William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui

[Source : Sott.net]

Par Cynthia Chung — The Saker Blog

« Mais je ne veux pas aller parmi les fous », fait remarquer Alice.
« Oh, tu n’y peux rien », dit le chat, « nous sommes tous fous ici. Je suis fou. Tu es folle. »
« Comment sais-tu que je suis folle ? », demande Alice.
« Tu dois l’être », répond le chat, « sinon tu ne serais pas venue ici. »

Lewis Carroll, Alice au Pays des Merveilles

Nous vivons dans un monde où le degré de désinformation et de mensonge pur et simple a atteint un niveau tel que peut-être pour la première fois, la majorité du monde occidental commence à s’interroger sur son propre niveau de santé mentale et sur celui de son entourage. La méfiance croissante et frénétique à l’égard de tout ce qui fait « autorité », mêlée à l’incrédulité désespérée que « tout le monde ne peut pas être dans le coup ! », pousse lentement de nombreuses personnes à s’enfermer dans une camisole de force de plus en plus serrée. « Tout remettre en question » est devenu la nouvelle devise, mais sommes-nous capables de répondre à ces questions ?

Gaslighting
Photo du film Gaslight, 1944
[Hantise pour la version sortie dans les salles françaises en 1947 – NdT]

Actuellement, la réponse est un non catégorique.

La mauvaise blague des comportementalistes sociaux, qui ont rendu tout le monde obsédé par le papier toilette au début de ce que l’on croyait être une période de crise, est un exemple du contrôle qu’ils exercent sur le bouton rouge intitulé « déclencher une panique massive de niveau 4 ».

Et peut-on blâmer le peuple ? Après tout, si on nous ment, comment pouvons-nous nous rassembler et pointer du doigt la racine de cette tyrannie, ne sommes-nous pas arrivés au point où elle est partout ?

Comme Goebbels l’a tristement déclaré,

« Si vous dites un mensonge suffisamment gros et que vous le répétez sans cesse, les gens finiront par le croire. Le mensonge ne peut être maintenu que tant que l’État peut protéger la population des conséquences politiques, économiques et/ou militaires de ce mensonge. Il devient donc d’une importance vitale pour l’État d’utiliser tous ses pouvoirs pour réprimer la dissidence, car la vérité est l’ennemi mortel du mensonge, et donc par extension, la vérité est le plus grand ennemi de l’État [sous le fascisme]. »

Et nous nous trouvons aujourd’hui au seuil du fascisme. Cependant, avant que le fascisme ne puisse dominer complètement, nous devons d’abord accepter de renoncer à nos droits civils en tant que collectivité. Autrement dit, le grand mensonge ne peut réussir que si la majorité ne le dénonce pas, car si la majorité le reconnaissait pour ce qu’il est, il n’aurait vraiment aucun pouvoir.

La bataille pour gagner le contrôle de votre esprit

« Les politiciens, les prêtres et les psychiatres sont souvent confrontés au même problème : comment trouver le moyen le plus rapide et le plus permanent de changer la croyance d’un homme… Le problème du médecin et de son patient souffrant de névrose, et celui du chef religieux qui entreprend de gagner et de retenir de nouveaux convertis, est maintenant devenu le problème de groupes entiers de nations, qui souhaitent non seulement confirmer certaines croyances politiques à l’intérieur de leurs frontières, mais aussi faire du prosélytisme à l’extérieur. »

William Sargant, La bataille de l’esprit

Dans le passé, on pensait couramment, et non sans fondement, que la tyrannie ne pouvait exister qu’à condition que le peuple soit maintenu dans l’analphabétisme et l’ignorance de son oppression. Pour reconnaître que l’on est « opprimé », encore faut-il d’abord avoir une idée de ce qu’est la « liberté », et si l’on a le « privilège » d’apprendre à lire, cette découverte est inévitable.

Si l’éducation des masses pouvait alphabétiser la majorité d’une population, on pensait que les idées supérieures, le genre d’« idées dangereuses » que Mustapha Menier par exemple exprime dans Le meilleur des mondes, permettraient aux masses de rapidement s’organiser et rendraient inévitable une révolution contre « ceux qui les contrôlent ». En d’autres termes, la connaissance est la liberté, et l’on ne peut pas asservir ceux qui apprennent à « penser ».

Note du traducteur : Dans l’ouvrage de Aldous Huxley, Mustapha Menier est un Alpha plus et l’un des dix administrateurs mondiaux, qui sont les individus les plus importants de la société ; il a en charge l’Europe occidentale, l’une des dix zones de l’État mondial.

Cependant, ce n’est pas exactement ce qui s’est produit, n’est-ce pas ?

La grande majorité d’entre nous est libre de lire ce que bon lui semble, en ce qui concerne les livres autrefois « interdits », tels que ceux répertoriés par l’Index Librorum Prohibitorum.(([1] L’Index Librorum Prohibitorum était une liste de livres interdits, jugés dangereux pour la foi et la morale des catholiques romains, dont beaucoup étaient de manière suspecte des ouvrages humanistes platoniciens. Parmi les œuvres interdites figurent celles de Dante, d’Érasme et tous les livres de Machiavel. Pour en savoir plus, consultez mon article sur ce sujet.)) Nous pouvons lire tous les textes qui sont interdits dans Le meilleur des mondes, notamment les œuvres de Shakespeare qui y sont désignées comme des formes de « connaissance » absolument dangereuses.

Nous sommes maintenant tout à fait libres de nous « éduquer » sur les « idées » mêmes qui étaient reconnues par les tyrans du passé comme « l’antidote » à une vie d’esclavage. Et pourtant, aujourd’hui, la majorité choisit de ne pas le faire…

Il est reconnu, bien que superficiellement, que celui qui contrôle le passé, contrôle le présent et donc le futur. Le livre de George Orwell, 1984, le martèle comme la caractéristique essentielle qui permet à l’appareil de Big Brother de maintenir un contrôle absolu sur la peur, la perception et la loyauté à la cause du Parti, et pourtant, malgré sa popularité, il subsiste un manque d’intérêt pour réellement s’informer sur le passé.

Qu’importe de toute façon, si le passé est contrôlé et réécrit pour s’adapter au présent ? Comme l’interrogateur de Big Brother, O’Brien, le déclare à Winston :

« Nous, le Parti, contrôlons tous les dossiers et nous contrôlons tous les souvenirs. Alors nous contrôlons le passé, n’est-ce pas ? [Et donc, nous sommes libres de le réécrire comme bon nous semble…]. »

Bien sûr, nous ne sommes pas dans la même situation que Winston… nous sommes bien mieux lotis. Nous pouvons étudier et apprendre sur le « passé » si nous le désirons, malheureusement, il s’agit d’un choix possible que bien des personnes n’apprécient pas à sa juste valeur.

En fait, beaucoup ne sont probablement pas pleinement conscients qu’il se déroule actuellement une bataille pour savoir qui va « contrôler le passé » d’une manière qui ressemble beaucoup à ce qui s’apparente à un « effacement de la mémoire ».


William Sargant était un psychiatre britannique et, pourrait-on dire, le père du « contrôle mental » en Occident. Il avait des liens avec les services secrets britanniques et l’Institut Tavistock, qui influencerait plus tard la CIA et l’armée des États-Unis via le programme MK Ultra. Sargant a également été conseiller pour les travaux d’Ewen Cameron sur les esprits d’individus « déconstruits » sous LSD, à l’université McGill, financés par la CIA.

Note du traducteur : Ewen Cameron était un psychiatre d’origine écossaise et directeur de l’Allan Memorial Institute de l’université McGill, à Montréal. Il fut aussi président de l’Association psychiatrique des États-Unis, de l’Association psychiatrique du Canada et de l’Association psychiatrique mondiale.

Sargant justifie une des raisons pour lesquelles il a étudié et utilisé des formes de « contrôle de l’esprit » sur ses patients, lesquels étaient pour la majorité des soldats britanniques rapatriés du champ de bataille pendant la Seconde Guerre mondiale avec diverses formes de « psychose », en arguant qu’il s’agissait du seul moyen de réhabiliter des formes extrêmes de syndrome de stress post-traumatique.

L’autre raison était que les Soviétiques étaient apparemment devenus des « experts » dans ce domaine et que, pour des raisons de sécurité nationale, les Britanniques devaient à leur tour devenir des experts… pour des raisons d’autodéfense, bien sûr.

Les travaux d’Ivan Pavlov, un physiologiste russe, ont permis d’obtenir des informations intéressantes sur quatre formes primaires de systèmes nerveux chez les chiens, lesquelles combinaient des tempéraments inhibiteurs et excitateurs : « fortement excitateur », « équilibré », « passif » et « calme imperturbable ». Pavlov a découvert qu’en fonction de la catégorie de tempérament du système nerveux du chien, cette dernière déterminait la forme de « conditionnement » la plus efficace pour « reprogrammer le comportement ». La pertinence du « conditionnement humain » n’a échappé à personne.

Les pays occidentaux craignaient que ces techniques ne soient pas seulement utilisées contre leurs soldats pour que l’ennemi obtienne facilement des « confessions », mais que ces soldats puissent être renvoyés dans leur pays d’origine, sous la forme d’assassins et d’espions zombifiés susceptibles d’être mentalement activés par un simple mot de code. En tout cas, ce sont ces scénarios qui ont été propagés dans les populations à travers les films et les romans à suspense. C’est vraiment horrible ! Que l’ennemi puisse apparemment pénétrer dans ce que l’on considérait comme le seul terrain sacré qui nous appartenait… notre « esprit » même !

Cependant, pour ceux qui étaient à la pointe de la recherche sur le contrôle mental, comme William Sargant, il était entendu que le contrôle mental ne fonctionnait pas exactement de cette manière.

D’une part, la question du « libre arbitre » était un obstacle.

Peu importe la durée ou le degré des électrochocs, de la « thérapie » à l’insuline, des cocktails de tranquillisants, des comas provoqués, de la privation de sommeil, de la famine, etc., il a été découvert que si le sujet avait une « forte conviction » et une « forte croyance » en quelque chose, celle-ci ne pouvait pas être simplement supprimée, elle ne pouvait pas être remplacée par quelque chose d’arbitraire. Il fallait plutôt que le sujet ait l’illusion que son « conditionnement » relevait en fait de son « choix ». Il s’agissait d’une tâche extrêmement difficile, et les conversions à long terme (mois ou années) étaient rares.

Cependant, Sargant y a vu une opportunité. Il était entendu que l’on ne pouvait pas créer un nouvel individu à partir de rien, mais qu’avec un conditionnement adéquat, censé conduire à un effondrement physique par le biais d’un stress anormal ( en fait, un redémarrage du système nerveux), on pouvait sensiblement augmenter la « suggestibilité » des sujets.

Sargant a écrit dans son livre Bataille de l’esprit :

« Les descriptions cliniques de Pavlov des « névroses expérimentales » qu’il pouvait induire chez les chiens se sont avérées, en fait, correspondre étroitement aux névroses provoquées par la guerre que nous étudiions à l’époque. »

En outre, Sargant a découvert qu’un souvenir faussement implanté pouvait contribuer à induire un stress anormal conduisant à un épuisement émotionnel et à une dépression physique à même de susciter cette « suggestibilité ». En d’autres termes, il n’était même pas nécessaire de vivre un « stress réel », et un « stress fictif » était tout aussi efficace.

Sargant poursuit en déclarant dans son livre :

« Il n’est pas surprenant qu’une personne ordinaire, en général, soit bien plus facilement endoctrinée qu’une personne atypique… Une personne est considérée comme « ordinaire » ou « normale » par la communauté simplement parce qu’elle accepte la plupart de ses normes sociales et de ses modèles de comportement ; ce qui signifie, en fait, qu’elle est sensible à la suggestion et qu’elle a été persuadée d’aller dans le sens de la majorité dans la plupart des occasions ordinaires ou extraordinaires. »

Sargant aborde ensuite le phénomène du Blitz londonien, une période de huit mois de bombardements intensifs sur la ville de Londres pendant la Seconde Guerre mondiale. Au cours de cette période, pour faire face et rester « sain d’esprit », les gens se sont rapidement habitués à l’idée que leurs voisins pouvaient être et étaient enterrés vivants dans les maisons bombardées autour d’eux. La pensée était la suivante : « Si je ne peux rien y faire, à quoi bon me tourmenter ? ». On a donc constaté que « ceux qui s’en sortaient le mieux » étaient ceux-là mêmes qui acceptaient ce nouveau « cadre de vie » sans chercher à le contester, et qui se concentraient simplement sur leur « survie ».

Sargant remarque que c’est justement cette « adaptabilité » à un contexte environnemental en mutation qui fait partie de l’instinct de « survie » et qui est très ancrée chez l’individu « sain » et « normal », lequel est capable d’apprendre à faire face et continue donc à être « fonctionnel » en dépit du perpétuel changement de son environnement.

C’est donc notre « instinct de survie » profondément ancré dans notre inconscient qui s’est révélé être la clé de la suggestibilité de notre esprit. Et les meilleurs « survivants » se prêtent donc en quelque sorte à un meilleur « lavage de cerveau ».

Sargant cite les travaux de Hecker, qui étudiait le phénomène de l’épidémie dansante qui s’est développée pendant la période de la peste noire. Hecker a observé qu’une suggestibilité accrue pouvait amener une personne à

« minimiser l’éloge de la vertu aussi bien que la criminalité du vice en embrassant avec la même force, raison et folie, bien et mal. »

Et qu’un tel état d’esprit était comparable aux premiers efforts de l’esprit du nourrisson

« cet instinct d’imitation, lorsqu’il existe à son plus haut degré, se conjugue aussi avec une perte de tout pouvoir sur la volonté, qui se produit dès que l’empreinte sur les sens est bien installée, laquelle entraîne un état semblable à celui des petits animaux lorsqu’ils sont fascinés par l’aspect d’un serpent. »

Je me demande si Sargant s’imaginait être le serpent…

Sargant admet finalement :

« Cela ne signifie pas que toutes les personnes peuvent être véritablement endoctrinées par de tels moyens. Certaines ne se soumettent que temporairement aux exigences qui leur sont imposées, et luttent à nouveau lorsque revient la force du corps et de l’esprit. D’autres y échappent en surmontant leur folie. Ou encore, la volonté de résister peut céder, mais pas l’intellect lui-même. »

Mais il se console, en réponse à cette résistance obstinée, en affirmant que

« Comme nous l’avons mentionné dans un contexte précédent, le bûcher, la potence, le peloton d’exécution, la prison ou l’asile d’aliénés, sont généralement là pour les défaillants. »

Comment résister à la déconstruction de votre esprit

« Celui que les dieux veulent détruire, ils le rendent d’abord fou. »

Henry Wadsworth Longfellow, Le masque de Pandore et autres poèmes, 1875

Pour ceux qui n’ont pas vu le thriller psychologique de 1944 Gaslight, réalisé par George Cukor, je vous recommande vivement de le faire, car il contient une leçon inestimable, qui s’applique tout particulièrement à ce que je soupçonne que beaucoup d’entre nous vivent aujourd’hui.

Note du traducteur : Le film est sorti dans les salles françaises en 1947 sous le titre Hantise. La performance d’Ingrid Bergman sera saluée par un Oscar de la meilleure actrice dans un rôle principal.

L’histoire commence avec Paula, 14 ans (jouée par Ingrid Bergman), qui est emmenée en Italie après que sa tante Alice Alquist, célèbre chanteuse d’opéra et protectrice de Paula, a été retrouvée assassinée dans sa maison à Londres. Paula est celle qui a trouvé le corps et, frappée d’horreur, elle ne sera plus jamais la même. Sa tante était la seule famille qui lui restait. La décision est prise de l’envoyer loin de Londres, en Italie, afin qu’elle poursuive ses études pour devenir une chanteuse d’opéra de renommée mondiale comme sa tante Alice.

Les années passent, Paula vit une vie très protégée mais elle est toujours en proie à une sombre mélancolie et ne semble jamais pouvoir ressentir une quelconque forme de bonheur. Pendant ses études de chant, elle rencontre un homme mystérieux (son accompagnateur au piano pendant ses cours) et en tombe profondément amoureuse. Cependant, elle ne sait presque rien de cet homme, Gregory.

Après une romance de deux semaines, Paula accepte de l’épouser et se laisse rapidement convaincre de retourner vivre dans la maison de sa tante à Londres, laissée à l’abandon pendant toutes ces années. Dès qu’elle y pénètre, le souvenir de la nuit du meurtre la hante à nouveau et elle est prise de panique et de peur. Gregory tente de la calmer et lui dit que la maison a besoin d’un peu d’air et de soleil. Paula tombe alors sur une lettre adressée à sa tante par un certain Sergis Bauer, lettre qui confirme qu’il était en contact avec Alice quelques jours avant son meurtre. À cette découverte, Gregory devient étrangement agité et s’empare de la lettre. Il tente rapidement de justifier sa colère en attribuant à la lettre la responsabilité de ce qui a bouleversé Paula. Gregory décide alors d’enfermer toutes les affaires de la tante de Paula dans le grenier, pour apparemment lui épargner toute angoisse supplémentaire.

C’est à ce moment-là que Gregory commence à changer radicalement de comportement. Toujours sous le prétexte du « bien de Paula », tout ce qui est considéré comme une source de « contrariété » pour elle doit lui être soustrait. Et ainsi, rapidement, la maison se transforme en une forme de prison. On dit à Paula qu’il vaut mieux qu’elle ne sorte pas de la maison sans être accompagnée, qu’elle ne reçoive pas de visite et que l’auto-isolement est le meilleur remède à ses « angoisses » qui s’aggravent. Au début, Paula n’est jamais soumise à une interdiction stricte, mais on lui dit plutôt qu’elle doit obéir à ces restrictions pour son propre bien.

Avant une promenade, il lui fait cadeau d’une magnifique broche qui appartenait à sa mère. Comme le fermoir doit être remplacé, il demande à Paula de la garder dans son sac à main, et dit ensuite, plutôt hors contexte : « N’oublie pas où tu l’as mise, Paula, je ne veux pas que tu la perdes. » Paula se dit en elle-même que l’avertissement est absurde, « Bien sûr que je n’oublierai pas ! ». Lorsqu’ils reviennent de leur promenade, Gregory demande la broche, Paula cherche dans son sac à main mais elle n’y est pas.

Le scénario se poursuit ainsi, Gregory multipliant les avertissements et les rappels, apparemment pour aider Paula à surmonter ses « oublis » et ses « angoisses ». Paula commence à douter de son propre jugement et de sa santé mentale, car ces événements deviennent de plus en plus fréquents. Elle n’a personne d’autre à qui parler que Gregory, qui est le seul témoin de ces incidents apparents. On en arrive à un point où Gregory attribue à Paula un comportement complètement absurde. Un soir, on découvre qu’un tableau a disparu d’un mur. Gregory parle à Paula comme si elle était une enfant de cinq ans et lui demande de le remettre en place. Paula insiste sur le fait qu’elle ne sait pas qui l’a enlevé. Après avoir insisté avec passion sur le fait que ce n’était pas elle, elle monte les escaliers comme si elle était dans un rêve et sort le tableau de derrière une statue. Gregory demande pourquoi elle a menti, mais Paula insiste sur le fait qu’elle n’a pensé à regarder là que parce que c’est à cet endroit qu’il a été retrouvé les deux dernières fois que cela s’est produit.

Depuis des semaines, Paula pense qu’elle voit des choses, les lampes à gaz de la maison s’éteignent sans raison [ce qui a donné au film son titre : Gaslight – NdT], elle entend aussi des bruits de pas au-dessus de sa chambre. Personne d’autre ne semble s’en apercevoir. Gregory raconte également à Paula qu’il a découvert que sa mère, décédée alors qu’elle était très jeune, était en fait devenue folle et était morte dans un asile.

Bien que Paula soit réduite à un état de stupeur permanent, elle décide un soir de faire front et de reprendre le contrôle de sa vie. Paula est invitée, par l’une des amies proches de sa tante Alice, Lady Dalroy, à assister à une soirée mondaine organisée pour un concert musical. Rappelons qu’avant sa rencontre avec Gregory, la vie de Paula gravitait autour de la musique. La musique était sa vie. Paula se pare de vêtements somptueux pour la soirée et, en sortant, dit à Gregory qu’elle se rend à cet événement. Gregory tente de la convaincre qu’elle est trop fragile pour assister à une réception aussi mondaine. Lorsque Paula insiste calmement sur le fait qu’elle ira et que cette femme qui l’a invitée est une amie chère à sa tante, Gregory lui répond qu’il refuse de l’accompagner (à l’époque, c’était un gros problème). Paula se range à cet avis et marche avec une solide dignité, sans se décourager, vers la calèche. Dans une scène très révélatrice, Gregory est laissé momentanément seul et, pris de panique, les yeux exorbités, il referme son étui à cigares et court après Paula. Il l’interpelle en riant : « Paula, tu n’as pas cru que j’étais sérieux ? Je ne savais pas que cette réception était si importante pour toi. Attends, je vais me préparer. » Alors qu’il se prépare devant le miroir, un sourire diabolique apparaît.

Paula et Gregory arrivent en retard chez Lady Dalroy, le pianiste est au milieu du 1er mouvement de la Sonate pour piano n°8 en do mineur de Beethoven. Ils sont rapidement escortés vers deux sièges vides. Paula est immédiatement captivée par la musique et Gregory se rend compte qu’il perd le contrôle. Après seulement quelques minutes, il regarde sa montre à gousset mais elle n’est pas dans sa poche. Il chuchote à l’oreille de Paula : « Ma montre a disparu ». Immédiatement, Paula a l’impression qu’elle va être malade. Gregory prend son sac à main et Paula le regarde avec horreur en sortir sa montre à gousset, insinuant que Paula l’avait mise là. Aussitôt, elle perd le contrôle et craque en public. Gregory l’emmène, tout en faisant remarquer à Lady Dalroy que c’est pour cette raison qu’il ne voulait pas que Paula vienne.

Lorsqu’ils arrivent chez eux, Paula a maintenant complètement succombé à l’idée qu’elle est effectivement frappée de folie. Gregory déclare qu’il serait préférable qu’ils partent quelque part pour une période indéterminée. Nous apprendrons plus tard que Gregory a l’intention de la faire interner dans un asile. Paula accepte de quitter Londres avec Gregory et remet entièrement son destin entre ses mains.

Dans le cas de Paula, les choses sont claires. Elle soupçonne que Gregory a quelque chose à voir avec sa « situation », mais il a très habilement créé un environnement dans lequel Paula elle-même doute que cette situation puisse relever d’une méchanceté insondable ou découler du fait qu’elle devient effectivement folle.

C’est plutôt parce qu’elle n’est pas folle qu’elle doute d’elle-même, car aucune raison ne semble pouvoir expliquer pourquoi Gregory consacrerait autant de temps et d’énergie à faire croire qu’elle est folle, du moins en apparence. Mais qu’en est-il si l’objectif consistant à lui faire croire à sa folie était simplement une question de contrôle ?

Dans cette lutte pour le pouvoir, Paula a presque réussi à prendre le dessus le soir où elle a décidé de sortir seule, même si Gregory a insisté pour lui conseiller de ne pas le faire et qu’ c’était pour son bien. Si elle avait tenu bon chez Lady Dalroy et avait simplement répondu : « Je n’ai aucune idée de la raison pour laquelle votre stupide montre s’est retrouvée dans mon sac à main et je m’en désintéresse complètement. Maintenant arrêtez d’interrompre ce concert, vous vous donnez en spectacle ! » Elle aurait pu rompre l’emprise de Gregory aussi simplement que cela. S’il avait dû se plaindre de la situation auprès d’autres personnes, celles-ci auraient pu aussi lui rétorquer : « Qui s’en soucie cher Monsieur, pourquoi êtes-vous à ce point obnubilé par votre stupide montre ? ».

Nous nous trouvons aujourd’hui dans une situation très similaire à celle de Paula. Et la voix de Gregory est incarnée par les discours médiatico-politiques mensongers et la programmation socio-comportementale apocalyptique contenue dans différents types de divertissement. Des choses auxquelles la plupart des gens se soumettent volontairement tous les jours, voire toutes les heures, ce qui les conditionnent socialement, comme une meute de chiens pavloviens salivants, à penser que la fin du monde est proche et qu’au premier coup de cloche de leur maître… ils se boufferont les uns les autres.

Paula est finalement sauvée par un homme du nom de Joseph Cotten (un détective), qui a remarqué et rapidement discerné que quelque chose n’allait pas. Gregory est finalement arrêté. Il est révélé que Gregory est en fait Sergis Bauer. Qu’il a tué Alice Alquist et qu’il est revenu sur les lieux du crime après toutes ces années à la recherche des fameux bijoux de la chanteuse d’opéra. Les bijoux étaient en fait sans valeur, car ils étaient trop célèbres pour être vendus, mais Gregory n’a jamais eu l’intention de les vendre, il était plutôt obsédé par le simple désir de les posséder.

En d’autres termes, celui qui pendant tout ce temps était complètement fou, c’était Gregory.

Une personne du type de Gregory est extrêmement dangereuse. Si rien n’avait entravé son chemin, il aurait eu raison de Paula. Cependant, le pouvoir qu’il détenait n’existait que parce que Paula le laissait la contrôler. La désintégration extrême de Paula dépendait donc entièrement de son propre choix de permettre à la voix de Gregory de l’atteindre. En d’autres termes, un Gregory n’est dangereux que si nous nous soumettons au cauchemar qu’il a construit pour nous.

« Quand j’utilise un mot », dit Humpty Dumpty d’un ton plutôt méprisant, « il signifie exactement ce que je choisis qu’il signifie — ni plus ni moins. »
« La question est », dit Alice, « de savoir si l’on peut faire en sorte que les mots signifient tant de choses différentes. »
« La question est », dit Humpty Dumpty, « de savoir qui est le maître — c’est tout. »

Lewis Carroll, De l’autre côté du miroir

Source de l’article initialement publié en anglais le 8 août 2021 : The Saker Blog
Traduction : Sott.net

Note




Le Pacte Secret

Par Christine Côte

Chers amis,

Je tombe juste là-dessus [21 Octobre 2020]. Il n’y a pas de hasard. Certains ne seront pas encore mûrs pour comprendre et accepter, cependant, parmi nous beaucoup le seront, car les consciences, grâce à l’information, s’élèvent et croissent.

Je vous en prie, ne dites pas « je n’aime pas la source », « je n’y crois pas », « ce sont des fake news » : lisez simplement et vous verrez. La vérité c’est la liberté, le mensonge, c’est la prison.

En lisant cela, l’on ne peut avoir aucun doute sur la sinistre réalité de ce plan en pleine réalisation. Je vous recommande de faire suivre cela à tous ceux et celles, parmi votre entourage, susceptibles de se réveiller.

C’est plus facile pour ceux qui savent depuis longtemps, mais rien n’empêche de prendre le train en marche…

Il est déjà presque impossible de nous libérer, cependant, si une grande quantité de gens se réveillaient, ce serait encore possible, car leur arme véritable, ce sont les victimes de la télé et des mass medias qu’ils incitent sciemment à la haine. Puisqu’il est marqué que le peuple ne doive jamais en avoir connaissance, la meilleure solution est de diffuser et de publier très largement. Montrez-le sur vos vidéos.

Bien à vous,

Christine


[Source : http://projectavalon.net/lang/fr/Le_pacte_secret_fr.html]

Le Pacte secret

C’est un texte à la résonance inhabituelle que nous vous proposons aujourd’hui [en 2011]. Il est apparu sur Internet il y a 9 ans, un certain 21 juin 2002, jour du solstice d’été, détail qui est loin d’être anodin quand on connaît la passion des Illuminati pour la symbolique et les rituels. Son auteur en est inconnu, mais une chose est sûre : en choisissant cette date, il avait bien l’intention de « leur » gâcher la fête. Nous vous en offrons ici la traduction française.

Ce qui y est décrit pourra paraître excessif à certains et presque dépassé à d’autres et pourtant, force est de constater que les points qui y sont évoqués font écho aux interviews des lanceurs d’alerte publiées sur Project Avalon et ailleurs [Comme Les Protocoles de Toronto du journaliste Serge Monast, mort en 1996]. On verra également que le « Menu » exposé semble chaque jour se concrétiser davantage… au rythme du conte de la grenouille d’Olivier Clerc qui ne savait pas qu’elle était déjà cuite.
Pour notre part, nous ne sommes certes pas encore « cuits », mais ça chauffe… et c’est la raison pour laquelle nous avons décidé consensuellement à Avalon de vous faire partager ce document.
Est-il authentique — soit l’œuvre d’un véritable « insider illuminati » qui se serait désolidarisé de ses maîtres — ou non ? À vrai dire, cela importe peu. Ce qui compte en échange c’est qu’il nous invite à ouvrir les yeux et à nous poser les questions qui s’imposent face aux immenses dérives dont nous sommes tous les jours spectateurs, voire davantage. C’est donc à point nommé que ce texte est arrivé jusqu’à nous.

À titre d’exemple, tout récemment (16/5/2011), le journaliste et historien américain Webster Tarpley (auteur entre autres choses de la « Biographie non autorisée de George W. Bush ») révélait le contenu des écrits de John P. Holdren, l’actuel conseiller scientifique de la Maison-Blanche, et la « recommandation » de l’élite en vue d’une population mondiale optimale d’un milliard d’habitants… des chiffres écrits noir sur blanc.


Le Pacte secret Anonyme, 21 juin 2002 Traduction française : Mai 2011

• L’illusion créée par notre pacte sera si énorme, si vaste, qu’elle échappera à leur perception.

Ceux qui la verront passeront pour fous.

• Nous créerons des fronts séparés pour les empêcher de voir les liens qui existent entre nous. Nous nous comporterons comme si nous n’étions pas connectés pour garder l’illusion bien vivante. Nous distillerons nos objectifs au goutte-à-goutte pour ne pas éveiller les soupçons. Ceci les empêchera également de distinguer les changements à mesure qu’ils se produisent.

• Nous nous placerons toujours au-dessus du champ relatif de leur expérience parce que nous connaissons les secrets de l’absolu.

• Nous travaillerons toujours ensemble et demeurerons liés par le sang et le secret. La mort viendra à celui qui parlera.

• Nous ferons en sorte que leur espérance de vie soit brève et leur intellect faible tout en prétendant faire le contraire.

• Nous utiliserons notre connaissance de la science et de la technologie de manière subtile afin qu’ils ne se rendent jamais compte de rien.

• Nous utiliserons les métaux, accélérateurs de vieillissement et des sédatifs dans leur nourriture et leur eau ainsi que dans l’air.

Ils seront entourés de poison de toutes parts.

• Les métaux occasionneront leur dégénérescence intellectuelle. Nous promettrons de trouver des traitements en nous mobilisant sur tous les fronts, mais nous les empoisonnerons toujours plus.

Lesdits poisons seront absorbés par la peau, par la bouche, et détruiront leur esprit et leur système de reproduction.

Pour toutes ces raisons, leurs enfants seront mort-nés, et nous occulterons cette information.
• Les poisons seront dissimulés dans tout ce qui les entoure, dans ce qu’ils boivent, ingèrent, respirent et dans les vêtements qu’ils portent.

• Nous devons nous montrer ingénieux à cet égard, car ils ont la capacité de voir loin.

Nous leur enseignerons que les poisons sont bons en diffusant des images amusantes et des tonalités musicales.
• Ceux qu’ils respectent nous aideront, car nous les enrôlerons pour faire progresser nos poisons.

Ils verront nos produits utilisés dans des films et s’y accoutumeront sans jamais connaître leurs effets véritables.
Dès la naissance, leurs enfants recevront des injections de poison dans le sang et nous les convaincrons que c’est pour leur bien.

• Nous commencerons quand les enfants sont tout petits, que leur esprit est jeune et nous les ciblerons avec ce que les enfants préfèrent, les sucreries.

• Lorsque leurs dents commenceront à se détériorer, nous les remplirons de métaux, ce qui détruira leur mental et anéantira leur avenir.

• Une fois leur capacité d’apprendre affectée, nous créerons des médicaments qui les rendront plus malades encore et causeront d’autres pathologies pour lesquelles nous inventerons d’autres remèdes.
• Nous les rendrons faibles et dociles par la force de notre pouvoir.

Ils deviendront dépressifs, attardés et obèses et, quand ils viendront solliciter notre aide, nous leur donnerons toujours plus de poison.
Nous les focaliserons sur l’argent et les biens matériels pour qu’ils ne puissent jamais se relier à leur Soi intérieur. Nous les distrairons par la fornication, les plaisirs et les jeux extérieurs pour que jamais ils ne deviennent un avec le Tout.

• Leurs esprits nous appartiendront et ils feront ce que nous leur dirons. S’ils s’y refusent, nous trouverons le moyen d’implanter des technologies susceptibles d’affecter leurs perceptions.

• Nous utiliserons la peur comme une arme.

• Nous établirons leurs gouvernements ainsi que les partis d’opposition. Les deux côtés nous appartiendront.

• Nous dissimulerons toujours nos objectifs, mais notre Plan sera mené à son terme.

Ils travailleront à notre place, mais nous en récolterons les fruits.
Nos familles ne se mélangeront pas aux leurs, notre sang doit toujours demeurer pur, car là est la formule.
Nous les ferons s’entretuer quand cela nous conviendra.
• Nous les maintiendrons éloignés de l’Unité par le dogme et la religion.

• Nous contrôlerons tous les aspects de leurs vies et leur dirons ce qu’ils doivent penser.
• Nous les guiderons gentiment et délicatement en leur laissant croire que cela vient d’eux.
• À travers nos factions, nous fomenterons l’animosité entre eux.
Quand une lumière brillera au milieu d’eux, nous la ferons s’éteindre par le ridicule ou par la mort, ce qui nous conviendra le mieux.

Nous les pousserons à déchirer le cœur de leurs conjoints et à tuer leurs propres enfants.

• Pour cela, notre alliée sera la haine et la colère notre amie. La haine les aveuglera totalement et ils ne se rendront jamais compte que leurs conflits font de nous leurs dirigeants. Ils seront bien trop occupés à s’entretuer.

• Ils baigneront dans leur propre sang et tueront leurs voisins jusqu’au moment que nous considérerons propice à notre assaut.

• Nous en tirerons le plus grand bénéfice, car ils ne nous verront pas, car ils ne peuvent pas nous voir.

• Leurs guerres et leurs morts nous permettront de prospérer toujours plus.

• Nous recommencerons, encore et encore jusqu’à l’accomplissement de notre but ultime.

Nous continuerons à les faire vivre dans la peur et la colère par la diffusion d’images et de sons. Nous utiliserons tous les outils dont nous disposons pour arriver à nos fins.

• Les outils nous seront fournis par leur travail.

Nous ferons en sorte qu’ils se détestent eux-mêmes et leurs voisins.

Nous leur cacherons toujours la vérité divine, le fait que NOUS SOMMES TOUS UN, ça, ils ne doivent jamais le savoir !

• Ils ne doivent jamais découvrir que la couleur de peau n’est qu’une illusion, ils doivent toujours penser qu’ils ne sont pas égaux.

• Pas à pas, insensiblement, nous ferons avancer notre objectif.

Nous prendrons leurs terres, leurs ressources et leurs biens, leur santé, pour exercer sur eux un contrôle total.
• Nous les abuserons en les incitant à accepter des lois qui les priveront du peu de liberté qui leur reste encore.

Nous établirons un système monétaire qui les emprisonnera à tout jamais et les endettera, eux ainsi que leurs enfants.

• Quand ils réussiront à unir leurs forces pour s’opposer à nous, nous les accuserons de crimes et présenterons au monde une histoire différente, car alors tous les médias nous appartiendront.

Nous utiliserons la presse et son sentiment en notre faveur pour contrôler le flux de l’information.

Quand ils se soulèveront contre nous, nous les écraserons comme des insectes, car ils sont encore moins que ça.
• Ils seront dans l’incapacité de faire quoi que ce soit, car ils n’auront pas d’armes.
Nous recruterons certains d’entre eux pour exécuter nos plans, nous leur promettrons la vie éternelle, mais de vie éternelle ils n’auront jamais, car ils ne sont pas des nôtres.
• Les recrues se feront appeler « initiés » et elles seront endoctrinées pour croire en de faux rituels, de faux rites de passage vers de plus hautes sphères. Des membres de ces groupes penseront qu’ils sont un avec nous, mais ne connaîtront jamais la vérité. Ils ne doivent jamais connaître cette vérité ou bien ils se retourneraient contre nous.

• Ils seront récompensés pour leur travail avec des biens terrestres et des titres honorifiques, mais jamais ils ne deviendront immortels ni ne nous rejoindront. Jamais ils ne recevront la Lumière ni ne voyageront vers les étoiles.

• Ils n’atteindront jamais les Sphères supérieures, car les crimes commis contre des membres de leur propre espèce les empêcheront de passer au royaume de l’Illumination. Ça, ils ne le sauront jamais.

• La vérité, bien que sous leurs yeux, leur sera cachée. Elle sera si proche d’eux qu’ils ne pourront pas se focaliser sur elle et que quand ils seront enfin en mesure de la voir, il sera trop tard.

• Oh oui, la grande illusion de la liberté sera si grande, que jamais ils ne sauront qu’ils sont nos esclaves.

• Une fois que tout sera en place, la réalité que nous aurons créée pour eux les possédera. Cette réalité sera leur prison. Ils vivront dans le déni et le refus de voir.

• Quand notre objectif sera atteint, commencera une Nouvelle Ère de Domination.

• Leurs esprits seront entravés par leurs croyances, ces croyances que nous avons établies depuis la nuit des temps.

• Mais, si jamais ils parviennent à découvrir qu’ils sont nos égaux, alors nous périrons. ILS NE DOIVENT JAMAIS SAVOIR CELA. Si jamais, ils découvrent qu’ensemble ils peuvent nous vaincre, ils agiront.

• Ils ne doivent jamais, jamais découvrir ce que nous avons fait, car autrement, nous n’aurons nulle part où nous cacher. Une fois le voile tombé, il leur sera facile de voir qui nous sommes. Nos actions auront révélé qui nous sommes, ils nous traqueront et personne ne nous viendra en aide.

• Ceci est le pacte secret par lequel nous vivrons pour le reste de nos vies présentes et futures, car cette réalité transcendera de nombreuses générations et espérances de vie.

• Le pacte est scellé dans le sang, notre sang. Nous sommes ceux qui sont venus du Ciel sur la Terre.

• L’existence de ce pacte ne doit JAMAIS, JAMAIS être révélée. Il ne devra JAMAIS, JAMAIS être rédigé ou commenté, car cela engendrerait une prise de conscience telle qu’elle attirerait sur nous la fureur du GRAND CRÉATEUR et nous serions renvoyés aux profondeurs dont nous venons pour y rester jusqu’à la fin des temps, pour l’éternité elle-même.

Auteur : Inconnu (Évidemment. il n’allait pas dire son nom, il n’aurait pas survécu 48 h).


Et pour que personne ne perde son temps en partant à la chasse aux fact checkers : voici l’original de la citation de Juncker.

https://www.spiegel.de/politik/die-bruesseler-republik-a-3d75c854-0002-0001-0000-000015317086

Quant « aux cimetières de soldats » les injections corona s’en chargeront bientôt.

Le cynisme de Jean-Claude Juncker, président de la Commission Européenne.
( Citation.) | Librinfo74

(9 mai 2021)

Voilà, près de 7 mois plus tard, tout le monde aura compris que c’est malheureusement vrai…

[Ndlr : source anglaise à trouver]

Ainsi la citation de Kissinger prend tout son sens. (J’ai eu rapport d’un destinataire de l’une de nos compagnes d’Armes, qui se serait précipité sur un fact checker. N’en tenez AUCUN compte. Ces gens-là agissent ainsi pour se « prouver » à eux-mêmes qu’ils ont raison de soutenir le gouvernement, ou bien que ce n’est « pas si terrible que ça ». Ces gens-là ont encore bien du chemin à faire, et leur réveil n’en sera que plus dur.

