Cette psychologue détruit Karine Lacombe et les marchands de la peur chez Éric Brunet

[Source : Le Dissident]

https://youtu.be/IpY6udodX54

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Tests PCR : la fraude méthodologique continue et s’aggrave

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Les nouvelles politiques permettront de dégonfler artificiellement les « infections de rupture » chez les vaccinés, tandis que les anciennes règles continueront de gonfler le nombre de cas chez les non-vaccinés.

Le CDC modifie les cycles d’amplification des tests de détection du Covid selon que la personne est vaccinée ou pas! Les normes varient donc à la tête du client.

Le but de la manœuvre est triple :

  • réduire le nombre de personnes infectées au Covid chez les vaccinés ;
  • continuer de stigmatiser les non-vaccinés pour les pousser à courir se faire injecter ;
  • montrer une amélioration de la situation grâce aux mesures totalitaires que l’ensemble des États ont adoptées sous l’égide de l’OMS, elle-même financée par la haute finance dont le délégué connu est Bill Gates.

Nous étions depuis des paquets d’années les otages de ces individus par la création monétaire contre dettes. Le problème est que depuis, ils ont fait des progrès en mettant la main sur notre santé.

Je rappelle que ces gens de la Planète finance accueillent dans leur haut lieu la mafia globalisée. Je vous remets ce passage de Dépossession pour tenter de susciter quelque chose en vous :

« Le problème est que ceux qui parlent d’un monde meilleur, où tout individu recevrait un revenu de base universel, où la propriété privée serait abolie, où la vie intime de l’humanité serait aussi transparente que celle du poisson rouge dans son bocal, omettent d’analyser le contexte global.  Celui-ci est celui d’une planète qui aura été privatisée à un niveau global. Certes peu tangible au niveau local, mais cela ne change rien au fait qu’elle serait aux mains de propriétaires et de leurs gestionnaires totalement inconnus, car cachés derrière des sociétés-écrans. 

Personne ne sait quel rôle y joueraient les membres de la mafia, par exemple.

Dans pareil environnement, l’humain pourrait bien être exploité à l’envi et le mot « servir » pourrait parfaitement laisser la place à « asservir ». La chose serait facile à implémenter grâce à la connexion permanente aux systèmes informationnels. L’arrivée subite de la technologie blockchain au lendemain de la crise des subprimes, la surveillance permanente par les entreprises de la technologie de la Silicon Valley, et la promotion du post-humanisme, sont des concepts clés qui nous indiquent la vision des nouveaux maîtres des lieux.À un journaliste de Science & Vie qui lui demande : « Quelle sera l’utilité des humains dans un tel monde ? Que ferons-nous de milliards d’humains sans valeur économique ? », Harari, professeur tout de même à l’Université hébraïque de Jérusalem, répond : 

« Nous ne savons pas. Nous n’avons pas de modèle économique pour une telle situation. Ce pourrait bien être la plus grande question économique et politique du 21e siècle. »

Dépossession-2018

Ces gens ont actuellement tous les pouvoirs et ils se rient des miséreux, des sans dents et autres bénéficiaires de l’aide sociale. Ils usent et abusent de la propagande bien sûr, mais aussi d’une manipulation méthodologique et scientifique crasse indigne de l’Occident. Il est temps que les intellectuels et les scientifiques de bonne volonté se démarquent de cette mascarade qui est en train de faire chavirer l’humanité.

Quand la revue Science jette un pavé dans la mare en admettant la probabilité que le virus a été fabriqué en labo, avez-vous vu quelqu’un réclamer une enquête? Est-ce qu’un média grand public a relayé l’information de manière massive?

Pourtant nous sommes concernés par sa genèse et son devenir! Or, on nous dit qu’il va devenir endémique et on nous en promet d’autres à venir. Tant qu’à faire!

Nous voyons bien aujourd’hui que l’humanité n’est plus au bord de la rupture, mais elle est en rupture. Le harcèlement quotidien est autorisé par des autorités intégrées au consensus supranational, dont l’OMS est un des représentants. Ami lecteur, nos autorités sont d’accord pour que nous soyons harcelés en permanence par des tricheurs qui s’en prennent à notre santé et surtout à celle de nos enfants.

Pour le moment, je vous laisse avec le CDC et ses tours de passe-passe méthodologique qui varient en fonction du citoyen.

Bref, le mot science n’est plus de mise. Otage est plus adéquat.

LHK

Merci à gmtmistral pour ce texte de zerohedge.com

Le CDC modifie les seuils de test pour éliminer virtuellement les nouveaux cas de COVID chez les vaccinés (Trad automatique Google)

Rédigé par Kit Knightly via Off-Guardian.org,

Les nouvelles politiques permettront de dégonfler artificiellement les «infections de rupture» chez les vaccinés, tandis que les anciennes règles continueront de gonfler le nombre de cas chez les non-vaccinés.

Le Center for Disease Control (CDC) des États-Unis modifie ses pratiques d’enregistrement des données et de test du «Covid19» afin de donner l’impression que les «vaccins» expérimentaux de thérapie génique sont efficaces pour prévenir la maladie présumée.

Ils n’ont pas caché cela, annonçant les changements de politique sur leur site Web fin avril/début mai (bien que naturellement sans admettre la motivation assez évidente derrière le changement).

L’astuce consiste à signaler ce qu’ils appellent des «infections par rupture» — c’est-à-dire des personnes qui sont entièrement «vaccinées» contre l’infection Sars-Cov-2, mais qui sont quand même infectées.

Essentiellement, il a longtemps été démontré que Covid19 — à ceux qui sont prêts à y prêter attention — était un récit de pandémie entièrement créé, basé sur deux facteurs clés:

  1. Tests faussement positifs.  Le test PCR non fiable peut être manipulé pour signaler un nombre élevé de faux positifs en modifiant le seuil de cycle (valeur CT)
  2. Nombre de cas gonflé.  La définition incroyablement large de «cas Covid», utilisée partout dans le monde, répertorie toute personne qui reçoit un test positif comme «cas Covid19», même si elle n’a jamais éprouvé de symptômes.

Sans ces deux politiques, il n’y aurait jamais eu de pandémie appréciable du tout, et maintenant le CDC a adopté deux changements de politique qui signifient qu’ils ne s’appliquent plus aux personnes vaccinées.

Premièrement, ils abaissent leur valeur CT lorsqu’ils testent des échantillons provenant d’«infections par rupture» présumées.

Extrait des instructions du CDC destinées aux autorités sanitaires de l’État sur la gestion des «infections de percée possibles» (téléchargées sur leur site Web à la fin du mois d’avril):Pour les cas avec une valeur de seuil (Ct) de cycle de RT-PCR connue, 

ne soumettre

que des échantillons avec une valeur de Ct ≤ 28 au CDC pour séquençage. (Le séquençage n’est pas possible avec des valeurs Ct plus élevées.)

Tout au long de la pandémie, les valeurs CT supérieures à 35 ont été la norme, avec des laboratoires du monde entier allant jusqu’à 40.

[50 en Suisse, RT-PCR, le professeur Greub du CHUV de Lausanne répond à nos questions. Interview.]

Essentiellement, les laboratoires exécutaient autant de cycles que nécessaire pour obtenir un résultat positif, bien que les experts aient averti que cela était inutile (même Fauci lui-même a dit que tout ce qui dépassait 35 cycles n’avait aucun sens).Mais MAINTENANT, et uniquement pour les personnes entièrement vaccinées, le CDC n’acceptera que les échantillons obtenus à partir de 28 cycles ou moins. Cela ne peut être qu’une décision délibérée afin de réduire le nombre d’«infections par rupture» officiellement enregistrées.

Deuxièmement, les infections asymptomatiques ou légères ne seront plus enregistrées comme «cas de covid».

C’est exact. Même si un échantillon collecté à la faible valeur CT de 28 peut être séquencé dans le virus supposé être à l’origine de Covid19, le CDC ne conservera plus de registres des infections par rupture qui n’entraînent pas d’hospitalisation ou de décès.

Depuis leur site Web :À compter du 1er mai 2021, les CDC sont passés de la surveillance de tous les cas de percée vaccinale signalés à se concentrer sur l’identification et l’enquête uniquement sur les cas hospitalisés ou mortels, quelle qu’en soit la cause. Ce changement contribuera à maximiser la qualité des données recueillies sur les cas de la plus grande importance clinique et de santé publique. Les décomptes de cas précédents, qui ont été mis à jour pour la dernière fois le 26 avril 2021, sont disponibles à titre indicatif uniquement et ne seront pas mis à jour à l’avenir.

Juste comme ça, être asymptomatique — ou n’avoir que des symptômes mineurs — ne comptera plus comme un «cas de Covid»  mais seulement si vous avez été vacciné.

Le CDC a mis en place de nouvelles politiques qui ont effectivement créé un système de diagnostic à plusieurs niveaux. Cela signifie qu’à partir de maintenant, les personnes non vaccinées auront beaucoup plus de facilité à être diagnostiquées avec Covid19 que les personnes vaccinées.

Considérer…

La personne A n’a

pas été vaccinée. Ils sont testés positifs pour Covid en utilisant un test PCR à 40 cycles et, malgré l’absence de symptômes, ils sont officiellement un «cas de covid».

La personne B a été vaccinée. Ils sont testés positifs à 28 cycles et passent six semaines alités avec une forte fièvre. Parce qu’ils ne sont jamais allés à l’hôpital et ne sont pas morts, ils ne sont PAS un cas Covid.

La personne C, également vaccinée, est décédée. Après des semaines d’hospitalisation avec une forte fièvre et des problèmes respiratoires. Seul leur test PCR positif était de 29 cycles, il ne s’agit donc pas non plus officiellement d’un cas Covid.

Le CDC démontre la beauté d’avoir une «maladie» qui peut apparaître ou disparaître selon la façon dont vous la mesurez.

Pour être clair: si ces nouvelles politiques avaient été l’approche globale de «Covid» depuis décembre 2019, il n’y aurait jamais eu de pandémie du tout.

Si vous les appliquez uniquement aux vaccinés, mais que vous gardez les anciennes règles pour les non-vaccinés, le seul résultat possible peut être que les registres officiels montrent que «Covid» est beaucoup plus répandu chez ces derniers que chez les premiers.

Il s’agit d’une politique conçue pour gonfler continuellement   un chiffre et minimiser systématiquement   l’autre.

Qu’est-ce que c’est sinon un acte de tromperie évident et délibéré? (…)

Traduction automatique Google

Lire la suite ici : https://www.zerohedge.com/covid-19/caught-red-handed-cdc-changes-test-thresholds-virtually-eliminate-new-covid-cases-among

Rappel

RT-PCR, le professeur Greub du CHUV de Lausanne répond à nos questions. Interview.




Le compte est bon ?

[Source : AgoraVox le média citoyen]

Par Pierre Chazal

Depuis que la planète Terre s’est transformée, à la faveur d’une campagne de promotion vaccinale à faire rosir d’envie Apple©, Levi’s© et Coca-Cola©, en salle de shoot à ciel ouvert pour toxicos du monde entier, il se dit aux quatre coins de la galaxie chez nos amis extra-terrestres que le moment est peut-être venu d’aller nous rendre une petite visite. Eux aussi, si ça se trouve, ont quelques gadgets à nous refourguer dont ils n’ont plus l’utilité. Une crème magique contre les coups de lune ? Un aspirateur à poussière d’étoiles ? Si sept milliards d’êtres humains sont aussi pressés de s’injecter un produit expérimental pour un virus respiratoire dont personne ne sait ce qu’il deviendra d’ici six mois, c’est que la came doit être d’une qualité interstellaire.

La sensation d’euphorie, le rush et/ou les hallucinations n’apparaissent pourtant pas dans la liste des effets secondaires déclarés jusqu’à présent. Lou Reed nous a quittés trop tôt pour nous livrer son sentiment. Eric Clapton, lui, est déjà passé à confesse et s’est même fendu d’une chanson. Il a récemment écrit dans une lettre reprise dans tous les aucun média mainstream : « J’ai pris la première piqûre d’AZ et j’ai tout de suite eu de graves réactions qui ont duré dix jours. J’ai fini par me rétablir et on m’a dit qu’il faudrait attendre douze semaines avant la deuxième injection… Environ six semaines plus tard, on m’a proposé et j’ai pris la deuxième injection d’AZ, mais avec un peu plus de connaissance des dangers. Inutile de dire que les réactions ont été désastreuses, mes mains et mes pieds étaient gelés, engourdis, pratiquement inutiles pendant deux semaines, je craignais de ne plus jamais jouer. Je souffre de neuropathie périphérique et je n’aurais jamais dû m’approcher de l’aiguille. Mais la propagande disait que le vaccin était sûr pour tout le monde… »

La pureté et l’innocuité du produit étant encore à l’étude jusqu’à la fin des essais cliniques (21 février 2023 pour AstraZeneca, 27 janvier 2023 pour Pfizer BioNTech), on attendra la confirmation de Dave Gahan et Keith Richards pour se prononcer sur la question. Tout ce qu’on sait, pour l’instant, c’est qu’on ne sait rien, pour paraphraser l’ami Montaigne. « Le monde est une branloire pérenne », écrivait-il dans ses Essais. Au vu des évènements de l’année écoulée, on ne s’amusera pas à le contredire.

Guérir, c’est prédire

Qu’adviendra-t-il, première question, du virus de Wuhan et de ses multiples rejetons dans les années à venir ? Un, deux, trois petits tours et puis s’en vont ? Dans l’éventail de prophéties à qui l’on fait faire la danse du paon sur tous les plateaux télé, c’est de loin l’hypothèse la moins souvent envisagée. Ce fut pourtant le destin des H1N1, H2N2 (grippe asiatique) H3N2 (grippe de Hong Kong), MERS et autres SRAS qui, il est vrai, n’étaient pas suspectés d’avoir foutu le camp d’un laboratoire. Rien ne permet pour autant d’établir avec certitude que la petite bête sévira pour les siècles à venir ni qu’elle fauchera tout sur son passage sous forme de variant chilien ou javanais dopé aux amphétamines.

Autre question – et non des moindres, quelle sera l’efficacité réelle des vaccins quand, à l’automne et l’hiver prochains, le temps des promos, des spots de pub, des écrans géants, des vaccinodromes et des injections en musique aura cédé la place au temps de la vraie compète, celle qui envoie irrémédiablement au tapis les malfichus et les malchanceux de ce monde sans égards particuliers pour leur passeport sanitaire ou leur foi inébranlable en Notre-Dame-du-Vaccin ? Selon Santé Publique France, les épisodes de grippe saisonnière ont causé en 2015, 2017, 2018 et 2019 respectivement 18 300, 14 400, 13 000 et 8 100 décès, pour des taux de couverture vaccinale de 46,1%, 50%, 49,7% et 51%. Difficile donc, en vérité, d’établir le prélude d’un début d’amorce de lien de causalité entre létalité et vaccination dans le cas particulier de l’influenza.

Notre Sars-Cov-2 est très différent, nous dit-on, ce que même Saint-Thomas ne demanderait qu’à croire. Le problème, c’est qu’après nous avoir foutu sur la gueule à H24 des masques complètement inutiles, vendu des confinements et des couvre-feux contreproductifs sur bien des points, un simple d’esprit serait tenté de ne pas cosigner des deux pieds la fable journalistique selon laquelle la campagne de vaccination massive aurait brisé net la dernière vague épidémique. Les courbes de décès et de contaminations se cassent la gueule aux quatre coins de l’Europe et de l’Amérique du nord avec des taux de vaccination pour le moins très disparates d’un pays à l’autre (32% de primo-vaccinés en France, 56% au Royaume-Uni, 9% en Macédoine, 3% en Biélorussie, 48% aux USA, 22% en Lituanie…), et la situation épidémique ressemble, presque au jour près, à celle d’il y a un an quand tout avait rouvert sans restrictions et sans vaccin. Il est vrai qu’il est difficile de vendre ce qu’on n’a pas encore en stock, et que ce qui valait hier pour les masques et les tests vaut aussi bien, aujourd’hui, pour les vaccins. Dans ce monde étrange qu’est devenu le nôtre, la ligne de démarcation extrêmement ténue entre inutile et essentiel tient tout autant – si ce n’est davantage – à l’état de l’offre qu’à celui de la demande.

Jackpot et courts-circuits

Ce qu’on sait tout de même, d’ores et déjà, c’est que Pfizer, Moderna et AstraZeneca vont se faire des couilles en or massif. 900 millions de dollars pour Pfizer au premier trimestre 2021, c’est un bon début pour une entreprise dont la réputation n’est plus à faire en matière de scandales sanitaires. Moderna a vendu sur la même période pour 1,7 milliard de son élixir de jouvence, contre « seulement » 275 millions de dollars pour AstraZeneca. Dans le même temps, par un pur hasard du calendrier, le déficit du régime général de la sécurité sociale devrait atteindre en France en 2021 le record historique de 38,5 milliards d’euros. « Cette dégradation brutale et sans précédent, conséquence de la crise sanitaire et économique, conduit au déficit le plus élevé jamais enregistré dans l’histoire de la sécurité sociale », a fait savoir mi-mars le ministère de la Santé. Il est vrai qu’on ne remplit pas de verres sans vider la carafe et qu’il serait dommage de gaspiller du fric en impulsant une véritable politique de santé publique, pérenne et plurivertueuse, quand il suffit, à chaque épidémie, de sortir le stylo et le carnet de chèques pour faire mine d’affronter l’orage devant les caméras de France 2.

En 2009, déjà, notre Roselyne Bachelot nationale, dame patronnesse de la culture confinée, des sports interdits et de la santé chancelante, avait acheté pour deux milliards d’euros de vaccins H1N1 à… AstraZeneca, qui a dû trouver comique de la retrouver sur sa route puisqu’elle avait été, entre 1969 et 1976, déléguée médicale d’ICI Pharma dont la branche pharmaceutique deviendra autonome en 1993 sous le nom de… Zeneca avant de fusionner six ans plus tard avec le suédois Astra. La France recensera au final, officiellement, 349 décès attribués au virus A-H1N1 et quelque 200 cas de narcolepsie-cataplexie induits par la vaccination dont certaines victimes, onze ans après, attendent toujours l’indemnisation promise par les autorités sanitaires en cas d’effets secondaires. La même année (loi Bachelot de 2009), rappelons-le, la divine Roselyne érigeait en mode de gouvernance l’association du mercantilisme et du bureaucratisme qui consacrait la main mise des ARS sur le système de soins hospitaliers. André Grimaldi, chef de service à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, regrettait amèrement dans une tribune du 3 avril 2012 les conséquences déjà visibles de ce petit meurtre entre amis, lui pour qui les directeurs des agences régionales de santé avaient toute l’étoffe pour devenir « de véritables préfets sanitaires aux ordres du gouvernement. »

L’avantage de cette approche (on ferme des lits pour les malades, on centralise à mort et on vaccine tous les bien-portants) est qu’elle correspond exactement à l’idée de la médecine que se font Bill Gates et ses copains de l’Amicale de la Seringue. Dans un rapport fleuve datant de 2015 intitulé Philanthropic power and development. Who shapes the agenda ?, voilà-t-il pas que l’on apprend :

« Le fait que la fondation Gates priorise les solutions vaccinales pour les divers problèmes de santé publique reflète sa préférence pour les interventions courtes, mesurables et avec une forte visibilité. L’un des représentants de la GAVI a rapporté que Bill Gates lui confiait souvent dans des conversations privées qu’il était fermement opposé aux systèmes de santé. Il est même allé jusqu’à dire que c’était du complet gaspillage, qu’il n’y a aucune preuve que cela fonctionne, et que donc il ne dépenserait pas un centime pour le renforcement des systèmes de soins. »

En termes marketing, on appelle ça la top-down approach, et on ne trouvera pas étonnant de la voir relayée quasi telle quelle dans un article d’Hervé Morin paru dans le journal Le Monde (financé copieusement par Bill Gates) intitulé crânement : « Covid-19 : La France a-t-elle trop de lits de réanimation ? » Quand on en est à écrire ça, c’est vraiment qu’on est au-delà du foutage de gueule et qu’on considère la population si crétine et analphabète qu’on pourrait tout aussi bien lui intimer l’ordre d’acheter des tubas et des bouteilles à oxygène chez Decathlon pour s’intuber à la maison.

La théorie du hold-up

Ceci étant posé, pour réussir son coup et imposer son juteux modèle aux quatre coins de la planète, Big Pharma a dû composer avec un paramètre qui souvent cause la perte des brigands trop présomptueux : le temps. Dans tous les films de braqueurs (Heat, Point Break, Ocean 11…), les interventions sont minutées et calibrées au détail près pour que le butin soit sécurisé avant l’arrivée de la police. Quand ça tourne mal, que le temps vient à manquer, c’est le carnage assuré.

Dans son livre joliment nommé La société du Hold-up (2012), Paul Vacca décrit un monde financiarisé à outrance, basé sur la quête ultra-rapide du profit, où « l’homme est devenu un braqueur pour l’homme » et se révèle prêt à tout pour s’enrichir en un temps record. Le génie disruptif d’Apple, Google ou Facebook repose, écrit-il, sur une logique de coup qui bouleverse la donne et réinvente de nouveaux codes pour créer ex-nihilo un marché tout beau, tout neuf qu’ils n’ont plus qu’à inonder de leurs joujoux ultra-modernes. Les fabricants de vaccins du nouveau Big 4 de la médecine quantique (Pfizer, Moderna, AstraZena, Johnson & Johnson) sont en passe de réaliser le même tour de force, à l’aide de produits résolument innovants et d’une force de frappe médiatique sans équivalent dans l’histoire de la publicité et du merchandising. Encore faut-il que leur stratégie se montre à la hauteur des enjeux.

L’accélération fulgurante de la campagne d’injections de masse en Europe et en Amérique du Nord répond, à ce qu’on en observe pour le moment, à la logique des Blockbusters, qui visent à faire main basse sur l’audience avant même que la critique ou le bouche à oreille n’aient eu le temps de s’exercer. Une variante du Hit & Run qui fait sens dans un environnement hautement instable susceptible d’altérer du jour au lendemain la perception du produit, de son utilité comme de son efficacité. Face à une situation de fléchissement épidémique généralisé qui aurait pu se révéler fatale à Big Pharma, conditionner à la vaccination le fait que les gens puissent partir bouffer des tapas en Espagne constitue la stratégie gagnante pour une industrie qui sait qu’elle ne dispose que d’une fenêtre de tir réduite pour écouler sa marchandise. Créer l’urgence là où il n’y en a pas, c’est tout le génie marketing de ceux qui savent depuis que le dollar existe que tordre le réel et réinventer l’avenir conditionnent le besoin et commandent au désir. Laisser le train passer, en revanche, c’est prendre le risque de rester à quai avec ses bagages sans certitude d’en voir arriver un autre avant des lustres.

Sur la chaîne très covid-friendly CNN, une experte en vaccination lâchait ainsi en direct au mois d’avril : « Nous devons expliquer clairement aux gens que le vaccin est le ticket de retour à leur vie d’avant la pandémie. La fenêtre de vaccination est très étroite, avec tous ces états qui rouvrent tout à 100%, pour conditionner les réouvertures au statut vaccinal. Sinon, si tout rouvre librement, qu’est-ce qu’on va avoir comme carotte à offrir aux gens ? Comment allons-nous inciter les gens à se faire vacciner ? C’est pourquoi le CDC doit adopter une position plus ferme et dire : ‘Si vous êtes vacciné, vous pouvez faire ce que vous voulez. Toutes ces libertés que vous aviez, vous pourrez les retrouver.’ Sinon, les gens vont commencer à sortir et profiter de la vie sans être vaccinés. »

Un avenir incertain. Un produit en phase expérimentale. Une fenêtre de tir réduite. Un paquet de pognon à sa faire à condition de bien jouer le coup. On reconnaîtra peu ou prou le destin marketing du film Les Dents de la mer (sorti en1975) ainsi décrit dans le livre de Paul Vacca :

« Tout s’annonçait pour le mieux. Pourtant, les choses ne se sont pas passées comme prévu. Une grande malédiction s’abat sur le film : Bruce, le requin mécanique confectionné à grands frais pour le film, ne veut pas fonctionner, manquant même d’estropier un technicien ; la météo s’y met aussi ; le retard s’accumule, le tournage déborde sur la période estivale. Le budget explose : il est multiplié par trois. Et pour arranger le tout, les plans tournés avec le requin sont inexploitables. De plus, comme le film s’est fait au jour le jour, de nombreuses séquences sont quasiment impossibles à monter. Au visionnage des rushs, les patrons d’Universal Pictures s’arrachent les cheveux : ‘C’est ça le film qui est censé faire peur à tous ? !?’

Spielberg humilié tente ce qu’il peut pour sauver le film au montage. Mais la panique s’est définitivement emparée des dirigeants de la major. C’est alors qu’ils ont l’idée d’un stratagème pour limiter la casse : tâcher de faire au moins un premier week-end honorable. Ils décident alors – fait inédit pour un film – d’acheter de l’espace publicitaire dans les networks américains pour 700 000 dollars, ce qui à l’époque représente une somme hallucinante. Ils distribuent d’emblée le film sur une très large combinaison de salles alors que l’habitude voulait que l’on fasse monter le nombre de salles en puissance. Leur but : récolter le maximum d’entrées durant le premier week-end avant que le bouche-à-oreille, qu’ils présagent désastreux, ne décourage tout le monde. Ce sera toujours ça de gagné… »

L’avenir leur donnera en partie raison (énorme succès à sa sortie) et en partie tort : le savoir-faire de Spielberg assurera au film une solide postérité. Mais ils avaient compris qu’avec des cycles de plus en plus courts de présence des films à l’affiche, le gigantisme avait de l’avenir, ce que nos professionnels de la vaccination planétaire ont compris également. Avancer moins vite qu’ils ne le font sur le calendrier vaccinal, ce serait méconnaitre la durée de vie limitée de l’effet d’appétence, surtout pour les plus jeunes sans aucune comorbidité et qui ont dû sans le savoir rencontrer dix ou quinze fois le virus sans éprouver autre chose qu’un mal de tête ou une fatigue passagère. Sur son fil Twitter, l’avocat Fabrice Di Vizio s’extasiait le 19 mai de la clairvoyance de sa fille avec ce message admiratif : « Ma fille de 17 ans : la vaccination, c’est comme la mode, tu payes des influenceurs pour faire acheter des trucs que personne n’aurait jamais acheté ! Ça donne l’impression d’être cool. Quand t’es vacciné, on te fait croire que t’es cool, t’es pour la science. » De là à basculer dans le monde des produits dérivés, des pin’s et tee-shirts « je suis vacciné.e » au concours de selfies manches retroussées sur Instagram, il n’y a qu’un pas que Pfizer & co auraient tort de ne pas franchir, histoire de surfer tout l’été sur la vague de solidarité universelle née au printemps dernier.

Lequel d’entre nous, parmi les plus réfractaires au Smartphone, à Facebook ou Google, n’a pas fini par se mettre à la page et succomber parfois malgré lui, d’une façon ou d’une autre, aux sirènes de la modernité ? Qui n’avance pas recule, au 19ème siècle comme aujourd’hui, et la pression de l’environnement technologique et sociologique est souvent une force irrésistible qui broie les résistances des plus têtus objecteurs de progrès, pour reprendre le bon mot de Pierre-Yves Rougeyron.

Un pont trop loin ?

La question qui demeure, néanmoins, dans le cas de ces vaccins expérimentaux à l’efficacité et aux effets secondaires inconnus sur le long terme, c’est de savoir quand nos joueurs de poker bienfaiteurs de l’humanité vont considérer qu’il est temps de se lever de table et d’encaisser leurs jetons avant que le casino sonne l’alarme générale. Il commence à se dire, ici ou là, que des vaccinés se contamineraient aussi bien que les autres tandis que certains mourraient du vaccin comme d’autres étaient morts auparavant du virus – c’est-à-dire sans pouvoir en apporter formellement la preuve. Les certificats de décès, en ces temps de contrebande, font l’objet d’une attention inédite de la part des diverses parties en présence. Des plaintes commencent à remonter, des doutes germent ici ou là sur la véracité des chiffres avancés par les autorités pour justifier leur politique d’injections à la chaîne. Bref, si le temps se gâte au propre comme au figuré et que la météo sanitaire en vient à contredire les prédictions autoréalisatrices des caïds en blouse blanche envoyés par les cartels du médicament, il pourrait être plus prudent pour eux de remballer la marchandise avant que les vrais problèmes ne commencent.

La courbe de vaccination d’Israël, pays pilote de l’expérience vaccinale, tendrait ces dernières semaines à plafonner autour des 62% de primo-injectés. Il n’est pas impossible que l’asymptote soit proche d’avoir été atteinte, et menacer les récalcitrants de les attacher aux roues d’un char pour aller faire la guerre au Hamas dans la bande de Gaza risque d’être mal perçu même par Gérard Leclerc, Christophe Barbier ou Brigitte Milhau. Si le même phénomène s’observe au Royaume-Uni, aux USA ou en Allemagne, il serait risqué de tenter le passage en force par le biais, par exemple, de la vaccination des enfants. Des psychopathes comme Karine Latombe ou Arnaud Fontanet, en France, ont déjà franchi le Rubicon histoire de tâter le terrain, et d’autres voix se sont déjà fait entendre en Amérique et en Europe pour murmurer cette éventualité. C’est un terrain si glissant que même Angela Merkel – qui n’a jamais approché un enfant de sa vie – ferait mieux de s’en tenir, pour éviter le faux pas, à ce qui est actuellement écrit noir sur blanc sur le site du gouvernement fédéral allemand :

« Aucun vaccin n’est actuellement approuvé pour les enfants et adolescents jusqu’à l’âge de 16 ans. Le vaccin de Biontech / Pfizer peut généralement être utilisé chez les jeunes de 16 ans et plus. L’approbation des vaccins pour les enfants est extrêmement délicate. Par exemple, il faut d’abord clarifier suffisamment que les vaccins sont sans danger pour les adultes. Ce n’est qu’alors que des études pourront être menées sur l’applicabilité chez les enfants. »

Tout porte raisonnablement à croire que Big Pharma saura retenir ses chiens et les rappeler à la niche face une fronde généralisée des mères de famille du monde entier. L’instinct de survie de l’espèce et l’amour maternel restent encore aujourd’hui des forces trop prodigieuses pour succomber aux coups de boutoir de la corruption, de l’hystérie de contrôle et de l’ubris des Dr Frankenstein et Folamour qui ont ouvert la boîte de Pandore sans plus trop savoir comment la refermer. Il faut dire qu’avec une moyenne annuelle de quatre millions de morts par infections respiratoires, nos bons docteurs auront du mal à nous revendre chaque hiver la même dystopie prométhéenne. On ne se baigne jamais deux fois, disait Héraclite, dans les eaux du même fleuve. La meilleure chose à faire, pour recréer une panique à la hauteur de nos attentes, serait plutôt de sortir un deuxième remake de l’Invasion des Profanateurs (1956 puis 1979). Des plantes extra-terrestres venues nous cloner pendant notre sommeil et remplacer l’humanité entière par des créatures dépourvues d’émotion et changées en automates, voilà un script qu’une année de confinements, d’évitements, de défiance et de déshumanisation nous aura préparés à accueillir dans la joie de nos vies retrouvées. Et si la prochaine dystopie, d’ailleurs, pouvait venir des extra-terrestres, elle ne pourra jamais être plus hideuse que les rictus de Bill Gates ou les mimiques de Karine Latombe.


https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vaccin-genique-essai-therapeutique-grande-echelle-vous-etes-le-cobaye

https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2021-05-19/covid-19-pourquoi-lhypothese-dune-fuite-du-virus-dun-laboratoire-nest-pas-ecartee-a3fc216b-1dbb-4731-891f-de9f5b501c55

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/a-colmar-la-vaccination-contre-le-covid-19-se-deroule-en-musique_4614615.html

https://fr.statista.com/infographie/11358/mortalite-de-la-grippe-en-france/

https://www.grandforksherald.com/newsmd/coronavirus/6824462-North-Dakota-got-a-mask-mandate-South-Dakota-didnt.-COVID-19-cases-have-plummeted-in-both

https://www.sortiraparis.com/news/coronavirus/articles/240384-vaccine-in-the-world-as-of-datadatestodayfrlatest-the-percentage-of-people-vacci/lang/en

https://www.courrierinternational.com/article/le-chiffre-du-jour-pfizer-gagne-900-millions-de-dollars-au-premier-trimestre-2021

https://www.msf.fr/actualites/les-fausses-accusations-de-pfizer

https://www.challenges.fr/entreprise/sante-et-pharmacie/le-cytotec-medicament-de-pfizer-retire-du-marche-et-nouveau-scandale-sanitaire_507478

https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/coronavirus-moderna-releve-sa-prevision-annuelle-de-ventes-de-son-vaccin-1961771.php

https://www.challenges.fr/entreprise/sante-et-pharmacie/astrazeneca-les-ventes-du-vaccin-atteignent-275-millions-de-dollars-au-1er-trimestre_762794

https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/meurthe-et-moselle/nancy/covid-19-demissions-en-serie-des-infirmieres-a-l-hopital-apres-la-crise-sanitaire-on-va-affronter-une-crise-sociale-2034976.html

https://www.lemonde.fr/sante/article/2016/06/02/le-manque-de-medecins-generalistes-s-accentue_4930689_1651302.html

https://pharmacritique.com/2009/09/24/roselyne-bachelot-a-passe-au-moins-12-ans-au-service-de-lindustrie-pharmaceutique-source-de-conflits-dinterets-par-exemple-dans-la-vaccination-massive-contre-la-grippe-a-h1n1/

https://reporterre.net/Vaccins-et-aluminium-la-recherche-interdite

https://destinationsante.com/grippe-pandemique-combien-de-morts-en-france.html

https://www.liberation.fr/france/2020/11/24/effets-secondaires-du-vaccin-h1n1-les-indemnisations-trainent_1806453/

https://leplus.nouvelobs.com/contribution/517294-la-loi-bachelot-a-fait-de-l-hopital-une-entreprise.html

https://archive.globalpolicy.org/images/pdfs/GPFEurope/Philanthropic_Power_online.pdf

https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/05/11/covid-19-la-france-a-t-elle-trop-de-lits-de-reanimation_6079812_3232.html

https://www.youtube.com/watch?v=kYyejHNRWyw

https://ourworldindata.org/covid-vaccinations

https://www.healthline.com/health-news/when-will-covid-19-vaccines-be-available-to-children-under-12

https://www.lci.fr/societe/covid-19-la-vaccination-des-enfants-et-ados-devient-elle-incontournable-2185469.html

https://www.bundesregierung.de/breg-de/suche/corona-gefaehrlich-fuer-kinder-1882974

https://www.lexpress.fr/actualites/2/les-infections-respiratoires-font-4-25-millions-de-morts-par-an_934943.html

https://www.allmovie.com/movie/invasion-of-the-body-snatchers-v25289




Hold-Up (Mise à jour : lien vers le film en deux parties, après la censure par YouTube + vidéo de Pierre Barnérias)

[Source : FranceSoir]

Hold-Up, film en sortie nationale 11 novembre. Pourquoi j’ai produit ce film par Christophe Cossé?

Auteur(s): Christophe Cossé pour FranceSoir

TRIBUNE : Le film Hold-Up produit par Pierre Barnérias et Christophe Cossé, sort ce mercredi 11 novembre.  Christophe Cossé est producteur de documentaires et de films avec une formation en anthropologie sociale et psychologie clinique.  

Pourquoi j’ai produit ce film ?

Ce qui me vient en premier à l’esprit, c’est cette phrase de Kierkegaard :

« Il s’agit de comprendre ma destination, de voir ce que Dieu veut proprement que je fasse. Il s’agit de trouver une vérité qui soit vérité pour moi, de trouver l’idée pour laquelle je veux vivre et mourir».

Avec cette singulière crise politique qui remet en cause bien des principes de notre humanité, et que maquille la préoccupation sanitaire, nous sommes parvenus à l’heure des choix. Dès lors, avec nos connaissances et notre conscience, à quoi sommes-nous prêts à renoncer ? Devons-nous céder à la peur, au besoin de sécurité, ou préférer embrasser la vie et la liberté ? Ma démarche, notre démarche commune tant avec mes coproducteurs qu’avec toutes celles et ceux venus témoigner, c’est avant tout d’avertir sinon d’alerter, d’interpeller, d’informer le plus grand nombre.

L’épidémie et son traitement ont tout d’une intrigue dramatique. Cet évènement épidémique révèle en définitive une crise profonde, révélatrice de l’état actuel de notre société, de ses institutions et de sa culture. On y découvre non seulement le pouvoir de la presse, désormais inféodée au pouvoir par le jeu des actionnaires qui la détiennent, mais aussi la puissance des réseaux sociaux qui véhiculent tant le relais de cette dernière, qu’un contre-pouvoir raillé par la censure, mais ô combien salvateur pour la connaissance et la liberté d’expression ou d’information.

L’issue de cette épidémie, somme toute habituelle et saisonnière, présente donc en quelque sorte les deux genres aristotéliciens: la tragédie de l’humanisme ou l’épopée d’un renouveau. Gageons qu’elle débouche sur le renouveau. D’autres y voient une dimension biblique.

C’est donc une question de choix, d’élan instinctif, d’appel ce qui m’a poussé dans ce film. Et aussi parce que le scénario qui se déroule sous nos yeux mérite un témoignage. Sans prétention aucune, je me réfère à Alexis de Tocqueville : « ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux.»

C’est la base du film, nous évertuer à comprendre : les mensonges, la manipulation, l’ingénierie sociale, la corruption. Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up. Nous aurions pu l’intituler « Coup d’Etat ».

Nous sommes en fin de cycle, tout va très vite, et se radicalise. Il n’y a plus d’espace d’échange, de réflexion, de pensée. Pour Pierre et moi, comme pour Nicolas, il n’était pas envisageable de ne rien faire. Et nous prévoyons même de continuer à filmer et à suivre l’actualité, car nous pressentons un changement fondamental dans notre humanité. Notre actualité sociale et politique nous y ramène. Le président Macron a décidé de confiner derechef sa population pour six semaines.

Nouvelle étape du scénario.

La lecture des derniers relevés hebdomadaires de l’OMS et du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, permet clairement de constater que tous les pays ayant pratiqué le confinement ont eu les pires résultats dans le degré de résilience de leur population au COVID-19.

Le taux de mortalité est établi à 0,15%. Plus de 98% des individus ayant contracté le virus guérissent. Le nombre de morts associés abusivement au Covid reste encore deux fois inférieur à celui des erreurs médicales ou du tabac.

Outre que le fait de confiner toute une population saine et non malade a été et demeure une première dans l’histoire de l’humanité, toutes les études qui ont été produites depuis le premier confinement rejoignent les conclusions des précédentes, à savoir l’inefficacité de cette mesure. Serait-elle politique ?

L’OMS vient, il y a quelques semaines à peine, de convenir de son inefficacité et de son inutilité. On se souvient pourtant de cette étude de Neil Ferguson, de l’Imperial College, qui prévoyait plus de 500 000 morts en Grande-Bretagne, et 10 millions de victimes en Afrique, dont s’inspiraient l’OMS et les dirigeants occidentaux dans leur décision de confiner alors que l’épidémie était déclarée.

Ce même épidémiologiste, qui, dix ans auparavant, lors de l’épidémie de la grippe A (H1N1), avait également envisagé un désastre sanitaire de plus de 60 millions de victimes dans le monde. A l’époque, le rapport du Sénat (2010) avait clairement dénoncé l’irrationalité de ces analyses, la dérive de la politique sanitaire et avait surtout mis en lumière les conflits d’intérêts qui semblaient régir cette dernière.

Malgré cela, notre gouvernement, après s’être défendu à maintes reprises de l’envisager, l’a confirmé, ce nouvel emprisonnement. Il avance même de surcroît vouloir y associer quelques autres mesures coercitives, tout en dénonçant l’irresponsabilité, sinon l’incurie, de ceux qui s’y opposent.

Ce nouveau confinement  a été officiellement décrété en conséquence de l’importance du nombre de cas de contaminations et du nombre de malades admis en réanimation. Le seuil de 60% des lits occupés a ou aurait été franchi.

Or, il serait bon de remettre en perspective les données sanitaires des cinq années précédentes pour constater que nos services hospitaliers sont toujours saturés à cette période de l’année, tant pour d’autres coronavirus, que pour la grippe ou des problèmes respiratoires. Il est éloquent de rappeler que notre Ministre de la Santé a lui-même participé à la faillite de notre système de santé, en soutenant la politique de réduction des lits en milieu hospitalier, ce qui provoque depuis quelques années déjà, l’engorgement des services de réanimation.

Il serait également bienséant de préciser, dans un souci de transparence et d’honnêteté, que le nombre de patients en réanimation tient aussi compte du nombre de patients en soins intensifs dans le privé. Toutefois, dans le calcul de Monsieur Véran et de son Comité scientifique, on compte les malades du privé, mais pas le nombre de lits; simple tour de passe-passe pour permettre d’augmenter le taux d’occupation en réanimation et de justifier la peur, la panique ou la terreur. Etrange pour des médecins.

Que dire du bilan médical des malades admis en ce début du mois de novembre en réanimation ou en soins intensifs, si ce n’est un profil type d’individus de plus de 65 ans affectés par la comorbidité, victimes de saturation de leur système immunitaire ?

Que dire du nombre réel de victimes du Covid alors que l’on recense comme tels les décès dus aux maladies cardio-vasculaires, aux cancers, aux diabètes ?

Que dire du nombre réel des cas de contaminations, avec un moyen de dépistage peu fiable et trompeur et dont la sensibilité vient d’être augmentée aux dépens de sa déjà faible efficacité ?

Que dire du gouvernement, qui, après avoir constaté il y a six mois la saturation de nos services publics hospitaliers, n’a pas investi pour de nouveaux lits en réanimation ?

Serait-il utile d’expliquer enfin pourquoi aucune autopsie n’a été diligentée ?

Que dire de la médecine libérale, sans moyens d’agir sur la prophylaxie de la maladie, privée d’hydroxychloroquine, d’azithromycine, de macrolides ou de C3G ? En les coupant de leurs moyens, le gouvernement favorise l’orientation des soins vers l’hôpital.

De tout cela il n’est point question. Le gouvernement semble suivre sa propre feuille de route, sur cette deuxième vague et son confinement finalement induit, annoncés depuis le mois d’avril. Alors s’ils savaient, pourquoi ne pas avoir agi ? Une fois de plus ?

Ce choix d’un deuxième confinement n’est pas qu’un révélateur de l’échec de notre politique sanitaire. C’est la confirmation d’une grave et profonde crise institutionnelle et démocratique. L’état d’urgence sanitaire est anticonstitutionnel et illégal. Les élections municipales se sont déroulées hors du cadre constitutionnel. Le Conseil constitutionnel est en sommeil, prié par le gouvernement de se confiner également, les deux chambres sont au ralenti, les textes sont examinés par 10% des députés, l’exécutif détient les pleins pouvoirs, et nos libertés sont à nouveau restreintes comme jamais dans un cadre de paix.

L’état d’urgence sanitaire ne respecte nullement les applications de l’article 16 et de l’article 53 de la Constitution, le rendant anticonstitutionnel et illégal.

Au niveau des institutions, ce qui a aussi changé, dès le début de la crise, c’est que le gouvernement s’est doté d’un Conseil scientifique dont les membres sont majoritairement proches des laboratoires pharmaceutiques. Il existe pourtant des organismes réputés et sans doute plus indépendants comme l’INSERM, le CNRS, les académies de médecine, de pharmacie, ou de vétérinaires… ?

Avec ce nouveau confinement, le gouvernement restreint une nouvelle fois nos libertés. Une nouvelle fois, elles sont bafouées et notamment, la liberté d’aller et venir, la liberté d’entreprendre et la liberté de réunion. Mais d’autres plus individuelles.

La liberté d’aller et venir existe en pratique depuis la fin du servage en France. Elle apparaît dans les textes en 1315, sous Louis X. Le décret royal précisait :

“ Toute créature humaine doit généralement être franche par droit naturel. Le Roi condamne avec énergie le joug et la servitude, qui est tant haineuse et fait qu’en leur vivant, les hommes sont réputés comme morts et, à la fin de leur douloureuse et chétive vie, ils ne peuvent disposer ni ordonner des biens que Dieu leurs a prêtés en ce siècle.”

La liberté d’entreprendre est plus récente. Elle date de la Révolution française. Le décret d’Allarde de 1791 autorise tout citoyen à exercer le métier ou le négoce qu’il veut, pourvu qu’il paie ses impôts. Cela permettait d’échapper à la logique des corporations et de rang social où vous étiez plus ou moins lié par ce que faisaient vos parents avant vous. Il ne semble pas que cette liberté d’entreprendre ait connu jusqu’ici de restriction ou d’interdiction.

Puis la liberté de réunion, comme la liberté d’expression, sont des libertés fondatrices de la IIIème République. Elles marquent le droit d’exprimer son désaccord avec le pouvoir en place. Elles ont permis la création des syndicats par exemple. 

Les médecins sont désormais censurés lorsque leur parole publique ne fait pas écho à la politique dominante, et même sur les réseaux sociaux, la police de la pensée s’installe.

Toutes ces libertés ont été acquises de haute lutte dans les larmes et le sang, souvent par des personnes très jeunes qui ont généreusement donné leur vie pour leurs idéaux afin que d’autres puissent en bénéficier. Et pourtant, nous demeurons contraints dans nos libertés, sans réagir, affichant par là-même notre degré de consentement.

« Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes » écrivait Machiavel dans Le Prince.

Enfin, une liberté très singulière et fondamentale dans le droit naturel humain a été violée, celle de la tendresse, du toucher, de l’attention. Sous la menace de la force en plus d’un décret, il a été interdit aux proches de visiter leurs parents. On a laissé mourir nos anciens, ils ont été cloisonnés, enfermés dans leurs EHPAD, interdits de sortie, de visite, de tendresse, de soins. Un premier pas vers l’euthanasie.

Mais le pire à mes yeux est de ne pas avoir la liberté de mourir. Le deuxième pas vers l’euthanasie a été franchi ; sa légalisation a été effective par le décret du 28 mars, autorisant les médecins à utiliser le Rivotril pour « accompagner » les patients. Ce décret a été abrogé par un nouveau le 10 juillet. Le pays des droits de l’Homme ?

Le mépris du genre humain.

Sous le prétexte de cette épidémie dont seuls les messagers de l’idéologie sanitaire autoritaire martèlent son danger, il convient de nous surveiller, de nous diriger, de nous contraindre à une société de surveillance et de soumission. De là découlent ces délicieuses valeurs nouvelles que sont la délation, la dénonciation, le repli sur soi. Les valeurs humanistes sont menacées d’implosion, on ne parle plus d’éthique, de morale ou de respect, mais d’obéissance, de protocole, de menaces et de peurs. Un véritable cheval de Troie pour notre humanité que ce coronavirus.

Ainsi, se profile la vaccination massive, et son corollaire, le fichage de chaque individu. En France, en Europe, mais dans le monde entier, au prétexte d’un virus pas plus offensif qu’un autre COVID saisonnier. Quelle incroyable et phénoménale entreprise de manipulation globale, au service d’une sombre idéologie, qui avant d’accomplir son dessein, distille la peur, la menace et la confusion afin que chacun perde ses repères pour mieux embrasser le pouvoir et l’autorité dans une servitude volontaire et rassurante. Je cite à nouveau Alexis de Tocqueville,

« ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux. »

Cet état d’urgence sanitaire est aussi une catastrophe économique et sociale qui peut déboucher sur une crise économique puis politique majeure.

Au moins 400 000 PME ont dû fermer, soit environ 4 millions de personnes au chômage, sur les 10 ou 12 millions d’indépendants, combien vont pouvoir reprendre une activité ? Combien d’entre nous vont gonfler le nombre déjà exorbitant des personnes vivant en deçà du seuil de pauvreté, qui a été réévalué à 10 millions de personnes en France ? Combien de milliers de personnes vont rejoindre les 5 millions de Français qui ont déjà recours à l’aide alimentaire ? Combien de nos compatriotes vont être délogés, rejoignant la triste cohorte des 900 000 SDF ?

La loi du travail, les acquis sociaux ont déjà été revisités, corrigés, étirés. Avec la crise « sanitaire », tout employé ou salarié, au lieu de réclamer une augmentation ou une amélioration de ses conditions de travail ou de ses droits, va désormais réclamer du travail ou se plier à l’effort national, quelles qu’en soient les conditions. En majorité, il est assigné à résidence en télétravail, dans des conditions pour la plupart, d’inconfort.  Dix points de PIB à rattraper…

Ces événements actuels révèlent que l’on a glissé peu à peu vers une technocratie sanitaire, relayée par une presse qui paraît encore plus docile et inféodée au pouvoir. Ce pouvoir est lui-même de plus en plus gangréné par les conflits d’intérêts, et en particulier par le pouvoir des grands laboratoires, réputés pour leur corruption.

Les scientifiques se font journalistes, sinon politiques, tout comme les journalistes se posent comme experts dans une émulation complice de coercition et de domination. Plus alarmant, les politiques deviennent quant à eux les communicants, souvent malgré eux, des puissances financières qui les soutiennent.

Nos sociétés s’orientent-elles vers ce « biopouvoir » imaginé par Foucault ?

Le philosophe voyait le pouvoir sur les hommes évoluer vers un autoritarisme de la santé. Il observait qu’après le pouvoir sur les âmes, par les ministres de l’Eglise illustré par le troupeau de brebis égarées, c’est sur l’humain que le pouvoir monarchique s’est exercé, avec le pouvoir de donner la mort. Après l’effondrement de la monarchie, il y eut toutes ces dérives autoritaires du 20ème siècle. Légitimées par le dogme visant à transformer l’humanité ou l’humain vers un monde meilleur, elles se sont illustrées dans la prise en charge de la vie, non plus des âmes, mais des hommes.

Avec le biopouvoir, le dogme, c’est la santé ; il s’agit de prendre en charge d’un côté le corps pour le discipliner, et de l’autre la population pour la contrôler. L’élément commun au corps et à la population, c’est la norme. La norme statistique. C’est elle qui fait en sorte que ce biopouvoir s’exerce, de manière rationnelle, à la fois sur un ensemble statistique, c’est-à-dire une collectivité, et sur un individu.

Et ce biopouvoir contrôle tous les mécanismes de la vie de l’individu dans la société : politiques, judiciaires, policiers, économiques, philosophiques.

La question mérite d’être posée. En effet, non seulement des hommes d’affaires, des politiques et des médecins veulent imposer un type de traitement unique, la vaccination, sans passer par les règles démocratiques habituelles grâce à l’état d’urgence, mais de plus, chaque citoyen va devoir s’y soustraire au risque d’une mise au ban social. L’individu risque de perdre non seulement sa liberté, mais surtout sa souveraineté.

Au-delà de cette sombre hypothèse, reprenons toute la terminologie, la sémantique pour ne pas dire la novlangue actuelle, en commençant par celui que nous entendons le plus : le confinement. Étymologiquement, on retrouve dans le confinement, le terme « finis » qui en latin signifie frontière, barrière, limite. Le confinement, outre sa définition médicale brandie par la gouvernance, signifie réclusion, internement.

Enfin, employé au participe, le confiné est dit d’un espace qui manque d’oxygène, d’espace ou de nourriture.

Il est aussi fait mention d’une « distanciation sociale » pour éviter la propagation du virus. Or il ne s’agit que de distanciation physique, mais on nous impose la notion de « social », car en effet, la barrière, la limite, la frontière imposée par ce confinement devient un mur entre nous. Tout contrevenant est sévèrement critiqué, dénoncé et voué aux sanctions administratives. La tendresse est déconseillée, sinon réprimée.

Le port d’un masque est devenu obligatoire bien qu’il ait au préalable été déclaré inutile, et cet artifice est une autre barrière, un autre symbole d’enfermement.

On évoque le traçage des individus, la recherche ou la poursuite des cas contacts, le passeport numérique de santé, les camps de quarantaine…

Dans le discours ambiant, non seulement les termes sont vidés de leur sens premier, mais il ne s’agit pas de se fier à la vérité, comme le disait si subtilement Sibeth Ndiaye, mais « d’orienter la réalité pour faire accepter notre projet politique aux Français; cela ne relève pas du mensonge, mais de la désinformation positive ». Evidemment !

Michel Onfray le rappelait dans son ouvrage « Théorie de la dictature », en rapprochant notre monde actuel de celui de 1984 :

« On peut citer aussi l’inversion systématique du sens des mots, par exemple, la guerre c’est la paixla haine c’est l’amour… qui reformate complètement les cerveaux ».

Car, conformément au concept de solipsisme, c’est dans le cerveau de chacun que le monde existe, “et que le réel est une construction mentale”.

Si la pensée est donc bien formatée, on ne voit plus que ce à quoi on croit.

Déjà dans « Surveiller et punir », en 1975, Michel Foucault expliquait comment la propagation de la peste avait permis aux Etats d’imposer au XVIIe siècle des mesures coercitives à travers leur pouvoir de normalisation :

« Espace découpé, immobile, figé. Chacun est arrimé à sa place. Et s’il bouge, il y va de sa vie, contagion ou punition […] Le rapport de chacun à sa maladie et à sa mort passe par les instances du pouvoir, l’enregistrement qu’elles en font, les décisions qu’elles prennent […] Derrière les dispositifs disciplinaires, se lit la hantise des contagions, de la peste, des révoltes, des crimes, du vagabondage, des désertions, des gens qui apparaissent et disparaissent, vivent et meurent dans le désordre. »

Et ce qui se passe sous nos yeux, c’est également un exemple parfait des expériences de Milgram. Chacun a tendance, pour se rassurer, à se dépersonnaliser pour embrasser la cause de l’autorité. Qui forcément détient la vérité, qui forcément peut rassurer, qui forcément peut conforter et protéger.

Il est plus rassurant de croire à une illusion qui rassure qu’à une vérité qui dérange. C’est entre autres une question de champs d’information. Pour celui ou celle qui n’a pas l’accès à un champ d’information différent de celui sur lequel il s’est construit, ou celui sur lequel on l’a construit, il y a distorsion, coupure, rejet. C’est en cela qu’il est difficile de faire comprendre à nos concitoyens les véritables contours de ce script.

C’était la triste situation de nombreux pays au XXème siècle, dont on espérait pourtant ne pas reproduire les erreurs à notre époque :

Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut pas se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et, avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez”, disait Hannah Arendt.

Par des techniques de manipulation bien connues de la PNL (programmation neuro-linguistique) comme la double contrainte, l’injonction paradoxale, l’ingénierie sociale, le saupoudrage, le discours ambiant associe manipulation, désinformation, et hypnose conversationnelle. Le piège fonctionne.

