Le culte de la virologie – Documentaire

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

“Le culte de la virologie, 150 ans de fraudes médicales de Pasteur au Covid-19” est un documentaire retraçant l’histoire de la théorie des germes jusqu’aux techniques de la virologie moderne.

Sont abordées en détail les méthodes et techniques frauduleuses que les scientifiques ont utilisés pour créer de toutes pièces un scénario d’épidémie catastrophe ayant plongé le monde dans une hystérie massive jamais vue auparavant.
Il est abordé par le biais de différents intervenants tels que le Dr. Stefan Lanka, le Dr. Andrew Kaufman, le Dr. Robert O. Young, le Dr. Thomas Cowan, le nutritionniste Jeff Green et le Dr. Alain Scohy les différentes failles dans le scénario présenté par les médias et experts en tous genre.

L’isolement des virus, les tests PCR, le séquençage nouvelle génération, la bio-informatique, les mutants, la théorie des germes, les processus de contagion, la vaccination et l’origine véritable du fameux “SARS-CoV-2” n’auront plus de secrets pour vous après ce visionnage.



Sous-titres et adaptation par https://cv19.fr

Sources :

[Voir aussi :
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
La théorie des exosomes contre celle des virus
Vaccins: le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
5G, virus et covid-19]




Les emails de Fauci confirment la manipulation du coronacircus !

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Le scoop du jour : les emails d’Anthony Fauci, le Mr Santé des USA, révèlent la supercherie du coronacircus

En attendant que les TV françaises se réveillent et au passage ouvrent des yeux encore fermés de trop nombreux citoyens sur le drame des pseudo-vaccins et « sauvent des vies » en évitant que des parents soumis acceptent de les vacciner (et prendre des risques majeurs tant dans l’immédiat que pour le futur), réjouissons-nous sur le nouveau feuilleton de l’année, le faucileaks.(([1] https://assets.documentcloud.org/documents/20793561/leopold-nih-foia-anthony-fauci-emails.pdf))

Et attendons impatiemment les épisodes suivants. Pas encore le caviar dit Olivier D., mais ça vient.(([2] Fauci Files : au menu caviar et petits fours | Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie (wordpress.com) )) Remontons-nous le moral ! Il était temps.

Pas évident de savoir pourquoi ces emails sont lâchés dans la nature maintenant, par qui et pourquoi, mais il semble bien que le vieux Mr Fauci soit bien un fusible et en tous cas que son sort soit fixé à brève échéance.

Le Dr Fauci est le conseiller médical de longue date de la haute administration américaine. Conseiller du Président Trump avec lequel il y eu beaucoup de divergences, il resta naturellement le conseiller du nouveau Président, Biden.

Fauci est donc le numéro UN de la santé aux USA. C’est dire l’importance de ces révélations à un moment où le scénario du coronacircus se fissure. L’existence de preuves incontestables de la manipulation mondiale dirigée par quelques-uns est capitale pour faire cesser enfin cette mascarade qui a déjà coûté tant de vies, en particulier par les mesures sanitaires complètement disproportionnées que ce mini-groupe adossé aux milliardaires via l’OMS et le forum de Davos a imposées dans une grande partie des pays occidentaux. L’Asie et l’Afrique ont été relativement épargnées par une moindre obéissance aux ordres de Davos et du FMI.

Comme souvent depuis le début de la crise, le journaliste André Bercoff révèle sur Sud Radio ce jour 4 juin, cette saga de l’histoire du coronacircus vue à travers les emails de Fauci ! Ils sont mis en lumière grâce à une liberté aux USA disparue en France. Grace au Freedom of information act aux USA qui a dévoilé 3 000 pages de mails du Mister Santé des USA avec ses correspondants. Richard Boutry appelle à ce que la vérité éclate !



Selon Olivier :

« Le fait fondamental est qu’il ne s’agit pas d’une “fuite“… France-Soir commet une faute importante en parlant de “fuite“. Mais de la communication officielle de documents, menée par un organe officiel qui en amont a procédé à une censure en bonne et due forme, dans le cadre d’une loi officielle (Freedom of Information Act). J’ajoute que caviarder est une chose… il est encore plus facile de faire disparaître purement et simplement un email.

Car ces messages, entre janvier et juin 2020… sont une sélection ! Absolument pas toute la correspondance de Fauci durant cette période ».(([1] https://assets.documentcloud.org/documents/20793561/leopold-nih-foia-anthony-fauci-emails.pdf))

Fauci répète mail après mail que les asymptomatiques ne sont pas à risque, ne peuvent pas transmettre. Les masques sont uniquement pour les gens infectés.  Mais en pratique il va les imposer. Et ainsi de suite.

Et nous ne sommes pas en reste. Déjà sans que tous les mails ne soient défrichés, notre M. Conseil scientifique est concerné. Formidable !

Le Pr Delfraissy le 25 mars 2021 explique dans un mail à son collègue le Dr Fauci « qu’il y a un léger signal positif pour l’hydroxychloroquine. (..) mais qu’il fait face à une énorme pression politique pour autoriser l’hydroxychloroquine, mais ne cède pas ». Trop beau de disposer de ces affirmations entre privés (le Dr Fauci, Mr vaccin américain, et M. Delfraissy, M. vaccin français).

À croire que les USA sont encore une vraie démocratie contrairement à notre pays et que l’élection volée de Trump, même reconnue par Biden, laisse des traces et entraîne des remous majeurs.

Le Pr Didier Raoult interviewé ce jour par André Bercoff sur Sud radio fait rapidement remarquer pourquoi il ne pouvait pas travailler avec des gens comme cela, les décisions prises ne résultant pas d’une discussion scientifique, le Conseil scientifique lui apparaissant plus comme un Conseil des copains. En ce qui concerne par exemple les essais, il n’a même pas été consulté sur le bras hydroxychloroquine, alors qu’il avait en France la plus grande expérience sur ce sujet. Il a renoncé à participer à ce Conseil, car il refuse d’être une marionnette. Il pense qu’on ne pourra pas faire l’économie de la mise en cause des raisons pour lesquelles le Lancet Gate a trompé le monde et poursuivre les gens qui ont imposé le Remdésivir qu’on savait inefficace et toxique, en collusion avec Gilead qui a subventionné les prix de la recherche remis cette année à des médecins corrompus. On ne pourra pas faire l’économie de la mise à plat de la corruption universitaire.

Fauci a menti, on le savait bien sûr, mais maintenant c’est révélé sur les chaînes de télé américaines. Il a menti devant le Sénat, ce qui habituellement aux USA est mal vécu et habituellement lourdement condamné. On verra si le cirque coronavirus depuis 18 mois a changé les mentalités même aux USA…


Watch the latest video at foxnews.com

Cette vidéo est excellente : ici est apportée la preuve qu’il savait que le Sars-cov2 n’avait pas sauté la barrière des espèces, mais il a menti sous serment en affirmant le contraire. Il a menti sur les masques, l’immunité naturelle, les vaccins. Et à la fin, le lien avec Gates est souligné.

Tucker Carlson n’a pas insisté, mais entre les minutes 4 : 30 et 4 : 40, on voit apparaître en copie d’un mail le nom de Christian Drosten, le conseiller santé de Mme Merkel, grand manitou de la politique sanitaire allemande et, de fait, européenne, homme douteux dont la thèse [de Doctorat] est difficile à trouver, mais qui a su imposer à la terre entière les fameux tests PCR fallacieux, mais toujours omniprésents dans notre quotidien pour la moindre réunion sportive ou autre voyage.

Il est aussi à l’origine du mensonge majeur sur la prétendue contagiosité des porteurs asymptomatiques de la Covid et tout ce qui s’en est ensuivi : les masques, les quarantaines de bien-portants surnommés asymptomatiques, etc.

Fauci, Gates, Drosten : acteurs majeurs de la pandémie et tous mis en cause ici.

Cette vidéo de Fox news par T Carlson sur Fauci est créditée d’un million de vues. Il est bien difficile à ce jour de tirer des conclusions claires de cette entreprise de transparence, car comme dit Olivier D. :

« La NSA est capable d’écouter un pet de mouche à des milliers de km dans un bunker enterré… Alors trafiquer des emails ? En supprimer ?

Je rappelle qu’aux États-Unis, les services de renseignement n’hésitent pas à monter des dossiers de toute pièce, même des faux (exemple le Russiagate sous Trump), y compris les trucs les plus farfelus le tout ensuite repris par tous les médias et les politiciens des États-Unis, sans oublier des institutions (comme le FBI)…

Bref, on a bien voulu publier… ce qu’on a bien voulu publier, avec un ou des objectifs précis. Mais il est naïf de croire que l’administration américaine laisserait passer des éléments réellement compromettants.

C’est pourquoi je revendique un certain scepticisme face à ce genre de communication officielle…

On mesure le gouffre entre les Faucifiles et les révélations par exemple de Snowden… basées elles sur des véritables fuites, pas du tout contrôlées ! Il n’y a semble-t-il aucune preuve irréfutable …

On a simplement la confirmation qu’il a menti, souvent »

Relativisons, pourquoi pas, mais il semble bien que ce feuilleton ne fasse que commencer et nous tienne en haleine un certain temps. Pourquoi pas un « plus belle la vie » ? À moins que le grand Soleil n’apparaisse à nouveau ?

Nicole Delépine





Comment les médias ont perverti nos âmes…

[Source : zonefr.com]

Eric Montana

Par Eric Montana

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Pour faire face à la désinformation et à la manipulation de l’opinion publique par les médias mainstream, Mediazone va proposer dans quelques semaines, un tour d’horizon hebdomadaire de l’information traitée par ces organes de propagande, pour permettre aux citoyens trop confiants d’appréhender la réalité médiatique avec un regard neuf.

Nous le ferons en vidéo-streaming sur Rumble et sur VK qui sont les dernières plateformes où la censure ne s’abat pas comme sur Facebook ou Youtube trop impliqués et trop compromis dans l’opération Covid.

Cette opération Covid a permis de prendre conscience que le monde dans lequel on nous fait vivre ou survivre est une matrice viciée où la démocratie n’est qu’une illusion, la classe politique dans son ensemble surtout préoccupée par ses propres intérêts, ses avantages et ses privilèges, les médias censés nous informer sont surtout des outils de manipulation et de conditionnement, la médecine surtout composée de prescripteurs de médicaments plutôt que par de vrais médecins soignants, l’industrie agro-alimentaire prospère grâce aux colorants, aux adjuvants, aux conservateurs et autres produits chimiques faisant de nous des gens en mauvaise santé, l’industrie pharmaceutique nous achève à petits feux, l’Éducation Nationale ne produit plus que des esprits formatés pour devenir de simples outils de production de richesses au profit de l’élite, les loisirs et le divertissement servent surtout à nous dépraver le corps et l’esprit et la boucle est bouclée.

Au fond quand on examine la vie quotidienne d’un être humain dans le monde capitaliste, elle se résume à peu de choses : manger, dormir, travailler quand on a la chance d’avoir un emploi, puis remplir le reste du temps du mieux qu’on peut en allant au restaurant, au concert, en boite, au cinéma ou en week-end à Deauville quand on a un peu de moyens.

Les jours passent, ils se ressemblent tous, ils sont souvent tristes et monotones et pour compenser le vide que l’on ressent à l’intérieur de soi, on utilise l’alcool pour s’enivrer, la fumette pour s’évader ou les tranquillisants pour éviter de regarder la réalité en face… En gros et en résumé, voilà comment on vit sa vie aujourd’hui… On en fait vite le tour…

Et c’est ainsi que beaucoup bossent pour rembourser le crédit sur la maison, la voiture, le frigo, la machine à laver, la télé pensant que c’est dans un semblant de confort matériel qu’on trouve le bonheur. La consommation devient le rite hebdomadaire, les courses dans les grandes surfaces et l’ivresse de s’extasier devant tout ce qu’on ne peut pas s’offrir mais qui devient source de désirs…

La vie passe comme un souffle et on se retrouve à 60 ans en se disant : « Mais qu’ai-je fait de ma vie ? Tout ça pour ça ? »

Et oui, on rêvait d’une autre vie, on rêvait de voyager, on rêvait de découvrir le monde, on rêvait d’apprendre et se cultiver, on rêvait d’entreprendre et de réaliser, on rêvait d’un bonheur idyllique et on ne l’a jamais trouvé. On passe d’une femme ou d’un homme à un autre, espérant qu’on trouvera toujours mieux pour finalement tomber sur toujours pire…

Nous passons à côté de la vraie vie, à côté de l’essentiel sans s’en rendre compte parce que nos cerveaux sont embrumés, pollués par la superficialité, déconnectés de la réalité. Et tous ensemble, nous finissons par fabriquer une société humaine déjantée, violente, pervertie loin, très loin des vraies valeurs de la vie. Nous devenons des bateaux ivres au milieu des tempêtes, incapables de nous diriger car nous n’avons pas de boussole, même plus la boussole spirituelle, celle qui permet de savoir avec précision quand on fait le bien et quand on fait le mal.

Le monde dans lequel on nous fait vivre produit bien plus de gens malheureux qu’heureux. Tout est dévoyé. L’amour devient un objet de consommation courante dont on se lasse pour une raison ou pour une autre, les valeurs qui régnaient au sein de la famille sont remplacées par la mode que nous inflige la télé réalité, chacun pour soi et Dieu pour tous et les vaches seront bien gardées.

Les médias ont une lourde responsabilité dans la dégénérescence de l’humanité. Ils sont le mensonge érigé en vérité, le vice érigé en vertu, la corruption des esprits est banalisée, l’adultère encouragé, la légèreté célébrée, la perversion partagée et nous croyons être des gens civilisés…

Si j’osais, je dirais que la télévision est l’arme la plus sophistiquée du Diable et ses serviteurs, une armée de démons…

Ce décryptage de l’actualité médiatique aura pour objectif de déshabiller cette perversion pour la faire apparaître dans toute sa laideur. Car comme pour un homme ou pour une femme, ce n’est pas l’apparence ou la beauté physique qui définit la qualité d’un être humain, mais la profondeur, la droiture et la noblesse de son âme…

En projetant sur nous sa propre image, la télévision a perverti nos âmes…
Il est temps d’en prendre conscience et de guérir…




Bilan de la vaccination en France au 4 juin 2021

Par Gérard Delépine

[Illustration : © Crédit photo : Archives AFP / Capture SO]

Une propagande sans précédent répétée depuis des mois conditionne les Français à se faire « vacciner » par des médicaments expérimentaux qui ne sont pas de réels vaccins (ils ne contiennent pas d’antigènes, mais un code génétique censé stimuler la création d’anticorps). Cette propagande répète sans arrêt que l’épidémie ne sera pas vaincue tant que la couverture vaccinale ne dépassera pas les 70 % et tant que les enfants ne seront pas vaccinés. Et que nos libertés inutilement confisquées ne nous seront pas rendues avant.

Cette propagande totalement mensongère ne vise qu’à faire injecter les tonnes de vaccin achetées par nos gouvernants qui risquent de leur rester sur les bras comme les vaccins H1N1 de Mme Bachelot en 2009.

Quelle est réellement la situation vaccinale en France ?

Depuis le début de la campagne de vaccination, 26 583 112 personnes ont reçu au moins une injection (soit 39,7 % de la population totale) et 11 452 053 personnes ont reçu deux injections (soit 17,1 % de la population totale et 21,8 % de la population majeure). D’après les apôtres de la vaccination, cette couverture vaccinale est totalement insuffisante pour prétendre agir sur le cours de l’épidémie. (Chiffres officiels du ministère de la Santé.

Comment évolue l’épidémie en France ?

Mais depuis deux mois l’épidémie s’éteint avec un nombre de nouvelles contaminations quotidiennes en chute libre (diminution de 80 % entre début avril et fin mai 2021.

Cette chute des contaminations journalières déclarées à l’OMS est confirmée par le réseau Sentinelle : en semaine 21 (celle du 24 mai 2021), le taux d’incidence des cas de COVID-19 vus en consultation de médecine générale a été estimé à 5 cas pour 100 000 habitants.

Rappelons qu’en 2016, le seuil épidémique des syndromes grippaux était de 173 cas pour 100.000 habitants et celui de la diarrhée aiguë (gastro-entérite) était de 194 cas pour 100.000 habitants.

En France, l’épidémie de Covid est donc terminée depuis plus de 2 mois. Cette évolution spontanément régressive évoque celle des grippes saisonnières. Il est scandaleux que ces bonnes nouvelles ne fassent pas la une des médias, car elles permettraient à la population de reprendre confiance en l’avenir. Et de libérer enfin le pays de toutes les contraintes sans intérêt sanitaire qui briment encore la population alors que la quasi-totalité des États américains s’en sont débarrassées, sans qu’aucune reprise des contaminations n’ait été observée.

Cette disparition de l’épidémie en France ne peut en aucun cas être attribuée à la vaccination, car, quand elle a commencé, début avril, moins de 7 % de la population était complètement vaccinée.

Qu’en est-il aux USA ?

Ce recul spontané de l’épidémie est également observé aux USA depuis début janvier, date à laquelle moins de 3 % de la population avaient reçu deux doses

Comment évolue l’épidémie en Europe ?

Dans la plupart des pays européens (vaccinés ou pas) le nombre de nouvelles contaminations journalières s’effondre depuis avril avec une chute de 85 % en deux mois

Cette régression spontanée de l’épidémie dans les pays durement touchés a partout précédé la vaccination démontrant que l’hypothèse « pas de fin du Covid19 sans vaccination » n’était qu’un slogan publicitaire des marchands de vaccins.

Une couverture vaccinale élevée protège -t-elle les populations ?

Les avocats de la vaccination prétendent constamment qu’une couverture vaccinale supérieure à 70 % protège les populations de la maladie. Examinons les faits avérés.

À ce jour, seuls deux petits pays ont obtenu une couverture vaccinale supérieure à 70 % : les Seychelles et Gibraltar. Et dans ces deux pays, les statistiques de l’OMS montrent que la vaccination a été suivie par une explosion des cas et de la mortalité.

Gibraltar (34000 habitants) a commencé la vaccination en décembre alors que l’agence sanitaire locale recensait seulement 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair et très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations et de morts a explosé (passant à 95 morts).

La couverture vaccinale idéale, rêvée par les avocats de la vaccination n’a donc abouti dans ce pays qu’à une cuisante déconvenue alors que la situation sanitaire ne la justifiait en rien. Mais les autorités sanitaires responsables de ce désastre, pour éviter toute mise en cause, jurent que la vaccination n’est pas responsable.

Les Seychelles

Le tourisme constitue la principale ressource (environ 72 % du PIB et employant plus de 30 % de la population) de ce petit état africain qui compte à peu près 100000 habitants. Fin décembre, le pays comptait moins de 500 cas confirmés sans aucun mort, mais la fermeture des liaisons aériennes et l’hystérie mondiale de l’infection menaçaient la prochaine saison touristique.

Pour sauver sa prochaine saison touristique et rassurer ses clients potentiels, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population. L’Inde et la Chine lui ont fait cadeau de plus de 120000 doses qui ont été administrées à partir du 11 janvier 2021. Le 5 mai il est devenu le premier pays africain à se vacciner et l’un des pays les plus vaccinés au monde avec une couverture vaccinale supérieure à 70 %.

Mais depuis les Seychelles font face à une hausse considérable des cas de coronavirus avec des pics de 1000 cas journaliers plusieurs jours de suite mi-mai, conduisant ainsi le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars, les casinos.

Au 3 juin, en cinq mois post vaccinaux, les Seychelles comptabilisent 42 morts de covid.

Un phénomène semblable a été observé sur l’ile de Man

Une couverture vaccinale de plus de 70 % installée depuis plusieurs mois ne protège donc pas de la propagation de la maladie contrairement à ce qu’affirment constamment les médias et les promoteurs de la vaccination !

Les faits avérés montrent :

Que l’épidémie est en voie de disparition en France, en Europe et aux USA.

Que les vaccinations étaient à chaque fois trop rares et trop récentes pour avoir participé à l’extinction de la maladie

Que les pays qui ont dépassé les 70 % de couverture vaccinale ne sont pas protégés

Alors pourquoi vouloir imposer un traitement expérimental pour une épidémie en voie de disparition alors que ces pseudo vaccins sont incapables d’empêcher les contaminations et qu’ils exposent à de nombreuses complications ?




Pour le Dr Fauci, ce sera la chaise électrique ou la lapidation ?

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Bon. Je vais essayer de rester calme pour aborder ce nouvel épisode de « l’opération Covid« . Mais je vous le dis, je suis au bord de la plus grande explosion de colère de ma vie.

Depuis le début de cette fausse pandémie j’affirme que nous sommes dans le cadre d’une opération criminelle et en aucun cas dans un problème de santé. Et si il y a maintenant de graves conséquences sur la santé, elles ne sont que le résultat de cette opération criminelle que je dénonce depuis le début. Relisez tous les articles publiés sur Médiazone depuis mon arrivée à la direction de la rédaction, et vous verrez que je me suis employé à faire ce qu’un journaliste et un homme intègre doit faire : dire la vérité.

Je ne vais pas faire l’historique ici, il me faudrait des heures pour résumer tout ce que j’ai écrit.

Mais la première chose que je veux dire c’est que le prochain qui me traite de complotiste je le renvoie chez sa mère en petits morceaux, car être stupide au point de ne pas avoir compris que cette « opération Covid » est criminelle, dépasse mon entendement. Il y a tellement d’éléments qui le prouvent, tellement de preuves qui le démontrent qu’il faut vraiment avoir le cerveau d’un mollusque (pardon pour les mollusques) pour ne pas s’en rendre compte. Un enfant de 5 ans l’aurait déjà cernée !

[Ndlr : de nombreux articles publiés sur Nouveau Monde tendent à démontrer ceci comme étant très probable. Voir notamment :
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Preuves que la pandémie a été planifiée ?
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID-19
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Le bon virus au bon moment
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Après le confinement: Un programme mondial de vaccination contre le coronavirus…
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Programme caché derrière la vaccination contre la Covid-19 ?
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]COVID-19: les plans secrets du Pentagone et le Canada]

Que mes confrères qui me disaient que je vois le mal partout, que je sombre dans la folie, que je ne suis pas crédible malgré tous les éléments que je leur ai mis sous le nez, disparaissent à jamais de ma vie et de ma liste « d’amis » !

Avoir des « amis » aussi cons me déshonore, m’afflige et me met en colère. J’ai perdu trop de temps à espérer un éclair de lucidité et d’honnêteté de leur part. J’aurais du méditer ce proverbe ; »Dis-moi qui sont tes amis et je te dirai qui tu es. » Et j’avoue que j’avais parmi mes « amis » un certain nombre de confrères aveugles, stupides et incompétents.

Ils sont à jamais rayés de mon répertoire car avoir déployé autant d’efforts pour leur faire comprendre que le gouvernement ment, que les experts scientifiques ont trop de conflits d’intérêts avec les labos pour être honnêtes, que l’OMS est une organisation privée soumise à Bill Gates qui en est le plus gros financier, que le Dr Fauci est une ordure de la pire espèce puisqu’il a investi son argent personnel dans « les gains de fonction » destinés à rendre le virus plus dangereux pour la santé humaine, — ce qui nous avait été révélé par notre ami Patrick Jaulent ex responsable de la cyber-sécurité de Wall Street, — que les médias ont pour mission d’alimenter la peur en désinformant et manipulant l’opinion publique avec des chiffres de contaminés truqués et exagérés, que les réseaux sociaux américains comme FacebookYoutubeTwitter sont complices de ce crime, et voir ces journalopes continuer à déshonorer la profession, et répéter tels des perroquets dressés, tous les mensonges de ceux qui sont censés nous protéger, nous informer et nous soigner, me fait penser que ces gens ne sont pas des journalistes mais de simples instruments de désinformation et de manipulation. Qu’ils restent loin de moi, car même les tardives excuses de quelques-uns me laissent de marbre. J’ai honte pour eux !

Ceci étant dit, venons-en à l’essentiel. La divulgation en vertu du Freedom Information Act d’une partie des emails de cet assassin de Fauci, confirme tout ce que nous sommes un certain nombre à affirmer depuis le début de cette fausse pandémie, destinée à nous faire accepter l’inacceptable : une campagne de vaccination mondiale avec un faux vaccin provoquant plus de morts que le virus qu’il est censé combattre. Une folieune hérésieune insulte à notre intelligence.

Nous le constatons, tous les pays fiers d’annoncer que la vaccination était un « succès« , qu’ils étaient parmi ceux qui vaccinaient le plus, sont aujourd’hui ceux qui enregistrent une explosion du Covid et de ses variants, un nombre alarmant de morts et des effets secondaires tragiques puisque certains voient leurs vies détruites à jamais. Bravo.

Aujourd’hui nous découvrons que le Professeur Luc Montagnier traîné dans la boue par ces médias de merde, disait la vérité, que la généticienne Alexandra Henrion-Caude avait raison de confirmer la thèse du Prix Nobel de Médecine au sujet du séquençage et de la modification génétique d’origine humaine, avec des cellules de VIH et de malaria, que le Dr Raoult avait lui aussi raison de préconiser et d’utiliser l’hydroxychloroquine qui réduit à néant la charge virale au bout de 5 jours, que le masque — même selon ce criminel de Dr Fauci — est totalement inutile, que ce sont désormais les personnes vaccinées qui sont les principaux propagateurs du virus, qu’elles vont mourir dans un temps plus ou moins bref, que toutes les mesures qui nous ont été imposées par notre gouvernement ont favorisée la contamination plutôt que la combattre, que si les hôpitaux sont débordés c’est parce que ce gouvernement d’assassins ferme des unités de soins et diminue les lits, que ce virus a bien été utilisé pour supprimer nos libertés, que nous sommes bien dans le cadre d’un crime contre l’humanité qui mobilise plus de 1000 avocats et plus de 10.000 médecins, virologues, microbiologistes pour le démontrer, et qu’il est temps que les responsables de cet immense chaos soient arrêtés, jugés et condamnés comme ils le méritent !

Nos confrères de BuzzFeed publient un dossier complet que je vous suggère fortement de regarder, car vous verrez que la thèse criminelle est désormais une évidence. Nos confrères de Intelligence Artificielle et Transhumanisme publient une version en français et vous n’aurez donc plus aucune excuse si vous préférez rester dans l’ignorance et vous nourrir des mensonges de la télé.

Les e-mails de Fauci font la Une aujourd’hui. BuzzFeed a publié 3 200 pages d’e-mails. Les mails ont été obtenus en vertu de la Freedom of Information Act (FOIA) et démontrent que Anthony Fauci nous ment depuis le début !

Plus de 3 200 pages d’e-mails obtenues dans le cadre d’une action en justice au titre de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act) déposée par BuzzFeed News — couvrant la période de janvier à juin 2020 — offrent un rare aperçu de la manière dont Fauci abordait son travail pendant la plus grande crise sanitaire, le montrant en train de traiter directement avec le public, les responsables de santé, les journalistes et même les célébrités. Le Washington Post a également reçu plus de 800 pages d’e-mails et a publié un article.

Ces milliers de pages montrent comment Fauci a tenté de calmer et de manipuler les Américains et de développer une stratégie.

Dans The Guardian, parmi les courriels les plus révélateurs figurent ceux provenant de correspondants fortunés ou influents.

Dans l’un d’eux, daté du 3 avril de l’année dernière, Fauci évoque une conversation avec le fondateur de MicrosoftBill Gates, au sujet d’un effort mondial de vaccination et s’est dit “enthousiaste à l’idée d’aller de l’avant dans une “approche collaborative et, espérons-le, synergique concernant le Covid-19” impliquant les agences de santé fédérales et la Fondation Bill et Melinda Gates, selon les courriels.

Il y a également des échanges de courriels avec le fondateur de FacebookMark Zuckerberg, au sujet de la création d’un centre d’information sur le coronavirus sur les médias sociaux, et un autre avec l’acteur Morgan Freeman qui propose de diffuser le message Covid-19 à ses 100 000 followers sur Twitter.

Les courriels montrent également que Fauci a reçu une rafale de correspondance indiquant que le coronavirus avait fui d’un laboratoire de Wuhan. Les réponses de Fauci sont censurées.

Dans The National Pulse on découvre que le Dr Anthony Fauci — qui a nié à plusieurs reprises avoir participé à des recherches sur les “gains de fonction” (militarisation des virus) — a envoyé des mails de panique aux membres du personnel du National Institutes for Allergies and Infectious Disease (NIAID) au début de la pandémie.

L’article académique joint à l’e-mail s’intitule : A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence. Il y est question de la manière dont des chercheurs américains et chinois manipulent les virus pour mieux comprendre comment ils peuvent s’attacher aux humains.

Selon le National Institute for Health , « la recherche sur le gain de fonction (GOF) peut présenter des risques en matière de biosécurité et de biosûreté.« 

Ça confirme l’explication du Pr Montagnier et de Henrion-Caude.

La pandémie a été utilisée comme prétexte pour abolir les libertés selon l’ONU

The Insider Paper sur le FOIA #FauciEmails twitt également :

  • Il a eu des discussions urgentes sur le gain de fonction.
  • A ignoré le scientifique qui lui a dit que la Chine avait menti sur le virus et les données.
  • A été informé d’une possible fuite du laboratoire de Wuhan.
  • On lui a dit par courriel que les masques de détail ne fonctionnaient pas en raison de la taille du virus.

Un autre qui indique que le Dr Fauci a animé un groupe de discussion sur le gain de fonction.

Les premiers #FauciEmails montrent que l’on est conscient du risque d’aggravation de la maladie après la vaccination par le COVID, comme cela a été le cas pour les candidats vaccins contre le SRAS.

Dans un email que le physicien Erik Nielsen a envoyé à Fauci en mars 2020, il a recommandé non pas un, mais deux médicaments qui pourraient aider à combattre le #COVID19. L’un des médicaments était l’Hydroxychloroquine.

Selon Fauci, les masques ne sont pas nécessaires à moins d’être malade et il fait remarquer que le SARS CoV 2 est si petit qu’il passe facilement entre les fibres des masques.

Beaucoup d’américains sont en colères et ne comprennent pas pourquoi certains des #FauciEmails sont dissimulés par la plupart des médias. En effet, nous ne retrouvons aucun des e-mails dignes d’intérêt dans les comptes rendus des médias (sauf National Pulse cité plus haut) et ils n’ont même pas pris la peine de faire une enquête plus poussée.

Le référentiel complet des e-mails peut être trouvé et lu ici.

Et en complément d’infos, les mensonges de Fauci devant le Sénat américain !

Source : BuzzFeed & IATranshumanisme

Robert F. Kennedy explique le crime de Fauci, de Gates et de Buzyn







« La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme » déclare le Pr Bridle. MàJ

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

« Nous avons fait une erreur ». Dans une interview récente avec la journaliste Alex Pierson, le professeur Byram Bridle, spécialiste en immunologie virale, déclare que ces nouvelles recherches et travaux l’ont mené à faire des découvertes importantes sur le virus et en particulier la protéine Spike. Cette protéine est celle qui a fait l’objet de nombreux travaux notamment sur les vaccins à ARN messagers. Dans le cadre de son interview, le professeur Bridle prend les devants pour expliquer les éléments de sa découverte ainsi que les conséquences notamment pour la vaccination en cours…

Byram Bridle, canadien, est un immunologiste viral passionné par l’amélioration de la vie grâce à deux voies de recherche (1) la conception et à l’optimisation de nouvelles biothérapies pour le traitement des cancers et (2) sur l’étude des réponses de l’hôte aux virus et autres stimuli inflammatoires. closevolume_off

Il est donc tout à fait normal que dans le cadre de ses travaux, il se soit penché sur le coronavirus et il déclare :

« Jusqu’à récemment, nous n’avions jamais pensé que les protéines Spike pouvaient être toxiques ! Les vaccins ARNm qui ont été testés pour la première fois sur des animaux et dont les études n’ont jamais été rendues publiques, montrent que les nanoparticules d’ARNm ne restent pas localement au site de ponction dans le tissu musculaire, comme supposé et revendiqué par les fabricants, mais vont dans les organes à des concentrations parfois dramatiques, où ils sont transférés de cellules en cellules et absorbés en continu. »

Les chercheurs du groupe du Pr Bridle ont donc découvert que la protéine Spike du vaccin est une toxine et crée des dommages cardio-vasculaires (le coronavirus a une protéine Spike qui permet d’entrer dans le corps). On croyait que l’injection dans l’épaule restait localisée. Mais une étude a observé où va la protéine après : dans le sang, s’accumule dans le foie, les ovaires. C’est pourquoi on l’utilise en thérapie génique vaccinale, on la fabrique, notre système la détecte et se défend contre elle, en théorie.

En pratique, on a découvert que la protéine pose problème : 13 jeunes ont reçu la thérapie génique Moderna et on a observé que la protéine Spike est passée dans leur sang chez 11 des 13 jeunes. En passant dans le sang, elle peut se lier aux récepteurs de nos plaquettes pouvant provoquer coagulation, caillots, problème neurologique. Ce qui explique tous les effets secondaires graves que l’on a pu observer (thromboses et autres caillots).

Ses travaux le mènent à conclure :

« Nous avons fait une erreur. La protéine de pointe est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme. Il est même transmis par le lait maternel aux enfants allaités ». »

La vidéo de l’interview avec les sous-titres : [sous-titrage en français par ivermectine-covid.ch]

https://videas.fr/embed/b6543e41-ed5a-4233-ae9a-0ae37e6d96fb/

L’étude est publiée et en cours d’évaluation par les pairs. La voici : étude (PDF)

En réaction à cette recherche, le Professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine déclare : 

Au nom du principe de précaution: Il faut arrêter immédiatement toutes vaccinations Covid-19 utilisant la protéine Spike.

Un article du site LifeSiteNews a documenté cela en détail, traduit ci-après : 

Une nouvelle recherche terrifiante révèle de manière inattendue un pic de protéine du vaccin dans la circulation sanguine. La protéine est liée aux caillots sanguins, aux lésions cardiaques et cérébrales et aux risques potentiels pour les bébés allaités et la fertilité. Cette recherche montre que la protéine de pointe de coronavirus de la vaccination COVID-19 pénètre de manière inattendue dans la circulation sanguine, ce qui est une explication plausible pour des milliers d’effets secondaires signalés des caillots sanguins et des maladies cardiaques aux lésions cérébrales et aux problèmes de reproduction , a déclaré la semaine dernière un chercheur canadien sur les vaccins contre le cancer.

Bridle, chercheur en vaccins ayant reçu une subvention gouvernementale de 230000 dollars en 2020 pour la recherche sur les vaccins COVID, a déclaré que son groupe de scientifiques internationaux avaient déposé une demande d’informations auprès de l’agence de réglementation japonaise pour avoir accès à ce qu’on appelle l ‘« étude sur la biodistribution . »

« C’est la toute première fois que des scientifiques découvrent où vont ces vaccins à ARN messager [ARNm] après la vaccination », a déclaré Bridle. « Est-ce une hypothèse sûre qu’il reste dans le muscle de l’épaule? La réponse courte est: absolument pas. C’est très déconcertant. »

Les chercheurs avaient fait l’hypothèse que les nouveaux vaccins à ARNm COVID se comporteraient comme des vaccins traditionnels et que la protéine de pointe du vaccin – responsable de l’infection et de ses symptômes les plus graves – resterait principalement dans le site de vaccination au niveau du muscle de l’épaule. Au lieu de cela, les données japonaises ont montré que la tristement célèbre protéine de pointe du coronavirus pénètre dans le sang où elle circule pendant plusieurs jours après la vaccination, puis s’accumule dans les organes et les tissus, y compris la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et dans concentrations assez élevées dans les ovaires.

« Nous savons depuis longtemps que la protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Il peut causer des dommages à notre corps s’il entre en circulation », a déclaré Bridle.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 est ce qui lui permet d’infecter les cellules humaines. Les fabricants de vaccins ont choisi de cibler la protéine unique, permettant aux cellules de la personne vaccinée de fabriquer la protéine qui, en théorie, provoquerait alors une réponse immunitaire à la protéine, l’empêchant d’infecter les cellules.

Un grand nombre d’études a montré que les effets les plus graves du SRAS-CoV-2 (le virus responsable du COVID-19), tels que la coagulation sanguine et les saignements, sont dus aux effets de la protéine de pointe du virus lui-même.

« Ce qui a été découvert par la communauté scientifique, c’est que la protéine de pointe à elle seule est presque entièrement responsable des dommages au système cardiovasculaire, si elle entre en circulation », a déclaré Bridle aux auditeurs.

Les animaux de laboratoire injectés avec une protéine de pointe purifiée dans leur circulation sanguine ont développé des problèmes cardiovasculaires, et il a également été démontré que la protéine de pointe traversait la barrière hémato-encéphalique et causait des dommages au cerveau.

Une grave erreur, selon Bridle, était la croyance que la protéine de pointe ne s’échapperait pas dans la circulation sanguine. « Maintenant, nous avons des preuves claires que les vaccins qui fabriquent les cellules de nos muscles deltoïdes fabriquent cette protéine – que le vaccin lui-même, plus la protéine – entre dans la circulation sanguine », a-t-il déclaré.

Bridle a cité l’étude récente qui a détecté la protéine SARS-CoV-2 dans le plasma sanguin de 11 des 13 jeunes travailleurs de la santé qui avaient reçu le vaccin COVID-19 de Moderna, dont trois avec des niveaux détectables de protéine de pointe. Une protéine « sous-unité » appelée S1, faisant partie de la protéine de pointe, a également été détectée. La protéine de pointe a été détectée en moyenne 15 jours après la première injection. Un patient avait une protéine de pointe détectable au jour 29, un jour après une injection, qui a disparu deux jours plus tard. 

Effets sur le cœur et le cerveau

Une fois en circulation, la protéine de pointe peut se fixer à des récepteurs ACE2 spécifiques qui se trouvent sur les plaquettes sanguines et les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins. « Lorsque cela se produit, il peut faire l’une des deux choses suivantes : cela peut soit provoquer l’agglutination des plaquettes, ce qui peut conduire à la coagulation. C’est exactement pourquoi nous avons constaté des troubles de la coagulation associés à ces vaccins. Cela peut également entraîner des saignements. » Bridle a également déclaré que la protéine de pointe en circulation expliquerait les problèmes cardiaques récemment signalés chez les jeunes qui avaient reçu les injections.

« Les résultats de cette étude Pfizer qui a révélé la biodistribution de l’ARNm du vaccin ne sont pas surprenants, mais les implications sont terrifiantes », a déclaré Stephanie Seneff, chercheuse principale au Massachusetts Institute of Technology, à LifeSiteNews. Il est maintenant clair que le contenu du vaccin est administré à la rate et aux glandes, y compris les ovaires et les glandes surrénales. « La protéine de pointe libérée est rejetée dans le milieu, puis atteint finalement la circulation sanguine, causant des dommages systémiques. Les récepteurs ACE2 sont communs dans le cœur et le cerveau, et c’est ainsi que la protéine de pointe provoque des problèmes cardiovasculaires et cognitifs », a déclaré Seneff.

Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont récemment annoncé qu’ils étudiaient les rapports de maladies cardiaques bénignes suite à la vaccination COVID-19 et la semaine dernière, 18 adolescents dans l’état du Connecticut seul ont été hospitalisés pour des problèmes cardiaques qui se sont développés peu de temps après avoir pris Vaccins contre le Covid-19.

Le vaccin d’AstraZeneca a été interrompu dans un certain nombre de pays et n’est plus recommandé pour les jeunes en raison de son lien avec des caillots sanguins potentiellement mortels et mortels, mais les vaccins à ARNm COVID ont également été liés à des centaines de rapports d’ événements de coagulation sanguine .

La FDA a mis en garde contre le danger de la protéine Spike

Le rhumatologue pédiatrique J.Patrick Whelan avait averti un comité consultatif sur les vaccins de la Food and Drug Administration du potentiel problème de la protéine Spike dans les vaccins COVID de causer des dommages microvasculaires causant des dommages au foie, au cœur et au cerveau de manières qui n’ont pas été évaluées en les essais de sécurité.

Alors que Whelan n’a pas contesté la valeur d’un vaccin contre le coronavirus qui a fonctionné pour arrêter la transmission de la maladie (ce qu’aucun vaccin COVID en circulation n’a été démontré), a-t-il déclaré : souffrent de dommages durables ou même permanents à leur microvascularisation cérébrale ou cardiaque en raison de l’incapacité à apprécier à court terme un effet involontaire des vaccins à base de protéines de pointe complètes sur d’autres organes. »

Le pic de protéines associé au vaccin dans la circulation sanguine pourrait expliquer une myriade d’événements indésirables signalés par les vaccins COVID, y compris les 4000 décès à ce jour et près de 15000 hospitalisations, signalés au système de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS) du gouvernement américain au 21 mai 2021. Puisqu’il s’agit d’un système de notification passif, ces rapports ne sont probablement que la pointe de l’iceberg d’événements indésirables, car une étude de Harvard Pilgrim Healthcare a révélé que moins d’un pour cent des effets secondaires que les médecins devraient signaler chez les patients après la vaccination sont en fait rapportés. VAERS.

Bébés, enfants et adolescents qui allaitent, fragiles, les plus à risque

Bridle a déclaré que la découverte d’une protéine de pointe induite par le vaccin dans la circulation sanguine aurait des implications pour les programmes de don de sang. « Nous ne voulons pas de transfert de ces protéines de pointe pathogènes à des patients fragiles qui sont transfusés avec ce sang », a-t-il déclaré. Le scientifique a également déclaré que les résultats suggéraient que les bébés allaités dont les mères avaient été vaccinées risquaient d’obtenir des protéines de pointe COVID de son lait maternel. Bridle a ajouté que « toutes les protéines du sang se concentrent dans le lait maternel » et « nous avons trouvé des preuves de nourrissons allaités souffrant de troubles de la coagulation dans le tractus gastro-intestinal » dans VAERS.

Bien que Bridle ne l’ait pas cité, un rapport VAERS décrit un nourrisson de cinq mois allaité dont la mère a reçu une deuxième dose du vaccin Pfizer en mars. Le lendemain, le bébé a développé une éruption cutanée et est devenu inconsolable, a refusé d’allaiter et a développé une fièvre. Le rapport indique que le bébé a été hospitalisé avec un diagnostic de purpura thrombocytopénique thrombotique , une maladie sanguine rare dans laquelle des caillots sanguins se forment dans de petits vaisseaux sanguins dans tout le corps. Le bébé est mort.

La nouvelle recherche a également trouvée de graves implications pour les personnes pour qui le SRAS Coronavirus 2 n’est pas un agent pathogène à haut risque, et cela comprend tous nos enfants.

Effet sur la fertilité et la grossesse?

La forte concentration de protéines de pointe trouvée dans les testicules et les ovaires dans les données secrètes de Pfizer publiées par l’agence japonaise soulève également des questions. « Allons-nous rendre les jeunes stériles? » Bridle a demandé. Il y a eu des milliers de rapports de troubles menstruels par des femmes qui avaient pris un vaccin COVID-19, et des centaines de rapports de fausses couches chez des femmes enceintes vaccinées, ainsi que de troubles des organes reproducteurs chez les hommes.

Campagne de diffamation vicieuse

En réponse à une demande, Bridle a envoyé une déclaration à LifeSiteNews lundi matin, déclarant que depuis l’interview radio, il avait reçu des centaines de courriels positifs. Il a également ajouté qu ‘« une campagne de dénigrement vicieuse a été lancée contre moi. Cela comprenait la création d’un site Web diffamatoire en utilisant mon nom de domaine. »

« Tels sont les moments où un universitaire ne peut plus répondre aux questions légitimes des gens avec honnêteté et sur la base de la science sans craindre d’être harcelé et intimidé », a écrit Brindle. « Cependant, ce n’est pas dans ma nature de permettre que des faits scientifiques soient cachés au public.»

Il a joint un bref rapport décrivant les principales preuves scientifiques à l’appui de ce qu’il a dit lors de l’entrevue. Il a été rédigé avec ses collègues de la Canadian COVID Care Alliance (CCCA) – un groupe de médecins, scientifiques et professionnels canadiens indépendants dont le but déclaré est de fournir des informations factuelles de qualité supérieure sur le COVID-19, dans le but de réduire les hospitalisations. et sauver plus de vies.

Un point central de l’énoncé était le risque pour les enfants et les adolescents qui sont la cible des dernières stratégies de commercialisation des vaccins, y compris au Canada.

Au 28 mai 2021, il y avait eu 259 308 cas confirmés d’infection par le SRAS-CoV-2 chez les Canadiens de 19 ans et moins. Parmi ceux-ci, 0,048% ont été hospitalisés, mais seulement 0,004% sont décédés, selon le communiqué de l’ACCJE. La grippe saisonnière est associée à une maladie plus grave que le Covid-19.

Compte tenu du petit nombre de jeunes sujets de recherche dans les essais de vaccins de Pfizer et de la durée limitée des essais cliniques, le CCCA a déclaré que les questions sur la protéine de pointe et une autre protéine du vaccin doivent trouver une réponse avant que les enfants et les adolescents ne soient vaccinés, y compris si la protéine de pointe du vaccin traverse le barrière hémato-encéphalique, si la protéine de pointe du vaccin interfère avec la production de sperme ou l’ovulation, et si la protéine de pointe du vaccin traverse le placenta et affecte un bébé en développement ou se trouve dans le lait maternel.

LifeSiteNews a envoyé à l’Agence de la santé publique du Canada la déclaration de l’ACCJE et a demandé une réponse aux préoccupations de Bridle. L’agence a répondu qu’elle travaillait sur les questions, mais n’a pas envoyé de réponses avant l’heure de publication. 

Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson n’ont pas répondu aux questions sur les préoccupations de Bridle. Pfizer n’a pas répondu aux questions permettant d’établir depuis combien de temps l’entreprise était au courant des données de recherche, publiées par l’agence japonaise, montrant des pics de protéines dans les organes et les tissus des individus vaccinés.

À propos du Dr Bridle

Sur son site internet, le Dr Bridle est présenté comme un immunologiste virologue passionné par l’amélioration de la vie grâce à deux voies de recherche. Un des volets de son programme de recherche est dédié à la conception et à l’optimisation de nouvelles biothérapies pour le traitement des cancers. Le but de son équipe de recherche est d’exploiter la puissance naturelle du système immunitaire d’un patient pour éliminer ses propres cellules cancéreuses. Cela représente la thérapie personnalisée ultime et détient le potentiel de traiter les cancers plus efficacement, en toute sécurité et à moindre coût que les options actuelles. Le deuxième volet de son programme de recherche se concentre sur l’étude des réponses de l’hôte aux virus et autres stimuli inflammatoires. Cela a des implications pour le traitement des maladies infectieuses et des troubles induits par l’inflammation. Ces deux programmes ont été unifiés de manière unique. Le laboratoire Bridle exploite son expertise dans la fabrication de vaccins anticancéreux puissants et combine cela avec son intérêt pour l’immunité antivirale pour développer des vaccins pour se protéger contre les maladies infectieuses telles que celles causées par des coronavirus hautement pathogènes. Le mentorat de la prochaine génération de scientifiques canadiens est une responsabilité que le Dr Bridle prend très au sérieux. Il considère également comme un privilège d’enseigner aux étudiants des programmes de doctorat en médecine vétérinaire, des cycles supérieurs et du premier cycle de l’Université de Guelph.

Centre d’intérêts de recherche du laboratoire

Le programme de recherche du laboratoire Bridle comporte deux volets :

Le premier consiste à développer de nouvelles biothérapies hautement ciblées pour le traitement des cancers. Dans un effort pour tuer les cellules malignes avec un minimum de dommages des spectateurs aux tissus normaux, deux approches sont combinées: (a) l’immunothérapie anticancéreuse qui dirige le pouvoir du système immunitaire d’un patient contre sa ou ses propres tumeurs et (b) la virothérapie oncolytique, qui utilise des virus qui se répliquent et ne tuent que les cellules cancéreuses. La spécificité, la capacité de ciblage systémique et les fenêtres de traitement courtes de ces thérapies promettent que les patients cancéreux pourraient être traités efficacement avec des effets secondaires réduits et à un coût minime. L’objectif est de traduire les itérations les plus prometteuses de ces thérapies en essais cliniques chez les animaux de compagnie comme tremplin vers des tests sur des patients humains. 

L’étude des réponses de l’hôte aux virus est un deuxième objectif du laboratoire. Un domaine d’intérêt est le développement d’une meilleure compréhension des mécanismes sous-jacents aux tempêtes de cytokines induites par les virus. L’équipe de recherche du Dr Bridle a identifié un rôle essentiel de la signalisation par le récepteur de l’interféron de type I dans la régulation négative d’un vaste réseau de cytokines. Les réponses des cytokines aux virus sont souvent très différentes entre les femmes et les hommes et le groupe de laboratoire Bridle cherche à comprendre pourquoi. À l’intersection de ces deux programmes, se trouve une initiative de recherche visant à modifier les plateformes optimisées de vaccination contre le cancer de l’équipe de recherche pour cibler le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoC) -2, qui est l’agent causal de la maladie à coronavirus identifié à la fin de 2019 (COVID-19). 

