Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?

[Source : Russie politics: Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?]

Par Karine Bechet-Golovko

Alors que la grande fête du vaccin bat son plein en Russie, que la mortalité attribuée au Covid semble suivre la courbe ascendante de la furie vaccinale, une vidéo surprenante du forum de la santé 2020 à Saint-Pétersbourg, qui s’est déroulé lors du Forum économique, vient de me tomber entre les mains. Sur quelles bases sont développés les vaccins ? Je ne suis pas médecin, je ne propose qu’une traduction et quelques questions, surtout lorsqu’il est question de nanotechnologies.



Dans le cadre du Forum économique de Saint-Pétersbourg, n’oublions pas que le Covid est toute une économie, s’est ouvert le 3 juin 2020 le Healthy Life Forum. Comme présenté sur le site : « The Forum is one of the leading discussion platforms concerning the development of healthcare, creating a healthy lifestyle, and boosting Russians’ healthy life expectancy. » [« Le Forum est l’une des principales plateformes de discussion concernant le développement des soins de santé, la création d’un mode de vie sain et l’augmentation de l’espérance de vie en bonne santé des Russes. »]

Et puisque le vaccin est le must du healthy lifestyle, n’ayons pas peur des mots…, la discussion a porté sur les plateformes de création des vaccins en Russie. La question de la plateforme de fabrication des vaccins en Russie est posée par Anna Popova, à la tête de l’Agence fédérale de la consommation, en charge de la lutte contre le Covid (logique). La réponse apportée, claire et nette, par Natalia Bieloziorova, directrice du Centre de recherche et de développement de l’Institut des vaccins de Saint-Pétersbourg, est pour le moins surprenante :

Les vaccins, dans le Centre de l’Institut de recherche de Saint-Pétersbourg, sont développés sur la base de trois plateformes : d’ADN modifié, de protéines recombinées et de nanotechnologies.

Je ne suis pas médecin, je ne suis pas virologue, mais lorsqu’un centre de recherche développe des vaccins sur la base de nanotechnologies, est-ce à dire que l’on injecte des nanotechnologies dans les gens lors de la vaccination ? Et en quoi consistent ces nanotechnologies concrètement ?

À l’heure de ce fanatisme vaccinal, il serait bon d’avoir un peu plus de recul et sur les modalités de fabrication des vaccins, et sur les effets secondaires de ce qui est injecté dans le corps des gens. 


[Voir aussi :
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Fraude ou médecine ? Ces concoctions bizarres et profondément dangereuses que l’on appelle encore « vaccins »
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Vu de Suisse, l’autoritarisme de Macron est surréaliste

[Source : Heidi.news]

par Annick Chevillot Yvan Pandelé

Les annonces d’Emmanuel Macron le 12 juillet à la télévision française ont instauré un nouveau ton: obligation vaccinale pour les soignants, pass sanitaire partout dès 13 ans, spectre de la vaccination obligatoire pour tous à la rentrée. Une reprise en main qui a provoqué un certain effarement à la rédaction de Heidi.news, tant les méthodes et la culture suisses sont différentes. Annick Chevillot, responsable du flux santé, et Yvan Pandelé, journaliste scientifique au flux santé, en discutent.

Yvan Pandelé. Je ne suis pas du genre éruptif, mais le ton de l’intervention d’hier nous a plongés en pleine dystopie. «Macron a sorti son gros bâton», voilà la première chose qui m’est venue en tête. Les Français sont habitués à avoir un Etat fort, mais un tel autoritarisme sur des questions sanitaires a quelque chose d’inédit. Je crois que l’exécutif assume de placer l’Hexagone à la pointe des pays intransigeants sur la vaccination, c’est le genre d’initiative «disruptive» que notre président affectionne. Mais de tête de gondole à repoussoir il n’y a qu’un pas, surtout vu de Suisse. Qu’en penses-tu?

Annick Chevillot. Sincèrement, je suis choquée! Ce ton paternaliste m’horripile. Le chantage induit par l’annonce d’Emmanuel Macron risque fort d’être contre-productif. Le débat va vite se déplacer du champ sanitaire au champ politique en passant par les chants haineux. La France en est coutumière, mais s’était lassée des échanges entre pavés et matraques. T’imagines: les gosses dès 13 ans devront avoir un pass sanitaire pour aller acheter des mangas et des bonbons, mais les policiers et gendarmes ne sont pas soumis à l’obligation vaccinale, ni au pass sanitaire. C’est quoi ce monde qui se dessine en France? La discrimination qui éclot paraît surréaliste vu de Suisse.

Pas le choix pour les soignants

YP. La vaccination obligatoire des soignants était attendue, toute la presse française bruissait de rumeurs depuis plusieurs jours. Et puis bon, c’est une tradition hexagonale, la vaccination contre la grippe a été obligatoire jusqu’en 2006 chez les professionnels, et celles du nourrisson l’est depuis 2018. Pas de surprise de ce côté-là, si ce n’est le ton. Mais il est fascinant de voir à quel point le débat est différent de l’autre côté du Jura. Les hôpitaux suisses n’ont que le mot «liberté vaccinale» à la bouche, et le simple fait de comptabiliser les vaccinés est débattu. Tout le monde pense à la vaccination obligatoire, des directions d’établissement à l’OFSP, mais personne n’ose piper mot de peur de braquer.

AC. Le sujet est très sensible en Suisse, c’est sûr. L’obligation vaccinale n’est pas la norme et ne sera pas acceptée. Le pouvoir des Suisses s’évalue dans les urnes, pas aux muscles du bras de l’exécutif. Si tu rends la vaccination contre Covid obligatoire en Suisse, tu auras un référendum dans l’heure et les citoyens devront voter. Et il y a de fortes chances qu’un tel projet ne passe pas. En Suisse, convaincre passe avant contraindre. Du coup, la couverture vaccinale n’est pas très élevée dans le pays. Et le risque de nouvelle vague est réel, surtout avec le variant Delta. Mais je crois que les politiques sont prêts à assumer ce risque, plutôt que d’engendrer une fracture démocratique profonde.

Lire aussi: «L’obligation vaccinale des soignants nous met face à un conflit de valeurs»

C’est toute la pesée des bénéfices-risques d’une telle obligation, bien résumée par l’OMS dans un document paru le 13 avril 2021, où il est notamment dit: «Comme pour les autres politiques de santé publique, les décisions relatives à la vaccination obligatoire doivent s’appuyer sur les meilleures preuves disponibles et être prises par des autorités de santé publique légitimes, de manière transparente, équitable, non discriminatoire et avec la participation des parties concernées.» La notion de non discriminatoire est capitale, et elle est bafouée par Emmanuel Macron lorsqu’il dit qu’il va faire porter les restrictions aux non-vaccinés! Parce qu’au final, ce ne sont pas les non-vaccinés qui vont devoir porter cette responsabilité, mais la société civile (magasins, restaurateurs, hôpitaux, EMS, etc.) qui devra assurer le contrôle avec des contraintes supplémentaires.

Le pass partout

Yvan Pandelé. En effet. Le point inquiétant, c’est que le pass sanitaire aura vocation à s’appliquer partout, à compter du mois d’août. Dans les cafés et les cinémas, mais aussi dans les transports, au supermarché et même — ce qui est assez incroyable — à l’hôpital. («Sauf en cas d’urgence», précise le gouvernement, grand seigneur…) Comme d’habitude, l’Etat central fait des rodomontades, et il faudra voir comment c’est appliqué. Je n’ai aucun doute pour les arrondissements parisiens à un chiffre, mais il fera beau temps avant que le kebabier de Saint-Ouen ou le restaurateur du Gers n’exigent un pass sanitaire.

Le message politique en tout cas est très clair: tant que vous ne serez pas vaccinés, on vous rendra la vie invivable. On est plus proche de la coercition que de l’incitation. Et contrairement à la Suisse, la question de la durée de ce dispositif d’exception n’a jamais vraiment émergé dans le débat public. Les contre-pouvoirs à l’exécutif étant très faibles en France, on peut craindre qu’il soit prolongé ad vitam aeternam. Une vie invivable pour une durée indéterminée: pas étonnant que les plateformes de vaccination aient été prises d’assaut hier soir!

AC. Logique en effet: le père de la patrie exempte les non vaccinés de cette décision. Obligés, ils s’y résolvent. Cela dit, je peux comprendre l’obligation vaccinale pour le personnel soignant. L’Italie et la Grèce ont aussi passé ce cap. Mais lier vaccination à la présentation d’un document prouvant son statut immunitaire, ce n’est pas proportionnel. Surtout pour la vie quotidienne. C’est complètement fou et dystopique, comme tu le dis très justement, de devoir présenter un pass sanitaire pour avoir le «droit» d’aller faire ses courses, accéder à un hôpital et prendre le train pour aller voir sa famille. Plus que discriminatoire, c’est suicidaire politiquement.

Le jeu politique

YP. C’est un calcul politique assumé. Le «chef qui sait cheffer» est une figure qui plaît à droite. N’oublions pas que tout ceci s’inscrit dans la perspective des élections présidentielles de mai 2022: la gauche française est en plein marasme et le danger, pour le camp Macron, vient de droite – de Xavier Bertrand à Marine Le Pen. Je m’interroge plus sur les répercussions politiques en Suisse. D’un côté, cela pourrait donner du grain à moudre aux anti-tout, comme l’UDC et les Amis de la Constitution. De l’autre, c’est aussi un épouvantail bien pratique pour le Conseil fédéral quand il devra réagir pour éviter une troisième vague: si vous cherchez une dictature sanitaire, regardez en France, ici nous restons dans la mesure et le consensus.

AC. Notre ministre de la santé Alain Berset avait d’ailleurs relevé au printemps 2020 que la Suisse n’était pas en guerre, contrairement à son grand voisin. Les citoyens suisses ne sont pas concernés par l’élection de 2022. En revanche, ils voient l’émergence d’un Etat dont ils ne veulent pas. En ce sens, c’est vrai, l’exécutif suisse pourra jouer par contraste en tenant un discours du type «regardez, c’est pire ailleurs». Cela a été fait lors du premier (semi-)confinement.

Vaccin obligatoire pour tous?

YP. Un point qui n’a pas été assez relevé, à mon sens, c’est le spectre de la vaccination obligatoire pour tous agité par Emmanuel Macron, «en fonction de l’évolution de la situation». Pour l’heure, seuls le Tadjikistan, le Turkménistan et le Vatican en sont là. Deux pays autoritaires et une théocratie… Cela me paraît difficilement tenable.

Lire aussi: Tout ce qu’il faut savoir sur la vaccination Covid-19 en Suisse

Les vaccins Covid-19 sont porteurs de risques, si infinitésimaux soient-ils. Sur des millions d’injections, il y aura toujours quelques personnes pour développer un syndrome exotique ou faire une réaction sévère. C’est acceptable dans le cadre d’une décision personnelle, ça ne l’est plus si le choix est contraint. Le consentement volontaire est à la base de l’éthique médicale depuis Nuremberg. Il faut de très, très, bonnes raisons pour y renoncer. Sans quoi la pandémie aura achevé ce que le 11 septembre et l’essor des technologies de l’information ont initié: une perte massive, peut-être irréversible, de liberté individuelle.

AC. Oui, et c’est bien un argumentaire qui pourrait être utilisé dans le cadre de la votation du 28 novembre en Suisse sur le certificat Covid. Etendre l’usage de ce sésame à la vie quotidienne et le rendre obligatoire, c’est généraliser l’abus de pouvoir. Comme c’est également le cas du moment où l’on passe outre le consentement éclairé du patient. Ça fait mal, mais de telles décisions aux enjeux éthiques complexes font émerger des dérives qui peuvent mener à une forme de «dictature sanitaire». Du moins en France.




Emmanuel Macron sans masque ou Le Président qui fait tirer sur son peuple

Par Alain Nicolaï

Macron par Macron, son vrais visage, dans le  Wall Street Journal, le journal des « élites financières » qui n’est pas lu par les manants.

Pour Macron être banquier c’est être… une « prostituée »

1 MILLION €
Emmanuel Macron touchait jusqu’à un million d’euros par an
lorsqu’il était banquier chez Rothschild

Article de Paolo Garoscio du 10/03/2015 publié dans Economie Matin au sujet d’une interview de Macron dans le Wall Street Journal.
http://www.economiematin.fr/news-macron-banquier-pute-metier-ministre-interview

Comment a-t-il osé ? le ministre de l’Économie, qui a été également un banquier au salaire de millionnaire chez Rothschild a-t-il vraiment dit, que les banquiers sont des putes ? Non, en fait il n’a pas dit ça. Comme il donnait une interview au Wall Street Journal il ne pouvait certainement pas utiliser des mots insultants. Il a donc préféré le terme « prostituée »… Oui, c’est pareil.

Emmanuel Macron : le banquier qui attaque… le métier de banquier ?

Ce n’est qu’une anecdote que celle relatée par le Wall Street Journal : au cours d’une interview donnée lors de son séjour à Las Vegas le ministre de l’Économie français s’est un peu lâché. Un peu beaucoup même.

Pas étonnant alors qu’aux États-Unis le politiquement correct est loin de faire partie du quotidien des personnalités publiques… mais la comparaison qu’il a faite ne devrait guère être appréciée par les banquiers de France qui ne sont autres que ses anciens collègues.

 » D’une certaine manière, [quand on est banquier] on est comme une prostituée. Le boulot, c’est de séduire » a déclaré Emmanuel Macron. On est déçus, on aurait aimé un peu plus de détails. Après le « séduire » il y a quoi ?

Sans compter qu’Emmanuel Macron ne considère sans doute pas que les banquiers sont comme une « prostituée » de rue, pas chère, issue des réseaux clandestins d’Europe de l’Est ou de Chine. Rappelez-vous : il aurait gagné plus de 2,5 millions d’euros entre 2008 et 2012.


Il faut croire qu’Emmanuel Macron a pris de bien mauvaises habitudes avant son mandat quand il a travaillé dans le privé, notamment à la Banque Rothschild, un des fiefs de la finance internationale, puisqu’on a pu le constater, notamment depuis le début de la crise sanitaire, il ne respecte pas les lois, et sa grande spécialité est la manipulation des gens et des masses. Il a foulé aux pieds maintes fois les lois républicaines sans sourciller et maintenant, avec son discours du 12 juillet 2021, la Convention internationale d’Oviedo (([1] https://rm.coe.int/090000168007cf99)). Depuis le premier trimestre 2020, il a profité, pour le moins, de l’apathie des membres du Parlement et du Sénat. Il a bénéficié de la complicité de la quasi-totalité de nos institutions et des médias, dont on peut se demander si tous ces gens sont anesthésiés ou corrompus. Les parlementaires et les sénateurs se sont particulièrement distingués en se discréditant, démontrant aux yeux des personnes conscientes l’absence d’entendement de l’écrasante majorité du personnel politique que nous entretenons à nos frais. Très rares en effet sont ceux qui ont compris les colossaux enjeux politiques et surtout sociétaux de cette crise. Car il ne faut pas se voiler la face, le véritable but des manœuvres sournoises de Macron et de l’Union Européenne n’est pas de soigner la population, mais d’établir, à l’aide d’une menace invisible, réelle, mais amplifiée par des ignorants ou des complices, le règne centralisé d’une élite autoproclamée que certains nomment Nouvel Ordre Mondial, et qui exercera son pouvoir sur l’ensemble de la planète sous prétexte de mieux gérer les crises qui d’après eux vont se répéter.

Nous sommes en face d’une révolution planétaire qui se passe sous nos yeux et qui remet en cause totalement, et totalitairement, les principes républicains ; notamment la souveraineté du Peuple sur ce que l’on dénomme l’État ou la Nation. Leur but est de les dissoudre dans une entité supranationale mondiale où ils seront les seuls aux commandes, et dont nous ne serons plus que les manants soumis à leur bon vouloir, bref, ils nous proposent de ne plus qu’être que des pions, des numéros… Tel est l’avenir qu’ils proposent à vos enfants.


Par son discours du 12 juillet 2021, Emanuel Macron  vient de rendre obligatoire la vaccination anti-covid pour les soignants qui doivent tous se faire vacciner avant le 15 septembre 2021.

Un des problèmes est que ces soi-disant vaccin anti-covid ne sont pas des vaccins comme le démontrent les Drs Nicole et Gérard Delépine :
https://nouveau-monde.ca/linjection-genique-anti-covid-nest-pas-un-vaccin/
et de plus ces injections sont dangereuses :
https://nouveau-monde.ca/effets-secondaires-et-deces-lies-aux-injections-experimentales-anticovid/

Une multitude de professionnels de la santé ont déjà alerté sur le caractère frauduleux et dangereux de ces injections et comble du foutage de gueule  le directeur de l’ARS de Nouvelle-Aquitaine, un proche d’Olivier Véran, a osé faire ces aveux sur BFMTV, informations reprises et commentées sur CNEWS :

Pascal Praud : « Ils veulent nous imposer une dictature sanitaire » – Jacques Séguéla : « C’est satanique, c’est un discours satanique » (lemediaen442.fr)

Face aux propos ahurissants du directeur de l’ARS Benoît Elleboode sur BFMTV,  assurant que tous les non-vaccinés seront contaminés par le variant Delta, Pascal Praud s’emporte. Il s’exclame : « J’ai envie de lui dire : à quoi servent les gestes barrières et le masque, si personne n’y échappera… Il faut immédiatement retirer le masque. » L’animateur de CNews a continué sur sa lancée en ciblant Olivier Véran, l’accusant de vouloir imposer une dictature sanitaire. Ce à quoi Jacques Séguéla lance : « C’est satanique, c’est un discours satanique ! »

Pascal Praud : « Ils sont de retour, ils sont là, ils veulent nous imposer — le ministère de la Santé — une dictature sanitaire. Tant que vous ne comprenez pas ça, vous ne comprenez rien. »

Il est bien évident que si la plupart des Français ne sont pas au courant de tous ces problèmes, tellement ils sont soumis à un bourrage de crâne permanent sur les « avantages » de la « vaccination », les soignants par contre sont plus informés, et savent par leurs études, qu’un vaccin ne s’élabore pas en quelques mois, mais en plusieurs années. En toute conscience, ils comprennent qu’avec ces injections pseudo vaccinales, ils risquent leur santé et même leur peau : ils ne veulent pas être de la chair à canon.

Conclusion

En République, le peuple souverain transmet son pouvoir à son Président pour le guider et le protéger.

Pour Macron ce n’est pas le cas.

En 2017, il déclarait que s’il était élu il ne serait pas un président « normal ». Ci-dessous, début de l’article de Jefferson Desport, publié par le journal Sud Ouest le 10/03/2017.

Face aux lecteurs de Sud Ouest, Emmanuel Macron a expliqué quel président de la République il sera s’il gagne l’élection.

S’il est élu en mai prochain à l’Élysée, quel président sera Emmanuel Macron ? C’est l’une des questions qui a été posée ce vendredi par une des lectrices de Sud Ouest invitée à rencontrer le leader d’En Marche ! au siège du journal à Bordeaux, en compagnie de sept autres lecteurs. Sur ce point l’ex-ministre de l’Économie a été clair : il ne sera pas un président normal.

« Les Françaises et les Français ne cherchent pas la normalité. D’abord, parce que ce n’est pas une fonction normale. Ensuite, parce que la normalité se déconstruit toujours. Je ne sais pas ce que c’est la normalité. C’est, à un moment, ce qui est dominant dans les représentations sociales. »

Et d’ajouter :

« La normalité se définit par le regard de l’autre. Un président de la République n’est pas défini par le regard de ses concitoyens. C’est lui qui explique et éclaire l’avenir par son regard. C’est une vraie différence ».

Les propos de Macron, que ce soit dans le Wall Street Journal où dans Sud Ouest, mettent bien en perspectives les actes de Macron Président, il n’a aucun respect pour le peuple, il se fout complètement de ce que pensent les citoyens, il exerce le pouvoir comme un despote qui n’a de compte à rendre qu’à ses maîtres financiers.

C’est incontestablement un individu machiavélique qui abuse de la confiance des citoyens pour les trahir. Il ne faut pas qu’il s’étonne quand il en payera le prix.


Bonus :

1– Voici un communiqué récent  du Collectif des Syndicats et  Associations Professionnels Européens :
Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité

2– Piège pour ceux qui ont des prêts en cours, et autres informations :

3– Pour ceux qui n’ont pas encore compris :
« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs

4– La résistance se renforce jours après jour :






Le masque, arme de soumission massive, préalable indispensable aux injections expérimentales

[Source : profession-gendarme.com]

À ce stade de cette monstrueuse arnaque mondiale, j’ai jugé intéressant après une année de faire un rappel à ceux qui ont rejoint profession gendarme récemment et contribuent à son succès grandissant.

Il y a quelques longues années, j’étais responsable de la sécurité sanitaire dans une grande entreprise agroalimentaire particulièrement exposée aux risques sanitaires médiatiques. Un Directeur Industriel de l’époque me disait : « si tu veux faire avoir la paix avec les employés et leurs syndicats, impose leur de porter un masque en prétextant un risque sanitaire, tu verras, ça marche à tous les coups ».

Quelques semaines plus tard, l’un de mes employés et représentant syndical vient me trouver pour m’alerter : « le DI (directeur industriel) veut nous imposer le masque dans certains ateliers sous prétexte de la protection des produits, qu’en penses-tu ? peux-tu vérifier si les masques sont indispensables pour les produits ? Je crains une aggravation des conditions de travail à cause des problèmes respiratoires » .

Nous avons alors convenu de vérifier scientifiquement l’effet des masques sur l’ambiance de travail, le personnel, les produits, en comparant deux ateliers identiques, l’un avec et l’autre sans masques.

Deux mois plus tard, des centaines d’analyses ont été réalisées sur le personnel, l’ambiance de travail, les produits finis, l’air expiré. Le résultat est sans appel : les problèmes respiratoires sont multipliés sur les employés portant le masque (et l’absentéisme avec), les produits finis, l’air ambiant et les surfaces sont plus contaminés dans l’atelier avec masques. Enfin, les résultats microbiologiques sur la contamination des masques après 3 heures d’utilisation sont catastrophiques : bactéries potentiellement pathogènes dans la majorité des masques mais aucune trace de virus (pourtant présents en permanence dans l’air expiré par un être humain). Sans parler des taux d’oxygène réduits incompatibles avec les normes en vigueur sur les lieux de travail.

Résultats non surprenants, mes nombreuses expertises sur les systèmes de filtration m’ont appris que les masques ne retiennent qu’à peine 10% des bactéries, ne retiennent quasiment pas les virus, et permettent le développement des bactéries dans l’ambiance chaude et humide du masque. Les asiatiques vous le diront, le port du masque dans les villes n’a qu’un seul objectif : limiter l’inspiration des grosses particules irritantes issues de la pollution. Bien entendu, les masques furent supprimés des ateliers, l’absentéisme ayant certainement plus contribué à la décision du DI que les résultats sur les produits ou le personnel !!!!.

Ce qui relève du bon sens a nécessité des centaines d’analyses pour éviter la catastrophe. Si les fabricants de masques prennent le soin d’avertir les usagers que les masques ne protègent pas contre les infections virales (ni la plupart des infections bactériennes) , c’est tout simplement qu’ils l’ont mesuré.

L’ironie de l’histoire, c’est que les syndicats qui venaient pleurer pour faire supprimer le port du masque dans les ateliers furent les premiers à supplier le gouvernement d’imposer le port du masque aux entreprises. Comment leur faire confiance désormais ? Comment faire confiance à ceux qui s’attribuent le qualificatif « d’insoumis » et qui sont les premiers à pleurer pour se faire infliger les mesures de soumission que sont les masques et les vaccins ?

Plus tard, l’un de mes patrons qui avait fait ses classes à Science Po, me confirmait que le masque faisait partie de l’arsenal des outils de soumission à l’école de la dictature.

Il est évident que le port du masque constitue l’étape test indispensable pour tester la soumission d’un peuple avant le déploiement de l’injection expérimentale forcée que certains osent encore appeler « vaccin » et vous l’avez accepté.

Si tu acceptes le masque sans broncher et que tu acceptes même de sacrifier la santé de tes enfants en leur faisant porter un masque inutile, tu acceptes le sacrifice de ton intégrité physique et de ton humanité.

Si tu refuses le port du masque, tu refuses d’adhérer au narratif de la fausse pandémie et l’état ne peut t’imposer une quelconque injection expérimentale de surcroit. Aux États-Unis, des parents d’élèves ont fait réaliser des analyses microbiologiques sur les masques. Sur la base des résultats, ils ont porté plainte à l’encontre du directeur d’établissement scolaire pour mise en danger de la vie d’autrui.

Il est encore temps de réagir. Parents, vous avez le devoir de protéger vos enfants mineurs et de vous regrouper si ce n’est déjà fait pour porter plainte contre les chefs d’établissement pour leur complicité. Les preuves analytiques et les nombreux articles scientifiques sur le sujet sont faciles à collecter. Rappelez-vous que vos enfants s’en souviendront.

Gendarmes et autres représentant des « forces de l’ordre », faites mesurer ce à quoi vous êtes exposés tous les jours avec vos masques, c’est votre santé à long terme qui est en jeu. Le nombre d’infections respiratoires et de problèmes psychologiques liés au port du masque prolongé explose dans la majorité des pays. Pourquoi l’inspection du travail, si prompte à dégainer habituellement, se fait complice de vos bourreaux ?

Un prédécesseur de Monsieur Jérôme Salomon m’a dit lors d’une réunion de crise sanitaire : « votre responsabilité, c’est de protéger la santé des consommateurs, ma priorité à moi est de protéger la réputation de mon ministre et de protéger l’industrie pharmaceutique » Sans commentaires..

À bon entendeur,

Dr Sylvain B…


[Voir aussi :
Covid : la validité de l’imposition du port du masque s’effondre à son tour !
Effets nocifs des masques
Le masque : un lent assassinat collectif monté sur des mensonges, une muselière anti-sociale pour esclaves consentants
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Courte note sur la dimension occulte des masques
Pourquoi l’obligation de la ceinture de sécurité et celle du masque ne sont pas comparables ?
Comment leurs masques rendent bêtes et méchants
Où conduisent le confinement, le port du masque et la distanciation ?
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires]




Épidémies et contagions

[Source : cv19.fr]

[Photo : AFP]

Par Malo Naturo

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voire fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie 1). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.

Il y a les épidémies d’obésité (2,8 millions de décès / an), de diabète (1 décès toutes les 6 secondes sur la planète) ou de cancer (9,6 millions de décès / an), etc. Ceci n’a pourtant rien à voir avec des micro-organismes. Pensez-vous que les gouvernements vont interdire les publicités pour les fast-foods, les produits industriels, raffinés, dénaturés, transformés et faire des campagnes pour une vie saine qui ne rapporte rien ? Je ne le pense pas. Les puissants lobbies agroalimentaires et pharmaceutiques tirent les ficelles de nos chères marionnettes politiques et médiatiques.

Non, le Créateur n’a pas inventé les microbes pour nous faire du mal ou nous tuer. Contrairement à ce que pensait Louis Pasteur, les méchants virus et autres germes ne sont que des contes de fée pour effrayer des enfants de 6 ans. La Nature est bien plus subtile que ça…

La présence de micro-organismes fabriqués par nos propres microzymas, signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement émonctoriel et la saturation humorale causée par les fêtes de fin d’année. C’est la goutte qui fait déborder le vase ! Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les états sanitaires de l’enfant au vieillard déclenchés par la force vitale et la réaction somatique.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Par exemple, lors de la grippe « espagnole » on sait maintenant (1 siècle plus tard) que la cause était multifactorielle :

  • Iatrogène

    • (vaccins : oxydation, molécules toxiques ;
    • aspirine : hépatotoxique & hémorragies digestives).

  • Carences, famine, peur, stress oxydatif (<- guerre).
  • Hygiène déficiente (-> encrassement).
  • Premières communications radio par ondes hertziennes (nouvelles ondes électromagnétiques).

La seule cortisone a pour effet d’effondrer l’immunité et de favoriser le développement viral.

Arrêtons de masquer nos symptômes avec des médications chimiques qui entravent les processus homéostasiques de détoxification (car ils entraînent une modification morbide de notre terrain et finissent par aggraver les choses). Les médicaments aboutissent à la destruction de la capacité du corps de se défendre. Quand on détruit les capacités du corps de déclencher et de conduire des maladies spécifiques, on hâte les maladies de dégénérescence et la mort !

[Voir aussi :
La nature et le but de la maladie]

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence) : des streptocoques, des Candidas Albicans, etc. Ils vivent en symbiose avec nous (voire : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Suivant les 9 paramètres de la santé ou de la maladie (donc des conditions auxquelles nous sommes soumis), les 3 coordonnées bioélectroniques de nos humeurs se déplacent sur le bioélectronigramme. Notre état de santé peut donc être reporté sur ce dernier.

Sur ce bioélectronigramme, on peut noter la place des virus en zone 3 (terrain oxydé). C’est aussi la zone des vaccins. SP = Santé Parfaite.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur, il est le résultat de transformations biologiques de cellules normales vivantes dans une solution (sang) n’ayant plus les caractéristiques idéales pour la vie, c’est à dire que les conditions électroniques se sont modifiées.

Si l’individu sait se maintenir en bonne santé (sang : pH : 7,3 – rH2 : 22 – rô : 210), il ne peut en aucun cas fabriquer des microbes, des virus ou des champignons ; il ne craint ni la contagion ni les épidémies.

Généralement, on prétend que les maladies à microbes ou à champignons sont contagieuses, ceci est FORMELLEMENT contredit par la bioélectronique, l’hygiénisme et la vraie naturopathie.

Les analyses bioélectroniques montrent clairement que nos conditions de vie actuelles induisent une alcalinisation et une oxydation progressive du sang. Toutes les maladies de dégénérescence s’accompagnent de cet effet. Le fait de trouver des virus sur ce type de terrain indique qu’ils sont la conséquence et non la cause de cette déviation.

Que se passe-t-il lorsqu’une eau dégénère ?

Les paramètres bioélectroniques se modifient : Le pH augmente, le rH2 augmente, rô diminue jusqu’à un certain stade. Au-delà, le pH continue à augmenter, rô continue à diminuer, le rH2 fléchi brusquement, à ce moment-là, apparaît dans l’eau des formes microbiennes (endogenèse microbienne), autrement dit, il y a une latence de vie qui est incluse dans la structure de l’eau (microzymas). Cette latence de vie se manifeste ou ne se manifeste pas, cela dépend tout simplement des circonstances extérieures. N’oublions pas que nous sommes composés à 70% d’eau…

Les microzymas peuvent transmettre des informations qui permettront aux receveurs de mettre en route des processus de guérison qui étaient en instance et d’éliminer la toxémieLes humeurs dans lesquelles ils baignent sont le support de ces informations. L’eau informée, vivante, véhicule des hormones, divers médiateurs chimiques, des informations bioélectroniquesélectromagnétiques et émotionnelles…

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

En résumé, respectons les 9 points essentiels de la santé intégrale. Réduisons notre toxémie, augmentons notre énergie vitale et équilibrons notre terrain en respectant les lois naturelles pour éviter les sanctions…

« L’ignorance est mère de tous les maux. »

Rabelais

« Pour rappel, les infections ne sont pas dues à des microbes comme on le croit naïvement, mais à la morbidité du terrain psycho-organique dans lequel ils évoluent. Un mental infectieux infecte le soma, le soma infectieux donne naissance à des microbes spécifiques, c’est-à-dire propres à la nature et à l’importance de ces états infectieux. C’est ce qu’on appelle le polymorphisme, la mutation du microbe en fonction du milieu dans lequel il se développe. C’est le marécage qui fait le moustique et non l’inverse. C’est le terrain malsain qui fait le microbe. Le microbe est un ami, un éboueur qui se nourrit de nos déchets. Il nous aide donc à nous épurer. Avec des antibiotiques on ne corrige pas la morbidité du terrain qui est la vraie cause des infections, au contraire on l’aggrave ! Ce n’est pas l’allopathie qui a permis d’éliminer les grandes épidémies dites infectieuses mais l’hygiène et les conditions améliorées de vie, de travail, de salaire, de transport, d’habitat, etc. Les épidémies ne frappent que des individus de groupes ayant les mêmes comportements mentaux, alimentaires et existentiels. »

Pr. Grégoire Jauvais

« La potentialité contagieuse ne se passe pas au niveau de la matière, mais au niveau de la vibration. L’élément qui a le plus d’impact sur notre organisme ce sont nos pensées, notre psychisme, notre conditionnement, nos croyances, notre état émotionnel, nos peurs, cela nous apporte les mauvaises ondes vibratoires ou niveau du génome et modifie un certain nombre d’informations. La peur contribue à effondrer notre immunité. Notre immunité est un facteur d’informations. Il faut augmenter positivement nos champs vibratoires. » (Voire : Les 9 paramètres de la santé intégrale.)

Dr. Holleville

« Un être organisé est un être vivant végétal, animal ou humain, doué d’une organisation qui dépasse tout entendement humain… Il n’y a pas de contagion sur un être organisé. Le vaccin désorganise l’individu vacciné, en particulier par le fait de l’empoisonnement provoqué par le prétendu « adjuvant de l’immunité ». Mais il peut y avoir transmission d’information ou mimétisme. Antoine Béchamp est le premier à parler de la possibilité d’une contagion par les germes et corpuscules (molécules) vibrants de l’air… mais seulement pour les matériaux non « organisés. » … Les microzymas qui constituent les microbes peuvent transmettre, dans certains cas, des informations. Elles permettront aux receveurs de mettre en route des processus de guérison qui étaient en instance. Ensuite, ces microzymas repartiront… Il n’y a jamais de multiplication de germes, de bactéries ou de prétendus virus à l’intérieur de notre corps qui viendraient de l’extérieur, cela Béchamp a démontré que c’est strictement impossible ! »

Dr. Alain Scohy

« Les pollutions (atmosphérique, électromagnétique, vaccinale et chimique) conduisent aux pandémies virales, aux cancers, puis à la mort. Le contraire, c’est la vie. »

Jean-Yves Rousseaux, bioélectronique

« Les épidémies peuvent revenir avec les pollutions. »

Pr. Louis-Claude Vincent, 1976

« C’est Pasteur qui a lancé la théorie microbienne telle qu’elle est connue de nos jours. Mais c’est aussi Pasteur, le même Pasteur, qui avait dit sur son lit de mort : “C’est Claude (Bernard) qui a raison : le microbe n’est rien le terrain est tout.” C’est ainsi que Pasteur avait, à la dernière minute de sa vie et d’un seul coup, reconnu la nullité de tous ses travaux sur les microbes. “Ses expériences dans ce domaine avaient toutes échoué,” écrit le Dr. H. M. Shelton, mais les fabricants de vaccins, qui sont tous des hommes d’affaires avisés, ont présenté ces expériences comme des succès. Nous ne nions pas l’existence des microbes et des virus. Mais si un microbe particulier est censé être la cause spécifique de la maladie, il devrait toujours la causer. Or on rencontre le microbe dans la santé comme dans la maladie. On ne peut donc pas le considérer comme la cause. »

Albert Mosséri

« La vie sobre met à l’abri des épidémies ou tout du moins atténue l’imminence du danger, les intempérants étant en cas d’épidémie atteints les premiers. »

Dr. Paul Carton

« Lorsqu’on parle de maladies épidémiques et contagieuses, il faut tenir compte de toutes les circonstances qui affectent, simultanément, l’ensemble des populations touchées par ces troubles de santé. Les épidémies sont dues à une altération généralisée du terrain, des résistances individuelles et collectives à cause de conditions biologiquement défavorables : habitat malsain, alimentation incorrecte (carencée ou surabondante ou déséquilibrée), empoisonnement par des agents divers, soins inadéquats, conditions de travail inhumaines, dérèglements psychologiques, conditions météorologiques encore mal déterminées. Les effets de la peur sont souvent déterminants. Le seul vrai remède consiste à rechercher et corriger les causes. La plupart des maladies dont souffre l’humanité sont dues aux traitements médicaux qu’elle subit. Beaucoup de nos maux sont iatrogènes et les microbes et virus sont, bien à tort, mis en cause. »

Dr. André Passebecq, extrait du livre : Cours de Psychosomatique Naturelle.

« En réalité, dans le cas des maladies, ni dans l’organisme malade ni dans les fluides corporels n’a jamais été vue ou isolée une quelconque structure que vous pourriez caractériser comme un virus. La proposition qu’il y a un quelconque virus fabriquant une maladie quelconque est clairement une escroquerie, un mensonge mortel avec des conséquences dramatiques. »

Dr. Stefan Lanka, virologue et docteur en biologie moléculaire

« Les prétendus virus contagieux peuvent, en fait, être également considérés comme des particules produites par les cellules elles-mêmes (exosomes) en conséquence de certains facteurs de stress tels que les médicaments, le style de vie, les pesticides, les métaux lourds, la pollution, le stress et les aliments transformés. Pour étayer ces affirmations, nous citons des dizaines de scientifiques de renom, parmi lesquels les lauréats du prix Nobel Kary Mullis, Barbara McClintock, Walter Gilbert, Sir Frank Macfarlane Burnet et le microbiologiste et lauréat du prix Pulitzer René Dubos. Nous présentons dans notre ouvrage environ 1.100 références scientifiques pertinentes, dont la plupart ont été publiés récemment. »

Torsten Engelbrecht, journaliste et Claus Köhnlein docteur en médecine interne, auteurs du livre : Virus Mania : Comment l’industrie médicale invente continuellement les épidémies.

Deux cellules se transmettant de l’information à l’aide d’exosomes.
Exosomes = virus = microzymas ?

« Quant à la contagion, que nous pouvons considérer comme un processus infantile « d’imitation » (Rudolph Steiner), elle ne concerne que les êtres ayant une vulnérabilité, comme les mêmes carences, les mêmes conflits, les mêmes peurs, sinon personne n’aurait jamais survécu à une épidémie. »

Dr. Éric Ancelet

« On sait aujourd’hui que la vaccination antivariolique a causé plus de cas de variole que les épidémies elles-mêmes et qu’elle a favorisé la tuberculose. Autrement dit, la pratique de cette vaccination a permis de créer des foyers d’épidémie, alors même que la maladie était en constante régression par un ordre naturel des choses. »

Dr. Louis De Brouwer

« Personne dans l’histoire n’a jamais provoqué de maladie chez une personne ou un animal en y introduisant une bactérie pure et isolée ou un soi-disant virus. »

Dr. Thomas Cowan

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie comme les docteurs Pettenkofer de l’Université de Vienne, Thomas Powell, John B. Fraser de Toronto, Beddow Bailly, etc.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent. Des expériences similaires ont été faites dans les camps de la marine américaine U.S. Naval Detention Training Camp on Deer Island sur 30 sujets et aussi à San Francisco sur 10 autres sujets avec des cultures pures du bacille de Pfeiffer (grippe espagnole). Il n’existait pas un seul cas où n’importe quel microbe ait pu être la cause spécifique d’une maladie quelconque.

Le Dr. Fraser du Canada et le Dr. Powell de Californie ont expérimenté des milliards de germes de toutes les variétés, mais ils ont été incapables de produire une seule maladie en introduisant des germes dans des sujets humains.

Le Dr. Waite a essayé pendant des années de prouver la théorie des germes, mais il n’a pas pu le faire. Pendant la guerre mondiale, une expérience a été menée à Gallop’s Island dans le Massachusetts, au cours de laquelle des millions de germes de la grippe ont été injectés à plus d’une centaine d’hommes à l’hôpital public, et personne n’a contracté la grippe.

Pettenkofer (épidémiologiste) n’hésita pas à boire en public le 7 octobre 1892 une culture de bacilles du choléra, et ne développa pas d’infection. Ses étudiants, qui l’imitèrent ensuite, ne contractèrent pas la maladie. (Choléra : zone 4 du bioélectronigramme Vincent).

A moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents, voici une des vérités fondamentales que Pasteur ou Béchamp ont découvertes. Mais Pasteur et ses disciples semblent ignorer le fait que les microbes et les virus n’ont jamais eu d’influence spécifique. (Source : Le Goulag du SIDA – Albert Mosséri, Editions Aquarius).

Le Dr. Ryke Hamer (1935-2017) n’a pas été le seul à démontrer que les maladies ne pouvaient pas être transmises d’un individu à un autre. Le physicien et médecin pathologiste allemand, Rudolf Virchow (1821-1902), a démontré lors d’une expérience, que si des bactéries vivantes sont transmises à une autre personne, cette personne ne développe pas la même maladie. Il y a eu des recherches audacieuses où Rudolf Virchow lui-même a ingéré des cultures de germes entières, sans développer de maladie. Il nous dit que l’hypothèse selon laquelle les maladies sont contagieuses n’est pas reproductible, et donc non scientifiquement prouvée. En bref, il nous dit que nous n’aurons pas la grippe, même si quelqu’un nous envoie un éternuement bien morveux. Contrairement à Pasteur, il rejette énergiquement l’hypothèse de l’intervention de germes infectieux dans les maladies contagieuses. (Source : conférence de Caroline Markolin, Ph. D. et Universalis.fr).

Le Dr. René-Nicolas Desgenettes, médecin chef, s’inocula publiquement du pus de bubon pesteux pour prouver que la peste n’était pas contagieuse ! Il ne mourut pas. Ce ne fut pas de la chance. Le docteur “ignorant” n’avait pas peur, car il ne croyait pas que ce pus puisse lui faire le moindre mal !

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué. (Source : The Invisible Rainbow – Arthur Firstenberg).

Articles complémentaires :

Notion de terrain
La Bioélectronique Vincent
Nos amis les microbes
Les microzymas et le polymorphisme microbien
La toxémie
Les 9 points de la santé ou de la maladie
La loi de l’homéostasie
Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins
Pasteur l’imposteur
Les ondes électromagnétiques
L’équilibre acido-basique

En cas d’urgence ou lorsque le pronostic vital est engagé, consultez un médecin.

Source : https://maloxxx8.wixsite.com/malonaturo/post/%C3%A9pid%C3%A9mies-et-contagions


[Voir aussi :
le dossier Vaccins et virus, dont :
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Le culte de la virologie – Documentaire
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
La théorie des germes : Une erreur fatale
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies]


Note




Quand un rappeur en remontre haut la main aux « scientifiques », « journalistes » et politiciens…

[Source : reseauinternational.net]

Par Jean-Dominique Michel.

De belles découvertes sont à faire ces derniers temps. Après le texte inspiré d’hier, j’ai découvert les vingt aphorismes suivants (plus un en bonus…) du rappeur britannique Zuby.

Lequel démontre une sagacité et une perspicacité stratosphériques en comparaison de la soupe décérébrée et mensongère servie par nos « élites ».

À déguster sans modération, comme un véritable antidote à la stupidité et à la corruption ambiante…


1/ La plupart des gens préfèrent être dans la majorité plutôt que d’avoir raison.

2/ Au moins 20% de la population a de fortes tendances autoritaires, qui émergeront dans les bonnes conditions.

3/ La peur de la mort n’est concurrencée que par la peur de la désapprobation sociale. Cette dernière pourrait être plus forte.

4/ La propagande est tout aussi efficace aujourd’hui qu’il y a 100 ans. L’accès à une information illimitée n’a pas rendu l’individu moyen plus sage.

5/ Tout et n’importe quoi peut être et sera politisé par les médias, le gouvernement et ceux qui leur font confiance.

6/ De nombreux politiciens et grandes entreprises sacrifieront volontiers des vies humaines si cela sert leurs aspirations politiques et financières.

7/ La plupart des gens croient que le gouvernement agit dans le meilleur intérêt de la population. Même ceux qui critiquent ouvertement le gouvernement.

8/ Une fois qu’ils ont pris une décision, la plupart des gens préfèrent s’engager à avoir tort plutôt que d’admettre qu’ils ont eu tort.

9/ Les êtres humains peuvent être formés et conditionnés rapidement et relativement facilement pour modifier de manière significative leurs comportements – pour le meilleur ou pour le pire.

10/ Lorsqu’ils sont suffisamment effrayés, la plupart des gens non seulement acceptent l’autoritarisme, mais l’exigent.

11/ Les personnes que l’on qualifie de « théoriciens de la conspiration » sont souvent bien documentées et ont tout simplement une longueur d’avance sur le discours dominant.

12/ La plupart des gens accordent plus d’importance à la sécurité qu’à la liberté, même si cette sécurité n’est qu’une illusion.

13/ L’adaptation hédonique se produit dans les deux sens, et une fois que l’inertie s’installe, il est difficile de faire revenir les gens à la « normale ».

14/ Un pourcentage significatif de personnes aime profondément être subjugué.

15/ « La science » s’est transformée en une pseudo-religion séculaire pour des millions de personnes en Occident. Cette religion a peu à voir avec la science elle-même.

16/ La plupart des gens se soucient davantage d’avoir l’air de faire ce qu’il faut que de faire ce qu’il faut.

17/ La politique, les médias, la science et les industries de la santé sont tous corrompus, à des degrés divers. Les scientifiques et les médecins peuvent être achetés aussi facilement que les politiciens.

18/ Si vous mettez les gens suffisamment à l’aise, ils ne se révolteront pas. Vous pouvez garder des millions de personnes dociles tout en les privant de leurs droits, en leur donnant de l’argent, de la nourriture et des divertissements.

19/ Les gens modernes sont trop complaisants et manquent de vigilance lorsqu’il s’agit de défendre leurs propres libertés contre les excès du gouvernement.

20/ Il est plus facile de tromper une personne que de la convaincre qu’elle a été trompée.

21/ La plupart des gens sont assez compatissants et ont de bonnes intentions (c’est bien). Par conséquent, la plupart des gens ont beaucoup de mal à comprendre que certaines personnes, y compris nos « dirigeants », PEUVENT avoir des intentions malveillantes ou perverses (c’est mal).




Une vaccination obligatoire déguisée ? Les annonces de Macron décriées par l’opposition

[Source : RT en français]

[Photo : © Christophe ARCHAMBAULT Source: AFP]

Après les déclarations du chef de l’État sur l’extension du pass sanitaire ou encore de l’obligation vaccinale, les critiques se sont multipliées au sein de l’opposition. Nombre de responsables politiques dénoncent notamment un recul des libertés.

Lors d’une allocution présidentielle ce 12 juillet, le président français Emmanuel Macron a annoncé une série de mesures pour faire face à un rebond des contaminations au Covid-19. A ce titre, il a notamment annoncé l’extension du pass sanitaire aux lieux recevant du public ou encore la mise en place de l’obligation vaccinale pour ceux qui sont « au contact de personnes fragiles », malgré l’opposition d’une partie de la classe politique. 

A droite de l’échiquier politique, les réactions ne se sont pas fait attendre, ses membres dénonçant de manière quasi-unanime un recul des libertés individuelles.

« L’extension du pass sanitaire revient à instaurer une vaccination obligatoire qui ne dit pas son nom, et à créer deux catégories de citoyens. Autant je suis favorable à la vaccination des soignants, autant je crois que cette mesure est brutale et inadaptée », s’est inquiété le député Les Républicains Julien Aubert.

Le chef de file des Patriotes Florian Philippot a fustigé pour sa part le piétinement des « droits fondamentaux » en évoquant l’extension du pass sanitaire et l’obligation vaccinale pour certaines professions dont les aides-soignants. « Je n’ai pas vu ce soir un président de la République mais un dictateur », a-t-il renchéri. 

Pour Nicolas Dupont-Aignan, le président de la République est « devenu fou ». Le chef de file de Debout la France a fustigé un homme « dangereux » qui met en branle des mesures contraires à toutes les libertés fondamentales. « Trains, restaurants, cafés, cinémas… Macron met au ban des millions de Français, au mépris de nos droits fondamentaux et de l’égalité républicaine », s’est indigné le président de Debout La France. 

Même réaction d’indignation du côté de Marine Le Pen. La présidente du Rassemblement national (RN) a évoqué sur Twitter un « recul grave des libertés individuelles » et une « liquidation de notre système de protection sociale », ajoutant, en faisant référence à la réforme des retraites, que les Français « paieront l’imprévoyance et l’incompétence de nos dirigeants ».

Son collègue, le député européen du RN Gilbert Collard, a de son côté accusé sur RT France le président de la République d’instaurer « une dictature vaccinale », estimant que la contrepartie serait au minimum d’exiger que « l’Union européenne rende public les contrats qui [la] lie aux laboratoires ».

A gauche de l’échiquier politique, les critiques ont également fusé. Pour la députée de La France insoumise (LFI) Danièle Obono, le chef de l’État « contraint la population à la vaccination obligatoire mais pas Big Pharma ». Elle a regretté dans la foulée qu’Emmanuel Macron fasse « la chasse aux chômeurs mais pas aux profiteurs de crise » tout en « préparant la destruction du système des retraites ».

De son côté, le député LFI Adrien Quatennens a déploré une politique sanitaire répressive ne suivant pas les recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé : « Pour la vaccination, l’OMS préconise de convaincre plutôt que de contraindre. Mais comme l’équipe qui a raconté mille foutaises sur les masques, les tests et tout le reste n’a plus grand chose de convaincant, ce sera pour le vaccin comme pour le reste : à la matraque. »

Le lendemain matin, le chef des insoumis Jean-Luc Mélenchon a également tonné contre les annonces du président de la République, qu’il a qualifiées de « contradictions » et d’« aberrations ». « Les décisions de Macron sentent l’abus de pouvoir et la discrimination sociale. Exemple : le pass sanitaire obligatoire sera vérifié par des policiers non vaccinés. Bienvenue en absurdie. Le pays n’est ni protégé ni organisé pour la 4ème vague », a-t-il écrit sur les réseaux sociaux.

