La destruction de notre système de soin et les mesures sanitaires détruisent notre économie

Par Gérard Delépine

[Illustration : imgscan contrepoints 2013-2433 santé.]

[Voir aussi sur economiematin.fr]

Il y a vingt ans notre système de soins était reconnu comme l’un des meilleurs du monde. Maintenant nous sommes au-delà du 20e rang mondial. Et la surcharge prétendue des services de réanimation constitue le prétexte à des contraintes liberticides qui achèvent l’économie mise à mal, non pas par l’épidémie, mais par les mesures inutiles censées la combattre.

Certes le gouvernement Macron n’est pas le seul responsable de la destruction de notre système de santé, mais toutes ses actions n’ont fait qu’aggraver considérablement la situation.

La diminution du nombre de lits et la prise de contrôle de la médecine par la bureaucratie

Toutes les politiques sanitaires depuis plus de vingt ans sont décidées par des non-médecins(([1] Un médecin est une personne qui traite non pas des maladies mais des malades en tenant compte de leur nature unique (antécédents, besoins…) )) qui considèrent que la santé a uniquement un coût qu’il faut absolument abaisser. Ils ont drastiquement diminué le nombre de lits. Entre 2000 et 2015, « le nombre de lits d’hôpitaux en France a diminué de 15 %,(([2] Gaëtan Lafortune économiste à l’OCDE. Diminution du nombre de lits à l’hôpital mais hausse de la population selon un rapport de l’OCDE France info 24/11/2017. 
https://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/diminution-du-nombre-de-lits-a-l-hopital-mais-hausse-de-la-population_2483265.html)) alors que la population a augmenté de 10 % et a fortement vieilli. Le nombre de lits pour 1000 habitants est ainsi descendu de 8 à 6,1 tandis que les besoins de soins d’une population plus nombreuse et plus âgée grandissaient.(([3] https://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/salaires-des-infirmiers-nombre-de-lits-niveau-de-la-dette-neuf-graphiques-pour-comprendre-la-situation-des-hopitaux-avant-les-annonces-d-edouard-philippe_3709593.html))

Et malgré la pandémie, Gouvernement et autorités sanitaires continuent de fermer des centaines de lits d‘hospitalisation temps plein dans les hôpitaux. En mai 2020, le ministre de la Santé Olivier Véran affirmait qu’il fallait « sortir du dogme de la fermeture des lits » mais c’est une promesse reniée de plus.(([4] Le gouvernement continue de supprimer des lits d’hospitalisation : la carte des hôpitaux concernés – Basta ! (bastamag.net) ))
 

Une gestion dispendieuse qui oublie la raison d’être de l’hôpital

Un hôpital devrait être conçu pour répondre aux besoins de la population. Mais la gestion uniquement financière a détourné le système hospitalier de sa mission fondatrice. Les directeurs favorisent systématiquement les activités rentables, poussent les soignants à multiplier les actes intrusifs et abandonnent celles qui le sont moins dans le système de paiement à l’acte (tout ce qui relève de la clinique. C’est l’une des raisons de l’abandon des services des urgences au profit des actes de chirurgie réglée, plus rentables.

Les services de gestion ont été considérablement hypertrophiés aux dépens des services de soin. En trente ans, dans certains hôpitaux de l’AP-HP, le rapport nombre de gestionnaires/ nombre de lits a été multiplié par 10 tandis que celui soignants/lits stagnait.

Et cette gestion n’est pas efficace : lorsque le ministère constatant l’état déplorable des ordinateurs du service nous a alloué un budget dédié pour y remédier la direction nous a imposé le service d’achat centralisé qui a acquis le matériel à un prix nettement supérieur à celui du marché de l’époque, matériel qui ne nous ait d’ailleurs pas parvenu car il aurait été volé le soir même de sa livraison à l’hôpital !

Ce n’est pas seulement d’argent que l’hôpital a besoin mais d’une gestion peu couteuse, transparente et efficace, recentrant les moyens disponibles vers le soin et les soignants et limitant, comme à l’armée en temps de crise, les effectifs de « l’arrière » à un pourcentage réduit de l’effectif total. Donner plus de ressources à l’hôpital pour augmenter le nombre de non soignants est inutile, voire malfaisant.

Les politiques ont limité fortement le nombre de médecins car former des médecins revient cher d’autant que le temps de formation d’un médecin est long (10 ans). Augmenter le numérus clausus nécessiterait d’augmenter les moyens des facultés de médecine qui sont aujourd’hui au maximum de leurs capacités d’accueil. Un rapport de l’OCDE note que si entre 2000 et 2015, le nombre de médecins en France est resté stable (3,3 médecins pour 1000 habitants), « il a augmenté presque partout » en Europe. La France qui affichait un niveau « plus élevé que la moyenne européenne en 2000 », se situe désormais en-dessous. Et la baisse est particulièrement marquée pour les médecins généralistes qui constituent les soignants de première ligne contre le Covid19 entre autres maladies.

Ces médecins français sont en outre relativement âgés : plus de 50 % d’entre eux ont plus de 55 ans, En 2025, la France aura perdu un médecin généraliste sur quatre en vingt ans.(([5] https://www.lemonde.fr/sante/article/2016/06/02/le-manque-de-medecins-generalistes-s-accentue_4930689_1651302.html)) Actuellement plus de 5,4 millions de personnes, soit 8 % de la population, vivent dans des zones où l’accès à un médecin généraliste est limité. Sans alternative, ils se tournent alors régulièrement vers les urgences constamment débordées.

La démotivation des soignants culmine avec l’obligation d’un pseudovaccin expérimental

Bien avant la crise du Covid les soignants criaient à l’aide par des tribunes, une grève des urgences qui durait depuis près d’un an et des manifestations réprimées avec violence. Pour un représentant syndical, « à force de ronger l’hôpital public, on en a atteint l’os ». Depuis le début de la crise Covid le gouvernement a affiché son mépris des soignants en leur interdisant de traiter les malades selon leur expérience, le ministre dictant leur ordonnance : pas d’antibiotiques ni de chloroquine, Doliprane seul pour les formes bénignes, Rivotril pour achever les vieux. Maintenant il veut leur imposer une injection expérimentale inefficace suscitant des préavis de grève dans de nombreux hôpitaux. Les soignants ne sont pas des antivax, mais ils savent que l’inefficacité du traitement expérimental Pfizer se confirme chaque jour davantage comme le montrent les données officielles de l’état hébreux, et ils en constatent chaque jour directement les effets secondaires aux urgences, dont certains mortels

« La France est en guerre » a déclaré le président en mars 2020. Mais quel général peut espérer gagner une guerre en réduisant le nombre de ses soldats de première ligne, en les désarmant ? en fermant les lits d’hospitalisation temps plein, en leur interdisant de traiter précocement, et en cassant le moral des troupes par le mépris qu’il affiche à leur égard en voulant leur imposer des pseudo-vaccins qu’ils savent inefficaces et dangereux.

Et quel soldat peut encore avoir confiance en un général qui s’est parjuré après son allocution du 24 novembre 2020 où il déclarait « Je veux aussi être clair : je ne rendrai pas la vaccination obligatoire » ?

Au total, il aurait suffi d’une dizaine de milliards et d’écouter les soignants pour remettre l’hôpital au niveau de 2000 et redonner confiance aux personnels. Macron a répondu qu’il n’y a « pas d’argent magique » à leur consacrer, mais les mesures prises en urgence parce que l’hôpital risquait d’être débordé ont déjà couté 400 milliards. Et l’hémorragie financière continue à saigner la France et à détruire l’économie.

Le mirage de la sanctuarisation par la vaccination

Le ministre prétend pouvoir transformer les hôpitaux en sanctuaire sans covid par la vaccination. Mais sait-t-il vraiment de ce qui se passe dans le monde réel où un taux de 100 % de vaccinés ne protège pas des reprises de l’épidémie ?

Un exemple récent d’échec de sanctuarisation par les pseudovaccins est celui du porte avion britannique Queen Elizabeth. 1300 marins à bord, tous complètement vaccinés depuis plus de 4 mois. Une escale. Et trois jours plus tard une épidémie éclate avec plus de 100 cas.

L’exemple de Gibraltar démontre qu’un taux de vaccination record est loin de protéger la population. Ce micro-état de 34000 habitants a commencé l’injection d’Astra Zeneca en décembre2020 et, au terme d’une campagne éclair, est parvenu à une couverture vaccinale de 115 % (car elle concernait aussi les travailleurs espagnols).

Malheureusement cette couverture vaccinale record a été suivie d’une dissémination colossale de la maladie, d’une mortalité record (95 morts soit 2794/Million contre 1049/M aux Pays-Bas et 189/M en Norvège) et n’a pas empêché la reprise récente de l’épidémie par le variant delta.

Un plus petit exemple, plus proche de nous, est celui des moines retraités de Vendée. À Chavagnes-en-Paillers, entre le 14 avril et le 21 avril, tous les prêtres retraités des Fils de Marie Immaculée ont reçu l’un des « vaccins » expérimentaux ARNm, à l’exception d’un prêtre infecté auparavant. Sur les 22 prêtres vaccinés, 21 sont tombés malades et sept sont décédés dans un délai de deux à trois semaines et demie.

Le mirage de la création de sanctuaires par les vaccins, né de simulations virtuelles, n’existe pas dans le monde réel.

L’inefficacité des pass sanitaires

L’inefficacité des pseudo-vaccins actuels expliquent l’inefficacité des pass sanitaires que la loi scélérate récente instaure. Donnons-en quelques exemples :

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht se sont crus protégés par leur pass sanitaire vérifié à l’entrée via l’application CoronaCheck. Mais quelques jours après le festival, plus de mille d’entre eux participants ont été infectés dont une majorité de vaccinés. Au moins 448 festivaliers auraient été infectés le premier jour et 516 le deuxième jour.

Les 50 000 participants des festivals tests Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont présenté à l’entrée des pass valides ou des tests négatifs et porté des masques. Dans les jours qui ont suivi 2300 personnes se sont révélés contaminés : 466 participants au Vida Festival, 956 au Canet Rock, et 857 à la Cruïlla, soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents.

L’Autriche a instauré un pass sanitaire obligatoire pour l’accès aux restaurants, aux hôtels, aux théâtres, aux concerts, dans les stades ou les salles de sport le 1er juillet 2021 alors que l’épidémie régressait (taux moyen lissé sur 7 jours : 79 nouvelles contaminations journalières).

Depuis l’instauration du pass, l’épidémie est repartie de plus belle et se stabilise à 6 fois la valeur d’avant passe (479 cas/jour).

En France aussi, le pass n’empêche pas les clusters : 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

L’inefficacité sanitaire du pass et son caractère discriminatoire inédit l’ont fait abandonner dans la plupart des pays qui l’ont essayé : après un mois à Moscou, deux mois en Israël, quatre mois au Danemark…Et de nombreux pays démocratiques l’ont jugé anti constitutionnel : les USA, la Grande-Bretagne, la Suède, les Pays-Bas…

Alors pourquoi la loi scélérate impose-telle une discrimination majeure attentatoire aux libertés fondamentales, inefficace et abandonnée par presque tous ceux qui l’ont essayé ?

Les mesures dites sanitaires tuent la population, mais aussi l’économie

Ces mesures prétendument sanitaires(([6] Aucune des contraintes majeures (masque en extérieur, confinement, couvre-feux, fermeture des restaurants et café en terrasse, pseudovaccin) n’a scientifiquement prouvée qu’elle était efficace)) visent à masquer la responsabilité de nos gouvernants dans la destruction de notre système de santé. Mais elles aggravent considérablement la situation du pays en rajoutant aux victimes directes de la maladie les victimes collatérales des mesures sanitaires, une crise sociale, scolaire, et économique et politique majeure.

Le confinement et le plan blanc ont aggravé la mortalité globale par les refus et retards de soins, des maladies aigues et chroniques, l’arrêt des programmes de prévention, multiplié les troubles psychiatriques, multiplié les décrochages scolaires, aggravé la pauvreté et le chômage et détruit inutilement une partie de notre économie.

Les pertes financières ont touché plus fortement les pauvres aggravant d’autant leur pauvreté.(([7] Annie Firlej, Émilie Pawlowski Insee Des conséquences financières du premier confinement plus ou moins marquées selon les territoires))

Au deuxième trimestre de l’année 2020, l’INSEE indique une baisse de 13,7 % du PIB par rapport au trimestre précédent (dont -31 % en avril) ce qui constitue un des plus gros chocs économiques qu’a connus la France depuis 1945. L’impact du 2e confinement a été moins violent (-11,6 % de PIB en novembre) grâce à des mesures moins drastiques et la réouverture des commerces non-essentiels deux semaines avant la levée du confinement. Au total, d’après l’INSEE, l’économie française a subi une chute du produit intérieur brut de 8 % en 2020,(([8] Victor Amoureux, Jean-Cyprien Héam, Thomas Laurent (Insee Les comptes de la Nation en 2020 No 1860
Paru le : 28/05/2021 
https://www.insee.fr/fr/statistiques/5387891)) bien supérieure à celle observée dans les pays qui n’ont pas subi de confinement (tel que la Suède où la chute du PIB n’a atteint que 2,8 %(([9] https://www.tradesolutions.bnpparibas.com/fr/explorer/suede/apprehender-le-contexte-economique)) ou les Pays-Bas où elle est d’environ 3,8 %(([10] https://www.tradesolutions.bnpparibas.com/fr/explorer/pays-bas/apprehender-le-contexte-economique)))

La responsabilité des restrictions sanitaires dans ce désastre économique sans précédent est confirmée par la proportionnalité de la chute des PIB et l’intensité des restrictions imposées aux populations selon le schéma ci-après publié par le Monde. Ceux qui ont fait pire que nous sont ceux qui ont appliqué les mesures ls plus restrictives de liberté (Italie, Espagne, Grande-Bretagne :

La poursuite d’une propagande covid terroriste et de mesures restrictives comme le pass sanitaire continue d’entraver la reprise économique et risque de condamner une grande partie des secteurs les plus durement touchés comme le spectacle, le tourisme, les restaurateurs,(([11] https://www.youtube.com/watch?v=kdQUxa1VaB0)) les transports. l’hôtellerie qui ne peuvent redémarrer sans le retour de la clientèle internationale et des voyageurs d’affaires que le pass qui n’existe pas dans leurs pays rebute.

L’incertitude a forcé les Français qui le pouvaient à économiser. Mais pour qu’ils reprennent le chemin des commerçants et relancent l’économie, il faut leur redonner confiance dans la parole de l’état et dans le futur.

Cela nécessite de reconnaitre que les pseudovaccins actuels et le pass ne sont pas efficaces contre le variant delta puisqu’il a d’abord prospéré dans les pays qui les ont utilisés.

Dire enfin la vérité : qu’il est plus contagieux mais très peu dangereux et qu’il n’y donc aucune raison pour que la vague en cours submerge les hôpitaux. Reconnaître enfin que la suppression de toutes les mesures sanitaires en Grande-Bretagne le 19 juillet par B. Johnson a été suivie d’une forte baisse es contaminations et qu’il ne faut donc pas en avoir peur en France.

La poursuite de la propagande de terreur par le gouvernement et les médias covid terroristes nous condamne à une stagnation économique sans fin.





Ricardo : « Nous allons gagner la guerre »

[Source : La Minute de Ricardo]

Urgent: programme et vision !



Nous les résistants du peuple de France allons gagner la guerre !

Première bataille à gagner: stopper le pass sanitaire car il est contraire :
Aux droits de l’homme, article 2
À la constitution française, article 55
Au code civil, article 16
Au code pénal, article 225
Au code du travail, article 11.32
Au code de santé publique, article R27.31
Au code de déontologie médicale, article 36
Au serment d’Hippocrate
À la loi du 13 Juillet 1983
À la loi nᵒ 2002-3032 appelée loi Kouchner
Au Conseil de l’Europe, résolution 97 article 5
À la déclaration d’Helsinki de 1996
À la déclaration de Genève de 1948
À la déclaration de Nuremberg de 1945
Si quelqu’un vous empêche d’allez où que ce soit, relevez l’identité des personnes qui entravent votre liberté de circulation, elles seront punies le jour venu, condamnées pour non respect de toutes ces lois et surtout pour discrimination!

Deuxième bataille à gagner: stopper l’injection des wax !

On ne lâchera rien ! Même si Macron ne le veut pas, nous on sera là ! Vive la France !




Effets catastrophiques de la piqûre anti-Covid

Par Nicole Delépine

Il rêvait d’être pilote de chasse, il restera malade cardiaque dans le meilleur des cas si ce faux vaccin ne l’emporte pas dans les prochains jours. Il rêvait de vacances en Grèce avec sa copine, il ne partira jamais, mort dans les heures qui ont suivi l’injection supposée « libératrice »…

Comment vont réagir tous ces « jeunes » vaccinés qui se croient libres, enfin, après des mois de privation de liberté, alternant entre confinement et restrictions de degré variable, lorsque leur belle liberté va être entachée d’accidents vasculaires, d’un ami ou d’un copain, qui se multiplient après quelques mois d’euphorie, et, au minimum, de nouvelles privations, si les manifestations n’emportent pas ce pass de la honte dans la tempête populaire ?

L’exemple du « modèle » israélien devrait les avertir, mais comme chacun sait, il n’y a plus d’infos, que des mensonges à la télévision et des éléments sur les réseaux sociaux désavoués par les trolls. Alors on va à la plage, on verra bien…

Pourtant un regard sur la base de données officielles devrait au moins semer le doute avant d’aller se faire injecter cet OGM et devrait au moins faire réfléchir autant que pour acheter un shampoing bio…

Si le projet de ce papier était une revue exhaustive des effets secondaires des injections géniques, il devient impossible sur un temps court, car les événements graves ou sérieux (appelés « blessures » trop souvent dans les textes par suite d’une mauvaise traduction de l’anglais) sont trop nombreux pour permettre un rapport rapide pourtant nécessaire pour les « candidats » au vaccin sur injonction gouvernementale et médiatique. Nous citerons donc ici quelques articles significatifs.

LE NOMBRE D’EFFETS INDÉSIRABLES DÉCLARÉS EN LIEN AVEC LES VACCINS ANTI-Covid A DÉJÀ LARGEMENT DÉPASSÉ, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDÉSIRABLES RAPPORTÉS, DEPUIS LA CRÉATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUÉS.(([1] https://www.businessbourse.com/2021/08/03/dr-eric-menat-je-nai-jamais-vu-une-augmentation-aussi-importante-des-effets-secondaires-officiels-plus-de-100-fois-quavec-tous-les-autres-vaccins-reunis/))

L’Étude d’Enzololo(([2] https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/Covid-19-les-vaccinsvu-travers-la-pharmacovigilance
Covid-19 — Les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS 12 juil. 2021 Par Enzo Lolo — Mediapart fr Enquête dans les données de pharmacovigilance mondiale de l’OMS.
Notons que Médiapart a censuré le document ! selon l’auteur enzololo le 5 août : « Ça devient presque anecdotique dans le paysage, mais Mediapart vient de supprimer mon billet d’il y a quelques jours “les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS” (que je vous mets en PJ). Le plus humiliant est qu’ils se justifient par ce truc d’une dégoulinante nullité mâtinée de malhonnêteté intellectuelle :
https://factandfurious.com/fact-checking/non-les-effets-indesirables-des-vaccins-covid19-ne-sont-pas-dix-fois-superieurs-aux-autres-vaccins »)) de début août rapporte les éléments importants des bases de pharmacovigilance disponibles et les synthétise.

« La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants ».

La page d’accueil précise que pour chaque événement indésirable enregistré, le médicament est « soupçonné », mais que cela ne signifie pas automatiquement qu’il soit la cause de l’événement ». De façon générale, on estime que seulement 1 % à 10 % des événements indésirables réels sont rapportés.

Vaccins anti-Covid : depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, alors que 3,3 milliards de doses avaient été administrées à 2 milliards de personnes : pour toutes les tranches d’âges pour lesquelles les vaccins anti-Covid ont été autorisés :

le nombre d’effets indésirables déclarés en lien avec vaccins anti-Covid a déjà largement dépassé, en quelques mois, le total des effets indésirables rapportés, depuis la création de la base de pharmacovigilance de l’OMS en 1968, pour les 15 vaccins les plus distribués.

Selon l’OMS : les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins de 1,7 million en 50 ans (soupçonnés aussi).

Comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Et précisons que tous ces vaccins répertoriés ont également été distribués à des millions de personnes dans le monde et chaque année et que le nombre global de vaccins anticovid injectés n’est pas supérieur aux vaccins classiques administrés et n’explique donc pas ce pic énorme d’effets secondaires graves.

Selon la VAERS :

La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin. Et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées. C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.

Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin Covid. Les données VAERS publiées début août par les CDC ont montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la Covid, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021.(([3] Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.
Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’accidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de délibération. Les rapports soumis au VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’un lien de causalité puisse être confirmé.))

Si l’on exclut les « déclarations étrangères » déposées dans VAERS, 443 201 événements indésirables, dont 5 739 décès et 35 881 accidents graves, ont été signalés aux États-Unis.

Aux États-Unis, 344,9 millions de doses de vaccin contre la Covid avaient été administrées en date du 30 juillet :

139 millions de doses du vaccin de Moderna

193 millions de doses de Pfizer

13 millions de doses du vaccin Johnson & Johnson (J&J) contre la Covid.

Sur les 5 739 décès signalés aux États-Unis sur cette base au 30 juillet, 13 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 19 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 34 % chez des personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

Ces chiffres sont bien inférieurs aux chiffres évalués par d’autres sources qui montent à 45 000 décès qui seraient directement liés aux pseudovaccins anticovid.(([4] https://leohohmann.com/2021/06/21/behind-the-vaccine-veil-doctor-cites-whistleblowers-inside-cdc-who-claim-injections-have-already-killed-50000-americans/)) Mais rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique en phase 3 en AMM conditionnelle et qu’avant la « crise Covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès, etc..). Les milliers de morts indéniables dans le monde entier auraient dû faire stopper en urgence cette expérimentation, si elle relevait vraiment de la médecine.

EN CE QUI CONCERNE LES ENFANTS DE 12 à 17 ans

Les données américaines de cette semaine pour les jeunes de 12 à 17 ans montrent :

•15 741 événements indésirables au total, dont 947 jugés graves et 18 décès signalés. Deux des neuf décès étaient des suicides.

« Les décès les plus récents signalés comprennent un garçon de 15 ans (VAERS ID. 1498080) qui avait déjà eu la Covid, a reçu un diagnostic de cardiomyopathie en mai 2021, et est décédé quatre jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin de Pfizer le 18 juin, lorsqu’il s’est effondré sur le terrain de soccer et est entré en tachycardie ventriculaire ; et une jeune fille de 13 ans (VAERS ID. 1 505 250), décédée après avoir souffert d’une maladie cardiaque après avoir reçu sa première dose de Pfizer. »

•Parmi les autres décès, mentionnons deux garçons de 13 ans (VAERS ID. 1 406 840 et 1 431 289), décédés deux jours après avoir reçu le vaccin de Pfizer, un garçon de 13 ans, décédé après avoir reçu Moderna (VAERS ID. 1 463 061), trois jeunes de 15 ans (VAERS ID. 1 187 918, 1 382 906 et 1 242 573), cinq jeunes de 16 ans (VAERS ID. 1 420 630, 1 466 009, 1 225 942, 1 475 434 et 1 386 841) et trois jeunes de 17 ans (VAERS ID. 1 199 455, 1 388 042 et 1 420 762).

• 2 323 cas d’anaphylaxie ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, dont 99 %

ont été attribués au vaccin de Pfizer.

• 406 cas de myocardite et de péricardite (inflammation cardiaque) avec 402 cas attribués au vaccin de Pfizer.

• 77 rapports de troubles de la coagulation du sang, avec tous les cas attribués à Pfizer.

RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU Covid :
AUCUN MORT D’ENFANT OU DE JEUNE SANS COMORBIDITÉ

Où est le bénéfice par rapport à ce risque indéniable de l’injection ?

Selon les CDC les chiffres sont comparables(([5] Dans l’ensemble, l’étude des CDC a examiné les effets secondaires chez les jeunes de 12 à 17 ans signalés au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS) entre le 14 décembre 2020 et le 16 juillet 2021. Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.))

Une étude publiée par les Centers for Disease Control and Prevention a montré que 9 246 événements indésirables ont été signalés chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans, dont 863 événements graves, 14 décès et 397 rapports de myocardite.

Les CDC ont reconnu que près de 400 enfants âgés de 12 à 17 ans avaient souffert d’inflammation cardiaque après avoir reçu le vaccin Pfizer/BioNTech.

L’étude des CDC a également inclus 14 rapports de décès après la vaccination chez les adolescents. Parmi les personnes décédées, quatre étaient âgées de 12 à 15 ans, et 10 sont survenues chez des jeunes de 16 à 17 ans.

Les décès examinés par les CDC comprenaient deux rapports d’embolie pulmonaire, deux suicides, deux hémorragies intracrâniennes, un rapport d’insuffisance cardiaque et un trouble sanguin rare.(([6] L’auteure correspondante du CDC, Anne M. Hause, Ph.D., a déclaré :
« Les impressions concernant la cause du décès n’indiquaient pas une tendance suggérant une relation de cause à effet avec la vaccination ; toutefois, la cause du décès de certains défunts est en attente de la réception de renseignements supplémentaires.
Tous les décès ont été examinés par les médecins des CDC et six décès sont en attente d’une analyse plus approfondie. Aucun des rapports de décès n’a été déterminé comme avoir été causé par une inflammation cardiaque. »))

Le mois dernier, The Defender a fait état d’un garçon de 13 ans qui, selon une autopsie préliminaire, est mort d’une myocardite trois jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin Pfizer.

Les autorités sanitaires du Michigan ont signalé le décès de l’enfant de 13 ans aux CDC, qui ont déclaré enquêter. On ne sait pas si la mort du garçon est l’une des six personnes qui font toujours l’objet d’une enquête du CDC.

Résultats globaux pour les jeunes de 12 à 17 ans

Selon l’étude des CDC,(([7] CDC Study on 12- to 17-Year-Olds Who Got Pfizer Vaccine: 397 Reports of Heart Inflammation, 14 Deaths • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) )) en date du 16 juillet, environ 8,9 millions d’adolescents américains âgés de 12 à 17 ans avaient reçu le vaccin Pfizer-BioNTech. Le VAERS a reçu 9 246 déclarations après la vaccination de Pfizer-BioNTech dans ce groupe d’âge — 90,7 % d’entre elles concernaient des effets secondaires non graves et 9,3 % des déclarations d’effets secondaires graves, y compris la myocardite (4,3 % ou 397 déclarations).

Les CDC ont également examiné les événements indésirables pour le groupe d’âge des 12 à 17 ans signalés au cours de la même période à V-safe, un système de surveillance de la sécurité basé sur un téléphone intelligent contrôlé par les CDC et des partenaires privés.

Selon l’étude, 129 000 adolescents américains âgés de 12 à 17 ans se sont inscrits à V-safe après la vaccination Pfizer BioNTech. Ils ont signalé des réactions locales (63,4 %) et systémiques (48,9 %) avec une fréquence similaire à celle rapportée dans les essais cliniques de préautorisation. Les réactions systémiques étaient plus fréquentes après la dose deux.

L’étude a indiqué qu’un petit nombre de participants V-safe ont déclaré qu’ils avaient été hospitalisés après la vaccination, cependant V-safe n’enregistre pas de raison d’hospitalisation, et il n’est pas possible de déterminer si l’hospitalisation était liée à la vaccination. Bien qu’elles soient exécutées par le CDC, les données V-safe ne sont pas accessibles au public.

Réactions les plus courantes liées à la myocardite

Bien que l’étude des CDC n’ait lié ouvertement aucun des décès survenus dans le groupe des 12 à 17 ans à l’inflammation cardiaque, elle a révélé que les événements indésirables graves les plus fréquemment signalés dans ce groupe d’âge comprenaient des douleurs thoraciques, une augmentation des niveaux de troponine,(([8] Enzyme que l’on dose en cas de suspicion d’infarctus pour confirmer le diagnostic)) une myocardite, une augmentation de la protéine c réactive et des résultats négatifs du test SARS-CoV-2. Selon les CDC, les résultats étaient compatibles avec un diagnostic de myocardite, inflammation du muscle cardiaque qui peut conduire à l’arythmie cardiaque et la mort.

Selon les chercheurs de l’Organisation nationale pour les maladies rares, la myocardite peut résulter d’infections, mais « le plus souvent, la myocardite est le résultat de la réaction immunitaire du corps aux dommages cardiaques initiaux ». Selon la Mayo Clinic, une myocardite sévère peut endommager de façon permanente votre muscle cardiaque, ce qui peut causer une insuffisance cardiaque définitive.

RISQUES ACCRUS DE MYOCARDITE ET DE PÉRICARDITE SIGNALÉS PAR LA FDA SUR FICHES D’INFORMATION PFIZER

Le 25 juin, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a ajouté un avertissement aux fiches d’information des patients et des fournisseurs pour les vaccins Pfizer et Moderna contre la Covid indiquant un risque accru de myocardite et de péricardite après la vaccination. Les mises en garde indiquent que les rapports d’effets secondaires suggèrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier après la deuxième dose et avec apparition des symptômes quelques jours après la vaccination.

La mise à jour de la FDA a fait suite à un examen de l’information et à une discussion par la réunion de l’ACIP(([9] Advisory Committee on Immunization Practices.
Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) est un comité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis qui fournit des conseils sur le contrôle efficace des maladies évitables par la vaccination dans la population civile des États-Unis.)) le 23 juin, au cours de laquelle le comité a reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez des jeunes de 16 à 24 ans et a déclaré que les vaccins contre la Covid à ARNm devraient porter une déclaration d’avertissement.

Les responsables de la santé ont déclaré que les avantages de recevoir un vaccin contre la Covid l’emportent toujours sur les risques. Les médecins et autres commentateurs publics ont accusé les CDC lors de la réunion d’exagérer le risque de Covid pour les jeunes et de minimiser le risque des vaccins.

Pfizer et son partenaire vaccinal BioNTech ont soumis une demande en mai à la FDA demandant l’approbation complète de la FDA de son vaccin contre la Covid. Pfizer a été le premier fabricant de vaccins contre la Covid aux États-Unis à demander une approbation complète.

ACCIDENTS PRÉOCCUPANTS CHEZ LES JEUNES VACCINES : LES SUICIDES ET TROUBLES DU COMPORTEMENT

Les données récentes du VAERS concernant les jeunes vaccinés contre le Covid montrent aussi des troubles de la sérié psychiatrique : suicide, tentatives de suicide — idées suicidaires, changements d’état mental dangereusement altérés/psychose chez les jeunes sans AUCUN antécédent de maladie mentale.

On peut lire quelques descriptions sur twitter : un jeune de 17 ans de l’Ohio décédé par suicide 4 jours après avoir reçu son injection. Un autre du même âge du Michigan, mort par suicide avec une arme à feu 8 jours après le vaccin. Un garçon de 17 ans en Iowa a fait 2 tentatives de suicide commençant 10 jours après l’injection fatidique.

« Il a dit que c’était comme si un interrupteur était éteint dans sa tête. Sa dépression et son anxiété ont empiré. Il n’a pas mangé pendant une semaine… »

Il était toujours écœuré. Il suit une thérapie. Sa mère a dit qu’il n’était plus le même depuis qu’il s’est fait vacciner.

Une fille de 15 ans en Géorgie en bonne santé et sans aucun antécédent de maladie mentale, a décompensé 14 jours après la 2e dose. On « l’a trouvée désorientée, pieds nus, errant dans le quartier au milieu de la nuit ». Les dépistages de drogue et le bilan médical sont tous négatifs.

Et d’autres témoignages décrits par @AMcA32449832(([10] Le 1 er août 2021 Tweet : 18 ans garçon de Virginie-Occidentale — en bonne santé, psychose développée 4 jours après la vaccination, nécessitant une hospitalisation de 27 jours)) sur twitter.

FERTILITÉ ET PSEUDOVACCIN

Depuis plusieurs mois des généticiens attirent l’attention sur les risques importants de ces injections sur la fertilité, étant donné l’attraction de la fameuse protéine spike, que nous fabriquons à la suite du « vaccin », pour les ovaires et les testicules.

Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter.(([11] 7 AOÛT 2021 Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter | Aube Digitale))

« Les Drs Wolfgang Wodarg et Michael Yeadon expliquent que le nouveau vaccin contient une substance similaire à celle produite par le corps de la femme lorsqu’elle attend un enfant (syncitine 1), substance qui, chez la mère, sert à produire le placenta qui nourrit le bébé.

Il est donc possible que les anticorps de la femme vaccinée (anticorps programmés pour détruire le virus) confondent la syncytine 1 contenue dans le morceau de virus avec la syncytine 1 produite par le corps de la femme en vue de la grossesse, empêchant par conséquent la formation du placenta.

Les vaccins anti-Covid à ARNm agiraient donc comme un abortif permanent puisque l’absence de placenta ferait mourir de faim l’embryon humain, mais ne l’empêcherait pas d’être conçu. »

Par conséquent, vaccination de masse peut vouloir dire “stérilisation de masse”(([12] 10 bonnes raisons de refuser le vaccin contre la Covid — Résumé. (wordpress.com) ))

Possible complication d’autant plus insupportable que les femmes sans antécédent particulier en âge de procréer ne risquent rien du Covid. Il serait indispensable qu’elles soient en tous cas correctement informées de ce risque.

LES VACCINS ANTICOVID, LA PROTÉINE SPIKE ET SES COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRES : AVC, INFARCTUS, perte de cohérence de mémoire chez personnes âgées, troubles du comportement chez les plus jeunes, etc.

« La protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps s’elle entre en circulation.

L’ARNm pénètre dans votre circulation sanguine et s’accumule dans divers organes, principalement la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, chez les femmes, les ovaires. La protéine de pointe se rend également dans votre cœur, votre cerveau et vos poumons, où des saignements et/ou des caillots sanguins peuvent survenir, et est expulsée dans le lait maternel. »

Dr. Byram Bride

Une fois dans votre circulation sanguine, la protéine de pointe se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Comme expliqué par Bridle, lorsque cela se produit, plusieurs choses peuvent se produire :

1. Les plaquettes peuvent s’agglutiner. Les plaquettes, ou thrombocytes, sont des cellules spécialisées de votre sang qui arrêtent le saignement. Lorsqu’il y a des dommages aux vaisseaux sanguins, ils s’agglutinent pour former un caillot sanguin. C’est pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à la fois au [SRAS-CoV-2 de] la Covid-19 et aux vaccins.

2. Cela peut provoquer des saignements anormaux (en particulier des troubles des règles chez des vaccinées ou proches de vaccinées qui auront récupéré de la protéine spike)

3. Dans votre cœur, cela peut causer des problèmes cardiaques

4. Dans votre cerveau, il peut causer des dommages neurologiques

Il est important de noter que les personnes qui ont été vaccinées contre Covid-19 ne devraient pas donner de sang, vu comment le vaccin et la protéine de pointe sont tous deux transférés. Chez les patients fragiles recevant le sang, les dommages pourraient être mortels.(([13] Chercheur : « Nous avons fait une grosse erreur » sur le vaccin Covid-19 + La charge de la preuve incombe à Big Pharma… » 27 juillet 2021 par mirastnews in Europe/Par le Dr Joseph Mercola))(([14] Le médecin émérite Sucharit BHAKDI qui explique clairement les phénomènes de coagulation post vaccinaux.
Vidéos doublées en français :
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Message-urgent-DR-Sucharit-Bhakdi-et-le-changement-de-narratif- (covid19) — (post%C3%A9-par-Dr-Perronne) — (1) : 7?src=embed))

Malheureusement actuellement les centres de transfusion français n’abordent pas ce lourd sujet.

Nous ne pouvons détailler ici tous les accidents liés à ces perturbations de la coagulation et aux thrombus qui en découlent et qui selon certains seraient visibles sur 60 % des IRM cérébrales de personnes vaccinées. Elles sont donc à risque et il est conseillé aux vaccinés d’obtenir de leur médecin une surveillance de dimères tous les 15 jours et si ceux-ci sont élevés d’obtenir une IRM cérébrale et un examen cardiaque. Prévenir ces accidents vasculaires serait à discuter avec votre docteur, éventuellement via de petites doses d’aspirine au cas par cas en fonction de vos autres traitements, etc. et pas à l’aveugle.

Enfin citons simplement les inquiétudes des cancérologues devant la multiplication des cancers nouveaux et des rechutes y compris chez des patients en rémission depuis longtemps. Une veille à ce sujet s’impose pour le moins de même que sur l’apparition de maladies neurodégénératives chez les vaccinés. L’histoire est loin d’être écrite.

VACCINATION NON SEULEMENT INUTILE, MAIS MORTIFÈRE

Et pourtant ces pseudovaccins ne protègent ni les vaccinés ni les autres. Voyez les expériences à ciel ouvert d’Israël et de Grande-Bretagne.

En Israël,

« 85 à 90 % des hospitalisations actuelles concernent des vaccinés » à 2 doses. 95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid-19 sont des vaccinés !(([15] https://vigilance-pandemie.info/2021/08/09/israel-vaccines-hospitalises/ à lire en totalité si vous voulez comprendre ce qui nous arrive))

En Grande-Bretagne un rapport de Public Health England précise que

« sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin, 163 avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, ce qui représente environ 63,4 % ».

LE REMÈDE CONTRE L’HYSTÉRIE ET LA FOLIE VACCINALE ? LE PEUPLE

Les manifestations populaires pacifiques rejetant l’obligation d’un pass sanitaire qui a incité tant de jeunes et de professionnels dans les dangers d’une vaccination inutile pour eux doivent s’amplifier.

La résistance au pass via la désertification des terrasses sera également efficace, car partagée. Les multiples photos de cafés vides des Champs-Élysées à la Bretagne, etc. donnent espoir que ce boycott du pass et des mesures liberticides ait la même efficacité qu’en Russie où il sauta en trois semaines, boycott accompagné de plaintes aux administrations.(([16] 2 millions de plaintes en 3 semaines, et victoire ! — Boris Karpov (tvs24.ru)
« Il faut savoir que depuis 10 ans, le gouvernement russe a développé des services en ligne parfaitement efficaces. Vous voulez écrire au FSB ? Au procureur ? Au percepteur ? A un ministre ? Ça se fait en ligne ! Réponse garantie sous 10 jours ! Des juristes préparent donc des lettres “standard” de plaintes contre le maire de Moscou, destinées à toutes les administrations. Car bien sûr les mesures sont totalement illégales et violent tous les codes, et la Constitution !
Un porte-parole de la Prokurature de Moscou déclare qu’ils reçoivent en moyenne 5 000 plaintes par jour, tous les jours. Et les gens écrivent au FSB pour accuser le maire de “trahison”, au ministère du travail pour se plaindre de la violation du code du travail, etc., etc. C’est un véritable raz de marée. »))





France : mensonges et manipulation pour faire croire à l’efficacité de la vaccination anti-covid

Par Alain Tortosa

Les départements les plus touchés seraient les moins vaccinés ?

Mensonge d’État !

Le Premier ministre a déclaré(([1] https://www.europe1.fr/politique/covid-19-jean-castex-juge-dramatique-la-situation-en-outre-mer-4060057))

« Il y a vraiment une différence nette, visible entre les populations qui se vaccinent et celles qui ne se vaccinent pas »

« L’état d’urgence sanitaire dans un certain nombre de territoires d’outre-mer où la situation est dramatique, car ils sont rétifs à la vaccination ».

Depuis quelques jours, politiques, médecins médiatiques arrosés et journaleux martèlent que le regain d’épidémie se situe dans les pays qui ont le moins vacciné !

C’est un mensonge !

Regardez les données officielles fournies par les autorités sanitaires ci-après :

Comme vous pouvez le constater, il n’y a strictement AUCUNE corrélation entre le taux d’incidence et le taux de vaccination d’une région !

Il n’y a qu’à regarder La Guyane, Saint-Martin ou la Martinique et il en est de même en métropole.

D’autre part, même si c’est moins net, nous pouvons constater que les départements avec fort taux d’incidence ont, dans ces exemples, un taux de dépistage (nombre de tests) important !

Nous sommes donc face à un nouveau mensonge, mais de taille.

Les Français sont manipulés pour leur faire croire que les départements les moins vaccinés sont les plus exposés, mais c’est un mensonge !

Nous avons ici la preuve que la vaccination est de ce point de vue un échec et qu’elle n’est pas de nature à protéger de cette épidémie de « cas » [Ndlr: personnes testées positif au test PCR, mais étant le plus souvent en bonne santé (considérées alors comme « asymptomatiques ».] de la « 4e vague ».

Alain Tortosa

https://7milliards.fr/tortosa20210730-mensonge-efficacite-vaccination.pdf


Mensonges et manipulations, non la vaccination ne protège pas !

« Entrées hospitalières et décès de patients Covid-19 selon le statut vaccinal et la présence de la mutation L452R »(([2] https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2021-07-23_-_sivic-sidep-vacsi_premiers_resultats_-_drees-2.pdf))

L’étude de la DRESS conclut que

« Les non-vaccinés représentent près de 85 % des entrées hospitalières, que ce soit en hospitalisation conventionnelle ou en soins critiques. »

Un bon coup de poing dans la gueule pour ceux qu’on nomme les « antivax », non ?

Pas si sur !

Petite précision… les auteurs précisent que

« les enseignements à en tirer sont plus fragiles, en raison de la faiblesse du nombre de cas identifiés sur cette première période d’étude ».

Il est bien entendu que ni les politiques, ni les médecins médiatiques corrompus ou illettrés et encore moins les médias putalopes ne tiendront compte de cette remarque et feront de cette étude une VÉRITÉ !

Parlons d’abord de quelques biais :

  • La Dress, direction de l’administration centrale des ministères sanitaires et sociaux est un organisme public sous la tutelle de différents ministères. Quand votre ministère vous dit depuis des mois que la vaccination est non seulement efficace, mais aussi la seule voie, je ne suis pas certain que vous puissiez pondre une étude à charge. Et ce d’autant plus quand son directeur, Fabrice Lenglart, a été nommé fin 2019 par Macron.
  • La légende urbaine veut que les vaccinés soient censés ne pas faire de formes graves. Sans être des extrémistes manipulés, des médecins de base et non informés vont avoir une tendance naturelle à largement hospitaliser des non-vaccinés par peur de formes graves…
  • Imaginons que ces données bidons soient vraies… Je vous rappelle qu’une personne positive au Covid avec un cancer en phase terminale qui décède est considérée décédée du Covid. J’imagine aussi qu’il reste quelques médecins intègres qui ne s’amusent pas à vacciner pour le plaisir ou pour l’argent des personnes en fin de vie qui n’auraient aucun bénéfice à être vaccinées hormis le risque de les précipiter plus vite dans la mort..

Imaginons que l’affirmation de cette étude soit exacte et qu’une écrasante majorité des hospitalisés soient non vaccinés…

De fait, plus il y aurait de vaccinés dans une région et moins il y aurait d’hospitalisations !

Les départements les plus vaccinés devraient donc avoir le plus faible taux d’hospitalisation…

Voyons quelques chiffres officiels :

(Source geodes.santepubliquefrance.fr, données au 26 juillet 2021)

Je vous rappelle (voir plus haut) qu’il n’y a AUCUNE corrélation entre le taux d’incidence et le taux de vaccination.

Par exemple la Guyane avec son taux de vaccination de 20,9 % devrait avoir un taux d’incidence identique à celui de la Martinique dont le taux est de 1000 alors même que le taux en Guyane est seulement de 240 !

Il en est de même en métropole avec l’Essonne qui a 15 points de moins pour la vaccination que les Alpes-Maritimes avec un taux d’incidence de 153 pour l’Essonne versus 585 pour les Alpes-Maritimes.

Mais quid des hospitalisations qui devraient être moindres dans les départements les plus vaccinés ?

Si l’on compare le taux de personnes hospitalisées pour 100 000 habitants en Guadeloupe et en Martinique qui ont un taux de vaccination assez proche, nous constatons que la Martinique, officiellement au bord du gouffre, compte 38 personnes hospitalisées Covid pour 100 000 habitants versus 29 pour la Guadeloupe qui a pourtant un demi-point de moins en vaccination.