Financement de la recherche :

Le laboratoire Bridle est ou a été financé par Instituts de recherche en santé du Canada, Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), Institut de recherche Terry Fox, Société canadienne du cancer, Société de recherche sur le cancer, Fondation canadienne du cancer du sein, Fonds de recherche rapide COVID-19 de l’Ontario, Université de Guelph / Collège vétérinaire de l’Ontario / Département de pathobiologie Financement de démarrage COVID-19, Centre national d’excellence en biothérapies pour le traitement du cancer (BioCanRx), OVC Pet Trust, Le Fonds de lutte contre le cancer du ciel bleu souriant, Fondation canadienne pour l’innovation – Fonds des leaders John R. Evans, Fondation canadienne pour l’innovation – Fonds d’exploitation des infrastructures, Fonds de recherche du ministère de la Recherche et de l’Innovation de l’Ontario – Programme d’infrastructure de recherche.

Le laboratoire Bridle fait partie du Consortium canadien du virus oncolytique, Réseau de centres d’excellence en biothérapies pour le traitement du cancer (membre fondateur), Société canadienne d’immunologie, Société canadienne de virologie, Institut de recherche Terry Fox, Institut d’investigation comparative sur le cancer, Groupe de l’ostéosarcome du chien: biomarqueurs / biothérapie de la néoplasie (DOGBONe), One Health Institute


[Voir aussi :
Un nouveau rapport fait la lumière sur le culte apocalyptique des vaccins
Le tableau de bord de CoVaxx-19 : Saignements, caillots sanguins et tout le reste
La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus]


[Mise à jour : condensé « complotiste » sur la problématique de la protéine Spike, dans cette vidéo de 14 min.
Source : Vivre sainement]






5G : installation à marche forcée malgré les risques

[Source : BLAST – Le souffle de l’info]

Depuis le 1er novembre 2020, la 5G est dotée d’un premier réseau commercial embryonnaire actif en France. 14 000 antennes sont aujourd’hui activées, contre plus de 50.000 pour la 4G. Un déploiement généralisé lancé sans connaissance des impacts, des risques et des façons de les atténuer.

Ainsi, plusieurs questions demeurent : pourquoi n’y a t-il eu aucune consultation de la population sur une décision qui va impacter nos vies ? Est-on réellement conscients de tous les risques que le déploiement de cette nouvelle technologie peut avoir sur notre santé, sur notre environnement, sur la cybersécurité etc ? Pourquoi le principe de précaution n’a-t-il pas été appliqué ? Pourquoi n’y a t il pas eu de débat ?

[Voir aussi : Dossier 5G et ondes pulsées]




Allemagne : enquêtes autour de fraudes massives aux tests de dépistage du Covid-19

[Source : RT en français]

[Photo : © Jonathan NACKSTRAND – Source : AFP]

Un scandale concernant les centres de dépistages du Covid-19 a éclaté en Allemagne. De nombreux établissements de tests établissent de fausses déclarations pour obtenir des remboursements indus de la part des pouvoirs publics.

Les tests de dépistages du Covid-19 sont obligatoires en Allemagne pour qui souhaite se rendre dans un bar, café ou restaurant ainsi dans un magasin ou une piscine municipale. Une nouvelle législation fédérale a rendu gratuits ces tests en mars 2021 dans le but d’intensifier la campagne de dépistage. Un remboursement est ainsi prévu pour les centres de dépistages, allant jusqu’à 18 euros par test.

Les médias allemands se sont toutefois interrogés sur l’absence de contrôle des tests effectués. Le journal Tagesspiegel dénonce ainsi la facilité avec laquelle il est possible d’obtenir une homologation, ce qui entraîne une multiplication de ces centres. En Rhénanie du Nord-Westphalie, le ministère de la Santé en a par exemple recensé plus de 8 000 et 1 200 pour la seule ville de Berlin.

Les centres de dépistages n’ont en effet pas à indiquer le nom ou le profil des personnes venant se faire dépister. «Il suffit qu’ils transmettent le nombre de tests, sans aucun justificatif, et ils reçoivent le virement d’argent peu de temps après», selon une enquête commune des télévisions publiques NDR et WDR, avec le quotidien Süddeutsche Zeitung, qui a lancé l’affaire.

Plusieurs enquêtes ont ainsi été lancées sur les centres de dépistages soupçonnés de gonfler leurs chiffres dans le but d’obtenir des remboursements indus de l’Etat allemand. «Ceux qui se servent de la pandémie pour s’enrichir de manière criminelle devraient avoir honte», a tweeté le 29 mai le ministre allemand de la Santé, Jens Spahn.

1 743 tests déclarés contre 550 réellement effectués

Pour déceler les irrégularités, les journalistes ont compté les personnes venues pour se faire tester à plusieurs endroits afin de les comparer aux chiffres transmis aux autorités. Le résultat : pour une centaine de dépistages effectués, un centre en déclarait 422 ; ailleurs, au lieu de 550, l’entreprise disait en avoir fait 1 743 sur une journée. Cela a poussé plusieurs parquets à réagir, comme celui de Bochum qui a perquisitionné les locaux d’un centre privé ou celui de Lübeck qui a lancé une enquête pour «fraude» portant sur la «réalisation et la facturation de tests rapides», selon l’hebdomadaire WirtschaftsWoche.

Le ministre allemand de la Santé a assuré que plus de contrôles seraient effectués pour pour empêcher que certains «profitent» du «pragmatisme nécessaire» dans l’organisation.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/87317-allemagne-enquetes-autour-fraudes-massives-tests-depistages-covid-19




Devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ?

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Laure Gonlézamar pour FranceSoir

TRIBUNE

Le 25 mai dernier, l’Académie Nationale de Médecine émet le souhait d’étendre la vaccination aux enfants et adolescents. Cette volonté s’inscrit dans le concept de « l’immunité collective », édictant que pour y parvenir, 90% d’une population adulte doit être vaccinée soit 80% d’une population totale, enfants compris.

Les enfants sont nos êtres chers, nos petits innocents à protéger, notre avenir. 

Devons-nous les vacciner ? 

Impossible de répondre à cette question de santé publique sans dissocier l’émotionnel du rationnel.

Que vous soyez parent, grand-parent, parrain, marraine, sœur, frère, oncle, tante, vous aimez forcément vos enfants, petits-enfants nièces ou neveux, d’un amour inconditionnel et ne souhaitez que leur bien-être, leur santé et leur bonheur. Prenez quelques minutes pour lire cet article. Installez-vous confortablement. Servez-vous un petit café, un thé comme vous l’appréciez.

Dans cette tribune, nous allons tenter de poser le plus clairement possible des arguments sourcés, afin de trouver une réponse sans ambiguïté à la question de la vaccination des moins de 15 ans. 

Pour commencer, les enfants peuvent-ils avoir le Covid-19 ? 

La réponse est ici sans appel : oui les enfants peuvent être contaminés et porteurs du Sars Cov-2. Les chiffres disponibles sur le site de Santé Publique France et plus largement ceux publiés au niveau international, indiquent que les enfants de tous âges peuvent être testés positifs au Covid-19, et ceci quels que soient leur âge et leur origine ethnique.

[Ndlr : être testé positif au Covid-19 avec un test non prévu pour diagnostiquer une maladie (et qui engendre d’autant plus de faux positifs que le nombre de cycles d’amplification utilisé est élevé) ne signifie nullement que l’on a cette maladie. Voir : Les tests de coronavirus positifs ne sont pas des «cas»: les experts de la santé démystifient le faux récit des médias mainstream sur la COVID-19]

Toutefois, les données de surveillance montrent également que les enfants sont globalement moins touchés par la maladie. Un rapport publié en août 2020 par l’Agence Européenne du contrôle et des maladies indique que moins de 5% des cas Covid-19 signalés dans l’Union Européenne concernent des personnes de moins de 18 ans. 

Quels sont leurs symptômes ? 

Selon l’étude Ped-Covid coordonnée par l’hôpital Necker et l’Institut Pasteur auprès de 775 enfants âgés de 0 à 18 ans, testés positifs dans sept hôpitaux parisiens et de la proche couronne entre le 1er mars et le 1er juin 2020, 69.4% de ces jeunes patients ne présentaient aucun symptôme. D’ailleurs, d’après cet article, Bruno Hoen, directeur de la recherche médicale à l’Institut Pasteur, affirme même que « Les signes très caractéristiques que sont la perte du goût et de l’odorat n’ont jamais été observés chez les moins de 15 ans ». Quand l’infection se manifeste par des signes cliniques, c’est le plus souvent « par un syndrome grippal banal » explique le Dr Fabienne Kochert, pédiatre. Les symptômes constatés sont : fièvre, toux, irritabilité ainsi que des problèmes digestifs (vomissements, diarrhées). 

Sont-ils hospitalisés ? 

Alors qu’ils constituent 17,75 % de la population française, les moins de 15 ans ne représentent même pas 1% des patients hospitalisés et des décès. Les formes graves sont exceptionnelles, ce qui explique la rareté des jeunes patients à l’hôpital. Quelques cas de maladies de Kawasaki ont été découverts en début de pandémie avec les premières souches du virus (sans qu’un lien formel ne soit établi), ces infections semblant baisser avec l’arrivée des variants, virus généralement plus contagieux mais moins agressifs que le virus original présent lors de la première vague. 

Décèdent-ils du Covid ? 

Depuis le 1er mars 2020, six décès d’enfants âgés de 0 à 14 ans ont été enregistrés lors d’une hospitalisation pour Covid en France. En général, ces enfants sont en mauvaise santé, présentent une ou plusieurs comorbidités, à l’exemple de cet enfant de 9 ans décédé d’une atteinte neurologique liée à un arrêt cardiaque qui a pourtant été comptabilisé dans les décès Covid car sa sérologie indiquait qu’il avait été au contact du coronavirus sans en avoir les symptômes.

Une étude européenne publiée dans la revue spécialisée The Lancet Child & Adolescent Health, portant sur 582 patients positifs par test PCR dans 82 établissements de santé, a montré que seuls quatre enfants sont décédés dont deux avec des comorbidités préexistantes. 

Les enfants sont-ils contaminants ? 

Là aussi, regardons ce que disent les études. Par exemple, l’étude menée par l’Institut Pasteur dans des écoles de l’Oise, sur 510 enfants de six écoles primaires : les cas déclarés dans ces écoles avant les vacances n’ont pas donné lieu à des cas secondaires, que ce soit parmi les autres écoliers ou parmi les enseignants. En revanche, les parents étaient plus infectés chez les enfants positifs. L’étude conclut que les parents ont été la source de l’infection et pas l’inverse. D’autres études vont également dans ce sens, en atteste le professeur Robert Cohen, pédiatre : « les enfants ne sont pas des super-contaminateurs, bien au contraire, ils sont de tout petits contaminateurs ».

Citons enfin le cas de ce garçon de 9 ans, positif au Covid, qui a continué à vivre normalement (écoles, ski-club, auprès de ses parents et ses deux frères…) sans contaminer aucune des 172 personnes vivant à son contact, dont 112 élèves et professeurs. 

Enfin, d’après l’Association Française de pédiatrie ambulatoire, « les facteurs de division du risque par rapport aux adultes sont de l’ordre de 1/10 000 pour les décès, de 1/1000 pour les formes graves, 1/100 pour les hospitalisations, 1/3 sur le pourcentage de PCR positives. Ceci est particulièrement vrai chez l’enfant de moins de 10 ans ». Ainsi, on peut au bout d’un an et demi de pandémie, affirmer que :

  1. Oui, les enfants peuvent attraper le virus du Sars-Cov-2.
  2. Mais, ils ont peu de symptômes.
  3. De plus, ils ne sont quasiment pas hospitalisés.
  4. En outre, les décès sont extrêmement rares, favorisés par des comorbidités.
  5. Enfin, ils contaminent peu, y compris leur entourage proche. 

La crainte selon laquelle les enfants contamineraient leurs parents ou leurs grands-parents n’est fondée sur aucun argument statistique, et même si cette possibilité n’est pas à exclure totalement car il existe toujours des cas isolés, elle est d’une rareté notoire. Ce coronavirus n’est donc pas une menace mortifère pour nos chères têtes blondes. Par conséquent, à ce stade, l’intérêt d’une vaccination semble assez limité, puisque grâce à leur système immunitaire et leur physiologie de jeunes êtres humains, les enfants résistent naturellement au Covid-19.

Les scientifiques tentent d’ailleurs à l’heure actuelle de comprendre pour quelles raisons et par quels mécanismes les plus jeunes ne sont pas touchés par le Covid-19 comme le sont les adultes. 

Les vaccins chez les enfants

Rappelons qu’en France, certains vaccins sont obligatoires. L’hexagone est d’ailleurs l’un des seuls pays au monde à imposer pas moins de onze vaccins aux nouveaux nés depuis 2018. Les maladies visées sont la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l’haemophilus Influenza de type B, l’hépatite B, le pneumocoque, et le méningocoque de type C.

Ces infections ont pour caractéristiques d’être assez voire très contagieuses, de donner parfois des séquelles à vie et surtout d’être mortelles, en particulier chez les jeunes enfants. Dans ces cas précis de maladies malignes, on comprend donc aisément que les vaccins puissent sauver des vies ou éviter des handicaps. Mais qu’en est-il du vaccin Covid ? Pourquoi faudrait-il vacciner des enfants contre un virus qui ne les affecte pas, ne les rend pas malades, et qu’ils ne transmettent pas à leur entourage ? Étrange volonté que de vouloir injecter un sérum pour un bénéfice direct quasi nul, vous en conviendrez. 

Regardons de plus près ce que sont ces vaccins Covid.

Quatre vaccins sont actuellement autorisés en France : le Pfizer et le Moderna, tous deux à technologie ARN messager (ARNm) ; et l’AstraZeneca et le Janssen, tous deux à adénovirus.Ces sérums marquent une rupture dans la fabrication classique des vaccins car les deux techniques utilisées sont nouvelles, et n’ont jamais avant la pandémie de Covid-19, été utilisées à grande échelle sur l’homme. 

Un vaccin traditionnel utilise le virus atténué ou désactivé : injecté dans le corps, les cellules l’identifient comme étant un intrus et fabriquent des anticorps spécifiques. Appelons-les les soldats. Si par la suite, la personne vaccinée est confrontée au virus en question, son organisme possède déjà une armée de petits soldats prêts à le combattre, entourés d’autres combattants, les lymphocytes T. Ces « soldats anticorps » s’amenuisent avec le temps, c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est nécessaire de faire des rappels de certains vaccins, afin de renouveler les effectifs. Vous remarquerez ici que le vaccin traditionnel stimule de façon assez mécanique mais naturelle le système immunitaire, ceci par un leurre de vrai/faux virus. 

Les vaccins à ARNm envoient un message codé en langage ARN aux cellules du corps du vacciné. Le message est limpide : il faut produire une protéine, appelée protéine Spike. Après le vaccin, les cellules se mettent à produire Spike, reconnue comme un intrus et combattue à son tour par les petits soldats vus plus haut : les anticorps. 

Les vaccins à adénovirus, ou vecteur viral, utilisent quant à eux des virus vivants ayant été rendus inoffensifs, et dans lesquels on a greffé un morceau d’ADN (un message génétique). Cet ADN est délivré dans les cellules du vacciné, traduit en ARN (le même message mais dans un autre langage), qui code la protéine Spike. Le mécanisme est ensuite le même que précédemment avec l’ARNm : fabrication des anticorps spécifiques. Pour AstraZeneca par exemple, l’adénovirus injecté est un adénovirus de chimpanzé, pour Spoutnik et Janssen, ce sont des adénovirus humains. 

Ces deux nouvelles techniques, ARNm et vecteur viral, sont bien différentes des vaccins traditionnels : l’ordre donné aux cellules humaines consiste à produire la protéine de pointe du virus, c’est-à-dire une partie de celui-ci, plus précisément les molécules qui l’entourent et qui lui permettent d’infecter la personne contaminée. La protéine Spike est en effet la clé qui permet au coronavirus d’entrer dans le corps humain. Le principal avantage de ces deux techniques est la rapidité avec laquelle les laboratoires ont pu mettre au point ces vaccins, là où il faut habituellement des années de recherche, de tests, d’ajustements, d’échecs, puis de réussites (en moyenne le développement d’un vaccin prend entre 10 et 15 ans).

Cette fois pour le Sars-Cov-2 l’industrie pharmaceutique a ici été capable de concevoir, tester, demander les autorisations, les obtenir, puis produire des sérums à grande échelle en moins d’une année. Heureusement, vous vous en doutez, les autorités sanitaires veillent au grain : les autorisations accordées sont conditionnées. Dans cet article du CTIAP de l’Hôpital de Cholet qui a décortiqué les documents officiels publiés par l’Agence Européenne du Médicament, on apprend qu’AstraZeneca a jusqu’à mars 2024 pour préciser les substances actives et excipients de son vaccin ainsi que les résultats définitifs de son étude clinique. On appelle cela une « AMM conditionnelle » : une autorisation de mise sur le marché qui pose des conditions.

Pfizer et Janssen ont quant à eux jusqu’à décembre 2023 pour déposer la confirmation de l’efficacité, de la sécurité et de la tolérance de leurs vaccins. Le plus pressé des quatre laboratoires est Moderna, qui doit se dépêcher de donner ses conclusions puisque son échéance est fixée à décembre 2022. 

Oui vous avez bien lu.

Les quatre vaccins actuellement inoculés à l’ensemble de la population adulte volontaire sont encore en phase d’essai. Sous pression de l’urgence pandémique, les autorités sanitaires ont pris pour argent comptant les études menées par les laboratoires eux-mêmes, et ont accepté de mettre sur le marché des vaccins… dont l’innocuité est encore à l’étude. Ces laboratoires sont au-dessus de tout soupçon, bien entendu. Par exemple Pfizer détient un record mondial. En 2009, il a été condamné à payer 2,3 milliards de dollars pour pratiques commerciales frauduleuses. En cause un anti-inflammatoire aux effets secondaires entraînant des complications cardiaques ainsi que trois autres médicaments mis sur le marché et largement promus.

Et l’herbe n’est pas forcément plus verte ailleurs. Le laboratoire Johnson&Johnson (Janssen) mouillé en 2020 dans le scandale du talc qui donne des cancers, a écopé d’une condamnation de 2,1 milliards de dollars.

Le groupe AstraZeneca, qui est actuellement poursuivi par l’UE pour non-respect de ses engagements de livraison de vaccins, a dû régler une amende de 60 millions d’euros en 2005 pour utilisation abusive du système de brevets et des procédures de commercialisation des produits pharmaceutiques afin de prévenir ou de retarder l’arrivée sur le marché de médicaments génériques qui concurrençaient son anti-ulcéreux. C’est ainsi que partout dans le monde on inocule des sérums, sans être totalement certains qu’ils sont inoffensifs à court, moyen et long termes. Enfin, pas tout à fait.

À court terme, nous disposons de quelques indicateurs grâce à la pharmacovigilance dont le travail consiste à récolter les effets indésirables des médicaments et vaccins, à partir de déclarations volontaires des soignants et patients. En France, elle est assurée par les CRPV et l’ANSM. Vous qui lisez cette tribune, vous pouvez si vous le souhaitez déclarer des effets secondaires en cliquant ici. C’est un acte citoyen qui permet de surveiller la survenue de symptômes liés aux médicaments et ainsi de déceler des molécules dangereuses. 

Que dit la pharmacovigilance sur les vaccins Covid ? 

À l’échelle de la France, deux articles doivent nous alerter. Le premier concerne le centre de pharmacovigilance de Tours qui, submergé par les signalements sur les vaccins, a demandé aux patients et aux médecins de ne pas tout déclarer afin de prioriser les signalements les plus graves.

Une pharmacovigilance oui, mais une pharmacovigilance sélective.

Le second article porte sur le centre du Limousin, qui reçoit en temps normal, d’après le Professeur Marie-Laure Laroche, responsable du centre, « à peine 10 notifications par an pour les vaccins classiques » mais qui, en quatre mois et demi de vaccination Covid, a vu les déclarations multipliées par 400, soit 4000 déclarations. Répétons-le pour ceux qui n’étaient pas totalement concentrés et buvaient une gorgée de leur thé préféré : multipliées par quatre-cents !

Enfin, les derniers rapports de l’ANSM disponibles en ligne, font état de près de 20000 cas d’effets secondaires liés à Pfizer, dont 5245 cas graves, dont 580 décès. Au total pour les quatre vaccins, 37 018 cas ont été rapportés, dont 26% de cas graves (hospitalisation, séquelles, décès).

Répétons-le pour mieux accentuer : cinq-cent-quatre-vingts décès liés uniquement au vaccin Pfizer en France du 28 décembre 2020 au 13 mai 2021. À l’échelle de l’Europe, EUDRAVIGILANCE, la base européenne de pharmacovigilance, enregistre des signalements d’effets indésirables comme jamais. Au 22 mai 2021, la comparaison avec deux autres lots de vaccins contre la grippe et la diphtérie est sans appel : les vaccins Covid sont les plus agressifs de toute l’histoire des vaccins administrés à l’homme, mais également les plus meurtriers !En additionnant les cas de décès post-vaccinaux des quatre vaccins, le total s’élève à plus de 12 000 morts. 

Aux USA, pays qui a vacciné 50% de sa population adulte, le VAERS, système de surveillance sous la responsabilité des CDC – Centers Disease of Control – enregistre des chiffres tout aussi alarmants, jugez plutôt :Sur les vingt dernières années (jusqu’à début mai 2021), le VAERS a enregistré 4182 décès, tous vaccins confondus. Du 14 décembre 2020 au 3 mai 2021, il comptabilise très exactement 4178 morts liés aux vaccins Covid. Ces seuls vaccins parviennent donc à eux-seuls, à totaliser en une poignée de mois autant de décès que TOUS les vaccins injectés au cours des vingt dernières années sur le sol américain. 

Le plus inquiétant est que la pharmacovigilance n’est qu’un indicateur. Elle ne recense pas de manière exhaustive et obligatoire tous les décès et effets secondaires qui surviennent après vaccination. Si, d’après le VIDAL, tous les effets secondaires – sérieux ou anodins – doivent être signalés dans les bases, il n’en est rien en pratique. En effet, les professionnels de santé et les patients n’en signalent qu’une infime partie, que ce soit par oubli ou plus simplement par manque d’informations sur les procédures à suivre. 

Par ailleurs, depuis les vaccins Covid, des consignes sont données pour ne signaler que les effets secondaires inattendus ou graves. Nous venons donc de décrire sommairement ce que sont les vaccins Covid, les études et essais toujours en cours, et une pharmacovigilance qui s’emballe malgré le faible taux de remontées. Certains se sont peut-être étranglés en découvrant les données, d’autres ont sans doute cliqué sur les liens et sont estomaqués de découvrir que de telles informations aussi cruciales sur les vaccins ne soient pas davantage rendues publiques. Ces signaux doivent nous alerter sur la vaccination des enfants.

Pouvons-nous accepter d’injecter ces formules inédites dans les bras de nos progénitures sans prendre la mesure des effets possibles sur leur santé ?Pouvons-nous accepter de vacciner nos enfants compte tenu des nombreux dommages causés aux adultes ?Ne devons-nous pas attendre que les essais soient totalement terminés avant de prendre une telle décision ? 

Des essais en cours sur les enfants aux États-Unis 

Connaissez-vous l’âge du plus jeune vacciné au monde ? Il s’appelle Vincenzo Mincolla, petit bonhomme joufflu, tétine en bouche, qui a reçu sa première dose de Pfizer à l’âge de 7 mois, et sa deuxième à 8 mois (voir la vidéo de son injection ici). Ses deux parents sont soignants et ont accepté sans hésitation d’enrôler leur bébé dans l’essai clinique de Pfizer « au nom de la science ». 

Depuis le 16 mars 2021, des essais menés par Moderna sont en cours aux USA et au Canada sur 6750 enfants et bébés âgés de 6 mois à 11 ans. D’autres essais sont en cours avec Pfizer et AstraZeneca. Les résultats ne sont pas encore publiés mais gageons que puisque les enfants ne sont quasiment jamais malades du Covid, les vaccins montreront une efficacité exceptionnelle. Reste à connaître les effets secondaires. 

Le VAERS fait état de plusieurs dizaines de cas d’effets indésirables graves et dont des décès d’enfants et adolescents ayant reçu une ou plusieurs doses de Pfizer ou de Moderna. Les cas sont rapportés par des soignants ou les familles des patients, ce qui complique la fiabilité des sources. Il est difficile de trouver des articles fiables.Néanmoins, voici deux exemples issus du VAERS, l’un d’une petite de 2 ans et l’autre d’une jeune fille trisomique de 15 ans, toutes deux décédées. 

On ne compte plus les témoignages de proches de victimes sur les réseaux sociaux… qui disparaissent comme par magie ; notamment sur Youtube et Facebook. Plusieurs groupes du réseau social n°1 mondial rassemblant diverses expériences malheureuses de vaccinés ont tout simplement été fermés. On peut raisonnablement se poser des questions. Certaines vérités ne semblent pas « désirées » car seule compte la propagande vaccinale. 

En Israël, pays ayant complètement vacciné 56,6% de sa population avec les deux doses, des voix s’élèvent contre la vaccination des enfants car des cas de myocardites chez des patients jeunes ont été rapportés. 

Conclusion 

Nul doute que vous avez désormais terminé votre boisson, et que malgré sa chaleur, cet article a jeté un froid. 

Tout d’abord car les nouvelles ne sont guère réjouissantes. Les vaccins ne sont pas aussi fiables que ce qu’on nous assure. Malgré toute l’énergie déployée par les éminents spécialistes des plateaux TV et des radios pour convaincre et apaiser les craintes, les chiffres et les documents non publiés parlent d’eux-mêmes : des incertitudes planent sur les effets à moyen et long termes des vaccins. Vous, ou vos proches et amis, avez peut-être reçu une ou plusieurs doses. Certains ont été très malades, d’autres n’ont rien remarqué, mais depuis, une fatigue, des maux se sont réveillés ou sont apparus. Quelques-uns d’entre vous ont d’ailleurs pu observer une recrudescence d’AVC ou de problèmes cardiaques dans leur entourage, ou ont assisté aux obsèques d’une personne âgée, qui avait été vaccinée quelques jours avant son décès. Il n’y a pas de mystère, ni de coïncidences. Il faudrait être aveugle ou inconscient pour ne pas établir formellement de lien de causalité entre l’injection et tous ces événements qui surviennent dans les heures, les jours ou les semaines qui suivent. 

Désormais vous savez. Vous venez de prendre connaissance d’un faisceau d’indices qui doivent vous alerter sur la vaccination de vos enfants. Une maladie qui ne les touche pas, des vaccins encore en phase d’essais, des informations négatives peu dévoilées au grand public, une pharmacovigilance qui s’emballe, des cas de décès et effets indésirables graves signalés sur des enfants… que des indicateurs au rouge. Désormais, si vous décidez de mener vos enfants à l’aiguille, et que tout ne se passe pas comme prévu, vous ne serez pas les victimes désinformées d’un système qui promeut la vaccination, non. Non, vous serez des parents responsables de ce qui arrive à leurs enfants. Vous croiserez leur regard en ayant conscience à chaque instant que vous ne les avez pas protégés, et ceci malgré tout l’amour que vous leur portez. L’Agence Européenne du Médicament vient de donner son feu vert pour le vaccin Pfizer des 12-15 ans.

De grands scientifiques, comme Arnaud Fontanet, épidémiologiste et membre du conseil scientifique, déclarent aux micros des journalistes de France Info et BFM qu’il faut vacciner les enfants pour atteindre l’immunité collective, et ceci, sans apporter un seul argument rationnel valable.

À quel prix ? Si un seul adolescent ou enfant décède du vaccin en France, ce sera pour sauver qui ? Une personne âgée de plus de 85 ans (âge médian des morts Covid sur les 100 000 premiers décès) ? Un adulte avec comorbidités ?D’autres, comme l’éditorialiste Eric Naulleau dans l’émission TPMP ou encore le philosophe Raphaël Enthoven dans l’émission Les Grandes Gueules sur RMC, qui n’ont ni diplôme scientifique, ni formation médicale, encensent la vaccination obligatoire pour tous avec une ferveur douteuse. Sans parler du footballeur Kylian Mbappé, un modèle pour de nombreux jeunes, qui s’affiche pansement sur le bras sur les réseaux sociaux.

Qui sont ces gens ? Ont-ils lu ne serait-ce qu’une seule étude randomisée ? Quelles sont leurs qualifications pour jeter l’opprobre sur les réticents, qui eux, s’informent du mieux qu’ils peuvent ? La vaccination n’est pas un débat philosophique, politique ou sportif. Elle doit rester un enjeu sanitaire et une décision médicale.

Et moi ? Qui suis-je pour vous avoir amené jusqu’à la fin de cette tribune ? Je ne suis personne. Ni épidémiologiste au conseil scientifique, ni politicienne, ni philosophe, ni sportive, ni éditorialiste. Et c’est justement parce que je ne suis rien de tout cela, que je suis vous. Une maman qui aime ses enfants, une fille qui veut protéger ses parents, une amie qui veille sur ses proches. Comme vous, je n’apprécie pas qu’on m’assomme et me matraque chaque jour de publicités et de messages sur et pour la vaccination, ni que les médias filtrent les informations à l’aune de la propagande vaccinale. Comme vous, il n’y a qu’une priorité dans ma vie et dans mon cœur : la santé et le bien-être de mes enfants. C’est la raison pour laquelle j’attends la fin des essais cliniques et que je ne cèderai jamais aux mesures qui ne relèvent pas du bon sens. 

Pour conclure, reposons la question de départ : devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ? Vous êtes seuls juges. Mais maintenant, vous savez.

Auteur(s): Laure Gonlézamar pour FranceSoir


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CoronaCircus – Tests ? Vaccinations ?? Passe sanitaire ??? Ils vont se faire coincer les uns après les autres !

[Source : rumble.com]

Traduction et doublage : Minima
Source : https://rumble.com/vh89df-ils-se-vont-se-faire-coincer-les-uns-aprs-les-autres.html
Source de la vidéo d’origine : https://youtu.be/c65Mg6rlOoo

Transcription :

De quoi s’agit-il, s’il ne s’agit pas de notre santé ? (9 mai 2021)

Comment auriez-vous réagi si on vous avait dit en tout début d’année 2020,
— Qu’à partir de la mi-mars 2020 et jusqu’au jour d’aujourd’hui, non seulement en Allemagne, mais partout dans le monde, les populations, y compris les enfants, seraient forcées de porter des masques,
— Que, au nom de ce qu’on appelle le confinement, toute la classe moyenne allemande ainsi que la classe moyenne de par le monde occidental seraient menacées de faillite,
— Que des millions d’opérations chirurgicales, de mesures de santé comme le dépistage du cancer, de rééducations et autres soins médicaux nécessaires, seraient reportés, avec des conséquences incommensurables pour la santé des personnes concernées,
— Que des milliers de malades en phase terminale, en Allemagne et dans de nombreux autres pays, seraient contraints de mourir seuls et dans l’isolement, sans la présence de leurs proches ?
— Que dans toute l’Allemagne et dans une grande partie du monde, des personnes seraient privées de leur liberté pendant des semaines entières, sans décision de justice, juste sur la base de ce que l’on appelle les « décrets de quarantaine » ?
— Qu’en Allemagne et dans beaucoup de pays, des personnes seraient poursuivies parce qu’elles ont fêté un anniversaire, se sont assises sur un banc public, ont fait un jogging, ou ont osé chanter ?

Les parlements remplis de nos représentants élus sont de facto privés de pouvoir, et les gouvernements, fédéraux et des Länder, ont émis une multitude de règlements arbitraires, dont personne ne comprend ni le contenu, ni les contraintes, et ce sans aucune légitimation par le peuple ?
Tous les droits démocratiques fondamentaux ont été de facto suspendus, y compris notre droit démocratique fondamental le plus important, la liberté d’expression.

01:41

Auriez-vous pensé que c’est normal et tout naturel, ou auriez-vous, au contraire, eu un sursaut d’incrédulité, et vous seriez demandé : « Mais comment est-ce chose possible dans une démocratie ? »
C’était une question rhétorique de ma part, bien sûr, car bien sûr, vous qui m’écoutez, vous vous seriez posé cette question.

Entre-temps, tout ce que je viens d’énumérer est devenu une réalité, mais il semble que personne parmi nos gouvernants ne se soit posé la question la plus pertinente au monde, à savoir : pour quelle raison est-ce que tout cela a été mis en place? Parce que jusqu’à aujourd’hui, nous n’avons pas obtenu de réponse à cette question, ni de la part du gouvernement fédéral ni des Länder. On a juste eu droit à : « On est en pandémie, donc obéissez. Faites ce qu’on vous dit et faites-le sans poser de questions. “
C’est d’ailleurs exactement ce que le Directeur du Robert-Koch-Institut RKI, un vétérinaire du nom de Wieler, nous a expressément expliqué lorsqu’il a exigé au nom du gouvernement fédéral — parce qu’il faut savoir que le RKI est une autorité supérieure fédérale, qui doit obéir aux instructions des gouvernements, au ministère fédéral de la Santé — lorsqu’il nous a publiquement expliqué qu’il ne fallait pas poser de questions, mais obéir aux injonctions.
Cela aurait dû nous estomaquer, couper le souffle à la démocratie, car une démocratie vit précisément de la compétence morale, et cette compétence morale, elle, requiert deux choses : la faculté de poser des questions au lieu de suivre aveuglément les ordres, et la faculté de discuter des autres opinions au lieu de les diffamer en bloc.
Tant la liberté de poser des questions que la capacité de débattre sont au cœur même de la liberté d’expression, et donc au cœur de la démocratie.
Cet arrêté gouvernemental — rappelons encore une fois que le RKI est une administration tenue de respecter des instructions, — a été le début de l’attaque la plus grave jamais perpétrée contre notre démocratie.

03:41
Les questions sous-jacentes qui en découlent sont donc :
Dans l’intérêt de qui se déroule cette attaque de notre propre gouvernement contre notre démocratie, c’est-à-dire contre le pouvoir du peuple ?
Et plus précisément, qui a intérêt à détruire le pouvoir du peuple, la démocratie, et à le remplacer par ce que nous avons vu au cours de l’année écoulée, un régime totalitaire fasciste.

Commençons par la question de fond :
Sur quelle évidence se fonde cet arrêté qui détruit la démocratie et cause des dommages gigantesques ?
Si l’on avait posé des questions concrètes à ce sujet, et si le gouvernement fédéral avait engagé une discussion publique, voire s’il avait seulement respecté le principe général « audiatur et altera pars », « Que l’autre partie soit également entendue » au lieu de suivre exclusivement les demandes de plus en plus effrontées d’un certain Monsieur Drosten, alors ces trois questions spécifiques auraient dû être posées :

04:43
— Premièrement, quelle est la dangerosité réelle de ce nouveau virus présumé ?
La réponse aurait été de se ranger à l’avis de la certes très controversée OMS et à celui du très respecté professeur Docteur John Ioannidis de l’Université de Stanford, selon lequel, avec un taux de mortalité par infection de 0,14 à 0,26 %, le virus n’est pas plus dangereux que la grippe saisonnière.

— Deuxièmement, quel est l’impact sanitaire et économique des mesures prises dites « Anti-Corona » ?
La réponse très détaillée et précise à cette question est disponible au ministère fédéral de l’Intérieur depuis mai 2020 sous la forme de ce que l’on appelle désormais le « document sur les fausses alertes ». Ce document a été préparé par un spécialiste du ministère de l’Intérieur hautement qualifié et formé à l’évaluation des risques pour protéger la population, et entre-temps, tout le monde connaît la réponse telle que décrite ci-dessus : les effets des mesures dites Anti-Corona sont dévastateurs.

— Troisièmement, quelle est la fiabilité du test PCR de détection de l’infection que Drosten a mis au point dès janvier 2020 ?

À une époque où lui, Wieler et les autres déclaraient encore publiquement qu’il n’y avait rien à craindre du coronavirus. Et ce test fut dans la foulée recommandé par l’OMS dans le monde entier.
La réponse est la suivante : un test PCR ne peut fournir aucune information sur une infection, il n’est même pas homologué à cette fin. C’est pourquoi ce test ne dispose que d’une « autorisation d’utilisation d’urgence » aux États-Unis, et non d’une véritable autorisation à part entière.
Où ai-je trouvé les réponses à ces trois questions ? Ce sont les résultats du travail du Comité Corona, que ma collègue Viviane Fischer et moi-même avons fondé avec deux autres avocats le 10 juillet 2020, et qui a depuis été sans discontinuer conseillé par le pneumologue et ancien chef de service de santé publique de longue date, le Dr Wolfgang Wodarg, la Professeur Dr Ulrike Kämmerer, Professeur de biologie humaine de l’Université de Würzburg, et le professeur de droit Dr Martin Schwab de l’Université de Bielefeld.

Ce comité a depuis consulté une centaine de scientifiques respectés et de renommée mondiale : des médecins, des juristes, des économistes, des psychologues, des psychiatres et bien d’autres.

Il n’est même plus nécessaire d’expliquer à qui que ce soit que les dommages causés par ces mesures sont dévastateurs. Une troisième guerre mondiale n’aurait pas fait pire.
Le fait que le danger réel du virus — quel qu’il soit exactement, et indépendamment du fait qu’il n’a jamais été isolé de manière scientifiquement correcte, — ne dépasse pas celui de la grippe saisonnière, ce fait a même été admis par l’OMS, qui suppose un taux d’infection de 0,14 %, comme je l’ai mentionné tout à l’heure.

Et l’écrasante majorité de ceux qui meurent, ont plus de 80 ans, et présentent de multiples pathologies préexistantes graves. C’est ce que prouvent, entre autres, les autopsies réalisées par le professeur Püschel de Hambourg, et, curieusement, réalisées contre la volonté expresse du RKI.
Entre-temps, des dizaines de scientifiques ont confirmé que le test dit « Test PCR de Drosten », devenu tristement célèbre dans le monde entier, ne permet pas de tirer des conclusions sur les infections, contrairement aux affirmations de son inventeur Monsieur Drosten. Même l’OMS et le CDC, l’institut de référence américain homologue du RKI allemand, l’ont admis et ont souligné qu’un test positif ne dit rien sur le caractère infectieux de la personne testée.

Cela est dû au fait que ce test ne permet pas de faire la distinction entre les matériaux vivants et les matériaux morts. Il ne peut donc pas dire si ce qu’il détecte est un fragment mort, vestige de la défense réussie du système immunitaire de l’organisme contre une attaque virale surmontée dans le passé, ou si un virus vivant a effectivement pénétré dans les cellules et s’y multiplie. Or, c’est uniquement cela qui conduirait à une infection. Ce test ne peut pas non plus nous indiquer si les symptômes qui apparaissent chez une personne ne proviennent pas d’un autre agent pathogène, par exemple un virus du rhume ou de la grippe.

D’ailleurs, le CDC indique en deux phrases que « la mise en évidence d’un ARN viral ne suggère pas la présence d’un virus infectieux ou que le Covid 19 est l’agent responsable des symptômes cliniques », et que « ce test ne permet pas d’exclure une maladie causée par d’autres agents bactériens ou viraux ».

Ah oui, et bien évidemment : Ces deux déclarations présupposent que la personne testée présente des symptômes, par exemple des maux de tête ou de gorge, douleurs dans les membres, diarrhée, etc.
Normalement, une personne qui ne présente aucun symptôme, c’est-à-dire aucun trouble, et qui, par conséquent, ne pourrait donner au médecin aucune indication pour un diagnostic médical de quoi que ce soit, eh bien une personne qui n’a rien ne va pas chez le médecin. Que répondre en effet à la question du médecin : « De quoi souffrez-vous ? » si vous ne présentez aucun symptôme ?
Normalement, du moins jusqu’à l’arrivée de Corona, les personnes ne présentant aucun symptôme étaient considérées comme étant en bonne santé — et perçues comme telles.

Notons également que cette affirmation selon laquelle il existerait des infections sans symptômes dites « asymptomatiques » est une thèse que Monsieur Drosten a également soutenue. Or, comme l’a montré récemment une étude menée auprès de 10 millions de participants à Wuhan, en Chine, à la fin de l’année dernière, il n’existe aucune infection asymptomatique.

Donc, résumons : ces deux affirmations fausses — l’affirmation selon laquelle il existe des infections asymptomatiques et l’affirmation selon laquelle le test PCR de Drosten peut détecter les infections — proviennent toutes deux de Drosten lui-même.

Il les a publiées au début de l’année 2020 dans deux documents qui ne répondent même pas aux normes scientifiques reconnues. D’ailleurs, au sujet de ces tests PCR, 22 scientifiques de renommée internationale se sont accordés pour le faire savoir dans leur soi-disant rétraction papier « document de rétractation ».
De plus, lorsqu’il a publié ces déclarations, il savait pertinemment qu’elles étaient fausses. Il savait, au moment de la publication, et au sujet de l’infection asymptomatique, que le cas qu’il a cité comme exemple d’une femme chinoise en visite en Allemagne n’était pas du tout asymptomatique. Elle avait même traité ses symptômes avec un médicament communément utilisé contre la grippe.

Et selon une interview qu’il a accordée à la Wirtschaftswoche en 2014, il avait parfaitement conscience qu’un test PCR positif ne veut rien dire en matière d’infection.

Mais Monsieur Drosten, outre de graves conflits d’intérêts financiers, a un tout autre problème de crédibilité. En effet, des doutes planent sur sa thèse de doctorat, et s’il a en fait le droit de porter ce titre de docteur. À ce sujet, une action en justice est en cours.

Au sujet de sa crédibilité également. Pendant l’épidémie de grippe porcine de 2009, et avec l’Anglais Neil Ferguson, aujourd’hui complètement discrédité, il a averti le public des conséquences désastreuses et des millions de morts si une vaccination de masse n’avait pas lieu immédiatement.
Ces prédictions se sont révélées totalement infondées et erronées, et la grippe porcine s’est avérée être une « grippe bénigne ». Cependant, les vaccins avaient déjà été achetés par de nombreux pays de par le monde — à des conditions qui sont restées d’ailleurs secrètes jusqu’à ce jour — et ont ensuite été injectés avant que tous les stocks ne soient détruits à grands frais. En conséquence, environ 1300 enfants, notamment en Scandinavie, sont gravement handicapés à vie parce qu’ils souffrent de narcolepsie.

La question est de savoir pourquoi le gouvernement fédéral, sans même un soupçon d’empathie ou de compassion, a suivi les conseils de cet homme et ses demandes de confinement massif, pourquoi il a ordonné ces mesures dévastatrices qui, entre autres, ont ainsi laissé des malades en phase terminale mourir seuls, sans l’accompagnement de leurs proches.

Et pourquoi le gouvernement a-t-il non seulement refusé de prendre connaissance d’autres opinions, mais les a rejetées en bloc en les qualifiant d’extrême droite, d’antisémites et de théories du complot, sans même seulement les examiner, et encore moins en discuter ?

Bref, comment se fait-il que le gouvernement — et, dans la foulée, le gouvernement des Länder — ait sciemment et volontairement ordonné des mesures mortifères et dévastatrices, qu’il ait exigé que personne ne pose de questions et qu’il ait en outre ignoré et délibérément dénigré tous les autres avis scientifiques et médicaux qui affirmaient que le nouveau virus présumé ne représentait pas une plus grande menace que le virus de la grippe, qu’il existait des traitements efficaces qui ne coûtaient pratiquement rien et que les mesures dans leur ensemble causeraient les dommages sanitaires et économiques les plus dévastateurs.
Comment le gouvernement fédéral en est-il venu à ignorer même les données corroborantes détaillées dans le volumineux « document sur les fausses alertes » que j’ai déjà mentionné, rédigé par un fonctionnaire hautement qualifié du ministère de l’Intérieur chargé de la défense civile ?
Et surtout, pourquoi le gouvernement fédéral, en désaccord complet avec le code de Nuremberg, autorise-t-il une expérience médicale sur sa propre population, et pour ce faire, lui ment délibérément.
Pourquoi le gouvernement fédéral permet-il que la population, qui est poussée dans cette direction depuis un an, soit traitée avec un produit dénommé vaccin, qui est en fait un traitement génétique dont l’efficacité est très controversée, et dont la dangerosité n’a jamais été testée de manière adéquate dans aucune étude scientifique, et qui l’est en ce moment même, « en direct », pour ainsi dire, sur une population sans méfiance.
Pourquoi, après des effets secondaires massifs, y compris une multitude de décès signalés, pour lesquels toute étude sérieuse serait immédiatement interrompue, pourquoi le gouvernement permet-il à cette expérience de se poursuivre ?

14:50
Pour résumer : quels intérêts le gouvernement allemand représente-t-il lorsqu’il ordonne des mesures aussi destructrices ? Ceux du peuple allemand, ou d’autres, totalement différents ?

Étant donné le fait évident que des représentants du gouvernement intelligents et empathiques n’agiraient jamais de la sorte, contre leur propre peuple, en optant pour des mesures qui porteraient gravement atteinte à leur santé, à leur économie et, surtout, à la démocratie, la question qui se pose et s’impose, c’est : Au nom de qui le gouvernement agit-il de la sorte ? Et pour quelles raisons ?
Lorsque l’on sait que les conseillers principaux du gouvernement fédéral allemand, sont, outre Drosten, le Wellcome Trust et la Fondation Bill & Melinda Gates, des représentants de haut rang de l’industrie pharmaceutique productrice de vaccins et de l’industrie technologique, qui tous réclament unisono l’introduction d’un passeport numérique de vaccination, on peut soupçonner que ce sont leurs intérêts qui sont représentés ici, et non ceux de la population, et ce, sans aucune empathie.

15:52
Un regroupement de plus en plus important d’avocats internationaux, en particulier de droit anglo-américain, travaille en étroite coopération pour faire la lumière dans l’obscurité et trouver les réponses aux questions suivantes : qui est derrière tout cela, et qui doit être tenu pour responsable. Car comme l’a dit le juriste Louis Brandeis, ancien membre de la Cour suprême aux États-Unis, « Sunlight is said to be the best of disinfectants » — « la lumière du soleil est le meilleur de tous les désinfectants » –

Et cette lumière du soleil, c’est la lumière au bout du tunnel que nous pouvons d’ores et déjà tous apercevoir, elle est de plus en plus brillante.



Cette vidéo « ainsi que d’autres » est également disponibles en cliquant sur le lien ci-dessous : https://rumble.com/c/c-791093

🔴 Article détaillé des poursuites judiciaires : https://translate.google.com/translate?sl=en&tl=fr&u=https://dailyexpose.co.uk/2021/05/17/lawyers-and-medical-experts-worldwide-say-they-have-all-the-evidence-they-need-to-convict-who-cdc-phe-bill-gates-and-world-leaders-of-crimes-against-humanity/


[Voir aussi :
La Dictature médicale Secrète : Entretien historique entre la rescapée de l’holocauste Vera Sherav et l’avocat Reiner Fuellmich
Reiner Fuellmich : “Je vois une lumière à la fin de ce tunnel !”
État actuel de la procédure judiciaire menée par le Dr Fuellmich]




Covid-19 – Partager l’expérience ? Quelle idée…

[Source : mediapart.fr]

De façon assez manifeste, durant cette crise du Covid-19, un mécanisme brille par son absence : le partage d’expérience.

On aurait pu imaginer qu’un organisme international (OMS ou autre), une ONG ou un site Internet recueille les diverses mesures prise par chaque pays (les confinements, les ports de masque, mais aussi les traitements mis en œuvre, les surcroîts de ventes observés pour divers médicaments etc.), et que ces informations soient accessibles.

On aurait aussi pu s’attendre à ce que les médias s’intéressent à l’évolution de divers pays ayant adopté des mesures différentes.

Et pourtant, c’est le contraire qui se passe : il est extrêmement difficile de savoir ce qui se passe ailleurs, et plus encore ce que se fait ailleurs.

Inde

Parfois, cette absence d’information prend des proportions étranges. Ainsi, comme on l’a signalé, voilà plus d’un mois que l’Inde, en pleine flambée épidémique, a inclus deux médicaments (l’ivermectine et la budesonide) dans ses recommandations de traitement précoce, c’est-à-dire pour les patients atteints de formes légères de Covid-19 (Fig.1).

Fig.1 Extrait des recommandations du Ministère indien de la Santé © Ministry of Health and Family Welfare

(Ces recommandations, initialement publiées le 23 avril 2021, ont été mises à jour le 19 mai, sans changement sur l’ivermectine et la budesonide.)

En Inde déjà, plusieurs états avaient officiellement adopté l’ivermectine comme traitement précoce depuis le mois d’août 2020, en remplacement de l’hydroxychloroquine. C’est notamment le cas de l’état le plus densément peuplé de l’Inde, l’Uttar Pradesh, dont le bilan durant la vague épidémique qui a frappé l’Inde à partir de mars a été modéré : 18516 décès enregistrés entre le 1er mars et le 29 mai 2021, pour 237 millions d’habitants. (En comparaison, sur la même période, le bilan de l’état du Maharashtra est de 41846 décès, pour 123 millions d’habitants ; et la France a déclaré 22563 « décès Covid », pour 67 millions d’habitants.)

Médias aveugles ou muets

On ne peut pas reprocher aux médias français d’avoir trop parlé de cette politique de traitements précoces récemment adoptée en Inde.
On peut par exemple faire l’expérience de taper « Inde » et « ivermectine » sur un moteur de recherche…
On n’y trouvera pas cet article de France Info, qui signale le reflux spectaculaire de l’épidémie à New Delhi, sans mentionner le récent changement de position de l’Inde sur les traitements précoces.

