DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò. MàJ

[Source : medias-presse.info]

Traduction de ©Francesca de Villasmundo pour MPI

Source : Mgr Viganò pour MPI – Traduction – de l’original italien – autorisée et vérifiée par l’auteur


Depuis plus d’un an et demi, nous assistons impuissants à la succession d’événements incongrus auxquels la plupart d’entre nous n’est pas en mesure de donner une justification plausible. L’urgence pandémique a mis en évidence les contradictions et l’illogisme des mesures visant nominalement à limiter les contagions –confinement, couvre-feu, fermetures d’activités commerciales, limitations des services publics et des cours, suspension des droits des citoyens– mais qui sont quotidiennement désavouées par des rumeurs discordantes, des preuves évidentes d’inefficacité, des contradictions de la part des autorités sanitaires elles-mêmes. Inutile d’énumérer les mesures que presque tous les gouvernements du monde ont prises sans obtenir les résultats promis. Si nous nous limitons aux avantages supposés que le sérum génétique expérimental aurait dû apporter à la communauté – en premier lieu l’immunité contre le virus et la liberté de mouvement retrouvée – nous constatons qu’une étude de l’Université d’Oxford publiée dans  The  Lancet  (ici) a déclaré que la charge virale des vaccinés à double dose est 251 fois supérieure aux premières souches du virus (ici), en dépit des proclamations des dirigeants mondiaux, à commencer par le Premier ministre italien Mario Draghi, selon lequel « ceux qui se font vacciner vivent, ceux qui ne se font pas vacciner meurent ». Les effets secondaires du sérum génétique, habilement dissimulés ou délibérément non enregistrés par les autorités sanitaires nationales, semblent confirmer le danger de son administration et les inconnues inquiétantes pour la santé des citoyens auxquelles nous devrons bientôt faire face.

De la science au scientisme

L’art médical – qui n’est pas de la science, mais l’application de principes scientifiques à des cas différents, sur une base expérientielle et expérimentale – semble avoir renoncé à sa prudence, au nom d’une urgence qui l’a mise au rang de sacerdoce d’une religion – la science, précisément – qui, pour être telle s’est voilée d’un dogmatisme à la limite de la superstition. Les ministres de ce culte se sont constitués en une caste d’intouchables, exempts de toute critique, même lorsque leurs affirmations sont réfutées par l’évidence des faits. Les principes de la médecine, jugés universellement valables jusqu’en février 2020, ont succombé à l’improvisation, au point de nous entendre recommander la vaccination en pleine pandémie, l’obligation de masques déclarés inutiles, le recours à des distanciations alambiquées, l’interdiction de traitements médicamenteux efficaces et l’imposition de thérapies géniques expérimentales qui dérogent aux protocoles de sécurité normaux. Et comme il y a de nouveaux prêtres du Covid, il y a aussi de nouveaux hérétiques, c’est-à-dire ceux qui rejettent la nouvelle religionpandémique et veulent rester fidèles au serment d’Hippocrate. Il n’est pas rare que l’aura d’infaillibilité entourant les virologues et autres scientifiques plus ou moins titrés ne soit pas remise en cause par leurs conflits d’intérêts ni par les prébendes considérables des sociétés pharmaceutiques, ce qui, dans des conditions normales, seraitscandaleuse et criminelle.

Ce que beaucoup ne comprennent pas, c’est l’incongruité entre les objectifs déclarés et les moyens qui sont adoptés à l’occasion pour les obtenir. Si, en Suède, l’absence de confinement et de masques n’a pas entraîné de contagion supérieure à celle des pays où les gens se sont confinés chez eux ou là où les masques ont également été obligatoires dans les écoles primaires, cet élément n’est pas considéré comme la preuve de l’inefficacité des mesures. Si, en Israël ou en Grande-Bretagne, la vaccination de masse a accru les infections et les a rendues plus virulentes, leur exemple n’amène pas les dirigeants d’autres pays à faire preuve de prudence dans la campagne de vaccination, mais les incite à évaluer l’obligation l’administrer. Si l’ivermectine ou le plasma hyperimunne s’avèrent des traitements valables, cela ne suffit pas à les autoriser et encore moins à les recommander. Et quiconque se demande la raison de cette irrationalité déconcertante finit par suspendre le jugement, acceptant avec une sorte d’adhésion fidéiste les déclarations des prêtres du Covid, ou vice versa en considérant les médecins comme des sorciers peu fiables.

Un seul scénario sous une seule direction

Comme je l’ai déjà dit, nous sommes confrontés à une tromperie colossale, fondée sur le mensonge et la fraude. Cette tromperie part du principe que les justifications invoquées par l’autorité à l’appui de son action à notre égard sont sincères. Plus simplement, l’erreur consiste à considérer les dirigeants comme honnêtes et à supposer qu’ils ne nous mentent pas. Nous nous obstinons donc à trouver des justifications plus ou moins plausibles, dans le seul but de ne pas reconnaître que nous faisons l’objet d’une conjoncture planifiée dans les moindres détails. Et tandis que nous essayons d’expliquer rationnellement des comportements irrationnels ; alors que nous attribuons une logique à l’action illogique de ceux qui nous gouvernent, la dissonance cognitive nous amène à fermer les yeux sur la réalité et à croire aux mensonges les plus éhontés.

Nous aurions dû comprendre – je l’écrivais dans le passé – que le plan du Great Reset [de la Grande Réinitialisation] n’était pas le fruit des divagations de quelques  « complotistes », mais la preuve brute d’un dessein criminel, conçu depuis des décennies et visant à l’instauration d’une dictature universelle dans laquelle une minorité de personnes incommensurablement riches et puissantes entend asservir et soumettre toute l’humanité à l’idéologie mondialiste. Parce que l’accusation de « conspirationnisme » pouvait peut-être avoir un sens alors que la conspiration n’était pas encore évidente, alors qu’aujourd’hui nier ce que l’élite a conçu depuis les années cinquante est injustifiable. Ce que Kalergi, les Rothschild, les Rockefeller, Klaus Schwab, Jacques Attali et Bill Gates ont dit après la guerre a été publié dans des livres et des journaux, commenté et repris par des organismes et fondations internationaux, réalisé précisément par des partis et des majorités gouvernementales. Les États-Unis d’Europe, l’immigration incontrôlée, la réduction des salaires, l’annulation des garanties syndicales, la renonciation à la souveraineté nationale, la monnaie unique, le contrôle des citoyens sous prétexte d’une pandémie, la réduction de la population par l’utilisation de vaccins avec de nouvelles technologies ne sont pas des inventions récentes, mais le fruit d’une action planifiée, organisée, coordonnée. Une action qui de toute évidence colle parfaitement à un seul scénario sous une seule direction.

La mentalité criminelle

Une fois qu’il a été compris que les événements présents ont été voulus pour obtenir certains résultats – et donc pour poursuivre certains intérêts d’une partie minoritaire de l’humanité, avec un préjudice incalculable pour la majorité – nous devons également avoir l’honnêteté de reconnaître la mentalité criminelle des auteurs de ce plan. Ce dessein criminel nous fait aussi comprendre la malveillance de l’autorité en présentant certaines mesures comme une réponse inéluctable à des événements imprévisibles, lorsque les événements ont été habilement créés  et grossis dans le seul but de légitimer une révolution  –  que Schwab identifie comme une quatrième révolution industrielle – voulue par l’élite au détriment de toute l’humanité. L’asservissement de l’autorité est d’ailleurs le résultat d’un processus entamé encore plus tôt, avec la Révolution française, et qui a rendu la classe politique servante non pas de Dieu (dont elle méprise dédaigneusement la Seigneurie) ni du peuple souverain (qu’elle méprise et utilise uniquement pour se légitimer), mais des potentats économiques et financiers, de l’oligarchie internationale des banquiers et des usuriers, des multinationales et des sociétés pharmaceutiques. En réalité, à y regarder de plus près, tous ces sujets relèvent d’un petit nombre de familles très riches bien connues.

Un même asservissement est également évident dans l’information : les journalistes ont accepté – sans aucun scrupule de conscience – de se prostituer au puissant, allant même jusqu’à censurer la vérité et à diffuser des mensonges éhontés sans même essayer de leur donner un semblant de crédibilité. Si, jusqu’à l’année dernière, les journalistes comptaient le nombre de « victimes » du Covid en présentant les positifs comme des malades en phase terminale, aujourd’hui, ceux qui meurent après le vaccin ne sont que saisis d’un « malaise » et, avant même les examens post mortem, ils décident d’office qu’il n’y a aucune corrélation avec l’administration du sérum génétique. Ils subvertissent la vérité en toute impunité, quand celle-ci ne confirme pas le récit,  la pliant à leurs fins.

Ce qui se passe depuis un an et demi avait été largement annoncé, dans les moindres détails, par les artisans du Great Reset eux-mêmes ; tout comme on nous avait annoncé les mesures qui auraient dû être prises. Le 17 février 1950, devant le Sénat des États-Unis, le célèbre banquier James Warburg a déclaré : « Nous aurons un gouvernement mondial, que cela vous plaise ou non. La seule question qui se pose est de savoir si ce gouvernement mondial sera établi par consensus ou par la force. » Quatre ans plus tard, le groupe Bilderberg est né, qui compte parmi ses membres des personnalités telles que Gianni Agnelli, Henry Kissinger, Mario Monti et Mario Draghi, l’actuel Premier ministre italien. En 1991, David Rockefeller écrivait : « Le monde est prêt pour parvenir à un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. » Il a ajouté : « Nous sommes au bord d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est de la « juste » crise mondiale et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial. » Nous pouvons affirmer, aujourd’hui, que cette « bonne » crise  coïncide avec l’urgence pandémique et avec le Lock step décrit depuis 2010 par le document de la Fondation Rockefeller, Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international, qui prévoyait tous les événements auxquels nous assistons  (ici).

En bref, ils ont créé un faux problème pour pouvoir imposer comme solution apparente les mesures de contrôle de la population, supprimer avec les confinements et le green pass la petite et moyenne entreprise au profit de quelques groupes internationaux, supprimer l’enseignement par l’enseignement à distance, réduire le coût de la main d’œuvre et du travail salarié grâce au smart working [travail intelligent]privatiser la santé publique au profit de Big Pharma, permettre aux gouvernements d’utiliser l’état d’urgence pour légiférer par dérogation au droit et imposer des vaccins à l’ensemble de la population, en rendant les citoyens  traçables dans tous leurs mouvements, malades chroniques ou stériles.

Tout ce que l’élite voulait faire, elle l’a fait. Et ce qui est incompréhensible, c’est que face à la preuve de la préméditation de ce grand crime contre l’humanité, qui voit les dirigeants de presque le monde entier complices et traîtres, il n’y a pas un seul magistrat qui ouvre un dossier contre eux pour découvrir la vérité et condamner les coupables et les complices. Le dissident n’est pas seulement censuré, mais désigné comme un ennemi public, comme un propagateur, comme une non-personne à qui aucun droit ne doit être reconnu.

Deep state [État profond] et deep church [église profonde]

Maintenant, face à un plan criminel, il serait au moins logique de le dénoncer et de le faire connaître, pour pouvoir ensuite l’éviter et juger les coupables. La liste des traîtres devrait commencer par les chefs de gouvernement, les  ministres et les députés, puis se poursuivre avec les virologues et les médecins corrompus, avec les fonctionnaires complices, avec les hauts gradés des forces armées  incapables de s’opposer à la violation de la Constitution, avec les journalistes vendus, avec les magistrats lâches et avec les syndicats courtisans. Dans cette longue liste qui sera peut-être un jour dressée, il faudrait également énumérer les hauts dirigeants de l’Église catholique, à commencer par Bergoglio, et de nombreux évêques, zélés exécuteurs de la volonté du prince contre le mandat reçu par le Christ. Certes, dans cette liste, on aurait connaissance de l’extension du complot et du nombre des comploteurs, confirmant la crise de l’autorité et la perversion du pouvoir civil et religieux. Bref, on comprendrait que la partie corrompue de l’autorité civile – l’État profond – et de l’autorité ecclésiastique – l’église profonde – sont les deux faces d’une même médaille, toutes les deux instruments de l’instauration du Nouvel Ordre Mondial.

Mais pour comprendre cette alliance entre le pouvoir civil et le pouvoir religieux, il faut reconnaître la dimension spirituelle et eschatologique du conflit présent, en l’encadrant dans la guerre que Lucifer, depuis sa chute, a déclenchée contre Dieu. Cette guerre, dont les conséquences sont décidées ab aeterno avec la défaite inexorable de Satan et de l’Antéchrist et la victoire écrasante de la Femme entourée d’étoiles, s’approche désormais de l’épilogue : c’est pourquoi les forces des ténèbres sont si déchainées, si impatientes d’effacer le nom de Notre Seigneur de la terre, de détruire non seulement la présence tangible dans nos villes en démolissant les églises, en abattant les croix, en supprimant les fêtes chrétiennes ; mais aussi en en supprimant le souvenir, en effaçant la civilisation chrétienne, en en falsifiant l’enseignement, en dégradant son culte. Et pour ce faire, la présence d’une hiérarchie fidèle et courageuse, disposée au martyre pour défendre la foi et la morale chrétienne, est certainement une entrave. C’est pourquoi, dès le début du plan mondialiste, il était indispensable de corrompre la hiérarchie dans la morale et la doctrine, de l’infiltrer avec des cinquièmes colonnes et des cellules dormantes, de la priver de tout désir surnaturel, de la rendre vulnérable au chantage par des scandales financiers et sexuels ; en vue de l’exclure et de l’éliminer une fois son but atteint, selon la pratique en cours.

La fin des années cinquante, lorsque le projet du Nouvel Ordre prenait forme, signa cette opération d’infiltration qui a commencé la propre œuvre de subversion quelques années plus tard, avec le Concile œcuménique Vatican II, par rapport à laquelle l’élection de Roncalli et l’éviction du papable Siri, « dauphin » de Pacelli, ont représenté une raison d’enthousiasme tant pour la composante progressiste et moderniste interne à l’Église que pour la composante communiste, libérale et maçonnique du monde civil. Vatican II représentait au sein du corps ecclésiastique ce que le serment du Jeu de Paume était pour la société civile : le début de la Révolution. Et si j’ai voulu à plusieurs reprises souligner le caractère subversif du Concile, je crois qu’aujourd’hui une analyse historique se rend nécessaire, grâce à laquelle des faits apparemment déconnectés acquièrent une signification inquiétante et expliquent beaucoup de choses.

Liaisons dangereuses

Comme Michael J. Matt l’a rapporté dans une vidéo récente sur The Remnant (ici), aujourd’hui nous commençons à assembler tous les carreaux de la mosaïque et à découvrir – de l’aveu même de l’un des protagonistes – que Mgr Hélder Câmara, archevêque d’Olinda et Recife au Brésil, a rencontré le jeune Klaus Schwab, fondateur du  Forum économique mondial et théoricien de la Grande Réinitialisation. Schwab, ayant connu le Prélat pour son opposition à l’Église traditionnelle et ses thèses révolutionnaires et paupéristes, l’a invité au Forum de Davos, considérant sa participation à cet événement comme extrêmement importante en vue du projet du Nouvel Ordre. Nous savons qu’Hélder Câmara faisait partie des organisateurs du Pacte des Catacombes qui, quelques jours avant la clôture du Concile, le 16 novembre 1965, fut signé par une quarantaine d’évêques ultraprogressistes. Parmi les thèses hérétiques de ce document, il y a aussi la collaboration à l’instauration d’un « autre ordre social, nouveau » (ici, n°9) fondé sur la justice et l’égalité. Et nous ne sommes pas surpris d’apprendre que, parmi les signataires, il y avait aussi Mgr Enrique Angelelli, auxiliaire de Cordoue en Argentine, « point de référence pour celui qui était à l’époque, Jorge Mario Bergoglio » (ici).  Bergoglio lui-même a déclaré, dès le début du Pontificat, qu’il partageait les instances du Pacte des Catacombes. Le 20 octobre 2019, à l’occasion du Synode pour l’Amazonie, a été reproduite la célébration du pacte parmi les conjurés aux catacombes de Santa Domitilla, confirmant que le plan lancé au Concile avait trouvé son accomplissement précisément dans Jorge Mario Bergoglio. Loin de prendre ses distances avec les ultra-progressistes qui le soutiennent et qui ont décidé de son élection au dernier Conclave, il ne manque pas de donner la preuve d’une parfaite cohérence avec le plan du Nouvel Ordre Mondial, à commencer par la collaboration d’organismes et de dicastères du Vatican avec l’environnementalisme de matrice malthusienne et par la participation au Council For Inclusive Capitalism, une alliance globale avec Rothschild, la Fondation Rockefeller et les grandes banques.  Ainsi, d’une part, David Rockefeller avec la Commission trilatérale et, d’autre part, Klaus Schwab, lié aux Rothschild (ici), au Forum économique mondial, se retrouvent bras dessus bras dessous avec le chef de l’Église catholique pour établir le Nouvel Ordre par le biais de la Grande Réinitialisation, comme prévu depuis les années 50.

Le plan mondial de dépopulation

Dans ce pactum sceleris,  il faut également compter quelques représentants de l’Académie Pontificale pour la Vie, récemment bouleversée dans son organigramme précisément par Bergoglio, qui en a éloigné les membres les plus fidèles au Magistère en les remplaçant par des théoriciens de la dépopulation, de la contraception et de l’avortement. Rien d’étonnant donc au soutien du Saint-Siège aux vaccins : le Sovereign Independent de juin 2011 reportait en Une : « Dépopulation par vaccination forcée : la solution du zéro dioxyde de carbone » (ici). A côté du titre, une photo de Bill Gates était accompagnée de ce commentaire : « Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de personnes. Cela portera à 9 milliards. Si nous faisons un travail vraiment bien fait avec les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductrice [c’est-à-dire l’avortement et la contraception], nous pouvons réduire la population de 10 ou 15 %. » Il y a onze ans, Bill Gates, qui fait aujourd’hui partie des actionnaires du groupe Black Rock qui finance les sociétés pharmaceutiques qui fabriquent les vaccins, faisait partie des principaux commanditaires de l’OMS et d’une myriade d’organismes publics et privés liés à la santé. À ses côtés, curieusement, nous trouvons George Soros, le « philanthrope » de l’Open Society qui, avec la Fondation Bill et Melinda Gates, a récemment investi dans une société britannique qui fabrique des tampons pour révéler le Covid (ici). Et comme nous parlons de questions économiques, je voudrais rappeler que le Saint-Siège a détenu des actions d’une valeur d’environ 20 millions d’euros dans deux industries pharmaceutiques qui fabriquaient un médicament contraceptif (ici) et, plus récemment, a investi dans un fonds qui garantissait des bénéfices très élevés en cas de crise géopolitique ou pandémique grâce à la spéculation sur les monnaies internationales, le Geo-Risk géré par la banque d’affaires Merril Lynch, qui après les premiers mois de pandémie avec des rendements qui sont montés en flèche, a dû le fermer (ici). D’autres capitaux, provenant de l’Obole de Saint Pierre, avaient servi à financer diverses initiatives, y compris en collaboration avec Lapo Elkann, dont le film autobiographique Rocketman d’Elton John. Sans évoquer la spéculation immobilière et l’achat du manoir de Londres, au numéro 60 Sloane Avenue, dont la chronique nous a largement informés, qui, d’une source sûre, je sais a été décidé par Bergoglio lui-même. Encore : toujours au nom de la cohérence et de l’ « Église pauvre pour les pauvres » si chère à Bergoglio, il y a ceux qui pensent que l’accord avec la Chine préparé par les jésuites et l’ex-cardinal McCarrick a rapporté un financement important du régime communiste de Pékin, en échange du silence du Vatican sur la persécution des catholiques et la violation des droits de l’homme (ici).

Ce n’est pas bien différent pour le racket de l’immigration : parmi ceux qui profitent de l’accueil, il y a, outre les coopératives de gauche, les organismes du Vatican et les Conférences épiscopales, auxquels les États donnent des financements importants pour l’accueil des clandestins. L’horrible monument avec le bateau en bronze érigé par Bergoglio sur la Place Saint Pierre est la représentation plastique d’une hypocrisie qui est la  marque de ce pontificat. Lors d’une récente audience du mercredi, nous avons pu entendre ces mots : « L’hypocrite est une personne qui simule, flatte et trompe parce qu’elle vit avec un masque sur le visage, et n’a pas le courage de faire face à la vérité.  […] L’hypocrisie dans l’Église est particulièrement détestable. Malheureusement, l’hypocrisie existe dans l’Église : il y a tant de chrétiens et de ministres hypocrites » (ici). Il me semble qu’il n’y a pas lieu de commenter.

Interférences de l’État profond

Les interférences de l’État profond sur la vie de l’Église catholique ont été multiples. Nous ne pouvons pas oublier les mails de John Podesta à Hillary Clinton, qui montrent son intention d’évincer Benoît XVI de la papauté et de commencer ainsi un nouveau « printemps de l’Église », progressiste et mondialiste, puis réalisé avec la démission de Benoît XVI et l’élection de l’Argentin. Nous ne pouvons pas non plus laisser de côté les ingérences d’organismes et d’institutions loin d’être proches de la religion, comme par exemple le B’nai B’rith, dictant la ligne du « renouvellement » de l’Eglise après Vatican II et massivement sous ce pontificat. Enfin, il convient de rappeler, d’une part, les refus dédaigneux d’audience à des personnalités politiques et institutionnelles d’orientation conservatrice et, d’autre part, les rencontres passionnées souriantes avec des représentants de la gauche et du progressisme, ainsi que les expressions de satisfaction enthousiaste lors de leur élection. Beaucoup d’entre eux doivent leur succès à avoir fréquenté des universités dirigées par la Compagnie de Jésus ou des milieux du catholicisme que l’on pourrait qualifier en Italie de « dossettiens » [1], où le réseau de relations sociales et politiques constitue une sorte de franc-maçonnerie progressiste et assure des carrières fulgurantes aux soi-disant « catholiques adultes », c’est-à-dire à ceux  qui se vantent du nom chrétien sans se comporter au service de la chose publique conformément à la foi et à la morale : Joe Biden et Nanci Pelosi ; Romano Prodi, Mario Monti, Giuseppe Conte et Mario Draghi pour ne citer qu’eux. Comme on le voit, la coopération entre l’État profond  et  l’église profonde est de longue date et a donné les résultats souhaités par ses partisans, au détriment très grave de l’État et de la Religion.

La fermeture des églises au début de 2020, avant même que les autorités civiles n’imposent des confinements ; l’interdiction de la célébration des messes et de l’administration des sacrements pendant l’urgence pandémique ; la performance grotesque du 27 mars sur la place Saint-Pierre (ici) ; l’insistance sur les vaccins et leur promotion comme moralement licites bien qu’ils soient produits avec des lignées cellulaires provenant de fœtus avortés ; les déclarations de Bergoglio selon lesquelles le sérum génétique représenterait un « devoir moral» pour tout chrétien ; l’introduction du passeport sanitaire au Vatican et plus récemment dans les écoles catholiques et dans certains séminaires ; l’interdiction faite par le Saint-Siège aux évêques de se prononcer contre l’obligation de vaccination, rapidement exécutée par certaines Conférences épiscopales, sont autant d’éléments qui démontrent la subordination de l’église profonde  aux ordres de l’État profond et l’organicité de l’Église bergoglienne au plan mondialiste. Si l’on y associe le culte idolâtre de la  pachamama  sous les voûtes de saint Pierre ; l’insistance sur l’œcuménisme irénique, le pacifisme, le paupérisme ; la morale de la situation et la légitimité substantielle de l’adultère et du concubinage  d’Amoris lætitia ; la déclaration d’illégalité de la peine de mort ; l’appui  aux hommes politiques de gauche, aux dirigeants révolutionnaires, aux avorteurs convaincus ; les mots de compréhension pour les instances LGBT, les homosexuels et les transsexuels ; les silences sur la légitimité des unions homosexuelles et ceux encore plus déconcertants sur la bénédiction des couples sodomites par les évêques et prêtres allemands ; l’interdiction de la messe tridentine avec l’abolition du Motu Proprio  Summorum Pontificum de Benoît XVI, nous nous rendons compte que Jorge Mario Bergoglio est en train de mener la mission qui lui est confiée par l’élite mondialiste, qui le voit en liquidateur de l’Église catholique et en fondateur d’une secte philanthropique et œcuménique d’inspiration maçonnique qui devrait constituer la Religion universelle à l’appui du Nouvel Ordre. Que cette action soit menée avec pleine conscience, par peur ou sous chantage, n’enlève rien à la gravité de ce qui se passe, ni à la responsabilité morale de ceux qui en sont les promoteurs.

La matrice luciférienne du Nouvel Ordre Mondial

À ce stade, il faut préciser ce que l’on entend par Nouvel Ordre Mondial, ou plutôt ce que ses artisans entendent, indépendamment de ce qu’ils affirment publiquement. Comme il est vrai, d’une part, qu’il y a un projet, celui qui l’a conçu et celui qui est chargé de l’exécuter, d’autre part, il est vrai que les principes inspirants de ce projet ne sont pas toujours avouables, ou du moins qu’en étroite relation avec ce qui se passe aujourd’hui ils ne peuvent être énoncés ouvertement, puisque cet aveu susciterait une opposition même chez les plus pacifiques et modérés. C’est en effet une chose d’imposer le green pass sous prétexte de pandémie ; une autre de reconnaître que le but du passeport sanitaire est de s’habituer à être tracés ; une autre de dire que ce contrôle total est la « marque de la Bête » dont parle l’Apocalypse (Ap 13, 16-18). Le lecteur me pardonnera si, pour argumenter mes affirmations, je devrais recourir à des citations d’une telle gravité et d’une telle méchanceté, au point de susciter la perplexité et l’horreur : il est nécessaire de comprendre quelles sont les intentions des artisans de ce complot, et quelle est la bataille historique qu’ils lancent contre le Christ et son Église.

Pour comprendre les racines ésotériques de la pensée qui sous-tend les Nations Unies déjà évoquées par Giuseppe Mazzini, nous devons prendre en considération des personnages comme Albert Pike, Eliphas Levi, Helena Blavatsky, Alice Ann Bailey ou d’autres adeptes des sectes lucifériennes. Leurs écrits, publiés depuis la fin du XIXe siècle, sont largement révélateurs.

Albert Pike, ami de Mazzini et comme lui franc-maçon, dans un discours prononcé en France en 1889 aux plus hauts degrés de la franc-maçonnerie, puis repris le 19 janvier 1935 par le magazine anglais The Freemason, affirma :

« Ce que nous devons dire aux foules, c’est que nous adorons un dieu, mais c’est le dieu qui s’adore sans superstition […]. La Religion maçonnique doit être maintenue, par nous tous initiés de haut degrés, dans la pureté de la doctrine luciférienne. Si Lucifer n’était pas Dieu, Adonaï [le Dieu des chrétiens] dont les actions prouvent sa cruauté, sa perfidie, sa haine de l’homme, sa barbarie et sa révulsion pour la science, l’aurait-il calomnié avec ses prêtres ? Oui, Lucifer est dieu et malheureusement Adonaï est Dieu aussi. Pour la loi éternelle, de sorte qu’il n’y a pas de lumière sans ombre, de beauté sans laideur, de blanc sans noir, l’absolu ne peut exister que comme deux divinités : l’obscurité étant nécessaire à la lumière pour lui servir de contraste, comme le piédestal est nécessaire à la statue et le frein à la locomotive… la doctrine du Satanisme est une hérésie ; et la vraie et pure religion philosophique est la foi en Lucifer, l’égal d’Adonaï ; mais Lucifer, dieu de lumière et dieu du bien, lutte pour l’humanité contre Adonaï, le  Dieu des ténèbres et du démon. »

Cette profession de foi en la divinité de Satan n’est pas seulement un aveu de qui est le vrai Grand Architecte qu’adore la franc-maçonnerie, mais un projet politique blasphématoire qui passe par l’œcuménisme conciliaire, dont la franc-maçonnerie est le premier théoricien : « Le Chrétien, le Juif, le Musulman, le Bouddhiste, le disciple de Confucius et de Zoroastre peuvent s’unir en tant que frères et s’unir dans la prière au seul  dieu qui est au-dessus de tous les autres dieux » (cf.  Albert Pike, Morals and Dogma, ed. Bastogi, Foggia 1984, vol. VI, p. 153). Et qui est le « seul dieu qui est au-dessus de tous les autres dieux » nous a été bien expliqué dans la citation précédente.

Et encore :

« Nous déclencherons les nihilistes et les athées et provoquerons un formidable cataclysme social qui montrera clairement, dans toute son horreur, aux nations, l’effet de l’athéisme absolu, origine de la barbarie et de la subversion sanguinaire. Alors, partout, les citoyens, obligés de se défendre contre une minorité mondiale de révolutionnaires, […] recevront la vraie lumière par la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée à la vue du public ; manifestation à laquelle suivra la destruction du christianisme et de l’athéisme conquis et écrasés en même temps ! » (cf. Lettre du 15 août 1871 à Giuseppe Mazzini, Bibliothèque du British Museum de Londres).

Il n’échappera pas que la « grande hérésie de la séparation » sonne curieusement en résonance avec l’œcuménisme condamné par Pie XI dans l’Encyclique  Mortalium animos, réalisée précisément par la déclaration conciliaire  Dignitatis humanæ  et récemment intégrée dans la doctrine de l’ « inclusivité » formulée par ceux qui ont permis qu’il soit rendu un culte idolâtre à la pachamama dans Saint-Pierre. Et il est clair qu’avec séparation on veut désigner avec une clé d’interprétation négative la consciencieuse séparation du bien du mal, du vrai du faux, du juste de l’injuste, qui constitue le critère de jugement moral du comportement humain. Elle s’oppose à l’inclusivité, c’est-à-dire à se laisser délibérément contaminer par le mal pour adultérer le bien, à assimiler le vrai et le faux pour corrompre le premier et donner une légitimité au second.

Les racines idéologiques communes de l’œcuménisme

Si l’on ne comprend pas que les racines idéologiques de l’œcuménisme sont intrinsèquement liées à l’ésotérisme luciférien maçonnique, on ne peut pas saisir le lien qui lie les déviations doctrinales de Vatican II au plan du Nouvel Ordre Mondial. La révolution de Soixante-huit fut le triste exemple de ces velléités pacifistes et œcuménistes, dans lequel l’ère du Verseau fut célébrée en musique par les Hair in Aquarius (1969) puis par John Lennon avec Imagine  (1971).

« Imaginez qu’il n’y ait pas de paradis. Si vous essayez, c’est facile. Pas d’enfer en dessous de nous. Au-dessus de nous, seul le ciel, imaginez tous les gens qui ne vivent que pour aujourd’hui. Imaginez qu’il n’y ait pas de patries. Ce n’est pas difficile. Rien pour quoi tuer ou mourir et même pas de religion. Imaginez tous les gens qui vivent en paix. On pourrait dire que je suis un rêveur, mais je ne suis pas le seul. J’espère qu’un jour vous vous joindrez à nous et que le monde sera une seule entité. Imaginez qu’il n’y ait pas de propriété. Je me demande si vous pouvez : pas besoin de cupidité ou de convoitise, une fraternité d’hommes. Imaginez que tous les gens partagent le monde entier. » 

Ce manifeste du nihilisme maçonnique peut être considéré comme l’hymne du mondialisme et de la nouvelle religion universelle. Une âme non égarée ne peut que ressentir de l’horreur face à ces paroles blasphématoires. Ainsi que pour celles non moins blasphématoires de God (1970) :  « Dieu est un concept avec lequel nous mesurons notre douleur. […] Je ne crois qu’en moi. »

Je comprends qu’il soit affligeant pour beaucoup d’accepter que la hiérarchie catholique se soit laissée tromper par ses ennemis, faisant siennes leurs revendications sur des questions touchant l’âme même de l’Église. Certes, il y avait des prélats maçons qui ont réussi à introduire leurs idées au Concile en les dissimulant, mais en sachant qu’elles conduiraient inexorablement à la réalisation de cette démolition de la Religion qui est la prémisse de l’instauration de la Nouvelle Ère – l’Age du Verseau – dans laquelle Notre Seigneur est banni de la société pour y accueillir l’Antéchrist. On comprend alors cette indulgence bienveillante de tant de personnalités ecclésiastiques – je pense aux cardinaux Martini et Ravasi, parmi tant d’autres – à l’égard de la franc-maçonnerie, et leur opposition aux excommunications que les papes ont renouvelées contre la secte. On comprend aussi la raison de l’enthousiasme des Loges à l’élection de Bergoglio, et vice versa leur haine mal dissimulée à l’égard de Benoît XVI, considéré comme le kathèkon à éliminer.

Il faut cependant rappeler, avec un certain embarras, que certaines affirmations de Ratzinger font penser à une tentative de « christianiser » le projet mondialiste, sans le condamner comme anti-christique et anti-chrétien :  « Laisse-toi prendre par la main de l’Enfant de Bethléem, ne crains pas, fais-lui  confiance, la force vivifiante de Sa lumière t’encourage à t’engager dans l’édification d’un Nouvel Ordre Mondial » (ici). Ces mots confirment malheureusement l’erreur de la pensée hégélienne, qui a influencé le professeur de Tübingen jusqu’au Seuil. Certes, cette non-prise de position du Pontife a permis de le considérer d’une manière ou d’une autre comme un allié du plan mondialiste, si le président de la République italienne Giorgio Napolitano a pu affirmer, dans son discours de fin d’année 2006  aux Italiens : « Il  y a une harmonie entre moi et le pape Benoît XVI dans le soutien au Nouvel Ordre Mondial » (31 décembre 2006). D’autre part, le processus hégélien de la thèse-antithèse-synthèse fait écho à la devise Solve et coagula de l’alchimie, adoptée par la franc-maçonnerie et l’ésotérisme luciférien. Devise apparaissant sur les bras de Baphomet, idole infernale adorée par les hauts dirigeants de la secte de l’aveu même de ses membres les plus autorisés. Philip Jones, dans son essai Lucifer rising, précisa que la dialectique hégélienne « combine une forme de christianisme comme thèse avec un spiritualisme païen comme antithèse, avec le résultat d’une synthèse très similaire aux religions à mystères babyloniennes ». 

Le panthéisme mondialiste de Teilhard de Chardin

L’œcuménisme est l’un des thèmes clés de la pensée mondialiste. C’est ce que confirme Robert Muller, qui fut assistant du secrétaire des Nations Unies : « Nous devons aller le plus vite possible vers un gouvernement mondial unique, une religion mondiale unique et un leader mondial unique. » Avant lui, l’un des promoteurs de la Société des Nations, Arthur Balfour, a créé la Syntethic Society, qui avait pour but de créer la « religion unique mondiale ».  Pierre Teilhard de Chardin s.j. lui-même, jésuite hérétique, condamné par le Saint Office et aujourd’hui célèbre théologien du progressisme, considérait les Nations Unies comme  « l’incarnation institutionnelle progressiste de sa philosophie », souhaitant « une convergence générale des religions sur un Christ universel qui les satisfasse toutes… Il me semble que c’est la seule conversion possible du monde, et la seule forme sous laquelle une religion de l’avenir peut être conçue» pour « réduire le fossé entre le panthéisme et le christianisme en faisant ressortir ce que l’on pourrait appeler l’âme chrétienne du panthéisme ou l’aspect panthéiste du christianisme ». Il n’échappera pas que la pachamama et l’attribution de connotations mariales à la Terre-Mère concrétisent de façon inquiétante ces concepts de Teilhard de Chardin. Mais cela ne suffit pas : Robert Muller, théoricien du gouvernement mondial et adepte de la théosophe Alice A. Bailey, déclara : « Teilhard de Chardin a influencé son compagnon [le jésuite Emmanuel Saguez de Breuvery, qui a occupé d’importantes fonctions à l’ONU], lequel inspira ses collègues, qui ont commencé un riche processus de pensée globale et à long terme au sein des Nations Unies, qui a concerné de nombreuses nations et personnes à travers le monde. J’ai été profondément influencé par Teilhard. » Dans The future man, Teilhard écrit : « Même si sa forme n’est pas encore visible, demain l’humanité se réveillera dans un monde pan-organisé. » Muller a été fondateur du World Core Curriculum, qui visait à « orienter nos enfants vers la citoyenneté mondiale, les croyances centrées sur la terre, les valeurs socialistes et la mentalité collective, qui deviennent une condition préalable à la main d’œuvre du XXIe siècle. » (New Man Magazine). Et s’il revendique fièrement parmi ses propres inspirations Alice A. Bailey, nous découvrons que la théosophe était une disciple du Mouvement théosophique fondé par Helena Blavatsky, ouvertement luciférienne. Juste pour encadrer le personnage, voici quelques citations de Blavatsky : « Lucifer représente la Vie, la Pensée, le Progrès, la Civilisation, la Liberté, l’Indépendance… Lucifer est le Logos, le Serpent, le Sauveur. » Et, anticipant presque la pachamama : « La Vierge céleste  devient ainsi, en même temps, la Mère des Dieux et des Démons, car elle est la Divinité bénéfique toujours aimante… mais dans l’antiquité et dans la réalité Lucifer est le nom. Lucifer est Lumière divine et terrestre, l’Esprit Saint et Satan en même temps. » Pour finir par : « C’est Satan qui est le dieu de notre planète et l’unique dieu. » Bailey fonda la Lucifer publishing company, maintenant connue sous le nom de Lucis publishing company, étroitement liée au Lucis Trust, anciennement Lucifer Trust, reconnu comme ONG par les Nations Unies. Si l’on ajoute à cet ensemble de divagations infernales les paroles de David Spangler, directeur du projet Planetary Initiative des Nations Unies, nous nous rendons compte à quel point la menace qui pèse sur nous tous est terrible : « Personne ne fera partie du Nouvel Ordre Mondial tant qu’il n’aura pas accompli un acte de culte à Lucifer. Personne n’entrera dans la Nouvelle Ère tant qu’il n’aura pas reçu l’initiation luciférienne. » (Reflections on the Christ, Findhorn, 1978).

Alice A. Bailey écrit à propos du New Age : « Les acquis de la science, les conquêtes des nations et les conquêtes du territoire sont tous révélateurs de la méthode de l’ère des poissons [l’ère du Christ], avec son idéalisme, son militantisme et sa séparation dans tous les domaines – religieux, politiques et économiques. Mais l’âge de la synthèse, de l’inclusivité et de la compréhension est au-dessus de nous, et la nouvelle éducation de l’ère du Verseau [l’ère de l’Antéchrist] doit commencer très doucement à pénétrer dans l’aura humaine. » Aujourd’hui, nous voyons comment les méthodes d’enseignement théorisées par Muller dans le programme d’études de base sont adoptées par presque tous les États, avec l’idéologie LGBT, la théorie du genre et toutes les autres formes d’endoctrinement. L’ancien directeur de l’OMS, le Docteur Brook Chisolm, nous le confirme en expliquant ce que la politique éducative des Nations Unies voudrait réaliser : « Pour parvenir à un gouvernement mondial, il faut retirer de l’esprit des hommes leur individualisme, leur fidélité aux traditions familiales, leur patriotisme national et leurs dogmes religieux. » (cf. Christian World Report, Mars 1991, Vol. 3).

Voici encore le fil rouge qui lie non seulement Klaus Schwab à Hélder Câmara, mais aussi Robert Muller et Alice A. Bailey à Pierre Teilhard de Chardin et Emmanuel Saguez de Breuvery, toujours dans une ligne mondialiste et sous l’inspiration perverse de la pensée luciférienne. Une analyse approfondie de ces aspects troublants permettra de faire la lumière sur la vérité et de révéler les complicités et les trahisons de nombreux hommes d’Église asservis à l’ennemi.

Notre réponse face à la crise de l’autorité

La corruption de l’autorité est telle qu’il est très difficile, du moins en termes humains, d’imaginer une issue pacifique. Au cours de l’histoire, les régimes totalitaires ont été abattus de force. Il est difficile de penser que la dictature sanitaire qui s’installe ces derniers mois peut être combattue différemment, puisque tous les pouvoirs de l’État, tous les médias, toutes les institutions internationales publiques et privées, tous les potentats économiques et financiers sont complices de ce crime.

Face à ce sombre scénario de corruption et de conflit d’intérêts, il est indispensable que tous ceux qui ne sont pas asservis au plan mondialiste s’unissent dans un front compact et cohésif, pour défendre les droits naturels et religieux, leur santé et celle de leurs proches, leur liberté, leurs biens. Lorsque l’autorité manque à ses devoirs, et trahit au contraire le but pour lequel elle est constituée, la désobéissance n’est pas seulement légale, mais aussi un devoir. Désobéissance non violente, du moins pour l’instant, mais déterminée et courageuse. Désobéissance aux diktats illégitimes et tyranniques de l’autorité civile, et opposition farouche aux diktats de l’autorité ecclésiastique, là elle se montre complice du plan infernal du Nouvel Ordre Mondial.

Conclusion

Permettez-moi de conclure cette réflexion par une brève pensée spirituelle. Tout ce que nous savons, que nous découvrons et que nous comprenons du complot global en cours nous montre une réalité énorme mais à la fois nette et claire : il y a deux camps, celui de Dieu et celui de Satan, celui des enfants de la Lumière et celui des enfants des ténèbres. Il n’est pas possible de se réconcilier avec l’Ennemi, et on ne peut pas servir deux maîtres (Mt 6, 24). Les paroles de Notre Seigneur doivent être gravées dans notre esprit : « Celui qui n’est pas avec Moi est contre Moi ; et ceux qui ne ramassent pas avec moi dispersent. » (Mt 12, 30). Espérer construire un gouvernement mondial dans lequel la royauté divine de Jésus-Christ est interdite est fou et blasphématoire, et personne qui a un tel projet ne réussira jamais. Là où règne le Christ, règne la paix, la concorde, la justice ; où le Christ ne règne pas, Satan est tyran. Réfléchissons bien, quand au nom d’une coexistence pacifique, nous devons choisir de nous réconcilier avec l’adversaire ! Et qu’ils y pensent aussi ces prélats et ces dirigeants qui pensent que leur complicité ne touche qu’aux questions économiques ou de santé, prétendant ne pas savoir ce qu’il y a derrière tout cela.

Revenons au Christ, au Christ Roi des cœurs, des familles, des sociétés et des nations. Proclamons-Le notre Roi, et Marie très Sainte notre Reine. Ce n’est qu’ainsi que ce projet infâme du Nouvel Ordre Mondial pourra être vaincu. Ce n’est qu’ainsi que la Sainte Église pourra se purifier des traîtres et des renégats. Et que Dieu écoute notre prière.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

28 août 2021 – S. Augustini Episcopi et Confessoris et Ecclesiae Doctoris 

Note de bas de page :

[1] Le père Giuseppe Dossetti (1913-1996) est considéré comme le fondateur de « l’école de Bologne » et le père du « catholicisme progressiste ». Il a servi de peritus à Vatican II au cardinal Giacomo Lercaro, archevêque de Bologne, et a été très influent dans le contrôle des procédures du Concile]


[Voir aussi :
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist]




Particules métalliques dans les vaccins : les complotistes ont encore frappé !

[Source : Michel de Lorgeril]

Par Michel de Lorgeril – Docteur en Médecine, Chercheur au CNRS
Expert international en cardiologie et nutrition – Membre de la Société Européenne de Cardiologie

L’été 2021 a été marqué par une étrange information, confirmée par de multiples sources conspirationnistes, stipulant que les vaccins antiCOVID contenaient des particules métalliques qui excitaient les aimants.

[Voir :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes]

Évidemment, bandes d’idiots, cette information n’avait aucun sens : pourquoi y aurait-il des particules métalliques dans les seringues vaccinales ?

Encore une idée de quelques zombies qui voient le mal partout. Les autorités sanitaires, les scientistes de service et les médias ont aussitôt [et à juste raison] rejeté ces théories farfelues.

Par exemple, le subtile Figaro est allé interviewé des gens sérieux…

Et l’incomparable crétin-décodeur du journal du soir des gens accomplis (le fameux Adrien Sénécat) s’est précipité pour nous informer que ces informations… étaient bien sûr des fake news !

Seulement voilà, le Ministère Japonais de la Santé (ou quelque chose d’équivalent) est lui-aussi complotiste : ses experts ont identifié des particules métalliques dans les vaccins Moderna.

Beaucoup plus ennuyeux pour le déconneur du Monde (payé pour mentir) et l’experte du Figaro (payée pour quoi ?), Moderna l’a implicitement confirmé.

Ce n’est plus une fake news, c’est une enquête à diligenter…

C’est encore plus ennuyeux pour les Agences sanitaires internationales (payées pour quoi ?) qui vont devoir expliquer à quoi elles servent… sinon à faire génuflexion devant les stars du grand Kapital Pharma, comme dirait un célèbre Karl…

Que va dire le Grand manitou qui gouverne le Ministère de la Santé en France ?

Tout cela devient quelque peu nauséabond.

Outre que les informateurs des grands médias s’avèrent n’être que des vulgaires propagateurs de fausses informations, il semblerait que les conspirationnistes aient eu raison avant tout ce « sale petit monde » de la désinformation organisée.

Ne pourraient-ils pas, de temps en temps, dire vrai ?

Ils viendront ensuite se plaindre de faire faillite parce que le public va s’informer sur les réseaux sociaux.

Ils n’ont pas encore compris que les médias conventionnels et les réseaux sociaux sont des vases communicants : plus les médias officiels sont mauvais et menteurs et plus les réseaux sociaux enflent !

La jeunesse l’a compris ; la jeunesse ne lit pas le Figaro et encore moins Le Monde !




Pass sanitaire à perpet’ : l’OMS publie un guide pour la certification électronique de la vaccination

[Source : Russie politics]

Par Karine Bechet-Golovko

Le 27 août, l’OMS vient de sortir un guide très révélateur pour notre avenir concernant la certification électronique de la vaccination, à l’heure de l’éternelle pandémie du Covid. Ce guide global prévoit notamment la possibilité d’élargir le suivi électronique à d’autres vaccinations et incite tous les pays membres à y recourir, à des niveaux différents en fonction de la réactivité de leur population. Bref, si l’on se soumet, l’on arrive à Pass sanitaire for ever ! Le « nouveau monde » met en place ses instruments.