La double injonction selon laquelle tout va bien mais en fait cela ne va pas est le pire qui soit pour tomber dans le piège de la peur et l’endoctrinement. C’était le premier stade de l’épidémie, on va quand même au théâtre ou au bureau de vote. A présent c’est l’inverse. Il ne se passe rien, mais on crie alerte. Le parfait système coercitif.

On assiste aussi au système peur/ soulagement, bien connu sous le thème « good cop / bad cop ». Provoquer une crainte, une peur, par une mise en scène avec des dangers existants ou virtuels. Puis « en même temps », le locuteur ou son complice change de ton avec une ouverture possible. Ce n’est pas la peur qui provoque la soumission mais le soulagement. Et le soulagement, c’est la perspective du dépistage, du vaccin. Et en attendant on reste bien chez soi. Confiné. Emprisonné chez soi, en soi. Docile ?

Car nul n’est obligé de s’y soumettre ! C’est l’heure des choix. Pour exister, un manipulateur a besoin d’un manipulé, tout comme un maître d’un esclave. Est esclave celui qui y consent. Allons nous consentir, allez vous consentir à vous soumettre ?

« La vie vaut ce que nous sommes capables de risquer pour elle ». Il n’y a de liberté que par l’acte même de libération : celui qui ne veut pas risquer sa vie risque fort la servitude. Cependant, une fois maître, l’individu devient passif, inactif. C’est son esclave qui travaille, qui s’accomplit. Ainsi le maître devient dépendant du travail de son esclave, il devient l’esclave de son esclave, car c’est en travaillant qu’on atteint la liberté.

Tous les pouvoirs, et de plus en plus ceux de la pensée, sont désormais attribués à la médecine et aux mains de celles et ceux qui la gouvernent, l’orientent. Faut il rappeler que c’est Rockefeller qui a racheté toutes les écoles de médecine aux Etats Unis dans les années 1920, afin d’y dispenser une médecine exclusivement allopathique afin d’écouler les produits chimiques provenant du pétrole, ce qui va constituer la base de la pétrochimie et de l’industrie pharmacologique.

Il ne s’agit pas d’une médecine basée sur l’alimentation, pourtant premier principe d’Hippocrate, ou sur l’herboristerie, la phytothérapie, l’homéopathie, ou sur l’hypnose, la méditation ou la psychologie, la médecine chinoise ou ayurvédique, médecines traditionnelles à l’efficacité démontrée, mais il s’agit bien d’une médecine exclusivement allopathique. Une nouvelle religion qui n’en tolère pas d’autres.

Désormais la santé n’est plus un bien, c’est devenu une valeur. Force est de constater que c’est aussi devenu un diktat.

L’humanité doit accepter d’être soignée malgré elle, selon des codes ou des normes qui lui sont imposés. Une humanité confinée, contrainte, aux droits violés, mais protégée ! Pour appliquer un soi-disant principe de précaution, en réponse à une menace fantôme dont la virtualité ne s’inspire que de prévisions statistiques, que de calculs établis selon des modèles aux principes tronqués ou faussés, des projections qui ont été mises à mal par la réalité sanitaire. Cela n’a pas de sens. Un profond changement est en cours.

Et pour mieux comprendre cette fin de cycle globale, qui appelle à ce bouleversement profond, quelle qu’en soit l’impulsion, faisons un retour en arrière.

2019 était l’année de tous les dangers : risques bancaires  avec de nombreux établissements en déroute, risques sur l’euro, économies au ralenti, manifestations sociales multiples fragilisant les pouvoirs en place. Et surtout, la fin annoncée du dollar, et l’avènement des cryptomonnaies.

La situation bancaire était critique, en particulier en Europe et aux États-Unis. Les milieux financiers craignaient pour la survie de la Deutsche Bank et la Commerzbank en Allemagne, de l’Intesa San Paolo en Italie, ou de la Société Générale en France. Toute faillite aurait déclenché en effet un « Bank run » partout en Europe que seule une fermeture coordonnée de toutes les banques de la zone et l’instauration d’un contrôle des capitaux aux frontières pourraient éviter.

Quand une banque importante fermera, on peut imaginer que toutes les banques de la zone euro fermeront. Que l’on se rassure, pour ces organismes qui constituent le fondement de notre « état », tout a déjà été mis en place légalement par la Directive BRRD européenne et Loi Sapin 2 pour pouvoir « chyprioter » nos comptes sous prétexte de nous protéger…. d’une catastrophe bancaire et économique.

À la situation bancaire critique s’ajoutait le risque de l’éclatement de la zone euro. Depuis les élections italiennes en mars 2019, la probabilité d’une sortie de l’euro de l’Italie s’était considérablement accentuée. En parade, il était prévu de faire tourner la machine à billets, ce qui aurait fait perdre toute valeur à l’euro, et la dépréciation des actifs. Aujourd’hui, certes, on risque d’en arriver au même point… avant le grand saut ?

A ce risque s’ajoutait également celui du système monétaire instauré depuis les accords de Bretton Woods, en 1944, visant à définir les grandes lignes du système économique et financier mondial, menacé par la nouvelle monnaie chinoise.

Un éclatement du système monétaire sous la pression d’une nouvelle monnaie chinoise. La Chine a créé une nouvelle monnaie basée et convertible en or. Or l’avantage des US de posséder la monnaie mondiale est que cela lui a permis de financer ses déficits. Le modèle économique américain repose en effet sur un abus chronique de dette qui est achetée par les pays qui cherchent à recycler leurs dollars. La Chine a lancé une alternative monétaire au dollar,  et de ce fait n’a plus besoin d’acheter des obligations américaines. Bras de fer pour le leadership !

La guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis était aussi particulièrement lancée, à coup de taxes, de protectionnisme et d’intimidations diplomatiques.

Enfin, le risque de crise sociale inquiétante pour les pouvoirs, tant en France que dans le monde, représentée par des mouvements populaires spontanés (Gilets jaunes…) comme par des manifestations de corporations ou de métiers, tous debout contre des réformes jugées inadaptées, injustes ou forcées au nom du marché et de ses lois.

Ainsi, ce choc anthropologique dont parlent à l’unisson les hommes politiques du monde entier que représente le Covid est une véritable aubaine.

Ce virus de pangolin serait-il à ce point opportuniste ?

Afin d’entrevoir ce que nous réserve l’avenir proche, faut-il s’inspirer des travaux du Forum Economique de Davos qui prône, comme le FMI, « The Great Reset », faut-il se tourner vers les principes collectivistes et transhumanistes de Bacon ou de Moore martelés par Attali et Minc ? S’inspirer de la Chine capitaliste autoritaire ?

Nous sommes à l’heure des choix.

Avec ce film, c’est un engagement pour la vie, le respect du vivant, mes enfants, parents, amis. Hymne à la vie, à l’amour, à l’âme humaine.

Voir aussi le debriefing de Christophe Cossé

https://www.youtube.com/embed/-ZSJ27H1YoU

Auteur(s): Christophe Cossé pour FranceSoir


Les Sources du film

HOLD UP + (sources)

00 : 02 : 28

L’Homme sera bientôt un être modifié par la technologie

Vidéo de Laurent Alexandre : Conférence “La techno-médecine” à L’USI – 2013

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

00 : 08 : 30

Les prophéties de Neil Ferguson pour confiner

https://www.liberation.fr/checknews/2020/06/03/les-previsions-de-ferguson-qui-ont-conduit-de-nombreux-pays-a-se-confiner-etaient-elles-fantaisistes_1790061/

Les recommandations de l’OMS quant à l’utilisation des masques

Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 : orientations provisoires, OMS.

Janvier 2020 : Microsoft Word – Advice on the use of masks 2020-01-29_fr_14FEB2020_marissa.docx (who.int)

Avril 2020 : WHO-2019-nCoV-IPC_Masks-2020.3-fre.pdf

Juin 2020 : WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf

00 : 12 : 27

L’inexactitude des chiffres diffusés – Hypoxie heureuse :

Article Science et Avenir, Les “happy hypoxics”, ces patients du Covid-19 qui ne se rendent pas compte qu’ils manquent d’oxygène (07/05/20)

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/les-happy-hypoxics-ces-patients-du-covid-19-qui-ne-se-rendent-pas-compte-qu-ils-manquent-d-oxygene_144159

00 : 13 : 13

Évolution du nombre de morts entre Mars et Septembre en 2018, 2019 et 2020.

Courbe INSEE :

Évolution du nombre de décès depuis le 1ᵉʳ septembre 2020 − Nombre de décès quotidiens | Insee

00 : 13 : 33

Nombre total de morts de la Covid-19 dans le monde

Covid-19 Dashboard by the Center for Systems Science and Engineering (CSSE)

COVID-19 Map – Johns Hopkins Coronavirus Resource Center (jhu.edu)

00 : 13 : 46

Nombre total de tests effectués dans différents pays entre mars et octobre 2020

Graphique Total Covid-19 tests: Total COVID-19 tests (ourworldindata.org)

00 : 13 : 58

Explication des cycles de dépistage

https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Covid-19-les-tests-PCR-contestes-1713289

https://www.industrie-techno.com/article/baisser-le-seuil-de-detection-des-tests-rt-pcr-du-covid-19-pour-mieux-depister-les-individus-contagieux.61734

00 : 15 : 57

Les faux positifs

Article de Paris Match : Covid-19 : les tests PCR contestés (24/11/20)

Covid-19 : les tests PCR contestés (parismatch.com)

00 : 16 : 35

Le gouvernement tente de justifier le confinement

Article du Parisien : Coronavirus : quand Olivier Véran dessine un schéma pour expliquer la stratégie de la France face à l’épidémie (10/03/20)

Coronavirus : quand Olivier Véran dessine un schéma pour expliquer la stratégie de la France face à l’épidémie – Le Parisien

00 : 16 : 54

Une plainte a été déposée à l’ordre des médecins contre Didier Raoult

Vidéo BFM – (10/09/20) https://www.dailymotion.com/video/x7vy2q8

Proposition de Randy Hillier de créer des camps d’internements pour les malades du Covid

Article The Epoch Times : Covid-19 : des camps d’internement au Canada au printemps 2021 ? (06/11/20, Mis à jour le 07/11/20)

[Vidéo] Covid-19 : des camps d’internement au Canada au printemps 2021 ? | Epoch Times (theepochtimes.com)

Proposition de Randy Hillier de créer des camps d’internements pour les malades du Covid

Les camps au Canada => Site de Randy Hillier:

https://www.randyhilliermpp.com/20201007_question

Dépistage massif à Wuhan

L’article du test sur les asymptomatiques à Wuhan ; https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w

00 : 20 : 29

Les mesures sanitaires contraignantes dans les écoles

Une du Canard Enchainé n°5207, “Un masque, une frousse et des crayons !” du 26 août 2020

Acheter un numéro du Canard enchainé à l’unité (lecanardenchaine.fr)

00 : 30 : 19

Allocution du Président de la République, 16 mars 2020

Site de l’Elysée : Adresse aux Français, 16 mars 2020 | Élysée (elysee.fr)

00 : 35 : 43

L’épidémie va durer

Emission BFM TV – Bourdin en direct – Jean-François Delfraissy face à Jean-Jacques Bourdin du 09 octobre 2020

Jean-François Delfraissy face à Jean-Jacques Bourdin en direct – 09/10 (bfmtv.com)

00 : 36 : 44

Comparatifs des morts par épidémie

Graphique “Comparatifs des morts dans le monde chaque année”

https://www.worldometers.info/fr/population-mondiale/

00 : 37 : 04

Les résultats de l’étude des sénateurs sur la gestion de la crise sanitaire H1N1

Rapport du Sénat du 26 juillet 2017

r16-6851.pdf (senat.fr)

00 : 37 : 44

Allocution d’Olivier Véran

Point de situation coronavirus – (28/02/20)

Point de situation coronavirus – 28 février 2020 – Vidéo Dailymotion

00 : 37 : 50

Interview de Sibeth Ndiaye

Le Grand Entretien, France Inter (04/03/2020)

Sibeth Ndiaye : “Au stade 3 de l’épidémie de coronavirus, on ne va pas arrêter la vie de la France” – YouTube

00 : 38 : 08

Allocution de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (18/03/20)

Point de situation coronavirus | mercredi 18 mars 2020 – Vidéo Dailymotion

00 : 38 : 15

Allocution de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (03/04/20)

Point de situation du vendredi 3 avril – Vidéo Dailymotion

00 : 38 : 22

Déclaration d’Olivier Véran à l’Assemblée Nationale

Questions au gouvernement (07/04/20)

Olivier Véran: “Il n’y a aucune décision de recommandation du port du masque à l’heure actuelle” pour la population (bfmtv.com)

00 : 38 : 31

Déclaration de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (22/04/20)

Jérôme Salomon, point de situation coronavirus du mercredi 22 avril – YouTube

00 : 38 : 36

Déclaration de Edouard Philippe à l’Assemblée Nationale

Compte rendu intégral de la séance du 28 avril sur la stratégie nationale du plan de déconfinement (28/04/20)

Assemblée nationale ~ Séance du mardi 28 avril 2020 (assemblee-nationale.fr)

00 : 38 : 38

Allocution du Président de la République, (14/07/20)

Site de l’Elysée : 14 juillet : l’interview du Président Emmanuel Macron | Élysée (elysee.fr)

00 : 41 : 17

Audition d’Olivier Véran au Sénat

Covid-19 : l’audition d’Olivier Véran, ministre de la Santé, devant la commission d’enquête du Sénat – YouTube

00 : 42 : 00

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le figaro, Coronavirus : 7560 personnes sont mortes en France du virus depuis le 1er mars (04/04/20)

EN DIRECT – Coronavirus : 7560 personnes sont mortes en France du virus depuis le 1er mars (lefigaro.fr)

00 : 42 : 05

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Figaro, Coronavirus : 574 décès de plus en 24 heures, près de 15.000 morts en France (13/04/20)

EN DIRECT – Coronavirus : 574 décès de plus en 24 heures, près de 15.000 morts en France (lefigaro.fr)

00 : 42 : 09

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Coronavirus : presque 10 000 morts aux Etats-Unis (01/04/20)

Direct – Coronavirus : presque 10 000 morts aux Etats-Unis – Libération (liberation.fr)

00 : 42 : 13

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Les Echos, Coronavirus : la France a connu un pic de mortalité en mars

(03/04/20)

Coronavirus : la France a connu un pic de mortalité en mars | Les Echos

00 : 42 : 17

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Plus de 23 000 morts en France, selon le dernier bilan de lundi

(25/04/20)

Plus de 23 000 morts en France, selon le dernier bilan de lundi – Libération (liberation.fr)

00 : 42 : 22

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Coronavirus : l’épidémie a fait plus de 50 000 morts aux Etats-Unis

(20/04/20)

Direct – Coronavirus : l’épidémie a fait plus de 50 000 morts aux Etats-Unis – Libération

(liberation.fr)

00 : 42 : 27

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Monde, Coronavirus dans le monde : plus de 100 000 morts recensés en Europe (18/04/20)

Coronavirus dans le monde : plus de 100 000 morts recensés en Europe

00 : 42 : 32

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Parisien, Coronavirus en France : 395 nouveaux décès, près de 20000 morts au total (19/04/20)

Coronavirus en France : 395 nouveaux décès, près de 20000 morts au total – Le Parisien

00 : 43 : 22

Les journalistes sont perdus sur les nombre de morts

Article de Libération, Coronavirus : au moins 800 000 morts dans le monde – Le Parisien (22/08/20)

Coronavirus : au moins 800 000 morts dans le monde – Le Parisien

00 : 43 : 26

Où sont les morts de la grippe ?

Article de Libération, La grippe a-t-elle fait 70 morts cet hiver comme l’a dit France 2, ou plusieurs milliers ? (12/03/20)

La grippe a-t-elle fait 70 morts cet hiver comme l’a dit France 2, ou plusieurs milliers? – Libération (liberation.fr)

00 : 44 : 11

La Covid fait flamber le prix des consultations

Site de l’Assurance maladie, 27 novembre 2020

Les médecins au cœur du circuit de « contact tracing » des patients Covid-19 | ameli.fr | Médecin

00 : 46 : 05

Le Pr Perronne alerte sur les chiffres apocalyptiques

Livre du Professeur Christian Perronne – Y’a t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? – Edition Albin Michel, 2020

00 : 47 : 56

Le masque de papier

Les guignols de l’info, Canal+, sketch “Le masque de papier”, (10/09/ 2009)

00 : 49 : 16

Site d’analyse de tous les articles sur tous les traitements

Site c19study.com

00 : 52 : 02

La chloroquine est réservée aux spécialistes

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire – Légifrance (legifrance.gouv.fr)

00 : 52 : 33

L’utilisation de la chloroquine est réservée pour les cas graves

Une du Canard enchaîné, N° 5187, Un nouveau slogan : “Pestez chez vous!” – (08/04/20)

00 : 54 : 59

Le fonctionnement de l’hydroxy chloroquine

Audition d’Agnès Buzyn à l’Assemblée Nationale

[INTEGRAL] Coronavirus : Agnès Buzyn devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale – YouTube

00 : 55 : 56

La sonnerie de clairon du gouvernement sur la dangerosité de l’hydroxy chloroquine

Covid-19: le point de situation du 28 mars

REPLAY – Covid-19: le point de situation du 28 mars – YouTube

00 : 56 : 06

La balance bénéfices/risques de la chloroquine

Emission BFM TV – Bourdin en direct – Karine Lacombe face à Jean-Jacques Bourdin en direct du 28 mai 2020

Karine Lacombe face à Jean-Jacques Bourdin en direct – 28/05 (bfmtv.com)

00 : 58 : 53

Karine Lacombe a été payée par des laboratoires

Base de données euros for docs

Vision par Professionnel bénéficiaire | Euros For Docs

01 : 14 : 32

Le remdesivir est réservé aux soins palliatifs

Covid-19: le point de situation du 28 mars

REPLAY – Covid-19: le point de situation du 28 mars – YouTube

01 : 21 : 24

La CIA avait prévue une future pandémie mondiale

Livre d’Alexandre Adler – Le rapport de la CIA, comment sera le monde en 2020 ? – Edition Robert Laffont – 2005

01 : 22 : 27

La fondation Rockefeller, spécialiste des scénarios apocalyptique

Scenarios for the Future of Technology and International Development

Rockefeller Foundation.pdf (nommeraadio.ee)

01 : 25 : 37

Attali affirme qu’Emmanuel Macron pourra être président un jour

Emmanuel Macron “présidentiable” pour Jacques Attali, BFM TV, (27/08/2014)

Emmanuel Macron “présidentiable” pour Jacques Attali – YouTube

01 : 25 : 55

Attali tire les leçons de la crise de H1N1

L’express – Conversation avec Jacques Attali

Changer, par précaution | Conversation avec Jacques Attali – Lexpress

01 : 30 : 16

Gilead rafle la mise sur le remdesivir

Journal Les Echos, Face à la pénurie, la Commission européenne commande plus de 500.000 doses de remdesivir à Gilead (07/10/20)

Face à la pénurie, la Commission européenne commande plus de 500.000 doses de remdesivir à Gilead | Les Echos

01 : 30 : 45

Gilead se voit valorisé après une fusion

Article de Stratégie Bourse du 09/06/20

AstraZeneca envisage de fusionner avec Gilead (strategie-bourse.com)

01 : 30 : 54

Le business plan des laboratoires

Les guignols de l’info, Canal+, sketch “Léger prix des vaccins pour la grippe aviaire”, 11 octobre 2005

Léger prix des vaccins pour la grippe aviaire – Les Guignols – CANAL+ – YouTube

01 : 33 : 12

L’étude Discovery annulée

Article Le Monde, Coronavirus : l’essai clinique Discovery englué faute de coopération européenne, (07/05/20)

Coronavirus : l’essai clinique Discovery englué faute de coopération européenne (lemonde.fr)

01 : 33 : 14

L’étude Discovery annulée

Article L’Humanité : Essais cliniques L’étude Discovery, ou le fiasco de la coopération européenne (04/05/20)

Essais cliniques L’étude Discovery, ou le fiasco de la coopération européenne | L’Humanité (humanite.fr)

01 : 33 : 20

Barrage à l’hydroxychloroquine

Gautret et al. (2020) Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID‐19: results of an open‐label non‐randomized clinical trial. International Journal of Antimicrobial Agents – In Press 17 March 2020 – DOI : 10.1016/j.ijantimicag.2020.105949

Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID-19 – IHU (mediterranee-infection.com)

01 : 34 : 11

Une plainte a été déposée à l’ordre des médecins contre Didier Raoult

Vidéo BFM – (10/09/20)

01 : 36 : 02

Gilead vend pour 220 millions d’euros de doses à l’Union Européenne

Article de Marianne : Remdésivir inefficace : comment la Commission européenne s’est laissée séduire par Gilead, (05/12/20)

Remdésivir inefficace : comment la Commission européenne s’est laissée séduire par Gilead (marianne.net)

01 : 36 : 06

Le remdésivir jugé inefficace et dangereux

Article de Industrie Pharma, Covid-19 : L’utilisation du remdesivir de Gilead remise en cause par l’OMS (20/11/20)

Covid-19 : L’utilisation du remdesivir de Gilead remise en cause par l’OMS (industriepharma.fr)

01 : 36 : 20

Gilead voit son chiffre d’affaire trimestriel augmenter de 17%

Article de The New England Journal of Medicine, Persistence and Evolution of SARS-CoV-2 in an Immunocompromised Host (03/12/20)

Persistence and Evolution of SARS-CoV-2 in an Immunocompromised Host | NEJM

01 : 37 : 21

Martin Blachier, homme d’affaire et épidémiologiste

Site Accueil | Monsite (ph-expertise.com)

01 : 39 : 52

Fauci, chercheur sur les transmission des virus inter-espèces

NIH Director’s Blog, President’s Visit to NIH Highlights Research on Ebola, (02/12/14)

President’s Visit to NIH Highlights Research on Ebola – NIH Director’s Blog

01 : 40 : 18

Les travaux de Fachi jugés dangereux

Newsweek : Dr. Fauci Backed Controversial Wuhan Lab with U.S. Dollars for Risky Coronavirus Research, (28/04/20)

Dr. Fauci Backed Controversial Wuhan Lab with U.S. Dollars for Risky Coronavirus Research (newsweek.com)

01 : 41 : 29

Un virus échappé d’un laboratoire américain

Article de Military.com, CDC Inspection Findings Reveal More about Fort Detrick Research Suspension (24/11/19)

CDC Inspection Findings Reveal More about Fort Detrick Research Suspension | Military.com

01 : 41 : 39

Un laboratoire fermé après qu’un virus se soit échappé

Article de Mediapart,Investigation COVID19 : la remarquable (et peut-être…) fortuite coïncidence! (05/05/20)

Investigation COVID19 : la remarquable (et peut-être…) fortuite coïncidence! | Le Club de Mediapart

01 : 45 : 21

Le nombre de morts par l’AFP

Article de Courrier Picard, Covid-19: plus de 26.000 nouveaux cas en 24H, 2.761 personnes en réanimation, (26/10/20)

Covid-19: plus de 26.000 nouveaux cas en 24H, 2.761 personnes en réanimation (courrier-picard.fr)

01 : 45 : 46

Fabrice Fries élu à la tête de l’AFP

Article de Libération, Fabrice Fries élu PDG de l’AFP à l’arraché, (12/04/18)

Fabrice Fries élu PDG de l’AFP à l’arraché – Libération (liberation.fr)

01 : 45 : 57

Montant total de la dotation de Le Monde en 2019 et 2020

Fondation Bill et Melinda Gates

Le Monde – Bill & Melinda Gates Foundation

01 : 46 : 14

L’Etat débloque une grosse enveloppe pour les médias

Article Les Echos, Coronavirus : le gouvernement a débloqué 2 milliards pour les médias, (05/07/20)

Coronavirus : le gouvernement a débloqué 2 milliards pour les médias | Les Echos

01 : 47 : 23

Qui dirige les médias ?

Schéma “Médias, Qui possède quoi ?”

Médias français, qui possède quoi ? (Le Monde diplomatique, décembre 2020) (monde-diplomatique.fr)

01 : 49 : 12

L’origine probable du virus

Document du CNRS : Le séquençage du nouveau coronavirus révèle une subtile différence avec le SRAS (11/02/2020)

Le séquençage du nouveau coronavirus révèle une subtile différence avec le SRAS | CNRS

01 : 49 : 16

L’origine probable du virus

Science Direct, The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade, (Avril 2020)

The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade – ScienceDirect

01 : 49 : 49

Le virus est d’origine naturelle selon Zheng Li Shi

Nature, A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin (17/09/20) A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin | Nature

01 : 50 : 38

Le virus aurait été fabriqué en laboratoire

Article MaxiSciences.com, Une virologue chinoise dit avoir des “preuves” que le Covid-19 a été fabriqué en laboratoire (18/09/20)

Coronavirus : la virologue chinoise Li-Meng Yan dit avoir des “preuves” que le Covid-19 a été fabriqué dans un laboratoire à Wuhan (maxisciences.com)

Le virus aurait été fabriqué en laboratoire

Science, Enhancing host cell infection by SARS-CoV-2, (13/11/20)

Enhancing host cell infection by SARS-CoV-2 | Science (sciencemag.org)

01 : 54 : 39

Disparition de tubes contenant le virus du SRAS

Article Le Monde, La mystérieuse disparition de 2349 tubes contenant du virus SRAS, (15/04/14)

La mystérieuse disparition de 2 349 tubes contenant du virus SRAS (lemonde.fr)

01 : 54 : 44

Virus transporté clandestinement

Article Le Parisien, Virus mortel transporté clandestinement : la chercheuse de Pasteur se défile, (23/03/17)

Virus mortel transporté clandestinement : la chercheuse de Pasteur se défile – Le Parisien

01 : 54 : 49

Intrusion dans un laboratoire P4

Article 20 Minutes, Lyon : un SDF s’introduit dans le laboratoire haute sécurité P4, (22/03/16)

Lyon : Un SDF s’introduit dans le laboratoire haute sécurité P4 (20minutes.fr)

01 : 54 : 58

La piste du labo reste l’origine la plus probable

Article du Daily Mail : China lab leak is the ‘most credible’ source of the coronavirus outbreak, says top US government official, amid bombshell claims Wuhan scientist has turned whistleblower (02/01/21)

Lab leak is the ‘most credible’ source of the coronavirus outbreak, says top US government official | Daily Mail Online

01 : 55 : 02

Une de Libération du 13 novembre 2020

Article de libération : Hold-Up, le virus du complot (13/11/20)

“Hold-up” : Le virus du complot. 13 novembre 2020 – Liberation

01 : 55 : 12

Une étude indienne suggère que le virus pourrait venir d’un labo

bioRxiv, Discovery of unique insertions in Covid-19 : structural and functionnal implications, Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag | bioRxiv

01 : 55 : 43

La théorie de la création du virus en laboratoire réfutée par des scientifiques

Article Le Monde, Non, le Covid-19 n’est pas une “combinaison du SRAS et du sida”. (09/03/20)

Non, le Covid-19 n’est pas une « combinaison du SRAS et du sida » (lemonde.fr)

01 : 55 : 53

La théorie de la création du virus en laboratoire réfutée par des scientifiques

Article Le Parisien, Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable (17/04/20)

Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable – Le Parisien

01 : 57 : 03

Une nouvelle méthode pour modifier l’ARN

Science et Avenir, Après l’ADN par CRISPR-Cas9, on sait modifier l’ARN grâce à CRISPR-Cas13, (25/10/17)

Après l’ADN par CRISPR-Cas9, on sait modifier l’ARN grâce à CRISPR-Cas13 – Sciences et Avenir

01 : 57 : 14

Les nanotechnologies vont permettre de “bricoler le vivant”

Conférence de Laurent Alexandre, La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI,

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

02 : 05 : 16

Le Forum économique de Davos

World Economic forum

How US foreign policy will shape the ‘Great Reset’ | World Economic Forum (weforum.org)

02 : 06 : 26

Attali soutient que l’on se dirige vers un gouvernement mondial

Arrêt sur Images – 2010

“Il faudra un gouvernement mondial. Après, ou à la place de la guerre ?” [Avent2020] – Par La rédaction | Arrêt sur images (arretsurimages.net)

02 : 06 : 39

Le Brevet nanoparticules et cryptomonnaie

Brevet Microsoft (22/05/20)

Un message pour la Journée Internationale de la Diversité Biologique, le 22 mai 2020 – Navdanya international

02 : 08 : 22

La vérité sur la 5G

Publicité Free (2020)

Free Mobile – 5G : La Vérité – YouTube

02 : 11 : 18

Scenarios for the Future of Technology and International Development

Rockefeller Foundation.pdf (nommeraadio.ee)

02 : 11 : 29

Les maladies graves découlant du Covid 19 seraient causées par des cellules colonisatrices

ncbi, Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness (01/10/2008)

Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness (nih.gov)

02 : 17 : 37

Laurent Alexandre – Global Postiv Forum

Global Positive Forum – Laurent Alexandre – French – YouTube

02 : 19 : 05

Présentation du PDG de Twitter

Site de Berggruen

You searched for – Berggruen Institute

02 : 19 : 27

Envol du cours boursier de Square

Cours boursier de Square

Square, Inc. Class A Common Stock (SQ) Stock Quotes | Nasdaq

02 : 20 : 03

Les personnalités appartenant à l’Institut Berggruen

Site du Bergguren Institute

The Transformations of the Human – Our Work – Berggruen Institute

02 : 21 : 16

Les dieux et les inutiles

Conférence de Laurent Alexandre aux élèves de Polytechnique (12/02/19)

Table ronde de l’X sur le Transhumanisme – YouTube

02 : 27 :00

Recherche des déterminants génétiques de l’intelligence

Conférence de Laurent Alexandre : Conférence “La techno-médecine” à L’USI – 2013

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

02 : 28 : 21

Ce dont j’ai le plus peur, c’est la peur”

André Comte-Sponville sur RTL (8/09/20)

Coronavirus : “Je n’ai pas peur de la Covid-19”, assure le philosophe André Comte-Sponville – YouTube

02 : 36 : 22

Le pire bilan en France en un jour ?

Article La dépêche – Coronavirus : 523 morts en 24 heures, pire bilan en France depuis avril, et un nombre de cas qui explose en Occitanie (27/10/20)

Coronavirus : 523 morts en 24 heures, pire bilan en France depuis avril, et un nombre de cas qui explose en Occitanie – ladepeche.fr

02 : 36 : 36

Rectificatif de l’information du 27/10/20

Article France Info – RECTIFICATIF. Covid-19 : 288 personnes sont mortes de l’épidémie en 24 heures dans les hôpitaux en France et 235 en quatre jours dans les établissements médico-sociaux (27/10/20)

RECTIFICATIF. Covid-19 : 288 personnes sont mortes de l’épidémie en 24 heures dans les hôpitaux en France et 235 en quatre jours dans les établissements médico-sociaux (francetvinfo.fr)

02 : 36 : 42

Spot de sensibilisation aux gestes barrières

Spot de sensibilisation du gouvernement

Le spot “choc” du gouvernement pour le respect des gestes barrières – Vidéo Dailymotion

02 : 38 : 24

L’exploit de Florian Gomet

Article L’Equipe – Aventure : 3 500 km et 80 jours à courir sans chaussures, Florian Gomet raconte (27/09/20)

Aventure : 3 500 km et 80 jours à courir sans chaussures, Florian Gomet raconte – L’Équipe (lequipe.fr)

02 : 45 : 42

Des vaccins prêts en 12 à 18 mois

Emission BFM TV – Good moring Business – Thierry Breton (Commissaire européen) : Brexit, vers un “no deal” ? – (21/12/20)

Thierry Breton (Commissaire européen) : Brexit, vers un “no deal” ? – 21/12 (bfmtv.com)

02 : 46 : 19

Les vaccins vont être testés sur toute la population européenne

Commission Européenne – Roadmap of vaccination (03/2019)

2019-2022_roadmap_en.pdf (europa.eu)

02 : 46 : 45

Investissement massif dans une entreprise de fabrication de bouteilles de vaccins

Les Echos – Schott, le passeur du vaccin anti-Covid (04/12/20)

Schott, le passeur du vaccin anti-Covid | Les Echos

02 : 47 : 11

Aucun traitement n’est utile contre le virus ?

Site de l’ANSM

L’ANSM mobilisée dans la mise à disposition des vaccins COVID-19 – ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (sante.fr)

02 : 47 : 33

Interdiction du Remdesivir

L’OMS ne recommande pas l’administration de remdesivir aux patients COVID-19

(20/11/20)

L’OMS ne recommande pas l’administration de remdesivir aux patients COVID-19 (who.int)




La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ?

Par Nicole Delépine

Une armée de grandes entreprises biotechnologiques utilise des tactiques psychologiques pour « créer une demande de vaccins(([1] https://www.lifesitenews.com/news/an-army-of-big-biotech-companies-is-using-psych-tactics-to-create-vaccine-demand 7 MAI 2021)) », analyse Céleste McGovern dans son article du 7 mai 2021. Nous l’avons lu avec intérêt et reconnu ce que nous vivons en France quasiment à la lettre. Nous vous en livrons ici les principaux extraits pour nous aider à comprendre ce qui arrive à notre entourage privé et/ou professionnel.

Nous sommes nombreux à nous demander quelle folie furieuse pousse tant de gens apparemment censés à se ruer vers des pseudo vaccins expérimentaux, aux effets — à court et surtout à long terme — inconnus pour une maladie en voie de disparition et qui surtout tue peu(([2] En tous cas moins que la grippe asiatique qui n’a pas été utilisée pour créer la panique et imposer des mesures antidémocratiques)) en dehors des personnes très âgées ayant déjà dépassé l’espérance de vie moyenne.

Non, vos amis, vos relations, nous-mêmes… ne sommes pas fous, mais victimes d’une monstrueuse entreprise de manipulation bien rodée et efficace. Pour notre malheur à tous, si nous n’arrivons pas à nous réveiller et nous faire revenir à la réalité des faits avérés.

Pauvre Sidonie

Ainsi comment expliquer que notre amie Sidonie qui vient de perdre son père brutalement trois jours après sa première injection de Pfizer se fasse vacciner quand même, alors qu’elle n’a que trente ans et donc aucun risque de mourir du covid, en tous cas beaucoup moins que lorsqu’elle traverse la rue ?

Bien sûr, le médecin de Sidonie appliquant les recommandations du conseil de l’ordre fidèle à ses antécédents vichyssois lui a affirmé que rien ne prouvait que le vaccin soit responsable. Simple coïncidence temporelle ! Dormons tranquille, sans signalement d’effet secondaire par le médecin (dissuadé par les démarches administratives et sa peur de passer pour un antivax(([3] Car comme l’a rappelé une ministre de la santé aux députés « en France la vaccination ne se discute pas »))) ni par la famille (qui ignore qu’elle pouvait le faire directement à l’agence française, et/ou européenne). La fréquence importante des non-signalements fait supposer que les 10 000 décès recensés par l’EMA et publiés sur Eudravigilance sont très sous-estimés parce que beaucoup de Sidonie sont crédules et se taisent et ne croient pas à ces documents pourtant très officiels.

Bref, Sidonie est une fille intelligente, mais aveuglée par la propagande mondiale massive. Et puisqu’on le préconise partout, n’est-ce pas ? Que s’est-il passé ?

LE DÉBUT DE LA MANIPULATION AUX USA

Les USA sont inondés par un excédent de vaccins contre le coronavirus, car l’épidémie est en forte régression depuis janvier 2021, bien avant que la vaccination qui touchait à cette époque moins de 5 % de la population puisse infléchir l’évolution de la maladie. Le nombre hebdomadaire de contaminations est passé de 1 745 361 dans la semaine du 4 janvier à 235 638 dans la semaine du 11 mai entraînant la suppression des mesures sanitaires dans la majorité des États, le refus du pass vaccinal et une baisse soudaine de la demande vaccinale.

Pour éviter la perte brutale d’un marché si prometteur, une armée d’agences de communication a été mobilisée pour combattre « l’hésitation vaccinale ». Elle utilise un marketing de masse pour « créer de la demande » en utilisant la surveillance, l’analyse rapide des données, le contrôle des médias, et une foule de stratégies de contrôle du comportement décrites dans leurs livres de jeux comportementaux.

LES CENTRES DE VACCINATION LARGEMENT DÉLAISSÉS

Aux USA, la demande chute après une phase de vaccination importante : 40 % de la population adulte aurait été entièrement vaccinée, selon les données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC). La demande a chuté de 25 % après un pic à la mi-avril, et que 56,4 % des adultes aient reçu au moins une dose. Mais cinq millions de personnes — environ huit pour cent de ceux qui ont pris une première dose — ont boudé leurs rendez-vous de deuxième dose, selon les CDC.

Le stock excédentaire de vaccins s’accumule partout au pays. Chaises vides dans un site de vaccination de masse de Philadelphie où 4 000 doses inutilisées de vaccins devaient expirer. Un million de doses, représentant le quart des doses envoyées en Louisiane par le gouvernement fédéral, étaient en attente de volontaires.

Un comté du Wyoming a demandé à l’État d’arrêter l’expédition des vaccins. La Caroline du Nord a fermé ses cliniques de vaccination faute de demande.

« Pour la première fois, nous avons eu des rendez-vous dans de nombreux sites de vaccination non remplis », a déclaré pour le comté de Los Angeles, le directeur de la santé publique Barbara Ferrer lors d’un point de presse début mai. « Il y a beaucoup de gens ici qui ne veulent plus recevoir le vaccin », a dit Ralph Merrill, un ingénieur qui siège à un conseil d’administration du comté de l’Alabama.

LA PEUR DU VACCIN DÉPASSE LA PEUR DU VIRUS

Beaucoup d’États américains républicains ont utilisé les traitements précoces efficaces(([4] Harvey Risch Early Outpatient Treatment of Symptomatic, High-Risk COVID-19 Patients That Should Be Ramped Up Immediately as Key to the Pandemic Crisis Am J Epidemiol. 2020 27 mai)) et cet élément, jamais évoqué, contribue sûrement au rejet du vaccin perçu comme inutile aux citoyens informés.

« De nombreux médias traditionnels s’inquiétaient de “l’hésitation vaccinale”, blâmant « le négationnisme covid-19« , les « théories du complot » et les partisans de QAnon, les partisans de Trump et la méfiance des minorités à l’égard du gouvernement avec son histoire brutale d’eugénisme raciste. » 

Bien d’autres explications pourraient être à l’origine de ce scepticisme par rapport au vaccin : beaucoup ne croient plus à l’efficacité du vaccin et surtout depuis que Harvey Risch, professeur d’épidémiologie à Yale a révélé que d’après de nombreux médecins la majorité des personnes atteintes récemment du covid-19 avaient déjà été vaccinées(([5] https://www.lifesitenews.com/news/yale-public-health-professor-suggests-60-of-new-covid-19-patients-have-received-vaccine))!

La connaissance progressive des effets secondaires dissuasifs

Oubliée aussi la principale raison du refus de vaccin citée par 45 % des sondés en mars par le Groupe Delphi pour les chercheurs de Facebook, la crainte d’effets secondaires.

Les effets indésirables signalés fin avril 2021, 118 746 au total rien que pour les États-Unis, dont 3 410 décès et 1 595 incapacités permanentes, sont un moyen de dissuasion légitime.

L’arrêt brutal en Afrique du Sud et dans plusieurs états européens du vaccin d’AstraZeneca pour son taux élevé de complications graves et la pause du Johnson and Johnson n’a rien fait pour rassurer.

« Beaucoup de gens craignent simplement le nouveau vaccin plus que le nouveau virus qui, selon les CDC, a un taux global de survie de 99,4 % pour les personnes âgées de 50-65 ans qui attrapent l’infection.

Les risques augmentent à mesure que les gens vieillissent, mais diminuent si les gens sont plus jeunes. Pour les moins de 18 ans, le taux de létalité du coronavirus estimé par les CDC est de 0,000 02, ce qui se traduit par un taux de survie covid de 99,98 %.

En fait, pour les moins de 18 ans, les chances à vie d’être frappés par la foudre sont plus élevées que les chances de mourir du virus. »

LE FORCING DE L’ADMINISTRATION BIDEN

Pourtant l’administration Biden comme l’UE fait le forcing pour vacciner. Biden  veut que 70 % de tous les Américains obtiennent leur première dose d’ici le 4 juillet. Il vise particulièrement les jeunes alors que ce vaccin n’a aucun intérêt pour eux.Il n’hésite pas à mentir en prétendant « se faire vacciner non seulement vous protège, mais réduit le risque de donner le virus à quelqu’un d’autre », ligne classique de « marketing social », script d’une industrie mondiale des experts du changement de comportement obligeant les gens à plier.

Observatoire de la demande de vaccination(([6] Vaccination Demand Observatory)) (([7] « Together with UNICEF, the Vaccination Demand Observatory unites experts from multiple sectors to support global communities with increased vaccine demand and reduce the impact of misinformation »))

« L’Observatoire a été créé avec un groupe appelé “projets de bien public” (PGP) qui “conçoit et met en œuvre des programmes de changement de comportement à grande échelle pour le bien public”, en association avec l’UNICEF — qui a reçu 86,6 millions de dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates depuis 2020 — et l’Institut Yale pour la santé mondiale, subventionné aussi par Gates.

PGP (public good projects) a été fondée par Joe Smyser, universitaire en santé publique ayant suivi une formation au CDC et associé à Google et Facebook. Des membres du conseil d’administration comprennent des dirigeants de Merck Pharmaceuticals, Pepsi, Lévi-Strauss, le Advertising Council, Sesame Street, Campbell’s et TikTok. »

L’Observatoire gère un « tableau de bord bêta » de données et de ressources « destiné à certains professionnels de la santé publique mondiale ». Le site Web de PGP indique que grâce à « la surveillance des médias et les bots, l’organisation des médias sociaux de base ou le leadership de la pensée, nous déployons des ressources considérables et connexions à la communication pour le changement ».

Les bots — ou robots Internet, également connus sous le nom de robots d’exploration — peuvent numériser du contenu sur des pages Web partout sur Internet et créer des conversations et des commentaires automatisés.

« PGP surveille les conversations avec les médias liés au coronavirus 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, afin de fournir aux organisations une expertise en temps réel en matière de santé publique et des conseils en matière de messagerie. »

« Le danger supposé de la maladie doit être souligné, car « si les gens perçoivent qu’ils sont à faible risque de contracter covid-19, ou que les conséquences de l’infection ne seront pas graves, ils seront moins disposés à se faire vacciner. »

Ce groupe avait déjà fait la promotion de vaccins et avait développé la campagne #StopFlu, recrutant 120 influenceurs de médias sociaux dans les « communautés afro-américaines et latines à travers huit États », leur donnant des incitations à vendre à leur public les idées que la grippe est un problème grave et que les personnes en bonne santé ont besoin de vaccins contre la grippe.

L’Observatoire PGP vise à « atténuer la méfiance à l’égard de tous les vaccins ».

Vous reconnaissez à travers cette description les messages rabâchés 24 h/24 à la télé, sur les radios habituelles et même sur vos magazines y compris les messages subliminaux en haut d’écran sur n’importe quel programme. L’information équilibrée, factuelle, a disparu complètement au profit d’une propagande permanente, organisée et financée par les milliardaires au service de la Bourse et Big Pharma et de leurs intérêts.

Les « trois piliers » du programme de manipulation sont :

  • l’analyse de l’écoute sociale,
  • un programme de formation
  • un « laboratoire d’intervention d’acceptation des vaccins » (VAIL) pour « tirer parti de la recherche comportementale et sociale et des idées de l’écoute sociale » et développer des « messages d’incitation pour vacciner les gens contre ladite désinformation vaccinale ». Ceux-ci seraient « testés rapidement sur le terrain pour l’impact du ton, du format et du changement de comportement avant d’être mis en œuvre ».

L’INFODÉMIOLOGIE

En 2020, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a créé un nouveau domaine de santé publique appelé « infodémiologie » — la « science de la gestion de l’infodémocratie ».

Le PGP et l’UNICEF dirigent le « Programme de formation des infodémiologistes sur le terrain » basé dans les bureaux des pays de l’UNICEF, les bureaux gouvernementaux, et les bureaux d’autres « partenaires multilatéraux » afin de former des « gestionnaires infodémocratiques sur le terrain » afin de mener une « surveillance de la santé publique contre la désinformation » et de fournir ‘un soutien communautaire dans les « flambées de désinformation ».

LA PRÉTENDUE DÉSINFORMATION APPELÉE COMPLOTISME

Bien sûr, vous aurez compris qu’est qualifié de « désinformation » tout ce qui n’est pas le message décidé par les dealers de vaccins et leurs soutiens. Donc toutes les informations sur les faits avérés, les résultats réels concernant l’efficacité des vaccins et la réalité des effets secondaires sont considérées et nommées désinformation, complotisme, etc.

Vous avez tous su que Facebook a supprimé officiellement les posts et les comptes informant sur des effets secondaires des vaccins par exemple. Twitter a bloqué quelques jours des comptes ayant seulement rapporté l’information donnée par le ministre de la Santé français disant que le vaccin ne protège pas de nouvelles contaminations ni du Covid. Le ministre n’était pourtant pas devenu complotiste et il répondait à une demande du Conseil d’État fin mars.

Le réseau mondial de Big Biotech et la Normalisation de la Vérité tels qu’Orwell l’avait décrit

Parmi l’énorme réseau d’organisations et de programmes impliqués dans la commercialisation massive de la demande de vaccins — outre l’OMS, les CDC, l’UNICEF, le PGP et Yale — les principaux orchestrateurs reposent sur une nouvelle campagne internationale formée par un « nombre sans cesse croissant de partenaires des secteurs public et privé », y compris PGP, Google et BIO.

« Qu’il s’agisse de désinformation vaccinale ou de déni du changement climatique, nous assistons à une dangereuse souche de rhétorique anti-scientifique qui s’accroît en ligne », peut-on lire sur leur site Web. « Notre but est de couper les rumeurs et normaliser la vérité. »

Nous pouvons évidemment écrire rigoureusement le contraire, mais le monde d’Orwell est celui de l’inversion des valeurs (rappelez-vous la paix, c’est la guerre, etc..). Et la campagne provaccin covid n’y échappe pas. Examinons les acteurs de cette vaste manipulation mondiale en faveur de la vaccination anticovid par des médicaments en essai thérapeutique en cours (première évaluation 2023).

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Une énorme « association » de multinationales

  • BIO – Biotechnology Innovation Organisation (BIO), est la plus grande association de défense des biotechnologies au monde représentant des entreprises membres, y compris les fabricants de vaccins Pfizer Inc., Moderna Therapeutics Inc., Johnson & Johnson, Janssen Biotech et GlaxoSmithKline, ainsi que de grandes entreprises agricoles comme Monsanto et des institutions universitaires et des « organisations connexes ».
  • Le projet RCAID créé par PGP pour « Rapid Collection Analysis Interpretation and Dissemination » — fournit « un suivi médiatique en temps réel avec des analyses quotidiennes d’experts en santé publique ».
  • Zignal Labs une « plate-forme d’intelligence des médias » pour « concevoir des messages » et « prendre le contrôle de récits menaçants avant qu’ils n’émergent ».
  • Family Health International ou FHI 360(([8] FHI 360 is an international nonprofit working to improve the health and well-being of people in the United States and around the world.)) :

« organisation qui utilise la psychologie sociale, l’anthropologie, l’économie comportementale, le marketing social et d’autres sciences comportementales » pour effectuer des changements de comportement chez les populations.

Elle a reçu des dizaines de millions de dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates pour « créer une demande de contraceptifs à action longue » dans les pays pauvres. Ses donateurs comprennent également les CDC, la Banque mondiale et le fabricant de vaccins Johnson & Johnson. Il est maintenant associé à créer une demande de vaccins covid-19. »

Nous constatons l’énorme réseau d’entreprises plus riches les unes que les autres, organisé pour manipuler nos cerveaux à travers une ingénierie sociale très élaborée.

LA GESTION INFODÉMOCRATIQUE

Jeff French, professeur à l’Université de Brighton et auteur de Strategic Social Marketing : For Behaviour and Social Change,(([9] Strategic Social Marketing: For Behaviour and Social Change Second Edition by Jeff French and Ross Gordon )) dont le texte est mentionné dans la plupart des guides de marketing de masse des vaccins, domine le sujet. Ses conseils ont inspiré une grande partie de la vente standard du vaccin pandémique :

« Une campagne efficace contre l’hésitation vaccinale devrait se concentrer sur les dangers de la maladie » et « s’appuyer sur le puissant facteur de motivation de la peur de la perte ainsi que sur la possibilité d’un gain de santé positif »

Faire appel aux émotions puisque les données seules ne suffiront pas.

Ne placez pas les événements indésirables au centre des « efforts de création de la demande », mais « assurez-vous de les contextualiser » et aidez le public à comprendre que « la plupart seront rares et de durée limitée ».

« Toute stratégie de gestion et d’engagement des médias qui est élaborée devra inclure des points de presse proactifs et roulants, la génération d’histoires, les flux éditoriaux… et devra également inclure des systèmes de surveillance des médias 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et des systèmes de réfutation et de correction. »

PROPAGANDE MONDIALE COORDONNÉE : GOEBBELS EN SERAIT JALOUX

Ces messages américains correspondent complètement au schéma de propagande suivi par les médias français et rien ne doit vous surprendre dans cet exposé, en dehors du fait qu’ils sont tellement bien préparés et bien organisés, qu’ils démontrent, si besoin en était, qu’il n’y a aucun rapport dans ces arguments avec un quelconque problème sanitaire, mais bien uniquement un projet marketing.

Les citoyens qui travaillent dans le commerce auraient dû pouvoir s’en rendre compte plus rapidement que la personne lambda qui ne connaît rien à la stratégie de vente de Nutella ou d’aspirateurs.

Mais ici l’entreprise de conditionnement de la population mondiale est telle qu’ils n’en ont peut-être pas vu le lien… Probablement trop énorme, trop monstrueux, pour que nos cerveaux normaux, non pervers, puissent l’accepter. Vraiment incroyable.

Le programme d’intoxication mondiale se poursuit par les conseils suivants :

  • « Les autorités devraient avoir des « accords » sur “comment et quand les informations considérées comme trompeuses et les défenseurs de ces informations devraient être supprimés et signalés comme étant problématiques sur les médias sociaux” ».
  • « Répéter un message positif qui met l’accent sur les avantages protecteurs (individuels, familiaux et communautaires) du vaccin et sur la perte associée au fait de ne pas être vacciné (décès, mauvaise santé, perte de liberté et de solidarité sociale, incapacité de voyager », etc.)
  • « Être partenaire » avec l’industrie pharmaceutique, et d’autres organismes à but lucratif, et les ONG pour promouvoir les vaccins.
  • « Rechercher des interventions » auprès des principaux dirigeants de la communauté anti-vaccination et « chercher à transformer ces informateurs en défenseurs de la vaccination ».
  • « Continuez à promouvoir d’autres comportements protecteurs tels que le lavage des mains et la distanciation physique. »
  • « Intégrer les incitations financières et non financières… » ainsi que des sanctions en cas de non-conformité en imposant des restrictions aux voyages, à l’éducation ou à l’emploi.

Rien ne vous surprend

Nous avons déjà signalé comment les promoteurs des vaccins se comportent comme s’ils vendaient du coca cola ou du mac do. Les petits cadeaux, les chèques bons d’achat, ou les entrées gratuites pour visite de parc d’attractions. Ces méthodes de promotion typiquement américaines ont envahi nos tristes plaines avec la mise au point par certaines municipalités de « vacci drives » qui en sont fières…

AUTRE CONSEIL MALVEILLANT APPLIQUÉ DANS NOS CONTRÉES

« Les gouvernements devront fournir et communiquer la combinaison d’incitations et d’interventions de pénalité qui seront utilisées pour promouvoir la demande. »

TOUT CELA NE DATE PAS DE 2020

Un document publié en 2014 pour le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies sur l’adoption des vaccins disait que « les interventions comportementales devraient chercher à récompenser les comportements souhaités et, le cas échéant, à pénaliser les comportements inappropriés ».

L’Organisation mondiale de la Santé a publié en octobre un « avis technique » dans la foulée des lignes directrices de Jeff French  intitulées Behavioral Considerations for Acceptance and Uptake of COVID-19 Vaccines, deux mois avant même qu’un vaccin ne soit disponible.

Certains de ces conseils souvent mensongers nous semblent très familiers maintenant :

  • « Tirer parti des regrets anticipés dans les communications. » Par exemple, en « demandant aux gens ce qu’ils ressentiraient s’ils ne se font pas vacciner et finissent par contracter covid-19 ou le transmettre à leurs proches ».
  • « Mettre l’accent sur les prestations sociales. » Dites aux gens que « la vaccination profite non seulement à l’individu », mais qu’elle renforce « le nombre de personnes » ou « l’immunité de la population ».
  • « Mettre l’accent sur les avantages économiques, comme le fait de pouvoir rester sur le marché du travail et subvenir aux soins de sa famille, pourrait également encourager la vaccination. »
  • « Gérer les attentes. »
  • Mettre l’accent sur le danger de maladie. « Si les gens perçoivent qu’ils sont à faible risque de contracter le COVID-19, ou que les conséquences de l’infection ne seront pas graves, ils seront moins disposés à se faire vacciner. »
  • « Minimiser les dangers de la vaccination et des effets indésirables s. « Certaines personnes peuvent essayer de comparer le risque d’infection à celui de prendre un nouveau vaccin et de déterminer qu’entre les deux, le risque de COVID-19 est plus faible. »

« Guide de terrain »

Le Guide de terrain sur la gestion de l’information vaccinale de l’UNICEF et du PGP conseille aux promoteurs de vaccins d’envisager de mettre la vaccination dans une “image de gain” :

  • « Montrez des gens heureux, en bonne santé et productifs dans les graphiques, et si vous devez montrer l’acte de vaccination essayez d’éviter les aiguilles et les larmes. »
  • Une des tactiques de Jeff French est de harceler les gens pour accepter la vaccination comme une « norme sociale ».
  • Expliquez que « la majorité des gens adoptent certains comportements et c’est ce que d’autres s’attendent à ce que vous fassiez pour atteindre un bien commun ».

Nous reconnaissons à chaque ligne de ce guide pratique ce que nous subissons depuis plusieurs semaines en France à travers les SMS répétitifs, associés à des appels téléphoniques itératifs et à des lettres de l’assurance maladie proposant des rendez-vous. Les mensonges quotidiens télévisés concernant l’absence de mortalité en France des vaccins alors même que l’agence du médicament les publie sur son site. Les mensonges sur la protection de l’autre apportés par le vaccin sont les plus pervers, car les gens se croient protégés alors qu’ils deviennent dangereux pour les autres particulièrement dans les premières semaines suivant la vaccination. Retournement des choses improbables a priori, mais bien réelle dans les faits avérés.