En outre, le discours d’Emmanuel Macron a été jugé « inquiétant » par l’éditorialiste Alexis Poulin, qui regrette la mise en place d’une « politique de contrôle » et non la réalisation d’une « politique sanitaire ».

La vaccination obligatoire pour les soignants constitue au contraire une « bonne nouvelle » pour Eric Bouchard, médecin généraliste dans les Alpes-Maritimes. « Encore 40% des soignants dans les Ehpad ne sont pas vaccinés » a-t-il déploré.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/88682-vaccination-obligatoire-deguisee-annonces-macron-decriees-opposition




Allocution de Macron : entre autosatisfaction et obligations, l’adieu à la raison

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

20h27. Fin de l’allocution de notre actuel huitième président de la Vème République Française.

Cette allocution aura donc duré un peu moins de 30 minutes. 30 minutes que certains de nos concitoyens ont dû trouver bien longues…

Car, ne nous mentons pas ; depuis quelques jours maintenant, elle était redoutée par bon nombre de Français. L’atmosphère se faisant de plus en plus lourde ces derniers temps ; que ce soit dans la vie au quotidien (professionnelle comme sociale) ou sur les réseaux sociaux. Climat d’instabilité manifeste exacerbé qui plus est par une campagne incessante et pesante sur les plateaux des diverses chaînes d’information. Ces plateaux de télévision où sans cesse, les non-vaccinés sont pointés du doigt pour leur manque de civisme, d’altruisme et de solidarité. Les mots employés dépassant souvent l’entendement, symbole d’une atmosphère nauséabonde et d’une tension palpable. Les exemples les plus frappants étant les interventions de M. Lechypre ou de Mme de Malherbe pour qui les non-vaccinés doivent être traqués ou considérés comme des brebis galeuses.

Voir aussi : Le non-vacciné, cette espèce à abattre

A cela s’ajoute, bien évidemment, car sans cet ajout il eut été difficile d’imposer de nouvelles mesures, une communication terriblement anxiogène par ces mêmes médias mainstream rappelant toutes les heures l’implantation continue sur notre territoire du terrible variant indien, renommé Delta, pour des soucis de progressisme bien évidents. La « fracture vaccinale », comme aime le dire un célèbre néphrologue devient de plus en plus visible. Fracture illustrée ces dernières heures par la conversation filmée entre notre Premier ministre et le président du parti Les Patriotes. Cette conversation laissant sous-entendre un été plus que compliqué pour la partie de la population française non vaccinée.

https://www.youtube.com/embed/yKVMKXGHFes

Sans bien sûr oublier la bombe de la semaine dernière lorsque le directeur de l’IHU Marseille, via son compte Twitter, s’est positionné en faveur de la vaccination « systématique »des soignants. C’est donc dans ce contexte particulier, une véritable poudrière sociale, que le président intervenait ce soir afin de donner ses nouvelles directives pour cet été déjà commencé.

Et si la population réticente au vaccin et au pass sanitaire redoutait donc cette allocution et les décisions qui allaient en découler, force est de constater que personne (y compris dans le camp des « pro ») ne s’attendait à des décisions aussi radicales.

Le président a commencé son allocution, qu’il tenait étonnamment au Grand Palais Ephémère, par des félicitations à tous comme il en a l’habitude, des soignants jusqu’à notre jeunesse, n’oubliant pas de rendre hommage aux victimes, tout en saluant notre civisme et également la pertinence des mesures prises par son gouvernement.

Oui car il estime, « après avoir beaucoup consulté », que si l’épidémie est maitrisée c’est avant tout grâce aux mesures prises par l’exécutif, pointant surtout le plan de vaccination massif qui est une réussite. A aucun moment Emmanuel Macron ne parle de l’arrivée du printemps puis de l’été qui entraînent une chute naturelle de l’épidémie dans notre climat tempéré… Premier écart avec la science.

Après s’être dit très fier du maintien de l’école et de l’instruction (il est à noter que l’on a fermé moins longtemps que certains pays comme les Etats-Unis ou l’Allemagne), il saluera également aussi le plan de réouverture. Ce plan de réouverture étant une réussite notamment grâce à son « quoiqu’il en coûte » qui aurait permis de préserver les emplois, les entreprises et le pouvoir d’achat. Tous ces bons résultats vont nous permettre de maintenir un 6% de croissance faisant de nous le pays le plus attractif d’Europe… Rendez-vous en fin d’année pour confirmation.

Arrive alors le début des annonces fâcheuses : Emmanuel Macron nous lâche que malheureusement la reprise épidémique due au variant delta est maintenant forte sur tout le territoire, y compris les Dom-Tom. Mais également dans le monde entier, et qu’il est impératif de reprendre des mesures pour lutter contre celui-ci ; il cite notamment les Jeux olympiques de Tokyo à huis clos pour se justifier.

Bien sûr, il appuie son propos en nous expliquant que ce Delta est trois fois plus contagieux, (ce chiffre est pour le moins farfelu : on a entendu 8, 12 et maintenant 3…), mais il ne dira mot concernant le taux d’hospitalisations et le taux de létalité de ce variant comparé aux précédents. Pour quelle raison ? Parce que ce variant est très peu létal selon les derniers résultats observés en  Grande-Bretagne, et, comme chacun sait qu’il a des compétences en épidémiologie, on ne peut imaginer qu’il ne soit pas au courant. De fait, cela rendrait la suite de la prise de ces décisions insensées. Deuxième écart avec la science.

Mais « heureusement », dit-il, nous avons l’arme vaccinale pour lutter contre ce virus et ses variants. Et d’ailleurs il est impensable qu’au pays de Pasteur et des Lumières, une telle proportion de la population y soit réticente. Cette affirmation paraît terriblement cocasse quand on sait qu’aucun de nos vaccins n’est actuellement sur le marché…

Se vacciner, affirme-t-il encore, réduit les formes graves de 95%, divise la contamination par 12 et réduit les mutations. Si la première affirmation est vrai, il ferait bien d’aller jeter un œil sur les dernières études qui parlent d’un taux d’efficacité aux alentours de 60% sur les contaminations, et même encore moins si on s’en réfère aux toutes dernières données. Quant aux mutations évitées, c’est tout simplement non prouvé pour l’instant. Troisième et quatrième écart avec la science.

Voir aussi : Le meilleur épidémiologiste du monde est français, et il s’appelle Macron !

Mais, c’est en utilisant ces arguments scientifiques teintés de doigt mouillé, qu’il va annoncer ses décisions :

– l’obligation vaccinale, « dans un premier temps » pour tous les soignants et assimilés, jusqu’aux aides à domicile. Ils auront jusqu’au 15 septembre pour le faire, ensuite viendront des contrôles, et des sanctions.

On rappellera que ces vaccins sont toujours en AMM (autorisation de mise sur le marché) conditionnelle et que prendre une telle décision est totalement contraire au principe de prudence. Que cherche-t-il à provoquer par cette décision ? Croit il vraiment que la totalité du personnel va s’exécuter ? Ne sait il pas que certains vont démissionner (c’est déjà le cas pour certains) pour le libéral ou une reconversion ? Ne se rend il pas compte qu’il risque de rendre l’Assistance Publique complètement démunie ?

On pourrait vraiment le penser… mais c’était sans compter sur la suite de son programme vaccinal. Ils ont certainement prévu cette possibilité et c’est sans doute la raison des décisions suivantes.

Pour le reste de la population, pas d’obligation. Mais déjà des couvres-feux seront remis en place en Martinique et à la Réunion et, pour les départements dont le taux d’incidence dépassera 200 (soit à nouveau des cas, et non des malades), les sanctions seront ciblées sur les non-vaccinés.

En prononçant ces mots, il rend officielle et légitime la fracture vaccinale dans notre pays. Il vient de donner blanc-seing à tous les intégristes du « zerocovid » et « no fale med ». Ils auront dorénavant l’aval du président quant à leurs actions de discrimination envers leurs compatriotes non vaccinés.

– La suite logique de son intervention (car une fois mis en condition on y trouve une certaine logique) est donc l’extension du passe sanitaire, et ce dès le 21 juillet dans les lieux de loisirs et culture à partir de 12 ans. Puis ce passe sera élargi début août à tous les cafés, restaurants, moyens de transport publics, ainsi qu’aux centres commerciaux. Il ajoute que seuls les vaccinés et les testés négatifs (sans préciser le type de test d’ailleurs) pourront y accéder. Plus de différenciation dehors/dedans, on oublie donc encore une fois la science qui nous a prouvé qu’il était rarissime de se contaminer en extérieur. Cinquième écart.

De plus, en disant que la preuve vaccinale est suffisante, il agit comme si ce vaccin cassait la contamination et la transmission, et on a bien vu que c’était loin d’être évident. Nous nageons dans l’absurde le plus total, où une personne vaccinée mais possiblement positive aura accès à un lieu public, quand une personne non vaccinée mais négative y sera interdite. Sixième écart.

On rappellera aussi que le passe était censé être utilisé pour les rassemblements de plus de 1000 personnes seulement. Certains avaient vite vu la mascarade de cette loi. Les rédacteurs de cette dernière avaient bien fait attention de ne mentionner aucun seuil pour pouvoir l’adapter.

Voir aussi : Loïc Hervé, sénateur : « le pass sanitaire, ce n’est pas possible, c’est une question de principe »

Enfin, il finit par nous annoncer qu’à partir de septembre, les tests deviendront payants. Ceci est une manière de faire qui n’a rien à envier à nos plus sombres moments d’histoire. En effet, comment une famille nombreuse au revenu minimum pourrait-elle se permettre de payer des tests PCR à chaque fois qu’elle veut aller au cinéma ou faire ses courses ? Par cette décision, il contraint de fait une grande partie des réticents à la vaccination, sans autre forme de procès.

Comme si cela ne suffisait pas : après avoir annoncé des projets de vaccination à l’échelle mondiale via le « Projet Act » pour les pays les plus pauvres qui auront un accès facilité aux doses de vaccins – pays qui pour la plupart, rappelons-le aussi, ne nous ont pas attendu pour soigner et prendre en charge leurs populations avec des traitements connus et reconnus mais dont il est interdit d’écrire le nom sous peine de censure, le président termine son allocution en annonçant la réforme des retraites qui sera mise en place dès la sortie de la pandémie. On notera avec malice que cette date imprécise lui donne une certaine latitude, puisqu’il pense qu’on en a au moins jusque 2022 avec ce virus. Avec en perspective, jusqu’à preuve du contraire, des élections présidentielles en mai 2022. Pense-t-il vraiment être en situation de mettre en place cette réforme ?

Se justifiant donc avec cette réforme et le maintien du plan de relance post covid, il nous annonce que nous serons contraints de travailler plus et plus longtemps. Car notre président est un homme de parole : ainsi, il continuera la baisse des impôts comme prévu. Il faudra donc financer ce plan de relance et la réforme des retraites par d’autres moyens : le travail ! 

Il conclut alors par son grand projet qu’il nomma « le pacte français » – mais sans jamais omettre d’y inclure l’Europe. Il aura pour but de faire de la France un pays conquérant à la pointe dans la recherche, l’innovation, l’industrialisation, l’agriculture à horizon 2030. On croirait presque à un discours souverainiste mais y inclure l’Europe et parler également de projet européen d’industrialisation montre bien que tout ceci est peu tangible et viable économiquement.

Les annonces dites sanitaires auront donc été prises en sandwich entre un numéro d’autocongratulation et un discours programmatique, pour ne pas dire de campagne. Était ce pour noyer le poisson en bombardant le citoyen d’informations importantes ?

Il n’empêche que nous basculons dans une autre ère ce 12 juillet 2021, 23 ans jour pour jour après que le pays a vécu sa plus belle soirée de communion nationale d’après-guerre. L’obligation vaccinale est appliquée dans peu de pays encore, les seuls étant l’Arabie Saoudite et le Tadjikistan. Sous couvert de protection de la population contre un variant qui à l’heure actuelle n’est pas spécialement alarmant, cette obligation vaccinale et ce passe étendu questionnent fortement.

Quel est le projet ? A-t-il conscience que si on découvre des maladies auto-immunes, le pays le rendra responsable ? Il est assez jeune pour devoir répondre de ses décisions de son vivant dans plusieurs décennies et ca n’a pas dû lui échapper.

Quel est l’intérêt de vacciner un enfant de 12 ans ? Combien de morts de 12 ans du covid ? À quel moment notre président et son conseil scientifique ont-ils oublié la définition de la balance bénéfice-risque ?

De plus, on commence à s’apercevoir de manière assez probante maintenant que de « l’échappement vaccinal » peut se produire, qu’un vacciné peut toujours être positif et que de fait le vaccin n’est pas l’arme ultime de santé publique.

Voir aussi : « Ne faisons pas un remède pire que le mal » : l’entretien essentiel, avec Christian Vélot

Que signifie cette dégringolade liberticide ? Nous sommes passés d’un confinement en mars-avril 2020 pour désengorger nos hôpitaux et nos réas, à l’obligation vaccinale en septembre 2021 pour un enfant de 12 ans pour aller manger un snack dans un centre commercial…

Les historiens et philosophes du XXIIème siècle auront là un sujet passionnant pour leurs thèses.

Auteur(s): FranceSoir




France : Plainte contre Emmanuel Lechypre et avertissement aux grands médias. Mise à jour

[Source : Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (infovaccin.fr)]

[Mise à jour : fichier de la plainte officielle.]

Communiqué de presse 12 juillet 2021

La Ligue nationale pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV) porte plainte auprès du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), contre Emmanuel LECHYPRE, journaliste, éditorialiste économique français officiant sur BFM TV, BFM Business, RMC et RMC Story.

Ce journaliste a tenu sur RMC Story des propos menaçants susceptibles de poursuites pénales :

« On vous vaccinera de force, moi je vous ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination. Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s’il le faut […] Les non-vaccinés, ce sont des dangers publics, j’ai une démarche très claire : je fais tout pour en faire des parias de la société ! »

Ce journaliste porte atteinte à la dignité de la personne humaine à la liberté d’autrui, à l’ordre public en incitant publiquement à la haine, à la violence et à la discrimination d’un nouveau genre à l’égard des Français refusant de se voir injecter un médicament expérimental.

De tels propos doivent être sanctionnés rapidement. Ils sont le reflet d’un mode de pensée totalitaire et d’une régression de l’expression démocratique sans précédent depuis la Libération.

Nous rappelons le premier alinéa du préambule de la Constitution de 1946 :

« Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. »

Ainsi, nul ne peut être discriminé, maltraité ou exclu en fonction d’un quelconque statut sanitaire qui doit par ailleurs rester protégé par le secret médical.

Nous demandons à M. Lechypre et à tous les journalistes des grands médias :

1. de respecter le Code de déontologie des Journalistes (Charte de Munich) : « Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs » (point 9).

2. de mener des investigations indispensables pour délivrer des informations objectives et claires. Nous avons besoin de débats véritablement contradictoires et non d’une diversité d’intervenants peu qualifiés qui ne font que masquer une consanguinité de la pensée, mortifère pour la santé des Français et la démocratie. Les Français sont las du matraquage et des discours culpabilisants. Beaucoup ont coupé le poste pour préserver leur santé mentale. Nous invitons les journalistes à sortir de la communication institutionnelle, du sensationnalisme et de l’alarmisme pour chercher à connaître la vérité des faits et informer de manière objective.

La Ligue nationale pour la Liberté des Vaccinations www.infovaccin.fr/
Contact : lnplv.adm@orange.fr

[Mise à jour :]

Plainte officielle :




Effets secondaires et décès liés aux injections expérimentales anticovid.

Par Nicole Delépine

[Illustration tirée de XAVIER DELUCQ]

Recueil de données officielles disponibles

UNION EUROPEENNE

Pour ceux qui aimeraient vérifier les chiffres publiés sur les effets secondaires déplorés et signalés en UE, voici la source et la marche à suivre(([1] SOURCE : http://www.adrreports.eu/fr/search_subst.html#))

SOURCE : http://www.adrreports.eu/fr/search_subst.html#

MARCHE À SUIVRE

Si vous voulez effectuer la recherche : une fois cette page ouverte

recherchez « covid ». Vous trouverez les quatre vaccins.

Sur chacune des pages du vaccin, cliquez sur l’avant-dernier onglet (« Number of Individual Cases for a selected Reaction »). Le nombre d’effets secondaires se trouve en bas à droite pour chacun des groupes de pathologies répertoriés dans la colonne de gauche.

Pour trouver le nombre total d’effets secondaires, pour chaque vaccin, il faut additionner le nombre d’effets secondaires trouvé pour chacun des groupes de pathologies (c’est-à-dire, par vaccin, plusieurs dizaines de pages dans la liste de la colonne de gauche).

Dernier comptage disponible(([2] 16.500 décès susceptibles d’être causés par les « vaccins » anti-covid dans l’UE (au 26 juin 2021) | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) en UE avec les pathologies associées.

CHIFFRES GLOBAUX UE

17 503 décès comptabilisés de gens bien portants qui ont suivi les conseils télévisés des médias, n’est-ce pas énorme ? Et le nombre d’accidents répertoriés dont 50 % sont graves ne sont pas assez soulignés, car la vie de ceux-là sera perturbée pendant des décennies s’ils survivent aux complications tardives possibles (cancer, maladie auto-immune, etc.).

Ceci est un comptage minimum, car les soignants sont invités à ne pas parler d’effets secondaires et à expliquer que malheureusement « c’est le hasard ».

Les morts ne sont comptabilisés que durant les trente jours suivants la piqûre et les morts subites du deuxième mois sont volontairement oubliées. Quant aux accidents cardiaques fréquents, ils sont pour l’instant supposés être le fait de pure coïncidence et non comptabilisés. Gageons que les cardiologues vont faire fortune, l’injection génique source de fabrication de protéine Spike étant particulièrement toxique pour les vaisseaux et en particulier les vaisseaux usés des gens âgés qu’on s’est précipité à injecter.

Qu’importe de l’exactitude des chiffres qui sont de toute façon tellement élevés, même si des millions de gens sont vaccinés comme les fanatiques du vaccin nous le répètent.

Il serait raisonnable de comparer ces chiffres énormes de décès et accidents liés à l’injection anticovid à ceux des vaccins tellement répandus dans le monde comme ceux contre la rougeole ou la poliomyélite aux États-Unis, comme en Chine, et qui n’ont jamais donné une mortalité comparable. Pourquoi est-ce acceptable pour l’injection génique ?

Ils sont infiniment trop élevés pour une pratique théoriquement préventive, chez des gens bien portants qui le plus souvent ne risquent rien du covid. On ne devrait pas tolérer que continue cette campagne de pseudo « vaccination ».

Rappelons que le vaccin H1N1 avait été retiré après une cinquantaine de décès de même que celui de la grippe aviaire en 1976 et que de façon générale, un essai thérapeutique d’une nouvelle drogue est stoppé au-delà d’une trentaine de décès. Le nouveau monde est bien là, oubliant le consentement éclairé, le principe de précaution et la valeur de la vie, d’une vie.

Un moratoire pour avoir le temps d’analyser les données déjà disponibles serait la moindre des choses si le sort des citoyens était en cause, après des millions de gens vaccinés.

Soit 16 432 décès signalés et acceptés par l’EMA comme possiblement liés et suspects fin juin 2021 avec le détail.

Et si vous souhaitez avoir une idée de l’évolution du nombre de décès depuis avril par exemple :

  • Pour le détail à la date du 19 juin 2021 par type de pseudovaccin :
  • Pfizer 7420 décès 560 000 effets adverses d’intérêt
  • Moderna 4147 décès 122 643 effets adverses d’intérêt
  • Astra Zeneca 3364 décès et 793 036 effets adverses d’intérêts
  • Jansen 541 décès
  • UE : 15 472 décès au 19 juin + 1.5 M effets adverses

Depuis le 3 avril 2021, on dénombre dans l’UE en moyenne CHAQUE JOUR 120 décès suspectés d’être dus aux quatre « vaccins » anticovid dans l’Union européenne sont signalés.

USA

VAERS au 25 JUIN 2021

Entre le 14 décembre 2020 et le 25 juin 2021, un total de 411 931 événements indésirables au total a été signalé au VAERS, dont 6985 décès, soit une augmentation de 872 décès par rapport à la semaine précédente.

Il y a eu 34 065 signalements de complications graves, en hausse de 2825 par rapport à la semaine précédente »

Les analystes des conséquences des vaccins anticovid aux USA sont interloqués par la haute fréquence des complications vaccinales en comparaison avec l’ensemble des complications des autres vaccins des deux décennies précédentes.

Aux USA en 16 mois. chez les 0-17 ans (74,2 millions) 396 morts attribuées au covid Et augmentation majeure du nombre d’accidents vaccinaux depuis 1990

Aux USA depuis mars, chez les mineurs âgés de 12 à 18 ans

Il y a eu plus de 300 décès après injection de la substance génique. Acceptable ?

Royaume-Uni(([5] ONS finally admits the Covid Vaccines have caused multiple deaths; contradicting claims made by the MHRA – Daily Expose))

Le nombre total de morts reportés par le MHRA (système carte jaune) est de 1403 reconnus, liés aux injections de vaccins anticovid. Chacun sait que les effets secondaires sont sous-déclarés 1 à 10 %.

Le UK Gouvernement via son agence de santé MHRA a rapporté un total de 1 007 253 réactions négatives, surdité, troubles visuels, convulsions, paralysies, perte de connaissance, arrêt cardiaque, crise cardiaque, et mort subite entre autres

L’Insee anglais (ONS) admet dans son décompte de la mortalité, la mort par effet secondaire des vaccins, contredisant ainsi de fait les labos et politiques qui rechignent à admettre la vérité par souci d’imposer leur pass vaccination

ÉCOSSE

Le site « Public Health » écossais a noté depuis le 26 février, 2207 morts dans les 28 jours suivant la vaccination et dans un autre rapport entre le 8 décembre date de début de la campagne d’injection et le 28 mai un total de 3752 décès suivant l’injection

FRANCE

Pour l’ANSM, agence du médicament française, il n’y a que 6 établissements qui font le recensement d’effets secondaires sur 1356 établissements et les chiffres sont sous-estimés.

Récemment : les sites de pharmacovigilance complètement débordés ont demandé de ne signaler que les cas très graves.

Le Site de l’ANSM est un peu difficile à consulter, car pour l’instant, il ne compte pas les décès en l’absence de certitudes de la relation de cause à effet.

Les effets secondaires qui remontent à l’ANSM sont des effets qui se sont déroulés dans les heures, la semaine ou les 10 jours qui ont suivi.

Quelques chiffres accessibles sont rapportés dans les tableaux suivants.

Au premier mars 2021, l’ANSM recensait 169 morts post vaccination du vaccin Pfizer, parmi plus de 5000 cas d’effet secondaires dont 25 % graves.

Un tableau à la même date donne une idée du type d’effets indésirables constatés et signalés et donc possibles pour les nouveaux vaccinés (la deuxième dose paraissant toujours plus à risque que la première). Vous remarquerez la fréquence des complications vasculaires et cardiologiques dues à la toxicité maintenant reconnue de la protéine Spike fabriquée par les organismes vaccinés.

Larbi Meftahi fait part de ses difficultés pour produire son tableau récapitulatif hebdomadaire des effets secondaires de la vaccination Covid-19 (cf. ci-dessous). Les CRPV sont sous l’eau et l’ANSM peine à produire ses rapports détaillés hebdo.

Chiffres ANSM au 20/05/2021. Larbi MEFTAHI @larbi_meftahi

« Plus de 37 000 cas d’effets secondaires sur 27 millions de vaccinés d’après l’ANSM au 13 mai 2021, dont plus de 9600 cas graves. C’est sur le site. Rien d’anodin. Ça fait autour d’un cas d’effet secondaire sur 750 vaccinations et 1 cas grave toutes les 2800 vaccinations quand même. »(([6] dixit la grosse fouine sur twitter.))

Ainsi en France on estime à 1 personne sur 100 entre 16 et 49 ans souffrant d’effet secondaire grave. Avec sous-déclaration des effets secondaires (ANSM AZ rapport n°12) à prendre en compte.

Par ailleurs, on remarque auprès des collègues, amis, et proches vaccinés que les événements survenus dans les semaines qui ont suivi la vaccination, comme infarctus, accident vasculaire cérébral ou perte de mémoire (petits emboles vasculaires cérébraux), restent considérés comme des coïncidences. Jusqu’à quand et combien de victimes ?

En tout cas, les responsables de l’ANSM ne cachent plus leur volonté de dissimuler l’info. En effet, sur les quatre dernières périodes (un mois), l’ANSM ne produit plus de rapports hebdomadaires sur les effets secondaires des vaccins Covid-19.(([7] « Manifestement le site de l’ANSM ne joue plus la transparence » : Selon Larbi MEFTAHI @larbi_meftahi le 6 juil.))

ET chez les enfants ?

Le vaccin BioNTech/Pfizer BNT162b2, nom commercial COMIRNATY®, a obtenu son AMM conditionnelle européenne le 21 décembre 2020. L’Agence européenne du médicament a autorisé son utilisation sur les adolescents de 12 à 15 ans le 28 mai 2021. Le vaccin peut être administré aux 12-17 ans en centre de vaccination et sur autorisation parentale depuis le 15 juin 2021.

Covid-19 : pourquoi plus de 5000 enfants de moins de 12 ans ont-ils été vaccinés en France ?

Les données de Santé publique France font apparaître plusieurs milliers de jeunes enfants ayant reçu au moins une dose de vaccin, hors autorisation de mise sur le marché.

Plus de 5000 enfants de moins de 12 ans apparaissent vaccinés dans les données de Santé publique France(([8] Par Nicolas Berrod. Le 2 juillet 2021))

Plus de 5 000 enfants de moins de 12 ans apparaissent vaccinés dans les données de Santé publique France (Illustration). LP/Clivier Corsan
(Illustration : LP/Clivier Corsan)

Au 30 juin, il apparaît que 5272 garçons et filles de moins de 12 ans ont reçu au moins une dose de vaccin – 2264 âgés de 0 à 4 ans, 1086 de 5 à 9 ans, et 1922 de 10 ou 11 ans.

972 d’entre eux sont complètement vaccinés.

Pourtant, aucun vaccin n’a reçu d’autorisation de mise sur le marché pour les moins de 12 ans.

Seul Pfizer l’est, pour le moment, pour les 12-17 ans (Moderna pourrait être validé à son tour en juillet).

Santé publique France confirme que ces chiffres « reflètent la réalité » et ne sont pas dus à des erreurs de saisie.

« Il y a la possibilité de vacciner, y compris hors autorisation de mise sur le marché, de jeunes enfants qui présenteraient des facteurs de risques de forme très sévère [de Covid-19]. On n’a pas l’information enfant par enfant, mais la très grande majorité correspond très vraisemblablement à ce genre de décision individuelle », explique Daniel Lévy-Bruhl, épidémiologiste à l’agence sanitaire.

Plusieurs pathologies sont concernées.

Dans un avis publié le 24 mars 2021 sur son site, la Société française de pédiatrie notait déjà qu’« un très petit nombre d’enfants à très haut risque de Covid-19 sévère pourrait être vacciné selon le même schéma que les adultes, dès que possible, malgré l’absence d’AMM ».

Sont notamment concernés ceux atteints de polyendocrinopathie auto-immune, ou ceux présentant une prédisposition génétique aux encéphalopathies virales.

Ce nombre de 5272 reste faible, par rapport aux 10 millions d’enfants âgés de moins de 12 ans en France. La couverture vaccinale avec au moins une dose s’élève donc à moins de 0,1 % dans cette tranche d’âge.

Chez les 12-17 ans, elle est passée de moins de 1 % à 13,4 % en trois semaines. (estimation au 2 juillet)

En comparaison, le Covid a fait zéro mort chez les moins de 19 ans sains. En 2020 il n’a été observé que trois décès associés au virus, et tous chez des enfants immunodéprimés graves.

ISRAËL

En Israël aussi les médecins se demandent pourquoi cette folie de vouloir absolument vacciner les enfants.(([9] Andrew Bostom, MD, MS @andrewbostom 5 juil.))

Le Covid-19 n’est pas une maladie de l’enfant et sur plus de 6400 décès répertoriés de covid seulement 9 concernaient des enfants, et la plupart sont atteints de maladies graves sous-jacentes : « nous ne savons pas vraiment si ce vaccin est sans risque pour les adolescents ».(([10] https://jpost.com/health-science/why-is-israel-mass-vaccinating-teens-when-who-says-not-to-analysis-672854))

Pourtant selon une étude des autorités sanitaires israéliennes,(([11] https://www.lecho.be/dossiers/coronavirus/lien-probable-entre-le-vaccin-pfizer-et-la-myocardite-dit-israel/10310696.html)) 275 cas de myocardite ont été identifiés entre décembre 2020 (soit la date du début de la campagne de vaccination) et mai 2021, et surtout chez les jeunes.

DANGER MAJEUR DE L’INJECTION GÉNIQUE CHEZ LES JEUNES ADULTES ET ADOLESCENTS, LES MYOCARDITES DANS TOUS LES PAYS VACCINES

Chez les jeunes, les pseudovaccins anticovid semblent d’autant plus toxiques que les citoyens sont plus jeunes, en particulier sur les conséquences cardiaques.

En Israël, cent quarante-huit myocardites sont apparues dans le mois suivant la vaccination dont 27 cas après la première dose, et 121 après la deuxième dose. Et les autorités sanitaires ont découvert un « lien probable » entre les deux.(([11] https://www.lecho.be/dossiers/coronavirus/lien-probable-entre-le-vaccin-pfizer-et-la-myocardite-dit-israel/10310696.html))

La plupart des cas sont survenus chez de jeunes hommes, en particulier ceux âgés de 16 à 19 ans. Les patients ont majoritairement été hospitalisés pendant quatre jours ou moins.

Aux États-Unis une étude souligne le possible lien entre les vaccins à ARN messager (Pfizer et Moderna) et les cas de myocardite détectés chez certains jeunes vaccinés. Leurs conclusions sont similaires à celles tirées par l’État hébreu.

Pendant plusieurs semaines, un groupe de sécurité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) a étudié les cas d’inflammation cardiaque survenus après des injections de vaccins Pfizer et Moderna.

Ils ont expliqué avoir recensé un peu plus de 12 000 cas de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) ou de péricardite (inflammation de la membrane qui entoure le cœur). Ceux-ci sont principalement survenus chez des personnes de moins de 30 ans plus souvent chez les hommes que chez les femmes. D’après les scientifiques américains, le lien entre les vaccins et ces problèmes de santé est « probable ».

Quelle fréquence ?

Voici les chiffres américains, en détail, arrêtés au 11 juin 2021

  • 267 cas de myocardite ou de péricardite signalés après l’administration d’une première dose d’un vaccin à ARNm.
  • 827 cas après l’administration d’une deuxième dose d’un vaccin à ARNm.
  • 132 cas signalés sans que le nombre de doses soit connu.

« Il s’agit encore d’un événement rare », a commenté le Dr Tom Shimabukuro. « Pour les deux vaccins combinés, on a enregistré 12,6 cas d’inflammation cardiaque par million de doses. Les cas étaient plus fréquents chez les personnes ayant reçu le vaccin Moderna, soit 19,8 cas par million, contre 8 cas par million pour le vaccin Pfizer », a-t-il précisé.

Cet effet secondaire rare a été ajouté dans la liste des avertissements présents dans les fiches d’information sur les vaccins à ARNm, selon la Food and Drug Administration (FDA).

« Sur la base des données disponibles, une mise en garde dans les fiches d’information, tant pour les prestataires de soins de santé que pour les personnes vaccinées et les soignants, serait justifiée dans cette situation», a déclaré Doran Fink, directeur adjoint de la division des vaccins de la FDA, cité par Politico.

Les symptômes de ces inflammations cardiaques consistent en des douleurs thoraciques et en un essoufflement. Ils apparaissent surtout dans la semaine qui suit la vaccination, principalement au quatrième jour suivant l’injection.

Si une personne soupçonne qu’elle souffre d’une myocardite ou d’une péricardite, il lui est conseillé de se rendre chez son médecin ou aux urgences. Des examens permettront d’établir un diagnostic. Si l’inflammation est survenue par suite de l’injection de la première dose, il serait prudent de ne pas recevoir la seconde.

EN CONCLUSION 

COMBIEN D’ENFANTS SONT-ILS MORTS DU VACCIN ? BEAUCOUP TROP, PUISQU’ILS NE RISQUAIENT RIEN DU COVID

Les injections géniques expérimentales ne protègent pas ceux qui les reçoivent ni leurs contacts, du coronavirus ni de ses variants, et exposent à de trop nombreux effets indésirables immédiats et à moyen terme, et inconnus à long terme. Leur administration doit être stoppée en urgence.

Et si vous voulez mieux connaître les laboratoires qui commercialisent ces injections géniques :





Une mise au point sur les masques & lettre adressée au président du Sénat

[Source : profession-gendarme.com]

Le Docteur Sylvain. ….., fidèle lecteur de Profession-Gendarme nous adresse la photographie ci-dessous ainsi que copie d’une lettre adressée le 04 novembre 2020 au président du Sénat, mais restée sans réponse….

Dr Sylvain …………… le 04/11/2020

à l’attention de monsieur le président LARCHER

Copie : Vincent Delahaye, Mathieu Darnaud

Objet : le Sénat, dernier bastion contre une dérive totalitaire ????

Cher confrère et président, c’est le désespoir des PME et des jeunes entrepreneurs qui sont au cœur de la dynamique économique et des innovations de notre pays, qui me poussent à vous adresser ce cri d’alarme.

Vous me connaissez sans me connaitre, ayant eu le plaisir de fréquenter le cabinet de dentiste d’une certaine Madame Larcher Vaysse, à l’époque où je résidais à Igny, jeune chercheur en écologie et génétique microbienne à Jouy.

Pour compléter ma présentation, formé sur les bancs de l’école de Marcy, après 4 années de clientèle dans le charolais, je me suis tourné vers les filières agroalimentaires après avoir effectué une thèse de doctorat en Ecologie Microbienne et Génétique Microbienne dans l’équipe de Raibaud et Ducluzeau. Mon parcours dans les multinationales de l’agroalimentaire (Perrier sous les ordres de Jacques Bombal, Carrefour et Danone) m’a placé très tôt en première ligne dans les grandes crises sanitaires de la filière en tant que gestionnaire de crise et porte-parole (Listeria, Vache Folle, Salmonelle, Grippe Aviaire, Grippe porcine, Botulisme, Sakazaki et j’en passe). J’ai eu l’honneur et la chance de participer aux travaux de différentes instances consultatives (Conseil Supérieur d’Hygiène à l’invitation de mon ami Jean Louis Jouve et de Michel Catteau de Pasteur Lille, Conseil National de l’Alimentation, Conseil National de la Consommation). J’ai pu aussi siéger dans plusieurs Fédérations Professionnelles françaises et européennes pour participer activement aux tasks forces sécurité-environnement comme simple membre au début, puis président. Mon respect pour l’intérêt collectif doublé d’une crédibilité scientifique et d’une approche bénéfice-risque m’ont permis de contribuer efficacement à l’établissement de normes sanitaires « raisonnables » permettant de protéger les intérêts de nos filières françaises (produits au lait cru) et de l’ensemble des opérateurs du babyfood, malgré les pressions de quelques opérateurs internationaux souhaitant profiter de la peur sanitaire pour imposer des normes inacceptables pour la majorité des intervenants. Fatigué des pressions et de l’exposition personnelle liées à cette position de gestionnaire de crise, j’ai quitté il y a quelques années les multinationales pour me consacrer à un projet écologique porteur de sens dans mon domaine ardéchois, soutenir des jeunes porteurs de projet tout en continuant à apporter mon soutien d’expert auprès des PME dans les domaines de la gestion de crise et de la RSE. Pardonnez-moi la longueur de cette présentation qui a pour but de justifier ma prise de recul indépendante et mon expertise face à la situation que nous vivons.

Le traitement opportuniste évident de la crise COVID me laisse pantois autant sur les mensonges scientifiques que sur la manipulation extrême des citoyens par la peur, la privation progressive de nos droits fondamentaux et, insulte suprême aux praticiens, la violation du serment d’Hippocrate en interdisant aux médecins l’utilisation de traitements.

Je ne suis pas dupe d’une volonté de quelques acteurs internationaux de profiter d’une crise sanitaire (certains diront provoquée, mais ça ne change rien à la situation), ayant suffisamment fréquenté les couloirs de Bruxelles et du Ministère de la Santé. J’ai été moi-même en position de jouer à ce jeu, pour asseoir des stratégies de développement dans certaines filières, mais j’en connais les limites et les dangers.

A titre d’illustration, je ne citerai que quelques exemples majeurs de dysfonctionnement en terme de gestion de crise sanitaire

  • Confinement : la pratique courante de la prévention et de la gestion des épidémies animales (beaucoup plus nombreuses vous le savez que les épidémies humaines) nous apprend « qu’il ne faut pas laisser rentrer le loup dans la bergerie » (souvenir de nos cours de MRLC). Quelque soit la taille de la bergerie, confiner revient à faire tourner en boucle la contamination virale et favoriser son développement, particulièrement quand la contamination est présente en France depuis le mois de novembre (des amis japonais en voyage en France au mois de janvier étaient sidérés de la désinformation des français sur le début de l’épidémie chinoise, dont ils situaient le démarrage en août) ce qui situe probablement le pic de propagation en France fin février début mars.
  • Distanciation sociale : quelle plaisanterie quand certains cours nous apprenaient que la distance de diffusion des maladies virales animales se comptait en centaines de mètres !
  • Le port du masque grand public : je conviens que cette mesure moyenâgeuse soit la seule mesure socialement acceptable (inconscient collectif) qui permette de maintenir la peur et la soumission. N’importe quel hygiéniste honnête ayant pratiqué l’analyse microbiologique en routine montrera l’inefficacité et les dangers d’un port de masque chirurgical prolongé. Je compte par centaines de milliers les analyses microbiologiques que j’ai fait réaliser au cours de ma carrière dans différents environnements pour valider les mesures de prévention et de contrôle des contaminations. Assurément, le port du masque chirurgical ne fait pas partie de ces mesures, s’agissant de contamination virale, ni même pour la plupart des contaminations bactériennes aéroportées dans des environnements de vie conventionnels. J’ai même été amené à faire supprimer le port du masque dans certains ateliers sensibles compte tenu de l’incidence néfaste sur la santé des opérateurs et le risque de contamination de l’ambiance de travail… Pour avoir interrogé récemment quelques médecins, les conséquences du port du masque permanent sur la santé physique et psychologique représentent jusqu’à 20% des consultations.. Sans parler des troubles cognitifs chez les enfants qui en subiront plus tard les conséquences
  • Tests PCR : il m’a été donné de participer aux balbutiements de la technologie PCR (INRA) puis à son développement pour permettre d’identifier des contaminations dans les filière agroalimentaires et tracer leur origine. Utiliser un test PCR pour pratiquer un dépistage de masse est considéré comme une faute professionnelle par les analystes sérieux. Sa seule utilité est de confirmer rapidement un diagnostic et d’établir éventuellement un lien avec des sources de contamination……dans la limite de la spécificité du test. J’ai eu l’occasion d’interdire l’utilisation de test PCR dans des campagnes de surveillance de contaminations en usine et dans les aliments…

Il apparait évident que le nombre de « cas » communiqués par les voies officielles n’a rien à voir avec le nombre de malades potentiellement infectants, et traduit tout au plus la présence de traces d’un coronavirus (lequel ????) au fond des fosses nasales là où il est plus que probable d’en trouver. Les données d’écologie microbienne nous apprennent qu’un mètre cube d’air inspiré (20 minutes de respiration au repos) contient entre 1,7 et 40 millions de virus en suspension et que nous hébergeons en permanence entre 20 et 90 espèces de virus différentes….Une autre raison scientifique de sourire face aux mesures de port de masque et de distanciation

  • Communication : mensonge sur les chiffres

La consultation du processus de transmission des informations au ministère de la santé, l’analyse des courbes épidémiques des différentes années, les témoignages de plus en plus nombreux des soignants obligés d’inscrire COVID sur le bulletin des patients, indépendamment de la cause de la maladie ….ou du décès, doit nous alerter sur les pratiques de notre gouvernement pour manipuler l’opinion. J’ai toujours pratiqué la transparence des chiffres dans les différentes crises dont je fus le gestionnaire et le porte parole. Il y a manifestement un besoin de clarification officielle entre le nombre de décès « dus au COVID », le nombre de décès « avec présence avérée d’ARN de COVID » et le nombre de décès « déclarés COVID ». Il me semble même qu’une enquête judiciaire soit nécessaire s’il n’est pas trop tard pour se prémunir contre les fausses déclarations que ce soit au niveau de l’état ou de la presse.

  • La gestion des crises par la peur a toujours provoqué des catastrophes économiques. Sans parler des dégâts psychologiques auxquels je suis confronté régulièrement dans une activité de soutien que je mène en parallèle en équicoaching avec des praticiens.

Je vois que le Sénat commence à réagir et j’espère ardemment que cette institution proche au quotidien de nos concitoyens puisse survivre et faire entendre sa voix dans la tourmente, par quelque moyen que ce soit, mue par le souci et le devoir de préserver les droits constitutionnels et la survie des citoyens… Je vous fais parvenir ce courrier soit par un ami d’enfance, Vincent Delahaye, soit par notre sénateur Mathieu Darnaud que je mets en copie

Restant à votre disposition pour toute contribution ou autre témoignage nécessaire au maintien de notre économie et de la démocratie, veuillez agréer l’expression de mes salutations très confraternelles

Dr Sylvain




L’obligation vaccinale n’aurait aucune justification, ni scientifique ni légale

Par Gérard Delépine

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Elle ferait de plus courir des risques politiques insensés à notre démocratie.

Le covid a quasiment disparu du pays même si nos gouvernants et les médias le cachent

D’après l’OMS et OurWorldinData, le nombre de nouvelles contaminations journalières est en chute libre en France depuis avril 2021. Depuis trois semaines, ce nombre ne dépasse pas 2000 par jour, soit une incidence quotidienne de 0,000 03.

À titre de comparaison, la Grande-Bretagne en est à 20 000 cas quotidiens malgré sa couverture vaccinale élevée et ses confinements récents.

Alors pourquoi le gouvernement veut-il prolonger la loi d’urgence prétendument sanitaire pour une épidémie disparue ?

La stratégie du tout vaccin sans traitement précoce est un échec cuisant

Le gouvernement et les médias tentent d’entretenir la peur dans la population en agitant la « quatrième vague ».

Celle-ci n’est qu’un mauvais scénario catastrophe issu d’une nouvelle modélisation dont les précédentes se sont toujours révélées fausses et ont été le prétexte des mesures liberticides (confinement, interdiction de traitements précoces) qui ont fortement aggravé la mortalité globale.

Elles nous ont placés dans le peloton de tête des plus fortes mortalités européennes par million d’habitants, comme les autres grands pays qui ont confiné à l’aveugle et, pour certains, interdit à leurs médecins de traiter précocement les malades.

[Ndlr : la Biélorussie (Belarus sur le schéma) n’a pratiqué aucune mesure sanitaire obligatoire et a beaucoup moins de morts par millions d’habitants et en absolu que la plupart des autres pays d’Europe. Voir ici ou ici, articles qui présentent très négativement ce pays (et son président élu, alors que son choix sanitaire est visiblement le meilleur).]

Le cuisant échec de la stratégie de la peur et du tout vaccin adoptée jusqu’ici devrait faire réfléchir nos politiques et les inciter à une approche plus démocratique, qui s’est révélée nettement plus efficace dans d’autres pays.

Les pseudo vaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta

La grippe, autre virus à ARN, nous a appris depuis longtemps qu’il se présente un nouveau virus chaque année, avec pour corollaire l’inefficacité au moins relative du vaccin de l’année précédente.

Il en va de même du Covid ; les variants émergent et se développent parce qu’ils sont résistants aux injections pseudo vaccinales en cours.

Les covidistes prétendent que la vaccination serait la meilleure prévention contre le variant delta alors que l’expérience des pays les plus vaccinés démontre le contraire.

Les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta ainsi que l’atteste la reprise actuelle de l’épidémie en Grande-Bretagne et en Israël champions de l’Astra Zeneca et du Pfizer.

En Israël, la campagne de vaccination a été suivie d’un accroissement brutal des contaminations et de la mortalité quotidiennes pendant les mois de janvier et février 2021 qui ont établi les records mensuels de cas et de morts.

Puis après une accalmie de deux mois et malgré un taux élevé de couverture vaccinale,(([1] avec 57,2 % de la population complètement vaccinée (le 2 juillet 2021)) une reprise de l’épidémie avec le variant delta est apparue.

Pfizer et les autorités sanitaires responsables de la campagne du traitement Pfizer prétendent que l’injection anti-covid serait efficace contre le variant delta, mais ne fournissent aucune donnée brute le démontrant ni aucune explication crédible à la progression exponentielle de la maladie chez les vaccinés.

Car l’inefficacité du traitement génique Pfizer est confirmée par l’ancien directeur général de la santé israélienne qui a déclaré que « 40 à 50 % des nouveaux cas concernaient des personnes complètement vaccinées.(([2] La rédaction : Israël est un pays « hyper » vacciné et il subit aussi le variant Delta. À quoi sert la vaccination ? Nice Matin le 05/07/2021))»

Même cinétique d’échec en Grande-Bretagne.

Après l’hécatombe post-injection qui a emporté en trois mois autant de victimes que pendant les dix mois précédents est apparue une accalmie de 2 mois qui a fait croire que le traitement préventif aurait été efficace.

Mais en réalité les injections géniques n’ont abouti qu’à précipiter l’émergence du variant delta dont l’incidence augmente de manière exponentielle depuis fin mai.

Et la gravité de l’infection à variant delta paraît même augmentée par la pseudo-vaccination puisque le risque de mourir des « vaccinés » est le triple de celui des non injectés démentant la fadaise constamment répétée d’une moindre gravité après l’injection expérimentale anti-covid.

L’échec patent des pseudo vaccins géniques dans ces deux pays champions de cette stratégie prouve de manière indiscutable que les injections géniques actuelles sont incapables de limiter la transmission du variant delta.

On ne comprend donc pas que des chercheurs de l’Institut Pasteur comme Olivier Schwartz puissent prétendre que l’injection « resterait toutefois très efficace face au variant indien », avec « une efficacité légèrement diminuée, d’après les tests en laboratoire, le vaccin Pfizer est probablement protecteur ».

Comment un traitement inefficace sur la transmission de la maladie dans les pays les plus vaccinés pourrait-il être efficace en France ?

L’obligation d’injection anti-covid des soignants n’aurait donc aucune efficacité de protection des contacts des soignants

Les injections géniques actuelles ne sont pas des vaccins pastoriens

Un vaccin selon Pasteur contient des antigènes (un microbe tué ou atténué, ou le plus souvent un simple fragment de celui-ci) destinés à susciter une réaction immunitaire marquée par la création d’anticorps en quantité suffisante pour prévenir la maladie cible.

Les pseudo vaccins anticovid actuels ne contiennent aucun antigène, mais des ARN messagers créés par génie génétique. Leurs fabricants les présentent comme des vaccins pour bénéficier frauduleusement de la bonne réputation des vrais vaccins en France, et tromper leurs clients par un marketing habile d’après la vaccination antidiphtérique ou contre la fièvre jaune (contenant un virus atténué, mais vivant), laissant croire qu’on est totalement protégé contre la maladie covid.

Ce n’est pas le cas avec les injections anti-covid actuelles dont l’efficacité réelle en population est très faible, et sans rapport avec les mensonges publicitaires colossaux (85 % à 95 % !) que répètent les communiqués des fabricants et leurs complices. Et ce n’est pas l’injection de plus prônée par les laboratoires et le Premier ministre (la 3e !) chez les personnes à faible réponse immunitaire qui changera grand-chose (sauf les bénéfices de Big Pharma).

La protection des soignants et des personnes fragiles peut être assurée par les traitements précoces

L’Inde est un pays gigantesque et pauvre avec un système hospitalier encore plus délabré que le nôtre. Elle a vaincu la première vague en traitant préventivement son personnel soignant et les contacts des malades avec la chloroquine. Au 1er janvier 2021, elle comptait neuf fois moins de morts par millions d’habitants que la France.

En janvier 2021, elle a commencé la vaccination et abandonné dans certains états les traitements précoces systématiques.

Deux mois plus tard, elle a affronté une forte poussée de cas et de morts qui n’a été contrôlée qu’après la reprise généralisée de traitements précoces par chloroquine/Ivermectine.

Au 10 juillet 2021, elle compte 5,5 fois moins de morts par millions d’habitants que la France (312 vs 1690).

Les traitements précoces constituent donc une solution beaucoup plus efficace que l’injection génique.