L’OMS, qui a vu sa fonction gouvernante décuplée grâce à la crise du Covid, prévoit de faire perdurer son pouvoir au-delà des risques de disparition ou d’apparition d’un virus ou d’un autre. L’intérêt étant bien le transfert des mécanismes de gouvernance à un niveau surpa-étatique, système dans lequel les Etats ne sont que des structures d’exécution. Ainsi, un guide concernant la généralisation et la pérennisation de la certification électronique des vaccins, au-delà de celui contre le Covid, a été publié ce 27 août par l’OMS [Ndlr : ⚠️Téléchargement automatique] :

Selon le document lui-même, en plus des « experts » de l’OMS, il a mis à contribution, notamment, des personnes venant de la Banque mondiale (l’on appréciera la dimension sanitaire), de PATH (une organisation globale axée sur « l’équité sanitaire » et « l’innovation » financée à plus de 20% par le Gouvernement américain et à plus de 50% par des Fondations, dont Bill Gates, Bloomberg ou Open society de Soros), l’Organisation internationale de l’aviation civile, la direction générale pour la santé et la sécurité alimentaire de la Commission européenne, le ministre de la Santé de Nouvelle-Zélande, la direction générale de la communication et des technologies de la Commission européenne, le cabinet juridique Ernst and Young, SNOMED International (organisation internationale d’élaboration des normes de terminologie de la santé – bref, en charge de l’élaboration de la Novlangue sanitaire), le ministère canadien responsable de la politique de l’immigration et des réfugiés (question, comme nous le voyons aujourd’hui en France, effectivement et étrangement liée au Covid), des universités, des groupes technologiques, etc. Et en dernière phrase des remerciements, l’on trouve ceci :

« This work was funded by the Bill and Melinda Gates Foundation, the Government of Estonia, Fondation Botnar, the State of Kuwait, and the Rockefeller Foundation.« 
[« Ce travail a été financé par la Fondation Bill et Melinda Gates, le gouvernement estonien, la Fondation Botnar, l’État du Koweït et la Fondation Rockefeller. »]

Sans commentaire.

En introduction, l’on apprend qu’il s’agit d’un guide intermédiaire pour que les pays aient une approche globale dans ce contexte changeant – pourtant, pas très changeant depuis deux ans … 

« The current document is written for the ongoing global COVID-19 pandemic; thus, the approach is architected to respond to the evolving science and to the immediate needs of countries in this rapidly changing context; for this reason, the document is issued as interim guidance. The approach could eventually be extended to capture vaccination status to protect against other diseases.« 
[« Le présent document a été rédigé pour la pandémie mondiale de COVID-19 en cours. Ainsi, l’approche est conçue pour répondre à l’évolution de la science et aux besoins immédiats des pays dans ce contexte en mutation rapide. Pour cette raison, le document est publié à titre d’orientation provisoire. L’approche pourrait éventuellement être étendue à la saisie du statut vaccinal pour la protection contre d’autres maladies. »]

Donc, les pays n’ont pas de « besoin immédiat » de soigner cette maladie, ils ont un « besoin immédiat » de mettre en place un certificat électronique de vaccination, qui pourra être étendu à d’autres maladies en cas de besoin. Et quand il y a une volonté, l’on trouve un besoin.

Pour rester dans le monde bisounours, il est bien expliqué que ce n’est qu’un instrument permettant d’établir électroniquement l’existence d’une vaccination. Si c’est un instrument c’est neutre. Certes… cela met donc en place les « simples » instruments du nouveau monde, monde de surveillance. Un monde qui a besoin de l’électronique pour réaliser son fantasme. Et d’une excuse morale pour le faire passer – le culte sanitaire.

Et quelques phrases plus loin, l’on voit déjà apparaître l’incitation, notamment pour les voyages :

« Furthermore, in response to the IHR EC advice to the Secretariat, WHO is actively working to update the design of the ICVP to accommodate the COVID-19 status of travelers, including vaccination, history of infection, and test results consistent with the DDCC:VS specifications. In relation to the ICVP, The IHR EC furthermore recommends States Parties “recognition of all COVID-19 vaccines that have received WHO Emergency Use Listing in the context of international travel. In addition, States Parties are encouraged to include information on COVID-19 status, in accordance with WHO guidance, within the WHO booklet containing the International Certificate of Vaccination and Prophylaxis; and to use the digitized version when available.”
[« De plus, en réponse à l’avis du CE RSI au Secrétariat, l’OMS travaille activement à la mise à jour de la conception de l’ICVP pour prendre en compte le statut COVID-19 des voyageurs, y compris la vaccination, les antécédents d’infection et les résultats des tests conformes aux spécifications DDCC:VS. En ce qui concerne l’ICVP, le CE RSI recommande en outre aux États membres « la reconnaissance de tous les vaccins COVID-19 qui ont reçu la liste d’utilisation d’urgence de l’OMS dans le contexte des voyages internationaux. En outre, les États membres sont encouragés à inclure des informations sur le statut de COVID-19, conformément aux directives de l’OMS, dans le livret de l’OMS contenant le Certificat international de vaccination et de prophylaxie ; et à utiliser la version numérisée lorsqu’elle est disponible. »]

L’instrument n’est plus si neutre, il a déjà des implications liberticides. Mais au nom de la santé, Amen ! L’illusion de la neutralité de la technologie est très utile pour construire tout système de gouvernance – qui a justement besoin de mettre en place ses propres instruments pour fonctionner.

Et cette dérive est parfaitement établie dans ce Guide, qui pose bien deux buts – établir l’acte de vaccination dans le cadre de la politique vaccinale classique et surtout, en ce qui intéresse l’actualité, prouver la vaccination dans un but qui n’a rien de sanitaire :

« 2. PROOF OF VACCINATION: Vaccination records can also provide proof of vaccination status for purposes not related to health care.« 
[« 2) PREUVE DE VACCINATION : les carnets de vaccination peuvent également fournir une preuve du statut vaccinal à des fins non liées aux soins de santé. »]

Ainsi est donné l’instrument d’apartheid sanitaire. L’utilisation va dépendre, selon ce Guide, de la « maturité sociale » du pays, autrement dit, la population est-elle ou non prête à cette surveillance. Quoi qu’il en soit, ce certificat électronique doit être mis en place par chaque pays membre de l’OMS, de manière différente en fonction de la situation spécifique du pays, de la population. Nous voyons, par exemple, qu’en Russie, le rejet massif conduit à plus de prudence de la part des pouvoirs publics, moins intégrés dans la globalisation et dépendant encore de l’opinion nationale.

Techniquement, vous trouverez tous les détails dans le Guide, disponible ici en anglais.

Les gens ont le droit de se vacciner avec des produits récents. Chacun a le droit de faire son choix. Mais personne ne peut, dans une société qui respecte l’homme dans son humanité, conditionner l’accès à la vie sociale à un vaccin, dont aucun recul ne permet de déterminer les effets secondaires.

Soigner la population est une obligation pour tout pays qui se respecte et qui respecte sa population. La prise en charge médicale ne peut se réduire, dans un pays civilisé, à la vaccination obligatoire de tous avec un produit à peine sorti des labos et l’enfermement des personnes malades, sans soins adaptés. 

Et n’oubliez pas, que tout système totalitaire se met en place grâce à la passivité des populations. 




La très mauvaise idée de la troisième injection anti-covid sans essai préalable

[Aussi sur : francesoir.fr]

Par Dr Gérard Delépine

Devant l’échec maintenant patent des pseudo-vaccins anti-covid, les laboratoires proposent une troisième injection qui, avec l’augmentation du prix de vente, augmenterait leurs espoirs de bénéfices de 50 %.(([1] Pour le laboratoire Pfizer associé à BioNTech, le leader du marché, l’enjeu est énorme. Le groupe américain prévoit de vendre près de 30% de plus de vaccins que ce qu’il anticipait en mai. À la clé, c’est un chiffre d’affaires qui s’élèvera en 2021 déjà à 33,5 milliards de dollars. Le tout dans un contexte de majoration du prix de vente en Europe du vaccin, annoncé également par son concurrent Moderna. )) De trop nombreux politiques s’en font leurs avocats contre l’avis de l’OMS.  

Pourtant, ces injections expérimentales ont très peu de chances d’être efficaces et sont même susceptibles de redéclencher une nouvelle hécatombe post-injection comme l’ont fait les deux premières et comme le suggère l’évolution actuelle en Israël depuis que la campagne d’injection de troisième dose a commencé. 

Comment croire qu’une troisième injection serait plus efficace que les deux premières ? 

Un vrai vaccin protège celui qui le reçoit totalement et à vie ou au moins pour de nombreuses années. Les rappels sont exceptionnellement nécessaires. Le vaccin contre la fièvre jaune protège totalement et à vie celui qui le reçoit. Aucun rappel n’est nécessaire. Une injection du vaccin contre l’hépatite A protège 98% des vaccinés pendant plusieurs années et une deuxième injection proposée aux personnes à risque prolonge la protection à vie. Si le vaccin antidiphtérique n’avait protégé que moins de 50% des vaccinés, il aurait aussitôt été abandonné.  

Les marchands des pseudo-vaccins covid avaient affirmé qu’une (J & J) ou deux injections protégeraient plus de 90% des vaccinés, mais les faits avérés dans les pays champions de ces traitements prouvent que ces injections n’empêchent pas les transmissions (le ministère israélien n’estime qu’à 39% l’efficacité du Pfizer pour arrêter la transmission) et qu’elles ne protègeraient de la maladie qu’une petite fraction des vaccinés et pour six mois au plus. Les marchands des pseudo-vaccins covid prétendent maintenant qu’une troisième dose serait plus efficace sans présenter la moindre étude clinique à l’appui. Comment peut-on encore les croire et continuer de baser notre stratégie uniquement sur des injections si peu efficaces (mais tellement rentables pour les actionnaires) ? 

Lors d’une guerre conventionnelle, on abandonne la stratégie qui a causé une défaite. Mais pour la guerre contre le covid, on persiste dans l’échec en misant tout sur un pseudo-vaccin insuffisamment efficace au lieu de lui substituer les traitements précoces qui ont fait leurs preuves en Inde et au Mexique, et depuis des mois aux USA et même en France par les médecins qui ont osé les utiliser, plus ou moins sous le manteau. 

Comment le conseil de défense peut-il entériner pareille stupidité totalement expérimentale ? Quelles sont ses motivations ?   

La première hécatombe post-injection Pfizer en Israël  

En terme de vitesse de vaccination, le succès de la campagne d’injection israélienne est remarquable. Au 24 août 2021, près de 13 050 964 de doses ont été administrées et 70% de la population aurait reçu au moins une dose de vaccin. 

Les deux mois qui ont suivi la campagne d’injection Pfizer ont été marqués par une augmentation considérable des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. Ces deux mois post-injection ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie. Cette évolution défavorable a confirmé que le pseudo-vaccin Pfizer est incapable d’empêcher la transmission de la maladie. 

En Israël, malgré un confinement strict, l’injection Pfizer a été suivie d’une véritable hécatombe. Le mois de janvier a établi le record mensuel de la mortalité, regroupant à lui seul près de 30% de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays.  

Entre mi-décembre et mi-février 2021, on dénombre 2337 des 5351 morts attribuées au COVID-19 (43.7%.). Parmi celles-ci 1271 sont survenues chez des personnes dont le statut vaccinal était connu et le ministère de la Santé a précisé le 10 février 2021 que 660 d’entre elles (51.9%) faisaient partie des 1.3 million de personnes vaccinées de l’époque, qui ne représentaient que 12.5% de la population totale. La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, parait au contraire l’avoir exacerbé durant cette période, le surrisque des vaccinés atteignant 400% (vraisemblablement à la suite d’un phénomène d’anticorps facilitants).  

La seconde hécatombe post-injection Pfizer commence en Israël

La couverture « vaccinale » de près de 70% de la population n’a pas protégé Israël de l’épidémie due au variant delta qui flambe depuis juillet 2021. 

Devant cette forte reprise de l’épidémie, le ministère israélien, suivant la suggestion de Pfizer, a débuté une troisième injection et, à la mi-août, 1 872 056 de personnes ont reçu une troisième dose.Cette nouvelle campagne d’injections Pfizer n’a pas diminué le rythme des hospitalisations. Ce rappel des injections ne protège pas des hospitalisations. Elle n’a pas diminué non plus les formes graves nécessitant la réanimation. 

Elle n’évite pas non plus de mourir du covid, car la mortalité a augmenté brutalement dix jours après le début de la campagne de rappel. 

En Grande-Bretagne, sans rappel, l’épidémie progresse mais pas la mortalité 

La Grande-Bretagne est confrontée elle aussi à une reprise de l’épidémie aussi sévère qu’en Israel en nombre de contaminations, mais le gouvernement attend les résultats cliniques de l’essai Cov-Boost avant de proposer un éventuel rappel. 

Et dans ce pays, l’augmentation des hospitalisations, des séjours en réanimation et la mortalité, sont infiniment plus faibles qu’en Israël. 

Ce contraste entre les évolutions des mortalités en Israël et en Grande-Bretagne, confrontés à des reprises d’épidémies à variant delta similaires, suggère que l’administration d’une troisième dose puisse être paradoxalement susceptible d’aggraver l’évolution de la maladie, comme cela a été constaté lors des précédentes injections. 

La vraie question est donc de savoir si il est « Cov-Boost » utile ou dangereux d’administrer une troisième dose. Il faut donc féliciter le gouvernement britannique d’attendre les résultats de l’étude Cov-Boost(([2] dirigée par le University Hospital Southampton NHS Foundation Trust, dans le cadre du National Immunization Schedule Evaluation Consortium (NISEC).)) qu’il a financée pour 19,3 millions de livres sterling, mais dont les résultats ne seront malheureusement pas obtenus avant juin 2022. 

Alors pourquoi nos dirigeants poussent-ils à ce rappel sans aucun argument scientifique ni clinique ? 

Le taux d’anticorps ne présage pas toujours de l’efficacité de la protection clinique et leur augmentation passe par une période où ils peuvent se comporter comme des anticorps facilitants expliquant la possible aggravation de la mortalité post-injection. 





COVID : les députés votent pour un transfert de souveraineté à l’Europe

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Personne n’en a parlé, mais les députés français ont adopté sous le manteau une bien étrange résolution sur le COVID et les crises sanitaires la semaine dernière. Cette résolution appelle à une coordination européenne « renforcée » dans le domaine de la santé et des crises sanitaires. Il fallait donc comprendre que le retour à la souveraineté en matière sanitaire dont parlait Macron et son équipe l’an dernier était en fait un retour vers la souveraineté européenne, mais pas la souveraineté nationale. Et un mensonge de plus !


Résolution de l'Assemblée Nationale sur les crises sanitaires from Société Tripalio

Que cela soit dit : les députés français veulent plus d’Europe en matière de santé, démarchent qu’ils habillent notamment sous l’appellation en novlangue de “relocalisation des chaînes d’approvisionnement stratégiques dans le domaine sanitaire lorsque cela est possible”. Voilà, donc quand le gouvernement Philippe a parlé l’an dernier de “relocalisation” et de “souveraineté”, il s’agissait de relocaliser en Europe, mais pas forcément en France. 

Une résolution contre la souveraineté sanitaire

Le texte de la résolution mérite vraiment d’être lu. Il s’agit, pour le Parlement, d’exprimer aux instances européennes la volonté du peuple français sur tel ou tel sujet. En l’espèce, c’est la gestion des crises sanitaires qui est ici traitée. 

On retiendra du texte qu’il appelle : 

  • à une accélération de la campagne de vaccination en Europe “pour limiter la propagation du virus et des variants”
  • à soutenir “les propositions de la Commission européenne du 11 novembre dernier pour renforcer l’Europe de la santé qui pérennisent les mesures ad hoc ayant bien fonctionné pendant la crise”
  • à renforcer les “mandats des agences sanitaires qui doivent être les garantes de l’autonomie de réflexion et d’action de l’Union européenne et plaide pour un développement élargi de leur communication afin de rendre leurs activités plus lisibles et accessibles aux citoyens européens”
  • à “la création de la nouvelle agence sanitaire permanente, l’Autorité de préparation et de réaction en cas d’urgence sanitaire (HERA)”
  • à “la création d’un cloud de données sanitaires à l’échelle européenne pour faciliter le partage de l’information et des connaissances scientifiques, dans le respect du règlement général sur la protection des données (RGPD)”
  • à “une éventuelle modification des traités dans le cadre de la Conférence pour l’avenir de l’Union, afin de clarifier et de renforcer explicitement les compétences européennes en matière sanitaire qui sont actuellement disséminées dans les traités”

Bref, toujours plus de multilatéralisme européen, toujours plus de bureaucratie dominatrice cachée sous l’étiquette “agence indépendante”, et toujours moins de prise sur les politiques publiques offerte aux citoyens ordinaires. L’Assemblée Nationale ne pouvait pas mieux illustrer le naufrage de la démocratie…

Une Assemblée Nationale très Great Reset compatible

On notera que toutes ces propositions sont parfaitement en ligne avec les écrits de Klaus Schwab et de son Great Reset, ce qui pose une fois de plus la question du poids du gouvernement profond dans les grandes options publiques. 

Ainsi, la création d’un grand “Cloud” européen en matière de santé (bien entendu respectueux du règlement général sur la protection des données privées, qui pourrait imaginer le contraire ?) participe de cette idée que le contact tracking doit désormais être piloté en dehors des Etats-nations et de leurs vieilles libertés

On retrouve par ailleurs tous les mantra de Davos : échanges des bonnes pratiques entre pays, partenariats publics-privés renforcés pour financer une recherche dont les grands thèmes seraient décidés au niveau multilatéral et non national, création d’une sorte de fonction publique hospitalière supra-nationale qui échapperait aux décisions des Etats-membres. Tout est fait ici pour instrumentaliser la crise du COVID au profit d’une disparition des échelons nationaux et d’une concentration des pouvoirs entre les mains d’une bureaucratie incontrôlable, européenne, qui bloquera toute velléité d’autres sorties de l’Union que la Grande-Bretagne, et qui minorera le poids du suffrage universel dans les décisions.

Les chiens nationaux aboient, la caravane multilatérale passe. 




Le travail est-il encore un libre choix ?

Par Claude Janvier

Ce que vous allez lire est une lettre de l’Assurance Maladie, service médical, pays de la Loire, envoyée a un de ses employés qui refusait l’injection « obligatoire ». Trois pages coercitives explicatives, avec en conclusion l’obligation vaccinale fixée au 16 octobre 2021, dernier carat. Après cette date, s’il n’est pas vacciné, plus de travail et plus d’indemnités. Vous êtes bien assis ? Il vaut mieux, car lire cette prose abominable peut vous déclencher une crise de nausées aiguës.

« Assurance Maladie. Service médical. Pays de la Loire

Nantes, le 10 août 2021

Objet : Obligation vaccinale

Madame, Monsieur,

La loi n°2021-1040 relative à la gestion de la crise sanitaire a été promulguée le 5 août 2021 (JORF, 6 août).

Face aux risques élevés de rebond de l’épidémie de Covid-19, la vaccination devient une condition obligatoire d’exercice de l’activité professionnelle à l’égard des personnels exerçant au sein d’établissements, structures ou services limitativement listés, ainsi qu’à l’égard des professionnels de santé mentionnés à la quatrième partie du code de la santé publique (article 12 I.2°) et des personnes travaillant dans les mêmes locaux que lesdits professionnels (article 12 I.4°).

De plus, l’obligation de présentation d’un passe sanitaire, déjà en vigueur à l’égard des usagers des établissements relevant des secteurs sanitaire et médico-social, est étendue aux personnels intervenant dans ces lieux.

Les salariés du Service médical, au regard de la nature des missions de service public qu’ils accomplissent, entrent dans le champ d’application de ces nouvelles dispositions.

À compter du 7 août 2021, tous les personnels du Service médical, affectés au sein des échelons locaux et régionaux, doivent remplir l’obligation vaccinale pour exercer leur activité, à savoir :

  • – les praticiens-conseils et les infirmiers du Service médical, parce que les médecins, pharmaciens, chirurgiens-dentistes et infirmiers, au regard de leur seul statut, font partie de la liste limitative des professionnels de santé soumis à l’obligation vaccinale par la loi,
  • – les personnels administratifs, ainsi que toute leur ligne hiérarchique (managers, agents de direction), travaillant dans les mêmes locaux que les professionnels de santé susvisés concernés par l’obligation vaccinale.

L’obligation vaccinale contre la covid-19 s’inscrit dans une logique d’interaction professionnelle : tous les personnels qui, compte tenu de leur activité et de la communauté de travail qu’ils forment, sont exposés au risque de contamination et peuvent exposer autrui, se trouvent dans le champ de l’obligation. En l’occurrence, les personnels administratifs, parce qu’ils travaillent dans les mêmes locaux que les praticiens conseils et les infirmiers du service médical, eux-mêmes au contact des assurés dans le cadre de leurs missions, sont concernés par les mêmes obligations.

Une période transitoire a été prévue par la loi pour permettre aux personnels soumis à l’obligation vaccinale de prendre leurs dispositions pour se conformer à cette nouvelle condition d’exercice.

Ainsi, les documents que les personnels ont à présenter à leur employeur sont les suivants :

Jusqu’au 14 septembre 2021 inclus

Il vous est possible de présenter l’un de ces documents :

  • – le certificat de statut vaccinal,
  • – le certificat de rétablissement (pour sa durée de validité),
  • – le certificat médical de contre-indication à la vaccination.

À défaut de l’un des documents précités, peuvent être présentés :

  • – le justificatif de l’administration des doses de vaccins requises,

OU

  • – le résultat d’un examen de dépistage virologique RT-PCR ou antigénique ou d’un autotest supervisé par un professionnel de santé habilité (médecin, pharmacien, infirmier, sage-femme, kinésithérapeute…) ne concluant pas à une contamination par la covid-19 et d’au plus 72 heures.

Du 15 septembre au 15 octobre 2021 inclus

Il vous est possible de présenter l’un de ces documents :

  • – le certificat de statut vaccinal,
  • – le certificat de rétablissement (pour sa durée de validité),
  • – le certificat médical de contre-indication à la vaccination.

À défaut, de l’un des documents précités, peuvent être présentés :

  • – le justificatif de l’administration des doses de vaccins requises (un décret à paraître précisera la nature de ce document),

OU

  • – le justificatif attestant de l’administration d’au moins une des doses requises dans le cadre d’un schéma vaccinal comprenant plusieurs doses (un décret à paraître précisera la nature de ce document),

ET

  • – le résultat d’un examen de dépistage virologique RT-PCR ou antigénique ou d’un autotest supervisé par un professionnel de santé habilité (médecin, pharmacien, infirmier, sage-femme, kinésithérapeute…) ne concluant pas à une contamination par la covid-19 et d’au plus 72 heures.

Il y a lieu de considérer que, pendant cette période, les salariés déjà engagés dans une démarche vaccinale (au moins 1 dose) complétée d’un test PCR ou antigénique ou autotest supervisé négatif, remplissent l’obligation.

À partir du 16 octobre 2021

Il vous est possible de présenter l’un de ces documents:

  • – le certificat de statut vaccinal,
  • – le certificat de rétablissement (pour sa durée de validité),
  • – le certificat médical de contre-indication à la vaccination.

À défaut de l’un des documents précités, seul le justificatif de l’administration des doses de vaccins pourra être présenté.

Ainsi, à compter du 16 octobre 2021, l’obligation professionnelle vaccinale ne sera remplie que si les salariés concernés justifient d’un statut vaccinal complet ou d’une situation d’exonération à la vaccination (certificat de rétablissement ou de contre-indication à la vaccination).

Il ne sera plus possible de présenter des résultats d’examens virologiques à partir de cette date.

Les dispositions de la loi sont impératives : elles s’imposent tant aux salariés qu’à l’employeur, ce dernier n’ayant d’autre choix que de contrôler, quotidiennement à partir de ce jour et sous peine de contravention, le respect de l’obligation de présentation des certificats et justificatifs.

En cas de non-respect de l’obligation de présentation des documents, et ce dès le premier jour du manquement, votre activité professionnelle sera interdite : vos contrat de travail et rémunération seront suspendus. Seule la régularisation de votre situation administrative vous permettra de reprendre votre activité professionnelle.

Aussi, je vous invite à transmettre sans délai vos certificats et justificatifs selon les modalités suivantes : voir annexe 1 en fin de courrier.

Afin de faciliter vos démarches, vous bénéficiez d’une autorisation d’absence rémunérée pour vous rendre, sur votre temps de travail, aux rendez-vous médicaux liés aux vaccinations contre la covid-19.

Il vous suffit de transmettre à votre responsable votre convocation médicale.

Je mesure pleinement les impacts de la loi, tant dans votre vie personnelle que dans votre vie professionnelle. Toutefois, je tiens à vous rappeler notre priorité de préserver la continuité du service public rendu à nos assurés, dans un contexte de crise sanitaire qui requiert, de notre part à tous, une mobilisation exemplaire.

Au regard de ces enjeux inédits, je remercie chacun et chacune d’entre vous de prendre les diligences nécessaires pour permettre au Service médical de poursuivre ses missions au service de la solidarité nationale.

Pour le Directeur Général,

Le Médecin-conseil régional »

Direction régionale du Service médical des Pays de la Loire. 7 rue du Président Édouard Herriot – BP 73403 – 44034 Nantes cedex 1

Annexe 1 : Comment déclarer son statut vaccinal ?

Il relève de la responsabilité individuelle de chacun de transmettre ses justificatifs dans les délais.

À qui devez-vous adresser vos justificatifs ? Au service RH qui sera le seul habilité à recevoir et recenser ces documents.

À quelle adresse mail ? obligation-vaccinale-drsmpdl@assurance-maladie.fr

Pensez à renommer de manière lisible le document que vous allez nous envoyer : (Exemple : Dupont-PassSanitaire / Dupont-TestPCR-100821 /…) et à signer vos mails en précisant vos NOM, PRÉNOM et échelon d’affectation.

Quels documents nous adresser jusqu’au 14 septembre inclus :

  • le certificat de statut vaccinal,
  • le certificat de rétablissement,
  • le certificat médical de contre-indication à la vaccination.

À défaut, de l’un des documents précités, vous pourrez présenter:

  • le justificatif attestant de l’administration des doses de vaccins requises
  • OU le résultat d’un examen de dépistage, d’un test ou d’un autotest réalisé sous la supervision d’un professionnel de santé habilité, d’au plus 72 heures.

Pour les salariés concernés, cela signifie qu’il faudra donner un nouveau test tous les trois jours.

Pour ceux qui devront régulièrement transmettre un test, le résultat devra être adressé avant 10 h 30 au service RH (à l’adresse mail ci-dessus). À défaut, votre contrat de travail et votre rémunération seront suspendus (sauf si vous souhaitez poser un congé) jusqu’à régularisation de votre situation. Un courrier en ce sens vous sera adressé et/ou remis par votre direction locale.

Informations relatives à la protection de vos données :

  • La finalité de la collecte des données : le respect de la loi du 5 août 2021 imposant la présentation d’un pass sanitaire et la vaccination obligatoire.
  • Les modalités de recueil et de conservation des données : les données seront recueillies par le seul service RH qui les conservera sur un dossier informatique sécurisé sur le SDS.
  • Le délai de conservation : la suppression de toutes les données se fera à la fin de l’obligation vaccinale.
  • Le droit d’accès et de rectification aux données ainsi que le droit à leur limitation et d’opposition comme suit : Conformément aux dispositions du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD), vous disposez d’un droit d’accès et de rectification aux données qui vous concernent ainsi que d’un droit de leur limitation et d’opposition. Ces droits s’exercent sur demande écrite de votre part adressée soit au Directeur de votre organisme de rattachement, soit au Délégué à la Protection des Données. »

Fin du courrier.

Non vous ne vous rêvez pas, nous sommes bien en France, en ce mois d’août 2021.

L’article 23 de la déclaration universelle des Droits de l’Homme de 1948 est totalement foulé aux pieds. Pourtant il stipule :

« Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu’à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s’il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale. »

Les chefaillons de la république en mal d’autorité ont besoin urgemment de clarifier ce paragraphe.

Heureusement, vous pouvez contester via l’excellent site de Maître Brusa, Réaction 19, qui vous donne le modus operandi et aussi l’excellent site de Maître Di Vizio. J’invite tous les salariés qui ne veulent pas obéir à la doxa gouvernementale à utiliser les voies de recours. Vous pouvez gagner contre l’oppression. Le dernier lien est un guide juridique complet avec les modèles de lettres à envoyer.

Claude Janvier

Ecrivain, polémiste. Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition.
https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/

Liens :

https://reaction19.fr/reaction19/actualites/association-reaction19/asso-r19-aout-2021/180821-attestation-sur-lhonneur-autotest/

https://reaction19.fr/

https://www.divizio.fr/

https://www.infovaccin.fr/index.php?_lang=FR&alias=06-08-2021-guide-juridique




À tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner

[Source : Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)]

Par Reza Moghaddassi

Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.

Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.
Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.
Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.
Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.
Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du Covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.

Pardonnez-moi d’exister.

Vous avez raison, je ne suis qu’un insolent. Après tout nous sommes dans l’urgence et nous n’avons pas le temps de nous encombrer de la réflexion et de la morale. Ne brisons pas l’unité du troupeau et laissons-nous guider par les « experts » honnêtes et fiables qui nous gouvernent. L’important, ce n’est pas la vérité, ce n’est même pas la réalité, c’est d’être uni dans la guerre contre le virus.
Vous avez raison, le plus grand danger, ce sont les « complotistes », c’est-à-dire tous ceux qui osent remettre en cause l’intégrité des autorités politiques et scientifiques ou des médias de masse. Ces vilains conspirationnistes vont semer les germes du doute et de la division. Ils risquent, par leur impudence, de pousser les gens à réfléchir.

Merci en revanche à Pfizer et à Moderna, et à tous les autres, de penser à nous et de nous proposer une offre d’abonnement à vie.
Merci à leurs amis de longue date dès les bancs de l’université de médecine, puis à travers une collaboration étroite de devenir leurs relais et contribuer ensemble à construire une science véritable au service de la santé.
Merci aux médias dominants, neutres et indépendants de faire un travail si important de réinformation des masses incultes dont je fais partie.
Merci bien évidemment aussi à toute l’équipe dirigeante de faire de son mieux, pour notre bien.

C’est pour notre bien.

Oui, c’est pour notre bien en effet que les autorités ont continué depuis un an et demi à supprimer des lits à l’hôpital
C’est pour notre bien qu’ils nous ont imposé le port du masque à l’extérieur sans aucun fondement scientifique.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander de la vitamine D et du zinc en prévention pour renforcer nos défenses immunitaires malgré toutes les études qui confirment leur rôle.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander des traitements précoces peu onéreux malgré l’abondante littérature scientifique et les expériences de terrain qui en montrent l’efficacité et qu’ils recommandent seulement du doliprane et de rester à la maison.
C’est pour notre bien qu’ils menacent et suspendent tous les médecins qui ont soigné leurs patients avec des résultats époustouflants au lieu de les renvoyer chez eux avec du doliprane.
C’est pour notre bien qu’ils commandent des millions de dose de remdesivir à 3000 euros la dose en intraveineuse sans études validant ces effets et malgré un retour sur le terrain qui a conclu à son inefficacité, sa toxicité pour les reins et son rôle mutagène.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de s’intéresser au vaccin chinois ou russe, (uniquement pour des raisons sanitaires ! ), même quand on ne disposait pas d’assez de vaccins.
C’est pour notre bien qu’ils terrorisent et menacent la population pour aller se faire injecter un médicament expérimental sur lequel nous n’avons aucun recul à moyen et long termes.
C’est pour notre bien que le pouvoir exécutif a créé un conseil de défense totalement secret (pour 50 ans) avec une haute autorité de santé composée d’acteurs en conflits d’intérêt.
C’est pour notre bien qu’ils incitent les enfants à se faire vacciner alors qu’ils risquent davantage de souffrir des effets secondaires des « vaccins » que du Covid.
C’est pour notre bien qu’ils lancent une vaccination de masse en pleine pandémie contrairement aux règles habituelles de prudence.
C’est pour notre bien qu’ils piétinent les libertés les plus fondamentales et scindent à présent le peuple en deux avec deux régimes de droits.
C’est pour notre bien qu’ils ont interdit la prescription d’hydroxychloroquine jusque-là en vente libre par les médecins.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander l’usage de l’ivermectine, de macrolides et du zinc.
C’est pour notre bien qu’ils ont méprisé tout le travail de l’IHU méditerranée, le lieu le plus à la pointe de la recherche en France en infectiologie et dont les résultats ont été bien meilleurs qu’ailleurs.
C’est pour notre bien qu’ils mobilisent et financent des tests PCR peu fiables avec des cycles d’amplifications si nombreuses que le test perd de toute sa pertinence.
C’est pour notre bien qu’ils comptabilisent comme morts du Covid une majorité de gens morts avec le Covid.
C’est pour notre bien qu’ils se sont associés avec les GAFAM pour censurer les lanceurs d’alerte sur YouTube, sur Twitter, sur Facebook.
C’est pour notre bien qu’ils acceptent de décharger les industries pharmaceutiques de toute responsabilité juridique en cas d’effets secondaires des vaccins et qu’ils nous font signer une déclaration de consentement.
C’est pour notre bien qu’il a été décidé de créer une scission en France entre les vaccinés et les non-vaccinés alors même que les vaccinés peuvent être contaminants.
C’est pour notre bien qu’on a déclaré comme fous, gâteux, dangereux tous les scientifiques parmi les plus brillants et aux titres académiques les plus prestigieux qui ont eu le malheur de contester la narration officielle sur les évènements.
Pardonnez-moi de finir par me méfier de ceux qui veulent mon bien. Je suis trop bête pour comprendre.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on a dû changer la définition de ce qu’est un vaccin pour pouvoir dire que ces expériences géniques sont des vaccins.
  • Que nous sommes face à un vaccin si nouveau et si révolutionnaire qu’il n’empêche pas de tomber malade ni d’être contaminant.
  • Que nous prétendons « vacciner » les gens avec des techniques inédites qui sont en phase expérimentale et dont nous ne connaissons pas les conséquences à moyen terme et à long terme, mais que ceux qui se font vacciner ne seraient pas des cobayes.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on ne connaît pas exactement l’intégralité de la composition des vaccins au nom du secret industriel, mais qu’on ne peut pourtant affirmer qu’il n’y a pas de problèmes.
  • Que les industries pourvoyeuses des vaccins dont Pfizer ont été condamnés à plusieurs milliards d’amendes pour fraude scientifique, mais qu’on peut s’appuyer sur leurs seules études pour lancer la campagne vaccinale.
  • Que si des spécialistes de la vaccination et des scientifiques dans le monde entier mettent en garde contre les risques de ces vaccins à adénovirus ou à ARN messager, c’est parce qu’ils sont devenus fous ou séniles.
  • Que si une personne âgée meurt en ayant le Covid, elle meurt du Covid, mais que si une personne âgée meurt après s’être fait vaccinée elle meurt de vieillesse.
  • Que le nombre de morts et d’effets indésirables officiellement signalés par les agences de pharmacovigilance chez les « vaccinés » est sans commune mesure par rapport aux vaccins habituels, mais que nous devons fermer les yeux.

Trop bête pour comprendre

  • Que ces injections géniques évitent les formes graves alors que pourtant en Israël et en Angleterre ultra vaccinés une partie non négligeable des personnes en réanimation sont doublement vaccinés.
  • Que ce vaccin est tellement protecteur qu’il faut continuer les gestes barrières, continuer à porter les masques et surtout continuer à craindre les non-vaccinés.
  • Qu’il est tellement efficace qu’on parle déjà de « baisse immunitaire », de troisième ou de quatrième doses et pourquoi pas d’un abonnement annuel ou biannuel.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on n’a jamais mis fin aux épidémies de grippe, mais qu’on prétend qu’en « vaccinant » tout le monde nous allons vaincre le coronavirus.
  • Que nous faisons partie des pays au monde qui ont le plus de morts par millions d’habitants, mais que nous sommes pourtant les meilleurs et que nous pouvons continuer à nous fier à la même équipe scientifico-politique.
  • Que les pays les plus vaccinés sont ceux qui sont les plus touchés par les nouveaux variants, mais que c’est parce que nous ne sommes pas suffisamment vaccinés.
  • Que si les vaccinés tombent malades, c’est à cause des non-vaccinés.
  • Que l’État est surendetté et n’a pas d’argent, mais qu’il peut débloquer des milliards et des milliards pour financer sa politique sanitaire.
  • Que les tests et les vaccins sont gratuits, mais que ce sont les contribuables qui vont devoir les payer.
  • Qu’en prétendant sauver une partie infime de la population, nous allons sacrifier la vie de beaucoup d’autres et détruire l’avenir de la nation.

Oui, je suis trop bête pour comprendre tout cela.
Je dois avoir l’esprit tellement confus que tout semble s’inverser dans ma tête.
Je dois apprendre grâce à vous à remettre les choses dans le bon ordre.

Inversion

Je dois, en effet, comprendre que :

  • La liberté, c’est de se soumettre au pass sanitaire.
  • L’immunité artificielle est meilleure que l’immunité naturelle.
  • Si les gens vaccinés tombent malades ou développent des formes graves, c’est la preuve que le vaccin marche.
  • Si le vaccin fonctionne moins bien contre un nouveau variant, c’est qu’il faut reprendre une dose du même vaccin.
  • Toute personne testée positive à un test PCR est une personne malade.
  • Toute personne en bonne santé est un malade qui s’ignore et dont il faut se méfier.

Je suis désolé, je suis un peu lent et il va falloir que je me répète souvent tout cela pour réussir à l’intégrer. Heureusement que les journalistes sont là pour faire preuve de pédagogie et de répétition.
Merci à vous, tous les gens raisonnables et très intelligents, de veiller sur nous.
Merci de nous dispenser de penser.

Reza Moghaddassi, le 23 juillet 2021.


À propos de l’auteur

Reza Moghaddassi

Jeune agrégé de philosophie – matière qu’il enseigne au Gymnase Jean-Sturm à Strasbourg –, Reza Moghaddassi est d’origine franco-iranienne. Né d’un père musulman et d’une mère catholique, il a embrassé le bouddhisme pendant dix ans. Ces trois traditions spirituelles nourrissent en profondeur sa vie intérieure, animée par une quête d’absolu qu’il a évoquée dans son premier ouvrage, La Soif de l’essentiel (Marabout, 2018).

Son dernier livre, Les murs qui séparent les hommes ne montent pas jusqu’au ciel (Marabout), interroge notre rapport à la vérité dans une période où les convictions s’entrechoquent. « On ne possède pas la vérité, on est tout au plus possédé par elle », souligne le philosophe, qui cherche à sortir de l’opposition des contraires. Selon lui, si chacun détient la vérité, il n’y a plus de vérité. « Le chaos naît de l’incapacité, comme dirait Héraclite, de faire du jeu des contraires l’équilibre qui rend possible la splendeur du monde. » [Le Monde.] Vigilance Pandémie ne partage pas ses convictions au sujet de la vérité.




Tribune : « A-t-on encore le droit d’exercer son esprit critique en France? »

[Source : QG – Le média libre]

Dans une tribune exclusive publiée par QG, plus de 400 chercheurs, universitaires, soignants, juristes, artistes et enseignants, dénoncent la censure inédite opérée autant par les médias que par les GAFAS au sujet de tout ce qui contredit le discours officiel sur le Covid. Chasse aux sorcières, règlements de compte, rien n’est épargné aux personnes qui contestent le bien-fondé du pass sanitaire, et réclament simplement plus de transparence concernant le processus vaccinal, ainsi qu’un débat contradictoire sur la stratégie sanitaire nationale.

Aucun d’entre nous n’aurait cru possible ce que nous voyons se dérouler sous nos yeux depuis un an et demi. Non pas qu’une nouvelle épidémie vienne mettre à l’épreuve nos systèmes immunitaires individuels et nos structures collectives de santé. Cela, c’était prévisible. Mais que la gestion de cette épidémie vienne mettre en péril des valeurs démocratiques, des libertés et des droits humains acquis de haute lutte depuis la Révolution française, cela, c’était impensable. Et pourtant.

Liberté d’aller et venir, liberté d’expression, liberté de commerce, liberté syndicale, droit au travail, égalité des droits de tous les citoyens, non-discrimination dans l’accès aux biens, lieux et services de la société (dont l’accès aux soins et l’accès à l’éducation), confidentialité des données de santé… la liste est longue, très longue.

Les états d’urgence s’empilent les uns sur les autres. Le Parlement est traité comme une simple chambre d’enregistrement. Le Président de la République gère seul la situation avec un « Conseil de défense sanitaire » dont aucun compte rendu de réunions n’est consultable. Les médias de toutes tendances ne laissent quasiment aucune place au débat contradictoire et ils répercutent la communication gouvernementale sans distance. Les réseaux sociaux ne sont plus du tout le support de la liberté d’expression qu’ils vantaient à leurs débuts. Google (propriétaire de YouTube) et Facebook ne se contentent plus d’orienter nos pensées à l’aide d’algorithmes. Avec d’autres (Twitter, Linkedin, etc.), ils opèrent désormais une censure massive de tout ce qui contredit le discours officiel sur le Covid.

Dans un tel contexte, certains se croient tout permis. Les influenceurs se déchainent, les attaques ad hominem pleuvent, les règlements de compte s’étalent. On voudrait non seulement discréditer à coups d’amalgames infantiles (complotistes ! complices de l’extrême droite !), mais aussi radier, démissionner, évincer, en un mot faire taire. Beaucoup de celles et ceux qui – de par leurs emplois – constituent les élites se taisent, souvent par peur d’être à leur tour ostracisés. Tout ceci rappelle à certains égards l’époque de la chasse aux sorcières sous le Maccarthysme.

Par ce texte, nous (professionnels et bénévoles de la recherche, de la santé, de l’éducation, du droit et de la culture) appelons toutes les femmes et tous les hommes qui ont encore un fort attachement à la démocratie à la défendre de toutes leurs forces. Non, il ne saurait être interdit de discuter les origines du Sars-Cov-2. Ni interdit d’interpréter les statistiques de mortalité autrement que pour dire que nous risquons tous de mourir (discours de la peur). Ni interdit de dire que le refus de soigner précocement les personnes contaminées est un dogme imbécile qui, pour le coup, pourrait donner lieu à des poursuites en justice. Ni interdit de dire que les confinements font plus de mal que de bien aux sociétés. Ni interdit de questionner l’influence des richissimes industries pharmaceutiques sur le monde scientifique et médical, sur les gouvernements, sur les organismes supranationaux (OMS, UE) et sur les médias. Ni interdit de constater que si la vaccination ARNm protège en partie des formes graves de Covid, en revanche, comme le variant dit Delta le montre partout dans le monde, elle ne garantit ni d’attraper ni de transmettre le virus, ce qui invalide le principe même du « passe sanitaire ». Ni interdit de contester que l’on vaccine par contrainte ou par chantage les enfants et les adolescents pour qui la balance risque/bénéfice est très défavorable. Ni interdit de demander que l’on attende, pour vacciner certaines catégories de personnes à risque (les femmes enceintes par exemple), d’avoir plus de transparence et de données de pharmacovigilance. Ni interdit de manifester tous les samedis si l’on considère qu’il est intolérable de discriminer massivement les citoyens par le biais d’un laisser-passer sanitaire.

Les principes de liberté et d’égalité, de même que les droits humains fondamentaux, ne se discutent pas, ne se compromettent pas. Ils sont les socles de notre société politique et le vrai fondement de la cohésion sociale. La liberté d’expression est l’un de ces droits fondamentaux. Ceux qui tentent d’une façon ou d’une autre d’en empêcher l’exercice agissent contre la démocratie.

