Comment la démocratie a été détournée de son but

Comment la démocratie a été détournée de son but par des salopards (en étant gentil)

Par Alain Nicolaï

En république, les élections présidentielles donnent l’occasion au peuple d’élire le chef de l’état pour une période déterminée. En théorie, celui-ci doit en retour œuvrer pour le bien de tous. Le coronacircus a démontré aux yeux des personnes sensées, des personnes qui réfléchissent en mettant les faits en connexion rationnellement que ce n’était malheureusement pas le cas.

Voici ce que dit à ce propos Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer :



Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, lance un dernier avertissement. Les mensonges des gouvernement cachent quelque chose. Restez à l’écart des vaccins expérimentaux. Réagissez avant qu’il ne soit trop tard.

Source : https://www.brighteon.com/e1caeb15-7d67-4ba0-9af9-02e8df3d7f98

Voir aussi :

▪ Mike Yeadon sonne l’alerte du pass sanitaire : 
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/YeadonSenta:d
▪ « Si j’ai raison, nous sommes en pleine 3ème guerre mondiale » : 
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/YeadonFS:a
▪ L’ancien vice-président de Pfizer déclare à RFK Jr. que les jeunes gens en bonne santé ne devraient pas être contraints de prendre des vaccins  » expérimentaux  » : 
https://childrenshealthdefense.org/defender/dr-mike-yeadon-rfk-jr-the-defender-podcast-safety-mrna-vaccine-technology/

Nous sommes face à une attaque d’une ampleur inégalée, nous avons donné le pouvoir à des personnes qui nous trahissent pour des intérêts privés. Nous avons donné le pouvoir à des personnes qui préfèrent œuvrer pour les profits des multinationales et de la finance : nous nourrissons en notre sein des vipères.

[Illustration : Allégorie révolutionnaire montrant Voltaire et Rousseau sous l’œil de Dieu (1794)]




Poutine donne une leçon à un journaliste et autres infos sur le vol Ryanair 4978

[Source : Le Saker Francophone]

[Illustration : Wikimedia Commons]

Par Moon of Alabama

Il y a quelques nouveaux éléments concernant le vol Ryanair 4978 qui, le 23 mai, a atterri en Biélorussie après avoir reçu une alerte à la bombe. Récapitulons :

Le 23 mai, une alerte à la bombe contre un vol Ryanair reliant la Grèce à la Lituanie a été envoyée par courriel aux aéroports et aux autorités de Lituanie, de Biélorussie et de Grèce. On ne sait pas qui a envoyé le courriel. ...

Le contrôle du trafic aérien du Belarus, dans l'espace aérien duquel l'avion volait à ce moment-là, a contacté le pilote, l'a informé de la menace et lui a recommandé d'atterrir à Minsk. Le pilote a contacté la direction de Ryanair et a ensuite décidé de suivre le conseil. L'avion a atterri à 10:15 utc (13:15 heure biélorusse), les passagers ont débarqué et une longue fouille a été effectuée. Aucune bombe n'a été trouvée. ...

Les passagers ont dû passer par le contrôle des passeports. Deux passagers faisant l'objet de mandats d'arrêt non exécutés ont été placés en détention. Les autres passagers ont repris l'avion vers leur destination initiale. ...

Une heure après l'atterrissage de l'avion, [l'activiste cherchant à changer le régime] Frank Viacorka, qui est suivi par de nombreux "blueticks" sur Twitter, a présenté un récit de l'incident qui s'éloignait fortement de la réalité, mais qui a permis de relancer le programme de changement de régime qui était au point mort. ...

Le tweet largement partagé et ceux qui l'ont suivi impliquaient que le gouvernement bélarusse avait détourné l'avion pour arrêter un autre activiste cherchant à changer le régime, Protasevich.

Lorsque l'on examine les détails de l'affaire, il devient vite évident que ce récit est faux.

Les médias « occidentaux » continuent de raconter ce faux récit. Il a conduit, comme l’espéraient ses initiateurs, à l’introduction de nouvelles sanctions contre le Bélarus.

L’affaire est revenue sur le tapis lors d’une récente interview du président russe par la NBC. La transcription et la vidéo sont disponibles ici :

Keir Simmons : Passons à la Biélorussie et à l'Ukraine, deux questions qui seront certainement abordées lors de votre sommet avec le président Biden. Saviez-vous à l'avance qu'un avion de ligne serait contraint d'atterrir en Biélorussie et qu'un journaliste serait arrêté ?

Vladimir Poutine : Non, je n'étais pas au courant. Je ne savais rien d'aucun avion de ligne. Je n'étais pas au courant des personnes qui ont été détenues là-bas par la suite. Je l'ai appris par les médias. Je ne savais pas, je n'avais pas la moindre idée des personnes détenues. Je n'en sais rien. Cela ne nous intéresse pas.

Keir Simmons : Vous semblez l'avoir approuvé à en juger par votre rencontre avec le président Lukashenko peu après.

Vladimir Poutine : Non pas que je l'approuve. Non pas que je la condamne. Mais, bon, c'est arrivé. Je l'ai dit récemment lors d'une conversation avec un collègue européen, la version de M. Loukachenko est que des informations leur avaient été données selon lesquelles il y avait un engin explosif à bord de l'avion. Ils ont informé...

Keir Simmons : Et vous croyez ça ?

Vladimir Poutine : ...le pilote sans le forcer à atterrir. Et le pilote a pris la décision d'atterrir à Minsk. C'est tout. Pourquoi ne devrais-je pas le croire ? Demandez au pilote. C'est la chose la plus simple. Demandez au capitaine de bord. Demandez au commandant de l'avion. Lui avez-vous demandé s'il a été forcé d'atterrir ? Parce que je n'ai pas entendu ni vu d'interview avec le commandant de l'avion qui a atterri à Minsk. Pourquoi ne pas lui demander ? Pourquoi ne pas lui demander s'il a été forcé d'atterrir ? Pourquoi ne pas lui demander ? En fait, c'est même étrange. Tout le monde accuse Lukashenko, mais le pilote n'a pas été interrogé. ...

Vladimir Poutine : Oui. Ecoutez, je vais vous le répéter. Ce que le président Loukachenko m'a dit, je n'ai aucune raison de ne pas le croire. Pour la troisième fois, je vous le dis : Demandez au pilote. Pourquoi ne pas demander au pilote. Était-il...

Keir Simmons : Mais vous...

Vladimir Poutine : ...avait-il peur ? Était-il menacé ? A-t-il été contraint ? Le fait que des informations soient apparues selon lesquelles il y avait une bombe dans l'avion, que des individus, des personnes qui n'avaient rien à voir, qui étaient des passagers, qui n'avaient rien à voir avec la politique ou tout type de conflits intérieurs, qu'ils puissent le percevoir négativement, s'en inquiéter, bien sûr que c'est une mauvaise chose. Il n'y a rien de bon dans tout cela. Et évidemment, nous condamnons tout ce qui a trait à cela, et au terrorisme international, et à l'utilisation d'avions. Bien sûr, nous sommes contre cela. ...

Poutine a raison de souligner que les médias « occidentaux » n’ont fait aucun effort pour examiner réellement l’affaire. Ils pourraient s’adresser au pilote et au copilote ainsi qu’à Ryanair et leur demander ce qui s’est réellement passé.

Mais Poutine se trompe en suggérant que les pilotes n’ont pas été interrogés du tout. Après l’atterrissage de l’avion à Vilnius, le pilote a été interrogé par la police lituanienne :

Parmi les personnes interrogées figure le commandant de bord de l'avion qui "a pris la décision [de changer de cap vers Minsk] après avoir consulté la direction de Ryanair", selon [Rolandas Kiškis, chef du bureau de la police criminelle].

La transcription incontestée du trafic radio entre le pilote et le contrôle du trafic aérien bélarusse prouve qu’il n’y a eu aucune menace ou ordre des autorités de faire atterrir l’avion. La tour de contrôle a recommandé de se dérouter vers Minsk en raison de l’alerte à la bombe. Le pilote a communiqué avec sa compagnie aérienne et a ensuite suivi les conseils de la tour.

Le fait que celui qui interroge Poutine sur NBC ne soit pas au courant de ces faits le disqualifie en tant que journaliste.

Deux activistes « occidentaux » rémunérés qui avaient œuvré pour un changement de régime au Bélarus se trouvaient sur le vol Ryanair. Roman Protasevich et sa petite amie Sofia Sapega étaient sous le coup de mandats d’arrêt. Ils ont été arrêtés après l’atterrissage de l’avion à Minsk. Une chaîne de télévision bélarusse a réalisé un documentaire (vidéo) sur l’affaire des alertes à la bombe. On y voit que ces deux personnes ont quitté l’avion comme tous les autres passagers et n’ont été arrêtés qu’au moment de passer le contrôle douanier. On y voit également le premier entretien de Protasevich avec la police. Dans une autre interview de 90 minutes (vidéo) de Protasevich avec un journaliste de la télévision bélarusse, il crache le morceau sur l’opposition financée par l’« Occident ».

Hier, le ministère des affaires étrangères du Bélarus a donné une conférence de presse sur le sujet. Protasevich était également présent pour répondre aux questions. Sa partie est à la 45eme minutes dans la vidéo de la conférence de presse.

Les journalistes de la BBC présents à la conférence de presse ont quitté la salle car ils ont supposé que la présence de Protasevich n’était pas volontaire. Protasevich lui-même conteste fortement cette affirmation. Comme dans les précédentes vidéos de lui, il n’y a aucun signe dans son attitude ou son engagement qui me ferait croire qu’il a été contraint.

La conférence de presse avait pour but de clarifier plusieurs affirmations erronées trouvées dans les médias « occidentaux ». L’une d’entre elles était la suivante :

Asta Skaisgirytė, principal conseiller en politique étrangère du président lituanien Gitanas Nauseda, a déclaré dimanche que la Biélorussie avait fait décoller deux avions militaires - un avion de chasse MiG-29 et un hélicoptère Mi-24 - pour détourner l'avion civil de passagers vers Minsk.

Lors de la conférence de presse, le porte-parole militaire explique que l’hélicoptère n’avait rien à voir avec le vol Ryanair, car il volait beaucoup plus bas et plus lentement et n’avait aucune chance de s’en approcher. Le MIG-29 n’a décollé qu’après que le vol Ryanair a lancé un MAYDAY et décidé d’atterrir à Minsk. Le MIG se trouvait à ce moment-là à des centaines de kilomètres de l’avion de Ryanair et la distance la plus proche qu’il ait pu franchir était de 55 kilomètres lorsque l’avion de Ryanair a atterri à Minsk.

Suit une partie sur un conflit frontalier autour de l’immigration illégale entre le Belarus et la Lituanie. Après cela, l’enquêteur principal de l’affaire discute des crimes dont Protasevich et Sapega sont accusés. Il indique également que Protonmail, la société suisse par laquelle le courriel d’alerte à la bombe a été envoyé, n’a pas coopéré avec les autorités biélorusses dans cette affaire et dans les affaires précédentes.

Suivent ensuite des questions adressées à Protasevich lui-même. La première question porte sur l’affirmation d’une chaîne d’opposition sur Telegram selon laquelle le président Loukachenko serait apparu dans sa prison et aurait personnellement battu Protasevitch.

Protasevich répond que ce n’est pas sérieux. Il explique les marques sur ses poignets que l’on pouvait voir lors de sa dernière interview. Il explique que lorsqu’il a été arrêté, la police de l’aéroport n’avait pas de menottes et a utilisé des serre-câbles en plastique à la place. Celles-ci lui ont entaillé la peau.

Il affirme qu’il n’a pas été blessé du tout et qu’il est en pleine santé. Il demande à ses anciens camarades de l’opposition biélorusse de ne pas répandre de rumeurs à son sujet. Il craint que ses parents, qui se trouvent en Pologne, ne soient induits en erreur sur sa situation. Lorsqu’on l’interroge sur l’oligarque russe qui, selon lui, a financé une partie de l’opposition, il répond qu’il ne se souvient pas du nom de cet homme.

Merci à Elena Evdokimova d’avoir traduit les détails ci-dessus.

Dans son article sur l’apparition de Protasevich à la conférence de presse, le New York Times fait plusieurs affirmations erronées. Il affirme que Protasevich « a été traîné hors d’un vol Ryanair avec sa petite amie, Sofia Sapega, il y a trois semaines par des agents de sécurité biélorusses ».

Le documentaire sur le vol montre, à 20:20 min et à 25:45 min, que ce ne fut pas le cas. Aucune police n’est montée à bord. Les passagers, dont Protasevich et Sapega, quittent l’avion un par un avec leurs bagages à main. Des chiens renifleurs de bombes contrôlent ensuite les bagages et les passagers montent dans un bus pour être conduits au terminal.

26:53 min le documentaire montre Protasevich avec un masque noir et un sac à dos militaire dans le terminal en train d’attendre pour passer le contrôle des passeports.

Le New York Times affirme également :

Les autorités biélorusses avaient promis de fournir de nouveaux détails dans leur histoire sur comment et pourquoi le vol Ryanair a été forcé à atterrir après avoir pénétré dans l'espace aérien du pays lors d'un vol vers la Lituanie depuis la Grèce.

Le vol Ryanair n’a pas été « forcé à atterrir » et à aucun moment les autorités biélorusses n’ont proposé de fournir des détails sur un tel événement. Elles ont fourni des détails sur un avion qui a fait l’objet d’une alerte à la bombe et qui s’est dérouté vers Minsk après que le pilote a volontairement décidé de le faire.

L’émission de la BBC sur la conférence de presse est également rempli de contre-vérités et de propagande :

Contredisant carrément les comptes-rendus indépendants de ce qui s'est passé, le chef de l'armée de l'air biélorusse, Igor Golub, a déclaré lors de la conférence de presse : "Il n'y a pas eu d'interception, pas de détournement forcé vers la frontière de l'État ni d'atterrissage forcé de l'avion de Ryanair."

Que sont, s’il vous plaît, ces « récits indépendants de ce qui s’est passé » à part quelques tweets sans fondements publiés par des activistes qui veulent changer le régime, comme Frank Viacorka ; tweets complètement contredits par les preuves et les faits bien documentés ?

Moon of Alabama

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone




La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE

Source : NaturalNews.com

[Traduction : numidia-liberum.blogspot.com]

Par : Mike Adams

Le culte mondial du suicide par vaccin est bien réel, et c’est un produit de l’hypnose de masse combinée à un désir généralisé d’auto-annihilation. Poussés jusqu’à la folie par la culture folle et le terrorisme psychologique des médias grand public, de nombreuses personnes cherchent maintenant, consciemment ou inconsciemment, à mettre fin à leurs propres vies — les suicides dans le monde ont monté en flèche depuis le début des blocages de covid — et maintenant ils sont tombés sur leur solution finale : Le vaccin covid.

Heaven’s Gate était une secte californienne qui a pris fin dans les années 1990 lorsque presque tous ses membres se sont suicidés après avoir cru que leur chef — un homme nommé Applewhite — les amènerait au salut.

De la même manière que les membres de la secte de Heaven’s Gate pensaient qu’ils pourraient atteindre l’ascension et s’élever au-dessus de l’humanité en consommant du poison qui, selon eux, les téléporterait vers un « vaisseau mère extraterrestre » qui les attendait de l’autre côté de la comète de Haley, les sectateurs du vaccin-suicide d’aujourd’hui croient qu’ils peuvent atteindre l’ascension en s’injectant une arme biologique mortelle qui les transformera en un être humain « libre » et leur donnera un statut VIP dans la société (grâce à leurs passeports vaccinaux).

De la même manière que les cultistes de Heaven’s Gate se sont suicidés à la recherche d’une ascension vers un faux dieu, les adorateurs des vaccins d’aujourd’hui se tuent en rendant hommage au faux dieu de la « science ». Et le résultat sera le même : mort de masse et illusions brisées.

Je crois que la plupart des gens qui prennent le vaccin, à un certain niveau, savent qu’il est potentiellement mortel, mais ils accueillent favorablement la possibilité d’auto-annihilation parce que c’est bien mieux que l’alternative, qui est d’être ostracisé par la société et rejeté par leurs pairs. La plupart des gens préfèrent mourir que d’être rejetés, et les propagandistes du vaccin paient donc les « influenceurs » des médias sociaux, les célébrités et les fausses figures d’autorité pour tenter d’assimiler l’obéissance au vaccin à l’acceptation sociale.

Cela s’attaque aux faibles qui définissent leur propre valeur par la façon dont les autres les voient (ou les acceptent). Rejeter le vaccin aujourd’hui, au milieu de toute la propagande et de la coercition, demande un acte de réelle réalisation de soi, de courage.

Ainsi, ceux qui prennent le vaccin participent littéralement à un grand culte mondial du suicide qui se déroule avec l’hypnose de masse, le lavage de cerveau et l’ingénierie sociale. Tout comme les cultistes de Heaven’s Gate, ces personnes sont plus qu’heureuses de prendre le poison et de mettre fin à leurs propres vies tant que cela signifie qu’elles ont été « acceptées » par la société dans le processus.

La raison pour laquelle je mentionne tout cela est que nous devons comprendre la psychologie tordue de ces sectateurs afin de survivre à leur suicide de masse, ce qui aura un impact même sur ceux d’entre nous qui évitent les injections d’armes biologiques. Alors que la mort massive balaie les économies et les nations, elle aura des conséquences horribles sur le fonctionnement de la société, notamment l’effondrement des lignes d’approvisionnement et des perturbations extrêmes du personnel dans des secteurs comme la finance, l’énergie, les télécommunications et l’agriculture.

Regardez cette courte vidéo [en anglais] choquante d’un professionnel des ressources humaines du secteur de l’énergie, mettant en garde contre la façon dont les grandes entreprises pétrolières envisagent déjà des stratégies de « remplacement » pour remplacer leurs propres cadres qui ont été vaccinés. « Planification de la relève » est ce qu’on appelle, et selon cette femme, les dirigeants du secteur pétrolier s’attendent à ce qu’environ la moitié de ceux qui ont pris le vaccin meurent dans les années à venir.




[Voir aussi :
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Dernier appel avant embarquement pour suicide collectif
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie]




Israël : fin de l’obligation du port du masque dans les lieux publics fermés

[Source : BFMTV via yahoo.com]

[Illustration : Des touristes vaccinés arrivent à l’aéroport de Tel-Aviv, le 23 mai 2021 en Israël – JACK GUEZ © 2019 AFP]

À partir de mardi, l’obligation de porter un masque dans les lieux publics fermés va être levée en Israël.

Israël a annoncé lundi soir la fin imminente de l’obligation de porter un masque dans les lieux publics fermés, une des dernières mesures en vigueur dans l’Etat hébreu dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid-19.

« L’obligation de porter un masque est annulée à partir du mardi 15 juin », a annoncé le ministère de la Santé dans un communiqué.

Israël a assoupli début juin les restrictions sanitaires pour ses habitants mais maintient encore des mesures drastiques pour les visiteurs arrivant de l’étranger.

Les restrictions déjà assouplies dans le pays

L’Etat hébreu reste fermé aux non-ressortissants, à l’exception de ceux disposant de dérogations pour motif professionnel ou familial impérieux. 

Une quatorzaine, qui peut toutefois prendre fin dès le résultat d’un test sérologique prouvant vaccination ou immunité suffisante, est imposée à tout voyageur arrivant dans le pays.

Israël a lancé fin décembre une vaste campagne de vaccination à la faveur d’un accord avec le géant pharmaceutique Pfizer qui lui a livré des millions de doses en échange de données sur les effets de la vaccination dans ce pays qui dispose de banques de données médicales numérisées sur sa population.

55% de la population complètement vaccinée

Plus de cinq des 9,3 millions d’Israéliens (55% de la population) ont reçu les deux doses du vaccin.

Plus de 839.000 personnes ont été contaminées en Israël depuis le début de la pandémie, dont seulement trois ces dernières 24h, et 6.428 sont décédées, selon les chiffres du ministère de la Santé. Actuellement, 205 Israéliens sont malades dont 53 sont hospitalisés.




Ces médecins et scientifiques devenus milliardaires grâce au COVID-19

[Source : Strategika]

Par Giacomo Tognini

source : forbes.fr – en illustration : Stéphane Bancel, Sergio Stevanato et Uğur Şahin. Image réalisée par Forbes ; BERTRAND GUAY/AFP/GETTY IMAGES; STEVANATO GROUP; ANDREAS ARNOLD/DPA/GETTY IMAGES

En 2020, de nouveaux milliardaires ont émergé, leur fortune propulsée par une hausse des marchés boursiers.

Au total, Forbes a trouvé 50 nouveaux milliardaires dans le secteur de la santé en 2020. Les nouveaux milliardaires les plus remarquables de l’année sont les scientifiques à l’origine des deux vaccins les plus efficaces contre le coronavirus – l’un mis au point par Pfizer et la société allemande de biotechnologie BioNTech, l’autre par la société Moderna, basée dans le Massachusetts – qui ont vu leurs avoirs nets monter en flèche depuis janvier : Uğur Şahin et Stéphane Bancel.

Pratiquement inconnus au début de l’année 2020, ces deux hommes sont aujourd’hui milliardaires. Le PDG de BioNTech Uğur Şahin, qui a cofondé l’entreprise avec Özlem Türeci, son épouse et le médecin-chef de l’entreprise, possède aujourd’hui une fortune de 4,2 milliards de dollars (plus de 3,3 milliards d’euros) ; son homologue français chez Moderna, Stéphane Bancel, a uOKne fortune presque égale, dépassant légèrement les 3,3 milliards d’euros également. L’ascension fulgurante de Moderna a également entraîné l’arrivée de deux autres milliardaires parmi ses premiers investisseurs, le professeur Timothy Springer de Harvard et le scientifique Robert Langer du MIT. Ces vaccins nécessiteront des milliards de flacons en verre pour être transportés en toute sécurité – entrez dans le monde de l’Italien Sergio Stevanato, nouveau milliardaire et actionnaire majoritaire du groupe privé Stevanato, qui fabrique des flacons en verre pour plusieurs dizaines de projets de vaccins dans le monde.

Il ne s’agit pas seulement de vaccins : les entreprises qui développent des traitements à base d’anticorps et des médicaments pour aider les médecins à combattre le virus ont également bénéficié de la frénésie du marché. Carl Hansen, PDG de la société canadienne de biotechnologie AbCellera, a aujourd’hui une fortune élevée à 2,9 milliards de dollars (2,4 milliards d’euros) suite à l’entrée en bourse de sa société le 11 décembre, soutenue par la Food and Drug Administration, le mois dernier, pour son traitement à base d’anticorps développé avec le géant pharmaceutique Eli Lilly. Même les sociétés qui travaillent dans l’ombre pour aider les grandes entreprises à tester de nouveaux médicaments et appareils ont vu le cours de leurs actions atteindre de nouveaux sommets. August Troendle, fondateur et PDG de Medpace, société de recherche sous contrat basée à Cincinnati, voit désormais sa fortune s’élever à 1,3 milliard de dollars (1,1 milliard d’euros) grâce à une hausse de près de 70 % des actions de la société depuis le début de l’année.

Les nouveaux magnats sont originaires de 11 pays différents, mais la majorité d’entre eux vivent en Chine, l’épicentre de la Covid-19, qui accueille aujourd’hui une trentaine de nouveaux milliardaires du secteur de la santé, dont le principal est Hu Kun, le président du fabricant d’équipements médicaux Contec Medical Systems, qui est entré en bourse à Shenzhen en août. Les actions de la société ont augmenté de près de 150 % depuis son introduction en bourse, grâce aux fortes ventes à l’étranger de produits allant des oxymètres de pouls aux appareils pulmonaires, tous devenus plus nécessaires avec la propagation de la Covid-19 dans le monde entier.

Voici les 10 nouveaux milliardaires les plus remarquables en lien avec la lutte contre la pandémie, suivis par les 40 autres milliardaires de la santé qui ont fait leur apparition en 2020 :

Uğur Şahin

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Uğur Şahin. DPA/Picture Alliance via Getty Images

Valeur nette : 4,2 milliards de dollars (3,4 milliards d’euros)

Nationalité : allemande

Source de richesse : BioNTech

Ce médecin d’origine turque a fondé BioNTech à Mayence en 2008 avec son épouse, Özlem Türeci, qui est la directrice médicale de la société. Uğur Şahin détient environ 17% des actions de la société. Les actions de BioNTech ont augmenté de 160% depuis janvier grâce au succès de son vaccin contre la Covid-19, développé en partenariat avec Pfizer, déclaré par la FDA américaine comme étant efficace à 95%. Les premières doses ont été mises en circulation au Royaume-Uni le 8 décembre et aux États-Unis le 14 décembre, d’autres doses étant réservées à l’Union européenne, au Japon et au Canada, entre autres. Avant de lancer BioNTech, Uğur Şahin et son épouse ont fondé la société biopharmaceutique Ganymed Pharmaceuticals en 2001, qu’ils ont vendue à la société japonaise Astellas Pharma pour environ 460 millions de dollars (373 millions d’euros) en 2016.

Stéphane Bancel

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Stéphane Bancel. Getty Images

Valeur nette : 4,1 milliards de dollars (3,3 milliards d’euros)

Nationalité : française

Source de richesse : Moderna

La français Stéphane Bancel est devenu PDG de la société Moderna, basée dans le Massachusetts, en 2011, après avoir quitté son précédent poste de PDG de la société française de diagnostic BioMérieux. Il détient actuellement environ 6 % de Moderna, contre environ 9 % lorsqu’il est devenu milliardaire en mars, après avoir vendu plus d’un million d’actions, le titre de la société ayant augmenté de plus de 550 % depuis le début de l’année. Le 18 décembre, le vaccin Covid-19 de Moderna, avec une efficacité à 95 %, a été le deuxième à être approuvé par les autorités de réglementation aux États-Unis après le vaccin Pfizer-BioNTech. Les États-Unis ont commandé 200 millions de doses avec une option pour 300 millions de doses supplémentaires.

Yuan Liping

Valeur nette : 4,1 milliards de dollars (3,3 milliards d’euros)

Nationalité : canadienne

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Yuan Liping possède 24% de parts de l’un des principaux producteurs de vaccins chinois, Shenzhen Kangtai Biological Products, après son divorce du président (et camarade milliardaire) de la société Du Weimin en juin. La scission a instantanément fait de la résidente de Shenzhen la femme la plus riche du Canada. Les actions de Kangtai ont augmenté de 90 % depuis le début de l’année 2020. Elle a travaillé dans l’entreprise de 2012 à 2015 en tant que manager et directrice et est directrice d’une filiale de Kangtai, Beijing Minhai Biotechnology, depuis mars 2017. Kangtai est le fabricant chinois exclusif du vaccin développé par AstraZeneca et l’Université d’Oxford, avec un accord pour produire 200 millions de doses, mais la société a un passé mouvementé : en 2013, son vaccin contre l’hépatite B a été lié à la mort de 17 nourrissons, mais une enquête gouvernementale n’a pas abouti et les critiques auraient fait pression pour que les articles négatifs soient retirés.

Hu Kun

Valeur nette : 3,9 milliards de dollars (3,2 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Équipement médical

Hu Kun est le président de Contec Medical Systems, un fabricant d’équipements médicaux basé dans la ville portuaire de Qinhuangdao, au nord-est de la Chine. Il a fait entrer la société à la bourse de Shenzhen en août et possède près de la moitié des actions, qui ont augmenté de près de 150 % depuis l’introduction en bourse. La société tire plus de 70 % de ses revenus de l’étranger et fabrique une gamme de produits médicaux pour les hôpitaux, notamment des nébuliseurs, des stéthoscopes et des tensiomètres.

Carl Hansen

Valeur nette : 2,9 milliards de dollars (2,3 milliards d’euros)

Nationalité : canadienne

Source de richesse : AbCellera

Carl Hansen est le PDG et le cofondateur d’AbCellera, une entreprise de biotechnologie basée à Vancouver qui utilise l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique pour identifier les traitements par anticorps les plus prometteurs. Il a fondé la société en 2012. Jusqu’en 2019, il a également travaillé comme professeur à l’université de Colombie-Britannique, mais s’est consacré à plein temps à AbCellera. Cette décision semble avoir porté ses fruits, et les 23 % de parts détenues par Carl Hansen lui ont valu une place dans le club des milliardaires après l’introduction réussie d’AbCellera au Nasdaq le 11 décembre. Le gouvernement américain a commandé 300 000 doses de bamlanivimab, un anticorps qu’AbCellera a découvert en partenariat avec Eli Lilly et qui a reçu l’approbation de la FDA comme traitement Covid-19 en novembre.

Timothy Springer

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Timothy Springer. © 2018 BLOOMBERG FINANCE LP

Valeur nette : 2 milliards de dollars (1,6 milliard d’euros)

Nationalité : américaine

Source de richesse : Moderna

Immunologiste et professeur de chimie biologique et de pharmacologie moléculaire à l’université de Harvard, Timothy Springer a été l’un des investisseurs fondateurs de Moderna en 2010 lorsqu’il a investi environ 5 millions de dollars dans la jeune entreprise. Aujourd’hui, une décennie plus tard, sa participation de 3,5 % vaut environ 1,6 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros). Il est un investisseur actif dans la biotechnologie, avec de petites participations dans les sociétés cotées en bourse Scholar Rock et Morphic Therapeutic, qui sont nées de ses recherches avec des étudiants postdoctoraux de son laboratoire à Harvard. Il a gagné son premier gros salaire en 1999 lorsqu’il a vendu LeukoSite, une entreprise de biotechnologie qu’il a fondée en 1993 et qui est entrée en bourse cinq ans plus tard, à Millennium Therapeutics pour 635 millions de dollars (516 millions d’euros).

Sergio Stevanato

Valeur nette : 1,8 milliard de dollars (1,5 milliard d’euros)

Nationalité : italienne

Source de richesse : Emballages médicaux

Sergio Stevanato est le président de la société italienne d’emballage médical Stevanato Group, le deuxième producteur mondial de flacons en verre et un fournisseur important de flacons pour plus de quarante vaccins Covid-19. Fondée dans la banlieue de Venise en 1949 par Giovanni, le père de Sergio, la société est aujourd’hui dirigée par les enfants de Sergio, Franco et Marco, qui en sont respectivement le PDG et le vice-président. La société, dont le chiffre d’affaires s’élève à 700 millions de dollars (567 millions d’euros), est également le plus grand producteur mondial de stylos à insuline et fabrique des machines qui permettent de fabriquer, de stériliser et d’emballer des milliards de flacons, seringues et autres produits en verre. En juin, Sergio Stevanato a signé un accord avec la Coalition pour la préparation aux épidémies et les innovations, soutenue par la Fondation Gates, pour fournir 100 millions de flacons pour neuf vaccins Covid-19 différents. Depuis lors, la société a conclu des accords supplémentaires avec plusieurs autres fabricants de vaccins qu’elle ne peut pas divulguer publiquement.

Robert Langer

Robert Langer. Boston Globe via Getty Images

Valeur nette : 1,5 milliard de dollars (1,2 milliard d’euros)

Nationalité : américaine

 Source de richesse : Moderna

Connu sous le nom de « Edison of Medicine » pour son travail de pionnier dans le domaine du génie biomédical, Langer est professeur de génie chimique au Massachusetts Institute of Technology. Il a été l’un des investisseurs fondateurs de Moderna en 2010 et n’a jamais vendu une seule action ; ses 3 % de parts valent aujourd’hui environ 1,5 milliard de dollars (1,2 milliard d’euros). Il détient des participations plus modestes dans les start-ups biotechnologiques cotées en bourse SQZ Biotechnologies et Frequency Therapeutics, toutes deux fondées par des étudiants postdoctoraux de son laboratoire, et il détient plus de 1 400 brevets qui ont été licenciés plus de 400 fois à des entreprises pharmaceutiques et médicales.

Premchand Godha

Valeur nette : 1,4 milliard de dollars (1,1 milliard d’euros)

Nationalité : indienne

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Premchand Godha a commencé comme comptable agréé avant d’entrer dans le secteur pharmaceutique en 1975, lorsqu’il a racheté le fabricant de médicaments Ipca Labs, basé à Mumbai, en partenariat avec la famille de la superstar de Bollywood Amitabh Bachchan. La société, qui fabrique des médicaments génériques et des ingrédients pharmaceutiques, a vu son cours de bourse presque doubler cette année, en partie en raison de l’augmentation de la production et des ventes de l’hydroxychloroquine, un médicament antipaludique controversé, qui a été présenté comme un remède potentiel au début de la pandémie avant que son utilisation ne soit découragée par l’Organisation mondiale de la santé pour son faible effet sur la réduction de la mortalité due à la Covid-19.

Août Troendle

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Nationalité : américaine

Source de richesse : Services pharmaceutiques

Août Troendle est le PDG et le fondateur de la société Medpace, basée à Cincinnati, qui réalise des travaux sous contrat et des essais cliniques pour des entreprises pharmaceutiques développant des médicaments et des dispositifs médicaux. Avant de fonder Medpace en 1992 et de la rendre publique en 2016, ce médecin formé à l’université du Maryland a travaillé au développement clinique du géant pharmaceutique suisse Novartis et comme médecin examinateur à la FDA. Les laboratoires de Medpace offrent toute une gamme de services pharmaceutiques, allant de la réalisation de tests par écouvillonnage et de tests d’anticorps pour la Covid-19 pour des cliniques externes à la réalisation d’essais cliniques complexes pour des fabricants de médicaments travaillant sur de nouveaux vaccins et traitements. Forbes estime que ce milliardaire, qui possède environ 21 % des actions de Medpace, possède aujourd’hui une fortune d’environ 1,3 milliard de dollars (un peu plus d’1 milliard d’euros), ce qui fait de lui le dernier entrepreneur du secteur de la santé à rejoindre le club des milliardaires en 2020.

 Li Juanquan & sa famille

Valeur nette : 7,9 milliards de dollars (6,4 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Produits chirurgicaux

Jian Jun

Valeur nette : 4,4 milliards de dollars (3,5 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Biotech

Ye Xiaoping

Valeur nette : 4,2 milliards de dollars (3,4 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Hao Hong

Valeur nette : 3,4 milliards de dollars (2,7 milliards d’euros)

Nationalité : américaine

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Jin Lei

Valeur nette : 3,2 milliards de dollars (2,6 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Liu Fangyi

Valeur nette : 3,2 milliards de dollars (2,6 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Équipement médical

Lv Jianming

Valeur nette : 3,1 milliards de dollars (2,5 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Équipement médical

Gan Zhongru

Valeur nette : 2,8 milliards de dollars (2,3 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Weng Xianding

Valeur nette : 2,8 milliards de dollars (2,3 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Dispositifs médicaux

Chen Xiao Ying

Valeur nette : 2,7 milliards de dollars (2,2 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Informations sur la santé

Xie Juhua et sa famille

Valeur nette : 2,6 milliards de dollars (2,1 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Dai Lizhong

Valeur nette : 2,5 milliards de dollars (2 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Tests médicaux

Miao Yongjun

Valeur nette : 2,5 milliards de dollars (2 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Diagnostic clinique

Hu Gengxi & sa famille

Valeur nette : 2,3 milliards de dollars (1,9 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Biopharma

Li Zhibiao

Valeur nette : 2,3 milliards de dollars (1,9 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits de soins personnels

Lin Zhixiong & sa famille

Valeur nette : 2,1 milliards de dollars (1,7 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Dispositifs médicaux

Alberto Siccardi & sa famille

Valeur nette : 2,1 milliards de dollars (1,7 milliard d’euros)

Citoyenneté : suisse

Source de richesse : Dispositifs médicaux

Gao Yi & sa famille

Valeur nette : 2 milliards de dollars (1,6 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Lin Zhijun

Valeur nette : 2 milliards de dollars (1,6 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Dispositifs médicaux

Xie Liangzhi & sa famille

Valeur nette : 2 milliards de dollars (1,6 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Biotech

Chen Baohua

Valeur nette : 1,8 milliard de dollars (1,5 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Zhu Yiwen & sa famille

Valeur nette : 1,8 milliard de dollars (1,5 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Services de santé

Li Wenmei & sa famille

Valeur nette : 1,7 milliard de dollars (1,4 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Équipement médical

Lin Jie & sa famille

Valeur nette : 1,7 milliard de dollars (1,4 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Liu Xiucai & sa famille

Valeur nette : 1,6 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros)

Citoyenneté : américaine

Source de richesse : Produits chimiques

Pu Zhongjie & sa famille

Valeur nette : 1,6 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Équipement médical

Rao Wei & sa famille

Valeur nette : 1,6 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Ren Jinsheng & sa famille

Valeur nette : 1,6 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Xiong Jun & sa famille

Valeur nette : 1,5 milliard de dollars (1,2 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Yi Xianzhong & sa famille

Valeur nette : 1,5 milliard de dollars (1,2 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Felix Baker

Valeur nette : 1,4 milliard de dollars (1,1 milliard d’euros)

Citoyenneté : américaine

Source de richesse : Investissements dans les biotechnologies

Julian Baker

Valeur nette : 1,4 milliard de dollars (1,1 milliard d’euros)

Citoyenneté : américaine

Source de richesse : Investissements dans les biotechnologies

Rajendra Agarwal

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)  

Citoyenneté : indienne

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Banwarilal Bawri

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Citoyenneté : indienne

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Girdharilal Bawri

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Citoyenneté : indienne

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Benedicte Find

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Citoyenneté : danoise

Source de richesse : Dispositifs médicaux

Alan Miller & sa famille

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Citoyenneté : américaine

Source de richesse : Services de santé

Zhong Ming & sa famille

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Instruments médicaux

Yuan Jiandong & sa famille

Valeur nette : 1,1 milliard de dollars (900 millions d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Fan Minhua

Valeur nette : 1,1 milliard de dollars (900 millions d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Article traduit de Forbes US – Auteur : Giacomo Tognini




Le fichage annoncé : ce sera pour une autre fois

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Depuis plusieurs années, les comploteurs de Bruxelles et de New-York fomentent un plan secret de fichage de toute la population (lire par exemple Mais comment faites vous pour NE PAS être complotistes ? du 20 avril 2021).
L’un des piliers de cette machination est le contrôle des médias. C’est vieux comme le monde.
Croyant maîtriser parfaitement ceux-ci, nos comploteurs se sont lancés dans un plan audacieux d’asservissement global :
• apeurer les peuples par une pandémie plus médiatique que réelle,
• les conduire à se faire vacciner, tous, petits et grands,
• mettre en place un passeport dit « sanitaire », dénommé « pass vert » pour mieux faire passer la pilule,
• transformer ce « pass vert » en outil de traçage et de contrôle des déplacements de populations entières.

Ce plan que nous dénonçons depuis son origine (lire Coronavirus : on ne nous dit pas tout du 8 février 2020) requiert des complicités parmi tous les acteurs sociaux : élus, médias, syndicats, partis politiques, etc. L’anathème est lancé sur tous ceux qui s’aventurent à dénoncer ce plan : ce sont des complotistes, comprendre « imbéciles, gogos, arriérés, amisch (selon l’expression même d’Emmanuel Macron), etc. » Bref des Gilets Jaunes de droite comme cet adepte de la violence qui a brutalement frappé le Président de la République au visage.

Et puis patatras ! Ce plan capote.

Le Sénat américain vient de dénoncer cette manipulation. Et ce n’est pas rien, le Sénat américain. Ça pèse un peu plus lourd que le Palais Bourbon.

La sénatrice Marsha Blackburn, entourée des sénateurs Mike Braun, Roger Marshall, Ron Johnson et Roger Wicker.
Texte traduit de cette intervention ici.

Extrait de l’intervention du sénateur Roger Marshall :

Mais le résultat de ce quart de siècle, a été qu’il a permis à une poignée, de grandes plateformes technologiques d’Internet, de devenir extrêmement grandes, extrêmement riches et extrêmement puissantes, au point, qu’ils décident quelles sont les nouvelles, ils décident de quelles informations le public va obtenir et quelles informations vont être bloquées. […]
Google a menacé de couper plusieurs sites Web conservateurs, y compris les fédéralistes, comment ont-ils le pouvoir de le faire ? Comment peuvent-ils justifier de faire cela ? Les entreprises restreignent ou résilient les utilisateurs, les comptes et les contenus conservateurs sur les réseaux sociaux.
Facebook a annoncé la suspension, du compte d’un ancien président des États-Unis, c’est trop de pouvoir, ils peuvent décider qui peut et qui ne peut pas faire l’actualité et être cité.
Twitter a censuré toute information sur le coronavirus, qu’ils pensaient, à leur avis pouvoir provoquer une panique généralisée.

GAFWAM ↔ Fauci ↔ Jean-François Delfraissy ↔ Conseil scientifique ↔ Gouvernement

Le patron de Facebook à sa sortie de l’Élysée, le 10 mai 2019

L’enquête en cours aux États-Unis montre qu’Anthony Fauci, le grand gourou des mesures sanitaires prises par la Maison Blanche, était en contact direct avec Jean-François Delfraissy, membre du conseil scientifique, qui à son tour donnait ses consignes au gouvernement français. Des échanges de messages avec le Dr Fauci montrent que c’est à lui que l’on doit, par exemple, l’interdiction de l’hydroxychloroquine, les mesures de confinement et le port du masque partout et pour tous. Or le Dr Fauci était en étroite relation et au plus haut niveau avec les dirigeants des GAFAM : Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft, auxquels il convient d’ajouter à présent Wikipedia.

Le site Wikipedia prend toute sa place dans le formatage des esprits…

Alexandra Henrion-Caudee
Alexandra Henrion-Caude - Censure Wikipedia

puisque ce site « de référence » participe à la censure des déviants du Système. Exemple avec le Dr Alexandra Henrion-Caude :

Ainsi donc Alexandra Henrion-Caude, généticienne et spécialiste des microARN, lauréate du très prestigieux titre de Eisenhower Fellow, n’est plus une chercheuse de renommée internationale dès qu’elle a critiqué le narratif imposé par les GAFWAM (nous y avons ajouté le W pour Wikipedia). C’est inouï et cela nous rappelle, hélas, les heures les plus sombres de l’Histoire.

Pourtant cette période sombre semble s’éclaircir avec cette intervention des sénateurs américains et les procès en vue à l’encontre du Dr Anthony Fauci. L’enquête en cours ne s’arrêtera plus. Bien sûr, nous y reviendrons.

Massimo Luce

« L’espoir changea de camp, le combat changea d’âme. »

(Victor Hugo)


Bonus :

Pendant que le Sénat américain affronte la manipulation des GAFWAM, nos députés portent la muselière :

Illustration extraite du site de Marianne Dubois, députée LR

Traduction de l’intervention des sénateurs :

( traduction assurée par @JeanneTraduction )

Merci à tous d’être parmi nous aujourd’hui, vous savez qu’il y a eu beaucoup de vagues à propos de la censure des géants de la technologie, de ce qui s’est passé autour des origines du virus du covid 19, et d’où cela vient, comment il s’est transformé en pandémie, et il y a aussi des questions sur la nature des informations qui ont été révélés ou non aux américains et sur comment elles ont évolué en fonction de l’avancée de la pandémie.
Nous savons que facebook a récemment inversé ses décisions, de retirer tout type d’information disant que le virus vient du laboratoire de Wuhan, que Pékin devrait rendre des comptes, youtube avait précédemment annoncé qu’il allait censurer tout contenu qui contredirait l’organisation mondiale de la santé dirigée par Pékin et financée par la Chine, youtube a même retiré une vidéo de certains médecins qui remettaient en cause la valeur de ces confinements, et remettaient en question ce qu’il fait à la population et surtout ce que cela fait à nos enfants.
Twitter, ils ont fermé le compte d’un virologue, un virologue chinois, qui disait « c’est ce qu’ils font, de la recherche sur le gain de fonction, c’est ce qu’ils font à l’institut de virologie de Wuhan », il demandait des comptes au parti communiste chinois.
Je vais vous dire que ces géants de la technologie ont vraiment franchi le pas, ils ont franchi la ligne rouge sur cette affaire.
Nous avons tous des suggestions sur la façon dont nous, en tant que Sénat, devrions gérer cela, et les choses que nous devrions faire pour nous assurer cela n’arrive jamais plus au peuple américain. Sénateur Braun.

Merci.
Je vais vous dire par où nous devons commencer. Une chose unique est arrivée, je pense la semaine dernière, où par consentement unanime, qui n’arrive presque jamais sur une question critique à moins que vous soyez peut-être en train de renommer un bureau de poste ou quelque chose du genre, nous avons obtenu par le sénat de demander à nos propres agences de renseignement, de divulguer les informations que nous hébergeons, car cela a occasionné bien des ravages, non seulement pour notre propre pays, mais à travers le monde.
Pourquoi nous ne commencerions pas par là avec le président Biden, qui a parlé au secrétaire Blinken, demandez-lui, il a dit « Aviez-vous une bonne raison pour laquelle vous ne divulguez pas les informations ?« 
Nous devons commencer par là pour aller au fond des choses, et quand vous parlez des géants de la technologie, qui ont contrôlé le sujet, en gros, quand tous les sénateurs américains veulent au moins commencer par là, nous avons des responsabilités.
Et je pense que c’est à eux de progresser, et de mener la charge.
Ils représentent l’endroit que les gens regardent, écoutent, et nous devons commencer par là, tenons nos propres agences de renseignement responsables afin qu’elles déclassifient cette information.

Sénateur Marshall.

Sénatrice Blackburn merci beaucoup de nous avoir donné une chance de nous tenir ici et de parler de la fuite du laboratoire de Wuhan, ainsi que sa dissimulation.
Nous nous y référons par le terme de « cas chauve-souris ».
Vous savez, cela m’est venu à l’esprit alors que j’étais en train de lire les e‑mails du Dr. Fauci récemment, disant tout ce que j’ai appris en sciences de 10e année, tout ce que j’ai appris en tant que médecin sur la méthode scientifique, sur les hypothèses et les théories en développement, nous venons de tout jeter par la fenêtre.
Vous savez, j’ai été choqué en passant en revue certaines des lettres qui ont été écrites, mais vraiment ce qui a suscité mes soupçons, est un événement de janvier 2020.
Et les chinois disaient qu’il n’y avait pas de transmission de personne à personne, l’OMC a acquiescé, et le CDC ne s’est pas opposé à elle.
Et cela m’a amené à avoir un appel téléphonique avec le CDC, et tous les journalistes nationaux ont rapportés que les scientifiques des États-Unis enquêtaient sur ce nouveau virus. Et quand j’ai parlé au CDC, ils ont dit « Eh bien, nous avons des scientifiques à Pékin, mais ils sont à des milliers de miles de Wuhan donc nous n’avons vraiment rien à vous dire« 
La prochaine chose que j’ai remarqué était une lettre, signée par un groupe de scientifiques qui ont ignoré la possibilité même que ce virus ait pu provenir du laboratoire, ils l’ont totalement ignoré, ils ont rejeté cette hypothèse scientifique disant que cela était même réalisable.
Et nous en sommes par la suite venus à découvrir que la plupart de ces scientifiques, sinon tous, recevaient un certain type de financement dans la passé comme dans le présent du NIH, et notre CDC n’a fait que hocher la tête pour approuver.
Et puis, les journalistes nationaux, les grandes entreprises technologiques, ils ont travaillé ensemble pour supprimer cette histoire, ils ont travaillé ensemble pour censurer ceux d’entre nous qui pensaient que ce virus peut être originaire de là.
Et non seulement ils ont réprimé, ils ont fait honte aux gens qui pensaient que cela pourrait provenir d’un laboratoire.
Finalement, nous voyons dans les e‑mails du Dr Fauci, une collusion entre le Dr. Fauci et les géants de la techonologie travaillant ensemble, pour supprimer cette histoire. Vous savez, nous voilà ici, 17 mois plus tard, nous ne savons toujours rien de plus sur ce virus, je pense que nous devons tenir le parti communiste chinois responsable, et si les États-Unis sont en aucune façon responsables, s’ils ont aidé à financer le laboratoire qui a conduit au développement de ce virus, alors nous devons également être tenus pour responsables, et nous devons approfondir le sujet des règles de recherche sur le gain de fonction également.
Nous n’arriverons jamais au fond de cette affaire, à moins que nous arrêtions cette dissimulation de la fuite du laboratoire de Wuhan, jusqu’à ce que nous arrêtions le « cas chauve-souris ».
Merci Marsha.

Sénateur Johnson.

Je tiens à souligner que les preuves d’un potentielle théorie de fuite du laboratoire se cache à la vue de tous depuis des mois.
Le fait que nos agences fédérales, sous la direction d’Anthony Fauci, ont financé ce type de recherche pendant des années, était à la fois exposé et caché pendant des mois.
Honte aux médias, honte aux médias sociaux, de ne pas y avoir prêté attention, de l’avoir ignoré complètement.
Le résultat de ce décalage de 18 mois, d’exploration de la véritable origine du virus du covid, signifie probablement que nous n’aurons jamais le fin mot de cette histoire. La Chine a eu 18 mois, pour détruire ces preuves.
Mais n’en doutez pas, la Chine est responsable, ils sont coupables.
Ils savaient qu’ils avaient un coronavirus, ils savaient qu’ils avaient un virus mortel qui pouvait provoquer une pandémie à Wuhan.
Ils n’ont pas autorisé les vols au départ de Wuhan dans le reste de la Chine, mais ils ont laissé ce virus infecter le monde entier.
Donc nous savons déjà que la Chine est coupable, nous savons déjà qu’ils devaient être tenus reponsables.
Je pense que nous devons également tenir pour réponsables les médias et les médias sociaux, ce n’est pas le seul sujet censuré. Je pourrais dresser une longue liste, de faux récits, de fausses histoires, que les médias et les médias sociaux promeuvent, et ne corrigent jamais vraiment.
Mais quand il s’agit du covid, j’ai l’expérience personnelle, de la censure et de la suppression et cela a coûté la vie à des dizaines de milliers d’Américains.
Les directives du NIH, en ce qui concerne le traitement du covid restent, restent des directives impitoyables, qui disent en gros de ne rien faire, de rentrer à la maison s’isoler, d’avoir peur, et s’il vous arrive de tomber assez malade vous devez vous faire tester à l’hôpital, testez-vous à l’hôpital et peut-être que nous allons pouvoir sauver votre vie !
J’ai tenu deux audiences sur le traitement précoce, le Dr. Peter McCulloch a exposé les quatre piliers de la réponse à la pandémie.
Le premier est d’essayer d’arrêter la propagation et la Chine ne l’a pas fait. Le deuxième pilier est le traitement précoce, en gros la façon dont nous appliquons la médecine à toutes les autres maladie, détection précoce, traitement précoce, puis hospitalisation et enfin vaccin.
Pourquoi nos agences de santé, pourquoi Anthony Fauci, pourquoi les médias grands publics répriment et censurent, les médecins qui ont eu le courage et la compassion de traiter les patients tôt avec des génériques bon marché, des médicaments repositionnés, pourquoi cela s’est-il produit ?
Il y a de plus en plus de preuves, qui se sont pas rapportées par les médias. Le Méxique connaît un grand succès avec l’ivermectine, certaines provinces de l’Inde connaissent un grand succès avec l’ivermectine, où sont les rapports à ce sujet ?
Nous avons vu des études où 50 à 85% des vies pourraient avoir été sauvées, cela pouvait empêcher tellement de morts. Appliquez ce pourcentage aux 600 000 américains qui ont perdu la vie. C’est pourquoi je pense que les médias n’admettront jamais leur complicité, et pourquoi ils n’admettront jamais qu’ils ont eu tort.
Mais il n’est pas trop tard, des vies peuvent être sauvées, nous aurons encore besoin des traitements précoces, quelle que soit l’efficacité du vaccin, quelle que soit l’immunité après avoir été infecté est, d’autres personnes seront infectées, d’autres personnes vont avoir besoin d’un traitement précoce.
Alors je supplie les médias, prêtez attention au Dr. Korry, au Dr. Peter McCullough, les autres médecins qui ont le courage et la compassion de traiter les patients, il n’est pas trop tard, nous devons commencer et explorer les traitements précoces dès maintenant.

Et enfin le sénateur Wicker qui se joint à moi pour tenir les géants de la technologie responsables, et afin de traiter avec la censure.