Pour l’abandon de la politique tyrannique fondée sur la peur

La politique autoritaire de restrictions des libertés et l’inefficacité de la stratégie Covid19 par la peur et les obligations scientifiquement infondées font courir des risques insensés à notre démocratie.

Jusqu’ici, les Français ont été remarquablement patients. Ils ont supporté des restrictions de liberté inefficaces sans beaucoup de réactions, anesthésiés par l’argent déversé du « quoiqu’il en coûte », la propagande terrorisante omniprésente des médias chapitrés par l’Élysée et la censure féroce des opposants. Comme le décrivait La Boétie(([3] La Boétie « Discours de la servitude volontaire »)):

« Le peuple a repoussé la liberté et pris le joug ».

Mais les mensonges permanents du ministère de la Santé et les très mauvais résultats de sa politique prétendument sanitaire les réveillent peu à peu. La poursuite d’une politique totalitaire avec la continuation de l’état d’urgence et des restrictions inutiles maintenant démasquées crée une situation d’incompréhension de plus en plus forte entre le peuple et ses représentants officiels expliquant en grande partie l’abstention record aux élections.

Le professeur Delfraissy et quatre autres membres du comité scientifique l’ont clairement exprimé(([4] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet www.thelancet.com/public-health Vol 6 April 2021
https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468-2667%2821%2900036-0)):

« Il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et basées sur un confinement généralisé… Il n’est plus possible d’utiliser le confinement général stop-start comme principale réponse à la pandémie de COVID-19. Bien qu’attirante pour de nombreux scientifiques et une mesure par défaut pour les dirigeants politiques craignant d’être légalement responsables de réponses nationales lentes ou indécise.

« Les populations ont été jusqu’à présent relativement complaisantes, mais leurs doutes et leur méfiance sont visibles dans les mouvements de protestation dans plusieurs pays. L’impact du confinement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire étant encore à venir en termes de taux de chômage et de dette nationale… Fondamentalement, la nouvelle approche devrait être fondée sur un contrat social clair et transparent, ancré dans les données disponibles… ».

Pourquoi n’est-il pas écouté et a-t-il comme le pr Raoult un discours fluctuant ?

Dans l’Histoire, que nos gouvernants devraient méditer, le régime des tyrans ne dura nulle part très longtemps et ne persista que tant qu’il a eu l’appui du peuple. Au tyran demandé par la foule, succèdent le désenchantement, puis la colère, car au fur et à mesure que la tyrannie devient moins utile, elle se fait de plus en plus oppressive. Ainsi s’explique la fin sanglante de nombreux tyrans tels que Alexandre tyran de Phères, Néron, Caligula, Vitellius, Gallère empereurs romains, Louis XVI, Mussolini, Trujillo, Kadhafi, Saddam Hussein…

La dérive de plus en plus totalitaire d’un gouvernement qui abuse d’une loi d’urgence sans aucune justification réelle, qui accroît la propagande permanente, la censure, multiplie les menaces et les intimidations contre les opposants et les mensonges quotidiens fracture un peu plus le pays, fait courir des risques politiques insensés à notre démocratie, au peuple et à ses dirigeants.

Conclusions

Une obligation pour un médicament qui n’est pas un vaccin, mais une injection expérimentale médicamenteuse d’ARN (dont les résultats avérés en Grande-Bretagne et Israël sont franchement mauvais, dont notre ministre reconnaît qu’ils ne sont capables de prévenir ni la maladie ni sa transmission) serait non seulement médicalement inutile, et totalement illogique (si vous croyez que ce traitement vous protège, vous n’avez aucune raison d’avoir peur des autres), mais serait de plus illégale, car contraire à la convention d’Oviedo. D’ailleurs, aucun pays au monde ne l’a imposée.

Non à l’obligation des pseudo vaccins covid des soignants comme du reste de la population ! Un traitement expérimental ne peut être administré qu’à des volontaires loyalement informés.

Préambule de la Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948 :

« Il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression »





Santé. Métaux lourds : tous les Français contaminés, enfants y compris

[Source : breizh-info.com]

Selon Santé publique France, l’ensemble de la population serait concerné par la présence de métaux lourds dans l’organisme. Des métaux qui ont des effets néfastes sur la santé et qui n’épargnent pas les enfants.

Métaux lourds : les Français les plus exposés en Europe

La santé des Français est-elle menacée par les métaux lourds ? Une nouvelle étude ESTEBAN (Étude de santé sur l’environnement, la biosurveillance, l’activité physique et la nutrition) menée par Santé publique France a consisté à analyser la présence de 27 métaux lourds dans l’organisme de Français adultes mais aussi chez les enfants à travers un échantillon représentatif de la population générale, composé de 1 104 enfants et de 2 503 adultes âgées de 6 à 74 ans. Ce qui constitue une première.

Les résultats de ces travaux, publiés le 1er juillet dernier, se résument par le fait que, selon le document en question, « cette nouvelle photographie des imprégnations souligne que l’ensemble de la population est concerné » avec « plus de 97 % à 100 % de détection » chez les participants adultes et enfants. Des valeurs de référence d’exposition ont été établies pour le plomb, l’arsenic, le cadmium, le chrome, le cuivre, le nickel, le mercure urinaire et le mercure dans les cheveux.

Par ailleurs, il s’avère que les niveaux mesurés tant chez les adultes que chez les enfants français se sont avérés être « plus élevés que ceux retrouvés dans la plupart des pays étrangers » en Europe et en Amérique du Nord. À l’exception du nickel et du cuivre.

Par rapport à l’étude ENNS (Etude Nationale Nutrition Santé) réalisée en 2006-2007, les niveaux mesurés chez les adultes étaient similaires en mercure dans les cheveux et nickel urinaire tandis qu’ils étaient plus élevés en arsenic, cadmium et chrome. Seuls les niveaux mesurés pour le plomb avaient diminué.

Des effets néfastes sur la santé ?

De plus, il est à noter que des dépassements de valeurs‑guide sanitaires ont été observés au sein de la population d’après l’étude Esteban pour l’arsenic, le mercure, le plomb et plus particulièrement le cadmium avec un peu moins de la moitié de la population adulte française qui présentait une cadmiurie supérieure à la valeur recommandée par l’Anses.

Pour ce qui est des autres métaux, le document de Santé publique France préconise également de mettre en place des valeurs‑guide sanitaires puisque les métaux présentent des effets néfastes sur la santé tels que la cancérogénicité, des effets osseux, rénaux, cardiovasculaires, neurotoxiques… Une nécessité confortée par l’augmentation des niveaux d’imprégnation par l’arsenic, le cadmium et le chrome entre ENNS et ESTEBAN.

Aussi, les auteurs souhaitent la poursuite des mesures visant à diminuer les expositions de la population générale à ces substances, en agissant en particulier sur les sources d’exposition. Ils soulignent aussi que « ces résultats montrent la nécessité de poursuivre le programme national de la biosurveillance et de réa‑iser des études en population à intervalle régulier afin de continuer à suivre l’évolution des expositions de la population française aux métaux ».

Ces facteurs facilitant la concentration de métaux lourds

Quant à la provenance de ces métaux lourds, naturellement présents dans l’environnement, l’étude précise que l’alimentation reste l’une des principales sources d’exposition pour l’organisme. Plus particulièrement, la consommation poisson de produits de la mer contribuerait à augmenter les concentrations en arsenic, chrome, cadmium et mercure.

Ainsi, Santé publique France recommande notamment de diversifier les sources d’aliments et de consommer « deux fois par semaine du poisson dont un poisson gras en variant les espèces et les lieux de pêche ».

D’autre part, la consommation de céréales serait pour sa part à l’origine d’une augmentation de la concentration en cadmium. Le tabac ferait croître quant à lui les concentrations en cadmium et en cuivre. Un phénomène constaté également lors du tabagisme passif. Le rapport indique ainsi que, « chez les adultes, le tabac entraînerait une augmentation de plus de 50 % d’imprégnation chez les fumeurs ».

Enfin, les implants médicaux auraient aussi un impact sur la présence de chrome tandis que la concentration en mercure urinaire serait augmentée par les plombages chez certaines personnes.

Crédit photo : Pixabay (Pixabay License/gburrull) (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




France : Le Dr Amine Umlil demande la démission du ministre de la Santé

[Source : francesoir.fr]

Par le Dr Amine Umlil pour FranceSoir

Vaccins contre la Covid-19 : je demande, j’exige la démission immédiate du Ministre la Santé Véran

TRIBUNE : Dans une lettre adressée à Monsieur le Président de la République, Emmanuel MACRON, le Dr Umlil n’ayant pas eu de réponse à sa demande de débat avec le ministre de la Santé Olivier Véran demande et exige la démission de ce denier suite aux diverses communications erronées de ce dernier.  Rappelons que même les décodeurs du Monde ont pris le ministre Véran en flagrant délit de mensonges au sujet de la phase de test des vaccins : Mr Véran ayant annoncé que les thérapies géniques utilisées actuellement n’étaient plus en phase 3 (phase de test) alors que ces derniers les sont pour la plupart jusqu’en 2022 [au moins].

Une tribune du Collectif Citoyen avait identifié les nombreuses erreurs de Mr Véran pendant la gestion de la crise, le Dr Umlil dans une tribune complète va plus loin par respect de son serment professionnel. Cette lettre est reproduite intégralement ci-dessous :

« LETTRE OUVERTE. Vaccins contre la Covid-19. Monsieur le Président de la République : je demande, j’exige la démission immédiate du Ministre des solidarités et de la santé, Monsieur Olivier VÉRAN »

Copie de la lettre est adressée au Premier ministre, Jean CASTEX, Ministre des solidarités et de la santé, Olivier VÉRAN, à l’Assemblée nationale, au Sénat, à la la haute autorité de santé (HAS) et à l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).  

« Patere legem quam fecisti » (respecte la règle que tu as faite).

« Vaccination. COVID19. Si vous avez des courbatures après le vaccin, pas d’inquiétude… c’est que vous avez trop pédalé ! Prenez rdv dès maintenant (…) » (Olivier Véran, 9 juillet 2021, 21h08, sur le réseau social Tweeter).

À nouveau, Monsieur Olivier VÉRAN, Ministre des solidarités et de la santé, vient donc de récidiver. Sa communication sur le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, à destination du public, heurte plusieurs dispositions de la loi (au sens large) ; dont le Code de la santé publique. Il est, pour le moins, insupportable de voir un Ministre de la santé continuer de tenir des affirmations inexactes auprès d’un public vulnérable.

C’est donc avec urgence et gravité que j’ai l’honneur de saisir votre bienveillance en vous adressant la présente lettre ouverte en ma qualité de pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier et juriste (droit de la santé) ; responsable de la pharmacovigilance, de la coordination des vigilances sanitaires et du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) au centre hospitalier de Cholet dans lequel j’exerce depuis 2002.

Et avant tout, cette nouvelle alerte vous est également transmise en ma qualité de citoyen français.

Depuis plusieurs mois, le CTIAP vous a proposé ses analyses, documentées et vérifiables sur pièces, concernant notamment les vaccins contre la Covid-19. Ces preuves émanent des écritures des autorités ad hoc elles-mêmes telles que l’agence européenne du médicament (EMA), l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), la haute autorité de santé (HAS), le ministère des solidarités et de la santé, le Conseil d’État, etc. Ces preuves sont disponibles sur le présent site internet.

Récemment, dans une revue juridique, un professeur de droit public à l’Université de Perpignan est venu, lui aussi, confirmer le bien-fondé de ces analyses proposées au public.

Mais, depuis l’attribution des autorisations de mise sur le marché (AMM) « conditionnelles », temporaires et dont la durée n’excède pas un an, aux quatre vaccins commercialisés en France, Monsieur le ministre des solidarités et de la santé a, publiquement et à plusieurs reprises, tenu des affirmations, pour le moins, inexactes.

Par exemple, récemment et selon des médias, Monsieur le ministre des solidarités et de la santé aurait affirmé ceci : « Parmi les fake news qu’on entend, il y aurait celle qui consiste à dire que le vaccin sera encore en cours d’expérimentation. C’est absolument faux, la phase 3 est terminée depuis des mois. Elle est validée. Trois milliards d’injection ont été validées sur la planète Terre. Les choses se déroulent au mieux. Vous pouvez y aller, il n’y aucune inquiétude à avoir ».

Avec certitude, le Ministre des solidarités et de la santé aurait donc affirmé que ledit vaccin n’est plus « en cours d’expérimentation » puisque, selon lui, la « phase 3 » des essais cliniques (menés chez l’Homme) « est terminée depuis des mois ». Selon lui, cette phase 3 expérimentale « est validée ».

Il aurait ajouté qu’« il n’y a aucune inquiétude à avoir » et inviterait les gens à « y aller ». Autrement dit, ce vaccin ne présente, selon le Ministre des solidarités et de la santé, aucun risque d’effets indésirables, notamment graves.

Or, en réalité, même le journal Le Monde constate ceci : « Il est vrai que les essais de phase 3 sont toujours en cours… En affirmant de manière catégorique que la phase 3 des essais des vaccins déployés en France est « terminée », Olivier Véran se méprend. Contacté par Le Monde, le laboratoire Pfizer assure bien que son « essai de phase 3 se poursuit ».

Le fabricant, lui-même, met donc en évidence les affirmations inexactes que le Ministre des solidarités et de la santé aurait tenues.

Ledit Professeur de droit public, lui aussi, relève que « la formule « essai clinique » utilisée par l’Agence européenne est sans équivoque ». Il soutient : « Le fait qu’il s’agisse d’une vaccination en phase expérimentale ne saurait donc faire de doute ». Il affirme qu’il s’agit d’« une expérimentation vaccinale à grande échelle inédite dans l’histoire de la médecine ».

Mais, Monsieur le ministre des solidarités et de la santé aurait récidivé en tenant de nouvelles affirmations inexactes et en usant d’un vocabulaire qui interroge. En s’adressant à des jeunes dont il aurait tenté d’extirper le consentement, il semble persister dans cette voie :

« Il ne faut pas avoir peur de ça, je vous assure. Lisez les revues scientifiques, les choses comme ça. N’allez pas sur les blogs ou les trucs des rageux qui vous racontent n’importe quoi. Moi j’entends tout le temps le vaccin : il est encore en développement, il n’a pas fini sa phase expérimentale. Pardon, c’est des… c’est vraiment n’importe quoi. On n’a jamais eu quasiment autant de recul pour un vaccin que celui-ci vu le nombre de vaccinations qu’on a faites. »

Inacceptable. Condamnable. Fautif. Voire répréhensible.

Ces nombreuses « vaccinations faites » pourraient s’avérer être la conséquence d’un consentement vicié des personnes.

Si ces affirmations relatées par ces médias sont exactes, alors l’attitude du Ministre des solidarités et de la santé ne peut que heurter plusieurs dispositions de la loi (au sens large) qui encadrent notamment la communication sur le rapport bénéfice/risque d’un médicament tel que le vaccin.

Or, toute personne a le droit à une information claire, loyale et appropriée. Cette information conditionne la validité du consentement libre et éclairé. Ce consentement est une liberté fondamentale. Heurter l’autonomie de la personne revient à porter atteinte à la dignité de la personne humaine.

Ne pas pouvoir accéder à cette information indépendante est la première des pauvretés, des inégalités et des vulnérabilités.

Les maladies inscrites sur la liste des maladies à déclaration obligatoire, elles, ne sont soumises à aucun « passe sanitaire ».

Mais, ce « passe sanitaire » est imposé à la Covid-19 ; alors que cette maladie, elle, n’est pas inscrite sur ladite liste des maladies à déclaration obligatoire.

Le droit a conduit à la suspension de l’obligation de la vaccination (contre la grippe) ; alors que ce vaccin bénéficie, lui, d’une AMM standard.

Mais, Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé menace de rendre la vaccination (contre la Covid-19) obligatoire pour notamment les « soignants » ; alors que ces vaccins, eux, ne bénéficient que d’une AMM « conditionnelle », temporaire (dont la durée n’excède pas un an) ; et dont le rapport bénéfice/risque est peu connu.

De nombreuses personnes, dont des « soignants », ont fait le choix de ne pas se vacciner contre la Covid-19. Publiquement, elles sont devenues, sous vos yeux, la cible de comportements inqualifiables, potentiellement fautifs et répréhensibles.

Ces personnes ont choisi la prudence eu égard aux incertitudes et des questions en suspens. Ces personnes ont peur de voir venir notamment des hospitalisations, des séquelles, des malformations congénitales. Elles semblent percevoir la mort au bout de la seringue remplie de ce vaccin (contre la Covid-19). C’est si difficile à comprendre ?

Le ressenti d’un patient, de toute personne, compte. La prise de décision dépend du rapport aux risques de cette personne. Cette décision est le fruit d’une expérience de vie ; peut-être d’un parcours accidenté.

Nous savons qu’il est difficile d’établir la certitude du lien de causalité entre les effets indésirables et tel ou tel médicament présumé à l’origine de ces dommages corporels. Mais, ne pas pouvoir établir cette preuve de façon certaine ne signifie pas, nécessairement et systématiquement, que ce lien de causalité n’existe pas. Le juge civil a d’ailleurs assoupli sa position sur ce point depuis plusieurs années.

Les décideurs ne devraient pas profiter de cette incertitude qui jaillit du régime probatoire pour « inciter »« encourager »« contraindre » les personnes à se vacciner ; pour extirper leur consentement par notamment le dol ou la violence.

En général, qu’il s’agisse du bénéfice ou du risque, le doute semble toujours profiter aux produits pharmaceutiques et à leurs fabricants. Et après, certains semblent étonnés lorsque, quelques années plus tard, des drames sont constatés.

Mais là, nous sommes face à une situation inédite dans l’histoire de la médecine, celle d’une expérimentation vaccinale à grande échelle. Il serait vain et illusoire de vouloir occulter une telle évidence.

Dans le cadre de la gestion de cette Covid-19, ce n’est pas la première fois que Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé tient des affirmations inexactes. Il y a lieu de rappeler, en effet et par exemple, une décision qu’il aurait prise en se fondant sur un article publié dans une revue ; article qui a été ensuite retiré suite aux critiques formulées par des personnes qualifiées et indépendantes.

Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé est également Docteur en médecine. À ce titre, il a aussi des devoirs à respecter ; comme tout médecin ou autre professionnel de santé.

L’attitude de Monsieur le ministre des solidarités et de la santé est, pour le moins, incompréhensible. Le CTIAP lui a soumis de nombreux éléments utiles qui auraient pu l’aider dans ses décisions. Je lui ai adressé des alertes. Je lui ai proposé un face-à-face télévisé, en direct, afin d’offrir à nos concitoyens un débat public, contradictoire, utile et de qualité. En vain.

À ce jour, je n’ai reçu aucune réponse à mes propositions.

Comme le disent souvent les juges, la contradiction des motifs équivaut à leur absence. Et l’appréciation des faits relève toujours de la décision souveraine des juges.

Les multiples contradictions de Monsieur le ministre des solidarités et de la santé, ses nombreuses affirmations inexactes seraient-elles la matérialisation d’une incompétence, ou l’expression d’une mauvaise foi, ou le reflet d’un sentiment d’impunité notamment ? Ou tout à la fois ? Ce comportement, constaté par tout le monde, ne semble pas respectueux des prérogatives de sa charge et de son honorable fonction. Ce hiatus ne peut que porter atteinte à la crédibilité des institutions et à la politique de santé publique. Ces distorsions ne peuvent aboutir qu’au délabrement de la confiance accordée au système de soins ; elles ne peuvent conduire qu’à l’exacerbation de la défiance envers les (autres) vaccins qui, eux, ont apporté la preuve d’un rapport bénéfice/risque favorable.

La communication de Monsieur le ministre des solidarités et de la santé semble devenir dangereuse. Face à cette situation, et à leurs tours, nombreux professionnels de santé – lesdits « soignants » – menacent de démissionner. Et je tiens à vous rassurer, je n’en fais pas partie ; tout comme je souhaite rappeler que mes réflexions ne présument pas de ma décision personnelle de se vacciner ou non.

Les établissements de santé ont davantage besoin de « soignants » que d’un Ministre

Par ces motifs non exhaustifs, que je pourrais parfaire, et sous toutes réserves, je ne peux donc que me résoudre à suggérer à Monsieur le ministre des solidarités et de la santé de tirer toutes les conséquences utiles de ce constat ; en envisageant, notamment et a minima, de présenter sa démission du gouvernement ; dans les plus brefs délais eu égard à l’urgence et à la gravité de la situation.

Je demande sa démission immédiate. Je l’exige.

De même, je suggère à notamment tous les détenteurs de l’autorité et tous les soi-disant « représentants » des soignants, qui ont soutenu Monsieur le ministre des solidarités et de la santé sur ce point, de suivre la même voie.

Le 8 juillet 2021, à travers un retour d’expériences (des exemples du terrain), le CTIAP vous a également alerté sur le risque de « violence sur les soignants » et de « violation du secret professionnel médical ». Cet article a été relayé par le journal FranceSoir. Dès le lendemain, et publiquement, j’ai fait l’objet d’« attaques » et de « menaces », écrites, de la part de quatre personnes exerçant au centre hospitalier de Cholet. À mon égard, l’un de ces agresseurs recommande même ceci à l’ensemble des médecins et au directeur de l’hôpital : « Si quelqu’un a un traitement de choc, c’est le moment ou jamais ». Cet agresseur serait l’une des personnes impliquées dans le « traitement de choc » qui aurait été réservé à la présidente de la commission médicale d’établissement (CME) de l’hôpital. Cette présidente aurait porté plainte pour « faux, usage de faux et séquestration ». Cette « affaire » a été révélée, en décembre 2020, par le journal le Courrier de l’Ouest. Cette « affaire » était l’un des arguments, utilisés par le maire de Cholet, pour annoncer son retrait du conseil de surveillance du centre hospitalier (CH).

Simultanément, parallèlement et publiquement, ce 9 juillet 2021, je reçois aussi ce nouvel appel à l’aide émanant d’une femme qui serait une aide-soignante :

« Dr, le couperet arrive pour les soignants help ! »

Par ailleurs, je suis informé de ceci : 

« le syndicat (…) du CH de Cholet a déposé un recours à la CNIL [commission nationale de l’informatique et des libertés] concernant la vaccination du personnel. En effet, pourquoi est-ce un directeur administratif qui est en possession de toutes les identités des vaccinés COVID de l’hôpital ? ».

La protection du secret professionnel médical semble s’effriter. D’un signalement et/ou d’une notification d’une maladie, un nouveau régime d’exception semble s’orienter vers une surveillance des personnes (cf. l’article du CTIAP en date du 6 mai 2021).

Il est, pour le moins, insupportable de continuer de voir nos vies, nos droits et libertés fondamentaux, piétinés à ce point. Et en toute impunité.

Dans un pays civilisé, les rapports entre les individus sont régulés par le Droit. Or, et selon le même Professeur de droit public : 

« Que le Premier ministre puisse envisager une obligation vaccinale étendue à partir de techniques médicales aussi incertaines traduit un effondrement des principes éthiques et politiques qui fondent notre système juridique depuis 1789 ».

La paix sociale serait menacée. Les valeurs, inscrites sur les frontons des institutions de la République, seraient en danger.

En pareilles circonstances, une hypothétique loi consacrant une « obligation » vaccinale pourrait se révéler être de nature fautive, délictuelle, voire criminelle.

C’est au pouvoir de continuer d’arrêter le pouvoir.

Enfin, concernant la sortie de cette situation inéditedes idées sont disponibles et des solutions sont possibles. Elles sont, naturellement, à la disposition des gouvernants qui le souhaitent.

Et pour ma part et à titre subsidiaire, je vous rappelle que je ne suis pas prêt de revenir dans un bureau de vote ; jusqu’à nouvel ordre. Les pratiques politiques me contraignent à m’éloigner le plus loin possible de ce monde, pour le moins, obscure.

De même, une question fondamentale mérite d’être soulevée : quelle serait la nature de la relation des Hommes (femmes et hommes) au pouvoir ? Pourquoi des Hommes oublient leurs valeurs une fois investis de ce pouvoir ? Que reste-t-il à un Homme une fois son honneur perdu : une fois sa parole et son engagement trahi ?

Au peuple français, et solennellement, vous avez donné votre parole. Vous avez pris l’engagement de ne jamais rendre cette vaccinale (contre la Covid-19) obligatoire.

« Patere legem quam fecisti » (respecte la règle que tu as faite).

En vous remerciant de l’intérêt que vous pourriez porter à ces quelques lignes, en restant à votre disposition pour toute information complémentaire ou pièce utile, et sous réserve de pouvoir parfaire mes écritures,

Je vous prie de bien vouloir recevoir, Monsieur le Président de la République, Monsieur Emmanuel MACRON, l’expression de mon profond respect.

Docteur Amine UMLIL, Citoyen français, Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, Juriste (droit de la santé), Extrait du Curriculum vitae (C.V.)

Auteur(s): Dr Amine Umlil pour FranceSoir




Étude sur la vaccination des enfants : les effets secondaires graves sont dissimulés

[Source : Medien-Klagemauer.TV]

08.07.2021 | www.kla.tv/19196

Pas moins de 93 médecins israéliens ont signé une lettre demandant que les vaccins Covid ne soient pas administrés aux enfants. Les médecins soulignent que l’opinion scientifique dominante est que le vaccin ne peut pas conduire à une immunité collective. Selon eux, on ne sait toujours pas si le vaccin empêchera la propagation du virus et pendant combien de temps il assurera une protection. Des nouveaux variants du virus pourraient être résistants au vaccin, et nous ne connaissons pas encore les effets sur la croissance, le système reproductif ou la fertilité.

« Nous ne devrions pas mettre les enfants en danger par une vaccination de masse contre une maladie qui n’est pas dangereuse pour eux », écrivent les 93 médecins. Selon eux, les enfants devraient pouvoir retrouver rapidement une vie normale et les tests et l’isolement fréquents devraient cesser. Les médecins déclarent qu’il ne faut pas se précipiter pour les vacciner tant qu’on n’a pas toutes les assurances/, car le Covid ne présente aucun danger pour les enfants.

Malgré les avertissements de différents experts du monde entier, les politiciens et les médias en Allemagne font une grosse publicité pour que les enfants soient vaccinés aussi vite que possible, bien que les chiffres officiels de l’étude actuelle sur la vaccination des enfants de 12 à 17 ans parlent un langage clair. La fiche actuelle de données des sociétés pharmaceutiques Pfizer et BioNTech montre qu’environ 80 % des 1 097 enfants qui ont participé au test vaccinal se sont plaints d’effets secondaires. Chez 393 participants, soit plus d’un tiers, ces effets secondaires étaient « moyennement graves ». Et chez sept enfants, les groupes pharmaceutiques eux-mêmes ont qualifié les effets secondaires de graves. Cela représente environ 0,6 %. Dans le document, Pfizer et BioNTech ont donné le terme « grave » à des réactions qui provoquent « une incapacité prolongée ou substantielle » ou « entraînent la mort ».

Or, compte tenu de ces résultats, si on vaccinait effectivement un million d’enfants, au moins 6 000 d’entre eux subiraient un dommage grave. Et très probablement, certains de ces enfants mourraient. Selon les informations publiées par l’Institut Paul Ehrlich, il y a jusqu’à présent dans le cadre de la campagne de vaccination, un décès pour 56 400 personnes vaccinées. Cela signifie que, même selon les chiffres officiels, les enfants et les jeunes gens ont trois fois plus de risques de mourir de la vaccination que de la maladie. Face à ces faits révélateurs, les médias et les politiciens non critiques qui font la promotion du vaccin Covid depuis des mois, semblent ignorer toute éthique et toute responsabilité. Acceptent-ils sciemment de faire du mal à de nombreux enfants en bonne santé ? Et est-ce possible qu’un cartel politico-pharmaceutique soit littéralement prêt à marcher sur des cadavres ?

Tant que ces crimes ne cesseront pas, il est de la responsabilité de chaque individu de devenir lui-même actif, d’éclairer et de dénoncer cette prétendue attention portée à nos enfants pour ce qu’elle est : un crime !



de ah./rw.

Sources / Liens :

Brief israelische Ärzte:
https://uncutnews.ch/93-israelische-aerzte-appellieren-eindringlich-geben-sie-kindern-keinen-corona-impfstoff/
Lettre de médecins israèliens :
https://de.rt.com/meinung/118163-ignorant-und-gefahrlich-politiker-trommeln/
https://de.rt.com/meinung/118201-ein-haesslicher-herbst-kinderimpfung-und-die-moeglichen-folgen/




Devant la menace de démantèlement de l’IHU Raoult a donc cédé

Par Lucien Samir Oulahbib

[Photo : L’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection (IHU) de Marseille (GILLES BADER / MAXPPP)]

Dans un entretien très récent Didier Raoult avait annoncé très explicitement (6 juillet, à 0.55) qu’il est question pour l’IRSEM de démanteler l’I.H.U (l’organisme a démenti sur le champ bien entendu) afin d’empêcher la constitution d’un pôle de prudence et de vérité comme le demandait d’ailleurs il y a quelques mois le professeur Caumes (avant de se rétracter bien sûr et vouloir piquer jusqu’aux enfants déjà affaiblis par le confinement comme l’indique la professeure Martine Duclos) on voit donc que cette Secte H.A! (hygiéniste-affairiste) est prête à tout casser (la “déconstruction” en temps réel) pour arriver à ses fins. C’est évidemment ignoble, minable, dangereux.

Ignoble, car au lieu de laisser les médecins prescrire des traitements ayant des centaines d’études positives derrière eux maintenant (et surtout des millions de personnes guéries au contraire de ce que prétendent les faux vérificateurs à la solde de la Secte), ces scientistes démiurges, assoiffés de puissance par définition, persistent et signent, balayant toute idée alternative (comme l’indique pourtant l’ISERM dans ce schéma en 3.3) qui remettrait en cause leur stratégie hygiéniste-affairiste disproportionnée par rapport à la menace réelle de cette syndémie très peu létale en réalité pour la très grande majorité des… malades (surtout s’ils sont soignés de manière précoce). Ne parlons pas des… 7 milliards d’humains guère touchés par elle en comparaison à d’autres maladies dites “chroniques”, en réalité très mal soignées (car seule l’approche allopathique est privilégiée) et qui causent, elles, des millions de morts.

Minable, puisqu’ils sont obligés de détruire toute opposition avec leur rouleau compresseur alors qu’ils se targuent de faire de la pédagogie et de la persuasion, mais leur impatience est telle que même leurs coupe-jarrets montrent leurs dagues de façon de plus en plus évidente, comme il a été vu avec tous ces seconds couteaux venant harceler, menacer, enfin assaillir ceux qui refusent d’être les cobayes de cet “essai clinique” toujours en cours (malgré les dires fallacieux du “ministre” français de la Santé).

Dangereux: au lieu de tout faire pour renforcer les fonctions immunitaires par diverses méthodes bien connues des naturopathes (dont les vitamines D et C aux effets secondaires bien moindres que ceux de ces injections, bien sûr, dont en plus on ne connaît pas les effets à plus long terme…) l’on voit un 1er Ministre déclamer qu’en raison de leur “affaiblissement” il faudrait une “troisième dose” (officiellement pour les “personnes vulnérables”, alors que nous avons des traitements aussi pour elles), comme s’il s’agissait en fait de remplacer à terme nos fonctions immunitaires par l’artifice génique ou le cyborg en perspective.

Mais en croyant battre en retraite (alors que pour ses ennemis il se rend (tel Vercingétorix) avec armes et bagages), Didier Raoult pense certes pouvoir limiter les dégâts, sauf qu’il les renforce. Car forts de cette victoire, ses ennemis voudront aussi sa tête (celle de Jean-Baptiste). C’est ainsi. Jamais des ennemis de cette trempe (un nihilisme de très haut degré) ne feront quartier. Aucune clémence n’est à attendre venant d’eux, tant les enjeux sont immenses. Aussi, cet éminent chercheur et médecin pourrait encore dévoiler le pot aux roses plus explicitement. Ce n’est pas trop tard et cela aurait même plus de force, d’ailleurs, afin qu’un vaste front de résistance puisse se constituer et passer enfin à l’offensive en créant par exemple une association d’amis de l’IHU qui prendrait rapidement des décisions (comme créer une chaîne d’alerte lorsque les menaces de l’IRSEM deviendront réalité) avant de former un cordon humain 24 heures sur 24 autour des bâtiments de l’IHU, ce Fort Alamo, cet Alésia en apparence, cette Angleterre sous le feu en 40 en réalité, et qui sut tenir et ensuite contre-attaquer victorieusement, n’en déplaise à certains [Ndlr : grâce aux Américains et au sacrifice des Russes. Quel est l’équivalent de ces derniers, de nos jours ? Existe-t-il encore beaucoup d’êtres humains, surtout en Occident, capables de se sacrifier, d’abandonner leur confort (matériel, intellectuel, moral…) et leur illusoire sécurité pour sauver ne serait-ce que leur nation, à défaut de l’Humanité ? Car oui, nous sommes en guerre, mais pas contre un virus. Nous le sommes contre les ennemis de l’Humain. Une guerre aux proportions épiques, aux dimensions bibliques].




Le Bélarus face à la haine occidentale

[Source : Le Courrier]

[Photo : urbanisme à Minsk, la capitale biélorusse. M. GERBER]

[Voir aussi : 22 Juin 2021, Loukachenko au Fort de Brest : Appel à la Résistance populaire antifasciste]

« Alexandre Loukachenko est taxé de dictateur depuis vingt-cinq ans, soit depuis qu’il a envoyé paître le FMI et la Banque mondiale. » Pour Marcel Gerber, bon connaisseur du Bélarus, le petit pays européen est voué aux gémonies occidentales du fait qu’il est le seul État issu de l’ex-URSS à « n’avoir pas été « démocratisé » par un passage brutal au capitalisme ».

« L’évolution du Belarus a été loin de plaire aux puissances occidentales comme les États-Unis ou l’Union européenne, qui espèrent toujours mettre la main sur les richesses du pays »

Marcel Gerber

Par MARCEL GERBER

La nuit du 8 décembre 1991, trois personnes sont réunies dans une datcha perdue de la forêt biélorusse. Ce sont Boris Eltsine, président de la République socialiste fédérative soviétique de Russie, Stanislaw Chouchkievitch, président de la République socialiste soviétique de Biélorussie, et Leonid Kravtchouk, président de la République socialiste soviétique d’Ukraine. A la fin d’une soirée bien arrosée, les trois protagonistes décident démocratiquement, par trois voix sans opposition, de mettre fin à l’existence de l’URSS, malgré le vote récent de la population soviétique du 17 mars 1991, laquelle a voté à 78% le maintien de l’URSS avec 80% de participation. La Biélorussie, une des quinze républiques formant l’URSS, devient pour la première fois de son histoire un pays réellement indépendant. Anciennement agricole, le pays était devenu la partie la plus développée de l’URSS sur les plans agro-alimentaire, de la métallurgie, de la chimie, de la production de machines et de véhicules utilitaires, avec un niveau éducatif élevé. Pays plat, couvert de forêts et sans grandes ressources naturelles, il était aussi largement dépendant des échanges avec les autres républiques soviétiques.

La suite est connue. La « nomenklatura » corrompue des autres ex-républiques soviétiques, les organisations mafieuses et les prédateurs occidentaux se partagèrent l’essentiel les richesses créées par l’ensemble des citoyens, entraînant une grande baisse de la production et une chute du niveau de vie. Ce qui explique que la nostalgie de l’URSS est largement présente dans ces pays.

Itinéraire d’un « dictateur »

L’actuel président biélorusse Alexandre Loukachenko est né le 30 août 1954. Après sa scolarité, il étudie à la faculté d’histoire de l’Institut pédagogique de Moguilev, dont il est diplômé en 1975. Il adhère au Parti communiste en 1979. Il obtient un diplôme de l’Académie agricole de Biélorussie en 1985. Il prend en 1987 la direction d’une ferme collective jusqu’en juin 1993. En 1990, Alexandre Loukachenko se lance en politique et est élu député au Parlement de la République soviétique biélorusse. Il crée au sein de celui-ci un groupe intitulé « Communistes pour la démocratie », proposant une décentralisation du pouvoir et une plus grande autonomie de la Biélorussie par rapport aux dirigeants moscovites. Après la fin de l’URSS, Alexandre Loukachenko s’oppose publiquement à l’évolution capitaliste du pays. Il est élu en 1993 président du Comité anti-corruption du Parlement biélorusse, un emploi à plein temps. La lutte qu’il mène alors contre la corruption et les privilèges des dirigeants « historiques » accusés de détournements lui assure une grande popularité.

En 1994 a lieu la première élection présidentielle du nouvel Etat, avec six candidats, dont les hommes au pouvoir depuis l’époque soviétique. Alexandre Loukachenko est candidat avec un programme de conservation des principaux acquis issus du pouvoir soviétique – la santé, l’éducation, le plein-emploi, les services sociaux, la propriété étatique des grandes entreprises et de la terre. Il arrive en tête du premier tour avec 45% des voix et remporte le second tour avec plus de 80%. A 40 ans, il est le premier président élu démocratiquement du nouvel État biélorusse.

Président avec des pouvoirs limités face à l’ancien appareil d’État hostile au programme pour lequel il est élu, Alexandre Loukachenko propose en 1996 une nouvelle Constitution renforçant les pouvoirs présidentiels. Elle est approuvée par 70% des votants avec une participation de plus de 80%. Le pays s’appelle dorénavant République du Belarus et a un nouveau drapeau rouge et vert. Alexandre Loukachenko applique alors avec autorité et détermination le programme pour lequel il a été élu, soit la réalisation d’un « socialisme de marché » qui permet l’existence d’une économie privée, avec cependant des limitations empêchant la création d’une couche de grands capitalistes.

Par cette politique la nouvelle République du Belarus a été sortie en quelques années du marasme et est devenue rapidement un pays développé à tous points de vue – industriel, agricole, nouvelles technologies – tout en améliorant les services publics, l’éducation et la santé en priorité. Selon la Banque mondiale, le Belarus a le taux de pauvreté le plus faible d’Europe. Comme dans l’ex-URSS, le travail est garanti à chaque citoyen. La Banque mondiale estime le taux de chômage en Biélorussie à 0,5% en 2015.

L’offensive occidentale

L’évolution du Belarus, soit la seule continuité réussie de l’URSS, a été loin de plaire aux puissances occidentales comme les Etats-Unis ou l’Union européenne, qui espèrent toujours mettre la main sur les richesses du pays ou qui, comme l’OTAN, veulent le contrôler pour se rapprocher militairement de Moscou. Ce sont les raisons principales de la haine contre le Belarus. Les actions pour le « démocratiser » n’ont pas fait dans la dentelle. Il a même été déclaré comme faisant partie de l’« axe du mal » par l’administration Bush. Cette offensive existe de manière permanente et des structures d’intervention ont été mises en place, y compris par la création de pseudo organisations non-gouvernementales. Le Congrès américain a même voté, le 20 octobre 2004, une loi spécifique visant à « établir la démocratie au Belarus » (le Belarus Democracy Act of 2004). Cette loi budgète des dizaines de millions de dollars annuels afin de créer et soutenir une opposition en mesure de prendre le pouvoir à Minsk.

De même, l’argent coule à flots depuis diverses organismes étatiques – l’USAID (Agence des Etats-Unis pour le développement international), la NED (National Endowment for Democracy [présentée comme une organisation « privée non gouvernementale » mais quasi entièrement financée par Washington]), l’Union européenne, etc. – ou privés – comme les réseaux de George Soros ou des deux partis étasuniens. Ces « aides » sont d’ailleurs publiées sur internet sous couvert d’« actions pour la démocratie ».

Faire croire que les Bélarusses vivent sous la terreur est un autre axe de la désinformation. Ce peuple a de grandes qualités d’accueil et connaît très bien la situation des pays environnants, avec un enseignement des langues étrangères développé. Le niveau de vie est relativement élevé, sans misère apparente comme dans nos sociétés occidentales. Une société « apaisée », des gens détendus et souriants. Sans s’attarder sur ce que l’on peut ressentir là-bas, on est très loin de l’image donnée de ce pays, dont on ne montre pratiquement rien en dehors de manifestants pro-occidentaux,(([1] Rare exception, un petit reportage breton (septembre 2019) réalisé en dehors des médias dominants: https://www.tebeo.bzh/replay/587-bretons-dailleurs-en-bielorussie/10554946)) lesquels n’osent pas présenter ouvertement leur programme de privatisation générale avec adhésion à l’UE et à l’OTAN.

Pourtant les prédateurs occidentaux prêts à dépecer le Belarus savent ce qu’il y a à saisir dans ce pays, comme le souligne un rapport pour initiés d’Anders Aslund, l’un des auteurs de cette « thérapie de choc » qui a ravagé les autres pays de l’ex-bloc soviétique:

« Les touristes visitant la Biélorussie sont surpris. C’est la dernière économie soviétique qui fonctionne réellement. […] Cette économie industrialisée est dominée par une quarantaine d’entreprises publiques, notamment dans l’industrie lourde. Ils fabriquent toujours des produits […] soviétiques, mais ce sont les meilleurs produits soviétiques que vous n’ayez jamais vus. […] Les problèmes macroéconomiques sont minimes. L’inflation est sous contrôle et avoisine les 5%. Le déficit budgétaire officiel est minime et la dette publique totale est plafonnée à 35% du PIB. […] Dans l’ensemble, la structure de l’administration publique est en bon état, peut-être la meilleure de toute l’ex-URSS. […] Il n’y a pas de grands entrepreneurs ou oligarques privés en Biélorussie. La corruption est encore étonnamment rare… »(([2] A. Aslund, M. Haring, J.E. Herbst, A. Vershbow, « Biden and Belarus: A strategy for the new administration », Atlantic Council, 27 janvier 2021, accès: https://bit.ly/3xa9gWB))

La seule crainte pour les prédateurs occidentaux est la concurrence des oligarques russes, tout aussi rapaces, mais mieux placés si le système actuel était remplacé. Le Belarus subit ainsi une guerre souterraine qui peut un jour se transformer en guerre réelle, les pays voisins, Lituanie, Pologne ou Ukraine étant de plus en plus armés pour cela en prétextant la « menace russe ».

Pourquoi la population soutient-elle majoritairement Alexandre Loukachenko à chaque élection? Il y a plusieurs raisons à cela. Tout d’abord, les Bélarusses ont pour la première fois de l’histoire une nation indépendante. Ensuite, ayant connu dans le passé une vie difficile, ils savent à qui ils doivent leur situation actuelle. Enfin, ils vivent dans une société sans problème sociaux importants.

Comment caractériser le système en vigueur au Belarus? Alexandre Loukachenko agit en fonction des droits qui lui sont conférés par une Constitution adoptée à une large majorité et par ses réélections successives. Il applique la politique pour laquelle il est élu en contrôlant étroitement son application, qu’il détaille très souvent sur les chaînes d’État – trop, pour certains. Il est possible de caractériser le système bélarusse comme « social-populiste », social par la conservation des aspects positifs de l’ex-URSS et populiste parce que le président se comporte comme « le père de la nation ». Mais le Belarus n’est pas un État socialiste au sens strict du terme, basé une démocratie directe telle celle pratiquée par la Commune de Paris.

Comme dans l’ex-URSS, existe au Belarus un appareil d’Etat qui a ses propres intérêts et qui pourrait s’opposer à des revendications allant dans un sens réellement socialiste, avec un pouvoir aux mains des travailleurs et travailleuses dans le cadre d’un Etat basé sur l’éco-socialisme. La pratique d’Alexandre Loukachenko est autoritaire dans le sens où il impose sa conception de l’évolution du pays, comme pour les agrovilles créées pour diminuer le fossé ville-campagne.

L’avenir du Belarus

Sachant qu’il n’est pas éternel, Alexandre Loukachenko a proposé l’automne dernier qu’une nouvelle Constitution remplaçant le régime présidentiel par un régime basé sur la prédominance de l’Assemblée nationale soit discutée et soumise à votation. Le Belarus pourra-t-il continuer à se développer en résistant aux offensives hostiles, alors que la base du soutien majoritaire au président, soit la génération qui a connu les problèmes des dernières décennies du siècle passé, est remplacée graduellement par une jeunesse qui pourrait être moins insensible aux sirènes occidentales? L’avenir du Belarus est donc incertain.

À propos de l’auteur

Ingénieur en électronique et horlogerie, Marcel Gerber a effectué 25 séjours au Bélarus depuis 2002.

NOTES





La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

[Source : cv19.fr]

Par le Dr. Ron Brown

Vous pensez que le coronavirus s’est échappé d’un laboratoire de Wuhan ? Vous pourriez souffrir de microbiophobie. Espérez-vous qu’un vaccin vous protégera contre le coronavirus ? Vous êtes probablement microbiophobe. Vous sentez-vous à l’abri du coronavirus en portant un masque, en vous isolant et en gardant une distance sociale ? Vous êtes certainement atteint de microbiophobie. La microbiophobie rampante – qui perturbe nos vies en raison de peurs irrationnelles des micro-organismes tels que les virus – est hors de contrôle dans nos sociétés ! Mais que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines. 

La métagénomique et les perspectives futures de la découverte de virus – ScienceDirect.

Comment tant de virus ont-ils élu domicile dans des zones de notre corps désignées sous le nom de viromes, et comment pouvons-nous surmonter notre microbiophobie irrationnelle, envahissante et incontrôlable à l’égard d’un virus du rhume comme le coronavirus ?

Si vous avez l’intention de chercher des réponses à ces questions en interrogeant un coronavirus, il vaut mieux vous donner beaucoup de temps pour le traquer et l’emmener pour le questionner. Ce sont des petites créatures très occupées, qui élèvent des familles de descendants, s’échappent audacieusement des laboratoires, passent les frontières en contrebande, brandissent des protéines en forme de pointes acérées comme des épées pour tuer les cellules ciblées, sautent d’un seul bond entre des humains en contact étroit avec eux, manœuvrent autour des masques faciaux, attendant patiemment que vos mains frottées se salissent à nouveau, détournant l’ADN des cellules et les rançonnant, disparaissant de la circulation pendant l’été pour passer des vacances dans des cachettes secrètes, modifiant leur apparence pour se dissimuler des vaccins, et bien sûr, rendant les gens malades et commettant des homicides.

Nous savons que ces choses sont vraies parce que des gens appelés scientifiques nous l’ont dit. Sauf que certaines de ces personnes ne sont pas du tout des scientifiques. Prenez le Dr Anthony S. Fauci, par exemple, médecin de formation et bureaucrate du gouvernement qui dirige l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses des États-Unis. Le Dr Fauci se met souvent dans des situations difficiles en faisant toutes sortes de déclarations non étayées sur la pandémie de coronavirus. Lorsque les données changent et qu’il est contraint de revenir sur ses déclarations, Fauci rejette la faute sur la science, en s’excusant et en expliquant que c’est ainsi que la science fonctionne.

La science ne fonctionne pas du tout de cette façon. La plupart des vrais scientifiques sont suffisamment expérimentés pour éviter de faire des déclarations à la Fauci qui ne sont pas fondées sur des connaissances et des faits incontestables. Néanmoins, sans se laisser décourager par son manque de sens scientifique, le Dr Fauci continue à faire toutes sortes de déclarations sur les vaccins, les masques, les confinements et les virus. Combien de temps encore devrons-nous continuer à croire Fauci qui affirme que les virus sont de vrais méchants sans preuve irréfutable, au-delà du doute raisonnable ? Par exemple, le Dr Fauci a déclaré au Congrès américain le 11 mars 2020 que le coronavirus “EST dix fois plus mortel que la grippe”, et non qu’il POURRAIT ÊTRE plus mortel que la grippe. Par rapport aux 80 000 décès survenus pendant la grippe saisonnière 2017-2018, la mortalité annuelle due au coronavirus est loin d’être dix fois plus élevée, soit 800 000 décès par an, même en tenant compte des mesures de mitigation pour “arrêter la propagation.” Fauci a également co-écrit un éditorial dans le New England Journal of Medicine déclarant que le taux de létalité de la grippe saisonnière est de 0,1%. En réalité, 0,1 % est le taux de létalité de l’infection de la grippe, bien souvent inférieur, et non le taux de létalité. Le taux de létalité de la grippe en 1918 était de 2 à 3 %, comme celui du coronavirus lorsqu’il est apparu en Chine. 

Leçons de santé publique tirées des biais dans la surestimation de la mortalité due au coronavirus (cambridge.org).

Les débuts de la virologie

Pour découvrir la véritable nature des virus et, espérons-le, nous aider à surmonter notre microbiophobie, nous devons écouter de vrais scientifiques spécialisés en virologie. Le premier grand virologue dont vous n’avez probablement jamais entendu parler est le Dr Robert Doerr, qui a dirigé les Archives of Virology pendant une grande partie du 20e siècle. 

(PDF) When did virology start ?, ASM News 62 (March) (1996), 142-5 | Ton van Helvoort – Academia.edu.

Sur la base de ses recherches sur les virus de l’herpès, et en utilisant le microscope électronique nouvellement développé dans les années 1930, le Dr Doerr a établi certains principes de base des propriétés virales. Doerr a proposé que les virus non vivants sont créés de manière endogène, à l’intérieur des cellules, et que les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes. De toute évidence, le point de vue de Doerr est très différent de celui qui prévaut aujourd’hui sur l’étiologie et la propagation des infections virales. Comment ce changement s’est-il produit ?