Leurs taux d’hospitalisation devraient être proches et pourtant il y a 28 % de plus d’hospitalisations en Martinique.

Pour la métropole, la Haute-Corse et le Haut-Rhin sont à moins de 6 personnes hospitalisées pour 100 000 habitants alors que les Pyrénées-Orientales et les Alpes-Maritimes sont à plus de 13 personnes hospitalisées pour 100 000 habitants (plus de deux fois plus) malgré leurs 10 points de plus de vaccinés.

Vous pourriez alors critiquer ces chiffres en disant que les personnes hospitalisées l’étaient déjà en partie ou largement avant la vaccination.

J’ai donc comptabilisé le nombre de personnes entrant à l’hôpital entre le 1er juillet et le 26 juillet.

Ici encore la Guadeloupe avec un demi-point de moins de vaccination que la Martinique compte 35 admissions pour 100 000 habitants versus 56 pour la Martinique.

En métropole, L’Essonne ou la Haute-Corse sont à moins de 8 admissions pour 100 000 habitants tandis que les Pyrénées-Orientales ou les Alpes-Maritimes sont à plus de 11 admissions pour 100 000 habitants malgré environ 10 points de plus de vaccination pour ces derniers !

On pourrait multiplier les exemples à l’infini comme l’Aude, entre Pyrénées-Orientales et l’Hérault qui est moins vacciné, a un taux d’incidence plus faible, et moins d’hospitalisations que ses voisins !

Nous avons ici la preuve d’une absence TOTALE de corrélation (tantôt plus, tantôt moins) entre le taux de vaccination d’un département et le nombre d’admissions à l’hôpital !

Cette étude n’a donc strictement aucune valeur scientifique et est de nature à manipuler une fois de plus la population pour lui faire croire que la vaccination réduit drastiquement les hospitalisations.

C’est tout simplement FAUX ! La réalité des chiffres prouve le contraire, l’inefficacité de la vaccination !

Je vous rappelle que le gouvernement s’appuie sur ces études erronées ou frauduleuses pour rendre la « vaccination » de produits expérimentaux obligatoire !

Nous devons continuer à éclairer le public sur ces mensonges !

Alain Tortosa

https://7milliards.fr/tortosa20210801-mensonge-vaccination-hospitalisations.pdf





Contraventions COVID : ressources (au Québec)

[Source : Le Tribunal de l’infaux (tribunaldelinfaux.com)]

Voici des ressources pour ceux et celles qui ont reçu des contraventions en lien avec les mesures sanitaires.

Vous trouverez :

A- L’avis juridique de Me Dominic Desjarlais, l’avocat de la Fondation pour la défense des droits et libertés du peuple.

En résumé, vous pouvez demander une remise pro forma de l’audition (reporter à une date ultérieure) afin de faire des démarches pour vous trouver un avocat ou produire une requête attaquant la constitutionnalité du décret et de la mesure.

B- Autres ressources et liens utiles.

A- RÉSUMÉ DE L’AVIS JURIDIQUE DE ME DOMINIC DESJARLAIS

1. Contester la contravention

Pour contester une contravention, vous avez 30 jours. Demandez la divulgation de la preuve.

Exemple :

« Bonjour,

J’ai reçu le constat d’infraction 100400 5000******.

Je souhaite plaider non coupable.

Veuillez s’il-vous-plaît me transmettre la divulgation de la preuve.

Merci de confirmer la réception de ce courriel.

Cordialement,

VOTRE NOM »

Voici l’information du Bureau des amendes:

« Vous voulez plaider non coupable et contester votre constat d’infraction

Vous pouvez enregistrer votre plaidoyer de non-culpabilité :

Par courriel à l’adresse amendes@justice.gouv.qc.ca , en indiquant votre nom, votre numéro de constat d’infraction et votre choix de plaidoyer.

Par la poste à l’adresse apparaissant sur votre constat ou par télécopieur au 418 644-8486, en utilisant le coupon-réponse de votre constat d’infraction ou de la correspondance reçue.

Vous serez alors avisé par la cour du Québec de la date prévue pour la tenue du procès. »

2. Si vous recevez un avis d’audition, présentez-vous à l’endroit, la date et l’heure indiquée.

– Si vous ne pouvez pas vous présenter :

  • Contactez la partie poursuivante (le Bureau des infractions et des amendes du Ministère de la Justice, toutes les informations sont sur la 2e page du constat). Cliquez ici pour le site web, les coordonnées et la FAQ.
  • Demandez de reporter l’audition en expliquant votre motif.
  • Confirmez par écrit toute remise de l’audition.

– Si vous n’arrivez pas à communiquer avec la partie poursuivante :

  • Présentez-vous devant le tribunal à la date et l’heure convenues, sinon un jugement par défaut pourrait être prononcé contre vous.

3. Lorsque vous vous présentez devant le tribunal pour une première date d’audition, dites si vous êtes prêt à procéder ou non. Vous pouvez demander une remise pro forma.

  • Représentation :
  • Représenté par un avocat : Si vous souhaitez être représenté par un avocat, notamment pour attaquer la constitutionnalité du décret et/ou de la mesure, vous pouvez demander une remise d’audition afin de faire des démarches en ce sens. Vous pouvez demander un délai de 60 à 90 jours.
  • Représenté seul : Si vous souhaitez vous représenter seul et souhaitez attaquer la légalité et/ou la constitutionnalité du décret et/ou de la mesure, vous pouvez demander de reporter le dossier en indiquant le délai nécessaire pour produire une requête attaquant la constitutionnalité du décret et de la mesure, ainsi qu’un avis selon l’article 76 du Code de procédure civile, requis lorsque la constitutionnalité d’une loi ou d’un décret gouvernemental est attaqué.

4. La suite dépendra des démarches entreprises. Une date d’audition devra éventuellement être fixée une fois que toutes les parties seront prêtes à procéder.


B- AUTRES LIENS UTILES

Extrait pertinent :

« À cet égard, la Cour suprême du Canada a établi le principe judiciaire voulant qu’il faille impérativement une habilitation législative expresse pour imposer ou créer, par règlement ou une taxe, des infractions et des pénalités. En d’autres termes, il faut que la loi prévoie expressément le pouvoir d’adopter des sanctions pénales. Or la LSP ne le prévoit pas dans le chapitre XIV relativement aux sanctions pénales (articles 138 à 142). Son pouvoir de réglementation de l’article 136 ne saurait non plus lui permettre.

Ainsi, rien dans la Loi sur la santé publique n’autorise le gouvernement à adopter des mesures conférant des pouvoirs discrétionnaires aux policiers ou à imposer des sanctions pénales. »

Extrait pertinent :

« Le décret dispose ensuite qu’il est « interdit à l’exploitant d’un lieu qui accueille le public d’y admettre une personne qui ne porte pas un couvre-visage ou de tolérer qu’une personne qui ne porte pas un couvre-visage s’y trouve ». Des exceptions sont toutefois prévues pour une personne qui :

2. déclare que sa condition médicale l’en empêche […]

2.2 Le droit à l’égalité Selon les circonstances, certains enjeux liés au caractère discriminatoire de l’obligation prévue au décret pourraient par ailleurs être soulevés. Ainsi, la Commission avait souligné dans la FAQCOVID-19 présentée sur son site Internet que l’obligation du port du masque pourrait, par exemple, constituer un fardeau important pour des personnes en situation de handicap.

En l’espèce, précisons que le décret prévoit cependant une exception, permettant à l’exploitant d’un lieu qui accueille le public d’admettre ou de tolérer la présence d’une personne ne portant pas de couvre-visage si cette personne « déclare que sa condition médicale l’en empêche ».

Aux termes du décret, il ne repose donc pas sur l’exploitant du lieu public ou sur le commerçant de vérifier le bien-fondé de cette déclaration. De fait, toute démarche intrusive menée par le responsable du lieu public concerné, visant à vérifier si la personne en situation de handicap qui invoque l’exception présente réellement une condition médicale qui l’empêche de porter un couvre-visage, serait susceptible de porter atteinte au droit au respect de sa vie privée (article 5 de la Charte) ainsi qu’au droit d’avoir accès aux moyens de transport ou aux lieux publics et au droit de conclure, en pleine égalité, un acte juridique ayant pour objet des biens ou des services ordinairement offerts au public sans discrimination, en lien avec un handicap (articles 10, 12 et 15).

La Commission retient néanmoins que l’exception relative à la condition médicale prévue au décret doit viser à permettre l’exercice, en pleine égalité, des droits des personnes en situation de handicap dont la condition les empêche effectivement de porter le masque. Pour ce faire, la mise en œuvre de l’obligation pourrait nécessiter, pour les exploitants des lieux publics visés, une recherche d’accommodement afin de ne pas porter atteinte indument au droit des personnes en situation de handicap d’exercer leurs droits et libertés en toute égalité – que ce handicap soit visible ou non. » (Soulignements ajoutés)

  • Tweet du Gouvernement du Québec à propos du billet médical, 3 août 2020 :

« Une personne exemptée doit seulement déclarer : « j’ai une condition médicale qui m’empêche de porter le masque ». Elle n’a pas à nommer la condition ou à présenter un billet médical. Nous travaillons à transmettre l’information le mieux possible. Merci pour votre commentaire! » (Soulignements ajoutés)

  • Vidéo de Me Dominic Desjarlais et Stéphane Blais (juillet 2021) : Le point sur le juridique

Sur Rumble :

https://rumble.com/vkvbou-crise-sanitaire-au-qubec-le-point-juridique.html



Sur Facebook :



  • Vidéo de Lily Monier, vers 4 minutes elle parle des contraventions :



  • Avis juridique (intégral) de Me Dominic Desjarlais :

Extraits pertinents de l’avis juridique de Me Dominic Desjarlais :

« Tout d’abord, si une personne veut contester un constat d’infraction qu’elle a reçu, elle doit transmettre un plaidoyer de non-culpabilité par la poste à l’adresse indiquée sur ce constat sur le constat et ce, dans les 30 jours de la réception du constat.

Par la suite, lorsqu’une personne reçoit un avis d’audition elle doit se présenter à l’endroit la date et l’heure indiquée dans l’avis d’audition.

Si une personne ne peut se présenter pour un motif quelconque à la date indiquée dans l’avis d’audition, il est important qu’elle contacte dès que possible avant cette date la partie poursuivante afin de demander le report de l’audition en expliquant son motif et de confirmer par écrit avec le poursuivant toute remise de l’audition convenue.

Si une telle communication n’est pas possible avec le poursuivant il est important que la personne se présente devant le tribunal à la date et à l’heure indiquée dans l’avis d’audition, à défaut de quoi un jugement par défaut pourrait être prononcée contre elle.

Lorsqu’une personne se présente devant le tribunal pour une première date d’audition elle doit indiquer au tribunal si elle est prête à procéder ou non.

Il se peut qu’une personne qui se présente devant le tribunal pour la première fois désire être représenté par un avocat pour la suite du dossier notamment pour attaquer la constitutionnalité du décret et de la mesure en vertu de laquelle elle a reçu un constat d’infraction auquel cas elle doit alors en informer le tribunal et demander une remise pro forma de l’audition à une date ultérieure afin d’effectuer les démarches nécessaires pour se trouver un avocat. Elle doit alors indiquer le délai raisonnable dont elle aurait besoin pour se trouver un avocat qui la représenterait dans le dossier selon notre expérience un délai minimal de 60 ou même de 90 jours pourrait être demandé pour ce faire.

Par ailleurs si une personne désire se représenter seule il se peut qu’elle ne soit pas prête à procéder lors de la première date d’audition: par exemple dans le cas des infractions aux mesures COVID-19 une personne pourrait vouloir attaquer la légalité et/ou la constitutionnalité du décret en vertu duquel l’infraction dont elle est accusée a été édictée et/ou attaquer la constitutionnalité de la mesure (port du masque, couvre-feu, etc.) à laquelle elle est accusée d’avoir contrevenu. Dans un tel cas, la personne pourrait demander le report du dossier pro forma à une date ultérieure en indiquant le délai dont elle estime avoir besoin pour produire une requête attaquant la constitutionnalité du décret et de la mesure, ainsi qu’un avis selon l’article 76 du code de procédure civile qui est requis lorsque la constitutionnalité d’une loi ou d’un décret gouvernemental est attaqué.

Quant à la suite possible d’un dossier donné cela dépendra des démarches qui pourraient être/seront entreprises. Ultimement une date d’audition de la cause au mérite devra éventuellement être fixée dans le cours du dossier une fois que toutes les parties auront déclaré être prête à procéder. »

BONNE CHANCE À TOUS!

Et n’oubliez jamais ceci :




« Les vaccinés sont des innocents qui vont au massacre » Dr Roger Hodkinson

[Source : Sott.net]

« Les scientifiques savent, ils ont juste peur de le dire. »

Éminent professeur à Alberta, une des plus grandes universités du Canada, Roger Hodkinson alerte sur les produits expérimentaux nommés « vaccins » anti-Covid-19 et sur les manipulations des discours face à la maladie, dont il explique qu’aujourd’hui nous savons que ce n’est « pas pire qu’une mauvaise grippe saisonnière. »

Le professeur Roger Hodkinson : « nous vivons actuellement un cauchemar médical. » Professeur en pathologie, ancien PDG d’un grand laboratoire privé à Edmonton, dans l’Alberta, actuellement dirigeant d’une petite entreprise de biotechnologie, le professeur Roger Hodkinson est l’ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d’Ottawa. Il a aussi occupé pendant les 20 dernières années le poste de président d’une société de biotechnologie médicale basée en Caroline du Nord, chargée de vendre un test Covid-19. Il est spécialiste en pathologie, y compris en virologie, et a été formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni. Il a également déclaré en novembre 2020 qu’ils s’agissait du « plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance ».

Dans la vidéo qui suit, il explique :

« Je n’ai plus rien à prouver, j’ai une carrière très bien remplie, je me sens obligé de me lever et de prendre des coups. Dans la grande majorité, je suis triste de le dire, les médecins et scientifiques tombent dans la décision binaire du choix entre l’éthique et le revenu, et choisissent le revenu car ils savent que s’ils se lèvent ils vont se faire massacrer. »

Dans cet entretien, le professeur Roger Hodkinson revient sur les discours de peur pour encourager les injections expérimentales nommés « vaccins » anti-Covid-19 et évoque entre autres, les différents scandales autour du Covid-19 tels que Ferguson et ses grotesques modélisations et les falsifications de Fauci. Un témoignage avec des paroles intenses. Pour le professeur Roger Hodkinson, « nous vivons actuellement un cauchemar médical ».

« […] L’échelle des complications potentielles en dehors de la dépendance des anticorps, l’échelle des complications qui pourraient se produire est si gigantesque que c’est un vrai cauchemar. Et le grand public, ces innocents voués au massacre, est gardé intentionnellement ignorant [par la propagande]. Pas seulement par le manque de contre propagande, mais par une opération psychologique destiné spécifiquement avec une grande sophistication à installer la peur afin que la « vaccination » soit encouragée. Si ce n’est pas la conséquence la plus malsaine de cette triste période de l’Histoire de la médecine, c’est tout simplement scandaleux. Et c’est pourquoi je me lève et je m’exprime.
[…]
Je ne veux pas descendre dans le terrier du lapin pour défendre le « vaccin ». Analyser les données sur le « vaccin » et patati et patata, non, c’est une distraction. Vous échouerez dans les arguments contre les personnes qui le défendent. Vous devez revenir aux bases, aux bases fondamentales : pour commencer, il n’y jamais eu d’urgence de santé publique. Il n’y a aucune raison de se précipiter pour commercialiser ces produits. Le simple fait qu’ils soient maintenant disponibles pour le mauvais prétexte, n’est pas une raison pour les utiliser sur qui que ce soit.
[…]
La « vaccination » doit être arrêtée immédiatement. [Ces produits] sont dangereux, ils n’ont pas été testés [de la manière habituelle, à savoir cliniquement avec un suivi des patients et un groupe témoin]. Il n’y a pas de raison de les utiliser tant qu’il n’aura pas été prouvé qu’ils sont sûrs. Ils utilisent le mot « sûr » de la manière la plus orwellienne qui soit.
[…]
Les gouvernement n’écoutent pas les bonnes personnes, ils écoutent les gens qui ont un intérêt direct dans leur propre survie. Et leur propre survie dépend de leurs accords avec le gouvernement. »

Et bien plus plus dans la vidéo qui suit :



Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org

La version originale de cette vidéo (en anglais) est disponible ici.

Source partielle de l’article : FranceSoir
Doublage en français : Quantum Leap




Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Par Mike Adams.

Dans cet article :

  • Aucun matériel de référence certifié isolé pour le virus « Covid-19 ».
  • Les tests PCR qui trouvent des résultats « positifs » pour Covid enregistrent simplement le résultat d’un fond amplifié d’instrument.
  • La FDA admet que les tests PCR ont été développés sans aucun échantillon de virus covid-19 isolé. Donc, ils ont simulé le virus.
  • La virologue Dr Judy Mikovitz confirme que les coronavirus courants et les virus de singe sont frauduleusement étiquetés « Covid ».
  • Le Dr Jane Ruby explique l’absence de tout isolat viral et pourquoi la pandémie est basée sur une fraude scientifique coordonnée.
  • Les documents du CDC FOIA révèlent la preuve que le CDC n’a jamais isolé Covid-19.
  • L’arme biologique à protéines de pointe – spike – est réelle, et les « vaccins » contre le virus sont des piqûres mortelles pour parvenir à la dépopulation.
  • La directrice  du CDC, Walensky, admet que le vaccin contre le Covid n’arrête pas les infections covidiennes.
  • Le sénateur Rand Paul appelle les Américains à résister à la tyrannie covidienne.

[Voir aussi :
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
« Virus », des décennies d’escroqueries ?
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
À quel point les virus sont-ils morts ?
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Dr Sam Bailey — Pourquoi les pathogènes n’existent pas]

L’année dernière, lorsque les sceptiques de l’arnaque covid disaient « qu’il n’y a pas de virus covid », je n’étais pas du tout d’accord. En tant que scientifique de l’alimentation publié, propriétaire de laboratoire et inventeur de deux brevets publiés basés sur l’analyse par spectrométrie de masse, je savais que le SARS-CoV-2 avait été séquencé génomiquement. J’ai sûrement pensé à tort qu’il avait été isolé, purifié et déterminé comme étant la cause de la maladie de Covid-19.

Un an plus tard, il s’avère que les sceptiques avaient raison. Et les avertissements de personnes comme le Dr Thomas Cowan, Sally Fallon, le Dr Andrew Kaufman, Jon Rappoport, David Icke et d’autres étaient justes. (Je me suis depuis excusé auprès d’eux dans un podcast public.)

Comment ai-je réalisé que l’establishment médical et scientifique avait fabriqué tout cela ? Et quelle est l’explication de la maladie très réelle que les gens connaissent ?

Je vais partager cette histoire ici, mais en bref, les virus du rhume et les fragments de virus de singe trouvés dans les vaccins contre la grippe sont mal étiquetés « Covid », et il existe une arme biologique à protéine de pointe armée qui est distribuée via des injections de vaccin. Tout cela est réel. Mais il n’existe pas de virus Covid-19 réel, physique et isolé qui a été récolté sur des personnes malades et dont il a été démontré qu’il infecte d’autres personnes et les rend malades. Ce à quoi nous assistons vraiment ici, semble-t-il maintenant, ce sont trois choses distinctes :

1) Un cocktail de virus du rhume étiquetés « Covid » qui circulent et provoquent des maladies chez certaines personnes, très probablement en raison du manque d’exposition du système immunitaire aux virus de type sauvage pendant tous les blocages mondiaux.

2) Une nanoparticule toxique de protéine de pointe armée qui est injectée à des personnes sous forme de « injection  de caillots »… et elle est probablement en train de se détacher/disperser, provoquant des effets secondaires nocifs chez d’autres personnes non vaccinées.

3) Un schéma PCR « casdémique »(([1] « “Casdémie” Covid : le cartel bancaire est le moteur de l’agenda »)) entièrement frauduleux conçu pour signaler presque tout le monde comme « positif » basé presque entièrement sur le nombre de cycles que les instruments de préparation d’échantillons PCR doivent effectuer, amplifiant ainsi le bruit de l’instrument jusqu’à devenir « positif ». Presque tout peut être signalé comme « positif », y compris les fragments de matériel génétique provenant des vaccins antigrippaux des années précédentes.(([2] « Le mystère des 3 présidents décédés après avoir bloqué la distribution des vaccins anti-covid dans leur pays »))

Ces trois choses – combinées à la programmation d’hystérie de masse par les médias – ont atteint un niveau de peur mondiale et de terrorisme psychologique que le monde n’a jamais vu auparavant. Mais tout est basé sur des mensonges. Et voici comment nous le savons.

Aucun matériel de référence certifié pour le virus SARS-CoV-2 « covid-19 » isolé

En tant moi-même propriétaire de laboratoire, publiant des analyses scientifiques et analyste des spécifications de masse, je suis extrêmement familier avec le processus d’utilisation de matériaux de référence certifiés (certified reference materials CRM) pour valider les méthodes d’analyse et les séquences d’étalonnage des instruments. (J’ai passé beaucoup trop de soirées à créer des dilutions en série d’étalons à l’aide d’une pipette Gilson, croyez-moi…)

Voici comment le processus fonctionne normalement dans un laboratoire scientifique légitime :

Étape 1) Acquérir le CRM de la chose que vous souhaitez tester (« analyte »). Cela signifie acquérir un étalon purifié et isolé avec une concentration connue, généralement dans un support tel que l’eau, ou sous forme de poudre sèche. Par exemple, lorsque je teste le mercure dans les aliments, j’ai une norme de mercure certifiée avec une concentration connue de mercure, dissous dans l’eau, l’acide nitrique et l’acide chlorhydrique.

Étape 2) Exécutez le CRM en tant qu’échantillon, à différentes concentrations, pour créer une « courbe » qui enseigne efficacement à l’instrument à quoi ressemble l’analyte et comment le détecteur de l’instrument réagit aux différentes concentrations de l’analyte.(([3] Dans le domaine de la métrologie et plus particulièrement de la chimiométrie, un analyte est une substance ou un produit chimique constituant le centre d’intérêt d’une procédure d’analyse chimique, toxicologique ou écotoxicologique.)) Le résultat final est une « courbe quantique » qui sera utilisée à l’étape 3.

REMARQUE : Les instruments « correspondront » à la chose que vous recherchez par une variété de méthodes, en filtrant toutes les autres choses qui ne correspondent pas. Dans le travail de spécification de masse, les molécules sont identifiées par leur masse moléculaire, les schémas de fragmentation des ions et le temps d’élution sur les colonnes de chromatographie. Pour qu’une substance corresponde, elle doit atteindre tous ces paramètres. Dans les tests PCR, une « correspondance » est une séquence génomique constituée de paires de bases, définie dans une bibliothèque numérique qui peut ou non avoir été exécutée par rapport à une norme physique réelle dans le monde réel.

Étape 3) Faites passer des échantillons inconnus dans l’instrument (sérum sanguin, urine, salive, eau, extraits d’échantillons alimentaires, etc.) et voyez si l’échantillon inconnu contient l’un des éléments que vous recherchez (l’analyte). Comme vous avez construit une courbe quantique, vous pouvez également déterminer la concentration de l’analyte dans l’échantillon d’origine. Ceci est généralement décrit comme la masse sur le volume, telle que ng/ml (nanogrammes par millilitre). Un nanogramme est un milliardième de gramme. Lorsque nous testons les aliments pour le glyphosate, nous pouvons détecter aussi peu que 1 nanogramme par millilitre, ce qui vous en dit long sur l’extrême sensibilité des instruments haut de gamme.

C’est le processus pour tester quelque chose et identifier la quantité de quelque chose qui se trouve dans quelque chose d’autre. Par exemple, si vous deviez déterminer si quelqu’un est malade du « Covid », vous devrez déterminer la concentration de virus Covid-19 dans son sang (c’est-à-dire la « charge virale »). C’est la science/biologie 101.

Alors, quel est le problème ?

Vous seriez stupéfait de réaliser à quel point la fraude scientifique est profonde. Considérez ces points critiques :

Point n° 1 : Il ne semble pas y avoir de matériaux de référence certifiés isolés et purifiés disponibles pour le SARS-CoV-2 « Covid ». J’ai vu des entreprises qui prétendent vendre des « isolats » contenant des virus Covid, mais dans leur propre description, elles expliquent que leurs flacons contiennent du matériel génétique provenant de « cellules hôtes » (cellules humaines) ainsi que de cellules de sérum bovin, ce qui signifie que c’est un ragoût de cocktail de je-ne-sais-quoi. Pourtant, cela s’appelle un « isolat ».

Exemple concret: BEI Resources, qui propose ce qu’ils appellent un « isolat » de covid-19, que vous pouvez trouver sur ce lien. Comme la description l’indique pour ce covid-19 « isolat : »

… Ce produit ne convient pas comme préparation d’antigène de cellule entière car la teneur en protéines est largement apportée par la cellule hôte et le sérum bovin fœtal utilisé lors de la propagation du virus.

En d’autres termes, la plupart du matériel génétique de l’« isolat » provient en fait de cellules humaines. Ce n’est donc pas du tout un isolat. Le virus Covid n’est pas isolé. En fait, cet « isolat » contient du matériel génétique viral, du matériel génétique humain et du matériel génétique bovin, ainsi que tous les autres virus présents dans le sang des humains et des vaches. Cela pourrait être des millions de nanoparticules différentes présentes, chacune contenant ses propres séquences de matériel génétique.

Point #2 : Si vous n’avez pas de matériaux de référence isolés et certifiés, vous ne pouvez pas développer un test d’analyse légitime. Et c’est exactement ce qu’admet la FDA dans ses propres documents, qui indiquent que puisque les virus Covid-19 n’étaient pas disponibles pour le développement du test PCR, ils l’ont « simulé » en utilisant des cellules humaines et des fragments de coronavirus de banque de gènes. D’après le propre document de la FDA :

Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et où cette étude menée, des tests conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro… dopés dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique.

En d’autres termes, ils ont truqué le virus Covid en utilisant des cellules de banque de gènes qui ont été délibérément et faussement étiquetées « Covid ». C’est ainsi que le test PCR a été développé. La FDA admet tout. Le test PCR est une fraude.

Point n°3 : Si vous n’avez pas d’isolat CRM, vous ne pouvez pas étalonner les instruments par rapport à un échantillon connu. Et cela signifie que les tests PCR ne sont pas calibrés par rapport à quoi que ce soit de réel et de physique. Au lieu de cela, ils s’appuient sur des bibliothèques numériques téléchargées fournies par nul autre que le CDC, le même groupe paravent de Big Pharma qui est le fer de lance de cette arnaque covid.

Point n°4 : les instruments de PCR sont incapables d’analyse quantitative. Les coups « positifs » ne sont que des bruits de fond amplifiés. Aucun instrument PCR ne peut vous dire quelle quantité de matériel génétique a été trouvée dans un échantillon original. Il peut simplement détecter la présence de matériel sur une base oui/non. En science de laboratoire, cela s’appelle une analyse « qualitative », pas une analyse quantitative.

Dans l’analyse qualitative, le facteur clé est la « limite de détection » (« Limit of Detection » LOD) de l’instrument. Dans quelle mesure l’échantillon créera-t-il encore un « hit » ( succès/coup ) pour l’instrument ? Dans tous les instruments, pour que la LOD soit scientifiquement valide, elle doit être quelque chose qui dépasse le bruit de fond, sinon elle n’a aucun sens scientifique. Tous les instruments produisent un bruit de fond, qui sont des « pics » ou des « hits » qui représentent la statique du détecteur, pourrait-on dire. Ceux-ci existent à un niveau d’arrière-plan même lorsque vous n’exécutez rien dans l’instrument.

Pour vous montrer à quoi cela ressemble, considérez le graphique suivant.

Il montre des résultats de spécification de masse sur un spectre de masses. L’axe horizontal ici est m/z (masse sur charge), qui est simplifié en « masse » pour une discussion générale. C’est la masse des molécules ou des particules détectées.

Remarquez les lignes rouges et oranges au bas de chaque graphique. C’est en grande partie un bruit de « fond » dans toutes les masses. Remarquez ensuite le très haut pic orange qui s’élève au-dessus de l’arrière-plan. C’est la masse de la molécule qu’ils recherchent. Il peut s’agir d’un pesticide, d’un contaminant, d’un nutriment, etc.

Il est important de noter que si je devais augmenter l’amplification du détecteur, le « bruit de fond » au bas de l’écran s’étendrait verticalement pour remplir l’écran. L’écran entier serait un « hit » sur chaque masse, car l’amplification est augmentée. C’est l’équivalent de ce que font les instruments PCR lorsqu’ils exécutent plus de 30 cycles. Ils amplifient le bruit, puis prétendent avoir eu un « hit » sur le covid.

Mais parce qu’ils l’ont amplifié tant de fois, ils ont effacé toute capacité de dire avec certitude ce qu’ils ont, ou même combien ils ont. Parce que le LOD (Limit of Detection) est scientifiquement invalide s’il ne peut pas extraire un pic du bruit de fond.

En règle générale, dans la validation de méthode, votre LOD doit être au moins trois fois plus élevé que le bruit de fond, ce qui signifie qu’un « pic » doit être trois fois plus élevé que le bruit de fond. Tout ce qui est inférieur à cela est considéré comme un faux bruit de fond. Et lorsque vous effectuez un travail quantitatif, vous avez généralement besoin d’un signal au moins 10 fois supérieur au bruit de fond.

Pourtant, les instruments PCR prennent le bruit de fond et l’amplifient jusqu’à ce qu’ils obtiennent un résultat « positif ». Ce « positif » est alors absurdement appelé un « cas de Covid », même s’il ne signifiait littéralement rien d’un point de vue scientifique légitime.

L’ensemble du processus utilisé aujourd’hui via la PCR est une science complètement bidonnée qui ne passerait même pas l’audit d’un laboratoire scientifique le plus élémentaire. C’est d’ailleurs pourquoi la plupart de ces habillages du PCR ne sont pas accréditées ISO. Ils ne pouvaient pas passer un seul audit. (Mon laboratoire est accrédité ISO avec un audit annuel, y compris les tests de précision de quantification à l’aveugle des instruments de spécification de masse pour s’assurer que nous atteignons la précision de nos objectifs.)



Dr. Judy Mikovitz confirme tout dans une récente interview

Dr. Judy Mikovitz, auteur de Ending Plague (PlagueTheBook.com), a confirmé tout cela dans une récente interview avec moi. Non seulement a-t-elle confirmé qu’il n’y a pas de virus Covid-19 isolé qui a été récolté et purifié sur une personne malade et dont il a été prouvé qu’il provoque une maladie chez une autre personne ; Elle a également confirmé que le Dr. Fauci a spécifiquement choisi un échantillon militarisé/armé de laboratoire qui a été infecté par un cocktail de coronavirus à utiliser comme base pour la recherche sur le gain de fonction.

En d’autres termes, le Dr. Fauci savait qu’il était en train de construire un ragoût viral frankensteinien, que le frauduleux CDC et ses complices de la communauté scientifique ont labellisé « covid ». Soutenus par l’hystérie des médias de masse, ils pourraient amener la plupart de la population à se soumettre à un vaccin pour inoculer à la population des bio-armes que sont les protéines de pointe, conçues et développées dans le cadre du financement et des directives de Fauci.

Ainsi, la vraie histoire ici est que Fauci et le CDC ont utilisé les coronavirus communs pour simuler la pandémie de Covid afin d’injecter aux gens une véritable arme biologique : la protéine de pointe augmentée.

Surtout, le Dr. Mikovitz confirme que tout cela provient de l’armée américaine qui est impliquée  dans le développement et le déploiement de cette arme biologique de dépopulation mondiale (la protéine de pointe) ;



Dr. Jane RUBY offre une explication exceptionnelle du canular de Covid lors d’une récente émission Stew PETERS

Dans une autre vidéo accablante, Dr. Jane Diamond, une contributrice à l’émission de Stew Peters (StewPeters.TV) confirme toute cette histoire, révélant que le virus Covid-19 n’a jamais été isolé, ni purifié et ou montré comme provoquant une maladie de Covid. La plandémie est une colossale arnaque :



Les documents FOIA(([4] Loi sur la liberté d’information (FOIA) – Comme toutes les agences fédérales, le CDC est tenu de divulguer les dossiers demandés par écrit par toute personne, à moins que les dossiers (ou une partie des dossiers) ne soient protégés contre la divulgation par l’une des neuf exemptions contenues dans la loi.)) du CDC ne révèlent aucun « Covid-19 » isolé du virus existant.

Enfin, de nouveaux documents FOIA ont fait surface, révélant que le CDC n’a jamais isolé de virus covid-19. Une Canadienne du nom de Christine Massey aurait déposé de multiples demandes auprès du CDC, en vertu de la loi sur la liberté d’information :

Toutes les études et/ou rapports en possession, sous la garde ou le contrôle du CDC et/ou de l’Agency for Toxic Substances and Disease Registry (ATSDR) décrivant la purification de tout virus « COVID-19″ (y compris B.1.1.7, B.1.351, P.1 et toute autre « variante ») (via la macération, la filtration et l’utilisation d’une ultracentrifugeuse ; également appelé parfois par certaines personnes « isolement »), directement à partir d’un échantillon prélevé sur un humain malade, où l’échantillon du patient n’a pas été préalablement combiné avec une autre source de matériel génétique (c’est-à-dire des cellules rénales de singe alias cellules Vero ; du sérum bovin fœtal).

Dans une lettre de réponse datée du 7 juin 2021, le CDC a répondu :

Une recherche dans nos dossiers n’a révélé aucun document relatif à votre demande. Plus précisément, le National Center for Immunization and Respiratory Disease informe que le CDC ne purifie ni n’isole aucun virus COVID-19 de la manière décrite par le demandeur.

La demande FOIA est identifiée sous le numéro 21-01075-FOIA.

En d’autres termes, le CDC n’a jamais isolé ni purifié aucun virus COVID-19, point final.

Le site web du Dr Robert O. Young révèle des documents supplémentaires montrant que le CDC n’a jamais isolé et purifié le virus HPV, le virus de la rougeole, le virus MERS, le virus Zika ou le virus de la polio, entre autres.

(Nous nous efforçons d’entrer en contact avec Christine Massey pour confirmer l’étendue de ses demandes de FOIA et l’inviter à une interview).

Le 21 juillet de cette année, le CDC a annoncé qu’il retirait son autorisation pour le test PCR actuel pour le covid-19, déclarant que le test PCR ne serait plus considéré comme une science valide après le 31 décembre de cette année. Il est ensuite indiqué qu’un nouveau test PCR « facilitera la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et des virus de la grippe », ce qui signifie que le nouveau test serait capable de faire la différence entre le covid et le rhume. Cela implique que le test actuel — celui qui a été utilisé pour pousser l’hystérie mondiale de la pandémie de covid — ne permet pas une telle différenciation.

En fait, il semble que le CDC ait fabriqué la science derrière les « pandémies » mondiales pendant des décennies, en utilisant les médias pour répandre l’hystérie de masse là où aucune pandémie n’existait. L’un des meilleurs cas, et le plus récent, est celui du virus Zika, où les médias grand public criaient que les bébés nés de nouvelles mères en Floride naîtraient avec des têtes réduites (microcéphalie) à cause du virus Zika. Tout comme dans le cas du covid, des milliards de dollars ont été versés à des sociétés pharmaceutiques pour la recherche d’un vaccin contre le Zika, qui s’est avéré n’être rien de plus qu’un battage publicitaire.

La directrice du CDC Walensky admet que le vaccin contre le Covid n’empêche pas l’infection ou  la transmission du variant Delta du Covid

Pour ajouter au démantèlement de ce canular du vaccin contre le covid-19, le directeur du CDC, le Dr Rochelle Walensky, vient d’admettre quelque chose d’étonnant sur CNN : Les vaccins contre le covid-19 ne préviennent PAS les infections au covid-19. Ils n’empêchent pas non plus les gens de transmettre la « variante Delta » de ce que le CDC appelle le virus covid.

En fait, Walensky vient d’admettre que les passeports vaccinaux sont inutiles et ne prouvent rien. Si une personne « totalement vaccinée » peut quand même attraper et transmettre le covid, alors le passeport vaccinal n’est rien de plus qu’une preuve d’obéissance, et non une preuve d’immunisation.

Voici le Dr Walensky qui dit tout cela sur CNN, et non, ce n’est pas une vidéo « deep fake ». C’est aveu clair :



Le virus du Covid-19 est un canular, mais la protéine Spike est très réelle et assez meurtrière comme arme.

Alors que le virus covid-19 semble n’être rien d’autre que des virus du rhume ou des virus de singe renommés, la nanoparticule toxique de protéine spike — qui est maintenant injectée par le biais de vaccins — est une arme biologique mortelle initiée aux États-Unis, puis augmentée à Wuhan en utilisant l’argent des contribuables américains.

Il semble maintenant évident que l’objectif de l’hystérie des covidés était d’inciter les gens à accepter des injections de protéines spike, intentionnellement mal étiquetées « vaccins ». Ces protéines, à partir desquelles le vaccin covid est maintenant appelé « piqûre de coagulation », provoquent des caillots sanguins, des lésions neurologiques, des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques, des avortements spontanés et des lésions vasculaires universelles, même selon le Salk Institute, un organisme à vocation généraliste. Extrait de leur article sur la protéine spike et ses effets néfastes sur le système cardiovasculaire humain :

Aujourd’hui, une nouvelle étude majeure montre que les protéines spike du virus (qui se comportent très différemment de celles codées en toute sécurité par les vaccins) jouent également un rôle clé dans la maladie elle-même.

… Le document fournit pour la première fois une confirmation claire et une explication détaillée du mécanisme par lequel la protéine endommage les cellules vasculaires. On s’accorde de plus en plus à dire que le SRAS-CoV-2 affecte le système vasculaire, mais on ne comprenait pas exactement comment il le faisait. De même, les scientifiques qui étudient d’autres coronavirus soupçonnent depuis longtemps que la protéine spike contribue à endommager les cellules endothéliales vasculaires, mais c’est la première fois que ce processus est documenté.

Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un « pseudovirus » qui était entouré de la couronne classique de protéines spike du SRAS-CoV-2, mais qui ne contenait pas de véritable virus. L’exposition à ce pseudovirus a entraîné des lésions des poumons et des artères d’un modèle animal, ce qui prouve que la protéine spike seule suffit à provoquer la maladie. Des échantillons de tissus ont révélé une inflammation des cellules endothéliales qui tapissent les parois des artères pulmonaires.

La protéine spike a été développée en tant qu’arme biologique afin de provoquer des symptômes généralisés qui peuvent ensuite être faussement étiquetés « covid », puis cités pour promouvoir encore plus d’injections de vaccins contenant davantage d’armes biologiques à base de protéine spike. Le « virus » covid-19 n’est qu’un cocktail de virus de singe et de virus du rhume, tandis que la protéine spike – qui est la cible antigénique des vaccins – provoque des lésions vasculaires, des problèmes d’infertilité, des dommages au système immunitaire, etc.

Quel est l’objectif de tout cela ? La dépopulation, bien sûr.

C’est une arme de dépopulation pour réaliser l’extermination massive de la race humaine.

La protéine spike est une arme de dépeuplement. Le « vaccin » est une piqûre d’extermination/suicide à la Soleil vert qui a été reconditionnée en « médicament ». La « pandémie » était une hystérie médiatique montée en épingle pour créer la panique et une demande généralisée pour le vaccin afin que les gens ne résistent pas aux piqûres d’extermination.

Et cela signifie que beaucoup de ceux qui ont pris le vaccin seront bientôt morts parce que le but de cette fausse pandémie était de débarrasser le monde de milliards d’êtres humains.

https://youtu.be/3TGqLsnao5o
Preview du film Soleil vert avec Charlton Heston

Cela signifie également que toute personne qui suit ce mouvement est complice d’un meurtre génocidaire et de crimes contre l’humanité. Cela inclut les journalistes, les scientifiques, les médecins, les gouverneurs, les responsables de la FDA/CDC/OMS, et même les pharmaciens et les infirmières locaux qui administrent ces injections mortelles à des hommes, des femmes, des enfants et même des personnes âgées. Leurs crimes contre l’humanité font passer l’Holocauste de la Seconde Guerre mondiale pour un jeu d’enfant en comparaison. L’holocauste des vaccins covidés risque de massacrer des milliards d’êtres humains avant que les criminels ne soient arrêtés.

En fait, vous assistez à une campagne mondiale d’extermination massive déguisée en réponse de santé publique à une pandémie.

Il s’agit de l’escroquerie « scientifique » la plus sinistre et la plus diabolique jamais perpétrée dans l’histoire de la civilisation connue. Il s’agit, en toute honnêteté, d’une tentative mondialiste d’extinction de l’homo sapiens, d’une sorte de « nettoyage ethnique à l’échelle planétaire » visant à débarrasser le monde des humains et à faire place à un scénario insensé qu’ils espèrent voir se réaliser.

Il est temps pour tous les êtres humains qui souhaitent préserver la race humaine de se lever pacifiquement et de résister à cette tentative d’extermination génocidaire contre l’humanité.

C’est pourquoi le sénateur américain Rand Paul appelle maintenant les Américains à résister aux verrouillages et aux mandats de masquage, déclarant : « Nous n’avons pas à accepter les mandats, les verrouillages et les politiques nuisibles des petits tyrans et des bureaucrates sans cervelle. Nous pouvons simplement dire non, pas encore. » Il poursuit :

« Ils ne peuvent pas tous nous arrêter. Ils ne peuvent pas empêcher vos enfants d’aller à l’école. Ils ne peuvent pas fermer tous les bâtiments gouvernementaux — bien que j’aie une longue liste de ceux qu’ils devraient fermer. Nous ne sommes pas obligés d’accepter les mandats, les fermetures et les politiques néfastes des petits tyrans et des bureaucrates incompétents. Nous pouvons simplement dire non, pas encore.

Monsieur le Président Biden, nous n’accepterons pas les mandats de vos agences ni les mesures de confinement que vous avez annoncées », a déclaré Paul. « Personne ne devrait suivre les mandats de masque anti-science du CDC.

Nous ne vous permettrons pas de faire plus de mal à nos enfants cette année encore. »

Nous avons tous été trompés, les amis. Tout cela n’a rien à voir avec la santé publique, le sauvetage de vies ou l’arrêt d’une quelconque pandémie. Il s’agit d’une mise en scène élaborée et coordonnée visant à inciter les gens à se suicider par des injections d’armes biologiques afin que les mondialistes puissent éliminer quelques milliards de personnes de la planète et faire progresser leur tyrannie et leur contrôle autoritaire sur les survivants.

Il peut également s’agir d’une couverture pour leur plan de réinitialisation financière, qui fera s’effondrer les monnaies fiduciaires du monde, détruira tous les actifs monétaires des moutons et consolidera la propriété de tout dans les mains de l’élite mondialiste.

C’est pourquoi les gouvernements du monde entier retiennent maintenant leurs propres citoyens en otage, exigeant que des quotas de vaccins soient atteints afin de débloquer une « liberté » limitée qui sera bien sûr complètement révoquée une fois que la prochaine « variante » sera identifiée.

J’explique tout cela dans ce podcast puissant et urgent qui a été publié pour la première fois vendredi dernier :



Toute l’arnaque des covidés est en train de s’effondrer. Restez à l’écoute pour en savoir plus. Regardez les vidéos sur Brighteon.com et Banned.video pour apprendre la vérité que Big Tech ne permet à personne de partager. Si vous voulez vivre et survivre à ce génocide mondial, lisez NaturalNews.com et suivez ma chaîne sur Brighteon :
brighteon.com/hrreport


source : https://www.naturalnews.com





Nouvelle étude: Les réponses gouvernementales à une pandémie de COVID-19 inexistante au Canada sont responsables de milliers de décès

[Source et auteur : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

J’ai reçu aujourd’hui même,— par courriel —, une autre étude qui démontre qu’il n’y a eu aucune pandémie au Canada en 2020. Cette nouvelle étude a été préparée par Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin et Dr Jérémie Mercier. Je partage avec vous la version courte telle que je l’ai reçue. Vous pouvez aussi la télécharger ci-dessous. La version intégrale peut être consultée sur le site Web du Pr Denis Rancourt.