FHI 360 a publié son propre « guide rapide » sur « la création de la demande et le plaidoyer pour l’acceptation et l’adoption des vaccins COVID-19 »

Il conseille aux gouvernements de « mettre sur pied un groupe de travail sur la création et le plaidoyer en matière de demande » — ce que Biden a fait en mars, par une campagne éclair publicitaire sur les vaccins.

FHI 360(([10] FHI 360 is an international nonprofit working to improve the health and well-being of people in the United States and around the world) )) conseille également :

  • de décomposer les gens en « segments d’audience » de « vente facile » qui ont « une grande confiance dans les fournisseurs de soins de santé, et ne questionnent pas les vaccins » et en « hésitants en matière de vaccins » qui ont « de grandes préoccupations au sujet de l’innocuité et une « faible confiance dans les institutions qui font la promotion du vaccin ».
  • Créez ensuite des « messages ciblés », en faisant des « fiches de référence pour les dirigeants culturels et religieux ».
  • « Carotte et bâton » méthodes de marketing de la psychologie opérante du Professeur Jeff French.

Un total de 26 % des Américains ont dit qu’ils ne se feraient pas vacciner, et 44 % des républicains résistent. « Sans une carotte plus grande ou un plus gros bâton », de nombreux Américains ne seront pas vaccinés et nous allons subir plus de décès et de dislocation, prétendent les communicants mensongers.

POURTANT UNE OPPOSITION À LA DÉSINFORMATION MONDIALE S’EST LEVÉE

Citons la Déclaration de Great Barrington, signée par plus de 43 000 médecins et 14 000 scientifiques et médecins de la santé publique. Elle propose de permettre la propagation de l’immunité naturelle, tout en protégeant les personnes les plus vulnérables à l’infection par le COVID qui serait moins nocive que les confinements.

« À mesure que l’immunité augmente dans la population, le risque d’infection pour tous, y compris les personnes vulnérables, diminue. Nous savons que toutes les populations finiront par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le moment où le taux de nouvelles infections est stable — et que cela peut être aidé par (mais ne dépend pas) d’un vaccin. Notre objectif devrait donc être de minimiser la mortalité et les préjudices sociaux jusqu’à ce que nous atteignions l’immunité collective », peut-on lire dans la déclaration.

MAIS LES DIRIGEANTS CENSURENT AUTANT QUE POSSIBLE TOUTE INFORMATION OBJECTIVE BASÉE SUR LES FAITS

Suivant les directives infodémocratiques, la politique de désinformation médicale de YouTube interdit expressément toute discussion sur les risques des vaccins, leur efficacité réelle ou l’immunité naturelle, sur sa plate-forme.

ET LA PRATIQUE DE LA PEUR EST DÉVELOPPÉE PAR LES COLLABOS DE LA MYSTIFICATION COVID

Mettre l’accent sur la peur est une stratégie fréquemment utilisée par le personnel de santé publique.

L’ancien directeur des CDC Tom Frieden a employé une dérivée de la tactique de la « norme sociale » et conseille de « mettre l’accent sur le danger de la maladie » dans un tweet récent qui a peint les personnes non vaccinées comme des épars « infectés » de variantes supposées mortelles.

Des recherches comme une étude récente de la Cleveland Clinic et de la Case Western Reserve University qui ont révélé que les nouvelles variantes du coronavirus sont en fait plus faibles que la souche virale originale de Wuhan doivent être ignorées ou traitées comme de la « désinformation ».

RECRUTEMENT DE LEADERS RELIGIEUX

Les programmes de commercialisation pour recruter des leaders religieux ont également connu du succès, car les campagnes de vaccination se sont même déplacées à l’intérieur des mosquées pour convaincre les musulmans sceptiques de se retrousser les manches.

Et le pape François a adopté avec enthousiasme la mission infodémocratique de changement de comportement et organise cette semaine une conférence mondiale sur la promotion des vaccins de santé publique où il reçoit naturellement les grands de ce monde, de leur monde…

Un groupe de médecins écrivant dans “USA Today” a suggéré que le gouvernement impose des taxes spéciales (c’est-à-dire des amendes) aux personnes qui refusent la vaccination et que les entreprises refusent tout simplement de les servir.(([11] https://www.lifesitenews.com/news/doctors-lay-out-plan-to-punish-people-who-refuse-coronavirus-vaccine-there-is-no-alternative)) Un autre médecin a suggéré que les personnes qui refusent un vaccin devraient recevoir un médicament psychoactif pour induire la conformité.(([12] https://www.lifesitenews.com/news/us-professor-ensure-lockdown-compliance-by-drugging-dissenters-with-psychoactive-pill)) Tout est permis dans la manipulation.

L’auteur de l’article cité se révolte :

« Nous ne pouvons plus accepter sans broncher les diktats des pouvoirs exécutifs, d’autant plus que, statistiquement parlant, le poids initial de la crise du COVID est passé.

Nous ne pouvons pas non plus accepter les diktats de médecins qui semblent détachés de la réalité et de la science, et qui ne semblent être attachés qu’à l’idée de promouvoir des idées qui contribuent à l’augmentation du pouvoir et du contrôle des intérêts politiques, et à la richesse de ceux qui peuvent faire beaucoup d’argent de la vente d’un vaccin COVID. »


[Voir aussi :
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkred »]Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
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Notes




L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves. MàJ : vidéo

[Source : via https://numidia-liberum.blogspot.com via reseauinternational.net]

[Mise à jour : vidéo en traduction française de Michael Yeadon sur le Pass sanitaire, ajoutée en fin d’article.]

Les médecins pour l’éthique du COVID-19 (Doctors for COVID-19 Ethics) un groupe de plus de 160 experts médicaux indépendants dans le monde – ont lancé un avertissement sévère aux agences de santé publique au sujet des vaccins expérimentaux contre le COVID-19, qualifiant ces vaccins de « inutiles, inefficaces et dangereux » et susceptibles de conduire à « décès en masse prévisibles », selon un rapport de Lifesitenews.

Le groupe Doctors for COVID-19 Ethics, cofondé par l’ancien vice-président de Pfizer, Michael Yeadon, compte plus de 160 experts médicaux du monde entier parmi ses signataires. Parmi les autres membres fondateurs figurent le professeur Sucharit Bhakdi MD, ancien président de l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence, en Allemagne, et le Dr Wolfgang Wodarg, ancien chef du comité de la santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Les médecins ont écrit plusieurs lettres à l’Agence européenne des médicaments sur les problèmes du vaccin COVID-19 et sont confrontés à la censure… Le groupe peut également être trouvé sur Twitter

Dans leur lettre du début du mois, Doctors for COVID-19 Ethics a souligné les graves implications sanitaires des vaccins pour les personnes en bonne santé et pour les malades, affirmant que les vaccins « ne sont pas sûrs, ni pour les receveurs, ni pour ceux qui les utilisent ou autorisent leur utilisation ».

Ils ont souligné les risques de « perturbations létales et non létales de la coagulation sanguine, y compris les troubles hémorragiques, la thrombose cérébrale, les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques », « une aggravation des maladies dépendant des anticorps », des réactions auto-immunes et les effets potentiels des « impuretés vaccinales dues à des normes de fabrication précipitées et non réglementées ».

« Contrairement aux affirmations selon lesquelles les troubles sanguins post-vaccination sont « rares », de nombreux effets secondaires courants du vaccin (maux de tête, nausées, vomissements et « éruptions cutanées » de type hématome sur le corps) peuvent indiquer une thrombose et d’autres anomalies graves », ont déclaré les experts.

« Les événements de coagulation qui reçoivent actuellement l’attention des médias ne sont probablement que la « pointe d’un énorme iceberg ».

« En raison de l’amorçage immunologique, les risques de coagulation, de saignement et d’autres événements indésirables peuvent augmenter avec chaque revaccination et chaque exposition au coronavirus intermédiaire« , a ajouté Doctors for COVID-19 Ethics. « Au fil du temps, que ce soit des mois ou des années, cela rend à la fois la vaccination et les coronavirus dangereux pour les groupes d’âge jeunes et en bonne santé, pour lesquels la non vaccination COVID-19 ne pose aucun risque substantiel », ont-ils soutenu.

« Tout comme le tabagisme pourrait causer le cancer du poumon sur la base des premiers principes, tous les vaccins à base de gènes peuvent provoquer des troubles de la coagulation sanguine et de la coagulation, en fonction de leurs mécanismes moléculaires d’action », ont-ils déclaré. « Dans le même ordre d’idées, des maladies de ce type ont été observées dans tous les groupes d’âge, entraînant des suspensions temporaires de vaccins dans le monde ».

« Depuis le déploiement du vaccin, l’incidence du COVID-19 a augmenté dans de nombreuses régions où les taux de vaccination sont élevés. En outre, plusieurs séries de décès par COVID-19 se sont produites peu de temps après le début des vaccinations dans les résidences pour personnes âgées », ont déclaré les médecins. « Ces cas peuvent être dus non seulement à une amélioration dépendante des anticorps, mais aussi à un effet immunosuppresseur général des vaccins, ce qui est suggéré par la fréquence accrue de l’herpès zoster chez certains patients ».

« Quel que soit le mécanisme exact responsable de ces décès signalés, nous devons nous attendre à ce que les vaccins augmentent plutôt que de diminuer la létalité du COVID-19 », ont-ils poursuivi….

« Les vaccins sont expérimentaux par définition. Ils resteront dans les essais de phase 3 jusqu’en 2023. Les destinataires sont des sujets humains ayant droit au consentement éclairé libre en vertu de Nuremberg et d’autres protections, y compris la résolution 2361 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe et les conditions d’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA ».

Les médecins pour l’éthique du COVID-19 (Doctors for COVID-19 Ethics ) ont particulièrement mis en garde contre les vaccins, comme ceux produits par Pfizer et Moderna, qui reposent sur la nouvelle méthode de vaccination à l’ARNm.

« L’expérience initiale pourrait suggérer que les vaccins dérivés d’adénovirus (AstraZeneca/Johnson & Johnson) provoquent des effets indésirables plus graves que les vaccins à ARNm (Pfizer/Moderna). Cependant, lors d’injections répétées, le premier induira bientôt des anticorps contre les protéines du vecteur adénovirus », selon les médecins. « Ces anticorps neutraliseront ensuite la plupart des particules virales du vaccin et provoqueront leur élimination avant qu’elles ne puissent infecter des cellules, limitant ainsi l’intensité des lésions tissulaires ».

« En revanche, dans les vaccins à ARNm, il n’y a pas d’antigène protéique à reconnaître par les anticorps. Ainsi, quel que soit le degré d’immunité existantl’ARNm du vaccin atteindra sa cible – les cellules du corps », ont-ils déclaré. « Ceux-ci exprimeront alors la protéine de pointe (spike) et subiront par la suite l’assaut complet du système immunitaire ».

« Avec les vaccins à ARNm, il est pratiquement garanti que le risque d’événements indésirables graves augmentera à chaque injection successive ».

« Leur préférence apparente par rapport aux premiers [les vaccins à dérivés d’adénovirus (AstraZeneca/Johnson & Johnson)] est préoccupante au plus haut degré ».

« Dans la plupart des pays, la plupart des gens seront désormais immunisés contre le SRAS-CoV-2 », ont également noté les experts, soulignant que les personnes atteintes de coronavirus ont un taux de survie estimé à 99,8% dans le monde. « Quelle que soit la gravité de la maladie, ils disposeront désormais d’une immunité suffisante pour être protégés d’une maladie grave en cas de nouvelle exposition. Cette majorité de la population ne tirera AUCUN bénéfice de la vaccination ».

Pour les personnes à risque d’infection sévère, le virus reste traitable, ont déclaré les Médecins pour l’éthique du COVID-19. « Une convergence de preuves indique qu’un traitement précoce avec des médicaments existants réduit l’hospitalisation et la mortalité d’environ 85% et 75%, respectivement », ont-ils expliqué, soulignant « de nombreux médicaments anti-inflammatoires, antiviraux et anticoagulants éprouvés, ainsi que des médicaments monoclonaux anticorps, zinc et vitamines C et D ».

« L’immunité naturelle des cellules T offre une protection plus forte et plus complète contre toutes les souches de SRAS-CoV-2 que les vaccins, car l’immunité naturellement amorcée reconnaît plusieurs épitopes viraux et signaux costimulateurs, et pas simplement une seule protéine (spike) », ont-ils poursuivi.

La lettre des médecins a également démenti les affirmations selon lesquelles la vaccination est nécessaire pour empêcher la propagation du virus par une infection asymptomatique.

« Les vaccins ont été présentés comme un moyen de prévenir une infection asymptomatique et, par extension, une “transmission asymptomatique” », ont déclaré les Médecins pour l’éthique du COVID-19.

« Cependant, la « transmission asymptomatique » est un artefact de procédures et d’interprétations de test PCR invalides et peu fiables, conduisant à des taux élevés de faux positifs. Les preuves indiquent que les personnes asymptomatiques positives à la PCR sont des faux positifs en bonne santé, et non des porteurs ».

Le groupe a cité une étude chinoise portant sur près de 10 millions de personnes, qui a révélé que les porteurs asymptomatiques de COVID ne transmettent pratiquement jamais le virus. « En revanche, les articles cités par le Center for Disease Control pour justifier les allégations de transmission asymptomatique sont basés sur des modèles hypothétiques et non sur des études empiriques », ont-ils déclaré. « En clair, les vaccins ne sont pas nécessaires pour prévenir une maladie grave ».

Les experts ont également exprimé des inquiétudes quant à l’efficacité des vaccins COVID-19, déclarant qu’« aucune donnée longitudinale à moyen ou long terme » ne prouve l’efficacité du vaccin. Ils ont critiqué les essais de vaccin contre le coronavirus, observant que l’Agence européenne des médicaments « a noté du vaccin Comirnaty (Pfizer mRNA) que les cas graves de COVID-19 « étaient rares dans l’étude et que des conclusions statistiquement certaines ne peuvent pas en être tirées ».

« Le calcul bénéfice-risque est donc clair, les vaccins expérimentaux sont inutiles, inefficaces et dangereux ». « Urger la vaccination pour « protéger les autres » n’a donc aucun fondement en fait », conclut leur lettre, offrant un avertissement qui donne à réfléchir à ceux qui poussent les vaccins.

« Les acteurs autorisant, contraignant ou administrant une vaccination expérimentale contre le COVID-19 exposent les populations et les patients à des risques médicaux graves, inutiles et injustifiés », ont-ils déclaré. « Les fabricants de vaccins se sont exonérés de toute responsabilité légale pour les événements indésirables pour une raison. En cas de décès et de dommages dus aux vaccins, la responsabilité incombera aux personnes responsables de l’autorisation, de l’administration et/ou de la coercition des vaccins via des passeports vaccinaux, dont aucun ne peut être justifié par une analyse risques-avantages sobre et fondée sur des preuves ».

Le Dr Michael Yeadon est devenu un problème pour la mafia médicale dominante qui continue d’insister sur le fait que la « pandémie » est réelle – et que les vaccins expérimentaux sont non seulement « nécessaires » mais aussi « sûrs et efficaces ».

Les références de Yeadon ne peuvent être remises en question – et son expérience interne avec Pfizer le place dans une position pratiquement inattaquable pour être une voix faisant autorité sur ce sujet.

Si les médias n’étaient pas complices de ce programme de dépeuplement de masse en cours, les terribles commentaires du Dr Yeadon feraient la une des journaux 24h/24 et 7j/7 – au lieu de cela, ses articles sont effacés même des archives Internet, ce démontre encore plus leur importance.

Le Dr Yeadon a précédemment souligné qu’il n’y a pas d’explication rationnelle quant à la raison pour laquelle les autorités « préféreraient » les vaccins à ARNm dangereux et problématiques aux vaccins à base d’andénovirus – à moins que l’intention de leurs promoteurs ne soit de tuer et de mutiler autant de personnes que possible, puis être en mesure de nier que le vaccin avait quelque chose à voir avec les décès.

Le fait que Yeadon pense que les vaccins contre l’adénovirus sont moins susceptibles de tuer autant de personnes que les vaccins à ARNm de Moderna et Pfizer explique en grande partie pourquoi les vaccins contre l’adénovirus AstraZeneca et Johnson & Johnson ont été retirés dans de nombreux pays en raison de « problèmes de sécurité ».

En retirant ces vaccins, le public aura bien sûr le sentiment qu’il peut « faire confiance » à son gouvernement et à sa responsabilité de le protéger – alors qu’en fait, ces vaccins sont retirés afin que le public soit obligé de prendre les vaccins ARNm bien plus dangereux, et dont les effets secondaires dévastateurs sont bien plus durables et n’apparaîtront pas avant la soi-disant troisième vague de la « pandémie ».

Il est également intéressant de noter que ce rapport confirme quelque chose d’autre que nous avons rapporté auparavant, à savoir que, grâce à notre réponse immunitaire naturelle au coronavirus, la plupart d’entre nous développons une immunité à long terme des cellules T sans le vaccin.

Malgré ce fait, personne ne prend la peine d’obtenir un simple test d’anticorps pour savoir s’il est déjà immunisé contre les lymphocytes T contre le coronavirus avant d’obtenir un vaccin dont il n’a même pas besoin – et pourrait le tuer.

Pour découvrir à quel point les intentions sont corrompues derrière les « recommandations » vaccinales et les passeports obligatoires, voyons s’ils sont prêts à accepter des tests positifs d’anticorps au lieu de la vaccination – étant donné que l’immunité naturelle est plus efficace que la vaccination.


source anglaise : https://christiansfortruth.com







Hier était un jour « comme les autres »… hier tu t’es « vacciné ». Mise à jour : vidéo

Par Alain Tortosa

[Texte sous forme vidéo, en fin d’article.]

Tu t’es fait injecter :

  • Un « vaccin » avec un « rapport bénéfice vs risque positif »… comme les autres.
  • Un « vaccin » « testé »… comme les autres.
  • Un « vaccin » « sans danger »… comme les autres.
  • Un « vaccin » « efficace »… comme les autres.
  • Un « vaccin » « solidaire »… comme les autres.
  • Un « vaccin » qui « permettra de sortir la crise »… comme les autres.

… Un « vaccin » qui « permettra de retrouver les libertés »… oui, mais avec un passeport !

Tu as fait confiance :

  • Aux laboratoires pharmaceutiques qui, tu le reconnais, sont là pour faire de l’argent… mais ils ont quand même une éthique, ils ne sont pas des monstres.
  • À l’OMS qui, tu le reconnais, est financée majoritairement par Bill Gates et dans les mains des lobbies… mais ils ont quand même une éthique, ils ne sont pas des monstres.
  • Aux agences de santé qui, tu le reconnais, sont chapeautées par des lobbies… mais ils ont quand même une éthique, ils ne sont pas des monstres.
  • Aux politiques qui, tu le reconnais, sont corrompus… mais ils ont quand même une éthique, ils ne sont pas des monstres.
  • Aux médecins médiatiques qui, tu le reconnais, ont des conflits d’intérêts… mais ils ont quand même une éthique, ils ne sont pas des monstres…

Ta vaccination est pour toi un non-événement, comme si tu m’avais dit que tu t’étais lavé les dents hier soir ou que tu avais fait la vidange de ta voiture.

Tu peux même croire que c’est ton choix, TA décision…

  • Alors même que l’on te confine depuis des mois.
  • Alors même que tu subis une pression sociale et un chantage à la liberté depuis des mois,
  • alors même que tu es maintenu dans la peur et l’incertitude depuis des mois.
  • Alors même que l’on te ment sur la dangerosité de la maladie, le nombre de cas, les hospitalisations ou les décès.
  • Alors même que l’on te dit qu’il n’y a pas de traitements contre cette maladie.
  • Alors même que tu ne disposes que d’informations positives sur ces « vaccins ».
  • Alors même que l’on te répète jour après jour que le « vaccin » est l’UNIQUE voie.

Et tu appelles cela du « libre arbitre » ?

Mon monde n’est pas le même…

Hier était un jour noir, tu as demandé que l’on t’injecte un « poison ».

  • Un « poison » au rapport bénéfice vs risque obligatoirement négatif, car tu es en bonne santé, que ton risque de mourir du Covid est nul, que ton risque de faire une forme grave est quasi nul et donc que le rapport bénéfice risque ne pouvait être QUE défavorable.
  • Un « poison » mis au point en quelques semaines et testé sur l’homme au mois de mai 2020 ! Un « poison » qui a bénéficié de dérogations et fait sauter des sécurités élémentaires pour bénéficier d’une autorisation de mise sur le marché provisoire. Un « poison » qui est encore en phase III, phase qui dure d’habitude des années avant la commercialisation dont tu es le cobaye, un simple sujet d’expérimentation.
  • Un « poison » aux effets secondaires immédiats inédits dans l’histoire de la vaccination. Seulement 1 % des effets secondaires seraient remontés. Un « poison » qui tue, de façon statistiquement significative des personnes jeunes et en bonne santé alors même qu’elles ne mourraient pas du Covid. Un « poison » expérimental, jamais testé sur des personnes en bonne santé et dont la technologie était jusque là réservée à des malades en phase terminale. Un « poison » dont la protéine Spike artificielle pourrait (peut) entraîner des problèmes de fausses couches ou de stérilité. Un « poison » dont on ignore totalement les effets à long terme pour soi-même ou pour sa descendance. Un « poison » qui favorise les variants (Afrique du Sud, Brésil, Inde, Royaume-Uni…). Un « poison » qui pourrait contaminer, voir même « vacciner » les personnes non vaccinées.
  • Un « poison » dont l’efficacité théorique officielle se borne à empêcher de faire des formes graves pour des personnes en bonne santé qui n’en font pas. Un « poison » qui ne prétend pas diminuer la mortalité au regard des données. Un « poison » qui pourrait engendrer des formes plus graves de maladies chez les personnes vaccinées du fait des anticorps facilitants, apanage des coronavirus.
  • Un « poison » qui ne bloque pas l’épidémie. Un « poison » qui n’empêche pas de tomber malade et le nombre de malades vaccinés qui ne fait que croître. Un « poison » qui ne protège pas son entourage et n’empêche pas de propager le virus, comme cela a été confirmé par les autorités et le Conseil d’État. Un « poison » qui n’a RIEN de « solidaire ». qui
  • Un « poison » qui n’empêchera pas de sortir de la crise. L’épidémie explose dans des pays qui n’avaient pas connu de première vague comme par exemple les Seychelles depuis qu’ils ont lancé une campagne de vaccination massive chez les personnes jeunes, au point qu’ils se confinent désormais. Une immunité collective vaccinale de masse qui ne sera JAMAIS atteinte, information qui est de plus en plus reconnue et avouée par les médecins mainstream.

Les « poisons » favorisent les variants, ils obligent la commercialisation de nouveaux « poisons » qui eux-mêmes fabriqueront de nouveaux variants obligeant de nouveaux « poisons »…

Ils ne permettront pas de supprimer les gestes barrières, les masques et de retrouver ses libertés.

Ils ne permettront que de produire de nouveaux poisons et de pérenniser la suppression des libertés.

Pfizer a négocié en 2009 la somme de 2,3 milliards d’amende pour échapper à un procès pour publicité mensongère et corruption massive de médecins.

Les médecins médiatiques ont des conflits d’intérêts et sont grassement arrosés par les laboratoires.

Les agences de santé sont gangrenées. Les passerelles entre le privé et le public sont permanentes.

Les « poisons » ont été autorisés sur les SEULES données fournies par l’industrie !

Une commissaire européenne ayant négocié l’achat des « poisons » est en prise à une affaire de corruption dans son pays pour 4 millions d’euros…

L’OMS est totalement dans les mains des lobbies et de la fondation Gates.

Les bénéfices de l’industrie pharmaceutique dépassent ceux de l’industrie du pétrole et le coût de la recherche et développement est peanuts au regard de leur chiffre d’affaires…

Les politiques ne peuvent pas accéder au pouvoir sans la générosité des maîtres du monde.

Et il faudrait leur faire confiance ?!

Alors, comment parler de « libre arbitre », de vaccination « volontaire » dès lors que toutes les informations fournies dans les médias sont fausses ?!

  • En premier lieu, sur la dangerosité du Covid qui n’est pas plus importante que la grippe dès lors que des traitements précoces sont mis en œuvre pour les personnes à risque, Covid qui ne tue que des personnes en fin de vie ou avec de fortes comorbidités et qui épargne totalement les enfants en bonne santé.
  • Les confinements, les gestes barrières et le port du masque relèvent de la patte de lapin.
  • Il existe de plus en plus de traitements dont l’efficacité a été prouvée.
  • Ces « poisons » appelés « vaccins » sont, au mieux, générateurs de variants et, au pire, des armes de destruction massive.
  • Ces « poisons » ont des effets secondaires inédits dans toute l’histoire de la vaccination.
  • Au mieux, ils n’aggraveront pas l’épidémie, au pire ils la rendront de plus en plus dangereuse.
  • Les personnes injectées ne protègent pas les autres, cela a été confirmé par le Conseil d’État.
  • Le retour des libertés qui serait corrélé à la vaccination de masse est un leurre ou une escroquerie visant à généraliser un passeport sanitaire et mettre en œuvre un crédit social.

Alors ?

Veux-tu savoir si ce que je viens d’écrire et pour lesquels je dispose d’un nombre hallucinant d’informations vérifiées ou d’études est une réalité ou un délire ?

Es-tu prêt à prendre le risque d’être pointé du doigt, d’être à la marge, et ne pas être « comme tout le monde », dans le moule ?

Ou…

Préfères-tu fermer les yeux et jeter définitivement aux oubliettes le principe de précaution ?

Mettre en danger ta santé, celle de ta famille, de tes enfants pour juste avoir la possibilité de prendre un avion ou d’aller voir un match de tennis à Roland Garros ?

Car je te le redis encore, le Sars-cov2 était jusqu’à présent inoffensif pour les personnes en bonne santé, mais plus il y aura de vaccinés comme toi et plus il risque de muter et de devenir dangereux !

Tandis que les victimes manipulées comme toi se sentent rassurées par une injection expérimentale pour se protéger d’un gentil virus diabolisé par une industrie toute puissante…

… Moi je bascule petit à petit dans le camp de l’angoisse.

Le nombre de données s’accumule pour dire que te fréquenter, toi et les autres vaccinés, peut potentiellement me mettre en danger, moi et les miens…

Je voudrais m’en garder, je voudrais me raisonner, me dire que tout ceci est bien anodin… mais plus les jours passent, plus les informations scientifiques sortent, plus je vois les drames qui se jouent, plus je pense que cette menace n’est plus du délire mais bien réelle.

Moi qui n’ait jamais porté de masque, moi qui n’ait jamais respecté de gestes barrières suis désormais mal à l’aise en présence d’une personne vaccinée et d’autant plus que je sais que toutes ces précautions relèvent de la patte de lapin.

Fasse que tu ne prennes jamais la 2e dose, fasse que tu épargnes les autres membres de ta famille et tes enfants en te rappelant ce qu’est le principe de précaution.

Je reste évidemment à ta disposition pour t’éclairer et te fournir toutes les informations dont je dispose…

Alain

18 mai 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210518-un-vaccin-anodin-comme-les-autres.pdf


[Mise à jour : le texte a été repris dans la vidéo suivante sur le site tvs24.ru :]






Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19

Par Nicole et Gérard Delépine

L’indication de tout traitement doit reposer sur l’évaluation de la balance avantages / risques pour les sujets auxquels on le propose, afin de respecter une des règles fondatrices de la médecine « d’abord ne pas nuire ». De plus, un vaccin et a fortiori une thérapie génique nouvelle est un médicament à visée préventive et non curative.

Chez l’enfant, il y a actuellement beaucoup de risques à craindre et aucun avantage à espérer.

Les enfants ne peuvent espérer aucun bénéfice personnel des vaccins covid-19

L’ensemble de la littérature internationale(([1] Plus de 11000 articles référencés sur PubMed)) (([2] Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children ? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020)) (([3] Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.)) (([4] Ya-Nan Han et al. A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020)) (([5] Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China : an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars ; S1473-3099 (20) 30198)) (([6] LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China — the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9)) (([7] Ludvigsson JF. Un examen systématique du COVID-19 chez les enfants montre des cas plus bénins et un meilleur pronostic que les adultes. Acta Paediatr. 2020 ; 109 : 1088 – 1095.)) et les données de Santé Publique France montrent que la maladie est rare(([8] D’après les données de Public Health England, sur plus d’un million d’enfants présents en milieu préscolaire et scolaire en juin, seuls 70 cas d’infection étaient détectés)) et bénigne chez l’enfant.(([9] FR 24 Seulement 0,01% des écoles touchées par des épidémies de coronavirus après la réouverture et aucun enfant n’a eu besoin de soins hospitaliers 24 aout 2020 https://www.fr24news.com/fr/a/2020/08/seulement-001-des-ecoles-touchees-par-des-epidemies-de-coronavirus-apres-la-reouverture-et-aucun-enfant-na-eu-besoin-de-soins-hospitaliers.)) En France, après 15 mois d’épidémie et sur près de 8 millions d’enfants de moins de 15 ans, il n’a été recensé que 3 décès attribués au Covid (ces enfants souffraient déjà de maladies graves), alors que la grippe saisonnière en tue entre 7 et 10 chaque année.

Personne ne propose la vaccination antigrippale, pourtant ancienne et bien connue, aux enfants. Mais aujourd’hui des médecins qui ne mentionnent jamais leurs liens d’intérêts avec les firmes pharmaceutiques font campagne pour leur imposer un pseudovaccin totalement expérimental dont l’efficacité n’est pas prouvée ni chez eux ni chez les adultes, l’expérimentation devant obtenir ses premiers résultats à partir de 2023), et dont les risques n’ont pas été évalués, et ce pour une maladie trois fois moins grave que la grippe dans cette tranche d’âge.

Les enfants ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel de cette vaccination.

La proposer et/ou tenter de leur imposer par le pass vaccinal est contraire à l’éthique médicale détaillée par l’Association Médicale Mondiale(([10] Depuis sa fondation en 1947 l’AMM a pour objectif essentiel d’établir et de promouvoir les plus hautes normes possibles de comportement éthique et de soins par les médecins. Dans cette optique l’AMM a adopté des politiques mondiales sur une série de questions éthiques relatives au professionnalisme médical, aux soins des patients, à la recherche sur les sujets humains et sur la santé publique.  Le Conseil de l’AMM et ses comités permanents révisent régulièrement les politiques existantes pour les actualiser. Il rédige aussi de nouvelles politiques sur les questions éthiques émergentes. https://www.wma.net/fr/ce-que-nous-faisons/ethique)) et confirmée dans sa dernière assemblée générale à Cordoue en 2020, et qui stipule : « un traitement ne doit être proposé qu’à ceux qui peuvent en espérer un bénéfice personnel »,(([11] Déclaration de Cordoue de l’AMM sur la relation entre médecin et patient — WMA — The World Medical Association)) (([12] Code International d’Éthique Médicale de l’AMM — WMA — The World Medical Association : Le code a été adopté pour la première fois en 1949, modifié trois fois, dont la dernière en 2006. La refonte proposée fait apparaître de nouvelles dispositions, qui portent sur les éventuels conflits d’intérêts des médecins, la télémédecine et l’environnement. On lit en particulier :
►LE MÉDECIN DEVRA toujours exercer son jugement professionnel de manière indépendante et respecter les plus hautes normes en matière de conduite professionnelle.
►LE MÉDECIN DEVRA respecter le droit d’un patient jouissant de ses capacités d’accepter ou de refuser un traitement.
►LE MÉDECIN NE DEVRA pas se laisser influencer dans son jugement par un profit personnel ou une discrimination injuste.)) fidèle aux conclusions du code de Nuremberg de 1947.

Il n’y a aucun avantage sociétal à espérer de la vaccination covid des enfants.

En dehors du fait qu’il est inacceptable d’imposer un traitement expérimental à des enfants qui ne peuvent en tirer aucun bénéfice, il est de plus contraire à l’état actuel la science de prétendre que cette vaccination des enfants pourrait diminuer la transmission,
car la maladie n’est pas transmise par les enfants,
la vaccination n’empêche pas les transmissions et favorise l’émergence des variants.

Les enfants ne sont pas responsables de la transmission de la maladie

20 à 30% des transmissions du virus grippal se réalisent à l’école, mais ce n’est pas du tout le cas pour le Covid-19.

Après plus de 160 millions de cas comptabilisés par l’OMS le 20/5/2021, et plus de 11000 articles consacrés au Covid-19 chez l’enfant, recensés par PubMed,(([13] Base de données internationale des articles universitaires recensés dans le monde accessible à tous gratuitement : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/)) il n’existe aucune description démontrée d’une contamination par un enfant(([14] Benjamin Lee et William V. Raszka Covid19 transmission children are not to blame Pediatrics aug 2020, 146 e2020004879 ;
DOI : https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879)) ni à un autre enfant, ni à un adulte.

Toutes les études épidémiologiques réalisées au début de l’épidémie, lorsque la faible fréquence de la maladie permettait de suivre avec certitude la voie des contaminations, ont montré que les enfants sont contaminés par des adultes proches et ne transmettent pas la maladie. C’est en particulier le cas des trois études françaises, celle de l’INSERM sur le premier cas pédiatrique français aux Contamines(([15] Kostas DANIS et al. pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America)) celle de l’Institut Pasteur(([16] A Fontanet et al. SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020)) sur les écoles de Creil et celle des pédiatres parisiens.(([17] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-n’est-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287)) Cette absence de dissémination par les enfants a été confirmée par une dizaine d’études étrangères en Irlande,(([18] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903.)) aux Pays-Bas,(([19] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available : https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/children-and-covid-19)) en Australie,(([20] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation)) en Suède,(([21] Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the two first months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020 ; 00 :1–3. https://doi.org/10.1111/apa.15432)) en Estonie,(([22] Indrė Stacevičienė A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr25 févr.2021. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7906570/pdf/431_2021_Article_3999.pdf)) en Corée du Sud.(([23] Young Joon Park Contact Tracing during Coronavirus Disease Outbreak, South Korea, 20201. EID Journal Volume 26 Number 10—October 2020))

De plus, la réouverture des écoles dans de nombreux pays n’a jamais été suivie par une recrudescence des contaminations(([24] FR 24 Pas de masques, pas de distanciation : les écoles au Danemark défient COVID-19 — avec succès jusqu’à présent 13 septembre 2020
https://www.fr24news.com/fr/a/2020/09/pas-de-masques-pas-de-distanciation-les-ecoles-au-danemark-defient-covid-19-avec-succes-jusqua-present.html)) dans la population générale, les foyers de contaminations apparus étant constamment liés à la présence d’adultes contaminés parfois super contaminateurs.(([25] Chen Stein-Zamir A large COVID-19 outbreak in a high school 10 days after schools’ reopening, Israel, May Euro Surveill 2020 Jul ;25(29) :2001352. doi : 10.2807/1560-7917.ES.2020.25.29.2001352.))

Toutes ces analyses des faits avérés indiquent que les enfants ne participeraient (s’ils y participent ?) qu’exceptionnellement à la chaîne de transmission du SARS-CoV-2.

Même si les vaccins permettaient d’empêcher toute transmission, la vaccination des enfants ne pourrait donc pas aider à contrôler l’épidémie.

Les vaccins actuels n’empêchent pas la contagion

Les vaccinés restent contagieux. Les campagnes massives de vaccination réalisées à l’étranger ont même été suivies d’une exacerbation des contaminations durant plusieurs semaines.(([26] Et surgit une hécatombe post vaccinale ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Quelques exemples les plus démonstratifs sont ceux des Seychelles, de l’île de Man, des Émirats Arabes Unis ou de Gibraltar, dont les courbes publiées par l’OMS(([27] Sur le site OMS Covid19 Dashboard)) montrent que l’épidémie a flambé malgré l’obtention d’une couverture vaccinale très élevée.(([28] Vaccin anti-covid-19, un cadeau empoisonné pour les pays pauvres ? (francesoir.fr) ))

C’est encore plus frappant à Gibraltar où la couverture vaccinale de la population dépasse les 100% (car la vaccination a été élargie aux visiteurs espagnols)

Ou dans l’île de Man

Ou encore dans les Émirats arabes Unis

Cette incapacité des vaccins d’empêcher la transmission de la maladie a été évoquée dès décembre 2020 par le scientifique en chef de l’OMS, le Dr Soumya Swaminathan.

« Je ne crois pas que nous avons les preuves sur l’un ou l’autre des vaccins pour être sûrs que cela va empêcher les gens d’avoir réellement l’infection et donc de ne plus être en mesure de la transmettre ».

Elle a depuis été confirmée par le ministre de la Santé français, O. Veran, devant le Conseil d’État.

« La vaccination n’élimine pas complètement la possibilité que les personnes vaccinées demeurent porteuses du virus et soient contagieuses ». 

Les vaccins Covid actuels exposent à de très nombreuses complications

Comme tout traitement actif, les vaccins exposent à des effets secondaires. Mais les cas de complications rapportées après vaccination anti Covid19 sont beaucoup plus nombreux que pour les autres vaccins.

En France, la vaccination des soignants dans les hôpitaux a été suivie de si nombreuses complications entraînant des arrêts de travail que la Haute Autorité de Santé a recommandé de ne pas vacciner tous les membres d’un service en même temps pour ne pas risquer la fermeture du service.

Des épidémies de mortalité post vaccinale chez les pensionnaires d’EHPAD ont justifié une alerte de l’agence sanitaire norvégienne et sa recommandation de ne plus vacciner les personnes très âgées et très fragiles chez lesquelles « des effets secondaires mineurs pourraient entraîner la mort ».

Il est de plus rapporté des morts survenues chez des jeunes en bonne santé vaccinés, alors qu’ils ne risquaient rien du covid comme cet interne en médecine de Nantes, un médecin de Miami, une infirmière espagnole entre nombreux autres.(([29] Brighteon appel urgent au réveil vidéo de la chaîne allemande KLA.tv))

Le recul actuel insuffisant ne permet pas d’estimer précisément le risque vaccinal antiCovid, mais il est déjà largement supérieur à ce qui est tolérable pour une maladie peu mortifère. Après quelques mois de vaccination, le site Eudravigilance de l’agence européenne du médicament comptabilise plus de 10000 morts post vaccination Covid, chiffre qui dépasse par un facteur 100 le nombre des morts recensées après des vaccinations pourtant bien plus fréquentes comme les vaccinations obligatoires.(([30] European database of suspected adverse drug reaction reports—Background (adrreports.eu) )) Rappelons que jusqu’à une période récente, le principe de précaution faisait interrompre tout essai thérapeutique après un certain nombre de morts suspectes évalué en dizaines. La vaccination contre la grippe porcine en 1976 avait été ainsi interrompue après 53 décès suspects et le vaccin anti H1N1 après 56 décès plus récemment. Aux USA où plus de 3000 décès rapides sont rapportés à la suite du vaccin anticovid, les chercheurs estiment que ce chiffre est l’équivalent des morts dénombrés en plus de 21 ans, tous vaccins confondus aux USA.(([31] https://vaers.hhs.gov/))

Vacciner les enfants contre le covid les expose à des risques sans bénéfice personnel

Dans son Avis du 30 avril 2021, même le Conseil d’Orientation de la Stratégie Vaccinale totalement pro vaccin reconnaît :

« pour initier la vaccination des enfants, il est indispensable que la balance bénéfice-risque soit fermement établie, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. »

La prise en compte des faits actuellement avérés fait pourtant dès maintenant fortement pencher la balance avantage/risque du côté des risques sans bénéfice.

En Grande-Bretagne, des dizaines de scientifiques et médecins(([32] Dont le Dr Ros Jones (photo), pédiatre à la retraite. Incroyablement, la lettre met en garde la MHRA contre les dangers des vaccins qui sont « précipités sur le marché ». Il a été signé par plus de 40 médecins, scientifiques et médecins, dont le professeur Karol Sikora, doyen de la médecine à l’Université de Buckingham, et Lord Moonie, un ancien consultant en médecine de santé publique)) ont écrit à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), pour dire qu’il est « irresponsable, contraire à l’éthique et inutile » de vacciner les enfants contre le covid-19.

« Nous ne devons pas être la génération d’adultes qui, par une hâte et une peur, inutiles, mettent en danger la santé des enfants. Toutes les interventions médicales comportent un risque de préjudice, nous avons donc le devoir d’agir avec prudence et proportionnalité.

 C’est particulièrement le cas lorsqu’on envisage une intervention de masse dans une population en bonne santé, dans laquelle il doit y avoir des preuves solides de bénéfices bien supérieurs aux préjudices. »

Le 14 mai le patron de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus a appelé les pays à renoncer à vacciner les enfants et les adolescents contre la COVID.(([33] et faire don des doses ainsi libérées au système Covax pour les redistribuer aux pays défavorisés.
AFP vendredi, 14 mai 2021 10 :18))

Arrêtons d’écouter les représentants de commerce des marchands de vaccin qui entretiennent la panique dans tous les médias ; examinons les faits avérés.

Vacciner les enfants contre le Covid19 les exposerait à des risques importants sans aucun espoir de bénéfice ni personnel ni sociétal, sauf pour les actionnaires et patrons des firmes pharmaceutiques. Le patron de Moderna est ainsi devenu un des nouveaux milliardaires français en 2020.

Risques du complexe médico-industriel

Répétons sans nous lasser les avertissements du Professeur de droit international Mary Holland devant l’assemblée de l’ONU en 2016. « Les précautions du PR Holland en conclusion de son exposé sont explicites(([34] https://lesbrindherbes.org/2016/12/25/mary-holland-vaccination-obligatoire-viole-code-de-nuremberg/)) (([35] Vidéos : https://healthimpactnews.com/2016/n-y-law-professor-addresses-u-n-on-government-vaccine-policies-violating-the-nuremberg Professor Mary Holland addressing the U.N. regarding civil rights related to government vaccine policies.)) (([36] initiativecitoyenne.be/2016/05/mary-holland-prof-de-droit-a-l-universite-de-new-york-interpelle-les-nations-unies-sur-les-politiques-vaccinales-qui-violent-le-code))

« Comme nous le savons tous, les soins de santé partout dans le monde représentent un fameux business. Les vaccins représentent un marché qui ne cesse de croître, comme d’apporter des marges de plus en plus élevées de profits.

Si nous ne respectons pas les premiers principes du droit à la vie, à la liberté et à l’intégrité corporelle des personnes, du droit à consentement préalable libre et éclairé en médecine, nous pourrions nous retrouver dans des situations désastreuses prévisibles ou même inconnues.

Pour conclure, je veux paraphraser le discours d’adieu du Président Eisenhower aux États-Unis en 1961, quand il faisait allusion aux risques que pouvait comporter le « complexe militaro-industriel ». Je substitue le terme « médico-industriel » aux paroles du président parce que je crois que ce « complexe médico-industriel » présente de nombreux risques que le président avait prédits dans son discours :

 « Le potentiel d’une montée désastreuse du pouvoir existe et persistera. Nous ne devons jamais permettre que ce complexe mette en danger nos libertés ou notre processus démocratique.

Nous ne devons rien prendre pour acquis.

Seuls des citoyens éveillés et bien informés peuvent contraindre l’énorme machinerie industrielle et médicale à respecter nos méthodes et nos objectifs pour que la sécurité et la liberté puissent prospérer ensemble… En gardant l’œil sur la recherche et les découvertes scientifiques, comme il nous appartient de le faire, nous devons aussi rester attentifs au danger égal et opposé qui conduirait la politique à devenir elle-même captive d’une élite scientifique et technologique ».

ET la phrase capitale :

 « c’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées. »(([37] Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg ? — AgoraVox le média citoyen))





Me Joseph explique sa plainte contre le président du Conseil de l’Ordre des Médecins

[Source : francesoir.fr]

ENTRETIEN – Avec Me Joseph, Doyen du Barreau de Grenoble, qui s’est dressé contre la « Scientocratie », et a été pressenti par des médecins et des particuliers pour déposer une plainte à l’encontre du Président du Conseil National de l’Ordre des Médecins pour :

  • Complicité d’assassinat
  • Complicité de mise en péril de mineur par personnes ayant autorité.

FranceSoir : Me Joseph, pourquoi parlez-vous de « Scientocratie » ?

JPJ : Depuis le début de l’épidémie de Covid 19, un quarteron de scientifiques, ayant pour la plupart, d’importants liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique, semble donner des directives aux politiques, contre l’avis de milliers de médecins de terrain, et de médecins hospitaliers, mais ont seuls, droit à la parole, ce qui fait que l’on voit toujours les mêmes sur les grands médias.

Cette Scientocratie a généré une peur totalement irrationnelle, faisant accepter l’inacceptable à une population totalement chloroformée, qui n’a pas réagi à toutes les contradictions, les incohérences, et l’inefficacité des mesures dites sanitaires, à tel point que si l’on avait dit aux gens que le virus flottait dans l’air à un mètre de hauteur, ils se seraient tous mis à marcher à 4 pattes.

Cette méthode n’est pas nouvelle, puisque, lors du procès de Nüremberg, le Gruppenführer S.S. KALTENBRUNNER a déclaré « …On peut faire accepter n’importe quoi à une population qui a peur… »

Pourtant, il y a des évidences :

  • On a fermé les bars et restaurants, et cela n’a rien changé.
  • On a instauré des couvre-feux, ce qui a amené des dizaines de milliers de personnes à s’entasser dans les grandes surfaces, juste avant la fermeture, dans la violation la plus totale de la distanciation soi-disant nécessaire, et cela n’a rien changé.
  • Aujourd’hui, une grande partie de la population est vaccinée, et la courbe redescend extrêmement lentement, alors qu’on aurait pu s’attendre à une baisse vertigineuse.
  • Les grands rassemblements de l’été 2020 (Fête de la musique, 14 juillet, etc…) puis plus tard des rave parties, des fêtes clandestines, n’ont pas donné de malades, ni même de « clusters ».
  • Le vocabulaire des médias est scandaleux, puisqu’on parle tous les jours de « nouveaux cas » qui sont en réalité des personnes testées positives et que l’on appelle « malades asymptomatiques », ce qui pour moi signifie des porteurs sains qui ne tomberont pas malades, et ceci d’autant plus que des scientifiques de plusieurs pays, ont démontré que les tests PCR identifiaient jusqu’à 90% de faux positifs.

Ces Scientocrates, ont perdu toute notion d’immunité, et d’humanité, à tel point qu’ils semblent avoir oublié que depuis des siècles un à 40 millions de virus flottent en permanence dans chaque mètre cube d’air que nous respirons. Si nous continuons d’être des moutons sans réagir, demain il nous faudra recevoir chacun des milliers de vaccins, et porter le masque en permanence, comme si l’être humain était tellement mal conçu, qu’il ne pourrait survivre sans une ribambelle de vaccins…

Si cette logique infernale continue, nous n’aurons plus le droit d’avoir une immunité naturelle, et notre intégrité corporelle sera violée en permanence, ce qui fait que, paradoxalement, nous serons tout le temps souffreteux, voire malades, ayant perdu toutes nos défenses naturelles.

D’ailleurs, notre Premier ministre a déclaré récemment qu’il faudrait peut être porter le masque à chaque nouvelle grippe, comme si notre immunité s’était totalement effondrée ! Certes, en ne sortant plus ou presque, en respirant mal derrière nos masques, véritables muselières, en ne pratiquant plus de sports, les gymnases étant fermés, en entendant tous les jours et partout des messages anxiogènes, on recueille tous les ingrédients d’une mauvaise immunité !

Pourtant, nombreux sont les médecins de terrain tout aussi diplômés que le quarteron de Scientocrates précité, et qui tentent en vain, de nous alerter sur l’incohérence des mesures dites sanitaires, et qui ont publié de nombreux articles ou vidéos, dans le silence scandaleux des grands médias. Je peux citer de mémoire: Les Pr Montagnier, Raoult, Perronne, le Dr Fouché, Dr Nicole et Gérard Delépine, Reliquet, de Lorgeril, Maudrux, Tal Schaller, Henrion-Caude, (que certains médias ont tenté en vain, de présenter comme illuminé),…Sans parler des nombreux médecins à l’étranger qui évoquent les mêmes sujets comme le Pr Harvey RischPeter McCulloughPierre Kory aux Etats-Unis, qui ont témoigné devant la commission du Sénat américain.

Les Scientocrates voudraient faire croire qu’ils détiennent l’intégralité du Savoir, car dès qu’il existe une méthode qu’ils ne connaissent pas, non seulement ils la nient, mais en plus ils la poursuivent, comme pour préserver leur savoir limité et dogmatique.

N’oublions pas que le célèbre épistémologue Bachelard, incitait à la critique de la Science. Et pourtant j’ai assisté à des guérisons « scientifiquement impossibles » … Et naturellement, ceux qui n’y croient pas n’auront jamais le temps de venir vérifier les méthodes qu’ils contestent.

FS : Pourquoi parlez-vous de crise « dite » sanitaire ?

JPJ : On a réussi à faire croire à la population que l’épidémie actuelle était plus grave que toutes les épidémies que l’on a connues dans le passé, ce qui a justifié des mesures liberticides que l’on n’avait jamais connues auparavant. Or ce postulat était faux.

L’on sait aujourd’hui que si on « attrape » ce virus, on a plus de 99% de chances de survie. Le risque est donc moins élevé que le cancer, les AVC, le tabagisme ou la malbouffe, ou même prendre la voiture un week-end de Pâques.

Pour moi la crise est politique, sinon l’on n’aurait pas assisté à toutes ces incohérences, et on a l’impression que les mesures liberticides se décident progressivement, comme pour nous habituer progressivement à l’inacceptable : le masque à l’intérieur, puis dans certaines rues, puis dans toute la ville, etc… Le couvre feu à 22h, puis 20h, puis 18h…

Les contradictions et les incohérences déstabilisent les plus fragiles. Sommes nous toujours en démocratie lorsque l’hygiénisme gouverne toute notre politique ? 

En février 2020 le confinement « allait faire flamber l’épidémie« , un mois plus tard, le confinement « allait ralentir l’épidémie ».

Quand les restaurants étaient ouverts, il fallait mettre le masque quand on était debout, et l’enlever une fois assis ; comme si le virus flottait à 1m 50 du sol !

À la Toussaint 2020, les restaurateurs ont espéré rouvrir en janvier, puis en février, puis en mars… On a joué avec les nerfs de tout le monde avec le système de la carotte et de l’âne. Si on leur avait dit dès la Toussaint qu’il y en aurait pour 7 mois, peut-être les rues auraient elles été envahies de manifestants craignant plus pour leur survie professionnelle que le risque de 0,05% « d’attraper » le virus.

Les remontées mécaniques dans les stations de ski, vont rouvrir quand il n’y aura plus de neige, et un député s’est étonné du fait qu’à la mi-mai, les discothèques resteront fermées, alors que les clubs échangistes pourront rouvrir…

Bref, on n’avait pas revu de telles incohérences et contradictions depuis le IIIème Reich.

Le pourquoi de tout cela est un autre débat sur lequel il faudra bien s’exprimer un jour.
 

FS : pouvez-vous nous expliquer la nature des plaintes que l’on vous demande de déposer ?

JPJ : Sur le site de l’Ordre des Médecins, il est indiqué, notamment :

« …Veiller à la qualité des soins… » 
« …Aux côtés des représentants des autres professionnels de santé, l’Ordre veille à la qualité des soins et au respect des droits des patients. Il s’assure de l’indépendance professionnelle de tous ses membres dans leurs relations avec l’industrie pharmaceutique et biomédicale…. »

Les plaintes portent sur deux points principaux

  • La complicité d’assassinat
  • Complicité de mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité.
     

FS : la complicité d’assassinat est une accusation forte, pouvez-vous expliciter les contours ?

JPJ : Dès le début de la pandémie, l’Ordre national des médecins a été informé en même temps que le ministère de la Santé du fait qu’il existait trois thérapeutiques mondialement utilisées et efficaces, ainsi que d’autres thérapeutiques moins connues, mais utilisées avec succès dans divers coins de France :

  • L’hydroxychloroquine,
  • La Vitamine C à haute dose et en perfusion (voir le protocole du Dr. MARICK aux U.S.A. : 100% de guérisons)
  • L’artemisia annua utilisée notamment à Madagascar (qui, fin mars 2021, indiquait avoir eu 355 décès depuis le début de l’épidémie pour une population d’environ 27 millions d’habitants).

Par la suite, l’on a appris que l’ivermectine, médicament utilisé depuis longtemps, et peu coûteux, donnait d’excellents résultats. En outre, dans de nombreux coins de France, des médecins avaient découvert des thérapeutiques qui fonctionnaient, puisque leurs patients guérissaient et ne n’avaient pas nécessité d’hospitalisation. Malgré de nombreux courriers, et même des recours au Conseil d’Etat, le ministère de la Santé a continué d’occulter toutes les thérapeutiques existantes.

Même si certains objectaient que ces thérapeutiques « n’étaient pas scientifiquement prouvées », pourquoi les interdire dans la mesure où elles n’avaient pas ou peu d’effets indésirables ? En attendant, ceux qui ont guéri, n’ont peut être pas guéri « scientifiquement », mais ils ont guéri…

En outre, M. le président de l’Ordre National des médecins, parallèlement, a interdit à tous les médecins de prescrire ces thérapeutiques, poursuivant même ceux qui contrevenaient à ces directives, se contentant de leur conseiller de dire à leurs patients :

  • soit, si leur état ne semblait pas trop grave, de rester chez eux et « prendre du Doliprane », (et d’attendre en fait que leur état ne s’aggrave)
  • soit de se rendre aux urgences à l’hôpital.

Or, la plupart des personnes décédées à l’hôpital, l’ont été entre le premier et le troisième jour de leur admission, ce qui montre qu’ils n’ont pas été traités, car ils ne pouvaient pas l’être pour les raisons précitées, alors que l’on a su très tôt que ces thérapeutiques devaient être utilisées dès les premiers symptômes.

Dès mars 2020, de nombreuses voix s’élevaient pour dénoncer le fait que la dissimulation et l’interdiction des traitements, masquaient une future « opération vaccinale ». Des milliers de médecins généralistes se plaignaient de ne pouvoir rien prescrire aux patients présentant les symptômes de cette maladie, et étaient contraints de leur dire de rester chez eux en attendant que leur état s’aggrave et qu’ils soient hospitalisés. C’est donc en connaissance de cause, en sachant que les personnes non soignées dès le début, seraient susceptibles d’avoir très vite un pronostic vital engagé, que le président du Conseil national de l’Ordre, a délibérément et volontairement, conduit des milliers de patients à la mort.