(…) Malheureusement en janvier 2020… tout le monde préférait écouter la télé.

(…) Les gens ne croient les choses que lorsqu’elles sont déjà arrivées, donc bien trop tard.

Bien à vous,

Christine




IEF — Instruction En Famille — école à la maison

Par Alain Tortosa

Pas de précipitation

La rentrée scolaire approche en France et, officiellement, il est obligatoire de déclarer l’école à la maison avant le 2 septembre 2021.

Oui, mais tout ceci n’est que théorie…

Dans les faits, croyez bien que si vous la déclarez le 15 octobre ou le 22 janvier cela ne changera probablement pas grand-chose :

  • En premier lieu parce que vous pourrez faire valoir des raisons légitimes. Refus de protocole sanitaire, refus de vaccination, raisons médicales physiologiques ou psychologiques.
  • Mais aussi parce que le chef d’établissement et l’académie seront bien contents de se débarrasser du problème. N’oublions pas que nous ne leur simplifions pas la vie en résistant et que si nous allons nous réfugier dans une grotte, cela les arrange bien.

Vous pourriez me parler d’enfants rescolarisés « de force » ou d’enfants retirés à leurs parents, mais dès lors que vous n’êtes pas maltraitants, qu’il n’y a pas de problèmes délirants de parents séparés ou de problèmes antérieurs à cet IEF, il est évident que vous ne risquez strictement rien.

Évidemment, l’arme de la dictature est la peur et la menace, elle en fait régulièrement usage.

Une solution transitoire

Nous devons être conscients que retirer nos enfants de l’école ne peut qu’être une solution transitoire…

Quid du passage au collège, au lycée, en apprentissage, en fac ou en école d’ingénieur ?

Il y a bien un moment où, sauf exception, notre enfant devra reprendre le cycle « standard » pour la simple et bonne raison que nous vivons dans un monde avec diplômes.

Le fameux « passeport » qui nous rassure !

Alors quand je dis que les diplômes ne servent à rien, on me souffle généralement la phrase « Tu te ferais opérer par un médecin sans diplôme » et ma réponse est toujours la même.

« Je préférerais 1000 fois me faire opérer par un boucher charcutier de formation qui pratique la chirurgie depuis 15 ans, dont le savoir a été transmis par un apprentissage de ses pairs, que par un jeune interne diplômé qui n’a pas la moindre compétence pratique. »

Quand je vois comment les médecins (dans leur immense majorité) sont à la fois incompétents, ignorants, méchants, maltraitants et débiles ou lâches pour le Covid, leur diplôme n’est pas de nature à me rassurer.

Et vous pouvez vérifier ma conviction dans le monde du travail où les entreprises demandent, certes, un diplôme parce que c’est obligatoire, mais surtout 15 ans d’expérience pour les jeunes diplômés, car elles savent bien que les diplômés (hormis les filières d’apprentissage) ne savent rien faire !

Bref je m’écarte de mon sujet, mais ceci pour dire que dans notre société que j’exècre, il est difficile d’échapper au parcours scolaire classique et que l’obtention de diplômes en candidat libre n’est pas si aisée…

Une morale discutable

Nous avons à titre personnel fait le choix de retirer nos enfants l’année dernière pour qu’ils n’aient pas à porter le masque, mais aussi pour qu’ils n’aient pas à vivre dans cet environnement carcéral.

Néanmoins, et comme je pense qu’un retour au cursus classique est quasi obligatoire, ce retour peut être psychologiquement fort perturbant.

Pour moi, c’est de même nature que d’accueillir en France un enfant sri-lankais pendant un an puis le renvoyer dans son usine et son bidonville au terme de son séjour.

L’école à la maison, pour nous, est fort différente de l’école en établissement.

L’enfant a plus d’autonomie, il dispose du temps nécessaire pour chaque apprentissage, il peut se faire aider, aller plus vite sur ce qu’il assimile…

Bref, exactement le contraire de l’usine à fabriquer des clones crétins et obéissants !

L’école de la république, en France, n’est qu’un outil pour gaver et formater de futurs esclaves pour lesquels il faut tout faire pour les empêcher de devenir des êtres pensants et autonomes.

Comprenez bien que lorsque, élève, on a goûté à cette liberté, goûté à la réflexion et à l’intelligence, revenir au système le plus con qui puisse exister au monde ne peut qu’être déstabilisant, déprimant et démotivant !

Et je pense que plus la parenthèse aura été longue et plus le retour dans un cycle « standard » sera violent et plus le risque d’échec scolaire sera important.

De « l’efficacité » de la mesure

Retirer ses enfants de l’école c’est comme déserter… cela permet de sauver sa vie, mais pas de gagner la guerre.

C’est d’ailleurs ce que j’ai fait à titre personnel depuis l’année dernière en ne portant pas de masque et en boycottant les enseignes. OK j’ai protégé ma santé, OK j’ai gardé ma dignité, mais cela n’a pas gêné la dictature en quoique que ce soit.

Vous pourriez me rétorquer à juste titre que si nous sommes très nombreux (par exemple 10 %) à retirer nos enfants de l’école alors cela va mettre un bordel pas possible.

Je suis tout à fait d’accord avec vous, mais je vous rétorquerais que si nous sommes 10 % à refuser la dictature, la maltraitance et le protocole sanitaire pour nos enfants alors nous avons les moyens de faire plier l’établissement, le système et faire tomber le protocole sanitaire.

Et c’est donc là que je veux en venir…

On ne peut pas d’un côté retirer nos enfants et d’un autre se battre pour supprimer le protocole sanitaire !

Ce n’est que de l’intérieur, par des actions de résistance ou par des actions juridiques que nous pourrons faire admettre nos enfants dans des établissements dès cette rentrée sans protocoles sanitaires.

Nous avons bien compris que si nous restons passifs, cette dictature va s’installer pour de nombreuses années. Quand ils auront épuisé le Covid, ils passeront à la dictature climatique pour laquelle ils nous préparent quasi tous les jours dans les médias.

Retirer nos enfants aujourd’hui sans combattre activement le système, c’est les réintégrer dans un, deux,… dix ans dans un système qui sera encore plus liberticide et maltraitant que celui qui nous est proposé aujourd’hui.

Je ne suis pas en train de dire que nous ne devons pas faire l’école à la maison.

Je serais d’autant plus mal placé que je les ai retirés l’année dernière.

En revanche, j’affirme que les retirer de l’école avant la rentrée, sans mener bataille, c’est faire le plus beau des cadeaux à la dictature enfin débarrassée des résistants et libre de maltraiter les autres comme elle l’entend.

Merci

Alain Tortosa

https://7milliards.fr/tortosa20210821-ecole-a-la-maison-impasse.pdf




Covid-19 : Les autorités, via les chaînes d’info en continu, utilisent-elles des acteurs pour jouer les antivax repentis ?

[Source : ZEjournal]

Par JF.Kersca

Si véritablement la vaccination est une formidable réussite et qu’un bon nombre de personnes s’est fait injecter la potion magique, plus de la moitié des français selon les politiques, médecins de plateaux, scientifiques stipendiés et journalistes obéissants, alors dites moi pourquoi aller chercher un intermittent du spectacle pour jouer le rôle d’un malade agonisant sur un lit d’hôpital ? Il existe même un site spécialisé dans le domaine. Bien sûr, tous ces acteurs interprètent des non-vaccinés qui regrettent amèrement d’avoir soit trop attendu pour se faire inoculer, soit regrettent purement et simplement d’avoir refusé la potion magique (la télé-réalité des antivax repentants). Ce n’est plus un cirque, mais une pièce de théâtre ultra propagandiste à ciel ouvert.

Pourquoi des meRdias joueraient-ils ce jeu extrêmement dangereux ? Parce qu’ils n’ont pas le choix, car soit ils sont tenus par des idéologues milliardaires – psychopathes mondialistes -, soit ils sont directement financés par l’état – les deux dans la plupart des cas. Peu importe qui signe le gros chèque, le torchon, la télé poubelle, la radio complice, etc. sont sous perfusion vitale. Si la perfusion mécénique et étatique n’est plus administrée au malade, le meRdia décède inévitablement et quasiment sur le champ. Les journalistes étant formés par l’oligarchie globaliste, à l’instar des médecins formés dans les écoles de Rockefeller (le tout chimique), ils ne font que leur travail : relayer l’information officielle sans se poser la moindre question.

Certains journalistes, Emmanuelle Ducros et les ménages par exemple, sont carrément financés par divers lobbies, selon, évidemment, la notoriété et le poids de leur parole ou de leurs écrits sur une grande partie des lecteurs, téléspectateurs ou auditeurs. Cela porte un nom : corruption. Lorsqu’un médecin passe son temps dans le poste, plutôt que dans son service à l’hôpital, a vanter les mérites d’un médicament inutile et dangereux, le Remdesivir par exemple, produit par un laboratoire, Gilead par exemple, alors qu’il est financé par le labo qui produit ce médicament, comment peut-on encore penser que ce toubib cathodique puisse être objectif. Des Lacombe et Blachier ont défendus bec et ongles ce traitement onéreux et ont touché des dizaines voire centaines de milliers d’euros de Gilead (Martin Blachier, Public Health Expertise : 882 205 euros de divers laboratoires pharmaceutiques, dont 120 600 euros de Gilead). Peut-on légitimement penser qu’ils aient été impartiaux ?  Ce n’est qu’une question.

Tout est bon pour nous inoculer la mixture ARNm et OGM de ces laboratoires criminels condamnés à de nombreuses reprises à des amendes faramineuses. Chaque pays récite inlassablement la même rengaine, le même texte, les mêmes directives pondues par Davos et son gourou Klaus Schwab et orchestrées par les fondations Bill et Mélinda Gates et Rockefeller. Ce que nous vivons en temps réel, c’est un plan savamment mis en place par une élite dictatoriale et eugéniste pour changer de paradigme. Ce qui arrive à grands pas, c’est le crédit social à la chinoise. Cette pièce de théâtre à ciel ouvert n’a absolument rien à voir, vous l’avez bien compris, avec une crise sanitaire.


Covid-19 : la télé-réalité rend malade !

Pas facile la vie des acteurs  en ces temps de coronavirus. Heureusement, ils arrivent à trouver de petits rôles dans la vraie vie. Nous l’avons vu en France, là. Voyons comment trois acteurs de télé-réalité au chômage se sont débrouillés en Grande-Bretagne. La pièce, dans laquelle ils ont joué avec beaucoup de réalisme, a pour titre « Covid-19 : vaccinez-vous ! »

Ils jouent le rôle de leur vie

Tara Langstone

« Tara Jane Langston, mère de deux enfants, a contracté le Covid-19. Depuis son lit d’hôpital, en mars 2020, la maman de 39 ans a mis en garde contre les dangers de ce virus dans une vidéo effrayante ». 

Tara s’adresse à la caméra en haletant pour respirer. Diagnostiquée positive au coronavirus la semaine dernière, elle a décrit son calvaire sur Facebook : « Si quelqu’un pense à prendre des risques, regardez-moi. Je suis aux soins intensifs. Je ne peux pas respirer sans ça. S’il vous plaît, ne prenez aucun risque. Parce que si ça devient vraiment grave, vous allez finir ici. C’est comme avoir du verre dans les poumons, c’est difficile à expliquer, mais chaque respiration est une bataille. C’est absolument horrible et je ne voudrais plus jamais revivre une telle chose. J’ai été malade pendant environ cinq jours avant d’être transportée à l’hôpital en ambulance ».

Tara Jane Langston, après avoir été une star de la télé-réalité britannique (Channel 4, « The Bridge »), est devenue serveuse et cosmétologue.

Matthew Roche

« Un homme de 38 ans a passé cinq semaines en soins intensifs avec le coronavirus après avoir refusé d’être vacciné. Matthew Roche est toujours en convalescence à l’hôpital de Whiston et a subi des dommages permanents aux poumons ».

Il a déclaré à Good Morning Britain  (ITV) : « Je me suis dit : “Je vais me faire vacciner, mais j’aimerais voir ce qui se passe au niveau des effets secondaires.” Personne ne prend cela au sérieux tant que ce ne lui est pas arrivé. J’ai perdu 10 % de mon poids, mes poumons ont subi des modifications permanentes et importantes, et il se pourrait bien que ma vie soit changée à jamais. Cela a été l’expérience la plus terrifiante de ma vie ».

Matthew Roche a joué en 2020 dans « Captain Bluebeard » et dans  « Charity collector » en 2019. Lors d’une simulation d’attaque terroriste dans un centre commercial, il a tenu le rôle d’un civil victime d’une explosion simulation de choc : pleurs, vomissements, il a apporté tout le réalisme possible à ce rôle, afin de mettre au défi les intervenants et les acteurs bénévoles. 

Marcus Birks

« Marcus Birks, 40 ans, un fou de gym qui se croyait à l’abri du Covid et qui a “repoussé” l’idée de se faire vacciner se bat pour sa vie. Il se trouve dans l’unité de soins intensifs d’un hôpital des West Midlands. Il exhorte les gens à se faire vacciner, après avoir pensé qu’il était à l’abri du virus ».

Le 11 août 2021, il déclare à BBC News : « Si vous n’avez pas été malade, vous ne pensez pas que vous allez l’être, alors vous écoutez les trucs [anti-vaccins]. Quand vous avez l’impression de ne pas pouvoir respirer assez, c’est le sentiment le plus effrayant du monde. La première chose que je vais dire à toute ma famille, c’est de se faire vacciner, ainsi qu’à tous ceux que je vois. Et dès que je pourrai l’avoir, je le ferai ».

Marcus Birks a joué dans de nombreuses séries de télé-réalité, dont « Odd One In » (2010), et  a été gagnant de Lads Army (2002). Depuis il s’oriente vers la chanson.

Nouveau job en Grande-Bretagne : vaccinateur

L’épidémie de coronavirus a créé l’emploi de vaccinateur. Une offre — en CDI ! — fait augurer d’un métier d’avenir !

« Une opportunité passionnante s’offre à vous pour rejoindre une nouvelle équipe dynamique chargée de fournir une gamme de vaccins à la population de l’Aberdeenshire dès la naissance et au-delà.  

Ce poste offre une grande variété, allant de la vaccination des enfants d’âge préscolaire, des écoles primaires et secondaires à celle des adultes. Ces vaccinations seront effectuées dans divers environnements, des foyers aux écoles, en passant par les lieux de rassemblement ou les centres de traitement et de soins communautaires, ce qui favorisera une culture du travail en équipe et de l’agilité. 

Le poste est actuellement ouvert aux personnes inscrites au NMC [infirmiers et aide-soignants] et, bien qu’une expérience préalable de la vaccination soit bénéfique, elle n’est pas essentielle car une formation complète sera fournie. Les candidats doivent faire preuve d’innovation, d’amabilité et d’adaptabilité ».

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.


« Tiens bon, on les aura ces connards »

(SMS de notre président à notre ministre de la Santé*)

Les jeunes se vaccinent pour voyager, les anciens ont cru la télé. Il reste la tranche 35-55 ans à convaincre. CNews met le paquet avec son Covid-fiction de l’été.

Marseille : Episode 1 Saison 1 : le non-vacciné repenti

Et le même jour aux États-Unis…

La même scène, mais cette fois le mourant a ses lunettes, son téléphone en main et rassemble toute son énergie pour prévenir qu’il ne faut pas faire comme lui, qui n’a pas voulu se vacciner.

En Guadeloupe aussi

Les journalistes là aussi peuvent entrer en salle de réanimation photographier un patient atteint du Covid-19 à l’hôpital Les Abymes (Centre hospitalier universitaire) à Pointe-à-Pitre, sur l’archipel de la Guadeloupe, le 6 août 2021.

Le 20 mars 2021 déjà, CNews avait employé un comédien

* La citation dans le titre a été relayée par divers médias dignes de la confiance gouvernementale : 
Valeurs actuellesLa Charente Libre20 minGala

– Source : JF.Kersca




Qu’est-ce que le Great Reset recherche vraiment avec le passe sanitaire ?

Qu’est-ce que le Great Reset recherche vraiment avec le passe sanitaire ?

parÉric Verhaeghe

20 août 2021

Mais en quoi le Great Reset a-t-il vraiment besoin du passe sanitaire pour se mettre en place ? Cette question dont on pressent l’importance grandissante depuis plusieurs semaines, et qui s’impose aujourd’hui comme la charnière explicative des politiques publiques, donne lieu à de nombreuses supputations. Il ne suffit en effet pas d’écouter les discours de la caste appelant tous à une ségrégation contre les non-vaccinés pour comprendre l’intention fondamentale de cette innovation. C’est en plongeant dans l’un de tes blogs de l’entreprise transnationale française Thalès que l’on comprend la stratégie d’ensemble qui se met en place, et les étapes qui suivront.

https://youtu.be/nLeqNOfOKKg

Peut-être vous êtes-vous demandé, comme moi, quelle mouche avait brutalement piqué Emmanuel Macron le 12 juillet lorsqu’il a annoncé la mise en place d’un passe sanitaire restreint dès le mois d’août. Il est encore trop tôt pour avoir toutes les réponses aux questions qui peuvent se poser, notamment sur le poids exact de l’industrie pharmaceutique dans les décisions politiques (on pense ici aux disparitions étonnantes de certains chefs d’Etat hostiles à la vaccination, qui laissent à penser que des méthodes de persuasion parfois assez violentes sont utilisées dans le milieu… l’Histoire éclaircira ces affaires). 

Les langues commencent toutefois à se délier dans les milieux industriels, et ce qu’on apprend ne manque pas d’intérêt. 

Thalès au cœur du passe sanitaire

C’est en allant sur le blog de l’entreprise Thalès (en anglais) qu’on comprend dans quelle cohérence d’ensemble s’inscrit cette première étape du capitalisme de surveillance qui s’appelle le passe sanitaire. Thalès entend en effet proposer une solution globale d’identité numérique et nous expose avec une forme de naïveté comment ce projet va se décliner. 

Thalès écrit donc :

So-called digital ‘vaccination passports’ will play a key role in enabling citizens to access all manner of services and will act as a precursor to the rollout of mobile digital IDs.

(Les passeports vaccinaux joueront un rôle-clé dans la capacité des citoyens à accéder à toutes sortes de services et agiront comme des précurseurs au passage vers l’identité numérique sur téléphone portable).

Le passe sanitaire est donc un “précurseur” ! L’anticipation d’un système généralisé où l’identité ne sera plus établie par un document officiel “autonome” comme une carte d’identité, mais bien par un “portefeuille” numérique conservé sur un cloud et une application dont l’archivage échappera à l’utilisateur. 

Autrement dit, il s’agit de nous habituer à changer de mode d’établissement de notre identité. 

Un portefeuille digital pour accéder aux services publics

Sur le fond, Thalès ne cache pas l’ambition “centrale” du passe sanitaire, qui est de devenir une plate-forme d’accès aux différents services publics disponibles sur Internet. Pour ce faire, le passe-sanitaire repose sur un “wallet”, un portefeuille numérique, pour lequel la Commission Européenne a d’ores et déjà posé les bases

In both cases, the deployment of a digital wallet – primarily for digital driving licenses – will act as a gateway and the foundations for other vital government services, such as health passes.

(Dans tous les cas, le déploiement du portefeuille digital – initialement pour le permis de conduire – fonctionnera comme une plateforme d’accès et des piliers pour d’autres services publics vitaux, comme les passes sanitaires”. 

On comprend donc que le passe sanitaire est la face émergée d’un iceberg technique qui se constitue progressivement, et qui va bouleverser la notion d’identité “administrative”. Désormais, les citoyens seront directement gérés par un Big Data qui permettra de leur donner accès à certains lieux ou à certains services par le contrôle de l’intelligence numérique. 

Quand le portefeuille digital remplacera le passeport

Dans la palette de services que “l’ID numérique” devra rendre, on trouve en particulier le remplacement en bonne et due forme du bon vieux passeport actuel. Celui-ci sera bientôt rangé aux oubliettes de la préhistoire et remplacé par une application sur un téléphone, où toutes les données individuelles seront centralisées. 

Last butcertainlynot least, the EU Digital Identity will allow citizens to use their documentation across the entire region.

(Enfin et pas des moindres, l’identité digitale européenne permettra aux citoyens d’utiliser leurs documents à travers tout le continent). 

On se souvient que l’Europe s’était fondée sur l’aspiration à un continent sans frontière et sans contrôles d’identité. Subrepticement, on est passé à une Europe avec des contrôles universels poussés à un point inconnu jusqu’ici. C’est sans doute le progrès des Lumières qui veut ça. 

Portefeuille digital et euro numérique

Mais c’est une autre fonctionnalité du “wallet” qui doit retenir l’attention, car elle rejoint le projet d’euro numérique que nous avons évoqué cette semaine. Il s’agit de l’utilisation du portefeuille digital comme moyen de paiement. 

It gets really exciting when you realise that the wallet can host both digitalised identity and payment credentials. This could allow people, for example, to pay a deposit on a new apartment or settle an outstanding speeding fine directly from their smartphone. 

(Cela devient exaltant de penser que le portefeuille digital peut héberger à la fois une identité numérique et des moyens de paiement. Ceci permettrait aux gens, par exemple, de payer une caution pour un nouvel appartement ou de régler une amende pour excès de vitesse directement depuis un smartphone). 

On y vient, donc : le passe sanitaire devrait déboucher sur une ramification future, le paiement en ligne, par exemple des impôts ou des amendes. Ou du loyer. Ou des traites sur en emprunt bancaire…

Bref, si l’on se souvient que l’euro numérique serait à la main complète de la Banque Centrale Européenne, l’espace de liberté qui restera au consommateur pour arbitrer ses dépenses va devenir de plus en plus contraint. Du propre aveu de Thalès, en effet, l’Etat saura tout de vous, y compris de votre situation financière ou bancaire. 

La porte ouverte au crédit social

On va bien dans quel état de dépendance ce système entreprend, sans que ce projet ne soit publiquement explicité auprès des citoyens, de placer les individus. Se met en place une architecture qui rendra possible le “crédit social” à la chinoise : le wallet contiendra des marqueurs indiquant qui n’a pas payé ses impôts, ou ses dettes, qui a roulé trop vite, qui a tardivement réglé sa pension alimentaire. Et si le marquer apparaît, l’individu sera interdit d’accès à certains services, ou à certains achats. 

Peu à peu, il sera marginalisé, sans possibilité de s’y opposer. 

C’est bien à cela que sert le passe sanitaire. Il n’est pas une fin en soi. Il est un début, un précédent, une mise en bouche. Vous savez désormais dans l’attente de quoi il sera maintenu après le 15 novembre.  


[Voir aussi Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire et les liens annexes en fin d’article.]




Les « pseudovaccins » anticovid ne marchent pas, les « décodeurs » nient l’évidence de l’expérience israélienne

Par le docteur Gérard Delépine

Les « vaccinés » qui sont malgré tout malades du covid sont de plus en plus nombreux en Grande-Bretagne comme en Israël où l’ancien directeur général de la santé a reconnu que près de 50 % des nouveaux cas concernaient des personnes complètement vaccinées.

Pour discréditer cette information avérée les décodeurs de tous les médias dont Guy Dagorn décodeur du Monde et Quang Pham de Huffpost(([1] Quang Pham Des vaccinés meurent du Covid, mais voici la preuve que ce serait pire sans vaccin Huffpost 29/06/2021 Le HuffPost vous explique mathématiquement pourquoi ce n’est pas à cause d’une moindre efficacité des vaccins.)) se livrent à de savants calculs et prétendent que ce serait une bonne nouvelle(([2] Guy Dagorn le Monde 2 juillet 2021))! Et leurs élucubrations sont ensuite diffusées par les médias dominants. Leur seule excuse est de ne pas être médecin, car aucun docteur n’oserait prétendre que l’échec, même partiel, d’un traitement préventif est un succès.

Un vrai vaccin prévient l’infection

Entendre qu’un vaccin serait seulement destiné à éviter les formes graves de la maladie est une ineptie et un mensonge. Un vaccin est destiné à prévenir la maladie qu’il combat et si possible à l’éradiquer. Les vaccinés à jour contre la diphtérie, la poliomyélite, la fièvre jaune et bien d’autres maladies sont totalement protégés à vie comme 95 % des vaccinés contre la rougeole (aux USA on constate un nouveau foyer touchant les vaccinés tous les 3-4 ans). À l’opposé, les vaccins contre la grippe saisonnière sont peu efficaces (20 à 40 %), car il s’agit chaque année d’un nouveau variant du virus grippal de l’année précédente et d’un vaccin élaboré en quelques mois pour s’adapter à la nouvelle souche. Cela explique sa trop faible efficacité et que le vaccin grippal est relativement peu utilisé (20 % de la population) malgré les campagnes de promotion permanentes et que les agences sanitaires ne le rendent pas obligatoire.

En Israël, le 18 août 2021, le nombre de nouveaux cas atteignait 6279, dépassant le record d’avant la campagne de vaccination (6272 le 27 septembre 2020), alors que près de 85 % des adultes sont totalement vaccinés. Cela confirme une fois de plus(([3] Cette inefficacité à empêcher l’épidémie a déjà été observée à Gibraltar (115 % de vaccinés), Grande-Bretagne, Émirats Arabes Unis, et dans tous les pays qui ont largement vacciné.)) que l’injection Pfizer n’est pas efficace pour protéger les vaccinés ni pour empêcher la transmission de la maladie.

Prétendre comme Guy Dagorn ou Quang Pham que « cela ne remet en aucun cas l’efficacité des vaccins à endiguer l’épidémie » constitue un refus de considérer les faits avérés et/ou une désinformation manifeste.

Un vrai vaccin évite les hospitalisations

Mais pas l’injection Pfizer !

Depuis près juillet le nombre d’hospitalisations ne fait que monter et dépasse les 150 par jour.

Un vrai vaccin évite les séjours en réanimation

Mais pas l’injection Pfizer.

Depuis la reprise de l’épidémie, les admissions en réa augmentent rapidement. Le 11 août le ministre de la Santé israélien précisait que 64 % des 400 cas graves hospitalisés avaient été complètement vaccinés. Ce pourcentage correspond aussi à celui des vaccinés dans la population prouvant que l’injection Covid ne diminue en rien le risque de faire une forme grave.

Actuellement, le nombre quotidien de nouveaux admis en réa avoisine 100.

Il est donc mensonger de prétendre que l’injection Pfizer protège des formes graves de Covid.

Un vrai vaccin évite la mort

Mais pas l’injection Pfizer.

Depuis la reprise de l’épidémie en Israël, la mortalité liée au Covid19 augmente, atteignant actuellement 20 par jour le 20/8/2021.

Il est donc mensonger de prétendre que l’injection Pfizer permet d’éviter de mourir de Covid

Les décodeurs auraient dû être plus prudents avant de se féliciter publiquement : « depuis le 1er juin, Israël n’a enregistré “que” 21 décès dus au Covid-19 et n’en a plus recensé aucun depuis le 25 juin dernier. »

Conclusions

Prétendre : c’est une bonne nouvelle « que les vaccinés représentent 40 % des nouveaux cas en Israël » représente vraiment une aberrante et absurde bêtise qu’il fallait démentir.

On n’ose imaginer que Guy Dagorn ou Quang Pham puissent être anti- sémites (ils se réjouiraient des malheurs de nos amis israéliens) ou antivax (ils se réjouiraient de l’échec de l’injection Pfizer), une telle affirmation témoigne vraisemblablement de leur inculture médicale et/ou de leur appartenance à des groupes financés par l’industrie pharmaceutique.





Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire

[Source : LeoHohmann.com]

Par John Gideon Hartnett

Plusieurs nouvelles technologies qui semblent distinctes et non liées vont bientôt converger, créant un piège numérique géant qui attirera facilement les masses non informées.

Le piège numérique est déjà tendu et les élites mondialistes utilisent la COVID pour accélérer le processus de convergence. La plupart des gens tomberont dans le piège, ce qui les réduira finalement à un code QR humain – repérable, traçable et dépendant à 100% des Big Tech et du grand gouvernement pour leur existence.

Je vais défaire chacun de ces fils apparemment séparés qui seront progressivement fusionnés en une seule grille de contrôle socio-financière globale.

L’élément du programme le plus imminent nécessaire pour relancer ce système est le lancement réussi des passeports sanitaires numériques.

La France, l’Italie, l’Irlande, l’Allemagne, la Grèce et de nombreux autres pays ont commencé à imposer ces passeports à leurs citoyens, dont beaucoup envahissent les rues pour protester

Les citoyens protestent contre les pass sanitaires dans plus de 150 villes à travers la France.

Le mouvement vers les passeports sanitaires numériques aux États-Unis se fait plus progressivement, mais il prend de l’ampleur.  

Dans un briefing le lundi 2 août, le coordinateur de la réponse au coronavirus de Biden, Jeffrey Zients, a annoncé « qu’il est temps d’imposer certaines exigences » en ce qui concerne les vaccins anti-COVID.

Lorsqu’on lui a demandé des éclaircissements sur les règles COVID qui pourraient être mises en œuvre, l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a déclaré que rien n’est exclu.

Souvenez-vous de cette phrase : Rien n’est exclu.

Cela pourrait impliquer de rassembler les non vaccinés et de les placer dans des camps d’isolement et de quarantaine.

Un consortium universitaire composé de six universités a déjà un contrat avec le département américain de la Sécurité intérieure pour fournir une formation aux parties prenantes du gouvernement, des forces de l’ordre, des soins de santé et du secteur privé sur la façon de mettre en quarantaine « de grandes parties » des communautés rurales.

Mais la volonté de numériser la vie des Américains commencera dans les villes et se déplacera vers l’extérieur.

Le maire de New York, Bill de Blasio, est devenu le premier homme politique à saisir l’occasion d’exiger des passeports vaccinaux.

Malgré ce que l’on essaie de vous dire, séparer les Américains par statut vaccinal est une première historique. Cela n’a jamais été tenté auparavant, pas à travers les épidémies de polio ou de variole des années 1920, 30 et 40, pas pendant la grippe espagnole. Jamais.

De Blasio a ordonné aux entreprises de refuser le service aux non vaccinés, qui représentent 30 % de la population de la ville. Il reste à voir comment de Blasio appliquera cet édit. Appelera-t-il la police pour qu’elle ferme les entreprises qui n’exigent pas de leurs clients qu’ils montrent leurs papiers ?

Le gouverneur de New York Andrew Cuomo vise également des mandats de passeport vaccinal dans tout l’État, mais sait qu’il doit être un peu plus diplomatique dans son approche.

« Les entreprises privées, je leur demande et leur suggère de passer à l’admission uniquement pour les vaccinés. Passez à l’admission uniquement pour les vaccinés », a déclaré Cuomo lors d’une conférence de presse le 2 août.

« Je crois qu’il est dans votre propre intérêt commercial », a-t-il dit, « de gérer un établissement réservé aux vaccinés…. Nous avons des applications, dites simplement « vous devez montrer que vous avez été vacciné lorsque vous franchissez la porte. » »

En d’autres termes, « Montrez vos papiers ».

Pensez à ce que Cuomo dit ici.

Il « demande » avec force aux propriétaires d’entreprise d’éliminer 30 pour cent de la population de l’État de leur champ de clients potentiels et de les traiter comme des non-personnes.

Ceci est du pur fascisme et rappelle la propagande nazie qui a contraint les Allemands à refuser de faire des affaires avec les Juifs.

Si les propriétaires d’entreprise de New York écoutaient Cuomo, ils rendraient impossible aux personnes non vaccinées de nourrir leurs enfants.

Apprenez vos droits médicaux en tant qu’employé, étudiant, etc., et comment « dire non à l’aiguille » sur HealthyAmerican.org de Peggy Hall 

Les passeports numériques exigent que les gens téléchargent un code QR numérisable sur leur téléphone portable qui permettra aux entreprises de savoir qu’elles ont été vaccinées avant d’être autorisées à entrer et à recevoir le service [acheter ou vendre].

Cela nous amène à la deuxième étape du piège numérique qui cuit dans le four technologique – un nouveau système d’identification numérique mondial capable de fonctionner conjointement avec les passeports sanitaires numériques et le nouveau complexe médico-vaccinal.

Le leader de ce courant technologique est l’Alliance ID2020, une collaboration de plus de 35 membres dont Accenture, Microsoft, la Fondation Rockefeller, MasterCard, IBM, la Chambre de commerce internationale, MIT SafePaths et GAVI Global Vaccines Alliance de Bill Gates.

En février 2021, ID2020 a lancé le Good Health Pass Collaborative pour encourager une convergence transparente de toutes les applications d’accréditation des vaccins anti-COVID-19 développées par de nombreuses organisations différentes.

« Les certificats vaccinaux en papier peuvent être facilement falsifiés », prévient l’Alliance ID2020 dans un communiqué. « Le but des informations d’identification de santé est de prouver en toute sécurité qu’une personne a reçu un vaccin ou un test PCR. La nouvelle alliance cible particulièrement les voyages pour garantir que les informations d’identification fonctionnent de manière transfrontalière, intersectorielle et sans friction. »

L’alliance a publié un livre blanc sur le sujet pour ceux qui recherchent plus de détails.

Une autre pièce du puzzle techno-fasciste en évolution est la nouvelle monnaie numérique.

Les banques centrales du monde travaillent sur une monnaie numérique programmable basée sur la technologie de la chaîne de blocs. Cela signifie qu’ils seront en mesure de suivre vos dépenses et de vous couper les vivres pour quelque raison que ce soit.

Le Fonds monétaire international a publié un article sur son site Web en juillet, saluant l’Inde comme un leader mondial dans la lutte pour éliminer les espèces. Et bien sûr, la COVID a été mentionnée comme accélérant l’abandon du papier-monnaie. Le FMI a noté :

« La COVID-19 a accéléré l’utilisation des paiements numériques sans contact pour les petites transactions alors que les gens essaient de se protéger du virus. Ces avancées s’appuient sur India Stack, un système complet d’identité numérique, de paiement et de gestion des données sur lequel nous écrivons dans un nouvel article (Carrière-Swallow, Haksar et Patnam 2021). »

Comme vous pouvez le voir dans la déclaration ci-dessus, l’objectif est une identité numérique complète, combinant ses données de santé et son statut vaccinal avec des données bancaires et d’autres données personnellement identifiables.

Klaus Schwab nous a prévenus à l’avance du piège que lui et ses copains élitistes nous tendaient.

« La quatrième révolution industrielle conduira à une fusion de nos identités physique, biologique et numérique », a déclaré Schwab au Chicago Council on Global Affairs en novembre 2020.

Même avant cela, dans son livre de 2018, Shaping the Future of The Fourth Industrial Revolution, Schwab a écrit :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle ne s’arrêteront pas de faire partie du monde physique qui nous entoure, elles feront partie de nous.

« En effet, certains d’entre nous ont déjà le sentiment que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes d’aujourd’hui, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront presque certainement implantables dans notre corps et notre cerveau.

Lorsqu’il a écrit ces idées grandioses en 2018, cela ressemblait à la tarte dans le ciel des rêveries d’un futuriste déconnecté et peu y ont prêté attention. Post COVID, c’est sous notre nez et prêt à être mis en œuvre.

La dernière étape du programme technologique pour contrôler l’humanité est que les géants de la Big Tech travaillent ensemble pour éliminer toutes les voix dissidentes d’Internet. Leur objectif ultime est de créer un système où tous les utilisateurs ont un passeport Internet, sous réserve d’un examen périodique de votre activité en ligne.

Les géants de la Big Tech ont déjà déclaré qu’ils partageaient activement des informations dans le but de réprimer les « suprémacistes blancs » dans le cadre du Global Internet Forum to Counter Terrorism, un organisme auparavant réservé pour cibler les talibans et al-Qaïda. 

PayPal a annoncé qu’il travaillerait avec l’Anti-Defamation League notoirement marxiste pour parcourir l’Internet, à la recherche de voix « extrémistes » et « anti-gouvernementales » afin de rendre inactif leurs boutons de don PayPal.

Dans le cadre de ce système de notation sociale à la chinoise, les coupables d’infractions en ligne sont publiquement humiliés et réduits au silence. Les collecteurs d’informations sont payés pour dénoncer leurs voisins et les membres de leur famille. Une fois que votre pointage de crédit social descend en dessous d’un certain niveau, vous devenez tellement discrédité qu’il devient de plus en plus difficile de trouver un emploi, de voyager en avion, en train, en bus ou en voiture, d’obtenir des prêts ou d’inscrire vos enfants dans les meilleures écoles.

Ceux qui fournissent des informations qui vont à l’encontre le narratif seront signalés, avertis, et finalement bloqués en tant que diffuseurs de « désinformation ».

Vous perdez votre liberté d’expression, mais ce n’est pas tout.

Dans la société d’aujourd’hui, être retiré d’Internet signifie que vous ne pourrez pas acheter ou vendre en ligne ou effectuer un travail nécessitant une connexion Internet.

Ainsi, les passeports sanitaires, actuellement en cours de déploiement dans le monde entier, vous empêcheront d’acheter en personne de la nourriture et des produits de première nécessité, tandis que le prochain passeport Internet vous empêchera de commander vos produits de première nécessité en ligne. Vous vous retrouverez essentiellement avec le marché noir, en supposant qu’il y en ait un pour ceux qui sont jugés « impurs » et « impropres » pour le monde moderne en raison de leurs opinions dissidentes.

Toutes ces technologies fusionneront à l’intersection du Big Data, des grandes banques, de la Big Tech et du grand gouvernement. Votre pointage de crédit social sera désormais lié non seulement à votre activité sur Internet, mais aussi à votre compte bancaire et à votre statut vaccinal. Bienvenue dans la Grande réinitialisation, alias Nouvel Ordre Mondial.

Ajoutez les avancées de l’IA et de la reconnaissance faciale et des millions de caméras de surveillance et vous parlez d’un État esclavagiste verrouillé qui fait ressembler 1984 de George Orwell à un club de vacances.

Mais ne vous plaignez pas. Tout cela est « pour notre sécurité ».

On ne peut pas faire confiance aux gens pour faire ce qu’il faut, croire aux faits réels, mener le genre de vie qui aboutit à une société paisible et heureuse. Tous doivent se conformer aux nouveaux maîtres.

Il est maintenant temps de combattre ce système. Mais pour le combattre, vous devez reconnaître son existence et garder une longueur d’avance sur la stratégie maléfique de la cabale.

À un moment donné, la trappe se refermera. Il sera trop tard pour se retirer. Vous vous conformez ou devenez une non-personne. Un ennemi de l’État.

Ces voies distinctes d’évolution technologique finiront par fusionner pour créer une société dans laquelle tout, et chaque personne, est suivi numériquement. Pas seulement le mouvement de leur corps physique, mais leurs actions, leurs comportements et même leurs pensées.

Les élites comptent sur nous pour accepter ce système à ses débuts, fragmentés. La plupart des gens pensent de manière compartimentée. Ils ne relient pas les points. Ils seront trompés.

Les élites ne vont pas vous dire d’emblée tout ce qui est impliqué dans la quatrième révolution industrielle. Ils vont juste vous dire les parties qui semblent bonnes – commodité, inclusion, sûreté, sécurité.

Regardez la vidéo effrayante de 42 secondes publiée par le gouvernement australien exhortant les gens à créer une identité numérique (en anglais).

Une fois cette trappe fermée, il sera très difficile de sortir de ses griffes. Ne téléchargez pas d’applications, payez en espèces chaque fois que c’est possible, et arrêtez de marcher en somnambule vers le Nouvel Ordre Mondial.

Lisez l’article complet sur LeoHohmann.com.