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Voici l’adresse mail où le faire :

tribune.liberte.expression@gmail.com
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Les 400 premiers signataires:

  • Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
  • Jean Roudier, professeur de médecine à Aix-Marseille Université
  • Christian Vélot, généticien, maître de conférences à l’Université Paris-Saclay
  • Jean-Paul Bourdineaud, microbiologiste, professeur à l’Université de Bordeaux
  • Jean-Michel Claverie, virologue, professeur émérite à Aix-Marseille Université
  • Aurélia Vessière, virologue et épidémiologiste à l’Université de Bordeaux
  • Philippe Balcou, directeur de recherche, sciences physiques
  • Juliette Rouchier, directrice de recherche au CNRS, économie et environnement
  • Jean Chéry, directeur de Recherche au CNRS, géophysique
  • Claude Escarguel, microbiologiste, ancien président du Syndicat national des praticiens des hôpitaux généraux, porte-parole du collectif de médecins « Azi-Thro-d’hospitalisations »
  • Gérard Maudrux, médecin, président honoraire de la caisse maladie des professions libérales et de la caisse de retraite des médecins
  • Paul Touboul, professeur de médecine à l’Université de Lyon, ancien chef de service à l’hôpital de Lyon
  • Michel Drancourt, professeur de microbiologie médicale à Aix-Marseille Université
  • Philippe Brouqui, professeur de médecine à Aix-Marseille Université
  • Xavier Pin, professeur de droit pénal à l’Université Lyon 3
  • Philippe Ségur, professeur de droit public à l’Université de Perpignan
  • Élise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
  • Rafaëlle Maison, professeur des universités en droit public
  • David Lepoutre, professeur de sociologie à l’Université de Paris-Nanterre
  • Geneviève Massard-Guilbaud, directrice d’études à l’EHESS, chercheuse au CIRED
  • Manuel Zacklad, professeur en Sciences de l’Information et de la Communication au CNAM
  • Laurent Toubiana, épidémiologiste, chercheur à l’INSERM
  • Michel Deshaies, professeur de géographie à l’Université de Lorraine
  • Yannick Bruneton, professeur d’histoire à l’Université de Paris
  • Joëlle Le Marec, professeur de Sciences de l’information et de la communication au Museum National d’Histoire naturelle
  • Jean-Jacques Lottin, ancien vice-président de la Société Française de Santé Publique
  • Hélène Palma, maîtresse de conférences à Aix-Marseille Université, secrétaire générale de l’association « Enseignement, Recherche et Libertés »
  • Philippe Pognonec, directeur de Recherche au CNRS, Université de Nice
  • Claudie Rey, maître de conférences en sociologie à l’Université de Tours
  • Fabrice Colomb, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay
  • Gaëtan Flocco, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay
  • Guillaume Zambrano, maître de conférences en droit à l’Université de Nîmes
  • Bertrand Charrier, professeur des universités, directeur de l’IUT des Pays de l’Adour
  • Christopher Pollmann, professeur de droit public à l’Université de Lorraine
  • Serge Katz, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université de Picardie Jules Verne
  • Thierry Oblet, maître de conférences en sociologie à l’Université de Bordeaux
  • Mélanie Guyonvarch, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay
  • Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
  • Nathalie Chapon, enseignante-chercheuse en sociologie à Aix-Marseille Université
  • Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
  • Isabelle Aubert, maîtresse de conférences en sciences de l’ingénierie et du numérique à l’Université de Bordeaux
  • Patrick Martin, chargé de recherche (R) au CNRS, Université de Nice
  • Madalina Calamaz, maître de conférences à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
  • Sylvie Bordère, physico-chimiste, chargée de recherche au CNRS
  • Dan Ioan Muresan, maître de conférences en histoire à l’université
  • Nathalie Leroux, maîtresse de conférences en sociologie, Université Paris Nanterre
  • Christophe Brochier maître de conférences en sociologie à l’Université Paris 8
  • Igor Babou, professeur en Sciences de l’information et de la communication à l’université Paris Diderot
  • Carole Groussard, maitresse de conférences HDR en STAPS à l’Université de Rennes 2
  • Renaud Gabet, maître de Conférences, HDR, Institut Polytechnique de Paris
  • Agnès Lainé, historienne, membre de l’Institut des Mondes Africains
  • Colette Anné, mathématicienne au CNRS
  • Mathias Delori, chargé de recherche CNRS au Centre Marc Bloch de Berlin
  • Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences à Sorbonne Université
  • Jean-Christophe Cousin, maître de conférences à Telecom Paris
  • Hélène Banoun, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chercheuse à l’INSERM
  • Chantal Carpentier, docteur d’Etat en droit international public, maîtresse de conférences retraitée
  • Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université d’Aix-Marseille
  • Jean Louis Rouvillain, professeur émérite d’orthopédie et traumatologie
  • Dominique Harmand, professeur émérite à l’Université de Lorraine
  • Caroline Petit, chercheuse au CNRS
  • Béatrice Pastre-Belda, maître de conférences de droit public HDR à l’Université de Montpellier
  • Aude Saint Pierre, maître de conférences en statistique à l’Université de Brest
  • Monique Plaza, chercheur HDR en neuropsychologie
  • Annie Notelet, présidente de l’Union pour la Prévention et la Gestion des Crises Sanitaires
  • Anne-Typhaine Bouthors, docteur en microbiologie médicale, Ph D Université Paris VI
  • Richard Refuggi, enseignant en STAPS à l’Université Grenoble-Alpes
  • Guy Bensimon, maître de conférences honoraire en sciences économiques à l’université
  • Dominique Labbé, enseignant-chercheur (R) à l’Université Grenoble-Alpes
  • Jean-Jacques Wunenburger, professeur émérite de philosophie à l’Université Lyon 3
  • Emmanuelle Darles, enseignante-chercheuse à Aix-Marseille Université
  • Vincent Pavan, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université
  • Philippe Rogeon, maitre de conférences à l’Université de Bretagne Sud
  • Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon
  • Éric Chabrière, professeur de médecine à Aix-Marseille Université
  • Alain Chatelet, biologiste, professeur (R) à l´École Nationale Supérieure d´Architecture de Toulouse (ENSA Toulouse)
  • Benoit Marpeau, maître de conférences en Histoire contemporaine à l’Université de Caen-Normandie
  • François Saint-Pierre, professeur (R) des universités, Labex « Structurations des Mondes Sociaux », Université de Toulouse
  • Yves André, docteur en astrophysique, prix Servant de l’Académie des Sciences de Paris
  • Thierry Godefroy, économiste, ingénieur de recherche (R) au CNRS
  • Anne Fremaux, agrégée de philosophie et docteure en écologie politique
  • Pascal Touhari, docteur en droit, enseignant à l’Université de Montpellier
  • Gérard Lehmann, maître de conférences à l’Université de Sud Danemark
  • René Chiche, professeur agrégé de philosophie, vice-président Action et Démocratie/CFE-CGC, membre du Conseil supérieur de l’éducation
  • Jacques Pollini, PhD, chercheur indépendant, anthropologie de la santé
  • Alexandra Henrion Caude, généticienne, directrice de l’Institut de recherche SimplissimA
  • Christian Ghasarian, professeur d’ethnologie à l’université de Neuchâtel
  • Valérie Lowit, ingénieur d’études, Université de Paris
  • Damien Jeanne, enseignant en histoire à l’université de Caen et du Havre
  • Emmanuelle Duchez, chargée de communication à l’Université Côte d’Azur
  • Eloi Buat-Ménard, magistrat
  • Jean-Claude Berlioz, Avocat Général honoraire
  • Clément Schouler, magistrat, membre du Syndicat de la Magistrature
  • Jean-Christophe Berlioz, magistrat, membre du Syndicat de la Magistrature
  • Pierre Soler-Couteaux, avocat au Barreau de Strasbourg, professeur agrégé de droit public
  • Caroline Mecary, avocate 
  • Sendegul Aras, avocat
  • Bruno Raffi, avocat
  • Elizabeth Oster, avocat à la Cour
  • Nicole Foulquier, avocat
  • Sarah Scalbert, avocate au barreau de Paris
  • Maryse Pechevis, avocate au barreau de Montpellier
  • Corinna Kerfant, avocat au barreau de Versailles 
  • Evie Jaumary-Lapeyre, avocat
  • Evelyne Carbonnell, avocate
  • Elodie Menant, comédienne, auteur
  • Grégori Baquet, comédien
  • Clémence Thioly, comédienne
  • Herrade Von Meier, comédienne
  • Nathalie Mann, comédienne
  • Hugues Leforestier, auteur, comédien
  • Myriam Boyer, comédienne
  • Fanny Cabon, comédienne
  • Lionel Gedebe, réalisateur
  • Samuel Ternoy, musicien
  • Béatrice Charrié, éditrice
  • Patricia Halmone, artiste peintre
  • Marc Menant, journaliste et écrivain
  • Benoit Ducene, traducteur et musicien
  • Elena Ducene, professionnelle de la culture
  • Anne Marie Begué-Simon, céramiste
  • Caroline Mollie, architecte-paysagiste, auteure
  • Marie-José Minassian, philosophe, écrivain
  • Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue
  • Stéphane Gayet, médecin infectiologue et hygiéniste au CHU de Strasbourg
  • Benoit Bataille, médecin anesthésiste réanimateur
  • Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur
  • Agnès Koenig, médecin anesthésiste réanimateur
  • Isabelle Curtet, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Georgi Radev, médecin urgentiste SAU/SMUR
  • Nelly Blanchet, médecin inspecteur de santé publique
  • David Esfandi, psychiatre et addictologue
  • Marie Estelle Dupont, psychologue clinicienne et auteur 
  • Jean-Louis Rouvillain, médecin généraliste à Fort-de-France
  • Véronique Orth Weyers, médecin généraliste à Fort-de-France
  • Eric Reboli, médecin urgentiste
  • Jean-Paul Ricci, chirurgien-dentiste
  • Laurent Huillard, médecin généraliste
  • Gérard Vigneron, médecin
  • Bernadette Meignan, médecin
  • Béatrice Fort, médecin hospitalier
  • Cyril Lecomte, psychiatre des Hôpitaux
  • Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget
  • Xavier Larvor, médecin généraliste
  • Françoise Douady, médecin généraliste
  • Pierre Quentel, chirurgien urologue
  • Roseline Marie, médecin généraliste
  • Marie-Christine Rabut, médecin généraliste
  • Hubert Sroussi, médecin généraliste
  • Philippe de Chazournes, médecin généraliste
  • Jeanine Jemet, médecin généraliste
  • Chlotilde Véron, médecin généraliste
  • Robert Le Texier, médecin généraliste
  • Véronique Ahari, médecin
  • Monique Sroussi, médecin
  • Monique Lamizet, médecin
  • Cyril Loubradou, ostéopathe
  • Pierre Bonhoure, kiné ostéopathe
  • Aurore Dessus, ostéopathe
  • Dominique Domergue-Anguis, médecin gynécologue
  • Marie-Carole Fleury-Munier, médecin, rhumatologue
  • Dominique Ricci Cagnol, médecin, ORL
  • Gisèle blanc, médecin
  • Cécile Loth, médecin du sport
  • Jean-Baptiste Mouzet, médecin
  • Bertand Jop, médecine, cardiologue
  • Maryline Costagliola, médecin pédopsychiatre hospitalier
  • Soraya Berreghis Mazery, médecin généraliste
  • Malina Canolle, médecin généraliste
  • Gilles Spagnolo, médecin gynécologue-obstétricien
  • Catherine Raulin, médecin ostéopathe
  • Pascale Chandy, médecin à l’hôpital de Challans
  • Francoise Douady, médecin
  • Francine Barouch, médecin 
  • Laurent Hervieux, médecin
  • Claude Chiche, médecin généraliste
  • Hélène Roux, médecin généraliste
  • Philippe Lefebvre, médecin généraliste
  • Anne-Marie Begue-Simon, médecin
  • Isabelle de la Chaussée-Ruzzica, médecin
  • Jean-Paul Guérard, médecin
  • Christophe Leroy, docteur en biologie moléculaire et cellulaire
  • Thi Linh Hoang, médecin acupuncteur
  • Virginie Thomas-Haag, médecin d’urgence
  • Pierre-Laurent Vidal, médecin généraliste
  • Catherine Delmas, médecin
  • Christine Calatayud, infirmière
  • Jocelyne Cortier infirmière
  • Nathalie Hannhart, psychologue
  • Florie Gaeta, infirmière au Centre hospitalier de Bourges
  • Soizic Noël-Bourgois, infirmière, docteure en ethno-anthropologie
  • René Messagier, docteur en médecine, médecin généraliste
  • Corinne Reverbel, docteur en biochimie
  • Janine Nazaire, docteur en chirurgie dentaire
  • Idriss Abiola, infirmier anesthésiste
  • Frédérique Pegeot, pharmacien
  • Rémi Saudax, pharmacien
  • Christine Fernandez, infirmière
  • Justine Lewna, infirmière
  • Alice Uwamwezi, infirmière
  • Carole Jolly, infirmière
  • Pauline Ledoux, infirmière
  • Emmanuelle Mesmacque, Infirmière
  • Nathalie Loizeau infirmière santé travail
  • Romy Roudier, pharmacienne
  • Daniel Robinson, médecin généraliste
  • Anne Maynadié, médecin généraliste
  • Richard Simon, cadre de santé
  • Ingrid Labbé, cadre de santé hospitalier
  • Leïla Gofti-Laroche, praticien Hospitalier, PharmD, PhD Epi
  • Michel Ternoy, psychologue retraité de la Fonction Publique Hospitalière, docteur d’Etat
  • Vincent Reliquet, médecin, rédacteur en chef de l’Association Internationale pour une médecine scientifique, indépendante et bienveillante
  • François Gastaud, médecin, chirurgien orthopédiste
  • Nicolas Tetaz ingénieur spatial
  • Laurent Durinck, anesthésiste
  • Olivier Lhoest, anesthésiste-réanimateur
  • Florence Lair, médecin radiologue
  • Christiane Lassalle, médecin généraliste
  • Claire Paris, médecin généraliste
  • Françoise Giorgetti-d’Esclercs, médecin ORL
  • Éric Portes, médecine générale
  • Valérie Papapietro, médecin généraliste
  • Catherine Solignac, médecin généraliste
  • Philippe Cliquet, médecin généraliste
  • Véronique Chevalier, infirmière
  • Guillaume Renouf, infirmier
  • Marguerite Schnell, infirmière
  • Valérie Nesme, infirmière 
  • Nathalie Devaucoup, infirmière
  • Brigitte Agostini, infirmière libérale
  • Christine Wahl, kinésithérapeute
  • Nathalie De Vliegher, kinésithérapeute
  • Cindy Gual, ostéopathe
  • Léa B. Blanchet, ostéopathe
  • Alain Joseph, médecin généraliste
  • Francois Serres, médecin généraliste
  • Josiane Martelin, pharmacienne libérale
  • Anna Torra Campos, kinésithérapeute à l’hôpital Edouard Herriot
  • Rik Verhellen, chirurgien orthopédique
  • Éric Ménat, docteur en médecine, médecin généraliste
  • Marie Hélène Lottin, médecin psychiatre
  • Céline Mouillon, pharmacienne et thérapeute
  • François de Chabalier, psychiatre
  • Delphine Rive, médecin généraliste
  • Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste
  • Sophie Conord, médecin radiologue
  • Françoise Robinson, médecin
  • Thuy Chi Nguyen, médecin
  • Anne Crepy, médecin
  • Jean-Luc Boesch, médecin généraliste
  • Raphaële Vangrevelinghe, médecin, chirurgie dentaire, pédiatrie
  • Paul-André Bellot, chirurgien-dentiste
  • Paul Bousquet, docteur en médecine, évaluateur de risques sanitaires
  • Jean-Christian Prévost, ostéopathe
  • Valérie Giraud, sage-femme, sexologue
  • Cléchet Sylvie, infirmière
  • Sonia Joyeux-Bouillon, radiologie médicale
  • Youssouf Djonouma, médecin généraliste
  • Béatrice Mullie, médecin généraliste
  • Alain-Philippe Maniette, médecin généraliste
  • Eric Delcour, médecin généraliste
  • Marc Arer, médecin généraliste
  • Hélène De Cristoforo, docteur en médecine, médecin généraliste
  • Claire Delval, médecin généraliste
  • Christiane Renard, médecin généraliste
  • Geneviève Gueymard, médecin généraliste
  • Béatrice Petit, médecin généraliste
  • Romain Dupont, médecin interniste à l’Hôpital Joseph Ducuing
  • Bénédicte Dassonville, médecin Ingénieur ENSH, psychothérapeute
  • Stéphane Ottin Pecchio, médecin rhumatologue
  • Pascale Allanic Gabsi, psychologue
  • Laurence Maury, psychologue
  • Mathieu Goldstein, masseur-kinésithérapeute
  • Gérard Martinez, psychologue clinicien
  • Sylvie Blasquez, psychologue clinicienne 
  • Muriele Savigny, médecin psychiatre
  • Juliette Bianchi, médecin psychiatre
  • Vladislav Lebedko, médecin psychiatre
  • Sarah Loyer, psychologue
  • Anne-Marie Bras Le Coadout, psychologue
  • Aurélie Vantard, masseur-kinésithérapeute, ostéopathe
  • Alain Picard, pharmacien
  • Valérie Lecomte, infirmière
  • Khadidja Meziani, infirmière
  • Jean-Roch Aubertein, infirmier
  • Jocelyn Croze, praticien hospitalier en Odontologie
  • Alain Brunel, docteur en biologie, enseignant
  • Céline Grenier, infirmière
  • Françoise Rodary, médecin généraliste
  • Béatrice Georget-Tard, médecin généraliste
  • Michel Thomas, médecin généraliste
  • Horia Far, aide-soignante au CHU de Nice
  • Mathilde Taverne, masseur-kinésithérapeute
  • Benoît Quentin, kinésithérapeute
  • Christelle Guicherd, psychologue clinicienne
  • Nathalie Pilot-Maier, préparatrice en pharmacie
  • Béatrice Stantina, aide-soignante/auxiliaire de vie
  • Valérie Perrochet, assistante sociale en hospitalisation à domicile
  • Fausto Lanzeroti, masseur-kinésithérapeute
  • Sandrine Cauvin, masseur kinésithérapeute
  • Élisabeth Angoujard, radiologue 
  • Hélène Debruyne, orthophoniste 
  • Renée Marx, orthophoniste
  • Julie Croze, orthophoniste
  • Sylvie Ruiz, infirmière
  • Christine Keiser, sage-femme
  • Sandrine Mathieu, sage-femme
  • Mathieu Armessen, ostéopathe
  • Pauline Rigollier, masseur kinésithérapeute 
  • Jocelyne Ndoye, psychologue
  • Sandra Rayer, psychologue
  • Viviane Truel, psychologue clinicienne
  • Dominique Porquez, aide-soignante à l’hôpital
  • Anne-Claire Monfroy Gauchier, masseur-kinésitherapeute
  • Anne-Elisabeth Migeon, diététicienne-nutritionniste
  • Lidwine Loire, aide-soignante, services de soins infirmiers à domicile
  • Catherine Vincent, aide-soignante
  • Renaud Vidal, chercheur en gestion de crise
  • Samuel Reslinger, aumônier hospitalier 
  • Françoise Gaillard, aide-soignante
  • Hervé Bery, auxiliaire de vie
  • Rose-Marie Castello, médecin
  • Jeanne-Marie Brossollet, chirurgien-dentiste
  • Soisik Ghesquières, masseur-kinésithérapeute
  • Vanessa Girard, ostéopathe
  • Nathalie Caradot, médecin généraliste
  • Bernard Verdoux, médecin généraliste
  • Patrick Frayssinet, médecin, docteur ès sciences, directeur de recherche dans l’industrie
  • Julie Lioré, anthropologue
  • Laurent Trémel, sociologue
  • Thierry Raffin, sociologue et historien, docteur de l’EHESS
  • Christophe Andréo, docteur en sociologie, conseiller au Pôle Emploi
  • Mathias Teichner, agrégé de sciences économiques et sociales
  • Catherine Lucquiaud, ingénieur de recherche
  • Hervé Laloy, professeur de philosophie
  • Françoise Marie, éducatrice spécialisée
  • Franck Lepage, militant d’éducation populaire à l’Ardeur
  • Thierry Rouquet, éducateur populaire à l’Ardeur
  • Gérard Masselin, enseignant en CPGE
  • Pascal Borde, enseignant en CPGE
  • Sophie Thoron-Salert, enseignante
  • Emmanuelle Azevedo, professeur des écoles
  • Cécile Mencaglia, professeur des écoles
  • Sandrine Barbelin, professeur des écoles
  • José Mata Diaz, professeur d’Espagnol
  • Lys Sanagustin, professeur d’Espagnol
  • Charles-Emeric Gauthier, professeur d’Anglais
  • Christelle Pangallo, professeur d’Anglais
  • Alice Ageron, professeur d’Anglais
  • Pete Barker, professeur d’Anglais
  • Franck Jean-Albert, professeur agrégé de Mathématiques
  • Sophie Amand, professeur de sciences économiques et sociales
  • Marie Vantis, enseignant/formateur d’arts appliqués
  • Jean-Louis Delahaut, professeur d’enseignement artistique
  • Gilles Plunian, enseignant EPS et psycho-ergonome 
  • Raphaël Leloup, professeur d’EPS
  • Christine Zeppenfeld, proviseure-adjointe
  • Joëlle Goudineau, conseillère d’orientation, psychologue
  • Martine Boury, cadre supérieur de la fonction publique
  • Jésus Sanchez, docteur en psychologie sociale, ancien directeur de recherche au CTNERHI
  • Christine Pinard, professeure de lettres modernes 
  • Jean-Marc Gringoz, enseignant d’EPS
  • Frédéric Gobert, enseignant
  • Alain Letombe, enseignant
  • Christianne Joubert, enseignante
  • Tony Marzucchetti, professeur des écoles 
  • Julie Raveau, professeure des écoles
  • Michèle Rey, professeur des écoles retraitée
  • Heike Freire, philosophe et psychologue
  • Valérie Pradier, professeur des écoles
  • Sophie Melilli, professeur des écoles
  • Anne-Léa Le Goff, professeur d’espagnol
  • Monique Bernardini, enseignante et responsable associative
  • Danielle Deville, professeur CPGE Sciences Physiques, retraitée
  • Isabelle Pruvot, enseignante en lycée
  • Fatma Djoubri, professeure de SES
  • Thierry Flaget, conseiller d’éducation
  • Nadine Mauviel, professeur (R) d’histoire-géographie
  • Sandrine Napoléone, professeur des écoles
  • Franck Jean-Albert, professeur agrégé de mathématiques
  • Joseph Rivière, professeur d’histoire-géographie
  • Angélique Silva, enseignante spécialisée dans le 1er degré
  • Jean Charles Renavot, retraité de l’éducation nationale
  • Marie-Pierre Larras, ancienne professeur de lettres
  • Nicolas Vantis, docteur ingénieur, enseignant en mathématiques et sciences
  • Arthur Roncetto, bibliothécaire
  • Camille Secret, enseignante en CFA
  • Catherine Avice, enseignante
  • Sabine Calvino, enseignante
  • Françoise Ternoy, éducatrice spécialisée, psychomotricienne
  • Carole Jensen, AESH en classes ULIS
  • Marc Lepoivre, professeur de culture générale en BTS
  • Alaric Titeux, enseignant de la conduite
  • Anne Pajard, ingénieure d’étude
  • Guillaume Saint Pierre, statisticien, chargé de recherche du développement durable
  • Pierre-Olav Lego, ingénieur
  • Bernard Cornut, ingénieur
  • Rosolino Lionti, Ingénieur
  • Djamil Ramdane, ingénieur du contrôle de la navigation aérienne
  • Pascale Moro, ingénieur dans le spatial
  • Paolo Musardo, ingénieur électronicien
  • Luc Petitnicolas, référent Mastère Entrepreneuriat Numérique Responsable R&D en projet numérique
  • Danièle Guéguen, inspectrice à la CAF
  • Pauline De Castro, conseillère sociale
  • Angélique Leblanc, surveillante en Maison d’Accueil Spécialisée
  • Jacques Quach, consultant Systèmes d’Information
  • Sophie Rey, éducation nationale
  • Luc Baillet, architecte, sécurité sanitaire environnementale
  • Marion Baillet, architecte
  • Rémi Astier, actuaire



Pour la liberté et contre le pass sanitaire et les obligations vaccinales cachées

Par Nicole Delépine

Ils sont venus, ils sont tous là, au moins tous ceux qui le pouvaient et de plus en plus nombreux de semaine en semaine, passant d’une centaine de villes en juillet à près de 300 le 28 août. Évidemment à 1000 par manif, cela fait encore plus que le chiffre officiel donné la veille (pour dégoûter de se déplacer ?). Nouvelle stratégie des communicants de E. Macron qui n’arrêtent pas d’inventer comment truquer…

Bref, vous regarderez vous-même des centaines de photos ou/et vidéos de la belle mobilisation du 28 août, où tous les Français n’étaient pas encore rentrés de vacances et pour beaucoup n’avaient pas encore réalisé l’ampleur des soucis et parfois des drames que la politique gouvernementale suscite.

De l’augmentation des prix (chauffage, alimentation, etc.) à la suppression des indemnités chômage pour d’autres), aux menaces de licenciement ou de suppression de salaire, à la pression des employeurs soumis aux injonctions gouvernementales minorant les conséquences prud’homales, les recours, etc. Les parents n’en pourront très vite plus non plus et rejoindront les rangs des partisans de la Liberté, harcelés par leurs enfants voulant s’inscrire à la danse ou au foot où les organisateurs soumis eux aussi insisteront pour les faire vacciner.

Ceux — là ne pèseront pas d’emblée (au-delà de leur responsabilité morale), les ennuis successifs liés aux procédures anti-harcèlement auxquelles ils s’exposent, victimes de la propagande. Pourtant celle — ci ne leur donne pas tous les droits et chacun doit bien peser ses responsabilités propres avant de se transformer en harceleur.

Les victimes des pressions à tous les étages

En dehors des labos commercialisant ces poisons pseudovaccins qui ont bien stipulé dans les contrats signés avec l’UE qu’ils seront dégagés de toute responsabilité en cas d’accident, ce n’est évidemment pas le cas de la directrice d’école qui va imposer la vaccination à ses enseignants à force de pression (elle-même pressurisée par le rectorat) ni même du directeur de clinique ou de service hospitalier harcelé par les ARS.

Les sadiques peuvent s’exprimer

Tous les « petits chefs » qui imposent à leur personnel des tests PCR à répétition y compris les vaccinés bien sûr tout aussi contaminants (seule BFM TV ne le sait pas et encore…) seront un jour amenés à répondre de leurs actes complices et sadiques, comme d’empêcher les familles d’accompagner leurs mourants ou même de séparer les vieillards au sein des EHPAD de leur propre chef…

Comme dit cette dame de 97 ans seule dans sa chambre depuis des lustres, pourquoi m’interdire de parler avec ma voisine de la chambre à côté ?1 Du sadisme, de la perversion à l’ombre de ces ordres mortifères.

Certes, tous ne seront pas poursuivis et condamnés, mais quelques-uns se retrouveront devant les tribunaux, le délit de harcèlement au travail étant maintenant bien reconnu. Et les autres trembleront de voir leur tour arriver.

DES MANIFESTATIONS MASSIVES ET JOYEUSES DANS DE TRÈS NOMBREUSES VILLES DE FRANCE

Des chiffres : de 300 000 à environ 3 millions 600 selon des sources policières. Peu importe le chiffre exact, un souffle de liberté se répand dans le pays et bien d’autres aussi comme l’Italie, ou Israël, la Grèce, l’Allemagne, l’Angleterre, etc.

Il ne s’arrêtera plus, car en même temps les conséquences de la politique criminelle de trop de pays occidentaux arrivent au grand jour avec les décès et accidents multiples liés aux pseudovaccins. L’impossibilité d’obtenir une immunité collective via ces substances géniques devient évidente et est même reconnue par des responsables sanitaires et la demande de rappel tous les six mois ouvre des yeux encore mi-clos. Et beaucoup de scientifiques se succèdent pour expliquer les raisons de l’échec. Chaque jour une nouvelle contribution.

28 août

« Le Dr David Bauer révèle les résultats de son étude : plus l’on reçoit de doses, plus notre niveau d’anticorps neutralisants diminue !! Avec 2 doses, on se retrouve avec 5 à 6 fois moins de ces anticorps qui sont les piliers de nos défenses immunitaires !! »2

La prise de conscience des adeptes de la secte Covid est lente, mais certaine, et les peuples se sont réveillés à temps avant que leur Grand Reset ne se soit vraiment installé.

« Ils » avaient juste oublié dans leur société basée sur l’intelligence artificielle — tout sauf intelligente — et les robots, que les humains ne se laisseront pas envoyer à l’abattoir comme les cochons, les vaches ou les poulets et qu’ils s’en trouveraient suffisamment pour être grains de sable capables d’enrayer la machine et de réveiller les endormis et les demi-éveillés. Et les ennuis de leurs familles ou amis vaccinés contribueront aussi à leur prise de conscience, après la nécessaire évocation du hasard et des coïncidences…

Ils avaient oublié l’HOMME.

Quelques images du 28 août

sont visibles, entre autres, sur le compte « anonyme citoyen » de tweeter et de Telegram, des grandes villes aux villages de quelques centaines d’habitants.

Ne vous privez pas d’aller les consulter, c’est bon pour le moral ! Cette vidéo d’un ami pas encore supprimée de YouTube également qui a participé à la manifestation parisienne :

Les nombreux cris de soutien à Raoult à Marseille comme la semaine précédente

Aix-en-Provence

ET LA CHAÎNE HUMAINE : emprunterons-nous la VOIE BALTE ?

La généticienne Alexandra Henrion-Caude nous rappelle la belle idée des Estoniens. Voulant libérer les pays baltes du joug soviétique. Ils ont en 1989 réalisé une chaîne de centaines de km reliant trois villes.

23 août 1989 : plus de deux millions de personnes ont formé une chaîne humaine de 687 kilomètres, partant de Vilnius (Lituanie) en passant par Riga (Lettonie) à Tallin (Estonie) et surnommée « la voie balte »3. Selon les estimations, plus d’un tiers de la population des pays baltes y pris part4.

UN EXEMPLE ACTUEL DES PAYS BALTES 5

« Nous refusons de nous battre les uns contre les autres » 

Aujourd’hui il ne s’agit plus d’obtenir l’indépendance, mais, comme les initiateurs l’annonçaient sur leur site internet (www.balticway2021.com), de montrer que les Baltes, vaccinés ou non, restent unis quoiqu’il arrive :

« Peu importe ce que vous pensez des événements actuels — que vous pensiez que nous avons une urgence médicale ou que la situation de Covid est fabriquée pour l’utilisation d’une politique oppressive et la restriction délibérée de nos libertés par les pouvoirs de contrôle. Vaccinés ou non, peu importe […]

Ils essaient de creuser un fossé entre nous, mais non, cela n’arrivera pas ! Nous refusons de nous battre les uns contre les autres, mais au lieu de cela, nous invitons chacun d’entre nous à se retrouver, à s’aimer et à être unis »

Pour une « société sans intimidation »

Les organisateurs, Rūdolfs Brēmanis (Lettonie), Robertas Vaišnoras (Lituanie), Hando Tõnumaa et Mariann Joonas (Estonie) expliquent ainsi les revendications portées par ce mouvement populaire :

« Nous sommes en faveur de la liberté de choix en matière de vaccination. Chacun a droit à l’intégrité de son corps.Nous sommes en faveur de l’égalité et de l’unité. Une société dans laquelle les gens sont confinés ne crée pas un milieu de vie sûr.Nous défendons une protection ciblée.

Nous devons protéger les groupes à risque de toute maladie et permettre au reste de la société de vivre une vie normale sans violer les droits de l’homme et les libertés. Une personne à risque a également le droit de décider elle-même du type de vie qu’elle souhaite.

Nous sommes favorables à la fourniture de statistiques et de données ouvertes et honnêtes. Une science transparente, un questionnement et un débat ouvert doivent être la base de la prise de décision.Nous voulons que plus d’attention soit accordée à la santé mentale. Nous sommes en faveur de messages positifs, inspirants et encourageants plutôt que négatifs, menaçants et intimidants.

Nous sommes en faveur d’une société sans intimidation. »

SAURONS-NOUS NOUS INSPIRER DE LA VOIE BALTE ?

L’appel du professeur de génétique Alexandra Henrion-Caude a commencé à être entendu le 28 août à Paris, place de la Bourse, mais aussi dans plusieurs villes de France à Morlaix, Bourges, Caen, Nice, une belle manière de resserrer les liens entre nous, les Humains après tant de tentatives de nous éloigner les uns des autres. Merci Alexandra.


[1] Aug 24, 2021

https://twitter.com/ab43395876a/status/1429673268613722115?s=28

[2] #manifs28août via @VSainement »

[3] Le 23 août 1989, cette date célèbre le 50ème anniversaire du pacte Molotov-Ribbentrop. Pourquoi manifester après 50 ans ? Parce que c’est seulement l’année précédente, en 1988, que le contenu de cet accord a été rendu public ! Les mouvements nationaux des trois pays baltes joignent alors leurs efforts pour faire un rassemblement massif : Le Front populaire d’Estonie, Le Front populaire de Lettonie, Le Mouvement réformateur de Lituanie. Ils suscitèrent une grande levée des peuples qui forma cette chaîne humaine avec la population des trois pays baltes. Ils en profitèrent pour réclamer l’indépendance illégalement annexés à l’URSS en juin 1940. ( K dit la Bible ? Deux millions de chaîne humaine — la voie Balte (k-dit-la-bible.com) )

[4] Une chaîne humaine, longue de 687 kilomètres, reliait Vilnius à Tallin, en passant par Riga, en opposition au régime soviétique. https://fr.euronews.com/2019/12/18/il…

[5] Voie Balte 2021 : une chaîne humaine contre la « dictature sanitaire » | Visegrád Post (visegradpost.com)




La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Dr Robert Young – Le 20 août 2021

https://www.drrobertyoung.com/post/transmission-electron-microscopy-reveals-graphene-oxide-in-cov-19-vaccines

La microscopie à contraste de phase, la microscopie électronique à transmission et à balayage et la spectroscopie à rayons X à dispersion d’énergie révèlent les ingrédients des vaccins contre le CoV-19 !

Résumé

Il existe actuellement quatre grandes sociétés pharmaceutiques qui fabriquent un vaccin contre le SRAS-CoV-2, maintenant appelé SRAS-CoV-19. Ces fabricants et leurs vaccins sont Pfizer– le vaccin ARNm BioNTech, Moderna- le vaccin ARNm Lonza -1273, Serum Institute- le vaccin Oxford Astrazeneca et le vaccin Covid-19 Janssen, fabriqué par Janssen Biotech Inc, une société pharmaceutique Janssen de Johnson & Johnson, un adénovirus recombinant, inapte à la réplication, exprimant la protéine de pointe du SRAS-CoV-2. L’objectif de ces vaccins est de conférer une immunité contre le nouveau coronavirus infectieux ou SARS-CoV-2, désormais appelé SARS-CoV-19. Ces quatre sociétés pharmaceutiques n’ont pas fourni de divulgation complète à la FDA sur leur boîte de vaccin, leur fiche d’information ou leur étiquette pour bon nombre des ingrédients majeurs et/ou mineurs contenus dans ces soi-disant vaccins. Le but de cet article de recherche est d’identifier les ingrédients majeurs et mineurs spécifiques contenus dans le vaccin Pfizer, le vaccin Moderna, le vaccin Astrazeneca et le vaccin Janssen en utilisant divers tests scientifiques anatomiques, physiologiques et fonctionnels pour chaque vaccin SRAS-COV-2-19. En tant que droits de l’homme, régis en vertu du droit international par le Code de Nuremberg de 1947, l’information sur les ingrédients spécifiques du vaccin est essentielle, requise et nécessaire à connaître pour que tout être humain de n’importe quel pays au monde puisse prendre une décision éclairée quant à son consentement ou non à l’inoculation du SRAS-CoV-2-19. Nous avons effectué les tests scientifiques sur chaque vaccin et avons identifié plusieurs ingrédients ou adjuvants non divulgués qui sont contenus dans ces quatre vaccins contre le SRAS-CoV-2-19. Actuellement, ces vaccins sont administrés à des millions d’êtres humains dans le monde entier en vertu d’une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) délivrée par chaque pays sans que tous les ingrédients soient divulgués et, dans certains cas, à la demande de gouvernements ou d’employeurs, ce qui constitue une violation des droits de l’homme en vertu du Code de Nuremberg de 1947.

Méthodologie et techniques

Quatre « vaccins » ont été analysés, à savoir le vaccin Pfizer-BioNtech, Moderna-Lonza mRNA-1273, Vaxzevria d’Astrazeneca, Janssen de Johnson & Johnson, en utilisant différents instruments et protocoles de préparation selon les nouvelles approches technologiques des nanoparticules. Les différents instruments comprennent la microscopie optique, la microscopie à champ clair, la microscopie à contraste de pHase, la microscopie à champ sombre, l’absorbance UV et la spectroscopie de fluorescence, la microscopie électronique à balayage, la microscopie électronique à transmission, la spectroscopie à dispersion d’énergie, le diffractomètre à rayons X et les instruments de résonance magnétique nucléaire, qui ont été utilisés pour vérifier la morphologie et le contenu des « vaccins ». Pour les mesures de haute technologie et le soin de l’enquête, tous les contrôles ont été activés et les mesures de référence adoptées afin d’obtenir des résultats validés.

Microscopie à contraste de phase et à champ sombre du sang vivant

Des images des fractions aqueuses des vaccins ont ensuite été obtenues pour évaluer visuellement la présence éventuelle de particules de carbone ou de graphène.

Les observations en microscopie optique ont révélé une abondance d’objets laminaires 2D transparents qui présentent une grande similitude avec les images de la littérature (Xu et al, 2019), et avec les images obtenues à partir de la norme rGO (SIGMA)(Figures 1, 2 et 3).

Des images de grandes feuilles transparentes de taille et de formes variables ont été obtenues, montrant des formes ondulées et plates, irrégulières. Des feuilles plus petites de formes polygonales, également similaires aux flocons décrits dans la littérature (Xu et al, 2019) peuvent être révélées avec la microscopie à contraste de pHase et à champ sombre (Figure 3).

Tous ces objets laminaires étaient répandus dans la fraction aqueuse de l’échantillon de sang (Figure 1) ou de vaccin (Figures 2 et 3) et aucun composant décrit par le brevet déposé ne peut être associé à ces feuilles.
 

Figure 1, vous pouvez voir à quoi ressemble une bombe à fragmentation d’oxyde de graphène réduit (rGO) dans le sang humain vivant non taché après une inoculation de CoV-19 provoquant une coagulation sanguine pathologique ![1][2][55][56][57]
 

La figure 1 est une micrographie d'un amas de carbone d'oxyde de graphène réduit (rGO) visualisé dans le sang humain vivant non coloré avec une microscopie à contraste de pHase à 1500x. Notez que les globules rouges s'agglomèrent dans et autour du cristal rGO dans une condition connue sous le nom de Rouleau ! Un mot français qui signifie "empiler".

La figure 1 est une micrographie d’un amas de carbone d’oxyde de graphène réduit (rGO) visualisé dans le sang humain vivant non coloré avec une microscopie à contraste de pHase à 1500x. Notez que les globules rouges s’agglomèrent dans et autour du cristal rGO dans une condition connue sous le nom de Rouleau ! Un mot français qui signifie « empiler ».

Quels sont les ingrédients non divulgués contenus dans les vaccins CoV-19 soi-disant Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen ?

Pour répondre à cette question, une fraction aqueuse des vaccins Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen a été prélevée dans chaque flacon, puis examinée séparément sous microscope à contraste de pHase à des grossissements de 100x, 600x et 1500x, montrant des preuves anatomiques de particules d’oxyde de graphène réduit (rGO) qui ont été comparées à des micrographies de rGO de Choucair et al, 2009 pour identification et vérification[3].

Étapes de l’analyse des fractions aqueuses du vaccin

Les échantillons réfrigérés ont été traités dans des conditions stériles, en utilisant une chambre à flux laminaire et du matériel de laboratoire stérilisé.

Les étapes de l’analyse sont les suivantes :

1. Dilution dans du sérum physiologique stérile à 0,9 % (0,45 ml + 1,2 ml)

2. Fractionnement par polarité : 1,2 ml d’hexane + 120 ul d’échantillon RD1

3. Extraction de la phase aqueuse hydrophile

4. Balayage de l’absorbance UV et de la spectroscopie de fluorescence
 

La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d'oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

5. Extraction et quantification de l’ARN dans l’échantillon

6. Microscopie électronique et optique de la pHase aqueuse.

Les ingrédients non divulgués du « vaccin » de Pfizer

Les micrographies des figures 2 et 3 ont été obtenues par microscopie optique à contraste de pHase 100X, 600X et 1500X, à champ sombre et à champ clair [3].

À gauche de chaque micrographie, vous verrez des micrographies obtenues à partir de la fraction aqueuse du vaccin Pfizer contenant du rGO.

À droite de chaque micrographie, vous verrez une correspondance avec des sources connues contenant du rGO pour la validation anatomique.

Les observations en microscopie à contraste de pHase, à champ sombre, à champ clair, en microscopie électronique à transmission et à balayage du produit vaccinal de Pfizer, ainsi que des produits vaccinaux de Moderna, Astrazeneca et Janssen ont révélé certaines entités qui peuvent être des bandes de graphène, comme le montre la figure 3 ci-dessous.

La figure 2 montre une image de la fraction aqueuse de l'échantillon de vaccin Pfizer (à gauche) et de l'oxyde de graphène réduit (rGO) standard (à droite) (Sigma-777684). Microscopie optique, 100X

La figure 2 montre une image de la fraction aqueuse de l’échantillon de vaccin Pfizer (à gauche) et de l’oxyde de graphène réduit (rGO) standard (à droite) (Sigma-777684). Microscopie optique, 100X

Figure 3 - Images de fractions aqueuses contenant de l'oxyde de graphène réduit provenant de l'échantillon de vaccin Pfizer (à gauche) et de l'oxyde de graphène réduit (rGO) standard soniqué (à droite) (Sigma-777684). Microscopie optique à contraste de pHase, 600X

Figure 3 – Images de fractions aqueuses contenant de l’oxyde de graphène réduit provenant de l’échantillon de vaccin Pfizer (à gauche) et de l’oxyde de graphène réduit (rGO) standard soniqué (à droite) (Sigma-777684). Microscopie optique à contraste de pHase, 600X

La figure 4 montre la capside du liposome contenant le rGO que Pfizer utilise pour son produit pour véhiculer l'oxyde de graphène en attachant la capside du liposome à des molécules d'ARNm spécifiques pour conduire le contenu du liposome de rGO vers des organes, des glandes et des tissus spécifiques, à savoir les ovaires et les testicules, la moelle osseuse, le cœur et le cerveau. L'image a été obtenue par une préparation SEM-Cryo.

La figure 4 montre la capside du liposome contenant le rGO que Pfizer utilise pour son produit pour véhiculer l’oxyde de graphène en attachant la capside du liposome à des molécules d’ARNm spécifiques pour conduire le contenu du liposome de rGO vers des organes, des glandes et des tissus spécifiques, à savoir les ovaires et les testicules, la moelle osseuse, le cœur et le cerveau. L’image a été obtenue par une préparation SEM-Cryo.

Pour une identification définitive du graphène par TEM, il est nécessaire de compléter l’observation par une caractérisation structurelle en obtenant un échantillon standard caractéristique par diffraction électronique (comme la figure ‘b’ montrée ci-dessous).

L’échantillon standard correspondant au graphite ou au graphène a une symétrie hexagonale, et présente généralement plusieurs hexagones concentriques.

La figure 4b révèle le diagramme de diffraction des rayons X des particules de graphène. Identification définitive de l'oxyde de graphène par microscopie TEM dans les 4 vaccins CoV-2-19

La figure 4b révèle le diagramme de diffraction des rayons X des particules de graphène. Identification définitive de l’oxyde de graphène par microscopie TEM dans les 4 vaccins CoV-2-19

En utilisant la microscopie électronique à transmission (MET), nous avons observé une matrice ou un maillage complexe de feuilles de rGO flexibles, translucides et pliées, avec un mélange d’agglomérations multicouches plus sombres et de monocouches dépliées de couleur plus claire, comme le montre la figure 5. [3]

La figure 5 montre un amas de nanoparticules de graphène dans un vaccin Pfizer. Elles semblent être agrégées.

La figure 5 montre un amas de nanoparticules de graphène dans un vaccin Pfizer. Elles semblent être agrégées.

Les zones linéaires plus sombres de la figure 5 semblent être un chevauchement local des feuilles et un arrangement local des feuilles individuelles parallèlement au faisceau d’électrons [4].

Après le maillage, une forte densité de formes claires arrondies et elliptiques non identifiées apparaît, correspondant peut-être à des trous générés par le forçage mécanique du maillage rGO pendant le traitement, comme on peut le voir sur la figure 6.[4]

La figure 6 montre une observation en microscopie TEM où l'on retrouve des particules d'oxyde de graphène réduit dans un vaccin Pfizer". La diffractométrie des rayons X révèle leur nature de nanoparticules cristallines de rGO à base de carbone.

La figure 6 montre une observation en microscopie TEM où l’on retrouve des particules d’oxyde de graphène réduit dans un vaccin Pfizer ». La diffractométrie des rayons X révèle leur nature de nanoparticules cristallines de rGO à base de carbone.

La spectroscopie aux rayons X à dispersion d’énergie révèle la présence de rGO dans un vaccin Pfizer [5] [6] [7].

Le contenu chimique et élémentaire de la fraction liquide du vaccin Pfizer a ensuite été analysé par spectroscopie à rayons X à dispersion d’énergie (EDS), comme le montre la figure 6. Le spectre EDS a montré la présence de carbone, d’oxygène, vérifiant les éléments rGO, ainsi que de sodium et de chlorure, puisque les échantillons des figures 2, 3, 5 et 6 ont été dilués dans une solution saline.

La figure 7 montre un spectre EDS d'un "vaccin" Pfizer sous un microscope ESEM couplé à une microsonde à rayons X EDS (axe X =KeV, axe Y =Comptes) identifiant le carbone, l'oxygène, le sodium et le chlorure.

La figure 7 montre un spectre EDS d’un « vaccin » Pfizer sous un microscope ESEM couplé à une microsonde à rayons X EDS (axe X =KeV, axe Y =Comptes) identifiant le carbone, l’oxygène, le sodium et le chlorure.

La quantification de l’ARNm dans le vaccin Pfizer

La quantification de l’ARN dans l’échantillon Pfizer a été effectuée selon les protocoles conventionnels (Fisher).

Selon le logiciel spécifique de vérification de l’étalonnage du spectrophotomètre NanoDropTM 2000 (Thermofisher), le spectre d’absorption UV de la fraction aqueuse totale était corrélé à 747 ng/ul de substances absorbantes inconnues.

Cependant, après extraction de l’ARN à l’aide d’un kit commercial (Thermofisher), la quantification à l’aide de la sonde de fluorescence Qbit spécifique à l’ARN (Thermofisher) a montré que seuls 6t ug/ul pouvaient être liés à la présence d’ARN. Le spectre était compatible avec le pic du rGO à 270nm.

Selon les images microscopiques présentées ici, la majeure partie de cette absorbance pourrait être due à des feuilles de type graphène, abondantes dans les fluides en suspension dans l’échantillon.

Ces conclusions sont également étayées par la forte fluorescence de l’échantillon, avec un maximum à 340 nm, en accord avec les valeurs de pic pour le rGO. Il faut rappeler que l’ARN ne présente pas de fluorescence spontanée sous exposition aux UV.