Lundi le 9 août 2021

Chers amis, collègues, scientifiques, lanceurs d’alerte et citoyens,

Nous venons de publier avec Jérémie Mercier et Denis Rancourt un nouvel article démontrant qu’aucune pandémie n’a eu lieu au cours de la dernière décennie au Canada, y compris en 2020.

L’article est accessible au lien suivant: https://denisrancourt.ca/entries.php?id=104.

Veuillez trouver ci-dessous (version courte) et en pièce jointe (version longue) le communiqué de presse relatif à cette étude.

N’hésitez pas à partager nos travaux autour de vous.

Contacts presse :
Marine Baudin : marine@jeremie-mercier.com
Jérémie Mercier : bonjour@jeremie-mercier.com – +33 6 52 66 67 02
Denis Rancourt : denis.rancourt@gmail.com




Les réponses gouvernementales à une pandémie de COVID-19 inexistante au Canada sont responsables de milliers de décès chez les personnes âgées et chez les jeunes hommes en 2020

Un article scientifique écrit par Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin and Dr Jérémie Mercier publié sur denisrancourt.ca démontre après analyse de la mortalité toutes causes confondues au Canada depuis 2010 (chiffres de StatCan) que :

  • Il n’y a eu aucune pandémie au Canada en 2020.
  • Un « pic-covid » d’environ 12 000 morts est arrivé tardivement, à un moment jamais vu dans l’histoire de l’épidémiologie canadienne (maximum du pic à fin avril 2020). Ce « pic-covid », présent dans certaines juridictions de moyenne latitude de l’hémisphère Nord (mais pas toutes et avec des intensités très variables d’une juridiction à l’autre) ne peut pas être simplement une épidémie, et selon l’hypothèse la plus probable a été généré par les mesures politiques et médicales consécutives à la déclaration de pandémie par l’OMS le 11 mars 2020.
  • Les mesures politiques mises en place supposément pour juguler la propagation du SARS-CoV-2, le virus à l’origine du COVID-19, ont été responsables, selon l’étude, d’une accélération de la mortalité des plus de 85 ans de mars à mai 2020 et d’une mortalité inédite (environ 2 000 morts en plus) des jeunes hommes canadiens (moins de 45 ans) à l’été 2020.

La médiatisation du COVID-19 depuis près d’un an et demi est en décalage total avec la réalité épidémiologique observée. L’importance de cette maladie sur la mortalité des canadiens est exagérée, alors que l’impact sur la mortalité des mesures politiques mises en place supposément pour contrer cette maladie est catastrophique (environ 12 000 décès accélérés, principalement chez les plus de 85 ans, de mars à mai 2020 ; et mortalité inédite d’environ 2 000 jeunes hommes à l’été 2020). Au vu des résultats de leur étude, les auteurs appellent à revoir les nouvelles politiques « sanitaires » et à évaluer leurs conséquences dans la transparence et la responsabilité.

Pas de mortalité inhabituelle sur la décennie 2010-2021

Tout d’abord, le COVID-19 n’a pas généré de mortalité inhabituelle sur la dernière décennie au Canada. Au regard de la mortalité toutes causes confondues analysée depuis 2010 au Canada, aucune différence statistique n’est observée pour la saison 2020. La charge de mortalité suit la tendance normale depuis dix ans.

Les réponses gouvernementales - 01

Une anomalie de mortalité : le « pic-covid » de mars-mai 2020

Cependant, en comparant les données de mortalité par province sur la période 2010-2021, on observe une première anomalie :

  • Un « pic-covid », arrivé tardivement dans la saison hivernale et jamais vu au Canada depuis au moins une décennie, centré sur la fin du mois d’avril 2020. Ce pic est extrêmement intense dans certaines provinces comme le Québec et l’Ontario, et complètement absent dans d’autres (Alberta et Saskatchewan par exemple).
Les réponses gouvernementales - 02

Les auteurs démontrent que le « pic-covid » présent dans les données de mortalité toutes causes confondues de certaines juridictions de l’hémisphère Nord à moyenne latitude, y compris au Canada, ne peut pas être un événement épidémiologique qui serait survenu de façon naturelle, en l’absence d’une perturbation non pathogène.

Ce « pic-covid » est artificiel car :

  • Dans les juridictions où il est présent, il apparaît de manière synchrone juste après la déclaration de pandémie par l’OMS.
  • Il s’est produit brusquement (temps de base au point d’inflexion d’environ 3 semaines) à une date sans précédent dans le cycle saisonnier de mortalité toutes causes confondues (milieu du pic à la fin avril).
  • Il est extrêmement hétérogène : absent dans de nombreuses juridictions (7 des 10 provinces canadiennes n’ont pas de « pic-covid »), son amplitude varie considérablement d’une juridiction à l’autre où il est présent (faible en Colombie Britannique, large au Québec).

Les auteurs suggèrent que les mécanismes à l’origine du « pic-covid » impliquent :

  • La réponse médicale : des protocoles de traitement et de soins palliatifs, adoptés au début de la pandémie proclamée et médiatisée.
  • La réponse gouvernementale : mesures de santé publique, protocoles institutionnels (en particulier écoles, maisons de soins et hôpitaux), bouleversements économiques, confinements, couvre-feux, quarantaine, isolement social, etc.
  • Des politiques de refus de traitement médical, telles que le refus d’admettre les personnes âgées en soins hospitaliers, ou les transferts de patients hors de l’hôpital.

Selon les calculs des auteurs, ces mesures ont provoqué environ 12 000 décès au Canada entre mars et mai 2020. Cependant, même en incluant le « pic-covid », la charge hivernale de mortalité toutes causes confondues pour l’hiver 2019-2020 n’est pas statistiquement supérieure aux charges hivernales habituelles, ce qui permet d’affirmer qu’il n’y a eu aucune pandémie à cette saison.

Une autre anomalie de mortalité : la saison estivale 2020

D’autre part, en comparant les données de mortalité par âge et par sexe sur la période 2010-2021, on observe d’autres anomalies :

  • Une sous-mortalité pour la classe d’âge des 85 ans et plus à l’été 2020 comparé à la tendance estivale observée de 2013 à 2019.
  • Une surmortalité pour la classe d’âge des 44 ans et moins (et dans une moindre mesure la classe d’âge des 45-64 ans) essentiellement pour les hommes de mai à décembre 2020.
Les réponses gouvernementales - 03

Les auteurs avancent que le déclin de mortalité observé chez les 85+ à l’été 2020 est le résultat d’une accélération de la mortalité de cette classe d’âge dans le « pic-covid », classe d’âge beaucoup plus fragile, la plus sensible aux causes de mortalité hivernale et la plus susceptible de succomber à des perturbations fondamentales de la société, de ses institutions et du système de santé.

D’autre part, selon les calculs des auteurs, les mesures gouvernementales mises en place après la déclaration de la pandémie ont provoqué environ 2 000 décès excédentaires chez les jeunes canadiens (classe d’âge inférieure à 45 ans), principalement des hommes, à l’été 2020. Ces décès ne peuvent être imputables au COVID-19 sachant que cette classe d’âge est peu touchée par la maladie et que la transmission virale est faible à la saison estivale.

Les réponses gouvernementales - 04

Pour conclure, la médiatisation du COVID-19 depuis près d’un an et demi est en décalage total avec la réalité épidémiologique observée de façon objective. L’importance de cette maladie sur la mortalité des canadiens est exagérée, alors que l’impact sur la mortalité des mesures politiques supposément mises en place pour contrer cette maladie est catastrophique (environ 12 000 décès accélérés, principalement chez les plus de 85 ans, de mars à mai 2020 ; et mortalité inédite d’environ 2 000 jeunes hommes à l’été 2020). Au vu des résultats de leur étude, les auteurs appellent à revoir les politiques « sanitaires » mises en place après le 11 mars 2020 et à évaluer leurs conséquences dans la transparence et la responsabilité

Par ailleurs, la non-médiatisation de la forte augmentation de la mortalité toutes causes confondues chez les jeunes hommes (moins de 45 ans) entre mai et décembre 2020 au Canada interpelle. Ce phénomène est pourtant bien plus préoccupant pour la santé des canadiens que le COVID-19 et devrait être considéré comme une catastrophe nationale de santé publique de portée historique.

Contacts presse : 
Denis Rancourt : denis.rancourt@gmail.com ;
Marine Baudin : marine@jeremie-mercier.com ;
Jérémie Mercier : bonjour@jeremie-mercier.com.




Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid

[Source : cv19.fr]

Karen Kingston, ancienne employée de Pfizer et actuellement analyste pour les industries pharmaceutiques et des dispositifs médicaux, présente une documentation factuelle sur la possible présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid, une substance toxique à l’origine du rappel massif de masques FFP2 en France.

Voir l’interview complète ici :



[Mise à jour 26/08/2021]

Transcription par Michel Dogna

Stew Peters (présentateur) : Nous avons eu de nombreuses  discussions polémiques avec les « pacts checker » et des chercheurs indépendants qui ont tenté de discréditer les conclusions de chercheurs espagnols, présentées dans le Stew Peter Show, par le Dr Jane RUBY. Cette vidéo révélait que l’oxyde de graphène, une substance toxique, un poison, a été trouvé en quantité dans le vaXX Pfizer… Ces chercheurs espagnols ont ensuite découvert qu’il en est de même pour les vaXXs Moderna et AstraZénéca.

USA Today, Lead Story, tous financés par la Cabale, étaient tous contre moi et le Dr Jane Ruby – ils nous traitent de menteurs pour avoir révélé cette découverte au monde, dans une vidéo maintenant vue, je pense 1 million de fois sur Rumble.

Nous avons depuis demandé l’avis de nombreux experts médicaux, de médecins de renommée mondiale comme Dr Jane Ruby, Dr Tenpenny, Dr Judy Micovitz, Dr David Martin ; ils ont tous confirmé ce rapport – mais malgré toutes ces confirmations, les attaques contre notre vérité continuent sur Tweeter. Nous voulons donc savoir de quoi il s’agit, si c’était planifié, qui est derrière tout cela.

Karen Kingston : (ancienne employée de Pfizer et actuellement analyste pour les industries pharmaceutiques et de matériels médicaux.)

« C’est extrêmement difficile de trouver les informations et de les relier entre elles, mais j’ai un éventail unique de compétences, c’est mon métier. Dans le secteur, j’analyse la propriété industrielle et le contexte juridique, tant pour les médecins, les pharmas que les consommateurs, et je suis également rédacteur scientifique. Donc, vous ne pouvez pas vous attendre à ce que tout le monde ait ces compétences pour trouver ces informations.

La réalité est que les médias grands publics nous mentent, et que les Big Tech et les médias sociaux bloquent la vérité. Cela viole le premier amendement de notre constitution (US). »

Question – Alors, dites-nous est-ce que l’oxyde de graphène est dans ces injections ?

Réponse – A 100% OUI ! Je vais vous le démontrer. Ce qu’il est vraiment important de savoir, c’est que tous les vaXXs ARNm contiennent ce que l’on appelle une nanoparticule de lipide Pegylée (PEG). C’est ce que nous allons expliquer. Si vous regardez le brevet de Moderna, il est écrit qu’il contient une composition de nanoparticules lipidiques, et au fur et à mesure que vous parcourez le document ça parle spécifiquement de divers ingrédients et formulations Pegylée qui ont des codes alpha numériques. Vous pouvez également les trouver dans le dossier de dépôt à la FDA, avec l’IND (Investigational New Drug) dans les essais de phase 3 de Pfizer et Moderna. Vous pouvez également les trouver à travers le formulaire de dépôt de l’EPA (Environnemental Protection Agency).

Alors voici la chose la plus importante avec le brevet que j’ai lu. Il y a 193 pages, plus les pièces jointes. J’ai lu le brevet pour trouver de l’oxyde de graphène. Il n’est pas listé dans le brevet, parce que c’est un secret commercial. Vous souvenez-vous de B. Gates qui disait qu’il y avait un secret commercial ? Les secrets commerciaux ne sont pas destinés à être divulgués au public. Ils ne peuvent donc pas être dans le dossier. Donc l’oxyde de graphène n’est pas dans le brevet. Tout est listé sauf ça, mais je vais vous montrer la preuve que ceci contient de l’oxyde de graphène dans le brevet déposé en Chine.

Q – Laissez-moi juste vous demander : Pourquoi auraient-ils mis tous les autres ingrédients dans le brevet à l’exception du graphène ?

R – Je dirais que la première raison est que c’est un poison pour les humains. L’autre raison est que c’est l’ingrédient principal de l’hydrogel, qui est le liquide. C’est le modèle IA (intelligence artificielle) qui est utilisé pour certaines recherches d’Elon Musc et B. Gates, en ce qui concerne une interface entre l’humain et l’Internet.

Q – Donc il existe une théorie légitime que ces injections sont en fait conçues pour créer une sorte de connectivité entre les humains, la 5G ou peu importe ce que c’est pour contrôler vos pensées et votre mémoire. Ce sont des possibilités réalistes et plausibles ?

R – Ce n’est pas possible au stade actuel. Ils se précipitent pour sortir ce truc, ils essaient de voir combien ils peuvent en injecter aux gens avant qu’ils ne meurent. Je pense honnêtement que c’est une recherche de dosage en direct. Ceux qui meurent ont : SEP, Guillain Barré, des tremblements, du magnétisme… rappelez-vous que nous sommes censés avoir des rappels tous les 6 mois, pour voir combien on peut en accumuler dans ce système. On va voir ça parce que quand vous voyez les nations qui sont injectées, nous (USA) sommes des cobayes de cette technologie, je pense qu’il y aura un deuxième plan.
Je ne suis pas vraiment à l’aise pour vous parler de ce genre de choses parce que je n’aime pas donner mon avis et faire des hypothèses ; je préfère en rester aux données. Donc si vous regardez les nouvelles sur l’ingénierie et la chimie, il y a des journaux d’articles de recherches non révisés par des Pairs que nous appelons RAAG (Ressource Available After Graduation) dans le secteur, toutes les industries en ont.
Ce sont en fait les gros bonnets de l’industrie, les acteurs principaux, et ils se vantent de ce qu’ils font. Or cet article parle des nanoparticules (ajout de PEG) qui sont dans les vaXX C19.
Il y a 4 lipides :
• Le premier est le cholestérol, c’est un élément moins crucial, ça le fait passer dans le sang.
• Ensuite il y a un phospholipide qui est là pour les membranes cellulaires, cela permet la perméabilité pour entrer dans les membranes cellulaires.
Il y a un lipide ionisable ce qui donne une charge ionique positive, pour faciliter la pénétration de l’ARNm dans la cellule.
• Enfin les lipides Pegylés. La raison pour laquelle ils ont créé ça est que l’ARNm est très instable qu’il soit synthétique ou zoonique, donc qui provient d’un animal ou d’un humain. C’est très instable.
Une température de 80°F (27°C) le détruit, la lumière du soleil le détruit, si vous respirez dessus il meurt, les chercheurs disent tout cela, il arrive rarement à franchir la zone isotherme d’un individu sain, votre salive le détruit, il ne peut pas survivre par lui-même.

Donc, il avait besoin de cette biosphère qu’ils ont créée. C’est pour cela que nous avons ces quatre lipides et ensuite ils ajoutent de l’oxyde de graphène. Alors, ce qui est intéressant avec l’oxyde de graphène, c’est qu’il est 4.000 fois plus résistant que le Titane et peut résister à une température de 17.000° F (7700°C).
Donc ils ont pris ce virus très instable et l’ont rendu indestructible.  Or le lipide Pegylé, si vous regardez « PEG » est fabriqué par une entreprise qui s’appelle SinoPeg, qui sont basés en Chine.

Maintenant, comment ai-je découvert ceci ? (accrochez-vous)

Eh bien si vous jetez un coup d’œil à l’EUA (Emergency News Autorisation) de Pfizer, ils citent les quatre lipides. Ils ont deux lipides, chacun d’entre eux contenant quatre lipides. Et il y a Moderna et Moderna les a appelés, ça s’appelle la fiche de données de sécurité MSDS. C’est ce qu’ils utilisent pour les produits industriels. Il y a un numéro CAS et il y a le SM-102 pour Moderna – et ensuite si vous allez au dossier de Pfizer au Royaume Uni, les numéros des deux lipides sont là : A LC 0315 et ALC 0159.

Donc, quand j’ai cherché sur Google : MSDS CAS, (ne me demandez pas comment je connais toutes ces informations), quand j’ai mis certains de ces numéros, j’ai trouvé SinoPeg. Or je n’ai pas trouvé SinoPeg en cherchant SinoPeg sur Google. Alors j’ai simplement mis le numéro MSDS. Et si vous allez sur le site internet, vous verrez des centaines de noms alphanumériques de ces liquides. Et vous verrez un onglet sur les excipients pour le vaXX Covid 19. Et l’on voit : polyéthylène glycol 2000. Ici, vous verrez, c’est ALC 0159 et cette entreprise est basée en Chine !

Et puis, si vous prenez le brevet Moderna, il y est répertorié tous les différents polyéthylènes : alcool 200PEG, PEG 2000 et vous les trouverez dans l’onglet : excipients pour le Covid 19 de SinoPeg. Donc, c’est juste là : c’est fabriqué en Chine.

Il y a d’autres vaxxs ARNm qui ne sont pas vendus au USA, vous pouvez trouver ces excipients ici aussi avec le numéro CAS que vous chercherez dans la fiche de données de sécurité MSDS.
Donc, si vous voulez savoir ce qu’est le graphène, ce qu’ils expliquent sur SinoPeg est qu’il s’agit d’une structure centrale, fonctionnalisée par du polyéthylène, pour le stockage d’énergie diélectrique polymère combinée avec des performances mécaniques et diélectriques.

Ce que cela veut dire, c’est que le graphène est un conducteur – il peut être un conducteur d’électricité. Si le graphène a une charge positive, cela annihile tout ce qui entre en contact avec lui (c’est dans toutes les études du NIH, Moderna, etc.). A cet instant, ils ne sont pas chargés, ils sont juste neutralisés.

Q – Comment une charge positive entre-t-elle dans vos cellules ?

R – C’est l’autre lipide – celui qui est ionisable – qui donne la charge positive pour la pénétration cellulaire, mais ce n’est pas le cas actuellement. Ils sont neutres. Mais s’il y a un champ électromagnétique qui active les charges positives, potentiellement, il y aura des dégâts et probablement des morts, selon où ces nanoparticules vont se retrouver dans le corps des gens et quelle quantité s’y trouvera. Il est évident pour moi qu’ils mentent au monde entier. Ils essaient de cacher cela, c’est l’ingrédient secret.

Q – LEAD Story, USA today, toutes ces publications qui fact-checkent ce programme, il me semble bien aussi qu’ils mentent. Nous verrons qui est impliqué dans tout ça, dans une minute, car je vais vous le demander, mais… pourquoi utilisent-ils cela ?

R – L’oxyde de graphène est une substance toxique, un poison. Pourquoi l’utilisent-ils ? Parce que c’est un formidable conducteur d’électricité ! Et il peut héberger un champ magnétique, il peut littéralement vous connecter à Internet.

Q – OK, je voulais juste m’assurer que c’était clair, parce que je sais que vous n’êtes pas à l’aise pour donner votre avis. Je voulais juste être sûr que c’est ce qu’il peut faire dans les faits.

Oui, je n’ai pas eu l’occasion, mais je pourrais probablement aller sur des publications techniques sur l’IA et trouver plus d’informations sur : comment l’oxyde de graphène est un problème. La conclusion est que c’est un poison ! Ça annihile tout ce qui entre en contact avec lui s’il a une charge positive. C’est toxique pour les humains, ça ne devrait pas être là-dedans et ça l’est !

Q – Qui est derrière ça ?

R – Une société qui s’appelle Shangai Nanotechnologies a déposé un brevet pour l’oxyde de graphène en vue de son utilisation dans les excipients du Covid 19. Et ils ont eu une réunion à leur siège social, et je crois qu’il y a Tal Zachs, le directeur technique de Moderna, et si vous allez sur le site de l’OMS, il y a une page où ils expliquent que le monde entier doit travailler ensemble sur ces vaXXs Covid 19. C’était l’an dernier !
On y trouve les suspects habituels, comme Peter Daszak, d’autres noms de Moderna et plusieurs acteurs du NIH et NIAID.

Q – Il existe donc un grand groupe de milliardaires et de millionnaires très coordonnés pour le développement et l’exécution de ces produits ? Donc comme vous parlez et confirmez cela, pourquoi quand il s’agit de donner votre opinion, dites-moi si vous ne vous sentez pas de le faire, si pour des gens comme le Président Trump, Ron de Santis, Sean Hamity, quel est leur intérêt là-dedans ? Comment ne peuvent-ils pas être au courant de cela ?

R – Non, impossible qu’ils puissent savoir ce genre de choses ! Désolée ! Quand j’ai découvert ces informations, je ne savais pas qu’une femme puisse pleurer autant que j’ai pleuré.

Donc, j’ai envoyé un mail le 26 mai à une trentaine de supports avec toutes infos résumant qu’il s’agissait d’armes biologiques, j’ai même parlé à America’s Frontline Doctors, et après leur avoir parlé, certains docteurs ont continué de dire que si vous avez moins de 30 ans, vous devriez vous faire vacciner. Je les ai appelés pour leur dire : « Mais que faites-vous ?… Ce sont des armes biologiques !!! On ne peut pas dire ça !!! »

La dissonance cognitive face à la perversion et au caractère diabolique de ces injections fait qu’il est très difficile pour les gens de comprendre, et il faut aussi réaliser que pendant ces 18 mois où ils ont été développés, quiconque disait : eh, ce virus n’est pas si grave ! se faisait moquer de lui, ridiculiser, marginaliser. Des médecins se sont vus menacés de se faire retirer leur licence, pour que la vérité ne puisse pas sortir. Quiconque s’interrogeait sur la rapidité de la mise sur le marché de ces vaXX, sur leur nécessité, même les documents de la FDA disent : « On ne pense pas que les moins de 18 ans devraient se faire injecter, nous sommes inquiets de la diffusion virale. »

Personne, en bonne conscience n’aurait dû approuver cela, mais le lavage de cerveau est ce que le contrôle des Big Tech voulait que nous sachions comme étant la vérité. En comparaison si votre conjoint vous trompe, vos amis peuvent vous dire qu’il vous trompe, qu’il y a des tonnes de preuves, vous n’y croyez pas ! Là, tous vos conseillers de confiance vous ont dit que ce truc était sûr. Tous les médias vous disent que c’est sûr, mais si quelqu’un arrive et vous  dit : « Non ! C’est mortel ! C’est un génocide planifié ! » C’est impossible d’y croire ! Vous comprenez ?

Q – Oui c’est difficile, essayer de déterminer ce qui est vrai de ce qui ne l’est pas, ce qu’il manque, déceler les informations venant de l’Etat Profond qui essaye par tous les moyens de nous embrouiller. J’essaie juste de digérer tout que vous dites. Je pense aux gens des médias, je pense aux gens qui ne réalisent pas qu’il y a des milliards de vies en jeu.
Ou peut-être que si, ce qui est encore pire, parce que ça fait d’eux des complices qui font perdurer la situation. Je pense à tous ceux à qui on va imposer ces injections.

[………………………………………………………………………………..]

R – Pour en finir, l’étiquetage des flacons est faux et trompeur parce que cette chose n’est pas un vaxxin. Il n’y a aucun bénéfice pour votre santé quand vous vous faites injecter. La seule chose que ça peut faire c’est empoisonner, blesser, tuer !

Nano-vaccin recombinant contre le coronavirus avec oxyde de graphène comme support
Google Patent [archive]

Page 10 : https://patentimages.storage.googleapis.com/ef/0c/d4/2ed14dae3576f1/CN112220919A.pdf

La présence d’oxyde de graphène ne serait pas mentionnée dans les brevets des vaccins Pfizer et Moderna en tant que secret industriel, ce qui reste possible légalement.

Également une étude sur le graphène pour les vaccins Covid : Graphene Oxide Nanosheets Interact and Interfere with SARS-CoV-2 Surface Proteins and Cell Receptors to Inhibit Infectivity

Le Dr Astrid Stuckelberger évoque aussi la présence de cette toxine dans une interview récente.

En attendant plus d’informations sur la composition complète de ces vaccins, Ricardo Delgado de La Quinta Columna propose une solution simple pour dégrader l’oxyde de graphène.


[Voir aussi :
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?]




Injonction aux autorités : rendre publique la liste complète des composants des vaccins anti-covid-19 qui ont reçu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle en Europe comme l’exige la Loi !

Par Les Gilets Jaunes de la Victoire

Mesdames et Messieurs les membres du gouvernement français, des institutions et du Conseil Constitutionnel, pour vaincre la résistance face à la vaccination obligatoire due à la création du Passe Sanitaire, il vous faut impérativement rendre publique la liste les ingrédients de ces vaccins puisque les fioles contenant les injections ne comportent aucune mention, à part le nom du produit, et ne sont donc pas conforme à la Loi.

Source Légi France :

Étiquetage et informations sur le médicament (spécialité pharmaceutique)

publié le13.06.16.

Médicaments 

Conditionnement

Le conditionnement primaire est celui en contact avec le médicament. Le conditionnement secondaire, ou extérieur, est l’emballage dans lequel est placé le médicament. L’étiquetage du conditionnement secondaire mentionne notamment le nom du médicament, le dosage, la composition qualitative et quantitative en substances actives par unité de prise, la forme pharmaceutique, les mises en garde spéciales, le numéro de lot de fabrication, la date de péremption, le nom et l’adresse du titulaire de l’autorisation de mise sur le marché.

Consulter les articles R. 5121-137 à R. 5121-142 du Code de la santé publique

Notice

La notice est le document d’information accompagnant le médicament et destiné spécifiquement à l’utilisateur.

Elle décrit notamment le nom du médicament, le dosage, la forme pharmaceutique, les indications thérapeutiques, les informations relatives aux contre-indications, précautions d’emploi et interactions médicamenteuses, la posologie, le mode et la voie d’administration, la description des effets indésirables.

Consulter les articles R. 5121-147 à R. 5121-149 du Code de la santé publique

RCP (résumé des caractéristiques du produit)

Le RCP est le document qui précise les caractéristiques du médicament, notamment la dénomination du médicament, la composition qualitative et quantitative, la forme pharmaceutique, les indications thérapeutiques, la posologie et le mode d’administration, les contre-indications, les mises en garde spéciales et précautions particulières d’emploi, les interactions médicamenteuses et autres, l’utilisation en cas de grossesse et d’allaitement, les effets indésirables.

Consulter l’arrêté du 6 mai 2008 pris pour l’application de l’article R. 5121-21 du code de la santé publique

En parallèle, dans le Code de la Consommation il est indiqué que le moindre produit industriel doit avoir affiché sur son emballage sa composition comme l’indique le site Légi France. Celui qui reçoit sa vaccination n’est-il pas lui aussi un consommateur à qui l’on doit la considération et donc de l’information objective ?

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Source Légi France

Code de la consommation.

Chapitre Ier : Obligation générale d’information

Chapitre II : Modes de présentation et inscriptions (Articles R112-1 à R112-33)

Article R112-1

Créé par Décret n°97-298 du 27 mars 1997 — art. 1 (V) JORF 3 avril 1997

Au sens du présent chapitre, on entend par :

1° Denrée alimentaire : toute denrée, produit ou boisson destiné à l’alimentation de l’homme ;

2° Denrée alimentaire préemballée : l’unité de vente constituée par une denrée alimentaire et l’emballage dans lequel elle a été conditionnée avant sa présentation à la vente, que cet emballage la recouvre entièrement ou partiellement, mais de telle façon que le contenu ne puisse être modifié sans que l’emballage subisse une ouverture ou une modification ;

3° Étiquetage : les mentions, indications, marques de fabrique ou de commerce, images ou signes se rapportant à une denrée alimentaire et figurant sur tout emballage, document, écriteau, étiquette, bague ou collerette accompagnant ou se référant à cette denrée alimentaire.

Liens relatifs

Article R112-2

Créé par Décret n°97-298 du 27 mars 1997 — art. 1 (V) JORF 3 avril 1997

On entend par ingrédient toute substance, y compris les additifs, utilisée dans la fabrication ou la préparation d’une denrée alimentaire et qui est encore présente dans le produit fini, éventuellement sous une forme modifiée.

Lorsqu’un ingrédient d’une denrée alimentaire a été élaboré à partir de plusieurs ingrédients, ces derniers sont considérés comme ingrédients de cette denrée.

.

Complément concernant l’obligation d’informations, source Union Européenne :
https://ec.europa.eu/info/business-economy-euro/product-safety-and-requirements/eu-product-requirements_fr
Exigences de l’UE concernant les produits | Commission européenne (europa.eu)

Notice du vaccin Pfizer :
https://nouveau-monde.ca/la-notice-complete-du-vaccin-pfizer/
Combien de vaccinés en ont eu connaissance ?

Compte tenu de la notice précédente, comment expliquer ceci :
https://nouveau-monde.ca/waccins-covid-aimantes-lincroyable-scandale-arrive/ ?

Mesdames et Messieurs les membres du gouvernement français, des institutions et du Conseil Constitutionnel, notre demande étant parfaitement légitime, nous vous demandons de répondre sans tarder. Il va de soi que votre refus sera considéré dans le pays des Droits de l’Homme et de la Révolution française comme une attaque directe contre le bien commun : un refus vous mettra hors la Loi et sera considéré comme une provocation.

TANT QUE VOUS NE PUBLIEREZ PAS LA COMPOSITION EXACTE ET COMPLÈTE DES VACCINS ANTI COVID-19 COMME L’OBLIGE LA LOI, VOUS SEREZ CONSIDÉRÉS COMME DES HORS LA LOI.




Dogma Édition 16. Été 2021

Par Dr.  Lucien Samir Oulahbib, Dr. Isabelle Saillot

(voir aussi sur Dogma.lu)

SOUFFLET

LA MÉTAMORPHOSE

L’outrecuidance cuistre affiche de plus en plus avec fureur ce Mauvais Universel que l’on croyait exsangue tant il avait voulu agir « au nom du Bien » ; il se régénère maintenant et puissamment à coup d’obligations hygiénistes et « climatistes » empêchant alors que la Mutation qualitative en gestation, celle visant la santé d’ensemble des êtres moraux et politiques que nous sommes, craquèle leurs paradigmes à compartiment en faillite. Pourtant, sans fards, leur ignorance, impudente, qui suinte ouvertement maintenant de menaces fétides, s’habille de plus en plus effrontément en Pravda, quoique de manière très vulgaire (et perlée de menaces totalitaires) ; l’altérité démocratique est ainsi désormais fragilisée. Cela mérite bien un soufflet.

Leurs courants délétères ne veulent en effet pas mourir seuls dans les mouroirs à théories subventionnées. Aussi tentent-ils d’emporter l’Humanité avec eux dans les Poubelles en agitant de pseudo « concepts » (guère validés malgré leurs ornements chiffrés) agitant par exemple des notions de « théorie critique » accolée à « race » ou à « genre » ou de « vaccination empathique » opposée à « égoïsme » ; alors qu’il n’y a pas d’une part d’égalité à établir entre origine ethnique et intelligence et que d’autre part il existe des traitements précoces en suffisance comme le démontrent des centaines d’études et des milliers de médecins souhaitant les prescrire malgré les menaces des coupe-jarrets et seconds couteaux. Cette hargne à imposer une Carte en guise de Territoire peut faire croire à une profondeur de champ alors qu’il s’agit d’un dernier chant celui de cette vision étriquée provenant d’un monde quantitativiste mort, mais qui arrive encore à se maintenir en sustentation stationnaire parce que « nous » le voulons bien. Aussi s’agira-t-il dans ce numéro d’été de continuer à étudier par une sorte de dossier sur la question proche-orientale comment cette Secte pense agit empêche et tue partout.  D’autres textes et images tentent aussi de créer des contrepoisons afin de renforcer notre système immunitaire mental.


CONTENU:

LE RETOUR DE L’ISLAM EN EUROPE

Entretien avec Bat Ye’or

LESZEK KOLAKOWSKI. LES ANTISÉMITES : CINQ THÈSES CONFIRMÉES ET UN AVERTISSEMENT

Traduction et notes Irena Elster

LE « RAPPORT » DE BENJAMIN STORA

Par Jean-Pierre Lledo

« LES MYTHES FONDATEURS DE L’ANTISIONISME CONTEMPORAIN »
(COMPTE-RENDU)

Par Lucien Samir Oulahbib

L’ECRITURE DE LA PASSION DANS L’ŒUVRE DE CLEMENT MAROT

Par Zahra Chaouch

ÉDUCATION ET PENSÉE COMPLEXE CHEZ E. MORIN

Par Abdelkader Bachta

DIE MISCHPOCHE SINGER

DER WEIBLICHE UND DER MÄNNLICHE BLICK ZURÜCK AUF DIE FAMILIENBANDE

Elvira Groezinger

LE CONCEPT DU POLITIQUE SELON JULIEN FREUND

UN HOMMAGE AU CENTENAIRE DE SA NAISSANCE

David Cumin

LE CLIMAT ET LA RELATION TEMPÉRATURE-CO2

UN RÉEXAMEN ÉPISTÉMOLOGIQUE DU MESSAGE DES CAROTTES GLACIAIRES

Pascal Richet

L’ISLAMO-GAUCHISME COMME RHÉTORIQUE

Par Shmuel Trigano

LES TROIS ÂGES DU MYTHE DE LA NAKBA : UNE DÉCONSTRUCTION

Par Shmuel Trigano

AGAMBEN LECTEUR DE BENJAMIN ET DE FOUCAULT : RETOUR SUR UNE INCOMPRÉHENSION

Par Pierre Lurçat

L’INTENTION D’AMOUR, DE SHMUEL TRIGANO : ESQUISSE D’UNE ANTHROPOLOGIE HÉBRAÏQUE

Par Pierre Lurçat

QUELQUES PRÉCISIONS À LA RÉPONSE DE LA FÉDÉRATION TRANS ET INTERSEXE POUR DONNER SUITE À UN PETIT TEXTE POSANT LA QUESTION DE LA PRÉSENCE DES MILITANTS TRANS DANS LES STAFFS MÉDICAUX DE TRANSITION DES ENFANTS ET ADOLESCENTS

Dr Nicole Athea

Philippe Remacle

A FAREWELL TO THE AGE OF ENLIGHTENMENT, WELCOME TO THE ERA OF WOKENESS?

Elvira Groezinger

LES MÉTALOGISMES CHEZ RABELAIS, MAROT ET MONTAIGNE OU LA FABRIQUE DU MENSONGE

Zahra Chaouch

ELECTRICITÉ ET BIOCARBURANT DANS LES VÉHICULES EN FRANCE

Par Michel Gay et Christian Bailleux

KNOWLEDGE AND EVIL

Par Marco A. Andreacchio

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Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive

[Source : AIMSIB]

Cette histoire d’aimantation post-vaccination Covid tourne en boucle sur les réseaux sociaux depuis des mois, parfaitement niés par les médias officiels et ce de manière franchement dérisoire. Un jour Amar Goudjil, Trésorier de EFVV-Luxembourg décide d’évaluer ce prétendu phénomène au-dessus des zones d’injections de 100 vaccinés et de les comparer à 100 non vaccinés, voici son récit. Puis le Dr Julien Devilleger, cardiologue en Charente (France), assisté de Jessy Duthil, infirmière, réitèrent l’opération sur 75 vaccinés et 30 non-vaccinés. Aucune des deux équipes n’a prétendu se livrer à une enquête épidémiologique digne de ce nom, il s’agissait juste de lever le doute sur une possible légende urbaine. Au final c’est une surprise terrible qui devait attendre nos trois investigateurs, immédiatement transmise au Conseil de l’Ordre des Médecins. Et comme il ne se passe toujours rien à ce jour alors, vaccinés ou non, pour tous un énorme scandale approche… Bonne lecture.

[Voir aussi :
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes]

 

1- ÉTUDE SUR L’ELECTROMAGNÉTISME DES PERSONNES VACCINÉES AU LUXEMBOURG

Introduction

Depuis quelques mois, ce sont des centaines de vidéos amateurs qui fleurissent un peu partout sur les réseaux sociaux mettant en scène des personnes visiblement devenues électromagnétiques suite à la vaccination.
Après que de nombreuses questions nous ont été posées par un certain nombre de nos membres sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » apparaissant chez les sujets vaccinés, notre association a pris la décision de s’intéresser concrètement à ce sujet pour le moins intriguant.
En commun accord avec Jean-Pierre Eudier, notre président, et Toni Fernandes, notre coordinateur au Grand-duché du Luxembourg, il a donc été décidé de mener une enquête de terrain sur ce phénomène.
Cette enquête, à caractère purement statistique et sociologique portant sur cet effet d’électromagnétisme supposé et dont il est question ici, soulève à minima et au préalable trois questions importantes :
1- Est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après acte de vaccination ?
2- Si tel est le cas, est-il vrai que seuls les individus vaccinés présentent cet effet ?
3- Qu’est-ce qui est réellement injecté aux individus sous la qualification de vaccin et qui provoque cet effet ?
Pour tenter de répondre à ces questions, l’enquête a été confiée à Monsieur Amar GOUDJIL, trésorier de l’association et membre chargé de traiter des questions démographiques et sociologiques.

Présentation des paramètres de l’enquête

À des fins de réalisation accélérée, il a été décidé :
 D’interroger un panel de 200 individus domiciliés ou travaillant au Luxembourg.
 Que ce panel serait divisé en 2 groupes. Le premier serait composé de 100 individus vaccinés au Luxembourg et le second de 100 individus non vaccinés à des fins de comparaison.
 Que chacun de ces groupes devrait compter 50 femmes et 50 hommes.
 Que seuls les individus actifs seraient retenus pour participer à l’étude en raison du fait qu’ils sont beaucoup plus contraints à la vaccination que les individus inactifs.
 Que le lieu de l’étude serait le centre commercial Belle-Étoile et la route d’Arlon à Strassen.
 Que les variables retenues seraient donc le sexe, l’âge, la profession, le nombre d’injections, l’origine pharmaceutique des injections, la date des injections, l’attraction magnétique, l’émission-réception d’un champ électrique et la ville du lieu de résidence de la personne interrogée.
 Il convient par ailleurs de préciser que pour des raisons de praticité, seules les personnes portant des vêtements à manches courtes ou des vêtements sans manches seraient interrogées.

Présentation de la méthode d’approche et de réalisation

 L’interrogateur se présente aux individus, présente l’association puis il présente l’enquête.
« Bonjour Madame ou Monsieur, je vous prie de bien vouloir m’excuser de vous déranger mais je m’appelle Amar GOUDJIL, je travaille pour l’association European Forum for Vaccine Vigilance (EFVV) et je réalise actuellement une enquête statistique et anonyme sur les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées vivant au Luxembourg » … « C’est une enquête qui porte sur des informations stipulant que les gens vaccinées présentent des effets électromagnétiques et nous, à EFVV, nous cherchons à savoir quelle est la réalité observée ».
 L’interrogateur demande ensuite aux interrogés s’ils veulent bien, en connaissance de cause, participer, de leur gré, à l’enquête.
« Est-ce que vous auriez quelques minutes à m’accorder s’il vous plaît et est-ce que cela vous intéresserait de participer à notre enquête ? ».
 L’enquêteur explique ensuite aux interrogés les intérêts de l’enquête et introduit les individus dans le vif du sujet en leur présentant un aimant qui adhère, par effet magnétique, à un objet métallique (poteau, voiture, etc). Il explique ensuite que les aimants n’adhèrent pas à l’homme et qu’ils n’adhèrent qu’aux objets métalliques mais que des informations nous sont parvenues prétendant que les gens vaccinés généraient une attraction à l’aimant en raison du fait qu’ils ont été vaccinés.
 L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se prêter au jeu et appliquer l’aimant sur l’endroit où, il ou elle, a été injectée.
 Lorsque l’aimant colle à la peau au niveau de l’épaule, l’enquêteur demande alors à la personne de coller l’aimant sur l’autre épaule.
 L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se laisser passer un testeur de champs électriques et de champs magnétiques (marque Meterk, modèle MK54) au niveau des épaules en expliquant que des informations avaient également été rapportées à notre association et qui disaient que les gens vaccinés étaient également générateurs de champs électriques.
 L’enquêteur continue la discussion et continue de répondre, dans la mesure du possible, aux personnes interrogées qui s’intéressent à l’expérience menée et aux résultats de l’enquête.

Présentation synthétique des résultats pour la semaine d’étude du 1er juin au 5 juin 2021

 Seuls 30 personnes vaccinées et 30 personnes non vaccinées ont finalement été interrogées alors que l’objectif était d’en interroger 100 pour le premier groupe et 100 pour le second.
 La condition de la répartition par genre a été respectée. Dans chaque groupe, il a été interrogé 15 femmes et 15 hommes.

 Dans le groupe des non-vaccinés, sur les 30 individus interrogés, le nombre de personnes présentant une attraction à l’aimant est de 0 (zéro). L’expérience s’arrête donc là pour ce groupe.
Dans le groupe des vaccinés en revanche, sur les 30 individus interrogés, 29 présentent une attraction à l’aimant. C’est-à-dire que l’aimant adhère à leur peau sans difficulté.
Sur ces 29 mêmes individus, 22 ont l’aimant qui adhèrent sur une seule épaule et uniquement sur la zone de l’injection. Ces 22 personnes sont celles qui n’ont reçu qu’une seule injection.
Les 7 autres personnes de ce même groupe ont l’aimant qui adhèrent sur les deux épaules.

 Dans ce groupe dit des vaccinés domiciliés ou travaillant au Luxembourg, il ressort que :
– 17 ont reçu au moins une injection du laboratoire Pfizer
– 7 ont reçu au moins une injection du laboratoire Astra Zeneca
– 3 ont reçu au moins une injection du laboratoire Moderna
– 3 ont reçu l’injection unique de Johnson & Johnson
– 6 ont reçu les 2 injections du laboratoire Pfizer
– 1 a reçu les 2 injections du laboratoire Astra Zeneca
– 1 reçu les 2 injections du laboratoire Moderna

 Deux des individus de ce groupe, un infirmier travaillant au CHL et ayant été un des premiers à se faire vacciner, et un analyste financier, ont présenté des émissions de champs électrique totalement anormales. Pour l’infirmier, il a même été réalisé une vidéo qui montre les valeurs émises par le testeur aux environs de l’épaule gauche. Pour l’analyste, les valeurs émises par le testeur étaient approximativement les mêmes mais l’individu a brusquement mis fin à sa participation.

 Sur les 30 personnes interrogées faisant partie du groupe des vaccinés, 29 résident ou travaillent à Strassen. 1 seule habite à Metz mais travaille à Strassen.

Il semblerait que les personnes qui ont été vaccinées plus tôt dans le programme de vaccination gouvernemental sont beaucoup plus électromagnétiques que les personnes qui l’ont été de façon plus récente. L’aimant adhèrent plus vite et tient mieux que chez les personnes fraîchement vaccinées.

 Il conviendrait de prendre des mesures plus précises en relation avec ce dernier constat.

Remarque : L’exercice étant totalement déstabilisant pour les interrogés, à aucun moment il ne leur est demandé d’appliquer l’aimant sur une autre zone que les épaules. Il aurait été très intéressant de savoir si l’aimant adhère également sur les zones du cou, de la poitrine, du front ou des jambes ainsi que de savoir si d’autres objets tels que des cuillères, ciseaux et smartphones adhéraient également.

Conclusion

Il ressort que les personnes vaccinées dégagent bien un champ électromagnétique et que, plus les individus ont été vaccinés tôt, plus ils dégagent un champ fort. Cette sensation et cette appréciation qui relève uniquement de l’expérience tactile à l’application et au retrait de l’aimant à l’épaule devrait faire l’objet d’une vérification beaucoup plus précise avec des appareils beaucoup plus précis.

Il a été extrêmement difficile de trouver des individus acceptant de se prêter au jeu de cette expérience extrêmement déstabilisante. Les individus s’intéressent à l’expérience par curiosité et puis quand ils voient que l’aimant s’accroche à leur peau, ils deviennent dubitatifs dans un premier temps, puis d’un coup ils deviennent froids. Certains d’entre eux deviennent même extrêmement nerveux, voir complètement sous le choc. Les personnes s’interrogent sincèrement sur le fait de voir comment un aimant peut adhérer à leur peau aussi facilement que celui-ci adhère à un poteau métallique.