[HGJ :] Ce que j’ai fait pour réduire mon empreinte numérique, c’est que j’ai acheté un téléphone « stupide » et ai désactivé le paramètre de localisation qui fonctionne sur les téléphones mobiles. Il n’a pas de fonction GPS et ne peut donc pas me suivre. J’ai acheté le livre de cartes à l’ancienne et j’apprends à naviguer à l’ancienne. Le téléphone stupide ne peut pas prendre d’applications et ne peut donc jamais être utilisé pour la lecture de code QR.

Pour faire mes courses, je sors une liasse d’espèces au guichet automatique à l’extérieur d’un centre commercial et n’utilise que de l’argent liquide dans n’importe quel magasin, n’importe où. Recommençons tous à utiliser de l’argent liquide, partout.


[Voir aussi, en vrac :
Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »
Un passeport vert pour un État mondial numérisé
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Qui est l’Antéchrist ?
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier
Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?
Les micropuces de Bill Gates
L’après COVID-19: la médecine des ASSASSINS FINANCIERS par l’ÉTAT PROFOND, pour toutes les Nations ?
Pourquoi les mondialistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vaccination de 100 % ?
Le pass sanitaire et son QR Code associé permettront à terme de faire accepter aux gens la puce RFID
Note sur les manifestations sous le règne du NOM
L’opération Covid-19 met à nu le “Nombre de la Bête”
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Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Les camps FEMA, les sans domicile fixe et la puce RFID
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Le passeport sanitaire est-il un prélude à l’apartheid ?
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Pourquoi le NOM nous fragilise ?
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
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Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
L’entreprise Citrix s’attend à ce que les travailleurs aient des « puces implantées » d’ici l’année 2035
Dr Joseph Mercola : Une biopuce injectable pour la détection du SARS-CoV-2 sera prochainement approuvée par la Food and Drug Administration
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le langage humain bientôt obsolète, prédit Elon Musk]




Fin de la 4e vague ? Les médias nous abreuvent tous les jours de fin du monde, il faut bien vendre leurs injections

Par Alain Tortosa

Analyser des données depuis le début de la crise est d’autant plus difficile que la plupart sont fausses et que le gouvernement a modifié ses critères au « fil des vagues ».

Je vous invite à lire mes anciens textes sur les deux vagues précédentes qui prouvaient que ce n’était que pure manipulation.

Rappel sur les données mensongères :

  • Les résultats d’un test PCR peuvent être faussés, il suffit d’augmenter ou diminuer le nombre de cycles (CT).
  • Un test PCR positif ne présage en rien de la contagiosité ou de la maladie d’une personne quoi qu’en dise la Pravda. Comment une personne qui ne touche pas, ne crache pas, dont il faut aller chercher la présence d’un virus avec un coton de 10 cm de long pourrait être contagieuse ? Cela ne peut pas être avoué par la dictature sanitaire sinon plus aucune justification possible pour les confinements, pass sanitaire et autres masques ou injections. Ils sont quand même forts à avoir réussi à inventer « la personne en bonne santé dangereuse pour autrui ».
  • Le nombre de personnes hospitalisées Covid est un faux gouvernemental volontaire. En effet, selon les données officielles, une personne qui va à l’hôpital une demi-journée pour se faire enlever une dent de sagesse et qui est déclarée positive suite à un rt-PCR rentrera dans les hospitalisations Covid de la semaine.
  • Le taux de réanimation est un faux. En premier lieu, parce qu’une personne en fin de vie, mais positive au Covid sera comptabilisée Covid. En second lieu, parce que le gouvernement n’a JAMAIS fourni le nombre de personnes en « réanimation », mais en « soin critique »… D’un côté, 5000 lits environ de réanimation, et de l’autre, environ 19 000 lits de soin critique. Au pic de l’épidémie, en avril 2020, il y a avait officiellement 7000 personnes estampillées Covid en soin critique. Ces escrocs parlaient donc d’un taux d’occupation de lits de « réanimation » (alors que c’était des soins critiques) de l’ordre de 140 % (7000/5000) alors que la seule donnée disponible était le taux d’occupation des lits de « soin critique » comme indiqué sur le site du gouvernement, soit moins de 37 % (7000/19000) d’occupation au PIRE de l’épidémie !! Au 16 août 2021, il y a officiellement 1908 personnes dites « Covid » en soin critique soit environ 10 % d’occupation des lits de soin critique !
  • Pire que ça, le taux de personnes en soin critique est calculé non pas en fonction du nombre total de lits en soin critique, mais en fonction du nombre de lits alloués aux patients Covid. 10 patients en soin critique pour 20 lits alloués donne un taux d’occupation de 50 %. Et quand il n’y a plus assez de patients Covid, qu’il n’y en a que 5 par exemple, alors on réduit le nombre de lits alloués, par exemple 10 lits (au lieu de 20). Et donc, avec deux fois moins de patients dits Covid en soin critique, on obtient le même taux de soin critique !

Toutes les affirmations précédentes peuvent être vérifiées, j’attends avec joie les décodeurs de l’information à la botte de l’État.

Bref, nous voyons que tout est faux et que le gouvernement peut jouer sur tous les leviers qu’il veut pour nous présenter une vague.

Mais qu’en est-il de cette prétendue 4e vague qui affole les chefs de service médiatiques ?

Nombre de patients testés

En premier lieu, nous assistons à une explosion du nombre de tests quotidiens.

C’est tout à fait logique du fait de l’apartheid… Pour le travail, les vacances, les voyages, le restaurant…

Nous en sommes arrivés à quasiment 1 million de tests par jour quand, lors de la seule vraie vague, le nombre de tests était de moins de 40 000 par jour.

Preuve en est que la première vague était une épidémie de malades et les suivantes une épidémie de positifs.

Taux d’incidence

Le taux d’incidence est, rappelons-le, le nombre de personnes positives rapporté pour 100 000 habitants.

Donc plus on teste et plus on a de positifs…

Il est donc malhonnête et mensonger de se fier à cet indicateur pour connaître l’évolution de l’épidémie.

Il est intéressant de constater que la courbe du taux d’incidence suit parfaitement la courbe du nombre de tests pour toutes les courbes (mais aussi les courbes d’hospitalisation et de réa, mais là n’est pas mon sujet du jour).

Le taux d’incidence quotidien était de 3 pour 100 000 habitants à la fin juin et nous voyons qu’il suit la courbe de tests et ne fait qu’augmenter pour atteindre 52,9 le 9 août.

Taux de positivité tous âges

En revanche, le taux de positivité est une donnée beaucoup plus honnête, donc non utilisée par le gouvernement et les médias.

En effet, il est le rapport entre le nombre de personnes testées et le nombre de personnes positives.

De fait, il ne dépend pas du nombre de tests effectués.

Pour autant, il peut aussi être truqué très facilement en trichant sur le nombre de cycles des tests PCR, mais aussi sur un échantillon non représentatif.

Il faudrait que, d’un jour à l’autre, l’échantillon soit représentatif pour comparaison.

Dans les faits, ce n’est absolument pas le cas, car lorsqu’une personne est positive, tous les proches sont testés et il est alors de fait logique que le taux de positivité soit faussé, c’est comme si on testait le taux de voitures en panne en visitant des garages.

Ces introductions faites sur le taux de positivité, nous constatons qu’il a augmenté pour passer de 0,6 fin juillet à 5 le 20 juillet.

Nul doute que notre monarque soit un grand stratège, mais « comme par hasard » le taux qui était de 2,6 le 16 juillet est passé à 5 le 20 juillet…

il a donc doublé « comme par hasard » en quatre jours… mais le plus étrange est que cette « explosion » s’arrête le 20 juillet et que le taux de positivité reste bizarrement relativement constant jusqu’au 5 août..

Nous avons une épidémie qui « explose » peu de temps après l’alerte clairvoyante de notre grand monarque puis qui stagne pendant 2 semaines ??!!

(Pendant ce temps le taux d’incidence manipulateur ne fait que croître…)

Le fameux R0

Le 14 juin, en plein creux épidémique officiel, le R0 est à 0,6 c’est-à-dire que l’épidémie est officiellement en recul. Puis il grimpe en flèche…

Comment se fait-il que le R0 explose à partir du 14 juin alors même que le taux de positivité continue de baisser ?

Taux de 1,2 le 14 juin à 0,8 le 3 juillet… L’épidémie continue de reculer objectivement selon le taux de positivité pendant 2 semaines alors qu’elle explose sur la même période selon le R0 !

Comment, alors qu’il y a de moins en moins de personnes positives dans la population selon les données officielles, le nombre de personnes qui infectent les autres augmente-t-il tout aussi officiellement ?

Bref on se fout objectivement de notre gueule.

La « blague », mieux vaut en rire, se poursuit !

Nous voyons que depuis le 3 août le taux de positivité retombe, pour rejoindre le taux du 16 juillet (lui même le même qu’au 2 juin, période de répit sans la moindre vague officielle)

Cet indicateur objectif (le moins pourri) nous dit donc que nous avons bien entamé la fin de la « 4e vaguelette ».

Cela tandis que le taux d’incidence qui vise à manipuler les Français continue de croître avec le concours de tous les médecins médiatiques qui trahissent leurs serments jour après jour…

Quant au fameux R0 il ne fait que chuter depuis le 19 juillet pour atteindre 1,1 le 7 août (idem que le 31 mars). Bien étrange quand on pense à cette « 4e vague meurtrière »

Nous voyons donc ici, malgré toutes ces données biaisées ou fausses, que la 4e vague est totalement bidon et qu’elle est sur sa fin.

Soit exactement le contraire du message gouvernemental et de ses putalopes médiatiques.

Taux de positivité 10-19 ans

Oui, mais « il y a une explosion chez les jeunes ! »

La courbe du taux de positivité chez les 10-19 ans a effectivement subi le pic présidentiel, mais elle aussi est sur la baisse.

Le pic chez les 10-19 ans, à 5 personnes positives pour 100 000 habitants, était identique en janvier, février, mars, etc., preuve en est qu’il n’y a absolument pas plus de jeunes contaminés.

Les données sont formelles pour dire que ces mêmes pourritures n’hésitent pas à mentir pour forcer des enfants non concernés par cette maladie qui n’est pas une maladie pédiatrique à l’injection expérimentale.

Taux de positivité 20-29 ans

La tranche des 20-29 a aussi subi le pic présidentiel et la chute est encore plus impressionnante !

Et ils osent dire qu’ils sont de plus en plus contaminés !

Nombre de personnes quotidiennement injectées.

Je voulais quand même terminer mon intervention sur une note positive.

En supposant que le nombre de personnes injectées quotidiennement ne soit pas un faux (ce qui serait bizarre étant donné que TOUS les indicateurs sont des faux)… mais imaginons…

Nous voyons bien que le chantage présidentiel avec promesse d’apartheid n’a eu qu’un effet très provisoire.

Le nombre quotidien d’injections expérimentales ne fait que diminuer !

Preuve en est de la limite de la dictature.

Nous approchons de plus en plus du plafond d’acier (et non de verre)… Ceux qui voulaient se faire injecter et ceux qui ont cédé à la peur et au chantage sont désormais injectés, mais les autres ne céderont pas.

Nombre de personnes injectées quotidiennement en Guadeloupe

Nous voyons que l’immonde dictature mise en œuvre en Guadeloupe ne fonctionne pas (données en rouge)

Malgré les couvre-feux, confinements, menaces, interdictions de soin que subissent nos compatriotes guadeloupéens, ceux-ci ne cèdent pas à la dictature.

Ils sont un exemple pour les Français de métropole !

Les injections quotidiennes ont bien sûr bénéficié en Guadeloupe de l’effet de notre monarque bien aimé et jalousé, mais rien d’extraordinaire.

Nous voyons que l’effet s’estompe depuis le 30 juillet !

Ils ne cèdent pas à la dictature. Ils résistent. Ils disent « NON » et ont toute mon admiration.

Alors je ne sais pas quelle saloperie ils vont encore inventer pour nous obliger à nous injecter de force.

Mais ils peuvent commencer à trembler…

Il y a bien quelques débiles sur BFM et autres France-désinfo qui croient que nous sommes 200 000 par semaine dans les rues… mais l’Élysée sait combien nous sommes et il doit bien commencer à avoir la trouille.

Et même s’il n’a pas rendu l’injection obligatoire pour les policiers, ceux-ci sont des citoyens, ceux-ci ont des familles et ils sont de plus en plus du côté des droits de l’homme et de la liberté face à la dictature.

Quoi que le gouvernement fasse désormais, cela ne fera que renforcer nos convictions et rallier de nouveaux Français qui croient aux droits de l’homme, à l’égalité et à la liberté.

Aujourd’hui la dictature sanitaire, demain la dictature climatique… nous gagnerons parce que nous y croyons, parce que nous sommes du côté du bien, parce que nous sommes honnêtes et non corrompus, parce que nous ne voulons pas réduire autrui en esclave et que nous voulons protéger nos enfants.

Merci

Alain Tortosa

17 août 2021
https://7milliards.fr/tortosa20210817-fin-vague-4.pdf




Une troisième dose de vaccin contre le coronavirus recommandée pour 300 à 400 000 personnes en Belgique: voici les groupes concernés

[Source : sudinfo.be]

Une troisième dose d’un vaccin à ARN-messager contre la Covid-19 semble appropriée pour certaines catégories de personnes immunodéprimées, selon un rapport du Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) et de la task-force vaccination publié mardi. Selon le ministre fédéral de la Santé, Frank Vandenbroucke, cela concerne de 300 à 400.000 personnes.

L’Allemagne, Israël et les États-Unis, notamment, ont déjà donné leur feu vert à une troisième dose, pour certaines catégories de personnes, des vaccins Pfizer ou Moderna. Chez nous, la question figure au menu de la conférence interministérielle Santé prévue ce mercredi.

Selon le rapport, une troisième dose est utile pour certaines catégories de personnes, comme celles souffrant de troubles de l’immunité innés, les patients en dialyse rénale chronique, certains patients VIH positifs, les patients ayant subi une transplantation ou encore ceux souffrant de maladies inflammatoires traitées par des immunosuppresseurs.

Lire aussi Vaccination obligatoire du personnel soignant: le ministre de la Santé Frank Vandenbroucke s’est exprimé, «il faut franchir une nouvelle étape»

Pour les personnes âgées, il n’y a pas encore de résultats d’études publiés sur l’administration d’une troisième dose, constate le rapport. La task-force vaccination conseille dès lors d’attendre les analyses prévues dans les prochaines semaines sur les infections dites de percée (qui touchent des personnes entièrement vaccinées) et les résultats d’études cliniques sur l’administration d’une troisième dose.

Une extension par étapes à d’autres groupes à risque est possible aux yeux de la task-force mais seulement sur la base de recherches nationales et internationales solides et de preuves scientifiques.

La task-force rappelle enfin l’importance de mesures « non-pharmacologiques » comme la ventilation, la distance physique et le port du masque buccal mais aussi l’importance de la vaccination de base des Belges de plus de 12 ans.




France : à compter du 16 octobre 2021, les professionnels de santé libéraux non vaccinés ou dont le schéma vaccinal n’est pas complet seront interdits d’exercer

[Source : Assurance Maladie (ameli.fr)]

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Madame, Monsieur,

Face à la reprise de l’épidémie de Covid-19 liée au variant Delta, la vaccination est primordiale pour protéger la population et notre système de soins.

En tant que professionnel de santé, vous êtes en première ligne et, de fait, engagé dans la stratégie collective de lutte contre l’épidémie.

Les dispositions législatives et réglementaires qui encadrent la mise en place de l’état d’urgence sanitaire permettent aux pouvoirs publics de prendre les mesures de prévention nécessaires pour concilier reprise généralisée des activités et maitrise de l’épidémie.

La loi n°2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire instaure l’obligation vaccinale des personnes travaillant dans les secteurs sanitaire, social et médico-social, et concerne les professionnels de santé libéraux conventionnés ou non. Cette obligation concerne aussi les salariés travaillant dans les mêmes locaux que les professionnels de santé libéraux. Pour continuer leur activité professionnelle, ces personnes ont donc l’obligation : soit de se faire vacciner contre la Covid-19, soit de présenter un certificat de rétablissement valide ou un certificat médical de contre-indication à la vaccination contre la Covid-19 établi par un médecin.

Concernant l’obligation vaccinale, elle est mise en place en plusieurs étapes :

Depuis le 9 août et jusqu’au 14 septembre 2021 inclus, les personnes soumises à l’obligation vaccinale n’ayant pas un schéma vaccinal complet peuvent continuer à exercer, mais elles doivent pouvoir présenter, à tout moment de leur exercice, un résultat de test négatif datant de moins de 72 heures (PCR, test antigénique ou autotest supervisé).

À partir du 15 septembre et jusqu’au 15 octobre 2021 inclus, les professionnels de santé et les personnes soumises à l’obligation vaccinale non vaccinés seront autorisés à exercer à condition qu’ils aient débuté leur schéma vaccinal (au moins une dose pour un schéma vaccinal à plusieurs doses) et qu’ils présentent le résultat d’un test négatif.

À compter du 16 octobre 2021, les professionnels de santé libéraux non vaccinés ou dont le schéma vaccinal n’est pas complet seront interdits d’exercer.

Pour obtenir votre justificatif :

  • l’attestation certifiée de vaccination contre la Covid-19 est téléchargeable à partir du téléservice : 
    https://attestation-vaccin.ameli.fr/ ;
  • le certificat de rétablissement après infection ou le résultat de test négatif (PCR/TAG ou autotest supervisé de moins de 72h) sont téléchargeables sur SI-DEP : 
    https://sidep.gouv.fr/cyberlab/patientviewer.jsp ;
  • le certificat de contre-indication à la vaccination est établi par un médecin.

L’agence régionale de santé est en charge des contrôles de l’obligation vaccinale et pourra saisir le procureur de la République, l’Ordre dont dépend le professionnel ainsi que l’Assurance Maladie.

Pour les personnes salariées travaillant dans les mêmes locaux, que les professionnels de santé libéraux, le respect de l’obligation vaccinale relève de la responsabilité de l’employeur.

Jusqu’au 16 octobre, les différentes étapes de mise en oeuvre de l’obligation vaccinale permettront à toutes personnes concernées d’initier et de terminer leur schéma vaccinal dans un double objectif de santé publique et de préservation du système de soins.

Pour toute question, vous pouvez consulter le site du ministère de la santé accessible www.solidarites-sante.gouv.fr.

Je vous remercie très sincèrement pour votre engagement face à cette épidémie.

Thomas FATOME
Directeur général de l’Assurance Maladie

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Le médecin-réanimateur Louis Fouché n’exerce plus à l’hôpital de la Conception et ne sera plus salarié de l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille à compter du 19 octobre

[Source : Marsactu]

Par Jean-Marie Leforestier

Le médecin-réanimateur Louis Fouché n’exerce plus à l’hôpital de la Conception et ne sera plus salarié de l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille à compter du 19 octobre, annonce son directeur François Crémieux. En quelques mois, Louis Fouché est devenu une figure de la contestation de la politique sanitaire du gouvernement, s’opposant au port du masque comme au vaccin, notamment. Une position qui déplaisait fortement au nouveau patron de l’AP-HM : “Ses prises de parole n’étaient pas en adéquation avec les valeurs de l’hôpital public fondées sur le caractère collégial de toute réflexion scientifique d’une part, le code la santé publique et la déontologie médicale d’autre part”, lui avait-il signifié par écrit.

À LIRE ; DERRIÈRE LE MASQUE DE LOUIS FOUCHÉ, MÉDECIN ANTI-VACCIN

Le communiqué que signe ce dernier, le président de la commission médiale d’établissement et les chefs de service de réanimation précise que c’est bien Louis Fouché qui a manifesté son envie de mise en disponibilité début juin. Une mesure que, malgré la pandémie, l’hôpital a bien vite acceptée.




Des patrons d’établissements refusent de contrôler le passe sanitaire de leurs clients et le font savoir

[Source : Epoch Times)]

[Illustration (LOIC VENANCE/AFP via Getty Images)]

Par EMMANUELLE BOURDY

Une centaine de bistrots et restaurants de l’ouest de la France se sont réunis en collectifs. Leur but : refuser de contrôler le passe sanitaire de leurs clients, et ce, même s’ils savent qu’ils s’exposent à des sanctions.

Réunissant une centaine d’établissements, notamment de Bretagne et des Pays-de-la-Loire, les collectifs « Bistrotiers bretons » et « Bienvenue ici, contrôler n’est pas notre métier » refusent le passe sanitaire, rapporte 20 Minutes.

« Nous sommes contre le fait d’exclure qui que soit »

« Nous sommes des lieux ouverts à tous sans distinction. L’accueil sans condition, l’entraide et l’échange sont des notions fondamentales, inscrites dans notre socle de valeurs », est-il mentionné dans le texte explicatif de ces collectifs. « Nous refusons de jouer le rôle de police sanitaire et ainsi de contrôler, de trier et de séparer les usagers de nos lieux », est-il encore précisé.

Leur démarche s’est imposée à eux car ces gérants ne voulaient pas contrôler leur client et de ce fait, devoir refuser l’entrée à certains d’entre eux. Mais ils sont toutefois conscients des risques encourus. Tristan Crosnier, le patron du bar à jeux Pioche à Nantes, explique à 20 Minutes : 

« Nous sommes contre le fait d’exclure qui que soit, y compris des personnes en précarité éloignées du système santé et qui se retrouvent aujourd’hui encore plus à l’écart. »

« Mais on a bien conscience que l’équilibre est fragile. Les clients vaccinés qui se sentiraient inquiets, je ne veux pas non plus les bloquer, je leur propose des espaces isolés », poursuit-il. Sans compter que « nous n’avons, de plus, pas tous les effectifs permettant de le faire », se défend encore Tristan Crosnier.

La patronne du bar culturel le Ty Coz, à Morlaix (Finistère), explique quant à elle faire ce métier « pour rassembler », et non pas pour « diviser en acceptant certains clients et en fermant la porte à d’autres »« Donc on ne vérifie pas leur document, on se met hors la loi, mais ça ne nous empêche pas de faire de la prévention, de parler du vaccin, de faire attention aux gestes barrière », prévient-elle.

Les gérants de ces établissements, mais aussi les clients, s’exposent à des sanctions…

Effectivement, les collectifs tiennent à préciser qu’ils ne souhaitent pas que leurs établissements deviennent un « repaire des antivax », ainsi que le souligne Tristan Crosnier. Car le débat ne porte pas sur « la pertinence du vaccin », déclarent les membres du collectif.

Quoi qu’il en soit, agir ainsi expose les gérants de ces établissements à des sanctions. Pour cette raison, d’autres, qui partagent pourtant le même avis sur le sujet et agissent de même, préfèrent rester discrets. « Je ne sais pas à quelle sauce on va être mangés. Ça m’inquiète un peu, forcément, d’autant plus que je me sens un peu seule dans ma ville », confie la gérante du Ty Coz. « Une fermeture administrative de quelques jours je suis prête, mais au-delà je ne pourrai pas. J’ai huit salariés, je dois aussi penser à eux », poursuit-elle.

Le gérant du Pioche reste lui aussi sur le qui-vive. « On se doute que ça va tomber […]. Si la police arrive, je serai honnête, j’expliquerai ma démarche, ce que je mets en place, et on verra bien. On appréhende mais on doit rester cohérent », concède-t-il.

Les clients qui ne sont pas en règle avec le passe sanitaire s’exposent eux aussi à des sanctions. Mais ceux qui mettent les pieds dans ces établissements en sont conscients et assument, comme c’est le cas de Jean, un Nantais. Ce dernier déclare comprendre « les arguments du bar »« Je les soutiens, donc si la police arrive, j’assumerai l’amende », avance-t-il. En cas de contrôle, les clients qui ne sont pas en possession du passe sanitaire risquent une amende forfaitaire de 135 €.

D’autres gérants préfèrent carrément fermer…

D’autres gérants ont opté pour la fermeture de leur établissement, une autre manière de rester en accord avec leurs convictions sans craindre des verbalisations. Ce qui n’est pas sans « conséquences économiques » non plus, ainsi que le souligne Yann, le patron du Temps des Cerises à Tonquédec (Côtes d’Armor), qui a fermé son restaurant dès le lundi 9 août.

Il explique néanmoins être vacciné et « bien conscient de la situation sanitaire », pour autant, il estime que « la demi-jauge, les gestes barrière, d’accord. Mais refuser de servir des habitués, ou voir débarquer les forces de l’ordre, je ne supporterai pas ». Il a cependant trouvé un compromis et veut mettre en place de façon momentanée la « vente à emporter », confie-t-il à 20 Minutes.




Entrevue québécoise avec Alexandra Henrion-Caude

[Source : André Lafrance]

https://youtu.be/GDunt-81hhc



Jusqu’où ira le harcèlement violent sur les professionnels de santé ?

Par Diane Vincero

Stupeur totale hier soir, en apprenant que la violence du harcèlement qu’exercent nos dirigeants sur les professionnels de santé s’est encore accentuée, en ciblant cette fois, la catégorie des professionnels libéraux.

Nous savons déjà qu’à partir de mi-septembre, les revenus des professionnels de santé salariés non vaccinés seront suspendus. Cela concerne les médecins, dentistes, infirmiers, aides-soignants, kinésithérapeutes, etc.

À partir de mi-octobre, c’est au tour des professionnels de santé libéraux (ceux qui ont un cabinet) d’être la cible de cette violence sans nom : leurs prestations ne seront plus remboursées par la SS !!! Une première en France !!!

Manipulation hautement perverse et vicieuse : pourquoi punir les patients qui ne seront donc plus remboursés des actes dont ils auront bénéficié en cabinet ?? Et, les professionnels de santé vont se retrouver… sans revenus, si leurs patients fuient leurs cabinets, sachant que leurs cotisations obligatoires CPAM, URSSAF, CARMF (caisse de retraite), et leurs charges fixes (loyer du cabinet, etc.) continueront à courir… Ce qui veut dire : faillite, cessation d’activité… Donc, patients et professionnels de santé sont pris en étau par les dirigeants… L’art de diviser encore et encore !!!!

Pardonnez cette liberté de langage, mais c’est une stratégie vraiment DÉGUEULASSE !!! Autant qu’une incitation à la délation !!! Ça pue !!!

Et, ça part de gens tellement vils, tellement petits : ils en sont à ce niveau ???!!!

C’est donc la mort annoncée des professionnels de santé libéraux, après celle des professionnels salariés, et, celle d’un système de soins tout entier, sachant au passage que les patients sont pourtant censés avoir « le libre choix de leurs soignants » et qu’ils sont déjà refoulés des hôpitaux « parce qu’ils encombrent les consultations et les urgences », faute de soins possibles en libéral. Or, quel délai pour avoir un rendez-vous à l’hôpital avec un pneumologue, un gynécologue, etc. ?? Des mois !!!!….

Décidément, on se fout de tout le monde, des professionnels de santé, des patients, des professionnels du spectacle, du tourisme et de la restauration, de la police, de la gendarmerie, de l’armée, c’est-à-dire de NOUS TOUS, nous sommes la cible de cette violence coercitive et terriblement perverse ; nous n’avons plus notre place dans ce pays !!!

LA HONTE SOIT, SUR CES DIRIGEANTS ATTEINTS DE FOLIE DESTRUCTRICE !!!

Comme le disait un de ces pauvres dirigeants miteux au début de l’an dernier : « nous sommes en guerre ! ». Oui, ils sont entrés en guerre… contre leur propre peuple !!!! C’est hallucinant !!!

LA FIN, PARACHEVÉE (car débutée il y a bien longtemps…) DU SYSTÈME DE SANTÉ DANS SON ENSEMBLE !!!… Mais les cotisations sociales ne diminueront pas pour autant… et elles iront dans quelles poches ???

NOTA BENE : le harcèlement au travail est punissable au pénal depuis la loi de 2002, et, le harcèlement dans le couple et la famille est punissable au pénal depuis la loi de 2010.

Et le harcèlement extrêmement violent et dévastateur assené par nos dirigeants sur notre peuple, il sera puni quand ???

C’EN EST TROP !!!

LA GOUTTE D’EAU QUI FAIT DÉBORDER LE VASE !!!

Et cette entreprise de destruction à large échelle n’en est qu’à ses débuts : d’abord, abolition de l’industrie des loisirs après sa mise à mal (cafés, bar, restaurants, cinémas, théâtres, industrie du tourisme, etc.), puis, suppression des revenus des professionnels de santé et donc de ces professionnels, puis arrive la même mesure pour l’enseignement. À qui le tour ensuite ? Et nos enfants ???

Qui sera pris ensuite dans la tourmente de ce terrible cyclone dévastateur ?? Réponse : tous les secteurs de la Société, tous, sauf nos dirigeants et leurs vassaux médiatiques, et, les grands lobbies (qui d’ailleurs ne paient quasiment pas d’impôts malgré leurs immenses fortunes, à l’inverse des plus pauvres qui, proportionnellement paient une fortune !!…) … Le cyclone ne recule devant rien, impitoyable. Pourvu que nos dirigeants eux, ne soient pas privés de leurs restaurants, de leurs voyages d’agrément, de leurs soins, etc., et qu’ils aient tout ce qu’ils veulent !!!

VIVE LA MONARCHIE ABSOLUE !!!

Finalement, nous avons un système : dirigeants avec les médias et les grands lobbies, et avec la police + la gendarmerie et l’armée d’un côté, et, de l’autre, l’ENNEMI A ABATTRE : LE PEUPLE… On se trompe de cible !!!!

Rappel : le mécanisme de la manipulation destructrice, c’est, — sous couvert d’un beau principe, d’apparence indiscutable, et largement mis en avant pour mieux endormir la méfiance —, de culpabiliser ensuite sa victime encore et encore pour mieux la paralyser, et enfin, d’assouvir une puissante soif financière au détriment de cette victime.

Cela vous évoque-t-il quelque chose ??

Mais BON SANG, CITOYENS (français et du monde entier) REVEILLEZ-VOUS, VACCINES OU PAS !!! Vous êtes 7 milliards contre une poignée de dirigeants !!! Policiers, gendarmes, militaires revenez aux valeurs fondamentales qui étaient de… protéger le peuple, pas d’être asservis et instrumentalisés par ces vils dirigeants complètement déments !!! QUE POURRONT-ILS QUAND ILS VONT SE RETROUVER SEULS CONTRE TOUS ??? ….. R I E N ……. !!!


La légende amérindienne du petit colibri :

« Un jour, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : “Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! ”

Et le colibri lui répondit : “Je le sais, mais je fais ma part.” »

Chacun de nous est ce petit colibri…

À nous tous, vaccinés ou non, nous constituons le

« Collectif colibri »

Rapprochons-nous des autres, fédérons-nous, agissons !!

DIFFUSEZ LARGEMENT CE MESSAGE !!!

Et, associez-vous massivement à la plainte du CSAPE près de la Cour Pénale Internationale https://www.csape.international/

Diane Vincero, le 18/08/2021.




Macron et sa Dictature en Marche, en trois preuves et quelques faits incontestables

Par Les Gilets Jaunes de la Victoire

Les preuves 

Preuve N° 1 : elle couronne toutes les autres preuves

Par Valérie Bugault (Docteur en Droit) Extrait de son interview par L’Observateur Continental : « La dictature est clairement revendiquée » Août 2021 (Partie 2)

« Il faut commencer par préciser que la France n’existe officiellement plus depuis que ses institutions officielles ont été mises en suspens par l’arrivée d’un Conseil de Défense sanitaire sans base juridique, a-constitutionnel et a-politique. Cette suspension des institutions étatiques et leur détournement (lequel constitue un “abus de droit international public”) par un Conseil de Défense, dépourvu d’assise juridique sérieuse et politiquement illégitime, est la manifestation éclatante du fait que les forces globalistes sont en train de prendre le contrôle officiel des États. »

Remarque :  

Ce Conseil toujours en vigueur, est la base du système totalitaire du dénommé Macron, qui a transféré le pouvoir qu’une partie du peuple lui a donné en l’élisant, à un organisme de sa création qui n’a aucun fondement légal et qui donc est complètement illégal. L’épidémie de covid-19 sert manifestement les seuls intérêts de la finance et des mondialistes

https://nouveau-monde.ca/le-bon-virus-au-bon-moment/

Preuve N° 2 : associée à la précédente 

Loi du 15 février 2021 prorogeant l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 31 décembre 2021.

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000043134078

Remarque :

Indissociable de la précédente, la prolongation de l’état d’urgence sanitaire est le corollaire de la preuve N° 1, tant que vous aurez Macron vous aurez l’état d’urgence sanitaire permanent qui lui permettra de gouverner à sa guise.

Preuve N°3 : un des multiples décrets mettant en place le Pass sanitaire

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000043915443

Remarque :

Contraire au Code Civil

https://www.cielvoile.fr/2021/08/code-penal-contre-pass-sanitaire.html

Des manipulations grossières à gogos !!!!!

La démocratie, c’est le dialogue et le débat contradictoire, cependant il est manifeste que nous n’avons plus depuis le début de la crise qu’un seul son de cloche, celui du gouvernement. Tout ce qui ne convient pas au pouvoir est censuré. Les opposants à la gestion de la crise par le pouvoir sont systématiquement passés sous silence et n’ont le droit que de se taire. Où sont passé le professeur Perrone, ancien président de la commission des maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique, à qui le gouvernement à honteusement supprimé la direction de l’hôpital de Garches, hôpital qui sous sa direction avait, et de très loin, le meilleur taux de guérison du covid en Île-de-France, Luc Montagner, prix Nobel de Médecine, Laurent Toubiana, INSERM directeur du Réseau Sentinelle, Alexandra Henrion-Caude, ex. Directrice à l’INSERM, le Professeur Jean-François Toussaint, cardiologue, pour ne citer qu’un très petit nombre nommément, sans compter les 30 000 docteurs de cette pétition ?

https://nouveau-monde.ca/fr/30-000-medecins-francais-sorganisent-reclamant-le-retour-a-la-normale-2e-conference-du-collectif-covid

Les spots publicitaires incessants depuis des mois, payés par nos deniers, et toujours orientés que dans le même sens, complètent la panoplie de la stratégie de ce gouvernement. Si cela ne vous rappelle pas la propagande et les heures les plus sombres de notre histoire, c’est que vous n’avez pas de mémoire.

La démocratie est complètement abandonnée, et de cet état de fait, les médias subventionnés sont grandement complices, ils ne jouent plus leur rôle de quatrième pouvoir. Un seul exemple, regardez comment est traité sur le plateau de BFMTV Jean-Michel Claverie (juillet 2021)

https://www.businessbourse.com/2021/07/27/covid-sur-bfmtv-jean-michel-claverie-virologue-et-fondateur-de-la-societe-francaise-de-virologie-denonce-un-mensonge-detat-ou-est-la-maladie/

Sous un prétexte fallacieux, le covid-19 qui a fait moins de 0,1 % de morts, et dont la très grande majorité sont des personnes âgées,(([1] https://fr.statista.com/statistiques/1104103/victimes-coronavirus-age-france/)) le gouvernement impose quasiment à tous, deux injections de produits dont la composition est inconnue des récipiendaires, ce qui est complètement illégal.

https://www.profession-gendarme.com/injonction-aux-autorites-rendre-publique-la-liste-complete-des-composants-des-vaccins-anti-covid-19-qui-ont-recu-une-autorisation-de-mise-sur-le-marche-conditionnelle-en-europe-comme-lexige/

Ce que le pouvoir vous cache actuellement c’est qu’il existe des traitements très efficaces contre le covid-19(([2] https://nouveau-monde.ca/manipulation-au-sommet-de-letat-macron-pris-en-flagrant-delit-de-mensonge/)) et que de plus L’injection génique anti-Covid n’est pas un vaccin.

Vous trouvez cela normal ?                          

Savez-vous qu’en juillet 2020 le seuil épidémique a été baissé sans que la population en soit avertie ?

https://www.francesoir.fr/societe-sante/chronique-covid-ndeg13-halte-la-manipulation-ils-ont-baisse-le-seuil-epidemique-pour

Savez-vous qu’au lieu d’augmenter la capacité des lits d’hôpitaux comme promis par le gouvernement en 2020, celui-ci les a réduits très fortement ?

https://www.force-ouvriere.fr/stop-a-la-fermeture-de-lits

Savez-vous  que les tests PCR ne détectent pas le covid à coup sûr ?

La grande supercherie des tests PCR, 90% des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux

Confirmé par le journal le Monde 

https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/09/29/covid-19-les-tests-pcr-des-donnees-a-prendre-avec-prudence-sur-l-evolution-de-l-epidemie_6053995_3232.html 

Sur ce sujet sensible Google a brouillé les cartes et fait le ménage sur son moteur de recherche. 

Macron, qui de plus, profite de la crise sanitaire pour nous vendre à la finance.

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2020/11/12/discours-du-president-emmanuel-macron-en-ouverture-du-sommet-des-banques-publiques-de-developpement-finance-en-commun

Vous trouvez encore ceci normal ?

Conclusion

Si vous faite confiance à une telle engeance, c’est que vous avez perdu totalement la raison !!!!

Bonus

Ils nous prennent vraiment pour des c… :

Laurent Ruquier : « Les survivants au covid 99,965%… ils sont vrais ces chiffres ? »… Karine Lacombe : « mais bien sûr… » – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)




Serait-il imaginable que l’élite globale ait déclaré la guerre à l’humanité ?

[Source et auteur : Liliane Held-Khawam]

Deloitte ne met pas au conditionnel le modèle de la nouvelle médecine. Il vous l’affirme en invitant ses clients à se mettre à jour avec ce qui s’en vient. Écoutez plutôt. (Comme ce genre de vidéos n’est pas censuré, profitez de la traduction offerte par YouTube).

Deloitte, en champion des cabinets de conseil, qui couvre le secteur de la santé, nous offre cette vidéo qui remonte à mars 2019. Bien avant les histoires covidiennes donc.

Dans ce document, nous démontrons que l’individu sain devient, par une volonté de mettre en place une autre forme de médecine, un malade qui s’ignore et que les appareils vont prédire ses maladies avant même que les symptômes apparaissent. Pour ce faire, le personnel de santé est invité à faire évoluer ses compétences pour être capable de répondre à la demande. Le contrôle sera sévère, n’en doutons pas.

Ainsi, les populations humaines sont sommées d’accepter un nouveau paradigme techno-médico-sanitaire qui doit changer en profondeur leur identité, leur droit à disposer de leur corps, ET de leur intimité. Sont-elles consentantes ou pas est le dernier des soucis de ces individus qui s’acharnent à modifier la nature humaine afin de réaliser leur rêve, au minimum centenaire : contrôler la vie sur terre par la technologie.

Dans une étude sur la surveillance sanitaire permanente d’un individu connecté, les auteurs ont eu un sursaut d’inquiétude au niveau éthique. Ils y soulignent en passant les problèmes que poserait la collecte massive de données.

« Des quantités considérables de données seront générées avec le développement des technologies de capteurs et de la science des matériaux en raison de la détection omniprésente allant de l’Internet des objets (IoT) aux soins de santé. Ainsi, des méthodes statistiques et informatiques, telles qu’une gamme de techniques d’apprentissage automatique, peuvent être utilisées dans le traitement des données et l’extraction efficace d’informations. Des capacités d’analyse de données en temps réel sont souhaitées pour une gestion robuste des données (Paulovich et al., 2018). Les problèmes éthiques et moraux dans la collecte, l’analyse et le stockage des données, en particulier les données concernant la santé personnelle, doivent être correctement résolus pour protéger la vie privée. » 

Dans la même étude, on a une représentation d’un individu infiltré de capteurs à base de graphène qui permettent la surveillance permanente de la santé.

… Voici en écho une représentation compatible de l’humain posé sur un téléphone portable qui semble scanné et dont les données sont numérisées et donc récupérées par le Big data.