Il s’est donc rendu complice d’un assassinat collectif par fournitures d’instructions, de directives et de menaces. (art. 221-3 du Code Pénal). Lorsque l’on regarde quelqu’un se noyer sans rien faire, l’on est coupable d’omission de porter secours. Mais si l’on empêche les secours d’intervenir, l’on devient un meurtrier.

FS : pourquoi complice ?

JPJ : Les personnes qui, en connaissance de cause, ont donné des directives nationales aboutissant à interdire que l’on soigne les gens dès les premiers symptômes, se sont rendues coupables d’assassinat, puisque leur action était de toute évidence, préméditée. En relayant ces directives par des menaces de poursuites disciplinaires à l’encontre des médecins, le Président du Conseil national de l’Ordre, s’est rendu coupable de complicité d’assassinat.

FS : qui seront les plaignants ?

Il y aura trois séries de plaignants :

  • Les personnes dont un proche est décédé du Covid 19,
  • Les personnes qui ont survécu à une hospitalisation, consécutive à une absence de soins avant cette hospitalisation, et qui estiment avoir été victimes d’une tentative d’assassinat,
  • Les médecins dont plusieurs patients sont décédés, car ils n’ont pas eu le droit de les soigner à temps, et qui vont devoir affronter les reproches des familles, outre le fait qu’ils ont perdu des patients.

FS : sur la seconde cause, la complicité de mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité, quelles explications et éclairages pouvez-vous amener ?

JPJ : Il est vrai que c’est plus compliqué. Cependant des milliers de médecins et spécialistes dénoncent l’inefficacité du port du masque, tel qu’il est utilisé par la population, et dénoncent les effets psychologiques et physiologiques désastreux chez les enfants qui, de toutes manières, sont très peu, voire par du tout, vecteurs de la contagion, mais que l’on culpabilise, leur laissant déduire que c’est est à eux de protéger les adultes…

De nombreux scientifiques dénoncent également les effets désastreux qu’aura le port du masque à long terme sur le cerveau humain, lui causant des problèmes irréversibles.

Des centaines d’enfants se plaignent de maux de tête, difficultés respiratoires, angoisses, eczéma, crises d’asthme, etc…

De nombreux articles de presse dénoncent la maltraitance que subissent les enfants.

Alors que le Décret du 29 Octobre 2020 instituant l’obligation du port du masque, prévoit une contre-indication médicale si la personne se trouve en situation de handicap, et alors que le fait de respirer incomplètement et continuellement constitue par définition un handicap, M. le Président du Conseil National de l’Ordre des médecins, menace de poursuites disciplinaires les médecins qui délivreraient des certificats de contre-indication.

Or, les chefs d’établissement scolaires, en imposant le port d’un masque tant inefficace que toxique, se rendent coupables de mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité.

En menaçant tout médecin qui délivrerait un certificat de contre-indication, M. le président du Conseil National de l’ordre des médecins, empêche de nombreux enfants de rester en bonne santé, et se fait donc le complice de l’infraction de mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité. (art. 227-15 du Code Pénal)

Les parents seraient donc recevables et bien fondés à déposer plainte pour ces faits. On a vu cette situation jugée en Italie.

FS : Comment voyez-vous l’avenir ?

JPJ : La démocratie est une approche systémique, tenant compte de l’ensemble de la population, et non pas d’une minorité (personnes âgées ayant en plus d’autres pathologies). Or, une grande partie de la population correspond essentiellement à des porteurs sains (appelés curieusement « malades asymptomatiques ») ou des cas bénins.

Nous ne pouvons accepter qu’une minorité de Scientocrates dirigent, par la peur du virus, la majorité de la population, sous couvert d’être les soi-disant sauveurs de l’Humanité, alors qu’ils sont en échec face au cancer, au Sida, au paludisme, au diabète, etc… Tel ce « grand » diabétologue qui ne guérit pas le diabète, mais qui, sur une grande chaine de TV, face aux argument d’une généticienne expliquant pourquoi ces vaccins anti covid, ne sont pas des vaccins mais des injections d’OGM, et induiront des effets indésirables graves et très nombreux, se permet de vanter au contraire les bienfaits du vaccin en disant « Je m’en rapporte au ratio bénéfices/risques« , répétant ainsi une litanie livresque, puisque, par définition, on ne connait pas encore (et lui encore moins) les risques à long terme.

Le caractère dogmatique de ce genre de savants-ignorants expliquent la Thalidomide, le Distilbene, l’amiante, le sang contaminé, le Viox, le mediator, le Levothyrox, la Depakine, les statines, etc…

La science s’est aujourd’hui écartée du bon sens.

L’avenir dépend de nous tous : Si nous restons des moutons acceptant toutes ces incohérences et ces contradictions, nous n’avons pas remarqué que les premiers qui ont vacciné ont été les Anglais. Quelques jours plus tard est apparu le variant anglais…

Si nous restons des moutons dans la peur du virus, l’on peut imaginer le commentaire d’un journaliste de l’an 2035 :

« Nous craignons de plus en plus la 27ème vague… Il n’existe toujours pas de traitement. ..Un 43ème confinement est inévitable. Les Français se sont trop relâchés, nos trois hôpitaux sont à saturation : 2 des 3 lits de réanimation sont occupés. Surtout restez prudents et faites bien votre 56ème rappel de vaccin… » Extrait du livre de Jean-Pierre JOSEPH auteur de « Vaccins, on nous aurait menti ? » (Testez éd.)

FS : Comment font les victimes (médecin ou particulier) pour rejoindre la démarche de votre groupe d’avocats ?

JPJ : les plaintes et démarches ont été mise à disposition sur le site de l’association BonSens.org dont je salue l’approche. Il est important que les victimes puissent se fédérer et surtout parler entres-elles de la situation.

Les victimes peuvent donc retrouver les plaintes à l’adresse suivante : bonsens.info/plaintes-collectives .

Les victimes peuvent choisir la plainte qui leur convient, un petit formulaire à remplir est mis à disposition ainsi que la plainte. La simplicité et la clarté de la communication sont clés afin que le plus grand nombre puisse avoir accès.


[Voir aussi la section Avocats dans le menu du site :




L’Albanie teste l’agromine, la dépollution des sols par les plantes

[Source : reporterre.net]

En Albanie, des paysans cultivent avec enthousiasme une plante jugée autrefois indésirable. Car en puisant des métaux lourds comme le nickel, l’Alysson des murs, «hyperaccumulatrice», dépollue les terres. L’expérimentation est portée par des scientifiques locaux et français.

Pogradec (Albanie), reportage

Les paysans de la région ont beau s’échiner depuis des générations, les champs ensoleillés qui bordent les eaux profondes du lac d’Ohrid donnent peu. Sur cette terre rouge et sèche, située à quelques kilomètres de la frontière macédonienne, il faut assurer la nourriture du bétail. «La terre est peu productive. C’est à cause du nickel qu’il y a dans le sol…, résume Dalip Gaxho, un paysan de 60 ans, casquette sur la tête. Il n’y a que la culture fourragère qui fonctionne. C’est une terre peu fertile qui n’est pas adaptée à d’autres cultures.» Ici ou là, sur les collines à la végétation rase, on aperçoit les vestiges des mines de la période communiste.

Pauvres en nutriments, les terres de l’Albanie orientale sont naturellement riches en métaux lourds. Zinc, cobalt, et surtout nickel sont présents en fortes quantités sur ces sols dits ultramafiques. Cette concentration élevée en métaux n’est pas sans danger pour la santé humaine, mais est fort appréciée par une plante qui fleurit en ce mois de mai : l’Alysson des murs. Alyssum murale, de son nom latin, la famille Alillari la connaît bien : cette plante vert clair aux multiples fleurs jaunes s’épanouit autour de son village, Pojska. «Cette plante nuit aux cultures qui me font vivre! Si je veux cultiver et vendre du maïs ou des haricots, je dois l’arracher de mes champs!» s’agite Dalip Alillari, un fermier de 58 ans. «Pour nous, c’était une plante inutile, reconnaît plus posément Vahit, le fils. Elle nous paraissait même dangereuse, car quand tu veux cultiver quelque chose, tu es obligé de l’enlever quand elle apparaît dans tes champs…»

Si Vahit parle au passé, c’est que la famille regarde aujourd’hui d’un tout autre œil cette voisine appréciée des abeilles mais naguère indésirable. Ces cinq dernières années, les Alillari ont même recouvert certaines de leurs parcelles avec cette plante touffue qui peut atteindre un mètre de hauteur. À l’origine de ce changement inédit de culture : Aida Bani. Voilà plus de quinze ans que les recherches en phytoextraction de cette scientifique albanaise se concentrent sur l’Alysson des murs. «Alyssum murale est une plante hyperaccumulatrice. Ses racines puisent le nickel contenu dans le sol et elle peut stocker jusqu’à 2% de ce métal dans ses tissus, s’enthousiasme cette agronome de l’Université de Tirana. Elle peut extraire les métaux de deux types de sols : des sols naturellement riches en métaux lourds, et des sols qui ont été contaminés par l’activité industrielle et minière.» Grâce au soutien financier du projet «Life agromine» puis du programme de microfinancements du Fonds pour l’environnement mondial (GEF SGP), la chercheuse cultive aujourd’hui près de huit hectares d’Alysson des murs dans l’est de l’Albanie.

La chercheuse Aida Bani étudie les plantes «hyperaccumulatrices» depuis plus de quinze ans.

C’est à Nancy que s’est joué une partie des expérimentations actuelles autour de l’Alyssum albanaise. Avec ses collègues et professeurs de l’Université de Lorraine, Jean-Louis Morel, Guillaume Echevarria et Marie-Odile Simonnot, Aida Bani s’est intéressée aux vertus dépolluantes de l’Alysson des murs, ainsi qu’à son potentiel économique. Une fois récoltées et séchées, les plantes cultivées en Albanie sont expédiées dans l’est de la France au laboratoire d’Econick, une entreprise fondée par sept chercheurs lorrains. Après l’incinération de la biomasse et divers procédés chimiques, les scientifiques récupèrent du sel et de l’oxyde de nickel. Ces biominéraux de haute qualité permettent des utilisations variées : pour la coloration de céramique ou des verres de lunettes, ou comme composants de batterie et autres catalyseurs. Si le coût de fabrication n’est pas encore en mesure de concurrencer l’extraction minière traditionnelle, la démarche résonne avec l’urgence écologique. L’entreprise espère séduire des industriels désireux de se fournir en matériaux issus de pratiques plus saines pour l’environnement.

L’agromine offre de nouvelles perspectives aux agriculteurs albanais.

La culture des amatrices de métal permettrait de dépolluer les sols en à peine cinq à dix ans.

Question rendements, les expériences menées jusque-là semblent prometteuses. En quelques années, le Centre de gestion économique et agro-environnemental d’Aida Bani a réussi à doubler la quantité de nickel récupérée grâce aux plantes. «De cent kilos par hectare en 2015, nous sommes arrivés à en récolter deux cents l’an dernier, se félicite la chercheuse, en inspectant une parcelle que vient d’irriguer Dalip Gaxho, le paysan. Nous avons doublé les rendements en jouant avec la distance, la densité des plantes, la fertilisation minérale et organique, le temps et la manière de récolter, mais aussi en l’associant avec d’autres plantes comme les légumineuses.» On recense de par le monde près de quatre cents plantes hyperaccumulatrices. Encore expérimentale, la culture des amatrices de métal permettrait de dépolluer les sols des métaux lourds en à peine cinq à dix ans.

Des champs de ces plantes hyperaccumulatrices ont ainsi fait leur apparition sur d’anciens sites industriels lorrains. Et en Albanie où les sols ultramafiques représentent près de 11% de la superficie du pays, «l’agromine» pourrait ouvrir de nouveaux horizons à un secteur agricole en souffrance et apporter des revenus bienvenus dans des campagnes qui souffrent de la pauvreté et du manque de perspectives. «Les opportunités qu’offre la phytoextraction intéressent beaucoup les paysans du coin, assure Aida Bani. En cultivant ces plantes hyperaccumulatrices, ils peuvent gagner bien plus d’argent qu’avec les plantes fourragères : deux, trois, voire même quatre fois plus.» La vente à Econick des plantes récoltées améliorent déjà un peu le quotidien des paysans qui participent aux expérimentations.

L’«Alyssum murale» pousse naturellement sur l’ancien site industriel de Prrenjas en Albanie.

L’opération sols propres que mène l’Alyssum murale autour du lac d’Ohrid semble ainsi satisfaire les Alillari, qui appliquent la rotation des cultures à leurs parcelles. Lentement vidés de leurs métaux par l’Alysson des murs, leurs champs gagnent en qualité et pourraient se montrer plus généreux dans le futur. «En retirant le nickel qui nuit à nos cultures, cette plante permet à nos terrains d’être plus productifs, se réjouit Vahit Alillari. Avec cette plante, tout le monde est gagnant : la professeure avec son expérimentation, et nous, les fermiers.» Pour l’instant, les métaux contenus dans la terre rouge de Pogradec paraissent inépuisables, et l’Alyssum murale a encore de beaux jours devant elle. Aida Bani compte en récolter plus de treize tonnes cette année. Afin d’améliorer le bilan carbone de l’expérience, et dans une perspective d’économie circulaire, la chercheuse discute avec ses collègues de Lorraine pour pouvoir un jour récupérer le métal stocké dans les plantes directement en Albanie.




Québec — Le collège des médecins a-t-il failli à sa mission ?

[Source : La Presse+]

Par ROBERT BÉLIVEAU
MÉDECIN RETRAITÉ

Dans un article récemment publié dans L’Actualité médicale, le président du Collège des médecins, le Dr Mauril Gaudreault, nous fait part ouvertement de ses inquiétudes : « Un ordre professionnel doit protéger le public, mais je me demandais si le public se sentait protégé. » Puis, un peu plus loin dans le texte, autour du thème très actuel de la COVID-19, il ajoute « qu’il n’a pas pris position sur certains enjeux sur la place publique, question de laisser toute la marge de manœuvre nécessaire pour que la santé publique puisse faire son travail », expliquant que « ce n’est pas le temps présentement de formuler des critiques ».

C’est en soi une prise de position. Très claire. Et très dangereuse.

Elle laisse ainsi le champ complètement libre à la Santé publique, qui ne pourrait être sujette à aucune critique des mesures suggérées ou imposées.

Comme si la Santé publique et son directeur étaient détenteurs de la vérité. Pourtant, après plus d’un an d’un régime de plus en plus liberticide, une stratégie dominante en Occident, la communauté médicale se doit de réagir. De briser le silence. D’oser prendre la parole !

Que le président du Collège préfère rester « silencieux », je veux bien.

Toutefois, le Collège, qui devrait protéger la population et favoriser, sinon imposer, un débat ouvert et libre parmi tous les membres de la société (médecins non experts inclus), est silencieux comme une tombe.

Pire, il impose l’omerta parmi ses membres, favorisant une dictature médico-politique et un discours aligné, monolithique et unidimensionnel, oubliant que l’erreur est monnaie courante en médecine. Or, la science, comme l’expliquait le philosophe Karl Popper, n’est science que si elle se fait le devoir de mettre en doute, de contester et de toujours tenter de réfuter toute « vérité » présumée.

C’est donc la responsabilité de la médecine, qu’elle soit Santé publique ou civile, d’informer, de proposer, d’éduquer et de se méfier des tendances prétentieuses à imposer, infantiliser, culpabiliser et dicter. Or, le Québec, comme une bonne partie de l’Occident, s’est plié à une dictature sanitaire, une « doctature », où l’arbitraire est roi. La science est ainsi instrumentalisée et présentée comme un outil infaillible qui fournit une base incontestable pour justifier des décisions qui affectent toutes les couches de la société, tant celles menacées que celles très peu à risque.

MAL FAIRE OU TROP EN FAIRE

Nortin Hadler a classé les erreurs médicales en deux catégories : les premières sont de « ne pas faire ou de mal faire ce qui est médicalement requis » ; les deuxièmes, les plus fréquentes aujourd’hui, sont de trop en faire, de surmédicaliser, de surtraiter, donc, de parfaitement faire ce qui n’est pas nécessaire ou ce qui s’avère nuisible. Depuis le début de cette crise, nos autorités ont commis les deux types d’erreurs.

Le premier confinement se justifiait alors qu’on était en pleine crise, en pleine confusion. Il eût été suicidaire politiquement pour le gouvernement d’être passif alors qu’un vent de panique nourri par les médias gagnait la population. Rapidement, il a été possible d’identifier les populations présentant un risque élevé et on aurait pu mieux cibler, mieux orienter diverses mesures. Rejetant cette approche, les autorités s’acharnent plutôt à faire plus (trop) de ce qui ne fonctionne pas, causant d’énormes dommages collatéraux. Pour éviter de paraître négligent, on provoque ainsi des dommages irréparables, en particulier envers les plus démunis, les jeunes, les femmes, les enseignants, les entrepreneurs et tant d’autres. Pour quiconque ouvre les yeux, ces dommages collatéraux sont insoutenables.

Aveuglée par la pandémie, la Santé publique ignore une règle fondamentale en médecine : Primum non nocere, d’abord ne pas nuire.

Actuellement, les seuls médecins qui peuvent impunément s’exprimer, émettre leurs opinions sans s’exposer aux foudres du Collège sont les retraités comme moi. Cet état de fait est inacceptable dans une démocratie. Les médecins sont aussi des citoyens et doivent pouvoir s’exprimer et débattre. Librement. Sans inquiétude. En bâillonnant ses membres, le Collège continue de manquer à son devoir de « protéger la population ». Il convient de le dire haut et fort. Et de souhaiter un changement drastique d’attitude.

Je termine par deux citations, une du médecin Norbert Bensaid (auteur de La lumière médicale, les illusions de la prévention) :

« On favorise les médecins savants au détriment de ceux qui savent soigner. Il est, hélas ! faux que les deux aillent ensemble. Très souvent, on est prisonnier de ce qu’on sait ou croit savoir, et on ne sait plus s’en servir. [L]a relation médecin-malade reste le lieu privilégié d’une éducation sanitaire qui ne retomberait ni dans le lavage de cerveau publicitaire, ni dans la catéchisation, ni dans la mobilisation, sous le couvert de la raison, des passions les plus dangereuses. »

L’autre citation est issue d’un éminent juriste, ex-juge de la Cour suprême en Grande-Bretagne, récemment retraité, Lord Jonathan Sumption :

« Les gouvernements traitant de questions scientifiques ne devraient pas se laisser influencer par un seul groupe de scientifiques. Ils devraient toujours tester ce qu’on leur dit, de la même manière que, par exemple, les juges testent l’opinion d’un expert en produisant un contre-expert et en déterminant quel ensemble de points de vue s’avère le meilleur. »

Garder les yeux ouverts et l’esprit critique, c’est un devoir qui est au cœur de notre travail d’aidant. Un devoir citoyen aussi. Et pouvoir discuter librement, un droit que devrait âprement protéger et défendre sans compromis notre Collège, si son mandat est bien celui de protéger la population.




L’Abbé : « La vaccination finale est liée par une « chaîne du mal » à laquelle on ne doit absolument pas participer »

[Source : lemediaen442.fr]

Le site internet « Le Glaive de la Colombe » réunit des chroniqueurs catholiques, laïcs, clercs et consacrés, souhaitant partager librement leurs réflexions, humeurs et intuitions, en vérité et simplicité. Son administrateur, qui signe sous le pseudonyme de « L’Abbé », est un prêtre catholique diocésain. Il partage avec les autres chroniqueurs de ce blog le même tempérament combatif qu’ils mettent au service « de la vérité, de la mansuétude et de la justice » (Psaume XLIV, 5). Entretien en 4-4-2 avec l’Abbé, qui nous assure de son soutien et de ses prières.

« Après l’Apocalypse et le Jugement dernier vient effectivement un autre monde, mais celui que Dieu nous a préparé de toute éternité, pas “un monde d’après” que nos pauvres forces humaines seraient bien incapables d’édifier. »

Le Média en 4-4-2 : Bonjour et merci de répondre aux questions du Média en 4-4-2. Dans son édito du 7 avril, Réinfocovid écrivait : « Nous avons été touchés par la grâce (…) Cette crise est une révélation, une apocalypse. Et après l’apocalypse vient un autre monde. Nous ne reviendrons jamais au monde d’avant, n’en déplaise à ceux qui s’y accrochent encore. » J’imagine que vous partagez ce point de vue ?

L’Abbé : Quitte à vous surprendre, pas tout à fait. J’apprécie beaucoup les initiatives de Réinfocovid comme d’autres défenseurs du réel face à la tyrannie sanitaire. Il y a des convergences manifestes entre nous, relevant souvent du bon sens, contre cet ennemi commun. Cependant il y a aussi des distinctions, de forme et de fond, dont il faut avoir conscience car nous n’agissons pas tous sur le même plan. Sur la forme, je regrette souvent, comme c’est le cas dans l’éditorial auquel vous faites allusion, le recours, inapproprié selon moi, à des notions religieuses. Au-delà de la figure de style, cet usage me paraît plutôt favoriser la confusion et l’amalgame qu’autre chose. J’ai dénoncé notamment dans un billet récent le qualificatif de « dogmatique » que l’on retrouve souvent dans la bouche de Louis Fouché et encore dans l’éditorial du 7 avril de Réinfocovid (« Merci aux scientifiques corrompus ou dogmatiques »). Or il s’agit, selon moi, plus exactement d’idéologie, dans le déni du réel et même la volonté autoritaire de soumettre la réalité à des idées abstraites voire partisanes. Cela ne relève pas du dogme qui est propre à la foi et qui est supposé éclairer la raison, nous faire saisir des réalités supérieures mais non contraires à la raison. Il en est de même pour les termes de « « grâce » ou d’« apocalypse ». On comprend bien l’usage littéraire qu’en fait l’éditorial de Réinfocovid mais ce n’est pas sans conséquence sur le fond. Certes, « apocalypse » signifie étymologiquement « révélation » mais quiconque s’est plongé, ne serait-ce qu’une seule fois, dans celle de saint Jean saisit immédiatement que c’est une révélation sur la destinée finale de l’humanité et de toute la création. Après l’Apocalypse et le Jugement dernier vient effectivement un autre monde, mais celui que Dieu nous a préparé de toute éternité, pas « un monde d’après » que nos pauvres forces humaines seraient bien incapables d’édifier. Quitte à être un peu provocateur (pour tenter d’éveiller les consciences), je trouve troublant que Réinfocovid et le Forum économique mondial nous vantent des « mondes d’après », certes différents voire opposés mais reposant sur la même illusion, sur la même tentation de la Tour de Babel, qui ne peut conduire qu’à des catastrophes. Concrètement, il paraît évident que nous traversons une crise majeure, due davantage aux mesures prises mondialement au détriment des peuples qu’à la dangerosité du Covid-19. Reviendrons-nous au « monde d’avant » ? Qui pourrait le dire ? Que notre génération soit marquée par cet évènement, c’est probable, mais « un monde d’après » non profondément enraciné dans le réel finira tôt ou tard par s’effondrer, parce que la nature et son Créateur finissent toujours par reprendre leurs droits.

Le Média en 4-4-2 : Ne voyez-vous pas actuellement des signes qui vous feraient justement penser que le Créateur est en train de « reprendre ses droits » ? Les troubles actuels ne sont-ils pas là pour nous préparer à cet autre Monde prévu par Dieu ?

L’Abbé : En fait, Dieu ne cesse d’agir dans le monde, ne serait-ce que pour le maintenir dans l’existence. Sa toute-puissance lui permet par ailleurs d’accomplir ses desseins ultimes tout en laissant aux hommes l’exercice libre et responsable de leur liberté. Rien à voir donc avec la gouvernance mondiale singeant la Providence divine et asservissant l’humanité. Quoi qu’il en soit, Dieu rendra au final à chacun selon ses œuvres : «Aux humbles, on fera miséricorde mais les puissants seront jugés puissamment » (Livre de la Sagesse, VI, 6). Le moment du Jugement dernier n’a pas été révélé mais il adviendra subitement, alors que le mal répandu dans le monde atteindra son paroxysme et semblera même l’emporter. Ainsi le retour du Christ en gloire pour juger les vivants et les morts sera-t-il précédé par de terribles calamités (apostasie générale, ébranlement de la nature, guerres, famines, épidémies, oppression…) que Notre-Seigneur compare aux douleurs de l’enfantement. A divers moments dramatiques de l’humanité, on a pu croire que cet évènement était imminent, toujours à tort, et cela peut expliquer que l’on réinterprète aujourd’hui l’avertissement divin comme « la fin d’un monde » et non « la fin du monde » ; mais cela sert aussi la tactique « rassuriste » du diable visant à maintenir les hommes dans le mépris du châtiment qui les guette s’ils ne reviennent pas de leurs voies mauvaises. En l’occurrence, le monde semble effectivement aller de mal en pis, au point de raviver dans l’inconscient collectif les terreurs annonciatrices de l’Apocalypse. Il est naturel de craindre ces dernières mais surnaturellement, avec les yeux de la foi, ce sont des signes d’espérance, car elles annoncent l’imminence du retour du Christ et de notre délivrance définitive.

« Il est vital de savoir si la religion ou la “spiritualité” que l’on adopte repose sur quelque chose de vrai, de réel qui nous unifie et nous élève, ou s’il s’agit d’une petite musique douce, une illusion consolante nous anesthésiant jusqu’à l’abattoir. »

Le Média en 4-4-2 : On a l’impression que cette « crise sanitaire » a permis à beaucoup de personnes de s’ouvrir (ou de revenir) à la religion, ou du moins à une certaine sorte de spiritualité. L’avez-vous constaté ? Si oui, comment l’expliquez-vous ?

L’Abbé : C’est psychologiquement assez naturel, comme on le constate dans une famille : les enfants ont pu prendre leur indépendance mais qu’arrive une vraie difficulté, et ils se réfugient auprès de parents susceptibles de les soutenir affectivement ou matériellement. Au final, cette épreuve resserrera des liens entre les générations qui avaient tendance à s’estomper en période d’insouciance. De façon analogue, et dès l’Ancien Testament, des calamités ont souvent été l’occasion de pénitences publiques et de conversions personnelles, amenant le Bon Dieu à manifester sa sollicitude paternelle envers ses enfants naturellement ingrats. Malheureusement, le recul de l’enseignement religieux, dont le clergé a sa part de responsabilité, contribue au relativisme ambiant. Ne sachant plus à quel saint se vouer, nos contemporains errent parmi les « spiritualités » les plus aberrantes sans aucun critère de vérité nécessaire à tout discernement prudent. Saint Paul nous a mis en garde contre cette décadence (2Tim IV, 3-4) : « Un temps viendra où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine, mais au gré de leurs désirs, l’oreille les démangeant, ils se donneront une foule de maîtres, et se détourneront de la vérité pour se tourner vers les fables. » Puisqu’elle suppose donner un sens à notre vie, il est vital de savoir si la religion ou la « spiritualité » que l’on adopte repose sur quelque chose de vrai, de réel qui nous unifie et nous élève, ou s’il s’agit d’une petite musique douce, une illusion consolante nous anesthésiant jusqu’à l’abattoir. Il n’est ainsi pas anodin que les applications managériales les plus sournoises, qui contaminent la société comme l’Eglise contemporaine, s’appuient sur les « spiritualités » du bien-être et du développement personnel. Face à cela, l’idéal chrétien de la Vie par la Croix, dans son aridité paradoxale, revendique un attachement absolu à la vérité naturelle et surnaturelle (Jean XX, 27 : « Puis il dit à Thomas : “Avance ton doigt ici, et vois mes mains ; avance ta main, et mets la dans mon côté : cesse d’être incrédule, sois croyant !” »)

Le Média en 4-4-2 : Le pape François est un fervent défenseur de l’instauration d’un Nouvel Ordre mondial. Pendant cette « crise sanitaire », il n’a cessé de soutenir le narratif officiel sur le virus. Quel est l’impact de son discours chez les croyants ? Est-il si écouté que cela ?

L’Abbé : Un père de l’Eglise enseignait je crois qu’un Pape n’était pas toujours suscité par le Saint-Esprit pour l’édification de l’Eglise mais parfois pour son châtiment et, malgré de très grands saints, il faut bien reconnaître que les successeurs de saint Pierre ne furent pas toujours édifiants, sans être nécessairement les pires des hommes. En un mot, on a les papes, les évêques, les prêtres (et les fidèles) que l’on mérite : si l’on veut y changer quelque chose, il faut commencer par notre conversion personnelle et assumer pleinement ce que Dieu veut faire à travers chacun de nous. Ceci posé, je ne peux que déplorer ces prises de position du pape François, laissant autant que possible à Dieu le soin de juger de ses intentions comme des influences auxquelles il pourrait être soumis. En attendant, les ambiguïtés de son enseignement et de sa communication, ainsi que son exercice autoritaire du pouvoir, soulèvent suffisamment d’interrogations légitimes pour que l’on ne se sente pas moralement obligé de s’y conformer. Le Christ nous enseigne ainsi que le bon pasteur se distingue notamment du mercenaire à la voix, c’est-à-dire non selon les apparences, mais selon la conformité de son enseignement à « ce qui a été cru partout, toujours, et par tous » (Commonitorium de saint Vincent de Lérins). Même si l’approche de l’Apocalypse doit se signaler par une profonde confusion intellectuelle et morale, les justes disposeront de grâces particulières de discernement pour ne pas sombrer dans l’apostasie générale des derniers temps.

Le Média en 4-4-2 : Je vous propose d’évoquer les fameux « vaccins ». Dans une note publiée le 21 décembre, le Vatican explique qu’il est « moralement acceptable d’utiliser des vaccins contre le Covid-19 pour lesquels des lignées cellulaires provenant de fœtus avortés ont été utilisées dans le processus de recherche et de production ». Est-ce votre avis ?

L’Abbé : N’étant ni théologien, ni moraliste et encore moins médecin, je me garderai ici d’une position définitive, mais, en l’occurrence, il semble s’agir moins de « vaccins » que d’expérimentations précipitées par des intérêts mercantiles et menaçant gravement notre capital génétique. Si nous étions face une maladie mortelle, dépourvus de traitement alternatif, la thérapie génique, pourvu qu’il s’agisse vraiment de thérapie, s’envisagerait peut-être mais ce n’est justement pas le cas. On peut donc légitimement considérer comme déraisonnable de recourir à des moyens si aléatoires pour un risque si minime. Quant au recours à des cellules de fœtus avortés, la récente contribution de Don Pietro Leone à ce sujet, publiée par Rorate Caeli et traduite par Jeanne Smits me semble pertinente : l’avortement originel et la vaccination finale sont liés par une « chaîne du mal » à laquelle on ne doit absolument pas participer et que l’on doit même combattre comme une des ces « structures de péché » dénoncées par Jean-Paul II. Malheureusement, ce combat s’étend bien au-delà des « vaccins » puisque l’industrie cosmétique et la chirurgie plastique notamment n’ont pas hésité à recourir aux mêmes « produits ».

Don Camillo

« L’adversité nous donne l’occasion d’apprendre ou de réapprendre à aimer, à aimer ce qui mérite d’être défendu »

Le Média en 4-4-2 : Le virus qui circule le plus actuellement n’est sans doute pas le Covid mais celui de la peur. Il suffit d’allumer une chaîne d’info en continue pour être effrayé soit par cette « crise sanitaire », soit par l’impact des médias sur la santé mentale des Français. Quel rôle joue la foi et la croyance dans le fait de se persuader qu’on va tomber malade, ou au contraire que ce virus n’est pas si grave et qu’il n’y a aucune raison qu’il nous affecte ?

L’Abbé : A l’image du choléra dans Le Hussard sur le Toit, la peur du Covid tue probablement davantage que le Covid lui-même. Dès le début de l’épidémie, le Pr Raoult déclarait redouter moins le virus que les mesures sanitaires inadéquates que l’administration ne manquerait pas de prendre. Nous n’avons pas été déçus du résultat d’autant plus pitoyable que le climat anxiogène savamment entretenu contribue à diminuer les défenses immunitaires comme la faculté de raisonnement des esclaves du système médiatique. « Tout homme bien portant est un malade qui s’ignore » ; mais comme on n’enseigne plus Jules Romains, on se laisse mener par le premier Knock venu. Voilà pour la croyance. Quant à la foi, fondée sur la résurrection du Christ, promesse de la nôtre (« Si le Christ n’est pas ressuscité… vaine est votre foi », 1Corinthiens, XV, 14), elle devrait inciter les catholiques à ne pas craindre la maladie et même la mort, qui, vue surnaturellement, marque le moment béni du face à face avec Dieu. Qu’avons-nous finalement à faire de mourir plus tôt ou plus tard, puisque cette séparation du corps et l’âme, aussi douloureuse soit-elle, n’est que temporaire ? Ceci ne signifie pas s’exposer à la mort inconsidérément mais vivre chaque jour comme une grâce, dans l’abandon et la confiance en un Père tout-puissant et provident. Malheureusement, la prédication traditionnelle des fins dernières n’est plus guère entendue : il ne faut donc pas s’étonner que bien des catholiques en oublient le Ciel et l’excellence de leur filiation divine pour se conformer aux illusions mondaines d’aujourd’hui.

Le Média en 4-4-2 : Quel(s) conseil(s) pouvez-vous donner à ceux qui nous liront et qui vivent mal moralement cette épreuve ?

L’Abbé : Ce n’est pas au Média en 4-4-2 que j’apprendrai que la colère, ce surcroît d’énergie propre à la défense contre un mal présent, s’enracine dans l’amour : « Mme Marcel » défendant sa progéniture contre l’oppression sanitaire en est une excellente illustration. En fait, l’adversité nous donne l’occasion d’apprendre ou de réapprendre à aimer, à aimer ce qui mérite d’être défendu. « Il y a du bon en ce monde et il faut se battre pour cela », nous enseigne Sam Gamegie le Brave, qui tire sa force de l’amour de sa terre et de ses proches. Le Seigneur des Anneaux nous offre d’ailleurs une analogie assez juste de ce que l’on nous fait subir : s’étant laissé empoisonner le corps et l’esprit, le roi du Rohan est reclus, manipulé et rendu insensible aux malheurs de sa famille comme de son peuple. Théoden ne sortira de cette apathie morbide qu’au rappel providentiel de ce qu’il est, de sa gloire et de sa force. A son exemple, chassons de chez nous les intrigants à la solde de puissances apatrides, chérissons nos femmes et nos enfants, renouons des alliances véridiques car « voici venue l’heure de tirer l’épée ensemble ». Le Média en 4-4-2 y contribue comme chacun peut le faire, avec les moyens et les talents dont il dispose. Pour le reste, ce qui ne dépend pas de nous ou est hors de notre portée, abandonnons-nous à la Providence qui, dans l’histoire de l’humanité et particulièrement de la France, a si souvent pris le visage de la Sainte Vierge. « Belle comme la lune, resplendissante comme le Soleil, terrible comme une armée en bataille » (Cantique des Cantiques, VI, 9), Son amour maternel nourrit une détermination absolue contre tout ce qui porterait atteinte au bonheur de Ses enfants.

« Le Pass sanitaire préfigure de plus en plus nettement la marque de la Bête, décrite par saint Jean dans l’Apocalypse, sans laquelle « il ne sera possible ni d’acheter, ni de vendre » »

Le Média en 4-4-2 : Nous voyons actuellement les évènements s’accélérer de tous les côtes. Nous passons de l’optimisme de voir de plus en plus de personnes « s’éveiller » et comprendre la manipulation actuelle, au pessimisme en remarquant que le plan avance toujours avec, par exemple, la mise en place du Pass sanitaire. Quelle est votre vision des choses sur le sujet ?   

L’Abbé : « Le mal progresse davantage de la faiblesse des bons que de la force des méchants » et en cela Maître Di Vizio a raison de remarquer que les juristes résistant publiquement au rognage de nos droits fondamentaux sont aussi peu nombreux que les religieux. Le « Pass sanitaire » n’en pose pas moins de nombreux problèmes théoriques et pratiques qui peuvent encore contrarier son instauration et sa pérennité. Quoi qu’il en soit, il préfigure de plus en plus nettement la marque de la Bête, décrite par saint Jean dans l’Apocalypse, sans laquelle « il ne sera possible ni d’acheter, ni de vendre » (XIII, 17) ; or, les justes, les saints, se distingueront alors par leur refus de se voir appliquer cette marque sacrilège, quitte à supporter la persécution ultime dont nous libérera le retour du Christ en gloire. Cette perspective paraîtra peu réjouissante pour le commun des mortels et il est psychologiquement normal de redouter une épreuve inéluctable : le Christ Lui-même a tremblé à l’approche de son supplice mais il a vaincu son angoisse par son « fiat », son abandon « viril » à la volonté de son Père. Nous retrouvons la même détermination chez les martyrs des premiers siècles qui préféraient mourir plutôt que sacrifier même un grain d’encens aux idoles de leurs persécuteurs. Idem chez sainte Jeanne d’Arc qui tint tête à ses juges et fut brûlée vive de ne pas renier ses voix. Nous sommes avec ces modèles, bien « au-delà » de l’idéal nietzschéen que cherche à nous vendre, parfois avec beaucoup de talent, la mouvance néo-païenne. Il est ainsi d’actualité de promouvoir Napoléon comme « professeur d’énergie » et figure accomplie du surhomme rempart au déclin européen. En fait, par rejet de « l’arrière-monde » dont témoigne pourtant magnifiquement la Pucelle d’Orléans, ces nietzschéens cèdent à la tentation du « monde d’après » que je dénonçais au début de notre entretien. En effet, si sainte Jeanne d’Arc disait vrai, alors un « au-delà » existe qui n’est pas indifférent au sort de ce monde mais nous encourage et nous console jusqu’à la victoire certaine et définitive. Face à la déliquescence de notre pays et de notre civilisation, notre espérance, pour ne pas dire notre Salut, dépendra de la bannière que nous rallierons : celle de Napoléon ou celle de Jeanne, l’empereur ou la Servante ?

Le Média en 4-4-2 : Nous vous remercions pour toutes vos réponses qui, nous en sommes convaincus, apporterons de nombreux éléments de réflexion, de méditation et d’espoir à ceux qui nous liront, qu’ils soient croyants ou pas.

L’Abbé : C‘est le Glaive de la Colombe, chroniqueurs comme lecteurs, qui, à travers moi, vous remercie de votre invitation. Cette rencontre, que l‘on jugera peut-être iconoclaste, témoigne de la convergence d‘hommes de coeur de tous horizons, derrière laquelle se devine l‘action délicate de la Providence nous appelant à la confiance. Nul doute qu‘elle nous réserve encore bien des surprises mais cela ne saurait être à notre détriment. En effet, en ce monde, le mal, même terrible, n‘est que provisoire, quand le bien est un avant-goût, une assurance du bonheur que Dieu nous promet. Ainsi, pour le juste, le meilleur est-il toujours à venir : n‘ayons donc plus peur et entrons dans l‘Espérance !

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Propos recueillis par Yoann pour Le Média en 4-4-2




Connais ton ennemi

[Source : reseauinternational.net]

Par Philippe Huysmans

« Connais ton ennemi et connais-toi toi-même ; eussiez-vous cent guerres à soutenir, cent fois vous serez victorieux. Si tu ignores ton ennemi et que tu te connais toi-même, tes chances de perdre et de gagner seront égales. Si tu ignores à la fois ton ennemi et toi-même, tu ne compteras tes combats que par tes défaites »

Sun Tzu, « L’Art de la Guerre »

Mars 2020, une majorité des pays les plus riches, mais aussi les plus endettés de la planète basculaient dans la dictature sanitaire. Incarcération domiciliaire en dehors de tout cadre constitutionnel, décrets et arrêtés toujours plus liberticides, absurdes, humiliants, contradictoires, contraires au bon sens et à l’évidence scientifique. Tout ça pour quoi ? Pour un virus qui ne tue pas plus qu’une mauvaise grippe.

Lassé de courir après la baballe en attendant le prochain train de mesures quasi-dictatoriales décidées dans le confortable entre soi d’un quarteron de pourritures et claironnées le lendemain par tous les médias de grands chemins, j’ai décidé de m’arrêter un instant pour réfléchir. Eh oui, la vraie question à se poser c’est comment des pays réputés démocratiques ont-ils pu basculer simultanément dans la dictature sanitaire, et donc comment l’ensemble des politiques aux pouvoir dans ces pays ont-ils pu s’affranchir du droit pour imposer des mesures dont on se rend parfaitement compte aujourd’hui qu’elles ont tué par centaines de milliers ?

Prenons l’exemple de Olivier Véran, ministre français de la Santé. Le 28 mars 2020 était publié le fameux décret Rivotril, pour « soulager » les patients covid en état de détresse respiratoire. En pratique le Rivotril les a « soulagés » comme l’avaient été les handicapés mentaux victimes du tristement célèbre programme Aktion T4 des nazis[1]. On les a piqués comme des chiens. Or en France, l’euthanasie est illégale, elle est assimilée à un meurtre. Logiquement donc, en cas de retour à la normale, Olivier Véran devrait être mis en examen en tant que responsable de plusieurs milliers de meurtres, voire de crimes contre l’humanité, ce qui lui vaudrait une condamnation à perpétuité. Pourtant, aucun de ces hommes de pouvoir ne semble craindre un seul instant l’éventualité d’être traduit en justice un jour, et ils se vautrent toujours plus avant dans l’abjection et la tyrannie[2].  Comment cela est-il possible ?Ce qui suit est une opinion, une tentative d’expliquer ce qui est apparemment inexplicable si l’on ne prend pas la peine d’articuler les causes et les événements qui nous ont amenés là. C’est une étape cruciale pour savoir qui est à la manœuvre, et pour savoir précisément jusqu’où ces gens sont prêts à aller. À la lumière de ce qui précédait, vous devez déjà vous en douter un peu, non ?

En règle générale, les hommes politiques sont d’une prudence de Sioux, ne s’engageant qu’à coup sûr, s’assurant que leur responsabilité n’est jamais engagée au point que l’on pourrait ultérieurement les poursuivre en justice sur base de leurs actions, et le timide docteur Véran ne fait pas exception à la règle. Comment transforme-t-on des paisibles chapons[3] en sociopathes prêt à tuer sans l’ombre d’une hésitation ?

Au commencement était l’effondrement

En 1991, la chute du bloc soviétique était consommée, le communisme avait vécu. Ça s’est passé sans un bruit, sur fond de déclarations insipides des dirigeants de l’époque qui évoquaient la question comme s’il s’agissait d’une simple formalité. En pratique c’était le principal opposant au bloc capitaliste qui disparaissait brutalement de la carte, laissant libre cours au néolibéralisme le plus débridé.

Ce qu’on a oublié de vous dire à l’époque, c’est que le système capitaliste était lui-aussi en phase d’effondrement, et que c’était inéluctable. L’usure ayant tout dévoré, les pays les plus riches, écrasés par le service de la dette détruisirent méticuleusement ce qu’il restait du tissu industriel, pour le convertir en actions plus lucratives, mais ne reposant que sur la spéculation. Le crash qui se produisit en 2008 signa l’arrêt de mort de l’économie capitaliste. La seule chose qui a pu retarder l’échéance jusqu’à présent, c’est que tant les États-Unis que l’Europe se sont mis à faire tourner la planche à billets à un rythme toujours plus vertigineux.

Par des mécanismes douteux, la FED s’est mise à racheter la quasi-totalité des actifs boursiers américains, afin d’éviter l’effondrement total de l’économie, mais au prix d’endetter toujours plus les citoyens américains, et en diluant leur pouvoir d’achat. La diplomatie de la canonnière trouvant ses limites dans le fait que désormais, tous les pays étaient plongés dans les mêmes difficultés.

Ainsi l’Europe n’était pas en reste pour produire par tombereaux de la fausse monnaie ultimement destinée à maintenir les banques systémiques sous perfusion. Vous avez sérieusement cru qu’il s’agissait d’aider les États ?

Ayant atteint le bout du bout, craignant par-dessus tout un effondrement généralisé qui serait inévitablement cause de révoltes un peu partout, et donc de leur disparition, les vrais dirigeants de ce monde ont décidé de prendre les choses en main.

À qui profite le crime ?

Dans l’hypothèse normale d’un système failli, et sachant que personne ne pourra jamais rembourser la dette colossale des États, la question logique à se poser aurait été celle de l’effacement de la dette. C’est bien ainsi que cela se passe dans le monde de l’entreprise, pourquoi devrait-il en être autrement s’agissant du système capitaliste dans son ensemble ? Eh bien tout simplement parce que les détenteurs de la dette, une toute petite brochette de fonds requins, de multinationales et de banques ne l’entendent pas de cette oreille. Ils veulent le beurre et l’argent du beurre, et n’ont pas l’intention de rien lâcher de ce qui constitue leur pouvoir de domination sur le monde.

J’entends d’ici les pleureuses opposer que l’effacement de la dette signifierait aussi la disparition des fonds de pension qui reposent largement sur des produits financiers basés sur la dette, mais c’est un faux problème, les pensions pourraient être financées sans aucun problème en y consacrant seulement quelques pourcents des moyens aujourd’hui consacrés au service de la dette.

Magistrature de collusion, corruption et technique des petits pas

Maintenant que nous avons identifiés les donneurs d’ordre, reste à comprendre comment ils ont pu prendre le contrôle total des leviers du pouvoir dans tous les pays concernés, soit l’ensemble des pays les plus endettés et les plus soumis aux diktats du FMI, de la Commission européenne et de l’État profond américain.

On pourrait d’abord parler de magistrature de collusion, puisque l’ensemble de ces donneurs d’ordre, même s’ils ne représentent pas un corps social homogène, même s’ils ne partagent pas forcément la même vision politique, sont les représentants d’une petite élite ultra-minoritaire qui forme à elle seule une classe au sens marxiste du terme. C’est par sa cohésion autour d’un projet (préserver leur domination à tout prix), ses moyens illimités, et son réseau de contacts s’étendant dans toutes les strates du pouvoir autour du globe – tels les tentacules d’une pieuvre gigantesque – qu’ils ont pu mettre en place leurs hommes de paille : nos dirigeants. Ceux qu’ils ne peuvent acheter, ils les font chanter.[4]

La technique mise en œuvre recouvre plusieurs méthodes de manipulations visant à mettre leurs obligés dans l’impossibilité de reculer.

  • La peur : on évoque une pandémie gravissime, qui pourrait bien être la cause de millions de morts, mais dans le même temps on présente ça comme une fenêtre d’Overton[5] qui permettrait l’instauration d’une société plus contrôlée, dans laquelle il serait plus facile d’empêcher l’émergence des inévitables mouvements sociaux que la crise ne manquera pas d’engendrer dans les mois et années à venir. Pour instaurer cette société largement amputée de ses attributs démocratiques, il faut nécessairement en passer par la violation des garde-fous que sont les constitutions.  Le passage en force s’impose désormais partout comme la nouvelle norme.[6]
  • Brûler ses vaisseaux : on pousse les dirigeants à tout fermer, quitte à écraser pour de bon ce qui restait de la classe moyenne, et dans le même temps, on incite les États à s’endetter toujours plus pour distribuer de l’argent hélicoptère afin d’indemniser les entreprises lésées. On parle là de centaines de milliards de dette qui étrangleront toujours plus les États, les rendant d’autant plus tributaires des donneurs d’ordre.
  • L’intérêt supérieur : on présente l’ensemble des mesures comme une sorte d’opération de la dernière chance qui viserait justement à minimiser l’impact de la crise[7], et de son cortège de victimes. Certes on va faire très mal, mais c’est pour éviter des maux bien plus grands encore. Les tortionnaires se verront ainsi en sauveurs et il ne subsistera plus l’ombre d’une prévention dans leur esprit puisqu’ils croiront agir dans l’intérêt de la population.
  • Liés par le crime : on poussera les dirigeants à commettre, et à faire commettre par leurs subalternes des actions passibles de poursuites pénales, ce qui leur fermera ensuite toute possibilité de retraite. C’est une méthode mafieuse qui a fait ses preuves.
  • Les petits pas : les hommes de paille n’ont aucune connaissance du plan et le découvrent au fur et à mesure au travers des feuilles de route qui leur sont transmises par d’obscurs cabinets conseils américains à la solde des donneurs d’ordre. Finalement, ces hommes politiques sont tout aussi manipulés que nous, mais à un autre niveau. C’est un peu l’histoire de la grenouille qu’on met à cuire doucement dans la casserole. Se rendent-ils compte de ce vers quoi ils se dirigent, et comment ça se terminera ? Peu importe, en fait, parce qu’il ne leur sera pas donné le choix de revenir en arrière.

Ne vous y trompez pas, ce que vous vivez actuellement n’a rien à voir avec une crise sanitaire, c’est un coup d’État planétaire visant à asseoir le pouvoir absolu des donneurs d’ordre sur une dictature féroce. Vous aurez le pire du communisme (pour les masses) et le pire du capitalisme (le seul bénéfice étant réservé à l’élite).

Quand comprendrez-vous que vous êtes victime d’une guerre psychologique visant à briser la résistance des peuples avant de les mettre en esclavage ? Si j’ai réussi à exprimer correctement mes idées, vous devriez avoir réalisé à présent que non seulement ce cauchemar ne s’arrêtera jamais, mais qu’on en est qu’aux préliminaires, et qu’ils ne reculeront devant rien.


  1. Aktion T4 est le nom donné, après la Seconde Guerre mondiale, à la campagne d’extermination d’adultes handicapés physiques et mentaux par le régime nazi, de 1939 à août 1941, et qui fait de 70 000 à 80 000 victimes. Fondée sur un terreau idéologique fertile prônant une politique eugéniste active, antérieure au nazisme mais exacerbée par celui-ci, favorisée par une intense campagne de propagande en faveur de la stérilisation et de l’euthanasie des handicapés, elle est le fruit d’une décision personnelle de Adolf Hitler. source : Wikipedia
  2. Clin d’oeil à Pierre-Yves Rougeyron qui, dans sa dernière émission avec Pierre Jovanovic avait reconnu avoir mésestimé le pouvoir de nuisance des politiques (il ne croyait pas qu’ils pourraient aller aussi loin), mais sans parvenir à expliquer ce glissement inexorable vers toujours plus de tyrannie et de violence.
  3. L’ensemble des dirigeants politiques des pays ayant réduit drastiquement les libertés, incarcéré leur population à domicile, détruit l’économie et poussé les gens au suicide soi-disant pour lutter contre une pseudo-pandémie qui n’était pas – on le sait aujourd’hui – plus mortelle que la grippe de 2015.
  4. Cfr. affaire Epstein
  5. La fenêtre d’Overton, aussi connue comme la fenêtre de discours, est une allégorie qui désigne l’ensemble des idées, opinions ou pratiques considérées comme acceptables dans l’opinion publique d’une société. […] Selon la description d’Overton, sa fenêtre comprend une gamme de politiques considérées comme politiquement acceptables au regard de l’opinion publique existante, et qu’un politicien peut donc proposer sans être considéré comme trop extrême, pour gagner ou conserver une fonction publique.   source : Wikipedia
  6. La majorité des décrets et arrêtés concernant le confinement, le port du masque, et bientôt le passeport sanitaire sont parfaitement insconstitutionnels et contraires au droit.
  7. Ce qui est un faux dilemme puisqu’à aucun moment on ne tirera les conséquences de la faillite du système, on entend juste se dispenser d’avoir à en assumer les conséquences.



Une année de cauchemar dans le contexte de la pandémie-confinement dément

[Source : les 7 du quebec]

Par le professeur  Lourdes Cerol Bandeira  (Portugal)

Traduit par Luis Júdice.
Source: https://lourdescerolbandeira.eu/um-ano-pesadelo-bastidores-pandemia

 This article is available in portuguese on this blogue: 
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2021/05/um-ano-de-pesadelo-e-os-bastidores-da.html

Aujourd’hui, nous partageons cet article du Drª Lourdes Cerol Bandeira, une prestigieuse médecin portugais, cardiologue, spécialiste en médecine de catastrophe, un article qui a été publié sur son blog, dont le lien est disponible ici : 
https://lourdescerolbandeira.eu/


Depuis mars / 2020, nous avons vécu le pire cauchemar de notre vie! Peur, destruction économique, privation de nos droits, libertés et garanties, dont le pire est la privation du droit au travail! Est-ce que ça valait le coup ?? Je vous laisse la question, chacun aura sa propre réponse en fonction de tout ce qu’il a vécu.

Depuis février / 2020, la peur est largement diffusée par les médias, les chiffres crachés quotidiennement par la DGS ont envahi nos maisons, notre tranquillité, notre paix.

Les enfants étaient accusés d’avoir infecté leurs parents et grands-parents, entraînant un terrible sentiment de culpabilité et de remords si l’un d’entre eux tombait malade. Les enseignants avaient peur d’être infectés par des enfants considérés comme très dangereux parce qu’ils ne développent pas les symptômes de la maladie considérée comme terrible, innocents « coupables » d’avoir transmis l’infection.

Les expressions d’affection et d’amitié étaient considérées comme promiscuité et les câlins et les baisers disparaissaient, privant les personnes âgées, dont beaucoup souffraient déjà d’un certain degré de démence sénile, du seul sentiment de confort qu’est le baiser et l’étreinte de leurs proches. Privés de cette manifestation d’amour dans la vie, ils étaient aussi isolés sur leur lit de mort, mourant sans affection, sans un mot d’amitié pour les réconforter. Ceux qui sont restés se souviendront à jamais de l’amertume de savoir que leurs proches ont affronté seuls les derniers jours de la vie, sans un geste d’amour, entourés d’êtres sans visage, sans sourire, vêtus de combinaisons de plongée comme s’ils étaient sur une autre planète.

Pourquoi? Que s’est-il passé?

Un virus! Parmi tant de milliers de virus, est apparu dont les formes les plus sévères de la maladie qu’il provoquait consistaient en des pneumonies étendues qui ne respectaient pas les limites des lobes pulmonaires et entraînaient la mort, en particulier les plus âgés et les plus fragiles.

Quelqu’un (Drosten & Col.) a rapidement décidé de développer un protocole (voir ICI) afin que le matériel génétique de ce virus soit rapidement identifié et les porteurs détectés pour briser les chaînes de transmission (présenté à Eurosurveillance le 21, accepté le 22 et publié le 23/01/2020). Rapidement, sans consultation des scientifiques du monde entier, dans les 72 heures, l’OMS a fait de ce protocole l’une de ses directives, l’amenant à être appliqué dans tous les pays. Mais le protocole contenait d’énormes erreurs, des erreurs qui ont conduit à l’identification de nombreux faux positifs!