Figure 8 - Spectre UV de la fraction aqueuse de l'échantillon de vaccin Pfizer. [1] [2] [3] [5] [6]

Figure 8 – Spectre UV de la fraction aqueuse de l’échantillon de vaccin Pfizer. [1] [2] [3] [5] [6]

Test de fluorescence Ultra Violet de la fraction aqueuse de Pfizer pour l’oxyde de graphène réduit (rGO) [5]

Les spectres d’absorption et de fluorescence ultraviolets ont été obtenus avec le spectrophotomètre Cytation 5 Cell Imaging Multi-Mode Reader (BioteK). Le spectre d’absorption UV a confirmé un pic maximum à 270nm, compatible avec la présence de particules de rGO.

Le maximum de fluorescence UV à 340 nm suggère également la présence de quantités importantes de rGO dans l’échantillon (Bano et al, 2019).

Figure 9 - Les spectres d'absorption UV et de fluorescence ont été obtenus avec le spectrophotomètre Cytation 5 Cell Imaging Multi-Mode Reader (BioteK). Le spectre d'absorption UV a confirmé un pic maximal à 270 nm, compatible avec la présence de rGO. Le maximum de fluorescence UV à 340 nm suggère également la présence de quantités importantes de rGO dans l'échantillon (Bano et al, 2019).

Figure 9 – Les spectres d’absorption UV et de fluorescence ont été obtenus avec le spectrophotomètre Cytation 5 Cell Imaging Multi-Mode Reader (BioteK). Le spectre d’absorption UV a confirmé un pic maximal à 270 nm, compatible avec la présence de rGO. Le maximum de fluorescence UV à 340 nm suggère également la présence de quantités importantes de rGO dans l’échantillon (Bano et al, 2019).

Figure 10 - L'analyse spectroscopique UV a montré une adsorption due à la présence d'oxyde de graphène réduit, ce qui est confirmé par l'observation en microscopie visible ultraviolette.

Figure 10 – L’analyse spectroscopique UV a montré une adsorption due à la présence d’oxyde de graphène réduit, ce qui est confirmé par l’observation en microscopie visible ultraviolette.

Les figures 11 et 12 ci-dessous montrent une micrographie de différentes micro et nano particules qui ont été identifiées dans les vaccins Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen, dits  » vaccins  » et analysées sous un microscope électronique à balayage environnemental (SEM) couplé à une microsonde à rayons X d’un système dispersif en énergie (EDS) qui révèle la taille des particules, la distribution de la composition et la nature chimique des micro et nano particules observées[5][6][7].

La figure 11 montre des débris de 20 microns de longueur identifiés dans le soi-disant "vaccin" Pfizer contenant du carbone, de l'oxygène, du chrome, du soufre, de l'aluminium, du chlorure et de l'azote.

La figure 11 montre des débris de 20 microns de longueur identifiés dans le soi-disant « vaccin » Pfizer contenant du carbone, de l’oxygène, du chrome, du soufre, de l’aluminium, du chlorure et de l’azote.

 La figure 12 montre une particule de 20 microns de longueur identifiée dans le soi-disant "vaccin" Pfizer. Elle est composée de carbone, d'oxygène de chrome, de soufre, d'aluminium, de chlorure et d'azote.

La figure 12 montre une particule de 20 microns de longueur identifiée dans le soi-disant « vaccin » Pfizer. Elle est composée de carbone, d’oxygène de chrome, de soufre, d’aluminium, de chlorure et d’azote.

Les figures 13 et 14 ci-dessous montrent une micrographie de différentes micro et nanoparticules qui ont été identifiées dans les vaccins Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen et analysées au microscope électronique à balayage (MEB) couplé à une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie (SDE) qui révèle la taille des particules, la distribution de la composition et la nature chimique des micro et nanoparticules observées.

Y a-t-il des parasites dans les « vaccins » de Pfizer ?

Un corps allongé de 50 microns, comme on peut le voir sur la figure 13, est une présence mystérieuse et nette dans le vaccin Pfizer. Il apparaît et est identifié anatomiquement comme un parasite Trypanosoma cruzi dont plusieurs variantes sont létales et constituent l’une des nombreuses causes du syndrome d’immunodéficience acquise ou SIDA [Atlas of Human Parasitology, 4e édition, Lawrence Ash et Thomas Orithel, pages 174 à 178] [8].

La figure 13 montre un parasite Trypanosoma d'environ 20 microns de long trouvé dans le soi-disant "vaccin" Pfizer. Il est composé de carbone, d'oxygène, de chrome, de soufre, d'aluminium, de chlorure et d'azote.

La figure 13 montre un parasite Trypanosoma d’environ 20 microns de long trouvé dans le soi-disant « vaccin » Pfizer. Il est composé de carbone, d’oxygène, de chrome, de soufre, d’aluminium, de chlorure et d’azote.

Une micrographie par microscopie à contraste de phase : parasite Trypanosoma cruzi [8] vivant dans du sang

Une micrographie par microscopie à contraste de phase : parasite Trypanosoma cruzi [8] vivant dans du sang

La figure 14 identifie une composition de nanoparticules comprenant du carbone, de l’oxygène, du chrome, du soufre, de l’aluminium, du chlorure et de l’azote, que l’on retrouve également dans les « vaccins » CoV-19.

La figure 13 identifie une composition de nanoparticules

La figure 13 identifie une composition de nanoparticules

Les figures 15 et 16 ci-dessous montrent une micrographie de différentes micro et nanoparticules qui ont été identifiées et analysées sous un microscope électronique à balayage (MEB) environnemental couplé à une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie (SDE) qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées et leur morphologie.

La particule blanche de 2 microns de long est composée de bismuth, carbone, oxygène, aluminium, sodium, cuivre et azote.

La figure 15 montre les particules de taille nanométrique et micronique identifiées dans le "vaccin" Pfizer. La particule blanche de 2 microns de long est composée de bismuth, carbone, oxygène, aluminium, sodium, cuivre et azote.

La figure 15 montre les particules de taille nanométrique et micronique identifiées dans le « vaccin » Pfizer. La particule blanche de 2 microns de long est composée de bismuth, carbone, oxygène, aluminium, sodium, cuivre et azote.

La figure 16 montre que la particule blanche de 2 microns trouvée dans le "vaccin" Pfizer est composée de bismuth, de carbone, d'oxygène, d'aluminium, de sodium, de cuivre et d'azote.

La figure 16 montre que la particule blanche de 2 microns trouvée dans le « vaccin » Pfizer est composée de bismuth, de carbone, d’oxygène, d’aluminium, de sodium, de cuivre et d’azote.

Les figures 17 et 18 montrent l’identification de particules organiques de carbone, d’oxygène et d’azote avec un agrégat de nanoparticules incorporées comprenant du bismuth, du titane, du vanadium, du fer, du cuivre, du silicium et de l’aluminium, qui ont toutes été trouvées dans le soi-disant  » vaccin  » Pfizer.

La figure 17 montre un agrégat organique (carbone-oxygène-azote) avec des nanoparticules de bismuth, de titane, de vanadium, de fer, de cuivre, de silicium et d'aluminium incorporées dans le "vaccin" Pfizer.

La figure 17 montre un agrégat organique (carbone-oxygène-azote) avec des nanoparticules de bismuth, de titane, de vanadium, de fer, de cuivre, de silicium et d’aluminium incorporées dans le « vaccin » Pfizer.

La figure 18 montre un agrégat organique (carbone-oxygène-azote) avec des nanoparticules de bismuth, de titane, de vanadium, de fer, de cuivre, de silicium et d'aluminium incorporées dans un "vaccin" Pfizer !

La figure 18 montre un agrégat organique (carbone-oxygène-azote) avec des nanoparticules de bismuth, de titane, de vanadium, de fer, de cuivre, de silicium et d’aluminium incorporées dans un « vaccin » Pfizer !

Les ingrédients non divulgués du « vaccin » d’Astrazeneca

Les figures 19 et 20 montrent un agrégat de fer, de chrome et de nickel, également connu sous le nom d’acier inoxydable, composé de micro et nanoparticules incorporées et identifiées dans le « vaccin » d’Astrazeneca, observé au microscope électronique à transmission (MET) et quantifié à l’aide d’une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées et leur morphologie.

Figure 19 - Agrégat manufacturé de fer, de chrome et de nickel, également connu sous le nom d'acier inoxydable.

Figure 19 – Agrégat manufacturé de fer, de chrome et de nickel, également connu sous le nom d’acier inoxydable.

La figure 20 montre les particules de nano quantifiées dans le "vaccin" Astrazeneca à l'aide d'une microsonde à rayons X d'un système à dispersion d'énergie qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées.

La figure 20 montre les particules de nano quantifiées dans le « vaccin » Astrazeneca à l’aide d’une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées.

L’instrument XRF (X-ray fluorescence) a été utilisé pour évaluer les adjuvants du « vaccin » Astrazeneca, ce qui a permis d’identifier les molécules suivantes : histidine, saccharose, polyéthylène glycol (PEG) et alcool éthylénique, également contenues dans les « vaccins » Pfizer et Moderna. Les résultats de ce test sont présentés figure 20 [9].

Le PEG et l’alcool éthylénique sont tous deux connus pour être cancérigènes et génotoxiques[9]. Le PEG était le seul adjuvant déclaré sur la fiche technique énumérant les ingrédients du « vaccin » Astrazeneca, mais contenu dans les « vaccins » Pfizer et Moderna.

La figure 21 identifie le spectre des adjuvants des vaccins AstraZeneca. Des couleurs différentes sont utilisées pour les quatre molécules identifiées à l'aide de spectres de référence. La concentration relative est calculée sur les intégrales des signaux de référence pour les molécules dans un spectre quantitatif acquis avec un rapport cyclique de 5 secondes. Le plus long T1 calculé étant de 5 secondes.

La figure 21 identifie le spectre des adjuvants des vaccins AstraZeneca. Des couleurs différentes sont utilisées pour les quatre molécules identifiées à l’aide de spectres de référence. La concentration relative est calculée sur les intégrales des signaux de référence pour les molécules dans un spectre quantitatif acquis avec un rapport cyclique de 5 secondes. Le plus long T1 calculé étant de 5 secondes.

Les ingrédients non divulgués du « vaccin » de Janssen

Les figures 22 et 23 montrent un agrégat organique-inorganique identifié dans le « vaccin » de Janssen. Les particules sont composées d’acier inoxydable et sont collées ensemble avec une « colle à base de carbone » d’oxyde de graphène réduit[10]. Cet agrégat est hautement magnétique et peut déclencher une coagulation sanguine pathologique et « l’effet Corona » ou « l’effet protéine en pointe » créé par la dégénérescence de la membrane cellulaire due aux interactions avec d’autres dipôles[10]. Vous pouvez voir ces réactions biologiques ou transformations cellulaires dans le sang vivant sous pHase Contraste et microscopie à fond noir dans les figures 24, 25 et 26[1][11].

Figure 22 : Agrégat d'acier inoxydable composé de carbone, d'oxygène, de fer et de nickel, maintenu par de l'oxyde de graphène.

Figure 22 : Agrégat d’acier inoxydable composé de carbone, d’oxygène, de fer et de nickel, maintenu par de l’oxyde de graphène.

La figure 23 montre des éléments de carbone, d'oxygène, de fer et de nickel réunis par de l'oxyde de graphène.

La figure 23 montre des éléments de carbone, d’oxygène, de fer et de nickel réunis par de l’oxyde de graphène.

L’effet Corona et l’effet protéine Spike

L' » effet Corona  » et la  » protéine de pointe  » créés de manière endogène sont causés par un empoisonnement chimique et radiologique dû à l’oxyde de graphène réduit et aux rayonnements micro-ondes ![11]

Figure 24 "L'effet Corona" et la création endogène d'exosomes due à l'empoisonnement chimique et radiologique des fluides vasculaires et interstitiels de l'interstium.

Figure 24 « L’effet Corona » et la création endogène d’exosomes due à l’empoisonnement chimique et radiologique des fluides vasculaires et interstitiels de l’interstium.

La figure 25 montre "l'effet Corona" et la naissance endogène de pics de protéines S1 causés par les radiations et l'empoisonnement chimique ou ce que j'appelle "l'effet de pic de protéines".

La figure 25 montre « l’effet Corona » et la naissance endogène de pics de protéines S1 causés par les radiations et l’empoisonnement chimique ou ce que j’appelle « l’effet de pic de protéines ».

Figure 26 Cette micrographie montre la création endogène des "pics de protéines" comme une infection et non une infection !

Figure 26 Cette micrographie montre la création endogène des « pics de protéines » comme une infection et non une infection !

Les figures 24 et 25 ci-dessus montrent « L’EFFET CORONA » sur les globules rouges et la figure 26 montre « L’EFFET PROTÉINE SPIKE », tous deux causés par une acidose décompensée des fluides interstitiels et vasculaires provenant d’un mode de vie acide et plus particulièrement d’une exposition à des champs électromagnétiques pulsés toxiques à 2,4 GHz ou plus, d’un empoisonnement chimique provenant de la nourriture et de l’eau ingérées, d’une pollution atmosphérique acide toxique, de chemtrails et, pour couronner le tout, d’une inoculation de CoV-19 à base de nana particules chargées de produits chimiques ! S’il vous plaît, laissez vos sentiments et vos fausses croyances à la porte avant que VOUS ne vous fassiez du mal prématurément[11] !

Les ingrédients non divulgués du « vaccin » Moderna

Les figures 26 et 27 ont identifié une entité mixte de matières organiques et inorganiques contenue dans le « vaccin » Moderna.  
La microscopie électronique à transmission (TMS) et la quantification à l’aide d’une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie (EDS) ont révélé la nature chimique des micro et nanoparticules observées.

Le « vaccin » Moderna est un substrat d’oxyde de graphène réduit à base de carbone dans lequel sont incorporées des nanoparticules. Ces nanoparticules sont composées de carbone, d’azote, d’oxygène, d’aluminium, de cuivre, de fer et de chlore[12].

Figure 26 La microscopie électronique à transmission révèle un composite d'oxyde de graphène dans lequel sont intégrées des matières organiques et non organiques.

Figure 26 La microscopie électronique à transmission révèle un composite d’oxyde de graphène dans lequel sont intégrées des matières organiques et non organiques.

La figure 27 révèle la présence de nanoparticules cytotoxiques intégrées.

La figure 27 révèle la présence de nanoparticules cytotoxiques intégrées.

Les figures 27 et 28 montrent une analyse qui a également été effectuée sous microscope électronique à transmission (TEM) et quantifiée avec une microsonde à rayons X d’un système dispersif en énergie (EDS) et qui a révélé la nature chimique des micro et nano particules observées. De nombreux corps étrangers ont été identifiés avec une morphologie sphérique avec quelques cavités en forme de bulles.

La figure 29 montre qu’ils sont composés de carbone, d’azote, d’oxygène, de silicium, de plomb, de cadmium et de sélénium. Cette composition de nanoparticules hautement toxiques sont des points quantiques de séléniure de cadmium qui sont cytotoxiques et génotoxiques [13] [14].

La figure 27 montre les nano-points dans l'oxyde de graphène trouvé dans le "vaccin" Moderna.

La figure 27 montre les nano-points dans l’oxyde de graphène trouvé dans le « vaccin » Moderna.

La figure 28 montre les nano-points dans l'oxyde de graphène trouvé dans le "vaccin" Moderna.

La figure 28 montre les nano-points dans l’oxyde de graphène trouvé dans le « vaccin » Moderna.

La figure 29 révèle la composition cytotoxique et génotoxique des nanoparticules d'oxyde de graphène trouvées dans le "vaccin" Moderna.

La figure 29 révèle la composition cytotoxique et génotoxique des nanoparticules d’oxyde de graphène trouvées dans le « vaccin » Moderna.

Les figures 30 et 31 analysent plus en détail le « vaccin » Moderna et révèlent un symplaste de 100 microns de composite de nanoparticules d’oxyde de graphène réduit. Le rGO est composé de carbone et d’oxygène avec une contamination de nanoparticules d’azote, de silicium, de phosphore et de chlore [15].

Figure 30 La microscopie électronique à transmission révèle un grand composite d'oxyde de graphène réduit de 100 microns.

Figure 30 La microscopie électronique à transmission révèle un grand composite d’oxyde de graphène réduit de 100 microns.

La figure 31 révèle le complexe de nanoparticules contenu dans le "vaccin" Moderna

La figure 31 révèle le complexe de nanoparticules contenu dans le « vaccin » Moderna

Les figures 32 et 33 montrent des entités d’oxyde de graphène réduit à base de carbone dans le « vaccin » Moderna, mélangées à des agrégats remplis de nanoparticules de silicate d’aluminium[16].

La figure 32 révèle un complexe d'oxyde de graphène et de silicate d'aluminium par microscopie électronique à transmission.

La figure 32 révèle un complexe d’oxyde de graphène et de silicate d’aluminium par microscopie électronique à transmission.

La figure 33 révèle les nano-éléments d'oxyde de graphène et de silicate d'aluminium contenus dans le "vaccin" Moderna

La figure 33 révèle les nano-éléments d’oxyde de graphène et de silicate d’aluminium contenus dans le « vaccin » Moderna

Discussion

La pandémie de SRAS-CoVid-2-19 a incité les industries pharmaceutiques à développer de nouveaux médicaments qu’elles ont appelés vaccins.

Le mécanisme d’action de ces nouveaux médicaments, tel qu’il est déclaré par l’industrie pharmaceutique, associé à ce qui est indiqué dans la fiche technique des vaccins, n’est PAS clair pour les savants médicaux actuels qui comprennent que ces nouveaux médicaments produits par Pfizer – le vaccin ARNm BioNTech, le vaccin ARNm-1273 Moderna-Lonza, le vaccin Serum Institute Oxford Astrazeneca et le vaccin Janssen COVID -19, fabriqué par Janssen Biotech Inc, une société pharmaceutique Janssen de Johnson & Johnson, ne sont PAS des vaccins mais des médicaments nanotechnologiques fonctionnant comme une thérapie génétique.

Le nom « vaccin » est probablement un escamotage (ruse) utilisé pour des raisons bureaucratiques et technocratiques afin de recevoir une approbation d’urgence, en ignorant toutes les règles normales nécessaires pour les nouveaux médicaments, en particulier pour ceux qui impliquent de nouveaux mécanismes nanotechnologiques qui n’ont jamais été développés ni expérimentés par l’homme, où que ce soit, à n’importe quel moment de l’histoire du monde.

Tous ces soi-disant « vaccins » sont brevetés et leur contenu réel est donc tenu secret, même pour les acheteurs, qui, bien sûr, utilisent l’argent des contribuables. Ainsi, les consommateurs (les contribuables) n’ont aucune information sur ce qu’ils reçoivent dans leur corps par inoculation.

L’humanité est maintenue dans l’ignorance en ce qui concerne les processus technologiques de nanoparticules impliqués, les effets négatifs sur les cellules du corps, mais surtout l’effet possible de la nano-bio-interaction magnétotoxique, cytotoxique et génotoxique sur le sang et les cellules du corps.

Cette étude actuelle, qui consiste en une analyse directe des soi-disant « vaccins » susmentionnés à l’aide d’instruments technologiques à nanoparticules, révèle des informations troublantes et susceptibles de changer la vie des personnes concernées, concernant la vérité sur le contenu acide toxique réel de ces soi-disant vaccins.

La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d'oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

Les médicaments Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen ne sont PAS des « vaccins » mais des agrégats complexes de nanoparticules d’oxyde de graphène composés de divers nano-éléments fixés à des acides nucléiques génétiquement modifiés d’ARNm provenant de cellules animales ou vero et de cellules fœtales humaines avortées, comme nous l’avons vu et décrit ci-dessus. Une fois de plus, les ingrédients de ces soi-disant vaccins sont hautement magnétotoxiques, cytotoxiques et génotoxiques pour les membranes cellulaires des plantes, des insectes, des oiseaux, des animaux et des humains, ainsi que pour leur génétique, ce qui a déjà entraîné de graves accidents (estimés à plus de 500 millions) et/ou la mort (estimée à plus de 35 millions)[17][18] à [54].

Les soi-disant « experts » ou « savants médicaux » VOUS disent que les vaccins contre le CoV -2 – 19 sont le SEUL moyen d’arrêter la propagation du CoV-19… même lorsqu’il n’y a AUCUNE PREUVE de son existence et AUCUNE PREUVE de sa propagation telle que déterminée par la méthode scientifique des postulats de Koch ou de Rivers ! [53]

La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d'oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

Qu’ils sont sûrs – malgré les preuves documentées du contraire…[53]

Qu’ils sont efficaces – même si des millions de personnes « doublement piqués » tombent malades, s’exposent théoriquement à un VIRUS NON EXISTANT appelé CoV – 19, et meurent…[54] NON pas d’une infection virale fantôme mais de la PEUR ou de fausses preuves semblant réelles et du contenu acide toxique de l’oxyde de graphène réduit délivré via l’ARNm génétiquement modifié à des cibles spécifiques du corps humain entraînant une coagulation sanguine pathologique, un manque d’oxygène, une hypercapnie, une hypoxie et ensuite la mort par suffocation. [55][56][57]

 Coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) ou coagulation sanguine pathologique [56][57].

Coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) ou coagulation sanguine pathologique [56][57].

Que VOUS DEVEZ recevoir au moins deux injections PLUS des « rappels » pour vivre une « vie normale »…

Et bientôt, ils vous diront que VOUS n’avez pas d’autre choix que de vous conformer à TOUTES leurs OBLIGATIONS, même si le CDC et d’autres gouvernements, universités et instituts médicaux ont reconnus par écrit qu’ils n’ont AUCUN « STANDARD D’OR » d’isolement du CoV – 2 maintenant appelé le virus CoV-19 !

Il n’y a PAS DE VIRUS CORONA et il n’y en a JAMAIS eu ![55].

Rappelez-vous…

NE LAISSEZ PERSONNE VOUS ENLEVER VOTRE LIBERTÉ DE SANTÉ !

C’est VOTRE corps, VOTRE vie et VOTRE choix !

La connaissance est le pouvoir. Et c’est la clé pour comprendre pourquoi les vaccins expérimentaux CoV -19 sont si dangereux – malgré le récit officiel des médias aux ordres qui suppriment et censurent quiconque ose s’exprimer.

Vous avez le contrôle de votre propre santé. Ne soyez pas victime des gouvernements et des bureaucrates mondiaux qui poussent tout le monde à se faire vacciner. Le « philanthrope » milliardaire Bill Gates et les activistes milliardaires de Big Tech pensent savoir ce qui est le mieux pour vous et votre famille.

Vous devez être libre de décider ce qui est bon pour vous. Ne laissez PAS les gouvernements et les employeurs vous forcer à vous faire « vaxxer » « pour votre bien ».

Et ne laissez jamais la culture de la censure vous rendre trop effrayé pour défendre vos droits !

Selon les mots du grand médecin et scientifique français, Antoine Béchamp, « Il n’y a rien de si faux qui ne contienne un élément de vérité et il en est ainsi de la théorie des germes ». Dans ce cas, la théorie des virus, des vaccins et de l’immunité ![58]

La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d'oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

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Sous le signe de Baal : Eustace Mullins et le culte noir des vaccins

Par Nicolas Bonnal

La crise actuelle aura permis à un certain nombre de gens jusque-là distraits de comprendre que le monde moderne (et postmoderne) n’est qu’un techno-fascisme au service des oligarchies marchandes, elles-mêmes tenues par des réseaux sataniques. Un des auteurs américains les plus importants reste bien sûr Eustace Mullins. La conspiration en ce moment est si énorme, ramifiée et compliquée qu’elle en devient folle. Rationaliste et marxiste, Debord se demandait pourtant qui diable pouvait gouverner en démocratie ; nous aussi.

Dans son livre Meurtre par injection, bien traduit par le courageux Aladin Belarbi, Mullins s’en prend à toute la monstrueuse médecine moderne qui montre en ce moment son visage totalitaire et assassin ; je vais reprendre ce qu’il écrit sur les vaccins :

« L’un des rares médecins à avoir osé s’élever contre le monopole médical, le Dr Robert Mendelssohn, en accentuant sa position contre la médecine moderne la définissait comme une église aux quatre eaux bénites. La première d’entre elles, la “Vaccination”. Le Dr Mendelsohn l’avait qualifiée de “sécurité douteuse”. Cependant, d’autres médecins ont été plus explicites. »

Mullins fait le lien avec le chevalier « chloros » de l’apocalypse. Il ne faut pas avoir peur de recourir aux symboles, car nos monstres au pouvoir y ont tout le temps recours (cf. la chouette à Macron, voyez vigilantcitizen.com [ou Macron et son hibou]). Mullins donc :

« De ces quatre éléments, que l’on pourrait aussi appeler les Quatre Cavaliers de l’apocalypse; surtout connus pour causer la mort et la destruction dans leur sillage et dont le plus pernicieux avec ses effets à long terme serait sans aucun doute la vaccination. Cette pratique va directement à l’encontre de la découverte des experts médicaux holistiques modernes que le corps à une défense immunitaire naturelle contre la maladie. »

Le vaccin est un sacrement au service des puissances :

« La religion de la médecine moderne prétend que l’unique absolution contre le péril de l’infection est dispensée par l’eau bénite de la vaccination. Donc en injectant dans le système biologique une infection étrangère qui fera alors un miracle médical et conférera une immunité à vie, d’où le terme “immunisation”. La plus grande hérésie qu’un médecin puisse commettre est d’exprimer publiquement tout doute sur l’une des quatre eaux saintes, mais la plus profondément ancrée dans la pratique médicale moderne est sans nul doute cette multitude de programmes de vaccination. »

L’obligation n’est pas venue avec le coronavirus ou autre ; elle a toujours été là :

« Pourtant, dans l’État de Virginie, et dans beaucoup d’autres États, les parents sont obligés de faire vacciner leurs enfants par la profession médicale qui se fait payer pour ce service, mais en fait également des clients et patients potentiels et assure son avenir. L’écrivain se souvient bien des années vingt, alors écolier en Virginie, où pendant des semaines alors qu’aucune obligation de vaccination ne soit ordonnée par les autorités, chaque matin, l’enseignant commençait les cours en demandant : “Clarence, as-tu apporté ton certificat de vaccination aujourd’hui ?” Apparemment, il s’agissait là de la plus urgente question du système éducatif, ayant priorité sur les questions telles que les leçons et les études. »

Et Mullins alors évoque justement le culte de Baal (au culte duquel nous fûmes initiés moi et les enfants de mon âge par la télévision gaulliste) :

« Dans mon livre “La malédiction du Canaan”, j’ai écrit sur le rite du sacrifice d’enfant comme une pratique qui semble avoir pris fin avec la destruction du culte de Baal il y a environ cinq mille ans. Malheureusement, le culte de Baal semble être fermement ancré dans l’établissement actuel qui est souvent connu sous le nom risible, de la Fraternité De La Mort. Il est troublant de voir à quel point le système éducatif s’empresse d’accepter chaque nouvelle agression envers nos petits écoliers, tout en se moquant de toute mention de moralité ou de religion, ceci fait bien sûr en endoctrinant solennellement les enfants de six ans dans les avantages d’un “style de vie alternatif” dans leurs préférences sexuelles. »

L’obsession pédophile et sacrificielle est déjà là :

« L’objectif actuel de l’Association Nationale de L’Éducation semble plutôt être la distribution à l’école de préservatifs par les enseignants, que le démarrage des activités de la journée.

L’urgence de ma vaccination n’était pas qu’il y ait une épidémie dans ma ville, Roanoke, ni pour dans les soixante années à venir. L’urgence était qu’aucun enfant ne soit épargné par le sacerdoce du culte de Baal, on n’échappe pas au sacrifice sur l’autel des pédophiles. »

Puis Mullins s’intéresse aux nombreuses, aux innombrables même morts inexplicables :

« Ces dernières années, de nombreux hommes et femmes dans la fleur de l’âge sont morts subitement, souvent après avoir assisté à une fête ou un banquet. Je suis convaincu qu’environ 80% de ces décès sont dus à l’inoculation ou à la vaccination qu’ils ont subie; qui sont bien connues pour causer des maladies cardiaques graves et permanentes. Les médecins légistes les qualifient toujours de “mort naturelle”. Un tel avertissement est toutefois inexistant dans les livres médicaux, dussent-ils être académiques ou populaires. »

Mullins écrit même :

« Le Dr Clarke n’a jamais vu de cas de cancer chez une personne non vaccinée. »

Parlant du Sida, Mullins écrit :

« Le monopole médical cherche désespérément une sorte de “vaccination’’ contre ces fléaux, et finira sans aucun doute par concocter un “vaccin plus redoutable que la maladie elle-même’’. Depuis le début, nos experts médicaux les plus éminents nous ont fièrement informés que le SIDA est incurable, ce qui n’est guère l’approche que nous attendons de ceux qui exigent que nous acceptions leur infaillibilité en tout ce qui touche à la médecine. »

La pratique de la vaccination est déjà un danger universel il y a cinquante ans :

« …le Dr J. M. Peebles de San Francisco, a écrit un livre sur le vaccin, dans lequel il dit : ”La pratique de la vaccination, imposée en toutes occasions par la profession médicale avec la connivence politique et rendue obligatoire par l’État, est devenue non seulement la principale menace et le plus grand danger pour la santé de la génération montante, mais aussi l’outrage suprême aux libertés personnelles des américains ; la vaccination obligatoire, empoisonnant la circulation sanguine avec de la lymphe brute sous prétexte qu’elle empêcherait la variole, a été une page des plus sombres du siècle dernier. »

Et l’on découvre que l’on préfère déjà les porcs aux humains :

« Tout à coup, d’Atlanta, est venu le plan du CDC pour une campagne nationale de vaccination contre la “grippe porcine”. Le fait qu’il n’y ait pas eu un seul cas connu de cette grippe n’a pas dissuadé Big Pharma de suivre le plan. Les éleveurs de porcs avaient été choqués par les démonstrations du vaccin sur quelques porcs, qui s’effondraient et mourraient. On peut aisément imaginer l’angoisse de Big Pharma jusqu’à ce qu’un jeune homme brillant remarque: “Eh bien, si les éleveurs de porcs refusent de l’injecter à leur bétail, notre unique marché restant est de l’injecter aux humains. »

Retour sur la grippe espagnole :

« En conséquence, les hôpitaux militaires ont été remplis, non pas de blessés de combat, mais de victimes du vaccin. L’épidémie s’appelait “la grippe espagnole”, une appellation délibérément trompeuse, qui visait à dissimuler son origine.

Cette épidémie de grippe a fait vingt millions de victimes; ceux qui ont survécu étaient ceux qui avaient refusé le vaccin. »

Et on ne parlera ni de la variole ni de la polio… Je vous laisse découvrir ce livre extraordinaire.

Sources




Hôpital St Jacques, Besançon : Des soignants brûlent leur diplôme et jettent leur blouse pour protester contre les mesures sanitaires

[Source : Aphadolie]

Le 26 août 2021, devant l’hôpital St-Jacques à Besançon, des soignants révoltés ont organisé une action contre le Pass sanitaire pour accéder à l’hôpital ainsi que la vaccination obligatoire. « On ne pensait pas que ça allait finir comme ça », s’exclame une des soignantes en déchirant son diplôme.

Des soignants brûlent leur diplôme et jettent leur blouse pour protester contre les mesures sanitaires



Des soignants continuent de se mobiliser contre le Pass sanitaire et la vaccination obligatoire. 120 personnes se sont rassemblées devant l’hôpital Saint-Jacques, ce jeudi, après l’appel à manifester des syndicats FO, FSU et Sud.

Des infirmières ont ensuite brûlé des diplômes et jeté leur blouse, en symbole.

Une introduction orale avant l’action

Un communiqué commun à trois syndicats (Force ouvrière, Fédération syndicale unitaire et Sud solidaire) a été lu en début d’évènement pour situer leurs prises de positions actuelles dont voici quelques extraits :

« Les participants et participantes sont invitées à apporter un objet emblématique de leur travail méprisé. (…) blouse, équipement de protection, copie de diplôme etc. (…)  Le gouvernement par la loi du 6 août 2021 instrumentalise la crise sanitaire pour attaquer à nouveau le droit du travail. Des dizaines de salariés ayant pourtant fait la preuve de leur dévouement et de leur efficacité il y a peu, contraints et contraintes d’aller au travail sans protection, ont été parfois réquisitionnés malgré leur positivité. (…) se voient maintenant menacés de privation de salaire, de rupture de contrat de travail si elles ou ils refusent le vaccin.

Le gouvernement instrumentalise la crise pour organiser un contrôle et une surveillance généralisée sur la population et diviser la population entre vaccinés et non-vaccinés. Il instrumentalise la crise pour empêcher l’accès aux soins d’un certain nombre de malades ne disposant pas du précieux pass sanitaire. Ne reculant devant aucune remise en cause des droits des salariés, le gouvernement attaque le droit de grève.

Le jeudi 5 août, le ministre de la Santé a déclaré devant la presse lors d’une visite au centre hospitalier d’Aix-en-Provence : “Vient un temps où ces personnes n’auront plus le loisir de faire grève, puisque par définition, cette obligation vaccinale s’appliquera”. (…) En même temps la casse de l’hôpital public continue : suppression des lits, des postes, réorganisation ubuesque des services ».

Des soignants et des patients à protéger

Nous avons pu entrer en contact avec Ludivine Vinel, secrétaire générale de Force ouvrière au CHU de Besançon, qui a lancé le préavis de grève illimitée le 6 août 2021 et qui a organisé l’action du 6 août :

« Je suis indignée par le fait qu’on puisse suspendre mes collègues comme des malpropres, après les deux années particulièrement difficiles que nous venons de vivre. Je suis moi-même vaccinée depuis février, mais à cette époque, on avait la liberté de choisir. Comment ferons-nous sans mes collègues quand auront lieu les prochaines vagues épidémiques automnales et hivernales ? Et même hors période épidémique ! Ils sont essentiels. Vous rendez-vous compte qu’au CHU de Besançon, depuis octobre 2020, il n’y a plus de services de suites et de réadaptation ? Plus de vingt patients ont dû être redirigés ailleurs depuis, faute de médecin ! Et comment peut-on refuser l’accès aux soins à des patients qui n’auraient pas de Pass sanitaire ? C’est intolérable. C’est pour ces raisons que notre syndicat a lancé un préavis de grève illimitée dans le Doubs à compter du 9 août 2021, aux côtés de FSU et Sud Solidaire ».

Une force grandissante

Cette action n’est pas la première et ne sera sans doute pas la dernière, même si certains soignants militants sont actuellement réprimandés, convoqués ou menacés d’être suspendus pour leurs idées. Maria Cloarec, infirmière et membre du collectif soignants du département 05, nous explique que la première a eu lieu le 5 août 2021 à Briançon, qui a été suivie par Digne-les-Bains et Montélimar. Quant à Besançon, une autre action a été annoncée pour le 2 septembre 2021 devant l’espace Mandela pour protester contre le Pass sanitaire dans les lieux culturels et pour soutenir le personnel vacataire précaire qui risquent de perdre leur emploi, quelques jours après la manifestation du samedi 28 août Place de la Libération contre les mesures sanitaires actuelles.

Mobilisation devant l’hôpital St Jacques contre le Pass sanitaire à Besançon



Dans la continuité des actions proposées par l’Intersyndicale (FO 25, FSU25, Solidaires 25).

Les participants sont invités à apporter un objet de leur travail méprisé qui sera brûlé : blouse, équipement de protection, copie de diplôme, etc…


sources :

• nexus.fr/soignants-brulent
• 25.force-ouvriere.org/tous-ensemble-le-lundi-09-aout-a-16-h-30-sur-le-parvis-du-chru-de-besancon
• francebleu.fr/120-personnes-rassemblees-devant-l-hopital-saint-jacques-pour-protester-contre-le-pass-sanitaire




Lettre ouverte adressée à l’Agence européenne des médicaments (EMA) et à son équivalent anglais (MHRA) par des survivants de l’Holocauste et certains de leurs descendants

[Source : Truth11.com]

Open letter addressed to the European Medicines Agency (EMA) and its English equivalent (MHRA) by Holocaust survivors and some of their descendants.(([1] Holocaust survivors send open letter to the MHRA demanding an end to the Covid-19 Vaccine roll-out because they are seeing another Holocaust unfold before their eyes | Truth11.com))

Lettre ouverte adressée à l’Agence européenne des médicaments (EMA) et à son équivalent anglais (MHRA) par des survivants de l’Holocauste et certains de leurs descendants


August 25, 2021

Mesdames et Messieurs,

Nous, les survivants des atrocités commises contre l’humanité pendant la Seconde Guerre mondiale, nous sentons tenus de suivre notre conscience et d’écrire cette lettre.

Il est évident pour nous qu’un autre holocauste de plus grande ampleur se déroule sous nos yeux. La majorité de la population mondiale ne réalise pas encore ce qui se passe, car l’ampleur d’un crime organisé comme celui-ci dépasse leur champ d’expérience. Nous savons pourtant. On se souvient du nom de Josef Mengele. Certains d’entre nous ont des souvenirs personnels. Nous vivons un déjà-vu si horrible que nous nous levons pour protéger nos pauvres frères humains. Les innocents menacés comprennent désormais des enfants, et même des nourrissons.

En seulement quatre mois, les vaccins COVID-19 ont tué plus de personnes que tous les vaccins disponibles combinés de mi-1997 à fin 2013 — une période de 15,5 ans. Et les personnes les plus touchées ont entre 18 et 64 ans — le groupe qui ne figurait pas dans les statistiques Covid.

Nous vous demandons d’arrêter immédiatement cette expérience médicale impie sur l’humanité.

Ce que vous appelez « vaccination » contre le SRAS-CoV-2 est en réalité un empiétement blasphématoire sur la nature. Jamais auparavant la vaccination de la planète entière n’avait été réalisée en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain.

C’est une expérience médicale à laquelle le Code de Nuremberg doit être appliqué.

Les 10 principes éthiques de ce document représentent un code d’éthique médicale fondamental qui a été formulé lors du procès des médecins de Nuremberg pour garantir que les êtres humains ne seront plus jamais soumis à des expérimentations et procédures médicales involontaires.

Principe 1 du Codex de Nuremberg :

(a) « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement ; doit être situé de manière à pouvoir exercer le libre choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, d’excès ou de toute autre forme ultérieure de contrainte ou de coercition ; et devrait avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet en cause pour lui permettre de prendre une décision éclairée et éclairée.

(b) Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision affirmative par le sujet expérimental, il lui soit fait connaître la nature, la durée et le but de l’expérience ; la méthode et les moyens par lesquels elle doit être menée ; tous les inconvénients et dangers raisonnablement prévisibles ; et les effets sur sa santé ou sa personne qui peuvent éventuellement provenir de sa participation à l’expérience.

(c) Le devoir et la responsabilité de vérifier la qualité du consentement incombent à chaque individu qui initie, dirige ou s’engage dans l’expérience. C’est un devoir et une responsabilité personnels qui ne peuvent être délégués à autrui en toute impunité.

Remarque pour (a) : Il n’est pas question d’une décision libre. Les médias de masse répandent la peur et la panique et utilisent la règle de la propagande de Goebbels en répétant des contrevérités jusqu’à ce qu’on les croie. Depuis des semaines, ils appellent à l’ostracisme des non-vaccinés. S’il y a 80 ans c’étaient les juifs qui étaient diabolisés comme des propagateurs de maladies infectieuses, aujourd’hui ce sont les non-vaccinés qui sont accusés de propager le virus. Intégrité physique, liberté de voyager, liberté de travailler, toute coexistence a été enlevée aux gens pour leur imposer la vaccination. Les enfants sont incités à se faire vacciner contre le jugement de leurs parents.

Remarque pour (b): Les 22 effets secondaires terribles déjà énumérés dans l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA n’ont pas été divulgués aux sujets de l’essai expérimental. Nous les énumérons ci-dessous au profit du public mondial.

Par définition, il n’y a jamais eu de consentement éclairé.

En attendant, des milliers d’effets secondaires enregistrés dans de nombreuses bases de données sont enregistrés. Alors que les soi-disant numéros de cas sont bipés à des intervalles de 30 minutes par tous les médias, il n’y a aucune mention des effets secondaires indésirables graves, ni comment et où les effets secondaires doivent être signalés. Pour autant que nous le sachions, même les dommages enregistrés ont été supprimés à grande échelle dans chaque base de données.

Le principe 6 du Code de Nuremberg exige : « Le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérimentation ».

La « vaccination » contre le Covid s’est avérée plus dangereuse que le Covid pour environ 99 % de tous les humains.

Comme l’a documenté Johns Hopkins, dans une étude portant sur 48 000 enfants, les enfants ne courent aucun risque de contracter le virus. Vos propres données montrent que les enfants qui ne sont pas exposés au virus ont eu des crises cardiaques après la vaccination ; plus de 15 000 ont subi des événements indésirables, dont plus de 900 événements graves. Au moins 16 adolescents sont décédés suite à la vaccination aux États-Unis. Comme vous le savez, à peine 1 % environ sont signalés. Et les chiffres augmentent rapidement au moment où nous écrivons. Avec vos connaissances.

Principe 10 du Code : « Au cours de l’expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l’expérience à tout moment, s’il a des raisons probables de croire, dans l’exercice de la bonne foi, d’une compétence supérieure et d’un jugement prudent exigé de lui, que la poursuite de l’expérience est susceptible d’entraîner des blessures, une invalidité ou la mort du sujet expérimental.

Environ 52 % de la population mondiale aurait reçu au moins une injection.

La divulgation honnête du nombre réel de « vaccinés » blessés, en phase terminale et décédés dans le monde se fait attendre depuis longtemps. Ce sont des millions en attendant. Fournissez-nous maintenant le nombre réel de victimes du vaccin Covid.

Combien suffiront à éveiller votre conscience ?

Liste des effets indésirables connus de la FDA avant l’approbation d’urgence

  1. Syndrome de Guillain-Barré
  2. Encéphalomyélite aiguë disséminée
  3. Myélite transverse
  4. Encéphalite/encéphalomyélite/méningo-encéphalite/méningite/encéphalopathie
  5. Convulsions/convulsions
  6. AVC
  7. Narcolepsie et cataplexie
  8. Anaphylaxie
  9. Infraction aiguë du myocarde
  10. Myocardite/péricardite
  11. Maladie auto-immune
  12. Décès
  13. Grossesse et issues de la naissance
  14. Autres maladies démyélinisantes aiguës
  15. Réactions allergiques non anaphylactiques
  16. Thrombocytopénie
  17. Coagulation intravasculaire disséminée
  18. Thrombo-embolie veineuse
  19. Arthrite et arthralgie/douleurs articulaires
  20. Maladie de Kawasaki
  21. Syndrome inflammatoire multisystémique chez les ENFANTS
  22. Maladie renforcée par le vaccin.

Signé

Survivants des camps de concentration, leurs fils, filles et petits-enfants, y compris les personnes de bonne volonté et de conscience.




Un message de Robert F. Kennedy, Jr. un an après le rassemblement historique de Berlin : « L’heure est à la désobéissance civile (pacifique) ! »

[Source : Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]



Robert F. Kennedy Jr. explique dans cette vidéo récente pourquoi nous devons tous nous mobiliser maintenant et résister par la désobéissance civile pacifique.

Maintenant que la FDA a « approuvé » le vaccin Covid de Pfizer, de nombreuses questions restent sans réponse.
Comme de nombreuses études nous le montrent, le vaccin ne présente aucun avantage en terme de mortalité toute cause confondue.

Le vaccin n’a pas d’impact positif sur la mortalité globale et il met en danger les groupes d’âge les plus jeunes.
« Un enfant en bonne santé n’a aucun risque de contracter cette maladie. Et pourtant, le risque lié au vaccin est très élevé. »

Il est devenu clair : il ne s’agit pas de santé. Il s’agit de contrôle.

C’est pourquoi nous devons tous faire entendre notre voix et exprimer notre opposition.


TRANSCRIPTION

0:00:01.2 : Je suis Robert F. Kennedy, Jr. et je suis très heureux d’être de retour parmi vous et d’avoir l’occasion de m’adresser à tous mes amis de Berlin et aux militants et amoureux de la liberté de toute l’Europe. Nous sommes aujourd’hui le 23 août, et je voudrais commencer par vous parler de quelques études qui ont été publiées récemment et dont nous devrions tous avoir connaissance. L’une d’entre elles, probablement la plus importante, est l’essai clinique de MERCK, de Pfizer, pour son vaccin Covid-19. Nous disposons maintenant de six mois de données que Pfizer était tenu de déposer auprès de la FDA et de les montrer au public. Et quiconque qui sait lire peut voir dans ces données la preuve frappante que ce vaccin ne présente aucun avantage en termes de mortalité toutes causes confondues. Cela signifie que les personnes qui ont été vaccinées sont plus nombreuses à mourir que celles qui ont eu le placebo. Et si vous allez dans le detail et l’analyse du vaccin, ce que cette étude montre est que le vaccin empêche un petit nombre de décès dus au Covid-19, mais pour chaque vie sauvée par le vaccin contre le Covid-19, trois personnes sont mortes d’une crise cardiaque. Parmi les vaccinés, il y a eu 20 décès, et dans le groupe placebo, 14 décès.

0:01:46.7 : Cela indique que certains groupes d’âge spécifiques ou certaines personnes avec comorbidités peuvent prendre ce vaccin, mais il serait tout à fait immoral pour un gouvernement ou une entreprise d’imposer ce vaccin à tout être humain réticent à se faire vacciner.

0:02:12.1 : Une autre étude dont je vais vous parler était une version pré-publiée de l’étude du Lancet le 10 décembre. Elle s’appelle Chau et al. C-H-A-U, et elle a été réalisée par l’Oxford Research Group, qui regroupe l’Université d’Oxford et Ho-Chi-Minh-City. Cette étude s’est intéressée aux personnels de santé de première ligne qui ont été confinés pendant plusieurs mois à Ho-Chi-Minh-City pendant la résurgence du variant Delta. L’étude montre que les personnes vaccinées présentaient un nombre très, très élevé du variant Delta dans leur pharynx et leurs narines. En fait, ils avaient une concentration du variant Delta dans leurs narines 250 fois plus importante que quiconque ayant contracté le Coronavirus n’avait avant la vaccination.