Regardez cette image incroyable publiée début 2019 par le numéro1 des consultants (secteur de santé inclus). L’individu est représenté sur son cellulaire avec une lumière qui sert à décoder les informations sur sa santé qui sont par la suite numérisées et transmises à un centre de gestion (envie d’écrire plutôt commandement) sanitaire. Vous constaterez le biocapteur au niveau du front. Image déjà présente en mai 2019

the-future-of-health-deloitte-us (Télécharger)

Une étude de Nature confirme que la technologie et son Big Data représentent une dimension incontournable de la Nouvelle médecine (envoyée 7 avril 2020)

Fig. 1 : The interconnected digital technologies used in the public-health response to COVID-19.

En avril 2020, ce schéma était prêt avec tout le protocole que nous connaissons aujourd’hui ! Bluetooth du smartphone au centre du processus. Comme sur l’image de Deloitte d’avant 2019 !

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L’élite globalisée livre sa guerre contre le virus

Larry Summers, président du panel de hauts responsables (comprenez de délégués de la Planète finance) pour la prévention des pandémies, appelle la communauté internationale à investir 15 milliards de dollars par an dans des fonds supplémentaires et pour une refonte majeure de l’infrastructure mondiale de gouvernance de la santé.

« C’est un moment profond dans les relations internationales et dans la politique étrangère », a déclaré Summers plus tôt cette semaine.

« Pour la première fois dans l’histoire, la sécurité de la plupart des peuples du monde dépendra moins de la résistance aux adversaires étrangers et de l’équilibre des pouvoirs que de la réponse à des menaces communes et de la promotion de la coopération.» 

https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/22/devinez-qui-dicte-les-ordres-a-vos-autorites-sanitaires/

On voit la terminologie liée à la sécurité, ou à la résistance aux adversaires. Et même si elle n’est utilisée que dans un but rhétorique, elle interpelle et renvoie à cette phrase du président Macron qui avait dit ‘Nous sommes en guerre face à un ennemi invisible’.

Et maintenant, regardez cette présentation de Bill Gates qui use de visuel digne des militaires. Sauf que dans son cas, il a remplacé les soldats de plomb en miniatures en blouse blanche. La nouvelle armée du Nouveau Monde.

Les soldats ont été remplacés par le personnel de santé pour faire face à une promesse de pandémies à répétition.

L’Onu a entendu les responsables des cordons de la bourse sans lesquels les salaires onusiens risqueraient d’avoir quelques petits soucis. Ainsi en mai 2021, le chef de l’ONU lança lui aussi un : ‘Nous sommes en guerre’ contre le Covid. Et de préciser : le monde est ‘en guerre’ contre le Covid-19, appelant la communauté internationale à aller au-delà de la solidarité et à entrer en ‘économie de guerre’ pour stopper le virus.
https://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/nous-sommes-en-guerre-contre-le-covid-dit-le-chef-de-l-onu_2151430.html

Gates mandate les consultants dans le cadre de sa guerre sanitaire

Gates mandate des consultants que l’on retrouve en train de coacher des gouvernants, voire plus si entente.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/08/09/jusquou-va-linfluence-de-la-firme-mckinsey-en-france-dans-la-promotion-du-vaccin-et-de-la-mise-en-place-du-pass/

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À noter que McKinsey ne pointe qu’à la 6e place dans le classement Gartner. Deloitte est le numéro 1

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Et en bons généraux, les gouvernants se chargent du terrain

Afin de réaliser sur le terrain la formation d’une armée de personnel médical soumis aux ordres, il va falloir restreindre les libertés individuelles par un contrôle piloté par l’État. Tout comme le sont les soldats militaires. Les médecins et autres infirmiers doivent devenir des gens qui appliquent des protocoles/règlements/procédures/etc. sans trop se poser de questions. Mais ils doivent aussi s’adapter à la médecine personnalisée et prédictive hautement connectée comme vu ci-dessus dans la vidéo de Deloitte.

Les médecins contemporains et autres intervenants dans le domaine médical doivent se former et s’adapter à la techno-médecine, ou disparaître.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/25/nanosante-le-metier-de-medecin-voue-a-disparaitre-changement-du-paradigme-medical/.

C’est à cela que servira le Conseil national de certification. À faire changer les mentalités des médecins qui veulent encore soigner avec des molécules. Ils doivent passer à la technologie. Et c’est un ordre.

Ainsi, en France, sous le titre de Conseil national de certification, le Conseil des ministres du 19 juillet 2021 a ordonné la mise en place d’une Certification périodique de certains professionnels de santé. Et voici en quoi elle consiste :

Le ministre des Solidarités et de la Santé a présenté une ordonnance relative à la certification périodique de certains professionnels de santé. L’article 5 de la loi n° 2019-774 du 24 juillet 2019 relative à l’organisation et à la transformation du système de santé habilite le Gouvernement à prendre par ordonnance toute mesure relevant du domaine de la loi afin, d’une part, de créer une procédure de certification indépendante de tout lien d’intérêt permettant, à échéances régulières au cours de la vie professionnelle, de garantir le maintien des compétences, la qualité des pratiques professionnelles, l’actualisation et le niveau des connaissances, et, d’autre part, de déterminer les professionnels concernés par cette procédure de certification, les conditions de sa mise en œuvre et de son contrôle, les organismes qui en sont chargés, les conséquences de la méconnaissance de cette procédure ou de l’échec à celle-ci, ainsi que les voies de recours ouvertes à l’encontre de ces conséquences.
L’ordonnance détermine les principes structurants applicables à la certification périodique, dont les modalités d’application seront largement définies par voie réglementaire après concertation avec l’ensemble des parties prenantes.

Elle complète le titre II du livre préliminaire de la quatrième partie du code de la santé publique consacré au « Développement professionnel continu ». Un chapitre II relatif à la certification périodique des professionnels de santé est ainsi ajouté :

https://www.vie-publique.fr/discours/280808-conseil-des-ministres19072021-certification-periodique-professions-sante

  • il définit les objectifs de la certification périodique, le champ des actions qui participent à celle-ci (actualisation des connaissances et des compétences, amélioration de la qualité des pratiques professionnelles et de la relation avec le patient, prise en compte de la santé individuelle du praticien), la périodicité de l’obligation (tous les six ans), ainsi que les sept professions qui sont assujetties à l’obligation de certification (médecins, chirurgiens-dentistes, sages-femmes, pharmaciens, infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes et pédicures-podologues) ;
  • il crée un Conseil national de la certification périodique chargé de définir la stratégie, la promotion, le déploiement ainsi que les orientations scientifiques de la certification périodique ;
  • il prévoit que les actions de certification sont librement choisies par le professionnel de santé, le cas échéant en lien avec son employeur, parmi une liste figurant dans un référentiel national de certification périodique ;
  • les référentiels sont élaborés par les conseils nationaux professionnels, sur la base d’une méthode arrêtée par le ministre chargé de la santé sur proposition de la Haute Autorité de santé et après avis du Conseil national de la certification périodique. Ces référentiels sont approuvés par arrêté du ministre chargé de la santé, qui peut saisir au préalable pour avis la Haute Autorité de santé ;
  • il confie le contrôle du respect de l’obligation de certification périodique aux ordres professionnels ;
  • il instaure, au bénéfice de chaque professionnel, des comptes individuels qui retracent les actions de certification périodique suivies. Il prévoit que ces comptes seront gérés par une autorité administrative qui sera désignée par voie réglementaire. (lire la suite sur le site de vie-publique.fr

Un cabinet d’avocat traduit cette décision. Ainsi, le texte définit la notion de certification, crée une instance nationale de pilotage, prévoit la création de référentiels et institue un dispositif de contrôle.
https://accens-avocats.com/blog/2021/07/22/professions-de-sante-creation-dun-dispositif-obligatoire-de-certification-individuelle-periodique-des-competences/

Cette décision a amené le site ‘Observatoire du mensonge’ à publier un article qui est devenu viral et qui est combattu par les médias du système :

Bref, nous retiendrons 2 données incompressibles. D’abord, l’élite se sent en guerre, ensuite le nouveau paradigme qui change la pratique médico-sanitaire doit changer la nature humaine, la vie en société, en famille, ainsi que l’intrusion dans la sphère intime du couple, des toilettes, etc.

Ce changement de paradigme, s’il était expliqué clairement, serait probablement rejeté par tout un chacun. Alors, comment le mettre en place sans faire la guerre aux populations ?

Liliane Held-Khawam




La catastrophe sanitaire de l’injection Pfizer en Israël

Par Dr Gérard Delépine

La plupart des pays occidentaux ont suivi, sans débat public, les recommandations de l’OMS et font depuis plusieurs mois une propagande forcenée pour imposer des pseudo-vaccins expérimentaux en prétendant qu’ils pourraient stopper l’épidémie.

L’analyse de l’évolution de l’épidémie en Israël, champion mondial de l’injection Pfizer permet d’évaluer son efficacité en population réelle qui est très éloignée de ce qu’annoncent les communiqués de leurs fabricants.

La réussite de la campagne d’injection Pfizer et ses contreparties discutables

En termes de vitesse de vaccinations, le succès de la campagne d’injection est remarquable. Au 14/8/2021 près de 11 147 426 de doses ont été administrées et 67 % de la population auraient reçu au moins une dose de vaccin.

Mais Pfizer a obtenu en échange l’acceptation d’une surfacturation des doses vaccinales et l’engagement du gouvernement de communiquer à Pfizer les données de santé des Israéliens.

Mais on ne juge pas un traitement préventif au nombre de personnes traitées, mais uniquement à ses conséquences sur l’évolution du nombre des contaminations journalières, de la mortalité quotidienne et des complications post médicamenteuses observées.

Évolution du nombre des contaminations

Les deux mois qui ont suivi la vaccination ont été marqués par une augmentation considérable des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

Ces 2 mois post injection ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie. Cette évolution défavorable montre que le pseudo-vaccin Pfizer est incapable d’empêcher la transmission de la maladie. L’augmentation post vaccinale précoce des contaminations n’a été amoindrie que depuis le reflux global de l’épidémie qui a abouti à une pause de l’épidémie dans presque tous les pays, vaccinés ou pas, confinés ou pas

La comparaison des évolutions des cas journaliers entre Israël très vacciné et ses voisins très peu vaccinés (Jordanie, Palestine) n’est d’ailleurs pas en faveur de l’injection Pfizer

Cette augmentation post injection des cas durant plusieurs semaines ou mois est observée dans plus de 90 % des pays qui ont beaucoup vacciné.

6 mois plus tard, depuis le 15 juin 2021, l’injection Pfizer se révèle incapable d’éviter une reprise exponentielle de l’épidémie et 40 % des nouvelles personnes contaminées sont vaccinées. Les derniers chiffres publiés par le ministère de la Santé affirment que le vaccin contre le coronavirus n’est efficace qu’à 39 % pour prévenir la transmission du coronavirus,(([1] I24 Israël/Covid : le vaccin efficace qu’à 39 % pour arrêter la transmission)) ce qui est en adéquation avec les faits observés, mais très inférieur aux communiqués de victoire de Pfizer (>90 %) si complaisamment diffusés par les médias et nos autorités.

Reuters diffuse clairement : « Israël constate une baisse de la protection vaccinale de Pfizer contre les infections »

Pour tenter d’enrayer la reprise de l’épidémie les autorités israéliennes imposent actuellement de nouvelles restrictions sanitaires : quarantaine pour les personnes revenant de l’étranger vaccinés ou non, port du masque obligatoire, passe sanitaire à partir de 3 ans, nouvelle injection pour les personnes à risques et envisagent un nouveau confinement….

En Israël les injections Pfizer ne constituent manifestement pas la solution du Covid, mais plutôt un problème supplémentaire. Que vaut un traitement préventif qui dans un premier temps entraîne une flambée de la maladie et qui plus tard se révèle incapable d’éviter une reprise forte de l’épidémie ?

Dans l’histoire des vaccinations, aucune ne s’est montrée aussi inefficace sur la propagation de la maladie cible.

Hécatombe post vaccinale précoce

En Israël, malgré un confinement strict, la vaccination a été suivie d’une véritable hécatombe. Le mois de janvier a établi le record mensuel de la mortalité, regroupant à lui seul près de 30 % de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays.

Entre mi-décembre et mi-février, on dénombre 2337 des 5351 morts attribuées au COVID-19 (43.7 %.). Parmi celles-ci 1271 sont survenues chez des personnes dont le statut vaccinal était connu et le ministère de la santé a précisé le 10 février 2021 que 660 d’entre elles (51.9 %) faisaient partie des 1.3 million de vaccinés de l’époque qui ne représentaient que 12.5 % de la population totale. La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé durant cette période (sur risque des vaccinés atteignant 400 %).

Haïm Yativ, ingénieur et le dr docteur Hervé Seligmann, de l’unité de recherche sur les maladies infectieuses et tropicales émergentes de la faculté de médecine de l’université d’Aix-Marseille analysant ces chiffres officiels concluent(([2] uncovering of the vaccination data in Israel reveals a frightening picture
http://www.nakim.org/Israël-forums/viewtopic.php?p=276314))

« les vaccins Pfizer, pour les personnes âgées, ont tué au cours de la période de vaccination de 5 semaines environ 40 fois plus de personnes que la maladie elle-même en aurait tué, et environ 260 fois plus de personnes que la maladie parmi les plus jeunes (les moins de 65 ans). »

Selon les données du Bureau central des statistiques, en janvier-février 2021, au plus fort de la campagne israélienne de vaccination de masse, on a constaté une augmentation de 22 % de la mortalité globale en Israël par rapport à l’année précédente. Janvier-février 2021 ont été les mois les plus meurtriers de la dernière décennie, avec les taux de mortalité globale les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années. Dans le groupe d’âge des 20-29 ans, l’augmentation du taux de mortalité global est encore plus spectaculaire, au cours de la même période de vaccination, entre janvier et mars 2021, on observe une augmentation de 30 % de la mortalité globale par rapport à la mortalité moyenne trimestrielle en 2020.

Il existe une forte corrélation entre le nombre de personnes vaccinées par jour et le nombre de décès par jour, jusqu’à 10 jours après la vaccination dans tous les groupes d’âge. Pour les 20-49 ans — une fourchette de 8 jours entre la date de la vaccination et le décès ; pour les 50-69 ans — 5 jours entre la date de la vaccination et le décès ; pour les 70 ans et plus — 3 jours entre la date de la vaccination et le décès.

Une semblable hécatombe post vaccinale précoce ne peut pas être attribuée au seul hasard : elle a été également observée dans la quasi-totalité des pays qui ont beaucoup vacciné (Grande-Bretagne, Émirats Arabes Unis, Gibraltar, Seychelles…)

Rechute épidémique : les vaccinés ne sont pas protégés des formes graves

Depuis la reprise récente de l’épidémie, contrairement aux déclarations officielles non étayées par des études publiées, les vaccinés ne sont protégés ni des formes graves ni de la mort bien au contraire.

Selon le ministère israélien, rapporté par le Jerusalem Post,(([3] https://www.jpost.com/health-science/coronavirus-in-israel-what-do-we-know-about-the-143-hospitalized-people-674508)) le 21 juillet,

« sur les 143 hospitalisés, 58 % étaient totalement vaccinés, 3 % partiellement, 39 % non vaccinés. Sur les 64 patients graves du pays… le pourcentage de cas vaccinés était élevé. »

Sur Chanel 13 Dr Kobi Haviv constatait

« 85-90 % des hospitalisations sont chez des personnes entièrement vaccinées. »

Inefficaces et dangereuses

Ces injections ont été de plus sources d’effets secondaires importants : AVC, thromboses et phlébites, mais aussi péri et myocardites en particulier chez les jeunes qui n’étaient pas menacés par la maladie ; elles s’accompagnent de plus de modifications virales qui menacent les enfants classiquement épargnés avant la pseudo-vaccination.

Un traitement préventif se juge à l’évolution observée de la maladie cible. En Israël, l’évolution post vaccinale précoce a été catastrophique tant sur les contaminations que sur l’évolution des formes graves.

Cet échec massif et précoce constitue une première dans l’histoire des vaccinations et s’explique peut-être par le fait que l’injection expérimentale Pfizer n’est pas un vrai vaccin, car elle ne contient ni antigène ni virus atténué

Comment expliquer cet échec cuisant ?

En attendant que des travaux scientifiques expliquent les causes de cet échec, de nombreuses hypothèses peuvent être soulevées. L’un des plus probables est que la vaccination Pfizer se heurte au phénomène d’anticorps facilitants déjà responsable de l’échec du Dengvaxia aux Philippines et des vaccins contre les précédentes épidémies à coronavirus (SRAS en 2003 et MERS en 2012).

La possibilité de cette complication avait été soulevée par l’Académie de médecine française, dans son communiqué du 11 janvier 2021.(([4] Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages 11 janvier 2021))

Le trop faible niveau d’immunité observée après la première injection, accusée de pouvoir faciliter l’émergence de variants et l’échec de la vaccination a été tout récemment signalé par 5 membres du comité scientifique français, dont le Pr Delfraissy dans une courte lettre au BMJ.(([5] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Laetitia Atlan Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Public Health 2021
Published Online February y 18, 2021
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0))

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Compte tenu de cet échec, que peut-on conseiller aux citoyens ?

  • Attendre et résister aux pressions et chantages pour le pseudo-vaccin,
  • distribuer des tracts rappelant l’échec patent des pseudovaccins en Israël et en Grande-Bretagne et des pass,
  • harceler nos représentants politiques,
  • manifester pacifiquement tous les samedi,
  • bouder les lieux qui demandent le pass.

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible à court terme en Israël comme en France, car complètement pollué par la situation politique. Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup aux gouvernements qui l’ont conseillée.

Il faut donc s’attendre à ce que les gouvernements et les médias qui lui sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le méchant virus. Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ,(([6] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant
BMJ 2021 ; 372 doi :
https://doi.org/10.1136/bmj.n314)) quel que soit le pays « quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou “radical”. »

En l’absence de débat démocratique permettant d’évaluer rationnellement la situation, nous ne pouvons que conseiller aux citoyens actuellement menacés de ségrégation d’attendre pour se faire vacciner. Il n’y a aucune urgence pour se faire vacciner, le risque de la maladie étant minuscule pour les moins de 65 ans.

Dans quelques mois, un bilan plus objectif pourra être tiré et la décision de se faire vacciner ou pas pourra alors reposer sur des données consolidées. C’est peut-être ce que veut éviter le ministre de la Santé israélien, avec sa volonté réitérée d’imposer le port d’un badge vert dès 3 ans pour forcer ses compatriotes à se faire vacciner.

Pour un senior qui se souvient de la guerre de 1939-1945 ou plus souvent maintenant des témoignages terribles de la génération de ses parents ou grands-parents, voire pour les férus d’histoire plus jeunes (il en reste), l’obligation du port d’un badge de couleur (ouf ce n’est pas une étoile, ouf elle n’est pas jaune !) par un gouvernement juif ou français est incroyable, consternant, invraisemblable, insupportable.

Elle rappelle l’avertissement de Bertolt Brecht et de Margaret Steffin dans la résistible ascension d’Arturo Ui “le ventre est encore fécond d’où est sortie la bête immonde” et les leçons d’Hannah Arendt sur la banalité du mal

“le mal ne réside pas dans l’extraordinaire, mais dans les petites choses, une quotidienneté à commettre les crimes les plus graves.”

Espérons que la majorité des peuples qui n’a probablement pas la mémoire courte saura RÉSISTER à cet effroyable et monstrueux pied de nez de l’Histoire.

Manifestement suffisamment de données permettent aujourd’hui d’affirmer que le vaccin ne protège pas de la contagion, ni les vaccinés, ni les autres, et d’ailleurs nos dirigeants avouent qu’ils poursuivront port du masque, distanciation, chez les vaccinés et les autres.

Le pass ne constitue, comme le masque et le couvre-feu, qu’un outil d’asservissement sans intérêt sanitaire et l’accepter représente un signe de soumission, dont le but est une société à la chinoise que rêvent de mettre en place les dirigeants actuels nourris à la coopération franco-chinoise et que les Veran, et bien d’autres reconnus comme “young leaders franco-chinois.

Pour terminer, méditons la tirade du secrétaire général de l’ONU le 22 février qui fut diffusée à juste titre sur les réseaux sociaux (mais si peu relayée à la TV) :

« Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes,
abolir les libertés les plus fondamentales,
faire taire les médias indépendants
et entraver le travail des ONG. »

Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU
Conseil des droits de l’homme du 22 février 2021 Source : Site de l’ONU (ONU Info)

Le chef de l’Organisation des Nations Unies ajoute, notamment :

« Des défenseurs des droits humains, des journalistes, des avocats, des militants, et même des professionnels de la santé, ont fait l’objet […] de poursuites, et de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures — ou le manque de mesures — prises pour faire face à la pandémie. Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuses pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques. »

Devrons-nous regagner dans la rue nos libertés ignoblement confisquées ?





Dr de Chazournes : des nouvelles concernant les AMM

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Outre le fait que les « vaccins » arrivent à péremption en octobre 2021, le Docteur Philippe De Chazournes, médecin de la régul du 15, à l’ile de la Réunion, et Membre du Conseil Scientifique Indépendant nous fait cette déclaration incroyable mais vraie qui pourra peut être nous libérer de ces poisons.

Philippe de Chazournes :

« J’ai plusieurs nouvelles intéressantes pour nous tous .
Premièrement, les labos (Pfizer, Moderna, Astra-zenea et Janssen) n’ont pas respecté les protocoles de phase III.
Deuxièmement, sachez qu’aucun des labos n’a renouvelé sa demande d’AMM (autorisation de mise sur le marché) conditionnelle qui devait être faite à 6 mois.
Donc, officiellement, les vaccins actuels N’ONT PAS D’ AMM !!!
C’est Maître Ludot qui vient de me le dire.
L’ANSM est bien embêtée par les décisions du président !…
Maitre Ludot va donc assigner en justice le Ministre de la Santé et tous les labos !
Pas d’AMM (autorisation de mise sur le marché) pas, de vaccination obligatoire ?

Me Emmanuel Ludot : avocat au barreau de Reims, spécialisé dans les contentieux.

Diffusez largement cela et contactez maître Ludot pour vos démarches individuelles » »

Dr De Chazournes Philippe

En fait, Me Ludot soupçonne que ce renouvellement n’ait pas été fait (c’est très important de savoir), mais il lui manque la preuve contrairement à ce qu’affirme ce médecin de la Réunion.

Me Ludot que certains ont joint, a fait parvenir le courrier qu’il vient d’envoyer à la Commission Européenne ( pdf ci-dessous) pour lever ce doute, s’ils veulent bien répondre.

Affaire à suivre…

Moralité : même le diable se prend les pieds dans les méandres de l’administration Française !

Recherche de l’association Ciel voilé :

Voici un extrait de l’article suivant :

Le prémisse 9 explicite la durée de validité de l’AMM conditionnelle qui est de un an :

« Conformément au règlement (CE) no726/2004, les autorisations de mise sur le marché conditionnelles auront une durée de validité d’un an renouvelableLe délai pour l’introduction d’une demande de renouvellement doit être de six moisavant l’expiration de l’autorisation de mise sur le marché et l’avis de l’Agence européenne des médicaments (ci-après dénommée « l’Agence ») sur la demande devra être adopté dans les quatre-vingt-dix jours suivant la réception de celle-ci. Afin d’assurer que les médicaments ne sont pas retirés du marché sauf pour des raisons de santé publique, pour autant que la demande de renouvellement soit introduite dans les délais, l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle doit être valable jusqu’à ce que la Commission prenne une décision fondée sur la procédure d’évaluation de la demande de renouvellement ».




Le confinement a créé 1 million de nouveaux alcooliques en Angleterre

[Source : Divulgation.fr]

Les données officielles montrent que le confinement de l’Angleterre a entraîné la dépendance à l’alcool d’un million de personnes supplémentaires depuis le début de la plandémie.

Avant le début de la pandémie, les sondages gouvernementaux indiquaient qu’il y avait environ 1,5 million d’alcooliques dans le pays, c’est-à-dire des personnes qui buvaient au moins 50 unités par semaine.

« Mais ce chiffre est passé à un peu moins de 2,5 millions cet été, ce que les experts ont imputé au cycle sans fin des restrictions liées à la lutte contre le virus », rapporte le Daily Mail.

Selon le Dr Tony Rao, expert en abus d’alcool au King’s College de Londres, « l’impact de la pandémie de Covid sur la consommation d’alcool a été dévastateur. Les dernières données, associées au nombre le plus élevé de décès liés à l’alcool jamais enregistré, constituent un avertissement sévère pour le gouvernement. »

Les associations de lutte contre l’alcoolisme mettent en garde contre une crise « qui se produit maintenant » après que Public Health England a révélé que « les décès directement causés par l’alcool ont grimpé en flèche de 20 % au cours de la première année de la pandémie. »

Comme nous l’avons souligné précédemment, le développement cognitif des jeunes enfants pendant le confinement a également été gravement altéré en raison du manque d’interaction humaine et des mandats de masquage.

L’impact réel des confinements sur la santé et le bien-être des jeunes et des moins jeunes ne sera connu que dans plusieurs années.

Cependant, les études déjà entreprises sur les ravages qu’ils provoqueront font froid dans le dos.

Un consortium d’analystes de données d’Afrique du Sud a conclu que les conséquences économiques du confinement du pays entraîneraient 29 fois plus de décès que le coronavirus lui-même.

Comme nous l’avons déjà signalé, des universitaires de Duke, Harvard et Johns Hopkins ont conclu qu’il pourrait y avoir environ un million de décès supplémentaires au cours des deux prochaines décennies à la suite des confinements.

En juin, Jay Bhattacharya, professeur de médecine à l’université de Stanford, a averti que dans les années à venir, les confinements seront considérés comme la politique la plus catastrophique de « toute l’histoire ».

Source : https://www.zerohedge.com/medical/lockdown-created-1-million-new-alcoholics-england

Traduction : https://www.divulgation.fr/




Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent

[Source : soleilverseau.com extraite de LA UNE TV – édition spéciale 14/08/2021]

[Ndlr : d’autres causes sont possibles et envisageables, puisque notamment la Covid-19 couvre notamment les symptômes de la grippe. La protéine Spike présente dans les vaccins procure aussi certains des symptômes de cette « maladie ».]

Petit extrait vidéo de la deuxième partie santé de l’émission du 14 Août 2021, de la nouvelle chaîne d’information ALTERNATIVE Française LA UNE TV (launetv.com), présentée par Richard BOUTRY. Écoutons le Dr Astrid Stuckelberger. Ses propos à propos du vaccin et du test PCR font froid dans le dos ! L’humanité est en danger.

Durée : 8 min



[Voir aussi, sur le graphène :
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain — comme l’a mentionné Astrid Stuckelberger dans la vidéo — est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?]




Quand le Dr Tess Lawrie en appelle au sursaut de tous les médecins du monde

[Source : AIMSIB]

par Nicolas Moreux

Son message résonne comme celui d’une résistante qui a décidé le 25 avril 2021 que la tyrannie galopante, imposée par l’industrie pharmaceutique et soutenue par tout un système, a assez duré.  Que d’émotion, de colère, de tristesse mais aussi d’espoir, en voici la traduction française. L’AIMSIB accueille officiellement Nicolas Moreux, passionné par l’éthique et curieux de ce qui se fait dans le monde y compris chez l’Oncle Sam, au sein de ses rédacteurs. Médecins de tous les pays, chercheurs, journalistes généralistes ou spécialisés, politiciens, membres d’organisations de santé locales et internationales, salariés de l’industrie pharmaceutique et des réseaux sociaux, avocats et juristes, citoyens : le moment d’agir arrive. Cet article arrive pile à l’heure pour réjouir le Dr Antony Fauci puisque l’ivermectine répond parfaitement au cahier des charges qu’il détaillait le 5 août… Bonne lecture.

L’appel de Tess Lawrie

Quelques réflexions sur l’Evidence Based Medicine – EBM

Traduit de l’anglais par NM

« Avant que nous ne terminions cette journée, je souhaitais partager avec vous quelques réflexions sur l’Ivermectine et l’état de la situation concernant l’Evidence Based Medicine.
En tant que scientifique dont la mission était de fournir les preuves basées sur les principes de l’Evidence Based Medicine, j’ai constaté que l’approche hiérarchique, avec les revues systématiques et les méta-analyses positionnées au sommet de la pyramide et les opinions d’experts et de scientifiques tout en bas n’est plus appropriée. Cela est dû en partie au fait que l’intégrité des revues systématiques et des méta-analyses ont été dégradées petit à petit par les exigences associées aux essais randomisés considérés comme l’étalon or [les présumés « Gold-Standard » qui seraient les seuls valides] des études cliniques.

Ces fameux Grands Essais Cliniques Randomisés en Double Aveugle favorisent l’industrie pharmaceutique. Ils sont devenus si consommateurs en ressources que la production d’un dossier de 70 pages intégrant protocole et synthèse de la recherche requiert des mois de travail d’experts capables de passer toutes les subtilités indispensables en termes de processus et de d’habilitations. Sans compter que chaque essai coûte plusieurs millions de dollars ([souvent plus de 20 millions de dollars]). Toutes ces subtilités dans les éléments attendus jouent le jeu de l’industrie pharmaceutique qui est la seule qui peut financer de telles études.

Les Grands Essais Cliniques pour les médicaments génériques et les traitements non pharmaceutiques qui mériteraient d’être évalués pour un grand nombre de conditions virales et de traitements contre certains cancers sont très rares. En effet, pour être transparent, il n’y a pas d’argent à gagner sur ces derniers et il n’y a pas de financement disponible.

Dans mon expérience de chercheuse sur les nouveaux traitements contre le cancer, il est très fréquent que les découvertes réalisées dans les premières études montrant des bénéfices et ayant conduit à l’Approbation de Mise sur le Marché (AMM) soient contredits par des études complémentaires montrant qu’il n’y a en fait aucun bénéfice.

Cependant, à ce moment-là le médicament dispose déjà de son AMM et la société pharmaceutique a déjà engrangé des milliards.

Pour cette raison, je mets en garde contre le fait de prendre pour argent comptant sans remise en question les données fournies par les sociétés proposant ces nouveaux traitements. Et je suggère très fortement qu’il y ait une évaluation indépendante de ces données.

Cette évaluation ne doit pas être faite par des chercheurs financés avec des moyens quasi-illimités – financements et bourses – de l’industrie pharmaceutique et leurs acolytes parmi les associations financées par des philanthropes ou d’autres formes d’organisations caritatives. Les chercheurs en charge de ces évaluations doivent être indépendants et sans conflits d’intérêts.

Il est temps que nous reconnaissions et questionnions le rôle de l’industrie pharmaceutique et des institutions qui étaient par le passé reconnues pour leur intégrité scientifique, tout comme le rôle des soit-disant Partenariats Public Privé avec ces organisations.

Ils ont facilité la corruption de la science et de notre profession. Ceux qui définissent les protocoles des essais et contrôlent les données contrôlent aussi les résultats. Ainsi, ce système et le rôle de l’industrie – les essais cliniques conduits par l’industrie – doit prendre fin.

Les données des études en cours et futures concernant les traitements du COVID doivent être traitées et analysées de manière indépendante. On ne peut se fier à aucun résultat qui ne serait pas complètement transparent.

Pour ce qui concerne la pyramide de l’Evidence Based Medicine, il est nécessaire de mettre en place une nouvelle approche, une approche intégrée qui remplacera l’approche actuelle hiérarchique.

La pyramide doit, à mon avis, être remplacée par une figure plus appropriée : le cercle. Au centre l’intégralité des données disponibles issues de différentes sources : méta-analyse et analyse systématique des études randomisées représenteraient certaines des sources tout comme les études observationnelles, les données pragmatiques recueillies sur le terrain, les données qualitatives relatant les points de vue et expériences tout comme les opinions des docteurs experts. Ainsi, les décisions cliniques pourraient être prises sur une base bien plus holistique.

Toutes ces données différentes sont critiques pour obtenir une vue d’ensemble et leur intégration a été complètement oubliée dans l’évaluation de toutes les interventions proposées au public au cours de l’année passée. Au lieu de cela, les autorités ont pris ça et là dans la science et identifié des scientifiques pour appuyer leurs processus de décisions. »

Tess Lawrie continue, dans la foulée, sur l’exemple de l’ivermectine

« L’histoire de l’ivermectine a mis en évidence le fait que nous sommes à un point de bascule de l’histoire médicale où la preuve scientifique rigoureuse, notre formation et notre expérience, les outils que nous utilisons pour soigner et nos connexions avec nos patients sont systématiquement discrédités par une désinformation constante et sans pitié alimentée par la cupidité de certaines sociétés.

L’histoire de l’ivermectine montre que nous, le peuple, nous avons eu tort d’avoir une confiance aveugle dans nos institutions et avons sous-estimé le niveau de corruption imposé par l’argent et le pouvoir.

Il semblerait que si nous avions utilisé l’ivermectine en 2020, quand nos collègues médecins à travers le monde ont d’abord alerté les autorités de son efficacité, des millions de vies auraient potentiellement pu être épargnées et cette pandémie avec toutes ses souffrances et dégâts collatéraux aurait été freinée plus rapidement.

Depuis, des centaines de millions de personnes ont été impliquées dans la plus grande expérience médicale jamais réalisée par l’industrie : vaccination de masse avec une thérapie nouvelle et non éprouvée. Des centaines de milliards seront empochés par l’industrie pharmaceutique payés par nous le peuple.

Avec les politiciens et les autres non-médecins qui nous dictent quoi prescrire aux malades, nous, médecins, avons été mis dans une situation telle que notre capacité à respecter notre serment d’Hippocrate est assiégée. A ce point de bascule, nous devons donc choisir si nous devons rester les otages d’organisations corrompues, d’autorités de santé, de l’industrie pharmaceutique tout comme de ces milliardaires sociopathes. Ou bien réussirons nous à tenir notre engagement moral de commencer par ne pas nuire en faisant toujours le mieux pour ceux qui nous confient leur santé.

Cette deuxième option nécessite que nous contactions de manière absolument urgente tous nos collègues à travers le monde pour décider quels sont les médicaments éprouvés et sûrs de la pharmacopée qui peuvent être utilisés contre le COVID en tenant des forums comme celui-ci, libre de tout conflit d’intérêt, et en nous organisant tous ensemble pour résister à la tyrannie médicale qui nous a été imposée tout comme au public depuis un an.

Pour cela, je suggère que nous formions une nouvelle Organisation Mondiale de la Santé, une Organisation de Santé qui représente l’intérêt et la santé du peuple non ceux des entreprises et des milliardaires. Une organisation centrée sur l’optimisation de la santé des humains et de leur potentiel et non sur la contraception et le contrôle de la population. Une organisation centrée sur l’humain.

Et notre rôle de médecin n’a jamais été aussi important parce que jamais par le passé nous n’avons été complices d’engendrer autant de souffrances. J’appelle tous les médecins ici, à regarder leur cœur et à se rappeler leur serment pour que nous puissions avancer unis et avec le plus grand courage pour protéger ceux que nous soignons.

– Merci »

(1 – document en anglais traduit ci-dessus in extenso par NM)

« Qui est Tess Lawrie ? » me direz-vous…

Si ce message se passe de commentaires, vous retrouverez ci-dessous quelques éléments précisant qui est Tess Lawrie et qui vous permettront de mieux comprendre sa démarche, de suivre ses conférences et interventions. Mais Tess Lawrie n’est pas seule. Elle est désormais très investie dans BIRD (British Ivermectin Recommandation Deployment) (2) et est une intervenante régulière des réunions du FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care) (3) dont vous trouverez les activités ci-dessous. Vous trouverez aussi des liens additionnels, des références pour aller plus loin sur les problématiques de la corruption systémique.

Et bien, le mieux est de jeter un œil à son parcours, ses interviews récentes et ses publications :

Titulaire d’un doctorat en médecine, Tess Lawrie a grandi, étudié la médecine et a obtenu son doctorat en Afrique du Sud, où elle a pratiqué la médecine clinique et la chirurgie. Elle est fondatrice et directrice de la société Evidence Based Medical Consultancy (E-Bmc) à Bath, au Royaume-Uni (4). Cette société indépendante travaille au niveau mondial (OMS) et national (NHS au Royaume Uni) pour les assister dans les différentes tâches associées aux études cliniques.

Vous découvrirez particulièrement ses positions et publications via :

  • Son message vidéo accompagnant la lettre ouverte au Premier Ministre du Royaume Uni, Boris Johnson dans lequel elle demande que l’ivermectine puisse être utilisée. (5 – document en anglais, non traduit)
  • Les interviews réalisées récemment pour
    • Réinfo-Covid (6) cette référence semble censurée,
    • France Soir (7 – interview traduite en français),
  • Bret Weinstein dans Dark Horse Podcast dans laquelle elle détaille la méta-analyse qui vient d’être publiée sur l’ivermectine en prophylaxie et en traitement. Elle s’y indigne aussi de la différence de traitement scientifique, médiatique et politique entre les vaccins contre le COVID et l’ivermectine. Vous retrouverez en particulier (min 18 de l’interview) le moment où elle reprend en direct la méta-analyse est fait la simulation d’exclure l’étude égyptienne controversée… et montre que même en excluant cette étude les résultats de la méta-analyse restent très robustes en faveur de l’utilisation de l’ivermectine (8 – interview en anglais)
  • et ses apparitions régulières dans les réunions hebdomadaires du FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care) (9 – conférences en anglais, non traduites).
  • Sa lettre ouverte à la présidente du Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency, dans laquelle elle demande l’arrêt de la vaccination au Royaume Uni et la mise en place de mesures sanitaires pour soutenir les personnes vaccinées présentant des Effets Indésirables Graves (10 – lettre en anglais).
  • Et bien entendu, sa contribution majeure à la méta-analyse sur l’ivermectine publiée très récemment (11 – traduite en français)
  • Vous pouvez bien sûr suivre l’actualité de la communauté de BIRD (British Ivermectin Recommandation Deployment) (2) et tout particulièrement l’intégralité des vidéos des séminaires en accès gratuit (12 – conférences en anglais). La diversité des intervenants (médecins cliniciens, chercheurs, analystes de données) donne un éclairage sur chaque aspect de la science qui est passé sous silence par la majeure partie des autres médias et de la communauté scientifique.

Pour rappel ou précision pour les plus informés, le samedi 24 juillet était la journée de l’ivermecine. En avez-vous entendu parler ?

« Scoop : Olivier Véran pense que l’ivermectine peut avoir un effet »

Gérard Maudrux, dans son post du 23 juillet 2021, nous fait une synthèse des derniers rebondissements concernant l’ivermectine en France (13).

« Olivier Véran pense que l’ivermectine a une présomption d’efficacité, mais il ne peut le dire. En tous cas, il refuse de dire le contraire.

En mai 2021, 1500 médecins ont fait un recours gracieux auprès du ministre de la Santé, conformément à l’article L.5322-2 du Code de la Santé Publique, pour faire réétudier la décision de l’ANSM, concernant le refus d’une RTU pour l’ivermectine.

Dans ce recours, une question simple et directe était posée au ministre, mais aussi au médecin, interpellé par ses confrères :

« En votre âme et conscience, pensez-vous honnêtement et sincèrement qu’il n’y a aucune présomption d’efficacité comme le prétend l’ANSM ?  Nous souhaitons une réponse claire à cette question. »

Le Ministre a « botté en touche », ce qui est clairement un aveu : il a refusé d’écrire au-dessus de sa signature qu’il n’y avait pas de présomption d’efficacité de l’ivermectine. S’il le pensait, il lui aurait été très facile de nous envoyer promener, s’appuyant sur les conclusions de ses services, ce qu’il n’a pas fait. Face à l’évidence des faits, il ne pouvait le faire. En ne reprenant pas à son compte ce refus, ses motifs, c’est aussi quelque part clairement un désaveu de la position de l’ANSM, que nous critiquons et qu’il n’a pas repris. »

Pour rappel, le « recours gracieux » vaut, à lui seul, une lecture détaillée des références utilisées par l’ANSM au regard des études disponibles. (14)

Mais, y-a-t-il des exemples de manque de transparence en lien avec l’ivermectine ?