  1. A partir des « primers (amorces) » (fragments de l’ARN viral qui servent de modèle pour la détection de fragments équivalents dans le matériel collecté par l’écouvillon) qui n’ont pas été obtenus à partir du séquençage du génome viral mais qui ont été conçus dans un ordinateur similaire à un autre virus de la même famille, SARS-COV-1.
  2. Le nombre de ces « primers »  (amorces) contenues dans le protocole était excessif et pouvait les amener à réagir les unes aux autres et à générer autant de faux positifs.
  3. Et le nombre exagéré de cycles d’amplification (50 cycles) qui a également contribué à davantage de faux positifs.

Sans une explication plausible pour autant de positifs sans aucun symptôme de maladie, la notion de «infecté asymptomatique» terriblement dangereux a été créée, qui serait à blâmer pour maintenir les chaînes de transmission et tuer nos personnes âgées (je ne veux pas dire que les personnes asymptomatiques n’existent pas! bien sûr il y en a, mais dans le cadre d’une phase pré-symptomatique d’une durée d’environ 24-72h qui est suivie de l’apparition de symptômes et dans un faible pourcentage, jamais à plus de 50% comme cela s’est produit). Ce n’étaient pas seulement les enfants qui étaient à blâmer, mais aussi les adultes en bonne santé qui étaient positifs aux tests bidon! Ces gens ont été confinés, ainsi que tous ceux qui, même négatifs, les avaient contactés. Les bars, clubs, restaurants, coiffeurs, centres commerciaux, etc. ont été fermés. etc. conduisant à la destruction des «moyens de subsistance» d’innombrables familles, en particulier de la classe moyenne et des travailleurs alors que les grandes entreprises continuaient à fonctionner … les autorités médicales et politiques  ont même tenté de convaincre la population que les moyens de transport n’étaient pas une source de transmission mais plutôt la famille !!! Une absurdité ridicule à crier au ciel !!!!

L’OMS a ordonné «test, test, test PCR» et les laboratoires se sont organisés pour fabriquer des tests en nombre suffisant pour fournir les quantités exorbitantes qui étaient requises et qui sont produites chaque jour dans le monde et dans notre pays en particulier. Les machines ont été changées pour que ce test puisse être automatisé, plus rapide, augmentant encore plus le nombre de faux positifs, mais selon ce qu’ils ont dit, cela n’avait pas d’importance car l’essentiel était de détecter les positifs, qu’ils soient faux ou vrais (sic).

De plus, selon la directive de l’OMS, la cause du décès n’avait pas d’importance, le cadavre serait testé et s’il était positif (faux ou vrai, peu importe), il serait compté comme «décès avec Covid» (voir ICI et ICI ) . Ainsi, un nombre substantiel de décès « provenait faussement de cette terrible maladie ». Les populations, sans formation sur le sujet, ce qui est logique, ont paniqué devant le décompte de tant de positifs et de tant de morts. Pour mettre davantage en évidence ces chiffres, les chiffres «cumulés» ont toujours été présentés, c’est-à-dire la somme depuis le premier jour de la pandémie, de sorte que, même en été lorsque l’incidence a chuté de façon spectaculaire, ces chiffres ont continué à augmenter. Les gens crédules dans les médias n’ont pas compris …

C’était encore l’été et ils annonçaient déjà les 2e, 3e et peut-être 4e vagues. Il est évident qu’au moment de la grippe, nous aurions des problèmes, comme nous en avons toujours, d’ailleurs. Nous avons toujours eu des hôpitaux en panne, avec des lits dans les couloirs et des salles pleins au moment de la grippe … Avec de nouvelles machines et des tests plus rapides, mais plus inexacts (comme les anciens disent « vite et bien il n’y a personne » ), ils ont porté les tests quotidiens d’environ 15 à 18 mille en septembre à quelque 40 mille donnant lieu à la 2ème vague ainsi annoncée, puisque le% de positivité n’a augmenté que fin octobre lorsque les cas cliniques de grippe ont commencé à être interprétés comme Covid en raison de la positivité du test.

Les équipes de surveillance de la grippe ont été dirigées vers Covid, non seulement dans notre pays mais dans le monde entier, et la grippe a «disparu» car elle n’était plus détectée. En fait, tous les bulletins contiennent ce paragraphe:

« The COVID-19 pandemic has affected healthcare seeking behaviours, healthcare provision, and testing practices and capacities in countries and areas of the European Region, which have negatively impacted on the reporting of influenza epidemiologic and virologic data during the 2020-2021 season. Due to the COVID-19 pandemic, the influenza data we present will need to be interpreted with caution, notably in terms of seasonal patterns. »,

Autrement dit, la grippe n’est plus déclarée et testée en raison d’un manque de ressources humaines et de laboratoire. Cependant, l’idée s’est répandue que la grippe a disparu … ils ont convaincu la population que la grippe «a pris fin», comme si une pathologie endémique pouvait se terminer soudainement grâce au travail et à la grâce d’une divinité. Et les gens ont cru, une fois de plus. Les décès dus à la grippe ont été comptés comme Covid sur la base d’un test positif et ainsi la 3ème vague a été créée, les tests étant passés d’environ 40 000 à plus de 76 000 par jour !! Plus de terreur, plus de confinement, plus de destruction économique, plus de précarité dans les familles … les écoles ont été fermées et les enfants ont été privés non seulement d’éducation mais aussi de vivre avec leurs amis. Les aires de jeux étaient fermées, les bancs des jardins scellés pour que personne ne puisse s’y reposer !! Coincés à la maison pour ne pas être infectés les uns par les autres!!

Mais le pire des scénarios était que les rendez-vous médicaux de routine étaient annulés, les chirurgies programmées étaient annulées, ce qui avec le temps devenait urgent et des urgences conduisant les patients à l’hôpital trop tard. Les patients chroniques sont devenus déséquilibrés, la peur d’aller dans un hôpital s’est étendue, les centres de santé ne pouvaient pas s’occuper des patients surchargés qui étaient avec les patients pandémiques, avec les tests en nombre exorbitant, avec le contrôle téléphonique des milliers de soi-disant  positifs qui étaient à la maison. Au fil des mois, les décès dus au manque d’assistance en temps voulu, en raison du manque de dépistage, à savoir le cancer, ont considérablement augmenté un taux de mortalité déjà élevé pendant la saison grippale aggravée par les effets du SARS-COV-2.

Cependant, que s’est-il passé dans les coulisses ??? Quelles « vérités » n’ont pas été dites par ces média payés pour semer la peur parmi les populations ???

Alertées sur les erreurs de ce protocole PCR, diffusées par l’OMS, plusieurs équipes ont commencé à travailler pour pouvoir mettre en évidence ces erreurs. Les premiers étaient des Canadiens (voir ICI) qui ont prouvé que le nombre de cycles ne devait pas dépasser 25 car après cette limite, «cycle threshold», les chances d’identifier des virus en culture cellulaire étaient très faibles et diminuaient de 32% pour chaque cycle au-dessus de 25.

Cet ouvrage a été publié en mai / 2020 et a fait l’objet de référence (référence n ° 37) dans la note scientifique de l’OMS du 07-07-2020 (voir ICI). Par conséquent, depuis mai, on savait que le protocole contenait des erreurs de pagayage. En fait, il était connu depuis le début, car ceux qui ont étudié la biologie moléculaire ont immédiatement vu qu’il y avait des erreurs. Ne me dites pas le contraire ou les universités, spécialités, doctorats, etc., etc., etc. sont remis en cause. Même sachant cela, ils ont continué à insister sur les tests, sur les « asymptomatiques » si dangereux (sic), ils ont continué à détruire les mini, petites et moyennes entreprises, les empêchant de travailler, fermant leurs portes, détruisant les familles, empêchant l’éducation de nos enfants.

Les scientifiques n’ont pas été entendus, les lauréats du prix Nobel ont été considérés comme idiots et séniles et la fièvre «test, test, test bidon» s’est poursuivie.

Fin novembre / 2020, un groupe de scientifiques de différentes nationalités s’est réuni et a déposé une plainte auprès d’Eurosurveillance demandant que le travail de Drosten & Col. soit supprimé, présentant au moins 10 erreurs très graves dans les travaux qui ont donné lieu au protocole ( voir ICI). La réponse d’Eurosurveillance a été promise fin janvier. Cependant, voyant la situation démasquée, l‘OMS a rapidement tenté une sortie en douceur et a présenté une déclaration le 14 décembre dans laquelle elle disait:

« Users of RT-PCR reagents should read the IFU carefully to determine if manual adjustment of the PCR positivity threshold is necessary to account for any background noise which may lead to a specimen with a high cycle threshold (Ct) value result being interpreted as a positive result. »

Cette déclaration a été retirée et remplacée par celle du 20/01/2021 (voir ICI), très peu de temps avant la décision d’Eurosurveillance, afin de rappeler ce qu’elle avait dit en décembre, tentant de « sauver sa peau ». Eurosurveillance a répondu (voir ICI), après pas mal de « blablabla » et finit par dire plus ou moins ça « oui, mais c’était très tôt dans la pandémie, il n’y avait pas encore assez d’études … un moyen de détection était urgent … blabla … nous ne voyons pas la nécessité de supprimer la directive ». Comme si le manque de connaissances solides pouvait justifier un mauvais protocole, un mauvais moyen de détection, répandu dans le monde entier par une organisation en qui les autorités sanitaires de chaque pays faisaient confiance, l’OMS.

Pendant ce temps, la lutte internationale s’est poursuivie et continue, un méga processus est en préparation pour présentation à la Cour internationale pour crimes contre l’humanité. Les gouvernements se sont compromis … Je ne peux parler que des nôtres … la 3ème vague a rapidement décliné. Jamais une courbe épidémique n’a baissé si vite, le nombre de tests a considérablement diminué. Maintenant, venez nous parler du nombre de cycles … du seuil (cycle threshold) de cycle, comme s’ils venaient de se réveiller, pauvres « innocents », suivis des directives … maintenant le seuil de cycle (cycle threshold) est de 35 … disons … MAIS pour le séquençage et les études scientifiques n’acceptent que les écouvillons positifs de moins de 25 cycles … car, quand il s’agit de travailler sérieusement le Cycle thresold est de 25 (voir ICI). Et c’est le point de la situation dans laquelle nous nous trouvons:

Une population terrifiée qui ne peut surmonter la peur, des gens qui portent des masques et même des masques 2 et 3 épaisseurs  superposés lorsqu’ils marchent seuls dans la rue, pensant peut-être que l’air est contaminé, des insultes, de l’animosité, pour ne pas dire de la haine, envers des gens qui pensent de manière différente . La liberté d’expression a disparu, il n’y a que le discours officiel et nous sommes obligés de le suivre sous peine de ségrégation … adieu la démocratie !!

Tout cela repose sur un seul pilier, un TEST qui n’a JAMAIS été capable d’indiquer qu’une personne est infectée et malade! Un test qui n’est capable de détecter qu’un minuscule fragment d’une immense chaîne génomique, un fragment qui ne fait pas nécessairement partie d’une chaîne virale complète et viable, capable de se transmettre et de provoquer des maladies, et qui peut simplement être un déchet viral.

Le virus, comme toute sa famille (Coronas), a subi de nombreuses mutations, presque toutes de moins en moins virulentes mais avec une plus grande transmissibilité (généralement la gravité de la maladie causée est moindre, dans les virus les plus facilement transmissibles). Cependant, une mutation survenue au Royaume-Uni a fait à nouveau s’alarmer le Monde qui entrait déjà dans le calme de la routine … La mutation brésilienne a également été mise en évidence chez les autres. Plus sud-africain. Toutes les centaines de mutations précédentes ont été oubliées, elles ne méritaient pas de pertinence, l’actualité était centrée sur les chiffres jusqu’à ce que dernièrement les gens, fatigués, arrêtent de les regarder. Un autre motif d’intérêt devait apparaître: des mutations ou des variantes (un mot qui a plus de poids que «mutation»)! Dès le début, on sait que les mutations qui émergent en Europe sont différentes de celles qui émergent en Asie, en Amérique du Nord ou en Amérique du Sud. Le virus de la grippe subit également de nombreuses mutations, si nombreuses que chaque année le vaccin doit être corrigé pour la nouvelle mutation.

Il me reste à parler du vaccin contre Covid-19. Les essais cliniques devaient durer jusqu’en 2022 pour l’obtention d’une licence FDA. Avec cet essai clinique à grande échelle, cette licence sera peut-être obtenue plus tard cet été 2021. Cela signifie qu’un vaccin sans licence est administré, dont les effets secondaires à moyen et long terme sont inconnus, dont l’immunité n’est pas connue pendant combien de temps il dure et dont l’efficacité pour de nouvelles mutations ou variantes est remise en question. Des populations entières convaincues de son efficacité sont des cobayes «involontaires» pour cet essai clinique en vue de l’autorisation rapide de la FDA … on parle déjà de certificats de vaccination ou de «passeports». Imaginez que vous ne savez même pas combien de temps dure l’immunité, que vous ne savez même pas si elle sera efficace pour chaque nouvelle mutation! C’est comme exiger un certificat de vaccination contre la grippe!!




Connerie transcendantale ou volonté de camoufler la totale inefficacité des « vaccins » ? La recherche d’anticorps n’a aucune valeur pour les autorités… sauf pour Macron qui en fait régulièrement…

[Source et auteur : PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)]

Un de mes amis dopé au zinc  et pressé par son entourage  de se faire vacciner a obtenu une ordonnance pour un test sérologique. Surprise : une bonne dose d’anticorps, il avait attrapé la covid sans s’en rendre compte… Il ne pourra pas avoir de pass sanitaire…

Les vaccinés ne doivent pas savoir s’ils ont des anticorps ! Avoir une sérologie négative après un vaccin serait absolument normal pour LCI, TF1… Bon là ils vous prennent pour des idiots…

La seule preuve de l’efficacité d’un vaccin consiste à mesurer les anticorps quelques semaines après la vaccination pour savoir si oui ou non le vacciné est protégé. Cela passe par un test sérologique fiable à 100%. Avec la piquouze génique, il faut se contenter de la présence ou non des anticorps dits « anti-spike ». Cette recherche est appliquée aujourd’hui par tous les labos ! J’ai vérifié.

Quand ça veut pas ça veut pas, beaucoup découvrent que leur vaccin ne sert à rien, après deux pfizer, zéro anticorps pour bon nombre des plus de 80 ans et pas beaucoup pour les autres… MACRON A RAISON , IL PREFERE SURVEILLER SES ANTICORPS PAS DE PIQUOUZE POUR LE PRESIDENT

« Un #vaccin digne de ce nom permet l’acquisition d’une immunité réelle durable. Prototype du vaccin évalué régulièrement, la rubéole dont taux d’anticorps sont suivis pendant les grossesses. Écarter la sérologie pour #COVID permet de camoufler l’inefficacité »

DR Guerin

Le gouvernement ne veut surtout pas que les Français vaccinés ou non fassent de tests sérologiques. Non seulement la seule preuve de protection n‘est pas remboursée par la sécu, mais en plus elle ne permettra pas d’obtenir le pass sanitaire.

Le texte de loi voté dans la nuit de mardi à mercredi par les députés de l’Assemblée nationale ne prévoit effectivement que trois types de certificats intégrés au pass sanitaire : un test PCR ou antigénique négatif, l’attestation de vaccination, mais aussi un mystérieux « certificat de rétablissement de la Covid-19 »

En fait, ce nouveau document prouvant qu’une personne a été atteinte du virus puis en a guéri, est venu remplacer la piste d’un test sérologique, solution finalement écartée. Pour l’obtenir, il ne faudra donc pas avoir réalisé une recherche d’anticorps. Mais simplement montrer un test PCR ou antigénique positif depuis « plus de quinze jours et de moins de deux mois », selon les récentes précisions de la Direction générale de la santé (DGS). Il aura ainsi la même valeur qu’un test négatif ou une vaccination complète.

Problème : aucun de ces documents ne peut garantir que la personne est protégée.

Seul le test sérologique mesurant les anticorps anti spikes peut vérifier de la réalité d’une protection. Les anticorps existent ou n’existent pas… S’il y en a pas le vaccin n’a servi a rien.

Le test sérologique permettrait d’éviter une vaccination inutile et dangereuse quand on a des anticorps, car les effets secondaires sont bien plus graves dans ces conditions. Il permettrait de connaitre enfin le niveau de protection naturelle  de la population.

Combien sont comme lui ? Selon les estimations de l’Institut Pasteur établies en février 2021, environ 15 à 20% des Français adultes auraient été infectés par le coronavirus Sars-CoV-2 et auraient ainsi a priori développé des anticorps. Plus de la moitié n’ont rien ressenti et n’ont pas été testé…

S’ils se font vacciner, ils prendront le risque d’effet secondaires plus graves (six fois plus de risque de fièvre, de frissons, de douleurs musculaires), mais au moins, grâce à eux, on pourra croire que le vaccin est efficace…

Vous êtes vaccinés ? Vous voulez savoir ? Faites comme macron : une bonne sérologie, pour 31 euros vous saurez enfin… avant les variants…




France – Pétition Sénat : GARANTIR L’INTERET SUPERIEUR DE L’ENFANT en situation d’état d’urgence

[Source : enfance-libertes.fr]

Lien pour signer la pétition :
Garantir l’intérêt supérieur de l’enfant en situation d’état d’urgence
e-pétitions du Sénat (senat.fr)

PRÉSENTATION

Au regard de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) et du droit français, il apparaît une carence législative sur la situation des enfants lors d’un état d’urgence.

Ce vide législatif a autorisé le gouvernement français à imposer en milieu scolaire, à partir de Mai 2020, un protocole sanitaire de plus en plus contraignant, sans documents justificatifs, et sans considération des débats d’experts inhérents au contexte sanitaire.

Or l’efficacité et la pertinence de protocole ont largement été remises en question la communauté scientifique et pédiatrique.

Par cette pétition, nous demandons que cette carence législative soit comblée au plus vite dans les textes législatifs nationaux.

Nous demandons que la loi exige que toute décision contrevenant aux droits fondamentaux de l’enfant soit scientifiquement solidement justifiée et motivée.

Sans cela, le risque est réel de ne plus assurer dignement sa santé, sa liberté et sa protection.

***

Cette pétition est déposée sur le site du Sénat. Ce cadre légal offrira la possibilité de faire modifier la loi.

Atteindre 100.000 signatures mettra cette question à l’ordre du jour de la Commission des  Présidents du Sénat.

***

La signature se fait sur le site du Sénat par authentification FranceConnect. C’est une contrainte supplémentaire par rapport à d’autres pétitions habituelles, mais c’est aussi ce qui fera l’efficacité de la démarche :

  • si nous obtenions 100 000 signatures sans FranceConnect, il est fort probable que les autorités ne prendraient pas nécessairement en compte cette pétition
  • par contre, en obtenant 100 000 signatures par FranceConnect, les autorités seront obligées de considérer nos demandes.

TEXTE INTEGRAL

OBJECTIF

Malgré un contexte d’état d’urgence notamment sanitaire, garantir l’intérêt supérieur de l’enfant.

MESURES D’EXCEPTION ET DROITS FONDAMENTAUX

En déclarant l’état d’urgence sanitaire, le gouvernement français a imposé un protocole sanitaire contraignant, dont le port du masque aux enfants dès l’âge de 6 ans en milieu scolaire.

Au moment des prises de décisions, la communauté scientifique et professionnelle a largement exprimé des avis contraires étayés quant à la nécessité et à l’efficacité de ces mesures. Elle alerte également sur les risques néfastes du port du masque et du protocole sanitaire sur les enfants.

Au regard de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) et du droit français, il apparaît une carence législative sur la situation des enfants lors d’un état d’urgence.

La CDE a été adoptée par l’ONU à l’unanimité en 1989 et a été renforcée ensuite par trois protocoles :

  • Portant sur la vente d’enfants, la prostitution des enfants et la pornographie mettant en scène des enfants,
  • Portant sur l’implication d’enfants dans les conflits armées
  • Et portant sur le recours possible devant le Comité des droits de l’enfant des Nations Unies en cas de non-respect des deux précédents protocoles.

Une carence est cependant constatable dans la CDE en ce qui concerne la protection des enfants en situation d’état d’urgence. Le droit français n’y répond pas non plus.

CHRONOLOGIE

  • En Mars 2020, l’exécutif décide de confiner le pays, avec fermeture des écoles. Les enfants sont officiellement jugés contagieux. Les critères et études ayant servis à ces arbitrages ne sont pas connus à ce jour.
  • En Juillet 2020, les masques chirurgicaux (jugés inutiles au printemps) deviennent obligatoires autant en intérieur qu’en extérieur, mais les moins de 11 ans peuvent respirer librement.
  • En Septembre 2020, le masque devient obligatoire pour les collégiens et les lycéens. Les critères et études ayant conduit à cette décision ne sont pas non plus connus à ce jour.
  • Le 2 novembre 2020, les enfants du primaire sont à leur tour masqués. Les critères et études ayant déclenché cet élargissement ne sont toujours pas identifiés à ce jour, malgré les questionnements récurrents de parents, enseignants et professionnels de l’enfance.
  • En Avril 2021, les écoles sont fermées avec une semaine de cours en distanciel et deux semaines en vacances anticipées. Les critères et études utilisés par les décisionnaires, une fois encore, ne sont pas connus à ce jour.

Au regard desdits événements, chaque décision a été prise sans documents justificatifs ni motivations, et sans considération des débats d’experts inhérents au contexte sanitaire. Or, ces éléments auraient dû être les requis préalables à chacune d’entre elles.

La carence à la fois dans le droit français, mais aussi dans la CDE, de la situation des enfants en état d’urgence autorise ainsi ce genre de dérives.

CHIFFRES

Alors que des propos médiatiques insistaient sur la dangerosité des enfants dans la propagation du Covid-19, Santé Publique France rapportait les données suivantes :

  • Les 0-14 ans comptabilisent 5 décès depuis mars 2020, soit 0,006% des décès hospitaliers avec une mention « covid-19 ».
  • Les 15-44 ans (tranche des fratries et parents) représentent 0,67% des décès hospitaliers.
  • La Société Française de Pédiatrie (SFP) rapporte qu’au sein du Ministère de l’Education nationale le niveau de contamination des enseignants (0,09 à 0,18%) est très faible de même que le nombre de classes ou écoles fermées depuis la rentrée scolaire de septembre 2020 (respectivement <0,2% et <0,14%).

Ces chiffres, non exhaustifs, étayent l’idée que les jeunes enfants ne sont majoritairement ni victimes du SARS-CoV2 (le bénéfice des mesures est pour eux relativement faibles), ni contaminants (le bénéfice de la communauté nationale est mineur au regard d’autres mesures impactant le reste de la population).

Ces avis contrebalancent fortement les risques et bénéfices invoqués par l’exécutif lors de la mise en œuvre des mesures sanitaires, qu’il n’a pas jugé utile de motiver avant ses prises de décisions.

IMPACT SUR LA SANTÉ PUBLIQUE, SUR LES LIBERTÉS ET SUR LES DROITS FONDAMENTAUX

Les multiples décisions impactent directement la santé publique, les libertés et les droits fondamentaux en lien avec les enfants, notamment :

  • Le droit à l’éducation stipulé par l’article 28 de la CDE
  • Le respect de l’autorité parentale
  • La qualité de l’encadrement éducatif et pédagogique
  • La dimension socioculturelle
  • Le droit à la santé physique et psychique (au sens de la définition de l’OMS) des enfants et des familles.

CONCLUSION

A la lecture des nombreux événements et de l’importance des chiffres énoncés, non exhaustifs, ainsi qu’aux impacts physiques et psychologiques sur la santé publique et l’équilibre sociétal, la situation de l’enfant lors d’un état d’urgence (notamment sanitaire) n’est aujourd’hui pas prise en compte dans les textes législatifs nationaux. Cette même situation d’exception aurait dû être fondée dans la CDE qui est malheureusement incomplète.

Toute décision contrevenant aux droits fondamentaux de l’enfant se doit ainsi d’être justifiée et motivée, sans quoi le risque est réel de ne plus assurer dignement leur santé, leur liberté et leur protection.

Afin de garantir l’intérêt supérieur de l’enfant, nous proposons que cette carence législative sur sa santé, ses libertés et ses droits soit prise en compte dans les textes législatifs nationaux au service de l’intérêt supérieur de l’enfant.

Lien pour signer la pétition :
Garantir l’intérêt supérieur de l’enfant en situation d’état d’urgence
e-pétitions du Sénat (senat.fr)




Les médecins sont tombés dans un trou noir

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

FIN DES PROBLÈMES DE NUMERUS CLAUSUS, ON N’A PLUS BESOIN DE MÉDECINS

Les médecins sont plus de 200 000 en France. Mais, malgré des incitations financières considérables, beaucoup paraissaient réticents à injecter un médicament expérimental vendu comme vaccin. Alors le ministre de la Santé a autorisé les infirmières, les vétérinaires et les pompiers à vacciner. Mais ce n’était pas encore assez. Alors tout le monde ou presque (bientôt) pourra maintenant vacciner, sans préalable, sans examen clinique, sans consentement éclairé.

On n’arrête pas le « progrès ». La loi de santé de Marisol Touraine de janvier 2017(([1] 1704-ANTIBES-CONSEQUENCES-LOI-TOURAINE PDF (nicoledelepine.fr) )) avait entamé le processus en permettant des glissements de tâches entre médecins et infirmiers, puis entre infirmiers et aide-soignant, etc. On était arrivé au fait qu’un personnel de garde non soignant aurait le droit d’aspirer un résident s’il s’étouffait et qu’il n’y avait aucune personne formée sur place. On était déjà dans le délire, mais encore exceptionnel, qui augurait bien de la suite…

Et l’on vient d’apprendre via Europe 1 que « les kinésithérapeutes, aides-soignants, puéricultrices, ambulanciers et titulaires d’une formation de secourisme de niveau 2 peuvent désormais participer à la campagne de vaccination. 500 000 nouveaux vaccinateurs viennent ainsi renforcer les rangs afin d’atteindre les objectifs fixés par le gouvernement. »  Par La rédaction d’Europe 1  13 MAI 2021.

Ce sont eux aussi qui fourniront les certificats verts, sésames de l’entrée en boîtes de nuit, j’imagine…

Rire ou pleurer, qu’est devenue la médecine que nous exercions encore il y a quinze mois ?  Les médecins généralistes libéraux l’ont bien cherché, me direz-vous ! Ils se sont tus, cachés, enfoncés dans leur grotte pour ne pas réagir à l’énorme arnaque du siècle qui fut l’interdiction aux médecins de prescrire selon le serment d’Hippocrate, en donnant les meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science.(([2] Pourtant toujours en vigueur légale arrêt mercier 1936))

Une révolution après plus de 2 500 ans de médecine hippocratique

Le ministre, en février mars 2020 et les premiers cas de covid-19, donna l’ordre aux SAMU et au 15 de répondre aux patients de ne prendre que du Doliprane en attendant sagement à domicile l’aggravation et la détresse respiratoire qui les mènerait ou non à l’hôpital en fonction de leur âge.

Silence, on ne traite pas

Sous prétexte qu’un ministre l’impose, et qu’il est soutenu par le président du Conseil de l’Ordre dont la fonction, rappelons-le, n’est absolument pas scientifique, mais uniquement déontologique(([3] Et en autre de faire respecter la loi transparence en santé qui oblige tout médecin qui s’exprime en public de citer ses liens d’intérêts ce que le Conseil de l’Ordre refuse d’appliquer pour les médecins des plateaux télé)) et administrative.

Sidération, silence, les médecins ont disparu, ne vont plus à domicile sous prétexte de couvre-feu et de confinement, les malades restent chez eux et ne consultent pas et voient leurs pathologies chroniques évoluer et d’autres maladies survenir sans diagnostic ni traitement. Les malades s’aggravent dans le silence de leur « cabane » et les médecins disparaissent de la planète France en ville, mais aussi à l’hôpital où, en gros, on ne s’intéresse, ou plutôt on n’a que le droit de s’intéresser à ce qu’on peut classer Covid-19. Le reste attendra… En gros, tous les médecins disparaissent des radars et ne restent que les quelques « réanimateurs » d’hôpital ou de télévision pour entretenir la panique et promouvoir les traitements inefficaces et très chers (remdésivir) ou de prétendus vaccins expérimentaux.

Les cliniques se vident, sommées de stopper toute activité étiquetée non urgente selon le plan Blanc imposé par le Premier ministre Édouard Philippe fin mars 2020, et ce sont les ARS qui décident de ce qui est urgent ou non, se permettent d’annuler des opérations d’ablation de cancer en disant froidement au patient d’aller en radiothérapie…

Plus d’indications pesées longuement en réunion multidisciplinaire, des indications à la volée, administratives. Et toujours le silence des structures hospitalières publiques et privées obéissantes, dans le déni complet de notre métier.

Silence assourdissant de tout ce qui ressemblait antérieurement à un docteur ! Ils (le pouvoir toujours assez impersonnel des ARS !) nous inventent le nec plus ultra, la consultation par télémédecine, un grand rêve de nos dirigeants numérique-dépendants, pensant que cela allait se développer à la faveur de ce grand coronacircus. Ce sera raté comme l’enseignement à distance, mais les docteurs n’en auront pas moins sombré dans le trou noir de la société du Nouvel Ordre mondial.

TROU NOIR

Où sont passés les docteurs ? Craint-on qu’ils ne soient pas aussi obéissants que le gouvernement le souhaiterait pour vacciner en masse avec des substances dites « vaccins », mais insuffisamment testées avant leur autorisation « conditionnelle » de mise sur le marché ? Ces thérapies géniques ou vaccins OGM n’ont jamais été testés complètement chez l’homme et à peine chez l’animal. Elles sont en essai clinique comme l’examen du site clinicaltrials.gov le démontre.

Les médecins, après au moins dix ans d’études et surtout de mises en garde, de normes, de réunions multidisciplinaires, de multiples réunions pour accréditation pour vérifier « les bonnes pratiques », ne seraient-ils finalement pas assez mûrs pour administrer n’importe quoi aux citoyens sous prétexte d’une pandémie dont ils savent (au moins eux) qu’elle est terminée et que les vagues successives ne sont que la conséquence de la création de variants par les pseudo-vaccins ? Pour ceux qui doutent, consultez le site du réseau Sentinelles qui affiche en temps réel les consultations auprès des médecins de ville des maladies respiratoires, dont le Covid-19.

Malgré les assurances du gouvernement qu’ils seraient couverts en cas d’accident vaccinal ou même de décès, les médecins et les infirmiers rechignent à injecter un « produit » expérimental, dont les ingrédients sont cachés et dont les fabricants eux-mêmes, comme le PDG de Pfizer, ne souhaitent pas le recevoir.

Déficits de médecins, voire d’infirmiers pour injecter une substance, alors qu’on rappelle les retraités de ces professions à la rescousse ? Pourquoi tant de difficultés si ce vaccin ou prétendu tel était valable et sans danger ? Alors ils ont appelé les vétérinaires, espérant que nous, les humains, serions plus résistants que les souris et les furets tous morts lors des expérimentations pour vaccin des coronavirus du SRAS et du Mers. À moins que ?

En tous cas, l’aide des vétérinaires puis des pharmaciens à ce geste discutable, mais tout de même facile de réalisation ne suffit toujours pas. Alors ils ont osé appeler les pompiers, les ambulanciers et qui d’autre encore demain ?

Poser et discuter l’indication d’une vaccination reste un acte médical

Dans une vie antérieure pas si lointaine, la vaccination était bien considérée comme un geste médical représentant d’ailleurs le tiers des revenus des pédiatres de ville. Et que signifie acte médical ?

La Haute Autorité de santé avait formulé en début de campagne de vaccination contre le covid-19 le déroulé de la consultation prévaccinale. Demandons-nous si le charmant et dévoué pompier qui croit aider le peuple ou l’ambulancier aimable peuvent réaliser cette discussion préalable et en combien de temps.

« Le dimanche 27 décembre a marqué le coup d’envoi de la campagne de vaccination contre la Covid-19 en France et en Europe.(([4] Covid-19 : quel est le rôle de la consultation prévaccinale ? | Santé Magazine (santemagazine.fr) )) Sur le territoire, les résidents d’un EHPAD de Dijon et ceux d’une unité de soins de longue durée de l’hôpital de Sevran ont été les premiers à en avoir bénéficié. Si la vaccination n’est pas obligatoire pour la population, une étape l’est en revanche pour les personnes qui décident de se faire vacciner : la consultation prévaccinale ».

Comme l’explique la Haute Autorité de santé, elle se fonde

« sur l’évaluation de la situation clinique du patient, l’information sur les bénéfices et les risques du vaccin et sur les préférences, les questionnements et les craintes qu’exprime le patient. ».

« Concrètement, comment se déroule-t-elle ? Elle est réalisée par le médecin traitant ou, à défaut, en priorité par le médecin coordonnateur ou un autre médecin en cas d’indisponibilité des deux premiers. Et ce au plus tard dans les cinq jours qui précèdent la vaccination. À noter que “cette consultation peut être réalisée sur place ou, si cela n’est pas possible, à distance, en téléconsultation avec ou sans vidéotransmission.”, explique le ministère de la Santé dans un guide dédié. Le premier objectif de cette étape est d’identifier l’absence de contre-indication temporaire ou définitive à la vaccination et de déterminer le bénéfice/risque de la vaccination pour les patients ou résidents. »

Il semble bien qu’on ait changé de vie, de monde, de planète entre fin décembre et maintenant. Évidemment l’examen clinique, qui n’était déjà pas au premier plan, a sauté, mais tout le reste dans la foulée… Cela prenait trop de temps… La sécurité, les procédures, l’obsession de l’hôpital public et privé et surtout des tatillonnes ARS qui faisaient fermer un bloc pour quelques cm manquants par rapport à la sacrée sainte norme, une autre vie, l’Ancien Monde nous dira-t-on…

Alors si les ARS disparaissaient dans la foulée et les cérémonials d’accréditation également, tout cela n’aurait pas été vain. Rêvons un peu. Aussi.

Lisez la suite des précautions initiales prévues pour la vaccination extraite de Santé magazine : le patient pourra poser toutes ses questions.

« Sont recherchés les antécédents d’allergie, épisodes infectieux en cours, une infection Covid-19 avec symptômes et datant de moins de 3 mois ainsi qu’une vaccination contre la grippe, car celle-ci doit avoir eu lieu au moins 3 semaines avant la vaccination contre la Covid-19.

 Dans un deuxième temps, le médecin doit “apporter les éléments d’informations nécessaires (bénéfice/risque, effets secondaires connus…) pour que la personne puisse exprimer son choix de se faire vacciner ou non.”, ajoute le ministère de la Santé. Ainsi, le médecin veille à délivrer une information appropriée et compréhensible tandis que le patient peut faire part de ses questionnements et craintes.

La consultation fait l’objet d’une traçabilité écrite puisque les éléments qui en sont issus seront consignés dans le dossier médical de la personne, mais aussi dans le système d’information de suivi de la vaccination contre le SARS-COV-2 appelé “Vaccin Covid”, qui sera opérationnel à compter du 4 janvier 2021. Tout comme le reste de la procédure dans son ensemble : consentement, vaccination, suivi. Ce n’est d’ailleurs qu’à la fin de cette visite que le patient pourra verbaliser son consentement, sachant qu’un résident peut, s’il le souhaite, être accompagné d’un tiers qui observe un rôle d’accompagnement (parent ou proche, bénévole, mandataire judiciaire, personne de confiance…). »

 Eh bien oui, presque tout était prévu, mais trop long, trop compliqué, pas assez de médecins ou bien ceux qui acceptèrent vaccinaient quinze patients à l’heure, se faisant une petite rente au passage sur le dos de la Sécu. Mais finalement — et c’est consolant, il n’y eut probablement pas assez de volontaires pour l’abattage vaccinal des moutons consentants et peu curieux. Trop de responsabilité, au moins morale, puisque la responsabilité pénale est couverte d’emblée par l’État aux frais de la princesse, c’est-à-dire nos impôts pour réparation.

Faute de médecins, on recrute chez les pharmaciens, les vétos, les aides-soignants, les ambulanciers, etc.

Alors on eut recours à toutes les professions proches, mais chacun son métier avec tout le respect que nous leur devons pour leurs compétences, mais me voyez-vous demain remplacer mon voisin pompier ou vous conduire à votre consultation avec ma voiture en guise d’ambulance ? Quant à soigner votre chat, jamais vous ne me le confieriez ou faire vêler la vache de la ferme voisine, encore moins. Chacun son boulot, comme c’est bizarre. Le Président va peut-être demander à son chauffeur de le remplacer le temps de se reposer quelques jours…

Bref, les médecins ont disparu du système sanitaire français et si on l’a fait pour ce sacré covid, on ne voit pas pourquoi votre véto ne vous prescrirait pas votre chimio en même temps que celle de votre chien, cela gagnerait du temps.

Et tout cela pour aligner chaque soir à la télé le nombre de vaccinés et surtout en comparaison avec les pays voisins. Course à l’échalote en attendant les JO, ou programme sanitaire ? On n’en peut plus de ce délire construit, d’apparence de folie. Heureusement, au bout de 14 mois, on a fini par comprendre la stratégie de dissonance cognitive et de mise en sidération perpétuelle de la population afin qu’elle accepte la politique coercitive que le Nouvel Ordre mondial espère imposer.

Et dans tout ce magma délirant, quid de la responsabilité morale des volontaires, mais peut-être pénale quand les patients, victimes éventuelles ou familles de victimes (déjà plus de 10 000 morts reconnus par l’agence européenne sans la GB) découvriront que lors de cette expérimentation avec autorisation de mise sur le marché conditionnelle, il n’existait même pas cette dernière pour les mélanges de vaccin au hasard des disponibilités.

Sans AMM conditionnelle, probablement pas de couverture médicolégale. Ils sont bien courageux ou inconscients, les volontaires de la vaccination pour une maladie qui tue moins de 0,05 % de la population , mais n’est pas sans risque comme le montre le site de l’Agence européenne du médicament consultable par tout le monde, Eudravigilance.

MAIS CELA NE SUFFIT PAS : ON ENTRE DANS LA MÉDECINE FORAINE OU LA « MÉDECINE DRIVE »

Les médecins vont faire concurrence à Mac Do !

Bienvenue au pays du non-secret médical à Francoville [VACCI’DRIVE]

« Une première dans le Val-d’Oise !

En partenariat avec l’ARS, la ville a expérimenté un Vacci’drive (vaccination directement dans votre voiture) ce vendredi 14 mai de 18 h 30 à 19h30 au CSL.

Accueil, consultation médicale, vaccination, surveillance… Tout y est.

Déjà présent dans certains pays d’Europe, ce dispositif a le mérite d’être, pour certains, moins anxiogène. Il arrive à Franconville et sera reconduit selon l’approvisionnement en vaccins.

Inscriptions prochainement.

Merci aux agents et aux professionnels de santé pour la mise en place de cette nouvelle possibilité de vaccination. »

 Peut-on porter plainte pour non-conformité avec l’article 74 du Code de la santé publique, concernant l’interdiction de la médecine foraine, qui ne peut s’exercer qu’exceptionnellement, et dans une unité mobile, mais pas sur le trottoir, comme le plus vieux métier du monde ? se demandent des collègues choqués.

Article 74 (article R.4127-74 du code de la santé publique)

L’exercice de la médecine foraine est interdit ; toutefois des dérogations peuvent être accordées par le Conseil départemental de l’Ordre dans l’intérêt de la santé publique.
Toutefois, quand les nécessités de la santé publique l’exigent, un médecin peut être autorisé à dispenser des consultations et des soins dans une unité mobile selon un programme établi à l’avance.
La demande d’autorisation est adressée au Conseil départemental dans le ressort duquel se situe l’activité envisagée. Celui-ci vérifie que le médecin a pris toutes dispositions pour répondre aux urgences, garantir la qualité, la sécurité et la continuité des soins aux patients qu’il prend en charge.
L’autorisation est personnelle et incessible. Il peut y être mis fin si les conditions fixées aux deux alinéas précédents ne sont plus réunies.
Le Conseil départemental au tableau duquel le médecin est inscrit est informé de la demande lorsque celle-ci concerne une localité située dans un autre département. »

Quelques questions complémentaires à ce sujet :

Combien de temps durent la consultation médicale, l’examen clinique, et l’information sur les risques de médicaments au covid drive ?… On rit (jaune).

Si quelqu’un peut connaître les rémunérations des agents et professionnels de santé dans ces drive ?  Qui accepte cette non-médecine ?

Et si vous êtes curieux, allez voir les commentaires sur la page de Franconville citée qui montre que certains ont encore du bon sens, par exemple le phil o sophe :

« Chacun doit rester libre de se faire vacciner, ou pas, le débat n’est plus trop là… Ce qui devient délirant c’est d’adopter un mode de commercialisation popularisé par Ray Kroc pour un acte médical. Est-ce la proximité du Mc Do qui vous a donné cette idée folle ? Le progrès nous mènera-t-il à nous faire vacciner via ubervacx ? À quand la consultation dentaire en plein air ? À quand l’analyse de sang à l’arrêt de bus ? ! On a un centre de santé, un vaccinodrome, des médecins, des officines, plusieurs hôpitaux et cliniques à proximité, des personnels de santé libéraux, une caserne de pompiers… mais on vaccine à même le trottoir… Je crois que je ne comprends plus trop où on va, mais a priori on y va ! Une des 10 plus grandes puissances économiques mondiales vaccine ses citoyens en pleine rue et on s’en gargarise ».

ou encore Agnès Bernard :

« Je suis bien au Franconville drive ?
Oui, bonjour, je voudrais vous commander un happy vac.
Je prendrai un double cheese frites, un coca et un vaccin en cadeau. 

Je me souviens d’un temps où les moins de vingt ans connaissaient pourtant que l’on finissait devant le tribunal quand on faisait affaire sur un coin de trottoir !
Ahhhh! je suis heureuse de constater que notre société va bien. »

Vous me direz que vu les cadeaux proposés aux USA, comme des billets gratuits pour des parcs, et à NY une part de frites, etc. nous n’avons pas encore tout vu… Bonne lecture :
Les gouvernements du monde entier offrent des pots-de-vin extravagants dans un effort désespéré pour augmenter l’utilisation du vaccin COVID — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Nicole Delépine





Corruption et gestion de la Covid-19, on y est

[Source : AIMSIB]

Par La rédaction de l’AIMSIB

On s’en doutait tous, cette folie vaccinale n’est pas due qu’à l’incompétence de nos dirigeants. A présent les preuves s’accumulent pour relever également des comportements parfaitement répréhensibles pénalement. Nous ne parlons plus des contrats européens d’achats de vaccins allègrement caviardés avant transmission à nos représentants communautaires, nous visons bien ces sommes d’argent qui passent d’une main à une autre dans le but de pousser à l’achat de certains produits pour en interdire d’autres, et à la fin des fins, depuis un an, allonger la liste des morts de manière indiscutablement criminelle. C’est Inoxydable, membre AIMSIB de la première heure, ancien enquêteur de Police, qui est parti étayer ce dossier lamentable parce qu’il n’est présenté nulle part ailleurs dans la presse grand public: Pourquoi au fait?  Bonne lecture.

« La seule chose qui permet au mal de triompher est l’inaction des hommes de bien »

attribué à Edmond Burke

Introduction

Selon cet article (1),  la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a annoncé samedi un nouveau contrat pour acheter jusqu’à 1,8 milliard de doses de vaccins anti-Covid à BioNTech-Pfizer™:

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Non contente de cette commande pharamineuse dont elle doit se frotter les mains elle ajoute que « d’autres contrats et d’autres technologies vaccinales vont suivre». Ce contrat inclut une commande ferme pour 900 millions de doses et une option pour 900 millions supplémentaires. Ces nouvelles livraisons, prévues dès cette année et jusqu’en 2023, permettront notamment de «s’adapter aux nouveaux variants du coronavirus», mais aussi de «vacciner les enfants et adolescents».

Corruption, belotte…

Pour qui s’intéresse à cette information, on peut se demander jusqu’à quel point la commissaire européenne à la Santé, Madame Stella Kyriakides a joué de son entregent pour finaliser ce merveilleux contrat à propos duquel, le silence sépulcral de nos femmes et hommes politiques résonne d‘un assourdissant silence.

Stella Kyriakides en grande discussion avec le Commissaire Européen André Breton et le Ministre Français de la Santé, Olivier Véran (afp)

Ces faits sont relatés par la presse étrangère (2):

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Cet article provient d’un site non conformiste. lesobservateurs.ch , politiquement correct s’abstenir (3), dont les rédacteurs luttent contre la pensée unique et le conformisme idéologique… donc classé franchement à droite. Mais faut-il encore une fois tuer le messager et occulter le message ?

C’est là qu’on apprend que 4 millions d’€ ont gonflé le compte familial de la commissaire par l’intermédiaire de la Cooperative Bank of Cyprus, qui appartient à l’État Chypriote, et il a été tenté de le déguiser en une sorte de prêt pour éviter le scandale .

Cette somme demeure de provenance difficilement explicable. Les médias chypriotes ont essayé de « rattraper l’affaire » en parlant de corruption passive et c’est pourquoi lesobservateurs.ch  en parle après qu’une agence de presse hongroise ait soulevé le lièvre.

 « Stella Kirikiades, après sa chute, essaie de s’excuser de toutes les manières possibles faisant croire que cet argent apparemment « sale » n’a rien à voir avec les contrats de vaccination de l’UE s’agissant d’un… prêt. »

Prêt de qui pour quoi, « elle serait de toute façon bien incapable de rembourser », saut peut-être en continuant de sévir ( pardon, servir) au sein de la commission Européenne et c’est le cas par exemple ici (4) :

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Psychologue de formation, en doit s’y connaître en matière de vaccins, mais surtout de… politique.

Qui est derrière l’agence VAN4

Ces articles sont-ils crédibles ?
L’agence VAN4 est-elle digne de foi ? Bien qu’il s’agisse d’une agence d’information proche du premier ministre Hongrois Viktor ORBANà mon sens elle ne peut être plus polluée politiquement que notre bonne agence AFP, surtout sur les problèmes des vaccins et des traitements simples de la Covid.
Cette agence Hongroise, appelée V4NA, a d’ailleurs été enregistrée à Londres par l’ambassadeur de Hongrie au Royaume-Uni, Kristof Szalay-Bobrovniczky, le 31 décembre 2018, selon les documents déposés par la société (6):

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9 avr. 2019 — V4NA’s name reflects a focus on the Visegrad Four countries – Poland, Slovakia, Hungary and the Czech Republic. It plans more coverage of ..

Pourquoi donc ne pas leur accorder autant de crédits qu’aux autres agences de presse empressées auprès de Google, Facebook et des kyrielles de supports de publications relayant les délires vaccinalistes « officiels » ?

Voici ce que dit l’article qu’on peut aussi traduire en français sur son site ;

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Article intitulé : « Le plus grand scandale de corruption de l‘UE se déroule alors que 4 millions d‘€ se retrouvent sur le compte de la commissaire à la santé Européen , la Chypriote Mme Stella Kyriakides qui a signé les contrats d’approvisionnement en vaccins défectueux et tardifs de l’UE » , selon le journaliste M. Omolnar .

Corruption, rebelotte…

Il précise aussi qu’auparavant, il y a des années, Madame Stella Kyriakides a été impliquée dans un programme qui a vu tous les traitements anti-cancéreux privatisés à Chypre sous le déguisement d’opérations bancaires, puis – comme d’habitude – ils ont augmenté les prix de ces traitements, et ce Miklos Omolnar ajoute :

« J’ai rappelé que lorsque la situation était devenue intolérable, l’affaire a été devant le parlement chypriote. Tous les députés ont voté la nationalisation des traitements contre le cancer, réduisant leurs coûts, à l’exception d’une députée, actuelle commissaire européen à la Santé et signataire de ces contrats de vaccination qui ont mis le feu de toutes parts ».

C’est ainsi que l’Union européenne par la toute puissance de Stella Kyriakides, et de la présidente de la Commission européenne (CE), Ursula von der Leyen, a conclu un contrat invraisemblable avec AstraZeneca™. V4NA a envoyé une demande écrite aux deux responsable Européens citées, pour demander des informations supplémentaires sur la question.

Je vous laisse lire l’article de ce mic mac de contrats vaccinaux aux relents pestilentiels de corruptions qu’on veut faire passer comme des erreurs, ou des maladresses. À la Commission Européenne, certains s’en sont émus : question écrite posée par un certain Euro-Député du nom de Sven Giegold (7) :

https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2021-001844_EN.html

Madame Kyriakides semble donc coutumière de faits de prise illégale d’intérêt, voire de faits de corruption passive, voire de conflits d’intérêts disons très tortueux, dans ses missions.

Qui est par ailleurs la présidente de la commission européenne ? Elle est médecin, mais selon Wikipédia « Le 27 septembre 2015, le site internet anti-plagiat VroniPlag Wiki déclare avoir trouvé « des passages  plagiés dans 27 pages de la thèse de doctorat d’Ursula von der Leyen. » Pas très honnête tout ça. Qui se ressemble s’assemble. Passons.

Quel crédit accorder à l’agence V4NA?

Bien sûr, certains mettent en doute la compétence ce de cette agence Hongroise comme cet autre média du net (8) :

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– « V4 Agency, basée à Londres, est la machine de propagande d’Orbán déguisée en produit médiatique mondial »

Mais le site « atlatszo » est aligné sur l’Union européenne et si l’info relayée les dérangeait, c’est sans doute qu’elle était exacte. Dis-moi qui te finance et je te dirai pour qui tu travailles ou qui tu es…

En définitive lesobservateurs.ch ne fait pas partie du groupe Talmédia devenu TX Group (code SWX : TAMN), connu sous le nom de Tamedia jusqu’en 2020, qui est le plus grand groupe de médias privé de Suisse. „

En gros, Tamedia possède tout (9), et il est n‘est pas indépendant.

Conséquences de cet accord avec l’industrie pharmaceutique au niveau de l’UE, il oblige à l’unisson les états membres à commander pour des milliards d’€ de vaccins.

Ce scandaleux accord dont on aimerait bien connaître les distributions financières dans les différentes poches de leurs protagonistes, n’a semble t-il soulevé aucune campagne de protestations, ni dans les médias « mainstream » ni chez les responsables politiques de tous bords, pas même parmi les élus d’opposition qui auraient pu en faire un cheval de bataille comme la fameuse « tribune » des Officiers et Généraux en retraite ou non ayant recueilli plus de 100000 signatures !

Tout cela est-il dû à la malveillance des politiques, à la corruption, à la stupidité de la plupart des médias, à leurs compromissions, à la terreur inculquée depuis le début de l’épidémie à la population (pas seulement Française), même les jeunes ne réagissent plus ou si peu à la paralysie mentale des philosophes ou des leaders d’opinions, etc…

On comprend mieux quand on regarde qui fait l’opinion et à qui ça rapporte: Médias français, qui possède quoi ? (10)

Avec ça les lobbies de Big-Pharma ont de beaux jours devant eux et surtout, pour des vaccins aussi suspects qu’inutiles finalement, on se rend compte que ce qui intéresse les responsables de l’UE et de notre pays, c’est la manne financière que la vaccination obligatoire de fait rapportera probablement pour leurs intérêts personnels.

Corruption, dix de der provisoire

Pour finir sur le chapitre de la corruption, le dernier IHU Raoult (11) :

Effet des vaccins & Corruption Raoult 11 mai 2021

Vidéo dans laquelle le Pr Didier Raoult décortique l’épidémie, la vaccination et à partir de la 11e minute parle de la corruption en matière de sciences médicales, des liens et conflits d’intérêts. Il y va calmement mais férocement. Imparable. Décrié par certains, mal aimé par d’autres, adulé par ses nombreux sympathisants, on aime ou pas le personnage mais il dit tout.

Si certains ne comprennent pas, je désespère. Que penser d’ailleurs de cette dernière décision de justice (12) :

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Comment un médecin peut-il menacer de mort un confrère au prétexte qu’il défend en son âme et conscience l’utilisation d’une molécule en lieu et place d’une autre?

Probablement pour des raisons qu’il est difficile de détacher d’une corruption avérée, lisez ceci (13) :

France Soir, 24/06/2020

Et l’ANSM dans tout ça?

Elle a pour mission principale d’évaluer les risques sanitaires présentés par les médicaments et produits de santé destinés à l’être humain.

La demande de RTU pour l’ivermectine,  présentée par un gros millier de médecins en traitements de la Covid, tant en prophylaxie qu’en traitement a été complètement rejetée par cet organisme administratif décisionnaire de l’État : est-ce de l’aveuglement, de la corruption intellectuelle ou de la corruption par liens d’intérêts?

Voici entre autres les obligations que la Loi impose à l’ANSM :

« alors que les débats, en premier lieu ceux concernant les acceptations et refus d’AMM de RTU et d’ATU, doivent être enregistrés et conservés, avec le détail et les explications des votes, y compris les opinions minoritaires ».

Au lieu du respect de la Loi, voilà ce que l’ANSM à répondu aux requérants (14) :

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Il faut aujourd’hui que le Dr Maudrux, porte-parole Français de ces médecins adresse un recours hiérarchique contre la décision de l’ANSM auprès du Ministre des Solidarités et de la Santé, déposé le 12 mai 2021. Est-ce qu’on peut attendre quelque chose du Ministre alors que visiblement, lors de sa première demande de RTU pour l’Ivermectine (14) il avait opposé un refus qui bien sûr laisse la porte ouverte à une autorisation future, sur la base d’études scientifiques fiables… aux calendes grecques ou après l’épidémie… cela a déjà eu lieu par le passé et maintenant trop d’enjeux financiers existent.

Conclusion

Je ne sais pas si l’article de lesobservateurs.ch participe à une manipulation de l’opinion, mais je suis certain d’une chose : La nouvelle commande de vaccins AstraZenecca™ ou Pfizer™ destinée à nos enfants qui n’en ont absolument pas besoin, à qui rapportera t-elle ? Servira t-elle à payer les publicités TV lamentables du genre « Ca vous a fait mal ? Eu contraire, je me sens bien mieux maintenant », qui se « gavera » ?

Cet article sur un problème dont nos médias ne veulent pas parler concerne principalement la corruption dans le marché des vaccins Covid, mais en définitive l’épidémie est en baisse pour ne pas dire en chute libre, à quoi sert-il de faire vacciner par le chantage du Pass Sanitaire autant de monde si ce n’est pour justifier les milliards d’euros dépensés et promis à Big Pharma conduisant au désastre sanitaire actuel, à l’endettement faramineux de notre pays pour des générations ?

Il n’y a même pas besoin de démontrer la corruption à tous les étages de la politique sanitaire, cette gabegie se suffit à elle-même.

Donc que devons-nous faire à part hurler haut et fort ?