Bien qu’elles n’aient jamais été réfutées, les conclusions de Doerr ont fini par être ignorées et mises de côté après l’avènement du dogme central de la biologie moléculaire, qui affirme que tous les organismes vivants reproduisent la vie en transférant l’information génétique par le biais des acides nucléiques ADN et ARN. 

Il y a 60 ans, Francis Crick a changé la logique de la biologie (nih.gov).

Parce que les virus contiennent des acides nucléiques, le dogme central implique que les virus doivent se répliquer, même s’ils sont obligés de détourner les mécanismes de réplication génétique d’une cellule hôte pour réaliser cet exploit. Vous voulez une preuve de la réplication virale ? Placez quelques virus sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri et observez comment les virus disparaissent mystérieusement pour finalement réapparaître sous forme de hordes de progénitures qui se multiplient et tuent rapidement les cellules vivantes. 

Réplication virale – ScienceDirect.

Un message d’avertissement : cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale présente quelques défauts graves que nous évaluerons de manière critique par la suite.

Nouvelles connaissances en virologie

Des preuves plus récentes ont permis de découvrir que, bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas. Par exemple, on a découvert que des virus non infectieux contiennent de l’ARN, mais ne se répliquent pas. 

Activités biologiques des particules du virus de la grippe A “non infectieux” (nih.gov).

Qu’advient-il de l’ARN de ces virus ? En outre, pourquoi un grand nombre de ces virus non infectieux s’agrègent-ils en viromes dans notre corps s’ils ne se répliquent pas ? Les réponses à ces questions peuvent être synthétisées à partir des derniers résultats de la recherche en virologie, combinés à un bref examen de la biologie cellulaire et de l’immunologie de base.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté en huit segments et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet. 

Les exosomes sécrétés par les cellules humaines transportent en grande partie des fragments d’ARNm qui sont enrichis dans les régions 3′ non-traduites | Biology Direct | Full Text (biomedcentral.com).

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Nul autre que le docteur VIH lui-même, Robert C. Gallo, a cosigné un récent article de perspective décrivant les similitudes entre les virus et les exosomes qui contiennent des déchets d’ARNm fragmentés. 

Vésicules extracellulaires et virus : Sont-ils de proches parents ? (nih.gov)

Cette comparaison est étonnamment cohérente avec la proposition de Robert Doerr selon laquelle les virus sont des produits endogènes des cellules. Si nous supposons que les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus, le paradigme scientifique de l’infection virale change radicalement. Ce nouveau paradigme implique que le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

La taille du protéome humain : La largeur et la profondeur (nih.gov)

Considérons que le corps humain est composé d’environ 20 000 types de protéines différentes, et que le code ARNm de chacune de ces protéines est finalement décomposé en huit fragments qui sont emballés dans les exosomes selon potentiellement plus de 40 000 combinaisons aléatoires. Même si les fragments ne sont pas combinés de manière totalement aléatoire, la manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés. Ceci est également cohérent avec la proposition de Doerr selon laquelle les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes.

Dans un exemple étonnant de causalité inversée, des preuves suggèrent que les infections virales peuvent ne pas être directement à l’origine de maladies. Au contraire, l’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures. Vous ne vous promènerez pas dans la rue pendant une grève du ramassage des ordures en disant : “Oh regarde, chérie, les ordures se répliquent !”.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

pubhealthreporig00014-0071.pdf (nih.gov).

Les résultats des expériences de la marine vérifient que les fragments non infectieux d’ARNm dans les exosomes ne peuvent pas se répliquer, quel que soit le nombre de virus inhalés transmis par l’air. En soi, les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes. Souvenez-vous de ces conclusions la prochaine fois que vous accuserez vos enfants de vous avoir donné un rhume ou une grippe, ou la prochaine fois que vous vous mettrez en danger en vous jetant dans la circulation pour éviter un piéton non masqué qui s’approche de vous sur le trottoir.

Mais qu’en est-il de cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale ? Comme contrôle supplémentaire de l’expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

En conclusion, le public a été endoctriné par des craintes infondées à l’égard des infections virales, ce qui accroît notre microbiophobie et exacerbe les dommages causés par les mesures répressives de contrôle des infections qui continuent de perturber notre vie quotidienne pendant la pandémie de coronavirus et les futures pandémies. Pour atténuer la microbiophobie liée au coronavirus, il faut poursuivre les recherches et diffuser de nouvelles connaissances fondées sur la véritable nature des virus.


Dr-Ron-Brown
Ronald B. Brown, PhD, est l’auteur de plus d’une douzaine d’articles évalués par des pairs et publiés dans la U.S. National Library of Medicine of the National Institutes of Health ; ainsi que d’un chapitre sur la synthèse des connaissances de pointe dans Contemporary Natural Philosophy and Philosophies. Outre ses recherches épidémiologiques et de santé publique sur les maladies infectieuses et les vaccins pendant la pandémie de COVID-19, ses domaines de recherche actuels comprennent la prévention du cancer, des maladies cardiovasculaires, de la démence et d’autres maladies chroniques.


Source : https://trialsitenews.com/rampant-microbiophobia-is-out-of-control-new-insights-on-the-true-nature-of-viruses/
Traduction https://cv19.fr


[Voir aussi :
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Déclaration sur l’isolement des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
La théorie des germes : Une erreur fatale
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Citations médicales sur les vaccinations
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La théorie des exosomes contre celle des virus]




Complot, conspiration, plan : dix faits troublants

[Source : ripostelaique.com]

Complot, conspiration, plan ?

[Preuves que la pandémie a été planifiée ?]

1) Bill Gates, aujourd’hui le principal acteur de l’OMS, préconisait déjà en 2010 la venue de « nouveaux vaccins » pour freiner la croissance démographique mondiale dans le cadre de la lutte contre les émissions de CO2. 
https://www.ted.com/talks/bill_gates_innovating_to_zero?language=fr#t-1374074

[►Qui finance l’OMS ? (siksik.org)
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé]

En 2015, l’organisation GAVI, subventionnée par Bill Gates, entre autres, et qui oriente la politique vaccinale mondiale, préconisait la vaccination pour atteindre 14 des 17 objectifs de développement durable (vaccins à gogo !).
https://www.gavi.org/fr/sante-mondiale-et-developpement/objectifs-de-developpement-durable

2) En octobre 2019 démarrent les jeux militaires de Wuhan pendant lesquels des athlètes connaîtront des problèmes respiratoires. En même temps, à New York, des dirigeants oligarques mondialistes simulent une pandémie dans le cadre d’un exercice baptisé « Event 201 ».

https://www.francetvinfo.fr/sports/des-sportifs-francais-contamines-par-le-covid-19-des-octobre-aux-jeux-militaires-de-wuhan_4515647.html

3) En novembre 2019 (avant la déclaration officielle de l’épidémie), PfizerBioNtech commande 2 lots de 800 millions de flacons à vaccins en verre spécial, jamais utilisés auparavant.

4) En janvier 2020, l’hydroxychloroquine est classée substance dangereuse par la ministre de la Santé, donc interdite de prescription, de même que (par la suite) tout médicament efficace pour soigner l’affection Covid (encore aujourd’hui), ce qui justifie une autorisation de mise sur le marché conditionnelle des injections géniques actuelles (seule solution envisagée depuis le début) sans recul de leurs effets à moyen et long terme.

[Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?]

5) Dès février/mars 2020, déclenchement et entretien de la peur dans la population : annonces morbides quotidiennes exagérées (on le sait maintenant, il n’y a pas eu de surmortalité en 2020), confinement général (d’abord en intérieur puis en extérieur), couvre-feu à horaires élastiques (deux mesures inutiles). Et tout au long de l’année 2020 et 2021, entretien volontaire de la confusion et de l’incertitude (masques d’abord inutiles puis obligatoires même pour les enfants dès 9 ans, sous peine de 135 € d’amende, annonces prédictives des vagues à venir, assimilation des personnes saines à des malades potentiels), annonce présidentielle d’une vaccination non obligatoire pour en arriver aujourd’hui à la volonté d’injecter toute la population dans une ambiance télévisuelle hystérique…

[►“Surmortalité Covid” en 2020 ? C’est la démographie, idiot !
Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement
Les mesures prises contre la propagation de l’épidémie ont-elles vraiment sauvé des vies ?
Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !
Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique
LES CONFINEMENTS SONT CATASTROPHIQUES PARTOUT DANS LE MONDE
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Le Forum économique mondial publie un guide sur la façon de contraindre et de manipuler le public pour imposer le vaccin Covid-19
COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR
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Après les tests PCR, le principe du confinement condamné par la justice
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COVID19: Débunkage du narratif officiel
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Mortalité toutes causes confondues pendant la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement
Effets nocifs des masques
Réponse à l’OMS sur le conseil d’utilisation des masques contre la Covid-19
“STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…” un collectif international de professionnels de santé dénonce des “mesures folles et disproportionnées”
Comment leurs masques rendent bêtes et méchants
Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires]

6) Les médecins sont, depuis le début de la crise, empêchés de soigner par les autorités de santé (chose impensable) et sont contraints de conseiller à leurs patients de rester au domicile et de prendre du Doliprane jusqu’à l’apparition de l’insuffisance respiratoire les conduisant directement à l’intubation et au décès.

[►« Laissons les médecins prescrire » : la résistance des médecins libéraux s’organise
Vaccins et traitements : les masques tombent et vont tomber]

Des médicaments inefficaces voire dangereux comme le remdévisir (excessivement cher) seront autorisés et préconisés par nos instances de santé.

[Voir : « Le remdesivir ne soigne pas le Covid-19. Pire… » : Didier Raoult met l’OMS face à ses responsabilités]

Attaques médiatiques violentes de toute personne contestant la version officielle concernant les protocoles de soins, la réelle mortalité de la maladie (professeurs Raoult, Perronne, Toubiana…) ou l’origine du « virus » (professeur Montagnier), que ces professeurs soient de renommée mondiale ou prix Nobel !

[►La thèse d’un virus manipulé échappé d’un laboratoire chinois : le pavé dans la mare du Pr Luc Montagnier
Message du Professeur Perronne sur les vaccins contre la Covid-19 !]

7) Dans les Ehpad, le Rivotril sera légalisé et utilisé sans compter avec la bénédiction du ministre de la Santé.

[Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible]

8) De manière concomitante l’hyperclasse mondiale de Davos nous annonce un nouveau modèle économique après « le Great Reset ». Nouveau modèle ou effondrement inéluctable d’un capitalisme financier à bout de souffle entraînant une paupérisation croissante des populations ??

[►Crise financière de 2008, covid-19, “great reset” et contrôle des populations : la grande manipulation
Les valeurs familiales de Schwab
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
STRATÉGIE FINANCIÈRE ET GREAT RESET
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]

9) Alors que 72 % de la population était opposée à la mise en place du passeport vaccinal lors de la consultation du CESE, il nous est imposé via une instance supranationale non élue.

Ce passeport fait partie des projets de l’UE depuis 2018, bien avant la pseudo-pandémie !
https://participez.lecese.fr/pages/resultats-de-la-consultation-sur-le-passeport-vaccinal

10) Pour lancer la campagne « vaccinale », les dirigeants ont d’abord utilisé l’incitation puis l’injonction. Aujourd’hui, leur véritable objectif se précise puisqu’il est question d’imposer à toute la population l’obligation d’une expérimentation médicale aux effets inconnus voire dangereux. En effet, en Europe, on dénombre plus de 15 000 décès et plus de 1 500 000 effets secondaires dont la moitié sont graves ! Il est important de savoir que seuls 5 à 10 % des effets secondaires ou décès sont comptabilisés dans les centres de pharmaco-vigilance ! Rappelons aussi que les firmes pharmaceutiques sont exonérées de toute responsabilité en cas de problèmes suite à l’injection de leurs produits délétères !

[Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés]

Il est clair que nos dirigeants actuels organisent la fin de la souveraineté de notre pays pour le soumettre à l’oligarchie mondialiste qui progressivement s’est emparée du pouvoir financier, économique, législatif et aujourd’hui… sanitaire.

Si cette marche forcée vers un nouvel ordre mondial ne relève pas d’un complot, d’une conspiration, il paraît évident qu’elle se déroule selon un plan satanique élaboré de longue date pour entraîner la destruction des nations au vu des réactions quasi similaires dans les pays occidentaux lors de cette crise organisée.

Quel futur pour nos enfants ? Une identité numérique injectable pour un contrôle permanent ? La pérennisation d’un nouveau marché « vaccinal » scandaleusement lucratif pour les placements en Bourse de quelques milliardaires ? Des êtres humains continuellement pharmaco-dépendants d’injections mortifères annuelles voire bi-annuelles et/ou de médicaments chimiques entraînant la destruction de l’immunité naturelle ? Un chantage permanent à la vaccination pour bénéficier de l’accès à une vie normale et/ou à une future éventuelle monnaie numérique ? La domination tyrannique d’une hyperclasse mondiale avide de pouvoir et détentrice insolente de plus en plus de richesses ? Une dépopulation progressive de la classe nombreuse des « inutiles » au profit des « dieux » ?

Seule une large coalition de personnalités politiques animées d’un souverainisme national puissant s’opposant à la caste oligarchique, prônant aussi et surtout l’inviolabilité de l’intégrité corporelle des êtres humains (menace qui se fait jour aujourd’hui), pourra éviter la disparition de notre nation (en cours aujourd’hui) dans l’abîme d’un mondialisme à forte tendance génocidaire.

Philippe Rossi




L’Originale K : « Je refuse les concerts devant des gens masqués… »

[Source : (lemediaen442.fr]

Lucie, alias L’Originale K, est une maman rapeuse qui a remporté son combat pour l’inclusion scolaire en obtenant une place dans une classe spécialisée pour son fils devenu autiste sévère à cause des vaccins. Cette artiste engagée dénonce aussi les mesures gouvernementales prises depuis l’arrivée du covid-19 dans notre pays. Rencontre en 4-4-2 avec Lucie, personnalité touchante et forcément « originale » qui se bat quotidiennement pour son fils, mais pas que !

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Lucie et merci d’avoir accepté de répondre aux questions du Média en 4-4-2. Certains d’entre nous vous ont découvert il y a trois ans avec votre clip « #inclusionfermata****** » où vous vous adressez directement à Emmanuel Macron, car votre fils handicapé n’avait pas de place à l’école. Pouvez-vous revenir brièvement, pour ceux qui ne vous connaissent pas encore, sur cette chanson qui a fait le buzz et sur votre parcours si particulier ?

L’Originale K : Bonjour le média en 4-4-2 et merci pour l’intérêt que vous portez à mon parcours. En 2018, encore dans la promo de l’album MC Maman Courage et toujours au combat pour faire respecter les droits de mon enfant handicapé (mais ça, je crois que c’est un combat à vie en France), après que mon fils a été congédié de l’école de la République et que cet essai d’inclusion pour mon fils qui n’a été, bien que bref, que de la matraitance au final, car accueilli seulement une heure par semaine avec une AESH contrairement aux douze heures obtenues par le tribunal. J’ai fait le bilan de la situation à travers le titre « #inclusionfermeta***** », fait en collaboration avec d’autres mamans pour dénoncer le non-respect des droits et le manque scandaleux de formation et de place pour nos enfants. J’ai eu l’idée d’y ajouter les belles promesses en l’air faites par notre président et ce morceau a fait l’effet d’une bombe. En effet, à lui tout seul, il prouve les mensonges de l’inclusion à la française. Cinq mois après avoir sorti ce titre, mon fils Malone a obtenu grâce à lui une place en sureffectif dans l’école que je demandais pour lui depuis plus de quatre ans, sans avoir le droit d’être sur la liste d’attente car épileptique ! Eh oui ! j’ai obtenu sans monter en haut d’une grue le respect de ses droits et je suis la première à l’avoir fait en rap. La route est encore longue, car il n’existe que neuf écoles de ce genre en France (qui respectent les bonnes pratiques de la Haute autorité de santé envers les enfants autistes). L’envers du décor est pavé de scandale et j’ai choisi de prendre le risque d’utiliser ma musique pour éveiller les consciences.

« La musique est ma corde de secours, sans elle je tombe »

Le Média en 4-4-2 : Vous prenez « Maman courage » comme pseudonyme sur les réseaux sociaux. Comment se passe votre vie de tous les jours ? Comment faites-vous pour être rappeuse engagée ET maman à temps plein d’un enfant autiste ?

L’Originale K : « Maman Courage » est un terme que j’ai créé en 2015 pour définir une maman comme moi… C’est devenu un collectif et une association officielle qui s’appelle « Les Mamans Courage », c’est le titre de mon album 2017 « MC Maman Courage », le premier album témoignage du combat d’une maman d’enfant handicapé. Ma vie est une succession de montagnes russes avec un avenir incertain, un combat de tous les jours, autant dans l’amour pur et véritable que dans la souffrance insurmontable. La musique est ma corde de secours, je suis accrochée à la falaise au-dessus du précipice. Elle me permet d’extérioriser et d’être utile, malgré ma situation hardcore, en faisant entendre la voix de ces milliers de mamans comme moi. Sans elle, je tombe. Elle est le lien entre nos âmes. Maman Courage et rappeuse, c’est L’originale K.

Le Média en 4-4-2 : Cette « originalité malgré vous » fait que vous êtes solicitée pour en parler, notamment depuis l’étranger. Est-ce une indiscrétion de révéler que vous avez ajouté à la dernière minute une chanson à votre prochain album qui parlera justement de ce que vous ressentez personnellement et des difficultés que vous rencontrez pour reconstruire votre vie ?

L’Originale K : En effet j’ai des interviews régulièrement et même de l’étranger ! Cette semaine j’ai une demande du Brésil… Beaucoup de pays s’intéressent à la Maman Courage rappeuse que je suis. C’est aussi pour cela que j’ai fait la fameuse chanson sur l’autisme entièrement en anglais en collaboration avec Céline Dominik-Wicker. Certains fans me demandent de chanter en anglais pour qu’ils puissent comprendre mes paroles. J’ai annoncé en effet avoir repoussé la sortie de l’album « Monde de fous » pour y ajouter une chanson qui me tient beaucoup à cœur. Toutes mes chansons viennent du cœur, elles sont son expression, elle laissent une trace de ce que je vis. Cette dernière chanson est un message… Ma situation me condamne sentimentalement à être seule, car la souffrance ne se divise jamais, elle se multiplie et contamine mes proches malgré moi. Je pense que la vie est un enchaînement d’épreuves et plus tu atteins la conscience, plus les épreuves sont difficiles… J’ai été heureuse malgré la colère, j’ai goûté au paradis prisonnière de l’enfer, j’ai vu l’arc-en-ciel pendant l’orage, j’ai trouvé de l’eau dans le désert… Il y a des blessures bien profondes dont on ne guérira jamais, elles sont le moteur d’un nouveau combat. Pour trouver la paix, j’ai besoin de mettre des mots sur mes maux.https://www.youtube.com/embed/uA46vlazq2M?feature=oembed

Le Média en 4-4-2 : On vous connaît aussi grâce à votre titre « Monde de fous » qui est passé au Festival de Cannes. Et dans cette chanson, vous parliez des vaccins et de « ton médecin qui te soigne avec du poison ». Cette chanson n’est-elle pas plus que jamais d’actualité ?

L’Originale K : En effet, en tant que maman « victime collatérale » de dommage vaccinaux sur un de mes enfants, je défends de nombreuses causes et dénonce de nombreuses injustices telles que la non-reconnaissance des victimes et la désinformation dans le domaine, si ce n’est pas clairement ce que l’on peut qualifier de mensonges par peur du scandale, et quel scandale ! J’espère sincèrement qu’un jour elle ne sera plus d’actualité, mais en effet elle l’est encore plus aujourd’hui au vu des événements récents.

Le Média en 4-4-2 : De par votre expérience, on vous imagine méfiante vis à vis des vaccins contre le covid… Vous ont-ils d’ailleurs inspiré de nouveaux textes ?

L’Originale K : Si demain vous achetez des meubles chez Ikea pour la chambre de votre bébé et que vous découvrez finalement que la colle utilisée pour la fabrication de ces meubles est cancérigène, mais que c’est trop tard… rachèteriez-vous des meubles chez Ikea ? Et commencerez-vous à vous méfier chez les autres fabricants ? Bien sûr que ça n’arrive pas qu’aux autres et ça ne sera plus jamais pareil, car une fois qu’on a ouvert les yeux, on voit. Les inspirations pour de nouveaux textes ne manquent pas en effet…

Le Média en 4-4-2 : Justement, pouvez-vous nous dire quels seront les thèmes liés à cette « crise sanitaire » qui seront abordés dans votre prochain album ? Album qui sortira à la fin de l’été si nos informations sont bonnes…

L’Originale K : En fait quand on y réfléchit tout est lié… l’album s’appelle « Monde de fous » !

Le Média en 4-4-2 : Allez-vous y évoquer les confinements, la perte progressive de nos libertés, les vaccins covid, le Pass sanitaire… Les sujets ne manquent pas !

L’Originale K : Oui, j’aborde tous ces points en effet, plus ou moins tout y est et je vais même plus loin… L’album « Monde de fous » comprend seize titres. La date de sortie est pour début septembre. Il sortira en CD et en version numérique partout… comme les deux qui le précèdent, j’ai confié les masterings au grand Antoine Chabert. La qualité est importante pour moi, je suis très perfectionniste… il y a six beatmakers qui ont travaillé pour moi sur ce projet. Jim Walter et LaBoucleDor pour la majorité des morceaux, Dyna, karina Houston, Maté beats et Dralok. Plusieurs featurings aussi, Apa. H Toulouse, Dralok, Paul élixir, Jonathan Marion, guiggaz M power (Mozambique), MulecaXIII (Brésil), Hefzi-ba (Cuba). Deux auteurs ont travaillé sur une chanson chacun. Céline Dominik-Wicker et Eléa Doo. Deux célébrités y participent, Roch Sauquere et Emmanuel Macron. Ils y sont malgré eux et Roch est plutôt content d’ailleurs ! Il a même décidé de faire de la chanson « Le lapin blanc » le générique de fin de sa séries d’épisodes.https://www.youtube.com/embed/wj1rlcdqDyU?feature=oembed

Le Média en 4-4-2 : Dans cette chanson, « Le lapin blanc », vous évoquez la matrice dans laquelle on vit : nous sommes « des rêveurs et nous marchons dans le rêve d’autres rêveurs », dans un « monde d’illusions construit par des mensonges ». Quand et dans quelles circonstances avez-vous décidé de prendre la pilule rouge et de descendre avec le lapin blanc au fond du gouffre ?

L’Originale K : Quand j’ai perdu toute confiance en cette société en découvrant qu’on ne pouvait pas faire confiance au système de santé prêt à détruire des vies pour de l’argent… Le jour où mon fils est devenu handicapé et que la société m’a abandonnée parce qu’il a eu des dommages vaccinaux. Quand j’ai compris que je n’avais pas le droit de dire la vérité et qu’on essayait de me faire taire et surtout que personne ne chercherait à soigner mon enfant.

Le Média en 4-4-2 : Vous avez subi des pressions ? De quelles sortes ? Elles ne semblent pas en tout cas vous intimider !

L’Originale K : Il existe beaucoup de preuves aujourd’hui que toute « la mascarade » et son organisation ne sont pas une seconde le fruit du hasard… J’ai été dénigrée dans un reportage d’Arte… La journaliste hyper triste m’a prise dans ses bras les larmes aux yeux lors d’un rendez-vous à Paris en me disant que jamais en vingt ans de carrière elle n’avait vu cela… La chaîne a transformé le reportage et a essayé de me faire passer pour une femme avide, stupide et on m’a traitée d’antivax. J’ai été énormément choquée et déçue, je trouvais cela incroyablement ignoble… Le reportage a été interdit de diffusion pour atteinte à mon image d’artiste… Je suis régulièrement censurée sur les réseaux.

« La plus grosse menace c’est la puissance des 1 % qui détiennent l’argent et décident de notre sort à notre plus grand détriment »

Le Média en 4-4-2 : « Le virus est pour moi le gouvernement tout entier. » Dans « Confinés », vous allez même plus loin en expliquant que « pendant que les gens sont confinés et contaminés, ils n’ont pas conscience qu’il y en a bien plus des dangers ». Quelle est pour vous la plus grosse menace qui plane sur le peuple endormi et souvent confiné ?

L’Originale K : « À partir du moment où il est néfaste pour la santé, le virus est pour moi le gouvernement tout entier. » La plus grosse menace c’est la puissance des un pour cent qui détiennent l’argent et décident de notre sort à notre plus grand détriment… Les menteurs et les manipulateurs, le gouverne-ment.

Le Média en 4-4-2 : Dans « MC révolutionnaire », vous écrivez : « Des masques, des barrières, des tests : ils nous ont mis la fièvre. La voix du peuple gronde aux quatre coins du monde. Le point de non retour est proche. » La fin du coronacircus passe-t-elle par le réveil et une révolution du peuple ?

L’Originale K : Notre société est face au mur… Il est grand temps de l’anéantir, elle est corrompue jusqu’à la moelle. Le peuple se divise entre moutons dociles et moutons récalcitrants… Pour faire une révolution il faut des guerriers : où sont-ils ? Sûrement devant des sites douteux… C’est la réalité de notre société, le peuple n’est pas prêt pour la révolution… l’idiocratie est en place…

« Certains ne survivront pas au réveil… Car il peut être brutal… La propagande est partout… “Nous sommes en guerre” est peut-être la seule vérité que Macron nous a dite »

Le Média en 4-4-2 : Pourtant dans « Peuple de France », vous appelez celui-ci à ne pas abandonner notre pays. C’est que vous gardez quand même l’espoir d’un réveil prochain ?

L’Originale K : « Sans espoir il n’y a pas de vie sans courage pas de survie », c’est dans une autre chanson… Il y a beaucoup de travail pour réveiller les gens et certains ne survivront pas au réveil… car il peut être brutal… La propagande est partout… Nous sommes en guerre est peut-être la seule vérité que Macron nous a dite. De toute façon le système est mort… Il y a manifestement de plus en plus de personnes qui se réveillent… Une révolution, ça s’organise !

« Je refuse les concerts devant des gens masqués »

Le Média en 4-4-2 : Le Pass sanitaire vient d’être mis en place pour les évènements de plus de mille personnes. On espère que tu seras confrontée à ce dilemme prochainement : accepteras-tu de te produire, si les spectateurs doivent être vaccinés ou testés depuis moins de 72 heures ? En sachant que cette contrainte ne s’applique pas aux artistes…

L’Originale K : Bien sûr que je ne participerai jamais à l’atteinte des droits humains. Je me bats pour que nos droits soient respectés. Déjà que je refuse les concerts devant des gens masqués…

Le Média en 4-4-2 : Il n’y a que très peu d’artistes musicaux qui se positionnent comme vous contre ce Pass sanitaire. La plupart semblent fermer les yeux pour ne pas compromettre leur carrière… Comme personnalité de premier plan, il n’y a que HK qui a affirmé publiquement son boycott des concerts et festivals qui réclament ce Pass (il nous l’avait expliqué récemment dans une interview en 4-4-2). Comment expliquez-vous ce manque de courage ou cette absence de prise de conscience ?

L’Originale K : J’ai moi-même annoncé avant l’obligation du masque que je ne chanterais pas devant des gens masqués. Le manque de courage est dans tous les domaines, les artistes n’en sont pas épargnés, surtout ceux qui le font pour des raison purement pécuniaires… Comme je le dis dans « Victoire » : on comprend peu par la peur mais beaucoup par la souffrance. On apprend mieux dans sa sueur à force de persévérance, la motivation n’est pas une tâche mais un devoir et se battre pour une cause juste est déjà une victoire. Il faut du courage pour chanter avec conscience.

Le Média en 4-4-2 : Le Média en 4-4-2 vous avait rencontrée avec Les Masques Blancs nantais début mai dernier. Y a-t-il une ou des collaborations de prévues ?

L’Originale K : En effet j’ai été à la rencontre des Masques Blancs nantais, j’ai répondu avec plaisir à l’invitation, pour leur dire tous mon soutien et leur faire part de certains de mes projets avec eux. J’espère qu’ils pourront aboutir. En attendant j’ai donné l’autorisation aux Masques Blancsd’utiliser mes titres lors de leur prestations avec un grand honneur. Je suis à leur disposition pour venir me représenter à leurs côtés, dès que je trouverai un peu de temps, ce qui n’est pas évident dans ma situation.

Le Média en 4-4-2 : Merci Lucie pour vos réponses ! Nous avons hâte de découvrir votre nouvel album… Le mot de la fin est à vous !

L’Originale K : Pour le mot de la fin, je vous partage une partie des paroles d’une des chansons du nouvel album « Monde de fous » qui s’appelle « Je rêve » :

Construire un monde meilleur
sans peine et sans peur
ou l’amour nourrirait l’envie
pour nous tous
vivre dans le plus grand respect
loin de cette folie
un monde où notre cœur
rendrait à la vie
son sens et sa valeur

Je rêve d’un monde meilleur
le bon sens est de rigueur
quand le moment est venu
de dire stop !
un droit ce n’est pas une faveur
la conscience est la ferveur
en heure et en temps voulus
de dire stop !
je rêve d’un monde meilleur

Le besoin de changer de vie
avant que la vie ne nous change
passe par le voyage intérieur
tout en suivant son cœur
ce ne sont pas les choses extérieures
mais ton attitude
et ce que tu penses qui t’aideront
à trouver le bonheur

La vie n’a de sens que celui
du partage de l’amour
c’est ainsi que tu seras vraiment toi-même
sois le changement que tu veux voir
dans ce monde de fous
et commence par toi-même.

Merci




Covid-19, vaccins expérimentaux, stratégie vaccinale : entretien avec Christian Vélot

[Source : mediapart.fr]

1) Bonjour Christian Vélot, pouvez-vous vous présenter rapidement pour mes lecteurs ? Quelle est votre formation, votre statut professionnel et votre domaine de compétence scientifique ? Avez-vous par ailleurs des conflits d’intérêts quels qu’ils soient ?

C.V. — Titulaire d’un doctorat de Sciences biologiques et médicales, je suis maître de conférences à l’Université Paris-Saclay, et plus précisément sur le centre scientifique d’Orsay où je dirige une équipe de recherche. Mon domaine de compétence est celui de la génétique moléculaire, et donc des biotechnologies et de leurs produits. C’est à ce titre que je m’intéresse notamment aux vaccins, et en particulier aux vaccins de dernière génération, dits vaccins génétiques, qui sont issus des biotechnologies. Je n’ai aucun conflit d’intérêt.

2) Vous êtes également président du Conseil scientifique du Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le Génie génétique (CRIIGEN), dans lequel j’ai retrouvé aussi plusieurs personnalités bien connues du monde de la recherche scientifique et de la réflexion sur l’éthique dans les sciences de la vie, telles que Jacques Testart (directeur de recherche honoraire à l’INSERM) et Pierre-Henri Gouyon (professeur de biologie au Muséum National d’Histoire Naturelle, signataire de ma tribune collective de septembre 2020 intitulée « Nous ne voulons plus être gouvernés par la peur »). Il s’agit d’une association créée en 1999 et qui s’est faite connaître notamment dans sa critique des produits du génie génétique (OGM) et des substances qui leurs sont liées telles que les pesticides et les perturbateurs endocriniens, eu égard aux effets de ces techniques sur la santé, en particulier le développement de certaines maladies chroniques que vous considérez être de véritables pathologies environnementales. Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur ces techniques, ces pathologies et leurs évolutions ?

C.V. — Les OGM agricoles sont, dans leur très grande majorité, conçus pour accumuler un ou plusieurs pesticide(s) dans leurs cellules. Il s’agit soit de plantes génétiquement modifiées pour produire un ou plusieurs insecticide(s) afin de lutter contre un ou des insecte(s) dont elles sont la cible, soit des plantes dont la modification génétique leur permet de tolérer un ou plusieurs herbicide(s), soit encore des plantes qui cumulent les deux propriétés. Ces plantes accumulent donc un ou plusieurs insecticide(s) qu’elles produisent, ou un ou plusieurs herbicide(s) qu’elles absorbent sans en mourir, lesquels vont alors se retrouver dans la chaine alimentaire. S’intéresser à la question des OGM agricoles et notamment à leur sécurité sanitaire et environnementale implique donc de s’intéresser de près à celle des pesticides. Or la plupart des pesticides sont des agents cancérigènes/mutagènes/reprotoxiques (CMR), ou des perturbateurs endocriniens (PE), responsables de nombreuses maladies dites chroniques ou environnementales qui ont explosé à travers le monde ces dernières décennies : cancers, maladies cardiovasculaires, troubles neuro-développementaux, obésité, diabète de type 2…

3) Les vaccins contre la Covid-19 qui sont commercialisés partout dans le monde depuis plusieurs mois utilisent pour beaucoup d’entre eux ces techniques de génie génétique et ne correspondent plus au principe des vaccins qu’on dira alors « classiques », les vaccins à virus inactivés que nous avons tous connus depuis notre enfance, ceux de Pasteur en quelque sorte. Pouvez-vous nous expliquer de quoi il s’agit et les différences entre ces multiples vaccins ?

C.V. — Permettez-moi tout d’abord de repréciser ce que sont les virus. Il s’agit d’agents infectieux comprenant une coque protéique appelée capside, constituée de la juxtaposition d’un grand nombre d’exemplaires d’une protéine virale (la protéine de la capside), et renfermant le matériel génétique du virus qui est soit de l’ADN soit de l’ARN (pour les notions d’ADN, ARN et protéine, voir la Figure 1 de ce texte). De nombreux virus sont en plus entourés d’une enveloppe qui est constituée d’une bicouche de graisse (lipides) dans laquelle sont enchâssés plusieurs exemplaires d’une autre protéine : la protéine de surface du virus (voir la Figure 2 de ce texte). Les virus possédant une enveloppe sont appelés des virus enveloppés ; ceux n’en possédant pas sont les virus nus. Le virus SARS-CoV-2, responsable de la Covid-19, est un virus enveloppé dont le matériel génétique est de l’ARN. Sa protéine de surface (enchâssée dans son enveloppe) est la fameuse protéine « Spike ».

Les vaccins actuellement disponibles dans le monde, ou sur le point de l’être, pour lutter contre la Covid-19 peuvent se classer en trois catégories : les vaccins inactivés, les vaccins à protéine recombinante et les vaccins génétiques.

Les vaccins inactivés consistent à injecter le virus entier mais préalablement inactivé (par la chaleur ou par un traitement chimique au formaldéhyde). C’est le cas par exemple des vaccins chinois Sinopharm et Sinovac, mais également du vaccin développé par l’entreprise de biotechnologies française Valneva.

Les vaccins dits « à protéine recombinante » consistent à injecter non pas le virus entier mais une protéine du virus (en général sa protéine de surface), laquelle a alors été produite en laboratoire par des cellules cultivées à grande échelle et dans lesquelles a été préalablement introduit le gène viral détenant le secret de fabrication de cette protéine. Ces cellules prennent alors le gène viral à leur propre compte, le décodent et fabriquent la protéine virale (l’antigène) qui est ensuite purifiée, associée à divers adjuvants puis injectée aux personnes à vacciner. La protéine virale en question est qualifiée de « protéine recombinante » car elle est produite par des cellules qui ne sont pas celles qui la fabriquent naturellement. C’est le cas du vaccin développé par l’entreprise américaine Novavax et qui consiste donc à injecter la protéine Spike du virus Sars-Cov2 responsable de la Covid-19. C’est aussi le cas du vaccin cubain (Soberna02), et des candidats vaccins développés par l’entreprise américaine United Biomedical-COVAXX (UB-612) et par l’entreprise française Ose Immunotherapeutics (CoVepiT) mais sous des déclinaisons différentes :  dans ces trois derniers cas, ce qui est produit et injecté (ou destiné à l’être) n’est pas la protéine Spike entière mais seulement un ou plusieurs fragments de cette protéine éventuellement fusionné(s) à une autre protéine (ou des fragments d’autres protéines) servant en quelque sorte de « présentoir » du ou des antigène(s) de Sars-Cov2.

Enfin, les vaccins génétiques consistent à injecter non plus le virus entier ou tout ou partie d’une protéine du virus, mais une partie de son matériel génétique détenant le secret de fabrication de la protéine de surface. Dans le cas de Sars-Cov2, il s’agit donc soit de la portion de l’ARN viral codant la protéine Spike et emprisonnée dans une nanoparticule de graisse, soit d’une copie ADN de cette portion d’ARN viral, insérée dans l’ADN d’un autre virus (adénovirus) utilisé comme « véhicule » (vecteur) pour délivrer ce matériel génétique dans les cellules de la personne à vacciner. Le virus vecteur est donc un virus génétiquement modifié qui a été rendu inoffensif (on dit qu’il a été « désarmé ») par suppression d’une partie de son propre matériel génétique (ADN), laquelle a été remplacée par la copie ADN de l’ARN viral de Sars-Cov2 codant Spike. Le principe de ces vaccins génétiques est donc de faire fabriquer l’antigène (ici la protéine Spike) directement par nos propres cellules. C’est bien sûr le cas des vaccins de Pfizer-BioNTech ou Moderna (vaccins à ARN emprisonné dans une nanoparticule de graisse) et des vaccins d’AstraZeneca ou Johnson & Johnson (vaccins à ADN utilisant un adénovirus comme vecteur).

4) En décembre 2020, vous avez rédigé un rapport d’expertise sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM (https://criigen.org/rapport-dexpertise-sur-les-vaccins-genetiquement-modifie/), qui a donné lieu à une polémique avec Alain Fischer, professeur de médecine au Collège de France et placé par le gouvernement à la tête d’un « Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale » le 3 décembre. Pouvez-vous nous expliquer les enjeux et le contenu de cette polémique de votre point de vue ?

C.V. — Dans mon rapport d’expertise, j’insiste sur un risque particulier lié aux vaccins génétiques (à ARN ou à ADN) : celui de favoriser l’apparition de virus recombinants. De quoi s’agit-il ? Les virus ont une grande capacité à échanger des fragments de leur matériel génétique respectif dès lors que les génomes viraux concernés sont de même nature (soit ADN, soit ARN) et cohabitent dans des mêmes cellules. Ce phénomène est encore plus marqué si les deux génomes viraux en question partagent des séquences (des gènes) qui se ressemblent. Le processus bien connu qui régit ces échanges s’appelle la recombinaison (et lorsque cette recombinaison a lieu entre séquences d’ADN ou d’ARN qui se ressemblent, on parle de recombinaison homologue). Ce phénomène de recombinaison n’est pas réservé à l’ADN ou l’ARN viral mais les séquences virales sont connues pour faire l’objet de nombreuses recombinaisons (on dit qu’elles sont très « recombinogènes »). Il résulte de ces échanges entre matériels génétiques viraux, des virus dits « recombinants », c’est-à-dire dont le génome est constitué de segments provenant des deux virus parentaux (voir la Figure 3 de ce texte).

Bien sûr, ce phénomène ne peut se produire que si du matériel génétique provenant d’au moins deux virus se retrouve dans les mêmes cellules, ce qui est fort heureusement extrêmement rare dans la nature puisque cela implique que des mêmes cellules soient co-infectées par au moins deux virus. Mais dès lors qu’on introduit volontairement et chez un très grand nombre d’individus du matériel génétique viral — ici à des fins de vaccination —, il suffit chez ces personnes d’une infection par un seul virus pour que de tels échanges (entre le génome du virus infectant et le matériel génétique vaccinal) se produisent et puissent ainsi donner lieu à des virus recombinants.

Or dans ses réponses à cette note d’expertise, M. Fischer réfute ce risque au prétexte que « l’ARN viral ne peut-être converti en ADN ». Outre le fait que cette allégation est totalement gratuite car il n’est pas du tout exclu que, dans certaines conditions, l’ARN viral de Sars-Cov2 puisse être converti en ADN au sein de nos cellules comme cela a été montré sur des cellules humaines en culture (Zhang et al, 2021), il est absolument impensable que M. Fischer puisse ainsi laisser croire que des évènements de recombinaison entre ARN viraux nécessiteraient une conversion préalable de ceux-ci en ADN. La recombinaison virale existe aussi bien entre ADN viraux d’une part qu’entre ARN viraux d’autre part. Et dans ce dernier cas, cela ne nécessite nullement une conversion de l’ARN viral en ADN. Les ARN viraux recombinent directement. Cela a été montré depuis fort longtemps déjà (à partir des années 60) avec le virus de la polio (Ledinko, 1963 ; Cooper, 1968 ; Cooper et al, 1974), les aphtovirus (McCahon et al, 1977 ; McCahon, 1981 ; King et al, 1982), les virus de la maladie de Newcastle et de la grippe (Hirst, 1962), ainsi que les coronavirus (Makino et a, 1986 ; Baric et al, 1990) qui sont d’ailleurs les champions de la recombinaison virale puisque leur taux de recombinaison (dès lors que deux génomes de coronavirus sont en contact) peut aller au delà de 10% (Makino et al, 1986 ; Baric et al, 1990) alors qu’il est en général, pour les autres virus à ARN, de l’ordre de 0,1 à 2% (Lai, 1992).

De plus, les coronavirus sont capables de recombiner avec des virus à ARN d’une autre famille : des évènements de recombinaison ont en effet pu être mis en évidence entre, d’une part, un virus de la grippe et, d’autre part, des coronavirus bovins, murins et un coronavirus humain (Luytjes et al, 1988).

Par ailleurs M. Fischer affirme que « de tels recombinants n’ont jamais été observés avec les vaccins vivants atténués qui délivrent pourtant leur matériel génétique dans les cellules qu’ils infectent ». Les vaccins vivants atténués (qui ne figurent pas parmi les vaccins ou candidats vaccins contre la Covid-19) consistent à injecter le virus entier, non pas inactivé mais affaibli. D’une part, il y a peu de vaccins vivants atténués (ce sont surtout des vaccins inactivés), et ils n’ont jamais été utilisés à une échelle aussi grande qu’est ou sera celle de la vaccination contre la Covid-19.  D’autre part, j’ai le regret d’apprendre au Pr. Fischer qu’une étude publiée en avril 2020 révèle l’apparition d’un virus recombinant (à ARN) de la bursite infectieuse chez le poulet entre une souche infectieuse naturelle et une souche vaccinale atténuée (Wu et al-2020).

Soit M. Fischer ignore tout cela et c’est grave, soit il ment délibérément et c’est… grave.

5) Les vaccins ont deux fonctions potentielles, l’une individuelle (protéger l’individu contre le risque de maladie au cas où il serait contaminé par le virus), l’autre collective (contribuer à la formation d’une immunité collective, ce que le gouvernement présente comme la clef exclusive pour sortir des mesures restrictives de libertés). Commençons par la première, qui pose elle-même plusieurs questions. J’en vois au moins quatre. La première est : quelle est selon vous la nature et le degré de protection individuelle que procurent ces nouveaux vaccins face au risque de développer une maladie après contamination ? Les publications préparées par les industriels pharmaceutiques qui commercialisent ces vaccins parlent de 70 à 90%, voire 95% d’efficacité contre le risque de maladie plus ou moins grave. Est-ce la réalité ou du marketing ?

C.V. — Concernant l’efficacité des vaccins, il faut bien savoir de quoi on parle. D’abord, efficacité contre quoi : forme grave, toutes les formes, contamination ? C’est le plus souvent le flou le plus complet. Pour mesurer directement l’efficacité d’un vaccin anti-Covid, il faudrait inoculer volontairement le virus à un échantillon de personnes, ce qui est bien évidemment totalement exclu pour des raisons éthiques alors qu’il n’existe pas de traitement curatif de la maladie. Ce que mesure l’efficacité d’un vaccin, ce n’est donc pas le risque de développer la maladie ou une de ses formes graves. Dire qu’un vaccin est efficace (par exemple vis-à-vis des formes graves) à 90% ne signifie pas que la population vaccinée est protégée à 90%. Cela ne signifie pas non plus que 90% des personnes vaccinées sont protégées. Ce que mesure l’efficacité annoncée du vaccin, c’est en fait la réduction du risque de développer la maladie en étant vacciné par rapport à la population non vaccinée. Imaginons par exemple que la probabilité de développer une forme grave dans la population non vaccinée soit de 1 pour 1000, alors elle serait de 1 pour 10 000 parmi la population vaccinée (avec un vaccin dont l’efficacité est de 90%). Autrement dit, un vaccin efficace à 90% diminue par 10 la probabilité d’être malade par rapport à la population non vaccinée. Notons enfin que le calcul de l’efficacité d’un vaccin devrait toujours être accompagné de la donnée d’un intervalle de confiance de cette valeur.

Enfin, se pose la question des protocoles ayant permis d’établir ces valeurs d’efficacité annoncées, et notamment des populations concernées. S’agit-il de personnes en bonne santé, de personnes présentant des comorbidités, de jeunes, de personnes âgées, ou d’une moyenne des efficacités sur l’ensemble de ces populations ? On nous gargarise avec des chiffres sans nous apporter la moindre explication et en comptant sur l’imaginaire collectif pour une surinterprétation positive de leur signification.

6) La seconde question concerne à mon sens les populations-cibles de la vaccination et les risques d’effets secondaires. Est-il raisonnable de vacciner toute la population ? N’y a-t-il pas des risques particuliers d’effets secondaires majeurs pour certaines personnes immunodéprimées, cardiques ou encore pour les femmes enceintes ? Quelle est la nature et l’ampleur de ces effets secondaires à votre connaissance ? Pensez-vous qu’ils sont correctement comptabilisés par les centres de pharmacovigilance ?

C.V. — Cette question fait le lien avec celle des protocoles soulignés ci-dessus : quelles sont les populations qui ont été testées dans le cadre de la phase III des essais cliniques ? Étant donné que la durée de cette phase III avant l’autorisation provisoire de mise sur le marché est extrêmement courte, on ne peut compter que sur les données émanant de l’essai grandeur nature que représente la phase de vaccination elle-même. Cela soulève donc la problématique du suivi post-vaccinal. Or, force est de constater que nous ne disposons pas de registres permettant d’assurer ce suivi de façon précise, et population par population (sexe, âge, indice de masse corporelle, comorbidités ou non, personnes allergiques, personnes immunodéprimées, femmes enceintes, etc.). Cela supposerait de devoir remplir un questionnaire très détaillé avant la vaccination, en particulier dans les « vaccinodromes » où les patients sont inconnus des personnels de santé effectuant cette vaccination. Au CRIIGEN, nous sommes particulièrement sensibles à cette question de registres que nous réclamons depuis longtemps pour pouvoir établir, par exemple, d’éventuelles corrélations, région par région, entre l’utilisation de certains pesticides et l’émergence de tel ou tel type de cancers ou autres maladies chroniques. Certes, les corrélations ne sont jamais des preuves mais constituent des pistes qui peuvent alors être creusées afin d’établir la réalité ou non du lien.

Et dans le cas des vaccins anti-Covid-19, la difficulté de cette absence de registre est encore aggravée par le fait que beaucoup de personnes ayant reçu une première injection du vaccin d’AstraZeneca exigent un autre vaccin pour la seconde injection en raison d’importants effets secondaires. Cela complique encore considérablement le suivi. Si on ne peut pas en vouloir aux personnes en question, cela montre une fois de plus qu’on est allé trop vite en autorisant un vaccin sans en apprécier l’ampleur des effets secondaires, au point de ne pas anticiper le refus par les patients de la seconde dose.

7) La troisième question est à mon sens celle de la contagiosité. Après l’argument de la protection individuelle contre le risque de maladie, l’argument central de la vaccination générale est celui au terme duquel il faut se vacciner pour protéger également les autres. Alors, être vacciné empêche-t-il de transmettre le virus lorsqu’on l’a attrapé ? L’IHU de Marseille a déjà signalé que ce n’était pas le cas et qu’ils avaient bien des patients vaccinés qui font ensuite des formes plus ou moins graves de Covid. Qu’en pensez-vous ?

C.V. — De toute évidence, la vaccination qui nous est proposée n’empêche pas la transmission. Non seulement des personnes vaccinées développent la Covid comme cela a effectivement été rapporté par l’IHU, mais l’OMS elle-même recommande que les personnes vaccinées continuent à porter le masque et à appliquer les gestes barrière. Cela signifie que le groupe des vaccinés et le groupe des contaminés se chevauchent, ce qui augmente encore plus le risque de recombinaison virale (entre le virus infectant et le matériel génétique vaccinal) mentionné précédemment.

Par ailleurs, 80% des personnes porteuses du virus étant asymptomatiques, il serait important, afin de limiter ce chevauchement entre contaminés et vaccinés, de faire une détection systématique avant vaccination, ce qui n’est pas le cas. Il serait pourtant facile de mettre ce système en place, notamment dans les « vaccinodromes » avec d’abord un poste de détection rapide (tests antigéniques) puis un poste de vaccination pour celles et ceux qui s’avèrent être négatifs au premier poste.