Quant à l’OMS, elle réussit un exploit. Elle publie le 7 mai 2021 un article sur l’Uttar Pradesh, titré « l’Uttar Pradesh sur la dernière ligne droite pour arrêter le Covid-19 », décrivant la politique sanitaire mise en œuvre dans l’état avec l’aide de l’OMS : à partir du 5 mai 2021, 141.610 équipes mobiles devaient faire du porte à porte dans les villages de l’Uttar Pradesh pour dépister les habitats, donner un « kit de médicaments » aux personnes testées positives, et presser les autres de se faire vacciner. Et cet article parvient à ne pas mentionner les mots « ivermectine » ou « budesonide »…

Selon TrialSiteNews, la presse indienne elle-même semble ne pas connaître le nom des molécules recommandées par le Ministère indien de la Santé depuis avril, et chercher ailleurs des explications du spectaculaire retournement de situation en Inde.

Parce que l’Inde va mieux, indéniablement. Le nombre de cas détectés chute depuis le 8 mai (Fig.2), et le nombre de décès a commencé à suivre, depuis le 23 mai (Fig.3).

Fig.2 – Evolution du nombre de cas de Covid détectés en Inde © OurWorldInData.org
Fig.3 – Evolution du nombre de décès Covid en Inde © OurWorldInData.org
Fig.4 – Mortalité du Covid en Inde, état par état © Enzo Lolo d’après https://www.covidindiastats.com/

Il est intéressant d’examiner en détail la situation des différents états indiens, notamment pour ceux dont on connaît la politique spécifique en matière de lutte contre le Covid-19. Car les états indiens ont des politiques, des bilans et des évolutions contrastés (Fig.4). Bien qu’il manque un outil de partage des expérience, on peut trouver quelques informations. On sait par exemple que :

– l’état de Goa a décidé*, le 13 mai 2021, d’aller au-delà des préconisations du gouvernement central indien, et de distribuer de l’ivermectine non pas seulement en traitement précoce (aux personnes atteintes du Covid-19) mais en traitement préventif à tous les adultes. Quinze jours après, la Haute-Cour a validé le principe du traitement à l’ivermectine. (Autres sources.) Par ailleurs, l’état — qui a été l’un des plus touchés d’Inde lors de la reprise épidémique — vient de prolonger le couvre-feu jusqu’au 7 juin.

– l’état d’Uttarakhand a semble-t-il décidé de l’imiter, mais son site gouvernemental n’en fait pas mention — du moins pas en anglais. Il est intéressant de le suivre, car c’est dans cet état que se tient cette année le pèlerinage de Kumbh Mela, qui rassemble des millions de visiteurs venus de toute l’Inde.

– l’état du Maharashtra, comme le relate cet article, applique les directives du gouvernement central indien concernant l’utilisation de l’ivermectine en traitement précoce, mais la Haute Court rendra en juin sa réponse à une demande d’autoriser l’ivermectine en traitement préventif aux côtésde la vitamine D.

– l’état du Tamil Nadu, inversement, à refusé d’appliquer les directives de Ministère indien de la Santé, et en guise de traitement précoce, ne préconise que le zinc et la vitamine C. Le taux d’incidence du Tamil Nadu, qui était en dessous de la moyenne indienne, a dépassé cette moyenne dès le 7 mai, et en est le triple au 30 mai.

Pour plus de lisibilité, on a isolé ces états et quelques autres sur des graphiques représentant l’évolution des taux d’incidence (nombre de cas détectés par million d’habitants, Fig.5) et le taux de mortalité quotidien (nombre de « décès Covid » par million d’habitants, Fig.6).

Fig.5 – Taux d’incidence dans quelques états de l’Inde © Enzo Lolo d’après https://www.covidindiastats.com/
Fig.6 – Taux de mortalité dans quelques états de l’Inde © Enzo Lolo d’après https://www.covidindiastats.com/

Il faut se garder de considérer que la politique officielle d’un état s’applique à la population de façon immédiate et exhaustive, mais on peut commencer par supposer qu’il existe un lien entre les recommandations d’un état et la proportion de la population qui a recours aux traitements recommandés. Il est donc raisonnable (même si on ne dispose pas de preuve et qu’il conviendrait d’étudier d’autres facteurs explicatifs) de faire, en première hypothèse, le lien entre la hausse observée au Tamil Nadu et le refus des traitements précoces par son gouvernement local.

Mexique

Un phénomène semblable plonge l’expérience du Mexique dans l’ombre . On a certes beaucoup entendu parler du Mexique lors de la vague qui l’a frappé cet hiver, mais on a moins entendu parler du fait que l’ivermectine a été adoptée par plusieurs états et par la sécurité sociale mexicaine à partir de fin décembre 2020. Un article de Capital, mentionnant l’expérience du Chiapas, fait figure d’exception.

L’étude de Merino et al., menée avec la Ville de Mexico, sur plus de 230.000 patients testés positifs, dont 77.000 ont reçu un kit de traitement (ivermectine + azithromycine) et faisant état de son expérience, selon laquelle le traitement a réduit de 75 % le risque d’hospitalisation chez les personnes testées positives, n’a pas eu énormément d’écho dans les grands médias.

Faisant suite à plusieurs billets précédents (iciici ou ), on poursuivra ici la veille sur l’évolution du Covid-19 au Mexique, à partir des données officielles du gouvernement mexicain, reprises de façon plus maniable sur cette page.

Fig.7. Extrait de la page « Coronavirus » du gouvernement central mexicain, 30 mai 2021 © Gouvernement du Mexique

Rappelons que le gouvernement central mexicain continue à considérer qu’aucun traitement n’existe (Fig.7) et que les seuls médicaments à prendre sont destinés à alléger les symptômes. Il est suivi par la plupart des états qui composent le Mexique, avec quelques exceptions : le Chiapas dès Juillet 2020, suivi à partir de fin décembre par la Ville de Mexico, puis par l’état d’Aguascalientes et celui de Guanajuato, mais surtout par l’IMSS (la sécurité sociale du secteur privé), qui ont inclus l’ivermectine et l’azithromycine dans leurs recommandations de traitement précoce. L’IMSS, qui a des centres de dépistage dans tous les états et qui y distribue des kits de traitement à toute personne recevant un test positif, a donc un impact potentiel sur tout le pays — sans pour autant avoir la maîtrise de la politique sanitaire. Les Mexicains ont d’ailleurs d’autres centres de dépistage que ceux de l’IMSS, et contrairement à ces derniers, certains centres ne leur fourniront pas de kit de traitement précoce en cas de tests positif.

Qu’observe-t-on au Mexique ?

Une tendance est manifeste : depuis la mi-janvier, « ça baisse » (Fig.8).

Fig.8 – Taux d’incidence au Mexique, état par état © Enzo Lolo, d’après les données du gouvernement mexicain. Source : https://github.com/mariorz/covid19-mx-time-series/commits?author=mariorz

Ce graphique représente le taux d’incidence pour chaque état du Mexique et permet devoir que la baisse est continue, et particulièrement marquée pour la Ville de Mexico, qui a quitté sa place de pire état du Mexique depuis quelques semaines. C’est encore plus net pour la mortalité (Fig.9), qui a atteint son plus bas niveau depuis les prémisses de l’épidémie en mars 2020. On est bien plus bas qu’au moment « d’accalmie » de l’automne 2020. Pourtant deux ou trois états semblent moins profiter de cette baisse générale.

En particulier, l’état de Quintana Roo, au Sud Est du Mexique, est en hausse depuis 3 mois.

Fig.9 – Mortalité au Mexique, état par état © Enzo Lolo, d’après les données du gouvernement mexicain. Source : https://github.com/mariorz/covid19-mx-time-series/commits?author=mariorz

Il faudrait se pencher en détail sur ce qui s’y passe. On sait que le gouvernement local de cet état ne préconise pas les traitements précoces, qu’il y a même des campagnes de désinformation sur l’ivermectine, comme par exemple ce message (Fig.10)*

Fig.10 – Message du groupe Facebook « Covid Quintana Roo » © « Covid Quintana Roo »
Fig.11 – Compte Twitter de l’IMSS du Quintana Roo © Twitter

publié par un groupe Facebook se présentant comme émanant de pneumologues et cardiologues ; on sait aussi que le compte de l’IMSS du Quintana Roo a été suspendu par Twitter (Fig.11) ; mais il serait hasardeux d’affirmer que seuls les habitants du Quintana Roo seraient sujets à de telles pressions. Une évaluation de la part des patients recevant (et prenant) un traitement précoce dans chaque état serait une information précieuse, mais elle ne semble pas disponible.

Ce serait d’autant plus précieux que les médias mexicains ne sont pas très diserts sur le fait qu’un traitement précoce a été largement mis en œuvre. D’après un article de TrialSiteNews, les médias mexicains ne font même pas état de la spectaculaire amélioration de la situation ! On trouve par ailleurs une dépêche de Bloomberg attribuant le recul rapide de l’épidémie à l’immunité post-infection, à la vaccination (bien qu’environ 16% des mexicains aient reçu une dose de vaccin), au réchauffement météorologique et… à la proximité avec les USA. Les traitements ne sont même pas mentionnés comme hypothèse.

On gardera donc le doute sur ce qui se passe au Quintana Roo. Et pour rester rigoureux, on précisera que le lien entre le recul de l’épidémie et les traitements précoces, que ce soit au Mexique, en Inde ou ailleurs, reste une hypothèse. Mais que cette hypothèse est cohérente avec toutes les observations faites dans divers pays, mais surtout avec les preuves scientifiques, apportées par des méta-analyses et des revues systématiques publiées, concluant à la grande efficacité de l’ivermectine face au Covid-19, notamment en traitement précoce.

Brésil

Suite à deux précédents billets (ici et ), voici un aperçu de la situation au Brésil (Fig.12).

Fig.12 – Mortalité du Covid-19 au Para, en Amazonas et dans les autres états brésiliens © Enzo, Lolo, d’après les chiffres du gouvernement brésilien. Source : https://covid.saude.gov.br/

L’étude d’Emmmerich s’était arrêtée au 15 mars 2021. Depuis, même si les chiffres ont évolué et partiellement atténué l’effet qu’il décrivait, le constat reste le même : l’état du Pará a traversé la deuxième vague brésilienne avec nettement moins de pertes que l’état voisin de l’Amazonas. Le Pará a fait une deuxième vague plus tardive que l’Amazonas (ce qu’Emmerich n’avait pas pu voir), mais nettement moins haute. Et, si le bilan de cette vague n’est plus 5 fois pire, il est encore 2,2 fois plus élevé en Amazonas qu’au Pará : 1949 décès par million d’habitants entre le 1er décembre et le 29 mai en Amazonas, contre 879 au Pará. Un indice supplémentaire : depuis juin 2020, après l’organisation de la mise en œuvre des traitements précoces, le Pará n’est plus jamais repassé au-dessus de la moyenne brésilienne en termes de mortalité.

Zimbabwe

On n’a pas encore abordé le cas du Zimbabwe sur ce blog. Il est singulier : l’ivermectine, qui y était interdite, a été autorisée fin janvier, après la mort de trois ministres emportés par le Covid-19 lors d’une vague inédite. La chute des décès dus au Covid a dès lors été plus rapide et plus durable que pour ses voisins (Fig. 13).

Fig.13 Mortalité du Covid au Zimbabwe et chez ses voisins © OurWorldInData.org

Pourquoi le Zimbabwe a-t-il été plus touché, en janvier 2021 que la Zambie et le Mozambique, mais moins que le Botswana et l’Afrique du Sud, cela mériterait une enquête poussée (quelle fiabilité des données, quelles politiques de santé publique, quels traitements distribués, contre le Covid ou contre d’autres maladies avec un possible effet sur le Covid…) Sauf éléments concrets permettant d’en douter, une chose semble lisible : à partir de janvier, le Zimbabwe a rejoint le groupe des pays voisins les moins touchés par le Covid-19 et y est resté.


*le document provient du site du gouvernement de Goa, sous le lien « Pro-Active Measures Adopted By Govt On Covid-19 »

** Sur ce post, on peut lire « Non à l’ivermetine« , puis « La publication qui a tout commencé, sur l’effet in vitro de l’Ivermectine contre SARS-CoV-2 est officiellement RETRACTÉE« . Ce qui est faux : l’image reproduite est tirée d’une autre étude, effectivement rétractée avant même d’être publiée, mais sans lien avec l’étude de Caly et al. qui a « tout commencé ».




Interview de Zach Bush par Robert F. Kennedy, Jr. : « Nous devons nous éloigner du paradigme Santé de Big Pharma »

[Source : Miss Red Pill — InfoVF]

Dans le dernier épisode de la deuxième saison de « TRUTH » avec Robert F. Kennedy Jr, ce dernier a interviewé le Dr Zach Bush, de renommée internationale. https://childrenshealthdefense.eu/?lang=…

Kennedy et Bush abordent un large éventail de sujets, notamment :

– le rôle crucial de l’inflammation dans la maladie ;
– comment le glyphosate perturbe le microbiome intestinal ;
– l’histoire largement incomprise du virus de la polio ;
– la prise de contrôle par l’industrie pharmaceutique du système de réglementation de la santé ;
– Bill Gates et ses amis scientifiques qui jouent sur un échiquier en 2 dimensions alors que notre microbiome est un système tridimensionnel ;
– la Covid-19.

Zach Bush MD est un médecin spécialisé en médecine interne, en endocrinologie et en soins palliatifs. C’est un éducateur de renommée internationale et un leader d’opinion sur le microbiome en relation avec la santé, la maladie et les systèmes alimentaires. Le Dr Zach Bush a fondé le *Seraphic Group et l’organisation à but non lucratif Farmer’s Footprint afin de développer des solutions pour la santé humaine et écologique.

◾Vidéo Originale : https://youtu.be/r6oQwNx65os

◾A voir aussi sur le site Children’s Health Defense EU : https://childrenshealthdefense.eu/aiovg_…






Nestlé dit que la majorité de son portefeuille de produits alimentaires est mauvais pour la santé

[Source : anguillesousroche.com]

La plus grande entreprise alimentaire du monde, Nestlé, a reconnu dans un document interne que plus de 60 % de ses produits alimentaires et boissons grand public ne répondent pas à une « définition reconnue de la santé » et que « certaines de nos catégories et certains de nos produits ne seront jamais “sains”, quelles que soient nos rénovations ».

Une présentation diffusée auprès des cadres supérieurs au début de l’année, consultée par le Financial Times, indique que seuls 37 % des produits alimentaires et des boissons de Nestlé en termes de revenus, à l’exclusion de produits tels que les aliments pour animaux de compagnie et la nutrition médicale spécialisée, obtiennent une note supérieure à 3,5 selon le système australien d’évaluation par étoiles de la santé.

Ce système, qui note les aliments sur cinq étoiles, est utilisé dans les recherches menées par des groupes internationaux tels que Access to Nutrition Foundation.

Nestlé, le fabricant des KitKats, des nouilles Maggi et de Nescafe, décrit le seuil de 3,5 étoiles comme une « définition reconnue de la santé ».

Dans son portefeuille global d’aliments et de boissons, quelque 70 % des produits alimentaires de Nestlé n’ont pas atteint ce seuil, selon la présentation, ainsi que 96 % des boissons – à l’exception du café pur – et 99 % du portefeuille de confiseries et de glaces de Nestlé.

L’eau et les produits laitiers ont obtenu de meilleurs résultats, 82 % des eaux et 60 % des produits laitiers atteignant le seuil.

« Nous avons apporté des améliorations significatives à nos produits, mais notre portefeuille ne répond toujours pas aux définitions externes de la santé dans un contexte où la pression réglementaire et les exigences des consommateurs montent en flèche », indique la présentation.

Les données excluent les préparations pour nourrissons, les aliments pour animaux de compagnie, le café et la division des sciences de la santé, qui fabrique des aliments pour les personnes souffrant de problèmes médicaux spécifiques. Cela signifie que les données représentent environ la moitié des 92,6 milliards de francs suisses (84,35 milliards d’euros) de revenus annuels totaux de Nestlé.

Ces conclusions interviennent alors que les fabricants d’aliments doivent faire face à une pression mondiale pour combattre l’obésité et promouvoir une alimentation plus saine. Les dirigeants de Nestlé réfléchissent aux nouveaux engagements à prendre en matière de nutrition et comptent dévoiler leurs plans cette année.

Le groupe met également à jour ses normes nutritionnelles internes, connues sous le nom de Nestlé Nutritional Foundation, qui ont été introduites sous l’ancien directeur général Peter Brabeck-Letmathe, qui caractérisait Nestlé comme une « entreprise de nutrition, de santé et de bien-être ».

Une option pourrait consister à abandonner ou à remplacer ces normes pour les produits considérés comme des friandises, comme les confiseries, selon une personne au fait de la situation.

Mark Schneider, directeur général, a reconnu que les consommateurs souhaitaient une alimentation plus saine mais a rejeté les affirmations selon lesquelles les aliments « transformés », y compris ceux fabriqués par Nestlé et d’autres multinationales, ont tendance à être mauvais pour la santé.

Cependant, la présentation met en avant des produits Nestlé tels qu’une pizza DiGiorno à croûte de croissant aux trois viandes, qui contient environ 40 % de l’apport journalier recommandé en sodium, et une pizza Hot Pockets pepperoni qui en contient 48 %.

Un autre produit, une boisson San Pellegrino à l’orange, obtient un “E” – la pire note disponible dans le cadre d’un système de notation différent, Nutri-Score – avec plus de 7,1 g de sucre par 100 ml, indique la présentation, qui pose la question suivante : « Une marque de santé doit-elle porter une note E ? »

Par ailleurs, le Nesquik à la fraise de Nestlé, vendu aux États-Unis, contient 14 g de sucre dans une portion de 14 g, ainsi que de petites quantités de colorants et d’arômes, bien qu’il soit conçu pour être mélangé à du lait. Il est décrit comme « parfait au petit-déjeuner pour que les enfants soient prêts pour la journée ».

Nestlé a déclaré qu’elle « travaille sur un projet à l’échelle de l’entreprise pour mettre à jour sa stratégie pionnière en matière de nutrition et de santé. Nous examinons l’ensemble de notre portefeuille à travers les différentes phases de la vie des gens pour nous assurer que nos produits contribuent à répondre à leurs besoins nutritionnels et à soutenir une alimentation équilibrée ».

Une base solide

« Nos efforts s’appuient sur une base solide, fruit d’un travail de plusieurs décennies…. Par exemple, nous avons réduit de manière significative les sucres et le sodium dans nos produits au cours des deux dernières décennies, environ 14 à 15 % rien qu’au cours des sept dernières années. »

Marion Nestle (aucun lien de parenté), professeur invité de sciences nutritionnelles à l’université Cornell, a déclaré que Nestlé et ses rivaux auraient du mal à rendre leurs portefeuilles globalement sains.

« Le travail des entreprises alimentaires est de générer de l’argent pour les actionnaires, et de le générer aussi rapidement et en aussi grande quantité que possible. Elles vont vendre des produits qui touchent un public de masse et sont achetés par le plus grand nombre de personnes possible, que les gens veulent acheter, et c’est la malbouffe », a-t-elle déclaré.

« Nestlé est une entreprise très intelligente, du moins d’après les rencontres que j’ai eues avec des personnes travaillant dans leurs départements scientifiques… mais elle a un réel problème…. Les scientifiques travaillent depuis des années pour essayer de trouver comment réduire la teneur en sel et en sucre sans modifier le profil de saveur et, devinez quoi, c’est difficile à faire. »

Certains produits perçus comme sains, tels que les substituts de viande à base de plantes, sont des domaines de forte croissance pour les fabricants de produits alimentaires. Nestlé a vendu certaines de ses divisions qui fabriquaient des produits moins sains, comme une participation de 60 % dans la branche charcuterie de Herta en 2019.

Nestlé a été classé en tête des grands fabricants mondiaux d’aliments et de boissons dans un indice 2018 des efforts déployés pour encourager une meilleure alimentation, compilé par la Fondation pour l’accès à la nutrition, bien que la fondation ait averti que « toutes les entreprises doivent faire beaucoup plus ».

Nestlé a déclaré : « Ces dernières années, nous avons lancé des milliers de produits pour les enfants et les familles qui répondent à des critères de nutrition externes. Nous avons également distribué des milliards de doses de micronutriments via nos produits abordables et nutritifs. »

Et d’ajouter : « Nous pensons qu’une alimentation saine implique de trouver un équilibre entre bien-être et plaisir. Cela inclut d’avoir un peu de place pour les aliments indulgents, consommés avec modération. Notre direction n’a pas changé et est claire : nous continuerons à rendre notre portefeuille plus savoureux et plus sain. »

Source : The Irish Times – Traduit par Anguille sous roche




La parabole de l’arbre pour comprendre ce qui nous arrive

[Source : Académie du gaullisme (academie-gaullisme.fr)]

Il faut d’abord remercier l’armée française d’avoir généré ceux qui font le constat précis de notre délitement général avant de solliciter une réaction rapide et réelle :

Comme le disait le cardinal Mercier, primat de Belgique : « Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part. » Alors, Mesdames, Messieurs, assez d’atermoiements, l’heure est grave, le travail est colossal ; ne perdez pas de temps et sachez que nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.

Il faut la remercier aussi d’avoir généré ceux qui préfèrent en souligner les causes profondes :

Ce qui met mortellement en péril la France, c’est tout simplement le libéralisme effréné qui est inscrit dans le marbre des traités dits européens se traduisant par la désindustrialisation du pays tout autant que par l’abaissement de notre langue, l’emploi du globish par les médias, la publicité envahissante et … le chef de l’État lui-même. C’est aussi la destruction de l’outil de l’énergie nucléaire et la politique d’auto-flagellation au plus haut niveau et en toute occasion, c’est encore le délitement de l’éducation nationale et de la politique de santé publique, c’est enfin la mise en résidence surveillée de 66 millions de Français avec port obligatoire de la muselière.

Les uns soulignent la ramure, les autres, les racines. Ils ont évidemment tous raison et regretter la forme d’un arbre ne s’oppose pas à en chercher les causes dans ses racines.

Mais il n’y aurait ni ramure ni racines s’il n’y avait pas de sève pour fabriquer l’une à partir des autres, Or la sève de cet arbre dont les branches, les feuilles, les fruits et les racines posent problème, pour ne pas dire qu’ils sont quasiment pourris, cette sève vitale et empoisonnée est la véritable cause du désastre actuel que l’on peut voir en effet sous différents angles. Cette sève, c’est l’argent qui pour la première fois dans toute l’histoire de l’humanité n’a pas très rapidement disparu lorsqu’il n’a plus été lié à une richesse préexistante. Il y aura exactement 50 ans le 15 août prochain, le dollar auxquelles quasiment toutes les monnaies étaient liées, a été décroché de l’or, richesse préexistante à laquelle il était lié. Les Européens, oubliant Bretton Woods, ont créé l’euro en le liant consciencieusement (ou perfidement, ou bêtement) aux anciennes monnaies qui n’étaient liées à plus rien. Toutes les monnaies mondiales ont suivi et doivent donc disparaitre comme ont disparu les billets de Law, les assignats et tous les papiers-monnaies puisque les politiciens en fabriquent systématiquement toujours plus que le constat de la richesse préexistante ne l’autorise. Ils sont tellement sensibles, pour rester en place, aux demandes de « moyens » qui leur arrivent de partout, qu’ils ne savent que céder en faisant fonctionner la « planche à billets » qui est simplement devenue digitale.

Les banques centrales comme les banques commerciales sont devenues aujourd’hui les fabricants incessants de monnaies fondées uniquement sur une confiance aussi claironnée que mensongère. On dissimule au peuple que toutes les banques, ayant un bilan équilibré, inscrivent toujours, en même temps, en créance à recouvrer, ce qu’elles inscrivent comme argent créé et distribué. Les créances des banques centrales sont toujours de futurs impôts. Les Politiques sont donc écartelés entre leur discours racoleur de baisse d’impôts toujours promise et leur autre discours du « quoi qu’il en coûte » et du « déblocage » d’argent inexistant qui est mathématiquement une annonce masquée d’impôts futurs nouveaux.

La création monétaire actuelle est exclusivement fondée sur des impôts futurs ou du travail humain futur, ce qui signifie en clair l’appauvrissement du peuple, sa mise en esclavage ou un retour à l’esclavage des autres. Le jeu de glaces pervers du PIB que l’on présente comme une création de richesse alors qu’il n’est que la somme des dépenses, ne peut faire longtemps illusion.

Illusion ! Le mot est lâché. Il décrit tout cet arbre dont la sève est illusoire comme sa ramure et ses racines. Seule l’avalanche de monnaie devenue fausse donne l’illusion que les folies sont réalistes, voire même réalisables.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, le libéralisme serait ce qu’il devrait être, un échange véritable et libre, reconnu comme utile par les deux parties. Mais le libre-échange est devenu un échange illusoire entre des biens et des services véritables et des monnaies frelatées forçant à la désindustrialisation des uns et à l’esclavage des autres.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais on aurait inventé le prêt sur richesses futures alors que dans toutes les civilisations il n’y avait jamais eu que des échanges que sont les prêts sur gage.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais l’Union Européenne ne serait ce monstre de milliers de fonctionnaires bruxellois non élus et surpayés dans leur paradis fiscal. Ils imposent aux autres un enfer qu’ils ignorent et qui est composé de restrictions de libertés et d’anesthésies par distribution d’argent.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, le dieu dollar et sa mère la City, ne régneraient pas en maîtres imposant le « globish » l’abaissement des langues qui ne sont pas la leur et le matraquage publicitaire cherchant à récupérer à leur profit le travail des peuples.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, l’immobilier, les actions en bourse et les œuvres d’art, tout ce que les puissants recherchent en ayant accès à la monnaie, n’auraient pas doublé voire triplé de prix en 20 ans en créant non seulement une crise du logement mais une crise de la natalité dans les classes moyennes.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais Emmanuel Macron n’aurait été élu monarque républicain, ce que furent tous les rois de France puisque la république n’est que la chose commune. Le monarque républicain Louis XIV avait moins de pouvoirs qu’Emmanuel 1er pénalement irresponsable et décidant secrètement en conseils de défense où personne n’a pénalement le droit de dévoiler ce qui s’y dit vraiment. Va-t-on déconstruire l’histoire pour que la fausse monnaie lui fasse une place honorable dans une vérité reconstruite ?

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, on ne fausserait pas le jeu des énergies avec des énergies renouvelables subventionnées sans limites pour casser une source nucléaire que le monde entier nous enviait et nous imite aujourd’hui en souriant de notre soumission à des écologistes irresponsables.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, nous ne nous pourrions pas vivre l’équilibre actuel imbécile de nous flageller nous-mêmes sur ce que nous avons apporté à nos anciennes colonies pendant que nous recevons sans limites tous ceux qui préfèrent vivre chez nous que chez eux grâce à la fausse monnaie qu’on leur distribue si généreusement et qui en attire chaque jour davantage.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, nous n’aurions pas une éducation nationale avec plus d’administratifs que d’enseignants. Les premiers domestiquent les seconds pour un résultat de plus en plus mauvais en dépit d’un temps de plus en plus long passé par la jeunesse à leur faire apparemment confiance.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, c’est toute l’administration non régalienne qui perdrait son obésité et le peuple pourrait contribuer à une administration régalienne actuellement pressurée et méprisée alors qu’elle est la seule utile.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais les gouvernements n’auraient pu avoir la politique sanitaire stupide d’interdire de vivre pour empêcher de mourir en laissant une situation inextricable aux suivants. Interdire l’énergie humaine et la remplacer par l’énergie monétaire, ce qui est le principe du confinement, c’est ne pas savoir que l’énergie monétaire n’existe que par l’énergie humaine qu’elle véhicule et qu’il faudra trouver.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais les associations de minorités ethniques, sexuelles ou religieuses, n’aurait pu être aussi visibles sans les subventions qu’on leur octroie pour faire vivre ces minorités les faire croitre croitre et parader au mépris de la majorité.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, nous ne pourrions pas piller la Terre et nous fabriquer une vie facile avec une énergie et des matières premières payées avec une monnaie de singe inépuisable. Jean-Marc Jancovici s’attriste du pillage mais ne voit pas qu’il l’alimente lui-même en disant : « Du pognon, il y en a ».

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, nous ne discuterions pas pour savoir si la monnaie est une marchandise, un signe ou une institution. Le seul point commun de toutes ces définitions distantes et médiocres est de négliger l’essentiel, à savoir l’origine de la force de l’argent qui n’est que la force humaine.

Quand on s’intéresse à un arbre, c’est à sa sève qu’il faut s’intéresser en premier. Elle est toujours le résultat du passé et le porteur de l’avenir. Elle nait de ses racines et génère sa ramure.

Marc Dugois, auteur
de L’inéluctable révolution : ne plus être les victimes consentantes des idéologies


[Voir aussi :
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Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus

[Sources : Blux Motivation et Babelio]

Bruce Harold Lipton est un biologiste du développement américain connu pour promouvoir l’idée que les gènes et l’ADN peuvent être manipulés par les croyances de la personne, proposant une conception non-académique de l’épigénétique.

En 1966, il a obtenu une licence de biologie à l’Université de Long Island. Puis un doctorat en biologie du développement à l’Université de Virginie en 1971. En 1973, il enseigne l’anatomie comme maître-assistant à l’école de médecine de l’Université du Wisconsin, avant de rejoindre l’Université américaine de l’école de médecine des Caraïbes, où il est professeur d’anatomie pendant trois ans.

De 1987 à 1992, Lipton a travaillé comme chercheur à l’Université Penn State et au Centre Médical de l’université Stanford. Depuis 1993, il est professeur vacataire dans différentes universités.

Ses recherches, menées à l’École de médecine de l’Université de Stanford, ont joué un rôle précurseur dans le développement de l’épigénétique, la discipline scientifique qui explore l’influence de l’environnement sur l’ADN.

Le Dr Bruce Lipton est un leader mondialement reconnu dans l’unification de la science et de l’esprit et l’une des voix les plus écoutées dans la nouvelle biologie. Pionnier dans les domaines de l’éducation alternative et de la littérature holistique.

[Voir aussi : Modifier notre ADN via notre conscience !]




La vaccination de masse déclenche un pic de cas COVID-19 et des décès

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Michael Whitney
Mondialisation.ca, 30 mai 2021
MERCOLA 21 mai 2021


Les cas de COVID ont fortement augmenté dans presque tous les pays qui ont lancé une campagne de vaccination de masse.

Le Cambodge a commencé sa campagne de vaccination début février après n’avoir compilé aucun décès ; après avoir commencé son programme de vaccination, les décès ont commencé à s’accumuler.

Il se peut que quelque chose dans le vaccin lui-même tue des gens

Les chercheurs de Salk ont confirmé que les principaux dommages causés par la COVID sont causés par la protéine de Spike et non par le virus ; si c’est le cas, alors pourquoi injectons-nous aux gens des vaccins qui enseignent à leurs cellules à fabriquer ces protéines.

118 millions d’Étasuniens ont maintenant reçu une protéine de Spike génératrice de caillots ; personne ne sait combien de temps ces protéines potentiellement mortelles restent piégées dans la paroi des vaisseaux sanguins ou quels dommages elles pourraient éventuellement causer.

Maintenant que les cas ont fortement diminué aux États-Unis, pourquoi ne pas abandonner les vaccinations jusqu’à ce que l’on comprenne mieux les risques à long terme ?

*

Les cas de COVID ont fortement augmenté dans presque tous les pays qui ont lancé une campagne de vaccination de masse. (Veuillez regarder cette courte vidéo avant que YouTube ne la supprime.1)
Pourquoi cela se produit-il ?

[Une animation de la mortalité COVID à travers le monde pour examiner l’impact de la vaccination, en testant l’hypothèse qu’ils sont jusqu’à 97% efficaces pour réduire la mortalité.Crédit @britishbennyboy sur Twitter pour l’animation.]

La vaccination de masse était censée réduire la menace de la COVID, mais – à court terme – elle semble beaucoup l’aggraver.

Pourquoi ? Et pourquoi la COVID « fait-elle maintenant une éclosion dans 4 des 5 pays les plus vaccinés ? » Selon le magazine Forbes :2

« Les pays où les taux de vaccination sont les plus élevés au monde – y compris quatre des cinq pays les plus vaccinés – se battent pour freiner les épidémies de coronavirus qui sont, par habitant, plus élevées que l’augmentation dévastatrice de l’Inde, une tendance qui a mis en question l’efficacité de certains vaccins … et la sagesse d’assouplir les restrictions, même avec la plupart de la population vaccinée. »

Pire que l’Inde ? Comment cela peut-il être ainsi ? Et pourquoi huit membres « entièrement vaccinés » des Yankees de New York [équipe de hockey] ont-ils obtenu un résultat positif au test COVID ? Voici l’histoire de l’Associated Press :3

« L’arrêt-court des Yankees de New York, Gleyber Torres, a été testé positif pour la Covid-19 malgré sa vaccination complète et son avoir précédemment contracté le coronavirus pendant la période de repos. Torres fait partie des huit soi-disant positifs de la percée parmi les Yankees – des personnes qui ont obtenu un résultat positif malgré leur vaccination complète. »

Et si cela ne prête pas assez à confusion, découvrez ce qui se passe au Cambodge. Le Cambodge a commencé sa campagne de vaccination début février après avoir compilé zéro décès. C’est vrai : le pays n’a connu aucun décès par COVID avant mars 2021, quelques semaines après avoir commencé son programme de vaccination. Et c’est à ce moment-là que les décès ont commencé à s’accumuler, comme vous pouvez le voir dans le tableau accrocheur ci-dessous.

Vaccinations et décès du COVID-19 Cambodge

Graphique de Joel Smalley Twitter4

Zéro décès COVID-19, jusqu’à la campagne de vaccination

Alors, voyons si nous pouvons le comprendre. Il n’y a eu aucun décès avant le lancement de la campagne de vaccination, mais peu après le début des injections, les décès ont commencé à augmenter. Pensez-vous qu’il pourrait y avoir un lien ici ? Pensez-vous que, peut-être, les décès sont liés aux vaccins ?

Bien sûr, ils le sont. Et c’est pourquoi les médias tentent de balayer cette histoire sous le tapis. Cela ne correspond pas au « récit officiel » sur les vaccins, ils ont donc décidé de « d’effacer » complètement l’histoire. « Poof » et c’est parti ! Et, en fait, c’est pire qu’une dissimulation parce que peu de temps après l’entrée en fonction de Biden, les CDC ont changé leur méthodologie de test, ce qui rend plus difficile le test positif.

En d’autres termes, ils ont truqué le système de sorte qu’il semble que moins de personnes « entièrement vaccinées » aient contracté la COVID après l’inoculation. Le Dr. Joseph Mercola explique ce qui se passe dans les coulisses :

« Maintenant, les États-Unis Les Centers for Disease Control and Prevention ont encore réduit la TDM, dans ce qui semble être un effort clair pour cacher les cas révolutionnaires du COVID-19, c’est-à-dire les cas dans lesquels des personnes entièrement vaccinées reçoivent un diagnostic de COVID-19. »

C’est tout un grand jeu de passe-passe. Ils manipulent le système pour donner l’impression que les vaccins arrêtent l’infection lorsque les preuves prouvent le contraire. Et remarquez le surnom délibérément trompeur que les médias ont inventé pour les personnes qui contractent la COVID après avoir été vaccinées. Ils les appellent « cas de percée » [breakthrough cases]. « Percée » ? Vraiment ?

Si les cas augmentent dans presque tous les pays qui lancent une campagne de vaccination de masse, alors il n’y a rien de « nouveau » [breakthrough] à cela. C’est le résultat prévisible d’une expérience ratée. Voici plus d’informations sur un article intitulé : « Taux de COVID après la vaccination dans le monde » :5

« … le gouvernement a supposé que si « vous vaccinez beaucoup de gens, le problème disparaît », mais les questionneurs parmi nous ne l’ont pas supposé. Surtout après avoir lu le document d’information de la FDA pour le vaccin COVID-19 Pfizer-BioNTech par exemple, beaucoup d’entre nous avaient des questions après l’avoir lu ; à la page 42, il est dit :

Les cas suspects de COVID-19 survenus dans les 7 jours suivant toute vaccination étaient de 409 dans le groupe vaccinal contre 287 dans le groupe placebo. Il est possible que le déséquilibre des cas suspects de COVID-19 survenant dans les 7 jours suivant la vaccination représente une réactogénicité vaccinale avec des symptômes qui chevauchent ceux du COVID-19.

Dans l’ensemble, cependant, ces données ne soulèvent pas de préoccupation quant au fait que la déclaration spécifiée dans le protocole des cas suspects, mais non confirmés, de COVID-19, aurait pu masquer des événements indésirables cliniquement significatifs qui n’auraient pas été détectés autrement. »

La FDA savait que les personnes vaccinées sont plus susceptibles de contracter la COVIDPour en savoir plus: Le vaccin « expérimental » contre l’ARNm Covid-19. On vous dit la vérité ?

WTF !?! Ainsi, la FDA SAVAIT que les personnes vaccinées étaient plus susceptibles de contracter la COVID que celles du groupe placebo, mais elle a approuvé les vaccins de toute façon ?!? Est-ce une négligence criminelle ou simplement une vieille stupidité ?

S’il vous plaît. Relisez le paragraphe ci-dessus et décidez si vous auriez donné le « feu vert » à ces injections douteuses ou non ?  Voici plus d’informations sur le même article :6

« Ce qui suit montre des données provenant du monde entier provenant de certains endroits sélectionnés. Il est, bien sûr, vital de souligner que la corrélation n’est pas la causalité. Et qu’il y a des pays où le déploiement des vaccins ne précède pas ou ne coïncide pas avec une augmentation des infections. Cependant, je n’ai pas été en mesure de trouver de pays où les taux de covidés ont commencé à baisser après le début de la vaccination, ou dans lequel une baisse a coïncidé avec le début de la vaccination.

En Indonésie, par exemple, le taux de covidé diminuait au début de la vaccination et semble n’avoir pas été affecté dans sa trajectoire par le déploiement du vaccin. Le lecteur peut consulter lui-même ces tableaux sur le site Internet. Jetez un coup d’œil à ceux-ci et voyez ce que vous en pensez… »

OK, donc l’auteur essaie de donner la plus grande tournure positive possible à la performance du vaccin. Il dit : « la corrélation n’est pas une causalité », ce qui signifie : « Ne faites pas fiez pas à ce que vous voyez lorsque vous observer les graphiques parce que – si vous le faites – vous tirerez la conclusion évidente que les vaccins augmentent considérablement vos chances de contracter la COVID dans les quelques semaines qui suivent la vaccination ».

Les graphiques vous convaincront également que Fauci, Biden et les médias ont menti comme des charlatans sur l’efficacité des vaccins. (Veuillez consulter les tableaux de l’article et juger par vous-même.) En voici plus :7

« Ce qui est très clair si l’on examine les données dans le monde entier, c’est que les vaccinations ne sont certainement pas associées à une baisse fiable des cas de covidés dans un délai prévisible. Cela, à côté des observations du procès, doit certainement être abordé. Que se passe-t-il ici ?

Est-ce juste que les vaccinations sont lancées par coïncidence en même temps que les épidémies sont sur le point de se produire ? Dans de très nombreux endroits ? Ou le vaccin ne fonctionne-t-il pas immédiatement ? Sinon, pourquoi pas ? … Ou le vaccin rend-il les gens plus sensibles à l’infection ? Si c’est le cas … s’agit-il d’un effet temporaire ? Qu’est-ce qui en est la cause ? …

Combien de temps faut-il pour qu’une sensibilité accrue diminue ? … On nous dit que tout le monde doit être vacciné (mais) Comment peut-on donner le consentement libre et éclairé dans ces conditions ? »

Ce sont toutes de bonnes questions. Malheureusement, le Dr. Fauci et ses collaborateurs n’ont pas l’intention d’y répondre. Au lieu de cela, leurs alliés dans les médias font tout ce qu’ils peuvent pour faire disparaître cette histoire et détourner l’attention vers les mystérieux « variants », qui sont la diversion médiatique quotidienne. Suis-je trop dur ? Peut-être, mais peut-être pas assez dur.

Raison de douter des propos rassurants des fabricants de vaccins

Jetez un coup d’œil à ce clip d’un article sur Conservative Woman intitulé « Toutes les raisons de douter des propos rassurants des fabricants de vaccins » :8

« J’ai déjà fait état d’une hausse étonnante des décès qui s’est produite parallèlement à une campagne de vaccination intensive à Gibraltar, où la petite communauté a donc développé le taux de mortalité par covidés le plus élevé au monde. Nous savons également que des milliers de décès ont été observés aux États-Unis, dans l’UE et au Royaume-Uni à la suite de la vaccination contre la Covid, souvent immédiatement après l’administration de l’injection.

Les fabricants, les principales revues médicales et la plupart des gouvernements insistent sur le fait que ces décès ne sont pas liés au vaccin. Dans de nombreux cas, les décès et les maladies graves ont été attribués à une infection fortuite par le virus. Mais les preuves sont de plus en plus nombreuses que pour certains, en particulier les personnes vulnérables et âgées, le vaccin lui-même crée ou aggrave la maladie même contre laquelle il est censé être protecteur…

… un phénomène inquiétant qui apparaît régulièrement dans les études sur le vaccin Covid est une flambée des prétendues « infections » qui se produit précisément au cours de cette période de trois semaines, et généralement immédiatement après l’injection … Les chercheurs soulèvent la possibilité que le vaccin puisse déclencher des « symptômes semblables aux symptômes de la Covid-19, y compris la fièvre » chez les personnes récemment exposées au virus …

Il suggère que le mécanisme peut être une baisse de l’immunité causée par une perte de globules blancs après le vaccin, observée dans les essais Pfizer et AstraZeneca, rendant les vaccinés plus vulnérables au virus à court terme. »

OK, donc l’auteur arrive à la même conclusion que l’auteur précédent ; peut-être que le vaccin rend les gens plus sensibles au virus en abaissant leurs défenses et, par conséquent, en favorisant l’infection. C’est certainement une possibilité, mais il en existe d’autres qui pourraient être infiniment plus graves. Jetez un coup d’œil :9

« Il n’a pas été généralement reconnu que le vaccin est conçu pour nous protéger en provoquant nos cellules à produire la toxine même qui rend le virus plus dangereux que ses prédécesseurs dans la famille des coronavirus. Cette toxine, connue sous le nom de protéine spike, peut endommager non seulement les poumons, mais aussi affecter des organes tels que le cerveau, le cœur et les reins.

Le raisonnement derrière l’administration du vaccin est que l’exposition temporaire à la toxine peut fournir une protection à long terme contre la maladie causée par le virus. Les premières indications indiquent que cette stratégie fonctionne, bien qu’il ne soit pas encore du tout certain dans quelle mesure la baisse des taux d’infection observée dans les populations intensément vaccinées est saisonnière et liée aux vagues d’infection, ou si elle constitue un avantage durable.

Mais il existe également une possibilité très réelle, étayée par des expériences sur les animaux ainsi que par les études citées ci-dessus, que le vaccin lui-même produise des symptômes chez les personnes vulnérables qui sont ensuite attribués au Covid-19. Les dommages à la santé peuvent être particulièrement graves chez une personne qui a été récemment ou qui est simultanément infectée par le virus réel.

Il y a donc tout lieu de douter des propos rassurants des fabricants selon lesquelles les décès et les blessures observés comme accompagnant la vaccination, et que dans certains cas ressemblent au Covid-19 et sont attribués à celui-ci, ne sont pas liés aux vaccin. La situation est suffisamment grave pour que certains médecins et scientifiques demandent un moratoire sur d’autres vaccinations contre la Covid jusqu’à ce que le vaccin ait été dûment vérifié. »

Il se peut donc que quelque chose dans le vaccin lui-même tue des gens. C’est une possibilité réelle. Bien sûr, les sociétés pharmaceutiques et les responsables de la santé publique rejettent carrément cette hypothèse, mais les professionnels de la santé et les scientifiques pensent que le danger est suffisamment important pour demander que le programme de vaccination de masse soit temporairement interrompu.

Principaux dommages causés par la COVID causés par les protéines spike.

Certains lecteurs se souviendront que le Salk Institute a récemment publié une étude qui a montré que la « protéine « spike » distinctive du CoV-2 du SRAS… « endommage les cellules, confirmant que la COVID-19 est une maladie principalement vasculaire ». Voici un extrait de l’article daté du 30 avril 2021:10

« Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un « pseudovirus » qui était entouré d’une couronne classique de protéines de pointe du CoV-2 du SRAS, mais ne contenait aucun virus réel. L’exposition à ce pseudovirus a causé des dommages aux poumons et aux artères d’un modèle animal – prouvant que la protéine spike seule était suffisante pour causer la maladie.

Des échantillons de tissus ont montré une inflammation des cellules endothéliales tapissant les parois de l’artère pulmonaire. (Note – « Les cellules endothéliales vasculaires tapissent l’ensemble du système circulatoire, du cœur aux plus petits capillaires. »)

L’équipe a ensuite reproduit ce processus en laboratoire, exposant des cellules endothéliales saines (qui lignéent les artères) à la protéine spike. Ils ont montré que la protéine de pointe a endommagé les cellules en se liant à l’ACE2. Cette liaison a perturbé la signalisation moléculaire de l’ACE2 aux mitochondries (organites qui génèrent de l’énergie pour les cellules), provoquant des dommages et une fragmentation des mitochondries.

Des études antérieures ont montré un effet similaire lorsque des cellules ont été exposées au virus du CoV-2 du SRAS, mais c’est la première étude à montrer que les dommages se produisent lorsque les cellules sont exposées seules à la protéine de pointe. »

On ne saurait trop insister sur l’importance de ce rapport. Les chercheurs de Salk confirment que les principaux dommages causés par la COVID sont causés par la protéine spike et non par le virus. Et, si c’est le cas, alors pourquoi injectons-nous aux gens des vaccins qui enseignent à leurs cellules à fabriquer des protéines spike ?

Cela n’a aucun sens. Et comment cela affecte-t-il notre compréhension du phénomène que nous avons vu dans des pays du monde entier, c’est-à-dire la forte augmentation des cas à la suite de la vaccination de masse ? Permettez-moi de vous donner une explication plausible, mais non encore prouvée :

La forte augmentation des cas et des décès à la suite d’une vaccination de masse n’est PAS liée au COVID « la maladie respiratoire », mais au COVID « la maladie vasculaire ». La composante vasculaire est principalement le résultat de la protéine S [S pour spicule, Spike en anglais ou protéine de pointe] produites par les cellules de la paroi des vaisseaux sanguins (endothélium) qui activent les plaquettes qui provoquent des caillots sanguins et des saignements.

L’autre facteur principal est la réaction auto-immune dans laquelle les lymphocytes tueurs attaquent son propre corps, déclenchant une inflammation généralisée (et une défaillance potentielle des organes). En bref, les décès post-injection sont causés par les protéines S [Spike ou de pointe] produites par les vaccins et non par la COVID. Encore une fois, regardez la carte du Cambodge. Il n’y a eu aucun décès avant la vaccination. Tous les décès sont survenus par la suite. Cela suggère que les décès sont attribuables aux vaccins.

Une dernière réflexion : 118 millions d’Étasuniens ont maintenant reçu une protéine de pointe génératrice de caillots. À l’heure actuelle, personne ne semble savoir combien de temps ces protéines potentiellement mortelles restent piégées dans la paroi des vaisseaux sanguins ou quels dommages elles pourraient éventuellement causer.

En gardant cela à l’esprit, ne serait-ce pas le bon moment pour faire preuve d’un peu de prudence ? Maintenant que les cas ont fortement chuté dans tout le pays [États-Unis], pourquoi ne pas abandonner la vaccination anti-Covid tant que nous n’aurons pas une meilleure compréhension des risques à long terme ? Ce serait une bonne décision, n’est-ce pas ? Il suffit de reporter les nouvelles injections jusqu’à ce que la sécurité du produit puisse être garantie. Si on a pas été prudent jusqu’à maintenant sur cette question de vaccination, ce serait le moment de prendre des précautions.

Mike Whitney

Michael Whitney, analyste géopolitique et social renommé basé dans l’État de Washington, USA. Il a commencé sa carrière de journaliste-citoyen indépendant en 2002 avec un engagement en faveur d’un journalisme honnête et de la paix mondiale.

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

Article original en anglais :

Mass Vaccination Triggers Spike in Cases, Deaths, publié le 27 mai 2021.

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca

L’image en vedette est de Children’s Health Defense

Notes

YouTube 13 mai 2021

Forbes 11 mai 2021

NBC News 14 mai 2021

Twitter, Joel Smalley

5, 6, Informer l’Écosse 6 avril 2021

8, La femme conservatrice 3 mai 2021

10 Salk News 30 avril 2021

La source originale de cet article est MERCOLA
Copyright © Michael Whitney
MERCOLA, 2021




Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !

[Source : Anthropo-logiques (tdg.ch)]

Par Jean-Dominique Michel

Nous pouvons nous demander à ce stade si la « Covid », entrée dans sa saison 2, n’est pas une fiction dystopique produite par un quarteron de scénaristes sociopathes !