Merci à la sénatrice Blackburn et aux autres.
Le dernier quart de siècle a vu une croissance énorme dans le domaine d’internet. Cela a en grande partie été positif, comme nous le savons tous.
Mais le résultat de ce quart de siècle, a été qu’il a permis à une poignée, de grandes plateformes technologiques d’Internet, de devenir extrêmement grandes, extrêmement riches et extrêmement puissantes, au point, qu’ils décident quelles sont les nouvelles, ils décident de quelles informations le public va obtenir et quelles informations vont être bloquées.
Il n’y a pas que le virus Wuhan, qui est un scandale, comme mes collègues viennent de décrire, nous pourrions citer des chapitres et des chapitres, maintes et maintes fois, sur ces grandes plates-formes décidant de ce que nous pouvons entendre et ce que nous ne pouvons pas entendre.
Alors laissez-moi juste… laissez-moi juste contribuer en disant que le sénateur Johnson a raison, et je vais citer quelques exemples :
Google a menacé de couper plusieurs sites Web conservateurs, y compris les fédéralistes, comment ont-ils le pouvoir de le faire ? Comment peuvent-ils justifier de faire cela ? Les entreprises restreignent ou résilient les utilisateurs, les comptes et les contenus conservateurs sur les réseaux sociaux.
Facebook a annoncé la suspension, du compte d’un ancien président des États-Unis, c’est trop de pouvoir, ils peuvent décider qui peut et qui ne peut pas faire l’actualité et être cité.
Twitter a censuré toute information sur le coronavirus, qu’ils pensaient, à leur avis pouvoir provoquer une panique généralisée.
Comment se fait-il qu’une plate-forme Internet richissime et puissante prenne cette décision ?
Et je pourrais continuer encore et encore, c’est pourquoi je me suis joins avec des sénateurs comme la sénatrice Blackburn, en essayant de corriger les deux tiers des lacunes de la section 230. Mais je suis également là pour faire l’introduction, d’un projet de loi pour préciser, que ces grandes plates-formes technologiques Internet ne peuvent pas discriminer sur la base de leurs propres opinions et sur la base de ce qu’ils pensent que le public devrait et ne devrait pas être autorisé à entendre.
Il s’agit d’une menace sérieuse et grave, pour la liberté, et l’échange ouvert d’idées en vertu de notre constitution, et je suis heureux d’oeuvrer pour ça avec d’autres membres du Sénat.

Merci à tous. Comme vous pouvez le voir, c’est quelque chose qui va s’étendre sur plusieurs comités ici au sénat américain. C’est notre travail d’aller au fond de ce qu’il s’est passé, puis d’apporter des solutions, comme le sénateur Wicker vient d’exposer.
Vous avez une question ?

Merci, donc l’UE et le G7 ont appelé à une enquête visant à déterminer s’il s’agissait ou non d’une fuite de laboratoire. Je me demande si vous pensez qu’une approche internationale est la meilleure façon d’enquêter sur cette question à l’avenir ?

Je pense que les comités permanents du Sénat devraient prendre l’initiative, nous sommes heureux que nos alliés se joignent également à nous, en disant que cela doit être étudié, il est évident que quelque chose n’était pas juste. Nous sommes préocupés par la décision de l’OMS de laisser la parti communiste chinois, leur dire quand et comment ils pourraient approcher de ce laboratoire, et que nous avons dû attendre des mois.

Egalement, j’ai vu votre discours hier à propos de virer le Dr. Fauci, pouvez-vous juste parler un peu de ce sujet ?

Bien sûr, je pense qu’il est approprié que les responsabilités du Dr. Fauci à la NIAID lui soit retirées, et qu’il se rende disponible au congrès, pour savoir exactement comment était-il de mèche avec Mark Zuckerberg et les géants de la technologie, ce qui s’est réellement passé.
Le peuple américain a‑t-il entendu une partie de la vérité ? Mais pas toute la vérité ou rien que la vérité ? Pourquoi n’y a‑t-il pas eu un respect des délais dans la reconnaissance des inquiétudes autour du laboratoire ? Pourquoi n’y a‑t-il pas eu plus d’inquiétude autour de Wuhan disant « vous ne pouvez aller nulle part ailleurs en Chine » ou le parti communiste chinois disant « vous ne pouvez aller nulle part ailleurs en Chine, si vous venez de la province d’Hubei, ou si vous venez de Wuhan, mais vous pouvez parcourir le globe, partout sauf en Chine« 
Ce sont des choses qui semblent… Ecoutez, nous avons 3 millions et demi de personnes qui ont perdu la vie, 3 millions et demi de personnes.
Nous avons des centaines de milliers de familles américaines, qui ont ont eu des pertes dans leur famille, leurs proches, leurs amis.
Nous avons subi la perte des moyens de subsistance pour des centaines de millions de gens. Nous avons des enfants, précieux enfants qui viennent de vivre une perte d’apprentissage pendant un an, une perte de socialisation, qui témoignent de problèmes émotionnels.
Et le Dr. Fauci, est financé par le contribuable américain, et le contribuable dit « qu’avez-vous fait de nos dollars ? » Merci beaucoup à tous.




Échappatoire immunitaire : vaccination de masse & confinements, des remèdes bien pires que le mal selon le conseil scientifique covid-19 français

[Source : Association Victimes Coronavirus Covid-19 France
(association-victimes-coronavirus-france.org)]

Immunité collective vaccinale, confinements et couvre-feux sont devenus les maîtres-mots des stratégies de la plupart des gouvernements et de nombreux scientifiques médiatiques. MAIS une nouvelle donne remet en question ces approches présentées comme des solutions incontournables à l’épidémie Covid-19 : l’échappatoire immunitaire.

[Ndlr : cette notion d’échappatoire immunitaire représente une nouvelle rustine sur la théorie branlante (aux fondements jamais réellement démontrés), comparable à une chambre à air pleine de trous, qu’est la théorie virale. Une approche basée sur le « terrain » fournit une tout autre explication à l’absence relative d’efficacité de certaines méthodes de protection face à une contagion.
Voir Le culte de la virologie – Documentaire et ses liens annexes.]

Voici ce que nous apprend un papier publié le 18 février dans The Lancet et co-écrit par les membres du Comité Scientifique Covid-19 français : Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy (Copyright © 2021 The Author(s). Publié par Elsevier Ltd., article en accès libre sous la licence CC BY-NC-ND 4.0)

Vaccination de masse : terrain propice à l’émergence de variants résistants rendant impossible l’immunité collective

La quête de l’immunité collective, naturelle ou vaccinale, pourrait être remise en question à cause d’un phénomène propre aux virus mutants et adaptables : l’échappatoire immunitaire.

Le SRAS-Cov2 semble bénéficier de cette caractéristique d’adaptation aux réponses immunitaires des organismes infectés. Cela nécessite une réévaluation urgente des stratégies de santé publique. Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS Cov2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste suite :

  • aux premières expositions aux virus antérieurs (naturels)
  • à la vaccination de masse

La dynamique de l’immunité collective, naturelle ou vaccinale, dans les régions où ces variants sont apparus semble même exercer une pression considérable sur l’écosystème viral, facilitant ainsi l’émergence de variants à transmissibilité accrue et résistants à l’immunité naturelle et vaccinale. La vaccination de masse contre le SRAS-Cov2 pourrait induire une sélection virale et être même à l’origine de l’échappatoire immunitaire rendant ainsi impossible l’obtention d’une immunité collective.

Il faut ABANDONNER les stratégies de la PEUR, les confinements et CIBLER les mesures.

Selon le Conseil scientifique Covid-19 français, il est grand temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, les confinements généralisés et aléatoires comme principales réponses à la pandémie.

Il faut arrêter de compter sur la patience des citoyens qui attendent que les capacités en réanimation/soins intensifs soient renforcées, que la vaccination soit complète et que l’immunité collective soit atteinte.

Jusqu’à présent, les populations ont été relativement complaisantes, mais leurs doutes et leur méfiance sont visibles et les mouvements de protestation de plus en nombreux dans plusieurs pays.

L’impact de l’isolement général sur des économies entières a été dévastateur, et les niveaux de chômage et d’endettement national sont encore pires. Les conséquences sociales et sanitaires (physiques et psychiques) sont colossales, en particulier pour les jeunes générations qui pourtant présentent peu de facteurs de risques et chez qui la Covid-19 a très peu sévi.

Les gouvernements doivent appliquer des mesures beaucoup plus ciblées et adaptées aux différentes catégories de la population. En effet, toutes les générations n’ont pas été touchées de la même façon : entre mars et juin 2020, 96% des patients étaient âgés de plus de 70 ans.

Il n’est plus possible d’utiliser l’isolement général en mode stop & go comme principale réponse à la pandémie de Covid-19. Considérée séduisante par de nombreux scientifiques et dirigeants politiques, qui en font une mesure par défaut craignant de voir leur responsabilité légale engagée en cas d’hésitations et réponses tardives, cette solution doit être remise en question et utilisée qu’en tout dernier recours.

Les scientifiques qui travaillent contre le COVID-19 doivent avoir le courage de s’adresser aux dirigeants au pouvoir responsables ultimes des choix politiques et de leurs conséquences. Rester dans le déni aura de très lourdes conséquences. Nous ferons inévitablement les comptes et ils seront alors terribles.

NDLR : A noter que si le Comité scientifique Covid-19 français relève des points d’une importance capitale, déjà signalées par le Pr Raoult, il omet toujours un point crucial : TRAITER au plus vite. Le nerf de la guerre est de soigner et détruire les charges virales au plus tôt. Nous reviendrons plus en détail sur cette essentielle question du traitement.

ARRÊTONS D’AVOIR PEUR, RÉCLAMONS DES MESURES CIBLÉES, DES TRAITEMENTS ADAPTÉS ET REFUSONS LE « TOUT VACCIN » AINSI QUE CONFINEMENTS ET COUVRE-FEU

SOURCE : https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468-2667%2821%2900036-0




Des sénateurs veulent utiliser le COVID pour nous surveiller massivement

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Des sénateurs de la « délégation à la prospective » ont publié un rapport glaçant intitulé « CRISES SANITAIRES ET OUTILS NUMÉRIQUES : RÉPONDRE AVEC EFFICACITÉ POUR RETROUVER NOS LIBERTÉS ». Ce rapport vaut vraiment le détour, puisqu’il est probablement le premier document officiel proposant d’adopter en France de façon explicite les mesures liberticides pratiquées en Chine en matière de surveillance de masse et largement développées et revendiquées dans le Great Reset de Klaus Schwbab et du Forum de Davos. Je vous livre ici un panorama complet sur une ténébreuse affaire qui témoigne d’une banalisation croissante du capitalisme de surveillance dans les démocraties libérales.

https://youtu.be/q9spfCZv2Ow

Quand ce sont des sénateurs qui demandent une surveillance massive de la population au nom de la « protection » de la population, de la santé, et des libertés, on se dit collectivement que notre société est fondamentalement fourvoyée sur de mauvais rails. Plus que jamais, nos libertés sont battues par les flots. 

Pour la petite histoire, les rédacteurs du rapport sont deux médecins, l’une radicale de gauche, Véronique Guillotin, l’autre républicain, René-Paul Savary, et une jeune ingénieure républicaine, Christine Lavarde, dont il sera intéressant d’approfondir les CV. 

Voici le texte qu’ils ont pondu :

On y relèvera quelques passages particulièrement savoureux comme celui-ci :

Le présent rapport propose donc de recourir bien plus fortement aux outils numériques dans le cadre de la gestion des crises sanitaires ou des crises comparables (catastrophe naturelle, industrielle etc.), notamment en vue de contrôler au niveau individuel le respect des mesures imposées par la situation, et y compris si cela implique d’exploiter des données de manière intrusive et dérogatoire.

Contrôler de manière numérique le respect des règles, y compris en agissant « de manière intrusive et dérogatoire ». Que ces mots doivent sonner doux aux oreilles de tous les dictateurs en ce bas monde. 

Pour ceux qui n’en croiraient pas leurs oreilles, nous leur conseillons de lire attentivement les propos tenus  par l’une des personnes auditionnées, Séverine Arsène, sur tous ces sujets. Séverine Arsène est une sinologue de Sciences-Po, enseignante à l’université chinoise de Hong-Kong, qui a parfaitement accompli le fantasme d’un grand remplacement de la conscience morale par l’expertise technique. Un cerveau d’avenir dans le système totalitaire dont elle doit rêver chaque nuit. 

[Voir aussi : Covid et dictature : l’incroyable rapport de trois illuminés du sénat français !]




Rémy Daillet et sa famille expulsés de Malaisie

[Source : francesoir.fr]

Par M. Jegathesan – Kuala Lumpur (AFP)

Le Français Rémy Daillet et sa famille ont été expulsés dimanche de Malaisie en direction de la France où le complotiste, soupçonné d’avoir contribué à l’enlèvement de la petite Mia, fait l’objet d’un mandat d’arrêt.

Rémy Daillet, sa compagne Léonie Bardet et ses trois enfants de 17, 9 et 2 ans, ont été arrêtés fin mai sur l’île touristique malaisienne de Langkawi où ils résidaient parce que leurs visas avaient expiré. Une procédure d’extradition dans le cadre de l’affaire de l’enlèvement aurait été beaucoup plus longue qu’une expulsion pour séjour irrégulier.

Rémy Daillet et sa famille se trouvent actuellement en escale à Singapour « où sa compagne, enceinte, a été prise en charge pour un problème de santé », selon une source française proche du dossier.

Ils devaient ensuite prendre un vol pour Paris où ils sont attendus lundi matin.

Mais les autorités attendent maintenant de savoir « s’il pourront poursuivre le voyage jusqu’à Paris ou non ».

Selon une source proche du dossier française, ils n’avaient pas encore été remis aux autorités françaises et n’étaient pas sous escorte policière pendant le vol, contrairement a ce qui avait été indiqué initialement côté malaisien.

Rémy Daillet, 54 ans, a entamé une grève de la faim pour protester contre son arrestation tandis que sa compagne enceinte craignait des complications, voire de perdre son enfant si elle prenait l’avion, selon des proches.

Mme Bardet présente « un état de grossesse à risque incompatible avec un transfert en avion », attesté par des experts médicaux, selon son avocat Jean-Christophe Basson-Larbi, qui a fait appel de la décision d’expulsion.

« Cette expulsion forcée est illégale puisque mise en oeuvre au mépris de l’immigration act » de la loi malaisienne, « au mépris des conventions internationales, au mépris des règles de procédure et surtout au mépris de l’appel », a-t-il déclaré dans un communiqué.

Si l’expulsion se déroule comme prévu, à l’arrivée de Rémy Daillet sur le sol français, le juge d’instruction de la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Nancy, dans l’est de la France, qui a émis le mandat d’arrêt aura « deux possibilités », a indiqué à l’AFP le procureur de la République de Nancy, François Pérain.

Il pourra soit « le faire présenter immédiatement à Nancy en vue de sa mise en examen », soit décider de « le faire présenter devant le juge des libertés et de la détention » de Bobigny « pour une incarcération provisoire ». Dans ce cas, M. Daillet devra ensuite être présenté au juge d’instruction « dans un délai de quatre jours », a précisé le procureur.

– Vidéo pour se défendre –
[Ndlr : ses vidéos sont accessibles sur sa chaîne Odysee]

Rémy Daillet, exclu du parti centriste Modem en 2010, est devenu une figure du mouvement complotiste.

Il est soupçonné d’avoir joué un rôle important dans l’organisation de l’enlèvement de Mia.

La petite fille de 8 ans avait été enlevée mi-avril à la demande de sa mère par plusieurs hommes alors qu’elle était hébergée chez sa grand-mère dans un village des Vosges.

Sa mère n’avait alors plus le droit de la voir seule, ni de lui parler au téléphone.

Dans une vidéo mise en ligne après l’enlèvement de la fillette, Rémy Daillet avait tenté de se défendre. Sans évoquer nommément Mia, il réfutait le terme d’enlèvement.

Dans d’autres vidéos plus anciennes, il défendait l’idée d’un coup d’État populaire et se disait opposé aux impôts, aux vaccins, aux masques ou à la 5G. Il prônait par ailleurs l’éducation des enfants par leurs parents à la maison.

Dans le cadre de l’affaire Mia, neuf personnes au total, dont la mère de la fillette, proches de la mouvance anti-système et complotiste, ont déjà été mises en examen, et huit d’entre elles ont été placées en détention provisoire.

La justice française s’interroge aussi sur le rôle de Rémy Daillet dans une autre affaire dans le Doubs, celle d’un couple qui vivait en vase clos et s’était retranché à son domicile en novembre, refusant de confier ses quatre enfants aux assistantes sociales comme le demandait un juge.

C’est à son contact qu’ils auraient décidé de déscolariser leurs enfants puis de se couper du monde.




Comment les fanatiques du confinement ont conquis le monde

[Source : Aube Digitale]

par Jeffrey Tucker

Au début de la « pandémie », j’écrivais furieusement des articles sur les confinements. Mon téléphone a sonné avec un appel d’un homme nommé Dr Rajeev Venkayya. Il est à la tête d’une entreprise de vaccins mais s’est présenté comme l’ancien responsable de la politique de lutte contre la « pandémie » pour la Fondation Gates.

Je l’ai écouté.

Je ne le savais pas à l’époque, mais j’ai appris depuis, grâce au livre (pour la plupart terrible) de Michael Lewis, The Premonition, que Venkayya était en fait le père fondateur des confinements. Alors qu’il travaillait pour la Maison-Blanche de George W. Bush en 2005, il a dirigé un groupe d’étude sur le bioterrorisme. Du haut de son influence — au service d’un président apocalyptique — il a été le moteur d’un changement radical de la politique américaine en cas de pandémie.

Il a littéralement ouvert les portes de l’enfer.

C’était il y a 15 ans. À l’époque, j’ai écrit sur les changements dont j’étais témoin, m’inquiétant du fait que les nouvelles directives de la Maison Blanche (jamais votées par le Congrès) permettaient au gouvernement de mettre les Américains en quarantaine tout en fermant leurs écoles, leurs entreprises et leurs églises, le tout au nom de l’endiguement de la maladie.

Je n’ai jamais cru que cela se produirait dans la vraie vie ; il y aurait sûrement une révolte de la population. J’étais loin de me douter que nous allions vivre une folle aventure…

L’homme qui a allumé l’allumette

L’année dernière, Venkayya et moi avons eu une conversation de 30 minutes ; en fait, c’était surtout une dispute. Il était convaincu que le confinement était la seule façon de faire face à un virus. J’ai rétorqué que cela bousculait les droits, détruisait les entreprises et perturbait la santé publique. Il a dit que c’était notre seul choix parce que nous devions attendre un vaccin. J’ai parlé de l’immunité naturelle, qu’il a qualifiée de brutale. Et ainsi de suite.

La question la plus intéressante que je me posais à l’époque était de savoir pourquoi ce gros Bill certifié perdait son temps à essayer de convaincre un pauvre gribouilleur comme moi. Quelle raison pouvait-il y avoir ?

La réponse, je le réalise maintenant, est que de février à avril 2020, j’étais l’une des rares personnes (avec une équipe de chercheurs) qui s’opposait ouvertement et agressivement à ce qui se passait.

Il y avait un soupçon d’insécurité et même de peur dans la voix de Venkayya. Il voyait la chose impressionnante qu’il avait déclenchée dans le monde entier et était impatient d’étouffer toute velléité d’opposition. Il essayait de me faire taire. Lui et d’autres étaient déterminés à écraser toute dissidence.

C’est ainsi que les choses se sont passées pendant la plus grande partie des 15 derniers mois, avec les médias sociaux et YouTube supprimant les vidéos qui contestent le verrouillage. C’est de la censure depuis le début.

Malgré tous les problèmes que pose le livre de Lewis, et il y en a beaucoup, il a bien compris toute cette histoire. Bush est venu voir ses spécialistes du bioterrorisme et a exigé un énorme plan pour faire face à une calamité imaginée. Lorsque Bush a vu le plan conventionnel — faire une évaluation de la menace, distribuer des produits thérapeutiques, travailler à la mise au point d’un vaccin — il était furieux.

« C’est des conneries », a crié le président.

« Nous avons besoin d’un plan pour l’ensemble de la société. Qu’allez-vous faire au sujet des frontières étrangères ? Et des voyages ? Et le commerce ? »

Hé, si le président veut un plan, il aura un plan.

« Nous voulons utiliser tous les instruments de la puissance nationale pour faire face à cette menace », rapporte Venkayya, qui a dit à ses collègues.

« Nous allions inventer la planification en cas de pandémie ».

C’était en octobre 2005, la naissance de l’idée du confinement.

Le Dr Venkayya a commencé à chercher des personnes capables de mettre au point l’équivalent national de l’opération Tempête du désert pour faire face à un nouveau virus. Il n’a trouvé aucun épidémiologiste sérieux pour l’aider. Ils étaient trop intelligents pour y croire. Il finit par tomber sur le véritable innovateur en matière de verrouillage, qui travaille aux laboratoires nationaux Sandia, au Nouveau-Mexique.

Manivelles, ordinateurs et poux

Il s’agit de Robert Glass, un informaticien sans formation médicale et encore moins de connaissances sur les virus. Glass a été inspiré par un projet de foire scientifique sur lequel travaillait sa fille de 14 ans.

Elle avait théorisé (comme le jeu des poux de l’école primaire) que si les écoliers pouvaient s’espacer davantage ou même ne pas être à l’école du tout, ils arrêteraient de se rendre malades. Glass a repris l’idée et a élaboré un modèle de contrôle des maladies basé sur des ordres de rester à la maison, des restrictions de voyage, des fermetures d’entreprises et une séparation humaine forcée.

C’est fou, non ? Personne dans le domaine de la santé publique n’était d’accord avec lui, mais comme tout excentrique classique, cela a convaincu Glass encore plus. Je me suis demandé, « Pourquoi ces épidémiologistes ne l’ont-ils pas compris ? » Ils ne l’ont pas compris parce qu’ils n’avaient pas d’outils axés sur le problème. Ils avaient des outils pour comprendre le mouvement des maladies infectieuses sans chercher à les arrêter.

Génial, non ? Glass s’imaginait être plus intelligent que 100 ans d’expérience en santé publique. Un gars avec un ordinateur sophistiqué allait tout résoudre ! Eh bien, il a réussi à convaincre certaines personnes, y compris une autre personne qui traînait à la Maison Blanche, Carter Mecher, qui est devenu l’apôtre de Glass.

Veuillez considérer la citation suivante du Dr Mecher dans le livre de Lewis : « Si vous preniez tout le monde, que vous les enfermiez chacun dans leur chambre et que vous ne les laissiez parler à personne, vous n’auriez aucune maladie ».

Enfin, un intellectuel a un plan pour abolir la maladie – et la vie humaine telle que nous la connaissons aussi ! Aussi grotesque et terrifiant que cela puisse être — une société entière non seulement en prison mais en isolement — cela résume toute la vision de Mecher sur la maladie. C’est aussi complètement faux.

Les agents pathogènes font partie de notre monde ; ils sont générés par le contact humain. Nous nous les transmettons les uns aux autres au prix de la civilisation, mais nous avons également développé des systèmes immunitaires pour y faire face. C’est de la biologie de troisième, mais Mecher n’en avait aucune idée.
[Ndlr : de plus, ceci vaut surtout dans le cadre de la théorie des germes qui est remise en question par quelques pionniers.
Voir Le culte de la virologie – Documentaire et ses liens annexes.]

Les fanatiques gagnent la journée

Avancez jusqu’au 12 mars 2020. Qui a exercé une influence majeure sur la décision de fermer les écoles, même si l’on savait à l’époque que le SARS-CoV-2 présentait un risque quasi nul pour les personnes de moins de 20 ans ? Il y avait même des preuves que le COVID-19 ne se propageait pas sérieusement aux adultes.

Cela n’avait pas d’importance. Les modèles de Mecher — développés avec Glass et d’autres — n’ont cessé de débiter une conclusion selon laquelle la fermeture des écoles réduirait la transmission du virus de 80 %. J’ai lu ses mémos de cette période — dont certains ne sont toujours pas publics — et ce que vous observez n’est pas de la science mais du fanatisme idéologique en jeu.

D’après l’horodatage et la longueur des courriels, il est clair qu’il ne dormait pas beaucoup. En fait, il était Lénine à la veille de la révolution bolchevique. Comment est-il parvenu à ses fins ?

Il y avait trois éléments clés : la peur du public, l’assentiment des médias et des experts, et la réalité bien ancrée que la fermeture des écoles faisait partie de la « planification de la pandémie » depuis près de 15 ans. Essentiellement, les pro-confinement, au cours de ces 15 années, ont épuisé l’opposition. Le financement généreux, l’attrition de la sagesse au sein de la santé publique et le fanatisme idéologique ont prévalu.

Comprendre comment nos attentes d’une vie normale ont été si violemment contrecarrées, comment nos vies heureuses ont été brutalement écrasées, occupera les intellectuels sérieux pendant de nombreuses années. Mais au moins, nous avons maintenant une première ébauche de scénario historique.

Comme pour presque toutes les révolutions de l’histoire, une petite minorité de fous animés par une cause l’a emporté sur la rationalité humaine des multitudes. Quand les gens comprendront, les feux de la vengeance brûleront très fort.

Il s’agit maintenant de reconstruire une vie civilisée qui ne soit plus fragile au point de permettre à des fous de détruire tout ce que l’humanité a eu tant de mal à construire.

Traduction du Daily Reckoning par Aube Digitale




Finissons-en avec ce faux vaccin anti-covid !

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Enterrons vite le vaccin covid dans toutes ses fausses indications.

Je respecte nos lecteurs, nos contributeurs et leurs croyances, comme le droit pour ceux qui veulent se vacciner de le faire, mais un article récent de RL(([1] N’enterrons pas le vaccin qui nous évite des tragédies)) m’a fait bondir, tant il paraît ignorer les faits réels en se contentant d’exprimer une foi. J’en appelle ici à la raison, à l’examen des faits objectifs en vie réelle, publiés par l’OMS et certaines agences sanitaires.

L’indication d’un nouveau traitement, quel qu’il soit, doit reposer uniquement sur l’évaluation de sa balance avantages/risques. En cas de traitement d’une maladie grave évolutive (exemple cancer évolutif) il peut être licite de prendre quelque risque car la maladie est réellement menaçante, mais en cas de traitement préventif (de personnes saines) le principe de précaution s’impose, exprimé par la maxime « d’abord ne pas nuire » qui guide la pratique médicale depuis l’origine.

Mais reprenons l’article incriminé argument par argument

Les « vaccins Covid » ne sont pas des vaccins au sens propre

Pasteur et ses contemporains ont conçu les vaccins en injectant des antigènes pour stimuler la fonction immunitaire tant cellulaire qu’humorale (anticorps). Les meilleurs antigènes étant l’ensemble de l’agent infectieux (virus ou bactérie ou toxine) inactivé. L’organisme créant alors une série de défenses portant sur de nombreuses cibles de l’agent pathogène assurant ainsi une immunité solide.

Les pseudo-vaccins Covid ne comportent aucun antigène.

Il ne s’agit donc pas de vaccin mais bien de techniques jamais utilisées chez l’homme en pathologie infectieuse et donc parfaitement expérimentales et dont aucun essai phase 3 ne sera terminé avant janvier 2023.

Utiliser le terme de vaccin pour ces traitements et/ou prétendre qu’ils ont terminé leurs essais constitue un mensonge total, une escroquerie de propagande marchande.

Les prétendus vaccins anti-Covid n’ont évité aucune tragédie mais en ont créé ou aggravé plusieurs(([2] Mike Whitney La vaccination de masse déclenche un pic de cas Covid-19 et des décès
Mondialisation.ca, 30 mai 2021 
https://www.mondialisation.ca/la-vaccination-de-masse-declenche-un-pic-dans-les-cas-les-deces/5657051))(([3] Gabriel Faugloire et Frédéric Gobert : Depuis qu’on vaccine, la mortalité moyenne quotidienne Covid-19 a été multipliée par deux dans le monde Mondialisation.ca, 05 juin 2021 
https://www.mondialisation.ca/depuis-quon-vaccine-la-mortalite-moyenne-quotidienne-covid-19-a-ete-multipliee-par-deux-dans-le-monde/5657176))

Rappelons quelques exemples à l’aide des courbes officielles de l’OMS sur lesquelles nous avons ajouté nos commentaires en rouge.

Et de pareilles évolutions post-vaccinales catastrophiques ont touché plus de trente pays

Plus jamais ça !

L’auteur de ce credo vaccinal s’insurge à juste titre du scandale ignoble qu’a constitué le tri des malades à l’entrée des hôpitaux, mais il se trompe totalement sur les causes de ce tri.

Si nos hôpitaux ont été débordés en mars, c’est qu’ils ont été progressivement détruits par nos dirigeants depuis 20 ans et que le gouvernement a interdit aux médecins de traiter. En 2000, l’OMS nous sacrait meilleur système de santé mondial. En 2020 nous sommes descendus au 21e rang mondial du fait de l’emprise bureaucratique et des réductions de lits et de personnel qu’elle a imposées. Rappelez-vous qu’avant la crise Covid, les urgences étaient en grève depuis plus d’un an et que la seule réponse du gouvernement Macron a été policiers et lanceurs de balles !

Rappelez -vous aussi qu’en début de crise, le ministre de la Santé a restreint puis interdit l’usage de la chloroquine puis tout traitement actif (même les antibiotiques) et imposé le traitement par Doliprane, et demandé au Conseil de l’Ordre de sanctionner les médecins qui traitaient leur malade. C’était la première fois au monde qu’un gouvernement dictait leurs ordonnances aux médecins et faisait sanctionner les médecins qui traitaient (avec succès) les malades.

Si les hôpitaux ont été débordés ce n’est pas la faute du Covid, mais totalement celle de nos gouvernants qui ont empêché les médecins de traiter et leur a même interdit de parler à l’exception des médecins représentants des laboratoires qui pouvaient vanter sur les télés, les journaux et les autres médias le remdésivir et les autres molécules nouvelles hors de prix et discréditer le Pr Raoult et les autres donneurs d’alerte.

La Suède, dont le système de santé n’était guère plus brillant que le nôtre mais dont la population et ses médecins sont restés libres de leurs décisions n’a jamais confiné, et ses hôpitaux n’ont pas été débordés et les Suédois pleurent moins (- 20 %) de morts attribués au covid que nous par million d’habitants.

C’est la dictature sanitaire qui a été responsable
de cette médecine de l’épouvante qu’on a subie en avril 2020.
Pourquoi Jacques Guillemain ne l’a-t-il pas précisé ?

La « victoire à la Pyrrhus » de la Grande-Bretagne

Les médias et Jacques Guillemain prétendent que la Grande-Bretagne constituerait un succès de la vaccination en ne parlant que du taux actuel de nouveaux cas « en faisant du passé table rase ». Mais un traitement ne doit pas se juger sur un instantané transitoirement favorable, mais sur l’ensemble de l’évolution sanitaire depuis l’instauration du nouveau traitement. Et si on le fait on se rend compte que la vaccination a été suivie d’une poussée d’infections et d’une hécatombe record.(([4] G. Delépine : Oui, Mme Kadri, une hécatombe post-vaccinale a bien eu lieu en Grande-Bretagne Riposte laïque le 29 mai 2021 https://ripostelaique.com/oui-mme-kadri-une-hecatombe-post-vaccinale-a-bien-eu-lieu-en-grande-bretagne.html))

Après la vaccination, les mois de janvier et février 2021 ont établi les records de contaminations et de mortalité mensuelle totalisant près du quart de la mortalité britannique attribuée au Covid depuis le début de l’épidémie. 

Le faible taux de contamination dont se sont flattés hâtivement les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais ne signifie pas que la vaccination a été efficace car l’épidémie a également très fortement reculé dans toute l’Europe (- 85 % depuis avril 2021) dans les pays vaccinés comme dans les pays très peu vaccinés.

D’autant que malgré son taux record de vaccinés, une nouvelle augmentation des contaminations journalières est observée par l’agence gouvernementale(([5] https://coronavstats.co.uk/)) britannique depuis trois semaines, prouvant que les vaccins actuels sont incapables de stopper l’épidémie. 7 312 nouveaux cas en GB contre 4 475 en France le 11 juin 2021 et certains prétendent que la vaccination est un succès et que la France serait en retard !

Oui, le nombre de morts et les bénéfices des actionnaires sont moindres en France, moins vaccinée qu’en Grande-Bretagne mais pour les Français cela me paraît avantageux.

La Grande-Bretagne se place dans le peloton record des mortalités européennes avec 1 900 morts par million d’habitants malgré ses confinements multiples et ses vaccins. Les responsables de la vaccination accusent les variants de leur échec (aujourd’hui le variant delta) et ne s’interrogent pas sur la responsabilité de la vaccination dans l’émergence des variants, alors qu’il s’agit d’un fait de plus en plus observé.

Quant à la menace que feraient peser les variants sur notre avenir, sachons raison garder :  l’évolution virale se fait presque toujours vers une plus forte contagiosité et une plus faible gravité. Rien ne laisse supposer que cela puisse changer. L’évolution Covid ressemble de plus en plus à celle de la grippe saisonnière : à chaque poussée, un nouveau virus qui rend inefficace le vaccin de l’année précédente, mais une agressivité relativement faible. Le covid n’est pas la peste !

Oui, le vaccin AstraZeneca est dangereux et on aurait dû l’interdire

Jacques Guillemain accuse le professeur Delfraissy d’avoir précipité l’abandon du vaccin AstraZeneca en France, alors que ce vaccin a été interdit dans de nombreux pays et/ou son usage de plus en plus limité à cause des complications graves et souvent mortelles qui suivaient son administration.(([6] L’Italie vient de l’interdire ce jour à la suite d’un décès d’une jeune fille de 18 ans se rajoutant aux précédents décès post-vaccinaux dans ce pays))

Rappelons(([7] Delépine : Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ? 24 mars 2021 Riposte laïque https://ripostelaique.com/combien-faudra-t-il-de-morts-pour-interdire-le-vaccin-astrazeneca.html)) qu’après une alerte de l’agence sanitaire norvégienne à l’OMS à la suite de morts suspectes de grands vieillards dans les établissements de retraite, il a d’abord été abandonné pour inefficacité en Afrique du Sud, puis abandonné au Danemark, puis en Norvège, puis dans de nombreux autres pays européens, que notre Haute Autorité de santé l’a jugé dangereux pour les moins de 30 ans, puis les moins de quarante ans, puis les moins de cinquante ans… Dans cette affaire, le professeur Delfraissy a seulement diffusé les inquiétudes légitimes que soulevaient les complications graves (risque de thrombose associée aux vaccins à adénovirus) et les morts post-vaccinales rapportées dans tous les pays, y compris en France chez les sujets jeunes. Grâce lui en soit rendue !

L’immunité collective ne sera jamais atteinte par les vaccins covid

Le concept d’immunité personnelle est vérifié en clinique après guérison des infections virales. On ne peut faire la rougeole, la rubéole, les oreillons, (comme après la quasi-totalité des infections virales) qu’une fois dans sa vie et les guéris de ces maladies forment un rempart contre la transmission de la maladie.

Mais la protection post-vaccinale est souvent courte (nécessitant des rappels) et son efficacité beaucoup plus faible que celle obtenue naturellement. Aux USA, la résurgence de flambées de rougeole malgré une couverture vaccinale supérieure à 95 % le démontre régulièrement et ces poussées touchent les vaccinés.

Les exemples des pays qui ont atteint des couvertures vaccinales proches ou supérieures à 70 % montrent que ce concept purement théorique qui n’a de confirmation que virtuelle est inopérant pour le covid dans le monde réel.

Les Seychelles sont un petit pays d’environ 100 000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Ils avaient été relativement épargnés par l’épidémie et ne comptaient, après 9 mois d’épidémie, que 502 cas confirmés et un décès. La vaccination a commencé début janvier 2021 et après l’injection de près de 140 millions de doses le taux de couverture vaccinal global dépasse les 70 % et atteint 90 % chez les adultes.

Mais 6 mois après le début de la vaccination, le bilan est passé à 12 466 cas confirmés (+2 500 %) et 42 morts et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus élevé qu’avant vaccination.

Gibraltar (34 000 habitants) a commencé la vaccination en décembre alors que l’agence sanitaire locale recensait seulement 1 040 cas confirmés et 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair et très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 4 (passant à 4 302) et celui des morts par 19 (atteignant 95). Pourtant les responsables de la vaccination nient tout lien causal.

Les Émirats arabes unis sont les champions arabes de la vaccination anticovid qui a été généreuse et autoritaire. Ce pays de 10,5 millions d’habitants accueille neuf millions d’étrangers, dont une majorité de petits employés et de cols bleus, des Philippines ou du sous-continent indien. Officiellement la vaccination n’est pas obligatoire. Mais en réalité, cette population précaire n’est pas en position de refuser un vaccin proposé par l’employeur.

Entre début janvier et le 6 juin les 13 315 751 de doses injectées assurent une couverture vaccinale globale proche de 62 % et de 80 % chez les adultes. Mais depuis la vaccination, le nombre total de cas confirmés a triplé, le nombre de morts attribuées au covid a augmenté de 180 % et le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes reste nettement plus élevé qu’avant la vaccination

Mais depuis la vaccination le nombre total de cas confirmés a triplé, le nombre de morts attribuées au covid a augmenté de 180 % et le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes reste nettement plus élevé qu’avant la vaccination.

Ces exemples du monde réel montrent clairement qu’un taux de vaccination anti-Covid très élevé ne protège pas des transmissions, rappelant ce qu’a affirmé O. Véran devant le Conseil d’État « même vacciné on peut transmettre le Covid et même des formes graves ».

Reste-t-il des indications aux vaccins anti-covid actuels ?

Aucune indication chez les enfants qui ne risquent rien du covid et ne le transmettent pas et qui sont, comme les autres, exposés aux complications post-vaccinales dont des myocardites.

Aucune indication chez les moins de 65 ans qui risquent peu du covid et au total moins que des vaccins actuels.

L’indication se discute chez les personnes âgées avec comorbidité lourde qui constituent les cibles du Covid. Mais encore faudrait-il que les vaccins aient fait leurs preuves d’efficacité et d’absence de toxicité. Or les essais ont très peu inclus cette population et ne sont pas terminés.

La vaccination est donc encore plus expérimentale chez eux que chez leurs cadets. Et les vaccinations ont été suivies chez eux de nombreuses morts qui ont motivé une alerte précise de l’agence sanitaire norvégienne appelant à ne pas vacciner les « trop vieux, trop malades » : disparition post- vaccinale de nombreux doyens de région – dont l’ancien cycliste qui faisait encore ses 100 km, morts d’un tiers des prêtres d’une maison de retraite vaccinés en Charente-Maritime, mort du prince Philip quatre semaines après sa vaccination.

Dans l’immédiat, quand on est âgé, il est prudent d’attendre avant de se vacciner contre le Covid.

J’ai 75 ans, je suis médecin et j’attends de pouvoir analyser les données brutes de ces pseudo-vaccins expérimentaux mis trop hâtivement sur le marché pour décider éventuellement de me faire injecter un médicament génique s’il se révélait efficace (on sait dès maintenant qu’ils le sont insuffisamment) et moins dangereux que la maladie. En attendant je donne ma dose à ceux qui veulent jouer à la roulette russe.

Gérard Delépine





Pass sanitaire, ou comment s’asseoir sur l’éthique

[Source : Contrepoints]

Par Patrick de Casanove

Le pass sanitaire est une atteinte aux droits naturels.

Le gouvernement a fini par réussir à imposer le pass sanitaire. En transformant le  passeport vaccinal en pass sanitaire, moins fermé, il tient formellement parole sur  la non-obligation vaccinale. Pour cela il intègre d’emblée la guérison naturelle de l’infection et la possibilité d’un test négatif.

Grâce à cela, il court-circuite le débat sur l’éthique de la vaccination de masse que le pass implique, et il essaie d’éviter de braquer ceux qui ne veulent pas être vaccinés.

Pour la vaccination, il agira par d’autres voies. En créant un seuil à partir duquel le pass sera obligatoire, il ne serre pas trop le nœud coulant pour éviter que les personnes ne se rebiffent. Serrer viendra plus tard.

Si les Français avaient compris le passeport vaccinal comme non éthique, cela aurait suffi pour le disqualifier. Il fallait l’éviter. Dans les médias, les argumentations contre le dispositif tournaient donc essentiellement autour de questions technologiques liées à la vaccination, voire simplement logistiques, comme la possibilité offerte à toute la population de se faire vacciner.

Cela impliquait que sa mise en place ne dépendait que de la levée des réserves technologiques et logistiques, alors que le problème est moral. Si le débat avait été trop long l’opposition éthique aurait pu retrouver de la vigueur.

Au final, nous nous retrouvons aujourd’hui avec une vaccination de masse qui n’est pas éthique et un pass sanitaire qui ne l’est pas non plus.

LE PASS EST LIBERTICIDE

L’argument pour le pass consiste à dire qu’il autorise un « retour à la vie normale ». Il repose sur l’émotionnel. Une vie de soumission ne saurait être normale. Le pass est présenté comme une libération bien que son instauration s’accompagne de menace et de chantage. S’il était une libération, s’il était utile et moral, il serait adopté spontanément, sans coercition ni manipulation.

Affirmer que les gens seront libres avec le pass, ou qu’il permettra leur libération est une perversion des mots qui perdent leur sens.

Affirmer que les individus seront libres avec le pass sanitaire, mais que s’ils le refusent ils ne pourront pas avoir de vie sociale et que par conséquent ce refus de vie sociale est leur libre choix, est un sophisme.

Imposer le pass sanitaire au nom d’une prétendue libération est immoral. Un droit naturel ne peut être prétexté pour détruire un droit naturel. Dans le même registre, imposer l’obligation vaccinale anti-Covid, au motif que d’autres vaccins sont obligatoires pour d’autres pathologies n’est pas valable. Une atteinte à la liberté ne peut justifier une autre atteinte à la liberté.

Le pass sanitaire n’est en rien sanitaire. Il ne garantit pas aux Français de rester en bonne santé. Il leur garantit une liberté conditionnelle, un ersatz de liberté surveillée et étriquée, qu’il ne faut pas confondre avec la liberté. Cet ersatz est tellement étriqué qu’il ne dispense pas des gestes barrières ni de la distanciation sociale, ces fameuses jauges.

Le pass sanitaire ne rend pas plus libre que la chaîne au cou du chien.

LA LIBERTÉ EST UN PRINCIPE

La liberté n’a pas de contrepartie. Elle est un principe, qui plus est fondateur de la France moderne. L’article 2 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 dit énonce :

Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression.

Il ne faut pas reculer sur la liberté. Elle implique la responsabilité individuelle,  nécessite un combat inlassable et quotidien. Elle se mérite. Elle est ou elle n’est pas. Elle est consubstantielle de l’Homme. « Personnalité, Liberté, Propriété, — voilà l’homme. » Frédéric BastiatLa Loi (1848). Détruire la liberté détruit l’Homme.

LE PASS PORTE ATTEINTE À L’ÉCHANGE

L’échange, c’est l’économie politique, c’est la société tout entière ; car il est impossible de concevoir la société sans échange, ni l’échange sans société – Frédéric Bastiat, Échange (1850)

L’échange est un droit naturel comme la propriété.[…] priver [ tout citoyen] de cette faculté, quand il n’en fait aucun usage contraire à l’ordre public et aux bonnes meurs […] c’est légitimer une spoliation, c’est blesser la loi de la justice – Frédéric Bastiat – Association pour la liberté des échanges (1846)

Le pass est un contrôle des échanges inter-humains. Une partie de la population est privée de cette liberté, ses échanges sont limités.

LE PASS EST DISCRIMINATOIRE

L’étatisme parque les gens dans des cases. En attendant mieux, ou pire… il crée deux catégories de citoyens. Le gouvernement prétend lutter et légiférer contre la discrimination. Du défenseur des Droits au ministère chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l’égalité des chances, tout l’appareil étatique est mobilisé. Mais il ordonne la discrimination.

Même l’ONU est mobilisée contre la discrimination en attendant un ausweis mondial qui est bien parti.

Il est interdit à un professionnel de discriminer ses clients, ses employés sur leur race, leur religion, leur couleur de peau, mais la discrimination par la Covid est désormais légale aujourd’hui dès l’instant où mille personnes peuvent se rassembler.

Mais demain ? Il sera facile de durcir et multiplier les critères d’application.

SON OBJECTIF EST LE CONTRÔLE DES POPULATIONS

La violence légale est politique. La contrainte légale est politique. Un ausweis est toujours politique, jamais médical. Il faut noter que les personnes peuvent voyager et avoir une vie sociale en étant porteuses d’autres maladies infectieuses mais elles sont privées de ces libertés si elles ne peuvent pas prouver qu’elles n’ont pas la Covid. Il s’agit bien de politique.

Pour l’État, l’important n’est pas le contrôle de la Covid. Le contrôle d’une épidémie est une affaire médicale. Son objectif est le contrôle des populations. Il lui fallait agir vite.

L’Europe a été son alibi et son bouclier. La décision européenne d’imposer un pass sanitaire sert de justificatif à un comportement moutonnier d’abdication des dirigeants nationaux. Le panurgisme est une forme de gouvernement qui ne fait pas appel à la raison. Une fois de plus l’Europe trahit ainsi ses textes fondateurs et sa philosophie d’être un espace de libre circulation pour les biens et les personnes, ce qui confirme une fois encore que l’Europe qui se construit est un monstre totalitaire, centralisateur et technocratique.

Ne croyez pas que les politiciens subissent l’Europe. Ils la créent et la désirent, nous la subissons.

Le pass sanitaire, peu sévère aujourd’hui, est une porte ouverte à un contrôle accru et de plus en plus strict. Il existe des risques que ce pass finisse par ne pas concerner uniquement la Covid.

Rien n’empêchera l’État d’inclure d’autres critères tels que le comportement citoyen des individus, écoresponsables comme il se doit, le comportement des entreprises citoyennes, elles aussi écoresponsables et solidaires, le comportement routier, piéton, la fréquentation des sites politiquement incorrects, complotistes, conspirationnistes.

C’est la porte ouverte au crédit social. Si les Français ne peuvent plus se rendre en Chine, la Chine viendra à eux. Avec une différence toutefois : les Chinois ne se mêlent pas de politique, ils s’enrichissent et la Chine est prospère. Que les Français se mêlent ou non de politique ils s’appauvrissent, et la France tombe en ruines.

Il suffira au gouvernement de trouver une bonne raison pour faire gober l’élargissement du pass. Il suffit de constater que les « bonnes raisons » ne manquent pas pour le pass sanitaire : reprendre une vie sociale, culturelle, voyager. Toutes les mesures coercitives sont faites pour imposer le bonheur aux Français… malgré eux.

À côté du pass lui-même plusieurs mesures périphériques ont vu le jour, ainsi en Israël, le bracelet électronique. Il faut cependant saluer ce pays qui a supprimé son  passeport vert mais qui a maintenu les mesures de restrictions strictes pour les voyageurs se rendant en Israël.

Bien des gens sont tellement effrayés, épuisés par un an de crise qu’ils sont prêts à accepter n’importe quoi. Leur soumission est totale. Plusieurs victimes de la coercition réclament leur oppression et celle de leurs concitoyens. Après la délation encouragée pour non-respect des gestes barrières, certains se font les auxiliaires de cette coercition. La pression de la communauté s’exerce pour la vaccination des récalcitrants. Ce n’est plus « restez chez vous ! », c’est « vaccinez vous ! » 

C’est le nec plus ultra du totalitarisme.

Mais la peur, ou une autre motivation, peut pousser de zélés zélotes à exiger ce pass ou un équivalent sans directive étatique. Ainsi un employeur, un familier, un parent pourrait l’exiger. Dans une société libre n’importe qui peut demander n’importe quoi, même de farfelu, pour accéder à sa propriété. La concurrence qui est libre choix, la responsabilité personnelle, le coût à supporter sont de bons régulateurs. Mais nous ne sommes pas dans une société libre.

LA CAPTATION D’INFORMATIONS

Israël a montré le chemin. Il faut être complètement naïf pour faire confiance à l’État pour protéger notre vie privée. Il est le premier à y porter atteinte. Comment pourrait-il protéger les personnes à partir du moment où son intérêt est l’intrusion dans cette vie privée ? Totalitaire par essence l’étatisme ne reconnaît pas la vie privée, comment pourrait-il la défendre ?

La crise que nous vivons a mis en lumière la collusion entre le capitalisme de connivence et l’État. Toutes les informations ont de la valeur, en particulier celles qui concernent la santé. Soyons sûrs que l’un comme l’autre sauront en tirer profit.

OUVRIR LES YEUX

Nous avons vu que le pass est une atteinte aux droits naturels qui s’ajoute à d’autres. Il ne faut pas croire qu’il n’est qu’une petite atteinte. Le niveau de résilience ou la capacité d’encaissement, de soumission des populations peut varier en fonction du poids de la spoliation légale que l’État leur inflige.

Ce n’est pas parce qu’une population encaisse, ni même accepte, que porter atteinte à un droit naturel n’est pas délétère ou grave. Toute atteinte à un droit naturel est grave. Toute atteinte à un droit naturel les détruit tous.

Les droits naturels sont propres à l’être humain. La société c’est l’échange, l’économie c’est l’échange, l’Humanité c’est l’échange. La liberté c’est l’Homme. Détruire ses droits naturels c’est nier son humanité, les anéantir réifie. La Grèce, Rome et le christianisme avaient fait de l’individu une personne, c’est fini.

S’il en fallait des preuves, on les trouvera dans la manière indigne et inhumaine avec laquelle des malades ont été privés de soins, sont morts abandonnés. Leurs proches ont été privés des rites funéraires propres à l’Homme à cause de réglementations étatiques délibérées.

En ce sens la crise créée par les politiques est un bouleversement extrêmement profond, social, économique, humain, jusqu’à la conception même de l’Homme dans les sociétés occidentales.

Cela traduit bien un changement absolu de notre société, dans ses fondations, ses racines, dans l’exigence de confiance minimale indispensable à son fonctionnement harmonieux. C’est un changement civilisationnel.




Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain

[Source : Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]

par Brian Gerrish

Le 28 mai 2021, Brian Gerrish a témoigné lors de la 54e session du Stiftung Corona Ausschuss, l’enquête extraparlementaire menée par des avocats en Allemagne sur la gestion de la crise du Covid par le corps médical et les décideurs publics au niveau international. Le thème de la journée de la 54e session était « Coincé entre le nudging et les effets secondaires ». Vous trouverez ci-dessous la transcription du témoignage de Brian Gerrish.

Reiner Füllmich : Brian, je m’excuse de vous avoir fait attendre pendant une vingtaine de minutes.

Brian Gerrish : Pas de souci. Je voudrais juste mentionner que je ne parle pas allemand, et que c’était fascinant de vous observer et de vous écouter, et aussi  merveilleux de vous voir commencer à rire, parce que vous aviez l’air très sérieux dans la plupart des dialogues que j’ai écoutés.

Il y a un mot que j’ai relevé et que j’ai trouvé très intéressant, c’est Wahnsinn, qui est apparu plusieurs fois, en particulier lorsque Bianca [directrice d’une école primaire persécutée] parlait.

Reiner Füllmich : Vous savez ce que ça veut dire, non ?

Brian Gerrish : Oui, « Folie ». Et je voudrais dire la chose suivante : ce n’est absolument pas de la folie. Ce à quoi nous sommes confrontés est calculé, et c’est une erreur de l’appeler « folie », parce que tout est très précis et calculé. C’est fondamental de comprendre cela pour être en mesure de faire face à ce que nous affrontons.

Reiner Füllmich : C’est très intéressant à entendre, car nous sommes arrivés à la conclusion que « l’autre côté », comme nous l’appelons, utilise deux outils majeurs. L’un est bien sûr la psychologie, les opérations psychologiques ; et l’autre outil indispensable est les médias grand public, qui sont les canaux qui véhiculent ces opérations psychologiques.

Pouvez-vous nous parler un peu de votre parcours ?

Brian Gerrish : Eh bien, j’ai été militaire dans la Royal Navy pendant vingt et un ans. J’ai ensuite travaillé dans l’industrie essentiellement, et après quelques années, j’ai commencé à comprendre que les choses allaient mal au Royaume-Uni et à enquêter.