Inoxydable
Mai 2021


Notes et sources

(1) https://www.lefigaro.fr/flash-eco/vaccins-l-ue-signe-un-contrat-avec-pfizer-biontech-pour-1-8-milliard-de-doses-20210508
(2) https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/
(3) https://lesobservateurs.ch
(4) https://ec.europa.eu/france/news/20210125/declaration_Stella_Kyriakides_livraison_vaccins_astrazeneca_fr
(5) https://v4na.com/en/eu-s-biggest-corruption-scandal-unfolds-as-4m-appear-in-commissioner-s-account
(6) https://www.reuters.com/article/us-hungary-media-news-agency-idUSKCN1RL15X
(7) https://fr.wikipedia.org/wiki/Sven_Giegold
(8) https://english.atlatszo.hu/2020/05/25/london-based-v4-agency-is-orbans-propaganda-machine-disguised-as-global-media-product/
(9) https://fr.wikipedia.org/wiki/Tamedia
(10) https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/PPA#&gid=1&pid=2
(11) https://youtu.be/0-7R3r5_-EA
(12) https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/didier-raoult-avait-porte-plaine-pour-menace-de-mort-300-eu-d-amende-pour-le-professeur-nantais-7124598
(13) https://www.francesoir.fr/societe-sante/top-13-des-revenus-annuels-recents-verses-par-lindustrie-pharmaceutique
(14) https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/09/ivermectine-le-cote-obscur-des-decisions/
(15) https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/04/10/rtu-pour-livermectine-pourquoi-le-refus-de-lansm/




Les gouvernements du monde entier offrent des pots-de-vin extravagants dans un effort désespéré pour augmenter l’utilisation du vaccin COVID

[Source anglaise : The Last American Vagabond]

[Traduction : MIRASTNEWS]

Alors que les communautés autochtones du Mexique rejettent le vaccin COVID-19, l’effort international pour convaincre le public de prendre l’injection est pleinement effectif.

Début mars, CNN a rapporté que «des villes entières refusent les vaccins Covid-19 au Mexique», dressant le profil de deux des plus d’une douzaine de municipalités qui ont rejeté les vaccins contre la COVID-19 [en anglais, Coronavirus Desease 2019 ou en français, Maladie à Coronavirus de 2019 – MIRASTNEWS] pour une raison ou une autre. CNN a rendu compte des déclarations des habitants d’Aldama et de San Juan Cancuc, petites villes autochtones situées dans les hauts plateaux du centre de l’État mexicain du Chiapas.

«Pourquoi me faire vacciner? Je ne suis pas malade. Ce ne serait pas bien s’ils essayaient de nous forcer à nous faire vacciner. Je ne sais pas»,

a déclaré à CNN María Magdalena Lopez Santís, une résidente d’Aldama.

Les communautés autochtones du Mexique (et de nombreux Mexicains en général) ont une histoire de méfiance envers le gouvernement fédéral. Après des générations d’ignorance ou de colonisation, les communautés sont largement autonomes et fonctionnent selon leur propre état de droit. C’est cette histoire qui a poussé plusieurs communautés du Chiapas et d’autres régions du Mexique à rejeter complètement les injections COVID-19.

Bien sûr, CNN rapporte que « le manque d’informations et les théories du complot qui se sont répandues dans la région comme une traînée de poudre sont à blâmer pour l’hésitation à la vaccination. » Le secrétaire municipal d’Aldama, Tomás Lopez Pérez, a déclaré à CNN que parce que son peuple «ne sait pas vraiment de quoi sont faits les vaccins, nous pensons qu’ils contiennent le virus [SRAS-CoV-2 de la Covid-19] et c’est la principale raison pour laquelle les gens ne veulent pas se faire vacciner.» 

Le 1er février, José Lopez Lopez, maire de San Juan Cancuc, a publié une lettre aux autorités sanitaires de l’État expliquant pourquoi sa ville n’accepterait pas le vaccin COVID. Lopez Lopez a déclaré que les habitants de San Juan Cancuc rejetteraient en fait tous les vaccins de l’État mexicain.

Le Département de la santé de l’État du Chiapas a déclaré qu’il respecterait l’autonomie des populations autochtones.

Je me suis récemment rendu à San Juan Cancuc pour découvrir par moi-même pourquoi ces communautés autochtones rejettent les vaccins. Les indigènes de San Juan Cancuc parlent un dialecte spécifique de la langue indigène Tseltal connue sous le nom de San Juan Cancuc Tseltal. Avec l’aide d’un homme local interprétant de l’anglais à l’espagnol et de l’espagnol au Tseltal, j’ai pu communiquer avec les membres du conseil de San Juan Cancuc. Bien qu’ils ne s’expriment pas devant la caméra sans la présence de José Lopez Lopez, ils ont partagé une mine d’informations sur la façon dont leur communauté a réagi à la COVID-19.

Pour commencer, le conseil de San Juan Cancuc a déclaré n’avoir vu aucun cas de COVID-19 dans sa communauté. Ils ont également déclaré que la ville n’avait jamais imposé de masques ni de distanciation sociale. Le conseil a déclaré qu’il disposait de ses propres méthodes de guérison des malades qui ne correspondent pas aux politiques du gouvernement mexicain.

Le conseil a déclaré qu’avant la publication de la lettre de février, la communauté avait rejeté les camions apportant des vaccins et d’autres soutiens du gouvernement. La communauté a rejeté les camions à deux reprises avant de finalement publier la lettre faisant savoir publiquement qu’elle rejetait les injections COVID. Le conseil a déclaré que les médecins qui tentaient de venir en ville pour administrer des vaccins se sont fait dire par les autorités de l’État qu’ils ne pourraient pas garantir leur sécurité s’ils entraient à San Juan Cancuc. 

Le conseil a également noté que des lois avaient été adoptées pour garantir que la politique «pas un vaccin de plus» ne puisse pas être modifiée une fois qu’un nouveau maire est élu. Lorsqu’on leur a demandé quel message ils aimeraient partager avec le reste du monde, le conseil a déclaré que «tout le monde devrait faire ce qu’il sait être juste». Ils ont également dit qu’ils croyaient que leur communauté avait prospéré parce qu’ils étaient organisés et unifiés. 

J’ai également parlé avec deux habitants du village indigène de Betania, à environ 30 minutes au sud de San Cristobal de las Casas, au Chiapas. Les habitants ont déclaré que toute leur ville avait également rejeté les injections COVID-19. Ils ont également noté que le gouvernement de l’État offre 950 pesos (environ 50 USD) aux résidents qui reçoivent les vaccins, avec des paiements supplémentaires par enfant dans certains cas. La femme autochtone à qui nous avons parlé a déclaré que les autorités sanitaires locales appellent les résidents et tentent de les persuader de prendre le vaccin. Dans certains cas, on dit aux résidents qu’ils ne peuvent pas continuer à recevoir des soins de santé sans le vaccin. Pourtant, les habitants de Betania ont rejeté les injections.

Burgers, frites, beignets et pots-de-vin

L’idée que les gouvernements pourraient littéralement soudoyer les citoyens avec de l’argent peut sembler choquante ou immorale, en particulier en ce qui concerne les populations autochtones des petits villages du Mexique. Cependant, cette pratique est de plus en plus courante aux États-Unis et en Europe.

Il y a quelques mois, Krispy Kreme a fait la une des journaux après avoir offert des beignets quotidiens gratuits aux clients avec une preuve de vaccin. Maintenant, les gouvernements des États interviennent avec des offres de hamburgers, de frites, de billets pour des événements et d’argent liquide. 

Dans l’Illinois, 50 000 résidents vaccinés se voient offrir des billets gratuits pour les parcs à thème Six Flags. Les billets sont évalués à un coût de 4 millions de dollars. Dans le Maine, les personnes vaccinées se voient offrir n’importe quoi, des cartes-cadeaux gratuites aux permis de chasse et de pêche. Les résidents vaccinés de l’Ohio sont désormais éligibles pour participer à une loterie avec un prix de 1 million de dollars pour cinq personnes vaccinées de l’Ohio.

L’Ohio donnera à cinq résidents 1 million de dollars chacun à la loterie des vaccins https://t.co/ClsDIHEEpL  

CBS News (@CBSNews) 13 mai 2021

Certaines villes métropolitaines des États-Unis offrent également des prix à ceux qui souhaitent soumettre leur corps et leur esprit au traitement médical expérimental. À Detroit, les résidents sont corrompus avec des cartes de débit prépayées de 50 $ s’ils conduisent une autre personne à un site de vaccination. Il n’y a actuellement aucune limite sur le montant d’argent qu’une personne peut gagner avec ce programme. Dans la région de Houston, le comté de Harris a récemment annoncé 250 000 $ à utiliser pour des cartes-cadeaux, des événements et d’autres incitations.

Les résidents de New York se voient offrir des cartes de métro gratuites de 7 jours, des billets pour des événements sportifs, le zoo du Bronx, le jardin botanique de Brooklyn et le Lincoln Center. Jeudi, le maire de Blasio a annoncé que ceux qui prennent la piqûre peuvent recevoir des bons pour des hamburgers et des frites gratuits de Shake Shack. «Je veux que vous regardiez ces frites et que vous pensiez à quel point il est bon de se faire vacciner», a déclaré le maire de Blasio dans une démonstration dégoûtante incitant les habitants de New York à obtenir un traitement expérimental et non approuvé en échange d’un, généralement, repas malsain.

« Mmmm! … vaccination. » Le maire de New York annonce que Shake Shack donnera de la nourriture gratuite aux New-Yorkais vaccinés.
«Je veux que vous regardiez ces frites et que vous pensiez à quel point il est bon de se faire vacciner.»
– Breaking911 (@ Breaking911) 13 mai 2021

Alors que les pots-de-vin d’argent et de nourriture sont offerts pour inciter les gens à se faire vacciner contre la COVID [Coronavirus Desease ou Maladie à Coronavirus – MIRASTNEWS], l’aspect le plus dérangeant est la tentative de convaincre le public que la seule façon de «revenir à la normale» est de se soumettre à une injection et / ou un passeport vaccinal. En fait, plus tôt cette semaine, le président Joe Biden a annoncé de nouvelles règles relatives au port du masque, déclarant«La règle est désormais simple: faites-vous vacciner ou portez un masque jusqu’à ce que vous le fassiez.» Le message diffusé au public est clair: si vous n’obtenez pas de vaccin, vous continuerez à être soumis aux restrictions COVID-19. Si vous ne vous conformez pas, vous ne pouvez pas revenir à la «normale».

De plus, ceux qui choisissent d’attendre pour se faire vacciner (ou de ne pas tout obtenir) subissent des pressions, sont diabolisés et censurés en ligne pour avoir exprimé leurs préoccupations et leurs raisons d’hésiter. Alors que les habitants de Betania et de San Juan Cancuc sont unifiés dans leur opposition aux traitements, les résidents des États-Unis sont moins unifiés et moins organisés. Les communautés autochtones du Chiapas peuvent continuer à vivre leur vie comme elles sont habituées, mais les habitants de Houston, New York, Detroit et ailleurs sont confrontés à un environnement de plus en plus totalitaire. 

La seule façon d’avancer est que le peuple des États-Unis et au-delà s’organise et s’oppose directement et rejette les mandats de vaccination forcée et les appels à des passeports vaccinaux. Rien de moins qu’une opposition unifiée ne parviendra à arrêter la marche de la COVID-1984.

Traduction : MIRASTNEWS

Source : The Last American Vagabond




Pétition nationale contre le certificat numérique ou « passeport vaccinal »

[Source : Passeport sanitaire =Vaccination forcée déguisée (petition-passeport-sanitaire.com)]

[Pour signer la pétition, aller sur le site source.]

À l’attention de Monsieur le Premier ministre Jean Castex


Monsieur le Premier ministre,

  • Depuis 1 an, le Gouvernement et les autorités de santé ont adopté une série de mesures qui n’ont jamais pu être validées avec le recul nécessaire, sur le plan scientifique.
  • À chaque fois, le débat public a été quasiment écarté.
  • Comme jamais dans notre histoire récente, des décisions aussi importantes pour la santé publique ont pu être prises sans aucun débat démocratique.
  • Des restrictions de liberté sans précédent ont été mises en oeuvre en France : entrave à la liberté de circuler, couvre-feu, etc.

Les droits les plus fondamentaux de notre société ne doivent pas être malmenés même pour des raisons sanitaires.

C’est la force de notre démocratie.

Aujourd’hui, nous sommes très inquiets face au projet proposé par la Commission européenne sur le certificat numérique vert.

Cette mesure reviendrait notamment à stigmatiser les citoyens qui ne sont pas vaccinés, qui n’ont pas fait de tests ou qui n’ont pas développé d’anti-corps.

C’est une mesure contraire au principe d’égalité, qui est le ciment de notre société.

En tant que chef du Gouvernement, nous vous demandons :

  • de veiller à ce que la liberté élémentaire de chacun de se soigner comme il l’entend soit garantie, même en situation d’urgence sanitaire ;
  • de veiller à ce que chacun soit libre de se faire vacciner ou non, surtout quand il s’agit de vaccins nouvellement développés ;
  • de veiller à ce que nos autorités de santé prennent les décisions de façon raisonnée
  • de veiller à ce qu’aucune décision n’obéisse à la pression médiatique ni à celles des industriels de la santé.

C’est la responsabilité historique du Premier ministre de la France de prendre ces mesures difficiles pour garantir notre liberté et la santé de tous.

C’est pourquoi je vous adresse solennellement cette pétition nationale.

Je compte sur vous, Monsieur le Premier ministre, pour aider la France à faire face à cette crise sanitaire, en protégeant la santé de tous les habitants tout en garantissant notre liberté.

Avec ma respectueuse considération,

L’Association Santé Naturelle

[Pour signer la pétition, aller sur le site source.]

Association Internationale pour une Santé Naturelle, Scientifique et Humaniste (AISNSH) Adresse : 1211 Genève 3 Contact email : association.aisnhs@gmail.com




Le pass sanitaire, ce flash totalitaire entre novlangue de Big Brother et Great Reset

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

La mise en place du pass sanitaire donne lieu à un magnifique flash totalitaire provoqué par Emmanuel Macron. Dans ces moments où la démocratie cède brièvement la place à des mesures autoritaires illibérales, la propagande d’Etat donne dans la novlangue à la Big Brother de 1984. Ce qui est liberticide devient libérateur, et ce qui est libérateur est dénoncé comme une menace. Toute la question (non résolue à ce stade) est de savoir quel emprunt Macron et la Commission Européenne font au Great Reset de Davos pour se rallier à cette mesure fondamentale du capitalisme de surveillance prôné par Schwab.

Le pass sanitaire illustre à merveille ces moments de la démocratie qu’on peut appeler des flashs totalitaires: sans modifier l’état général du droit, le pouvoir décide soudain de ne plus le respecter et d’imposer une mesure totalement illégale en utilisant toutes les armes dissuasives du pouvoir : la contrainte, l’intimidation, la corruption. Une petite mise en perspective des différentes étapes de ce dossier emblématique permettra de mieux le comprendre. 

Le pass sanitaire venu de nulle part

L’affaire a commencé le 29 avril dans un entretien à la presse régionale où Emmanuel Macron annonce les mesures de déconfinement qui entrent en vigueur le lundi suivant… et il ajoute, dans une impressionnante démonstration de novlangue : 

Le pass sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différencie les Français. Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de la vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres et cinémas, ou pour aller chez des amis. Par contre, dans des lieux où se brassent les foules, comme les stades, festivals, foires ou expositions, il serait absurde de ne pas l’utiliser.

Traduction : on ne différencie pas les Français tout de suite, sauf dans les lieux de rassemblement. Ne pas le faire serait « absurde ». Quelle idée au juste serait absurde ? Celle de ne pas différencier les Français ? On le comprend en creux, mais dans la novlangue du « en même temps » tout et son contraire sont dits en permanence : en réalité, le Président de la République saute à pieds joints dans un monde où l’accès aux lieux publics est subordonné à l’affichage de ses données de santé. Les malades sont exclus, et seuls les bien portants sont supposés avoir une place dans le groupe. 

Et Emmanuel Macron termine son intervention par ces phrases emblématiques de la propagande totalitaire :

C’est juste et ça ne fracturera pas le pays. Ce sera un outil supplémentaire pour assurer la protection des Français. 

On retrouve ici tous les mots-clés qui ne cherchent pas à convaincre, mais qui imposent une vision du monde pré-fabriquée aux « citoyens » : le pass sanitaire est juste, il ne fracture pas le pays et il protège les Français. 

Un flash totalitaire au Parlement

Aussitôt dit, aussitôt fait, ou presque. L’interview est publiée le 29 avril, c’est-à-dire un jeudi et, dès le lundi suivant, le gouvernement intègre la proposition d’un pass sanitaire dans le projet de loi mis en discussion à l’Assemblée Nationale sur la « sortie de crise ». Les esprits lucides noteront que, là encore, lorsque le gouvernement évoque la « sortie de crise », il faut comprendre le sens de la novlangue qui désigne en réalité le maintien des mesures liberticides au-delà de la crise. 

Voici la description de l’enchaînement des événements donnée par le député républicain Philippe Gosselin :

Le pass sanitaire, par exemple, nous a été présenté du jour au lendemain, deus ex machina , le 3 mai, quarante-huit heures avant l’examen du projet de loi en commission des lois et, bien sûr, sans que le Conseil d’État ou qu’aucune organisation ou autorité indépendante ne se soit prononcé.

Voilà donc une mesure légale qui restreint les libertés, parachutée dans la loi sans avis préalable du Conseil d’Etat, et finalement adoptée le 12 mai au soir. Soit un délai record pour une disposition fondamentale dans la pratique de nos libertés. C’est précisément ce qu’on appelle un flash totalitaire, un passage en force en dehors de nos libertés. 

La justification sanitaire ne tient pas

Officiellement, il s’agit de protéger notre santé. C’est le propre de la novlangue totalitaire, on ne viole pas les libertés pour abuser du pouvoir, mais pour protéger ceux qu’on enferme ou qu’on exclut. Rhétorique bien connue. 

Sauf que, consulté en urgence, le Conseil Scientifique ne va guère apporter de l’eau au moulin du gouvernement. Voici ce qu’il écrit, dans un avis rendu le 3 mai sur la question du pass sanitaire :

Le Conseil scientifique estime que le pass sanitaire, utilisé de manière temporaire et
exceptionnelle, peut permettre à la population une forme de retour à la vie normale en
minimisant les risques de contamination par le virus SARS-CoV-2. Son usage peut s’inscrire
dans une démarche citoyenne de renforcement des capacités et du pouvoir d’agir des
individus (empowerment) face à l’épidémie tout en prenant en compte la protection de
l’usage des données personnelles.

On s’amusera de l’obsession de la novlangue à tous les étages du pouvoir. Ainsi, instaurer un pass sanitaire serait un « renforcement du pouvoir d’agir des individus »… Il fallait l’oser celle-là. 

Mais, même en versant dans la novlangue, le conseil scientifique montre ses réserves sur les mesures, puisqu’il prétend que le pass « peut permettre » une forme de retour à la vie normale, à condition qu’il soit « temporaire et exceptionnel ». On ne pouvait pas faire plus prudent, et mieux marquer sa défiance vis-à-vis d’une mesure imposée par un Président à qui l’on ne peut manifestement plus dire non explicitement. 

Problème : le pass sanitaire prévu par la loi, et présenté par Olivier Véran à la commission des lois, n’est ni temporaire, ni exceptionnel : il devrait être gravé dans le marbre, même une fois la pandémie vaincue. Nouveau signal totalitaire, donc : on consulte un « corps intermédiaire » en urgence, et on outrepasse son avis. 

Le passage en force au Parlement

Nous avons largement relaté dans nos colonnes les péripéties d’un texte désormais très polémique où Olivier Véran a ouvertement méprisé le Parlement, jusqu’à mettre le texte en minorité. Finalement adopté après un marchandage serré avec le MODEM, dont toutes les contreparties ne sont pas connues, là encore, le flash totalitaire a donné sa mesure. 

Le groupe LREM ne dispose en effet plus d’une majorité absolue, et le gouvernement a dû céder à un marchandage pour faire passer un texte minoritaire. Là encore, on voit comment les mécanismes démocratiques sont tordus dans tous les sens pour faire adopter cette mesure liberticide. 

Un avis de la CNIL qui nourrit la défiance

Nouvelle étape mercredi, lendemain de l’adoption du texte en première lecture par l’Assemblée Nationale : la CNIL se prononce en urgence. Et elle manifeste les mêmes réticences que le Conseil Scientifique vis-à-vis d’une aventure imposée au forceps. 

Là encore, le flash totalitaire fait son oeuvre. Cet avis essentiel, qui souligne les difficultés du pass sanitaire au regard de la démocratie et des libertés, est rendu le lendemain de l’adoption du texte par l’Assemblée… Et l’avis comporte des phrases comme celles-ci :

La CNIL met en avant, dans son avis, l’importance d’assurer l’inclusion de l’ensemble de la population dans le dispositif afin d’éviter tout risque de discrimination, en raison de l’état de santé mais également en raison de la capacité d’accès et d’usage des outils numériques telle que l’application TousAntiCovid.

Il y aurait donc un risque de discrimination ? Mais on se souvient que, le 29 avril, le Président avait affirmé le contraire sans mollir. Il aurait donc menti ?

Macron met en place le Great Reset en France

Pour quelle raison Emmanuel Macron se risque-t-il à un tel flash totalitaire à un an de sa possible réélection, sur un dossier aussi sensible ? Pour l’instant, peu de Français ont compris l’impact que cette mesure aura sur leur vie quotidienne cet été, ce qui explique le calme relatif de leur agacement. Mais l’obligation de montrer des données de santé à un vigile venu d’on ne sait où cet été dans les grands rassemblements risque de susciter pas mal de controverses. 

Pourquoi prendre autant de risques, à l’unisson de ce que fait (ou essaie de faire) la Commission Européenne sur ce sujet ?

Quand c’est flou, on le sait, c’est qu’il y a un loup… Et le loup, nous savons tous quel il est. Il est exposé dans le Great Reset de Klaus Schwab, le fondateur du Forum de Davos. Les technostructures européennes sont bien décidées à utiliser la pandémie pour imposer des mesures durables de surveillance généralisée des populations, en violation de la démocratie, au nom de la protection sanitaire. C’est ce qu’on appelle le capitalisme de surveillance, qui passe par un traçage des populations au moyen des technologies nouvelles. 

Face à ce projet public, conscient et organisé, les mécanismes libéraux de protection comme la CNIL semblent bien faibles.  




Le tableau de bord de CoVaxx-19 : Saignements, caillots sanguins et tout le reste

[Source : reseauinternational.net]

par Mike Whitney.

« Nous avons maintenant suffisamment de preuves pour établir une corrélation claire entre l’augmentation des décès dus au Covid et les campagnes de vaccination. Il ne s’agit pas d’une coïncidence. C’est un effet malheureux et involontaire des vaccins. Nous ne devons pas fermer les yeux et prétendre que cela ne se produit pas. Nous devons cesser immédiatement toute administration de vaccins Covid, avant de créer une véritable pandémie que nous ne pourrons pas maîtriser… »

Dr. Janci Lindsay, Ph.D.

Pourquoi quelqu’un se laisserait-il injecter une substance dont les effets indésirables à long terme sont totalement inconnus ?

C’est extrêmement dangereux. Et pourtant, des millions de personnes dans le monde ont déjà été inoculées avec une concoction hybride qui n’a pas été approuvée par la FDA, qui n’a pas respecté les mêmes normes rigoureuses de sécurité que les vaccins précédents, et qui est largement plus mortelle que n’importe quel vaccin des temps modernes.

Pourquoi ? Pourquoi tant de personnes se soumettent-elles à cette expérience ?

C’est un mystère, n’est-ce pas ?

La génération actuelle de vaccins Covid-19 n’a pas été testée de manière adéquate, n’a pas terminé les essais de phase 3 et n’est pas sûre. Et nous ne parlons pas ici des effets à « court terme » non plus. Aussi tragiques que soient les récents décès et blessures, ils ne sont rien en comparaison de la montagne de carnage à laquelle nous pourrions assister dans un avenir proche, lorsque les victimes du vaccin découvriront que leur système immunitaire compromis n’est plus capable de combattre de nouvelles infections ou des souches sauvages du virus. Ce même phénomène est apparu il y a des années lors d’essais sur des animaux où l’on a injecté à des furets un sérum expérimental qui les aidait à développer une « réponse anticorps durable » à l’infection. Malheureusement, lorsque les furets ont été exposés au virus sauvage un peu plus tard, ils sont tous morts. Chacun d’entre eux est mort.

Est-ce là notre avenir ? Est-ce à cela que nous devons nous attendre dans quelques années, lorsque les infections respiratoires de routine et la grippe saisonnière balayeront le pays, laissant des millions de personnes gravement malades ou mortes ?

Certes, les vaccins semblent procurer une certaine immunité temporaire, mais à quel prix ? Avez-vous parcouru les rapports sur les effets indésirables ou réfléchi à la possibilité que ces injections puissent causer des ravages à long terme sur votre système vasculaire, votre cœur ou vos capacités cognitives ? Les détracteurs des vaccins mettent généralement l’accent sur la longue liste des blessures et des décès liés aux vaccins, mais c’est une erreur. Ce ne sont pas les décès et les blessures qui ont déjà eu lieu, mais l’océan de morbidité auquel nous pourrions être confrontés à l’avenir, lorsque les maladies à incubation plus longue commenceront à émerger, submergeant le système de santé publique à bout de souffle et laissant de nombreuses personnes se débrouiller seules.

Un tel scénario est-il seulement possible ?

Oui, c’est possible, peut-être même probable.

Avez-vous la moindre idée de ce que font ces vaccins une fois qu’ils sont dans votre corps ? Réalisez-vous que la substance entre dans votre circulation sanguine et se propage partout, y compris dans votre cerveau ? Réalisez-vous les dangers que cela représente pour votre santé globale et votre survie ? Le professeur Sucharit Bhakdi, M.D., a produit un certain nombre de vidéos qui expliquent la biologie de base de l’inoculation en relation avec ces nouvelles injections à base de gènes. Toute personne qui envisage de se faire vacciner devrait tenir compte de ce qu’il a à dire :

« Le vaccin entre dans votre système sanguin… Vous mettez un gène viral dans votre système sanguin et il va circuler… Or, votre système sanguin est un système fermé de tuyaux. Une fois que ces paquets sont dans la circulation sanguine, ces millions de paquets du gène, ne sortiront jamais, car ils sont piégés. Et les principales cellules dans lesquelles ils entreront, seront celles qui tapissent les vaisseaux sanguins… Ces cellules tapissent les vaisseaux sanguins de tout votre corps et de tous vos organes …

Ces cellules assimilent le gène et commencent à produire la protéine spike (qui va étendre sa pointe dans la circulation sanguine – illustration) En même temps, la protéine crée des déchets… Donc il y a maintenant la protéine spike et il y a des déchets. … La protéine spike a la capacité d’attirer les plaquettes qui créent la coagulation du sang. Dès que les plaquettes entrent en contact avec la protéine spike, elles sont activées et commencent à coaguler le sang …

Malheureusement, il existe un autre type de cellules qui viennent voir les ordures. Ces cellules sont les lymphocytes tueurs, et ces lymphocytes tueurs sont programmés pour voir les déchets des virus et tuer les cellules qui créent le virus et qui tapissent les parois de vos vaisseaux sanguins. Cela peut se produire n’importe où (dans le corps.) …

Nous allons découvrir lesquelles de vos cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins vont prendre ces paquets et les produire (protéines spike et déchets) afin qu’elles soient attaquées par votre propre système immunitaire et détruites …
.
(Alors) Quel est le premier symptôme que les gens présentent après la vaccination ? Des maux de tête, n’est-ce pas ? Maux de tête, nausées, vertiges, douleurs musculaires, perte de contrôle moteur etc… Je me suis demandé quel était le dénominateur commun entre tous ces symptômes ? …

Nous avions prédit qu’il y aurait des événements thrombotiques très graves… en particulier le mal de tête intense qui est le signe typique que le sang coagule dans les veines du cerveau. …Toute formation de caillot dans le cerveau est potentiellement mortelle. Et, si vous avez des caillots dans les jambes, ils deviennent des embolies pulmonaires qui peuvent également vous tuer …

Et lorsque ces facteurs de coagulation (plaquettes) sont épuisés, les gens peuvent saigner. Pourquoi les gens ne pensent-ils pas à cela ? »

« Interview avec le professeur Sucharit Bhakdi, M.D. sur le vaccin Covid », New American : Commencez à la minute 18.

Résumons : Le vaccin est inséré dans un muscle du bras, mais le liquide passe rapidement dans la circulation sanguine où il est piégé. Une fois dans la circulation sanguine, il est pris en charge (absorbé) par la fine couche de cellules qui tapisse les vaisseaux sanguins (endothéliales). Les cellules qui ont été pénétrées par la substance commencent à produire de la protéine spike et des déchets. La protéine spike active les plaquettes, ce qui déclenche la formation de caillots sanguins qui peuvent bloquer la circulation du sang vers les organes vitaux. En même temps, la surutilisation des plaquettes – qui aident à coaguler le sang – peut entraîner des hémorragies internes excessives. Ces conditions apparemment contradictoires – la coagulation et les saignements – ont attiré l’attention de plus en plus de chercheurs, comme le Dr Mike Williams, qui s’exprimait ainsi dans un article récent intitulé : « La coagulation et la “science” du vaccin Covid ». En voici un extrait :

« En fait, nous sommes confrontés à deux problèmes opposés : la thrombose, qui forme un caillot pouvant bloquer un vaisseau apportant du sang à un organe, et la thrombocytopénie, qui réduit le nombre de plaquettes nécessaires à la formation d’un caillot et provoque un saignement, c’est-à-dire une hémorragie. L’un ou l’autre de ces problèmes peut être très difficile à gérer et extrêmement dangereux, voire mortel pour le patient – mais avoir les deux en même temps ! …

La thrombose et la thrombocytopénie combinées liées à la vaccination Covid sont considérées comme quelque chose de nouveau et de très rare, et si la coagulation se produit dans un organe vital… eh bien, nous en voyons les résultats : des jeunes qui ne devraient pas mourir, meurent »

« Clotting and Covid Vaccine “Science” », UK Column

En effet, « des jeunes gens ne devraient pas mourir », mais ils meurent parce qu’on leur a injecté une substance qui les a probablement tués. Quelqu’un réfute-t-il cette affirmation ? Et les problèmes d’hémorragie et de coagulation ne sont que deux des problèmes liés à ces injections. Il y a aussi les « déchets » dont parle Bhakdi. Ces déchets attirent les lymphocytes tueurs, des globules blancs qui sont aussi l’un des principaux types de cellules immunitaires de l’organisme. Ces lymphocytes attaquent les cellules de la paroi des vaisseaux sanguins, ce qui endommage le système vasculaire et les organes vitaux. Par définition, c’est le signe d’une maladie auto-immune dans laquelle un système immunitaire hyper-stimulé et hyper-agressif attaque votre propre corps. Voici d’autres extraits de l’article du Dr Williams :

« Si nous devions nous fier aux nouvelles grand public et aux rapports gouvernementaux, nous pourrions être amenés à croire que les problèmes de coagulation avec les vaccins Covid étaient tout à fait inattendus et rares. Pourtant, les premières mises en garde contre le trouble de la coagulation d’Astrazeneca ont été lancées… Bien plus d’une décennie auparavant, pour être précis… En 2007, un document de recherche l’a exposé très clairement :

Des cas de thrombocytopénie ont été régulièrement signalés après l’administration de vecteurs adénoviraux de transfert de gènes… On savait en 2007 que le même vecteur utilisé pour de nombreux vaccins Covid provoquait systématiquement des cas de thrombocytopénie. En septembre 2020, un autre article a été publié « SARS-CoV-2 binds platelet ACE2 to enhance thrombosis in COVID-19 » (Le SARS-CoV-2 se lie à l’ACE2 des plaquettes pour favoriser la thrombose dans le COVID-19), qui soulignait un problème avec le SARS-CoV-2(([1] En d’autres termes, les compagnies pharmaceutiques sont au courant des problèmes de coagulation et de saignement depuis 2007)):

“Le SRAS-CoV-2 et sa protéine Spike ont directement stimulé les plaquettes pour faciliter la libération de facteurs de coagulation, la sécrétion de facteurs inflammatoires et la formation d’agrégats leucocytes-plaquettes” …

Cet article identifie une protéine spike comme facteur causal de la coagulation. Et, bien sûr, c’est une protéine spike qui est produite par la plupart des vaccins Covid. Les régulateurs auraient dû tirer la sonnette d’alarme, mais rien n’a été fait… Ils ont brillamment démontré que dans les petits vaisseaux sanguins, la protéine spike, à elle seule, peut induire la coagulation en se fixant dans divers tissus …

L’élément clé de cet article concernant les vaccins Covid est que la protéine spike, dépourvue d’ARN viral, se déplace jusqu’au cerveau et provoque la coagulation. Encore une fois, au cas où vous auriez besoin de le rappeler : les vaccins Covid produisent cette protéine spike …

Un autre article de Nuovo et al, intitulé « Endothelial cell damage is the central part of COVID-19 » (L’endommagement des cellules endothéliales est la partie centrale du COVID-19) …

En d’autres termes, il existe des preuves accablantes que la protéine spike du SRAS-CoV-2 (qui est également produite synthétiquement par les vaccins Covid) est un élément central des mécanismes de morbidité et de mortalité du SRAS-CoV-2, et constitue donc également un risque du vaccin. En ce qui concerne la coagulation, ce risque est plus important si vous recevez un vaccin …

Les données démontrent clairement que la dernière chose à faire est de fabriquer un vaccin qui produit une protéine spike. Comme la littérature l’a clairement montré, cela causerait des dommages importants, notamment des caillots cérébraux et la mort. Et cette littérature, pour la plupart, était disponible avant la diffusion des vaccins Covid au public »

« Clotting and Covid Vaccine “Science” », Dr Mike Williams, UK Column

Vous voyez le tableau ?

En d’autres termes, les chercheurs savent depuis longtemps que ces types de protéines produisent des problèmes de coagulation, de saignement et d’auto-immunité, qui sont précisément les problèmes que nous observons actuellement. C’est pourquoi nous pensons que notre principal sujet de préoccupation ne devrait pas être les effets indésirables et les blessures à court terme, mais le profil de sécurité à long terme. En bref, quelle est la probabilité que les millions de personnes qui ont reçu ces injections soient gravement atteintes par ces pathologies à l’avenir ? Nous devons le savoir.

Maintenant, regardez cet extrait d’une lettre ouverte de Doctors for Covid Ethics à l’Agence européenne des Médicaments (EMA) datée du 1er avril 2021 :

« Nos préoccupations découlent de multiples sources de preuves, notamment le fait que la « protéine spike » du SRAS-CoV-2 n’est pas une protéine d’arrimage passive, mais que sa production est susceptible d’initier la coagulation sanguine par de multiples mécanismes… la thrombose veineuse cérébrale, est toujours une condition qui met la vie en danger et qui exige une attention médicale immédiate. Le nombre de cas que vous avez concédé s’être produits peut ne représenter que la partie émergée d’un énorme iceberg. Comme vous devez le savoir, les symptômes les plus courants de la thrombose veineuse cérébrale sont des maux de tête aigus, une vision floue, des nausées et des vomissements. Dans les cas graves, des symptômes semblables à ceux d’un accident vasculaire cérébral apparaissent, notamment des troubles de la parole, de la vision et de l’audition, un engourdissement du corps, une faiblesse, une baisse de la vigilance et une perte de contrôle moteur. Vous n’êtes certainement pas sans savoir que d’innombrables personnes ont souffert précisément de ces symptômes directement après avoir été « vaccinées » avec tous les agents expérimentaux à base de gènes » …

La formation de caillots dans les veines profondes des jambes peut entraîner des embolies pulmonaires mortelles. Vous devez certainement savoir que des thromboses veineuses périphériques ont été signalées à plusieurs reprises après des « vaccinations » avec tous les agents expérimentaux à base de gènes …

Étant donné qu’il existe une explication mécaniquement plausible pour ces effets indésirables thromboemboliques, à savoir que les produits à base de gènes incitent les cellules humaines à fabriquer une protéine spike potentiellement pro-thrombotique, l’hypothèse raisonnée et responsable doit maintenant être que cela peut être un effet de classe. En d’autres termes, les dangers doivent être écartés pour tous les vaccins à base de gènes autorisés en urgence, et pas seulement pour le produit AZ »

« Open Letter to the EMA from Doctors for Covid Ethics », Doctors for Covid Ethics

En résumé : La coagulation du sang, les embolies pulmonaires, la destruction des plaquettes, la diathèse hémorragique et les saignements sont tous liés à la production de protéines spike, le même type de protéines que les vaccins entraînent vos cellules à produire. Naturellement, l’action responsable à ce stade serait de mettre fin immédiatement à la campagne de vaccination de masse jusqu’à ce que ces questions puissent être résolues et que la sécurité des patients puisse être garantie. Mais ne retenez pas votre souffle, car cela ne se produira pas.

La Dr Janci Chunn Lindsay, biologiste moléculaire et toxicologue, est arrivée à la même conclusion dans un commentaire public qu’elle a adressé au CDC. Voici un extrait de sa déclaration :

« Au milieu des années 1990, j’ai contribué au développement d’un vaccin contraceptif humain temporaire qui a fini par provoquer une destruction ovarienne auto-immune involontaire et la stérilité chez les modèles d’expérimentation animale. Malgré les efforts déployés pour éviter cela et les analyses de séquences qui ne le prévoyaient pas. Je suis fermement convaincu que tous les vaccins de thérapie génique doivent être arrêtés immédiatement en raison de problèmes de sécurité sur plusieurs fronts …

Premièrement, il y a une raison crédible de croire que les vaccins Covid auront une réaction croisée avec la syncytine et les protéines reproductrices dans le sperme, les ovules et le placenta, ce qui entraînera une altération de la fertilité et des résultats reproductifs et gestationnels …

Nous avons vu 100 pertes de grossesse signalées dans le VAERS en date du 9 avril. Et il y a eu des rapports sur l’altération de la spermatogenèse et des résultats placentaires à la fois dans les modèles animaux d’infection naturelle, de vaccination et de knock-out de la syncytine qui présentent une pathologie placentaire similaire, impliquant un rôle de médiation de la syncytine dans ces résultats… De plus, nous avons entendu parler de multiples rapports d’irrégularités des règles chez les personnes vaccinées. Ces cas doivent être étudiés …

Nous ne pouvons tout simplement pas administrer ces [vaccins] à nos enfants, qui présentent un risque de 0,002% de mortalité due au Covid, s’ils sont infectés, ou à toute autre personne en âge de procréer, sans mener une enquête approfondie sur cette question …

Si nous le faisons, nous pourrions potentiellement stériliser une génération entière. La spéculation selon laquelle cela ne se produira pas et quelques rapports anecdotiques de grossesses dans le cadre de l’essai ne sont pas une preuve suffisante que cela n’a pas d’impact à l’échelle de la population …

Deuxièmement, toutes les thérapies géniques [les vaccins Covid] provoquent des coagulopathies (coagulation). Ce n’est pas isolé à un fabricant. Et ce n’est pas isolé à un groupe d’âge. Nous constatons des décès par coagulopathie chez de jeunes adultes en bonne santé, sans comorbidité secondaire …

Il y a des principes mécanistes d’avant et d’arrière garde pour expliquer pourquoi cela se produit. L’infection naturelle est connue pour provoquer une coagulopathie due à la protéine spike. Tous les vaccins de thérapie génique incitent l’organisme à fabriquer la protéine spike …

La protéine spike incubée avec du sang humain in vitro a également provoqué le développement de caillots sanguins résistants à la fibrinolyse. La protéine spike provoque des événements thrombocytaires, qui ne peuvent être résolus par des moyens naturels. Et tous les vaccins doivent être arrêtés dans l’espoir qu’ils puissent être reformulés pour se prémunir contre cet effet indésirable …

Nous avons maintenant suffisamment de preuves pour établir une corrélation claire entre l’augmentation des décès dus au Covid et les campagnes de vaccination. Il ne s’agit pas d’une coïncidence. C’est un effet malheureux et involontaire des vaccins. Nous ne pouvons tout simplement pas fermer les yeux et prétendre que cela ne se produit pas. Nous devons arrêter immédiatement toute administration de vaccins Covid, avant de créer une véritable pandémie que nous ne pourrons pas maîtriser… »

« Halt Covid Vaccine, Prominent Scientist Tells CDC », jennifermargulis.ne

C’est un bon conseil, mais est-ce que quelqu’un l’écoute ?

source : https://www.unz.com

traduit par Réseau International




Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr) via reseauinternational.net]

Précédemment, sur cv19.fr, étaient publiés les articles de Stefan Lanka traitant du coronavirus, critiquant les fondements scientifiques de ce qui nous a amenés à la crise que nous vivons actuellement.

Il était décrit en détail les procédés et méthodes utilisés par les virologues pour définir et caractériser un virus, l’histoire de cette science et la manière de la réfuter.

Stefan Lanka a commencé ces expériences et a déjà montré un aperçu de la première étape le 21 avril 2021 dans une conférence vidéo.

Ces expériences témoins consistent à appliquer les méthodes utilisées par les virologues sans utiliser de tissus infectieux, pour démontrer que les résultats obtenus avec ou sans tissus infectieux donnent les mêmes résultats pour l’isolation du virus, les images en microscopie électronique et le séquençage génétique.



Il dévoile dans cette vidéo la première étape des expériences témoins destinées à réfuter la virologie concernant l’isolation du virus, démontrant que sans tissus infectieux, on observe une mort cellulaire due aux procédés utilisés et non par le fait d’un virus.

Ce n’est pas une surprise, car il avait déjà conduit ces expériences pour le virus de la rougeole au cours d’un procès en Allemagne, démontrant qu’il n’existait pas de preuves de l’existence d’un virus responsable de la rougeole, ce qui avait suffi à l’époque pour gagner l’affaire. Dans cette nouvelle expérience, Lanka va plus loin en ajoutant deux étapes, en utilisant le microscope électronique pour démontrer que les particules observées ne sont pas différentes entre un tissu infectieux et non-infectieux et en faisant un séquençage génétique des tissus pour démontrer qu’il est possible d’établir un génome complet de n’importe quel virus grâce aux logiciels et aux méthodes utilisées par les virologues pour construire un génome.

Stefan Lanka avait lancé un appel il y a quelques mois pour financer lui-même une telle expérience, il semble donc qu’une équipe à répondu à son appel, et que les résultats complets de ces expériences témoins seront bientôt publiés.

En attendant, vous pouvez relire ses quatre articles de 2020 (12 et 4 en français), ainsi que l’affaire du procès de la rougeole.

Tous les articles de ce site sur le même thème sont disponibles ici : 
https://cv19.fr/category/theorie/


Vidéo trouvée via 
https://docs.google.com/document/d/17kQC8RKZrFLKwnPhcn1Y81_twJT-XCasclcsnBMJbOw/edit [archive]
qui contient une bonne liste de ressources (en anglais) sur le même sujet.

Également un gros dossier en trois partie sur le même sujet, bien documenté, beaucoup de vidéos (en anglais) :
https://justpaste.it/383×9 [archive] : (Pt 1) Dr. Andrew Kaufman: No Proof SARS-CoV-2 Virus Exists
https://justpaste.it/1ngmb [archive] : (Pt 2) Dr. Andrew Kaufman Proves Fake Virus – Fake PCR Test Panics the World
https://justpaste.it/2cxzd [archive] : (Pt 3) No Proof SARS-Cov-2 Exists – Dr. Tom Cowan/Jon Rappaport

Voir aussi : The end of virology is only a single control experiment away – October 01, 2020 [archive]

Ce qu’ils appellent « virus » ne sont que des fragments d’anciennes cellules
dont il n’a jamais été prouvé qu’elles pouvaient causer quoi que ce soit

[Voir aussi :
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
La théorie des exosomes contre celle des virus
Vaccins: le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
5G, virus et covid-19]




Point sur la vaccination en France et probabilité d’évolution

Par Alain Tortosa

Si des enfants vaccinés ne meurent pas, il est à craindre que nous atteignions probablement plus de 70 % de la population française vaccinée avant la fin 2021.

Les plus de 80 ans

(source geodes.santepubliquefrance.fr)

La couverture vaccinale est de 73 % et nous voyons sur la courbe qu’elle montera au plus à 80 %.

Les 75-79 ans

82,6 %, chiffre délirant, et ce n’est pas totalement terminé. On finira probablement à 85 %.

Les 70-74 ans

78,2 % actuellement, et on atteindra aussi probablement les 85 % à terme sauf événements majeurs.

Les 65-69 ans

Ils en sont à 63,5 % de vaccinés. Cette tranche commence à montrer un très léger ralentissement.

En toute logique il est vraisemblable d’atteindre les 80 %, voir les 90 % de vaccinés à terme.

Les 60-64 ans

Ils en sont à 57,2 %, la courbe est très proche des 65-69 ans et atteindra aussi probablement les 80 %.

Les 55-59 ans

Nous sommes là dans une tranche d’âges qui est très très peu concernée par la maladie et pourtant…

Ils ne sont « qu’à » 36 % de vaccinés, mais la courbe semble prendre une tournure exponentielle. Il demeure difficile de faire du prévisionnel, mais étant donné la progression, il est impossible qu’elle s’oriente immédiatement vers une tendance logarithmique. Une vaccination à 80 % à terme de cette tranche d’âges n’aurait strictement rien de délirant.

Les 40-49 ans

Nous sommes en plein dans une tranche où les personnes en bonne santé ne sont pas concernées.

16 % des 40-49 ans sont déjà vaccinés, ce qui est peu, mais aussi énorme, car officiellement cette tranche d’âges n’est pas, jusqu’à présent, dans les publics ciblés. 463 847 personnels de santés de 40-49 ans sont vaccinés sur un total de 1,4 million de vaccinés dans la tranche d’âges, ils représentent un peu moins d’un tiers des vaccinés de 40 à 49 ans. La couverture vaccinale des personnels de santé tous âges est de 90 % et devrait atteindre 95 %. Mais il est très difficile de prédire la couverture vaccinale des 40-49 ans à ce jour. Il est juste possible de dire qu’elle semble être exponentielle, qu’elle n’a pas fléchi, alors même que la vaccination des personnels de santé est quasi terminée et donc la demande reste forte.

Les autres tranches d’âges

Plus on descend en âge et moins il y a de vaccinés ce qui peut sembler logique. Difficile aussi d’avoir un jugement sur l’évolution à long terme de la couverture vaccinale étant donné que l’échelle actuelle est graduée par 0,5 % pour les 18-24 ans et 1 % pour les moins de 40 ans. De fait l’exponentielle visible est trompeuse.

Que conclure avec le peu d’éléments à notre disposition ?

La vaccination pour les plus de 70 ans est un succès colossal totalement inattendu pour ma part. Le chantage, la volonté d’appartenance sociale, les mensonges et la peur du virus ont marqué.

Pour les 60-65 ans c’est plus nuancé, car on voit déjà un léger fléchissement pour autant il n’a débuté qu’à 55 % de couverture vaccinale alors même que le fléchissement a débuté à 61 % pour les plus de 70 ans soit seulement 6 % de moins et donc à un niveau très élevé. Je vous rappelle que les 60-65 ans en bonne santé ne sont pas un public particulièrement à risque et d’autant moins si les traitements n’étaient pas interdits.

Alors les « jeunes » vont-ils se vacciner en masse par « solidarité » et pour « retrouver leurs libertés » selon les injonctions de la propagande ?

C’est très possible, voire même fort possible…

Même si la population générale n’est pas la même que celle des soignants et ne subit pas les mêmes chantages, on peut voir que ceux-ci (les jeunes soignants) se sont massivement vaccinés. Ils devraient quand même savoir que leur risque de faire des formes graves ou de décéder est NUL ! Et ils devraient savoir qu’il n’existe pas de preuve que les vaccinés empêchent la contamination des personnes à risque. Ils devraient aussi savoir que la vaccination favorise les variants… Bref, ils devraient, si nous ne vivions pas une des périodes les plus obscurantistes de notre histoire, digne de l’inquisition, être la catégorie de la société la moins vaccinée ! Or à ce jour 90 % des soignants sont officiellement vaccinés ! Si ce chiffre est réel, il devrait être de nature à nous paniquer.

Dans ces conditions, pourquoi une jeunesse théoriquement moins informée que les soignants se vaccinerait moins qu’eux ? Et histoire de vous angoisser un peu plus, je vous rappelle qu’en temps normal, les soignants se vaccinent moins contre la grippe que la population générale !

Nous pouvons aussi nous baser sur le comportement de la jeunesse en ce qui concerne les autres mesures. On peut aussi constater qu’elle porte le masque comme un petit soldat même dans des zones où il n’est pas obligatoire. Il n’y qu’à voir les sorties des lycées ou des collèges… Dramatique ! Ils sont aussi massivement absents de la contestation et des manifestations et l’on n’entend pas ou peu de revendications de libertés chez eux. Ils semblent plus préoccupés par l’âge de départ à la retraite que par leurs libertés.

Si nous étions un peu optimistes, nous pourrions dire que de nombreux centres de vaccinations sont vides, mais hélas ce sont généralement des centres AstraZeneca. La manipulation et la désinformation sont telles que le public en est à fuir l’AstraZeneca et réclamer la thérapie génique expérimentale Pfizer « beaucoup plus sûre » à leurs yeux !

Et je vous rappelle que la vaccination des plus de 50 ans n’est ouverte que depuis 3 jours ! Au 10 mai, jour d’ouverture de la vaccination, ils étaient déjà 35 % à être vaccinés chez les 50-59 ans. Nous allons donc probablement assister à une explosion de la vaccination dans cette tranche d’âges s’ils ont accès à Pfizer BioNTech.

Je vais encore passer pour un éternel pessimiste et un oiseau de mauvais augure, mais à la vue des paramètres indiqués il est à parier qu’au moins 70 % des moins de 50 ans vont se faire vacciner et peut-être même plus.

Le public croit au méchant virus, il croit à l’efficacité et à l’innocuité des vaccins et ils sont nombreux à croire que le passeport vaccinal est un passeport pour la liberté…

Mon seul espoir, et une fois de plus je vais passer pour un monstre, est que la vérité sur les morts sorte enfin et que des enfants français en pleine santé décèdent ! Sans cette horreur, la vaccination des jeunes et le passeport vaccinal seront probablement couronnés de succès. Tabler sur une vaccination de la population française de plus de 70 % avant la fin de l’année 2021 n’a rien de délirant et il pourra y avoir alors une accélération massive du passeport vaccinal après les futures vagues qui sont probablement déjà programmées. Et comme les vaccins favorisent les variants, la poule aux œufs d’or n’est pas prête de disparaître.

Fasse que je me trompe et que je dise n’importe quoi, mais à ce jour les événements passés me donnent raison. Réveillons la population !

Merci.

Alain Tortosa.

13 mai 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210513-evolution-vaccination.pdf




Sous nos yeux, le suicide de l’Union Européenne, des institutions, et de tous les politiques qui prônent la vaccination anti-covid

Par Alain Nicolaï

« Celui qui ne fait pas la différence entre le bien et le mal
n’est pas un homme »
*

Combien de temps faut-il pour élaborer un vaccin?

Photo: Données: Potkins’s Vaccines et FDA

Dans le contexte actuel, le développement suit un paradigme complètement différent. D’abord, les phases d’essais cliniques s’enchaînent à une vitesse inédite. Ensuite, les compagnies pharmaceutiques consacrent tous leurs efforts pour trouver un vaccin contre la COVID-19, tandis qu’elles se penchent habituellement sur plusieurs maladies en parallèle. Des usines sont préparées pour la production industrielle des milliards de doses nécessaires, même si on ne sait pas encore quel type de vaccin va fonctionner. Du côté de la recherche universitaire, les cordons de la bourse des subventions se sont déliés et permettent aux scientifiques d’engager plus d’assistants et d’acheter du meilleur matériel. Pour sa part, Santé Canada a déjà indiqué qu’il s’efforçait d’accélérer les demandes d’essais cliniques pour les vaccins candidats contre la COVID-19. On peut également parier que les organismes régulateurs vont tout faire pour rapidement boucler l’homologation finale. En temps normal, cette étape peut parfois être très longue: il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle, aux États-Unis.

Vaccin contre le coronavirus : sprinter un marathon

PAR ALEXIS RIOPEL ET ANTOINE BÉLAND

Le coup de départ a été donné le 10 janvier, quand des chercheurs chinois et australiens ont publié en ligne le génome du mystérieux virus surgissant à Wuhan. Le fil d’arrivée, c’est le début de la distribution à grande échelle d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2. D’ici là, tous espèrent voir une équipe courir ce marathon à la vitesse d’un sprinteur. Le Devoir vous propose un aperçu visuel de cette course historique.

L’élaboration d’un vaccin s’échelonne habituellement sur 10 à 15 ans. Le vaccin développé le plus rapidement, celui contre Ebola, a exigé cinq ans d’efforts. Pour mettre un terme à la pandémie de COVID-19, un échéancier encore plus rapide, de l’ordre de 18 mois, est envisagé.

Voyons d’abord quelles sont les étapes du développement traditionnel d’un vaccin. Les durées indiquées le sont à titre indicatif seulement.

Recherche universitaire et études précliniques

D’abord, les scientifiques déterminent la séquence génétique du virus. Ils tentent de comprendre quels anticorps sont efficaces pour s’en prémunir. Ils conçoivent une ébauche de vaccin, qu’ils testent sur des animaux.

Études cliniques

Ensuite, les chercheurs passent aux essais cliniques sur des humains.

Phase I / On administre le vaccin candidat à quelques dizaines de volontaires en bonne santé afin de s’assurer qu’il n’est pas dangereux. On détermine la dose idéale, qui déclenche une bonne réaction immunitaire sans produire d’effets secondaires.

Phase II / On tente de confirmer la sécurité du vaccin en le donnant à quelques centaines de volontaires représentatifs de la population qu’on veut protéger. Les volontaires appartiennent à différents groupes d’âge et leur état de santé varie.

Phase III / On évalue finalement l’efficacité du vaccin pour protéger de la maladie infectieuse en l’administrant à des milliers de personnes. Cette phase se déroule dans le contexte « naturel » de la maladie.

Fabrication

En parallèle au développement, la compagnie doit préparer une usine pour le vaccin. Puisque ces installations coûtent des centaines de millions de dollars, les investisseurs attendent habituellement que les essais cliniques soient bien avancés avant d’accorder leur financement.

Homologation

Finalement, les organismes régulateurs, comme Santé Canada ou la FDA aux États-Unis, révisent les études avant d’homologuer le vaccin. Ils peuvent demander des travaux supplémentaires en cas de doutes. Le processus peut être long : il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle.

Réaliste ?

Ainsi, la durée de 18 mois souvent évoquée par les gouvernements apparaît assez audacieuse.

« Quand on parle d’un à deux ans, il faut savoir que c’est extrêmement rapide pour le développement d’un vaccin », souligne le virologue Alain Lamarre, de l’Institut national de la recherche scientifique.

Durée variable

Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte lorsqu’il s’agit de développer un vaccin : le financement, bien sûr, ainsi que l’évolution des connaissances scientifiques, mais aussi le type de maladie et ses répercussions à court et long terme sur la santé publique.

Certains virus sont toujours orphelins de vaccins, même des décennies après qu’ils aient été identifiés. L’absence d’un vaccin contre le VIH est un des exemples les plus utilisés pour illustrer les difficulté de la démarche.Recherche universitaire2 ansÉtudes précliniques2,5 ansÉtudes cliniques de phase I6 moisÉtudes cliniques de phase II2 ansÉtudes cliniques de phase III1 anFabrication6 ansHomologation1 an015 ans18 moisObjectif de la créationd’un vaccin contre la COVID-1915 ansVaricelle30 ansInfluenza30 ansVirus du papillome humain16 ansRotavirus16 ansVaccins pédiatriques combinés12 ansEbola5 ansVaccin contre la COVID-1918 mois

Textes par Alexis Riopel. Visualisations de données et développement par Antoine Béland. Design par Cédric Gagnon.

Commentaire : à la lecture de ce qui précède il est très facile de constater que l’élaboration des vaccins anti covid19, faite ici en 18 mois, a battu tous les records de vitesse de l’histoire. Très étrange, non ?!


Les vaccins sont expérimentaux

Par Dr Gérard Delépine

Dans une « fast check » [Note : non pas “fact check” qui signifierait “vérification de faits”, mais “fast check” pour “vérification rapide” ou hâtive.] du 11 mars 2021, Juliette Mansour et l’AFP nous accusent de diffuser de fausses informations. Cet article trompeur se contente d’affirmer les croyances de la pensée unique du politiquement correct, sans rapporter les faits établis, car ils confirmeraient nos dires. Nous fournissons ici les preuves de leurs erreurs.

Non, les essais phase trois des vaccins ne sont pas terminés ! Il suffit de consulter le site « clinical trials.gov » pour le vérifier

Juliette Mansour et l’AFP prétendent que « cette dernière phase [phase 3] avant la mise sur le marché, qui se déroule sur des milliers de volontaires, est bien terminée pour les quatre vaccins homologués. » Cette affirmation est totalement fausse !

Pour connaître l’état d’avancement d’un essai, il suffit de se référer au site américain officiel « clinical trials.gov[1] » chargé de les lister. En l’interrogeant par Internet (vous pouvez le faire en français) vous obtiendrez les mentions : aucune étude phase 3 terminée.

En poursuivant la lecture de ce site, vous pourrez lire que la phase 3 du vaccin Pfizer, essai plus avancé que ceux de ses concurrents, se poursuit selon le schéma prévu avec une première analyse provisoire prévue en août 2021, et la fin de l’essai espérée en janvier 2023, soit dans à peu près deux ans.

L’essai phase 3 de Pfizer est donc loin d’être terminé ! Et il en est de même avec tous autres vaccins covid actuels.

Pour le vaccin Astra Zeneca, second dans l’avancement des essais phase 3, la fin de l’essai phase 3 est prévue en février 2023 :

Pour le Janssen, l’essai ne se terminera pas avant 2024 :

Malheureusement la journaliste de l’Agence France presse n’a pas pris le temps de vérifier ces faits indiscutables, avant de prétendre que les essais phase 3 étaient terminés ! Les écoles actuelles de journalistes ne leur apprendraient-elles plus à enquêter ?

Les publications des résultats cliniques définitifs des phase 3 n’existent pas

Juliette Mansour aurait pu aussi s’étonner de l’absence de publications détaillant les résultats cliniques définitifs des essais phase 3 chez l‘homme en les recherchant dans cette même base bibliographique « clinical trials.gov » dans chaque essai, ou dans « PubMed »[2] qui recensent les articles médicaux publiés dans la littérature internationale.

Interrogée le 14/3/2021 avec les mots clefs « Covid vaccine trials Results ». PubMed listait 26 articles dont aucun ne rapporte de résultats définitifs d’un quelconque essai phase 3 de vaccin Covid. La vérification est facile pour tous, l’accès PubMed étant libre et possible en français. Alors pourquoi Juliette Mansour n’en a pas pris le temps ?

Avant de publier sa tribune mensongère, nocive pour les citoyens crédules, elle aurait aussi pu nous interroger sur nos sources et nous demander ces preuves que nous lui aurions volontiers fournies. Mais au lieu de confronter les opinions dans un débat contradictoire honnête, elle a choisi le camp des corona terroristes trahissant ainsi l’éthique des journalistes qui doivent se comporter en observateurs impartiaux.

Mais où sont passés les journalismes d’investigation d’antan ?

Nous réaffirmons que les essais n’ont pas été conduits correctement et surtout ne sont pas terminés

Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, avant d’arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations nécessaires à la conception de la suivante.

Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le Sida où deux candidats ont été éliminés, car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). Rappelons-en schématiquement le parcours habituel qui nécessitait de 9 à 12 ans (en moyenne 10) cette lenteur étant indispensable à la sécurité.

Essais précliniques

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme, mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir. Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquats[3], le développement très rapide de plusieurs vaccins anticovid n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

La presse anglo-saxonne l’a souvent dénoncé en titrant que les protocoles de certains essais “sautaient” cette phase, sans que l’AFP ni les médias hexagonaux les relaient. D’autres tests animaliers ont été abrégés ou effectués simultanément, voire après les essais sur l’humain. Ainsi les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des sujets humains.

Cette étape préclinique animalière est pourtant importante pour la sécurité : ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.

 Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de cette complication. Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps, mais leur pathologie pulmonaire est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus et sont peut-être aussi responsables de l’accroissement de mortalité constatée juste après le début des campagnes de vaccination dans les pays qui se sont érigés en champions de celle-ci.

Les essais cliniques humains bien faits sont indispensables à la sécurité

Les essais thérapeutiques nécessaires à l’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) chez l’homme comprennent schématiquement trois phases successives, les conclusions de chaque phase permettant d’optimiser la suivante.

La phase I porte sur quelques dizaines de volontaires a pour objectif de déterminer la toxicité du candidat-vaccin chez l’homme à court terme et la réponse immunitaire en mesurant les anticorps générés par le vaccin. 

La phase II nécessite quelques centaines de malades et dure en moyenne un à quatre ans. Elle doit confirmer les résultats précédents (tolérance et innocuité du candidat-vaccin, réponse immunitaire), mais son but principal est de déterminer la dose optimale et le schéma d’administration le plus efficace, de vérifier si le vaccin procure bien une protection durable contre l’infection et s’il empêche la transmission du virus.

La phase III visant à préciser l’efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études permettent de préciser les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et constituent le document (sous le terme d’étude pivot) le plus attendu du dossier de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché soumis à l’agence du médicament.

La phase IV appelée aussi pharmacovigilance commence avec la commercialisation du vaccin ou du médicament (ici avancée). 

Laboratoires fabricants, patients et médecins sont invités à déclarer à l’ANSM, agence française du médicament, des effets secondaires non signalés. Mais l’expérience des scandales sanitaires récents montre que la pharmacovigilance française est tout à fait insuffisante et les sous-déclarations considérables.

Les insuffisances majeures des essais des vaccins anticovid menacent la sécurité sanitaire

Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux

Regroupement des phases, I et II ou II et III, ne permettant pas d’utiliser les résultats de la phase précédente pour concevoir convenablement la phase suivante.

Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante (en moyenne 2-3 mois lors des évaluations intermédiaires présentées aux agences), ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse, ni sur la durée de l’immunité éventuelle, ni sur les éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins antigrippe H1N1 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).

Autorisation de mise sur le marché transitoire « conditionnelle accordée alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni obtenus, ni publiés, et que la durée insuffisante de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme.

Personnes âgées à forte comorbidité trop peu représentées dans les essais alors qu’elles constitueraient l’indication préférentielle d’un vaccin qui serait efficace et sûr.

Critères de jugement non pertinents

 Le but d’un vaccin est de diminuer la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or le critère de mortalité a été négligé par les firmes et le critère de contamination souvent réduit à la positivité de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement (être positif au test PCR ne signifie pas être porteur du virus entier, ni malade, ni contagieux)

Aussi, lorsque l’Agence nationale du médicament prétend que : “l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients“, elle nous rappelle tristement les affirmations de l’agence de sécurité nucléaire sur le nuage de Tchernobyl ou ses dénégations répétées dans l’affaire du médiator (entre autres …).

Présentation biaisée des résultats provisoires

Un avis du BMJ[4] souligne que Pfizer / BioNTech et Moderna ont signalé la réduction du risque relatif de leurs vaccins en donnant des chiffres supérieurs à 90%, mais les fabricants n’ont pas signalé de réduction du risque absolu correspondante, qui « semble être inférieure à 1% ».

L’insuffisance des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques totalement nouvelles

Les vaccins conçus par Pasteur injectent des antigènes spécifiques de la maladie pour susciter la création d’anticorps neutralisants spécifiques qui protègent de l’affection. Pour abaisser les coûts de production en diminuant les quantités d’antigènes spécifiques, les firmes ont rajouté des adjuvants (tels que l’aluminium) stimulant la réponse immunitaire non spécifique dont le rôle dans l’augmentation des maladies allergiques et auto-immunes est fortement suspecté, mais ils restent des vaccins au sens pasteurien.

Les produits Pfizer, Moderna et Astra Zeneca et Janssen qui sont des médicaments nouveaux, ne contiennent pas d’antigènes, mais des produits génétiques (ARN messager, virus vecteurs pour Astra Zeneca) destinés à en faire fabriquer par notre propre corps en donnant des ordres à nos cellules.

OUI, les vaccins ARN messagers exposent au risque de modifier notre ADN

On sait depuis une cinquantaine d’années, que jusqu’à 10% de notre patrimoine génétique est d’origine virale.  Une partie de ces 10% provient de rétrovirus, mais pas la totalité évoquant la possibilité d’une inclusion dans l’ADN de mécanismes différents pour l’instant inconnus.

Introduire un ARNm ou un virus dans nos cellules, comme dans les autres thérapies géniques expose donc à un risque potentiel de modifier à terme notre ADN et constitue une technique dont la sécurité génétique n’a pas été évaluée, car plusieurs décennies seraient nécessaires pour en avoir le cœur net. Ces pseudo vaccins-thérapies géniques, dont la technique n’a jamais été utilisée auparavant pour un vaccin exposent donc à des risques non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution.

Nos contradicteurscités par l’AFP ont oublié de citer leurs liens d’intérêts avec les firmes vaccinales. Certaines de leurs affirmations telles que « le vaccin à ARN reste localement, il ne va pas se promener partout dans vos testicules, qui sont un sanctuaire immunologique et on n’a jamais vacciné quelqu’un dans les testicules » frisent le ridicule, car personne ne peut un instant croire qu’un médicament à ARN injecté dans l’organisme ne va pas circuler dans l’ensemble du corps qu’il est censé protéger. Par la circulation sanguine, il se répand partout comme les antibiotiques, les hormones, l’oxygène, le glucose…et ce médicament ne serait pas véhiculé par le sang jusqu’aux testicules ?

Oui : les vaccins mis actuellement sur le marché sont expérimentaux

Tant que les résultats définitifs et complets des essais phase III n’ont pas été analysés et publiés, l’utilisation d’un vaccin ou d’un médicament est expérimentale.

Les campagnes de vaccination en cours dans le monde constituent des essais phase III, simultanés de la phase IV qui a été instaurée par l’attribution d’AMM conditionnelle, en totale contradiction avec le schéma traditionnel des essais qui doivent respecter la hiérarchie des phases.

Le caractère expérimental de la vaccination actuelle se reflète d’ailleurs dans la fréquence très inhabituelle des complications observées après vaccination entraînant des alertes des agences sanitaires et la suspension de la vaccination dans de très nombreux pays.

Alerte de l’agence norvégienne après 28 morts post vaccinales chez des vieillards, abandon du vaccin Astra Zeneca par l’Afrique du Sud pour inefficacité, arrêt de l’utilisation de ce même vaccin par l’Autriche, abandon de ce même vaccin pour les plus de 65 ans en France et en Allemagne, puis suspension de l’utilisation de ce même vaccin dans la majorité pays européens après plusieurs décès post vaccinaux par phlébites et embolie.

Même chez les jeunes adultes qui ne risquent guère du Covid19, les vaccins sont suivis de complications comme le confirme l’alerte de l’agence française du médicament demandant ne pas vacciner en même temps les soignants d’une même équipe hospitalière pour éviter que de trop nombreux arrêts de travail empêchent la poursuite des activités[5] [6] [7], la suspension de la vaccination des pompiers dans les bouches du Rhône[8] après un arrêt cardiaque survenu 48 heures après vaccination…

OUI la vaccination est suivie de nombreux morts et incidents majeurs

Ne pouvant pas contester les chiffres d’Eudravigilance de 2500 morts survenues après vaccination, l’AFP avance l’absence de preuve de liens de causalité.

Pourtant lorsqu’une personne entre à l’hôpital pour une maladie cardiaque ou un cancer en phase critique et qu’elle meurt après un test PCR de dépistage positif, la cause de la mort est systématiquement étiquetée Cocid19 même si aucun signe clinque ou autopsique ne le suggère. Présomption de culpabilité en cas de test Covid19 positif.

Mais si un décès succède à une vaccination, il est systématiquement attribué à autre chose par les Agences. Présomption d’innocence en cas de vaccination anti covid.

Dans un jugement du 26 juin 2017, le tribunal européen de Luxembourg[9] a statué :

en cas de complication post vaccinale grave

« même en l’absence de consensus scientifique, les juges nationaux peuvent s’appuyer sur certains éléments de fait invoqués par le demandeur »

et ces éléments, s’ils constituent des « indices graves, précis et concordants » peuvent permettre « de conclure à l’existence d’un défaut du vaccin et à celle d’un lien de causalité entre ce défaut et ladite maladie ».

Les attendus de ce jugement paraissent ignorer des membres des agences. Ce refus systématique de la responsabilité de la vaccination représente un frein considérable à l’analyse objective des liens éventuels de causalité et à la recherche de cofacteurs qui pourraient éventuellement constituer des contre-indications et constitue la cause principale de la perte de confiance envers la parole publique et de la méfiance croissante envers les vaccinations.

Si les essais avaient été convenablement conçus en incluant un grand nombre de personnes âgées à forte comorbidité et si les témoins avaient reçu de vrais placebos totalement inactifs, les complications des vaccins auraient pu être reconnues et le lien de causalité analysé.

Mais les agences ont accepté des essais biaisés et bâclés, et autorisé l’injection de vaccin à des groupes de personnes pour lesquelles elles ne disposent d’aucune donnée de tolérance. Nous en payons actuellement le prix.

OUI la vaccination a partout été suivie d’une augmentation de la mortalité

Qu’il s’agisse des Émirats Arabes Unis :

D’Israël :

Ou en Grande-Bretagne :

La vaccination, comme tout traitement actif expose à des complications. Celles -ci sont d’autant plus graves qu’elles des touchent des personnes saines et non pas des malades et que pour elle le bénéfice éventuel n’est qu’incertain.

Seule une totale transparence peut rétablir la confiance. Les mensonges et les volte-face répétés du gouvernement et des médias, les mesures inutiles et parfois ridicules, voire grotesques, qu’on nous impose et la censure des opposants ne font qu’aggraver la méfiance.

Si on veut rassembler le pays, il faut changer de politique et arrêter de mentir et cesser la propagande mensongère qu’illustre la tribune de Juliette Mansour et de l’AFP.

Le ministre des Affaires étrangères de Taiwan, Wu avait proclamé fin février[10] :

« la véracité totale des informations sur la maladie et la transparence des motivations des décisions sanitaires sont les meilleures armes dans la lutte contre le Covid19 ».

Pourquoi nos gouvernants et nos médias ne l’ont-ils pas écouté au lieu de suivre l’exemple totalitaire chinois ?


[1] La base de données sur les résultats du ClinicalTrials.gov a été créée en septembre 2008 pour mettre en œuvre l’article 801 de la Food and Drug Administration Amendments Act of 2007 (FDAAA) (PDF), qui exige la présentation de « résultats de base » pour certains essais cliniques, généralement au plus tard un an après leur date d’achèvement (voir date d’achèvement primaire le ClinicalTrials.gov).

[2] Principal moteur de recherche de données bibliographiques de la biologie et de la médecine. PubMed est gratuit et donne accès à la base de données bibliographique MEDLINE.

[3] « Nous ne trouvons plus de macaques rhésus. Ils ont complètement disparu », témoigne ainsi Mark Lewis, PDG de Bioqual, sur le site américain the Atlantic.

[4] Ronald B. Brown Biais de déclaration des résultats dans les essais cliniques sur le vaccin à ARNm COVID-19 – Medicina 2021, 57 (3), 199 ;
https://doi.org/10.3390/medicina57030199

[5] France Info Vaccins Astra Zeneca : 149 soignants vaccinés ont présenté des “syndromes grippaux de forte intensité” après leur injection d’après l’ANSM 5/2/2021
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccins-astrazeneca-149-soignants-vaccines-ont-presente-des-syndromes-grippaux-de-forte-intensite-apres-leur-injection-ansm_4293231.html[]

[6] FR3 Normandie Pourquoi l’hôpital de Saint-Lô a-t-il suspendu la vaccination des soignants par le vaccin Astra Zeneca ? 12/2/2021

[7] FR3 Normandie Vaccin Astra Zeneca : près de Rouen, des soignants inquiets après leur première injection Sur les 20 soignants de l’établissement hospitalier vaccinés durant la semaine, sept ont présenté d’importants effets secondaires qui ont mené à des arrêts maladie. Cela représente 30% du nombre de personnes ayant reçu une dose du sérum Astra Zeneca.

[8] par le Colonel Grégory Allione, Président de la Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France[]

[9] https://www.village-justice.com/articles/cjue-tranche-question-admission-preuve-par-presomption-defaut-vaccin-son-lien,26650.html

[10] Victor (Lin) Pu L’épidémie de coronavirus : comment Taiwan démocratique a surpassé la Chine autoritaire
le Diplomat 27 février 2020


Texte Dr Gérard Delepine.

Commentaire : à la lecture de ce qui précède, il est très facile de constater que les vaccins actuellement disponibles en Europe sont incontestablement en phase III, la phase d’expérimentation sur des cobayes.


Question

À la suite, nous pourrions continuer en présentant de très nombreuses études faites récemment par des scientifiques reconnus, démontrant la nocivité de ces soi-disant vaccins, mais nous préférons dans cet article nous arrêter sur un point précis en posant une question très simple.

Avant la « vaccination » anticovid, il avait fallu cinq ans pour élaborer et tester le vaccin contre le virus Ebola dont la mise sur le marché a été la plus rapide. Cinq ans, notamment pour avoir le temps d’effectuer les essais sur les animaux et les tests cliniques qui sont indispensables.

Comment peut-on donc définir, en étant sûr de ne pas se tromper, les personnes qui ne savent pas qu’un vaccin ne s’élabore pas en moins d’un an, mais en plusieurs années ?

Ce sont des ignorants.


Conclusion

Il n’est pas nécessaire d’être un grand clerc pour comprendre que cette crise a fait ressortir au grand jour – au minimum – la nullité crasse de ceux qui poussent aujourd’hui à la vaccination, qu’ils soient des politiques ou non.

Il en résulte que, issues du monde politique, des médias, ou de la santé, tous ceux qui incitent les gens à se faire vacciner sont désormais complètement discrédités. Ils ne méritent plus du tout notre confiance, définitivement plus !!!!

C’est la première fois dans l’histoire, que d’une manière aussi flagrante et massive, se dévoile aux yeux des gens sensés un tel degré d’ineptie.

En conséquence, déjà en ce qui concerne plus particulièrement les politiques, il est grand temps de se débarrasser rapidement de tous ces individus qui ont montré leurs limites, atteint et révélé – pour le moins – leur niveau d’incompétence à l’occasion de la crise sanitaire.

C’est à tout cela que nous songerons, quand nous mettrons notre bulletin de vote en papier dans une urne classique lors des prochaines élections.

Il est en effet hors de question, après ce qui s’est passé aux USA, de nous faire voter par l’intermédiaire de machines électroniques. Pour défendre les valeurs démocratiques, s’ils osent cependant nous les proposer, nous préférons les brûler.

Il est maintenant grand temps, pour les êtres éclairés, de passer à l’action et d’envisager sérieusement à reprendre légitimement les pouvoirs que des individus dominateurs et sans conscience ne méritent pas de détenir.

Un magnifique exemple à suivre étant celui de la doctoresse et députée Martine Wonner, puisse-t-elle faire de très nombreux enfants…


La convergence des vices cachés de l’Union Européenne va la couler définitivement

Pour ne pas lasser le lecteur nous nous limiterons à six.


L’Union Européenne coulée par l’objectivité




Les militaires français font-ils tache d’huile ? États-Unis : 124 généraux et amiraux à la retraite signent une lettre contre l’administration Biden

[Source : RT en français]

[Photo : © Eduardo Munoz
Source: Reuters
Militaire américain lors d’une cérémonie à New York en 2017]

États-Unis : 124 généraux et amiraux à la retraite signent une lettre contre l’administration Biden

Plus de 120 hauts gradés à la retraite américains qui remettent en doute l’élection de 2020 ont signé une lettre au vitriol contre l’administration Biden et les démocrates qu’ils jugent infiltrés par des «marxistes et des socialistes».

La crise migratoire, le processus électoral, la censure, la Chine, l’Iran, les émeutiers et la santé mentale du président Biden… tout y passe. 124 généraux et amiraux à la retraite ont apposé leur signature à une lettre ouverte rendue publique le 10 mai, lançant aux Américains un appel à défendre leur «survie en tant que République constitutionnelle», contre le «socialisme, le marxisme et le progressisme» qui se seraient selon eux infiltrés aux plus hauts sommets de l’État via le parti démocrate.

Ces officiers se sont réunis sous l’appellation Flag officer 4 america et sont pour beaucoup à la retraite depuis des années, voire des décennies, comme le note Politico. L’un d’entre eux, le général Donald Bolduc, a annoncé sa candidature aux élections sénatoriales de 2022 contre la sénatrice démocrate du New-Hampshire Maggie Hassan. 

«Sous le Congrès démocrate et l’administration actuelle, notre pays a pris un tournant à gauche brutal vers le socialisme et une forme marxiste de gouvernement tyrannique qui doit être contré maintenant», dénoncent-il, appelant la population à élire des parlementaires et des candidats à la présidence qui agiront toujours pour défendre la «République constitutionnelle». 

«Le conflit oppose les partisans du socialisme et du marxisme aux partisans des libertés constitutionnelles», lit-on encore. La cible des officiers : l’administration Biden arrivée au pouvoir après une élection survenues dans des conditions qu’ils critiquent. «L’intégrité électorale exige de s’assurer qu’il y a une voix légale exprimée et comptée par citoyen», disent-ils, reprenant les arguments d’une partie du camp Trump qui a contesté le résultat de l’élection américaine de 2020.

Les officiers demandent un contrôle plus minutieux des identités des votants, reprenant une autre demande de Donald Trump mainte fois formulée pendant la campagne. L’argument avait été balayé par ses adversaires qui avaient accusé ces revendications de pénaliser les votants issus des minorités. «Utiliser des termes raciaux pour supprimer les preuves d’éligibilités [à apporter pour voter] est en soi une tactique d’intimidation tyrannique», rétorquent les anciens militaires. 

Inquiétudes sur la santé physique et mentale de Joe Biden

Autre cible des généraux et amiraux, la dérive «dictatoriale» du nouveau gouvernement «avec plus de 50 décrets exécutifs rapidement signés» et des attaques jugées contraires aux libertés telles que les «confinements excessifs, les fermetures d’écoles et d’entreprises et, le plus alarmant, la censure de l’expression écrite et verbale». Les généraux appellent à voter pour des personnalités politiques qui défendront «tous les Américains en particulier la classe moyenne», opposée dans le texte aux «groupes d’intérêts ou extrémistes utilisés pour nous diviser en factions belligérantes». 

Le courrier liste ensuite plusieurs griefs sur les points clés des premiers mois de Joe Biden aux affaires, comme le rapport des Etats-Unis à l’Iran et à la Chine (qualifiée de «plus grande menace extérieure») ou encore l’oléoduc Keystone XL (entre les Etats-Unis et le Canada), accusé d’«éliminer [l’]indépendance énergétique [du pays]». 

Les militaires émettent aussi des doutes sur la santé physique et mentale du président, un point là encore maintes fois agité par Donald Trump pour discréditer Joe Biden. «[Joe Biden] doit être capable de prendre rapidement des décisions précises en matière de sécurité nationale impliquant la vie et l’intégrité physique n’importe où, de jour comme de nuit», notent-ils. Il veulent aussi mettre fin à l’«infusion corrosive du politiquement correct dans [l’]armée qui endommage la morale et la cohésion au combat». 

Interrogé par Politico, un des généraux à l’origine du texte, Joe Arbuckle, a justifié cette entrée tonitruante des militaires dans le débat public par la situation «désastreuse» dans laquelle se trouverait selon lui le pays. Pour cet officier, vétéran de la guerre du Vietnam à la retraite depuis l’an 2000, ces militaires agissent dans le cadre de leur serment de «soutenir et de défendre la Constitution des États-Unis contre tous les ennemis, étrangers et nationaux». «Nous sommes confrontés à des menaces plus grandes qu’à tout autre moment depuis la création de notre pays», a-t-il encore déclaré, attribuant cette situation, outre la question de la Chine, aux positions politiques et agissements de son «propre gouvernement». 

« Nous sommes confrontés à des menaces plus grandes qu’à tout autre moment depuis la création de notre pays »

Politico note la concordance de cette publication avec la polémiques soulevées en France par la tribune des généraux de fin avril, sans qu’il soit possible de savoir si les officiers américains se sont inspirés de cette initiative. Le courrier s’est en tout cas attiré les foudres de militaires, éditorialistes et commentateurs favorables au gouvernement en place qui les ont accusés de faire échos aux allégations jugées mensongères de fraudes électorales de Donald Trump, et d’avoir rompu leur devoir de réserve en s’ingérant dans les affaires politiques.

D’autres détracteurs des officiers ont fait valoir qu’aucun des généraux quatre étoiles (les plus hauts gradés) à la retraite n’avait signé le texte, ce qui tendrait à prouver que ces officiers sont marginaux au sein de l’armée. Comme en France, il a été aussi avancé que la plupart de ces officiers étaient à la retraite depuis de nombreuses années, ce qui tendrait à prouver qu’ils ne sont pas représentatifs de l’armée actuelle. 




Les thérapies géniques à ARN messager ne sont pas des « vaccins » et peuvent modifier le génome humain ! MàJ

[Mise à jour : ajout du texte suivant]

L’arrivée du vaccin dit à ARN messager de Pfizer, un vaccin à « acide nucléique » premier de son genre, issu des biotechnologies, contre la covid-19, n’a pas été sans susciter de nombreuses questions teintées d’inquiétude. Elles concernent deux points en particulier:

Cet ARN inoculé peut-il se transformer en ADN et intégrer le génome de l’hôte ? Si ce vaccin modifie l’ADN, quels sont les effets potentiels à long terme sur la santé, et ses répercussions sur la descendance ?

Ce sont des questions justes*, que se propose d’explorer Jean-Yves Bilien dans ce reportage qui nous invite à un voyage passionnant au cœur de la biologie moléculaire, guidé par le Dr Tadeusz Nawrocki, spécialiste en la matière et dont les travaux se sont intéressés de très près aux virus à ARN, dont fait partie le SARS-CoV2, responsable de la Covid-19.
Ces questions sont souvent écartées, minimisées, voire moquées par les différents « experts » invités à s’exprimer sur le sujet dans les colonnes des journaux ou sur les plateaux TV.
Mais ils sont formels : il est impossible que l’ARN se transforme en ADN. Le processus suit un chemin précis qui ne peut pas se faire en sens inverse.

Pour nous permettre de comprendre tout ce qui se joue et les implications potentielles sur l’ADN de l’hôte d’un vaccin contenant des petits fragments d’ARN viral, le Dr Tadeusz Nawrocki nous explique en détail le fonctionnement de la biologie moléculaire : l’ADN, l’ARN, les différents ARN, dont le messager, les mécanismes de duplication-transcription-traduction, ainsi que les acteurs en jeu que sont les enzymes. Ce décryptage nous apporte peu à peu cet éclairage nécessaire et salutaire dont nous avons tous besoin, y compris dans le choix du terme ARN messager dont se targue le vaccin de Pfizer, un «abus de langage», une uniformisation de l’appellation, permettant d’occulter des questions gênantes…
Le Dr Nawrocki commence par démonter le paradigme « has been » depuis 40 ans qu’est le dogme central de la biologie moléculaire, énoncé pour la première fois par Francis Crick en 1958, et selon lequel l’ADN produit l’ARN et l’ARN produit la protéine. Une fois que « l’information » est passée par la protéine, elle ne peut plus en sortir. Le mécanisme de la traduction est strictement irréversible, a ajouté Jacques Monod en 1970.

Il n’est ni observé, ni d’ailleurs concevable que de « l’information » soit jamais transférée dans le sens inverse, c’est-à-dire de protéine à ADN. Pourtant la même année, un scientifique américain, Howard Temin (Prix Nobel 1975), faisait la découverte d’une enzyme très particulière : la transcriptase inverse, permettant à certains virus de fonctionner « à l’envers », qu’il appellera de ce fait des rétrovirus : c’est leur ARN qui se transformera en ADN et non l’inverse quand ils infectent une cellule. Quelques mois plus tard le Dr Mirko Beljanski (avec lequel le Dr Nawrocki à collaboré 22 ans) mettait en évidence la transcriptase inverse chez les bactéries. Enfin, la détection de cette enzyme dans les cultures de cellules infectées a permis la découverte du VIH, en 1983.
Donc, ce n’est pas impossible.

Le Dr Nawrocki nous parle avec précision de l’ARN messager et nous explique pourquoi cette appellation est utilisée pour le vaccin. L’ARN messager est en effet le seul à ne pas pouvoir véhiculer une information qui serait transcrite en ADN. La plupart des autres ARN identifiés du cytoplasme savent utiliser les mécanismes décrits pour remonter à l’ADN du noyau, or il ne l’est pas parce que c’est un modèle d’ARN transformant, les ARN transformants déclenchent la réplication de l’ADN, ils sont appelés pour cela ARN amorceurs.
Ainsi, le Dr Nawrocki invite à se poser des questions fondamentales sur la fabrication des vaccins, notamment ceux obtenus par génie génétique, et tout récemment par les ARN dits messagers,
« véritables systèmes OGM », pouvant induire, par exemple, des segments aberrants d’ADN dans les cellules hôtes. Qu’en sera-t-il de cet ADN dégradé ou des fragments d’ARN libérés, qui entraînent autant d’activités incontrôlables, ceci en fonction de notre mimétisme moléculaire HLA spécifique, viral et microbien ?

Enfin, la découverte récente par le bio-informaticien Chase W. Nelson, en octobre 2020, d’un gène mystérieusement caché dans la Covid-19, alors que cela fait des mois que des centaines d’équipes à travers le monde scrutent le génome du coronavirus, sans l’avoir détecté, invite à quelque modestie et surtout beaucoup de prudence aussi bien de la part de la communauté scientifique que des autorités sanitaires.
Ainsi, plutôt que la vaccination, conclut le Dr Nawrocki, il est préférable d’envisager une stratégie d’ensemble. Dans la lutte contre les virus, il faut à la fois entraver le virus lui-même, bloquer sa multiplication, bloquer les enzymes de transcription et/ou d’intégration dans la cellule hôte.
Cette autre orientation thérapeutique existe, élaborée sur la base de substances naturelles et consistant dans l’action conjuguée de trois principes actifs.
Cette mise en bouche étant faite, vous pourrez découvrir, en visionnant ce reportage de Jean-Yves Bilien, les détails des différents rouages pour un jugement éclairé.

* Selon les termes du Dr Doug Corrigan, docteur en biochimie et en biologie moléculaire, cité en ouverture de ce reportage de Jean-Yves Bilien.
Un article de Myriam Marino 22 Mars 2021


[Article initial :]

Emmanuelle Marie Charpentier, prix Nobel de Chimie en 2020 et l’un des inventeurs de l’outil moléculaire Crispr-Cas9 permettant de faciles manipulations génétiques, déclare que leur invention permet la fabrication d’ARN messagers destinés à modifier le génome du receveur.


[Mise à jour : le point de vue mainstream qui voulait que l’ARN messager des vaccins ne puisse pas produire de modifications de l’ADN est rendu caduque par les recherches génétiques récentes ou plus avancées, comme celles du Dr Tadeusz Nawrocki, qui montrent notamment que l’ARN contenu dans ces vaccins n’est pas « messager », mais « transformant ».]




Un collectif international de médecins met en cause la vaccination anti-COVID

[Source : Le courrier des stratèges]

Un collectif international de médecins se constitue progressivement pour contester devant l’OMS les choix majoritairement effectués en matière de lutte contre le COVID. En particulier, ce collectif regrette l’absence de preuves en matière de « tout vaccin » et pointe du doigt, de manière explosive, l’augmentation de la mortalité due à la vaccination. Nous publions aujourd’hui la première version de leur saisine en cours de préparation. Elle a le mérite de synthétiser les points de débat essentiels aujourd’hui sur la gestion du COVID. Nous insistons sur le fait qu’il ne s’agit pas d’un document définitif.

Qu’un collectif international de médecins, de scientifiques, d’avocats, se regroupe pour saisir l’Organisation Mondiale de la Santé à propos de la gestion du COVID est un fait majeur qui devrait susciter des débats dans les semaines à venir. Ce collectif encore anonyme a longuement planché sur un document d’une trentaine de pages étayant ses critiques contre l’absence de fondement scientifique propre à de nombreuses mesures prises pour lutter contre le COVID à travers le monde. 

Un collectif international de médecins dénonce les violations de la constitution de l’OMS

Mise en place en 1946, la constitution de l’OMS énumère un certain nombre d’objectifs et de missions poursuivis par l’organisation. Le collectif énumère les manquements à ces fonctions ou objectifs dans la gestion internationale du COVID. 

En particulier, le collectif considère que la plupart des gouvernements ont agi sans preuve scientifique et sans la rigueur scientifique nécessaire pour justifier les mesures de restrictions aux libertés qu’ils ont imposées. 

La question de la vaccination au centre du débat

Le document accorde une large part à la question de la vaccination et apporte des graphiques troublants sur l’impact réel de la vaccination dans la population. On retrouvera par exemple celui-ci, qui retrace la mortalité du fait du virus :

Dans l’hypothèse où ils se confirmeraient ou se vérifieraient, ils indiqueraient une très forte progression de la mortalité dans les semaines qui suivent le début des campagnes de vaccination, avant que ces chiffres ne retombent. 

Ce graphique mérite une ample discussion, soulignons-le, car il indique une coïncidence de temps, mais n’indique pas le lien direct entre vaccination et hausse de la mortalité. De nombreuses explications sont donc encore à trouver sur cet étrange phénomène. En l’état, nous ne savons pas qui sont les personnes décédées après surcroît après le début des campagnes de vaccination : sont-elles décédées du fait de l’injection ou pas ?

Le collectif demande un débat

L’intérêt de ce document ne tient pas aux réponses qu’il donne, mais au droit qu’il revendique de poser des questions, ce qui reste le propre d’une démarche scientifique. Si cette démarche arrivait à son terme, elle présenterait l’immense intérêt de regrouper les questions que posent aujourd’hui des esprits critiques attachés à la démarche scientifique, et qu’une propagande massive qualifie de « complotistes ». 




Vaccin anti-covid-19, un cadeau empoisonné pour les pays pauvres ?

[Source : francesoir.fr]

Par Dr Gérard Delépine

POINT DE VUE – Alors que la propagande vaccinale mobilise tous les médias avec des appels à offrir les vaccins aux pays pauvres, à donner 25 € au cobaye consentant ou selon les pays et leur niveau de vie un bon d’achat de 5 € ou une bière, l’analyse des premiers résultats montre qu’il s’agit d’un cadeau empoisonné.

À quoi correspond cette soi-disant bonté des pays riches ? Faire semblant de vouloir aider les pays pauvres en suspendant les brevets des vaccins expérimentaux ? Pourtant, leurs effets dramatiques remplissent les pages Facebook, puisqu’ils ne sont pas retransmis pas les médias aux ordres… Cadeau empoisonné sûrement, pour faire mine d’avoir une clientèle potentielle. Pourtant, les pays dits pauvres ont été riches des résultats de leurs traitements anti-covid-19 précoces, méprisés par les pays européens par exemple.

En conséquence, pour la majorité d’entre eux, ces pays pauvres n’ont pas eu de mortalité covid-19, et il est extrêmement intrigant de les voir sombrer dans le drame de la vaccination à outrance. Il serait évidemment important de savoir sous quelles pressions des pays aussi efficaces – pendant l’année 2020 – que la Thaïlande, avec très peu de décès, prennent le risque de ces drames post vaccinaux. On saura peut-être un jour pourquoi…

En tout cas, citons l’exemple de Haïti pour lequel l’OMS voulait jouer les pères Noël plutôt que le Diable.

L’OMS offre le vaccin AstraZeneca à Haïti, qui n’en veut pas

« Bien sûr que non, qui voudrait d’un vaccin dont personne ne veut en Occident ? Les Haïtiens ne sont pas des cobayes, ils savent parfaitement ce qui est bien pour eux ou ne l’est pas. De plus, pourquoi s’aventurer dans une campagne de vaccination expérimentale massive pour à peine 251 morts du covid19 pour une population de 11 millions d’habitants ? »
Selon le quotidien haïtien le Nouvelliste, les autorités sanitaires refusent les doses gratuites du vaccin AstraZeneca contre la covid-19.
Une source anonyme au sein du gouvernement estime qu’à cause de la controverse autour de ce vaccin, la population ne l’acceptera pas.
L’Organisation Mondiale de Santé (OMS) s’apprête à expédier gratuitement 756.000 doses du vaccin AstraZeneca en Haïti.
Selon un article publié dans le quotidien, le Nouvelliste, le 6 avril 2021, les autorités sanitaires d’Haïti ne veulent pas accepter ces doses.
Elles estiment que la population va refuser ce vaccin à cause de la polémique autour du produit, soupçonné de provoquer des caillots de sang.

« Comme c’est un cadeau, ils veulent nous l’imposer. » source anonyme au sein des autorités sanitaires haïtiennes.

Le gouvernement haïtien aurait demandé à l’OMS d’expédier le vaccin unidose fabriqué par Johnson and Johnson qui n’a pas besoin d’être conservé à des températures basses. Informations obtenues par la presse espagnole. C’est l’Agencia EFE, la 4e agence de presse mondiale, qui a publié cette information en exclusivité. Le reportage a été repris par la presse internationale, notamment en République Dominicaine.

QUI RÉCLAME DES VACCINS POUR LES PAYS PAUVRES ? 
LES DIRIGEANTS DES PAYS RICHES ! BIZARRE, NON ?

Rappel des faits avérés à la date du 7 mai 2021 : des signaux d’alerte européens négligés

En Grande-Bretagne

La campagne nationale de vaccination a commencé début décembre 2020. Au 3 mai 2021, un total de 50 297 911 doses de vaccin avait été administré, assurant une couverture vaccinale de la population supérieure à 50%. Les autorités se félicitent du faible taux actuel de nouveaux cas qu’ils attribuent à la vaccination, mais oublient de rappeler les très fortes augmentations de contaminations et de décès observés juste après cette vaccination, avec 32 023 morts en janvier et 17 000 morts en février 2021, les 2 mois records de la mortalité attribuée au covid-19 depuis le début de l’épidémie.

Le recul actuel de l’épidémie en GB pourrait ainsi être en partie la conséquence du « moissonnage » du début d’année qui a fait disparaitre les personnes les plus fragiles et diminué d’autant le nombre des anglais âgés à risque.

Le recul concomitant et général de l’épidémie observé aussi et « en même temps » dans les pays européens peu vaccinés comme les Pays-Bas ou la Suède est évidemment un élément majeur à prendre en compte dans l’évaluation de l’effet « vaccin ».

Le premier ministre B. Johnson ne s’y trompe probablement pas puisqu’il a lancé un grand plan de recherche sur les traitements précoces du covid-19 et promet aux sujets de la Reine des médicaments simples à prendre à domicile à partir de septembre en cas de covid-19 débutant. Adieu le sacro-saint doliprane.

À Monaco

Au 31 décembre 2020, Monaco recensait 3 morts attribuées au covid-19. La vaccination a commencé début janvier 2021. Depuis le nombre de morts covid-19 a été multiplié par 10.

À Gibraltar

Au 8 décembre 2020, après dix mois d’épidémie, Gibraltar recensait 1034 cas confirmés et 5 morts attribuées au covid-19. La vaccination a commencé début décembre comme en Grande-Bretagne.

Depuis lors, le nombre de contaminés a été multiplié par quatre et celui des morts covid-19 par 19.

Mais ces signes d’alerte, comme la nature expérimentale des vaccins anti-covid-19 actuels, ont été cachés par les médias qui ont amplifié leur propagande vaccinale mensongère. 

Dramatique évolution post vaccinale en Mongolie pays jusque-là sans covid-19

Le covid-19 aurait été introduit en Mongolie par un Français travaillant dans le commerce d’uranium. Avant la vaccination, la Mongolie faisant partie des pays presque épargnés par la mortalité covid-19. Au 23 février 2021, elle comptait 2 morts du covid et un total de 2 723 cas positifs depuis le début de l’épidémie. Qu’avait-elle besoin de se lancer dans ce scénario mondial tragique, sans besoin sanitaire évident et sachant qu’il existe des traitements précoces très efficaces et bon marché.

Appliquant les recommandations de l’OMS et avec l’aide du GAVI et de la Chine et quelles pressions (?), elle a vacciné largement sa population à partir du 23 février. Depuis, le nombre de contaminés a été multiplié par 18 et celui des morts par 65 (130 le 6/5/2021).

Malheureux Cambodge

Le covid-19 aurait été introduit dans le pays par un chinois âgé de 60 ans de Wuhan traité, guéri et reparti en Chine avec sa famille. Jusqu’en février 2021, la situation était très satisfaisante avec un taux très faible de contaminés et l’absence de mortalité attribuée au covid-19.  Mais après une rupture de quarantaine d’un nouveau groupe de chinois en visite, la peur (?) a gagné le gouvernement. Officiellement pour protéger la saison touristique qui assure une grande part des ressources du pays, la vaccination a débuté le 24 février 2021 avec un don de vaccins chinois et au premier mai 2021, un total de 2 284 788 doses de vaccin avait été administré.

Mais depuis la vaccination, le nombre de contaminés a explosé passant de 633 le 24/2/2021 à 16 971 le 5 mai et le pays déplore maintenant 110 morts malgré un confinement sévère qui a entraîné des émeutes de la faim durement réprimées.

Et les touristes ne se pressent plus guère pour visiter le pays.

Il faut espérer que les autorités s’inspireront de l’Inde et proposerons rapidement les traitements précoces pour stopper les transmissions et les malades.

La Thaïlande victime de son pari vaccinal : le modèle s’effondre

Avant la vaccination, la Thaïlande, grâce aux contrôles des frontières et aux traitements précoces, faisait partie des nombreux pays affichant un bilan covid-19 satisfaisant avec seulement 25 000 contaminés et 83 morts en un an. Malheureusement, les prudentes réserves du premier ministre concernant le caractère expérimental des vaccins ont été abandonnées en espérant qu’une vaccination généralisée de la population puisse faire revenir les touristes étrangers.

La campagne de vaccination a débuté fin février 2021. Le modèle asiatique s’est effondré et la conformité à la mode mondiale reste peu compréhensible, car ils avaient su résister à la mode du confinement généralisé. Depuis la vaccination, les contaminations et la mortalité ont augmenté fortement. Au 5/5/21 la Thaïlande comptait 74 900 cas (+200%) et 318 morts (+300%). Et d’après le journal Gavroche de Thaïlande, citant le ministre Phiphat Ratchakitprakarn, les espoirs touristiques de 2021 basés sur l’accueil des touristes vaccinés sont en train de s’évanouir.

Pauvres Seychelles, victimes de la propagande vaccinale

Ce petit état africain, qui compte à peu près 100 000 habitants, est pauvre et le tourisme constitue sa principale ressource. Fin décembre 2020, le pays comptait moins de 500 cas confirmés, sans aucun mort, mais avait dû fermer les liaisons aériennes avec les pays infectés. Pour sauver sa prochaine saison touristique et rassurer ses clients potentiels, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population. L’inde et la Chine lui ont fait cadeau de plus de 120 000 doses, qui ont été administrées à partir du 11 janvier 2021. Le 5 mai 2021, il est devenu le pays le plus vacciné au monde avec une couverture vaccinale de 70%.

Mais depuis, les Seychelles font face à une hausse considérable des cas de coronavirus atteignant près de 500 cas journaliers, plusieurs jours de suite en début mai, obligeant ainsi le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars, les casinos.

Avant la vaccination, le pays comptait 500 cas et un mort. Après 4 mois de vaccination, le nombre de contaminations a été multiplié par 12, la mortalité par 28, le pays est confiné et sa saison touristique est fortement compromise.

Le vaccin covid-19 confronté à la réalité

Dans tous les pays pauvres, jusque-là relativement épargnés par le covid-19, les campagnes de vaccination ont été suivies par un accroissement considérable des contaminations et de la mortalité, et leur espoir de rassurer les touristes a été déçu.

Ces constatations rappellent l’importance de disposer de résultats définitifs et d’essais qualitatifs avant de recommander un traitement. Même s’il se fait passer à tort pour un vaccin… La catastrophe sanitaire constatée dans ces pays risque de se transformer sous peu en scandale politique, si nos autorités continuent à nier la réalité et à jouer les bons samaritains en offrant des doses de vaccins aux pays pauvres.




Doit-on avoir peur des personnes vaccinées contre le Covid ? Les non-vaccinés sont-ils menacés ou en danger ?

Par Alain Tortosa

Voilà une question qui doit sembler hautement complotiste pour les paniqués vaccinés adorateurs de l’Église du Coronavirus…

Si notre monde n’avait pas finalisé sa bascule dans une 4e dimension alors je serais peut-être en train de vous parler de la dangerosité potentielle des non-vaccinés.

Encore que la notion de « vaccin solidaire » a toujours fait des bulles dans ma tête au même titre que le « masque solidaire ».

Si un vaccin ou un port du masque est efficace alors le vacciné ou le masqué n’a pas besoin de ma vaccination ou de mon masque pour se protéger.

Et s’il en a besoin, c’est une preuve de leur inefficacité et pourquoi donc devrais-je le protéger en utilisant des moyens inefficaces ?

Enfin je pense que c’est à la médecine de trouver des stratégies à même de protéger les personnes à risque qui ne peuvent pas bénéficier d’un vaccin.

Ici encore il est étrange de mettre au point des thérapeutiques qui ne seraient efficaces que pour les personnes qui n’en ont pas besoin et je demeure définitivement allergique à la notion de délit de bonne santé…

Revenons à ma question et surtout :

Existe-t-il une réponse scientifique autour de la dangerosité potentielle des vaccinés qui ferait « consensus » ou tout du moins une quasi-unanimité ? (Que la réponse soit « oui » ou « non ».)

Tout est fait pour nier la dangerosité des thérapies vaccinales.

Tout est fait pour ignorer l’explosion des cas et des décès dans de nombreux pays qui pratiquent une vaccination massive.

Et surtout une augmentation des cas dans des populations jeunes non concernées par le Covid.

Une modélisation au Royaume-Uni(([1] https://dailyexpose.co.uk/2021/04/11/uk-government-model-states-the-fully-vaccinated-will-dominate-deaths-in-3rd-wave-and-they-will-blame-children-and-unvaccinated-for-it/)) a fait état que 60 à 70% des décès de la future 3e vague seraient des personnes vaccinées.

Comme de bien entendu, la faute en serait imputée aux non-vaccinés et aux enfants comme c’est le cas actuellement dans tous les pays qui pratiquent la vaccination et qui ont une recrudescence de Covid.

Pour en revenir à cette prévision, une fois n’est pas coutume, les médias et les pseudo-scientifiques incompétents ou corrompus n’ont pas manqué de souligner que ceci n’était qu’hypothèse.

Alors quand les modélisations prévoient des centaines de milliers de morts du Covid au Royaume-Uni, c’est évidemment digne d’intérêt, mais une modélisation qui annoncerait plus de décès chez les vaccinés est bien sûr sans valeur aux yeux des médias, même si les auteurs sont les mêmes.

Il demeure néanmoins intéressant de noter, quand bien même les prévisions seraient délirantes, que l’hypothèse d’un surcroît de décès chez les vaccinées est considérée comme plausible dans les milieux « non-complotistes ».

Dans le monde d’avant le Covid, le principe de précaution voulait que l’on s’abstienne en cas de risque ou de doute… mais c’était avant !

Quelles sont les hypothèses sur la dangerosité potentielle des vaccinés pour les non-vaccinés ?

Le sentiment erroné de confiance ?

Les personnes vaccinées peuvent croire, à tort, qu’elles protègent les personnes à risque et il serait d’autant plus possible qu’elles le pensent que la propagande fait croire que cette vaccination est « solidaire »… (ce qui est indispensable pour le business plan).

Une vaccination qui serait à la fois « solidaire », mais qui ne protégerait pas autrui est certainement difficile à appréhender pour un public qui croit ce qu’on lui dit.

Quand bien même les gestes barrières relèvent plus de la patte de lapin que de la science, cette confiance, cette « libération », pourrait se traduire par un certain relâchement qui pourrait donc potentiellement mettre en danger des non-vaccinés.

Il est intéressant de constater que le gouvernement et le Ministre de la Santé sont totalement informés de l’absence d’efficacité des produits appelés « vaccins ».

Ils redoutent de fait le comportement futur des vaccinés qui auraient pu croire les mensonges du gouvernement.

Raisons pour lesquelles vaccinés et non vaccinés ont obligation de respecter les confinements, couvre-feux, port du masque et autres gestes barrières jusqu’à ce que mort nous sépare.

Nous entendons de plus en plus de médias mainstream nous dire que l’immunité de masse sera soit impossible à atteindre, soit ne sera pas de nature à éradiquer notre brave virus dont le métier est de muter pour survivre.

Les variants ?

Il y a d’un côté une réalité observationnelle…

Les variants qui nous « menacent » sont apparus dans des pays qui ont fortement vacciné leur population ou les pays dans lesquels ont été testés les « vaccins ».

Citons par exemple le Royaume-Uni, le Brésil, l’Inde, l’Afrique du Sud,…

Et de l’autre des théories.

Dès lors que l’on vaccine une population, le vaccin sera plus à même de combattre la souche d’origine, d’autant plus que ces faux vaccins ne ciblent que la protéine Spike du virus et non d’autres éléments constitutionnels.

Ce qui les rend extrêmement peu performants et peu « adaptatifs » à la différence de vaccins classiques ou de notre système immunitaire qui est capable de combattre l’infection sur plusieurs fronts et de demeurer efficace pour des variants.

De fait plus vous aurez de mutations sur la protéine Spike et moins la thérapie vaccinale sera efficace.

Les personnes injectées agissent donc comme des filtres à souche initiale et des passoires à mutants.

C’est une des raisons pour lesquelles il est d’usage de ne pas vacciner pas pendant une épidémie.

Des faux vaccins ?

Ces « vaccins », comme ils sont appelés, ne sont pas des vaccins. Vous ne trouverez aucune publication scientifique, aucun médecin qui écriront qu’ils empêchent les personnes à risque de tomber malade, qu’ils préviennent la mortalité et qu’ils vous empêchent d’être contagieux.

Le Conseil d’État(([2] https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/les-restrictions-de-deplacement-des-personnes-vaccinees-sont-justifiees)) a confirmé grâce aux informations fournies par le Ministre de la Santé, Olivier Véran que les personnes vaccinées étaient potentiellement contagieuses, qu’elles pouvaient attraper le virus et donc qu’elles devaient continuer à porter le masque.

« Bien que la vaccination assure une protection efficace, le juge des référés relève que les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion dans des proportions qui ne sont aujourd’hui pas connues. La levée des restrictions de déplacement pourrait dès lors aggraver le risque de contamination, notamment pour les personnes vulnérables qui sont majoritairement non vaccinées. »

On ne peut être plus clair…

Cela confirme que les personnes vaccinées peuvent (ou sont ?) être génératrices et propagateurs de nouveaux variants.

Ces variants pouvant être potentiellement plus dangereux que le coronavirus d’origine qui n’est pas bien méchant et ne tue que les personnes en fin de vie, avec de fortes comorbidités (et sans traitements), mais laisse tranquille les personnes jeunes et en bonne santé.

Les transfusions sanguines ?

En premier lieu les médias ne se privent pas de dire que les ARNm de la vaccigénie Pfizer BioNTech disparaissent du sang en quelques minutes, qu’ils ne se propagent pas dans d’autres organes et qu’ils sont détériorés par nos défenses immunitaires.

À les écouter, c’est tellement rapide que l’on se demande comment il peut pénétrer les cellules pour faire fabriquer la protéine Spike.

Pour autant on peut le trouver plusieurs jours après l’injection dans nos organes.

Et l’ARN pourrait demeurer dans le sang entre 1 et 3 jours.

Donc il serait totalement possible d’être vacciné sans son consentement en recevant une transfusion sanguine d’une personne vaccinée il y a moins de trois jours.

Quid des anticorps ?

Leur durée de vie est d’environ un mois ce qui signifie qu’une personne transfusée peut avoir les anticorps anti-spike du vacciné. Elle peut donc être considérée positive.

Si d’aventure vous croisez le virus durant cette période, il n’est pas impossible que votre corps considère que vous faites un 2e Covid et vous n’êtes peut-être pas à l’abri d’un Covid grave du fait d’anticorps facilitant…

D’autre part, il a été prouvé que les personnes qui avaient développé une thrombose suite à une injection d’AstraZeneca avaient des anticorps anti-pf4(([3] http://www.slate.fr/story/207491/thromboses-vaccination-covid-19-auto-immunite-anticorps-astrazeneca)) à l’origine des thromboses.