8) La quatrième question est celle des effets de la vaccination sur la vie des virus. Nous savons que les coronavirus sont des virus qui ont la propriété de pouvoir se recombiner facilement et de créer des variants ou des mutants. L’IHU de Marseille est le premier à en avoir parlé en France, dès la fin de l’été 2020, et à suivre de très près l’évolution de ces variants ou mutants. Mais la vaccination a-t-elle aussi des conséquences sur ces évolutions ?

C.V. — Tout d’abord, permettez-moi une petite clarification : tous les mutants sont des variants mais tous les variants ne sont pas des mutants. Pour « varier », et ainsi échapper au système immunitaire, un virus a deux solutions : muter ou recombiner (l’une n’étant d’ailleurs pas exclusive de l’autre).

Les mutations se produisent au moment de la réplication (recopie) du matériel génétique viral à l’intérieur des cellules infectées. L’enzyme en charge de cette réplication est fournie par le virus et commet un certain nombre d’erreurs (mutations), surtout lorsque le matériel génétique viral est de l’ARN. L’ARN est constitué de l’enchainement de 4 molécules que l’on désigne par leurs initiales respectives, à savoir quatre lettres : A, G, C, U. Il arrive que l’enzyme en charge de la réplication du génome viral mette un G à la place d’un A, un C à la place d’un U, etc. Les variants qui en résultent sont alors des mutants.

L’autre possibilité, pour un virus, de varier est la recombinaison comme expliqué dans ma réponse à la question 4. Les variants qui en résultent sont alors des recombinants.

Si les mutations ou les évènements de recombinaison ont lieu dans la séquence qui code la protéine Spike, cette protéine sera alors modifiée et pourra, le cas échéant, ne plus être reconnue par les anticorps dirigés contre la protéine d’origine. On parle d’échappement immunitaire.

Contrairement à ce qu’on entend très souvent, les coronavirus mutent peu par rapport à d’autres virus à ARN, et ceci malgré le fait que le génome des coronavirus est plus grand que celui des autres virus à ARN. A titre d’exemples, le génome du VIH (virus du sida) est constitué de 10 000 lettres (A, G, C, U) ; celui de la grippe : 13 500 ; le virus Ebola : 19 000 ; et les coronavirus : 31 000 lettres. En théorie, plus le génome est grand, plus la probabilité de faire des erreurs lors de la recopie est élevée. Les coronavirus échappent à cette règle car l’enzyme responsable de la réplication de leur génome est dotée d’un système de détection et de correction des erreurs. Cela ne veut pas dire qu’ils ne mutent pas (ce système de détection et de correction n’est pas efficace à 100 %), mais ils mutent peu. En revanche, comme cela a déjà été mentionné en réponse à la question 4, les coronavirus sont les champions de la recombinaison, et c’est le principal mécanisme qui leur permet d’échapper au système immunitaire.

Et comme expliqué précédemment, la vaccination génétique n’est pas neutre sur la capacité de Sars-Cov2 à varier puisque les vaccins génétiques font courir le risque d’augmenter l’apparition de variants par recombinaison (entre le matériel génétique vaccinal et le génome d’un virus infectant). Et cela est vrai pour tous les vaccins génétiques, qu’ils soient à ARN ou à ADN. Dans le cas des vaccins tels que celui d’AstraZeneca utilisant un virus à ADN pour délivrer le matériel génétique vaccinal, celui-ci sera, une fois dans la cellule, converti en ARN (codant la protéine Spike), lequel pourrait bien sûr recombiner avec un virus infectant à ARN de la même manière que quand le matériel génétique vaccinal est directement de l’ARN.

De plus, dans le cas des coronavirus au moins, il s’avère que le mécanisme de recombinaison passe par des portions d’ARN correspondant à une réplication partielle d’un virus parental (Makino et al, 1986). Avec l’ARN vaccinal, on fournit directement une portion d’ARN viral, ce qui représente donc un facteur de facilitation pour ces évènements de recombinaison. Par ailleurs, la recombinaison entre un virus infectant et un fragment seulement du matériel génétique d’un virus apparenté a largement été observée chez les plantes transgéniques dans lesquelles a été volontairement introduit un gène viral, et infectées par un virus apparenté (Lommel and Xiong, 1991 ; Gal et al, 1992 ; Green and Allison, 1994 ; Wintermantel and Schoelz ; 1996 ; Frischmuth and Stanley, 1998 ; Borja et al, 1999 ; Adair and Kearney, 2000 ; Varrelmann et al, 2000 ; Latham and Steinbrecher, 2004).

9) Se pose enfin la question de la stratégie de l’immunité collective. Vous expliquez dans votre dernière vidéo que la vaccination générale en période de pandémie est une erreur stratégique majeure. Pourquoi ? Est-il par ailleurs utile et raisonnable de vacciner massivement les enfants au regard des quatre points que nous venons d’évoquer ?

C.V. — En période de pandémie, par définition, le virus circule. Il y a donc émergence de variants (qu’il s’agisse, de manière générale, de mutants ou de recombinants). Si ceux-ci sont moins virulents que la souche d’origine et tout aussi bien neutralisés par les anticorps, tout va bien. Mais si ces variants échappent à l’immunité acquise (naturelle ou vaccinale) contre la souche d’origine, ils vont pouvoir proliférer et d’autant plus que la souche d’origine est freinée par la vaccination de masse. Le variant a alors la voie libre car la souche d’origine ne peut rentrer en compétition avec lui. Autrement dit, en vaccinant massivement en période de pandémie, on crée une pression de sélection en faveur des variants. En quelque sorte, on crée avec la vaccination de masse vis-à-vis des variants la même situation qu’avec l’utilisation intempestive d’antibiotiques vis-à-vis des bactéries résistantes aux antibiotiques : celles-ci ont la voie libre car toutes les bactéries sensibles sont décimées et ne peuvent donc plus « occuper le terrain » et limiter la prolifération des résistantes.

Par conséquent, en admettant que les vaccins soient sûrs et efficaces, il faut bien sûr vacciner mais seulement une frange de la population (les plus vulnérables vis-à-vis du virus), et surtout pas ceux qui permettent au virus d’origine de circuler sans en être victimes. Or cette population existe — et c’est une aubaine — : ce sont les jeunes. Il est donc stupide de vouloir vacciner les populations non sensibles, et notamment les jeunes, au prétexte que des variants circulent. Il faut faire exactement le contraire. Cela ne veut pas dire qu’il ne faudra jamais les vacciner, mais pas avant que nous soyons définitivement sortis de la pandémie.

C’est la raison pour laquelle, au lieu d’assister à une véritable compétition puérile entre les pays pour savoir qui aura vacciné le plus en un minimum de temps, la vaccination devrait être coordonnée à l’échelle mondiale en définissant, pays par pays, région par région, des pourcentages de personnes à vacciner. Mais pour cela, il faudrait disposer d’une structure qui pourrait, par exemple, s’appeler « Organisation Mondiale de la Santé »…

10) Lorsque l’on met en garde contre le marketing des industriels, en rappelant que leur objectif premier est de gagner un maximum d’argent, on est rapidement taxé de complotisme. La question me semble pourtant majeure. Comment décririez-vous le poids, l’influence et les stratégies de ces industries sur les gouvernements et sur l’OMS aujourd’hui ?

C.V. — Il s’agit de stratégies extrêmement agressives, subies par l’OMS et les états, et dictées par les profits et des visions à court terme. Or le temps que demande la sécurité sanitaire et environnementale est incompatible avec l’urgence des brevets et des profits. C’est vrai dans le domaine des vaccins, c’est vrai également dans celui des OGM, des pesticides et autres perturbateurs endocriniens.

Si leur objectif premier n’était pas le profit, ils auraient renoncé aux brevets et les vaccins seraient, comme ils le devraient, des biens communs. Si dire cela relève du complotisme, alors disons que les industriels qui produisent les vaccins sont des philanthropes…

11) Dans le même ordre d’idées, à votre connaissance, quels sont les liens entre les industries de la génétique, de la recherche sur les OGM (ou leurs nouveaux noms) et l’industrie pharmaceutique ?

C.V. — Ce sont les mêmes. Je me souviens avoir vu un documentaire (dont j’ai malheureusement oublié le titre) où l’on nous montrait, entre autres, un ouvrier victime dans son entreprise d’une intoxication avec un produit de chez Bayer. Un peu plus tard, on le retrouve dans son lit d’hôpital avec une poche de perfusion étiquetée « Bayer »…  Encore du complotisme ?

12) Finalement, on comprend que le projet de vaccination générale présenté comme la solution miracle, ce qui allait nous sauver du danger et nous permettre de « retrouver une vie normale », constitue une idéologie simpliste voire dangereuse. Plusieurs maladies classiques et majeures comme le Sida, le paludisme et la tuberculose n’ont jamais trouvé de vaccin. Que pensez-vous des mesures thérapeutiques alternatives, en particulier les traitements précoces ?

C.V. — On ne peut effectivement que déplorer cette politique qui consiste à mettre tous les œufs dans le même panier, celui des vaccins. Bien sûr que les vaccins peuvent s’avérer être une solution et il ne faut pas le négliger. Mais le problème est que c’est exclusif et au détriment de toute autre stratégie. C’est là encore une erreur ! Si, pour le VIH par exemple, on avait tout misé sur le vaccin, on ne disposerait pas aujourd’hui de la trithérapie qui a largement fait ses preuves.

Face à une telle situation, il ne faut rien négliger et ne se fermer aucune porte. On ne peut que s’interroger face à l’attitude qui a consisté à balayer d’un revers de main les pistes basées sur des molécules connues depuis longtemps telles que l’hydroxychloroquine couplée à l’azythromycine, ou l’ivermectine. On voit bien là qu’il s’agit de choix et décisions bien plus politiques et économiques que sanitaires : des molécules connues et administrées depuis 50 ans deviennent tout d’un coup dangereuse et des vaccins pour lesquels on a aucun recul sont sûrs et sans risque. Sur quelle rationalité scientifique reposent ces choix ? D’autres pistes semblent également totalement ignorées telles que, par exemple, celle du BHT (butylated hydroxytoluene), molécule dont l’efficacité d’inactivation des virus enveloppés est connue depuis longtemps et a fait notamment l’objet d’une publication dans la fameuse revue Science (Snipes et al, 1975).

Les États ont débloqué d’importantes sommes pour les laboratoires travaillant à la mise au point de vaccins au détriment des laboratoires explorant des thérapies (préventives ou curatives) alternatives.

13) Lorsque l’on étudie la mortalité liée à la Covid, on comprend rapidement que ce n’est pas du tout une menace pour l’humanité entière comme le prétendait le directeur général de l’OMS au début de la pandémie, ce qui a effrayé le monde entier. En réalité, la Covid ne tue essentiellement que des personnes extrêmement âgées et/ou des personnes déjà très malades pour d’autres raisons telles que des cancers ou des diabètes et de l’hypertension liées à l’obésité. Cela ne nous ramène-t-il pas à votre point de départ au CRIIGEN ? C’est-à-dire que cette mortalité, qui concerne tout particulièrement les pays occidentaux les plus riches de la planète, n’est pas en fin de compte directement liée voire caractéristique de notre mode de vie ?

C.V. — Dès 2008, l’OMS alertait sur les maladies chroniques qui étaient alors (et ça ne s’est pas arrangé depuis) responsables de 63% des décès dans le monde, soit 36 millions de morts, dont 29% avaient moins de 60 ans. Imaginez un instant si M. Salomon venait tous les soirs nous faire le bilan des morts de maladies chroniques, les chiffres annoncés seraient sans aucune commune mesure avec ceux qui nous ont été annoncés quotidiennement dans le cadre de la Covid-19. Il ne s’agit pas là pour moi d’opposer des morts à d’autres, mais force est de constater que, pour nos instances, tous les morts n’ont pas la même valeur. Et pourtant, Covid-19 et maladies chroniques ne sont pas déconnectées : si toutes les personnes atteintes de maladie chroniques ne sont pas victimes de la Covid-19, la plupart des victimes de la Covid-19 sont elles atteintes de maladies chroniques. En d’autres termes, le virus Sars-Cov2 n’est pas un virus tueur : il porte l’estocade finale à des personnes déjà fragilisées car atteintes de pathologies chroniques : les fameuses « comorbidités »…

Il est donc urgent de s’attaquer de près aux causes des maladies chroniques dont nous savons qu’elles ne sont ni génétiques ni infectieuses. Il n’y a en effet aucune loi de la génétique classique qui permette de rendre compte d’une telle explosion sur des temps aussi courts (à travers un nombre très faible de générations), tout comme il est clair que dans la grande majorité des cas, ces pathologies ne sont pas dues à un agent infectieux (virus ou bactérie). Non, nous le savons, la cause est environnementale : cette recrudescence de maladies chroniques s’explique notamment pas les nombreuses pollutions chimiques, et en particulier les pesticides et autre perturbateurs endocriniens omniprésents dans l’air qu’on respire, dans notre habitation, dans notre alimentation. La Covid-19 n’est que le révélateur de cette autre pandémie silencieuse contre laquelle aucune disposition forte n’est pourtant prise, ni à l’échelle nationale, ni à l’échelle mondiale.

Se prémunir de la Covid-19 aujourd’hui ou d’une autre maladie infectieuse demain passe par la lutte contre les pollutions chimiques. Or, c’est malheureusement toute la stratégie contraire à laquelle nous assistons. Nous étions déjà (dans le « monde d’avant ») obsédés par l’hygiène pasteurienne, au détriment de l’hygiène chimique. Cet épisode de la Covid-19 n’aura fait que décupler l’obsession du postillon et de la poignée de porte et nous désintéresser encore un peu plus de tous les poisons qui nous entourent. Mieux, cette pandémie est un prétexte et la porte ouverte à de plus grandes contaminations chimiques : on désinfecte à tout va, les tables, les sièges, les plans de travail, les portes, les rues et même les plages (!!) sans se préoccuper de la composition des produits utilisés et de leur dissémination dans nos intérieurs et dans l’environnement.

Vouloir résoudre la question de la Covid-19 sans s’attaquer à ce problème de santé globale n’est que vernis sur des ongles sales. Aujourd’hui, c’est la Covid-19, demain ce sera une autre maladie virale ou bactérienne mais les victimes seront toujours les mêmes : celles des maladies environnementales.

On nous a souvent parlé à propos de la Covid-19 du « monde d’après ». Or force est de constater qu’on ne tire aucune leçon de cet épisode. Oui, Il y aura bien un « monde d’après » : il sera pour l’essentiel comme le « monde d’avant », mais après… et pire !

14) Votre analyse critique est aujourd’hui presque inaudible dans le débat public. Vos vidéos YouTube ont été victimes de censure. Vous êtes quasiment absent dans l’ensemble des médias, ce qui n’a pas toujours été le cas. Je présume que d’aucuns n’ont pas tardé à vous cataloguer en « complotiste » afin de mieux écarter vos arguments (c’est l’argument favori des défenseurs de la doxa). Pouvez-vous nous raconter un peu ce mépris et cette censure tels que vous les avez vécus ces derniers mois ?

C.V. — J’ai déjà connu la censure, en particulier dans le monde scientifique, notamment autour de la question des OGM. Mais je dois avouer que, là, ça dépasse l’entendement. Que l’on ne soit pas d’accord en science, ce n’est pas grave et c’est même sain. La contradiction est ce qui fait respirer la démocratie, et on en a besoin en science comme ailleurs. On devrait pouvoir se mettre autour de la table et discuter, sans invectives, et prendre en considération tous les avis. En science c’est la culture du dissensus qui doit prévaloir, et non la recherche du consensus à tout prix. L’histoire des sciences nous a souvent montré qu’être seul à défendre une thèse n’est pas synonyme d’avoir tort. Le seul tort de ces scientifiques souvent isolés est d’avoir eu raison trop tôt. Mais là encore, on en tire aucune leçon. Et face au manque d’arguments à opposer, on a recours à l’éviction, à la censure, orchestrée ou relayée par l’essentiel des médias qui n’hésitent pas à déformer les propos desdits scientifiques ou médecins afin qu’on puisse aisément leur coller l’étiquette d’antivax ou de complotistes.

Par exemple, dans un article de l’Express du 6 janvier dernier intitulé « Vaccins modifiant notre génome, itinéraire d’une fake news », les deux auteurs me font dire que « l’ARN des vaccins de Pfizer-BioNTech ou Moderna pourrait s’insérer dans notre génome et nous transformer en OGM »Or c’est un mensonge, je n’ai jamais dit que l’ARN pouvait s’intégrer dans l’ADN et donc dans nos chromosomes : je dis même clairement, tant dans ma note d’expertise que dans la vidéo didactique que j’ai faite en décembre 2020, que ce n’est pas possible (sauf, éventuellement, s’il était préalablement converti en ADN, comme mentionné en réponse à la question 4). Quant au lien avec les OGM, c’est également une totale déformation de mes propos. Ma note d’expertise s’intitule « Note d’expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM », ce qui n’a évidemment rien à voir avec le fait de nous transformer en OGM. Les vaccins génétiques à ARN (Pfizer-BioNtech et Moderna) ou à ADN (AstraZeneca, Sputnik V, ou Johnson& Johnson) sont effectivement des vaccins s’appuyant sur les biotechnologies (ou technologies OGM). Dans le premier cas, l’ARN vaccinal correspondant à la partie du matériel génétique de Sars-Cov2 codant la protéine Spike, est un ARN de synthèse modifié pour augmenter sa stabilité, optimiser la production de la protéine Spike dans les cellules humaines, et optimiser l’immunogénicité de cette protéine. Dans le second cas, le vecteur utilisé pour délivrer le matériel génétique vaccinal dans les cellules de la personne à vacciner est bien un virus (adénovirus) génétiquement modifié comme je l’ai expliqué dans la réponse à la question 3. Et c’est bien pour cela que la directive européenne 2001/18 qui légifère les OGM a été modifiée en août dernier par le règlement européen 2020/1043 dont les articles 2 et 3 permettent à tout essai clinique de médicaments contenant des OGM ou consistant en de tels organismes, et destinés à traiter ou à prévenir la Covid-19, d’échapper aux évaluations préalables sur la santé et l’environnement prévues pour les OGM.

Et la plupart des autres organes de presse de répéter bêtement et aveuglément à l’unisson les inepties de leurs confrère et consœur de l’Express sans même prendre le soin de mener la moindre enquête et de vérifier les sources, ni même de me contacter. Tous ces prétendus journalistes se comportent comme un troupeau de brebis effrayées : la première (ceux de l’Express) sort de l’enclos tête baissée à travers le grillage en piétinant tout sur son passage, et toutes les autres empruntent le même chemin alors que la porte de l’enclos est grande ouverte. Et je m’excuse auprès des brebis pour cette métaphore. Ces prétendus journalistes sont au journalisme ce que Gérard Depardieu est à la diététique. Nous sommes dans une dictature de la pensée et cela m’inquiète beaucoup plus que la Covid-19.Recommandé (24)




Kennedy s’en prend à Anthony Fauci, le tsar de la mafia médicale qui contrôle la réponse à la pandémie

[Source : childrenshealthdefense.eu]

Si Robert F. Kennedy, Jr. a décidé de consacrer un livre à Anthony Fauci, ‘expert Covid’ n°1 aux Etats-Unis, c’est parce que ce médecin est aujourd’hui l’homme plus influent sur des politiques de santé au service d’une prise de contrôle géopolitique de la planète. Directeur du NIAID l’institut de recherche sur les maladies infectieuses et membre conseil ou administrateur de nombreux autres instituts, Fauci a conseillé 6 présidents, gérant des budgets colossaux de plusieurs dizaines et même centaines de milliards de dollars. Partenaire de longue date de Bill Gates, le tsar de la mafia médicale est aujourd’hui accusé par le médecin et sénateur Rand Paul d’avoir soutenu et subventionné les recherches de ‘gain de fonction’ aux États-Unis, avant que celles-ci ne soient interdites. Son institut a pourtant continué à financer ces recherches à l’étranger, notamment sur les coronavirus au laboratoire de Wuhan – et ce jusqu’en avril 2020, via un organisme intermédiaire EcoHealth Alliance.

Depuis quelques semaines, suite à une demande officielle de mise à disposition publique de sa correspondance depuis le début de la pandémie,  certains échanges ont révélé l’obstination de Fauci à ignorer les pistes de traitements (l’hydroxychloroquine par exemple), à vanter les mérites du Remdesivir ou à ignorer les interpellations de scientifiques confirmant la piste d’un virus manipulé en laboratoire.

Kennedy explique dans cette interview comment Fauci a pris le contrôle de la santé publique aux Etats-Unis et ailleurs, en partant de sa tentative d’appropriation de la découverte du sida avec son comparse Robert Gallo, pour faire de la santé publique ‘une machine à fric’ au service de l’industrie du médicament. Pour Kennedy, Fauci est un criminel, responsable de la mort de milliers de personnes et sa place est derrière les barreaux.

Nous sommes aujourd’hui à un moment critique de notre histoire. Fauci et Gates ne sont pas les seuls acteurs à remettre en cause.  C’est tout un réseau d’influence qu’il faut aujourd’hui démanteler et juger, au sein des commissions nationales en Europe et ailleurs, et des agences de santé et organisations internationales dirigées par l’industrie et la finance.

Une interview à regarder, un livre à commander (en anglais pour l’instant) et surtout… un dossier à compléter et une affaire à suivre. Merci de partager!



Transcription :

Senta Depuydt : [00:00:00] Bonjour à tous, je suis Senta Depuydt et je représente Children’s Health Defense en Europe. Aujourd’hui, j’ai l’honneur et le privilège d’interviewer notre président, Robert F. Kennedy Jr. sur son nouveau livre, The Real Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma on the Global War on Democracy and Public Health. M. Kennedy, je regardais aujourd’hui votre livre sur Amazon, et je vois qu’il est parti pour être un best-seller. Alors qu’est-ce qui se passe ? Est-il déjà en rupture de stock ? Dites-nous.

Robert F. Kennedy, Jr. : [00:00:40] Eh bien, vous savez, j’ai commencé à écrire le livre au début de l’été dernier. Et j’essayais vraiment d’informer les Américains, parce que c’est très pénible pour moi. Tony Fauci est cette figure très polarisée. Il a été l’incarnation de la polarisation, le genre de tribalisme qui se passe aux États-Unis. Où tous les républicains ont… beaucoup d’entre eux se sont engagés dans le tribalisme en suivant le président Trump et les démocrates en suivant Anthony Fauci. Et ce qui est affligeant pour quelqu’un comme moi, c’est que le parti démocrate et le libéralisme dans lequel j’ai grandi… beaucoup de libéraux traditionnels ont abandonné leurs valeurs traditionnelles. Les valeurs avec lesquelles nous avons tous grandi, les valeurs libérales de la pensée critique, des droits constitutionnels, de la liberté d’expression, de l’application régulière de la loi par les procès avec jury, de la justice, de la tolérance, de la patience et de toutes ces choses, ainsi que de la curiosité intellectuelle et de l’intégrité intellectuelle. Toutes ces choses ont maintenant été abandonnées. Il n’y a plus de pensée critique. Nous sommes de nouveau immergés dans une sorte de tribalisme où si Tony Fauci dit quelque chose, cela doit être vrai. Si Donald Trump dit quelque chose, c’est forcément faux et vice versa. Et personne ne fait vraiment preuve d’esprit critique. Et aux États-Unis, vous savez, j’ai vu le parti libéral, qui a toujours été le champion des droits constitutionnels, s’éloigner de tous nos droits constitutionnels. Ils sont devenus les défenseurs de la censure. Et, vous savez, le premier amendement était sacré pour les libéraux et les démocrates. Quand j’ai grandi, nous nous sommes battus pour que les nazis qui défilaient à Skokie, dans l’Illinois, aient le droit de parler, même si c’était abominable, c’était répugnant, c’était repoussant. Mais tout le monde a le droit de s’exprimer et nous devons avoir confiance dans le processus d’échange d’idées et dans le fait que les politiques et les principes doivent s’épanouir au sein d’une culture du débat et sont les fruits de débats.

[00:03:30] Et ce qui se passe maintenant, c’est que cela devient une entreprise religieuse, et les gens qui soulèvent des questions sur l’orthodoxie sont des hérétiques. Ils doivent être détruits. Ils doivent être réduits au silence. Leurs paroles sont dangereuses. Et parce que nous nous sommes maintenant débarrassés du premier amendement, de la liberté d’expression aux États-Unis, où, vous savez, quiconque qui parle des mêmes choses que moi est censuré. Une fois que vous vous débarrassez de la liberté d’expression, tous les autres droits constitutionnels sont sur la sellette. Les libertés religieuses font partie de la déclaration des droits et des libertés; or nous avons reçu l’ordre du gouvernement de fermer les églises pendant un an, même si les magasins d’alcool étaient ouverts en tant qu’entreprises essentielles. Les magasins d’alcool ne sont pas cités dans la Constitution. En revanche, la liberté de religion est citée dans la Constitution, tout comme les exemptions religieuses et de vaccination qui ont été abolies. Le droit à un procès avec jury a disparu aux États-Unis. Toute entreprise qui peut dire qu’elle est engagée dans des contre-mesures, peu importe son imprudence, sa négligence, qu’elle crée un médicament, un vaccin, des masques ou peu importe la contre-mesure, vous ne pouvez pas la poursuivre, peu importe la gravité de votre blessure, peu importe la négligence de son comportement. Le droit à la propriété a été aboli. Vous savez, nous avons des fonctionnaires du gouvernement, des fonctionnaires médicaux. Et Bill Gates va fermer toutes les entreprises d’Amérique pendant un an, mettre 60 000 entreprises en faillite, dont 70 % d’entreprises appartenant à des Noirs qui ne rouvriront jamais.

SD : [00:05:28] Nous avons les mêmes catastrophes en Europe. Je suis désolée de vous interrompre. Beaucoup d’Européens ne savent pas qui est Anthony Fauci.

RFK, Jr. : [00:05:38] Anthony Fauci, c’est la personne la plus puissante en matière de santé publique dans le monde aujourd’hui. Et il a été à la tête de l’Institut national des maladies allergiques et infectieuses, que nous appelons NIAID, qui fait partie du NIH, qui est l’Institut national de la santé, qui fait partie du HHS, qui est le grand département de la santé, avec vingt-cinq agences de santé différentes sous un seul département fédéral. Et Anthony Fauci est là depuis 50 ans. Il est probablement celui qui a vécu le plus longtemps dans l’histoire de la santé publique; c’est un panjandrum et il est de loin le plus puissant. Son travail au sein de cette agence consiste à apprendre l’idéologie des maladies chroniques et des maladies infectieuses. En d’autres termes, il est chargé par le Congrès de répondre aux questions suivantes : pourquoi l’autisme est-il passé d’1 personne sur 10,000 à 1 garçon sur 22 aujourd’hui aux États-Unis ? Pourquoi l’allergie aux arachides est soudainement apparue en 1989 ? Les allergies alimentaires et l’eczéma. Pourquoi toutes ces maladies auto-immunes sont-elles soudainement devenues épidémiques ? La polyarthrite rhumatoïde, le diabète juvénile, le lupus, etc. Pourquoi avons-nous soudainement une épidémie d’obésité ? Son travail consiste à répondre à ces questions. Il doit nous parler des expositions environnementales. Nous savons que les gènes ne sont pas à l’origine des épidémies. Les gènes peuvent contribuer à des vulnérabilités. Il faut une toxine environnementale, et son travail consiste à déterminer quelle toxine environnementale est à l’origine de cette énorme épidémie. Quand il est arrivé en 1968, seulement 6 % des Américains avaient une maladie chronique. 54% aujourd’hui. Pourquoi cela se produit-il ? La même chose est vraie en Europe, pas de façon aussi grave qu’aux États-Unis, mais la même chose est vraie en Europe. Eh bien, aucun de nos responsables médicaux ne fait les études nécessaires pour trouver la réponse à ces questions.

RFK, Jr. : [00:07:58] Et bien sûr, la réponse à cela est que les produits chimiques qui causent ces blessures sont fabriqués par des entités très puissantes, par des compagnies pétrolières, des compagnies chimiques, par les grandes compagnies alimentaires, et surtout par les compagnies pharmaceutiques. Et les régulateurs ont été capturés par ces industries. Leur travail n’est pas de protéger la santé publique, mais de protéger l’industrie qu’ils sont censés réglementer. Tony Fauci a tenu 50 ans à ce poste parce qu’il a été un bon protecteur de l’industrie pharmaceutique et qu’il a pris l’agence de régulation, qui était la meilleure agence de régulation de santé au monde. Et il en a fait une filiale de l’industrie pharmaceutique. Et pour répondre à votre question, Tony Fauci a été nommé par deux présidents, Trump et Biden, pour diriger la réponse à cette pandémie de Coronavirus. Toutes les contre-mesures que nous avons eu aux États-Unis et qui se sont répandues dans le monde entier, elles proviennent toutes de Tony Fauci : le confinement, la distanciation sociale, les masques, la suppression des médicaments thérapeutiques, et des traitements précoces, de l’Ivermectine, de l’hydroxychloroquine, toute la promotion de médicaments thérapeutiques sans valeur comme le Remdesivir. Toutes ces choses viennent directement de Tony Fauci. Comment ? Quelle est la source de son pouvoir ? La voici. Tony Fauci a un budget de 6,1 milliards de dollars par an. En plus de cela, il reçoit 1,6 milliard de l’armée, car une grande partie de ses activités font appel à la technologie, en d’autres termes, il développe des armes biologiques. C’est ce qu’il faisait avec les études sur le gain de fonctions à Wuhan et dans beaucoup, beaucoup de laboratoires. Oui.

SD : [00:10:14] Pouvez-vous élaborer un peu plus sur ce sujet ? Parce que ce n’est pas vraiment une question que tout le monde veut savoir. Nous avons entendu dire qu’il y a des emails. Vous savez,

RFK, Jr. : [00:10:24] L’histoire est que les États-Unis ont commencé à développer des armes biologiques au début de 1943 pendant la Seconde Guerre mondiale et en 1969, nous avions développé des armes biologiques dans notre pays que le chef du programme d’armes biologiques, David France, qualifiait comme des équivalents nucléaires. En d’autres termes, nous avions des armes biologiques qui pouvaient avoir le même impact qu’une arme nucléaire, une bombe nucléaire. En 1969, Richard Nixon a fermé le programme. Il s’est rendu à Fort Detrick, qui est l’endroit où se trouve le principal centre de recherche sur les armes biologiques aux États-Unis. Il l’a fermé et nous avons signé en 1972 le traité sur les armes biologiques, qui était une extension du traité de Genève. Et nous avons accepté de ne pas stocker d’armes biologiques et de ne pas les développer. Les États-Unis ont donc fermé Fort Detrick. Nous avons fermé tous nos autres laboratoires d’armes biologiques cette année-là. Les militaires voulaient recommencer. Et la CIA, bien sûr, était très impliquée dans les armes biologiques et l’industrie pharmaceutique. Qui était à la tête du programme d’armement américain pendant la Seconde Guerre mondiale ? Et dans les années 50 ? C’était George W. Merck, qui était à l’époque également à la tête de Merck. Donc, l’industrie pharmaceutique était composée des mêmes entreprises qui développaient des armes biologiques. Et cela, bien sûr, est venu de la Seconde Guerre mondiale quand vous aviez les compagnies pharmaceutiques et l’Allemagne qui développaient des armes biologiques, […] développant les gaz qui étaient utilisés pour tuer les juifs à Auschwitz et autres camps de la mort. L’industrie pharmaceutique et l’armée et l’appareil de renseignement voulaient tous avoir une excuse pour relancer les armes biologiques. Et donc en 1988, le mur de Berlin tombe. On nous promet à tous : ok, maintenant nous allons avoir les dividendes de la paix. Nous allons prendre tout l’argent qui était destiné à l’armée et, à la place, nous allons le dépenser pour les écoles, les routes, les soins de santé et l’éducation. Et nous allons faire des États-Unis un endroit exemplaire et brillant avec des monuments d’albâtre, des gens éduqués, etc. Lorsque l’appareil militaire et de renseignement entendirent les mots dividendes de la paix, ils se sont dit que cet argent allait sortir de leurs poches. Ils se sont dit qu’ils devaient trouver un moyen de faire avancer les choses, de continuer à faire ce qu’ils faisaient. Quatre et demi ou cinq ans plus tard, nous avons eu la première attaque du World Trade Center, et c’était en 1993. Et tout l’argent qui était destiné à l’éducation et à l’usage civil a soudainement disparu. Et les intérêts acquis nous poussèrent à dépenser cet argent dans la lutte contre le terrorisme. En 2000, nous avons les attaques du 11 septembre. Et à ce moment-là, des milliards, des dizaines de milliards de dollars se sont déversés dans l’idée que nous devions combattre le terrorisme islamique.

[00:14:35] Les militaires à ce moment-là, ont compris que les terroristes islamiques étaient géniaux parce que c’est un ennemi beaucoup plus fiable que l’Union Soviétique. L’Union Soviétique a plié. Elle s’est retirée. Le terrorisme ne s’arrêtera jamais car ce n’est pas une nation. Ce n’est pas un peuple. C’est une tactique. Et il sera toujours là. C’est donc un ennemi parfait, un ennemi qui ne mourra jamais. Et Dick Cheney a promis une longue guerre qui durera des générations. Et ce serait dans 50 nations ou plus. Dans le même temps, de nombreux planificateurs du renseignement disaient que la sécurité biologique est en fait ce que nous devrions faire à cause du terrorisme. Le terrorisme islamique aux États-Unis tue moins de personnes que la foudre chaque année. Mais ce n’est pas un ennemi dont vous pouvez garder les gens terrifiés pendant longtemps. En revanche, le grand ennemi, ce sont les germes, parce que les germes peuvent entrer dans la maison de tout le monde et tuer votre famille. L’armée et les services de renseignements dont nous disposons, ont tous ces documents où ils parlent de ça de façon  bien plus fiables que moi. Et ils font des simulations et des jeux de guerre sur les pandémies et les attaques biologiques. Il y avait donc un ferment, un intérêt énorme. Et si vous vous souvenez, une semaine après le 11 septembre, très exactement le 4 octobre 2001, donc deux semaines et demie après le 11 septembre.

[00:16:06] Il y a eu une attaque à l’anthrax et l’anthrax a tué sept personnes. Il y avait 17 personnes, dont des sénateurs et des membres du Congrès des États-Unis. Et à ce moment-là, l’anthrax a été attribué à Saddam Hussein. Et c’est une des raisons qui a justifié l’invasion de l’Irak. Mais il s’est avéré, lorsque le FBI a commencé à enquêter, que l’empreinte digitale sur l’anthrax, cet anthrax particulier qui a été utilisé dans l’attaque, provenait de l’armée américaine. Il était donc clair que quelqu’un de l’armée américaine avait quelque chose à voir avec l’envoi de cet anthrax. Et que s’est-il passé ? Des milliards de dollars ont commencé à être dépensés pour la biosécurité. Et Tony Fauci… une partie de la biosécurité est utilisée pour développer les vaccins. Vous vous dites, « eh bien, nous faisons cela de manière défensive, nous développons juste la même technologie que vous utilisez pour développer des vaccins et qui peut être utilisée pour développer des armes biologiques », et cela s’appelle le Gain de Fonction. Et qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que vous envoyez des zoologistes dans le monde entier pour trouver des microbes, des microbes mortels et différents animaux. Et ces microbes ne peuvent pas sauter sur les êtres humains. Ils vont tuer des pangolins. Ils tueront des chauves-souris. Ils tueront des civettes. Ils tueront des chameaux. Mais ils ne tueront pas des êtres humains.

Vous pouvez prendre un microbe dans un laboratoire, et il y a deux façons différentes d’infecter des êtres humains. L’une est d’utiliser la technologie CRISPR. Vous pouvez insérer [00:18:02] de nouvelles parties dans ce microbe qui lui donneront la capacité d’attaquer un poumon humain. Ou alors, vous pouvez le cultiver des milliers de fois, vous le prenez d’une chauve-souris, vous le cultivez sur une culture de pangolin, puis vous les prenez et vous les cultivez sur des cultures de cockers et finalement vous les cultivez sur les poumons d’un fœtus humain. Et vous avez appris à ce microbe à passer de la chauve-souris à la personne. Et cela fait partie de la technologie qui, selon certains, est utile pour les vaccins, bien que cela n’ait jamais été démontré.

Nous savons que cette technologie est utilisée pour les armes biologiques. Quoi qu’il en soit, afin de capter une grande partie de cet argent qui a soudainement commencé à affluer vers les armes biologiques vers 2001-2002, Tony Fauci a commencé à faire ces études de gain de fonction. Il a financé un scientifique appelé Ralph S. Baric, à l’Université de Caroline du Nord. Il a commencé à construire des laboratoires de biosécurité, ce qu’ils appellent des laboratoires BSL, quatre laboratoires, au plus haut niveau de biosécurité. Il a réouvert le laboratoire de Fort Detrick et en a construit un nouveau là-bas. Il en a construit un à Galveston, au Texas, et je crois qu’il en a construit six en tout. La Chine a un de ces laboratoires. Nous en avons une dizaine aux États-Unis. Et Tony Fauci a commencé à financer le travail dans ces laboratoires. Eh bien, vers 2014, un tas d’accidents se sont produits dans ces laboratoires, des microbes se sont échappés. Et ainsi, trois cents scientifiques ont envoyé une pétition au président Obama le suppliant d’arrêter Tony Fauci et ses expériences avant que l’une de ses créatures ne s’échappe et cause une pandémie mondiale. Le président Obama a réagi et a ordonné à Tony Fauci et au NIH d’arrêter les études sur le gain de fonction. Tony Fauci a mis fin à environ vingt et une de ses études, mais il a continué à mener secrètement certaines des pires avec Ralph Baric, un scientifique fou de l’Université de Caroline du Nord. Puis il a pris la plus grande partie de l’argent destiné à la recherche sur les gains de fonctions, environ sept millions de dollars en tout, et il a commencé à financer le même type d’expériences très, très dangereuses dans le laboratoire de Wuhan, avec Zhengli Shi, une chercheuse connue sous le nom de « Bat Lady ». Elle avait participé aux recherches sur le SRAS en 2002, et était en fait une psychiatre. Mais elle aimait manipuler les animaux et avait le courage d’aller dans les grottes où vivent les chauves-souris, dans la province du Yunnan, dans des grottes connues sous le nom de grottes de Mojiang. Elle a commencé à collecter des chauves-souris là-bas et ils ont collecté des centaines et des centaines de chauves-souris et créé la plus grande collection de coronavirus au monde dans ce laboratoire à Wuhan.

Je sais que vous êtes belge, mais vous serez peut-être intéressée d’apprendre, et je pense que vous le savez, que le laboratoire de Wuhan a été construit par une société française appelée BioMérieux, dont le PDG s’appelle Stéphane Bancel. La société a été engagée pour construire un système de flux d’air négatif qui, à Wuhan, est une pièce essentielle de l’infrastructure pour assurer la sécurité, ce qui signifie que l’air ne sort pas. C’est l’un des éléments les plus critiques de l’infrastructure du laboratoire. Les Chinois avaient demandé à BioMérieux de le construire, mais ils ne l’ont jamais fait. Et Stéphane Bancell, qui était le PDG de cette société, est aujourd’hui le PDG de Moderna, la société qui, plus que toute autre, a profité de la pandémie, dont nous savons maintenant qu’elle provient presque certainement du laboratoire. Laissez-moi ajouter autre chose, car je sais que vous le sujet vous intéresse.

En 2000, Bill Gates a contacté Tony Fauci et lui a demandé de venir dans sa demeure à Seattle, dans l’État de Washington, une demeure de cent quarante-sept millions de dollars. Il a fait entrer Tony Fauci dans sa bibliothèque et tous deux se sont assis sur des fauteuils club avec un verre. Et Bill Gates lui a proposé un partenariat. Ce partenariat consisterait à collaborer tous les deux à une entreprise visant à vacciner le monde entier et à abolir toutes les maladies infectieuses grâce aux vaccins. Ce partenariat était très important pour Gates, car il essayait à l’époque de prendre le contrôle de la politique mondiale en matière de santé. Et pour ce faire, il avait besoin de l’aval d’un puissant responsable de la santé aux États-Unis qui pouvait lui donner de la crédibilité à l’étranger. Et Tony Fauci a fait deux choses. Premièrement, il a donné de la crédibilité à Gates et à son programme, deuxièmement, il a développé le vaccin dans son atelier du NIH. Et ensuite, Gates garantirait un marché pour ces vaccins à l’étranger. Et la troisième chose que Tony Fauci a fait… Il est très, très influent auprès du président des États-Unis. Il a donc obtenu du président Bush, le premier président Bush, qu’il engage 15 milliards de dollars pour l’Afrique.

[00:24:59] Il a donc pris toute l’aide étrangère des États-Unis. Et au lieu de la consacrer à la réduction de la pauvreté, il a dédié ces 15 milliards aux médicaments et vaccins contre le SIDA en Afrique. Cela crée une infrastructure dans tous les ministères de la santé en Afrique qui deviennent dépendants de ce flux venant des USA. Il a ensuite obtenu du président Clinton qu’il prenne le même engagement et qu’il aille voir ces présidents pour leur dire que le SIDA se développe en Afrique. Si nous ne le résolvons pas là-bas, il va se propager aux États-Unis et donc, nous devons le résoudre en Afrique. Mais en réalité, ce qu’il fait, c’est qu’il a des relations avec toutes ces entreprises pharmaceutiques qui, en fin de compte, reçoivent tout cet argent. Et parce qu’il fait la pluie et le beau temps, que c’est un courtier qui a le pouvoir de régir toute cette aide des États-Unis à l’Afrique, il jouit d’une énorme crédibilité dans toute l’Afrique auprès des ministères de la santé et lorsqu’il se rend là-bas avec Gates et dit, OK, voici mon nouveau gars, Gates avait automatiquement du cachet et de la crédibilité. Et c’est l’une des façons dont Gates a pris le relais.

SD : [00:26:20] Je peux vous arrêter 30 secondes ? Parce que je pense que j’ai quelques commentaires. En France… je pense qu’il serait vraiment intéressant de regarder l’implication plus étroite de la France dans le laboratoire de Wuhan. Je peux vous dire que le directeur de l’INSERM y est allé, officiellement avec Bancel à l’inauguration du bâtiment, le laboratoire et l’installation, et ils avaient un programme. Ils étaient donc là pour couper le ruban. L’INSERM est le plus grand institut de recherche de France en matière de santé. Et la femme de ce directeur de l’INSERM était ministre de la santé au début de la pandémie. Elle s’appelle Agnès Buzyn. Donc il y avait vraiment comme je pense que vous êtes assez impliqué. Elle a maintenant été accusée de mauvaise gestion, disons qu’elle est mise en examen pour ne pas avoir donné les bonnes informations, puis les mesures, etc. Donc elle a quitté son poste. Elle est maintenant promue à l’OMS, où elle assiste Tedros, où elle  bénéficie de l’immunité de responsabilité – vous ne pouvez pas les poursuivre en justice une fois qu’ils sont à l’OMS. En France, nous avons quelques scientifiques que vous connaissez peut-être, certains d’entre eux qui se sont vraiment penchés sur la question du virus.

[00:27:50] Et c’est aussi une de mes questions. Je sais que vous avez soutenu la vidéo  » Plandemic  » avec David Martin avec la recherche sur les brevets. (…) Nous avons ici quelques scientifiques, l’un d’entre eux s’appelle Jean-Bernard Fourtillan, qui essaient également d’examiner les brevets. Ils disent que l’Institut Pasteur a également des brevets sur les coronavirus et sur leur utilisation en tant qu’armes. On peut donc suivre plusieurs brevets d’une sorte de SARS-COV-1 à SARS-COV-2. Donc ce scientifique est apparu il y a 6 mois. Il est maintenant dans un institut psychiatrique. Il y a une grande censure et un grand silence et nous avons aussi, plus ou moins, exactement le même genre de mesures, l’hydroxychloroquine qui a été bloquée, et bien sûr, l’agenda des vaccins, etc. […] Avez-vous suivi également cette piste des brevets ? Est-ce qu’elle mène aussi à d’autres pays étrangers ? Parce que je crois vraiment que plusieurs pays ont participé, je dirais en Europe, certainement la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne.

RFK, Jr. : [00:29:13] Je sais, vous savez, les brevets sont un domaine intéressant et en ce moment, le NIH a un litige contre Moderna parce que Moderna a menti sur les brevets. Elle n’a pas divulgué quand elle a fait sa demande de brevet qu’elle avait reçu des fonds fédéraux et qu’à ce moment-là, Fauci avait investi 2,6 milliards de dollars de l’argent des contribuables dans les brevets et dans Moderna. Et Moderna n’a jamais révélé cela quand elle a déposé son brevet, ce qui est illégal aux États-Unis. Et il se peut que le contribuable américain soit en fait propriétaire des brevets. L’une des choses intéressantes à propos des brevets est que l’office des brevets a refusé à Moderna, à plusieurs reprises, un brevet, et lui a dit « Non, vous ne pouvez pas l’avoir ». Et puis Moderna est revenu à la charge le 29 mars 2019. Et a dit « il y a une urgence à ce que vous nous donniez immédiatement ce brevet ». C’est dans la demande de brevet, n’importe qui peut y accéder, et ça dit « vous devez nous donner le brevet en prévision d’une libération accidentelle ou délibérée d’un coronavirus amélioré ». Et quand est-ce que cela a eu lieu ? Quatre mois, cinq mois avant le coronavirus d’octobre. Le meilleur des meilleurs estime qu’il s’est échappé du laboratoire de Wuhan en octobre 2019.

[00:30:58] Donc… avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre… c’est sept mois avant l’apparition réelle du coronavirus. Ils connaissaient l’urgence, Ils ont insisté sur l’imminence d’un virus.

SD : [00:31:14] Donc merci. Vous êtes un peu en train de cartographier, vous venez de revenir sur le virus du VIH et tout le programme. Et quand je le regarde, il était très intéressant de voir que certains scientifiques au début, vous je suis sûr que vous savez, que ce scientifique appelé Jonathan Mann, qui était vraiment celui qui est sorti pour faire les appels pour le VIH et en faire une cause mondiale. Mais il l’a lié aux droits de l’homme. Mais si j’ai bien compris, à un moment donné, l’autre partie de l’OMS et d’autres personnes ont préféré avoir une approche différente de son approche des droits de l’homme. Il a donc été en quelque sorte écarté de la cause du sida. Et malheureusement, il est mort dans un accident d’avion. Un avion Swissair s’est écrasé, ce qui est vraiment rare, vous savez, pour un avion suisse de s’écraser. Et après cela, je crois savoir que Fauci et d’autres scientifiques, et je pense en particulier à un certain Peter Piot. Je ne sais pas si vous l’avez rencontré, c’est un Belge, mais c’est le numéro un, disons, en charge de la réponse à la pandémie au sein de la Commission européenne. [00:32:58] Il a donc été nommé et il dirige également l’Institut d’hygiène tropicale de Londres.

Tous ces scientifiques sont donc très impliqués ensemble depuis des décennies déjà sur le VIH. Et donc après ça, ils ont vraiment adopté une approche différente par rapport aux droits de l’homme et le tout s’est déplacé vers le programme des Nations Unies et le programme d’aide des États-Unis. Et je pense que c’est à ce moment-là que la banque est intervenue et que les épidémies sont devenues, d’une certaine manière un instrument géopolitique possible, et une tentative de gouvernance mondiale par le biais des politiques de santé, du contrôle des politiques de santé. Et je pense qu’ils ont commencé à avoir plus que seule la santé à l’esprit. Vous savez, c’est là que la Banque mondiale est intervenue, ainsi que le FMI, puis les entreprises pharmaceutiques. Mais je pense que c’est tout ce réseau de scientifiques spécialisés dans le VIH, ou pas seulement des scientifiques, disons des experts du monde entier, qui est maintenant aux commandes. Je dirais donc que ce sont tous les amis de Fauci.

RFK, Jr. : Fauci étant celui qui a popularisé le VIH. Luc Montagnier, qui a été le premier à isoler ou à associer le VIH, à identifier le VIH comme une cause potentielle du SIDA. Il a insisté sur le mot « potentiel ». Sa découverte a été volée par un scientifique américain qui était un ami de Fauci, Robert Gallo. Et Gallo a prétendu avoir fait la découverte, puis il y a eu une dispute et des procès qui ont duré de nombreuses années, et finalement Gallo a admis qu’il avait volé le virus à Luc Montagnier et qu’il avait trompé Luc Montagnier pour qu’il lui donne le virus. Tony Fauci, vous savez qu’avant cela, le VIH ou le SIDA était considéré comme un cancer. Il était associé au sarcome de Kaposi et la plupart des gens pensaient probablement que cela avait quelque chose à voir avec les drogues qui étaient prises, qui étaient associées au mode de vie gay, et en particulier les poppers, et à d’autres lésions environnementales. […] Tony Fauci n’avait aucune compétence sur ce type de maladie. L’Institut national du cancer était compétent en matière de cancers et, à l’origine, il s’agissait du VIH, mais lorsque Bob Gallo a dit « non, c’est un virus », Tony a répondu « d’accord, c’est un virus, donc nous l’avons, car nous sommes l’Institut national des maladies infectieuses ». Et c’est ainsi qu’il s’est emparé du VIH. Et puis le VIH a bénéficié de tous ces financements parce que l’activisme au sein de la communauté gay. Tony Fauci, tout d’un coup, est devenu un courtier de pouvoir. Il avait le plus gros budget fixé par le NIH. Et tout cet argent était à disposition.