Ils demandent des explications et l’enquêteur les rassure en leur disant qu’il doit bien y avoir une explication. Ils sont renvoyés vers le médecin qui leur a conseillé de se faire injecter. Une dame a même pleuré en me disant qu’elle ne voulait pas se faire vacciner mais qu’elle a été contrainte parce que son employeur l’y a obligée au prétexte qu’elle travaille au contact de la clientèle.

 Dans les discussions, il ressort que les gens ne se vaccinent même pas pour des raisons médicales ou des raisons de santé, par conviction ou par peur de la maladie mais souvent dans l’espoir de revenir à une vie normale et de pouvoir à nouveau voyager librement.

 Lors des échanges, les gens expriment clairement leur désarroi en disant, après coup, qu’ils sont pris en otages. Beaucoup reconnaissent que cette injection est non consentie et qu’à aucun moment on leur a donné des explications rationnelles ne serait-ce que du point de vue de la balance bénéfices-risques. Ils qualifient ensuite, après réflexion et discussion, cet acte de : « erreur, folie, échappatoire, solution, ou encore même de chantage».
Ce sont exactement ces termes qui revenaient souvent.
Il conviendrait, là encore, de mener une enquête psychosociale sur les motivations réelles qui ont mené les individus vaccinés à accepter de se faire injecter. L’idéal serait de pouvoir enregistrer et filmer toutes les conversations avec les vaccinés pour ensuite les analyser.

L’enquête est prématurément arrêtée pour des raisons de conscience et de morale car l’enquêteur n’arrive plus à faire face au désarroi et à l’impuissance des gens dont le visage se pétrifie lorsqu’ils réalisent qu’ils ont été injectés d’une substance dont ils ne savent finalement rien.

L’enquêteur, qui a étudié les techniques de management et la psychosociologie par le passé, est très mal à l’aise face à ces personnes qui s’interrogent sur ce qui leur arrive. Les personnes deviennent pâles, blanches, nerveuses, se mettent une main vers le front ou alors croisent les bras en se pinçant la lèvre du bas. Certaines transpirent des mains car on les voit qui se les essuient sur les hanches ou sur les cuisses. Ces effets et ces expressions surviennent généralement dans des états d’angoisse, de stress extrême ou de tension réellement mesurable. Chez les interrogés, ces manifestations physiques incontrôlées sont révélatrices d’un profond mal-être quand ils réalisent après coup qu’ils ont sans doute commis l’irréparable. L’acte de vaccination étant un acte irréversible.

A la question, « Est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après avoir subi au moins un acte de vaccination ? », la réponse est affirmative et oui, effectivement, les individus deviennent bien électromagnétiques sur zone d’injection à minima.
A la question, « Qu’est-ce qui est injecté aux individus et qui provoque cet effet ? », nous répondons que c’est aux gouvernements et aux autorités garant de la santé des luxembourgeois de répondre à cette question car ce sont eux qui ont pris la décision lourde, en amont, de vacciner les populations.

Nous ne répondrons pas ici de la responsabilité des uns et des autres mais il est certain que si des nanoparticules paramagnétiques (« nanocarriers » ou « magnetic beads ») sont entrées dans la composition de ces dits vaccins, il y a fort à parier que nous pourrions entendre parler très rapidement d’une catastrophe sanitaire sans précédent. C’est aux toxicologues et aux pharmacologues à qui il revient maintenant la responsabilité de découvrir les origines et les causes de ces effets d’attraction sur les sujets vaccinés et c’est aux garants de la santé des citoyens de ce pays de demander très rapidement l’ouverture d’une enquête sur la composition exacte et réelle de ces dits vaccins.

Synthèse et conclusion du travail d’enquête effectué par Amar GOUDJIL
pour European Forum for Vaccine Vigilance, Mamer, le 06 juin 2021.

  

2-Etude SECRET 16’

Introduction et résumé

Depuis plusieurs mois, des internautes ont tenté de mettre en évidence un magnétisme qui serait lié au vaccin (« Magnet challenge »), avec des objets fantaisistes (téléphones, clés, ciseaux, « cuillère-code »…) collés sur des zones diverses de l’anatomie : bras, front, torse, dos…entre autres !
Une seule étude observationnelle (cf supra) a été menée de façon sérieuse au Luxembourg, retrouvant une aimantation chez 29/30 personnes vaccinées ayant participé au test, mais aucune aimantation chez les 30 personnes non vaccinées participant au test à l’aimant. D’autres expériences de terrain retrouvaient des résultats comparables ou au contraire ne mettaient pas en évidence d’aimantation chez les vaccinés, mais la population étudiée concernait des groupes de quelques personnes.
L’étude observationnelle « Secret 16 », réalisée par un cardiologue et une infirmière de Charente (France) a pour objectif d’étudier l’aimantation d’une pièce d’un euro chez 75 patients vaccinés contre la Covid, en comparaison à un groupe témoin de 30 personnes non vaccinées.
Elle retrouve une aimantation beaucoup plus fréquente de la pièce chez les vaccinés (35/75) par rapport au non-vaccinés (2/30), p=0,0027. Cette aimantation est beaucoup plus fréquente en cas de vaccination Astra (17/28 vaccinés) par rapport aux non vaccinés (2/30), p=0,0014.

Population et méthodes

Opérateurs : Dr Julien DEVILLEGER, cardiologue et Jessy Duthil, infirmière libérale (Charente, France) du 11 juin au 27 juillet 2021
Statistiques : Test de Fisher (logiciel Biostat TGV)
Méthode de recherche d’aimantation:
-Pièce tenue entre le pouce et l’index, avec majeur plié (en sécurité).
-Personne debout, bras ballants, peau sèche, pilosité non développée aux bras, crème nettoyée à l’eau, puis peau séchée, sueur absorbée par serviette sèche à usage unique.
-Pièce tenue à 20 centimètres sous le moignon de l’épaule, en effleurant la peau, sans appuyer, et en glissant de bas en haut jusqu’à 3 travers de doigts environ sous le moignon de l’épaule.
-Technique à réaliser 2 fois de suite, en cas d’aimantation avec alternance bras gauche/bras droit.
-Aimantation si pièce tenue au – 10 secondes

Résultats

Groupe non vacciné Covid, 2/30 personnes ont eu une adhérence de la pièce>10 secondes (1)
Groupe vacciné Covid, 35/75 ont démontré une aimantation de la pièce au site d’injection, et 10 ont eu une aimantation bilatérale (2)

A noter qu’en cas d’aimantation bilatérale, la zone aimantable était large d’environ 10-15 centimètres du côté vacciné, et environ la moitié au niveau de l’autre bras.

Détail en fonction des vaccins :
-12/33 Pfizer (1/3 avec une dose) aimantaient la pièce
-17/28 Astra Zeneca (2 doses)
-4/10 Moderna (2 doses)
-1/2 Johnson&Johnson
-1/2 mi-Astra, mi-Pfizer, 100% bâtard

3. Discussion et remarques

Cette étude montre une différence statistiquement significative d’aimantation chez vaccinés (43,3% vs 6,7% p=0,0014)
Cette aimantation semble plus fréquente pour les vaccinés Astra (60,7% vs 38,7%), mais sans significativité statistique (p=0,37), en raison de la taille de l’échantillon.
Elle est beaucoup plus souvent bilatérale en cas de vaccination Astra (28,6%) qu’avec les autres vaccins (3,5%), p=0,016.

Il a été rapidement que les 1ers vaccinés Pfizer n’aimantaient pas, contrairement aux Pfizer récents.

Même si la recherche de magnétisme post-vaccinal est simple, il est important de faire cette recherche dans des conditions rigoureuses, pour éviter les fausses aimantations (crème, sébum+++). La moitié des patients testés par Le Dr J. Devilleger l’ont été sans connaître au préalable le statut vaccinal et en cas de vaccination, sans en connaître le côté. Sur 27 patients qui aimantaient, il a trouvé 25 fois le bon côté, et 2 fois, il s’est trompé ( cas des aimantation bilatérale).

Autres expériences :
-aimant en ferrite : ne marche pas, n’a servi que pour montrer que la pièce d’un euro est aimantable.
-aimant en néodyme : Très difficiles à décoller, un aimant s’est cassé en 2, ces produits sont de manipulation dangereuse
-lecteur RFID : 0/12 sur vaccinés (5 aimantaient), alors que le lecteur fonctionne sur chien pucé.
-lampe UV : RAS
-magnétomètre (Phyphox) : pas de variation significative du champ magnétique

4- Conclusion

Ces résultats confirment ceux retrouvés par l’étude du Luxembourg, avec une différence très significative d’aimantation entre vaccinés et non-vaccinés, et cette dernière est plus fréquente et surtout plus souvent bilatérale en cas de vaccination Astra.
Tous les vaccins utilisés semblent concernés par ce phénomène.

Cela doit nous interroger sur la composition des vaccins utilisés, afin de mieux apprécier les éventuels risques d’interactions magnétiques, notamment en cas d’IRM programmée (dernières IRM 7 Teslas+++).

Dr Julien Devilleger
Jessy Duthil
Juillet 2021

Deux témoignages, trois interrogations

 

1- Et si ce produit était constitué d’un dérivé de graphène?

L’hypothèse a été soulevée par  les espagnols de Quinta Columna (3) après que le Pr Pablo Campra (Univ. Almeria, Esp) ait affirmé dans un rapport préliminaire avoir isolé des quantités imposantes d’oxyde de graphène dans un flacon de Comirnaty©. (4)(5)

il y montre une similarité des images en microscopie électronique entre un échantillon du vaccin Cominarty© de Pfizer et des images d’oxyde de graphène tirées d’une publication de 2009.  Cette utilisation demeure parfaitement possible car déjà très sérieusement évaluée à plusieurs reprises comme par exemple ici:

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

ou encore là, s’agissant d’un dépôt de brevet:

https://patents.google.com/patent/CN112220919A/en

On redit que les travaux de Campra n’ont été réalisés que sur un seul flacon issu d’un seul façonnier (Pfizer) et des doutes ont rapidement été soulevés quant à la provenance peu traçable de cet échantillon d’analyse.

Mais cette mise en évidence d’oxyde de graphène est également évoquée par le Dr Martin Monteverde pour certains vaccins anti-grippaux (d’où peut-être l’aimantation des non-vaccinés Covid), pour le vaccin Pfizer et AstraZeneca et une équipe Argentine aurait réalisé la même mise en évidence pour un échantillon issu de chez Moderna (6)

  2- Et si ça n’était pas de l’oxyde de graphène?

Voici l’opinion du Pr Marc Henry, Professeur de Chimie à l’Université de Strasbourg et spécialiste de physique quantique appliquée aux matériaux complexes, que nous remercions une nouvelle fois pour avoir accepté d’apporter son éclairage à ce nouveau débat: (7)

 » Bonjour Vincent,
Le graphène et l’oxyde de graphène sont deux nanomatériaux très différents. Beaucoup de gens font la confusion entre ces deux notions. Il faut donc être très clair là-dessus. Vous voulez sûrement plaisanter quand vous me demandez quelques lignes sur un sujet de recherche les plus brûlants de ce début de XXIe siècle. Il y a énormément d’articles publiés dont beaucoup sont en relation avec la COVID-19. Impossible donc de vous résumer une littérature aussi vaste et foisonnante. Néanmoins, pour vous aider, j’ai traduit partiellement deux articles de revue de 2020 qui sont très bien faits (8). Pour plus de détails, je vous conseille de lire les deux publications en entier. L’une parle du spécifiquement du graphène et l’autre spécifiquement de l’oxyde de graphène qui en dérive, tous deux en relation avec la COVID-19. Impossible de faire plus court si vous voulez vraiment avoir une vue la plus large possible de ce qui a été fait et de ce qui reste à faire. Vous pouvez donc partir de cette base, scientifiquement très solide, pour …/… sortir quelque chose de plus court, en relation directe avec la position que vous souhaitez défendre sur ce sujet à l’AIMSIB. Notez bien, que malgré ce gigantesque travail de recherche, il n’y a encore eu aucune application clinique et encore moins d’applications grand public. Ceux qui fantasment sur l’idée que ces deux nanomatériaux seraient présents dans les vaccins font donc preuve d’une grande ignorance du sujet. Si de tels nanomatériaux étaient vraiment introduits dans des vaccins commerciaux, cela serait criminel. Je vois donc mal des sociétés pharmaceutiques courir un tel risque, alors qu’il existe des tas d’autres adjuvants tout aussi efficaces. Si les médecins n’ont encore jamais entendu parler de ces deux nanomatériaux, c’est tout à fait normal. Car, avant qu’un résultat en provenance d’un laboratoire de recherche perce dans le commerce, il faut souvent attendre des dizaines d’années. Ici, le sujet est beaucoup trop récent pour en être à ce stade. Pour ce qui concerne le magnétisme des vaccins, il existe d’autres nanomatériaux (les SPIONS) que l’on utilise déjà depuis des années dans des produits commerciaux. Il vaudrait donc mieux regarder de ce côté-là puisque l’oxyde de graphène ne possède aucune propriété magnétique. Seul le graphène peut être magnétisé et encore, très difficilement. En revanche, les SPIONS sont naturellement magnétiques, peu toxiques et peuvent être facilement greffés sur des protéines elles-mêmes magnétiques comme la ferritine, par exemple.
Bien à Vous »

3- Graphène ou pas graphène, quel produit non divulgué dans les notices peut autant aimanter chez certains vaccinés?

On rappelle que depuis le scandale dénommé Pfizerleak (9) on sait que les Etats qui ont commandé des vaccins chez les industriels n’ont aucun moyen de cesser leurs achats sauf à pouvoir démontrer  la non conformité des produits mis sur le marché.

La présence de molécules non décrites dans les RCP de ces produits ne suffit-elle pas à déclencher une impitoyable enquête sanitaire à l’échelle internationale et interrompre par respect du principe de précaution le plus élémentaire la distribution de ces lots suspects? A l’heure où l’on se prépare à vacciner de manière obligatoire une frange très réticente de la population, n’est-ce pas de leur droit le plus strict que de connaître parfaitement la liste exacte des produits qui composent ces assemblages dits vaccinaux? 

Réclamons de toutes nos forces une enquête immédiate sur la constitution réelle de ces produits vaccinaux, possiblement certains de leurs composés n’ont jamais reçu la moindre autorisation d’utilisation en médecine humaine.  

https://twitter.com/RajelOnos/status/1399272071717437442?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1399272071717437442%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.aimsib.org%2F2021%2F08%2F08%2Fwacssyn-covid-lincroyable-scandale-arrive%2F

Notes et sources:

(1) 1 femme gardant une peau moite après 10 minutes de séchage (mais test non renouvelé) avait une adhérence bilatérale, un homme ayant une tuméfaction au bras liée à injections répétées de Victoza avait une adhérence au dessus de la tuméfaction).
(2) injection datant de – de 15 jours chez 9 patients, et 2 mois pour 1 patiente), dont 8 vaccinés Astra. 4 patients ont eu une recherche sur peau jugée trop moite (malgré séchages par serviette sèche), et la recherche à domicile par le conjoint du patient (après explication de la technique), a confirmé l’aimantation chez 3 patients. 4 patients ont eu une recherche sur peau jugée trop moite (malgré séchages par serviette sèche), et la recherche à domicile par le conjoint du patient (après explication de la technique), a confirmé l’aimantation chez 3 patients.
(brevet)
(3) https://www.laquintacolumna.net/
(4) version espagnole https://www.docdroid.net/TOPBZJY/microscopia-de-vial-corminaty-dr-campra-firma-e-1-horizontal-pdf
(5) Version anglaise https://www.docdroid.net/Ov1M99x/official-interim-report-in-english-university-of-almeria-pdf#page=2
(6) https://www.orwell.city/2021/07/absorption-signal.html
(7) https://www.aimsib.org/2020/01/26/homeopathie-medecine-science-et-ignorance-lavis-du-professeur-marc-henry/
(8) Traduction partielle de l’article concerant le graphène :
Srivastava AK, Dwivedi N, Dhand C, et al. « Potential of graphene-based materials to combat COVID-19: properties, perspectives, and prospects. » Mater Today Chem. 2020;18:100385. doi:10.1016/j.mtchem.2020.100385
Qu’est-ce que le graphène ?
Le graphène est un nanomatériau formé une monocouche d’atomes de carbone d’hybridation sp2 liés disposés selon un motif hexagonal. Le graphène monocouche (GMC) présente des propriétés exceptionnelles. Dans le GMC, les bandes π et π* se touchent au point de Dirac, ce qui en fait un matériau à bande interdite nulle, et au point de Dirac, les électrons du GMC se comportent comme des fermions sans masse. Le GMC présente une mobilité élevée des porteurs qui peut atteindre environ 105-106 cm2V-1s-1, soit deux à trois ordres de magnitude de plus que le silicium ; une résistance mécanique élevée d’environ 130 GPa, plusieurs fois supérieure à celle de l’acier ; des conductivités électrique et thermique supérieures à celles du cuivre et du diamant, respectivement ; une transmission élevée d’environ 97,7 % ; un excellent pouvoir lubrifiant ; des propriétés antimicrobiennes à large spectre, etc.
Applications
Le graphène et les matériaux dérivés du graphène (MDG) pour les applications de soins de santé est l’un des domaines de la science et de la technologie qui connaît la plus forte croissance. En particulier, le graphène et les MRG se sont révélés prometteurs pour combattre les maladies virales via le développement d’excellents dispositifs de diagnostic, et pour contrôler la propagation des infections grâce au développement de divers composants et revêtements. Dans cet article, nous avons compilé la littérature et discuté de l’utilisation du graphène et des MRG dans les revêtements antiviraux, les composants de protection et les dispositifs de diagnostic pour lutter contre les maladies virales, notamment le COVID-19. Nous avons discuté en détail des diverses propriétés fonctionnelles du graphène, des MDG et de leurs composants. Plus précisément, le graphène, les GRM et leurs composites avec des métaux et des polymères pourraient être utilisés pour le développement :
(i) de revêtements antimicrobiens et antiviraux pour empêcher la propagation de l’infection à partir de surfaces très touchées
(ii) de biocapteurs électrochimiques, FET, piézoélectriques et basés sur la technologie CRISPR pour un diagnostic rapide et sensible
(iii) des biocapteurs basés sur les technologies électrochimique, FET, piézoélectrique et CRISPR pour un diagnostic précoce, rapide et sensible des virus, y compris le SRAS-CoV-2,
(iv) divers EPI et autres systèmes de soins de santé basés sur la technologie d’impression 3D
(v) des nanomousses à pores contrôlés et plus petits pour un masque facial amélioré, (v) des substrats SPR pour un diagnostic sensible des biomolécules et des virus.
Bien que le graphène, les MDG et leurs composites aient montré d’excellentes propriétés fonctionnelles pour les applications de santé, les composants médicaux, les dispositifs, etc. n’ont pas encore atteint le stade des essais cliniques. Cela indique que le chemin du graphène et des MDG pour les applications de santé est encore long. En effet, l’un des sujets les plus critiques de la recherche actuelle et future sur le graphène et les MRG pourrait être l’avancement des travaux jusqu’au stade des essais cliniques, puis le développement de produits en termes d’appareils de diagnostic commerciaux, de composants de protection, de revêtements de surface, etc. Il est intéressant de noter que, même dans le scénario COVID-19 actuel, de nombreux équipements/composants de protection à base de graphène ont été développés, tels que des masques faciaux, des composants imprimés en 3D, des biocapteurs et des revêtements de surface, et certaines de ces technologies devraient être converties en produits commerciaux dans un avenir proche. Dans l’ensemble, bien que le chemin à parcourir pour que le graphène et les GRM atteignent le niveau du produit semble long, les progrès récents dans la science et la technologie de ces matériaux pour les applications médicales pourraient aider à atteindre l’objectif de commercialisation bientôt.
Traduction partielle de l’article concernant l’oxyde de graphène (GO)
Wanjun Caoa, Lin Hea, Weidong Caob, Xiaobing Huanga, Kun Jiac, Jingying Daia, « Recent progress of graphene oxide as a potential vaccine carrier and adjuvant », Acta Biomaterialia 112 (2020) 14–28.
Qu’est ce que l’oxyde de graphène ?
Le GO est une structure cristalline typiquement bidimensionnelle avec des groupes fonctionnels oxygène et une couche atomique unique. Cette couche est composée d’atomes de carbone sp2 et sp3 disposés dans une grille hexagonale comme son squelette binaire, ce qui confère au GO une grande surface et une nature hydrophobe. Les groupes oxygénés tels que les groupes hydroxyle, les groupes carbonyle et les groupes époxy sont répartis sur les plans de base et les bords du squelette. En général, il est dérivé du graphite par diverses stratégies d’oxydation. Bien que le GO dérivé de différentes méthodes de synthèse soit fondamentalement cohérent, il est susceptible de présenter quelques différences dans certains aspects ou propriétés tels que les dimensions latérales et le nombre de groupes fonctionnels oxygénés. Les groupes contenant de l’oxygène comprennent les groupes hydroxyle, les groupes carbonyle et les groupes époxy, dont l’introduction rend le GO soluble dans l’eau. Cependant, le plus important de ces groupes est le groupe carboxyle, car il constitue la base de la synthèse du GO fonctionnalisé (FGO). Le réseau aromatique constitue également la base de la modification du GO par empilement π-π ou interaction hydrophobe. Ces éléments sont détaillés dans la troisième partie. Après modification avec des biomatériaux hydrophiles, la solubilité et la stabilité dans les solutions biologiques sont améliorées. En outre, le FGO obtenu présente une biocompatibilité supérieure et une meilleure capacité de libération que le GO nu. Le rGO est considéré comme le produit de réduction du GO, souvent obtenu en traitant le GO avec des agents réducteurs tels que l’hydrate d’hydrazine au cours des dernières décennies. Cependant, ces agents réducteurs sont toxiques et nocifs pour le corps humain. Récemment, diverses stratégies de réduction verte ont été appliquées avec succès pour la réduction du GO, telles que la réduction par extrait de plante, la réduction par acide aminé, la réduction électrochimique et la réduction photocatalytique. La réduction du GO vise à restaurer le réseau graphitique en éliminant les groupes fonctionnels de l’oxygène. Après traitement avec différentes stratégies de réduction, on obtient différentes espèces de rGO avec différents rapports d’atomes de carbone et d’oxygène (C/O), qui sont augmentés par rapport au GO correspondant (le groupe hydroxyle phénolique, le groupe époxy ou le groupe carboxyle, etc. sont complètement ou partiellement éliminés). Par conséquent, contrairement au GO, le rGO tend à être modifié par des substances aromatiques ou des copolymères aliphatiques via l’empilement π -π et l’interaction de van der Waals. En outre, la structure et la surface du rGO peuvent également être différentes selon les méthodes de synthèse. Par exemple, une étude récente a observé que contrairement à la forme de feuille de GO, le rGO est une particule circulaire dont la largeur est manifestement plus grande que la hauteur, ce qui attribue une hydrophobie accrue.
Applications
Le GO peut adsorber une grande variété d’antigènes et présente un grand potentiel en tant que support en raison de sa grande surface, de son squelette aromatique hydrophobe à six chaînons et de ses groupes fonctionnels oxygène facilement modifiables. Il présente également une activité adjuvante pour activer le système immunitaire par les voies médiées par les TLR. Cependant, il présente une solubilité et une stabilité médiocres en raison de son agrégation rapide dans les liquides biologiques. On a observé que le GO et le rGO provoquent de nombreux effets indésirables, notamment l’hémolyse, l’apoptose cellulaire, les lésions de l’ADN et les lésions pathologiques des poumons et du foie. Par conséquent, les problèmes liés à sa biocompatibilité, à sa biodégradation et à sa toxicité limitent son application dans les vaccins.
De nombreuses stratégies de modification du GO par divers matériaux ont été développées au cours des dernières décennies, dans le but d’augmenter la biocompatibilité et la stabilité du GO tout en conservant le potentiel du GO en tant que support et adjuvant. Il est important de noter que les FGOs dérivés de la modification fonctionnalisée du GO montrent une plus grande capacité de délivrance d’antigènes et d’activation immunitaire que le GO vierge, comme le montre le tableau 1. La plupart de ces modifications sont cruciales pour moduler l’interaction des FGO avec les antigènes et les cellules immunitaires, ce qui contribue à l’amélioration des fonctions des FGO. Par exemple, dans le système rGO-dextrane, le rGO offre une surface unique pour charger l’antigène et interagir avec le dextrane, tandis que le dextrane se lie au récepteur d’hydrates de carbone à la surface des DCs pour promouvoir l’interaction du rGO avec les DCs. Dans le système GO-PEG-PEI, sur la base de la surface unique du GO pour interagir avec les DCs, le PEG peut améliorer la biocompatibilité du système, et le PEI chargé positivement favorise les interactions du GO avec l’Ure B et les DCs chargés négativement. Par conséquent, les FGO sont des candidats prometteurs pour une application biomédicale dans le domaine des vaccins. Au cours des dernières décennies, de nombreux types de FGO ont été conçus pour d’autres applications biomédicales, comme les films rGO fonctionnalisés par des anticorps pour la détection de l’aflatoxine et les GO fonctionnalisés par des molécules ciblées pour l’administration de médicaments anti-tumoraux. Cependant, les études sur les FGO pour l’application vaccinale n’en sont qu’à leurs débuts, et elles doivent encore faire face à des problèmes et des défis sur la voie de l’application clinique. Aucune étude n’a encore confirmé la biosécurité des OGF dans le corps humain. Des essais cliniques et davantage d’études précliniques in vivo sont nécessaires pour fournir des informations sur la biocompatibilité, la biodégradation, la biodistribution et la toxicité des FGO. En ce qui concerne les études réalisées à ce jour, la plupart d’entre elles n’ont examiné que le rôle unique des FGO en tant qu’adjuvants ou transporteurs. En outre, les chercheurs ont étudié la capacité des FGO à charger et à délivrer seulement quelques types d’antigènes et d’adjuvants, tels que l’OVA et les ODN CpG. Des antigènes plus spécifiques pour la thérapie des cancers ou des maladies infectieuses devraient également être étudiés plus avant dans le système d’administration de vaccins basé sur les FGO. En outre, il n’est pas clair si les différentes voies d’immunisation des vaccins à base de FGOs affectent les résultats biologiques, ce qui est également important pour l’application des vaccins à base de FGOs. Cette question doit être étudiée de manière plus approfondie. Les mécanismes impliqués dans l’activité adjuvante des FGO ne sont pas encore totalement compris, ce qui doit être clarifié par des recherches sur les voies associées à l’activation immunitaire.
En résumé, les FGO présentent un grand potentiel en tant que vecteurs et adjuvants de vaccins. La combinaison de l’antigène et des FGO en tant que formulation de vaccin est une stratégie importante et prometteuse pour l’immunothérapie de diverses maladies.
PEG = Polyethylene glycol
PEI = Polyethylenimine
DCs = Cellules dendritiques
OVA = Ovalbumine
ODNs = Oligodeoxynucleotides
CpG = Unmethylated cystein-guanine motifs
Ure B = Urease-B
(9) https://www.francesoir.fr/societe-sante/pfizerleak-les-contrats-surprenants-vaccins-pfizer




GRÈVE DES SOIGNANTS À BELCAIRE

[Source : SMAER]

Du plateau de Sault dans l’Aude, le Dr. Patrick Giusti, nous fait part du combat de sa maison médicale contre le totalitarisme de la politique de santé gouvernementale.




René Chiche: « Le pass sanitaire est une passoire et une sorte de permis officiel de contaminer ! »

[Source : putsch.media]

[Extraits (lire l’article entier sur putsch.media]

(crédit photo René Chiche)

René Chiche, professeur de philosophie, auteur du livre « La désinstruction nationale » a accordé un très long entretien à Putsch. Il évoque le pass sanitaire, la démocratie, Emmanuel Macron, l’état de droit, la désinformation de certains grands médias ainsi que l’éducation nationale sous Jean-Michel Blanquer dans une analyse au vitriol qui permet de mieux appréhender la situation dans laquelle la France se retrouve aujourd’hui, et surtout avec un point de vue très discordant. Un entretien passionnant.

PROPOS RECUEILLIS PAR NICOLAS VIDAL

Quel regard portez-vous sur ce Pass sanitaire et la façon dont il est imposé aux Français ?

Plus de trois semaines après son allocution le 12 juillet dernier, je suis encore sidéré qu’un président de la République se soit permis de dire droit dans les yeux aux Français que désormais, le poids des restrictions pèserait sur une partie d’entre eux. Cette déclaration est extrêmement grave dans la bouche d’un homme dont le premier devoir est d’assurer l’unité de la nation et d’œuvrer à la paix civile. Car, indépendamment de tout ce que l’on peut dire pour justifier ce « laissez-passer sanitaire » (il faut appeler les choses par leur vrai nom !), la façon de le présenter ne va pas du tout, et la suite n’a fait que l’illustrer : on a clairement désigné à la vindicte une partie de la population. Pire : on a sciemment donné à une mesure censée être sanitaire une toute autre portée, suggérant que se faire vacciner était une forme de civisme et que les personnes non-vaccinées étaient de mauvais citoyens, des égoïstes, quand ce n’était pas tout simplement des ignares ou des égarés puisque, si j’en crois les dernières sorties d’Emmanuel Macron dans Paris-Match, il n’hésite plus à qualifier les opposants au laissez-passer vaccinal d’ennemis de la démocratie ou de débiles mentaux « en perte de sens » (sic) !

(…)

En résumé, le passeport sanitaire est une passoire et une sorte de permis officiel de contaminer ! (…) Le virus circule autant et surtout il se moque du taux de vaccination de la population car sa circulation dépend d’autres facteurs sur lesquels on n’a finalement que peu de prise, sauf à cloîtrer indéfiniment chez elle la population mondiale !

(…)la crise sanitaire est en réalité une crise des systèmes de santé, et il est évident qu’une sous-capacité, par exemple dans les services de réanimation (…), devient tout de suite une catastrophe en cas de pic épidémique, mais avec la grippe aussi bien que la covid. (…) Il me semble évident que si l’on ne surveille pas attentivement la maladie dans sa phase initiale, on augmente le nombre de chance de voir survenir des cas graves. (…) la médecine, contrairement à la statistique, ne porte que sur l’individu, la première règle à laquelle s’astreint l’homme de l’art étant de connaître l’histoire du patient afin de ne pas lui nuire. Je crois qu’on touche ici au cœur de la « crise » actuelle, où je vois d’abord une tentative pour l’administration de se mêler de médecine et, concrètement, d’en entraver la pratique, exactement comme elle le fait en matière d’éducation.

Comment avez-vous réagi à ces déclarations de Jean-Michel Blanquer sur la « mise à l’isolement » des élèves cas contacts/positifs non vaccinés ? Est-on en train de toucher à un fondement de l’éducation nationale ?

(…) on sait désormais que lorsqu’un membre de ce gouvernement ou de cette majorité annonce qu’il va faire beau demain, il faut se munir de son parapluie. Oui, Jean-Michel Blanquer instaure un « passeport sanitaire » qui ne dit pas son nom dans les écoles, et ce sans aucun fondement légal puisque la loi instaurant ledit passeport ne mentionne pas les établissements scolaires.

(…) Avec une telle mesure, on assiste dans le domaine de l’éducation à ce qu’on voit par ailleurs : sous prétexte d’une crise sanitaire dont j’ai déjà dit qu’elle était surtout une crise hospitalière, on tourne le dos à des principes fondamentaux comme si les circonstances suffisaient à le justifier. Cela permet surtout de constater que ceux qui invoquent à longueur de journée et d’année les « valeurs de la République » ne savent pas ce qu’est un principe et n’en ont aucun. Pendant la seconde guerre mondiale, des Français ont sacrifié leur vie parce qu’ils avaient des principes, et désormais, on sacrifie des principes pour sauver des vies. C’est une inversion terrible et qui donne à penser.

Jean-Michel Blanquer semble empiler les approximations notamment sur le processus de contamination et le vaccin ou encore sur la proportion d’enseignants aujourd’hui vaccinés. Pourquoi selon vous ?

J’ai cru en Jean-Michel Blanquer lors de son arrivée rue de Grenelle, mais très rapidement, je l’ai vu à l’œuvre et ai cessé de le prendre au sérieux. Il est capable de dire tout et son contraire, et d’aligner d’énormes mensonges avec la candeur d’un enfant de chœur, que ce soit à propos de la vaccination, de la contamination ou de tous les autres sujets (je suis bien placé pour le dire en tant que professeur mais aussi membre du Conseil supérieur de l’éducation où je représente comme vice-président du syndicat Action & Démocratie la CFE-CGC). (…)

(…) Il ne faut pas oublier que nous avons à faire à des gens qui prétendent gouverner au nom de la science ! Cette prétention est évidemment grotesque quand on sait que la science, c’est le doute, la précaution contre soi-même érigée en méthode, la prudence, alors qu’on fait présentement de la science l’usage inverse, l’argument d’autorité qui interdit toute critique et renvoie les doutes légitimes à l’obscurantisme, pour ne pas dire au « complotisme » !

Est-on arrivé aux limites de l’État de droit avec une décrédibilisation de plus en plus grande chez de nombreux Français pour les parlementaires et le Conseil d’État ?

(…): si des élus se croient légitimes quand ils obtiennent un mandat avec 10% du corps électoral, je ne vois pas ce qui les empêche de se dire légitimes avec moins encore ! Mais là, il s’agit de la limite de la démocratie, non de l’État de droit.

(…) il est clair que, la désinstruction nationale aidant, notre époque est celle d’une crise de la démocratie. Enfin non, le mot « crise » étant un mot bon à tout faire, je préfère parler plus exactement d’un effacement de la démocratie, dont certains éléments formels demeurent et permettent de maintenir l’illusion que nous sommes en démocratie alors que ce qui décrit plus exactement notre régime actuel, c’est la notion de despotisme technocratique.

(…) L’autre aspect de votre question concerne l’État de droit, et là, je ne parlerais pas de discrédit mais, plus gravement, d’une liquidation en douceur. Je précise que le contraire de l’État de droit, c’est l’état de nature, c’est-à-dire le pur jeu des forces. Et en effet, on est en droit, c’est le cas de le dire, de s’inquiéter quand on lit certains avis ou certaines décisions des juges du Conseil d’État qui se permettent d’écarter des objections sérieuses à l’aide de sophismes grossiers et qui me font dire de cette instance qu’elle réalise la proposition de Pascal selon laquelle, n’ayant pas pu faire en sorte que la justice soit forte, on a fait en sorte que la force soit juste.

Le Conseil d’État n’est qu’une annexe de l’exécutif, quand il n’en est pas tout simplement l’antichambre.(…)

Enfin, comment jugez-vous le traitement de certains grands médias sur les fortes mobilisations de Français qui s’opposent au Pass sanitaire depuis le 14 juillet dernier ?

Eh bien parlons donc de l’industrie de la désinformation. J’avoue que le spectacle offert chaque jour par les chaînes de bavardage en continu est impressionnant et, à part ceux qui s’y pressent ou ne vivent que de ça, je suis persuadé que personne ne les prend au sérieux, ou alors il faudrait prendre au sérieux les conversations des tontons et tatas autour du gigot du dimanche.

Mais ce spectacle présente un intérêt tout de même pour qui veut s’instruire, car on y observe un usage de la langue qui permet de comprendre bien des choses. J’en parle abondamment dans le petit livre sur la désinstruction que j’ai écrit voici deux ans, et il me sera difficile de résumer cela en deux lignes, mais pour dire l’essentiel, les mots ne sont plus utilisés comme des signes mais comme des signaux destinés à faire réagir au lieu de faire réfléchir. Les ficelles de la désinformation sont à la fois grossières, pour qui n’en est pas dupe, et subtiles. Par exemple, puisque vous faites allusion aux manifestations contre le passeport sanitaire, je suis tombé par hasard sur un journal télévisé où la speakerine (car à ce niveau, je ne peux pas l’appeler journaliste même si elle a probablement une carte de presse) évoquait les « antivax » et enchaînait en parlant de ce que « les Français » en pensaient : du coup, je me suis demandé quelle était la nationalité des « antivax ». On fait avec ce mot absolument ridicule ce qu’on a fait avec « les gilets jaunes » : en désignant de la sorte des Français qui ne sont pas d’accord avec les politiques conduites par le gouvernement, on les met insidieusement au ban de la communauté nationale, on en fait une espèce singulière, et l’on suggère ainsi à son auditoire les pires choses à leur sujet. (…) Si je devais faire un cours sur la manipulation à l’ère de la démocratie moderne, j’aurais l’embarras du choix pour l’illustrer. Pas un seul média n’y échappe, comme si les écoles de journalisme formataient les jeunes gens de la même manière, toutes choses égales par ailleurs, que l’école nationale d’administration formate les futurs gouvernants. Mais, comme je l’ai dit précédemment, ceci est très grave dans la mesure où l’existence d’une opinion publique instruite est une des conditions de possibilité d’un régime républicain, et le niveau des médias en dit long à ce sujet. Je parle bien du niveau, et pas seulement du fait qu’ils désinforment plus souvent qu’ils n’informent, au point qu’il m’était arrivé de dire, quand le documentaire Hold-up a fait jaser et que l’on a crié au « complotisme », que même si je le trouvais plutôt médiocre, il m’apparaissait beaucoup moins nuisible à la santé mentale des Français que le journal télévisé de TF1 !

Nous avons des médias tétanisés et qui n’osent plus critiquer le pouvoir, ce qui condamne des gens qui ont des choses à dire, et même parfois (ce qui est tout de même un comble !) des scientifiques de grande valeur, à ne pouvoir s’exprimer que dans des médias alternatifs et bien entendu réputés « complotistes » ou au service de puissances étrangères (…)

La désinstruction nationale, René Chiche, les éditions Ovadia




Violations de la loi commises par nos gouvernants depuis le début de la crise Covid

[Source : Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris]

À TOUS LES MEMBRES DE NOS FORCES PUBLIQUES NATIONALES,
Cette lecture a pour objet de vous exposer l’ensemble des violations de la loi commises par nos gouvernants depuis le début de cette crise.

En effet, notre État de droit s’est gravement et fortement dégradé depuis plus d’un an et demi.

Les droits fondamentaux et libertés fondamentales sont mis à mal au nom d’un État d’urgence sanitaire, qui en réalité n’a rien de sanitaire.

Depuis la publication de la loi d’urgence,(([1] Loi n° 2020-290 du 23mars 2020 dite loi d’état d’urgence sanitaire pour faire face à l’épidémie de covid-19)) des ordonnances, décrets, lois de prorogation ont été appliqués sans qu’aucun pouvoir n’ait été en mesure de remettre en cause le caractère inconstitutionnel des mesures prises.

En ce sens, la séparation des pouvoirs n’existe plus :

  • puisque toutes les décisions sont prises en Conseil de défense,
  • puisque le Parlement ne peut plus exercer son contrôle sur l’activité du gouvernement prévu à l’article 24 de la Constitution et que la majorité présidentielle suit aveuglément les consignes,
  • que le Conseil constitutionnel omet de censurer l’ensemble des textes portant gravement atteinte au blocs constitutionnel et conventionnel. Ce fut encore le cas le 5 août, sans apporter de réponses à bon nombre d’arguments juridiques pourtant soumis au Conseil constitutionnel.
  • et que la justice administrative ne fait plus office de rempart.

Or d’après l’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789, toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.

En efeft, le pouvoir exécutif, sa majorité présidentielle et les ordres et médias complices ont violé les droits du peuple :

Violation de la liberté individuelle, violation de la liberté d’aller et venir et violation du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation en interdisant de sortie du domicile par des mesures de confinement forcé l’ensemble des citoyens sans distinction et sans justification d’ordre médical, ces citoyens ne pouvant en aucun cas être déclarés arbitrairement coupables de porter atteinte à la sécurité et à l’ordre public.

En ce sens, le pouvoir exécutif viole impunément l’Habeas Corpus figurant à l’article 66 de la Constitution ainsi que dans de nombreuses conventions internationales.

Conformément à l’article 66, nul ne peut être arbitrairement détenu et l’autorité judiciaire est la gardienne de la liberté individuelle.

L’article 9 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 le rappelle ainsi:

« Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi ».

De même l’article 5 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 rappelle que la loi n’a le droit de d’interdire que les actions nuisibles à la Société. Le reste ne peut être interdit.

Je me dois de dénoncer haut et fort cette injustice faite aux français lorsque l’on sait que les critères de proportionnalité et d’utilité de ces mesures ne sont pas remplis puisque plus de vingt-cinq études scientifiques viennent démontrer que les mesures d’interdiction de sortie du domicile sont nocives pour la santé, la société et pour l’économie du pays.

  • Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction d’aller rendre visite à un proche en EPHAD, la restriction de la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toute possibilité de se réunir en famille.
  • Violation de la liberté d’entreprendre et atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation mettant ainsi en grave danger les petites et moyennes entreprises. Les commerçants, les indépendants, le secteur tout entier de la culture, la restauration, le secteur de l’habillement, le secteur de l’esthétique, le secteur du tourisme, le secteur de l’évènementiel et bien d’autres encore qui seront prochainement en liquidation.
  • Violation du droit de manifester et de se rassembler : violences à l’encontre des manifestants ou interdiction pure et simple de manifester.
  • Violation du droit à l’éducation. Contraints à un enseignement à distance, les élèves et étudiants sont en décrochage massif et bon nombre sont en dépression.
  • Violation de la liberté de culte en refusant la tenue de messes dans les Églises de France et autres lieux de culte en début de crise.
  • Violation de l’intégrité physique, psychique et morale de l’ensemble des citoyens en rendant le port du masque obligatoire en toutes circonstances sans qu’aucune étude scientifique ne vienne appuyer cette mesure. Plus d’une quinzaine d’études scientifiques rappellent l’absence de bénéfices ou pire la nocivité du port du masque.
    Il s’agit de torture et de maltraitance dès le plus jeune âge, puisque l’étouffement est une violence physique réprimée par le Code pénal.
    Des actes qualifiables de crime contre l’humanité, portant atteinte à l’intégrité physique, psychique et morale des enfants et des adultes et plus globalement à leur bien être ont été commis en toute impunité.
  • Violation de l’intégrité physique, psychique et morale de l’ensemble des citoyens en les manipulant via les médias grand public et des scientifiques de plateaux présentant bien souvent des conflits d’intérêts majeurs avec l’industrie pharmaceutique.

En effet, des méthodes de nature à produire des changements de comportement et à tester le degré d’obéissance ont été employées par le pouvoir exécutif à travers les médias. Les méthodes correspondent à ce qui est décrit dans la Charte de coercition de Biderman et aux expériences de Stanley Milgram menées en vue de mesurer le niveau d’obéissance à un ordre contraire à la morale.

  • Homicides en injectant du Rivotril aux personnes les plus âgées, qui auraient pu être soignées.
  • Euthanasie organisée par certaines Agences régionales de santé (ARS) qui ont géré la crise en décidant de faire du tri des patients en fonction de critères arbitraires déterminés à l’avance (notamment en fonction de l’âge) au lieu d’augmenter la capacité de lits.
  • Homicide et non-assistance à personne en danger en organisant l’absence de soin et en interdisant aux médecins de prescrire des traitements connus et reconnus à travers le monde comme étant efficaces contre la maladie.
  • Terrorisme d’État en se procurant des produits qualifiés à tort de vaccins et qui peuvent être plus dangereux pour la santé que la maladie elle-même.

Il s’agit de produits pharmaceutiques, encore en phase d’expérimentation, injectés souvent sans consentement libre et éclairé, au mépris du Code de Nuremberg et de la Convention d’Oviedo. Le pouvoir exécutif a rendu ces injections obligatoires pour les enfants à partir de 12 ans et a imposé des tests en milieu scolaire au mépris d’une décision du Conseil constitutionnel de 2019.

Par conséquent, en se procurant ce type de produit à injecter, lequel est de nature à créer un danger pour les citoyens français et en les rendant obligatoires à tous, ne serait-ce que par la terreur et la peur, alors que des traitements médicaux existent et sont suffisants pour soigner la maladie covid-19, le pouvoir exécutif se rend coupable d’acte de terrorisme et de génocide.