Vous avez découvert le FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care) (3). Parmi les docteurs les plus impliqués dans cette organisation, notons particulièrement les docteurs Paul Marick (le chercheur que l’on voit peu) (15), Pierre Kory (le « diplomate », comme on dirait chez Reinfo-Covid, et qui est venu soutenir la cause de l’ivermectine au Sénat Américain) (16) et Joseph Varon (le « Chasseur de Covid » – « Covid Hunter ») (17).

Le rôle des médias mainstream

Le cas de Joseph Varon est passionnant, il a été interviewé par toutes les chaines américaines locales et nationales de tous les bords politiques (CNN, MSSBC, Fox News,…) mais aussi mondiales : l’avantage avec ce médecin est qu’il parle 9 langues. Il tient son surnom de « Chasseur de Covid » du fait qu’il a travaillé sans relâche 407 jours consécutifs dans son hôpital United Memorial Medical Center de Houston Texas donnant à la date de l’interview qu’il donne ici à Ivory Hecker (18 – en anglais) 1 640 interviews à travers le monde, ayant traité 1 293 patients hospitalisés dont seulement 86 sont décédés soit une mortalité de 6,7%. A chaque interview, il a pu détailler les protocoles pour les patients hospitalisés – MATH+ (19) et en traitement préventif (prophylaxie) – I-MASK (20) (intégrant entre autres l’Ivermectine) développés au sein du groupe du FLCCC qu’il a implémentés et contribué à faire évoluer au fur et à mesure de l’évolution de ses connaissances liées au COVID.

Et pourtant, jamais aucune référence n’a été faite au sujet de ces protocoles dans les 1 640 reportages à l’issue du montage et des coupures éditoriales. Etonnant donc d’encenser un médecin, de le présenter comme un héros sans jamais oser donner la recette de ses résultats : son implication sans relâche bien sûr mais aussi les protocoles de traitement et de prévention.

Ivory Hecker, journaliste de Fox News, a quitté ses fonctions après avoir expliqué comment elle a été « interdite de parole » sur le sujet de l’ivermectine en particulier dans cette courte vidéo (18 – en anglais). La qualité du son est parfois dégradée mais l’interview et les vidéos complémentaires d’Ivory Hecker sont nécessaires car elle fait partie des rares journalistes qui ont osé s’insurger contre l’omerta imposée par les rédactions mondiales. Elle a osé privilégier l’information des citoyens quitte à abandonner le salaire et la situation qui étaient les siens au sein de sa rédaction.

Et en France, quels sont les journaux Mainstream qui sortent de la doxa dont parle Laurent Muchielli (21 – en français) pour donner un éclairage différent ? Combien de « Fact checkers » nous ont ouvert les yeux sur l’origine du Covid avant que Brice Perrier dans son livre « Aux origines du mal » (22) n’apporte des éléments tangibles montrant que le virus se serait peut-être échappé d’un laboratoire ?

Et bien ce sont les mêmes qui, inlassablement, vont apporter les preuves que l’ivermectine n’est pas le remède que l’on veut croire. Une simple revue de presse de la situation en Inde, de son évolution et de la situation actuelle, comparée à l’analyse des données faite par Juan Chamier (23 – en anglais) dans son article de TrialSite News (24 – traduite en français) nous éclaire sur le biais de conformité de la majeure partie des médias.

Pour ce qui est de la France, il est intéressant de voir que les journaux réputés d’opposition, ceux qui sont restés vent debout quand il s’agissait de religion, de terrorisme, ces mêmes journaux sont cruellement absents aujourd’hui. Heureusement quelques aiguillons tentent de réveiller les journalistes par trop apathiques. C’est dur d’être vacciné par des cons… (25) En référence à la Une de Charlie Hebdo du 28 juillet 2021 titrant « Hitler débordé par les antivax » et figurant Hitler à la plage dans une bouée licorne et disant « C’est dur d’être cité par des cons ! ». Lettre à Charlie à propos de sa fascination vaccinale et de ses positions réductionnistes vis à vis des opposants au sésame sanitaire par Jean-Paul Bourdineaud • 29 juillet 2021

Notons, pour la France toujours, que le Club de Mediapart s’est illustré il y a deux semaines en décidant de supprimer le dernier billet de blog de Laurent Muchielli publié au sujet de la pharmaco-vigilance des vaccins COVID et dans lequel l’auteur s’appuyait exclusivement sur les données officielles de pharmaco-vigilance européenne. Le CNRS, au sein duquel travaille le sociologue, a lui aussi pris ses distances avec Laurent Mucchielli à la suite de la publication de ce billet polémique précisant que l’auteur s’exprimait à titre personnel et non en sa qualité de chercheur au CNRS. Cette histoire fait d’ailleurs échos à ce qui est arrivé à notre ami Amine Umlil (fondateur et CTIAP au sein de l’hôpital de Cholet où il est le responsable de la pharmaco-vigilance (26) avec le directeur de l’hôpital de Cholet.

La censure rencontrée dans les médias mainstream se propage ainsi même sur des médias qui permettaient jusqu’à récemment de proposer des points de vue divergents de la pensée monolithique.

Vous retrouverez ici la synthèse de cet article diffusé lors du Conseil Scientifique Indépendant (27), les raisons officielles proposées par la direction de Médiapart (28) ainsi que la réponse de Laurent Muchielli et l’article de Laurent Muchielli republié sur France Soir (29).

Saluons, en tout cas, ceux qui ouvrent la voie et jouent leur rôle d’informer les citoyens.

Le rôle des politiques

Pierre Kory est intervenu devant le Sénat américain le 8 décembre 2020 (30 – interview en anglais) pour faire état des connaissances et pratiques en matière de repositionnement de médicaments et en particulier de l’ivermectine en prévention et en traitement. Après son intervention, et depuis 9 mois désormais, peu de politiciens des Etats Unis ou d’Europe de l’ouest ont soutenu sa démarche. Peu ont contribué à faire connaître et appliquer les traitements précoces et la prévention recommandée.

Il faut aller chercher les hommes et femmes politiques courageux et résolument engagés dans d’autres régions du monde.

Dans de nombreux cas, il aura suffit qu’une figure de proue s’empare du sujet, fasse un discours intégrant l’ivermectine pour que les réactions en chaine se produisent, que les recherches en ligne sur l’ivermectine augmentent, que les ventes d’ivermectine augmentent et que les résultats se fassent sentir dans la chute des nombres de cas, des hospitalisations puis de la baisse de la mortalité.

  • Jorge Ivan Ospina, le maire de Cali en Colombie : son annonce de début juillet 2020 a vu l’opposition du ministre de la santé, de l’organisme de santé Colombien et même du président du pays et bien entendu de l’OMS. Mais ses apparitions répétées dans les médias ont déclenché un pic des ventes d’ivermectine dans de nombreux états du pays, les cas ont atteint un plateau puis ont décliné. L’étude de Juan Chamie sur le sujet montre que la baisse de la mortalité liée au COVID est très significativement corrélée à l’utilisation de l’ivermectine (p-values très proches de 0). (23 – en anglais)
  • Olivia Lopez, la Secrétaire à la Santé pour la ville de Mexico annonce que la ville de Mexico a utilisé l’ivermectine depuis décembre 2020. Le même scénario qu’en Colombie se reproduit à l’identique (23 – en anglais).
  • Gérard Maudrux, dans son billet de blog dur 28 mai 2021 nous décrivait comment les politiciens des Etats indiens de l’Uttar Pradesh, de Uttarakhand et de Dehli ont contribué à faire reculer le Covid par leur volonté politique et malgré l’opposition de l’OMS (31 –  en français). Il est nécessaire de prendre le recul pour mieux comprendre la complexité de la situation, les différences entre Etats, les pressions des organisations de santé nationales et internationales pour aborder le sujet de l’Inde :  c’est ce qui est fait dans cet article de TrialSite News (24 – traduit en français).
  • Au Bangladesh, chercheurs, médecins et politiques, manquant de moyens ont eux aussi opté pour l’ivermectine.
  • En Europe, il faut aller chercher la Slovaquie et la République Tchèque pour trouver des politiques engagés allant à contre-courant de la seule solution vaccinale (23 – en anglais).

Le rôle des médecins

Bien entendu, chaque médecin, chacun d’entre nous a un rôle à jouer dans cette crise. Il ne faut pas attendre la venue d’un messie et de ses apôtres qui, à eux seuls apporteraient la solution. Chaque médecin, qu’il soit membre de l’AIMSIB, du Conseil Scientifique Indépendant, de Réinfocovid, du CTIAP ou de toute autre organisation, ou bien qu’il soit totalement indépendant,… chaque médecin a un rôle à jouer. Il n’est pas trop tard, chers et chères confrères soignants. Manifestez votre engagement, comme ce médecin généraliste qui prend la parole ouvertement en préambule de la manifestation de samedi 14 août 2021 à La Rochelle (32) ou comme d’autres médecins, infirmières et soignants qui, soutenus par la population et les politiques locaux, osent défier les contraintes et parler publiquement.

Médecins, ne laissons pas nos 10 confrères menacés par l’Ordre National des Médecins sans rien faire. Médecins, ne laissons pas nos patients sans traitement. Médecins, ne laissons pas quelque autorité que ce soit nous dicter ce que nous devons prescrire ou non. Soyons les gouttes d’eau qui feront déborder ce vase bien trop plein, Manifestons-nous, élevons la voix, montrons, nous-aussi, la voie à ceux qui préfèrent, pour l’instant encore, rester dans l’anonymat. Publions nos témoignages sur les réseaux sociaux, contactons les médias locaux et nationaux, mobilisons nos confrères.

Les thèmes qui auraient aussi mérité d’être détaillés ici…

Il faudrait aussi ici se poser les questions sur les rôles des scientifiques, des organisations de santé nationales et internationales et tout particulièrement du rôle central de l’Organisation Mondiale de la Santé et des revues scientifiques ce qui fera l’objet d’études complémentaires.

Docteur Fauci, une bonne nouvelle pour vous

Le Docteur Fauci (33) est, depuis 1984, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), un centre de recherche du département américain de la Santé et surtout nommé à la Cellule de Crise de l’administration Trump (et prolongé dans ses fonctions sous l’administration Biden) sur le coronavirus (White House Coronavirus Task Force), jouant un rôle de premier plan tant en termes de communication sur le virus qu’en termes de stratégie et de conseil pour le combattre. Il passait un appel sous forme de cahier des charges synthétique pour une molécule permettant la prévention et le traitement précoce du Covid.

L’équipe du FLCCC s’est directement emparée du sujet répondant mot à mot à cet appel montrant point à point que l’Ivermectine est la réponse aux demandes du Docteur Fauci. La vidéo humoristique mérite de faire le tour du monde même pour les non-anglophones. (34 – vidéo en anglais)

Corruption Systémique

Vous trouverez, pour poursuivre la réflexion, trois références sur les problématiques de la corruption systémique dans le domaine de la médecine.

Peter Goetzsche « Remèdes mortels et crime organisé : Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé »

Peter Goetzsche faisait un état des lieux dans son livre « Remèdes mortels et crime organisé : Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé » de 2013.

Il y aborde, entre autres, les chapitres suivants pour ce qui concerne la corruption et convoque des experts pour mettre en lumière chacun des points :

  • Le crime organisé, modèle d’affaires des grosses compagnies pharmaceutiques
  • 4 Très peu de patients tirent avantages des médicaments qu’ils consomment
  • Les essais cliniques, la rupture du contrat social avec les patients
  • 6 Les conflits d’intérêts dans les périodiques médicaux
  • 7 L’influence corruptrice de l’argent facile
  • 8 A quoi donc s’affairent les milliers de médecins à la solde de l’industrie ?
  • 9 Vendre sous pression
  • 10 L’impuissance de la régulation des médicaments
  • 11 L’accès public aux données des agences du médicament
  • 19 Intimidation, menaces et violences pour protéger les ventes
  • 20 Démolir les mythes de l’industrie
  • 21 La faillite générale du système commande : une révolution

Jean-Dominique Michel

Jean-Dominique Michel et en particulier son intervention du 21 mai 2021 au sein de l’IHU Méditerranée Infection (35 – en français).

Jean-Dominique Michel est aussi un intervenant régulier du Conseil Scientifique indépendant où il aborde fréquement les problèmes d’étique et de corruption systémique.

Les conflits d’intérêts en médecine : le programme de l’IHU

et abordé récemment encore lors des jeudis de l’IHU (36 – en français)

Merci à tous ceux qui seront arrivés jusque là. Rappelez-vous que désormais, c’est vous qui avez un devoir moral. Celui de vous engager concrètement ici et maintenant, celui d’agir, celui de témoigner, celui d’être un membre actif de la société civile, celui de soigner vos patients.

Notes et sources :

(1 – vidéo en anglais) L’appel de Tess Lawrie ; Conclusion du 25 avril 2021 – Deuxième jour de la Première Conférence Internationale de l’ivermectine contre le COVIDhttps://www.palmerfoundation.com.au/dr-tess-lawries-powerful-closing-address-at-the-international-ivermectin-for-covid-conference%E2%80%8B/(2) Actualité de la communauté de BIRD (British Ivermectin Recommandation Deployment)https://bird-group.org/(3) Site du FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care)https://covid19criticalcare.com(4) E-mbc : le site de la société créée et dirigée par Tess Lawriehttps://ebmcsquared.org/(5 – en anglais) Sa demande de commencer à sauver des vies avec l’ivermectine au Premier Ministre du Royaume Uni Boris Johnsonhttps://www.healthrising.org/forums/threads/a-letter-to-mr-boris-johnson-from-uk-scientist-dr-tess-lawrie-calling-on-him-to-start-saving-lives-with-ivermectin.6481/(6) Son interview par Jennifer Hibberd pour RéinfoCovidhttps://reinfocovid.fr/base_documentaire/interview-de-la-dr-tess-lawrie-par-la-dr-jennifer-hibberd-sur-livermectine/(7 – en français) France Soir

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/le-scandale-de-livermectine-tess-lawrie-le-retour
(8 – vidéo en anglais) Bret Weinstein dans Dark Horse Podcast
https://odysee.com/@BretWeinstein:f/TessLawrie:0
(9 – vidéo en anglais) Tess Lawrie lors de l’une de ses interventions pour le FLCCC
https://covid19criticalcare.com/videos-and-press/
(10) Royaume Uni du 9 juin : lettre à la présidente du Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency
https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_b2acdef3774b4e9ca06e9fae526fd5cd.pdf
(11) Méta-analyse Ivermectine
https://journals.lww.com/americantherapeutics/abstract/9000/ivermectin_for_prevention_and_treatment_of.98040.aspx
(12 – vidéo en anglais) Les vidéos du premier séminaire mondial sur l’ivermectine
https://bird-group.org/conference-post-event/
(13) Blog de Gérard Maudrux du 23 juillet 2021
https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/07/23/scoop-olivier-veran-pense-que-livermectine-peut-avoir-un-effet/
(14) Blog de Gérard Maudrux du 12 mai 2021 : recours gracieux auprès du ministre
https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/12/ivermectine-recours-gracieux-aupres-du-ministre/
(15) Paul Marik
https://covid19criticalcare.com/?s=marik
(16) Pierre Kory
https://covid19criticalcare.com/?s=Pierre+Kory
(17) Joseph Varon
https://covid19criticalcare.com/?s=varon+joseph
(18 – vidéo en anglais) Ivory Hecker, ancienne journaliste de Fox News, interviewe le « Chasseur de Covid » Joseph Varon
https://www.youtube.com/watch?v=frwkkeH6mwM
(19) MATH+ protocole développé au sein du groupe du FLCCC
https://covid19criticalcare.com/covid-19-protocols/math-plus-protocol/
(20) I-MASK protocole développé au sein du groupe du FLCCC
https://covid19criticalcare.com/covid-19-protocols/i-mask-plus-protocol/
(21) Blog de Laurent Muchielli
https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog
(22) Brice Perrier interviewé sur Thinker View
https://www.youtube.com/watch?v=1wul4z8pmzU
(23 – vidéo en anglais) Juan Chamie – Analyste de données pour BIRD
https://www.youtube.com/watch?v=jBjULEZWl6c&t=677s
(24) Etat des lieux sur la situation en Inde par Trial Site News
https://trialsitenews.com/the-outbreak-in-india-initial-review-of-the-data/
(25) C’est dur d’être vacciné par des cons

https://criigen.org/lettre-a-charlie-cest-dur-detre-vaccine-par-des-cons/

(26) Lettre ouverte de Amine Umlil CTIAP
http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/08/lettre-ouverte-au-cng-information.html
(27) Laurent Muchielli sur la Pharmaco-vigilance des vaccins COVID lors du CSI de 29 juillet – à partir de la minute 6
https://odysee.com/@ludovicgarcia7500:c/CSI-16-R%C3%A9union-publique-du-Conseil-scientifique-ind%C3%A9pendant:2?
(28) La justification de la Rédaction de Médiapart sur la suppression du billet de blog de Laurent Muchielli
https://blogs.mediapart.fr/la-redaction-de-mediapart/blog/040821/notre-sante-face-au-covid-vrais-debats-et-fausses-sciences
(29) Le droit de réponse de Laurent Muchielli et l’article supprimé
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vaccination-covid-lepreuve-des-faits-2eme-partie-une-mortalite-inedite
(30 – vidéo en anglais) Pierre Kory intervient au sénat américain le 8 décembre 2020 (vidéo à partir de 28 minutes)
https://www.youtube.com/watch?v=k8RyV3VEDKI
(31) Gérard Maudrux dans son blog du 28 mai 2021 fait un état des lieux des 3 principaux états Indiens où l’ivermectine a été utilisée
https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/28/inde-covid-et-ivermectine-suite/
(32) Intervention publique de ce médecin de La Rochelle

(33) Que dit wikipédia du Docteur Fauci ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Anthony_Fauci
(34 – vidéo en anglais) Paul Marick et Pierre Kory ont de quoi rendre le Docteur Fauci heureux : l’ivermectine répond à toutes ses demandes  https://bird-group.org/making-dr-fauci-happy/
(35) Jean-Dominique Michel : La médecine et la santé publique à l’épreuve du Covid
https://www.youtube.com/watch?v=WUkcsSnVzl0&t=1773s
(36) Les Jeudis de l’IHU – Conflits d’intérêts
https://www.youtube.com/watch?v=ZeSHT87hzC4




Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade

[Source : Sott.net]

Par Dylan Charles — Waking Times

« La psychose collective est une épidémie de folie et elle se produit lorsqu’une grande partie de la société perd le contact avec la réalité et sombre dans les illusions. »

Lorsque la plupart des gens entendent le terme de psychose collective, ils pensent que cette psychose s’applique à tout le monde sauf à eux-mêmes. Toutefois, dans la réalité que nous partageons, nous sommes tous fortement influencés par les mêmes forces négatives, qui ont depuis des décennies maintenant attaqué la psyché publique, et sont devenues progressivement plus efficaces grâce à la science et à leur capacité à influencer de manière subtile et discrète le subconscient de nos esprits.

Nous sommes tous les cibles d’une guerre menée dans le but de tuer nos facultés mentales et de les priver de la capacité de s’engager dans une pensée rationnelle et un discours logique et raisonnable.

« On peut répondre à la logique par la logique, mais pas par l’illogisme. L’illogisme désoriente ceux qui pensent clairement. »

Dans ma quête pour comprendre les conséquences sur les populations du conditionnement collectif, de la manipulation mentale et de l’endoctrinement qui suintent du moindre recoin de notre société, j’ai découvert qu’utiliser les mêmes outils que ceux utilisés contre les populations, à savoir la reprogrammation du subconscient, constitue un moyen d’extirper de l’esprit ces influences extérieures.

Dans la situation qui est la nôtre aujourd’hui, nous ne pouvons pas nous attendre à ce que les tendances actuelles en matière de médias, de propagande et de censure changent en notre faveur de sitôt. Si nous ne dirigeons pas la lumière de la vérité sur nos propres vies, nous risquons d’être entraînés par le troupeau, de suivre le mouvement juste pour faire partie d’une tribu qui ne fait que nous maintenir dysfonctionnels, effrayés et en mauvaise santé.

La présentation suivante [vidéo en fin d’article – NdT] est très utile pour comprendre, d’un point de vue historique et philosophique, ce qu’est la psychose collective et comment elle se manifeste dans notre monde par les catastrophes sociales et les tragédies les plus dévastatrices.

En tant que coach en maîtrise de soi, j’aide les individus à débusquer les illusions échafaudées au cours de leur vie par leur histoire personnelle et par les influences culturelles qui nous poussent à nous conformer et à participer à la panique. Puisque ces influences veulent nous faire perdre le contact avec la réalité, nous devons donc nous défendre en prenant le contrôle total de nos esprits, de nos corps et de nos comportements.

Le totalitarisme est à notre porte. Il représente la suppression de l’individu. Notre arme dans cette guerre est notre individualité unique, et lorsque l’on acquière pleinement ce potentiel, les forces extérieures qui déchirent cette société ne peuvent tout simplement plus nous dominer et nous entraver. Si vous souhaitez obtenir de l’aide pour comprendre comment ces forces vous poussent à saboter votre propre vie et à ne jamais suivre la voie de la maîtrise de soi, contactez-moi ici. Dans ce contexte insensé de psychose collective, j’aime aider les gens à se rappeler qui ils sont vraiment.

Note du traducteur : Les lecteurs pourront aussi se référer aux articles suivants :

Le contenu de la vidéo — située en fin d’article — est d’une telle importance, qu’il nous a paru évident de mettre à la disposition de nos lecteurs la traduction que voici [après l’image ci-dessous] :

Citation Robert Hare Psychopathie
© Sott.net adapté en français de hare.org


« Les masses n’ont jamais eu soif de vérité. Elles se détournent des preuves qui ne sont pas à leur goût, préférant déifier l’erreur, si l’erreur les séduit. Celui qui peut leur fournir des illusions est facilement leur maître ; celui qui tente de détruire leurs illusions est toujours leur victime. »

Gustav Le Bon

Selon le psychologue Carl Jung, la plus grande menace pour la civilisation ne réside pas dans les forces de la Nature, ni dans une quelconque maladie physique, mais dans notre incapacité à faire face aux forces de notre propre psyché. Nous sommes nos propres pires ennemis ou, comme le dit un proverbe latin : « l’homme est un loup pour l’homme ».

Note du traducteur : Les forces de la Nature semblent toutefois corrélées et exponentielles à l’état plus ou moins généralisé et profond de cette psychose collective. Voir notre article Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney – Ce qui se profile à l’horizon et l’ouvrage Les changements terrestres et la connexion anthropocosmique.

Dans son ouvrage Civilization in Transition, Jung affirme que ce proverbe « est une triste mais éternelle lapalissade » et que nos tendances de loup se manifestent surtout aux moments de l’Histoire où la maladie mentale devient dans une société la norme plutôt que l’exception, une situation que Jung a appelée une épidémie psychique :

« En effet, il devient de plus en plus évident que ce n’est pas la famine, ni les tremblements de terre, ni les microbes, ni le cancer, mais l’homme lui-même qui constitue le plus grand danger pour l’homme, pour la simple raison qu’il n’existe aucune protection adéquate contre les épidémies psychiques, qui sont infiniment plus dévastatrices que la pire des catastrophes naturelles. »

Carl Jung, La vie symbolique

Dans cette vidéo, nous allons explorer la plus dangereuse de toutes les épidémies psychiques : la psychose collective. Une psychose collective est une épidémie de folie qui se produit lorsqu’une grande partie de la société perd le contact avec la réalité et sombre dans le délire [ou comme le nomme Ariane Bilheran ou encore Martha Stout, la paranoïa – NdT]. Un tel phénomène ne relève pas de la fiction.

Deux exemples de psychoses collectives sont les chasses aux sorcières aux États-Unis et en Europe aux XVIe et XVIIe siècles, ainsi que la montée du totalitarisme au XXe siècle. Pendant les chasses aux sorcières, des milliers d’individus, principalement des femmes, ont été tués non pas pour les crimes qu’ils avaient commis mais parce qu’ils étaient devenus les boucs émissaires de sociétés devenues insensées :

« Dans certains villages suisses, il ne restait pratiquement plus aucune femme en vie une fois la folie meurtrière consumée. »

Frances Hill, Une illusion de Satan

Lorsqu’une psychose collective se développe, les résultats sont dévastateurs. Jung a étudié ce phénomène et a écrit que les individus qui composent la société infectée « deviennent moralement et spirituellement inférieurs », qu’ils « s’abaissent inconsciemment à un niveau intellectuel inférieur », qu’ils deviennent « plus déraisonnables, irresponsables, émotionnels, erratiques et peu fiables » et, pire encore, que « les crimes que l’individu seul ne pourrait jamais supporter sont librement commis par le groupe [frappé par la folie]. »

Ce qui aggrave les choses, c’est que les victimes d’une psychose collective sont inconscientes du phénomène. De même qu’un individu devenu fou ne peut faire abstraction de son esprit pour observer ses erreurs, de même il n’existe pas de point d’Archimède à partir duquel ceux qui vivent une psychose collective peuvent observer leur folie collective.

Mais quelles sont les causes d’une psychose collective ?

Pour répondre à cette question, nous devons d’abord explorer ce qui conduit un individu à la folie. Bien que de nombreux déclencheurs potentiels existent, tels qu’une consommation excessive de drogues ou d’alcool, des lésions cérébrales et d’autres maladies, nous ne nous intéresserons pas ici à ces causes physiques.

Nous allons nous intéresser aux déclencheurs psychologiques, ou à ce que l’on appelle les déclencheurs psychogènes, en tant qu’ils sont les responsables les plus courants d’une psychose collective. La cause psychogène la plus répandue d’une psychose est un flot d’émotions négatives, telles que la peur ou l’anxiété, qui plonge l’individu dans un état de panique. Une fois plongé dans un état de panique, l’individu cherche naturellement à s’en extraire pour éviter d’être épuisé mentalement et physiquement par cet état d’hyperémotivité.

Si l’on peut échapper à l’état de panique par des moyens adaptatifs tels que se confronter à la menace qui suscite la peur et la vaincre, un autre moyen de s’en extraire est de traverser une crise psychotique.

Note du traducteur : Ce qui rejoint les travaux menés par le Dr Kazimierz Dabrowski, que l’on retrouve dans son ouvrage La formation de la personnalité par la désintégration positive, dans lequel il « décrit les caractéristiques individuelles et universelles de la personnalité, les méthodes qui participent à son façonnage, et présente des études de cas de personnalités célèbres comme Saint-Augustin et Michel-Ange qui démontrent la nature concrète et normative du développement de la personnalité. Pour Dabrowski, la personnalité ne va pas de soi — elle doit être consciemment créée et développée par l’individu. »

Une crise psychotique n’est pas une descente dans un état de désordre plus profond, comme beaucoup le croient, mais une réorganisation de son propre monde expérientiel qui mêle réalité et fiction, ou illusions et réalité, d’une manière qui aide à mettre fin aux sentiments de panique.

Silvano Arieti, l’un des plus grands spécialistes de la schizophrénie du XXe siècle, explique les étapes psychogènes qui mènent à la folie : il y a d’abord

« [la] phase de panique — lorsque le patient commence à percevoir les choses d’une manière différente, qu’il en a peur, qu’il semble confus et qu’il ne sait pas comment expliquer les choses étranges qui se produisent. »

Silvano Arieti, Interprétation de la schizophrénie

L’étape suivante est ce qu’Arieti appelle une phase de perception psychotique, au cours de laquelle un individu

« parvient à rassembler les choses [en] concevant une manière pathologique de voir la réalité, [qui lui permet] d’expliquer ses expériences anormales. Ce phénomène est appelé perceptif parce que le patient distingue enfin un sens et des connexions à ses expériences. […] Mais la perception est psychotique parce qu’elle est basée sur des illusions et non sur des approches adaptatives et favorables à la vie qui permettraient de faire face aux menaces — quelles qu’elles soient — qui ont conduit à la panique. »

En d’autres termes, les illusions permettent à l’individu paniqué d’échapper au flot d’émotions négatives, mais c’est au prix d’une perte de contact avec la réalité. C’est pourquoi Arieti affirme que l’épisode psychotique peut être considéré comme « une façon anormale de gérer un état d’anxiété extrême. »

Si un flot d’émotions négatives entraînant la panique peut déclencher une crise psychotique chez un individu faible et vulnérable, une population d’individus faibles et vulnérables poussée à la panique par des menaces réelles, imaginaires ou fabriquées peut entraîner une psychose collective. Mais comme les illusions peuvent prendre de nombreuses formes et que la folie peut se manifester d’innombrables façons, la manière spécifique dont se déroule une psychose collective sera différente selon le contexte historique et culturel de la société infectée.

À l’époque moderne, toutefois, c’est la psychose collective du totalitarisme qui apparaît comme la plus grande menace. Arthur Versluis écrit que :

« Le totalitarisme est le phénomène moderne de la centralisation totale du pouvoir de l’État couplée à l’oblitération des droits humains individuels : dans l’État totalisé, il y a ceux qui sont au pouvoir, et il y a les masses objectivées, les victimes. »

Arthur Versluis, Les nouvelles inquisitions

Dans une société totalitaire, la population est divisée en deux groupes, les dirigeants et les dirigés, et les deux groupes subissent une transformation pathologique. Les dirigeants sont élevés à un statut presque divin qui est diamétralement opposé à notre nature d’êtres imparfaits facilement corrompus par le pouvoir. Les masses, quant à elles, sont transformées en sujets dépendants de ces dirigeants pathologiques et acquièrent un statut psychologiquement régressif et infantile.

Hannah Arendt, l’une des plus éminentes spécialistes du XXe siècle de cette forme de régime, a qualifié le totalitarisme de tentative de transformation de « la nature humaine elle-même ». Mais cette tentative de transformation ne fait que transformer des esprits sains en esprits malades, comme l’a écrit le médecin néerlandais qui a étudié les effets mentaux de la vie sous le totalitarisme :

« […] il existe en fait beaucoup de choses comparables entre les réactions étranges des citoyens [sous le joug] du [totalitarisme] et de leur culture dans son ensemble, d’une part, et les réactions du […] schizophrène malade, d’autre part. »

Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit — La psychologie du contrôle de la pensée, du menticide et du lavage de cerveau

Note du traducteur : Le menticide est, selon la définition médicale qui en est donnée, une atteinte systématique et intentionnelle à l’esprit conscient d’une personne.

La transformation sociale qui s’opère sous un régime totalitaire est fondée et soutenue par des illusions. Car seuls les hommes et les femmes trompés régressent au statut enfantin de sujets obéissants et soumis, et cèdent le contrôle total de leur vie aux politiciens et aux bureaucrates. Seule une classe dirigeante trompée croit qu’elle possède la connaissance, la sagesse et la perspicacité nécessaires pour contrôler complètement la société selon une approche qui va du sommet vers la base.

Et ce n’est que sous le charme des illusions que l’on peut croire qu’une société composée de dirigeants assoiffés de pouvoir, d’une part, et d’une population psychologiquement régressée, d’autre part, conduira à autre chose qu’à des souffrances massives et à la ruine sociale. La psychose collective du totalitarisme a été induite à de nombreuses reprises au cours de l’histoire, et comme l’explique Meerloo :

« Il ne s’agit que de réorganiser et de manipuler les sentiments collectifs de la manière appropriée. »

La méthode générale par laquelle les membres d’une élite dirigeante peuvent accomplir ce dessein est appelée menticide, l’étymologie de ce mot étant « une mise à mort de l’esprit », et comme l’explique encore Meerloo :

« Le menticide est un vieux crime contre l’esprit humain, mais systématisé à nouveau. C’est un système organisé d’intervention psychologique et de perversion judiciaire par lequel une [classe dirigeante] peut imprimer [ses] propres pensées opportunistes dans l’esprit de ceux qu'[elle] prévoit d’utiliser et de détruire. »

Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit

Préparer une population au crime de menticide implique d’abord de semer la terreur afin de placer la population dans un état de panique qui la prépare à une plongée dans les croyances délirantes d’une psychose. Une technique particulièrement efficace pour atteindre cet objectif consiste à utiliser des vagues de terreur. Dans le cadre de cette technique, les vagues de terreur sont ponctuée de périodes de calme, mais chacune de ces périodes de calme est suivie de la production d’une vague de peur encore plus intense, et ainsi de suite, ou comme l’écrit Meerloo :

« Chaque vague de terreur […] engendre plus facilement ses effets — après un temps de répit — que celle qui l’a précédée, car les populations sont encore désorientées par leur expérience précédente. La moralité devient de plus en plus basse, et les effets psychologiques de chaque nouvelle campagne de propagande deviennent plus forts ; elle atteint un public déjà amadoué. »

Alors que la peur prépare une population au menticide, l’utilisation de la propagande pour diffuser des informations erronées et favoriser la confusion quant à la source des menaces et à la nature de la crise, contribue à briser l’esprit des masses. Les responsables gouvernementaux et leurs laquais médiatiques peuvent utiliser des rapports contradictoires, des informations insensées et même des mensonges flagrants, car plus ils sèment la confusion, moins la population sera capable de faire face à la crise et d’atténuer sa peur de manière rationnelle et adaptée.

La confusion, en d’autres termes, accroît la susceptibilité d’une plongée dans les délires du totalitarisme, ou comme l’explique Meerloo :

« On peut répondre à la logique par la logique, mais pas par l’illogisme. L’illogisme désoriente ceux qui pensent clairement. Le gros mensonge et les absurdités répétées de façon monotone ont plus d’attrait émotionnel […] que la logique et la raison. Pendant que [les gens] cherchent encore un contre-argument raisonnable au premier mensonge, les totalitaires peuvent [les] assaillir avec le suivant. »

Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit

Jamais auparavant dans l’Histoire, des moyens aussi efficaces n’ont existé pour manipuler toute une société et la faire basculer dans la psychose d’un totalitarisme. Les Smartphones et les médias sociaux, la télévision et l’Internet, tous associés aux bots qui diffusent propagande et algorithmes pour rapidement censurer le flux d’informations indésirables, permettent aux individus au pouvoir d’agresser facilement l’esprit des masses. Qui plus est, la nature addictive de ces technologies signifie que de nombreuses personnes se soumettent volontairement à la propagande de l’élite dirigeante par un usage réitéré dans une proportion remarquable :

« La technologie moderne apprend à l’homme à prendre pour acquis le monde qu’il regarde ; il ne prend pas le temps de prendre du recul et de réfléchir. La technologie l’attire, l’entraîne dans ses rouages et ses mouvements. Pas de repos, pas de méditation, pas de réflexion, pas de conversation — les sens sont continuellement surchargés de stimuli. [L’homme] n’apprend plus à questionner son monde, l’écran lui offre des réponses toutes faites. »

Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit

Mais les dirigeants totalitaires en devenir peuvent prendre une mesure supplémentaire pour augmenter les probabilités d’une psychose totalitaire, à savoir isoler les victimes et perturber les interactions sociales normales.

Lorsqu’il est seul et qu’il n’a pas d’interactions normales avec ses amis, sa famille et ses collègues de travail, un individu devient bien plus susceptible de développer des illusions pour plusieurs raisons : premièrement, il perd le contact avec la force corrective de l’exemple positif. En effet, tout le monde n’est pas dupe des machinations de l’élite dirigeante et les individus qui voient à travers la propagande peuvent aider à libérer les autres de l’assaut menticide. Toutefois, si l’isolement est imposé, le pouvoir de ces exemples positifs diminue considérablement.

Mais une autre raison pour laquelle l’isolement augmente l’efficacité du menticide est que, comme beaucoup d’autres espèces, les êtres humains sont plus facilement conditionnés à de nouveaux schémas de pensée et de comportement lorsqu’ils sont isolés, ou comme l’explique Meerloo à propos des travaux du physiologiste Ivan Pavlov sur le conditionnement comportemental :

« Pavlov a fait une autre découverte importante : le réflexe conditionné pouvait être développé plus facilement dans un laboratoire calme avec un minimum de stimuli perturbateurs. Tous les dresseurs d’animaux le savent par expérience ; l’isolement et la répétition patiente des stimuli sont nécessaires pour apprivoiser les animaux sauvages. Les totalitaires ont suivi cette règle. Ils savent qu’ils peuvent conditionner leurs victimes politiques plus rapidement si elles sont maintenues dans l’isolement. »

Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit

Note du traducteur : Il s’agit un processus également connu sous le nom d’inhibition transmarginale :

« L’inhibition transmarginale décrit la réaction d’un organisme soumis à d’intenses stimuli. Ivan Pavlov a découvert que les organismes avaient différents niveau de tolérance. Il explique : « La différence héréditaire fondamentale entre les gens réside dans la vitesse à laquelle ils atteignent le point de rupture, et ceux qui s’effondrent rapidement possèdent un type de système nerveux fondamentalement différent. Ironiquement, l’acronyme populaire TMI signifie Too Much Information (trop d’informations), ce qui peut être un facteur commun de l’inhibition transmarginale dans la culture contemporaine. À l’époque, j’ai pris conscience de ce qui se passait ; les techniques découvertes/développées par Pavlov pour amener les chiens au point de rupture en provoquant chez eux un état de stress sont aujourd’hui utilisées sur la population humaine à l’échelle mondiale. »

Seule, désorientée et battue par des vagues de terreur, une population victime d’une attaque de menticide sombre dans un état désespéré et vulnérable. Le flot incessant de propagande transforme des esprits autrefois capables de pensée rationnelle en terrains de jeu de forces irrationnelles et, le chaos tourbillonnant autour d’eux et en eux, les masses aspirent à un retour à un monde plus ordonné. Les totalitaires en devenir peuvent maintenant faire le pas décisif, ils peuvent offrir une porte de sortie et un retour à l’ordre dans un monde qui semble évoluer rapidement dans la direction opposée.

Mais tout cela a un prix : les masses doivent renoncer à leur liberté et céder le contrôle de tous les aspects de leur vie à l’élite dirigeante. Elles doivent renoncer à leur capacité d’être des individus autonomes et responsables de leur propre vie, et devenir des sujets soumis et obéissants.

Les masses, en d’autres termes, doivent sombrer dans les délires de la psychose totalitaire. Le médecin Joost Meerloo écrit :

« […] les systèmes totalitaires du XXe siècle représentent une sorte de psychose collective. Dans un tel système, que ce soit de manière progressive ou soudaine, la raison et la décence humaine commune ne sont plus possibles : il ne reste qu’une atmosphère omniprésente de terreur, et une projection de l’ennemi, que l’on imagine être parmi nous. Ainsi, la société se retourne contre elle-même, poussée par les autorités dirigeantes. »

Mais l’ordre d’un monde totalitaire est un ordre pathologique. En imposant une stricte conformité et en exigeant des citoyens une obéissance aveugle, le totalitarisme prive le monde de la spontanéité sur laquelle reposent de nombreuses joies de la vie et la créativité, ferment de la progression de la société.

Le contrôle total induit par cette forme de règne — quel que soit le nom qu’on lui donne et qu’il soit le fait de scientifiques et de médecins, de politiciens et de bureaucrates, ou d’un dictateur — engendre la stagnation, la destruction et la mort à grande échelle. Aussi, la question la plus importante à laquelle le monde est confronté est peut-être de savoir comment prévenir le totalitarisme. Et si une société a été dès les premiers stades induite dans cette psychose collective, peut-on en inverser les effets ?

Bien que l’on ne puisse jamais être sûr du pronostic d’une folie collective, il existe des mesures à prendre pour contribuer à sa guérison. Cette tâche, cependant, nécessite de nombreuses approches différentes, de la part de nombreuses personnes différentes. Car, tout comme l’attaque menaçante est multiple, la contre-attaque doit l’être aussi.