0:03:22.1 : Eh bien, cela montre que quelque chose dans le vaccin dégage les pharynges nasales pour faire de vous un porteur… Un porteur pré-symptomatique du Covid, donc au lieu d’arrêter la réplication virale, et au lieu d’arrêter la transmission, le vaccin facilite presque certainement la transmission ! Selon cette étude, ces personnes qui avaient le Covid dans leur nez pouvaient transmettre le Covid à d’autres travailleurs. Et il est presque certain qu’ils le transmettaient aussi à des patients non vaccinés et à d’autres personnes de leur entourage.

Une chose fondamentale à retenir est que les vaccins ne sauvent pas de vies. Nous savons, grâce à la première étude, à l’étude Pfizer et à l’étude d’Oxford, que cela n’empêche pas la transmission, et qu’en fait, cela peut l’augmenter. Ce sont les données scientifiques les plus certaines que nous ayons aujourd’hui.

La troisième étude que je voudrais vous faire connaître est une étude de Johns Hopkins, publiée dans The Lancet. L’étude de Johns Hopkins montre qu’il est pratiquement impossible de trouver un enfant en bonne santé dans le monde qui soit mort du Covid-19. Les enfants ont un risque nul, un enfant en bonne santé a un risque nul avec cette maladie, et pourtant le risque du vaccin lui est très élevé !

0:04:56.8 : En fait, nous constatons qu’avec le vaccin, les personnes les plus susceptibles de tomber malades, ou de mourir, sont les jeunes. Le Covid-19 a tendance à tuer des personnes très âgées avec des comorbidités, mais le vaccin a tendance à blesser, à nuire et à tuer des personnes jeunes, qui sont au début de leur vie. Et les personnes qui ont un infarctus du myocarde à cause de ce vaccin, des maladies du myocarde à cause de ce vaccin, ne guérissent jamais. Leur cœur se transforme simplement en tissu cicatriciel et ne guérit pas.

0:05:33.2 : La raison pour laquelle je parle des études est qu’aujourd’hui, la FDA a promulgué une approbation sans précédent, qu’elle présente de manière très bizarre.

0:05:52.7 : Comme une approbation officielle du vaccin Pfizer. La signification de cette approbation est qu’elle permettra aux gens d’imposer légalement le vaccin dans notre pays. Mais ce qui est étrange, c’est qu’il n’y a eu aucun respect de processus réglementaire… La FDA a ignoré tout le processus réglementaire, elle n’a pas convoqué le comité d’experts extérieurs qui approuve normalement les nouveaux vaccins. Ils n’ont pas créé de notice pour le fabricant. Ils n’ont pas expliqué la science sur laquelle ils se basent. Ils n’ont pas expliqué les données sur lesquelles ils se basent. Ils ne disent même pas techniquement qu’il s’agit d’une approbation. Ils l’encadrent en quelque sorte dans leur lettre comme une extension du processus d’utilisation d’urgence; ils l’encadrent dans leurs communiqués de presse comme une approbation. Et dès que cette mesure prise a été, l’armée américaine a déclaré aux soldats qu’ils devaient être vaccinés avant vendredi ou être renvoyés sans honneur. Et dans tout le pays, les entreprises privées et entreprises publiques imposent maintenant des mandats.

Je vous dis tout cela parce que je veux être clair avec vous… les gens qui poussent ces vaccins, qui ont poussé depuis le début cette étrange entreprise sont sortis du placard, et ont révélé aujourd’hui qu’ils ont abandonné toute prétention de parler de santé publique, de démocratie et de protection du public. Ils ont fait savoir très clairement au public qu’il s’agit de pouvoir, et d’imposer un totalitarisme d’un genre que l’humanité n’a jamais connu. Tous les régimes totalitaires de l’histoire ont cherché à contrôler tous les aspects du comportement humain.

0:08:08.3 : Ils n’ont jamais été capables de le faire parce que, bien sûr, le gouvernement ne pouvait pas lire dans votre esprit, ni vous suivre toute la journée, vous empêcher de parler à certaines personnes, de vous suivre chez vous et savoir ce que vous faites…. A qui vous parlez et ce que vous dites. Mais devinez quoi ? Les gouvernements d’aujourd’hui ont ce pouvoir. Et nous savons qu’ils l’utilisent, et qu’ils utilisent cette urgence comme une excuse pour imposer un contrôle totalitaire sur chacun d’entre nous. Un niveau de contrôle autoritaire qu’aucun gouvernement dans l’histoire n’a eu. Et à ce stade, nous avons maintenant le devoir, à mon avis, de résister. Et de résister à chaque occasion que se présente à vous. Chacun d’entre nous doit s’engager dans de multiples désobéissances simples et pacifiques chaque jour.

0:09:06.5 : Je fais cela depuis de nombreuses années, et je n’ai jamais dit à personne qu’il fallait sacrifier son travail, sa réputation ou ses revenus en sortant et en parlant de ces questions, cela a toujours été dangereux. Depuis 17 ans que je fais cela, j’ai toujours été confronté à la censure, à diverses formes d’intimidation et de punition. Mais j’ai été particulièrement capable, résilient, grâce à d’autres choses que j’ai dans ma vie, mon nom, ma réputation, mon gagne-pain… Le fait que je sois avocat, les avocats ont tendance à être tolérants envers la dissidence. Et donc j’avais une capacité à faire face à ce genre d’attaques d’une manière que beaucoup de gens n’ont pas. Et j’ai toujours évité de dire aux autres, « Vous devez sortir et parler de ce que vous croyez. »

0:10:02.0 : Les gens venaient me voir et me disaient, « Je suis d’accord avec vous, mais j’ai trop peur pour en parler », et je disais, j’ai toujours dit, « C’est bon ». Vous nous soutenez discrètement. Vous n’avez pas besoin de vous exposer.

Et aujourd’hui, je vous dis quelque chose de différent : « nous devons tous commencer à nous exposer » Nous devons dire aux gens dans la rue, « si on vous empêche d’entrer dans un magasin, vous devez parler au propriétaire du magasin ». Ça ne veut pas dire qu’il ne faut pas être poli, doux et pacifique. Dieu était poli, doux et pacifique et il a quand même résisté. Et nous devons résister de cette façon. Il y a une histoire célèbre où Henry David Thoreau était en prison pour avoir protesté, pour avoir refusé de payer ses impôts parce que l’argent de ses impôts servait à soutenir la guerre hispano-américaine, qu’il considérait comme une guerre injuste. Et le célèbre philosophe qui était son ami, Ralph Waldo Emerson, est venu dans sa cellule de prison dans le Massachusetts, et il a parlé à Thoreau à travers  les barreaux de la fenêtre… Et il a dit, « David, que fais-tu là-dedans ? » Et Henry David Thoreau lui a dit : « Ralph, qu’est-ce que tu fais là dehors ? » Et c’est la question que nous devons maintenant poser à tout le monde, « Que faites-vous là dehors ? » Nous devons tous descendre dans la rue, nous devons tous résister.

0:11:34.0 : Si votre travail vous dit que vous devez vous faire vacciner et que vous ne croyez pas que c’est bon pour votre santé, ne le faites pas ! Faites-vous virer et poursuivez-les en justice ! Nous devons résister. Il s’agit du même type de crise désespérée que celle à laquelle les fondateurs de notre pays ont été confrontés pendant la Révolution américaine, et nombre d’entre eux ont renoncé à leur vie, à leurs moyens de subsistance, à leurs biens, à leur argent, à leur santé afin de nous fournir notre Déclaration des droits de ce pays, la Constitution. Ils savaient qu’il y avait des choses bien pires que la mort : la perte de nos libertés. Et ils ont sacrifié leurs vies et leurs moyens de subsistance, afin que nous puissions avoir cette constitution. Mais au cours des 12 derniers mois, nous avons perdu cette Déclaration des droits, nous avons perdu la possibilité d’avoir des procès avec jury dans notre pays pour les entreprises qui fabriquent des produits imprudents et négligents qui nous blessent. Nous avons perdu les droits de propriété que nous avions autrefois dans ce pays où un million d’entreprises ont été fermées du jour au lendemain sans compensation équitable et sans procédure régulière… Nous avons perdu la capacité de parler librement. Nous avons perdu la possibilité de pratiquer notre culte pendant toute une année, les institutions religieuses et les églises ont été fermées dans notre pays sur simple décision du gouvernement, bien que les magasins d’alcool aient été déclarés commerces essentiels et laissés ouverts.

0:13:03.2 : Mais la Constitution ne protège pas les magasins d’alcool, elle protège les églises. Aujourd’hui, nous avons perdu la capacité de participer à la réglementation. La réglementation est maintenant faite par des non-élus… c’est un docteur qui dirige maintenant le gouvernement américain. Il n’y a pas de processus réglementaire, il n’y a pas d’avis et de commentaires sur les règles. Il n’y a pas de participation du public. Il n’y a pas d’audiences publiques. Toutes les étapes habituelles de la promulgation de notre réglementation, qui exigent la participation du public, ont toutes été abandonnées. Et donc nous avons donc désormais perdu notre démocratie maintenant en Amérique. Et nous l’avons perdue dans toute l’Europe, et nous l’avons perdue au Canada, et nous l’avons perdue en Australie. Et la seule façon de nous défendre contre ces forces très sinistres, les barons voleurs de la Silicon Valley, les grandes institutions bancaires, l’armée et les agences de renseignement qui collaborent à ce processus, à cette prise de pouvoir totalitaire, à ce coup d’État contre la démocratie et la liberté libérale occidentale que nous voyons aujourd’hui. Toutes ces forces collaborent les unes avec les autres pour nous asservir. Et nous devons nous lier les uns aux autres, et nous devons riposter.

Et chacun d’entre vous doit faire au moins trois désobéissances civiles pacifiques par jour ! Et nous devons commencer à faire ça partout, et c’est comme ça que nous allons recruter de nouvelles personnes pour notre cause, et que nous allons commencer à résister !

0:14:55.5 : Je tiens à vous remercier tous pour vos efforts pour venir à Berlin, et je sais que je verrai beaucoup d’entre vous sur les barricades.

Merci !




Une étude israélienne montre enfin que l’immunité naturelle est 13 fois plus efficace que les vaccins pour arrêter le variant Delta

[Source : nicolasbonnal.com]

Photo de Tyler Durden

PAR TYLER DURDEN

Le Dr Anthony Fauci et le reste des conseillers COVID du président Biden se sont encore une fois trompés sur « la science » des vaccins COVID. Après avoir dit aux Américains que les vaccins offrent une meilleure protection que l’infection naturelle, une nouvelle étude en Israël suggère que le contraire est vrai : l’infection naturelle offre une bien meilleure protection contre la variante delta que les vaccins.

L’étude a été décrite par Bloomberg comme « la plus grande analyse du monde réel comparant l’immunité naturelle – acquise grâce à une infection antérieure – à la protection fournie par l’un des vaccins les plus puissants actuellement utilisés ». Il y a quelques jours, nous avons noté à quel point il était remarquable que la presse grand public donne enfin la parole aux scientifiques pour critiquer la pression du président Biden pour commencer à distribuer des coups de rappel. Eh bien, cette étude remet davantage en question la crédibilité de s’appuyer sur les vaccins, étant donné que l’étude a montré que les vaccinés étaient finalement 13 fois plus susceptibles d’être infectés que ceux qui étaient infectés auparavant, et 27 fois plus susceptibles d’être symptomatiques.

Voici un extrait d’un rapport de Science Magazine :

La nouvelle analyse s’appuie sur la base de données de Maccabi Healthcare Services, qui compte environ 2,5 millions d’Israéliens. L’étude, dirigée par Tal Patalon et Sivan Gazit de KSM, la branche de recherche et d’innovation du système, a révélé dans deux analyses que les personnes qui ont été vaccinées en janvier et février étaient, en juin, juillet et la première moitié d’août, de six à 13 ans. fois plus susceptibles d’être infectées que les personnes non vaccinées qui ont déjà été infectées par le coronavirus. Dans une analyse, comparant plus de 32 000 personnes dans le système de santé, le risque de développer un COVID-19 symptomatique était 27 fois plus élevé chez les vaccinés, et le risque d’hospitalisation huit fois plus élevé.

Cette fois, les données laissent peu de doute sur le fait que l’infection naturelle est vraiment la meilleure option pour se protéger contre la variante delta, malgré le fait que les États-Unis ne reconnaîtront pas que les personnes déjà infectées possèdent des anticorps les protégeant du virus.

En tant que premier pays à atteindre une large couverture vaccinale, Israël se trouve désormais dans une situation impensable : le nombre de cas quotidiens a atteint de nouveaux records alors que la variante delta pénètre la protection des vaccins comme un couteau brûlant tranchant du beurre.

Source : Bloomberg

À tout le moins, les résultats de l’étude sont une bonne nouvelle pour les patients qui ont déjà lutté avec succès contre le COVID, mais montrent le défi de compter exclusivement sur les vaccinations pour surmonter la pandémie.

« Cette analyse a démontré que l’immunité naturelle offre une protection plus durable et plus forte contre les infections, les maladies symptomatiques et les hospitalisations dues à la variante delta », ont déclaré les chercheurs.

Malheureusement, l’étude a également montré que toute protection est limitée dans le temps. La protection offerte par l’infection naturelle diminue avec le temps, tout comme la protection offerte par les vaccins : le risque d’un cas delta de percée vaccinale était 13 fois plus élevé que le risque de développer une deuxième infection lorsque la maladie d’origine s’est produite en janvier ou février 2021. C’est considérablement plus que le risque pour les personnes qui étaient malades plus tôt dans l’épidémie.

De plus, donner une seule injection de vaccin à ceux qui avaient déjà été infectés semblait également renforcer leur protection. Pourtant, les données ne nous disent rien sur les avantages à long terme des doses de rappel.(…)

https://www.zerohedge.com/covid-19/ends-debate-israeli-study-shows-natural-immunity-13x-more-effective-vaccines-stopping




Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Prof Michel Chossudovsky

L’enfer est vide, tous les démons sont ici.

William Shakespeare, The Tempest, 1610-1611

Introduction

Une série de mensonges et d’affabulations sont utilisés pour justifier des décisions politiques de grande envergure qui, au cours des 18 derniers mois, ont littéralement détruit la vie des gens dans le monde entier.

La « fausse science » est utilisée pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le masque facial, l’interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l’activité économique, qui sont tous maintenus comme moyen d’éradiquer le « virus tueur ».

Qui est ce « virus tueur » qui a été personnifié par les médias et nos gouvernements, tenu pour responsable du déclenchement du chaos économique et social dans le monde entier ?

Vous vous souvenez peut-être qu’au plus fort de l’effondrement financier de février 2020, « V le Virus » a été tenu pour responsable du plus grand krach boursier depuis 1929.

Le « virus tueur » a-t-il été identifié ? Le SRAS-CoV-2 a-t-il été isolé ?

Cet article passera en revue cette question litigieuse qui se dresse depuis le début de la crise en janvier 2020. Une partie de cette analyse est basée sur des recherches menées au début de 2020.

La question centrale soulevée dans cette analyse est la suivante: l’OMS et les autorités sanitaires nationales fournissent-ils des preuves fiables et irréfutables que le présumé virus SRAS-CoV-2 a été isolé/purifié à partir d’un « échantillon non falsifié prélevé d’un patient malade » ?

Alors que le présumé virus a été initialement défini comme le nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) en janvier 2020, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré en janvier 2020 qu’elle n’avait pas en sa possession de détails concernant l’isolement/l’épuration et l’identité du 2019-nCoV.

Et comme les détails concernant l’isolement / la purification n’étaient pas disponibles, l’OMS a décidé de « personnaliser » le test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) en utilisant le prétendu virus du SRAS 2003 « similaire » (rebaptisé ultérieurement SRAS-1) comme « point de référence » pour la détection de fragments génétiques du nouveau 2019-nCoV.

Ce que cette décision implique, c’est que le nouveau 2019-CoV-2 n’est PAS un nouveau virus. Il a été classé par les autorités chinoises et l’OMS comme « semblable » au SRAS-CoV de 2003 ainsi qu’au SRMO. 

2003 Le CoV-SRAS a ensuite été renommé SRAS-CoV-1.

Historique : Isolement du virus

Autorités sanitaires chinoises

Les autorités chinoises ont annoncé le 7 janvier 2020 qu‘ »un nouveau type de virus » avait été identifié « semblable à celui associé au SRAS et au MERS » (rapport connexe, ce n’est pas la source originale du gouvernement chinois). La méthode sous-jacente est décrite ci-dessous :

Nous avons recueilli et analysé prospectivement des données sur les patients atteints d’une infection à nCoV 2019 confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel et séquençage de prochaine génération.

Les données ont été obtenues à l’aide de formulaires de collecte de données standardisés partagés par l’OMS et le Consortium international pour les infections respiratoires aiguës aiguës et émergentes à partir de dossiers médicaux électroniques. (c’est nous qui soulignons)

L’article suivant intitulé A new coronavirus associated with human respiratory disease in China « (En Chine, un nouveau coronavirus associé à une maladie respiratoire affectant les humains) (Nature, 3 février 2021) a été parmi les premiers à faire rapport sur le nouveau coronavirus chinois :(…) [Nous] avons recueilli du liquide de lavage broncho-alvéolaire (BALF) et effectué un séquençage méta-transcriptomique profond. L’échantillon clinique a été manipulé dans un laboratoire de niveau de biosécurité 3 au Shanghai Public Health Clinical Center. L’ARN total a été extrait de 200 μl de BALF et une bibliothèque méta-transcriptomique a été construite pour le séquençage en bout de paire (150 pb de lecture) à l’aide d’un Illumina MiniSeq comme décrit précédemment 4,6,7,8..Au total, nous avons généré 56 565 928 lectures de séquence qui ont été de novo-assemblées et criblées pour des agents étiologiques potentiels.(…)La séquence génomique de ce virus, ainsi que ses terminaisons, ont été déterminées et confirmées par PCR à transcription inverse (RT-PCR)10 et 5′/3′ amplification rapide des extrémités de l’ADNc (RACE), respectivement. Cette souche virale a été désignée sous le nom de coronavirus WH-Human 1 (WHCV) (et a également été appelée « 2019-nCoV ») et sa séquence génomique entière (29 903 nt) a reçu le numéro d’accession GenBank MN908947.L’organisation du génome viral du WHCV a été déterminée par l’alignement de la séquence avec deux membres représentatifs du genre Betacoronavirus : un coronavirus associé à l’homme (SRAS-CoV Tor2, numéro d’accession GenBank AY274119) [2003] et un coronavirus associé aux chauves-souris (chiroptelle SL-CoVZC45, numéro d’accession GenBank MG772933) . (Nature, 3 février 2020)

Il n’est pas clair, d’après les citations ci-dessus ni sur les documents consultés, si les autorités sanitaires chinoises ont entrepris un isolement/purification du spécimen provenant d’un patient.

Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) aux États-Unis

À la suite de l’annonce chinoise du 28 janvier 2020, le CDC a déclaré que le virus corona novela avait été isolé. La déclaration du CDC datée du 28 janvier 2020 (mise à jour en décembre 2020) est sans équivoque :

Le SRAS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19, a été isolé en laboratoire et est disponible pour la recherche par la communauté scientifique et médicale.


Calendrier :

  • Le 20 janvier 2020, le CDC a reçu un échantillon clinique prélevé sur le premier patient américain infecté par le SRAS-CoV-2. Le CDC a immédiatement placé l’échantillon en culture cellulaire pour développer une quantité suffisante de virus pour l’étude.
  • Le 2 février 2020, le CDC a généré suffisamment de SRAS-CoV-2 cultivé en culture cellulaire pour être distribué aux chercheurs médicaux et scientifiques.
  • Le 4 février 2020, le CDC a expédié le SRAS-CoV-2 au dépôt de ressources BEI.
  • Un article traitant de l’isolement et de la caractérisation de cet échantillon de virus est disponible dans Maladies infectieuses émergentes.

(…)

Une façon importante pour le CDC d’appuyer les efforts mondiaux visant à étudier et à en apprendre davantage sur le SRAS-CoV-2 en laboratoire était de cultiver le virus en culture cellulaire et de veiller à ce qu’il soit largement disponible. Les chercheurs de la communauté scientifique et médicale peuvent utiliser le virus obtenu à partir de ces travaux dans leurs études.

Les souches du SRAS-CoV-2 fournies par le CDC et d’autres chercheurs peuvent être demandées gratuitement auprès du référentiel de ressources de recherche sur la biodéfense et les infections émergentes (BEI) icône externe par les établissements établis qui répondent aux exigences de l’EIM. Ces exigences comprennent le maintien d’installations et de programmes de sécurité appropriés, ainsi que l’expertise appropriée. BEI fournit des organismes et des réactifs à l’ensemble de la communauté des chercheurs en microbiologie et en maladies infectieuses. (C’est nous qui soulignons).

Voir également l’étude connexe qui a été affichée sur le site Web des CDC.

Les CDC reconnaissent que le CoV-2 du SRAS n’a pas été isolé.

Le document officiel du CDC, (daté du 21 juillet 2021) intitulé « CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel » se lit comme suit :

Étant donné qu’aucun isolat viral quantifié du nCoV 2019 n’était disponible pour le CDC au moment de la mise au point du test [janvier 2020] et que cette étude a été menée, des essais conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro (gène N ; accession GenBank : MN908947.2) du titre connu (copies d’ARN/μL) enrichi en un diluant consistant en une suspension de cellules A549 humaines et d’un milieu de transport viral (TMV) pour imiter l’échantillon clinique. (c’est nous qui soulignons, page 40)

Comparez l’énoncé ci-dessus à l’avis du 28 janvier 2020 des CDC confirmant l’isolement du SRAS-CoV-2:

Le 20 janvier 2020, le CDC a reçu un échantillon clinique prélevé sur le premier patient américain infecté par le SRAS-CoV-2. Le CDC a immédiatement placé l’échantillon en culture cellulaire pour développer une quantité suffisante de virus pour l’étude.


Voir l’analyse des réponses du CDC dans la section ci-dessous sur les demandes d’accès à l’information.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’a pas entrepris l’isolement / la purification d’un spécimen

D’après les documents cités ci-dessous, les autorités chinoises n’ont pas fourni à l’OMS un échantillon de SRAS-CoV-2   isolé / purifié.

Et comme les détails concernant l’isolement n’étaient pas disponibles, l’OMS a décidé de « personnaliser » son test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) en utilisant un soi-disant isolat du virus SRAS-CoV « similaire » à celui de 2003 (rebaptisé ultérieurement SRAS-CoV-1) en tant que « point de référence » (ou proxy) pour détecter les fragments génétiques du SRAS-CoV-2 2019.

L’OMS a demandé l’avis du Dr. Christian Drosten, et ses collègues de l’Institut de virologie de Berlin à l’hôpital Charité. L’étude intitulée « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ») a ensuite été soumise à l’OMS.

Alors que l’étude de Drosten et al a confirmé que « plusieurs séquences génomiques virales avaient été libérées », dans le cas du 2019-nCoV, « des isolats de virus ou des échantillons de patients infectés n’étaient pas disponibles …« 

Les recommandations à l’OMS étaient les suivantes :

« Les séquences génomiques suggèrent la présence d’un virus étroitement lié aux membres d’une espèce virale appelée CoV liée au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), une espèce définie par l’agent de l’épidémie de SRAS de 2002/03 chez l’homme [3,4].

Nous rendons compte de l’établissement et de la validation d’un flux de travail de diagnostic pour le dépistage du nCoV 2019 et la confirmation spécifique [à l’aide du test RT-PCR], conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons de patients originaux. La conception et la validation ont été rendues possibles par l’étroite parenté génétique avec le SRAS-CoV-1 de 2003 et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. »

(Eurosurveillance, 23 janvier 2020, soulignez-le).

Ce que cette déclaration audacieuse suggère, c’est que l’isolement / purification du nCoV 2019 n’était pas nécessaire et que la « validation » serait rendue possible par « l’étroite parenté génétique avec le SRASCoV-1 de 2003″.

Les recommandations de l’étude Drosten (soutenue et financée par la Fondation Gates) concernant l’utilisation du test RT-PCR appliqué au 2019-nCoV ont ensuite été fermement approuvées par le directeur général de l’OMS, le Dr. Tedros Adhanom. (Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky, Livre électronique, chapitre II).

Liberté d’information : Aucun dossier sur l’isolement-purification du SRASCoV-2 

Un important projet d’enquête continu et détaillé de Christine Massey, M.Sc. de l’Ontario, Canada, s’intitule :

Freedom of Information Requests: Health/ Science Institutions Worldwide “Have No Record” of SARS-COV-2 Isolation/Purification

Demandes d’accès à l’information : Les établissements de santé et scientifiques du monde entier « n’a aucun dossier » d’isolement/purification du SRAS-COV-2 (travail en cours depuis 2020)

par Fluoride Free Peel, le 04 août 2021

Un texte connexe montre la liste des institutions contactées

90 établissements de santé et de sciences dans le monde entier n’ayant même pas réussi à citer un seul enregistrement de purification du « SRAS-COV-2 », par n’importe qui, n’importe où, jamais 

Par Fluoride Free Peel, le 04 août 2021

Le rapport d’enquête fournit une documentation détaillée basée sur les demandes d’accès à l’information adressées à quatre-vingt-dix établissements de santé / sciences dans un grand nombre de pays.

Les réponses à ces demandes confirment qu’il n’existe aucun dossier d’isolement / purification du SRASCoV-2 « ayant été effectué par quiconque, n’importe où, jamais ».

« Les 90 établissements de santé / sciences qui ont répondu jusqu’à présent ont fourni et/ou cité, au total, zéro dossier de ce type :

Nos demandes [sous la « liberté d’information »] n’ont pas été limitées aux dossiers d’isolement effectués par l’institution respective, ni aux documents rédigés par l’institution respective, mais étaient plutôt ouvertes à tout document décrivant l’isolement/la purification du « virus de la COVID-19 » (alias « SRAS-COV-2) effectué par quiconque, jamais, n’importe où sur la planète. »

Le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC)

L’auteur de ce rapport a contacté la CCL sous la forme de quatre demandes distinctes : 2 novembre 2020, 1er mars 2021, 3 mars 2021, qui sont examinées ci-dessous :

Le 2 novembre 2020 :

Les CDC ont admis qu’ils n’avaient aucun dossier d’isolement/purification réel par qui que ce soit, n’importe où, jamais, par quelque méthode que ce soit » :USA-CDC-Virus-Isolation-Response-Scrubbed.pdf

Le 1er mars 2021 :

Les CDC ont de nouveau clairement indiqué qu’ils n’ont toujours aucun dossier sur l’isolement du « SRAS-COV-2 » effectué par quiconque, n’importe où sur la planète, jamais… tout simplement pas en tant que tel. Au lieu de cela, les CDC ont absurdement laissé entendre que l’isolement/purification du « SRAS-COV-2 » nécessiterait la réplication d’un « virus » sans cellules hôtes et est donc impossible. (La demande n’avait rien à voir avec la réplication.)

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/03/CDC-March-1-2021-SARS-COV-2-Isolation-Response-Redacted.pdf

Le 3 mars 2021 :

Les CDC ont une nouvelle fois omis de fournir/citer tout document décrivant l’isolement/la purification du « SRAS-COV-2 » par qui que ce soit et où que ce soit… mais ils ne se contentent plus de le dire (comme ils l’ont fait le 2 novembre) ; au lieu de cela, ils font de la figuration en citant l’étude de Harcourt et al. qui est la même que celle publiée sur le site Web des CDC

Les CDC n’ont toujours pas fourni/cité d’enregistrements décrivant l’isolement/purification du « SRAS-COV-2 » par quiconque n’importe où… mais n’ont plus simplement dit (comme ils l’ont fait le 2 novembre) ; au lieu de cela, ils font de la réthorique en citant l’étude de Harcourt et al. qui est la même que celle publiée sur le site Web des CDC :

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/03/CDC-March-3-2021-SARS-COV-2-purification-FOI-response.pdf

Le 7 juin 2021 :

Les CDC ont admis qu’ils n’avaient aucun dossier de purification « SRAS-COV-2 » à partir d’un échantillon de patient par macération, filtration et utilisation d’une ultracentrifugeuse, par quiconque, n’importe où, jamais :

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/06/CDC-FOIA-request-response-no-records-SARS-COV-2-purification.pdf

Résultats concluants de l’enquête

Ce que l’auteur de ce rapport incisif et détaillé a confirmé, c’est que :

Chaque établissement n’a pas fourni ne serait-ce qu’un seul dossier décrivant l’isolement, alias purification de tout « virus COVID-19 » directement à partir d’un échantillon de patient qui n’a pas été falsifié pour la première fois avec d’autres sources de matériel génétique. (Ces autres sources sont généralement les cellules rénales de singe alias « Vero » et le sérum bovin fœtal).

Voici 5 pdf de compilation contenant les réponses à la FOI de 79 institutions dans 22 pays/juridictions, concernant l’isolement/la purification/l’existence du « SRAS-COV-2 », ainsi que des courriels d’auteurs d’études qui ont affirmé avoir « isolé le virus » et un courriel du chef du laboratoire de consultants en microscopie électronique diagnostique des agents pathogènes infectieux de l’Institut Robert Koch d’Allemagne, dernière mise à jour le 13 juillet 2021

La capture d’écran d’une sélection de réponses est fournie ci-dessous : Nouvelle-Zélande, Canada, Royaume-Uni.

Consultez les archives complètes des lettres et des réponses. Ce travail a été entrepris sur une période de plus de 12 mois.

Réponse de Public Health England

Il ressort de l’étude détaillée ci-dessus qu’il n’y a aucune preuve que le virus du CoV-2 du SRAS a été isolé/purifié à partir de l’échantillon d’un patient, comme en témoignent les réponses « en vertu de la liberté d’information » (FOI) de quelque 90 établissements de santé / sciences dans le monde entier.

Jusqu’à présent (le 9 juillet 2021) 27 institutions canadiennes ont fourni leurs réponses. (cliquez sur le lien pour accéder à la liste)

République d’Irlande : « Le virus n’existe pas »

« Gemma O’Doherty est journaliste d’investigation en Irlande.

« Cette enquête irlandaise sur la Covid montre que le ministère de la Santé refuse de confirmer l’existence d’un « virus » par écrit. Confirmation révélant que le virus n’a jamais été isolé. »

VIDÉO



« Dans le cadre de notre action en justice, nous avions exigé la preuve que ce virus existe réellement [ainsi que] la preuve que les confinements ont réellement un impact sur la propagation des virus ; que les masques faciaux sont sûrs et dissuadent la propagation des virus – ils ne le font pas. Il n’existe pas de telles études ; que la distanciation sociale est basée sur la science – ce n’est pas le cas. C’est inventé ; que la recherche des contacts (traçage) a une incidence sur la propagation d’un virus – bien sûr que non. Cette organisation ici – est en train de tout inventer au fur et à mesure. » – Gemma O’Doherty

Isolement du virus. La bataille juridique en Alberta. Patrick King

Patrick King. Le virus n’a pas été isolé !

« Non, je n’ai pas gagné le procès ». [Cependant] « Ils n’ont pas les preuves ».

La vidéo suivante montre Patrick King dans sa bataille juridique contre le gouvernement de l’Alberta.

Il y a beaucoup de gens en Alberta et dans le monde qui luttent contre le grand mensonge.

Vidéo : Patrick King incarne la Vérité.



REGARDER SUR ODYSEE, ou BITCHUTE, ou REGARDER SUR RUMBLE 

[Voir aussi : Un citoyen canadien de l’Alberta demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées dans cette province]

Mot de la fin : « La plus grande fraude médicale de l’histoire du monde »

Le CoV-2 du SRAS n’a pas été isolé. Le virus existe-t-il ?

Ni les autorités chinoises, ni les CDC, ni l’OMS, ni les gouvernements nationaux, ni les autorités scientifiques / sanitaires n’ont fourni de preuve que le CoV-2 du SRAS a été isolé / purifié.

Sur la base des recherches d’enquête de Christine Malley, nous avons accès aux réponses de nombreux gouvernements et autorités sanitaires, y compris celle fournie par la République d’Irlande à la journaliste Gemma O’Doherty.

Ce que cela signifie, c’est que tout le récit [officiel] de la Covid s’écroule.

Nous avons été systématiquement induits en erreur.

Tout ce que vos gouvernements vous ont dit est un mensonge, un amalgame de mensonges et de faussetés.

Il n’y a pas de véritable pandémie. L’isolement / purification du virus n’a pas été réalisé.

Toutes les politiques adoptées par les gouvernements du monde entier, qui étaient prétendument imposées pour « sauver des vies », sont illégales, socialement destructrices et en violation des droits humains fondamentaux.

Ces politiques ont contribué à « détruire la vie des gens ».

Le Dr. Stephen Frost qualifie la prétendue « pandémie de Covid » comme « la plus grande fraude médicale de l’histoire de l’humanité ».

Dès le début, en janvier 2020, le test RT-PCR défaillant et invalide a été utilisé pour « détecter » le présumé virus SARS-CoV-2 de 2019, malgré le fait que les détails concernant l’isolement/la purification du virus original n’étaient pas disponibles.

Toutes les décisions politiques de grande envergure imposées aux personnes à l’échelle mondiale étaient basées sur une banque de données de faux cas positifs associée à de fausses données sur la mortalité et se rapportant à des décès attribués à la maladie Covid-19.

Freiner la prétendue pandémie de SRAS-CoV-2 par l’imposition de masques faciaux, la distanciation sociale, la fermeture des économies nationales est tout simplement criminel et ces mesures n’ont aucune légitimité.

La souche originale du CoV-2 du SRAS n’a pas été isolée / purifiée : comment cela peut-il affecter le processus de prétendue »détection » de « variants mortels » du virus original ?

Mortalité et morbidité : Bien qu’il n’y ait « Pas de virus tueur », il y a un « vaccin tueur ».

Alors que le virus SARS-CoV-2 est présenté par les médias et les gouvernements comme un « virus tueur » (alors qu’en fait l’OMS et les CDC le décrivent comme « similaire à la grippe saisonnière »), un vaccin anti Covid-19, totalement invalide et inefficace, est actuellement imposé à l’ensemble de la population de la planète : 7,9 milliards de personnes.

Il s’agit d’une entreprise [pharmaceutique] de plusieurs milliards de dollars dans laquelle Pfizer est le chef de file, établissant ainsi un monopole quasi mondial pour la vente et la distribution du vaccin tueur à ARNm.

Question importante :

Comment Big Pharma a-t-elle réussi à développer un vaccin (parrainé par l’OMS, GAVI, la Fondation Gates et al) dont le rôle est de « protéger les gens » contre un virus qui n’a pas été isolé/purifié à partir d’un « échantillon non altéré prélevé sur un patient malade » ?

De plus, le CoV-2 du SRAS 2019 a été classé comme similaire au CoV-SRAS de 2003, ce qui signifie que le CoV-2 du SRAS 2019 n’est pas un nouveau virus.

La légitimité du projet de vaccin contre la Covid repose sur les centaines de milliers de faux cas positifs RT-PCR dans le monde entier combinés à de fausses données sur la mortalité lié à la Covid.

Le vaccin à ARNm de Big Pharma a entraîné d’innombrables décès et séquelles [injuries] dans le monde entier. Cela n’est pratiquement pas rapporté par les grands médias.

Bien que nous n’ayons pas de chiffres pour l’ensemble de la planète, les derniers chiffres officiels de l’Union européenne et des États-Unis sont révélateurs. Gardez à l’esprit qu’ils sous-estiment considérablement les tendances réelles de la mortalité et de la morbidité liées au vaccin :UE/EEE/Suisse au 31 juillet 2021 – 20 595 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 1,94 million de séquelles [injuries], selon la base de données EudraVigilance.

Royaume-Uni au 21 juillet 2021 – 1 517 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 1,1 million de blessures, selon le système de carton jaune de la MHRA.

États-Unis au 23 juillet 2021 – 11 940 décès liés à l’injection du vaccin anti Covid-19 et plus de 2,4 millions de séquelles, selon la base de données VAERS.

TOTAL pour l’UE / le Royaume-Uni/ les États-Unis – 34 052 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 5,46 millions de blessures signalées – le 1er août 2021

Notez Bien : Il est important de savoir que les chiffres officiels ci-dessus (rapportés aux autorités sanitaires) ne représentent qu’un faible pourcentage des chiffres réels. En outre, les gens continuent de mourir (et de subir des blessures) des vaccins tous les jours. (D4CE)

Alors, pourquoi les gouvernements font-ils pression sur les gens pour qu’ils se fassent vacciner ?

Les chefs d’État et de gouvernement du monde entier font l’objet de pressions, de pots-de-vin, de cooptation et/ou de menaces de la part de puissants intérêts financiers pour qu’ils acceptent le consensus sur le vaccin anti Covid.

Le passeport vaccinal est la phase finale constituant une transition vers la tyrannie numérique.

L’étude et les rapports analysés dans cet article devraient être utilisés pour confronter les politiciens ainsi que pour informer et sensibiliser les gens dans les villes, les villages, à travers le pays, au niveau national et international.

À ce stade de notre histoire, la solidarité est absolument fondamentale.

Le virus existe-t-il ?

Les gouvernements et l’OMS n’ont aucune preuve sur laquelle s’appuyer. Et Bill Gates non plus.

Ce que nous devons chercher, c’est de faire face à un consensus très fragile, basé sur la fraude et la tromperie.

Michel Chossudovsky

Le 10 août 2021

.
[Voir aussi :
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]
.

Lien vers l’article original:

Does the Virus Exist? SARS-CoV-2 Has Not Been Isolated? “Biggest Fraud in Medical History”,
publié le 10 août 2021.

Traduit par Maya pour Mondialisation 

Note de l’auteur

Je remercie grandement Christine Massey pour ses recherches approfondies et ses enquêtes sur la question de l’isolement / purification du virus.

À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres, dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003), [traduit en français : La mondialisation de la pauvreté], America’s « War on Terrorism » (2005), The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il contribue à l’Encyclopaedia Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à l’adresse suivante :crgeditor@yahoo.com

Voir Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2021




Le seul parti politique fédéral canadien qui propose autre chose que la répression sanitaire

[Source : Parti populaire du Canada]

POLITIQUE COVID
UNE APPROCHE RATIONNELLE QUI RESPECTE NOS DROITS ET LIBERTÉS

ENJEU

La réponse sans précédent des gouvernements à la pandémie de covid-19 a eu des répercussions extrêmement négatives sur la santé physique et mentale des Canadiens, leur bien-être économique, ainsi que leurs droits et libertés.

L’approche standard de la gestion d’une pandémie a toujours été de protéger les personnes vulnérables et de permettre au reste de la population en bonne santé de vaquer à leurs occupations normales tout en renforçant l’immunité collective. Le confinement de populations entières n’a jamais fait partie d’une planification pandémique pré-covid.

Cette approche expérimentale a été largement inefficace pour réduire la propagation du virus, mais a causé des dommages collatéraux importants. La grande majorité des victimes de covid étaient des patients âgés avec comorbidités dans des CHSLD que les gouvernements n’ont pas réussi à protéger. Les mesures de confinement entraîneront encore plus de décès à plus long terme en raison de maladies liées au stress, dépression, reports d’interventions chirurgicales, surdose de drogue, suicide, violence domestique, etc.

Les gouvernements ne veulent pas admettre qu’ils se sont trompés et imposent des mesures de plus en plus autoritaires à la population, notamment des passeports vaccinaux. Tant les vaccinés que les non vaccinés souffriront d’un régime de ségrégation, de contrôle et de surveillance constants. Il est illusoire de croire que le virus peut être éradiqué. Nous devons apprendre à vivre avec, sans détruire notre mode de vie ce faisant.

FAITS

Les confinements, obligations de porter un masque, fermetures d’écoles et autres mesures sanitaires autoritaires n’ont eu aucun effet notable sur le cours de la pandémie. Les régions ou les pays qui ont mis en place des mesures strictes ont été aussi impactés que ceux qui ne l’ont pas fait.

Les vaccinés et les non vaccinés peuvent être infectés et transmettre le virus, ce qui nie la justification de la ségrégation et des passeports vaccinaux.

L’article 1 de la Charte canadienne des droits et libertés stipule que des limites raisonnables à nos droits et libertés ne peuvent être imposées que s’il a été démontré qu’elles sont justifiées dans une société libre et démocratique. Une telle démonstration n’a pas été faite pour les restrictions liées à la covid, dont la plupart sont sans doute inconstitutionnelles.

NOTRE PLAN

Bien que la plupart des mesures en réponse à la pandémie de covid aient été mises en œuvre par les gouvernements provinciaux, Ottawa a un rôle de coordination important à jouer au niveau national et peut influencer les politiques provinciales. L’agence fédérale de santé publique coordonne les politiques avec les agences provinciales. Ottawa a également encouragé et soutenu les politiques de confinement en transférant des dizaines de milliards de dollars d’aide financière aux provinces et territoires.

Un gouvernement du Parti populaire :

  • Fera la promotion d’une approche rationnelle et fondée sur la science de la pandémie qui met l’accent sur la protection des plus vulnérables, garantit la liberté des Canadiens de prendre des décisions fondées sur un consentement éclairé, et rejette la coercition et la discrimination.
  • Congédiera l’administratrice en chef de la santé publique du Canada Theresa Tam et la remplacera par quelqu’un qui travaillera avec les agences provinciales pour mettre en œuvre une approche rationnelle de la pandémie, au lieu de suivre les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé.
  • Mettra fin aux obligations de vaccination et aux tests réguliers pour les fonctionnaires fédéraux et les travailleurs des industries sous réglementation fédérale.
  • Abolira les passeports vaccinaux pour les voyageurs.
  • S’opposera à la vaccination obligatoire, aux passeports vaccinaux et à d’autres mesures autoritaires imposées par les gouvernements provinciaux, et soutiendra les individus et groupes qui contestent ces mesures devant les tribunaux.
  • Soutiendra les mesures d’urgence provinciales mises en œuvre pour protéger les plus vulnérables, mais arrêtera de renflouer financièrement les provinces qui imposent des confinements destructeurs sur le plan économique.
  • Soutiendra la recherche médicale et le développement de thérapies pour traiter la covid-19 et d’autres maladies virales.

APPUYEZ-VOUS CETTE CAUSE?

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Pour gagner en liberté, il faut agir librement. La liberté doit être prise, pas mendiée, et cela ne nécessite même aucune violence ou agression

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Par Guy Boulianne

Henry Makow écrit dans son article en date du 24 août dernier : « Les Américains sont pour la plupart complaisants et dociles face à leur disparition imminente. Une pandémie avec un taux de survie de 99,7 % n’est pas une pandémie. Une maladie sans symptômes n’est pas une maladie. À moins que nous ne retrouvions notre bon sens et que nous réalisions que le Covid est une opération psychologique politique et un canular, nous sommes finis. » Je partage avec vous le dernier article du conseiller financier et planificateur successoral à la retraite, aujourd’hui chroniqueur, Gary D. Barnett. Celui-ci écrit : « L’intention des maîtres choisis et non choisis qui ont été autorisés à régner sur cette population faible et pathétique est maintenant devenue si audacieuse qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent sans examen minutieux. L’ignorance des Américains [Canadien, Québécois, etc.] a atteint un tel niveau que pratiquement tout ce que l’État fait pour gagner plus de pouvoir et de contrôle est applaudi et immédiatement accepté par cette foule de serfs effrayés qui se croient toujours libres. » 

Je vous souhaite une bonne lecture.


Gary D. Barnett : Pourquoi je fais ça ?

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J’écris sur ces questions concernant l’indépendance, la liberté et la souveraineté de l’individu depuis plus de deux décennies, et regardez où nous en sommes aujourd’hui. J’ai vu ce pays continuer à empirer chaque année depuis ma naissance, et maintenant nous sommes confrontés au défi ultime, et la seule défense évidente est les efforts d’un petit nombre. Oui, on parle de refoulement et de menaces de ne pas se conformer, mais ce n’est rien de plus que des paroles. Il y a aussi plus de protestations, du moins dans d’autres parties du monde, mais ce qui est nécessaire, ce n’est pas protester après tout, car protester dans la plupart des cas n’est rien de plus qu’un effort futile. Cela dépend de la dépendance d’une population faible à l’égard de leurs geôliers qui les gouvernent, ce qui leur donne un certain soulagement. Pour gagner en liberté, il faut agir librement.

La liberté doit être prise, pas mendiée, et cela ne nécessite même aucune violence ou agression ; cela nécessite juste de la désobéissance et de la dissidence, et un refus de se conformer aux ordres, mandats et tentatives de corruption de ce gouvernement odieux pour vous contrôler.

L’intention des maîtres choisis et non choisis qui ont été autorisés à régner sur cette population faible et pathétique est maintenant devenue si audacieuse qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent sans examen minutieux. L’ignorance des Américains [Canadien, Québécois, etc.] a atteint un tel niveau que pratiquement tout ce que l’État fait pour gagner plus de pouvoir et de contrôle est applaudi et immédiatement accepté par cette foule de serfs effrayés qui se croient toujours libres. La stupidité d’esprit qui est nécessaire pour que cette prise de contrôle de la société ait lieu dépasse l’imagination de toute gauche capable de penser même en termes simples. Je suis abasourdi par cette posture, mais je ne suis pas du tout surpris.

Beaucoup m’ont insulté, m’ont dit que j’étais trop dur et brutal dans mon approche, ont dit que je ne parlais que de malheur et ont tenté de me réprimander pour avoir dit la vérité qu’ils ne voulaient pas entendre. J’ai été censuré, menacé, rejeté et maudit, simplement pour avoir mis en garde contre ce qui est maintenant bien en vue. J’ai été étiqueté comme un cinglé du complot et ignoré au milieu des yeux qui roulent. A quoi pensent tous ces gens aujourd’hui en voyant leur vie disparaître ?