Alors que l’efficacité des traitements précoces ne cesse de se confirmer, alors que la volumétrie de l’épidémie ne cessent de se confirmer rassurantes, la pression narrative ne se relâche point : des résurgences dans certains contextes sanitairement précaires (comme hier au Brésil et aujourd’hui en Inde) sont brandies par les médias comme de nouvelle évidences de la nature apocalyptique du virus.

Alors que rapportées à leurs populations et mis en perspectives des problèmes sanitaires endémiques qui s’y constatent, ces épisodes,  tout tragiques qu’ils soient dans la réalité de ceux qui les subissent, n’ont hélas rien d’exceptionnel.

Et alors que la campagne « vaccinale » confirme être hasardeuse, dangereuse même, ainsi que parfaitement contraire aux règles et aux principes éthiques devant prévaloir en la matière, l’emballement conduit maintenant à ce qu’il faut bien appeler de nouvelles monstruosités.

Comme l’ouverture dans le canton de Vaud de l’expérimentation génique aux femmes enceintes (malgré l’augmentation constatées des fausses-couches chez les « vaccinées »…), la marche en avant vers la « vaccination » absurde des enfants et adolescents, qui sacrifiera inévitablement un certain nombre d’entre eux qui n’auraient aucunement été à risque ni de faire une forme grave de la maladie ni de la transmettre.

Cette danse de Saint-Guy semblant pour l’instant inarrêtable, il nous restera donc à continuer à en énoncer la tragique et meurtrière absurdité, en soulignant au passage combien la presse (sorry les gars) continue de ne pas faire son travail.

En taisant par exemple les falsifications des études produites par l’industrie, la complicité crapuleuse au tout-vaccinal de certaines autorités de santé (les scandales de corruption se multiplient à l’échelon de l’Union européenne) ainsi que la réalité préoccupante du taux d’effets indésirables et des décès dus à la « vaccination » dans un contexte de reporting défaillant du nombre réel d’accidents.

Bref, le bon peuple-marionnette n’est pas près de cesser de danser au bout de son fil et bien malin qui peut prédire la fin de cette « psycho-pandémie » collective comme l’appelle si à propos Michel Maffesoli.

Restent donc, encore et toujours, quelques sources et ressources pour  raison garder et ne pas être dupes.

Parmi icelles, relevons le travail d’information remarquable produit par quelques collectifs ou médias indépendants -comme bien sûr Réinfo-Covid. Saluons par la même occasion (avec un lien d’intérêt que je m’empresse d’annoncer puisque j’ai l’honneur de participer à cette aventure !) la création en Suisse romande de la plateforme d’information CovidHub.ch. Dont la mission est de donner l’information manquante (parce que filtrée, occultée ou censurée par les médias grand public) qui permettrait à tout un chacun de se forger ses opinions et prendre ses décision en toute connaissance de cause.

Le rôle de la presse, traditionnellement, était de présenter l’information de manière neutre, documentée et nuancée, en évitant de prendre partie dans les querelles idéologiques ou de participer aux humaines magouilles. Depuis qu’elle a été instrumentalisée à cette fin -renonçant au passage à son travail d’investigation sur les questions embarrassantes- , non seulement laisse-t-elle nos démocraties orphelines d’un contre-pouvoir essentiel à leur santé mais participe-t-elle activement comme générateur principal à la psycho-pandémie.

Reste aussi heureusement l’apport salvifique de voix expertes ne cédant pas aux pressions et à la répression de l’omerta, qu’il s’agisse de scientifiques, de penseurs et philosophes, ou de professionnels détenant des pièces du puzzle essentielles à une compréhension restaurée de la relativité et de la complexité des choses.

Parmi celles-ci (je l’ai souvent affirmé, ayant eu l’honneur de recevoir et de re-publier de nombreux textes de qualité) figurent des voix de médecins-psychiatres.

Nous vivons un temps où se multiplient hélas les impacts destructeurs des politiques sanitaires imbéciles qui nous ont été infligées depuis quinze mois, que j’avais prévus et annoncés de longue date. C’est sans doute le pire pour moi dans cette affaire : ne pas être entendu, me voir attaqué voire harcelé par certains suppôts de la dérive en cours ou devenir (temporairement) objet de scandale n’est rien face à ces montagnes de drames qui apparaissent.

Désormais donc, outre une flambée de la détresse psychosociale et des hospitalisations en psychiatrie, outre les faillites à la pelle d’honnêtes travailleurs étranglés puis conduits à la ruine par nos autorités, outre les morts inutiles de dizaines de milliers de personnes qu’il aurait été possible et impératif de soigner, apparaissent des réalités terribles et terrifiantes comme des suicides de jeunes enfants.

A Toulouse, les services de pédopsychiatrie alertent ainsi sur des pendaisons ou des défenestrations d’enfants âgés de six ans et les larmes -que les cyniques se fassent plaisir et se moquent- coulent en l’écrivant.

Comment la population, les familles, les parents, comment des corps de métier entiers comme les médecins et les enseignants, ont-ils pu ne pas voir que nous étions en train de générer une réalité mortifère, morbide, destructrice en particulier pour les groupes les plus vulnérable de la population ?

Notre Constitution -désormais piétinée, abusée, trahie et violentée par ceux qui auraient la charge d’en être les garants- énonce que c’est à la manière dont une société traite les plus vulnérable de ses membres que se reconnaît sa valeur et ses qualités.

Les yeux de ces enfants suicidés nous regardent depuis le fond de leurs tombes.

Et que leur regard puisse enfin collectivement nous hanter à l’heure où les crapuleries continuent à exploiter les lâchetés pour poursuivre envers et contre tout une entreprise de destruction massive des fondements de notre humanité.

C’est avec gratitude et fierté que je publie ici deux textes proposés par des habitués de cette page, les Dr Frédéric Badel et Frédérique Giacomoni. Ces deux médecin-psychiatres font partie des braves qui ne sont pas résignés au silence et à la complicité passive des dérives en cours conduisant à ces réalités terribles qui commencent seulement à nous exploser au visage.

Qu’ils soient remerciés de leur engagement et de leur courage, comme de la confiance qu’ils m’accordent en m’autorisant à re-publier leurs textes sur cette modeste page…

Et puissions-nous enfin, enfin, trouver le chemin de retour vers l’intelligence, le bon sens et le socle même minimal de notre humanité.


COVID-19 : VERS UNE SOCIÉTÉ DU SANS CONTACT ?

Par Dr Frédéric Badel

Quelques paroles de patients, recueillies au cours des consultations, doivent être rapportées en guise d’introduction. Le premier patient avait été hospitalisé pendant plus d’un mois, le second traité en soins externes, mais leurs récits se rejoignent. L’un et l’autre témoignent de la transformation rapide et profonde qu’a subie notre idée du soin, dans une société devenue monomaniaque, soucieuse avant tout de se préserver du Covid.

Le premier patient résume en quelques mots le vécu de bien des malades obligés de séjourner pour un temps plus ou moins long dans des cliniques ou des hôpitaux : « Si je sors pour le week-end, je suis en quarantaine pour une semaine en revenant dans l’établissement… si mes enfants viennent me visiter, ils doivent porter le masque, et je ne peux pas les embrasser… ils doivent rester à deux mètres… on ne peut pas sortir, on est en prison. Si j’avais été mieux, je ne serais pas resté dans ces conditions, ce n’est pas digne, surtout avec les PCR à répétition, on ne peut pas refuser, nos droits ne sont pas respectés ».

Le second, en l’occurrence une patiente, questionne directement notre humanité. Elle se rend à l’hôpital pour quelques heures, pour se voir administrer une chimiothérapie. Les cures antérieures ont affecté sa motricité car le produit a attaqué les nerfs de ses jambes. « Je ne peux pas me déplacer sans aide. Mon mari n’a pas été admis dans l’hôpital à cause du Covid ; il a dû m’attendre à l’entrée. Une patiente qui voulait m’aider à me déplacer s’est fait reprendre par une soignante qui lui a demandé de ne pas me toucher car c’est la règle de distanciation. Vous parlez de soins… on est traités pire que des chiens. Heureusement la patiente ne l’a pas écoutée et m’a aidée. Déjà qu’on est malade, comment voulez-vous qu’on aille bien dans ces conditions ?  C’est inhumain ».

Si la qualité technique des soins n’est généralement pas remise en cause, les conditions de l’accueil et de l’hébergement, régies par les règles nouvelles, interrogent nécessairement car elles déclenchent des réactions d’hostilité, de défiance, voire de violence de la part de patients, peu habituelles en temps normal.

Les mesures d’hygiène prises dans certains établissements de soins, parfois drastiques, font oublier que la santé se définit par un état de bien-être physique, psychologique et social. Deux des trois épithètes ont pâti de la crise, jusqu’à parfois être effacés. Certains patients préfèrent renoncer aux soins non urgents tant ils jugent que les conditions de vie sont dépourvues d’humanité et manquent au respect le plus élémentaire de leur personne qu’ils sont en droit d’attendre en ces lieux, tant ils estiment que les mesures sanitaires sont disproportionnées. Le soin, synonyme de lutte contre le virus, a en effet été diminué de plusieurs de ses dimensions fondamentales comme le souci de l’Autre et de son bien-être, ou la bienveillance envers les malades.

Le propos de ces personnes, souvent devenues dépendantes et vulnérables du fait de la maladie, invite à s’interroger sur le type de gestion de crise que proposent les autorités. Jusqu’où est-il raisonnable d’aller dans la traque d’un virus ? Quel modèle de société point à l’horizon quand la priorité retenue par une certaine science, érigée en guide, est d’éradiquer un virus ou de prévenir toute épidémie, quitte à piétiner un des éléments qui nous fonde de façon ontologique et qui nous situe dans l’humanité commune, à savoir le contact sous toutes ses formes ?

Mesures et démesures

Les mesures « sanitaires » prises pour lutter contre l’épidémie ont essentiellement consisté dans l’instauration de gestes barrière (lavage des mains, port du masque, distanciation sociale) et la réduction des droits des personnes (interdiction de regroupement, jauges multiples, atteinte au droit de travailler et de se déplacer). Si certaines de ces mesures peuvent sembler classiques et de bon sens, comme le lavage des mains ou le port du masque dans des situations précises, d’autres, si elles devaient durer, pourraient rapidement se révéler préjudiciables. L’histoire de l’humanité le montre.

La phylogénèse nous apprend en effet que les animaux les plus anciens, de type reptilien, n’ont que peu voire pas de contacts avec leur descendance. Leur progéniture naît autonome et nombreuse, ce qui permet de pallier les lourdes pertes qui se produisent dès la naissance. Elle n’a pas besoin de l’assistance de ses parents, lesquels ne s’en préoccupent pas. Par exemple les petites tortues naissent en grand nombre sur les plages, sans aide aucune et, malgré les multiples dangers qui les guettent dès la sortie de leur coquille, leur nombre permet le renouvellement de l’espèce. Elles sont d’emblée équipées, sans apprentissage nécessaire, pour tout ce qui est indispensable à leur vie, à savoir se nourrir, se reproduire, se diriger. Leur cerveau est centré sur l’auto-protection pour faire face à la menace. On estime cependant que 98 % d’entre elles n’atteignent pas l’âge adulte.

Cet exemple, édifiant, permet d’illustrer la vulnérabilité de l’espèce quand ses membres n’interagissent pas et quand les rapports entre les vivants n’intègrent pas la dimension du soin, ce qui a été la règle pendant des millions d’années. Or, le passage de la survie à la conservation des espèces s’est réalisé en partie grâce à l’émergence du soin.

Il y a environ 120 millions d’années, les femelles mammifères ont commencé à prendre soin de leur progéniture. Ce phénomène, qui s’est accompagné de la réduction du nombre des naissances pour que la mère puisse investir les petits, se double d’un changement dans le cerveau, lequel permet au petit de se tourner vers sa mère, de chercher sa proximité plutôt que de la fuir, et à la mère de lui assurer soins et protection. Cette interaction va bien au-delà de la préservation de la vie physique. Par les soins prodigués et le contact, le parent stimule en effet le système d’apaisement du petit qui calme à son tour son système de menace. Il suffit de regarder les images fabuleuses filmées par le naturaliste britannique D. Attenborough pour constater la magie du soin dans le monde naturel.

Parce qu’ils naissent avec des capacités d’apprentissage, les petits restent un temps variable avec leurs parents avant de les quitter. L’environnement joue un rôle dans l’épanouissement de ces espèces pour lesquelles l’existence dans son entièreté ne se résume pas au matériel génétique qu’ils détiennent à la naissance.

Ce phénomène s’est poursuivi jusqu’à l’homme avec, comme corollaire, le développement extraordinaire du cerveau ces trois derniers millions d’années. À sa naissance, le petit d’homme est très incomplet et entièrement dépendant de son environnement. À ce stade, certaines zones de son cerveau sont déjà spécialisées et répondent à la gentillesse et à l’affection. Les gènes qui y correspondent sont activés ou désactivés en fonction de la quantité et du type d’affection qu’il reçoit, tout particulièrement au début de sa vie. Ainsi, des modifications du cerveau sont visibles en cas de carences de soins ou d’abus sévères alors qu’elles ne sont pas observées si les soins sont correctement assurés.

Le soin a par ailleurs des effets sur la production d’ocytocine, une hormone importante liée à nos sentiments de sécurité et d’affiliation et qui joue un rôle social majeur. L’ocytocine est en particulier stimulée quand des soins sont prodigués par les parents ou leurs substituts, et il a été établi que le contact physique augmente son taux (câlins, bisous, caresses). Cette hormone intervient dans la capacité à faire confiance, à aimer les gens, à nourrir un sentiment de sécurité. Elle diminue également le stress. Plus largement, il est démontré que les animaux chez qui cette hormone est éliminée ne développent pas d’attachement à leur progéniture.

Le cerveau humain est donc conçu dans son ensemble pour être sensible aux marques d’affection et aux soins issus de l’environnement à travers toute une série de systèmes spécialisés capables de ramener le calme et le sentiment de sécurité.

Pour contrôler les systèmes d’activation des conduites ou ceux de la peur, un système antagoniste est capable de ramener le calme. Il comprend le système parasympathique et certaines zones cérébrales correspondant aux sentiments de bienveillance, d’affiliation et de compassion, la compassion pouvant être comprise comme la capacité qu’a la mère (principalement) à repérer la souffrance de son enfant et à lui venir en aide.

Ces systèmes sont stimulés par le regard, la parole et l’étreinte. L’enfant peut être rassuré ou consolé par un simple contact ou une parole gentille (en thérapie, l’auto-compassion passe par le contact avec son propre corps, par exemple le fait de s’étreindre, et procure de l’apaisement).

Les parties de notre cerveau qui soutiennent et permettent l’attachement et plus largement l’affiliation sont liées à des sentiments d’empathie et d’amitié. Ces sentiments nous permettent d’appréhender le milieu extérieur et nos semblables, de nous sentir dans un même flux d’humanité, de nous considérer comme des humains au milieu d’autres humains, préoccupés, quelles que soient leurs différences, par le souhait d’être heureux et ne pas souffrir. Ce sentiment d’affiliation se développe différemment selon que l’on grandit dans un milieu bienveillant ou dans un milieu plus hostile. L’affiliation est donc étroitement liée au sentiment communautaire.

Ces systèmes codant pour l’apaisement, la bienveillance, la compassion nécessitent une stimulation suffisante, régulière et permanente, pour que l’individu se porte bien, pour qu’il soit en bonne santé.

Cela explique que certaines personnes âgées, isolées, privées de leurs seuls repères affectifs – les visites de leurs proches le plus souvent – se laissent mourir ou développent des troubles cérébraux dégénératifs irréversibles. Pour elles, la vie sans affection n’a peut-être plus de sens et les systèmes neuro-hormonaux perdent leur équilibre, favorisant l’apoptose.

Cet équilibre fragile risque de subir de graves dommages lors chocs importants et/ou prolongés comme le montre l’exemple des personnes qui ont vécu des traumatismes. Ces victimes présentent en effet des modifications de leur fonctionnement cérébral avec une hyperactivation des zones correspondant à la peur et une sous-activation des zones correspondant à l’apaisement. Ces états font suite à des épisodes de peur intense, d’incompréhension ou de sidération plus ou moins durables. Les modifications immunitaires liées au stress peuvent également laisser émerger des maladies auto-immunes, des cancers ou d’autres pathologies somatiques (ulcères, infarctus etc.)

Des mesures délétères

Les mesures prises à partir de mars 2020 et surtout du mois d’octobre de la même année concernent toute la population. Elles ont mis un terme aux rassemblements, à la fréquentation des lieux d’échanges et de socialisation – bars, restaurants, salles de sport et de spectacles-. Nombre d’associations ont également fermé, une part des salariés a été obligée de travailler à domicile en télé travail. Les cours en distanciel ont réduit les échanges également chez les étudiants et les élèves. Les rares échanges qui subsistent se réalisent avec des normes « sanitaires » impliquant une distanciation, le port du masque et une limitation du nombre des personnes qui se regroupent.

Cette nouvelle façon de vivre modifie notre système hormonal, immunologique et cérébral. Il se pourrait même, si ces habitudes devenaient pérennes, que des modifications adaptatives de nature épigénétique (mode de lecture de notre code génétique) apparaissent. Ceci est d’autant plus grave que les études menées sur les personnes ayant subi des traumatismes montrent une transmission de ces traumatismes aux générations suivantes. La nature épigénétique de cette transmission a été mise en évidence.

Les mesures prises pour lutter contre le virus vont donc à l’encontre de ce que sont les humains, des êtres de communication et de contact. Elles sont délétères et nous mettent face à un défi, celui de préserver notre santé. Nous constatons qu’en diminuant la convivialité et les loisirs, la quantité et la qualité des contacts, notre dynamisme et notre joie de vivre s’altèrent. Nous tendons au repli et à l’aboulie. Notre pulsion de vie s’épuise.

Nous pouvons prendre conscience de cette réalité nouvelle pour réagir au mieux et prendre soin de nous. Des modifications de nos habitudes peuvent se révéler salvatrices pour rétablir ou maintenir l’équilibre entre les systèmes activateurs et les systèmes de détente. La source de stress la plus présente réside dans le réseau d’informations qui relaie presque exclusivement des nouvelles qui activent les systèmes de menace.

S’apaiser

Par exemple, il est possible de réduire ces sources de stress en regardant les informations peu de temps, en se limitant aux titres, en faisant des pauses d’informations de plusieurs jours, en s’informant de façon indirecte (réseaux sociaux) pour éviter de subir les chocs émotionnels créés par les annonces.

La réduction du stress peut aussi passer par une alimentation équilibrée, laquelle participe à une bonne digestion et à l’entretien du microbiote (le microbiote comprend des milliards de bactéries, champignons et virus dont le métagénome joue un rôle encore peu connu).

Activer les systèmes d’apaisement constitue égale une cible majeure et plusieurs propositions peuvent être faites en ce sens :

  • Rencontrer les personnes/amis, échanger sur ses expériences actuelles pour aider à trouver du sens et du réconfort et augmenter le sentiment d’affiliation. S’inscrire dans des associations peut être utile et permettre de rencontrer de nouvelles personnes habitant à proximité.
  • Éviter le repli en sortant, utiliser le plus possible les attestations tant qu’elles sont obligatoires. Le repli peut faire le lit de la dépression. Préférer les sorties aux écrans.
  • Pratiquer de l’exercice physique régulièrement (production d’endorphines apaisantes). La marche constitue une activité physique à part entière.
  • Favoriser les pratiques de détente (respiration, yoga, méditation, qi gong, etc), pratiquer des exercices de pleine conscience pour s’extraire des ruminations et apprendre à mieux observer le moment présent pour en profiter. Les anxieux sont très souvent en hyperventilation et la respiration abdominale, comme les exercices de cohérence cardiaque, sont rapidement efficaces pour la diminuer.
    La méditation tournée vers la bienveillance l’émerveillement et la compassion permet de lutter contre les poisons mentaux que sont la colère, la haine, la peur, émotions négatives qui altèrent la qualité de vie. Des études menées récemment auraient montré que la pratique de la méditation diminuerait la vitesse d’érosion des télomères, ces parties distales a priori non codantes des chromosomes qui, avec le temps, se rétracteraient et détermineraient les modifications biologiques du vieillissement.
  • Développer des activités créatrices ou plaisantes: bricolage, dessin, chant, danse, lecture etc.
  • Préserver son sommeil.
  • La prière est également un moyen de se recentrer, de prendre du recul, de donner du sens, de faire corps avec le monde et l’univers.
  • Faire des câlins, caresses, pratiquer la méditation, l’écoute des autres, l’exercice physique et l’activité sexuelle, faire des cadeaux, faire plaisir, rire, garder de l’humour, sont cités pour augmenter le taux d’ocytocine.
  • Avoir des activités agréables, voir les autres et échanger avec eux, les toucher, les embrasser, les étreindre, contribue grandement à maintenir une bonne santé physique et mentale. Toute atteinte prolongée à ces activités fondamentales peut détériorer gravement et durablement ce capital. C’est pourquoi l’isolement social et les privations sensorielles sont classées dans les tortures.

Heurts de fond

La société du sans contact, qui a été imposée de façon irresponsable et arbitraire, sans aucune référence aux pratiques de gestion passée des épidémies, se heurtera toujours à ce que nous sommes de façon pérenne et profonde, des êtres sensibles à la gentillesse, aux marques d’affection et aux contacts. Sa mise en place sera obligatoirement un échec.

La richesse et la diversité des liens sociaux étant un gage de santé, une transgression brutale, forcée et durable de cette humanité ne pourrait se réaliser qu’au prix d’une réduction de population sélectionnant progressivement les mutants de demain, qui auraient par exemple désactivé la production d’ocytocine ou d’autres hormones régissant le lien à l’autre et l’affectivité. Des mutants capables de vivre dans un référentiel totalement différent où l’individualisme règnerait et où tout échange avec l’autre serait devenu inutile. Un monde d’écrans et de machines, de consommation, de travail, dans lequel les notions de loisir, de partage, de convivialité, de contacts, auraient disparu.

Quand bien même ce système oppressant mis en place depuis plus d’un an serait levé, il aura été le moyen de dissoudre les libertés individuelles et d’instaurer un apartheid sanitaire. Les lieux d’échanges et de convivialité ouvriront comme dans le monde d’avant, mais dans un référentiel différent intégrant les barrières sanitaires et l’obsession de la maladie. Le chemin est désormais tracé pour que cette obsession de la maladie et sa hantise nourrissent les prochaines crises sanitaires, lesquelles induiront les mêmes réactions irrationnelles de peur et ouvriront les portes à de nouvelles modifications dans nos relations sociales, nous isolant toujours un peu plus les uns des autres, acceptant d’avantage de réductions de nos droits.

Dr Frédéric BADEL

Mai 2021


« Au fond de moi, je le savais ! »

Par Dre Frédérique Giacomoni

Combien de fois avez-vous pensé ou prononcé cette phrase?
Où situez-vous ce « fond de moi »?
Dans votre tête, dans vos pensées ou bien plutôt quelque part dans vos tripes?

La plupart d’entre nous situons clairement ce « fond de moi » dans les tripes, dans un espace sous le diaphragme et derrière l’estomac. C’est probablement là que se situent l’intuition et les pensées qui jaillissent dans le corps.

L’être humain a cette particularité de pouvoir déplacer son attention là où il le veut. Il peut choisir de la mettre dans sa tête, de suivre toutes ses pensées voire même de s’y accrocher ou de mettre son attention dans son corps par exemple dans cette zone sous le diaphragme et ainsi se connecter directement avec son intuition.

Beaucoup d’entre nous ne ressentent plus ni leur corps, ni leur instinct ou leur intuition et se sentent plus ou moins complètement coupés de leur corps. Cette dissociation totale ou plus souvent partielle selon les personnes provient d’expériences traumatiques répétées. Les traumatismes qui la provoquent sont physiques, bien évidemment, et aussi psychologiques.

Peu importe la nature des trauma psychologiques, le résultat sera toujours le même : maintenir les peurs à un haut niveau, peurs qui empêcheront l’Etre d’évoluer et de grandir en autonomie et en liberté. Les peurs maintiennent l’Etre dans un état de soumission voire d’esclavagisme. Les peurs sont un produit du mental et chacune d’entre elles forme les barreaux de notre prison.  Le mental est une prison. D’ailleurs la technique utilisée par les sectes pour maintenir leurs adeptes dans la dépendance consiste pour le gourou  à créer  ou s’appuyer sur une peur terrible : celle de la mort sous toutes ses formes – peur de la fin du monde, peur d’être banni, peur de l’opinion des autres, peur du rejet du groupe, peur de sortir du rang, peur de la maladie, peur du jugement, peur du regard des autres…-  pour provoquer chez ses adeptes une émotion forte et propose alors LA solution que lui seul détient. Il utilise également d’autres techniques issues de l’ingéniérie sociale qui lui permettent d’empêcher ses adeptes de réfléchir par eux-mêmes. Les adeptes consentent donc à cesser leur réflexion et à s’en remettre au gourou. Ils sont soulagés de ne plus avoir à réfléchir et n’ont plus besoin de tenir compte de leurs ressentis, il suffit de suivre les préceptes du « sauveur, celui qui connaît la solution ». C’est plus confortable pour eux de suivre sans réflexion que de remettre en question leurs propres croyances. Il faut réfléchir à cette phrase de Machiavel : « Celui qui contrôle la peur, contrôle les âmes ».

Lorsque les trauma psychologiques sont répétés, l’être humain se dissocie pour se protéger dans un réflexe de survie. Il se coupe, sans intention consciente de le faire, de son ressenti douloureux et pense ainsi avoir réglé le problème. Or plus il se coupe de ses ressentis et plus il sera amené à le faire. A tel point que la coupure, cette dissociation peut devenir une manière d’être au monde. Dans ce cas terrible, la personne est coupée dans son incarnation et ne peut plus ressentir son intuition. C’est comme si elle avait perdu sa boussole. Certains nomment d’ailleurs cette intuition : la partie divine en soi. Peu importe que l’on croit ou non en Dieu. C’est en se reliant à son corps et à ses tripes que l’être humain peut ressentir sa « pleine conscience ». C’est -à-dire la totalité de sa conscience et pas seulement celle contenue dans sa tête. Devenir conscient c’est sortir de la prison. Le mental réalise alors qu’il pensait être en prison et que ce n’était qu’une illusion.

La totalité de sa conscience nécessite donc de pouvoir relier le mental – les pensées qui viennent de la tête – à l’intuition dans le corps : aux pensées et ressentis qui viennent du corps. Or si la personne est dissociée, elle ne peut plus réaliser cette connexion pourtant essentielle à sa réflexion. Une personne dissociée est donc la candidate idéale pour subir l’influence d’une personne ou de toute autre entité comme un état qui aurait intérêt à la maintenir dans la peur pour mieux la manipuler et la soumettre. Par exemple, beaucoup d’entre nous ont eu des parents qui utilisaient la peur ou la honte pour faire tenir les enfants tranquilles : « tu n’as pas honte? » ;  « Attention, ne fais pas ça, sinon tu vas voir ce que tu vas voir. »…Ce modèle éducatif remonte souvent sur plusieurs générations. A telle enseigne que certains définissent le « mental » comme la somme des peurs de l’humanité!

Si la personne est dissociée, même partiellement, son attention est donc tout le temps captivée par les peurs et cela génère évidemment des tas de troubles, de confusion, de difficultés de tout ordre dont l’incapacité à ressentir ce qui est bon pour soi, ce qui est juste pour soi et ce qui fait sens pour soi.

Je reprends là, comme un exemple, les paroles du Père Kalka qui fût aumônier  dans l’armée française et qui écrit ceci :
« …Mais il y a deux catégories de chef et deux sortes de solitude. Le premier est pendu au câble du téléphone et attend les directives venant d’en haut. Quelles que soient ces directives, il les accepte sans broncher, car il ne pense qu’à son avancement. Le second se met devant Dieu et sa conscience, et décide. Oui, je sais, ce n’est pas évident de prendre ce genre de décision, c’est même très dur d’assumer ainsi cette volonté qui pourrait être, et en général, elle est celle du Ciel. Elle vient toujours du Ciel, d’ailleurs, dès qu’il est question de vérité, de courage et d’honneur. »

Il décrit très bien la nécessité de se connecter à sa pleine conscience dès qu’il est question de vérité, de courage et d’honneur. C’est donc essentiel de pouvoir reconnecter le mental, la tête avec le corps et ses ressentis profonds. Il faut aider chacun d’entre nous à se reconnecter avec son intuition. Il faut rétablir la ligne!

Depuis la découverte de l’importance du rôle du microbiote dans la gestion émotionnelle certains n’hésitent pas à parler du tube digestif comme étant notre premier cerveau ! Premier ou deuxième, ce qui compte est de relier ces deux cerveaux et que cette connexion ne puisse pas être interrompue à tout bout de champ.

Une manière de restaurer cette connexion essentielle entre nos deux cerveaux est sans conteste la méditation. Le Dalaï-Lama postule d’ailleurs que si l’on enseignait la méditation dans une classe d’âge à des enfants de 8 ans, la paix dans le monde serait obtenue en une seule génération. Le pouvoir de la méditation de masse créatrice de paix pour réduire la guerre et le terrorisme a été testé à plusieurs reprises, notamment sur la guerre civile au Liban avec une réduction de 70% des décès liés à la guerre. http://www.permanentpeace.org/evidence/war.html

La pratique de la méditation comme outil de développement personnel est depuis longtemps théorisée et relayée par nombre d’auteurs, ouvrages, congrès, théories, recherches…Cette pratique est essentielle et utile comme préalable pour rétablir la connexion en soi tout d’abord. En revanche elle ne doit pas en rester à ce stade car se sentir mieux, se développer, grandir en soi n’est pas une fin en soi! Ce n’est que le début du travail qui n’a de sens que si cette meilleure connexion à SOI permet d’améliorer sa connexion aux autres et à l’AUTRE plus généralement. Cet Autre, ce Tout Autre plus grand que soi. On pourrait aussi le nommer l’intelligence collective ou inconscient collectif. A ce titre j’estime même que le terme de 3ème cerveau serait intéressant. On pourrait ainsi postuler que la pratique régulière de la méditation est l’outil nécessaire, simple gratuit et facilement accessible, puisqu’il s’agit d’un travail sur le souffle, outil nécessaire et indispensable pour connecter les trois cerveaux dont nous avons besoin pour vivre sainement. Lorsque l’être humain parvient à se connecter à plus grand que lui, il apprend à laisser son ego à sa juste place et peut développer sa conscience ou plutôt la totalité de sa conscience en lui et autour de lui.

En étant correctement « aligné » c’est-à-dire en maintenant cette ligne fonctionnelle entre les trois cerveaux  : spirituel (intelligence collective) , organique (mental) et digestif (émotionnel) nous aurons beaucoup moins tendance à utiliser la violence sous toutes ses formes et pourrons améliorer le respect  et la compassion pour toute forme de vie humaine ou non humaine. Le mot compassion est très beau bien qu’il soit difficile d’en trouver une définition parfaitement consensuelle. La définition qui me paraît la plus juste est celle qui fait de la compassion la forme la plus élevée, la plus pure de l’Amour. Les travaux se multiplient pour montrer l’intérêt de la pratique méditative et spirituelle pour aller vers une transformation collective. La crise que nous traversons actuellement est essentiellement spirituelle. Seule une reconnexion de l’être à des valeurs hautes telles que compassion, miséricorde, pardon, amour inconditionnel, beauté, bonté, vérité…peut nous aider à sortir de cette crise qui emprisonne les humains dans leur seule volonté-nécessité  de survivre. La méditation en est un des vecteurs.

Laissons-nous inspirer par cette phrase de Gandhi «  Sois le changement que tu veux voir dans le monde ».

Dre Frédérique Giacomoni

Mai 2021




Covid-19 : témoignages de travailleurs de la santé

[Source : Games N Roses]

Des travailleurs de la santé qui jusqu’à maintenant étaient restés dans l’ombre, mettent enfin un terme à l’omerta du silence imposée sous peine de licenciement. Ces témoignages tant attendus exposent ce qu’elles ont vu en coulisse derrière le rideau du Covid Show. Ce documentaire révèle les incohérences en milieu hospitalier dont elles ont été témoins. Ces témoignages inespérés jusqu’à présent, viennent montrer l’envers de la médaille. Les mensonges propagés par les médias quant à la réalité de ce qu’elles voyaient, seront clarifiés et ce, grâce à ces anges qui étaient en première ligne durant cette « plandémie ». Vous serez aux premières loges également de ce que nos ainés ont subi comme fin de vie…

https://youtu.be/dD4WAMtI8gA



Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid »)

Par Nicole Delépine

Rappel des conventions signées par la France

Une aberration médicale, morale, éthique, légale

Chacun sent bien la précipitation et l’impatience du pouvoir à faire accepter le vaccin à tous les âges de la vie, même les plus incongrus comme les enfants qui sont à risque zéro du covid et ne transmettent le virus ni aux enfants ni aux adultes,(([1] Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) (même l’Institut Pasteur ne le conteste plus) et ne pourraient même pas, si ce but isolément était acceptable, participer à une éventuelle immunité collective.

La « vaccination » forcée par des substances géniques

Les populations du monde entier reconnaissent dans la « vaccination » incitée par tous les moyens même les plus incongrus (de la glace offerte au cobaye à la place gratuite pour visiter un parc de loisirs ou le château de Dracula) comme une entreprise mystérieuse et louche. Si un médicament était efficace et sans danger pourquoi faudrait-il utiliser tous les moyens pour l’imposer : du charme et des petits cadeaux à la coercition ?(([2] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Les citoyens du monde découvrent en cette année 2021 que le coronavirus a beaucoup moins tué que l’on a voulu le faire croire et que par ailleurs des traitements précoces anodins et peu chers existent, enfin que ce pseudo vaccin dont on ne voit pas l’utilité est de fait une substance génique capable possiblement de modifier le génome. Et ils se demandent la finalité de cette gigantesque entreprise de manipulation des foules bien décrite par de nombreux auteurs.

Le Faust du XXIe siècle, Bill Gates (aidé d’Attali ou autres Laurent Alexandre), aurait-il réussi à imposer son projet de dépopulation qu’il peaufine depuis plus de 20 ans dans de nombreuses conférences et vidéos, avec l’aide logistique des adeptes du forum de Davos ? Bien sûr, il est difficile pour la plupart des gens – normaux – d’imaginer de tels projets totalitaires tant ils sont incroyables, sans les traiter de complotistes, et pourtant nous n’avons qu’à lire leurs ouvrages et réagir s’il en est encore temps.

La liberté individuelle protégée par les lois et conventions internationales(([3] À l’étranger aussi des protestations s’élèvent contre l’obligation pour une substance en essai thérapeutique
Un tribunal néo-zélandais déclare que le déploiement du vaccin Pfizer est illégal (odysee.com) ))

Le propre du fascisme : faire passer un prétendu intérêt collectif avant l’intérêt individuel

Lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme.

Les élus ou commentateurs qui donnent comme argument l’intérêt pour la collectivité de vacciner les enfants, sans l’ombre d’un bénéfice pour eux feraient bien de relire l’histoire de l’eugénisme(([4] Les idées eugénistes remontent à l’Antiquité, où elles furent parfois appliquées (ainsi en Grèce, et plus spécialement à Sparte, où l’on abandonnait à la mort les nouveau-nés anormaux). Elles ne disparurent jamais complètement, resurgissant à diverses époques sous différentes formes, mais sans avoir d’applications, sinon très marginales.

C’est seulement à la fin du XIXe siècle qu’il y eut une véritable théorisation de l’eugénisme. C’est à cette époque, en 1883, que le mot eugenics fut inventé par Francis Galton, à partir du grec ἔυγενης, qui signifie « bien né ». Étymologiquement, l’eugénisme (ou eugénique) se voulait donc la science des bonnes naissances. EUGÉNISME – Encyclopædia Universalis)) et de ses monstrueuses conséquences.

Nous pouvons nous inquiéter sur les effets pervers sur les cerveaux du tragique scénario covid-19 depuis un an et demi, quand nos « philosophes » de plateau comme Onfray ou Enthoven se rangent du côté de l’obligation vaccinale et qu’une « grande historienne » âgée traite le Pr Raoult de criminel dans une émission à large écoute, sans commentaire des journalistes… Comment sortir de la secte covid19 devrait devenir leurs sujets d’étude et les nôtres.

Rappelons ici la tragique doctrine nazie

bien étudiée par René Capitant, ministre de De Gaulle(([5] René Capitant et sa critique de l’idéologie nazie (1933-1939) ,Olivier Beaud dans Revue Française d’Histoire des Idées Politiques 2001/2 (N° 14), pages 351 à 378)) et historien de la montée du nazisme : « la conférence d’Otto Dietrich, chef du service de presse du NSDAP, citée par Capitant :

« La pensée individualiste repose sur le postulat que l’homme est un individu. Ce postulat est faux. L’homme n’apparaît dans le monde que comme membre d’une communauté. Dans tous ses actes, l’homme est un être collectif et ne peut être pensé que comme tel. Les seules données réelles du monde sont les races, les peuples, les nations et non les individus. Le national-socialisme considère le Volk comme la seule réalité organique. »(([6]  Conférence de Cologne du 15 nov. 1934))

« La doctrine nazie inverse toutes les valeurs. Non seulement l’individu est désormais privé d’existence et donc de droits, comme le note Capitant, mais encore, il perd toute autonomie dans la mesure où cette exaltation de la communauté débouche sur l’obéissance  prétendument volontaire à un Chef. Le règne du nazisme, c’est celui de l’hétéronomie et de la servitude volontaire ».

Les expériences de Milgram, après-guerre, viendront tristement confirmer que les exécutants nazis étaient tragiquement « comme les autres » et que personne ne peut affirmer échapper à sa part sombre, comme Hannah Arendt le démontre si bien.

Le code de Nuremberg

La prise de conscience des peuples du monde entier, à la suite de la découverte des camps d’extermination nazis et de la « banalité du mal » bien décrite par la philosophe Hannah Arendt, du fait que l’horreur pouvait être le produit de gens « comme tout le monde » a conduit à l’idée d’élaborer des garde-fous juridiques. La naturelle obsession du « plus jamais ça » a conduit à la suite du procès des nazis à l’élaboration de règles intangibles d’abord résumées dans le code de Nuremberg.

Mais 70 ans ont passé et manifestement les enseignements tirés des procès de Nuremberg se sont estompés de la mémoire collective comme en témoigne la banalisation de l’euthanasie compassionnelle facile à des enfants atteints de cancer certes incurable. Cette euthanasie compassionnelle d’être « vivants » imposée à l’hôpital par des médecins ailleurs n’y voyant pas mal, nous a montré depuis les années 90 et 2000 qu’il ne faudrait pas grand-chose pour que la bête immonde resurgisse. Qui peut décider qu’une vie ne vaut pas la peine d’être vécue ?(([7] NicoleDelepine – Soins palliatifs et oncopédiatrie))

L’avenir de l’Humanité après injection large de substances géniques est inconnu

Le projet de vaccination d’enfants par des substances géniques en essai thérapeutique de plus en plus évoqué sur les médias, comme une préparation à son acceptation inéluctable, pour « retrouver les libertés » (ironie de la présentation) fait craindre une des pires attaques contre l’Humanité, ses libertés, son avenir. Le risque d’atteintes des organes reproducteurs souligné par de nombreux chercheurs et spécialistes de l’ARN messager permet de craindre un retentissement sur la fertilité. Le fait que les essais soient loin d’être terminés rend impossible de rassurer les citoyens comme se permettent de le faire trop de médecins et trop de médias. Le doute fertile était jusqu’à 2020 une caractéristique de toute démarche scientifique.

Les garde-fous installés après les horreurs nazies permettront-ils de garder la raison, en attendant les procès que préparent les avocats du corona comité depuis bientôt un an et qui devraient se tenir d’ici quelques semaines, selon les informations de leur créateur et coordinateur Reiner Fuellmich.

Il est temps de rappeler l’état du Droit qui doit nous permettre rapidement de faire sombrer ce projet catastrophique aux risques majeurs en fonction des données théoriques et malheureusement des essais déjà en cours.(([8] « Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

La référence des provaccins et de Mr Tout le Monde qui assène : tu as bien reçu le DTpolio sans tant d’histoires nécessite deux remarques majeures :

« les vaccins anticovid ne sont pas des vaccins au sens de la définition du dictionnaire ».(([9] NOM MASCULIN Culture d’un microbe qui, sous forme atténuée, est inoculé à une personne afin de la préserver de la maladie correspondante. « Un vaccin contre la rougeole, la méningite. »))
« ces substances sont expérimentales, car aucun de leur essai phase 3 n’est terminé »

CADRE JURIDIQUE DIFFÉRENT DE CELUI DES VRAIS VACCINS(([10] comme le tétanos, etc. ))

Les mal nommés vaccins contre le Covid ne sont pas des vaccins au sens pastorien du terme : ils ne contiennent pas d’antigènes. Ce sont des produits génétiques ARN messagers (Pfizer Bion Tech et Moderna) et ADN recombiné (Astra Zeneca et Johnson) … Le fait que ces pseudovaccins sont des produits génétiques les change de cadre juridique par rapport à un vaccin classique.

LES SUBSTANCES GÉNIQUES INJECTÉES COMME VACCINS SONT EN ESSAI THÉRAPEUTIQUE

Sous AMM conditionnelle. Elles n’ont qu’une homologation provisoire tant à la FDA qu’à l’EMA sous forme de mise sur le marché conditionnelle valable seulement en cas d’urgence pandémique (actuellement en fin de course).(([11]  https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/vaxzevria-previously-covid-19-vaccine-astrazeneca

https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/coronavirus-covid-19-update-fda-authorizes-pfizer-biontech-covid-19-vaccine-emergency-use))

D’après les études de plus en plus nombreuses, les produits à base d’ARN messager semblent pouvoir modifier l’ADN du patient et/ ou l’épigénétique.

En conséquence : comment peut-on rendre obligatoire l’injection d’un produit génétique expérimental susceptible de modifier le génome d’un patient violant ainsi les dispositions de la convention d’Oviedo que la France a ratifié ?

CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ ET CONVENTION D’OVIEDO JURIDIQUEMENT OPPOSABLE(([12] suite à la déclaration d’Helsinki et juridiquement opposable))

« Art. L. 1111-4. – Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu’il lui fournit, les décisions concernant sa santé. »
« Le médecin doit respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ses choix. Si la volonté de la personne de refuser ou d’interrompre un traitement met sa vie en danger, le médecin doit tout mettre en œuvre pour la convaincre d’accepter les soins indispensables. »

« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. »

EN FRANCE, LA LOI KOUCHNER S’OPPOSE À LA VACCINATION OBLIGATOIRE QUI IMPOSE LIBRE CHOIX ET CONSENTEMENT VÉRITABLEMENT ÉCLAIRÉ

Ainsi comment peut-on rendre obligatoire l’injection d’un produit génétique expérimental en respectant les dispositions de la loi Kouchner, donc en donnant au patient des informations précises sur l’efficacité et l’assurance de l’innocuité alors que les fabricants eux-mêmes ne s’engagent pas sur ces points-là dans les contrats ?

Voici les contrats Pfizer BioNTech et Moderna signés avec la Commission Européenne. Par exemple dans le contrat Pfizer : page 48-4 et 48-5, ainsi que 53-6

« L’État Membre Participant reconnaît que le vaccin et le matériau lié au vaccin, ainsi que leurs composants et matériaux constituants, sont en cours de développement rapide en raison des circonstances d’urgence de la pandémie COVID 19 et continueront d’être étudiés après la fourniture après la fourniture aux états membres participants dans le cadre de l’APA (Advance Purchase Agreements).

L’état membre participant reconnaît en outre, QUE LES EFFETS À LONG TERME, ET L’EFFICACITÉ DU VACCIN NE SONT PAS CONNUS ACTUELLEMENT ET QU’IL PEUT Y AVOIR DES EFFETS INDÉSIRABLES DU VACCIN NON CONNUS À L’HEURE ACTUELLE.

En outre, dans la mesure du possible, l’état membre participant reconnaît que le vaccin ne doit pas être sérialisé. »

PAGE 48-4

« Les états membres participants déclarent et garantissent que toutes les autorisations et approbations nécessaires ont été ou seront obtenues avant l’exécution de toutes les obligations contenues dans le présent document. »

PAGE 48-5

(RESPONSABILITÉ) Les États membres participants qui acquièrent un vaccin sont responsables du déploiement et de l’utilisation des vaccins dans le cadre de leur stratégie nationale de vaccination et assument toute responsabilité associée à cette utilisation et à ce déploiement.
LES TERMES ET CONDITIONS DE L’APA, DÉSENGAGENT LA RESPONSABILITÉ DES FABRICANTS DE VACCINS. »

PAGE 53-6

LE CODE DE LA CONSOMMATION S’OPPOSE À L’OBLIGATION DE LA SUBSTANCE GÉNÉTIQUE EN ESSAI

Les substances en essai thérapeutique ne peuvent pas être rendues obligatoires : violation du code de la consommation. il n’existe aucune garantie sur l’aspect sécuritaire des produits

fondement, en autres : article l121-6 Abrogé par Ordonnance n°2016-301 du 14 mars 2016 – art. 34 (V)Modifié par LOI n°2014-344 du 17 mars 2014 – art. 130

« Les pratiques commerciales trompeuses sont punies d’un emprisonnement de deux ans et d’une amende de 300 000 €. Le montant de l’amende peut être porté, de manière proportionnée aux avantages tirés du manquement, à 10 % du chiffre d’affaires moyen annuel, calculé sur les trois derniers chiffres d’affaires annuels connus à la date des faits, ou à 50 % des dépenses engagées pour la réalisation de la publicité ou de la pratique constituant le délit.

Les personnes physiques déclarées coupables encourent également à titre de peines complémentaires l’interdiction, suivant les modalités prévues à l’article 131-27 du Code pénal, soit d’exercer une fonction publique ou d’exercer l’activité professionnelle ou sociale dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de laquelle l’infraction a été commise, soit d’exercer une profession commerciale ou industrielle, de diriger, d’administrer, de gérer ou de contrôler à un titre quelconque, directement ou indirectement, pour leur propre compte ou pour le compte d’autrui, une entreprise commerciale ou industrielle ou une société commerciale. Ces interdictions d’exercice ne peuvent excéder une durée de cinq ans. Elles peuvent être prononcées cumulativement.

Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues à l’article 121-2 du même code, de l’infraction définie au présent article encourent, outre l’amende suivant les modalités prévues à l’article 131-38 dudit code, les peines prévues aux 2° à 9° de l’article 131-39 du même code. L’interdiction mentionnée au 2° du même article 131-39 porte sur l’activité dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de laquelle l’infraction a été commise. Les peines prévues aux 2° à 7° dudit article ne peuvent être prononcées que pour une durée de cinq ans au plus. »

Le code de Nuremberg de 1947, la déclaration d’Helsinki qui en a découlé et les réunions régulières de l’AMM (Association Médicale Mondiale)(([13] Détaillés dans notre article récent sur nouveau-monde.ca avec le code de Nuremberg in extenso
« Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([14] L’ASSOCIATION MÉDICALE MONDIALE (AMM) EST UNE ORGANISATION INTERNATIONALE DE MÉDECINS. (infos extraites du site de l’AMM)

« Fondée le 17 septembre 1947, alors que des médecins de 27 pays se réunissaient en première assemblée générale à Paris avec pour “objectif d’assurer l’indépendance des médecins et les plus hautes normes possibles en matière d’éthique et de soins” — mesures particulièrement importantes pour les médecins après la Seconde Guerre mondiale.

L’AMM est une confédération d’associations professionnelles libres. Elle est financée par les contributions annuelles de ses membres dont le nombre s’élève aujourd’hui à 115 et constitue pour ses associations membres un forum de libre communication et de coopération active dont le but est de parvenir à un consensus sur les plus hautes normes d’éthique médicale et de compétence professionnelle et de promouvoir l’indépendance professionnelle des médecins.

L’AMM a pour objectif de servir l’humanité en s’efforçant d’atteindre les plus hautes normes internationales en matière d’enseignement médical, de science médicale, d’art médical, d’éthique médicale et de soins de santé pour tous les peuples du monde.

L’organisation élabore, sous la forme de déclarations, de résolutions ou de prises de position, des recommandations éthiques pour les médecins, directives utiles pour les associations médicales nationales, les gouvernements et les organisations internationales du monde entier. Ces textes traitent une multitude de questions, notamment les droits du patient, la recherche sur les sujets humains, les soins en temps de conflit armé, la torture des prisonniers, l’utilisation et l’abus des médicaments, le planning familial et la pollution.

Autres domaines d’activité : droits de l’homme en relation avec la santé – promotion et défense des droits fondamentaux du patient et du médecin, enseignement médical — soutien des médecins pour une amélioration continuelle de leurs connaissances et de leurs compétences, planification des ressources humaines pour les services de santé, sécurité du patient (…).