Les propos du médecin militaire Dr Lee Merrit MD sont très éclairants: les vaccins ARNm et ADN sont potentiellement des armes biologiques.(([2] https://odysee.com/@NeufdeCoeur:1/lee-merrit:8
http://www.profession-gendarme.com/81506/))

  • Terrorisme d’État et escroquerie en bande organisée
    • en utilisant des tests RT-PCR non fiables qui ne font pas même la différence entre la grippe et le SARS-Cov2 d’après l’administration de santé américaine, afin de justifier les mesures liberticides mises en place,
    • en manipulant le nombre de décès et
    • en modifiant arbitrairement le taux de pression épidémique sans autre raison que celle de justifier l’ensemble des mesures liberticides.

Par ailleurs, deux récents rapports viennent démontrer qu’il n’y a pas eu de surmortalité en 2020 en réalité. Par conséquent, l’état d’urgence sanitaire n’a aucune raison d’être maintenu.

  • Tentative d’empoisonnement ou empoisonnement (Art 221-5 du Code pénal)

Les médecins alertent concernant les nombreux cas d’accidents vasculaires cérébraux, thromboses, crises cardiaques, fausses-couches, risques de stérilité, dégénérescence, myocardites chez les jeunes, suite à l’injection.

Données EudraVigilance : 2 000 000 d’accidents et effets secondaires en Europe et plus de 20 000 décès sachant que les déclarations représentent une infime partie de la réalité.

Des centaines de scientifiques éminents, à travers le monde, alertent contre les dangers de ces injections et appellent à un arrêt immédiat de la campagne, puisqu’en temps normal 25 à 50 décès auraient entraîné l’arrêt immédiat d’un essai clinique.

Toutes ces informations sont parfaitement connues des autorités de santé et des responsables des administrations impliquées.

Or, les campagnes gouvernementales, avec le soutien des grands médias, tentent de convaincre tous les français de se faire injecter ces produits qui sont un véritable poison.

C’est donc en connaissance de cause, que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et dont la dangerosité est désormais manifeste.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car de nombreux français se voient désormais forcés de recevoir l’un de ces produits dangereux.

Les qualifications juridiques principales sont donc les suivantes :

Terrorisme d’Etat:

D’après l’article421-1 du Code pénal, constituent des actes de terrorisme, lorsqu’elles sont intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur, les infractions suivantes : Les atteintes volontaires à la vie, les atteintes volontaires à l’intégrité de la personne, psychique, physique et morale.

L’ordre public est l’état social idéal caractérisé par «le bon ordre, la sécurité, la salubrité et la tranquillité publiques», la moralité publique et la dignité de la personne humaine.

Le Conseil constitutionnel fonde la « sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation » sur le premier alinéa du préambule de la Constitution de 1946.

« Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. »

Ceci a été totalement occulté.

Atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation :

Les intérêts fondamentaux de la Nation sont comme vous le savez : l’intégrité de son territoire et sa sécurité, la sauvegarde de sa population, des ressources naturelles, économiques et culturelles.

D’après l’article 68 de la Constitution, le Président de la République peut être destitué en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat.

Or, par définition, il est de son devoir, ainsi que de celui du gouvernement, de veiller à ce qu’il ne soit pas porté atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation et de protéger sa population.

Génocide:

D’après l’article 211-1 du Code pénal constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire ,de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants : atteinte volontaire à la vie ; atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe.

Je rappelle à ce titre qu’une plainte pour génocide a été déposée le 1er décembre 2020 par Madame BONNY, un ancien médecin militaire formé aux maladies infectieuses et à la prise en charge de catastrophes sanitaires.(([3] https://www.francesoir.fr/politique-france/plainte-penale-pour-genocide-des-francais-contre-macron-ses-ministres-et-son))


Quelles sont les conditions qui interdisent à un fonctionnaire d’exécuter un ordre ?

La loi du 13 juillet 1983(([4] Art.28 de laloi n°83-634 du13 juillet1983)) dispose que le fonctionnaire doit exécuter les ordres SAUF dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public:

Il en est de même concernant les militaires, conformément à l’article L4122-1 du Code de la Défense.

A toutes fins utiles:

  • D’après l’article 73 du Code de procédure pénale, dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche.
  • D’après l’article 10 de la Déclaration des défenseurs des droits de l’homme et des libertés fondamentales de l’ONU en date du 8 mars 1999 (Résolution A/RES/53/144

– 53ème session):

« Nul ne doit participer à la violation des droits de l’homme et des libertés fondamentales en agissant ou en s’abstenant d’agir quand les circonstances l’exigent, et nul ne peut être châtié ou inquiété pour avoir refusé de porter atteinte à ces droits et libertés. »

Je remercie tous les membres de nos forces publiques nationales de leur écoute.


Aux manifestants

Il est IMPÉRATIF que la manifestation d’aujourd’hui se déroule pacifiquement. Ne tombez SURTOUT PAS dans le piège qui nous est tendu depuis des semaines, à force de propos médiatisés appelant à la discrimination, la violence et la haine.

Restons pacifiques, déterminés, et refusons toute forme de violence contre les personnes ou les bien. Si nous souhaitons que notre appel soit entendu par les forces vives de la nation, dont la mission est de nous protéger, il faut impérativement que notre action soit pacifique.




Merci Macron et ton passe sanitaire !

[Source : agoravox.fr]

Par laurent64

Merci Macron, car grâce à toi, j’ai pu me faire un ami, un très bon ami, du genre de celui sur lequel on peut compter en toutes circonstances, un ami dont je suis assuré qu’il me sera fidèle à vie sans jamais me renier, acceptant mes imperfections et mes trébuchements inhérents à la condition d’homme libre que je suis, la liberté s’entendant au sens de celle de l’âme. Et cet ami, c’est moi-même.

Il m’a fallu bien des décennies pour me rencontrer et savoir quel homme je voulais être ou peut-être quel homme j’étais déjà, depuis toujours.

Bien des circonstances m’en avaient éloigné, des désirs, des vanités, des prétentions, comme tout un chacun et aussi par effet de jeunesse et d’immaturité, mais cet ami m’attendait patiemment au fil du temps.

J’étais déboussolé, désorienté. Bien des signaux funestes dans ce monde ne cessaient de s’accumuler et mon esprit formé à la rationalité s’indignait de la dissonance cognitive qu’il y avait de plus en plus entre les discours et la réalité.

Il fallut enfin ce virus tombé du ciel, ou bien échappé volontairement ou involontairement d’un labo de Wuhan, pour que la rencontre se fît. Car alors il était donné d’observer au grand jour le grand cirque, cette farce tragique jouée par une poignée de soi-disant « sachant » du monde politique et médical transformant de façon flagrante, observable par tout un chacun qui ne serait pas à la fois sourd et aveugle, l’analyse scientifique, normalement étayée par l’organisation de débats contradictoires et requérant des études soignées sur les thèses non consensuelles, en scientisme, c’est-à-dire une idéologie claironnée par tout un chœur de potentats médicaux contredits par une soi-disant minorité de confrères, ce qui n’est pas sans rappeler les médecins de Molière.

En tant qu’enseignant en sciences physiques et en mathématiques, j’avais bien vu depuis de longues années, que des méthodes d’enseignement toujours plus stupides, fondées sur des analyses de documents où il suffisait d’aller à la pêche à la ligne pour recracher une vision inscrite dans le cadre d’un programme national, empêchaient au développement d’un certain nombre d’esprits : esprit d’observation, esprit d’analyse, esprit critique, reléguant l’apprentissage à un savoir prémâché, résumé dans les manuels par une page : l’essentiel, ce qu’il faut retenir, comme si éduquer se résumait à gaver l’esprit de connaissances et non à lui apprendre à apprendre pour finalement pouvoir s’adapter à des situations de l’existence qui ne sont pas prévisibles, comme celle d’un nouveau virus débarquant sans crier gare.

Il n’est pas étonnant que des élèves aux esprits formatés soient devenus, après intégration dans des écoles de prestige, des technocrates totalement déconnectés du monde réel, gérant la vie de tout un chacun à coup de formules rentrant dans leur modèle idéologique, champions de la manipulation et de la désinformation. 2020 et 2021 resteront des années historiques, tout comme les années sombres qui ont précédé la Seconde Guerre mondiale et aveuglé tout un peuple en jouant sur la paranoïa et en désignant un bouc émissaire de tous les maux tout en promouvant une race supérieure, car pure.

Une fois de plus, merci Emmanuel, car tu auras contribué, comme sœur Emmanuelle, mais par la négative, à une prise de conscience de ce qui rendait la vie digne d’être vécue. Jusque-là, j’errais comme un zombie dans une société de consommation hyperproductiviste et hyperdestructrice de son environnement, mais surtout, qui divisait de plus en plus les hommes en ceux capables de faire marcher cette machine folle et les autres, les déclassés, les inutiles, les zéros de cordée, les z’en trop, les débiles, les complotistes, les « start losers », en un camouflet à notre troisième principe fondateur, la fraternité.

J’avais eu un pincement au cœur en voyant le mouvement des gilets jaunes et j’avoue avec honte, avoir suivi les évènements depuis mon fauteuil, sur BFM, un peu en mode boucle. Puis vinrent les difficultés d’endormissement comme si quelqu’un venait me secouer pour me dire : réveille-toi Laurent, la vie est belle, elle est dangereuse, mais elle est sacrée. Elle ne cesse pas avec la mort, crois-moi. Va, vis, deviens, me susurrait cette voix, comme un titre de film.

Rien ne se serait produit, si Emmanuel n’avait pas, dans un discours merveilleux prononcé début juillet 2020, fait basculer un commutateur dans mon cerveau. J’étais déjà convaincu de la non-nécessité de me faire vacciner avec un vaccin expérimental, aux arguments irréfutables que, d’une part, je ne menace pas la santé de mes congénères, car les dernières études montrent une relative équivalence de contagiosité entre vaccinés et non vaccinés, d’autre part, bien qu’ayant un certain nombre de décennies, je suis d’un groupe O à rhésus positif, pour la population duquel les cas de Covid sévères sont rares, et enfin, je n’ai aucune comorbidité et un système immunitaire éprouvé depuis déjà plus de quatre décennies, pendant lesquelles je n’ai pris, au grand dam de Big Pharma, aucun cachet particulier pour me soigner.

Le discours d’Emmanuel a déclenché une tempête de cytokines dans mon organisme (le terme plus juste serait peut-être adrénaline, puisque je me targue d’esprit scientifique, peu importe, le mot cytokine est mieux pour le côté blague) comme je pense, chez nombre de mes concitoyens, venus grossir des manifestations anti-passe sanitaire.

J’ai compris, dans la menace de donner une vie de merde à ces c… d’opposants à la politique autoritaire et totalement injustifiée du gouvernement en matière sanitaire, que j’allais devoir faire face à une épreuve sur une durée indéterminée. Mais j’avais déjà des armes en la matière. Ne m’étais je pas entaillé, coupé, un nombre incalculable de fois en jardinant à mains nues au milieu de ronces. Malgré des débuts d’infection, chaque fois, la nature me rendait mes doigts en format d’usine, les blessures ayant disparu, les infections régressé, dans une sorte de miracle qui est celui de la vie, enfin en ce qui me concerne.

Je me dis alors que de cette nouvelle épreuve de privation sociale, je ne pourrais qu’en sortir grandi, et cela, je le dis bien, même si la Covid devait m’emporter, car la vie en aurait décidé ainsi, selon un vieil adage : Tout ce qui ne tue pas renforce.

J’ai alors profité de ces vacances pour prendre les devants, un peu à la manière d’un assiégé qui ferait des réserves et s’habituerait à vivre de peu dans la perspective d’un siège pouvant être long. Et là, j’ai découvert la force de l’âme, celle d’un Gandhi, celle d’un Nelson Mandela resté dans la lumière de son âme, même dans l’obscurité d’une prison, finalement quelque chose de banal pour qui croit à une dimension sacrée de l’être humain et plus généralement de tout ce qui a été créé avec (par qui et pourquoi ? Somme toute, peu importe !).

Je me suis reclus seul, tel un ermite, dans un endroit inspirant par sa beauté et sa tranquillité, quelque part dans une région de France réputée pour sa pluviométrie. La plus grande révélation, c’est le silence, dit une sagesse orientale. Et effectivement, dès qu’on fait silence, le cerveau commence par s’agiter, les pensées s’enchaînent, repassent en boucle comme sur BFM, puis finissent par se dissoudre pour laisser filtrer une lumière bienveillante, celle de notre âme. Et soudain, je saisis, ce qui vaut pour moi dans la vie, la liberté, dans le risque, le danger, peu importe, mais la liberté à tout prix, non négociable, imprescriptible et sacrée, seulement limité par le devoir de ne pas attenter à la liberté de mon semblable, mais surtout non entachée par une forme de culpabilité sordide fondée sur une sur exagération du risque, telle que martelée par notre Président.

Oui, je revendique de me battre pour avoir le droit de prendre des risques personnels, comme faire de l’escalade, monter sur mon toit sans être attaché, faire du saut à cheval, du parapente, du « base jump » et d’être gracieusement pris en charge en cas d’accident par le monde médical, car tel est le serment d’Hippocrate, menacé de se convertir aujourd’hui en serment d’hypocrites.

La vie est dangereuse, oui. La vie tue oui, n’en déplaise à Laurent Alexandre et autres angoissés pensant que le transhumanisme va mettre fin à tout cela dans un horizon proche.

La santé n’est pas une vertu, disait André Comte Sponville, que je remercie pour la formule, sachant que les philosophes contemporains semblent soudain curieusement devenus muet dans ce débat sur la vaccination obligatoire pour une pandémie peu létale comparée à Ebola et consœurs pour lesquelles j’irais me faire piquer sans hésiter la moindre seconde, pourvu que ce ne soit pas des entreprises à la sinistre réputation qui produisent le vaccin, mais plutôt un labo d’état ne pouvant être impliqué dans de sordides intérêts financiers.

En revanche, si la santé n’est pas une vertu, la défense de la liberté en est une. On peut mourir pour défendre sa liberté, donc perdre sa santé, mais en aucun cas, on ne peut tolérer de perdre sa liberté pour défendre sa santé, car on vivrait alors dans un monde totalement robotisé, sécurisé certes, mais sans aucune dimension, car le bonheur ne réside pas dans le confort bourgeois et la sécurité artificielle assurée par des vigiles, des murs, des implants qui contrôlent en permanence son état de santé et en formulent des injonctions du style : vous avez un excès de ceci ou de cela, vous devez dans les heures qui suivent marcher une heure.

D’ailleurs, si la nature avait voulu un monde de totale sécurité, elle l’aurait fait depuis longtemps, c’est-à-dire de toute éternité et nous n’aurions pas tous ces maux qui nous affligent. Je crois en un sens sacré de ce monde, que l’on peut nommer Dieu si on le souhaite ou de tout autre nom comme Nirvana. Et ce sens, c’est d’y découvrir notre âme, qui est notre véritable amie. Alors pour finir, à ceux qui comme moi, vont endurer cette épreuve, dans des conditions peut-être moins confortables, je vous souhaite d’en sortir grandi, car si par un boycott général de tous les lieux où est requis un passe sanitaire, nous parvenons à faire plier ce gouvernement, la France pourra être fière d’avoir retrouvé une place pour laquelle elle s’enorgueillissait jusque-là, celle d’être un phare des nations en ce qui concerne le principe de Liberté.

Que vive la France quand elle défend ses principes sacrés : Liberté, Égalité, Fraternité, car c’est la dignité humaine qu’elle défend.




Passe sanitaire : un ancien militaire porte plainte contre Jean Castex et Olivier Véran

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

[Photo : Le Premier ministre français Jean Castex (d), à côté du ministre français de la Santé Olivier Véran.
(GAIZKA IROZ/AFP via Getty Images)]

Par EMMANUELLE BOURDY

Un habitant du Cotentin âgé de 72 ans a décidé de porter plainte contre le Premier ministre Jean Castex et contre le ministre de la Santé Olivier Véran. Il dénonce la mise en place du passe sanitaire.

« La France réelle est un État de droit et non une cité de la peur »

Une plainte a été déposée par Philippe A., un habitant de Cherbourg (Manche), contre Jean Castex et Olivier Véran. Cet officier supérieur retraité du Service de Santé des Armées a adressé un courrier à François Molins, le procureur général près la cour de cassation et à Rémy Heitz, procureur de la République près le tribunal judiciaire de Paris, ainsi que le relate France Bleu. Il leur a demandé d’ouvrir une enquête et de saisir la Cour de Justice de la République. Par ailleurs, l’ancien officier s’est adjoint les conseils d’un juriste pour déposer plainte et a pris un avocat. Dans sa plainte, le septuagénaire a pointé plusieurs violations des droits de l’homme.

« La France réelle est un État de droit et non une cité de la peur où les convulsions politiques cédant à la panique, cherchent à dresser les Français les uns contre les autres, dans la recherche de boucs émissaires pour faire oublier les carences de leurs gestions respectives passées, notamment en matière de santé », a martelé Philippe A., ainsi que le relate Actu.fr. Concernant cette gestion du gouvernement, il a précisément pointé du doigt la fermeture des hôpitaux auprès de France Bleu.

Ce passe sanitaire est illégal et discriminatoire !

Le plaignant, qui a étudié de nombreux textes de loi, ouvre cette procédure avec une volonté « apolitique »« Il y a dans ce passe sanitaire une contrariété vis-à-vis de la constitution, des droits de l’homme, vis-à-vis des personnes qui vont contrôler le passe sanitaire et qui auront donc accès à des données médicales nous concernant », s’est indigné Philippe A. au micro de France Bleu.

L’ancien militaire dénonce effectivement le fait d’être contraint de justifier de son état de santé auprès de « personnes physiques ou morales privées, non détentrices de la fonction publique et non habilitées officiellement à accéder à [ses] données médicales ».

Il explique encore à Actu.fr : « Je ne suis pas en mesure de fournir un passe sanitaire assujetti, soit à une injection dont la compatibilité avec mon affection n’est pas avérée, soit à une entrave permanente de mes déplacements soumis à des tests caducs et scientifiquement contestés. » Il ajoute que de ce fait, il est « de manière discriminatoire, interdit d’accès pour des raisons de santé », dans de nombreux lieux où le passe sanitaire est demandé. « Je me vois privé de manière discriminatoire de mes déplacements familiaux territoriaux par le non-accès aux services publics (trains, avions, cars) », a poursuivi l’officier retraité.

Une dictature d’obligations et un apartheid sanitaire !

« Je subis de fait au nom de la Liberté, une dictature d’obligations, au nom de l’Égalité, un apartheid sanitaire, et au nom de la Fraternité, un déclassement social égaré dans les tiroirs de la distanciation », s’exaspère encore Philippe dans un extrait de sa plainte.

« Il est nécessaire aujourd’hui de redonner, dans la sérénité, aux scientifiques et médicaux pratiquant, la maîtrise et les moyens de la gestion de crise tout en permettant aux personnels de santé de terrain la liberté de remèdes et de soins à la hauteur de la confiance que leur ont toujours porté leurs patients », réclame enfin cet habitant du Cotentin.




Israël. Covid-19 : « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées »

[Source : breizh-info.com]

En Israël, pays pionnier en matière de vaccination, de plus en plus d’hospitalisations de contaminés au Covid-19 concernent des personnes entièrement vaccinées. De plus, les services de santé publique constatent une baisse d’efficacité des vaccins dans le temps. La perspective d’un nouveau confinement n’est pas exclue par les autorités.

Israël : « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées »

De nouvelles informations provenant d’Israël concernant la situation sanitaire viennent de remettre en cause le consensus autour des actuels vaccins à ARN messager que l’exécutif et une large partie de la presse tentent actuellement d’imposer en France.

Interviewé sur une chaîne de télévision israélienne le 5 août, le docteur Kobi Haviv, directeur du Herzog Hospital de Jérusalem, indique que 95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid-19 sont vaccinés. Par ailleurs, il indique que « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées ».

https://www.youtube.com/embed/FvnHkp14Ne4

Quant à la prolongation de la protection des vaccinés dans le temps, celle-ci « diminue » et Kobi Haviv déclare : « Comme nous l’avons mentionné plus tôt, l’efficacité du vaccin est vraiment en baisse ».

« L’efficacité du vaccin est d’environ 40 % »

Dans ce pays pionnier en matière de vaccination où désormais plus de 64 % de la population totale a reçu au moins une dose de vaccin (et près de 60 % ayant reçu les deux doses), le ton a radicalement changé depuis quelques jours et l’heure n’est plus au retour à la « vie d’avant » tandis que le gouvernement israélien n’hésite plus à évoquer la possibilité d’un confinement ferme d’une durée de six à huit semaines dans un futur proche. Un gouvernement qui incite désormais les plus de 12 ans à se vacciner tandis que les plus de 60 ans sont invités à se faire administrer une troisième dose.

En ce qui concerne les inquiétudes émises par le docteur Kobi Haviv vis-à-vis de la baisse d’efficacité des vaccins, elles sont aussi partagées par Sharon Alroy-Preis, la directrice des services de santé publique d’Israël. Sur la chaîne américaine CBS News, elle a déclaré le 1er août que les infections chez les personnes vaccinées en janvier sont deux fois plus importantes que chez celles vaccinées en mars. Elle a ajouté par ailleurs que ces infections étaient particulièrement problématiques pour les personnes de 60 ans et plus.

D’autre part, Sharon Alroy-Preis a indiqué que la moitié des infections au Covid-19 recensés actuellement dans le pays concernaient des personnes entièrement vaccinées 

« Auparavant, nous pensions que les personnes entièrement vaccinées étaient protégées, mais nous constatons maintenant que l’efficacité du vaccin est d’environ 40 %. »

La directrice des services de santé publique d’Israël a aussi souligné que les responsables de la santé publique commençaient à voir des signes de maladie plus grave parmi ces personnes entièrement vaccinées. Un constat qui, s’il devait se confirmer dans le temps, viendrait remettre en cause l’affirmation indiquant que le vaccin protège largement des formes graves du coronavirus.

https://www.youtube.com/embed/z38NWVXky2Q

Actuellement, compte tenu des restrictions mises en œuvre par le gouvernement israélien, les voyageurs en provenance de France, les États-Unis ou encore d’Italie sont mis en quarantaine à leur arrivée en Israël, qu’ils soient vaccinés ou non.

Crédit photo : Capture YouTube (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Un citoyen canadien de l’Alberta demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées dans cette province

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr) via reseauinternational.net]

Un citoyen canadien demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées

Le patriote Patrick King s’est représenté lui-même devant le tribunal après avoir été condamné à une amende de 1 200 dollars pour avoir protesté contre l’arnaque du Covid-19. Il a assigné la ministre provinciale de la santé à prouver l’existence du soi-disant virus, et ils ont été forcés d’admettre qu’ils n’avaient aucune preuve. Le virus n’a jamais été isolé, et le gouvernement n’avait donc aucun fondement juridique pour imposer les restrictions sévères qu’il a imposées à la société. Depuis que cette confession choquante a été révélée, la province a annulé toutes les restrictions sur le Covid et traite désormais officiellement le Covid-19 comme une simple grippe !

Le Dr Deena Hinshaw, de l’Alberta, s’excuse pour la  » confusion, la peur ou la colère  » suscitées par la levée des mesures COVID-19

Par Kieran Leavitt

EDMONTON – La Dre Deena Hinshaw, médecin hygiéniste en chef de l’Alberta, s’est excusée de la « confusion, de la peur ou de la colère » qui ont entouré la décision de la province d’éliminer la mise en quarantaine obligatoire des personnes dont le test de dépistage du COVID-19 est positif, la recherche des contacts et les masques dans les écoles et les autobus.

« J’ai entendu dire que le message que les gens ont reçu de mes paroles était que je pense que le COVID est terminé et que les gens sont laissés à eux-mêmes pour y faire face », a-t-elle écrit dans une chronique publiée mercredi dans plusieurs médias.

« Ce n’était pas le message que je voulais faire passer », a-t-elle ajouté.

« Nous n’éliminerons pas le COVID, ce qui signifie que nous devons apprendre à vivre avec ».

Cette chronique survient une semaine après qu’elle a annoncé la levée des mesures de santé publique qui étaient en place pendant la majeure partie de la pandémie et au milieu de critiques intenses pour avoir agi ainsi. Le premier ministre Jason Kenney et le ministre de la Santé Tyler Shandro ont déclaré que la décision de lever les restrictions faisait suite aux recommandations de Mme Hinshaw.

Cela signifie également un nouveau changement dans son image publique. Au début de la pandémie, les gens partageaient des fanarts de Mme Hinshaw en ligne – l’une des images les plus remarquables la représentait dans une armure – et admiraient son comportement calme et froid en tant que visage de la réponse de l’Alberta au COVID-19.

La semaine dernière, le hashtag #FireHinshaw [Virez Hinshaw] s’est répandu.

En effet, elle venait d’annoncer qu’à partir de la mi-août, l’Alberta n’exigerait plus que les personnes dont le test de dépistage du COVID-19 est positif s’isolent, mais qu’elle leur recommanderait fortement de le faire. Les traceurs de contact ne diront plus non plus aux contacts proches qui a pu être exposé (certaines mesures seront toutefois maintenues pour divers milieux à haut risque).



Transcription FR : https://pastebin.com/AY0z4mMX

“En Alberta, aujourd’hui, le port du masque obligatoire prend fin. Les enfants ne devront plus porter de masque lorsqu’ils retourneront à l’école, la quarantaine obligatoire va prendre fin, le traçage des contacts, les tests pour les symptômes légers, tout cela est terminé. Ils vont maintenant reconnaître le covid comme une grippe légère et la traiter comme telle. La liberté a gagné en Alberta, prouvant que se battre fonctionne”.

Le 5 décembre 2020, le citoyen canadien Patrick King a été reconnu coupable d’avoir enfreint un ordre du médecin en chef de la santé de l’Alberta (Deena Hinshaw), l’ordre étant “en réponse à la pandémie de Covid-19” et l’infraction concernant spécifiquement le fait de se trouver dans un rassemblement de plus de 10 personnes. King a été condamné à une amende de 1 200 $.

King a fait appel. Lors de sa comparution devant le tribunal le 4 mai, il a exposé les informations dont il aurait besoin pour préparer une défense adéquate et plausible. Il s’agit notamment de la preuve de l’isolement du virus SARS-CoV-2.

Le mercredi 14 juillet, M. King a assigné le CMOH (Médecin en chef du Canada) en vertu de l’article 699 du Code criminel, lui demandant d’apporter “tous les livres blancs décrivant l’isolement du virus SARS-CoV-2, directement à partir d’un échantillon prélevé sur un patient malade”, car “ces livres blancs auraient fait partie intégrante de l’élaboration des statuts établis en vertu de la ” Loi sur la santé publique ” ici en Alberta”.

Trois jours plus tard, King a été informé que son action en justice avait été annulée ; il a donc dû la faire reporter.

King a ensuite été assigné par les avocats de Deena Henshaw à comparaître à une audience en chambre. Lors de cette audience, un avocat de Deena Henshaw a déclaré : “M. King a demandé des preuves que nous ne pouvons pas fournir”.

Lorsque l’affaire est portée devant le tribunal, le samedi 24 juillet, elle a pris de l’ampleur, étant reformulée comme suit : “Sa Majesté la Reine contre Patrick James King”, et des procureurs généraux d’Ottawa y assistent. Une fois de plus, King fait état, et le tribunal prend acte, de l’incapacité du CMOH à fournir les preuves qu’il avait demandées.

L’enjeu de la contestation de King est que les politiques de santé liées au Covid élaborées et mises en œuvre par le gouvernement provincial de l’Alberta et son CMOH reposent sur l’existence d’un agent infectieux spécifique, alors qu’ils ne peuvent pas produire de preuves de l’existence d’un tel agent.

Les conséquences de ce précédent juridique sont sûrement énormes. Elles impliquent, comme l’a dit Peters, “la fin du covid”.

Dans son interview, King fait référence à l’affaire Rook contre Alberta, “où ils ont convoqué tous ceux qui avaient violé l’une de ces règles Covid … ils attendent la décision concernant des milliers et des milliers de contraventions et de convocations …” Ces affaires seront probablement rejetées.

Maintenant que King connaît la bonne méthode d’approche, il tient à faire passer le mot : “Ce qu’ils doivent faire, c’est contester la loi sur la santé publique, car alors le juge n’a pas d’autre recours que d’assigner les fonctionnaires qui sont responsables de tout cela.”

DOCUMENTATION LÉGALE :

Letter to Patrick James King (Service)
LAW relied on by the Applicant
Affidavit of Krisztina Grech Sworn July 16 2021
Originating Application

Vidéo et articles originaux :

https://www.redvoicemedia.com/2021/08/freedom-fighter-court-victory-ends-masking-shots-quarantine-in-alberta/
https://adriandignam.com/covid-is-dead-alberta-court-strikes-down-public-health-policy-for-lack-of-scientific-evidence/
https://rumble.com/vkorz0-freedom-fighter-court-victory-ends-masking-shots-quarantine-in-alberta.html

En savoir plus


[Voir aussi :
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Prendre sa santé en main
Épidémies et contagions
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
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Le culte de la virologie – Documentaire
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Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]




« Casdémie » Covid : le cartel bancaire est le moteur de l’agenda

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

[Source originale anglaise : The Naked Hedgie]

[Traduction du texte de l’illustration : « Le problème qui a traversé les siècles et qui devra être combattu tôt ou tard est celui du peuple contre les banques.« ]

Par Alex Krainer

Alex Krainer – @NakedHedgie est un ancien gestionnaire de fonds spéculatifs, créateur de I-System Trend Following et fondateur de Krainer Analytics. Il a écrit « Mastering Uncertainty in Commodities Trading » (Maîtriser l’incertitude dans le négoce des matières premières), classé premier livre sur la liste FinancialExpert.co.uk des « 5 meilleurs livres sur les matières premières pour les investisseurs et les traders ». Son livre « Grand Deception : The Browder Hoax » (Grande tromperie : le canular de Browder) a été interdit à deux reprises sur Amazon sur ordre des créatures des marais du Département d’État américain. Il écrit également sur ISystem-TF.com. Ses points de vue et ses opinions ne sont pas toujours destinés à la société polie, mais ils sont toujours exprimés dans une recherche sincère de la vraie connaissance et de la compréhension claire des idées qui comptent.

Depuis des semaines, les médias et les autorités « sanitaires » promeuvent sans relâche un récit effrayant sur la « pandémie » de Covid 19 comme si le décompte quotidien de nouveaux « cas » était une urgence de santé publique majeure, sensationnalisée par les médias près de 24h/ 24 et 7/7. Le récit officiel est fortement en contradiction avec les voix rassemblées de centaines de médecins, virologues et épidémiologistes.
il ne faut pas se laisser distraire par la muleta rouge du torero : les coupables ultimes, le super-prédateur sont les banquiers : une poignée de familles et d’individus qui contrôlent et gèrent le système monétaire actuel.

Supposons que la maladie existe. Toutes les variantes de tout virus présumé deviennent toujours moins virulentes. Mais, curieusement, pas celui-ci, selon des médecins nazillons. Tout ce qu’ils mentionnent, ce sont les cas, les cas, les cas ! À présent, la plupart des personnes « intelligentes et informées » comprennent que le test PCR ne peut pas déterminer l’infection. Voici ce que dit l’inventeur du PCR, Kary Mullis:  le PCR ne recherche aucun virus spécifique,  il recherche uniquement des séquences génétiques. Or, la séquence de covid originale et ses variantes ont été/sont fabriquées par ordinateur. Ce n’est pas une pandémie – c’est une ‘Casdémie’, où il y a beaucoup de soi-disant cas, mais pas beaucoup de maladies réelles. 

Incohérence du récit officiel

Si nous étions confrontés à la pandémie « du siècle », ce serait un grand défi pour l’humanité, forgé d’incertitude. On s’attendrait à rencontrer un débat animé, des discussions, beaucoup de doute et de controverses. Les journalistes devraient rechercher autant d’experts du domaine que possible afin que nous puissions comprendre le plus clairement possible le nouveau défi de la santé et comment y faire face. Des traitements efficaces devraient être promus, célébrés, criés sur les toits. Mais la réalité est très différente.

Les mesures de santé publique – pratiquement identiques dans la plupart des pays – sont transmises par l’Organisation Mondiale de la Santé à travers des hiérarchies bureaucratiques obscures qui revendiquent le monopole de la vérité. La discussion est découragée et des centaines d’experts sont agressivement réduits au silence. Plusieurs traitements efficaces ont été identifiés, mais l’administration est à la limite de l’hostilité à toute mention d’eux.

Dissimulation de traitements efficaces

Début mars 2020 déjà, le président Trump a commencé à mentionner l’hydroxychloroquine (HCQ) comme traitement des infections par le virus Corona. Les médias l’ont rapidement ridiculisé, l’accusant même de mettre des vies en danger. Cependant, il s’est avéré que l’HCQ réduisait la mortalité due à Covid 19 de plus de 50 % et, lorsqu’il est utilisé avec du zinc et des vitamines, jusqu’à 85 %.

Le Dr Stella Immanuel a affirmé qu’elle avait traité au HCQ plus de 300 patients atteints de covid, dont beaucoup étaient âgés et ayant une ou plusieurs comorbidités, et qu’elle n’avait eu aucun décès parmi ses patients. Aujourd’hui, la vidéo avec ses déclarations est difficile à trouver sur YouTube, mais vous trouverez facilement des dizaines de vidéos qui la ridiculisent et diffament son personnage. Beaucoup plus récemment, le Dr Brian Tyson a témoigné que sa clinique avait traité 1 700 patients positifs au Covid-19 – encore une fois avec zéro décès.

Quoi qu’il en soit, les médecins et les patients ont été fortement découragés d’utiliser l’hydroxychloroquine et dans certains pays, HCQ a été brusquement retiré du marché. En Australie, la prescription d’HCQ a même été érigée en infraction pénale. Pendant ce temps, les autorités semblent favoriser l’imposition de vaccins expérimentaux développés à la hâte, non testés, bien que la maladie elle-même ne se soit révélée mortelle que pour 0,004% de la population (même selon les statistiques surgonflées du CDC américain).

Retranchement déroutant de l’administration

L’incohérence totale des positions officielles est désormais devenue si évidente qu’elle a  depuis longtemps perdu toute crédibilité. Mais plutôt que de déclarer la victoire contre le virus et de célébrer le retour à la vie normale, les autorités sont devenues encore plus profondément ancrées dans leurs propres contradictions, devenant de plus en plus agressives avec des mesures de « santé publique » toujours plus restrictives. Pendant ce temps, les médias ont intensifié la propagande de « Projet Peur » à des proportions nauséabondes.(([1] Le terme projet Peur (en anglais, Project Fear) a été utilisé dans la politique anti-intellectuelle britannique, notamment avant, pendant et après le référendum de 2016 sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’UE par ceux qui battaient campagne pour la sortie de celle-ci.

Il met en avant le contenu alarmiste et pessimiste employé par les européistes (en faveur du maintien dans l’UE). Selon ceux qui utilisent le terme il fut en premier lieu soi-disant utilisé par le Parti national écossais (SNP) et les sympathisants à l’indépendance qui s’opposaient à la campagne « Meilleurs ensemble » (« Better Together ») qui a eu lieu en 2014 (le référendum sur l’indépendance de l’Écosse). ))

PlanLookedGoodOnPaper
Nous insistons : l’édifice est sain, n’en croyez pas vos yeux menteurs,
ne faites pas vos propres recherches !

La situation est devenue surréaliste : comment des personnes apparemment intelligentes et instruites peuvent-elles rester si obstinément attachées à un récit aussi manifestement fallacieux ? Pourquoi les médias incitent-ils sans relâche à la peur et à l’hystérie à propos d’un virus grippal bénin ? En plus des médias américains et britanniques, j’ai suivi les reportages médiatiques en Croatie, en Espagne, en France et en Italie – la même chose partout : c’est rien que Covid tout le temps, avec des alarmes incessantes et des appels au respect de mesures « de plus en plus stupides ». Par exemple, plus de quatre mois après le début de cette « pandémie », 71 pays ont émis des mandats étrangement similaires pour que les gens portent des masques dans les espaces publics, même s’il n’y a strictement aucune preuve scientifique que cela serve à quelque chose.

Est-ce que tout le monde sur cette planète Terre est devenu fou ? Si ce ne sont pas la science et la logique qui informent les mesures de santé publique, alors qu’est-ce que c’est que tout ce binz ? Et ensuite ce qui suit m’a frappé…

Le cas curieux des prêts du FMI pour la Biélorussie

En juin, j’ai noté que le président biélorusse Alexandre Loukachenko avait publiquement snobé une ligne de crédit de 940 millions de dollars du Fonds monétaire international. Il l’a rejeté parce que le FMI a conditionné le prêt à ce que la Biélorussie impose une politique stricte de verrouillage  Covid 19 et un couvre-feu. À l’époque, je pensais qu’il était très étrange que le FMI offre des prêts à un pays tout en fixant des conditions qui compromettent gravement la capacité de remboursement de ce pays.

Apparemment, un certain nombre d’autres pays ont reçu des offres similaires du FMI et/ou de la Banque mondiale. Nous ne connaissons la conditionnalité de Covid 19 que parce que le président de la Biélorussie l’a divulguée publiquement. Fait significatif, Loukachenko a mentionné à plusieurs reprises que les négociateurs du FMI voulaient que la Biélorussie fasse « comme en Italie ». D’autres nations et gouvernements qui ont accepté l’argent ont peut-être accepté discrètement la conditionnalité qu’ils n’ont jamais divulguée au reste d’entre nous.

En avril 2020, 85 pays avaient demandé une aide financière au FMI. Profondément endettés et avec des économies gravement endommagées, la plupart des gouvernements du monde entier avaient besoin de prêts, ce qui les rendait la proie des diktats du pouvoir monétaire. Pour obtenir les fonds nécessaires, ils ont accepté de fermer leurs économies, de restreindre la liberté de mouvement de leur population, de créer des structures de surveillance de type Stasi et de fermer les écoles.

Une autre preuve que l’ordre du jour est dirigé par les banquiers était le récent éditorial dans le New York Times par Neel Kashkari, le président de la Réserve fédérale de Minneapolis, appelant le gouvernement à émettre des ordonnances strictes d’abri sur place de 4 à 6 semaines, « pour tout le monde sauf les travailleurs vraiment essentiels. » Kashkari a préconisé que les verrouillages soient aussi complets et stricts que possible et effectués de manière agressive, en utilisant « la capacité de test et de traçage que nous avons construite… »

Les empreintes digitales du cartel bancaire peuvent également être trouvées dans le document « Scenarios for the Future of Technology and International Development » (Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international), publié par la Fondation Rockefeller en 2010. À la page 18, intitulée « Lock Step » (Étape de verrouillage), le document décrit avec prévoyance notre réalité actuelle comme « Un monde de contrôle gouvernemental de haut en bas et de leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et un refoulement croissant des citoyens. » Le scénario envisage une « pandémie que le monde avait anticipé depuis des années… » Et aujourd’hui, nous avons cette « pandémie », ainsi que le monde du contrôle gouvernemental de haut en bas et un leadership plus autoritaire.

Comme Napoléon Bonaparte ne l’a que trop bien compris, 

« Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. »

Dans chaque nation, nous semblons être contrés par une bureaucratie gouvernementale. Mais alors que ces bureaucraties et les fonctionnaires qui y travaillent deviennent la cible du ressentiment du public, il est essentiel que nous reconnaissions les marionnettistes derrière le programme qui se déroule.

Il ne fait aucun doute que l’ennemi est le cartel bancaire international dont le siège est à Londres et à Wall Street, ainsi que leurs agences comme la Banque des règlements internationaux, le FMI, la Banque mondiale, les banques et institutions d’importance systémique mondiale comme la Forum économique mondial, grandes sociétés pharmaceutiques, Organisation mondiale de la santé, Fondation Bill et Melinda Gates, GAVI et bien d’autres.

Comme Lord Acton l’a prévenu il y a plus d’un siècle, « Le problème qui a traversé les siècles et qui devra être combattu tôt ou tard est celui du peuple contre les banques ». Ce combat est maintenant à nos portes. Ce pourrait être la lutte ultime entre l’émancipation de l’humanité ou notre asservissement final. Pour l’emporter, nous devons comprendre nos vrais ennemis et les structures financières, économiques, politiques et sociales permettant leur agenda.

Comme le révèle le document de la Fondation Rockefeller, ils ont anticipé notre recul et ont sûrement prévu des diversions pour détourner nos griefs vers les outils visibles de leur régime autoritaire top-down [Le haut contrôle le bas]. L’un des plus grands moyens de diversion est la guerre. Nous devons donc nous garder de croire que nos ennemis sont les Russes, les Chinois ou quiconque contre qui la logique du diviser pour régner nous opposerait.

Lorsque nos gouvernements nous disent que nous faisons face à une grave menace venant d’une autre nation, envoient des troupes à ses frontières ou des navires de guerre près de ses côtes, nous devons exiger qu’ils se retirent. Nous devons également nous garder de diaboliser les autres nations et leurs dirigeants car elles conduisent fréquemment à une escalade militaire (pensez à Saddam Hussein, Mouammar Kadhafi, Bachar al Assad…). Ron Paul nous a prévenus : 

« Ce n’est pas une coïncidence si le siècle de la guerre totale a coïncidé avec le siècle de la banque centrale. » 

J’ai expliqué les racines systémiques de la soif de guerre de l’Occident dans mon article : “Deflationary Gap and the West’s War Addiction.” « Gap déflationniste et dépendance à la guerre de l’Occident ».

Bref, il ne faut pas se laisser distraire par la muleta rouge du torero : les coupables ultimes, le super-prédateur sont les banquiers : une poignée de familles et d’individus qui contrôlent et gèrent le système monétaire actuel. Nous n’avons pas d’autre choix que de rejeter la peur et de les affronter. Aujourd’hui, nous sommes armés de vérités et d’informations dont les générations passées n’auraient pas pu rêver. Aujourd’hui, nous pouvons faire la différence et offrir à nos enfants et à nos petits enfants un monde de prospérité et de liberté au-delà de tout ce que nous pouvons imaginer actuellement. Nous sommes vraiment ceux que nous attendions et nous devons saisir cette opportunité car cette lutte vaut tout.





Grave erreur de se faire vacciner pour partir en vacances !

Par Gérard Delépine

Rappel de quelques faits avérés que devraient méditer ceux qui envisagent de se faire vacciner pour partir en vacances !

Croisière cauchemardesque(([1] France3 Occitanie Covid. Aveyron : le cauchemar de cinq touristes de Villefranche-de-Rouergue confinés dans un hôtel insalubre de Palerme le 03/08/2021
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/covid-aveyron-le-cauchemar-de-cinq-touristes-de-villefranche-de-rouergue-confines-dans-un-hotel-insalubre-de-palerme-2202664.html))

Une famille de Villefranche-de-Rouergue a reçu ses deux injections pour partir en croisière sur un paquebot en méditerranée. Mais après une sortie touristique à Messine, le 28 juillet, le mari, médecin retraité, a été testé positif au covid malgré sa double vaccination. Brigitte, son mari, son fils, sa belle-fille et son petit-fils de sept ans sont depuis retenus dans un hôtel insalubre de Palerme dans des conditions sanitaires déplorables sans contact avec l’extérieur sans eau courante, sans médicaments, sans médecin.

La grand-mère Brigitte témoigne : « Pas de clim, pas de frigo. Il fait excessivement chaud. La chambre est sale, pas désinfectée, pas nettoyée. Nous n’avons droit qu’à un litre et demi d’eau par jour et par personne »

Pas d’eau potable à l’hôtel-prison !

Cette mésaventure, qui n’est pas exceptionnelle (une soixantaine de Français seraient dans la même situation dans le même hôtel en Italie), rappelle que :

1°) les injections anti-covid n’empêchent pas d’être contaminés

2°) de très nombreux pays exigent des tests négatifs pour entrer sur leur territoire et qu’en cas de positivité vous enferment à vos frais dans des conditions parfois indignes.