Avec la collusion massive de Bill Gates et de la Fondation Gates, de l’industrie pharmaceutique, du gouvernement et des organisations mondiales de « santé », et des autres pires éléments criminels de la société, la FDA a approuvé ce que l’on appelle ridiculement les « vaccins Covid » chez Pfizer et BioNTech, le premier de beaucoup, et maintenant le début de la fin est certainement là pour rester. En quelques instants, New York, la Californie, Porto Rico, et probablement plus au moment où j’écris ceci, exigent que tous se fassent injecter ou sinon. C’est peut-être le bon moment pour dire que je vous l’avais dit !

Préparez-vous, si vous ne voulez pas être un esclave, à recevoir une injection complète de poison mortel pour survivre. Ceux d’entre nous qui ne veulent pas suivre maintenant sont les cibles non seulement de la dictature criminelle et meurtrière des États-Unis, mais de tous nos voisins et soi-disant amis. Bientôt, toute possibilité de voyager, toute entrée dans les magasins, les restaurants, les épiceries, les écoles et un certain nombre de lieux « publics » seront fermés à ceux qui choisissent de ne pas se faire piquer, mais à ce stade, l’agression contre les vrais dissidents intelligents sera portée à un niveau très élevé. Il pourrait facilement devenir — dans un avenir très proche — presque impossible de fonctionner sans conformité. Mais cela ne se terminera pas avec des mandats de « vaccination », cela se terminera par une tyrannie totale et la mort.

La frustration est exaspérante, car savoir où cela se dirigeait depuis des années n’est pas une consolation compte tenu de l’enfer auquel nous sommes confrontés maintenant. Dans les jours, les semaines et les mois à venir, ce pays se sera transformé en un cauchemar totalitaire jamais vécu auparavant dans l’histoire. Tous vos enfants courent de grands risques, et je dis cela non pas pour être sensationnel, mais pour mettre en garde contre la destruction de l’esprit et du corps de tous les jeunes qui a été planifiée et ouvertement annoncée pendant toute cette fausse « pandémie » par cet État méchant, et bien sûr, il a été promu une fois de plus aujourd’hui par le diabolique Biden.

Alors pourquoi je fais ça ? Pourquoi j’écris ? Pourquoi est-ce que je continue mes tentatives pour réveiller les masses pathétiques ? À quoi bon, quand la plupart sont encore endormis et n’ont aucun désir de se protéger ou de protéger leur famille ? Je le fais pour moi et ma famille, parce que si je ne fais rien, ma vie n’aura aucun sens, tout comme la majeure partie de la vie des masses n’aura aucun sens. Je vais donc continuer, mais je crois que plus cette parodie est autorisée à continuer, plus ce sera un grand risque. J’écrirai et je me battrai pour moi-même, ma famille et tous ceux qui ont le courage de défendre ce qui est juste. Je me défendrai à tout prix contre l’agression de l’État et n’acquiescerai jamais à cet État. Quant à ceux qui s’apitoient sur leur sort, refusent de s’exprimer et désobéissent, se cachent de la vérité et s’attendent à être protégés par les autres, vous êtes livrés à vous-même.

Cette société est malade mentalement au point de confusion totale apathique

« Ce n’est pas pour rien que notre époque réclame la personnalité rédemptrice, celle qui peut s’émanciper de l’emprise de la psychose collective et sauver au moins sa propre âme, celle qui allume un phare d’espoir pour les autres, proclamant qu’il y a ici au moins une personne qui a réussi à extirper son identité de l’attachement funeste de la psyché de groupe. »

Carl Jung

LawrenceArabie


À propos de Gary D. Barnett

Gary Barnett est un conseiller financier et planificateur successoral à la retraite, et il a géré l’argent des clients de son entreprise pendant plus de trente ans. Il a également possédé deux autres entreprises au cours de sa vie et a parfois eu une course folle.

Gary a écrit sur une gamme complète de sujets concernant la liberté pendant de nombreuses années, et a écrit pour lewrockwell.comThe Future of Freedom Foundation et plusieurs autres publications au cours de cette période. Il considère que c’est une grande passion dans la vie d’apprendre et de continuer à s’éduquer, de promouvoir et de diffuser les idées de liberté à tous ceux qui sont prêts à écouter. La liberté n’est pas due à la politique ou aux constitutions, elle ne peut exister que dans l’esprit des individus.

Gary est apparu en tant qu’invité dans plusieurs émissions de radio Internet et nationales, notamment Freedom Watch avec le juge Andrew Napolitano, le Brian Wilson Show, Antiwar Radio, le Karen Kwiatkowski Radio Show, Liberty News Radio et Radio Liberty.

Il vit actuellement à Lewistown, dans le Montana, avec sa merveilleuse épouse Yoshie et son fils Leo. Il aime le plein air, la cuisine et la gastronomie, les chiens, les plages, la musique, la pêche à la mouche et les voyages exotiques.

En ce qui concerne sa philosophie, c’est un anarchiste pacifique qui croit en la loi naturelle sans restriction de l’État. Bien que Gary comprenne le scepticisme de la plupart concernant la mise en œuvre de ce type de structure politique individuelle, c’est le seul système où la liberté peut être pleinement atteinte. L’anarchie pacifique est basée sur la responsabilité individuelle, l’autonomie, l’échange volontaire sur les marchés libres, la non-agression et la liberté individuelle ; tout ce qui est nécessaire pour atteindre la paix et l’harmonie. Le collectivisme, le gouvernement central et la guerre ne sont pas et ne seront jamais la réponse.

L’écriture est la passion de Gary, et maintenant qu’il est à la retraite, il peut se concentrer à plein temps sur cette entreprise. Écrire depuis une plage chaude serait préférable, mais vivre dans le Montana ne permet pas ce luxe. Il peut cependant, enfiler son short et ses tongs assis devant son ordinateur pendant les blizzards et le froid brutal des hivers du Montana, et rêver.


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[Voir aussi : La clef de la libération]
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Pour ce chirurgien, « vaccination » = génocide

[Source : nrpyrenees.fr]

Par Sophie Loncan/C.Vignes

Dans le cadre de la manifestation qui s’est déroulée samedi dernier à Tarbes, un chirurgien de l’hôpital a qualifié la vaccination de « génocide » et appelé l’auditoire, huit cents personnes environ, à la refuser. L’établissement hospitalier a fait un signalement.

« Nous sommes choqués par les propos de ce praticien. » Le service de communication de l’hôpital de Tarbes indique que la direction de l’établissement a signalé le discours public de l’un de ses chirurgiens orthopédiques, tenu dans le cadre de la manifestation anti-pass et anti vaccin samedi 21 août à Tarbes, auprès de l’Agence régionale de santé (ARS) Occitanie.

Lors de sa prise de parole, le chirurgien orthopédique Arnaud Huboud-Peron, micro en main devant le hall d’entrée de l’hôpital de Tarbes face à 800 manifestants, déclare : « Cette injection est responsable de… alors on appelle ça des effets indésirables, mais ça s’appelle des complications. Ce qui se passe actuellement est dramatique car à l’hôpital, depuis hier (vendredi 20 août), deux jeunes de 17 et 20 ans ont des myocardites deux jours après la vaccination. »

Interrogés sur cette affirmation, le service de communication de l’hôpital de Tarbes et Manon Mordelet, directrice de l’ ARS Hautes-Pyrénées, disent « ne pas vouloir aller sur ce terrain et outrepasser le secret médical. » Laurie Lassalle, directrice de la communication du centre hospitalier d’ajouter : » De plus, nous ne savons pas comment il peut affirmer une telle chose. Parle-t-il de patients hospitalisés dans son service ou dans d’autres ? Tout ça est très vague. »

Mais le praticien va plus loin et appelle à un « refus de l’injection » , qu’il qualifie de « génocide. » Interrogé dans l’auditoire à propos de solutions thérapeutiques efficaces, le docteur Huboud-Peron répond que « oui, elles existent. L’hydroxychloroquine, l’azithromycine, l’ivermectine, le zinc, la vitamine D, la vitamine C, tout ça, ça fonctionne, ça marche très bien. Mes collègues en ville qui ont utilisé ces protocoles n’ont hospitalisé aucun patient », a affirmé le professionnel de santé, Des propos qui soulèvent de vives réactions dans la communauté médicale et scientifique.

Indignation et incompréhension

L’affaire est pour le moins « sérieuse », déclare la directrice de l’ ARS 65. « Oui, j’ai pu, comme beaucoup d’autres, visionner les vidéos où le docteur Huboud-Peron. Il y tient des propos qui interrogent sur la déontologie de ce professionnel de santé. Des propos qui devront être minutieusement analysés par le Conseil de l’Ordre, que nous avons immédiatement saisi. Ensuite, il appartient à la direction de l’hôpital de saisir le Centre National de Gestion qui gère les praticiens hospitaliers, et voir quelles sont les suites à donner à cette affaire. »

Chose faite du côté de la direction de l’hôpital qui précise « que les consignes de cette autorité compétente en la matière sont attendues et seront appliquées par l’établissement. Ce praticien est en congés depuis le 16 août et reprend le travail le 30. Nous ne l’avons donc pas revu. »

Pour le docteur Le Coustumier, président de la commission médicale d’établissement, « le docteur Huboud-Peron est un excellent chirurgien qui tient à bout de bras son service, dans des conditions difficiles. Mais il aurait dû se cantonner à son rôle de chirurgien qu’il accomplit parfaitement. Je rappelle que dans notre serment d’Hyppocrathe, la première chose c’est de ne pas nuire au patient. »

Pour l’heure, nous ne sommes pas parvenus à joindre le chirurgien. Un entretien entre Christophe Bouriat, directeur de l’hôpital de Tarbes, et le praticien pourrait se tenir lundi prochain, à leur retour respectifs de congés, selon le service communication du centre hospitalier de Bigorre.

Le chirurgien orthopédique de l’hôpital de Tarbes, Arnaud Huboud-Peron, micro en main devant le hall d’entrée de l’hôpital de Tarbes face à 800 manifestants.




Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre

[Source : NewsLetter de Michel Dogna]

Par Michel Dogna

Cette newsletter s’adresse particulièrement à trois catégories de gens :

  • Ceux qui se sont laissés vaxxer à regret pour avoir le droit de continuer à gagner leur vie et nourrir leur famille.
  • Ceux qui, bernés par les mensonges de la télé, se sont fait vaxxer volontairement et sont maintenant très inquiets par ce qu’ils ont appris depuis sur les risques de santé graves, voire mortels, qu’ils encourent maintenant.
  • Ceux qui ne sont pas vaxxés mais qui risquent d’être infectés par la proximité permanente ou imprévisible de vaxxés qui sont en fait des pollueurs ambulants de graphène.

Mais elle ne s’adresse pas à ceux qui pensent avoir fait un choix judicieux et sage.
À ce sujet, je voudrais ici mettre en défaut un raisonnement tronqué venant des « Zélites médico-politiques » concernant les sujets fragiles, que par une grande mansuétude on place prioritaires pour bénéficier du « vaxxin sauveur », il s’agit bien sûr des gens âgés, particulièrement ceux des EHPADs, mais aussi des gens à risques comme les diabétiques et les obèses, dont les défenses immunitaires sont souvent déficientes.

Or on sait que la première ligne de défense anti graphène (poison confirmé) est le L-glutathion, alors que celui-ci est automatiquement en déficit chez ces gens-là. Devinez qui risque de gagner la partie… Alors ne pensez-vous pas qu’il s’agirait plutôt d’une volonté de « débarrasser le plancher » des éclopés considérés comme des encombrants inutiles ?

Comment peut-on encore croire des politiques qui depuis toujours n’ont fait que nous mentir sur tout ? Ceux qui n’ont pas encore compris que nous vivons dans un monde à l’envers où les cadeaux sont toujours empoisonnés, sont bien naïfs.

Une compartimentation regrettable des spécialités médicales

Différentes sommités de la recherche en virologie ont sonné l’alarme en affirmant qu’il n’y aurait aucun retour en arrière possible pour les doubles vaxxés, particulièrement au niveau des dégâts physiologiques et neurologiques résultant de ces faux vaxxins ARNm. Cela n’a pas empêché des millions de gens sous hypnose TV de courir les yeux fermés se faire injecter le poison libérateur… Evidemment les alerteurs indépendants n’ont jamais eu accès TV.

En outre, je me demande pourquoi les sommités connues de la virologie qui ont accès au moins à Internet continuent à tourner en rond, centrés sur les coronas V, persistant à ignorer les vrais agents du crime parfait contenus dans les vaxxins, en l’occurrence l’oxyde de graphène, la protéine Spike S (au graphène) et le gel hydroalcoolique. Je rappelle que c’est ce qu’ont trouvé plusieurs labos espagnols selon La Quinta Columna, après avoir analysé des ampoules de « vaxxin » Pfizer, mis à part quelques mini ingrédients d’usage et aucune trace de souche corona ! Ce qui prouve bien que ce n’est pas fait pour vaxxer mais pour empoisonner.

L’histoire compliquée de la suramine

De son côté, le Docteur Judy Mikovits, chercheuse de haut niveau, pensait qu’il était impossible que les promoteurs criminels de l’holocauste vaxxinal n’aient pas prévu une échappatoire pour eux-mêmes et leurs protégés.

Ainsi, Judy Mikovits et ses collaborateurs ont fini par découvrir la botte secrète que ces gens avaient à disposition confidentielle dans le corps médical depuis près de 100 ans, la Suramine, utilisée pour le traitement de la maladie du sommeil humaine (causée par des parasites, les trypanosomes).

Or cette suramine est dérivée du bleu trypan appelé ainsi parce qu’il tue les trypanosomes. Celui-ci a été synthétisé pour la première fois par le scientifique allemand Paul Ehrlich en 1904. Mais ce n’est pas tout, car lorsque l’on remonte la filière des chimistes, on apprend que le trypan est lui-même dérivé de la toluidine, issue du toluène… qui est extrait de l’huile de pin !
Et cela a été la piste de Judy Mikovits.

Bref historique des aiguilles de pin sylvestre

L’histoire nous montre que les aiguilles de pin sylvestre, ou de différentes autres espèces de pin, ont été largement utilisées depuis des millénaires chez différents peuples comme les amérindiens, si bien que ce pin était surnommé « l’arbre aux mille vertus ». Les herboristes du monde entier connaissent depuis longtemps les bienfaits de ces aiguilles de pin en tisane, en Teinture Mère, en poudre, ou en huile essentielle.
Aussi, la richesse des aiguilles de Pin sylvestre en pinène et multiples autres constituants volatils ou non volatils, et en vitamine C (le Pin a été utilisé dans le soin du scorbut) et A, leur confère un pouvoir guérisseur reconnu ciblant particulièrement les affections respiratoires en tant que :

  • Antiseptique,
  • Anti-inflammatoire,
  • Expectorant,
  • Mucolytique,
  • Antioxydant puissant (d’après une étude sud-coréenne en 2011),
  • Stimulant de la corticosurrénale.

Mais aussi de :

  • Booster l’état général,
  • Améliorer la circulation sanguine et lymphatique,
  • Favoriser la diurèse et donc éliminer les toxines.

Une piste en impasse

Là nous entrons dans un sac d’embrouilles avec la recherche de la suramine – version naturelle – supposément concentrée dans les aiguilles, celle-là non agressive comparée à celle qui est de synthèse :

L’analyse d’une teinture mère réalisée à partir d’aiguilles de Pin sylvestre fraîchement récoltées, étude faite par un laboratoire sérieux et doté d’appareillages performants, n’a révélé aucune trace de suramine.
La teinture mère contient le précurseur de cette molécule, le toluène (découvert initialement dans le Baumier de Tolu, un grand arbre d’Amérique du sud, d’où le nom de ce composant) : le toluène est en effet soluble dans l’éthanol contenu dans l’alcool impliqué dans la fabrication de la teinture mère.

Mais cet extrait ne contient pas de suramine, molécule obtenue par voie de synthèse, comme expliqué ci-dessus : la suramine n’est présente dans aucune plante, elle ne se trouve pas à l’état naturel : cette molécule est une création de la chimie analytique ! L’infusion d’aiguilles de Pin sylvestre ne contient pas non plus de suramine, pas plus que la teinture mère ou tout autre extrait du Pin sylvestre, ou tout autre espèce de Pin !

Alors pourquoi ça marche ?

Il est clair que si Judy Mikovits avait raconté des sottises, pourquoi l’aurait-on empêché de parler en la mettant en prison (comme JB Fourtillan) ? A notre avis, elle ne s’est pas trompée sur les résultats, mais a dû mal interpréter la complexité du processus réel de l’action thérapeutique des aiguilles – la suramine serait donc un faux drapeau, et il y aurait autre chose qui fait le travail, mais quoi ?

  1. Notre problème central est la neutralisation du graphène qui est un peroxydant. Or les extraits d’aiguilles de pin étant, nous l’avons vu, un puissant antioxydant apportent une aide extérieure importante au L-glutathion, principal antioxydant endogène qui peut être très insuffisant.
     
  2. Par ailleurs tout le monde sait que les pinèdes dégagent beaucoup d’ions négatifs extrêmement tonifiants qui donnent une sensation de légèreté. Les aiguilles en sont en grande partie le siège.

D’un autre côté l’oxyde de graphène étant électropositif a besoin d’être dans un milieu électropositif pour pouvoir fonctionner. A noter aussi sa capacité exceptionnelle de conduction électrique et magnétique.
Ceci a donné lieu, chez des milliers de personnes à des phénomènes amusants d’aimantation de petits objets ferreux sur le point d’inoculation du vaccin.
Mais malheureusement aussi à des réactions dramatiques presque immédiates de gesticulations violentes incontrôlables et continues insupportables à voir (pauvres gens !) – Il semble que tout le système cérébro-spinal soit en court-circuit.

La vérité est que les extraits d’aiguilles de pin peuvent neutraliser l’électropositivité du graphène le rendant inactif et le piégeant magnétiquement. Pour en savoir plus, je vous renvoie en référence à la thèse d’un scientifique anglais – cliquez sur :

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01325244

Comme le dit Hugo Barès :

La suramine, c’est l’antidote du graphène pour les élites,
mais les aiguilles de pin, c’est l’antidote du peuple.

Conclusion

Les gros dommages physiques et psychiques post-vax peuvent être grandement évités ou atténués grâce aux aiguilles de Pin sylvestre en préventif avant le vax, ceci permettant de se mettre en règle naturellement sans trop de risques avec le scandaleux passeport vert.

En curatif post vax, il parait aussi possible dès le départ de bloquer le graphène, mais je ne suis pas sûr que par la suite il soit possible de rattraper tous les dégâts déjà occasionnés.

  • NOTA :
    Vu sur ProFide Catholica : en Espagne les produits dérivés d’aiguilles de Pin ont été interdits courant mai 21 !
    C’est bien la preuve que ça marche !…

Recommandations PRÉ ET POST VAX

Alcoolature ou Teinture Mère d’aiguilles fraiches de pin sylvestre

  • 15 gouttes dans de l’eau avant chacun des 3 repas, pendant 25 jours, cure à renouveler après arrêt d’une semaine. Un flacon de 100 ml suffit pour deux cures. 
     

Nota : Hélas, il est possible que beaucoup de gens
n’aient pas accès à ces informations ou n’y croiront pas,
parce que cela ne sera pas diffusé à la télé…

Garantie Qualité

  • Les aiguilles de Pin sylvestre sont coupées et mises en macération sur le site même de la cueillette, dans de la Blanche d’Armagnac 55°, certifiée Demeter et Ecocert.
  • La teinture mère est labellisée Ecocert, Nature et Progrès, Demeter. Elle a un titre alcoolique de 35° environ.

Commande

Vous pouvez vous procurer la Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre ici :




Cri désespéré d’une maman divorcée contre l’accord du père pour l’injection expérimentale !

Par Nicole Delépine

Lue sur Vk (partagé par Penoa A que nous remercions), une lettre d’une maman divorcée désespérée de l’accord unilatéral de son ex-mari pour la thérapie génique expérimentale :

« Bonjour,

J’espère que vous lirez mon message.

Je suis maman d’un garçon de 12 ans. Son père vient de le vacciner contre ma volonté. Je suis effondrée. L’amendement proposé par le député parlementaire Sasha Houlié est inhumain et créé un précédent terrible pour tous les parents séparés ou divorcés, avec l’autorisation de vaccination possible donnée uniquement par l’un des deux parents.

J’ai écrit une lettre de réponse à son père, et je vous la partage ici, en espérant qu’elle donne du courage à beaucoup de parents en souffrance.

Merci pour vos partages nombreux, force et courage, nous vaincrons !

Ainsi tu as décidé seul du destin de notre enfant, honte à toi !

Comment oses-tu faire une telle chose, alors même que tu sais que j’y suis formellement opposée, et que je te l’ai notifié à maintes reprises par écrit ?

Comment oses-tu imposer un essai expérimental à notre fils qui n’a que 12 ans et toute sa vie devant lui ?

Comment oses-tu le mettre en danger alors qu’il est en bonne santé et qu’il n’y a jamais eu autant de morts et d’effets secondaires pour des prétendus vaccins, notamment chez les adolescents ?

Comment oses-tu me dire de ne pas s’en prendre à lui et de t’ériger de la sorte comme le protecteur que tu n’as pas voulu être pour ton unique enfant ?

Honte à toi !

Penses-tu donc que tu as ce pouvoir là tout simplement parce qu’un décret, qui remet en question le principe-même de l’autorité parentale partagée, le stipule ?

Quelles sombres motivations t’animent, pour que tu précipites une vaccination inefficace, dangereuse, et inutile de la sorte ?

Penses-tu donc que lorsque toute cette mascarade sera dévoilée, et les innombrables effets secondaires et morts ne pourront même plus se compter, que les criminels complices seront traduits en justice, penses-tu donc que tu t’en sortiras indemne ?

Penses-tu donc que ton confort est plus important que la sauvegarde de nos libertés pour notre génération et les générations futures ?

Penses-tu donc que les inventeurs mêmes des tests PCR et de l’ARN messager, qui critiquent violemment l’utilisation de leurs inventions dans le cadre de dépistage de masse ou de vaccination, soient des illuminés ?

Penses-tu donc que ton fils, qui te posera des questions dans quelques jours, quelques mois ou même quelques années sur ce que tu as fait pour le protéger, te pardonnera quand il comprendra que tu as failli à ton devoir de protection parentale ?

Penses-tu donc que ton fils ne reviendra pas vers toi pour te demander des comptes l’heure venue, sur tous les dommages possibles sur sa santé ?

Honte à toi !

Tu as fait des choix qui ne t’appartiennent pas, et qui auront possiblement de lourdes conséquences sur son futur.

Tu n’as pas exercé ton devoir d’information impartiale auprès de ton fils des risques encourus, et a préféré privilégier ton confort immédiat et égoïste.

Honte à toi !

Je me décharge par la présente de toutes les conséquences médicales et financières occasionnées par cette thérapie génique que tu as choisi unilatéralement de lui faire injecter et te tiens seul responsable auprès de ton fils de tous les effets secondaires qu’il pourrait encourir à court, moyen et long terme.

J’espère du fond de mon cœur que notre fils sera épargné et qu’il pourra vivre longtemps et en bonne santé.  

»

Comme pédiatre et cancérologue d’enfants et contact de nombreuses familles connues au cours de mon exercice, je partage cette lettre qui reflète le drame vécu par tant de familles séparées et qui voient leur difficultés décupler par cette autorisation unilatérale d’un des deux parents !

Quelle cruauté supplémentaire infligée aux parents séparés ! Parents, vous avez aimé l’autre assez pour donner ensemble la vie à un enfant! Au nom de cet amour maintenant évanoui, respectez l’autre et son avis et ne donnez pas votre enfant comme cobaye à une expérimentation dont lui ne peut rien attendre (le covid n’atteint pas les enfants sans comorbidité sévère (trouble immunitaire, cancers etc.). Et les effets secondaires graves semblent encore plus fréquents que chez les gens âgés comme les atteintes cardiaques.

Laissez votre enfant disposer de sa vie lorsqu’il sera adulte sans lui infliger cette injection morbide, pour des facilités immédiates (voyages, resto, etc.. ) et aux conséquences à long terme inconnues et terrifiantes pour de nombreux généticiens.

Ne laissons pas les décideurs actuels diviser la nation entre vaccinés et non vaccinés, ni entre parents divorcés. Tenons la barre d’une société civilisée.




Le soma de Huxley et le vaccin mondialiste : feint-sacrement, destruction de l’empire US et avènement de l’ordre banquier universel

[Source : nicolasbonnal.com]

Par Nicolas Bonnal

Les mondialistes se rapprochent de leur but. Ils détruisent à Kaboul et ailleurs ce qui reste d’empire américain, même si les distraits pensent que cela met fin au Nouvel Ordre Mondial — alors que cela ne fait que le mettre en place. L’Amérique était une dernière protection, il serait temps de le dire. Voyez mon texte sur le tyran de Syracuse Denys (une femme prie pour que ce tyran reste au pouvoir) : elle a en effet compris que le tyran suivant est toujours PIRE. C’est maintenant que l’on va déguster avec la tyrannie des banquiers et des informaticiens.

Ils sont obsédés par ce vaccin imposé. Il doit bien y avoir une raison. Je me suis rappelé alors du soma de Huxley. Et comme je préfère la copie à l’original (le « retour » au Meilleur des mondes »), je le relis et lis ceci :

« Le soma était une plante dangereuse, si dangereuse qu’elle rendait même malade le grand dieu du ciel en personne, Indra. Les simples mortels mouraient parfois d’une dose un peu trop forte, mais l’expérience procurait une telle béatitude transcendante et une telle illumination qu’elle était considérée comme un privilège qu’on ne pouvait payer trop cher. »

https://youtu.be/A9OuIaU9JPU

Le soma (boisson védique et sacrée bien expliquée par Guénon) chez Huxley a une fonction politique. Il est là pour assurer le pouvoir et la nouvelle autorité temporelle, comme le feint-sacrement est là pour assurer le pouvoir satanique de la mondialisation qui accompagne l’écroulement de l’empire américain décidé par Davos à Kaboul — à ce propos lisez Thomas Luongo qui est le seul à l’avoir compris avec nous et qui annonce la prise du pouvoir par Yellen en lieu et place de Biden et Harris. Nous serons nus devant les banquiers.

Mais autorité rime vite avec tyrannie et avec maladie. Voyez le texte straussien de mon ami Laurent Guyénot sur cet instinct sacerdotal qui rend définitivement fous les hommes : Nietzsche en parlait déjà (Généalogie, première dissertation). Huxley :

« Aussi, ce genre de toxicomanie n’était-il pas un vice personnel, mais bien une institution politique, l’essence même de la Vie, de la Liberté et de la Poursuite du Bonheur garanties par la Déclaration des Droits. Mais ce privilège inaliénable des sujets, précieux entre tous, était en même temps l’un des instruments de domination les plus puissants dans l’arsenal du dictateur. L’intoxication systématique des individus pour le bien de l’État (et, incidemment, pour leur propre plaisir) était un élément essentiel du plan des Administrateurs Mondiaux. »

Les administrateurs sont mondiaux dans le Meilleur des Mondes. Huxley est toujours plus fort qu’Orwell : l’État est mondial chez lui, la drogue omniprésente, le citoyen abruti plus qu’apeuré. Il poursuit :

« Karl Marx déclarait que la religion était l’opium du peuple, mais dans le Meilleur des Mondes la situation se trouvait renversée : l’opium, ou plutôt le soma, était la religion du peuple. Comme elle, il avait le pouvoir de consoler et de compenser, il faisait naître des visions d’un autre monde, plus beau, il donnait l’espoir, soutenait la foi et encourageait la charité. »

Le vaccin c’est la religion et c’est le corps de cet Antéchrist mondialiste d’ailleurs encouragé par tous les clergés ; d’où la chasse aux hérétiques. Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux, disait Debord en reprenant Hegel. Évidemment la drogue ou le soma sont dangereux comme le vaccin :

[Voir aussi : La religion de l’Antéchrist]

« Par exemple, le calmant classique est l’opium, mais c’est aussi un stupéfiant dangereux qui, depuis les temps néolithiques jusqu’à aujourd’hui, a fait des toxicomanes et ruiné des santés sans nombre. On peut en dire autant de l’alcool, euphorisant classique, qui, selon les termes du psalmiste, “réjouit le cœur de l’homme”. Malheureusement, il ne fait pas que cela ; pris en quantités excessives, il provoque la maladie, l’accoutumance et, depuis huit à dix mille ans, il a été une cause majeure de crimes, de chagrins domestiques, de dégradation morale et d’accidents évitables. »

Dans la religion (ou la contre-religion, mais elles se rejoignent en ce moment, malheureusement), tout est contrôle et possession des esprits. Aujourd’hui cette possession assistée par ordinateur fonctionne à merveille, même dans la rue ou le métro. Dans le monde postmoderne (le Retour au Meilleur des mondes date de 1957), tout n’est que contrôle et manipulation. Huxley précise que la démocratie est un luxe qu’on ne peut plus se payer (trop de gens et trop de consommation) :

« Pendant ce temps, des forces impersonnelles sur lesquelles nous n’avons presque aucun contrôle semblent nous pousser tous dans la direction du cauchemar de mon anticipation et cette impulsion déshumanisée est sciemment accélérée par les représentants d’organisations commerciales et politiques qui ont mis au point nombre de nouvelles techniques pour manipuler, dans l’intérêt de quelque minorité, les pensées et les sentiments des masses. Ces procédés seront étudiés dans les chapitres suivants ; bornons-nous pour le moment à ces forces impersonnelles qui sont en train de rendre le monde si peu sûr pour les démocraties, si peu hospitalier pour la liberté individuelle. »

Le discours est libéral et néolibéral (toujours pour les imbéciles en retard d’une guerre : même Malraux avait compris déjà que le capitalisme n’était plus qu’une volonté d’organisation), mais la réalité est étatique et super-étatique :

« Un état de crise continu justifie le contrôle continu de tout et de tout le monde par les agents du gouvernement et c’est précisément cette tension entretenue à quoi l’on peut s’attendre, dans un monde où la surpopulation crée une situation telle que la dictature sous les auspices communistes devient presque inévitable. »

Le virus et la crise permettent comme on sait de liquider les derniers petits commerces. Huxley disait déjà avec l’exemple du fascisme sous les yeux que ces commerces étaient condamnés : la nuit de cristal avait détruit le petit commerce juif en Allemagne et c’est ce à quoi nous avons affaire en ce moment, mais à un niveau mondial.

« Dans un tel univers, les Petits, avec leurs fonds de roulement insuffisants, sont gravement désavantagés ; dans la concurrence avec les Gros, ils perdent leur argent et finalement leur existence même, en tant que producteurs indépendants — les Gros les ont dévorés. À mesure que les Petits disparaissent, la puissance économique en vient à être concentrée entre des mains de moins en moins nombreuses. Dans une dictature, les Grosses Affaires, rendues possibles par des progrès techniques constants et la ruine des Petites Affaires qui en est résultée, sont sous le contrôle de l’État — c’est-à-dire celui d’un groupe peu nombreux de chefs politiques et des soldats, policiers, fonctionnaires exécutant ses ordres. »

Et Huxley de mettre les points sur les I :

« Dans une démocratie capitaliste comme les USA, elles sont sous la coupe de ce que le professeur C. Wright Milis a appelé I’Élite du Pouvoir. »

Nous étions calculés depuis longtemps. La suite va être effarante (voyez mon texte sur Sitra et le 666) d’autant que la foule ne comprend toujours pas et ne comprendra pas. Elle regardera la télé et dénoncera les hérétiques qui ne sont pas vaccinés. Mais au point où on en est…

Sources principales :





Joe Biden : destitution, démission ? Le dilemme impossible des démocrates

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Anthony Lacoudre, pour FranceSoir

CHRONIQUE – Depuis le désastre de la gestion par Joe Biden du départ des troupes américaines d’Afghanistan, les discussions à Washington DC vont bon train, à droite comme à gauche, concernant la nécessité de mettre un terme aux fonctions du président au plus vite.

État d’incapacité mentale

Ce qui était déjà évident pour le public informé pendant la campagne électorale en 2020 est devenu impossible à camoufler par les grands médias : Joe Biden n’est pas seulement incompétent, il est frappé d’incapacité mentale, ce qui est très différent.

Les innombrables montages vidéo montrant Joe Biden incapable de formuler une phrase compréhensible font fureur sur les médias sociaux depuis son élection. Pour prendre un exemple récent, à la question « quand les enfants de moins de douze ans pourront-ils se faire vacciner ? », Joe Biden a répondu de la façon suivante, devant les yeux éberlués du journaliste : « Et la question est de savoir si oui ou non nous serons en position où vous, euh… hum… êtes, pourquoi les… les… les experts ne sont, ne peuvent dire nous savons que ce virus est en fait un… hum… euh… Va être, ou excusez-moi, quand nous saurons pourquoi tous les médicaments approuvés ne sont pas approuvés temporairement mais sont approuvés de façon permanente. Et c’est en route aussi… ». (CNN Town Hall du 21 juillet 2021). Puis il s’est mis à parler de l’homme qui a marché sur la Lune et des extraterrestres ! (sic)

Quand il prononce des phrases compréhensibles (en lisant sur un téléprompteur), le résultat est tout autant inquiétant. Lors d’une conférence de presse organisée le 7 juillet dernier, il déclarait : « La prise de l’Afghanistan par les talibans n’est pas inévitable parce que vous avez 300 000 troupes afghanes, bien équipées, aussi bien que ne l’est n’importe quelle armée dans le monde, avec une force aérienne, contre environ 75 000 talibans. Ce n’est pas joué. La probabilité que les talibans contrôlent tout et détiennent le pays en entier est très faible ».

Autrement dit, Joe Biden n’est plus connecté au monde réel, il n’est plus maître de ses moyens intellectuels. Il n’arrive pas à évaluer les différentes options et à assimiler l’avis de ses conseillers, il ne comprend pas les conséquences de ses actions (ou de son inaction), ce qui fait courir un grand danger au pays, qu’il s’agisse des affaires intérieures (crise migratoire, inflation, dette publique, criminalité, etc…) ou des affaires étrangères, sujet sur lequel le président agit seul en tant que Commander in Chief.

La question n’est donc pas tant de savoir s’il va être destitué mais plutôt par qui. En effet, deux options sont envisageables à ce stade.

Vers un impeachment en 2023 ?

Il ne fait désormais plus aucun doute que si les républicains recouvrent la majorité dans les deux chambres du Congrès à la suite des élections du mois de novembre 2022, un procès en destitution (impeachment) sera immédiatement tenu contre Joe Biden. La procédure est constituée de deux étapes. Une mise en accusation conduite par la Chambre des représentants (à la majorité simple) suivie d’une condamnation ou d’un acquittement par le Sénat (à la majorité renforcée).

Les sujets de condamnation ne manquent pas. Les soupçons de trafic d’influence orchestré de concert avec son frère et son fils, alors que Joe Biden était le vice-président de Barack Obama, pourraient refaire surface.

Il est toutefois probable que le chef d’inculpation relèvera plus de la haute trahison. L’abandon volontaire du contrôle de la frontière avec le Mexique associé à la déroute du départ des troupes américaines d’Afghanistan constituent un cocktail explosif. Réussir à provoquer deux crises humanitaires en l’espace de quelques mois est inédit, de la part d’un président dont le slogan électoral était « America is back » (l’Amérique est de retour).

Concernant l’Afghanistan, Joe Biden aura donc été incapable d’anticiper les conséquences de sa politique. Il a fait partir l’intégralité des troupes – en fermant l’aéroport militaire de Bagram – avant d’organiser l’évacuation des diplomates, des citoyens américains et des alliés (étrangers ou afghans) ainsi que le rapatriement des prisonniers de guerre (immédiatement libérés par les talibans) et des armes, munitions et équipements militaires parmi les plus sophistiqués du monde (y compris hélicoptères Apaches de dernière génération, des drones, etc…). Une erreur de jugement dramatique mettant directement en cause la sécurité nationale des États-Unis.

À ce jour, une douzaine de milliers d’Américains sont tenus en otage par les talibans. Le général (en retraite) Don Bolduc précise sur Fox News (22 août) : « Il est évident qu’il s’agit d’un désastre absolu aux conséquences géopolitiques inconcevables. Il n’y a aucun doute que nous avons d’ores et déjà une situation d’otages. J’ai opéré à Kaboul chaque année (ndlr: pendant dix ans), je connais la situation intimement. Il ne sera pas possible de rejoindre l’aéroport de Kaboul sain et sauf dans les conditions qui ont été établies par la stratégie de ce retrait. C’est insensé ».

« Joe Biden a supervisé une politique étrangère qui a généré la plus grande humiliation de l’histoire des États-Unis. Les nations du monde, amies et ennemies, nous observent et se disent « que s’est-il donc passé en Amérique en si peu de temps ? » Ils n’en reviennent pas. Ils ne respectent plus les États-Unis et son président »

(Donald Trump, discours du 21 août en Alabama).

La culpabilité du président sera incontournable notamment si les membres de la Chambre des représentants parviennent, dans le cadre de leur enquête, à prouver que Joe Biden a dirigé les opérations en Afghanistan en faisant fi des avis et conseils de son entourage (renseignement, État-major, ministre de la Défense).

Le sénateur républicain Lindsey Graham annonce la couleur :

« Si Joe Biden ne rapatrie pas l’intégralité des citoyens américains, s’il ne rapatrie pas ceux qui ont combattu à nos côtés, ils vont être massacrés et Joe Biden aura commis un crime grave (ndlr un « high crime » justifiant un impeachment comme le prévoit la Constitution). S’il fait ça, il doit partir. N’importe quel officier militaire passerait en cour martiale pour cela ».

Voir aussi : Joe Biden : une gestion « covid » calamiteuse

Destitution par Kamala Harris

La seconde option consisterait pour la vice-présidente Kamala Harris à anticiper l’impeachment et à recourir – de façon préventive avant les élections de mi-mandat – à la procédure de destitution prévue par le 25ème amendement constitutionnel.

D’après cet amendement, lorsqu’un président en fonction n’est plus en capacité d’agir (physiquement ou mentalement), le vice-président peut formellement constater ladite incapacité (sénilité, démence).

Puis, si une majorité des membres du gouvernement se rangent derrière l’avis du vice-président, ce dernier remplace automatiquement le président dans ses fonctions.

Si le président s’oppose à sa propre destitution, le Congrès est alors saisi pour un vote à la majorité des deux tiers en faveur ou contre la destitution. Le vice-président remplace alors le président destitué, ce qui, en l’occurrence, porterait au pouvoir Kamala Harris.

Cette même Kamala Harris, en qui 55 % des Américains voient une personne qui n’est pas qualifiée pour exercer les fonctions de président (sondage Rasmussen Research d’août 2021). Cette même Kamala Harris qui s’est vantée devant les caméras de CNN au mois d’avril dernier d’avoir été fortement impliquée dans les discussions du retrait des troupes d’Afghanistan, opération qu’elle approuvait dans ses moindres détails, précisant toutefois malicieusement que « la décision finale appartient à Joe Biden ».

Claudia Tenney, membre républicain de la Chambre des représentants (élue de New York) résume bien la situation (interview du 20 août) : « Avec la vice-présidente Harris, je sais que nous n’avons pas un problème de déclin cognitif. Elle n’est peut-être pas compétente pour être présidente, mais au moins elle sera capable de tenir compte de l’avis de ses conseillers et elle comprendra la réalité de la situation sur le terrain ».

Le scénario de la démission

Pour éviter l’humiliation de l’une ou de l’autre de ces deux hypothèses (impeachment ou destitution), il est également envisageable que l’entourage de Joe Biden réussisse à le convaincre de démissionner, notamment si le président continue de plonger dans les sondages d’opinion.

Depuis quelques semaines en effet – avant même que n’intervienne la débâcle de Kaboul ! – Joe Biden est « sous l’eau » (under water) : les Américains qui désapprouvent sa politique étant désormais plus nombreux que ceux qui l’approuvent. Par ailleurs, d’après un sondage récent (Rasmussen Research), si l’élection présidentielle avait lieu aujourd’hui, Donald Trump l’emporterait avec 6 % d’avance sur Joe Biden. Les prochains sondages d’opinion post épisode Afghan risquent d’être fracassants.

La démission de Joe Biden avant les élections de mi-mandat viserait ainsi à éviter que le président entraîne l’ensemble des élus du parti démocrate dans sa chute.

La problématique du Sénat

En cas de destitution ou de démission de Joe Biden intervenant avant les élections de mi-mandat, se posera alors la problématique du contrôle du Sénat.

On rappellera que le Sénat est actuellement composé de 50 sénateurs démocrates et de 50 sénateurs républicains. En cas de blocage, Kamala Harris, en sa qualité de vice-présidente, vient apporter la 101ème voix. Les démocrates sont donc actuellement majoritaires au Sénat.

Mais si Kamala Harris devient calife à la place du calife, les démocrates perdent la majorité au Sénat. Il reviendra en effet aux 100 sénateurs de désigner le nouveau vice-président successeur de Kamala Harris (sans que celle-ci ne puisse participer au vote), ce qui forcera les deux partis à se mettre d’accord sur un candidat « neutre » que les démocrates ne contrôleront pas.

Les démocrates ont donc le choix entre conserver Joe Biden à la présidence quel que soit son état de santé jusqu’aux élections de mi-mandat, quitte à faire sombrer le navire entier, ou remplacer Joe Biden par Kamala Harris lorsque la situation ne sera plus tenable, perdant au passage la majorité au Sénat.

Auteur(s): Anthony Lacoudre, pour FranceSoir




Piqûre de rappel : Pfizer et les pharmaceutiques au pouvoir

[Source : journaldemontreal.com]

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Par
LÉO-PAUL LAUZON
 
24 octobre 2013

La société américaine Pfizer est la plus grosse compagnie pharmaceutique au monde et elle n’est pas mal plus importante et plus riche que le Canada. En termes de ressources économiques, le Québec est un nain par rapport à Pfizer et à la tyrannie du cartel pharmaceutique qui font la pluie et le beau temps dans le monde grâce à leurs milliers de lobbyistes, d’universitaires franchisés, de groupes de recherches commandités et d’ex-politiciens à leur emploi. Comme pour les pétrolières, les banques, les chemins de fer, les firmes de génie, etc., et on repassera pour la supposée vive concurrence qu’est censée se livrer les agents économiques de tout marché. Dans plusieurs secteurs économiques, la concurrence et de ce fait l’économie de marché ne sont que des vues de l’esprit.

Mentionnons aussi que comme à l’accoutumée, Québec est chiche envers le monde ordinaire mais très généreux avec la caste supérieure, ce qui se concrétisera par le versement annuel de plusieurs centaines de milliers par année en fonds publics versés par la province à des pharmaceutiques milliardaires. Ça fait que c’est le Québec qui est le plus généreux en aide gouvernementale et où le prix des médicaments est le plus élevé au Canada. Même en leur donnant notre chemise, les mammouths pharmaceutiques en veulent toujours immonde et à flusher des milliards d’employés.

L’éthique et Pfizer

Commençons par une «joke» à vous faire mourir de rire. Elle vient de Scott Wilks, un haut dirigeant de Pfizer Canada, qui a dit très sérieusement, en entrevue au journal Les Affairesdu 7 avril 2012 que : «Il faut payer les médicaments à un prix équitable». Imaginez, faut avoir du front, et un gros en plus de ça, tout le tour de la tête pour nous parler de «prix équitable» des médicaments en particuliers et «d’équité» en général. Franchement, les pharmaceutiques qui détournent des milliards de dollars annuellement dans les paradis fiscaux par le biais de leurs filiales qui y logent et de leurs prix de transfert; des cadeaux princiers qu’ils distribuent aux médecins, aux pharmaceutiques et aux chercheurs universitaires pour services rendues à leur publicité trompeuse et mensongère, etc.

Tiens, prenons le titre de cet article de journal du 8 août 2012 : «Pfizer versera 60 millions$ US pour une affaire de corruption» et de celui-ci du 3 septembre 2009 : «Pfizer paie une amende record pour publicité abusive». Un petit 2,3 milliards$ US en amende auquel, selon moi, il aurait fallu aussi condamner les dirigeants de l’entreprise à la prison. Il y a aussi cet article du 10 décembre 2010 qui nous signale que «Pfizer a embauché des enquêteurs privés chargés de trouver des informations incriminantes sur le ministre de la justice du Nigéria qui poursuivait le géant pharmaceutique pour 75 millions de dollars» et également cet autre du 31 mai 2008 intitulé «Depo-Provera. Le recours collectif contre Pfizer peut aller de l’avant». Et après, ils ont le culot de se faire les apôtres de l’éthique et de la responsabilité sociale.

À genoux devant Pfizer

Contrairement à son engagement pris en 1987 d’investir 10% de leurs revenus en recherche au pays, en échange de subventions et de faveurs comme la durée prolongée de vie des brevets, de façon unilatérale et en vrai petit dictateur, Pfizer met fin à ses belles promesses : «Pfizer remet en question son engagement» (La Presse, 8 décembre 2010). Et nos élus affranchis s’écrasent face à ce comportement despotique.

Et même si c’est le Québec qui leur en donne le plus sur le bras de la population, Pfizer ne fait «pas de promesse pour le Québec» (16 mai 2012). Pfizer peut toutefois aider les provinces à «mieux gérer et prévoir ses coûts lorsque de nouveaux médicaments sont inscrits sur les listes». On appelle ça du mépris. Ce sont ces mêmes canailles qui provoquent intentionnellement des pénuries de médicaments moins rentables afin de vendre au gros prix leurs nouveaux médicaments qui sont quasi identiques aux vieilles pilules.

Des promesses de pertes d’emplois

Contrairement à ce que disent les boss de Pfizer, oui, ils peuvent faire des promesses de…. Pertes d’emplois et soyez assurés qu’ils tiennent parole. Tiens, prenons le titre de ces articles de journal récents : «Autre coup dur pour la recherche à Montréal. Pfizer élimine 150 postes» (3 février 2011). Puis, Pfizer dans Saint-Laurent : Quarante postes abolis» (26 mai 2012) et enfin : «Hémorragie dans l’industrie pharmaceutique. Pfizer sabre 300 emplois, dont la majorité à Montréal» (29 octobre 2012). Pourtant, Stephen Harper nous avait juré que les importantes baisses d’impôt sur le revenu consenties aux entreprises allaient créer des jobs, stimuler l’investissement et la croissance et créer beaucoup de richesse. Un autre mensonge des politiciens.