L’AMM entretient des relations officielles avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La collaboration avec les associations professionnelles de santé, les agences gouvernementales et non gouvernementales et les associations médicales régionales renforce sa capacité à fournir les meilleurs soins possibles aux patients du monde entier. En particulier, l’Alliance mondiale des professions de santé (www.whpa.org) combine les forces des associations professionnelles de médecins, d’infirmières et de pharmaciens pour défendre les plus hautes normes de santé possible pour tous les peuples du monde ».))(([15] DÉCLARATION D’HELSINKI : recherche médicale impliquant des sujets humains document politique le plus connu de l’AMM. La première version adoptée en 1964 a été révisée sept fois, la dernière révision datant de l’Assemblée générale d’octobre 2013. La version actuelle (2013) est la seule version officielle. En 2014, l’AMM a édité une publication pour commémorer le 50e anniversaire de l’adoption de la Déclaration d’Helsinki. « La Déclaration d’Helsinki de L’association Médicale Mondiale : 1964-2014 50 ans d’évolution de l’éthique dans la recherche médicale ». untitled (wma.net) ))(([16] Cette Déclaration a pour objectif de traiter de la collecte, du stockage et de l’utilisation de données et de matériels biologiques identifiables, au-delà des soins individuels prodigués aux patients. En concordance avec la Déclaration d’Helsinki, elle énonce des principes éthiques complémentaires relatifs à leur utilisation dans les bases de données de santé et les biobanques.)) s’opposent à l’obligation vaccinale

Si on reprend l’analyse des faits reprochés aux nazis durant NUREMBERG, on est dans les mêmes caractérisations en obligeant les gens à se faire injecter un produit en essai clinique sans consentement éclairé ! Nous avons souligné ailleurs que les principales expériences reprochées aux médecins nazis condamnés à Nuremberg étaient justement des essais de vaccins.(([17] L’obligation vaccinale pour les soignants est-elle justifiée ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Obliger sans consentement libre à être traité par un vaccin expérimental reprend l’attitude de certains médecins nazis

Xavier Bioy, professeur d’université à Toulouse-1, s’insurge à l’AFP de cette comparaison. « C’est très fort : on compare des scientifiques avec des médecins nazis qui mettaient de l’acide dans les plaies des pauvres détenus qui se faisaient torturer dans les camps ».

Il a manifestement oublié que les médecins nazis ont pratiqué de très nombreux essais de vaccins sur les déportés :

vaccination contre le paludisme (février 1942 à avril 1945 à Dachau : 1100 cobayes humains et nombre inconnu de victimes).

Vaccination contre le typhus par Eugen Haagen au Camp de Natzwiller.

Vaccinations contre le typhus exanthématique, le paludisme, la fièvre jaune (485 cobayes humains), la gangrène gazeuse (15 victimes), la dysenterie, l’hépatite, la tuberculose, menées par Erwin Ding-Schuler et Waldemar Hoven au camp de Buchenwald.

Comment un universitaire spécialiste de l’éthique ou des philosophes comme Onfray peuvent-ils avoir oublié ces faits historiques qui ont précisément conduit à l’élaboration du code de Nuremberg ?

En 1947, les médecins nazis plaidaient pour leur défense « dans un État totalitaire en temps de guerre, il n’y a pas de responsabilité personnelle ; c’est la nécessité d’État qui se substitue à la volonté individuelle, et il n’y a pas de consentement qui vaille : ni des médecins expérimentateurs ni des sujets ; dans ces circonstances, l’intérêt de la science au service de la défense de la Nation prime sur celui de l’individu. »

L’absence de consentement éclairé des vaccinés a valu à ces scientifiques nazis la condamnation à mort. Mais l’oubli est venu.

Entendra-t-on à nouveau cette sordide chanson macabre contre un virus peu létal utilisé comme leurre pour mettre en soumission à la chinoise les peuples qui l’accepteront ?

Depuis mars 2020, nous sommes, paraît-il, en état de guerre, dans un état de plus en plus totalitaire et cette défense de médecin injectant un vaccin expérimental sans consentement éclairé n’est pas plus recevable aujourd’hui qu’hier et ne le sera pas plus demain quand viendra l’heure des procès.

Comment peut-on envisager de rendre obligatoire un vaccin expérimental, inutile pour le vacciné, dont on n’a pas démontré qu’il pouvait protéger les autres alors qu’il entraîne des complications ?

Vacciner par un vaccin validé par des essais rigoureux les volontaires après une information loyale, oui. Obliger les autres, quels qu’ils soient est criminel et inacceptable !

LE SERMENT D’HIPPOCRATE ET LE SERMENT DE GENÈVE(([18] « Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Le Serment ne doit pas être lu seul, mais parallèlement aux politiques plus spécifiques de l’AMM, notamment le Code International d’Éthique Médicale, faisant suite à la Déclaration de Genève dès 1948.[5]

DEVOIRS GÉNÉRAUX DES MÉDECINS

  • LE MÉDECIN DEVRA toujours exercer son jugement professionnel de manière indépendante et respecter les plus hautes normes en matière de conduite professionnelle.
  • LE MÉDECIN DEVRA respecter le droit d’un patient jouissant de ses capacités d’accepter ou de refuser un traitement.
  • LE MÉDECIN NE DEVRA PAS se laisser influencer dans son jugement par un profit personnel ou une discrimination injuste. (…)

Est-ce acceptable ? Les politiques de tous bords nous laisseront-ils retomber dans la folie totalitaire quand ils auront en main ces éléments remis en exergue ?

L’idée d’obligation vaccinale revient comme un serpent de mer dans le monde et nous n’avons malheureusement pas échappé aux onze vaccins obligatoires et sans fondement sanitaire imposés par Mme Buzyn, la même qui a interdit l’usage libre de la chloroquine en janvier 2020 et est maintenant protégée des poursuites dans un poste de l’OMS. Pourquoi revenir aujourd’hui pour une maladie à risque zéro pour les enfants :(([19] Les enfants ne risquent rien du Covid et ne transmettent pas ni aux adultes ni aux enfants.)) pour Big Pharma doublé d’une mise en soumission de la population ?

Le consentement éclairé est violé chaque jour (vacciner en voiture et vacci drive ?) et la volonté affichée du ministre de la Santé et de Mr Fischer membre d’administration de Rothschild, de vacciner les enfants qui ne risquent rien du Covid nous horrifie.

Rappelons le discours de Mary Holland, professeur de droit devant l’ONU en 2016 au moment de la discussion sur les vaccinations obligatoires des nourrissons malheureusement imposées par Mme Buzyn.

Ne doit-on pas réfléchir aujourd’hui aux discours que tiennent certains médecins aux patients effondrés sur l’intérêt pour la société d’accepter de signer « ces papiers » pour une expérience d’une nouvelle molécule peu ou pas testée, qui permettront à leur traitement de servir à la « science », oubliant le consentement véritablement éclairé ?

Ne doit-on pas réfléchir aux implications éthiques d’une obligation vaccinale ?

Ne doit-on pas suffoquer lorsqu’une ministre de la santé puis des membres du Conseil de l’Ordre ou des médecins connus se permettent d’affirmer haut et fort que « la vaccination ne se discute pas »(([20] déclaration de la ministre de la Santé, Marisol Touraine, vendredi 29 mai 2015)) et que ceux qui oseraient élever une objection se verraient soumis aux foudres de l’ordre des médecins, institution fondée sous Vichy pour obliger les médecins à appliquer les directives de nazis français ?

La vaccination est un acte médical qui relève du soin comme de la recherche, des responsabilités médicolégales et de l’éthique médicale. La vaccination, comme tout acte médical, relève du code de Nuremberg et c’est un professeur de droit, Américaine, qui en parle le mieux.

Le professeur M Holland a évoqué les droits civils liés qui élimineraient le droit au consentement éclairé de refuser les vaccinations. Elle a rappelé que « l’histoire nous a montré les résultats d’une intrusion du gouvernement dans les droits médicaux personnels » et à cette occasion, la genèse du code de Nuremberg pour protéger les individus contre l’intrusion des gouvernements et des abus médicaux.

Citons le discours du Pr M Holland devant l’assemblée générale de l’ONU :

« Les Nations Unies, ainsi que la communauté internationale ont l’obligation de respecter les droits humains liés à la vaccination.

Le Code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….).

Comment pouvoir concilier les droits individuels avec les droits du collectif ?

En 2005, l’UNESCO (…) a adopté la Déclaration Universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme avec un consensus de 193 pays (…), elle stipule que toute intervention médicale préventive ne doit être effectuée qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, et fondée sur des informations suffisantes. Elle note également (en son article 2) que “le seul intérêt de la science ou de la société” ne doit pas prévaloir.

Cette déclaration est une extension du serment médical attribué à Hippocrate il y a 2 500 ans, et qui stipule que les médecins doivent œuvrer pour le bien de leurs patients et ne jamais faire de mal.

Sous forme abrégée “D’abord ne pas nuire”, ce credo incarne le principe de précaution en médecine, en mettant clairement les intérêts des patients au-dessus des intérêts de la collectivité ou du “troupeau”. Ce principe de précaution en médecine mène directement à l’idée que les politiques de vaccination doivent être recommandées et non rendues obligatoires.

La relation médecin-patient doit être d’abord et avant tout basée sur la confiance, alors que la coercition la mine. Lorsque la relation médecin-patient est basée sur la coercition, c’est la confiance qui en fait les frais. Les médecins servent alors l’état et par extension la société, avant l’intérêt de leurs patients. Nous nous trouvons ici sur une pente glissante où la médecine civilisée a trop souvent déraillé dans le passé.

Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 que « C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’étaient déjà produit “ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste” avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931.

Selon le principe de précaution médicale, le principe, par défaut, de la vaccination doit relever de recommandations et non d’obligations. »

En conclusion

RAPPELONS À NOS ÉLUS QUE LA CONVENTION D’OVIEDO EST JURIDIQUEMENT CONTRAIGNANTE

pour les états. Sommes-nous prêts à violenter toutes nos lois, notre éthique, mais aussi les traités internationaux ?

La Convention pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine (Convention d’Oviedo). Elle a été signée le 4 avril 1997 à Oviedo, en Espagne.(([1] Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Elle est entrée en vigueur le 1er décembre 1999.

Il s’agit, dans le domaine biomédical, du seul instrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’Homme. La Convention d’Oviedo reprend les principes de la Déclaration des Droits de l’Homme. Elle établit les principes fondamentaux relatifs à la pratique de la médecine quotidienne, à la recherche biomédicale, à la génétique et à la transplantation d’organes et de tissus, au consentement éclairé, au droit au respect de la vie privée et au droit à l’information.





« Littéralement criminel » : Pierre Kory accuse la suppression des données sur l’ivermectine d’avoir coûté « un demi-million de vies »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): R. Clinton Ohlers, traduit par FranceSoir

Lors d’une récente conférence Zoom, le Dr Pierre Kory, de l’Alliance Front Line COVID-19 Critical Care, a exposé de nombreux détails montrant que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a sciemment supprimé les données sur l’efficacité de l’ivermectine contre le virus afin de favoriser les intérêts de Big Pharma en matière de vaccins.

Article initialement paru sur worldtribune.com et traduit par France Soir, cet article faisant écho à l’analyse du Collectif citoyen publiée le 23 décembre dernier :
Ivermectine : De l’indifférence scandaleuse au mensonge criminel

« C’est criminel », a déclaré Kory. « C’est littéralement criminel ». Le médicament « aurait pu sauver un demi-million de vies cette année s’il avait été approuvé ».

Selon M. Kory, l’OMS ne fait que participer aux tactiques d’un « manuel de désinformation » usé par le temps. Ce terme a été inventé par l’Union of Concerned Scientists il y a 50 ans afin de décrire les stratégies que les entreprises ont développées au fil des décennies pour « attaquer la science lorsqu’elle va à l’encontre de leurs intérêts financiers ».

Il se compose de cinq parties :

L’imposture – Mener des recherches contrefaites et tenter de les faire passer pour des recherches légitimes.
Le blitz – Harceler les scientifiques qui s’expriment sur des résultats qui dérangent l’industrie.
La diversion – Fabriquer de l’incertitude sur la science là où il n’y en a pas ou peu.
L’écran – Acheter de la crédibilité par le biais d’alliances avec le monde universitaire ou des sociétés professionnelles.
La solution – Manipuler les fonctionnaires ou les processus gouvernementaux pour influencer les politiques de manière inappropriée.

Dans l’intégralité de l’appel Zoom, censuré depuis par YouTube mais disponible sur Bitchute, Pierre Kory décrit comment les cinq phases ont été déployées contre les résultats scientifiques de l’ivermectine. Un exemple concret serait celui de la corruption des principales revues médicales, dont les rédacteurs en chef refusent que les études sur l’ivermectine soient soumises à un examen par les pairs. Le participant institutionnel le plus flagrant, cependant, reste l’OMS.

Pierre Kory est l’auteur principal d’une revue scientifique des études sur l’ivermectine dans le monde, qui a été publiée dans l’édition de mai-juin de The American Journal of Therapeutics.

Comme indiqué sur le site web du FlCCC, il y a eu au total 56 essais impliquant 469 scientifiques et 18 447 patients. Parmi ceux-ci, 28 étaient des essais contrôlés randomisés (ECR), le type d’essai considéré comme faisant autorité dans la communauté médicale.

Ensemble, ces essais ont montré une amélioration de 85 % en tant que mesure préventive contre la maladie lorsqu’elle est prise avant l’exposition. On a constaté une amélioration de 78 % chez les patients lorsqu’il est administré tôt et de 46 % lorsqu’il est administré tard. Une amélioration de 74 % de la mortalité a été constatée et une amélioration de 66 % sur plusieurs domaines dans les 28 essais contrôlés randomisés.

Dix jours seulement après sa publication, l’article sur l’ivermectine a été classé numéro 13 des articles les plus lus parmi plus de 200 000 autres publications scientifiques parues dans le même temps, rapporte Kory. Sur les 17,7 millions d’articles suivis par la source de notation depuis sa création, l’étude sur l’ivermectine est déjà classée 246e.

Pierre Kory estime que l’accueil réservé à l’article est un bon signe et qu’il voit « un changement se produire ».

Par ailleurs, il note que son équipe est loin d’être seule. « Le docteur [Tess] Lawrie est l’un des experts mondiaux en matière d’élaboration de lignes directrices et d’examens systématiques. Son groupe seul, ainsi que son initiative indépendante, le consortium BIRD (British Ivermectin Recommendation Development), sont parvenus à la conclusion que l’ivermectine devrait être la norme de soins. Notre article est également arrivé à cette même conclusion. Nous ne sommes pas les seuls. Le professeur [Satoshi] Omura, lauréat du prix Nobel, et son groupe du Japon, ont publié un article concluant la même chose. Un autre groupe indépendant d’Espagne et d’Italie » a fait de même.

Plus important encore, a-t-il ajouté, « l’élément clé de tous ces groupes… est que nous sommes des groupes d’experts indépendants. Aucun d’entre nous n’est en conflit. Aucun d’entre nous n’a d’autres intérêts que le serment que nous avons prêté en tant que médecins, à savoir le soin de nos patients ».

Une partie du problème est que les entreprises donatrices de l’OMS ne se contentent pas de fournir des fonds, elles déterminent tous les aspects de la recherche et fournissent même les équipes de recherche.

« Regardez d’où vient l’argent. Maintenant, l’argent est assorti de conditions », a déclaré M. Kory. « Les gens donnent de l’argent à l’OMS, mais ils disent ‘nous voulons que vous fassiez ceci ou étudiez cela. Nous voulons que vous fassiez appel à nos consultants, à nos experts et à nos scientifiques ». Beaucoup d’entre eux viennent de l’industrie pharmaceutique. Cette dernière a presque complètement infiltré cette organisation ».

Lorsque « vous examinez le médicament d’un œil critique, surtout en cas de pandémie, vous ne pouvez qu’arriver à la conclusion objective qu’il s’agit de la norme de soins », a déclaré M. Kory. « Et il a vraiment un impact phénoménal dans le monde entier ». Au Mexique et en Inde, par exemple, « les taux de mortalité et d’hospitalisation ont absolument chuté » là où l’ivermectine était utilisée.

Selon Pierre Kory, le véritable problème de ce médicament est qu’en plus d’être efficace, sûr et facilement disponible, il est très bon marché. L’ivermectine ne coûte que quelques dollars par dose. Cela oppose le médicament aux intérêts financiers de plus de 100 milliards de dollars à tirer des vaccins.

« Je ne peux pas imaginer dans l’histoire des produits pharmaceutiques, un intérêt concurrent aussi profond et aussi vaste que celui qui est déployé contre la petite ivermectine », a déclaré Kory. « L’intérêt contre elle est vraiment presque incalculable ».

Des organismes de santé autrefois fiables, comme l’OMS, sont devenus les principaux défenseurs des intérêts de leurs bailleurs de fonds, Big Pharma et les vaccins. En conséquence, selon Pierre Kory, l’OMS, avec d’autres organismes, supprime activement les nombreuses preuves de l’efficacité de l’ivermectine afin de les soustraire à la vue du public. Les preuves de cette affirmation sont étonnantes. En examinant le rapport du groupe d’experts de l’OMS sur l’ivermectine, il a déclaré :

« Ce qu’ils font n’est pas subtil. Il est évident que celui qui était en charge de ce panel avait un objectif non scientifique. »

« Numéro un, il n’y avait pas de protocole pour exclure les données. Ils étaient donc libres de rejeter tout essai qu’ils jugeaient inapproprié à leur objectif », a noté Pierre Kory. « Et devinez quoi ? Ils l’ont fait. Ils ont jeté un grand nombre d’essais que leur propre équipe Unitaid avait découverts et rassemblés au cours des derniers mois. »

L’énormité la plus importante, selon M. Kory, est une phrase du rapport de l’OMS que leurs chercheurs n’ont même pas pris la peine de défendre, « elle dit simplement : ‘Nous n’avons pas examiné les essais contrôlés randomisés et la prévention du COVID-19’. Aucune raison de le faire, aucune raison de ne pas le faire. Nous ne l’avons tout simplement pas fait ».

L’un des indicateurs les plus importants de l’efficacité d’un médicament sont les données sur la relation dose-effet, explique  Pierre Kory. « Ils ont délibérément évité de mentionner » les données sur la relation dose-effet. « Ils ont complètement omis des données vraiment importantes, car si elles sont là, c’est un énorme pilier scientifique qui montre l’efficacité. »

Ils n’ont pas non plus inclus les études épidémiologiques, comme celle de Juan Chamie, qui dure depuis un an et a été présentée à l’OMS. Cette étude montre « que partout où l’on fait de la distribution et de l’adoption à grande échelle, on voit le nombre de cas et de décès chuter ».

« Quand j’ai lu ça, je connaissais ces données. J’avais la tête entre les mains et je me suis dit que ces gens étaient des criminels. Ils sont littéralement des criminels », a déclaré Pierre Kory. Lorsque le rapport examine si l’ivermectine est sûre ou non, il fait remarquer que « c’est tout simplement comique ».

Voir aussi le debriefing de Pierre Kory : « Ivermectine : nous avons un traitement qui marche ! »

S’agissant d’un médicament utilisé depuis plus de 40 ans, avec des milliards de doses administrées et un meilleur bilan de sécurité que l’aspirine ou le Tylenol, dit-il, l’OMS a trouvé trois études qui contiennent une suggestion d’effets indésirables. Le groupe d’experts a alors déterminé, selon Pierre Kory, « que cela ne fonctionne pas, car nous avons rejeté toutes les données montrant que cela fonctionne. Mais vous savez quoi, nous voyons que cela pourrait être nocif. Je veux dire, [c’est] absolument ridicule ce qu’ils font ».

En revanche, l’OMS a autorisé le remdesivir pour le COVID-19, qui coûte entre 2340 et 3120 dollars, sur la base d’une seule étude réalisée auprès de 800 patients. Cette étude a révélé que le remdesivir ne réduit pas la mortalité, et réduit la durée d’hospitalisation des survivants de deux jours en moyenne.

En 2018, l’OMS a recommandé l’ivermectine pour le traitement de la gale sur la base de 10 essais contrôlés randomisés portant sur seulement 852 patients. Elle a fait de même pour l’ivermectine comme traitement des strongyloïdes, une infection parasitaire, sur la base de cinq essais contrôlés randomisés et de 591 patients.

Cependant, 28 essais contrôlés randomisés portant sur près de 3 000 patients n’ont pas suffi à l’OMS pour approuver cette thérapie salvatrice pour le COVID-19.

« L’OMS a effectivement commis une action criminelle », a déclaré M. Kory.

« Ce qu’on voit là, ce n’est clairement pas de la science« .

M. Kory

Auteur(s): R. Clinton Ohlers, traduit par FranceSoir


[Complément : études médicales sur l’efficacité de l’Ivermectine pour traiter la Covid-19 :]






Le Forum économique mondial annule son édition à Singapour

[Source : La Presse]

(Zurich) Le Forum économique mondial, connu sous le nom de Forum de Davos, annule l’édition 2021 qui devait se tenir à Singapour, ont annoncé lundi ses organisateurs, précisant que la prochaine rencontre n’aura lieu qu’au premier semestre 2022.  

AGENCE FRANCE-PRESSE

Le lieu, mais aussi la date définitive seront déterminés ultérieurement, en fonction d’une réévaluation de la situation au cours de l’été, ont précisé les organisateurs de cet évènement qui rassemble habituellement le gratin de la politique, de la finance et de la diplomatie dans la station chic des Alpes suisses de Davos.

Cette édition annuelle du Forum économique mondial (WEF) devait se tenir en août à Singapour, mais les organisateurs ont finalement annulé alors que la Cité-État, jusqu’à présent très peu touchée par la pandémie de COVID-19, a annoncé la semaine dernière une série de restrictions pour juguler une récente hausse du nombre de cas.  

« Ce fut une décision difficile, notamment en raison du grand intérêt de nos partenaires à se réunir non seulement virtuellement, mais aussi en personne, pour contribuer à un monde plus résilient, plus inclusif et plus durable », a déclaré le professeur Klaus Schwab, son fondateur et président exécutif, cité dans le communiqué.  

« Mais en fin de compte, la santé et la sécurité de toutes les personnes concernées restent notre priorité absolue », a-t-il ajouté.

Les organisateurs du Forum ont annulé cette édition, invoquant notamment les perspectives incertaines en matière de voyages, la mise en œuvre des stratégies de vaccination à des vitesses différentes ainsi que l’incertitude autour des nouveaux variants qui « font qu’il est aujourd’hui impossible d’organiser une rencontre internationale réunissant des dirigeants d’entreprises, de gouvernements et de la société civile à l’échelle initialement prévue », précise le communiqué.

Avec la crise sanitaire, les organisateurs du Forum avaient d’abord décidé de déplacer l’évènement ailleurs en Suisse, sur les sommets du Bürgenstock, près de Lucerne, avant d’opter pour Singapour face à l’envolée des infections dans le pays alpin durant l’automne.

La date de l’édition à Singapour qui devait permettre aux participants de se rencontrer sur place, initialement prévue fin mai, avait cependant déjà été repoussée une première fois. Elle devait finalement se tenir du 17 au 20 août.  

En janvier, le WEF avait néanmoins organisé un sommet virtuel consacré aux grands sujets du moment, dont la pandémie et le nationalisme vaccinal ou encore la crise économique.  




Étude Pfizer : 79% d’enfants de plus de 12 ans vaccinés ont développé des effets indésirables

[Source : report24.news]

[Traduction automatique partiellement révisée.]

Le 19 mai, Pfizer/Biontech a publié une fiche d’information de 37 pages sur la sécurité et l’utilisation de leur vaccin. Il se réfère à l’état actuel des études de vaccination dans le cadre de l’autorisation d’urgence de l’AEE (Autorisation d’utilisation d’urgence). Ces contenus sont passés sous silence par les médias traditionnels, qui préfèrent réciter le dogme des gouvernants: les avantages seraient plus importants que les dégâts, les enfants seraient en danger. En réalité, les enfants tombent très rarement ou légèrement malades, mais 80% d’entre eux sont susceptibles d’avoir des effets traumatiques lorsqu’on les vaccine.

Comme en Allemagne, où nous avons publié hier une statistique sur la base des données de l’Institut Paul Ehrlich (les statistiques suggèrent que le risque de vaccination pour les moins de 50 ans est considérablement plus élevé que le risque de Covid), la répartition par âge des maladies Covid problématiques aux États-Unis est en baisse. À titre d’exemple, à New York (8,4 millions d’habitants), 24 décès d’enfants et d’adolescents de moins de 18 ans sont à ce jour associés à la Covid-19. 18 d’entre eux avaient des antécédents de maladie grave, et 2 étaient en attente de confirmation. Peu des enfants et des adolescents sont atteints de covid-19, voire pas du tout. C’est ce que confirme également la CDC: La plupart des enfants diagnostiqués Covid [Par tests PCR] ont des symptômes légers ou pas du tout.

Ce tableau actuel montre la répartition des décès liés à Covid-19 dans la grande ville américaine de New York (8,4 millions d’habitants).

Les antécédents médicaux comprennent: asthme, maladies cardiaques, système immunitaire affaibli, surpoids, diabète, maladies rénales, maladies du foie et cancer.

Source: Service de santé publique de la ville de New York, https://www1.nyc.gov/site/doh/covid/covid-19-data-totals.page

Malgré des cas moins critiques, on pousse à la vaccination

Pourtant, les médias système et les autorités sanitaires frappent l’imagination des gens : les enfants seraient en danger et doivent être vaccinés d’urgence avec les vaccins expérimentaux. Les données de Pfizer/Biontech montrent [pourtant] que jusqu’à 80% des enfants développent des effets secondaires qui peuvent entraîner un traumatisme grave et qui, très probablement, ancrent une profonde méfiance envers le système de santé dans la conscience des personnes vaccinées. En effet, les enfants et les adolescents âgés de 12 ans et plus ne peuvent pas décider seuls de leur vaccination, et la vaccination est toujours obligatoire pour les personnes protégées et les personnes sous tutelle.

Taux d’effets indésirables extrêmement élevé

La nouvelle fiche d’information indique que la vaccination biontech/pfizer a été testée sur 1.097 enfants et adolescents âgés de 12 à 15 ans. 78,9% des personnes vaccinées, soit 8 66 enfants sur 1 097, ont développé une forme ou une autre d’effet secondaire. Chez 466, les effets indésirables sont décrits comme « légers », 393 sont « modérés » et 7 sont considérés comme « graves ».

L’étude a été évaluée en double aveugle, et en plus des 1 127 avec la première dose et 1 097 enfants et adolescents vaccinés avec la deuxième dose, 1.127 et 1.078 ont été vaccinés avec une solution saline sous forme de placebo. Les différences sont extrêmement significatives, parmi les enfants vaccinés par un vaccin réel, plus de 5 fois plus d’enfants se plaignent d’effets indésirables au cours des 7 premiers jours.

Un enfant sur cinq développe une forte fièvre

Les effets indésirables ont été:

Première vaccination
Fièvre supérieure à 38 degrés C
(114)
Fatigue (677) Maux de tête
(623) Fresque (311)
Vomissements (31)
Diarrhée (90)
Douleurs musculaires (272)
Douleurs articulaires (109)

Deuxième vaccination

Fièvre supérieure à 38 degrés C (215)
Fatigue
(726)
Maux de tête (708) Fresseaux (455)
Vomissements
(29) Diarrhée (65)
Douleurs musculaires (355)
Douleurs articulaires (173)

Les effets indésirables graves pouvant être observés plus fréquemment chez les vaccinés que chez le groupe témoin sont une appendicite potentiellement fatale. Ici, Pfizer / Biontech rejette néanmoins tout lien avec la vaccination.

Les effets indésirables graves envisagés pour 660.000 enfants en cas de vaccination

Le nombre d’effets indésirables graves est estimé par Pfizer/Biontech entre 0,4 et 0,8% des personnes vaccinées. Actuellement, environ 82 millions d’habitants âgés de 0 à 19 ans vivent aux États-Unis. (Source: Population pyramid). Si tous ces enfants et adolescents étaient vaccinés, on peut s’attendre à de graves effets secondaires chez 330.000 à 660.000 personnes! Cela est dû à un nombre de décès de 295 enfants et adolescents âgés de 0 à 17 ans (incohérences dues aux données disponibles, mais une comparaison ou une évaluation est possible sans problème). Les chiffres correspondants des personnes présumées décédées de la Covid-19 sont annexés à cet article.

Les statistiques et les expériences d’autres pays nous ont fait comprendre que de nombreux décès sont également à prévoir. La Norvège a arrêté la vaccination d’Astrazeneca pour des raisons statistiques, car on s’attendait à ce qu’au moins 10 enfants meurent en cas de vaccination. Les chiffres attendus sont nettement plus élevés et plus dramatiques aux États-Unis.

Haute vigilance recommandée

Pfizer/Biontech appelle le personnel médical qui administre les vaccins à indiquer tous les effets indésirables dans la base de données VAERS américaine. La soumission des données est obligatoire dans les cas où un vaccin a été mal administré, où des effets indésirables graves surviennent, où des réactions inflammatoires graves surviennent ou où des patients doivent être hospitalisés ou étritionnés après vaccination pour Covid-19.

Annexe: Répartition par âge des morts présumés de Covid dans l’ensemble des États-Unis

Les États-Unis comptent 328,2 millions d’habitants. Une infection Covid-19 a été rapportée pour 295 décès (!) d’enfants et d’adolescents, en plus d’autres diagnostics. Source: CDC

Les antécédents de maladie ou de maladie concomitante ont été enregistrés chez 388 personnes décédées de moins de 25 ans (le tableau ne suit malheureusement pas de façon cohérente le premier). Il en résulte qu’aucun enfant ou adolescent n’est mort « exclusivement » du Covid-19.




Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 25 mai 2021

Par Dr Gérard Delépine

[Photo : VACCINATION D’UN ISRAÉLIEN DANS UN CENTRE MÉDICAL À HAIFA, LE 11 JANVIER 2021.AFP – JACK GUEZ]

https://ripostelaique.com/israel-analyse-des-resultats-de-la-vaccination-et-de-ses-contre-parties.html

Le suivi de l’épidémie en Israël permet de prévoir ce qui risque d’arriver chez nous si la vaccination se généralise, justifiant une nouvelle analyse avec 5 mois de recul. Les avocats de la vaccination prétendent que la campagne de vaccination d’Israël serait un succès démontrant l’efficacité du Pfizer. Pourtant tant les moyens utilisés que les résultats cliniques actuels sont franchement inquiétants.

Les succès de la campagne de vaccination et ses contreparties discutables

En termes de personnes vaccinées, le succès de la campagne de vaccination est indéniable avec 63% de la population israélienne qui auraient reçu au moins une dose de vaccin.

Mais de vaccination éclair n’a été obtenu que grâce à l’acceptation d’un sur paiement des doses vaccinales et à l’engagement du gouvernement de communiquer à Pfizer les données de santé des Israéliens sans que ceux-ci n’aient été préalablement consultés.

De plus, les méthodes utilisées sont très discutables : propagande mensongère cachant la nature expérimentale de ce médicament nommé à tors vaccin,(([1] Selon Pasteur un vaccin est un ensemble d’antigènes injecté pour induire la création d’anticorps spécifique. Le prétendu vaccin de Pfizer ne comporte pas d’antigène viral mais une protéine supposée induire la formation d’anticorps. Ce type de traitement n’a jusqu’ici jamais été utilisé pour prévenir des infections chez l’homme.)) censure féroce des opposants empêchant tout débat démocratique, chantage au confinement et création d’un pass vaccinal restreignant les libertés des non-vaccinés. Ces méthodes n’ont pas respecté les règles éthiques de la déclaration d’Helsinki(([2] DÉCLARATION D’HELSINKI DE l’Association Médicale Mondiale – PRINCIPES ÉTHIQUES APPLICABLES À LA RECHERCHE MÉDICALE IMPLIQUANT DES ÊTRES HUMAINS La santé de mon patient prévaudra sur toutes les autres considérations »… Il est du devoir des médecins engagés dans la recherche médicale de protéger la vie, la santé, la dignité, l’intégrité, le droit à l’autodétermination, la vie privée et la confidentialité des informations des personnes impliquées dans la recherche. 25. La participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire.)) ni les droits des personnes sur le consentement éclairé indispensable pour le traitement expérimental qu’est le vaccin Pfizer (car les résultats des essais phase 3 ne sont espérés qu’en 2023).

Quoiqu’il en soit, cette pseudo vaccination massive représente un essai phase 3 sauvage(([3] Dans un essai phase 3 traditionnel tous les malades sont enregistrés et bénéficient d’une surveillance régulière pour dépister tôt les éventuelles complications)) et complète les maigres données intérimaires que le département communication de Pfizer a publiées pour l’instant.

Critères d’évaluation

Les promoteurs de la vaccination et les médias journaux parlent de succès sur les pourcentages de vaccinés ou le taux prétendu de protection que le vaccin conférerait d’après les communiqués du fabricant ou des caisses qui sont chargés de la vaccination.

Un examen objectif des résultats médicaux avérés doit tenter de répondre aux deux questions qui déterminent son utilité réelle en population globale : le vaccin prévient-il les transmissions du virus ? Diminue-t-il la gravité de la maladie et tout particulièrement le risque d’en mourir ?

Pour répondre à cette question, nous nous baserons sur les données OMS quotidiennement mises à jour sur son site officiel consultable en tapant https://covid19.who.int/ qui précisent chaque jour pour chaque pays le nombre de contaminations et le nombre de décès attribués au Covd19.

Évolution du nombre quotidien des contaminations

La vaccination commencée le 19 décembre 2020 a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. En novembre 2020 18 000 nouveaux cas confirmés avaient été enregistrés. Les mois de janvier (218 000 cas) et février (134 000 cas) ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie.

Le 18 décembre 2020 (veille du début de la vaccination) après dix mois d’épidémie Israël comptait 366000 cas confirmés. Les cinq mois suivant la vaccination ont enregistré 473000 cas de plus.

Les avocats de la vaccination prétendent que cette augmentation ne serait pas due à la vaccination, mais seulement à la coïncidence malencontreuse de la survenue d’une flambée épidémique. Mais comment une poussée au hasard surviendrait avec le même délai dans tous les pays qui vaccinent beaucoup ?

Un autre argument des pro vaccin est que la vaccination n’a pas eu le temps d’agir, mais l’exemple des Émirats Arabes Unis montre que même cinq mois après le début de la vaccination le nombre de contaminations hebdomadaires reste plus élevé qu’avant vaccination.

Ce phénomène paradoxal suggère plutôt que le pseudo vaccin Pfizer serait susceptible d’accélérer transitoirement la transmission de la maladie. Plutôt que de nier tout lien causal les défenseurs de la vaccination devraient diligenter des études permettant d’en comprendre le mécanisme pour y porter remède.

En Israël la diminution des contaminations n’a commencé qu’après 10 semaines, suivant la cinétique naturelle de l’épidémie décrite par le professeur Ben Israël(([4] Pr Isaac Ben Israël : Le virus disparaît de lui-même après 70 jours 17 avril 2020  https://strategika.fr/2020/04/17/pr-isaac-ben-israel-le-virus-disparait-de-lui-meme-apres-70-jours/)) qui affirmait dès 2020 que « le nombre de nouveaux cas du virus atteint un pic après environ 40 jours et décline progressivement pour atteindre presque 0 après 70 jours ou pas ». On ne pourra donc juger définitivement des capacités réelles du vaccin Pfizer d’interrompre la transmission du virus qu’à l’occasion d’une éventuelle nouvelle poussée de l’épidémie.

Le porte-parole de l’OMS Swaminathan a déclaré en décembre :

« Je ne crois pas que nous avons les preuves sur l’un ou l’autre des vaccins pour être sûrs que cela va empêcher les gens d’avoir réellement l’infection et donc d’être en mesure de la transmettre », « Je pense donc que nous devons supposer que les personnes qui ont été vaccinées doivent également prendre les mêmes précautions »

Doute confirmé officiellement en France par le ministre de la Santé O Veran a affirmant devant le Conseil d’État qui conclue(([5] Ordonnance du 30 mars dernier)):

« les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie dans une mesure à ce stade difficile à quantifier ».

Évolution de la mortalité quotidienne

En Israël, malgré un confinement strict, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des mortalités hebdomadaires.

Les mois de janvier et février ont établi les records mensuels de mortalité attribuée au Covid19 avec près de 30% de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays.

La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé transitoirement comme dans les autres pays vaccinés(([6] https://www.mondialisation.ca/lhecatombe-post-vaccinale-setend-dans-le-monde/5656922)) Heureusement que la décrue mondiale de l’épidémie a limité cette évolution post vaccinale mortifère !

Le faible taux de mortalité actuel est lié à la fin de la vague épidémique mis aussi à la disparition prématurée (post vaccinale) d’une grande partie des patients les plus à risques. Les personnes fragiles dont la fin a été hâtée par le vaccin en janvier et février ne sont plus à risque en mars et avril. On ne peut pas mourir deux fois !

Comment expliquer ce résultat paradoxal ?

Un traitement préventif se juge à l’évolution observée de la maladie cible. En Israël, l’évolution post vaccinale précoce a été catastrophique tant sur les contaminations que sur l’évolution des formes graves.

En attendant que des travaux scientifiques expliquent les causes de cet échec, de nombreuses hypothèses peuvent être soulevées. L’un des plus probables est que la vaccination Pfizer se heurte au phénomène d’anticorps facilitants déjà responsables de l’échec du Dengvaxia aux Philippines et des vaccins contre les précédentes épidémies à coronavirus (SRAS en 2003 et MERS en 2012).

La possibilité de cette complication avait été soulevée par l’Académie de médecine française, dans son communiqué du 11 janvier 2021(([7] Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages 11 janvier 2021)):

« dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération. Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants. »

Ce communiqué soulignait aussi le risque de faire émerger un variant par une vaccination insuffisamment efficace.

« Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Le trop faible niveau d’immunité observée après la première injection accusée de pouvoir faciliter l’émergence de variants, et l’échec de la vaccination a été tout récemment signalé par 5 membres du comité scientifique français, dont le Pr Delfraissy dans une courte lettre au BMJ.(([8] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Laetitia. Atlan Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Public Health 2021 Published Online February 18, 2021
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0))

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Que pourrait-on conseiller aux citoyens ? Attendre et résister aux pressions et chantages pour le vaccin

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible à court terme, car complètement pollué par la situation politique. Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup sévère à la crédibilité des dirigeants qui ont tout misé sur la vaccination. Il faut donc s’attendre à ce que les gouvernements et les médias qui leur sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le méchant virus. Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ,(([9] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant
BMJ 2021 ; 372 doi :
https://doi.org/10.1136/bmj.n314)) quel que soit le pays

« quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou radical ».

En l’absence de débat démocratique permettant d’évaluer rationnellement la situation, nous ne pouvons que conseiller d’attendre pour se faire vacciner. Il n’y a aucune urgence pour se faire vacciner, le risque de la maladie étant minuscule pour les moins de 65 ans.

Dans quelques mois, un bilan plus objectif pourra être tiré et la décision de se faire vacciner ou pas pourra alors reposer sur des données consolidées. C’est peut-être ce que veut éviter le ministre de la Santé et la commission de Bruxelles, avec sa volonté d’imposer le pass sanitaire pour forcer les Européens à se faire vacciner.

Pour un senior qui se souvient de la guerre de 1939-1945 ou plus souvent maintenant des témoignages terribles de la génération de ses parents ou grands-parents, voire pour les férus d’histoire plus jeunes (il en reste) l’obligation du port d’un badge (ouf ce n’est pas une étoile, ouf elle n’est pas jaune !) par un gouvernement qui se prétend démocratique est incroyable, consternant, invraisemblable, insupportable.

Elle rappelle l’avertissement de Bertolt Brecht et de Margaret Steffin dans « la résistible ascension d’Arturo Ui » : « le ventre est encore fécond d’où est sortie la bête immonde » et les leçons d’Hannah Arendt sur la banalité du mal :

« le mal ne réside pas dans l’extraordinaire, mais dans les petites choses, une quotidienneté à commettre les crimes les plus graves. »

Espérons que la majorité de la population qui n’a probablement pas la mémoire courte saura RÉSISTER à cet effroyable et monstrueux pied de nez de l’Histoire.

Les mesures dites sanitaires veulent tuer la démocratie.

La tentation totalitaire, particulièrement frappante au pays des droits de l’homme, est bien évidemment mondiale dans le cadre de la prise en main en cours de la population mondiale par la clique de Davos et l’application du plan explicité clairement dans le livre de Klaus Schwab sur covid19 et Grand Reset, paru en juillet 2020, impossible à traiter de complotiste.

Ainsi de nombreux gouvernements, dont le nôtre, essaient de faire croire que le passeport vaccinal nous libérera des chaînes qu’ils nous ont imposées et qu’ils resserrent chaque jour, alors que l’épidémie disparaît aux USA et en Europe indépendamment des mesures liberticides présentes ou pas.

Comme depuis des millénaires, les virus vivent leur vie et les épidémies finissent assez brutalement comme celles du MERS et du SRAS pour les deux cousins de notre Covid19, n’ayant pas laissé aux labos le temps de trouver et imposer un vaccin rentable.

Manifestement suffisamment de données permettent d’affirmer que le vaccin ne protège pas de la contagion, ni les vaccinés, ni les autres, et nos dirigeants avouent d’ailleurs qu’ils poursuivront port du masque et distanciation, chez les vaccinés et les autres (Véran il y a peu de jours, y compris dans les EHPADs si quelques pensionnaires ne sont pas vaccinés !).

Le passeport ne constitue, comme le masque et le couvre-feu, qu’un outil d’asservissement sans intérêt sanitaire (et l’accepter ne représente qu’un signe de soumission) dont le but est une société à la chinoise que rêvent de mettre en place les dirigeants actuels nourris à la coopération franco-chinoise, comme les Veran, et bien d’autres reconnus comme « Young leaders franco-chinois. Mais si ce modèle leur convient, qu’en pensera la société française une fois réveillée de son cauchemar covidien ? Les camps, passeport vaccinal, isolement autoritaire que nous préparent les médias seront-ils acceptés sans bruit et sans violence ?(([10] Passeport vaccinal sur TV liberté
https://www.youtube.com/watch?v=DzZTsBbwpo0 ))

Pour terminer, méditons la tirade du secrétaire général de l’ONU le 22 FÉVR. qui fut diffusée à juste titre sur les réseaux sociaux (mais si peu relayée à la TV) :

« Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certainspays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des ONG. »

Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU
Conseil des droits de l’homme du 22 février 2021
Source : Sitedel’ONU

Le chef de l’Organisation des Nations Unies ajoute, notamment :

« Des défenseurs des droits humains, des journalistes ,des avocats, des militants, et même des professionnels de la santé, ont fait l’objet […] de poursuites, et de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures — ou le manque de mesures — prises pour faire face à la pandémie. Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuses pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques. »

Devrons-nous regagner dans la rue nos libertés ignoblement confisquées ?





Lisa Shaw, 44 ans, est décédée, assassinée par la propagande !

Par Alain Tortosa

Lisa Shaw, 44 ans, est décédée, assassinée par la propagande !
Elle avait 7 fois plus de risque de décéder de l’AstraZeneca que du Covid et 10 fois plus si elle s’était faite injecter le Pfizer !
La thérapie génique Pfizer BioNTech est encore plus dangereuse que l’AstraZeneca !

Cette jeune femme de 44 ans, célèbre présentatrice à la BBC(([1] https://www.bbc.com/news/uk-england-tyne-57267169)) est décédée d’une thrombophlébite cérébrale (thrombose des sinus veineux cérébraux)quelques jours après avoir été injectée du médicament expérimental OGM d’AstraZeneca.

Une victime de plus de la propagande odieuse pratiquée par les laboratoires pharmaceutiques et leurs complices politiques, médiatiques et autres médecins corrompus ou débiles.

Elle est morte à cause de la cupidité, de la corruption ou de desseins encore plus sombres…

Combien d’innocents vont encore succomber après elle pour « retrouver leur liberté » ou assister à un concert ou partir en voyage ?

À la différence des victimes anonymes, la mort de Lisa a pu bénéficier d’une certaine « publicité ».

Alors que la BBC, le Guardian, ou Sky-News, pour ne citer qu’eux, ont précisé qu’elle avait été injectée par l’AstraZeneca, le magazine Métro(([2] https://metro.co.uk/2021/05/23/lisa-shaw-dead-bbc-radio-newcastle-presenter-dies-aged-44-14630262/)) a quant à lui indiqué dans un premier temps, avant de rectifier, qu’elle était décédée d’une « courte maladie » en omettant de parler de son injection.

Bien que le décès remonte à plus d’une semaine, les médias français ne se sont pas précipités pour nous faire parvenir cette triste nouvelle.

Seul le magazine Voici,(([3] https://www.voici.fr/news-people/actu-people/astrazeneca-mort-de-lisa-shaw-journaliste-de-la-bbc-a-lage-de-44-ans-704745)) reprenant les données de la BBC, a publié un article.

Sans doute suis-je un peu nul pour chercher sur Internet, mais je n’ai vu aucune dépêche AFP, rien sur BFM, LCI, France Info ou autres Cnews… Pas plus que dans le journal Le Monde, Libération ou Le Parisien, pour ne citer qu’eux…

Si les résistants s’emparent de cette affaire, il est probable que les vautours et charognards dits « décodeurs » vont intervenir pour « éclairer » à leur manière le public.

Nous allons certainement assister une fois de plus au bal des escrocs et autres corrompus, ou pire, au bal des débiles, qui vont s’empresser de nous dire qu’il n’y a aucune preuve de lien entre l’injection et le décès. Une fois de plus, ils vont nous rappeler que la chose est exceptionnelle et que le rapport bénéfice risque des thérapies expérimentales vaccinales demeure hautement favorable et souhaitable.

Je vais donc répondre à ces menteurs, vendeurs de propagande mortelle, en me basant UNIQUEMENT sur les données (erronées, car partielles) fournies par nos autorités de santé.

Je voudrais préciser que la sous-déclaration des effets secondaires est un secret de polichinelle.
L’ANSM nous dit :

« Ces informations, si l’on prend en compte la sous-déclaration des effets indésirables, habituelle, et probablement accentuée dans cette période de forte tension dans les services hospitaliers, constituent un signal important(([4] https://ansm.sante.fr/actualites/medicaments-utilises-chez-les-patients-atteints-de-la-covid-19-une-surveillance-renforcee-des-effets-indesirables))»

Un rapport du Sénat(([5] http://www.senat.fr/rap/r14-266/r14-266.pdf)) de 2015 précisait déjà :

« Des progrès ont été faits dans la déclaration des effets des vaccins, même si je crois que tout le monde a été d’accord pour dire, tout à l’heure, que la sous-déclaration reste problématique. »

Bref nous savons que les chiffres actuels sont faux et fortement optimistes. Nous disposons aussi de nombreux témoignages de personnels hospitaliers qui n’osent parler au grand jour de l’énorme difficulté à faire remonter les informations.

Avant le vaccin, de nombreux décès ont été imputés au Covid même pour des accidentés de la route qui avaient le tort d’être positifs au PCR, et aujourd’hui dès lors que vous êtes vacciné, un décès ne peut plus être causé ni par le Covid, ni par le vaccin…

Il est estimé qu’il faudrait multiplier au moins par 10 les chiffres pour s’approcher de la réalité.

Je vais, quant à moi, me borner à n’utiliser QUE des données officielles.

Regardons donc le risque que courait officiellement Lisa :

Lisa était une jeune femme de 44 ans en bonne santé et n’était pas dans le groupe des personnes à risque (sinon nous aurions basculé dans le meurtre prémédité).

Si l’on se réfère au dernier bulletin épidémiologique du 20 mai de Santé Publique France,(([6] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/bulletin-national/covid-19-point-epidemiologique-du-20-mai-2021)) le nombre total de personnes décédées du Covid entre 15 et 44 ans est de 103 sur une population de 23 369 649 personnes (selon l’INSEE).

Le risque de décès pour Lisa du Covid (rappelons qu’il a été probablement gonflé par les « faux » morts ») était donc de 0,44 pour 100 000 personnes de son âge.

Regardons maintenant le risque de décéder du « vaccin » AstraZeneca. Les dernières données françaises disponibles(([7] https://ansm.sante.fr/uploads/2021/05/17/rapport-n11-covid-19-vaccine-astrazeneca-12-05-2021-vfa.pdf)) remontent au 6 mai 2021. 3 996 867 personnes avaient reçu une première dose à cette date et 120 décès officiels.

Ce qui porte le risque de décès d’un vacciné AstraZeneca à 3 pour 100 000 soit 7 fois plus (6,81) que de la maladie !

Si on ajoute le nombre de personnes dont le pronostic vital est engagé (fort risque de mourir) alors nous passons à 279 personnes. Le risque de mourir ou d’être à l’article de la mort suite à l’injection d’AstraZeneca est 16 fois supérieur (15,83) à celui de décéder d’un Covid pour une personne en bonne santé de l’âge de Lisa.

Et ils osent parler d’un rapport bénéfice risque positif alors que l’on a 16 fois de risque de mourir ou d’être à l’article de la mort en étant vacciné !!!

Et ce ne sont que les données officielles qu’il faudrait multiplier par 10 pour s’approcher de la réalité… nous passerions alors à un risque de mort pour les vaccinés multiplié par 160 !!!

Alors j’entends les menteurs malhonnêtes nous dire qu’en France, AstraZeneca est réservé aux personnes de plus de 50 ans et que la thérapie expérimentale Pfizer BioNTech est extrêmement sûre, au point que la campagne criminelle de vaccination des enfants va bientôt débuter en France.