Selon Carl Jung, pour ceux d’entre nous qui souhaitent contribuer à ramener de la raison dans un monde en proie à la psychose, la première étape consiste à mettre de l’ordre dans notre propre esprit, et à vivre d’une manière qui serve d’inspiration aux autres :

« Ce n’est pas pour rien que notre époque réclame la personnalité rédemptrice, celle qui peut s’émanciper de l’emprise de la [psychose] collective et sauver au moins sa propre âme, celle qui allume un phare d’espoir pour les autres, proclamant qu’il y a ici au moins une personne qui a réussi à extirper son identité de l’attachement funeste de la psyché de groupe. »

Note du traducteur : Ce qui revient à adopter la bonne attitude dans les moments difficiles :

« Je crois qu’un chemin peut s’ouvrir, qu’une porte peut devenir visible, qu’un lieu où l’on pourra trouver abri et nourriture peut se présenter à nous si l’on est capable — même dans les moments les plus difficiles — de maintenir en permanence une présence à Soi. Cette conviction est présente dans chaque fibre de mon être. Mais je sais aussi que maintenir une telle vigilance à ce niveau de réalité pourrait ne pas être possible. Mais qu’importe : cela ne signifie pas que l’on doit renoncer à essayer. Et si vous échouez ? Si vous êtes resté fidèle à vous-même et aux vôtres, et si vous avez dans la vie donné le meilleur de vous-même, alors cela n’a pas d’importance. Vous avez cristallisé votre âme. »

Voir aussi : L’hystérie collective du Covid-19 et le « processus alchimique de l’humanité » 
et Ne perdez pas espoir, nous sommes faits pour affronter le défi de cette époque

Mais en supposant que l’on vive sans être sous l’emprise de la psychose, d’autres mesures peuvent être prises : premièrement, les informations qui contredisent la propagande doivent être diffusées aussi loin et aussi largement que possible. Car la vérité est plus puissante que la fiction et les falsifications colportées par les dirigeants totalitaires en devenir, et leur succès dépend donc en partie de leur capacité à censurer le libre flux d’informations.

Une autre tactique consiste à utiliser l’humour et le ridicule pour délégitimer l’élite au pouvoir ou comme l’explique Meerloo :

« Nous devons apprendre à traiter les démagogues et les aspirants dictateurs qui se trouvent dans notre entourage […] avec l’arme du ridicule. Le démagogue lui-même est presque incapable d’humour d’aucune sorte, et si nous l’abordons par le biais de l’humour, il commencera à s’effondrer. »

Une tactique recommandée par Vaclav Havel, un dissident politique sous le régime communiste soviétique qui devint plus tard président de la Tchécoslovaquie, est de construire ce que l’on appelle des « structures parallèles ». Une structure parallèle est une forme d’organisation, d’entreprise, d’institution, de technologie ou de recherche créative qui existe au sein d’une société totalitaire de manière physique, mais qui lui est extérieur sur le plan moral. Dans la Tchécoslovaquie communiste, Havel a constaté que ces structures parallèles étaient plus efficaces que l’action politique pour combattre le totalitarisme. En outre, lorsque suffisamment de structures parallèles sont créées, une « deuxième culture » ou une « société parallèle » se forme spontanément et fonctionne au sein d’un monde totalitaire comme une enclave de liberté et de bon sens. Ou comme Havel l’explique dans « Le pouvoir des sans-pouvoir », publié dans son Essais politiques :

« […] Qu’est-ce que des structures parallèles sinon un espace où l’on peut vivre une vie différente, une vie qui est en harmonie avec ses propres objectifs et qui, à son tour, se structure en harmonie avec ces objectifs ? Qu’est-ce que ces premières tentatives d’auto-organisation sociale sinon les efforts d’une certaine partie de la société […] pour se débarrasser des aspects auto-entretenus du totalitarisme et, par conséquent, pour s’extraire radicalement de sa participation au système […] totalitaire ? »

Note du traducteur : « Le Pouvoir des sans-pouvoir », de Vaclav Havel, constitue une méditation sur ce que signifie la « dissidence ». Voici un autre extrait, dans lequel il s’adresse aux responsables de la dictature communiste en Tchécoslovaquie :

« Derrière une apparence de « normalisation », vous avez installé le règne de la peur, du mensonge et de la corruption à tous les niveaux. Vous assurez la ruine du pays en étouffant la création et en voulant, à terme, abolir toute mémoire collective, toute vie sociale autonome pour régner sur un peuple anesthésié et une société désintégrée. Cela, nous le refusons. »

Il s’agit pour les citoyens sous le joug d’un totalitarisme de revendiquer les droits de la conscience morale individuelle, les droits à refuser le mensonge, à restaurer la responsabilité personnelle et la parole publique. Ce qui revient à dire que la solution est de « tourner le dos » au totalitarisme pour ne pas sombrer avec lui, et de développer sur la base d’intérêts communs, des groupes qui formeront une alternative de vie, comme l’explique très bien Louis Fouché, par exemple :

Mais ce qu’il faut avant tout pour empêcher une plongée totale dans la folie du totalitarisme, c’est l’action du plus grand nombre de personnes possible. De même que l’élite dirigeante ne reste pas passive, mais prend des mesures délibérées pour accroître son pouvoir, de même un effort actif et concerté doit être fait pour ramener le monde dans la direction de la liberté.

Dans un monde en proie aux illusions du totalitarisme, cet œuvre peut représenter un immense défi, mais comme l’a noté Thomas Paine :

« La tyrannie, comme l’enfer, n’est pas facile à vaincre ; pourtant, nous avons pour nous cette consolation que plus le conflit est dur, plus le triomphe est glorieux. »

Thomas Paine, La Crise américaine

À propos de l’auteur

Dylan Charles est le rédacteur en chef de Waking Times et l’animateur de « Battered Souls : A Podcast About Transformation », tous deux consacrés aux idées de transformation personnelle, d’éveil sociétal et de renouveau planétaire. Son parcours personnel est profondément inspiré par les plantes médicinales chamaniques et les arts du Kung Fu, du Qi Gong et du Yoga. Après avoir vécu sept ans au Costa Rica, il vit maintenant dans les Blue Ridge Mountains, où il pratique le jiu jitsu brésilien et aime passer du temps avec sa famille. Il a écrit des centaines d’articles, touchant et inspirant des millions de personnes dans le monde entier.


Cet article a été créé et publié à l’origine par Waking Times et Dylan Charles sous licence Creative Commons. Il peut être publié à nouveau librement avec l’attribution appropriée, la biographie de l’auteur et cette déclaration de copyright.

Source de l’article initialement publié en anglais le 9 août 2021 : Waking Times
Traduction de l’article et de la transcription vidéo : Sott.net




Le problème du diagnostic en psychiatrie

[Source : Collège Antithétique (college-antithetique.org) via Les moutons enragés (lesmoutonsenrages.fr)]

Par Alexandre MOREAU

DSM-5

« Le diagnostic en psychiatrie pose des problèmes sans équivalent dans les autres disciplines médicales. Il en résulte une fréquente incompréhension avec le médecin psychiatre. »

Le psychiatre, à la fois juge et partie

Le paradigme par lequel on « psychiatrise », on oppose la maladie et la santé, ce manichéisme est lui-même déjà un biais d’interprétation. Si on pense comme un marteau, tout ne ressemble qu’à des clous.

Le premier problème du diagnostic en psychiatrie est précisément qu’il est à l’initiative du psychiatre et non du patient ou rarement de ce dernier.

Si j’ai une jambe ensanglantée, je demande un diagnostic.. mais en psychiatrie rien de tel. Lors d’un internement sous contrainte l’individu ne fera pas de lui-même la démarche de demander un diagnostic. Lors d’un internement avec le consentement de l’individu, ce dernier peut lui-même douter de la pertinence qu’il a à demander un diagnostic ou à se faire hospitaliser.

En psychiatrie le psychiatre est à la fois juge et partie, non seulement il détermine si l’individu nécessite un diagnostic, à sa place, mais de surcroît il établit le diagnostic. C’est un peu comme si un juge dans un tribunal ordonnait à un individu de déposer plainte contre un tiers, alors même que ce dernier individu ne le désirerait pas.

La solution est donc là, avant de commettre un internement sous contrainte et avant même d’établir un diagnostic, y compris avec le consentement de l’individu, il faut préalablement déterminer si l’individu nécessite un diagnostic, en étudiant les conditions qui amènent l’individu au psychiatre, ce qui n’est jamais fait.

Il en résulte des quiproquos entre le patient et le psychiatre, ainsi que des biais d’interprétation. À titre d’exemple, on ne compte plus les victimes de pédophilie qui furent à tord « psychiatrisées » et internées, alors que les policiers très souvent peuvent croire la victime là où le psychiatre lui déni sa qualité de victime. Exemples, dans le documentaire « Enfance volée chronique d’un déni ».

On ne compte plus aussi les victimes d’agressions physiques ou de harcèlements qui se trouvant en état de choc devant un psychiatre se font interner, ce dernier étant incapable de faire la distinction entre un état de choc et une pathologie mentale. Il n’y a presque jamais de procès dans ces cas contre les psychiatres.

Tout cela pour la raison que le travail qui consiste à préalablement étudier les conditions qui amènent un individu devant un psychiatre, avant d’établir un diagnostic, n’est dans les faits jamais réalisé. Est-ce que l’individu qui se présente à un psychiatre a dormi ? Est-ce qu’il a mangé ? Est-ce qu’il a bu ? Ces simples questions à titre d’exemple ne sont jamais étudiées, au point que par exemple la victime d’une improbable traque par un agresseur et qui serait retrouvée en état de choc, serait par le psychiatre accusée de s’être elle-même déshydratée, sous-alimentée et mise elle-même en danger.

Les stéréotypes du psychiatre

Le psychiatre peut en de nombreuses circonstances, tout confondre. Il peut projeter sur l’individu ses propres stéréotypes, ses croyances, très souvent un freudisme à deux sous et les thèses obscurantistes autant que marchandes du DSM qui s’évertuent à classifier les maladies mentales comme d’autres rajoutaient des cercles concentriques aux épicycles de Ptolémée.(([1] Les épicycles de Ptolémée sont un modèle mathématiquement fonctionnel mais faux, pour décrire le mouvement des planètes par rapport à la terre. Dans ce modèle il s’agissait d’ajouter de nouveaux cercles concentriques à chaque fois qu’une nouvelle observation ne correspondait pas au modèle.)) Il en résulte que le psychiatre peut inventer des maladies qui n’existent pas, pour justifier son art, le plus souvent pour se protéger juridiquement ou encore pour ouvrir de nouveaux marchés à la pharmacopée et aux hôpitaux psychiatriques, qu’ils soient publics ou privés..

Le diagnostic psychiatrique réalisé par la police et/ou le SAMU

Avant de réaliser un diagnostic il faut se demander si l’individu est ou non un patient. D’ailleurs les termes ont leur importance, puisque l’individu qui est présenté à un psychiatre, y compris la première fois est immédiatement qualifié de patient. L’individu est ainsi jugé coupable d’un désordre mental avant même qu’un diagnostic ne soit posé. Pire, il est jugé coupable dès la prise en charge par le SAMU et/ou par la police, en amont d’une hospitalisation. Le diagnostic psychiatrique est en réalité réalisé par le SAMU et/ou par les policiers avant de l’être par le psychiatre, dans le cas notamment des hospitalisations sous contrainte. Les policiers et/ou le SAMU viennent ainsi présenter « un fou » à un psychiatre, ce qui suffit déjà à influencer le psychiatre pour que son diagnostic soit biaisé.

Si dans les affaires de pédophilie il se trouve que la police aura plus tendance à croire la victime que le psychiatre, dans d’autres affaires ce peut être l’inverse et le psychiatre ne remet dans les faits jamais en question la pertinence du jugement ou des déclarations de policiers et/ou du SAMU qui peuvent lui amener un individu à diagnostiquer.

Si par exemple le SAMU et/ou la police présentent à un psychiatre un individu qui « errait dans les rues » ou encore, qui fut retrouvé « endormi au bord d’une route », quelques soient les causes qui pouvaient placer un tel individu dans un tel état, la probabilité la plus grande est qu’il soit interné sous la contrainte du Préfet ou d’un proche. Ce proche pourrait lui-même tout ignorer de ce qui serait advenu à un tel individu et il serait manipulé par le psychiatre pour qu’il accorde sa signature pour faire interner cet individu.

Le psychiatre par réflexe professionnel, biais d’interprétation et habitude, aura tendance à ne chercher qu’à « psychiatriser ».

On dispose ainsi de l’exemple de cet homme qui hurlait sous les fenêtres du palais de l’Elysée et qui fut séquestré et drogué en psychiatrie pour ce seul fait, alors que n’en déplaise à la police ou à la psychiatrie, déconsidérer le Président de la République sous les fenêtres de son palais n’est pas la preuve d’une maladie mentale.

De la notion de « maladie mentale »

La notion même de maladie mentale est sujette à caution. Il existe des phénotypes, des proxémies, des synergologies, en somme, des comportements, qui sont le produit d’adaptations réussies ou manquées à l’environnement social, mais faut-il les qualifier de maladies pour autant ?

A titre d’exemple, un manque d’éducation est-il une maladie nécessitant un traitement ? Quelqu’un à qui ses parents n’apprendraient pas l’autonomie lors de sa petite enfance, à faire pipi et caca tout seul, à l’âge adulte serait considéré comme « fou », souffrant d’une maladie mentale, pourtant il ne le serait pas, il manquerait simplement d’éducation. Il y a donc une confusion entre maladie et analphabétisme éducatif. Ce manque d’éducation peut causer à l’âge adulte toutes sortes de troubles additionnels qui causent l’instabilité sociale de l’individu et lorsqu’on drogue un tel individu en psychiatrie ce n’est donc pas pour le guérir, puisqu’il n’est pas malade, mais ce n’est que pour protéger la société de ce dernier.

La notion même de maladie mentale est ainsi sujette à caution, dans un domaine ou même une dysfonction neurocognitive peut être l’outil de l’excellence ou du génie. Les maladies par ailleurs on aussi leur utilité et cela est complètement dénié par la psychiatrie, tout étant une question de degré.

Une étiologie imaginaire des maladies mentales

Le problème en psychiatrie est qu’on ignore la cause de maladies mentales de fait imaginaires. Comme les épicycles de Ptolémée on érige des modèles artificiels pour expliquer une réalité et des causes qu’on ne comprend pas et qu’on ne sait pas expliquer.

Un médecin cancérologue est apte à prouver à son patient qu’il a bien un cancer, contrairement au psychiatre qui est parfaitement incapable de faire la preuve de son diagnostic. Il en résulte que pour un même patient il existe autant de diagnostics différents qu’il existe de psychiatres. Rarissimes sont les patients qui en psychiatrie obtiennent le même diagnostic de plusieurs psychiatres différents.

La démarche est irrationnelle et obscurantiste, lorsqu’une psychiatrie rationnelle devrait être exclusivement basée sur l’observation de comportements et de phénotypes dument détaillés pour chaque patient, que l’on accepterait de juger antisociaux, inadaptés ou erronés.

En réalité la psychiatrie est donc aussi un acte politique, c’est une morale et tout cela est incroyablement fragile.

Entre le fait d’interner les opposants politiques ou le fait de libérer tous « les fous », la psychiatrie se cherche un équilibre qui n’est pas basé sur la science et elle invente pour cela une étiologie et des maladies qui n’existent pas.

Tout cela est très fragile car la psychiatrie est avant tout un art.

À tout le moins il faut poser la question des devoirs de l’Homme.

De la « psychiatrisation » des « terroristes »

À titre d’exemple sont ainsi « psychiatrisées » les revendications territoriales armées.

Le tueur d’Allemagne qui le 19 février 2020 fit 9 morts à Hesse en tirant sur des kebabs, fut unanimement qualifié de « fou » par les médias, les politiques et la psychiatrie, à titre posthume. Sauf qu’à la lecture de ses thèses il s’avérait n’être qu’un combattant qui proclamait par les armes une revendication territoriale au seul profit des autochtones allemands.

A contrario les auteurs d’attentats islamo-fondamentalistes sont eux aussi presque toujours « psychiatrisés » alors qu’ils ne sont eux aussi que dans l’expression d’une revendication de conquête territoriale armée en occident.

Est-ce qu’une revendication territoriale par les armes ou des actes de guerre sont la preuve d’une folie et d’une maladie mentale ?

On en revient donc bien à la question politique et au caractère éminemment politique du diagnostic en psychiatrie.

Les référentiels nosographiques en psychiatrie

On ne peut réformer la psychiatrie dans un sens ou dans un autre sans risquer sa destruction par le politique, tout est extrêmement fragile, simplement les psychiatres ont-ils eux-mêmes conscience de l’obscurantisme que constituent leurs référentiels ? Font-ils semblant ou croient-ils à leur propres mensonges ?

Que ces référentiels nosographiques (DSM etc.) ayant l’apparence de la crédibilité par l’argument d’autorité qu’ils constituent soient un mal nécessaire, je veux bien l’entendre, qu’ils soient un mal nécessaire pour éviter la politisation de la psychiatrie, je veux bien l’entendre, mais que les psychiatres soient assez incompétents pour être eux-mêmes dupes de leurs bases référentielles, c’est inadmissible.

La réalité est que dans les faits le diagnostic psychiatrique n’est basé sur rien de rationnel, tout dans le diagnostic n’est fondé que sur la subjectivité du psychiatre, son préjugé, sa culture, ses mœurs, ses habitudes, son bon sens ou son sens commun.., toutes les innombrables erreurs de diagnostics (exemple : Jean-louis Caccomo) et l’expérience de Rosenhan suffisent à le démontrer.

Pour une psychiatrie antithétique

Aussi il faut inventer une psychiatrie antithétique, à charge et à décharge pour le patient et une approche modérée des cas indécidables, avec la possibilité même que de tels cas soient admis comme possibles en psychiatrie.

Plutôt que de soumettre le patient à un juge des libertés très souvent inutile, peut-être faut-il penser une psychiatrie dans laquelle il existerait des « psychiatres commis d’office », chargés de faire libérer les patients, en opposition à d’autres psychiatres qui eux auraient la charge de les faire interner.




Répétition générale ou situation sans direction ?…


Par Lucien Samir Oulahbib

Les affairistes hygiénistes et leurs cyborgs boomers continuent donc à faire peur (« dramatisons madame », souffla le Préfet Tartarin…) en mélangeant les services hospitaliers (soins intensifs et réa. Or dans ces cas le malade n’est pas en situation de se faire interviewer pour quémander une piquouse, n’est-ce pas…), masquant ainsi le fait qu’ils empêchent toujours et depuis le début les traitements précoces*. Tout en agitant non plus seulement la « quatrième vague », mais LA vague de « 15 m » selon le GIEC (mais n’est-ce pas plutôt une vague, un tsunami totalitaire qui émerge plutôt ?).

Maintenant, « ils » veulent littéralement marquer les Français comme s’ils étaient des veaux (alors qu’il s’agissait d’une boutade gaullienne), mais comme nous sommes dans l’hyperréalisme intégral (la peinture ayant été par exemple réduite à mettre en scène le matériel pour en faire), la santé de son côté est donc devenue un vulgaire problème vétérinaire, au même titre qu’une barquette de viande avec sa date de péremption de six mois (ou la nième dose ad vitam aeternam) avec passeport à la clé, au clic vert ou rouge bien visible sur les immenses panneaux de points et de courbes projetés sur les écrans hologrammes (cette vraie peinture de l’art contemporain véritable) que l’on peut même voir de la piscine privée entre deux lignes de coke et trois jeunes et jolies courbes pan-sexuées. Le tout a été débattu le mardi au soir en « Conseil de défense » et entériné le mercredi matin au « Conseil des ministres » en France. Ou comment, par un tour de passe-passe (politique), « l’État français a disparu »

Voilà pour le constat. Mais motus des élites plutôt « savantes » qui soit entérinent soit discutent du sexe des anges pour les plus lucides, ou alors qui ne dit mot consent. Il semble bien cependant que la « rue » s’en rende compte et de plus en plus, cherchant à s’enfuir de ce triangle des Bermudes (vortex redoutable) en renouant avec le Réveil de novembre 2018 qui avait été empêché, tué dans l’œuf du fait de son manque de programme clair et de direction par les remugles néo-léninistes venus s’y agglutiner sur le tard, mais muselés heureusement aujourd’hui par leur propre impéritie scientiste (mais « prolétarienne »).

Aujourd’hui, cette « crise » endémique a enfanté un second œuf en attente de sa fécondation. Et au vu de ce qui se passe ces deux mois d’été, c’est inédit, ou alors cela fait penser à ce fameux août 1914 lorsque la guerre avait été brutalement déclarée alors qu’il faisait si beau et bon pour conter fleurette et plus encore à « l’ombre des jeunes filles en fleur » et des coquelicots du bois joli…

Aujourd’hui, la guerre nouveau genre « nous » a bel et bien été déclarée un 12 juillet 2021 par un Exécutif, exécutant, comme sa fonction l’indique, toute une panoplie d’ordres dictés par ce globalisme hypocondriaque à l’ego hypertrophié, tant à force de se mouvoir dans le labyrinthe médiatique ses sbires ne font plus de différence entre leurs fantasmes et la réalité (comme l’exigeaient Deleuze et Foucault : le fantasme doit être réalisé et non pas refoulé), ce qui fait que ce processus de fabrication de « l’Œuvre » non plus « française » doit s’accélérer à coup de films catastrophes sanitaires et climatiques vécus en temps réel ou 4DX permanente (et le régime maoïste en remet une secousse supplémentaire en bonus dans « l’épouvante » comme en décembre 19).

Aujourd’hui « nous » voilà à nouveau au « front », les jeunes envoyés au casse-virus, y compris les « cadets », tant le régime vermoulu du quantitativisme hygiéniste scientiste affairiste lance ses dernières troupes dans la bataille qu’il a fomentée lui-même (comme dans toute bonne tyrannie). Sauf que le temps ne roule plus pour lui lorsque les trois quarts de la population ne votent plus ou, à l’inverse, acceptent de se faire piquer pour un hamburger ou une sauterie — un nihilisme populaire appliqué. La jeunesse qui meurt bien plus de cette injection expérimentale que de la maladie s’en va la fleur au fusil en croyant participer à une expérience LSD tant vantée par les boomers alors qu’ils peuvent y laisser leur peau — une attitude mentale sans direction, propice à tous les embrigadements qui ont secrété les deux à trois centaines de millions d’assassinés du 20e siècle (si l’on fait le compte global des deux guerres et des génocides racialistes et classistes), siècle le plus « scientifique » pourtant qui soit.

Le tribunal international ad hoc qui sans doute aura à punir tous ces responsables coupables d’envoyer ainsi jusqu’à ces jeunes à la mort devra être sans pitié. Sa main ne devra pas trembler, même s’il s’agit de la si fascinante Milady. 

Ce n’est pas la seule perspective à effleurer, mais comme le mouvement se prouve en marchant, les propositions et positions s’affichent déjà et nous savons ce que nous ne voulons plus. À charge maintenant de reconstruire une nation effective au sens où la France ne doit plus être seulement la « fille aînée de l’Église », mais une Mère souveraine, celle-là même qui signale au Christ que les mariés n’ont plus de vin et malgré sa protestation (de se voir ainsi dérangé dans sa quiétude), Marie indique aux gens « Tout ce qu’il vous dira faites-le »… Ou comment transformer l’eau du quotidien en vin pétillant et délicieux : la vie humaine, en dialogue, permanent, avec ce qui la dépasse. Sans attendre de « sauveur suprême » cependant, ou la quadrature du cercle (Rhombe).


(*Réseau Sentinelles : « En France métropolitaine, la semaine dernière [2021s31, 2-8 août 21], le taux d’incidence des cas d’infection respiratoire aiguë [IRA] vus en consultation [ou en téléconsultation] de médecine générale a été estimé à 75 cas pour 100 000 habitants [IC 95 % [59 ; 91]]. »

* « En France métropolitaine, la semaine dernière [2021s31, 2-8 août 21], le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale a été estimé à 74 cas pour 100 000 habitants [IC 95 % [58 ; 90]]. »)




Italie, Espagne, ces pays où le passe sanitaire est remis en question par des magistrats et des tribunaux

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

Il n’a fallu que quelques jours, ou semaines, pour que le passe sanitaire ait du plomb dans l’aile en Espagne et en Italie.

En Espagne, pays décentralisé, le passe sanitaire ne passe pas : en Galice, c’est le tribunal régional qui vient d’en suspendre l’usage estimant que la décision a été prise par le gouvernement régional sans l’en informer. Décision prise ce jeudi 11 août par la justice de la communauté autonome de Galice. Cette suspension concerne les bars, les restaurants et les boîtes de nuit. D’après plusieurs médias espagnols dont ElPeriodico.com, la décision prise par le gouvernement galicien de rendre obligatoire ce passe sanitaire a été attaquée par la justice régionale qui accuse le gouvernement autonome de ne lui avoir jamais soumis cette mesure. La mise en place du passe sans que le tribunal régional n’en soit informé avait été prise par Alberto Nunez Feijoo, actuel président de la région de Galice, lequel avait présenté une loi sanitaire en novembre 2020 pour infliger une amende de 3 000 euros aux Galiciens qui refusent la vaccination.

La décision de justice de Galice suit celle identique du tribunal de justice des îles Canaries qui a aussi suspendu le passe sanitaire le 29 juillet dernier. Le média espagnol Eldiario.es explique que la justice a pris cette décision estimant que des droits ont été bafoués. La justice de deux autres communautés autonomes espagnoles (Cantabrie et Andalousie) ont également suspendu le passe Sanitaire au début du mois d’août comme le révèlent plusieurs sources dont ABC.es.

En Italie, la contestation contre le« Green Pass » a, à sa tête, des magistrats. « Un document publié dans le journal officiel de la Magistrature Démocratique, le courant historique des juges de gauche évoque ”une violation de la constitution”, peut-on lire dans le quotidien italien Il Giornale.it. Les mots sont plus que durs envers le gouvernement en place : cette violation, écrivent les magistrats, est voulue par « gouvernement aplati sur la logique de l’urgence » et réalisée grâce à « un pouvoir policier généralisé ».

« Il s’agit en fait d’une sorte d’appel aux robes rouges dans toute l’Italie, écrit Il Giornale, pour empêcher les mesures gouvernementales anti-Covid de se concrétiser : le décret sur le pass vert “devrait être inappliqué”. Et l’attaque implique aussi toute hypothèse de sanctions à l’encontre de ceux qui ne vaccinent pas : “Son refus doit être protégé et non recouvert d’un moralisme apocalyptique”. »

« Le document a un titre explicite, continue l’article italien, Sur le devoir constitutionnel et communautaire de non-application du décret du laissez-passer vert, et a été publié dans le dernier numéro de Questione Giustizia, le magazine officiel de Md. Il n’est pas signé par des magistrats mais par un groupe de constitutionnalistes réunis sous le sigle « Future Generations ». Mais il est clair que la décision de publier le document sans prendre aucune distance signifie qu’au sein du courant, la ligne de pensée s’est enracinée. En revanche, déjà ces derniers jours sur certains chats internes à l’Association nationale des magistrats, le document avait été divulgué par des membres de Md connus pour contester ouvertement la stratégie gouvernementale de lutte contre la pandémie.

(…)Le décret-loi, selon le document, produit ”des effets de discrimination multiples”, et ”finirait par constituer l’imposition indirecte d’une obligation de vaccination (…) il aboutirait à la violation de la liberté individuelle”. Et tout cela pour imposer un vaccin “encore en phase expérimentale n’ayant obtenu qu’une certification d’urgence” et malgré “le manque de preuves sur sa capacité à limiter l’infection”.

(…) Le texte attaque également la possibilité pour les gestionnaires de lieux publics de vérifier le certificat vert : qui se définit comme un ”transfert de pouvoirs de police à des sujets totalement non qualifiés” ; et l’attribution de cette faculté aux gérants est définie ”de faible soutenabilité juridique” : un ”modèle de régulation fluide et invasif qui met en grande tension toutes les garanties des libertés individuelles telles qu’elles nous sont transmises par nos Constituants” ».

Le document des magistrats de gauche se conclut par cet avertissement : « les vaccins anti Covid 19 peuvent être raisonnablement encouragés mais pas imposés, même pas à des catégories à risque ». Sinon le droit à la santé collective devient un « droit tyrannique ».

Francesca de Villasmundo




« Le Conseil de l’ordre des médecins sera supprimé »

[Source : nice-provence.info]

Par Massimo Luce

C’était la 85e proposition des 110 du Programme Commun de François Mitterrand. Bien entendu il n’en a rien été, les programmes électoraux étant faits pour se faire élire, puis à ne plus être respectés.

Lorsque les élus — en général de gauche — veulent prendre le contrôle de cette institution dont le contrôle échappe à l’État, ils nous rappellent que c’est une loi du gouvernement de Vichy (7 octobre 1940) qui crée le « Conseil supérieur des médecins ». Horreur ! donc.

Du reste en 2017 Mélenchon annonce : « Le Conseil de l’Ordre des médecins sera aboli parce que c’est une organisation pétainiste » [source]. À son habitude Jean-Luc Mélenchon sort des formules qui l’arrangent même si elles sont erronées. C’est le cas ici puisque selon le Quotidien du Médecin : « Cet organe de l” “État Français” sera dissous par une ordonnance du gouvernement provisoire de la République Française à Alger présidé par le Général de Gaulle le 18 octobre 1943 ». C’est ensuite le 24 septembre 1945 qu’une ordonnance du Général de Gaulle crée l’Ordre des médecins dans sa forme actuelle dont la principale mission est de veiller au respect de l’éthique médicale. » Ainsi donc l’Ordre des médecins est plus une institution gaulliste que pétainiste. Mais qu’importe, c’est surtout une institution, très puissante et très riche, dont le contrôle échappe à l’État.

Noyautée par la franc-maçonnerie, cette institution est très corporatiste et très conservatrice. Dans le fond elle ne gêne pas l’État tant qu’elle est en phase avec les intérêts de ce dernier, tributaire de Big Pharma. L’Ordre des médecins menaçait en août l’année dernière de sanctionner les médecins qui n’appliquaient pas les consignes gouvernementales en matière de port du masque :[Retranscription de l’échange téléphonique avec l’Ordre des médecins :]

[Retranscription de l’é­change télé­pho­nique avec l’Ordre des médecins :]

Fort de cet appui, Macron peut donc dérouler son plan sous faux drapeau sanitaire de passeport numérique pour tous qui passe par la vaccination pour tous. Il n’hésite même pas à prendre des mesures barbares telles que l’interdiction de l’accès aux soins aux Français non vaccinés (lire Le retour à la barbarie du 7 août 2021).

Mais il n’est pas conscient qu’il franchit là, le pas de trop pour le Conseil de l’ordre qui publie alors ce communiqué :

L’Ordre des médecins rappelle que la mission de service public assumée par tous les soignants est de garantir l’accès aux soins pour tous.

Les professionnels de santé quels que soient leurs modes d’exercice auront l’obligation déontologique de garantir à tous leurs patients des soins dans des conditions de sécurité optimales.

L’Ordre des médecins attend la réponse du Conseil constitutionnel, chargé du fait de sa saisine de garantir l’égal accès aux soins de tous les citoyens de notre pays.

Un camouflet cinglant pour Macron qui est plus le VRP de Big Pharma que le Président de tous les Français. Pour ce dernier, cette rebuffade est insupportable. En quelques jours à peine il crée une nouvelle institution qui détrône le sacro-saint Conseil de l’ordre des médecins : le nouveau « Conseil National de Certification ».

Par décret passé en catimini, Macron et Véran créent le « Conseil national de certification », soumis au gouvernement, pour reconduire ou retirer le droit d’exercer des médecins qui n’obéissent pas… Pas un mot dans les médias. [source]

Macron, plus fort encore que Pétain et Mitterrand réunis !

Ce dernier voulait supprimer une institution jugée trop corporatiste. Macron, lui, la supplante par une institution étatique. Trop fort ! Ce décret parfaitement dictatorial n’a pas suscité beaucoup de commentaires dans la presse subventionnée. C’est dire le niveau de soumission dans laquelle elle se trouve aujourd’hui. On peut dire la même chose des partis politiques, tous soumis, même les « Insoumis ». Ohé, Mélenchon ? On ne vous a pas entendu. Ah, il est peut-être en vacance(s). Mais c’est la même chose pour tous nos élus, à part quelques maires rebelles.

Il ne reste que l’insurrection populaire pour mettre fin à ces dérives dictatoriales et barbares.

Massimo Luce

Bonus :




Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait

[Source : theconversation.com]

Par Laurent Bègue-Shankland, professeur de psychologie sociale, membre de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)

Durant les années 60, Stanley Milgram a mené des études marquantes sur la soumission à l’autorité qui font aujourd’hui partie du patrimoine des sciences humaines. Le psychologue de Yale avait recruté des volontaires pour une étude sur l’apprentissage. À leur arrivée au laboratoire, ceux-ci rencontraient un scientifique et un homme qu’ils croyaient être un simple participant et qui endosserait le rôle d’apprenant. Lorsqu’il commettait une erreur durant un test d’association de mots, le sujet devait lui administrer une décharge électrique au moyen d’un générateur de chocs allant jusqu’à 450 volts par sauts de 15 volts, et s’il hésitait, le scientifique présent lui demandait imperturbablement de poursuivre l’expérience. Les résultats ont montré que la majorité des participants administraient les chocs maximaux à l’apprenant malgré ses supplications (simulées) pour que l’expérience cesse. Pour expliquer ces résultats, Milgram a affirmé que les individus soumis à l’autorité se comportaient comme de simples agents déresponsabilisés qui exécutaient aveuglément les ordres. Cependant, cette théorie de l’« état agentique » est aujourd’hui contestée. L’application de l’expérience de Milgram à la pratique de l’expérimentation animale permet d’introduire une nouvelle lecture de la soumission à l’autorité.

Électrocuter un chiot

L’idée d’une translation du protocole de Milgram à des victimes non humaines n’a pas tardé à germer. En 1975, une année seulement après la parution du livre Soumission à l’autorité, le philosophe Peter Singer évoquait directement les travaux de Milgram :

« si les participants agissent ainsi quand ils croient infliger de la douleur à un être humain, n’est-il pas bien plus facile encore pour les étudiants d’étouffer leurs scrupules initiaux quand un professeur leur enjoint de conduire des expériences sur des animaux ? ».

Comme en écho à cette question, un chercheur de l’université de Berkeley et son collègue ont réalisé en 1972 une étude qui se voulait être une réponse à l’une des critiques couramment adressée à Milgram. Il avait été suggéré en effet que durant les expériences, les participants pouvaient avoir simplement administré les chocs électriques sans penser que la victime les recevrait vraiment. Pour cela, les chercheurs n’ont pas hésité à fabriquer un abominable protocole dans lequel un « chiot au poil soyeux » dont les pattes touchaient une grille métallique recevait des décharges électriques bien réelles et qui augmentaient à chaque erreur durant une tâche de discrimination perceptive.

Une expérimentation brutale impliquant des chiots a montré que trois quarts des participants terminaient l’expérience. PixabayCC BY-NC-ND

L’intensité des chocs était telle qu’aux dernières séquences de l’expérience, le chiot « aboyait et hurlait de manière continue ». Les résultats de cette étude inqualifiable ont confirmé ceux de Milgram : les trois quarts des participants terminaient l’expérience.

Les suites de Milgram

Soixante ans exactement après les premières recherches menées à Yale, dans quelle mesure le phénomène de soumission à l’autorité mis en évidence à travers le protocole de Milgram est-il robuste ? Comment l’expliquer, et qu’en tirer pour comprendre l’expérimentation sur des humains ou des animaux ?

En ce qui concerne la solidité des travaux consacrés à la soumission à l’autorité impliquant des victimes humaines, au-delà des 20 variations expérimentales publiées par Milgram lui-même et impliquant un millier de participants, une vingtaine de réplications ont été menées dans 10 pays différents avec des adultes et parfois même des enfants. Dans la grande majorité des études, plus des deux tiers des participants administraient les chocs maximaux, et lorsque les pressions situationnelles variaient, le taux de soumission suivait en conséquence.

Comme cela a été évoqué plus haut, la possibilité que les participants aient tout simplement joué le rôle que l’on attendait d’eux sans vraiment croire en la réalité de l’expérience a été soulevée. Cependant, l’exhumation récente des archives laissées à Yale par Milgram infirme pour l’essentiel cette hypothèse. Elle démontre qu’au contraire bon nombre d’entre eux manifestaient un intense soulagement lorsqu’ils apprenaient que l’expérience était une pure simulation, se souciaient authentiquement de l’état de santé de la victime et surtout argumentaient dans certains cas avec la figure d’autorité plutôt que de se soumettre aveuglément à ses injonctions.

L’un des participants indiqua même à la journaliste Gina Perry avoir consulté la rubrique nécrologique de la ville où s’était déroulée l’expérience pendant au moins deux semaines afin de s’assurer s’il n’avait pas contribué à un décès. Milgram avait indiqué qu’à quelques exceptions près, ses participants étaient convaincus de la réalité de la situation expérimentale : 84 % d’entre eux pensaient en effet que la victime recevait les chocs électriques.

Une copie du générateur de chocs récemment utilisée lors d’une réplication des études de Milgram en Pologne par Darius Dolinski. Darius Dolinski, Author provided (no reuse)

Si la communauté scientifique considère aujourd’hui que le phénomène mis en évidence par Milgram est bien établi, plusieurs chercheurs considèrent toutefois que l’explication qu’il en a défendue n’est pas adéquate.

La soumission à l’autorité n’est pas ce que Milgram croyait

Dans Soumission à l’autorité, Stanley Milgram développe en effet le concept d’« état agentique » et en fait la clé de voûte de son analyse de l’obéissance.

Il écrit ainsi :

« un individu est en état agentique quand il se définit de façon telle qu’il accepte le contrôle total d’une personne possédant un statut plus élevé. Dans ce cas, il ne s’estime plus responsable de ses actes. Il voit en lui un simple instrument destiné à exécuter les volontés d’autrui » (1974, p. 167).

Par cette « abdication idéologique » (sic), l’individu abandonnerait donc temporairement ses critères moraux habituels face à une figure d’autorité.

Le premier inconvénient de cette analyse, c’est qu’elle semble très circulaire : « si l’individu est soumis à l’autorité, c’est parce qu’il se déresponsabilise ».

Ensuite, elle ne permet pas de comprendre pourquoi l’on observe de telles variations de la soumission dans des conditions expérimentales où l’autorité est pourtant bien présente, ou encore pour quelle raison c’est lorsque les interventions du scientifique sont les plus directives et « autoritaires » dans leur formulation que la soumission est la moins élevée.

Enfin, l’analyse proposée par Milgram n’éclaire pas les comportements de rébellion feutrée. L’enregistrement des paroles des participants durant les expériences montre en effet que ceux-ci n’étaient pas passivement soumis, mais négociaient leur implication, essayant même parfois d’aider subtilement la victime pour ne pas devoir lui administrer de chocs.

Le jeu de la mort

Dans une étude publiée en 2017 et menée en France suite de l’adaptation par Jean‑Léon Beauvois et son équipe du protocole de Milgram à la télévision, nous avons pu observer que dès qu’il n’était plus possible de douter du caractère douloureux des chocs, le quart des participants cherchait à aider discrètement la victime qu’ils avaient devant eux, par exemple en insistant par leur ton sur les bonnes réponses lorsqu’ils lisaient les options possibles lors du test.

Le jeu de la mort (Christophe Nick, documentaire, 2004).