[00:36:28] Et ainsi, Tony Fauci a pris le NIAID, son agence, qui est censé chercher l’origine de toutes ces maladies infectieuses, allergiques, auto-immunes et chroniques, au lieu de cela il l’a transformé en incubateur de produits pharmaceutiques. Le premier produit développé a été l’AZT, en collaboration avec GlaxoSmithKline, qui s’appelait à l’époque Wellcome Trust. Et ils l’ont développé et en ont fait le médicament le plus cher de l’histoire. C’était dix mille dollars par dose par an. […] La valeur des actionnaires de GlaxoSmithKline a augmenté de quelque chose comme 2,10 milliards de dollars dès qu’il a fait approuver ce médicament, qui est devenu un modèle pour ce qu’il a fait par la suite. Il a donc arrêté la recherche sur les maladies infectieuses et a commencé à développer des médicaments pour l’industrie pharmaceutique. Aux États-Unis, le laboratoire de Tony Fauci recherche des molécules efficaces contre différents virus, comme le coronavirus dans une boîte de Pétri, puis il dépose des gouttes de différentes molécules sur différents types de médicaments toxiques de chimiothérapie et d’autres médicaments existants, ou tout autre produit qui tue le coronavirus. Et s’ils trouvent quelque chose qui fonctionne, ils font des tests sur les animaux pour voir si ça tue les animaux et si ça tue le coronavirus mais pas les animaux, ils disent que c’est un médicament potentiel et ils font ça pour tout le monde, pas seulement pour le coronavirus, mais pour des centaines et des centaines de virus.

[00:38:24] Et ensuite ils l’envoient aux universités, à ce qu’ils appellent les PIs, qui sont appelés les investigateurs principaux dans les universités. Et c’est ce dont vous parlez, c’est ainsi qu’il contrôle tous les scientifiques du monde, parce qu’il y a dix mille PI et la plupart d’entre eux sont des scientifiques très importants qui sont les chefs de départements à Harvard, à Columbia, à Berkeley, à Oxford. Et ce sont des scientifiques très puissants. Pourquoi ? Car ce sont eux qui reçoivent l’argent. Tony Fauci leur donne d’énormes quantités d’argent. Il peut vous donner environ 200 ou 300 millions de dollars pour faire une étude dans l’année. C’est ainsi que cet argent finance un médicament. Les labs de Fauci s’assurent que la molécule ne tue pas l’animal mais tue le coronavirus. Ensuite, il le confie, disons, à Columbia. Le chef du département de Columbia conduit les essais cliniques (phase 1, phase 2, phase 3). Pour la phase 1, c’est un petit groupe de personnes, peut-être deux cents. Et chaque personne que le scientifique recrute pour l’étude, Tony Fauci, leur donnera 15 ou 20 000 dollars. La moitié de cet argent va à l’université.

[00:39:46] Donc maintenant l’université dépend de Tony Fauci. Donc l’université développe le médicament jusqu’à la phase 2, et si le médicament semble toujours fonctionner, ils le vendent à une société pharmaceutique comme Glaxo, Gilead, Johnson et Johnson, Merck, Pfizer. Et Tony Fauci garde sa part du brevet pour son agence, plus ses adjoints préférés qui obtiennent chacun des intérêts de brevet. Ces gars peuvent se faire 150 000 dollars par an avec chaque brevet qu’ils possèdent. C’est ainsi qu’il s’assure de la loyauté de tous au sein de son agence. Il peut donner à ces gars des brevets et ils font des tonnes d’argent ainsi et son agence peut garder la moitié des brevets comme ils l’ont fait avec le vaccin Moderna. Son agence possède la moitié des brevets. Ils gagnent ainsi des milliards et milliards de dollars. Il y a donc un conflit d’intérêt direct. Ensuite, l’université obtient une partie du brevet et le chercheur universitaire, le PI, obtient une partie des brevets, donc ils sont tous solidaires. Et il a 10.000 de ces gars-là dans le monde entier. Et qui sont ces gens ? Paul Offit, Peter Hotez, Arthur Caplan, tous ces scientifiques célèbres que vous voyez sur CNN et qui font la une des journaux, Andrew Pollard d’Oxford.

[00:41:29] Ces gens sont tous des PI de Tony Fauci. On les voit à la télé et ils ont l’air de gens très crédibles et responsables. Tony Fauci les possède dans le monde entier. Et que se passe-t-il s’il y a un scientifique universitaire dissident ? Disons qu’un jeune scientifique de l’université de Harvard, naïf, se dit : « vous savez quoi, je vais faire une expérience. Je vais faire une étude. Je vais prendre les dossiers sur la vaccination. Je vais regarder les dossiers médicaux des HMOs. Et je vais déterminer s’il y a un lien entre le diabète et le vaccin Hib, le vaccin contre l’hépatite B, l’autisme ou les allergies alimentaires. Je pense que ce sera une étude fondamentale ». Dès que Tony Fauci apprend l’existence d’une étude, un de ses larbins appelle le doyen de l’école de médecine de Harvard et lui dit : « si vous laissez ce type faire cette étude, nous allons mettre votre université en faillite. Nous allons vous faire fermer parce que nous ne permettons pas que cette étude soit réalisée ». C’est ainsi que Tony Fauci contrôle la science dans le monde entier. Son budget annuel est 13 fois supérieur au budget annuel de Bill Gates. Il est donc beaucoup plus puissant que Bill Gates donne quelques milliards par an. Tony Fauci donne 7,6 milliards par an.

[00:43:12] Tony Fauci se coordonne avec Gates et ils se coordonnent avec Wellcome Trust, qui est juste un énorme portefeuille d’actions pharmaceutiques qui est dirigé par Jeremy Farrar. Et tout ce qu’il fait est de servir les intérêts du paradigme pharmaceutique. Vous avez donc les plus grands bailleurs de fonds du monde qui fournissent probablement 90 % du financement aux entreprises pharmaceutiques et ils ne font pas de recherche sur l’origine des maladies. Ils font des recherches sur la façon dont nous développons les médicaments. Je vais vous dire une autre chose. Entre 2009 et 2016, plus de 200 médicaments ont été approuvés par la FDA dans notre pays et sont devenus des blockbusters nationaux et internationaux pour beaucoup d’entre eux, et 100 % de ces 200 médicaments sont issus de l’atelier de Tony Fauci. Il est donc le principal incubateur, de toute l’industrie pharmaceutique. C’est le type, vous savez, il n’est pas un régulateur. Il ne s’occupe pas de santé publique. C’est de la fiction polie pour dire que Tony Fauci s’occupe de santé publique ou Bill Gates s’occupe de la santé publique. Ils font la promotion des vaccins et des médicaments. C’est tout. Et ce sont ces types qui dirigent aujourd’hui les gouvernements de toute la planète. Et c’est effrayant pour nous car ils ne se soucient pas de la démocratie. Ils ne se soucient pas de la santé publique. Ils se soucient des profits, de l’industrie pharmaceutique et du contrôle de la population.

SD : [00:44:48] Ok, j’ai deux autres questions, donc je…

RFK, Jr : [00:44:51] J’ai seulement deux minutes de plus.

SD : [00:44:52] Ok, c’est injuste ! L’une d’entre elles est que vous savez, nous avons entendu qu’il y avait certains sénateurs, Rand Paul et d’autres sénateurs qui voulaient avoir une enquête sur Tony Fauci en rapport avec les fuites d’emails et le fait qu’il aurait parrainé…

RFK, Jr : [00:45:14] Le Président Biden, le 25 mai, a ordonné aux agences de renseignement de faire une enquête. Et cela va être très intéressant. C’est une enquête de 90 jours qui sortira le 25 août. Et nous espérons qu’elle sera publiée à peu près au même moment que mon livre.

J’aimerais demander à vos auditeurs qui veulent savoir comment ils peuvent aider notre mouvement : « achetez mon livre ». Et je tiens à dire que 100% des bénéfices de mon livre, qui s’appelle The Real Tony Fauci, pour lequel vous pouvez aller sur Amazon aujourd’hui et l’obtenir. 100% des bénéfices sont reversés à Children’s Health Defense, CHD, le fonds pour lequel je travaille, Senta travaille et tous les autres avocats qui travaillent pour nous dans le monde entier. Je pense que nous avons déjà pré-vendu environ 5000 livres. Si nous pouvons pré-vendre 10000 livres avant sa sortie, il devient automatiquement numéro un sur la liste d’Amazon, du New York Times et de toutes ces autres listes. Et ce qui se passe ensuite, c’est que les libraires le déplacent à l’avant du magasin. Il y a tout un tas d’effets en cascade. Plus les gens connaissent Tony Fauci et savent pourquoi il est arrivé là où il est, plus notre mouvement est fort. Si vous voulez aider ce mouvement, faites vos achats de Noël maintenant, allez sur Amazon aujourd’hui, achetez un tas d’exemplaires du livre pour vos amis, pour votre famille. Et comme je l’ai dit, tous les bénéfices vont à CHD, à 100%. Vous aidez aussi beaucoup le mouvement parce que le livre va se retrouver au top de la liste des best-sellers et les distributeurs sont alors obligés de l’y mettre. Ils le mettent dans toutes les librairies des aéroports et dans les librairies du monde entier. Et de plus en plus de gens pourront le voir. et cela donne de la crédibilité et du sérieux à notre mouvement.

SD : [00:47:25] Est-ce qu’il y aura des traductions, Bobbie ? Est-ce que le livre existera dans d’autres langues ?

RFK, Jr : [00:47:32] Oui, nous allons traduire. Il sera traduit.

SD : [00:47:35] Ok, c’est intéressant pour nous en Europe.

RFK, Jr : [00:47:39] Vous savez, que CHD et The Defender sont en cinq langues. Nous sommes un mouvement global; nous devons parler aux gens dans beaucoup, beaucoup de langues.

SD : [00:47:54] Je demande donc que la prochaine fois nous parlions de Bill Gates, car il y a beaucoup à dire là aussi.

RFK, Jr. : [00:48:02] La moitié du livre est sur Bill Gates, l’autre moitié sur Tony Fauci. Donc si vous voulez connaître la vérité sur Bill Gates, achetez le livre !

SD : [00:48:14] Oui. A propos de son lien avec Epstein (…) Je vais en parler très rapidement et ce sera une piste pour une autre interview. […] En 1987, Bill Gates était déjà avec Jeffrey Epstein au conseil d’administration de l’organisation caritative gérée par Apollo management, vous savez, en lien avec la CIA et le Mossad. Ce qui est intéressant pour nous, Européens, c’est qu’en 2013, je viens d’en entendre parler par un autre journaliste, en 2013, donc après qu’Epstein ait été condamné, etc. […] et que tout le monde savait qui il était, ils [Gates et Epstein] ont visité ensemble le Parlement européen à Strasbourg pour se renseigner sur les politiques de santé en Europe. Et puis, vous savez. Il faut se poser des questions, pourquoi Jeffrey Epstein voyage-t-il avec Bill Gates, qui à l’époque n’était pas impliqué dans l’OMS….

RFK, Jr : [00:49:15] Envoyez-moi les preuves de cela ?

SD : [00:49:19] Oui, bien sûr. C’est pour la prochaine interview alors.

RFK, Jr : [00:49:23] Merci Senta: Merci de m’avoir reçu. Et merci pour tout le travail, l’incroyable travail que vous faites. Rendez-vous sur les barricades.

SD : [00:49:36] Merci beaucoup. Et je suis très fière de faire partie du CHD, merci.

RFK, Jr : [00:49:42] Nous sommes fiers de toi Senta. Merci.




Inde : plainte pénale déposée contre GAVI, Bill Gates, Fauci… Peine de mort encourue

[Source : francesoir.fr]

[Voir aussi : Inde : condamnation à mort possible pour la scientifique de l’OMS après avoir déconseillé l’Ivermectine]

Auteur(s): FranceSoir

L’Indian Bar Association (Association des Avocats Indiens) a adressé un courrier au Premier ministre de l’Inde Shri Narendra Modi et au ministre de l’Intérieur Shri Amit Shah, qui les invite à prendre note de la plainte DHLTH/E/2021/09973 en date du 1er juillet 2021 déposée par le Secrétaire général du Conseil de sécurité des droits de l’homme (HRSC) M. A. Shaikh, contre le Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et d’autres.

Cette plainte les invite à prendre des mesures immédiates contre les accusés et à émettre des directives appropriées aux autorités légales pour qu’elles examinent l’affaire et prennent des mesures immédiates. Cela fait suite aux deux mises en demeure que l’IBA a envoyées à l’OMS (contre le Dr Soumya Swaminathan ainsi que Tedros Ghebreyesus) qui sont à ce jour restées sans réponse.

L’avocate Dipali Ojha explique cela en détail dans son debriefing.

La plainte de 132 pages enjoint les ministres à considérer en urgence la situation et surtout la « gravité » ou « extrême gravité »

des questions qui sont posées qui ne concernent pas seulement les citoyens indiens, mais aussi la sécurité, la survie et le bien-être de l’humanité tout entière.

Cette plainte annoncée et attendue prend en considération les éléments de réponse à la gestion d’une épidémie (les quatre piliers listés par le Pr McCullough) ainsi que les publications de diverses associations de médecins (FLCCC, AFLDS, IHU) en faveur des traitements précoces qui sont une alternative à la vaccination de masse, dixit Pierre Kory. Ceci est corroboré par le retour d’expérience de nombreux médecins indiens dans les Etats ayant mis en place les directives du ministère de la Santé sur l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. Au sein de cet immense pays, on a pu observer l’effet de la vaccination de masse ainsi que celui des traitements précoce et prophylactique des Indiens, afin de gérer au mieux l’épidémie. Les Indiens ont subi les mêmes effets de censure, de suppression du « narratif » et des données scientifiques que ceux observés dans d’autres pays. Le summum étant une agence de santé (DGHS) périphérique qui a supprimée les traitements précoces alors qu’elle n’avait jamais exprimé d’opinion auparavant à ce sujet, démontrant la capture probable de certaines autorités par des influences externes. Rappelons que le ministère de la Santé a conservé les traitements précoces dans ses recommandations et est le seul compétent.  A l’inverse de la France, les autorités sanitaires (ministère) ont défendu par deux fois leur position en faveur des traitements précoces, remettant en cause les avis de l’OMS contre des associations d’avocats dont les commanditaires ne sont pas identifiés.

Le périmètre et les demandes de la plainte sont clairement établis :

  1. une orientation immédiate pour la mise en œuvre du 72e rapport de la Commission parlementaire et des recommandations d’enquête et de poursuite des membres du bureau du « philanthrope toxique » et de la Fondation Bill & Melinda Gates du Syndicat des vaccins (GAVI) et des responsables concernés du Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) qui sont considérés responsables de la mort de huit filles suite à l’usage de vaccins non autorisés, illégaux et non approuvés;
  2. une directive immédiate au Bureau central d’enquête (CBI) pour l’enregistrement du premier rapport d’information (FIR) pour enquête et action stricte (en vertu des articles 115, 109, 302, 307, 304, 419, 420, 471, 474, 188, 505, r / w 120 (B) &34 de l’IPC & sections de la loi de 2005 sur la gestion des catastrophes et d’autres dispositions des actes spéciaux contre tous les éléments contre l’intérêt national, contre l’humanité, et bio-terroristes) sur les « Groupements Pharma», « Groupement Tech » et les « Cyber Harceleurs » qui sont impliqués dans des infractions contre l’humanité entière entrainant un génocide, causés par leurs actes de commission et d’omission liés à la pandémie de Covid-19.
  3. des ordonnances avec effet immédiat aux autorités concernées :
    • i) émettre des avis de garde à vue et des mandats d’arrêt contre l’accusé dont l’implication est prouvée à première vue ;
    • ii) D’engager une action en saisie conservatoire de tous les accusés et de leurs sociétés ;
    • iii) Commencer l’interrogatoire de l’accusé en détention ;
    • iv) Effectuer un test de détection de mensonges, un test de cartographie cérébrale, un test narco de tous les accusés principaux tels que le Dr Soumya Swaminathan, le Dr Randeep Guleria, M. Arvind Kejriwal Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, le Dr Anthony Fauci, Bill Gates, Mark Zuckerberg, Jack Dorsey et d’autres.
  4. des directives immédiates à toutes les autorités pour
    • i) examiner sérieusement le Livre blanc de l’association American Frontline Doctors (AFLDS) sur le Covid-19 et les vaccins expérimentaux.
    • ii) ne forcer personne à se faire vacciner et se conformer strictement à l’arrêt de la Cour suprême et de diverses hautes cours concernant le droit fondamental de chaque citoyen à choisir son traitement.
    • iii) informer le public des dangers réels du vaccin.
    • iv) informer le public sur les autres médicaments éprouvés, sûrs et plus efficaces.
    • v) ne pas répandre la peur d’une nouvelle vague sans vérifier les preuves scientifiques.
  5. une directive appropriée selon le rapport soumis par le Comité d’experts au bureau du Premier ministre avec des recommandations de ne pas administrer de vaccins sur les personnes qui se sont rétablies de l’infection à Covid-19 et qui ont développés des anticorps.
  6. Des directives immédiates pour fournir une protection à tous les dénonciateurs et à leurs témoins qui ont déjà exposé et continuent d’exposer le Syndicat comprenant BIG PHARMA, BIG TECH et BIG SCIENCE.
  7. Direction pour la constitution d’un comité d’enquête distinct concernant le vent de la panique soudain pendant la deuxième vague de coronavirus en Inde, qui a été alimenté par des reportages incessants dans les médias sur la pénurie d’oxygène. Et pourquoi ledit battage médiatique a disparu dès l’apparition de l’enquête sur le ‘Tool Kit’ (kit contre la covid) a été commencée par la police de Delhi.

Accusation principale de complot contre les accusés

La plainte (paragraphe 26) porte contre tous les accusés qui sont tenus de répondre à l’accusation principale sur la base des documents, de preuves et de preuves de nature remarquable :

Le principal accusé Bill Gates et ses alliés de GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination) ont ourdi un complot visant à créer un marché fixe pour leurs vaccins et autres médicaments et dans ce complot, ils se sont joints à d’autres accusés. 

Les autres sont Dr Anthony Fauci, conseiller médical en chef du président des États-Unis, M. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef à l’OMS, Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, Jack Dorsey, PDG de Twitter, Steve Chen, Chad Hurley et Jawed Karim, YouTube (Google), Arvind Kejriwal, Ministre principal, Delhi et que les autres personnes citées dans l’annexe T13 ou celles qui pourraient être accusés après enquête approfondie.

Au paragraphe 26.3, on peut lire que les accusés ont commis un acte public dans la droite lignée d’un complot. Ils sont accusés par des actes de commission et d’omission, d’avoir :

  • i) créé de fausses données.
  • ii) supprimé et dissimulé de manière malhonnête des données réelles.
  • iii) distordu des faits importants.
  • iv) créé un narratif et un complot.
  • v) mis en place des politiques « préméditées » sur YouTube, Twitter, Facebook, etc. pour supprimer la vérité et empêcher l’information réelle de se propager
  • vi) supprimé des informations originales et scientifiques de plateformes telles que YouTube, Twitter et d’autres sur la base de « fausses politiques et conditions générales » allant à l’encontre des données scientifiques.
  • vii) publié des « vérification de faits » fausses et sponsorisées afin d’aller à l’encontre de la vérité et par la même d’entraîner la confusion dans l’esprit du public ; cela avait pour but de décourager les personnes, les scientifiques et les médecins qui possèdent des données scientifiques.
  • viii) réussi à « capturer » les agences de santé gouvernementales de nombreux pays pour obtenir les politiques et les règles formulées en fonction de leurs objectifs inavoués.
  • ix) entraîné la mort de personnes en s’assurant que ceux-ci ne devraient pas accéder ou obtenir les médicaments facilement disponibles, sûrs et abordables tels que l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, la vitamine D3, etc. et ayurvédique ainsi que les traitements naturopathes.
  • x) généré la peur dans l’esprit des gens afin que le vaccin puisse être présenté comme la seule alternative pour traiter et ainsi sauver les gens ; facilitant ainsi la voie à une autorisation d’utilisation en urgence (EUA) du vaccin non approuvé.         
  • xi) supprimé les données sur les effets dangereux du vaccin ainsi que l’usage de nombreux médicaments « ad hoc » couvrant ses effets.
  • xii) dévoyé, dissimulé ou supprimé les données sur l’inefficacité des vaccins et la mort de nombreuses personnes et de nombreux médecins. Ceci a entraîné des pertes de repères des gens causés par les sophismes des « hommes de paille ».
  • xiii) sous-déclaré les décès dus aux vaccins au travers de la création de règles à leur convenance.
  • xiv) essayé d’aller à l’encontre de la science réelle à l’aide de la rhétorique, c’est-à-dire la fausse science portée par les sophismes « de l’homme de paille », la malhonnêteté intellectuelle et les théories du complot pseudo-scientifiques.
  • xv) en outre, le cerveau de la conspiration et chef du Syndicat des vaccins M. Bill Gates a déjà été reconnu coupable d’essais illégaux et non autorisés de vaccins et d’avoir causé la mort de huit filles. Dans son 72e rapport du 28.08.2013, la Commission parlementaire de l’Inde Rajya Sabha a déjà recommandé une action en justice contre les membres du bureau de la Fondation Bill &Melinda Gates , des responsables de l’ICMR et d’autres accusés divers responsables de ces crimes odieux contre l’humanité.
  • xvi) tous les accusés étaient et sont bien conscients que par leur acte de commission et d’omission, ils vont causer la mort de millions d’innocents. Cependant ils ont choisi l’argent plutôt que les valeurs humaines. Ce sont eux les délinquants de l’humanité. Ils sont coupables de génocide. Ils ont commis des meurtres de masse avec sang-froid.

Ils ont enlevé les moyens de subsistance de l’homme du peuple et ont fait un enfer de la vie des pauvres. En raison de leurs conspirations, de nombreuses personnes qui ont réussi à survivre en prenant leurs médicaments toxiques souffrent maintenant d’effets secondaires graves ayant rendu leur vie misérable.

Ils ne méritent aucune sympathie ou indulgence. Sinon, ce sera une injustice pour toutes les victimes et une injustice pour toute l’humanité.

La peine minimale dans ce cas sera :

a) la peine de mort
et
b) La saisie de tous leurs biens meubles et immeubles et leur distribution égale à tous les peuples du monde.

D’autres questions importantes sont aussi mentionnées dans la plainte au paragraphe 2 mais suivent les mêmes bases qui comprennent la mise en cause des tests PCR, la censure et l’impossibilité pour les médecins d’échanger sur les réseaux sociaux sans risquer la censure.

La plainte a été déposée le 1er juillet 2021 et signée par la représente de l’association Me Dipali Ojha.

La plainte complète est disponible ci-après : Plainte [PDF]

www.indianbarassociation.in

Auteur(s): FranceSoir




Doit-on avoir peur des variants, nouveaux croquemitaines du lobby de la peur ?

Par Gérard Delépine

Le Covid a quitté la France depuis avril 2021, comme d’ailleurs les autres pays européens, sauf la Grande-Bretagne où la vaccination a entraîné l’apparition d’un nouveau variant avec lequel le gouvernement essaie de nous terroriser.

Les covidterroristes et leur politique d’emprise par la peur

Les Covid terroristes sont inquiets : sans peur, ils ne pourront plus imposer des mesures liberticides. Alors ils inventent des simulations terrifiantes : la nouvelle vague (ce n’est qu’un scénario de film catastrophe créé par ordinateur) et une foule de variants en les affublant de tous les qualificatifs pouvant entretenir la panique et promouvoir les pseudo vaccins.

Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, a développé le plan terreur actuel(([1] ce lundi matin 5 juillet sur France Inter)):

« le variant Delta gagne du terrain très rapidement ». « Il double presque chaque semaine, on est aujourd’hui à plus de 30 % des contaminations. » Sa capacité à supplanter les autres variants pour devenir majoritaire dans les prochaines semaines ne fait plus de doute. « Une quatrième vague fin juillet est une possibilité.L’exemple anglais montre qu’une vague est possible dès la fin juillet”. Il faut continuer à se faire vacciner » « Le seul moyen d’empêcher une aggravation de la situation sanitaire est d’avoir recours à la vaccination. »

Benoît Elleboode, très proche de Véran qui l’a récemment promu directeur de l’agence régionale de santé (ARS) de Nouvelle-Aquitaine, renchérissait :

« Toute personne non vaccinée sera contaminée par le variant Delta… une personne non vaccinée et contaminée par le variant Delta pouvait contaminer six personnes en moyenne, contre une seule si le malade est entièrement vacciné »

Mais curieusement, alors que le gouvernement passait jadis son temps à nous imposer chaque jour le nombre quotidien de cas et de morts, il ne donne plus aucun chiffre absolu. Et il oublie de préciser que ce variant, beaucoup moins mortifère que la souche initiale, peut être contrôlé par les traitements précoces.

L’épidémie en France est au plus bas et ne justifie aucune inquiétude

Depuis avril 2021, l’épidémie quitte le pays dans presque tous les pays européens. D’après l’OMS, en 1 jour (le 1/11/2020) la France avait comptabilisé 69 998 cas ; la semaine dernière la moyenne quotidienne de nouveau cas était inférieure à 2000. Et actuellement aucun élément objectif n’indique que la tendance puisse s’inverser.

Le réseau Sentinelle qui rapporte les données de la médecine de ville confirme la quasi-disparition de l’épidémie : « en semaine 25, le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-vus en consultation de médecine générale a été estimé à 0,3 cas pour 100 000, ce qui représente pour l’ensemble de la France 170 nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux continue à diminuer ».

Alors pourquoi le gouvernement cache-t-il ces chiffres rassurants ? Pourquoi continue-t-il à propager la peur avec des variants dont le variant delta vedette actuel est certes plus contagieux, mais encore moins mortifère que le précédent.

Le variant delta, plus contagieux, n’est le plus souvent qu’un gros rhume

Les virus à ARN comme le coronavirus ou la grippe se transforment souvent pour s’adapter aux modifications de leurs environnements. Nous savons tous que chaque année nous sommes confrontés à un virus grippal nouveau qui a pris le dessus pour sa résistance au vaccin de l’année précédente. Le coronavirus n’échappe pas à la règle habituelle de l’évolution : plus il mute, plus il devient résistant au vaccin en cours, plus contagieux et moins mortifère.

Lorsque le représentant du gouvernement tente d’affoler la population en faisant croire que le variant delta observé dans les Landes nous submergerait et nous tuerait tous. Il a « oublié » de préciser le nombre absolu de cas recensés et de rappeler sa bénignité habituelle. D’après Santé Publique France dans le département des Landes sur la période du 27 juin au 3 juillet, le taux d’incidence était de 49,8 cas pour 100 000 habitants, soit un total d’environ 200 cas (et en baisse par rapport à la semaine précédente). On sonne le tocsin pour 200 cas d’un virus très peu mortifère !

Car si ce variant est effectivement plus contagieux, il est très peu chez les dangereux chez les non-vaccinés. Un gros rhume ! En Grande-Bretagne, où il prédomine depuis 6 semaines et où le nombre de contaminations quotidiennes atteint les records de février dernier, le nombre d’hospitalisations et la mortalité quotidienne n’augmentent pas sensiblement chez les non-vaccinés.

En France, les deux morts du variant delta de l’EHPAD de Pontonx-sur-l’Adour étaient vaccinés, d’après le directeur départemental de l’ARS.(([2] Lou Bourdy, Variant Delta dans les Landes : un deuxième mort dans l’EHPAD de Pontonx-sur-l’Adour France Bleu Gascogne.27 juin 2021))

L’aggravation de l’infection à variant delta par la vaccination est confirmée par un rapport officiel récent(([3] Public Health England SARS-CoV-2 variants of concern and variants under investigation in England Technical briefing 1725 June 2021)) montrant que les Anglais vaccinés, contaminés par ce variant, sont exposés à un risque vital trois fois supérieur à celui des non-vaccinés ! Ce sur risque traduit très vraisemblablement un phénomène d’anticorps facilitants comme dans la catastrophe/scandale sanitaire récente du Dengvaxia aux Philippines.(([4] Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/analyse-d-une-catastrophe-217699)) Il est très regrettable que ce phénomène paradoxal ne semble pas avoir suscité pour l’instant des recherches qui pourraient permettre de l’éviter.

Les responsables anglais de la vaccination prétendent que la très faible mortalité actuelle serait due à la vaccination, en oubliant que les autres pays européens ont bénéficié aussi d’une chute drastique de la mortalité dès février, mars ou avril 2021, bien avant que le pourcentage de population vaccinée atteigne les 10 %.

Chiffres que même les mercenaires de la désinformation(([5] M.Bounafaa, S. Terragno : Vrai ou Fake : les vaccins sont-ils efficaces contre le variant Delta ? France info 02/07/2021)) n’ont pas pu contester ; ils ont dû se contorsionner en reconnaissant « en même temps » que le vaccin n’est pas efficace à 100 % et en prétendant (comme l’EMA le 1 juillet), que deux doses de vaccin anti-Covid-19 « semblent » protéger contre le très contagieux variant Delta, sans citer aucune étude scientifique qui le confirmerait, mais seulement des communiqués du fabricant et alors que l’épidémie à variant delta qui flambe chez les Anglais, pourtant très vaccinés, démontre le contraire.

Heureusement, il n’y a pas de raison de s’en inquiéter. Outre que ce variant delta est naturellement peu mortifère chez les non-vaccinés, il est de plus remarquablement sensible à l’Ivermectine et à la chloroquine ainsi que la démontré l’Inde qui a jugulé la poussée épidémique post vaccinale de ce variant avec ces traitements.

L’apparition de ce variant delta ne doit pas inquiéter. Il incite à ne pas se faire vacciner (pour ne pas aggraver son risque vital) et à se faire traiter dès les premiers signes cliniques par exemple selon le protocole de la Task Force Covid indienne.

Les covidterroristes ont plus d’un variant effrayant à leur arc. L’OMS a déjà répertorié plus d’une dizaine de variants dont l’alpha, le bêta, le gamma, le delta, le zêta, l’êta, le thêta, le Kappa (et ses 4 sous variants), le lambda (et ses deux sous-variants) et l’epsilon. À ce rythme, l’alphabet grec ne va pas longtemps suffire. Heureusement que les alphabets cyrillique, hindou, persan, arabe recèlent de nombreuses lettres utilisables.

L’invention de la menace « quatrième vague » par une boule de cristal

Nous avons été astreints à domicile en mars 2020 sur la seule foi d’une prédiction apocalyptique totalement fausse issue du rapport 9 de l’Imperial College et de Neil Ferguson, sacré grand devin officiel de l’OMS par Bill Gates.

Sa prophétie fausse a été prise pour parole d’évangile et a justifié l’astreinte à domicile de la population saine avec les malades (confinement aveugle) alors que les mesures classiques qui ont fait leurs preuves pour contrôler les épidémies ont toujours consisté à la séparation des malades et des personnes saines.

Ce sont les élèves français(([6] et en particulier le mathématicien Simon Cauchemez, chef de service de modélisation de l’institut Pasteur)) de ce mage dangereux qui, depuis le début de l’épidémie, se gargarisent de leurs prédictions fausses et veulent, tous les deux mois, nous enfermer, nous empêcher de vivre, de nous rencontrer, de travailler, d’enseigner nos enfants et nos étudiants et édictent des mesures dictatoriales prétendument sanitaires, dont aucune n’a pu apporter la moindre preuve scientifique d’utilité. Leurs dégâts médicaux par retard de soins et dégradation psychique, et leurs conséquences scolaires, universitaires, sociales et économiques se sont avérés et considérables.

La quatrième vague est la dernière invention du modèle mathématique faux dont les prédictions se sont toujours révélées erronées et qui nous ont coûté si cher.

Il serait temps que notre stratégie anticovid soit enfin basée sur les faits avérés et sur l’expérience des médecins de terrain qui savent qu’une maladie infectieuse doit être traitée le plus tôt possible. Qu’on s’inspire des stratégies des pays dont les résultats sont bien meilleurs que les nôtres, plutôt que sur des élucubrations parfois fortement biaisées par des liens d’intérêt.(([7] Beaucoup de membres du comité prétendument scientifique sont liés aux firmes fabricant des vaccins et le but principal de la privation de nos libertés est de nous obliger à nous faire injecter des prétendus vaccins. Mr Cauchemez est salarié de l’Institut Pasteur qui n’existe que par les vaccins…))

Le bon moyen de stopper le Covid, s’il revenait, est de le traiter précocement

L’Inde est parvenue à stopper la vague post-vaccinale de covid19 par la prescription précoce de chloroquine et/ou d’Ivermectine. La comparaison des évolutions indienne et britannique est éloquente.

Le bon moyen de limiter la mortalité est de traiter précocement

La Grande-Bretagne, et la France ont suivi à la lettre les recommandations de Ferguson et de l’OMS, limitant leur stratégie aux confinements et à la vaccination. L’Inde, au contraire, a surtout centré sa stratégie sur l’utilisation précoce et/ou préventive de traitements anciens et bon marché repositionnés. Au 8 juillet 2021, l’Inde pleure 296 morts/million d’habitants contre 1923 en Grande-Bretagne et 1661/M en France.

Conclusions

Il ne faut pas avoir peur des variants et des vagues à venir que les Covids terroristes agitent pour continuer à nous gouverner par la peur.

Le Covid traité précocement se comporte comme une mauvaise grippe. Ne nous précipitons pas sur des pseudo vaccins expérimentaux qui exposent à de nombreuses complications, déclenchent des pics d’épidémie et de mortalité sans donner une protection individuelle fiable, ni empêcher les transmissions virales, ni les récidives de l’épidémie.

Aux premiers signes cliniques du Covid, exigeons les traitements qui ont fait leurs preuves en Inde.





Note au Saker

Par Joseph Stroberg

En réponse à son article « Note aux dissidents Covid et anti-vaccins »

Le nombre de partisans ou de croyants d’une hypothèse (que ce soit celle de l’existence d’une pandémie ou son opposée) n’est pas une preuve de la validité de cette dernière. Giordano Bruno était le seul de son époque à penser que la Terre tournait autour du Soleil et non l’inverse, et on l’a brûlé vif pour cela.

Simplifier une théorie ou une hypothèse pour tenter de la ridiculiser ou de la démontrer comme étant fausse ne relève pas de démarche scientifique ni d’un processus d’enquête (journalistique ou judiciaire…).

Au-dessus de l’hypothèse discutable de la pandémie Covid-19 qui serait due à un virus dénommé SRAS-CoV-2, il existe quelques faits maintenant indiscutables, tels que les suivants :

  • La plupart des pays du monde (194 pays membres) s’en remettent à l’OMS pour ce qui concerne la gestion des pandémies et d’autres phénomènes médicaux supposés de grande ampleur, ceci du fait de leur adhésion signée à cet organisme.
  • Bill Gates est le plus grand contributeur privé au financement de l’OMS, loin devant la plupart des pays (voir notamment Qui finance l’OMS ? (siksik.org), Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ? Ou encore L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé), suivi par la GAVI et de nombreuses entreprises pharmaceutiques (qu’il finance aussi partiellement).
  • Lors de l’épidémie initiale de Covid, la Grippe a pratiquement disparu des radars.
  • La 5G a été initialement installée à Wuhan, en Corée du Sud et Saint-Marin, pays qui ont vu naître l’épidémie.
  • Le Laboratoire P4 de Wuhan a été financé en partie par la France (par le biais de l’Institut Pasteur). Ce laboratoire travaillait sur des coronavirus issus notamment de chauves-souris (voir : Fauci, OMS, Wuhan… la télévision australienne crève l’abcès).
  • L’OMS a recommandé initialement les mesures sanitaires Covid-19 reprises en chœur par la plupart des pays membres, sans preuve scientifique suffisante de leur validité et alors que jamais dans l’Histoire humaine de telles mesures n’avaient été prises (distanciation sociale, port du masque obligatoire, confinement de biens portants, etc.).
  • Les courbes de mortalité des différents pays ne montrent généralement aucune incidence favorable de ces mesures sur l’évolution de la situation (voir notamment les données de l’OMS et OurWorldinData).
  • Une pandémie très similaire a été simulée quelques semaines avant celle attribuée à la Covid-19, lors de lEvent 201 en fin 2019.
  • Il existe des composants biologiques minuscules d’aspect similaire dans les cellules humaines et animales, dont certains sont appelés « endosomes » (ou « exosomes » lorsqu’ils en sortent) et d’autres « virus » ou « rétrovirus » et dont on ne connaît pas en toute certitude la fonction ou les fonctions exactes.
  • Alors que l’hypothèse d’une origine humaine du SRAS-CoV-2 était décriée pendant près d’un an comme étant purement « complotiste », bien qu’elle soit soutenue comme hautement probable par le Professeur Montagnier et quelques autres sommités, elle circule maintenant sur les médias mainstream en tant qu’hypothèse réaliste et assez probable, surtout depuis que le gouvernement américain a commencé à investiguer sur cette question.
  • Les symptômes attribués à la maladie Covid-19 sont le plus souvent (voir Maladie à coronavirus (COVID-19) : Symptômes et traitement — Canada.ca) :
    • apparition ou aggravation de toux
    • essoufflement ou difficulté respiratoire
    • température égale ou supérieure à 38 °C
    • sensation de fièvre
    • frissons
    • fatigue ou faiblesse
    • douleurs musculaires ou courbatures
    • perte de l’odorat ou du goût
    • mal de tête
    • symptômes gastro‑intestinaux (douleur abdominale, diarrhée, vomissements)
    • malaises intenses.
  • Les symptômes attribués aux ondes pulsées (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G, 4G+…), similaires à ceux attribués à d’autres agents tels que chimiques en raison notamment des phénomènes de résonance et d’induction électromagnétique qui peuvent être induits par ces ondes à des fréquences particulières correspondant aux fréquences propres (notamment d’absorption) de ces agents (voir Diagnostic, traitement, ressources — ASEQ-EHAQ) :
    • Symptômes neurologiques : maux de tête, vertiges, nausées, difficultés de concentration, perte de mémoire, irritabilité, dépression, anxiété, insomnie, fatigue, faiblesse, spasmes musculaires, altération des réflexes, douleurs articulaires, douleurs dans les jambes, fièvre, ainsi que des symptômes plus sévères pouvant inclure des paralysies ou encore des psychoses.
    • Symptômes cardiaques : palpitations, arythmie, douleur dans la poitrine, modification de la pression sanguine, modification du rythme cardiaque, manque de souffle.
    • Symptômes respiratoires : sinusites, bronchites, pneumonies, asthme.
    • Symptômes dermatologiques : rougeurs, démangeaisons, sensation de brûlure.
    • Symptômes ophtalmologiques : douleurs et sensations de brûlure, tension oculaire, détérioration de la vision, cataracte.
    • Autres symptômes : problèmes digestifs, douleur abdominale, problème de thyroïde, douleurs aux ovaires ou aux testicules, sécheresse de la bouche, de la langue, des yeux, grande soif, déshydratation, saignements du nez, saignements, modification dans l’assimilation de sucre, problèmes immunitaires, perte de cheveux, douleurs dans les dents, détérioration des sens, perte d’odorat, bourdonnement dans les oreilles.
  • Symptômes grippaux (voir Les symptômes et l’évolution de la grippe) :
    • une forte fièvre (autour de 39 °C) ;
    • des frissons ;
    • une fatigue intense (asthénie), une sensation d’abattement avec perte d’appétit ;
    • des douleurs musculaires (courbatures) et articulaires diffuses ;
    • des maux de tête (céphalées) ;
    • puis une toux sèche et douloureuse.
  • Symptômes de l’action de la protéine Spike des « vaccins » à ARNm et du SRAS-CoV-2 (voir : SARS-CoV2 : alertes sur les potentialités toxiques de la protéine Spike (francesoir.fr) ):
    • microthromboses et saignements, etc.
  • Voir aussi : Les faits sur le coronavirus (ou Facts about Covid-19 – Swiss Policy Research (swprs.org) pour une mise à jour récente en anglais)

Maintenant, ce qui relève pour l’instant de questionnements légitimes qui n’ont pas encore reçu de réponse positive (voir Déclaration sur l’isolement des virus, Le culte de la virologie – Documentaire et Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies pour plus d’informations sur ces problématiques) :

  • Le virus SRAS-CoV-2 a-t-il réellement été isolé au sens physique du terme (à savoir séparé comme entité unique et indivisible d’autres composants issus d’une soupe génétique en provenance de tissus biologiques supposément infectés par lui) ? Il faut savoir que lorsque les virologues parlent habituellement de virus « isolé », ils ne font en fait que reconstituer son séquençage génétique à partir d’un modèle. Et un tel séquençage passe par une opération logicielle assez semblable à la résolution d’un puzzle mathématique dont il manque toujours des pièces et dont certaines ne se placent pas correctement dans les cases (et pour lesquelles le logiciel effectue une sorte de moyenne ou de rabotage, afin de pouvoir l’y caser). Dans le cas du SRAS-CoV-2, le modèle génétique utilisé pour cette opération logicielle est le génome lui-même séquencé (et donc supposé, mais non certain) du SRAS-CoV-1.
  • Est-ce que ce virus respecte tous les postulats de Rivers et le premier postulat de Koch, conditions minimales indispensables pour pouvoir démontrer qu’il serait effectivement la cause d’une maladie appelée Covid-19 ?
  • Vladimir Poutine, la plupart des dirigeants du monde et des virologues et autres experts mandatés « mainstream » (et souvent les seuls écoutés par ces dirigeants, au détriment de ceux qui ne suivent pas l’hypothèse ou croyance dominante) sont-ils omniscients et à l’abri de se tromper, qu’ils soient ou non majoritaires ?

Et ce qui relève seulement d’hypothèses non indubitablement démontrées, mais largement contestées par une partie non négligeable de chercheurs et de médecins sur la base de solides arguments statistiques et/ou factuels :

  • La Covid-19 serait une maladie unique (et non un ensemble disparate de symptômes couvrant plusieurs maladies ou problématiques différentes, dont, par exemple, l’exposition aux ondes électromagnétiques pulsées et particulièrement la nouvelle 5G à laquelle les corps humains ne sont pas encore habitués ?).
  • Elle aurait fait près de 4 millions de morts comme cause unique ou principale depuis plus d’un an et demi.
  • Les masques, le confinement, la distanciation sociale et la « vaccination » auraient ralenti l’épidémie.
  • Les virus seraient de méchantes nano bestioles provoquant des maladies plus ou moins mortelles (alors qu’une théorie alternative les présente comme simples conséquences de processus de dégradation cellulaire ou comme agents réparateurs dans d’autres cas, selon leur forme et structure).

Un argument de ceux qui tentent de rejeter la possibilité d’une hypothèse alternative à celle de pandémies virales consiste à dire qu’une théorie ou une explication extraordinaire requiert une preuve extraordinaire. En quel honneur devrait-elle bénéficier d’un traitement de défaveur en matière de mécanisme démonstratif, surtout si rien n’a encore été trouvé qui puisse véritablement la contredire ?

En matière de contradiction, par contre, la théorie virale fait figure de fragile château de cartes. Il semble bien malheureusement que jamais le moindre virus n’ait été véritablement isolé au sens physique du terme (mais seulement « séquencé par logiciel à la suite de processus physico-chimiques complexes ou particuliers ») et surtout n’ait pu être démontré comme cause effective de la maladie qu’il est supposé provoquer. Autrement dit, la pierre angulaire de cette théorie n’existe pour l’instant pas! Et si la théorie virale est sans fondement effectif, on comprend facilement qu’humainement et professionnellement, peu de virologues, d’infectiologues et autres experts microbiologiques le reconnaîtront et le mettront en avant au risque de ruiner leur carrière et le sens de leur vie.

La conséquence d’une telle remise en question scientifique serait la fin de la vaccination qui repose sur l’existence de virus nocifs comme causes de maladies dites « virales », et, dans la foulée, la fin probable de l’existence de l’industrie pharmaceutique. On comprend alors facilement que toute théorie alternative, aussi géniale soit-elle, sera massivement combattue par tous les moyens et par le biais d’un outil largement subventionné par cette industrie : les médias mainstream. Il s’agirait néanmoins d’une véritable révolution et représenterait probablement le seul moyen restant pour faire chuter le Nouvel Ordre Mondial, surtout si la fameuse « marque de la Bête » se trouve intimement liée à cette pseudo vaccination anti-Covid mondiale qui est poussée en avant par presque tous nos dirigeants pourtant peu enclins habituellement à servir réellement leurs peuples.




L’injection génique anti-Covid n’est pas un vaccin

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Tous les propagandistes des « vaccins anti-covid » sortent le label « Pasteur », comme si cela justifiait l’indéfendable et surtout coupait court à toute discussion sur son utilité et ses risques, sous peine d’être taxé d’antivax, de complotiste, de mauvais citoyen, de brebis galeuse et menacé d’être arrêté par la police et menotté en attendant un futur goulag.

L’utilisation de la renommée de Pasteur constitue ici une escroquerie, car ces injections anticovid ne sont pas des vaccins, mais des substances géniques expérimentales, des médicaments préventifs et devraient en conséquence, obéir à leur législation propre.(([1] document RITA déc. 2020 par des scientifiques francophones : Note%20d’expertise%20RITA%20(002).pdf))

LE VACCIN TRADITIONNEL AUQUEL LES PROMOTEURS MÉDIATIQUES FONT RÉFÉRENCE, UN AUTRE MONDE

Selon le dictionnaire Larousse, un vaccin est une

« substance d’origine microbienne (microbes vivants atténués ou tués, substances solubles) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l’immunité à l’égard de l’infection déterminée par les microbes mêmes dont elle provient et parfois à l’égard d’autres infections. »

Le principe vaccinal de Pasteur est de présenter les antigènes du virus à l’organisme hôte, dans le but de déclencher une réponse immunitaire qui génère des anticorps spécifiques. Lorsque le vaccin est efficace, le stock d’anticorps ainsi constitué et la mémoire immunitaire informée permettent le plus souvent d’éviter ou d’atténuer fortement la maladie naturelle ou ses conséquences délétères lors d’un contact ultérieur avec l’agent infectieux. Ceci correspond aux vaccins classiques anti-tétanos, antipolio, anti-diphtérie, etc.

À l’exception de SinoPharm et de SinoVac qui sont des vrais vaccins inactivés, aucun des traitements expérimentaux anti-covid 19 ne contient d’antigène. Ces derniers appartiennent à de nouvelles générations de médicament, improprement appelés « vaccins », pour des raisons de pur marketing, et rassurer le consommateur qui croit avoir affaire à quelque chose de connu.

LE « VACCIN GÉNIQUE EXPÉRIMENTAL », à ARNm, à ADN OU OGM

De nouvelles technologies développées en génie génétique (« genetic engineering ») sont fondées sur l’administration de molécules d’ADN ou d’ARNm artificiellement synthétisées avec pour objectif de contraindre un organisme hôte à produire lui-même les protéines codées par cette information génétique.

L’information génétique reçue transforme de facto l’organisme qui les reçoit en organisme génétiquement modifié.

L’insertion de génome viral dans le génome humain est un phénomène rare, mais connu et observable, que ce soit pour les virus à ADN, comme à ARN. Au cours de l’évolution, de nombreuses séquences génomiques d’origine virale ont été intégrées au génome humain et transmises à la descendance, au point que près de 8 % de notre génome est constitué d’ADN viral.

AVEC L’INJECTION DE CES MÉDICAMENTS NOUS JOUONS À L’APPRENTI SORCIER

MÉDICAMENTS DE THÉRAPIE INNOVANTE DE TYPE ATMP(([2] ATMP (pour Advanced Therapy Medicinal Products).))(([3] Procédure d’autorisation de mise sur le marché ANSM
Les ATMP doivent être développés en respectant le cadre législatif global concernant le développement et la mise sur le marché des médicaments.
Les essais cliniques doivent être effectués conformément à la directive 2001/20/CE applicable aux essais cliniques de médicaments humains, et dans le respect des bonnes pratiques cliniques (GCP). La procédure à suivre est identique à celles des autres médicaments.
La procédure d’obtention d’une autorisation de mise sur le marché doit obligatoirement être centralisée. La classification et la certification sont des procédures optionnelles, également gérées par l’Agence européenne des médicaments (EMA).))

Les technologies vaccinales préventives de nouvelle génération (jamais mises en œuvre chez l’homme auparavant) sont

  • le « vaccin à ARNm » qui propose d’injecter une information génétique du virus (ARNm viral), pour la faire fabriquer par la cellule humaine (ex. : stratégies de Pfizer-BioNTech et de Moderna) ;
  • le « vaccin OGM » qui propose d’injecter un organisme génétiquement modifié (ex. : adénovirus de chimpanzé recombinant ChAdox1 de AstraZeneca)(([4] Une dose (0,5 ml) d’AstraZeneca contient : antigène au moins 2,5 × 108 particules virales (U.I.) de l’Adénovirus de chimpanzé, codant la glycoprotéine Spike du SARS-CoV-2 (ChAdOx1-S) produit dans des cellules rénales embryonnaires humaines (Human Embryonic Kidney, HEK) 293 génétiquement modifiées, par la technologie de l’ADN recombinant.))

Les pseudo-vaccins anticovid actuellement appliqués en France (Moderna, Pfizer, Janssen, et AstraZeneca) appartiennent à cette catégorie sur le plan scientifique, mais aussi juridique.

Les médicaments de thérapie innovante (MTI, ATMP) — ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (integra.fr)(([5] Médicaments de thérapie innovante et préparations cellulaires à finalité thérapeutique site ANSM
Le contexte réglementaire des médicaments de thérapie innovante
Règlement européen sur les médicaments de thérapie innovante
Les trois types de produits : les MTI, les MTI-PP et les préparations
Le produit est-il un MTI, un MTI-PP ou une préparation ? Comment le déterminer ?
Les médicaments de thérapie innovante (MTI, ATMP)
Les médicaments de thérapie innovante préparés ponctuellement (MTI-PP, Exemption hospitalière)
Les préparations cellulaires ou tissulaires))

Les médicaments de type ATMP(([6] Les médicaments de thérapie innovante ou Advanced Therapy Medicinal Products (ATMP) sont des médicaments à usage humain qui comprennent la thérapie génique, la thérapie cellulaire somatique, l’ingénierie tissulaire et les médicaments combinés de thérapie innovante.)) ont les caractéristiques suivantes :

Les substances à ARNm

Comirnaty (Pfizer) contient une protéine appelée ARN messager (ARNm) comprenant des instructions pour la production d’une protéine du SARS-CoV-2 (rappel : le SARS-CoV-2 provoque la Covid-19).

 Comirnaty ne contient pas le virus lui-même et ne peut provoquer la Covid-19.

  • Les substances géniques contiennent une substance active qui contient ou constitue un acide nucléique recombinant et sont administrées à des personnes en vue de réguler, de réparer, de remplacer, d’ajouter ou de supprimer une séquence génétique.
  • Leur effet thérapeutique, prophylactique ou diagnostique dépend directement de la séquence d’acide nucléique recombinant qu’il contient ou au produit de l’expression génétique de cette séquence.

La stratégie du « vaccin à ARNm » repose sur le principe de faire produire par l’hôte une protéine de virus, c’est-à-dire de modifier génétiquement l’homme afin de lui conférer l’information qui est considérée comme manquante pour lutter contre la Covid-19. 

Le « vaccin à ARNm » a la particularité d’être constitué d’un acide nucléique de synthèse.

Cette stratégie génique vise des individus sains. Ces stratégies anti-Covid-19 sont expérimentales, car elles ont fait l’objet d’un développement accéléré (en « fast-track »), sans évaluation chez l’animal.

Ces produits en essai ne sont pas juridiquement des vaccins, mais bien des médicaments OGM.

Les autres « vaccins OGM »

Ils proposent d’injecter un organisme génétiquement modifié (ex. : adénovirus de chimpanzé recombinant ChAdox1 de AstraZeneca)

Le vaccin AZD1222 d’AstraZeneca est un vaccin à vecteur viral recombinant.

Cette technologie consiste à utiliser un virus non pathogène (ici un virus du singe modifié afin de l’empêcher de se répliquer).

Ensuite est intégrée dans son génome la séquence codant la protéine S (Spike) du SARS-CoV-2, et ce afin d’induire une réponse immunitaire humorale et cellulaire de l’organisme dirigée spécifiquement contre la protéine S, (et donc contre le SARS-CoV-2).

Ces substances géniques improprement appelées vaccins anticovid sont des médicaments OGM et dépendent de cette catégorie pour leur législation.

LE CODE DE LA SANTÉ PUBLIQUE (ARTICLE L.5111-1) DÉFINIT AINSI LE MÉDICAMENT :

« toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l’égard des maladies humaines ou animales, ainsi que toute substance ou composition pouvant être utilisée chez l’homme ou chez l’animal ou pouvant leur être administrée, en vue d’établir un diagnostic médical ou de restaurer, corriger ou modifier leurs fonctions physiologiques en exerçant une action pharmacologique, immunologique ou métabolique. »

L’article 13 de la convention d’Oviedo ratifiée par la France stipule, concernant les interventions sur le génome humain : une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise que pour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques, et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance.

Or, aucune étude sérieuse démontrant que ces ARM messagers ne pouvaient en aucun cas s’incorporer au génome des receveurs n’a été publiée.

Les exemptions législatives liées aux vaccins classiques telles que les onze vaccins obligatoires chez l’enfant ne peuvent en aucun cas servir de références juridiques ni médicales à une éventuelle obligation vaccinale anti-covid. 

Les pseudo-vaccins anticovid relèvent de la législation du MÉDICAMENT tant en UE qu’en France.





Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Edouard Husson

Le Forum Economique Mondial promeut la « Coalition mondiale pour la sûreté numérique » (Global Coalition for Digital Safety). Au moment où l’efficacité et le danger pour la santé des vaccins contre le SARS-COV2 en phase expérimentale sont de plus en plus discutés sur les réseaux sociaux du monde entier, le Forum de Davos passe à l’offensive pour tenter de coordonner la censure des gouvernements et celle des grandes plateformes de la Big Tech. Ce raidissement est bien entendu un signe de panique, mais vu la dispersion des forces de la liberté, il pourrait signifier aussi l’avènement d’un monde où nous ayons le choix entre le néo-fascisme façon Davos et le néo-maoïsme de la Chine continentale.

« La pandémie représente une fenêtre rare, mais étroite d’opportunité pour repenser, réimaginer et réinitialiser notre monde »
Klaus Schawb, Président et fondateur du Forum Économique Mondial [de Davos]

Qy’y a-t-il de commun entre Anna Bergström, CEO de Netclean, Dame Melanie Dawes, CEO d’Ofcom, Iain Drennan, directeur exécutif de la WeProtect Global AllianceMykhailo Fedorov, Vice-Premier ministre ukrainien, Julie Inman Grant, commissaire australienne à la sécurité numérique, Courtney Gregoire, Chief Digital Safety Officer de Microsoft, Tan Kiat How, Ministre de la Communication, de l’Information et du Développement National de Singapour, Maggie Louie, fondatrice et CEO d’Otto, Victoria Nash, Professeur Associé et directrice de l’Oxford Internet Institute, Susan Ness, Distinguished Fellow du German Marshall Fund of the United States,  Zunaid Ahmed Palak, Ministre de L’information et des Technologies de la Communication du Bengladesh,  Charlotte Petri Gornitzka, directrice des partenariats de l’UNICEF,  Johnny G. Plate,  Ministre de la Communication et de l’Information de la République d’Indonésie, Chris Priebe, fondateur et CEO de Two Hat Security, Joanna Rubinstein, ancienne présidente de la World Childhood Foundation,?  Ils sont les coordinateurs – et le visage avenant, politiquement correct –  d’une Global Coalition for Digital Safety mise en place par le Forum Economique mondial (WEF).

L’enfer est pavé de bonnes intentions

Sur le site du WEF, on lit ces lignes, signées Courtney Gregoire: 

« La technologie offre des outils pour apprendre, jouer, se connecter et contribuer à la résolution de certains des plus grands défis du monde. Mais les menaces à la sûreté digitale sont nombreuses. Le Forum économique mondial étant particulièrement bien placé pour accélérer la collaboration public-privé nécessaire pour faire progresser la sécurité numérique à l’échelle mondiale, Microsoft est impatient de participer et de contribuer à l’élaboration de solutions de la société tout entière à ce problème de la société tout entière ».

Ces termes qui n’engagent à rien cachent en fait une volonté de contrôle mondial de l’information, telle qu’exprimée par le Forum Economique Mondial à propos….des vaccins contre le COVID 19. Lisons par exemple cet extrait d’un autre article paru sur le site internet du WEF

« L’un des principaux défis de la sécurité en ligne est la prolifération de la désinformation en matière de santé, notamment en ce qui concerne les vaccins. Des recherches ont montré qu’un petit nombre de personnes influentes sont responsables de la majeure partie du contenu anti-vaccination sur les plateformes sociales. Ce contenu semble toucher un large public. Par exemple, une étude du King’s College de Londres a révélé qu’une personne sur trois au Royaume-Uni (34 %) dit avoir vu ou entendu des messages décourageant le public de se faire vacciner contre le coronavirus. L’impact de ces messages dans le monde réel devient maintenant plus clair.

La recherche a également montré que l’exposition à la désinformation était associée à une baisse de l’intention de se faire vacciner. En fait, les informations erronées à consonance scientifique sont plus fortement associées à une baisse de l’intention de se faire vacciner. Une étude récente menée par l’Unité de recherche comportementale de l’Institut de recherche économique et sociale (ESRI) a montré que les personnes qui sont moins susceptibles de suivre la couverture médiatique du COVID-19 sont plus susceptibles d’hésiter à se faire vacciner. Au vu de ces résultats, il est clair que l’écosystème médiatique a un rôle important à jouer pour lutter contre la désinformation et atteindre le public afin d’améliorer les connaissances sur le vaccin ».

« L’élite globale » est devenue la première source de théories complotistes

Sur le site du Forum Economique Mondial, toujours, on trouve la référence à une étude du Center for Countering Digital Hate, présentée comme « scientifique« , qui affirme que la critique des vaccins développés contre le COVID 19 est le fait d’une douzaine, pas plus, d’influenceurs sur les réseaux sociaux: 

« Douze personnes seulement sont à l’origine de près des deux tiers du contenu anti-vaccins qui circule sur les plateformes de médias sociaux. Cette nouvelle analyse du contenu posté ou partagé sur les médias sociaux plus de 812 000 fois entre février et mars révèle comment un petit groupe d’anti-vaxxers déterminés est responsable d’un raz-de-marée de désinformation – et montre comment les plateformes peuvent y remédier en faisant respecter leurs normes »

On peut difficilement imaginer théorie du complot plus flagrante ! Comme s’il n’y avait pas des milliers de médecins à travers le monde que leur serment d’Hippocrate amène à recommander la prudence face à des vaccins expérimentaux. Comme si le droit n’était pas du côté de ceux qui disent qu‘aucune vaccination obligatoire n’est légale tant que les vaccins sont encore en phase expérimentale. Comme si le site de l‘Agence Européenne de Médicament [Ndlr : le site EudraVigilance qui dépend de l’EMA] ne recensait pas un nombre inquiétant de décès (1500) [plus de 17 500 au début juillet, sachant que seulement moins de 1 à 10 % des effets secondaires y sont rapportés.] et de séquelles graves (150 000) [plus de 1 500 000] consécutifs à la vaccination contre le COVID. Comme si la base de données publiques Transparence Santé ne permettait pas de voir que les 100 signataires de la tribune du Journal du Dimanche en faveur de la vaccination généralisée totalisent 8,8 millions d’intérêts liés à l’industrie pharmaceutique

Mais Klaus Schwab et son réseau sont-ils capables de considérer qu’un point de vue différent du leur relève d’autre chose que d’une conspiration contre leur prétention à faire le bien à la planète? Se souviennent-ils cette époque, pas si lointaine, où il existait des régimes politiques au sein desquels une droite et une gauche, incarnées en un ou plusieurs partis, confrontaient leur point de vue en espérant obtenir une majorité des suffrages?  Cela s’appelait la démocratie. 

La convergence des néo-fascistes et des néo-maoïstes au sein du Forum Économique Mondial

Heureusement, nous disposons des décryptages de quelques esprits libres. Eric Verhaeghe, fondateur et président du Courrier des Stratèges a publié un Dictionnaire du Great Reset. Je recommande aussi la remarquable étude de Joel Kotkin, The Rise of Corporate-State tyranny (l’avènement de la tyrannie de l’Etat allié aux grandes entreprises) dans laquelle cet universitaire californien décrit l’avènement d’un véritable néo-fascisme en Occident : 

« Une convergence entre les deux superpuissances du monde est en train de se produire. Aux États-Unis, à mesure que la propriété et le pouvoir se consolident, la « diffusion du pouvoir », si essentielle à la démocratie, s’érode et l’autocratie se développe naturellement. Seuls les acteurs au plus haut niveau possèdent le poids et la motivation nécessaires pour influencer la politique. Ce puissant front consiste en une nouvelle alliance entre les grandes entreprises, Wall Street, et la cléricature progressiste du gouvernement et des médias.

Son programme comporte plusieurs objectifs. Du côté des entreprises, nous assistons à l’émergence d’un capitalisme de « parties prenantes », qui embrasse implicitement les priorités de l’État et celles des progressistes en général, comme un moyen de plaire aux régulateurs, aux plus réveillés parmi leurs employeurs et, dans une certaine mesure, à leur propre conscience. En cela, elles ressemblent aux entreprises des États autoritaires – comme l’Italie de Mussolini, l’Allemagne d’Hitler et la Chine d’aujourd’hui – où l’accumulation de capital privé est autorisée, mais où la dissidence par rapport aux normes convenues de l’académie des médias et du gouvernement, autrefois le privilège des individus et des entreprises, est maintenant largement interdite ».

Le fascisme de l’entre-deux-guerres, né dans l’Italie de Mussolini et porté à son maximum de nocivité dans l’Allemagne hitlérienne, a sombré dans la fascination pour l’aventurisme militaire et la revanche de la Première Guerre mondiale et sa « victoire volée ». Le néo-fascisme, qui met l’Etat au service des très grandes entreprises et se finance par la fiat currency poussée à l’extrême, ne commet pas les mêmes erreurs: il se présente comme pacifique, inclusif, antiraciste et sa fascination pour l’eugénisme se pare des atours du choix individuel transhumaniste tandis que la composante écologiste, facette méconnue du IIIè Reich, est mise en avant plus que de raison. Jonah Goldberg en avait proposé un tableau extraordinaire dans un livre intitulé Liberal Fascism et paru en janvier 2008. 

Ce néo-fascisme a besoin d’un contrôle de l’information. Et il le confier aux entreprises de la Big Tech. Au sein du Forum de Davos, comme l’a montré John Laughland, cette élite occidentale néo-fasciste rencontre l’élite néo-maoïste de la Chine de Xi Jingping. On ignore souvent que le Forum de Davos tient depuis des années une session annuelle à Pékin. 

Face à la convergence des deux néo-totalitarismes, les forces de la liberté sont dispersées, peu organisées et souvent naïves sur la détermination et la dangerosité de leurs adversaires. 


Commentaire d’un lecteur de l’article (MC) sur le site source :

MC dit :6 juillet 2021 à 23 h 11 min

Je complète… Nous rendons publique la plainte et nos découvertes au niveau mondial et nous vous incitons à vous associer à l’action du CSAPE [Ndlr : voir Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité] en déposant également plainte avant que la situation ne devienne irréversible pour cause d’absence de résistance effective. Il s’agit de l’avenir de l’humanité dont nos enfants.

Vous pouvez prendre connaissance de la plainte jointe. Après avoir découvert les informations révélées, toutes factuelles, vous serez certainement convaincus de la nécessité d’agir.

Dans ce cas le CSAPE peut vous aider dans la démarche.

VOUS POUVEZ TÉLÉCHARGER LA PLAINTE ET LA NOTE DE DIFFUSION ICI :
https://drive.google.com/drive/folders/15p8urv_iJT3EisYYZ-_mPND4PNbqeHMM?usp=sharing




C. Deviers-Joncour : Aucune injustice ne peut durer pour l’éternité

[Source : zonefr.com]

Par Christine Deviers-Joncour

La destruction par le feu, celle que redoutaient nos ancêtres qu’ils percevaient comme une manifestation satanique ou luciférienne, appartient aujourd’hui à notre quotidien.

Les voitures brûlèrent par milliers en France. Les Champs-Élysées eux-mêmes n’ont pas échappé aux flammes en 2018 et 2019, comme des dizaines d’églises, dont la plus prestigieuse : la Cathédrale Notre Dame. 

Sa destruction par le feu est un fort symbole !!

Guerres, révoltes, famines, révolutions, Notre Dame est toujours restée debout.

Il aura fallu attendre le XXIe siècle pour la voir s’embraser comme une boite d’allumettes  devant nos seigneurs et maitres hilares,  alors que nous disposions de moyens de prévention et de lutte contre les incendies inconnus auparavant.

Après le FEU : LE SANG !

Le sang de nos braves Gilets jaunes, les premiers à se lever avec courage !

Le règne macronien de ce président de pacotille restera dans les annales comme une descente aux enfers !

Mon premier époux, première fausse route de ma vie, ancien ministre de Chirac, soutien inconditionnel de Macron après avoir au bout de quarante ans, quitté son parti PR, les yeux énamourés, nous lançait avec conviction durant la campagne présidentielle de 2017:

« Votez Macron ! Vous verrez comme vous serez heureux ! »

Et bien, on a vu !

La « plandémie » sera le grand final.

Le WEF, Forum économique Mondial du diabolique Schwab a déclaré dans un article récent qu’afin d’obtenir une immunité collective contre la « maladie présumée de Covid-19 », les responsables de la santé publique devaient utiliser la « théorie de la publicité » :

Manipuler la façon dont les gens pensent et ressentent l’obtention du vaccin, utiliser les dirigeants et les agents de santé, faire de la propagande et offrir des pots-de-vin comme incitation à « aider les sceptiques à franchir les portes des centres de vaccination locaux« .

La deuxième étape que le WEF recommande aux responsables de la santé publique est de mettre en œuvre la propagande et le harcèlementUne guerre psychologique qui a déclenché l’émotion de la peur qui nous a transformé en agneaux sacrificiels sous prétexte de « faire leur part pour le plus grand bien« .

Les mondialistes ont visé une dépopulation mondiale massive, mais ils ne semblent pas se rendre compte qu’une fois qu’ils auront supprimé 90 % de la population actuelle, nous devrions survivre à l’effondrement économique, à l’effondrement alimentaire, aux guerres tribales, aux accidents nucléaires et à tout ce qui serait déclenché par le programme de dépopulation mondiale.

Voici leur programme :

Phase 1 : Vacciner en priorité les personnes désinformées qui sont pressées de se faire vacciner pour retrouver leur liberté.

Phase 2 : Offrir des incitations et des récompenses pour convaincre ceux qui hésitent. (Confiseries gratuites, bières gratuites, billets de loterie, etc.)

Phase 3 : Menacer ceux qui refusent de se faire vacciner en leur retirant leurs droits (interdiction d’entrée dans toutes manifestations sportives, concerts, interdiction de voyager, etc.).

Phase 4 : Criminaliser systématiquement les résistants aux vaccins en adoptant des lois sur les vaccins obligatoires.

Phase 5 : Lancer des escouades de vaccination au porte-à-porte pour vacciner de force les gens sous la menace d’une arme, contre leur gré.

On nous prévient que nous sommes dans la phase 4 !

La cinquième pourrait sonner le glas de leurs espérances mégalomanes et mortifères ! !

D’éminents experts affirment que les symptômes du variant DELTA sont équivalents à ceux du rhume des foins !

https://nationalfile.com/top-experts-say-covid-19-delta-variant-symptoms-are-identical-to-hay-fever-common-cold/

Ces satanistes ont le soutien du gouvernement, des médias, des forces de l’ordre et des revues « scientifiques » corrompues. Les médias aux ordres  nous menacent sur les plateaux TV. Voir les interventions de journalistes lamentables qui aboient comme de bons petits soldats. Il serait intéressant de chercher à savoir combien ils sont rémunérés pour un tel boulot !

Emmanuel Lechypre :

Et Thomas Porcher : (la vidéo est tellement violente que Youtube vient de la faire disparaître, il ne faut pas faire peur au bon peuple en lui dévoilant à l’avance, les projets diaboliques que les « élites » ont pour lui…)

https://www.youtube.com/watch?v=r2UAzKCaQvA

Nous sommes nombreux depuis des mois à faire l’impossible pour informer, pour alerter ! Et pourtant il y a encore des innocents qui continuent à se faire injecter ce poison !!! Cet ostracisme entre les vaccinés et ceux qui  refusent l’injection nous divise et ne fait que confirmer que la France se consume… sous le soleil de Satan ! 

Mais depuis peu les satanistes mettent les bouchées doubles ! Ils sont en panique, fébriles. Ils sentent bien qu’ils sont en train de perdre la main. Les peuples s’éveillent peu à peu. Le nombre de candidats aux vaccins s’amenuise, malgré leurs sondages truqués auxquels bon nombre ne croient plus.

Alors ils paniquent, s’affolent et  menacent ! On envoie les petits valets sur les plateaux TV : Vendre du vaccin, leur obsession. Ils sont à vue, indignes et pathétiques. 

Et dans le même temps, les deux injections ne suffisent plus. Le PDG de Moderna préconise une troisième dose dès fin août ! Nous voilà partis pour quatre injections par an, sans en connaître exactement la composition, ni les conséquences.

Tout ça pour un soi-disant virus dont la létalité pour les moins de 65 ans est de  0,05%%. Effrayant !

Et moi qui croyais naïvement dans les années 2000 que mon combat contre la corruption politique allait enfin changer la donne. Que leurs turpitudes mises en pleine lumière allaient les calmer.

J’ai risqué ma peau pendant cinq ans dans Paris avec contrat sur ma vie, autres menaces et mon gilet pare-balles sur le dos.. On compte une vingtaine de morts suspectes dans l’Affaire des frégates de Taiwan qui me concernait. Je serais la seule survivante ! La médiatisation m’a sauvée.

J’y croyais ! Je me suis battue comme une lionne sur tous les médias que je squattais à longueur de temps et publié  de nombreux livres !..

J’avais apprivoisé la peur. Et plus ils m’agressaient, me menaçaient  et m’insultaient et plus la force en moi grandissait. A travers mon affaire j’ai peu à peu compris à l’époque, pas si lointaine, le haut niveau de corruption, de manigances malpropres et meurtres qui régnaient à tous les étages de notre république ou ce qu’il en reste ! Mais aussi ce qu’ils nous préparaient !

Et c’est ça qui me donnait le courage de les dénoncer et les combattre !. Car ce que j’entendais et découvrais alors me donnait la nausée ! Je suis atterrée de constater que non seulement cela n’a servi à rien mais qu’ils ont de plus en plus dérivé !

Aujourd’hui on a décidément touché le fond : Un crime contre l’Humanité à l’échelle mondiale et leur chimérique Grand Reset !

Et l’utilisation des réseaux sociaux rassure nos bourreaux car ils sont persuadés que tant que nous y déversons nos colères, eux peuvent dormir tranquilles : juste un exutoire pour nous maintenir enfermés, isolés devant nos claviers, sans que cela dégénère à l’extérieur ! Macron n’a – pour l’instant – plus besoin de l’hélicoptère dans le jardin de l’Elysée !

Tout ce que je peux faire devant cet écran, c’est dénoncer le plan de ces monstres illuminés. « Je me révolte donc je suis« , disait Camus ! Et bien je tente depuis bien des années de réveiller le maximum de personnes avant qu’il ne soit trop tard.                 

J’y mets tout mon cœur, avec conviction et espoir ! Tout a une fin. Ils seront détruits ! Et j’en profite pour rendre hommage à ceux, les rares, qui m’ont tendu la main durant cette dure période, « ma drôle de guerre à moi« . Je veux adresser ici un remerciement tout particulier aux hommes d’honneur et de justice que sont les parachutistes, eux qui durant cette période où ma vie était menacée, ont veillé sur moi comme des anges gardiens. Je ne les oublierai jamais et je sais qu’ils veillent sur nous tous. Ils ne nous abandonneront pas, j’en suis sûre.

LA PRIÈRE DU PARA.

Je m’adresse à vous mon Dieu, car vous seul donnez ce que l’on peut obtenir que de soi.

Donnez-moi mon Dieu ce qu’il vous reste.

Donnez-moi ce qu’on ne vous demande jamais.

Je ne vous demande pas le repos, ni la tranquillité, ni celle de l’âme, ni celle du corps.

Je ne vous demande pas la richesse, ni le succès, ni même la santé.

Tout ça, mon Dieu, on vous l’a tellement demandé que vous ne devez plus en avoir.

Donnez-moi ce que l’on vous refuse !

Je veux l’insécurité et l’inquiétude.

Je veux la tourmente et la bagarre, et que vous me les donniez définitivement et que je sois sûr de les avoir toujours car je n’aurai pas toujours le courage de vous les demander. Donnez-moi mon Dieu ce qu’il vous reste, donnez-moi ce que les autres ne veulent pas.

Mais donnez-moi aussi le courage et la foi, car vous seul donnez que ce que l’on peut obtenir que de soi !




Celui qui a fait « DOLLY », le mouton, a-t-il aussi fait « COVID », la maladie ?

[Source : Le Saker Francophone]


Par Bogdan Herzog − Juin 2021

Dans un article(([1] Herzog, B. Sur la signification occulte du terme COVID. Une incursion succincte dans la reconnaissance des formes. Disponible en ligne sur geopolitica.ru, sur bogdanherzog.ro et en Français sur le lesakerfrancophone.fr. [NDLR l’article avait repris sur Nouveau Monde : Sur la signification occulte du terme COVID] )) écrit il y a un an, j’ai soutenu que lu en hébreu le nom de Covid devient Dybbuk, et que sa véritable signification est la possession démoniaque par un mauvais esprit. C’est essentiellement le même algorithme que j’ai identifié dans « Dolly », le premier animal cloné, qui en hébreu devient Ylud – se traduisant par nouveau-né. Dans le même article, j’ai tenté d’expliquer pourquoi des forces cachées seraient intéressées par le choix de tels noms de code et de certaines dates et j’ai attiré l’attention sur des événements antérieurs historiquement significatifs qui suivent le même schéma synchronique. Bien qu’à l’époque j’étais déjà au courant de certaines informations que vous rencontrerez dans cet article, j’ai préféré ne pas les divulguer à ce moment-là.

L’article, initialement publié en langue anglaise par le site Geopolitica, est devenu populaire dans les médias alternatifs et a ensuite été traduit en plusieurs langues [dont le français par LeSakerFrancophone à la demande de l’auteur, NdT] par des personnes que je ne connais pas personnellement et à qui j’aimerais exprimer ma gratitude, avant de poursuivre la présente thèse.

Comme la base théorique a déjà été expliquée dans l’article susmentionné intitulé On the Occult meaning of the word COVID et dans mon livre Synchronicité et Symbolisme,(([2] Herzog, B. Sincronicitate și Simbol, Frontiera, Timișoara. 2019)) le présent article sera centré sur la présentation de nouvelles informations au public. C’est au lecteur de juger si les informations présentées ci-dessous sont le fruit du hasard ou d’une action délibérée. Les synchronicités seront numérotées. Alors, c’est parti !

Les noms

Comme indiqué précédemment, lorsqu’il est écrit en hébreu, Dolly devient Ylod / ד ו ל י qui se traduit par nourrisson ou nouveau-né, et COVID devient DIVOC transcrit comme ק ו ב י ד ou dybbuk. Selon l’éminent spécialiste israélien Yoram Bilu, dans le folklore juif, un dybbuk est un esprit maléfique qui prend possession d’un humain(([3] Bilu, Y. Dybbuk et Maggid : Deux modèles culturels d’altération de la conscience dans le judaïsme, in Revue AJS, Vol 21 n° 2 (1996) Cambridge University Press, p. 348)):

Le terme dybbuk (dibbuq) était utilisé dans les cercles mystiques juifs pour désigner l’esprit d’un mort, pécheur notoire de son vivant, qui prenait temporairement possession d’un être humain (…) la possession par un dybbuk était toujours conçue comme une affliction ou une maladie et l’agent possesseur comme un intrus étranger et dangereux qu’il fallait expulser.

Dybbuk se traduit également par « obsession ». Plus important que le fait que Dolly et Covid aient en fait une certaine signification dans une autre langue, l’hébreu, ce qui pourrait être accidentel, c’est le fait que la signification des mots corresponde extrêmement bien aux événements qu’ils décrivent. Qu’est-ce qui est le plus vraisemblable, l’histoire officielle selon laquelle le premier animal cloné a été nommé d’après Dolly Parton, ou le fait qu’il signifie en fait « enfant » ou « nouveau-né » ? L’obsession/la possession décrit-elle précisément l’effet psychologique (et j’ose dire spirituel) que la pandémie a eu sur le monde ?

Par conséquent, nous ne décrivons pas de simples coïncidences Ce sont des coïncidences qui ont un sens. (1) et (2).

La tradition

(3) Dans mes études sur Carl Jung, j’ai rencontré le passage suivant, dans lequel le savant suisse décrit la tradition alchimique de la terminologie médicale et des noms de code, appliquée à Paracelse(([4] Jung. C.G. Alchemical Studies, dans The Collected Works of C.G. Jung, Volume 13, Bollingen Series XX, Princeton, p. 121-122.)):

Généralement, certains symptômes apparaissent, parmi lesquels un usage particulier du langage : on veut parler avec force pour impressionner son adversaire, on emploie donc un style spécial, « grandiloquent », plein de néologismes que l’on pourrait qualifier de « mots forts ». Ce symptôme est observable non seulement dans la clinique psychiatrique, mais aussi chez certains philosophes modernes et, surtout, chaque fois qu’il faut insister sur quelque chose d’indigne de la croyance malgré une résistance intérieure : la langue se gonfle, se surpasse, pousse des mots grotesques qui ne se distinguent que par leur complexité inutile. Le mot est chargé d’accomplir ce qui ne peut être fait par des moyens honnêtes. C’est le vieux mot magie, et parfois il peut dégénérer en une maladie ordinaire. Paracelse en était atteint à un tel point que même ses élèves les plus proches étaient obligés de compiler des « onomastica » (listes de mots) et de publier des commentaires.

Le lecteur non averti se heurte continuellement à ces néologismes et est d’abord complètement déconcerté, car Paracelse ne prend jamais la peine de donner des explications, même lorsque, comme c’est souvent le cas, le mot est un légomène hapax (qui n’apparaît qu’une seule fois). Souvent, ce n’est qu’en comparant plusieurs passages que l’on peut en dégager approximativement le sens. Il existe toutefois des circonstances atténuantes : les médecins ont toujours aimé utiliser un jargon magiquement incompréhensible, même pour les choses les plus ordinaires. Cela fait partie du personnage médical. Mais il est étrange que Paracelse, qui se targuait d’enseigner et d’écrire en allemand, ait été le seul à concocter les néologismes les plus complexes en latin, grec, italien, hébreu ou même arabe.

La magie est insidieuse, et c’est là que réside son danger. À un moment donné, alors que Paracelse discute de sorcellerie, il tombe dans l’utilisation d’un langage magique de sorcier sans donner la moindre explication. (…)

Dans les rites magiques, l’inversion des lettres sert le but diabolique de transformer l’ordre divin en un désordre infernal. Il est remarquable de voir avec quelle désinvolture et quel manque de réflexion Paracelse reprend ces mots magiquement déformés et laisse simplement le lecteur en faire ce qu’il peut. (…) Il était convaincu que les médecins devaient avoir une connaissance des arts magiques et ne devaient pas renoncer à la sorcellerie si cela pouvait aider leurs patients. Mais ce genre de magie populaire n’est pas chrétienne, elle est manifestement païenne – en un mot, un « Pagoyum ».

(4) A ce stade, permettez-moi de citer un passage d’un autre éminent érudit, le rabbin Joshua Trachtenberg, qui, dans son livre sur l’utilisation de la magie et du folklore juif, écrit ce qui suit sur l’utilisation de noms de code aux fins d’invocations(([5] Trachtenberg J. Jewish Magic and Superstition disponible en ligne sur scribd pp. 228-229.)):

Une caractéristique familière de la magie est l’injonction de faire les choses à l’envers, de marcher à reculons, de mettre ses vêtements à l’envers, de jeter des choses derrière son dos. Le même principe s’applique aux incantations, et les charmes juifs talmudiques et médiévaux illustrent amplement son fonctionnement. Les citations bibliques étaient souvent récitées à l’endroit et à l’envers, les noms mystiques étaient inversés ; parfois, les mots étaient écrits à l’envers au moment où ils devaient être prononcés, de sorte qu’il faut une grande agilité mentale pour ne pas se laisser prendre par ce rendu contre nature. Les phrases pouvant être lues de la même façon dans les deux sens étaient particulièrement appréciées. particulièrement prisées. Le but était de capitaliser le mystère du bizarre et de l’inconnu, et le pouvoir associé à la capacité d’inverser l’ordre naturel des choses.

Le lieu

(5) Comme je l’ai déjà précisé dans mon livre et mon article, la première information qui a attiré mon attention sur « DOLLY » a été le fait que le premier animal « fabriqué » artificiellement par l’homme était le produit du Roslin Institute, situé dans le minuscule village écossais du même nom (également orthographié Rosslyn) où se trouve la célèbre chapelle Rosslyn. En fait, l’Institut a été créé précisément pour cet événement, dans un lieu dont la signification franc-maçonnique et hermétique est reconnue.

Les chiffres :

(6) DOLLY a été annoncé(([6] Roslin Institute official website)) le 22 février 1997 – 22.2.1997 (222).

(7) COVID a été annoncé(([7] Remarques du Directeur général de l’OMS lors du point de presse sur 2019nCOV le 11 février 2020)) le 11 février 2020 – 11.02.2020 (222)

(8) La valeur guématrique juive de ק ו ב י ד ( Dybbuk) est 122. La 19ème lettre de l’alphabet hébreu, Kuf(([8] Kuf – La dix-neuvième lettre de l’alphabet hébreu, disponible)) ( ק ) a une valeur guématrique de 100. Par conséquent, COVID 19 ( ק ו ב י ד 19) a une valeur guématrique de (222).

(9) Quel est le slogan choisi pour le Grand Reset ? Build Back Better, également marqué dans le monde entier comme « BBB », avec la valeur numérique de 222, bien sûr.

Ces séquences de trois deux sont-elles le fruit du hasard ? Quelles sont les probabilités ? Peut-on les interpréter d’une certaine manière ? S’agit-il d’une sorte d’invocation, du type de celle dont parle Trachtenberg, et si oui, une invocation de quoi ? Que signifie le chiffre trois fois 222 ? Laissons au lecteur le soin d’en juger.

(10) Gardez aussi à l’esprit, quel est le chiffre de l’année prochaine ? Pourquoi cela est-il pertinent ? Qui le fait ?

Eh bien, on pourrait soutenir que tout ce qui précède est le fruit du hasard, ou qu’il pourrait s’agir d’un jeu de mots bénin de la part de spécialistes médicaux, dans la tradition du jargon médical de Paracelse, cryptique pour le public, significatif pour l’initié. Mais ce qui pourrait être bénin dans le cas de Dolly, semble vraiment horrible dans le cas d’une maladie qui a tué de nombreuses personnes et a forcé un confinement mondial.

Je n’aurais peut-être pas écrit cet article, mais ces dernières semaines, un changement s’est produit dans les messages autorisés à être envoyés au public. La fuite du laboratoire de Wuhan, après avoir été qualifiée de théorie du complot et par conséquent bannie par les médias sociaux, est soudainement devenue acceptable dans le discours public. Les implications sont géopolitiques : La Chine doit être accusée de négligence ou, bien pire, de malveillance délibérée. Pour contrer cela, les journalistes des médias alternatifs, tels que Ron Unz, ont mis en avant les jeux militaires qui ont eu lieu à Wuhan à l’automne 2019, et la possibilité que le virus se soit propagé à cet endroit par des militaires venant de pays étrangers. Eh bien, qui sait, mais passons notre chemin… Maintenant, étant conscient des informations fournies ci-dessus, laissez-moi demander au lecteur : voyez-vous un modèle ? Peut-on identifier un certain modèle, une signature si vous voulez, dans ces synchronicités (1) à (10) ? Si oui, le parti communiste chinois est-il capable d’établir un institut au Royaume-Uni et de donner un nom alchimique significatif à Dolly ? L’armée américaine peut-elle faire le faire ? Le PCC ou l’armée américaine peuvent-ils donner un nom à DOLLY, COVID et BBB et choisir les dates de l’annonce publique de l’Institut Roslin et de l’Organisation mondiale de la santé ?

Une secte ashkénaze marginale soucieuse de préserver son folklore peut-elle faire ces choses ? Peuvent-ils organiser le sommet de Davos et promouvoir le concept du Grand Reset sous le slogan BBB ? Si la réponse est non, qui le peut ? Existe-t-il une organisation internationale avec des chapitres dans différents pays du monde, s’inspirant de la tradition hermétique et alchimique ? Y a-t-il un lien possible entre Roslin, Covid et Davos ?

Comme les choses arrivent toujours avec pour une raison, j’ai récemment mis le pied sur une information précieuse qui semble presque surréaliste. En janvier 2019, environ dix mois avant le début de la pandémie, des scientifiques britanniques se sont rendus à Davos, en Suisse, pour annoncer devant les dirigeants du monde entier la mise au point réussie de vaccins à ARNm capables de combattre la grippe et l’apparition future de mystérieux agents pathogènes tels que la maladie X ! Je sais, j’ai dû me frotter les yeux aussi, mais c’est exact à 100%. Non seulement cela, mais ces vaccins ont été mis au point avec… la coopération du Roslin Institute, car, vous le savez, le Roslin est spécialisé dans la recherche animale et les maladies telles que la grippe aviaire. Permettez-moi de citer le site officiel de l’Imperial College de Londres, où un article daté du 24 janvier 2019 indique ce qui suit(([9] Des scientifiques de l’Impérial présentent la révolution des vaccins aux dirigeants du monde entier au WEF de Davos, disponible à l’adresse)):

Le professeur Robin Shattock, responsable de l’infection et de l’immunité des muqueuses au sein du département de médecine, travaille sur la fabrication de vaccins à ARN pour créer une réactivité plus rapide et plus accessible aux épidémies d’agents pathogènes connus – comme la grippe, et d’agents pathogènes inconnus, appelés maladie X. …

Les vaccins synthétiques à ARN – qui exploitent la machinerie cellulaire de l’organisme pour fabriquer un antigène plutôt que de l’injecter directement – ne prennent que quelques semaines à produire et pourraient constituer la voie la plus facile pour assurer la cohérence du produit au niveau mondial. …

Le professeur Shattock a déclaré : « Dans une situation de pandémie, pour chaque mois de retard, il y a un potentiel de cinq millions de décès, ce qui équivaut à perdre une ville de la taille de Rome ou de Singapour chaque mois. Nous devons complètement repenser la manière dont les vaccins sont produits et approuvés » …

En collaboration avec le Roslin Institute, le professeur Barclay utilise la technologie CRISPR – un moyen de modifier avec précision le génome d’une espèce pour introduire de nouveaux traits bénéfiques – pour développer des poulets totalement résistants à l’infection par le virus de la grippe.

Maintenant, dites-moi que c’est aussi une coïncidence !

Que suis-je en train de dire ? Est-ce que j’insinue que les scientifiques britanniques de Roslin ou de l’Imperial ont un lien quelconque avec la pandémie ? Pas nécessairement. Cependant, ce que j’affirme, c’est qu’il y a une forte ressemblance entre les deux événements et qu’il y a une forte probabilité qu’ils partagent le même centre de commandement. Je considère que des forces au plus haut niveau d’une organisation internationale, lorsqu’elles ont été informées que la technologie de clonage était fonctionnelle, ont décidé de cloner un mouton et d’annoncer l’événement dans un lieu à la signification hautement symbolique.

Ils ont laissé leur signature en nom et en chiffre. La même signature a été identifiée plus tard dans la COVID. Il est possible que, pour des raisons connues d’eux-mêmes, les personnes du même centre de commandement aient ensuite ordonné le développement d’un traitement médical pour une future pandémie qu’ils ont initialement nommée maladie X. Lorsqu’ils ont été informés qu’une certaine procédure médicale comprenant des vaccinations de masse avec de l’ARNm avait été développée, ils ont rendu l’information publique à Davos. Dix mois plus tard, la maladie X est apparue en Chine et a été baptisée COVID selon l’algorithme utilisé pour Dolly.

Le lieu, le nom, le chiffre, tout cela a l’apparence d’un travail rituel. Je ne sais pas pour vous, mais j’aimerais que la police, ou une autorité quelconque, enquête sur ces coïncidences et ces personnes. Sauf que, dans certains cas, ces personnes pourraient être la police. Par exemple, le comte Rosslyn, propriétaire de la chapelle Rosslyn, a été le chef de Scotland Yard (police métropolitaine) et est actuellement le maître de maison de l’héritier de la couronne britannique, le prince de Galles

Nous devons nous défendre. Et prier.

Bogdan Herzog, Timișoara, 3 juin 2021

PS : Pour les personnes intéressées par le rôle joué par la tradition hermétique dans l’établissement de la Royal Society, « la plus ancienne institution scientifique nationale du monde », profondément interconnectée avec Roslin et Imperial, conseiller du gouvernement britannique, de la Commission européenne, des réunions du G7/G8 et des Nations Unies et de ses agences, je recommande vivement les travaux de Dame Frances Yates, en particulier The Rosicrucian Enlightenment.(([10] En mettant l’accent sur le chapitre 13 – Du Collège Invisible à la Royal Society au chapitre 15 – Rosicrucianisme et franc-maçonnerie, dans Yates, F. – The Rosicrucian Enlightenment, Routlegde, 2001 également disponible en ligne à l’adresse))

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Notes




NON ! Non, je n’obéirai pas à une injonction vaccinale ! Point… final !

Par Alain Tortosa

Quels que soient mon métier, les chantages, les sanctions, les menaces de blâmes, les mises à pied ou autres licenciements…, je ne me plierai jamais à une injonction vaccinale contre le Covid.

Non je ne suis pas « anti-vax »…
Non je ne suis pas complotiste, extrémiste ou délirant…
Non je ne fais pas de la désinformation…
Non je ne suis pas irresponsable…
Non je ne mets pas les autres en danger…

Je ne suis pas contre la vaccination anticovid même s’il pouvait y avoir matière…

En revanche, je suis contre l’obligation vaccinale et contre l’absence de consentement libre et éclairé qui ne peut exister sans une information loyale et plurielle qui est censurée par les médias.

Je suis d’autant plus opposé à l’obligation vaccinale contre le Covid :

  • que le gouvernement a répété durant des mois que cette vaccination devait relever du choix de chaque individu, et ce, quelle que soit sa profession ;
  • qu’une vaccination est un acte médical fort qui modifie notre système immunitaire ;
  • que cette maladie ne menace qu’une infime partie de la population, population qu’il est possible de traiter et protéger autrement ou qui décédera quoiqu’il arrive de ses comorbidités ou de son âge ;
  • que les moyens financiers ont été orientés quasi exclusivement vers le « vaccin » ;
  • que ces « vaccins » sont en phase III de tests et soumis à une AMM conditionnelle à l’absence de traitements ;
  • que ces vaccins ont bénéficié de dérogations sur des sécurités élémentaires ;
  • que les laboratoires ont été déchargés de leurs responsabilités ;
  • que l’ARNm est expérimental et qu’il n’a jamais été diffusé à grande échelle et encore moins sur une population jeune et en bonne santé ;
  • qu’il existe des traitements efficaces utilisés avec succès dans de nombreux pays et qui ont été interdits en France ;
  • que le risque de Covid grave pour une personne de moins de 60 ans en bonne santé est quasi nul ;
  • que le risque de décès du Covid pour une personne de moins de 60 ans en bonne santé est nul ;
  • que le rapport bénéfice vs risque ne peut qu’être défavorable pour une personne jeune en bonne santé ;
  • qu’il existe des effets secondaires réels rares, peu remontés, mais graves ;
  • que même les sociétés d’assurance refusent d’indemniser les victimes d’un vaccin « expérimental » ;
  • que les effets secondaires remontés sont d’autant plus graves que l’on est jeune ;
  • que les effets à long terme de maladies auto-immunes ou de cancers sont inconnus ;
  • que les effets à long terme sur la fertilité ne sont pas connus ;
  • que l’apport du vaccin versus les traitements préventifs et curatifs n’a jamais été évalué ;
  • qu’aucune politique ciblée sur les personnes à risque n’a jamais été mise en œuvre ;
  • que des pays qui ont massivement vacciné, connaissent de fortes nouvelles vagues ;
  • que la vaccination massive durant une épidémie favorise les variants ;
  • que l’immunité vaccinale de masse contre un coronavirus relève du mythe ;
  • que les vaccins n’empêchent pas la contamination comme cela a été confirmé par le Ministre de la Santé, mais aussi par l’obligation du port du masque qui demeure pour les personnes vaccinées… et la volonté d’une obligation vaccinale dont l’objet est de protéger les personnes vaccinées et donc qu’il ne saurait exister une vaccination « solidaire ».

Alain Tortosa — 7 juillet 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210707-non-a-une-injonction-vaccinale.pdf




Vos petits-enfants porteront encore des masques en 2050 et ils ne se rappelleront pas pourquoi

[Source : anguillesousroche.com]

L’éminent auteur britannique Peter Hitchens prévient que si les gens continuent d’accepter allègrement les restrictions du confinement, leurs petits-enfants porteront encore des masques en 2050 et personne ne se souviendra pourquoi.

« Si les gens ne s’y opposent pas maintenant, leurs petits-enfants porteront des masques dans les années 2050, mais personne ne se souviendra pourquoi », a tweeté Hitchens.

Il répondait à un nouveau rapport qui révèle qu’en dépit de la promesse du gouvernement britannique de lever toutes les restrictions relatives au confinement et au port du masque pour la « journée de la liberté » du 19 juillet, les compagnies aériennes, les magasins et autres entreprises les maintiendront en place.

Ryanair et EasyJet ont répondu à l’annonce du gouvernement en jurant de forcer les gens à continuer à porter un masque indéfiniment.

« Afin de protéger la santé de nos clients et de notre équipage, l’utilisation de masques faciaux restera obligatoire sur tous les vols Ryanair, quel que soit le pays de départ/de destination », a déclaré la compagnie aérienne dans un communiqué.

EasyJet a adopté un ton similaire, annonçant : « À l’heure actuelle, il n’y a pas de changement dans la politique de masque à bord d’easyJet et nous continuerons à garder cela à l’étude. »

« Ils rejoindront les entreprises d’autres secteurs qui ont décidé de refuser la clientèle des personnes qui ne suivent pas les ‘conseils’ du gouvernement après le 19 juillet », écrit Michael Curzon.

En d’autres termes, quoi que dise le gouvernement, puisqu’il n’interdira pas explicitement aux entreprises d’appliquer les mandats de masquage, la prétendue « journée de la liberté » n’est rien de tel et les restrictions resteront de facto en place indéfiniment.

Ce sera de la musique aux oreilles des conseillers du gouvernement SAGE comme Susan Michie, une communiste avouée qui insiste sur le fait que les gens devraient être forcés de porter des masques « pour toujours ».

En février 2020, le Dr Anthony Fauci a admis qu’un masque facial typique acheté dans le commerce « n’est pas vraiment efficace pour empêcher l’entrée du virus, qui est assez petit pour passer à travers le matériau ».

Une étude danoise évaluée par des pairs et portant sur 6 000 participants a révélé qu’« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient un masque et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 »rapporte le Spectator.

« 1,8 % des personnes portant un masque ont attrapé le Covid, contre 2,1 % dans le groupe témoin. Par conséquent, il semble que tout effet des masques sur la prévention de la propagation de la maladie dans la communauté soit faible. »




Médiator : un conte pour Noël ?

[Source : Site Web du Dr Marc GIRARD] (rolandsimion.org)]

lundi 23 septembre 2019 par Marc Girard

L’actualité médiatique me conduit à ressortir cet article sur la mystification Médiator (date de première mise en ligne : 01/01/2011(([1] N’en déplaise à ceux qui ne veulent plus entendre parler de Frachon après l’avoir adulée, ce n’est pas moi qui ai changé d’avis…))). Ni l’émission de C dans l’air à laquelle j’avais participé et où le plus ardent adulateur d’Irène Frachon(([2] Et le plus sévère pourfendeur de Servier.)) avait été le président du LEEM (le syndicat national de l’industrie pharmaceutique), ni la politique sanitaire de Macron et de sa bande, ni les blocages de la justice sur des affaires d’une tout autre gravité, ne m’incitent à renier ma prédiction que grâce à la bouffonnerie Frachon, la situation serait « pire qu’avant ».

L’affaire Médiator, on l’a dit et documenté, défie le sens commun. Et par le nombre de victimes (extrêmement faible toutes choses égales par ailleurs), et par l’inexplicable tardiveté de cette micro-révélation relativement à l’immense scandale des anorexigènes impunément commercialisés par Servier depuis 1963, et par l’invraisemblance des circonstances ayant conduit à sa révélation, et par le caractère éminemment suspect de l’unanimité dans la dénonciation qui devrait soulever d’autant plus de résistances qu’elle vise une corruption censément généralisée – « palpable » dit le Petit Poucet (TF1 News, 30/12/10) : quand on « palpe » où ça fait mal, on s’attire généralement des gueulements, et pas des louanges généralisées – notamment des instances qui mériteraient le plus d’être palpées…(([3] Plus d’un an après la mise en ligne de cet article, je lis sous la plume de Jacques Ellul (Exégèse des nouveaux lieux communs, La Table Ronde, Paris, 2004 : p. 18.) : « Ce qui révèle le plus aisément le lieu commun, c’est précisément cet accord de tous ! » A l’aune de ce critère, il est facile de reconnaître le « lieu commun » dans cette dénonciation apparemment implacable de la pseudo-affaire Médiator.))

À l’évidence, il y a de la magie dans tout cela.

Eu égard à l’intérêt assumé du présent site pour les contes de fées, il peut être utile de relire l’actualité à la lumière des analyses désormais bien classiques de V. Propp.(([4] V. Propp. Morphologie du conte. Paris, Seuil, 1970.))

Le héros, c’est le Petit Poucet : caractère superbement trempé, comme attendu d’un pneumologue exerçant dans une ville où quand il y a de la brume, c’est qu’il va pleuvoir, alors que quand il n’y en a pas, c’est qu’il pleut… Comme souvent dans la littérature merveilleuse, la tradition est parasitée par une autre source – La Belle au Bois dormant en l’occurrence – puisque se réveillant d’un sommeil de cent ans, le Petit Poucet prétend vouloir éviter un deuxième scandale.(([5] Sur ce point, les sources varient un peu, Poucet déclarant, selon d’autres versions, vouloir éviter « un troisième » scandale (France-Soir, 22/12/10), accréditant de la sorte l’existence d’un précédent avec l’Isoméride pourtant présenté dans son livre (p. 28) comme la démonstration de l’exception française par contraste avec la jobardise des Américains. Historiquement, il convient de rappeler que c’est depuis ce jour où notre Agence a ridiculisé les autorités américaines dans la gestion du scandale fenfluramines que l’on trouve des coqs sur tous les clochers de France.)) Les enfants rient beaucoup à cette version, car, bien moins naïfs que ne l’imaginent les adultes, ils savent très bien qu’il y a plus que « deux » ou « trois » scandales au Royaume de la Pharmacie, et que quand un canard comme Le Figaro vous tresse plusieurs couronnes de laurier par jour, c’est qu’il y a un blèmepro – comme ils disent…

Le méchant, c’est le fabricant du médicament. Comme tous les êtres malfaisants, il a les yeux rouges – et l’haleine fétide : même les crapauds craignent sa bave !… Tous les ans, à la même saison, il charme de jeunes vierges en leur faisant croire qu’elles seront bien plus séduisantes si elles perdent quelques grammes avant de paraître en bikini. Il les abandonne exsangues et moribondes sur les plages de sable, hélas hors d’atteinte du Parquet – lequel (comme la DDE, cette fois avec la neige) n’est évidemment pas équipé pour intervenir en pareil terrain.

Le chevalier, c’est le super-épidémiologiste qui a tout découvert avant tout le monde sans rien dire à personne. Malgré sa vaillance, il a été transformé en statue de pierre par le méchant (il l’a d’ailleurs échappé belle, parce que pour le même prix, il aurait pu se retrouver sous forme d’un « petit cercueil« ). Bref et pour dire, sa délivrance dépend du héros. Petit Poucet doit venir, lui donner un grand coup de pied et, lui, doit alors débiter une formule magique : « Ouille mon cul ! Hue mes c*** ! À dada sur mon bidet ! Prout ! Prout ! Prout ! » Le comique de la situation tient d’une part à la disproportion entre le petit pied de Poucet et le derrière du chevalier, d’autre part aux connotations sexuelles et scatologiques d’une formule magique en forme de comptine, bien classiques dans la littérature merveilleuse – et qui font beaucoup rire les enfants.

Le roi, c’est le ministre de la santé. Dans la logique narrative du conte, il n’a pas besoin d’être intelligent : c’est juste une instance de décision.(([6] Qui dispense le narrateur de la moindre justification concernant les décisions en question : nous reviendrons sur ce point à la fin.)) Ainsi, il peut prendre d’abord des décisions favorables au méchant, puis se déclarer en faveur du héros, tout en regrettant le sort injuste réservé au chevalier. Bonjour pour le suspense…

Les donateurs, ce sont tous les faux-culs de l’administration sanitaire qui, après avoir soutenu le méchant durant des décennies, se découvrent une soudaine passion pour la mission de Poucet. Ce sont eux, par exemple, qui vont lui conseiller les caramels mous pour rendre moins mal aimable la responsable de la pharmacovigilance à l’AFSSAPS.(([7] Les versions varient là encore sur ce point : selon certaines, c’est une pinte de bière à la cerise qui lui aurait ouvert les portes de l’AFSSAPS.)) Les enfants sont généralement horrifiés par tant de duplicité.

La récompense, c’est l’aura médiatique, d’autant plus convaincante qu’elle émane d’intervenants – parlementaires, experts, administratifs, journalistes – dont les liens d’intérêts sont particulièrement « palpables ».(([8] Elle peut aussi émaner de « grands reporters » avouant sans fard ne rien connaître au monde de la santé, mais forcés de gagner leur croûte depuis que leur rédaction a jugé plus rentable de couvrir l’actualité en Irak ou en Afghanistan par des couper-coller en corrigeant juste au jour le jour le nombre de victimes – à trois poils près, il faut le dire.)) Elle permet à Poucet enfin reconnu de pérorer sur n’importe quoi, sans être jamais contredit : les enfants adorent ça, car ils ont tous, au fond d’eux-mêmes, le goût des fatrasies.

Le narrateur, c’est un député socialiste de la région toulousaine(([9] Certains critiques parlent de « metteur en scène ». C’est idiot : dans la littérature merveilleuse, on a des narrateurs, pas des metteurs en scène…)): avec sa faconde méridionale, il s’y entend à mettre les enfants dans sa poche – lesquels l’adorent de toute façon.

Marc Girard


Articles de cet auteur





Les brebis galeuses répondent aux Diafoirus qui foisonnent sur les médias

Par Nicole Delépine

[Illustration : Diafoirus père et fils soignant Argan, le malade imaginaire]

« Médecins du “malade imaginaire” de Molière, Monsieur Diafoirus et son fils Thomas (“grand benêt nouvellement sorti des écoles, fait toutes choses de mauvaise grâce et à contretemps”), deux cuistres grandiloquents et rétrogrades dont le charlatanisme finit par éclater au grand jour. »

Et comme nos vaccinateurs actuels de toute nature (pharmaciens, vétérinaires, pompiers, ambulanciers, aides-soignants, etc.) dépêchés par le gouvernement, Molière a l’idée de dépêcher son patient chez le pharmacien… Comme quoi on n’invente rien.

« On m’a cru malade, et on m’a dépêché le pharmacien. Je me suis fâché. Un révolté avoir recours à l’apothicaire !
— Mais, monsieur, a fait le Diafoirus, tout le monde se drogue ici.
»

 (Jules VallèsL’Insurgé, G. Charpentier, 1908)

Devant la disparition du Sars Cov 2 de France et de Navarre, comme le démontre la surveillance du Réseau sentinelle

Réseau sentinelle du 4 juillet 2020 : 3 cas pour 100 000 habitants. « Le gouvernement dictature vise l’immortalité. Mortalité cancers, suicides, noyades, accidents, AVC, infarctus, accidents domestiques ? OMERTA » @divergente151

Et ce 5 juillet il y a moins d’un cas pour 100 000 !

Et malgré la très faible dangerosité du variant delta (dont les symptômes sont ceux d’un bon rhume avec parfois maux de tête, gorge sèche, nez qui coule) qu’on veut nous vendre comme le péril jaune des années soixante, notre gouvernement veut continuer à nous faire peur et rameute « les bonnes volontés » pour désinformer.

Boris Johnson avec seulement 50 % de vaccinés par Astra Zeneca en majorité (efficacité réduite sur variant delta) relâche toutes les restrictions et admet le variant delta comme bénin sous la pression populaire. Belle manifestation géante à Londres le 29 juin. Plus utile qu’une prédiction de Ferguson pour prendre les bonnes décisions.

Les gouvernements mondialistes qui veulent à tout prix injecter leurs pseudo vaccins avant qu’ils ne soient périmés rameutent les diafoirus habituels, les médecins corrompus qui hantent les plateaux télé depuis des mois, mais aussi de nouveaux volontaires, syndicalistes, politiques, etc., pour alimenter la peur.

MENSONGE MAJEUR DES PROVACCINS covid

IL NE S’AGIT PAS DE VACCINS SELON PASTEUR,

MAIS DE MÉDICAMENTS DE THÉRAPIE GÉNIQUE JAMAIS EXPÉRIMENTÉS CHEZ L’HOMME À TITRE PRÉVENTIF

Selon la définition de Pasteur, un vaccin est un concentré d’antigènes spécifiques de la maladie à combattre, qui, injecté à un être vivant, suscite la fabrication d’anticorps spécifiques. La fabrication d’un vaccin se déroule en deux temps : d’abord la production de l’antigène, puis sa mise en forme pharmaceutique. L’antigène peut être constitué d’un microbe tué ou atténué, soit, le plus souvent, d’un ou plusieurs fragments de celui-ci. Cela permet à l’organisme de développer des défenses immunitaires contre la maladie ciblée. Ainsi, si un jour l’individu vacciné rencontre le vrai virus le système immunitaire le reconnaîtra et s’activera immédiatement pour le protéger de cette maladie. Le système immunitaire fabrique des anticorps pour éliminer spécifiquement ce microbe ; il s’agit du mécanisme de défense naturelle.

Ce qu’on nous présente comme « vaccins anticovid » ne contient aucun antigène. Ce sont en réalité des médicaments contenant un ARN messager destiné à nos cellules pour les forcer à fabriquer la protéine Spike en espérant que cette présence créera une réaction immunitaire anti Spike. Cette technique médicamenteuse pseudo vaccinale n’a jamais été utilisée chez l’homme. Elle n’a pas suivi le cycle normal des essais qui prend habituellement 7 à 10 ans. Sous prétexte d’urgence, les agences sanitaires lui ont accordé une autorisation conditionnelle de mise sur le marché, sans attendre la fin des essais de phase 3 dont les premiers sont attendus pour 2023. Leur utilisation en population générale constitue donc un essai gigantesque, un pari jamais tenté susceptible d’aboutir à une catastrophe sanitaire mondiale.

LEURS LIENS D’INTÉRÊTS MOTEURS DES DIAFOIRUS MÉDECINS ?

Les médecins signataires de la tribune du JDD demandant l’obligation ont attiré l’attention des éveillés : ces 96 médecins qui réclament la « vaccination obligatoire » cumulent « en même temps » 8 millions d’€ de conflits d’intérêts avec différents labos qu’ils ont oublié de signaler contrairement à ce que la loi leur demande (sans compter leurs contrats commerciaux couverts par le secret défense)

source @LerouxArthur10

Dans cette tribune agissent-ils comme médecins ou comme représentants de commerce de leurs employeurs pharmaceutiques ? Et pourquoi ne respectent-ils pas la loi Transparence Santé ?

Mention spéciale pour Jean-Paul Hamon

Le Dr Jean-Paul Hamon ancien militant pour une médecine libre qui écrivit « comment ils tuent la médecine de proximité ? » a sombré lui aussi dans le délire vaccinal. Que lui ont-ils fait pour qu’il renie ainsi son passé de défenseur de la liberté médicale, fidèle à Hippocrate ?

Si on la chance de ne pas avoir une nouvelle flambée c’est parce que la moitié de la population française a reçu sa première dose […] Je pense qu’il faut sortir la boîte à claques et avoir le courage de dire aux Français “vaccinez-vous””, Jean-Paul Hamon dans #LaMatinaleWE 4 juillet 2021.

Ne sait-il pas que la première dose ne protège pas et expose au contraire à la possible aggravation de la maladie comme l’a reconnu O. Veran(([1] https://www.europe1.fr/sante/un-octogenaire-demande-au-conseil-detat-a-etre-deconfine-apres-avoir-ete-vaccine-4034911)): « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant » ? Ignore-t-il que les pays qui ont le plus vacciné sont ceux qui ont le plus souffert d’une recrudescence de cas et de morts pendant 6 à 8 semaines(([2] Depuis qu’on vaccine (anticovid), la mortalité moyenne quotidienne a augmenté dans 13 pays sur 14))?

Et d’autres

– Dr Peloux (ancien président de l’association des médecins urgentistes, fidèle soutien du président Hollande et coutumier de la collaboration avec le pouvoir.

– Dr Prudhomme (actuel président de l’association des médecins urgentistes) qui voudrait vacciner le monde entier en cassant les brevets pour avoir l’air « de gauche », peu importe le danger des vaccins qui n’en sont pas…

L’un des meilleurs est le Dr Wargon (dont l’épouse est ministre de la Ville.(([3] Elle promeut la mixité sociale alors qu’elle habite dans une belle maison de 150 m2 évaluée 1 500 000 € à St-Mandé (94) alors que son mari exerce à Saint-Denis (93)!!! Bel exemple de mixité sociale !!! (voir l’article de Paul Le Poulpe sur Riposte Laïque) ? Ce couple pourrait habiter dans la riante ville de Saint-Denis !!!))), chef du service des urgences à l’hôpital de Saint-Denis (93) qui insulte littéralement le Pr Raoult

@CNEWS et ne dépare pas l’ensemble des médias malgré la réputation d’indépendance qu’on essaie de lui créer.

« Quand le Dr Brigitte Millaud prend comme support le nombre de morts dans le monde (environ 4 millions) pour pousser à la vaccination, j’ai envie de lui demander, il y a-t-il un vaccin contre la faim, car bon an mal an, c’est 8 millions de morts par an, un peu de pudeur », dit un Twittos qui pourrait ajouter que ces morts covid étaient en grande partie évitables en utilisant les traitements précoces interdits dans les pays occidentaux et plus strictement en France. Et que les restrictions sanitaires qu’on nous a inutilement imposées seront responsables de la mort par famine de plusieurs centaines de milliers d’enfants du tiers monde.(([4] Le nombre de personnes souffrant de faim dans le monde pourrait doubler, « atteignant plus de 250 millions d’ici la fin de 2020 », a prévenu mardi 21 avril 2020 le Programme alimentaire mondial (PAM) ))(([5] ONU infos Des millions d’enfants menacés par la famine en 2021 dans plusieurs pays, dont la RDC, le Yémen et le Soudan du Sud
https://news.un.org/fr/story/2020/12/1085632))

L’éternel Martin Blachier est capable de rejoindre 5 plateaux le même jour, utilise des arguments tout sauf scientifiques :

« Vous devez vous faire vacciner pour les autres […] S’il y a une petite vague épidémique en septembre ou octobre, ces gens que vous fustigez feront refermer le pays et ils y arriveront »

(dans #HDPros le 5 juillet).

Ignore-t-il que le vaccin ne prévient pas la transmission aux autres comme l’a également précisé O Veran(([6] Ibid référence 1)): « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers », mais ses activités télévisuelles ne lui laissent certainement pas le temps d’écouter son ministre.

Et bien sûr, ils sont allés chercher Irène Frachon, l’officielle lanceuse d’alerte pour avoir participé à la mise en évidence du drame du médiator, mais qui avait déjà soutenu en 2017 la vaccination obligatoire pour les petits nés après 2018 dont l’épouvantable vaccin hépatite B !

« L’appel d’Irène Frachon aux récalcitrants.(([7] https://www.leparisien.fr/societe/sante/les-etudes-sont-serieuses-faites-moi-confiance-allez-vous-faire-vacciner-lappel-direne-frachon-aux-antivax-05-07-2021-HDP47PCCENGNZF2SMTEE2NYAM4.php)) Lanceuse d’alerte de l’affaire du Mediator, Irène Frachon prend position pour la vaccination dans une tribune ce lundi sur notre site. Le bénéfice est immense, clame-t-elle après avoir épluché les études ».

On est heureux d’apprendre qu’elle a épluché les études… qui n’existent pas puisque les essais ne seront terminés qu’en 2023 au plutôt… Devin, la belle Irène ?

Il faut croire que cette « bonne opposante » préfère les morts du Médiator aux milliers de décès déjà répertoriés liés aux pseudovaccins, par l’agence européenne du médicament EudraVigilance(([8] 17 5 0 3 décès début juillet 2021 #EudraVigilance)) ou le système américain VAERS.(([9] VAERS 6 9 8 5 pour les USA sans parler des milliers d’accidents graves laissant des handicapés à vie)) Viendra-t-elle aussi défendre les familles lors des procès futurs ?

Mais manifestement, tous les morts ne se valent pas et Mme Frachon se serait honorée de rester cachée. Nul n’est parfait.

Quant au conseil de l’ordre, il suit bien sûr comme d’habitude les consignes gouvernementales et se prononce pour l’obligation, mais après avoir interdit les traitements précoces aux médecins, personne ne s’étonnera.

DIAFOIRUS JOURNALISTES

En plus de ceux cités préalablement dans notre article « les brebis galeuses répondent à la secte des covidistes »,(([10] https://nouveau-monde.ca/les-brebis-galeuses-repondent-a-la-secte-des-covidistes/)) la liste s’allonge chaque jour.
Nous en citerons quelques-uns de plus :

Emmanuelle Ducros :

« Si les soignants ne veulent pas se vacciner, ils n’ont rien à faire dans les lieux de soins »(([11] https://t.co/ELl2TpYiGK
https://twitter.com/StephanMarie11/status/1410568757706174471?s=20))

Sans vouloir se répéter, on se demande comment toutes ces personnes deviennent brutalement des spécialistes si bien formés qu’ils se permettent de jeter l’opprobre sur les citoyens mieux informés qu’eux sur la balance avantages/risques des médicaments et sur l’inefficacité des pseudo vaccins à prévenir la transmission de la maladie.

DIAFOIRUS POLITIQUES ET SYNDICALISTES

Le plus célèbre est évidemment Francois Bayrou toujours là pour « la bonne cause » et auquel on doit en partie l’élection du président actuel.

« Invité du Grand Jury RTL — Le Figaro – LCI ce dimanche 4 juillet, le Haut-commissaire au plan François Bayrou s’est prononcé en faveur d’une vaccination obligatoire contre le Covid-19. François Bayrou a rappelé qu’en France, « chaque bébé qui naît reçoit 11 vaccinations obligatoires » et que “pour aller dans un département français, la Guyane, il faut être obligatoirement vacciné contre la fièvre jaune”. »

« La vaccination fait partie de la vie et c’est probablement la conquête médicale — avec l’hygiène — la plus importante depuis le début des temps. Et c’est un Français, Pasteur, qui l’a inventée », a-t-il insisté.

Évidemment l’argumentation pèche sur deux points majeurs : la vaccination des bébés a été imposée sans consensus du pays par la désormais célèbre Mme Buzyn après une consultation de professionnels et de la société civile qui ne souhaitaient pas cette obligation. Le professeur Fischer déjà lui a rédigé le rapport selon ses conclusions personnelles trahissant les conclusions des médecins.

« Aux yeux du président du Modem, qui craint particulièrement qu’un nouveau variant ne finisse par être “particulièrement nocif pour les enfants en bas âge” “la vaccination est la seule digue contre ce qui nous pend au nez”, à savoir une nouvelle vague de Covid-19 ».

Brutalement grand médecin visionnaire, le maire de Pau ! Il est étrange de voir tant de personnalités se permettre des avis péremptoires sans la moindre compétence. Brutalement, il sait que les bébés sont concernés alors que leur risque réel du covid est de zéro, et visionnaire pour cette nouvelle vague qui toucherait les enfants ! Les covidistes ont dû s’offrir un lot de boules de cristal.

D’autres personnalités tout aussi compétentes en médecine ont déclaré qu’il faut rendre le vaccin obligatoire. Nous voyons qu’il n’y a plus de problème de numerus clausus médical en France puisque des vocations sont apparues rapidement et d’emblée savantes.

Ce virus a fait des miracles et a rendu fou comme répète Pascal Praud à juste raison chaque jour sur l’heure des pros. Quand vont-ils juger la qualité des chimiothérapies prescrites aux cancéreux ?

-Yannick Jadot (chef des écolos)

– Le philosophe Michel Onfray tristement peu « philosophe », le doute ayant déserté ses dires et peu respectueux du peuple puisqu’il sait ce qui est bon pour les sans dents.

Mais aussi le président du Medef avec son « ami » syndicaliste(([12] EXCLUSIF. Berger et Roux de Bézieux appellent « solennellement les salariés à se faire vacciner sans tarder » (lejdd.fr) ))!

Les numéros un de la CFDT et du Medef, Laurent Berger et Geoffroy Roux de Bézieux, plaident en faveur d’« un sursaut » vaccinal. Ils évoquent même une vaccination obligatoire pour les salariés au contact du public !

Il est rare que les deux leaders syndicaux prennent la parole ensemble. Mais face au plafonnement de la vaccination et à l’inquiétante progression du variant Delta,(([13] Il est contagieux et donnera beaucoup de rhumes des foins ! quelle tragédie ! tout cela serait comique si ce n était pas si grave d’injecter des drogues dangereuses.)) Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, et Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef, ont décidé de « réveiller le sens civique de chacun », en plaidant pour une vaccination massive des salariés dans les entreprises.

« Nous sommes attachés à deux principes : le volontariat et le secret médical. Le premier peut toutefois connaître des exceptions pour les salariés au contact du public au nom de l’indispensable protection des autres. »

Enterré le secret médical… Ça continue…

Pour eux,

« la vaccination est la seule manière de retrouver une vie normale. (…) Si nous prenons la parole, ensemble, une nouvelle fois, c’est pour appeler au sursaut. » « La reprise économique, la relance de l’emploi ne pourront se faire qu’à la condition d’une vaccination massive de nos concitoyens, disent-ils également. Mais c’est aussi parce que nous sommes animés d’une même foi humaniste. »

Et les traitements précoces, jamais entendu parler ?

Tous les Français sont heureux de découvrir l’humanisme du Medef et de son complice de la CFDT, y compris les nouveaux chômeurs quotidiens suite à fermetures ou délocalisations qui se multiplient…

Extraordinaire attelage pour défendre l’indéfendable, un pseudo vaccin qui n’existe pas, qui protégerait « les autres » et permettrait de reprendre une vie « normale ».

Et pendant ce temps-là est votée l’épouvantable loi de bioéthique qui permet d’avorter d’un bébé de neuf mois prêt à naître, et autorise de concevoir des chimères homme-animal, entre autres folies.

Et pendant ce temps-là se prépare le vote de la réforme des retraites qui avait réuni des millions de gens dans les rues, malgré les lanceurs de LBD et les yeux crevés, avant que le Premier ministre Edouard Philippe n’impose le 49-3 le 29 février et dans la foulée les mesures sanitaires et l’enfermement total à partir du 17 mars 2020. Combien d’opposants à cette loi perfide verrons-nous en ce mois de juillet pendant lequel le ministre de la Santé et le Premier ministre tentent de raviver la peur d’un variant mineur à l’aide des complices et collaborateurs qui ruinent notre pays économiquement et psychologiquement.

Qui peut croire à la sincérité de cet attelage inédit pour la santé des Français ?

Alors que les multiples études des pays largement « vaccinés » démontrent de façon irréfutable et répétitive que ces injections géniques, outre leurs effets secondaires multiples, ne préviennent pas de nouvelles contaminations ni de formes graves comme l’avait expliqué le ministre Veran le 30 mars 2021 en réponse, avant d’affirmer le contraire ces jours-ci.

Le syndrome des masques se reproduit, un jour oui, un jour non.

 Alors que l’immunité collective ne peut être atteinte par ces thérapies géniques contre un virus qui mute. Le mensonge répétitif à ce sujet ne peut masquer la réalité. Le professeur Raoult l’avait expliqué, démontré, il y a plusieurs mois et les faits avérés des résultats des campagnes de vaccination dans les pays les plus vaccinés le démontrent.(([14] L’immunité collective post injection pseudo-vaccinale anticovid, mythe versus faits avérés ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

MAIS L’INJECTION GÉNIQUE N’EST PAS UN VACCIN

LEUR INCONSCIENCE (ou leur corruption ?) LES LAISSERA-T-IL METTRE EN DANGER NOS ENFANTS ?

Même le PDG de Moderna modère l’enthousiasme des politiques sur la vaccination itérative permanente :

« Stéphane Bancel : “le virus ne disparaîtra pas de la planète !”
1/ oui zéro covid (suppression) n’a pas de sens
2/ pas certain qu’une vaccination massive et itérative soit la solution. Vaccinons les groupes à risque et dopons les soins.(([15] https://w.lpnt.fr/2434159t via @LePoint))»

QUELQUES POLITIQUES SAUVENT L’HONNEUR

Florian Philippot se bat pour la liberté et contre l’obligation vaccinale anti covid et pour les traitements précoces, depuis le début du coronacircus.

Dans une vidéo du 1er juillet 2021,(([16] https://youtu.be/P34BpxRD4T0)) il explique le rapport du sénat Jomier paru le 1er juillet.

Trois sénateurs veulent nous vacciner à tout prix, selon leur rapport intitulé “recommandations relatives à la vaccination anticovid”. Ils représentent à eux trois tout le spectre politique du sénat.

Leur raisonnement est la probabilité de la quatrième vague à l’automne. Pour eux le traitement précoce connu de plusieurs milliards d’individus n’existe pas, il n’est même pas cité. Leur angle d’attaque est la vaccination contre le covid pour soi-disant éviter de nouvelles restrictions. Ils veulent rendre la vaccination obligatoire au moins pour certaines catégories. Ils veulent vacciner les moins de 60 ans, car plus de 1/3 des plus de 60 ans hospitalisés ont été vaccinés. Ils veulent obtenir des taux élevés de vaccination dans “des viviers d’infection”, dont les jeunes à partir de 12 ans. Si le taux de vaccination est inférieur à 50 %, ils imposeront des mesures non médicamenteuses comme la fermetures des écoles. ET POURTANT LES ENFANTS NE TRANSMETTENT PAS LE COVID ET NE FONT JAMAIS DE FORMES GRAVES ; zéro mort chez l’enfant sain. OU SONT CES VIVIERS ?

Le gouvernement voudrait passer une loi imposant la vaccination obligatoire pour tous à partir de 12 ans faisant fi de la convention d’Oviedo que la France a pourtant signée. Il faudra bien sûr faire un recours au Conseil constitutionnel. Il faut soixante députés ou sénateurs pour ce recours.

Par ailleurs Francois Asselineau, Jean Frédéric Poisson et parfois Dupont-Aignan ont protesté contre la dictature sanitaire. Espérons qu’ils seront rejoints bientôt par d’autres élus, et politiques prenant conscience de la mascarade Covid qui ruine le pays depuis 18 mois.





Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés

[Source : reseauinternational.net]

Par Joseph Mercola.

Les rapports de décès et de blessures graves dus aux vaccins COVID-19 s’accumulent à une vitesse vertigineuse. Ceux qui regardent les chiffres et ont une certaine connaissance des taux historiques de blessures dues aux vaccins s’accordent à dire que nous n’avons jamais rien vu de tel, où que ce soit dans le monde. Bien que les données soient difficiles à obtenir pour certains pays, celles que nous pouvons vérifier révèlent des tendances profondément troublantes.

– États-Unis – En date du 11 juin 2021, le Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) des États-Unis avait enregistré 358 379 événements indésirables1, dont 5 993 décès et 29 871 blessures graves. Dans le groupe d’âge des 12 à 17 ans, on a enregistré 271 blessures graves2 et 7 décès. Chez les femmes enceintes, on a enregistré 2 136 événements indésirables, dont 707 fausses couches ou naissances prématurées.3

Tous ces chiffres sont forcément inférieurs à la réalité car, historiquement, moins de 10% des effets secondaires des vaccins sont signalés au VAERS4. Une enquête du Département américain de la Santé et des Services sociaux a estimé ce chiffre à 1%.5 6

Quoi qu’il en soit, le taux de décès rapporté pour les injections de vaccins COVID-19 dépasse maintenant le taux de décès rapporté pour plus de 70 vaccins combinés au cours des 30 dernières années, et il est environ 500 fois plus mortel que le vaccin contre la grippe saisonnière7, qui a toujours été le plus dangereux.

Les injections de vaccins COVID sont également cinq fois plus dangereuses que le vaccin H1N1, dont le taux d’effets secondaires graves était de 25 pour un million8,9. En supposant que les injections de vaccins anti-COVID aient le même taux d’effets secondaires et que quelque 200 millions de personnes aient reçu le vaccin, le nombre estimé de personnes souffrant d’un effet secondaire grave serait d’environ 5 000. Nous avons déjà largement dépassé ce chiffre, puisque 35 86410 personnes ont été gravement blessées ou tuées.

Même si près de 6 000 décès ont été signalés dans le VAERS, ce chiffre est probablement sérieusement compromis. J’ai récemment interviewé le Dr Vladimir Zelenko, qui a traité avec succès des patients COVID, et nous avons discuté de la possibilité très nette que toutes les personnes ayant reçu le vaccin COVID meurent de complications dans les deux ou trois prochaines années.

Il a personnellement connaissance de 28 décès liés au vaccin qui n’ont pas été acceptés par le VAERS. Zelenko pense que le nombre de décès pourrait déjà dépasser 100 000.

Le fait de recevoir le vaccin anti-COVID place immédiatement la personne injectée dans une situation de risque très élevé de mourir du COVID. La plupart d’entre elles ont la fausse assurance d’être protégées, mais en réalité, elles sont beaucoup plus vulnérables et, par conséquent, elles ne prendront pas de mesures proactives très agressives pour éviter de mourir de l’amorçage pathogène ou du renforcement immunitaire paradoxal avant qu’il ne soit trop tard.

N’oubliez pas de noter dans votre agenda de revoir mon interview révolutionnaire avec Zelenko ce dimanche 4 juillet 2021. Nous passons en revue les protocoles que vous pouvez utiliser pour vous protéger, vous et votre famille ou ceux que vous aimez, qui regrettent maintenant d’avoir reçu le vaccin COVID.

– Union européenne – Dans la base de données de l’Union européenne sur les effets indésirables des vaccins anti-COVID, appelée EudraVigilance, 1 509 266 blessures ont été signalées, dont 15 472 décès, au 19 juin 202111. EudraVigilance n’accepte que les rapports des membres de l’UE, et ne couvre donc que 27 des 50 pays européens.

Il est remarquable de constater qu’environ la MOITIÉ de toutes les blessures signalées – 753 657 – sont classées comme « graves », ce qui signifie que la blessure met la vie en danger, nécessite une hospitalisation, entraîne une condition médicalement importante, un handicap significatif ou une incapacité persistante.

– Royaume-Uni – Le système britannique Yellow Card avait reçu, au 9 juin 2021, 276 867 rapports d’événements indésirables suite à la « vaccination » COVID, dont 1 332 décès.12

– Israël – Selon un rapport du Comité du Peuple israélien, un organisme civil composé d’experts de la santé, « il n’y a jamais eu de vaccin qui a nui à autant de personnes »13. Par exemple, les données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés ont un taux de myocardite (inflammation du cœur) 25 fois supérieur à la normale.14

(La myocardite touche également les adolescents et les jeunes adultes aux États-Unis. Bien que les responsables du CDC affirment qu’aucun décès confirmé n’a été signalé, au moins deux décès ont été liés temporellement au vaccin.15 16 17 18 19)

– Australie – En Australie, deux personnes sont mortes de caillots sanguins après avoir reçu le vaccin anti-COVID d’AstraZeneca. En revanche, une seule personne – une femme âgée – est décédée du COVID-19 cette année.20 21

Si quelque chose ne va pas, vous êtes tout seul

La douleur et la souffrance que ces vaccins ont déjà engendrées sont difficiles à imaginer. Il est clair que des millions de personnes dans le monde ont vu leur vie bouleversée par ces injections. Beaucoup ne s’en remettront peut-être pas, ni physiquement ni financièrement. Il est vraiment important de réaliser que si quelque chose tourne mal, vous êtes en grande partie seul.

Avant de prendre la décision de participer à cette expérience sanitaire sans précédent, il peut être judicieux d’évaluer votre assurance personnelle et votre capacité financière à faire face à une blessure grave, car les fabricants de vaccins sont protégés contre les poursuites judiciaires. Vous ne pouvez pas les poursuivre en justice pour obtenir des dommages et intérêts. Vous ne pouvez pas non plus poursuivre le gouvernement ou toute autre personne.

Si vous êtes blessé par une injection du vaccin et que vous vivez aux États-Unis, votre seul recours est de demander une indemnisation au titre de la Countermeasures Injury Compensation Act (CICP), en vertu de laquelle les vaccins COVID-19 sont une contre-mesure couverte22. La CICP est gérée par une agence au personnel clairsemé relevant du Département américain de la Santé et des Services sociaux.

Vous trouverez des détails et des hyperliens vers les formulaires de demande d’indemnisation dans l’encadré juridique du Congressional Research Service, « Compensation Programs for Potential COVID-19 Vaccine Injuries »23. Vous ne pouvez pas demander et ne recevrez pas d’indemnisation du National Vaccine Injury Compensation Program (VICP), qui couvre d’autres vaccins, notamment le vaccin contre la grippe.

L’indemnisation par le VICP est très limitée et difficile à obtenir. Au cours de ses 15 années d’existence, il n’a versé que 29 indemnités, soit moins d’une sur 1024 25 26. Vous n’êtes admissible que si votre blessure nécessite une hospitalisation et entraîne une invalidité importante et/ou un décès, et même si vous répondez aux critères d’admissibilité, vous devez épuiser votre assurance maladie privée avant que celle-ci ne prenne en charge la différence.

L’indemnité moyenne du CICP est de 200 000 $, et les cas de décès sont plafonnés à environ 370 000 $. En attendant, vous pouvez facilement accumuler une facture d’hôpital d’un million de dollars si vous souffrez d’un grave accident thrombotique.

Il n’y a pas de remboursement pour la douleur et la souffrance, seulement pour les salaires perdus et les factures médicales impayées. Cela signifie qu’une personne retraitée ne peut pas y prétendre même si elle meurt ou se retrouve en fauteuil roulant. L’indemnisation salariale est d’une durée limitée et plafonnée à 50 000 dollars par an. Pour couronner le tout, vous ne pouvez pas faire appel de la décision du CICP. Les appels sont simplement examinés par un autre membre du personnel du même bureau.

Pouvez-vous vous permettre une blessure par injection du vaccin COVID ?

Même s’ils peuvent les obtenir, les indemnités accordées par le CICP risquent d’être une goutte d’eau dans l’océan pour la plupart des gens. L’indemnité moyenne est de 200 000 $, et les cas de décès sont plafonnés à 370 376 $27. Par ailleurs, vous pouvez facilement accumuler une facture d’hôpital d’un million de dollars si vous souffrez d’un grave accident thrombotique28. Vous devez également payer votre propre aide juridique et tout témoin professionnel dont vous pouvez avoir besoin pour soutenir votre demande.

Au début du mois de juin 2021, KRDO news a rapporté29 le cas de Kendra Lippy, une femme de 38 ans qui n’avait aucun problème de santé avant de se faire vacciner avec Johnson & Johnson. Dans la semaine qui a suivi, elle a souffert de maux de tête, de douleurs abdominales et de nausées. Son diagnostic : De graves caillots sanguins qui ont évolué vers une défaillance de plusieurs organes et un coma.

Elle a dû subir l’ablation de la plus grande partie de son intestin grêle et aura besoin d’une nutrition parentérale totale pour le reste de sa vie – une méthode d’alimentation qui contourne son système gastro-intestinal. Elle a été hospitalisée pendant 33 jours, dont 22 jours dans l’unité de soins intensifs. Elle a maintenant besoin d’une ergothérapie et d’une physiothérapie pour retrouver des fonctions de base comme marcher, écrire et tenir une fourchette.

La facture d’hospitalisation de Lippy dépasse déjà le million de dollars, une somme qu’elle ne pourra probablement jamais rembourser, et on ne sait pas de quel type de traitement médical elle aura besoin dans les années à venir. Il est clair que Lippy se dirige vers la faillite, et les factures médicales sont la cause la plus courante aux États-Unis.

Des stipulations supplémentaires qui rendent les paiements rares

Il existe également des conditions de temps. Pour être admissible, vous devez déposer une demande d’indemnisation dans l’année qui suit la date d’administration du vaccin. Il s’agit d’un obstacle important, car les effets secondaires graves peuvent mettre du temps à se développer. Par exemple, après la pandémie de grippe porcine de 2009, des personnes ont commencé à déclarer un syndrome de Guillain-Barré des années après avoir reçu le vaccin H1N1. À ce moment-là, ils n’étaient plus admissibles.30

Mais le pire, c’est qu’il vous incombe désormais de prouver que votre blessure est le « résultat direct de l’administration de la contre-mesure, sur la base de preuves médicales et scientifiques convaincantes, fiables et valides, allant au-delà de la simple association temporelle ».

En d’autres termes, vous devez prouver ce que le développeur du vaccin lui-même doit encore vérifier, puisque vous faites partie de leur étude toujours en cours ! Le CICP est aussi notoirement secret sur les raisons de l’approbation ou du rejet des demandes. Comme le rapporte l’Insurance Journal,

« il ne divulgue même pas les détails les plus élémentaires, comme les types de maladies que les gens prétendent avoir contractées à cause des vaccins ».31

Au 1er juin 2021, 1 360 Américains avaient demandé à être indemnisés par le CICP pour des blessures et des décès résultant de contre-mesures pandémiques, mais seuls 869 ont été jugés éligibles pour déposer une demande32. Aucune n’a été jugée. Le professeur Peter Meyers, ancien directeur de la Vaccine Injury Litigation Clinic, qui a qualifié le CICP de « processus de trou noir »33, prévient qu’il s’agit d’un « programme minable ». Il a déclaré à Life Site News34 :

« Il s’agit d’un programme secret et opaque dans le cadre duquel des fonctionnaires inconnus du Département de la Santé et des Services sociaux prendront des décisions ; nous ne savons pas combien de personnes prennent des décisions, qui elles sont, ni quel est le processus ».

Ce secret signifie qu’il n’existe pas de statistiques officielles sur les types de blessures pour lesquelles les personnes déposent une demande, ni sur la contre-mesure qui aurait causé leur blessure. À propos, les vaccins ne sont pas les seules contre-mesures à être protégées de la responsabilité. Les erreurs de traitement hospitalier sont également protégées, et nous savons que certains hôpitaux tuaient régulièrement des patients, qu’ils aient ou non une infection confirmée par le COVID-19, en les plaçant sous respirateur même lorsqu’ils n’en avaient pas besoin.35

Pouvez-vous faire confiance à ces criminels en col blanc ?

Comme nous l’avons mentionné, les fabricants de vaccins sont protégés de toute responsabilité financière. Vous ne pouvez les poursuivre que si vous pouvez prouver une « faute intentionnelle », telle qu’une tromperie délibérée, un comportement frauduleux ou la dissimulation d’informations pertinentes. Pour contourner ce problème, les fabricants de vaccins peuvent simplement ne pas rechercher certains problèmes.

Le potentiel d’infertilité en est un parfait exemple. La protéine spike est soupçonnée d’être toxique pour la reproduction, et les données de biodistribution de Pfizer montrent qu’elle s’accumule dans les ovaires des femmes36. Malgré cela, Pfizer n’a effectué aucun test de toxicologie de la reproduction. Comme ils n’ont pas cherché, ils peuvent dire sans sourciller qu’ils « ne savaient pas » que la piqûre pouvait provoquer des problèmes de reproduction. Le fait est qu’ils auraient dû s’en douter, et faire les tests pour s’en assurer.

Nous voyons déjà des signes de toxicité reproductive. Les données suggèrent que le taux de fausses couches chez les femmes qui reçoivent le « vaccin » anti-COVID au cours des 20 premières semaines de grossesse est de 82%. Le taux normal est de 10%, ce n’est donc pas une augmentation mineure. L’infertilité sera beaucoup plus difficile à établir, et pourrait prendre des décennies.37

Dans une lettre adressée le 28 mai 2021 à la rédaction du New England Journal of Medicine, les docteurs Ira Bernstein, Sanja Jovanovic et Deann McLeod, HBSc, de Toronto, ont attiré l’attention sur ce point en soulignant que les études préliminaires sur la sécurité publiées dans le NEJM en avril 2021 étaient erronées car elles incluaient des « grossesses cliniquement non reconnues ».38

Ils ont inclus des graphiques ajustés reflétant cette erreur et ont demandé aux auteurs de l’étude de retirer les données erronées mais, fait intéressant, leur lettre a disparu d’Internet la dernière semaine de juin, bien qu’elle soit toujours dans les archives de Wayback au 27 juin 2021. Par coïncidence, le 17 juin 2021, le NEJM a republié l’étude d’avril sans expliquer pourquoi elle était republiée et sans corriger les données.

Compte tenu des antécédents criminels de Pfizer, Johnson & Johnson et AstraZeneca, il est difficile de comprendre comment des millions de personnes font confiance à ces entreprises pour ne pas mentir afin de gagner de l’argent. Comme le rapporte Life Site News39 :

« Les trois principaux fabricants de vaccins, Pfizer, Johnson & Johnson et AstraZeneca, ont été condamnés par des tribunaux d’État et fédéraux à payer un total de plus de 8,6 milliards de dollars d’amendes pour répondre à des dizaines d’allégations de mauvaise conduite au pénal et au civil.

À elle seule, la société Pfizer a été condamnée à une amende de 2,3 milliards de dollars – le règlement le plus important de l’histoire, selon le Département de la Justice – pour avoir délibérément fraudé et dénaturé ses médicaments qui avaient déjà été retirés des rayons en raison de leurs dangers avérés.

Mais grâce à six dénonciateurs qui ont apporté des preuves contre la société, celle-ci aurait pu continuer à faire de la publicité mensongère et à vendre ses produits dangereux.

« Nous avons fait un compromis en Amérique », a déclaré Meyers, « en accordant aux fabricants de vaccins une protection en matière de responsabilité pour s’assurer qu’ils continueront à fabriquer des vaccins qui, avant l’immunité juridique, étaient enlisés dans des procès pour effets secondaires ».

Les fabricants de voitures, d’échelles ou d’autres produits peuvent être poursuivis s’ils sont défectueux. Les fabricants de vaccins bénéficient d’une responsabilité générale pour garantir la production de leurs produits, d’un financement public pour les produire, de commandes gouvernementales garanties pour les produits, d’une commercialisation de masse payée par le gouvernement et de mandats …

« Le compromis semble injuste aujourd’hui parce que le programme CICP est tellement défectueux », a déclaré Meyers, en particulier lorsque les fabricants de vaccins engrangent des bénéfices colossaux (Pfizer est prêt à récolter 26 milliards de dollars avec ses vaccins COVID cette année et la fabrication des vaccins COVID produit des milliardaires dont les salaires annuels sont des multiples d’une décennie de paiements CICP à des dizaines de personnes).

Les prestations du CICP sont des « compensations avares », a-t-il ajouté, pour des personnes qui souffrent et attendent face à la cupidité des entreprises et à l’opacité des gouvernements. En dépit du casier judiciaire des entreprises pharmaceutiques, Meyers pense qu’elles seraient « folles de prendre le risque de commettre une faute ». S’il s’avérait que les fabricants de vaccins cachent en fait des informations sur les risques des vaccins COVID, dit-il, “ce serait une catastrophe” ».

Le gouvernement et les grandes entreprises pharmaceutiques sont-ils coupables de mauvaise conduite délibérée ?

Je ne sais pas pour vous, mais le sentiment que j’ai lorsque je regarde la cascade de blessures et de décès survenant dans les jours ou, dans de nombreux cas, dans les heures qui suivent l’injection, est que quelque chose ne tourne pas rond, et que les fabricants de vaccins balaient tout sous le tapis. N’est-ce pas une faute intentionnelle ? Ne pas effectuer de tests de toxicologie reproductive après avoir découvert que la protéine spike s’accumule dans les ovaires – n’est-ce pas une faute intentionnelle répréhensible ?

Continuer à prétendre que l’ARNm reste dans le muscle de l’épaule alors qu’ils ont des données montrant qu’il est distribué dans pratiquement tous les organes du corps humain – n’est-ce pas cacher des informations importantes ? N’est-ce pas une faute intentionnelle répréhensible ?

Je soutiens que les responsables gouvernementaux sont également coupables de malfaisance médicale. Comme l’a fait remarquer le Dr Robert Malone, l’inventeur de la plateforme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN40, la version la plus récente de l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) qui régit ces injections de vaccins anti-COVID révèle que la FDA a choisi de ne pas exiger une collecte et une évaluation rigoureuses des données post-vaccinales, alors qu’elle avait le pouvoir de le faire.

Encore une fois, si vous ne cherchez pas les blessures, vous avez peu de chances de les trouver. En l’absence d’un processus solide de collecte et d’évaluation des données, ils peuvent dire que les vaccins sont sûrs et les faire passer dans le processus d’autorisation beaucoup plus facilement. Le problème auquel ils sont maintenant confrontés est que le VAERS reçoit un nombre tellement élevé de rapports que même s’ils ne représentent que 10% des blessures réelles, ou moins, il est absolument indubitable qu’il existe de sérieux problèmes.

Le fait de ne pas exiger des fabricants de vaccins qu’ils mettent en place un système complet de collecte des données sur les événements indésirables est, au mieux, un signe d’incompétence. Mais ce n’est pas tout. La FDA commence vraiment à se montrer fourbe lorsqu’elle refuse de reconnaître que les rapports du VAERS indiquent l’existence de problèmes.

Qualifier de « coïncidence » plus de 35 000 fois n’est tout simplement pas crédible, et rejeter les risques d’invalidité permanente et de décès en disant qu’ils « en valent la peine » est plus qu’insensible, étant donné que nous disposons de traitements sûrs et efficaces et que personne n’a besoin de jouer sa santé sur une thérapie génique expérimentale.

Les injections de COVID sont clairement plus risquées que ce qui est annoncé

Comme l’indiquait un article du Wall Street Journal du 22 juin 202141, bien que le VAERS ne puisse pas nous dire si les injections ont été la cause d’un effet secondaire donné, lorsque des groupes de rapports forment une tendance, il est temps d’enquêter.

Les quatre effets indésirables graves qui forment actuellement une tendance sont la thrombocytopénie (faible nombre de plaquettes), la myocardite non infectieuse (inflammation cardiaque), surtout chez les moins de 30 ans, la thrombose veineuse profonde et le décès.42

Pour que de tels effets soient tolérables, même s’ils sont rares, il faudrait que le vaccin (ou le médicament) soit absolument crucial pour la survie. Pensez à une pandémie hautement infectieuse d’Ebola, par exemple – quelque chose où la mort est rapide et pratiquement assurée, et où le traitement, une fois infecté, est inefficace.

Aucun de ces critères ne s’applique au COVID-19, dont le taux de létalité est équivalent à celui de la grippe saisonnière, sauf pour les personnes âgées et les plus fragiles. Il faudrait également que le vaccin soit un véritable vaccin, c’est-à-dire qu’il confère une immunité. Les injections de thérapie génique anti-COVID-19 ne le font pas non plus.

Dans l’ensemble, il est clair que les décès et les blessures causés par ces injections sont passés sous silence, et nous ne pouvons pas permettre que cela continue. Nous devons continuer à faire pression pour la transparence, l’honnêteté et la responsabilité.

N’oubliez pas de voir mon interview révolutionnaire avec le Dr Vladimir Zelenko. Nous passons en revue les protocoles que vous pouvez utiliser pour vous protéger, vous et votre famille ou ceux que vous aimez, qui regrettent maintenant d’avoir reçu le vaccin COVID.


source : https://www.lewrockwell.com

  1. MedAlerts/VAERS, June 11, 2021
  2. MedAlerts/VAERS, June 11, 2021, « Cases where Vaccine is COVID19 and Serious »
  3. The Defender, June 18, 2021
  4. BMJ, 2005;330:433
  5. AHRQ, December 7, 2007
  6. The Vaccine Reaction, January 9, 2020
  7. Trial Site News, May 25, 2021
  8. Insurance Journal, December 29, 2020
  9. CNBC, March 25, 2021
  10. MedAlerts/VAERS, June 11, 2021
  11. Based Underground, June 22, 2021
  12. « Gov.UK Yellow Card Reporting Summary », June 17, 2021 (Covers 12/9/2020 – 6/9/2021)
  13. Aletho News, April 21, 2021
  14. Ottawa Citizen, June 4, 2021
  15. STAT News, June 10, 2021
  16. NBC News, June 23, 2021
  17. The Defender, June 24, 2021
  18. The Defender, June 15, 2021
  19. WLWT, June 14, 2021
  20. USA Today, June 22, 2021
  21. The Defender, June 21, 2021
  22. « Congressional Research Service Legal Sidebar CICP », March 22, 2021
  23. « Congressional Research Service Legal Sidebar CICP », March 22, 2021
  24. Life Site News, June 15, 2021
  25. Insurance Journal, August 14, 2020
  26. Insurance Journal, December 29, 2020
  27. Insurance Journal, December 29, 2020
  28. The Defender, June 2, 2021
  29. KRDO, June 2, 2021
  30. Insurance Journal, December 29, 2020
  31. Insurance Journal, December 29, 2020
  32. HRSA, June 1, 2021
  33. Yahoo News, August 21, 2020
  34. Life Site News, June 15, 2021
  35. 11alive.com, June 4, 2021
  36. Trial Site News, June 6, 2021
  37. Trial Site News, May 25, 2021
  38. Wayback, June 27, 2021
  39. Life Site News, June 15, 2021
  40. Trial Site News, May 30, 2021
  41. WSJ Opinion, June 22, 2021 (Archived)
  42. WSJ Opinion, June 22, 2021 (Archived)