridicule et d’autant plus que j’ai du mal à imaginer les gestes barrières et le changement de masque tous les 4 heures dans une ville surpeuplée de 20 millions d’habitants.

Raison garder

Le «cauchemar»à Delhi rapporté par les «journalistes».

Une étude de 2015 estime que 80 personnes meurent chaque jour, soit 29 000 par an à Delhi, de la pollution.(([7] https://www.downtoearth.org.in/news/delhi-loses-80-lives-to-air-pollution-every-day-says-study-50222))

Si l’on compare cette donnée aux 10 536 décès du Covid en 2020 à Delhi, on constate que le Covid représenterait un tiers des décès dus à la pollution (36%)!

Le taux de mortalité8 en 2019 est de 7,29 décès pour 1 000 habitants à Delhi, soit 144 400 morts. 10% des décès soit 14 400 morts sont par septicémie selon les dernières données officielles (cequirenseigneassezbiensurl’hypothèseridiculedesgestesbarrièresàDelhi). 1,4 fois plus de morts par septicémie que du Covid !

Manipulation numéro 4

L’augmentation du nombre de décès à Delhi ne peut s’expliquer par un relâchement des gestes barrières dès lors qu’il y a plus de décès par septicémie en temps normal que par Covid ! La notion de gestes barrières en Inde est totalement ridicule !

La vaccination

Big Pharma fait tout pour empêcher médias et scientifiques corrompus de poser, ne serait-ce que l’hypothèse, que l’augmentation des décès pourrait être causée par la vaccination.

Pour autant, dès lors que les «vaccins» seraient efficaces contre la souche du mois de mars 2020, il serait logique qu’ils bloquent principalement le virus d’origine et qu’ils soient moins performants

(([8] http://des.delhigovt.nic.in/wps/wcm/connect/4ac53080409a01a58f3ebfa50c073453/vital_annual_19.pdf?MOD=AJPERES&lmod=-108668931&CACHEID=4ac53080409a01a58f3ebfa50c073453&Annual%20Report%20of%20Registration%20of%20Births%20and%20Deaths%20in%20Delhi%202019))

pour les variants…

La vaccination ne peut donc QUE favoriser l’émergence de variants… Regardons la courbe des vaccinations journalières à Delhi.

La vaccination à Delhi débute à la mi-janvier pour atteindre 5% de vaccinés vers le 20 mars, période qui correspond au début de la recrudescence des décès.

Le 10 avril, alors que la courbe de décès journaliers devient exponentielle, nous assistons au pic du nombre de doses journalières administrées soit 105 918 doses.

À cette date, 10% des habitants sont vaccinés.

Autre point intéressant :

Le nombre de vaccinations journalières n’a cessé de diminuer depuis, aussi bien à Delhi que dans toute l’Inde.

Sommes-nous dans l’hypothèse d’une pénurie de vaccins (alors même que l’Inde produit son proprevaccin et que la situation devient « dramatique ») ou les autorités auraient-elles pris conscience d’une dangerosité potentielle de son vaccin qui au lieu de sauver des vies, provoquerait des variants et des morts ?

Que conclure provisoirement sur la situation en Inde ?

  • L’hypothèse des célébrations religieuses ou du relâchement des gestes barrières est totalement honteuse et ridicule.
  • L’augmentation des cas et des décès est parfaitement corrélée avec la montée en puissance de la vaccination et l’arrivée d’un nouveau variant indien.
  • Les autorités ont étrangement ralenti la campagne de vaccination.

Quid d’autres pays à forte vaccination ?

  • La Hongrie a connu une explosion de son taux de mortalité dès lors que 6% de la population a été vaccinée par le vaccin chinois (vaccin classique). Son taux de mortalité a doublé depuis la vaccination massive.
  • Le Brésil voit apparaître une explosion de son taux de mortalité le 3 mars quand le pourcentage de vaccinés dépasse les 4,36% de la population. Le vaccin est aussi un dérivé du vaccin chinois.
  • L’Inde a ce même problème avec son propre vaccin qui est aussi un vaccin classique.

Il est donc intéressant de constater que dans ces 3 cas nous avons affaire à des vaccins classiques.

Dangerosité ou innocuité des thérapies géniques expérimentales ?

Nous ne constatons pas de liens entre la vaccination et la mortalité en France, pays dans lequel les « vaccins» administrés sont ARN messager ou adénovirus OGM.

« Est-ce à dire que les thérapies géniques à ARN messager seraient à court terme moins létales ? »

Il est extrêmement difficile de répondre à cette question :

  • Nous voyons par exemple qu’Israël truque ses données de mortalité sur le site Euromomo.
  • La France a fait le choix de vacciner plutôt des personnes à risque, et donc à espérance de vie réduite, avec de l’ARN messager et il n’y a pas encore une vaccination de masse pour les personnes jeunes et en bonne santé dont, je le rappelle, le risque de décès du Covid est NUL ! À la différence de l’Inde où la population est jeune, âge médian 26 ans.
  • 90% des morts du Covid en France sont des faux morts, des personnes décédées positives au Covid ou même avec un soupçon de Covid.

Partons de l’hypothèse de 300 morts officiels par jour.

Nous pouvons déduire que 30 personnes (et même moins) sont réellement décédées du Covid par jour.

Doublons la mortalité du fait de thérapies géniques massives dans une population jeune…

Il n’y aurait que 60 décès au total… et cette augmentation, si elle était répercutée, se traduirait par 10% de plus de décès journaliers (300+30=330parjour).

Avec la fluctuation des faux morts, il est très possible qu’elle soit alors totalement statistiquement invisible.

Mais dès lors que la vaccination passera à une vaccination de masse pour une population en bonne santé, rien ne dit que le drame ne se produira pas. Nous constatons que le nombre de morts des 20 à 29 ans a doublé en France depuis début janvier.

Pour résumer la situation indienne:

  • Il y a une augmentation réelle de la mortalité.
  • Pour autant, l’Inde déplore officiellement deux fois moins de décès que la France.
  • Cette augmentation ne peut PAS s’expliquer par les fêtes religieuses ou une diminution des gestes barrières
  • L’accroissement du nombre de morts coïncide parfaitement avec la montée en puissance de la vaccination.
  • Étrangement, l’Inde a fortement diminué sa campagne de vaccination depuis 10 jours.
  • Des pays qui vaccinent avec des vaccins classiques comme le Brésil ou la Hongrie subissent ce même «hasard»de calendrier.
  • Les pays qui ont fait le choix de l’ARN messager ne semblent pas subir le problème. Soit parce que les thérapies géniques seraient moins dangereuses.

Soit parce qu’ils vaccinent essentiellement des personnes âgées à risque. Soit parce que les effets dévastateurs apparaîtront à plus long terme.

Soit parce que les autorités des pays concernés manipulent les données et camouflent les décès.

Alors que nous pouvions imaginer le contraire, se vacciner aujourd’hui avec un produit plus

« classique » semble pour le moins totalement déraisonnable.

Je vous rappelle qu’aucun vaccin contre des coronavirus n’a jamais fonctionné et que les essais de vaccins contre les coronavirus sur les animaux ont été dévastateurs.

Merci.

Alain Tortosa.

21 avril 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210421-inde-cauchemar-ou-manipulation.pdf





Covid 19 : ceci n’est pas une crise !

[Source : Le Journal du Médecin.com (lejournaldumedecin.com)]

Par Dr Daniel Murillo et Caroline Watillon

(Le Dr Daniel Murillo, gynécologue dans un hôpital public et Caroline Watillon, militante de la société civile et professionnelle dans le secteur du social-santé, posent une série de questions qui fâchent…)

"Covid 19 : ceci n'est pas une crise !"
© belga

Partie 1 : notre santé est-elle une priorité ?

Quotidiennement les médias de masse déversent les chiffres macabres du Covid. Au 28 décembre 2020, un an après le début de l’épidémie, 1.829.800 décès ont été attribués au virus à l’échelle mondiale[1], pourtant aucun body count journalier pour les 2,8 millions de personnes qui décèdent d’obésité sur une année – l’OMS parle d’épidémie mondiale[2] ; les 7 millions de décès dus à La pollution atmosphérique[3] ; les 7 autres millions de faim et de malnutrition – David Beasley parle de pandémie à venir[4] ; ou des 8 millions de morts de l’industrie du tabac, dont 1,2 millions sont dus au tabagisme passif[5]. Pour ces risques, la fabrique de l’ignorance[6] a fait son travail et personne n’a jamais fermé les chaînes de malbouffes ou réglementé le contenu des cigarettes[7]. Alors, comment sont définies et évaluées les politiques en matière de santé ? Si 2 millions de morts ponctuels Covid justifient la mise en place de mesures qui limitent les droits et libertés, pourquoi les 8 millions de morts annuels du tabac restent sans réaction ? Cela suggère que c’est davantage le risque de saturation des services de santé, que les taux de mortalité, qui guident les politiques sanitaires. Et il est, certes, plus commode d’avoir un virus comme ennemi, que les grands groupes industriels, les habitudes de consommation ou la qualité de vie des personnes.

Pour les risques liés aux  » maladies de civilisations  » – cancers, diabète, maladies cardio-vasculaire, obésité, etc. – il n’y a pas d’investissement à la hauteur des enjeux. Pire, cela fait 30 ans que les politiques privatisent et sous-financent les soins de santé[8]. Alors que notre pyramide des âges est de plus en plus vieillissante et que l’espérance de vie ne cesse d’augmenter[9], les lits aigus ont été fermés par milliers[10] ; le travail des soignant.es minuté, officiellement pour être rentable, officieusement par la saturation des services ; les fonctions d’infirmières et d’aides-soignantes sont dévalorisées et sous-payées en regard des conditions de travail – la prise en charge des patients se veut la moins chère possible.

Ce désinvestissement dans la santé est d’autant plus dangereux que, sous couvert de croissance et des libertés individuelles – d’entreprendre et de consommer – nos modèles économiques impactent négativement notre santé à bien des égards, piétinent l’environnement naturel et favorisent l’émergence de maladies. En rejoignant le concept du One Health , la Belgique reconnaît pourtant que la bonne santé doit être humaine, animale et environnementale pour un meilleur contrôle des maladies à risque pandémique au sens large. Pourtant les politiques générales, en matière de santé ou de gestion de l’épidémie, ne répondent pas à la globalité de la situation.

Partie 2 : le confinement – une mesure temporaire et archaïque

En 2015, Anna Salvetti et Sylvain Baize lançaient déjà l’alerte :  » On observe depuis les dernières décennies une amplification de ces phénomènes – les zoonoses NDLR. […] Il ne reste qu’à souhaiter que les agences de financement nationales, européennes et internationales donneront les moyens aux chercheurs de relever ce défi, sans attendre qu’une nouvelle émergence défraie la chronique. « Face à cette menace prévisible, sans doute par mimétisme, notre pays nous a d’abord confinés. C’était sans compter qu’il n’allait pas construire des hôpitaux en 10 jours, réquisitionner l’armée, du personnel et du matériel médical, généraliser le testing ou mener une campagne de vaccination un rien rigoureuse [5,4 % de la population était complètement vaccinés au 12/4/2021] Depuis un an, alors que le confinement est une mesure par définition temporaire, c’est devenu l’une des principales politiques pour aplatir les courbes. À ce sujet, Jean-Loup Bonnamy, interviewé par Eddy Caekelberghs, critique une gestion trop émotionnelle et se demande comment des sociétés aussi développées en viennent à faire l’usage de cette méthode moyenâgeuse – cf. la gestion des épidémies de peste ou de choléra. Pendant ce temps-là, nos gouvernements continuent à fermer ou ouvrir les robinets de l’enseignement, de la culture, de l’HoReCa, des métiers de contacts et se justifient par un discours froid, statistique qui joue sur nos peurs et nos émotions. Si dans l’urgence on peut comprendre les restrictions des libertés individuelles et le lockdown économique pour prévenir les défaillances de notre système de soins, cette approche est inaudible quand elle reste la même après plus d’un an de présence du virus. En février 2021, Le Vif nous donne la facture Covid pour la Belgique, elle est sans appel : déjà 33 milliards d’euros[16] ! Ne serait-il pas temps d’investir dans des mesures pertinentes et pérennes ? Il existe des pistes alternatives sérieuses à étudier avant que la confiance avec les citoyen.nes ne soit définitivement rompue. À titre d’exemple, Jean-Loup Bonnamy et Renaud Girard, dans l’ouvrage Quand la psychose fait dérailler le monde, incitent les autorités à lever les mesures de confinement et à identifier et surprotéger les personnes à risques : testing 2x/semaine, distribution gratuite de FFP2, quarantaine des personnes contaminées, traitements précoces…[17] ; chez nous, Caroline Vandermeeren propose encore d’autres pistes[18] ; encore hier, trois experts remettent en cause la stratégie belge de gestion de crise et plaident pour une réouverture contrôlée de tous les secteurs[19]. La créativité ne serait-elle pas un meilleur ressort que la peur ?

Ceci n’est pas une crise mais le symptôme d’une société malade de son développement

Soulignons que les mesures Covid sont à l’avantage des grands acteurs de l’économie mondiale – à l’heure où la crise a jeté un million de français de plus dans la pauvreté[20], les milliardaires sont plus riches que jamais[21]. Par contre elles dictent nos vies dans un sens que nous n’aurions jamais imaginé accepter. Il y a un an dans une première carte blanche, nous nous disions prêts à nous confiner pour protéger les autres mais nous avons aussi questionné le gouvernement sur sa gestion à moyen et à long terme de la crise sanitaire[22]. Force-nous est de constater que nous en sommes aujourd’hui au même point, ne comptant que sur le providentiel vaccin pour sortir de l’impasse.

Partie 3 : vers quelle loi pandémie ?

Il n’est pas trop tard pour changer de cap, mais cela devient urgent à l’heure où nous nous enfonçons dans une crise de société profonde, teintée d’autoritarisme sanitaire. Aujourd’hui nous souhaitons éviter que cette gestion improvisée ne fasse jurisprudence après le vote d’une loi pandémie, aux demandes de cette pétition citoyenne, nous y ajoutons :

  1. Un travail d’évaluation indépendant des responsabilités des autorités dans la gestion liée au Covid et la publication de résultats. Le silence assourdissant de la commission spéciale Covid-19 du Parlement fédéral instaurée en septembre 2020 est indécent alors que la population est polarisée et seule responsabilisée ;
  2. Une gestion de la crise contrôlée par le Parlement[23] et la constitution d’un organe de concertation représentatif de la société civile pour la gestion de la crise ;
  3. Un bilan factuel des coûts humains, sociétaux et financiers des mesures depuis mars 2020 ;
  4. Un refinancement structurel, adapté et pérenne des soins de santé, aujourd’hui même les banques en appellent au refinancement[24] ;
  5. La revalorisation financière et statutaire des fonctions soignantes ;
  6. Comme pour d’autres secteurs[25], que nos élus – a minima nos ministres – soient formés à la gestion en temps de crise en prévention des autres grands défis qui nous attendent sur le plan du développement humain ;
  7. La prise en charge des questions de santé publique dans toute leur transversalité, y compris celle de notre écosystème, sur le long terme et non en fonction du temps de mandat – not in my term ;
  8. Une transparence des contrats européens avec les industries pharmaceutiques et une position en faveur de la levée des brevets vaccinaux[26] ;
  9. Une communication adaptée aux différents publics qui tienne compte des déterminants de la santé. Plutôt que l’infantilisation des populations[27], nous demandons une stratégie positive de santé publique basée sur la sensibilisation des citoyens comme acteurs de leur santé.

Ceci n’est pas une crise mais le symptôme d’une société malade de son développement.

C.W. et Dr D.M.

Références

[1] https://covid19.who.int/, page consultée le 4 avril 2021

[2] https://www.who.int/features/factfiles/obesity/fr/, page consultée le 4 avril 2021

[3] https://www.who.int/mediacentre/news/releases/2014/air-pollution/fr/, page consultée le 4 avril 2021

[4] https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/12/16/la-pandemie-de-covid-19-menace-de-declencher-une-autre-pandemie-celle-de-la-faim_6063532_3232.html, page consultée le 4 avril 2021

[5] https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/tobacco, page consultée le 4 avril 2021

[6] https://www.youtube.com/watch?v=6IGVqsnxCE0, page consultée le 5 avril 2021

[7] https://www.tabac-stop.net/composition.html, page consultée le 4 avril 2021

[8] https://www.cadtm.org/IMG/pdf/les_soins_de_sante_en_belgique___de_la_privatisation_a_la_socialisation___def.pdf, page consultée le 6 avril 2021

[9] https://ec.europa.eu/eurostat/statistics-explained/index.php?title=Population_structure_and_ageing/fr, page consultée le 6 avril 2021

[10] https://www.belgiqueenbonnesante.be/fr/donnees-phares-dans-les-soins-de-sante/hopitaux-generaux/organisation-du-paysage-hospitalier/categorisation-des-activites-hospitalieres/l-evolution-du-nombre-de-lits-agrees-d-hospitalisation, page consultée le 6 avril 2021

[11] En effet, depuis un siècle, au moins 70 % des maladies émergentes ou réémergentes graves sont presque toujours des maladies zoonotiques qui peuvent être favorisées par des déséquilibres écologiques et/ou climatiques – https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(10)70312-1/fulltext , page consultée le 6 avril 2021

[12] https://www.sciensano.be/fr/sujets-sante/one-health#qu-est-ce-que-one-health-, page consultée le 5 avril 2021

[13] https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/pdf/2015/13/medsci20153112p1055.pdf, page consultée le 6 avril 2021

[14] https://datastudio.google.com/reporting/c14a5cfc-cab7-4812-848c-0369173148ab/page/hOMwB , page consultée le 4 avril 2021

[15] https://www.rtbf.be/auvio/detail_au-bout-du-jour?id=2741993, page consultée le 3 avril 2021

[16] https://www.levif.be/actualite/belgique/la-facture-corona-23-452-milliards-pour-le-federal/article-normal-1388169.html, page consultée le 4 avril 2021

[17] Bonnamy et Girard, Quand la psychose fait dérailler le monde, Collection Tracts (n° 21), Gallimard, 2020

[18] https://www.facebook.com/carovdm/posts/10164725897785058, page consultée le 13 avril 2021

[19] https://plus.lesoir.be/365823/article/2021-04-12/un-label-covid-safe-pour-sortir-du-yo-yo-des-fermetures, page consultée le 13 avril 2021

[20] https://www.rtbf.be/auvio/detail_au-bout-du-jour?id=2741993, page consultée le 13 avril 2021

[21] https://www.nouvelobs.com/economie/20210214.OBS40209/milliardaires-gafam-chine-ce-sont-eux-les-grands-gagnants-du-covid.html, page consultée le 6 avril 2021

[22] https://www.rtbf.be/info/opinions/detail_covid-19-confinement-de-la-population-oui-mais-encore-que-fait-le-gouvernement?id=10470757344 signataires dont 91 médecins, 20 membres du personnel hospitalier, 20 psychologues, page consultée le 3 avril 2021

[23] En novembre dernier, Richard Horton, rédacteur en chef de The Lancet, prestigieuse revue médicale britannique, faisait le constat de notre échec :  » Ce système typiquement belge n’a rien donné de bon, il a échoué. Nous aurions pu éviter la plupart de ces 14 000 morts – en novembre 2020 ndlr. Des gens sont décédés à cause de l’organisation politique, il faut y réfléchir  » https://www.lalibre.be/belgique/societe/le-redacteur-en-chef-de-la-revue-the-lancet-pointe-du-doigt-la-belgique-beaucoup-des-14-000-morts-auraient-pu-etre-evitees-des-gens-sont-decedes-a-cause-de-l-organisation-politique-5fb3b3e27b50a6525b634066, page consultée le 3 avril 2021

[24] https://trends.levif.be/economie/banque-et-finance/la-crise-doit-amener-une-reforme-structurelle-du-financement-des-soins-de-sante/article-normal-1358975.html, page consultée le 5 avril 2021

[25] L’aviation, le secteur bancaire, les soins de santé, l’armée, etc. préparent leurs équipes en les soumettant à des simulations de crise et à des stress tests

[26] http://europe-health-network.net/spip.php?article323?=en&fbclid=IwAR07d-bS3yxX-iLO1o1Xu3DGOLpIlfNuQxezIGD33x50-m_tQBIgMtbrnxo, page consultée le 12 avril 2021

[27] https://www.rtbf.be/auvio/detail_la-plume-de-gunzig?id=2729523&utm, page consultée le 3 avril 2021




HEUREUX TEXANS ENFIN LIBRES !

Par Nicole Delépine

La dictature sanitaire imposée depuis un an est un dramatique échec

Depuis plus d’un an, nous subissons une politique totalitaire absurde appuyée par une propagande terrorisante diffusée par tous les médias. Plus de contacts sociaux, arrêt des activités scolaires, universitaires et sportives. Interdictions de travailler pour la plupart des professionnels du spectacle, de la restauration. Astreinte à domicile de la population saine, emprisonnement des pensionnaires d’EHPAD même vaccinés, masques obligatoires même pour les enfants, même à l’extérieur, même seul en forêt ou en montagne. Et ce pour suivre une prophétie apocalyptique, sans aucune justification scientifique basée sur des faits.

Vue d’Allemagne, la France est devenue l’Absurdistan

Un an de cette expérience sociale jusqu’ici inédite montre que la prophétie de Ferguson de l’Imperial College, conseiller de B. Johnson et de l’OMS, basée sur des hypothèses inexactes, était totalement fausse, surestimant les risques réels de la maladie par presque dix. Aucun des pays qui ont refusé d’appliquer le confinement aveugle qu’il proclamait indispensable n’a subi les décès annoncés ni vu ses hôpitaux débordés.(([1] L’Hôtel Dieu sur l’ile saint Louis à PARIS vient de fermer cent lits pour tourner un fil de JJ Annaud… Que dira Castex ce soir sur le manque de lits parisiens ?))

L’analyse rétrospective des données de l’OMS prouve que ces mesures liberticides ont été totalement inefficaces sur l’épidémie. La France se situe actuellement dans le top 6 des plus fortes mortalités européennes par million d’habitants attribuées au Covid19 avec tous les autres grands pays européens qui ont appliqué cette politique de confinement aveugle (ne séparant pas les malades des biens portants). L’inefficacité de ces mesures liberticides est affirmée par toutes les études scientifiques publiées par des analystes indépendants des gouvernements qui les ont imposées et des élèves du prophète Ferguson. La comparaison avec l’évolution des pays qui ne les ont jamais appliquées comme la Suède, la Finlande, la Biélorussie qui pleurent beaucoup moins de victimes directes et collatérales que nous, est cruelle.

Conséquences dramatiques des confinements

De plus, la nocivité considérable de ces mesures est maintenant avérée avec de graves pertes de bien-être actuel et futur, dues au chômage, à la pauvreté, à l’insécurité alimentaire, à l’interruption des soins de santé préventifs, diagnostiques et thérapeutiques, à l’arrêt de l’éducation de la jeunesse, à la solitude et à la détérioration de la santé mentale et à la violence conjugale.

Ces dégâts dus au confinement sont aujourd’hui reconnus même par ceux qui en ont été les avocats comme l’expert canadien Anthony Furey(([2] Les méfaits du verrouillage sont 10 fois plus importants que les avantages
https://torontosun.com/opinion/columnists/canadian-experts-research-finds-lockdown-harms-are-10-times-greater-than-benefits/wcm/cc911cf4-fb29-4cb7-9f7e-3d39b368fb6f/amp/?)) et des membres du comité scientifique français (Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, et Denis Malvy) dans un court article au Lancet.(([3] Laetitia Atlani-Duau, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 the Lancet public health 18 février 2021 DOI VOLUME 6, NUMÉRO 4, E199-E200,1 AVRIL 2021))

« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2 ».

Leurs conclusions sont claires.

« Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start comme principale réponse à la pandémie ».

Mais la majorité des politiques ne savent pas comment abandonner cette politique catastrophique de la peur sans perdre la face ?

Il faut en effet l’honnêteté des Scandinaves pour reconnaître comme Camilla Stoltenberg, directrice générale de l’Institut norvégien de santé publique : « les résultats obtenus avec confinement ou sans confinement auraient été similaires ».

Soulignons encore l’honnêteté et le courage dont a fait preuve la Première ministre norvégienne Erna Solberg lors d’une allocution à la télévision norvégienne.

« Certaines, voire la plupart, des mesures sévères imposées, comme la fermeture des écoles, n’étaient peut-être pas nécessaires. J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur »

Il lui aurait été tellement plus facile de se glorifier d’une des plus basses mortalités européennes, attribuée au Covid19. Au 20/4/21 la Norvège compte 162 morts par millions d’habitants contre 1540 en France.

Mais reconnaître ses erreurs n’est pas une attitude habituelle de nos dirigeants

L’espoir de la sortie de crise par les vaccins s’évanouit avec les mutants

La prophétie de Ferguson prévoyait la fin du confinement avec l’arrivée d’un médicament nouveau (tel que le Remdesevir(([4] Dont l’usage pour le covid19 a été condamné depuis par l’OMS)) ) ou des vaccins. On peut même se demander si le seul but de ses colossales « erreurs » de prévision n’était pas de faire la promotion de médicaments nouveaux créant ainsi un marché mondial colossal.

Mais les vaccins, toujours expérimentaux (les premiers résultats définitifs sont espérés pour 2123), mis trop rapidement sur le marché, sont suivis de trop nombreuses complications observées même chez des personnes qui ne risquaient rien du Covid19 (les moins de 60 ans) et pour lesquelles la balance avantage risque est considérablement négative.

De plus, l’espoir de contrôler l’épidémie par les vaccins semble s’évanouir avec l’évasion immunitaire liée à l’apparition de mutants de plus en plus nombreux.(([5] Callaway E La variante COVID à propagation rapide peut échapper aux réponses immunitaires.
La nature. 2021 ; 589 : 500-501)) (([6] Hie B, Zhong ED, Berger B, Bryson B Apprendre le langage de l’évolution virale et de l’évasion.
La science. 2021 ; 371 : 284-288))

Au point que le comité scientifique le reconnaît à demi-mot :

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin.  Cette évolution, associée à l’émergence de mutants d’échappement immunitaires, a été observée non seulement avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus. Une telle évolution pourrait être assistée par le déclin de la réponse immunitaire et notamment de la réponse anticorps. L’arrivée rapide des variantes du SRAS-CoV-2 telles que les variantes identifiées pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil suggère une soi-disant évasion immunitaire naturelle. »

« Ce changeur de jeu virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, à mesure que de nouvelles variantes émergent et que l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

L’exemple de la recrudescence brutale de l’épidémie et du reconfinement récent de la population chilienne, pourtant la plus vaccinée d’Amérique latine, l’illustre clairement.

Pour retrouver sans risque nos libertés, laissons les médecins prescrire

Jamais dans l’histoire de notre pays des gouvernants n’avaient interdit aux médecins de traiter leurs malades. Ce gouvernement l’a fait ! Et cette décision sans précédent est vraisemblablement responsable de 30000 à 50000 morts de Covid19. L’Inde dont le système hospitalier est en plus mauvais état que le nôtre et qui compte le plus grand nombre de contaminés du monde a recommandé les traitements précoces par chloroquine dès avril 2020 et compte actuellement 12 fois moins de morts par millions d’habitants que nous.

Il est vrai que l’un des objectifs de santé publique de notre ministre de la Santé semble de mettre à l’écart des décisions médicales le corps médical, comme le confirme sa politique de vaccinodromes malgré l’échec de sa campagne H1N1.

Il faut oser revivre ! Suivons l’exemple du Texas

Rappelons les conclusions du rapport d’António Guterres, neuvième Secrétaire général des Nations Unies présenté le 23 avril 2020 soulignant comment les droits de l’homme peuvent et doivent guider la réponse et le rétablissement du COVID-19. Malheureusement ce rapport a été trop ignoré dans la pratique.

« Les gens — et leurs droits — doivent être au premier plan. Plus que jamais, les gouvernements doivent être transparents, réactifs et responsables. L’espace civique et la liberté de la presse sont essentiels. Les organisations de la société civile et le secteur privé ont un rôle essentiel à jouer. »

Les mesures liberticides qu’on nous impose inutilement et la propagande de la peur détruisent tout ce qui fait notre civilisation. L’homme est un animal social ; sans ces contacts nous perdons notre humanité. Osons revivre comme des hommes civilisés ; n’ayons plus peur de vivre. Redonnons espoir aux Français et tout particulièrement à notre jeunesse. Libérons-la. Libérons-nous.

Ces mesures prétendument sanitaires n’étaient pas nécessaires. La Suède, la Finlande, les Pays-Bas, la Biélorussie qui ne les ont pas imposées à leurs peuples ont une mortalité attribuée au Covid19 plus faible que la nôtre. Et les états qui s’en affranchissent ne voient pas l’épidémie revenir.

Contrairement aux « covidterroristes » qui prétendent sans preuve scientifique que l’obligation de port généralisé du masque est utile(([7] L’unique étude prospective randomisée sur le sujet Danmasq19 « Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersFREE A Randomized Controlled Trial » n’a pas pu mettre en évidence d’effet significatif protecteur du port du masque consultable à https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/m20-6817)) et qui comme Karine Lacombe affirme que sa suppression sera difficile : « ça, ce sera très compliqué, probablement pas avant 2022 », la suppression de cette obligation est sans risque et ne semble perdurer que pour alimenter la peur et la soumission.

Au Texas, le gouverneur Greg Abbott a supprimé l’obligation de port de masque, par décret le 2 mars 2021 et levé toutes les autres restrictions.

Le président Biden avait critiqué cette décision en la qualifiant de « pensée néandertalienne » et le directeur du CDC Fauci prévoyait que la mortalité allait exploser.

Pourtant la réouverture des écoles et universités, des commerces et des compétitions sportives au public ne s’est pas accompagnée de recrudescence de l’épidémie ! Au contraire, depuis la reprise d’une vie normale, la mortalité quotidienne attribuée au Covid19 diminue au Texas, alors que ce n’est pas toujours le cas dans les états qui vaccinent largement et maintiennent les restrictions de liberté !

Et ce n’est pas la vaccination qui a permis ce recul de la mortalité, car moins de 10% de la population du Texas est actuellement vaccinée.

Pendant ce temps, dans le Mississippi, qui a levé son obligation de port du masque le 3 mars, il y a eu une baisse de plus de 50% des cas suspects de Covid19.

En matière de santé aussi la démocratie est plus efficace que la dictature !

Suivons l’exemple de ces états américains. Libérons-nous !





Le paradigme du confinement s’effondre

[Source : anguillesousroche.com]

Cela a pris beaucoup plus de temps que prévu, mais cela semble enfin se produire : le paradigme du confinement s’effondre. Les signes sont partout autour de nous.

L’ancien héros du confinement, le gouverneur de New York Andrew Cuomo, est maintenant profondément impopulaire et la plupart des électeurs veulent qu’il démissionne.

Pendant ce temps, les sondages ont commencé à favoriser Ron DeSantis, gouverneur de Floride et opposant au confinement, pour exercer une influence sur le GOP à l’avenir. Ce remarquable retournement de situation est dû à la prise de conscience que les confinements étaient une politique désastreuse. Ron DeSantis et la gouverneure Kristi Noem, également opposée au confinement, sont les premiers à dire la vérité sans détour. Leur honnêteté leur a permis de gagner en crédibilité.

Pendant ce temps, lors des audiences du Congrès, le représentant James Jordan (R-OH) a demandé au Dr Fauci d’expliquer pourquoi la prévalence de la maladie dans le Michigan fermé est pire que dans le Wisconsin voisin qui est depuis longtemps entièrement ouvert. Fauci a prétendu qu’il n’avait pas entendu la question, qu’il n’avait pas vu le tableau et qu’il n’avait pas compris. Finalement, il est resté assis, silencieux, après avoir prononcé quelques banalités sur les différences de mise en application.

Les adeptes du confinement sont maintenant confrontés à l’énorme problème du Texas. Ce pays est totalement ouvert, sans aucune restriction, depuis 6 semaines. Les cas et les décès ont chuté de façon spectaculaire au cours de la même période. Fauci n’a pas de réponse. Ou alors, comparez la Californie fermée avec la Floride ouverte : taux de mortalité similaires. Nous disposons d’une gamme complète d’expériences aux États-Unis qui permettent de comparer l’ouverture et la fermeture et les résultats des maladies. Il n’y a aucun rapport.

Ou vous pouvez regarder du côté de Taïwan, qui n’avait aucune contrainte pour ses 23,5 millions d’habitants. Décès dus au Covid-19 jusqu’à présent : 11. La Suède, qui est restée ouverte, a obtenu de meilleurs résultats que la plupart des pays européens.

Le problème est que la présence ou l’absence de fermetures face au virus ne semble absolument pas corrélée à la trajectoire de la maladie. L’AIER a rassemblé 33 études de cas dans le monde entier qui montrent que c’est vrai.

Pourquoi cela devrait-il avoir de l’importance ? Parce que les « scientifiques » qui ont recommandé les confinements ont affirmé de manière très précise et pointue qu’ils avaient trouvé le moyen de contrôler le virus et de minimiser les résultats négatifs. Nous savons avec certitude que les confinements imposés ont provoqué des dommages collatéraux étonnants. Ce que nous ne voyons pas, c’est une relation entre les mesures de confinement et les résultats de la maladie.

Ceci est dévastateur car les scientifiques qui ont poussé les confinements avaient fait des prédictions spécifiques et falsifiables. C’est probablement leur plus grande erreur. En faisant cela, ils ont mis en place un test de leur théorie. Leur théorie a échoué. C’est le genre de moment qui provoque l’effondrement d’un paradigme scientifique, comme l’explique Thomas Kuhn dans La structure des révolutions scientifiques (1962).

Un bon exemple d’une situation similaire pourrait être l’économie soviétique sous Nikita Khrouchtchev. Il est arrivé au pouvoir en promettant que l’économie de la Russie communiste serait plus performante que celle des États-Unis. C’était l’essence de sa célèbre promesse « Nous vous enterrerons ». Il voulait dire que la Russie surpasserait l’Amérique.

Cela ne s’est pas produit. Il a échoué et la théorie qu’il défendait a également échoué. Et c’est ainsi qu’a commencé la lente désagrégation de la théorie et de la pratique communistes. Khrouchtchev avait déjà répudié l’État de terreur stalinien, mais il n’a jamais eu l’intention de présider à la lente disparition de toute l’expérience soviétique de planification centrale. En mettant en place un test qui pourrait falsifier sa promesse, il a condamné un système entier à la répudiation intellectuelle et à l’effondrement final.

La théorie et la pratique du confinisme pourraient suivre le même chemin.

Dans sa reconstruction de l’histoire des sciences, Kuhn a soutenu que le progrès scientifique ne se produit pas de manière linéaire, mais plutôt de manière épisodique, au fur et à mesure que de nouvelles orthodoxies émergent, sont codifiées, puis s’effondrent sous le poids de trop nombreuses anomalies.

Le schéma est le suivant. La science normale est guidée par la résolution d’énigmes et l’expérimentation. Lorsqu’une théorie semble capturer la plupart des informations connues, une nouvelle orthodoxie émerge – un paradigme. Au fil du temps, trop de nouvelles informations semblent contredire ce que la théorie prédisait ou expliquait. C’est ainsi qu’apparaissent la crise et l’effondrement du paradigme. Nous entrons dans une ère pré-paradigmatique et le cycle recommence.

D’après ce que l’on sait, l’idée de se confiner face à un nouveau virus est apparue aux États-Unis et au Royaume-Uni vers 2005-2006. Elle a été lancée par un petit groupe de fanatiques en désaccord avec la santé publique traditionnelle. Ils pensaient pouvoir gérer un virus en dictant le comportement des gens : leur proximité, leurs déplacements, les événements auxquels ils assistaient, l’endroit où ils s’asseyaient et la durée de leur séjour. Ils ont mis en avant l’idée de fermetures et de restrictions, qu’ils ont qualifiées d’« interventions non pharmaceutiques » par le biais d’un « confinement stratifié ciblé ». Ce qu’ils proposaient était médiéval dans la pratique, mais avec un vernis d’informatique et d’épidémiologie.

Lorsque l’idée a été lancée, elle a été accueillie par une opposition féroce. Au fil du temps, le paradigme du confinement a progressé, grâce au financement de la Fondation Gates et à l’arrivée de nouvelles recrues dans les milieux universitaires et les bureaucraties de la santé publique. Des revues et des conférences ont vu le jour. Les directives au niveau national ont commencé à se réchauffer à l’idée de la fermeture des écoles et des entreprises et d’une invocation plus large du pouvoir de quarantaine. Cela a pris 10 ans, mais l’hérésie a fini par devenir une quasi-orthodoxie. Ils occupaient suffisamment de positions de pouvoir pour pouvoir tester leur théorie sur un nouvel agent pathogène apparu 15 ans après que l’idée de la quarantaine ait été lancée, tandis que l’épidémiologie traditionnelle était marginalisée, progressivement d’abord, puis d’un seul coup.

Kuhn explique comment une nouvelle orthodoxie remplace progressivement l’ancienne :

Lorsque, dans le développement d’une science naturelle, un individu ou un groupe produit pour la première fois une synthèse capable d’attirer la plupart des praticiens de la génération suivante, les anciennes écoles disparaissent progressivement. Leur disparition est en partie causée par la conversion de leurs membres au nouveau paradigme. Mais il y a toujours des hommes qui s’accrochent à l’un ou l’autre des anciens points de vue, et ils sont tout simplement exclus de la profession, qui ignore ensuite leurs travaux. Le nouveau paradigme implique une définition nouvelle et plus rigide du domaine. Ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas y adapter leur travail doivent procéder de manière isolée ou se rattacher à un autre groupe.

C’est une bonne description de la façon dont l’idéologie du confinement a triomphé. Il existe de nombreuses théories du complot sur les raisons des confinements. Beaucoup d’entre elles contiennent une part de vérité. Mais nous n’avons pas besoin d’y avoir recours pour comprendre pourquoi cela s’est produit. Cela s’est produit parce que les personnes qui y croyaient sont devenues dominantes dans le monde des idées, ou du moins suffisamment importantes pour passer outre et bannir les principes traditionnels de la santé publique. Les confinements étaient principalement motivés par l’idéologie du confinement. Les adeptes de cette étrange nouvelle idéologie ont grandi au point de pouvoir faire passer leur programme avant les principes éprouvés.

C’est une bénédiction de cette idéologie qu’elle soit venue avec une promesse intégrée. Selon eux, ils obtiendraient de meilleurs résultats que les pratiques traditionnelles de santé publique. Cette promesse finira par causer leur perte, pour une raison simple : elles n’ont pas fonctionné. Kuhn écrit que dans l’histoire de la science, c’est le prélude à une crise due à « l’échec persistant des énigmes de la science normale à se réaliser comme elles le devraient. L’échec des règles existantes est le prélude à la recherche de nouvelles règles. » Plus loin : « La signification des crises est l’indication qu’elles fournissent qu’une occasion de réoutillage est arrivée. »

La théorie de Kuhn sur le progrès scientifique correspond assez bien à la montée et à la chute du confinisme. Ils avaient une théorie qui convertissait de nombreuses personnes loin des principes traditionnels. Cette théorie était assortie d’un test. La théorie a échoué au test, ce qui devient de plus en plus évident chaque jour.

Le silence de Fauci lors des audiences du Congrès est révélateur. Sa volonté de n’être interviewé que par des présentateurs TV des médias grand public est également révélatrice. De nombreux autres adeptes du confinement qui se montraient publics et prétentieux il y a un an se sont tus, envoyant de moins en moins de tweets et des contenus de plus en plus subreptices plutôt que certains. La crise de la fausse science du confinisme n’est peut-être pas encore arrivée, mais elle est imminente.

Kuhn parle de la période post-crise de la science comme d’un moment où un nouveau paradigme émerge, d’abord naissant, puis devenant canonique au fil du temps. Qu’est-ce qui remplacera l’idéologie du confinement ? Nous pouvons espérer que ce sera la prise de conscience que les anciens principes de santé publique nous ont bien servi, tout comme les principes juridiques et moraux des droits de l’homme et des restrictions des pouvoirs du gouvernement.

Source : The American Institute for Economic Research – Traduit par Anguille sous roche




Quel jeu joue la Russie dans le Great Reset ? *

Par Jean-Michel Grau

À l’heure où la confrontation entre l’État profond américain et la Russie de Poutine s’avère de plus en plus probable très prochainement dans le marais ukrainien, il s’avère judicieux de se pencher sur l’alliance contre nature à la tête de l’événement Cyber Polygone consacré à la cybersécurité qui a réuni en juillet 2020 le Premier ministre russe, Mikhael Mishustin, spécialisé en ingénierie des systèmes, et le patron du Forum Économique Mondial (FEM), l’économiste Klaus Schwab, événement dans lequel les intervenants ont mis en garde contre une « pandémie » de cyberattaques mortelles qui cibleraient principalement deux secteurs économiques : la santé et la finance.(([1] 2020.cyberpolygon.com/results-2020/))

Comment interpréter une telle alliance entre le représentant le plus caricatural de la domination mondialiste et l’ennemi juré des intérêts impériaux de l’Occident, à deux doigts d’une guerre USA-Russie qui pourrait entraîner toute l’Europe dans un déluge de feu ?

Pour tenter de comprendre ce qui peut apparaître au premier abord comme un pari insensé, on reprendra l’article de « Newswars »(([2] newswars.com/cyber-polygon-2021-globalists-run-simulation-of-a-coming-cyber-pandemic-to-prepare-for-economic-reset/)) dont voici la traduction ci-dessous, que l’on commentera.

« Les mondialistes préparent le terrain pour la Grande Réinitialisation avec une prochaine simulation très médiatisée ciblant les cyberattaques contre les principales institutions financières.

Le Forum Économique Mondial (FEM) fera équipe avec le gouvernement russe et les banques mondiales en juillet prochain pour simuler une « cyberpandémie » majeure de la chaîne d’approvisionnement qui pourrait potentiellement « faire tomber tout le système ».

La simulation, appelée Cyber Polygone 2021, a été annoncée par la plus grande banque publique russe, Sberbank, en février.(([3] sberbank.com/news-and-media/press-releases/article?newsID=a05b1950-213f-404e-a4c2-a39fbb41a879&blockID=7&regionID=77&lang=en&type=NEWS))

« Le message clé exprimé par les experts lors du FEM et d’autres plateformes internationales est que la sécurité de la chaîne d’approvisionnement va devenir un problème majeur de cybersécurité en 2021 », a déclaré Sberbank. « La numérisation en constante expansion resserre l’interconnectivité entre les personnes, les appareils, les entreprises et les pays. Ainsi, la résilience d’un système entier dépend de la capacité de chaque maillon de la chaîne à résister à des menaces de différents grades. »

Le site web(([1] 2020.cyberpolygon.com/results-2020/)) prévient sinistrement « qu’un seul maillon vulnérable suffit à faire s’effondrer l’ensemble du système, tout comme l’effet domino », ajoutant que « le Cyber Polygone 2021 permettra aux spectateurs et aux participants d’améliorer leur cyberculture, de renforcer la résilience de leurs organisations et d’apprendre à repousser les cybermenaces à tous les niveaux. »

Le Cyber Polygone 2021 est la suite annuelle de l’événement Cyber Polygone 2020 de l’année dernière, auquel participait le Premier ministre russe Mikhail Mishustin, et des participants comme le fondateur du FEM Klaus Schwab, l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair et une vingtaine d’autres membres de l’élite politique.

120 organisations réparties dans vingt-neuf pays ont pris part à deux scénarios, Défense et Réponse, qui ont été simulés au Cyber Polygone 2020. Selon le groupe russe de cybersécurité BI.ZONE, pas moins de cinq millions de personnes auraient regardé le livestream dans plus de 57 pays.

L’un des intervenants était notamment Stéphane Duguin, PDG de l’Institut CyberPeace, qui est financé par Microsoft, Facebook et Mastercard, entre autres. L’institut prétend aider les clients à

« accroître la résilience numérique et la capacité à répondre aux cyberattaques et à s’en remettre. »

Schwab, en particulier, est un grand partisan de la Grande Réinitialisation,(([4] https://weforum.org/great-reset/)) une transition coordonnée par les mondialistes vers une économie mondiale de la Quatrième Révolution Industrielle dans laquelle les travailleurs humains deviennent de moins en moins pertinents à mesure que l’économie mondiale s’automatise.

Mais la Grande Réinitialisation ne pourra se réaliser qu’après l’effondrement total du système corrompu actuel.

L’exercice du Cyber Polygone présente des similitudes remarquables avec l’Event 201,(([5] centerforhealthsecurity.org/event201/about)) (([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)) un exercice soutenu par le FEM et Bill Gates qui simulait une pandémie dévastatrice de coronavirus perturbant l’ensemble de l’économie mondiale, lancé quelques mois avant l’épidémie de COVID-19 qui s’est déroulée exactement comme prévu par l’exercice.

Et, à l’instar d’Event 201, certains se demandent si Cyber Polygone n’est pas censé avoir une qualité prédictive similaire concernant l’effondrement de l’économie mondiale.

Certains diront qu’une « cyberpandémie » est une conséquence inévitable de l’évolution rapide du monde hi-tech dans lequel nous vivons, mais il est tout de même juste de souligner que « 2021 est l’année que beaucoup ont prédite pour la destruction financière des grandes institutions qui conduira à de nouveaux systèmes économiques qui s’alignent sur la Grande Réinitialisation », a rapporté Unlimited Hangout.(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/))

« L’effondrement inévitable du système bancaire mondial, résultant de la corruption et de la fraude hors normes qui sévissent depuis des décennies, sera probablement mené par le biais d’un effondrement contrôlé, qui permettrait aux riches banquiers et élites, comme ceux qui ont participé au Cyber Polygone, d’éviter toute responsabilité pour leur pillage économique et leurs activités criminelles. »

De plus, l’establishment de Washington, qui n’a cessé d’accuser la Russie d’avoir « piraté » l’année 2016, (l’élection de Donald Trump ndlr) ne semblait pas voir de problème à laisser le gouvernement russe sonder les infrastructures de cybersécurité du monde entier à la recherche de faiblesses.

« L’absence totale du récit du ‘pirate russe’ au Cyber Polygone ainsi que le rôle de leader de la Russie lors de l’événement suggèrent, soit qu’un changement géopolitique a eu lieu, soit que le récit du pirate russe communément déployé par les agences de renseignement aux États-Unis et en Europe est principalement destiné au grand public et non aux figures d’élite et aux décideurs politiques présents au Cyber Polygone », rapporte Unlimited Hangout.

Ce n’est pas une coïncidence si les mondialistes lancent ces simulations qui s’alignent sur leurs objectifs radicaux de transformation de la vie publique.

« Lorsque les personnes les plus puissantes du monde, comme les membres du FEM, souhaitent procéder à des changements radicaux, des crises émergent opportunément — qu’il s’agisse d’une guerre, d’un fléau ou d’un effondrement économique — qui permettent une « réinitialisation » du système, qui s’accompagne fréquemment d’un transfert massif de richesses vers le haut. »

Le moins qu’on puisse dire est que ce texte appelle plusieurs commentaires.

Tout d’abord, comme le rappelle judicieusement l’article de Newswars, l’événement Cyber Polygone dont les Russes sont doublement partie prenante dans son organisation avec la première banque publique russe Sberbank(([3] sberbank.com/news-and-media/press-releases/article?newsID=a05b1950-213f-404e-a4c2-a39fbb41a879&blockID=7&regionID=77&lang=en&type=NEWS)) et le Premier ministre russe Mikhael Mishustin, n’aurait-il pas un caractère prédictif, à l’instar de l’Event 201, répétition générale de la pandémie du Covid-19, prélude à son déclenchement et à l’effondrement de l’économie mondiale un an après ?

Quand on sait que le Cyber Polygone a prévu de simuler en juillet 2021 une cyberattaque mondiale entraînant un black-out total des populations avec plus d’électricité, plus d’approvisionnement, plus d’hôpitaux, plus de transports, on est en droit de se poser légitimement la question de savoir quel rôle jouent les Russes dans cette affaire ?

D’autant plus que comme chacun sait, les tensions entre l’Occident et la Russie n’ont jamais été aussi vives depuis la guerre froide, avec le sort de l’Ukraine en ligne de mire.

Quel est alors l’intérêt de la Russie de s’associer au FEM de Klaus Schwab, mais aussi à des entreprises américaines comme IBM ou encore l’ONG californienne ICANN ? Même chose pour Interpol, la BBC ou Tony Blair qui sont tous partie prenante de cet événement et par là même des défenseurs acharnés de la suprématie occidentale ?

À moins d’être un cheval de Troie, on voit mal comment la participation de la Russie au Cyber Polygone peut se justifier uniquement par la lutte contre la cybercriminalité.

Le véritable motif de la participation russe à l’organisation de l’événement Cyber Polygone ne serait-il pas tout autre ? Ne serait-ce pas plutôt une motivation financière ?

Selon Unimited Hangout,(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)) « Les nouveaux systèmes économiques basés sur la numérisation, en partenariat avec les banques centrales ou gérés par elles, sont un élément clé de la Grande Réinitialisation du FEM, et de tels systèmes seraient une partie de la réponse au contrôle des masses de chômeurs récents. Ces monopoles numériques, et pas seulement les services financiers, permettraient à ceux qui les contrôlent de « couper » les rentrées d’argent d’une personne et son accès aux services si cette personne ne respecte pas certaines lois, mandats et règlements. »

On comprend déjà mieux l’intérêt de la Sberbank de participer à une telle opération. Cela suppose donc que la Banque Nationale russe, et donc l’État russe soient partie prenante dans la numérisation programmée des monnaies. Auquel cas, ils semblent, eux aussi, en assumer les conséquences, même les moins avouables.

Car la Sberbank a en ligne de mire le lancement de sa propre cryptomonnaie, le Sbercoin, un

« stablecoin » lié au rouble russe et son « écosystème » de finance numérique qu’elle a annoncé quelques semaines seulement après l’exercice Cyber Polygone 2020. Elle deviendrait ainsi la première banque au monde à lancer sa propre cryptomonnaie.(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/))

Pour bien comprendre la portée autoréalisatrice des scénarios catastrophes du Forum économique mondial (FEM), il faut revenir sur le discours de « bienvenue » de son président fondateur Klaus Schwab lors de l’exercice Cyber Polygone de 2020 :

« Nous connaissons tous, mais n’y prêtons pas encore suffisamment attention, le scénario effrayant d’une cyberattaque globale qui mettrait complètement à l’arrêt l’approvisionnement en électricité, les transports, les services hospitaliers, notre société dans son ensemble. La crise du Covid-19 serait à cet égard considérée comme une petite perturbation par rapport à une cyberattaque majeure. Nous devons nous demander dans une telle situation, comment nous avons pu laisser cela se produire alors que nous avions toutes les informations sur la possibilité et la gravité d’une attaque à risque. La cybercriminalité et la coopération mondiale devraient être au premier plan de l’agenda mondial. »

On voit ainsi clairement où Klaus Schwab veut en venir. En d’autres termes : sans traçage de la population mondiale via les vaccins, pas de cybersécurité possible. Et donc, encore une fois, le caractère autoréalisateur de cette menace s’avère d’autant plus probable qu’il fait suite à l’Event 201 qui a simulé une pandémie mondiale quelques mois avant la « pandémie » du Covid-19. Ainsi, Klaus Schwab lors de l’Event 201 ne déclarait-il pas dans sa documentation officielle(([4] https://weforum.org/great-reset/)) :

« La prochaine pandémie grave ne provoquera pas seulement de grandes maladies et des pertes de vie humaines, mais pourrait avoir des conséquences économiques et sociétales majeures en cascade qui pourraient contribuer grandement à un effondrement et à la souffrance des populations au niveau mondial. »

Il faut avoir donc à l’esprit que c’est en parfaite conscience que l’oligarchie mondialiste du Forum de Davos a planifié, déclenché et organisé la « pandémie » du Covid-19 avec la parfaite connaissance des dégâts majeurs qu’elle provoquerait au niveau économique et sociétal ainsi qu’en termes de pertes de vies humaines.