Pour Milgram, le caractère graduel de la séquence des chocs contribuait aussi à intensifier l’obéissance. Invoquant la théorie de la dissonance cognitive, des chercheurs ont suggéré que les participants subissaient un phénomène d’engrenage : il était difficile pour eux de stopper l’expérience une fois commencée, car y mettre fin aurait été un désaveu de leur conduite antérieure. Une idée très proche a été exprimée par un chercheur qui se demandait si les effets observés par Milgram seraient les mêmes si les participants devaient directement actionner le bouton de 450 volts sans passer par les étapes précédentes.

La douleur consentie pour la science ?

Deux études récemment menées en Pologne par Dariusz Dolinski à l’université de Varsovie ont permis de mettre à l’épreuve cette hypothèse en comparant un protocole progressif standard à un protocole où dès la première erreur de l’apprenant, les sujets devaient lui administrer 150 volts (étude 1) ou 225 volts (étude 2).

Une récente série d’études en Pologne infirment l’hypothèse d’un effet lié à la gradualité des chocs. 
Darius Dolinski, Author provided (no reuse)

A la grande surprise des chercheurs, les résultats ont complètement infirmé l’idée d’un effet d’engrenage. La mise en cause de l’hypothèse d’un état agentique et l’impossibilité de s’appuyer sur une explication fondée sur la progressivité des chocs met en cause les explications courantes de la soumission à l’autorité.

Repenser l’obéissance raisonnée

Dans le cas de l’expérimentation animale, c’est la connaissance scientifique et ses applications notamment biomédicales qui justifient le désagrément ou la souffrance des animaux utilisés. N’est-ce pas ce que Claude Bernard, fondateur de la médecine expérimentale et illustre vivisectionniste, reconnaissait en écrivant dans son Introduction à la médecine expérimentale ?

« Le physiologiste n’est pas un homme du monde, c’est un savant, c’est un homme qui est saisi et absorbé par une idée scientifique qu’il poursuit : il n’entend pas les cris des animaux, il ne voit plus le sang qui coule, il ne voit que son idée et n’aperçoit que des organismes qui lui cachent des problèmes qu’il veut découvrir »

Claude Bernard dans son laboratoire. Lhermitte, Léon/WikimediaCC BY-NC-ND

La science, bien qu’elle incite selon les mots de Claude Bernard lui-même, à une « non soumission à l’autorité », n’est pas exempte dans sa pratique institutionnelle de phénomènes conformistes et représente un principe d’autorité évident.

Lorsque, dans l’une de ses expériences, Milgram demandait à un homme d’apparence ordinaire de communiquer les ordres aux participants, seulement 20 % de ces derniers administraient les chocs les plus élevés. Si l’expérience était réalisée dans un lieu de faible prestige comme l’était le bâtiment commercial d’une petite ville, le taux de soumission n’était que de 47,7 %, soit près de 20 % de moins que lorsque celle-ci se tenait à Yale.

Ces exemples introduisent la question de la légitimité accordée à l’autorité, et à travers elle, à la science. Les analyses qualitatives des entretiens avec les participants des expériences de Milgram montrent que l’identification aux buts scientifiques constituait une composante majeure de l’expérience.

L’image qui se dégage accorde ainsi aux participants de Milgram une relative rationalité qui leur a longtemps été récusée. Loin d’être, comme il l’a écrit, un « exécutant-robot » de l’action, l’individu apparaît plutôt comme un acteur qui, investi d’un but culturel supérieur, servir la science, non seulement consent, mais s’engage activement dans les comportements que l’on attend de lui.

La valeur attribuée au but de l’expérience est donc une cause décisive du comportement, et non simplement l’autorité qui est physiquement présente dans le laboratoire. A travers le soutien à l’expérimentation animale, c’est la valeur et les promesses de la science qui sont souvent affirmées. Malgré des signes de scepticisme perceptibles dans le public, la science s’impose aujourd’hui comme la première autorité culturelle dans le monde anglo-européen.

[Ndlr : la science peut aussi bien être considérée de nos jours comme une autorité religieuse, dans la mesure où pour une très grande majorité d’êtres humains, elle a acquis les principales caractéristiques d’une religion. On y trouve :
des saints (Einstein, Pasteur, Darwin, etc.),
des dogmes (la vaccination, le hasard, le progrès, le réchauffement climatique anthropique…),
des croyances non démontrées scientifiquement (la théorie virale, la théorie des germes, la théorie de l’évolution…),
l’excommunication des hérétiques (Jean-Pierre Petit, Jacques Benveniste…),
des messes (congrès, séminaires, démonstrations publiques…),
des miracles (résurrection des morts par réanimation cardiaque, voler dans les airs, aller sur la Lune, parler et se voir instantanément d’un bout à l’autre de la planète, faire apparaître des hologrammes sur scène théâtrale ou en plein ciel…),
une déesse suprême (la matière),
des grands prêtres (des « experts »),
des inquisiteurs (des journalistes vulgarisateurs ou non, des présentateurs de télévision, des « fact chekers » — prétendus « vérificateurs de faits »…),
des missionnaires (des lobbyistes de Big Pharma…),
au moins un prophète (Bill Gates),
et surtout la dévotion indéfectible, trop souvent fanatique, des fidèles de la religion et des adorateurs de la déesse.
Et donc, la science sert de caution morale, même devant les actes les plus barbares tels que l’expérimentation animale et la vivisection au nom du progrès.]

De nouveaux travaux expérimentaux

L’individu confronté à un choix d’utilisation animale au laboratoire devra résoudre un dilemme opposant deux buts : servir des finalités scientifiques telles qu’il les comprend (notons ici que les véritables bénéfices scientifiques de l’expérimentation animale restent très discutés par les chercheurs eux-mêmes), et éviter de blesser des êtres vivants, exigence qui constitue un véritable fondement moral universel.

Des travaux expérimentaux en cours à l’Université de Grenoble opèrent une translation directe du protocole de Milgram en introduisant une victime animale (en réalité un robot biomimétique) que les participants doivent progressivement sacrifier dans le cadre d’un protocole pharmacologique.

Impliquant plus de 750 participants de toutes les couches de la société et réalisées pendant une durée de 3 ans, ces recherches à paraître dans la revue Personality and Social Psychology Bulletin permettent d’apporter des éclairages inédits au phénomène d’obéissance. Ils démontrent notamment que l’autorité culturelle de la science est une donnée-clé pour comprendre le sacrifice d’un animal et feront l’objet d’une présentation ultérieure. Avec les évolutions contemporaines de la considération accordée aux animaux, conséquences de l’évolution des connaissances scientifiques les concernant, on peut s’interroger sur la forme que prendra à l’avenir le dilemme moral qui oppose les intérêts des 125 millions d’animaux utilisés annuellement pour la recherche dans le monde à ceux des humains poursuivant des buts scientifiques.




Pourquoi les intellectuels de gauche ont-ils eux aussi viré hygiénistes totalitaires ?

Par Lucien Samir Oulahbib

La riposte de Jean-Paul Bourdineaud(([1] Professeur à l’Université de Bordeaux, où il enseigne la biochimie, la microbiologie et la toxicologie environnementale tout en étant chercheur dans ces divers domaines)) à l’attaque en dessous de la ceinture de Charlie Hebdo et de Libération qui ont franchi allègrement le point Godwin (« à droite d’Hitler » en gros) en présentant les contestataires de l’actuelle politique dite « sanitaire » comme étant(([2] selon ce qu’en rapporte Bourdinaud)) « une bande d’obscurantistes totalement déraisonnables, anti-scientifiques, voire sectateurs, et penchant vers l’extrême-droite (celle trumpienne, au minimum) » en dit long sur les prétentions (non étonnantes à vrai dire) de toute une frange de pseudo-intellectuels tels Enthoven, Naulleau, Onfray, BHL, Ferry (le journal Marianne et le site Mediapart ostracisant on l’a déjà dit ici Mucchielli) et cherchant obstinément à continuer de donner le La (malgré leurs échecs retentissants dans tous les domaines), comme ils l’ont toujours fait en réalité, y compris et surtout en matière de santé si l’on entend par là (suivant ici Descartes dans la 6° partie du Discours de la Méthode, 192-193*) une certaine manière de penser notre corps dans le monde.

Ils en sauraient plus, en soi, comme ça, et c’est dit, un point c’est tout, en tout cas bien plus, mais oui, que tout le monde, en particulier à « droite » (qui a trop confiance en la « nature », en son système immunitaire, car celui-ci semble être [pour ces intellectuels] une relique, un dernier terrain vague…). D’où cette prégnance présente d’histrions et d’écrivaillons qui bien qu’étant complètement incompétents en matière de santé (ne parlons pas d’économie, de politique étrangère, mais aussi de philosophie, de littérature, d’arts…) viendront railler un Raoult, un Perronne, une Henrion-Caude, parce que pour eux, mais oui, la messe est dite face à ce virus présenté façon nouveau conte de Grimm comme étant effroyablement monstrueux, pire que la peste, bien sûr ma bonne dame, qui ravage jusqu’aux jeunes (un ici et là), d’où la nécessité « vaccinale », solution unique au-dessus de tout (über alles), alors que pour les corona aux variants innombrables, même les vétérinaires ont abandonné, par exemple s’agissant des chats, tant l’hécatombe des effets secondaires s’avérait pire que le mal. Mais que nenni ! mon bon monsieur. Taïaut, taïaut, à cheval sur son baudet, Don Quichotte armé de sa seringue bionique vient ainsi épauler les nouveaux dragons déguisés en moulins à paroles. Peu importe si cela touche plutôt certaines catégories et les pays dits « développés » (l’hécatombe prévue en Afrique et en Asie ne vient pas. qu’à cela ne tienne, fourguons-leur le Remdesivir et les « vaccins » quitte à graisser la patte de dirigeants déjà corrompus) et en avant pour l’injection des… bambins (nouveaux babouins) !…

Cette génération « je sais tout », à force de réagir dans les émissions d’opinion sur n’importe quoi, s’est (dé)construit un ego si hypertrophié que toiser de haut un spécialiste critique s’avère être une billevesée, une chiquenaude, surtout lorsque l’on trône dans les Salons qui comptent sur des milliers de « followers » (ex-groupies). Et puis une piquouse de plus ou de moins, entre deux shoots de coke, d’amphé, d’opioïdes et quelques bidouillages « high tech », tous azimuts (insémination, blocage hormonal…), what a big deal my dear fellow… [« quelle grosse affaire mon cher ami !… »]

Si l’on creuse un peu maintenant, quoique toujours trop rapidement, vers quelques profondeurs analytiques, il s’avère que toutes ces prétentions en matière de santé sont la continuité quasi directe de toutes les vieilles railleries possibles et inimaginables sur lesdites bondieuseries « réactionnaires, obscurantistes » — aujourd’hui « complotistes » — (telles les méditations, recherches de sérénité via la sophrologie, l’homéopathie) et autres « remèdes de bonne femme » dans lesquels sont de plus en plus catalogués ces savoirs ancestraux (jusqu’à traquer la lavande désormais) qui soignaient bon an mal an les maux physiques et mentaux (au-delà des manques évidents en matière de conservation de la nourriture, de lutte contre les mauvaises moisissures, contaminations liées aux égouts à ciel ouvert). Tous ces remèdes ressurgissent aujourd’hui cependant depuis les années « new Age » par toute une naturopathie et autres « médecines douces », les ayant désormais triés avec le bon dosage. Or la pensée dite « logique » (puis « matérialiste ») et se prétendant issue des « Lumières » a toujours choisi les remèdes académiques normés (que raillèrent Molière et Romains…) et écarté les gêneurs (Pasteur [Ndlr : Pasteur semble pourtant, au contraire d’un Béchamp tombé dans l’oubli, être très encensé par le côté académique ou matérialiste.], Mendel, Einstein…) suivant ici les « scolastiques » (Galilée, Bruno…), hormis un très bref intermède de sympathie avec les mouvements « romantiques » à la suite de Rousseau et Goethe (alliant Poésie et Science) et autres « symbolistes (les Parnassiens), jusqu’aux « surréalistes », alors que la plupart de ces « éclairés » aura peu à peu arrimé son supposé « réalisme » (pétri de biais idéalistes) vers un naturalisme physicaliste qui circonscrit les phénomènes charnels, y compris « inconscients », a des « forces » forcément obscures qu’il s’agit de dompter, canaliser, éradiquer, aseptiser, telles ces eaux sauvages que les barrages savants des « castors » labellisés made in Science viennent domestiquer

Le tout en reproduisant tous les travers pourtant dénoncés par une innombrable littérature à propos de « l’absolutisme », de « l’ordre moral », de la « dictature bourgeoise » sur les cœurs, les corps et leurs esprits, déployant ainsi sous nos yeux toute une panoplie inquisitrice que l’on croyait révolue à l’heure du « relativisme post-moderne ». Aujourd’hui celui-ci s’avère encore pire que l’absolutisme d’antan (y compris au niveau « écologique », sommant certaines tribus africaines d’abandonner leurs coutumes afin de sauver des « espèces en danger » — ne parlons pas du climat ni des rapports politiques du GIEC, nouveaux contes de Grimm là aussi), ayant cependant, il est vrai, substitué la mort sociale à la mort physique, cette dernière étant cependant pourtant là, mais cela ne se voit pas, tant les corps réduits aux choix « multiplex » manifestent encore leur « esprit critique » par des variations insignifiantes au sein d’une culture de plus en plus réduite à l’état de ruines, mais illuminées (dernier « cri » de l’Aufklärung)…

Au fond, que serait une « riposte laïque » dans sa profondeur de champ sinon renouer avec cet esprit que la gauche comme la droite ont « détruit » ? Ou comment permettre à tout un chacun d’avoir l’audace de penser hors des tutelles thuriféraires ? Sapere aude ! disait le vieux Kant, ce « questionniste » complotiste avant l’heure, selon nos grands penseurs (de TPMP à l’Institut)…

Descartes, Discours de la Méthode, 192/193 :

« (…) sitôt que j’ai eu acquis quelques notions générales touchant la physique, et que, commençant à les éprouver en diverses difficultés particulières, j’ai remarqué jusques où elles peuvent conduire, et combien elles diffèrent des principes dont on s’est servi jusques à présent, j’ai cru que je ne pouvois les tenir cachées sans pécher grandement contre la loi qui nous oblige à procurer autant qu’il est en nous le bien général de tous les hommes : car elles m’ont fait voir qu’il est possible de parvenir à des connoissances qui soient fort utiles à la vie ; et qu’au lieu de cette philosophie spéculative qu’on enseigne dans les écoles, on en peut trouver une pratique, par laquelle, connoissant la force et les actions du feu, de l’eau, de l’air, des astres, des cieux, et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connoissons les divers métiers de nos artisans, nous les pourrions employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature. Ce qui n’est pas seulement à désirer pour l’invention d’une infinité d’artifices, qui feroient qu’on jouiroit sans aucune peine des fruits de la terre et de toutes les commodités qui s’y trouvent, mais principalement aussi pour la conservation de la santé, laquelle est sans doute le premier bien et le fondement de tous les autres biens de cette vie ; car même l’esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps, que, s’il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu’ils n’ont été jusques ici, je crois que c’est dans la médecine qu’on doit le chercher. Il est vrai que celle qui est maintenant en usage contient peu de choses dont l’utilité soit si remarquable : mais, sans que j’aie aucun dessein de la mépriser, je m’assure qu’il n’y a personne, même de ceux qui en font profession, qui n’avoue que tout ce qu’on y sait n’est presque rien à comparaison de ce qui reste à y savoir ; et qu’on se pourroit exempter d’une infinité de maladies tant du corps que de l’esprit, et même aussi peut-être de l’affoiblissement de la vieillesse, si on avoit assez de connoissance de leurs causes et de tous les remèdes dont la nature nous a pourvus. (…) »




Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés

[Source : Contrepoints]

[Illustration : Fakurian Design sur Unsplash — Fakurian Design]

Application des travaux de psychologie cognitive au cas de la gestion de l’épidémie de covid

Par Samuel Fitoussi.

Face au covid, il existe un dilemme fondamental entre liberté et santé, entre la sévérité des restrictions et le nombre de vies sauvées. Le rôle des pouvoirs publics est de trouver le bon compromis, à la faveur d’analyses coûts-bénéfices.

Or, depuis dix-huit mois, un certain nombre de biais et d’erreurs systématiques de raisonnement faussent la rationalité des décisions et favorisent la mise en place de restrictions excessives.

Le texte qui suit est une application des travaux de psychologie cognitive au cas de la gestion de l’épidémie.

LE BIAIS D’ANCRAGE

29 janvier 2020. Donald Trump annonce la suspension de tous les vols en provenance de la Chine. La décision est condamnée unanimement : on trouve choquant qu’un homme bafoue avec tant de légèreté la liberté de voyager de millions de personnes.

En juillet 2021, Joe Biden annonce que tout voyageur – même vacciné – provenant de Chine, du Royaume-Uni, d’Irlande, du Brésil, d’Afrique du Sud, d’Inde, d’Iran et de n’importe quel pays membre de l’Union européenne, se verra refuser l’entrée sur le sol américain. Aucune condamnation.

Que s’est-il passé entretemps ?

Dans un magasin, si le premier t-shirt que vous voyez coûte 9 euros, le second à 25 euros vous paraîtra cher. Si le premier t-shirt coûte 50 euros, le second à 25 euros vous paraîtra bon marché.

C’est le biais d’ancrage, mis en lumière pour la première fois en 1974 par Daniel Kahneman et Amos Tversky, psychologues israéliens. Une première information vous fournit un référentiel arbitraire en fonction duquel vous raisonnez ensuite.

Au printemps 2020, face à une situation d’urgence absolue – hôpitaux débordés, pénuries d’équipements et de tests, méconnaissance du virus – la plupart des pays occidentaux se tournent vers une solution de dernier recours : le confinement. Survenu très tôt dans la crise, le confinement crée ce référentiel, ce cadre cognitif par lequel nous évaluons depuis toutes les autres restrictions.

À l’annonce de chaque nouvelle mesure, nous nous souvenons que nous avons accepté pire et en concluons que la nouvelle mesure (restrictions de voyages, couvre-feux à 21 heures, à 20 heures, à 19 heures, à 18 heures, masque à l’extérieur, QR codes pour s’assoir en terrasse) est acceptable.

Et donc, pour en revenir aux États-Unis : en comparaison avec l’interdiction de dépasser les frontières de nos appartements, l’interdiction de franchir certaines frontières nationales nous paraît être un non-évènement.

[Ndlr : ici, il y a un autre facteur probablement aussi déterminant dans l’absence de réactions négatives face à l’annonce de Biden en comparaison du tollé contre celle de Trump, c’est la très forte disproportion de soutien médiatique entre les deux personnages. Trump avait 97 % des médias dominants contre lui, alors que Biden dispose d’un fort support.]

LE BIAIS D’ACTION

Évoqué pour la première fois par les économistes Richard Patt et Anthony Zeckhauser en 2000, le biais d’action désigne la croyance – plutôt logique en apparence – que face à un problème, il est toujours préférable d’agir que de ne pas agir. Le biais explique par exemple pourquoi l’homéopathie plait tant pour soigner des petits maux et pourquoi au football, les gardiens choisissent presque toujours, face à un penalty, de plonger plutôt que de rester au milieu, solution qui leur offrirait pourtant une meilleure chance d’arrêter le ballon.

En janvier 2021, lorsque le gouvernement décale le couvre-feu de 19 heures à 18 heures, l’impact sanitaire est probablement nul (voire négatif puisque l’on incite aux rassemblements intérieurs) mais au moins, on ne reste pas les bras croisés.

En juillet 2021, les maires ou préfets qui rétablissent l’obligation du port du masque en extérieur ne sauvent aucune vie, mais peuvent mieux se regarder dans la glace : ils agissent.

Dans les deux cas, la perte de bien-être pour les Français est en revanche bien réelle. On peut se demander combien de restrictions, depuis 18 mois, répondent uniquement au besoin instinctif de « faire quelque chose ».

Le biais d’action explique aussi pourquoi le principe de précaution est toujours évoqué de manière asymétrique. On entend que par précaution, il faut confiner 66 millions de personnes 6 semaines (agir), car on connait mal la maladie, [Ndlr : et peut-être pour signer une fois de plus le 666 ?] alors qu’on entend moins que par précaution il ne faut pas confiner 66 millions de personnes six semaines (ne pas agir) car on connait mal les effets du confinement.

LE BIAIS D’ILLUSION DE CONTRÔLE

Théorisé par Ellen Langer, psychologue américaine, ce biais désigne notre tendance à sous-estimer l’importance des facteurs externes et à surestimer l’importance des facteurs internes, à n’expliquer une situation donnée que par des causes sur lesquelles on possède un levier d’action.

Pendant les périodes de sécheresse, certaines tribus sacrifiaient des enfants pour apaiser les dieux. Si la sécheresse prenait fin, c’était grâce au sacrifice, sinon il fallait sacrifier d’autres enfants. Au bout d’un moment, la situation finissait toujours par s’améliorer, validant la stratégie des chefs de tribu.

En France depuis 18 mois, quand les courbes descendent c’est grâce aux restrictions, quand elles montent c’est parce qu’on n’a pas assez restreint.

C’est le biais d’action qui encourage la tribu à sacrifier des enfants, c’est le biais d’illusion de contrôle qui conduit à s’en féliciter. C’est le biais d’action qui nous encourage à fermer les remontées mécaniques, c’est le biais d’illusion de contrôle qui nous conduit à nous en féliciter.

LE BIAIS D’INSENSIBILITÉ AUX ORDRES DE GRANDEUR

En 1992, William Desvousges, économiste américain, demande à trois groupes de participants combien chacun serait prêt à payer pour sauver un certain nombre d’oiseaux de la noyade.

Résultat : les participants qui peuvent sauver 20 000 oiseaux souhaitent payer moins (78 dollars) que ceux qui peuvent en sauver 2000 (80 dollars), tandis que ceux qui peuvent en sauver 200 000 ne donnent que 88 dollars. Conclusion : l’importance que nous accordons à un problème n’est quasiment pas affectée par le nombre de personnes que le problème affecte.

Daniel Kahneman – lauréat du prix Nobel d’économie en 2002 pour ses travaux sur les biais cognitifs – donne l’explication suivante : puisqu’il est impossible de se représenter un très grand nombre d’éléments, nous réduisons le problème à une seule image mentale, un prototype. Pour évaluer la souffrance de 2000 ou de 200 000 oiseaux, les participants imaginent un oiseau se débattant dans l’eau – image indépendante du nombre d’oiseaux concernés.

Lorsque l’on cherche à estimer ce qui est plus grave entre, par exemple, 5000 morts supplémentaires du covid ou l’instauration du port du masque obligatoire dans les écoles, on imagine, d’un côté, une personne âgée en détresse respiratoire et de l’autre, un écolier masqué. La première image étant infiniment plus dramatique que la seconde, on en conclut que la seconde option est préférable à la première. Le fait qu’ils soient 5000 à être concernés par la première et 12,9 millions par la seconde n’entre pas en considération.

LE BIAIS D’INSENSIBILITÉ À LA DURÉE

En 1993, Kahneman diffuse à des sujets plusieurs vidéos désagréables, d’intensités et de longueurs variables. Il leur demande ensuite de classer les vidéos des plus déplaisantes aux plus plaisantes. L’unique facteur qui influence le classement : l’intensité des images. La longueur de la vidéo ne joue aucun rôle. C’est le biais d’insensibilité à la durée : nous jugeons la valeur d’une expérience en fonction du plaisir moyen qu’elle nous apporte sans égard pour le temps qu’elle dure et donc pour la somme de bien-être ou de mal-être qu’elle nous fournit.

En octobre 2020, lorsque le gouvernement choisit de mettre en place un couvre-feu, il est prévu qu’il durera six semaines. Au fil des mois, alors que le couvre-feu ne cesse d’être reconduit, presque tous ceux qui approuvaient sa mise en place le 17 octobre continuent d’approuver sa reconduction, comme si le prolongement de la mesure dans le temps n’exerçait aucune influence sur sa balance coût-bénéfice.

Nous succombons au biais d’insensibilité à la durée : nous jugeons « le couvre-feu », pas « un couvre-feu d’une durée de… ». Le processus mental à l’œuvre est semblable à celui du biais précédent : qu’il s’agisse d’un couvre-feu de six semaines ou de huit mois, l’image mentale que nous utilisons pour estimer son coût est la même : une soirée moyenne sous couvre-feu.

LE BIAIS DE VICTOIRE DES POSITIONS LES MOINS COÛTEUSES SOCIALEMENT

Il a imposé l’idée que la saturation des réanimations avait un coût infini.

En mars 2020, il est décidé que nous n’accepterons pas la saturation des réanimations et les désastres qu’elle impliquerait (décès, tri des patients, déprogrammations, soignants exténués, chaos…). Sauf qu’à ce stade, nous croyons que l’alternative à la saturation des réanimations est un confinement de un mois, pas trois confinements et 8 mois de couvre-feux. Peu importe, nous ne remettrons plus jamais en cause l’idée que la non-saturation des réanimations doit être la ligne rouge guidant les politiques publiques et acceptons donc l’hypothèse implicite suivante : la saturation des réanimations possède un coût infini.

Pourquoi cette hypothèse s’est-elle imposée comme une évidence ?

Octobre 2020. Arguez qu’il faut re-confiner le pays, on risque de vous rétorquer que vous ne savez pas mener d’analyse coût-bénéfice. Arguez qu’on peut accepter la saturation des réanimations, on risque de vous traiter d’égoïste sans âme.

Une des deux positions plus coûteuse socialement est donc moins exprimée. Puisque notre cerveau associe les idées beaucoup répétées avec ce qui est vrai (biais de vérité illusoire) la seconde position perd des adhérents, elle est repoussée à la marge du débat. Il devient donc de plus en plus coûteux de la tenir (puisqu’en plus d’être un égoïste vous devenez un extrémiste), elle est donc encore moins exprimée, perd d’autres adhérents, est repoussée davantage à la marge. Elle finit par disparaître complètement des cerveaux. Cercle vicieux, généralisable à un tas de sujets, qui montre que ce n’est pas uniquement la validité d’une position qui la rend dominante mais aussi (et parfois surtout) son acceptabilité sociale.

Notez que je n’écris pas qu’il fallait accepter la saturation des réanimations, simplement que le choix de ne pas l’accepter a été effectué pour les mauvaises raisons, puisqu’il qu’il a été admis arbitrairement qu’on n’optimiserait pas la balance santé (y compris réanimations) – liberté, mais la balance santé – liberté sous contrainte de non-saturation des réanimations. De façon toute aussi arbitraire, il aurait pu être décidé qu’on optimiserait la balance santé – liberté sous contrainte de ne pas imposer à 66 millions de Français 8 mois d’affilée sous couvre-feu et confinement. Ce qui aurait impliqué une ligne rouge et donc un élément au coût infini : irrationnel aussi.

LA CROYANCE SELON LAQUELLE ON NE PEUT PAS LAISSER DES GENS MOURIR

Nous faisons chaque année des choix de société qui impliquent que la vie humaine a un prix. Par exemple, les 10 000 à 15 000 morts annuels de la grippe sont évitables, mais on choisit de ne pas les éviter car on considère que le différentiel de liberté entre une situation avec des restrictions anti-grippe et une situation sans restrictions possède un coût social plus élevé que celui des décès.

Ainsi, il existe un nombre de décès X que l’on préfère à la suppression d’un degré de liberté Y, un ratio décès évités/bien-être supprimé X/Y en dessous duquel une restriction n’est plus acceptable.

C’est à la lumière de cette réalité qu’il faut évaluer le bien-fondé de chaque nouvelle restriction, plutôt qu’au nom de principes abstraits.

LA CROYANCE SELON LAQUELLE LA LIBERTÉ DES UNS S’ARRÊTE LÀ OÙ COMMENCE CELLE DES AUTRES

Depuis 18 mois, cette formule est brandie pour justifier toute nouvelle mesure. Elle est fausse, dangereuse, et porteuse de projets de sociétés totalitaires. Dans le cadre du covid, la liberté de faire x ou y s’arrêterait là où commencerait la liberté d’un autre de ne pas se faire contaminer.

D’abord, la formule est disqualifiée par le fait qu’on peut, en toute situation, la renverser :

La liberté de l’un de ne pas se faire contaminer s’arrête là où commence la liberté de l’autre de faire x ou y.

Ensuite, pour la grippe, on constate chaque année que la liberté des uns de prendre le métro sans masque (par exemple) ne s’arrête pas là où commence celle des autres de ne pas être contaminés. Il y a un donc un niveau de risque que l’on est en droit de faire courir aux autres. Le covid étant plus létal et contagieux que la grippe, il est possible que ce soit, dans la plupart des situations, la liberté des uns à ne pas être contaminés qui mérite de primer par rapport à celle des autres de vivre librement. Mais l’exemple montre que la formule n’est pas absolue et qu’il faut raisonner au cas par cas, en balance liberté supprimée pour l’un, liberté obtenue (santé) pour l’autre.

En outre, il faut noter que l’accessibilité d’un vaccin modifie complètement la balance car il atténue les bénéfices liés à la réduction de la probabilité de contamination (une contamination entraîne 90 % moins de formes graves aujourd’hui), alors qu’il ne change pas le coût des restrictions.

Toutes choses égales par ailleurs, une restriction justifiée par la balance liberté supprimé-liberté obtenue il y a 6 mois n’est donc plus forcément justifiée aujourd’hui.

LE BIAIS DES COÛTS IRRÉCUPÉRABLES

En 1973, les gouvernements français et britannique découvrent que Le Concorde, leur projet d’avion supersonique, ne pourra pas être rentable. Pour ne pas « perdre » les 300 millions d’euros déjà investis, ils décident de mener le projet à son terme. Bilan : 1,5 milliard d’euros dépensés pour un retentissant échec commercial. Influencés par une décision prise antérieurement, les gouvernements français et britannique ont succombé au biais des coûts irrécupérables.

Octobre 2020. Alors que le nombre de cas de covid explose, le gouvernement est confronté à un dilemme : confiner la France à nouveau ou accepter des milliers de décès supplémentaires ? Un élément complique l’analyse : choisir la deuxième option, ce serait rendre, a posteriori, le premier confinement vain, puisque la plupart des décès évités au printemps surviendraient à l’automne. C’est donc en partie la volonté irrationnelle de ne pas « avoir fait tous ces efforts pour rien » qui guide le choix de re-confiner, plutôt qu’une analyse mettant en balance les coûts et bénéfices futurs des différentes options.

Lors de guerres déclenchées par des rois trop orgueilleux, il fallait ne jamais capituler pour que les soldats ne soient pas morts en vain.

Aujourd’hui, il faut restreindre éternellement la liberté pour que les confinements n’aient pas été vains.

LE BIAIS DE PENSÉE DÉSIDÉRATIVE

Il s’agit du biais qui nous pousse à former nos croyances non pas en fonction de la réalité mais en fonction de ce qu’il est agréable d’imaginer.

Depuis 18 mois, beaucoup sont tombés sous l’emprise d’une pensée désidérative : nous n’avons à compromettre ni notre santé ni notre liberté puisque nous pouvons éradiquer le virus.

Prenant leurs désirs pour des réalités, ces commentateurs passent à côté du fait que la situation des pays zéro-covid n’est en rien comparable avec la situation française : ces pays ont agi tôt, n’ont pas six frontières terrestres, ne font pas partie d’une union politique de 447 millions d’habitants, et surtout, il n’est pas donné qu’ils s’en sortent mieux que la France sur la durée. Tant pis, cette pensée désidérative a beaucoup d’influence dans le débat public, puisqu’elle motive consciemment ou inconsciemment la position de beaucoup de partisans d’un durcissement des mesures : pourquoi laisser traîner le problème alors qu’il suffirait de taper un grand coup pour en finir ?

En 2011, Christopher Booker, écrivain britannique, décrit ce qu’il nomme le cycle du fantasme (les parenthèses sont les miennes) :

Lorsque nous nous lançons dans une ligne de conduite inconsciemment motivée par une pensée désidérative (nous pouvons vaincre le virus), tout peut sembler aller bien pendant un certain temps : c’est l’étape du rêve (le confinement). Mais ce faux-semblant ne peut jamais être réconcilié avec la réalité et cela conduit à une étape de frustration dès que les choses commencent à mal tourner (la remontée des courbes), ce qui incite à un effort plus déterminé pour maintenir le fantasme en vie (re-confinement).

Le biais de pensée désidérative nous pousse aussi à sous-estimer la durabilité de ce qui nous affecte négativement.

En mars 2020, nous sommes persuadés que le confinement n’est qu’une courte parenthèse et que la vie normale (le monde d’après, encore mieux que le monde d’avant) ne tardera pas à reprendre. Aujourd’hui, une des raisons du large soutien au passe sanitaire est la certitude qu’il disparaîtra dans quelques mois. Personne n’a envie de présenter pendant plusieurs années un QR code pour s’asseoir en terrasse et donc personne ne s’imagine qu’il faille pendant plusieurs années présenter un QR code pour s’asseoir en terrasse. Pourtant, les vaccins nécessiteront sûrement des rappels.

LE BIAIS DE CONFORMISME

En 1951, Salomon Asch, pionnier de la psychologie sociale, pose à plusieurs participants une question simple.

Certains répondent seuls : ils se trompent dans moins de 1 % des cas.

D’autres, soumis à la même question, observent d’abord six autres participants (des complices de l’expérimentateur), choisir, unanimes, une mauvaise réponse. Ceux-ci se conforment, dans 37 % des cas, au choix des six complices.

C’est l’illustration du biais de conformisme : nous avons tendance à adopter sans fondements rationnels les comportements de ceux qui nous entourent.

Plusieurs raisons l’expliquent.

Premièrement, nous considérons que si les autres modifient leur comportement, ils possèdent peut-être des informations que nous n’avons pas et/ou comprennent mieux la situation que nous. C’est ce que Salomon Asch nomme l’influence informationnelle.

En février, lorsque l’Italie est frappée par le virus, la seule région qui a connu une tension hospitalière comparable est la région de Wuhan. Incertaine de la voie à suivre, l’Italie se conforme donc à la méthode chinoise : le 9 mars, elle confine ses 60 millions d’habitants. Les dirigeants italiens auraient-ils même eu l’idée d’employer une telle méthode sans le précédent chinois ?

Deuxièmement, dès lors que face à un problème, certains agissent, la charge de justification est modifiée : ce n’est plus à ceux qui adoptent le comportement d’expliquer pourquoi ils agissent, mais à ceux qui n’agissent pas de justifier leur inaction. Il s’agit d’une forme de pression sociale. Dans les jours qui suivent la décision italienne, dans les pays touchés par la maladie il devient plus difficile de justifier de ne pas confiner que de justifier de confiner. Preuve de la modification de cette charge de justification : depuis 18 mois, c’est le choix suédois de ne pas confiner qui est scruté et interrogé.

Enfin, (surtout ?) il est toujours beaucoup moins coûteux de se tromper avec les autres (diffusion de la responsabilité) que seul (s’exposer, cible unique, aux critiques).

Ainsi, il sera souvent rationnel de préférer la quasi-certitude d’avoir tort avec la majorité au petit risque d’avoir tort seul (voire au risque d’avoir raison seul). C’est ce que Salomon Asch nomme l’influence normative.

En mars 2020, Boris Johnson attend sept jours avant de se conformer à la décision des autres grandes nations européennes (la France confine le 17, le Royaume-Uni le 24) : il subit encore, dans l’opinion publique, les répercussions de ce choix.

Phénomène de mimétisme qui soulève une question intéressante : que ce serait-il passé si le virus n’était pas né en Chine, dictature qui par essence accorde moins de poids à la liberté, mais dans une démocratie libérale ?

LE BIAIS D’INDUCTION

Le problème de l’induction désigne le fait d’utiliser le passé pour prédire le futur et donc de surestimer la probabilité que le futur ressemble au passé.

Une idée énoncée dès le XVIIIe siècle par le philosophe David Hume :

Ce n’est pas la raison mais l’habitude qui permet de supposer que le futur sera conforme au passé.

Et reprise de façon amusante par Bertrand Russell, qui ironise sur la mauvaise surprise qui attend le poulet raisonnant par induction :

L’homme qui l’a nourri tous les jours finit par lui tordre le cou.

Dans le cadre politique, le biais d’induction nous pousse à sous-estimer la probabilité de chamboulements majeurs dans les 10, 20 ou 50 prochaines années. Ainsi, lorsque nous évaluons les conséquences à long terme des restrictions, nous projetons ces conséquences dans une France semblable à celle d’aujourd’hui et accordons peu d’égard aux coûts liés à la constitution d’un précédent.

Par exemple, le fait que les confinements et les couvre-feux soient devenus des outils de politique publique conventionnels augmente la probabilité d’utilisation de ces outils dans le futur. Problème auquel nous accordons peu d’égard puisque le biais d’induction nous projette dans un monde où nous serons toujours d’accord (ou pas trop en désaccord) avec les justifications des confinements.

De même, si on n’est pas anti-vaccin, on aura tendance à sous-estimer la probabilité que l’on puisse un jour se retrouver dans la frange de la population qui refuse une pratique sociale ou médicale encouragée par le gouvernement.

Ainsi, lorsque l’on analysera les coûts du passe sanitaire, on accordera un poids insuffisant aux conséquences de la normalisation du procédé d’exclusion d’une partie de la population possédant certaines convictions (ici, convictions anti-vaccin).

LE BIAIS DE DICTATURE DES MINORITÉS INTRANSIGEANTES

Nassim Nicholas Taleb, qui a théorisé le processus, prend l’exemple d’un dîner où deux invités sur vingt sont des juifs pratiquants. Asymétrie fondamentale : les non-juifs peuvent manger de la nourriture casher alors que les juifs pratiquants ne peuvent pas ne pas manger casher. L’hôte préparera donc un dîner casher. La préférence d’une minorité est imposée à tous.

Dans le cadre du covid, il existe de nombreuses asymétries de ce type.

Par exemple : une personne ne craignant pas le virus accepte de porter un masque, alors qu’une personne craignant le covid refusera certaines interactions avec des interlocuteurs non-masqués. Imaginez qu’un vendeur préfère interagir sans masque mais ne connaisse pas les préférences du client qui entre dans sa boutique. Le client préfère lui aussi interagir sans masque mais ne connaît pas les préférences du vendeur.

Dans le doute, les deux garderont leur masque : le coût potentiel de ne pas le porter (l’autre peut refuser l’interaction ou formuler une remontrance) est supérieur au coût de le porter (buée dans les lunettes). La préférence d’une minorité intransigeante est imposée alors même qu’aucun membre de cette minorité n’est présent.

Limitée au phénomène ci-dessus, la dictature de la minorité est plutôt bénéfique, le covid étant une maladie contagieuse. Le problème, c’est qu’il s’agit d’un processus sans fin. Lorsque le port du masque devient la norme, une nouvelle minorité intransigeante naît, exigeant qu’on s’écarte de la situation en place pour aller vers une nouvelle norme permettant encore davantage de limitation des risques. Et de cette nouvelle norme naissent encore d’autres intransigeants…

L’important est donc de garder en tête que les codes de conduite en vigueur ne reflètent pas toujours les préférences de la majorité. La loi, puisqu’elle permet de renforcer ou d’affaiblir ces normes, doit tenir compte de ce biais.

LE BIAIS DE MÉCONNAISSANCE DE L’EFFET NOCEBO

Il conduit à une surestimation de l’ampleur du problème posé par le covid long.

Le 24 juin 2021, The Guardian publie un article abondamment repris affirmant que 37,7 % des malades du covid développent un covid long, c’est-à-dire des séquelles persistant plus de 12 semaines après leur rétablissement.

La méthodologie de l’étude : on présente à 508 707 anciens malades une liste de 29 symptômes (variant d’insuffisance respiratoire à simple fatigue) et on leur demande s’ils souffrent encore d’au moins l’un de ces symptômes. Il y a 37,7 % de réponses positives.