Australie et Nouvelle-Zélande pionnières de la détention inefficace(([2] Le Journal de Montréal En Australie, la stricte quarantaine des voyageurs n’empêche pas des contaminations
https://www.journaldemontreal.com/2021/02/10/en-australie-la-stricte-quarantaine-des-voyageurs-nempeche-pas-des-contaminations))

Évitez de visiter ces pays dont vous risquez de ne connaître que des lieux de détention ! Depuis le début de la pandémie, environ 320 000 voyageurs arrivés via les ports ou les aéroports d’Australie ou de Nouvelle-Zélande ont été transférés dans des hôtels-prison afin d’être confinés 14 jours dans une chambre.

Sur une seule journée, en Nouvelle-Zélande, des voyageurs en provenance d’Allemagne, de Tanzanie et des Émirats arabes unis ont été testés positifs au coronavirus et mis en quarantaine stricte.

Cela n’est pas sans risque pour le personnel qui ne bénéficie pas de traitement préventif comme leurs collègues indiens et qui paient, de ce fait, un lourd tribut à la stratégie gouvernementale du « tout vaccin, et pas de traitements précoces ».

Dans l’État de Victoria, près d’un millier d’employés travaillant pour trois hôtels touchés par une épidémie de COVID-19 ont été placés à leur tour en quarantaine. « Il est temps d’éloigner (les lieux de) quarantaine pour réduire le risque de transmission dans les zones urbaines densément peuplées », a déclaré Adrian Esterman, de l’Université d’Australie-Méridionale.

Des endroits sont envisagés, notamment une base de l’armée de l’air et un centre de rétention pour immigrés situé en mer. Le directeur de la Santé Paul Kelly, qui défend le système actuel, a expliqué qu’ouvrir des centres dans des régions reculées n’est pas sans risque, notamment en cas de problème médical, car l’offre de soins sera moins bonne.

Et que « l’un des moments où le risque de contamination est le plus élevé est lors du transport de l’aéroport vers l’établissement. Donc, plus c’est long, plus il y a de risques ».

Cette politique de quarantaine+ Vaccination n’empêche pas l’épidémie de flamber depuis maintenant 7 semaines passant de 10 nouveaux cas journaliers le 14 juin 2021 à 256 le 5 août. Il serait grand temps de passer aux traitements précoces !

Mort après injection anti-covid faite pour partir en vacances

Maxime Beltra, jeune homme de 22 ans s’est fait injecter le traitement Pfizer le lundi 26 juillet 2021, afin d’obtenir son passe sanitaire pour partir en vacances en Grèce. Il est décédé dans la nuit après l’injection. Le lendemain, son père a posté sur les réseaux sociaux une vidéo liant le décès de son fils à la vaccination.

Comme d’habitude le père a été traité d’antivax et la relation causale niée par les autorités et les médias qui parlent d’allergie alimentaire possible. Mais il est difficile de croire que ce jeune homme qui connaissait ses allergies ait pu ingérer des aliments qu’il savait dangereux pour lui.

Et on ne peut pas comprendre que le médecin responsable de l’injection ait pu la faire alors que le risque d’accident allergique grave du vaccin est parfaitement établi (un rapport de l’ANSM précise que 247 cas ont été enregistrés depuis le début de la campagne de vaccination) et signalé dans la notice d’utilisation.

Une plainte a été déposée. Attendons les décisions de la justice.

C’est vraiment une grave erreur de se faire vacciner pour partir en vacances.

L’injection ne vous empêche ni d’être malade ni de contaminer les autres. Elle vous expose à des complications graves dont certaines mortelles. Elle vous expose à passer plusieurs semaines en prison hôtel sur la foi d’un test souvent faux.

Bonnes vacances tout de même !





« Les médecins ne sont plus autorisés à remettre en question le récit politique » Charles Hoffe

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Médecin généraliste, le docteur Charles Hoffe exerce dans petite ville au milieu de la campagne canadienne et compte tenu du lieu géographique où se trouve, il pratique également la médecine d’urgence. En mars 2021, tandis que la campagne de vaccination en est à son troisième mois, il prend connaissance de rapports inquiétants qui affluent depuis l’Europe et les Etats-Unis concernant des problèmes graves que certains patients rencontrent suite aux injections. Conscient qu’il s’agit d’un vaccin expérimental dont les conséquences à long terme sont inconnues, il soulève des questions éthiques qui gênent le milieu médical et rappelle que lorsque surviennent des accidents graves, la déontologie médicale exige la fin de l’expérience. Charles Hoffe communique ses préoccupations à ses collègues par e-mail et reçoit un avertissement de la part des autorités sanitaires locales lui expliquant qu’il est interdit de dire quoi que ce soit de négatif aux sujets de ces vaccins, même s’ils doivent provoquer des accidents.

Lorsqu’il constate de graves problèmes chez ses patients vaccinés notamment des atteintes neurologiques et pulmonaires, il en informe le responsable provincial de la santé publique auprès duquel il plaide l’arrêt de la campagne de vaccination. Il explique à une infirmière qu’une personne qui a contracté le Covid est naturellement immunisée par l’infection et n’a pas besoin de faire le vaccin. Cette prise de position lui  vaut d’être accusé de détourner les gens de la vaccination, de perdre son poste d’urgentiste tandis que le collège des médecins et chirurgiens lance une enquête contre lui et l’avertit qu’il n’a pas le droit de contredire le récit officiel en matière de santé publique.



Après avoir perdu un patient et constaté des atteintes corporelles définitives chez 15 autres patients (soit 1% de sa patientèle), il lance une recherche pour essayer de comprendre ce qui peut provoquer ces accidents à la vaccination, afin de savoir comment  les prendre en charge au mieux. Il rejoint l’association « Doctors for Covid Ethics » principalement basée en Europe mais également présente dans le monde entier. Aidé de médecins et de scientifiques, il entreprend de rechercher la cause de ses effets secondaires graves. Il fait pratiquer un test sanguin appelé D-dimère sur les personnes qui ont reçu un vaccin dans les 7 jours et ceci afin de détecter une éventuelle activation de la coagulation et se rend compte que 62% des tests révèlent la présence de caillots.

Le docteur Hoffe revient sur les déclarations mensongères des laboratoires qui ont présenté ces vaccins à la FDA et à l’ensemble des autorités régulatrices en assurant que la substance n’entrait pas dans la circulation sanguine. Or il est prouvé avec une certitude absolue que 25% seulement reste dans le bras tandis que 75% entre dans la circulation sanguine et y reste pendant des semaines.

Il soulève la difficulté à faire reconnaître les effets secondaires graves par les autorités régionales. Il explique remplir de longs formulaires qu’il envoie à l’officier médical de santé de la région et constate que son courrier lui est à chaque fois renvoyé ; les autorités ne cherchent jamais à pousser les investigations ou à dialoguer avec lui, préférant conclure à une simple coïncidence.

Charles Hoffe note également que les médias mainstream, contrôlés par le gouvernement qui leur alloue des subventions, refusent de rapporter sa parole et se conforment à ce que les autorités leur dictent. Il trouve néanmoins la possibilité de s’exprimer dans les médias alternatifs et invite les gens à éteindre la télévision et à s’informer sur ces nouveaux médias s’ils veulent connaître la vérité sur ce qu’il appelle « un crime contre l’humanité ».

Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org.

Auteur(s): FranceSoir




Conseil Constitutionnel et pass-sanitaire : Fabius en conflit d’intérêt ?

[Source : economiematin.fr]

Article initialement publié le 28 juillet 2021, republié à l’occasion de la validation du Pass sanitaire par le Conseil constitutionnel le 5 août 2021.

Alors que la loi prévoyant l’extension du pass-sanitaire vient d’être adoptée par la commission mixte paritaire du Sénat et de l’Assemblé nationale, celle-ci doit être étudiée par le Conseil constitutionnel pour vérifier sa conformité avec les grands principes fondamentaux de la République établis par la constitution. L’institution qui est composé de 9 membres et est présidée par Laurent Fabius – l’ancien premier Ministre de François Mitterrand – vient de préciser qu’elle rendrait sa décision d’ici le 5 août.

Cette loi qui a été largement pilotée et décidée par la Présidence de la République et le gouvernement à l’initiative de ces mesures est considérée par de nombreux français comme portant atteintes aux libertés fondamentales et ils attendent avec impatience que statue cette instance indépendante garante de notre Constitution.

Dans cette affaire, le point troublant est le rôle du cabinet de conseil et de lobbying américain Mc Kinzey qui, selon des informations déjà dévoilées en janvier par le site Politico, a été engagé comme consultant par la Présidence de la République pour le déploiement en France de la politique vaccinale dans le cadre de la lutte contre le covid. Ce cabinet est donc rémunéré pour que ses « experts » accompagnent les fonctionnaires chargés de la politique vaccinale pour définir le cadre de la logistique et « soutenir la coordination opérationnelle du groupe de travail ». Selon le Point, cette prestation est payée 2 millions d’euros par mois.

Le député Olivier Marleix, par ailleurs auteur du livre « Les liquidateurs », avait dénoncé sur Twitter cette situation « Absolument sidérant ! Qu’est-ce que McKinsey vient faire là-dedans ? On a un ministère de la Santé, un ministère de l’Intérieur et un ministère de La Défense armée en gestion de crise… pour peu qu’on sache les mobiliser. Après les ARS hors-sol, un cabinet de conseil US ».

On peut effectivement s’interroger sur la présence d’un cabinet de conseil et de lobbying comme structure d’accompagnement de l’Elysée mais on ne peut qu’être sidéré lorsque l’on apprend sur le propre site Internet de la compagnie que celle-ci se range parmi les leaders dans le conseil des sociétés pharmaceutiques :

«  Notre cabinet s’est imposé comme le leader mondial du conseil dans le secteur biopharma au sens large, avec plus de 3 750 missions effectuées au cours des cinq dernières années, auprès de grands laboratoires pharmaceutiques, mais aussi d’acteurs des biotechs, de laboratoires de taille moyenne, d’industriels des dispositifs médicaux, de génériqueurs… Nous avons ainsi contribué au développement de huit des dix principales marques de médicaments sur ordonnance et à la conduite de huit des dix plus grosses opérations de fusion-acquisition du secteur ».

Le site français de l’entreprise précise également avoir accompagné « 18 des 20 plus gros laboratoires pharmaceutiques ».

Dès lors il apparait clairement que le cabinet de conseil qui accompagne la Présidence de la République en France sur la politique vaccinal actuelle est également celui qui conseille dans le monde les principaux laboratoires pharmaceutiques pour leur développement commercial.

Encore plus troublant, l’un des directeurs associés du cabinet Mc Kinzey en France qui bénéficie de ce contrat de conseil de l’Elysée n’est autre que Victor Fabius le fils de Laurent Fabius, Président du Conseil constitutionnel, chargé de censurer ou non la loi qui établit le pass-vaccinal et qui donc contribue au déploiement « logistiques de la vaccination en France ».

A ce stade il est difficile de savoir si Victor Fabius est impliqué ou non dans le dossier de la vaccination et du pass-vaccinal. Il n’en demeure pas moins qu’en tant qu’associé, il participe financièrement aux succès financiers du cabinet à ce titre.




Conseil Constitutionnel : « démocratie réelle et démocratie formelle »

Par Lucien Samir Oulahbib

Cette formule de Marx fait suite à celle de Montesquieu : « le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument » ainsi que celle de Max Weber lorsqu’il différencie « légalité et légitimité » : ici, le 5 août, soit le lendemain de l’anniversaire de l’abolition des privilèges du 4 août 1789 en France, le Conseil Constitutionnel français a réinstauré l’idée de privilège inique associé de fait audit « passe sanitaire » qu’il vient de légaliser.

Ce qui fait que ce « Conseil » ne peut d’autant pas le rendre légitime que cette disproportion criante ne se justifie pas au vu de la réalité sanitaire effective et non pas construite.

La teneur de ce marquage est donc en réalité politique, et ce de bout en bout : il avalise ainsi une rupture d’égalité de fait, ce qui est pourtant anticonstitutionnel. Il y a même là parjure puisque l’article 2 de la DDH (qui fait partie du Bloc de constitutionnalité) est violé.

Ce qui implique a contrario, du moins s’il s’agit de préserver la démocratie réelle, de recourir à l’un de ses lemmes énonçant explicitement la  « résistance à l’oppression ».

Qu’il s’agisse par exemple de la réalité médicale, la « proportionnalité » et l’« équilibre » liés à la notion « d’état d’urgence » s’avèrent bafoués puisque cette maladie n’est guère létale et il existe de plus en plus de traitements fiables sans passer par une injection expérimentale de plus en plus hasardeuse en particulier pour les personnes ayant une immunité solide et pas de comorbidité.

Qu’il s’agisse également des principes fondamentaux tels que la liberté, l’égalité et la propriété, ils sont pour l’heure suspendus dans les faits. Or la philosophie de l’État de droit fait que « quoiqu’il en coûte » ces pierres d’angle forgeant toute démocratie réelle doivent être défendues bec et ongles, y compris en temps de « guerre ». C’est une donnée intangible qui fait dire par exemple au niveau du droit international que les démocraties ne peuvent recourir aux mêmes moyens que les dictatures, puisque précisément elles sont fondées sur des droits imprescriptibles coextensifs à la notion même de personne humaine, excluant torture, y compris mentale (extorsion de consentement à être injecté au risque de perdre son emploi), dégradation (obligation de porter des marques infamantes, de ne plus se toucher fraternellement — injustifiées médicalement lorsque l’on n’est pas malade), discrimination (obligation de justifier son état de santé, ce qui est une violation du secret médical, pour une maladie très peu létale).

Pourtant le Conseil Constitutionnel français, faisant suite au Conseil d’État, a avalisé ces mesures iniques qui marqueront au fer rouge son histoire politique.

Ne parlons pas, sinon en passant, de tous ceux qui ont eux aussi basculé du « côté obscur de la Force », puisqu’il s’agit d’observer que l’offensive actuelle n’a plus rien de « sanitaire » et oblige de relier toutes les autres attaques entre elles, ne serait-ce que, en dernier lieu, cette volonté de l’UE de cataloguer les huiles essentielles comme « toxiques » (dont la lavande), le tout pour empêcher en réalité qu’une naturopathie effective face pièce au tout chimique d’une politique qui prône d’un côté les « énergies renouvelables » et de l’autre veut les interdire en matière de santé…

D’où l’idée que ces diverses offensives (y compris celle prônant « l’urgence climatique », alors que « le climat a toujours “changé” » disait feu Marcel Leroux et que la Terre a pu y répondre comme l’indique — entre autres — Patrick Moore, cet ancien de Greenpeace) sont des attaques circonstanciées visant à forcer toute une société à se « déconstruire » en vue d’être « reconstruite » tel un lego géant selon le Modèle cybernétique de la bionumérisation du monde, le tout formaté par une Secte hygiéniste affairiste qui veut à tout prix faire de l’Histoire humaine une matière première politique visant à la marquer ainsi de leur trace; à la manière de tous ces noms célèbres parsemant les dictionnaires qui n’ont pas fait que renouveler, inventer, mais bouleverser le Cours du Monde :

« (…) Celui qui reconnaît pour sa tâche essentielle l’action efficace au sein de l’Histoire ne peut pas préférer l’action artistique. L’art agit mal et agit peu. Il est clair que, si Marx avait suivi ses rêves de jeunesse et écrit les plus beaux romans du monde, il eût enchanté le monde, mais ne l’eût pas ébranlé.

Il faut donc écrire Le Capital et non pas Guerre et Paix.

Il ne faut pas peindre le meurtre de César, il faut être Brutus. (…) »

Maurice Blanchot (Maître de Michel Foucault, Deleuze, Derrida…) L’espace littéraire, 1955., Gallimard p. 284.

Cette démesure doit être combattue et il s’agit maintenant de faire en sorte que se réunissent, de manière non partisane, toutes les forces éprises de liberté, d’égalité et de fraternité, cette devise venant d’être piétinée sous nos yeux, avec l’aval de la plupart des forces institutionnelles et intellectuelles (ainsi Médiapart a censuré un article de Laurent Mucchielli pourtant très proche de cette structure que j’avais par ailleurs critiqué dans Disparation du crime dans la sociologie contemporaine). Ces forces sont devenues les soutiens effectifs de cette démocrature « illibérale » en marche. Toutes sont devenues elles aussi illégitimes.




Appel à tous les Français

Par Jean-Michel Grau

Aujourd’hui, 5 août 2021, la République est morte.

Ainsi en a décidé le Conseil Constitutionnel qui a validé toutes les mesures liberticides de l’extension du pass sanitaire, instituant par là même une dictature de facto.

La République est morte par la décision inique de ceux qui se présentent comme des sages alors qu’ils ne sont plus que les valets d’un pouvoir criminel qui applique à la lettre le Grand Reset de Klaus Schwab, le fou illuminé du Forum de Davos à la solde de l’oligarchie mondialiste qui a décidé purement et simplement de réduire en esclavage les peuples en instituant un apartheid pour les uns et en exterminant les autres à coup de piqûres géniques pour leur voler toutes leurs richesses.

La République est morte ce 5 août 2021, comme elle était morte le 10 juillet 1940 lorsque 569 députés se sont couchés pour voter les pleins pouvoirs au maréchal Pétain.

Ce sont les mêmes traîtres qui 80 ans plus tard se vautrent à nouveau dans la lâcheté et l’ignominie.

Les mêmes criminels qui acceptent de créer un apartheid entre vaccinés et non vaccinés, comme leurs prédécesseurs en ont créé une avec la sinistre étoile jaune, se rendant ainsi complices de crimes contre l’humanité.

La République est morte par ceux-là mêmes qui étaient les gardiens de la Constitution française et qu’ils viennent de bafouer et violer allègrement sans aucun état d’âme alors que cet abject pass sanitaire viole de A à Z non seulement la Constitution française, mais encore la Constitution européenne.

Pour rappel, le pass sanitaire qui est de facto une obligation vaccinale qui ne dit pas son nom viole non seulement la Déclaration des droits de l’homme, mais encore la Constitution française de 1946 ainsi que la déclaration de 1789. Ainsi :

« Cette obligation indirecte, puisque non prescrite par la loi, viole l’article 5 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui énonce que “nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas”. »

L’obligation vaccinale pour exercer certaines professions viole le droit à l’emploi et le droit de ne pas être lésé en raison de ses opinions ou de ses croyances, protégés par l’alinéa 5 du Préambule de la Constitution de 1946 comme par l’article 8 de la Déclaration de 1789.

Elle viole également le principe d’égalité, les libertés individuelles, le principe de protection de la santé, le droit à l’intégrité physique et à la dignité, le principe d’égal accès aux emplois publics, le principe de précaution, inscrits dans notre bloc de constitutionnalité.

En effet :

Soumettre l’exercice de certaines activités à la présentation d’un « pass sanitaire » aboutit en pratique à une obligation vaccinale pour le personnel travaillant dans les domaines listés ainsi qu’aux citoyens souhaitant y accéder : en effet, la contrainte représentée par le fait de devoir se rendre toutes les 48 heures dans un centre habilité pour y subir un prélèvement nasal non remboursé à compter de l’automne (environ 27 euros à ce jour pour un test PCR, soit 405 euros par mois) constitue une mesure d’effet équivalant à une obligation vaccinale.

Par ailleurs :

  • Le pass sanitaire viole le secret médical (L1110-4 du code de santé publique)
  • Le pass sanitaire viole la liberté de disposer de son corps (L16 -1 Code civil).
  • Le pass sanitaire viole la liberté de refuser tout traitement (L1111-4 du code de santé publique)

    Il viole aussi au moins un accord européen :

la résolution 2361 adoptée le 28/01 par le Conseil de l’Europe (et dont la France est signataire) qui stipule :

– article 7.3.1 que la vaccination ne devra pas être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.

– article 7.3.2 que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.

Pour toutes ces raisons, le Conseil Constitutionnel en validant le pass sanitaire, la plus grave atteinte aux libertés jamais portée contre le peuple français depuis l’État collaborationniste de Vichy, valide de facto la dictature instituée par Macron pour réduire les non-vaccinés à l’état d’esclave et les vaccinés à l’état de cobayes de l’industrie pharmaceutique dont Macron est le VRP le plus zélé et le plus fanatique.

Ces vaccins qui, rappelons-le, n’en sont pas, puisque tous n’ont obtenu qu’une autorisation temporaire de mise sur le marché qui court jusqu’en 2023, ne sont que des piqûres expérimentales qui n’ont rien à envier à celles que pratiquaient en leur temps les médecins nazis.

Il faut donc croire que les 9 membres du Conseil Constitutionnel sont assez fous pour s’imaginer que les Français vont accepter cet apartheid et cette dictature nauséabonde en marche sans broncher !

Eh bien, ils se trompent lourdement !

John Fitzgerald Kennedy rappelait déjà en son temps que ceux qui rendent une révolution pacifique impossible rendront une révolution violente inévitable. Il parlait d’or !

Macron, n’avait-il d’ailleurs pas intitulé en 2017 son livre-programme : « Révolution » ?

Eh bien, oui, la révolution préconisée dans le livre de Macron, ce sont les Français qui vont s’en charger dorénavant. Ce n’est pas exactement celle qu’il imaginait. Car cette révolution est celle qui va permettre aux Français de retrouver leurs libertés perdues et qui va le conduire, lui, Macron, ainsi que ses acolytes criminels, devant la justice pour répondre de tous les crimes qu’ils ont commis et continuent de commettre pour sauver l’oligarchie financière de l’effondrement.

Ils vont devoir payer la facture et elle risque d’être particulièrement lourde.

Macron devra payer, ainsi que son ministre de la santé Véran pour l’interdiction des traitements qui soignent qui a entraîné la mort de nombre de français ainsi que pour les injections de Rivotril pour avoir euthanasié sans la permission de leurs proches, les petits vieux des EHPAD laissés à l’abandon.

Il devra payer pour avoir obligé des millions de Français à se faire piquer avec des vaccins expérimentaux dont on ne commence à voir les effets délétères que maintenant, en leur agitant la menace de devenir des citoyens de deuxième zone.

Il devra payer pour avoir créé et entretenu un climat de peur permanente depuis plus d’un an et demi, entraînant un nombre incroyable de dépressions et de suicides en particulier chez les jeunes.

Il devra payer pour avoir traité les Français comme des chiens en leur imposant une muselière y compris aux enfants dès l’âge de 6 ans les obligeant de respirer leur gaz carbonique du matin au soir.

Il devra payer pour avoir fait de la France une prison à ciel ouvert en confinant et reconfinant les Français au gré de sa volonté et de leur avoir fait subir des couvre-feux inutiles qu’on n’avait plus connu depuis la Seconde Guerre mondiale.

Même les nazis les plus fanatiques n’ont jamais osé imaginer un traitement aussi cruel contre leur propre peuple. C’est dire…

Emmanuel Macron est le premier chef d’État malveillant que la France ait jamais connu.

Pour tous ses crimes, il paiera, et le peuple français va s’en charger dès maintenant. Il va voir ce que c’est que d’avoir osé s’attaquer à un peuple qui a déjà quatre révolutions à son actif.(([1] 1789, 1830, 1848, 1871.))

En ce jeudi 5 août 2021, le Conseil Constitutionnel vient d’ouvrir une boîte de Pandore qui ne se refermera plus. La colère est là. Elle grondait déjà. Elle va exploser dès demain.

« Notre patrie est en péril de mort. Luttons tous pour la sauver ! »(([2] Général de Gaulle, appel du 18 juin.))




5G La nouvelle utopie

[Source : recit.be]

Par Miguel Coma

Table des matières

Introduction

  1. La technologie 5G en bref (version simplifiée)
  2. Arguments Sanitaires
    • Des milliers d’études scientifiques démontrant des impacts biologiques
      • National Toxicology Program (USA)
      • Institut Ramazzini (Italie)
      • BioInitiative (International)
    • Risques sanitaires posés par les caractéristiques des ondes de la 5G
      • Des fréquences encore inexploitées dans les réseaux mobiles
      • Des faisceaux concentrés ciblant directement les personnes
      • Une exposition permanente à de fortes puissances
      • Un échauffement supérieur de la peau mais plus encore
      • Des effets sanitaires mal connus dus aux ondes millimétriques et au massive MIMO
      • Mises en garde sur les ondes millimétriques
      • Conclusions sanitaires concernant les caractéristiques des ondes de la 5G
    • Problèmes posés par les “directives de sécurité”
    • Sensibilité du vivant aux caractéristiques des radiofréquences
      • Intensité du rayonnement
      • Fréquence porteuse du rayonnement
      • Modulation et pulsation du rayonnement
      • Polarisation du rayonnement
    • Effets des radiofréquences sur la santé à des niveaux non-thermiques
      • Cancer et tumeurs cancéreuses
      • Effets sur l’ADN cellulaire
      • Effets sur la fertilité
      • Maladies et malformations congénitales
      • Effets cognitifs, neurologiques et neuropsychiatriques
      • Apoptose ou mort cellulaire
      • Stress oxydant et dommages causés par les radicaux libres
      • Troubles cardiaques
      • Maladies dégénératives
      • Hypersensibilité Électromagnétique (HSEM ou EHS)
      • Effets sur le système endocrinien (hormonal)
      • Effets sur le système immunitaire
    • Mécanismes d’action des champs et rayonnements électromagnétiques
    • Conclusions sur les impacts sanitaires de la 5G
  3. Arguments environnementaux
    • Impacts significatifs de la 5G sur la consommation électrique
      • Consommation électrique du numérique et de la 4G en 2019
      • Facteurs d’évaluation du surplus de consommation électrique du réseau 5G
      • Efficacité énergétique du réseau 5G : des questions encore sans réponse
      • Estimation minimale du surplus de consommation électrique du réseau 5G
      • Inconnues sur la consommation électrique des terminaux 5G
    • Impacts énergétiques liés à la production de matériel 5G
    • Consommation énergétique de la 5G: synthèse
    • Impact de la 5G sur le changement climatique/span><
    • Pollutions intrinsèques aux équipements télécoms 5G
      • 5G, lithium et besoins en eau
      • Une exploitation minière extrêmement polluante et dénaturant le paysage
      • Une catastrophe écologique et sanitaire liée aux terres rares et à la délocalisation
      • Des décharges monumentales et un recyclage improbable voire impossible
      • Conclusions au sujet des pollutions intrinsèques de la 5G
    • Raréfaction des ressources naturelles et décroissance accélérée
    • Impacts sur la faune et la flore
    • Impact environnemental des ondes millimétriques
      • Effets thermiques sur les organismes et organes exposés de petite taille
      • Mise en résonance des organismes exposés de petite taille
      • Impact sur les bactéries et résistance aux antibiotiques
      • Abattage des arbres entravant la propagation des ondes millimétriques
      • Interférences avec les prévisions météo et le suivi du changement climatique
    • Vers un Internet plus durable
    • Conclusions sur les impacts environnementaux de la 5G
  4. Arguments économiques
    • Une industrie mobile en permanente mutation
    • Les promesses économiques de la 5G
    • Les failles du Plan d’Action 5G européen
    • Les intérêts économiques des acteurs de la 5G
      • Les intérêts des constructeurs de matériel 5G
      • Les intérêts des Etats
      • Les intérêts du monde académique
      • Les intérêts des opérateurs
    • Le dilemme des opérateurs de téléphonie mobile
      • Une industrie déjà en grande difficulté économique
      • Après l’échec économique de la 4G, le gouffre de la 5G
        • Les opérateurs critiques face à la 5G
        • Le dilemme de l’opérateur prisonnier de la 5G
        • La 5G implique une hausse spectaculaire des coûts pour les opérateurs
        • Des réductions des coûts aux impacts limités et incertains
        • Des revenus sans hausse significative attendue
        • Un retour sur investissement plus qu’incertain
      • Les opérateurs développent des stratégies de survie
    • Pertes économiques collatérales causées par la 5G
    • Conclusions sur les impacts économiques de la 5G
  5. Arguments légaux et régulatoires
    • Le déploiement mondial de la 5G est contraire aux Lois internationales
    • Les “limites de protection” sont définies sur des bases pseudo-scientifiques
    • La science biaisée par l’industrie
    • L’ICNIRP est sous le contrôle de l’industrie
    • Conclusions sur les problèmes légaux et régulatoires liés à la 5G
  6. Arguments démocratiques et sociétaux
    • Des appels internationaux alarmants
    • Les associations citoyennes en action
    • Opinion majoritaire contre la 5G et mobilisation
    • La place du vivant, des écosystèmes et des ressources dans notre société
    • Des conditions de vie inhumaines liées à l’extraction des minerais
    • Les objets connectés et la protection de la vie privée
    • La 5G : une menace à la sécurité des personnes, des données et des nations
      • Une cybercriminalité en hausse et de plus en plus organisée
      • La 5G pose de nouveaux risques pour les vies humaines
      • Des faiblesses de sécurité inhérentes à la conception de la 5G
      • La sécurité nationale et l’équilibre géopolitique mis à mal par la 5G
    • La 5G pose des questions d’ordre éthique
      • Le changement climatique mènera-t-il à la régression ou à l’évolution de la société ?
      • La 5G : expérimentation de masse
      • Des personnes hypersensibles bannies de la société
      • Des phénomènes d’addiction à la technologie
      • La 5G : nécessité, besoin, ou envie ?
      • La place de l’humain dans un monde tout-connecté
      • L’Intelligence Artificielle et le soulèvement des machines
      • La 5G ouvre la voie vers un monde hypermnésique
      • La place des mondes virtuels dans le monde réel
      • L’industrie aux manettes de l’OMS et du pouvoir ?
      • Les dérives du capitalisme de surveillance
      • Une hausse de la fracture numérique
      • La censure des anti-5G et l’absence d’un vrai débat citoyen
    • Conclusions sur les impacts sociétaux de la 5G
  7. Faux arguments sur la 5G
    • Faux arguments technologiques
      • Il n’y aurait pas d’alternative à la 5G pour le futur de la connectivité169 LE MYTHE DE LA 5G169 LE RÔLE DU CÂBLE ET DE LA FIBRE OPTIQUE
      • La 5G serait indispensable à l’innovation dans de nombreux secteurs
      • Les besoins futurs en vitesse ne seraient pas satisfaits sans la 5G
      • Les besoins futurs en latence ne seraient pas satisfaits sans la 5G
      • Les besoins futurs en capacité ne seraient pas satisfaits sans la 5G
      • La 5G est une vision déconnectée de la réalité
        • L’Internet des Objets aurait besoin de la 5G
        • La Réalité Virtuelle et Augmentée auraient besoin de la 5G
        • Le secteur de la santé tirerait profit de la 5G
        • Les véhicules autonomes auraient besoin de la 5G
        • Les drones auraient besoin de la 5G
        • Les réseaux intelligents auraient besoin de la 5G
        • L’accès mobile à large bande aurait besoin de la 5G
        • La mobilité accrue aurait besoin de la 5G
        • Les communications en temps réel auraient besoin de la 5G
        • Les services de secours auraient besoin de la 5G
        • La robotique industrielle aurait besoin de la 5G
        • Les prévisions météo seraient améliorées grâce à la 5G
    • Faux arguments sanitaires
      • La 5G remplacera les 2G et 3G et il n’y aurait donc pas plus de danger
      • La 5G nous exposerait à moins de danger que la 4G
      • Les antennes de la 5G seraient moins puissantes et donc moins nocives
      • Les effets des ondes millimétriques sur la santé seraient négligeables
      • Les ondes 5G n’auraient pas assez d’énergie pour endommager nos cellules
      • Les ondes de la 5G ne cibleraient que les appareils qui en ont besoin
      • La 5G nous exposerait moins par ses transferts de données plus courts
      • La portée réduite des ondes de la 5G réduirait le danger
      • Les bâtiments nous protégeraient des ondes de la 5G
      • La 5G serait moins nocive que les rayons du soleil
      • La 5G serait nécessaire pour sauver des vies
      • La toxicité cancéreuse des radiofréquences ne serait pas un problème
      • Il n’y aurait pas d’explication plausible à l’impact sanitaire des radiofréquences
      • Les études scientifiques indiquant un risque sanitaire seraient biaisées
    • Faux arguments environnementaux
      • La 5G serait plus efficace énergétiquement que les précédentes générations
      • La 5G soutiendrait les économies d’énergie dans d’autres secteurs
  8. La sonnette d’alarme avant le basculement ?
  9. L’alternative à la 5G
    • Un déploiement de la 5G ciblé à ses bénéficiaires
    • Des alternatives câblées et sans fil
    • L’heure des choix décisifs pour notre avenir connecté
    • Une vision alternative de la connectivité

Conclusions

Annexes

La technologie 5G en bref (pour les geeks)

Liste non exhaustive de substances nécessaires à la production de smartphones

Glossaire

Abréviations

Quelques extraits

« Les êtres humains sont des systèmes bioélectriques. Nos cœurs et nos cerveaux sont régulés par des signaux bioélectriques. L’exposition à des Champs Électro-Magnétiques artificiels (CEM) peut interagir avec les procédés fondamentaux du corps humain La corrélation entre l’exposition aux CEM et les cancers et maladies neurodégénératives est suffisamment forte pour mériter des actions préventives. Les normes actuelles sont loin d’être adéquates pour protéger la santé publique. »

En 2007, sur ces bases scientifiques, le groupe formule une recommandation d’intensité maximale d’exposition aux antennes mobiles, revue en 2012 suite à l’analyse des nouvelles études. L’intensité recommandée est 3 millions de fois inférieure à la limite internationale. En raison du manque d’études sur les expositions à long terme ou sur les populations plus sensibles comme les enfants, cette recommandation tient compte du principe de précaution. En effet, des effets biologiques ont été observés à partir de niveaux 300 000 fois inférieurs à la limite actuelle définie par l’ICNIRP depuis 1998.

Le Dr Agostino Di Ciaula, MD, de l’Azienda Sanitaria Locale Barletta-Andria-Trani (Italie), publie en février 2018 :

« Des observations préliminaires ont montré que les ondes millimétriques augmentent la température de la peau, modifient l’expression des gènes, favorisent la prolifération cellulaire et la synthèse des protéines liées au stress oxydant, aux processus inflammatoires et métaboliques, pourraient générer des dommages oculaires, affecter la dynamique neuromusculaire. » (notre traduction)

Conclusions concernant les limites d’exposition :

  • Une révision à la baisse des limites d’exposition est absolument nécessaire pour préserver la santé des citoyens. Ceci implique non seulement une diminution des normes en fonction des recommandations publiées par le monde médical et scientifique, conformément au principe ALARA50, en particulier dans les lieux où séjournent des enfants, des femmes enceintes, des malades, des personnes âgées, mais également une remise en cause complète des fondements mêmes des “directives de sécurité” afin de tenir compte des résultats des études scientifiques indépendantes et des connaissances accumulées en matière d’impact sanitaire des rayonnements.
  • Cette demande est appuyée par un grand nombre de scientifiques et de membres du corps médical
  • La révision à la baisse des normes d’exposition pour protéger la population demandera un courage politique certain.

Effets des radiofréquences sur la santé à des niveaux non-thermiques

Nous avons tenu à répertorier très sommairement les effets sanitaires déjà identifiées lors des expositions aux rayonnements de radiofréquences à ce jour. Chaque maladie ou trouble mériterait bien sûr un traitement bien plus détaillé et en profondeur, mais ce n’est pas le propos de ce rapport qui adopte une perspective large des problématiques.

Vu le nombre important d’études scientifiques disponibles sur le sujet, et afin d’éviter d’alourdir notre rapport, nous référons le lecteur aux listes bibliographiques en fin de dossier du rapport ondes.brussels de novembre 201888.

Lorsqu’un effet sanitaire est repris par le Conseil Supérieur de la Santé en Belgique en 2019, nous y référons le lecteur en bas de page.

Sans doute est-il utile de mentionner que toutes les conséquences sanitaires des technologies déjà en place n’ont pas encore été entièrement révélées. Des pathologies comme le cancer, par exemple, se développent sur le long terme. Ainsi se peut-il qu’il faille plusieurs décennies d’exposition avant que des augmentations significatives de cas ne soient rapportées.

Cancer et tumeurs cancéreuses

Le CIRC89 a classé en 2011 les émissions de hautes fréquences (radiofréquences / micro-ondes) parmi les substances cancérogènes possibles (classe 2B). Il est prévu que cette classification soit réévaluée avant 2024. Compte tenu des études les plus récentes sur le sujet et selon l’avis de nombreux scientifiques (dont ceux de l’institut Ramazzini de recherche en cancérologie environnementale), il est probable que les émissions de hautes fréquences soit classées au niveau cancérogène certain (classe 1).

Les nombreuses études réalisées sur cette catégorie ont identifié entre autres les effets suivants:

  • initiation, promotion et progression tumorale
  • invasion tissulaire
  • métastases

Les types de cancers et tumeurs aggravés et/ou causés par les radiofréquences selon ces études sont les suivants :

  • Tumeurs cérébrales malignes ou bénignes dont gliomes90 (tumeurs malignes des cellules gliales) et neurinome de l’acoustique (tumeur bénigne du nerf acoustique) :
    • En lien avec l’utilisation du téléphone mobile
    • Plausibilité d’une relation de cause à effet renforcée par l’apparition de tumeurs homolatérales, c’est-à-dire des tumeurs qui se développent du côté de la tête où le téléphone a été majoritairement utilisé. Une équipe de chercheurs s’est notamment intéressée à l’incidence du type le plus malin de tumeur cérébrale, le glioblastome multiforme, en Angleterre entre 1995 et 2015. Dans un article publié en juin 201891, les auteurs montrent une augmentation linéaire, importante et statistiquement très significative des tumeurs primaires de type glioblastome multiforme sur cette période de 21 ans, en particulier dans les lobes frontaux et temporaux du cerveau, à savoir les parties les plus exposées aux rayonnements provenant du téléphone portable sans fil.
  • Tumeur de la glande parotide
    • En lien avec l’utilisation du téléphone portable
  • Leucémie92
    • En lien avec l’exposition du corps entier (ex. dans le domaine militaire)
  • Lymphome (cancer du système lymphatique)
    • En lien avec l’exposition du corps entier (ex. dans le domaine militaire)
  • Cancer du sein

Concernant les effets cancérologiques encore à étudier, ils sont repris à la section Des effets sanitaires mal connus dus aux ondes millimétriques et au massive MIMO.

Certains types de tumeurs du cerveau pourraient être expliquées par une action néfaste (seule ou en combinaison avec d’autres facteurs) des rayonnements de radiofréquences sur la barrière hémato-encéphalique dont le rôle est de filtrer les agents toxiques présents dans le sang afin qu’ils ne pénètrent pas dans le cerveau.

Effets sur l’ADN cellulaire

Divers effets ont été constatés confirmant un effet sur l’ADN, qui est la molécule essentielle à toute forme de vie connue et contenant le code génétique.

On constate les effets suivants sur l’ADN suite à une exposition à des rayonnements non ionisants du type micro-ondes utilisé par les télécommunications mobiles :

  • ruptures simple brin et double brin
  • effets sur les bases oxydées dans l’ADN cellulaire
  • mutations chromosomiques produites par les ruptures double brin d’ADN

Des dommages à l’ADN peuvent apporter une explication plausible notamment à l’apparition de tumeurs cancéreuses, de problèmes de fertilité, de maladies congénitales ainsi que de malformations.

Les dommages causés à l’ADN par les rayonnements de radiofréquences sont aujourd’hui largement établis mais les conséquences génotoxiques et mutagènes des rayonnements électromagnétiques non ionisants sont encore controversées.

Le lien entre exposition aux rayonnements de radiofréquences et mutations semble pourtant bien observé, sur base d’expériences scientifiques. Voir également la section Maladies et malformations congénitales.

Effets sur la fertilité

Les rayonnements de radiofréquences utilisés par la téléphonie mobile et le sans-fil en général, peuvent avoir des conséquences multiples sur la fertilité féminine et masculine, observées dans la littérature scientifique :

  • Fertilité masculine
    • remodelage tissulaire au niveau des testicules
    • baisse du nombre de spermatozoïdes, de leur motilité et autres paramètres des spermatozoïdes
  • Fertilité féminine
    • remodelage ovarien
    • chute des ovocytes (follicules)
    • baisse des taux d’œstrogène, de progestérone et de testostérone (taux des hormones sexuelles)
    • augmentation du risque de fausse couche
    • baisse de libido

Maladies et malformations congénitales

Vu le caractère aléatoire des gènes endommagés, il serait vain de tenter de dénombrer de façon exhaustive les maladies congénitales et malformations potentielles liées à l’exposition aux radiofréquences. Nous ne citerons donc qu’une seule étude à ce sujet afin d’illustrer le potentiel de dommages sur le vivant. Ensuite, nous identifierons les mécanismes par lesquels des conséquences à long terme peuvent apparaître sur le génome et en particulier celui de l’humain.

Des malformations congénitales ont été observées chez les poulets suite à une exposition à la téléphonie mobile. Une étude93 de 2012 exposant les poulets de façon intermittente (quatre fois 15 minutes par jour), a observé notamment des embryons plus gros, des saignements sous- cutanés, des malformations cérébrales, une augmentation de la croissance des yeux, une augmentation significative de l’épaisseur de la rétine de l’œil ainsi que d’autres problèmes rétiniens.

Ainsi, bien qu’encore peu nombreuses, des études existent sur le sujet des dommages congénitaux en lien avec l’exposition aux rayonnements des technologies sans fil. Elles indiquent que des malformations et maladies congénitales peuvent apparaître dès la première génération exposée.

Plus inquiétant encore, certains dommages causés aujourd’hui à l’ADN et pouvant mener à des malformations ou maladies congénitales sont susceptibles d’être transmis aux générations suivantes.

Les conséquences peuvent ne pas apparaître directement mais seulement après plusieurs générations94 :

« Croyez-le ou non, la perte de fertilité induite électromagnétiquement est la bonne nouvelle puisque cela signifie que les embryons gravement endommagés sont moins susceptibles d’être conçus. La mauvaise nouvelle est que tout gène endommagé nécessaire au développement de l’embryon mais non nécessaire au fonctionnement normal de l’ovule ou du sperme, ne sera pas éliminé de cette manière. Ces gènes peuvent encore trouver leur chemin dans le fœtus et causer des dommages génétiques permanents. L’effet peut ne pas être apparent dans la première génération puisqu’un gène non fonctionnel d’un parent peut souvent être compensé si l’autre parent fournit une bonne version du même gène. En fait, de graves problèmes peuvent ne pas survenir pendant de nombreuses générations jusqu’à ce que par hasard deux versions défectueuses du même gène se retrouvent dans le même fœtus. Ce qui se passe alors dépend du gène concerné, mais il est peu susceptible d’être bénéfique et peut être mortel ». (notre traduction)

Barrie Trower, retraité de la Royal Navy britannique, expert de longue date en armement basé sur les micro-ondes, a ainsi développé une large connaissance liée à leurs effets sanitaires (volontaires dans ce cas précis). Il détient un profil rare combinant des connaissances en physique et en physiologie. Il nous met particulièrement en garde sur les risques de dommages irréparables aux cellules humaines les plus vulnérables : les ovules des jeunes filles.

Militant contre l’installation du Wi-Fi dans les écoles, voici un court extrait de son témoignage assermenté devant la Cour de Portland (Oregon, USA)95 :

« Le problème posé aux jeunes filles est que l’irradiation par micro-ondes endommagent la structure génétique dans leurs ovaires. Les filles naissent avec tous les ovules dont elles ont besoin dans leurs ovaires. Ce sont des œufs immatures, donc sensibles aux dommages pendant la croissance. Les micro- ondes sont génotoxiques (des expériences montrent qu’un rayonnement de téléphonie mobile de bas niveau sur des enfants perturbe la biochimie des cellules folliculaires dans l’ovaire), par conséquent, l’irradiation par micro-ondes pourrait affecter la structure génétique dans les ovules. Le problème est ici que l’ADN mitochondrial, les gènes à l’intérieur des ovaires, est irréparable. Si vous avez une petite fille chez qui il y a des dommages, par ce mécanisme, à la structure génétique de l’un de ses ovules et qu’elle a une fille, cette fille portera ce problème génétique. C’est irréparable. Et sa fille portera à son tour ce problème génétique, car il est irréparable. Et chaque femme pour toujours, dans cette lignée, portera ce problème à perpétuité, car il est irréparable. » (notre traduction)

Andrew Goldsworthy cité plus haut conclut son étude ainsi :

« La conclusion générale est que les dommages génétiques causés par l’exposition aux rayonnements électromagnétiques peuvent avoir un effet presque immédiat sur la fertilité, mais que les dommages à la progéniture peuvent prendre plusieurs générations à apparaître. Si nous ne faisons rien pour limiter notre exposition aux rayonnements électromagnétiques, nous pouvons anticiper un lent déclin de la viabilité du génome humain pour de nombreuses générations à venir. Il est ironique qu’ayant tout juste découvert le génome humain, nous nous sommes déjà mis à le détruire systématiquement. » (notre traduction)

Effets cognitifs, neurologiques et neuropsychiatriques

De nombreux effets cognitifs ou neurologiques étudiés dans la littérature scientifique, seraient en lien avec l’exposition aux rayonnements de radiofréquences artificiels :

  • troubles du sommeil/insomnie
  • fatigue/fatigabilité
  • maux de tête
  • dépression/symptômes dépressifs
  • manque de concentration/attention/déficience cognitive, TDAH
  • étourdissements/vertiges
  • troubles de la mémoire
  • nervosité, tension, anxiété/stress/agitation, irritabilité
  • troubles du comportement et du langage chez l’enfant96
  • démence, voir aussi maladie d’Alzheimer
  • différentes formes d’autisme
  • acouphènes
  • tremblements

L’humain est un être électromagnétique dont les fonctions sont régulées par des extrêmement basses fréquences, qui sont présentes naturellement sur Terre.