Cela m’a conduit à faire équipe avec Mike Robinson, pendant près de vingt ans, et depuis quatorze ans maintenant, nous dirigeons tous les deux un média appelé UK Column, où je suis ravi de dire que nous sommes en expansion, et il est clair que nos téléspectateurs et nos auditeurs ne sont plus seulement au Royaume-Uni, mais dans le monde entier.

Reiner Füllmich : excellent ! Et maintenant, bien sûr, vous êtes occupé à couvrir le Coronavirus et toutes ses ramifications.

Brian Gerrish : Eh bien, le point essentiel est que nous avons commencé par examiner certaines des questions que vous venez de mentionner. Nous nous sommes penchés sur la façon dont la propagande était entrée dans le pays ; nous avons examiné l’utilisation de la psychologie comportementale appliquée par le gouvernement ; et nous nous sommes penchés sur des changements que nous considérions comme très sérieux qui affectaient particulièrement le style de la démocratie, et nos droits constitutionnels.

C’est dans ce contexte de reportage que nous nous sommes intéressés au coronavirus. Je vous dirais donc que notre analyse de ce qui s’est passé avec le coronavirus s’inscrit dans le contexte de ce qui se passait au niveau politique, et en particulier de l’utilisation de la psychologie comportementale appliquée et de la propagande.

Viviane Fischer : Alors, que pensez-vous de la « folie calculée » ? La « folie » [description] est plutôt notre jugement lorsque nous regardons ce qui était l’état normal des choses auparavant. Personne n’aurait pensé, si vous nous aviez posé la question il y a un an, que cela aurait pu se produire, du moins, pas nous, je suppose.

Et aussi, nous avons été vraiment surpris de voir comment le système juridique s’est détérioré, ou du moins, comment il est devenu évident qu’il est vraiment en mauvais état. Mais nous avons aussi le sentiment, en même temps, que ce qui se passe est très orchestré : c’est comme un puzzle. Ils déplacent cette pièce et cette autre, et l’image de ce qui se passe devient de plus en plus claire. Quelles sont vos expériences ou votre analyse de la situation ?

Brian Gerrish : Tout d’abord, je suis d’accord avec vous pour dire que la « pandémie » de coronavirus, si l’on peut l’appeler ainsi entre guillemets, a pris tout le monde par surprise. Je ne pense pas que nous l’ayons vue venir, et elle s’est produite très rapidement. Je suis donc tout à fait d’accord avec vous sur ce point.

Mais je reviendrai sur le fait que nous avons commencé à voir des choses très, très graves se produire au Royaume-Uni. Si je me concentre immédiatement sur l’utilisation par le gouvernement de la psychologie comportementale appliquée : en 2010 et 2011, le UK Column a été averti que le gouvernement avait mis en place une équipe appelée Behavioural Insights Team [note : l’ancienne adresse de page d’accueil « behaviouralinsights.co.uk » est maintenant redirigée vers le consciemment mondialiste « bi.team »]. Il s’agissait d’une équipe de psychologues qui travaillait directement avec non seulement l’appareil politique, mais aussi l’appareil d’élaboration des politiques au sein du gouvernement britannique.

Un document critique que nous avons trouvé en 2010 s’appelait Mindspace (vous pouvez le trouver très facilement en le recherchant en ligne sous forme de document PDF). Dans ce document, le gouvernement admettait qu’il utilisait la psychologie comportementale appliquée pour influencer la manière dont il concevait et mettait en œuvre ses politiques.

À un moment particulier de ce document — en fait, c’est au bas de la page 66, si je me souviens bien — le gouvernement se vante de pouvoir changer la façon dont les gens pensent et se comportent, et que les gens ne seront pas conscients que cela leur a été fait. Et il ajoute la mise en garde suivante : même s’ils se rendent compte que leur comportement a changé, ils seront incapables de savoir comment il a été modifié.

À la lecture de ce document, nous avons été choqués, et avons alors commencé à faire des recherches plus approfondies. Nous avons découvert qu’à cette époque, et bien sûr un peu plus tôt, le gouvernement britannique avait organisé des réunions avec les Français, au cours desquelles des équipes de psychologie politique  élaboraient des plans communs entre les deux pays. Le principal Français présent à ces réunions s’appelait Olivier Ouillier, et il travaillait à l’époque directement pour le cabinet privé de Sarkozy.

Toutes ces réunions se sont essentiellement tenues en secret. Nous avons pu découvrir qu’elles avaient eu lieu, mais nous n’avons pu le faire qu’en effectuant des recherches minutieuses en utilisant des voies spécifiques qui nous semblaient importantes. Par exemple, la plupart de ces réunions ont été menées sous le couvert d’une association caritative, le Conseil franco-britannique, qui disait avoir été créée simplement pour améliorer les relations entre la Grande-Bretagne et la France.

Ces réunions ont donc eu lieu, et il est apparu très clairement qu’il y avait un effort concerté pour étendre l’utilisation de ces techniques : non seulement de la part de la Grande-Bretagne et de la France, mais l’implication à ce moment-là était que ces techniques allaient être utilisées à travers la base de pouvoir plus large de l’Union européenne.

Et je vais juste répéter que le document Mindspace se vantait que pour la première fois, le gouvernement serait capable d’utiliser des techniques appliquées où les gens verraient leur comportement modifié — c’est-à-dire que leurs pensées seraient modifiées et qu’ils ne s’en rendraient même pas compte.

Reiner Füllmich : Dans quel but ?

Brian Gerrish : Eh bien, si vous voulez exécuter le pouvoir, vous pouvez essayer d’utiliser une politique normale et démocratique, ou vous pouvez essayer d’utiliser la force, ou vous allez essayer d’utiliser d’autres moyens.

Et donc je classe ces techniques dans cette catégorie « autres moyens ». Je dois dire que lorsque j’ai vu à quel point c’était cynique à travers mon expérience militaire, à quel point c’était calculé, j’ai compris qu’il s’agissait d’une utilisation brute du pouvoir.

Maintenant, si je fais un bond en avant dans les événements autour de la Covid : très tôt dans la pandémie de Covid (je l’ai appelée « pandémie » ; bien sûr, je ne crois pas que ce soit ce qu’elle est, mais c’est ainsi qu’elle a été rapportée), il a été porté à notre attention que le groupe consultatif scientifique du gouvernement, SAGE, avait eu une entrevue avec des membres de l’équipe Behavioural Insights du gouvernement.

L’homme clé concerné par cette question était un homme appelé Dr David Halpern. Cette réunion n’a pas fait l’objet d’un compte-rendu officiel, mais une fiche d’information a été publiée à l’issue de la réunion. Dans ce document, daté, je pense, du 22 mars 2020, il est admis que l’équipe SAGE et la politique du gouvernement sur le coronavirus allaient utiliser la psychologie appliquée afin d’accroître la peur dans la population, afin que celle-ci adhère plus étroitement à la politique du gouvernement en réponse au coronavirus. Nous avons ce document ; nous pouvons vous fournir une copie de ce document.

Reiner Füllmich : Oui, s’il vous plaît, parce que nous avons le même genre. Il s’agit d’un document qui a fait l’objet d’une fuite de la part du secrétaire [fédéral] de l’Intérieur, et qui est maintenant appelé le Panic Paper.

Brian Gerrish : Oui, j’ai entendu parler de ce document en Allemagne. Je ne l’ai pas vu ou je n’ai pas pu le lire en anglais. Je vais vous suggérer que ce document allemand est issu des discussions spécifiques auxquelles je viens de faire référence. Lorsque nous avons commencé à voir que le gouvernement britannique tenait ces réunions secrètes avec des experts français en psychologie comportementale appliquée, il était clair pour nous que cela allait être déployé dans d’autres pays européens. Je n’ai donc pas été surpris lorsque j’ai entendu parler de ce document allemand.

Dans le document du SAGE, outre le fait qu’ils allaient accroître la peur, il y avait quelque chose de très intéressant. Il est dit [aux paragraphes 6-8 de la page 2] qu’au sein des communautés [locales], les membres au sein de la communauté seront utilisés pour faire en sorte qu’on se dénonce les uns contre les autres. Les gens allaient donc être utilisés pour faire pression sur leurs voisins, par exemple, pour qu’ils portent un masque, pour qu’ils respectent la distanciation sociale.

Il était donc très clair dans leurs propos qu’ils allaient utiliser cette psychologie appliquée secrète pour pousser les citoyens à faire pression sur leurs pairs. Et, fait significatif, ils ont également dit que cela devait être fait avec une certaine prudence, car ils pensaient qu’il était possible que cette situation devienne incontrôlable. En clair, ce qu’ils entendaient par là, c’est qu’au lieu que quelqu’un dise à quelqu’un d’autre « Tu devrais porter un masque ! » cette exigence pourrait se traduire par de la violence.

Après vous avoir parlé de ce document — très clair, très précis — je reviens maintenant à ce que disait Bianca qui parlait il y a quelques minutes, parce que j’ai pu comprendre qu’elle parlait d’angoisse et de stress.

Bien entendu, les techniques utilisées sur les adultes — ces techniques psychologiques visant à provoquer le stress et la peur — sont également utilisées sur les enfants. Je n’ai pu comprendre qu’une infime partie de ce dont elle parlait, mais j’en ai compris suffisamment pour saisir — corrigez-moi si je me trompe — que les règles changent, et donc qu’elle ne sait jamais quelles sont les règles à suivre.

Reiner Füllmich : Exactement, oui. Chaque semaine, ils changeaient les règles [pour les écoles], de sorte qu’elle devait travailler le week-end pour essayer de comprendre comment faire fonctionner les choses.

Brian Gerrish : Oui. Et l’incertitude et le changement des règles : cela fait partie de l’attaque psychologique. Parce que l’incertitude met immédiatement les gens dans une position de stress, d’anxiété et de confusion. Et si nous retournons dans le monde professionnel de la psychologie appliquée, les personnes qui sont dans un état de détresse et de confusion sont très sensibles aux autres messages et instructions. S’il y a un incendie dans un bâtiment et que les gens commencent à paniquer, la première personne qui commence à donner des ordres clairs aux gens, ces ordres seront suivis. Et cela est dû à l’état psychologique dans lequel se trouve le groupe.

Je n’ai pas de formation professionnelle en psychologie, mais je connais un certain nombre de choses que j’ai appris grâce aux enquêtes que je mène.

L’autre point que je souhaite aborder est qu’il y a de nombreuses années, nous avons commencé à nous intéresser de près à une organisation caritative appelée Common Purpose. Common Purpose, en tant qu’organisation caritative, déclarait avoir pour but de créer des « futurs leaders dans la société ».

C’était en fait une sorte de pieuvre, qui, grâce à ses tentacules, s’est introduite dans le système hospitalier, dans la police, dans l’armée, dans les écoles, et une fois à l’intérieur de ces organisations, répandait  une nouvelle philosophie applicable dans de nombreux domaines.

Tout ce que je vous dis est parfaitement documenté. J’ai un site web qui regorge de documents sur ce que faisait cette organisation. Elle s’adressait en particulier aux enfants. Au début, elle s’adressait aux enfants de 11 à 14 ans, mais elle s’intéressa aussi aux étudiants universitaires.

Outre le fait que les personnes qui suivaient les cours étaient sélectionnées, ils étaient également désireux de faire participer des plus jeunes à leurs soi-disant formations.

Lorsque j’ai enquêté sur cette organisation, parce que j’étais extrêmement méfiant quant à ce qu’elle faisait (sa mission déclarée était de « choisir les futurs dirigeants » qui allaient « diriger au-delà de l’autorité » !), j’ai découvert que la formation était clairement conçue pour produire des personnes travaillant dans une organisation, mais qui ne travaillerait pas dans la culture normale de l’organisation. Common Purpose leur inculquait un nouvel ensemble de valeurs.

Lorsque j’ai pris l’avis d’un expert sur la façon dont ils s’y prenaient, c’est la première fois que l’on m’a parlé de la technique de la programmation neurolinguistique. La PNL est en fait une forme d’hypnose. Vous pouvez chercher sur Internet et vous trouverez de nombreux cabinets de conseil proposant des formations à la PNL, et vous trouverez de nombreuses personnes proposant des formations qui affirment que cette technique a une [valeur] thérapeutique, qu’elle peut être utilisée pour soigner et aider les gens.

En substance, c’est vrai ; mais ce qui nous intéressait au fond, c’est de savoir où nous avons commencé à voir l’utilisation de la neurolinguistique dans la politique gouvernementale.

Pour cela [nous devons] réunir ces deux éléments avérés :

  • C’est un fait que le gouvernement britannique a mis en place une équipe spécifique de psychologie appliquée.
  • C’est un fait que cette équipe promouvait des idées pour rendre la population craintive autour de la pandémie.

Et à une échelle beaucoup plus grande, cette équipe utilisait, entre autres, la PNL pour influencer pratiquement tous les documents produits par le gouvernement.

Je ne sais pas si certains membres de votre équipe ont déjà entendu parler de la PNL, mais je dirai que c’est un secret de polichinelle (vous pouvez faire des recherches à ce sujet, et de nombreux professionnels l’enseignent) qu’il s’agit essentiellement d’une forme d’hypnose. Cela signifie que vous pouvez transmettre aux gens des idées et des concepts qui ne passent pas nécessairement par leur esprit conscient. C’est un fait, ce n’est pas de la fiction.

Maintenant, lorsque vous commencez à voir la PNL utilisée pour des objectifs politiques, bien sûr, le grand public est très, très vulnérable, parce qu’à moins d’avoir un peu de formation ou de connaissance de la PNL, vous ne vous rendrez même pas compte qu’elle est utilisée sur vous, et elle peut être utilisée dans un sens verbal, mais elle peut aussi être utilisée par écrit.

Ainsi, par exemple, vous pouvez avoir un document devant vous : vous remarquez souvent un point à la fin d’une phrase ; ce marqueur n’est pas au bon endroit et vous pensez que quelqu’un a fait une erreur en tapant.

Mais ce n’est pas ce que la PNL peut faire, car lorsque vous lisez la phrase et que vous arrivez au point, votre esprit conscient prend une décision, mais votre esprit subconscient en prend une autre. Et il est tout à fait possible de rédiger des documents dans lesquels il semble qu’un message soit transmis, mais en réalité un message complètement différent est transmis au public.

Si je ramène cela au domaine de la réaction au coronavirus, nous constatons maintenant que chaque déclaration faite par le gouvernement, chaque document qui sort, est invariablement très soigneusement rédigé, il est très soigneusement assemblé, et je peux voir que dans une grande partie de cette documentation, la psychologie comportementale est soigneusement appliquée dans le texte.

Pour étayer cette affirmation, pour la renforcer : nous disposons également d’un document gouvernemental dans lequel le gouvernement se vante spécifiquement de pouvoir utiliser la psychologie dans les documents écrits.

Viviane Fischer : Vous pensez donc que les documents qui ont fait l’objet de fuites [en Allemagne], comme par exemple ce document de panique qui a été divulgué par quelqu’un, ou du moins qui n’a pas été publié officiellement, ont généré beaucoup de peur. Certaines personnes ont pu lire à travers les lignes et comprendre toute la narration même le simple fait qu’il ait été publié, et que certaines personnes l’aient lu ou en aient entendu parler, les ont bloquées dans la peur voire même renforcé leur peur, et a servi le but pour lequel cela a été conçu.

Beaucoup de gens ont été contrariés que le gouvernement utilise cette photo de votre grand-mère en train d’être étouffée par vous, l’enfant qui l’a infectée avec le coronavirus ; mais une fois que cette photo est en quelque sorte dans le domaine officiel, certaines personnes l’entendent et ont alors ces fantasmes dans leur tête, et ont encore plus peur.

Brian Gerrish : Eh bien, c’est tout à fait exact. Nous pouvons voir ici, au Royaume-Uni, que la BBC, en particulier, a utilisé la psychologie appliquée de cette manière : des photographies très émotives et bouleversantes avec très peu de reportages factuels pour soutenir l’image, l’idée donnée par la photographie.

C’est délibéré. C’est calculé.

Dans le contexte de tout ce qui s’est passé avec la « pandémie », nous savons que chaque discours qui est prononcé, chaque document qui est diffusé, est susceptible de contenir un message psychologique de renforcement.

Mais l’autre chose qui me semble importante, du moins au Royaume-Uni, c’est que si nous revenons à 2010, lorsque le document Mindspace a été publié, nous avons commencé à voir les premiers exercices de préparation à une pandémie dans l’année qui a suivi.

En 2016 [N.B. : dans la vidéo, Brian dit » 2011 » par erreur, qui était l’année du précédent document sur la préparation à la pandémie], nous avons eu un truc appelé exercice Cygnus, qui était le plan britannique de préparation à la pandémie de grippe.

Ce document a été suivi par d’autres documents officiels parlant d’une éventuelle future pandémie, puis en 2017, il y a eu un document très important intitulé Préparation, résilience et réponse aux situations d’urgence [N.B. : Brian a généralisé le nom en disant « Préparation à la prochaine pandémie »].

Ce qui était, et ce qui est, intéressant dans la lecture de ces documents, c’est que certains d’entre eux — pas tous, mais certains d’entre eux — qualifient le document en disant : « Eh bien, nous ne pouvons pas prédire qu’une pandémie va se produire : nous pouvons regarder sur le long terme ce qui s’est passé dans le monde ; nous pouvons regarder ce qui s’est passé en 2018 et la pandémie de grippe et les dégâts ; mais nous ne pouvons pas être certains de quand il y aura une autre pandémie. »

Et soudain, en l’espace de quelques années, nous pouvons voir une avalanche d’articles au Royaume-Uni — et là encore, nous pouvons les mettre à votre disposition — où, soudain, les gens parlent tous de « la pandémie à venir ».

Il s’agit de documents publics politiques britanniques. Ils ne sont même pas au niveau des documents de type SPARS sur la pandémie, où de grands exercices ont été menés en Amérique et ailleurs, pour étudier la possibilité d’une pandémie. Il s’agit d’un ensemble de documents et de recherches supposées au Royaume-Uni.

Est-ce une coïncidence si, en quelques années, les articles se succèdent pour nous avertir de l’arrivée d’une pandémie ? Ce que je constate en lisant ces articles, c’est qu’il y a très peu de faits, mais beaucoup de langage émotif.

Et, bien sûr, les personnes qui avaient un emploi dans le secteur public, dans le système gouvernemental inférieur, étaient très susceptibles de lire ce matériel et de penser ensuite, « Mon Dieu, nous devons nous préparer localement à cela ! »

En regardant ces documents, je suis assez convaincu que ce que nous voyons est l’ensemencement des idées d’une pandémie à venir.

Bien sûr, ces graines ont été placées dans l’esprit des gens, et dès que nous avons commencé à recevoir des rapports sur l’arrivée d’une pandémie — en particulier, pour nous [en Grande-Bretagne], de la BBC — les gens auraient commencé à s’inquiéter, ou auraient commencé à penser à ce matériel et auraient commencé à réagir de la manière souhaitée par le gouvernement.

Nous avons donc des preuves substantielles montrant que le gouvernement britannique utilise et utilisera la psychologie appliquée pour faire passer ses politiques, ces preuves substantielles indiquant qu’ils vont aller jusqu’à rendre les gens craintifs.

Et j’ajouterai que si vous rendez les gens stressés et craintifs, vous allez aussi leur causer des problèmes de santé mentale, et nous vivons maintenant dans un pays où il y a une énorme augmentation des dépressions et de suicides, dont la presse grand public ne parle pas, parce que l’augmentation de ces effets négatifs sur la santé mentale a été si énorme depuis que les politiques de verrouillage ont été mises en place ; c’est un éléphant dans le salon au Royaume-Uni.

Nous avons la preuve dans les documents de l’existence de la psychologie appliquée calculée et destructrice. Si vous parlez aux gens dans les services publics, aux médecins, aux infirmières et au service hospitalier du NHS, ils nous disent qu’ils ont également été témoins de l’inondation soudaine de ces documents, les préparant effectivement à une pandémie qui était à venir. Pourtant, il s’agissait d’une pandémie qui, selon les journaux, ne pouvait pas être prédite !

Reiner Füllmich : Brian, au début de la session d’aujourd’hui, le Dr Wolfgang Wodarg et moi avons discuté du fait qu’un nouveau récit a été diffusé dans les médias grand public, probablement en commençant aux États-Unis avec Fox News. L’hôte Tucker Carlson a expliqué dans l’une de ses émissions d’information que la justice allait enfin être rendue, car[Anthony] Fauci a été pris en flagrant délit de mensonge au sujet de sa participation au laboratoire de virologie de Wuhan et de la manière dont il y avait mené des expériences de gain de fonction, financées dans le dos du contribuable américain et contre la volonté du gouvernement [américain], avec l’argent des contribuables américains.

Mais le vrai message n’était pas « On va avoir Fauci ». Le vrai message était : « Fauci ne nous a pas dit qu’un dangereux virus s’était échappé du labo de Wuhan ». « Entre-temps, nous savons qu’il y a probablement eu un accident au laboratoire de Wuhan, mais qu’il n’a pas causé de réels dommages. Cependant, ces personnes qui semblent avoir préparé le déploiement de cet agenda (comme vous venez de l’expliquer, et comme d’autres nous l’ont expliqué auparavant) — ces personnes ont saisi cette opportunité et l’ont utilisée comme un tremplin afin de commencer à déployer la  « pandémie » qui est en réalité une plandémie, et qui n’est en réalité qu’une pandémie de tests PCR.

Êtes-vous d’accord avec cela, qu’en réalité — et c’est vraiment important — nous n’avons pas un virus dangereux, parce que l’OMS, conformément à ce que dit John Ioannidis, a évalué le danger de cette pandémie à peu près au niveau d’une grippe ordinaire : 0,14 ou 0,15 % de taux d’infection et de mortalité ; donc, êtes-vous d’accord pour dire qu’il ne s’agit pas vraiment d’une pandémie, mais d’un effort coordonné ?

Comme vous l’avez dit lorsque vous avez commencé à nous parler, ce n’est pas de la folie, c’est un effort calculé qui utilise la psychologie, la PNL, afin de maintenir les gens dans la peur, afin de leur faire faire des choses qu’ils ne feraient pas autrement ?

Brian Gerrish : Je le crois certainement. Il y a un certain nombre de points qui sont impliqués dans ce que vous venez de me dire.

Le premier point important est le suivant : toutes les preuves qui nous sont parvenues par le biais de UK Column et de notre analyse ont montré que même les propres statistiques du gouvernement ont prouvé que ce qui se passe correspond en fait à une saison de grippe normale. Et bien qu’ils aient essayé de manipuler et de déformer les statistiques, l’Office national des statistiques du Royaume-Uni a fait son travail : les statistiques que ce centre a diffusées au public étaient correctes et montraient qu’il n’y avait pas de pandémie. Mais l’interprétation du gouvernement était une déformation flagrante des faits et des informations.

Reiner Füllmich : La même chose s’est produite ici en Allemagne.

Brian Gerrish : Oui, et je peux renforcer cette affirmation en vous disant que nous avons maintenant un grand nombre de personnes qui viennent nous voir — médecins et infirmières — pour nous dire qu’à l’époque où le gouvernement britannique prétendait que les hôpitaux étaient pleins de patients Covid, ils ne l’étaient pas.

Même les installations spécialisées créées dans les hôpitaux n’ont jamais accueilli un seul patient, sans parler du grand centre créé à Londres pour des milliers de patients qui s’est retrouvé, je crois, avec environ 63 patients dans une installation de plusieurs milliers de lits !

Dans les hôpitaux, des consultants [médecins traitants expérimentés] nous ont dit qu’ils avaient été responsables de la création de services spécialisés Covid, ce qu’ils ont fait, et lorsque ces services étaient créés, ils n’ont jamais accueilli un seul patient Covid.

Et pendant ce temps, le gouvernement britannique a renvoyé des personnes âgées, qui avaient manifestement la grippe — elles étaient dans les hôpitaux et étaient bien malades — le gouvernement a renvoyé ces personnes âgées par milliers dans les maisons de soins et de résidence, où, dans un environnement fermé, l’infection s’est bien sûr propagée.

Même la presse au sens large — en particulier les journaux britanniques : le Daily Express, le Daily Mail, le Daily Telegraph et le Guardian — ont tous rapporté à un moment donné que des dizaines de milliers de personnes âgées étaient mortes inutilement. Aujourd’hui, les experts qui nous parlent à UK Column disent que le chiffre n’est pas de quelques dizaines de milliers, mais de centaines de milliers.

Ainsi, on nous a menti sur le fait qu’il s’agissait d’une pandémie, et l’une des astuces utilisées par le gouvernement britannique et la BBC est qu’ils parlent des statistiques relatives à la Covid-19 dans un sens cumulatif. Ils ne cessent d’additionner les chiffres. Mais, bien sûr, la grippe est toujours enregistrée comme un événement saisonnier.

Une saison de grippe arrive, les gens attrapent la grippe, certaines personnes meurent — c’est toujours le cas — puis, lorsque le temps s’améliore, la grippe disparaît. Et puis, l’hiver suivant, c’est une nouvelle saison de grippe, et les statistiques recommencent. Mais avec la Covid, les statistiques ont été additionnées sur les deux saisons.

La manipulation psychologique de l’esprit des gens est absolument flagrante.

Vous avez mentionné Fauci. Je crois que ce que vous voyez en ce moment est un écran de fumée. Oui, il faut se poser des questions sur ce qui se passait dans le laboratoire de Wuhan, et nous savons certainement qu’il est de règle depuis de nombreuses années que, si un vaccin doit être créé, les entreprises pharmaceutiques améliorent une souche virale dans le cadre de leurs techniques de production d’un nouveau virus ; nous pouvons donc imaginer que, dans n’importe quel laboratoire, des virus dangereux améliorés peuvent être créés.

Nous savons donc que les laboratoires effectuent un travail essentiellement dangereux sur l’amélioration des virus, il est donc bien sûr possible que quelque chose se soit échappé.

Mais je pense que le moment où l’attention s’est soudainement tournée vers Fauci est très intéressant, car il a été soigneusement choisi, parce qu’ils savent que le grand public commence à poser les bonnes questions sur la politique de vaccination Covid-19. Et donc, pour essayer de détourner l’attention des gens des questions clés sur la vaccination, ils reviennent maintenant à Fauci.

L’autre homme qui a soudainement disparu de la scène publique est Bill Gates. Pourquoi Bill Gates a-t-il disparu ? Eh bien, il y a un certain nombre de questions intéressantes, mais le premier problème auquel il a été confronté est qu’il est devenu connu qu’il avait une amitié avec Epstein. Ainsi, tout d’un coup, M. Bill Gates est passé du statut d’homme d’affaires philanthropique, propre et bien élevé à celui d’homme d’affaires souillé par le fait qu’il avait une amitié très douteuse avec [Jeffrey] Epstein. Et Melinda Gates a maintenant déclaré qu’elle avait averti son mari de cette relation il y a de nombreuses années.

Soudainement, Bill Gates a été exposé dans les grands médias. Ensuite, l’attention se porte à nouveau sur Fauci. Mon sentiment est que les responsables de ce plan ignoble réalisent que le public commence à regarder dans la bonne direction et qu’ils ont donc besoin de quelque chose pour les distraire.

Et je pense que nous allons assister à une recrudescence des accusations selon lesquelles ce sont les Chinois qui ont produit une arme biologique, et que Fauci était impliqué. Il s’agit là de propos médiatiques à caractère émotif et non d’une analyse correcte de ce qui s’est passé. C’est mon opinion personnelle ; je peux me tromper.

Reiner Füllmich : Je pense que nous sommes d’accord avec ça, et tous ceux à qui nous avons parlé sont d’accord avec ça. Il semble que les responsables de cet agenda commencent à jeter des gens sous le bus, mais — manifestement — uniquement dans un but précis : détourner l’attention du grand public de ce qu’ils font.

Dans une certaine mesure, je pense que cela montre qu’ils perdent le contrôle. Ils ne perdent pas complètement le contrôle, mais ils le perdent. Qu’est-ce que tu penses de ça ?

Brian Gerrish : Je suis d’accord, et si nous voulons introduire quelques bonnes nouvelles dans notre discussion, les gens contre qui nous nous battons sont des menteurs invétérés. Ils disent des mensonges, ils ne disent pas la vérité. Et leur problème est qu’ils finissent par être pris au piège par leurs propres mensonges. Je pense que c’est une grande partie ce qui a commencé à se produire.

Je peux vous donner un autre exemple, au Royaume-Uni, où nous constatons qu’il y a soudainement une certaine crainte émergente dans le système. L’agence britannique responsable de la sécurité et de la réglementation des médicaments s’appelle la MHRA (Medicines and Healthcare products Regulatory Agency). C’est l’organisation qui a recueilli les données sur les effets indésirables des vaccins, et pour vous et tous ceux qui regardent ou écoutent, leurs derniers rapports indiquent qu’au Royaume-Uni, il y a eu 859 481 réactions indésirables…

Reiner Füllmich : Vous avez dit 850 000 !

Brian Gerrish : 859,481. Et 1 213 décès. Ces statistiques sont celles du gouvernement britannique ; elles ne viennent pas de moi, mais du système de carton jaune de la MHRA. Ce système de sécurité est le suivant : quiconque entre en contact avec une réaction indésirable à un vaccin — qu’il s’agisse d’une réaction que vous avez vécue vous-même ou dont vous avez été témoin en tant que membre de la famille ou ami, ou même si vous êtes membre de la profession médicale — doit déclarer la réaction indésirable due à un vaccin sous forme de carton jaune, et c’est la MHRA qui détient cette base de données.

Maintenant, dans la propre documentation de la MHRA, ils ont déclaré en 2018 qu’à leur connaissance, pour tout médicament, y compris les vaccins, moins de 10% des effets indésirables graves ont été enregistrés. Moins de 10 % ! Et pour les effets indésirables plus mineurs des vaccins, ils ont dit que le chiffre enregistré se situerait entre 2 % et 4 % [du total réel].

Si l’on compare cette déclaration aux 859 000 effets indésirables et aux 1 213 décès enregistrés, on peut considérer que 12 000 personnes sont mortes.

Dans UK Column, nous avons beaucoup parlé de ces données, et sur le site ukcolumn.org, mon collègue, Mike Robinson, a mis en place un moteur de recherche qui permet de consulter les données de la MHRA. Et c’est un fantastique outil, car, sur le site Web de la MHRA, vous ne pouvez pas rechercher dans les données, ce qui est très déroutant et trompeur pour le public.

La mise en garde selon laquelle seuls 10 % des effets graves ont été enregistrés est très importante. Au cours des deux dernières semaines, la MHRA a ajouté un nouveau paragraphe en rapport avec cette mise en garde concernant le faible taux de signalement des effets indésirables dans lequel ils déclarent : « Le chiffre de 10% par rapport au 2-4% ne s’applique pas aux rapports du système carton jaune sur les effets indésirables du vaccin Covid-19. »

Ainsi, dès que UK Column a commencé à attirer l’attention du public sur le fait que la MHRA avait déjà enregistré 859 000 effets indésirables et 1 200 décès, et que cela pourrait ne représenter qu’une très faible proportion du nombre total d’effets indésirables, la MHRA a tenté de tromper le public en affichant un avis disant que cette règle de 10 % ne s’appliquait pas aux effets indésirables résultant de la vaccination Covid-19.

Viviane Fischer : Mais est-ce que quelqu’un peut croire ça ?

Brian Gerrish : Eh bien, certaines personnes oui inévitablement, car les membres du public qui lisent ces informations sans avoir une compréhension plus complète sont toujours dans la posture psychologique de croire ce que le gouvernement leur dit, ce qui est une très grosse erreur, bien sûr.

En tant que médias, nous avons fortement contesté cette décision, puis quelque chose de très intéressant s’est produit : la MHRA a soudainement annoncé, ces derniers jours, qu’elle allait lancer une initiative spéciale pour l’information et la sécurité des patients. Et quand vous regardez les documents produits, vous réalisez vite qu’ils ne disent pas réellement ce qu’ils vont faire pour améliorer la sécurité des patients.

L’autre partie de l’histoire de ce qui se passe au Royaume-Uni est la suivante : la MHRA a la responsabilité générale de consigner les effets indésirables des vaccins, mais ce qu’elle ne fait pas, c’est enquêter pour produire la conclusion finale sur le fait qu’un effet a bien été créé par un vaccin ou non.

Viviane Fischer : C’est la même chose ici.

Brian Gerrish : Et si c’est la même chose en Allemagne, alors nous commençons à voir qu’il y a un modèle qui émerge. Cela ne peut pas être un accident, cela ne peut pas être une coïncidence.

Viviane Fischer : Et c’est étonnant : nous en avons discuté plus tôt dans cette session, ils ne font pas d’autopsies. Ils refusent vraiment : soit cela vient des procureurs de l’État, soit cela est entravé d’une manière ou d’une autre dans les coulisses, par des décisions politiques, peu importe. Ils ne pratiquent aucune autopsie sur les personnes qui ont été enregistrées ou qui ont déclaré par leurs proches qu’il pourrait y avoir un lien de causalité avec les vaccins. Ils ne l’examinent pas, et s’ils le font, ce sera une inspection mineure, superficielle, à l’issue de laquelle ils affirment : « Oh, il n’y a pas de lien, c’est impossible ». »

Brian Gerrish : Eh bien, cela se produit également au Royaume-Uni, où les autopsies ne sont pas effectuées. Nous avons même vu — c’est un fait, car nous avons interrogé la famille concernée — [un cas] où le père d’une famille est décédé d’une crise cardiaque très peu de temps après avoir reçu une injection, et l’hôpital n’a pas soumis de rapport de carton jaune, et plus tard, lorsque la famille a soumis ce carton jaune, rien ne s’est passé. Six semaines et demie se sont écoulées.

Ils se sont alors tournés vers la MHRA et ont demandé, « Que faites-vous pour enquêter sur la mort de notre proche ? ». Et la première chose que la MHRA leur a demandée, c’est : « Y a-t-il eu une autopsie ? ». Comme vous l’imaginez, la responsabilité de faire une autopsie incombe à l’équipe médicale, qui aurait dû décider que le décès pouvait être lié au vaccin, [et que] par conséquent, une autopsie était nécessaire. Mais lorsqu’il était trop tard, et après que la personne soit enterrée, la MHRA répond :  « eh bien, il n’y a pas eu d’autopsie ».

Il y a environ deux ans, une autre chose s’est produite au Royaume-Uni. À l’origine, les certificats de décès devaient être signés par deux médecins. Or, au cours de la « pandémie », cela a été changé pour qu’il n’y ait qu’une seule signature. Constamment, sur les certificats de décès, « Covid » était enregistré même lorsque les membres de la famille déclaraient : « Mais mon père, ma mère, mon frère sont morts du cancer ! » Mais comme ils avaient soi-disant été testés positifs au Covid-19, c’était en fait enregistré comme la cause du décès.

Il s’agit donc de la falsification officielle de statistiques, avec un impact direct sur la santé de la nation. C’est calculé. Et c’est pourquoi je reviens à l’affirmation que ce n’est pas de la folie ; si vous analysez très attentivement les décisions politiques, les politiques, les documents, ce que nous regardons est un génocide. C’est planifié. C’est prémédité.

Un haut responsable du National Health Service — qui nous a parlé en tant que dénonciateur — a même utilisé ce terme. Elle a dit : « Ce que j’ai vu se dérouler au sein des services de santé du Royaume-Uni est un génocide. »

Reiner Füllmich : Était-ce un membre de la communauté médicale ?

Brian Gerrish : C’était un membre du conseil d’administration d’un des conseils du NHS. Des infirmières viennent nous voir en employant le même terme « génocide ». J’ai des médecins qui utilisent aussi ce terme, mais ils ne l’utilisent pas à la légère. C’est un mot qui ressort lorsque vous les interrogez sur leurs expériences et ce qu’ils ont vu.

Viviane Fischer : Que pensez-vous de l’empressement à vacciner les enfants ? Le gouvernement [allemand] a déclaré qu’à partir du 7 juin, les enfants devaient être vaccinés, et que tout devait être terminé avant la prochaine année scolaire. Cela semble donc assez scandaleux ; de toute évidence, beaucoup de gens sont très mécontents de cette nouvelle mesure.

Ils disent que ce ne sera pas obligatoire, mais avec la pression des pairs, et avec le fait qu’ils disent que vous ne pouvez retourner à l’école qu’avec des tests ou la vaccination, il y a bien sûr une pression ; c’est fondamentalement obligatoire, ou ça va le devenir.

Je me demande si vous pensez qu’ils accélèrent le processus parce qu’ils voient que les effets secondaires des vaccins vont devenir de plus en plus évidents.

Peut-être que s’ils introduisaient cette mesure plus tard dans l’année, un certain nombre de parents pourraient hésiter à se faire vacciner, alors que maintenant, c’est encore entre deux, et peut-être qu’avec la possibilité de partir en vacances, c’est une bonne idée d’attirer les gens ou de les inciter à faire vacciner leurs enfants maintenant ? Qu’en pensez-vous ?

Brian Gerrish : Je suis tout à fait d’accord avec votre analyse. Il est très clair qu’il y a maintenant une urgence massive à vacciner les enfants, et nous pouvons le voir dans les déclarations ouvertes des politiciens. Un homme politique, [l’ancien ministre de la Santé] Jeremy Hunt, s’est levé à Westminster il y a quelques jours et a déclaré en substance qu’il était vital que nous commencions à vacciner les écoliers.

Nous pouvons donc voir des déclarations ouvertes, mais aussi d’autres documents qui circulent où, une fois de plus, il y a cette utilisation malveillante de la psychologie : on dit aux enseignants que s’ils rencontrent des parents qui sont réticents à faire vacciner leurs enfants, ces parents seront répertoriés comme extrémistes.

Nous voyons donc à nouveau apparaître ce clivage psychologique, qui vise à éloigner les gens de leurs enfants. Bien sûr, si vous éloignez les parents des enfants, alors le gouvernement peut faire ce qu’il veut des enfants.

Il y a vingt ans, je lisais un livre politique très instructif intitulé The European Union Collective : Enemy of its Member States [par Christopher Story], et dans ce livre il y avait un tableau qui prétendait être un tableau sur l’attaque psychologique contre les nations occidentales. Il s’agissait d’une période de démoralisation, d’une période de déstabilisation et, au bout de cinq ans, d’un chaos et d’un effondrement complet.

Et lorsque j’ai lu ce tableau — je n’avais pas encore quitté l’armée depuis longtemps — mon esprit s’est dit : « Certaines de ces choses se produisent ici et maintenant. J’ai plein d’exemples en tête ! » J’ai donc fait des conférences publiques sur l’idée — j’appellerai cela une « idée » — qu’une attaque psychologique, une attaque démoralisante, est en train d’être déclenchée sur nos nations respectives. Je crois que c’est le cas.

Et je crois que lorsque vous voyez comment la politique de cette escroquerie Covid, ce mensonge, se reflète au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, et dans tous les autres pays, alors nous pouvons voir que clairement, la base de pouvoir qui injecte cela n’a rien de démocratique. Elle nous est hostile.

J’ajouterai juste que Bill Gates a soutenu une organisation appelée CEPI : la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations. La Fondation Bill et Melinda Gates a versé plusieurs centaines de millions de dollars à cette organisation.

Eh bien, par « miracle », le CEPI a fini par financer le laboratoire de tests biologiques que la MHRA au Royaume-Uni allait utiliser, et utilise toujours, pour nous dire si les vaccins sont sûrs ! Donc Bill Gates a soutenu financièrement le CEPI, le laboratoire utilisé pour nous dire que les vaccins sont sûrs, alors qu’ils ont officiellement enregistré 860 000 effets secondaires !

Mais ils n’ont pas établi de corrélation pour savoir s’il existe un lien de causalité avec les vaccins eux-mêmes. Cette recherche n’a pas été faite.

Il est donc évident que vous avez un système qui a été mis en place pour tromper le public sur ce qui se passe réellement avec ces vaccins. Et je pense qu’ils veulent les enfants parce qu’ils sont maintenant assez effrayés de voir que les bonnes questions sont posées, et ils savent que s’ils veulent faire vacciner les enfants, ils doivent se dépêcher.

Viviane Fischer : J’ai encore une question. Nous examinons toutes les mesures : les masques, ces tests bizarres, maintenant la vaccination, et la distanciation sociale. Pensez-vous que ces mesures ont avant tout un aspect psychologique, le fait d’être victime d’un coup de force ou de devoir faire preuve d’obéissance ?

Pensez-vous que tous ces éléments technologiques, pharmacologiques ont le même but : vous rendre malade ?

Comme nous savons que les tests sont nocifs, les masques font que les gens soient infectés plus facilement par un virus ou la grippe, se pourrait-il que ce soit aussi élégamment orchestré sur une base médicale ?

Brian Gerrish : Oui. Je pense que ce que vous dites est correct. C’est difficile pour les gens [d’imaginer cela]. Si nous disons que nous sommes des gens raisonnables — nous, les personnes réunies ici aujourd’hui, ne sommes pas parfaits, mais nous sommes des gens raisonnables et nous nous préoccupons de notre prochain, homme ou femme ; c’est ce que nous avons dans la tête — lorsque vous avez cela dans la tête, il est très difficile pour vous de regarder quelqu’un qui déchaîne un plan totalement brutal sur les gens.

Si des dizaines de milliers de personnes âgées ont été délibérément tuées au Royaume-Uni (et je pense que les preuves en sont accablantes), alors les personnes qui ont pris la décision de tuer ces personnes âgées sont également capables de prendre la décision de tuer d’autres membres de la société qu’elles ne considèrent pas comme valables.

Pour en revenir à la psychologie et aux documents : je possède un document du National Health Service qui parle de la sécurité des patients, et qui dit :  « Si nous faisions ceci ou cela, nous pourrions peut-être sauver la vie de 160 personnes par an. Cela vaudrait 23 millions de livres sterling. »

Chaque fois que le document du NHS parle de la protection des êtres humains, il lui attribue une valeur financière. Et quand je vois ces phrases, je sais que la personne qui a écrit ce document ne pense pas de la manière dont nous pensons tous.

Ainsi, ce qu’ils font aux enfants avec les masques et la distanciation sociale — et en leur donnant des leçons sur « la dangerosité du virus » est une attaque psychologique sur leur esprit, et les personnes qui font cela savent très bien que cela va entraîner toutes sortes de problèmes de santé mentale chez les enfants.

Il y a un document très important qui s’appelle le tableau de coercition de Biderman. Il s’agit d’un document reconnu par l’Organisation mondiale de la santé sur les techniques de torture non physiques.

Avant ce direct avec vous, une dame très bien informée m’a envoyé un document où il est dit que désormais, au Royaume-Uni, si un bébé naît et que l’on soupçonne que cet enfant peut être testé positif au Covid, il ne faut pas qu’il ait de contact avec la peau.

Viviane Fischer : Cela devient vraiment incontrôlable. Pensez-vous que le fil conducteur de toute cette affaire est écrit en Angleterre ? Pensez-vous que [le Royaume-Uni] est vraiment l’araignée dans la toile ? Pourriez-vous découvrir [cela], avec les Français ? S’agit-il d’un scénario américain ? L’organisation doit être centralisée d’une manière ou d’une autre.

Brian Gerrish : Eh bien, c’est bien sûr une question très intéressante, car lorsque j’ai parlé du tableau de déstabilisation [dans le livre de Christopher Story], cela faisait prétendument partie d’un plan communiste pour déstabiliser l’Occident.

Mais je pense que si nous adoptons une vision plus mature de la situation, si nous examinons la base du pouvoir (et pour l’instant, nous nous concentrons sur la base du pouvoir des entreprises pharmaceutiques), la base du pouvoir se trouve dans les réseaux de ces entreprises. Et, bien sûr, ces entreprises ne peuvent fonctionner qu’avec les personnes qui contrôlent leurs milliards de dollars de fonds de roulement et de bénéfices.

Donc, pour moi, il est très facile de dire que si vous voulez commencer à déterminer qui fait cela, alors vous devez regarder qui contrôle réellement l’argent.

Et cela peut être assez émouvant, selon la façon dont vous présentez cet argument, mais au Royaume-Uni, le gouvernement — qui n’a pas été capable de construire des hôpitaux, qui n’a pas les moyens de boucher les trous dans les routes, ne peut pas investir dans les écoles — annonce soudainement que nous avons 800 milliards de livres sterling qui sont apparues de nulle part afin de lutter contre la Covid. Eh bien, cela dévoile quelque chose de très important.

L’autre élément qui me semble important à l’heure actuelle est le suivant : on aurait pu penser il y a quelques années que si une telle pandémie se produisait, alors que l’économie est si durement touchée, on entendrait les banques se plaindre ; on entendrait les banques dire : « C’est désastreux, car l’économie britannique a diminué de 30 à 40 %. Les banques ne peuvent pas fonctionner. »

Mais en fait, les banques sont silencieuses. Et cela me dit que les banques sont heureuses. Elles doivent être heureuses, car elles sont silencieuses.

Reiner Füllmich : D’après ce que nous avons appris jusqu’à présent, ce sont les banques. C’est la haute finance qui profite de tout cela, à travers ses investissements dans l’industrie pharmaceutique et technologique.

Mais l’essentiel de tout cela, si c’est un programme (et je n’ai aucun doute que ce soit un programme, un effort calculé), c’est que le meurtre de la classe moyenne, des petites et moyennes entreprises que l’on pousse à la faillite, et le meurtre réel de personnes, n’est pas un dommage collatéral ; c’est un dommage voulu, n’est-ce pas ?

Brian Gerrish : C’est prévu, et il y a environ neuf mois (je ne peux pas l’étayer davantage, car il s’agit d’une dénonciation), un dénonciateur qui avait manifestement participé à des réunions de relativement haut niveau au sein du gouvernement britannique nous a dit qu’il était choqué qu’à un moment donné, ils aient discuté de la nécessité de détruire les petites et moyennes entreprises.

Il a dit qu’on en avait discuté d’une manière si froide que cela l’a vraiment troublé. Lorsqu’il est sorti de la réunion, il ne pouvait pas croire ce qu’il venait d’entendre.

Le précédent gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, a annoncé publiquement à plusieurs reprises que les entreprises qui n’adhéraient pas au nouveau programme vert relatif au « changement climatique » seraient punies. Elles seraient mises en faillite. Il a dit cela publiquement, et toute personne exploitant une petite entreprise aurait vraiment dû prêter attention à ce que cet homme disait.

Et, bien sûr, si vous empêchez les petites entreprises de travailler, vous empêchez les gens de gagner leur vie ; et lorsqu’ils ne peuvent pas gagner leur vie pour vivre, manger, vous augmentez également les problèmes de santé mentale.

Le mot anglais pour cela est « malevolent » : c’est un programme empoisonné, délibéré, parce que c’est discuté au Parlement et cela apparaît dans les documents qui sont publiés.

Viviane Fischer : Quel était le pseudo-argument utilisé par les membres du gouvernement lorsqu’ils parlaient de la nécessité de sortir les petites et moyennes entreprises ? Le changement climatique ?

Brian Gerrish : Eh bien, bien sûr, ils vendent au grand public qu’il y a un problème de changement climatique, et qu’il est désespérément important que nous prenions toutes les mesures pour traiter le problème climatique ; et si cela signifie que quelques centaines de milliers de petites entreprises vont être détruites, eh bien, c’est ce qui doit arriver.

Le facteur peur est donc constant : la psychologie est basée sur la peur et le contrôle. Nous devons avoir peur, car la fin du monde est imminente à cause du changement climatique. Nous devons avoir peur d’une pandémie. Nous devons avoir peur d’une guerre avec la Chine et la Russie. C’est de la psychologie délibérée et calculée.

Et, à mon avis, c’est pourquoi, si nous voulons lutter contre ce qui se passe avec la Covid et la vaccination, nous devons également aborder cette question. Lorsque nous pouvons prouver que nos gouvernements mentent et font de la propagande, il faut frapper aussi fort et dire au public : « Nous pouvons vous montrer que les vaccins sont dangereux, en raison des statistiques sur les réactions indésirables ». « Nous devons faire les deux choses simultanément. »

L’une des ironies est que le lockdown a été très bénéfique pour UK Column, car beaucoup, beaucoup plus de personnes viennent nous voir, et chaque semaine, nous recevons probablement six, sept, huit courriels de personnes qui nous disent : « Nous aimerions vous remercier de nous avoir permis de rester sains d’esprit. Vos informations, les faits que vous présentez, vos analyses nous ont aidés à rester sains d’esprit, car nous étions en détresse ; nous étions anxieux. »

Et c’est un énorme compliment pour nous, quelque chose de très spécial. Mais, bien sûr, ils nous parlent aussi de la puissance de l’effet sur l’esprit du public.

Viviane Fischer : J’ai une dernière question. Nous avons l’impression — et c’est peut-être lié à ce que vous avez dit sur la programmation neurolinguistique — que les gens sont sous une sorte de charme. Nous en avons discuté avec de nombreux psychologues.

Brian Gerrish : Eh bien, nous le croyons aussi. C’est la conclusion à laquelle nous sommes arrivés. Nous pouvons dire que les gens sont sous le charme, et la meilleure description, selon nous, est qu’ils ont été hypnotisés.

Viviane Fischer : Oui, hypnotisé. Mais comment pensez-vous que nous puissions briser ce charme ? Y a-t-il un moyen ?

Reiner Füllmich : L’information. Nous devons diffuser l’information, car la connaissance est ce qui tue l’illusion. La vraie connaissance tue l’illusion qu’ils ont créée.

Brian Gerrish : C’est vrai, mais nous devons aussi être réalistes : si vous regardez ce qui se passe lorsque vous essayez d’hypnotiser un groupe de personnes, vous obtenez une distribution en courbe en cloche. Certaines personnes y sont très sensibles et seront extrêmement hypnotisées ; d’autres peuvent être légèrement affectées ; et certaines personnes sont très difficiles à hypnotiser.

Donc, dans l’ensemble de la population, je crois qu’il faut y penser d’une manière un peu plus mesurée : vous allez avoir des gens que je pense, probablement, que nous ne pourrons pas atteindre. Ils sont partis. Ils ne peuvent pas penser par eux-mêmes. Et vous aurez d’autres personnes — vous en faites clairement partie et j’espère moi aussi — qui voient clair dans ce qui se passe. Peu importe ce qu’ils disent ou nous « montrent », nous pouvons voir la vérité.

Donc, en l’exposant et en diffusant nous-mêmes les informations correctes, nous brisons cette hypnose. Et, pour être positif, je pense que cela s’accélère. Le gouvernement britannique vient d’annoncer qu’il dépensait 1,6 milliard de livres pour l’interface avec les entreprises médiatiques ! 1,6 milliard de livres. Le budget de la BBC est de 5 milliards de livres à elle seule.

Ainsi, la BBC au budget de 5 milliards de livres [ce qui ne suffit manifestement pas] est la plus grande machine de propagande que le monde ait jamais vue. C’est l’organisation la plus dangereuse. Vous ne devriez pas croire ce que dit la BBC sans le vérifier auprès d’une autre source. Je pourrais vous parler pendant une heure de ce qu’est réellement la BBC.

Reiner Füllmich : Oui, eh bien, nous avons le même problème avec nos stations de radio et de télévision publiques nationales, je crois. Mais c’est peut-être pire en Grande-Bretagne, car je pense que votre histoire avec ce genre de propagande est beaucoup plus ancienne !

Brian Gerrish : Je suis désolé, je n’ai pas répondu complètement à la question de Viviane sur le fait de savoir si je pensais que le siège se trouvait au Royaume-Uni. Je suis très embarrassé de dire que je pense que oui, c’est au Royaume-Uni. Nous sommes face à une base de pouvoir qui est un mélange entre le pouvoir monétaire de la City de Londres, et ce qui est très clair dans la documentation, est que ce pouvoir monétaire travaille maintenant en symbiose avec les services de sécurité au sens large.

Cela fait partie de ce que l’on appelle au Royaume-Uni la Doctrine de la Fusion. C’est une autre discussion, mais en quelques mots, nous pouvons voir que la base du pouvoir monétaire contrôle maintenant à la fois les réseaux de renseignement, comme le GCHQ [équivalent du BND allemand], mais aussi les services secrets. Ils agissent de concert.