Le 31 décembre 2020, Pfizer publie les résultats d’efficacité de son vaccin. Chez les 2298 participants du groupe contrôle (ceux à qui on n’a rien injecté, mais qui ne le savent pas) 33,4 % déclarent ressentir, suite à l’injection, de la fatigue, 33,7 % des maux de tête, 11,7 % des coups de froid, et 10,8 % des douleurs musculaires. C’est l’effet nocebo : lorsque l’on s’attend à souffrir, le cerveau peut anticiper la douleur et déclencher par lui-même des symptômes psychologiques ou même réels. Dans l’estimation de l’ampleur du covid long, en plus de l’effet nocebo, s’ajoute un autre biais : la fausse attribution de maux réels (fatigue, dépression…) au fait d’avoir eu le covid.

Ainsi, il est évident que :

  1. La plupart des études qui visent à estimer la réalité du covid long, puisqu’elles ne comparent pas avec un groupe contrôle (idéalement, des patients qui croiraient avoir eu le covid mais ne l’auraient pas eu, ce qui est impossible à trouver en pratique), surestiment massivement l’ampleur du phénomène.
  2. Plus les médias reprendront ces études sans esprit critique en alarmant sur les prétendus dangers du covid long, plus les gens souffriront du covid long.

Ce biais peut sembler mineur mais il devient important de le pointer du doigt car à mesure que la couverture vaccinale progresse et que sont éliminées la plupart des formes graves de la maladie, le danger du covid long sera de plus en plus évoqué pour justifier la poursuite de certaines restrictions.

LE BIAIS DE CONFIRMATION

Le biais de confirmation est le fait de remarquer de manière disproportionnée ce qui permet de confirmer ses opinions pré-existantes.

Si, par exemple, l’auteur d’un texte sur les biais cognitifs pense que les restrictions sanitaires ont été excessives, il risque de s’intéresser uniquement aux biais ayant conduit à trop restreindre la liberté, oubliant que d’autres biais ont pu avoir l’effet inverse.




« Lettre ouverte aux non vaccinés »

[Source : Les 7 du quebec]

À l’heure où la France a basculé dans la tyrannie suite à la démission de son «Conseil constitutionnel» (sic) de remplir sa mission d’être garant des droits et libertés fondamentales, je re-publie traduite par mes soins et in extenso la lettre ouverte publiée par le Pr Denis Rancourt et sept autres scientifiques canadiens..

Il paraît presque lointain le temps où les endoctrinés nous moquaient lorsque nous évoquions la perspective d’une société à la chinoise où les personnes et leurs corps seraient devenus la propriété des états (et des groupes qui les contrôlent). Se gaussaient avec force ricanements de la perspective d’une vaccination obligatoire avec un produit génique expérimental et d’un pass sanitaire établissant un véritable apartheid avec des citoyens de première et de seconde zone.

Nous y sommes désormais. Étant donné que cela n’a plus rien à voir avec une quelconque réalité sanitaire, il semble en effet s’agir un plan bien huilé qui se déroule au mépris de toute réalité.

Les « résistants » (oui, je continuerai à les appeler pour ce qu’ils sont face aux dirigeants et aux collaborateurs de cette dérive évidemment totalitaire) ont bien besoin de soutien, d’encouragement et de réconfort.

Les « élites » ayant vendu leur âme (cf. cette cohorte « d’éthiciens » qui viennent nous expliquer à quel point tout ceci est éthique alors que des « scientifiques » prétendent trouver que les opposants sont en quelque sort des démeurés) à nous de cultiver, entretenir et muscler la nôtre.

Oh, by the way, le Massachussets Institute of Technology (l’équivalent de l’EPFL en plus prestigieux) a mis en lumière qu’à l’inverse, les personnes sceptiques (qualité rationnelle faut-il le rappeler…) sont en moyenne plus éduquées et cultivées que ceux qui adhèrent aveuglément à des injonctions « sanitaires » de plus en plus aberrantes et liberticides. Et n’ont dans leur immense majorité aucun lien avec les théories complotistes : elles savent simplement se questionner sur la question complexe d’un rapport bénéfice – risque…

Quand il s’agira de remettre les « Corruption & Propaganda Awards », il y aura pléthore de nominés chez nous comme ailleurs.

D’ici là, veillons à rester pleinement lucides sur la réalité de ce qui se déroule, dont la trame semble (hypothèse forte) pertinemment résumée par le physicien et spécialiste de l’ « Intelligence Artificielle », Philippe Guillemant :

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[Voir aussi : Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »]

Le chercheur de l’OCLA, le Dr Denis Rancourt, et plusieurs collègues universitaires canadiens ont écrit une lettre ouverte pour soutenir ceux qui ont décidé de ne pas accepter le vaccin COVID-19.

Le groupe insiste sur le caractère volontaire de ce traitement médical ainsi que sur la nécessité d’un consentement éclairé et d’une évaluation individuelle des risques et des bénéfices. Ils rejettent la pression exercée par les responsables de la santé publique, les médias et les médias sociaux et les concitoyens.

Le contrôle de notre intégrité corporelle pourrait bien être l’ultime frontière de la lutte pour la protection des libertés civiles.

Lettre ouverte aux non vaccinés

Tu n’es pas seul ! Au 28 juillet 2021, 29 % des Canadiens n’avaient pas reçu de vaccin contre la COVID-19 et 14 % de plus n’avaient reçu qu’une seule injection. Aux États-Unis et dans l’Union européenne, moins de la moitié de la population est entièrement vaccinée, et même en Israël, le « laboratoire du monde » selon Pfizer, un tiers des personnes restent totalement non vaccinées. Les politiciens et les médias ont adopté un point de vue uniforme, faisant des non-vaccinés des boucs émissaires pour les difficultés qui continuent de se produire après dix-huit mois d’alarmisme et de confinement. Il est temps de remettre les pendules à l’heure.

Il est tout à fait raisonnable et légitime de dire « non » à des vaccins insuffisamment testés pour lesquels il n’existe aucune science fiable. Vous avez le droit de faire valoir la souveraineté sur votre propre corps et de refuser les traitements médicaux si bon vous semble.

Vous avez raison de dire « non » à une atteinte à votre dignité, votre intégrité et votre autonomie corporelle. C’est votre corps, et vous avez le droit de choisir. Vous avez raison de vous battre pour vos enfants, contre leur vaccination de masse à l’école.

Vous avez raison de vous demander si un consentement libre et éclairé est possible dans les circonstances actuelles. Les effets à long terme sont inconnus. Les effets transgénérationnels sont inconnus. La dérégulation de l’immunité naturelle induite par le vaccin est inconnue. Les dommages potentiels sont inconnus, car la déclaration des événements indésirables est retardée, incomplète et incohérente entre les territoires.

Vous êtes pris pour cible par les médias grand public, les campagnes d’ingénierie sociale du gouvernement, les règles et politiques injustes, les employeurs collaborateurs et le harcèlement sur les médias sociaux. On vous dit que vous êtes maintenant le problème et que le monde ne peut pas revenir à la normale si vous ne vous faites pas vacciner. Vous êtes vicieusement visés en tant que bouc émissaire de la propagande et même les personnes qui vous entourent font peut-être pression sur vous. Rappelez-vous : ce n’est pas vous le problème.

Vous êtes accusé à tort d’être une usine pour les nouvelles variantes du SRAS-CoV-2, alors qu’en fait, selon des scientifiques de premier plan, votre système immunitaire naturel génère une immunité contre plusieurs composants du virus. Cela favorisera votre protection contre une vaste gamme de variants viraux et empêche toute propagation à qui que ce soit (contrairement au vaccin, NdT).

Vous avez raison d’exiger des études indépendantes évaluées par des pairs, et non financées par des sociétés pharmaceutiques multinationales. Toutes les études évaluées par des pairs sur l’innocuité et l’efficacité à court terme ont été financées, organisées, coordonnées et soutenues par ces sociétés à but lucratif ; et aucune des données d’étude n’a été rendue publique ou disponible pour les chercheurs qui ne travaillent pas pour ces entreprises.

Vous avez raison de remettre en question les résultats préliminaires des essais vaccinaux. Les valeurs élevées revendiquées d’efficacité relative reposent sur un petit nombre d’ »infections » déterminées de manière ténue. Les études n’étaient pas non plus en aveugle, où les personnes administrant les injections savaient ou pouvaient déduire si elles injectaient le vaccin expérimental ou le placebo. Il ne s’agit pas d’une méthodologie scientifique acceptable pour les essais de vaccins.

Vous avez raison dans vos appels à une diversité d’opinions scientifiques. Comme dans la nature, nous avons besoin d’une polyculture de l’information et de ses interprétations. Et nous n’avons pas cela en ce moment. Choisir de ne pas prendre le vaccin laisse de la place à la raison, à la transparence et à la responsabilité. Vous avez raison de demander : « Qu’arrive-t-il ensuite lorsque nous abandonnons l’autorité sur notre propre corps ? »

Ne soyez pas intimidés. Vous faites preuve de résilience, d’intégrité et de courage. Vous vous rassemblez dans vos communautés, élaborez des plans pour vous entraider et défendez la responsabilité scientifique et la liberté d’expression, qui sont nécessaires à l’épanouissement de la société. Nous sommes parmi ceux qui sont à vos côtés.

Angela Durante, PhD
Denis Rancourt, Ph.D.
Claus Rinner, PhD
Laurent Leduc, PhD
Donald Gallois, PhD
John Zwaagstra, PhD
Jan Vrbik, PhD
Valentina Capurri, PhD




Pourquoi les employeurs n’ont pas intérêt à appliquer la loi sur le passe sanitaire

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Les employeurs ont-ils intérêt à appliquer la loi sur le passe sanitaire ? Un président de section prud’homal nous explique pourquoi cette loi est un piège à employeurs, qui n’ont rien à perdre à ne pas appliquer la loi, et même tout à y gagner. Une contribution essentielle, qui apportera de nombreuses précisions de notre part dans les jours à venir.

Le Conseil Constitutionnel ayant validé une bonne partie de la nouvelle loi sur le passe sanitaire, la question se pose maintenant de savoir ce qu’elle change pour les employeurs.

Pour tous les employeurs, le texte ne change rien à ce qui existe aujourd’hui

Tout d’abord, alors que le gouvernement avait annoncé des sanctions pour les employeurs qui refuseraient de suspendre, voire à l’époque de licencier, leurs salariés qui n’auraient pas de pass sanitaire ou de vaccin obligatoire, selon les cas,  en fait cette loi ne crée aucune sanction pour ces cas là !

Si donc un employeur de la restauration suspend un salarié pour absence de pass sanitaire, ou si en employeur du milieu médical suspend un salarié pour absence de vaccination, il ne pourra pas se cacher derrière une contrainte : il n’y en a aucune dans cette Loi !

Et c’est normal, et c’était prévisible : le contrat de travail de droit privé a force de Loi, et si un tiers s’immisce dans la relation pour la bloquer par la contrainte, alors il doit en assumer toutes les conséquences pour les deux autres parties. C’est d’ailleurs pour cette raison que l’État avait pris en charge les salaires de tous les salariés qu’ils avait empêchés de travailler pendant le confinement. Ce n’était pas par gentillesse, c’est juste parce que c’était une obligation légale.

La subtilité de l’article 16

Une petite subtilité cependant pour les employeurs des milieux médicaux et paramédicaux dans l’article 16 :

«  La méconnaissance, par l’employeur, de l’obligation de contrôler le respect de l’obligation vaccinale » est passible  d’une sanction, en l’espèce une contravention de 5eme classe, soit 1500 euros maximum.

C’est la seule sanction prévue pour les employeurs,  et une lecture rapide laisserait penser qu’elle s’applique pour ceux qui ne sanctionne pas leur salarié. Tel n’est pas le texte.

L’obligation qui est faite à ces employeurs est de contrôler le respect de l’obligation vaccinale. Ce qui n’est pas du tout la même chose que de sanctionner un salarié pour absence de respect de l’obligation vaccinale.

Le deuxième piège de la loi

Et ce qui amène au deuxième piège.

Un employeur ne peut pas interroger un salarié sur sa santé, et encore moins le sanctionner pour ce motif. C’est très explicitement interdit par l’article L1132-1 du Code du Travail

Pour faire court : «  aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire, directe ou indirecte…. en raison de son état de santé »

La suspension du contrat de travail étant une sanction, si elle est prononcée « en raison de son état de santé », elle est nulle. C’est-à-dire que si l’employeur suspend le contrat de travail pour tout motif de santé, l’application de cet article suffira à annuler la sanction. Et comme il s’agit d’une discrimination, c’est l’un des seuls cas avec le harcèlement où il n’y a ni barème ni plafond en cas de rupture du contrat. Les condamnations peuvent donc être très lourdes.

Le troisième piège de la loi pour les employeurs

Enfin, le troisième piège : la suspension du contrat de travail, qui est en fait une sanction disciplinaire qui prive le salarié de son salaire, est soumis à une procédure particulière, qui est décrite dans les articles L 1332-1 et suivants du Code du Travail.

Il faut notamment convoquer le salarié en respectant des délais, permettre l’assistance par un membre de l’entreprise, respecter encore un délai avant de prononcer la sanction. Le non respect de cette procédure peut invalider la sanction.

Pour résumer les pièges tendus, un employeur qui voudrait suspendre le contrat de travail de son salarié devra :

  • respecter le formalisme et la procédures propres aux sanctions disciplinaires
  • ne pas interroger le salarié sur sa santé
  • ne pas le sanctionner sur un motif de santé.

Si l’employeur ne respecte pas ces éléments, le risque de sanction devant un Conseil de Prud’hommes est maximal, et s’agissant de discrimination, sans limite.

Que faire ?

Alors, comment l’employeur peut-il s’accorder avec la nouvelle Loi ?

Pour tous ceux qui ne relèvent pas de l’article 12 (les restaurateurs, bars, lieux culturels ou de loisirs…), la meilleure chose à faire est : RIEN

Il n’y a aucune sanction prévue si l’employeur ne fait rien, en revanche il risque très gros en sanctionnant son salarié.

Pour les employeurs particuliers de l’article 12, qui sont exclus des sanctions, là encore, la meilleure chose à faire est : RIEN

Pour les autres employeurs de l’article 12 (les professions de santé et assimilées), ils ont l’obligation sous peine d’amende, de contrôler le respect de l’obligation vaccinale. Comme ils ne peuvent pas interroger leur salarié sur leur situation vaccinale, qui relève du secret médical, ils doivent suivre la procédure normale en cas de question sur un élément de santé : ils doivent organiser une visite d’examen par le Médecin du Travail indépendamment des examens périodiques, ainsi qu’il est prévu par l’article R4624-17 du Code du Travail.

Le Médecin du Travail ne communiquera aucune information à l’employeur sur l’état de vaccination, mais seulement l’aptitude ou pas du salarié à travailler à son poste. Et l’employeur aura satisfait à son obligation de contrôle du respect de l’obligation vaccinale sans enfreindre aucune Loi.  

Finalement, loin des effets d’annonce tonitruants du 12 juillet 2021, cette Loi a été vidée de sa substance en ce qui concerne le Droit du Travail, qui n’a pas été remis en cause. Elle ne produit que très peu, voire pas du tout, d’obligations contraignantes pour les employeurs. Elle vise manifestement plutôt à mettre en place une pression psychologique sur les employeurs. Malheur cependant à ceux qui cèderaient à cette pression et mettraient ainsi eux-mêmes leur tête sur le billot judiciaire.




L’ultralibéralisme communiste, le « meilleur » des deux mondes ? Quand la France sera la Chine… Vive la République Populaire de France !

Par Alain Tortosa

Au commencement du capitalisme, le modèle n’était pas forcément mauvais… Une valorisation de la réussite, une égalité des chances, la prise de risque récompensée…

N’étant pas un écolo défenseur de la bougie et de l’âge de pierre, j’ai la croyance que de nombreuses inventions humaines n’auraient pu voir le jour sans un système permettant la recherche, le dépassement, la récompense ou la compétition.

Et même si je ne suis pas un adepte de la compétition, reconnaissons qu’elle peut avoir certains bons côtés, par exemple dans le sport.

De l’autre côté de l’échiquier, le début du 20e siècle a connu la dictature du prolétariat, étape censée nous conduire à une espèce d’Éden communiste. Nous avons vu l’enfer que cela a pu produire dans les faits.

Cela a aussi mis en exergue le besoin (vital ?) pour l’homme d’avoir sa « carotte » directe ou indirecte. La production agricole s’est effondrée en URSS, car non seulement le paysan ne tirait aucun bénéfice à travailler mieux et avoir de meilleures récoltes, mais l’État lui volait quasi tout au point de crever de faim… Et impossible aussi pour lui de se reconnaître dans un « grand tout »…

De son côté, le capitalisme « terrien » et productif, créateur de richesses, s’est petit à petit éloigné de ses valeurs pour basculer dans la jungle de l’ultralibéralisme. Ne me faites pas dire que la révolution industrielle n’a pas été un enfer pour les paysans devenus ouvriers et ainsi dépossédés de leurs biens. Mais cette richesse financière accumulée, même si elle était sur le dos du travail d’esclaves, produisait néanmoins de la richesse productive…

Jusqu’au bouleversement total dans les années 80 qui ont été « formidables » pour aller à fond dans la dérégulation et nous faire croire que les marchés allaient s’autoréguler et qu’il fallait un minimum d’interventionnisme des États sous peine de gripper la machine et produire de la pauvreté.

Aujourd’hui 1 % des plus riches possèdent deux fois plus que 90 % du reste de la planète ! Et quoiqu’en disent certains politiques ou banquiers il n’y a plus aucun contrôle sur les marchés. L’argent dette(([1] https://7milliards.fr « 7 milliards d’esclaves et demain ? »)) est roi et les bulles spéculatives sont plus grosses que des nations.

Les entreprises tentaculaires, des lobbies, des banques privées ont une puissance financière et de corruption auquel aucun politique au pouvoir ne peut résister sous peine d’être broyé.

En fait c’est l’inverse, personne ne peut accéder aux manettes sans l’aide et le feu vert des maîtres du monde. La démocratie, comme certains osent encore l’appeler, n’est qu’une mascarade visant à illusionner le peuple et l’empêcher de prendre les armes !

Pour les pourritures à la tête du monde ultralibéral, l’ennemi c’est le peuple. Imaginez des lois sociales, des ascenseurs sociaux, de la justice, de la morale ou, pire encore, des projets au service du peuple…

Bref tout ceci est détestable pour eux et c’est avec bonheur qu’ils voient enfin arriver l’ère de la robotisation et de l’intelligence artificielle de masse qui va signer l’arrêt de mort du travail et rendre l’humain inutile pour produire (mais utile pour consommer).

Quant à ceux qui croient que des milliards de travailleurs manuels non qualifiés et rendus volontairement analphabètes seront les ingénieurs de demain, je ne sais pas encore si ils sont payés, s’ils vivent sur la planète des bisounours ou si leur QI est plus proche de celui du singe ou de l’huître.

Et ne croyons pas que nous, les « conscients », soyons les « bons » de l’affaire. Notre confort d’Occidentaux est uniquement bâti sur la sueur et le sang de travailleurs esclaves dans les pays pauvres.

Cet ultralibéralisme, avec la complicité des médias et d’écolos incultes, a réussi à nous vendre la voiture électrique dont la pollution pour produire les moteurs et les batteries rendrait jaloux le pire pollueur de la planète. Et ce sans compter l’esclavagisme des adultes et des enfants qui extraient les terres rares qui ravagent la planète et leur santé. Ces pourritures ont même transformé une pauvre fille autiste et illettrée en égérie de l’écologie, inconsciente de travailler pour les pires saloperies de l’ultralibéralisme et du profit maximal à court terme. Elle est l’étendard de la dictature écologique qui fera passer la dictature sanitaire comme une gentille parenthèse.

Pour revenir aux deux systèmes, les psychopathes maîtres du monde étaient rendus à deux impasses :

  • L’impasse de l’ultralibéralisme qui n’est pas totalement libre de détruire les humains et la planète à cause de ces foutus droits de l’homme et des lois sociales.
  • L’impasse de la dictature communiste qui détruit les humains, mais limite fortement la production et les profits. Le système étant économiquement non viable…

Et c’est la que la Chine communiste est intervenue, permettant de concilier le « meilleur » des deux mondes ultralibéral et communiste !

L’ère d’une dictature, du parti unique, du contrôle total de la population associé à une dérégulation totale du marché et un ultralibéralisme sans la moindre conscience !

Alors personnellement je n’ai pas les éléments de preuve pour savoir si la situation sanitaire actuelle est en partie le fruit du hasard, une « chance » formidable qui s’est présentée à ces fils de putes (pardon pour la profession qui, elle, mérite du respect) ou totalement planifiée…

Il n’en demeure pas moins vrai que c’est la Chine qui a proposé en 2020 les confinements à la surprise générale. Et (quasi) tous les pays riches et l’OMS ont suivi alors que TOUS savent et savaient que le confinement d’une population en bonne santé alors qu’un virus circule est voué à l’échec comme cela a été confirmé depuis des centaines d’années et par toutes les études sérieuses.

Les QR codes, la reconnaissance faciale, le pass sanitaire et bientôt le crédit social sont désormais en voie d’adoption et de normalisation par de nombreuses « démocraties » occidentales.

Et comme dirait le con de service plus concerné par le dernier iPhone que les droits de l’homme :

« Si on n’a rien à se reprocher en quoi est-ce gênant d’être espionné 24 heures sur 24 ? »

Nous vivons ainsi les premiers mois de la mise en œuvre de la dictature ultralibérale qui est basée sur exactement le mémé modèle que la dictature communiste chinoise !

Mais comme nous ne sommes pas des pourris, que nous sommes les « gentils », que nous ne sommes pas la Corée du Nord, nous demeurerons une « démocratie » dans laquelle le peuple n’a qu’un seul droit, c’est de fermer sa gueule, regarder Hanouna et acheter des Nike !

Pour autant, nous voyons bien qu’une écrasante majorité du peuple n’est plus dupe, il n’y a qu’à voir que 70 % des inscrits (et non des personnes en âge de voter) ne prennent plus le temps de participer à cette mascarade électorale parce qu’elle est convaincue que cela ne sert à rien. Hélas, une majorité de cette majorité a renoncé, car cet ultralibéralisme a réussi à tuer Dieu, le communisme, les valeurs, la famille, pour laisser croire qu’il n’y avait que la voie de la croissance infinie dans un monde fini. Et comme je l’ai rapidement évoqué, « l’écologie » n’est qu’un marché à la croissance infinie qui a réussi à transformer le « jeter », qu’ils appellent le recyclage, en acte écolo !

Demain, le vote électronique va être mis en œuvre en France et comme aux USA, il ne sera même plus la peine d’aller sur son clavier pour voter, le résultat des élections sera connu bien avant le début du scrutin. Nos maîtres du monde psychopathes auront déterminé à l’avance qui sera l’heureux esclave « élu » et à leurs bottes.

Il est encore temps de dire NON, il est toujours temps de dire NON !

À nous de récupérer une conscience politique, à nous de réclamer une justice sociale, à nous de refuser la redistribution des miettes qui n’est qu’aumône. C’est ce principe tordu de la redistribution qui vante le modèle ultralibéral de la réussite. « Le riche redonne au pauvre » (des miettes) notamment dans le système américain. Riche qui a obtenu sa richesse grâce au labeur des travailleurs pauvres ou en exploitant des ressources de la planète qui devraient être un bien commun ou en vendant une fortune des produits inutiles à l’obsolescence programmée à ces mêmes travailleurs pauvres !

À nous de réclamer un système distributif dans lequel la répartition des richesses est inscrite dans la constitution, dans lequel chaque humain viendrait au monde avec un capital ! Dans lequel tout un chacun pourrait s’enrichir, mais « raisonnablement » ! Que penser d’un Elon Musk qui gagne 300 000 dollars par minute (24 heures sur 24, 365 jours par an) ? Ce type tant admiré pour ses voitures qui détruisent la planète et ses fusées voit sa richesse augmenter chaque minute l’équivalent de 17 années de travail d’une caissière au salaire minimum… Elle même nantie comparé aux esclaves des pays pauvres payés 3 dollars par jour qui mettraient 235 ans pour arriver à la minute de revenus d’Elon Musk !

Vous avez dit « monde de merde ? », je suis d’accord !

Mais Rome ne s’est pas faite en un jour. Pour reprendre notre dignité, nous devons avancer pas à pas et commencer à dire NON au pass sanitaire, non à l’obligation vaccinale pour quiconque et non au crédit social. Ensuite ce sera l’heure des réformes politiques et de l’éducation des citoyens.

… Sans quoi demain nous nous réveillerons en République Populaire de France !

Alain Tortosa.

11 août 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210811-republique-populaire-de-france.pdf




Les Racines de nos Maladies

[Source : Elke Arod]

Autisme, hyperactivité, allergies, intolérances, maladies auto-immunes, tous ces fléaux se répandent aujourd’hui dans des proportions déconcertantes.

À l’heure où l’industrie alimentaire relayée par les grandes surfaces propose en standard quasi-incontournable de la nourriture dénaturée, où la composition des médicaments reste incomplète même pour les médecins, où le moindre objet de notre quotidien contient des substances chimiques, il est urgent de s’interroger sur la véritable origine des pathologies contemporaines.

Entre témoignage et exposé scientifique, Elke Arod nous fait part dans son ouvrage d’un véritable chemin de croix : celui d’une mère qui tente de comprendre d’où viennent les maux de son fils malade, alors que la médecine semble incapable de l’aider. Un ouvrage qui dénonce, révèle et propose une nouvelle approche de l’individu et de la nutrition basée sur une expérience réussie depuis plus de vingt ans auprès de nombreuses personnes touchées par diverses pathologies de civilisation.

L’importance de la nutrition, bien plus qu’un effet de mode

Des bonbons contenant des parfums synthétiques dangereux au poulet à la dioxine, en passant par le poisson au mercure, cet ouvrage lève le voile sur la composition nocive de la plupart des aliments proposés à la consommation. Elke Arod en profite pour mettre fin à de trop nombreuses idées préconçues sur la base de notre alimentation : par exemple, il faut savoir que le lait contient moins de calcium que certains autres nutriments. Il s’avère par ailleurs être un facteur d’aggravation du diabète. Est également dénoncée la présence de métaux lourds et de nanoparticules dans notre nourriture, nos cosmétiques et la majorité des produits dont nous nous servons quotidiennement. Une omniprésence dont les dangers sont expliqués par l’auteure, d’une plume fluide et sans détour.

Le corps, ses maux et les troubles du métabolisme

Comment fonctionne notre intestin ? En quoi les protéines, notamment les enzymes (Matrix Metallo Protéase) qui nous constituent sont-elles importantes ? Mercure, aluminium, que penser de la présence de ces métaux toxiques dans certains vaccins et amalgames dentaires toujours utilisés ? Connaître son métabolisme pour faire face aux mécanismes toxiques auxquels il est soumis, tel a été la démarche d’Elke Arod et celle qu’elle nous propose d’adopter à notre tour. Son parti pris est clair: en synergie avec les médecines traditionnelles, c’est la médecine nutritionnelle individualisée qui doit être priorisée de manière incontournable contre ces troubles. Il en va de notre santé et de celle de nos enfants.

L’AUTEURE

Elke Arod est la présidente de l’Association STELIOR, Centre international de recherches et d’études sur les troubles du métabolisme et du comportement de l’enfant et de l’adulte. Elle a mis à profit sa rude expérience personnelle pour élucider les causes des principales pathologies de notre époque. Ses recherches approfondies lui ont permis de mieux comprendre plusieurs mécanismes physiologiques fondamentaux et de pointer du doigt le mercure, en partie responsable de la plupart des maux qui affligent nos contemporains (autisme, allergies, intolérances, cancers…).

C’est en 1993 qu’elle crée la première Association qui est devenue ensuite le Centre STELIOR à Genève, entourée d’un Collège de nombreux scientifiques et de spécialistes internationaux reconnus tels que le Pr Boyd Haley, le Pr Karl L. Reichelt…

Par la suite, sur l’insistance du Conseiller d’État de la Santé du Canton de Genève de l’époque, elle crée la première école de nutri-détoxicologie, délivrant un diplôme reconnu par l’ASCA Suisse. Les thérapeutes peuvent ainsi pratiquer sa méthode sous l’égide de l’Académie de nutri-détoxicologie de Genève. Dans cet ouvrage, vous découvrirez comment ce centre propose d’informer et de venir en aide à tous ceux auxquels la médecine traditionnelle n’a pu apporter qu’une réponse fragmentaire à leurs problèmes toxicologiques et nutritionnels de santé.


Un exemple de source toxique :

Sur 1.000 bambins vaccinés, Elke Arod, nutri-détoxicologue, avance le chiffre effarant de 808 nourrissons touchés par de multiples maladies




[Voir aussi :
Santé. Métaux lourds : tous les Français contaminés, enfants y compris
Prendre sa santé en main
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Nestlé dit que la majorité de son portefeuille de produits alimentaires est mauvais pour la santé
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
Le Dr Gaétan Brouillard et l’importance de la pensée dans la santé
Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans]




France : la fin de l’État ?

Par Valérie Bugault

À propos du détournement des fonctions étatiques, et de l’abus de droit international s’agissant d’un organisme étatique

[Source : valeriebugault.fr]

Le 16 mars 2020, Emmanuel Macron fait une « déclaration de guerre », dans laquelle aucun « ennemi » n’est clairement identifié, dans la mesure où l’on veut bien reconnaître qu’un virus ou une maladie n’est pas un « ennemi de type militaire » (https://youtu.be/5wYyJckGrdc).

En conséquence de cette « Déclaration de guerre », apparaît la 1ère loi d’urgence sanitaire en date du 23 mars 2020. Nous ne reviendrons pas sur l’inconstitutionnalité de cette loi. Loi qui a, par ailleurs, engendré, généré, une incapacité du parlement à se réunir dans des conditions normales (ou même simplement satisfaisantes), et correspond donc à une loi d’exception institutionnelle, ayant mis entre parenthèse nos institutions nationales.

Mais ce n’est pas tout, car, parallèlement à l’édiction de cette loi dérogatoire, d’exception institutionnelle, le « pouvoir exécutif français » s’est senti justifié à instaurer, sur l’initiative d’un « conseil scientifique », dont la composition est en soi extrêmement contestable – et à ce titre dument contesté par le professeur Didier Raoult comme étant en réalité un « Conseil des amis du professeur Delfraissy » (écouter vers la 11ème minute de la vidéo suivante : https://m.youtube.com/watch?v=Ld1kpIDzmLE)-, un « Conseil de Défense sanitaire » (https://www.elysee.fr/la-presidence/le-conseil-de-defense-sanitaire). Depuis lors, les décisions du gouvernement français sont soit initiées directement, soit passent par le prisme, de ce Conseil de Défense sanitaire, lequel agit comme un « usurpateur » du pouvoir politique français.

Or, ce Conseil de Défense repose sur un fondement extrêmement discutable :
“les recommandations d’un Conseil scientifique Covid-19 créé en mars 2020 à la demande du ministère de la Santé, formation autonome et indépendante composée de treize experts scientifiques.”

Il faut encore préciser que le président de ce conseil scientifique a, dès le 25 mars 2020, entretenu une correspondance amicale et politique, sinon strictement professionnelle, avec l’américain Anthony Fauci (cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Anthony_Fauci) en charge des intérêts sanitaires américains. Correspondance dont on ne perçoit pas très bien la pertinence au regard des intérêts français ; pour dire les choses autrement, cette correspondance pourrait très bien être analysée au regard de la collusion d’intérêts avec une puissance étrangère.

En résumé, le pouvoir politique français est désormais, en quelques sortes, accaparé par (dans le pire des cas) ou soumis à (dans le meilleur des cas) un Conseil de Défense, lequel a été institué à l’initiative d’un organisme, le conseil scientifique, dont la forme juridique n’est pas clairement établie, organisme réuni par le seul ministère de la santé, et dont la composition est hautement suspecte au regard des intérêts politiques français.

Quoiqu’il en soit de sa qualité intrinsèque, en l’occurrence très douteuse, un « conseil scientifique » ne saurait en aucun cas avoir l’autorité et/ou la légitimité politique de décider de la création d’un organisme, un Conseil de Défense, qui prendra désormais les décisions stratégiques au lieu et place du gouvernement français !

Il y a, fondamentalement, un problème juridique initial avec l’instauration de ce Conseil de Défense.

Et ce n’est pas tout !

Étant en guerre, la France désormais régit par un Conseil de Défense est, par voie de conséquence, soumise à la propagande qui accompagne toute guerre ! Or, à l’évidence, cette « propagande de guerre » n’est pas franco-française, elle sévit au niveau européen et même international et concerne particulièrement les pays développés, eux-mêmes réunis au sein de l’OTAN.
Dès lors, la question juridique à poser est la suivante : un organisme international est-il légitime à diligenter et à gérer une propagande de guerre Nationale ? Alors qu’aucune « déclaration de guerre » officielle visant un ennemi militaire n’a officiellement eu lieu… Un virus n’ayant a priori pas de nature militaire (encore que nous ayons de plus en plus d’informations allant dans le sens d’un virus fabriqué en laboratoire et frôlant donc la qualification de « guerre bactériologique », mais c’est encore une autre histoire…).

La déclaration d’Emmanuel Macron selon laquelle « nous sommes en guerre » a eu pour objectif et pour effet de lancer toutes ces manœuvres de nature politico-militaires sans qu’aucun ennemi, au sens militaire du terme, n’ait réellement été déclaré ! Une déclaration de guerre ne doit-elle pas nécessairement désigner un ennemi militaire ? En tout état de cause, la situation étatique et militaire traditionnelle, antérieure à l’actuelle suspension de nos institutions politiques, était qu’une « déclaration de guerre » était accompagnée de la désignation d’un « ennemi militaire ».

On ne compte plus les vices, de fond et de forme, qui entourent les décisions politiques françaises depuis que nous sommes, de facto, dans un état de suspension de nos institutions.

Il résulte de cet état de fait, que le gouvernement français a, de facto, perdu toute fonction réelle, qu’il est aujourd’hui concentré dans les mains d’un Conseil de Défense dépourvu de tout fondement juridique sérieux et surtout de toute légitimité politique.

Du point du vue du droit international, l’État français, qui a été vidé de sa substance politique pour être mis au service d’organismes dominés par des intérêts non formellement identifiés, se trouve dans une situation de détournement institutionnel, d’abus de droit international public.

Il importe aujourd’hui d’agir au niveau international afin de faire reconnaître la scission entre le gouvernement français et sa population ; scission entraînant la fin de toute légitimité publique des décisions d’un gouvernement qui a, de facto, démissionné au profit d’un Conseil de Défense illégal et politiquement illégitime.

Les Français sont dans une situation de détournement de leur État et des fonctions étatiques régaliennes y afférentes. Non seulement le pouvoir globaliste a déclaré la guerre à notre système de droit continental traditionnel mais il a désormais également usurpé notre État, dont la qualification elle-même relève de ce système de droit.


Olivier Renault – Entretien (partie.1) avec Valérie Bugault pour Observateur Continental, le 6 Août 2021

[Source : valeriebugault.fr]

Observateur Continental a demandé à Valérie Bugault, auteure notamment des « Raisons cachées du désordre mondial », de préciser son appel récemment fait à tout le monde mais essentiellement aux forces de l’ordre pour agir et sauver la France et son peuple.

1°) Est-ce que votre appel signifie que nous sommes en Troisième Guerre mondiale ?

Valérie Bugault : On pourrait présenter les choses comme cela mais il faut alors immédiatement préciser qu’il s’agit d’une Guerre d’une nature nouvelle. Cette guerre n’est pas menée militairement par un ou des États contre un ou plusieurs autres États. Cette guerre est conduite, au sein même de chacun des États, par une oligarchie compradore accapareuse – elle-même menée par le modèle défini par les dirigeants globalistes de la City of London (mélange de banques globales, de multinationales à leurs ordres sous anonymat, d’anciennes familles régnantes et de grands industriels ralliés à la banque) – contre les populations desdits États.

Il faut immédiatement ajouter, à des fins de clarté du débat, que les populations constituent, en elles-mêmes, historiquement le concept d’État ; c’est-à-dire que les populations sont intrinsèquement les éléments constitutifs de la notion politique d’État. Il en résulte qu’un État accaparé par une caste compradore n’est, du point de vue juridique et institutionnel, qu’une coquille vide, un détournement de la notion d’État, en d’autres termes, un « abus de droit public international ».

2°) Sur quels éléments de preuves pouvez-vous affirmer que tout ce qui est décision stratégique sur la communication, la politique, la santé publique, la stratégie sanitaire et militaire a échappé aux forces françaises ?

Valérie Bugault : Je vous renvoie à mon dernier article (https://valeriebugault.fr/a-propos-du-detournement-des-fonctions-etatiques-et-de-labus-de-droit-international-sagissant-dun-organisme-etatique-2). En réalité, l’État Français n’existe plus car les institutions officielles sur lequel il repose sont suspendues depuis la création du Comité de Défense sanitaire ; lequel comité ne repose sur aucune base juridique satisfaisante et ne dispose d’aucune légitimité politique.

3°) De qui est quoi est constitué ce contrôle globaliste qui commande aujourd’hui la France ?

Valérie Bugault : Il est constitué par la prise de contrôle, au niveau mondial – via le contrôle du système économique global – de :

  • La force de travail des individus ;
  • Des ressources matérielles et financières par les multinationales et les grandes banques globalistes ;
  • Des systèmes politiques via le « parlementarisme » (prétendument représentatif), lequel repose sur la captation de la vie politique par les partis politiques qui dépendent de leurs fournisseurs de capitaux.

Cette prise de contrôle mondiale opère à partir des armes développées par l’empire britannique que sont le droit anglo-saxon (y compris le concept de soft law) et le système des banques centrales. Anonymat et secret (notamment des affaires, mais aussi d’État…) ont été de puissants moyens pour accroître, en toute discrétion et impunité, leur accaparement des richesses et du pouvoir.

Au-delà de ces armes de pointes, les globalistes en ont développé de nouvelles : à savoir les institutions internationales dont ils ont, initialement ou au fil du temps, pris le contrôle plus ou moins officiellement : ONU (accompagnée de sa multitude d’agences qui se sont octroyé une compétence sur toutes les thématiques de la vie), OMC, OMS, OCDE, FMI, Banque des règlements internationaux, Banque mondiale, Club de Rome, Davos, Bilderberg, Union Européenne…

4°) Quelle est cette organisation qui est derrière les armées secrètes de l’Otan ?

Valérie Bugault : Les armées secrètes de l’OTAN ont été parfaitement renseignées par l’universitaire suisse Daniele Ganser, qui a fait un remarquable et difficile travail d’investigation et de synthèse. Je vous renvoie à ses nombreux travaux sur le sujet : livre réédité, (« Les armées secrètes de l’OTAN »), très nombreuses conférences que tout un chacun peut retrouver, écouter et visualiser sur Youtube notamment.

Ces armées secrètes ont été organisées dès la 2nde Guerre Mondiale afin de lutter contre Staline mais leur mission première était, à l’image de son instigateur Allan Dulles, d’être mise au service exclusif des multinationales et des banques globalistes qui opéraient, à l’époque, à partir de l’empire américain.

Cette superstructure opaque s’est développée en toute indépendance vis-à-vis des États membres de l’OTAN tout en disposant de la capacité de ponctionner, en secret, dans les ressources de l’OTAN. Cette organisation occulte s’est, en particulier, spécialisée dans les attentats sous faux drapeaux. Encore une fois, je renvoie les lecteurs intéressés à en savoir plus aux formidables travaux de Daniele Ganser.

à suivre


[Source : https://odysee.com/@valeriebugault:c]