Pour Pfizer, les dernières données disponibles(([8] https://ansm.sante.fr/uploads/2021/05/21/20210521-covid-19-vaccins-rapport-hebdomadaire-15-pfizer-2.pdf)) remontent au 15 mai 2021.

À cette date 13 520 434 personnes ont reçu une première dose de Pfizer et il y a 580 décès officiels.

Ce qui porte le risque de décès d’un « vacciné » Pfizer à 4,3 pour 100 000.

Le risque de mourir du Pfizer est donc 1,4 fois supérieur à celui de mourir de l’AstraZeneca pourtant réputé plus dangereux que le Pfizer !

Le risque de décéder pour Lisa, si elle avait été injectée par la thérapie génique expérimentale de Pfizer BioNTech aurait été 10 fois (9,73) supérieur au risque de mourir de la maladie.

Le risque de mourir pour une personne en bonne santé entre 15 et 44 ans est donc bien multiplié par 10 avec le Pfizer !!!

Si on ajoute le nombre de personnes dont le pronostic vital est engagé (fort risque de mourir) alors nous passons à 866 personnes et le risque de mourir ou d’être à l’article de la mort suite à l’injection de la thérapie génique est alors 15 fois supérieur (14,5) à celui de décéder d’un Covid pour une personne en bonne santé de l’âge de Lisa.

Je me répète, mais ils osent parler d’un rapport bénéfice vs risque positif alors que l’on a 15 fois plus de risque de mourir ou d’être à l’article de la mort en étant vacciné !!!

Et il faudrait en théorie multiplier ces chiffres par 10 pour s’approcher de la réalité… nous passerions alors à un risque de décès multiplié par 150 !!!

Et pendant ce temps, zéro enfant de moins de 15 ans et en bonne santé est officiellement mort du coronavirus.

En résumé :

  • Contrairement au mensonge véhiculé sciemment, le risque de mourir du Pfizer est supérieur à celui de mourir de l’AstraZeneca (x1,4).
  • Le risque de décéder du Pfizer est 10 fois plus important, selon les données officielles partielles, que de mourir du Covid si vous êtes en bonne santé et avez moins de 45 ans.

Et les autorités s’apprêtent à tuer sciemment des enfants en bonne santé chez qui le risque de décès du Covid est nul !

Allez-vous être complice de ces crimes pour pouvoir partir en vacances cet été ?

Merci.

Alain Tortosa
Le 28 mai 2021
Auteur du livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210528-victime-propagande-criminelle.pdf





Quelle est l’ampleur des effets secondaires des pseudo-vaccins anticovid ?

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Cette question est difficile, car il est certain que comme toujours, de nombreux effets secondaires ne sont pas déclarés ni par les médecins, ni par les familles ni par les patients. Nous nous contenterons de résumer ici les effets reconnus par les institutions officielles américaines (Vaers pour les USA) et européennes (Eudravigilance de l’agence européenne du médicament).

POUR L’UE (ANGLETERRE EXCLUE) : LES EFFETS SECONDAIRES DONT DES DÉCÈS SONT NOMBREUX

Plus de 10 000 Européens tués par les vaccins Covid-19 selon les données officielles de l’UE(([1] Massacre: More than 10,000 Europeans KILLED by COVID-19 Vaccines According to Official EU Data ))

La base de données européenne des rapports de réactions médicamenteuses présumées est EudraVigilance, qui suit également les rapports faisant état d’accidents et de décès à la suite des « vaccins » expérimentaux Covid-19.

Pour tous ceux qui sur Tweeter ou FB doutent des résultats de cette banque de données, nous publions ici la politique de l’EMA concernant les accidents médicamenteux. Seuls les bots, robots d’internet au service de Big Pharma pourront encore dire que ces infos sont fakes !

Voici ce qu’EudraVigilance déclare au sujet de leur base de données(([2] Oracle BI Interactive Dashboards – DAP (europa.eu) )) :

« Ce site web a été lancé par l’Agence européenne des médicaments en 2012 pour donner au public accès aux rapports sur les effets secondaires présumés (également connus sous le nom de effets indésirables présumés). Ces rapports sont soumis électroniquement à EudraVigilance par les autorités nationales de réglementation des médicaments et par les sociétés pharmaceutiques qui détiennent des autorisations de mise sur le marché (licences) pour les médicaments.

EudraVigilance est un système conçu pour recueillir des rapports d’effets secondaires suspects. Ces rapports sont utilisés pour évaluer les avantages et les risques des médicaments lors de leur développement et pour surveiller leur innocuité après leur autorisation dans l’Espace économique européen (EEE). »

ÉTAT DES LIEUX AU 8 MAI 2021 sur les EFFETS SECONDAIRES DES VACCINS ANTICOVID EN UE

Leur rapport du 8 mai 2021 fait état de 10 570 décès et 405 259 complications à la suite d’une des quatre injections expérimentales de Covid-19. Chaque catégorie d’incidents est notée avec le nombre de personnes malades et le nombre de décès.

Réactions totales pour le vaccin expérimental à l’ARNm

PFIZER : Tozinameran (code BNT162b2,Comirnaty) de BioNTech/ Pfizer

5 368 décès et 170 528 incidents au 08/05/2021

MODERNA

Réactions totales pour le vaccin expérimental arNm d’ARNm-1273 (CX-024414) de Moderna  2 865 décès et 22 985 effets secondaires au 08/05/2021

 ASTRAZENECA

Réactions totales pour le vaccin expérimental AZD1222/VAXZEVRIA (CHADOX1 NCOV-19) d’Oxford/

AstraZeneca : 2 102 décès et 208 873 complications au 08/05/2021

JANSSEN

Réactions totales pour le vaccin expérimental COVID-19 JANSSEN (AD26. COV2. S) de Johnson & Johnson: 235 morts et 2873 complications au 08/05/2021

ON PEUT ÉTUDIER LA BASE DE DONNÉES PAR PATHOLOGIE  COMME SUR CE TABLEAU et voir l’augmentation rapide du nombre d’effets secondaires et de décès avec la mise à jour du 22 MAI

COMPARAISON PSEUDO-VACCINS ANTICOVID ET VACCIN H1N1

UN TABLEAU PUBLIÉ PAR L’EMA EN AVRIL 2021 permet de se faire une idée du nombre d’injections par type de substance génique et la comparaison avec le vaccin H1N1 et on constate que le nombre d’incidents signalés pour ces produits, dont les essais thérapeutiques ne sont pas terminés, est beaucoup plus élevé que pour le vaccin H1N1

EN FRANCE

Des chiffres sont disponibles sur l’ANSM, mais pas très rapidement dirons-nous.

Ils sont submergés par les témoignages de centres de vaccination qui demandent de ne pas remonter les incidents vaccinaux car débordés par les déclarations.  Par exemple :

Vaccins Covid-19 : environ 4 000 déclarations d’effets secondaires en Limousin  : un exemple

Publié le 24/05/2021(([3] https://www.lepopulaire.fr/limoges-87000/actualites/vaccins-covid-19-environ-4-000-declarations-d-effets-secondaires-en-limousin_13956157/?fbclid=IwAR1-FlTfK41S7ymHS8aWGZ2Zhcd7qbREeBgVabffgz3Flw67x9FbN7WzHDs)) : « Trier, traiter, enquêter, enregistrer : un travail colossal pour l’activité du centre. » © stephane Lefèvre, selon l’article du Populaire :

« Depuis début 2021, c’est un afflux inédit pour le Centre régional de pharmacovigilance de Limoges qui recueille tous les signalements d’effets indésirables des médicaments. Parmi eux, un des 34 cas français de thrombose atypique liée à l’injection du vaccin AstraZeneca.

(…) Plus précisément 4 000 en quatre mois et demi (sur 283 000 personnes ayant reçu une ou deux doses de vaccin en Limousin) : un record pour cette structure qui recueille les déclarations des effets indésirables des médicaments et fait remonter ses observations à l’Agence nationale de sécurité du médicament, l’ANSM (*).  Plus de la moitié des déclarations en attente ».

« En temps normal, on en reçoit environ 1 200 par an, dont à peine dix notifications pour des vaccins “classiques” », compare le Pr Laroche, responsable du centre.

Sur les 4 000, le CRPV a pu en saisir 1 200 dans la base, en a traité 400 autres en attente d’enregistrement. Il lui reste plus de la moitié à gérer. « Mais on trie tous les jours les déclarations reçues, par priorité, afin de ne pas laisser passer des effets secondaires graves. Notre stock de retard concerne surtout les signalements pour des effets indésirables ordinaires. »

Des effets dits « graves » pour 25 % des déclarations, proportion semblable au niveau national.

(…)  Parmi les effets indésirables notables, le CRPV de Limoges a surtout enregistré un des 34 cas de thromboses de localisation atypique(cérébrale, intestinale) recensés en France, à la suite du vaccin AstraZeneca, et ayant entraîné 11 décès. Le cas limousin n’a pas été mortel ».

À côté de ce cas marquant, tachycardie, zona, hypertension artérielle, paralysie faciale, urticaire font partie des autres conséquences non répertoriées dans la notice des produits. Toute hospitalisation est aussi intégrée dans les 25 % d’effets graves.

« Notre travail consiste à déterminer si c’est le vaccin qui est à l’origine d’un problème de santé ou s’il y a d’autres explications possibles. »

« Quand le cas est plus compliqué, cela va d’une demi-journée à une journée, le temps de documenter le cas, de recontacter la personne pour qu’elle nous raconte son histoire, d’aller chercher des informations médicales pour un dossier clinique complet. Il faut que tout soit précis afin de justifier une éventuelle décision sanitaire. »

Un appel à des déclarations plus ciblées

Si Mme Laroche se réjouit de la participation massive, elle appelle à des déclarations plus ciblées sur les effets « graves, très gênants ou méconnus ». Une pertinence nécessaire pour garantir la réactivité de la surveillance vaccinale.

(*) Il existe 31 centres régionaux de pharmacovigilance en France : c’est ce réseau territorial qui alimente l’ANSM, l’agence du médicament française.

Les déclarations dans le détail

« Répartition géographique : 80 % des déclarations reçues par le CRPV de Limoges sont originaires de Haute-Vienne, 15 % de Corrèze et 5 % de Creuse.

Répartition par vaccin : 78 % des 1 600 déclarations traitées concernent le vaccin Pfizer, 18 % AstraZeneca et 4 % Moderna et Janssen.

Répartition par profil de déclarant : 74 % des remontées viennent de patients et 26 % de professionnels de santé.

Répartition par moyen de signalement : 25 % des déclarations reçues par le CRPV passent par le portail national mis en place par le ministère de la Santé. La majorité arrive par mail ou courrier avec l’envoi de la fiche de suivi et de déclaration d’événements indésirables éditée par le CRPV Limousin et remise à chaque patient vacciné. Une initiative locale qui a fortement incité à participer à la déclaration. »

D’autres centres régionaux font état de débordements du même genre comme celui de Toulouse.

Toulouse. Vaccins Covid : les déclarations d’effets indésirables explosent (lejournaltoulousain.fr)

ET LES INQUIÉTUDES SUR L’AVENIR DE LA FERTILITÉ DES JEUNES FEMMES

Sera à approfondir rapidement car les fausses couches se sont multipliées en Grande-Bretagne pendant la période d’accélération de la vaccination. Les troubles menstruels sont aussi signalés par de nombreuses femmes.(([4] Covid-19 : le vaccin aurait un effet secondaire sur les règles (aufeminin.com) ))

Quant aux inquiétudes sur la fertilité, il importera d’y revenir.

AUX USA(([5] Latest CDC Data Show Reports of Adverse Events After COVID Vaccines Surpass 200,000, Including 943 Among 12- to 17-Year-Olds • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

selon les rapports officiels des CDC et du fichier VAERS organisme officiel fédéral

Aux États-Unis, 268,4 millions de doses de vaccin Covid avaient été administrées au 14 mai. Cela comprend 115 millions de doses du vaccin Moderna, 144 millions de doses de Pfizer et 9 millions de doses du vaccin Covid Johnson & Johnson (J&J).

Le nombre d’effets indésirables signalés à la suite des vaccins Covid a dépassé les 200 000, selon les données publiées le 21 MAI par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).

VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour signaler les effets indésirables des vaccins dans les rapports américains soumis à VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’une relation causale puisse être confirmée.

Entre le 14 décembre et le 14 mai 2021, le Vaers a dénombré 227,805 reports d’effets indésirables suivant les vaccins anticovid, dont  4,201 morts et  18,528 incidents cotés sérieux  (Megan Redshaw le 21 mai 2021(([6] https://childrenshealthdefense.org/defender/vaers-cdc-adverse-events-covid-vaccines-surpass-200000/))).

Les dernières données des CDC montrent que les rapports d’événements indésirables après les vaccins COVID sont de 943 chez les 12 à 17 ans.

Sur les 4 201 décès signalés au 14 mai, 23 % se sont produits dans les 48 heures suivant la vaccination, 16 % se sont produits dans les 24 heures et 38 % chez les personnes tombées malades dans les 48 heures suivant leur vaccination.

Les données VAERS montrent :

20 % des décès étaient liés à des troubles cardiaques,

54 % des personnes décédées étaient des hommes, 44 % étaient des femmes et les autres rapports de décès n’incluaient pas le sexe du défunt.

L’âge moyen du décès était de 74,7 ans et les décès les plus jeunes signalés comprennent deux jeunes de 15 ans (VAERS I.D. 1187918 et 1242573 ) et un jeune de 16 ans (VAERS I.D. 1225942).

D’autres décès chez des enfants de moins de 16 ans ont été signalés et n’ont pu être confirmés ou contenaient des erreurs évidentes.

Au 14 mai, 1 140 femmes enceintes avaient signalé des effets indésirables liés aux vaccins Covid, dont 351 cas de fausse couche ou de naissance prématurée.

Sur les 2 275 cas signalés de paralysie faciale de Bell, 51 % ont été signalés après les vaccinations Pfizer-BioNTech, 42 % après la vaccination avec le vaccin Moderna et 192 cas, soit 10 %, des cas de paralysie de Bell ont été signalés conjointement avec J&J.

Il y a eu 195 rapports du syndrome de Guillain-Barré avec 40 % de cas attribués à Pfizer, 38 % à Moderna et 26 % à J&J.

Il y avait 65 854 rapports d’anaphylaxie avec 38 % des cas attribués au vaccin de Pfizer, 51 % à Moderna et 11 % à J&J.

Il y a eu 3 758 rapports de troubles de la coagulation et d’autres affections connexes. De ce nombre, 1 468 rapports ont été attribués à Pfizer, 1 093 rapports à Moderna et 1 093 rapports à J&J.

Selon l’article du Childrenshealthdefense.org qui commente ces résultats : 

« les vaccins COVID pourraient ne pas fonctionner pour des millions de personnes atteintes de maladies sous-jacentes. Certains experts remettent en question la recommandation des CDC selon laquelle les personnes immunodéprimées se font vacciner après que de nouvelles recherches 15 % à 80 % des personnes atteintes de troubles de santé sous-jacents et celles qui prennent des médicaments immunosuppresseurs montent peu d’anticorps, voire aucun, contre les vaccins COVID.

Pourtant, les lignes directrices actuelles des CDC indiquent que les personnes dont le système immunitaire est affaibli devraient être vaccinées contre le COVID même si « aucune donnée n’est disponible pour établir l’innocuité et l’efficacité du vaccin COVID dans ces groupes » car les personnes dont le système immunitaire est affaibli ou celles qui prennent des immunosuppresseurs pour une affection médicale ont été en grande partie exclues des essais cliniques sur les vaccins ».

« Dr Meryl Nass, un médecin de médecine interne, a déclaré qu’il est de la responsabilité des CDC de déterminer les risques et les avantages de chaque vaccin pour différents groupes de personnes. Pour les vaccins COVID, a dit Nass, les CDC n’ont pas publié cette information, ou dire au public quels groupes pourraient être à un risque plus élevé de subir une réaction indésirable qui l’emporte de loin sur tout avantage potentiel ».

RESPONSABILITÉ DE L’EMPLOYEUR QUI EXIGERAIT LE VACCIN AUX USA

Les employeurs pourraient être tenus responsables de « toute réaction indésirable » s’ils imposaient la vaccination anti-Covid.

« Si vous exigez que vos employés soient vaccinés comme condition d’emploi (c.-à-d. pour des raisons liées au travail), toute réaction indésirable au vaccin Covid-19 est liée au travail. L’effet indésirable est consigné s’il s’agit d’un nouveau cas en vertu du 29 CFR 1904.6 et répond à un ou plusieurs des critères généraux d’enregistrement en 29 CFR 1904.7.

« À l’inverse, l’OSHA(([7] Occupational Safety and Health Administration — Wikipédia (wikipedia.org)
L’Occupational Safety and Health Administration (OSHA) est une agence gouvernementale fédérale des États-Unis dont la mission est la prévention des blessures, maladies et décès dans le cadre du travail. Pour ce faire, elle émet des règlements pour la sécurité et la santé au travail. L’OSHA a été établie par l’Occupational Safety and Health Act (en) de 1970, l’une des lois majeures sur la sécurité au travail aux États-Unis. OSHA a développé la Norme 29 CFR de Gestion de la Sécurité des procédés (PSM), « Gestion de la Sécurité des procédés de produits chimiques à très haute dangerosité ».)) a déclaré qu’elle exercera un pouvoir discrétionnaire en matière d’application de la loi et qu’elle n’exigera pas que des effets indésirables soient consignés lorsqu’un employeur « recommande » seulement aux employés de recevoir le vaccin, tout en notant que pour que ce pouvoir discrétionnaire s’applique, le vaccin doit être véritablement volontaire. »

Pour déterminer si un vaccin est « volontaire », le site Web indique que « le choix d’un employé d’accepter ou de rejeter le vaccin ne peut avoir d’incidence sur [sa] cote de rendement ou son avancement professionnel » et qu’un « employé qui choisit de ne pas recevoir le vaccin ne peut subir de répercussions de ce choix ».

COMMENTAIRE DU CHILDRENSHEALTHDEFENSE SUR LE DRAME DU MUSICIEN ERIC CLAPTON

Eric Clapton blâme la propagande pour de graves réactions indésirables à AstraZeneca. Le 17 mai, The Defender a rapporté qu’Eric Clapton, 76 ans, a subi une grave réaction indésirable après avoir reçu le vaccin Covid d’AstraZeneca qui l’a laissé craindre qu’il ne rejoue plus  jamais.

« Inutile de dire que les réactions ont été désastreuses, mes mains et mes pieds étaient gelés, engourdis ou brûlants, et à peu près inutile pendant deux semaines. Je craignais de ne plus jamais jouer, a dit Clapton. « Mais la propagande a dit que le vaccin était sans danger pour tout le monde. »

Quelques jours après les critiques de Clapton sur la « propagande » vaccinale, le Wall Street Journal a rapporté que les fabricants de vaccins américains parrainent des campagnes publicitaires ciblant environ un tiers des Américains qui hésitent à se faire vacciner contre le Covid.

Pfizer, Moderna, Regeneron et d’autres sociétés pharmaceutiques parrainent des annonces à la télévision, à la radio et sur les médias sociaux louant les vaccins et les médicaments Covid dans le but d’augmenter les vaccinations. Contrairement aux annonces pour les médicaments où les noms de marque sont présentés, les annonces générales « get the vaccine » n’ont pas à suivre les lignes directrices légales, qui comprennent la liste des effets secondaires potentiels du médicament.(([8] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

74 jours et le comptage, CDC ignore les enquêtes du Défenseur

Selon le site Web des CDC :

« les CDC font le suivi de tout rapport de décès afin de demander des renseignements supplémentaires et d’en apprendre davantage sur ce qui s’est produit et de déterminer si le décès est le résultat du vaccin ou s’il n’est pas lié ».

« Le 8 mars, The Defender a communiqué avec les CDC pour lui poser une liste écrite de questions sur les décès et les accidents signalés liés aux vaccins COVID. Après des tentatives répétées, par téléphone et par courriel, d’obtenir une réponse à nos questions, un spécialiste des communications de santé du Groupe de travail sur les vaccins des CDC nous a contactés le 29 mars , soit trois semaines après notre enquête initiale.

La personne a reçu notre demande d’information de VAERS, mais a dit qu’elle n’avait jamais reçu notre liste de questions, même si les employés à qui nous avons parlé à plusieurs reprises ont déclaré que les attachés de presse de la CDC travaillaient à travers les questions et ont confirmé que le représentant les avait reçues. Nous avons fourni la liste des questions à nouveau avec une nouvelle date limite, mais nous n’avons jamais reçu de réponse.

Le Défenseur a également fait un suivi auprès du service des médias du CDC, qui nous a dit que l’unité d’intervention du COVID serait informée que le spécialiste des communications de santé n’avait jamais répondu. Aucune explication n’a été donnée quant à la raison pour laquelle nos demandes ont été ignorées. On nous a dit de rappeler, ce que nous avons fait à de nombreuses reprises.

Le 19 mai, un employé du CDC a déclaré que nos questions avaient été examinées et que notre enquête était en instance dans leur système, mais qu’elle ne nous fournirait pas de copie de la réponse. Cela fait 74 jours que nous avons envoyé notre premier e-mail pour nous renseigner sur les données et les rapports VAERS.

Children’s Health Defense demande à toute personne ayant subi une réaction indésirable, à n’importe quel vaccin, de déposer un rapport. »

En conclusion : il est bien difficile d’avoir des informations, mais des éléments connus sont déjà majeurs : par exemple le fait que le nombre de décès répertoriés en trois mois après vaccins Covid atteint déjà celui du recensé en 21 ans aux USA pour tous les autres vaccins.

Souvenons-nous aussi que le vaccin contre la grippe aviaire en 1976 fut retiré après 53 décès et le vaccin contre le H1N1 en 2009 après 57 décès. Manifestement le monde de la vigilance et de la sécurité a changé d’échelle.

En conclusion très provisoire

« Ils sont enseignants, médecins, juristes, artistes, gendarmes, scientifiques, psychologues, essayistes, journalistes et autre. Face à la situation actuelle, ils lancent un appel à chacun d’entre nous. Un appel à la résistance civile et au réveil des consciences :



Tout seul on va plus vite. Ensemble on va plus loin. Proverbe africain »

ET RAPPELONS QU’IL S’AGIT DE SUBSTANCES GÉNIQUES (en aucun cas des vaccins classiques) en essai thérapeutique

Nicole Delépine





À madame Laurence Rossignol, Vice-présidente du Sénat français

Par Djerrad Amar

À madame Laurence Rossignol,
Vice-présidente du Sénat français

Algérie, le 27 mai 2021

Par Djerrad Amar

Suite à votre intervention, à propos de l’Algérie, au Sénat français.
Vous écrivez sur votre Facebook :

« Ce mercredi 26 mai, lors des Questions d’Actualité au Gouvernement, j’ai interpellé Monsieur le Ministre des Affaires Étrangères sur la situation des droits humains en Algérie, ainsi que sur la possibilité pour la France de soutenir les aspirations démocratiques des Algériens qui s’expriment au sein du hirak. Un mouvement pacifiste qui réclame un État civil, le respect des droits humains fondamentaux et, entre autres, la fin de la corruption qui gangrène l’économie du pays. »

Au début, j’ai évité de vous répondre parce que votre intervention au Sénat français est tellement orientée et débile que je me suis dit qu’il est futile de répliquer à un perroquet d’une part et que d’autre part votre Ministre des Affaires Étrangères, en réponse, a bien suggéré en quelques mots et qualificatifs votre pensée et votre objectif.
Finalement, je vous réponds et par ricochet à vos manipulateurs français et algériens de l’émigration qui vous ont utilisé, en particulier, parce qu’ils ont dû déceler chez vous une bébête qui gobe tout sans trop de réflexion !
Comme, je l’ai déjà fait à une de vos collègues — elle députée aussi niaise que vous sénatrice socialiste, en l’occurrence Madame Mathilde Panot qui crèche chez « France Insoumise » — vous dégurgitez un ramassis de slogans et de propagande qui prouve bien que votre but est plutôt l’ingérence et la subversion !

Et si vous vous occupiez de vos oignons, de votre salade, de votre Covid, de vos gilets jaunes, de votre pseudo-démocratie, de votre presse aux ordres, de vos corrompus, de vos pauvres, de votre récession, de votre déchéance sur le plan international, de votre retard en matière de recherche scientifique, etc.

Vous n’avez pas cité aussi la nouvelle loi électorale, en particulier pour les législatives, qui doit être « moins démocratique » que celle de votre pays, car la nôtre prévoit un mode de scrutin à la « proportionnelle » avec vote « préférentiel » c’est-à-dire que l’électeur algérien doit choisir, le pauvre, son ou ses candidats au sein de sa liste préférée ! Pas comme la France « démocratique » qui privilégie les « têtes de liste » qui épargne aux Français la peine de cocher un ou des candidats ! Cela doit être sans aucun doute ce mode « tête de liste », où l’on privilégie les copains et les coquins, qui vous a propulsé « sénatrice » !

Qu’avez-vous fait pour aider vos « hirakistes » des gilets jaunes ? Ils sont interdits de manifestation depuis longtemps chez vous, alors qu’en Algérie ils le sont depuis une semaine, au 117e pseudo-hirak, qui commençait à exhiber des slogans violents, « importés » depuis votre pays, visant l’Armée algérienne, ses services de sécurité et ses institutions dont le Président de la République élu !

On a tout vu chez vous ! En Algérie, le simple citoyen peut tout voir de ce qui se passe ici et chez vous, mieux que vous ne le pensez et mieux que vous la sénatrice qui se fie au « bouche à oreille » !

Avez-vous comparé le nombre de morts, de blessés, d’arrestations et de condamnés chez vous et chez nous en Algérie ? Bien sûr que non ! Votre genre ne voit et n’entend rien de ce qui se passe chez lui et même hors de France, mais porte une oreille attentive à ceux, résidants en France, qui lui rapporte les bruits et chuchotements qui se produiraient ou pourrait se produire en Algérie ! Même dans le faux, vous vous empressez à les dégurgiter dans votre parlement ou Sénat, pourvu que cela donne l’ivresse ! Êtes-vous rémunéré pour ça ? Fort possible ! Avec ce que l’on voit au parlement européen et les lobbies qui le dirigent, ce n’est pas étonnant et nouveau !

En voyant votre parcours, professionnel, associatif et politique, il nous est permis de douter de vos engagements et de votre honnêteté ! Passer du coq à l’âne en politique n’est-ce pas selon « ce que ça rapporte » et non selon les principes ? Ligue communiste révolutionnaire, journaliste à « La Vie ouvrière », différents syndicats, Parti socialiste, cheffe de cabinet Fabius (celui qui aime Daesh pour avoir fait du « bon boulot »), chargée d’étude à la Mutuelle des étudiants où elle perçoit une rémunération de 1100 euros pendant dix-huit ans pour 2 jours de travail partiel par semaines, impliquée dans l’affaire d’enrichissement personnel et d’emplois fictifs de la MNEF (Que choisir, s’interroge : « Si Mme Rossignol a vraiment été au service de la santé des étudiants » wikipédia), échoue à deux reprises à la députation, Ministre au Gouvernement Valls, à RMC elle a comparé les femmes musulmanes choisissant de porter le voile aux « nègres américains qui étaient pour l’esclavage »… Passons !

Franchement étiez-vous sérieuse et convaincue que ce que vous rapportiez, au Sénat, à vos collègues, n’était pas des canulars, des mensonges et des rumeurs ? Si oui, je vous invite à lire ce commentaire tiré de mon prochain article et peut-être qu’il vous instruira ou vous réveillera sur ce qui s’est déroulé en Algérie que vous semblez aimer voir démocratique, libre, humaine, sans arrestations arbitraires, sans tortures et peut-être aussi sans armée, sans policiers, sans justice, sans écoles, sans universités, sans pétrole, sans avions, sans bateaux, sans moyens pour fuir et rejoindre votre pays de paix, de culture, des droits de l’homme, de liberté et de démocratie !

Est-il acceptable et logique que le Hirak original des débuts (jusqu’au 7e/8e) qui a regroupé des centaines de milliers de citoyens dans une douzaine de grandes villes d’Algérie criant des slogans clairs et précis comme « non au 5e mandat », « changement du système de gouvernance », « yetnehaw ga3 (on les enlève tous) », « armée et peuple des frères » puis « poursuite judiciaire des pontes corrompues » puisse se transformer en slogans opposés après avoir obtenu l’essentiel des revendications (possibles dans l’immédiat) avec l’aide agissante de l’Armée dont on a réclamé d’assumer la responsabilité ? C’est alors que (au 10e hirak et suivant jusqu’aux 117e) des forces chevauchant la vague, sont apparues, avec des slogans insolites et violents entrant dans le cadre « printaniste » et « islamistes » exigeant qu’on « enlève tout le monde », entendre même ceux à l’origine de la déchéance du pouvoir, le chef de l’État intérimaire, les ministres intérimaires, le refus de toutes nouvelles élections, même après l’élection au suffrage universel du nouveau Président ! Des slogans surgissant curieusement au moment où les poursuites judiciaires battent leur plein ! Des centaines de milliers dans au moins une douzaine de grandes villes le « hirak » a vu le nombre de ses manifestants se réduire subitement comme peau de chagrin pour se limiter à 3/4 villes ne regroupant que quelques milliers puis quelques centaines ! Il faut dire que les slogans sont devenus clairement séditieux ! Contre le Président, contre l’Institution militaire en s’attaquant à ses officiers, contre les services de sécurité, les qualifiant tous de « traitres » à la nation et au Peuple, contre les législatives en préparation malgré un nouveau code électoral des plus démocratiques ! Ils réclament, par contre, le changement par une « phase de transition » (anticonstitutionnelle), sans vote du peuple, que dirigerait un trio de personnalités inconnues dont les noms sont balancés par un certain professeur… depuis la France ! Curieux non ? Les autorités, par souci de stabilité, étaient obligées d’appliquer la loi en matière de manifestations… tout comme en France ! Chez vous, c’est réglementé, non ? Certains ont enfreint la loi, ils ont été arrêtés. Le reste, ce sont des arrestations entrant dans le cadre des délits commis par des voyous. C’est arbitraire aussi ? Est-ce des affaires algéro-algériennes ou algéro-françaises ?

Êtes-vous venue au « secours » des gilets jaunes ? On ne vous a pas entendu, au Sénat, soutenir le Hirak, dès ses débuts, lorsqu’il réclamait le refus du 5e mandat, le limogeage des pontes corrompues du pouvoir, les poursuites judiciaires des figures du «système» comme vous le faites pour ces fossoyeurs! Ce n’est qu’une fois que le peuple a obtenu l’essentiel de ses revendications que des activistes et des agitateurs, suppôts du régime déchu, sont apparus et dont vous venez de porter les revendications au Sénat avec l’aide de vos maîtres-manipulateurs de chez vous en France. Vous êtes donc un maillon.

Savez-vous que vous soutenez des activistes qui refusent les élections présidentielles pour une «transition» qu’ils veulent diriger sans élections, qui refusent les législatives prochaines du 12 juin? Est-ce un hasard que vous intervenez à quelques jours des élections pour interpeller vos collègues au Sénat ?

On vous a instruit de dire qu’il y a des « détenus d’opinion » ? Si vous avez des noms, alors portez-les à la connaissance des autorités compétentes qui vous donneront sûrement les griefs !

Maintenant que « la vache à traire » n’est plus dans leur étable, mais dans celle du peuple, qui exige plus de comptes, les voilà tirer à boulets rouges sur tous ceux qui s’emploient, à éliminer les traces de ce régime de privilèges, de passe-droits, avec l’aide de votre clan par l’ingérence. Drôle de démocrate vous êtes !

Des démocrates, comme vous, qui soutiennent une solution par une « phase de transition » sans élections, contrairement à nos militaires qui soutiennent obstinément la solution par les élections ? Vraiment, le monde à l’envers !

Pouvez-vous imposer cette insanité chez vous ?

Au lieu de vous ingérer dans les affaires qui ne vous regarde, pas en tant que sénatrice ou autre, intéressez-vous plutôt à cette Françafrique que ne cessent d’appuyer des autocrates pour servir vos intérêts.

Pour votre gouverne, en guise de conclusion, voici un extrait du défunt chef d’État-major de l’Armée nationale populaire (ANP). Peut-être que vous comprendrez la définition du mot « dictateur » et à qui il s’applique : «Leur véritable objectif est d’induire l’opinion publique nationale en erreur… pour s’autoproclamer fallacieusement comme les porte-voix du peuple algérien… [notre] approche s’articule sur la primauté de la légitimité constitutionnelle, à travers l’organisation d’élections présidentielles transparentes… afin d’éviter toutes les phases de transition dont les conséquences sont périlleuses, clamées par certaines parties… qui commencent à être démasquées, et nous avons des informations confirmées de leur implication, que nous dévoilerons au moment opportun… »

Je vous raconte cela non pas pour justifier quoi que ce soit, mais pour montrer votre ignorance en politique et en affaires internationales. Quand vous, de surcroît, ignorez celles de vos voisins proches, mieux vaut changer de métier ! Vous faites de l’ingérence dans les affaires d’autres pays ! C’est interdit par les lois internationales ! Le savez-vous, madame la sénatrice ?

Amar Djerrad




Canada : un médecin de la Colombie-Britannique se fait retirer son poste après avoir soulevé la question des effets secondaires des vaccins anticovid

[Source : quebecnouvelles.info]

Par Cosmin Dzsurdzsa

Un médecin de famille de la Colombie-Britannique affirme avoir été réprimandé par des responsables de la santé après avoir fait part de prétendues complications liées au vaccin Moderna lors de l’administration du médicament aux patients.

Selon le Dr Charles Hoffe, de Lytton, en Colombie-Britannique, il a été suspendu de l’équipe d’urgence du centre de santé de Saint-Barthélemy en raison de la prétendue “hésitation à se faire vacciner” que ses affirmations ont provoquée.

“Le 29 avril 2021, l’Autorité sanitaire de l’intérieur a suspendu mes privilèges cliniques pour avoir causé une “hésitation vaccinale”, pour avoir parlé de mes patients blessés par un vaccin. Je ne suis donc plus autorisé à travailler aux urgences “, a déclaré le Dr Hoffe à True North.

“Je suis toujours autorisé à voir des patients dans mon cabinet privé, qui n’est pas sous la juridiction de l’autorité sanitaire intérieure, mais j’ai effectivement perdu environ 50 % de mes revenus. C’est le prix à payer pour défendre la sécurité de mes patients. “

En avril, Hoffe a publié une lettre ouverte adressée à la responsable provinciale de la santé de la Colombie-Britannique, le Dr Bonnie Henry, affirmant avoir vu “de nombreuses réactions allergiques”, un “décès soudain” et quelques cas de “déficits neurologiques continus et invalidants” après avoir administré 900 doses du vaccin COVID-19 de Moderna aux membres de la communauté des Premières Nations voisine.

“En bref, dans notre petite communauté de Lytton, en Colombie-Britannique, nous avons une personne décédée et trois personnes qui semblent devoir être handicapées de façon permanente, après avoir reçu leur première dose du vaccin Moderna. L’âge des personnes touchées varie de 38 à 82 ans”, affirme M. Hoffe dans sa lettre.

Ses allégations ont été rejetées par le Dr Carol Fenton, médecin hygiéniste de Interior Health à Kamloops, qui a déclaré qu’il n’y avait eu “aucun décès ou effet indésirable durable” lié à un quelconque vaccin COVID-19 en Colombie-Britannique, et encore moins dans la région de Interior Health.

Un avis communautaire daté du 4 mai et affiché à la clinique allègue que le retrait du Dr Hoffe ” laisserait un vide important dans le personnel médical ” de l’hôpital. Cependant, le Dr Hoffe continue de voir ses patients en privé à son cabinet qui est rattaché à Saint-Barthélémy.

L’avis a été affiché à l’extérieur de la Lytton Medical Clinic, où le Dr Hoffe exerce.

“Le Dr Hoffe est habituellement en service en tant que médecin des urgences à Lytton pendant deux semaines par mois. Sa suspension par l’Interior Health Authority risque donc de signifier que la salle d’urgence de Lytton sera fermée au moins deux semaines par mois”, affirme l’avis.

“Ces problèmes sont encore exacerbés par le fait que l’Interior Health Authority a également décidé de réduire les services de laboratoire à Lytton à deux jours par semaine. Outre l’impact négatif sur la qualité des soins de santé à Lytton, cela rendra le recrutement de tout nouveau médecin extrêmement difficile.”

Ni l’Interior Health Authority ni le ministre de la Santé de la Colombie-Britannique, Adrian Dix, n’ont répondu aux demandes de renseignements de True North pour savoir si le Dr Hoffe fait l’objet d’une enquête.

Récemment, le College of Physicians and Surgeons of British Columbia a émis un avertissement selon lequel tout médecin dont on découvrirait qu’il ” contredit les ordres et les directives en matière de santé publique ” ferait l’objet d’une enquête et pourrait être soumis à des mesures réglementaires.

Selon le site officiel du collège, les lois sur la protection de la vie privée empêchent l’organisation de révéler si une enquête est en cours concernant l’un de ses membres.




Le « Fact-Checking* » prend une nouvelle raclée

[Source : Aube Digitale]

[* Fact-Checking = Vérification des faits]

Le monde de l’actualité n’arrête pas de se ridiculiser. La dernière énormité en date est une débâcle internationale en matière de vérification des faits qui trouve son origine, entre autres, dans un “festival de vérification des faits”.

Le Poynter Institute est peut-être le groupe de réflexion le plus respecté dans notre secteur, une organisation qui cherche à “fortifier le rôle du journalisme dans une société libre”, notamment en parrainant le site de vérification des faits PolitiFact. Il y a quelques semaines, elle a organisé une convention virtuelle intitulée “United Facts of America : Un festival de vérification des faits”.

Cet événement de trois jours a accueilli des invités spéciaux tels que Christiane Amanpour, le Dr Anthony Fauci, Brian Stelter et le sénateur Mark Warner – une brochette de “stars” des faits dont l’énergie ironique rappelait l’exécution téléthon de Terrance et Phillip par l’USO avant l’invasion du Canada dans South Park : Bigger, Longer, and Uncut. Les billets coûtaient 50 dollars, mais si vous vouliez un “happy hour virtuel privé” avec Stelter, vous deviez payer 100 dollars pour l’”expérience VIP”.

Au cours de la conférence, Katie Sanders, de PolitiFact, a demandé à Fauci : “Êtes-vous toujours convaincu que le [Covid-19] s’est développé naturellement ?”. Ce à quoi le sympathique médecin a répondu : “Non, je n’en suis pas convaincu”, poursuivant en disant que “nous” devrions continuer à étudier toutes les hypothèses sur la façon dont la pandémie a commencé :

https://www.youtube.com/embed/sELaURSW_7o

Les conservateurs, en particulier, se sont empressés de rappeler que Fauci avait déclaré l’an dernier : “Tout ce qui concerne l’évolution par étapes au fil du temps indique fortement que [ce virus] a évolué dans la nature et a ensuite sauté d’une espèce à l’autre. “À cette époque, en mai dernier, bien sûr, la question de l’origine de la pandémie avait déjà été politisée depuis longtemps, l’administration de Donald Trump étant soucieuse de pointer du doigt la Chine comme responsable de la catastrophe. Mike Pompeo est allé jusqu’à dire qu’il y avait “d’énormes preuves” que la maladie avait été créée à l’Institut de virologie de Wuhan. Fauci a été présenté comme un héros pour s’être opposé à ce sujet et à bien d’autres.

La nouvelle déclaration de Fauci, qui affirme ne pas être “convaincu” que le Covid-19 a des origines naturelles, s’inscrit toutefois dans le cadre de ce qui devient un changement d’avis plutôt ostentatoire au sein des autorités sur la viabilité de l’hypothèse dite de “l’origine laboratoire”. Jusqu’en 2020, les officiels et la presse grand public ont fermé la plupart des discussions à ce sujet. Les journalistes ont été fortement influencés par une lettre collective signée par 27 éminents virologues, publiée dans le Lancet en février dernier, dans laquelle les auteurs déclaraient “condamner fermement les théories du complot suggérant que le COVID-19 n’a pas d’origine naturelle”, ainsi que par une lettre publiée dans Nature Medicine en mars dernier, dans laquelle on pouvait lire : “Nos analyses montrent clairement que le SARS-CoV-2 n’est pas une création en laboratoire”.

Le consensus était si fort que certaines voix connues ont vu leurs comptes de médias sociaux suspendus ou fermés pour avoir spéculé sur le fait que le Covid-19 avait une “origine en laboratoire”. L’une d’entre elles a été la Dre Li-Meng Yan, virologue à l’Université de Hong Kong, qui a participé à l’émission de Tucker Carlson le 15 septembre dernier pour affirmer que ” [le Covid-19] est un virus créé par l’homme en laboratoire “. Après cette apparition, PolitiFact – le PolitiFact de Poynter – a attribué à cette déclaration sa redoutable note “Pants on Fire”.

Environ six mois plus tard, en février 2021, l’OMS s’est rendue en Chine. Apparemment, certains membres de la délégation sont repartis avec quelques doutes sur l’origine naturelle du virus, même si le rapport de l’OMS déclarait “extrêmement improbable” la théorie de l’origine en laboratoire.” S’en est suivi un cortège de scientifiques exigeant que la possibilité d’une origine en laboratoire soit prise au sérieux, dont une lettre signée par 18 experts dans Science. Lorsque le Wall Street Journal a publié une histoire selon laquelle un rapport des services de renseignement américains, jusqu’alors non divulgué, détaillait comment trois chercheurs de Wuhan étaient devenus suffisamment malades pour être hospitalisés en novembre 2019, le dentifrice était complètement sorti du tube : il n’y avait plus aucun moyen de dire que l’hypothèse de “l’origine laboratoire” était trop idiote pour être rapportée.

Cela ne veut pas dire que la théorie de “l’origine en laboratoire” est correcte, du tout. Mais cela n’a rien à voir avec la question qui nous occupe. En dépit de ce que vous avez pu être amené à croire, les vérificateurs de faits n’existent pas pour que les choses soient correctes à 100%. Ils sont là en tant que mécanisme de sécurité de dernier recours, que les organismes d’information utilisent comme un moyen d’éviter les grimaces publiques.

Quoi qu’il en soit, le 17 mai, quelques jours seulement après son “Festival of Fact-Checking”, Poynter/PolitiFact a dû publier une correction à sa décision “Pants on Fire” de septembre 2020 sur l’histoire de “l’origine du laboratoire”, en écrivant :

Lorsque cette vérification des faits a été publiée pour la première fois en septembre 2020, les sources de PolitiFact comprenaient des chercheurs qui affirmaient que le virus SARS-CoV-2 ne pouvait pas avoir été manipulé. Cette affirmation est maintenant plus largement contestée. Pour cette raison, nous retirons cette vérification des faits de notre base de données en attendant un examen plus approfondi.

Les vérificateurs de faits ont probablement sauvé ma carrière à au moins une douzaine de reprises. Lorsque je commençais à faire des reportages sur Wall Street, Rolling Stone devait souvent demander à plusieurs personnes de relire chaque ligne de mes articles pour s’assurer que je ne me ridiculisais pas. J’ai plaisanté une fois en disant qu’un vérificateur de faits de RS avait failli rater la fameuse phrase selon laquelle Goldman, Sachs était “un grand calmar vampire enroulé autour du visage de l’humanité, enfonçant sans relâche son entonnoir plein de sang dans tout ce qui sent l’argent” en faisant remarquer à juste titre que les calamars n’ont pas d’entonnoir à sang. C’est arrivé, mais le gros du travail que ces pauvres vérificateurs ont fait pour moi était beaucoup moins humoristique et plus ingrat. La personne qui a dû réviser ma pathétique explication d’un véhicule d’investissement structuré (VIS) dans cet article méritait probablement une prime de pénibilité et un approvisionnement à vie en Thorazine. Comme tous les écrivains, je me plains des vérificateurs de faits, mais je serais le dernier à dire que leur travail n’est pas important.

Cependant, le public est régulièrement mal informé sur ce que font les vérificateurs de faits. Dans la plupart des cas, et notamment dans les quotidiens, la vérification des faits, si elle est utilisée, est l’équivalent de l’assurance collision minimale que souscrit le locataire de voiture le plus économe. Il y a généralement juste assez de temps pour signaler quelques dangers potentiels de litige et/ou des erreurs majeures et évidentes sur des choses comme les dates, l’orthographe des noms, la formulation des citations, si un certain événement décrit par un journaliste s’est produit, etc.

Pour tout ce qui est plus complexe que cela, c’est-à-dire la plupart des choses, les vérificateurs de faits doivent s’efforcer de prendre des décisions difficiles. Les meilleurs ont tendance à voter pour l’élimination de tout ce qui pourrait exploser au visage de l’organisation par la suite. Les bons vérificateurs sont là pour aider à perpétuer l’illusion de la compétence. Ce sont des découvreurs de fesses professionnels, dont le travail consiste à empêcher qu’il soit évident que Wolf Blitzer, Matt Taibbi ou quiconque vous suit sur l’histoire critique du jour vient juste d’apprendre le terme “Chad”, “protéine de spicule” ou “immunité collective”. D’après mon expérience, ils sont généralement très doués pour cela, mais leur travail consiste moins à déterminer les faits qu’à empêcher les vastes mers d’ignorance qui sous-tendent la plupart des opérations d’information professionnelles de s’infiltrer dans le public.

Malheureusement, au cours des cinq dernières années en particulier, alors que les médias commerciaux ont connu une chute vertigineuse du niveau de confiance du public, de nombreuses organisations ont choisi de vanter les mérites des programmes de vérification des faits comme un moyen d’afficher leur dévouement à la “vérité”. La vérification des faits est en outre devenue un élément de l’argument de la “clarté morale”, selon lequel une fausse norme d’objectivité obligeait autrefois les entreprises d’information à toujours inclure des gestes en faveur d’une autre partie qui a toujours tort, faisant de la “vérité” une victime de la fausse “équité”.

Voici comment Amanpour s’est exprimée au Poynter Festival :

[L’objectivité] ne consiste pas à prendre n’importe quelle question, qu’il s’agisse de génocide, de climat, d’élections américaines ou de n’importe quoi d’autre dans le monde – le Covid, par exemple – et à dire, ‘Eh bien, d’un côté, et de l’autre côté’, en prétendant qu’il y a une quantité égale de faits et de vérité dans chaque panier…

Amanpour a poursuivi en faisant remarquer que sa carrière a démarré en Bosnie, où une partie était “agressée” et l’autre non, et qu’il aurait été contraire à la décence de dire le contraire. Il s’agit là d’un clin d’œil à l’argument “l’objectivité ne signifie pas qu’il faille donner un temps égal aux Républicains” qui est devenu si populaire dans l’industrie ces derniers temps (Fox a institutionnalisé le même argument à l’envers il y a trois décennies).

Mais l’objectivité n’a jamais consisté à accorder un temps et un poids identiques aux “deux camps”. Il s’agit simplement d’admettre que l’industrie de l’information est une opération à grande vitesse dont les principaux décideurs travaillent à partir d’un niveau de connaissance proche de zéro sur la plupart des sujets, faisant au mieux un effort honnête pour atteindre la cible mobile de la vérité.

Comme la vérification des faits elle-même, le format “d’un côté et de l’autre” n’est qu’un mécanisme de défense. Ces gens disent X, ces [autres] gens disent Y, et parce que les mannequins jacassants qui lisent sur nos téléprompteurs ne savent rien, nous laisserons le temps faire le tri dans les passages difficiles.

Le public appréciait autrefois l’humilité de cette approche, mais ce qu’il obtient de nous plus souvent aujourd’hui, ce sont des discours moralisateurs sur la façon dont les journalistes sont d’intrépides chercheurs de vérité qui dorment à côté de Dieu et avalent des amphétamines afin de pouvoir rester éveillés toute la nuit pour défendre la démocratie contre la “désinformation”. Mais une fois que l’on a dépassé les noms, les dates et le fait de savoir si le ciel était bleu ou nuageux ce jour-là, la pire forme de désinformation en journalisme est d’être trop sûr de quelque chose. C’est particulièrement vrai lorsqu’il s’agit de questions techniques complexes, et encore plus lorsque les sources officielles semblent investies dans l’élimination de la discussion de scénarios alternatifs sur ces questions.

Dès le début, la presse a mal géré les reportages sur le Covid-19. Cela s’explique en partie par le fait que la quasi-totalité des questions essentielles – utilisation de masques, confinement, viabilité des programmes de vaccination, etc. – ont été vendus par les sociétés de presse comme des récits de guerre culturelle. Un problème connexe était lié au fait que les entreprises d’information utilisaient l’idée erronée que l’information est une science exacte pour promouvoir l’idée encore plus erronée que la science est une science exacte. Cela a donné lieu à des spectacles absurdes, tels que des agences de presse tentant de dissimuler ou de dénoncer comme fausse la réalité naturelle selon laquelle les responsables avaient des opinions changeantes sur des sujets tels que l’efficacité des ventilateurs ou l’utilisation des masques.