C’est un fait, je vous l’assure, car il a été annoncé publiquement (mais très discrètement !) que Google et le GCHQ, l’organisation britannique de renseignement et de cybersécurité, travaillent désormais au sein du National Health Service. C’est scandaleux.

Reiner Füllmich : Mais au fur et à mesure que le tableau se dessine, il devient de plus en plus clair pour un nombre croissant de personnes. C’est pourquoi ils poussent si fort, parce qu’ils comprennent que quelque chose est en train de dérailler.

Brian Gerrish : Oui, ils comprennent que les gens se réveillent, et nous le voyons. Je pense qu’il y a eu une grande… Les médias sociaux se sont stabilisés. Je pense qu’à de nombreux endroits sur les médias sociaux, on constate une énorme amélioration de la qualité et de la précision des informations qui sortent, et je ne pense pas qu’ils aient jamais réalisé que les gens utiliseraient les médias sociaux pour des analyses et des rapports professionnels, comme vous le faites aujourd’hui. Cela les effraie beaucoup.

Reiner Füllmich : Bien.

Brian Gerrish : Donc je pense que nous devons exposer ce qui se passe. L’autre chose que nous avons apprise en dix ans, c’est qu’il est toujours préférable de sous-estimer légèrement ce dont on parle.

Si vous le racontez raisonnablement en douceur, vous pouvez toujours revenir et recommencer ; mais si vous êtes trop agressif, si vous êtes trop énergique, si vous effrayez les gens, vous les perdez. Nous avons donc essayé de toujours parler de ce qui se passe très calmement, de manière mesurée, et nous ne couvrons pas non plus toutes les choses que nous observons.

Pour prendre un exemple, les gens parlent d’aimants qui se collent à vous après une injection. Je ne sais pas si c’est vrai ou non ; je suis intéressé de suivre ceci, mais je ne vais pas en parler, parce que jusqu’à ce que je puisse le prouver, je ne veux pas dire quelque chose qui pourrait saper ce dont nous parlons.

Je pense donc que l’approche consistant à ne pas être trop franc et agressif aide les gens à venir nous voir et à absorber les informations.

Si vous voulez terminer sur une note vraiment positive, j’ai décidé de mettre un peu de verdure derrière moi aujourd’hui, car j’ai pensé qu’un peu de soleil et un peu de verdure pourraient nous remonter le moral. Je crois que quelque chose de très intéressant s’est produit au cours des quatre ou cinq derniers mois : les professionnels commencent à poser les bonnes questions.

Je pense que la vitesse à laquelle cela se produit est à l’origine de toutes ces décisions étranges prises par l’establishment : le sacrifice de Fauci, l’empressement à faire vacciner les enfants alors même que le reste de la politique n’a pas encore été mis en œuvre — tout cela me semble indiquer qu’ils sont très effrayés.

La dernière chose dont j’aimerai parler — et je dois sourire en en parlant — c’est qu’il y avait un activiste à Chicago appelé Saul Alinsky, auteur d’un très bon livre intitulé Rules for Radicals. Dans ce livre, il parle essentiellement de techniques pour renverser le gouvernement, mais l’une d’elles est de « Toujours rendre l’argument personnel ».

Reiner Füllmich : C’est ce que nous faisons, oui.

Brian Gerrish : Et donc il ne suffit pas de parler de « la BBC » ; nous devons parler de Tim Davie, le directeur général de la BBC. Il ne me suffit pas de parler de « la MHRA » ; je dois parler du Dr June Raine, le directeur général de la MHRA.

L’autre petite chose que vous pourriez faire (ou vous en moquer, je ne vous en voudrai pas !) est qu’en écrivant à certains de ces fonctionnaires, vous mettiez leur photo dans la lettre ou l’e-mail que vous leur envoyez. En faisant cela, vous leur faites bien comprendre que ce n’est pas une communication sèche, mais que vous les considérez comme un individu.

Et donc, vous utilisez la psychologie appliquée. Si les mauvaises personnes l’utilisent sur nous, je pense que nous pouvons en utiliser un peu sur eux.

Reiner Füllmich : Eh bien, c’est ce que nous faisons, en fait. Nous en faisons une affaire personnelle. Nous nous attaquons à ces personnes personnellement, pas aux institutions. Brian, merci beaucoup, beaucoup.

C’était extrêmement intéressant et très important, et je pense que nous allons échanger davantage, parce que nous devons rester en contact maintenant que nous réalisons ce que nous soupçonnions depuis le début, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un effort international concerté par certaines personnes très, très malveillantes.

Brian Gerrish : Oui, et quelle merveilleuse opportunité cela représente, parce que quoi que ces gens fassent, ils opposent constamment les nations entre elles. Si nous prenons un peu de recul et que nous regardons les guerres et les problèmes, c’est ce type de personnes qui en sont la cause, et je pense que nous avons une merveilleuse opportunité ici et maintenant.

La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain, quelle que soit notre nationalité, notre religion ou la couleur de notre peau. Je pense que nous avons là une opportunité très excitante.

Reiner Füllmich : Nous sommes d’accord. C’est un réel plaisir, Brian. Merci beaucoup. À bientôt.

Originellement publié dans UK Column.




Les expériences sur les enfants de moins de 12 ans se poursuivent sans accroc…

Par Alain Tortosa

La firme allemande BioNTech (dont les produits sont commercialisés par Pfizer) a massivement testé ses injections expérimentales d’ARNm en Israël avant de les poursuivre pour partie en Pologne pour les enfants…

Nostalgie quand tu nous tiens…

Les premières expérimentations de la thérapie génique à ARN Messager ont débuté en mars sur les enfants de moins de 12 ans.

Pourquoi « vacciner » les enfants ?

Pfizer(([1] https://www.pfizer.com/science/coronavirus/vaccine/additional-population-studies)) répond sans se cacher à la question :

« Les enfants doivent-ils être vaccinés pour que le monde atteigne l’immunité collective contre le SRAS-CoV-2 ? »

« Les enfants de moins de 15 ans représentent 26 % de la population mondiale. Nous pensons que la vaccination réussie des enfants contribuera à la protection contre le COVID-19 si le vaccin s’avère efficace dans cette population. »

Pfizer confirme qu’il n’y a strictement aucun bénéfice pour les enfants.

L’idée est qu’elle pourrait participer au mythe de l’immunité vaccinale de masse contre le Sars-Cov2.

Bref l’unique raison est mathématique(([2] https://7milliards.fr/tortosa20210101-vaccination-sacrifice.pdf)) comme je l’avais déjà écrit il y a plus de 5 mois.

Rapport bénéfice vs risque

USA Today le confirme en indiquant que :

« Les enfants sont moins susceptibles que les adultes d’avoir un cas grave de COVID-19, donc les sociétés pharmaceutiques essaient de minimiser les effets secondaires des “vaccins” tout en maximisant les avantages ».

Plusieurs points de cette phrase sont très intéressants :

  • « essaient de minimiser les effets secondaires des vaccins. » Cela confirme qu’il y a bien des effets secondaires y compris pour des enfants (et d’autant plus pour une thérapie totalement expérimentale).

Et

  • « tout en maximisant les avantages » Alors que les avantages pour les enfants sont nuls.

Il est donc officiellement reconnu que le rapport bénéfice/risque de la vaccination pour les enfants ne peut qu’être défavorable, car le bénéfice est nul.

Nous sommes ainsi dans le même cadre que les « bébés médicament »…

Quelle sécurité, quel objectif ?

Il a été décidé (par une dictature mondiale) que tous les enfants de la planète seraient donc utilisés pour uniquement protéger des vieux riches occidentaux en fin de vie.

  • Je ne parlerai pas du fait qu’il existe des traitements efficaces préventifs et curatifs contre le Covid.
  • Je ne parlerai pas du fait que rien ne prouve que la vaccination permettrait d’éradiquer ce virus et d’autant plus que ces « vaccins » n’éliminent pas la propagation du virus. Nous en avons la preuve du fait de vaccinés contaminés même après leurs 2 doses.
  • Je ne parlerai pas des effets secondaires graves et des décès, qui même s’ils sont minimisés ou même parfois niés par nos autorités sanitaires, existent pour des adultes en bonne santé.
  • Je ne parlerai pas des risques à long terme qui sont totalement inconnus comme les risques de maladies auto-immunes ou de cancers.

Durée de l’étude sur les enfants cobayes :

Les données officielles(([3] https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04816643?term=NCT04816643&draw=2&rank=1)) de cette étude de phase 1 sur les enfants indiquent qu’elle a débuté fin mars 2021 (de cette année donc).

Que la fin d’intervention, c’est-à-dire le moment à partir duquel Pfizer BioNTech ne sera plus actif, mais uniquement dans l’observation est fixé au 4 mars 2022 soit environ un an plus tard !

Que la fin de cette phase 1 est fixée au 1er septembre 2023 soit deux ans et demi après les premières injections sur de jeunes enfants.

Quand ces injections expérimentales seront autorisées en masse pour les enfants de moins de 12 ans ?

UsaToday(([4] https://eu.usatoday.com/story/news/health/2021/06/08/pfizer-covid-vaccine-next-phase-trials-young-children-begin/7602063002/)) indique :

« Si ces essais prouvent l’innocuité et la réponse immunitaire, les entreprises prévoient de demander l’autorisation fédérale en septembre ou octobre (2021) pour fournir le vaccin aux enfants âgés de 5 à 11 ans, et un peu plus tard à l’automne pour les plus jeunes.» (c’est-à-dire dès 6 mois).

Les injections pour les enfants devraient donc probablement débuter en septembre 2021 soit 6 mois après les tout premiers essais chez les moins de 12 ans et donc 2 ans avant la fin de l’étude !

Qui sont les participants ?

« Ces essais incluront 4 500 volontaires dans les trois groupes d’âge aux États-Unis, en Finlande, en Pologne et en Espagne. Les organisateurs des essais s’efforcent d’assurer une diversité de participants aux essais, a déclaré la société. »(([5] https://eu.usatoday.com/story/news/health/2021/06/08/pfizer-covid-vaccine-next-phase-trials-young-children-begin/7602063002/))

« Un enfant recevra un placebo pour deux qui reçoivent le vaccin actif. Les enfants qui reçoivent le placebo auront la possibilité de recevoir les injections actives si le vaccin est autorisé dans les six mois suivant leur participation. »

Notez un point important, la commercialisation est prévue 6 mois après le début de l’essai qui dure 2 ans et demi.

Mais ceux qui ont reçu le placebo pourront donc demander le vaccin actif dès la commercialisation.

Il est plus que probable que les « allumés » ou les « désespérés » qui ont fait de leurs enfants des cobayes vont demander à les injecter dès que possible.

De fait il ne sera plus possible de comparer les effets à long terme des vaccins vs placebo.

… De l’art de faire disparaître les preuves du crime !

(À noter qu’il y avait la même disposition pour les adultes.)

Karine Lacombe et la « vaccination » des enfants

Le docteur Lacombe, plus présente dans les médias qu’avec ses patients, a déclaré hier 9 juin 2021 sur FranceInfo que la vaccination des enfants n’était qu’un « geste altruiste », confirmant que les enfants n’ont rien à y gagner médicalement parlant.

Mais qu’ils auraient « un bénéfice à la vaccination » !

Si, si, car grâce à la « vaccination » des enfants, l’épidémie disparaîtra (on peut rêver) et ainsi les mesures coercitives et dictatoriales (elle n’a pas utilisé ce terme) à leur encontre seront levées.

Nous sommes toujours dans le chantage à la liberté pour « convaincre ».

Elle a aussi été en capacité de noter qu’il y avait le problème du consentement qui n’était pas possible pour des enfants et que les parents devraient prendre la décision à leur place (à quand des procès à l’encontre de leurs parents, d’enfants devenus majeurs et ayant des séquelles graves ?).

Et de conclure avec sa logique « qu’il fallait vacciner les enfants ».

Je profite de ma tribune pour rappeler que Mme Lacombe a encore « oublié » d’énumérer ses conflits d’intérêts alors que la loi le lui oblige et que le « journaliste » qui lui a encore déroulé le tapis rouge, a aussi « oublié » de le lui rappeler.

Je ne résiste pas non plus au plaisir de vous rapporter ses propos sur l’hydroxychloroquine.

Selon elle, il ne doit pas y avoir de débats scientifiques sur la molécule.

En discuter relève de la désinformation et de la fakenews !

Il n’y a aucun doute sur le fait que la molécule est inefficace et dangereuse comme le prouvent toutes les études (financées par les labos, mais pas les autres ?).

Il devrait de fait être interdit de communiquer sur ladite molécule pour ne pas tromper les Français.

Je vous rappelle que cette brave dame est quand même rémunérée notamment par Gilead et qu’elle a fait la promotion du Remdesivir, dès le début de la crise, tout en crachant sur l’hydroxychloroquine. Remdesivir dont l’inefficacité et la dangerosité ne sont plus à prouver.

Elle demeure pourtant toujours invitée comme intervenante respectable, compétente et intègre !

Fauci

Pendant ce temps et à quelques jours d’intervalle, la chaîne Fox News(([6] https://twitter.com/CuendetV/status/1401832873515225090)) (Accessible par 87,2 millions de ménages américains, elle est la chaîne d’information câblée la plus regardée aux États-Unis devant ses concurrentes CNN et MSNBC)(([7] https://fr.wikipedia.org/wiki/Fox_News_Channel)) honnie comme il se doit par les médias corrompus français fait la part belle au scandale des mails du Dr Fauci qui a fait de son mieux pour faire disparaître l’hydroxychloroquine.

Le Dr Fauci est celui qui a transformé le Covid en fléau, obligé les masques, empêché l’HCQ, etc., etc. Les informations sortent suite à une fuite de plusieurs milliers de mails dont le Dr Fauci ne semble pas remettre en question leur véracité.

Il a de plus été confirmé sur la chaîne Fox News que la molécule était extrêmement efficace et qu’elle aurait pu sauver la vie de 450 000 personnes !

Bref un scandale international comme nous en avons rarement vu.

À noter que cet homme, d’une grande modestie, aurait déclaré(([8] https://news-24.fr/le-dr-fauci-appelle-a-pousser-son-licenciement-absurde-et-fait-rage-lorsque-vous-lattaquez-vous-attaquez-la-science/)):

« Donc, si vous essayez de m’attaquer en tant que responsable de la santé publique et scientifique, vous attaquez vraiment non seulement le Dr Anthony Fauci, vous attaquez la science. »

Le scandale prend de l’ampleur(([9] https://www.youtube.com/watch?v=C1RHyr6U9MY)) sauf en France où l’AFP dit aux médias ce qu’ils doivent en penser et en dire pour continuer à manipuler massivement nos concitoyens sidérés(([10] https://www.leprogres.fr/sante/2021/06/07/masques-hydroxychloroquine-ce-que-contiennent-les-mails-du-scientifique-americain-anthony-fauci))

Bref, j’attends avec impatience que justice se fasse.

Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, a déclaré quant à lui(([11] https://crowdbunker.com/post/mRbjlFD3a2Q7u)):

« La vaccination de masse crée les variants et est une énorme erreur scientifique et une faute médicale…
C’est effectivement la vaccination qui a créé les variants…
Les nouveaux variants sont créés par la sélection des anticorps produits par la vaccination…
Je refuse d’être vacciné, je dis aux 200 000 généralistes, comportez-vous en médecins et pas en moutons. »

Nous vivons une époque dans laquelle la parole d’un animateur de l’émission « TPMP » sur C8 est plus crédible qu’un prix Nobel. L’animateur est applaudi tandis que le prix Nobel est ridiculisé…

Indifférences face à la vaccination des enfants

À part nous, qui sommes qualifiés d’irresponsables ou de complotistes, tout le monde politique, médiatique, scientifique ou médical a l’air de trouver que la vaccination des enfants est un non-événement et une évidence.

Nous nous apprêtons à injecter à des centaines de millions d’enfants des produits 100 % expérimentaux dont nous ignorons tout pour un bénéfice reconnu NUL !

Nous savons donc qu’ils vont tuer des enfants pour rien (même si c’est évidemment toujours pour rien), mais ce que l’on ignore c’est dans quelle proportion et dans quel délai !

Ces enfants ne sont que des cobayes, des sujets d’expérimentation, une manne financière… ou pire…

Nous vivons sur une planète où il n’y a plus la moindre éthique, plus aucun sens du bien ou du mal.

Plus aucune référence aux horreurs du passé et aux crimes contre l’humanité.

Au fait, savez-vous que 1er septembre, la date de fin de l’étude sur les enfants, est la date anniversaire de l’invasion de la Pologne par les troupes allemandes ?(([12] https://www.herodote.net/1er_septembre_1939-evenement-19390901.php))

Avec la manipulation, le chantage et peut-être la vaccination obligatoire, adultes et enfants sont désormais les victimes d’une expérimentation humaine à une échelle jamais connue sans l’accord des personnes concernées !

Et quand nous verrons que l’épidémie ne disparaît pas malgré la vaccination massive, les « scientifiques » et « médias corrompus » accuseront les variants.

Il sera alors demandé de proposer une 3e puis une 4e dose de vaccins…

Jusqu’à quand le peuple suivra-t-il aveuglément ?

Sans doute jusqu’à ce qu’un drame se produise…

Merci.

Alain Tortosa

Le 10 juin 2021.

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210610-vaccination-enfants-cobayes.pdf





Profs, parents, élèves, unissez-vous !

Par Karen Brandin

Tribune publiée initialement sur France Soir le 07/06/21 PAR Karen BRANDIN, enseignante

En écrivant en novembre 2018 « Les maths en soins palliatifs, » (3) j’étais loin d’imaginer que cet emprunt ponctuel de vocabulaire à la stricte sphère médicale deviendrait deux ans plus tard notre quotidien.

Tous les maux de la société semblent en effet désormais repensés au travers du prisme de ce champ lexical si frappant, si inquiétant, parfois si fascinant. On parle : « métastases, cancérisation, embolie administrative, phagocytose, hémorragie cognitive, symptômes bien sûr » comme une piqûre de rappel incessante d’un danger insaisissable, mais qui rôde.

Mais aussi sans doute, parce qu’il ne faudrait pas être tentés d’oublier que la nouvelle obsession est sanitaire. Comme le déclarait de manière quasi prophétique dans le journal le Monde en 2017 Antoinette Rouvroy :

« On ne cherche plus à comprendre l’environnement, on cherche à le prédire. Notre rapport au savoir change, mais aussi notre rapport au monde (…) Voir et comprendre sont supplantés par détecter et prévenir. »

Je n’avais pas imaginé une seconde non plus que l’éducation serait « mise à distance, » qu’elle deviendrait une variable d’ajustement comme une autre. Que l’école, ce lieu de vie, ce lieu d’échanges et de rencontres où l’on fait ses premières armes avec la contradiction, le débat, où l’on apprend à mettre des mots sur les maux, serait présentée ou plutôt décrétée « haut lieu de contamination » avant que les autorités dites compétentes se ravisent… un an plus tard. Trop tard.

Je n’aurais jamais pu imaginer qu’il faudrait en fermer les grilles, avant d’en dépeupler les classes en instaurant cet étrange concept de demi-jauges, pas plus absurde ma foi que les vacances apprenantes ou les plages dynamiques. Alphonse Allais disait :

« Une fois qu’on a passé les bornes, il n’y a plus de limites. »

On a passé les bornes.

Pourtant des médecins de renom comme mon amie la pédiatre-oncologue Nicole Delépine (voir notamment 4) et son mari le chirurgien Gérard Delépine n’ont eu de cesse de nous alerter, de nous rassurer aussi sur ces enfants prétendus « bombe virale » en faisant pour nous, en temps réel, l’exégèse de la littérature scientifique internationale, mais nous n’avons su ni écouter, ni lire ; un comble pour des enseignants, tout entier à notre sidération.

Une sidération qui n’explique et n’excuse pas tout.

Si durant une année, chacun d’entre nous, avec ou sans casserole, a été projeté ou s’est parfois reconnu dans la peau d’un visiteur médical au chevet d’un hôpital public à bout de souffle, le moment est peut-être venu d’entrer dans une autre chambre, celle de l’Éducation Nationale parce que le pronostic vital y est tout autant engagé.

Les tests PISA nous ont renseignés sur l’intensité de la douleur sur une échelle de 0 à 10, mais à vrai dire, on n’avait pas besoin d’un diagnostic aussi artificiel pour savoir que l’école râle, qu’elle étouffe aussi. Qu’elle est tout simplement en train de perdre son âme et que l’on finira par y régresser, en espérant que cette inquiétude lancinante ne soit pas déjà une réalité.

Il y aura une conséquence directe, concrète de cette année d’éducation dégradée, disloquée puisque le bac (ou plutôt ce qu’il en reste, un hommage pour le moins inattendu à Napoléon pourtant célébré cette année) sera plus que jamais une formalité.

L’épreuve de philosophie que l’on présente pudiquement comme « réaménagée » et ce Grand Oral improvisé viendront d’ici quelques jours clore cette mascarade.

Espérons que cette liberté de parole si précieuse et désormais si rare que m’offre le statut de l’enseignement hors contrat soit un encouragement à témoigner pour tous les enseignants (puisqu’ils existent forcément) qui ont souffert durant ces mois interminables d’être privés de leurs élèves, de leurs rires, de leurs moues sceptiques ou provocatrices ; parfois clairement réprobatrices.

Privés de cette complicité tout simplement qui est au cœur de l’enseignement, qui en fait son intérêt et sa force.

Privés enfin de cette énergie vitale, des confrontations d’idées, des défis et des remises en question que suppose toute pédagogie.

Que la parole se libère pour ceux qui ont parfois été stigmatisés, traités d’excentriques, voire d’irresponsables lorsqu’ils se sont opposés aux cours « à distance » comme on ose dire puisqu’il faut bien comprendre que « non, » on ne fait pas cours à distance !

Ces profs aussi qui se sont inquiétés de l’obligation du port du masque, malheureusement presque toujours en silence, et qui ont souffert de ne pas reconnaître 4 ou 5 mois après la rentrée, leurs élèves aux grilles du lycée parce que ces visages tronqués, défiant les lois de l’anatomie, ils avaient fini par les reconstituer à leur idée, involontairement, pour combler un manque, un vide. Et puis, parce qu’un jour un masque a glissé, ils sont restés surpris devant ces traits enfin dévoilés, révélés, devant ces visages familiers et pourtant étrangers finalement, puisqu’on les avait imaginés autrement. Il restait la voix bien sûr et encore, elle aussi était étouffée comme les regards étaient trop souvent embués derrière les lunettes.

Qu’enfin s’engouffrent dans la brèche de cette tribune, tous les membres du corps enseignant qui souffrent cette fois depuis des années, puisque la chute du niveau scolaire en l’espace de dix ans est dramatique, de ne plus avoir le temps ou la possibilité de transmettre, mais seulement celui d’imposer toujours plus vite, toujours plus mal. Ce faisant, c’est bien la démocratie qui est menacée.

Les séances de cours deviennent des séances de gavage avec des horaires réduits à la portion congrue dans lesquels il faut faire tenir coûte que coûte des programmes aux ambitions démesurées. C’est alors que tout se perd, rien ne se crée ni ne se transforme sinon en un vernis de connaissances qui s’écaille au bout de quelques semaines, voire quelques jours. L’intelligence reste naturelle, mais le savoir cruellement artificiel.

Définitivement dans l’enseignement, il faudra se souvenir que « l’humain est la règle absolue et le numérique l’exception. » Que l’IA aura toujours quelque chose à nous envier : l’imperfection. Car finalement c’est le doute, le défaut, le temps « mort » et pourtant si vivant qui marquent, rendent inoubliable et créent du lien.

Cet enseignement hybride, chimère instable, aura achevé de nous convaincre que l’innovation n’est pas toujours un progrès.

Dans le même temps, un autre danger nous guette, plus insidieux encore. Celui, à force d’avoir été séparés par des écrans et autres protections, de percevoir la proximité avec l’autre, qu’il soit élève ou patient, comme une agression après nous avoir martelé durant des mois qu’il était un danger.

À un an des élections, un an perdu pour l’enseignement à n’en pas douter, le temps n’est plus aux chuchotements ou aux murmures, car « qui ne dit mot consent ».

Le consentement justement, parlons-en…

À l’heure sombre où l’on projette de vacciner les adolescents, on le veut plus que jamais « libre et éclairé » et même si l’école ne peut pas tout, elle a ce devoir impératif de rendre ces jeunes libres de leurs décisions et de les éclairer dans leurs choix, en leur présentant de manière loyale et argumentée, les chemins possibles.

« Primum, non nocere. » C’est le cas pour nous aussi, enseignants.

Je ne pourrai pas me prononcer pour l’ensemble des disciplines puisque je ne suis légitime qu’en maths où loin d’être à l’origine d’une miraculeuse rémission, la réforme Blanquer accompagne aussi maladroitement que péniblement l’agonie de cette matière jusqu’à rendre, dans l’indifférence absolue, le faire-part de décès inévitable.

Qui l’eût cru ? Dans un pays où l’on n’en finit pas de se gargariser du nombre de médaillés Fields. Je renvoie donc nos dirigeants, notamment le député Cédric Villani, autrefois un ambassadeur passionnant et passionné, à cette phrase de Wendelin Werner, membre de l’académie des sciences, médaillé Fields 2006 :

« Lorsque l’on me demande à quoi peut servir une éducation mathématique au lycée pour quelqu’un dont le métier ne nécessitera en fait aucune connaissance scientifique, l’une de mes réponses est que la science permet de former un bon citoyen : sa pratique apprend à discerner un raisonnement juste, motivé et construit d’un semblant de raisonnement fallacieux et erroné. »

Je ne peux même pas témoigner pour l’ensemble de l’institution scolaire, mais seulement pour le lycée, les plus grands des élèves donc ; mais il est bien certain que « si toutes ne mourront pas, toutes les matières seront frappées » par cette réforme aberrante, cette réforme qui a fait du lycée une start-up et de l’enseignant, un VRP de sa discipline condamné à séduire un nouveau type de client : l’élève.

Il est désormais urgent, d’instaurer une sorte de « pharmaco-vigilance » de l’enseignement pour faire remonter les premiers effets secondaires, d’ores et déjà inquiétants, de cette réforme.

Concernant la philosophie, on pourra consulter notamment d’Harold Bernat : « Oraison funèbre de la classe de philosophie » (2).

Cette inquiétude qui me conduit à reprendre la plume est nourrie et chaque jour ravivée par les échanges que j’ai avec mes élèves. Je les trouve plus démunis que jamais, fatalistes aussi dans l’acceptation de ne pas comprendre. Seulement enclins à « se souvenir » et par voie de conséquence, à subir.

En leur fournissant une explication ou en exigeant d’eux une justification claire et motivée, on ne les soulage plus ou si peu désormais. C’est une évolution inquiétante contre laquelle nous a pourtant mis en garde Alexis de Tocqueville en nous alertant sur le fait que

« s’il y a des peuples qui se laissent arracher la lumière, il y en a d’autres qui l’étouffent eux-mêmes sous leurs pieds. »

On est à la phase où l’on se laisse arracher la lumière.

On a créé à force de QCM et autres Kwyk, une génération dépendante aux raisonnements courts, à la réponse immédiate, finalement terrifiée par le temps long que suppose la réflexion, le recul ; une génération qu’en revanche les QR-codes n’effraient pas et d’autant plus prompte sans doute à tendre l’autre joue ou… le bras.

Faire cours, ce n’est pas faire court.

Désormais, « prendre le temps de » semble synonyme d’un aveu d’échec qui ne dirait pas son nom ; ils ne cherchent plus jamais, ils veulent trouver quoi qu’il en coûte. C’est la dictature de l’impatience. La lecture des énoncés les afflige, les décourage. Ils se sentent traqués, tentent parfois une esquive en commençant au milieu du texte pour gagner du temps comme s’ils en manquaient, en saisissant des mots-clés avant de reconstruire un énoncé, loin de la réalité souvent, mais qui les rassure, qu’ils reconnaissent.

Comment a-t-on pu en arriver là ?

Et surtout, ces jeunes gens qui sont gênés par un simple énoncé de maths le seront dans un avenir proche tout autant par une notice de médicament à déchiffrer, un article de presse ou un contrat.

Il faut désormais déployer avec les lycéens une énergie folle, doublée d’un caractère atypique qui intrigue pour les retenir, les empêcher de glisser vers cette facilité, cette dépendance presque « sucrée » au réflexe.

« Ces enfants de la déconstruction » (9), il faut reprendre le temps de les armer et de les désarmer tout à la fois. Ce temps, il faut donc le redonner aux enseignants.

On a invoqué le faux alibi de la poisseuse « bienveillance » pour justifier la baisse des exigences quand il s’agissait simplement d’excuser notre paresse à nous, profs. Il faut bien se dire que l’on est en réalité dans la maltraitance puisque consciemment ou pas, on refuse à ces jeunes ce que l’on a reçu : la curiosité, l’envie, et avec elles, l’écriture des premiers chapitres d’un manuel d’autodéfense intellectuelle plus indispensable que jamais pourtant.

On les a privés du droit, du devoir « d’errance » en les inondant de photocopies et de vidéos directement extraites d’internet comme une ode à l’éducation de masse, désespérément homogène quand rien ne saurait pourtant remplacer un cours écrit, un cours unique donc, imparfait sûrement et alors ? Un cours vivant, qui évolue et se transforme.

On les a privés du temps de la recherche et de celui de l’erreur, du temps de se perdre, puis de se retrouver avec comme corollaire, la possibilité de découvrir autre chose autrement pour gagner en autonomie et en maturité. L’enrichissement est à ce prix.

Il a une citation particulièrement inspirante de Bratslav :

« Ne demande jamais ton chemin à celui qui le connaît, tu risquerais de ne pas pouvoir t’égarer. »

Bien entendu, dans l’enseignement, l’errance est sous contrôle, mais elle doit exister ; il ne s’agit pas de laisser l’élève durablement s’essouffler, mais de le convaincre qu’il est en mesure de développer des stratégies pour s’en sortir sans nous, car finalement ces jeunes, qui sortent leurs portables plus vite que leur ombre à la moindre difficulté, au moindre doute, n’ont plus aucune confiance en leur capacité de raisonnement. Ils sont en situation de dépendance. Notre mission est pourtant de les aider à s’émanciper. 

En maths notamment, les chemins pour aboutir à une conclusion sont souvent multiples. Bien entendu, certains nous sont plus familiers parce que l’on a des habitudes, des aptitudes aussi donc il peut arriver que l’on oriente la résolution. Lorsqu’un élève me soumet une méthode moins intuitive pour moi, mais que je l’encourage dans sa voie parce que c’est possible, il fait systématiquement volte-face. Au lieu d’être revalorisé comme cela semblerait naturel, il se sent étrangement pris au piège et souhaite retrouver le confort de la méthode du prof devenu pour un temps, « gourou ». Et quand on propose de développer les deux stratégies, on s’expose à un soupir d’exaspération : « oh, pour quoi faire ? ; une, ça ne suffit pas ? ». Inertie quand tu nous tiens…

Il faut rétablir de manière urgente des devoirs sur table dignes de ce nom que des interros « flash éclair » de 15 minutes ont remplacé. En un quart d’heure, on n’évalue pas un élève de première, on vérifie tout au plus qu’une forme de dressage a bien eu lieu.

Il est impératif de retrouver l’exigence et le goût aussi d’un argumentaire rigoureux pour combattre cette aversion pour le temps long quitte à rappeler que « l’art n’est pas une course. »

Quant aux maths, c’est une aventure (8).

C’est à ce prix que le lycée redeviendra un tremplin vers l’enseignement supérieur, grand absent des débats trop souvent et pourtant durement impacté. On l’imagine en tous cas.

Et ce n’est que le début…

Bien sûr, le naufrage de l’éducation nationale ne date pas d’hier. La crise associée à cette incompréhensible autant qu’injustifiable réforme a simplement précipité la chute. Il est impossible désormais pour un lycéen d’avoir une formation scientifique complète et cohérente puisqu’il n’a accès en terminale qu’à 2 options, deux « spécialités » suivant le prétentieux vocable consacré.

Je ne reviens pas ici sur l’imposture des maths complémentaires dont le programme, très ambitieux comme son nom ne l’indique pas, a bien souvent été tout juste effleuré cette année faute d’adhésion d’élèves dépassés  (ici l’argument sanitaire ne suffit pas à tout expliquer, car les lycées privés sous contrat n’ont été soumis que très tardivement — fin avril — aux contraintes de demi-jauge ; une rupture d’égalité que personne finalement n’a relevée) ni sur celle non moins criante des maths expertes, la seule chance désormais pour les élèves d’aborder le chapitre pourtant fondamental en physique comme en sciences de l’ingénieur des nombres complexes.

Les contenus de ces programmes sont aussi incohérents qu’est aberrante cette épreuve du mois de mars qui contraint les enseignants à parcourir les chapitres estimés essentiels (dont le dénombrement ! par contre, on découvre que l’intégration n’a pas tant d’intérêt…) à marche forcée.

On comprendra plus tard, peut-être… L’heure est encore et toujours au conditionnement.

En première et en réalité, dès la classe de seconde, l’enseignant est désormais tenu, pour éviter que les élèves abandonnent en masse sa discipline l’année suivante, d’appâter le chaland quitte à laisser de côté les chapitres qui fâchent : la trigonométrie, le produit scalaire. On est dans une démarche strictement commerciale, une démarche de séduction, mais comment le reprocher ? L’élève l’a bien compris d’ailleurs. On est à l’ère des concessions sur la rigueur, l’ambition. On brade puisque tout doit disparaître…

Avec la pression de présenter un dossier de qualité (il faudra bien un jour que toute la transparence soit faite sur le principe de sélection de Parcoursup parce que décidément, on comprend mal des résultats toujours plus étonnants ou injustes), il ne choisit pas tant ce qui l’intéresse, mais plutôt des disciplines « rentables. » La physique par exemple, estimée trop difficile, est abandonnée en masse contrairement à ce que l’on entend. Non, nous ne sommes pas dans une filière S qui ne dirait juste plus son nom. Cette affirmation est ridicule ; le niveau d’un terminale S de 2015 et celui d’un élève en spécialité maths en 2021, par exemple, sont incomparables. Les grandes écoles n’auront d’ici peu pas d’autres choix que d’en tenir compte.

Il y a les programmes et la réalité, celle d’élèves de 17 ans, parfois aspirant aux classes préparatoires, qui manipulent encore difficilement les fractions ou les puissances. On récolte la moisson de la méthode globale appliquée aux maths : « je ne comprends pas, mais à la place, je me souviens. » Sauf que la mémoire est faillible et trop souvent mauvaise conseillère.

Où que se porte le regard donc, l’éducation agonise quand pourtant Victor Hugo écrivait :

« celui qui ouvre une porte d’école ferme une prison ».

On parle bien du « corps » enseignant donc plus que jamais, il est urgent que les profs, d’où qu’ils viennent, fassent « corps » justement. Il est urgent de retrouver le cœur et la raison de ce métier.

Karen Brandin

« Pour être efficace, l’enseignement doit se faire au corps à corps, c’est-à-dire en discutant face à face avec quelqu’un, en échangeant des regards, des idées, des arguments, des contre-arguments, et dans cette interaction les pensées de l’un et l’autre évoluent. Penser, c’est constamment interroger ce que l’on pense pour savoir si l’on a raison de le penser. Une pensée qui n’est jamais interrogée devient une croyance. »

Etienne Klein (pour Maddyness  – août 2019)

NB : Étienne Klein précise que ces lignes ont été écrites hors du contexte de la crise sanitaire.


[Note de Nicole : Si on a beaucoup parlé du coronacircus depuis plusieurs mois, les monstrueux dégâts qui ont atteint l’enseignement primaire, secondaire et les facs sont passés inaperçus, achevant la dégradation déjà bien engagée de cette autrefois belle institution. Je remercie Karen de bien vouloir partager ce cri qui je l’espère en appellera d’autres. Car si la santé est importante, il est évident que l’avenir du pays dépend de sa jeunesse et celle-ci de son éducation en particulier. Nous espérons que les professeurs vont se lever et partager leur vécu et leurs espoirs.]


Bibliographie possible :

1— Le fiasco Blanquer (auteur : Saïd BENMOUFFOK paru aux Petits Matins -2021)

2— Oraison funèbre de la classe de philosophie (auteur : Harold BERNAT paru chez Atlantiques déchaînés -2020)

3— http://images.math.cnrs.fr/Lycee-les-maths-en-soins-palliatifs.html (auteur : Karen BRANDIN — 2018)

4— http://www.economiematin.fr/news-ouverture-ecole-covid-19-danger-france-delepine (auteur : Docteur Nicole DELEPINE -2021)

5— La fabrique du crétin digital (auteur : Michel DESMURGET collection Points — 2019)

6— Rebâtir la France par l’éducation et l’éducation et l’enseignement : bac 2021, la catastrophe annoncée (auteur : Christian GERONDEAU paru chez L’artilleur -2020)

7— L’IA peut-elle penser ? (auteur : Hubert KRIVINE chez De Boeck — 2021)

8— Libérez les mathématiques (auteur : Paul LOCKHART collection Champs — 2020)

9— Enfants de la déconstruction : portrait d’une jeunesse en rupture (auteurs : Paul MELIN et Jérémie CORNET, éditions Marie B — 2019)

10— Pour une pédagogie interactive en mathématiques et ailleurs (auteur : Marie MILLIS chez Chronique Sociale — 2020)

11— Requiem pour l’éducation nationale (auteur : Patrice ROMAIN paru au Cherche Midi — 2021)

12— De la démocratie en pandémie (auteur : Barbara STIEGLER, collection Tracts Gallimard 2021)




Êtes-vous des cobayes ou des robots ?

Source : Magazine N°35 « VOTRE SANTÉ » Août 2002

Par Sylvie SIMON

« Les Français sont des bœufs »

Charles De Gaulle

Surtout n’oubliez-pas de faire vacciner vos nounours ! Et si l’injection vaccinale n’était que le moyen technique d’implanter dans le corps des cristaux liquides(([1] Voir : Un tout petit peu d’ADN suffit pour faire des cristaux liquides (2007) )) qui, comme la puce, permettent le contrôle permanent de chaque individu ?

La pression vaccinale des autorités est devenue telle qu’on est obligé de s’interroger sur les buts réels de la vaccination.

II y a quelques années, certains scientifiques avaient suggéré qu’on pourrait, un jour, mettre au point plusieurs vaccins combinés qu’on injecterait au nouveau-né. En même temps, on introduirait dans son corps une puce électronique qui permettrait un suivi très précis de sa santé. Lorsqu’ils ont fait cette proposition, avec le plus grand sérieux, on peut se demander si ces scientifiques étaient conscients que leur suggestion dépassait de très loin tout ce qu’avaient imaginé Aldous Huxley dans le Meilleur des mondes, ou George Orwell dans 1984, ou d’autres écrivains de science-fiction.

Une invasion de puces

Or, depuis quelque temps, la réalité dépasse la fiction. Nous avons ainsi appris par la télévision que l’on commence a injecter des puces à des enfants ou à des vieillards atteints de la maladie d’Alzheimer afin de pouvoir mieux les surveiller lorsqu’ils risquent de s’éloigner de la vue de leurs proches. Cette technique est également utilisée par la médecine vétérinaire pour identifier les animaux. Une multinationale, Texas Instruments, a mis au point des transpondeurs, c ‘est -à-dire des micro-ordinateurs qu’on a injectés à des milliers d’animaux à travers la planète. Jusqu’à présent, ces puces étaient utilisées pour retracer, contrôler et identifier toutes sortes d’animaux comme tous produits manufacturés. Le Dr de Brouwer (Vaccinations : erreur médicale du siècle, Louise Courteau, 1997) explique :

« Ces transpondeurs, à partir d ‘une influence magnétique extérieure, permettent d’agir à l’échelle cellulaire, c’est-à-dire inconsciente, soit avec des émetteurs, soit des antennes télé, soit des satellites. Si de tels transpondeurs étaient injectés à des humains, il serait possible d’agir sur les gens avec une antenne cellulaire qui court-circuite la conscience individuelle. »

Nous n’en sommes plus a l’heure de faire des suppositions mais à celle de nous inquiéter vivement pour une situation déjà établie et qui ne peut que s’aggraver dans le futur . De son côté, le Dr Jose Delgado, pionnier de la stimulation électronique du cerveau et auteur du Contrôle physique de la pensée, paru en 1969, déclarait dans son ouvrage :

« Les transmetteurs cérébraux peuvent demeurer dans le cerveau d’un sujet à vie. L’énergie qui actionne le transmetteur est transmise par des fréquences radio. […] L’une des possibilités des transmetteurs cérébraux est d’influencer les gens afin qu’ils se conforment aux systèmes politiques. Les comportements individuels et sociaux, les réactions émotionnelles et mentales peuvent être provoquées, maintenues, modifiées ou inhibées, chez les animaux comme chez l’homme, par la stimulation des structures cérébrales spécifiques. Le contrôle physique de plusieurs fonctions cérébrales est un fait établi. Il est même possible de suivre les intentions, le développement des pensées et les expériences visuelles.« 

La réalité dépasse la fiction :

Les premiers implants étaient petits, mais encore visibles, tandis que les nouvelles versions à cristaux liquides peuvent être directement injectées dans le sang pour se loger dans certaines régions du cerveau et influencer le comportement d’un individu. Si l’ on se réfère à Tim Willard, éditeur du magazine américain Future Society, la technologie cachée derrière le nouveau Micro-Chip humain n ‘est pas très compliquée, et pourrait être appliquée dans une large variété d’activités humaines.

Dans le Belleville News Democrat du 28 décembre 1997, Rod Hafemeister signalait que des puces allaient être utilisées sur des soldats. En effet, pour les immuniser contre l’ anthrax avec les rappels nécessaires, il faut un suivi de plusieurs années.

« Le Pentagone estime qu’il faudra près de six ans pour immuniser tous ceux qui portent l’uniforme.[…]

Ce programme n’aurait pas été possible il y a quelques années, mais la mise sur ordinateur du suivi médical et la puce qui peut le contenir, portée par le soldat, devrait tout changer.  »

Dans le même article, le journaliste signale que Paul Sullivan, directeur exécutif du National Gulf War Resource Center, accuse le Pentagone d’utiliser les troupes sans leur consentement pour tester des médicaments qui n’avaient pas l’approbation définitive de la FDA :

« Le Pentagone a été sévèrement critiqué pour avoir commis la même faute en Bosnie« , ajoute-t-il. Ces tests ne comportent pas l’injection de puces, mais se réfèrent à la même volonté de pouvoir sur les citoyens, otages d’un système corrompu qui relève plus du nazisme que de la démocratie.

Big Brother est là!

Récemment, le Pr Kevin Warwick, de l’université de Reading, en Grande-Bretagne, s’est fait insérer sous l’épiderme un microprocesseur afin de démontrer les nombreux abus qui pourraient découler de l’utilisation de ce genre d’appareil capable d’allumer les lumières et de souhaiter la bienvenue d’une voix caverneuse. Introduit sous anesthésie locale, l’appareil contenait soixante-quatre informations sur le professeur de cybernétique que sa secrétaire pouvait ainsi suivre en permanence. « C’est vraiment Big Brother, ce n’est plus de la science-fiction…« , a-t-il déclaré (Libération du 29 août 1998). Ce genre de puce peut contenir toutes sortes d’informations des plus variées : numéro de sécurité sociale, groupe sanguin, carnet de santé, convictions religieuses, qualifications professionnelles. En effet, Big Brother évoqué par George Orwell est à notre porte. Kevin Warwick dénonce :

« L’être humain est menacé par l’ordinateur sapiens dont l’ intelligence ne tardera pas a dépasser celle de son créateur. »

(Le Monde, 25 septembre 1998.)

Carl W. Sanders est un ingénieur électronicien qui a passé plus de trente ans a mettre au point des puces électroniques pour IBM, General Electic, Honeywell et Teledyne, mais aussi pour diverses organisations gouvernementales. L’un des projets sur lequel il a travaillé s’appelait Phoenix et concernait les vétérans du Vietnam. Une puce électronique, appelée Rambo, permettait de faire monter leur taux d’adrénaline. Carl W. Sanders a déclaré au journal Nexus de juin-juillet 1994 que, lors des discussions sur le contrôle électronique avec la CIA auxquelles il a assisté, on parlait des citoyens comme d’un troupeau.

« Lorsque la discussion parvint au stade de l’identification par puce, ils précisèrent leurs objectifs : le nom et la photo, le numéro de sécurité sociale, l’empreinte digitale, la description physique, le contexte familial, le métier, les informations administratives, les impôts et le casier judiciaire. »

À cette époque, il avait alors assisté à dix-sept réunions de ce genre.

« Récemment, ils ont abordé le Health Care Program, un suivi du ventre maternel à la tombe« .

Des projets ont été soumis au Congrès afin de permettre d’injecter une puce à votre enfant dès la naissance.

Et, évidemment, les vaccins !!

En 1995, aux Etats-Unis,

Donna Shalala, responsable du DHHS (Départment of Health and Human Services) a suggéré de donner un numéro de sécurité sociale dès la naissance, afin d’y inscrire l’état vaccinal de chacun. En 1996, le HIP AA (Health Insurance Portability and Accountability) émit le projet d’un numéro d’identification de soins de santé qui pourrait remplacer le numéro de sécurité sociale et qui serait attribué dès la naissance à chaque citoyen, relié à un moniteur électronique qui enregistrerait au fur et à mesure les soins médicaux et les vaccinations. En 1998, le CDC a commencé a mettre en oeuvre un registre d’État des vaccinations qui serait un premier pas vers le développement d’enregistrements électroniques sous le prétexte de suivre la santé des individus. Ces enregistrements comprendraient le nom, l’adresse, le numéro de téléphone, le numéro de sécurité sociale, la date de naissance, le sexe, la race, la langue principale, le nom de la mère et son nom de jeune fille, le nom du père, et les numéros de sécurité sociale des deux parents (The Vaccine Reaction, publie par le NVIC, National Vaccine Information Center, numéro spécial de septembre 1998).

Dans l’État du Texas, Prove, une association de parents, conduite par Dawn Richardson, milite contre le fait que des enfants sont inscrits sur des registres de vaccination sans le consentement écrit de leurs parents. Sans doute font-ils partie d’une secte !

À la lecture de ces procédés dignes de l’Inquisition, il est permis de se demander s’il s’agit, dans ce pays, seulement de la santé publique ou d’une forme de mise en carte de tous les citoyens. Un journaliste canadien, Serge Monast, a mené une enquête sur les cristaux liquides, les vaccins et la médecine militaire expérimentale. En 1992, fut pratiquée au Québec une vaccination de masse contre la méningite, à la grande surprise des médecins qui savaient qu’aucune épidémie n’était en vue. Cette décision avait été prise par des fonctionnaires du gouvernement à l’encontre de l’avis de la plupart des membres du corps médical. Le Dr Christiane Laberge déclara alors aux médias que sa fille de cinq ans courait autant de risques d’attraper la méningite que de se faire heurter par un train. Le Dr Gilles Delage évoqua, lui aussi officiellement, les risques encourus par les nourrissons vaccinés à cause de la réduction appréciable de tolérance immunitaire chez ces enfants. Des spécialistes du monde médical firent connaitre leurs préoccupations à ce sujet dans un article paru dans le Journal de la presse du mardi 4 février 1992, mais le gouvernement passa outre. Serge Monast fit alors ressortir que, dans certaines régions, les vaccins étaient différents de celui que recevaient les enfants d’autres régions à la même époque.

Cristaux liquides :

Contrôle des individus

Dans une conférence débat du 10 février 1996, près de périgueux, qui réunissait des médecins et des biologistes remettant en question notre médecine de troupeau, le Dr Guy Londechamp, auteur de l’Homme vibratoire, paru en 1993 et réédité en 1998, attira l’attention, lui aussi, sur les cristaux liquides et posa la question :

« N’est-ce pas l’installation d’une antenne à l’intérieur de notre organisme, programmable de l’extérieur, malléable ? […] Ce peut-être de la science-fiction, à moins que la science-fiction ne soit déjà très en dessous de la réalité !« 

Et, commentant la campagne de vaccination canadienne avec protocole particulier, il poursuivit :

« S’il s’agit d’une vaccination si anodine, pourquoi a-t-on demandé à ces centres d’avoir des conditions si rigoureuses, ces mesures de sécurité et d’observation exceptionnelles? Il faut signaler, par ailleurs, que l’on a vacciné de force contre l’hépatite B des populations entières au Nord Canada, sans explication, sans même l’autorisation des parents. Il y a eu un certain nombre de morts parmi les enfants, mais on n’ a fourni aucune explication… Viols délibérés de la liberté individuelle, atteintes corporelles avec des décès, mais aucune justification des besoins ni explications. […] Alors, n est-on pas en train d’injecter aux gens – avec le vaccin contre l’hépatite B – non seulement les protéines de la capsule du virus, mais aussi d’autres informations, probablement des cristaux liquides (boucles d’ADN de synthèse), permettant de programmer toutes les personnes de l’extérieur, à un moment donné, pas forcément tout de suite ? Mais le dispositif serait en place… Le problème est de savoir si les avancées technologiques sont suffisantes pour avoir une connaissance précise du modèle ADN à injecter, afin de contrôler les consciences. Il est bien difficile de savoir exactement ce qu’il y a dans ces vaccins. »

Pure science-fiction ?

Certains, plus avertis des manipulations pseudo scientifiques dont nous sommes victimes et de tout ce que l’on nous cache, ne s’en étonnent pas. Les pressions vaccinales sur les populations sont devenues telles que nous sommes obligés de nous interroger sur les buts réels de la vaccination. S’il ne s’agissait que de santé, la contrainte n’aurait pas lieu d’être, la persécution des non-vaccinés serait dénoncée comme toute violation des droits fondamentaux, enfin les campagnes vaccinales systématiques apparaitraient comme une aberration. Plutôt que de santé, ne pourrait -il être question de contrôle mondial de la population ? L’identification des chiens et des chats grâce à ce procédé a été mise en place en France par un arrêté du 1er octobre 1997. Il semblerait qu’il soit désormais possible d’injecter, par le biais d’un vaccin, un implant électronique servant à l’ identification personnelle. Ce serait la normalisation à outrance des conduites par le truchement des vaccinations.

Sylvie SIMON




Au tour du meurtrier Bill Gates !

[Source : NéoSanté Editions (neosante.eu)]

Vous suivez « l’Affaire Fauci » sur les réseaux sociaux ?  Je présume que oui et si ce n’est pas le cas, je vous conseille de le faire car c’est un feuilleton palpitant dont voici une petite vidéo récapitulative. En résumé, la déclassification de ses e-mails professionnels révèle que l’immunologue américain, personnage central de la « crise sanitaire », a copieusement menti  aux autorités de son pays et  a délibérément dissimulé un tas de choses à ses compatriotes, notamment son rôle dans le financement du laboratoire P 4 de Wuhan et de ses périlleuses recherches sur les coronavirus. Nonobstant son implication dans ce scandale, sa correspondance dévoile qu’Anthony Fauci n’a jamais cru à l’utilité antivirale du masque, savait depuis le début que les asymptomatiques ne représentaient aucun danger, était au courant que l’hydroxychloroquine pouvait être repositionnée en traitement prometteur et n’ignorait pas que l’infection procurait une immunité naturelle durable. Dans un échange avec Mark Zuckerberg, patron de Facebook, on apprend que le vaccin était déjà en voie de fabrication dès février 2020 et que son développement était évalué à 6 semaines ! Vu que les 3.000 courriels rendus publics n’ont pas encore été tous dépouillés, on peut s’attendre à d’autres surprises car même les médias mainstream  sont en train de déballer le linge sale, du moins chez l’Oncle Sam car en Europe, ces révélations fracassantes font très peu de remous. Dossier à suivre via les canaux alternatifs comme France Soir ou Sud Radio.
 
L’autre covidingue
 
Quand sa tête roulera sur le billot, le monde entier pourra se réjouir car de par sa fonction de « Monsieur Covid » étasunien, le Dr Fauci aura été une pièce maîtresse dans la construction du narratif plandémiste. Comme en atteste un message émanant de Jean-François Delfraissy, son homologue français, c’est l’Amérique qui donnait le ton et  qui dictait le « consensus  scientifique» sur lequel se sont appuyés les artisans de la terreur hystérique et les partisans du verrouillage économique. Lorsque le domino Tony tombera à Washington, nos experts en mesures liberticides auront aussi du souci à se faire. Mais n’oublions pas un autre personnage-clé du Corona Circus, un autre covidingue amerloque sans qui le délire sanitaire  totalitaire n’aurait jamais pris une dimension planétaire. Je veux évidemment parler du multimilliardaire Bill Gates, opportunément rebaptisé « Kill » Gates par certains médias anglophones indépendants. Personnellement, je ne vois pas cet éternel adolescent bigleux comme un affreux conspirateur eugéniste ayant cyniquement  planifié un génocide vaccinal. Dans sa fameuse conférence Fedex de 2010,  il parle bien de réduire la population  mondiale de 15% grâce aux vaccins mais il voulait dire par là que la réduction de la mortalité infantile allait conduire à une baisse spontanée de la fécondité. Pour autant, le richissime homme d’affaires ne mérite absolument pas l’absolution et le traitement de faveur que les médias – bénéficiant parfois de ses largesses, comme le journal Le Monde – lui réservent invariablement. Lui, un philanthrope désintéressé ? C’est au contraire un assoiffé d’argent et de pouvoir qui a trouvé dans la distribution de dons le moyen de faire fructifier sa fortune et d’amplifier sa capacité d’influence. Dans la revue Néosanté  de juin 2019, nous avons modestement œuvré à rectifier le récit journalistique à l’occasion  de la sortie du livre de Lionel Astruc « L’art de la fausse générosité », consacré aux entourloupes fiscales et aux manigances financières de la galaxie Gates. Lui, un bienfaiteur de l’humanité ? Peu de gens le savent, mais ce mégalomane transhumaniste ne poursuit pas seulement le rêve de vacciner la terre entière et d’en tracer numériquement tous les habitants. Aux States, il a acheté des millions d’hectares agricoles pour y appliquer un agrobusiness-model dopé aux pesticides et aux OGM, ses deux autres domaines d’investissement privilégiés. Tonton Bill n’est pas seulement le boss de la pharmafia, c’est aussi le parrain omnipotent de l’agrochimie  transgénique.  Ce bourreau de la nature déguisé en sauveur du genre humain est également dévoré par l’ambition pathologique de préserver le globe du réchauffement climatique. Comment ?  En finançant des programmes de géo-ingénierie consistant à masquer le soleil  par l’envoi de  millions de tonnes de poussières dans la stratosphère, ainsi que vous pouvez le vérifier en cliquant ici .  Il y a deux mois, la Suède a bloqué  une expérience visant à tester  dans son ciel la faisabilité de ce projet démentiel . Mais ne croyez pas qu’il soit abandonné et que son  faux mécène va renoncer à sa guerre des ténèbres contre l’astre solaire. Ce type est complètement givré  et en attendant la livraison de son méga-yacht à hydrogène (600 millions d’euros, une bagatelle), il va certainement continuer à dériver vers la folie pure et la technoscience dénuée de toute conscience.
 
Kill Gates est bien un sérial killer
 
La saga corona aura au moins permis de mettre sa démence en évidence et à faire surgir l’urgence d’arrêter ses folles entreprises prométhéennes.  Mais comment faire quand  les instances de santé sont sous sa coupe financière , la presse sous son contrôle insidieux et l’oligarchie politique sous son charme pécuniaire   ? Je ne vois qu’une solution : exploiter à fond le dossier des vaccins en exposant le désastre de la vaccination anticovid et  les crimes vaccinaux  que l’ex-mari de Melinda  a sponsorisés dans le passé. Car des casseroles macabres, il y en a aux fesses de cet obsédé sexuel harceleur impénitent de ses employées  et ami du pédophile Jeffrey Epstein. Dans le Tiers-Monde, l’informaticien se prenant pour le médecin du monde a plus d’une fois trucidé l’éthique médicale et financé des expérimentations mortelles sur des peuplades trompées et manipulées. Les journaux occidentaux n’en ont jamais parlé mais le casier médico-judiciaire  du milliardaire est lourdement chargé en Afrique et en Asie. Il a contribué à tuer de nombreuses victimes innocentes lors d’essais cliniques sauvages !  Il y a 15 jours,  un site indien a publié une enquête accablante  sur l’ONG américaine PATH, une des associations pseudo-caritatives que Gates stipendie pour fournir  des cobayes à l’industrie pharmaceutique. Voici une douzaine d’années, cet organisme a procédé à la vaccination expérimentale de jeunes adolescentes indiennes  contre le papillomavirus humain. Plus d’une centaine d’entre elles ont subi de graves secondaires et au moins 7 sont décédées à la suite de cet essai effectué sans leur consentement éclairé.  L’affaire a fait grand bruit en Inde à l’époque, il y a même eu une commission d’enquête parlementaire,  mais le scandale a fini par être étouffé et Bill Gates n’a jamais été inquiété.  C’est toute cette histoire que raconte l’investigation de Bernard Marx  pour Greatgameindia, à laquelle la presse occidentale n’a  – à ma connaissance – pas fait le moindre écho.  Ce silence radio m’a paru insupportable et j’ai demandé à Catherine,  collaboratrice ponctuelle et traductrice bénévole pour Néosanté, de  traduire l’article in extenso. Je vous l’offre en lecture ci-dessous, en espérant que ce petit caillou concoure  à lapider la réputation humaniste d’un cinglé sans scrupules  appelé Bill Gates. Si  ce criminel frapadingue tombe dans la foulée de Fauci, la religion vaccinaliste  aura perdu  son  plus illustre prélat et le cauchemar covidiste approchera de sa fin. On tient bon, ami(e)s complotistes !
 

Yves Rasir

Comment l’ONG PATH, financée par Bill Gates, a tué des jeunes filles tribales en Inde lors d’essais cliniques non autorisés

par Bernard Marx

publié le 25/05/2021 sur https://greatgameindia.com/bill-gates-path-tribal-girls-india/amp/

Voici l’histoire inédite de l’ONG PATH, financée par Bill Gates, qui a tué des jeunes filles tribales en Inde dans le cadre d’essais cliniques non autorisés de vaccins et s’en est tirée à bon compte.
 
Nous avons beaucoup entendu parler de l’Inde aux informations récemment. Bien plus que d’habitude. Si l’on en croit les médias populaires, une sorte d’apocalypse s’y déroule. Mais comme c’est souvent le cas, ces reportages sont dépourvus de tout contexte ou perspective[1]. Alors qu’aujourd’hui les médias du monde entier n’en finissent pas de scruter l’Inde – dans leur empressement à soutenir un récit terrorisant sur le Covid-19 – il y a douze ans ces mêmes médias brillaient par leur absence et leur silence tandis qu’une histoire bien réelle s’y déroulait.

Les essais cliniques non autorisés de vaccins

En 2009, une ONG financée par la Fondation Bill et Melinda Gates a réalisé des essais cliniques[2] non autorisés de vaccins sur certains des enfants les plus pauvres et les plus vulnérables du monde. Elle l’a fait sans fournir d’informations sur les risques encourus[3], sans le consentement éclairé des enfants ou de leurs parents et sans même déclarer qu’elle menait un essai clinique.
Après la vaccination, nombre de jeunes participantes sont tombées malades et sept d’entre elles sont mortes. Telles ont été les conclusions[4] d’une commission parlementaire chargée d’enquêter[5] sur cette misérable affaire. La commission a accusé l’ONG de « maltraitance d’enfants » et a produit un grand nombre de preuves[6] à l’appui de ses dires. Toute cette affaire a à peine effleuré le radar des médias occidentaux.
PATH (anciennement Program for Appropriate Technology in Health) est une ONG basée à Seattle, largement financée[7] par la fondation Gates et qui reçoit également des subventions importantes[8] du gouvernement américain. Entre 1995 et le moment où nous écrivons ces lignes (mai 2021), PATH a reçu plus de 2,5 milliards de dollars[9] de la fondation.
En 2009, PATH a mené un projet[10] de vaccination contre le papillomavirus humain (VPH). L’objectif était, selon les termes de PATH, « de générer et de diffuser des preuves favorisant l’introduction éclairée des vaccins contre le VPH dans le secteur public ». Ce projet a été mis en œuvre dans quatre pays : l’Inde, l’Ouganda, le Pérou et le Vietnam. Une autre organisation financée par Gates, GAVI, avait initialement été pressentie pour gérer le projet, mais la responsabilité a finalement été déléguée à PATH. Le projet a été directement financé par la fondation Gates.
De manière significative, chacun des pays sélectionnés pour le projet avait une population ethnique différente et disposait d’un programme national de vaccination financé par l’État. L’utilisation de différentes ethnies dans l’essai devait permettre de comparer les effets du vaccin dans une diversité de groupes de population (l’ethnicité étant un facteur déterminant dans la sécurité et l’efficacité de certains médicaments).
Les programmes de vaccination des pays concernés constituaient un marché potentiellement lucratif pour les entreprises dont les médicaments devaient être étudiés : si les médicaments s’avéraient efficaces et étaient inclus dans les programmes de vaccination nationaux financés par l’État, cela représenterait une manne annuelle de bénéfices pour les entreprises concernées.
Deux types de vaccins contre le VPH ont été utilisés dans l’essai : le Gardasil de Merck et le Cervarix de GlaxoSmithKline (GSK). Dans cet article, nous allons examiner l’essai du Gardasil par PATH en Inde.
Il est intéressant de noter ici la relation entre la fondation Gates et l’une des entreprises dont les médicaments étaient testés. En 2002, la fondation avait, de manière controversée, acheté[11] pour 205 millions de dollars d’actions dans le secteur pharmaceutique, incluant des actions de Merck & Co. Cette opération avait suscité des interrogations en raison du conflit d’intérêts évident entre le rôle de la fondation en tant qu’organisation caritative médicale et son rôle de propriétaire d’entreprises dans le même secteur.
Le Wall Street Journal a rapporté[12] en août 2009 que la fondation Gates avait vendu ses parts dans Merck entre le 31 mars et le 30 juin de cette année-là, à peu près au moment où commençaient les essais sur le terrain du vaccin contre le VPH en Inde. Ainsi, pendant toute la durée de ce projet (déjà opérationnel en octobre 2006[13]), et jusqu’aux essais finaux sur le terrain, la fondation a joué un double rôle : celui d’une organisation caritative responsable en termes de soins et celui d’un propriétaire d’entreprise responsable en termes de profits.
Ces conflits d’intérêts sont la marque de fabrique de la fondation Gates depuis 2002. Lors de ses apparitions régulières à la télévision en 2020[14] pour promouvoir la vaccination contre le Covid-19 – avec un soutien particulièrement enthousiaste[15] à l’effort de Pfizer-BioNTech – l’objectivité de Bill Gates n’a jamais été mise en doute. Pourtant, sa fondation est copropriétaire[16] de plusieurs fabricants de vaccins, dont Pfizer, BioNTech et CureVac.

Le vaccin contre le papillomavirus humain (VPH)

Le vaccin contre le VPH vise à prévenir le cancer du col de l’utérus. Le Gardasil avait été lancé avec succès par Merck aux États-Unis en 2006, mais ses ventes étaient menacées après qu’une série d’articles parus dans des revues médicales américaines eurent jugé que ses risques l’emportaient sur ses avantages.
Une analyse[17] des rapports transmis au Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) sur les effets indésirables du Gardasil, a été particulièrement préjudiciable. Cette analyse a été publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) le 19 août 2009.
Parmi les 12 424 effets indésirables signalés, 772 ont été considérés comme graves, dont 32 décès. Les autres effets secondaires graves comprenaient des troubles auto-immuns, des événements thromboemboliques veineux (caillots sanguins) et le syndrome de Guillain-Barré.
Dans la même édition du JAMA, le Dr Charlotte Haug, alors rédactrice en chef du Journal of the Norwegian Medical Association, écrivait[18] : « La question de savoir si un risque vaut la peine d’être pris dépend non seulement du risque absolu, mais aussi du rapport entre le risque potentiel et le bénéfice potentiel. Si les bénéfices potentiels sont substantiels, la plupart des individus seront prêts à accepter les risques. Mais pour une femme, le bénéfice net du vaccin contre le VPH est incertain. Même si elle est infectée de façon persistante par le VPH, une femme ne développera probablement pas de cancer si elle se soumet régulièrement à un dépistage. Rationnellement elle devrait donc être prête à n’accepter qu’un faible risque lié au vaccin. » Le Dr Haug faisait également remarquer que « lorsqu’on évalue les risques et les bénéfices, il convient également de se demander qui prend les risques et qui en retire les bénéfices » – une allusion claire à Merck, le fabricant du Gardasil.

La controverse sur le Gardasil

Les tentatives de Merck pour promouvoir le Gardasil étaient controversées. Le Dr Angela Raffle[19], l’une des plus grandes spécialistes britanniques du dépistage du cancer du col de l’utérus, a décrit la stratégie de marketing de Merck comme « un bélier chargeant sur le ministère de la Santé et un pilonnage à la périphérie ».
Le Dr Raffle craignait que l’incitation à la vaccination de masse ne nuise au programme de dépistage efficace qui fonctionne au Royaume-Uni depuis les années 1960 : « Je crains que la panique instaurée pour des considérations commerciales afin d’introduire rapidement le vaccin contre le VPH ne nous fasse reculer et n’aggrave notre programme de lutte contre le cancer du col de l’utérus. »
Diane Harper[20], professeur à la faculté de médecine de Dartmouth dans le New Hampshire, qui a dirigé deux essais du vaccin, a affirmé catégoriquement[21] que le Gardasil ne pouvait pas protéger contre toutes les souches de VPH.
Lorsque Merck a lancé une énorme campagne de relations publiques en 2007 pour persuader les gouvernements européens d’utiliser le produit pour vacciner toutes les jeunes filles du continent contre le cancer du col de l’utérus, Dr Harper a déclaré : « Les programmes de vaccination de masse (constitueraient) une expérience de santé publique à grande échelle… Nous ignorons beaucoup de choses. Nous ne savons pas si le vaccin sera efficace dans la durée. Pour être honnête, nous n’avons pas actuellement de données sur son efficacité chez les jeunes filles. Nous vaccinons contre un virus qui attaque les femmes tout au long de leur vie et continue à provoquer des cancers. Si nous vaccinons les filles à 10 ou 11 ans, nous ne saurons pas avant 20 à 25 ans si cela fonctionne ou non. Le pari est énorme ».
Ainsi, à l’époque où PATH menait ses essais en Inde, en Ouganda, au Pérou et au Vietnam, le Gardasil était un vaccin controversé : sa sécurité, son efficacité et les tentatives de Merck pour le promouvoir étaient mises en question, non par les anti-vaccins et les théoriciens du complot, mais par l’establishment médical international et les médias dominants respectés.

Les filles de Khammam

En 2009, le district de Khammam faisait partie de l’état d’Andhra Pradesh, à l’est de l’Inde (depuis les changements de frontières effectués en 2014, le district de Khammam appartient à l’état du Telangana). La région, essentiellement rurale, est considérée[22] comme l’une des parties les plus pauvres et les moins développées de l’Inde.
Khammam abrite plusieurs groupes ethniques tribaux, représentant environ 21,5% de sa population (quelque 600 000 personnes) selon certaines estimations. Comme souvent chez les populations indigènes[23] ailleurs dans le monde, les groupes tribaux de Khammam souffrent d’un manque d’accès à l’éducation. Par conséquent, leur niveau d’alphabétisation est considérablement inférieur à celui de l’ensemble de la région.  Quelque 14 000 filles[24] ont reçu une injection de Gardasil dans le district de Khammam en 2009. Les filles recrutées pour le projet de PATH avaient entre 10 et 14 ans et étaient toutes issues de milieux à faibles revenus, principalement tribaux. Beaucoup d’entre elles ne vivaient pas avec leur famille mais dans des ashrams pathshalas (foyers gérés par le gouvernement), situés à proximité des écoles qu’elles fréquentaient.
Le professeur Linsey McGoey, de l’université d’Essex, a déclaré[25] par la suite qu’elle pensait que les filles des ashrams pathshalas avaient été ciblées pour le projet car c’était un moyen de « contourner la nécessité de demander le consentement parental pour les injections ».
Si l’Inde a été très présente dans l’actualité ces derniers temps, la couverture de ce pays et de ses affaires est généralement discrète. Bien que l’Inde abrite près d’un cinquième de la population mondiale, les reportages sur ce pays sont rares. Peu d’entre nous sont conscients, par exemple, de son histoire abyssale en matière de santé et de sécurité[26] ou de sa longue tradition de corruption[27] au sein du gouvernement.
Des chercheurs de profit sans scrupules profitent de ces défaillances depuis des décennies. Les médias occidentaux ne rendent compte des conséquences de ces actions que lorsque leur ampleur est trop importante pour être ignorée.
En 1984, nous avons appris[28] que quelque 7 000 personnes avaient été tuées et plus d’un demi-million blessées après avoir été exposées[29] à un gaz mortel, l’isocyanate de méthyle, suite à une fuite de gaz[30] dans l’usine de pesticides Union Carbide à Bhopal. Mais au cours des années qui ont précédé la catastrophe, nous n’avons rien su de la culture de normes déficientes et de mépris des réglementations[31] qui était en fin de compte responsable de ce désastre.

Le rapport accablant de l’ONG Sama

Il est donc ‘’normal’’ que le projet de PATH visant à administrer et à étudier les effets du vaccin contre le VPH soit passé inaperçu en Occident. De même qu’en Inde : les médias indiens ne sont pas plus réputés pour leurs reportages sur les groupes tribaux que les médias occidentaux pour leurs reportages sur les Indiens.
Malgré les inquiétudes[32] exprimées en octobre 2009 par Sama[33], une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes, le sujet n’a pas été relayé dans l’actualité indienne.
Ainsi, ce projet n’aurait pas pu être plus ignoré des radars s’il s’était déroulé sur la lune, et il l’est resté pendant plusieurs mois jusqu’à ce que, début 2010, des informations commencent à filtrer à Khammam, indiquant que quelque chose avait terriblement mal tourné : plusieurs des filles qui avaient participé aux essais étaient tombées malades et quatre d’entre elles étaient mortes.
En mars 2010, des membres de Sama se sont rendus à Khammam pour en savoir plus sur les bruits qui couraient. Ils ont appris[34] que jusqu’à 120 filles avaient subi des effets indésirables, notamment des crises d’épilepsie, de graves maux d’estomac, des maux de tête et des sautes d’humeur. Les représentants de Sama sont restés à Khammam pour enquêter davantage sur la situation.
L’implication de Sama a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face à un barrage de publicité négative, le Conseil indien de la recherche médicale (IMCR) a suspendu[35] le projet PATH. C’est alors que le Commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter[36] sur cette affaire.
Le 17 mai, Sama a produit un rapport[37] accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.
Le rapport indique que « de nombreuses jeunes filles vaccinées continuent de souffrir de maux d’estomac, de maux de tête, de vertiges et d’épuisement. Des rapports font état de l’apparition précoce des menstruations, de saignements abondants et de crampes menstruelles sévères, de sautes d’humeur extrêmes, d’irritabilité et de mal-être suite à la vaccination. Aucun suivi ou contrôle systématique n’a été effectué par les fournisseurs de vaccins. »
Sama a également contesté l’affirmation du gouvernement de l’état d’Andhra Pradesh selon laquelle le décès de quatre des filles ayant participé aux essais n’avait rien à voir avec la vaccination.

La Commission parlementaire

Les rouages de la bureaucratie tournent lentement. C’est seulement trois ans plus tard, le 30 août 2013, que le rapport[38] de la Commission permanente de la santé du Parlement indien a finalement été publié. Si beaucoup s’attendaient à ce que l’affaire soit balayée sous le tapis, il n’en fut rien: la lecture de ce rapport est révoltante.
Le rapport condamne à la fois PATH et le Conseil indien de la recherche médicale, concluant[39] que « la sécurité et les droits des enfants ont été fortement compromis et violés ». La commission a constaté[40] que PATH, bien qu’opérant en Inde depuis 1999, n’avait aucune autorisation légale pour le faire. Elle a noté que, bien que l’organisation ait finalement reçu un certificat du Registre des sociétés de l’Inde en septembre 2009, ce certificat lui-même était en infraction avec la loi.
Le rapport indique[41] que « PATH…. a violé toutes les lois et réglementations établies pour les essais cliniques… son seul objectif a été de promouvoir les intérêts commerciaux des fabricants de vaccins contre le VPH. Il s’agit d’un grave abus de confiance… car le projet engageait la vie et la sécurité de fillettes et d’adolescentes qui, pour la plupart, n’étaient pas conscientes des implications de la vaccination. Il s’agit également d’une grave violation de l’éthique médicale. Cet acte de PATH est une violation flagrante des droits humains de ces fillettes et adolescentes. Il s’agit également d’un cas avéré de maltraitance d’enfants ».
La commission a accusé[42] PATH de lui avoir menti et d’avoir tenté de l’induire en erreur au cours de son enquête et a recommandé[43] au gouvernement indien de signaler les violations des droits de l’homme commises par PATH à l’OMS, à l’UNICEF et au gouvernement américain.
Le rapport déclare[44] que la totalité du plan mis en œuvre par PATH était une tentative cynique d’assurer des profits continus à Merck et GSK :
« Le choix des pays et des groupes de population, la nature monopolistique – à ce moment-là – du produit promu, le potentiel et les opportunités de marché illimités dans les programmes de vaccination universelle des pays concernés, sont autant d’indices d’un plan bien orchestré pour exploiter commercialement une situation.
Si PATH avait réussi… cela aurait généré un profit exceptionnel pour les fabricants par le biais d’une vente automatique, année après année, sans la moindre dépense de promotion ou de marketing. Il est bien connu qu’une fois introduite dans un programme d’immunisation, il devient politiquement impossible d’arrêter une quelconque vaccination. »

« Pour atteindre cet objectif sans effort, sans passer par la voie ardue et strictement réglementée des essais cliniques, PATH a eu recours à un subterfuge en appelant les essais cliniques « Études observationnelles » ou « Projet de démonstration » et autres expressions de ce genre. Ainsi, l’intérêt, la sécurité et le bien-être des personnes ont été mis en péril absolu par le biais d’une nomenclature autodéterminée et autosuffisante, instrumentalisée par PATH, ce qui est non seulement hautement déplorable mais constitue une violation sérieuse de la loi du pays. »

Des jeunes indiennes utilisées comme cobayes

Ces accusations ont été reprises[45] par des voix éminentes de la communauté médicale indienne. « Il est choquant de voir comment une organisation américaine a utilisé des méthodes furtives pour s’établir en Inde », a déclaré Chandra M. Gulhati, rédacteur en chef de l’influent Monthly Index of Medical Specialities, « (ce) n’était pas de la philanthropie ».
Samiran Nundy, rédacteur émérite du National Medical Journal of India et critique de longue date[46] des pratiques corrompues dans le domaine de la santé n’a pas mâché ses mots : « C’est un cas évident où les Indiens ont été utilisés comme cobayes ».
Le rapport de la commission permanente était également très critique à l’égard de la relation entre PATH et les membres de plusieurs agences de santé indiennes, mettant en évidence de multiples conflits d’intérêts[47].
Sur la question du consentement éclairé[48], la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes (souvent les gardiens des foyers où vivaient les filles) et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations sur la nécessité alléguée de la vaccination, ses avantages et ses inconvénients ou ses effets secondaires potentiels.
Aucune assurance[49] n’était prévue pour aucun des enfants en cas de dommages et « PATH ne prévoyait pas de soins médicaux urgents et spécialisés en cas d’événements indésirables graves ». De plus, PATH a gravement enfreint[50] les réglementations sanitaires indiennes en effectuant un essai clinique de médicament sur des enfants avant d’avoir effectué un essai de ce même médicament sur des adultes.
Concernant les jeunes filles décédées, la commission a critiqué[51] PATH, les autorités médicales indiennes et le gouvernement de l’état d’Andhra Pradesh pour avoir sommairement écarté le lien entre leur décès et la vaccination sans mener d’enquêtes approfondies. En 2016[52], quelque 1 200 jeunes filles ayant participé aux deux essais de vaccins contre le VPH en Inde faisaient état d’effets secondaires graves à long terme, soit plus de 5% de la cohorte totale de 23 500 personnes. À cette date, le nombre total de décès était passé à sept.

Un silence de mort

Cette effroyable violation de l’éthique médicale et des droits de l’homme est passée presque totalement sous silence en dehors de l’Inde. La Commission permanente de la santé du Parlement indien a littéralement accusé[53] une ONG américaine de maltraitance d’enfants, en fournissant de nombreuses preuves[54] à l’appui de ses allégations, mais les médias occidentaux n’en ont quasiment pas fait mention.
Les revues de vulgarisation scientifique Nature[55] et Science[56] ont chacune publié un bref article sur le désastre, mais aucune des deux n’est entrée dans le détail des violations légales et éthiques de PATH. Si l’article de Science est au moins légèrement critique, celui de Nature privilégie la réfutation des accusations par le directeur de PATH, Vivien Tsu.
La façon dont les médias du monde entier sont financés[57] par la fondation Gates, et dont cela affecte les reportages[58] sur la fondation elle-même et les organisations qu’elle parraine, mériterait un article à part entière[59]. Mentionnons tout de même qu’à ce jour la BBC a reçu[60] un total de 51,7 millions de dollars et le Guardian[61] 12,8 millions de dollars.

In memoriam, par Seth Berkley, PDG de GAVI

Le Guardian, qui prétend donner une voix aux plus vulnérables dans le monde, est resté curieusement silencieux sur les jeunes filles de Khammam. Du moins à l’exception d’un article[62] publié en octobre 2013, environ six semaines après la publication du rapport de la commission permanente. L’article n’a pas été écrit par l’une des filles ou l’un de leurs parents, ni par l’une des femmes de Sama qui avaient plaidé en leur faveur, ni même par l’un des parlementaires indiens chargés d’enquêter sur l’affaire. Non. Il a été écrit par un Américain du nom de Seth Berkley. PDG de GAVI, un autre mastodonte de la santé financé par la fondation Gates.
Berkley a profité de sa tribune dans le Guardian pour affirmer que les jeunes filles décédées après avoir été vaccinées à Khammam s’étaient suicidées. Évoquant les 14 000 sujets ayant participé aux essais, il a déclaré : « Il aurait été inhabituel qu’aucun d’entre eux ne se suicide par la suite. » Pour la compassion on repassera. Et dans son déni de cette iniquité, pas une seule fois Berkley n’a abordé les multiples violations de la loi et de l’éthique, ni le rôle de PATH et de son employeur, la fondation Gates. The Guardian a commencé à recevoir[63] des fonds de la fondation en août 2010. Avant cet accord, en 2007, le journal avait publié deux articles qui critiquaient les tactiques de lobbying[64] utilisées par Merck pour promouvoir le Gardasil, et mettaient en doute son efficacité[65] dans les programmes de vaccination de masse. Suite à l’accord conclu avec Gates, le Guardian s’est cantonné dans une couverture positive[66] de ce médicament (et de la vaccination contre le VPH en général).

Le gouvernement indien cède à l’influence de Bill Gates

Le gouvernement indien était réticent à prendre les mesures recommandées par le commission. Après tout, des organisations comme PATH mettaient d’énormes sommes d’argent[67] à la disposition de l’État, des institutions et des particuliers. Finalement, aucun rapport officiel sur les violations des droits de l’homme ne fut adressé par les autorités indiennes à l’OMS, à l’Unicef ou au gouvernement américain, ainsi que l’avait recommandé[68] la commission.
Cependant, en 2017, le gouvernement annonça[69] qu’il n’accepterait plus les subventions de la fondation Gates pour son Unité de soutien technique à la vaccination, une organisation qui fournit des ‘’conseils en matière de stratégie vaccinale’’ pour le compte d’environ 27 millions de nourrissons. Néanmoins, le gouvernement indien continue d’accepter les subventions de la fondation dans d’autres domaines.
Merck et son vaccin Gardasil contre le VPH ont remarquablement prospéré depuis les sombres événements relatés dans cet article. Le scandale de Khammam n’a jamais vraiment affecté l’entreprise du fait qu’il n’a quasiment pas été ébruité en dehors de l’Inde. Rien qu’en 2018, les ventes de Gardasil se sont élevées à plus de 3 milliards de dollars[70], grâce à son inclusion dans les calendriers vaccinaux du monde entier et à son lancement cette même année en Chine.
PATH ne s’est jamais aussi bien portée. Tout comme pour Merck, l’absence de reportages sur ce qui s’est passé à Khammam a permis à l’organisation de ne pas être affectée. Depuis 2010, elle continue de recevoir[71] d’énormes financements de la fondation Gates et, dans une moindre mesure, du gouvernement américain. Au cours de cette période, la fondation a fourni à PATH plus de 1,2 milliard de dollars[72].
La Fondation Bill et Melinda Gates a continué à étendre sa toile d’influence. Décrivant les pratiques de l’organisation à l’époque des événements relatés ici, Jacob Levich a déclaré dans Aspects of India’s Economy[73] : « En substance, la fondation achetait des stocks de médicaments qui n’avaient pas réussi à créer une demande suffisante en Occident, en élargissait la promotion à un prix réduit et concluait des accords d’achat à long terme avec les gouvernements du Tiers monde. »
Depuis, la fondation Gates a migré vers des pâturages encore plus lucratifs. La pandémie de Covid-19 l’a véritablement propulsée sur le devant de la scène. Bill Gates lui-même a vu son profil public et son influence politique croître[74] à un point encore inimaginable même en 2019.
Malgré son manque de qualifications scientifiques ou de mandat électoral, il insiste régulièrement sur la nécessité d’une vaccination de masse à l’échelle planétaire avec des produits fabriqués par les entreprises qu’il possède[75], en utilisant les plateformes[76] que lui offrent les médias qu’il finance[77].
Et les filles de Khammam dans tout ça ? Ces pauvres enfants et leur détresse étaient à peine connues en dehors de l’Inde en 2010. Dire qu’on les a oubliées sous-entendrait pour commencer que l’on ait eu connaissance de leur situation et que l’on s’en soit soucié.

Source : https://notesfromthenewnormal.com/?p=339 (11/05/2021)
 
À LIRE AUSSI :
Une étude publiée par The Lancet montre que le vaccin Dipthérie-Tétanos-Coqueluche de Bill Gates a tué dix fois plus de petites filles africaines que la maladie elle-même.
06/01/2021 : https://greatgameindia.com/bill-gates-dtp-vaccine-africa/
Study 01/02/2017 : « The Introduction of Diphtheria-Tetanus-Pertussis and Oral Polio Vaccine Among Young Infants in an Urban African Community: A Natural Experiment »
https://www.thelancet.com/journals/ebiom/article/PIIS2352-3964(17)30046-4/fulltext


[1] https://greatgameindia.com/vaccination-second-covid-19-wave-india/
[2] https://digitalcommons.law.ggu.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1205&context=annlsurvey
[3] https://www.globaljustice.org.uk/sites/default/files/gated_development_final_version.pdf
[4] https://www.thehindu.com/news/national/its-a-path-of-violations-all-the-way-to-vaccine-trials-house-panel/article5083151.ece
[5] https://economictimes.indiatimes.com/articleshow/41280050.cms
[6] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/n2/mode/1up
[7] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?q=path
[8] https://www.path.org/about/finances/
[9] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?q=path
[10] https://digitalcommons.law.ggu.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1205&context=annlsurvey
[11] https://archive.is/XP9QA#selection-2083.395-2083.417
[12] https://archivÒe.is/UMSos
[13] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/4/mode/2up
[14] https://www.youtube.com/watch?v=VVapO-ynD7k
[15] https://nypost.com/2020/09/15/bill-gates-says-pfizer-has-best-shot-at-early-covid-19-vaccine/
[16] https://www.fool.com/investing/2020/09/24/4-coronavirus-vaccine-stocks-the-bill-melinda-gate/
[17] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/184421
[18] https://jamanetwork.com/journals/jama/article-abstract/184404
[19] https://research-information.bris.ac.uk/en/persons/angela-e-raffle
[20] https://medicine.umich.edu/dept/family-medicine/diane-m-harper-md-mph-ms
[21] https://www.theguardian.com/society/2007/mar/26/cancercare.health2
[22] https://web.archive.org/web/20120405033402/http://www.nird.org.in/brgf/doc/brgf_BackgroundNote.pdf
[23] https://www.un.org/development/desa/indigenouspeoples/mandated-areas1/education.html
[24] https://samawomenshealth.wordpress.com/2010/05/17/trial-and-error-ethical-violations-of-hpv-vaccination-trials-in-india/
[25] https://grain.org/en/article/6511-why-the-bill-gates-global-health-empire-promises-more-empire-and-less-public-health
[26] https://amrc.org.hk/content/india-health-and-safety-work
[27] https://thediplomat.com/2010/12/a-story-of-indian-corruption/
[28] https://www.theatlantic.com/science/archive/2018/07/the-worlds-worst-industrial-disaster-is-still-unfolding/560726/
[29] https://ehjournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/1476-069X-4-6
[30] https://www.nytimes.com/1985/01/28/world/the-bhopal-disaster-how-it-happened.html
[31] https://www.cambridge.org/core/books/international-crime-and-justice/bhopal-gas-disaster-and-corporate-criminal-negligence/94BB44AB0F79C34C15E075A135374C40
[32] https://samawomenshealth.wordpress.com/2009/12/14/concerns-around-hpv-vaccine-a-memorandum-to-the-health-minister/
[33] https://samawomenshealth.wordpress.com/
[34] https://economictimes.indiatimes.com/articleshow/41280050.cms
[35] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/9/mode/1up
[36] https://ia801803.us.archive.org/34/items/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/Alleged%20Irregularities%20in%20the%20Conduct%20of%20Studies%20using%20HPV.pdf
[37] https://samawomenshealth.wordpress.com/2010/05/17/trial-and-error-ethical-violations-of-hpv-vaccination-trials-in-india/
[38] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/n2/mode/1up
[39] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/13/mode/1up
[40] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/16/mode/2up
[41] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/18/mode/1up
[42] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/16/mode/2up
[43] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/19/mode/1up
[44] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/20/mode/1up
[45] https://www.sciencemag.org/news/2013/09/indian-parliament-comes-down-hard-cervical-cancer-trial
[46] https://www.bmj.com/content/360/bmj.k105
[47] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/9/mode/1up
[48] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/11/mode/1up
[49] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/13/mode/1up
[50] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/6/mode/1up
[51] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/6/mode/1up
[52] https://www.globaljustice.org.uk/sites/default/files/gated_development_final_version.pdf
[53] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/18/mode/1up
[54] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/mode/1up
[55] https://www.nature.com/articles/nature.2013.13700
[56] https://www.sciencemag.org/news/2013/09/indian-parliament-comes-down-hard-cervical-cancer-trial
[57] https://www.cjr.org/criticism/gates-foundation-journalism-funding.php
[58] https://www.seattletimes.com/seattle-news/does-gates-funding-of-media-taint-objectivity/
[59] https://robertfortner.posthaven.com/why-you-might-think-like-bill-gates-about-global-health
[60] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?page=2&q=bbc
[61] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?q=guardian
[62] https://www.theguardian.com/global-development/2013/oct/08/anti-hpv-vaccine-campaigners-cervical-cancer
[63] https://www.theguardian.com/gnm-press-office/guardian-launches-global-development-site
[64] https://www.theguardian.com/society/2007/mar/26/cancercare.health1
[65] https://www.theguardian.com/society/2007/mar/26/cancercare.health2
[66] https://www.theguardian.com/society/hpv-vaccine
[67] https://economictimes.indiatimes.com/industry/healthcare/biotech/healthcare/controversial-vaccine-studies-why-is-bill-melinda-gates-foundation-under-fire-from-critics-in-india/articleshow/41280050.cms
[68] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/19/mode/1up
[69] https://digitalcommons.law.ggu.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1205&context=annlsurvey
[70] https://www.forbes.com/sites/greatspeculations/2019/10/04/mercks-3-billion-drug-jumped-to-4x-growth-over-previous-year/?sh=6cc2a74c6294
[71] https://www.path.org/about/finances/
[72] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?q=path
[73] https://archive.ph/RyOaj#selection-1315.2-1315.220
[74] https://www.corbettreport.com/how-bill-gates-monopolized-global-health/
[75] https://www.fool.com/investing/2020/09/24/4-coronavirus-vaccine-stocks-the-bill-melinda-gate/
[76] https://www.vox.com/2015/6/10/8760199/gates-foundation-criticism
[77] https://medium.com/mediapowermonitor/gates-foundation-the-rich-disruptor-be774b83493e


[Voir aussi :
Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice
Covid et domination planétaire – Comment Bill Gates et ses amis milliardaires se sont assurés le soutien des médias
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Robert Kennedy junior s’entretient avec Vandana Shiva
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore]




Le Texas interdit à toutes les entités gouvernementales et aux entreprises d’exiger des «passeports vaccinaux»

Sources : https://www.collective-evolution.com/2021/06/09/texas-bans-all-government-entities-businesses-from-requiring-proof-of-vaccination/
https://capitol.texas.gov/BillLookup/History.aspx?LegSess=87R&Bill=SB968 
et https://www.theepochtimes.com/texas-bans-businesses-from-requiring-vaccine-passports_3848787.html

Traduction : ExoPortail

«Le Texas est ouvert à 100%. Les Texans devraient avoir la liberté d’aller où ils veulent sans aucune limite, restriction ou exigence. Aujourd’hui, j’ai signé une loi qui interdit à toute entreprise ou entité gouvernementale du Texas d’exiger des passeports de vaccination ou toute information sur les vaccins», a tweeté Greg Abbott, le gouverneur du Texas. Il a fait cette annonce lundi et la nouvelle est devenue virale sur les plateformes de médias sociaux et les médias indépendants. En fait, le débat et la remise en question de l’idée des «passeports vaccinaux» n’ont pas vraiment été bien accueillis, bien que de nombreux experts de la santé aient condamné cette idée depuis sa création.
«Le Texas est ouvert à 100 %, et nous voulons nous assurer que vous avez la liberté d’aller où vous voulez sans limites», a annoncé le gouverneur républicain dans une vidéo postée sur Twitter.

La nouvelle loi SB 968 couvre de nombreux aspects de la préparation et de la réponse aux catastrophes et aux urgences de santé publique. Elle a été approuvée à l’unanimité en avril et a été adoptée par un vote de 146-2 par la Chambre de l’État en mai.

Dès à présent, les entreprises texanes «ne peuvent exiger d’un client qu’il fournisse un document attestant de sa vaccination contre le COVID-19 ou de sa guérison post-transmission pour entrer dans l’entreprise, y accéder ou bénéficier de ses services», indique la législation. Les agences d’État en charge des différents secteurs commerciaux peuvent exiger que les entreprises se conforment à la nouvelle loi pour être autorisées à exercer leurs activités au Texas.

En outre, les entreprises qui ne se conforment pas à la loi ne pourront pas conclure de contrats avec l’État et ne pourront pas recevoir de subvention.

Les entreprises peuvent toujours mettre en œuvre leurs propres protocoles de contrôle de l’infection par le COVID-19 «conformément à la loi de l’État et à la loi fédérale pour protéger la santé publique».

Le Texas sera le septième État à promulguer une telle mesure : 
https://exoportail.com/resistance-le-gouverneur-de-lalabama-signe-une-loi-interdisant-les-passeports-vaccinaux-rejoignant-ainsi-12-etats-us-sy-opposant/

L’Alabama, l’Indiana, l’Iowa et le Dakota du Nord ont également interdit aux entreprises et aux entités gouvernementales d’exiger une preuve de vaccination, tandis que l’Utah et l’Arkansas ont interdit aux gouvernements d’exiger une preuve de vaccination.




Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés

[Source : Eveilhomme.com]

https://youtu.be/bSZxQ34FbrA

[Voir aussi : La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?]




Les liens étroits France-Chine symbolisés par l’Institut Pasteur

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par Liliane Held-Khawam

Le Réseau International des Instituts Pasteur de la Région Asie-Pacifique offre une plateforme d’activités de recherche, de santé publique et de formation, dans laquelle chaque institut membre est reconnu comme un centre d’excellence sur les maladies infectieuses. Un réseau aussi efficace permet de mener une surveillance et des enquêtes de classe mondiale sur les agents pathogènes pandémiques et épidémiques aux niveaux national et régional. 
http://www.hkupasteur.hku.hk/presskit/leaflet_institut_pasteur_asia-pacific11.pdf

Plus je cherche à comprendre les tenants et les aboutissants de la Planète Santé, plus je découvre que le narratif officiel qui nous présente une Chine qui vampiriserait le savoir-faire occidental est faux. La chose est bien plus complexe dans un monde globalisé.

Hier, nous avons découvert la nature multi-casquettes de Peter Daszak, M Santé, qui défie la nature de base d’un État de droit. Aujourd’hui, nous partons à la découverte de la déterritorialisation de l’Institut Pasteur, qui n’est pas plus français que EDF, BNP, ou Total. De fait, on lui a fait subir le même genre de métamorphose qui consiste à globaliser la structure, et à la dénationaliser de fait.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/06/07/largent-anglosaxon-developpe-la-technologie-necessaire-au-transhumanisme-en-chine-lhk/

En effet, les partenariats qui unissent l’Europe et la Chine sont bien plus conséquents que ce que l’on a bien voulu nous présenter. A la suite de ces quelques informations, si votre journaliste préféré continuait à vous dire que la Chine est l’ennemi de l’Occident, vous pourrez lui dire qu’il diffuse une fake news. D’ailleurs, l’ambassade de Chine est inscrite au Registre du Commerce belge depuis… 1988.

Qu’est-ce que l’Institut Pasteur?

L’Institut Pasteur reste optimiste, mais prudent. Alors que la décrue de l’épidémie se poursuit dans les hôpitaux et que le rythme de la vaccination est toujours élevé, les chercheurs ont publié lundi leurs nouveaux modèles pour la France. Dans cette projection à court terme des besoins hospitaliers pour les patients Covid-19, le modèle de la fondation française « anticipe une baisse des admissions à l’hôpital et des besoins en lits dans les jours qui viennent » au niveau national et dans les régions métropolitaines. « Dans les régions d’outre-mer, les effectifs étant faibles, nos projections restent très incertaines », précise l’Institut Pasteur dans sa mise à jour du 7 juin
https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/covid-19-ce-qu-il-faut-retenir-des-nouvelles-projections-de-l-institut-pasteur_2152409.html

Avril 2020. Arnaud Fontanet, directeur de l’Unité d’épidémiologie des maladies émergentes à l’Institut Pasteur, présente brièvement une étude. Celle-ci révèle que 26% de la population étudiée a été infectée par le SARS-CoV-2 et possède des anticorps contre ce virus.

Si l’on posait la question autour de soi, on nous répondrait quelque chose qui ressemblerait à la mission affichée sur le site de l’établissement, à savoir: « L’Institut Pasteur est une fondation à but non lucratif dont la mission est de contribuer à la prévention et au traitement des maladies, en priorité infectieuses, par la recherche, l’innovation, l’enseignement, et des actions de santé publique. » Et l’on serait tenté de rajouter que c’est un établissement français agissant sur sol français, n’est-ce pas?

Eh bien pas du tout.

Une immense machine qui couvre les 5 continents

L’Institut Pasteur est une énorme organisation internationale et globale qui dépasse en taille tout ce que l’on peut imaginer. Il s’agit d’une galaxie de 33 instituts présents dans 25 pays. Russie et Iran inclus.

https://www.pasteur.fr/fr/institut-pasteur/dans-le-monde/reseau-international-instituts-pasteur

Association Pasteur International Network

Créée en 2011, l’Association Pasteur International Network est l’entité légale du réseau des différents instituts. En 2016, celle-ci a été reconnue comme organisation en « relations officielles » avec l’Organisation mondiale de la santé, soulignant le rôle du Réseau International des Instituts Pasteur dans la santé publique du globe.

Le Conseil d’Administration a confirmé, le 31 janvier 2019, le renouvellement pour 3 ans du statut l’Association Pasteur International Network, du réseau de l’Association internationale des Pasteurs – APIN « en tant qu’acteur non étatique en relations officielles » avec l’OMS, conformément au plan de collaboration 2019-2021 présenté à l’automne 2018.

Bras armé de l’OMS

Ce renouvellement souligne le rôle majeur du RIIP en santé mondiale et l’importance de ses relations avec l’OMS. Ce statut permet à l’APIN de participer à l’Assemblée mondiale de la santé et d’accroître la visibilité du RIIP sur les questions liées à ses activités, conformément aux déclarations précédentes des deux dernières années.

https://www.pasteur.fr/fr/international/association-pasteur-international/affiliation-partenaires

Ses apports sont:

  • promotion de la stratégie et soutien aux activités de l’OMS dans le cadre de son treizième programme de travail
  • offrir un soutien technique à l’OMS, en particulier en cas d’épidémie, et aider les pays à renforcer leurs systèmes et leurs capacités de santé, en particulier en ce qui concerne l‘accès aux données
  • proposer des formations pour renforcer les capacités des pays à se conformer au Règlement Sanitaire International (RSI) et dans le contexte des maladies transmissibles

Des organismes d’État partenaires de l’Institut

Le groupe Institut Pasteur est présidé pour la 1 ère fois par un non-Français.

L’organisation est présidée depuis 2018 par un Britannique/Français, Stewart Cole, qui fut durant 10 ans professeur à L’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne et le directeur de son Institut mondial de la santé.

Toutefois avant de rejoindre l’EPFL, M Cole a fait ses armes durant 24 ans dans la galaxie de l’Institut Pasteur aussi bien en France qu’en Iran ou à Montevideo. 
https://dndi.org/our-people/stewart-cole/

L’Institut Pasteur en Chine depuis 15 ans

Lors de l’inauguration du laboratoire P4 de haute sécurité de Wuhan, le 1er ministre français avait dit, en se référant au partenariat France-Chine:

Cette coopération repose également sur l’accord signé en 2014 entre l’Inserm, l’Institut Pasteur, la fondation Mérieux et le Centre chinois pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), ainsi que sur les rapprochements entre l’institut Pasteur en France, l’institut Pasteur de Shanghai, la fondation Mérieux et l’Institut de virologie de WUHAN.

https://www.gouvernement.fr/partage/8936-discours-du-premier-ministre-a-la-ceremonie-d-accreditation-du-laboratoire-de-haute-securite

Et ce partenariat dure depuis longtemps. En janvier 2020, l’Institut Pasteur a célébré ses 15 ans de présence en Chine! Le labo de Wuhan n’est pas un évènement aussi extraordinaire que ce que l’on nous avait présenté. L’organisation française est clairement déterritorialisée depuis un bon bout de temps. Elle est globale. 
http://nhbcb2020.csp.escience.cn/dct/page/65580

L’Institut est si bien intégré qu’il cohabite à Shanghaï avec l’Académie des Sciences chinoise.

La présence de l’Institut est couronnée par le transfert et la mise en place de compétences de très haut niveau. Voici 2 exemples de ce qui ressemble à des startups. Elles sont localisables à la même adresse que l’Institut.

Les activités de l’Institut Pasteur en Chine

Un rapport nous présente les réalisations de l’organisation.

PRINCIPALES EXPERTISES & PLATEFORMES TECHNIQUES DISPONIBLES (cf référence ci-dessous)

  • Centres de référence nationaux et OMS pour la grippe, le VIH, la dengue, la leptospirose, la rage, le paludisme
  • Partenariat avec les hôpitaux et les centres de santé régionaux
  • Capacités de recherche clinique sur la rage dans toutes les principales maladies infectieuses grâce à de vastes collaborations et réseaux hospitaliers
  • Une cohorte de 15 000 habitants en communauté (région de Kampong Cham, Cambodge)
  • Des biobanques d’échantillons biologiques et d’agents pathogènes
  • Des technologies et une expertise de pointe pour la compréhension des mécanismes des maladies infectieuses au niveau cellulaire : culture de plasmodium, tests de criblage à haut débit (pseudotypes et VLP pour H5N1, H1N1v, VIH, dengue), séquençage à haut débit, criblages à haut contenu (technologie PhenomicScreen™, PhenomicID™), technologies d’imagerie de pointe, canal ionique plateforme, développement de nouveaux nanomatériaux, chimie médicinale
  • Plateforme animaux transgéniques
  • Expertise en médecine translationnelle et programmes de développement avec l’industrie Installations : Laboratoires de biosécurité Niveaux : 2, 2+ et 3 ; Laboratoires de biosécurité animale Niveaux : 2, 2+, 3

Partenariat entre l’UE et la Chine dans le domaine scientifique et technologique

Cette présence ainsi que ce fort transfert de compétences France-Chine que nous voyons à travers l’Institut Pasteur fait suite à un partenariat UE-Chine remonte à… 1998. Voici un document qui dit que

Le nouveau partenariat UE-Chine visera donc à:

  • aider la Chine à occuper une place plus importante dans la communauté internationale par une intensification du dialogue politique
  • soutenir la transition de la Chine vers une société ouverte basée sur l’autorité de la loi et le respect des droits de l’homme
  • poursuivre l’intégration de la Chine dans l’économie mondiale en la faisant participer plus pleinement au système d’échanges commerciaux mondiaux et en soutenant le processus de réforme économique et social
  • étendre le financement européen pour fournir les moyens financiers nécessaires à la mise en oeuvre d’une politique concernant les relations avec la Chine
  • faire connaître l’Union européenne en Chine.

L’UE espère en particulier développer et étendre l’éventail d’activités de coopération dans des domaines tels que l’industrie, la formation, l’énergie et l’environnement. Dans le domaine de la science et de la technologie, la Commission propose que la coopération scientifique et technologique soit utilisée pour consolider la position des entreprises européennes en Chine, ainsi que pour soutenir le développement économique de la Chine. Les domaines de coopération pourraient inclure l’agriculture, les technologies de l’information et des communications, la biotechnologie, les sciences des matériaux, les transports, l’énergie, l’environnement et les ressources naturelles.

La Commission propose la négociation d’un accord de coopération spécifique en science et technologie entre l’UE et la Chine, et a récemment demandé l’autorisation du Conseil à cet effet. Les autres activités de coopération couvriraient le développement de partenariats et l’échange de jeunes scientifiques, de cadres et d’ingénieurs.

20 Mai 1998 https://cordis.europa.eu/article/id/10348-building-a-comprehensive-partnership-with-china/fr

Et voici la fin d’un discours du Président Chirac:

Mesdames, Messieurs,
La Chine et la France souhaitent aborder ce XXIe siècle dans une logique de partenariat global, politique, économique, industriel, culturel, scientifique.
Que la Chine retrouve le rang qui doit être le sien dans l’économie mondiale ; qu’elle continue sur la voie des réformes où elle s’est engagée : qu’elle libère toujours plus la créativité de son grand peuple et lui apporte le bien-être, sans que le progrès n’oublie personne ; qu’elle soit chaque jour davantage une amie et un partenaire, voilà les vux que la France forme, par ma voix, pour la Chine.
Mesdames, Messieurs, je vous remercie.

Déclaration de M. Jacques Chirac, Président de la République, sur le partenariat stratégique franco-chinois et l’implantation des entreprises françaises en Chine, à Chengdu le 9 octobre 2004. 
https://www.vie-publique.fr/discours/143804-declaration-de-m-jacques-chirac-president-de-la-republique-sur-le-par

La mystérieuse disparition de 2 349 tubes contenant du virus SRAS

Lors d’un inventaire à l’Institut Pasteur, les collaborateurs ont signalé la disparition de milliers de tubes contenant du SRAS. La chose est revenue sur le tapis lors de la survenue de la pandémie. Certains ont laissé sous-entendre que la Chine aurait pu être derrière cette disparition. 
https://www.lemonde.fr/societe/article/2014/04/15/la-mysterieuse-disparition-de-2-349-tubes-contenant-du-virus-sras_4401244_3224.html

Pourquoi au vu de ce qui précède, les Chinois auraient emporté à la sauvette des milliers de tubes de SRAS, alors que le transfert de savoir et savoir-faire était déjà en place depuis de nombreuses années?