C’est dans ce contexte que s’inscrit la participation de la Russie aux événements du Cyber Polygone 2020 et 2021 pour lutter contre les « pandémies » dans le cadre du partenariat public-privé cher au Forum de Davos, promoteur de la fusion de ces deux secteurs.

Revenons maintenant à cette alliance contre nature de la Russie via sa banque publique Sberbank et le Forum Économique Mondial au sein du Cyber Polygone.

En 2020, y participait aussi IBM. Rappelons ici que les relations entre IBM et la CIA sont un secret de polichinelle, celles-ci remontant au début de la Guerre froide.(([7] wraltechwire.com/2020/11/23/ibm-lands-a-cloud-deal-with-cia-as-part-of-reported-multi-billion-dollar-contract/)) Ainsi, l’entreprise s’est tellement enracinée dans la CIA que celle-ci a récemment recruté son directeur de l’information chez IBM Federal.(([8] govconwire.com/2019/03/ibms-juliane-gallina-to-serve-as-chief-information-officer-at-cia-in-april/))

Quand on pointe les accusations répétées de l’establishment américain contre les hackers russes dans les élections américaines depuis plusieurs années, et aujourd’hui l’atmosphère de nouvelle guerre froide en Ukraine qui se réchauffe de plus en plus, cette collaboration américano-russe au sein du Cyber Polygone ne laisse pas d’étonner.

À gauche : la salle de commandement stratégique de Docteur Folamour.
À droite : la salle de commandement stratégique du Cyber Polygone.

Au final, que peut-on en conclure ?

Si l’on en croit Unlimitedhangout(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)), « l’inclusion de la Russie en tant que leader dans une initiative mondiale de cybersécurité aussi importante est un peu surprenante, surtout après que la Russie ait été le bouc émissaire de choix pour toute cyberattaque commise contre une puissance occidentale depuis plusieurs années. Pourtant, il n’y a pas eu de tollé en Occident à propos de Cyber Polygone 2020, dans lequel une société détenue majoritairement par le gouvernement russe a pu prendre directement connaissance des faiblesses en matière de cyberdéfense des grandes institutions, banques et entreprises mondiales accueillant l’exercice. »

Selon Unlimitedhangout, « la participation de Tony Blair à cet exercice a peut-être pour but de faciliter le soutien des gouvernements occidentaux alignés sur le FEM en faveur d’une inclusion encore plus grande de la Russie dans le Great Reset. Cela est dû en partie à l’effort du FEM pour amener les nations des BRICS comme la Chine ou la Russie dans le giron du Great Reset, car c’est essentiel pour le succès de leur programme à l’échelle mondiale. Aujourd’hui, la Russie est le pionnier de ce nouveau modèle de systèmes financiers nationaux que le FEM soutient par la création par la Sberbank d’un monopole numérique non seulement des services financiers, mais de tous les services au sein de la Fédération de Russie. »

« Peu après le début de la crise du Covid-19 en mars 2020, Schwab a fait remarquer que la crise pandémique était exactement ce qu’il fallait pour lancer le Great Reset car elle a servi de catalyseur pratique pour commencer à remanier les économies, la gouvernance et la société sociale à l’échelle mondiale. Si les événements déstabilisateurs simulés à Cyber Polygone se produisent, il est probable que le FEM s’en félicitera également, étant donné qu’une défaillance critique du système financier mondial actuel permettrait l’introduction de nouveaux monopoles public-privé de type « écosystème numérique », comme ceux que la Sberbank est en train de mettre en place en Russie. »

« Fin 2019, quelques mois avant le début de la crise du Covid-19, le PDG de la Deutsche Bank a averti que les banques centrales ne disposaient plus d’outils pouvant répondre de manière adéquate à la prochaine crise économique. Il est certainement révélateur que des systèmes bancaires entièrement nouveaux, tels que le monopole monétaire numérique de la Sberbank, qui sera bientôt lancé, aient commencé à être développés au moment même où l’on commençait à reconnaître publiquement que les moyens traditionnels des banques centrales pour répondre aux calamités économiques n’étaient plus viables. »

« Une cyberattaque majeure, telle que celle simulée à Cyber Polygone 2020, permettrait de blâmer les pirates informatiques sans visage pour l’effondrement de l’économie, exonérant ainsi les véritables criminels financiers de toute responsabilité. De plus, en raison de la nature difficile des enquêtes sur les piratages et de la capacité des agences de renseignement à faire porter le chapeau aux autres États-nations pour les piratages qu’ils ont eux-mêmes commis, tout croque-mitaine de choix peut être blâmé, qu’il s’agisse d’un groupe de « terroristes intérieurs » ou d’un pays non aligné sur le FEM comme l’Iran ou la Corée du Nord », conclut Unlimitedhangout.

Tout cela suppose que la Russie soit entièrement d’accord avec le récit officiel sur le coronavirus et la cyberpandémie prétendument imminente. Mais qu’en sera-t-il avec le Cyber polygone planifié pour juillet 2021 ? À l’heure où la confrontation Russie-USA ne tient plus qu’à une étincelle en Ukraine, la participation russe via la Sberbank et le Premier ministre Mikhael Mishustin est-elle encore sérieusement envisagée ?

Dans un monde où les armes hypersoniques et les missiles intercontinentaux des grandes puissances pourraient provoquer le seul véritable Great Reset, la finalité du Cyber Polygone ne devrait-elle pas avant tout s’appliquer à ceux qui l’ont organisé ?

« Aujourd’hui, chaque habitant de cette planète doit envisager le jour où elle ne sera plus vivable. Chaque homme, chaque femme et chaque enfant vit sous le coup d’une épée de Damoclès atomique, suspendue par le plus fin des fils, susceptible d’être coupé à n’importe quel moment. Par accident, erreur ou folie. Les armes de guerre doivent être abolies avant qu’elles nous abolissent. »

John Fitzgerald Kennedy, discours à l’Assemblée Générale des Nations Unies, 25 septembre 1961

Y a-t-il encore un chef d’État pour relever le défi ?


* Grande réinitialisation




La martingale de Bill Gates dévoilée

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Chacun sait comment Bill Gates est devenu richissime avec les logiciels. Le milliardaire met à présent en œuvre la même méthode avec les vaccins. On ne change pas une méthode qui gagne. Une deuxième fortune assurée pour celui qui s’est autoproclamé « philanthrope ».

Premier truc : avoir un bon avocat

Bill Gates est fils d’un grand avocat d’affaires et petit-fils d’un richissime banquier (lire Non ! Bill Gates n’est pas mon modèle ! du 3 avril 2021).
Il ne fait pas de l’informatique, il fait du business et se borde juridiquement.
De la même manière, il ne se préoccupe pas de santé, il fait toujours du business et se borde juridiquement.

Deuxième truc : anticiper un besoin universel

Bill Gates a bâti sa fortune non pas en inventant des merveilles en informatique mais en imposant le système d’exploitation de son associé Paul Allen à tous les ordinateurs personnels.
Il fait pareil avec les vaccins. Comme un système d’exploitation sur un ordinateur, le vaccin doit devenir obligatoire. L’idéal aurait été une vraie pandémie. Cette pandémie ayant du mal à se déclencher, il est facile d’apeurer l’humanité en lui faisant croire qu’elle est en danger de mort. Tous les appuis médiatiques, politiques, institutionnels sont sollicités en retour des subventions qu’ils perçoivent.
Macron prend toute sa part dans ce scénario, lui qui nous incite à nous « vacciner, vacciner, vacciner » alors que le virus ne tue pratiquement plus personne :

À partir de là, nous mettons tous les moyens pour vacciner, vacciner, vacciner. Sans répit, sans jour férié. Le samedi et le dimanche comme la semaine.

(lire Macron nous a fait la démonstration de son talent du 2 avril 2021).

Troisième truc : monétiser la propriété intellectuelle

Usine-fabrication-vaccins

Les logiciels informatiques étaient très facilement duplicables lorsque Bill Gates s’est associé à Paul Allen. Avec l’appui de son père avocat, il n’a eu de cesse d’aligner les logiciels sur le droit à la propriété intellectuelle. Il a pénalisé la copie de logiciels, ce qui n’est pas un mal en soi puisqu’un programme informatique représente des investissements réels qu’il faut bien financer.
Mais dans cette industrie les frais de fabrication sont quasiment inexistants, ce qui n’est pas le cas des produits manufacturés ou agricoles. À présent vous payez pour télécharger des fichiers.
Bill Gates a compris que le même « business model » pouvait fonctionner avec les vaccins. Il suit la voie tracée par John Davison Rockefeller, camelot qui a fait sa fortune dans le pétrole et qui s’est préoccupé de breveter les médicaments. À présent on attribue des brevets aux virus ! Breveter les maladies, il fallait y penser. Une fois cette privatisation du bien public accomplie, il est facile de dupliquer une potion qui ne coûte plus rien à fabriquer en masse.

Quatrième truc : imposer des mises à jour

Windows update

Le système d’exploitation Windows n’a cessé d’évoluer, rendant très vite obsolètes des versions d’à peine quelques années. Même si l’ordinateur fonctionnait toujours très bien, toute une série de contraintes étaient mises en œuvre pour forcer les mises à jour, certes parfois « gratuites », mais pas toutes.
Ainsi naquit Windows Update qui assure une rente perptuelle à plusieurs milliards à son concepteur.

Vaccin update

Notre homme d’affaires a donc inventé la vaccination perpétuelle. À peine avez-vous reçu la première injection, qu’on vous annonce qu’il en faut en fait deux. À l’issue de cette deuxième injection, on vous annonce qu’on vous a vaccinés pour rien puisqu’un nouveau variant est survenu qui requiert un nouveau vaccin.

Bill Gates, qui n’est pas un imbécile, a appris de Microsoft et de ses parents ou amis banquiers : les meilleurs débiteurs ce sont les États. Vendre des logiciels requiert un réseau de distribution coûteux et complexe avec tous les aléas que cela représente.
Avec les vaccins, quelques grands laboratoires et l’OMS traitent directement avec les institutions supra-nationales, Bruxelles par exemple, puis ce sont les États qui paient. Ces États-Nations ringardisés que l’on dépèce, mais que l’on garde juste parce qu’ils ont une capacité à collecter l’impôt qui paiera les vaccins(1).

Trop fort !

Georges Gourdin


(1) Les États sont en situation de vaccination perpétuelle. Ils empruntent pour rembourser leurs dettes assurant des revenus perpétuels aux banquiers : George Soros se fait l’avocat de l’emprunt perpétuel auprès des « frugaux » européens.

Caisse enregistreuse



COVID-19, LA LUMIÈRE AU BOUT DU TUNNEL ?

Par Nicole Delépine

Selon R. Fuellmich, la lumière est au bout du tunnel.

Acceptons-en l’augure !

https://2020news.de/rede-dr-fuellmich-auf-der-kassler-demo/

Le 20 mars 2021, une grande manifestation contre les mesures anticorona du gouvernement a eu lieu à Kassel. Selon les rapports de presse, 20 000 personnes étaient présentes, plutôt 100 000 d’après les participants.

Avocat et fondateur membre du comité Corona créé à berlin en juillet 2020, Reiner Füllmich a pris la parole lors de la manifestation.

2020News publie le texte de son discours ici.

EXTRAITS LIBRES

« Comment auriez-vous réagi début 2020 si on vous avait dit que de la mi-mars à aujourd’hui 

  • non seulement les gens partout en Allemagne mais dans de grandes parties du monde porteraient des masques, y compris les enfants ?
  • En raison de soi-disant confinement, la classe moyenne allemande, ainsi que la classe moyenne de tout le monde occidental, est menacée de faillite ?
  • Des millions d’opérations, d’examens de dépistage du cancer, de mesures de rééducation et d’autres mesures médicales ont été reportés, avec des conséquences sanitaires imprévisibles pour les personnes touchées ?
  • Des milliers de personnes en phase terminale en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont obligées de mourir isolées et toutes seules sans le soutien de leurs proches ?
  • Des gens partout en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont privés de leur liberté pendant des jours et des semaines sans ordonnance du tribunal en raison de soi-disant ordonnances de quarantaine ?
  • Des gens en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont poursuivis pour avoir fêté leur anniversaire, assis sur un banc de parc, faire du jogging, chanter ?
  • Les parlements occupés par des représentants du peuple que nous élisons sont de facto impuissants et les gouvernements fédéral et des États ont adopté une série ingérable de règlements arbitraires sans aucune légitimation du peuple, dont personne ne comprend le contenu et les limites ?
  • Tous les droits démocratiques fondamentaux ont en fait été suspendus, y compris le droit démocratique fondamental le plus important, la liberté d’expression ? »

Et oui c’est ce qui est arrivé dans de nombreux pays occidentaux dont l’Allemagne et la France et de trop nombreux pays à quelques exceptions comme la Suède ou la Biélorussie en Europe qui ont résisté aux pressions du FMI (sonnantes et trébuchantes d’après le président biélorusse).

Au nom de quoi avons-nous perdu nos droits fondamentaux dans un silence sidérant ou une sidération conduisant à la soumission devant l’énormité des mensonges ne pouvant pas en être selon le citoyen de base ? Une décision commune de nombreux pays obéissants à l’OMS et au conseil sanitaire international de l’OMS[1] signé par 194 pays conduit au désastre mondial comparé par certains à une troisième guerre mondiale

Les pays signataires s’étaient mis d’accord pour appliquer les mesures décidées par l’OMS en cas de pandémie mondiale. Restait à décider qu’il y avait pandémie, ce qu’a fait l’OMS sans vergogne en changeant les critères 12 ans plutôt. Le tour était joué et les partisans d’un gouvernement mondial influencés par Bill Gates via l’OMS qu’il finance en grande partie et les puissants de ce monde occidental comme Mme Merkel que les autres pays de l’UE dont la France suivent, ont pu imposer un temps leur scénario tragique.

Combien de temps, ce sera aux peuples d’en décider.

A ce jour, il n’y a pas de réponse à cette question de la part des gouvernements, fédéral et des États, sauf l’injonction : « il y a une pandémie corona, alors faites ce que nous vous disons de faire sans poser de questions ». 

Aucune question ne peut être posée, a expressément déclaré le chef du RKI, un vétérinaire nommé Wieler, RKI soi-disant autorité fédérale supérieure qui doit suivre les instructions des gouvernements ou du ministère fédéral de la Santé.

Qu’en pense donc Maitre Reiner Fuellmich ?

La démocratie vit de manière cruciale sur la compétence morale, et la compétence morale nécessite deux choses : la capacité de poser des questions au lieu d’obéir aveuglément aux ordres, et la capacité de discuter d’autres opinions au lieu de les diffamer à tous les niveaux.

La capacité de poser des questions et la capacité de discuter sont au cœur de la liberté d’expression et donc au cœur de la démocratie.

Dans l’intérêt de qui cette attaque de notre propre gouvernement contre la démocratie, c’est-à-dire le gouvernement du peuple a -t-elle eu lieu ?  « Qui a intérêt à détruire le pouvoir du peuple, la démocratie, et à le remplacer par quelque chose qui, comme les développements de l’année dernière l’ont montré, est un régime fasciste-totalitaire ? »

Commençons par la question centrale : sur quelles conclusions reposent ces ordres destructeurs de démocratie et extrêmement préjudiciables ?

Ces trois questions spécifiques auraient dû être posées devant les parlements !

  • À quel point le prétendu nouveau virus est-il vraiment dangereux ?

Conformément à l’OMS (quoique controversée) et au respecté Prof. Dr. John Ioannidis de l’Université de Stanford : pas plus dangereux que la grippe saisonnière avec un taux de mortalité par infection de 0,14-0,26%)

  • Quels sont les effets sanitaires et économiques des mesures anti-coronavirus ?

La réponse très détaillée et précise à cette question est à la disposition du ministère fédéral allemand de l’Intérieur depuis mai 2020, sous la forme de ce que l’on appelle désormais le «papier de fausse alerte», document  rédigé par un spécialiste du ministère de l’Intérieur bien formé à l’évaluation des risques pour la protection de la population.

Et tout le monde connaît maintenant la réponse, comme décrit ci-dessus :

les effets des mesures anti-corona sont comme une troisième guerre mondiale, mais sans guerre ouverte.

  • Quelle est la fiabilité du test PCR

pour la détection des infections que C. Drosten conseiller de A.Merkel pour la santé, a développé début janvier 2020 (à un moment où lui, Wieler et les autres déclaraient encore publiquement qu’il n’y avait rien à craindre du virus corona) et l’a fait recommandé par l’OMS dans le monde entier. Fabuleuse efficacité dramatique pour trop de peuples du monde entier !

Or

« un test PCR ne peut donner aucune information sur une infection, il n’est même pas approuvé à cet effet. C’est pourquoi ce test ne dispose que d’une soi-disant autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis et non d’une véritable autorisation complète. »

Réponses à ces trois questions selon R. Fuellmich

« Issu des travaux du Comité Corona, que ma collègue Viviane Fischer et moi avons fondé avec deux autres avocats le 10 juillet 2020 et qui a été constamment dirigé par le pneumologue et ancien chef d’un service de santé de longue date, le Dr. Wolfgang Wodarg, le biologiste Prof. Dr. Ulrike Kämmerer de l’Université de Würzburg et le professeur de droit Dr. Martin Schwab de l’Université de Bielefeld. »  Ce comité a depuis interrogé une centaine de scientifiques, médecins, avocats, économistes, psychologues, psychiatres et autres respectés et de renommée mondiale.

Les dégâts sont monstrueux dignes d’une guerre mondiale

Même l’OMS a admis que le danger réel du virus ne va pas au-delà de celui de la grippe saisonnière, qui a un taux de mortalité par infection de 0,14%, et s’épuise.

Et l’écrasante majorité de ceux qui meurent ont plus de 80 ans et souffrent de maladies préexistantes graves et multiples.

Des dizaines de scientifiques ont aujourd’hui confirmé que le test de Drosten, ne permet pas de tirer des conclusions sur les infections.

Même l’OMS et l’homologue américain du RKI[2] allemand, le CDC[3], l’ont admis et ont souligné qu’un test positif ne dit rien sur le caractère infectieux de la personne testée.[4]

C’est parce que le test ne peut pas faire la distinction entre le matériel vivant et mort

Il ne peut pas non plus dire si les symptômes d’une personne ne sont pas causés par un autre agent pathogène, comme un virus du rhume ou de la grippe. Plus précisément, le CDC dit :

« La détection de l’ARN viral n’indique pas la présence d’un virus infectieux ou que Covid 19 est l’agent causal des symptômes cliniques ».  Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux.

Habituellement, au moins jusqu’à l’apparition de Coronavirus sras cov 2, les personnes sans symptômes étaient considérées comme en bonne santé et se sentaient également en bonne santé.

Soulignons que l’affirmation mensongère selon laquelle il existe des infections asymptomatiques vient également de M. Drosten. En fait, il n’y a pas du tout d’infections asymptomatiques, comme ce fut récemment une nouvelle fois démontré avec une étude de 10 millions de participants à Wuhan, provenant de partout.. La Chine l’a montré à la fin de l’année dernière[5].

Les deux affirmations (validité des tests PCR et infections asymptomatiques) sont contraires aux faits établis :

  1. a) l’affirmation selon laquelle il y a des infections asymptomatiques
  2. b) l’affirmation selon laquelle le test Drosten PCR peut détecter des infections

viennent de Drosten le conseiller d’A. Merkel et de l’OMS. Au début de 2020, il les a publiés dans deux articles qui ne répondent même pas aux normes scientifiques.

Il a publié ces fausses déclarations : or, ​​au moment de la publication sur les infections asymptomatiques, il savait que le cas cité comme exemple d’une femme chinoise visitant l’Allemagne n’était pas du tout asymptomatique. Elle avait antérieurement traité ses symptômes avec un médicament commun contre la grippe.

Et selon une interview qu’il a donnée en 2014 à Wirtschaftswoche, C. Drosten savait également qu’un test PCR positif n’a aucune valeur informative sur les infections.[6]

Reiner Fuellmich signale de surcroit en plus de graves conflits d’intérêts financiers, Drosten a un autre problème avec sa crédibilité (doutes massifs s’il est autorisé à utiliser son doctorat et poursuites judiciaires en cours). Drosten a d’autres problèmes de crédibilité car pendant la grippe porcine de 2009, comme le prophète anglais Neil Ferguson, il a averti des conséquences désastreuses et des millions de décès si une vaccination de masse n’avait pas lieu.

Ces prédictions se sont révélées complètement fausses et la grippe porcine s’est avérée être une grippe bénigne. Cependant, des vaccins avaient déjà été achetés dans de nombreux pays du monde dans des conditions qui étaient gardées secrètes jusqu’à aujourd’hui, et ils ont ensuite été utilisés (avant que tout ne soit détruit) avec pour résultat que 1300 enfants, en particulier en Scandinavie, sont gravement handicapés à vie. et souffrez de narcolepsie.

Ajoutons qu’il est remarquable que ces fausses prophéties sont identiques en Grande-Bretagne et en Allemagne et formulés par les plus hauts conseillers des états et de l’OMS. Difficile de croire à de l’incompétence.

L’avocat se demande pourquoi le gouvernement fédéral a suivi les conseils et les demandes de confinements massifs de Drosten et de son institut, qui « sans même un soupçon d’empathie ou de pitié  a ordonné ces mesures dévastatrices qui, entre autres, ont forcé les personnes en phase terminale à être isolées et seules sans soutien de leurs proches à mourir ? »

« Et pourquoi le gouvernement n’a-t-il pas seulement pris note des autres opinions, mais les a-t-il rejetées comme des théories d’extrême droite, antisémites et du complot sans même les examiner, encore moins en discuter ».

Comment le gouvernement fédéral (et les gouvernements des États qui le suivent aveuglément) ont-ils sciemment et volontairement ordonné des ordonnances mortelles et dévastatrices, exigé que personne ne pose de questions, et au-delà, toutes les autres opinions scientifiques et médicales (y compris l’un des scientifiques les plus cités) dans le monde, le professeur John Ioannidis de l’Université de Stanford) a ignoré et délibérément dénigré ».

Ce dernier a déclaré 

« – que le soi-disant nouveau virus ne représente pas une menace plus grande que le virus de la grippe,
– qu’il existe des traitements efficaces qui ne coûtent pratiquement rien,
– et que les mesures dans leur ensemble causeraient les dommages les plus dévastateurs pour la santé et l’économie ? »

En résumé: quels intérêts le gouvernement fédéral représente-t-il lorsqu’il ordonne de telles mesures destructrices ?  Au nom de qui le gouvernement fédéral agit ainsi, et pour quelle raison ?

Reiner Fuellmich

« Si vous considérez que les conseillers les plus importants du gouvernement fédéral – en plus de Drosten – le Wellcome Trust et la Fondation Bill et Melinda Gates, des représentants de haut rang de l’industrie pharmaceutique de production de vaccins et de l’industrie technologique appellent tous à l’introduction d’un carte de vaccination numérique, on soupçonne qu’ici et de manière totalement irrespectueuse et empathique leurs intérêts sont représentés et non ceux du peuple allemand ».

« Un groupe d’avocats en réseau international en constante augmentation – en particulier avec le droit anglo-américain – travaille en étroite coordination pour faire la lumière et trouver des réponses aux questions de savoir qui est derrière tout cela et qui est tenu responsable.

Parce que, comme mon héros juridique Louis D. Brandeis l’a dit, la lumière du soleil est le meilleur de tous les désinfectants. Et cette lumière du soleil est la lumière au bout du tunnel que nous pouvons tous voir, et elle devient de plus en plus brillante ».

 Selon une autre interview [7] :

Il y a quelques jours, Fuellmich s’est entretenu à nouveau avec Jerm Warfare :  « Il y a de la lumière au bout du tunnel », a-t-il déclaré. « Nous avons gagné des procès et nous allons en gagner beaucoup d’autres ».
Au cours de l’interview, il a déclaré à propos de l’approche Corona : « Ce sont les pires crimes contre l’humanité jamais commis. » Les quelques personnes qui peuvent encore penser de manière indépendante, soit environ 10 à 20 % de la population, savent qu’il n’a jamais été question d’un virus ou de la santé, mais bien de la réduction de la population mondiale et de son contrôle, a-t-il déclaré.
Nuremberg 2

Les vaccins corona n’ont donc rien à voir avec la vaccination, mais font partie d’expériences génétiques, a-t-il déclaré. Fuellmich a ajouté que les joueurs en coulisses commettent de nombreuses erreurs. Par exemple, il pense que les fabricants de vaccins ne s’attendaient pas à ce que tant d’effets secondaires se produisent à ce jour.

Il a parlé à un dénonciateur qui a déclaré qu’ils avaient initialement prévu de déployer tout ce scénario seulement en 2050. Puis les personnes qui tiraient les ficelles sont devenues avides et ont décidé de mettre en œuvre les plans beaucoup plus tôt, a déclaré le dénonciateur. « Je pense que c’est la raison pour laquelle ils font tant d’erreurs », a déclaré M. Fuellmich, qui a recueilli les déclarations de plus de 100 scientifiques et experts.

L’avocat a poursuivi en disant qu’un tribunal spécial, Nuremberg 2, pourrait être nécessaire parce que l’affaire est désormais si importante qu’elle pourrait être hors de portée des tribunaux nationaux. « Nous avons les preuves. »

L’Europe : principal champ de bataille

Qui sont ces gens qui tirent les ficelles ? Selon Fuellmich, il s’agit d’un groupe de quelque 3 000 super-riches. La clique de Davos de Klaus Schwab, entre autres, appartient à ce groupe.

 Que veulent-ils ? Un contrôle total sur le peuple. « Ils corrompent les médecins, les travailleurs hospitaliers et les politiciens. Les personnes qui ne coopèrent pas sont menacées. Ils utilisent toutes sortes de techniques psychologiques pour manipuler les gens. »

Fuellmich s’est également entretenu avec un autre lanceur d’alerte, qui a expliqué pourquoi l’Europe est le principal champ de bataille de cette guerre. « L’Europe est complètement en faillite. Les fonds de pension ont été complètement pillés. C’est pourquoi ils veulent contrôler l’Europe avant que les gens ne découvrent ce qui se passe. »

Les médias grand public prétendent qu’une majorité de personnes sont en faveur de ces mesures. Selon l’avocat, ce n’est certainement pas le cas. Presque tous ses interlocuteurs en Allemagne savent que les masques, par exemple, ne sont d’aucune utilité et sont informés par les médias alternatifs. « Les vieux médias sont en train de mourir. »

Son conseil ? Diffusez la vérité et les faits autant que possible et ne gaspillez pas votre énergie avec des personnes qui tiennent absolument à être vaccinées. « Nous ne pouvons pas sauver tout le monde. Beaucoup de gens vont mourir. »

https://youtu.be/jFOb2xqqcU0
CRIME CONTRE L’HUMANITÉ Covid Dr Reiner Fuellmich Action collective Poursuite – Bing video

[1] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

[2] Robert Koch Institute

[3] Centers for Disease Control and Prevention – CDC  américain

[4] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique. | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

Sur la validité des tests PCR et

[5] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr)

[6] C. Drosten l’heure des comptes France soir N Delépine

[7] Advocaat Reiner Fuellmich geeft update over ‘Neurenberg 2’: Er is licht aan het einde van de tunnel (ninefornews.nl)  Homepagina » Mens en Dier » Advocaat Reiner Fuellmich geeft update over ‘Neurenberg 2’: Er is licht aan het einde van de tunnel
in Mens en Dier 12 april 2021




3ème vague, comique de répétition ?

Par Alain Tortosa

« Le confinement commence à porter ses fruits! »

LCI

Je m’étais juré de ne plus m’intéresser aux chiffres, tant ceux-ci sont mensongers ou biaisés.

J’avais apporté les preuves dans un précédent texte que la fameuse « 2e vague » était totalement planifiée et mensongère sans remettre en question le fait qu’il y a des malades en automne.

Mais quand j’ai entendu ce jour, 19 avril, sur LCI une « journaliste » annoncer que le confinement commençait à faire ses effets, je n’ai pu m’empêcher de vérifier si c’était une escroquerie de plus (ou pas).

Toutes les données suivantes sont issues du site geodes.santepubliquefrance.fr

Intéressons-nous d’abord au nombre de tests effectués par jour.

Nous voyons sur les courbes fournies sur le site Geodes un cycle de forme identique qui se reproduit de semaines en semaines depuis le 25 mai 2020.

Il y a :

  • Un énorme creux le dimanche.
    Le dimanche c’est sacré, épidémie ou pas épidémie !
    Les soignants sont héroïques mais il faut quand même les ménager le WE.
  • Un pic le lundi (qui rattrape des chiffres du dimanche).
    Il faut dire qu’on a la forme pour démarrer la semaine après un bon WE de repos.
  • Une petite chute en milieu de semaine.
    Il faut bien souffler un peu après le travail éreintant du lundi.
  • Puis une ré-augmentation jusqu’au vendredi et ainsi de suite.

Si nous traversions une vraie pandémie, nous pourrions nous demander pourquoi les tests ne sont pas quasi constants d’un jour à l’autre, y compris le dimanche, jour de repos dominical du virus, comme tous les « vrais » spécialistes pourront vous le confirmer.

Regardons maintenant la période de la fameuse 3e vague…

Plusieurs observations pour le moins « étranges ».

La première est que le gouvernement, même s’il met en place des campagnes de dépistage dans telle ou telle ville, ne peut maîtriser pleinement le nombre de tests qui vont être effectués dans une journée sauf exceptions.

Par exemple on observe un pic délirant à Noël avec une publicité mise en place pour vérifier que l’on n’allait pas contaminer mamie qui mangeait dans la cuisine.

Cela s’est naturellement traduit par un pic de positifs, preuve en est du ridicule du taux d’incidence.

Si il y avait corrélation entre le nombre de tests et les hospitalisations, il y aurait dû avoir une vague terrible au lendemain de Noël, preuve en est que le nombre de tests et le taux d’incidences ne sont que des outils au service de la manipulation des masses et de la dictature sanitaire.

Je le répète depuis le début de la crise, si nous avions voulu connaître réellement l’évolution de la

maladie, il eu suffit de tester un échantillon représentatif des français chaque semaine…

Mais je m’égare…

Revenons à la fameuse 3e vague, à ce point « hors de contrôle » que notre « gentil » président a du recourir au 3e dernier confinement pour « empêcher les cadavres de joncher à nouveau les rues » comme lors de la première vague…

Le nombre de tests effectués pour la 3e vague.

Nous constatons sue le graphique ci dessous que le pic du nombre de tests de la 3e vague a eu lieu le 29 mars, soit 2 jours avant la prise de parole du Président de la République nous annonçant le 3e confinement…

Pouvez-vous m’expliquer, alors que la politique de « lutte » est toujours la même, et qu’elle est censée fonctionner, le fameux « tracer, détecter, isoler,… plume dans le cul »

… m’expliquer que le nombre de tests n’a alors cessé de diminuer depuis, passant de 697 951 le lundi 29 mars à 489 736 le lundi 12 avril, soit une baisse de 30%, revenant au nombre identique à ceux pratiqués un mois auparavant !

Il m’aurait semblé plutôt logique, étant donné que tous les corrompus ou en quête de notoriété nous disaient que les hôpitaux étaient saturés, que nous allions à la catastrophe, qu’il faudrait bientôt ventiler des patients dans des boucheries charcuteries, faute de place,… que les français terrorisés se fassent tester de plus en plus, non ?!

Et bien pas du tout !

On va tous crever à cause des variants, les réas sont saturées de jeunes sans comorbidités et on décide de diminuer les campagnes de tests ?!

Donc pour résumer à propos du nombre de tests durant la fameuse « 3e vague » que nous subissons et que le réseau sentinelle n’a toujours pas constaté…

  • Le nombre de tests entre le 30 décembre et le 5 mars est demeuré constant autour de 400 000 chaque lundi.
  • Ce nombre, énorme, correspond au pic du nombre de tests de la fameuse 2e vague.
  • « Bizarrement » l’épidémie n’a pas totalement reculée depuis la 2e vague…
  • Puis entre le 5 mars et le 29 mars, le nombre de tests journaliers explose passant de 400 000 à 700 000 par jour soit quasi le double !

Heureusement qu’ils sont « gratuits »!

  • Et alors que la situation devenait incontrôlable, le nombre de tests journaliers n’a fait que baisser depuis le 29 mars pour passer de 700 000 à 490 000 lundi dernier.

Je ne prends pas trop de risques en pariant que cela va encore baisser pour se stabiliser à nouveau aux alentours de 400 000 afin de ne pas nous dé-confiner trop vite et nous continuer à nous « vendre » la vaccigénie…

A propos de la vaccigénie, l’opération commerciale faisant de la thérapie AstraZeneca un produit dangereux est un succès total !

La population en serait à réclamer la thérapie génique ARN messager expérimentale pour des raisons de « sécurité »

Voici donc le graphe du nombre de tests effectués depuis le début de la « 3e vague »

Nombre de tests,
tous âges

La fameuse augmentation inquiétante du nombre de cas notamment chez les 10-19 ans ?

Nombre de tests
10-19 ans

Si vous regardez le nombre de tests effectués dans cette tranche d’âge, celui-ci est passé de 42865 tests le 1er mars à 127 131 le 30 mars soit une augmentation de 196% !!!

Et « bizarrement » le taux d’incidence a aussi « explosé » chez les jeunes ?!

Nous voyons aussi que le nombre de tests a énormément diminué depuis (les écoles étant fermées, difficile de tester les enfants en masse).

Prenons maintenant la tranche d’âge des 80 à 89 ans qui est la population à risque est qui, en toute logique, devrait bénéficier de la plus grande attention côté tests.

Nous voyons que le nombre de tests est relativement identique depuis le début de l’année avec plutôt une diminution progressive jusqu’au 8 mars et une remontée jusqu’au 6 avril où le gouvernement décide de les diminuer à nouveau histoire de « prouver »que le confinement commence à porter ses fruits…

D’un coté on fait exploser le nombre de tests chez les 10-19 ans et on les laisse constant ou on les diminue chez les 80-89 ans et on vous parle ensuite d’une 3e vague qui touche beaucoup plus les jeunes !

Tests 80 à 89 ans

Si vous comparez avec les autres tranches d’âges vous verrez que le pic du nombre de tests pour toutes les tranches d’âge est entre le 30 mars et le 6 avril…

Non seulement le nombre de tests se met à baisser étrangement au moment de la décision du 3e confinement mais les pics se produisent à-peu-près au même moment pour toutes les tranches d’âge.

Intéressons-nous au taux d’incidence… qui est le nombre de personnes positives pour 100 000 habitants.

Et oh miracle ! Que voyons-nous apparaître ?

Tests 60-69 ans

Le taux d’incidence est la courbe ci dessous.

Si vous aviez encore des doutes pour la corrélation directe entre le nombre de tests effectués et le taux d’incidence, j’espère que ces deux graphiques lèvent l’ambiguïté.

Taux d’incidence tous âges

Nous voyons donc que le gouvernement, en manipulant artificiellement le nombre de tests, manipule bien le taux d’incidence…

Mais quid des personnes hospitalisées ?

Si vous étiez très naïfs, vous pourriez me dire que l’on peut influencer le nombre de tests et le taux d’incidence mais pas les hospitalisations.

J’en déduirais que vous n’avez pas lu mon dossier sur la 2e vague.

Voici donc la courbe de personnes nouvellement hospitalisées pour cette 3e vague.

Hospitalisations journalières

Le pic de personnes hospitalisées se produit le lendemain du pic de tests chez les personnes entre 40 et 90 ans… Il y a donc une corrélation directe entre le nombre de tests effectués et les hospitalisations…

Notre gouvernement a donc du flair, il a su à partir de quel jour il n’était plus nécessaire d’augmenter le nombre de tests car les hospitalisations allaient commencer à baisser.

Et les soins critiques ?

Le lendemain du pic de tests correspond au pic du nombre d’hospitalisations et le pic du nombre d’admissions en soins critiques aussi au lendemain du pic de tests !

Admissions en soin critique

Si ça c’est pas de l’optimisation !

Le lundi tu es testé (peut-être même asymptomatique) et le mardi tu es en réa !

Mais les morts me direz-vous ?

Et bien pour les décès le gouvernement dispose d’un self-service dans lequel il peut se servir à volonté !

Je vous rappelle que malgré les annonces indiquant que des personnes de plus en plus jeunes sont menacées, l’âge médian des décès demeure de 85 ans.

Sachant qu’il y a environ 1500 morts par jour en France, il est facile d’en affecter deux ou trois cents au pôle Covid !

Je dis cela mais c’était sans compter sur la « vaccination ».

Le risque est avéré que plus on vaccinera de personnes jeunes et en bonne santé, dont le risque de décès du Covid est NUL, plus le nombre de jeunes décédés de la vaccination et affectés bien évidemment aux variants du Covid, pourrait augmenter…

Mais je ne résiste pas au plaisir de vous montrer les dernières données de mortalité.

Nombre de décès quotidiens

Comme je vous l’ai dit, la donnée est plus fluctuante et dépend du niveau d’angoisse que l’on cherche à transmettre au public.

Néanmoins vous constaterez que le dernier pic de décès remonte étrangement au 7 avril soit le lendemain du pic des tests !

Le gouvernement a ainsi optimisé le processus au point que le lundi vous êtes testé positif et le mardi vous êtes décédé… Et après on dira que les français sont mal organisés !

Voilà…

Je remercie donc tous les membres du gouvernement, les ministres, les médecins médiatiques mais aussi les journalistes pour cette nouvelle blague qui fait bien rigoler… et qui est là pour nous vendre du passeport vaccinal !

Passeport vaccinal qui sera bien entendu « l’outil de la liberté » … Quand je vous dis « Une phrase du gouvernement, une vanne »!

Tout est bidon, nous le savions et en voici un nouvel épisode. Merci.

Alain Tortosa.

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210419-3eme-vague-bidon.pdf

Ps : je vous invite à reprendre les données sur le site du gouvernement.




Selon un ancien médecin expert à l’OMS, la réponse à la Covid de Magufuli a sauvé des milliers de vies

[Source : Le-Blog-Sam-La-Touch via reseauinternational.net]

Par David Bell

Il a peut-être été ridiculisé en Occident pour avoir rejeté les mesures de confinement et encouragé les prières. Mais comme l’explique le Dr David Bell, ancien scientifique de l’Organisation mondiale de la santé, le défunt président tanzanien John Magufuli n’est pas considéré comme un paria par de nombreux membres de la communauté scientifique – il est considéré comme un sauveur de vies.

Si vous lisez le site web de la BBC, vous pensez probablement que le défunt président tanzanien était soit un rebelle, soit un « négationniste de la Covid », soit tout simplement stupide.

En réalité, il n’était rien de tout cela.

Le président Magufuli était en fait un scientifique très instruit, titulaire d’un doctorat en chimie, qui a probablement sauvé des milliers de vies en refusant d’adhérer aux mesures de confinement et autres réactions réflexes imposées aux populations dans une grande partie de l’Afrique et de l’Occident.

La décision de Magufuli de ne pas procéder à un confinement était conforme aux lignes directrices sur les pandémies fondées sur des données probantes publiées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en 2019.

Il a prédit à juste titre que la mortalité due à la Covid-19 en Afrique serait très faible par rapport à d’autres grands tueurs comme le paludisme, la tuberculose (TB) et le VIH-sida, et a suivi les bons principes de santé publique en donnant la priorité à ces maladies à forte charge qui touchent particulièrement les jeunes, tout en disant aux Tanzaniens de ne pas paniquer.

Il a également donné la priorité au maintien de la croissance économique, qui est à long terme le moyen le plus efficace d’améliorer l’espérance de vie et la santé. En bref, il a agi comme on pourrait attendre d’un scientifique bien formé et d’un expert en santé publique rationnel qu’il agisse dans le contexte tanzanien.

Tout au long de la pandémie de la Covid-19, les médias ont exigé des fermetures plus longues et plus dures, comme si elles étaient normales – ou utiles.

Mais ils soulignent rarement qu’aucun plan de lutte contre la pandémie n’a recommandé des fermetures massives d’entreprises et des restrictions à la liberté de religion, aux voyages ou au fonctionnement normal de la société avant 2020, car leur suppression devrait causer davantage de dommages et empiéter grandement sur les droits humains fondamentaux.

Nous n’avons jamais appliqué aucune de ces mesures lors des épidémies de SRAS, de MERS ou de grippe porcine de ces dernières années. Les gens fréquentaient les lieux de culte, les bus et les trains étaient bondés, les jeunes sortaient en boîte, dansaient, chantaient et s’embrassaient.

Il en a été de même pour les Tanzaniens pendant cette pandémie.

Et à juste titre.

La plupart des Tanzaniens sont jeunes et non obèses, et sont donc très peu exposés au risque de la Covid-19.

Le président Magufuli a eu mauvaise presse pour avoir dit à ses compatriotes d’aller à l’église au début de la pandémie pour « prier » pour que la Covid disparaisse ».

Mais les rassemblements de masse ne devraient pas exposer la grande majorité de la population tanzanienne à un risque important.

Des dizaines de milliers de fans de sport se sont rendus récemment dans des stades en Floride et au Texas, et aucune augmentation des cas n’a été constatée par la suite.

Bien sûr, il est important de protéger les personnes vulnérables dans toute épidémie, et il est difficile de dire si les prières de masse étaient une bonne idée du point de vue de la transmission pure, car elles ont peut-être augmenté le risque pour les personnes âgées au début de l’épidémie en Tanzanie.

Le développement rapide d’une « immunité collective » chez les jeunes par le biais de tels rassemblements devrait cependant exercer un effet protecteur, si les personnes vulnérables sont bien protégées jusqu’à ce que cette immunité supprimant la transmission soit atteinte.

Dans l’ensemble, cette politique a probablement été bien meilleure pour la santé publique que les mesures de confinement strict, qui ont entraîné les premières récessions depuis un quart de siècle dans de nombreux pays africains, ainsi qu’une réduction du traitement des principaux tueurs comme le paludisme, la tuberculose (TB) et le VIH-sida.  

Le virus à l’origine de la Covid-19, le SRAS-CoV-2, va probablement devenir endémique et, à mesure que l’immunité collective sera atteinte par l’infection naturelle ou par la vaccination, les maladies graves et les décès seront de plus en plus rares.

De multiples études ont montré un impact très limité des mesures de confinement plus strictes sur la mortalité due à la Covid-19.

Par conséquent, on peut s’attendre à ce que la Tanzanie, comme la Suède, la Croatie, la Biélorussie et d’autres pays qui ne pratiquent pas de confinement, ait finalement une mortalité globale due à l a Covid-19 et une trajectoire épidémique similaires à celles des pays comparables qui pratiquent le confinement.

La critique véhémente du président Magufuli dans les médias est donc décevante et très ignorante. Il semble en effet que les journalistes occidentaux trouvent plus facile de dénigrer les dirigeants des pays africains que les dirigeants européens. Les dirigeants suédois, par exemple, n’ont jamais été qualifiés de « négationnistes de la Covid ».

Ce n’est pas nouveau, mais cela montre peut-être à quel point l’hypocrisie et les préjugés persistent dans la société occidentale.

D’un point de vue sanitaire, la Tanzanie semble avoir fait mieux que la plupart des autres pays à faible revenu au cours de cette dernière année. Alors que des millions d’Africains ont été jetés dans la faim et la pauvreté, la Tanzanie a vu son PIB augmenter tout au long de 2020.

La chute du PIB et l’appauvrissement général sont associés à une augmentation de la mortalité toutes causes confondues.

C’est particulièrement le cas en Afrique subsaharienne, où la sécurité alimentaire est souvent un véritable problème et où le contrôle des maladies endémiques telles que le paludisme, la tuberculose et le VIH-sida est fragile.

Il est donc fort probable qu’en maintenant une économie performante, lui et son gouvernement ont contribué à réduire considérablement la mortalité. L’UNICEF estime à près d’un quart de million le nombre de décès d’enfants supplémentaires en Asie du Sud en 2020 en raison des réponses apportées au Covid-19 dans cette région.

Il est probable que des bilans similaires seront observés en Afrique subsaharienne, mais on peut s’attendre à ce que la Tanzanie soit désormais relativement protégée de ce phénomène.

Espérons, pour le bien des Tanzaniens, que cela continuera avec sa successeure.

Les médias occidentaux se sont peut-être moqués du président Magufuli – et des Tanzaniens en général – qui pensaient pouvoir « prier » pour faire disparaître un virus.

Mais, toute rhétorique mise à part, en refusant de verrouiller les lieux et de détourner les ressources sanitaires consacrées au paludisme et à la tuberculose pour tester des personnes ne présentant aucun symptôme pour un virus dont le taux de mortalité est très faible, Magufuli a suivi une réponse orthodoxe à une pandémie.

Il était également orthodoxe dans son approche des droits de l’homme. La liberté de religion était considérée comme un droit de l’homme important par la plupart des journalistes occidentaux il y a seulement 18 mois, et la peur ne doit pas modifier les droits de l’homme fondamentaux.

Les journalistes honnêtes devraient reconnaître les avantages de l’approche de Magufuli, même si elle est en contradiction avec leur vision du monde actuelle.

Ridiculiser des pratiques religieuses qui ne relèvent pas de leur expérience et dénigrer la science de la santé publique qu’ils ne comprennent manifestement pas n’est pas du bon journalisme.

Cela ne fait que souligner leur ignorance.

Traduction SLT


[Voir aussi : La mort étrange du Président qui avait défié l’OMS]




Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement

[Source : Santé Corps Esprit (sante-corps-esprit.com)]

Cher(e) ami(e) de la Santé,

La désinformation fait rage, depuis le premier jour de l’épidémie.
Dans mes lettres, je vous ai beaucoup parlé : 

  • Des traitements oubliés ou diabolisés, malgré leur efficacité (vitamine D, ivermectine, protocole Raoult, etc.)
  • Des vaccins, de leurs effets indésirables et de l’efficacité (peu convaincante) de l’expérimentation israélienne.

Aujourd’hui, je voudrais encore vous parler d’autres mensonges.
En commençant par l’expérience suédoise :

Mensonge 1 : l’expérience suédoise serait une “catastrophe” 

Ce qui s’est passé en Suède est un énorme caillou dans la chaussure des idéologues de la Covid-19.
Car la Suède a pris le contre-pied de la plupart des autres pays occidentaux : 

  • La Suède n’a jamais confiné sa population ;
  • La Suède n’a jamais fermé ses écoles (ni imposé de masque aux enfants) ;
  • La Suède n’a jamais fermé ses restaurants ;
  • La Suède n’a jamais imposé le masque dans les magasins, et encore moins à l’extérieur.

Résultat ? 

  • Un peu moins de morts de la Covid-19 par habitant qu’en France et beaucoup de pays européens ; 
  • Moins de morts, toutes causes confondues, que la moyenne européenne (7,7 % de surmortalité contre 16 % en Belgique)
  • Et une économie deux fois moins dévastée : – 3 % du PIB en 2020, contre -7 % dans la zone euro [1] ;

Bien sûr, les Suédois ont respecté les consignes générales de distanciation sociale. Ils se sont moins déplacés et ont beaucoup télé-travaillé.
Certes, il y avait aussi quelques restrictions obligatoires. En décembre dernier, les rassemblements de plus de 8 personnes ont été interdits et les masques introduits dans les transports en commun. Récemment, certains restaurants ont dû fermer un peu plus tôt que d’habitude, à 20h30.

Mais globalement, les Suédois ont continué à vivre une « vie normale », tout au long de l’épidémie.

Ils n’ont pas eu à subir d’absurdes consignes totalitaires, comme les masques à l’extérieur, le confinement obligatoire à domicile, ou la fermeture des écoles primaires.
Et le résultat est là. Sur l’épidémie, la Suède est dans la moyenne de la plupart des pays européens.

Regardez, par exemple, l’évolution du nombre de morts par habitant en Suède (en rouge) et en Allemagne (en bleu) depuis octobre dernier – l’Allemagne ayant confiné cet hiver, contrairement à la Suède :

Vous voyez que l’évolution est très similaire, alors que les restrictions étaient très différentes, notamment en termes de masques et de fermeture des restaurants et des commerces.
Au total, le bilan sanitaire de la Suède est « moyen », comme les autres, faute d’avoir fait de la prévention et du traitement précoce.
Mais socialement, économiquement et mentalement, la Suède a fait beaucoup mieux.
Certains objecteront que la Suède a eu beaucoup plus de morts que ses voisins norvégiens et finlandais, qui ont imposé de lourdes restrictions. C’est vrai, mais la Suède est culturellement plus proche de nombreux pays européens que de ses voisins – et en termes d’urbanisation, Stockholm est comparable à Marseille. 
La Suède est aussi beaucoup plus ouverte aux vents internationaux : au moment de la première épidémie, lorsque la Norvège et la Finlande ont confiné, le nombre d’infections était déjà environ 10 fois supérieur en Suède ! [2]
Bref, à tous points de vue, la Suède s’en est globalement mieux sortie que les pays européens qui ont imposé des mesures restrictives ou qui ont confiné. 
Et pourtant, la situation suédoise a été systématiquement caricaturée.
Prenez le « soit-disant » journal de référence, Le Monde, le 1er janvier dernier : « Les choix faits par la Suède et leur bilan humain catastrophique suscitent l’incompréhension des voisins du pays et la stigmatisation des Suédois. » [3]

Autre exemple similaire, dans le très populaire journal 20 minutes : « Chiffres catastrophiques, comparaison douloureuse avec les voisins nordiques, aveu d’échec royal… Le modèle suédois résonne aujourd’hui comme une défaite pour le pays. » [4]
C’est le refrain mensonger qu’on a entendu à la télé et à la radio, 24h sur 24.
J’ai même entendu plusieurs fois Cyril Hanouna dire dans son émission de grande écoute que « la Suède a essayé l’immunité collective et cela a été une catastrophe ».
C’est de la désinformation pure et simple.
Et cela rejoint celle d’Emmanuel Macron, à l’automne dernier.

Mensonge 2 : « 400 000 morts si on ne fait rien » (Emmanuel Macron)

Souvenez-vous de son allocution du 3 novembre 2020. Pour justifier le reconfinement, Emmanuel Macron avait sorti un argument hallucinant :

« Nous pourrions – certains le préconisent – ne rien faire, assumer de laisser le virus circuler. C’est ce qu’on appelle la recherche de « l’immunité collective » c’est-à-dire lorsque 50, 60% de la population a été contaminée.

Le Conseil Scientifique a évalué les conséquences d’une telle option. Elles sont implacables : d’ici quelques mois c’est au moins 400 000 morts supplémentaires à déplorer. »

Ce chiffre farfelu venait de modélisations mathématiques totalement déconnectées de la réalité [1], et qui se sont révélées fausses systématiquement.
On l’a d’ailleurs vu en février dernier, quand le président Macron a refusé de reconfiner, à juste titre.
Contrairement aux prédictions apocalyptiques, il n’y a pas eu d’explosion du nombre de cas et de décès dans la France entière.
Certes, il y a en ce moment une circulation soutenue du virus dans quelques départements précis, mais pas d’augmentation exponentielle ou d’explosion insoutenable pour l’hôpital.
Et surtout, répétons-le : il n’y a pas en ce moment plus de morts que d’habitude en France !

Je sais que cela paraît difficile à croire, vu le discours catastrophiste ambiant.
Mais en janvier, il y a eu moins de morts qu’en janvier 2017 (mois de grosse grippe).
En février, il y a eu moins de morts qu’en février 2019 (pic de grippe cette année-là).
Bref, les premiers mois de cette année sont totalement comparables à des mois de grosse grippe. 
Il n’y a donc aucune surmortalité démesurée, en ce moment, qui justifierait le catastrophisme politique et médiatique.

Il faut dire qu’environ 30 % de la population française a déjà été infectée, ce qui empêche toute forme d’explosion exponentielle des contaminations.
C’est un fait : quand une personne sur trois ne peut plus être infectée, cela freine énormément les contaminations.
Quand beaucoup de personnes vulnérables ont déjà été hospitalisées, cela diminue fortement la charge sur l’hôpital.
C’est ce qu’on appelle « l’immunité collective » ou « l’immunité de troupeau ».

Quand beaucoup de personnes ont été infectées, l’épidémie risque peu de s’emballer.
C’est comme cela qu’a disparu la grippe espagnole, sans vaccin, ni masque : après une grande vague à l’automne-hiver 1918-1919, la saison suivante a été beaucoup plus épargnée :

[Ndlr : ceci dans le cadre de la théorie virale. Mais l’on peut opposer à celle-ci la théorie du « terrain » pour laquelle il est naturel qu’une « épidémie » disparaisse d’elle-même lorsque le corps des êtres humains affectés par des éléments toxiques (y compris éventuellement des ondes électromagnétiques, surtout pulsées, ou des déficiences nutritionnelles qui en sont les causes réelles) n’y est plus confronté ou parce qu’il parvient à s’y adapter au moins partiellement. Dans le cadre de cette autre théorie que la virale, il n’y a donc pas du tout d’immunité de groupe, mais seulement une disparition des causes de la maladie ou une relative adaptation au moins temporaire à ces causes. Et la « grippe » refaisait régulièrement son apparition chaque hiver, jusqu’à ce qu’on la rebaptise « covid-19 », parce que le froid fait partie des causes agressives contre le corps et ses cellules. Le seul fait indubitable dans les « épidémies » est l’existence d’une relative simultanéité dans le temps (mais pas nécessairement proximité dans l’espace géographique) de symptômes similaires (ou parfois même pas similaires ou très nombreux et variables d’un individu à l’autre, comme dans le cas de la « Covid-19) que l’on regroupe sous le terme d’une maladie particulière. Le reste relève essentiellement de l’interprétation de ce fait. La théorie virale l’explique par une prétendue contagion de virus, mais celle-ci n’a jamais été réellement démontrée, puisque notamment l’on n’a jamais eu le moyen d’isoler le moindre virus, sachant que lorsque les virologues disent « isoler » un virus, ils ne font que réaliser une opération de séquençage informatique à partir d’une soupe génétique de tissus prétendument infectés. Voir :
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La théorie des germes : Une erreur fatale
La théorie des exosomes contre celle des virus
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Dr Thomas S Coman (anglais)
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
5G, virus et covid-19.]

Et en 1920, le virus de la grippe espagnole n’a plus fait de dégât particulier : il n’a pas disparu, mais il a rejoint les virus hivernaux habituels, parce que les populations avaient largement acquis une immunité.
De même, après deux grosses vagues de la Covid-19, il est évident que nous sommes largement immunisés, et que les pics exponentiels sont derrière nous.
Mais presque personne ne vous le dit. On dirait qu’il faut absolument continuer à vous angoisser.
Serait-ce parce qu’il y a des vaccins à vous vendre ?

À propos de vaccins, voici l’un de mensonges les plus extravagants qu’on ait entendu :

Mensonge 3 : les vaccins produiraient une immunité supérieure à l’infection

D’abord, on a essayé de vous faire croire que l’infection n’était pas forcément immunisante.
Il serait donc possible d’avoir des ré-infections, notamment à cause des variants.
C’est faux.
Les ré-infections sont extrêmement rares, même avec les variants britanniques ou sud-africains.
Et même en cas de réinfection, il y a toutes les raisons de penser que la deuxième infection est moins sévère que la première.
Bref, une infection crée une immunité solide et durable.

Grâce à de nombreuses publications scientifiques parues en janvier 2021, cela a fini par être reconnu largement.
Mais étrangement, on a continué à vacciner ceux qui ont déjà été infectés.
Alors que cela ne sert à rien.
Alors qu’on nous répète matin et soir qu’on manque de doses de vaccin.
Alors que cela pourrait même causer de gros risques pour la personne vaccinée (j’y reviendrai dans une prochaine lettre).

Donc, vacciner les personnes déjà infectées n’a strictement aucun sens… à part remplir les poches des laboratoires pharmaceutiques.
Mais cela permet de maintenir une illusion : celle que les vaccins seraient plus efficaces que l’infection elle-même.
Cette idée a été largement propagée, alors qu’elle est absurde. 

Je rappelle que les vaccins ne portent que sur une seule protéine du virus, alors que l’infection permet de créer une mémoire immunitaire sur tous ses éléments (épitopes, en termes virologiques).
L’infection crée aussi une immunité mucosale (dans le nez) alors que le vaccin injecté ne peut créer qu’une immunité humorale (dans le plasma et la lymphe). 
Il est donc évident que, sauf exception, l’infection produit une immunité plus importante et plus durable que la vaccination.
C’est encore plus évident face aux variants : avec les vaccins actuels, il suffit que la protéine visée par le vaccin mute, pour qu’ils deviennent inefficaces.

C’est ainsi qu’on sait désormais avec certitude que le vaccin AstraZeneca est totalement inefficace contre le variant sud-africain.
Alors que l’infection naturelle, elle, reste très efficace contre tous les variants connus.
Il est donc ahurissant qu’on vaccine les personnes déjà infectées, et qu’on ait pu mentir sur l’efficacité de l’infection naturelle.

Avec les vaccins, on est même arrivé à un mensonge encore plus énorme :

Mensonge 4 : les vaccins permettront le « zéro covid », via une « immunité collective »

C’est la cerise sur le gâteau de la désinformation.
D’abord, on a diabolisé l’idée « d’immunité collective », acquise naturellement.
Puis, avec l’arrivée des vaccins, on vous a promis une « immunité collective » vaccinale
Et on vous a promis la « sortie du cauchemar » et le « retour à la vie normale » grâce à la vaccination. 
Mais c’est totalement faux.

Même si les vaccins étaient aussi efficaces qu’on le dit (ce qui est loin d’être avéré), ils ne peuvent pas produire d’immunité collective solide.
Ce n’est pas (seulement) moi qui le dit, mais la prestigieuse revue scientifique Nature, qui vient de publier un éditorial cinglant à ce sujet. [6]

Selon Nature, l’immunité collective vaccinale est impossible pour 5 raisons : 

  • « Il n’est pas avéré que les vaccins empêchent la transmission » : je vous le dis depuis le début, et le « Monsieur vaccin » du gouvernement (Pr Fischer) l’a reconnu, il n’y a aucune preuve que les vaccins empêchent les contaminations – il y a même plutôt des preuves que les vaccins accroissent les transmissions, dans les 2-3 premières semaines après la première dose ;
  • « La distribution des vaccins est inégale dans le monde » : comme il n’y a pas assez de doses pour tout le monde, beaucoup de pays en développement ne sont pas près d’être vaccinés. Donc même si les vaccins étaient efficaces, ils ne pourraient stopper la transmission mondiale du virus ;
  • « Les nouveaux variants changent l’équation de l’immunité collective » : oui, les variants mettent à mal l’immunité collective vaccinale, mais beaucoup moins l’immunité collective naturelle, pour les raisons déjà évoquées ;
  •  « L’immunité ne durera pas éternellement » : c’est vrai pour l’immunité naturelle, qui a probablement une efficacité de plusieurs années (comme pour les autres coronavirus), mais c’est encore plus vrai pour l’immunité acquise par la vaccination, qui pourrait ne durer que quelques mois ;
  • « Les vaccins pourraient changer les comportements » : selon Nature, il sera difficile d’expliquer aux vaccinés qu’ils doivent continuer à porter le masque et à se distancier socialement – et pourtant, d’après les auteurs de l’article, ce serait nécessaire, pour atteindre le zéro Covid puisque les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %.

Conclusion de l’épidémiologue Stefan Flasche, cité par Nature : « il est très peu probable d’atteindre l’immunité collective avec les vaccins seuls ».

Et il ajoute : « Il faut donc apprendre à vivre avec le virus », qui n’est pas près de disparaître.

C’est évident – et c’est ce que je vous dis depuis le début. 
La Covid-19 n’est pas la peste. Il faut vivre avec. 
Il faut la prévenir avec la vitamine D, et la soigner avec l’ivermectine.
Il faut rouvrir le pays, et arrêter de vivre cloîtré.

Souvenez-vous de cette intervention magistrale du Pr Raoult, à l’automne dernier : 

« Je pense que ce pays vit une erreur dramatique, qui est la dramatisation perpétuelle. 
Qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a un virus ?
Mais vous êtes tous fous, vous êtes devenus tous cinglés ». [7]

Oui, les autorités sont devenues folles. Les médias ont suivi, comme un troupeau bêlant. Et leur irrationalité a contaminé la moitié de la population, placée dans un état de psychose.
Mais cette « folie » fait les affaires des fabricants de vaccin, qui se préparent à nous vacciner et revacciner, de la naissance à la mort, tous les 6 mois. 
Sous la contrainte du fameux « passeport vert » à venir.

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : Il est de plus en plus clair que les mensonges de l’épidémie de grippe A H1N1 de 2009 étaient une sorte de « répétition générale » de la folie actuelle.

Je vous en avais déjà parlé au printemps dernier, au moment où le scandale du remdésivir de Gilead commençait à rappeler celui du Tamiflu : https://www.sante-corps-esprit.com/roselyne-bachelot-se-moque-de-nous/

Mais la preuve la plus manifeste porte sur les vaccins, avec cette vidéo incroyable de Roselyne Bachelot en 2009, face au Dr Marc Girard.

Regardez-là vite avant qu’elle ne soit censurée, c’est édifiant : https://www.dailymotion.com/video/xb5jdz

J’en profite, bien entendu, pour souhaiter de tout cœur à Mme Bachelot une très rapide convalescence. 
Mais on ne m’empêchera pas de dire que son cas est révélateur du drame de la vaccination à outrance et irréfléchie !

Figurez-vous que Mme Bachelot a été vaccinée le 17 mars, trois jours avant d’annoncer qu’elle était positive à la Covid-19.[8]

Cela veut dire qu’elle était en train d’incuber le virus au moment de la vaccination, ce qui est la pire des configurations possibles !
Car on sait bien qu’il ne faut surtout pas donner de vaccin pendant une infection !
Cela s’applique aux humains… et même aux chevaux, comme le montre ce communiqué récent de spécialistes, à propos d’un autre vaccin :

« Pour les chevaux exposés qui peuvent être en phase d’incubation, la vaccination est déconseillée et n’aurait que peu d’effet ; sur un cheval malade, la première injection risque de n’entrainer aucune réponse immunitaire, voire de déclencher plus rapidement la maladie. » [9]

Dans le cas des nouveaux vaccins contre le coronavirus, on a même la preuve incontestable que la vaccination en cours d’infection est dangereuse.
Car la première dose des vaccins ARN supprime temporairement une partie du système immunitaire (les lymphocytes T), celle qui nous protège contre l’aggravation de la maladie ! 
Si vous ne me croyez pas, regardez ce graphique tiré des phases 1 et 2 de test du vaccin de Pfizer – la suppression des lymphocytes T est évidente aux jours 1 à 3, par rapport au placebo en bleu [10] :

Bref, je suis vraiment désolé pour Madame Bachelot, mais son cas est malheureusement représentatif de ce qu’il ne faut surtout pas faire : se vacciner sans faire de test PCR préalable ! 

Au passage, c’est une des explications de l’explosion de décès dans les pays qui ont vacciné très rapidement [11] : ceux qui étaient en « incubation » au moment du vaccin ont eu des formes plus graves que s’ils n’avaient pas été vaccinés.
Il est fou qu’une ancienne ministre de la Santé ait été aussi mal informée.
Mais c’est aussi le signe qu’il n’y a peut-être pas de « malice » au sommet de l’Etat : les ministres comme Olivier Véran pourraient être eux aussi victimes de l’énorme désinformation orchestrée par Big Pharma !

Sources

[1] https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-europe-mortality-idUSKBN2BG1R9

[2] necpluribusimpar.net/why-did-more-people-die-of-covid-19-in-sweden-than-in-other-nordic-countries-it-probably-had-little-to-do-with-policy/

[3] https://www.lemonde.fr/international/article/2020/12/31/en-suede-les-habitants-ont-la-coronaskam-la-honte-de-la-strategie-du-pays-face-au-covid-19_6064872_3210.html?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1609489405

[4] https://www.20minutes.fr/monde/2948915-20210109-coronavirus-fin-definitif-modele-suedois

[5] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32908300/

[6] https://www.nature.com/articles/d41586-021-00728-2

[7] https://www.lalibre.be/international/europe/echange-tendu-entre-didier-raoult-plus-que-jamais-sur-de-lui-et-david-pujadas-mais-vous-etes-devenus-tous-cingles-5f996efd7b50a6525b9bc594

[8] https://www.24heures.ch/hospitalisee-roselyne-bachelot-est-sous-oxygenotherapie-renforcee-964349822758

[9] https://respe.net/foyers-dherpesviroses-type-1-hve1-communique-de-presse-03-03-2021/

[10] https://www.nature.com/articles/s41586-020-2639-4

[11] www.sante-corps-esprit.com/loccident-est-il-en-train-de-se-tirer-une-balle-dans-le-pied-avec-les-vaccins-anti-covid/




La Chine et la Russie lancent une « économie mondiale de la résistance ».

[Source : Le Saker Francophone]

Par Alastair Crooke – Source [anglaise] Strategic Culture

L’Art de la guerre de Sun Tzu (vers 500 avant J.-C.) conseille : « Se prémunir contre la défaite est entre nos mains ; mais l’occasion de vaincre l’ennemi est fournie par l’ennemi lui-même… C’est pourquoi le combattant intelligent impose sa volonté et ne permet pas que la volonté de l’ennemi lui soit imposée ».

Telle est l’essence de la résistance chinoise – une stratégie qui a été pleinement dévoilée à la suite des pourparlers d’Anchorage ; des pourparlers qui ont fait taire toute personne qui, à Pékin, pensait encore que les États Unis trouverait un modus vivendi avec Pékin dans sa quête effrénée de primauté sur la Chine.

Même si c’était déjà visible auparavant, ce n’est qu’aujourd’hui, après Anchorage, que l’on voit la Chine se permettre de répondre durement et que les États-Unis ont la ferme intention de bloquer l’ascension de la Chine.

Si l’on suppose que cette initiative de « résistance » se résume à une sorte de « coup de poing » contre Washington – en sapant les ambitions iraniennes de Biden, pour se venger de l’Amérique qui crie haut et fort aux « crimes de guerre » (« génocide » au Xinjiang) -, on passe totalement à côté de son importance. La portée du pacte avec l’Iran dépasse de loin le commerce et l’investissement, comme l’a souligné un commentateur des médias d’État chinois : « En l’état actuel des choses, cet accord (le pacte avec l’Iran) va totalement bouleverser le paysage géopolitique dominant dans la région ouest-asiatique, soumise depuis si longtemps à l’hégémonie des États-Unis ».

Voici donc l’essence de la formule « un combattant intelligent cherche à imposer sa volonté » : la Chine, la Russie ou l’Iran n’ont pas besoin d’entrer en guerre pour y parvenir ; ils se contentent « d’appliquer cela ». Ils vont le faire – tout simplement. Ils n’ont pas besoin d’une révolution pour le faire, et ils n’ont aucun intérêt à combattre l’Amérique.

Qu’est-ce donc que ce « cela » ? Il ne s’agit pas seulement d’un pacte de commerce et d’investissement avec Téhéran, ni d’une simple entraide entre alliés. La « résistance » réside précisément dans la manière dont ils essaient de s’entraider. Il s’agit d’un mode de développement économique. Il représente la notion selon laquelle toute ressource génératrice de rente – monopoles bancaires, fonciers, ressources naturelles et infrastructures naturelles – devrait appartenir au domaine public afin de répondre aux besoins fondamentaux de tous – gratuitement.

L’alternative consiste simplement à privatiser ces « biens publics » (comme en Occident), où ils sont fournis à un coût maximal financiarisé – y compris des taux d’intérêt, des dividendes, des frais de gestion et des manipulations pour optimiser le gain financier.

« Cela » veut alors dire une approche économique véritablement différente. Pour donner un exemple : L’extension du métro de la Deuxième Avenue à New York a coûté 6 milliards de dollars, soit 2 milliards de dollars par mile – le transport urbain de masse le plus cher jamais construit. Le coût moyen des lignes de métro souterraines en dehors des États-Unis est de 350 millions de dollars par mile, soit un sixième du coût de celui de New York.

En quoi ce « cela » change-t-il tout ? L’élément le plus important du budget d’une personne est aujourd’hui le logement, à hauteur de 40 % du budget, ce qui reflète simplement le prix élevé des maisons, basé sur un marché alimenté par la dette. Imaginez que cette proportion soit plutôt de 10 % (comme en Chine). Supposons également que l’enseignement public soit peu coûteux. Dans ce cas, vous êtes débarrassé de la dette liée à l’éducation et de ses intérêts. Supposons que vous ayez des soins de santé publics et des infrastructures de transport à bas prix. Vous aurez alors la capacité de dépenser. Vous deviendrez une économie à faible coût et, par conséquent, vous connaîtrez la croissance.

Un autre exemple : Le coût de l’embauche de personnel de R&D en Chine représente un tiers ou la moitié du coût comparable aux États-Unis, de sorte que les dépenses technologiques de la Chine sont plus proches de 1 000 milliards de dollars par an (en termes de parité de pouvoir d’achat), alors que les États-Unis ne consacrent que 0,6 % de leur PIB, soit environ 130 milliards de dollars, à la R&D fédérale.

À un certain niveau, « cela » est donc un défi stratégique pour l’écosystème occidental. Dans un coin du ring, les économies stagnantes de l’Europe et de l’UE, hyper-financiarisées et axées sur la dette, dans lesquelles l’orientation stratégique et les « gagnants et perdants » économiques sont déterminés par les grands oligarques, et dans lesquelles les 60% luttent et les 0,1% prospèrent. Dans l’autre coin du ring, une économie très mixte dans laquelle le Parti fixe un cap stratégique pour les entreprises d’État, tandis que d’autres sont encouragés à innover et à faire preuve d’esprit d’entreprise dans le moule d’une économie dirigée par l’État (quoique avec des caractéristiques taoïstes et confucéennes).

Socialisme contre capitalisme ? Non, il y a longtemps que les États-Unis ne sont plus une économie capitaliste ; c’est à peine encore une économie de marché aujourd’hui. C’est devenu, de plus en plus, une économie rentière, depuis qu’elle a quitté l’étalon-or (en 1971). Cette sortie forcée des États-Unis de la « fenêtre de l’or » leur a permis, grâce à la demande mondiale de titres de créance américains (obligations du Trésor), de se financer gratuitement (à partir de l’excédent économique mondial). Le Consensus de Washington garantissait en outre que les afflux de dollars à Wall Street, en provenance du monde entier, ne seraient jamais soumis à des contrôles de capitaux, et que les États ne pourraient pas utiliser leur propre monnaie, mais devraient emprunter en dollars à la Banque mondiale et au FMI.

Et cela signifiait essentiellement emprunter au Pentagone et au Département d’État en dollars américains, qui étaient en fin de compte les « exécutants » du système, comme le note le professeur Hudson. L’évolution du système financier américain vers une entité qui privilégie les actifs « réels », tels que les hypothèques et les biens immobiliers qui offrent un certain « loyer », plutôt que d’investir directement dans des entreprises spéculatives, signifie également que les jubilés de la dette sont interdits. (Les Grecs peuvent raconter l’expérience de ce que cela implique, dans les moindres détails).

Le fait est que, sur le plan économique, la sphère hyper-financiarisée des États-Unis se rétrécit rapidement, car la Chine, la Russie et une grande partie de l’« île mondiale » se tournent vers les échanges dans leur propre monnaie (et n’achètent plus de bons du Trésor américain). Dans une « guerre » entre systèmes économiques, l’Amérique commence donc du mauvais pied.

Il y a un siècle, Halford Mackinder affirmait que le contrôle du « Heartland », zone qui s’étend de la Volga au Yangtze, permettrait de contrôler « l’île du monde », terme qu’il utilisait pour désigner l’Europe, l’Asie et l’Afrique. Plus d’un siècle plus tard, la théorie de Mackinder résonne alors que les deux principales nations à l’origine de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) la transforment en un système d’interrelations reliant un bout de l’Eurasie à l’autre. Ce n’est pas si nouveau, bien sûr. Il s’agit simplement de la renaissance de l’ancienne économie basée sur le commerce du cœur de l’Eurasie, qui s’était finalement effondrée au 17e siècle.

Alastair Macleod note que les commentateurs ne parviennent généralement pas à comprendre « pourquoi » cet essor en Asie occidentale : « Ce n’est pas dû à la supériorité militaire, mais à la simple économie. Alors que l’économie américaine souffre d’un résultat inflationniste post-blocage et d’une crise existentielle pour le dollar – l’économie chinoise va connaître un boom grâce à l’augmentation de la consommation intérieure … et à l’augmentation des exportations, conséquence de la stimulation de la demande des consommateurs par l’Amérique [grâce au plan de relance économique de Biden, d’une valeur de 1900 milliards, NdT] et de l’explosion du déficit budgétaire ».

Voilà, explicitement dit, l’argument de Sun Tzu ! « L’opportunité de vaincre l’ennemi est fournie par l’ennemi lui-même ». Il y a à Washington (et dans une certaine mesure en Europe aussi), une faction qui entretient un désir émotionnel pathologique de guerre contre la Russie, provenant en grande partie de la conviction que les Tsars (et plus tard Staline), étaient antisémites. Leur émotion est celle de la haine et de la colère, et pourtant ce sont eux qui sont en grande partie responsables du rapprochement entre la Russie et la Chine. Cette situation, ainsi que la propension de l’Amérique à sanctionner le monde, a donné leur chance à la Chine et à la Russie.

L’idée sous-jacente est toutefois que, même pour l’UE, la périphérie du Rimland est moins importante que l’île-monde de Mackinder. Il fut un temps où la primauté britannique, puis américaine, l’emportait sur son importance, mais ce n’est peut-être plus le cas. Ce qui se passe ici est le plus grand défi jamais lancé à la puissance économique et à la suprématie technologique américaines.
Pourtant, cette Realpolitik économique n’est que la moitié de l’histoire du lancement par la Chine et la Russie d’une « économie mondiale de résistance ». Elle a également un cadre géopolitique parallèle.

C’est à ce dernier aspect, très probablement, que le responsable chinois faisait référence lorsqu’il a déclaré que l’accord avec l’Iran « bouleverserait totalement le paysage géopolitique dominant dans la région de l’Asie occidentale qui a si longtemps été soumise à l’hégémonie des États-Unis ». Notez qu’il n’a pas dit que l’accord bouleverserait les relations de l’Iran avec les États-Unis ou l’Europe, mais l’ensemble de la région. Il a également laissé entendre que les initiatives de la Chine libéreraient l’Asie occidentale de l’hégémonie américaine. Comment cela ?

Dans une interview accordée la semaine dernière, le ministre des affaires étrangères Wang Yi a exposé l’approche de Pékin vis-à-vis de la région de l’Asie occidentale :

Le Moyen-Orient a été un haut lieu de brillantes civilisations dans l’histoire de l’humanité. Pourtant, en raison de conflits et de troubles prolongés dans l’histoire plus récente, la région a sombré dans une dépression sécuritaire… Pour que la région sorte du chaos et jouisse de la stabilité, elle doit s’affranchir de l’ombre de la rivalité géopolitique des grandes puissances et explorer indépendamment des voies de développement adaptées à ses réalités régionales. Elle doit rester imperméable aux pressions et aux ingérences extérieures et suivre une approche inclusive et réconciliatrice pour construire une architecture de sécurité qui tienne compte des préoccupations légitimes de toutes les parties … Dans ce contexte, la Chine souhaite proposer une initiative en cinq points pour assurer la sécurité et la stabilité au Moyen-Orient :

Premièrement, prôner le respect mutuel … Les deux parties doivent respecter la norme internationale de non-ingérence dans les affaires intérieures des autres … il est particulièrement important que la Chine et les États arabes fassent front commun contre la calomnie, la diffamation, l’ingérence et la pression au nom des droits de l’homme … [l’UE devrait prendre note].

Deuxièmement, défendre l’équité et la justice, s’opposer à l’unilatéralisme et défendre la justice internationale… La Chine encouragera le Conseil de sécurité à délibérer pleinement sur la question de la Palestine afin de réaffirmer la solution à deux États… Nous devons défendre le système international centré sur les Nations unies, ainsi que l’ordre international fondé sur le droit international, et promouvoir conjointement un nouveau type de relations internationales. Nous devrions partager notre expérience en matière de gouvernance … et nous opposer à l’arrogance et aux préjugés.

Troisièmement, la non-prolifération … Les parties doivent … discuter et formuler une feuille de route et un calendrier pour que les États-Unis et l’Iran recommencent à respecter le JCPOA. Il est urgent que les États-Unis prennent des mesures substantielles pour lever leurs sanctions unilatérales à l’encontre de l’Iran, ainsi que leur juridiction de longue durée sur des tiers, et que l’Iran reprenne le respect réciproque de ses engagements nucléaires. Dans le même temps, la communauté internationale devrait soutenir les efforts des pays de la région en vue d’établir au Moyen-Orient une zone exempte d’armes nucléaires et d’autres armes de destruction massive. [Y compris et surtout Israël, NdT]

Quatrièmement, favoriser conjointement la sécurité collective… Nous proposons d’organiser en Chine une conférence de dialogue multilatéral pour la sécurité régionale dans le Golfe (Persique)….

Et cinquièmement, accélérer la coopération pour le développement… ».

Eh bien, la Chine fait une entrée spectaculaire au Moyen-Orient, et défie les États-Unis avec un programme de résistance. Le ministre des affaires étrangères, Wang, lorsqu’il a rencontré Ali Larijani, conseiller spécial du guide suprême Khamenei, a tout formulé en une seule phrase : « L’Iran décide en toute indépendance de ses relations avec les autres pays, et n’est pas comme certains pays qui changent de position en un coup de fil ». Ce commentaire résume à lui seul la nouvelle éthique du « guerrier loup » : les États doivent conserver leur autonomie et leur souveraineté. La Chine prône un multilatéralisme souverainiste pour secouer « le joug occidental ».

Wang n’a pas limité ce message politique à l’Iran. Il venait de tenir les mêmes propos en Arabie saoudite, avant d’arriver à Téhéran. Il a été bien accueilli à Riyadh. En termes de développement économique, la Chine avait auparavant associé la Turquie et le Pakistan au plan du « corridor » – et maintenant l’Iran.

Comment les États-Unis vont-ils réagir ? Ils vont ignorer le message d’Anchorage. Ils vont probablement poursuivre leurs efforts. Ils testent déjà la Chine à propos de Taïwan et préparent une escalade en Ukraine, pour provoquer la Russie.

Pour l’UE, l’entrée de la Chine dans la politique mondiale est plus problématique. Elle tentait de tirer parti de sa propre « autonomie stratégique » en érigeant les valeurs européennes en porte d’entrée de son marché et de son partenariat commercial. En réalité, la Chine dit au monde de rejeter toute imposition hégémonique de valeurs et de droits étrangers.

L’UE est coincée au milieu. Contrairement aux États-Unis, elle n’est pas en mesure d’imprimer l’argent qui lui permettrait de relancer son économie contaminée par le virus. Elle a désespérément besoin de commerce et d’investissement. Or, son principal partenaire commercial, et sa source de technologie, vient de lui dire (comme elle l’a dit aux États-Unis) d’abandonner son discours moralisateur. Dans le même temps, le « partenaire sécuritaire » de l’Europe vient d’exiger le contraire : que l’UE le renforce. Que peut-elle faire ? sinon s’asseoir et observer… (en croisant les doigts pour que personne ne fasse quelque chose d’extrêmement stupide).

Alastair Crooke

Traduit par Wayan, relu par Hervé pour le Saker Francophone




Gluten, l’ennemi public ? | ARTE

[Source : ARTE]

[Transmis par Philippe Loubière]

Les cas d’intolérance au gluten explosent et les maladies cœliaques sont quatre fois plus élevées que dans les années 1950. Cette ambitieuse enquête révèle les dommages causés par la dérégulation de notre économie sur le blé, notre aliment de base.

Magique, le gluten apporte gonflant et liant aux préparations culinaires. En revanche, il est indigeste. Mais s’il ne fait qu’alourdir l’estomac d’une personne en bonne santé, il provoque chez les individus cœliaques ou sensibles une réaction immunitaire dévastatrice. En 2018, le marché mondial des produits sans gluten pesait 15 milliards d’euros. Il devrait plus que doubler d’ici à 2027. La diabolisation de cette protéine qui se forme en mélangeant l’eau à la farine ne constitue-t-elle qu’un argument marketing ? Ou le blé s’est-il mué en poison ? Comment cette céréale faite pour mûrir au soleil peut-elle prospérer dans des pays froids comme l’Ukraine ou le Canada ? Les cas de maladies cœliaques, quatre fois plus élevés que dans les années 1950, et de sensibilité au gluten ont explosé, avec une vitesse excluant une mutation génétique et accusant notre environnement.

Géopolitique du blé
Jadis élancés, les blés ont rapetissé. Pourquoi ? Parce que les variétés naines s’accordaient mieux avec les engrais à base de nitrates et de phosphates, matières à explosifs dont il fallait écouler les stocks accumulés durant la Seconde Guerre mondiale… Ces « petits blés » contiennent moins de gluten mais dotent celui-ci d’une élasticité renforcée que nous tolérons moins bien. Ce gluten tenace, niché dans de nombreux produits transformés, n’explique pourtant pas à lui seul l’épidémie actuelle. Les résidus grandissants de glyphosate, un herbicide, dans les aliments à base de céréales ont une part écrasante de responsabilité.
Le constat dressé par cette enquête, multipliant les éclairages de chercheurs, économistes, juristes, fermiers ou militants, laisse pantois : mainmise des multinationales sur les réglementations, modèle industriel favorisant les grands céréaliers, interdépendance des pays entravant la régulation… Contrainte d’importer une partie de son blé, l’Italie, qui interdit la dessication (prisé dans les pays froids, le procédé consiste à vaporiser l’herbicide juste avant la moisson pour faire mûrir les plantes artificiellement), a tenté d’indiquer sur les paquets de pâtes la provenance des grains. Le Canada a aussitôt déposé un recours au tribunal de l’OMC. Pointant les dérives mais aussi les avancées, comme le retour des variétés de blé anciennes en Sicile, un démêlage vigoureux de nos épis et des maux qui les rongent.

Documentaire de Patrizia Marani (France/Italie, 2020, 1h19mn)

Gluten​ #Enquête​ #ARTE​

Disponible jusqu’au 13/05/2021

https://youtu.be/wmIjuZFkzK0

Voir aussi : Les défis d‘une autre agriculture | ARTE




Le gouverneur de Floride DeSantis dit que les verrouillages ont été « une énorme, énorme erreur »

[Source anglaise : Lifesitenews]

[Photo : Le gouverneur républicain de Floride Ron DeSantis
OUI Market Media / Shutterstock]

Par Emily Mangiaracina

Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, dit qu’il regrette d’avoir fermé son État, qualifiant les verrouillages d’une « énorme erreur ».

« Nous voulions atténuer les dégâts. Maintenant, avec le recul, les 15 jours pour ralentir la propagation et les 30 suivants — cela n’a pas fonctionné », a déclaré DeSantis à Epoch Times. « Nous n’aurions pas dû emprunter cette voie. »

Le gouverneur avait émis une ordonnance de séjour à la maison de 30 jours plus clémente que la plupart des autres États, avec des exceptions pour les services religieux et les activités récréatives, ainsi que pour les entreprises essentielles « au sens large ».

« Notre économie a continué », a déclaré DeSantis. « C’était très différent de ce que vous avez vu dans certains des États en confinement. »

Après la décision de confinement à la maison, DeSantis a procédé à la réouverture de l’État, alors même qu’il avait été réprimandé par les partisans du verrouillage pour ses politiques. La Floride a été entièrement rouverte le 25 septembre 2020 et DeSantis est resté ferme même si les cas de COVID-19 ont augmenté pendant l’hiver.

DeSantis a fait valoir non seulement que les verrouillages sont inefficaces, mais qu’ils infligent des dommages dévastateurs à l’économie et au bien-être, à la fois mental et physique, des personnes.

Le gouverneur a déclaré lors d’une conférence de presse de février que le « résultat » des verrouillages a été « la destruction de millions de vies à travers l’Amérique, ainsi qu’une augmentation des décès dus au suicide, à la toxicomanie ou au désespoir, sans aucun avantage correspondant dans la mortalité par COVID. »

« Cela a été une énorme, énorme erreur en termes de politique », a déclaré DeSantis à Epoch Times. « Tout ce que j’avais à faire était de suivre les données et d’être simplement prêt à aller de l’avant dans le récit et à lutter contre les médias. »

« Alors que les gens me combattaient, j’ai dit que je préférais qu’ils s’en prennent à moi plutôt que de voir quelqu’un perdre son emploi. Je préfère qu’ils m’attaquent plutôt que de voir des enfants empêchés d’aller à l’école. Je suis tout à fait prêt à accepter n’importe quelle pression parce que nous faisons ce qui est juste. »

Les politiques de DeSantis ont depuis été confirmées par les statistiques de santé pour la Floride, par l’état de son économie et par la profonde gratitude des Floridiens dont les entreprises et les moyens de subsistance ont été sauvés grâce à DeSantis.

Malgré le fait que la population de la Floride est la sixième plus âgée des États-Unis par moyenne d’âge et que les personnes de plus de 55 ans représentent 93 % des décès dus au COVID-19 dans tout le pays, la Floride se classe [seulement] au 27e rang du pays [États-Unis] pour les décès par habitant attribués à la COVID-19.

Le taux de chômage de l’État, début avril 2021, était de 4,7 %, contre 6,2 % au niveau national.

L’importance complète de ces chiffres est révélée par les paroles sincères des Floridiens, y compris des propriétaires d’entreprise, qui, selon DeSantis, sont parfois émus lorsqu’ils le rencontrent.

Selon Epoch Times, « plusieurs des interactions avec le gouverneur de la foire du comté de Clay ressemblaient à cette description. [Un] vétéran âgé visiblement ému a exhorté le gouverneur à ne pas “les laisser nous rouler dessus” ».

« J’ai du mal à payer pour un repas en Floride simplement parce que j’ai sauvé beaucoup de ces restaurants de l’oubli », a déclaré DeSantis. The Epoch Times a rapporté que « quelques heures après cette affirmation, un stand de frites ondulées à la foire a refusé de charger le gouverneur. »

« Si nous ne nous étions pas levés, ces gens n’auraient peut-être plus d’emploi, les entreprises auraient fait faillite, les enfants ne seraient pas à l’école, il y aurait toutes ces choses », a déclaré DeSantis. « Cela a vraiment un impact très personnel sur les gens. »

La politique de liberté de DeSantis et son État prospère offrent un contraste frappant avec l’Ontario, au Canada, qui a été particulièrement sévère dans son utilisation des verrouillages depuis le début de l’épidémie de COVID-19.

La plus récente ordonnance de confinement à la maison de l’Ontario a fermé des magasins de détail non essentiels et continue de restreindre la fréquentation des églises et de priver les Canadiens des droits et libertés garantis par la Charte.

L’ordre intervient alors que les décès excessifs dus aux conséquences indirectes de la pandémie, tels que les surdoses de médicaments et les traitements médicaux manqués, continuent de monter en flèche. Celles-ci ont incité un groupe de médecins d’urgence et de soins intensifs à écrire au Premier ministre Doug Ford « appelant à une action immédiate et décisive pour alléger le fardeau des hôpitaux ».

Les conséquences physiques et mentales que les verrouillages ont imposées aux Canadiens ont conduit à la formation du caucus national non partisan « Mettre fin aux verrouillages ».

« Après un examen attentif et minutieux des mesures d’atténuation prises par tous les niveaux de gouvernement, il est maintenant évident que les verrouillages causent plus de tort que le virus et doivent prendre fin », indique un énoncé de position du groupe.

Le Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario (CHEO) a rapporté en janvier qu’il voyait une « tendance inquiétante » de bébés amenés à l’hôpital avec « des fractures et des traumatismes crâniens » à la suite des verrouillages liés au COVID en Ontario et au Québec. « Au cours de mes 16 années au CHEO, je n’ai jamais vu autant de nourrissons souffrant de graves blessures causées par des mauvais traitements », a déclaré la Dre Michelle Ward, pédiatre et directrice médicale de la protection de l’enfance et de la jeunesse au CHEO, dans un communiqué de presse du 29 janvier.

« C’est une guerre contre les libertés », a déclaré Randy Hillier, un député indépendant au Parlement provincial (MPP), à LifeSiteNews lors d’un entretien téléphonique.

« Ils veulent que les gens abandonnent leurs libertés, qu’ils se débarrassent des choses qui sont importantes pour eux, qu’ils laissent tomber leur famille, qu’ils abandonnent leur foi, qu’ils se débarrassent de toutes les composantes essentielles de la dignité humaine, et ils veulent isoler et confiner les gens »

Randy Hillier




Coronavirus : Les utilisateurs de Facebook vaccinés contre le Covid-19 seront mis en avant sur le fil d’actualité

[Source : 20minutes.fr]

[Illustration : Le logo du réseau social Facebook. — SOPA Images/SIPA]

De nombreux pays ont entamé leur campagne de vaccination contre le coronavirus et Facebook souhaite accompagner leurs efforts. Le réseau social propose depuis ce jeudi deux filtres sur ce thème à ajouter à sa photo de profil.

Ces filtres permettent aux utilisateurs d’indiquer qu’ils ont été vaccinés et d’encourager leurs amis à se faire vacciner à leur tour. Les filtres ont été conçus en partenariat avec le département américain de la Santé et des Services sociaux, indique Facebook dans un communiqué relayé par Ouest France.

L’influence des proches

Les mots sont sans ambiguïté : « Faisons-nous vacciner » et « J’ai reçu mon vaccin contre le Covid-19 ». Facebook ira ensuite plus loin en mettant les personnes vaccinées en avant sur le fil d’actualité de leurs amis. « Nous savons que les gens sont plus susceptibles de se faire vacciner lorsqu’ils voient beaucoup de proches en qui ils ont confiance qui le font », indique Facebook.

Le réseau social américain s’appuie sur des études scientifiques qui montrent « l’impact important des normes sociales sur l’attitude des gens » en matière de santé. Après un test concluant au Royaume-Uni, les filtres sont maintenant disponibles partout dans le monde.




Un célèbre psychiatre formé à Harvard appelle à un « moratoire » sur les vaccins COVID

Dr. Peter Breggin

[Source anglaise : LifeSiteNews ]

[Photo : Dr Peter Breggin]

Par Pete Baklinski

« Le vaccin est beaucoup plus dangereux que la maladie. »

Dr Peter Breggin

Un psychiatre de renommée mondiale formé à Harvard et auteur de dizaines d’articles scientifiques appelle à un « moratoire » sur les vaccins COVID-19 en raison de l’explosion des réactions indésirables et des milliers de décès chez ceux qui ont reçu la piqûre.

« Le vaccin est beaucoup plus dangereux que la maladie COVID-19 », a déclaré le Dr Peter Breggin, ancien consultant à l’Institut national de la santé mentale, à John-Henry Westen de LifeSiteNews cette semaine.

« Il est très clair maintenant que nous avons absolument besoin d’un moratoire à ce sujet. Ne le prenez pas [le vaccin]. Nous avons besoin d’un moratoire », a-t-il déclaré.

Les commentaires de Breggin interviennent alors que les autorités américaines et européennes révèlent que, depuis décembre, plus de 10 000 personnes sont décédées après avoir reçu un vaccin COVID-19 et des dizaines de milliers ont subi des «événements indésirables». Ses commentaires interviennent également dans le sillage des agences fédérales américaines arrêtant l’utilisation du vaccin COVID à injection unique Johnson & Johnson alors qu’elles enquêtent sur le lien possible du vaccin avec des caillots sanguins potentiellement dangereux. Le vaccin AstraZeneca a également été interrompu dans divers pays tels que le Danemark, la Norvège et l’Islande, tandis que l’Allemagne a limité son utilisation aux personnes de plus de 60 ans. Les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont confirmé à Epoch Times aujourd’hui que 5800 Américains ont contracté le COVID-19 alors qu’ils étaient complètement vaccinés contre le virus, dont près de 400 qui ont nécessité une hospitalisation et 74 qui en sont décédés.

Breggin est un médecin spécialisé en santé mentale. Il s’est fait un nom dans ses efforts fructueux pour réformer le domaine de la santé mentale avec ses critiques des diagnostics psychiatriques et des drogues. Il est l’auteur de livres tels que Toxic Psychiatry, Talking Back to Prozac et Talking Back to Ritalin. Il a été salué comme la « conscience de la psychiatrie ». Son dernier livre s’intitule « Covid-19 et les prédateurs mondiaux : nous sommes la proie ».

Dans son entretien avec LifeSiteNews, Breggin affirme que le COVID-19 a été utilisé par les élites mondiales comme « couverture » pour instaurer un nouvel ordre mondial – appelé par Klaus Shawb The Great Reset [La Grande Réinitialisation] – où les vaccins jouent un rôle essentiel dans le contrôle la population.

« Le problème scientifique est que quiconque prend le vaccin est le cobaye d’une expérience. Vous êtes un sujet expérimental et vous étiez prévu depuis des décennies pour être un sujet expérimental avec les vaccins », a-t-il déclaré.

Breggin a qualifié les vaccins de « hautement expérimentaux » et de « très dangereux », soulignant qu’ils n’ont même pas été testés sur les animaux. Les vaccins interfèrent « avec l’ARN de vos cellules », a-t-il déclaré. « Ils transforment l’ARN, qui est très étroitement lié à l’ADN, pour fabriquer des protéines que vos propres cellules peuvent ensuite attaquer – votre propre corps peut alors attaquer vos cellules T, vos anticorps. Je pourrais peut-être vous en parler plus en détail, mais je veux juste faire comprendre que c’est une chose très étrange.

Il a déclaré que le nombre croissant de décès qui ont suivi la réception du vaccin tel que rapporté par le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) [Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins] du CDC ne représente probablement qu’une petite fraction du nombre réel de décès étant donné que la notification est volontaire et que de nombreux médecins choisissez de ne pas signaler car ils ne veulent pas être impliqués dans une poursuite pour faute professionnelle médicale.

« C’est une fraction des décès », a déclaré Breggin.

« Il est possible qu’au lieu de 2 000 décès actuellement aux États-Unis étroitement associés au vaccin, ce soit 20 000. Nous n’avons aucune idée. Cela pourrait être encore plus élevé. »

Le médecin a exposé ce qu’il a appelé « l’objectif politique » que servent les vaccins : obliger les gens à prendre les vaccins expérimentaux pour un virus dont la majorité des personnes infectées se rétablissent, c’est finalement «écraser l’esprit humain » et rendre les gens plus docile au « totalitarisme » et à un « autoritarisme lourd ».

« Tout l’objectif est d’accroître la docilité de la population. Et le totalitarisme, un autoritarisme lourd, écrase l’esprit humain », a-t-il dit.

Breggin a déclaré que derrière les mesures coercitives infligées aux populations au nom de leur protection contre le virus se cache le désir des mondialistes d’élite de « dominer les autres êtres humains ».

« Vous êtes l’objectif d’un réseau totalitaire de prédateurs mondiaux qui sont tous impies. Aucun d’eux ne croit en Dieu. Aucun d’eux ne croit au patriotisme. Aucun d’eux ne croit en l’Amérique. Aucun d’entre eux ne croit en la liberté », a-t-il déclaré.

Le médecin a déclaré que les élites mondiales veilleront à ce que les citoyens restent suffisamment écrasés pour qu’ils puissent atteindre leurs objectifs.

« C’est pourquoi lorsque vous prenez le vaccin, on vous dit que vous devez quand même continuer à vous isoler ou que vous devez porter un masque. Non, non! C’est parce que c’est sans fin. Et quand vous lirez mon livre, vous verrez que tout a été calculé pour produire la « grande réinitialisation », et ce qui au cœur de celle-ci est la destruction de la démocratie patriotique américaine. »




Les ARNm vaccinaux atteignent les organes reproducteurs

[Source : l’équipe de RéinfoCovid via Les moutons enragés]

Par l’équipe scientifique de Reinfocovid

L’INSERM, se veut rassurant sur la possibilité d’intégration de l’ARNm vaccinal dans le génome humain, considérant que l’ARN vaccinal ne peut pas atteindre les organes reproducteurs (testicules & ovaires). Pourtant, les AMM conditionnelles du vaccin Pfizer/BioNtech et Moderna montrent le contraire.

Dans un article intitulé : « Les vaccins à ARNm susceptibles de modifier notre génome, vraiment ? » (https:/presse.inserm.fr/les-vaccins-a-arnm-susceptibles-de-modifier-notre-genome-vraiment/41781/), l’INSERM, se veut rassurant sur la possibilité d’intégration de l’ARNm vaccinal dans le génome humain, considérant que l’ARN vaccinal ne peut pas atteindre les organes reproducteurs ou gonades comme il l’affirme dans l’extrait retranscrit ci-dessous :

Malheureusement, les AMM [Autorisations de Mise sur le Marché] conditionnelles du vaccin Pfizer/BioNtech et Moderna sont en totale opposition avec cette position de l’INSERM.

Les ARNm vaccinaux se distribuent dans une grande variété d’organes, dont les organes reproducteurs ou gonades

Dans l’autorisation de mise sur le marché des vaccins Pfizer/BioNtech et Moderna, il existe un paragraphe dédié à l’étude de biodistribution du vaccin. Ces documents sont publics et accessibles sur le site de l’Agence Européenne du Médicament (EMA) à ces adresses :

A la page 54 de l’AMM conditionnelle du Vaccin Pfizer/BioNtech, il est clairement noté que :

  • Les ARNm encapsulés dans des nanoparticules lipidiques atteignent de nombreux organes : rate, coeur, les reins, poumons, cerveau
  • Les ARNm ont été retrouvés dans les ovaires et les testicules en quantité faible lors des études de biodistribution de ce vaccin (extrait ci-dessous)

Le paragraphe sur la biodistribution de l’AMM conditionnelle (p47 et 52) du Vaccin Moderna, nous apprend que :

  • les ARNm vaccinaux sont détectables dans une grande variété d’organes : cerveau, coeur, poumon, yeux, testicules.
  • Il est impossibilité de connaitre la biodisponibilité dans les ovaires, car aucun rat femelle n’a été inclus dans l’étude de biodistribution du vaccin Moderna
  • les concentrations d’ARNm sont plus importantes dans la rate et les yeux par rapport au plasma
  • les ARNm vaccinaux passent la barrière hémato-encéphalique et atteignent le cerveau
    Extrait p52 de l’AMM conditionnelle du vaccin Moderna :

Extrait p47 de l’AMM conditionnelle du Vaccin Moderna :

Conclusion :

Les ARNm vaccinaux se distribuent donc dans une grande variété d’organes, dont les organes reproducteurs ou gonades.

L’INSERM a-t-il lu l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle des vaccins Pfizer/BioNtech et Moderna pour être passée à côté de cette information essentielle ?

Soit l’INSERM n’a pas connaissance de ces éléments scientifiques et c’est grave !

Soit l’INSERM en a connaissance mais en fait une omission volontaire dans ses publications et c’est encore plus grave!

Cet organisme veut-il faussement rassurer médecins et patients ?

Quelle qu’en soit la raison,

peut-on encore avoir confiance en l’INSERM ?

qui s’est donnée comme mission d’ « améliorer la santé de tous par le progrès des connaissances sur le vivant et sur les maladies,  l’innovation dans les traitements et la recherche en santé publique» ? Ce qui lui impose rigueur et objectivité dans ses publications ou prises de position.


Pour aller plus loin :


Fiche de synthèse  sur les vaccins Pfizer/Biontech et Moderna

VACCIN ARNm PFIZER/BIONTECH

Fiche détaillée sur le vaccin Pfizer

Fiche vaccin : Réponse au CHU de Liège

Le point sur les rétrovirus endogène :

Le point sur les rétrovirus endogènes




Chronique d’une mort annoncée des vaccins antiCovid 19 : résultats au 11 avril 2021

Par Gérard Delépine

Un espoir devenu mirage s’évanouit un peu plus chaque jour

Depuis le début de la crise, le gouvernement et les médias entretiennent l’espoir qu’un médicament nouveau ou des vaccins miracles viennent résoudre la crise sanitaire et nous libérer.

Mais l’échec des vaccins précédents contre les Coronavirus humains, depuis 2003, et animaliers, la mise en évidence d’anticorps facilitants susceptibles d’aggraver la maladie, les résultats précoces très inquiétants des campagnes de vaccination et l’apparition de variants résistants font disparaître chaque jour un peu plus cet espoir, comme s’évanouissent les mirages dans le désert au fur et à mesure qu’on s’approche d’eux.

La prophétie de Ferguson faisait d’emblée la propagande des futurs vaccins

Le rapport 9 de l’Imperial College, publié le 16 mars 2020 (mais resté secret défense pendant plusieurs semaines), a entraîné la panique et la décision immédiate du confinement général et aveugle.(([1] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine))

Il prophétisait, en l’absence de mesures sanitaires fortes, un pic de mortalité vers le 3e mois de l’épidémie, avec des hôpitaux saturés et des lits de soins intensifs refusant les malades.

« Pour une épidémie non maîtrisée, nous prévoyons que la capacité en lits de soins intensifs sera dépassée dès la deuxième semaine d’avril, avec un pic de la demande en soins intensifs plus de 30 fois supérieur à l’offre maximale possible dans les deux pays et un nombre total de décès de 510000 en Grande-Bretagne et de 2,2 millions aux USA, et cela sans tenir compte des morts supplémentaires liées à l’absence de traitement d’autres maladies du fait de la saturation des hôpitaux. »

Ce scénario de film d’horreur a été qualifié ainsi par le PR Raoult :

« ce n’est pas de la science, plutôt de la science-fiction qui évoque les prédictions de Nostradamus. »

Comme tous les prophètes imbus de leur révélation, Ferguson indiquait l’unique chemin du salut : l’astreinte à domicile de toute la population(([2] Stratégie du « tous ensemble avec le virus » médicalement délirante, car contraire à la quarantaine séparant les malades de la population saine)) imposée par la police pompeusement appelée « stratégie de suppression » et prétendait que la stratégie d’atténuation(([3] La stratégie d’atténuation regroupe les techniques traditionnelles : quarantaine des malades identifiés, isolement des sujets à risques, hygiène, utilisation des gestes et de matériel barrière. Associé à l’hygiène et à la destruction des animaux vecteurs éventuels elle a permis de stopper les grandes épidémies mortifères qu’a connues l’humanité.)) serait insuffisante pour éviter une mortalité élevée.

La stratégie de suppression prétendait pouvoir maîtriser rapidement l’épidémie en imposant l’astreinte à résidence de toute la population, par la force, sous contrôle policier sans séparer les malades des biens portants !

Elle prévoyait l’enfermement indiscriminé des populations entrecoupé de relâchements partiels des mesures, afin que les gens puissent progressivement récupérer un semblant de vie sociale et économique. Cette astreinte à résidence de la population devait durer « 12 à 21 mois en attendant la mise sur le marché d’un médicament nouveau ou d’un vaccin » pourtant très hypothétique dans des délais aussi courts. Dans la simulation de Ferguson, cette stratégie réduisait le nombre de morts à quelques milliers (non plus en centaines de milles ou en millions). Mais il y a loin de la prédiction à la réalité que l’on observe aujourd’hui.

Bilan d’un an de confinement et autres mesures liberticides(([4] Autopsie d’un confinement aveugle N et G Delépine éditions Fauves 2020))

Conçue par des mathématiciens non-médecins, qui paraissent ignorer la balance avantages/risques, la stratégie de confinement négligeait ses conséquences sanitaires, scolaires, universitaires, familiales, économiques, sociétales et politiques pourtant parfaitement prévisibles d’emblée et que nous avons d’ailleurs signalées dès le 21 mars 2020(([5] Delépine — Confinement, mesure sanitaire ou politique ? Agoravox, 21 mars 2020)) et détaillées quelques jours plus tard(([6] Delépine — Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine Agoravox 27 mars 2020 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712)).

Un an plus tard, le bilan des confinements stricts est catastrophique ; aucune étude sérieuse n’a pu montrer qu’il ait pu diminuer ou contenir l’épidémie(([7] E Bendavid, C Oh, J Bhattacharya, John P A Ioannidis — Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19 Eur J Clin Invest. 2021 Jan 5 ; e13484. doi : 10.1111/eci.13484.)) et tous les scientifiques reconnaissent qu’il est responsable d’un nombre colossal de victimes collatérales, même ceux qui l’ont proposé initialement comme le conseil scientifique gouvernemental.

En effet, dans une lettre récente au Lancet(([8] Delfraissy et al. — Immune evasion means we need a new COVID 19 social contract Lancet February 18, 2021
https://doi org/10.1016/)), Le Pr Delfraissy et 4 autres membres du comité scientifique ont sonné le glas du confinement.

« Il est temps d’abandonner une politique de la peur centrée sur des confinements itératifs. Leur impact a été dévastateur sur l’économie, le chômage, les dettes et la santé mentale en particulier sur les jeunes et le pire reste à venir. Continuer à confiner globalement n’est plus tenable même si cela reste attractif pour de nombreux politiques ».

La politique de la peur versus le traitement précoce refusé par les autorités

Mais, en France, la politique de la peur persiste comme la propagande renforcée pour des vaccins supposés nous sauver, associé au le chantage de plus en plus insistant « vacciné ou confiné » et au harcèlement individuel sur nos téléphones. Alors que ces vaccins sont expérimentaux, que les résultats des premières campagnes de vaccination sont très inquiétants, que les accidents post vaccinaux se multiplient, les mutations virales annulent tout espoir de leur efficacité.

Les tentatives de vaccin anti-coronavirus précédentes ont toutes échoué

Dans l’essai vaccinal contre la péritonite féline, les chatons vaccinés sont morts plus rapidement que les non-vaccinés.

Chez le furet,  le candidat vaccin a provoqué des hépatites.

Chez la souris et chez le macaque rhésus chinois, les vaccins ont provoqué des lésions pulmonaires.

Dans le cadre des essais vaccinaux contre le MERS (MERS-CoV), chez des souris un phénomène d’anticorps facilitants a été observé.

Aucun vaccin humain contre le MERS ou le SRAS n’a pu être mis au point malgré plusieurs années de recherche. Ces observations dans les essais vaccinaux contre le SRAS et le MERS sont à l’origine des inquiétudes des immunologistes vis-à-vis de la sécurité des vaccins contre la COVID 19 dont le virus est proche.

Les vaccins commercialisés à cette date (avril 2021) contre le coronavirus du Covid-19 sont tous expérimentaux

Contrairement à ce qu’ont prétendu l’AFP et de nombreux médias, aucun des vaccins actuels n’a terminé ses essais phase 3. Les premiers résultats définitifs sont prévus pour janvier 2023 ! Il s’agit donc par définition de traitements expérimentaux qui ne bénéficient d’ailleurs que d’autorisation conditionnelle délivrée pour « raison d’urgence » en attendant les résultats définitifs.

Les errements des autorisations, des suspensions intermittentes, des modifications des recommandations témoignent d’ailleurs tous les jours qu’il s’agit de médicaments très partiellement évalués.

Les seuls résultats dont on dispose actuellement sont ceux des premières campagnes de vaccinations et ceux-ci sont actuellement très inquiétants.

Résultats angoissants des premières campagnes de vaccination

Les médias célèbrent le succès des campagnes de vaccination à l’aune du pourcentage des vaccinés, mais ne parlent presque jamais des seules choses qui importent pour les vaccinés, les bénéfices qu’ils peuvent en attendre et les risques qu’ils prennent en se vaccinant.

La Grande-Bretagne est le premier champion de la vaccination qui a commencé le 7 décembre 2020.

Au 11 avril 2021, 39 846 781 doses de vaccin avaient été administrées, plus de la moitié des Britanniques auraient reçu au moins une dose de vaccin, et la grande majorité des personnes âgées de plus 70 ans auraient reçu leurs deux doses. D’après les courbes OMS du 13 4 2021, la vaccination commencée le 4 décembre a été suivie d’une augmentation considérable (+300 %) des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 1674138 contaminations.

En quatre mois post-vaccination, ce chiffre est passé à 4 369779.

Malgré le confinement, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière. Le 4 décembre, après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 60 113 morts attribuées au Covid-19. En quatre mois post-vaccination, ce chiffre a plus que doublé passant à 127087 (+100 %). Surtout, lors de cette recrudescence de la mortalité, d’après un rapport gouvernemental, 70 % des décès ont touché des personnes qui avaient reçu leurs deux doses de vaccin(([9] SPI-M-O : Summary of further modelling of easing restrictions — Roadmap Step 2 Date : 31 Mars 2021
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/975909/S1182_SPI-M-O_Summary_of_modelling_of_easing_roadmap_step_2_restrictions.pdf)).

Les Émirats Arabes Unis représentent le champion arabe de la vaccination avec 9037923 doses de vaccin administrées et plus de 45 % de sa population vaccinée au 2 avril 2021.

Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, les ÉAU comptaient 195 818 contaminations. En trois mois post-vaccination, ce chiffre est passé à 489485 (+150 %). Malgré le confinement, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière. Le 23 décembre avant la vaccination, après neuf mois d’épidémie, les Émirats Arabes Unis comptaient 642 morts attribuées au Covid-19. Le 14 avril, ce chiffre a plus que doublé passant à 1541 (+150 %). Le mois de février 2021 a établi le record mensuel de la mortalité (375), devançant celui de mars (271).

Israël représente actuellement le champion de la vaccination Pfizer.

Au 4 avril 2021, 10 096 213 doses de vaccin avaient été administrées et près de la moitié de la population vaccinée. La vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières pendant 2 mois, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

La mortalité a suivi la courbe des contaminations. Le mois de janvier a établi le record mensuel de la mortalité (1427) depuis le début de l’épidémie dans ce pays et celui de février le second (774).

À Gibraltar (34000 habitants) la vaccination a commencé le 9 janvier 2021.

À cette date l’état comptait 2789 cas et 11 morts attribués au Covid19.

Depuis ce jour, les contaminations ont été multipliées par 2 (4277) et les morts par 8,5 (94).

À Monaco

(38000 habitants) la vaccination a commencé le 31 décembre et au 2 avril 2021, un total de 20510 doses de vaccin avait été administré. Le 31 décembre, Monaco comptait 858 cas et 3 morts. Quatre mois après le début de la vaccination au 14 avril, ces chiffres étaient respectivement passés à 2378 (+200 %) et 31 (+900 %).

Résultats globaux

Dans tous les pays largement vaccinés, l’évolution a été marquée pendant 4 à 6 semaines post vaccinales par une augmentation sans précédent du nombre quotidien des contaminations et des décès, avant une stabilisation proche des chiffres d’avant vaccination. Ces évolutions très angoissantes ne correspondent absolument pas aux chiffres de protection annoncés par les communiqués de victoire des firmes.

Les accidents post vaccinaux se multiplient

Certains effets secondaires sérieux des vaccins sont particulièrement fréquents. Ainsi la vaccination des soignants a été suivie de 20 à 40 % de malaises obligeant les soignants vaccinés à arrêter de travailler un à plusieurs jours et la Haute Autorité de santé à conseiller de ne plus vacciner tout le personnel d’une équipe le même jour.

Des accidents rares, mais très graves ont été rapportés chez des jeunes en pleine santé qui ne craignaient rien du Covid19 : un interne de médecine est mort à Nantes et un pompier du Var s’est retrouvé en réanimation. La possibilité de ces accidents graves explique la réticence croissante des soignants à se faire vacciner.

Chez les personnes très âgées, les effets secondaires des vaccins sont fréquents et la fragilité des pensionnaires d’EHPAD explique les conséquences dramatiques qu’ils peuvent entraîner.

Après 27 morts survenus dans ces établissements l’agence norvégienne a d’ailleurs déconseillé de les vacciner(([10] Covid-19 : la Norvège enquête sur 23 décès chez des patients âgés fragiles après la vaccination
BMJ 2021 ; 372 : n149)) « Des effets indésirables courants peuvent avoir contribué à une évolution sévère chez les personnes âgées fragiles ». En Grande-Bretagne le décès du Prince Philip et en France — les décès post vaccinaux des plusieurs centenaires doyens de leur région et les suites post vaccinales de la ministre Roselyne Bachelot nous rappellent la sagesse de cette recommandation.

Les chiffres officiels des effets secondaires graves et des décès reconnus liés à la vaccination par l’EMA agence européenne du médicament, sont consultables sur la base de données EUDRAVIGILANCE et mis à jour régulièrement. Au 3 avril 2021, le tableau suivant résume la situation.

Remarque (@niusMarco) : Bilan Eudravigilance du 9 avril 2020

20 fois plus d’effets secondaires déclarés et de décès que pour H1N1 en 15 ans. Quasiment le même nombre d’injections (61 et 65 millions), mais pour le covid 60 % une seule dose.

Quelques hypothèses à l’origine des échecs en efficacité et effets secondaires

Le risque d’anticorps facilitants a été rappelé par l’Académie de Médecine

L’antécédent de la Dengue de Sanofi

L’aggravation d’une maladie par une vaccination destinée à la combattre a été récemment illustrée par le scandale sanitaire de la vaccination contre la dengue avec la mort de plusieurs centaines d’enfants aux Philippines. Cette catastrophe sanitaire est liée phénomène des « anticorps facilitants », ou ADE (antibody-dependent enhancement : aggravation dépendante des anticorps) ou VAED (vaccine-associated enhanced disease).

Le plus souvent, l’ADE survient lorsque la personne présente des taux circulants d’anticorps neutralisants faibles (vaccination insuffisante ou ancienne, personnes âgées, infection peu symptomatique) ou que ces anticorps ont une faible spécificité.

Renoncement progressif des autorités françaises

L’académie de Médecine

Dans son communiqué du 11 janvier 2021 concernant les vaccins Covid19 l’Académie de Médecine précise :

« Dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération. Le risque individuel d’aggravation par “anticorps facilitants” doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants…

Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale… fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination ».

Le ministre et le conseil scientifique

Le ministre O. Veran et J.F. Delfraissy président du conseil scientifique ne croient plus que les vaccins seront la solution

Dans leur lettre au Lancet déjà citée(([11] Delépine — Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine Agoravox 27 mars 2020 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712)), Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, et Denis Malvy confient qu’ils ne croient plus guère que les vaccins feront disparaître l’épidémie :

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variantes du SRAS-CoV-2 sont corrélées avec l’absence d’une protection immunitaire robuste après la première exposition à des virus antérieurs (de type sauvage), ou même à un vaccin.

Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de l’évasion immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais aussi avec d’autres virus…

L’arrivée rapide de variantes du SRAS-CoV-2, telles que les variantes identifiées pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil, suggère une soi-disant évasion immunitaire naturelle. En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes sont apparues pourrait avoir mis une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’une variante avec une transmissibilité accrue.

En cas d’évasion immunitaire importante, les vaccins actuels sont susceptibles d’offrir encore certains avantages aux individus. Au niveau de la population, cependant, ils pourraient induire la sélection virale et l’évasion, rendant la perspective d’atteindre l’immunité de base de plus en plus éloignée. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes apparaissent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Olivier Véran, dans un mémoire récent au Conseil d’État(([12] https://www.bfmtv.com/police-justice/covid-19-un-homme-vaccine-depose-un-recours-devant-le-conseil-d-etat-pour-pouvoir-deroger-au-confinement_AN-202103300186.html)) reconnaît ainsi que les vaccins protègent peu les vaccinés :

« l’efficacité des vaccins est partielle » et n’empêche pas les transmissions de la maladie : « le vaccin réduit le risque de contracter une forme grave de la maladie, mais il n’empêche pas d’être porteur du virus et de le transmettre aux tiers ».

La mort annoncée des vaccins anti covid

L’Astra Zeneca est mort ou presque. Le Jansen-Jansen est mis en pause. Le Pfizer a favorisé l’apparition de variants résistants en Israël et en Grande— Bretagne.

Ni le conseil scientifique, ni O. Veran, le ministre de la Santé ne croient plus que les vaccins résoudront la crise sanitaire. Alors pourquoi continue-t-on à faire la promotion de ces vaccins ?





Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie

[Source : MIRASTNEWS]

La plupart d’entre nous n’ont entendu parler des «passeports de vaccins» qu’après la pandémie, lorsque différents gouvernements ont commencé à insister sur l’exigence de «passeports pour les vaccins» pour voyager dans d’autres pays ou même pour se rendre dans des lieux publics.

Cependant, la planification de l’exécution du concept de «passeport de vaccins» a commencé 20 mois avant le déclenchement de la pandémie. Ce dont parlent ces feuilles de route, ce n’est pas seulement un document qui restreindrait votre entrée ou votre mouvement à certains endroits. Ce qu’ils envisagent est un écosystème COVID complet, un avenir où chaque aspect de votre vie est surveillé et réglementé selon les caprices et la fantaisie de ces Pharma Overlords.

Contenus

     1 Feuille de route des passeports de vaccins

     2 Sommet mondial sur la vaccination 2019

         2.1 Les 3 tables rondes

         2.2 Membres notables du panel

         2.3 Planification en cas de pandémie

     3 À qui profitent réellement les passeports de vaccins?

     4 projets en développement

         4.1 Microchip COVID du Pentagone

         4.2 Sceau de santé pour les entreprises

         4.3 Propagande vaccinale

         4.4 Seringues volantes

         4.5 Pas de vaccin Pas de salaire

         4.6 Passeports de liberté basés sur le code QR

         4.7 Projet Commons

         4.8 Tatouage de vaccin quantique invisible

         4.9 Carte santé numérique

         4.10 Balises électroniques pour le suivi de l’activité comportementale

         4.11 Tomates GM comme vaccin comestible contre le coronavirus

         4.12 Timbre de confiance

         4.13 COVI PASS basé sur la RFID

Vaccine Passports Were Planned Even Before The Pandemic Began

Feuille de route des passeports de vaccins

La proposition initiale de «passeports de vaccins» a été publiée pour la première fois le 26 avril 2018 par la Commission européenne. La proposition, ignorée par les médias mainstream, a été profondément enfouie dans un document (lire ci-dessous) traitant du «renforcement de la coopération contre les maladies évitables par la vaccination».

Conformément à la feuille de route initiale (publiée au début de 2019) pour mettre en œuvre la proposition de la Commission européenne, l’action principale consistait à «examiner la faisabilité de développer une carte / passeport de vaccination commun» pour les citoyens européens qui soit «compatible avec les systèmes électroniques d’information sur la vaccination et reconnu pour une utilisation au-delà des frontières.»

Il était prévu de faire émettre une proposition législative d’ici 2022, en Europe.

Des termes – tels que «contrer l’hésitation à la vaccination», «flambées inattendues» – qui n’étaient pas si courants avant l’épidémie étaient également mentionnés dans la proposition.

Parmi les autres points du document de feuille de route figuraient le soutien à l’autorisation de «vaccins innovants, y compris pour les menaces sanitaires émergentes».

Déclarant que «l’industrie de la fabrication des vaccins» a un «rôle clé» dans la réalisation des objectifs décrits dans le document de la feuille de route, il énumère «l’amélioration de la capacité de fabrication de l’UE» et le stockage des vaccins comme d’autres points d’action à mettre en œuvre.

La feuille de route met également l’accent sur le renforcement des «partenariats existants» et de la «collaboration avec les acteurs et initiatives internationaux» et fait référence au Sommet mondial sur la vaccination qui s’est tenu en 2019. Les participants et l’agenda de ce sommet sont également révélateurs.

Sommet mondial de la vaccination 2019

Les 3 tables rondes

Le sommet s’est tenu le 12 septembre 2019, à Bruxelles, en Belgique, à peine 3 mois avant l’épidémie de COVID-19. Le sommet n’a pas été rapporté par la plupart des grands médias. Il a été organisé par la Commission européenne en coopération avec l’OMS.

Le sommet s’est structuré autour de trois tables rondes intitulées:

  • Dans les vaccins auxquels nous faisons confiance
  • La magie de la science
  • Les vaccins protègent tout le monde, partout

Membres notables du panel

Les participants à ce sommet étaient des dirigeants politiques, des représentants de haut niveau des ministères de la santé, des Nations Unies, des universitaires de premier plan, des professionnels de la santé et des scientifiques, des secteurs non gouvernementaux et privés.

Parmi les membres notables de ces tables rondes figuraient le Dr Seth Berkley, PDG de GAVI, Nanette Cocero, présidente mondiale de Pfizer Vaccines, la Global Vaccine Alliance – une organisation qui a reçu d’énormes montants de financement de la Fondation Bill & Melinda Gates; et Joe Cerrell, directeur général de la Fondation Bill & Melinda Gates pour la politique mondiale et le plaidoyer.

Lanceur d’alerte de l’OMS, le Dr Astrid Stuckelberger, dans une confession stupéfiante, a dénoncé les activités suspectes de Bill Gates et de GAVI.

Lors de la 41e session du Comité d’enquête Corona, elle a déclaré que les règles en vertu desquelles les pays collaborent avec l’OMS placent pratiquement l’OMS en charge de toutes les règles et édits et annonces formels – Gates étant juste là en tant que membre du conseil exécutif comme un État membre non officiel, prendre des décisions qui affectent le monde entier.

Planification en cas de pandémie

La planification de la pandémie était clairement mise en évidence lors de cette réunion au sommet. Les principaux documents distribués aux participants comprenaient des rapports sur:

  • Planification de la préparation à la grippe pandémique
  • Un exercice de grippe pandémique pour l’Union européenne
  • Planification de la préparation à la grippe aviaire et à la pandémie de grippe
  • Préparation et planification de la riposte à la grippe pandémique
  • Vers une suffisance des vaccins contre la grippe pandémique dans l’UE
  • Un «partenariat public-privé» sur les vaccins européens contre la grippe pandémique

Dans tous ces documents, l’objectif de renforcement de la collaboration avec l’industrie pharmaceutique est souligné à maintes reprises, tout comme le message selon lequel une pandémie mondiale était désormais inévitable.

Selon de nombreux échanges de courriers électroniques obtenus par un groupe d’avocats dans le cadre d’un litige juridique, le ministère allemand de l’Intérieur a engagé des scientifiques pour développer un faux modèle de coronavirus afin de justifier un verrouillage strict.

À qui profitent réellement les passeports de vaccins?

Le principal bénéficiaire de ces projets de passeport de vaccins sera l’industrie pharmaceutique multinationale et non l’homme ordinaire.

En plus de cela, les gens ordinaires devront partager leurs dossiers médicaux afin de prouver qu’ils sont aptes à voyager à l’étranger ou même à regarder un film.

L’activité estimée que visent ces géants pharmaceutiques vaut 1500 milliards de dollars rien qu’en 2021.

Dès que le nouveau président américain a été installé, un décret a été signé imposant de nouvelles restrictions de voyage et de commencer à tester la faisabilité des passeports vaccinaux COVID-19.

Projets en développement

[Ndlr : la plupart de ces projets dignes de docteurs Folamour et autres psychopathes ne verront pas nécessairement le jour, ceci dépendant de leur degré de faisabilité, notamment à grande échelle.]

Ce dont parlent ces feuilles de route, ce n’est pas seulement un document qui restreindrait votre entrée ou votre mouvement à certains endroits. Ce qu’ils envisagent est un écosystème COVID complet, un avenir où chaque aspect de votre vie est surveillé et réglementé selon les caprices et la fantaisie de ces Pharma Overlords.

Ci-dessous, nous mentionnons quelques projets qui vous donneraient une idée de ce à quoi ressemblerait cet avenir.

Microchip COVID du Pentagone

Les scientifiques du Pentagone ont créé une micropuce qu’ils veulent injecter dans votre corps pour détecter le coronavirus dans votre corps avant même que vous ne présentiez des symptômes. Ils ont également créé un filtre pour extraire le virus de votre sang.

Sceau de santé pour les entreprises

Après les passeports de vaccins pour les personnes, Hollywood propose maintenant le sceau de santé COVID-19 pour les entreprises. Des célébrités comme Lady Gaga et Robert De Niro utilisent Covid-19 pour promouvoir un système coûteux de «sceau de santé» qui certifiera l’emplacement de votre entreprise comme étant exempt de COVID-19.

Ces célébrités prêchent aux gens d’acheter ce sceau de santé qui pourrait vous coûter plus de 12 000 $ et qui «ne garantit pas qu’un espace est sûr ou exempt d’agents pathogènes». La norme de construction WELL est alignée sur les Nations Unies.

Propagande vaccinale

Avec l’augmentation des cas de réactions indésirables multiples au vaccin COVID-19, des vidéos de propagande de vaccination désormais épuisées et sans base scientifique apparaissent pour vous inciter à aimer les vaccins et à ne poser aucune question et à continuer à injecter les vaccins année après année après année .

Seringues volantes

Flying Syringes est une expression utilisée pour désigner un projet proposé financé par Bill Gates pour créer des moustiques génétiquement modifiés qui injectent des vaccins aux personnes lorsqu’elles les piquent.

Pas de vaccin Pas de salaire

Une ordonnance controversée de Pas de vaccination Pas de salaire a été émise par les autorités sanitaires de l’État indien de Jharkhand, qui a été forcée d’être retirée après la réaction des employés.

Ce n’est pas un événement aléatoire. C’est un aperçu de ce qui est à venir.

Passeports de liberté basés sur le code QR

La Grande-Bretagne pourrait bientôt déployer le Coronavirus Freedom Passport basé sur QR pour déterminer si vous êtes innocent COVID-19. Si la COVID-19 est positive, vous pouvez être interdit d’entrer dans les pubs, les écoles et les lieux de travail.

Projet Commons

La Fondation Rockefeller et la Fondation Clinton ont développé une série d’applications COVID qui contrôleront étroitement votre vie post-Covid.

L’initiative est lancée par la fondation à but non lucratif Commons Project Foundation, qui fait partie du Forum économique mondial.

Le projet Commons comprend trois applications COVID – CommonHealthCOVIDcheck et CommonPass.

Ensemble, ils collecteront, stockeront et surveilleront vos données de santé en fonction desquelles les applications décideront si vous êtes éligible pour voyager, étudier, aller au bureau, etc.

Tatouage de vaccin quantique invisible

Un projet financé par Bill Gates vise à fournir un tatouage quantique invisible caché dans le vaccin contre le coronavirus pour stocker votre historique de vaccination.

Les chercheurs ont montré que leur nouveau colorant, constitué de nanocristaux appelés points quantiques, peut rester au moins cinq ans sous la peau, où il émet une lumière proche infrarouge qui peut être détectée par un smartphone spécialement équipé.

Carte santé numérique

Le gouvernement indien envisage de lancer une carte santé numérique obligatoire inspirée du concept de Bill Gates.

Dans le cadre du programme «One Nation One Health Card», les antécédents médicaux d’une personne, y compris tous les traitements et tests qu’elle a subis, seront enregistrés numériquement sur cette carte.

Les hôpitaux, les cliniques et les médecins seront tous reliés à un serveur central. Le mouvement vise à cartographier les dossiers de santé de chaque citoyen du pays dans un format numérique.

Balises électroniques pour le suivi de l’activité comportementale

Après que les robots IA appliquent les règles obligatoires des masques faciaux, Singapour a déployé des balises électroniques COVID-19 pour suivre l’activité comportementale afin de mettre en quarantaine.

Si vous tentez de quitter votre domicile, il alertera les autorités, à la suite de quoi il y aura peut-être une amende de 10 000 dollars singapouriens ou six mois de prison ou les deux.

Les tomates GM comme vaccin comestible contre le coronavirus

Des scientifiques mexicains cultivent des tomates génétiquement modifiées comme vaccin comestible contre le coronavirus.

Un groupe de recherche d’une université mexicaine utilise la bioinformatique et le génie génétique informatique pour identifier des antigènes candidats pour un vaccin qui peut être exprimé dans les plants de tomates.

Manger les fruits de ces plantes conférerait alors une immunité contre la COVID-19, affirment les scientifiques.

Timbre de confiance

Trust Stamp est un programme d’identité numérique basé sur la vaccination financé par Bill Gates et mis en œuvre par Mastercard et GAVI, qui reliera bientôt votre identité numérique biométrique à vos dossiers de vaccination.

Le programme dit «évoluer à mesure que vous évoluez» fait partie de la guerre mondiale contre l’argent liquide et a le potentiel d’un double usage à des fins de surveillance et de «police prédictive» en fonction de vos antécédents de vaccination.

Ceux qui ne souhaitent pas être vaccinés peuvent être exclus du système en fonction de leur score de confiance.

COVI PASS basé sur RFID

Le gouvernement britannique se prépare à déployer COVI PASS – Les passeports de santé numériques à coronavirus compatibles avec la RFID biométrique pour surveiller presque tous les aspects de la vie des citoyens au nom du renforcement de la gestion de la santé publique.

Traduction : MIRASTNEWS

Source : GreatGameIndia




La mort étrange du Président qui avait défié l’OMS

[Source : Jeanne traduction]



Transcription

Triste nouvelle à annoncer, vous avez peut-être déjà entendu que le président tanzanien John Magufuli est décédé.
C’est triste car Magufuli était un champion pour son peuple. Il les défendait. Il a réduit la corruption. Il a construit de nouvelles infrastructures. Il a réduit son propre salaire et celui de nombreuses personnes au sein du gouvernement pour que cet argent soit utilisé dans des programmes qui amélioraient son pays. Magufuli est bien connu pour le… le tour qu’il a joué au laboratoire de dépistage covid dans son pays. Il a secrètement envoyé des échantillons de papaye, d’huile de moteur, de chèvres et d’autres choses, d’autres choses non humaines. Il leur a donné des noms humains et les a envoyés au laboratoire. Et bien sûr, certains de ces résultats sont revenus positifs pour le covid.
Et clairement, comme vous pouvez le voir sur les visages dans cette vidéo, -c’est la foule qui s’est rassemblée dans les rues au passage de son cercueil l’autre jour- vous pouvez voir qu’ils ne portent pas de masques. Le taux de mortalité dans son pays est resté très bas depuis le début de cette affaire. Et il n’a mis en œuvre aucune des politiques de distanciation sociale, aucune des politiques de confinement et aucune des politiques de masquage. Il a évité la campagne de peur.
Et rien que pour cela, je respecte cet homme.

Dans la vidéo d’aujourd’hui, je vais parler de certaines choses autour de Magufuli, des gens qui ont pu vouloir le voir mort, comment est la situation actuellement.
Et je ne veux pas donner l’impression à quiconque que j’ai une image complète de ce qui s’est passé là-bas, parce que ce n’est pas le cas ; il s’agit simplement de certaines choses qui m’ont frappé lorsque j’ai examiné la situation. Il est important de noter que Magufuli n’est pas simplement mort. Il avait disparu, pendant des semaines avant que sa mort ne soit finalement annoncée, personne ne savait ce qui lui arrivait. Quant à son franc-parler au sujet des tests PCR et d’autres choses liées aux vaccins et au coronavirus, entre autres, il parlait en connaissance de cause.
Magufuli était titulaire d’un doctorat en chimie de l’université de Darussalam. Il a également travaillé dans l’industrie, donc il savait de quoi il parlait. Et il a utilisé ses connaissances pour faire passer l’OMS, l’Organisation mondiale de la santé, pour une idiote.
Vous pouvez donc voir où cela nous mène. Il se dresse contre les puissances mondiales que nous connaissons, et puis tout d’un coup, il disparaît et meurt à l’âge de 61 ans. Je ne sais pas, c’est un peu suspect pour moi, et même ici, je veux juste vous montrer une chose de plus. En 2017, dans un article de Reuters, il est dit : « Le Tanzanien Magufuli rejette les appels à prolonger son règne au-delà de la limite de deux mandats ». Vous voyez ce qui se passe ? Il y avait des gens dans son pays qui voulaient qu’il reste leur leader pour toujours. Et il a dit non.
Il a dit, « j’ai juré de défendre la Constitution. Je vais jouer mon rôle et passer les rênes au prochain président le moment venu. »
Il était bien aimé, et il était loyal à la constitution. Il est resté fidèle à la Constitution, ce qui, en fait, si vous examinez la situation en profondeur, fait partie du problème. Les personnes qui parlent sans cesse dans la presse de Magufuli en mal, l’une de leurs critiques est qu’il n’a jamais changé la Constitution. Voilà leur critique. Ils voulaient qu’il affaiblisse la Constitution, et il ne l’a pas fait.

L’une des personnes, d’ailleurs, qui parle en mal de Magufuli est ce type Tundu Lissu. Il était le leader de l’opposition en Tanzanie. Mais ce type n’a pas le droit de parler. Il a lui-même violé la Constitution. En fait, écoutez ça. Il était le leader de l’opposition, mais en septembre 2017, il s’est fait tirer dessus, et il a fui le pays. Et depuis janvier 2018, il est en Belgique. Enfin, en juin 2019, ils ont viré ce type du gouvernement. Il est en fait hors du pays, depuis des années, et ne divulgue pas ses dépenses, ses actifs et ses dettes, comme l’exige leur constitution.
Imaginez que vous vous enfuyez de votre pays, que vous restez en Belgique pendant deux ans, et que vous dites ensuite que Magufuli est un criminel et un corrompu. Imaginez faire cela.
Il est évident qu’il s’agit d’un de ces accords de type révolution de couleur qu’ils veulent mener. Eh bien, maintenant ils n’ont pas à le faire. Maintenant ils n’ont pas à le faire, parce que maintenant Magufuli est mort aussi. Par quoi ? Nous ne savons pas comment, mais la version officielle de la femme qui est maintenant présidente, dit qu’il est mort d’un problème cardiaque qu’il avait depuis 10 ans.
Le type de l’opposition ici présent est en train d’annoncer que Magufuli est mort du covid.

« Je m’y attendais depuis le premier jour, où j’ai tweeté, lundi de la semaine dernière, lorsque j’ai posé la question suivante : où est le président Magufuli et quel est son état de santé ? Magufuli est mort du corona, c’est la première chose. Deuxièmement, Magufuli n’est pas mort ce soir, j’ai des informations provenant essentiellement des mêmes sources qui m’ont dit qu’il était gravement malade. J’ai l’information qu’il est mort depuis mercredi de la semaine dernière. »

Il savait depuis des semaines que Magufuli était en train de mourir du covid quelque part. Selon ses sources anonymes, il n’est pas surpris de la nouvelle de la mort, selon ses sources anonymes, qui lui ont fait savoir tout ce qui se passait. Vous voyez un schéma ici ? Cela vous rappelle-t-il quelque chose ? Lissu a dit que Magufuli mourant du covid-19 était une justice poétique. Il l’a dit à voix haute en public.
Et ils adorent ça, n’est-ce pas ? Le truc du, « oh, c’était un covido-septique, et maintenant il est mort du covid. »
Pour moi, ça montre leur inhumanité. C’est honteux. D’ailleurs, il n’est pas le seul à être mort en février, un homme appelé Maalim Seif Sharif, de Zanzibar, qui fait partie de la Tanzanie, il est aussi mort soi-disant du covid, le 18 février 2021. Je ne sais pas de quel côté du débat sur le covid, il se situait, mais il est aussi mort subitement.
Ce qui est effrayant dans cette affaire, c’est que beaucoup de gens auraient pu annoncer la possibilité d’un attentat contre Magufuli et une organisation l’a fait. Le Off Guardian a publié cette information le 12 mars. Quelques jours avant que Magufuli ne soit déclaré mort, ils ont dit « Tanzanie, le second coup d’état covid ».
Le Off Guardian spécule, que nous pourrions être sur le point de voir la mort soudaine et ou le remplacement du président de la Tanzanie, tout comme ils ont fait à Pierre Nkurunziza, du Burundi. Il a refusé de jouer le jeu du covid, et a demandé à la délégation de la Chambre de quitter son pays avant de mourir subitement d’une crise cardiaque, ou d’une suspicion de covid-19. Puis son successeur a immédiatement inversé chacune de ses politiques de covid, y compris en invitant l’OMS à revenir dans le pays du Burundi, comme le souligne le Off Guardian.
Le Guardian avait publié cet article, dans la première semaine de février disant « Il est temps pour l’Afrique d’arrêter le président anti-vax de Tanzanie »
Et ils disent : « Qu’est-ce qui ne va pas avec le président John Magufuli ? De nombreuses personnes en Tanzanie et hors de Tanzanie se posent cette question. » À peu près au même moment, le Council on Foreign Relations a publié un article dans lequel ils disent : « Une figure audacieuse au sein du parti au pouvoir pourrait tirer profit de l’épisode actuel pour commencer à inverser le cours des choses. » Ils parlaient du fait que Magufuli pourrait avoir covid-19 parce qu’il avait disparu et que personne ne savait où il était.
Dans l’article du Guardian, ils disent que Magufuli doit être défié ouvertement et directement, la position inadmissible de Magufuli devrait nous obliger tous à agir, et ils vont plus loin que cela.

Regardez ce que dit le Guardian. Cela ressemble à une menace voilée pour moi, ils disent « Magufuli sait que l’ancien président du Ganna, Jerry John Rawlings, est mort du virus, ainsi que l’ancien président du Congo Brazzaville. Le mois dernier quatre ministres du Zimbabwe dont Sibusiso Moyo, sont morts du covid.
Au Malawi, quatre responsables gouvernementaux, dont deux ministres, ont succombé. En Eswatini, anciennement le Swaziland, le premier ministre Ambros Lomani, a succombé au virus. Le dernier premier ministre démocratiquement élu du Soudan, Sadiq al-Mahdi, vient de mourir, tout comme l’ancien premier ministre de la Libye et l’ancien premier ministre de la Somalie. Au Burundi, le voisin de la Tanzanie, deux anciens présidents Pierre Nkurunziza et Pierre Buyoya sont morts du covid-19. »
Donc ils listent 16 personnes qui sont mortes, du covid-19. Qu’essayent-ils de dire ? La question de savoir si c’est oui ou non une menace envers Magufuli, n’en devient que plus primordiale à résoudre, quand vous considérez que la section entière « développement global » du Guardian, est financée par la Fondation Bill et Melinda Gates, et l’est depuis des années. Je me demande donc quel contrôle éditorial il y a derrière cette section et, quel était leur but ici.
Le menaçaient-ils ? C’est difficile à dire. Il est tellement probable qu’il y ait du déni dans cet article

Qui va donc le remplacer ? De ce que nous savons, c’est Samia Suluhu Hassan, elle est maintenant la présidente de la Tanzanie, et quand vous lisez vous voyez « qu’après ses études en 1992, elle a été employée dans un projet subventionné par le programme alimentaire mondial, qui est bien-sûr les Nations Unies, elle est ensuite partie en Angleterre compléter ses études, et elle est allée à l’Open University de Tanzanie.
Plus loin dans l’article, on lit qu’elle est mariée à un homme appelé Hafidh Ameir, et sa fille Mwanu Hafidh Ameir est membre du parlement de Zanzibar, donc elle est aussi au gouvernement. Mere et fille au gouvernement. Et sa fille, est aussi allée à l’Open University de Tanzanie, a étudie au Center for Foreign Relations, et quelque part appelé « Info-Serve USA », que je n’ai pas encore creusé. Mais elles semblent à mon sens être dans les petits papiers du gouvernements… Je vais me pencher sur son mari dans une seconde, mais d’abord je veux aller dans les détails de l’Open University de Tanzanie.
Voici leur rapport annuel de 2014/2015, et ils ont mentionné, qu’ils ont eu une croissance exceptionnelle concernant leurs finances, et cela vient en grande partie de la World Bank, et d’une organisation appelée SIDA, qui est l’Agence Suédoise de développement international. Ils se hissent au sommet des fondateurs, d’après leurs dires.
Et les autres partenaires dans le top 5 sont, l’Open University de Grande-Bretagne, Association of Commonwealth Universities, la fondation Rockefeller, et l’UNESCO. Donc maintenant nous parlons du marais profond, les Rockefeller, et le programme de prise de contrôle des nations unies, c’est de ça qu’il s’agit, ils ne se nourrissent que de l’argent des impôts, pour la donner à des projets qu’ils utilisent pour reformer la monde.
Et vous pouvez voir ici que l’université de Tanzanie, a vu une réelle explosion de ses fonds depuis environ… 2008. Les chiffres vont de centaines de milliers, à des millions, et tout cela est largement dépassé au fur et à mesure que les années passent. Donc de 2014 à 2015, regardez l’explosion de la richesse.
Deux autres sources de subvention qu’ils mentionnent, qui ont donné beaucoup, à l’Open University de Tanzanie, sont COSTECH et AGRA Project.
COSTECH a l’air bien en apparence quand vous regardez, parce qu’il est dit qu’elle a été créée par une loi de l’assemblée nationale de tanzanie en 1986, et on dirait que c’est une organisation gouvernementale, mais si vous regardez leurs affiliations non-gouvernementales et internationales, vous trouvez KPMG, Palladium International, Foreign Affairs of Finland, et d’autres choses que je n’ai pas creusé.
Si vous regardez le AGRA Project, et voilà, vous les retrouvez encore une fois, c’est Bill Gates et la fondation Rockefeller. AGRA a été fondée en 2006 par la fondation Bill et Melinda Gates, et la fondation Rockefeller. Un des principaux clients, des agriculteurs de AGRA, est le programme alimentaire mondial des Nations Unies, et n’est-ce pas exactement où la nouvelle présidente de la Tanzanie a débuté dans le monde du travail ? Le programme alimentaire mondial.
Il s’avère que l’Open University de Tanzanie, est purement basé sur l’enseignement à distance et par correspondance. L’organe de surveillance, pour avoir une vue d’ensemble, est l’université sainte Marie d’Addis-Abeba en Ethiopie, et également l’université de Corée.
Vous souvenez-vous que Tedros Adhanom Ghebreyesus, le dirigeant actuel de l’OMS vient d’Addis-Abeba en Ethiopie, et quand il était ministre de la santé en Ethiopie, il a noué d’étroites relations avec Bill Clinton et la fondation Clinton, et la fondation Bill et Melinda Gates.
En 2010, le département d’État américain a nommé l’Ethiopie à l’initiative américaine en matière de santé mondiale. Je me demande ce que ça implique. Et je me demande si cela à quelque chose à voir, avec le fait que vers 2009, l’Open University de Tanzanie a reçu des tonnes et des tonnes d’argent, beaucoup plus, de manière exponentielle. Et ce sont des sommes d’argent qu’ils ont obtenu de fondation comme celle de Rockefeller, et l’UNESCO, et toutes celles qu’on connaît… Je ne sais pas, je ne prétends rien, mais ça pourrait être possible.

Maintenant, nous savons que la nouvelle président de la Tanzanie, est mariée à un gars appelé Hafidh Ameir, et je ne peux pas trouver une photo d’eux ensemble, donc je ne peux rien vérifier, mais il y a un gars appelé Hafidh Ameir qui travaille à TACAIDS, il y est depuis 10 ans et 11 mois, et il est le coordinateur régional du VIH et du SIDA. Cela correspond plutôt bien à toutes les autres choses que nous venons d’apprendre. Parce que le truc du VIH et du SIDA, c’est le même groupe encore une fois. Qui se superpose avec le mega, super prédateur sur la scène de la santé, qui est la fondation Bill et Melinda Gates, l’OMS, les Nations Unies et bien sûr la fondation Rockefeller. Et j’ai déjà exposé comment Bill Gates est lié à tout ça, avec son Global Fund, et comment il détient pratiquement l’Organisation Mondiale de la Santé en tant que principal donateur, juste à côté des Etats-Unis. Et si vous n’êtes pas au courant de ça, vous n’allez pas en revenir, vous voyez ici vous avez PEPFAR d’Anthony Fauci, c’est parce qu’il a convaincu le gouvernement d’introduire cette branche du département d’état, nommée « plan d’urgence du président pour l’aide aux malades du sida », et ce type reçoit des milliards de dollars qu’il envoie dans des pays étrangers à travers les ambassades, d’après ce que j’ai compris, à d’innombrables ONG. Et je dis innombrables, parce que la seule entité, qui contrôle cet argent, est l’ONU, et ils ne laisseront personne voir l’entièreté de ces documents. L’argent de PEPFAR va directement, à travers le département d’état en majorité à l’ONU qui le donne ensuite à qui elle souhaite.
Et il s’avère que la personne qui dirige PEPFAR au département d’état américain est Debra Burkes. Anthony Fauci et Debra Burkes ont tout deux fini par atterrir au coronavirus task force, ce qui est merveilleux, après avoir été ensemble dans cette organisation PEPFAR. Donc ils ne font que fabriquer une autre arnaque, avec la même empreinte sur la carte. Remplacez juste les logo de PEPFAR par le symbole du coronavirus.
Les millards de Bill Gates vont dans des organisations, et il créé en majeure partie des vaccins, et depuis son organisation à but lucratif appelée la fondation Bill et Melinda Gates, son argent lui revient en personne. C’est une arnaque massive.

Ok mais on est supposé parler de la Tanzanie ici. Donc le mari de la nouvelle dirigeante de la Tanzanie, Hafidh Ameir, je pense, travaille pour cette organisation TACAIDS, et je pense qu’il est également le contact tanzanien pour des organisation appelées Genesis Analytics. Si vous regardez ici, il est écrit « rencontrez les équipes de nos pays », vous allez dans la Tanzanie, et vous trouvez Dr. Hafidh Ameir, la comission tanzanienne du SIDA, TACAIDS, le même homme. Les partenaires de Genesis Analytics sont Global HIV Prevention Coalition, Genesis Unlocking Value, l’université de Manitoba, qui est aussi la maison de notre seul laboratoire P4 de virologie au Canada. Et, la fondation Bill et Melinda Gates.
Mais ça ne s’arrête pas là.
Je voulais voir ce qu’est cette organisation, Genesis Unlocking Value, parce qu’ils sont tous partenaires. Et regardez ça.
Genesis est à propos de l’économie comportementale, l’économie comportementale est un domaine puissant qui combine l’économie et la psychologie, et utilise la compréhension de ces sciences pour influencer les comportements et améliorer les prises de décision pour le mieux, à travers des interventions à bas coût et faciles à mettre en oeuvre.
En 2014, Genesis Analytics a crée la première équipe de consultants en Afrique afin d’user de la compréhension scientifique du comportement humain pour résoudre des problèmes économiques concrets dans le monde.
Notre experience montre que changer les comporter et améliorer les prises de décision ajoute de la valeur dans une série d’industries et de filières. Nous intégrons les connaissances comportementales dans les campagnes de marketing et de communication dans de grandes banques, nous augmentons les cotisations mensuelles aux fonds de retraite des grands assureurs, nous adaptons les sites Web des multinationales de l’automobile de luxe, nous remanions les programmes de fidélisation des grandes plateformes de commerce électronique de détail, et nous formons les organisations à tirer parti des capacités de l’économie comportementale.
Cela ressemble-t-il à une organisation qui devrait être impliquée dans le SIDA ? Ou la santé ? Mais c’est là qu’ils sont impliqués. En partenariat avec Bill et Melinda Gates. Et c’est possiblement là, que la marie de la nouvelle présidente de la Tanzanie travaille. Je suppose que c’est pratique pour les globalistes. Vous ne trouvez pas ?

Comme le dit cet analyste politique kényan : « Magufuli est arrivé sur une plateforme de lutte contre la corruption et d’autonomisation des masses. Ce sont les gens qui ont bénéficié de la corruption et de toutes ces drôles de choses, qui ne sont pas satisfaits de lui. »

À mesure que la Tanzanie avance avec son nouveau gouvernement, il sera intéressant de voir ce qui change, cela sera-t-il comme au Burundi, l’administration entrante inversera-t-elle tout le travail de Magufuli ? Les habitants de la Tanzanie commenceront-ils à avoir peur, les verrons-nous porter des masques et appliquer la distanciation sociale, ou leurs entreprises couler à cause du confinement ?
Parce que nous pouvons voir qu’à la masse de gens qui est venue honorer Magufuli l’autre jour, que ce n’est pas le cas pour l’instant. À quel vitesse, transformeront-ils les tanzaniens en des petits moutons effrayés ? Peut être qu’ils ne le feront pas, nous pouvons garder nos doigts croisés pour ça.




Cette vitamine montre que la science est MANIPULÉE au plus haut niveau contre les remèdes naturels

[Source : Santé Corps Esprit (sante-corps-esprit.com)]

Par Xavier Bazin

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Message de Jeanne, une fidèle lectrice :

« Bonjour Xavier, j’apprécie vos lettres, mais est-il vraiment possible que la science soit aussi manipulée que vous le dites ?  

J’ai un peu de mal à croire que tant de revues médicales et de chercheurs soient vendus à Big Pharma, non ? » 

Oui Jeanne, je comprends tout à fait que ce soit difficile à croire.

Je ne dis pas du tout que tout le monde est « vendu » – il y a énormément de scientifiques de bonne foi, qui ne se rendent pas compte de ce qui se passe.

Mais il est clair que la science médicale est manipulée.

Et je vais vous en donner une preuve EXTRAORDINAIRE aujourd’hui, avec la vitamine C.

Je vous conseille vraiment de lire ce qui suit.

Peut-être pensez-vous encore que l’article frauduleux du Lancet sur l’hydroxychloroquine était un « accident de parcours », un malheureux hasard.

(Je rappelle quand même que 96 000 dossiers médicaux avaient été purement et simplement inventés pour faire croire à la dangerosité de l’hydroxychloroquine).

Peut-être pensez-vous que l’étude récente soi-disant défavorable à l’ivermectine a été publiée de bonne foi dans le prestigieux journal JAMA.

(Alors que sur plus de 20 études randomisées prouvant l’efficacité de l’ivermectine, c’est l’une des seules qui ne trouve pas d’effet probant – pour une raison simple : l’ivermectine a été testée sur des personnes jeunes et en bonne santé, qui ont guéri toutes seules !).

Peut-être avez-vous déjà oublié que le remdésivir, le médicament hors de prix et inefficace de Gilead, avait au départ obtenu plusieurs études favorables, publiées dans de grands journaux médicaux.

(Il a fallu que les Chinois, puis l’Organisation mondiale de la Santé, réalisent des études indépendantes pour prouver que ce médicament ne valait rien).

Bref, si vous croyez encore qu’on peut faire confiance, les yeux fermés, au « consensus scientifique » tel qu’il s’étale dans les grands journaux médicaux, lisez bien ce qui suit.

Car ce qui s’est passé sur la vitamine C est tout simplement hallucinant.

Vous êtes bien assis ? Regardez cette étude incroyable sur la vitamine C

Il y a quelques années, un des plus grands médecins au monde, le Pr Marik, a découvert que des injections de doses massives de vitamine C avaient un effet extraordinaire sur les patients victimes de septicémie, en soins intensifs.

Ceux qui recevaient des injections de vitamine C dès leur entrée en réanimation étaient beaucoup moins nombreux à mourir que les autres !

Donc si les médecins réanimateurs du monde entier utilisaient cette substance peu coûteuse, la vitamine C, des milliers de vies pourraient être sauvées.

Qui pourrait avoir intérêt à cacher une information aussi salvatrice ?

Dans un monde normal, personne, bien sûr. 

Et pourtant, regardez-bien ce qui s’est passé.

Suite à la découverte du Pr Marik, une grande étude a été publiée dans le prestigieux Journal of the American Journal Association (JAMA) [1].

Il s’agissait d’une étude randomisée, en double aveugle et multicentrique.

Bref, en termes de sérieux et de fiabilité, on ne peut pas faire mieux.

167 patients admis en réanimation pour septicémie ou détresse respiratoire ont été tirés au sort :

  • La moitié ont reçu des perfusions de vitamine C ;
  • La moitié ont reçu un placebo (une perfusion sans substance active).

Conclusion des chercheurs : la vitamine C ne marche pas.

En tout cas, c’est ce qu’ils écrivent noir sur blanc, dans le résumé (« abstract ») de l’étude :

« Dans cette étude préliminaire, les perfusions de vitamine C pendant 96 heures n’ont pas amélioré de façon significative le score de dysfonction des organes, ni altéré les marqueurs de l’inflammation et de lésions vasculaires ».

Je rappelle que 99 % des scientifiques se contentent de lire le résumé des études.

Donc, si on s’arrête là, on en conclut que la vitamine C en perfusion ne marche pas, et on passe à autre chose.

Maintenant, apprêtez-vous à être SURPRIS.

En réalité, ce sur quoi l’étude n’a pas trouvé d’efficacité de la vitamine C, c’est uniquement sur des « biomarqueurs », comme le « taux de thrombomoduline ».

Mais qu’en est-il de son effet sur la survie des patients ? Ou sur leur durée d’hospitalisation ?

N’est-il pas plus important de savoir si les patients ont été sauvés… plutôt que de faire des analyses sanguines ? 

Alors regardons ensemble ce qu’il en est.Il faut aller au fond de l’article pour découvrir ce magnifique graphique [2] :

Il s’agit de l’effet de la vitamine C sur la MORTALITÉ.

En bleu, vous voyez que le placebo aboutit à une mortalité totale de 45 %.

En orange, vous voyez que les perfusions de vitamine C conduisent à seulement 30 % de mortalité.

Cela fait un tiers de morts en moins, et c’est un résultat statistiquement significatif !

Cela veut dire que si on soigne 1 000 malades similaires, la vitamine C permettrait d’en sauver 150 !!!

Magnifique non ? Ce n’est pas tous les jours qu’on obtient un tel effet en médecine !

Et pourtant, les auteurs de l’étude et l’éditeur du Journal ont enterré cette découverte et expliqué, dans le résumé, que la vitamine C ne servait à rien !!!

C’est purement et simplement criminel.

En réalité, cette étude confirme l’efficacité de la vitamine C sur tous les aspects cliniques :

  • Moins de temps passé en réanimation par le groupe vitamine C (significatif)
  • Et moins de temps passé à l’hôpital au total (15 jours seulement contre 22 jours pour le placebo, également significatif statistiquement).

Donc vous avez une étude très positive sur ce qui est le plus important pour le patient : 

  • Le nombre de jours passés à l’hôpital ;
  • Le nombre de jours passés en réanimation ;
  • Et la survie (il me semble que ça compte un peu de ne pas mourir, non ?).

Mais la conclusion officielle, la conclusion du « consensus scientifique , c’est que la vitamine C ne « marche pas » !!!

Vous rendez-vous compte ?

Après avoir lu ceci, pouvez-vous encore croire que ces grands journaux sont de « bonne foi », quand il s’agit de molécules naturelles, non brevetables ? 

Ce qui se passe en ce moment n’est que la face émergée d’un iceberg de désinformation scientifique, qui sévit depuis des années !

Et ils recommencent avec la vitamine C, cette fois sur la Covid !

Vous allez voir que la mauvaise foi est sans borne.

Récemment, des chercheurs ont voulu savoir si des comprimés de vitamine C (et de zinc) peuvent avoir un effet contre la Covid-19 [3], quand on avale ces micronutriments très tôt, dès les premiers symptômes.