« La vaccination avec ChAdOx1 nCov-19 peut entraîner le développement rare d’une thrombopénie thrombotique immunitaire médiée par des anticorps activateurs de plaquettes dirigés contre le PF4, qui imite cliniquement la thrombopénie auto-immune induite par l’héparine. »

(([4] https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2104840))

Si vous êtes transfusé d’une personne ayant ces anticorps vous risquez de faire vous-même une thrombose alors même que vous n’êtes ni vacciné, ni à risque.

Si de plus vous êtes enceinte, vous risquez de les transmettre à votre enfant et si vous allaitez votre bébé, il y a aussi un risque de transmission de ces anticorps et donc de thrombopénie auto-immune.

Mais que nous dit l’Établissement Français du Sang(([5] https://dondesang.efs.sante.fr/don-de-sang-et-covid-19)) à propos du don du sang ?

« Puis-je donner mon sang si je suis vacciné contre la Covid-19 ? »

« Dans la grande majorité des cas, il est possible de donner son sang après une injection de vaccin contre la Covid-19, sans aucun délai d’ajournement à respecter. »

Donc aucun délai n’est nécessaire pas même 24 heures !

En revanche la Croix-Rouge japonaise(([6] https://www.jrc.or.jp/donation/blood/news/210222_006549.html)) est plus prudente

En février dernier elle publiait le texte suivant :

« En ce qui concerne les critères d’acceptation du don de sang pour ceux qui ont été vaccinés contre le Covid, nous sommes en train de l’examiner dans le pays, alors comprenez bien que nous nous abstiendrons de donner du sang tant que les critères ne seront pas définis. »

Le 29 avril un journal indien titrait quant à lui :

« La campagne de vaccination pour toutes les personnes de plus de 18 ans débutera le 1er mai. Une personne vaccinée ne pourrait pas donner de sang pendant au moins 60 jours, selon la réglementation. La majorité des donneurs de sang volontaires étant âgés de 18 à 45 ans, cela pourrait entraîner une pénurie importante de banques de sang.
Les banques de sang et les médecins ont exhorté les personnes qui donnent du sang à le faire avant de se faire vacciner »

Il semblerait donc, comme le nuage de Tchernobyl, que le risque engendré par le don du sang de personnes vaccinées ne concerne pas la France.

Une fois encore, nous voyons que le principe de précaution est jeté aux oubliettes alors même qu’il serait raisonnable de l’interdire et de faire des études.

Je ne saurais conseiller aux personnes qui ont une intervention chirurgicale programmée de faire appel à l’autotransfusion, ce que l’on appelle la transfusion autologue programmée.

La vaccination « contagieuse(([7] Merci à C pour son aide…)) » ?

Une théorie qui circule sur les réseaux sociaux voudrait que les personnes vaccinées pourraient être en capacité de vacciner les non-vaccinés « automatiquement » sans la moindre injection.

Quelques éléments de réflexion qui vont à l’encontre de cette théorie :

  • Aucun intérêt d’un point de vue économique, le vaccin devient gratuit.
  • Aucune obligation de faire des campagnes de vaccination délirantes étant donné que la contamination vaccinale sera automatique.
  • La thèse des industriels « bons » ou des gouvernements « bons » ne peut que faire rire.
  • La thèse du vaccin contagieux éradicateur de la population ne tient pas non plus la route, car tôt ou tard les instigateurs finiraient par être aussi contaminés et donc tués par leur propre arme et s’ils attendaient l’extinction de l’espèce humaine dans un abri antiatomique, rien ne dit que le virus vaccin ne se répandrait pas aussi chez les animaux…

Quand bien même, cela serait-il totalement impossible d’un point de vue théorique ?

Prenons par exemple l’AstraZeneca et son adénovirus.

Celui-ci est rendu « stérile » pour justement éviter le problème.

Mais si d’aventure une personne était contaminée en même temps par un adénovirus anodin et par l’adénovirus de l’AstraZeneca, une recombinaison de ces adénovirus pourrait rendre sa capacité « reproductive » au « vaccin » et ainsi une personne qui serait contaminée par ce nouveau virus recombiné serait ainsi vaccinée en attrapant le virus qui pourrait se répandre librement.

Pas évident, difficilement, voire totalement incontrôlable, économiquement débile, extrêmement dangereux, mais pas totalement délirant d’un point de vue théorique.

Conclusion :

Alors est-ce que les vaccinés sont dangereux pour les non-vaccinés ?

La réponse est sans hésiter « oui », mais nous ignorons dans quelle mesure.

Non seulement les vaccinés sont probablement plus en danger que les non-vaccinés, car ils risquent de développer des Covid graves du fait des anticorps facilitants qui sont « aidés » par ces faux vaccins qui ne ciblent que la protéine spike et en plus de façon imparfaite…

Mais ils sont aussi réellement dangereux pour les non-vaccinés du fait de la prolifération des variants qu’ils favorisent.

Il est aussi totalement évident que les dons du sang devraient être à minima interdits dans les 30 jours suivant une vaccination.

Je terminerai en rappelant que le principe de précaution est bafoué depuis des mois…

Mais alors que j’étais choqué des projets d’étoiles jaunes pour les non-vaccinés ou d’apartheid, je dois vous dire que l’idée me séduit de plus en plus de me retrouver en sécurité et libre de vie avec des non vaccinés… loin des vaccinés potentiellement dangereux.

Si une majorité du peuple accepte ou demande d’être prisonnier, piqué, pucé, obligé de respecter des gestes barrières et des masques ad vitam æternam (un coup oui, un coup non), je préfère de loin fabriquer mon petit monde où nous serions libres de nous réunir, de vivre, de nous serrer dans les bras ou d’aller au restaurant sans gestes barrières ou muselières.

Merci.

Alain Tortosa.

Le 10 mai 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210510-avoir-peur-des-personnes-vaccinees.pdf





Pourquoi une écrasante majorité de nos concitoyens n’est pas opposée à un pass sanitaire ?

Par Alain Tortosa

Pourquoi une écrasante majorité de nos concitoyens n’est pas opposée à un pass sanitaire ?
Comment toute « perte » est assimilée à un « gain »

« J’approuve le passeport sanitaire parce qu’il est un outil de la liberté… Il va me permettre d’aller en discothèque alors que je ne le pouvais plus et va m’apporter une liberté que je n’avais plus. »

Comment en est-on arrivé là ?

Perte de liberté ou gain de sécurité ?

Il est intéressant de constater que la suppression d’une liberté comme ne plus aller en discothèque n’est pas vécue comme une « perte » de liberté, mais comme un « gain » de sécurité.

Dans la même logique, le passeport vaccinal, l’obligation de s’identifier en tous lieux et toutes circonstances ne seront pas vécus comme une perte de liberté, une perte du droit à la vie privée pour aller en boîte avec sa maîtresse, mais un double gain :

  • Un gain de sécurité (illusoire et manipulateur).

Et

  • un gain de liberté (retourner en discothèque – Le geôlier qui vous libère).

Il est paradoxal de constater que l’on peut donc gagner en liberté (en retournant en discothèque) sans avoir auparavant perdu cette même liberté (le fait de ne plus pouvoir y aller).

Il en est de même pour le confinement, l’obligation de la distanciation, l’obligation du port du masque, les interdictions d’aller au restaurant ou au cinéma et j’en passe, qui ne sont pas vécues comme des privations de liberté, mais des « gains » de sécurité.

Quid des opposants, des résistants qui crient à la perte de liberté ?

Dans les faits la psychologie sera bien souvent identique à celle des moutons hypnotisés.

Ils vont mettre leur énergie à démontrer l’inefficacité des mesures…

« Le masque n’est pas efficace donc il n’apporte pas de gain de sécurité donc il est inutile donc la mesure d’obligation est une atteinte à nos libertés et elle est donc inacceptable. »

Ici encore la légitimité ne se mesure pas par rapport à la privation de libertés, mais uniquement par rapport à l’absence d’efficacité de la mesure.

Nous pourrions donc imaginer que si le vaccin protégeait réellement les personnes âgées en fin de vie, qu’il était sans le moindre danger pour les enfants, alors nous serions nombreux parmi les « complotistes » à considérer que leur vaccination serait acceptable au nom du fameux « gain ».

La « démocratie » et les droits de l’homme se mesurent-ils à la somme des libertés ou à la somme des interdits ou « gains » de sécurité ?

Dans les faits, notre « démocratie » pourrait plutôt se résumer à la somme des interdits toujours plus nombreux et le peuple (manipulé) ne la mesure qu’en gain de sécurité…

Limitations de vitesse, obligation du port du casque, contrôles techniques, obligations de diplômes, permis en tous genres, normes… ne sont donc que des « gains » de sécurité et donc totalement « légitimes ».

Ils sont de fait le prix à payer « pour une vie en société » et aucunement une privation de liberté.

L’écologie biaisée, la nouvelle dictature

Le libéralisme (ou les forces du mal qui veulent nous asservir) a désormais inventé « l’écologie » exclusivement punitive ou libérale.

Obligation de jeter son véhicule (à non, pardon, interdiction de l’utiliser en ville), normes antipollution, voitures électriques, énergies dites renouvelables ou propres, lutte contre le CO2, etc. conduisent à de plus en plus d’interdits qui ne sont pas vécus comme tels, mais comme un « gain de sécurité » et qui plus est, la fierté de « sauver la planète ».

L’idéal démocratique, et maintenant « écologique », n’est dans les faits qu’une somme d’interdits « au nom de… » qui sont présentés et vécus comme des « gains de sécurité »…

La gouvernance par la peur

Mais réveillez-vous !

Tout est faux dans ces mesures de privation et de contrôle de nos libertés « pour notre bien »…

L’unique objectif est de nous inventer des dangers et nous maintenir dans la peur, l’obéissance et la sidération et/ou dans la consommation.

Dans les années 50, le danger, l’ennemi, était le communiste et les chars russes qui allaient débouler sur les champs Élysées. Nous avons vécu dans la peur de la 3e guerre mondiale.

Dans les années 70, nous avons inventé la crise pétrolière totalement artificielle avec le mythe du pic de production (le début de la fin du pétrole) qui, 50 ans plus tard, n’est toujours pas là et qui dans 50 ans ne sera toujours pas là…

Grâce à cela, nous avons inventé le chômage et la précarité, la crainte de perdre son emploi afin de nous maintenir dans la peur et la docilité.

La peur du réchauffement climatique

Depuis quelques années, nous subissons désormais le mythe du réchauffement climatique dont L’UNIQUE cause serait l’activité humaine…

Il est merveilleux de voir que nous avons adhéré à ces modèles mathématiques sur des décennies alors qu’au quotidien, les prévisions météo à plus de 24 heures relèvent du journal de Mickey…

Nous avons fait du CO2, un gaz 100% naturel, un ennemi, alors même que le CO2 c’est la vie.

La surface forestière de la planète serait en augmentation depuis des années notamment du fait que les plantes se nourrissent de CO2 et que les campagnes sont de plus en plus désertées.

Le réchauffement climatique participerait aussi à l’augmentation de la surface verte de la planète.

Nous mettons sur le marché des véhicules dits « propres » qui émettent des gaz un million de fois plus dangereux que le CO2 ou qui émettent des particules fines cancérigènes.

Nous faisons croire que la voiture électrique a un avenir alors même qu’elle est basée sur des matières fossiles disponibles en faible quantité et que leur fabrication est un désastre écologique.

Il sera impossible de fournir l’électricité pour les recharger sans construire des centaines de lignes à haute tension et ouvrir au moins 50 centrales nucléaires de plus, juste en France.

Nous avons gobé que la voiture à essence était un monstre écologique, qu’il fallait acheter des diesels « propres » et désormais nous devons acheter des voitures électriques ou hybrides.

Dans quelques années il faudra les jeter à la poubelle pour leur manque d’écologie pour acheter des véhicules à hydrogène, si nous avons encore le droit de posséder des voitures…

Les énergies renouvelables n’ont de renouvelables que le nom et sont tout autant un mythe…

100% des sujets qui nous sont assénés ne sont que manipulations, se nourrissent de nos peurs et visent à nous faire surconsommer ou nous obliger à changer de mode de vie au nom d’un « idéal ».

Mode de vie dans lequel il faudra interdire le déplacement individuel au profit du collectif, interdire de se déplacer en avion, interdire de faire des croisières toujours au nom de cet « idéal écologique ». Toutes ces libertés étant réservées, bien sûr, à une élite…

La crise du Covid, qu’elle ait été provoquée ou qu’elle soit accidentelle, est un formidable outil au service de notre asservissement toujours présenté « pour notre bien ».

Fausse science, interdiction de pensée, formatage

Le drame est que nous vivons une période qui se voudrait scientifique alors même que la science n’est qu’un instrument au service d’une pensée unique et d’une manipulation des peuples.

La force de l’argent est telle qu’elle pervertit tout et la corruption mène le monde.

Rappelez-vous de l’industrie du sucre qui a dépensé des millions de dollars en lobbying et corruption pour inventer le mauvais cholestérol et détourner l’attention de ce poison.

L’industrie pharmaceutique génère plus de bénéfices que l’industrie pétrolière… Elle est régulièrement condamnée à des milliards d’amendes pour tromperie et les « vaccins » actuels ont été autorisés sur les seules données de cette industrie.

Celui qui aujourd’hui critique ou interroge cette pensée unique est qualifié d’extrémiste, d’imbécile ou de complotiste.

Avoir rendu la scolarisation obligatoire dès l’âge de 3 ans ne relève pas du hasard et ne vise qu’à formater les enfants avant que les parents n’aient pu intervenir.

La vérité ?

Nous pourrions penser que la « Vérité » avec un grand « V » était le fruit de faits, de démonstrations scientifiques et qu’elle pouvait évoluer en fonction des découvertes scientifiques, alors qu’il n’en est rien !

La vérité dans notre monde n’est qu’officielle et statistique.

Si vous possédez l’argent, vous posséderez le pouvoir, les politiques, les médias et vous détiendrez donc LA « vérité » officielle.

C’est ainsi que le port du masque, les confinements ou la vaccination sont devenus « efficaces » au 21e siècle parce c’est devenu une vérité statistique énoncée par le Ministère de la Vérité lui-même dans les mains des forces d’argent (et du mal).

Nous ne sommes pas (ou peu) conscients que 100% de nos vérités sont manipulées.

Nous subissons des décennies (et je suis modeste) de manipulations de notre cerveau.

Au point qu’il est plus que raisonnable de se poser la question pour chaque affirmation reçue et dans tous les domaines ! (Dont je ne prétends pas détenir toutes les réponses.)

  • Est-ce que la Terre est ronde ou plate ? (je prends volontairement cet exemple pour dire qu’il faut selon moi prendre le problème de très loin).
  • Est-ce qu’on a vraiment fait des progrès dans les cancers ou guéri des cancers qui guérissaient seuls ?
  • Est-ce qu’une mammographie sert à prévenir le cancer du sein ?
  • Est-ce que le réchauffement climatique est le fruit de l’activité humaine ou d’un changement d’orbite de la Terre ?
  • L’accouchement à domicile est-il dangereux ?
  • Est-ce que le contrôle technique sauve des vies ?
  • La limitation de vitesse sur autoroute est-elle efficace ?
  • Est-ce que le réchauffement climatique est forcément une mauvaise chose ?
  • Les vaches polluent-elles la planète et vaut-il mieux manger de l’herbe ?
  • Est-il plus écolo de rouler en voiture hybride ou électrique que d’utiliser sa voiture diesel de plus de 30 ans ?

Et je pourrais ainsi en écrire pendant des dizaines de pages !

Mais dès lors que nos croyances sont quasi toutes manipulées et biaisées par un système qui veut nous amener dans une direction unique pour son unique intérêt, quelle est notre liberté de « pensée » ?

Comment pourrions-nous avoir un avis éclairé sur tel ou tel sujet si nous avons été formatés à croire sans nous poser la moindre question dès le plus jeune âge ?

La crise du Covid aura permis à de nombreuses personnes de voir à quel point nous sommes manipulés principalement par la peur.

Soyons raisonnables et appliquons le même doute à tous les autres sujets…

Protection et irresponsabilité

Nous sommes terrorisés par la liberté et le libre arbitre.

Nous voulons d’un bon roi qui nous protège, nous apporte la sécurité, l’emploi, la santé et qui surtout décide (de plus en plus) pour nous !

« Panem et circenses » qui durant le Covid s’est traduit par « indemnités Covid » et « Hanouna ».

Nous redoutons la démocratie, nous redoutons les responsabilités et c’est pourquoi nos institutions de la cinquième république sont « parfaites ».

Elles nous donnent l’illusion de décider alors même que les candidats élus sont choisis par Goldman Sachs et que leur marge de manœuvre n’excède pas les 1% dans un monde ultralibéral.

À celles et ceux qui ont vraiment soif de démocratie populaire, je vous le dis haut et fort :

« Le peuple ne veut PAS de démocratie, il ne veut PAS être consulté et décisionnaire, il ne veut surtout PAS être responsable, il veut juste pouvoir critiquer. »

Et c’est pour cela qu’il approuve le passeport sanitaire qui lui apporte deux choses primordiales :

  • La « sécurité » : « Je ne risque pas d’être contaminé par un terroriste complotiste ! »
  • L’irresponsabilité. « Je ne serai pas coupable de transmettre la maladie ! »

L’irresponsabilité, nerf de la destruction de l’individu

Le corollaire de la liberté est la responsabilité.

Pourquoi adorons-nous les limitations de vitesse ?

Pourquoi avons-nous dans la tête que celui qui roule à 100 km/h au lieu de 90 km/h est un irresponsable, voire un chauffard ou un criminel ?

Si l’État me dit ici « tu ne dois pas dépasser le 70 », que je roule à 65 et que j’ai un accident alors c’est la faute à pas de chance.

Si l’État me dit « tu roules à la vitesse que tu veux, mais si tu as un accident et que la cause de l’accident est imputée à une vitesse excessive alors ta responsabilité sera engagée » alors c’est panique à bord.

C’est pour cela que j’adore et que je réclame le passeport vaccinal ou l’obligation du masque.

C’est l’État qui fixe la règle et donc qui assume la responsabilité en cas d’échec.

Si c’est moi qui décide si et quand porter un masque ou me vacciner, c’est moi qui serais responsable de la mort de mamie que j’aurai contaminée.

Donc si c’est l’État qui me dit que je peux voir mamie le mardi soir entre 17h02 et 17h24, que je dois aérer la pièce pendant 8min27, que je dois porter un masque ffp2 et une plume dans le cul…

Si mamie décède, cela ne sera pas de mon fait, de ma responsabilité, mais de la malchance.

Le passeport vaccinal a de fait un grand avenir et je suis persuadé que des millions de Français seraient aussi soulagés si les « vaccins » Covid devenaient obligatoires.

« Sécurité, irresponsabilité » devrait être la nouvelle devise de la France !

Nous ne pourrons pas leur ouvrir les yeux, nous ne pourrons pas les convaincre !

En revanche si demain cette même autorité leur dit que le masque ou le vaccin ou le passeport ne sont pas utiles, les mêmes qui adhèrent aujourd’hui sans se poser de question adhéreront de même à la nouvelle règle sans broncher.

Nous le voyons bien avec les injonctions contradictoires qui se succèdent depuis des mois et qui n’empêchent pas le peuple de suivre chaque nouvelle règle plus ridicule que la précédente.

Promenez-vous après le couvre-feu en ce moment et vous constaterez l’acceptation de la masse…

Merci.

Alain Tortosa

12 mai 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210512-illusion-liberte-irresponsabilite.pdf


[Voir aussi :
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »red »]Liberté et responsabilité
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »red »]Prise de conscience et autisme
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »red »]Changement climatique – Les hommes pris entre connaissance et croyance]




La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?

[Source : Cogiito]

[Ndlr : l’utilisation du mot « thé » dans la traduction originale a été remplacée ici par le terme plus approprié de « tisane ».]


par Mike Adams
https://www.afinalwarning.com/517717.html

La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ? Découvrez la suramine, l’acide shikimique et comment fabriquer vos propres extraits

Avis de non-responsabilité : les informations présentées dans cet article et ce podcast sont uniquement destinées à des fins d’information.

Rien de ce qui est présenté ici n’est destiné à diagnostiquer ou à traiter une quelconque maladie, et aucun supplément ou produit n’est proposé à la vente en relation avec ces informations.

Il semblerait que la tisane aux aiguilles de pin pourrait offrir une solution contre l’« excrétion » ou la transmission du vaccin contre le covid, qui semble être un phénomène où les personnes vaccinées propagent des particules ou des substances nocives à leur entourage.

https://www.naturalnews.com/2021-05-07-salk-institute-reveals-the-covid-spike-protein-causing-deadly-blood-clots.html

Voir cet article d’un site de blog WordPress appelé « Ambassador Love » :
PINE TEA: Possible Antidote for Spike Protein Transmission

Cet article déclare :

Il existe un antidote potentiel à la contagion actuelle de la protéine Spike qui s’appelle Suramin. On la trouve dans de nombreuses forêts du monde, dans les aiguilles de pin.

La suramine a des effets inhibiteurs sur les composants provoquant la cascade de coagulation et sur la réplication et la modification inappropriées de l’ARN et de l’ADN. Une coagulation excessive provoque des caillots sanguins, des mini-caillots, des accidents vasculaires cérébraux et des cycles menstruels anormalement lourds.

La tisane aux aiguilles de pin est l’un des antioxydants les plus puissants qui soient et elle est connue pour traiter le cancer, les inflammations, le stress et la dépression, la douleur et les infections respiratoires. La tisane aux aiguilles de pin tue également les parasites.

Vous trouverez ci-dessous un podcast et une vidéo complets qui révèlent deux méthodes d’extraction, qui sont toutes deux des méthodes simples, de faible technicité et peu coûteuses, pouvant être utilisées presque partout.

Les aiguilles de pin fraîches provenant d’arbres appropriés sont utilisées depuis des siècles comme sources de vitamine C et d’autres substances phytochimiques que les Amérindiens utilisaient pour traiter les infections respiratoires et d’autres affections. La vitamine C est un remède connu contre le scorbut, puisque le scorbut est une maladie due à une carence en vitamine C.

Les aiguilles de pin contiennent de nombreuses autres substances qui semblent réduire l’agrégation des plaquettes dans le sang, prévenant ainsi potentiellement la formation de caillots sanguins à l’origine des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques et des embolies pulmonaires. (Voir les sources scientifiques publiées ci-dessous).

Les aiguilles de pin sont utilisées par les populations indigènes du monde entier comme aliment et comme médicament depuis des milliers d’années. Nombreux sont ceux qui pensent aujourd’hui que les aiguilles de pin peuvent offrir une protection contre les protéines Spike du covid – qui sont des armes biologiques artificielles présentes dans les vaccins contre le covid – ainsi que contre les particules d’excrétion du vaccin contre le covid, qui semblent également être des armes biologiques conçues pour parvenir à une dépopulation mondiale.

Le Dr Judy Mikovits affirme que les mondialistes savent parfaitement que la tisane d’aiguilles de pin est la réponse aux armes de dépeuplement covidien, et ils utilisent secrètement la tisane d’aiguilles de pin pour se protéger du fléau qu’ils ont lâché sur le monde, explique Mikovitz.

Fouiller dans la science derrière les aiguilles de pin et les covidés

En tant que scientifique de laboratoire, j’ai décidé de creuser cette question à l’aide de mes connaissances et de mon expérience en laboratoire. Faire bouillir des aiguilles de pin fraîches pour en faire une tisane [ou infusion] est une méthode d’extraction couramment utilisée en science alimentaire et en médecine traditionnelle chinoise (MTC).

L’eau agit comme un solvant et, grâce à la chaleur et au temps, certains composés phytochimiques des aiguilles de pin sont extraits dans l’eau, ce qui donne une tisane aux aiguilles de pin. (C’est ainsi que toutes les infusions sont fabriquées).

En parcourant les recherches scientifiques publiées sur ce sujet, je me suis posé deux questions principales :

1) Quelles sont les molécules que l’on trouve dans les aiguilles de pin, et quelles sont leurs fonctions en ce qui concerne l’arrêt de la formation de caillots sanguins ou la protection des personnes non vaccinées contre l’excrétion du vaccin covid ?

2) Quelle est la meilleure méthode d’extraction pour extraire ces molécules des aiguilles de pin ? Existe-t-il une méthode d’extraction à faible technicité que presque tout le monde peut utiliser, sans avoir besoin d’un laboratoire ?

Grâce à mes recherches, j’ai découvert que les aiguilles de pin contiennent non seulement de la suramine, une grosse molécule à laquelle on attribue divers effets médicinaux, mais aussi de l’acide shikimique.

L’acide shikimique est à la base du Tamiflu, et c’est la molécule que l’on trouve dans l’anis étoilé, une herbe de la médecine chinoise, qui guérit les pestes.

Imaginez ma surprise lorsque j’ai découvert que les aiguilles de pin contiennent de l’acide shikimique, la même molécule que l’on trouve dans l’anis étoilé utilisé en médecine traditionnelle chinoise pour traiter les pestes et les maladies respiratoires.

En 2010, le Boston Herald a publié un article révélant que des chercheurs étudiaient les techniques d’extraction de l’acide shikimique des aiguilles de pin afin de fournir cette matière première à l’industrie pharmaceutique pour la fabrication de médicaments antiviraux, antigrippaux et antipandémiques.

http://archive.boston.com/news/local/massachusetts/articles/2010/11/07/maine_pine_needles_yield_valuable_tamiflu_material/

Extrait de cette histoire :

Des chercheurs de l’université du Maine à Orono affirment avoir trouvé une nouvelle méthode relativement facile pour extraire l’acide shikimique – un ingrédient clé du médicament Tamiflu – des aiguilles de pin.

L’acide shikimique peut être extrait des aiguilles de pin blanc, de pin rouge et d’autres conifères simplement en faisant bouillir les aiguilles dans l’eau, a déclaré le professeur de chimie Ray Fort Jr.

Mais l’acide extrait pourrait être précieux car, le Tamiflu est le médicament antiviral le plus utilisé au monde pour traiter la grippe porcine, la grippe aviaire et la grippe saisonnière. La principale source d’acide shikimique est actuellement l’anis étoilé, un fruit inhabituel en forme d’étoile qui pousse sur de petits arbres originaires de Chine.

Les recherches ont été financées par diverses sources, dont le Maine Technology Institute, le ministère américain de l’agriculture, la National Science Foundation et le département de chimie de l’université.

Une étude publiée dans ResearchGate confirme que l’acide shikimique présente une activité antiagrégante plaquettaire, ce qui signifie qu’il aide à stopper la formation de caillots sanguins : Analyse du contenu de l’acide shikimique dans les aiguilles de pin de Masson et activité antiagrégante plaquettaire.

Extrait de l’étude :

L’acide shikimique, lorsqu’il est séparé par HPLC, présente un effet inhibiteur dose-dépendant sur l’agrégation plaquettaire induite par l’adénosine diphosphate et le collagène chez les lapins. En raison de la teneur relativement élevée et de la bonne activité antiagrégante plaquettaire de l’acide shikimique, les aiguilles de pin de Masson peuvent être utilisées comme source potentielle d’acide shikimique.

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/ceat.200700413

(…)ont obtenu un rendement d’environ 6% d’acide shikimique à partir d’aiguilles de pin Masson, ce qui est probablement le rendement le plus élevé extrait de toute espèce de pin jusqu’à présent (Chen et al. 2014). Puisque les aiguilles de pin sont peu coûteuses et facilement disponibles en Asie du Nord, en Amérique du Nord et en Europe, il est fort possible de les utiliser pour fabriquer des médicaments contre les espèces d’anis étoilé moins disponibles.

Cette étude a révélé que les aiguilles de pin fournissent environ deux tiers de l’acide shikimique de l’herbe d’anis étoilé :

Aiguilles de pin de Masson = 5,71% d’acide shikimique
Anis étoilé = 8,95% d’acide shikimique

Nous savons donc que les aiguilles de pin, qui sont extrêmement répandues en Amérique du Nord, en Chine et en Europe, fournissent de l’acide shikimique, une sorte de molécule « miracle » qui pourrait s’avérer incroyablement utile pour arrêter la formation de caillots sanguins et défendre les personnes contre les infections respiratoires.

Des recherches plus approfondies m’ont conduit à une étude qui a utilisé la recherche sur les réseaux neuronaux pour optimiser les conditions d’extraction afin de réaliser un extrait très efficace des aiguilles de pin : 17 Optimization of Extraction Conditions of Shikimic Acid in Pine Needles Based on Artificial Neural Network.

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/ceat.200700413

Cette étude propose la recette suivante pour optimiser l’extraction :

Utiliser environ 75 % d’alcool (comme la vodka) et 25 % d’eau.
Utilisez une machine à ultrasons avec un récipient en acier inoxydable.
Réglez la température à 65 degrés C.
Utilisez 280 ml de solution d’extraction pour 10 grammes d’aiguilles de pin.
Utilisez une durée de 25 minutes pour l’extraction par ultrasons.
Cette infusion terminée doit être filtrée à travers un filtre à café ou un autre filtre en papier afin d’éliminer les grosses particules. Le liquide obtenu contiendra de l’acide shikimique, de la suramine, des pigments et divers terpènes, et présentera généralement une certaine coloration et un goût plutôt piquant.

Regardez cette vidéo pour voir comment j’ai utilisé un appareil de nettoyage à ultrasons pour créer un extrait aqueux d’herbe de romarin :



Comment extraire l’acide shikimique à l’aide d’une machine à expresso ordinaire ?

Le résultat le plus intéressant de cette recherche a été la découverte d’un article scientifique publié qui décrit l’utilisation d’une machine à expresso ordinaire pour effectuer une extraction très efficace de l’acide shikimique de l’anis étoilé.

Cet article est publié dans Science Direct :

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S2352554116300493

Quantification totale et extraction de l’acide shikimique de l’anis étoilé (llicium verum) en utilisant la RMN à l’état solide et des solutions aqueuses d’hydroxyde dissolvant la cellulose.

L’article a été publié dans Organic Letters en 2015, et apparaît également sous forme de PDF sur le site de l’université de l’Oregon. (Ce lien peut poser problème dans certains navigateurs car il contient des espaces dans l’URL).

Extrait du résumé de cette étude :

RÉSUMÉ :

Un nouveau processus pratique, rapide et à haut rendement pour l’extraction à l’eau chaude sous pression (PHWE) de quantités de plusieurs grammes d’acide shikimique à partir d’une plante.

L’acide shikimique de l’anis étoilé (Illicium verum) à l’aide d’une machine à expresso domestique non modifiée. Cette méthode, simple et peu coûteuse, permet d’isoler de manière efficace et directe l’acide shikimique et de préparer facilement une série de dérivés synthétiques.

Préparation facile d’une série de ses dérivés synthétiques :

En d’autres termes, ils profitent de la chambre pressurisée d’une machine à expresso pour effectuer une extraction chaleur + pression de l’acide shikimique de l’anis étoilé.

D’après mon expérience, on peut remplacer l’anis étoilé par des aiguilles de pin fraîches moulues (vertes, pas brunes) pour obtenir un résultat similaire, en extrayant l’acide shikimique des aiguilles de pin. Pour une extraction efficace, il est conseillé de broyer d’abord les aiguilles de pin, en utilisant un broyeur à herbes bon marché.

J’ai l’intention de reproduire ce résultat dans mon propre laboratoire, mais j’ai pensé que je devais le partager publiquement dès que possible en raison de la menace mortelle que représentent actuellement pour l’humanité les vaccins covidés armés.

Les auteurs de l’étude confirment également que l’acide shikimique est une molécule antivirale efficace qui inhibe également la réplication virale dans l’organisme :

Il a également été démontré que les dérivés de l’acide shikimique présentent une activité biologique utile. Plus particulièrement, le célèbre médicament antiviral oseltamivir (Tamiflu), qui agit comme un inhibiteur de la neuraminidase virale, est utilisé pour traiter la grippe saisonnière et a été déployé pendant les épidémies de grippe H1N1.

En outre, il a été démontré que les analogues fluorés du shikimate inhibent P. falciparum et ont été testés comme médicaments antipaludiques. En outre, la zeylénone (3) dérivée de l’acide shikimique présente un comportement anticancéreux, antiviral et antibiotique, et l’acide triacétylshikimique présente des propriétés anticoagulantes et antithromiques.

Une activité anticoagulante et antithrombotique

Remarquez le terme clé « anticoagulant » dans la phrase ci-dessus.

L’étude, qui a été réalisée en Tasmanie, en Australie, a délibérément cherché une méthode peu coûteuse et peu technologique pour extraire l’acide shikimique de plantes communes (aiguilles de pin) :

Cette méthode est une extraction rapide et peu coûteuse à l’eau chaude sous pression (PHWE)… le premier exemple de l’utilisation en laboratoire d’une simple machine à expresso pour faciliter l’extraction de l’acide shikimique.
premier exemple de l’utilisation en laboratoire d’une simple machine à expresso pour faciliter l’extraction de produits naturels (autres que la caféine) à partir de matériel végétal.

Nous avons cherché à utiliser spécifiquement un équipement relativement bon marché, peu sophistiqué et disponible dans le commerce pour réaliser l’extraction de quantités de plusieurs grammes d’anis étoilé.21 Par conséquent, étant donné que la pompe d’une machine à expresso permet l’écoulement continu d’eau à des températures allant jusqu’à 96 °C et à des pressions de 9 bars, nous avons pensé qu’un tel système serait adapté à nos besoins.

En effet, cette idée est purement géniale dans sa simplicité. Et les auteurs de l’étude ont réussi à extraire puis à purifier les cristaux d’acide shikimique par un procédé relativement simple.

Cela pourrait signifier que le « remède » contre le covid est disponible gratuitement et se développe sur de nombreux continents.

Le résultat de tout ceci est qu’un éventuel « remède » contre le covid – ou du moins une défense contre l’excrétion/la transmission du covid – semble être déjà fourni par Mère Nature et est facilement disponible sur plusieurs continents.

Sans avoir à compter sur des produits pharmaceutiques brevetés, contrôlés et des vaccins armés qui sont clairement conçus pour répandre la maladie et atteindre une dépopulation mondiale par la mort de masse, les personnes qui veulent survivre à l’holocauste du vaccin contre le covid peuvent simplement récolter et traiter les aiguilles de pin en utilisant des machines à expresso, et ils peuvent potentiellement fabriquer leur propre médicament anti-peste.

Naturellement, nous aimerions voir plus de recherches sur tout cela – et s’il vous plaît tenez compte des précautions de sécurité ci-dessous – mais il est clair que l’establishment de la science et de la médecine a perdu toute crédibilité ou intérêt à protéger l’humanité et travaille maintenant délibérément à exterminer des milliards d’êtres humains.

Par conséquent, attendre que cette industrie étudie les plantes médicinales communes est une course folle. Il n’y aura jamais de financement disponible pour de telles recherches, car ces découvertes n’augmentent pas les profits de Big Pharma en matière de vaccins et de médicaments.

Pourtant, pour ceux qui sont en mesure d’accéder aux bons types d’aiguilles de pin – et qui ne sont pas enceintes ou ne prévoient pas de l’être, voir ci-dessous – ce remède simple et naturel pourrait finalement s’avérer être un traitement « miracle » qui sauve des vies contre les vaccins contre le covid et le covid.

Pour information, nous ne vendons pas d’aiguilles de pin ou d’extraits d’aiguilles de pin, donc les régulateurs qui cherchent à interdire cet article devront aller harceler quelqu’un d’autre. Nous offrons ces informations telles quelles, sans garantie, dans un souci de « publication d’autorisation d’urgence » pour le bien de l’humanité et dans l’intention de sauver des vies de ce vaccin mortel.

Écoutez mon podcast complet ici pour en savoir encore plus sur ce sujet passionnant et sur le remède possible contre les vaccins covidés [en anglais] :



https://www.brighteon.com/7c129e86-7e2b-47a7-bc74-dd19621e4042

Précautions à prendre lors de l’utilisation d’aiguilles de pin

Avant de consommer une tisane ou un extrait fabriqué à partir de plantes, assurez-vous de savoir quelles plantes vous utilisez. Tous les pins ne conviennent pas, et certains conifères – comme l’if – sont toxiques.

Le bétail est connu pour avoir subi des avortements spontanés après avoir consommé des aiguilles de pin fraîches comme source de nourriture. Par conséquent, toute personne qui prévoit une grossesse (ou qui est déjà enceinte) devrait évidemment éviter de consommer de la tisane aux aiguilles de pin, par simple précaution.

Tous les crétins de la science « réveillée » en Amérique et dans le monde ont oublié que seules les femmes peuvent tomber enceintes, donc cette précaution particulière ne s’applique évidemment pas aux hommes. Si vous pensez que les hommes peuvent tomber enceintes, vous avez peut-être déjà subi des dommages cognitifs dus aux vaccins covidés et vous devriez consulter immédiatement un médecin.

Le pin de l’île de Norfolk et le pin ponderosa sont également soupçonnés de provoquer des avortements spontanés et devraient probablement être évités.

Nous ne connaissons pas la composition complète des diverses espèces de pins, et nous ne pouvons donc pas, en toute conscience, dire à qui que ce soit de boire de la tisane faite à partir d’aiguilles de pin. Si vous décidez de le faire, faites preuve de bon sens et prenez toutes les précautions nécessaires, et travaillez avec un naturopathe qualifié pour élaborer une stratégie à base de plantes compatible avec votre propre biologie et vos objectifs de santé particuliers.

Sachez également que la tisane d’aiguilles de pin peut interagir de manière inattendue avec des médicaments sur ordonnance, dont la plupart sont toxiques en soi.

Nous allons confirmer ce processus d’extraction à l’aide d’une machine à expresso et d’un instrument de spectrométrie de masse quadruple à CWC Labs.

La bonne nouvelle dans tout cela, c’est qu’il semble que les gens ordinaires peuvent récolter l’acide shikimique à partir des aiguilles de pin en utilisant une machine à expresso ordinaire.

Ou, pour une extraction plus approfondie d’un large spectre de terpènes, les gens peuvent utiliser un appareil à ultrasons pour réaliser de telles extractions (voir ma vidéo ci-dessus).

En tant que service public, je suis en train de lancer un projet de laboratoire dans mon laboratoire privé pour reproduire cette méthode d’extraction de l’acide shikimique, mais en utilisant des aiguilles de pin au lieu de l’anis étoilé :

Nous achetons des standards d’acide shikimique et recherchons une méthode HPLC / Mass spec pour la quantification de l’acide shikimique.
Nous sommes en train d’acheter un simple moulin à herbe et une machine à expresso neuve et propre pour tester l’extraction.
Une fois terminé, nous prévoyons de diffuser une vidéo de notre laboratoire, vous montrant les résultats de nos tentatives d’extraction.
Nous allons probablement utiliser des aiguilles de pin loblobby, car c’est ce qui est commun dans la région centrale du Texas. Je ne connais pas la teneur en acide shikimique des pins loblobby.

Restez à l’écoute de NaturalNews.com et de ma chaîne Brighteon.com pour d’autres mises à jour sur ce sujet extrêmement important pour l’humanité :

https://www.brighteon.com/channels/hrreport




Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie

[Source : anguillesousroche.com]

L’Esprit et Dieu : La nouvelle science de la neurothéologie

Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. Notre recherche vise à comprendre comment et pourquoi.

  • La neurothéologie est un domaine qui unit la science et la psychologie du cerveau aux croyances et pratiques religieuses.
  • Il existe plusieurs mécanismes indirects et directs qui relient la spiritualité à une meilleure santé mentale.
  • La compassion et l’amour sont des émotions positives qui rendent votre cerveau plus sain.

Le domaine de la neurothéologie continue de s’étendre depuis ses origines il y a plusieurs décennies jusqu’à aujourd’hui. Dans sa définition la plus simple, la neurothéologie désigne le champ d’études qui cherche à comprendre la relation entre le cerveau et notre moi religieux et spirituel. Comme j’aime toujours le dire, il est important de considérer les deux côtés de la neurothéologie de manière très large. Ainsi, le côté “neuro” comprend l’imagerie cérébrale, la psychologie, la neurologie, la médecine et même l’anthropologie. Et le côté “théologie” comprend la théologie elle-même, mais aussi divers aspects liés aux croyances, attitudes, pratiques et expériences religieuses.

Les bienfaits de la spiritualité sur la santé mentale

La neurothéologie va également de l’examen de concepts très ésotériques, notamment les questions relatives au libre arbitre, à la conscience et à l’âme, à des concepts très pratiques tels que la compréhension du fonctionnement du cerveau et la relation entre la spiritualité et la santé physique et mentale. Ce dernier sujet pourrait être appelé “neurothéologie appliquée”. La neurothéologie appliquée cherche donc à comprendre les aspects liés à la santé de notre cerveau et de notre moi spirituel. En particulier, nous pouvons essayer de comprendre comment le fait d’être religieux ou spirituel, ou d’effectuer diverses pratiques spirituelles, peut être bénéfique pour notre santé et notre bien-être général. Dans notre dernier livre, intitulé Brain Weaver, nous examinons cette dimension importante de la santé du cerveau humain.

Même pour ceux qui ne sont pas religieux, l’exercice de pratiques telles que la méditation et la prière – même sécularisées – peut être bénéfique pour réduire le stress et l’anxiété.

Un nombre croissant d’études ont montré le lien entre la spiritualité et la santé mentale. Il est important de noter que les personnes religieuses et spirituelles ont tendance à avoir des taux plus faibles de dépression, d’anxiété et de suicide. Cette constatation s’applique à tous les âges, les études sur les adolescents montrant que les activités religieuses et spirituelles protègent des problèmes de santé mentale. Et de nombreux adultes citent les croyances religieuses et spirituelles comme étant importantes pour faire face aux divers facteurs de stress de la vie.

Mécanismes indirects

S’il existe une relation entre la spiritualité et la santé mentale positive, nous pouvons nous demander quel pourrait être le mécanisme d’action. J’ai généralement divisé les mécanismes en mécanismes indirects et directs. Les mécanismes indirects sont liés à des aspects spécifiques d’une tradition donnée qui finissent par avoir des effets bénéfiques sur la santé mentale. Par exemple, aller à l’église ou à d’autres événements sociaux qui font partie d’une tradition religieuse peut être bénéfique parce que le soutien social, en soi, est bénéfique pour notre santé mentale. Plus nous avons de personnes dans notre réseau de soutien social, plus nous sommes en mesure de faire face aux divers facteurs de stress de la vie, y compris les problèmes d’emploi, de relations ou de santé.

La plupart des religions enseignent également aux gens à éviter un grand nombre de comportements à risque qui peuvent être très préjudiciables à notre santé mentale et à notre bien-être. Par exemple, la plupart des religions nous enseignent à éviter l’alcool et les drogues, à ne pas avoir de mœurs légères et à essayer d’être compatissant et charitable envers les autres. En suivant ces enseignements, les gens éviteront naturellement les problèmes de santé mentale tels que la toxicomanie et auront tendance à être plus optimistes et moins déprimés. Ces effets n’ont rien à voir avec le fait d’être religieux en soi et tout à voir avec le fait de suivre les conseils d’une religion.

Un autre mécanisme d’action indirect intéressant lié à la religion concerne l’alimentation et la nutrition. Le régime alimentaire et la nutrition sont souvent négligés lorsqu’il s’agit d’une bonne santé mentale, même si les recherches indiquent de plus en plus qu’ils sont essentiels. De nombreuses traditions demandent aux individus de suivre certaines directives alimentaires. Par exemple, les hindous ont tendance à avoir un régime végétarien, et la plupart des recherches menées à ce jour montrent qu’une alimentation plus végétale, comportant beaucoup d’aliments peu inflammatoires, est bonne non seulement pour le corps, mais aussi pour le cerveau. En fait, nous menons actuellement une étude sur des patients présentant des symptômes chroniques de commotion cérébrale afin de déterminer l’effet d’une amélioration du régime alimentaire sur la fonction cérébrale globale.

Mécanismes directs

Les mécanismes d’action directs sont liés à des pratiques spirituelles spécifiques, voire au sens personnel de la spiritualité d’une personne. Une grande partie de mes recherches au cours des 30 dernières années a consisté à étudier le cerveau pendant que les gens s’engagent dans différentes pratiques telles que la méditation ou la prière. Nous avons même observé les changements cérébraux associés à des pratiques spirituelles uniques comme le parler en langues ou les états de transe. Les effets cérébraux liés à ces pratiques sont tout à fait remarquables et variés. Il n’y a rien d’étonnant à cela puisque ces pratiques affectent les gens à de nombreux niveaux différents, comme la façon dont ils pensent, ressentent et expérimentent le monde qui les entoure. Nous devrions donc nous attendre à observer des différences physiologiques dans les parties du cerveau impliquées dans ces pratiques.

La méditation et la prière, par exemple, activent les lobes frontaux ainsi que les zones linguistiques du cerveau, et la recherche démontre que cela se produit non seulement pendant la pratique, mais aussi à long terme. Notre étude sur la méditation Kirtan Kriya a montré des améliorations d’environ 10 à 15 % en matière de cognition ainsi que des réductions du stress, de l’anxiété et de la dépression. Ces améliorations étaient associées à des changements de base dans les fonctions du lobe frontal du cerveau, qui régulent ces processus cognitifs et modulent les réponses émotionnelles.

Des recherches plus récentes ont exploré les effets de ces pratiques sur des réseaux cérébraux plus larges, et peut-être plus important encore, sur des systèmes de neurotransmetteurs spécifiques. L’une de nos récentes études sur un programme de retraite spirituelle a montré des changements significatifs dans les zones du cerveau qui libèrent la dopamine et la sérotonine. Ces zones sont connues pour être impliquées dans la cognition et la santé émotionnelle. De plus, un nombre croissant d’études cliniques ont démontré la valeur de diverses pratiques spirituelles ou thérapies à orientation religieuse pour aider les gens à gérer une variété de problèmes de santé mentale, notamment la dépression, l’anxiété et le TDAH, ainsi que des problèmes neurologiques comme la maladie d’Alzheimer et les troubles épileptiques.

Enfin, un sentiment personnel de spiritualité peut être protecteur en soi. Lorsqu’une personne se sent connectée à l’ensemble de l’humanité, à une puissance supérieure ou à l’univers tout entier, cette expérience lui donne un sens et un but dans la vie et une perspective optimiste sur ce que l’avenir lui réserve. Un certain nombre de recherches ont montré qu’une telle foi peut être bénéfique pour la santé physique et mentale globale.

Améliorer la santé du cerveau grâce à la neurothéologie appliquée

La neurothéologie appliquée peut nous enseigner la valeur de l’exploration de notre côté religieux et spirituel comme moyen d’améliorer notre santé mentale et notre bien-être. Même pour ceux qui ne sont pas religieux, la poursuite de pratiques telles que la méditation et la prière – même sécularisées – peut être bénéfique pour réduire le stress et l’anxiété. Le fait de se connecter au monde extérieur – en faisant une promenade dans la nature, en se réunissant avec ses amis et sa famille ou en essayant d’améliorer son quartier en aidant les autres – renforce le sentiment de compassion et d’amour, des émotions positives qui contribuent à la santé du cerveau.

Source : Big Think – Traduit par Anguille sous roche




Au pays de Dracula, les vaccinés reçoivent un diplôme de courage !

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Lors de la peste noire – la vraie, qui décima des millions d’Européens, et pas celle inventée par notre ministre de la « Santé » (selon son titre officiel), les paysans et villageois fuyaient le plus loin possible des lieux infestés où s’accumulaient les morts.

Imagine-t-on, si un traitement efficace avait été connu, la nécessité de trouver toutes sortes de sollicitations holistiques pour conduire les gens à accepter le traitement miracle ?

Mais en ce XXIe siècle on aura tout vu !  De la prime de 25 € au bon d’achat de 5 euros à la pinte de bière, ou 20 points proposés par Bernard Pivot à l’oral du bac (une blague ?), les avantages proposés aux cobayes sont variés pour les conduire à accepter cette redoutable piqûre dont ils sentent bien, pour le moins, que le bénéfice n’est pas évident.

Des cobayes non rémunérés mais flattés

Il est vrai que les vaccins covid sont en phase expérimentale et que les citoyens commencent au moins à le savoir un peu. Notons que Big Pharma s’est vraiment bien débrouillée, elle ne paie pas ses cobayes comme habituellement (des sommes de plusieurs centaines d’euros pour les essais habituels de médicaments) et de plus les agences de santé et les États l’ont exonérée de toute responsabilité pénale ou/financière en cas de pépin… y compris le décès. Les États paieront, enfin… nos impôts. Pas belle la vie ?

En ce qui concerne l’épidémie presque terminée du covid qui a nettoyé la grippe au passage, mais pour laquelle il faut continuer à affoler la population, l’imagination des marchands du temple est au pouvoir.  Le double but est bien sûr les bénéfices financiers fantastiques liés aux vaccins pour Big Pharma et des avantages politiques pour les dirigeants du Nouvel Ordre mondial, imposer des lois liberticides et une surveillance policière croissante.

L’imagination au pouvoir des marchands

Et nous pouvons être admiratifs des qualités commerciales des marchands de vaccins. Là où on découvre s’il en était besoin qu’il n’est plus question de médecine, mais bien de commerce et donc de marketing.

Dans le petit papier de msn.com[1] qui relate la vaccination des Roumains chez Dracula, tout y est et on ne sait plus s’il faut rire ou pleurer. Malgré le côté tragique de la situation, quand on connaît les multiples effets secondaires, dont des décès (près de 9 000 post-vaccinaux en UE chez des sujets qui ne risquaient rien, pour beaucoup, du covid ou presque) et la flambée des cas et des malades dans des pays jusque-là quasiment indemnes avec l’arrivée des campagnes de vaccination[2] [3] [4].

Le pseudo-vaccin au château de Dracula

Examinons ce petit article : tous les mots clefs y sont. Tout d’abord le titre : les Roumains se font « piquer » au château de Dracula.  De mon temps, on disait vacciner et se faire piquer était réservé aux animaux qu’on faisait euthanasier en fin de vie par le vétérinaire. Tout un programme.

Poursuivons : le futur cobaye profite de l’opportunité « prend son courage à deux mains ». Pourquoi ? pour un DTPolio, en faisait-on autant ? Non, cela sous-entend bien le mystère, et le cinéma qui entoure cette « piquouse » pour parler comme eux.

Le comble, comme aux gosses qui passent un diplôme de nage ou de sécurité routière, les personnes piquées reçoivent un « diplôme » attestant de quoi ? Je vous le donne en mille : de « leur courage et responsabilité ». Pourquoi tant de courage si ce pseudo-vaccin était anodin comme les médias veulent nous le faire admettre à longueur d’émission ?

Ils seront accueillis au château de Dracula à Bran dans les « cent prochaines années »… Message subliminal de vie éternelle grâce à la potion magique prônée par Bill Gates ? Faust hante-t-il le château de Dracula ?

Qui organise ces séances de distraction faustienne ?

Évidemment pas un médecin qui s’évertuerait à expliquer avantages (? s’il en trouvait par rapport aux traitements précoces et sans danger) et inconvénients possibles, les effets secondaires beaucoup plus fréquents qu’avec les autres vaccins, comme celui de la grippe par exemple (et déjà signalés sur le site de l’agence européenne du médicament, l’EMA et Eudravigilance, où chaque curieux peut aller, surtout avant de se décider, ce serait prudent).

Le médecin respecterait ainsi le serment d’Hippocrate et le Code de Nuremberg sanctifié par la déclaration d’Helsinki et la convention d’Oviedo.

Mais non, ici à Bran comme à Disney en France, on est dans le plaisir, le ludique, le léger et donc c’est le directeur du MARKETING qui invite et organise. Tout y est, n’est-ce pas ?  Et comme il ne doute de rien dans la pub, il prévoit pour les futurs cobayes qu’il qualifie de « téméraires, une visite de : « la salle des tortures » abritée dans la forteresse. On est dans un « ciblage touristique ».

Nous voilà donc dans les fins fonds des Carpates, chez « l’empaleur » Vlad Tepes, prince roumain du XVe  siècle, particulièrement sanguinaire pour avoir inspiré à l’écrivain irlandais Bram Stoker le personnage de Dracula. Tout est dans le symbole, volontaire ou inconscient, ils font très fort ces Roumains.

Comme aux USA, et en France en particulier, tout le monde n’est pas forcément volontaire pour être cobaye non rémunéré du plus grand essai mondial de médicaments encore jamais testés, et dont les prédécesseurs, tentatives de vaccins anti-coronavirus du SRAS et du Mers avaient tué les animaux tests.

Ici en matière de vaccin anti-covid, les labos ont sauté l’étape animale officiellement en raison de manque d’animaux de laboratoire et des militants anti-souffrance animale. Si ces associations pouvaient inclure dans leurs combats les animaux humains, ce serait une bonne idée.

Alors les Roumains qui avaient refusé les mesures liberticides sont sollicités via des vaccidrives et des marathons vaccinatoires ouverts 24 h sur 24 dans des lieux mythiques comme la salle du Palais à Bucarest. Pourquoi pas dans les salles de l’hôpital ? Non, c’est un peu comme la nuit de visite gratuite des musées français !  Et les moins de 50 ans (moins de mille morts en France depuis quatorze mois pour une maladie qui, le cas échéant, se traite facilement si on donne le traitement tôt), y vont en famille, en sortie du dimanche.  Pourquoi tout ce CIRQUE ?

Et comme partout la campagne vaccinale s’accompagne d’une remontée des décès…

Beatrice Mahler, directrice de l’hôpital Marius Nasta de Bucarest dit que près de 3,6 millions de Roumains ont reçu au moins une dose de vaccin contre le coronavirus dans ce pays de 19 millions d’habitants qui veut franchir le cap des 5 millions de vaccinés d’ici début juin.

Pourquoi ? Au nom de qui ? Sous la pression de qui ? Au moins on connaît le montant des motivations [5] de Stella Kirikiades, la ministre de la Santé chypriote de l’Union européenne qui a signé les contrats des vaccins covid avec les entreprises pharma et dont le compte bancaire privé a depuis été crédité de 4 millions d’euros

Nicole Delépine


[1] Vaccination : Les Roumains se font piquer au « château de Dracula » (msn.com)

[2] Bientôt 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires susceptibles d’être liés aux « vaccins » contre la Covid-19 (reseauinternational.net)
En date du 27.04.21, selon le site officiel européen European Medicines Agency / EudraVigilance, on atteint déjà presque 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires, tous susceptibles d’être liés aux « vaccins » anti-Covid-19, pour la seule Union européenne (sans la Grande-Bretagne).

[3] Faut-il se faire vacciner ? À trancher sur les faits objectifs ! | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

[4] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/

[5] https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/