Les partenaires privés de l’Institut

Bref, il est grand temps que l’on arrête de nous présenter les Etats comme étant les principaux acteurs. La stratégie de coller les problèmes sur leur dos a fait long feu… Ils ont été largement financiarisés et corporatisés. D’ailleurs regardons qui sont les financeurs privés…

LHK

Annexe

leaflet_institut_pasteur_asia-pacific11




La réponse aux courriels de Fauci prouve que tout est faux, que la gestion des récits l’emporte sur la réalité, et que ceux qui sont au pouvoir le veulent ainsi

[Source : Aube Digitale]

En observant la couverture médiatique – ou l’absence de couverture – des courriels du Dr Anthony Fauci et de ce qu’ils signifient pour l’origine du coronavirus, on est frappé par le fait que tout est implacablement faux, des experts de la santé publique à la science.

Les courriels suggèrent notamment que Fauci s’est entendu avec Peter Daszak – chef de l’EcoHealth Alliance, qui a canalisé des fonds de recherche américains vers l’Institut de virologie de Wuhan – pour supprimer et écarter toute idée selon laquelle le virus responsable du Covid-19 pourrait ne pas avoir évolué naturellement.

En fait, M. Daszak a donné des interviews sur son travail en Chine tout au long de l’année dernière, et personne dans les médias n’a pensé à faire le lien. En d’autres termes, Donald Trump a dit que le virus venait de Chine et qu’il pouvait provenir d’un laboratoire, ce qui signifie qu’il était faux et raciste.

Ce n’est qu’un exemple, le plus récent et le plus aigu, de la victoire à tout prix de la narration sur la réalité. Des millions de morts, une destruction généralisée de l’économie, des changements tectoniques dans la société elle-même ? Petit prix à payer pour le “progrès” et assurer le “bon” résultat de l’élection de 2020, pourraient dire les fortifiants de Notre Démocratie, sans que personne ne sourcille. “Reconstruire en mieux !”, répète la presse à la place.

Trump en désaccord avec CNN est une menace mortelle pour la démocratie et la liberté d’expression, mais Biden disant à une journaliste qu’il préférerait l’écraser avec un camion électrique plutôt que de répondre à une question sur la guerre qui se déroule actuellement en Israël est une blague amusante, haha, comme c’est hilarant. Quel parfum de glace avez-vous commandé, monsieur ?

Cela peut sembler partisan à première vue, mais n’oublions pas qu’il s’agit des mêmes médias qui ont autrefois fièrement soutenu le récit des “ADM de Saddam” [Armes de Destruction Massive]. La vieille dichotomie entre démocrates et républicains ne fonctionne donc pas vraiment ici et, de plus, elle ne tient pas compte de la situation dans son ensemble.

Une société vraiment libre n’aurait pas de récits officielsa écrit la chroniqueuse australienne Caitlin Johnstone en début de semaine. Le fait est que les sociétés modernes ne sont pas libres, et que les récits officiels sont tout ce qu’elles ont. Où serait la légitimité de Joe Biden sans le récit de l’”insurrection” du 6 janvier au Capitole ?

Les fondateurs américains ont codifié le premier amendement parce qu’ils considéraient qu’une presse libre était nécessaire à une république libre. Pourtant, le complexe médiatique des entreprises et leurs homologues des Big Tech sont devenus les chiens de poche du pouvoir, et non ses chiens de garde. Même les agences, autrefois considérées comme neutres et objectives, sont dans le coup. AP a littéralement réécrit son manuel de style pour limiter l’utilisation du mot “émeute” l’été dernier. Reuters a “vérifié les faits” en déclarant que l’éloge funèbre de Robert Byrd par Biden était faux parce que le sénateur démocrate n’était pas un “grand sorcier” du KKK mais simplement un “cyclope exalté”.

Ce remplacement orwellien des faits par des récits conditionne le public à se faire l’écho de l’infâme défense d’Hillary Clinton à propos de Benghazi : “Quelle différence, à ce stade, cela fait-il ?”.

Les “faits” ne signifient rien pour cette foule. La “science” n’est pas [pour elle] un processus rigoureux de recherche de la vérité, mais un mot-totem invoqué pour conférer l’autorité et bannir la dissidence. La “vérité” est ce qu’ils déclarent être à ce moment-là, et lorsque cela ne leur convient plus, ils reviennent en arrière sans vergogne et réécrivent leurs propres mots, en prétendant depuis le début que c’est ce qu’ils ont toujours cru. Oui, c’est littéralement un comportement orwellien, mais ils ne semblent pas s’en soucier.

Après tout, qu’allez-vous faire, changer de chaîne ? En fait, c’est ce qui se passe. Mois après mois, les rapports d’audience montrent que CNN et MSNBC se font nettoyer par Fox News – et Tucker Carlson en particulier. La réponse est de tripler le nombre de sujets woke et de points de discussion démocrates, tout en menant un véritable jihad contre Fox pour “désinformation”.

Il est donc insensé de penser que les médias reviendront à la raison lorsque la réalité de l’audimat leur sautera aux yeux. Ils n’en ont tout simplement rien à faire. Se pourrait-il qu’ils ne se soucient pas tant de l’argent que du pouvoir ? Et pas seulement la proximité du pouvoir politique, mais le pouvoir de façonner et de contrôler la réalité elle-même, de refaire la société selon leurs idées utopiques. Même en supposant que ces idées soient bonnes – et c’est discutable dans le meilleur des cas – ce genre de pouvoir corrompt absolument, pour reprendre l’expression de Lord Acton.

Les médias sont censés être un moyen par lequel le public perçoit collectivement la réalité – et non les créateurs de la réalité elle-même ! Pourtant, ils agissent comme si cette dernière était vraie et voulue. C’est dangereux. Ils se croient maîtres de la réalité, au point qu’il est impossible de les raisonner. Confrontez-les à des faits réels, à des principes ou à des lois de la physique, et ils vous censurent – ou bien ils ricanent et continuent.

Le comportement de Biden commence à avoir du sens lorsque vous comprenez qu’il existe dans un monde imaginaire, entièrement imaginé par la presse et son équipe. Tout comme des milliers d’activistes, d’”ONG” et de consommateurs cultistes de subventions du gouvernement américain dans le monde entier. Comment atteindre ces personnes, qui ont intériorisé la “logique” de Qui/Qui ? C’est peut-être la question la plus importante à laquelle seront confrontés non seulement les États-Unis, mais le monde entier, très bientôt.

Traduction du Ron Paul Institute for Peace & Prosperity par Aube Digitale




Est-ce-que ce monde est sérieux ?

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Prêt pour le saut dans le vide – Les photovores]

Auteur(s): Michel Rosenzweig pour FranceSoir

Quand tu te fais remonter les bretelles au Carrefour de ton quartier par un garde qui vient te chercher jusqu’à la caisse où tu as déjà commencé à déposer tes achats en t’apostrophant avec une remarque désobligeante et stupide parce que tu n’as pas ton nez correctement recouvert du niqab naso-buccal réglementaire alors que tous les indicateurs épidémiologiques rasent le plancher viral, ta colère éclate publiquement, car trop c’est trop, vraiment, la compliance a ses limites.

Je ne serai résolument et définitivement jamais adapté à cette société hygiéniste profondément malade dans laquelle nous ont projetés une clique de sociopathes bouffés par leur névrose thanatophobique et soumis à un Ordre économique et socio politique élitaire mondialiste et matérialiste sans conscience et sans âme.

Ce port obligatoire du masque est le symbole absolu de cette mascarade sanitaire de laquelle nous ne sortirons pas avant qu’un événement significatif ne fasse trembler ce régime autoritaire et totalitaire qui s’est imposé en un tournemain avec l’approbation et l’assentiment général et malheureusement dans une indifférence massive hallucinante et désespérante pour les êtres encore dotés d’un certain niveau de conscience.

Je sais qu’il se trouve des personnes qui refusent de reconnaître le caractère totalitaire de ce régime au motif qu’il ne remplit pas toutes les cases sociopolitiques classiques décrites par les grands théoriciens du totalitarisme.

Cela reste un débat auquel je demeure ouvert.

Néanmoins, je considère que lorsque nous n’avons plus la liberté de disposer de notre corps ni de notre vie comme nous en avons envie de le faire et en principe aussi le droit de le faire et que l’État s’approprie le droit de décider pour nous comment nous devons nous comporter en sortant de chez nous pour exercer notre liberté et nos droits fondamentaux, c’est que ce régime est devenu totalitaire, puisqu’il décide, contrôle et surveille nos déplacements, nos activités en fonction de mesures sanitaires décidées sans aucune concertation démocratique.

Le totalitarisme globalitaire (globalitarisme) est ce régime de gouvernance par lequel tous les aspects et les domaines de notre vie privée sont investis. Il est totalitaire parce que totalisant, englobant la vie des individus sans que ces derniers n’aient eu le droit ni l’occasion d’en débattre.

Le totalitarisme ne s’exerce pas seulement dans la sphère politique, mais dans les sphères privée et intime, englobant toute la société et tout le territoire, en imposant à tous les citoyens l’adhésion à une idéologie obligatoire (la santé selon le dogme viral et vaccinal), hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la communauté.

Nous y sommes.

Les caractéristiques habituellement retenues pour définir le totalitarisme sont : d’une part, un monopole idéologique (le logiciel épidémiologique qui est un dogme auquel il faut souscrire), une conception d’une vérité indiscutable (virale, vaccinale, gravité de la pandémie) qui ne supporte aucun doute, ne tolère aucune critique, est imposée à tous et se trouve consolidée par la lutte contre les ennemis du régime (sanitaire) qui sont discrédités et disqualifiés, et d’autre part un pouvoir qui dispose de l’ensemble des moyens de communication de masse utilisés comme des instruments de propagande (formatage et fabrique de l’opinion et du consentement) ainsi que du pouvoir de coercition judiciaire, administratif et policier.
À ce titre, je considère que nous sommes dans les prolégomènes et l’antichambre d’un nouveau totalitarisme qui a déjà installé ses fondements et ses fondations au nom de la santé et d’un hygiénisme forcené que je qualifie de thanatophobique.

Il ne reste plus alors qu’à bâtir l’édifice dont les plans sont déjà établis et dessinés à Davos et dans d’autres instances internationales multilatérales depuis longtemps par une élite qui considère que la démocratie est trop lente et trop lourde, qu’elle est dépassée dans un monde interconnecté en réseaux où la vitesse et le changement sont érigés en fétiches et qu’elle est le produit des inutiles, des incultes, des profanes, des abrutis et des sans dents.

Le nouveau totalitarisme sanitaire numérique s’oppose aux anciens dans sa structure, dans son esthétique, dans ses rituels, dans sa phénoménologie, sa visibilité.

Les anciens (fascismes, nazisme, communisme) étaient incarnés par une figure humaine, un visage, des grimaces, des postures, une personnalité, une tête, visibles et identifiables, des habits, des costumes et des coutumes, des rites de passage, des mimiques, des pratiques et des traditions violentes, tandis que le nouveau est peu visible, confus, opaque, sans tête unique emblématique, multiforme, réticulaire, feutré, souriant, anonyme, insaisissable, affable, ce qui explique pourquoi il est si difficile de le reconnaître et de l’identifier.

L’erreur est, me semble-t-il, de penser le totalitarisme contemporain à l’aune de l’histoire révolue du 20e siècle. La fabrique du consentement autour d’un ennemi faussement désigné comme le fascisme (le “populisme” souverainiste, patriotique) relève d’une imposture historique (le fascisme étant historiquement mort à Berlin en 1945) dont le nouveau totalitarisme se nourrit afin d’avancer masqué au propre comme au figuré au nom de la santé érigée en valeur suprême alors que celle-ci n’est qu’un bien au même titre que la richesse ou la beauté : on n’admire pas, en principe, quelqu’un parce qu’il est en bonne santé.
La manoeuvre totalitaire contemporaine est en outre très perverse, car le rapport à la loi est tordu, celle-ci étant contournée, ignorée, violée.

L’État n’a pas la prérogative de se mêler de la santé individuelle de ses administrés, je l’ai déjà écrit et je l’écris à nouveau aujourd’hui, il s’agit d’un grave abus de pouvoir, l’État (de droit) a le devoir de s’occuper de la santé collective, de gérer les risques, de les prévenir, de soigner, mais la santé publique ne peut se confondre avec la santé individuelle et ce n’est pas à l’État de nous dire comment nous devons vivre et nous soigner, qui nous pouvons fréquenter, où nous pouvons aller ni comment nous devons nous vêtir pour faire nos courses. La santé est un bien individuel, personnel, intime, singulier, la santé publique est une des matières non régaliennes.

La soumission massive et le consentement général à l’autorité sanitaire sont un désastre anthropologique et sociopolitique majeur et historique.
Nous ne sommes pas sortis des ténèbres sanitaires numériques et vestimentaires desquelles je le crains, aucune immunité collective artificielle ne nous sortira.

Notre époque est celle du règne de l’hypnose collective savamment entretenue par l’emprise d’une nouvelle religion politique sanitaire qui se nourrit du vide spirituel et symbolique creusé depuis des décennies par une classe politique et médiatique et par une élite à qui nous avons accordé notre confiance et notre voix trop facilement.

Auteur(s): Michel Rosenzweig pour FranceSoir




« Tous les jours j’entends à la télé que vous, “journalistes” ou politiciens, ne savez plus quoi faire de nous… les “réticents au vaccin”. »

Par Alain Tortosa

Tous les jours j’entends à la télé que vous, « journalistes » ou politiciens, ne savez plus quoi faire de nous… les « réticents au vaccin ».

Savez-vous que, au mieux, vous perdez votre temps ?

Et oui, pas un jour sans que vous, les porte-parole du gouvernement, BFM et autres France-Info ou LCI ne se posent cette question qui vous semble primordiale et centrale…

« Que faire de celles et ceux qui sont réticents aux vaccins ? »

Permettez-moi d’abord de rétablir une petite vérité…

Ce n’est pas que je sois « réticent » aux thérapies vaccinales expérimentales contre le Covid, mais disons plutôt que :

  • J’y suis viscéralement opposé me concernant !
  • Je suis prêt à perdre mon travail ou ma liberté de déplacement pour y échapper !
  • Il faudrait me passer sur le corps (ou me menacer d’une arme et être beaucoup plus rapide que moi) si vous vouliez « vacciner » mes enfants de force !

Je ne suis pas contre le port du masque, contre les confinements ou contre les vaccins, ne vous en déplaise, mais je suis contre l’obscurantisme, la fausse science et surtout contre l’obligation !

Mais ceci dit, je suis bon prince et disposé à vous aider en fonction de mes possibilités…

Il y a pourtant une chose que je ne comprends pas bien…

Vous avez tellement menti, terrorisé et manipulé les honnêtes gens qu’une majorité écrasante de Français (et peut-être vous-mêmes, ex-journalistes) ont fini par croire à vos mensonges.

Les terrorisés (et les moutons manipulés qui ne veulent pas savoir) :

  • Croient que le Covid est plus dangereux que les maladies respiratoires habituelles.
  • Croient que le masque porté par une population en bonne santé protège.
  • Croient que les confinements des personnes en bonne santé sont efficaces.
  • Croient qu’il n’y a pas de traitements efficaces contre le Covid.
  • Croient que ces thérapies vaccinales expérimentales sont efficaces et sans danger.
  • Croient que l’on peut éradiquer un coronavirus par une immunité vaccinale de groupe.
  • Croient que le « vaccin » et le passeport sont l’unique voie vers la liberté.

Ils pourraient même finir par croire que l’industrie pharmaceutique est bonne pour les humains ou que vous, ex-journalistes, n’êtes pas endormis, narcissiques, aveugles ou corrompus…

Vous avez d’autant plus la preuve de l’efficacité de vos manipulations que deux tiers des Français étaient contre la vaccination il y a quelques mois avant la campagne de propagande.

Le revirement est totalement extraordinaire et inespéré pour votre dictature sanitaire !

  • Les plus de 60 ans sont vaccinés à plus de 70 % et ils atteindront allégrement les 80 % voire 90 % de leur tranche d’âge lorsque l’on analyse les courbes actuelles d’évolution.
  • La vaccination chez les personnes jeunes et en bonne santé explose au point que les 18-24 ans sont déjà 25 % à être vaccinés contre une maladie qui ne les concerne PAS.
  • La vaccination criminelle des enfants sera probablement une réussite si vous arrivez à cacher suffisamment de décès… Je rappelle qu’il y a eu 0 mort du Covid chez les moins de 15 ans en bonne santé !

Alors qu’est-ce que vous en avez à faire de nous les « réticents » ?

Pourquoi ? Oui, pourquoi ?

Dites-moi, pourquoi focalisez-vous l’attention du public sur nous alors même que des millions de Français veulent se vacciner et qu’ils n’ont pas encore pu le faire ???

Comprenez bien que je ne demande qu’à vous aider, mais il faudrait d’abord m’expliquer…

Cherchez-vous juste à attiser la haine, à nous pousser les uns contre les autres ?

Aimeriez-vous qu’un non-vacciné soit pendu par la foule dans un bus en Prime Time ?

Voulez-vous une guerre civile ?

Parce que là où votre entreprise machiavélique est proche du génie c’est que vous avez réussi non seulement à faire croire que ces thérapies expérimentales sont inoffensives, mais aussi…

  • Efficaces alors qu’elles n’empêchent pas de tomber malade.
  • Solidaires alors qu’elles n’empêchent pas la propagation du virus.

Sans parler :

  • Des variants mathématiquement et logiquement favorisés par la vaccination.
  • Du risque d’anticorps facilitants et de formes beaucoup plus graves pour les vaccinés.
  • Des effets à long terme totalement inconnus pour des thérapies expérimentales jamais utilisées à grande échelle sur des personnes jeunes et en bonne santé.

Vous avez réussi à fabriquer :

  • « Le vacciné qui a peur d’être contaminé par un non-vacciné. »
  • « Le vacciné qui doit porter un masque pour protéger les autres (vaccinés). »
  • « Le vacciné qui doit respecter les gestes barrières pour protéger les autres (vaccinés). »

Vaccinés qui sont globalement très contents, satisfaits et rassurés (s’ils n’ont pas d’effets secondaires graves ) de leur « vaccination » même si elle ne leur apporte actuellement aucune liberté.

Vous avez inventé le « vaccin indispensable et solidaire » qui lui seul nous permettra d’en sortir, mais qui… ne protège pas.

Avez-vous si peur que nous puissions « pervertir » le peuple et le rallier à notre juste cause ?

Honnêtement pour l’instant on peut dire que vous nous avez battus à plate couture.

Les vaccinés n’ont strictement aucun questionnement et n’émettent aucune critique…

Si vous avez réussi, vous-mêmes, à croire au « Saint Vaccin contre le Covid », je comprends que vous soyez perturbés par notre existence et que vous communiquiez sans cesse sur vos antennes.

Il se trouve que les autorités vaccinales que vous avez crues et qui annonçaient qu’il faudrait atteindre une immunité de masse de l’ordre de 70 % ont révisé leur propagande mensongère.

Ils étaient obligés de le faire du fait de l’explosion de cas et de décès dans certains pays, jusqu’à présent épargnés par l’épidémie, qui ont eu massivement recours à la « vaccination ».

Ne pouvant avouer l’inefficacité de la vaccination, le leurre d’une immunité acquise contre un virus qui mute naturellement et donc que la vaccination amplifie les mutations, il devient indispensable d’accroître le mensonge et affirmer qu’il faudra peut être 80 % ou 90 % de la population vaccinée pour se débarrasser du virus…

Pour chaque mutation, chaque nouvelle « vague » vous serez bien obligés d’accuser les non-vaccinés et vendre de la 3e ou 4e dose de « poison »…

Il devient relativement logique (« biaisée ») que vous pensiez qu’il faille vacciner 100 % de la population mondiale, car une seule personne non vaccinée pourrait mettre en péril votre merveilleux édifice… construit sur des sables mouvants nauséabonds.

Pour être plus précis, cette personne non vaccinée serait désignée comme étant LA coupable étant donné que « les vaccins fonctionnent ».

Au-delà du fait qu’il faut vraiment être totalement stupide pour imaginer vacciner la population mondiale (vacciner les pays riches peut s’entendre, mais les pauvres est simplement impossible).

Vous avez gagné la bataille de la manipulation et vous pourriez naïvement croire que vous pourriez nous ramener dans « le droit chemin » et nous sortir de notre « folie ».

N’avez-vous pas compris que la route qui mène à la vérité scientifique, à l’esprit critique et à la réflexion n’est pas à double sens ?

Autant nous pouvons sauver encore des personnes, mais vous ne réussirez pas à ramener, ne serait-ce qu’une seule personne comme moi, dans votre obscurantisme mortifère et criminel !

Vous perdez votre temps à l’espérer alors acceptez avec humilité cette défaite !

Alors, même si l’hypothèse est stupide, car impossible, seriez-vous rassuré si vous arriviez à tous nous injecter en France ou en Europe ?

Savez-vous qu’environ 25 % des personnes qui attrapent le Covid seraient vaccinées ?

Savez-vous qu’un vacciné peut aussi vous contaminer ?

Faites-vous semblant de l’ignorer alors que vous savez que c’est vrai, sinon vous seriez en sécurité et vous auriez enlevé votre masque ?

Le seul fait que vous ayez peur de moi prouve que vous ne croyez pas en votre bouillie expérimentale.

Si d’aventure vous arriviez à me vacciner de force lors d’une rafle de vos amis de la milice, vous n’arriveriez pas à vous débarrasser de ce virus simplement parce que… vous n’avez pas de vaccin !

Quel dommage !

Je dois vous avouer humblement que mon raisonnement a ses limites…

Car pour m’entendre vous seriez obligés de vous questionner sur vos certitudes contradictoires…

Seule la foi vous guide et vous apporte de la sérénité et la foi ne se démontre pas.

Vous voulez croire, mais le problème est que votre dieu est un faux dieu qui vise au mieux à se faire des milliards de dollars de bénéfice ou nous transformer en esclaves.

Alors s’il vous plaît, arrêtez de croire que vous pourrez nous « convaincre », partez d’un principe de réalité qu’il va falloir faire avec nous, un « nous » qui ne peut qu’augmenter.

Merci

Alain Tortosa.

Le 6 juin 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210606-pourquoi-tant-de-haine.pdf




La synagogue de Satan

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

[Notes de Georges Gourdin :
Prenez le temps de lire cet article lumineux — et très rigoureusement documenté — de Mazetto qui vous apporte les clés pour comprendre la façon dont va le monde aujourd’hui.
Notre illustration à la une : Le Sabbat des sorcières, tableau de Goya (1798) qui nous dépeint un rituel de sorcellerie, dirigé par un Grand bouc, l’une des formes prises par le diable, qui officie lors d’un rituel de sacrifices d’enfants. Ce tableau avait été retenu par Juan Branco pour illustrer son site internet.]

[Ndlr : Mazetto évoque ici une secte particulière qui n’a rien à voir avec les synagogues en général.]

par Mazetto, le 3 juin 2021

Je connais ta tribulation et ta pauvreté bien que tu sois riche, et les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan.

Apocalypse 2–9

Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. 

Apocalypse 13–17

Le Messie de 1666

C’est dans sa ville natale de Smyrne, qu’en décembre 1665, Sabbataï Tsevi se proclama « l’oint du Dieu de Jacob, rédempteur d’Israël », et fixa la date de la rédemption au 15e jour de Sivan 5426, correspondant au 18 (6+6+6) du 6e mois de 1666.(([1] Encyclopaedia Judaica, Second Edition, Volume 18 )) Le nombre de la bête marquera le plus important mouvement messianique du judaïsme depuis la destruction du second temple.

Sabbataï Tsevi naquit en 1626 et, dès l’âge de 18 ans, était déjà considéré par ses maîtres comme un grand kabbaliste. Il fut l’inspirateur de la secte turque des Sabbatéens ou Dönmeh(([2] https://en.wikipedia.org/wiki/D%C3%B6nmeh )) et provoqua, au sein du judaïsme, un schisme profond, qui s’accentua, un siècle plus tard, avec Jacob Frank.(([3] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacob_Frank )) Celui-ci se déclara comme son successeur et il propagea en Europe la doctrine sabbatéenne, qui devint le sabbatéo-frankisme, ou le frankisme.

Sabbataï Tsevi, Jacob Frank et leurs adeptes se distingueront par leur rejet de toute loi morale ou religieuse,(([4] « Jakob Frank a résumé sa doctrine dans son livre « Les paroles du Seigneur », affirmant que le Dieu créateur n’était pas le même que celui qui s’était révélé aux Israéliens. Pour lui, Dieu est mauvais. Frank se proclame comme le véritable Messie. Il jure de ne pas dire la vérité, rejette toute loi morale et déclare que la seule voie vers une nouvelle société passe par la destruction totale de la civilisation actuelle. Le meurtre, le viol, l’inceste et la consommation de sang sont des actes parfaitement acceptables et des rituels nécessaires. » (([Jüri Lina, Sous le Signe du Scorpion, p. 22] )) en plus d’une apparente flexibilité religieuse. Tout en restant des kabbalistes dans l’âme, ils prétendront être des juifs respectueux de la Torah, ou se convertiront, les uns à l’islam, les autres au catholicisme, qu’ils subvertiront de l’intérieur. Pour les sabbatéo-frankistes la vrai foi ne peut être celle qu’on professe, elle doit rester cachée. Nous avons ici les fondements du mensonge et de l’inversion qui caractérisent les agissements de cette secte, qui subit dans son histoire l’excommunication de la communauté juive, mais réussit à reprendre l’ascendant sur celle-ci à partir de Weishaupt, en tant que sorte d’État profond du judaïsme, jusqu’à en prendre le contrôle total, comme c’est le cas aujourd’hui.

La kabbale lourianique

L’avènement de Sabbataï Tsevi ne peut être dissocié de l’influence considérable, qu’eurent sur le monde juif, les concepts théologiques de la kabbale lourianique (Isaac Louria, 1534–1572):(([5] https://wikimonde.com/article/Kabbale_lourianique ))

« Les spéculations mystiques lourianiques sur la nature de la rédemption et du « monde restauré » (olam ha-tikkun) qui devait suivre, ajoutèrent de nouveaux contenus et de nouvelles dimensions au mythe populaire messianique d’un héros national conquérant, l’élevant au niveau d’un drame cosmique suprême : le processus rédempteur n’est plus conçu comme une simple réalisation de l’émancipation temporelle d’Israël du joug des Gentils, mais comme une transformation fondamentale de la Création tout entière, touchant aussi bien les mondes matériels que spirituels et conduisant à une rectification de la catastrophe primordiale de « la brisure des vases » (chevirat ha-kelim), au cours de laquelle les mondes divins retrouveront leur unité et leur perfection originelles. »(([6] Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.111 ))

Selon Isaac Louria, c’est Dieu lui-même qui serait à l’origine de la catastrophe primordiale, car, lors de la création, il aurait sous-estimé la puissance de sa lumière divine :

« Les trois premières « sefirot », les trois premiers vases — la Couronne (Keter), la Sagesse (Hokhmah), l’Intelligence (Binah) — disposent d’un réceptacle assez solide pour supporter la croissance de l’intensité lumineuse, mais les vases des sept autres « sefirot » sont trop fragiles pour contenir l’afflux de la lumière. Ils se brisent. C’est la « chevirat hakelim. » »(([7] https://wikimonde.com/article/Kabbale_lourianique ))

Si la kabbale lourianique a exercé une influence aussi profonde sur la communauté juive, c’est qu’elle a donné une dimension cosmique à la question, qui tourmentait le monde juif dans la période faisant suite à la catastrophe de 1492, sur la nature de la diaspora (galout) et de la rédemption. La kabbale lourianique expliquera que lors du chevirat hakelim, des étincelles de la lumière divine tombèrent dans les profondeurs où résident les forces des ténèbres, du mal et de l’impureté. Ces étincelles étaient celles de la shekhina, la manifestation de l’aspect féminin de la divinité. Ainsi, il en résulta aussi une « diaspora » d’une partie du divin, ces étincelles de la shekhina, qui aspirent à retourner à leur source divine, mais qui ne le peuvent, tant qu’elles ne sont pas secourues.

Gershom Scholem,(([8] https://fr.wikipedia.org/wiki/Gershom_Scholem )) la haute autorité en matière de kabbale le résume ainsi :

« Nous avons ici une image cosmique de la diaspora (galout), non pas la diaspora du seul peuple d’Israël, mais la diaspora de la « shekhinah » dès l’origine même de sa venue en existence. Tout ce qui se passe dans le monde n’est qu’une expression de cette diaspora originelle et fondamentale. Toute existence, y compris, « pour ainsi dire », Dieu, réside dans la diaspora. »(([9] Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.68 ))

Voilà donc le drame originel au cœur de la cosmogonie kabbalistique, d’où découlera le concept de la nécessaire « réparation du monde » : tikkoun olam.(([10] https://wikimonde.com/article/Tikkoun_olam )) Et ce sera au peuple élu qu’incombera la tâche de « réparer » le monde et de restaurer l’harmonie universelle.

On doit aussi à Isaac Louria d’avoir énoncé le principe selon lequel il ne faut pas s’en remettre passivement à la volonté divine pour la rédemption, mais qu’il faut y travailler activement, afin de hâter sa venue. C’est ce principe kabbalistique qui est à la racine du sionisme et que rejettent les tenants de la vraie foi juive, qui considèrent que « le sionisme est un mouvement fondamentalement hérétique qui nie l’impératif divin selon lequel les Juifs doivent rester en exil jusqu’au jour du miracle de la rédemption de toute l’humanité »(([11] https://en.wikipedia.org/wiki/Yisroel_Dovid_Weiss ))

Kabbale et satanisme

Ce qui frappe, de prime abord, dans la kabbale, c’est la remise en cause, dans sa cosmogonie, de la perfection de la création divine, avec cette mission donnée à l’homme de « réparer » les manquements à la création, que Dieu aurait été incapable de prévoir. Ce pouvoir, prêté au peuple élu sur la création, semble franchir l’ultime frontière de l’hubris et empiéter sur le domaine de Satan.

Un des attributs du satanisme est aussi l’inversion des valeurs, ce que les sabbatéens mettent en pratique par leur concept de « rédemption par le péché », par lequel toutes les perversions imaginables sont permises.

Les kabbalistes ont repris à leur compte un principe occulte que les sociétés secrètes, à travers les âges, ont enseigné :

« Le mystique peut trouver la rédemption à travers une volonté héroïque de faire le mal au nom d’une ascension rédemptrice ultérieure vers le plus haut bien spirituel ; l’immersion dans le tréfonds du plus bas devient ainsi un chemin vers la rédemption : … connu par l’expression hébraïque, « Yeridah zorekh aliyah », à savoir la descente en vue de l’ascension, la transgression en vue du repentir »(([12] Michael Hoffman : Judaism discovered, p.191–192 – https://1lib.fr/book/2767043/fe4b52 ))

Et ils en ont trouvé une justification dans une citation du Talmud :

« « Le Fils de David viendra dans un temps ou complètement coupable ou complètement innocent » (Sanhedrin,98 a.). De cette épigramme, beaucoup de sabbatiens en ont tiré la conclusion morale : puisque nous ne pouvons pas tous être des saints, soyons tous pécheurs. »(([13] Gershom Scholem : Les grands courants de la mystique juive p.461–462 ))

Une des plus grandes organisations du judaïsme « orthodoxe » mondial d’aujourd’hui (sioniste et kabbaliste), Chabad, ne semble avoir aucune réserve sur ce même concept :

« La règle est que pour réaliser une ascension, il faut d’abord qu’il y ait une descente. C’est une révélation stupéfiante. C’est une révélation si grande qu’elle change à jamais l’appréciation que l’on a du monde. Il n’y a pas de mal dans le monde. »(([14] https://www.chabad.org/library/article_cdo/aid/80898/jewish/Yeridah-Descent-for-Aliyah-Ascent.htm ))

Parallèlement aux enseignements théologiques et mystiques de la kabbale, il y a, officiellement, aussi une kabbale qui s’apparente aux sciences occultes et à la sorcellerie.

Gershom Scholem nous apprend que la kabbale se compose de deux éléments :

« Une kabbale spéculative (kabbalah iyyunit), dont l’intérêt premier est la guidance spirituelle intérieure de l’individu, et une « kabbale pratique » (kabbalah ma ”ait), qui s’intéresse avant tout à la pratique de la magie. »
« Les lignes ostensibles tracées par les kabbalistes pour fixer les limites de la magie permise ont souvent été dépassées et obscurcies, avec pour conséquence l’apparition dans la kabbale pratique d’une bonne partie de magie « noire » — c’est-à-dire de la magie destinée à nuire à autrui… ou qui utilisait « les noms impies » (shemot ha-tum ”a1, Sanhedrin 91 a) de diverses puissances sombres et démoniaques… Dans le Tikkunei Zohar, la manipulation de ces forces est considérée comme justifiable dans certaines circonstances. »

Il ajoute :

« Souvent, les pratiques de magie blanche des amulettes et des charmes protecteurs côtoient l’invocation de démons, les incantations et les formules à but privé (raccourcis magiques, découverte d’un trésor caché, imprenabilité face à ses ennemis, etc.), voire la magie sexuelle et la nécromancie… Parmi les ouvrages kabbalistiques plus anciens, particulièrement riches en matériel emprunté à la kabbale pratique, figurent le Zohar, les écrits de Joseph b. Shalom Ashkenazi… »(([15] Gershom Scholem, Kabbalah , p.183–184 : https://1lib.fr/book/2293311/ff607d ))

Il convient de mentionner ici que le Zohar est considéré comme la « Bible » de la kabbale.

La kabbale et le satanisme qui lui est associé ont aussi été utilisés par le complexe médiatico-industriel dans son entreprise de destruction de la base chrétienne de notre société. Outre la promotion faite chez des jeunes de la fête d’Halloween,(([16] https://www.youtube.com/watch?v=_UjCWLdgG1s )) Hollywood a aussi, par l’entremise du star-system,(([17] https://www.msn.com/fr-ca/style-de-vie/horoscope/la-kabbale-un-fil-rouge-chez-les-stars/ar-BB1acDMV )) tenté de populariser la kabbale auprès de son audience.
Donald Trump lui-même, dans un de ses livres, nous confie le nom de son professeur de kabbale.(([18] D. Trump, The Way to the Top, page 141 – https://ca1lib.org/dl/3569979/4bf403 )) Cela en dit long sur la nature de sa foi chrétienne et l’attachement qui le lie à ses maîtres kabbalistes.

La cabale

C’est à Francfort que la jonction se fera entre la secte sabbatéo-frankiste et les Illuminés de Bavière de Weishaupt. C’est donc là que se formera la cabale de domination planétaire, qui entre aujourd’hui dans sa phase ultime.

« À l’époque, Francfort était le siège des « Illuminati » fondés par le jésuite Adam Weishaupt, ainsi que de l’empire financier des frères Rothschild. Cela mérite d’être répété : Francfort était le lieu de naissance à la fois des Illuminati et de l’empire Rothschild. Lorsque Jacob Frank est entré dans la ville, l’alliance entre les deux avait déjà commencé. Weishaupt a fourni les ressources conspiratoires de l’Ordre des Jésuites, tandis que les Rothschild ont apporté l’argent. Ce qui manquait, c’était un moyen de diffuser le programme des Illuminati, ce que les frankistes ont ajouté avec leur réseau d’agents à travers les mondes chrétien et islamique… la vision frankiste était la destruction de l’éthique juive pour être remplacée par une religion basée sur l’exact opposé des intentions de Dieu. Lorsque ces factions se sont mélangées, une guerre sanglante contre l’humanité, avec les Juifs en première ligne, a éclaté et, en ce moment même, elle atteint son apogée. »(([19] Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.199 – https://1lib.fr/book/964237/8b5986 ))

L’abolition de toute religion figurait au programme pré-communiste de Weishaupt, mais la priorité devait être donnée à la religion juive, comme l’explique le rabbin M. Antelman :

« Puisque la religion juive a été la mère de deux grandes religions occidentales, le christianisme et la religion musulmane, le judaïsme est naturellement devenu une cible principale. Les brillants dirigeants communistes savaient et percevaient que c’était le judaïsme qui continuait à infuser et imprégner une spiritualité dans ces autres religions »(([20] Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.1 p. ))

Le concept de Synagogue de Satan commence ici à prendre tout son sens.

De cette cabale, qui, très tôt, œuvrera à prendre le contrôle de la franc-maçonnerie, allait sortir d’abord la Haskala,(([21] https://fr.wikipedia.org/wiki/Haskala )) les Lumières du judaïsme, fomentée par Mendelssohn,(([22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Moses_Mendelssohn )) sous l’influence de Nicolai,(([23] https://fr.wikipedia.org/wiki/Friedrich_Nicolai )) dont le rôle au sein de la loge de Weishaupt était précisément l’activisme anti-religieux, suivie de la Ligue des Justes,(([24] https://fr.wikipedia.org/wiki/Ligue_des_justes )) l’ancêtre de l’Internationale communiste. Ce fut ensuite cette Ligue, qui chargera Abraham Geiger(([25] https://fr.wikipedia.org/wiki/Abraham_Geiger )) de la perversion du judaïsme, en en initiant le mouvement de « réforme ».(([26] https://www.nytimes.com/1990/06/26/us/reform-judaism-votes-to-accept-active-homosexuals-in-rabbinate.html ))

Le siècle des « Lumières » allait rayonner de toute la lumière luciférienne émanant de la cabale de Francfort et propager le « poison du libéralisme » dans toutes les sociétés et toutes les religions. Le frankisme allait aussi avoir une influence politique directe sur la Révolution française à travers les clubs de Jacobins.

Dans la ligne directe de cette cabale, l’École de Francfort(([27] https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_de_Francfort )) et, aujourd’hui, le siège de la BCE(([28] https://fr.wikipedia.org/wiki/Banque_centrale_europ%C3%A9enne )) sont deux éléments, qui pourraient faire penser que le lieu géographique est resté, depuis le 18e siècle jusqu’à nos jours, un des centres névralgiques de la Synagogue de Satan.

Les crypto-sabbatéens

L’infiltration du judaïsme par des sabbatéens, dès le 18e siècle, est illustrée par la controverse qui opposa le rabbin Jonathan Eybeschutz(([29] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jonathan_Eybeschutz )) à son confrère Jacob Emden,(([30] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacob_Emden )) qui l’accusa d’être un crypto-sabbatéen. Aujourd’hui ce genre de controverse n’existe plus, car le judaïsme a été entièrement subjugué par la secte satanique. Celle-ci domine partout où l’avortement est devenu un droit, partout où flotte le drapeau LGBT, partout où les mots « inclusion », « mixité » ou « diversité » dominent le discours, partout où la loi naturelle et le judaïsme véritable sont foulés aux pieds.
En 1976, Harold Rosenthal,(([31] https://fr.wikipedia.org/wiki/Harold_Rosenthal )) jeune et arrogant « juif » sioniste, faisant partie du cercle des initiés du pouvoir mondialiste, accorda un entretien qui fut enregistré et auquel il ne survécut que quelques mois. À la fin de cet entretien, qui fut publié sous le nom « La tyrannie cachée », il fit la révélation suivante :

« Nous sommes le peuple élu de Dieu… La plupart des Juifs n’aiment pas l’admettre, mais notre dieu est Lucifer — je ne mentais donc pas — et nous sommes son peuple élu. Lucifer est bien vivant. »(([32] https://archive.org/details/TheHiddenTyranny-HaroldWallaceRosenthal/page/n38/mode/2up ))

Voilà qui résume bien ce qu’est le judaïsme dominant d’aujourd’hui. La Synagogue de Satan, aussi, est bien vivante.

Communisme et sionisme

C’est la Ligue des Justes qui engagea Karl Marx(([33] Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.2 p.21 )) pour écrire le Manifeste, selon les idées déjà formulées auparavant par Weishaupt. Moses Hess(([34] https://fr.wikipedia.org/wiki/Moses_Hess )) fut, non seulement le mentor de Karl Marx, mais aussi le précurseur du sionisme non religieux. Le fait que son arrière-grand-père, le rabbin David T. Hess, fût un sabbatéen confirme la volonté d’empêcher la création d’un état religieux en Israël, ce qui sera définitivement confirmé en 1917 par la Déclaration(([35] https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9claration_Balfour_de_1917 )) Balfour adressée à Lord Rothschild. L’État juif créé en 1948 porte la marque d’appartenance à la Synagogue de Satan.(([36] https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Elyon.JPG ))

Le règne du mensonge et de l’inversion

À la veille de la main mise complète de la secte satanique sur l’humanité, la grande majorité des « fidèles » des trois grandes religions monothéistes ne se sont toujours pas rendu compte qu’ils ne sont les « fidèles » que du libéralisme et que les instances religieuses, qu’ils n’ont pas cessé de respecter, les ont vendus au diable depuis bien longtemps. Les musulmans continuent dévotement à faire le pèlerinage de La Mecque, dans des lieux saints désacralisés, aux mains des forces sataniques sabbatéennes. Les chrétiens continuent d’envoyer leurs enfants à l’église pour faire leur première communion, tout en révérant leur Saint-Père franc-maçon, qu’ils considèrent comme le digne successeur de saint Pierre. Les Juifs israéliens sont persuadés qu’ils vivent dans l’unique démocratie du Moyen-Orient et sont fiers de la réputation de leur ville de Tel-Aviv comme la plus « gay-friendly » du monde, ce qu’ils ne perçoivent pas comme une négation du judaïsme dont ils se réclament. Le culte « illuminé » du libéralisme et de la raison a fait des miracles de « tolérance » partout, y compris en Israël, malgré que la Torah soit claire et intransigeante sur le sujet de l’homosexualité (Lévitique 20–13).

Tout comme la secte a subverti les trois religions du livre, elle a aussi subverti la médecine. Elle a pris le contrôle de toutes les institutions médicales, y compris les académies, l’ordre des médecins et le complexe pharmaco-industriel. On peut noter que Stéphane Bancel, PDG de Moderna, est « juif » et, depuis 2009, « Young Leader » du Forum économique mondial. Le cas d’Albert Bourla,(([37] https://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Bourla )) PDG de Pfizer, est aussi intéressant. Lui aussi est « juif » et il est originaire de Thessalonique, qui se trouve être le berceau historique de la secte sabbatéenne.
La grande majorité des médecins d’aujourd’hui sont des médecins, qui, de bonne foi, pensent que le paradigme médical pasteurien, imposé par Rockefeller,(([38] https://www.pdfdrive.com/murder-by-injection-eustace-mullins-e39680998.html )) est compatible avec la santé, de même que les chrétiens « libéraux » vont à l’église, et de bonne foi, pensent que le libéralisme est compatible avec la foi chrétienne.

Israël, l’État sabbatéo-frankiste

Après avoir pris le contrôle de la Palestine grâce à la Première Guerre mondiale, il fallut à la cabale qu’elle en fomente une deuxième pour permettre la création de l’état juif :

« L’objectif final du mouvement (sioniste) était d’établir un état sabbatéen sur la terre historique des Juifs et prendre ainsi définitivement le contrôle du judaïsme. Pour faire émerger cette idée, il fallait que la vie des Juifs d’Europe devienne si intolérable que l’évasion vers la Palestine apparaisse comme la meilleure option. »(([39] Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.200 ))

Le financement de l’Allemagne nazie fut assuré par les financiers de Wall Street.(([40] https://www.voltairenet.org/IMG/pdf/Sutton_Wall_Street_and_Hitler.pdf )) Quant à Adolf Hitler, on peut dire qu’il a bien servi les intérêts de la cabale. Sa collaboration avec les sionistes pour le transfert de Juifs vers la Palestine est un fait historique reconnu,(([41] https://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_Haavara )) mais qu’il vaut mieux ne pas évoquer. Ken Livingstone, ancien maire de Londres et un vétéran du parti travailliste anglais (50 ans de service) a été forcé de quitter le parti, à la suite de sa suspension pour antisémitisme, après avoir mentionné(([42] https://www.theguardian.com/politics/2018/may/21/ken-livingstone-quits-labour-after-antisemitism-claims )) cette simple vérité historique. C’est un sujet délicat sur lequel il est conseillé de rester discret, car l’évoquer semble constituer un crime grave : une atteinte antisémite à l’intégrité idéologique de l’antisémitisme.

D’autre part, Hitler lui-même n’était sans doute pas le personnage décrit aujourd’hui dans les livres d’histoire. Le rabbin M. Antelman nous en donne une autre version, qui est plus en accord avec la logique machiavélique de ceux qui le financèrent :

« Un article du New York Times de 1933 traitant des prétendues origines juives d’Hitler affirmait qu’il y avait du sang juif du côté des Stronnes, la grand-mère maternelle d’Hitler, une famille qui s’était convertie au catholicisme à Vienne dans les années 1850. Un témoignage d’un tribunal rabbinique affirme que non seulement le vrai père d’Hitler était un sabbatéen, mais aussi son arrière-grand-père maternel ; Il existe des preuves qu’Hitler a maintenu des contacts étroits avec les sabbatéens tout au long de sa vie. En fait, son astrologue personnel, Erik J. Hanussen (assassiné dans les bois à l’extérieur de Berlin en février 1933), était un sabbatéen qui fut appelé « le prophète du Troisième Reich » et « magicien de Berlin ». Son vrai nom était Hershel Steinschneider, né à Vienne en 1889. »(([43] Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.2, p.163 ))

De son côté, la Fédération sioniste d’Allemagne avait supplanté en 1933 toutes les autres organisations juives :

« En 1932, combien d’organisations en Allemagne représentaient les Juifs allemands ? Plus de 250. En 1933, combien ? Une, et une seule : le sionisme travailliste…Les Juifs allemands seront d’abord endoctrinés au bolchévisme dans des camps de sionistes travaillistes, puis, avec l’approbation britannique, transférés en Palestine… Les sionistes travaillistes ont eu les Juifs qu’ils voulaient, et ont laissé les millions de Juifs religieux et autres non-frankistes périr en Europe sans aucune tentative de leur porter secours. »(([44] Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.202 ))

Dans un livre publié en 1977, le rabbin Moshe Shonfeld nous livre des “documents et des témoignages sur les criminels de guerre juifs” et nous dit dans son introduction :

Criminels de guerre juifs » est une expression qui ne figurait pas dans le lexique du « yishouv » d’Eretz Yisroel ou de la diaspora. Elle ne se trouve même pas dans les fantasmes ou la plus folle imagination de l’esprit de quiconque…
C’est pourquoi l’auteur de cet ouvrage a voulu dévoiler, aux yeux de tous, le visage des collaborateurs juifs, qui étaient à la tête du mouvement sioniste et qui ont prêté main-forte aux monstres nazis.
 »(([45] Reb Moshe Shonfeld, Holocaust Victims accuse, p. 8 – https://1lib.us/book/5255692/918b9e ))

À la lumière de ces faits, il devient plus facile de comprendre que l’antisémitisme est une stratégie machiavélique qui a trompé la majorité de la communauté juive et la majorité de la communauté des gentils. Elle a cimenté la cohésion de l’État national juif, comme refuge contre les persécutions, pendant qu’elle protégeait le parcours de la secte vers la domination mondiale. Lorsque la façade sioniste de la secte commença à être trop exposée au feu de la critique, l’antisémitisme « nouveau »(([46] https://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvel_antis%C3%A9mitisme )) est apparu, incluant l’anti-sionisme.

Aujourd’hui, les Israéliens sont aussi, comme nous, à un tournant de leur histoire. Certains découvrent que ce que leur gouvernement appelle « complotisme » est la clé qui libère l’esprit et ouvre la voie vers la vérité. Dans le cadre de la vaccination en cours, on parle maintenant d’un « nouvel holocauste. »(([47] https://degroenegeus.wordpress.com/2021/03/11/israeli-fears-a-new-holocaust-is-coming-shai-dannon-talks-with-david-icke/ ))

Klaus Schwab, le sabbatéen

Klaus Schwab est issu d’une famille « juive »(([48] https://unlimitedhangout.com/2021/02/investigative-reports/schwab-family-values/ )) de collaborateurs nazis. Le groupe qui contribua le plus à la création de son Forum Économique Mondial est le Club de Rome, dont les valeurs « humanistes » sont bien connues :

« En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pourrions nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres phénomènes de ce genre feraient l’affaire. … Mais en désignant ces dangers comme l’ennemi, nous tombons dans le piège… à savoir, confondre les symptômes avec les causes… Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même. »(([49] https://archive.org/details/TheFirstGlobalRevolution/page/n85/mode/2up?q=the+real+enemy ))

Le Club de Rome et Klaus Schwab partagent évidemment les mêmes valeurs, ainsi que tous les grands philanthropes milliardaires de notre temps, ce qui illustre bien le principe d’inversion énoncé plus haut. Cela nous renvoie directement à la kabbale. En effet, dans son étude du messianisme sabbatéen, Gershom Scholem nous dit :

« Au demeurant, si l’idée de violer la Torah de « beriah »(([50] Selon leur “sainte foi”, les Sabbatéens prétendent ne respecter que la Torah du monde supérieur de l’émanation divine (([atzilut]. La Torah que vénérent les vrais juifs, qu’ils appellent Torah de beriah (([de la création], fait partie d’un monde inférieur dans la hiérarchie des mondes kabbalistiques, donc elle ne doit pas être respectée. )) est restée un principe cardinal de la « sainte foi », son application a été transférée à d’autres domaines, notamment aux rêves d’une révolution générale qui balayerait le passé d’un seul coup pour reconstruire le monde… »(([51] Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.162 ))

Le rêve sabbatéen de « révolution générale », évoqué par l’auteur, ressemble fort au projet de Klaus Schwab : un grand « reset » général pour « balayer le passé d’un seul coup et reconstruire le monde ». Schwab, l’élu de Satan, usurperait alors la fonction du Créateur pour reconstruire le monde « en mieux » (« build back better »).(([52] https://odysee.com/@jobroski:6/bbb-sverige:8 ))

666, la marque déposée

Ce n’est pas un hasard si Microsoft a déposé un brevet transhumaniste, dont le numéro contient la marque de la bête,(([53] https://patentimages.storage.googleapis.com/58/f5/bf/bf453d0035610f/WO2020060606A1.pdf )) car le symbolisme est important chez les kabbalistes. L’internet des « corps »(([54] https://cv19.fr/2021/01/06/de-linternet-des-objets-a-linternet-du-corps/ )) marqués et contrôlés par l’IA est la vision de Schwab pour la nouvelle humanité. Celle-ci sera, non seulement diminuée numériquement, mais aussi spirituellement, car l’âme qui aspire à Dieu ne peut que déplaire à son maître. Maintenant que la science possède les moyens techniques de la juguler, la mise en garde de Rudolf Steiner, qui, en 1917, nous disait qu’un vaccin, qui effacerait toute aspiration à la spiritualité, pourrait être mis au point, ne doit pas être écartée. La science de la génétique est sans doute beaucoup plus évoluée que ce que nous pouvons imaginer. Les premières expérimentations génétiques sur le VMAT2, qu’on a appelé « le gène de Dieu »,(([55] Dean H. Hamer, The God Gene : How Faith Is Hardwired into Our Genes – https://1lib.us/book/5600763/a79838 )) remontent déjà à une vingtaine d’années. Ne sous-estimons pas les possibilités actuelles résultant des connaissances et des technologies de la génétique d’aujourd’hui.(([56] https://www.ficsum.com/dire-archives/ete-2016/biologie-crispr-revolution-genetique-a-portee-de-main/ ))

On peut remarquer ici que même Orwell, dans sa vision du futur, n’avait pas anticipé la dimension purement démoniaque du projet. Sa vision d’un totalitarisme policier ou militaire absolu a, en comparaison, quelque chose de presque idyllique. En effet, vivre dans ce monde transhumain, où Klaus Schwab nous promet que grâce à l’implant d’une puce électronique dans le cerveau, nous pourrons apprendre une langue étrangère par simple téléchargement, équivaudra à vivre dans un monde d’automates humanoïdes, un monde sans humanité. Devenir des objets biologiques connectés en permanence, avoir toutes nos données biologiques et mentales, allant même jusqu’à nos pensées les plus intimes, stockées dans une banque de données, avoir une mémoire éditable par l’IA, ne plus jamais avoir la possibilité d’être seul, un instant, avec soi-même, avoir comme seule âme, un système d’exploitation de Microsoft, actualisé sans cesse par le dernier vaccin obligatoire, pour nous automatiser toujours davantage, me semble être une vision dantesque de l’enfer, que le poète florentin, à son époque, ne pouvait encore concevoir.