Notre nature électromagnétique est confirmée notamment dans une étude de 2018 qui indique que la fréquence de 10 Hz97 correspond à celle des ondes alpha du cerveau. Son utilisation dans les signaux pulsés du Wi-Fi, perturbe l’horloge biologique interne et l’électro-encéphalogramme des sujets même des heures après l’exposition aux ondes, et ce à des niveaux bien en-dessous des limites de sécurité.

Une action néfaste des radiofréquences sur la barrière hémato-encéphalique protégeant le cerveau d’agents toxiques présents dans le sang, pourrait également jouer un rôle dans l’apparition de troubles cognitifs, neurologiques et neuropsychiatriques.

Apoptose ou mort cellulaire

Le processus d’apoptose intervient dans l’apparition de maladies neurodégénératives ainsi que dans l’infertilité, explorées plus haut. Il est donc utile d’indiquer que cette mort cellulaire peut expliquer le lien entre une exposition aux rayonnements de radiofréquences et ces catégories de pathologies. Cependant, les mécanismes biologiques complexes impliqués dans l’apoptose dépassent le cadre de ce rapport.

Stress oxydant et dommages causés par les radicaux libres

Les radicaux libres interviennent dans des mécanismes importants causant un stress oxydant, impliqué dans les maladies chroniques, le vieillissement précoce, ainsi que les dommages à l’ADN cellulaire. Ce rapport n’a pas pour ambition de traiter ces processus complexes délétères. Il est néanmoins utile de garder à l’esprit le rôle néfaste que peut jouer le stress oxydant suite à une exposition aux ondes des télécommunications sans fil.

Troubles cardiaques

Divers troubles cardiaques parfois mortels ont été étudiés et identifiés dans le cadre d’études

sur l’exposition humaine aux rayonnements radiofréquences :

  • tachycardie
  • arythmie
  • bradycardie
  • arrêt cardiaque (infarctus)

Maladies dégénératives

Des études rapportent que les rayonnements de radiofréquences peuvent contribuer à l’apparition de :

  • maladie d’Alzheimer
    Cette maladie dégénérative apparaît à des âges de plus en plus précoces.
    Selon le Prof. Dominique Belpomme98, il existe une vingtaine d’études épidémiologiques indiquant un lien entre l’exposition aux champs électromagnétiques et la maladie d’Alzheimer.
  • sclérose latérale amyotrophique

Ces maladies sont énumérées dans une méta-étude de 202099 reprenant une vue très large couvrant 5400 études dans la littérature scientifique.

Hypersensibilité Electromagnétique (HSEM ou EHS)

Il existe une forte présomption de causalité entre la pollution électromagnétique toujours croissante liée aux technologies sans fil, et un véritable problème épidémique voire pandémique faisant de plus en plus de victimes parmi les personnes électro-hypersensibles (HSEM ou EHS).

L’OMS a bien identifié ce trouble mais n’admet pas l’existence d’un lien de cause à effet avec les champs et rayonnements électromagnétiques, prétextant le manque d’études scientifiques à ce jour100. Elle n’admet pas non plus qu’on puisse en faire un diagnostic médical. Elle se contente d’en énoncer les symptômes sans pouvoir établir un lien avec les causes : symptômes dermatologiques (rougeurs, picotements et sensations de brûlure), des symptômes neurasthéniques et végétatifs (fatigue, lassitude, difficultés de concentration, étourdissements, nausées, palpitations cardiaques et troubles digestifs). L’OMS n’a pas revu son opinion sur la question de l’EHS depuis 2014.

L’association belge francophone pour la reconnaissance de l’électrohypersensibilité, l’AREHS101 identifie d’autres symptômes non repris par l’OMS : maux de tête, troubles de sommeil, troubles de la mémoire, acouphènes, troubles de la vision, douleurs musculaires et articulaires, ou irritabilité.

Le corps médical se trouve encore démuni face à ce syndrome qui n’est pas abordé dans le cursus académique. La formation médicale semble donc un pilier fondamental encore à construire afin de limiter les conséquences sanitaires liées aux champs électromagnétiques artificiels. Des premières initiatives ont été lancées à Bruxelles et à Genève afin d’intégrer l’EHS dans le cursus universitaire102.

Les associations de défense des personnes électro-hypersensibles se multiplient à travers le monde et leurs rangs sont toujours plus nombreux. Pourtant, par manque de reconnaissance et donc de statistiques officielles, il est très difficile d’évaluer leur nombre parmi la population. Le Prof. Olle Johansson a rassemblé un ensemble d’études à travers le monde, et conclut en janvier 2020 à une incidence de l’EHS située entre 3,5 et 13,3% de la population. L’EHS semble frapper toutes les catégories sociales et toutes les classes d’âges, indépendamment du style de vie. Le nombre de cas d’hyper sensibilité électromagnétique serait plus élevé chez les femmes (65% des cas) d’après certaines études. Selon les associations et divers médecins, les victimes des champs électromagnétiques ne naissent pas EHS. Elles développent une hypersensibilité suite à une exposition relativement forte et/ou prolongée aux rayonnements électromagnétiques artificiels. La réaction biologique à l’exposition peut être immédiate et cesser tout aussi immédiatement suite à l’arrêt de l’exposition. Cependant la réaction biologique peut être également décalée dans le temps, survenir après le début de l’exposition ou suite à une accumulation de l’exposition, et se prolonger plus ou moins longtemps après l’exposition.

Les causes médicales encore controversées de l‘EHS ainsi que le manque de protection des populations, posent un problème sociétal et éthique, repris à la section Des personnes hypersensibles bannies de la société.

En complément à la lecture cette section, nous vous invitons à découvrir deux auditions enregistrées en vidéo103 au Sénat de Belgique. A la fin de la première vidéo, le Prof. Dominique Belpomme dénonce un « crime de santé publique » et une « pandémie électromagnétique ».

Effets sur le système endocrinien (hormonal)

Afin de rappeler le rôle, l’importance et la complexité du système hormonal, mais aussi du système immunitaire, nous reprendrons un extrait du site de Physicians for Safe Technology104 :

« Les systèmes immunitaire et endocrinien sont des systèmes organiques critiques qui sont également étroitement liés au système nerveux et peuvent avoir un impact profond sur la reproduction, le développement et la fonction du fœtus ainsi que sur la promotion / prévention du cancer, la défense contre les infections, la cicatrisation des plaies, la fonction neurologique, l’homéostasie métabolique et le vieillissement. Le système immunitaire peut également cibler les propres tissus sains du corps, qui se manifestent par diverses maladies auto-immunes telles que le diabète de type 1, le lupus, la polyarthrite rhumatoïde et le psoriasis. » (notre traduction).

Cette source indique l’observation d’effets néfastes sur la fonction thyroïdienne.

Des changements dans les hormones stéroïdiennes et non stéroïdiennes ont été observés suite à une exposition aux rayonnements de radiofréquences artificiels. Par exemple, le stress oxydant et l’inflammation provoqués par l’exposition peuvent mener à une diminution de la production de mélatonine (appelée parfois « hormone du sommeil »). A cela s’ajoute le fait que la mélatonine, un antioxydant puissant, est consommée par l’organisme pour pallier les effets du stress oxydant. A la longue, un déficit en mélatonine peut apparaître qui peut être à l’origine de plusieurs types de troubles, dont des troubles du sommeil.

Pour aller plus loin, Physicians for Safe Technology référence de nombreuses sources liées aux effets des rayonnements de radiofréquences sur le système endocrinien.

Effets sur le système immunitaire

Selon Physicians for Safe Technology, la recherche à ce stade n’est pas toujours cohérente dans ses méthodes ni ses résultats, au sujet du système immunitaire.

Les effets des rayonnements de radiofréquences sur le système immunitaire sont encore mal connus et parfois incohérents. Joel Moskowitz105 de l’Université Berkeley de Californie indique qu’il semblerait que des expositions de longue durée peuvent déprimer certaines fonctions immunitaires, alors que des expositions de courte durée semblent au contraire les stimuler.

Dans une brochure publiée en 2007219, le biologiste Ulrich Warnke rappelle que :

« C’est un fait avéré et les résultats de la recherche sont accessibles à tout un chacun depuis plusieurs dizaines d’années : les champs magnétiques et électriques naturels et leurs variations constituent des conditions essentielles à l’orientation et aux déplacements d’un grand nombre d’animaux. »

En avril 2020, une centaine d’étudiants belges en biologie et médecine tiraient la sonnette d’alarme220 à l’encontre de la 5G et indiquaient que la survie de l’humanité dépend des écosystèmes. Parmi les observations corrélées à l’exposition aux radiofréquences, ils citent, entre autres, l’effondrement des colonies d’abeilles (80% des abeilles ont disparu en Europe) et l’endommagement de la capacité des insectes à s’orienter à l’aide du champ magnétique terrestre (magnétoréception), la production de protéines de stress, une baisse de moitié de la fécondité, une atteinte aux facultés cognitives, de locomotion, d’apprentissage, et la perte totale de mémoire avec certains effets irréversibles.

L’effondrement des populations d’insectes impacte les populations d’animaux qui s’en nourrissent : oiseaux,

amphibiens et mammifères insectivores par exemple. Le déclin des pollinisateurs a des conséquences sur la chaîne alimentaire.

Les végétaux subissent également les impacts négatifs des radiofréquences. Ils présentent par exemple des anomalies morphologiques et de croissance, une chute prématurée ou un changement de couleur des feuilles, ou la mort de branches221. Or la végétation joue un rôle capital dans l’absorption du gaz carbonique et la régulation de l’effet de serre, mais aussi dans l’alimentation humaine et du bétail.

En mars 2020, le WWF publiait un plaidoyer222 mettant en garde l’humanité sur le risque accru de pandémies (zoonoses) lié à la dégradation de la biodiversité.

En bref, avec une explosion dramatique des niveaux d’exposition aux rayonnements de radiofréquences (en ce compris les ondes millimétriques), la 5G fait peser une lourde menace sur la biodiversité, sur la survie des écosystèmes, et donc sur la survie de l’espèce humaine.




France et passe Sanitaire : on pourra attaquer les décrets d’application devant le Conseil d’État

[Source : bvoltaire.fr]

[Ndlr : l’article est paru avant la validation du projet de loi par le Conseil Constitutionnel.]

Passage en revue des différents points du projet de loi sur l’extension du passe sanitaire qui pourraient être censurés par Guillaume Leroy, chargé d’enseignement en droit constitutionnel à l’université et responsable du pôle affaires publiques du Cercle Droit et Liberté.

Quels sont les éléments du texte de loi sur le passe sanitaire qui pourraient être non constitutionnels ?

Il y a plusieurs éléments. Dans l’article premier, plusieurs libertés constitutionnelles sont violées par cette loi. L’article premier de la Déclaration des droits de l’homme prévoit que les êtres humains naissent libres et égaux en droit. Or, le passe sanitaire crée deux sortes de citoyens : ceux qui sont vaccinés ou sont dépistés tous les deux jours et ceux qui n’ont pas la possibilité de le faire.

De nombreuses libertés sont restreintes : celle d’aller et venir et la liberté d’entreprendre, qui sont des libertés garanties par la Constitution. À partir du moment où on démontre qu’il y a disproportion dans cette atteinte, cet article premier devrait être censuré.

Pensez-vous que les sages puissent retoquer ces éléments ?

C’est compliqué. En effet, le Conseil constitutionnel est une institution juridique mais également très politique. Il est nommé par le pouvoir exécutif et législatif, donc par le président de la République et par les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat, il sera donc difficile d’aller à l’encontre du gouvernement. Il y a, malheureusement, peu de chances que certaines dispositions soient censurées. Certaines ont déjà été pointées du doigt par le Conseil d’État, notamment le manque de clarté concernant les transports. Une autre problématique a été pointée par le Conseil d’État : la fermeture des centres commerciaux à ceux qui n’ont pas de passe sanitaire. Certains centres commerciaux sont des hypermarchés, donc certaines personnes ne pourraient plus simplement se fournir en nourriture, cela pose un problème. Mais il n’y a quasiment aucune chance que le passe sanitaire soit abrogé dans son intégralité.

Pourriez-vous nous éclairer sur le fonctionnement du Conseil constitutionnel ?

Il est composé de neuf membres nommés par le président de la République, le président de l’Assemblée nationale et le président du Sénat. Ces neuf personnes décident de la constitutionnalité d’une loi et regardent que la Constitution ne soit pas violée par une loi votée. Des parlementaires ou le gouvernement peuvent saisir le Conseil constitutionnel avant qu’une loi ne soit promulguée. Après la promulgation de la loi, toute personne peut le saisir à l’occasion d’un litige en justice. Le problème est que, souvent, le secrétariat général se prononce et écrit la décision à la place des sages. Cela est problématique.

Y a-t-il une sorte de conflit d’intérêts entre Laurent Fabius, le président du Conseil constitutionnel, et son fils, directeur associé du cabinet McKinsey & Company qui assiste le gouvernement pour la campagne de vaccination ?

Ce n’est pas un réellement conflit d’intérêts mais ça laisse présager d’un manque d’impartialité du président du Conseil constitutionnel. Les décisions du Conseil constitutionnel se prennent à la majorité, à cinq contre quatre. À mon avis, la quasi-totalité des sages du Conseil constitutionnel sera favorable au passe sanitaire, donc la voix de Laurent Fabius ne changera pas grand-chose.

Votre mouvement, le Cercle Droit et Liberté, a déposé un recours auprès du Conseil constitutionnel. Que stipulait-il ?

Ce n’est pas exactement un recours, c’est un appui à la saisine du Conseil constitutionnel faite par 60 députés et 60 sénateurs. On donne des arguments en faveur de cette anticonstitutionnalité du passe sanitaire. On démontre trois choses : le passe sanitaire n’aidera pas forcément à la protection de la santé ; la loi adoptée par le Parlement est peu claire sur certains points, notamment sur l’accès aux transports et aux centres commerciaux ; et, enfin, on démontre que ce passe sanitaire va à l’encontre du principe de fraternité.

Si le texte est validé dans sa forme actuelle par le Conseil constitutionnel, quel recours resterait-il ?

Après la validation de la loi, des décrets d’application sont nécessaires. On pourra attaquer ces décrets devant le Conseil d’État. Par exemple, on ne sait pas quels moyens de transport seront soumis au passe sanitaire : les TGV, les TER, le RER ?

La seule opportunité qu’il reste est celle d’attaquer légalement les décrets.

Une action devant la Cour européenne des droits de l’homme est-elle envisageable ?

Oui c’est possible, mais à très long terme, car il faut un épuisement des voies de recours. À mon sens, ce ne serait pas avant un ou deux ans.




France : passe sanitaire validé par Conseil Constitutionnel

[Source : nicolasbonnal.com]

Par Nicolas Bonnal

Passe sanitaire vacciné (validé) bien sûr par Fabius et le conseil constitutionnel ; il va donc falloir une révolution. Mais attention : car leur France QR avec sa masse de vaccinés, de soumis, de bobos, de « jeunes filles », de retraités et de technophiles, ce n’est pas le modèle de la Liberté : c’est le coq hérétique. Je suis le seul à le dire [Ndlr : peut-être pas tout à fait. Voir notamment :
Le pass sanitaire et son QR Code associé permettront à terme de faire accepter aux gens la puce RFID,
Discrimination, ennemie inacceptable de la devise française : Liberté, Égalité, Fraternité,
Note sur les manifestations sous le règne du NOM,
Garçon, la carte s’il vous plaît !,
Le Conseil Constitutionnel osera-t-il enterrer la République Française ?], et je le maintiens. Pass sanitaire pour les touristes étrangers vaccinés… La France passe sous administration étrangère (Rothschild, McKinsey, KPMG, Pfizer, Microsoft and Co.), est privatisée, fascisée, et ses ressortissants sont des actifs financiers à plumer (souvent volontaires). Les bourreaux volontaires ? Richard Boutry craque et incrimine les loges et la dictature maçonnique. J’ai parlé il y a un an de dressage maçonnique (strategika.fr). Richard prie la vierge Marie, on va tous en avoir besoin avec nos chaînes à QR code.

Pourquoi les ouvriers se révoltaient et pas nous :

« Il faut remarquer encore que cette insurrection formidable ne fut pas l’entreprise d’un certain nombre de conspirateurs, mais le soulèvement de toute une population contre une autre. Les femmes y prirent autant de part que les hommes. Tandis que les premiers combattaient, les autres préparaient et apportaient les munitions ; et, quand on dut enfin se rendre, elles furent les dernières à s’y résoudre. Quant à la science stratégique que fit voir cette multitude, le naturel belliqueux des Français, la longue expérience des insurrections et surtout l’éducation militaire, que reçoivent tour à tour la plupart des hommes du peuple suffisent pour l’expliquer. La moitié des ouvriers de Paris ont servi dans nos armées et ils reprennent toujours volontiers les armes. Les anciens soldats abondent en général dans les émeutes. »

(Tocqueville, Souvenirs, p. 176)

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-passe-sanitaire-et-la-vaccination-des-soignants-valides-par-le-conseil-constitutionnel-20210805

Le passe sanitaire et la vaccination des soignants validés par le Conseil constitutionnel

Les dispositions prévoyant l’isolement obligatoire des malades ainsi que la rupture d’un contrat de travail ont en revanche été censurées.

Le projet de loi visant à contrer la flambée de l’épidémie de Covid-19, avec l’extension controversée du passe sanitaire, a été approuvé jeudi 5 août par le Conseil Constitutionnel, à l’exception de la mesure d’isolement obligatoire. L’avis des Sages, très attendu, a été rendu en fin d’après-midi et conditionne la mise en œuvre de la stratégie du gouvernement.

« Le législateur a poursuivi l’objectif de valeur constitutionnelle de protection de la santé », notent les Sages à propos du passe et de la vaccination des soignants. Les juges constitutionnels ont toutefois estimé que l’isolement obligatoire des malades de 10 jours n’était ni «nécessaire, adapté et proportionné» en ce qu’il constitue une mesure privative de liberté « sans décision individuelle fondée sur une appréciation de l’autorité administrative ou judiciaire ».

L’extension du passe sanitaire aux centres commerciaux validée

Le Conseil constitutionnel a également validé l’extension du passe sanitaire à certains centres commerciaux «au-delà d’un certain seuil défini par décret» et si «la gravité des risques de contamination» à l’échelle d’un département le justifie. L’autorité préfectorale pourra ainsi mettre en place le passe sanitaire dans les grands magasins et centres commerciaux tout en garantissant «l’accès des personnes aux biens et services de première nécessité ainsi qu’aux moyens de transport accessibles dans l’enceinte de ces magasins et centres», selon la loi adoptée le 25 juillet et validée par le Conseil Constitutionnel. Le gouvernement veut appliquer cette mesure dès lundi 9 août.

La rupture du contrat de travail censurée

Les dispositions de la loi sanitaire prévoyant qu’un CDD ou contrat d’intérim puisse être rompu «avant son terme» par l’employeur faute de passe sanitaire, ont, en revanche, été censurées. Le Conseil a toutefois validé la procédure de suspension du contrat de travail sans rémunération pour les CDI. «En prévoyant que le défaut de présentation d’un ‘passe sanitaire’ constitue une cause de rupture anticipée des seuls contrats à durée déterminée ou de mission, le législateur a institué une différence de traitement entre les salariés selon la nature de leurs contrats de travail qui est sans lien avec l’objectif poursuivi», indique ainsi le Conseil constitutionnel.

https://www.liberation.fr/societe/sante/le-conseil-constitutionnel-valide-le-pass-sanitaire-et-la-vaccination-des-soignants-mais-retoque-lisolement-obligatoire-20210805_LLLIRNBY3RBDDFUQ62MALZHPZM/

https://www.liberation.fr/societe/sante/le-gouvernement-annonce-la-creation-dun-pass-sanitaire-pour-touristes-etrangers-vaccines-20210805_G7MGM6BNIRCFDIOBYFSM6FIZII/

https://www.nouvelobs.com/pass-sanitaire/20210805.OBS47243/le-conseil-constitutionnel-valide-le-pass-sanitaire-mais-censure-l-isolement-obligatoire.html

Richard Boutry :

« Il faut mettre fin à la dictature de la Franc-Maçonnerie en Politique et Médecine »

Vidéo extraite de :




Injection obligatoire : la fuite en avant dans l’horreur

Par Lucien Samir Oulahbib

Lorsqu’il faudra juger tous les responsables de ce qui apparaît de plus en plus comme une tromperie frauduleuse (voire un crime contre l’Humanité) se déroulant sous nos yeux via cette obligation d’injecter une substance expérimentale aux effets de plus en plus mortels (aux données guère accessibles, du moins pour tous), en réalité très peu efficace et donc faisant bien plus office de placebo mental (pour les plus chanceux et/ou solides) qu’autre chose, il est clair que le futur tribunal international ad hoc qui en sera chargé aura bien du travail.

Il en était de même (rappelons-le à nouveau) au temps du scientisme communiste ou techniciste productiviste triomphant qui promettait l’éradication complète de la misère, la domination la maladie et le bonheur pour tous, du moins si TOUTE la planète y acquiesçait. Et cela se trouve toujours également garanti aujourd’hui par tous ces nouveaux criminels qui stipulent que si toutes les personnes (réfugiés, clandestins et « pays pauvres ») se soumettaient à leur complète et absolue nouvelle définition de la santé (être immunisé artificiellement et non plus naturellement) alors tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles — et peu importe les dommages collatéraux.

Et comme beaucoup de gens croient à ce discours, le futur tribunal ad hoc aura alors beaucoup de mal (comme ceux de naguère) à accéder aux réelles données, puisque l’on sait que moins de 10 % des effets secondaires et de la mortalité afférente remontent, car il s’agit d’une information passive et non pas automatique. Ceci signifie que ceux qui croient dans ce discours artificialiste (l’injection est meilleure que l’immunité et, bien sûr, que n’importe quel traitement toujours ignoré, d’où la mise en avant des « hospitalisations ») ne signaleront pas leur inconfort, mais légitimeront (pour « la bonne cause », par « altruisme »…) les effets moins graves, du moins sur le cours terme, comme n’étant au fond qu’une conséquence admise, alors que certains effets plus violents ne se verront qu’à plus long terme (par exemple le fait que leur immunité sera de moins en moins efficace et nécessitera des doses à répétition et aussi des thérapies annexes si d’autres maladies connexes se déclenchent). Et puis même si cela s’avère grave cela sera enfoui sous les statistiques expliquant que le nombre est « infime » ou encore qu’il n’y a aucune « corrélation » si les exemples sont médiatisés.

Ensuite, le Tribunal devra répertorier toutes les responsabilités connexes comme les interdictions « tacites » des traitements précoces en ce qu’ils peuvent ne pas être officiellement interdits selon les moments, mais fortement déconseillés officieusement via des directives insidieuses, des rappels à l’ordre, voire des actions frauduleuses comme les articles bidonnés (celui du Lancet n’a toujours pas été poursuivi par une officine publique), les donnés tronquées (le dernier rapport Pfizer sur les effets secondaires suite à l’administration de l’injection chez les enfants a été caviardé), les médecins menacés (voire plus), des usines de traitements précoces « accidentellement » incendiées, des pressions institutionnelles visant à démanteler des structures qui refusent de jouer le jeu (l’IHU de Marseille). De telles pressions se sont multipliées, jusqu’à aujourd’hui, avec l’extorsion de consentement par chantage interposé (injection versus emploi). Tout cela n’est toujours pas le produit du hasard.

Enfin, toute la machinerie propagandiste et politiste devra être disséquée juridiquement parlant : comment se fait-il que des médias censés informer aient pu participer à un tel mensonge légal, avalisant par exemple les fraudes sur les données ? Comment se fait-il que toutes les instances politiques institutionnelles académiques aient pu avaliser ces atrocités qui voilent leur criminalité patente par la fuite en avant dans l’accélération forcenée, frénétique, brutale de la mise en pratique de leur solution politico-chimique ?

Cela rappelle ces moments où — au tournant des 19 et 20e siècle — les élites savantes, artistiques et entrepreneuriales étaient si fascinées par les grandes découvertes du moment (machine à vapeur, à combustible, train, télégraphe, voiture, photographie, phonographe, caméra, aviation, radiographie, physique quantique, chimie, biologie naissante…) que toutes ces inventions tournèrent si fortement la tête des parvenus et que ceux-ci se crurent des dieux, avec en substrat l’idée de se distinguer de la « masse », de revenir au temps des « dieux vivants », de se purifier, donc de se croire désormais supérieurs parce que dotés de « La » Science « véritable ». Alors qu’étaient déjà confondus progrès technique et progrès civilisationnel, ces deux aspects n’étant pas nécessairement corrélés (ainsi le dénigrement de la campagne au profit de la ville et son inversion aujourd’hui), tout cela aurait mérité, dès cette époque, d’être affiné comme le demandèrent certains auteurs clairvoyants. Seules les élites voyaient dans tout refus un « déclin de la Raison », avec toujours une unique cause exclusivement externe : les pauvres, les riches, l’étranger, les infidèles, il fallait les excommunier jusqu’à promouvoir la guerre, en externe comme en interne…

Bis repetita ?

Il semble bien que oui : la Secte (plus que la Caste en ce que son recrutement ne se fait pas par hérédité, mais large adhésion, même s’il y a des cooptations) s’appuie sur toute une génération qui a été élevée dans la prise de substances excitantes plus ou moins légales. Celle-ci pensait pouvoir suppléer la force spirituelle qui calme les angoisses et renforce l’effort d’être par des substituts qui n’ont qu’une efficacité toujours momentanée et nécessitent d’en reprendre à dose supérieure afin d’atteindre cet état de volupté recherché pour agir et jouir. Ceci reste cependant toujours éphémère si ce n’est pas sous-tendu par quelque chose de plus pérenne (comme l’idée de renouer avec ce savoir séculaire qui rappelle que le « développement personnel » doit s’appuyer sur une évaluation objective de la cause de nos échecs et réussites, de nos malaises et de nos joies plutôt que de refouler, oublier avec des psychotropes). Voilà à quoi une réelle philosophie devrait servir au lieu de se fourvoyer dans l’idéologie et aujourd’hui la propagande scientiste et hygiéniste, avec toujours ce regard de supériorité vis-à-vis des supposés « inférieurs » (comme les « anti-vax » et les « pays pauvres » qu’il faudrait d’urgence injecter, alors que leur propre pratique médicinale permet, pour ce type précis de virus, d’y remédier).

Nous sommes bien à un tournant : soit à nouveau la nuit totalitaire va s’emparer du monde avant de s’écrouler dans quelque temps, car le Réel est toujours plus fort que l’Idéologie ; soit les peuples éveillés réussiront à éviter cette énième expérience idéaliste (drapée en « science ») en la tuant dans l’œuf, d’où la nécessité de soutenir tous les efforts actuels pour constituer un tribunal international ad hoc (puisque les juridictions nationales sont désormais sorties de l’État de droit), basé en priorité sur la liberté la propriété et la résistance à l’oppression (article 2 de la DDH).




LIBÉREZ LE MÉDECIN QUI EST EN VOUS

[Source : Lisez!]

Auteur du livre : Sauveur BOUKRIS

Soyez l’acteur de votre santé plutôt qu’un objet de la médecine. La médecine est devenue trop scientifique et technologique. Elle oublie que, derrière les dogmes, des malades existent, c’est-à-dire des personnes avec leur histoire, leurs croyances, leurs désirs. Le Dr Sauveur Boukris livre ici une méthode inédite pour retrouver du pouvoir d’agir sur son corps et envisager sa guérison.

Cet ouvrage est libérateur, il va vous faire du bien. Il va vous permettre de résister aux diktats médicaux en améliorant vos capacités critiques. De nombreux tests d’évaluation vous apprendront à poser un diagnostic par vous-même pour devenir en quelque sorte votre propre médecin, c’est-à-dire un individu qui prend sa santé en main et non pas seulement une victime qui subit la maladie. Vous n’êtes pas la maladie.

Vous apprendrez à réécouter votre corps, à prévenir et à mettre en œuvre des stratégies contre la douleur, à faire face à une maladie chronique et surtout à refuser la tyrannie de certains praticiens. Ce livre souhaite vous accompagner sur le chemin d’une guérison plus rapide, en vous mettant à armes égales avec votre médecin.


[Voir aussi :
Prendre sa santé en main
Épidémies et contagions]




Les pseudovaccins anticovid (injections géniques) ne protègent ni les vaccinés ni leurs contacts

[Voir aussi sur docteur.nicoledelepine.fr]

Par le Dr G Delépine, chirurgien et statisticien médical

Les vaccins actuels ne protègent ni les vaccinés, ni leurs contacts

Chaque jour nous sommes harcelés par la propagande vaccinale qui répète :

« seule la vaccination peut mettre fin à l’épidémie »

« les vaccins sont efficaces contre le variant delta »

« une fois la population vaccinée il n’y a plus de risque ».

Ces affirmations sont totalement mensongères. Les vaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta, ne protègent ni les vaccinés ni leurs contacts et ne préviennent pas les reprises de l’épidémie. Ils sont incapables de mettre fin à l’épidémie.

Pour s’en convaincre il suffit de regarder les évolutions récentes de l’épidémie dans les pays champions de la vaccination décrites dans les publications de l’OMS (OMS Covid Dashboard) et les courbes de OurWorldinData Covid.

En Grande-Bretagne l’épidémie repart malgré l’Astra Zeneca

La vaccination Astra Zeneca a été suivie par une augmentation importante des cas et de la mortalité pendant deux mois ; Janvier et février 2021 ont ainsi établi les records mensuels de nouvelles contaminations et de morts depuis le début de l’épidémie. Avec près de 70% de vaccinés les responsables de la politique sanitaire espéraient que la population bénéficierait d’une immunité contre le covid, mais la forte reprise de l’épidémie depuis le 26 mai a mis fin à leur illusion  en démontrant  que les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta.

L’incapacité des injections anti-covid à protéger les vaccinés et leurs contacts a été récemment illustrée par l’épidémie de plus de 100 cas qui a touché les 1300 marins du HMS Queen Elizabeth, alors qu’ils avaient tous été complètement vaccinés depuis plus de trois mois.

De plus, contrairement aux annonces répétées de nos gouvernants, les injections anti-covid ne protègent ni des formes graves, ni de la mort. Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois, a constaté que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4%) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : les personnes vaccinées meurent plus que les non-vaccinées”.

En Israël, les injections Pfizer n’empêchent pas la reprise de l’épidémie

Même phénomène en Israël où la vaccination a été suivie d’une explosion de cas et de morts pendant deux mois. Après une accalmie de 3 mois, une reprise de l’épidémie qui s’accélère depuis début juillet montre que le vaccin Pfizer est inefficace contre le variant delta.

En Israël les vaccinés représentent actuellement près de la moitié des nouveaux cas. Et contrairement aux annonces des labos et des gouvernants, recevoir l’injection Pfizer ne protège pas non plus des formes graves : en Israël les vaccinés sont actuellement plus nombreux en réanimation que les non vaccinés : 71% de ces 118 Israéliens sérieusement atteints (serious, critical) sont totalement vaccinés !

Pire encore, la proportion de malades graves vaccinés est supérieure à la proportion de personnes totalement vaccinées (61%.)

Ces chiffres commencent à faire douter les autorités sanitaires de l’efficacité du vaccin Pfizer. Le gouvernement a réintroduit l’obligation légale de porter des masques dans les lieux publics, deux semaines seulement après son abandon et conseille maintenant une troisième injection aux plus de 60 ans. Lui qui prétendait qu’après deux injections les Israéliens seraient libres et protégés, accuse ses concitoyens d’indiscipline au lieu de reconnaître que le vaccin Pfizer est inefficace. Néanmoins, selon les médias israéliens, le ministère de la Santé a annoncé qu’à partir du 1er août, tout Israélien de plus de 18 ans recevant sa première dose recevra le vaccin Moderna. Aucune explication pour ce changement.

Aux Émirats Arabes Unis, champion arabe des injections, celles-ci ne sont pas  plus efficaces

Aux ÉAU,  la vaccination a débuté en fin décembre 2020 à l’aide de Pfizer et Sinopharm et actuellement plus de 80% de la population a reçu les deux doses de vaccin depuis plus de 3 mois. Mais le nombre de nouvelles contaminations et la mortalité quotidienne restent toujours plus élevés qu’avant la vaccination

Avant la vaccination, en 9 mois d’épidémie, les EAU comptaient 197124 cas et  632 morts. Après 7 mois de vaccination, au 1/8/2021, ces chiffres ont plus que  triplé avec respectivement  682377 cas et 1943 morts. Dans ce pays aussi les injections anticovid ne sont pas efficaces.

Dans ces pays champions des vaccins anti-covid, ceux-ci n’ont pas protégé les vaccinés de la maladie, ni empêché les transmissions, ni prévenu les formes graves, ni évité une nouvelle vague d’infections.

Les campagnes de vaccination ont de plus été suivies à chaque fois pendant deux mois ou plus d’une augmentation forte des contaminations et de la mortalité (hécatombe post vaccinale) établissant les records mensuels de nouveaux cas et de morts depuis le début de l’épidémie.

Catastrophe post vaccinale aux Seychelles

Dans ce petit pays d’environ 100000 habitants les injections anti covid Sinopharm ainsi qu’une version indienne du sérum AstraZeneca ont été administrées à plus de 75% de la population avec des suites franchement délétères.

Avant la vaccination débutée en février 2021 les Seychelles recensaient 1243 cas et 3 morts. Six mois après la vaccination, le 2/8/21 elles comptent 18189 cas et 94 morts malgré le confinement et les autres mesures sanitaires qui leur ont été imposées depuis la campagne d’injections anti-covid.

Catastrophe post vaccinale en Mongolie

Avant la vaccination débutée le 23 février 2021 la Mongolie avait été épargnée par le Covid et ne recensait que 2723 cas et 2 morts5 mois après la vaccination, le 2/8/21 malgré une couverture vaccinale très élevée, supérieure à 65% elle comptabilise 164155 cas et 827 morts.

Catastrophe post vaccinale au Cambodge

Avant la vaccination le Cambodge avait été épargné par l’épidémie et ne recensait aucun mort de Covid. La vaccination a commencé le 7 février 2021. Neuf jours plus tard a été observé le premier décès dont le nombre total atteignait 1442 au 2 aout 2021.

Dans ces trois pays, auparavant quasiment indemne de Covid, les injections anti-covid ont exacerbé l’épidémie de manière dramatique

Pourquoi les injections anti-covid sont-elles aussi inefficaces ?

Contrairement à ce qui est officiellement raconté, les injections actuelles ne sont pas des vaccins (elles ne contiennent pas d’antigènes viral ni de virus inactivé) mais des injections d’ARN messager. Cette technique n’a jamais été utilisée chez l’homme pour lutter contre des infections et les résultats des essais de phase 3 ne seront pas connus avant 2023. Il s‘agit donc d’un traitement totalement expérimental qui n’aurait jamais dû être commercialisé avant la fin et l’analyse des essais cliniques phase 3 (2023). En population réelle, ils se révèlent trop peu efficaces.

L’aggravation dépendante des anticorps(([1] Stéphane KORSIA-MEFFRE VACCINS CONTRE LA COVID-19 : DOIT-ON S’INQUIÉTER DU RISQUE DE MALADIE AGGRAVÉE CHEZ LES PERSONNES VACCINÉES ? 03 novembre 2020))(([2] Lee, W.S., Wheatley, A.K., Kent, S.J. et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol 5, 1185–1191 (2020).
https://doi.org/10.1038/s41564-020-00789-5))(([3] Eroshenko, N., Gill, T., Keaveney, MK et al. Implications de l’amélioration de l’infection dépendante des anticorps pour les contre-mesures du SRAS-CoV-2. Nat Biotechnol 38, 789-791 (2020). 
https://doi.org/10.1038/s41587-020-0577-1))(([4] Ricke DO. Two Different Antibody-Dependent Enhancement (ADE) Risks for SARS-CoV-2 Antibodies. Front Immunol. 2021 Feb 24 ;12 :640093. doi : 10.3389/fimmu.2021.640093. PMID : 33717193 ; PMID : PMC7943455.)) peut expliquer les hécatombes post injections

L’explosion précoce des cas et de la mortalité après les campagnes d’injections anti-covid traduit vraisemblablement un phénomène d’anticorps facilitants (aggravation dépendante des anticorps ADE) déjà observé dans plusieurs infections virales, notamment le virus de la dengue, et les infections précédentes à coronavirus le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS). Sa nocivité a été tristement démontrée par la mort de plusieurs centaines d’enfants lors de la catastrophe sanitaire du vaccin Dengvaxia aux Philippines.

L’aggravation dépendante des anticorps (ADEantibody-dependent enhancement) est un large concept qui survient en lien avec certaines infections virales, lors de réinfection ou de primo-infection, en dépit d’une vaccination. Il peut s’agir : d’une « maladie aggravée associée à l’infection (initiale) » (IAEDinfection-associated enhanced disease) ou d’une « maladie aggravée associée à la vaccination » (VAEDvaccine-associated enhanced disease). Le plus souvent, l’ADE survient lorsque la personne présente des taux circulants d’anticorps neutralisants faibles (vaccination insuffisante ou ancienne, personnes âgées, infection peu symptomatique) ou une faible spécificité de ces anticorps, par exemple lors d’immunité croisée entre deux infections virales.
Ce risque avait été évoqué par l’académie de médecine en janvier 2021(([5] Communiqué de l’Académie de médecine : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ? 11/1/21)): « le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants ».

La fuite immunitaire avec l’apparition des variants explique l’incapacité à prévenir les futures rechutes

L’Académie avait averti que la généralisation d’un traitement insuffisamment efficace facilite l’apparition des variants ainsi « au plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Le Pr Delfraissy et quatre autres membres du comité scientifique dans un article(([6] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract the Lancet public health 18 février 2021 DOI VOLUME 6, NUMÉRO 4, E199-E200,1 AVRIL 2021 : 
https://doi.org/10.1016/S2468 2667(21)00036-0)) en anglais malheureusement non relayé en France avaient averti : « la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue… Au niveau de la population…, ils pourraient induire une sélection virale et une fuite, rendant de plus en plus éloignée la perspective d’obtenir une immunité collective. »

Conclusions

L’examen des faits avérés publiés par l’OMS montrent que les injections anti-covid actuelles sont incapables de protéger ceux qui les reçoivent de la maladie, ni des formes graves, ni d’en mourir.

Elles n’empêchent pas non plus la transmission aux contacts. Elles sont inefficaces contre le variant delta et donc incapables de prévenir les récidives des épidémies.

Les campagnes d’injection sont presque constamment suivies par une recrudescence de cas et de morts pendant plus de deux mois.

Comme elles exposent de plus à des complications graves, parfois mortelles comme le montre (entre autres) le site européen chargé de la surveillance des effets secondaires des médicaments dépendant de l’agence européenne, il n’existe aucune justification médicale à les conseiller et encore moins de les imposer directement ou indirectement par l’artifice d’un passe discriminatoire.

Les irresponsables ne sont pas ceux qui doutent des injections anti-covid expérimentales, mais bien ceux qui veulent les imposer sans attendre les résultats définitifs des essais phase 3 et refusent de recommander les traitements précoces qui ont fait leurs preuves dans de nombreux pays dont l’Inde.





Le Conseil Constitutionnel osera-t-il enterrer la République Française ?

Par Jean-Michel Grau

Le jeudi 12 juillet 2021 sera-t-il à marquer d’une pierre noire pour la démocratie française ?

En ce jour, le Conseil Constitutionnel devra prendre position pour savoir s’il valide ou non l’extension du pass sanitaire décrétée par Emmanuel Macron le 12 Juillet.

Pour rappel, ce pass sanitaire est anti-constitutionnel en ce sens qu’il bafoue et viole la constitution française car il heurte de manière disproportionnée nombre de libertés fondamentales.(([1] Pass_sanitaire_50000_citoyens_deposent_un_recours_devant_le_Conseil_constitutionnel.pdf (dejavu.legal) )) Ainsi :

« Cette obligation indirecte, puisque non prescrite par la loi, viole l’article 5 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui énonce que “nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas”. »(([2] Qu’on soit pour ou contre, le passe sanitaire bafoue la Constitution et les droits de l’homme ! – Boulevard Voltaire (bvoltaire.fr) ))

L’obligation vaccinale pour exercer certaines professions viole le droit à l’emploi et le droit de ne pas être lésé en raison de ses opinions ou de ses croyances, protégés par l’alinéa 5 du Préambule de la Constitution de 1946 comme par l’article 8 de la Déclaration de 1789.

Elle viole également le principe d’égalité, les libertés individuelles, le principe de protection de la santé, le droit à l’intégrité physique et à la dignité, le principe d’égal accès aux emplois publics, le principe de précaution, inscrits dans notre bloc de constitutionnalité.

En effet :

Soumettre l’exercice de certaines activités à la présentation d’un “pass sanitaire” aboutit en pratique à une obligation vaccinale pour le personnel travaillant dans les domaines listés ainsi qu’aux citoyens souhaitant y accéder : en effet, la contrainte représentée par le fait de devoir se rendre toutes les 48 heures dans un centre habilité pour y subir un prélèvement nasal non remboursé à compter de l’automne (environ 27 euros à ce jour pour un test PCR, soit 405 euros par mois) dans des centres qui seront probablement raréfiés et engorgés (du fait du non-remboursement) constitue une mesure d’effet équivalant à une obligation vaccinale.

Par ailleurs :

Le pass sanitaire viole le secret médical (L1110-4 du code de santé publique)

Le pass sanitaire viole la liberté de disposer de son corps (L16 -1 Code civil).

Le pass sanitaire viole la liberté de refuser tout traitement (L1111-4 du code de santé publique)

Il viole aussi au moins un accord européen :

la résolution 2361 adoptée le 28/01 par le Conseil de l’Europe (et dont la France est signataire) qui stipule :

– article 7.3.1 que la vaccination ne devra pas être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, si il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.

– article 7.3.2 que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.

Pour toutes ces raisons, le Conseil Constitutionnel s’expose à une responsabilité écrasante face à l’Histoire s’il valide l’extension du pass sanitaire décrétée par Emmanuel Macron.

Cela équivaudra à enterrer de fait la République française. Exactement comme l’a fait le parlement français un certain 10 Juillet 1940 en votant les pleins pouvoirs à Pétain, ouvrant la voie aux trois premiers actes constitutionnels pris par ce même Pétain le lendemain qui, outrepassant le texte du 10, constituent une forme de coup d’État en supprimant la République pour instituer un régime dictatorial au profit d’un chef d’État autoproclamé.

Pour éviter d’arriver à un tel scénario catastrophe, il reste deux options au Conseil Constitutionnel :

Option n°1

Vider l’extension du pass sanitaire de sa substance en invalidant toutes ses dispositions liberticides :

  • Accès aux hôpitaux hors cas d’urgence,
  • Accès aux écoles, collèges, lycées et universités,
  • Accès aux transports en commun (Trains, bus, métro, tramway…)
  • Accès aux Centres Commerciaux,
  • Accès aux lieux culturels (Musées, concerts, salles de spectacle, cinémas…)
  • Accès aux restaurants, bars, cafés, discothèques…)

Option n°2

Démissionner en bloc pour cause de conflit d’intérêt du président du Conseil Constitutionnel Laurent Fabius avec son fils Victor, vice-président du Cabinet de conseil Mc Kinsey qui élabore la stratégie vaccinale de la France.

Ceux que l’on appelle « les sages » sauront-ils se montrer dignes de leur fonction en rejetant ce pass liberticide qui institue de facto la dictature ?

Réponse jeudi, mais quelle que soit leur décision, elle restera gravée dans l’Histoire de France.

Ou comme une victoire de la liberté, ou bien comme une tache indélébile.





Modèle de plainte si des responsables scolaires/universitaires insistent pour vous forcer à vacciner votre enfant

[Voir aussi sur docteur.nicoledelepine.fr]

Par Nicole Delépine

Nom………….

Prénom ……………………

Date et lieu de naissance………………………

Profession……………………………..

Adresse…………………………..

                                                                       Monsieur le Procureur de la                                                                             République près le Tribunal                                                                              Judiciaire de………………..

Le………………………………..

Recommandée avec A.R.

OBJET : Plainte pour :

-Complicité de tentative d’empoisonnement (art. 121-7 et 221-5 C.P.)

-Abus d’autorité (art. 432-7 C.P.)

Monsieur le Procureur,

J’ai l’honneur de vous exposer les faits suivants.

(exposé de la situation que l’on subit. Ex. « le …aout 2021, le Proviseur du Lycée…. a indiqué à mon fils mineur…………………… qu’il ne pourrait pas revenir en septembre s’il n’était pas muni du Pass sanitaire, c’est à dire, s’il n’avait pas reçu les 2 doses au moins d’un des produits promotionnés par les autorités, et appelés faussement « vaccins »)

Je considère que cette attitude est hautement répréhensible pénalement pour les raisons suivantes :

I- LES FAITS :

Courant 2008, un rapport de l’UNESCO de 256 pages (disponible sur UNESDOC) évoque la particularité troublante de certains vaccins, contenant des nano-puces et des cristaux liquides pouvant influer sur le comportement humain, sans souci d’éthique politique.  Si l’on s’en réfère aux déclarations même des « décideurs » et de leurs « conseillers », l’objectif de l’opération pourrait bien être d’inoculer aux populations un vaccin très spécial. Ainsi la peur créée par la « pandémie »  aurait pour objectif de rabattre les populations vers un « vaccin » contre lequel l’UNESCO met en garde et dont on sait qu’il comportera en réalité des nano-puces, vecteurs d’identification biométriques, et des cristaux liquides.

Lors de la conférence TED 2010, Bill Gates indique espérer réduire la population mondiale « avec de bons résultats sur les nouveaux vaccins »

Courant 2017, après que Bill Gates ait versé des subventions importantes à l’O.M.S., (organisme créé par la famille Rockefeller) la faisant ainsi devenir progressivement, une organisation privée, Tedros Adhanom Ghebreyesus est nommé à sa tête.

Ce personnage fut membre du bureau politique du Tigray People Liberation Front (TPLF), une organisation inscrite dans la liste des organisations terroristes du U.S. Homeland Security. Il fut Ministre de la Santé en Ethiopie de 2005 à 2012, et est membre du Conseil d’administration de l’alliance pour la vaccination (GAVI) qui œuvre au profit de l’industrie pharmaceutique pour imposer la multi-vaccination avec des puces RFID à la terre entière.

On comprend aujourd’hui, pourquoi l’O.M.S. préconisait de ne pas utiliser d’anti-inflammatoire contre le Covid 19, et n’a cessé d’affirmer qu’il n’existait pas de traitement, mais « qu’un vaccin est à l’étude… »

Le 23 février 2017, Monsieur Bernard CAZENEUVE, premier ministre, prononce le discours à la cérémonie d’accréditation du laboratoire de haute sécurité biologique P4 à WUHAN, (République Populaire Chinoise), en présence,

notamment, du mari (Président de l’Inserm) de Madame Agnès BUZIN, elle même à l’époque, présidente de la Haute Autorité de Santé (H.A.S.)

Le 21 septembre 2018, la société Microsoft Technology  Licensing (fondée par Bill Gates) dépose aux USA un brevet intitulé CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA. Ce brevet ne sera publié que courant mars 2020 (WO2020/060606A1).

Il concerne des nanoparticules qui auraient la faculté, lorsqu’elles sont introduites  dans le corps humain par des injections, d’être  identifiées et localisées par n’importe quel ordinateur.

Courant 2018, la Banque mondiale WITS (World integrated Trade Solution) publie sur son site, des millions de commandes émanant de nombreux pays, pour lesquelles on lit « : COVID-19 Diagnostic-Test instruments and apparatus »

Dès que cette information a filtrée, la mention « Covid-19 » a été effacée, et devant l’indignation sur les réseaux sociaux, la WITS a déclaré que cette appellation était une coïncidence…

A l’automne 2019, a lieu aux U.S.A., sous la présidence du milliardaire, fondateur de la société Microsoft Technology  Licensing, et finançant une grande partie du budget de l’O.M.S., une simulation d’une pandémie qui serait due à un coronavirus, sur la base d’un roman écrit en 1981 : « The eyes of darkness ». Cette simulation portait le nom de « Event201 ».

Lors de la conférence ID2020 Sommet 2019, Bill Gates fait la promotion du vaccin contenant le « marqueur » à nano-puce électronique, destiné à « marquer » et à contrôler 7 milliards d’humains. (mais il ne fait pas vacciner ses enfants).

Les premiers cas de Covid 19 seraient apparus au marché de Wuhan, à 180m. du laboratoire inauguré par M. CAZENEUVE.

1ères anomalies et contradictions

On commence à en parler en France en fin décembre 2019, et en même temps, l’hydroxychloroquine est brusquement classée dans les substances interdites, par un arrêté ministériel signé en janvier  2020 par Mme BUZYN, dont le mari (encore lui) fut nommé en Octobre 2019, « Conseiller d’Etat en service extraordinaire », et quitta ses fonctions au moment du 1er déconfinement. (« La Dépêche.fr » 22 mai 2020).  N.B. : Pendant le confinement, presque tous les recours déposés au Conseil d’Etat par ceux qui critiquaient les textes liberticides, ou réclamaient simplement que l’on fasse connaître les thérapeutiques existantes, ont été rejetés…

Début mars, les scientifiques nous expliquaient sur les media, que le masque ne servait à rien et que l’idée d’un confinement aurait plus d’inconvénients que d’avantages.

En réalité, le recul, et les déclarations occultées de nombreux scientifiques, nous permettent d’affirmer  :

  • que ce jour là ils avaient raison,
  • mais qu’une pensée unique s’est, juste après,  brusquement introduite dans tous les milieux officiels et dans les media, ce qui fait que le discours officiel va brusquement changer.

15 jours plus tard, l’on va confiner,  et, curieusement, alors que des traitements de cette nouvelle grippe  étaient utilisés avec succès, personne n’en parle :

  1. a) l’hydroxychloroquine, préconisée par le Pr. RAOULT, et curieusement interdite dès janvier 2020, alors que ce produit était connu et largement utilisé depuis 70 ans. Courant avril 2021, l’on apprend que le Sénégal qui, dès le début, a suivi le protocole du Pr. RAOULT a recensé 61 morts par million d’habitants, soit 23 fois moins que la France.
  1. b) La Vitamine C en perfusion et à forte dose (100 % d’efficacité et sans effets indésirables sérieux dans les services des Pr. MARIK et VARON aux U.S.A.),

Par courrier du 11 mars 2020, le Dr. LABREZE, médecin dans les Bouches du Rhône, en informe M. le Ministre de la Santé, et ajoute, concernant les USA :

« Le Pr MARIK a traité deux groupes de 47 patients atteints d’une pathologie infectieuse grave (voire critique),  pris en charge dans son service de réanimation.
Il y a eu 19 décès dans le groupe pris en charge avec les méthodes aujourd’hui utilisées dans tous les centres hospitaliers, y compris dans les CHU français .
Dans le groupe  traité avec des injections de vitamine C, d’hydrocortisone et de  thiamine (Vit B1), aucun patient n’est décédé des conséquences de son infection !

Nous parlons ici de 19 décès versus zéro décès !!

Compte tenu du fait que la rigueur professionnelle et scientifique des auteurs de cette  publication ne peut être raisonnablement mise en doute, ne pas agir immédiatement, sur la base de cette information, alors que plus de quatre mille patients sont actuellement en services de réanimation,  représenterait, à mon sens, une négligence grave et, très clairement, une mise en danger de la vie de ces patients, ou de ceux dont l’état de santé actuel pourrait se dégrader très rapidement, faute d’avoir pu bénéficier des traitements que j’ai portés et porte à nouveau à votre connaissance… »

« Dans les circonstances actuelles, faisant craindre le développement d’une épidémie liée au coronavirus et la mort d’un nombre important de nos concitoyens, quel que soit d’ailleurs leur état de santé antérieur et l’existence ou non de comorbidités, il me semble important et urgent de porter à votre connaissance l’existence de ressources thérapeutiques validées mais encore insuffisamment connues de la communauté médicale, notamment dans notre pays….

Je pense qu’une large diffusion de ces informations apparaît aujourd’hui comme une action prioritaire de santé publique, puisqu’elle va donner aux équipes médicales hospitalières particulièrement démunies face aux formes sévères de COVID-19, une ressource thérapeutique particulièrement efficace qui leur permettra indiscutablement de sauver des vies… ».

Fin mars, le Pr MARIK, de la Eastern Virginia Medical School, écrit :

« …Nous avons traité 4 patients avec un syndrome de détresse respiratoire aigüe lié au COVID et tous se sont améliorés dans les 6 à 12h ayant suivi l’instauration du traitement.

L’intubation a été évitée pour l’un d’entre eux et les 3 autres sont maintenant sevrés.

Le Dr VARON, Président du conseil d’administration de l’United General Hospital et médecin chef et responsable du département des soins intensifs, a, à ce jour, traité 14 patients atteints du COVID avec notre protocole. Il a rapporté également une amélioration rapide dans les 12 heures qui ont suivi l’administration du traitement.

Six de ces patients ont été extubés dans les 4 jours, et tous les autres sont aujourd’hui sevrés….

La vitamine C a été intégrée dans l’algorithme de traitement du COVID de l’Université du Wisconsin. 

Nous croyons que l’utilisation de notre protocole va sauver des vies. Et, ce qui est important également, c’est qu’elle va permettre d’éviter l’intubation pour un grand nombre de patients, écourtera le recours à une ventilation assistée lorsqu’elle aura été mise en œuvre, libérant ainsi ces équipements essentiels qui pourront ainsi être utilisés pour d’autres patients. La vitamine C est bon marché, facilement disponible et totalement dépourvue d’effets secondaires… »

Le Pr. VARON indique, le 13 avril 2020 :

« Notre succès avec la combinaison thérapeutique est incroyable. Aujourd’hui nous avons traité plus de 25 patients à l’United Memorial Medical Center de Houston, et pas un seul n’a dû être intubé. Tous étaient atteints d’une forme sévère de pneumopathie due au Covid 19, et furent rapidement guéris par l’acide ascorbique, la Thiamine, des stéroïdes, et de l’Heparin. Nous avons aussi ajouté l’hydroxychloroquine et l’azythromicine à ces patients… »

N.B. Le Pr. J. VARON fait partie des scientifiques nationalement connus aux U.S.A.

Il enseigne au Texas, et au Mexique.

Il totalise plus de 400 publications scientifiques et a publié une dizaine d’ouvrages.

Le Ministre de la Santé a reçu toutes ces informations.

Devant l’absence de réaction du Ministre de la Santé, un groupe de médecins saisit 2 fois le Conseil d’Etat, en vain.

  1. c) Artemisia annua utilisée avec succès également en Afrique et à Madagascar);

En mars 2021, Madagascar qui totalise environ 27.000.000 d’habitants, annonçait moins de 400 décès du Covid depuis le début de l’épidémie…

  1. d) Dans le courant de l’année 2020, l’on apprenait également que l’Ivermectine, médicament utilisé depuis des décennies, était très efficace concernant cette pathologie. Curieusement, ce médicament avait été, lui aussi, interdit : tout médecin le prescrivant serait poursuivi devant le Conseil de l’Ordre.

Parallèlement,  dans Paris-Match, du  9 au 15 av. 2020, le Pr. BRECHOT, ancien Directeur de l’institut Pasteur, Président du Global Virus Network, déclarait « …Aucun vaccin fiable n’a été mis au point contre un coronavirus… »

Ainsi, il devenait de plus en plus clair que l’objectif était :

  • De faire croire que la maladie risquait de décimer tout le monde, en manipulant les chiffres,
  • De faire croire qu’il n’existait aucun traitement
  • De faire croire que seul le vaccin serait salvateur.

La Manipulation des chiffres :

Le Secrétaire général des Nations Unies monsieur Antonio GUTERRES déclarait publiquement :

«… Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adoptés des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des organisations non gouvernementales, des défenseurs du droit humain, des journalistes, des avocats, des militants, des  professionnels de la santé, ont fait l’objet d’arrestations, de poursuites, et des mesures d’intimidations et de surveillances pour avoir critiqué les mesures ou le manque de mesures…, les restrictions servent d’excuse pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques, l’accès à   l’information vitale a été entravé, tandis que la désinformation mortelle a été amplifiée, y compris par certains dirigeants…»

S’il est incontestable qu’il existe un virus (sars-cov 2), toutefois il a été volontairement surévalué dans sa dangerosité « pour établir la peur » et les restrictions sur les droits fondamentaux pour la population, tel que le révèle le courrier du comité scientifique dirigé par monsieur Jean-François DELFRAISSY publié dans « The Lancet » :

Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract § 3.

«… Hence, it is time to abandon fear based approaches based on seemingly haphazard stop-start generalized confinement as the main response to the pandemic»  Lancet Public Health 2021 Published Online February 18, 2021

https://doi.org/10.1016/S24682667(21)00036-0

Il est remarqué que, partout dans le monde, le taux de mortalité lié au covid-19 a été purement fabriqué artificiellement en y incluant toutes les pathologies à son compte ; ainsi en France, à de multiples reprises, le président de la commission des affaires sociales, commission permanente de l’Assemblée nationale, a demandé au ministre de la santé :

« …je ne reviens pas sur la question polémique du masque et la question de Leprus, que pouvez-vous me dire sur la surmortalité invisible qui est occulté par le covid-19, je pense au cancer, aux maladies cardiovasculaires et autres, et on a des certificats de décès que j’ai pu constater dans la mairie où j’appartiens, à savoir des personnes très âgées qui sont décédées marquées covid-19, or ces patients n’ont jamais eu le covid-19, c’est le médecin qui a marqué covid-19, on ne sait pas pourquoi, mais il y a une surmortalité qui existe dans les certificats médicaux, j’ai posé la question à monsieur Salomon « Jérôme Salomon, le ‘Monsieur coronavirus’ du gouvernement», mais il m’a dit qu’il regarderait ça ? ».

Il est clairement établi la fabrication de faux certificat de décès avec la complicité de certaines personnes au nom du covid-19 ; par ailleurs, la grippe n’existe plus en France, le taux de mortalité étant de 0 ; ainsi toutes les personnes décédées de cancer, de problème pulmonaire, de vieillesse ou d’autres pathologies, sont déclarées covid-19.

Il n’y a pas lieu de s’étendre sur l’interprétation des« sur-hospitalisations » invisibles liées au covid-19, la France employant le même schéma de mensonges, en modifiant la norme régissant la réanimation : « lits pour accueillir des patients avec des défaillances multi-organiques, nécessitant une assistance respiratoire» ré-exprimée depuis le covid-19″.

Ainsi, a été gonflé artificiellement le nombre de personnes hospitalisées en réanimation pour covid-19. Prenons cet exemple : une personne atteinte de septicémie se retrouve en surveillance continue, est-elle pour autant en réanimation atteinte du covid-19 justifiant une surcharge hospitalière covid-19 ? En France : oui!

L’Institut    National    de    la    Statistique    et    des    Études    Économiques    montre    une    faible   surmortalité   en   2020   en   dehors   des   périodes   de   confinement.

Selon les données de l’Insee, statistiques de l’Etat Civil, le nombre  de décès moyen par jour en France était de :

  • 1.863 en Février 2018
  • 1.994 en février 2019
  • 1.772 en février 2020

Les autorités de Santé Publique avaient parfaitement connaissance de ces chiffres démontrant que la gravité de l’épidémie n’existait que sur les grands médias qui se contentaient de véhiculer ce que leur disaient les porte-paroles des autorités.

II- LES INFRACTIONS PENALES :

1°) Complicité de tentative d’empoisonnement : (art. 221-5  C. Pénal)

Dès le début de la vaccination, de nombreuses voix  se sont élevées, provenant de scientifiques du monde entier (Docteur Alexandra Henrion-Caude, Docteur Sheri Tenpeny, Professeur RAOULT, docteur Eric MENAT, Dr. AGRET etc…) indiquant :

  • Que les contrats signés entre la commission européenne et les laboratoires Pfeizer, Moderna, Astra Zenecha contenaient d’étranges dispositions par lesquelles :
  • Les parties reconnaissent ne rien savoir sur l’efficacité des produits,
  • Les parties reconnaissent ignorer les effets indésirables à long terme,
  • En cas d’effets indésirables, les laboratoires bénéficient d’une exonération de responsabilité.

Les scientifiques précités ainsi que de nombreux autres médecins ont voulu attirer l’attention des pouvoirs publics et des médias sur le fait que les produits qualifiés de vaccins ne correspondaient pas du tout à la définition classique du vaccin.

En effet, un vaccin est un produit contenant un virus inactivé ou atténué ayant pour but de créer des anticorps.

Les produits actuels ne répondent pas du tout à cette définition, et sont en réalité des médicaments de thérapie génique, lesquels médicaments seront injectés à des gens bien portants.

Les scientifiques précités s’élèvent contre le fait que tous les produits qualifiés de vaccins anticovid n’ont qu’une autorisation conditionnelle de mise sur le marché puisqu’ils  sont tous en phase 3 d’essai clinique. Cette phase 3 ne se terminera qu’en 2022 ou 2023.

Les scientifiques précités ont tenté d’alerter les pouvoir publics et les médias sur le fait que les essais effectués sur des animaux avaient mis en évidence le fait que les éléments OGM injectés allaient déclencher une protection éventuelle contre le covid19,  mais allaient parallèlement neutraliser tous les anticorps naturels de l’être vivant  qui n’aura ainsi plus la moindre défense immunitaire contre tous les autres virus.

Ils indiquent  que lorsqu’un sujet « vacciné » entrera en contact avec n’importe lequel autre virus grippal, ou virus de la rougeole ou de la coqueluche, etc…, même s’il a reçu des vaccins classiques antérieurement, ses défenses immunitaires étant totalement neutralisées, la guérison ne sera pas possible et le nombre de décès risque d’être impressionnant dès l’entrée de l’hiver 2021.

Déjà, le site de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM), indiquait qu’au 21 mai 2021, il y avait déjà 37.000 cas d’effets indésirables dont 9.000 graves et environ 700 décès.

La base de données Européenne d’effets indésirables indique début juin 2021 1.354.336 effets indésirables dont plus de 600.000 graves et 13.867 décès !

         NB : Les organismes de pharmacovigilance de nombreux pays, dont la France, indiquent n’avoir connaissance que de 10 % des effets  indésirables…

         Les chiffres réels sont donc certainement à multiplier par 10….

Les scientifiques précités ainsi que de nombreux autres indiquent que, outre les cas de thromboses survenus immédiatement après l’injection ou dans les 15 jours qui suivent, les produits vont entraîner la stérilité de nombreux êtres et déclencher de nombreuses fausses couches chez les femmes enceintes.

Or, les campagnes gouvernementales, avec le soutien des grands médias,  tentent de convaincre tous les français de se faire injecter ces produits qui sont un véritable poison. Les français sont tellement manipulés et induits en erreur qu’ils n’ont même pas remarqué que les premières vaccinations en Europe qui ont eu lieu en Grande Bretagne ont été suivies presque immédiatement par l’apparition du variant anglais.

Ainsi, de nombreux médecins redoutent qu’à l’automne, les effets indésirables graves soient faussement attribués  à un variant, et  que la France ne revive une 4ème vague pour laquelle tant les autorités que les médias se garderont bien de s’interroger sur la nocivité de ce produit et le lien de causalité, même si les personnes hospitalisées seront quasiment toutes des personnes ayant reçu des injections.

J’estime que cette opération visant soi-disant à nous protéger d’un virus qui n’a occasionné que 0,035 % de décès parmi les personnes contaminées, soit un des taux les plus faibles  parmi toutes les épidémies contemporaines, n’est qu’en fait une vaste tentative d’empoisonnement.

Je m’interroge sur les véritables motivations de cette opération et estime qu’en ayant interdit toutes les thérapeutiques, en ayant gonflé artificiellement les chiffres des soi-disant morts du virus, et en tentant de nous convaincre de nous faire injecter un produit qui à long terme peut être mortel, les français se trouvent face à une véritable tentative collective d’empoisonnement.

Monsieur Dupont Moretti, Ministre de la Justice, déclarait lui-même récemment « On ne va pas obliger les détenus à se  vacciner, car les détenus ne sont quand même pas des cobayes ».

Fin Mai 2021, le Dr. Geert Van Den Bossche, pourtant l’un des créateurs de vaccins les plus réputés dans le monde, a adressé une lettre ouverte à des milliers de professionnels de santé, indiquant qu’il fallait d’urgence arrêter ce programme de vaccinations.

Il y  lieu de préciser que Geert Van den Bossche a été :

  • biologiste au sein du laboratoire GSK,
  • directeur des programmes de recherche des adjuvants chez Novartis,
  • directeur de projets de vaccins contre la grippe au sein de la fondation Bill et Melinda Gates,
  • agent principal de santé mondiale et découverte de vaccins chez Gavi
  • etc…

Toutes ces informations sont connues des autorités de santé depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois, ainsi que des responsables des administrations qui ont été inondées de courriers.

C’est donc en connaissance de cause, que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et dont la dangerosité apparait de plus en plus.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car de nombreux français avaient fermement l’intention de recevoir l’un des produits, mais viennent d’y renoncer, devant la multitude d’informations alarmantes dont ils ont eu connaissance.

Ces informations ont été transmises au          Recteur d’Académie,

                                                                       Président de l’Université

                                                                       Proviseur du Lycée

                                                                       Directeur du Collège…..

Ainsi, en connaissance de cause, cette personne tente de

-contraindre mon fils mineur à se faire injecter un produit hautement toxique, n’ayant de vaccin que le nom.

-me contraindre à me faire injecter un produit hautement toxique, n’ayant de vaccin que le nom.

J’estime qu’il y a de la part de cette personne, une volonté de « ne pas savoir » ,et de participer à une tentative d’empoisonnement collectif, d’autant plus que l’efficacité protectrice de ces produits est de plus en plus douteuse :

En Israel, l’un des pays les plus vaccinés au monde, j’ai appris que plus de 50% des personnes hospitalisées avec le diagnostic « Covid » étaient correctement vaccinées, et qu’il existe une surmortalité de 20% chez les jeunes par rapport à l’année précédente.

2°) Abus d’autorité (art. 432-7 C.P.) :

Le fonctionnaire qui

m’a empêché

a empêché mon fils

d’entrer dans l’établissement scolaire, en sachant que cette décision empêche tout élève ou étudiant de continuer un cursus d’études normal, constatant que la consigne qui lui a été donnée par sa hiérarchie, est contraire aux conventions internationales que la France a ratifiées, et notamment la Convention d’Oviedo, constatant que depuis le procès de Nuremberg, le procès de Klaus BARBIE, ou le procès de Maurice Papon, s’est dessinée une Jurisprudence indiquant que le fonctionnaire destinataire d’une consigne illégitime, a le devoir de désobéir, se devait d’ignorer cette consigne, et de permettre l’accès à l’établissement d’une personne n’ayant pas reçu le produit qualifié de « vaccin ».

Faute d’ignorer ce principe, les accusés du procès de Nuremberg ayant tous « obéi aux ordres » n’auraient jamais pu être condamnés.

Ainsi Monsieur le    Recteur d’Académie,         

                              Président de l’Université

                              Proviseur du Lycée

                              Directeur du Collège…..

s’est rendu coupable d’un abus d’autorité, dans la mesure où il a refusé l’exercice d’un droit accordé par la loi, à savoir le droit pour tout citoyen, de fréquenter un établissement d’enseignement, au motif que ce citoyen n’a pas reçu les injections prévues par le plan vaccinal, ce qui rend cette décisions hautement discriminatoire.

EN CONSEQUENCE,

J’ai l’honneur, par la présente de déposer plainte entre vos mains contre :

Monsieur le Recteur d’Académie,

                    Président de l’Université

                    Proviseur du Lycée

                    Directeur du Collège…..

pour :         -Complicité de tentative d’empoisonnement, faits prévus par les                 art. 121-7 et 221-5 C.P.

                  -Abus d’autorité, faits prévis par l’art. 432-7 C.P.

Je vous prie de croire, Monsieur le Procureur, à l’assurance de ma Considération.




L’escroquerie Covid s’effondre sur tous les fronts

[Source : jacqueshenry]

Par Paul Craig Roberts [avec commentaires de Jacques henry (en rouge)]

L’escroquerie Covid s’effondre sur tous les fronts un peu comme la Wehrmacht après Stalingrad. Le port de masques et les confinements sont de retour, car les autorités sanitaires admettent désormais que les vaccins Covid n’offrent pas de protection efficace, notamment contre ce qu’on appelle les « nouveaux variants ». À quoi sert un passeport Covid quand le vaccin ne protège pas et que les vaccinés doivent porter des masques ? La presse (presstitute dans le texte) aux États-Unis rapporte faussement que la « nouvelle épidémie » de Covid atteint surtout les jeunes non vaccinés, et la pression est donc exercée pour vacciner tous les jeunes. Mais les faits racontent une autre histoire. Au Royaume-Uni, par exemple, les nouveaux cas de Covid explosent parmi les personnes entièrement vaccinées, augmentant de 40% en une semaine tandis que les nouveaux cas de Covid parmi les non vaccinés diminuent de 22%. Israël est un autre exemple où la hausse des cas de Covid se fait parmi les vaccinés.

[Ndlr : dans le cas très hypothétique où les « vaccins » ne seraient que des placebos, si 99 % de la population était vaccinée, il faudrait s’attendre logiquement à ce que 99 % des cas de covid se retrouvent parmi ces vaccinés, et, inversement, à ce qu’il n’y ait que 1 % des cas de covid parmi les non-vaccinés. On ne doit donc pas comparer par rapport à la population globale, mais regarder le taux de malades parmi chacune des deux populations séparément : celle des vaccinés, d’une part, et celle des non-vaccinés d’autre part. Ainsi nous ne pourrions affirmer que le vaccin rend davantage malade que la covid elle-même uniquement si par exemple nous constations une moitié de malades de la Covid suite à la vaccination, par rapport à seulement un tiers ou un quart de malades chez les non-vaccinés.]

Il est hilarant de voir les défenseurs des vaccins soutenir que l’augmentation des nouveaux cas de Covid parmi les vaccinés est la preuve que les vaccins fonctionnent ! Non, je n’invente pas. Voici ce que déclare Katelyn Jetelina : « Plus une population est vaccinée, plus nous entendrons parler de vaccinés infectés ». Note, les inserts entre parenthèses et caractères italiques sont de mon fait et non de l’auteur de l’article.

Arieh Kovler explique : « Les pays à forte vaccination verront la plupart des personnes vaccinées tomber malades de Covid. » https://www.deseret.com/coronavirus/2021/7/20/22584134/whats-going-on-in-israels-outbreak-among-vaccinated-people . Ce qu’ils veulent dire, c’est qu’au fur et à mesure que les populations se font vacciner, il n’y a personne pour attraper le Covid, sauf les vaccinés. Malgré ces évidences, les propagandistes des vaccins revendiquent toujours une efficacité de 97,5% pour les vaccins. Il n’y a aucune preuve que ce soit pour cette affirmation fantaisiste. Seul un crétin ignorant ferait une affirmation aussi absurde.

Bien que les vaccins soient inutiles comme protection, leurs effets secondaires sont mortels. La base de données de l’Union européenne sur les déclarations de réactions médicamenteuses suspectées couvrant 27 pays européens, EudraVigilance, rapporte qu’au 17 juillet 2021, il y a eu en 2021 18 928 décès et 1 823 219 effets secondaires associés aux vaccins Covid : https://www.globalresearch.ca/18928-dead-1-8-million-injured-50-grave-reported-in-european-unions-database-of-adverse-drug-reactions-for-covid-19-shots/5750722

La base de données américaine, VAERS, rapporte qu’au 9 juillet 2021, il y avait 10 991 décès et 463 457 effets indésirables sur la santé associés aux vaccinations Covid. Un lanceur d’alerte du CDC ayant accès aux données du VAERS a révélé dans une déclaration sous serment sous peine de parjure que le nombre réel de décès dans la base de données est cinq fois plus élevé que le nombre publié https://www.paulcraigroberts.org/2021/07/26/how-the-covid-scam-is-perpetrated/ La base de données britannique des effets secondaires causés par les vaccins s’appelle le système Yellow Card. Au cours des quatre premiers mois de cette année, il y a eu 888 196 événements indésirables liés au vaccin et 1 253 décès.

Considérant que les systèmes de notification des effets indésirables des vaccins ne devraient pas couvrir plus de 10 % de ces effets adverses et des décès dus aux vaccins, pour les seuls États-Unis et le Royaume-Uni du début de l’année à la mi-juillet ces pays pourraient avoir subi 22 866 760 effets indésirables sur la santé et entre 299 190 et 639 280 décès dus aux vaccins contre le Covid (cette estimation me semble hasardeuse dans la mesure où le chiffre de 10 % n’est pas prouvé et probablement loin de la réalité). C’est un résultat pire que ce qui a été observé lors de l’épidémie de Covid. Les presstitués (expression de Paul Craig Roberts pour qualifier les journalistes), les bureaucrates de la santé publique et les politiciens stupides qui ont rampé sous les pressions multiples ne rapportent pas ces chiffres massifs. Leur excuse est que les systèmes de déclaration des effets indésirables des vaccins ne prétendent pas que ces événements indésirables sont causés par les vaccins, mais seulement qu’ils sont associés à la vaccination. Mais dans tous les cas précédents de vaccination (l’exemple emblématique fut l’essai en phase 3 de Sanofi aux Philippines pour un vaccin contre la dengue qui provoqua la mort de plus de 2000 enfants), un nombre beaucoup plus petit de décès associés a servi à retirer les vaccins de leur utilisation. Pourquoi pas cette fois ? De toute évidence, il existe des programmes en cours qui ont la priorité sur les règles normales et la santé publique – le profit, une augmentation du pouvoir du gouvernement sur des personnes autrefois libres, et peut-être des programmes plus sombres tels que la « grande réinitialisation » du WEF (World Economic Forum, alias Club de Davos) et le contrôle de la population. Ces possibilités sont-elles les croyances des « théoriciens du complot » ou sont-elles des conclusions logiques des contradictions évidentes du récit officiel du Covid ?

La pandémie est-elle réelle ?

L’Organisation mondiale de la santé et les Centers for Disease Control ont admis que la base même de la prétendue « pandémie de Covid » – le test PCR – n’est pas fiable et ne peut pas faire la différence entre grippe et Covid et entre infecté et non infecté. Le CDC a annoncé qu’il retirait sa demande d’autorisation d’utilisation d’urgence du test PCR à compter du 31 décembre 2021: https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html .Pourquoi le CDC attend-il quatre mois pour cesser d’utiliser un test Covid qui exagère énormément le nombre de cas ? La réponse est-elle que, comme le test est exécuté à des cycles élevés qui produisent un taux de faux positifs de 97%, le CDC veut préserver la peur d’une infection massive jusqu’à ce que tous soient vaccinés ? Comme le CDC partage le butin de Big Pharma, tout comme le NIH, nos autorités de santé publique ont de graves conflits d’intérêts. Alors que nous vivons dans un monde où littéralement tout est corrompu par l’argent, pourquoi devrions-nous penser que la santé publique est une exception ?

Mathew Crawford a examiné le remaniement par le CDC de son système d’alerte qui est utilisé pour indiquer quand les événements indésirables associés aux vaccins atteignent un niveau d’alerte rouge. https://roundingtheearth.substack.com/p/defining-away-vaccine-safety-signals Il a constaté que l’effet de la révision était de brouiller la différence entre les vaccins sûrs et ceux qui sont dangereux. En d’autres termes, le signal d’avertissement a été désactivé. Était-ce le résultat d’une incompétence ou d’une intention? Ne vous attendez pas à ce qu’une enquête soit menée. L’ensemble du monde politique, médiatique et médical est lié à la pandémie orchestrée et à l’efficacité de vaccins mortels. Leur crédibilité est en jeu. Ils ne peuvent pas se permettre qu’une telle chose soit reconnue et encore moins étudiée.

Et maintenant, nous avons un autre développement honteux. Eli Lilly a développé un remède avec des anticorps pour Covid, et son déploiement est bloqué au motif qu’il ne guérit pas des variants, ce qui pourrait être plus présumé que réel. https://www.wsj.com/articles/eli-lilly-covid-19-antibody-drug-shipments-paused-over-variant-concerns-11624652980 . Comme l’establishment commence à l’admettre les vaccins ne protègent pas contre les nouveaux variant et il existe la totalité de la presse pour défendre et contraindre à la vaccination universelle avec ces vaccins dangereux. Si le même argument utilisé contre le traitement d’Eli Lilly est appliqué aux vaccins, l’utilisation des vaccins devrait être immédiatement bloquée, en particulier avec leur dossier d’effets secondaires dévastateurs. De plus, l’establishment médical n’a fourni aucune preuve que le remède d’Eli Lilly ne fonctionne pas avec les variantes. C’est pourtant sur une affirmation mensongère que les presstitués font du battage médiatique.

En effet, comme je ne cesse de le demander, comment savons-nous que ce que l’on appelle des variants ne sont pas des maladies induites par la vaccination ? Comment qualifient-t-ils ce grand nombre signalé de maladies induites par la vaccination parmi les personnes entièrement vaccinées ? Ils ne le font pas. Ils les cachent sous le tapis. Je soupçonne que la véritable raison du blocage du traitement d’Eli Lilly est que les fabricants de vaccins ont plus de poids et ne veulent pas de diminution de leur marché des vaccins tant qu’ils n’auront pas pleinement exploité financièrement parlant les craintes de Covid. De plus, je soupçonne que les autorités de santé publique qui ont enfreint la loi en autorisant l’utilisation d’urgence des vaccins non testés au motif qu’il n’y avait pas de remède alors qu’il y en avait deux – HCQ et Ivermectine – ne veulent pas d’un troisième remède dans le paysage.

Le bureaucrate médical, le Dr Tony Fauci, qui a qualifié le sénateur américain Rand Paul de menteur pour avoir souligné que les documents de subvention du NIH montrent que Fauci a financé des recherches au laboratoire de Wuhan en Chine soucieux de rendre le coronavirus plus infectieux, a maintenant admis à la télévision qu’il avait financé la recherche et il la défend sur des motifs totalement absurdes que son protecteur presstitué, Jake Tapper, a soigneusement négligé. 
https://nypost.com/2021/07/25/anthony-fauci-defends-us-funding-research-at-wuhan-lab/?utm_campaign=iphone_nyp&utm_source=mail_app. Ce crétin de CNN est d’accord avec Fauci, qui a fait un paquet d’argent avec ce virus et qu’il aurait été « négligent » s’il n’avait pas financé la création du SARS-CoV-2.

Nous avons donc « le principal expert américain en virus » (quelle blague !) créant un virus, puis en créant une pandémie autour de lui sur la base de l’utilisation d’urgence frauduleuse d’un test invalide, puis en soutenant des blocages insensés qui ont détruit les entreprises de la classe moyenne, puis en prenant en charge l’obligation de port de masque insensée. qui n’offrait aucune protection et causait de nombreuses maladies, rien de moins qu’un masque N95 n’offre aucune protection, puis a augmenté un grand pourcentage de la population mondiale avec une nouvelle technologie expérimentale appelée un vaccin qui est très dangereux, et demande maintenant la vaccination obligatoire des adolescents et des enfants qui ne sont pas menacés par le Covid-19. L’establishment médical complètement corrompu dit d’un côté vicieusement que les vaccins Covid ne protègent pas contre les variants, donc les vaccinés doivent à nouveau porter des masques, et de l’autre côté tout aussi vicieusement ils disent, en totale contradiction, que les jeunes doit être vaccinés avec ces vaccins pour être sûr.

Maintenant, soit nous avons une situation dans laquelle presque tout l’establishment médical est totalement incompétent et stupide au-delà de toute croyance, soit nous avons presque tout cet establishment médical impliqué dans une gigantesque escroquerie qui tue et blesse des centaines de milliers de personnes. Il n’y a pas d’autre explication.

Il en va de même pour les politiciens. L’un des plus odieux est le meurtrier de masse de New York, le gouverneur Andrew M. Cuomo, qui a envoyé des patients Covid dans des maisons de retraite où les personnes âgées infectées par les patients Covid importés sont décédées. Le démocrate Cuomo a obtenu un laissez-passer du département de la justice du démocrate Biden. Voilà pour la responsabilité et la justice. Si vous êtes démocrate, il n’y a pas de responsabilité. Qu’est-il advenu du rapport de John Durham sur le Russiagate ? De toute évidence, le rapport n’est qu’une autre victime de la non-responsabilité des démocrates.

Voici le meurtrier de masse Cuomo. Regardez son expression folle. Écoutez ce meurtrier de masse hystérique déclarer la guerre aux non vaccinés :

Les républicains, y compris ce rénégat de McConnell se sont joints aux démocrates pour encourager les vaccinations. Maintenant que l’on sait que les vaccins ne protègent pas mais tuent, des républicains idiots veulent que tout le monde soit vacciné. Comme beaucoup le disent depuis si longtemps, il n’y a pas de parti d’opposition. Les agences fédérales imposent désormais la vaccination de leurs effectifs : 
https://www.theepochtimes.com/mkt_breakingnews/first-federal-agency-to-mandate-covid-19-vaccine_3918989.html?utm_source=News&utm_medium=email&utm_campaign=breaking-2021-07-26-3&mktids=22baca7c76e659bf404b407ad98afb5e&est=9B%2FSynA47SoRBDrsWy%2B%2BJs4ZudZ3GuM5s8sCo0KQSwTIjxgRyM%2FjbA%3D%3D

Il en va de même pour les États bleus : 
https://www.lewrockwell.com/2021/07/tyler-durden/california-nyc-require-all-public-workers-to-get-vaccinated-or-submit-to-weekly-tests/

Le département de la « Justice » (sic) (DOJ) corrompu de Joe Biden a « déterminé que la loi fédérale n’interdit pas aux agences publiques et aux entreprises privées d’exiger des vaccins contre le Covid-19, même si les vaccins n’ont qu’une autorisation d’utilisation d’urgence », du moins c’est ce que dit le président de CNN : 
https://www.cnn.com/2021/07/26/politics/doj-covid-19-vaccine-requirements-olc-opinion/index.html

C’est un mensonge flagrant, tout comme le « Russiagate » et la procédure d’impeachment du DOJ à l’encontre de D. Trump. Les États-Unis ont un département « Justice » (sic) indifférent à la justice et incapable de dire la vérité, ou alors ils ont un département « Justice » (sic) dont l’incompétence est sans précédent. (Remarque : il en est exactement de même en France macronienne, pays où non seulement la magistrature mais également le Conseil d’Etat et le Conseil Constitutionnel ne remplissent plus leur rôle).

Voici les faits réels : « Les vaccins sont une intervention médicale. Toutes les interventions médicales exigent de par la loi qu’un consentement valide soit obtenu. Voir, par exemple, le site officiel du UK National Health Service – https://www.nhs.uk/conditions/consent-to-treatment/ – qui indique : « Le consentement au traitement signifie qu’une personne doit donner sa permission avant de recevoir tout type de traitement médical, de test ou d’examen.

« Cela doit être fait sur la base d’une explication par un clinicien.

Le consentement d’un patient est nécessaire quelle que soit la procédure, qu’il s’agisse d’un examen physique, d’un don d’organes ou autre.

Le principe du consentement est un élément important de l’éthique médicale et du droit international des droits de l’homme.

Pour que le consentement soit valide, il doit être volontaire et éclairé, et la personne consentante doit avoir la capacité de prendre la décision.

Le sens de ces termes est :
volontaire – la décision de consentir ou de ne pas consentir au traitement doit être prise par la personne et ne doit pas être influencée par la pression du personnel médical, des amis ou de la famille.
informée – la personne doit recevoir toutes les informations sur ce que le traitement implique, y compris les avantages et les risques, s’il existe des traitements alternatifs raisonnables et ce qui se passera si le traitement ne se poursuit pas.
capacité – la personne doit être capable de donner son consentement, ce qui signifie qu’elle comprend l’information qui lui est donnée et qu’elle peut l’utiliser pour prendre une décision éclairée

Si un adulte a la capacité de prendre une décision volontaire et éclairée de consentir ou de refuser un traitement particulier, sa décision doit être respectée.

C’est toujours le cas même si le refus de traitement entraînerait leur mort, ou la mort de leur enfant à naître ». (Ces règles fondamentales de l’éthique médicale sont également valables en France et inscrites dans la loi).

De toute évidence, la rétention d’informations sur les risques potentiellement graves et mortels des vaccinations et le fait d’obliger et de contraindre des personnes à subir des interventions médicales est non seulement immoral et contraire à l’éthique et sape la relation patient-médecin, mais viole également la loi et devrait conduire à des poursuites pénales. Mais ce ne sera pas le cas. Les démocrates protègent leurs criminels. Les démocrates réservent « leur justice » aux innocents qui protestaient pour défendre le président américain Trump.

Les États-Unis ont le même code d’éthique médicale. Le problème est que l’establishment médical américain ne suit pas son propre code. L’éthique médicale ne paie pas lorsque vous pouvez éviter la responsabilité. Si vous pouvez gagner de l’argent en injectant un vaccin contre la mort à des personnes non informées, faites-le. Les fabricants de vaccins ont utilisé des contributions de campagne politique pour acheter leur protection contre la responsabilité du Congrès corrompu des États-Unis. Ils peuvent assassiner toutes les personnes qu’ils veulent sans aucune responsabilité. Comme je l’ai souligné pendant des décennies, la population américaine est aussi crédule et confiante que les Amérindiens qui ont accepté des couvertures imprégnées de variole comme cadeaux de bonne volonté. Les Américains pensent qu’il est antipatriotique de se méfier du gouvernement. Comme ils pensent que ceux qui se méfient du gouvernement américain sont communistes et pire, il est facile pour l’establishment de contrôler leurs esprits.

Malgré l’échec des vaccins à protéger contre l’infection et malgré leurs effets indésirables massifs, le crétin du Bureau ovale se dit déterminé à forcer la FDA à approuver les vaccins non testés qui sont utilisés uniquement sur la base d’une « utilisation d’urgence » frauduleuse : 
https://www.globalresearch.ca/politics-science-biden-admin-signals-intent-force-fda-approval-covid-vaccines/5751215

La Maison Blanche souhaite que la condition « utilisation d’urgence uniquement » soit supprimée et que les vaccins non testés reçoivent une approbation officielle d’utilisation. L’idiot du bureau ovale le veut malgré les preuves accablantes que les vaccins ne protègent pas mais provoquent des effets indésirables graves sur la santé et des décès. Vous pouvez maintenant voir pourquoi l’establishment a volé une élection présidentielle pour mettre un idiot au pouvoir. Il gagne de l’argent pour eux et fait avancer leurs agendas secrets. Dites-moi, Biden est-il un homme qui représente le bien-être des Américains, ou est-ce un homme qui représente le bien-être et les profits de Big Pharma et des agendas cachés derrière la pandémie orchestrée ?


Article de Paul Craig Roberts paru sur son blog il y a quelques jours.

Cerise sur le gâteau pour ce qui concerne la France : 

https://www.youtube.com/watch?v=V_bnCyNSBas&t=179s