C’est une bonne idée, si l’étude est réalisée honnêtement.

Problème : ils ont choisi des patients relativement jeunes (45 ans en moyenne), donc qui guérissent tout seuls pour la plupart, sans problème particulier.

Comme je vous l’ai déjà dit, c’est un moyen évident d’obtenir un résultat non significatif, donc non probant, surtout avec seulement 50 patients par groupe testé !

Dès le départ, donc, la méthode était faussée.

Et sans surprise, l’étude conclut que ces compléments alimentaires n’ont « pas d’efficacité ». 

Pour enfoncer le clou, le JAMA a même publié un « commentaire » de l’étude réalisée par deux grands professeurs de médecine, qui pourfendent la « fausse mode » des micronutriments en compléments alimentaires.

Résultat : tous les idiots utiles (scientifiques et journalistes) ont pu claironner que la vitamine C et le zinc « ne servent à rien ».

C’est évidemment faux : la seule conclusion honnête des résultats proposée, c’est que l’étude n’est pas probante, dans un sens ou un autre, faute de patients en nombre suffisant.

Mais il y a pire.

Vous allez voir qu’il y a, en plus, deux ÉNORMES manipulations. 

Les chercheurs ont volontairement SABOTÉ leur étude pour l’empêcher de prouver l’efficacité de la vitamine C !

Quand on regarde les chiffres avec précision, on réalise que les patients sous vitamine C ont guéri un jour plus tôt que ceux du groupe placebo.

Le résultat n’est pas significatif statistiquement, car l’étude ne comportait pas assez de patients.

Mais si l’on avait testé la vitamine C sur davantage de patients, on aurait pu aboutir à un résultat significatif.

Et c’est là que ça devient à peine croyable.

Figurez-vous que les chercheurs ont arrêté l’étude en cours de route !!!

Initialement, ils avaient prévu de faire des groupes de 100 patients, et non des groupes de 50.

Mais ils ont arrêté l’étude en cours de route, soi-disant pour « futilité »… alors que les groupes vitamine C étaient en train de prouver leur efficacité sur la réduction des symptômes !

Cela ne vous fait pas penser à l’étude française Discovery, arrêtée pour les mêmes raisons absurdes (« futilité »), au moment où le groupe traité par hydroxychloroquine avait 31 % de morts en moins par rapport au groupe placebo [4] ?

De même, dans le cas de cette étude sur la vitamine C, l’arrêt de l’essai clinique en cours de route est extrêmement suspect, car contraire au protocole scientifique fixé au départ.

On peut penser que l’objectif était d’éviter de devoir révéler au monde entier qu’une banale vitamine a une réelle efficacité sur les symptômes de la Covid-19.

Et ce n’est pas tout. 

Les auteurs sont allés jusqu’à cacher des résultats favorables à la vitamine C, dans leur propre étude !

Regardez la diminution des symptômes dans le groupe vitamine C (en rouge) par rapport au placebo (en bleu) :

On voit bien qu’entre les jours 5 et 10, il y a une très forte amélioration du groupe vitamine C.

Puis, après 20 jours, il y a moins de différences, car la plupart des patients ont eu le temps de guérir spontanément, avec ou sans vitamine C.

Mais des scientifiques indépendants ont ré-analysés les données et montré que la vitamine C accélère la guérison de 70 %, un résultat significatif statistiquement… mais caché par les auteurs [5] !

Ces mêmes scientifiques honnêtes ont aussi montré que parmi les patients ayant des symptômes pendant longtemps, ceux qui avaient pris de la vitamine C avaient guéri trois jours plus tôt, ce qui n’est pas négligeable.

Bref, cette étude est globalement favorable à l’efficacité de la vitamine C !

Mais la conclusion du « consensus scientifique » est exactement inverse ! 

Cette étude a permis à certains « pontes » de conclure avec autorité que la vitamine C ne marche pas… en avançant comme « preuve » que cela a été publié dans un journal prestigieux comme le JAMA !

Mais c’est faux, il suffit de regarder l’étude en détail !

(Quant au zinc, le sabotage est peut-être encore plus flagrant : figurez-vous que le groupe ayant reçu du zinc en plus de la vitamine C comprenait 29 % de diabétiques, contre 9 % seulement dans le groupe placebo – or on sait bien que les diabétiques ont plus de risques de complications).

Bref, j’espère que vous voyez la gravité de la situation.

On ne peut pas faire confiance au « résumé » (abstract) des grands articles publiés dans des journaux prestigieux dans deux cas :  

  • Quand ils concernent des molécules anciennes et peu coûteuses, a fortiori naturelles ;
  • Quand elles concernent des molécules innovantes hors de prix, avec des études financées ou organisées par les laboratoires pharmaceutiques.

Dans ces deux cas, il faut aller voir et décortiquer le contenu précis de l’étude.

C’est ce que j’essaie de faire pour vous, car j’en ai le temps et l’énergie.

Mais la plupart des médecins et journalistes n’en ont pas le temps… et de toute façon, cela leur paraît inutile car ils font confiance au « résumé ».

Et voilà comment on a un faux consensus scientifique sur l’inefficacité de l’hydroxychloroquine…

… et une absence de consensus scientifique sur la vitamine D ou l’ivermectine, malgré des preuves massives et évidentes d’efficacité !

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : j’ai rassemblé toutes mes réflexions dans un livre explosif : Big Pharma démasqué – de la chloroquine aux vaccins, la crise du coronavirus révèle la face noire de notre système de santé.

Il sortira le 22 avril aux éditions Trédaniel, je vous en reparlerai prochainement (c’est une publicité totalement assumée car je ne toucherai aucun centime sur ce livre, mes droits d’auteurs seront intégralement reversés à la Fondation Hippocrate, qui défend une médecine intégrative, c’est à dire l’alliance du meilleur des médecines naturelles et conventionnelles).


Sources

[1] https://www.jem-journal.com/article/S0736-4679(20)30029-9/fulltext

[2] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6777268/

[3] https://jamanetwork.com/journals/jamanetworkopen/fullarticle/2776305

[4] www.sante-corps-esprit.com/ma-bombe-sur-letude-discovery-ne-plait-pas-a-tout-le-monde-voici-ma-reponse/

[5] https://www.researchsquare.com/article/rs-289381/v1

[6] Par ailleurs, on ne sait même pas si les patients ont reçu 50 milligrammes de zinc élémentaire – une dose adéquate – ou seulement 7 milligrammes – une dose ridicule – car les auteurs parlent de « 50 mg de zinc gluconate », ce qui peut vouloir dire 50 mg de zinc « sous sa forme gluconate », ou bien 50 mg de « zinc gluconate », qui ne contient que 7 mg de zinc.




INÉGALITÉS ET INJUSTICES AMPLIFIÉES PAR LA CRISE DU COVID-19

[Source : Amnesty International France]

Par Agnès Callamard

La pandémie de Covid-19 a mis à jour le terrible bilan de politiques destructrices, délibérément créatrices de divisions et qui perpétuent les inégalités, la discrimination et l’oppression. Des mesures qui ont représenté un terreau fertile favorisant les ravages causés par le Covid-19.

Notre nouveau rapport sur la situation des droits humains dans le monde, couvre 149 pays et présente une analyse détaillée des grandes tendances en matière de droits humains observées à travers le monde en 2020.

Dans notre Rapport annuel, nous démontrons que les populations qui étaient déjà les plus marginalisées, notamment les femmes et les personnes réfugiées et migrantes, sont celles qui ont été le plus durement frappées par la pandémie. Cela s’explique par des décennies de politiques discriminatoires décidées par celles et ceux qui dirigent le monde.

Le personnel soignant, les travailleuses et travailleurs migrants et les personnes travaillant dans le secteur informel – qui pour beaucoup se sont trouvés en première ligne face à la pandémie – ont également été trahis par des années de politiques d’austérité. Les systèmes de santé ont été négligés et les aides économiques et sociales lacunaires.

Les mesures prises pour faire face à la pandémie ont aussi été minées par le fait que des dirigeants ont impitoyablement exploité cette crise et instrumentalisé le Covid-19 pour lancer de nouvelles attaques contre les droits humains.

Lire notre dossier : Covid-19, les droits des soignants en danger

LES INÉGALITÉS EXACERBÉES PAR LA PANDÉMIE

En raison des inégalités actuelles, qui résultent de décennies d’exercice toxique du pouvoir, les populations déjà marginalisées, notamment les minorités ethniques, les femmes et les personnes réfugiées et migrantes ont été affectées par la pandémie de façon disproportionnée.

Certaines personnes réfugiées, demandeuses d’asile ou migrantes, se sont retrouvées piégées dans des camps sordides et privées de fournitures essentielles ou bloquées en raison du renforcement des contrôles aux frontières.

Lire aussi : De Calais à Grande-Synthe, à quand des mesures pour protéger les réfugiés et migrants du Covid-19 ?

Par exemple, l’Ouganda, le pays africain accueillant le plus grand nombre de personnes réfugiées, avec 1,4 million d’entre elles recensés sur son territoire, a immédiatement fermé ses frontières au début de la pandémie, ne faisant pas d’exception pour les personnes réfugiées ou demandeuses d’asile qui voulaient entrer dans le pays. En conséquence, plus de 10 000 personnes ont été bloquées à la frontière entre la République démocratique du Congo et l’Ouganda.

Nous attirons également l’attention sur la nette augmentation du nombre de cas de violence domestique et liée au genre. Sur le fait que pour de nombreuses femmes et personnes LGBTI les obstacles à l’accès à une protection et à une aide se sont accrus à cause des restrictions du droit de circuler librement, du manque de mécanismes permettant aux victimes de signaler de façon confidentielle des violences alors qu’elles sont isolées avec les agresseurs, et de la suspension ou des capacités réduites des services d’assistance.

Lire aussi : Les violences faites aux femmes et aux personnes LGBTI en nette progression

L’ÉROSION DES SERVICES PUBLICS

Le personnel de santé et les personnes ont subi de plein fouet les conséquences des politiques qui ont laissé péricliter les systèmes de santé et les mesures de protection sociale. Des personnes qui se sont retrouvées en première ligne face à la pandémie.

Au Bangladeshde nombreuses personnes qui travaillent dans le secteur informel se sont retrouvées sans revenu et sans protection sociale en raison des mesures de confinement et des couvre-feux. Au Nicaragua, au moins 16 professionnels de santé ont été licenciés en l’espace de deux semaines après avoir fait état de leurs inquiétudes concernant le manque d’équipement de protection individuelle et la gestion de la pandémie par les pouvoirs publics.

Lire aussi : Focus sur la situation des droits humains en France

Une habitante de Paraisopolis, l'un des plus grands bidonvilles de la ville, participe à une manifestation à Sao Paulo, au Brésil, le 18 mai 2020, pour demander plus d'aide au gouvernement de l'État de Sao Paulo pendant la pandémie de coronavirus COVID-19.
Une habitante de Paraisopolis, l’un des plus grands bidonvilles de la ville, participe à une manifestation à Sao Paulo, au Brésil, le 18 mai 2020, pour demander plus d’aide au gouvernement de l’État de Sao Paulo pendant la pandémie de coronavirus Covid-19 © Miguel SCHINCARIOL / AFP

INSTRUMENTALISATION DE LA PANDÉMIE

Dans notre rapport, nous dressons également un sombre bilan des carences de certains dirigeants du monde. Trop souvent, leur façon de gérer la pandémie a été marquée par l’opportunisme et un mépris total pour les droits humains.

Lire aussi : Crise du Covid-19, des dirigeants du monde loin d’être à la hauteur

L’adoption par les autorités de lois réprimant pénalement les commentaires relatifs à la pandémie est devenue la norme. En Hongrie, par exemple, le gouvernement du Premier ministre Viktor Orbán a modifié le Code pénal du pays, qui prévoit désormais jusqu’à cinq ans d’emprisonnement en cas de « diffusion de fausses informations » au sujet du Covid-19.

En ce qui concerne les pays du Golfe, l’Arabie saouditeBahreïn, les Émirats arabes unis, le Koweït et Oman ont utilisé la pandémie comme prétexte pour continuer de réprimer le droit à la liberté d’expression. Ils ont poursuivi en justice – , pour diffusion de « fausses nouvelles » – des personnes ayant publié sur les réseaux sociaux des commentaires sur les mesures prises par les autorités gouvernementales face à la pandémie.

D’autres dirigeants ont utilisé une force excessive. Aux Philippines, le président Rodrigo Duterte a dit avoir ordonné à la police de « tirer pour tuer » les personnes qui protestent ou qui causent des « troubles » pendant le confinement. Dans le Brésil du président Jair Bolsonaro, les violences policières se sont intensifiées pendant la pandémie de Covid-19. Au moins 3 181 personnes ont été tuées par la police dans tout le pays entre janvier et juin, soit en moyenne 17 personnes par jour.

Lire aussi : Le président Rodrigo Duterte demande de tuer les « fauteurs de troubles »

Certains dirigeants sont même allés jusqu’à profiter de la distraction provoquée par la pandémie pour réprimer les propos critiques sans rapport avec le virus, et perpétrer de nouvelles violations des droits humains, alors que l’attention des médias à travers le monde se portait ailleurs. Par exemple, en Inde, Narendra Modi a intensifié la répression contre les militants de la société civile. Pour ce faire, il a notamment mené des opérations antiterroristes dans les bureaux et au domicile de plusieurs d’entre eux.

Parallèlement à cela, dans la Chine du président Xi Jinping, le gouvernement continue sans relâche de persécuter les Ouïghours et d’autres minorités musulmanes dans la région du Xinjiang. En outre, une loi draconienne relative à la sécurité nationale s’appliquant à Hong Kong a été adoptée pour légitimer la répression motivée par des considérations politiques.

Lire aussi : Des enfants ouïghours détenus et séparés de leur famille

Un agent de police portant un masque facial par mesure de prévention contre le Covid-19 (nouveau coronavirus) tente d'empêcher un photojournaliste de prendre des photos dans une rue à l'extérieur d'un complexe commercial à Pékin, le 13 octobre 2020.
Un agent de police tente d’empêcher un photojournaliste de prendre des photos dans une rue à l’extérieur d’un complexe commercial à Pékin, le 13 octobre 2020 © NICOLAS ASFOURI / AFP

LA COOPÉRATION INTERNATIONALE EN BERNE

Les dirigeants de la planète ont également causé des ravages à l’échelle internationale, entravant les initiatives collectives de redressement en bloquant ou en sapant la coopération internationale.

Pour exemple, des dirigeants de pays riches, comme l’ancien président américain Donald Trump, ont contourné les tentatives de coopération mondiale en achetant la plupart des stocks de vaccins disponibles dans le monde, n’en laissant guère pour les autres pays. Ces pays riches se sont en outre abstenus de pousser les entreprises pharmaceutiques à partager leurs connaissances et leurs technologies afin d’accroître l’offre de vaccins contre le Covid-19.

La pandémie a crûment mis en évidence l’incapacité du monde à coopérer efficacement en période de grandes difficultés à l’échelle planétaire.

Agnès Callamard

FACE À L’INDIFFÉRENCE DES GOUVERNEMENTS, DES MOUVEMENTS DE PROTESTATION

Les politiques répressives ont incité de nombreuses personnes à participer à des combats de longue haleine comme avec les manifestations du mouvement Black Lives Matter aux États-Unis, les manifestations du mouvement #End SARS au Nigeria, et les nouvelles formes innovantes de protestation telles que les manifestations virtuelles pour le climat.

Lire aussi : En 2020, nos 15 plus belles victoires pour les droits humains

De nombreuses victoires ont été remportées en 2020 grâce à des militantes et militants des droits humains, particulièrement dans le domaine de la lutte contre les violences liées au genre. Citons notamment les nouvelles lois qui ont été adoptées pour combattre les violences contre les femmes et les filles en Corée du Sud, au Koweït et au Soudan, ainsi que la dépénalisation de l’avortement en Argentine, en Corée du Sud et en Irlande du Nord.

En 2020, l’impulsion n’est pas venue des puissants, des privilégiés ou des profiteurs. Elle est venue des innombrables personnes qui ont manifesté pour réclamer un changement.

Agnès Callamard

Des personnes portant des masques de protection scandent des slogans, lèvent le poing et tiennent des pancartes, alors qu'elles manifestent à Nantes, le 8 juin 2020, lors d'une manifestation mondiale "Black Lives Matter" contre le racisme et la brutalité policière à la suite de la mort de George Floyd, un homme noir non armé tué lors de son arrestation par la police à Minneapolis.
Lors d’une manifestation mondiale « Black Lives Matter » contre le racisme et les violences policières à la suite de la mort de George Floyd, Nantes, 8 juin © Loic VENANCE / AFP

LE MONDE EN 2020, PAYS PAR PAYS

Nous avons rassemblé des informations sur de graves violations des droits humains commises en 2020 dans 149 pays.

!function(e,i,n,s){var t="InfogramEmbeds",d=e.getElementsByTagName("script")[0];if(window[t]&&window[t].initialized)window[t].process&&window[t].process();else if(!e.getElementById(n)){var o=e.createElement("script");o.async=1,o.id=n,o.src="https://e.infogram.com/js/dist/embed-loader-min.js",d.parentNode.insertBefore(o,d)}}(document,0,"infogram-async");




Rendez-nous nos piscines : elles tuent le virus du Covid-19 ! Mise à jour

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte LaïqueRiposte Laïque (ripostelaique.com)]

« L’apprentissage de la natation doit rester une priorité pour la santé de tous. Ensemble pour le maintien des activités aquatiques sans risque sanitaire », a tweeté Florent Manaudou (médaillé d’or du 50 m nage libre à Londres) emboîtant le pas à l’ancien nageur Camille Lacourt, Fantine Lessafre ou encore Charlotte Bonnet. [1]

« Le sport, une religion de nos sociétés de consommation, actuellement reniée. Alors que la pratique du sport devenait presque une « religion » dans nos pays encore riches, que les cancérologues la recommandaient comme adjuvants des chimiothérapies, allant même jusqu’à demander le remboursement des séances encadrées de différentes spécialités, alors que l’éducation sportive devenait aussi importante que la pratique des mathématiques ou de la philosophie à l’école pour être considéré comme « bon élève », brutalement tout s’écroule ! (…)

 Il apparut que le fameux virus ne touchait ni les enfants, ni les adolescents, exceptionnellement les jeunes adultes et que les enfants même parfois contaminés (quasiment toujours par leurs familles ou un très proche) ne devenaient pas des malades, ne contaminaient ni enfants ni adultes. »

Néanmoins des mesures coercitives furent prises bloquant la vie normale des Français dont bon nombre supportèrent très mal les privations de liberté, les sportifs en particulier. Tout ferma contre toute logique, car sans étude spécifique, il semblait bien que la pratique de la natation dans un milieu très javellisé ne devait pas être un sport à risques. Mais la politique eut le dessus d’une logique quelque peu sanitaire.

La sortie du tunnel ? La lumière à l’horizon comme dit l’avocat Reiner Fuellmich

L’Imperial college nous a fait plonger dans une catastrophe internationale via les prévisions fallacieuses de ses simulateurs et leur chef Neil Ferguson [2]. Vont-ils nous en sortir en nous faisant replonger dans nos piscines avec délectation ?

Nous avions alerté il y a quelques semaines sur le désarroi des nageurs, jeunes et vieux privés de leur milieu devenu naturel et partie intégrante de leur vie et de leur bien-être. [3] Actuellement, à l’occasion de la réouverture des piscines en Grande-Bretagne, une équipe de virologues de Londres de l’Imperial College publie son étude sur la survie du coronavirus SARS-2 dans l’eau de piscine et conclue à la destruction quasi complète du virus en piscine.

L’eau de la piscine inactive le virus du Covid-19 en 30 secondes dans les bonnes conditions, selon une nouvelle étude [4].

Les résultats suggèrent que le risque de transmission de Covid-19 dans l’eau de la piscine est « incroyablement faible » selon l’expression des chercheurs anglais. Les études ont été réalisées en collaboration entre Swim England et l’entreprise de natation pour bébés Water Babies et la Royal Life Saving Society UK (RLSS UK).

L’étude sur l’eau des piscines a été entreprise par le virologue et expert en virus respiratoires de premier plan, le professeur Wendy Barclay, en collaboration avec le Dr Jonathan Brown, associé de recherche, et Maya Moshe, technicienne de recherche à l’Imperial College de Londres, et le projet géré par Alex Blackwell, responsable des piscines et des installations de Water Babies.

Le professeur Barclay a examiné les effets de l’eau de piscine sur le virus responsable du Covid-19, SRAS-CoV-2, pour évaluer la quantité de temps et de contact nécessaires pour inactiver le virus à différents niveaux de chlore et de pH.

« Le virus ne survit pas »

La recherche a établi que 1,5 mg par litre de chlore libre avec un pH entre 7-7,2 réduit l’infectiosité du virus de plus de 1 000 fois en 30 secondes.

Des tests supplémentaires effectués sur différentes gammes de chlore et de pH ont confirmé que le chlore dans l’eau de la piscine était plus efficace avec un pH inférieur – ce qui est conforme aux directives actuelles pour le fonctionnement de la piscine.

Déclarations du virologue en charge de l’expérience

Le professeur Wendy Barclay a déclaré :

« Nous avons effectué ces expériences dans nos laboratoires de confinement élevé à Londres.  « Dans ces conditions de sécurité, nous sommes en mesure de mesurer la capacité du virus à infecter les cellules, ce qui est la première étape de sa transmission.

« En mélangeant le virus avec l’eau de la piscine livrée par l’équipe des Water Babies, nous avons pu montrer que le virus ne survit pas dans l’eau de la piscine : il n’était plus infectieux. « Cela couplé avec l’énorme facteur de dilution du virus qui pourrait trouver son chemin dans une piscine d’une personne infectée suggère la possibilité de contracter Covid-19 de l’eau de la piscine est négligeable ».

Les piscines sont des milieux dénués de danger pour la contamination du virus. Raison de plus pour que le gouvernement autorise la reprise de la natation en milieu ouvert et fermé, sans risque sanitaire. Les sportifs licenciés amoureux de l’eau ont été particulièrement frustrés depuis un an. Il est impératif qu’ils puissent reprendre leur entraînement le plus rapidement possible afin de retrouver leur forme physique mais aussi morale.

Pour tous, la possibilité de reprendre une activité sportive est capitale. Comme d’autres, nous avons insisté sur la terrible détérioration de l’état mental de l’ensemble du peuple, mais singulièrement des jeunes et enfants. Il est capital qu’ils retrouvent des activités sportives leur permettant de plus de reprendre une vie sociale avec des camarades de classe, des coachs.

IRONIE DU SORT ? Sauvés par l’Imperial college ?

Par ironie du sort, l’Imperial college fut un des instruments de la catastrophe covid via les mesures de confinement qu’il conseilla. La sortie de la folie collective de mesures liberticides inappropriées viendra-t-elle de la même Université ?

ROUVRONS LES PISCINES SANS ATTENDRE

AUCUNE RAISON SANITAIRE NE JUSTIFIE UNE SEULE SECONDE LA POURSUITE DE LEUR FERMETURE

Nicole Delépine


[1] Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons- la en tsunami ! – “La politique est une poubelle qu’il faudrait vider plus souvent”© (observatoiredumensonge.com)

[2] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine

[3] Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons- là en tsunami ! – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[4] Swimming pool water inactivates Covid-19 virus in 30 seconds


Mise à jour — Complément

  Le risque de noyade chez les enfants est-il à craindre ? (aufeminin.com)   « Covid-19 : avec la fermeture des piscines, un risque d’explosion des noyades chez les enfants est-il à craindre ?

par Suruthi SRIKUMAR créé le 9 mars 2021

« La pandémie de coronavirus a bouleversé les activités scolaires et extra-scolaires des enfants, les empêchant, par exemple, d’apprendre à nager à la piscine. Une conséquence désastreuse pour les professionnels qui craignent une hausse des noyades cet été.


Au total, 800 000 élèves n’ont pas pu suivre leur cycle de natation à cause des piscines fermées ou partiellement fermées. Pourtant pour de nombreux élèves, notamment ceux issus de milieux populaires, l’école était le seul endroit où ils apprenaient à nager. En effet, en Seine-Saint-Denis, un jeune sur deux n’a pas son attestation scolaire savoir nager (ASSN).

Mais depuis un an, cet apprentissage a été perturbé, voire totalement interrompu à cause du covid-19.
Une fermeture qui n’est pas sans conséquence. “C’est un an de perdu, qu’on pourra difficilement rattraper”, s’inquiètent des professeurs d’EPS au Parisien. (Fermeture des piscines : le virus a-t-il créé une génération de non-nageurs ? – Le Parisien)

En effet, à l’approche des vacances d’été, le fléau estival des noyades inquiète. Chaque année, 1000 personnes se noient, un chiffre qui ne cesse d’augmenter depuis six ans. Axel Lamotte, maître-nageur en Seine-Saint-Denis et secrétaire général adjoint du Syndicat national professionnel des maîtres-nageurs sauveteurs indiquent : “Les enfants n’ayant pas accès de façon normale à l’éveil aquatique et à l’apprentissage de la natation depuis un an, nous sommes inquiets du nombre de noyades qui pourrait grandir en 2021”, explique-t-il au Parisien. “Quand les cohortes d’élèves 2020/2021 vont débarquer sur les plages ou les bases de loisirs, cela va être catastrophique !”, s’alarme-t-il.

Selon une étude de Santé publique France, il existe une hausse de 96 % des décès par noyade chez les enfants de moins de 6 ans, et de 132 % dans les piscines privées familiales. »




Coronavirus : le gouvernement disposait de toutes les informations depuis mars 2020 !

Par Alain Tortosa

Coronavirus, mars 2020, oui on savait !

Contrairement à la croyance répandue et développée depuis plus d’un an, oui on savait.

Le gouvernement disposait de TOUTES les informations nécessaires pour faire les BONS choix !

Les pseudo-média, les pseudo-médecins utilisent l’argument de l’ignorance pour développer la thèse que toutes les erreurs commises en France en mars 2020 n’étaient QUE le résultat de l’ignorance que nous avions et que nous avons encore sur le fameux « nouveau coronavirus ».

Cette croyance est à ce point ancrée et martelée que même des grandes figures de la résistance face à la dictature, adhèrent à ce mythe et ne critiquent pas ou peu les premières semaines de gestion de l’épidémie en France.

Oui à ce mythe, car il s’agit bien là d’un mythe parfaitement orchestré afin de nous manipuler et faire passer toutes les lois liberticides de la dictature.

Je ne prétends pas affirmer que nous savions tout, car le principe de toute science est de douter et que plus nous apprenons sur un sujet, plus nous sommes conscients de ne rien savoir. Dans les faits, toute réponse amène son flot de questions…

Mais il ne s’agit pas de philosopher, mais de répondre à l’interrogation suivante :

« En mars 2020 lors du premier confinement étions-nous dans l’ignorance ou en savions-nous suffisamment pour proposer une politique diamétralement opposée ? »

Le fait que je pose la question vous indique que je possède déjà la réponse.

Que pouvaient savoir le conseil scientifique et le Président de la République à la veille de condamner l’ensemble de la population française à une incarcération sans procès préalable ?

Voici nos connaissances de l’époque d’un point de vue général

  • Nous n’avions pas à faire à un virus totalement inconnu, mais de la famille des coronavirus qui sont courants.
  • Nous savions que les coronavirus passent leur temps à muter.
  • Nous savions qu’aucun vaccin n’avait jamais pu fonctionner pour les coronavirus précédents et nous savions donc que faire un vaccin relevait d’un non-sens, notamment du fait des dites mutations.
  • Nous savions aussi qu’il ne faut pas vacciner les personnes durant une épidémie (mais avant) à cause du risque accru d’anticorps facilitant et d’augmentation du nombre de variants.
  • Nous savions que les confinements d’une population générale en bonne santé n’avaient aucune efficacité pour contrôler ou ralentir une épidémie (cf. par exemple les données de l’OMS).
  • Nous savions que les épidémies se terminent naturellement lorsque l’environnement devient défavorable au virus (météo, immunité acquise par la population, décès des personnes qui devaient décéder…).
  • Nous savions que le port du masque dans une population générale était non seulement inefficace, mais plutôt de nature à faire empirer l’épidémie et la santé des porteurs (cf. OMS).
  • Nous savions que la distanciation, les gestes barrière n’étaient pas efficaces dans une population en bonne santé.
  • Nous savions qu’il est efficace de faire tourner les virus dans des populations qui ne sont pas à risque pour faciliter une immunité naturelle de masse et ainsi protéger les personnes à risque.

Nos connaissances sur le Sars-cov2 au premier trimestre 2020.

  • Les chinois avaient publié de nombreuses études ou donné, mais aussi les italiens dont l’épidémie avait débuté p lus tôt.
  • Nous connaissions parfaitement le profil des patients à risque et le profil n’a que peu évolué depuis le mois de janvier 2020 (2020 et non 2021 !).
  • Nous savions que seules les personnes très âgées o u avec de graves comorbidités décédaient. L’âge médian des décès e st passé de 82 ans en mars 2020 à 85 ans à ce jour.
  • Nous savions notamment que les enfants n’étaient pas concernés, et même si on a cherché à nous faire peur avec le syndrome de Kawasaki, la dictature n’a pas réussi à fabriquer de faux morts d’enfants.
  • Nous savions qu’il y avait des traitements et les Chinois avaient déjà montré que des antibiotiques et l’hydroxychloroquine étaient efficaces pour traiter les patients.
  • Nous savions AVANT même de débuter le confinement que celui-ci serait un échec. Il suffisait de comparer la courbe de progression des cas dans des pays à fort confinement comme l’Italie et des pays qui n’ont JAMAIS confiné leur population comme la Corée du Sud.
  • Nous savions que la détection ET l’isolement des MALADES (pas des positifs asymptomatiques) étaient efficaces.

Tout ce qui est précédemment cité est demeuré vrai au fil des mois.

Je sais bien que seules les comparaisons avec les pays dont les résultats sont encore plus catastrophiques que la France sont « légitimes », mais pas les autres. Pour autant, la Suède qui, en gros, n’a strictement rien mis en œuvre déplore moins de morts par habitant que la France.

L’Asie et des pays comme la Corée du Sud (du Sud, pas du Nord ! 51 millions d’habitants, niveau de vie identique à la France, âge médian de la population identique, capitale surpeuplée de 9 millions d’habitants… ) ont des résultats incroyablement meilleurs !

Je vous précise que l’épidémie a débuté quasiment au même moment en Italie et en Corée du Sud. Au 25 février 2020, chacun des deux pays comptait 10 morts (au total) tandis que la France n’en avait qu’un seul. Nous pouvons considérer que l’épidémie en France avait environ 10 jours de retard sur la Corée du Sud et l’Italie.

(Les données suivantes sont le nombre de décès pour 1 000 000 habitants.)

Au 15 mars, l’épidémie débutait à peine en France avec 1,33 mort.

L’Italie était déjà à 29,92 décès alors que la Corée du Sud ne déplorait que 1,46 mort.

Le 17 mars, deux jours plus tard ! La France avait dépassé le nombre de décès de la Corée du Sud avec 2,19 versus 1,58 tandis que l’Italie était déjà à 41,40 soit 20 fois plus que la Corée du Sud !

15 jours plus tard, le 4 avril c’était du délire ! 3 morts pour la Corée, 110 pour la France et 254 pour l’Italie. (Au 14 avril, équivalent en nombre de jours d’épidémie, la France était à 230, preuve en est de résultats très proches pour les deux pays.)

Je le répète, en regardant la progression du nombre de malades, nous savions AVANT le confinement que l’Italie avait fait un choix catastrophique et que le bon élève était la Corée du Sud.

Et la France avait choisi la politique italienne. Pourquoi ?

Imaginez que si je disposais à la mi-mars de tous les éléments de preuve de l’escroquerie et du futur échec du confinement, quelles pouvaient être les données possédées par le gouvernement français ?

Mais je vais être bon prince et vous laisser quand même dire que l’on ne savait pas en mars 2020 ce qui est faux. Mais aussi vous laisser dire que la France ne possédait pas des masques qui, par ailleurs, sont totalement inutiles. Je vais même vous laisser dire que la France ne possédait pas de tests en masse indispensables pour les malades, mais totalement inutiles en population générale en bonne santé.

Nous avons eu les masques, nous avons eu des millions de tests, et nous avons eu deux confinements de plus (pour l’instant) ! Et pendant ce temps, l’écart de mortalité entre les pays européens qui ont détruit les droits de l’homme et l’Asie ne faisait que croître !

La dictature sanitaire a osé dire que c’était la faute aux variants, variants qui « étrangement » sont principalement apparus dans les pays qui ont testé les « vaccins ». Nous dirons que c’est la faute à pas de chance…

J’imagine que vous aurez donc une théorie, encore une fois, pour expliquer que les variants ont épargné la Corée du Sud ! Bizarre, non ?

Et aujourd’hui ?

Eh bien au 11 avril de cette année nous en sommes respectivement à 1 890 décès pour 1 000 000 habitants en Italie, 1 450 décès pour 1 000 000 habitants en France et… 34 pour la Corée du Sud !

S’il ne s’agissait pas de morts, nous pourrions en rire ! Rendez-vous compte que la France dénombre 42 fois plus de décès par habitant que la Corée du Sud ! Si cela ne vous parle pas, c’est comme si nous avions eu en France 2 300 décès depuis le début de la crise en mars 2020 !

Pour expliquer cela, vous pourriez émettre l’hypothèse que la Corée du Sud testait ou teste plus que les Français. (Je vous rappelle que l’absence de tests massifs était une des hypothèses retenues par le conseil scientifique pour nous confiner la première fois.)

Le nombre actuel de tests journaliers est de 0,8 pour 1000 habitant en Corée du Sud avec un pic à 1 pour 1000. La France en est à 7,6 pour 1 000 habitants, soit presque 10 fois plus, et avec un pic à 7,9.

Au 17 mars, l’Italie testait déjà plus que la Corée du Sud ! (je n’ai pas les données pour la France en mars). L’hypothèse du nombre de tests effectués pour contrôler une épidémie tombe aussi à l’eau.

Mais alors qui se fout de nous ?

Nous avons toutes les preuves que les politiques mises en œuvre depuis le début de la crise en France sont catastrophiques, que les confinements et autres masques obligatoires n’ont absolument pas contenu l’épidémie.

On ose nous dire que le problème de la France est que nous manquons de lits de réanimation alors même que nous faisons tout pour les remplir en interdisant les traitements préventifs et curatifs. Or une personne qui entre en réanimation n’est rien d’autre que la preuve de l’échec d’une politique sanitaire ! On ne résout pas le problème de débordement d’une baignoire en augmentant son volume, mais en diminuant réellement le débit de l’eau et sans baguette magique.

Les autorités nous ont annoncé dès le mois de mars 2020 que le « sauveur » serait la thérapie vaccinale !

Revenons donc à la Corée du Sud

Alors que 15,8% des Français ont reçu au moins une dose du sauveur, seuls 2,2% des Sud-Coréens ont été vaccinés ! Décidément ce pays est très étrange, j’imagine que la génétique de l’Asiatique doit être fort différente de celle des Français. Ils ont 40 fois moins de morts qu’en France sans se vacciner et la vaccination serait L’UNIQUE voie ? Il va me falloir du temps pour comprendre !

À propos du « vaccin » miracle…

Rendez-vous compte que le taux de mortalité de la Hongrie est passé de 1 145 à 2 400 depuis le début de la vaccination avec 30% de personnes vaccinées ! Évidemment c’est la faute aux variants qui adorent la Hongrie, mais détestent la Corée du Sud… Il est vrai que j’ai entendu dire que les nouveaux variants étaient plus snobs et préféraient les iPhone aux Samsung, ceci expliquant sans doute cela !

Alors quel est le secret de la Corée du Sud ?

Rien de bien extraordinaire, ils ont fait ce que nous faisions dans le temps en France avec nos sanatoriums pour la tuberculose. Ils ont simplement placé en quarantaine les malades. Le plus risible ou pitoyable est lorsque les autorités françaises nous disent que cette mesure ne serait pas possible en France, car elle constituerait une atteinte aux droits de l’homme ! Ici encore, mieux vaut en rire !

Conclusion

Pour résumer, les principales données sur le virus étaient connues dès le premier trimestre 2020. Le profil des personnes à risque était parfaitement identifié ! Nous savions que les antibiotiques et l’hydroxychloroquine fonctionnaient et dès le mois d’avril nous savions que l’Ivermectine était prometteuse. Nous savions que les confinements d’une population générale, l’obligation du masque toujours dans une population générale, n’avaient eu aucune efficacité dans l’histoire du monde dès lors que le virus circule déjà.

Nous savions que la politique de confinement mise en place quinze jours avant la France en Italie était catastrophique. Nous savions que les dépistages massifs mis en place en Italie n’avaient strictement aucune efficacité.

ET…
Nous avions AVANT le premier confinement, déjà la preuve que la politique sud-coréenne de mise en quarantaine des malades fonctionnait parfaitement !

Alors que nous avions toutes les données sur ce qu’il fallait faire et ne pas faire, la France, et de nombreux pays européens, n’ont pas modifié leur politique sanitaire ni à l’époque, ni depuis…

Celle-ci est uniquement basée sur des dogmes ou la main mise de l’industrie pharmaceutique qui a converti des mensonges en « Vérités absolues ».

  • « Si un confinement ne fonctionne pas, c’est qu’il a été non respecté. »
  • « Si des contaminations ont lieu, c’est que les gens portent mal le masque ou ne respectent pas les gestes barrière. »
  • « S’il y a des personnes qui en contaminent d’autres, c’est que l’on ne fait pas assez de tests PCR. »

La science, si elle n’avait pas été exécutée sur l’autel de l’obscurantisme et de la corruption, aurait voulu que l’on se dise « nous voyons bien que cela ne fonctionne pas, changeons ». Mais les autorités françaises ont affirmé que si certaines mesures ne fonctionnaient pas, c’est qu’il fallait donc les accroître !
« Je constate que cela ne marche pas, je vais augmenter les doses ! »

Alors, s’il vous plaît arrêtez de répéter les mensonges de la Pravda et des scientifiques corrompus !

Nous disposions de TOUTES les données utiles pour faire les bons choix avant même le premier confinement ! C’est en toute connaissance de cause que ces choix les plus mortifères ont été mis en œuvre en France depuis plus d’un an. Nous avons toutes les données et toutes les preuves scientifiques !

NOUS SAVIONS CE QU’IL FALLAIT FAIRE ET NE PAS FAIRE DÈS LE MOIS DE MARS 2020 !

LES AUTORITÉS SANITAIRES ONT FAIT LE CHOIX DÉLIBÉRÉ DE PROVOQUER UN MAXIMUM DE DÉCÈS DANS LA POPULATION FRANÇAISE !

Cette politique n’a JAMAIS été infléchie depuis !

Et pour celles et ceux qui penseraient que c’est facile de le dire aujourd’hui avec le recul, je les invite à lire mes textes publiés dès le mois de mars 2 020.

Merci

Alain Tortosa

Le 13 avril 2021

Auteur du livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210413-covid-on-savait.pdf


Quelques Sources :

https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/69/wr/mm6911e2.htm
Initial Investigation of Transmission of COVID-19 Among Crew Members During Quarantine of a Cruise Ship — Yokohama, Japan, February 2020

https://www.jwatch.org/na51083/2020/03/13/covid-19-incubation-period-update NEJM COVID-19
Incubation Period: An Update 10 mars 2020

https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2763667
Case-Fatality Rate and Characteristics of Patients Dying in Relation to COVID-19 in Italy
L’étude de l’ISS précise q ue 48,5% des patients décédés avaient 3 pathologies ou plus. 26% avaient 2 pathologies et 25% une seule. Et de rajouter « Seulement 0,8 % des personnes n’avaient aucune pathologie » 23 mars 2020

https://www.nature.com/articles/s41421-020-0156-0
Hydroxychloroquine, a less toxic derivative of chloroquine, is effective in inhibiting SARS-CoV-2 infection in vitro
18 mars 2020

https://www.letemps.ch/sciences/chloroquine-une-piste-lutter-contre-sarscov2
La chloroquine, une piste pour lutter contre le SARS-CoV-2
Une vingtaine d’essais cliniques sont en cours en Chine pour évaluer l’effet de cet antipaludéen. Les résultats préliminaires d’un essai français semblent probants, mais cette approche thérapeutique ne fait pas l’unanimité
17 mars 2020

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7108130/
In Vitro Antiviral Activity and Projection of Optimized Dosing Design of Hydroxychloroquine for the Treatment of Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 (SARS-CoV-2)
9 mars 2020

https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30183-5/fulltext
Clinical features of patients infected with 2019 novel coronavirus in Wuhan, China 24 janvier 2020

https://www.researchgate.net/publication/339792001_Therapeutic_options_for_the_treatment_of_2 019-novel_coronavirus_An_evidence-based_approach
Therapeutic options for the treatment of 2019-novel coronavirus: An evidence-based approach Indian Journal of pharmacology
Janvier 2020

https://www.isglobal.org/documents/10179/6022921/Patel+et+al.+2020+version+1.pdf
Ivermectin in COVID-19 Related Critical Illness – ISGlobal
6 avril 2020

https://www.caymanchem.com/news/using-existing-therapeutics-against-sars-cov-2
Using Existing Therapeutics Against SARS-CoV-2
Article from 2020-03-30
« reports have shown that ivermectin’s nuclear transport inhibitory activity is also effective against cultured Vero/hSLAM cells infected with SARS-CoV-2. The mechanism of action for how ivermectin interferes with this particular coronavirus is unclear. »

https://7milliards.fr/coronavirus-france-vs-coree.html
Coronavirus confinement à la française ou à la coré enne ? Un scandale ?
4 avril 2020

https://7milliards.fr/la-crise-du-coronavirus.html
Coronavirus ou l’interdiction de penser ?
Mars 2020

https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer? zoomToSelection=true&pickerSort=asc&pickerMetric=location&hideControls=true&Metric=Confi rmed+deaths&Interval=Cumulative&Relative+to+Population=true&Align+outbreaks=false&country=ITA~KOR~FRA
Décès par million d’habitants

https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer? zoomToSelection=true&pickerSort=desc&pickerMetric=population&Interval=Cumulative&Relativ e+to+Population=true&Align+outbreaks=false&country=HUN~IND~ISR~GBR~USA~CHN~FRA ~KOR&Metric=People+vaccinated
Pourcentage de la population ayant reçu une dose de vaccin.

https://ourworldindata.org/grapher/daily-tests-per-thousand-people-smoothed-7-day? tab=chart&country=KOR~ITA~FRA
Nombre de tests journaliers pour 1000 personnes.




De l’art de la manipulation, de la pensée unique… et de l’usage du mot « complotiste »

Par Alain Tortosa

Concernant l’utilisation répétée et généralisée du mot « complotiste »

Celui-ci ne fait qu’apporter la preuve indirecte que ledit « complotiste » énonce des propos qui sont, sinon justes, tout du moins dignes d’intérêt.

En effet, le terme « complotiste » a une visée double :

  • Celui de discréditer en amont les opinions divergentes.

Mais aussi et surtout :

  • Décharger autrui de l’obligation morale de lecture et de réflexion pour construire sa propre opinion.

Et donc faire passer le message :

« Je t’annonce que les propos suivants ne sont que délires et que tu n’as pas à les lire. »

Mais pire encore :

«Tu ne devrais pas les lire, car tu pourrais être manipulé et induit en erreur. Tu es donc dédouané du devoir de t’informer avant de juger pour construire ta propre opinion. »

Ceci constitue une preuve que l’intention manipulatrice vient, non pas du prétendu « complotiste », mais de celui qui utilise le terme pour discréditer toute hypothèse alternative.

Cela peut se résumer autrement en disant que si les propos dudit « complotiste » n’étaient que « délire », il suffirait de le laisser s’exprimer librement et toute personne censée en prendrait conscience et ce serait terminé, le soufflet retomberait.

Une autre « justification » de l’usage reviendrait de fait à affirmer que le peuple est trop stupide pour comprendre, qu’il faut donc le mettre sous tutelle et le protéger malgré lui. Il faut donc l’empêcher de réfléchir, ce qu’il ne sait pas faire, par nature, et donc l’empêcher de construire sa propre opinion qui ne pourrait qu’être erronée. Nous déduisons qu’il faut évidemment lui retirer toute prérogative et il serait logique en premier lieu de lui supprimer le droit de vote. Ce qu’a fait en gros la 5e république…

Donc tout journaliste qui traite autrui de « complotiste » est en train de dire indirectement que les propos dudit complotiste sont pour partie vrais (et donc subversifs) ou d’affirmer que la démocratie ne saurait exister pour un peuple incapable d’avoir les « bonnes » pensées et de faire les « bons » choix.

La vérité serait statistique ou issue des autorités de pouvoir ou reconnues

La théorie voudrait que « plus c’est répété, plus c’est vrai ». Un mensonge dit par une personne seule est un mensonge, mais s’il est répété par des milliers de personnes il devient une Vérité. Cela est concomitant avec une autre croyance qui dirait que plus l’information est issue d’une autorité reconnue et plus elle est au-dessus de tout soupçon.

De fait, quand par exemple l’OMS, l’Agence Européenne du Médicament ou l’INSERM diffusent le même conte, cette uniformité de discours en fait une Vérité incontournable. Or le devoir de tout journaliste ou de tout scientifique est de douter de la vérité et enquêter sans a priori.

Un autre point qu’il ne faut pas négliger est le conformisme et le besoin d’appartenance. Si l’OMS le dit et que j’ai la croyance que c’est une entité respectable, alors j’aurai naturellement tendance à penser qu’ils émettent une Vérité. Commencer à penser ou dire le contraire me placerait en porte-à-faux et dans une position inconfortable sans compter le risque de dénigrement ou d’excommunication…

Nous assistons de fait au décès de la science.

Et pourtant, la seule démarche scientifique face à un chercheur qui affirmerait que la Terre est plate serait d’écouter ses arguments et de lui demander d’apporter les éléments de preuve qui lui permettent d’avancer cette théorie.

Si d’aventure son hypothèse était totalement ridicule, il ne serait pas difficile d’exposer les contre-arguments et l’auteur de la théorie de la Terre plate serait discrédité.

À propos des institutions au-delà de tout soupçon.

Prenons l’exemple de l’OMS

Quiconque s’est un peu penché sur le sujet sait que l’OMS pose problème.

  • La fondation Bill et Melinda Gates est un des plus grands contributeurs, plus que la plupart des états membres. Fondation elle-même soutenue et financée par l’industrie pharmaceutique et le Gavi qui est un lobby mondial pour la vaccination.
  • Les laboratoires pharmaceutiques sont représentés dans les instances décisionnelles.

Le sous-financement de l’OMS la rend directement dépendante des lobbies. Il serait donc déraisonnable, voire irresponsable, de s’appuyer sur son seul nom pour en déduire la véracité scientifique et objective de ses discours.

L’Union Européenne

Ici encore le lobbying dans l’Union est un secret de polichinelle. Les milliards des lobbyistes coulent à flots et nous assistons à un jeu de chaises musicales entre les postes dans l’industrie et les postes au sein de la commission. Nous avons eu la preuve de l’absence totale d’indépendance pour l’autorisation de mise sur le marché des thérapies dites « vaccinales ». Thérapies qui ont pu bénéficier d’une autorisation temporaire parce qu’il n’existe, officiellement, aucun traitement contre le Covid. Qui dit « traitement » dit donc adieu aux « vaccins » ou en tous les cas, retarde leur arrivée de plusieurs années du fait de l’interdiction de court-circuiter toutes les sécurités. Ne nous étonnons donc pas de l’absence de traitement proclamée dès le déb ut de l’épidémie et de l’annonce que « seuls les vaccins nous permettront d’éradiquer le fléau ».

Comment ne pas se questionner aussi dès lors que les autorisations de mise sur le marché des dits produits ont été accordées sur les seules données des industries pharmaceutiques.

L’industrie pharmaceutique

Les scandales se succèdent d’année en année et les milliards de dollars d’amendes aussi bien pour falsification de données, mensonges, publicité mensongère et corruption massive de politiques ou de médecins.

Dès lors que cette industrie pèse sur l’OMS et est en capacité de faire autoriser ses produits expérimentaux sur simple présentation de ses données, comment ne pas s’interroger ?

Les scientifiques et la recherche (INSERM, Pasteur,…)

La survie financière et la possibilité pour des scientifiques de faire des recherches sont rendues quasi impossibles sans un partenariat public/privé du fait du désengagement progressif de la force publique. Seules les études qui peuvent avoir une rentabilité commerciale sont menées.

Existe-t-il encore une science ? Combien d’études sont publiées sans que les auteurs aient reçu une rémunération directe ou indirecte de l’industrie pharmaceutique ? Qui pourrait ainsi croire que le financeur ou le « mécène » n’est pas celui qui insuffle la ligne directrice et donc la Vérité ?

Bref! tout ceci pour affirmer ou rappeler qu’il faudrait être fou ou corrompu pour s’appuyer sur le seul nom d’une institution pour en déduire la véracité de ses propos.

Le dénigrement par le consensus, le doute et le dévoiement du principe de précaution

La dictature sanitaire utilise à la fois le consensus et le doute pour mettre à mort la science.

D’un côté, le consensus :

Le discours est à ce point biaisé que lors d’un débat entre une personne qui adhère à la doxa et un scientifique qui doute, le message passé par le Ministère de la Vérité sera par exemple : «Il y a un consensus sur l’efficacité du port du masque » alors même que la seule existence de celui qui critique constitue une preuve de l’absence de consensus.

La Vérité imposée par les autorités sanitaires et leurs complices médiatiques est qu’il y a « consensus » parmi les scientifiques qui ont accès aux médias nationaux et puis c’est tout ! Tous les autres sont donc naturellement qualifiés de « complotistes » et il est de fait inutile, voire dangereux, de les intégrer comme pensée divergente. Ainsi le « consensus » n’est pas brisé étant donné que seules les opinions conformes sont crédibles.

De l’autre côté, le doute :

Toute affirmation qui n’irait pas dans le sens de la Vérité imposée sera dénaturée par une introduction perverse du doute.

Cette méthode est d’autant plus perverse que le doute est LA démarche de base de la science. Prenons l’exemple de l’Ivermectine. De nombreuses études issues de scientifiques indépendants au-delà de tout soupçon arrivent à la conclusion que le produit est efficace pour lutter contre le Covid et qu’il faut donc l’intégrer dans l’arsenal des mesures possibles.

(Je vous rappelle que s’il était efficace les « vaccins » n’auraient pas pu bénéficier d’une AMM)

Que font celles et ceux qui voient les « vaccins » comme étant des sauveurs ou plutôt une manne financière ? Ils inondent la presse scientifique « d’études » qui concluent que le médicament est inefficace ou dangereux. Il y a donc un doute que l’on peut naïvement croire légitime qui s’installe… Au point que si les études (bidons) deviennent majoritaires, le doute disparaît et la « preuve » que le produit est finalement inefficace et dangereux s’impose. Mais est-ce un doute raisonnable et honnête ou un doute biaisé induit par des chercheurs qui auraient des conflits d’intérêts ou même carrément véreux ?

Abordons maintenant le dévoiement du principe de précaution

Le « Primum non nocere » [d’abord, ne pas nuire] est parti aux oubliettes.

Si celui-ci était de mise alors nous n’aurions connu :

  • Ni confinement.
  • Ni masques obligatoires.
  • Ni commerces ou loisirs fermés.
  • Ni maltraitances envers les enfants.
  • Ni Remdesivir.
    Etc.
  • Ni « vaccins ».

Il y aurait eu une évaluation préalable de chaque mesure et certainement pas un déploiement à l’échelle de nombreux pays… Une partie de la population aurait été confinée, mais pas l’autre et nous aurions pu évaluer l’efficacité de la mesure et éventuellement prendre la décision de l’étendre ou pas. De même que pour les masques, les traitements et les « vaccins »…

Il y aurait eu aussi débat sur le fait de savoir si « la fin justifie les moyens » et si au nom d’une efficacité nous pouvons nous asseoir sur les droits de l’homme !

Mais ici l’industrie pharmaceutique a décidé unilatéralement l’inverse !

Le principe de précaution a été dévoyé en arguant que nous étions face à la peste noire.

« Les masques ne servent peut-être à rien, ils sont peut-être dangereux, mais par précaution il faut les porter ! »

« Les vaccins sont expérimentaux, ils sont peut-être dangereux, nous ne connaissons pas les effets à long terme, mais par précaution il faut les injecter, même à une population qui ne craint strictement rien du virus ! »

En revanche, un traitement avec des molécules quasi gratuites qui existent depuis plus de 50 ans, dont les effets à court et long terme n’ont aucun doute doivent, elles, être découragées et interdites au nom du principe de précaution ! Imaginez que l’on puisse sauver gratuitement des vies, quelle horreur !

Deux poids, deux mesures !

La manipulation par détournement des chiffres

Prenons par exemple l’âge médian des décès de 85 ans et considérons que cette donnée gouvernementale est réelle quand bien même des décès autres, par exemple de cancer, sont attribués au Covid. Il est possible de dire que cette donnée constitue une preuve que le Covid ne peut entraîner une hécatombe chez les jeunes… sinon l’âge médian serait bien inférieur !

Mais il est aussi possible d’utiliser cette donnée pour faire peur et ainsi dire que le Covid tue aussi des personnes jeunes ! Si cette affirmation largement usitée dans les médias demeure exacte, elle en devient pour le moins une manipulation de la réalité. Santé Publique France indique que seuls 2% des décès concernent des per sonnes de moins de 65 ans et sans pathologies graves connues. Cela représenterait moins de 2000 décès !

Mais ici encore la manipulation est possible en disant « et si c’était vous ou vos enfants ? » oubliant par exemple de préciser qu’il y a plus de risque de décéder en s’étouffant ou frappé par la foudre pour une personne en bonne santé que de décéder du Covid.

C’est de même nature que d’énoncer tous les jours le nombre de décès du Covid sans les mettre en

perspective par rapport au nombre total de morts journaliers, de décès par maladie, de suicides…

Je pourrais aussi citer les réanimations dont le taux de réanimation qui est fourni est un faux, car il divise le nombre total de personnes en soin critique (19 000 lits) par le nombre de lits de réanimation (5400 lits). Ou ignorer le fait que ces fameuses saturations sont systémiques et qu’elles n’ont strictement rien à voir avec le Covid. Et d’autant plus que les chefs de service DOIVENT remplir leur lit de réanimation afin de conserver des budgets ou réclamer de nouveaux lits.

En conclusion

Se faire traiter de « complotiste » est aujourd’hui une récompense. Il n’est ni plus ni moins que la confirmation que vous êtes une personne qui se pose des questions qu’il ne faut surtout pas écouter.

S’il faut tout faire pour que le « peuple des inutiles » écoute le moins possible les « complotistes », c’est la preuve que le pouvoir est terrorisé par le réveil du peuple. La censure grandissante et les calomnies prouvent que la dictature est de plus en plus inquiète de voir le peuple découvrir qu’on lui ment, comme jamais, depuis plus d’un an.

L’épidémie de Covid n’est pas plus grave que les épidémies d’infections respiratoires aiguës des années précédentes et elle l’est d’autant moins dans les pays qui n’ont pas INTERDIT les traitements. Le masque porté dans une population générale n’a jamais limité une épidémie alors que ses contre-indications pour la santé physique, psychique et sociétale sont bien réelles. Il n’est là que pour terroriser, tester la capacité d’un peuple à tout gober par la peur et rendre visible une épidémie dont nous ignorerions l’existence sans les médias et les mesures dictatoriales.
« Tiens, elle a été un peu rude la grippe cette année ! »
Les confinements d’une population générale sont totalement inefficaces et contre-productifs comme nous le savons depuis des siècles.

La lutte contre un virus ne se résume pas à prendre du paracétamol ! On n’enferme pas les gens, on ne les prive pas de contacts, sauf si on veut les détruire physiquement ou psychiquement.

Et manipuler le peuple pour lui faire croire qu’un vaccin pourrait être efficace contre un virus qui ne fait que muter…
« Vaccin » qui favorise en toute logique les mutations en bloquant principalement la souche d’origine.
« Vaccins » qui ont pu être commercialisés en échappant aux mesures de sécurité face à «l’urgence ».
« Vaccins » que l’on ose nommer ainsi alors même qu’ils n’empêchent ni de tomber malade, ni les contaminations.

Le pire est que :

  • L’on ose parler de vaccination solidaire alors que la preuve n’est toujours pas là pour dire qu’ils protègent autrui
  • L’on ose parler de rapport bénéfice/risque favorable pour une population en bonne santé pour laquelle le risque de décès est statistiquement NUL
  • L’on ose aujourd’hui parler de vacciner des enfants alors que 0 enfant en bonne santé est décédé de cette gentille grippe, gentille, car à la différence de la vraie grippe qui tue chaque année en France des dizaines d’enfants, le gentil Covid les a totalement épargnés.

Et des personnes qui se prétendent « journalistes » n’ont pour seul argument que de traiter de complotiste toute personne qui réfléchit, qui reg arde les chiffres, analyse ce qu’il se passe dans d’autres pays et lit des études scientifiques indépendantes !

Mais profitez donc de la controverse, écoutez celles et ceux qui ne sont pas hypnotisés ou corrompus et nourrissez-vous de leur savoir !

Vous, « journalistes », n’avez-vous plus aucune conscience ni courage ? Aucune déontologie ? Aucune soif d’enquêter ? Aucune soif de réfléchir et faire réfléchir ? Aucune soif de vérité ?

Comment vivez-vous le fait de n’être que des photocopieurs branchés sur l’AFP ? Méprisable !

Merci

Alain Tortosa

Le 11 avril 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210411-journaliste-complotiste-science.pdf




« VACCINS » : et le principe de précaution ???

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

Par MARC LE STAHLER

AVERTISSEMENT

Je n’ai pas écrit cet article pour terroriser les vaccinés et les candidats à la vaccination, mais pour combler un grave déficit d’information que la loi exige pourtant « claire et complète » et que le gouvernement interdit aux médias de donner. Ainsi d’ailleurs qu’à ses propres organismes, comme l’Agence Nationale pour la Sécurité du Médicament, censurée « pour ne pas dissuader les gens de se faire vacciner ».

Globalement le ratio profit/risque des vaccins reste très positif… En théorie, car sur le futur à plus de six mois il reste encore très aléatoire comme le Ministre de la santé lui-même en est convenu. 

Mais les premiers constats officiels sur les effets secondaires montrent qu’il peut être négatif sur certaines catégories précises de la population et notamment les bébés, les femmes « enceintes ou allaitantes », les personnes à comorbidités et les plus de 65 ans. Elles, leurs parents ou leur famille ont le droit de savoir quel risque ils prennent.

Certes, le risque de mourir du vaccin reste faible dans l’absolu, les premières évaluations du VAERS américain l’ont chiffré en décembre dernier à moins de 2,6% des cas d’effets secondaires, la ANSM française en février à moins de 1%, mais porte à 90% sur les plus de 75 ans ! 

Les effets des vaccins sur l’épidémie restent totalement imprévisibles et les vaccins ARNm sont peut-être inutiles, confesse Véran devant le Conseil d’État, pendant que Macron reconnait dans le JDD que le confinement total est plus nocif qu’utile. Mais la presse ne répète pas ces confidences. Comme elle ne parle pas de l’échec de la vaccination en Afrique du Sud, ni du jugement de « projet grotesque » formulé par Tedros Adanom Gebreyesus le D.G. de l’OMS, sur le projet Covax que Macron a fait adopter par l’Union Européenne et qui a sombré corps et biens parce que personne à la Commission européenne et à l’Élysée n’a pensé que la fabrication de milliards de doses provoque des goulets d’étranglement en capacité de production et en matières premières. Une seule entreprise allemande fabrique les petits flacons à doses qui doivent résister à -100°C pour Pfizer, Moderna et Jenssenn. Pour AstraZeneca il faut de l’adénome de chimpanzé et on ne peut pas saigner à blanc tous les chimpanzés du monde après que l’adénome de porc envisagé un moment ait montré ses limites.

L’Imprécateur

ALERTE SANTÉ ! DISPARITION DU « PRINCIPE DE PRÉCAUTION » ! 

Curieux pays que celui où le Conseil d’État ayant pour mission de conseiller le gouvernement et les Assemblées ainsi que de rendre la justice administrative, soit présidé par le Premier ministre et composé à 99 % par des hauts fonctionnaires ! Il dépend donc totalement de l’autorité de l’État et n’est en rien indépendant comme l’avait souhaité son créateur Napoléon Bonaparte, et comme il devrait l’être.

Il n’est pas surprenant que le 10 avril 2019, il ait rejeté sans les étudier deux requêtes présentées par 3047 citoyens français représentés par la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations et par l’Institut pour la protection de la santé naturelle (IPSN).

L’une demandait à ce que la vaccination ne soit pas étendue aux nourrissons, l’autre que les adjuvants sous forme de nanoparticules métalliques, notamment de l’aluminium, ne soit pas autorisés dans les vaccins. « Ces dossiers ne nous semblent pas poser de difficultés juridiques en l’état actuel des connaissances scientifiques », a déclaré le rapporteur du C.E. Rémi Decout-Paolini. Pas de débat donc sur le très légitime doute scientifique ou le principe de précaution. « Les vaccins – dont aucune institution scientifique en France et à l’étranger ne considère la dangerosité –sont efficaces »avait précisé le rapporteur, ignorant visiblement les oppositions aux nouveaux vaccins atypiques déjà nombreuses.

Vaccin AstraZeneca-Oxford,  ChAdOx1 est un adenovirus de chimpanzé

TOUT BAPTISER « VACCIN » EST UNE FAÇON DE TROMPER LES GENS

« La substance active d’un vaccin est un agent antigénique à pathogénicité atténuée par une forme tuée ou affaiblie du micro-organisme pathogène, ou par une de ses toxines » (Wikipedia).

Ce qui est présenté comme des « vaccins » par les laboratoires Pfizer-NBiotech, Moderna et AstraZeneca ne correspond pas à cette définition. Il s’agit en réalité de modificateurs géniques expérimentaux ; ils contiennent des nanoparticules métalliques décrites dans le brevet Microsoft PCT/US2019/038084 pris par Bill Gates, et un désinfectant, qui peut être comme ici du formol ou comme dans les poches de sang désinfecté des hôpitaux de l’eau de Javel.
Les nanoparticules doivent seulement, en principe, permettre d’identifier si la personne examinée a été vaccinée ou non.

En réalité elles peuvent être programmées pour bien d’autres choses, comme l’identification ou la localisation de la personne, c’est un sujet d’étude où les chercheurs chinois sont très avancés.

C’est pourquoi ceux qui refusent d’être traités comme du bétail par les Bill Gates, Klaus Schwabb et autres partisans d’un gouvernement mondial voulant gérer les peuples du Monde par l’électronique et l’Intelligence Artificielle comme le fait Xi Jinping en Chine, demandent que les vaccins n’en contiennent pas.

LA CONNAISSANCE DES EFFETS SECONDAIRES PROGRESSE

Depuis la décision manquant d’intelligence, d’attitude scientifique et de prudence du Conseil d’État du 10 avril 2019, la connaissance des effets immédiats et secondaires des vaccins a progressé. Des études ouvertement négligées par la presse et autres médias trop souvent soumis aux gouvernements ont été menées, en Israël par le Service national de Santé, en Norvège et en Allemagne par leurs équivalents, au USA par le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) et en France par l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament).

Si l’on scinde les effets en effets attendus et effets constatés, ces études montrent :

=> Effets attendus : la protection des individus vaccinés contre la contamination est incertaine ; celle des non-vaccinés n’est pas non plus certaine, il y a dans tous les pays de nombreux cas de contamination après vaccination. L’efficacité de la vaccination est maintenant supposée ne venir que plusieurs semaines après les injections.

Source US VAERS (au 18 décembre)

– 112 807 vaccinés 1ère dose
– 3 150 effets secondaires enregistrés soit 2,8% dont 514 femmes enceintes

La protection globale de la société espérée par les gouvernants viendra peut-être si 80% des personnes sont vaccinées, mais pour le moment ce n’est qu’une hypothèse fondée sur la connaissance historique de vaccins qui n’avaient rien à voir avec ceux à ARNm et adenovirus.

L’arrêt total de l’épidémie viendra certainement un jour parce que c’est la loi de toutes les épidémies : elles finissent toujours par s’arrêter, mais peuvent aussi revenir naturellement des mois, des années voire des siècles plus tard.

=> Effets nocifs constatés : Certains sont immédiats, c’est-à-dire apparaissent dans les jours qui suivent l’injection et, dans la quasi totalité des cas, sont de courte durée : poussée de fièvre, crampes, douleurs musculaires… Rares sont ceux qui provoquent une mort presque immédiate dans le temps, de 24 heures à une semaine, par une coagulation brutale du sang qui provoque une thrombose, un AVC, ou une hémorragie cérébrale.

Mais ils touchent souvent des personnes jeunes réputées en bonne santé, comme cela a été constaté sur quatre infirmières, une portugaise de 23 ans, une anglaise de 42 ans et deux jeunes américaines.

Et il y a les effets nocifs. Ils provoquent des effets sanitaires graves, souvent guérissables mais parfois durables. Soit ils entrainent la mort, soit ils provoquent un handicap grave et définitif : troubles cardiaques, AVC non guéris, paralysie faciale ne touchant que la moitié du visage, grande fatigue permanente empêchant toute activité, troubles psychiatriques… Dans les effets secondaires enregistrés par l’ANSM, 24 % sont graves, un taux environ dix fois supérieur à celui des vaccins « classiques » à base de micro organismes pathogènes morts ou atténués.

LES NOUVEAUX « VACCINS » FONT L’OBJET D’UN TEST À L’ÉCHELLE MONDIALE

Il y a des différences importantes entre les vaccins comme ceux contre la rage, la varicelle, la fièvre jaune, bien connus et réputés à juste titre efficaces, et les produits à base d’ARNm ou d’adenovirus présentés comme des vaccins alors qu’il s’agit dans le premier cas de modificateurs génétiques et dans le second plutôt de sérums comme les nomme la revue « Challenges ».

L’américain Pfizer associé à l’allemand BioNTech et l’autre américain Moderna misent sur l’ARNm, technique connue depuis 2011 (premiers brevets) dont ils ont accéléré le développement avec des moyens financiers considérables ; ainsi Moderna a réussi  à mettre au point son vaccin à ARNm en 42 jours !

Il est exact qu’une fois le processus d’utilisation de l’ARNm mis au point, la mise en fabrication du vaccin est beaucoup plus rapide que celle des vaccins classiques.

Par contre, sur cette première fabrication, une grande partie du temps gagné tient à ce que les tests auxquels sont astreints les vaccins (les tests de niveau 3) n’ont pas été effectués à la demande des gouvernements pressés d’avoir les « vaccins » imprudemment annoncés comme fiables à 90% et régulièrement annoncés sur le point d’arriver en grandes quantités, ce qui n’a pas été le cas.

Et quand ils ont été testés, comme Pfizer-BioNTech et AstraZeneca-Oxford l’ont fait en Afrique du Sud avec l’accord du gouvernement, sur des Africains ignorant de quoi il s’agissait, la publication des résultats, si elle a eu lieu, est restée très confidentielle. C’est maintenant, après quelques mois, que la presse sud-africaine signale des effets secondaires arrivés tardivement, des morts, des femmes devenues stériles ou ayant avorté, des paralysies partielles.
En Afrique du Sud AstraZeneca a été déclaré fiable à 22% seulement par l’Université Witwatersrand de Johannesburg. Le gouvernement sud-africain après avoir arrêté le 7 février le programme de vaccination de sa population a aimablement proposé le 22 mars à l’Union européenne de lui revendre le stock de vaccins dont il dispose encore, un million de doses. C’est sympa, de la part d’un gouvernement qui pense que ces vaccins sont plus dangereux qu’utiles !

À l’exception du Point, de Sciences avenir et de Capital dans de courts articles, la presse française n’a pas parlé de cet échec lamentable de la vaccination de masse dans un grand pays. Au contraire, la Haute autorité de santé et la Commission européenne ont validé la continuation de la vaccination avec AstraZeneca-Oxford et les autres vaccins en prétextant que l’Afrique du Sud a un variant particulier, comme si le variant anglais ou le variant breton (que, disent les médecins, les tests n’arrivent pas à reconnaître), n’étaient pas eux aussi des variants particuliers différents de la première souche de Covid.

Le gouvernement veut au contraire accélérer la vaccination de tous dans une obsession vaccinale absurde dans la mesure où, faute du recul de plus d’un an nécessaire, personne ne peut garantir que les effets secondaires graves le seront moins à l’avenir qu’ils le sont après la première série d’injections du 15 janvier au 15 février.
Elle a causé en France (source ANSM, recensement au 19 février) 217 morts rapides et 6960 cas secondaires ayant entrainé des séquelles, AVC, thromboses, hémorragies cérébrales, paralysies partielles, covid dans sa forme dure, etc.

PERSONNE NE SAIT ENCORE SI LES VACCINS PROTÈGERONT

Personne ne peut garantir non plus, sinon en s’appuyant sur des projections informatiques ne reflétant que la conviction des informaticiens qui les ont conçues, que les vaccins protègeront durablement la population.

Ils ne protègent pas totalement les vaccinés comme le montre le nombre de cas de covid après vaccination, ils ne protègent pas non plus « les autres » comme l’a reconnu Olivier Véran en expliquant que les vaccinés doivent continuer à respecter le confinement et les gestes barrières, qu’il est important qu’ils reçoivent deux doses parce que c’est peut-être deux ou trois semaines après la seconde injection que l’immunité arriverait et qu’à long terme rien n’est  certain.

Le faible nombre de vaccinés ayant reçu la seconde dose ne permet pas d’affirmer quoi que ce soit mais cela ne gêne aucunement Olivier Véran.

D’ailleurs, après la déclaration d’Emmanuel Macron au Journal Du Dimanche, « L’Allemagne a montré que le confinement ne sert à rien » ce qui explique ses décisions actuelles pour en limiter les conséquences, non seulement économiques mais aussi psychologiques, sur une population exaspérée mais qui reste encore soumise. Les doutes qu’aurait exprimé Véran sur l’utilité des vaccins paraissent de plus en plus crédibles.

J’ai d’abord cru à une fausse annonce (fake news).
Puis je l’ai retrouvée sur le blog d’Ema Krusi https://emakrusi.com/videos/30-04 et la vidéo que vous trouverez sous la référence #30-(04.04.2021)-Le dîner de cons des vaccinés.
Elle donne comme lien-source Le Figaro. Si l’on admet que Le Figaro est sérieux, l’info est crédible.
Ainsi, Olivier Véran aurait déclaré au Conseil constitutionnel :

« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de ré-infection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. Le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la progression du virus n’est pas encore connu« .

Une aussi incroyable franchise, si elle est authentique, peut s’expliquer par ce fait peu connu : le Conseil d’État est totalement soumis au gouvernement, son président étant le premier ministre. De plus la majorité de ses membres est socialiste, comme le camarade syndiqué Véran. Il a pu penser que ses confidences sur l’inutilité de la vaccination resteraient un secret de famille.

Une déclaration du directoire d’AstraZeneca/Oxford pour défendre son vaccin n’est pas non plus très rassurante :
« Les premiers résultats semblent confirmer que la mutation du virus détectée en Afrique du Sud peut se transmettre à la population déjà vaccinée ».  https://www.sciencesetavenir.fr/sante/pourquoi-l-afrique-du-sud-met-elle-de-cote-le-vaccin-astrazeneca_151596

En effet, il est prouvé que, dans une population virale de la même famille, le virus mutant le plus résistant finit toujours par remplacer les précédents, comme le virus anglais vient de le montrer en éliminant Cov-2 qui avait éliminé Cov-1 etc.
On saura bientôt si le virus sud-africain remplace l’anglais et dans ce cas, les vaccinés donneraient raison à Ema Krusi ! Joyeuse perspective !

LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION EST DE L’HISTOIRE ANCIENNE

Source ANSM : 37 680 effets secondaires constatés au 19 février, dont 34 968 plus de 65 ans soit 93 %

Le plus surprenant est que la France, adepte du principe de précaution inscrit dans la Constitution, ne l’applique pas dans le domaine de la santé. Les Agences nationales de santé d’Israël et de la Norvège ont alerté sur le danger que la vaccination représente pour les femmes enceintes et allaitantes.
Ce risque a été confirmé par l’expérience du professeur Alain Fischer : sur dix bébés vaccinés il y a eu deux cas de leucémie dont l’un est décédé rapidement.

Et aussi pour les plus de 75 ans pour lesquels, dit la Norvège, le risque de mourir de Covid après la vaccination est quatre fois plus élevé que sans vaccination ce qu’Israël confirme sans préciser de pourcentage
.

L’Agence Nationale française pour la Sécurité du Médicament (ANSM) a publié le 5 mars un rapport dans lequel elle signale que les effets secondaires sont loin d’être négligeables et que ceux qui en sont atteints et parfois en meurent sont à plus de 90% des 65 à 100 ans.
Le gouvernement retire le rapport de l’ANSM de la circulation et en interdit la diffusion « pour ne pas dissuader les Français de se faire vacciner« .

Effectivement, si le gouvernement, les nombreux membres du corps médical achetés par les laboratoires et les médias subventionnés commencent à dire la vérité aux Français, où va-t-on ?




Allemagne : l’institut Robert Koch, la Fondation Gates et l’OMS

[Source : Kla.tv]

L’émission qui suit apporte des révélations sur le Professeur Lothar Wieler, président de l’Institut allemand Robert Koch. Elles portent principalement sur la tromperie gigantesque des tests PCR. Étant donné les interrelations du Prof. Wieler avec plusieurs organismes dont l’OMS, il est fort probable que cette fraude n’est pas seulement un cas isolé en Allemagne, mais qu’elle concerne la plupart des pays, en particulier la France.

Ce documentaire met à la lumière une grosse fraude statistique dont Lothar Wieler, en tant que directeur de l’institut Robert Koch, porte la responsabilité.



Le dossier Wieler : interrelations et révélations

Depuis 2015, le Pr. Lothar Wieler est président de l’Institut allemand Robert Koch, ou RKI en abrégé. Cet institut est l’institution centrale du gouvernement fédéral allemand pour la surveillance et la prévention des maladies. Ses tâches principales sont la détection, la prévention et le combat contre les maladies, en particulier les maladies infectieuses, ainsi que l’élaboration de résultats scientifiques servant de base aux décisions de politique de santé. En sa qualité de président du RKI, le Dr Wieler rend compte directement au ministère fédéral de la santé et influence considérablement de nombreuses décisions politiques par ses évaluations. Ses déclarations ont donc du poids !

Wieler est également responsable de tous les chiffres clés relatifs au Covid, tels que les chiffres dits d’infection et le taux d’incidence. Ces chiffres, qui sont rapportés quotidiennement, fournissent aux politiciens la justification pour des restrictions de grande envergure des droits fondamentaux, jamais vues auparavant dans toute l’histoire de la République fédérale d’Allemagne.
Etant donné l’énorme responsabilité que cela représente, Lothar Wieler doit également affronter l’examen critique.
C’est pourquoi dans cette émission nous allons d’abord nous intéresser de plus près à ses interrelations étendues. Ensuite, des déclarations centrales de Wieler – qui constituent des révélations incroyables – seront examinées :

I. Les interrelations étendues de Lothar Wieler

Le Pr.Wieler est membre de comités nationaux et internationaux très influents :

  • 1. L’Académie nationale allemande des sciences Leopoldina
    Dans un rapport dont Wieler est le coauteur, il a demandé un confinement dur au début du mois de décembre 2020, ce que la chancelière et les chefs de gouvernement des lands ont ensuite également décidé le 13 décembre 2020. Le Pr. Michael Esfeld, lui-même membre de la Leopoldina, a protesté publiquement et de manière très véhémente contre ce détournement politique de la science. Il reprochait à ses collègues : « Ces scientifiques se sont laissé prendre par le gouvernement pour faire de la propagande. »
    Le Pr. Thomas Aigner de Tübinger a quitté l’Académie des Sciences de Mayence à cause de l’expertise de la Léopoldina, « parce qu’il ne pouvait plus le concilier avec sa conscience », car « l’expertise ad hoc n’était pas digne d’une science honnête. »
  • 2. Le Conseil consultatif scientifique du GloPID-R (Collaboration mondiale en matière de recherche pour la préparation aux maladies infectieuses)
    Les organisations membres de GloPID-R sont souvent concernées par la distribution des vaccins. Les principaux donateurs sont la Fondation Bill et Melinda Gates et l’OMS, qui est également cofinancée par Gates.
  • 3. L’IANPHI (Bureau exécutif de l’Association internationale des instituts nationaux de santé publique)
    L’IANPHI a été fondé et est financé par la Fondation Rockefeller et la Fondation Bill et Melinda Gates.
  • 4. L’EACHR (Comité consultatif européen pour la recherche en santé (Le CCERS)
    Cet organe de 24 membres conseille le directeur régional de l’OMS pour l’Europe.
  • 5. Le STAG-IH (Groupe consultatif stratégique et technique sur les risques infectieux) de l’Organisation mondiale de la santé, OMS)
    Le STAG-IH évalue le contexte mondial des maladies infectieuses et conseille l’OMS dans la définition de ses priorités. Le principal donateur de l’OMS est la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a également transféré 253 000 dollars à l’Institut Robert Koch, que dirige Wieler.

Ces interrelations soulèvent trois questions importantes :

  1. En tant que membre de la Leopoldina, Wieler, qui est subordonné au ministre fédéral de la Santé, prépare-t-il des expertises de complaisance pour le gouvernement fédéral ?
  2. Wieler, en tant que chef du RKI, s’appuie-t-il sur ses propres recommandations alors que, dans le même temps, il agit en tant que conseiller de l’OMS sur les questions de pandémie et applique ensuite lui-même ces directives de l’OMS ?
  3. Dans quelle mesure M. Wieler peut-il être indépendant et objectif alors que presque toutes ses interrelations sont directement ou indirectement cofinancées par la Fondation Bill et Melinda Gates ?

II. Les incroyables révélations sur Lothar Wieler

Révélation 1 – Les vaccinations :

Le 15 octobre 2020, interviewé par Phoenix, Wieler fait une déclaration sur l’honneur :

« Nous supposons tous que les vaccins seront approuvés l’année prochaine. Nous ne savons pas exactement comment ils fonctionnent, à quel point ils sont efficaces, ce qu’ils font, mais je suis très optimiste quant aux vaccins. »

Wieler révèle ainsi que le RKI n’a pas du tout compris comment fonctionnent les nouveaux vaccins à ARN. Ces vaccins ont été introduits après une procédure d’approbation accélérée, ils sont recommandés sans aucune indication de risque ni étude à long terme et de manière irresponsable, ils sont même décrits comme sûrs !

Révélation 2 : Le test PCR :

« L’essentiel est que nous identifiions le plus grand nombre de personnes possible avec le PCR ! Et puis le séquençage est une technologie séquentielle en aval qui nous donne encore plus d’informations. Mais tout d’abord, toute l’essence du contrôle de la pandémie repose sur l’identification des personnes… »

Wieler révèle ainsi que le test PCR n’est qu’une question d’identification. Là où la déclaration de M. Wieler est particulièrement inquiétante, c’est que cette « pandémie de tests » semble maintenant être utilisée pour pousser à l’identification et la numérisation. Même en 2019, avant la première épidémie de Covid, il avait demandé une meilleure identification et un stockage numérique des données pour pouvoir augmenter les taux de vaccination.

Révélation 3 – les chiffres quotidiens du RKI :

1.) Le nombre de personnes qui sont mortes à cause du Covid.

« Dans notre pays, on considère qu’une personne est morte du Covid si l’infection par le Covid a été détectée. »

Wieler révèle ainsi que le RKI ne permet pas de distinguer si le coronavirus est la cause du décès d’une personne. Une personne souffrant d’un cancer en phase terminale qui a été testée positive peu de temps avant sa mort est comptée comme une mort Covid, tout comme un accidenté de la route, testé positif avant l’accident. La clinique universitaire de Hambourg-Eppendorf a effectué les autopsies de plus de 600 personnes qui, selon les statistiques officielles, sont mortes du Covid ; ces examens ont montré que 99 % d’entre elles souffraient déjà d’une grave maladie antérieure. Cela montre que les chiffres de mortalité du Covid publiés par Wieler ne reflètent en rien la mortalité réelle causée par le Covid 19.

2.) Le nombre de personnes prétendument infectées par le Covid

« La référence absolue du diagnostic primaire reste le PCR ! »

Wieler révèle ici, contrairement à tous les faits, que pour lui le test PCR est la référence absolue du diagnostic. La notice de ce test PCR indique que le test n’est pas du tout adapté au diagnostic :

« A des fins de recherche uniquement. Ne convient pas aux procédures de diagnostic. »

L’inventeur de la méthode PCR, Kary Mullis, décédé en 2019, s’opposerait également avec véhémence à cette déclaration de Lothar Wieler. Mullis a déclaré à ce sujet :

« Avec le PCR, vous pouvez trouver – si vous le faites bien – presque n’importe quoi chez n’importe qui […] Le test ne vous dit PAS si vous êtes malade ; ou si ce qui a été trouvé vous cause vraiment du tort. »

Le Sénat de Berlin a également dû confirmer en octobre 2020, suite à une demande d’information du député Luthe, que le test PCR ne permet pas de distinguer un virus capable de se reproduire d’un virus incapable de se reproduire ! Il s’agit toutefois d’une condition préalable à la détection d’une maladie.
Pourquoi Wieler parle-t-il néanmoins « d’infections avérées » et non de « tests PCR positifs » (comme il serait correct de le dire) ? Wieler est conscient de cette différence. Néanmoins, lui et les médias répandent la peur dans la population en répétant sans cesse le terme terrifiant de « nouvelles infections ».

3.) Le taux d’incidence [nombre de personnes prétendument infectées pour 100 000 habitants].

« …une incidence de dix, ce serait un bon chiffre, (…) et j’avais déjà dit au printemps qu’avec ce chiffre nous pouvons vraiment bien réguler et contrôler ce qui se passe, et là mon estimation n’a pas changé. »

Wieler révèle là un « but recherché » inatteignable. Le taux d’incidence requis de 10 de Wieler signifie que sur 100 000 personnes, seuls 10 peuvent être testées positifs sur une période de 7 jours !
Même si le test PCR ne présentait que 2 % de résultats faussement positifs, le taux d’incidence de 10 serait déjà atteint à partir de 500 tests effectués pour 100 000 habitants. Si on les testait tous, on obtiendrait un taux d’incidence « catastrophique » de 2 000, rien que par le taux d’erreur du test !
En ne tenant pas compte du « taux de faux positifs » du test PCR lors de la détermination du taux d’incidence, Wieler est capable de tromper la population en lui faisant croire à une « situation d’infection » complètement fausse !

La stratégie actuelle du gouvernement fédéral, avec un taux d’incidence requis de 50, voire de 35, et l’augmentation simultanée du nombre de tests PCR, permet de maintenir aussi longtemps que ce sera souhaité le confinement par cette « pandémie de test » auto-créée. Et cela, bien que la majorité de ces résultats montrent des personnes simplement testées positives, mais en aucun cas des personnes qui sont tombées malades !
Et c’est là que le RKI viole sa propre recommandation du 3 novembre 2020 :

« En règle générale, les diagnostics de laboratoire ne doivent être effectués que s’il existe des signes de maladie et que les critères du test sont remplis. »

L’OMS souligne également que la valeur informative des tests est largement inutile si les personnes testées ne présentent aucun symptôme.
Étant donné que cela s’applique à la grande majorité des personnes testées, il faut cesser immédiatement les tests PCR sur les personnes ne présentant pas de symptômes ! Sinon, le taux d’incidence actuellement requis de 50 ou moins, ne permettra aucunement de sortir du confinement !

Révélation 4 : Les consignes Covid

« Nous devrons nous conformer à ces consignes pendant des mois encore. Celles-ci doivent être la norme. Elles ne doivent jamais être remises en question. Garder la distance, l’hygiène des mains et, lorsqu’il n’est pas possible de garder la distance, porter en plus des masques tous les jours ou des protections bucco-nasales, et ce, à l’intérieur comme à l’extérieur. Donc c’est la règle de base, personne ne devrait et ne doit plus remettre en question cela, nous devrions simplement le faire. »

Wieler révèle-t-il ici le commandement numéro un de la pandémie : interdiction de remettre en questions !? Pourquoi essaie-t-il d’empêcher toute remise en question ?

CONCLUSION :

Sous la direction de Wieler, le RKI utilise toutes les astuces possibles pour gonfler les données statistiques sur le nombre de décès dus au covid, le nombre de personnes prétendument infectées et le taux d’incidence actuel.
Une discussion critique basée sur les faits est empêchée.

Chers téléspectateurs, ce documentaire a mis en lumière une fraude statistique indéniable, dont le Dr. Lothar Wieler est responsable en tant que directeur du RKI. Cette fraude pèse lourd car elle fournit aux politiciens une justification pour un confinement continu avec des restrictions sévères de la liberté des citoyens. Il n’y aura pas de levée fondamentale des lourdes restrictions actuelles concernant les droits fondamentaux des citoyens tant qu’une grande partie de la population ne sera pas informée de cette fraude.

Comme depuis des mois, les principaux médias n’ont pas rempli leur devoir de reportage critique et d’information complète de la population, il faut maintenant un « tsunami d’informations » de la part du peuple !
Faites partie d’un grand mouvement populaire où chacun informe dès maintenant son entourage sur ces liens de cause à effet !
Faites donc suivre cette vidéo explicative à autant d’amis, de collègues de travail et de parents que possible ! Pensez en particulier aux personnes qui s’informent principalement par le biais des médias principaux ! Utilisez tous les moyens disponibles, par exemple les mails, WhatsApp, Twitter, Vimeo ou publiez la vidéo sur Facebook. Le lien de cette émission s’affiche à l’écran.

Sources / Liens :

Allgemeine Infos zu Dr. Lothar Wieler https://www.rki.de/DE/Content/Service/Presse/Pressemitteilungen/2015/01_2015.html
https://de.wikipedia.org/wiki/Lothar_H._Wieler
https://www.rki.de/DE/Content/Institut/institut_node.html;jsessionid=47280A3647889057D2968D7DC0361C80.internet121
https://de.wikipedia.org/wiki/Robert_Koch-Institut
Wielers Verflechtungen
https://www.leopoldina.org/mitgliederverzeichnis/mitglieder/member/Member/show/lothar-heinz-wieler/
https://de.wikipedia.org/wiki/Lothar_H._Wieler#Mitgliedschaften
https://www.rki.de/SharedDocs/Personen/Mitarbeiter/W/Wieler/Wieler_Lothar_H.html
https://www.gatesfoundation.org/How-We-Work/Quick-Links/Grants-Database/Grants/2019/11/OPP1216026
Leopoldina-Gutachten
https://www.leopoldina.org/uploads/tx_leopublication/2020_12_08_Stellungnahme_Corona_Feiertage_final.pdf
Beschluss zum Lockdown im Dezember
https://www.bundesregierung.de/resource/blob/997532/1827366/69441fb68435a7199b3d3a89bff2c0e6/2020-12-13-beschluss-mpk-data.pdf
Protest von Prof. Michael Elsfeld
https://www.merkur.de/politik/corona-angela-merkel-soeder-deutschland-wissenschaft-leopoldina-lockdown-kuba-syndrom-aktuell-90204364.html
Prof. Thomas Aigner
https://www.kla.tv/17942
https://www.akanthos-akademie.de/2020/12/28/protest-gegen-leopoldina-ad-hoc-gutachten-t%C3%BCbinger-professor-verl%C3%A4sst-akademie-der-wissenschaften/
https://www.rundschau.info/prof-dr-thomas-aigner-ich-kann-es-mit-meinem-gewissen-nicht-vereinbaren-ein-teil-dieser-art-von-wissenschaft-zu-sein/
Mitgliedschaften GloPID-R:
https://www.glopid-r.org/about-us/members/
IANPHI:
https://en.wikipedia.org/wiki/International_Association_of_National_Public_Health_Institutes
EACHR:
https://www.rki.de/SharedDocs/Lebenslauf/EN/Wieler_Lothar_H_EACHR_en.html
STAG-IH:
https://www.who.int/emergencies/diseases/strategic-and-technical-advisory-group-for-infectious-hazards/en/
https://www.rki.de/DE/Content/Institut/Leitung/Wieler_STAG-IH.html
Wielers unglaubliche Enthüllungen
1. Enthüllung
https://www.youtube.com/watch?v=_CpcIUov-1Q
2. Enthüllung
https://dein.tube/watch/rWi7Yzyo6kPYuSk
https://www.pharma-fakten.de/news/details/782-digitalisierung-der-schluessel-zu-besseren-impfquoten/
3. Enthüllung
1.https://www.facebook.com/tagesschau/videos/243812243453095/?v=243812243453095¬if_id=1584694894382298¬if_t=live_video
ab Min. 17:47
https://www.t-online.de/nachrichten/deutschland/id_87636856/coronavirus-hamburg-will-nur-echte-covid-19-tote-zaehlen.html
https://www.n-tv.de/wissen/Fast-alle-Corona-Toten-waren-vorerkrankt-article22371530.html
2. https://www.youtube.com/watch?v=wO_F0UrHKxY
(ab min.13.00)
https://www.kla.tv/17530
https://www.youtube.com/watch?v=Xc0Kysti6Kc
ExpressZeitung Ausgabe 38/2021
https://www.epochtimes.de/assets/uploads/2020/11/Antwort-des-Berliner-Senats.pdf
https://www.creative-diagnostics.com/pdf/CD019RT.pdf
3. https://www.youtube.com/watch?v=iN5BIcgZQqU&t=2506s
(ab Min 41:46)
https://reitschuster.de/post/rki-chef-wieler-entlarvt-corona-versagen-der-regierung-und-keiner-merkt-es/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32133832/
https://impf-info.de/82-coronoia/314-coronoia.html#falsch_positiv
(update 12.6.20)
https://www.nordbayern.de/politik/streit-um-den-inzidenzwert-ist-nun-die-35-die-neue-50-1.10832878
https://www.rki.de/SharedDocs/FAQ/NCOV2019/FAQ_Liste_Diagnostik.html
https://reitschuster.de/post/unglaublich-who-warnt-vor-unzuverlaessigkeit-von-pcr-test/
https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05
4. Enthüllung
https://www.youtube.com/watch?v=HGZpv9iB-Qg




Les criminels, ça ose tout, c’est à ça qu’on les reconnaît

Par Jean-Michel Grau

La « Haute autorité de Santé » (HAS) vient de recommander que les personnes de moins de 55 ans ayant reçu une première dose du vaccin Astra-Zeneca reçoivent un vaccin à ARN messager en deuxième dose. L’OMS, à ce stade, n’a pas fait de recommandation à ce sujet.

Comme on les comprend !

En effet, prendre le risque d’administrer en deux temps à un même patient deux « vaccins » expérimentaux aussi différents qu’un « vaccin » à vecteur viral (Astra-Zeneca) et un « vaccin » à ARN messager (Pfizer/ Moderna), c’est un peu comme vouloir compléter son réservoir d’essence sans plomb par du diesel. Ce qui s’avère d’ailleurs impossible vu que les orifices des réservoirs sont différents selon le carburant utilisé pour éviter l’erreur.

Les précautions que l’on a prises pour le bon fonctionnement des moteurs de nos voitures sont apparemment le cadet des soucis de la HAS pour la santé des humains avec ces « vaccins » qui n’ont, rappelons-le, qu’une autorisation provisoire de mise sur le marché, parce qu’expérimentaux.

Face à une telle décision, on reste sans voix. Est-on en présence d’une bêtise crasse de la HAS, dont il apparaît clairement désormais que l’autorité prévaut sur la santé, ou bien d’une absence totale d’empathie face à la vie humaine ?

Il est hélas! fort à craindre que l’on soit dans le deuxième cas. Car il n’y a pas besoin d’être grand clerc pour se rendre compte que l’administration successive de deux types de « vaccins » aussi différents qu’un « vaccin » à vecteur viral et un « vaccin » à ARN messager peut s’avérer explosive pour la santé des personnes qui auront encore l’innocence et la candeur de se laisser piquer en toute confiance sur le conseil de ces charlatans.

Combien de morts suite à ces administrations vaccinales mortifères faudra-t-il encore compter avant de stopper définitivement ce génocide qui n’ose pas encore dire son nom ?

Il faut ajouter qu’ici encore, on nage en plein Absurdistan. En effet, alors que l’OMS déclare ne pouvoir faire une telle recommandation « à ce stade » en l’absence de « données adéquates », la HAS reconnaît le manque d’études également !(([1] francais.rt.com/france/85520-haute-autorite-sante-recommande-vaccin-arn-messager-apres-premiere-dose-astrazeneca)) Ce qui ne l’empêche pas en même temps de prendre la décision de recommander d’administrer successivement aux Français deux « vaccins » à la composition aussi différente. Sur la base de quoi ? On cherche encore…

Malgré tout, au risque d’apparaître comme un brin provocateur, on peut considérer que la recommandation de la HAS est une excellente nouvelle.

Tout simplement, parce que cette solution eugéniste qui ne dit pas son nom, est l’ultime tentative désespérée de Big Pharma de sauver ce qui reste des « vaccins ». Pour la simple raison que les cobayes volontaires s’avèrent de moins en moins nombreux à se porter candidats à la vaccination Covid généralisée qui s’avère d’ores et déjà être un monumental échec.

– Échec d’Astra-Zeneca tout d’abord, suite aux multiples cas de thromboses, mais aussi de décès de par le monde de ceux qui se sont vu injecter cette piqûre mortifère d’adénovirus de chimpanzé. Échec ensuite de la production, de la logistique et de la distribution du même « vaccin ».(([2] francais.rt.com/international/85513-astrazeneca-retard-sur-moitie-livraisons-vaccins-union-europeenne-semaine)) Pour Astra-Zeneca, ça sent la fin, le changement de nom n’y changera rien.(([3] reseauinternational.net/astrazeneca-ca-sent-la-fin/)) Un responsable de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a d’ailleurs officiellement confirmé dernièrement un lien entre le « vaccin » d’Astra-Zeneca et les thromboses.(([4] francais.rt.com/international/85412-responsable-ema-confirme-lien-entre-vaccin-astrazeneca-thrombose)) La conséquence directe en est que plus personne ne veut de ce « vaccin » assassin.(([5] lavoixdunord.fr/975576/article/2021-04-04/gravelines-faute-de-candidats-au-vaccin-astrazeneca-le-centre-sportica-doit))

– Échec de même pour Johnson & Johnson dont le « vaccin » commence à subir les mêmes déboires que celui d’Astra-Zeneca avec les caillots sanguins, vu que le principe est similaire.(([6] francais.rt.com/international/85510-caillots-sanguins-apres-astrazeneca-vaccin-johnson-johnson-collimateur-ema))

– Échec enfin des « vaccins » Pfizer et Moderna à ARN messager qui ne sont pas en reste, en termes de collection d’effets secondaires et de cas graves suite à l’administration des piqûres comme le montre l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) dans son rapport du 25 mars 2021 dans le tableau ci-dessous :(([7] sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2686947-effets-secondaires-indesirable-vaccin-covid-ansm-france-pfizer-moderna-astrazeneca-cas-graves/))

Au début, le « vaccin » d’Astra-Zeneca était recommandé pour les personnes de moins de 65 ans. Aujourd’hui, en Angleterre, le « vaccin » est recommandé pour les personnes de plus de 30 ans, en Belgique et en France pour les personnes de plus de 55 ans et en Italie et en Espagne pour les personnes de plus de 60 ans.

En combinant toutes ces recommandations, il ne reste plus que les personnes entre 60 et 65 ans à qui l’on peut encore « recommander » ce « vaccin »…

Il apparaît indéniable que les promoteurs du Grand Reset qui repose entièrement sur des vaccins qui n’en sont pas, sont en fait aujourd’hui aux abois. Ils ne savent plus à quel vaccin se vouer pour mettre encore en œuvre leur plan chimérique de domination mondiale qui s’avère de plus en plus compromis par le refus des peuples de servir de cobayes pour un génocide qui apparaît désormais au grand jour.





STOP AU HARCÈLEMENT VIA SMS – VACCIN ANTICOVID

Par Nicole Delépine

Non au harcèlement par SMS pour le vaccin covid, virus qui a tué moins de 0,1 % des Français[1]

Au secours ! Goebbels, roi de la propaganda d’Hitler est revenu.

La publicité mensongère du gouvernement sur toutes la chaines de télévision (payée par nos impôts), et les médias dominants est maintenant complétée par le harcèlement individuel sur notre propre téléphone par SMS.

Attention ne vous laissez pas manipuler !

Ces SMS comme les appels de la sécurité sociale pour passer des tests PCR ne sont en rien des obligations, mais des incitations répétées qui constituent du harcèlement (possiblement passible de poursuites ?)

Combien de victimes déjà de ce harcèlement honteux qui ont passé des tests PCR dangereux[2] inutiles couteux[3], ruineux pour la sécu et non fiables, les asymptomatiques positifs étant à 97 % des faux positifs ne montrant que des traces de virus non spécifiques et aucunement preuve ni d’une infection active à corona ni d’une contagiosité.[4]

Combien de fermetures de classes nuisibles aux enfants, d’arrêt maladie inutile et destructeur pour le citoyen bloqué (et non malade et non contagieux)[5] et pour les entreprises désorganisées, alors que les asymptomatiques ne contaminent jamais personne comme l’étude de Nature sur dix millions de chinois[6] l’a démontré s’il en était besoin.[7]

MONSTRUEUSE DESINFORMATION PLURIQUOTIDIENNE SUR LES TV

Cette vidéo montrant des petits-enfants qui courent embrasser leur grand-mère qu’on retrouve ensuite à l’hôpital est scandaleusement culpabilisante, mensongère[8] et honteuse !

Les enfants ne contaminent ni adultes ni enfants.

Les lits de réanimation ne sont pas encombrés davantage que les dernières années en dépit des nombreuses suppressions de lits réalisées ces dernières années et qui été poursuivies durant la pandémie. (300000 lits en trente ans).

Le traitement précoce du covid diminue fortement le risque d’hospitalisation.

 Pire encore, depuis mars 2020, les personnes âgées ne sont pas acceptées et mises rapidement sous Rivotril dans les EHPADs pour les « soulager » c’est -à- dire les euthanasier sans leur accord, ni ceux de leurs familles.  

NON ILS N’ONT PAS VOULU SAUVER LES ANCIENS

 CETTE PROPAGANDE EST MENSONGÈRE

 Ne vous laissez pas intoxiquer si on vous dit que les mesures imposées à tous le sont pour sauver les vieux ! Depuis le début de la pandémie, les personnes âgées ont subi des refus de traitement précoce et en cas d’aggravation des refus d’hospitalisation à l’hôpital et du Rivotril injectable et létal en cas de détresse respiratoire débutante suspecte !

D’ailleurs de quoi discute-t-on à l’Assemblée nationale actuellement, non pas de légaliser l’usage de l’ivermectine, de la chloroquine et de tous les traitements précoces, mais de l’euthanasie.

Politique de mort contre la vie. Heureusement que des Français se réveillent et font de la musique en dansant dans les gares.

Il nous parait important de partager avec vous cette lettre que vous pourriez adresser à votre docteur s’il vous harcèle lui aussi (il y en a de nombreux en ce moment, probablement eux aussi harcelés par leurs instances sécurité sociale, ordre etc…)

« Voici un exemple de lettre-réponse à adresser à votre médecin qui, hypnotisé par le coronacircus vous incite à la vaccination sans s’embarrasser de la notion de consentement libre et éclairé. 

Lettre-réponse au médecin qui vous propose de vous piquer[9]

« Madame, Monsieur,

J’ai bien reçu l’invitation à recevoir un vaccin ARNm contre le SRAS-CoV-2 et vous en remercie.

Avant de prendre une quelconque décision y étant relative, j’aimerais que vous m’informiez1 en me répondant par écrit sur les points suivants qui me semblent fondamentaux :

  1. Me donner la liste complète des ingrédients des vaccins mis en circulation actuellement dans notre pays
  1. Me certifier que le vaccin que vous projetez de m’injecter ne contient pas de MRC5 (des cellules de fœtus avortés ou traces d’ADN humains), ce qui irait à l’encontre de mes convictions religieuses
  2. Me certifier qu’il n’y a aucun risque de réactions iatrogènes ;
  3. M’informer de toutes les contre-indications et de tous les effets secondaires potentiels, réparables ou irréparables, à court, moyen et long terme
  4. Me certifier de façon sans équivoque et de bonne foi, dans le respect de l’article 13 de la Convention d’Oviedo, que cette technologie n’a pas le potentiel de modifier l’ADN humain grâce à ce que l’on appelle la transcriptase inverse, qui permet explicitement le transfert d’informations de l’ARNm à l’ADN
  5. Me certifier que ce vaccin ne contient pas d’inserts du virus VIH
  1. Me certifier que le vaccin ne contient pas de puce d’Identification par Radiofréquence (Rfid) ou de nanotechnologie se présentant sous une forme quelconque
  2. Me certifier que tous les paramètres médicaux concernant les essais et les études requis ont été satisfaits
  3. Me préciser quels sont les autres traitements possibles pour lutter contre le SRAS-CoV-2, en détaillant les avantages et les inconvénients de chaque traitement, au sens de l’article 2 du Code de Nuremberg.

De plus, je vous prie de bien vouloir me répondre simplement, par oui ou par non, aux questions suivantes :

  1. Si je me fais vacciner, puis-je arrêter de porter un masque ?
  2. Si je me fais vacciner, puis-je arrêter la distanciation sociale ?
  3. Si je me fais vacciner, dois-je encore respecter le couvre-feu ?
  4. Si mes parents, mes grands-parents et moi-même sommes tous vaccinés, pouvons-nous nous étreindre à nouveau ?
  5. Si je me fais vacciner, serai-je résistant à la Covid et à ses nombreux variants et pour combien de temps ?
  6. Si je me fais vacciner, est-ce que j’éviterai les formes graves avec

hospitalisation, ainsi que la mort ?

  1. Si je me fais vacciner, serai-je contagieux pour les autres ?
  2. Si j’éprouve une réaction indésirable grave, des effets à long terme (encore inconnus) entraînant même la mort, serai-je (moi ou ma famille) indemnisé ? Et par qui ?

D’autre part, outre vos réponses, je compte m’informer de façon contradictoire par les indications données par les laboratoires et les experts officiels du gouvernement, mais également par des scientifiques indépendants et des témoignages de personnes ayant déjà été vaccinées : ce n’est que lorsque j’aurai recueilli toutes ces informations que je serai à même de vous remettre mon consentement libre et éclairé, après avoir évalué objectivement la balance bénéfices/risques.

Le cas échéant, je reviendrai vers vous, en ayant éventuellement sélectionné le vaccin qui me conviendrait le mieux. Je suis en parfaite santé et n’ai nullement l’intention de voyager, ce qui me permet de prendre un peu de recul afin de prendre une décision réfléchie et responsable, ayant toujours en mémoire le serment d’Hippocrate qui reste la pierre fondatrice de notre médecine :

 « primum non nocere ».

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées.