La fuite en avant

Maintenant que la secte satanique est sortie de l’ombre, après avoir dû révéler la nature de ses véritables intentions pour l’humanité, elle a perdu le pouvoir qui la rendait invincible : l’invisibilité.
Bien que beaucoup continuent d’être trompés par la propagande des médias, des gouvernements et de tous les autres agents à sa solde, la secte est obligée d’accélérer son programme pour contrer une prise de conscience grandissante auprès du public. En effet, de plus en plus de personnes, à travers le monde, commencent à s’apercevoir que l’unique raison de ce cataclysme planétaire provoqué est cette volonté d’imposer une modification du génome humain à l’ensemble de l’humanité, et cela sous couvert de vaccination imposée en dépit de tout bon sens logique ou médical. Maintenant, les enfants ou les personnes qui ont déjà acquis une immunité naturelle au supposé SARS-CoV‑2, sont aussi passibles de « vaccination ». Cette fixation fanatique sur un « vaccin » inutile, qui a déjà derrière lui tout un cortège de victimes, ne peut plus passer inaperçue. Et plus la cabale devra presser le pas, plus la prise de conscience ira en s’amplifiant.

Mazetto


Notes de lecture :




Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice

[Source : Sott.net]

Par Bernard Marx — OffGuardian

En 2010, une ONG financée par la Fondation Bill & Melinda Gates a enfreint de multiples directives éthiques et juridiques en testant un nouveau vaccin sur des enfants sans le consentement [éclairé – NdT] des parents, et les médias occidentaux ne s’en sont jamais fait l’écho.

Jeunes filles de la tribu Koya, dans le district de Khammam de l’État indien de Telangana

L’Inde fait couler beaucoup d’encre ces derniers temps… Bien plus que d’habitude. Si l’on en croit les médias populaires, il se produit là-bas une sorte d’apocalypse. Mais comme c’est souvent le cas, ces reportages sont dépourvus de tout contexte ou perspective.

Dans leur empressement à soutenir l’actuel récit de terreur sur le Covid-19, les médias du monde entier n’ont de cesse aujourd’hui de parler de l’Inde, alors qu’il y a douze ans, lorsqu’une véritable tragédie y avait cours, ils étaient tous aux abonnés absents.

Un peu de contexte

En 2009, une ONG financée par la Fondation Bill & Melinda Gates a procédé sur certains des enfants les plus pauvres et les plus vulnérables au monde à des essais cliniques non autorisés d’un vaccin. Cette ONG a agi sans fournir d’informations sur les risques encourus, sans le consentement éclairé des enfants ou de leurs parents et sans même mentionner qu’elle menait un essai clinique.

Après la vaccination, de nombreux enfants participants sont tombés malades et sept d’entre eux sont morts. Telles ont été les conclusions d’une commission parlementaire chargée d’enquêter sur cette misérable affaire. La commission a accusé l’ONG de « maltraitance d’enfants » et a produit un grand nombre de preuves à l’appui de ses dires. Toute cette affaire est passée quasiment inaperçue dans les médias occidentaux.

Path — anciennement connu comme le Program for Appropriate Technology in Health [Programme de technologie appropriée en santé – NdT] — est une ONG basée à Seattle, largement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates mais qui reçoit également d’importantes subventions du gouvernement des États-Unis. Entre 1995 et le jour de la rédaction de cet article (mai 2021), Path a reçu plus de 2,5 milliards de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates.

En 2009, Path a mené un projet visant à administrer le vaccin contre les infections à papillomavirus humains. L’objectif du projet était, selon les propres termes de Path,

« de générer et de répandre des données probantes [« des preuves d’impact » (Sic !) – NdT] en vue de favoriser auprès du public l’introduction des vaccins anti-papillomavirus. »

Il a été mené dans quatre pays : l’Inde, l’Ouganda, le Pérou et le Vietnam. La GAVI, une autre organisation financée par la Fondation Gates, avait initialement été envisagée pour gérer le projet directement financé par la Fondation Bill & Melinda Gates, mais la responsabilité en a finalement échu à Path.

De manière significative, chacun des pays sélectionnés pour le projet avait une population ethnique différente et disposait d’un programme national de vaccination financé par l’État. L’utilisation de différents groupes ethniques dans l’essai a permis de comparer les effets du vaccin dans divers groupes de population — l’ethnicité représentant un critère quant à l’innocuité et à l’efficacité de certains médicaments.

Les programmes de vaccination des pays concernés constituaient un marché potentiellement lucratif pour les entreprises dont les médicaments devaient faire l’objet d’études : si les médicaments s’avéraient efficaces et étaient inclus dans les programmes de vaccination nationaux financés par les États, les considérables bénéfices annuels réalisés par ces mêmes entreprises seraient une véritable aubaine.

Dans le cadre de cette expérimentation, deux types de vaccins contre le papillomavirus humain ont été utilisés : Gardasil de Merck et Cervarix de GlaxoSmithKline (GSK). Dans cet article, nous allons examiner l’essai du Gardasil mené sur les populations en Inde par Path.

Il convient de noter ici la relation entre la Fondation Bill & Melinda Gates et l’une des entreprises pharmaceutiques dont les produits étaient testés. En 2002, ladite fondation avait acheté pour 205 millions de dollars d’actions dans le secteur pharmaceutique, y compris des actions de Merck & Co. Cette opération avait suscité des interrogations en raison du conflit d’intérêts évident entre le rôle de ladite fondation en tant qu’organisation caritative médicale et son rôle en tant que détenteur de parts de marché dans des entreprises du même secteur.

Note du traducteur : Ces 205 millions d’investissement incluaient aussi des actions chez Pfizer Inc. et Johnson & Johnson.

Rapide aperçu du haut de la pyramide en partant de Merck

Le premier actionnaire de Merck est The Vanguard Group, Inc., une société étatsunienne de fonds d’investissement, qui détient par ailleurs aussi des parts dans des grandes sociétés comme Michelin, Amazon, American Express, Pernod Ricard, Monsanto, ExxonMobil, Alphabet, Dow Chemical ou encore Foxconn (liste non exhaustive). La société est également le premier actionnaire de Microsoft, Facebook, Google, Apple — en gros, les Big Techs — et de Goldman Sachs. Avec des sociétés comme The Vanguard Group, on atteint le haut du panier… Mentionnons que la société se trouve aussi être le premier actionnaire de son plus proche « concurrent » Blackrock, Inc., n°1 mondial de la gestion d’actifs avec 8 676 milliards de dollars d’actifs à la fin de 2020, le positionnant devant The Vanguard Group avec ses 6 200 milliards de dollars d’actifs sous gestion au début de 2020. Ces deux sociétés détiennent des parts dans une grande partie de l’ensemble des sociétés cotées en bourse, dans le monde.

Le Wall Street Journal a rapporté, en août 2009, que la Fondation Bill & Melinda Gates avait vendu ses parts [pour 8 millions de dollars – NdT] Merck entre le 31 mars et le 30 juin de cette année-là, soit à peu près au moment où les essais sur le terrain du vaccin contre le papillomavirus humain commençaient en Inde. Ainsi, pendant toute la durée de ce projet — qui était déjà opérationnel en octobre 2006 — et jusqu’aux essais finaux sur le terrain, la Fondation Bill & Melinda Gates a joué un double rôle : celui d’une organisation caritative investie dans des soins de santé humanitaires et celui d’un actionnaire de l’entreprise pharmaceutique qui réalisait des bénéfices.

De tels conflits d’intérêts sont depuis 2002 la marque de fabrique de la Fondation Bill & Melinda Gates. Lorsque Gates a fait l’année dernière des apparitions régulières à la télévision pour promouvoir la vaccination anti Covid-19, en apportant un soutien particulièrement enthousiaste à l’effort de Pfizer-BioNTechson objectivité n’a jamais été mise en doute. Pourtant, sa fondation est copropriétaire de plusieurs fabricants de vaccins, dont Pfizer, BioNTech et CureVac.

Le vaccin contre les infections à papillomavirus humains

Le vaccin contre les infections à papillomavirus humains (VPH) vise à prévenir le cancer du col de l’utérus. Le Gardasil avait été lancé avec succès par Merck en 2006 aux États-Unis, mais ses ventes ont souffert après qu’une série d’articles publiés dans des revues médicales étatsuniennes eurent jugé que ses risques étaient supérieurs à ses bénéfices. L’analyse des rapports sur les effets indésirables du Gardasil transmis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) des CDC leur a été particulièrement préjudiciable.

Cette analyse a été publiée dans le Journal of the American Medical Association le 19 août 2009. Parmi les 12 424 effets indésirables signalés, 772 ont été considérés comme graves, dont 32 décès. Les autres effets secondaires graves signalés comprenaient des troubles auto-immuns, des événements thromboemboliques veineux — caillots sanguins — et le syndrome de Guillain-Barré.

Dans la même édition du Journal of the American Medical Association, le Docteur Charlotte Haug, alors rédactrice en chef du Journal of the Norwegian Medical Associationa écrit :

« Le fait qu’un risque vaille la peine d’être pris dépend non seulement du risque absolu, mais aussi du rapport entre le risque potentiel et le bénéfice potentiel. Si les bénéfices potentiels sont substantiels, la plupart des individus seraient prêts à accepter les risques. Mais le bénéfice net du vaccin contre le VPH pour une femme est incertain. Même si elle est infectée de façon persistante par le VPH, une femme ne développera probablement pas de cancer si elle se soumet régulièrement à un dépistage. Donc, elle devrait logiquement être prête à n’accepter qu’un faible risque lié au vaccin. »

Le Docteur Haug, dans une allusion claire faite envers Merck, le fabricant du Gardasil, a également fait remarquer que

« lorsque l’on évalue les preuves des risques et des bénéfices, il convient également de se demander qui prend le risque et qui bénéficie des avantages. »

Les tentatives de Merck pour promouvoir le Gardasil ont été controversées. Le Docteur Angela Raffle, l’une des plus grandes spécialistes britanniques du dépistage du cancer du col de l’utérus, a décrit la stratégie marketing de Merck en l’assimilant à

« un coup de bélier porté sur le ministère de la Santé et un pilonnage en règle de ses institutions affiliées. »

Le Docteur Raffle craint que la pression en faveur d’une vaccination de masse ne nuise au programme de dépistage efficace qui fonctionne au Royaume-Uni depuis les années 1960 :

« Je crains que la précipitation motivée par des considérations commerciales pour nous faire paniquer et introduire rapidement le vaccin contre le VPH ne nous fasse reculer et n’aggrave notre programme de lutte contre le cancer du col de l’utérus. »

Le professeur Diane Harper

Le professeur Diane Harper, qui travaillait alors à la faculté de médecine de Dartmouth, dans le New Hampshire, avait dirigé deux essais du vaccin et était catégorique sur le fait que le Gardasil ne pouvait pas protéger contre toutes les souches de papillomavirus humains.

Lorsque Merck a lancé une énorme campagne de relations publiques en 2007 pour persuader les gouvernements européens d’utiliser le produit pour vacciner toutes les jeunes filles du continent contre le cancer du col de l’utérus, elle a déclaré :

« Les programmes de vaccination de masse [constitueraient] une gigantesque expérience de santé publique… Nous ignorons beaucoup de choses. Nous ne savons pas si le vaccin demeurera efficace. Pour être honnête, nous n’avons pas, pour le moment, de données sur l’efficacité chez ces jeunes filles. Nous vaccinons contre un virus qui attaque les femmes tout au long de leur vie et qui continue à provoquer des cancers. Si nous vaccinons les filles à 10 ou 11 ans, nous ne saurons pas avant 20 à 25 ans si cela sera efficace ou pas. C’est un gros défi à relever. »

Ainsi, à l’époque où Path menait ses essais en Inde, en Ouganda, au Pérou et au Vietnam, le Gardasil était un vaccin controversé : son innocuité, son efficacité et les tentatives de Merck pour le promouvoir étaient remises en question, non pas par les « anti-vaxx » et les « complotistes », mais par l’establishment médical international et les principaux médias respectés.

Les jeunes filles de Khammam

Le district de Khammam faisait, en 2009, partie de l’État indien oriental de l’Andhra Pradesh — les changements frontaliers effectués en 2014 font qu’aujourd’hui le district de Khammam appartient à l’État du Telangana. La région est essentiellement rurale et considérée comme l’une des parties les plus pauvres et les moins développées de l’Inde.

Khammam abrite plusieurs groupes ethniques tribaux, certaines estimations situant sa population tribale à environ 21,5 pour cent — environ 600 000 personnes. Comme c’est le cas pour les populations indigènes du monde entier, les groupes tribaux de Khammam souffrent d’un manque d’accès à l’éducation. Par conséquent, leur niveau d’alphabétisation est considérablement inférieur à celui de la région dans son ensemble.

En 2009, pas moins de 14 000 filles ont reçu une injection de Gardasil dans le district de Khammam. Les filles recrutées pour le projet de Path avaient entre 10 et 14 ans et étaient toutes issues de milieux à faibles revenus, principalement tribaux. Beaucoup d’entre elles ne vivaient pas avec leur famille, mais dans des ashram pathshalas — des foyers gérés par le gouvernement — situés à proximité des écoles qu’elles fréquentaient.

Le professeur Linsey McGoey, de l’université d’Essex, a déclaré par la suite être convaincue que les filles des ashrams pathshalas avaient été ciblées pour le projet car il s’agissait d’un moyen de :

« contourner la contrainte d’avoir à demander le consentement parental avant de procéder aux injections. »

Bien que l’Inde ait fait l’objet d’un grand nombre de reportages récemment, la couverture médiatique dont bénéficie ce pays et ses actualités reste généralement discrète. Et bien que l’Inde abrite près d’un cinquième de la population mondiale, les reportages qui lui sont consacrés sont rares.

Peu d’entre nous sont conscients, par exemple, de son épouvantable histoire en matière de santé et de sécurité ou de la corruption endémique de son gouvernement..

Depuis des décennies, des profiteurs sans scrupules ont su exploiter ces lacunes. Les médias occidentaux ne rendent compte des conséquences de ces actions que lorsque leur ampleur est trop grande pour être ignorée.

Nous avons appris que près de 7 000 personnes ont été tuées et plus d’un demi-million ont été blessées après avoir été exposées au gaz mortel d’isocyanate de méthyle, à la suite d’une fuite de gaz dans l’usine de pesticides d’Union Carbide à Bhopal. Mais nous n’avons rien appris, au cours des années qui ont précédé la catastrophe, de la culture basée sur des normes médiocres et le mépris de la réglementation, qui a été finalement responsable de la catastrophe.

Dans ces conditions, il est assez logique que le projet de Path visant à administrer et à étudier les effets du vaccin contre les infections à papillomavirus humains soit passé inaperçu en Occident. Le même constatation peut être faite en Inde : les médias indiens ne font pas plus de reportages sur leurs groupes tribaux que les médias occidentaux n’en font sur les Indiens. En dépit des préoccupations quant au projet formulées en octobre 2009 par Sama — une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes — l’actualité indienne ne s’en est pas pour autant fait l’écho.

Membres du groupe de défense des droits Sama

Ce projet n’aurait donc pas pu être plus opaque s’il avait eu lieu sur la Lune, et il l’est resté pendant plusieurs mois jusqu’à ce que, début 2010, des informations commencent à circuler à Khammam selon lesquelles quelque chose avait affreusement mal tourné : plusieurs des filles incluses dans les essais étaient tombées malades et quatre d’entre elles étaient décédées.

En mars 2010, des membres de Sama se sont rendus à Khammam pour obtenir plus de renseignements sur les témoignages qui commençaient à émerger. Ils ont appris que jusqu’à 120 jeunes filles avaient subi des effets indésirables, notamment des crises d’épilepsie, de graves maux d’estomac, des maux de tête et des sautes d’humeur. Les représentants de Sama sont restés à Khammam pour approfondir leur enquête.

La mobilisation de Sama a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face au déluge de réactions négatives, le Conseil indien de la recherche médicale a suspendu le projet Path.

C’est alors que la commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter sur l’affaire.

Le 17 mai, Sama a produit un rapport accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais, et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.

Le rapport indique que :

« De nombreuses jeunes filles vaccinées continuent de souffrir de maux d’estomac, de maux de tête, de vertiges et d’épuisement. À la suite de la vaccination, des signalements ont fait état de l’apparition précoce des règles, de saignements abondants et de crampes menstruelles sévères, de sautes d’humeur extrêmes, d’irritabilité et de malaise. Aucun suivi ou contrôle systématique n’a été effectué par les fournisseurs de vaccins. »

Sama a également contesté l’affirmation du gouvernement de l’État d’Andhra Pradesh selon laquelle le décès de quatre des filles qui avaient participé aux essais n’avait rien à voir avec la vaccination.

La Commission parlementaire

Les rouages de la bureaucratie sont lents à mettre en branle. C’est plus de trois ans plus tard, le 30 août 2013, que le rapport du Comité permanent de la santé du Parlement indien a finalement été publié. Alors que beaucoup s’attendaient à ce qu’il cherche à dissimuler la réalité, il n’en est rien : la lecture en est choquante.

Le Sansad Bhavan, siège du Parlement de l’Inde, New Delhi

Le rapport critique à la fois Path et le Conseil indien de la recherche médicale, concluant que

« la sécurité et les droits des enfants ont été fortement compromis et violés. »

La commission a constaté que Path, bien qu’opérant en Inde depuis 1999, n’avait aucune autorisation légale pour agir ainsi. Elle a noté que, bien que l’organisation ait finalement reçu en septembre 2009 un certificat du Registre des sociétés de l’Inde, ce certificat lui-même avait été produit en violation de la loi.

Le rapport indique aussi que :

« Path […] a violé toutes les lois et réglementations applicables aux essais cliniques […] son seul objectif était de promouvoir les intérêts commerciaux des fabricants de vaccins contre les infections à papillomavirus humains […] il s’agit d’un grave abus de confiance […] car le projet impliquait la vie et la sécurité de fillettes et d’adolescentes qui, pour la plupart, n’étaient pas conscientes des implications de la vaccination. Il s’agit également d’une grave violation de l’éthique médicale. Ces agissements constituent de la part de Path une violation flagrante des droits fondamentaux de ces fillettes et adolescentes. Il s’agit également d’un cas avéré de maltraitance infantile. »

La commission a accusé Path de lui avoir menti et d’avoir au cours de son enquête tenté de l’induire en erreur, et a recommandé au gouvernement indien de signaler à l’OMS, à l’UNICEF et au gouvernement étatsunien les violations des droits fondamentaux commises par Path.

Le rapport stipule en outre que l’ensemble du projet de Path consistait en une tentative cynique d’assurer des profits continus pour Merck et GSK :

« Le choix des pays et des groupes de population, la nature monopolistique du produit mis en avant, à ce moment-là, le potentiel et les opportunités de marché illimités dans les programmes de vaccination universelle des pays respectifs sont autant d’indices d’un plan bien planifié pour exploiter une situation à des fins commerciales. Si [le plan de] Path avait été couronné de succès […] cela aurait généré un profit exceptionnel pour les fabricants par le biais de la vente automatique, année après année, sans aucune dépense en termes de campagne publicitaire ou de marketing. Il est notoire qu’une fois un vaccin introduit dans le programme vaccinal, il devient politiquement impossible de revenir en arrière. »

Et d’ajouter :

« Pour atteindre cet objectif sans effort, sans passer par la voie ardue et strictement réglementée des essais cliniques, Path a eu recours à un élément de subterfuge en appelant les essais cliniques « études d’observation » ou « projet de démonstration », et diverses autres expressions du même ordre. Ainsi, en utilisant une nomenclature établie par ses soins et servant ses propres intérêts, Path a complètement mis en péril le bénéfice, la sécurité et le bien-être des sujets, ce qui non seulement est absolument déplorable, mais constitue également une grave violation de la loi du pays. »

Samiran Nundy, rédacteur émérite du National Medical Journal of India

Des voix éminentes de la communauté médicale indienne se sont fait l’écho de ces accusations. Chandra M. Gulhati, rédacteur en chef de l’influent Monthly Index of Medical Specialities a déclaré :

« Il est choquant de voir comment une organisation étatsunienne a utilisé des méthodes subreptices pour s’établir en Inde. Il ne s’agissait pas de philanthropie. »

Samiran Nundy, rédacteur émérite du National Medical Journal of India et critique de longue date des pratiques corrompues dans le domaine de la santé, n’a pas mâché ses mots :

« Il s’agit d’un cas évident où les Indiens ont été utilisés comme cobayes. »

Le rapport de la commission permanente s’est également montré très critique à l’égard des relations entre Path et les membres de plusieurs agences sanitaires indiennes, mettant en évidence de multiples conflits d’intérêts.

Sur la question du consentement éclairé, la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, en constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes — souvent des membres du personnel des foyers où vivaient les jeunes filles — et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations quant à la nécessité de cette vaccination, à ses bénéfices et inconvénients ou à ses potentiels effets secondaires.

Aucune assurance n’avait été prévue pour aucun des enfants en cas de préjudice [post-vaccinal – NdT] et,

« Path n’avait pas plus anticipé le recours urgent à des experts médicaux en cas d’événements indésirables graves. »

En outre, en effectuant un essai clinique d’un médicament sur des enfants avant d’avoir effectué un essai du médicament sur des adultes, Path a gravement enfreint la réglementation indienne en matière de santé.

Concernant les jeunes filles décédées, le comité a critiqué Path, les autorités médicales indiennes et le gouvernement de l’État d’Andhra Pradesh pour avoir, sans mener d’enquêtes approfondies, sommairement écarté le lien entre leur décès et la vaccination. En 2016, quelque 1 200 des jeunes filles ayant participé en Inde aux deux essais de vaccins contre les infections à papillomavirus humains faisaient état d’effets secondaires graves à long terme, soit plus de 5 pour cent de la cohorte totale de 23 500 personnes. À ce moment-là, le nombre total de décès était passé à sept.

Un silence de mort

Hormis en Inde, cette effroyable violation de l’éthique médicale et des droits humains fondamentaux est passée presque totalement sous silence. La commission permanente de la santé du Parlement indien a littéralement accusé une ONG étatsunienne de maltraitance d’enfants, en fournissant de nombreuses preuves à l’appui de ses accusations, mais les médias occidentaux n’en ont pratiquement pas parlé.

Un conflit d’intérêt financier a-t-il compromis The Guardian ?

Les populaires magazines scientifiques que sont Nature et Science ont chacun publié un bref article sur la débâcle, mais aucune n’est entré dans les détails quant aux violations légales et éthiques de Path. Si l’article de Science est au moins légèrement critique, celui de Nature accorde plus de place à la réfutation des accusations formulées par le directeur de Path, Vivien Tsu.

La façon dont les médias du monde entier sont financés par la Fondation Bill & Melinda Gates et comment ces financements influencent leurs reportages sur la même Fondation et sur les organisations qu’elle parraine, requiert un article qui y soit exclusivement consacré. Mais mentionnons toutefois ici que la la Fondation Bill & Melinda Gates a financé la BBC pour un total de 51,7 millions de dollars — à mai 2021 — et The Guardianpour un total de 12,8 millions de dollars.

The Guardian, malgré toutes ses prétentions à donner une voix aux plus vulnérables dans le monde, est resté curieusement silencieux au sujet des jeunes filles de Khammam. Du moins, à l’exception d’un article, publié en octobre 2013, environ six semaines après la publication du rapport de la commission permanente.

L’article n’a pas été écrit par l’une des filles ou l’un de leurs parents, ni par l’une des femmes de Sama qui avait plaidé en faveur des filles, ni même par l’un des parlementaires indiens chargés d’enquêter sur l’affaire.

Non. Il a été écrit par un Étatsunien appelé Seth Berkley. Berkley est le Pdg de GAVI, un autre mastodonte de la santé financé par la Fondation Bill & Melinda Gates.

Seth F. Berkley, Pdg de GAVI

Berkley a profité de sa tribune dans The Guardian pour affirmer que les jeunes filles décédées après avoir été vaccinées à Khammam s’étaient suicidées. Parlant des 14 000 sujets ayant participé aux essais, il a déclaré :

« Il aurait été inhabituel qu’aucun d’entre eux ne se suicide par la suite. »

La compassion est loin d’être le seul élément absent de son article. En adressant une fin de non recevoir à cette infamie, Berkley n’a pas une seule fois abordé les multiples violations de la loi et de l’éthique qui s’étaient produites, ni le rôle de Path et celui de ses employeurs, la Fondation Gates.

The Guardiana commencé à recevoir des fonds de la Fondation Bill & Melinda Gates en août 2010. Avant cet accord, en 2007, le journal avait publié deux articles distincts qui critiquaient les tactiques de lobbying utilisées par Merck pour promouvoir le Gardasil et qui mettaient en doute l’efficacité de son utilisation dans les programmes de vaccination à grande échelle.

Depuis l’accord conclu avec Gates, The Guardian a toujours publié des articles positifs sur ce médicament — et sur la vaccination contre les infections à papillomavirus humains en général.

Que s’est-il passé ensuite ?

Le gouvernement indien était réticent à prendre l’une des mesures recommandées par le comité. Après tout, des organisations comme Path ont permis à l’État, aux institutions et aux particuliers de disposer d’énormes sommes d’argent.

Siège social de la Fondation Bill & Melinda Gates

C’est ainsi qu’aucun rapport officiel sur les violations des droits humains fondamentaux n’a jamais été présenté par le gouvernement indien à l’OMS, à l’Unicef ou au gouvernement étatsunien, comme l’avait recommandé le comité permanent.

Toutefois, en 2017, le comité a annoncé qu’il n’accepterait plus les subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates pour son Unité de soutien technique à la vaccination, une organisation qui fournit des « conseils en matière de stratégie vaccinale » et qui concerne environ 27 millions de nourrissons. Néanmoins, le gouvernement indien continue d’accepter les subventions de la même Fondation dans d’autres domaines.

Merck, et son vaccin le Gardasil, ont enregistré de très bons résultats depuis les sombres événements relatés dans cet article. Le scandale de Khammam a tellement peu été relayé en dehors de l’Inde que la firme n’en a jamais vraiment été affectée. Rien qu’en 2018, les ventes de Gardasil se sont élevées à plus de 3 milliards de dollars, grâce à son intégration dans les calendriers vaccinaux du monde entier, ainsi qu’à son lancement cette année-là en Chine.

Path ne s’est jamais aussi bien porté. Tout comme pour Merck, et grâce au silence médiatique qui a entouré les événements de Khammam, l’organisation n’a pas souffert. Depuis 2010, elle a continué de recevoir d’énormes financements de la Fondation Bill & Melinda Gates et, dans une moindre mesure, du gouvernement étatsunien. Au cours de cette période, Path a reçu de la Fondation Bill & Melinda Gates un financement de plus de 1,2 milliard de dollars.

La Fondation Bill et Melinda Gates n’a eu de cesse d’accroître son réseau d’influence. Jacob Levich décrit comme suit les pratiques de l’organisation à l’époque des événements relatés ici :

« En substance, la Fondation Bill et Melinda Gates achèterait des stocks de médicaments qui n’ont pas réussi à créer une demande suffisante en Occident, les écoulerait à un prix réduit dans les pays dits en voie de développement et conclurait des accords d’achat sur le long terme avec les gouvernements des pays dits du tiers-monde. »

La Fondation s’est depuis lors tournée vers des pâturages encore plus lucratifs. La pandémie de Covid-19 a véritablement propulsé la Fondation Bill et Melinda Gates sur le devant de la scène. Gates lui-même a vu son profil public et son influence politique croître à un point qui aurait été inimaginable même en 2019.

En dépit de son absence de qualifications scientifiques ou de mandat électoral, il insiste régulièrement sur la nécessité d’une vaccination mondiale généralisée avec des produits fabriqués par les entreprises qu’il possède, en utilisant les plates-formes qui lui sont offertes par les médias qu’il finance.

Et les filles de Khammam ?

En 2010, ces pauvres enfants et leur situation critique n’étaient même pas connus au-delà des frontières de l’Inde. Dire qu’elles ont été oubliées reviendrait à sous-entendre que personne ne les connaissait ou ne se souciait d’elles.


À propos de l’auteur :

Bernard Marx est le pseudonyme utilisé par un écrivain et enseignant basé en Irlande. Ses domaines d’intérêt sont l’histoire, la politique et la musique populaire. Vous pouvez lire la suite de son travail sur Notes from the New Normal.


Note du traducteur : 
Voir aussi sur le sujet : Dépeuplement, ID2020 et preuve d’immunité numérique – La doctrine agressive de la Fondation Gates pour une vaccination massive

Source de l’article initialement publié en anglais le 18 mai 2021 : OffGuardian
Traduction : Sott.net


[Voir aussi :
Covid et domination planétaire – Comment Bill Gates et ses amis milliardaires se sont assurés le soutien des médias
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Robert Kennedy junior s’entretient avec Vandana Shiva
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore]




Conseil de Maître DiVizio aux parents inquiets d’une vaccination de leur enfant à l’école sans leur consentement parental

[Source : reseauinternational.net]

par Candice Vacle.

La vaccination contre le Covid-19 des 12-15 ans sera ouverte le 15 juin 2021 en France, pour les volontaires et avec accord des parents, avec le vaccin nouvelle technologie à ARN de Pfizer/BioNTech (Comirnaty).(([1] 20minutes.fr/2021/06/02-coronavirus-pourquoi-vaccination-ados-12-15-ans-pourrait-faire-plus-debat-autres))

Bien qu’a priori les enfants ne peuvent être vaccinés en France sans le consentement de leurs parents, l’avocat Fabrice Di Vizio, spécialiste des questions de santé, comprend que les parents puissent être inquiets que leur enfant ou adolescent soit vacciné à l’école sans le consentement parental.

Pourquoi ?

Car l’OMS tend à laisser entendre qu’il y a une présomption de consentement des adolescents (à partir de 14 ans en particulier) et que les parents ne peuvent s’y opposer, plus particulièrement quand la vaccination se fait dans l’enceinte scolaire. (à partir de la minute 15:00)

On peut remarquer qu’en Belgique la vaccination contre le Covid-19 est étendue aux 16-17 ans, sur base volontaire et sans consentement des parents.(([2] rtbf.be/detail_la-vaccination-contre-le-coronavirus-etendue-aux-16-17-ans-sur-base-volontaire-et-sans-consentement-des-parents))

Maître Di Vizio dans sa vidéo du 4 juin 2021 donne un conseil aux parents inquiets du fait que leur enfant ou adolescent soit vacciné à l’école sans leur consentement parental.

https://youtu.be/fzlg55Kks9Y

Il propose aux parents d’adresser un courrier au chef de l’établissement scolaire de leur enfant en écrivant qu’ils refusent la vaccination de leur enfant ou adolescent dans le cadre scolaire ; et il préconise de mettre un mot exprimant ce même refus dans le carnet de correspondance de l’élève, à l’attention du professeur principal. (de la minute 17:43 à la minute 18:55)

Il donne aussi deux informations juridiques sur le consentement à la vaccination contre le Covid-19 concernant les enfants et adolescents.

Pour le cas où les deux parents sont d’accord pour la vaccination de leur enfant mais pas l’enfant, normalement le médecin ne peut pas faire l’injection du vaccin. (à partir de la minute 23:05)

La vaccination d’un enfant nécessite l’accord des deux parents. Si l’un des deux parents n’est pas d’accord, il peut en informer le médecin traitant. (à partir de la minute 29:26)





Le Grand Réveil : le nouveau virus

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Aujourd’hui je ne vais pas vous parler des drames que nous vivons, de la folie que nous subissons depuis 1 an et demi, de cette peur entretenue artificiellement par les médias, de ces « contaminés » dont les chiffres ne correspondent à aucune réalité, de ce Nouvel Ordre Mondial dans lequel on veut nous entraîner. Non, rien de tout ça.

Ce que je constate en prenant le recul nécessaire à la réflexion, c’est un phénomène planétaire étrange et à la fois extraordinaire qui vient confirmer ce dicton populaire qui dit que « tous les maux ne viennent pas pour nuire » et qu’en clair, si nous regardons le monde autour de nous, cette tragi-comédie covidienne a des aspects surprenants et des conséquences étonnantes.

D’abord un besoin de vérité. Et oui, ils ont tellement menti, tellement triché, manipulé, que notre réaction au mensonge c’est un vital besoin de vérité, la nécessité d’une véritable information pour nourrir notre réflexion. Et dans un processus naturel que nous ne maîtrisons pas, comme des anticorps s’attaquent à un élément nocif étranger dans notre organisme, notre esprit élimine les impuretés pour retrouver équilibre et santé mentale.

Nous, êtres humains possédons à l’intérieur de nous, un système de défense extraordinairement efficace pour expulser ce qui peut nous nuire et nous protéger de tout ce qui pourrait être malsain, nous guérir de ce qui pourrait avilir et affaiblir notre esprit.

Et ces anticorps de l’esprit se sont mis à l’œuvre presque instantanément pour nous protéger. Ainsi, le besoin que nous ressentons pour démontrer que nous sommes sur le chemin de la guérison, c’est justement ce besoin de vérité qui vient, comme une source d’eau claire, désaltérer les assoiffés.

C’est ce que je veux appeler le Grand Réveil.

Et ce Grand Réveil a bien plus de puissance que n’importe quel virus, n’importe quelle vraie ou fausse pandémie. Ce Grand Réveil se propage à l’échelle planétaire comme le lever du jour succède à la nuit, comme l’obscurité cède sa place à la lumière. D’un seul coup, nous comprenons tout plus clairement sans avoir à nous forcer. Tout ce qui nous semblait obscur devient soudainement éclairé, et à la place de cette oppression que nous ressentions à l’intérieur de nous, un énorme soupir de soulagement car nous nous sentons délivrés.

Et cette lueur du jour qui vient nous éblouir de sa lumière, nous permet de voir et de regarder ce monde dans sa nouvelle réalité.

On a voulu nous enfermer, nous isoler, nous couper les uns des autres et en réaction nous apprécions maintenant la saveur douce de la liberté, la chaleur de se retrouver, et un besoin intense de nous aimer car nous avons compris que les êtres humains ne peuvent être heureux que dans la fraternité, la solidarité, l’entraide et l’amour partagé.

Quel fantastique bond en avant ! Quel merveilleux retournement de situation ! Quelle extraordinaire prise de conscience, prélude au changement salutaire dont nous avons tous besoin pour retrouver notre humanité.

Nous réalisons que ce monde ancien qui disparait, emporte avec lui tout ce qui a pollué nos vies, tout ce qui nous a salis et avilis, tout ce dont nous n’avions pas vraiment besoin. Les chaînes de la servitude volontaire se brisent comme par enchantement faisant de nous des êtres nouveaux, enthousiastes à l’idée du grand changement, d’une nouvelle vie plus saine, plus vraie, plus conforme à notre nature profonde et en harmonie avec l’univers qui nous entoure. Le Grand Réveil donne naissance à une Nouvelle Vie !

Et en regardant en arrière, comme dans un immense tremblement de terre, nous voyons s’effondrer les tours de l’égoïsme dans les flammes, les buildings du matérialisme transformés en amas de pierres, les monuments du consumérisme en poussière, les temples de la perversion dans le feu des enfers… Un châtiment divin qui s’abat sur ce monde ancien pour le détruire et l’enterrer, et un chemin qui s’ouvre vers un nouveau destin plus apaisé…

Nous réalisons que tout ce dont nous avons vraiment besoin n’existait pas dans ce monde ancien et que nous n’avons rien à regretter car qui pourrait se plaindre de retrouver la vraie liberté, la vraie fraternité ?

Nous accédons à un niveau de conscience qui fait de nous des êtres nouveaux, régénérés, remplis d’empathie, de sentiments purs, prêts à donner et à recevoir de l’amour, prêts à construire un monde plus conforme à ce que nous sommes. L’amour, la plus subtile des énergies, cette énergie qui permet de déplacer des montagnes, cette énergie pure et gratuite que Dieu nous a donné et que les maîtres ce monde ancien ont étouffé car ils en connaissaient la puissance…

Et dans ce triptyque divin, le Grand Réveil, la Nouvelle Vie, l’Amour, nous réalisons que tout ce que les prophètes de malheur nous promettaient, n’a plus sa place dans ce monde nouveau. Pour nous qui sommes miraculeusement éveillés, pas de guerre civile, pas d’affrontements, pas de violences, pas d’intolérance, pas de haine. Tout ceci disparaît dans le feu et dans les ruines, que cet éveil de la Conscience a provoqué…

Nous sommes délivrés. Enfin libres !

Le mot Apocalypse signifie Révélation. Et comme le disait si justement Robert F. Kennedy :

« Nous sommes dans la dernière bataille. C’est l’Apocalypse. Nous nous battons pour le salut de l’humanité. Nous savions tous que cela allait arriver à un moment donné. Je n’ai jamais cru que ça arriverait de mon vivant, mais c’est arrivé. Nous sommes quelques chanceux, le groupe des frères et des sœurs, et nous savons quel est notre travail dans cette vie. Nous savons que nous faisons partie de cette bataille. Tout le monde ici, j’en suis certain, sait quel est son devoir et va le faire et je serai à vos côtés quand vous agirez. Je sais que vous serez à nos côtés… »

Ouvrons nos cœurs, ouvrons nos bras et transmettons à tous ceux qui sont disposés à le recevoir, ce virus de la Vérité car il donne accès à ce que nous avons de plus précieux, de plus pur, de plus contagieux : l’Amour.

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[Voir aussi :
Note sur les problèmes et les opportunités
La clef de la libération
Note sur l’avenir
Note sur la science, la magie et la religion
La vue, la vision et la vie
L’Effet Jupiter et la purification de l’Humanité
Mourir libre ou vivre esclave]




Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine

[Source : Medien-Klagemauer.TV]

Selon AXA Assurance, les problèmes de santé mentale des personnes ont fortement augmenté pendant la crise du Covid-19. Julia Asbrand, psychologue et chercheuse à l’Université Humboldt de Berlin, a écrit, au nom de nombreux collègues, une lettre ouverte au gouvernement fédéral.
Dans tout le pays, les psychiatres pour enfants et adolescents ainsi que les psychothérapeutes tirent la sonnette d’alarme quant à l’augmentation de l’agressivité, des troubles du sommeil, de l’anxiété à l’école, des troubles alimentaires, de la dépression et de la toxicomanie chez les jeunes, voire des suicides. À ce stade, la question se pose de savoir si les mesures de confinement sont réellement justifiées, compte tenu de ces conséquences dramatiques sur la santé mentale de la population.

Pourquoi empêche-t-on par tous les moyens un débat public sur la proportionnalité des mesures anti Covid ?
Une réponse possible est fournie par David Icke, journaliste et écrivain.
Depuis 1996, il étudie intensivement les opérations de contrôle mental menées par les services de renseignement et les gouvernements. Icke analyse les mesures de confinement à travers le monde et déclare :
« Ce qui est actuellement appliqué dans le monde entier, ce sont des techniques systématiques de coercition, de contrainte et de programmation de la perception qui sont pratiquées sur les individus depuis très, très longtemps. »

Comment en arrive-t-il à des déclarations aussi radicales ?

Les mesures actuelles contre le Covid-19, telles que l’isolement, le port de masques, les peurs massives qu’on attise ou la privation de libertés, présentent des parallèles frappants avec les méthodes de la CIA visant à manipuler délibérément la conscience des gens.

Dans les années 1950, dans le cadre du projet MK-Ultra, des psychologues de renom ont étudié les techniques de manipulation de la conscience. En 1956, par exemple, le psychologue Alfred Biderman a exposé les résultats de ses recherches dans le « diagramme de coercition de Biderman ».
Ce diagramme est considéré comme un cadre de méthodes visant à briser l’esprit humain, le respect de soi et la résistance des individus.
Biderman note que la torture psychologique est « le moyen idéal pour briser un prisonnier » car « l’isolement affecte les fonctions cérébrales du prisonnier tout autant que le fait de le battre, de l’affamer ou de le priver de sommeil. » Pour briser la volonté d’une personne, il suffit de la priver de tous les contacts sociaux, de la désorienter, de perturber ses rythmes biologiques et de la soumettre à un stress massif.

Les méthodes psychologiques nommées par Biderman ont été conçues pour la destruction ciblée de la psyché humaine.

Les mesures du gouvernement contre le Covid n’ont-elles que des similitudes fortuites ou sont-elles intentionnelles ?

  1. Isolement :
    Briser la force de résistance des victimes en retirant le soutien social de la famille ou des amis. Cela se fait par le biais du confinement, du travail à domicile, de l’enseignement à domicile, etc.
  2. Monopolisation de la perception :
    Fixer constamment l’attention sur la situation actuelle difficile. Une telle fixation sur le Covid n’est obtenue qu’en diffusant continuellement des informations dominantes sur le Covid qui excluent toutes les autres perceptions, c’est-à-dire les autres opinions.
  3. Atteindre l’épuisement, affaiblir la force de résistance :
    En interdisant tout ce qui est amusant, en imposant de lourdes charges, comme l’enseignement à domicile, les gens s’épuisent de plus en plus.
  4. Cultiver les peurs :
    Des peurs massives sont créées par des scénarios d’horreur constamment répétés.
  5. Assouplissements occasionnels :
    … ils provoquent une motivation à être docile, créent un espoir de changement, qui est sans cesse déçu. Cela crée une dépendance des victimes et réduit leur résistance. Les espoirs d’une fin rapide d’un confinement sont toujours déçus. À Noël, des concessions ont été faites, pour être ensuite annulées. Toujours de nouvelles perspectives d’assouplissement : Si nous descendons en dessous d’un taux d’incidence inférieur à XY, alors…
  6. Diminuer l’estime de soi en dégradant et en imposant des exigences insensées :
    De nombreuses mesures sont perçues par les gens comme contradictoires, dénuées de sens et arbitraires, telles que le port d’un masque pour se promener, des taux d’incidence douteux, l’ouverture de grandes surfaces et la fermeture de petits magasins, etc.…
  7. Développer une accoutumance à la situation exceptionnelle :
    Plus l’espoir d’une fin rapide du confinement est déçu, plus les gens sont censés s’habituer à cette situation inévitable.

Selon David Icke, les autres moyens sont les menaces en cas de violation et les assouplissements occasionnels en cas d’obéissance, ainsi que la démonstration de l’omnipotence. Plus les consignes sont triviales, stupides et ridicules, plus la dignité humaine est détruite. Le port de masques est un élément central de la guerre psychologique. Cela déshumanise et rend anonyme.

David Icke voit dans les ordres constamment changeants et contradictoires du gouvernement non pas de l’incompétence, mais de la méthode. Tout cela conduit à rendre les gens si dociles qu’ils ne devraient plus avoir leur propre raisonnement, leur propre perception et leur propre opinion. Pourquoi ?

Il est évident que les personnes psychologiquement affaiblies ne sont utiles que pour la mise en œuvre du « Great Reset » proclamé par le Forum économique mondial. Le but est de rendre les gens dociles à des changements planifiés de longue date qui sont tout à l’avantage des oligarques financiers et au détriment absolu des peuples.

Derrière les belles promesses de justice sociale et de nouveau départ écologique se cache l’imposition d’un despotisme global et totalitaire d’une minorité qui, totalement absorbée par elle-même, veut T O U T posséder et contrôler.

Cependant, selon David Icke, cela ne fonctionne que tant qu’une population désorientée, divisée, intimidée ou flegmatique laisse tout cela lui arriver, sans aucune réflexion et sans coordination.
Face à une grande résistance, tout ce « cirque » éclaterait immédiatement !

de rw., ag.


[Voir aussi :
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19]


Sources/Liens :

Anstieg psychischer Erkrankungen:
https://www.youtube.com/watch?v=V3WheSUqOpQ

Anstieg Psychischer Probleme bei Kindern und Jugendlichen:
https://www.welt.de/wissenschaft/article226432247/Corona-Mehr-Kinder-und-Teenager-brauchen-psychiatrische-Hilfe.html

Forschungsergebnisse zu psychologischer Kriegsführung, MK-Ultra, Geheimdienste, Biderman u.a.:
Wissenschaftlicher Artikel „Foltern für das Vaterland: Über die Beiträge der Psychologie zur Entwicklung von Techniken der weißen Folter“ von Prof. Rainer Mausfeld, April 2009;
http://www.uni-kiel.de/psychologie/psychophysik/mausfeld/Mausfeld_Psychologie%20und%20Folter.pdf

David Icke: „Die systematische Zerstörung der menschlichen Psyche“ vom 17.11.2020:
www.youtube.com/watch?v=Asi0XpTxi7E

Bidermans Diagramm des Zwangs:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1806204/pdf/bullnyacadmed00378-0046.pdf
https://www.strath.ac.uk/media/1newwebsite/departmentsubject/socialwork/documents/eshe/Bidermanschartofcoercion




« Ceci n’est pas un vaccin »

Par Lucien Samir Oulahbib


Dans ce moment surréaliste si douloureusement vécu, cette affirmation dans le titre n’est peut-être pas tant que cela une énième imitation de Magritte, mais l’illustration de notre triste réalité devenue même hyperréaliste, en ce sens où nous est imposé (en guise de « science » censée nous « éclairer » sur ce « réel » sanitaire) un trompe-l’œil : il s’agit en effet d’un modèle coercitif Canada Dry de perception et de comportement. La peinture présentée montre ainsi qu’une thérapie génique expérimentale (TGE) ayant une autorisation provisoire de mise sur le marché et appelée pompeusement « vaccin » aurait pour but de protéger non pas soi-même, mais « autrui » (nous pourrions lui faire du mal sans le savoir) ; ce qui implique déjà alors de ne plus percevoir ce « médicament vaccinal » comme ayant pour objet d’abord de protéger son porteur, mais d’empêcher qu’il puisse nuire, voilà la réalité (inédite) telle qu’elle nous est peinte. Et à laquelle il est sommé de croire sous peine d’être mis à l’Index..

Or, il s’avère que personne, pas même parmi les « positifs », n’est transmetteur sans symptômes (Fauci l’avouait il y a plus d’un an dans ses emails confortant ce qu’une docteure de l’OMS avait indiqué à la même époque — avant de se faire rabrouer — ainsi que l’Institut Pasteur), ce qui rendrait alors d’autant plus caduque la volonté de « vacciner » les enfants et adolescents. Ces derniers sont bien loin d’être les victimes majeures de cette maladie, celle-ci étant alimentée plutôt par le manque de soins préventifs précoces…

C’est donc bien ce détournement de fonction dudit « vaccin » (censé d’abord protéger son porteur) qui s’avère de plus en plus irréaliste, irresponsable, inconcevable, puisque tout le discours sur le côté principalement « asymptomatique » d’une maladie aux taux de létalité et mortalité infimes s’avère en réalité être de plus en plus faux…

Et pourtant cela n’empêche pas que des pseudo philosophes tels Enthoven et Onfray (par ailleurs guère connus comme étant des spécialistes en matière de santé) éructent des menaces, bien loin de leur posture maniérée en matière de tolérance stoïque de bon aloi. Exit donc Montaigne et Voltaire. Chassez le naturel, place à l’Inquisition au nom de « la » Morale (maximaliste pour le coup). Ne parlons pas d’un pseudo journaliste comme Patrick Cohen et d’autres encore, sans oublier nos deux « médecins » Dupont et Dupond — Alexandre et Marty — dont les visages défigurés par l’envie et la haine/jouissance solitaire dévoilent qu’ils deviennent le portrait craché que tentait en vain de cacher Dorian Gray dans son intimité.

Pourtant cela repart de plus belle en une GB de plus en plus « vaccinée », sans oublier les 1/1000 de myocardite chez les jeunes en Israël (comme l’indique le Courrier des Stratèges), comme si cette TGE inoculée avait pour but en réalité d’augmenter la fonction venimeuse du virus puisqu’il posséderait un « gain de fonction » permettant d’être mieux accepté par l’organisme humain. C’est en tout cas ce qui semble indiquer son séquençage selon Alexandra Henrion-Caude montrant dès novembre 2020 que ce « gain » aurait même été « breveté » : Fauci reconnaît l’existence de recherches liées à un tel « gain », tout en démentant le fait que sa participation financière au laboratoire P4 incriminé ait eu pour objet ce dernier… Pourtant, l’on ne voit pas vraiment comment dans une structure aussi opaque au sein d’un régime politique fait de la même matière la teneur des sommes allouées pourrait être vérifiée comme Fauci le prétend…

Mais peu importe, surtout s’il s’avère en tout cas qu’au fond ce « gain de fonction » peut faciliter la transmission du virus à l’organisme humain et que ledit « vaccin » est précisément structuré à partir d’une de ses parties (dont cette fameuse protéine Spike), car l’hypothèse se renforce en stipulant que ce virus à la réalité augmentée serait le levier permettant ce Grand Reset ou ce grand remodelage des sociétés urbaines contemporaines en route vers le tout numérique et le tout sanitaire, nos corps et esprits devenant le produit à manipuler fabriquer et vendre en même temps (le tout au nom également de la lutte contre le réchauffement climatique). « Vaccinés », nous voilà ainsi encore plus perméables à ce virus augmenté (puisque directement inoculé et non plus reçu aléatoirement), devenant donc dépendants de « l’antidote » que serait la « dose » [vaccinale] vendue, un peu comme dans les films de SF, ou plus prosaïquement à la façon des « addictions », alors qu’ayant des traitements précoces et prenant tout ce qu’il faut pour rester en bonne santé nous n’aurions pas besoin de tout cela en réalité…

Le « tout hygiéniste » formaté par la Secte Scientiste Affairiste (SSA) est ainsi parti à l’assaut global du dernier terrain vague supposé : nos corps qu’il faut littéralement programmer, baignant par ailleurs dans cette eau intellectuelle putride bien imaginée dansI-robot et Minority report, et que des pré-cyborgs en tête de gondole cherchent à nous vendre en guise d’élixir de vie.

Lucien Samir Oulahbib

Le 07/06/2021

Dernier ouvrage paru : Rhombe:
https://www.editions-harmattan.fr/livre-rhombe_les_nouvelles_eve_marie_marianne_les_nouveaux_adam_moise_jacob_lucien_samir_oulahbib-9782343233161-69943.html




Ça ne fait pas plus mal qu’une « bine » — Le geste de Christian Dubé et ses acolytes est-il si innocent qu’on veut bien nous le faire croire ?

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Ndlr : « bine » terme québécois pour « coup de poing »]

Par Guy Boulianne

Dans un article paru le 20 mai 2021, j’écrivais ceci : « J’aimerais bien savoir où se situe la frontière exacte entre le « complotisme » et le fait de se poser des questions légitimes vis-à-vis des événements qui se déroulent sous nos yeux. Il faut admettre que les personnes qui ont le droit au micro en cette société s’ingénient souvent à semer des doutes dans l’esprit de la population. Comme si tout cela était volontaire afin de maintenir la population dans la confusion la plus totale. N’est-ce pas là une manière de conserver le contrôle sur le mental des individus qui ne savent plus trop « à quel saint » se vouer pour faire le tri entre la vérité et le mensonge ? » Évidemment, je conserve toujours ce même point de vue aujourd’hui.

Le 4 mai dernier, le ministre de la Santé Christian Dubé a surpris les internautes avec la publication d’une publicité silencieuse invitant les Québécois(es) à se faire vacciner. On le voit faire un rond avec les doigts de sa main droite en fixant la caméra avec un sourire étrange. Un message suit en mentionnant : « Ça ne fait pas plus mal qu’une “bine”. Fais-toi vacciner. ». Ce signe des doigts, qui forme un « OK », ferait référence au circle game ou « jeu du rond », fort populaire auprès des adolescents. Si le regard d’autrui est porté vers le signe à la hauteur des hanches, le « perdant » peut recevoir une « bine ». On peut lire dans la publication du ministre : « Si t’as regardé, je t’en dois une », sous-entendant que le vaccin ne fait pas plus mal qu’une bine (je suis désolé, mais quiconque a déjà reçu une « bine » sur l’épaule, sait que cela fait plutôt mal). Le même jour, la cheffe du Parti libéral, Dominique Anglade, et la co-porte-parole de Québec solidaire, Manon Massé, ont toutes deux imité M. Dubé dans leur propre version de la vidéo. Chacune s’est fait reprocher de véhiculer un symbole des suprémacistes.