La recherche fondamentale sous-traitée

Et dire que nos gouvernements récidivent et nous enfoncent encore plus dans les entrailles du cartel pharmaceutique en sortant la recherche fondamentale pour de nouveaux médicaments des universités afin de les sous-traiter à des bineries biotechnologiques privées subventionnées à fonds par des fonds publics et à des fonds d’investissement spéculatifs qui s’associent aux transnationales pharmaceutiques. Ça, ça fait que les affairistes, les spéculateurs et les multinationales s’enrichissent et la population s’appauvrit et devient toujours à la merci du diktat des géants pharmaceutiques. Faut faire comme plusieurs pays et compte tenu de l’importance des médicaments pour le bien-être et la souveraineté de tout peuple et de leurs prix sur les budgets des familles et de la santé publique, faut remettre dans les institutions publiques la recherche fondamentale en santé. C’est trop important pour laisser ça à des gens qui sont principalement guidés par la cupidité bien avant le bien commun et la santé des gens. On a qu’à voir comment l’industrie pharmaceutique est peu émue par les millions de décès reliés aux VIH, s’est comportée en Afrique, ce qui fait dire que dans certains pays on meurt plus du sida que ou, encore, les profits avant la santé.




Toxicité du sans-fil : jugement américain historique

[Source : La Maison du 21e siècle]

La Cour d’appel des États-Unis pour le circuit du District de Columbia se prononce en faveur des groupes de santé environnementale et des pétitionnaires ; elle estime que la FCC a violé la loi sur la procédure administrative et n’a pas répondu aux commentaires sur les dommages environnementaux. 

Source : Communiqué de l’Environmental Health Trust (EHT)

Restez au courant des dernières nouvelles de l’EHT en vous inscrivant à l’infolettre de l’Environmental Health Trust.

Ce vendredi 13 août, la Cour d’appel des États-Unis pour le circuit du District de Columbia a statué dans l’affaire historique EHT et al. v. the FCC que la décision de décembre 2019 de la Federal Communications Commission (FCC) de conserver ses limites de sécurité de 1996 pour l’exposition humaine aux radiations sans fil était « arbitraire et capricieuse. »

Le tribunal a estimé que la FCC n’avait pas répondu aux « preuves documentaires selon lesquelles l’exposition aux rayonnements RF à des niveaux inférieurs aux limites actuelles de la Commission peut avoir des effets négatifs sur la santé sans rapport avec le cancer ». En outre, l’agence a fait preuve d’une « absence totale de réponse aux commentaires concernant les dommages environnementaux causés par les rayonnements RF ».

« Nous sommes ravis que le tribunal ait confirmé la règle de droit et ait estimé que la FCC doit fournir un dossier d’examen raisonné pour les milliers de pages de preuves scientifiques soumises par Environmental Health Trust et de nombreuses autres autorités expertes dans cette affaire qui fait jurisprudence. Aucune agence n’est au-dessus de la loi. Le peuple américain est bien servi », a déclaré le Dr Devra Davis, président de Environmental Health Trust.
Environmental Health Trust tiendra une conférence de presse lundi. Heure à déterminer.

Edward B. Myers, avocat de Environmental Health Trust, le principal requérant dans l’affaire EHT et al. v. the FCC, a déclaré :

« Le tribunal a accordé les demandes de révision parce que, contrairement aux exigences de la loi sur la procédure administrative (APA), la commission n’a pas fourni d’explication motivée pour son affirmation selon laquelle ses lignes directrices protègent adéquatement contre les effets nocifs de l’exposition aux rayonnements de radiofréquence ».

« Je suis très heureux de voir que la Cour d’appel américaine pour le circuit du District de Columbia a statué que la FCC a ignoré des décennies d’études sur les effets nocifs potentiels des radiations des téléphones cellulaires sur la santé et qu’elle doit examiner adéquatement ce matériel avant de prendre une décision sur une nouvelle réglementation des téléphones cellulaires », a déclaré le Dr Jerome Paulson, ancien président du Conseil de la santé environnementale de l’Académie américaine de pédiatrie et maintenant professeur émérite de pédiatrie et de santé environnementale et professionnelle à l’École de médecine et des sciences de la santé de l’Université George Washington et à l’École de santé publique de l’Institut Milken.

« Il est très important que le tribunal ait décidé que la FCC doit se pencher sur les impacts des rayonnements de radiofréquences sur la santé des enfants accumulés depuis 1996. » 

La soumission de l’American Academy of Pediatrics (APA) à la FCC demandait une révision des limites de sécurité pour protéger les enfants et les femmes enceintes.

En annulant la détermination de la FCC pour son manque de décision raisonnée, le tribunal a écrit que la commission ne peut pas s’appuyer sur des agences comme la Food and Drug Administration (FDA) si les conclusions de la FDA sont fournies sans explication.

« Si l’imitation peut être la plus haute forme de flatterie, elle n’atteint même pas le faible seuil d’analyse raisonnée requis par l’APA en vertu de la norme d’examen déférente qui régit ici. L’adoption inexpliquée par une agence d’une analyse déraisonnable ne fait qu’aggraver le vide analytique au lieu de le vider. En d’autres termes, deux maux ne font pas un bien », a écrit la Cour.

Le tribunal a également noté que la FCC n’a pas répondu à environ 200 commentaires versés au dossier par des personnes ayant souffert de maladies ou de blessures dues aux rayonnements électromagnétiques.
Le tribunal a ordonné à la commission de

« (i) fournir une explication motivée de sa décision de conserver ses procédures de test pour déterminer si les téléphones cellulaires et autres appareils électroniques portables sont conformes à ses lignes directrices,

(ii) aborder les impacts des rayonnements RF sur les enfants, les implications pour la santé d’une exposition à long terme aux rayonnements RF, l’omniprésence des appareils sans fil et d’autres développements technologiques qui ont eu lieu depuis la dernière mise à jour des lignes directrices de la commission,

et (iii) aborder les impacts des rayonnements RF sur l’environnement. »

Télécharger la décision du 13 août 2021 de la Cour d’appel des États-Unis, District of Columbia Circuit ENVIRONMENTAL HEALTH TRUST, ET AL, PETITIONNAIRES c. FEDERAL COMMUNICATIONS COMMISSION ET ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE

Cette affaire historique porte sur la décision de la FCC de ne pas mettre à jour les limites d’exposition aux rayonnements sans fil des téléphones cellulaires, des tours de téléphonie cellulaire et des appareils sans fil qu’elle avait fixées en 1996. Les experts de l’Environmental Health Trust soutiennent depuis longtemps que les limites dépassées de la FCC font courir des risques aux Américains partout dans le monde, surtout à l’ère de la 5G. En réponse à la décision historique du tribunal, l’Environmental Health Trust et les pétitionnaires ont publié les déclarations supplémentaires suivantes : Devra Davis PhD, MPH, présidente de l’Environmental Health Trust, auteure de Disconnect : The Truth About Cell Phone Radiation, What the Industry Is Doing to Hide It and How to Protect Your Family.

Si les téléphones portables étaient une drogue, ils auraient été interdits il y a des années. La 5G n’aurait jamais été autorisée à être commercialisée. Un nombre sans cesse croissant d’études publiées – ignorées par la FCC – indique clairement que l’exposition aux rayonnements sans fil peut entraîner de nombreux effets sur la santé, en particulier chez les enfants. La recherche indique que le rayonnement sans fil augmente le risque de cancer, endommage la mémoire, altère le développement du cerveau, a un impact sur la santé reproductive, et bien plus encore. De plus, la façon dont la FCC mesure notre exposition quotidienne aux rayonnements des téléphones cellulaires et des tours de téléphonie cellulaire est fatalement erronée et donne un faux sentiment de sécurité. 

L’Environmental Health Trust a soumis des centaines de pages de preuves scientifiques à la FCC au cours des dernières années, documentant les données scientifiques montrant les dommages, la nécessité pour les agences de santé de créer des limites de sécurité qui protègent contre les effets biologiques, et l’urgence d’une politique d’infrastructure qui donne la priorité aux communications câblées plutôt qu’aux communications sans fil pour réduire l’exposition du public. Bien qu’il reste beaucoup de travail à faire, la décision d’aujourd’hui est une étape importante dans la protection des personnes contre les dommages causés par l’exposition aux rayonnements sans fil.

Malheureusement, l’industrie des télécommunications est en train de pousser des millions de nouvelles antennes sans fil 5G dans les quartiers et des milliards de nouveaux appareils sans fil, mettant chaque jour davantage de personnes en danger.

Alors que nous célébrons la victoire d’aujourd’hui, nous devons regarder vers l’avenir. Que faisons-nous à partir de maintenant ? Nous avons besoin d’une audience du Congrès sur la façon dont cette agence a opéré au-dessus de la loi pour s’assurer que cela ne se reproduira plus jamais. S’engager dans la 5G ne fait qu’assurer le succès commercial de la vente de nouveaux appareils et ne peut pas combler la fracture numérique où de nombreux groupes défavorisés n’ont pas accès aux technologies de base. Comme nous l’expliquons en détail dans la lettre de l’EHT au président Biden, la priorité en matière d’infrastructure devrait être accordée aux connexions Internet câblées plutôt que sans fil. Les États-Unis ont besoin d’un plan d’action fédéral sur la question du rayonnement sans fil qui devrait être informé par les dernières données scientifiques montrant que les niveaux actuels de rayonnement peuvent nuire à la santé humaine et à l’environnement.  

Theodora Scarato MSW, directrice exécutive de Environmental Health Trust et pétitionnaire dans cette affaire

C’est une victoire pour nos enfants, notre avenir et notre environnement. La décision de la Cour devrait être un signal d’alarme dans le monde entier. Les téléphones cellulaires et les réseaux sans fil n’ont fait l’objet d’aucun test de sécurité avant leur mise sur le marché il y a plusieurs décennies. Comme le souligne la Cour dans son arrêt, le silence des agences fédérales de la santé et de l’environnement « ne constitue pas une explication motivée de la décision de la Commission ». Cet arrêt souligne l’absence d’examen scientifique de l’ensemble des recherches scientifiques visant à garantir la protection des personnes et de l’environnement. Aucune agence fédérale n’a examiné la science indiquant des impacts sur le cerveau, la reproduction, les arbres ou la faune – ni la Food and Drug Administration, ni les Centers for Disease Control, ni le National Cancer Institute, ni l’Environmental Protection Agency. Pendant des décennies, chacune de ces agences a minimisé les effets sur la santé des radiations sans fil sur leurs sites Web publics. Un scientifique financé par les télécoms a rédigé des pages web qui seront mises en ligne par notre gouvernement fédéral. Lorsque les gens essaient d’empêcher la construction d’une tour cellulaire devant chez eux, leurs élus leur répondent qu’ils ne peuvent pas prendre en compte la question des effets sur la santé en raison de la loi sur les télécommunications de 1996. Il faut que cela cesse.

Nous avons besoin d’une enquête sur la façon dont notre pays s’est retrouvé dans cette situation et d’un plan d’action fédéral pour veiller à ce que cela ne se reproduise plus jamais. Il est impératif que nos agences fédérales agissent immédiatement pour protéger la santé humaine et l’environnement.  

Déclaration de Cindy Franklin de Consumers for Safe Cell Phones, une organisation qui était un pétitionnaire dans l’affaire

La FCC doit maintenant admettre que ses directives d’exposition vieilles de 25 ans sont bidons. Nos agences de réglementation fédérales sont mandatées pour protéger les personnes et l’environnement des dommages biologiques connus résultant de l’exposition aux rayonnements de radiofréquences micro-ondes. Cette décision montre qu’elles n’ont pas réussi à faire leur travail. L’industrie du sans-fil ne peut plus se cacher derrière les soi-disant directives d’exposition « sûres » de la FCC. 

Déclaration de Liz Barris de la fondation People’s Initiative

Ce jour est attendu depuis longtemps ! Tant de gens souffrent des effets des radiations sans fil et tant de gens ne font même pas le lien entre leurs symptômes, leurs maladies, leurs cancers et même leurs décès et les radiations qui en sont la cause parce qu’ils font confiance à leur gouvernement ! La FCC n’a répondu à AUCUN des documents qui lui ont été soumis et qui montrent que les gens sont blessés par TOUS les types de radiations sans fil, des téléphones cellulaires et du Wi-Fi aux compteurs intelligents et aux tours de téléphonie cellulaire. Nous avons besoin de limites, soutenues par la science, qui ne nuisent pas aux personnes ni à notre environnement et, jusqu’à présent, la science montre que le seul rayonnement sans fil sûr est l’absence de rayonnement sans fil. Des connexions ethernet câblées avec des portails de prise partout pour les téléphones cellulaires et l’internet pourraient être notre meilleure option.  

Déclaration d’Ellen Marks, présidente de la California Brain Tumor Association

Nous sommes ravis que le tribunal se soit prononcé contre la FCC et ait mis en lumière la collusion entre l’industrie des télécommunications, la FCC et la FDA. Trop de personnes ont souffert inutilement et cette folie doit cesser. C’est sans aucun doute un pas dans la bonne direction et j’apprécie le travail acharné de toutes les personnes impliquées.  

Extrait de la déclaration du Dr Joel Moskowitz de l’Université de Californie, Berkeley

Aujourd’hui, le barrage du déni a commencé à se fissurer. Une cour d’appel fédérale s’est prononcée contre la Federal Communications Commission (FCC) en faveur des défenseurs de la sécurité des communications sans fil. Cette décision représente une victoire dans le combat mené depuis des décennies pour que notre gouvernement adopte des limites d’exposition aux rayonnements sans fil qui protègent notre santé et l’environnement. La Cour a statué que la FCC doit « fournir une explication motivée de sa détermination que ses directives protègent adéquatement contre les effets nocifs de l’exposition aux rayonnements de radiofréquences non liés au cancer » et justifier ses procédures de test pour les téléphones cellulaires et autres appareils sans fil.

J’espère que cette décision servira de signal d’alarme au Congrès et à l’administration. En 2015, une publication du Centre d’éthique de l’Université Harvard, Captured Agency, résultant d’une enquête sur le contrôle de l’industrie sur la FCC, concluait : « En tant qu’agence capturée, la FCC est un exemple parfait de corruption institutionnelle. Les fonctionnaires de ces institutions n’ont pas besoin de recevoir des enveloppes gonflées d’argent liquide. Mais même leurs efforts les mieux intentionnés sont souvent écrasés par un système qui favorise de puissantes influences privées, généralement au détriment de l’intérêt public. »  La FCC n’a pas d’expertise en matière de santé et doit s’en remettre aux agences sanitaires fédérales pour obtenir des conseils sur l’établissement de limites de sécurité sans fil. Cependant, le Congrès a financé les recherches de l’Agence de protection de l’environnement sur le rayonnement sans fil dans les années 1990. Le CDC s’est appuyé sur des scientifiques affiliés à l’industrie pour formuler des recommandations sur les rayonnements sans fil. Bien que la FDA se soit rangée du côté de la FCC, l’agence a rejeté à tort les résultats des recherches qu’elle avait demandées, à savoir l’étude de 30 millions de dollars du National Toxicology Program qui a trouvé des « preuves évidentes » d’une augmentation de l’incidence du cancer due aux radiations des téléphones portables chez les rats mâles et des dommages à l’ADN chez les rats et les souris mâles et femelles dus à l’exposition aux radiations des téléphones portables. 

À propos de l’affaire

Dans l’affaire EHT et al. v. the FCC, les pétitionnaires ont fait valoir que la FCC a ignoré des milliers de pages de recherches et de témoignages d’experts montrant les effets nocifs des rayonnements de radiofréquences sans fil sur les humains, la faune et l’environnement lorsqu’elle a décidé que les limites des rayonnements sans fil de 1996 n’avaient pas besoin d’être mises à jour avec un examen complet de la santé et de la sécurité.

L’Environmental Health Trust a déposé son dossier devant la Cour d’appel avec Consumers for Safe Cell Phones, Elizabeth Barris et Theodora Scarato, MSW. Ils étaient représentés par l’avocat Edward B. Myers. L’affaire d’EHT a ensuite été consolidée avec une affaire distincte déposée par Children’s Health Defense, Michelle Hertz, Petra Brokken, Dr. David O. Carpenter, Dr. Toril Jelter, Dr. Paul Dart, Dr. Ann Lee, Virginia Farver, Jennifer Baran, et Paul Stanley M.Ed. Children’s Health Defense était représenté par les avocats Scott McCollough et Robert Kennedy Jr. Les preuves ont été déposées conjointement. Scott McCullough a représenté Environmental Health Trust, Children’s Health Defense, et les pétitionnaires lors des arguments oraux.

Les plaidoiries ont eu lieu le 25 janvier 2021 devant un panel de trois juges de la Cour d’appel des États-Unis pour le circuit du District de Columbia, dont les juges Karen Henderson, Patricia Millett et Robert Wilkins.

Edward B. Myers, avocat de l’Environmental Health Trust, est déjà intervenu dans l’affaire opposant le Natural Resources Defense Council (NRDC) et plusieurs tribus amérindiennes à la FCC. Dans cette affaire antérieure, le tribunal a confirmé la pertinence de la loi sur la politique environnementale nationale (NEPA). Le NRDC a également déposé un mémoire d’amicus curiae dans l’affaire EHT et al. contre FCC.

La FCC est représentée en interne par William J. Scher, Ashley Stocks Boizelle, Jacob M. Lewis et Richard Kiser Welch. 

Décision finale du tribunal

Lire le 13 août 2021 United States Court of Appeals, District of Columbia Circuit ENVIRONMENTAL HEALTH TRUST, ET AL, PETITIONERS v. FEDERAL COMMUNICATIONS COMMISSION AND UNITED STATES OF AMERICA,

Lire les mémoires et preuves sur le site de l’EHT.

À propos de l’Environmental Health Trust

L’Environmental Health Trust, un organisme scientifique à but non lucratif, travaille sur les radiations sans fil et la santé depuis une décennie. Les scientifiques de l’EHT ont publié de nombreuses études sur les effets nocifs des rayonnements électromagnétiques sur la santé et organisé des conférences scientifiques nationales et internationales sur la question.

La cofondatrice et présidente de l’EHT, Devra Davis PhD, MPH, a été l’une des directrices fondatrices du Board on Environmental Studies and Toxicology du National Research Council, National Academy of Sciences (NAS) des États-Unis, et a travaillé sur de nombreuses expositions environnementales, des produits chimiques au plomb en passant par la pollution atmosphérique. Parmi les rapports de la NAS qu’elle a dirigés figurent ceux qui recommandent de supprimer la fumée de tabac des avions et de l’environnement des jeunes enfants. Elle a également été nommée par le président Clinton au Chemical Safety and Hazard Investigation Board, a été conseillère principale du secrétaire adjoint à la santé du ministère américain de la santé et des services sociaux et a fait partie de l’équipe de scientifiques du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat qui a reçu le prix Nobel de la paix avec l’honorable Al Gore, en 2007.

Le Dr Ronald Herberman, cofondateur de l’EHT, a fondé l’Institut du cancer de l’université de Pittsburgh (UPCI) et a contribué à la découverte de cellules tueuses naturelles capables de tuer le cancer. En 2008, Herberman, alors directeur de l’UPCI, a émis les premières recommandations d’une institution médicale américaine à sa faculté et à son personnel pour qu’ils réduisent les radiations des téléphones portables dans un mémo de l’UPCI présenté dans l’article du New York Times Researcher warns of brain cancer risk from cell phones.

La note de Herberman de 2008 a été incluse dans la première des 27 ébauches du guide sur les téléphones cellulaires du Département de la santé publique de Californie, finalement publié en 2017 après une action en justice intentée contre l’État par le Dr Joel Moskowitz de l’Université de Californie Berkeley qui en a forcé la publication.

Le Dr Davis a témoigné lors de l’audience de la sous-commission du Sénat américain de 2009 sur les effets de l’utilisation des téléphones portables sur la santé, non seulement sur les données scientifiques, mais aussi sur les attaques de l’industrie contre les scientifiques qui ont découvert des effets nocifs à des niveaux non thermiques. Elle a également expliqué en détail aux sénateurs les avertissements en petits caractères des fabricants de téléphones portables, qui recommandent de garder le téléphone à distance du corps. (Transcription complète de l’audition et vidéo du Cable-Satellite Public Affairs Network ou C-SPAN) Le Dr Ronald Herman a témoigné lors de l’audition du Congrès de 2008 Tumeurs et utilisation des téléphones portables : Ce que dit la science, sur les preuves scientifiques indiquant que les enfants sont plus vulnérables aux radiations des téléphones portables et reçoivent des expositions plus élevées que les adultes. (Transcription complète de l’audition et vidéo C-SPAN). 

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Theodora Scarato

Theodora Scarato

Theodora est directrice générale de l’Environmental Health Trust (EHT) où elle dirige les programmes et coordonne les programmes scientifiques aux États-Unis et à l’étranger avec les conseillers scientifiques de cet organisme. Elle est l’analyste politique principale et la chercheuse de la base de données de l’EHT sur la collection la plus complète d’informations sur les actions politiques concernant les téléphones cellulaires et le sans fil.

Mme Scarato a publié un document de référence sur les raisons et les moyens de réduire les radiofréquences sans fil dans les bâtiments et a fait des présentations aux National Institutes of Health, à la Commission 5G de l’État du New Hampshire, au San Francisco Teachers Union, à l’Université de Californie à San Francisco et à l’American Federation of Teachers. Elle siège au conseil d’administration de PhoneGate Alert.

Elle a cofondé plusieurs organisations, tant au niveau local que national, qui s’intéressent aux questions de santé et de sécurité environnementales. En tant que psychothérapeute clinique, elle a travaillé pendant vingt ans avec des enfants et des adolescents, notamment en dirigeant un programme de thérapie intensive pour l’éducation spécialisée dans les écoles du comté de Montgomery et en travaillant comme psychothérapeute dans une clinique spécialisée dans le traitement du TDAH. Ses recherches portent non seulement sur les effets de l’exposition aux rayonnements, mais aussi sur les effets socio-affectifs de la surutilisation des technologies.




Le psychiatre Alessandro Meluzzi : « Les VIP reçoivent de “faux vaccins”, je le jure sur la tête de ma fille ! »

[Source : lemediaen442.fr]

Par Marcel D. 

Lors d’un cycle de conférences « De la Santé et de la Liberté » organisé par l’Association Santé Active, au Parc Ausa près de Serravalle, Saint-Marin, Alessandro Meluzzi, célèbre médecin italien, psychiatre, essayiste, a parlé des thèmes de l’Information-Communication, Liberté Individuelle-Liberté Sociale et des effets psychologiques des limitations aux libertés individuelles, en relation avec la santé.

Dans un extrait de son discours circulant sur les médias sociaux, qui est devenu viral, Meluzzi affirme que « La plupart de ceux qui ont été vaccinés, à partir d’une certaine sphère, ont fait de faux vaccins. J’en suis sûr, ils me l’ont aussi proposé ! Je le jure sur ma fille adorée. »

À cette occasion, nous demandons à nos lecteurs de se remémorer le scandale de la première tentative de vaccination de masse — qui avait échouée — avec le H1N1. Le gouvernement allemand avait un vaccin spécial contre la grippe, réservé au gouvernement. Le quotidien Bild détenait une bombe et avait cité des experts accusant le gouvernement d’ « offrir une médecine de seconde classe à ses citoyens ». Un vaccin qui ne contient pas d’adjuvants pour les VIP et un vaccin-merdasse pour la populace.

Qu’est-ce qui a changé aujourd’hui ? Rien ! Il reste toujours des privilégiés, comme les députés et sénateurs qui votent le pass sanitaire, donc l’obligation vaccinale pour les Français et s’en exemptent pour eux-mêmes. Ils ne sont pas soumis à ce qu’ils imposent au peuple.

Florian Philippot : « Richard Ferrand a refusé le pass sanitaire pour accéder à l’Assemblée nationale. Eh oui, tout ça c’est pour les gueux ! » a réagi le président des Patriotes.

Marcel D. pour Le Média en 4-4-2.




Hommage au Pr Raoult et à tous les combattants de la Liberté

par Nicole Delépine

21 AOÛT

De magnifiques et énormes manifestations dans plusieurs villes et de plus en plus de petites villes et de villages qui participent avec quelques milliers et centaines de milliers de manifestants, qui au total s’accumulent… On nous avait promis le déclin avec les retours de vacances, il n’en fut rien, des villes comme TOULON ou PARIS entre autres décrivent des cortèges très longs. Plein de vidéos sur anonyme citoyen, sur Telegram convaincront les plus pessimistes.

Mais en tant que collègue médecin, je voudrais poster une mention spéciale pour les hommages au Pr Raoult et les milliers et centaines de milliers de personnes à PARIS MARSEILLE et probablement dans beaucoup d’autres endroits qui ont scandé son nom pendant de longues minutes.

Quelle émotion pour nous tous médecins honnis de la dictature des puissants, d’entendre les peuples reconnaitre celui qui est le symbole du traitement précoce depuis mars 2020, celui qui a sauvé beaucoup de patients considérés comme perdus et refoulés des hôpitaux en particulier parisiens et sont arrivés à l’IHU après quelques heures de voiture ou de train et ont été pris en charge d’emblée sans discrimination.

Il semble même que la belle-fille du président soit arrivée en hélicoptère et fut soignée là-même où un directeur ami du chef suprême veut rayer la science, la vraie, pas celles des serviteurs de big pharma de notre pauvre France.

Semaine après semaine, et sans tenir compte des rumeurs politiciennes sur la taille de sa coupe de cheveux ou son look, le professeur Raoult a informé les Français par une vidéo émanant de l’institut sur les faits constatés sur ses patients et rien que les faits.

Ceux qui ont suivi ses vidéos ainsi que d’autres de ses brillants adjoints menacés également par la machine à détruire du pouvoir, ont compris au fur et à mesure l’intérêt des traitements précoces, l’arnaque du Remdésivir pourtant soutenu par tous les médecins de plateaux financés par GILEAD, le caractère plus que discutable de l’intérêt du pseudovaccin, même si le professeur Raoult a tenté de calmer le jeu par une vidéo conciliante. Rien n’y a fait, le copain du président nommé à la tête des hôpitaux de Marseille a déjà dégommé le Dr Fouché réanimateur pour délit d’opinion, et le Pr Raoult.

Ne doutons pas que les autres suivent si la colère populaire globale n’est pas suffisamment forte pour faire reculer la dictature qui s’installe.

Remarquons au passage les conflits d’intérêt entre ce directeur et les labos pharmaceutiques

En attendant, remontons-nous le moral en pensant à l’émotion qu’a dû ressentir le Pr Raoult de ces hommages populaires devant son IHU et partout ailleurs. Comme dit un internaute, Véran peut en être vert de jalousie, car il ne peut imaginer que son nom ne soit scandé dans la rue que pour demander sa démission, au minimum, d’autres parlent de prison…

Notons qu’en plus d’avoir popularisé les traitements précoces dans le monde qui en a profité largement pour des milliards d’individu disposant de ces médicaments peu chers si besoin.

“Le Mali avec 0,4% de vaccinés, qui traite avec le protocole du Professeur Raoult, comptabilise 26 morts par million d’habitants, avec des infrastructures sanitaires à des années-lumière de celles de la France…. qui a, elle, 1728 morts par million d’habitants ? Mais en France on fait l’autruche ?”-

Raoult

« a dépisté quand personne ne dépistait, a soigné avec des anticoagulants et de l’oxygène en ambulatoire avant tout le monde, a travaillé avec l’administration et les marins pompiers pour sauver les EHPAD… Bref la méthode que tous ont fini par adopter ».

MAIS BIEN PIRE ENCORE le Pr Raoult dénonce de plus en plus ouvertement les conflits d’intérêt :

« Les conflits d’intérêt ont atteint un niveau de toxicité qu’il va falloir résoudre. Vous ne pouvez pas laisser des gens qui manient des milliards avoir une liberté totale dans leurs relations avec le monde de la santé »

vidéo du PR RAOULT

« Une foule impressionnante scande #Raoult Raoult devant l’IHU Marseille à envoyer à BFMTV svp #Manifs21aout » et puis Liberté Liberté et la MARSEILLAISE

La magnifique manifestation de Florian Philippot, ses soutiens et de nombreux autres à Paris a dû également réchauffer le cœur de notre professeur classé internationalement comme le meilleur ou un des meilleurs virologues au monde, mais méprisé par nos décideurs et par tant d’éditorialistes incompétents et imbus de leurs nouvelles fonctions de médecins ou mercenaires de plateaux.
Elle nous a tous réchauffés prouvant que des centaines de milliers de Français et probablement plus font encore la différence entre véritable science, médecine fidèle à Hippocrate et rien que pour eux nous pouvons et devons poursuivre ensemble ce combat. Ce dernier devient de plus en plus grotesque quand on voit des personnalités comme le pr Montagnier – qu’ils n’ont pas réussi à corrompre – et ont dû se contenter de leur traiter de gâteux, poursuivi par le Conseil de l’Ordre…

QUI sont-ils pour se permettre l’attaque de Raoult, Perronne, Montagnier et tant d’autres coupables d’avoir guéri leurs patients avec les traitements précoces, peu chers, de leur avoir évité la réanimation et les essais thérapeutiques par Remdésivir ou autre imposés par l’AP-HP et affidés
Le Conseil de l’Ordre fait tout ce qu’il peut pour rappeler ses honteuses origines de Vichy et la dénonciation par des médecins collabos des résistants et des médecins juifs…

Voici la belle prestation parisienne :

« Dans le cortège parisien, des dizaines de personnes ont agité des pancartes “Touche pas à Raoult”. En tête de cortège, l’avocat Fabrice Di Vizio et Florian Philippot. Le chef de file des Patriotes ironise sur le remplacement de Didier Raoult :

“C’est normal, c’est la promotion des médiocres, de l’environnement qui entoure Monsieur Macron, des gens serviles. Il faut les mettre à la place des vrais qui savent, des vrais qui travaillent depuis 40 ans sur le sujet, c’est honteux. Il (le Pr Raoult) a créé l’IHU en 2011, il le dirige, il peut encore le diriger, il l’a demandé. C’est quoi son péché mortel ? C’est d’avoir soigné les gens, c’est d’avoir dépisté avant les autres, c’est d’avoir dit avant les autres qu’il y avait des variants, c’est d’avoir dénoncé les conflits d’intérêt et la corruption ? C’est ça, son péché mortel ? Sûrement.”



Et celui qui tente d’évincer Raoult, François Crémieux, nouveau patron de l’APHM, qui a viré Raoult, proche de Macron est aussi au comité stratégique d’un labo, associé à Pfizer effectuant des recherches sur un traitement COVID.

Nicole Delépine




La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique

[Source : REINFOCOVID]

Par : Laurent MUCCHIELLI, sociologue, directeur de recherche au CNRS Hélène BANOUN, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM Emmanuelle DARLES, maîtresse de conférences en informatique à Aix-Marseille Université Éric MENAT, docteur en médecine, médecin généraliste Vincent PAVAN, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université Amine ULMILE, pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, unité de pharmacovigilance du Centre hospitalier de Cholet

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La vaccination anti-Covid, destinée à l’intégralité de la population, appliquée à marche forcée, ne fait l’objet d’aucun débat en France. Il s’agit en effet d’une idéologie politique (incarnée et promue activement par le président de la République en personne) et non d’une idée scientifique, ni d’une stratégie de santé publique. La science comme la santé publique sont des choses complexes, des séries de vérités partielles, adaptables et révisables en fonction des réalités de terrain ou d’expérience. Dans toutes les idéologies (politiques ou religieuses), le débat est au contraire posé en termes binaires et enfantins. On est pour ou contre, et le monde se divise entre amis (ici les pro-vax) et ennemis (ici les anti-vax). Que cette idéologie ait pris le pouvoir en France et qu’elle impose les termes mêmes du débat est une catastrophe à tous points de vue : intellectuel, démocratique et sanitaire.

Les influenceurs se déchaînent, certains journalistes les suivent

Dans un tel contexte, la mise en évidence d’une dangerosité vaccinale inédite associée aux quatre vaccins anti-covid anglo-saxons (Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen) constitue une dissonance cognitive telle que beaucoup ne peuvent tout simplement pas l’entendre. La réalité est pourtant que l’un de ces quatre vaccins (celui d’AstraZeneca) a déjà été suspendu en février-mars 2021 dans de très nombreux pays et définitivement retiré voire interdit dans certains d’entre eux (le Danemark, la Norvège, la Suisse, l’Afrique du Sud, le Venezuela ainsi que les Etats-Unis). De fait, nous avons montré dans notre précédent article que ce vaccin était manifestement responsable du niveau de déclarations de décès particulièrement élevé au Royaume-Uni, qui l’a utilisé massivement (s’agissant du produit d’une firme suédo-britannique). Pourtant, à la fin du mois d’avril, Emmanuel Macron continuait à le recommander et cherchait à « casser la défiance » des Français à son égard, nous expliquait alors Le Monde. Position idéologique et non scientifique ou médicale, avons-nous déjà dit. Et la plupart des commentateurs s’exprimant dans le débat public s’y enferment derrière le président. Toutes ces personnes qui, pour une raison ou une autre, se sont impliquées dans la campagne gouvernementale de vaccination générale (élus, hauts fonctionnaires, médecins, journalistes, etc.), ne peuvent pas discuter tranquillement du problème posé. Ils y voient une remise en cause insupportable de l’idéologie qu’ils ont adoptée. Dès lors, au lieu de contribuer à réfléchir au problème et à l’étayer de données ou d’arguments, ils cherchent le moyen de l’évacuer purement et simplement. Et, comme l’on sait, le meilleur moyen de faire disparaître un message est de tuer le messager.

Le journal Mediapart, sur lequel l’un d’entre nous publie toute son enquête sur la gestion politico-sanitaire de cette crise depuis la fin du mois de mars 2020, a ainsi censuré notre dernier épisode (republié toutefois ici et ici) et ce malgré notre appel préalable au dialogue. Sa décision – cocasse pour un journal qui prétendait jusque-là défendre la liberté d’expression et les lanceurs d’alerte – a donné des ailes à la meute des influenceurs et lobbyistes qui nous dénigrent de toutes les façons possibles sur les réseaux sociaux depuis un an et demi. Cette fois-ci, non contents de voir notre travail censuré, ils ont ensuite harcelé sur Twitter l’institution (le CNRS) du premier signataire de cet article, espérant ainsi lui nuire de façon personnelle et directe. D’autres journalistes se sont empressés de le répercuter dans des articles, comme ici au Figaro, avec quelques copier-coller.

Il semble que notre lancement d’alerte du 30 juillet n’a pourtant pas été inutile. Ainsi, la Direction générale de la santé a envoyé un message d’alerte (« DGS-Urgent, n°2021-75 ») à tous les professionnels de santé le 3 août, pour leur demander de « maintenir un suivi des échecs vaccinaux ». Le lendemain (4 août), la revue Prescrire a mis à jour « de façon anticipée » sa fiche relative aux « effets indésirables connus mi-2021 des vaccins covid-19 à ARN messager », reconnaissant notamment des complications cardiaques graves jugées toutefois « très rares ». On va voir que cette « rareté » se discute (voir note 1).

Mais revenons aux arguments employés pour justifier la censure. A lire un peu l’ensemble des commentaires suscités ici et là par notre précédent article, il apparaît que toutes les personnes qui prétendent avoir de vrais arguments intellectuels n’en ont en fin de compte que deux. Ces deux arguments sont de type méthodologique. Ils visent à contester l’usage des déclarations d’effets indésirables remontés par la pharmacovigilance, et ils concluent invariablement que nous avons alarmé à tort et qu’en réalité tout va bien. Le premier argument est l’« imputabilité », le second la « mortalité attendue » (voir par exemple les verbatims de médecins collectés dans la dépêche de l’AFP écrite contre notre article). Les deux notions sont, en soi, tout à fait intéressantes et importantes à discuter. Mais leur détournement à des fins rhétoriques de protection de l’idéologie vaccinale est facile à montrer.

Imputabilité et mortalité attendue : les vrais-faux arguments du déni

Sur le papier (ou plutôt devant un écran d’ordinateur), les choses peuvent être discutées sans fin et dans un confort intellectuel rassurant. Cela s’appelle la ratiocination. Dans la vraie vie, les choses sont à la fois plus simples et plus brutales pour les personnes directement concernées par les effets indésirables des médicaments. Pour les victimes, il s’agit de savoir comment affronter ces effets parfois graves dans un contexte général de déni. Pour les soignants, il s’agit de savoir comment catégoriser et enregistrer ces effets apparus très rapidement (le plus souvent dans les 48h) après la vaccination.

Concernant l’imputabilité, notre précédent article posait déjà explicitement le problème : il est évident qu’il est très difficile de déterminer la cause exacte d’un effet indésirable grave lorsque le malade présente (ou présentait s’il est décédé) des comorbidités importantes, ou lorsque son dossier médical est insuffisamment connu. Le raisonnement vaut d’ailleurs aussi pour les morts réputés causées par la covid. Et c’est aussi pour cette même raison que, quel que soit le médicament concerné (vaccin ou autre), il ne faut jamais l’administrer uniformément mais bien au cas par cas en fonction de l’état de santé général de la personne et des éventuelles spécificités de son histoire médicale. De plus, en matière de mortalité, la preuve ultime de l’imputabilité qu’est la répétition du même symptôme à la suite de la même médication ne peut par définition pas être fournie (on ne meurt qu’une fois…). Il n’en reste pas moins qu’il existe des faits (des effets indésirables graves sont constatés dans les heures et les jours qui suivent un acte médical) et qu’il n’est pas possible de s’en débarrasser d’un revers de la main au prétexte que la causalité directe (a fortiori unique) n’est pas établie. C’est un peu comme si on voulait contester l’existence d’un homicide au motif que l’on n’a pas encore trouvé le coupable. Les déclarations de pharmacovigilance relatives aux effets indésirables graves de la vaccination sont là, il faut les interpréter et non tenter de les cacher sous le tapis.

Concernant la « mortalité attendue », l’argument utilisé par nos savants critiques nous paraît tout aussi rhétorique. Il consiste à dire au fond qu’il est normal que des gens meurent à tout âge, vaccinés ou pas, et donc qu’il n’y a pas lieu de s’interroger plus avant sur les décès. Mais aucun des utilisateurs de cet argument n’est allé vérifier réellement si cette mortalité était attendue ou pas. Par ailleurs, en quoi le fait que des gens meurent tous les jours d’un cancer invalide-t-il l’interrogation sur la responsabilité de la vaccination quand le malade en question meurt dans les heures qui suivent l’injection ? Il nous semble que l’argument sert encore une fois à évacuer la question au lieu de la problématiser.

En fin de compte, ces deux arguments sont incapables d’aider à comprendre le réel que nous avons sous les yeux et qui peut se résumer le plus souvent ainsi : un médecin constate l’apparition d’effets indésirables plus ou moins graves dans les heures qui suivent un acte vaccinal, il fait donc un signalement de ce qui lui apparaît logiquement comme étant lié d’une façon ou d’une autre à cet acte vaccinal qui vient juste d’être pratiqué. Qu’y a-t-il de compliqué à comprendre dans cette situation très concrète de la vie quotidienne ? Rien en réalité.

Enfin, et de manière très révélatrice, nos critiques semblent n’avoir lu que la première partie d’un article qui en comportait deux. La première était consacrée aux données françaises de pharmacovigilance. La seconde fournissait des comparaisons avec la Grande-Bretagne, les Pays-Bas, les Etats-Unis et la communauté européenne. Et, dans le cas des Etats-Unis, nous avons montré que la preuve du caractère inédit de la mortalité liée aux nouveaux vaccins anti-covid est fournie par la comparaison temporelle. On va y revenir ici en détail. Puis on étudiera les données suisses, qui convergent elles aussi vers le constat d’une mortalité vaccinale inédite liée à ces nouveaux vaccins anti-covid.

La comparaison confirme que nous avons affaire à un événement historique

Que l’on pense que la comptabilité des effets indésirables par la pharmacovigilance les exagère ou au contraire les minimise (ce qui est communément admis en pharmacovigilance), le problème ne varie guère d’une année sur l’autre. Et les mêmes problèmes d’interprétation des déclarations se posent pour d’autres vaccins, ceux contre la grippe saisonnière par exemple. Or la mortalité associée en Occident à la vaccination anti-covid du fait des 4 vaccins ADN ou ARN fabriqués par des firmes anglo-saxonnes constitue un fait historique inédit. Mis en graphique, à partir ici des années américaines de pharmacovigilance (VAERS) qui recense les effets indésirables associés aux vaccins depuis 1990, cela donne ceci (Figure 1) :

Figure 1 : la mortalité associée aux vaccins aux Etats-Unis de 1990 à 2021

Que cela plaise ou non, nous avons bien affaire à un événement historique qu’il faut essayer de comprendre et non de cacher sous le tapis. Précisons qu’il ne s’agit pas là de vagues imputations déclarées des semaines voire des mois après la vaccination. Ce sont des effets qui ont été constatés principalement dans les 7 jours suivant immédiatement l’injection (Figure 2). Nous sommes donc bien dans la situation concrète résumée ci-dessus.

Figure 2 : les délais de survenue des morts associés aux vaccins anti-covid aux Etats-Unis

Comme nous l’avions indiqué dans notre précédent article, la base de données américaine recense les effets indésirables des médicaments depuis 1990. Il est donc possible de comparer cette mortalité des nouveaux vaccins anti-covid à celle de tous les autres vaccins administrés depuis 31 ans dans ce pays. La première analyse que nous en avions faite comporte une erreur de calcul qui nous avait amené à estimer que la campagne vaccinale anti-covid était responsable d’environ 36% du total des décès associés à la vaccination depuis 1990. Nous n’avions pas vu en effet qu’il existait des doubles comptages dans les résultats affichés. Nous avons donc refait le calcul et le résultat est plus impressionnant encore. Aux Etats-Unis, après l’actualisation du 30 juillet 2021, ce sont 10 672 décès qui sont remontés en pharmacovigilance comme associés à la vaccination depuis 1990, sur la totalité des vaccins utilisés. Parmi eux, 2 842 sont associés au vaccin anti-covid de Moderna, 2 768 à celui de Pfizer, 545 à celui de Janssen et 28 dont la marque de vaccin n’est pas connue. Le total des quatre donne un total de 6 183 décès, ce qui équivaut à près de 58% du total de la mortalité associée à un vaccin quel qu’il soit depuis 31 ans. Ceci est bien un événement historique inédit. L’interprétation est ouverte au débat. Mais le fait, lui, ne peut pas être évacué.

Le détail des décès, hospitalisations et incapacités permanentes aux Etats-Unis

Les décès associés à la nouvelle vaccination anti-covid sont évidemment les effets indésirables les plus graves. Mais, comme on le résume dans le tableau 1 ci-dessous, les données américaines donnent aussi à voir des invalidités graves (près de 7 000 fin juillet), des morts fœtales (près de 300) et des hospitalisations (près de 28 000).

Tableau 1 : effets indésirables les plus graves des vaccins anti-covid aux USA

Source : VAERS

Il est par ailleurs possible d’observer la répartition par tranches d’âges de ces effets indésirables graves associés à la vaccination anti-covid. Le tableau 2 ci-dessous en donne la répartition pour tous les cas où l’âge est connu. On y observe sans surprise que les effets les plus graves (décès et invalidités permanentes) sont logiquement concentrés aux âges les plus avancés, c’est-à-dire sur les personnes les plus fragiles. 63% des cas concernent ainsi les personnes âgées de plus de 60 ans. Toutefois, on note qu’un quart des cas concernent les personnes âgées de 40 à 59 ans, et que près de 12% des cas concernent même les jeunes adultes (18-39 ans).

Tableau 2 : répartition par classes d’âge des effets indésirables les plus graves des vaccins anti-covid aux USA

Source : VAERS

Mortalité, létalité : la comparaison prouve la dangerosité inédite de ces vaccins à ARN messager

Dans notre précédent article, nous indiquions que les données de la VAERS permettent de comparer la mortalité associée aux vaccins anti-covid à la mortalité vaccinale globale aux Etats-Unis depuis 30 ans. Nous venons de confirmer et même d’amplifier le constat : à elle seule et en seulement 6 mois, la vaccination anti-covid représente donc 58% de la totalité de la mortalité vaccinale depuis 31 ans. Nous avions également fait la comparaison avec les vaccins contre la grippe saisonnière (influenza seasonal) et constaté que, sur la même période, ces vaccins sont associés à 1 106 décès (soit 6,66% du total de la mortalité vaccinale globale). Il faut donc conclure que, aux Etats-Unis, en 6 mois, la vaccination anti-covid a contribué à tuer 9 fois plus de personnes que la vaccination anti-grippe en 31 ans.

Certains commentateurs honnêtes nous ont reproché à juste titre d’avoir discuté la mortalité mais pas la létalité, faute de fournir des données sur l’ampleur des vaccinations autres que covid ces dernières années. Nous avons donc cherché cette information qui est publiée sur le site du Center for Disease Control and Prevention. On y constate (sans surprise) que les Etats-Unis sont un pays qui vaccine énormément contre la grippe saisonnière ces dernières années. De 23,3 millions de doses injectées en 1990-1991, l’on est passé à 193,8 millions en 2020-2021. Au cours des 4 dernières années (2017-2020), près de 650 millions de vaccins contre la grippe ont été réalisés. Et 194 déclarations de décès ont été enregistrées dans la base. Cela donne donc une létalité potentielle extrêmement faible de 1 décès pour 3,3 millions d’injections. La vaccination anti-grippe saisonnière n’est donc pas dangereuse pour les populations.