Notes :

  1. « J’informerai correctement les personnes qui font appel à mes soins ». Serment d’Hippocrate, version adaptée par le Conseil national de l’Ordre des Médecins de Belgique (juillet 2011).
  2. Loi du 22 août 2002 relative aux Droits du Patient– article 7 §2 : « La communication avec le patient se déroule dans une langue claire. Le patient peut demander que les informations soient confirmées par écrit. »
  3. « Une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise que pour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. »
  4. « L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflus par nature. »

(Merci à Philippe L.)

P.J. Document au format PDF

 Un commentaire de Zorba44

Il serait bon d’ajouter à cette lettre une demande à votre médecin deux choses :

+ liste de ses conflits d’intérêts éventuels avec des labos pharmaceutiques
+ une copie de son attestation d’assurance professionnelle et les conditions générales et particulières des risques et des montants couverts

 VOICI CE QUE VOUS POURREZ DEMANDER À VOTRE MÉDECIN !

Si vous voulez des informations complémentaires laissées de côté avant la pression monstrueuse que nous subissons, écoutez les vidéos de notre éminente collègue Alexandra Henrion Caude[10] « amoureuse de l’ARN » qui le connait bien :

« Je travaille depuis 12 ans sur l’ARN. Je suis une amoureuse de l’ARN… une adepte de ses capacités immenses… Je suis très malheureuse de ce qui se passe… Administrer de l’ARN à des individus sains me paraît de l’ordre de la folie… C’est inconcevable compte tenu de la versatilité de cette molécule, sa capacité à interagir avec une multitude de molécules… Et d’ailleurs on a essayé ce genre de thérapie sur des malades… Si on n’y arrive même pas encore sur des malades, alors le mettre en œuvre sur une population saine… Ce n’est pas de la folie dans l’absolu, c’est de la folie dans les circonstances actuelles d’une dizaine d’années de développement et de connaissances qui s’accumulent. »

« L’essai de Pfizer se terminera en 2022… D’ici là, toute personne qui se fera vacciner sera un sujet d’un essai biomédical…. Un cobaye. »


[1] Une récente étude John Ioannidis estime que l’infection fatality rate (IFR) dû à 0.15 % soit semblable à celui de la grippe saisonnière

[2] Académie de médecine les tests par prélèvements nasopharyngés ne sont pas sans risque, 
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/08/covid-19-les-tests-naso-pharynges-ne-sont-pas-sans-risque-previent-l-academie-de-medecine_6076072_3244.html

[3] Les dépenses liées à ces tests sont actuellement estimées à deux milliards d’euros

[4] L’OMS admet enfin que les tests PCR créent des faux positifs France Soir 1/1/2021

[5] Jonas F Ludvigsson   Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug ;109(8) :1525-1530.  doi : 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.

[6] Cao S et al Dépistage des acides nucléiques du SRAS-CoV-2 après le verrouillage chez près de dix millions d’habitants de Wuhan, en Chine. Nat Commun 2020 ; 11 : 5917. doi : 10.1038 / s41467-020-19802-w. pmid : 33219229

[8] Aucun cas d’une telle évolution n’a été décrit dans la littérature par ailleurs extrêmement improbable en l’état actuel de la science

[9] Lettre-réponse à adresser aux médecins qui vous proposent de vous vacciner (lemediaen442.fr) Publié le 28 mars 2021 par Olivier Demeulenaere

[10] Alexandra Henrion-Caude : « Utiliser de l’ARN sur des gens sains est une pure folie | « Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie (wordpress.com)




Ils osent tout… C’est même à ça qu’on les reconnaît !!!

Par Jean

Second communiqué des Gilets Jaunes de la Victoire(([1] Premier communiqué :
http://www.profession-gendarme.com/les-peuples-et-les-etats-pietines-les-complotistes-ne-se-cachent-meme-plus/))

[Illustration : De haut en bas et de gauche à droite quelques participants du complot avec le badge de l’Agenda 2030 de l’ONU :
►Enrico Giovannini, Ministre de l’Infrastructure, Italie.
►Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni.
►Tédros Addhamon Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
►Bill Gates, Fondation Bill et Mélinda Gates.
►Emmanuel Macron, Président de la République française.
Merci à Maurizio Blondet, https://www.maurizioblondet.it]

Les comploteurs et leurs maîtres ont lancé à l’automne 2019 leur attaque qu’ils veulent définitive contre les Peuples et les Etats pour nous dissoudre dans la mondialisation. Les spadassins que l’on voit s’agiter sur les plateaux TV et dans la presse, ne sont que les mercenaires d’une caste composée de financiers et de milliardaires qui veulent nous contrôler et nous asservir. Leurs armes sont, les pouvoirs qu’ils détiennent, la peur du virus, et la vaccination. Ils sont dans l’obligation absolue de poursuivre leur plan sous peine de perdre la face. Pour cela, ils doivent, coûte que coûte, « ad infinitum » continuer à mettre la pression sur la population avec ce virus qui n’est qu’un prétexte amplifié par des médias subventionnés et des journalistes, dont la plupart sont au-dessous de tout. Toute cette clique entretient depuis plus d’un an la terreur sanitaire, le plus souvent avec des mensonges, des omissions, et des manipulations les plus grossières(([2] Le seuil épidémique a été modifié en juillet 2020 par les autorités sanitaires françaises sans que la population en soit avertie. (FranceSoir) Une preuve irréfutable d’une manipulation à grande échelle.)). Le confinement perpétuel est indispensable à ceux qui tirent les ficelles, c’est pour cela qu’ils vont prolonger l’état d’urgence et serrer de plus en plus la vis. Notamment pour bloquer les instances judiciaires afin d’éviter une cascade de procès qui risque de leur être fatal(([3] https://nouveau-monde.ca/la-bataille-judiciaire-bat-son-plein-refere-contre-les-confinements-et-couvre-feux/)), ou, par exemple, quand ceci va être déposé dans un tribunal international honnête(([4] https://nouveau-monde.ca/maitre-carlo-brusa-devoile-toute-la-supercherie-du-covid/)).

Selon eux il n’existe qu’une seule solution pour nous sortir de la crise covidienne, la « vaccination(([5] https://nouveau-monde.ca/oui-les-vaccins-sont-experimentaux-contrairement-a-ce-que-lafp-et-j-mansour-affirment-dans-leur-fast-check/)) (([6] https://www.cielvoile.fr/2021/03/l-ancien-vice-president-de-pfizer-a-l-aflds-il-est-tout-a-fait-possible-que-cela-soit-utilise-pour-une-depopulation-a-grande-echelle)) (([7] https://www.nexus.fr/actualite/billet-dhumeur/finalite-vaccination-guillemant/?fbclid=IwAR3n_IBxCm1Ah_LrRIyfHR8SEm3V9i6LUP5UMnB4alws3ts80YgQYRKQEEs#.YBHxv9OnByY.facebook)) (([8] https://nouveau-monde.ca/il-denonce-la-fausse-pandemie-orchestree-par-bill-gates/)), alors qu’il est maintenant abondamment prouvé qu’il existe des traitements très efficaces et à bas coûts. Par exemple : l’ivermectine(([9] https://planetes360.fr/dr-tess-lawrie-avis-aux-populations-du-monde-entier-livermectine-fonctionne/)) et le protocole Raoult avec son hydroxychloroquine qui a fait ses preuves notamment en Afrique. Mais ces solutions ne sont pas leur solution, vous comprenez ? Eux, ce qu’ils cherchent à tout prix avec l’alibi de la « vaccination », c’est d’injecter dans votre corps des composants qui n’ont rien à y faire.

Ce qui est le plus clair et le plus manifeste dans cette kabbale c’est que le dialogue n’existe plus depuis longtemps, seul subsiste les décisions autoritaires prises unilatéralement par un pouvoir qui est maintenant devenu ainsi, peu à peu, une dictature totalitaire. Ce pouvoir cherche à régenter entièrement nos vies. Ses décisions nous sont quasiment imposées par un pilonnage médiatique incessant. Malheur à ceux qui écoutent toute la journée BFMTV, dont son directeur Marc-Olivier Fogiel a osé dire « Dès qu’on a entendu ce que racontaient les rassuristes, on a fait en sorte de ne jamais plus les inviter. Nous sommes très vigilants sur cette crise pour éviter les fake news. »

Voyons un peu ce que ce sordide personnage considère comme étant une fake news, une seule info suffira : https://nouveau-monde.ca/fr/30-000-medecins-francais-sorganisent-reclamant-le-retour-a-la-normale-2e-conference-du-collectif-coordination-sante-libre-suite-de-lappel-du-9-janvier-2021/

Une paille, ce qui fait une moyenne de plus de 300 médecins par département !!!!! Fogiel n’est assurément pas un démocrate, toute cette engeance est du même tonneau.

Ceux d’entre nous qui ne se sont pas encore rendu compte que la quasi-totalité des informations objectives et vraiment nécessaires sont en fait censurés, devraient commencer dès maintenant à sérieusement réfléchir

Peter de Berlin : Quelque chose se passe sous nos yeux, mais nous ne le voyons pas ! — PLANETES360

Le confinement dans la caverne, une méthode qui a fait déjà fait ses preuves dans le passé pour préparer et faire démarrer les pires guerres qu’a connu l’humanité.

Dans le plan initial, Klaus Schwab le président fondateur du Forum de Davos (Forum Économique Mondial), misant sur un virus nettement plus violent et mortel, avait prévu un lockstep total sur l’ensemble de la planète. C’est-à-dire plus personne dans les rues. Tous les pays devaient être confinés et rester confinés en permanence, avec masques comme une muselière à perpétuité pour les gueux. Ceci est confirmé par le sinistre polonais de la santé(([10] https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/04/09/comme-attali-et-schwab-le-ministre-polonais-de-la-sante-promet-des-decennies-de-tyrannie-sanitaire/)) qui ne doute de rien. Heureusement pour nous, le virus à fait pschitt… et maintenant ils se retrouvent fort démunis, puisqu’entre autres, la Chine, depuis septembre 2020(([11] http://www.amb-chine.fr/fra/zgzfg/t1817634.htm , 22 septembre 2020, Conférence de presse de Lu Shaye, Ambassadeur de Chine en France.)), la Russie, la Turquie, plusieurs états américains … ont levé les restrictions sanitaires et ont donc remis en route leur économie. Vladimir Poutine leur faisant, en prime, l’affront de botter le cul du président Schwab en plein Forum virtuel du Davos 2021(([12] https://nouveau-monde.ca/discours-de-vladimir-poutine-au-forum-de-davos-2021-lhomme-ne-doit-pas-etre-un-moyen-mais-un-but-de-leconomie/)), une info, comme beaucoup d’autres, que l’on se garde bien de vous transmettre, et une déculottée cuisante qui les a certainement mis en fureur.

Ne pouvant plus faire marche arrière, malgré que le bateau fuit de toute part, ils continuent obstinément leur sinistre plan comme les créatures pitoyables qu’ils sont, mais d’une manière ou d’une autre ils sont faits comme des rats… ce n’est qu’une question de temps.


La suppression envisagée de l’ENA (École Nationale d’Administration) est un signe fort qui doit montrer clairement aux aveugles que Macron a bien choisi de trahir son pays et sa population pour donner le plein pouvoir sur nos vies et celles de nos enfants au cartel du Nouvel Ordre Mondial.


Ne vivez plus dans la peur, ne soyez plus des êtres passifs, réagissez, venez respirez l’air du large…(([13] TEASER – Vers un Grand Reset national anti-Davos ? — Avec Valérie Bugault))
La peur va changer de camps, bientôt nous les submergerons.


Notes




Bitcoin et autres cryptomonnaies au service du Nouvel Ordre Mondial?

[Source : ⚡️ BITCOIN, PIÈGE À CONNE ? SORTIR DE LA BULLE AVANT QUE LA FINANCE NE VOUS PLUME (geopolitique-profonde.com)]

BITCOIN, PIÈGE À CONNE ? SORTIR DE LA BULLE AVANT QUE LA FINANCE NE VOUS PLUME

Par Marc Gabriel Draghi

Depuis quelques semaines, le bitcoin ne cesse d’affoler les compteurs. La valeur de la cryptomonnaie la plus célèbre du monde a même dépassé les 60 000 dollars au cours du mois de mars 2021, du jamais-vu dans l’histoire récente des cryptomonnaies. 

Le succès du Bitcoin

Cette tendance favorable peut s’expliquer par plusieurs facteurs : tout d’abord, la crise sanitaire et les différents plans de relance à travers le monde et ensuite l’arrivée d’investisseurs qualifiés de « traditionnels ». L’extrême volatilité de la crypto de Nakamoto, ne semble donc plus décourager les investisseurs. Certains même n’hésitent pas à parler d’or digital ou encore d’étalon Bitcoin.

La comparaison entre l’actif numérique et l’or en matière de référence de valeur est de plus en plus entendue dans le monde de l’investissement.

Cette frénésie actuelle autour du bitcoin des grands acteurs « institutionnels » a débuté de manière significative avec l’année 2020 et l’instauration progressive de la crise sanitaire.

La société américaine PayPal (l’hégémonique plateforme de service de paiement en ligne) autorise désormais les paiements en bitcoin sur sa plateforme. Ce qui représente une consécration pour la plus célèbre des cryptos.

Ensuite, le discours de la fin d’année 2020, de Larry Fink, patron de BlackRock, a également acté le poids croissant du bitcoin et son intérêt pour le plus gros gestionnaire d’actifs au monde comme monnaie alternative au dollar…

Ainsi, le 20 janvier 2021, l’ancienne filiale de Blackstone, premier gestionnaire d’actifs mondial a officiellement inclus des produits dérivés du bitcoin dans la liste des actifs éligibles à deux de ses fonds d’investissement.

Enfin, le très médiatique et iconique patron de Tesla, Elon Musk, a de son côté, carrément fait grimper le cours du cryptoactif de 33 % en février 2021 quand il a fait l’acquisition de plus de 1.5 milliard de Bitcoin et qu’il a communiqué sur cette initiative.

On constate donc qu’au cours de l’année 2020 et en ce premier semestre 2021, il s’est véritablement passé quelque chose (en tout cas politiquement et stratégiquement) autour du bitcoin. Cependant, ce succès et cette tendance soulèvent évidemment plusieurs questions.

Bitcoin et alt season en bulle
Cette pièce existe-elle vraiment ?

Cryptomonnaies et Great Reset

En effet, alors que nous avons entamé une phase extraordinaire de décroissance programmée (le fameux Great Reset), on constate depuis quelques mois une recrudescence d’attention vers les cryptomonnaies. Dans ce contexte particulier (pré-effondrement), les cryptomonnaies (plus particulièrement le bitcoin) sont en train d’être présentées comme la solution numéro 1 au péril financier qui se dresse devant nous.

Mais n’en déplaise à certains, les comportements « médiatiques » de BlackRock et Musk qui n’hésitent pas à clamer haut et fort leurs investissements sur le bitcoin semblent davantage s’apparenter à des tentatives de manipulation de marchés, plutôt qu’à une exclamation de joie désintéressée. Et à y regarder de plus près, il semble bien que ce soient les grands acteurs financiers et leurs échos médiatiques qui font concrètement le jeu des cryptomonnaies et du bitcoin en particulier.

N’oublions pas que depuis presque une décennie les médias nous expliquent à longueur de journée que le bitcoin est un succès et qu’il existe un engouement. Dans le même temps, les grands acteurs du monde financier n’ont eu de cesse de souffler le chaud et le froid sur ce cryptoactif. Et au final, ils ont participé à cette promotion de manière avérée (principe du bad et good buzz). Plusieurs exemples d’articles de journaux comme Les ÉchosLa Dépêche ou France Tv Info, peuvent nous permettre de justifier cet argument.

Et si le succès du Bitcoin est indéniable, l’engouement actuel (fabriqué) autour de cette cryptomonnaie ne doit rien au hasard, car les politiques de surliquidités des banques centrales et l’inflation qui arrivent à grands pas ont tout fait pour rompre la confiance qu’ont les investisseurs dans les actifs et devises traditionnels. Chacun cherche désormais à protéger son épargne et sortir le plus possible son capital du système financier mondial agonisant et sous perfusion.

Et il n’est pas impossible que les cryptodevises, qui sont donc de plus en plus présentées (presque officiellement) comme des actifs crédibles face aux périls de notre système financier moribond, fassent en réalité partie du piège…

La valeur du bitcoin

Car même si a priori le bitcoin peut paraître séduisant, plusieurs caractéristiques et signes peuvent nous permettre de douter légitimement face à cette technologie numérique.

Tout d’abord, le bitcoin a connu un succès rapide après sa création, le 31 octobre 2008. En effet, seulement de 2 ans après son lancement, le site Wikileaks acceptait les dons en bitcoin, lui conférant un nouveau statut d’outil libertaire.

C’est à cette occasion que le grand public prît connaissance de l’émergence d’une cryptomonnaie qui était encore jusque-là très confidentielle (principalement connue des geeks américains). À partir de cet évènement, plusieurs projets de cryptomonnaies et blockchain commencèrent à voir le jour dans la foulée de ce succès.

Le 10 juin 2011, le bitcoin se situait déjà aux alentours de 28 euros et moins de deux ans après (des corrections sont intervenues entre temps) le cours avait atteint les 287 euros en avril 2013, puis les 1240 dollars à la fin de cette même année. L’or digital était donc lancé !

Certes à un moment où les grandes banques centrales ont commencé à faire fonctionner la planche à billets (politiques de QE), on peut comprendre qu’une monnaie émise de pair à pair, qui ne nécessite pas de banque centrale et qui est utilisable au moyen d’un réseau informatique décentralisé, a de quoi faire rêver les plus dissidents et retors d’entre nous…

Cette technologie qui utilise les principes de la cryptographie et associe l’utilisateur aux processus d’émission et de règlement des transactions a forcément l’apparence d’un véritable outil démocratique, à une époque où la contrainte et la surveillance généralisée sont grandissantes.

Mais malheureusement pour nous, les cryptomonnaies et les systèmes de Blockchain sont en vérité des illusions, pour ne pas dire purement et simplement des escroqueries à plus ou moins long terme.

Là où l’on devrait ramener nos systèmes économiques et financiers vers un peu de concret et les faire pencher davantage vers le travail véritable (création de valeur ajoutée), cette technologie nous pousse en réalité vers une fuite en avant en direction de la numérisation et la virtualisation du monde.

De ce constat, on peut en conclure que le mécanisme financier du bitcoin est d’ailleurs simple : une performance exceptionnelle qui ne repose sur rien !

Certains m’opposeront l’argument que la valeur du bitcoin repose au contraire, sur la technologie Blockchain, qui semble être une révolution technologique à elle seule, mais nous répondrons à cet argument un peu plus tard, quand nous évoquerons sa fiabilité et le rôle de la fonction de hachage SHA-256.

En réalité le problème principal et donc de fond du bitcoin (et des cryptomonnaies en général) repose sur leur nature même.

À l’inverse de l’or (à qui il est comparé actuellement), le bitcoin n’a évidemment pas de valeur intrinsèque et sa reconnaissance n’est pas universelle. De plus, de manière encore plus concrète l’accès à un bitcoin nécessite de l’électricité, une connexion internet, une plateforme d’exchange pour en acquérir, une wallet, un code d’accès à celle-ci, etc. ce qui ne facilite pas son « universalisation ». On peut donc d’ores et déjà indiquer objectivement que ce n’est pas simple de « posséder » un Bitcoin, à la différence d’une pièce d’argent métal que l’on a dans la proche.

De même, ces « cryptos » que l’on qualifie abusivement de monnaies ne sont en aucun cas des monnaies au sens légal du terme. Il serait même plus approprié d’utiliser les termes cryptoactifs, car ces « coins » (pièces de monnaie numériques en français) s’apparentent davantage à des actions, produits obligataires … qu’à une véritable monnaie. De plus, même celles qui se disent éthiques et vertueuses sont uniquement créées pour la spéculation. Le terme monnaie accolé à « crypto » vise d’ailleurs à subvertir le concept de monnaie et à habituer le grand public à cette conception viciée de l’objet monétaire.

En réalité, ce que certains qualifient de cryptomonnaie (comme le bitcoin) ne possède pas du tout l’ensemble des caractères fonctionnels d’une convention (un accord de volonté conclu entre des personnes pour créer, modifier, éteindre, ou transférer des obligations). En aucun lorsque vous possédez un Bitcoin, vous êtes face à la dimension d’une norme impérative (règle de droit à laquelle personne ne peut déroger). Nous ne sommes donc pas en présence d’un objet monétaire au sens légal du terme.

C’est cette absence de caractère conventionnel/légal des cryptomonnaies qui explique le fait qu’il est très compliqué d’acheter son pain et de payer ses impôts en bitcoin, même si certains acteurs sont désormais favorables à cet outil.

De surcroît l’extrême volatilité du bitcoin ne permet pas non plus d’affirmer qu’il pourrait être une unité de mesure.

Concrètement et pour ne pas tourner autour du pot, le Bitcoin est en réalité un gigantesque schéma de Ponzi qui ne repose que sur la confiance d’une communauté.

D’ailleurs la notion de communauté est primordiale dans la plupart des projets de cryptomonnaies. Pour la quasi-totalité des cas, il faut simplement que les investisseurs continuent à remplir le gouffre, jusqu’à ce que la musique stoppe. Le transfert de richesse est réalisé au final quasiment à sens unique (vers celui qui a produit le token : jeton d’authentification et qui a fait la levée de fonds / ICO). C’est -à-dire celui qui a vendu un produit qui possède une valeur réelle proche de zéro.

Au regret de perturber les investisseurs naïfs, il n’y a malheureusement aucune réalité économique ou financière derrière les cryptomonnaies actuelles : seulement une valeur de convenance entre parties. La valeur de l’actif réside simplement dans la croyance de celui qui va acheter cette cryptodevise. Certes, comme à la roulette ou à une partie de poker, il peut vous arriver de gagner, mais au final c’est toujours le Casino qui remporte la partie sur le long terme. Le véritable gagnant (celui qui s’enrichit) est celui qui a son nom sur le jeton…

Et vous imaginez bien que si le Bitcoin (qui est la cryptomonnaie de référence) est un Ponzi, ces semblables (qui sont automatiquement de moins bonnes qualités pour plusieurs raisons que l’on va détailler), sont elles aussi des fraudes à plus ou moins grande échelle.

Mais alors qu’est-ce qui permet de dire qu’une cryptomonnaie (et en particulier le Bitcoin) est un Ponzi numérique sophistiqué?

Le premier argument est un argument de bon sens, mais il est fondamental de le présenter, car chaque citoyen mature politiquement devrait comprendre ce constat simple lié à l’observation et à la réflexion sur la question monétaire.

Cet argument consiste à répéter que cette monnaie virtuelle n’a aucune valeur intrinsèque (en elle-même), et qu’elle ne vaut fondamentalement rien sur le temps long. Mais alors quelle différence les monnaies fiat actuelles ont-elles avec le Bitcoin, me direz-vous ?

Le billet imprimé par la BCE ou le dollar de la Réserve fédérale sont fondamentalement dans la même situation, selon plusieurs adeptes de cryptos.

Mais en réalité, pas tout à fait (voire même pas du tout), puisque nos monnaies fiat modernes reposent quand même (et ce n’est pas rien) sur une garantie de la banque centrale et surtout de la nation (communauté de producteurs) qui a choisi cette monnaie pour ses échanges.

Et même si pour les monnaies fiat créées ex nihilo (depuis les accords des changes flottants 1971 et de la Jamaïque 1976) nous sommes également en présence d’une fraude (Argent-Dette), celle-ci est bien plus complexe et elle ne repose pas totalement sur rien. La valeur d’une monnaie fiat repose quand même sur le droit, une obligation, donc l’État et en définitive la force (monopole de la violence physique légitime comme le disait le sociologue Max Weber) ce qui n’est pas rien et ce qui est encore concret (demandez aux Gilets jaunes).

Cette démonstration peut également s’appliquer au dollar, qui au niveau mondial, reste encore la monnaie internationale de référence, non pas parce que l’économie US est la plus productive), mais parce que l’ensemble des nations du monde redoutent le complexe militaro-industriel américain (la force) qui pèse encore très lourd dans la géopolitique mondiale. Un autre facteur (sa grande liquidité sur le marché international des devises) permet également de justifier la conservation de son statut. Il existe donc une gradation dans entre ces deux escroqueries qui résident en particulier sur la notion de garantie (qui est tout de même un aspect fondamental).

En effet, quelqu’un qui vous vend une Twingo dans un garage en vous faisant croire que c’est une Mercedes ne commet pas le même méfait que celui qui vous vend une photo de Mercedes sur internet, en vous faisant croire qu’il vous vend la voiture… Dans le premier cas, vous aurez davantage de chance de vous déplacer à 50km/h sans produire un effort physique énorme…

Plus concrètement, le jour où vous ne pouvez plus acheter/vendre/posséder de bitcoin, personne ne sera responsable. Par contre le jour où il n’y a plus de monnaie, plus d’accès au compte en banque, les responsables existent et vous pourrez toujours aller en chercher certains et leur demander des comptes… Ce qui semble beaucoup plus difficile à faire avec le cas de l’ectoplasme nippon…

Bitcoin et altcoin : comment investir ?

Qu’est-ce qu’une monnaie ?

C’est d’ailleurs tout l’intérêt que pose la question du Bitcoin et des cryptomonnaies. En réalité, les actifs numériques nous interrogent sur le rôle de la monnaie elle-même.

Il y a quelques semaines, lors d’un échange avec l’excellent Dr Louis Fouché du collectif RéinfoCovid et l’universitaire spécialiste de l’histoire de la monnaie Jean-Michel Servet, nous avons essayé d’apporter des réponses à cette question, à l’invitation de la plateforme de débat « Prenez Place ».

Dans ce débat, il a été avancé par mes contradicteurs (Fouché-Servet) un élément pertinent indiquant que : « la monnaie était vraisemblablement un outil qui avait pris différentes formes à travers l’histoire ». Et cette forme pouvait, selon eux, « varier en fonction de l’époque, mais qu’il existait cependant une constante notamment le fait que l’objet-monnaie reflétait presque toujours le zénith (technique ou technologique) de ce qu’une communauté d’individu savait produire ou échanger »

Cette analyse est très intéressante, car elle est au cœur de la question monétaire moderne et des interrogations relatives au cas du bitcoin en particulier. Car nous sommes bien avec le Bitcoin et la Blockchain face à un outil technologique très avancé.

Malheureusement pour moi, cette vision énoncée dans le débat n’a pas pu faire l’objet d’une réponse développée et argumentée de ma part en raison des contraintes de temps inhérentes à ce genre d’exercice (débat entre 4 personnes sur des questions précises, en l’occurrence la notion de commun).

Par cet article sur le Bitcoin et la Blockchain, il me paraît donc essentiel d’apporter une précision sur la notion d’objet monétaire.

Ainsi, dans cette vidéo de l’Acte 1 de Prenez Place, comme dans mon livre d’ailleurs, j’ai tenté d’expliquer que l’outil monétaire possédait plusieurs facettes que je synthétise pour ma part avec cette définition relativement simple et ancienne qui consiste à dire que : la monnaie au sens classique du terme, est le morceau de métal précieux produit en série et estampillé par la cité.

Et même si le côté métallique de la monnaie est désormais officiellement désuet, on retrouve dans cette définition historique, de manière implicite, les fonctions essentielles de l’objet monnaie (à savoir être une réserve de valeur, un intermédiaire/ moyen d’échange, une unité de mesure, mais surtout une marque de souveraineté : une norme impérative de droit).

Et pour se faire un avis sur le Bitcoin, les monnaies numériques, mais aussi sur nos « bouts de papier » et cartes bleues actuels (les monnaies fiat et scripturales), il est primordial d’avoir cette ancienne conception de la monnaie dans un coin de notre tête.

Pour faire le lien directement avec le Bitcoin et la cryptomonnaie, on peut déjà dire que l’Euro ou le Dollar, qui sont encore émis par les banquiers centraux, ont au moins encore (plus pour très longtemps) le mérite (par rapport au bitcoin) d’être un morceau de papier qui reste difficile à reproduire par une entité qui ne dispose pas du droit de le faire. Et quand il est dans votre main ou dans votre poche, il reste assez difficile à faire disparaître…

Contrairement à ce que m’a opposé le Dr Fouché (disciple du penseur Jacques Ellul) l’outil par essence est bien neutre. C’est la technique qui, elle, peut, ne pas être neutre. Il est donc important de ne pas faire l’amalgame entre les notions d’outils, d’objets techniques ou encore de fonction d’usage et d’action complémentaire. Pour l’outil monétaire, il n’existe évidemment pas d’intention intrinsèque particulière à l’outil. La monnaie sert d’abord à mesurer et échanger des biens. L’usage pour la quasi-totalité des outils (les plus basiques : ne nécessitant pas de technique spécifique) est totalement neutre. Par exemple pour une hache, sa fonction d’usage est de couper (du bois ou autre chose) et pour un marteau c’est d’enfoncer/écraser. Cette conception de neutralité de l’outil se retrouve dans les analyses et observations d’Aristote dans la plupart de ses ouvrages (Éthique à Nicomaque, la Politique, Économie, etc.) Ainsi, pour ne pas se perdre dans la question monétaire, il est donc important de ne pas sur interpréter la notion de fonction d’usage d’un outil.

Cependant l’argument du docteur Fouché est néanmoins juste lorsqu’il s’agit d’un outil technique numérique ou en réalité la donnée (la data), l’information est l’élément essentiel de la technologie. Contrairement à ce que l’on pourrait croire de manière intuitive, une Kalachnikov n’a en réalité pas pour fonction première de tuer, elle est d’abord construite pour tirer des balles efficacement, et rien n’empêche son utilisateur de tirer en l’air, sur une cible, ou dans les jambes… Sa fonction extensive (complémentaire) est évidemment de tuer, mais elle n’est pas dans l’ADN premier de cet outil (malgré les apparences). C’est l’entraînement (la technique) qui permettra à l’usager (le tireur) de parachever son intention. Pour la monnaie en réalité c’est la même chose.

La monnaie en tant qu’outil n’est ni bonne ni mauvaise. C’est son utilisation (comme pour la hache qui peut couper du bois ou des têtes) qui induit sa finalité d’usage.

Comme je l’ai brièvement évoqué dans le débat, en termes de réflexion économique, il est donc nécessaire de partir de ce postulat (neutralité de l’objet monnaie) et de retenir qu’il existe deux conceptions monétaires opposées (les autres n’étant que des subdivisions de ces 2 catégories) :

– La première, celle d’Aristote (la bonne) consiste à considérer la monnaie comme un instrument de mesure, un intermédiaire et la norme supérieure organisant le bien commun, c’est-à-dire un moyen d’échange qui vise à échanger des biens (valeur ajoutée, richesses : récompense du travail) dans l’intérêt d’une collectivité (société) et en vue de la consolidation du bien commun.

– Puis, la seconde, celle de Jacques Attali et ses pantalons à une jambe par exemple, voit l’Argent (la monnaie) comme la finalité de l’échange (bien en lui-même). Ce qui compte c’est « d’être riche », que ça rapporte beaucoup, qu’il existe « un retour sur investissement maximal ».

Cette conception (celle de notre temps) sacralise l’appât du gain, la chasse aux profits et l’objet monétaire en lui-même. Celle-ci est en réalité la matrice monétaire de notre époque moderne. Mais elle est aussi en définitive la conception proposée par le bitcoin qui est seulement un actif spéculatif. Il y a dans le bitcoin, une adoration d’un objet vide de valeur réelle, qui est encore bien plus dangereux que la célèbre auri sacra fames (maudite soif de l’or).

L’or baisse : le Bitcoin monte

D’ailleurs, ceux qui adoptent la conception aristotélicienne se rapprochent souvent de solutions monétaires liées à l’argent métal ou à l’or, car bien qu’étant improductifs, ces actifs sont des étalons de valeur neutres (personne ne les créés), concrets et difficilement manipulables quand il s’agit d’or et d’argent physique.

Cependant dans cette période de troubles financiers, contre toute attente, l’or depuis quelques mois (la rentrée 2020) baisse, alors que le bitcoin lui a continué son ascension de manière considérable. Mais alors comment peut-on expliquer cet état de fait ?

Nous le savons, le marché de l’or est manipulé depuis des décennies, pour ne pas dire des siècles désormais. Le simple fait de s’intéresser au « fixing » du prix du métal jaune suffit à valider l’argument.

Ces manipulations du cours de l’or (mais aussi de l’argent) sont la conséquence des comportements des grandes banques internationales, des démonétisations officielles et successives de l’argent (fin du XIXe) et celle de l’or (1971-76) et de la création du marché de l’or et de l’argent papier (certains ETF).

Face à ce contexte de baisse (correction) du métal jaune, réputé comme l’actif anti-fragile par excellence, le bitcoin tend à être vendu et imposé dans la sphère médiatique comme une nouvelle valeur refuge, au même titre que la relique barbare (l’or) dans cette période de grande instabilité financière.

Géopolitique de l'Or
Les banques centrales ont-elles du Bitcoin ?

Les origines du Bitcoin

Mais pour poursuivre notre critique de fond, nous pouvons affirmer que la structuration/conception du bitcoin pose elle-même question. La source de la crypto/blockchain la plus célèbre est réellement et fondamentalement problématique.

Pour commencer, le créateur de la première blockchain : le bitcoin, est un parfait inconnu. Ainsi, selon le peu d’informations dont nous disposons, ce monsieur se nommerait Satoshi Nakamoto.

Cet individu de nationalité japonaise serait un mathématicien, programmeur, cryptographe et révolutionnaire dans l’âme, et nous aurait même donné sa date de naissance exacte le 5 avril 1975. Cependant, à l’heure actuelle, il est tout simplement impossible de savoir s’il s’agit bien d’une seule personne ou au contraire d’un groupe de personnes. Ce Nakamoto qui n’a jamais donné aucun signe de vie et n’a jamais prouvé son existence est également le créateur du forum bitcointalk (communauté).

Selon la légende officielle, il posséderait quand même plus d’un million de bitcoins comme l’indique le site businessinder et en décembre 2017, sa fortune était déjà estimée à 19,4 milliards de dollars…

D’ailleurs, dans un dernier message public de la fin de l’année 2010, Nakamoto aurait cessé d’être actif et aurait quitté le projet Bitcoin, pour passer à autre chose…

Il aurait donc confié le « bébé » à un certain Gavin Andresen (américain) développeur en chef du bitcoin, travaillant à créer selon ses propres termes une « monnaie pour l’Internet » sécurisée et stable. Ce dernier est d’ailleurs diplômé de Princeton (université de l’Yvy League) et serait même allé présenter le projet dans les bureaux de la CIA comme il l’a déclaré dans un tweet étrange de juin 2011.

Gavin Andresen, le bitcoin et la CIA

À la tête de la fondation Bitcoin jusqu’en 2017, il a ensuite rejoint le projet BitcoinCash (une cryptomonnaie issue du Bitcoin) par la suite. Évidemment cet étrange mystère autour du « créateur » a pour conséquence d’énormes spéculations sur l’identité de Nakamoto. D’ailleurs son origine nipponne est même sérieusement remise en cause par la qualité de son anglais et l’absence totale de publications en japonais…

La Blockchain et la NSA

Mais ce n’est pas tout, une hypothèse pas totalement farfelue fait de Satoshi Nakamoto une création de la National Security Agency (renseignement américain). Le japonais serait donc un personnage fictif présenté au grand public par l’agence de renseignement américaine, ou au moins une personne travaillant pour elle. « Absurde théorie du complot ! » diront certains adeptes de la très subventionnée « conspiracywatch », mais quand on connaît les origines (pourtant officielles) de la « crypto-currency », l’hypothèse est loin d’être surréaliste.

Concrètement, il est tout aussi crédible de dire que le créateur du bitcoin est la NSA que d’affirmer vigoureusement que Nakomoto est une vraie personne.

D’ailleurs, bien avant la création du bitcoin, un document intitulé : « How to make a mint : The cryptography of anonymous electronic cash » publié en 1997, détaille étrangement la structure et la fonction de la monnaie virtuelle.

Et l’auteur de ce petit document se trouve être le Bureau de la recherche et de la technologie de la sécurité de l’information de l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA).

En définitive, par l’intermédiaire de ce document, l’agence de renseignement américaine a donc réellement détaillé la structure future des cryptomonnaies, bien avant la fin de l’année 2008. En réalité le Bitcoin a réussi là où le concept de b-money, imaginé par Wei Dai en 1999, et le bitgold, de Nick Szabo en 2005 ont échoué.

Une grande partie du protocole de la monnaie virtuelle est même détaillée dans le document cité ci-dessus, y compris les techniques d’authentification des signatures, l’élimination des contrefaçons de cryptocoin par l’authentification des transactions et plusieurs caractéristiques qui permettent l’anonymat et l’impossibilité de retracer les transactions. Le document souligne aussi le risque important de blanchiment d’argent qui peut être aisément réalisé avec cet actif numérique.

La date officielle de création du Bitcoin (31 octobre 2008) en pleine crise financière des Subprimes et son succès en pleine défiance du grand public envers le monde de la finance (le mouvement OccupyWall Street lancée en 2011) sont également étranges.

Évidemment, le lien entre la NSA et la technologie de la blockchain ne s’arrête pas à la rédaction d’un document technique sur la cryptomonnaie.

L’agence de renseignement américaine est surtout le créateur du hash SHA-256 dont dépendent toutes les transactions Bitcoin et des autres cryptomonnaies (toutes basées sur ce système) dans le monde.

Ainsi, l’intégrité du bitcoin dépend d’une fonction de hachage appelée SHA-256, qui a été conçue, développée par la NSA et publiée par le National Institute for Standards and Technology.

Contrairement à ce qu’avancent les adeptes du bitcoin, la Blockchain (comme tout support numérique) n’est pas inviolable. En effet, comme l’a expliqué un spécialiste en cryptographie Matthew D. Green de l’Université John Hopkins, il n’est pas impossible de prendre le contrôle du réseau.

Néanmoins selon lui, pour arriver à cela il faudrait procéder rapidement sur le SHA-256, avec de gros moyens techniques et des actions crédibles et détectable pour falsifier les transactions. Officiellement, cela n’est jamais arrivé et il faudrait une grosse structure (un service de renseignement ?) pour réussir à réaliser cette opération.

Ainsi, comme tout outil numérique la blockchain est manipulable et il serait donc possible de falsifier les transactions si le hachage SHA-256 développé par la NSA disposait d’une méthode détournée pour déchiffrer le cryptage.

Il est à noter que jusqu’ici aucune activité frauduleuse n’a officiellement été détectée par aucun chercheur. D’ailleurs si tel avait été le cas et si cela avait été su, le bitcoin aurait déjà été liquidé par les investisseurs qui auraient fui cet actif déjà très volatile. Cependant quand on examine le cours du bitcoin depuis 2014 et les réactions (nombreuses) qu’il suscite, on constate que certains experts expriment leurs doutes sur le fait qu’il n’est jamais subi de manipulations

D’ailleurs, le 15 août 2010 un certain Jeff Garzik avait déjà repéré une faille dans le système. Une sorte de « bloc étrange » comme il le désigne dans le forum bitcointalk : avait été identifié par ses soins. Ainsi, il y a plus d’une décennie, une faille dans le protocole (ou une intervention) avait permis la génération de 92 milliards de bitcoins ! Cette erreur avait pu être corrigée et la Blockchain était revenue à son état antérieur afin de liquider ces nouveaux bitcoins issus de cette création frauduleuse.

Les adeptes du bitcoin, n’apprécient généralement pas qu’on leur rappelle ce petit épisode qui n’a jamais vraiment été expliqué de manière convaincante (malgré de multiples tentatives). En outre, une manipulation du cours du bitcoin, voire même une spoliation de millions de bitcoins pourrait être réalisée et semble du domaine du possible.

Et pour cela, sans même aller sur terrain de l’argumentation de la fiabilité de la blockchain, le cours du bitcoin est par principe manipulable puisque le créateur du bitcoin possède à lui seul entre 900 000 et 1.1 million de bitcoins. Certains observateurs avisés expliquaient déjà en 2018 que Satoshi Nakamoto (ou l’entité derrière ce personnage) possédait un stock d’environ 980 000 bitcoins…

Rajoutez à cela, les acquisitions de mastodontes comme Musk/Tesla ou encore BlackRock qui en 2018 dépassait déjà les 6 000 milliards d’actifs sous gestion, et vous obtenez un cours potentiellement manipulable « au carré/puissance 2 »… BlackRock qui est devenu, à l’occasion de la crise du Coronavirus un organe du gouvernement américain (ou l’inverse), fait désormais la pluie et le beau temps sur les marchés internationaux et peut donc totalement et sans aucun problème, jouer avec le cours du bitcoin…

Il ne nous est donc pas très difficile de conclure qu’il est très probable qu’une cryptomonnaie comme le bitcoin, serve d’une certaine manière à prendre le contrôle d’une partie importante de la masse monétaire mondiale alors que le système de la monnaie fiduciaire/dette s’effondre sur lui-même. La dimension de piège politique/financier à propos du bitcoin n’est évidemment pas à écarter.

Une monnaie numérique remplaçant nos vieux billets et évitant une fuite vers l’or et l’argent métal serait une solution idéale pour l’oligarchie apatride de Wall Street et de la City. Le bitcoin, en plus d’habituer les gens par la culture d’investissement numérique qu’il répand, similaire à la numérisation des devises, sert probablement de prétexte à l’oligarchie financière.

Cash et cryptomonnaie
Tangible ou pas tangible ?

La fausse opposition au Bitcoin des banques centrales et des banques commerciales

On le constate de plus en plus au fil des mois, il existe une opposition formelle à la monnaie virtuelle alors que dans l’ombre s’organise une adhésion de fond parmi les grands acteurs et les institutions du secteur financier comme l’attestent les différentes réactions sur le bitcoin.

En effet, la Réserve fédérale américaine (FED) n’a pas hésité à déclarer (à la stupeur des experts) que « des monnaies virtuelles comme le bitcoin étaient légitimes ».

Pourtant en utilisant sciemment le terme « monnaie », la banque centrale américaine se tirait une belle balle dans le pied quand on pense à sa propre fonction (battre la monnaie pour les États-Unis). À moins que les gens de la Réserve fédérale en disant cela aient une idée derrière la tête…

Plusieurs banques centrales, dont la Banque de France, avaient, elles, été jusque-là plus prudentes dans leurs déclarations concernant le Bitcoin, faisant preuve d’une grande hypocrisie : « La Banque de France met en garde contre l’utilisation du bitcoin, soulignant que ce genre de devise n’est pas régulé, et réclamant une intervention des autorités pour mettre un terme à certaines transactions illicites. »

Une déclaration qui était pour le moins totalement inepte… Car qui sont les autorités dont elle parle ? Ne serait-ce pas le rôle d’une banque centrale ? Ne seraient-ce pas les missions des autorités de marché ? Serait-ce la division financière du parquet qui doit intervenir ? Qui a la mission d’assurer la protection des investisseurs ?

La Banque Centrale européenne avait, quant à elle, étrangement (en pleine crise de l’Euro) travaillé sur un rapport d’octobre 2012, ou l’hostilité envers les cryptomonnaies ne transparaissait pas vraiment…

La Banque des Règlements internationaux de Bâle et la Banque d’Angleterre quant à elles, ont lancé officiellement la phase d’instauration des monnaies numériques de banque centrale au cours de l’année 2020.

En réalité, dans cette grande pièce de théâtre, personne n’agit vraiment. Seuls les Chinois ont interdit l’usage et même le minage du bitcoin, et les Russes l’ont aussi très vite déclaré illégal.

Pour les Chinois, cela s’explique d’une manière assez simple : c’est la nation la plus en avancée dans l’instauration de sa monnaie (yuan) numérique de banque centrale (CBDC) et dans l’expérience de crédit social dont les mesures sanitaires occidentales (covipass/gestes barrières, attestations, amendes pour non-respect, etc.) semblent se rapprocher de semaine en semaine.

Pour la Russie, il y a fort à parier que les services de renseignements russes savent qui se cache derrière le bitcoin, comme ils connaissent déjà l’état de santé délicat du président américain Joe Biden.

D’ailleurs, il est aussi possible (pour des objectifs complètement différents) que les actions des deux leaders des BRICS soient justifiées également par leur politique respective d’achat important d’or métal depuis plusieurs années. L’or ou le Bitcoin, a priori, il faut choisir, et ces deux grandes puissances semblent avoir choisi…

Autres preuves que les cryptomonnaies sont des fraudes : désormais les grandes banques anglo-américaines investissent massivement dans les cryptomonnaies. À commencer par la JP Morgan and Chase de Jamie Dimon qui est devenue récemment (2019) la première banque à créer sa propre cryptocurrency. Cette dernière repose sur la même technologie de blockchain avec pour seul détail qu’elle est indexée sur le dollar. Les investisseurs peuvent donc utiliser cet actif numérique dans le cadre de transferts d’argent instantanés entre des comptes institutionnels de grands investisseurs, d’autres banques, et de grandes entreprises clientes de JP Morgan.

De même pour le « Boss » de la Bank of America Bryan Moynihan, qui a lui aussi déclaré au cours de la même année (2019) dans une interview que son institution déposait de nombreux brevets sur cette nouvelle technologie qu’était la blockchain. Preuves que les grandes banques ne sont pas du tout hostiles à cette tendance de digitalisation/numérisation monétaire…

Le FMI aime ça !

D’ailleurs, même le Fonds Monétaire International aime le concept de monnaie virtuelle. Pourtant, face à cette révolution monétaire, on aurait pu légitimement s’attendre à ce que le l’institution basée à Washington joue un rôle d’éventuel opposant face à cette révolution technologique « d’émancipation ». Bien au contraire le FMI version Christine Lagarde et maintenant Georgieva ne considère pas du tout le Bitcoin comme un problème.

En 2017, devant la Banque d’Angleterre, la grande Christine avait même déclaré qu’ « Il n’y a pas si longtemps, certains experts ont fait valoir que les ordinateurs personnels ne seraient jamais adoptés, et que les tablettes ne seraient utilisées que comme de coûteux plateaux à café. Je pense donc qu’il ne serait pas sage de rejeter les monnaies virtuelles. »

Des rumeurs ont même circulé par la suite, indiquant carrément que c’était le FMI qui était à l’origine du bitcoin ou que le bitcoin visait à détruire les grandes banques centrales à son profit… Rien n’est impossible, mais seul l’avenir nous le dira.

Ce qui est certain, et on le constate avec la crise/dictature sanitaire du Coronavirus, le bitcoin et les cryptomonnaies vont servir de marchepied aux monnaies numériques de banque centrale (CBDC) et à l’élimination de l’argent liquide.

Monnaie numérique et fin du cash

En réalité, il est surtout avéré que la technologie « Blockchain » a été construite (ou reprise c’est selon) pour détruire définitivement l’argent liquide.

Une réunion de banquiers et grands dirigeants relatée par un article du journal Bloomberg intitulé : « Inside the Secret Meeting Where Wall Street Tested Digital Cash » nous a d’ailleurs informé qu’une centaine de dirigeants des grandes institutions financières anglo-américaines (représentants du Nasdaq, de Citigroup, de Visa, de Fidelity, de Fisery et de Pfizer…) s’était tenue en 2016 à New York dans les bureaux de Times Square Nasdaq Inc.

Avec le recul et la crise du Coronavirus on peut légitimement se poser la question de la présence des dirigeants de Pfizer (entreprise pharmaceutique qui se trouve être le plus grand vendeur de vaccin anti-covid) à cette réunion…

Bitcoin, numérisation et traçage
Un petit vaccin peut-être ?

Lors de cette réunion privée, une société avait même présenté une technologie qui transforme les dollars américains en actifs numériques purs. C’est la promesse de la Blockchain, ou le système lourd actuel sujet aux erreurs qui prend des jours pour transférer de l’argent est remplacé par un mécanisme à la rapidité quasi instantanée. Cette technologie révolutionnaire est destinée à changer les pratiques liées à l’argent et a constitué la première étape vers une société sans liquide.

La technologie des monnaies numériques a donc été sélectionnée pour nous amener vers une dictature financière universelle.

Par sa nature informatique : la monnaie virtuelle sera tout simplement facile à créer et à voler. Et bien qu’elle repose sur une somme d’algorithmes complexes, la technologie Blockchain qui semble être anonyme et décentralisée est au contraire bien plus susceptible d’être spoliée qu’une pièce d’or ou d’argent présente au fond d’un coffre. Vision archaïque, mais de bon sens, que les « pros-crypto » n’hésiteront pas à dénigrer, car elle remet leur démarche dans le concret.

D’ailleurs grâce au terrorisme international, le gouvernement américain a depuis longtemps accès à des données financières par le biais de SWIFT dans le cadre de la prétendue lutte contre le terrorisme. Et même si l’on sait que la crypto-currency sert déjà de « monnaie d’échange » pour les diverses activités de financement et blanchiment entre la pègre, les mouvements terroristes mafieux, certaines grandes multinationales et agences gouvernementales, la technologie Blockchain rendra la traçabilité parfaite et seuls les grands groupes mafieux (qui contrôlent) cet outil, auront la chance (le luxe) de ne pas être traçable (comme le dit si bien Jacques Attali).

Ce système de monnaie virtuelle va aussi enterrer à coup sûr, le mouvement de résurgence des systèmes financiers, basé sur les métaux précieux, qui après la chute du dollar hégémonique, laissera naturellement la place à une crypto monnaie mondiale divisée probablement dans un premier temps en CBDC continentale (peut être portée par le FMI, avec son phénix/DTS).

En conclusion, mis à part si vous savez que vous pouvez faire un gain à court terme, évitez de vous lancer dans les cryptomonnaies, car elles amènent avec elles, un monde construit sur l’illusion numérique et l’asservissement.

Illusion et captation de la rébellion

Au contraire, nous devons prioritairement nous battre pour reconnecter l’Argent (la monnaie) avec le Travail productif afin de rester dans le monde réel. C’est bien l’extrême virtualisation et mathématisation du monde qui amène le gouvernement perpétuel des usuriers.

Il ne faut surtout pas imiter les parasites (traders, grands banquiers, etc., dans leur quête de la pierre philosophale virtuelle…), mais au contraire travailler concrètement en ayant conscience de l’effondrement prochain. Comme le dit si bien le Dr Fouché, il faut faire de cette crise, une chance, une opportunité, pour nous changer nous-mêmes. Mais ne nous leurrons pas en plus de ce travail personnel, il nous faudra aussi nous mettre en colère pour aller chercher les marchands du Temple… La passivité même consciente nous conduira à l’esclavage.

Et pour ne pas subir le cataclysme qui vient, il va nous falloir impérativement nous remettre au travail en tournant vers les activités réellement productives et enfin militer pour la reprise du contrôle de notre monnaie (souveraineté) en adossant celle-ci à un (des) étalon qui a lui-même une valeur intrinsèque (l’or, l’argent, le cuivre, le palladium…).

Le Silver Squeeze et le WallStreetBet, mouvement de fond bien plus intéressant que les épisodes rigolos Gamestop, démontrent qu’il existe des solutions concrètes que Wall Street et la City abhorrent (acquisition d’or et d’argent physiques par les masses et retour au Bimétalisme pour les nations).

Pour vous en convaincre, dites-vous bien que vous ne verrez jamais BlackRock, JP Morgan, Barclays ou Goldman Sachs vous crier que les perspectives d’investissement sur l’argent métal sont intéressantes avec de vastes campagnes publicitaires et de communication dans les médias…

Au final, n’oublions pas que la seule valeur d’une monnaie réside en réalité, sur le travail et la richesse des producteurs qui s’assemblent et se servent de cet objet pour échanger.

L’or et l’argent métal sont malheureusement encore une fois, les seules monnaies valables pour se préserver de l’effondrement qui vient et pour lutter collectivement contre la dictature numérique et sanitaire de l’oligarchie financière… Nos ancêtres (bien plus sages que nous) ont utilisé en priorité ces métaux comme objet monétaire pendant des millénaires, dîtes-vous bien qu’il doit bien y avoir une raison à cela…

Enfin, si vous persistez encore avec les cryptos et le bitcoin, essayez de sortir avant la captation définitive (par une interdiction, un bug, etc.) Car lorsque la petite musique cessera, que le silence numérique fera de vous des petits Bernie Madoff, qui après avoir bien joué, seront à la fin, privés de liberté (financière et politique), plus personne au fond de votre cellule, ne viendra vous sauver, car il sera trop tard.

Dans ce « Monde d’Après » totalitaire et virtuel, dans lequel nous serons presque tous enfermés, il nous arrivera probablement de regretter le temps où nous aurions pu abattre cette douce illusion, prémices de ce système diabolique (Blockchain/Bitcoin/CBDC), que nous avons cru pouvoir maîtriser à notre avantage…

Marc Gabriel Draghi


[Voir aussi :




Au nom de la théorie selon laquelle les vaccins permettraient une immunité collective, la Cour européenne des droits de l’Homme s’assoit sur ces derniers

[Source : medias-presse.info (medias-presse.info)]

Par Francesca de Villasmundo

Cour de Strasbourg et sentence historique : l’obligation vaccinale est légitime selon la Cour européenne des droits de l’homme

Dans une décision qui restera dans l’histoire, la Cour européenne des droits de l’homme a statué que les vaccinations obligatoires peuvent être considérées comme nécessaires dans les sociétés démocratiques.

Cette légitimité a été établie par un arrêt de la Cour basée à Strasbourg, après un recours formé par certaines familles tchèques contre l’obligation de vaccination décidée par l’Etat.

« Les mesures peuvent être considérées comme nécessaires dans une société démocratique », lit-on dans l’arrêt de la Cour, rapporté par l’Agence de presse italienne AGI, qui confirme que la politique de santé de la République tchèque est conforme à « l’ intérêt supérieur » des enfants et ne viole pas le droit au respect de la vie privée. La législation, au centre de l’appel, concerne « les vaccins administrés contre les maladies infantiles bien connues de la science médicale, à savoir la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, les infections à hémophilus de la grippe de type b, la poliomyélite, l’hépatite B, la rougeole, les oreillons, la rubéole et, pour enfants ayant des problèmes de santé spécifiques, les infections pneumococciques. Selon les experts, la décision pourrait également avoir des implications pour toute politique de vaccination obligatoire contre la covid.

Parmi les requérants, notent les agences de presse, l’un a été condamné à une amende pour ne pas avoir suffisamment vacciné deux enfants, les autres se sont vu refuser l’admission au jardin d’enfants pour la même raison. La vaccination obligatoire, dit la Cour de Strasbourg, représente une ingérence dans l’intégrité physique de l’individu et, par conséquent, porte atteinte au droit au respect de la vie privée, protégé par l’article 8 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme. Cependant, les juges notent que le droit tchèque poursuit l’objectif « légitime » de protéger la santé ainsi que les droits d’autrui, soulignant que « la vaccination protège à la fois ceux qui la reçoivent et ceux qui ne peuvent être vaccinés pour des raisons médicales et qui comptent donc sur l’immunité collective pour être protégés contre les maladies infectieuses graves. »

En ce qui concerne les vaccins anti-covid, comme l’a expliqué récemment à un quotidien italien Giovanni Maria Flick, ancien président de la Cour constitutionnelle italienne et ancien ministre de la Justice, la vaccination obligatoire est parfaitement compatible avec la Constitution :

« La Constitution a été rédigée alors que nous venions de sortir de la tragédie des expériences pseudoscientifiques nazies, de la suppression des handicapés. Sur ces questions, il était évident qu’il y avait une sensibilité particulière. Mais récemment, à deux reprises, en 2017 et 2018, le Conseil a établi qu’à partir de la recommandation de vaccination, il est possible de passer à l’obligation lorsqu’elle sert à protéger la communauté. Il est incontestable qu’aujourd’hui la situation est la suivante, donc l’obligation est là, le problème, si tant est que ce soit, ce sont les sanctions. »

La question de la vaccination obligatoire, notamment en ce qui concerne le personnel de santé, est au centre du débat depuis de nombreuses semaines dans de nombreux pays européens, un taux non négligeable de membres sanitaires étant réticent à se faire vacciner contre la covid, les « vaccins » actuels, qu’il faudrait appelés thérapies géniques, étant encore expérimentaux.

L’arrêt de la Cour de Strasbourg, en admettant la légitimité de certaines vaccinations, pourrait s’avérer fondamental dans ce débat. Et limiter encore un peu plus le libre choix des uns et des autres. La tyrannie sanitaire a de beaux jours devant elle…

Francesca de Villasmundo




Alertez votre maire sur la dérive autoritaire du gouvernement et la propagande médiatique du covid

[Source : TextUp]

[Transmis par Philippe Loubière]

La lettre à copier (n’oubliez pas de signer avec votre nom et prénom à la fin) : 

https://docs.google.com/document/d/1peJXqZg6wg0_pXMePXXAF6GNLJnaJoLmYvtUHA64wIc/edit?usp=sharing

Le fichier PDF téléchargeable ci-dessus permet d’imprimer la lettre (avec les liens et les sources) sur 3 pages recto verso.

Madame le maire, Monsieur le Maire, chers Élus,

Depuis plus d’un an, les français vivent une situation particulièrement difficile liée à la crise sanitaire. Vous n’en ignorez rien, cette crise vous touche tout autant que vos administrés. Les confinements et couvre-feu successifs ont eu un très fort impact sur l’activité économique du pays. À l’échelle nationale, cela se traduit par une récession de 8 % (une des plus importantes en Europe et dans le monde)(1). À l’échelle locale ou individuelle, nous avons assisté en 2020 à la faillite de milliers de PME, commerces dits « non-essentiels », restaurants, lieux culturels(2). Le maintien par le gouvernement des mesures sanitaires ne laisse entrevoir, hélas, qu’une aggravation de la situation et la destruction toujours plus prononcée du tissu économique en 2021. À court terme, il engendre la paupérisation des ménages, la baisse immédiate du pouvoir d’achat et la dégradation des conditions de vie. À long terme, il aboutira à une austérité nécessaire face à des services publics hors de nos moyens (hôpital, éducation, sécurité sociale,…).

Au-delà encore de l’aspect économique, les mesures dites de « distanciation sociale » ont eu un profond impact psychologique sur les français. De l’aveu de tous les spécialistes, l’année 2020 a vu exploser les cas de dépression, les suicides également, dans des populations jeunes et autrefois épargnées par ces fléaux(3). La dureté des règles, leur modification permanente, le flou quant à leur durée, leur utilité et efficacité, additionnées à la rupture du lien social, la privation de loisirs et la détresse économique ont jeté les français dans la peur et l’atrophie. Les jeunes générations ne sont aucunement épargnées, elles sont mêmes en première ligne puisque les enfants, dès l’âge de 6 ans, sont contraints de porter le masque à longueur de journée, privés du contact de leurs camarades à l’école, et soumis à des règles de distanciation d’une grande sévérité.

Un an après l’instauration des premières mesures sanitaires, la situation ne s’est pas améliorée en France. Selon les chiffres officiels du gouvernement, les hôpitaux sont toujours saturés, les cas ne diminuent pas , les décès non plus, et l’heure n’est donc pas au relâchement.

De nombreux experts(4) ont pourtant l’impression de voir dans cette crise non pas la virulence d’un virus encore méconnu, mais l’action irraisonnée du gouvernement qui, croyant combattre un danger sanitaire, occasionne bien plus de mal que la maladie elle-même.

Un an après l’instauration des premières mesures sanitaires, aucune étude ne vient confirmer une quelconque efficacité de la distanciation sociale, du confinement, du couvre-feu ou du port du masque. Les chiffres des contaminations et des décès ne témoignent pas non plus d’un effet salvateur. La comparaison des pays pratiquant ou non la distanciation sociale est également sans appel : ces mesures ne démontrent aucune efficacité. En Suède(5), la situation est meilleure que la nôtre malgré une absence totale de mesures sanitaires. En Espagne(6), la réouverture des lieux de vie n’a engendré aucune hausse des cas ainsi que du nombre de morts. Aux États-Unis(7) où de nombreux états ont abandonné toutes les mesures sanitaires, la situation est meilleure de jour en jour. En ce début d’année, en écho aux travaux de l’éminent professeur Ioannidis démontrant l’inutilité des mesures de distanciation sociale(8), l’Organisation Mondiale de la Santé a confirmé ce dont les chercheurs se doutaient déjà : la non-contagiosité des porteurs asymptomatiques du covid-19(9), rendant inutile toute distanciation sociale, tout port du masque chez les individus en bonne santé.

Compte tenu de son faible taux de mortalité(10), comparable à celui de la grippe, et du risque quasi-nul qu’il représente pour une population saine (l’essentiel des décès se trouvant chez les personnes très âgées ou présentant de graves comorbidités), le covid-19 ne saurait être sérieusement considéré comme une menace pour la population. Il semble par ailleurs se combattre très efficacement par l’utilisation de traitements communs et peu dangereux : hydroxychloroquine, ivermectine, azythromycine, zinc, artemisia, vitamine D(11), pourvu qu’il soit pris en charge à un stade précoce. Ces traitements ayant suscité de nombreuses polémiques en France sont utilisés librement et massivement dans la plupart des pays du monde(12), où se multiplient les études attestant leur efficacité. Parallèlement à cela, l’interdiction de ces traitements en France est poussée par des acteurs de la santé dont les liens d’intérêts questionnent, ainsi que par un conseil de médecins sur lequel aucune transparence n’est faite, et dont l’impartialité ne peut donc être vérifiée.

Enfin, la promotion massive de la vaccination en France par nos autorités, excluant tout principe de précaution (aucun des vaccins utilisés en France n’a achevé ses phases de tests, ils reposent par ailleurs pour la plupart sur la technologie ARNm, inédite et également non-testée sur l’homme) finit de jeter le doute sur la justesse de la stratégie sanitaire du gouvernement. Elle expose l’État à de futurs scandales sanitaires pour n’avoir pas suspendu, à l’instar d’autres pays européens, le vaccin Astrazeneca reconnu responsable de thromboses mortelles. Cette vaccination, hasardeuse selon beaucoup d’experts, connaît une forte désapprobation auprès des français, et la menace permanente d’un « pass vaccinal », ou d’une restitution des libertés soumise à un vaccin plus ou moins obligatoire, questionnent une fois de plus sur la stratégie gouvernementale et son refus de traiter la maladie par des protocoles sûrs et éprouvés à l’étranger.

Nous vous écrivons aujourd’hui car, outre la crise sanitaire sur laquelle beaucoup reste à dire, nous assistons en France à ce que l’on pourrait qualifier de dérive autoritaire, les mesures sanitaires et leur application privant plus que jamais le peuple français de ses libertés les plus fondamentales : liberté de travailler, liberté de déplacement, liberté d’expression même. Écartés de cette crise, les élus du peuple, maires et députés, ne peuvent ni représenter les intérêts des français, ni s’assurer du respect de leurs droits. Alors qu’une opposition populaire de plus en plus marquée s’élève contre l’action gouvernementale et contre ce qui s’apparente à des mesures autoritaires abusives, les français ne recherchent pas la création d’un contre-pouvoir, mais la simple protection que leurs élus leurs doivent.

En votre qualité d’élu, il est de votre droit, mais aussi de votre responsabilité, de protéger vos administrés contre des mesures économiquement, sanitairement et socialement destructrices. Nous vous demandons donc d’user de vos compétences, comme de nombreux maires avant vous, pour alléger le poids de la crise sur vos administrés. Il vous appartient de dispenser ces derniers des mesures sanitaires les plus contraignantes, de mettre fin aux contrôles et aux amendes abusives, et de rendre aux français une qualité de vie décente. Ils vous en seront plus que reconnaissants tant le gouvernement français peine à les entendre depuis un an.

En espérant vous avoir sensibilisé aux grandes difficultés que les français subissent actuellement, ainsi qu’aux espoirs que nous mettons dans votre action, nous joignons à notre requête des liens d’informations susceptibles de vous intéresser. 

Dans l’attente d’une réponse de votre part, veuillez recevoir, Madame le Maire, Monsieur le Maire, chers Élus, l’expression de notre considération.

Signature (Nom Prénom)

Signature


Liens et sources :

  1. Récession économique : 
  1. Faillites :
  1. Suicides et dépression :
  1. Experts en France : Christian Perronne, Laurent Toubiana, Alexandra Henrion-Caude, Didier Raoult, Jean-François Toussaint, Pascal Sacré (Belgique), Louis Fouché, Luc Montagnier, Violaine Guérin, Martine Wonner, le collectif Laissons Les Médecins Prescrire, Gérard Maudrux, Bernard Kron
    Experts à l’étranger : Dolores Cahill (Irlande), Heiko Schöning (Allemagne), Hector Carvallo (Argentine), Femi Babalola (Nigéria), Waheed Shouman (Egypte), Tess Lawrie (Angleterre), la FLCCC (Etats-Unis), Pierre Kory (Etats-Unis) Satoshi Oruma (Japon)
  1. La Suède vs la France (La Suède n’a jamais confiné ni imposé le port du masque) : 
  1. Espagne (qui a rouvert fin-Février. Depuis, le nombre de mort est en chute libre) : 
  1. Etats-Unis (Texas, plus de port du masque et réouverture totale depuis 3 semaines et depuis le nombre de mort est en chute libre) :
  1. Les doutes sur l’efficacité du confinement et John Ioannidis : 
  1. Asymptomatiques : 
  1. Taux de mortalité du virus :

    Au 09/04/2021, le nombre de décès dus au covid-19 est de 98 065 pour une population de 67,06 millions d’habitants. Le taux de mortalité du covid-19 est de 98 065 / 67 060 000 x 100 = 0,15 %, ou 15 morts pour 10 000 habitants.

  1. Hycroxychloroquine/Azythromycine : 
  1. Pays utilisant l’hydroxychloroquine : 
  1. Les tests potentiellement dangereux : 

La liste des adresse e-mail des mairies : 

https://docs.google.com/spreadsheets/d/14IOECDKxJRcvTcbCy0lrLzDMP8sjTLtfh1oSJzQtKPQ/edit?usp=sharing

Code postal Commune Adresse courriel
01000 Bourg-en-Bresse courrier@bourgenbresse.fr
01100 Oyonnax administration.generale@oyonnax.fr
01504 Ambérieu-en-Bugey secretariat@mairie-amberieuenbugey.fr
02100 St-Quentin mairie@saint-quentin.fr
02140 Vervins mairie@vervins.fr
02209 Soissons contact@ville-soissons.fr
02400 Château-Thierry contact@ville-chateau-thierry.fr
03016 Moulins accueil.hotel-ville@ville-moulins.fr
03106 Montluçon contact@mairie-montlucon.fr
03201 Vichy mairie@ville-vichy.fr
04000 Digne-les-Bains cabinet.mairie@dignelesbains.fr
04101 Manosque accueil@dlva.fr
04200 Sisteron mairie@sisteron.fr
04400 Barcelonnette mairie@ville-barcelonnette.fr
05000 Gap mairie@ville-gap.fr
05100 Briançon affaires.generales@mairie-briancon.fr
06131 Grasse info@ville-grasse.fr
06160 Antibes mairie@ville-antibes.fr
06414 Cannes mairie@ville-cannes.fr
06502 Menton mairie@ville-menton.fr
06800 Cagnes-sur-Mer nous-contacter@cagnes.fr
07006 Privas mairie.privas@privas.fr
07104 Annonay accueil@annonay.fr
07110 Largentière contact@largentiere.fr
07200 Aubenas contact@aubenas.fr
08109 Charleville-Mézières interieur@amcmz.fr
08200 Sedan sedan.contact@mairie-sedan.fr
08300 Rethel contact@villederethel.fr
08400 Vouziers ville@ville-vouziers.fr
09000 Foix secretariat@mairie-foix.fr
09100 Pamiers contact@ville-pamiers.fr
09201 Saint-Girons contact@ville-st-girons.fr
10026 Troyes mairie@ville-troyes.fr
10100 Romilly-sur-Seine infos@ville-romilly-sur-seine.fr
10202 Bar-sur-Aube mairie@barsuraube.fr
10400 Nogent-sur-Seine communication@ville-nogent-sur-seine.fr
11000 Carcassonne lemaire@mairie-carcassonne.fr
11108 Narbonne accueil.hdv@mairie-narbonne.fr
11300 Limoux mairie@limoux.fr
11491 Castelnaudary contact@ville-castelnaudary.fr
12000 Rodez contact@mairie-rodez.fr
12101 Millau dgs@millau.fr
12203 Villefranche-de-Rouergue mairie@villefranchederouergue.fr
13000 Marseille maire-de-marseille@mairie-marseille.fr
13616 Aix-en-Provence communication@mairie-aixenprovence.fr
13657 Salon-de-Provence accueil.hotelville@salon-de-provence.org
13692 Martigues le-maire@ville-martigues.fr
13310 Saint-Martin-de-Crau mairie@stmartindecrau.fr
14027 Caen dec@caen.fr
14100 Lisieux contact@ville-lisieux.fr
14402 Bayeux cabinetdumaire@mairie-bayeux.fr
14500 Vire Normandie contact.vire@virenormandie.fr
15005 Aurillac administration@aurillac.fr
15102 Saint-Flour mairie@saint-flour.fr
15200 Mauriac mairie@mauriac.fr
16016 Angoulême angouleme@mairie-angouleme.fr
16025 Soyaux mairie@mairie-soyaux.fr
17086 La Rochelle mairie@ville-larochelle.fr
17107 Saintes info@ville-saintes.fr
17205 Royan mairie@mairie-royan.fr
17301 Rochefort mairie@ville-rochefort.fr
17415 Saint-Jean-d’Angély ville@angely.net
18020 Bourges elections-s@ville-bourges.fr
18100 Vierzon info@ville-vierzon.fr
18200 Saint-Amand-Montrond direction.generale.services@ville-saint-amand-montrond.fr
19012 Tulle admin@ville-tulle.fr
19208 Ussel mairie@ussel19.fr
19312 Brive-la-Gaillarde contact@brive.fr
19361 Malemort mairie@malemort.org
20410 Bastia mairie@bastia.corsica
20304 Ajaccio mairie@ajaccio.fr
21033 Dijon contact@ville-dijon.fr
21205 Beaune beaune@mairie-beaune.fr
21500 Montbard mairie.montbard@wanadoo.fr
22023 Saint-Brieuc contact@saint-brieuc.fr
22205 Guingamp mairie@ville-guingamp.com
22303 Lannion contact.mairie@lannion.bzh
23006 Guéret mairie@ville-gueret.fr
23200 Aubusson secretariat@ville-aubusson.fr
24019 Périgueux contact@perigueux.fr
24108 Bergerac contact@bergerac.fr
24206 Sarlat-la-Canéda info@sarlat.fr
25034 Besançon besancon@besancon.fr
25205 Montbéliard contact@montbeliard.com
25304 Pontarlier mairie.pontarlier@ville-pontarlier.com
26110 Nyons mairiedenyons@nyons.com
26150 Die administration@mairie-die.fr
26216 Montélimar dgs@montelimar.fr
27001 Evreux proximite@evreux.fr
27106 Val-de-Reuil mairie@valdereuil.fr
27140 Gisors direction.generale@mairie-gisors.fr
27307 Bernay mairie@bernay27.fr
27207 Vernon mairie@vernon27.fr
27406 Louviers accueil@ville-louviers.fr
27504 Pont-Audemer info@ville-pont-audemer.fr
27700 Les Andelys contact@ville-andelys.fr
28000 Chartres contact@ville-chartres.fr
28103 Dreux contact@ville-dreux.fr
28200 Châteaudun cabinetdumaire@mairie-chateaudun.fr
28400 Nogent-le-Rotrou contact@ville-nogent-le-rotrou.fr
29107 Quimper contact@quimper.bzh
29238 Brest contact@mairie-brest.fr
29671 Morlaix secretariatgeneral@villedemorlaix.org
30100 Ales contact@ville-ales.fr
30123 Le Vigan service.accueil@levigan.fr
31040 Toulouse dircom@mairie-toulouse.fr
31600 Muret accueil@mairie-muret.fr
31806 Saint-Gaudens secretariatgeneral@stgo.fr
32007 Auch accueil@mairie-auch.fr
32100 Condom mairie.condom@condom.org
33505 Libourne contact@mairie-libourne.fr
33260 La-Teste-de-Buch mairie@latestedebuch.fr
33210 Langon contact@langon33.fr
34267 Montpellier mairie@ville-montpellier.fr
34200 Sète contact@ville-sete.fr
34306 Agde contact@ville-agde.fr
34500 Béziers contact@ville-beziers.fr
34702 Lodève mairie@lodeve.com
35031 Rennes ville.rennes@ville-rennes.fr
35301 Fougères mairie@fougeres.fr
35418 Saint-Malo secretaire-maire@saint-malo.fr
35506 Vitré info@mairie-vitre.fr
35601 Redon communication@mairie-redon.fr
36012 Châteauroux communication@ville-chateauroux.fr
36200 Argenton-sur-Creuse contact@mairie-argenton-sur-creuse.fr
36105 Issoudun mairie@issoudun.fr
36300 Le Blanc maire@ville-leblanc.fr
37402 Amboise courrier@ville-amboise.fr
37500 Chinon nmartin@ville-chinon.com
37926 Tours webmestre@ville-tours.fr
38021 Grenoble contactville@grenoble.fr
38080 L’Isle-d’Abeau contact@mairie-ida.com
38120 Saint-Egrève cabinetdumaire@mairie-st-egreve.fr
38209 Vienne accueil@mairie-vienne.fr
39000 Lons-le-Saunier contact@lonslesaunier.fr
39102 Dole moyens-generaux@dole.org
39206 Saint-Claude info@saint-claude.fr
39302 Champagnole mairie@champagnole.com
40000 Mont-de-Marsan mairie@montdemarsan.fr
40100 Dax information@dax.fr
40230 Saint-Vincent-de-Tyrosse contact@tyrosseville.com
40800 Aire-sur-l’Adour mairie@aire-sur-adour.fr
41100 Vendôme courrier@territoiresvendomois.fr
41300 Salbris cabinet-du-maire@salbris.fr
41350 Vineuil mairie.vineuil@vineuil41.fr
41206 Romorantin-Lanthenay info@romorantin.fr
41500 Mer contact@mer41.fr
42007 Saint-Etienne courriermairie@saint-etienne.fr
42328 Roanne accueil@mairie-roanne.fr
42600 Montbrison mairie@ville-montbrison.fr
43011 Le Puy-en-Velay contact@lepuyenvelay.fr
43101 Brioude accueil@ville-brioude.fr
43120 Monistrol-sur-Loire dgs@monistrol.fr
43201 Yssingeaux mairie@yssingeaux.fr
43600 Sainte-Sigolène contact@ville-sainte-sigolene.fr
44000 Nantes contact@mairie-nantes.fr
44130 Blain mairie@ville-blain.fr
44146 Châteaubriant mairie@ville-chateaubriant.fr
44156 Ancenis-Saint-Géréon mairie@ancenis.fr
44190 Clisson contact@mairie-clisson.fr
44350 Guérande accueil.mairie@ville-guerande.fr
44390 Nort-sur-Erdre accueil@nort-sur-erdre.fr
44500 la Baule-Escoublac accueil@mairie-labaule.fr
44600 Saint-Nazaire contact@mairie-saintnazaire.fr
45040 Orléans info@ville-orleans.fr
45190 Beaugency accueil@ville-beaugency.fr
45207 Montargis secretariat.dgs@montargis.fr
45250 Briare mairie-de-briare@wanadoo.fr
45307 Pithiviers mairie@pithiviers.fr
45330 Les Malesherbois courrier@ville-lemalesherbois.fr
45500 Gien mairie@gien.info
46005 Cahors communication@mairie-cahors.fr
46106 Figeac secretariat.general@ville-figeac.fr
46300 Gourdon contact@gourdon.fr
47110 Saint-Livrade-sur-Lot mairie.livrade@ville-ste-livrade47.fr
47207 Marmande mairie@mairie-marmande.fr
47307 Villeneuve-sur-Lot mairie@mairie-villeneuvesurlot.fr
47400 Tonneins contact@mairie-tonneins.fr
47500 Fumel accueil@mairiefumel.fr
47600 Nérac mairie.nerac@ville-nerac.fr
47700 Casteljaloux accueil@mairie-casteljaloux.fr
47916 Agen mairie.agen@agen.fr
48000 Mende etatcivil@mende.fr
48100 Marvejols contact@ville-marvejols.fr
49020 Angers mairie.angers@ville.angers.fr
49290 Chalonnes-sur-Loire mairie@chalonnes-sur-loire.fr
49321 Cholet adc@choletagglomeration.fr
49408 Saumur contact@ville-saumur.fr
49500 Segré-en-Anjou Bleu segre@segreenanjoubleu.fr
49602 Beaupréau-en-Mauges accueil@beaupreauenmauges.fr
49700 Doué-en-Anjou mairie@douee-en-anjou.fr
50108 Cherbourg-en-Cotentin mairie@cherbourg.fr
50200 Coutances mairie@ville-coutances.fr
50302 Avranches mairie@avranches.fr
50500 Carentan-les-Marais mairie.contact@carentan.fr
51022 Châlons-en-Champagne mairie@chalonsenchampagne.fr
51200 Epernay contact@ville-epernay.fr
51308 Vitry-le-François contact@vitry-le-francois.net
51722 Reims accueil@reims-contact.fr
51801 Saint-Ménehould mairie@ste-menehould.fr
52012 Chaumont contact@ville-chaumont.fr
52115 Saint Dizier com@mairie-saintdizier.fr
52206 Langres accueil@langres.fr
53013 Laval mairie@laval.fr
53103 Mayenne contact@mayennecommunaute.fr
53204 Château-Gontier chateau-gontier@chateaugontier.fr
53500 Ernée accueil@ville-ernee.fr
53600 Evron mairie@evron.fr
54035 Nancy nancyendirect@nancy.fr
54150 Briey etat-civil@ville-briey.fr
54190 Villerupt accueil@mairie-villerupt.fr
54301 Lunéville accueil@mairie-luneville.fr
54310 Homécourt mspiess@mairie-homecourt.fr
54400 Longwy accueil@mairie-longwy.fr
54500 Vandœuvre-lès-Nancy contact@vandoeuvre.fr
54701 Pont-à-Mousson mairie@ville-pont-a-mousson.fr
55012 Bar-le-Duc communication@barleduc.fr
55107 Verdun mairie-verdun@grandverdun.fr
55205 Commercy mairie@commercy.fr
55300 Saint-Mihiel mairie-saintmihiel@wanadoo.fr
55500 Ligny-en-Barrois mairie@lignyenbarrois.fr
56019 Vannes contact@mairie-vannes.fr
56300 Pontivy secretariat.general@ville-pontivy.fr
56315 Lorient contact@mairie-lorient.fr
56400 Auray courrier.mairie@ville-auray.fr
56607 Lanester mairie@ville-lanester.fr
56700 Hennebont contact@mairie-hennebont.fr
57125 Thionville contact@mairie-thionville.fr
57216 Sarreguemines courrier@mairie-sarreguemines.fr
57400 Sarrebourg mairie@mairie-sarrebourg.fr
57600 Forbach contact@mairie-forbach.fr
57700 Hayange mairie@ville-hayange.fr
57950 Montigny-lès-Metz mairie@montigny-les-metz.fr
58206 Cosne-Cours-sur-Loire accueil@mairie-cosnesurloire.fr
58405 la Charité-sur-Loire mairie@lacharitesurloire.fr
58500 Clamecy mairie.clamecy@wanadoo.fr
58642 Fourchambault accueil.administration@mairie-fourchambault.fr
59033 Lille contactmairie@mairie-lille.fr
59100 Roubaix contact@ville-roubaix.fr
59140 Dunkerque mairiededunkerque@ville-dunkerque.fr
59524 Hazebrouck contact@ville-hazebrouck.fr
59304 Valenciennes contact@ville-valenciennes.fr
59407 Cambrai contact@villedecambrai.com
59427 Armentières cabmaire@ville-armentieres.fr
59652 Villeneuve-d’Ascq iciva@villeneuvedascq.fr
59508 Douai contact@ville-douai.fr
60021 Beauvais contact@beauvais.fr
60100 Creil info@mairie-creil.fr
60111 Méru services@ville-meru.fr
60170 Ribécourt-Dreslincourt mairie@ribecourt-dreslincourt.fr
60180 Nogent-sur-Oise contact@nogentsuroise.fr
60300 Senlis mairie@ville-senlis.fr
60321 Compiègne courrier@mairie-compiegne.fr
60406 Noyon accueil@noyon.fr
60500 Chantilly maire@ville-chantilly.fr
60600 Clermont contact@mairie-clermont.fr
60721 Pont-Sainte-Maxence mairie@pontsaintemaxence.fr
60800 Crépy-en-Vélois contact@crepyenvalois.fr
61014 Alençon cabinet@ville-alencon.fr
61120 Vimoutiers contact@vimoutiers.fr
61201 Argentan mairie@argentan.fr
61104 Flers accueil@flers-agglo.fr
61600 la Ferté Macé mairie@lafertemace.fr
62022 Arras nousecrire@ville-arras.fr
62107 Calais courrier@mairie-calais.fr
62110 Hénin-Beaumont contact@mairie-heninbeaumont.fr
62200 Boulogne-sur-Mer mairie@ville-boulogne-sur-mer.fr
62230 Outreau mairie@ville-outreau.fr
62400 Béthune contact@ville-bethune.fr
62480 Le Portel mairie@ville-leportel.fr
62505 Saint-Omer service-administres@ville-saint-omer.fr
62600 Berck mairie@berck-sur-mer.com
62630 Etaples accueil@etaples-sur-mer.net
63033 Clermont-Ferrand contact@ville-clermont-ferrand.fr
63201 Riom contact@ville-riom.fr
63300 Thiers communication@thiers.fr
63500 Issoire contact@issoire.fr
63600 Ambert mairie@ville-ambert.fr
63804 Cournon-d’Auvergne contact@cournon-auvergne.fr
64036 Pau contact@ville-pau.fr
64100 Bayonne m.le.maire@bayonne.fr
64202 Biarritz mairie@biarritz.fr
64301 Orthez accueil@mairie-orthez.fr
64404 Oloron-Sainte-Marie dgs@oloron-ste-marie.fr
64500 Saint-Jean-de-Luz contact@saintjeandeluz.fr
65013 Tarbes secr.gen@mairie-tarbes.fr
65100 Lourdes sg@ville-lourdes.fr
65201 Bagnères-de-Bigorre cabinet.maire@ville-bagneresdebigorre.fr
65300 Lannemezan internetlannemezan@gmail.com
66130 Ille-sur-Têt mairie@ille-sur-tet.com
66400 Céret administration@mairie-ceret.fr
66500 Prades vila.fabienne@mairiedeprades.com
66931 Perpignan monsieur.le.maire@mairie-perpignan.com
67076 Strasbourg courrier@strasbourg.eu
67129 Molsheim renseignements@molsheim.fr
67160 Wissembourg accueil@mairie-wissembourg.fr
67241 Bischwiller infos@bischwiller.com
67504 Haguenau ecrire@agglo-haguenau.fr
67600 Sélestat mairie@ville-selestat.fr
67703 Saverne info@mairie-saverne.fr
68021 Colmar contact@colmar.fr
68130 Altkirch secretariat.general@mairie-altkirch.fr
68152 Ribeauvillé mairie@ribeauville.fr
68160 Sainte-Marie-aux-Mines contact@ville-saintemarieauxmines.fr
68303 Saint-Louis secretariat.general@ville-saint-louis.fr
68503 Guebwiller accueil@ville-guebwiller.fr
68800 Thann contact@ville-thann.fr
68948 Mulhouse service-accueil@mulhouse-alsace.fr
69170 Tarare mairie@ville-tarare.fr
69220 Belleville contact@mairie-belleville.fr
69631 Vénissieux contact@ville-venissieux.fr
69601 Villeurbanne communication@mairie-villeurbanne.fr
69653 Villefranche-sur-Saône com@villefranche.net
69700 Givors accueil.unique@ville-givors.fr
70014 Vesoul ville-vesoul@vesoul.fr
70103 Gray mairie@ville-gray.fr
70204 Lure mairie@lure.fr
70306 Luxeuil-les-Bains mairie@luxeuil-les-bains.fr
70400 Héricourt mairie@hericourt.com
71018 Mâcon webmaster@ville-macon.fr
71206 Creusot mairie.creusot@ville-lecreusot.fr
71321 Chalon-sur-Saône mairie@chalon.fr
71300 Montceau-les-Mines mairie@montceaulesmines.fr
71403 Autun autun@autun.com
72039 Le Mans mairie@lemans.fr
72205 La Flèche contact@ville-lafleche.fr
72600 Mamers mairie.mamers@wanadoo.fr
73011 Chambéry chambery@mairie-chambery.fr
73103 Aix-les-Bains mairie@aixlesbains.fr
73207 Albertville ville@albertville.fr
73302 Saint-Jean-de-Maurienne mairie@saintjeandemaurienne.fr
73704 Bourg-Saint-Maurice mairie@bourgsaintmaurice.fr
74011 Annecy mairie@ville-annecy.fr
74107 Annemasse direction.generale@annemasse.fr
74136 Bonneville courrier@ville-bonneville.fr
74152 Rumilly contact@mairie-rumilly74.fr
74164 Saint-Julien-en-Genevois info@st-julien-en-genevois.fr
74203 Thonon-les-Bains mairie@ville-thonon.fr
74302 Cluses mairie@cluses.fr
74402 Chamonix-Mont-Blanc sg@chamonix-mont-blanc.fr
74502 Evian-les-Bains courrier@ville-evian.fr
74706 Sallanches contact@sallanches.fr
76037 Rouen rouen@rouen.fr
76203 Dieppe mairie@mairie-dieppe.fr
76084 Le Havre mairieduhavre@lehavre.fr
76196 Yvetot mairie@yvetot.fr
76210 Bolbec communication@bolbec.fr
76404 Fécamp directiongenerale@ville-fecamp.fr
77160 Provins info@mairie-provins.fr
77120 Coulommiers resp.communications@coulommiers.fr
77130 Montereau-Fault-Yonne etatcivil@ville-montereau77.fr
77140 Nemours mairie@ville-nemours.fr
77190 Dammarie-les-Lys info@mairie-dammarie-les-lys.fr
77200 Torcy info@ville-torcy.fr
77216 Avon mairie@avon77.com
77300 Fontainebleau standard@fontainebleau.fr
77350 le Mée-sur-Seine info@lemeesurseine.fr
77370 Nangis contact@mairie-nangis.fr
77505 Chelles maire@chelles.fr
78011 Versailles versailles@versailles.fr
78101 Saint-Germain-en-Laye courrier@saintgermainenlaye.fr
78180 Montigny-le-Bretonneux mairie@montigny78.fr
78195 Trappes courrier.dg@mairie-trappes.fr
78200 Mantes-la-Jolie service-etat-civil@manteslajolie.fr
78303 Poissy courrier@ville-poissy.fr
78506 Sartrouville mairie@ville-sartrouville.fr
78605 Maisons-Laffitte accueil@maisonslaffitte.fr
78703 Conflans-Sainte-Honorine ville@mairie-conflans.fr
79027 Niort mairie@mairie-niort.fr
79103 Thouars info@ville-thouars.fr
79200 Parthenay mairie-parthenay@cc-parthenay-gatine.fr
79302 Bressuire mairie@ville-bressuire.fr
79700 Mauléon mairie@mauleon.fr
80027 Amiens maire-amiens@amiens-metropole.com
80101 Abbeville contact@abbeville.fr
80201 Peronne accueil@ville-peronne.fr
80301 Albert mairie@ville-albert.fr
80500 Montdidier mairie@ville-montdidier.fr
80600 Doullens contact@mairie-doullens.fr
80700 Roye contact.mairie@roye.eu
81023 Albi secretariat.general@mairie-albi.fr
81108 Castres mairie@ville-castres.fr
81160 Saint-Juéry accueil@ville-saint-juery.fr
81200 Aussillon contact@ville-aussillon.fr
81400 Carmaux accueil@carmaux.fr
81304 Graulhet mairie@mairie-graulhet.fr
81600 Gaillac secretariats@ville-gaillac.fr
82013 Montauban mairiemontauban@montauban.com
82103 Castelsarrasin mairie@ville-castelsarrasin.fr
82200 Moissac mairie@moissac.fr
82300 Caussade secretariat@mairie-caussade.com
83183 Six-Fours-les-Plages doleances@mairie-six-fours.fr
83177 Brignoles contact@brignoles.fr
83300 Draguignan mairie@ville-draguignan.fr
83608 Fréjus info@ville-frejus.fr
83412 Hyères mairie@ville-hyeres.fr
83500 la Seyne-sur-Mer courrier@la-seyne.fr
83701 Saint-Raphaël monsieurlemaire@ville-saintraphael.fr
84045 Avignon allo.mairie@mairie-avignon.com
84106 Orange cabinetdumaire@ville-orange.fr
84134 le Pontet communication@mairie-lepontet.fr
84110 Vaison-la-Romaine mairie@vaison-la-romaine.com
84120 Pertuis communication@mairie-pertuis.fr
84208 Carpentras mairie@carpentras.fr
84300 Cavaillon accueil@ville-cavaillon.fr
84405 Apt mairie@apt.fr
84505 Bollène mairie@ville-bollene.fr
84706 Sorgues mairie@sorgues.fr
84801 L’Isle-sur-la-Sorgue courrier@islesurlasorgue.fr
85021 la Roche-sur-Yon mairie@larochesuryon.fr
85118 les Sables-d’Olonne contact@lessablesdolonne.fr
85201 Fontenay-le-Comte courrier@ville-fontenaylecomte.fr
85302 Challans mairie@challans.fr
85502 les Herbiers mairie@lesherbiers.fr
86021 Poitiers cab.protocole.manifestations@grandpoitiers.fr
86100 Châtellerault webmaster-ville@chatellerault.fr
86200 Loudun mairie@ville-loudun.fr
86300 Chauvigny contact-mairie@chauvigny.fr
86500 Montmorillon accueil@ville-montmorillon.fr
87031 Limoges lemaire@ville-limoges.fr
87310 Saint-Laurent-sur-Gorre mairie.stlaurent.gorre@wanadoo.fr
87500 Saint-Yrieix-la-Perche etat-civil@saint-yrieix.fr
87700 Aixe-sur-Vienne mairie@mairie-aixesurvienne.fr
88026 Epinal mairie@epinal.fr
88107 Saint-Dié-des-Vosges contact@ville-saintdie.fr
88110 Raon-l’Etape mairiederaonletape@wanadoo.fr
88204 Remiremont mairie@remiremont.fr
88250 la Bresse info@labresse.fr
88306 Neufchâteau accueil@mairie-neufchateau.fr
88407 Gérardmer villedegerardmer@mairie-gerardmer.com
88500 Mirecourt mairie@mirecourt.fr
88700 Rambervillers mairie@rambervillers.fr
88803 Vittel mairie@ville-vittel.fr
89012 Auxerre mairie@auxerre.com
89108 Sens courrier@mairie-sens.fr
89206 Avallon contact@ville-avallon.fr
89306 Joigny mairie@ville-joigny.fr
89700 Tonnerre bienvenue@mairie-tonnerre.fr
89600 Saint-Florentin accueil@ville-saintflorentin.fr
90020 Belfort courrier@mairie-belfort.fr
90100 Delle mairie@delle.fr
90500 Beaucourt contact@ville-beaucourt.fr
91090 Evry-Courcouronnes evrycourcouronnes@evrycourcouronnes.fr
91108 Corbeil-Essonnes bechter.jp@mairie-corbeil-essonnes.fr
91125 Palaiseau contact@mairie-palaiseau.fr
91150 Etampes mairie@mairie-etampes.fr
91178 Viry accueil@viry-chatillon.fr
91200 Athis-Mons mme-lemaire@mairie-athis-mons.fr
91210 Draveil courrier@mairiedraveil.fr
91270 Vigneux-sur-Seine monsieurlemaire@vigneux91.fr
91300 Massy demarches@mairie-massy.fr
91600 Savigny-sur-Orge contact@savigny.org
91700 Sainte-Geneviève-des-Bois le-maire@sgdb91.com
92104 Boulogne-Billancourt SCC@mairie-boulogne-billancourt.fr
92161 Antony webmaster@ville-antony.fr
93100 Montreuil standard@montreuil.fr
93143 Bondy communication@ville-bondy.fr
93161 Noisy-le-Grand accueil.01@ville-noisylegrand.fr
93200 Saint-Denis mairie.saint.denis@ville-saint-denis.fr
93240 Stains contact@stains.fr
93602 Aulnay-sous-Bois comexterne@aulnaysousbois.com
93701 Drancy mairie@drancy.fr
93806 Épinay-sur-Seine contact@epinay-sur-seine.fr
94000 Créteil le-webmestre@ville-creteil.fr
94100 Saint-Maur-des-Fossés nouscontacter@mairie-saint-maur.com
94125 Fontenay-sous-Bois dircom@fontenay-sous-bois.fr
94205 Ivry-sur-Seine courrier@ivry94.fr
94407 Vitry-sur-Seine infovitry@mairie-vitry94.fr
94500 Champigny-sur-Marne monsieur-le-mairie@mairie-champigny94.fr
94600 Choisy-le-Roi courrier@choisyleroi.fr
94700 Maisons-Alfort ville@maisons-alfort.fr
95132 Franconville monsieurlemaire@ville-franconville.fr
95162 Montmorency communication@ville-montmorency.fr
95191 Goussainville mairie@ville-goussainville.fr
95200 Sarcelles comsarcelles@yahoo.fr
95220 Herblay-sur-Seine mairie@herblay.fr
95300 Pontoise webmaster@ville-pontoise.fr
95600 Eaubonne accueil@eaubonne.fr
95801 Cergy contact@ville-cergy.fr
95875 Bezons courrier@mairie-bezons.fr



Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !

Quand l’académie de médecine nous confirme que les décodeurs du Monde devraient démissionner s’ils avaient la moindre dignité !

Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !

Par Alain Tortosa

Cela fait des mois que nous disons que les écouvillons utilisés pour les tests PCR peuvent être dangereux pour la santé et qu’il est important de faire attention à leur utilisation, surtout pour les enfants.

Toutes les publications que nous faisons et faisions sur Facebook ou Tweeter étaient ou sont encore censurées au motif que c’est une « désinformation ».

Ces réseaux sociaux dictatoriaux se basaient notamment sur les fameux décodeurs du « journal » « Le Monde ».

Rappelons que ce « grand » organe de « presse » « indépendant » a été subventionné par la fondation Bill Gates depuis des années à hauteur de quelques millions d’euros.

Que nous disait cette usine à manipulation des masses en juillet avec l’aide de médecins, au mieux incompétents, au pire corrompus :

« Coronavirus : non, les tests PCR ne mettent pas le cerveau en danger »

(([1] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/07/21/coronavirus-non-les-tests-pcr-ne-mettent-pas-le-cerveau-en-danger_6046826_4355770.html)) — Le Monde 21 juillet 2020.

Et de rajouter :

« L’utilisation d’écouvillons pour aller effectuer des prélèvements au fond du nez n’est pas une nouveauté : cette méthode est utilisée depuis des années pour rechercher d’autres virus, ce qui donne un certain recul sur sa sécurité. »

« Dans tous les cas, l’écouvillon ne touche pas la barrière hémato-encéphalique, contrairement à ce qu’affirme la rumeur. Il touche la partie supérieure du pharynx, derrière la fosse nasale, comme on peut également le voir dans cette vidéo (c’est pourquoi on parle d’un prélèvement nasopharyngé). »

« Un écouvillonnage n’entre pas au contact de la barrière hémato-encéphalique, il faudrait qu’il franchisse la muqueuse et l’os du crâne pour l’atteindre ! », rappelait récemment Daniel Dunia, directeur de recherche en neurovirologie au CNRS, à 20 Minutes. »

L’objet de la publication est de bien prouver au public que l’écouvillon ne présente aucun danger (barrière hémato-encéphalique ou pas)

En septembre 2020 j’alertais sur le fait qu’il n’existait pas d’études sur le danger des écouvillons et que cela me semblait totalement délirant.

La seule étude que j’avais trouvé comparait des écouvillons 3d avec des écouvillons classiques et de conclure :

«L’épistaxis (saignement de nez) est survenue immédiatement ou peu après le retrait de l’écouvillon chez 5,0 % des employés testés avec l’écouvillon 3D et chez 8,3 % des employés testés avec l’écouvillon commercial »

Notez que 8 % de saignement de nez ce n’est pas rien !

Et voici que l’académie de médecine vient à notre secours, une fois n’est pas coutume

« Les prélèvements nasopharyngés ne sont pas sans risque »

(([2] https://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2021/04/Les-pr%C3%A9l%C3%A8vements-nasopharyng%C3%A9s-ne-sont-pas-sans-risque-1.pdf)) — 8 avril 2021

Et de préciser…

« Devant la multiplication et la répétition des prélèvements, parfois effectués dans des conditions inadaptées, il importe de rappeler les précautions à observer et les risques encourus. Si certaines complications peuvent être considérées comme bénignes (désagrément, douleur ou saignement), de graves complications commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines, notamment des brèches de l’étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite ».

(([3] Sullivan CB et al. Cerebrospinal Fluid Leak After Nasal Swab Testing for Coronavirus Disease 2019. JAMA Otolaryngol Head Neck Surg. 2020 dec 1 ; 146(12):1179-1181.))

« De plus, l’Académie nationale de médecine recommande :
de réserver la pratique des prélèvements nasopharyngés aux professionnels de santé formés pour la réalisation de ce geste dans des conditions techniques rigoureuses ;
chez les enfants, de privilégier les prélèvements salivaires pour leur sécurité et leur acceptabilité… »

Les décodeurs du Monde vont-ils censurer l’académie de médecine ?

Vont-ils faire leur mea-culpa et présenter des excuses ?

Ne soyons pas naïfs, ils vont continuer à nous manipuler comme ils le font depuis le début de la crise.

Réveillons-nous !

Merci.

Alain Tortosa.
Auteur du livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210408-ecouvillon-danger.pdf




La lumière solaire inactive le coronavirus 8 fois plus vite que prévu

[Source : dailygeekshow.com]

90 % de ses particules infectieuses sont inactivées après seulement une demi-heure d’exposition à la lumière estivale.

Des chercheurs américains plaident pour des recherches plus approfondies sur la façon dont la lumière solaire inactive le SARS-CoV-2, après avoir mis en évidence un important écart entre la théorie la plus récente en la matière et les résultats expérimentaux.

UN ÉCART CONSÉQUENT

Dans le cadre d’une étude publiée dans The Journal of Infectious DiseasesPaolo Luzzatto-Fegiz et ses collègues de l’UC Santa Barbara ont constaté que le coronavirus était inactivé jusqu’à huit fois plus rapidement que ne le prévoyait le modèle théorique le plus récent, supposant que l’inactivation se produit lorsque les UVB frappent l’ARN du virus et l’endommagent. Selon l’équipe, un tel écart suggère que d’autres processus, dont la compréhension pourrait s’avérer utile pour maîtriser le virus, sont impliqués.

Le rayonnement ultraviolet est facilement absorbé par certaines bases d’acide nucléique de l’ADN et de l’ARN, ce qui peut entraîner leur liaison d’une manière difficile à rétablir. Mais tous les rayons UV ne sont pas identiques. Alors que les ondes UV plus longues, appelées UVA, se révèlent trop peu énergétiques pour causer des problèmes, les ondes moyennes UVB de la lumière solaire sont principalement responsables de la destruction des microbes et de l’endommagement de nos propres cellules lorsque nous y sommes exposés.

Si les rayons UVC à ondes courtes s’avèrent efficaces contre des virus tels que le SARS-CoV-2, même lorsqu’il se trouve à l’intérieur de fluides humains, ceux-ci sont bloqués par la couche d’ozone. « Les UVC sont excellents pour les hôpitaux », souligne Julie McMurry, toxicologue à l’université d’État de l’Oregon et co-auteure de l’étude. « Mais dans d’autres environnements – par exemple, les cuisines ou les métros – les UVC interagiraient avec les particules pour produire de l’ozone nocif. »

— Ed Connor / Shutterstock.com

En juillet 2020, une étude expérimentale avait testé les effets de la lumière UV sur le SARS-CoV-2 dans une salive simulée et montré que le virus était inactivé lorsqu’il était exposé à la lumière solaire simulée pendant 10 à 20 minutes. À l’époque, ses auteurs avaient conclu que « la lumière naturelle du Soleil pouvait s’avérer efficace pour désinfecter les matériaux non poreux contaminés ».

90 % DES PARTICULES INFECTIEUSES INACTIVÉES EN 30 MINUTES

Pour ces nouveaux travaux, Luzzatto-Feigiz et son équipe ont comparé ces résultats avec une théorie concernant le rôle de la lumière solaire dans ce processus, publiée un mois plus tard, et constaté que les calculs ne correspondaient pas. Leur analyse a révélé que le SARS-CoV-2 était trois fois plus sensible aux UV de la lumière solaire que la grippe A, avec 90 % de ses particules infectieuses inactivées après seulement une demi-heure d’exposition à la lumière solaire de midi en été, tandis que celles-ci pouvaient rester intactes pendant des jours lorsqu’elles étaient exposées à la lumière hivernale.

Les calculs environnementaux effectués par une autre équipe de chercheurs ont conclu que les molécules d’ARN du virus étaient endommagées par voie photochimique directement par les rayons lumineux. Ce phénomène s’avérant plus puissant avec des longueurs d’onde de la lumière plus courtes (UVC et UVB), et les UVC n’atteignant pas la surface terrestre, l’équipe de Luzzatto-Feigiz a basé ses calculs sur les UVB, de longueur d’onde moyenne. Ce qui lui a permis de déterminer que « l’inactivation observée expérimentalement dans la salive simulée était plus de huit fois plus rapide que ce que prévoyait le modèle théorique ».

― Gorodenkoff / Shutterstock.com

Selon les chercheurs, il est possible que les UVA n’affectent pas directement l’ARN, mais interagissent avec les molécules du milieu d’essai (salive simulée) d’une manière accélérant l’inactivation du virus. Un phénomène notamment observé dans le domaine du traitement des eaux usées, où les UVA réagissent avec d’autres substances pour créer des molécules qui endommagent les virus.

« NOTRE ANALYSE SOULIGNE LA NÉCESSITÉ DE MENER DES EXPÉRIENCES SUPPLÉMENTAIRES POUR TESTER SÉPARÉMENT LES EFFETS DE LONGUEURS D’ONDE LUMINEUSES SPÉCIFIQUES »

Si les UVA peuvent être exploités pour lutter contre le SARS-CoV-2, des sources lumineuses bon marché et économes en énergie, à longueur d’onde spécifique, pourraient s’avérer utiles pour renforcer les systèmes de filtration de l’air avec un risque relativement faible pour la santé humaine.

« Notre analyse souligne la nécessité de mener des expériences supplémentaires pour tester séparément les effets de longueurs d’onde lumineuses spécifiques et de la composition du milieu de culture », conclut Luzzatto-Feigiz.

Bien que la distanciation sociale et le port du masque restent les moyens les plus sûrs d’éviter le virus, étant donné sa capacité à rester en suspension dans l’air pendant de longues périodes, de telles recherches mettent une nouvelle fois en évidence le rôle de la lumière solaire dans l’atténuation de sa propagation durant les mois les plus chauds.