Les politiciens jouent les ignorants. Le premier ministre du Québec, François Legault, écrit sur sa page Facebook : « Vraiment pas sûr de comprendre de quoi on parle, mais comme le dit Christian, faites-vous vacciner! » Quant à elle, la co-porte-parole de Québec solidaire, Manon Massé, écrit sans gêne : « J’ai pas encore compris, mais si ça peut aider… », tandis que la cheffe du Parti libéral, Dominique Anglade, mentionne : « J’ai aussi regardé la vidéo, et ça ne fait pas plus mal qu’une « bine ». Fais-toi vacciner ! » Est-ce à dire que ces politiciens sont disposés à faire n’importe quoi — « en toute méconnaissance de cause » — avec l’argent des contribuables ? On dirait bien à la lueur de ce que l’on voit ici …


« Pour communiquer avec ses affiliés sans être compris des autres gens, il emploie des signes convenus d’avance » (Commentaires de « Bible annotée »)


S’agit-il d’un geste innocent ?

Signe, doigts, 666

Les médias “mainstream” prétendent que le geste posé par Christian Dubé et ses acolytes fait référence au « jeu du rond ». À l’origine, ce qu’on appelle le « jeu du rond » est généralement joué par les adolescents, et il consiste à faire regarder ce signe par une autre personne. Si on réussit, cela donne le droit de faire une « bine » à celui qui a regardé. Mais dans les commentaires sous les publications des politiciens, alors que certains s’interrogent sur le sens de la vidéo et du symbole, d’autres rappellent que le signe de rond fermé, quand il est montré dans les airs, est en fait un signe de la main récupéré par des groupes suprématistes.

En Grande-Bretagne, la Ligue de l’anti-diffamation l’a placé dans son document « Hate on Display » en l’an 2000. L’Anti-Defamation League tient à souligner que le plus souvent, le symbole signifie que tout va bien : « L’utilisation écrasante du geste de la main aujourd’hui est toujours son objectif traditionnel. » Personnellement, je ne crois pas que ces politiciens aient souhaité utiliser un symbole suprématiste. C’est la raison pour laquelle il faut savoir utiliser les symboles avec parcimonie, surtout venant de politiciens ayant une haute responsabilité sociale. Comme je l’écrivais le 29 avril dernier, on doit comprendre qu’il faut utiliser les symboles avec intelligence, car ceux-ci peuvent avoir une connotation insoupçonnée. Le symbole montre, réunit et enjoint. Selon l’encyclopédie Universalis :

« Le symbole, d’abord, montre ; il rend sensible ce qui ne l’est pas : valeurs abstraites, pouvoirs, vices, vertus, communautés. Il ne s’agit pas de la simple analogie, régie par la conjonction « comme ». « Laid comme un crapaud » ne signifie pas que le crapaud est le symbole de la laideur, privilège qu’il partagerait… avec les sept péchés capitaux ! On dit d’ailleurs aussi « laid comme un pou ». En d’autres termes, le symbole est exclusif. Le courage ne saurait être symbolisé que par le lion, lequel, d’ailleurs, n’accepte que difficilement de symboliser autre chose (l’orgueil est plutôt symbolisé par le paon). C’est qu’il faut que chacun puisse reconnaître le symbole comme tel, qu’il n’y ait pas de contestation quant à son contenu et son sens. On voit par là qu’il a une valeur pour le groupe, pour la communauté, pour la société, qu’il a pouvoir de rassemblement, de consensus, en d’autres termes que le symbole est social. »


guy.boulianne · Publicité de Christian Dubé : le message aura-t-elle la portée espérée chez les adolescents?

Le pasteur Paul Ballière écrivait en 2017 : « Depuis quelques années, un signe d’envergure mondiale, apparaît de plus en plus dans notre quotidien; si fréquent que l’on n’y prête pas attention. Ce signe, ou signal, est l’un des gestes des mains le plus couramment utilisé ces derniers temps. Il se réalise en connectant l’index et le pouce de la main, formant un cercle et en laissant les trois autres doigts étendus en l’air ; peu importe si c’est la main gauche ou droite. » En général, dans la partie occidentale du monde, il est interprété comme voulant dire « c’est bon », « approuvé » ou « apprécié ». Il convient de noter que cette interprétation a été promue et popularisée par l’influence subtile de la propagande des médias, ainsi que des magazines, et des centres commerciaux.

Comme beaucoup d’autres signes ou gestes, il a un sens beaucoup plus sombre et beaucoup plus profond dans les cercles occultes. Dans une large mesure, sa signification passe inaperçue parce que le système de la culture moderne est conçu de telle manière que ce genre de signe devient une mode ; sa signification originale, particulièrement sombre, est donc imperceptible. Comme le signe « des cornes », popularisé par des groupes de Heavy Metal, il semble que ce signe a été propagé, lui aussi, ces dernières années, par des groupes de rock, certains chanteurs et rappeurs, de nombreux artistes influents, et l’industrie populaire de la musique.

Dans ce contexte, quelle est la signification de ce signe ? L’Apocalypse évoque le nombre de la Bête (l’anti-Christ) : 

« C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence, calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. » 

(Apocalypse 13:18)

Dans le satanisme, l’inclinaison des trois doigts en l’air, forme trois six, 666. En raison du contexte et de son utilisation, et souvent combiné avec d’autres symboles ou signes occultes, le signal « OK » prend un sens différent, avec une toute autre signification que : « c’est bon ». Dans la philosophie des illuminati, le signe « OK » devient une approbation et une annonciation de la venue du « Seigneur de la lumière », que nous connaissons comme l’Antéchrist, ou la Bête du livre de l’Apocalypse.

Quoi qu’on en pense, il demeure étrange que les publications récentes de Christian Dubé et ses acolytes rejoignent symboliquement les publicités de Urbania que le Gouvernement du Québec a soutenu il y a quelques temps. Voici ce que j’écrivais sur Facebook le 12 avril 2021 : « Le Gouvernement du Québec a apposé sa signature satanique dans les publicités de Urbania concernant ses projets d’électrification de la province, d’économie verte, d’énergies renouvelables et de villes intelligentes. C’est ce qui se prépare en douce pendant que la population est en confinement, dirigée avec une main de fer sous le couvert du couvre-feu. » Mon compte Facebook fut fermé quelques heures après cette publication.


« L’homme pervers, l’homme inique, Marche la fausseté dans la bouche; Il cligne des yeux, parle du pied, Fait des signes avec les doigts; La perversité est dans son coeur, Il médite le mal en tout temps, Il excite des querelles. »

(Proverbes 6:12-14)



RÉFÉRENCES :



Le Christ à deux doigts d’être battu par les firmes pharmaceutiques qui vaccinent ?

Par Alain Tortosa

« Miracle » ou « catastrophe » aux Seychelles ?

Cela fait maintenant des semaines que les « complotistes terroristes débiles ennemis du peuple paranoïaques » trouvent plutôt « étrange » que de nombreux pays qui se sont lancés dans la folle course à la « vaccination » de leur population générale (et jeune), en bonne santé, vivent une explosion du nombre de cas et de décès…

Cette information demeure bien sûr totalement niée et cachée par la Pravda française !

Mais voilà qu’un magazine sérieux comme Forbes(([1] https://www.forbes.com/sites/roberthart/2021/05/29/some-countries-with-the-highest-vaccination-rates-are-facing-a-surge-in-covid-deaths-and-infectionsexperts-say-complacency-is-partly-to-blame/?sh=51b970c84457)) publie un article confirmant cette réalité des chiffres.

Les pseudo « vaccins » seraient-ils alors dangereux ou à minima inefficaces ?

Blasphème !

Si vous le pensez, c’est que vous n’avez strictement rien compris aux saintes Écritures de l’église du coronavirus… comme d’habitude !

Comment pourrions-nous être stupides au point de croire qu’il pourrait y avoir un lien entre vaccination et augmentation de l’épidémie quand bien même cette information se vérifie dans de très nombreux pays?…

Prenons l’exemple des Seychelles.

Le virus n’aimant pas voyager et encore moins les plages de sable fin ou la chaleur avait décidé de boycotter massivement les Seychelles.

Au point qu’au 1er janvier 2021 le pays avait dénombré 256 cas(([2] https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&hideControls=true&Metric=Confirmed+cases&Interval=Cumulative&Relative+to+Population=false&Align+outbreaks=false&country=~SYC)) officiels depuis le début de la crise pour un total de… 1 mort !

Devant une telle hécatombe, décision fut prise de vacciner l’ensemble de la population qui compte un peu moins de 100 000 habitants.

Comme quoi il y a encore des politiques dignes qui pensent avant tout à leur peuple et certainement pas à l’argent !

La raison officielle en fut la réouverture du tourisme !

Mais parlons-en, des touristes !

Cette réouverture(([3] https://www.lefigaro.fr/voyages/sans-vaccin-ni-quarantaine-les-seychelles-rouvrent-en-grand-aux-touristes-20210324)) « en grand » a été fixée au 25 mars 2021 pour toutes les personnes, y compris les non vaccinés, un test PCR étant obligatoire et suffisant ! (test PCR y compris pour les vaccinés).

Pour autant, notez que les Seychelles ont quand même reçu des touristes en 2020.

Le chiffre d’affaires(([4] https://www.reuters.com/article/seychelles-economy-idUSL8N2KM4G7)) n’a chuté « que » de 61 % et il y a eu par exemple environ 2000 touristes au mois de juillet 2020.

Vous pourrez constater sur les courbes de cas (et encore plus sur celles des décès) que cette présence touristique n’a pas été de nature à faire apparaître une épidémie demeurée quasi inexistante jusqu’à début 2021.

Donc début janvier 2021, la campagne de « vaccination » débute avec le vaccin chinois puis de l’AstraZeneca.

Dès le 11 février, 50 % de la population a reçu une dose de vaccin et au 30 mars 100 % de la population a reçu au moins une dose. En 3 mois, 100 % de la population a reçu une dose.

Voici la courbe des cas :

Nous voyons une quasi-absence de cas jusqu’au 4 janvier, date où le nombre se met à fortement augmenter…

Il est néanmoins difficile d’accuser le vaccin dès lors que la vaccination n’aurait débuté que le 9 janvier.

La courbe de cas croit de façon forte et linéaire jusqu’au 29 avril où le pourcentage de doses administrées est déjà de 129 % (on peut donc supposer que 29 % de la population a eu 2 doses).

Un être naïf comme moi aurait pu penser qu’avec 100 % de la population ayant reçu une dose depuis le 27 mars, dans ces conditions, un mois plus tard… les effets de la vaccination devraient se faire sentir positivement, non ?

Mais là pas du tout !

À partir du 29 avril, la courbe d’augmentation de cas est quasi verticale !

Jetons maintenant un œil à la courbe des décès :

  • 1 mort au total le jour de la première vaccination soit 10 décès par million d’habitants
  • Le 15 février, alors que 50 % de la population a reçu une dose, il y a déjà 8 morts soit 81 décès par million d’habitants (8 fois plus).
  • Le 27 mars, alors que 100 % de la population a reçu une dose, 20 morts, soit 203 morts par million d’habitants vs 10 morts par million d’habitants 3 mois plus tôt !
  • Le 29 avril, un mois après que 100 % de la population ait reçu une dose, 26 morts, soit 264 morts par million d’habitants.
  • Le 2 juin soit deux mois après que 100 % de la population ait reçu une dose, 42 morts pour 427 morts par million d’habitants vs 10 avant le début de la vaccination.

Les autorités et les spécialistes (mais aussi les Pravda) sont donc arrivées à la conclusion « évidente » que la cause en était les habitants heureux d’être libérés du fléau invisible…

Je vous rappelle qu’il n’y avait pas d’épidémie dans le pays… et donc les habitants se sont mis à faire la fête et ont arrêté de respecter le port du masque et les gestes barrières après le début de la campagne !

Un représentant du gouvernement(([5] https://la1ere.francetvinfo.fr/reunion/seychelles-80-des-personnes-infectees-n-ont-pas-ete-vaccinees-1004674.html)) a même mis en garde ses concitoyens contre un relâchement du respect des mesures sanitaires et déclaré début mai :

« Les Seychellois, parce qu’ils sont vaccinés maintenant, se détendent et pensent que tout va bien. Nous baissons la garde, nous ne sommes pas aussi prudents qu’avant ».

Et notant le fait qu’il n’y avait que deux cas graves en réanimation au moment de ses déclarations…

« Cela montre que la vaccination a eu son effet ! »

Bien bien, bien…

Notons plusieurs points intéressants :

  • Le virus circulait aux Seychelles avant la vaccination et leur première vague. Il y avait bien des flux migratoires, des touristes, et donc l’épidémie n’est pas arrivée ex nihilo.
  • Le nombre de cas a commencé à augmenter fin décembre et le nombre de décès début janvier ce qui pourrait constituer une preuve que le vaccin n’aurait pas créé la vague.
  • Le « vaccin » ne pourrait pas être la cause de la vague d’autant plus qu’au 19 janvier, seuls 10 % des habitants avaient reçu une dose ce qui semble bien faible et bien court pour provoquer une épidémie…
  • La courbe des cas demeure linéaire jusqu’au 29 avril alors que 100 % de la population a reçu une dose depuis plus d’un mois. Cela tendrait à prouver que les habitants ne se sont pas relâchés à moins que par miracle la vaccination ait parfaitement contré l’augmentation qui n’aurait pas manqué de se produire sans vaccination (étant donné qu’elle est déclarée « efficace »).
  • L’hypothèse du relâchement, déjà utilisée pour l’Inde et les bidonvilles de New Delhi pourrait faire rire.
    • Les îles Seychelles possèdent des plages de classe mondiale et un luxe cinq étoiles attirant une classe élite de touristes. Mais l’argent du tourisme de l’archipel ne profite pas aux citoyens les plus pauvres du pays: des dizaines de maisons ne disposent ni d’électricité, ni de toilettes intérieures, ni d’eau potable traitée.
      Héléna De Letourdis, directrice générale adjointe du bureau, a déclaré :
      « Cela montre que 32 % de la population des Seychelles est pauvre de manière multidimensionnelle et souffre de privations liées au niveau de vie, à l’éducation, à la santé, à la nutrition et à l’emploi.(([6] http://www.seychellesnewsagency.com/articles/11029/Une+enqute+sur+la+pauvret+aux+Seychelles+rvle+que++familles+peinent++se+procurer+des+produits+de+premire+ncessit))»
      De fait, qui pourrait gober que cette population pauvre, mal éduquée, ne disposant pas du nécessaire pour vivre dignement… porterait parfaitement un masque et respecterait des gestes barrières ?
    • Comment expliquer que la vaccination, au contraire de diminuer la vague, la fait exploser par la suite, alors même que toute la population a reçu au moins une dose ?

Autre point intéressant le même ministre a déclaré que :

« Les Seychelles viennent d’annoncer très officiellement que 80 % des personnes, testées positives lors de cette troisième vague, n’ont pas été vaccinées »

Dans des documents transmis à l’OMS,(([7] https://www.aljazeera.com/news/2021/5/12/who-reviewing-seychelles-data-after-fully-vaccinated-get-covid)) il ajoutait :

« The seven-day rolling average of positive cases increased from 120 on April 30 to 314 on May 8, the ministry said in a statement late on Monday, with almost two-thirds of the positive cases being close contacts of another person testing positive.

Some 37 percent of those testing positive had received both doses of a vaccine, it said. »

Plus d’un tiers des contaminés avaient reçu 2 doses de vaccin !

Ce qui est déjà de nature suffisante pour critiquer le côté protecteur et immunisant du « vaccin ».

Et pourrait peut-être aussi expliquer pourquoi même les vaccinés doivent fournir un test PCR négatif avant de pénétrer le pays !

Cela nous montre à quel point les autorités elles-mêmes ne croient pas à l’efficacité du vaccin…

D’autre part, si l’augmentation délirante de l’épidémie, notamment à partir du 29 avril, était liée au vaccin, cela pourrait vouloir dire que les vaccinés seraient de fait des super-contaminateurs…

Autre point intéressant précisé au 8 mai.

« Les Seychelles comptent actuellement 1 068 cas actifs. 84 % sont des Seychellois, 16 % des touristes ou des étrangers. »

Cette information soulève plusieurs questions :

  • Hypothèse 1 : Les touristes ont importé du virus malgré les quarantaines et autres tests PCR. Ce qui tendrait à prouver que ces mesures ne servent à rien et que le test PCR est une fumisterie.
  • Hypothèse 2 : Les touristes ont été contaminés sur place par les autochtones massivement vaccinés.

La vérité ne peut qu’être un mélange des deux..

Des touristes ont importé le virus et des autochtones ont contaminé des touristes, autochtones eux-mêmes contaminés par des touristes…

Le problème des cas :

Il est impossible de baser son raisonnement sur le nombre de cas.

D’une part parce que les tests PCR peuvent dire n’importe quoi selon le nombre de cycles et qu’il est possible de jouer sur ceux-ci pour modifier les courbes.

D’autre part, et étant donné que le pays avait décidé de vacciner début janvier…

En effet 50 000 doses de vaccin (chinois) sont arrivées le 22 décembre, offertes par les Émirats Arabes Unis.

Il était de fait logique d’accroître les tests :

  • Pour suivre l’évolution de la maladie du fait de la vaccination.
  • Pour augmenter artificiellement le nombre de cas, plus on teste plus on trouve, afin de « motiver » la population à se faire vacciner… ce que la France a fait en créant sa fausse 3e vague de Covid pour vendre du vaccin. À ce propos, vous comprenez bien qu’une nouvelle vague sera indispensable en France à la fin août, malgré la vaccination massive et délirante des adultes, pour vacciner les enfants dont même les autorités répètent qu’elles ne sont PAS à risque !

Il est donc IMPOSSIBLE de se fier à l’évolution du nombre de cas…

La Seychelles News Agency (leur AFP locale) indiquait dans une publication du 4 janvier(([8] http://www.seychellesnewsagency.com/articles/14135/Seychelles+to+unveil+vaccination+plan+this+week+as+COVID-+infection+spreads)) que le président serait le premier à recevoir une dose (d’eau salée?), marketing oblige, et que les personnels de santé seraient les premiers à se vacciner.

Pourquoi le gouvernement attendrait-il le 9 janvier, soit 18 jours après l’arrivée des premiers vaccins, pour administrer les premières doses à des professionnels de santé si « fiers » de lutter contre l’épidémie (qui le 22 décembre est quasi inexistante) ????

Il est intéressant de constater que le 8 mai le ministre précisait « that no one who had died had been fully vaccinated » (aucune personne ayant reçu deux doses n’est décédée).

En langage compréhensible cela confirme que des personnes ayant reçu UNE dose de vaccin étaient décédées (sinon il n’aurait pas ajouté « fully » ou aurait mis « partially »).

En résumé

  • Le 22 décembre, arrivée des vaccins aux Seychelles.
  • Le 16 janvier, le 2e mort officiel du Covid se produit, marquant le début d’une vague qui se poursuit jusqu’à ce jour malgré une vaccination Sinopharm et AstraZeneca (50/50). … Soit 3 semaines après l’arrivée des premières doses…
  • Il est confirmé que des personnes ayant reçu une dose sont mortes.
  • En France les premières doses de Pfizer conservées à -80°C, sont arrivées le 26 décembre et la première vaccination dès le lendemain !

Qui peut raisonnablement croire qu’il s’est passé plus de 2 semaines entre la réception de vaccins dont l’administration est classique (pas de conservation à -80°C) et les premières vaccinations de personnels de santé ?

Qui peut croire que les politiques ne voudraient pas faire la publicité de la vaccination le plus tôt possible ?

Si cette hypothèse logique de vaccination dès le 23 décembre s’avère exacte alors cela change tout !

Car :

  • Non seulement la vaccination de masse n’aurait pas été en mesure de diminuer l’épidémie
  • Non seulement la vaccination aurait fait empirer l’épidémie notamment à partir du 29 avril du fait des vaccinés devenant des super-contaminateurs.

Mais

  • la vaccination serait elle-même à l’origine de la vague qui a conduit à multiplier par 40 le taux de mortalité en 3 mois. Le « vaccin » agissant alors comme un catalyseur…

Tout ceci est difficile à prouver, la seule chose qui est CERTAINE est que la vaccination aux Seychelles n’a pas été de nature à diminuer l’épidémie.

Car, comme en France, il est gravé dans le marbre nauséabond que les confinements, port du masque et désormais les vaccinations expérimentales sont efficaces.

En science, quand tu as la preuve que le 1er confinement en France n’a pas sauvé de vies (en observant l’absence d’aplanissement de la courbe, l’absence de regain après le déconfinement et des courbes identiques dans des pays qui n’ont pas confiné), tu ne mets pas en œuvre le 2e puis le 3e confinement !

Avec leur pseudo science manipulatrice, non seulement ils ont osé dire que le confinement avait sauvé 60 000 vies, mais que l’échec potentiel pourrait être causé par le non-respect de la mesure.

Donc il suffit d’abord d’affirmer que s’il n’y avait pas eu vaccination, la situation aurait été 100 fois pire aux Seychelles puis d’ajouter qu’il faut augmenter le pourcentage de vaccinés pour parvenir à 100 %.

Puis si malgré cela, de nouveaux cas et décès se produisent, il suffira d’affirmer que c’est causé par des variants (sinon créés, tout du moins favorisés par lesdits « vaccins ») et d’administrer une 3e dose à l’ensemble de la population…

Jamais l’efficacité de la mesure ne sera remise en question, ce qui est l’apanage des pseudosciences qui ne peuvent jamais être contredites.

Nous sommes bien dans la Foi pour les uns… et dans le crime organisé pour les autres…

Et le Christ dans tout ça ?

Si on adhère aux prêches des autorités et de la Pravda, les 41 morts aux Seychelles comptabilisés depuis la campagne de vaccination ne seraient absolument pas causés par ladite « vaccination »…

Bien au contraire même, cette thérapie vaccinale expérimentale aurait permis d’endiguer la vague et épargner des dizaines de vies ou des centaines de vies…

Alors, imaginez qu’ils aient lancé la vaccination 3 mois plus tôt !

Avant même le début de leur première vague !

C’était un coup à ressusciter des dizaines de personnes décédées !

Par chance, la vaccination a été entreprise plus tard et l’église du coronavirus n’a pas pu faire mieux que le Christ !

Et pendant ce temps ?

Le peuple, jeune et vieux, se précipite pour recevoir la sainte injection qui leur permettra de retrouver leur liberté, ce qui selon les saintes Écritures de l’église du coronavirus veut dire, retrouver la possibilité de voyager et de consommer grâce à un passeport vaccinal !

Merci.

Alain Tortosa.

Le 6 juin 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210606-christ-vs-vaccin-seychelles.pdf





Fait divers inquiétant. (humour)

Par Alain Tortosa

[Photo : iStock]

Peut-être aurez-vous du mal à le croire, mais un homme de 44 ans a été retrouvé chez lui, en parfaite santé, 4 semaines après sa 2e dose de vaccin.

Étrangement, celui-ci ne présentait strictement aucun effet secondaire, pas même un petit mal de crâne.

Il a été transféré en urgence à l’hôpital par une cellule spécialement équipée pour les accidents chimiques afin de procéder aux premiers examens.

Bien évidemment son entourage a été mis à l’isolement comme il se doit et ses effets personnels ont été incinérés.

Lui-même et sa famille ont reçu (de force) 2 nouvelles doses panachées de vaccins en espérant que la solution permette d’endiguer la situation qui, si elle se répandait, pourrait s’avérer dramatique pour le monde libre.

Contacté par notre correspondant, le directeur local de la compagnie pharmaceutique, M. Bad Isvéri, ayant fourni les doses s’est voulu rassurant.

Celui-ci a déclaré à notre micro :

« Je peux vous assurer que tout est mis en œuvre depuis le début afin que nos vaccins développent un maximum d’effets secondaires. S’il y a bien une chose que l’on ne peut pas nous reprocher, c’est bien d’avoir court-circuité toutes les sécurités possibles et corrompu un maximum de soignants et de politiques. Nous avons même procédé aux premiers essais sur l’homme dès le mois d’avril 2020 pour épargner un maximum de rats de laboratoire. Hélas, nous sommes humains et il peut parfois y avoir des incidents. Croyez bien que la population est à l’abri et qu’elle peut continuer à s’injecter nos produits présents et futurs sans se poser la moindre question. »

Le directeur de l’hôpital le professeur Ted Caurup, député et président du conseil de l’ordre régional, s’est aussi voulu rassurant :

« Je confirme tout à fait les propos de mon très généreux bienfaiteur. Nous-mêmes n’avons fait strictement aucun test d’innocuité avant de vacciner en masse adultes, enfants et femmes enceintes. Je vous rappellerais aussi qu’en cas d’effets secondaires, même graves, nous interdisons tout traitement, seul du paracétamol est proposé afin de ne pas risquer de perturber le processus. »

Nous continuons nos investigations, mais d’ores et déjà il semblerait que cet individu peu recommandable ne respectait ni les confinements ni les gestes barrières.

Celui-ci avait même retiré ses enfants de l’école afin qu’ils ne portent pas de masques « maltraitants » selon ses propos incohérents.

Une expertise psychiatrique a été immédiatement diligentée par la procureuse de la République chargée de l’enquête, Mme Jay Padcouye, chargée de déterminer le degré de folie et de dangerosité de l’individu.

L’enquête de voisinage a permis de déterminer que celui-ci ne portait pas de masque, faisait du sport, se promenait souvent en forêt, qu’il prenait des vitamines et avait une vie saine.

D’autre part, fait étrange qui souligne la bizarrerie de l’individu, celui-ci ne prenait jamais de médicaments malgré son âge.

Une voisine, Mme Aimée Vichy, nous a confié que rien n’avait été fait malgré les dizaines d’appels téléphoniques anonymes qu’elle avait passés à la gendarmerie depuis le mois de mars dernier.

Le maire de Bourgnon sur Oiseuse, qui se serait bien passé de cette publicité, a quant à lui déclaré qu’il ne cautionnait absolument pas ce type d’agissements et que l’ensemble de ses concitoyens respectait scrupuleusement les mesures sanitaires surtout et y compris les plus absurdes !

Afin de limiter le brassage, il avait même été décidé que les habitants ayant un numéro pair pourraient se rendre au marché de la ville les semaines paires et inversement tout en alternant une semaine pour les hommes et une semaine pour les femmes. Les enfants pouvant s’y rendre, en toute logique, une semaine sur quatre, sauf les mois qui comportent 31 jours. Des cours du soir avaient été proposés par la ville afin de rappeler ces règles de bon sens.

Qui aurait pu prédire un tel drame ?

Nous vous rappelons que selon les données officielles de Santé Publique France, le risque de décès pour une personne jeune et en bonne santé n’est que 10 fois plus important pour les personnes vaccinées que de décéder du Covid.

Nous fondons de grands espoirs sur les variants favorisés par les vaccins afin que ce risque augmente de façon significative.

Hélas, l’objectif de plus de décès par la vaccination que par le Covid prévu pour la fin 2021 risque de ne pas se produire avant 2023 si aucun progrès significatif n’est apporté dans les vaccins actuels.

Espérons que les défenses immunitaires réduites à la fois par les gestes barrières, les confinements, les masques, le stress, l’épuisement psychologique, mais aussi surtout par les vaccins puissent accélérer les choses.

Nous ne manquerons pas de revenir vers vous surtout si nous n’avons rien à vous dire de plus…

Merci

Alain Tortosa correspondant CGN pour Facture Portes.

2 juin 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210602-vaccin-pas-effet-secondaire.pdf




Vacciner les enfants contre le covid serait « irresponsable, inutile et contraire à l’éthique »

Par Nicole et Gérard Delépine

DANGER : les enfants ne doivent pas être vaccinés par les pseudovaccins anticovid

À l’heure où l’épidémie est en voie de disparition en France, Europe et USA et que la divulgation des mails du DR Fauci montre qu’il a menti pour préparer le marché aux pseudo vaccins, il faut absolument faire échapper les petits à ces injections géniques expérimentales qui ne sont pas des vaccins, au sens classique du terme.(([1] Depuis Pasteur un vaccin se compose d’antigènes que l’on injecte pour stimuler la réponse immunitaire spécifique. Les pseudo vaccins actuels ne comportent pas d’antigène, mais un code génétique donnant des ordres à nos cellules.))

Les révélations scandaleuses qu’apporte la publication des mails de FAUCI arriveront-elles à temps à maturation pour stopper la folie vaccinale ? Ne vous étonnez pas en tous cas des gesticulations du pouvoir et des médias pour vous forcer à vous vacciner le plus vite possible, y compris les plus jeunes sous prétexte de passeport vaccinal ou autres mesures coercitives. Grâce à Macron, nous serons peut-être les derniers à l’abandonner, mais il disparaîtra en pratique, comme l’a prédit Eric Verhaeghe(([2] Pass sanitaire : Macron peut-il passer en force ? – Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) )) dans un article récent du courrier des stratèges et nous même dès avril dernier,(([3] Delépine – Passeport vaccinal : chronique d’une mort annoncée mondialisation.ca 9 avril 2021 https://www.mondialisation.ca/passeport-vaccinal-chronique-dune-mort-annoncee/5655350)) sa suppression début juin en Israël(([4] https://fr.businessam.be/trois-mois-apres-son-introduction-israel-na-deja-plus-besoin-du-passeport-vaccinal/)) et en bientôt en Grande-Bretagne(([5] https://jeminformetv.com/2021/06/01/le-pass-sanitaire-la-grande-bretagne-jette-leponge/)) le confirme.

Nous répétons depuis plus d’une année que les enfants et adolescents ne risquent rien du Covid(([6] Delépine – Les écoles doivent ouvrir comme prévu le 11 MAI 2020. Pas de danger, ni pour les enfants ni pour les adultes. Démonstration Agoravox 17/4/2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-ecoles-doivent-ouvrir-comme-223390))

La littérature internationale démontre unanimement que les enfants ne contaminent ni les autres enfants ni les adultes côtoyés. Les quelques articles qui essaient de faire croire le contraire ne s’appuient que sur des données théoriques de laboratoires ou des simulations mathématiques fausses et jamais sur des études épidémiologiques dans le monde réel, les enseignants n’étant pas plus à risque de covid que la population générale (contrairement au jeu pervers de leurs syndicats qui ont tenté de le faire croire).(([7] Institut Pasteur COVID-19 DANS LES ÉCOLES PRIMAIRES : PAS DE TRANSMISSION IMPORTANTE DU VIRUS ENTRE ENFANTS OU VERS LES ENSEIGNANTS
https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/covid-19-ecoles-primaires-pas-transmission-importante-du-virus-entre-enfants-ou-enseignants))

Même ceux qui prônent en France la vaccination pour les plus jeunes, le reconnaissent et font intervenir des arguments aussi malhonnêtes les uns que les autres.

Le plus ridicule propose la vaccination comme antidépresseur ! « Vacciner les enfants les ferait rentrer dans le sort commun (!) et donc « aiderait à leur reconstruction psychologique » ! Message pervers qui a le mérite de reconnaître qu’en tant que protection contre le covid, il n’a aucun rôle.

Une couverture vaccinale très élevée peut-elle empêcher les contaminations ?

Des apôtres de la vaccination covid des enfants veulent l’imposer pour obtenir la couverture vaccinale la plus élevée possible(([8] dont on sait avec l’exemple de la rougeole qu’elle est incapable d’éradiquer le virus)) dans le but officiel de sauver les personnes âgées. Mais les pays qui ont les plus hauts taux mondiaux de couverture vaccinale comme le Bhoutan (96 %), Gibraltar (>100 %) ou les Seychelles (>70 %) ont été victimes de graves flambées épidémiques post vaccinales ainsi que le montrent les courbes suivantes publiées par l’OMS(([9] Sur son site officiel WHO Covid19 Dashboard)) commentées par nos soins en rouge.

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Une couverture vaccinale même très élevée paraît donc incapable de prévenir les contaminations.

Quant à la protection des anciens comme argument ? Ces mêmes personnes âgées auxquelles on a refusé les traitements précoces efficaces et donné facilement le Rivotril « pour les soulager » et, de fait, les euthanasier intéressaient-elles le pouvoir ? Pourtant, environ dix mille personnes(([10] France Soir Chronique N°52 — « La sur prescription des 3 benzodiazépines injectables Rivotril®, Valium® et Tranxène®, a coïncidé avec les pics de décès de résidents dans les EHPADs, ce qui interroge »
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-ndeg52-la-surprescription-des-3-benzodiazepines-injectables-rivotrilr)) pourraient ainsi être décédées dans les EHPAD avec l’aide de ce « merveilleux » médicament interdit aux insuffisants respiratoires et donné larga manu grâce au décret de fin mars 2020 de Édouard Philipe-Véran renouvelé en octobre et récemment le 1er juin 2021…

Qu’en est-il ?(([11] 40+ Doctors Tell UK Drug Regulators: Vaccinating Kids for COVID is ‘Irresponsable, Unethical and Unnecessary’ • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

APPEL DE MÉDECINS À LEURS GOUVERNANTS AU ROYAUME-UNI

« vacciner les enfants contre covid est « irresponsable, contraire à l’éthique et inutile » »

Dans une lettre ouverte adressée à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé,(([12] Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) executive agency of the Department of Health and Social Care in the United Kingdom which is responsible for ensuring that medicines and medical devices work and are acceptably safe.)) plus de 40 médecins, médecins et scientifiques au Royaume-Uni affirment que les enfants sont plus vulnérables aux effets potentiels à long terme des vaccins CONTRE LA COVID.

Le groupe a déclaré qu’aucune personne de moins de 18 ans ne devrait être vaccinée contre la COVID, car les preuves montrent que le virus ne présente aucun risque pour les enfants en bonne santé. Lettre écrite en réponse à des documents divulgués du service national de santé du Royaume-Uni détaillant comment les autorités sanitaires britanniques prévoient de vacciner les enfants de plus de 12 ans.

Selon les documents du service de santé, des enfants dès l’âge de 5 ans pourraient être vaccinés dès juillet 21 — une mesure qui, selon le gouvernement, « pourrait être nécessaire pour réduire les cas de COVID alors que les confinements se lèvent dans tout le pays ». Pourtant les enfants ne transmettent pas et l’épidémie européenne s’effondre.

De hauts responsables anglais viennent, de plus, d’avouer officiellement avoir truqué les chiffres et instrumentalisé la peur pour imposer les mesures dites sanitaires qui convenaient aux politiques. Vont-ils poursuivre leurs mensonges ?(([13] Covid: des scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la « peur » pour faciliter le contrôle de la population ! — Le Libre Penseur
« Dans un long article The Telegraph révèle que des « scientifiques du comité (SPI-B) qui a encouragé l’utilisation de la peur pour contrôler le comportement des gens pendant la pandémie de covid ont admis que leur travail était ‘’contraire à l’éthique ‘’ et ‘’totalitaire ‘’ ».
Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson))

Les auteurs de la lettre ont rappelé que le risque de décès par COVID chez les enfants en bonne santé est de 1 sur 1,25 million. Les pseudovaccins géniques contre la COVID sont responsables des accidents vasculaires cérébraux dus à des thromboses veineuses cérébrales chez les personnes de moins de 40 ans — conclusion qui « a conduit à la suspension de l’essai pour enfants Oxford-AstraZeneca », ont précisé les auteurs. Ils précisent :

« les enfants ont une vie devant eux, et leurs systèmes immunologique et neurologique sont encore en développement, ce qui les rend potentiellement plus vulnérables aux effets indésirables que les adultes. »

Sommes-nous vraiment au temps des apprentis sorciers, des joueurs de roulette russe ou bien le mythe de Faust a -t-il hanté nos dirigeants, mais aussi les populations étrangement soumises à cette intoxication par injection d’une substance qui peut transformer notre ADN voire celui des générations suivantes. Nul ne sait et c’est bien le plus invraisemblable. Dans le monde qui a inscrit il y a peu le principe de précaution dans la Constitution, où les mots environnement, futur de la planète reviennent à toutes les sauces, où des arracheurs d’OGM purgent encore leur peine, ceux qui achètent bio et chassent l’OGM de leur savon ou de leur shampoing se font injecter le poison qui les transformera au minimum en humains OGM. Bravo les communicants ! Vous avez transformé nos écolos et leurs adeptes, une bonne partie de la population, en défenseur de l’Homme OGM… Vous êtes très forts.(([14] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il faut lire cette lettre in extenso : « Covid-19 Child Vaccination: Safety and Ethical Concerns — An Open Letter From UK Doctors to Dr. June Raine, Chief Executive, MHRA » :

« Nous souhaitons vous informer de nos graves préoccupations concernant toutes les propositions visant à administrer des vaccins contre la COVID-19 aux enfants. Des documents gouvernementaux récemment divulgués suggèrent qu’un déploiement du vaccin contre la COVID-19 chez les enfants de plus de 12 ans est déjà prévu pour septembre 2021, et la possibilité que des enfants d’à moins de 5 ans soient vaccinés en été dans le pire des scénarios ».

Nous avons été profondément troublés d’entendre plusieurs représentants du gouvernement et du SAGE(([15] Leur comité scientifique conseiller du gouvernement anglais :
Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson)) appeler dans les médias à ce que le déploiement du vaccin contre la COVID-19 «se tourne vers les enfants aussi vite que possible ». Le Matériel pédagogique distribué aux écoles de Londrescontient des questions « chargées d’émotions et inexactitudes ».

Manipulation des responsables syndicaux enseignants qui eux-mêmes manipulent les enfants

Il y a eu un langage troublant utilisé par les dirigeants syndicaux enseignants, qui conduit à la coercition des enfants pour qu’ils acceptent les vaccins contre la COVID-19.

La pression des pairs dans les écoles devrait être encouragée selon les directives gouvernementales relayées par les syndicats. Pourtant la coercition visant à faire accepter un traitement médical est contraire aux lois et déclarations britanniques et internationales.(([16] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Passer par les enfants est particulièrement minable, méprisable et illégal. La pression sur les enfants ne peut pas être acceptée selon la charte des droits de l’enfant.

« Une telle rhétorique est irresponsable et contraire à l’éthique, et encourage le public à exiger la vaccination des mineurs avec un produit encore au stade de la recherche et dont aucun effet à moyen ou long terme n’est connu, contre une maladie qui ne présente aucun risque matériel pour eux. Un résumé de nos motifs est donné ci-dessous et une explication plus détaillée et entièrement référencée est disponible. » dit la lettre adressée aux instances médicales gouvernementales anglaises.

Les auteurs listent ensuite les risques et avantages dans les traitements médicaux. Citons quelques réflexions majeures.

NE PAS REPRODUIRE LES TRAGÉDIES PASSÉES AVEC D’AUTRES VACCINS COMMERCIALISÉS À LA HÂTE

«  Nous devons veiller à ce que les tragédies passées qui se sont produites ne se reproduisent pas, en particulier lorsque les vaccins sont mis sur le marché à la hâte.

Par exemple, le vaccin contre la grippe porcine Pandemrix, déployé à la suite de la pandémie de 2010, a entraîné plus d’un millier de cas de narcolepsie, lésion cérébrale dévastatrice, chez les enfants et les adolescents, avant d’être retiré.

Le Dengvaxia, vaccin contre la dengue, a également été déployé sur les enfants avant les résultats complets de l’essai, et 19 enfants sont morts d’une possible détérioration dépendante des anticorps (ADE) avant le retrait du vaccin.(([17] Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue – AgoraVox le média citoyen)) Une répétition de cette situation avec les vaccins contre la COVID-19, aurait non seulement un impact sur les enfants et les familles touchés, mais aurait également un effet extrêmement dommageable sur le taux de vaccination en général ».

En France aussi, des médecins pro-vaccination craignent l’impact négatif des effets dommageables de la pseudo vaccination anticovid quand l’étendue des effets délétères sera connue, car l’acceptation facilitée par la confusion entre vaccin habituel et « vaccin » covid se retournera dans l’autre sens. Il sera trop tard pour que les gens confiants et trompés admettent leur erreur (difficile à sortir d’une conviction même devant les preuves, car mentalement on se détruit intérieurement) et ils risquent de rejeter en bloc les vaccins.

« Aucune intervention médicale ne devrait être introduite sur une base « taille unique (…). Cette approche a été décrite en octobre dernier par la chef du Groupe de travail gouvernemental sur les vaccins, Kate Bingham ». Elle avait déclaré : « nous devons simplement vacciner toutes les personnes à risque. Il n’y aura pas de vaccination des moins de 18 ans. Il s’agit d’un vaccin réservé aux adultes, destiné aux personnes de plus de 50 ans, qui se concentre sur les travailleurs de la santé, les travailleurs des foyers de soins et les personnes vulnérables. Les enfants n’ont pas besoin d’être vaccinés pour leur propre protection ».

« L’immunité acquise naturellement donne une immunité plus large et plus durable que la vaccination. En effet, de nombreux enfants seront déjà immunisés. Les enfants à très haut risque peuvent déjà se faire vacciner pour des raisons humanitaires. Les enfants n’ont pas besoin de vaccination pour soutenir l’immunité collective ».

PRÉOCCUPATIONS À COURT TERME EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ DES « VACCINS » ANTICOVID

Selon la lettre adressée au MHRA (réf 12)

« Au 13 mai, le MHRA 22 avait reçu un total de 224 544 événements indésirables, dont 1 145 décès en lien avec les vaccins contre le SARS-CoV-2. Les rapports d’accidents vasculaires cérébraux dus à la thrombose veineuse cérébrale initialement en faible nombre, mais à mesure que la sensibilisation augmentait, de nombreux autres rapports ont conduit à la conclusion que le vaccin AstraZeneca ne devrait pas être utilisé pour les adultes de moins de 40 ans. Cette conclusion imprévue a également conduit à la suspension de l’essai pour enfants d’Oxford AstraZeneca.

Des événements similaires ont été notés avec les vaccins Pfizer & Moderna sur le système américain de déclaration des effets indésirables (VAERS) et il est probable qu’il s’agisse d’un effet lié à la production de protéine Spike. »

« Les nouvelles lignes directrices du Royaume-Uni sur la prise en charge de la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin (VITT) incluent tous les vaccins contre la COVID-19 dans leurs préconisations. La possibilité d’autres problèmes de sécurité inattendus ne peut être exclue.

En Israël, où les vaccins ont été largement déployés auprès des jeunes et des adolescents, le vaccin de Pfizer a été associé à plusieurs cas de myocardite chez de jeunes hommes et des préoccupations ont été soulevées au sujet de rapports faisant état d’une altération des cycles menstruels et de saignements anormaux chez les jeunes femmes après le vaccin. »

Les décès signalés aux USA chez des enfants vaccinés inclus dans des essais inquiètent les médecins anglais

« il y a maintenant eu un certain nombre de décès associés à la vaccination signalés au VAERS aux États-Unis, bien que les vaccins ne soient administrés qu’aux enfants dans le cadre d’essais et d’un déploiement très récent aux 16-17 ans ».

PRÉOCCUPATIONS EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ À LONG TERME

« Tous les essais de phase 3 du vaccin contre la COVID-19 sont en cours et ne devraient pas se terminer avant la fin de 2022 ou le début de 2023. Les vaccins sont EXPÉRIMENTAUX et ne disposent que de données limitées à court terme et de données à un peu plus long terme sur l’innocuité pour les adultes. En outre, beaucoup utilisent une toute nouvelle technologie de vaccin à ARNm, qui n’a jamais été approuvée auparavant pour une utilisation chez l’homme. L’ARNm est effectivement un promédicament et on ne sait pas combien de protéine Spike un individu produira.

Les effets potentiels d’apparition tardive peuvent prendre des mois ou des années pour devenir apparents. Les essais limités sur les enfants entrepris à ce jour sont totalement sous-renseignés pour éliminer les effets secondaires rares, mais graves ».

Insistons avec nos collègues anglais :

Les enfants ont la vie devant eux, leurs systèmes immunologiques et neurologiques sont encore en développement, ce qui les rend potentiellement plus vulnérables aux effets indésirables que les adultes.

« Un certain nombre de préoccupations spécifiques ont déjà été soulevées, y compris les maladies auto-immunes et les effets possibles sur le placenta et la fertilité. Un article récemment publié a soulevé la possibilité que les vaccins contre la COVID-19 à ARNm puissent déclencher une maladie neurodégénérative à base de prions. Tous les risques, connus et inconnus, doivent être mis en balance avec les risques de COVID-19. »

Le serment d’Hippocrate dit : « d’abord ne pas nuire », devoir d’agir avec prudence et proportionnalité.

« Les données probantes actuelles et disponibles montrent clairement que le calcul du risque par rapport aux avantages ne soutient PAS l’administration de vaccins précipités et expérimentaux contre la COVID-19 aux enfants, qui n’ont pratiquement aucun risque de COVID-19, mais qui font face à des risques connus et inconnus liés aux vaccins ».

La Déclaration des droits de l’enfant dit :

« l’enfant, en raison de son immaturité physique et mentale, a besoin de garanties et de soins spéciaux, y compris d’une protection juridique appropriée ». En tant qu’adultes, nous avons le devoir de protéger les enfants contre des préjudices inutiles et prévisibles.

La fin des essais de phase 3 actuels devrait au moins être attendue ainsi que plusieurs années de données sur l’innocuité chez les adultes, afin d’exclure ou de quantifier tous les effets indésirables potentiels.

Les auteurs de la lettre au MHRA concluent :

« nous appelons nos gouvernements et les régulateurs à ne pas répéter les erreurs de l’histoire et à rejeter les appels à vacciner les enfants contre la COVID-19. Une extrême prudence a été exercée sur de nombreux aspects de la pandémie, mais c’est certainement le moment le plus important pour faire preuve d’une véritable prudence nous ne devons pas être la génération d’adultes qui, par la précipitation et la peur, inutiles, met en péril la santé des enfants. »

COMPLÉTONS CETTE ANALYSE ANGLAISE PAR LES RAPPORTS AMÉRICAINS SUR LES ESSAIS INFANTILES(([18] COVID Vaccine Injury Reports Among 12- to 17-Year-Old More Than Triple in 1 Week, VAERS Data Show • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Regardons d’abord l’ensemble des signalements aux USA. Aux États-Unis, 281,6 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées au 21 mai 2021. Cela comprend 120 millions de doses du vaccin de Moderna, 152 millions de doses de Pfizer et 10 millions de doses du vaccin Johnson & Johnson (J&J) contre la COVID.

Sur les 4 406 décès signalés en date du 21 mai, 23 % sont survenus dans les 48 heures suivant la vaccination, 16 % dans les 24 heures et 38 % chez des personnes qui sont tombées malades dans les 48 heures suivant la vaccination.

Le nombre d’événements indésirables signalés à la suite de vaccins contre la COVID continue d’augmenter, selon les données publiées par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) au 21 mai. Les données proviennent directement des déclarations soumises au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS).(([19] Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables d’un vaccin aux États-Unis.
Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’incidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de libération))

Les données montrent qu’entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai, un total de 262 521 événements indésirables totaux ont été signalés au VAERS, dont 4 406 décès — une augmentation de 205 par rapport à la semaine précédente — et 21 537 accidents graves, en hausse de 3 009 par rapport à la semaine dernière.

CHEZ LES JEUNES

Les rapports d’incidents et accidents liés au vaccin antiCovid chez les jeunes de 12 à 17 ans ont plus que triplé en 1 semaine, selon les données de VAERS au 28 MAI

Les données ont montré 3 449 événements indésirables au total, contre 943 rapports la semaine précédente, chez les jeunes de 12 à 17 ans. Les données de cette semaine comprenaient 58 déclarations d’événements indésirables graves dans le groupe d’âge des 12 à 17 ans.

LES CDC ENQUÊTENT SUR LES PROBLÈMES CARDIAQUES CHEZ LES ADOLESCENTS ET LES ADOLESCENTS APRÈS LE VACCIN CONTRE LA COVID

Le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation des CDC a publié un avis le 17 mai avertissant les médecins des rapports de myocardite qui semble survenir principalement chez les adolescents et les jeunes adultes, plus souvent chez les hommes que chez les femmes, plus souvent après la deuxième dose et généralement dans les quatre jours suivant la vaccination avec les vaccins Pfizer ou Moderna. La plupart des cas semblaient « bénins » et un suivi est en cours. La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque qui peut entraîner une arythmie cardiaque et la mort.

Comme l’a rapporté The Defender le 26 mai, le Connecticut a signalé 18 nouveaux cas de problèmes cardiaques chez les adolescents qui avaient reçu un vaccin COVID. Les 18 cas ont entraîné une hospitalisation, la grande majorité pendant quelques jours, tandis qu’une personne était toujours hospitalisée le 26 mai.

Une recherche dans VAERS a révélé 419 cas de péricardite et de myocardite, parmi tous les groupes d’âge, signalés aux États-Unis après la vaccination contre la COVID entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai. Sur les 288 cas signalés, 247 cas ont été attribués à Pfizer, 151 cas à Moderna et 20 cas au vaccin COVID de J&J.

COMMENT CONVAINCRE DE LA NÉCESSITÉ DU VACCIN CHEZ L’ENFANT ?
SURESTIMER LES HOSPITALISATIONS POUR COVID : CQFD

Une étude menée par des chercheurs de Stanford a révélé que le comptage des infections au SARS-CoV-2 chez les enfants hospitalisés surestimait l’impact de la COVID dans les populations pédiatriques, car les chiffres incluaient de nombreux patients asymptomatiques. Sur 117 admissions à l’hôpital, les auteurs ont conclu que 53 patients (45 %) ont été admis pour des raisons non liées au virus. L’étude a également révélé que 39,3 % (soit 46 patients) codés comme étant atteints du SARS-CoV-2 étaient en fait asymptomatiques (personne saine ayant seulement un test PCR positif).

« Si nous nous fions aux résultats positifs des tests de SRAS-CoV-2 des hôpitaux, nous gonflons environ deux fois le risque réel d’hospitalisation de la maladie chez les enfants. »

Alors, ne nous laissons pas manipuler, la vie actuelle et l’avenir de nos enfants est en jeu ! Prenons le temps d’attendre ce que deviendra l’épidémie actuellement terminée en Europe et aux USA et les résultats des traitements précoces dont l’autorisation est indispensable.

Cette épidémie disparaîtra peut-être définitivement comme celle du SRAS et du Mers. Et si ce n’est pas le cas, attendons les résultats des essais et des « vaccinations » sur des milliards d’individus qui ont été précipités dans la vaccination par une propagande inégalée. Qui vivra verra. Souhaitons leur bonne chance.





L’Affaire AstraZeneca. Des victimes témoignent

[Source : breizh-info.com]

Nous évoquions hier le premier reportage d’Armel Joubert des Ouches, journaliste indépendant, suite à la censure dont il est victime concernant sa première enquête au sujet de la vaccination liée au Covid-19. Il en a réalisé une autre, elle aussi censurée, intitulée L’Affaire AstraZeneca, qui regroupe des témoignages, notamment de victimes.

L’affaire AstraZeneca, c’est l’histoire d’un scandale sanitaire occidental qui a vu des personnes en parfaite santé mourir peu après l’injection d’un vaccin produit par la multinationale pharmaceutique suédo-britannique. Le sujet est grave : l’enquête est rigoureuse, menée par des journalistes professionnels.

Nous sommes partis à la rencontre de médecins, de proches des victimes décédées quelques heures après l’injection du vaccin et de témoins de ces drames humains auxquels les médias mainstream refusent la parole, que les GAFA censurent impitoyablement.

Les victimes de cette affaire sont mortes deux fois : par des thromboses et par le silence coupable du pouvoir politico-médiatique.

Journalistes professionnels, nous avons décidé de briser le tabou. Par devoir de solidarité, par respect de la personne humaine, et en hommage aux victimes, nous n’avions pas le droit de nous taire. Vous non plus !

Voici le lien pour voir le reportage, et soutenir son réalisateur



Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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