Mais voici la comparaison avec les vaccins anti-covid : en 2021, en six mois, environ 165 millions de personnes ont été entièrement vaccinées aux Etats-Unis. Et nous avons vu que 6 183 décès ont été déclarés. Cela donne donc une létalité potentielle extrêmement forte de 1 décès pour 27 000 injections. En d’autres termes, la létalité potentielle des nouveaux vaccins anti-covid est environ 120 fois supérieure à celle des vaccins anti-grippe saisonnière.

Les données de la pharmacovigilance suisse confirment l’alerte

Alerté par un article publié par le pasteur Martin Hoegger sur le blog de l’économiste Liliane Held-Khawam, nous avons également exploré le site de l’agence suisse de pharmacovigilance (Swissmedic). Les données mises à disposition permettent de faire des calculs équivalents à ceux que nous avons fait pour les Etats-Unis. En voici les principaux résultats.
Du 1er janvier au 21 juillet 2021, plus de 4,5 millions de personnes ont reçu ces nouveaux vaccins en Suisse. Et la pharmacovigilance fait remonter 2 782 effets non graves (soit environ 1 cas sur 1 600), 1 537 effets graves (soit environ 1 cas sur 3 000) et 128 morts (soit environ 1 cas sur 35 000, ce qui est cohérent avec ce que nous avons constaté pour d’autres pays européens).

M. Hoegger a ensuite fait avec les données suisses le même raisonnement et le même type de calcul que nous. Il a comparé cette mortalité associée aux nouveaux vaccins anti-covid à celle des précédents vaccins contre la grippe saisonnière. Il a ainsi constaté que, en 9 ans (de 2011 à 2019), 99 événements indésirables graves ont été déclarés, ainsi que 2 décès. Partant du constat officiel qu’environ 14% de la population suisse a été vaccinée contre la grippe en 2018-2019, et en appliquant ce taux à toute la période, il estime donc qu’environ 10,5 millions de vaccinations anti-grippe ont été effectuées en Suisse en 9 ans. Cela donnerait donc un taux infime de 1 décès pour plus de 5 millions de vaccinations anti-grippe.

Par comparaison, la vaccination anti-covid a concerné environ 4,5 millions de personnes en Suisse au 21 juillet, pour 128 décès associés, ce qui donne un taux de 1 décès pour 35 000 vaccinations, soit une létalité potentielle environ 140 fois supérieure à celle des vaccins contre la grippe saisonnière. Voici à nouveau un constat, qu’il faut interpréter et non dissimuler.

Conclusions

Comme écrit à la toute fin de notre précédent article, la mortalité associée aux vaccins anti-covid est manifestement inédite dans l’histoire de la médecine moderne. Et toutes les ratiocinations autour de la question de l’imputabilité ou de la mortalité attendue ne sont que des diversions servant à masquer une réalité qui dérange l’ordre établi. Ceci n’est pas sans rappeler la controverse sur l’hydroxychloroquine où la discussion méthodologique des doctus cum libro (« Comment, vous n’avez pas randomisé en double aveugle ? mais ça ne vaut rien alors ! ») servait à éviter d’avoir à aller voir sur le terrain (médical) si ce traitement précoce permettait ou non de réduire le nombre et/ou la sévérité des maladies. La réalité de terrain est que ces nouveaux vaccins provoquent incroyablement plus d’effets indésirables plus ou moins graves que les autres vaccins destinés à la population générale, et qu’il faut une forte dose d’aveuglement idéologique ou d’hypocrisie pour ne pas le reconnaître. En Allemagne, le débat a au moins le mérite d’exister entre médecins et scientifiques (un exemple ici). En France, l’idéologie l’interdit et le pouvoir exécutif veille à ce qu’elle s’impose sans partage. Comme le disait déjà Roland Gori en 2019, dans le contexte du mouvement des Gilets jaunes, le président de la République ne gouverne pas les Français, il les soumet.

Voir et entendre tellement de journalistes et d’« experts » (ou supposés tels) disserter sur la méthodologie de la pharmacovigilance a quelque chose que l’on imagine difficilement supportable pour les personnes qui subissent ces effets indésirables. Cette population qui obéit au terrible chantage qui lui est fait (vaccine-toi sinon tu ne pourras plus travailler, tu ne pourras plus aller au restaurant, au cinéma, au musée, au concert ou au parc d’attractions, tu ne pourras plus voyager, etcetera), qui s’en soucie ? Qui la protège ? Personne. Elle doit s’auto-organiser. C’est ainsi que, parallèlement au Réseau des victimes d’accidents vaccinaux constitué en 2018 par des victimes du vaccin contre l’hépatite B, un groupe baptisé « Recensement effets indésirables vaccin Covid Officiel » s’est créé sur Facebook mi-juillet et a rassemblé 200 000 abonnés en à peine trois semaines. Mais qui sait s’il ne sera pas censuré par Facebook cette fois-ci ? Comme les innombrables témoignages qui se multiplient sur les réseaux sociaux. Rappelons aussi à tous que le portail officiel de signalement des « événements sanitaires indésirables », destiné aussi bien aux soignants aux malades, se trouve ici.

Concluons. L’examen des données disponibles suggère clairement qu’une mortalité vaccinale inédite est en train de se développer partout en Occident, en lien avec l’usage des nouveaux vaccins anti-covid. Le débat est ouvert sur l’interprétation, mais le fait est là, sous nos yeux. Et cette mortalité vaccinale n’est que la pointe émergée de l’iceberg des effets indésirables graves. Même réduite à ses plus élémentaires principes de déontologie (primum non nocere), l’approche de cette question en termes de santé publique devrait donc conduire à suspendre d’urgence la campagne vaccinale, à étudier beaucoup plus en détail les données de cette pharmacovigilance (en particulier selon les classes d’âge et en fonction des différents facteurs de risque) et, au terme d’une analyse bénéfices/risques méticuleuse, à déterminer à quelles catégories bien précises de la population il est possible de proposer la vaccination sans risque que les effets secondaires graves soient plus nombreux que les formes graves de la Covid dont elle est censée les protéger. Par cet article, comme par le précédent, nous appelons donc solennellement les gouvernements des pays occidentaux à suspendre immédiatement cette campagne vaccinale afin que, dans le cadre d’enquêtes parlementaires, des comités scientifiques et médicaux indépendants du pouvoir exécutif puissent analyser les données de pharmacovigilance dont nous disposons à l’échelle mondiale et les exposer à l’ensemble des citoyens en toute transparence.

Note :

(1) La « rareté » est une notion bien vague. Est-ce 1 pour 1 000 ? Un pour 10 000 ? S’agissant de la plus grande opération de vaccination de toute l’histoire, la question est importante aussi bien sur le plan scientifique que sur celui de la santé publique (et de son éthique). De ce dernier point de vue, nous avons vu (cet article et le précédent) que, dans les pays occidentaux, la mortalité vaccinale présumée des nouveaux vaccins anti-covid est probablement de l’ordre de 1 décès pour 30 000 vaccinations intégrales. Pour 30 millions de vaccinations, cela fait donc 1 000 décès. Pour 300 millions, 10 000 décès. Etcetera. Est-ce assumable éthiquement ? Par ailleurs, sur le plan scientifique, la question est également importante. En effet, indépendamment même de toute autre question méthodologique (transparence des protocoles, représentativité de l’échantillon, sincérité des analyses, etc.), les essais cliniques des industriels ont porté sur des populations de 30 000 (Moderna) à 44 000 personnes (Pfizer), ce qui peut paraître important vu de loin. En réalité, divisé en deux groupes (un groupe vacciné, un groupe placebo), cela donne des populations vaccinées d’environ 15 000 à 22 000 personnes. De sorte que des effets indésirables très graves (a fortiori mortels) survenant dans 1 cas sur 30 000 peuvent ne jamais y avoir été constatés.




Urgent: pourquoi un week-end décisif ?

[Source : La Minute de Ricardo]



[Voir aussi :
La clef de la libération
Note sur l’avenir
L’avenir se crée maintenant
Liberté et responsabilité
Souveraineté
Comment s’unir
Dépasser le conflit
Quand la paix existera-t-elle vraiment ?
Masse critique
Prendre sa santé en main
Sortir de la crise
L’âme d’une nation
L’enjeu majeur de notre époque
Entendre et écouter pour communiquer, maintenant et dans l’Humanité future
Note sur les problèmes et les opportunités]




La catastrophe vaccinale de Gibraltar

Par Dr Gérard Delépine

22/08/2021

La plupart des pays occidentaux ont suivi, sans débat public, les recommandations de l’OMS et font depuis plusieurs mois une propagande forcenée et des chantages innombrables pour imposer des pseudo-vaccins expérimentaux en prétendant qu’ils pourraient stopper l’épidémie.

L’analyse de l’évolution de l’épidémie Gibraltar, champion mondial de l’injection Astra Zeneca permet d’évaluer son efficacité réelle en population, qui est très éloignée de ce qu’annoncent les communiqués de victoire de leurs fabricants répétés en permanence par les médias et notre gouvernement.

Le succès inégalé de la campagne Astra Zeneca sur le pourcentage de traités

Le mardi 8 décembre 2020, les travailleurs espagnols du secteur de la santé et des soins à Gibraltar ont été les premiers à être vaccinés contre le coronavirus

Au 17 août 2021, en termes de pourcentage de la population injectée, le succès de la campagne est inégalé avec un total de 78 570 doses ont été administrées dans ce petit état de 30 000 habitants et 115 % de la population (+ les travailleurs espagnols) reçu leurs deux doses depuis plus de 4 mois

Mais on ne juge pas un traitement préventif au nombre de personnes traitées, mais uniquement à ses conséquences sur l’évolution du nombre des contaminations journalières, de la mortalité quotidienne et des complications post médicamenteuses observées.

Explosion post vaccinale du nombre des contaminations

Les injections ont commencé le 8 décembre alors que l’épidémie modérée jusqu’alors était en diminution régulière depuis 4 semaines, et que le nombre total de cas depuis le début de l’épidémie s’élevait à 1034 après 9 mois d’épidémie.

Les deux mois qui ont suivi la vaccination ont été marqués par une augmentation considérable des contaminations journalières, Les cas confirmés ont doublé entre le 8 décembre (1 104 cas) et le 1er janvier (2 212), atteignant 3 109 cas le 9 janvier. La hausse s’est depuis ralentie, avec 973 cas supplémentaires en 19 jours (4 082 cas confirmés au 28 janvier).

Ces 2 mois post injection ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie leur nombre s’élevant à 3135 en 60 jours (3 fois plus que lors des 300 jours d’avant la vaccination)

Cette augmentation des cas post injection durant plusieurs semaines ou mois est observée dans plus de 90 % des pays qui ont beaucoup vacciné.

Cette évolution immédiatement défavorable montre que le pseudo-vaccin est incapable d’empêcher la transmission de la maladie et parait même susceptible de l’exacerber transitoirement.

L’augmentation post vaccinale précoce des contaminations n’a été amoindrie que depuis le reflux global de l’épidémie qui a abouti à une pause de l’épidémie dans presque tous les pays, vaccinés ou pas, confinés ou pas.

6 mois plus tard, depuis le 10 juillet 2021, l’injection Astra Zeneca se révèle incapable d’éviter une reprise de l’épidémie, exactement comme en Grande-Bretagne ou en Israël ou 40 % des nouvelles personnes contaminées sont vaccinées ce que Reuters traduit clairement :

« Israël constate une baisse de la protection vaccinale de Pfizer contre les infections ».

À Gibraltar les injections Astra Zeneca ne constituent manifestement pas la solution du Covid, mais plutôt un problème supplémentaire. Que vaut un traitement préventif qui dans une population totalement vaccinée est suivi dans un premier temps d’une flambée de la maladie et qui plus tard se révèle incapable d’éviter une reprise de l’épidémie ?

Dans l’histoire des vaccinations, aucune ne s’est montrée aussi inefficace sur la propagation de la maladie cible, ni aussi incapable d’éviter les nouvelles poussées.

Hécatombe post vaccinale précoce

L’injection Astra Zeneca a été suivie d’une véritable hécatombe Avant les injections Astra Zeneca Gibraltar recensait 6 morts attribuées au Covid 19. Quatre mois après la campagne d’injections, au 15 mars 2021, le total s’élève à 96 atteignant une mortalité par million d’habitants record de 2795/Million contre 1715/M en France et 389/M en Biélorussie très peu vaccinée.

Le mois de janvier a établi le record mensuel de la mortalité, regroupant à lui seul près des deux tiers (67/96) de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays et depuis la reprise de l’épidémie quelques morts supplémentaires sont à craindre.

La « vaccination Astra Zeneca », loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé durant cette période post vaccinale.

Les autorités sanitaires de Gibraltar démentent que la campagne de pseudo vaccination puisse être responsable de la situation pour ne pas admettre leur culpabilité, mais ne proposent aucune explication alternative crédible à cette catastrophe sanitaire avérée.

Une telle hécatombe post vaccinale précoce ne peut pas être attribuée au seul hasard, car elle a été également observée dans la quasi-totalité des pays qui ont beaucoup vacciné (Israël, Grande-Bretagne, Émirats Arabes Unis, Seychelles, Mongolie, Uruguay…)

Comment expliquer cet échec cuisant ?

En attendant que des travaux scientifiques expliquent les causes de cet échec, de nombreuses hypothèses peuvent être soulevées. L’une des plus probables est que les pseudos vaccinations se heurtent au phénomène d’anticorps facilitants déjà responsable de l’échec du Dengvaxia aux Philippines (contre l’épidémie de dengue) et des vaccins contre les précédentes épidémies à coronavirus (SRAS en 2003 et MERS en 2012).

La possibilité de cette complication avait été soulevée par l’Académie de médecine française, dans son communiqué du 11 janvier 2021.(([1] Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages 11 janvier 2021))

Le trop faible niveau d’immunité observée après la première injection, accusée de pouvoir faciliter l’émergence de variants et l’échec de la vaccination a été aussi signalé par 5 membres du comité scientifique français, dont le Pr Delfraissy dans une courte lettre au BMJ.(([2] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Laetitia Atlan Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Public Health 2021
Published Online February y 18, 2021
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0))

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Les mesures soi-disant sanitaires, réelle expression d’une dictature qui s’installe

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible à court terme en France comme dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné, car complètement pollué par la situation politique.

Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup aux gouvernements qui l’ont conseillée.

Il faut donc s’attendre à ce que les gouvernements et les médias qui leur sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le méchant virus. Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ,(([3] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant
BMJ 2021 ; 372 doi :
https://doi.org/10.1136/bmj.n314)) quel que soit le pays « quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou “radical”»

Dans quelques mois, un bilan plus objectif pourra être tiré. C’est peut-être ce que veulent éviter les ministres de la Santé israéliens, avec leur volonté réitérée d’imposer le pass pour forcer leurs compatriotes à se faire vacciner.

Pour un senior qui se souvient de la guerre de 1939-1945 ou plus souvent maintenant des témoignages terribles de la génération de ses parents ou grands-parents, voire pour les férus d’histoire plus jeunes (il en reste), l’obligation du port d’un badge de couleur (ouf ce n’est pas une étoile, ouf elle n’est pas jaune !) par un gouvernement juif ou français est incroyable, consternant, invraisemblable, insupportable.

Elle rappelle l’avertissement de Bertolt Brecht et de Margaret Steffin dans la résistible ascension d’Arturo Ui « le ventre est encore fécond d’où est sortie la bête immonde » et les leçons d’Hannah Arendt sur la banalité du mal :

« le mal ne réside pas dans l’extraordinaire, mais dans les petites choses, une quotidienneté à commettre les crimes les plus graves. »

Espérons que la majorité des peuples qui n’a probablement pas la mémoire courte saura RÉSISTER à cet effroyable et monstrueux pied de nez de l’Histoire.

Manifestement, suffisamment de données permettent aujourd’hui d’affirmer que le vaccin ne protège pas de la contagion, ni les vaccinés, ni les autres, et d’ailleurs nos dirigeants avouent qu’ils poursuivront port du masque, distanciation, chez les vaccinés et les autres.

Le pass ne constitue, comme le masque et le couvre-feu, qu’un outil d’asservissement sans intérêt sanitaire et l’accepter représente un signe de soumission, dont le but est une société à la chinoise que rêvent de mettre en place les dirigeants actuels nourris à la coopération franco-chinoise et que les Veran, et bien d’autres reconnus comme « young leaders » franco-chinois.

Pour terminer, méditons la tirade du secrétaire général de l’ONU le 22 février qui fut diffusée à juste titre sur les réseaux sociaux (mais si peu relayée à la TV) :

« Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes,
abolir les libertés les plus fondamentales,
faire taire les médias indépendants
et entraver le travail des ONG. »

Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU
Conseil des droits de l’homme du 22 février 2021 Source : Site de l’ONU (
ONU Info)

Le chef de l’Organisation des Nations Unies ajoute, notamment :

« Des défenseurs des droits humains, des journalistes, des avocats, des militants, et même des professionnels de la santé, ont fait l’objet […] de poursuites, et de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures — ou le manque de mesures — prises pour faire face à la pandémie. Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuses pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques. »

Compte tenu de cet échec, que peut-on conseiller aux citoyens ?

  • Attendre et résister aux pressions et chantages pour le pseudo-vaccin,
  • distribuer des tracts rappelant l’échec patent des pseudo vaccins en Israël et en Grande-Bretagne et des pass,
  • harceler nos représentants politiques,
  • manifester pacifiquement tous les samedis,
  • bouder les lieux qui demandent le pass.

Devrons-nous regagner dans la rue nos libertés ignoblement confisquées ?





Bill Gates détient des actions importantes à la fois dans Pfizer et BioNTech, et il est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des produits de santé et de médecine

[Source : ZEjournal]

Une enquête a révélé que la Fondation Bill & Melinda Gates est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des produits de santé et de médecine, et que la Fondation détient également des actions importantes dans Pfizer et BioNTech.

La médecine et les produits de soins de santé Regulatory Agency (MHRA) a prolongé l’autorisation d’urgence de l’ARNm Pfizer / BionTech Commission paritaire de recours au Royaume – Uni pour lui permettre de donner aux enfants âgés de 12 – 15 sur le 4 e Juin ici 2021.

À l’époque, le directeur général de la MHRA, le Dr June Raine, a déclaré que la MHRA avait « examiné attentivement les données d’essais cliniques chez les enfants âgés de 12 à 15 ans et a conclu que le vaccin Pfizer est sûr et efficace dans ce groupe d’âge et que les avantages l’emportent sur tout risque ».

Nous nous demandons si le Dr June Raine et la MHRA ont même lu les résultats de l’étude extrêmement courte et petite. S’ils l’avaient fait, ils auraient vu que 86% des enfants de l’étude ont subi une réaction indésirable allant de légère à extrêmement grave.

Seulement 1 127 enfants ont participé à l’essai, mais seulement 1 097 enfants ont terminé l’essai, dont 30 n’ont pas participé après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer. Les résultats n’indiquent pas pourquoi les 30 enfants n’ont pas terminé l’essai.

Les informations sont accessibles au public et contenues dans une fiche d’information de la FDA qui peut être consultée  ici  ( voir page 25, tableau 5 et suite ).

Il ne faisait aucun doute que la MHRA autoriserait d’urgence l’utilisation du vaccin Pfizer/BioNTech chez les enfants si l’on considère qu’un certain M. Bill Gates détient des actions à la fois dans Pfizer et BioNTech et est le principal bailleur de fonds de la MHRA .

La Fondation Bill & Melinda Gates a acheté des actions de Pfizer en 2002, et en septembre 2020, Bill Gates a veillé à ce que la valeur de ses actions augmente en annonçant aux médias grand public dans une interview à CNBC qu’il considérait le coup de Pfizer comme le leader du Course au vaccin contre le Covid-19.

« Le seul vaccin qui, si tout se passait parfaitement, pourrait demander la licence d’utilisation d’urgence d’ici la fin octobre, serait Pfizer. »

La Fondation Bill & Melinda Gates a également acheté « par coïncidence » pour 55 millions de dollars d’actions de BioNTech en septembre 2019, juste avant que la prétendue pandémie de Covid-19 ne frappe.

La MHRA a reçu une subvention de la Fondation Bill & Melinda Gates en 2017 à hauteur de 980 000 £ pour une « collaboration » avec la fondation. Cependant, une demande d’accès à l’information à laquelle la MHRA a répondu en mai 2021 a révélé que le niveau actuel des subventions reçues de la Fondation Gates s’élève à 3 millions de dollars et couvre « un certain nombre de projets ».

Pouvons-nous vraiment faire confiance à la MHRA pour rester impartiale alors que son principal bailleur de fonds est la Fondation Bill & Melinda Gates, qui détient également des actions dans Pfizer et BioNTech ? Nous ne le pensons pas.
– Source : The Daily Expose (Royaume-Uni)




Némésis — Ou l’inéluctable triomphe des lois naturelles

Par Zénon − juillet 2021

« La Bête de l’Évènement est là, et elle arrive. »

E.M. (Entretien au Financial Times, 16 avril 2020)

Voici maintenant plus de dix-huit mois que le coronacircus, élu égrégore de l’année dernière par les consommateurs, a préparé l’avènement d’une nouvelle religion scientiste, avec son clergé, ses rituels, ses prophètes et ses hérétiques. Dix-huit mois au cours desquels une immense partie des peuples occidentaux sont littéralement passés de l’hypnose à l’état de possession. Je ne sais pas si vous aurez ressenti la même chose que moi en marchant dans vos rues : les personnes que l’on peut croiser ont de moins en moins l’air de s’appartenir.

Il faut dire que la mafia globaliste s’est bien démenée pour obtenir ce degré de soumission chez des populations prétendument si attachées à leur liberté. Plus que jamais déterminée dans son projet de transformation de l’Humanité en une espèce hybride bio-numérique, l’autoproclamée « élite » technocratique s’est fendue d’un machiavélique scénario pour atteindre au contrôle des corps à travers celui des esprits. Tout y est passé : terreur médiatique, claustration contrainte et isolement des individus, menaces, amendes, décisions arbitraires et injonctions contradictoires permanentes… Ceci ne relève ni d’une incompétence ni d’un sadisme ordinaire, mais constitue la base d’une ingénierie sociale visant à nous faire accepter la violation de notre intégrité physique.

Qui aurait accepté de son plein-gré de participer à ce programme « vaccinal », ou l’aurait même trouvé pertinent sans leurs mensonges incessants ? Qui aurait considéré comme normal le passe « sanitaire » si nous avions massivement refusé le premier confinement ?

Beaucoup de réfractaires ou même d’inoculés le pressentent confusément, mais peu vont jusqu’à se le représenter ainsi : les injections massives actuellement pratiquées ne sont qu’une première étape. Un cheval de Troie nécessaire à l’aboutissement d’un plan plus vaste. La dépopulation en est une des composantes mais non la finalité. Comme je le détaillais dans un texte de juillet 2016, l’objectif à plus long terme de tous les programmes en cours (terrestres et spatiaux) est de créer un continuum électromagnétique depuis la haute-atmosphère jusqu’à nos cellules. D’exercer un contrôle numérique total des survivants, et de déporter la mémoire des autres dans un « nuage » virtuel.

Ce projet transhumaniste est antinaturel par essence. Son dessein affirmé consiste à permettre à une poignée d’illuminés triés sur le volet d’accéder à une immortalité supposément apportée par la fusion du cerveau humain avec la machine. Il s’agit ici d’une négation du plus élémentaire des principes spirituels, antérieur même aux religions : celui de considérer la mort comme une part intégrante de la vie.

Cela devient, même à l’observateur le moins averti, de plus en plus évident : nous avons affaire à une caste dirigeante prête à toutes les transgressions possibles pour atteindre son but. À ce titre, l’actuelle campagne d’injections transgéniques constitue non seulement un crime d’une ampleur inégalée dans l’Histoire, mais également, par la modification de notre ADN, une atteinte à ce que les croyants nommeraient « l’Arbre de Vie », ou en d’autres termes, à la souche originelle depuis laquelle nous nous sommes développés.

Il serait erroné de croire que nos « illuminés » méconnaissent les lois qu’ils violent. Ils le font en parfaite connaissance de cause. Si leur agenda se déroule pour le moment comme prévu, ce n’est qu’en raison du consentement, explicite ou non, des populations à ce programme exposé sous de nombreuses formes, littéraires ou cinématographiques, vouées à faire inconsciemment admettre au public la réalité future qu’ils auront choisie. Cette notion de libre-arbitre est centrale, car elle conditionne et conditionnera chaque jour davantage notre sort à venir. Mais j’aurai l’occasion d’y revenir.

Ce plan, élaboré de longue date, se fonde sur le postulat que l’Esprit humain puisse être contrôlé, voire littéralement reprogrammé au moyen du numérique. Ceci constitue le talon d’Achille d’une conception de la Vie et de l’Homme uniquement quantitative et utilitariste. L’erreur de fond dont il s’agit réside en cette extraordinaire confusion entre l’intellect et la conscience, dont le siège ne saurait être attaché à aucun organe, et dont l’origine n’est pas de ce Monde… La conséquence en est que le futur Golem, cette créature hybride dont les globalistes projettent l’avènement, ne sera tout simplement pas viable.

Cette entité est en réalité déjà mort-née, car dépourvue de connexion à la source, à l’intelligence universelle ou quel que soit le nom qu’on lui donne. Celle-ci nous unit plus profondément que le langage ou la culture, et fait de nous ce que nous sommes au-delà de la personnalité à laquelle nous nous identifions. Rompre ce lien ne saurait donner lieu à la création de l’homme-machine parfaitement docile tant espéré, mais plutôt à l’équivalent d’un poulet sans tête errant quelques instants au hasard de ses influx nerveux avant de s’effondrer. Souvenez-vous du conte de Mary Shelley, et des déboires du docteur Frankenstein dont la créature finit par lui échapper. C’est une assez bonne image du seul résultat que ces apprentis-sorciers pourront obtenir.

Cela ne signifie pas pour autant, loin s’en faut, la victoire des peuples du Monde dans ce combat multidimensionnel. Dans leur rage de ne pouvoir parvenir à leurs fins, les transhumanistes vont déployer tout leur arsenal pour tenter de détruire ce qui est. Le processus est déjà bien entamé, avec la présence d’innombrables poisons dans l’air, l’eau et la nourriture, par le déploiement de technologies mortifères comme la 5G ou encore l’usage d’armes psychotroniques. Nous verrons bien d’autres ignominies commises à l’encontre du vivant, perdrons sans doute beaucoup de nos proches et assisterons de toute façon à la chute de l’« ancien Monde ».

Chaque chose, chaque phénomène ou évènement se trouve cependant compensé dans l’Univers. Et la loi de causalité s’opère, sinon sur le plan matériel, d’ores et déjà dans l’Esprit. En tentant de nous entraîner dans leur folie autodestructrice, les tenants du « Grand Reset » sont tombés dans leur propre piège : celui de se révéler pour ce qu’ils sont à bon nombre d’âmes jusque-là restées insouciantes. Certes bien trop peu pour inverser la tendance. Cette manifestation vitale n’en est qu’à ses balbutiements. Beaucoup succomberont aux chants des sirènes. Mais ils ne feront au fil du temps qu’ajouter au retour de bâton cosmique auquel s’exposent les transgresseurs des lois éternelles.

Et nos maîtres-chanteurs sont ainsi pris dans une course contre-la-montre dont ils n’auront pas le souffle de tenir la durée. Le fait d’avoir recouru à l’adhésion sous contrainte d’une bonne part de la population est déjà un aveu d’échec. Un accord obtenu sous chantage a moins de valeur vis-à-vis de l’astral qu’un pacte faustien signé en bonne et due forme. S’ils accélèrent le processus au mépris de tous les signaux d’alerte, c’est car ils savent que la vérité éclatera et que leur temps est compté.

Ainsi donc sonne le glas d’une emprise multiséculaire sur l’esprit des populations. Le scientisme forcené de ces derniers siècles rencontre dorénavant notre souvenir des lois naturelles, et notre irrépressible instinct de survie. Ce qui n’est encore, pour beaucoup, qu’un léger frémissement de conscience amorce un bouleversement dont nul ne peut à l’heure actuelle sonder la profondeur : l’avènement aussi tardif que douloureux d’une véritable souveraineté individuelle. La remise en question des discours officiels n’en est qu’un signe avant-coureur. Une force inconcevable est en train de renaître du fond des âges pour nous rappeler quels sont notre essence et nos origines.

Cette souveraineté intérieure induit de retrouver le plein usage du libre-arbitre dont je parlais. De demeurer assez alignés pour ne laisser que notre conscience guider nos choix et nos actes. La liberté ne s’achète pas. Elle peut certes parfois coûter cher, mais ceux qui la connaissent peuvent témoigner qu’elle n’a pas de prix. Et n’est-ce pas la condition dans laquelle et pour laquelle nous nous sommes incarnés ?

Chacun de nous se déterminera selon des parts de lui-même et des héritages peut-être encore ignorés. Nul n’échappera quoiqu’il en soit à la grande Révélation, dont nous n’assistons pour le moment qu’aux prémices. Violences et chaos iront crescendo à mesure que l’agenda génocidaire mondial sera dévoilé. Les gens s’en prendront les uns aux autres au sein des nations, des clans, des familles… Il n’existe aucun vocabulaire pour décrire ce au-devant de quoi nous allons. Mais ceci ne doit pourtant pas nous faire dévier d’un iota de ce que nous avions choisi d’éprouver bien avant de venir au Monde. Beaucoup d’entre vous connaissent déjà ce lâcher-prise, et nous serons tous, l’un après l’autre, appelés à nous défaire de l’illusion du contrôle sur quelque aspect que ce soit de l’existence physique. Il s’agira de renaître à nous-mêmes, enfin adultes. Reconnectés aux mondes spirituels dont le confort et les habitudes nous aurons si longuement aliénés.

Beaucoup recherchent cette révélation toute leur vie. Peu réussissent à dompter leur intellect au point d’y parvenir. Mais nous possédons tous la faculté innée de pénétrer les mondes supérieurs. De connaître l’éternité depuis le plan matériel. Il suffit d’habiter pleinement chaque instant pour découvrir que l’infini réside en chaque interstice entre deux pensées. Et pour y ressentir la force d’un Amour si profond, d’une intelligence telle que nous sommes envahis du sentiment de notre petitesse devant l’Univers. Les larmes de joie qui nous viennent alors arrosent la Terre de ce que nous avons de plus pur et de plus magnifique. Je vous l’annonce dès aujourd’hui : du tréfonds de la nuit la plus noire où nous nous apprêtons à entrer brillera plus intensément que jamais notre lumière intérieure. Les circonstances apparentes ne doivent pas nous leurrer. Nous sommes déjà sur le chemin de la Grâce.

Zénon


[Voir aussi :
Note sur le mental et l’astral
Note sur les émotions et les pensées
Réflexion sur la vie, la matière et la conscience
Note sur les problèmes et les opportunités
Sortir de la crise
L’enjeu majeur de notre époque
Un choix déterminant
L’épée, le bon grain et l’ivraie
La clef de la libération
L’avenir se crée maintenant
Note sur l’avenir
L’Effet Jupiter et la purification de l’Humanité
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le Dr Louis Fouché alerte sur l’agenda transhumaniste de la tyrannie sanitaire
Végano-écologisme et transhumanisme : l’union sacrée dans la haine de l’homme et donc dans la haine de Dieu
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Michel Maffesoli : « Le transhumanisme est l’aboutissement de la paranoïa moderne » [Interview]
Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
Du confinement à la Grande réinitialisation
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
La fin de la mondialisation
Après le Nouvel Ordre Mondial
Note sur les mouvements humains et la sagesse du Tao
Vie et mort des systèmes
NOM : qui tire les ficelles ?
La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos
Souveraineté
Effets nocifs des ondes pulsées (Wi-Fi, cellulaires, compteurs intelligents…)
La faillite de la science matérialiste ?
La pandémie des ondes ?
Dossier 5G et ondes pulsées
La religion de l’Antéchrist
La Loi de Karma]




Ce que Véran n’a pas osé vous dire en face sur le danger des vaccins

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Le danger des vaccins est le grand tabou de la communication gouvernementale. Il n’est en effet pas facile d’expliquer qu’on s’apprête à sacrifier consciemment une partie de sa population pour satisfaire à un programme d’obligation vaccinale dont chaque jour montre qu’il n’est pas exempt de calculs économiques. Donc, officiellement, c’est du circuler, y a rien à voir ! les vaccins sont sûrs ! Sauf que… la communication gouvernementale laisse transpirer de terribles aveux sur les sacrifices qui se préparent. Il est désormais de notre devoir de les relever et de les porter à la connaissance du public, égarés par des médias subventionnés aux ordres.

Les dangers des vaccins, vous le remarquerez, ne sont que très mollement niés par le gouvernement. On ne trouvera (étonnamment) nulle part une campagne claire pour “rassurer”, ce qui est en soi à la fois l’une des explications du malaise actuel de la société française, et l’un des plus terribles aveux de cynisme commis par l’équipe de guignols au pouvoir. 

Ce silence gêné du gouvernement sur les dangers du vaccin s’explique assez simplement par le fait que personne, dans les allées du pouvoir, ne doute de la nocivité des produits que les Français sont supposés se faire inoculer dans une obéissance aveugle. 

Quand la loi reconnaît les dangers des vaccins

Aucun journaliste subventionné (trop occupé à dénoncer les complots sans doute) n’a pris le temps de le noter, mais la loi du 5 août 2021 ne comporte aucune ambiguïté sur les dangers des vaccins. Son article 18 écrit ceci :

La loi a donc pris soin de régler la question de la “réparation intégrale des préjudices directement imputables” aux vaccins que les soignants vont recevoir pour le bien du groupe, de la société et de l’immunité collective. Elle annonce, de façon “classique”, dirait-on, que les réparations seront décidées par l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales, qui est un établissement public en charge des accidents médicaux

Autrement dit, c’est l’Etat qui sera chargé d’établir la faute de l’Etat qui a ordonné des injections dangereuses avec une légèreté confondante, et c’est l’Etat qui fixera lui-même le montant des réparations qu’il doit aux victimes. 

La précision n’est pas anodine : s’agissant de vaccins expérimentaux, on aurait pu imaginer un cadre d’indemnisation relevant directement des juridictions civiles. Mais le gouvernement a pris soin, par avance, de modérer l’addition qu’il s’attend à payer. 

Véran anticipe des décès

Je recommande vraiment à tout le monde de lire attentivement cet article L 3111-9 du code de la santé publique, qui fut créé… par Agnès Buzyn pour maîtriser les coûts d’indemnisation dus à la campagne de vaccination obligatoire aux onze vaccins pour les enfants. Le texte apporte cette terrible précision :

L’offre d’indemnisation adressée à la victime ou, en cas de décès, à ses ayants droit est présentée par le directeur de l’office.

Si un infirmier meurt demain quelques heures après avoir reçu une injection, sa femme aura le plaisir de recevoir un courrier du directeur de l’office lui proposant une petite gratification pour Noël, à prendre ou à laisser. C’est de la procédure classique. 

Il était utile de la rappeler pour redire que, lorsque Véran exhorte la moitié du pays à passer à la piqûre, il n’a aucune illusion sur le fait que des gens mourront. Tout cela est écrit, prévu, administré.

Les explications emberlificotées sur les femmes enceintes : Véran, ton nez s’allonge !

Une autre farce cynique officielle qui mérite d’être retenue tient à la vaccination des femmes enceintes. Selon Olivier Véran, vacciner une femme enceinte dès les premiers jours de grossesse ne pose pas de problème. Il est sûr qu’on dispose forcément de beaucoup de recul sur le sujet, et que le ministre pouvait, sans complexe, mettre en scène la vaccination de sa collègue Olivia Grégoire. 

Les esprits un peu rigoureux auront noté que ces discours officiels reposent sur une étude publiée par le New England Journal of Medicine, qui dit en réalité le contraire des propos qu’on lui prête

On relira ici sa conclusion :

Preliminary findings did not show obvious safety signals among pregnant persons who received mRNA Covid-19 vaccines. However, more longitudinal follow-up, including follow-up of large numbers of women vaccinated earlier in pregnancy, is necessary to inform maternal, pregnancy, and infant outcomes.

(Les découvertes préliminaires ne montrent pas d’alarmes de sécurité évidentes parmi les femmes enceintes qui ont reçu des vaccins à ARN messager. Cependant, des suivis plus longs, incluant des suivis sur un plus grand nombre de femmes vaccinées précocement dans leur grossesse, est nécessaire pour collecter des éléments sur les mères, la maternité et les enfants). 

Voilà qui aurait dû tempérer fortement les ardeurs inoculantes d’Olivier Véran. Mais les médecins de l’hôpital de Grenoble savent mieux que le reste du monde ! Donc, Véran a dit que les femmes enceintes ne prenaient aucun risque en recevant leur vaccin dès les premiers jours de grossesse. 

Sauf que… ce n’est pas exactement ce qui est dit par le conseil d’orientation stratégique sur la vaccination anti-COVID (si, si, ça existe !), dans son brillant avis putassier du 21 juillet 2021 : 

On vous recommande de bien lire ce tissu (dont la concision étonne) de circonvolutions purulentes, concentré en quelques lignes (vu l’absence d’importance du sujet, pourquoi se fatiguer à argumenter et à analyser, un torchon suffit) :

1) il n’y a aucun argument pour parler d’un danger de la vaccination pendant les premiers jours de la grossesse

2) les femmes qui le souhaitent peut donc être vaccinées dès le premier jour

3) mais s’il s’agit de les obliger, rien avant le quatrième mois. 

Mais si ces vaccinologues sont si sûrs de leur fait et de l’innocuité des vaccins, pourquoi n’assument-ils pas d’imposer le vaccin dès le début de la grossesse ? Seraient-ce parce qu’ils savent qu’en réalité, c’est dangereux, mais qu’ils ne veulent pas le dire pour ne pas mettre leur ministre en porte-à-faux (et ne pas rater une promotion) ? D’ailleurs ne rappellent-ils pas dans leur premier paragraphe qu’une vaccination précoce peut donner lieu à des “complications obstétricales” et des “conséquences pour le foetus” au cours du 3è trimestre ?

Je ne sais pas vous, mais moi, quand je lis un texte plein d’embrouilles sur un sujet aussi sensible, je suis tout de suite en alerte et je regarde les nez s’allonger. Il y a du mensonge dans l’air !

Véran connaît les dangers des vaccins

N’ayez en tout cas aucune illusion sur le cynisme gouvernemental. Personne n’a le moindre doute sur le fait que l’obligation vaccinale fera des victimes, des handicapés à vie, des morts. Tout cela est déjà budgété et préparé. Y compris chez les foetus. 




De la Puissance Pure au 21e siècle

Lucien SA Oulahbib

Par Lucien SA Oulahbib

La fascination sourde envers la puissance chez l’humain s’avérerait également biologique et plus précisément « féline » : la mise à mort, y compris non nécessaire, étant chez ces espèces un plaisir, d’où leurs accointances, immémoriales, entre « mammifères » tendance fauve. Et leurs rapports sexuels eux-mêmes reflètent cette attraction, y compris aujourd’hui, malgré ce souhait également présent depuis le début de maturation raffinée chez l’humain, du moins si le coït veut durer au-delà de sa conservation morbide narcissique et reproductrice (en ce sens, l’érotisme n’est toujours pas réductible à la pornographie…).

Mais à l’époque du narcissisme exacerbé par l’écran, le coït dru prend de plus en plus le dessus par l’onanisme direct et indirect (la starification) et plus symboliquement par le viol (politique) des foules, y compris via des leaders excitant dans cette direction de fascination envers la puissance pure en distribuant de plus en plus par exemple les rôles non plus à partir d’une autorité liée à une compétence, mais à la servilité (ainsi aujourd’hui l’éviction de Didier Raoult).

Qu’il s’agisse en fait (et rapidement rappelé) de l’absolutisme, du léninisme, du monarchisme, du fascisme et du nazisme, ce sont tous les avatars de cette adoration du « Pouvoir Pur » malgré bien sûr les propos contraires (celui d’avoir droit de vie et de mort — aujourd’hui sociale — avec les nouveaux interdits qui se déploient sous nos yeux à la façon d’un incendie volontaire), celle en un mot de soumettre et d’en jouir vite. Ainsi la fascination actuelle envers « la » Science et « la » technique symbolisés par l’injonction de l’injection hygiéniste (la létalité de C-19 étant pourtant infime alors que le soin reste de fait interdit hors injection) puisque toutes ces tendances observent bien, au-delà des nuances, que la puissance de contraindre jusqu’à faire mourir est bien première dans l’organisation du pouvoir, au-delà des divergences dans les cooptations. Ainsi le refus de prescrire de manière précoce a engrangé des centaines de milliers de morts, comme l’indique ce site décidément incontournable, ce qui fascine comme œuvre totale, au-delà des ratiocinations (qui ont d’ailleurs besoin de victimes sacrificielles comme Perronne, Raoult, Fouché…)

https://c19legacy.com

Certes les léninistes se prétendant issus des Lumières anti ou pan/théistes, se sont voulus plus ouverts dans le recrutement, à la manière des premiers chrétiens (les musulmans les imitant, du moins en apparence, car il n’y a pas de porte de sortie chez eux) à partir du moment où l’on obéit aux principes de la Secte (les nuances y étant cependant admises, mais sur des points secondaires du moins en période faste).

Les monarchistes absolutistes les fascistes et les nazis issus de la dégénérescence d’une aristocratie ayant échoué déjà spirituellement, restreignent l’accès du Pouvoir au « faisceau » (aujourd’hui le « réseau ») et à la « race », ce que reprennent les néo-léninistes ayant remplacé les léninistes premier cru (les staliniens et leurs frères jumeaux trotskistes) dans l’un et l’autre aspect. Il suffit d’analyser leur OPA dans les médias et les courroies de transmission : justice, enseignement, grands corps étatiques, et aujourd’hui ONG, Fondations…

D’où une alliance objective entre ces deux dits « extrêmes », mais ce non pas contre « Le Système » contrairement à ce qui est dit, mais contre l’individu et les droits naturels que l’idée de Nation avait protégés (en amplifiant celle de Patrie) par la méritocratie malgré la dureté de la stratification (que l’aristocratie française fut incapable d’assouplir). Ainsi, malgré leur diatribe antilibérale (affublée du préfixe « néo ») les avatars léninistes comme les fascistes et nazis s’avèrent être devenus les courroies de transmission de la Secte Globale du fait déjà de leur adoubement au scientisme hygiéniste (et aussi affairiste, car sans l’huile des subsides publiques et privées ces courroies se seraient cassées depuis des lustres).

Mais aussi parce que la Secte au Pouvoir a désormais intégré tous leurs discours (en disant le contraire bien sûr), ce qui fait par exemple qu’un Enthoven pourrait appeler dit-il à voter Marine Le Pen contre Mélenchon lors d’un hypothétique second tour à la présidentielle, car ce dernier n’est plus qu’un doublon devenu inutile, la Secte ayant intégré le discours indigéniste et queer depuis longtemps, tout en lui intimant cependant quelques limites (la charge officielle contre « l’islamo-gauchisme » à l’Université), car dans le Jardin des Variétés (ou des Folklores) de la Culture neutralisée (au sens schmittien) il faut de tout, et non pas seulement un mélange indistinct.

Et « le Peuple dans tout ça ? » (en paraphrasant la question de Napoléon » Et Dieu dans tout ça ? » lorsque De La Place lui présenta son explication du système solaire) : « Sire je n’ai pas besoin de cette hypothèse » ; les De La Place d’aujourd’hui indiquent qu’il faut faire de la place, qu’il n’y a plus « besoin du peuple » (remplacé de plus en plus par des machines et des logiciels au niveau des services de base), déjà en le réduisant non pas en « individus », mais en fragments (les identités multiples, « identitaires » compris, une variété certes plus « authentique », mais variété quand même…) jusqu’à faire douter sur tout ce qui peut rester de « naturel » (comme un « système immunitaire »).

Ainsi, le Soi individuel après avoir été loué un temps est devenu maintenant un obstacle au même titre que les terres à déforester d’autrefois parce qu’il s’agit désormais non plus de lui vendre des objets externes, mais de lui vendre de plus en plus des pensées, désirs, jouissances (ou l’intelligence artificielle s’insinuant telle une hydre). Ou comment le corps-éponge à instruire de l’Encyclopédie est aujourd’hui de plus en plus domestiqué par la normalisation des médias et de l’enseignement actuel : ils en sont les vecteurs intermédiaires.
Il s’agit aussi de lui injecter des organes (bio-numériques déjà au niveau « nano »), ce qui avait déjà été commencé avec tout ce qui peut de plus en plus médicaliser le corps humain (la consommation médicamenteuse bat des records chaque année, et il faut éliminer la concurrence naturopathe qui a pris bien trop de place suite aux révoltes des années 60 qui n’avaient pas été encore récupérées par le gauchisme cherchant à retrouver son indépendance face au léninisme). Ceci fait que peu à peu la supposée bonne santé s’avère être un handicap (même si elle peut faire rêver à l’ombre des séries en fleurs) puisque cette « nature humaine » peut toujours transmettre sans le savoir tout un ensemble d’éléments à risques : pensées, virus, attitudes dominatrices, comportements égoïstes (comme le refus de se soumettre)… D’où le rétablissement et renforcement de divers interdits en sus des nouveaux…

C’est alors bien là non seulement le Retour (éternel il est vrai) de la Puissance Pure, mais aussi de son extension planétaire, celle-là même qui possède droit de vie et de mort (particulièrement au XXe siècle prétendument « avancé ») et dont les nouveaux propriétaires tels les pharaons et empereurs romains en sont devenus les « dieux sans bornes ».

La « République des lettres », elle, se contente désormais d’en chroniquer les querelles olympiennes.

Mais nul ne peut dire cependant que les jeux soient faits. Les Empires pourrissent toujours par la tête avant d’imploser. Ce qui nécessite de bien s’y préparer. Car il semble bien que la France ait toujours son mot à dire, n’étant toujours pas une puissance moyenne spirituellement et techniquement parlant malgré les assauts sourds et secs de la Secte cherchant à en assécher la « substantifique moelle »…