Lorsque CNN a vérifié les faits à la question “Fauci a-t-il changé d’avis sur l’efficacité des masques ?”, la chaîne a semblé s’inquiéter de la joie qu’éprouveraient les partisans de Trump s’ils écrivaient simplement “oui”, si bien que la réponse est devenue “oui, mais Trump est aussi un c*nnard” (parce qu’il a laissé entendre que la nécessité de porter des masques était toujours sujette à débat). En qualifiant de “fait” immuable le consensus scientifique actuel, les médias ont donné l’impression que l’évolution normale des débats scientifiques était malhonnête, et ont inutilement renforcé la méfiance à l’égard des scientifiques et des médias.

La vérification des faits était un atout considérable lorsqu’il s’agissait d’un processus invisible qui polissait discrètement l’étron du reportage industriel. Lorsque les entreprises l’ont fait sortir en public et en ont fait une bête de somme pour impressionner le public, elles ont diffamé la tradition.

Nous ne savons que peu de choses avec certitude, comme l’orthographe de “fémur” ou le nombre d’interceptions de Blaine Gabbert dans sa carrière. Le public sait que presque tout le reste est sujet à discussion, et nous avons donc l’air d’abrutis en prétendant pouvoir vérifier les faits dans l’univers. Nous ferions mieux d’admettre ce que nous ne savons pas.

Traduit par Aube Digitale
Source : TK News (Etats-Unis)




Le code de Nuremberg pour LES NULS (mise à jour)

Par Jean-Michel Grau

Mise à jour 26/05/2021

Deux mois après sa volonté de rendre la vaccination Covid obligatoire pour les personnels soignants, l’Académie de médecine revient maintenant à la charge pour rendre obligatoire cette fois-ci, la vaccination pour tout le monde !(([1] francais.rt.com/france/87120-covid-19-obligation-vaccinale-doit-maintenant-etre-envisagee-estime-academie-medecine))Qui peut le plus peut le moins !

Il faut vraiment que cette académie soit aux abois pour en arriver à une telle mesure de coercition en voulant imposer des piqûres géniques de 7 à 77 ans, alors que, rappelons-le encore, ce ne sont pas des vaccins, mais des expérimentations médicales OGM en phase de tests (phase 3), n’ayant reçu qu’une autorisation provisoire de mise sur le marché par l’Agence européenne du médicament.

En conséquence, la vaccination obligatoire qui revient à une expérimentation humaine sans consentement est contraire au code de Nuremberg, comme l’a expliqué en 2016 à la tribune des Nations Unies, Mary Holland, docteur en droit et professeur d’université.

Qu’à cela ne tienne ! Cela n’empêche apparemment pas l’Académie de médecine de s’asseoir sur ce code qui régit les expériences médicales depuis 1947, l’appât du gain restant apparemment le plus fort. Car on ne peut imaginer un seul instant que tous les aimables représentants de cette auguste académie ne soient pas tous plus ou moins liés par des conflits d’intérêts aux laboratoires pharmaceutiques. Sinon, pourquoi autant d’insistance à vouloir vacciner tout le monde ?

Le prétexte de l’immunité collective est un argument qui ne tient pas : le Covid 19 générant des variants à l’infini ne pourra jamais être éradiqué par des vaccins qui n’ont jamais entraîné une immunité collective contre les coronavirus. La preuve par la grippe. On est donc bien en présence ici d’un sophisme éhonté, uniquement guidé par la cupidité et l’appât du gain. Car qui dit vaccin pour tous ces médecins, dit gros pots-de-vin dans leur escarcelle. Doit-on encore rappeler ici que Pfizer, Moderna, Astra-Zeneca et Cie font partie des plus grosses cotations boursières ?

Alors que la contamination du Covid continue de diminuer drastiquement de par le monde,(([2] breizh-info.com/2021/05/24/164831/covid-19-les-nombres-hebdomadaires-de-contamination-et-de-deces-ne-cessent-de-baisser-au-niveau-planetaire/)) on comprend aisément que cette académie corrompue par l’argent commence à paniquer sévère, car dans ces conditions, les différents pays concernés se retrouvant maintenant avec des stocks de doses sur les bras, les labos risquent fort d’arrêter bientôt les injections vaccinales en même temps que les injections financières de ceux qui les promeuvent, au profit de traitements plus rentables.(([3] lecourrierdesstrateges.fr/2021/05/25/un-traitement-melant-ivermectine-et-hydroxychloroquine-qui-pourrait-detroner-le-vaccin-anti-covid-19/))

L’Académie de Médecine vient de publier le 9 mars 2021 un communiqué de presse déclarant vouloir rendre la vaccination obligatoire, en particulier pour tous les personnels soignants.

Problème : « La vaccination obligatoire qui revient à une expérimentation humaine sans consentement est contraire au Code de Nuremberg », expliquait en 2016 à la tribune des Nations Unies, Mary Holland, docteur en droit et professeur d’université.

Le code de Nuremberg s’appliquant aux expériences médicales, il s’applique donc aux vaccins à ARN messager Covid-19 dont l’estampille « programme de santé approuvé par le gouvernement » n’a aucune légitimité.

EN EFFET, SANS ATTENDRE LES RÉSULTATS DES ESSAIS THÉRAPEUTIQUES HABITUELLEMENT EXIGÉS, CES VACCINS N’ONT PU OBTENIR DE L’ANSM ET DE l’UE QU’UNE AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ CONDITIONNELLE, CAR ILS SONT ENCORE EN COURS D’ESSAI DE PHASE 3.

Ils sont donc à ce jour encore expérimentaux et ne respectent pas le protocole en matière de vaccins qui a été abrégé sous la fausse allégation que le Covid-19 constituerait une « pandémie mortelle » présentant une « grave menace pour la santé publique mondiale ».

En réalité, il ne s’agit ni d’une pandémie ni d’une menace pour la santé publique mondiale, tout juste une épidémie dont la létalité est de 0,05 %, loin derrière la grippe saisonnière qui n’a jamais fait l’objet de toutes les mesures coercitives que connaît aujourd’hui notre pays.

L’application des principes du Code de Nuremberg aux vaccins à ARN messagers : voici en résumé ce qu’en disait Christian Cotten,(([4] youtube.com/watch?v=5rxeNg7zLzg)) psychosociologue, le 2 décembre 2020 :

Une campagne de vaccination est organisée par la Haute Autorité de Santé de l’État français. Les vaccins utilisés sont des vaccins à ARN messager. Ce type de formulation n’a jamais été utilisée auparavant et les études préliminaires ne sont pas publiées. Il n’existe à ce jour aucune information disponible ni pour les scientifiques, ni pour la population, relativement à la composition précise et exacte de ces produits médicaux, pas plus qu’à leurs potentiels effets secondaires à court ou long termes, ou encore leurs séquelles handicapantes, voire mortelles.

Cette campagne vaccinale est une expérimentation médicale, puisque son caractère novateur conduit à ce que strictement personne ne puisse en connaître les conséquences pour les populations qui seraient les sujets de ces expérimentations.

Les expérimentations médicales sont encadrées en droit pénal international par le Code de Nuremberg, d’interprétation la plus stricte : un certain nombre de médecins ont ainsi été condamnés à mort en 1947 pour violation des principes de ce Code international, largement reconnu depuis cette époque.

L’article 1 du Code de Nuremberg expose ce qui suit :

Le consentement volontaire du sujet humain à l’expérimentation est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

Ce dernier point demande que, avant de consentir à l’expérience, le sujet doit connaître sa nature, sa durée et son but ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés et les conséquences pour sa santé ou sa personne qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience. .L’obligation et la responsabilité d’apprécier la qualité du consentement incombent à chaque personne qui prend l’initiative, dirige ou exécute l’expérience. Il s’agit d’une obligation et d’une responsabilité personnelles qui ne peuvent pas être déléguées impunément.

Ainsi, le fait pour toute personne qui participerait à tout acte coercitif de vaccination avec l’un des vaccins anti-Covid-19 annoncés, serait en situation de commettre une expérience médicale inacceptable en violation du Code de Nuremberg et une atteinte à l’intégrité d’autrui par administration de substances potentiellement nuisibles, en application de l’article 222-15 du Code pénal, sanctionnable par les articles 222-7 à 222-14-1 du même code.

En d’autres termes, toute institution hospitalière publique ou privée, tout médecin prescripteur, tout infirmier, qui participerait directement ou indirectement à la vaccination obligatoire du personnel soignant, comme cela est demandé par l’Académie de Médecine, se rendrait coupable d’un acte délictuel en violation du Code de Nuremberg selon les articles précités.

La présente vaut donc, d’une part, avertissement à l’ensemble des acteurs du système de santé, des fabricants aux médecins, infirmiers ou aides-soignants susceptibles de prêter leur concours à ces opérations d’expériences médicales coercitives fondées sur un produit dont la nocivité potentielle n’a pas été suffisamment testée à ce jour.

La présente vaut donc, d’autre part, mise en garde à tous les personnels soignants soucieux de leur santé contre une expérience médicale coercitive injustifiée au regard des droits fondamentaux garantis par le droit international et plus particulièrement le Code de Nuremberg.

Dans ces circonstances, la plainte publique et nominative contre les acteurs professionnels qui participeraient à cette expérience, directement ou indirectement devient une nécessité éthique urgente visant à la sauvegarde de la santé de tous.

En conséquence de ce qui précède, les responsables de santé de l’Académie de Médecine doivent savoir en connaissance de cause à quelles sanctions ils s’exposent en cas de vaccination obligatoire des personnels soignants, celle-ci violant le code de Nuremberg, à plusieurs titres.

L’obligation vaccinale est donc une imposture qui ne pourra résister un seul instant aux nombreux avocats qui étudient attentivement en France et à l’étranger ces vaccins à ARN messager expérimentaux.

TOUTE PERSONNE IMPLIQUÉE DANS LA MISE EN PLACE OU L’EXÉCUTION DE PROGRAMMES EXPÉRIMENTAUX DE VACCINATION OBLIGATOIRE SE TROUVERA DONC « DE FACTO » EN INFRACTION AVEC LE CODE DE NUREMBERG ET LE DROIT INTERNATIONAL. EN TANT QUE TELLE, ELLE DEVIENDRA PERSONNELLEMENT RESPONSABLE, DANS TOUT FUTUR PROCÈS INTENTE POUR CRIME CONTRE L’HUMANITÉ.





Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!

[Source et auteur : Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Nous volons de découverte en découverte, avec pour seul fil rouge la stupeur pour ne pas dire l’effroi.

Souvenez-vous du choc que certains ont pu ressentir lorsque nous avions découvert la fabrication des jumelles chinoises OGM.

Il y a quelques jours, la mise au grand jour des vaccins autodisséminés représenta une étape essentielle de nos recherches.

L’article de Science qui nous rapproche toujours plus de la confirmation de l’hypothèse d’un virus SARS-CoV-2 fabriqué en laboratoire aurait dû faire la une des médias officiels.

Aux quelques doléances qui précèdent doivent s’ajouter l’euthanasie bien entendue des personnes âgées, le refus de considérer un tant soit peu le traitement de l’infection par le coronavirus, l’acharnement à ne rien changer au protocole ou aux composants des « vaccins » malgré les chiffres accablants dont nous disposons, mais aussi des conséquences problématiques de ces produits sur des personnes jeunes et en bonne santé. 
https://childrenshealthdefense.org/defender/cdc-investigating-reports-heart-problems-teens-adolescents-covid-vaccine/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=bcaaec43-2eda-4bae-b08c-4612a77b3b03

Nous avons tenté de traiter ces thèmes de la manière la plus neutre et la plus sourcée possible… En revanche, nous avons du mal à répondre à la question du pourquoi!

Pourquoi s’acharner pareillement sur l’humanité? Pourquoi s’en prendre aux personnes vulnérables et sans défenses ?

Il est très compliqué de répondre à cette question sans affoler et/ou sans être traités de complotiste. Pourtant, si les autorités sanitaires avaient été loyales envers les populations, elles auraient dû faire une pause dans ce que l’on appelle « vaccination », étudier les effets indésirables nombreux et handicapants, et refuser net de continuer d’administrer ces choses aux populations âgées. C’est une question de bon sens n’est-ce pas? Pourtant, rien n’a été fait. Et pire face aux résultats catastrophiques de AstrZeneca, on a poursuivi dans la stratégie destructrice de vies et de familles. Dans certains pays, on a poussé le cynisme encore plus loin en réservant ce qui devrait être apparenté à un produit dangereux pour la santé aux plus de 55 ans. Quelles conclusions en tirer?

À ce stade, nous sommes sûrs d’une chose:

Manifestement, ce que nous observons ne correspond pas aux résultats communiqués par les industriels qui nous parlaient de 95 % d’efficacité n’est-ce pas?

En même temps, les résultats des essais ont été présentés par les industriels eux-mêmes et les « scientifiques » et les gouvernants ont accepté leurs chiffres, et les critiques européennes vues précédemment dans les mails hackés ont été mises en sourdine.

Des vidéos de bras aimantés

Tous les jours apportent donc son lot de surprises dans un monde qui semble avoir basculé dans un chaos éthique. Ainsi un jour, je découvre des vaccinés qui arrivent à s’accrocher un aimant là où ils ont reçu l’injection.

Les vaccinés qui testent des aimants sur leur bras ridiculisés dans une émission grand public.

C’est en choeur que les animateurs de l’espace public ont crié à la fake info. A priori les images ne pouvaient convaincre un esprit rationnel. Impossible donc que le corps humain soit aimanté. Mon professeur de biologie du Lycée aurait dit la même chose. Sauf que la science des années 70-80 n’a plus rien à voir avec les défouloir débridés que sont devenus les labos du 21ème siècle. Forte de cette conviction j’ai mené ma petite enquête. J’ai commencé par tomber sur les liens mis en avant par Google tous dénonçant la fausse info. Voici un message pris au hasard:

« Pour cet épisode, Elsa de La Roche Saint André a contacté Julien Bobroff, physicien français spécialiste du magnétisme, qui enseigne à l’Université Paris-Saclay. “Un vaccin contre le Covid-19 qui puisse contenir des puces, et qui accrocherait des aimants quand on l’injecte, c’est absolument impossible du point de vue de la physique”, assure-t-il. 

Alors comment faire croire en vidéo qu’un magnet est attiré par une puce implantée dans le bras par le biais de la vaccination ? L’auteur scientifique anglo-américain Mick West, qui s’est spécialisé dans la vérification des théories du complot, détaille dans une vidéo quelques possibilités, comme le fait que la peau soit grasse ou l’utilisation d’une crème huileuse. 

Une dernière hypothèse repérée sur le site de fact-checking “Fact and Furious”, créé en réaction aux fausses informations circulant depuis le début de la crise sanitaire, serait que certaines des personnes qui tournent ces vidéos soient porteuses d’une prothèse d’épaule. En effet, les prothèses peuvent contenir du cobalt, un métal qui attire les aimants. »

https://observers.france24.com/fr/%C3%A9missions/info-ou-intox/20210521-info-ou-intox-episode-47-vaccin-covid-19-magnet-challenge-aimant-puce

Comment fonctionne un aimant?

Des nanoparticules magnétiques

Eh bien nous avons mené notre propre check. Et figurez-vous que j’ai découvert des paquets d’ »inventions » plus qu’édifiantes! Il existe même un projet tout ce qu’il y a de plus officiel puisque figurant sur le site de l’UE.

Sous le titre de « Comment faire croître les neurones avec des aimants et des nanoparticules », nous découvrons des trésors. La chose est présentée sous le prétexte acceptable de venir en aide aux malades de Parkinson, les réformes des lois sur la bioéthique feront le reste. On nous dit notamment que:

« Le projet MAGNEURON vise à développer une nouvelle technologie d’actionnement magnétique des fonctions cellulaires pour traiter la maladie de Parkinson. Le concept innovant de notre technologie est de contrôler à distance le comportement des cellules à l’aide de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées. Les nanoparticules sont de très petits objets, de l’ordre du nanomètre, généralement connus pour être nocifs, mais ils peuvent également être utilisés de manière positive. En attachant à leur surface des biomolécules spécifiques, il est possible d’interagir avec les molécules cellulaires pour donner des signaux spécifiques aux cellules. En utilisant des nanoparticules magnétiquesil est possible d’utiliser des dispositifs magnétiques pour agir sur elles à distance afin de déclencher des réponses cellulaires.

Pour relever le défi de la télécommande des neurones à distance, nous proposons l’utilisation de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées conçues pour fonctionner comme des «points chauds» intracellulaires qui indiqueront à la machinerie cellulaire ce qu’il faut faire. Une fois délivrées dans le cytoplasme des neurones, ces nanoparticules magnétiques activeront des réactions biochimiques spécifiques à l’intérieur des cellules en réponse à des champs magnétiques externes de sorte que les nanoparticules favoriseront et orienteront la croissance des bras des neurones. » 

http://magneuron.eu/

Le principe de cette technologie qui révolutionne la biologie et la médecine est expliquée ci-dessous par un schéma. Dans ce cas, il est question de reprogrammation cellulaire dans un but fort louable puisque le patient est atteint d’une maladie grave. Qu’est-ce qui empêcherait de l’utiliser dans d’autres circonstances? A relever que lesdites cellules augmentées sont contrôlables à distance (par remote coontrol).

Vous constaterez aussi qu’il est question d’un outil magnétique communiquant avec les nanoparticules aimantées. Est-ce que dans notre environnement cet outil peut être représenté par les antennes 5G, ce qui nous introduirait brusquement et brutalement dans le monde de l’Internet des Humains?

Les scientifiques de l’Université de Washington espèrent que l’avenir permettra d’améliorer considérablement cette technologie du Brain to brain communication pour envoyer des informations plus complexes d’une personne à une autre.  Andrea Stoco souligne “Internet est un moyen pour connecter les ordinateurs, et maintenant il peut être un moyen des connecter des cerveaux. »

Qu’est-ce que le sigle iPSCs qui figure sur le dessin de Magneuron?

N’étant pas biologiste, mais simplement capable de suivre les flèches de ce processus, j’ai été intriguée par le iPSCs qui semble tenir un rôle central. Et voici ce que j’ai trouvé. Une plateforme dédiée à la communauté des sciences de la vie à Zurich. On nous dit:

Depuis la découverte par Yamanaka et Takahashi des cellules souches pluripotentes induites (iPSC), cette technologie a ouvert des possibilités sans précédent pour étudier pratiquement tous les types de cellules d’intérêt in vitro et pour modéliser les maladies humaines «dans une boîte». La communauté des sciences de la vie de Zurich profite activement de ces nouvelles possibilités.

L’objectif de cette plateforme est de favoriser les interactions, les collaborations et l’éducation sur cette technologie parmi les chercheurs travaillant sur les iPSC dans la région de Zurich . Les groupes affiliés à toutes les institutions académiques sont invités à présenter leurs recherches liées à l’iPSC, y compris l’Université de Zurich, l’ETH Zurich et les hôpitaux universitaires (USZ, Kinderspital, PUK, Balgrist, Zentrum für Zahnmedizin). Tous les sujets de recherche peuvent être inclus, allant des questions de recherche fondamentale sur la pluripotence des cellules souches à la modélisation des maladies ou à la médecine régénérativeLes troubles affectant tout système organique peuvent être inclus (système nerveux central, cœur, rein, muscles, système immunitaire, yeux ou maladies métaboliques).

https://www.ipsc-research.uzh.ch/en.html

Et qui est M Yamanaka qui semble occuper une place centrale dans cette médecine d’un nouveau genre? Shinya Yamanaka (山中 伸弥 : Yamanaka Shinya) est né à Higashiosaka au Japon. Médecin japonais, il est chercheur sur l’induction des cellules souches pluripotentes et la reprogrammation des cellules somatiques. (Wikipédia)

Dans un article paru dans Science en février 2008, Yamanaka affirme que la méthode de transformation génétique des cellules à l’aide d’un virus n’entraîne pas de problème de tumeurs, ce qui pourrait ouvrir la voie vers un usage thérapeutique pour la régénération de tissu.

Wikipédia

Cette assertion est à la fois énorme pour le monde de la médecine, mais en même temps effrayante dans le contexte actuelle. Et comme Wikipédia n’a pas donné de références sur l’article de Science, il a bien fallu aller dénicher ce qui pourrait être une perle dans l’énigme vaccinale covidienne. Voici le résumé d’une publication mRNA-Based Genetic Reprogramming écrite cette fois en 2018:

La découverte que les cellules cutanées ordinaires peuvent être transformées en cellules souches pluripotentes par l’expression forcée de facteurs définis a fait naître l’espoir que des traitements régénératifs personnalisés basés sur du matériel immunologiquement compatible dérivé des propres cellules d’un patient pourraient être réalisés dans un avenir pas trop lointain. Un obstacle majeur à l’utilisation clinique des cellules souches pluripotentes induites (iPSC) a été initialement présenté par la nécessité d’utiliser des vecteurs viraux d‘intégration pour exprimer les facteurs qui induisent un profil d’expression génique embryonnaire, ce qui entraîne une altération potentiellement oncogène du génome normal. Plusieurs systèmes de reprogrammation «non intégrateurs» ont été développés au cours de la dernière décennie pour résoudre ce problème. Parmi ces techniques, la reprogrammation de l’ARNm est la plus sans ambiguïté «sans empreinte», la plus productive,et peut-être le mieux adapté à la production clinique de cellules souches. Ici, nous discutons des origines du système de reprogrammation à base d’ARNm, de ses avantages et inconvénients, des améliorations techniques récentes qui simplifient son application et de l’état des efforts actuels pour industrialiser cette approche pour produire en masse des cellules souches humaines pour la clinique.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6453511/

Magneuron, projet porté par les gouvernants!

Retour au projet Magneuron. Dans un silence consternant, on découvre que ce genre de projet est porté par les gouvernants qui ne jugent pas utiles d’informer les sans-dents de ce qu’ils leur ont réservé pour un avenir immédiat! Voici ce que présente le Portail français du programme européen pour la recherche et l’innovation. Dans la liste des témoignages des lauréats, nous trouvons une référence à Magneuron:

Détournement des voies de signalisation cellulaire avec des nanoactionneurs magnétiques pour les thérapies télécommandées par cellules souches des troubles neurodégénératifs.

magneuron : Télécharger

https://www.horizon2020.gouv.fr/cid130111/boite-outils-pour-les-projets-technologies-futures-emergentes-fet.html

Tout aussi intéressant que ce projet Magneuron est celui de Luminous

Ce projet est décrit en termes de vision de la manière suivante. plutôt très inquiétant…

Vision à long terme « Notre vision est que les informations théoriques joueront un rôle central dans la compréhension de la conscience, que la conscience sera un jour de plus en plus mesurée, quantifiée et modifiée en toute sécurité grâce à l’interaction électromagnétique » Percée scientifique et objectif technologique – « La première percée proposée est » la création d’une nouvelle classe motrice de la conscience sensorielle, qui minimise « la création d’une nouvelle classe de conscience motrice ou de dépassement de la conscience ». La deuxième percée ciblée ici est l’altération électrique de la conscience. « Nouveauté » travail pionnier en science fondamentale, y compris les concepts de théorie de l’information, et la physiologie expérimentale, les applications cliniques et la technologie »

Voilà donc que l’insertion de nanoparticules magnétiques n’est pas une vue de l’esprit de complotistes. Ces individus qui squattent les laboratoires d’un nouveau genre et qui bénéficient de l’argent pléthorique de Planète finance sont en train de reléguer Frankenstein dans un coin de l’histoire, avec bonnet d’âne en prime.

Nous avons affaire à de très grands chercheurs de diverses disciplines qui se sont retrouvés autour de projets communs. La synergie qui s’en dégage semble libérer une puissance dont le potentiel maléfique n’est pas difficile à imaginer.

Alors ami lecteur, je vous ai apporté ces quelques infos dans le but de nous aider à décoder l’image finale très probablement monstrueuse que des esprits malades ont dessinés pour l’humanité.

Tout silence de tout individu habitant cette terre face à ces données publiques financées avec nos impôts aura un coût humain inimaginable à ce stade.

LHK

Complément d’info

Le projet MAGNEURON Future and Emerging Technologies (FET) a pour objectif de déterminer comment contrôler les neurones nouvellement implantés dans le cerveau, afin qu’ils puissent se développer, se recâbler et fonctionner correctement. Ceci est particulièrement important pour les maladies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson.

Image montrant le fonctionnement du projet MAGNEURON
Projet MAGNEURON – Schéma du fonctionnement du projet MAGNEURON

Le   projet FET-Open MAGNEURON vise à développer une nouvelle technologie d’actionnement magnétique des fonctions cellulaires pour traiter la maladie de Parkinson. Le concept innovant de leur technologie est de contrôler à distance le comportement des cellules à l’aide de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées. MAGNEURON est dirigé par le Dr Mathieu Coppey, de l’Institut Curie, France. Le projet comprend 6 partenaires de France, d’Allemagne et du Royaume-Uni, couvrant les domaines de la physique-chimie, de la biochimie, de la biophysique, des nanosciences, des neurosciences et de la médecine régénérative.




« Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki

Par Nicole Delépine

« Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki(([1] signée par la France))

Ce projet de « vaccination en anneaux »(([2] https://m.facebook.com/holduplefilm/videos/316294543200951/?refsrc=https%3A%2F%2Fm.facebook.com%2Fwatch%2F&_rdr ou https://odysee.com/@Tony%D8%B7%D9%88%D9%86%D9%8A:8/hold-up-Le-Coup-de-gueule-de-Pierre-Barn%C3%A9rias:1)) est sorti, en cette période discrète du week-end de Pentecôte, du chapeau du gouvernement déçu de trop de vaccino-sceptiques et du plafond de verre des vaccinations, malgré l’invraisemblable propagande, sur toutes les chaînes, qui peut-être en fait trop et met la puce à l’oreille aux plus soumis.

Il est soutenu par le Pr Alain Fischer, pédiatre, père des premières thérapies géniques pour enfants nés sans défense immunitaire (dits enfants bulles), avec un succès mitigé depuis leur début dans les années 2000. Il est surnommé Mr Vaccin et est membre du conseil d’administration de Rothschild(([3] Alain Fischer, le « Monsieur Vaccin » du gouvernement, siège au Conseil d’administration de la Fondation Edmond de Rothschild — information nationaliste)) en bonne compagnie de Mr Y Levy ancien patron de l’INSERM.

Cette technique de vaccinations en anneaux évoque la sinistre méthode des « liquidations en anneaux » de Staline. Tout dissident était abattu, sa famille et ses contacts étaient abattus à leur tour, et les contacts de ces derniers étaient ensuite liquidés.

Méthode du « nettoyage par le vide » en somme. Le Parti Communiste Chinois procède encore de la sorte, semble-t-il. Peut-être a-t-il soufflé ces directives à notre ministre de la Santé, qui serait Young leader France-Chine comme son épouse députée…

[Note de Joseph : plus on avance dans la « gestion » de la crise sanitaire (artificiellement gonflée), et plus on constate une utilisation croissante des méthodes totalitaires des régimes nazis et soviétiques au nom d’idéologies qui ne servaient que les élites au pouvoir. À ces anciennes idéologies se sont ajoutés notamment l’antiracisme (qui dans les faits ne fait qu’accroître le racisme), la théorie du genre, le véganisme, le malthusianisme, et l’idéologie du réchauffement climatique anthropique.]

De fait comme le mentionne un de nos correspondants vigilants :

« 1) L’identification des “cas contacts” et des “contacts des cas contacts”, sera très compliquée à réaliser et saturera très vite le système… À condition évidemment que les gens n’aillent pas stupidement collaborer avec leurs persécuteurs ! Mais comme il y aura probablement une troisième crise en octobre 2021, ils auront quand même le temps de développer leur machination à l’occasion de cette prétendue “troisième vague pandémique”.

    2) Comme je l’ai déjà préconisé, évitez coûte que coûte dans le cadre du passeport sanitaire de télécharger quoi que ce soit sur votre iPhone ou utilisez un vieux téléphone sans internet. N’utilisez que des attestations papier…

Dans les restaurants où l’on vous demandera d’inscrire votre nom et votre adresse pour vous prévenir d’un cas contact, utiliser un nom d’emprunt et une adresse différente de la vôtre… Avec le numéro de téléphone par exemple du ministère de la Santé… Ou de votre meilleur ennemi…

Enfin, je ne saurais trop vous recommander de diffuser massivement à vos correspondants les mêmes recommandations. O. »

LA FRANCE EST SIGNATAIRE DE CONVENTIONS INTERNATIONALES QUI DEVRAIENT NOUS PROTÉGER DE TELLES DÉVIANCES

La révélation des horreurs de la Seconde Guerre mondiale et plus largement de l’eugénisme qui s’était développé depuis la fin du XIXe siècle a conduit le monde de l’après-guerre au rêve du « plus jamais cela » et à la création de l’ONU et de nombreuses structures qui vont en dériver.

Le célèbre CODE DE NUREMBERG rédigé en 1947 à la suite du procès du même nom des médecins nazis semble inconnu d’un certain nombre de collègues y compris ceux travaillant en réanimation ou encore en cancérologie, où la pratique des essais thérapeutiques s’est pourtant répandue comme des petits pains. Il nous semble intéressant, au moment où une gigantesque propagande pour la plus grande expérimentation de médicaments peu testés et aux résultats des essais officiels attendus pour 2023 dans le meilleur des cas, de rappeler les conventions internationales qui depuis 70 ans tentent de limiter les dérives humaines qui avaient souillé la médecine des années trente.

L’ASSOCIATION MÉDICALE MONDIALE (AMM) EST UNE ORGANISATION INTERNATIONALE DE MÉDECINS.(([4] À propos de l’AMM — WMA — The World Medical Association))

(infos extraites du site de l’AMM)

« Fondée le 17 septembre 1947, alors que des médecins de 27 pays se réunissaient en première assemblée générale à Paris avec pour “objectif d’assurer l’indépendance des médecins et les plus hautes normes possibles en matière d’éthique et de soins” — mesures particulièrement importantes pour les médecins après la Seconde Guerre mondiale.

L’AMM est une confédération d’associations professionnelles libres. Elle est financée par les contributions annuelles de ses membres dont le nombre s’élève aujourd’hui à 115 et constitue pour ses associations membres un forum de libre communication et de coopération active dont le but est de parvenir à un consensus sur les plus hautes normes d’éthique médicale et de compétence professionnelle et de promouvoir l’indépendance professionnelle des médecins.

L’AMM a pour objectif de servir l’humanité en s’efforçant d’atteindre les plus hautes normes internationales en matière d’enseignement médical, de science médicale, d’art médical, d’éthique médicale et de soins de santé pour tous les peuples du monde.

L’organisation élabore, sous la forme de déclarations, de résolutions ou de prises de position, des recommandations éthiques pour les médecins, directives utiles pour les associations médicales nationales, les gouvernements et les organisations internationales du monde entier. Ces textes traitent une multitude de questions, notamment les droits du patient, la recherche sur les sujets humains, les soins en temps de conflit armé, la torture des prisonniers, l’utilisation et l’abus des médicaments, le planning familial et la pollution.

Autres domaines d’activité : droits de l’homme en relation avec la santé – promotion et défense des droits fondamentaux du patient et du médecin, enseignement médical — soutien des médecins pour une amélioration continuelle de leurs connaissances et de leurs compétences, planification des ressources humaines pour les services de santé, sécurité du patient (…).

L’AMM entretient des relations officielles avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La collaboration avec les associations professionnelles de santé, les agences gouvernementales et non gouvernementales et les associations médicales régionales renforce sa capacité à fournir les meilleurs soins possibles aux patients du monde entier. En particulier, l’Alliance mondiale des professions de santé (www.whpa.org) combine les forces des associations professionnelles de médecins, d’infirmières et de pharmaciens pour défendre les plus hautes normes de santé possible pour tous les peuples du monde ».

L’histoire de l’AMM : contexte et organisation préliminaire (extrait du site de l’AMM)

En juillet 1945, se déroula à Londres une conférence informelle de médecins de plusieurs pays afin d’établir les bases d’une future organisation médicale internationale destinée à remplacer l’« Association Professionnelle Internationale des Médecins », créée en 1926, qui avait, à son apogée, réuni plus de 23 pays et qui cessa ses activités au moment de la Seconde Guerre mondiale.

Une deuxième conférence eut lieu à Londres en septembre 1946. C’est au cours de cette rencontre qu’il fut décidé que cette organisation porterait le nom de « Association Médicale Mondiale » et qu’elle devrait élargir ses activités et le nombre de ses membres par rapport à la précédente Association Professionnelle Internationale des Médecins.

Le projet final de la Constitution et des Statuts fut approuvé lors de la troisième réunion du Comité Organisateur à Londres en avril 1947.

La Constitution telle qu’elle fut adoptée permettait, entre autres, aux associations médicales nationales de devenir membres de l’AMM et ces associations étaient totalement représentatives de la profession médicale dans leurs pays ou territoires, mais une seule association membre par pays était autorisée. L’Assemblée générale était investie d’une mission de contrôle général des politiques et des affaires de l’association et devait siéger chaque année dans un pays différent.

« En 1948, le bureau exécutif, connu sous le nom de Conseil, établit le secrétariat de l’AMM à New York afin d’être à proximité des Nations Unies et de ses diverses agences. Le Secrétariat de l’AMM resta à New York jusqu’en 1974 quand, pour des motifs économiques et afin de travailler dans le voisinage des organisations internationales basées à Genève (OMS, ILO, ICN, ISSA, etc.), il fut transféré à Ferney-Voltaire, France, son siège encore aujourd’hui.

En juillet 1964, l’AMM fut enregistrée comme organisation à but non lucratif pour l’éducation et la science sous les lois de l’État de New York, États-Unis

Siège social de l’AMM depuis sa fondation jusqu’en 1974 : NEW YORK, ÉTATS-UNIS. De 1975 à ce jour : FERNEY-VOLTAIRE, France »

L’AMM – une plateforme de création d’un consensus mondial sur l’éthique médicale

Après la Seconde Guerre mondiale et juste après sa création, l’AMM se préoccupa de la situation de l’éthique médicale en général dans le monde entier. L’AMM endossa la responsabilité d’établir des directives éthiques pour les médecins dans le monde.

Elle remarqua qu’à l’époque, la coutume des écoles de médecine de faire prêter serment par ses élèves médecins une fois diplômés ou de leur attribuer une autorisation de pratiquer la médecine n’était plus respectée ou devenue une simple formalité. L’AMM a lors jugé souhaitable que les médecins fraîchement diplômés prêtent serment lors de la cérémonie de remise du diplôme afin de les sensibiliser aux fondements éthiques de la médecine et afin de faire progresser les normes de conduite professionnelle.

Le serment médical fut adopté par l’Assemblée et baptisé « Déclaration de Genève ». Les associations membres furent invitées à en recommander l’usage aux écoles et facultés de médecine de leurs pays.

« Un rapport sur les “Crimes de guerre et la Médecine” réceptionné lors de la IIe Assemblée générale décida le Conseil à nommer un autre Comité d’Étude pour préparer un Code International d’Éthique Médicale.

Avec l’adoption de ces deux documents, l’AMM était prête à s’attaquer à d’autres problèmes éthiques auxquels était confrontée la profession médicale. De 1949 à 1952, des violations de l’éthique médicale et des crimes commis par des médecins en temps de guerre furent dénoncés à l’AMM ».

On attira l’attention de l’AMM sur la nécessité de mettre en place des mesures de protection contre l’expérimentation sur les êtres humains. À la même époque, l’AMM fut mise au courant des diverses activités menées par des organisations incompétentes dans le domaine de l’éthique et de la législation médicales. Ces informations amenèrent le Conseil à créer un Comité permanent d’Éthique Médicale (1952).

« Depuis sa création en 1952, le Comité Permanent d’Éthique Médicale a effectué un travail considérable, en réceptionnant, étudiant, discutant, acceptant ou refusant des douzaines de dossiers relatifs à l’éthique portés à son attention. Certains ont été adoptés en tant que Déclarations ou Prises de position de l’AMM et la plupart ont été actualisées en fonction des évolutions rapides de la science médicale. Certaines sont en cours d’étude et nul doute que d’autres suivront en temps voulu après une mûre réflexion si de nouvelles situations l’exigent.

Ces documents ont tous été diffusés dans le monde entier et mis en pratique. Du fait de ce qu’elle a accompli dans le domaine de l’éthique médicale, l’AMM a gagné le droit de se désigner voix internationale de la médecine organisée. L’éthique médicale n’est pas pour autant une simple question de déclarations ou de codes. L’AMM doit rester attentive à toute violation des codes et prête à réagir rapidement face à de telles violations. Ainsi l’AMM a apporté et continue d’assister et d’agir pour le compte des médecins que l’on empêche d’exercer dans un contexte éthique. »

DÉCLARATION DE GENÈVE : le « Serment d’Hippocrate moderne »

La Déclaration de Genève a été adoptée par la 2e Assemblée générale à Genève en 1947, rapidement reconnue comme étant la version moderne du Serment d’Hippocrate.

Le serment demeure l’un des documents les plus constants de l’AMM. Ayant subi très peu de révisions en cours des décennies passées, il préserve les principes éthiques de la profession et n’est relativement que peu influencé par l’esprit du temps et le modernisme.

Le Serment ne doit pas être lu seul, mais parallèlement aux politiques plus spécifiques de l’AMM, notamment le Code International d’Éthique Médicale, faisant suite à la Déclaration de Genève dès 1948.(([5] Adopté par la 3e Assemblée générale de l’AMM Londres, Grande-Bretagne, octobre 1949 et amendé par les 22e Assemblée Médicale Mondiale Sydney, Australie, Août 1968 et 35e Assemblée Médicale Mondiale Venise, Italie, octobre 1983 et la 57e Assemblée générale de l’AMM, Pilanesberg, Afrique du Sud, octobre 2006))

DEVOIRS GÉNÉRAUX DES MÉDECINS

LE MÉDECIN DEVRA toujours exercer son jugement professionnel de manière indépendante et respecter les plus hautes normes en matière de conduite professionnelle.
LE MÉDECIN DEVRA respecter le droit d’un patient jouissant de ses capacités d’accepter ou de refuser un traitement.
LE MÉDECIN NE DEVRA PAS se laisser influencer dans son jugement par un profit personnel ou une discrimination injuste.
LE MÉDECIN DEVRA se consacrer en toute indépendance professionnelle et morale à la prestation de soins compétents avec compassion et respect pour la dignité humaine.
LE MÉDECIN DEVRA être honnête avec ses patients et ses collègues et signaler aux autorités compétentes les médecins dont la pratique est dépourvue d’éthique et de compétences ou qui ont recours à la fraude et à la tromperie.
LE MÉDECIN NE DEVRA PAS profiter d’avantages financiers ou autres uniquement pour avoir adressé des patients ou prescrit des produits spécifiques.
LE MÉDECIN DEVRA respecter les droits et préférences des patients, des confrères et des autres professionnels de santé.
LE MÉDECIN DEVRA être conscient de son rôle important en matière d’éducation du public, mais devra faire preuve de la prudence requise lorsqu’il divulguera des découvertes, des nouvelles techniques ou de nouveaux traitements par un canal non professionnel.
LE MÉDECIN DEVRA certifier uniquement ce qu’il a personnellement vérifié.
LE MÉDECIN DEVRA s’efforcer d’utiliser de la meilleure façon possible les ressources de santé afin d’en faire bénéficier les patients et leurs communautés.
LE MÉDECIN DEVRA chercher à se faire soigner correctement s’il souffre de maladie mentale ou physique.
LE MÉDECIN DEVRA respecter les codes d’éthique régionaux et nationaux.

DEVOIRS DU MÉDECIN ENVERS SES PATIENTS

LE MÉDECIN DEVRA toujours avoir à l’esprit son obligation de respecter la vie humaine.
LE MÉDECIN DEVRA agir dans le meilleur intérêt du patient lorsqu’il délivrera des soins.
LE MÉDECIN DEVRA faire preuve de la plus complète loyauté envers ses patients et leur faire profiter de toutes les ressources scientifiques dont il dispose. Lorsqu’un examen ou un traitement dépasse ses capacités, le médecin devrait consulter ou adresser le patient à un autre médecin disposant des compétences nécessaires.
LE MÉDECIN DEVRA respecter le droit du patient à la confidentialité. Il est conforme à l’éthique de divulguer des informations confidentielles lorsque le patient y consent ou lorsqu’il existe une menace dangereuse réelle et imminente pour le patient ou les autres et que cette menace ne peut être éliminée e qu’en rompant la confidentialité.
LE MÉDECIN DEVRA considérer les soins d’urgence comme un devoir humanitaire à moins d’avoir la certitude que d’autres sont prêts et capables d’apporter ces soins.
LE MÉDECIN DEVRA dans les situations où il agit pour une tierce partie, s’assurer que le patient est totalement informé de la situation.
LE MÉDECIN NE DEVRA PAS avoir de relations sexuelles avec un patient qu’il traite ou une relation de nature abusive ou manipulatrice.

DEVOIRS DU MÉDECIN ENVERS SES COLLÈGUES

LE MÉDECIN DEVRA avoir envers ses collègues le même comportement que celui qu’il attend d’eux envers lui.
LE MÉDECIN NE DEVRA PAS saper la relation patient-médecin des confrères afin d’attirer des patients.
LE MÉDECIN DEVRA lorsque cela s’avère médicalement nécessaire, communiquer avec ses collègues impliqués dans les soins du même patient. Cette communication doit respecter la confidentialité concernant le patient et se limiter aux informations nécessaires.

DÉCLARATION D’HELSINKI : recherche médicale impliquant des sujets humains

La Déclaration d’Helsinki est le document politique le plus connu de l’AMM. La première version adoptée en 1964 a été révisée sept fois, la dernière révision datant de l’Assemblée générale d’octobre 2013. La version actuelle (2013) est la seule version officielle.(([6] Nouvelle version publiée sur le site internet du Journal of American Medical Association (JAMA) (disponible en PDF).))

En 2014, l’AMM a édité une publication pour commémorer le 50e anniversaire de l’adoption de la Déclaration d’Helsinki. « La Déclaration d’Helsinki de L’association Médicale Mondiale : 1964-2014 50 ans d’évolution de l’éthique dans la recherche médicale ». untitled (wma.net)

Depuis 2016, la Déclaration d’Helsinki est complétée par la Déclaration de Taipei sur les Considérations éthiques concernant les bases de données de santé et les biobanques.

« PRÉAMBULE

« 1. La Déclaration d’Helsinki énonce les principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains y compris l’importance de protéger la dignité, l’autonomie, la vie privée et la confidentialité des sujets de recherche, ainsi que d’obtenir leur consentement éclairé pour l’utilisation de données et de matériels biologiques humains identifiables.

2. Dans le cadre des soins de santé, des informations de santé sont collectées par les médecins ou d’autres membres de l’équipe médicale afin d’enregistrer les évènements de santé et d’aider les médecins dans la prise en charge continue de leurs patients.

3. Cette Déclaration a pour objectif de traiter de la collecte, du stockage et de l’utilisation de données et de matériels biologiques identifiables, au-delà des soins individuels prodigués aux patients. En concordance avec la Déclaration d’Helsinki, elle énonce des principes éthiques complémentaires relatifs à leur utilisation dans les bases de données de santé et les biobanques.

La Déclaration doit être lue dans son ensemble et chacun de ses paragraphes doit être appliqué en tenant compte de tous les autres paragraphes pertinents.

4. Une base de données de santé est un système visant à collecter, organiser et stocker des informations de santé. Une biobanque est une collection de matériel biologique avec des données s’y rapportant. Le matériel biologique fait référence à un échantillon prélevé sur un être humain, vivant ou décédé, pouvant fournir des informations biologiques, y compris génétiques, sur cet individu. Les bases de données de santé et les biobanques sont toutes deux des collections qui concernent des individus et une population. Elles suscitent des préoccupations similaires en termes de dignité, d’autonomie, de vie privée, de confidentialité et de discrimination.

5. La recherche, faisant appel aux bases de données de santé et aux biobanques, peut souvent accélérer significativement une meilleure compréhension de la santé et des maladies, ainsi que de l’efficacité, de l’efficience, de la sécurité et de la qualité des interventions de prévention, de diagnostic et de traitement. La recherche dans le domaine de la santé représente un bien commun au service des patients individuels ainsi que de la population et de la société.

6. Les médecins doivent tenir compte des normes et standards éthiques, juridiques et réglementaires concernant les bases de données de santé et les biobanques de leur propre pays ainsi que des normes et standards internationaux. Aucune disposition nationale ou internationale de nature éthique, juridique ou réglementaire ne devrait réduire ou supprimer la protection des personnes et des populations telle qu’énoncée dans cette Déclaration.

Lorsqu’autorisées par une loi nationale adoptée selon un processus démocratique dans le respect des droits humains, d’autres procédures peuvent être adoptées afin de protéger la dignité, l’autonomie et la vie privée des personnes. De telles procédures sont acceptables uniquement si des règles strictes en matière de protection des données sont mises en œuvre.

7. Conformément au mandat de l’AMM, la Déclaration s’adresse en priorité aux médecins. L’AMM encourage les autres personnes utilisant des données ou du matériel biologique figurant dans les bases de données de santé et les biobanques à adopter ces principes.

PRINCIPES ÉTHIQUES

8. La recherche et les autres activités en lien avec les bases de données de santé et les biobanques doivent contribuer au bénéfice de la société, en particulier aux objectifs de santé publique.

9. Dans le cadre du respect de la dignité, de l’autonomie, de la vie privée et de la confidentialité des personnes, les médecins ont des obligations spécifiques, à la fois éthiques et juridiques, en tant que responsables de la protection des informations fournies par leurs patients. Les droits à l’autonomie, à la vie privée et à la confidentialité habilitent aussi les individus à exercer un contrôle sur l’utilisation de leurs données personnelles et de leur matériel biologique.

10. La confidentialité est primordiale afin de préserver la confiance dans les bases de données de santé et les biobanques et leur intégrité. Savoir que leur vie privée sera respectée donne aux patients et aux donneurs la confiance nécessaire afin de partager des données personnelles sensibles. Leur vie privée est protégée par le devoir de confidentialité de tous ceux impliqués dans le traitement des données et du matériel biologique.

11. La collecte, le stockage et l’utilisation des données et du matériel biologique de personnes capables de donner un consentement éclairé doivent être volontaires. Si les données et le matériel biologique sont collectés pour un projet de recherche donné, le consentement spécifique, libre et éclairé des participants doit être obtenu en conformité avec la Déclaration d’Helsinki.

12. Si les données ou le matériel biologique sont collectés et stockés dans une base de données de santé ou une biobanque pour des utilisations multiples et indéfinies, le consentement est valable uniquement si les personnes concernées ont été informées de manière adéquate sur :

  • L’objet de la base de données de santé ou de la biobanque ;
  • Les risques et contraintes associés à la collecte, au stockage et à l’utilisation des données et du matériel ;
  • La nature des données ou du matériel à collecter ;
  • Les procédures de retour des résultats y compris des découvertes fortuites ;
  • Les règles d’accès à la base de données de santé ou à la biobanque ;
  • La manière dont la vie privée est protégée ;
  • Les dispositifs de gouvernance tels que stipulés dans le paragraphe 22 ;
  • Le fait que dans les cas où les données et le matériel sont rendus non identifiables, la personne n’est plus en mesure de savoir ce qui est fait de ses données/matériel et ne peut plus retirer son consentement.
  • Leurs droits fondamentaux et les mesures de sauvegarde énoncées dans cette Déclaration ; et le cas échéant, l’utilisation commerciale et le partage des bénéfices, la propriété intellectuelle et le transfert de données ou de matériel à d’autres institutions ou à des pays tiers.

13. En plus des dispositions énoncées dans la Déclaration d’Helsinki, lorsque les personnes qui n’ont pas été en mesure de donner leur consentement, mais dont les données et le matériel biologique ont été stockés pour de futures recherches, acquièrent ou récupèrent leur capacité de consentir, des efforts raisonnables doivent être déployés afin d’obtenir leur consentement pour poursuivre le stockage et l’utilisation à des fins de recherche de leurs données et de leur matériel biologique.

14. Les personnes ont le droit de demander et d’obtenir des informations sur leurs données et leur utilisation ainsi que de faire corriger les erreurs ou omissions. Les bases de données de santé et les biobanques devraient adopter des mesures adéquates pour informer les personnes concernées sur leurs activités.

15. Les personnes ont le droit à tout moment et sans crainte de représailles de modifier leur consentement ou de demander le retrait de leurs données identifiables d’une base de données de santé et de leur matériel biologique d’une biobanque. Ceci s’applique à l’utilisation future des données et du matériel biologique.

16. Dans l’éventualité d’une menace sérieuse, immédiate et clairement identifiée et lorsque des données anonymes ne suffisent pas, les exigences en matière de consentement peuvent éventuellement être levées afin de protéger la santé de la population. Un comité d’éthique indépendant devrait confirmer que chaque cas exceptionnel se justifie.

17. Les intérêts et les droits des communautés concernées, en particulier lorsqu’elles sont vulnérables, doivent être protégés, spécialement en termes de partage des bénéfices.

18. Des considérations spéciales doivent être accordées à l’exploitation éventuelle de la propriété intellectuelle. Les protections concernant la propriété des matériels, les droits et les privilèges doivent être prises en considération et réglées contractuellement avant de prélever et de partager le matériel. Les questions de propriété intellectuelle devraient être traitées dans une politique couvrant les droits de toutes les parties intéressées et communiquée en toute transparence.

19. Un comité d’éthique indépendant doit approuver la création des bases de données de santé et des biobanques utilisées à des fins de recherche et à d’autres fins. Le comité d’éthique doit aussi approuver l’utilisation des données et du matériel biologique, et vérifier si le consentement donné au moment de la collecte est suffisant pour l’utilisation prévue ou si d’autres mesures doivent être prises pour protéger le donneur. Le comité doit avoir le droit de contrôler les activités en cours. D’autres mécanismes d’évaluation éthique, conformes au paragraphe 6, peuvent être mis en place.

GOUVERNANCE

20. Afin de favoriser la confiance, les bases de données de santé et les biobanques doivent être gérées par des mécanismes internes et externes, basés sur les principes suivants :

  • Protection des personnes : la gouvernance devrait être conçue de telle manière que les droits des individus prévalent sur les intérêts des autres parties intéressées et de la science
  • Transparence : toute information pertinente sur les bases de données de santé et les biobanques doit être mise à la disposition du public ;
  • Participation et inclusion : les responsables des bases de données de santé et des biobanques doivent consulter et se mettre en relation avec les personnes et leurs communautés.
  • Responsabilité : les responsables des bases de données de santé et des biobanques doivent être accessibles et réceptifs aux demandes des parties intéressées.

21. Les dispositions de gouvernance doivent inclure les éléments suivants :

  • L’objet de la base de données de santé ou de la biobanque ;
  • La nature des données de santé et du matériel biologique qui seront contenus dans la base de données de santé ou la biobanque ;
  • Les dispositions relatives à la durée de stockage des données ou du matériel ;
  • Les dispositions réglementaires pour l’élimination et la destruction des données et du matériel ;
  • Les dispositions sur la manière dont les données et le matériel seront documentés et traçables conformément au consentement des personnes concernées ;
  • Les dispositions sur la manière dont les données et le matériel seront traités dans le cas d’un changement de propriétaire ou de fermeture ;
  • Les dispositions relatives à l’obtention d’un consentement adéquat ou les autres bases légales pour la collecte des données ou du matériel ;
  • Les dispositions pour protéger la dignité, l’autonomie, la vie privée et pour prévenir les discriminations ;
  • Les critères et procédures concernant l’accès et le partage des données de santé ou du matériel biologique, y compris, si nécessaire, l’utilisation systématique d’un accord de transfert de matériel (MTA) ;
  • La ou les personnes responsables de la gouvernance ;
  • Les mesures de sécurité afin de prévenir les accès non autorisés ou les partages inappropriés ;
  • Les procédures pour reprendre, si nécessaire, contact avec les participants ;
  • Les procédures d’enregistrement et de traitement des demandes et des réclamations.

22. Les professionnels de santé qui contribuent ou travaillent avec les bases de données de santé et les biobanques doivent se conformer aux dispositions pertinentes relatives à la gouvernance.

23. Les bases de données de santé et les biobanques doivent fonctionner sous la responsabilité d’un professionnel dûment qualifié qui veillera au respect de la présente Déclaration.

24. L’AMM exhorte les autorités concernées à formuler des politiques et des lois protégeant les données de santé et le matériel biologique sur la base des principes énoncés dans ce document. »

État actuel de l’éthique quotidienne

Ainsi la pratique de la médecine fut parfaitement encadrée après la Seconde Guerre mondiale, mais manifestement l’oubli progressif a transformé notre quotidien. En France, en tous cas, le serment d’Hippocrate dit de Genève n’est pratiquement plus prêté par chaque étudiant présentant leur thèse. L’un d’entre eux lit le fameux serment pour tous (un raccourci) et à la fin les étudiants présents disent prêter serment.

Le consentement éclairé est trop souvent dévoyé depuis déjà deux décennies au moins en oncologie et particulièrement en pédiatrie.(([7] Éthique et essais cliniques en cancérologie (nicoledelepine.fr) )) (([8] Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg ? — AgoraVox le média citoyen.))

« Les patients cancéreux et leurs familles comprennent bien ce que veut dire ce monopole via les « protocoles » dont il est difficile de sortir. Nous avons détaillé ces dérives dans de nombreux ouvrages et articles. Nous avons expliqué la dérive éthique et la violation des droits du patient dans le cadre du traitement du cancer en l’absence d’information de fond sur le fameux « protocole » et de droit à un autre schéma.

Ainsi, le « Servir la science » est la justification alléguée du changement de paradigme imposé aux cancérologues depuis le début du siècle, avec les conséquences délétères : perte de chance de survie par abandon des schémas de traitement éprouvés, et relégation trop fréquence de la chirurgie au bénéfice des nouvelles drogues, comme si l’innovation était forcément un progrès. Le « servir la science » a été complété par « sauver des vies », tout aussi mensonger depuis plus d’un an.

Or servir la science était l’argument massue de défense des médecins obéissant au totalitarisme hitlérien : celui-ci donnait l’absolue priorité au collectif, la personnalité individuelle devant lui être soumise.

Karl Brand, médecin personnel d’Hitler, avait déclaré que « lorsque la personnalité est dissoute au sein du corps collectif, toute demande qui lui est soumise doit être dissoute au sein du concept de système collectif ; les besoins de la société sont maintenant des besoins individuels, et l’être humain, ce complexe individuel, sert uniquement à l’intérêt de la société »

Le train-train de la soumission

Malheureusement ces années de dévoiement progressif du consentement éclairé et du secret médical ont doucement habitué les citoyens à obéir plus qu’à choisir et aux médecins à se couler dans le train de l’obéissance aux recommandations devenues progressivement injonctions, puis opposables, c’est-à-dire obligatoires.

Ainsi l’obéissance aux ordres de la sécurité sociale qui n’en a plus que le nom, à l’ordre des médecins, aux agences régionales de santé est devenue la posture la plus simple des médecins. Ceci explique en partie leur soumission depuis mars 2020 devant l’interdiction de soigner tout simplement leurs patients et actuellement leur jeu pervers dans la chasse au non-vacciné, oubliant pour nombre d’entre eux d’exposer avant la piqûre les effets secondaires nombreux (pour les Américains, c’est autant en trois mois qu’en vingt ans pour l’ensemble des complications vaccinales). Le médecin est devenu un robot aux ordres avant même que la machine adéquate ne fût conçue.

Les vaccins étant en essai thérapeutique (au moins jusqu’en 2023), le gouvernement ne peut pas le rendre officiellement obligatoire, mais contourne le problème par la propagande éhontée, et la tentative d’imposer un pass vaccinal. Le chantage aux voyages est bien plus efficace que l’argument sanitaire qui a disparu ou presque. Mais les malheureux pour un certain nombre ne feront pas ce voyage comme cette jeune mannequin anglais qui rêvait tant de Chypre, plus de 10 000 morts en UE et plus de cent mille effets secondaires invalidants.

Le consentement éclairé est violé chaque jour (vacciner en voiture et vacci drive ?) et la volonté affichée du ministre de la Santé et de Mr Fischer membre d’administration de Rothschild, de vacciner les enfants nous horrifie.

Les enfants ne risquent rien du Covid et ne transmettent pas ni aux adultes ni aux enfants.(([9] Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il est temps de rappeler ce que disait Mary Holland, professeur de droit devant l’ONU en 2016 au moment de la discussion sur les vaccinations obligatoires des nourrissons malheureusement imposées par Mme Buzyn depuis lors démissionnaire, recasée à Genève.

Ne doit-on pas réfléchir aujourd’hui aux discours que tiennent certains médecins aux patients effondrés sur l’intérêt pour la société d’accepter de signer « ces papiers » pour une expérience d’une nouvelle molécule peu ou pas testée, qui permettront à leur traitement de servir à la « science », oubliant le consentement véritablement éclairé ?

Ne doit-on pas réfléchir aux implications éthiques d’une obligation vaccinale ?

Ne doit-on pas suffoquer lorsque le président du conseil de l’ordre ou des médecins connus se permettent d’affirmer haut et fort que « la vaccination ne se discute pas » et que ceux qui oseraient élever une objection se verraient soumis aux foudres de l’ordre des médecins, vieille institution fondée sous Vichy ?

Or la vaccination est un acte médical qui relève du soin comme de la recherche, des responsabilités médicolégales et de l’éthique médicale. La vaccination comme tout acte médical relèvent du code de Nuremberg et c’est un professeur de droit, américaine qui en parle le mieux. On peut s’étonner que sa prise de position à la tribune de l’ONU soit apparemment passée inaperçue en France, nous qui pourtant suivons (quand cela nous arrange) les avis de nos amis américains.

Le professeur Holland a évoqué les droits civils liés qui élimineraient le droit au consentement éclairé de refuser les vaccinations. Elle a rappelé que « l’histoire nous a montré les résultats d’une intrusion du gouvernement dans les droits médicaux personnels » et à cette occasion, la genèse du code de Nuremberg pour protéger les individus contre l’intrusion des gouvernements et des abus médicaux.

Citons le Pr Holland :

« Les Nations Unies, ainsi que la communauté internationale ont l’obligation de respecter les droits humains liés à la vaccination.

Le Code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….).

Comment pouvoir concilier les droits individuels avec les droits du collectif ?

En 2005, l’UNESCO (…) a adopté la Déclaration Universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme avec un consensus de 193 pays (…), elle stipule que toute intervention médicale préventive ne doit être effectuée qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, et fondé sur des informations suffisantes. Elle note également (en son article 2) que “le seul intérêt de la science ou de la société” ne doit pas prévaloir.

Cette déclaration est une extension du serment médical attribué à Hippocrate il y a 2 500 ans, et qui stipule que les médecins doivent œuvrer pour le bien de leurs patients et ne jamais faire de mal.

Sous forme abrégée “D’abord ne pas nuire”, ce credo incarne le principe de précaution en médecine, en mettant clairement les intérêts des patients au-dessus des intérêts de la collectivité ou du “troupeau”. Ce principe de précaution en médecine mène directement à l’idée que les politiques de vaccination doivent être recommandées et non rendues obligatoires.

La relation médecin-patient doit être d’abord et avant tout basée sur la confiance, alors que la coercition la mine. Lorsque la relation médecin-patient est basée sur la coercition, c’est la confiance qui en fait les frais. Les médecins servent alors l’état et par extension la société, avant l’intérêt de leurs patients. Nous nous trouvons ici sur une pente glissante où la médecine civilisée a trop souvent déraillé dans le passé.

Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 que « C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’étaient déjà produit “ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste” avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931.

Selon le principe de précaution médicale, le principe, par défaut, de la vaccination doit relever de recommandations et non d’obligations.

Les politiques de vaccination de nombreux pays développés incarnent ce principe des recommandations de vaccination des enfants, y compris la conférence qui a réuni l’Ukraine, l’Allemagne et le Japon. D’autres pays développés permettent d’atteindre d’excellents résultats en santé publique sans avoir recours à la contrainte. Citons : le Royaume-Uni, l’Australie, l’Autriche, le Danemark, l’Islande, les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande, la Suède, la Norvège, la Finlande, la Corée du Sud, et l’Espagne entre autres. »

Les précautions du PR Holland en conclusion de son exposé

« Comme nous le savons tous, les soins de santé partout dans le monde représentent un fameux business. Les vaccins représentent un marché qui ne cesse de croître, comme d’apporter des marges de plus en plus élevées de profits.

Si nous ne respectons pas les premiers principes du droit à la vie, à la liberté et à l’intégrité corporelle des personnes, du droit à consentement préalable libre et éclairé en médecine, nous pourrions nous retrouver dans des situations désastreuses prévisibles ou même inconnues.

Pour conclure, je veux paraphraser le discours d’adieu du Président Eisenhower aux États-Unis en 1961, quand il faisait allusion aux risques que pouvait comporter le « complexe militaro-industriel ». Je substitue le terme “médico-industriel” aux paroles du président parce que je crois que ce “complexe médico-industriel” présente de nombreux risques que le président avait prédits dans son discours :

 “Le potentiel d’une montée désastreuse du pouvoir existe et persistera. Nous ne devons jamais permettre que ce complexe mette en danger nos libertés ou notre processus démocratique. Nous ne devons rien prendre pour acquis. Seuls des citoyens éveillés et bien informés peuvent contraindre l’énorme machinerie industrielle et médicale à respecter nos méthodes et nos objectifs pour que la sécurité et la liberté puissent prospérer ensemble… En gardant l’œil sur la recherche et les découvertes scientifiques, comme il nous appartient de le faire, nous devons aussi rester attentifs au danger égal et opposé qui conduirait la politique à devenir elle-même captive d’une élite scientifique et technologique”. »

Tout est dit dans ce discours d’un professeur de droit à l’ONU ni anti ni provaccin, mais respecte les droits de l’homme et du citoyen.

Il serait tellement important que nos députés, sénateurs, élus et chaque citoyen prennent le temps de lire ces déclarations ou d’écouter son discours à l’ONU en se rappelant peut-être la phrase majeure de son exposé :

C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées.”

 Ne l’oublions jamais.





Chiffre des décès Covid-19 : canular, charlatanisme et contre-vérité

Par Claude Janvier

[Photo : Chip Somodevilla/Getty Images]

La courte prestation récente en vidéo de Pierre Barnérias — [réalisateur et metteur en scène du documentaire Hold-Up(([1] https://odysee.com/@Tony%D8%B7%D9%88%D9%86%D9%8A:8/hold-up-Le-Coup-de-gueule-de-Pierre-Barn%C3%A9rias:1)) — m’a fait l’effet d’un électrochoc. En effet, Pierre Barnérias montre un document émanant de Santé publique France*(([2] organisme officiel)) où est indiqué un total de 41 502 décès Covid-19, dont 14 471 décès sans comorbidités et 27 031 décès avec comorbidités.

En clair, 14 471 personnes sont réellement décédées du virus depuis mars 2020. Diantre ! Si les chiffres des autres pays sont aussi faibles, on peut se demander légitimement pourquoi avoir paralysé une planète entière. Pourquoi avoir fait tant d’efforts pour faire s’écrouler un pan entier de l’économie mondiale ? Pourquoi avoir précipité dans la détresse et le chagrin un bon nombre de personnes ?

Si la vente des vaccins afin d’engraisser les laboratoires pharmaceutiques est une des réponses et l’imposition d’un pass sanitaire liberticide à une population en majorité tétanisée par le bourrage de crâne coronavirus en est une autre, il n’empêche que lire une des preuves énoncées par Santé publique France — le Saint Graal en matière d’informations statistiques de la santé — laisse rêveur et ne peut qu’interpeller.

Qu’en est-il exactement ?

* Santé publique France : Covid-19 : Point épidémiologique hebdomadaire du 1er avril 2021. Page 47, tableau 10 :

Description des décès certifiés par voie électronique avec une mention de COVID-19 dans les causes médicales de décès, du 1er mars 2020 au 29 mars 2021, France (données au 30 mars 2021)

Sexe Nombre Pourcentage
Hommes 22 677 55 %
Femmes 18 824 45 %
Cas selon la classe d’âge Sans comorbidité ou non renseigné Avec comorbidités Total
  nombre % nombre % nombre %
0-14 ans 1 20 4 80 5 0
15-44 ans 78 33 162 68 240 1
45-64 ans 771 28 1 978 72 2 749 7
65-74 ans 1 808 30 4 260 70 6 068 15
75 ans et plus 11 813 36 20 627 64 32 440 78
Tous âges 14 471 35 27 031 65 41 502 100
Description des comorbidités nombre %
Pathologie cardiaque 9 554 35
Hypertension artérielle 5 990 22
Diabète 4 335 16
Pathologie respiratoire 3 571 13
Pathologie rénale 3 565 13
Pathologies neurologiques(([3] Ce groupe inclut les pathologies neurovasculaires et neuromusculaires. 1 % présentés en ligne ; 2 % présentés en colonne [?])) 2 341 9
Obésité 1 561 6
Immunodéficience 609 2

Plus loin dans ce rapport :

SURVEILLANCE DE LA MORTALITÉ
► Mortalité lors d’une hospitalisation et en ESMS — établissements sociaux et médico-sociaux (page 41)

  • Entre le 1er mars 2020 et le 30 mars 2021, 95 364 décès de patients COVID-19 ont été rapportés à Santé publique France : 69 320 décès sont survenus au cours d’une hospitalisation et 26 044 décès en établissements d’hébergement pour personnes âgées (EHPA) et autres établissements sociaux et médico-sociaux (ESMS) (données au 28 mars 2021).
  • 93 % des cas de COVID-19 décédés étaient âgés de 65 ans ou plus.

Ça se complique.

Entre ces deux pages du même rapport, nous avons une différence de 53 862 personnes décédées et potentiellement égarées. Pourtant Santé publique France, avec ses 3,831 milliards d’euros pour 2021 (oui vous lisez bien) (([4] Tec hopital 24 février 2021 la dotation exceptionnelle de Santé publique France pour 2021 passe à 3,8 milliards d’euros pour la « prévention épidémique et la constitution de stocks stratégiques » (de caviar et de champagne peut-être, car à ce tarif-là) )) devrait avoir les moyens de ne pas se tromper. (déjà en 2020, Santé publique France, 625 agents, avait reçu une dotation exceptionnelle de 860 millions d’euros…)

Poursuivons dans le même rapport.

► Mortalité issue de la certification électronique des décès (page 42)

  • Parmi les certificats de décès rédigés par voie électronique et transmis à Santé publique France depuis le 1er mars 2020, 41 502 certificats contenaient une mention de COVID-19 parmi les causes médicales de décès renseignées (Tableau 10).
  • L’âge médian au décès était de 85 ans et 92,7 % des personnes avaient 65 ans et plus.

Quittons le rapport de Santé publique France et regardons un extrait d’un rapport du CEPIDC(([5] Le Centre d’épidémiologie sur les causes médicales de Décès (CépiDc) est le laboratoire de l’INSERM (institut national de la santé et de la recherche médicale) en charge de la production de la statistique sur les causes médicales de décès))

« Les données sont issues de la partie médicale du certificat de décès certifié par voie électronique. Les décès peuvent être enregistrés dans tous les types de lieu de décès (établissements publics ou privés de santé, EHPAD/maison de retraite, domicile, ou dans autres lieux non précisés). Toutefois, un établissement de santé n’utilise pas forcément la certification électronique de décès dans l’ensemble de ces services. »

Donc la différence provient des données de certification électronique des décès associés au Covid-19 (CEPIDC) ?

En 2021, à l’ère électronique et de la 5G, où le personnel administratif est plus important que le personnel technique, et où les e-mails s’échangent instantanément, il y a encore des certificats de décès papier non envoyé électroniquement. On croit rêver. Mais quand on y réfléchit, c’est impossible, car même un certificat papier va être envoyé tôt ou tard par voie électronique.

Plus loin dans ce rapport :

« Les décès associés au Covid-19 sont identifiés à partir des mentions exprimées par les médecins dans les causes médicales de décès. L’infection au Covid-19 peut être une suspicion ou avoir été confirmée biologiquement. »

Pour conclure, voici un extrait d’un rapport du 27 août 2020 :

Les modalités du certificat de décès électronique. La rédaction et la transmission du certificat de décès par Marie-Emilie Pétigny, Juriste MACSF

« Le décret du 27 juillet 2006 a institué, à l’article R. 2213-1-2 du Code général des collectivités territoriales, le certificat de décès établi sur support électronique.

Le médecin doit tout d’abord s’identifier au moyen d’une carte de professionnel de santé ou d’un dispositif équivalent d’authentification.

Le certificat établi par le médecin, l’étudiant ou le praticien comporte deux volets ou trois suivant le cas :

Le volet administratif

Ce volet comporte les rubriques habituelles auxquelles on pourrait s’attendre en matière administrative.

Il mentionne la commune du décès, la date et l’heure du décès, les noms, prénoms, la date de naissance, le sexe et le domicile du défunt ainsi que les informations nécessaires à la délivrance de l’autorisation de fermeture du cercueil et à la réalisation des opérations funéraires.

Ce document est établi en 4 exemplaires, signés par le médecin et transmis par voie électronique à la mairie du lieu de décès, au service chargé des funérailles et à la mairie du lieu de dépôt du corps et au gestionnaire de la chambre funéraire en cas de transport du corps.

Le volet médical

Le certificat de décès comporte également un volet médical relatif aux causes du décès. Soucieux de la protection du secret médical, le législateur a entendu faire mention d’un volet médical ne comportant ni le nom ni le prénom de la personne décédée.

Les données du volet médical sont transmises par voie électronique à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale.

Le médecin qui atteste du décès peut procéder à des modifications des informations médicales pendant les 96 heures qui suivent l’établissement du certificat et doit opérer une nouvelle transmission à l’Institut de la Santé et de la recherche biomédicale.

L’accès aux informations du volet médical du certificat de décès est instantané, ce qui facilite l’exercice des missions de veille sanitaire.

Le volet médical complémentaire

Quand le médecin qui remplit le volet médical sur les causes du décès constate un obstacle médico-légal, le corps fait l’objet d’une recherche médicale ou scientifique des causes du décès ou d’une autopsie. Le volet médical complémentaire est alors établi par le médecin qui procède à la recherche médicale ou scientifique des causes de décès ou à l’autopsie.

Et la version papier ?

Bien que la version électronique du certificat de décès soit en vigueur depuis 2006, la version papier existe toujours et peut être fournie par l’ARS.

Celle-ci ne doit être utilisée qu’en cas de dysfonctionnement des moyens électroniques et d’impossibilité de transmettre le certificat de décès par voie électronique dans des délais raisonnables. »

Donc, cela laisse entrevoir que chez les instances administratives de santé il n’y a que des dysfonctionnements électroniques ? Curieux, car au Ministère des Finances, section Trésor Public, l’électronique semble fonctionner remarquablement…

Trop d’incohérences tuent la crédibilité. Les décès imputés au seul Covid-19 sont minimes. Depuis 2006 — 15 ans quand même — il est certain que les certificats de décès sont pratiquement tous en version électronique. C’est vraiment très très peu probable qu’il y ait eu 53 862 certificats de décès en version papier qui se soient égarés… Ou alors, nous sommes revenus à l’âge de pierre !

Les chiffres ont été faussés et instrumentalisés sciemment afin de tromper la population, de permettre la fabrication de vaccins « salvateurs » vendus à prix d’or et enfin d’imposer un passeport vaccinal international. Répugnant.

Claude Janvier
Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président », IS édition (www.is-edition.com)





L’hécatombe post vaccinale s’étend dans le monde

Par Gérard Delépine

Il y a deux mois, nous avons tenté d’alerter sur les résultats paradoxaux des vaccin covid19 en publiant les courbes de mortalité pré et post vaccination d’Israël et de Grande-Bretagne(([1] Grande-Bretagne : résultats réels de la vaccination anti-Covid-19 au 29 mars – (ripostelaique.com) )) qui montraient déjà que ces vaccinations ont été suivies d’une hausse considérable des contaminations et de la mortalité durant 6 à 8 semaines après le début de la vaccination.(([2] Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 23 février 2021 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Depuis cette période, les campagnes de vaccination se sont étendues mondialement même aux pays où le covid était peu présent. Et partout elles ont été suivies d’une hausse considérable des nouvelles infections et de la mortalité pendant plusieurs semaines ou mois.(([3] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))

Combien faudra-t-il de morts et d’accidents sévères pour que les dirigeants, l’OMS, les agences de santé FDA, EMA entre autres, regardent les résultats avérés de cette pseudo-vaccination expérimentale dans le monde réel et en tirent les conséquences ?

Rappel des faits avérés publiés par l’OMS

Nous présentons ci-après les courbes de l’épidémie des pays les plus vaccinés telles que publiées par l’OMS (avec nos commentaires en rouge).

ASIE

Au Népal, pays de 28 millions d’habitants

La campagne de vaccination, utilisant le vaccin chinois et l’Astra Zeneca indien, a commencé fin janvier 2021. Jusque là, après dix mois d’épidémie, le pays comptait 270 092 cas confirmés et 2017 morts et la moyenne journalière de nouveaux cas s’élevait à 350.

Quatre mois après le début de la vaccination, l’épidémie a explosé avec une moyenne actuelle de 8000 nouveaux cas quotidiens. Au 22 mai, le Népal comptait 497052 (+90%) cas confirmés et 6024 morts (+200%.)

En Thaïlande, pays de 70 millions d’habitants

La campagne de vaccination utilisant le vaccin chinois a commencé dans la première semaine de mars. Jusque là, depuis le début de l’épidémie, le pays ne recensait que 25000 contaminés et 83 morts attribuées au Covid19.

Depuis le début de la vaccination, en 2 mois, le nombre des contaminés a été multiplié par 5 (123 066 au 22/5) et celui des morts par 9 (735 au 22/5).

Au Cambodge, pays de 27 millions d’habitants

En Mongolie, pays de 3, 3 millions d’ habitants

Amérique du Sud

En Colombie, pays de 50 millions d’habitants

pays fortement éprouvé par la maladie l’épidémie amorçait une franche décrue jusqu’au début de la campagne de vaccination le 18 février2021.

Depuis, le nombre de contaminations quotidiennes a quadruplé et la mortalité journalière multiplié par 3

Chili, pays de 18 millions d’habitants

La vaccination a commencé le 24 décembre et un total de près 17,1 millions de doses de vaccin a été administré à moins de 20 millions d’habitants. Mais malgré un taux de couverture vaccinal le plus élevé d’Amérique du Sud et des confinements durs, le nombre de contaminations quotidiennes et le nombre de décès restent près du triple de ce qu’ils étaient avant le démarrage de la campagne vaccinale …

Au Brésil, pays de 217 millions d’habitants

La vaccination a débuté le 18 janvier alors que la mortalité hebdomadaire se stabilisait autour de 7000

Moyen-Orient

Aux Émirats Arabes Unis, pays de 10,5 millions d’habitants

Au Koweït, pays de 4,2 millions d’habitants

EUROPE

En Hongrie, pays de 9,8 millions d’habitants

La campagne de vaccination débutée fin février a été suivie d’une forte hausse des contaminations hebdomadaires passées de 25576 le 25/2 à 62265 un mois plus tard, avant de redescendre progressivement au niveau pré vaccinal.

En deux mois et demi la Hongrie a ainsi doublé ses chiffres de contaminés (400000 à 800000) et de morts (de 14000 à 29000) atteints après 11 mois d’épidémie

En Roumanie, pays de 20 millions d’habitants

La campagne de vaccination a débuté fin décembre à une période où l’épidémie décroissait, et d’après les données officielles du 4 mai 21, Bucarest a le taux de vaccination le plus élevé du pays avec 31,2% de sa population éligible vaccinée. Mais peu après le début de la vaccination, le nombre des contaminations quotidiennes et la mortalité ont augmenté.

Avant la vaccination après dix mois d’épidémie, la Roumanie recensait 618000 infectés et 15000 morts. Après cinq mois de vaccination, elle en compte le double.

Monaco, pays de 38000 habitants

comptait seulement 3 décès avant la vaccination et 32 depuis la vaccination

Gibraltar, 34000 habitants

: la vaccination de la totalité de la population a été suivie d’une augmentation de 800% de la mortalité de 10 à 94)

Que peut-on déduire de ces données officielles. Hypothèses

Les victoires à la Pyrrhus(([4] Une victoire à la Pyrrhus est une victoire tactique, obtenue au prix de pertes si lourdes pour le vainqueur qu’elles compromettent ses chances de victoire finale.)) israélienne et britannique

Les avocats de la vaccination prétendent que les vaccinations en Israël et en Grande-Bretagne auraient été des succès, car les contaminations et la mortalité quotidienne, actuelles sont faibles.

Mais ces succès apparents correspondent en fait à la disparition d’une grande partie des personnes à risque (le « moissonnage ») réalisée par la vaccination et à la régression spontanée de la maladie observée aussi dans les pays peu vaccinés.

Le « moissonnage » vaccinal

Dans ces deux pays, la mortalité attribuée au Covid a fortement augmenté durant 4 à 6 semaines égalisant la totalité des morts de l’année 2020. La courbe de mortalité covid péri vaccination en Israël est démonstrative.

Le « moissonnage » de 1404 personnes en janvier et de 949 autres en février, soit l’équivalent d’une année complète de mortalité Covid sans vaccin (l’année 2020) a fortement réduit le nombre d’Israéliens à risque, entraînant de facto probablement une diminution du risque apparent de mortalité dans l’année à venir, dans cette tranche d’âge.

Mais parallèlement à cette diminution de sa cible initiale, le virus s’est transformé par mutation pour s’attaquer à d’autres segments de la société et en particulier aux groupes d’âge plus jeunes.

En novembre 2020, les données du ministère israélien de la Santé ont révélé qu’Israël avait détecté 400 cas de coronavirus chez des enfants de moins de deux ans. En février 2021, ce nombre est passé à 5 800.

Le même « moissonnage » a été observé en Grande-Bretagne. Comme le Covid19 ne menace qu’une petite partie de la population (les grands vieillards avec comorbidité) la disparition péri vaccinale d’une grande partie de cette population (autant que les morts de l’année 2020) à risque, diminue mathématiquement la mortalité observée, au moins transitoirement.

Depuis la campagne de vaccination britannique, la mortalité moyenne par million d’habitants en Grande-Bretagne (934/M) dépasse le double de celle des Pays-Bas (411/M).

La régression naturelle de l’épidémie

Explique aussi la chute de mortalité ainsi que le montre la comparaison entre la Grande-Bretagne très vaccinée et les Pays-Bas très peu vaccinés

Les courbes de mortalité par million d’habitants suivent la même temporalité dans ces deux pays proches. Celle du Royaume-Uni souffre d’un pic péri vaccinal beaucoup plus élevé, la mortalité actuelle des Pays-Bas est légèrement plus élevée traduisant l’absence du « moissonnage » anglais.

La vaccination actuelle, accélérateur de l’épidémie et de la mortalité ?

La revue des principaux pays apôtres de la vaccination large montre qu’en population réelle, la vaccination généralisée se comporte plus comme un accélérateur de l’épidémie et de la mortalité que comme une prévention de celles-ci.(([5] F Gobert Depuis qu’on vaccine (anticovid), la mortalité moyenne quotidienne a augmenté dans 13 pays sur 14 Agoravox https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/depuis-qu-on-vaccine-anticovid-la-233252))

Dans tous les pays très vaccinés, la mortalité comptabilisée durant les deux mois post vaccinaux égale ou dépasse celle de toute l’année 2020.

ABSENCE DE DONNÉES EXPÉRIMENTALES SOLIDES

Les essais de ces vaccins ont été insuffisants, sans recul, car ils sont en cours. Les premiers résultats sont promis pour début 2023.

Aucun d’entre eux n’a signalé la possibilité d’une possible augmentation des contaminations et de la mortalité qui heureusement paraissent transitoires. Ils sont peu informatifs sur les effets secondaires plus ou moins graves, comme la fréquence des accidents vasculaires précoces dans les jours suivant la vaccination, ou encore les multiplications de fausse-couche et les troubles menstruels des femmes par exemple et bien sûr les possibles complications plus tardives à moyen et long terme.

La course à la vaccination accélérée à tout prix pourrait à terme être contre performante pour la confiance populaire en toutes les vaccinations. Rien ne sert de courir, il faut partir à point aurait dit la Fontaine. Mais les nouveaux milliardaires comme le PDG de Moderna ne pensent probablement pas comme la tortue de la Fable ayant d’ores et déjà amassé des fortunes.

L’AVENIR EST AUX TRAITEMENTS PRÉCOCES MAÎTRISÉS PAR LES MÉDECINS DE TERRAIN

Des études transparentes sont indispensables pour comprendre le mécanisme de ces aggravations transitoires de l’épidémie après vaccination et en déduire d’éventuelles mesures préventives, si une nouvelle poussée survenait.

D’autant que l’avenir, après cette hécatombe vaccinale, reste très incertain. Les dirigeants qui ont violé les bases de la médecine et de la démocratie en imposant la vaccination expresse sans respect des procédures habituelles pour la sécurité et l’efficacité des drogues mises sur le marché, se retrouvent tous à promettre à leurs populations des traitements précoces pour les vagues futures, prouvant par-là, comme Boris Johnson qu’ils ne croient plus à la vaccination qu’ils ont imposée.(([6] https://www.francesoir.fr/societe-sante/boris-johnson-veut-un-traitement-precoce-contre-la-covid-dici-lautomne))

LA MÉDECINE NE DOIT PAS ÊTRE DÉCIDÉE PAR LA POLITIQUE

La politique sanitaire ne doit plus être imposée ni guidée par des simulations le plus souvent inexactes (et leurs affichages parfois influencés par les politiques comme l’avouent les scientifiques anglais), mais doit reposer sur le respect de la démocratie et de l’expérience clinique des médecins de terrain guidés éventuellement par de simples recommandations non contraignantes.

Toutes les données doivent être transparentes comme les chiffres du Réseau Sentinelles qui reflète le nombre de malades réels, consultant les médecins pour des signes cliniques. Beaucoup plus fiables que les éternels chiffres de contamination basés sur des tests PCR peu fiables.

LIBERTÉ DE SOIGNER ET D’ÊTRE SOIGNÉ

Surtout les médecins doivent être autorisés à traiter librement leurs patients avec tous les moyens à leur disposition sans diktat bureaucratique, et ce dès le début de la maladie, comme dans toute autre pathologie. Dès le début de l’épidémie, les traitements précoces basés sur les antibiotiques, macrolides, l’hydroxychloroquine, l’Artemisia, les vitamines D et C et le zinc, puis l’ivermectine étaient connus et diabolisés par les médecins de plateau au service de nouvelles drogues hors de prix comme le remdésivir, et surtout des futurs vaccins.

Le choix politique d’interdire le libre choix du traitement par les autorités a conduit dans plusieurs pays du monde, dont la France, à des morts nombreuses dont au moins une partie était évitable. Les procès en cours donneront la parole aux familles des victimes sans réparer l’irréparable perte d’un être cher.

MORATOIRE INDISPENSABLE

Le totalitarisme, la censure systématique et la persécution des opposants et la suppression des libertés fondamentales n’aboutissent en science, en médecine comme en économie, qu’à des catastrophes à plus ou moins long terme, y compris pour ceux qui en sont responsables.

Il est grand temps de revenir aux faits avérés et à leur examen critique sans a priori. Dans tous les pays, les vaccinations expérimentales ont été suivies par une augmentation des contaminations et de la mortalité attribuée au Covid19 et l’apparition de mutants. Tant que le phénomène n’aura pas été élucidé, un moratoire des vaccinations anticovid est indispensable et urgent.





La vertu ostentatoire des vaccins et le culte de l’Éveil

[Source : Le Saker Francophone]


Par Brandon Smith − Le 13 mai 2021 − Source Alt-Market

Tous les systèmes tyranniques ont besoin d’un important contingent de pom-pom girls pour survivre et prospérer ; un groupe d’acolytes exploitables et dévoués qui porteront le flambeau et évangéliseront les masses avec l’idéologie du contrôle. Sans ce pourcentage agressif de la population, les totalitaires ne peuvent rester au pouvoir. Aux États-Unis et dans la plupart des pays occidentaux, les idéologues gauchistes ont parfaitement rempli ce rôle. Ils prétendent se battre pour les droits des opprimés, mais leurs actions sont bien plus éloquentes que leurs paroles.

Ils ont soutenu et défendu vicieusement presque toutes les mesures draconiennes que les gouvernements et les élites des entreprises ont adoptées ces dernières années. Ils ont soutenu la censure massive des conservateurs et des modérés par les grandes entreprises technologiques. Ils ont soutenu les confinements nationaux qui ont détruit des centaines de milliers de petites entreprises et violé les droits constitutionnels de millions d’Américains. Ils continuent à soutenir des règles de masquage non scientifiques dont il a été prouvé qu’elles n’apportent rien de tangible en termes de prévention de la propagation virale. Ils soutiennent l’utilisation de « passeports vaccinaux » qui auraient pour effet d’exclure les personnes non vaccinées de l’économie et de la société normales et de les plonger dans la pauvreté. Et maintenant, ils sont partout sur le web à essayer de faire de la propagande pour le vaccin.

Nous connaissons ces créatures déséquilibrées sous de nombreux noms, notamment guerriers de la justice sociale, flocons de neige, puritains, gauchistes, marxistes, communistes, globalistes, collectivistes, narcissiques, etc. En gros, ce sont les pires personnes de la planète, et alors qu’elles parlent généralement de « racisme institutionnel » qui n’existe pas, de culture du viol qui n’existe pas, ou de patriarcat qui n’existe pas (bien que je commence à me demander si nous ne devrions pas en créer un), elles ont maintenant trouvé un nouvel amour dans la « crise » de la Covid-19.

Mais avant de parler de la secte des Éveillés et de sa relation perverse avec l’establishment, je dois poser une question fondamentale sur le « vaccin » que personne dans les médias dominants ne semble poser :

Pourquoi devrions-nous prendre un vaccin expérimental à ARNm pour un virus auquel 99,7 % des gens, en dehors des maisons de retraite, survivront facilement ?

Cette seule question fait généralement exploser la tête des adeptes du vaccin. La plupart d’entre eux, pour une raison quelconque, croient encore que le taux de mortalité de la Covid-19 est de « 3 % ou plus ». Pourquoi colportent-ils ces absurdités ? Eh bien, je tiens à souligner que les médias grand public ne parlent JAMAIS du taux de mortalité de la Covid-19 ; ils laissent plutôt les gens faire des hypothèses basées sur des choses qu’ils ont entendues dans le passé de la part d’entités comme l’Organisation mondiale de la santé ou le CDC.

Le chiffre de 3 % semble provenir de PRÉDICTIONS faites par l’OMS en janvier 2020, avant que le virus n’ait atteint les États-Unis, ainsi que d’une étude préliminaire du Lancet. Ces prédictions ont été avancées par l’Imperial College de Londres, une institution globaliste qui a créé les modèles complexes de mandat et de confinement que les nations du monde entier utilisent maintenant pour contrôler le public. Leurs modèles étaient si complètement faux qu’ils sont déconcertants pour quiconque connaît la théorie statistique ou la gestion médicale.

Il s’avère que le taux de mortalité lié à la Covid-19 est de seulement 0,26% des personnes infectées (il n’a jamais été de 3%) et nous le savons depuis longtemps. Les patients des maisons de retraite souffrant de maladies préexistantes représentent environ 40 % de tous les décès. Plus de 80 % des décès concernent des personnes âgées de plus de 65 ans. Et, selon le CDC, au moins 30 % de toutes les hospitalisations du à la Covid-19 étaient dues à des complications liées à une obésité sévère.

Donc, si vous n’avez pas plus de 65 ans et que vous n’êtes pas un gros tas de graisse dégoûtant, vous n’avez pas grand-chose à craindre des statistiques sur la Covid-19. Si vous avez plus de 65 ans et que vous êtes gros, vous avez environ 0,26 % de chances de mourir si vous êtes infecté. Si vous avez plus de 65 ans, que vous êtes gros et que vous vivez dans une maison de retraite, alors vous devriez peut-être vous inquiéter.

En résumé, le virus de la Covid-19 ne constitue pas une menace pour la grande majorité des gens, mais il existe un grand groupe d’obsessionnels qui semblent vouloir en avoir peur de toute façon, ou qui veulent simplement que nous ayons peur.

La vertu ostentatoire  autour des vaccins est de plus en plus bizarre. On trouve de nombreuses vidéos sur YouTube, des vidéos sur TikTok, des articles et des messages sur les médias sociaux de personnes qui proclament avec suffisance leur statut de « jab« , comme si elles venaient d’être touchées par la main de Dieu en tant qu’élues. En outre, l’idolâtrie de fraudeurs médicaux comme le Dr Anthony Fauci est digne d’intérêt. Si vous ne me croyez pas, vous pouvez voir quelques exemples ci-dessous :

https://www.youtube.com/embed/RAbPBW8vqN0?feature=oembed

Il semble que les SJWs essaient vraiment de normaliser les vaccins Covid en fabriquant un consensus. Si tout le monde le fait, vous risquez d’être exclu et isolé de la foule, et c’est une idée effrayante, non ?

Peut-être que je lis trop d’informations dans cette affaire, mais je détecte un sérieux désespoir derrière ce mouvement d’astro-turfing contre les « anti-vaccins ». Personne n’écoute le culte de l’Éveil, personne ne les aime et personne ne leur fait confiance pour être informés ou honnêtes dans leur agenda. Pourtant, ils exercent un pouvoir considérable dans notre société parce qu’ils sont soutenus par les gouvernements et les grandes entreprises. Leur relation avec l’establishment est symbiotique.

Cela ne veut pas dire qu’aucune de ces personnes n’est consciente de l’agenda sous-jacent. L’état d’esprit qui se cache derrière les signaux de vertu des vaccins peut être attribué à certaines fragilités de base dont souffre le gauchiste moyen :

Premièrement, ils ont l’habitude de compter sur le gouvernement et le système en général pour leur procurer un sentiment de normalité. En d’autres termes, ils vénèrent le vaccin Covid en partie parce qu’ils le considèrent comme leur ticket pour apaiser le gouvernement et avoir accès à certains conforts. Malheureusement, ils ne réalisent pas que ces conforts peuvent être conquis à tout moment s’ils n’étaient pas aussi lâches.

Dans mon comté, les résidents ont ignoré les mandats Covid pendant la majeure partie de l’année dernière. Personne ne porte de masque. Personne n’utilise la distanciation sociale. Et plus de 70 % de la population n’est pas vaccinée. La conséquence ? Seulement 17 décès l’année dernière, dont la plupart étaient des personnes avec des conditions préexistantes, et nous avons été libres tout ce temps parce que nous avons choisi de l’être.

Deuxièmement, les gauchistes argumentent toujours à partir de la position de « la majorité », même lorsqu’ils ne sont pas la majorité. La Covid-19 est un outil, comme un pied de biche psychologique utilisé pour faire levier sur la conformité, parce que la présomption est que c’est une menace pour tout le monde. Et, si tout le monde est menacé par le même croque-mitaine, alors tout le monde fait partie du même monolithe, du même collectif. Et si tout le monde fait partie du même collectif, alors tout le monde doit combattre ce croque-mitaine ensemble, dans l’unité. Si vous ne travaillez pas avec le collectif, cela signifie que vous travaillez contre le collectif.

« Nous vivons dans une société », crachent et ricanent les gauchistes avec arrogance, « ce qui signifie que vous devez faire ce que NOUS disons être le mieux pour tout le monde ».

Comme je l’ai déjà expliqué en détail ci-dessus, la Covid-19 n’est pas une menace pour tout le monde. Ce n’est même pas une menace pour plus de 0,26% des gens. Nous ne « vivons PAS dans une société », du moins, nous ne vivons pas dans leur société ou sous leurs règles. Ils ne se soucient pas de sauver des vies, c’est juste l’excuse dont ils ont besoin pour exercer un contrôle. Le contrôle est ce qu’ils désirent le plus.

Comment puis-je le savoir ? Regardez l’effervescence qui entoure l’existence même des militants anti-confinements et des « anti-vaccins ». Regardez combien ils parlent de nous. Ils ne peuvent pas s’en empêcher. Pourquoi ces gens se soucient-ils tant de savoir si nous prenons ou non le vaccin ? S’il fonctionne réellement, alors ils sont parfaitement à l’abri de nous, et lorsque nous mourrons tous d’une mort horrible à cause de la Covid-19, ils pourront dire « nous vous l’avions dit ».

Ce qu’ils craignent vraiment, c’est que nous ayons raison et qu’ils aient tort. La science est certainement de notre côté et l’a été pendant toute la durée de la pandémie. L’OMS avait tort, le CDC avait tort, l’Imperial College of London avait tort. Les militants anti-confinement étaient plus proches de la vérité que tous ces acteurs réunis. Il a été prouvé que les masques étaient inutiles. Il a été prouvé que les confinements étaient inutiles. Les prévisions du taux de mortalité se sont avérées très exagérées. Et, maintenant, la nécessité même des vaccins est remise en question.

En ce qui concerne le récent récit des médias grand public, nous pouvons tirer quelques conclusions : Tout d’abord, le déploiement des vaccins ne se déroule pas comme prévu. Chaque jour, les médias sont inondés d’articles sur « l’hésitation à se faire vacciner » et sur ce que le gouvernement doit faire pour y remédier. Cela me fait dire que beaucoup trop d’Américains refusent de se faire vacciner et que la propagande est donc poussée à son paroxysme.

Je soupçonne que la vertu ostentatoire du vaccin fait partie de cette campagne, ou du moins qu’il est encouragé par l’establishment. Ne voulez-vous pas être du bon côté de l’histoire ? Ne voulez-vous pas être du « côté qui se soucie des gens » ? Ou voulez-vous être du « côté égoïste », du côté qui veut tuer la grand-mère, du côté qui est raciste, sexiste, méchant et répugnant ?

Une autre conclusion facile que nous pouvons tirer des médias est que ce problème ne va pas disparaître et que l’establishment a l’intention d’insister si nous continuons à le défier. Par le passé, j’ai vu la suggestion de la « force » être abordée avec précaution, mais récemment, le discours est devenu plus agressif. Le mot « force » apparaît plus souvent. Les médias cherchent à nous rappeler qu’en vertu de cette loi, l’établissement pourrait nous obliger à nous faire vacciner. Le message ? Autant se faire vacciner maintenant pour éviter tout désagrément plus tard.

Nous savons tous que cela finira par une guerre, mais les élites ont besoin d’une proportion énorme de personnes favorables au mandat pour soumettre efficacement les individus épris de liberté. Ils ne l’ont pas et ça se voit.

Les adhérents à l’Éveil voient toute cette même propagande tous les jours ; ils entendent le message haut et fort : le système indique que les vaccins seront obligatoires, que ce soit par mandat gouvernemental ou par exigence des entreprises. Alors, les gauchistes se démènent pour montrer leur allégeance à leur dieu (l’État), et ils agissent comme de bons petits fantassins pour gagner des points de vertu supplémentaires.

Il existe de nombreuses raisons de ne pas accepter un vaccin expérimental, certaines d’entre elles étant scientifiques et d’autres fondées sur des principes. Je voudrais simplement souligner que de nombreux virologues se sont prononcés sur la sécurité de ces vaccins, y compris un ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, qui, avec ses pairs, a conclu que PERSONNE ne devrait accepter les vaccins à ARNm tant que des tests supplémentaires n’ont pas été effectués, faute de quoi il existe un risque considérable d’effets à long terme sur la santé, notamment des troubles auto-immunes et d’infertilité.

La promotion de la thérapie génique à ARNm est essentiellement un essai expérimental géant utilisant les masses comme sujets d’essai involontaires. Nous n’avons vraiment aucune idée de ce que seront les conséquences au bout du compte, mais j’ai le sentiment que d’ici quelques années, nous verrons les résultats et qu’ils ne seront pas beaux à voir. Ce n’est pas pour rien que les gouvernements font en sorte qu’il soit légalement impossible de poursuivre les fabricants de vaccins pour leurs effets secondaires.

Au-delà des nombreux problèmes de santé, il y a le problème de l’incrémentalisme. Une seule vaccination ne représente peut-être pas une grande menace. C’est peut-être un pari qui ne se termine pas si mal pour la plupart des gens. Mais qu’en est-il de la prochaine ? Et la suivante ? Qu’en est-il des 20 prochains vaccins ? Il y a maintenant une demi-douzaine de mutations différentes du virus de la Covid-19 qui sont mentionnées par le gouvernement et les médias comme étant potentiellement résistantes aux vaccins actuels et plus dangereuses que la première itération du virus.

Il s’agit sûrement d’un mensonge, mais cela montre bien que les mandats sont destinés à durer éternellement. Si nous les acceptons maintenant, ils ne prendront jamais fin. Ce n’est pas parce que vous êtes vacciné aujourd’hui que vous serez libre demain.

Et, avec chaque nouveau vaccin, surgit le spectre des passeports vaccinaux. Et avec les passeports vaccinaux surgit le spectre d’une micro-gestion gouvernementale complète de la vie des gens. Bien sûr, vous pouvez choisir de ne pas vous faire vacciner, mais le système va s’assurer que vous en souffriez jusqu’à ce que vous ne puissiez plus survivre sans le vaccin. Le vaccin est un tremplin vers la tyrannie déguisé en empathie et en devoir envers votre communauté.

Le culte de l’Éveil adore ce genre d’environnement, cependant. C’est le type de grotte sombre et gluante dans laquelle ils aiment se nicher. Le besoin de contrôler les autres est une aberration, une déficience mentale commune aux psychopathes, mais dans le nouveau monde, les maniaques du contrôle trouvent une justification et ont le champ libre. L’ironie frappante ici est que ces personnes aiment contrôler, mais elles aiment aussi ÊTRE contrôlées. Elles trouvent confort et sécurité dans leurs chaînes. Le monde est un endroit effrayant, et pour y être indépendant, il faut du courage, de la force mentale et la volonté d’apprendre de ses erreurs afin de gagner en sagesse et en expérience.

Les platitudes et les pontificats de la foule gauchiste sont une tentative d’éviter les tribulations de la vie réelle ; leur soumission à l’État, aussi douteux ou mauvais soit-il, est une tentative de se sentir à l’abri de leurs propres peurs irrationnelles, de leurs faiblesses et de leurs insuffisances. Comme l’a dit un jour l’auteur Robert Anton Wilson :

Les obéissants se considèrent toujours comme des vertueux plutôt que des lâches.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone