Face à la résistance, le gouvernement tente de sauver son passe sanitaire

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le passe sanitaire semble en bien mauvaise posture désormais. Face au recul évident de l’épidémie depuis le 15 août, le gouvernement ne peut plus guère invoquer le moindre motif de santé publique pour justifier son expérience de crédit social à la chinoise maquillée derrière la pudibonde appellation de « passe sanitaire ». Bien décidé, pour les raisons que nous avons plusieurs fois expliquées, à sauver cet instrument de « contact tracing », la caste cherche un moyen de le préserver sans être dans un antagonisme manifeste avec le droit constitutionnel. Ce repli prudent est d’abord l’effet des manifestations et des mobilisations de cet été, qui déstabilisent notamment les hôpitaux publics.

Le passe sanitaire survivra-t-il au recul en cours de l’épidémie ? Pour le gouvernement, la situation est épineuse et la question particulièrement délicate. 

Le passe sanitaire en sursis juridique

On a trop souvent oublié cette phrase rédigée par le Conseil Constitutionnel dans sa décision relative à la loi du 5 aout 2021 transformant officiel le passe sanitaire en outil de crédit social :

30. En second lieu, en vertu du premier alinéa des paragraphes I et II de l’article 1er de la loi du 31 mai 2021, les mesures susceptibles d’être prononcées dans le cadre du régime de gestion de la sortie de crise sanitaire ne peuvent être prises que dans l’intérêt de la santé publique et aux seules fins de lutter contre la propagation de l’épidémie de covid-19. Selon le paragraphe IV de ce même article, elles doivent être strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu. Il y est mis fin sans délai lorsqu’elles ne sont plus nécessaires. Le juge est chargé de s’assurer que de telles mesures sont adaptées, nécessaires et proportionnées à la finalité qu’elles poursuivent.

La rédaction des Sages est claire : les restrictions aux libertés sont prévues jusqu’au 15 novembre au plus tard, mais elles cessent dès qu’elles ne sont plus proportionnées à la situation d’urgence sanitaire. Comme le précise utilement le Conseil, “le juge est chargé de s’assurer” de cette proportionnalité. 

Le Conseil Constitutionnel a donc placé une épée de Damoclès au-dessus de l’exécutif en ouvrant expressément la possibilité d’une annulation en série pour des mesures gouvernementales qui deviendraient abusives. Certes, la notion d’abus peut être appréciée de façons très différentes, selon les juges. Mais le risque d’une pagaille judiciaire existe, dès lors que les indicateurs sanitaires reviennent dans le vert.

Et comme nous le signalons ci-dessus, les chiffres de Santé Publique France montrent que le pic en réanimation a été atteint le 21 août (soit avec une semaine de retard par rapport à la Grande-Bretagne), et que la décrue est désormais consolidée. 

Le risque d’une déroute dans les tribunaux grandit…

Les ratés d’une campagne-éclair

Si les semaines d’été ont permis à l’équipe au pouvoir d’obliger un grand nombre d’indécis à accepter une vaccination dont les conséquences à long terme pour la santé ne sont pas documentées, la résistance a été plus forte qu’attendue. 

D’une part, depuis le 12 juillet, chaque samedi, des manifestations ont lieu partout en France. Même si le gouvernement minore très fortement la participation effective à ces opérations, leur ténacité constitue un vrai marqueur politique, conforté par une montée de la contestation directe lors des déplacements du Président de la République. 

D’autre part, de l’aveu même du gouvernement, un quart des soignants non-vaccinés début août a résisté et ne présente toujours aucun schéma vaccinal. Au total, ce sont 10% des soignants qui devraient être évincés de leurs fonctions, ce qui pose un vrai problème d’organisation et de continuité des soins. 

D’ores et déjà, on signale des hôpitaux en difficulté, y compris à Paris, avec de fortes désorganisations qui ne tarderont pas à susciter la colère des vaccinés les plus hystérisés eux-mêmes. Tous ces éléments contribuent forcément au recul gouvernemental et au renforcement de la pression sur le maintien d’une mesure qui a beaucoup clivé le pays. 

L’enjeu industriel de l’identité numérique

Face à cette Real Politik, le gouvernement est pris entre le marteau et l’enclume. En Italie, Mario Draghi prend de l’avance dans la course à l’identité numérique, avec une généralisation du passe sanitaire pour les salariés à compter du 15 octobre. Cette décision a suscité de nombreuses angoisses en France. 

https://youtu.be/8CtBlPx_q1E

Nos lecteurs savent par ailleurs tout des grands industriels qui entourent l’identité numérique, dont le passe sanitaire est l’un des volets. La contrainte en sous-main est forte pour maintenir coûte-que-coûte la pression du passe et du crédit social sur les populations. 

L’option du passe sanitaire local

Pour ménager la chèvre et le chou, Gabriel Attal a donc dégainé aujourd’hui l’arme du passe sanitaire local :

« Il y a une réflexion sur la manière dont on peut adapter les règles, soit le passe sanitaire, peut-être d’autres, à la situation locale et à l’évolution de la situation locale »

Il s’agirait, dans la pratique, de garder le passe sanitaire en arrière-fond permanent, en attendant avec impatience la prétendue 5è vague, qui permettra de le réintroduire partout. Reste à voir si cette conciliation des contraires convaincra les juges. Du point de vue du gouvernement, elle permettrait en tout cas de ne pas complètement refluer sur une position doctrinale qui recouvre de vrais projets à long terme. 

Cet été, nous avions anticipé un Stalingrad de Macron dans ses projets liberticides. L’enlisement des colonnes macroniennes est finalement arrivé plus vite que prévu. 




Doug Casey sur la prochaine « crise » que l’élite mondiale a « planifiée »

[Source : Aube Digitale]

International Man : Chaque année, la classe dirigeante internationale – les dirigeants mondiaux les plus influents, les PDG des grandes entreprises, les universitaires de haut niveau et même les célébrités – se réunit à Davos. Ils discutent des sujets qui les intéressent et prescrivent leurs politiques préférées.

Quel est votre point de vue sur la foule de Davos et sur ce qu’elle fait ?

Doug Casey : La foule de Davos est devenue l’élément le plus visible de la classe dirigeante. Bien qu’ils se chevauchent avec beaucoup d’autres groupes qui défendent le même agenda – le Bilderberg, le Council on Foreign Relations et le Bohemian Grove, entre autres.

Il y a quelques années, j’ai écrit un article après avoir assisté au Concordia, qui est très similaire, avec exactement les mêmes personnes. Je n’ai pas l’intention d’y retourner. C’était dérangeant et déprimant d’écouter des gros bonnets sans âme discuter de la meilleure façon de gouverner la plèbe.

Ces gens font tous partie de ce qu’on pourrait appeler « l’État Profond Mondial ». Ils se connaissent tous. Ils assistent aux mêmes conférences et, le plus souvent, ils ont fréquenté les mêmes universités, appartiennent aux mêmes clubs sociaux et ont des enfants dans les mêmes écoles.

Mais surtout, ils partagent la même vision du monde. Ils vivent dans leur propre petit silo, où le reste des 7,9 milliards de personnes dans le monde sont des étrangers. Il est donc tout à fait naturel que des personnes appartenant à un groupe aussi soudé – bien qu’informel – conspirent.

Adam Smith a fait remarquer que lorsque deux hommes de la même profession se réunissent, ils conspirent toujours contre les intérêts du public. C’est une chose parfaitement normale et naturelle.

Mais ces gens ne sont pas seulement des marchands qui s’efforcent de gagner quelques shekels supplémentaires. Ces personnes sont les têtes pensantes de tous les gouvernements, ONG, entreprises, universités et organisations médiatiques du monde. Ils méprisent les petites gens, qu’ils traitent comme des idiots utiles ou des bouches inutiles. Ils sont intéressés par le pouvoir plus que par toute autre chose.

Comme ils l’ont récemment montré dans cet exercice du COVID, ils contrôlent à peu près le monde. Ils sont très dangereux, je les méprise.

International Man : En 2019, bien avant que le premier cas de COVID ne soit signalé, le Forum économique mondial (FEM), qui accueille les conférences annuelles de Davos, a organisé un événement pour discuter de la possibilité d’une pandémie mondiale.

En fait, il a organisé un exercice de simulation sur la manière dont le scénario pourrait se dérouler et dont les gouvernements, les grandes entreprises et les médias devraient gérer la situation.

Que pensez-vous de tout cela ? S’agit-il d’une coïncidence ?

Doug Casey : Ces gens sont assez audacieux. Ils pensent – à juste titre – que 90 % du public va manger tout ce qu’on lui donne à manger et accepter tout ce qu’on lui dit.

Je n’ai aucun doute sur le fait que ces personnes ont un accord informel entre elles sur la façon dont le monde devrait se réinitialiser à leur avantage. Il ne s’agit pas d’une conspiration formelle, en soi, mais simplement d’une conséquence naturelle de ce qui se passe inévitablement lorsque des personnes de même classe, de même vision du monde et de même philosophie sont en position de pouvoir.

Le problème est que les conflagrations mondiales du siècle dernier sont devenues beaucoup plus graves à chaque fois. La première guerre mondiale était incroyablement méchante. La deuxième guerre mondiale a été encore plus désagréable. Nous avons évité une guerre thermonucléaire mondiale avec l’Union soviétique. Mais cela ne signifie pas que la troisième guerre mondiale n’aura pas lieu. Elle sera simplement différente de ce qu’elle aurait été il y a 40 ou 50 ans.

Donc, sur la base de la tendance en cours, si la première guerre mondiale a tué 20 millions de personnes et la deuxième guerre mondiale 60 ou 80 millions de personnes, tout peut arriver dans ce qui s’avère être la troisième guerre mondiale. Peut-être 500 millions ou un milliard. Voyez grand, comme les gens qui ont rédigé le rapport Deagel.

Comme je l’ai déjà dit, cette guerre n’aura pas grand-chose à voir avec des déchets obsolètes comme les chars Abrams, les F-35 et les porte-avions de classe Ford. Ces jouets ne servent à rien d’autre qu’à mettre les États-Unis en faillite tout en enrichissant l’État profond. Il s’agira principalement d’une guerre cybernétique et biologique.

Je suis simplement surpris que plus de gens ne regardent pas et ne se réfèrent pas au film V pour Vendetta, qui tourne également autour d’un virus appelé le virus St. Le monde a désespérément besoin d’un vrai V.

Il y a vraiment beaucoup de parallèles aujourd’hui. Je me demande si les « petites gens » savent que l’élite planifie ou joue avec l’idée d’un virus depuis des années. Probablement pas – il est difficile d’imaginer que quelqu’un puisse être aussi maléfique que les Nazis, les Soviétiques ou les Chicans, car c’était de l’histoire ancienne et la nature humaine a évidemment changé. La nature humaine a manifestement changé. Un grand virus destiné à détruire l’humanité a fait l’objet de nombreux romans et films de science-fiction au fil des ans. Et maintenant, comme d’habitude, la vie imite l’art.

Fantasmons un instant. Peut-être que l’élite, qui se fait surtout passer pour des philanthropes, rationalisera son plan comme un moyen de nettoyer le patrimoine génétique, en réduisant la population de 80 ou 90 %. Je ne doute pas que ces gens pourraient justifier une peste virale comme moyen de sauver Gaia d’une peste humaine. Peut-être que le vaccin sera en fait le véritable vecteur, tuant certains après un certain temps et stérilisant le reste. Peut-être servira-t-il de catalyseur pour que les vaccinés, les 80% obéissants, mettent les 20% indépendants non vaccinés dans des camps. Peut-être que le virus actuel n’est que le premier gambit, et qu’après les souches Delta et Mu, une variante Zeta véritablement sérieuse se présentera.

Tout est possible. Nous vivons dans un monde de science-fiction à ce stade.

Même si les choses se déroulent plus ou moins comme elles le font, le COVID-19 présente de nombreux avantages de leur point de vue. L’effondrement de l’économie, la Grande Dépression, ne sera pas imputée aux banques centrales, à l’inflation et à l’État. Ils seront vendus comme des héros dans la lutte contre le virus. La dépression sera imputée au COVID – un Deus ex machina – plutôt qu’à ses véritables causes. C’est vraiment très pervers.

International Man : Au début de cette année, le FEM a commencé à faire beaucoup de bruit à propos des cyberattaques qui perturbent les chaînes d’approvisionnement mondiales.

Klaus Schwab, le fondateur du FEM, a appelé à vacciner Internet de manière préventive, ce qui signifie vraisemblablement plus de contrôles, de réglementations et moins de liberté et de vie privée.

Sont-ils en train de préfigurer la prochaine crise, réelle ou fabriquée ? Comment cela pourrait-il se passer ?

Doug Casey : Il ne fait aucun doute pour moi que les États-Unis, et en fait de nombreux pays, sont en train de devenir de véritables États policiers. C’est ce qui se passe sous nos yeux en Australie : tout le pays est verrouillé. Les gens, masqués en permanence, bien sûr, ne peuvent pas s’éloigner de leur domicile de plus de quelques kilomètres sans subir des sanctions draconiennes. Personne ne peut entrer en Australie, et – ce qui est vraiment choquant – personne ne peut en sortir. Et ce n’est même pas remis en question. Si cela peut arriver en Australie, en Nouvelle-Zélande et dans certaines régions du Canada, cela peut arriver n’importe où.

Apparemment, cela commence à se produire ici aux États-Unis, Biden ayant proféré des menaces pas si subtiles contre les personnes qui ne se font pas vacciner. Il était inquiétant d’entendre cette vieille ordure sénile dire que lui, et les vertueux vaccinés, commençaient à « perdre patience » avec les Américains qui pensent contrôler leur propre corps.

Je n’ai pas l’intention de me faire vacciner. Au mieux, le vaccin n’est pas prouvé – et il est possible que nous ne sachions pas à quel point il est risqué avant plusieurs années. C’est pourquoi, dans le passé, les nouvelles thérapies radicales ont toujours dû être testées pendant des années. Mais cela ne s’est pas produit dans ce cas.

Mais la psychose du vaccin n’est qu’un aspect de cette guerre. Même si l’élite veut vendre l’événement du 6 janvier à Washington, DC comme l’équivalent de l’incendie du Reichstag, je ne pense pas que l’Américain moyen y croit. Par conséquent, quelque chose de réel ou d’imaginaire va peut-être se produire pour leur permettre de désigner toute une catégorie de citoyens américains comme des terroristes nationaux.

Nous avons maintenant des gens vraiment fous qui contrôlent l’appareil d’État. Ils ont exactement le même profil psychologique et philosophique que les bolcheviks ou les jacobins. Ils ne vont pas lâcher le pouvoir volontairement. Tout est possible à ce stade ; nous n’en sommes qu’aux premiers jours.

Alors que nous entrons dans la dernière ligne droite de la Grande Dépression, il y a en fait quelque chose de beaucoup plus sérieux à considérer dans la situation mondiale. Les choses sont semblables à celles de 1914 ou 1939. Qui sait exactement ce qui se passera ensuite ?

International Man : L’hystérie du COVID a exceptionnellement bien fonctionné pour les politiciens assoiffés de pouvoir du monde entier. Le public a désormais accepté un niveau sans précédent de contrôle gouvernemental sur sa vie quotidienne.

S’il y a une soi-disant « cyberpandémie » comme le laissent entendre les élites, quelles seraient les conséquences pour la liberté individuelle ?

Doug Casey : Comme je l’ai dit plus tôt, la troisième guerre mondiale ne concernera pas les armes nucléaires ou les armées conventionnelles, mais la biologie et les ordinateurs. L’aspect cyberguerre sera énorme car le monde entier fonctionne désormais sur des ordinateurs. En fait, le monde commence à fonctionner grâce à l’intelligence artificielle. Je ne doute pas que la robotique s’imposera bientôt.

En ce qui concerne la cyberpandémie et la fermeture de l’Internet, je dirais que c’est une quasi-certitude. Ils veulent absolument le faire, car le fait est qu’on ne vit que si l’on peut communiquer avec les autres.

Si vous ne pouvez pas transmettre vos pensées ou vos informations à d’autres personnes, vous pouvez tout aussi bien être enfermé dans une tombe. Il est logique que les personnes qui veulent contrôler les autres veuillent réduire les moyens de communication populaires. Ils trouveront des excuses pour écarter d’Internet ce qu’ils considèrent comme des opinions peu judicieuses. Cela s’est déjà produit en ce qui concerne la soi-disant pandémie. Les opinions contraires, même si elles sont bien argumentées et factuelles, même si elles proviennent de sources renommées, sont étouffées. La dissidence, ou même la discussion, n’est pas tolérée. Vous constaterez que cela s’étend à tous les autres domaines du discours intellectuel et politique.

Nous ne pouvons déjà pas voyager facilement ; les vols intérieurs sont peu pratiques et les vols internationaux ont diminué d’environ 85 %. Les passeports vaccinaux sont en cours d’élaboration. Dans de nombreux endroits, nous ne pouvons pas nous réunir, même en petits groupes. Et bien sûr, la prochaine grande chose – la grande chose – est un internet fortement contrôlé.

À ce moment-là, tout ce que vous aurez, c’est ce qu’on vous dira officiellement et ce que vous pourrez voir dans votre propre petite zone locale. Ces gens ne pensent qu’à étouffer la communication. C’est une excellente formule, critique, vraiment, pour le contrôle. Ils ne veulent pas que les gens s’organisent pour les défier.

Dans le récent discours de Biden, il a plusieurs fois présenté les non-vaxxés comme un ennemi potentiel, un danger domestique.

Ce n’est pas une coïncidence si les personnes qui ne veulent pas se faire vacciner ont une forte corrélation avec les personnes ayant des opinions conventionnelles de droite, les électeurs de Trump et les conservateurs culturels. Les lignes de bataille sont tracées. C’est vraiment devenu une guerre de classe et d’idéologie.

Ils jouent la carte de la santé avec cette absurdité de COVID. Ils jouent la carte de la race et du terrorisme intérieur. Ils réussissent à délégitimer les valeurs et l’histoire américaines, ainsi que la masculinité en général et les hommes blancs en particulier. Ensuite, ils mettront à nouveau l’accent sur l’arnaque du réchauffement climatique. La plèbe n’aura pas le droit de faire quoi que ce soit, et la plupart des gens accepteront parce qu’ils ont été endoctrinés pendant plusieurs générations pour croire que c’est bien. L’élite fait tout ce qui est en son pouvoir pour augmenter la peur. La peur pour votre santé, la peur de la terreur intérieure, la peur de la non-conformité et la peur de la destruction de la planète par le climat.

Comme je l’ai dit précédemment, la peur est l’outil le plus puissant dont disposent les gouvernements pour contrôler le peuple. C’est la raison d’être des gouvernements. Ils se nourrissent de la peur. La peur est la santé de l’État.

International Man : Que peut faire le citoyen moyen pour se protéger de ces tendances inquiétantes ?

Doug Casey : Dans l’Archipel du Goulag de Soljenitsyne, il raconte comment, lorsqu’ils sont tous réunis au Goulag dans les pires conditions possibles, ils disent : « Si seulement nous avions su, lorsqu’ils sont venus nous rassembler en tant qu’individus… si seulement nous avions pris une poêle à frire, un tuyau ou une pierre et attaqué ces criminels… ». Mais ils avaient peur. Et ils ne pensaient pas que les choses pouvaient être aussi mauvaises qu’elles l’étaient en réalité.

Il est compréhensible qu’ils aient hésité à attaquer les apparatchiks de l’État lorsqu’ils sont partis au goulag, tout comme les Juifs ont rarement attaqué la Gestapo lorsqu’elle les rassemblait pour les emmener dans des camps.

Vous pourriez naturellement penser : « Ces gens ne peuvent pas être si sérieux. Ces gens ne peuvent pas être aussi mauvais…. ». Et vous auriez tort.

Il faut beaucoup de courage physique pour ne serait-ce que penser à ces choses.

Pourquoi aucun des membres de la nomenklatura autour de Staline ne l’a simplement tué ? Ils savaient tous qu’il y avait de fortes chances qu’il finisse par les tuer. On pourrait penser que n’importe lequel des rats qui l’entouraient lui aurait tranché la gorge.

Mais tout le monde a peur de prendre des mesures physiques parce que nous avons tendance à être optimistes. Nous avons tendance à espérer le meilleur, comme nous le faisons en ce moment. Nous espérons que ça va se calmer, et peut-être que ça le fera. Mais tout se résume à ce que vous ferez, peut-être dans cinq minutes, lorsque vous serez confronté en tête-à-tête avec un apparatchik de l’État qui vous donnera un ordre.

Que ferez-vous ?

Il est trop dangereux d’agir physiquement contre ce type, car cela pourrait faire peser sur vous tout le poids de l’organisation de l’État.

Alors comment résister ? Eh bien, à moins que vous ne vouliez être un héros, la seule chose à laquelle je pense est d’avoir suffisamment d’atouts pour vous isoler des méchants ou de vous déplacer physiquement vers un autre endroit.

Nous nous dirigeons vers une période très difficile de l’histoire des États-Unis, surtout pour les trois ou quatre prochaines années.

Doug CaseyInternational Man, le 16 septembre 2021

Traduit par Aube Digitale




Pas de suspension des personnels non vaccinés en Guadeloupe

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte Laïque (ripostelaique.com)]

Exemption d’application de la loi en Guadeloupe. Pourquoi pas ailleurs ?  

« En Santé Publique, le vaccin est un moyen de prévention, de protection et de traitement contre une maladie infectieuse potentielle, le vaccin ne peut être une arme de guerre, de soumission, de contrôle et d’asservissement des peuples. »

Nous avons appris avec joie que le directeur du CHU de Guadeloupe, Gérard Cotellon, était enfin pragmatique et privilégiait peut-être le sort des patients à l’application irréfléchie et inhumaine de la loi aberrante votée début août par quelques députés et dont le décret d’application (valable ou non ?) fait beaucoup jaser.

Pourtant ce directeur, ancien infirmier général et longtemps bras droit de Martin Hirsch patron de l’APHP, avait l’habitude des guerres hospitalières sans état d’âme contre le personnel et les patients à l’APHP de Paris.(([1] En particulier lors de la fermeture de l’unité d’oncologie pédiatrique de Garches en 2014))

Que s’est-il passé ? Aura-t-il su faire preuve d’humanité cette fois-ci ? Les miracles existeraient-ils au soleil de Guadeloupe ?

De fait, depuis le début de la “plandémie”, les autorités en Guadeloupe se heurtent à une très forte opposition à la gestion de la crise sanitaire. Le syndicat Union générale des travailleurs de Guadeloupe et le collectif LKP (Lyannaj Konrt Pwofitasyion), qui militent contre l’obligation vaccinale, ont déposé mardi une nouvelle plainte contre X, mettant en avant, entre autres, « l’afflux de visiteurs » pendant les vacances d’été et l’état du système hospitalier en Guadeloupe.

Et le 5 février  précédent, on pouvait  déjà lire de la part des « sentinelles Guadeloupe » :

Message à Gérard Cotellon, Directeur du CHU de Guadeloupe, ainsi qu’aux chargés de la “vaccination” au sein de l’établissement.

Arété fè sa zôt ka fè-la…

Parents qui avez des proches âgés hospitalisés, ne les laissez pas à la merci des “distributeurs” de “vaccins”.

Assurez-vous des conditions d’obtentions de leurs accords pour être “vaccinés”.

Sentinelles Guadeloupe(([2] (20+) Sentinelles Guadeloupe – Publications | Facebook))


Selon l’AFP :

« Le directeur du CHU de Guadeloupe a décidé de ne pas appliquer la loi sur l’obligation vaccinale et fait travailler des soignants non vaccinés. Tous les directeurs peuvent décider de le faire en le motivant par la continuité du service public.(([3] Par J.Cl. avec AFP Le 17 septembre 2021 à 10h19))

« Si la vague épidémiologique reflue, les services hospitaliers sont toujours remplis de malades. Suspendre les personnes non vaccinées les empêcherait de fonctionner. »

Trop c’est trop.

Faire fonctionner un hôpital sans soignants dont il est issu, c’est impossible et c’est sa responsabilité médico-légale personnelle de surcroît. Il a bien des raisons, ce directeur, d’être humain (?), et/ou prudent…

Nous dirons finalement qu’il est prudent quand on lit les lettres des syndicats locaux démontrant la souffrance des personnels, le manque de moyens etc.

« Monsieur Le Directeur Général,(([4] L’UTS-UGTG a écrit à Gérard Cotellon

andre-jean VIDAL Guadeloupe , Santé , Social 14 septembre 2021))

 Permettez, qu’une fois de plus, nous vous interpellions sur ce que ne nous pouvons désormais qualifier que de “scandale de la Gestion des Ressources Humaines au CHU.”

 Vous interpeller également sur ses manifestations des plus visibles, la maltraitance et le harcèlement, que vous soutenez, encouragez et pratiquez depuis tantôt et avec violence depuis la crise du Covid-19.

En effet, par différentes notes de service à caractère propagandiste en faveur de la vaccination, vous distillez la peur, la soumission, la culpabilisation des personnels et la stigmatisation des 80 % d’agents non vaccinés. Ainsi, d’abord, après des mois de service sous tension, ceux qui ont voulu prendre des vacances, vous les avez sommés, sous menace de sanctions, de reprendre leur travail et les avez traités de déserteurs, au motif du déclenchement du Plan Blanc/CHU.

Ensuite, à ceux qui ont voulu se mobiliser, tous ces derniers mois, pour obtenir le paiement de leurs heures supplémentaires, et les primes spécifiques liées à leur fonction, leur intégration sur les postes vacants qu’ils occupent depuis des années, ou qui ont dénoncé le manque de médicament, de draps, de scopes, de respirateurs, de climatisation et de traitement d’air, vous avez opposé le déficit annuel de 40 millions d’euros du CHU, établi selon vous par les 14 millions de recettes de fonctionnement mensuel et par les 17 millions de charges de fonctionnement mensuel, notamment des charges en personnel.

Ainsi, selon vous, l’équilibre financier du CHU devrait passer par la suppression de centaines de postes, la dénonciation d’accords locaux sur la gestion, l’organisation et la durée du temps de travail, le passage généralisé en 12 heures, et bien évidemment la corvéabilité permanente des agents.

 Et par conséquent, le droit à la qualité de la vie au travail, le droit à des conditions d’hygiène, de sécurité au poste de travail, le droit à évoluer dans un environnement sain, le droit à la formation, à la promotion promotionnelle, à une carrière dynamique, le droit au respect des prérogatives des instances de représentation du personnel, et singulièrement des alertes du CHSCT et de ces experts comme INDIGO, tout ceci devrait être possible, puisque réglementaire, mais ne peut être envisagé dans le contexte économique, financier et sanitaire actuel et futur.

 Et maintenant, depuis le 12 juillet 2021, jour de l’oukase du Président Macron instituant l’obligation du passe sanitaire et de la vaccination, comme sésame pour la sortie de la crise sanitaire en France, et ensuite les lois et décrets respectivement des 5 août et 07 août 2021, vous semblez être heureux d’avoir désormais l’équipement qui vous manquait pour montrer moun ki moun ki dirèktè à CHU.

Vraiment, jusqu’à votre lettre du 30 août 2021 où vous nous avez déclaré de manière péremptoire que désormais vous alliez appliquer des mesures RH de manière stricte, et ce en réponse à la suspension de notre participation aux négociations de l’Agenda social, nous étions persuadés que comme nous, syndicats et représentants du personnel, pour vous, les femmes et les hommes, les soignants, techniciens, ouvriers, et administratifs, corps hospitalier s’il en est, étaient la principale richesse du CHU ; que cette richesse devait être soutenue, valorisée pour obtenir sa pleine disposition à assurer le service public de santé au CHU Jodilà, et au CHU de Perrin Dèmen ; et que jamais vous n’auriez participé à cet hallali contre nous, soignants, soldats de la première heure pour crime de désobéissance, de refus de piki fosé…

 Non, nous n’en sommes pas surpris de votre allégeance à votre fonction, nous sommes déroutés par la revendication de cette allégeance. …/… Parce qu’en plus, vous le savez, Monsieur le Directeur Général du CHU, le Centre Hospitalier Universitaire de Guadeloupe, le système hospitalier de santé en Guadeloupe, l’organisation et l’effectivité de l’accès du bénéfice et de la qualité des soins, en Guadeloupe, est énigmatique.

 Avec une Agence Régionale de Santé qui coupe, qui hache et qui finance les projets de santé qu’elle seule a choisi, un privé qui accapare la quasi-totalité des Activités MCO et SSR, un Projet Régional de Santé et un Projet Médical de Territoire catalogues de bonnes intentions, et quelques portes ouvertes sur le cancer de la prostate, les addictions et les robots, ni la maladie, ni les malades, ni les soignants et ni la santé ne sont entendus, ni les précarités, ni les comorbidités, ni la maladie mentale qui constituent le terreau de l’actuel Covid 19, ne sont évoquées, encore moins invoquées.

En conséquence, la surmortalité due au Covid et les dégâts familiaux, psychiques, les kô krazé é tèt pété post Covid, sans le deuil de parents et d’amis, et sans le deuil de la vie d’avant-guerre, relèvent pour nous d’une programmation, voire d’une modélisation.

 Vous comprendrez pourquoi, pour nous, le Directeur Général du CHU de Guadeloupe et ses autorités médicales internes devraient s’inquiéter autrement de la place et du rôle du CHU, établissement de premier recours et de référence, en bout de la chaîne de soins, mais hélas aujourd’hui confronté en aval à un torrent d’incompétences et de conflits d’intérêts, et toutouni parce sans soutien politique, sans soutien administratif, incertain budgétairement, financièrement et sans dynamisme institutionnel.

 Et quand en plus, malgré près de 10 mois de propagande, de matraquage sur les bienfaits des vaccins, sur la surmortalité des non-vaccinés, personnes âgées et des comorbides, plus de 80 % de vos agents médicaux et non médicaux se tâtent, s’interrogent, s’inquiètent, persistent et refusent toutes obligations non fondées, tout mépris à leur intelligence, tout chantage à leur emploi, vous soutenez être déterminé à suspendre leur emploi et leur rémunération pour mieux les contraindre, nonobstant les déclarations politiques de suspension des obligations de votre patron Véran. C’en est trop !

 Vraiment nous attendions de vous une prise de distance, un peu plus discrétion et plus circonspection, plus de solidarité, plus de respect pour notre équilibre physique et mental, parce que vous le savez comme nous, la gestion de la pandémie du Covid-19 pue la finance et la politique mais pas l’aspirine, ni la Bétadine, ni l’Ivermectine, ni le zèb a pik.

 Enfin, quand le CHU de Guadeloupe sort plus de 300 morts de ses lits en 1 mois, la responsabilité et la faute ne peuvent venir que de ses organisations et désorganisations, que de ses manques d’équipements, de ses choix de traitement et de non traitements, de ses manques de matériels, de médicaments, d’effectifs soignants et de son environnement propice aux infections nosocomiales, etc…

 Désigner les soignants et les non vaccinés comme les propagateurs du virus et de ses petits, est vil et indigne d’un Cadre de Direction de votre rang. En Santé Publique, le vaccin est un moyen de prévention, de protection et de traitement contre une maladie infectieuse potentielle, le vaccin ne peut être une arme de guerre, de soumission, de contrôle et d’asservissement des peuples.

 NON, nous Agents du CHU paka maché ni avè gòj, ni avè gojèt… Nou péké pwan piki ni pa fòs, ni pa la pè !! Recevez, Monsieur le Directeur Général, nos salutations distinguées. Pointe-à-Pitre, le 14 Septembre 2021 Le Secrétaire de Section G.CLAVIE »

 Finalement, et bien lui en a pris, le directeur du chu a décidé de ne pas suspendre les personnels non vaccinés  (près de 80 % ). Il est clair que reste mystérieuse la façon dont il aurait pu faire fonctionner son hôpital.

 À SUIVRE !

 Selon le directeur de l’hôpital, 74,19 % du personnel n’a pas encore entamé de parcours vaccinal. (Illustration) AFP/Carla Bernhardt

Le directeur général du CHU de Guadeloupe a reconnu jeudi être « dans l’impossibilité » d’appliquer la loi sur l’obligation vaccinale, entrée en vigueur mercredi.

Selon Gérard Cotellon, 74,19 % du personnel n’a pas encore entamé de parcours vaccinal. Les 26 % vaccinés sont en majorité des médecins et des internes. Ce qui signifie que les personnels du CHU sont moins vaccinés que la population où la proportion de personnes ayant reçu au moins une injection atteint 38,5 %. « Faire tourner l’hôpital, malgré la loi ».

 « Je prends donc sur moi cette responsabilité de faire tourner l’hôpital, malgré la loi », a-t-il déploré. 


https://twitter.com/LE__GENERAL_0FF/status/1437731900521689092




Les révélations de Pfizer devant la FDA

[Source : Le Salon Beige]

De Pierre-Antoine Pontoizeau, consultant, pour le Salon beige:

Pfizer a été auditionné le 17 septembre par la FDA (Food and Drug Administration, administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments). Rappelons que la thérapie génique-vaccin a été validée très récemment le 23 août 2021.

J’ai lu le document de référence de Pfizer intitulé : BNT162b2 [COMIRNATY (COVID-19 Vaccine, mRNA)] Evaluation of a Booster Dose (Third Dose) VACCINES AND RELATED BIOLOGICAL PRODUCTS ADVISORY COMMITTEE BRIEFING DOCUMENT

Rappel de la situation

Rappelons au lecteur que cette thérapie nous a été présentée comme un vaccin devant répondre aux trois propriétés de tous les vaccins disponibles : innocuité, protection, durée. Pfizer avait surtout insisté sur la qualité de la protection avec le fameux 95 %, et rien annoncé sur la durée. L’expérience a duré moins de 2 mois ! Il avait communiqué quelques informations optimistes sur l’innocuité.

Rappelons qu’avec si peu d’informations disponibles, le dictionnaire Vidal du médicament note dans son édition de juillet 2021 : « Si ces résultats sont globalement encourageants, de nombreux questions persistent, tant sur la durée de l’immunité conférée que sur la protection des personnes les plus à risque de formes sévères, l’impact sur la transmission du virus par les personnes vaccinées, ou la toxicité à long terme. » [la coquille de “nombreux” est dans le texte du dictionnaire]

Pfizer admet la faible protection dans la durée

Que nous dit ce document utilisé lors de cette audition ? Essentiellement quatre enseignements :

  1. « La protection contre l’infection à Covid-19 diminue environ 6 à 8 mois après la deuxième dose » (p.6).  Ces nouveaux vaccins-thérapies géniques trahissent cette propriété et l’engagement moral des États et des patients. Ils avaient tous à l’esprit une protection durable. Pfizer reconnaît donc ce 17 septembre 2021 que son produit ne protège que temporairement. Il en induit donc un marché renouvelable de la vaccination entraînant des dépenses de santé considérables et inaccessibles pour de très nombreux pays. Le lecteur aura noté le mensonge par omission de la première publicité, pour ne pas dire la propagande du laboratoire.

Pfizer précise : « l’efficacité du vaccin diminue avec le temps depuis la vaccination complète, quel que soit le variant. »

Pfizer confirme cela par l’écart à une date de référence pour montrer que plus les personnes ont été vaccinées tôt, plus la probabilité de contracter de nouveau la maladie était élevée : « Le temps moyen entre la dose 2 de BNT162b2 et le 1er juillet 2021 était d’environ 5 mois pour le groupe croisé et 10 mois pour le groupe initial. Les résultats ont montré que l’incidence des cas de percée était plus élevés chez les personnes qui ont reçu la dose 2 au moins 8 mois avant le 1 juillet par rapport à ceux qui ont reçu la dose 2 moins de 4 mois avant le 1er juillet 2021, confirmant la baisse de l’efficacité du vaccin dans le temps. »

La promotion douteuse de la 3e dose

  1. Pfizer promeut évidemment le principe d’une troisième dose applicable à des centaines de millions de personnes. Le laboratoire fonde sa recommandation sur l’étude suivante dont le lecteur appréciera le sérieux au regard du nombre déjà : « 23 participants âgés de 24 à 75 ans démontrent qu’une dose de rappel (troisième) de 30 μg BNT162b2 administrée environ 6 mois après la deuxième vaccination de BNT162b2 avait un profil d’innocuité acceptable et induisait des réponses immunitaires contre le type sauvage (souche de référence), ainsi que contre le Beta et le variant delta, préoccupant. ». Que veut dire une innocuité acceptable ? Que veut dire une réponse immunitaire sans précision ? Le marketing reprendrait-il le dessus ? Le discours est lénifiant, non argumenté et les termes antiscientifiques. L’acceptabilité est un terme juridique, contractuel, moral aussi. Cela signifie en creux qu’il y a des problèmes – lesquels, dans quelle proportion ?

Continuons : « La phase 3 de la sous-étude menée chez 306 participants de 18 à 55 ans, a montré que le vaccin était aussi bien toléré que la deuxième dose primaire et a provoqué des réactions immunitaires (titres neutralisants de 50 % du SRAS-CoV-2) contre le type sauvage, 1 mois après la troisième dose non inférieures aux réponses immunitaires observées ». Pfizer se fonde là encore sur une étude ridicule en nombre pour attester d’un effet mesuré à un mois. Il ne préjuge pas de nouveau de la protection future. Deux remarques. Peut-on fonder des opérations sur des centaines de millions de personnes avec un échantillon aussi faible ? Est-ce bien représentatif ? Est-ce suffisant ? Ensuite, le laboratoire ne s’engage pas au-delà d’une réponse à un mois pour justifier l’injection de la 3e dose. Qu’en est-il à 6 mois ?  Même stratégie qu’au départ. Frauduleux tout simplement. La décision de la 3e dose se prend sans recul à 6 ou 8 mois de nouveau. Dans 7 mois, nous redirons la même chose pour acter une 4e dose ? Rien ne vient étayer que cette 3e dose résout le problème initial de la protection durable.

Pfizer induit tacitement une vaccination annuelle, voire semestrielle. Ce n’est plus de la vaccination, c’est un traitement permanent pour protéger les populations d’une maladie à la létalité extrêmement faible. Le coût d’une telle opération récurrente sur 10 ans pour quelques milliards d’habitants s’élèvent cette fois à quelques centaines de milliards de dollars. N’y a-t-il pas mieux à faire en matière de santé publique pour une maladie qui a tué en 18 mois 4 millions de personnes ? Pour les 60 millions de décès par an, avec des causes de mortalité qui mériteraient des fonds, ces milliards seraient sans doute infiniment plus utiles. Folie pure sur le plan du ratio investissement/enjeu de protection des personnes.

L’éthique du cobaye confirmée sans vergogne

  1. L’expérience sans protocole. « Enfin, les données d’un programme de vaccination de rappel (troisième dose) récemment lancé dans l’ensemblede la population éligible d’Israël indique que, face à la baisse de l’immunité et dans la période où le delta est la variante dominante, une dose de rappel de BNT162b2 a une réactogénicité au profil similaire à celui observé après réception de la deuxième dose de la série primaire élevant les niveaux de protection contre la Covid-19 (c.-à-d. retour à une protection d’environ 95 %) ». Pfizer n’est plus l’organisateur des phases 2 et 3 avec constitution des échantillons, mesures des effets et analyse complète. Pfizer assume que l’expérience de la 3e dose se fait dans le cadre d’un programme assumé par un État. Sa population sert donc bien de matériel d’expérimentation. C’est inédit, éthiquement très contestable, et scientifiquement très limité. En effet, nous parlons d’une population dans un pays sans aucun regard sur d’autres populations. Trois critiques a minima : une extrapolation hasardeuse, une mesure à très courte durée, une assertion sur la protection fidèle à la promesse marketing. Étonnant que la 3e dose n’obtienne pas mieux par exemple.

L’impasse sur la question de l’innocuité

  1. Concernant l’innocuité, Pfizer présente un tableau intitulé : Participants signalant des événements systémiques, selon la gravité maximale, dans les 7 jours suivant la dose de rappel – Phase 3 – BNT162b2-Sujets expérimentés qui ont reçu une dose de rappel de BNT162b2 (30 ug)(cf. page 39) Alors que les résultats de pharmacovigilance mentionnent des décès post-vaccinaux à quelques heures ou quelques jours sur des publics réputés en bonne santé, rien ne vient documenter, expliquer ou rassurer. Rien concernant les autopsies pratiquées dans quelques pays, embarrassantes dans leurs conclusions, ni même des recommandations : contre-indications, interactions médicamenteuses, etc.

Pfizer explique que sa thérapie protège bien, puis peu et pas très longtemps après avoir vendu à la terre entière une thérapie prétendument sûre à 95 % pour une durée indéfinie. Créant la confusion de vocabulaire en prétendant être un vaccin bien plus qu’un médicament, il a entretenu sciemment l’illusion d’une longue protection. C’est ce que tout le monde a compris. Est-ce une omission en vue d’une tromperie ? Nous le saurons dans les jours qui vont suivre cette audition qui piège la FDA depuis sa reconnaissance de la thérapie comme vaccin, tordant le cou à la qualité même de la protection vaccinale.

Un modèle économie amoral au regard du risque couvert

Pfizer facture quelques dizaines de dollars la vaccination. Si nous étions sûr de son caractère définitif, les États pouvaient consentir un investissement une bonne fois pour toute. Or, l’audition de ce jour aboutit au constat incroyable que la thérapie de Pfizer engendre un investissement annuel ou semestriel. Pour les USA, à 20$ le vaccin multiplié par 300 millions de personnes vaccinées au minimum, ce serait chaque année 6 milliards de dollars. Pour deux milliards d’habitants pour lesquels le procédé serait retenu par exemple, nous parlons de 40 milliards de dollars par an. Et ce, pour une protection efficace quelques mois et une baisse assez rapide aujourd’hui admise par le laboratoire.

La FDA et l’Union européenne peuvent-elles continuer à dilapider de telles sommes d’argent ? C’est le sens même des propositions de l’Union européenne affirmant promouvoir un éventail de thérapeutiques auprès des malades lors du diagnostic, aux premiers symptômes : cibler, soigner, dépenser efficacement. D’autant que d’autres maladies bien plus mortifères manquent de ressources pour soigner les populations. L’alternative tout à la fois médicale et économique pourrait porter un coup fatal à Pfizer face à un modèle injustifiable.

Un risque sanitaire toujours non évalué dans la durée

Reste la dimension des risques liés à l’accumulation des doses dans l’organisme. Rien sur cette question. C’est la grande question de la toxicité dans la durée. La FDA et l’Union européenne peuvent-elle faire courir un risque totalement inconnu à des populations en centaines de millions de patients ? Le risque sanitaire est réel, l’imprudence est manifeste. Pfizer ne sait rien de l’effet cumulatif de sa thérapie sur le système immunitaire. Il ne sait rien sur la question éthiquement essentielle de la relation ARN/ADN par addition des injections ? L’ont-ils fait sur des animaux, ne serait-ce que pour vérifier ? Ce document ne donne pas d’assurance. C’est irresponsable et dangereux. On ne fait pas de la science avec des théories et des affirmations mais avec des faits d’expérience.

Le risque politique deviendrait rapidement insupportable. Si d’aventure des injections obligatoires et à répétition avaient des effets sur des parts, même infime de la population, ce serait explosif. Rappelons que 1 % de cas graves pour 100 millions de patients, ce serait 1 million de cas graves. Est-ce un risque acceptable ? Je ne crois pas. Il est urgent de tourner la page du délire « vaccinal » au profit de thérapies, comme l’Union européenne l’annonce depuis juin 2021.





Des survivants de l’Holocauste se lèvent pour défendre le Pr Sucharit Bhakdi

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Moufid Azmaïesh, pour FranceSoir

TRIBUNE – Le professeur Sucharit Bhakdi, proche de l’avocat Reiner Fuellmich, fait actuellement l’objet d’une campagne de diffamation publique le taxant – que c’est original – “d’antisémite” : une accusation montée de toute pièce.

D’origine thaï, il réside en Allemagne depuis 1970 où il est devenu le microbiologiste le plus réputé de son pays d’adoption. Auteur de plus de 300 articles dans le domaine de l’immunologie, parasitologie, bactériologie et virologie, entre 1990 et 2012, il a dirigé le département de microbiologie de l’Université de Mayence ainsi que la revue Medical Microbiology and Immunology.

Ses deux livres sur la pandémie, en tête de gondole des meilleures ventes de non-fiction et publiés en 2020 et 2021, viennent d’être retirés de la vente par Goldegg-Verlag, invoquant « l’antisémitisme” du professeur. Entretemps, les comptes bancaires de l’Association Mediziner und Wissenschaftler für Gesundheit, Freiheit und Demokratie,  sorte d’équivalent de Réinfo-Covid) que dirige Bhakdi aux côtés du professeur de finances publiques Stefan Homburg de Leibniz Universität Hannover, ont été fermés par les autorités. Au côté d’intellectuels dissidents tel le spécialiste financier renommé Ernst Wolff (« The Wolff of Wall Street »), le professeur Bhakdi est désormais candidat pour le nouveau parti DieBasis.

Même sa page Wikipédia le décrit désormais comme “connu depuis sa retraite en tant que conspirationniste et polémiste antisémite” (sic).

Voici les observations de survivants de l’Holocauste, qui se rangent derrière le Professeur Bhakdi :

« Dès que nous avons entendu des accusations d’antisémitisme lancées dans les mass-média financés par l’Etat contre le Prof Sucharit Bhakdi nous avons décidé d’écrire cette lettre. Nous nous rangeons aux côtés du professeur Bhakdi car il dit la vérité. »

« Vous, les média, vous avez menti au peuple pendant des années dans la mesure où vous leur avez prêché les fausses leçons à tirer de l’Holocauste. La leçon à tirer de l’Holocauste n’est pas qu’il ne faille pas tuer ou aller contre les Juifs. Aucun être humain ne doit être tué. »

« La leçon à tirer de l’Holocauste et que l’on ne doit ni rester passif, ni participer à la persécution d’une minorité. Vous avez instrumentalisé l’Holocauste pour tout le contraire : afin de quitter aux peuples la volonté de se lever contre l’injustice. De cette façon impie vous avez préparé un nouvel Holocauste et êtes en train de le mettre en œuvre. »

« Nous vous avertissons formellement qu’un nouvel Holocauste se déroule devant nos yeux, plus sophistiqué peut-être mais à une plus vaste échelle. La brutalité avec laquelle vous combattez verbalement et physiquement l’opposition, avec laquelle vous la diffamez, causez des torts et humiliez, vous sert à cacher la vérité. Existences détruites, perquisitions domiciliaires, interdiction d’exercer, internement forcé en psychiatrie et pire encore – cela pourrait être l’histoire passée de notre vie, mais c’est désormais la réalité que nous observons en Allemagne. »

Personne ne nous fera taire : Yoel Abraham, Freida Weber, Samuel Abraham, N. Rubin, Chana Poper, Yocheved Werzberger, Miriam Weiss, Yoel Gereidi, Z. Fogel, A. E. Friedrich, Y. Friedrich, Hershel Indig, Yisocher Dov Rumpler, Yakov Cohen, Joel Sabel, Chaim Vigder, Shaindy Vigder, M. Wagschal, Eliazer Werzberger, A. Freilich, Yidel Lichter, Hillel Handler,Mascha Orel, Leah Lichter, Solomon Diamand, Chaim A. Weiss, Sarah Weiss, Cheskel Hocheiser, Genendel Kernkarut, Elye Glick, Faiga Glick, Joel Bernbaum, Andrea Drescher…

Si je suis vivant, c’est que ma grand-mère a désobéi à l’ordre d’aller se rassembler avec tous les autres Juifs. De même, les gens sont aujourd’hui poussés vers les vaccinodromes en maniant les pressions et la peur. Je suis vivant car des gens de bien ont désobéi alors qu’il leur était interdit de cacher des Juifs. Ainsi qu’aujourd’hui Sucharit Bhakdi et d’autres gens de bien désobéissent afin de sauver des vies. Les affubler du terme « antisémite » comme sanction, est une monstrueuse hypocrisie.

Mascha Orel

Après avoir eu vent des dires de Wulf Rohwedder (ARD) où il taxait d’anti-sémite le Prof Bhakdi, nous avons écrit à plusieurs chaînes audio-visuelles. Nous avons précisé que l’utilisation abusive et incessante du terme « anti-sémite » ne sert aucunement la sécurité des Juifs. Au contraire. Aucun de ces responsables n’a souhaité nous répondre ; aucune excuse publique n’a été formulée. Désormais ceux qui savent véritablement ce que c’est d’être d’être stigmatisé et persécuté ont décidé de parler.

Ruth Machnes und Arie Suchovolsky, juristes, Tel-Aviv, Israel, +972 03-5663222, as@suchovolsky.co.il.


Sources : 

Mediziner und Wissenschaftler für Gesundheit, Freiheit und Demokratie, e.V. ( (MWGFD) : médecins et scientifiques pour la santé, la liberté et la démocratie)
« L’Initiative (MWGFD) est une Association qui rassemble des individus et scientifiques qui travaillent dans le domaine médical, et font de la recherche et de l’enseignement au sujet des thèmes de la santé, la liberté et la démocratie. Nous nous sommes rencontrés pendant la crise Covid alors que nous exprimions tous une critique des restrictions démesurées. » :https://www.mwgfd.de/offener-brief-holocaustueberlebender-und-nachfahren-an-die-medien/

Pour se faire une idée des attaques contre le Professeur Bhakdi, citons :
https://www.tagesspiegel.de/themen/reportage/wie-viel-querdenken-steckt-…
https://www.volksverpetzer.de/bericht/bhakdi-verlag-ende/
Sucharit Bhakdi – Wikipedia
https://www.tagesschau.de/investigativ/bhakdi-antisemitismus-101.html

Voir aussi le site du nouveau parti politique : https://diebasis-partei.de/

Auteur(s): Moufid Azmaïesh, pour FranceSoir




Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations

[Source : REINFOCOVID]

Il a circulé récemment sur les réseaux sociaux des allégations sur la présence non déclarée de nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19. Cet article tente de faire le point au sujet des nanoparticules d’oxyde de graphène afin de démêler le faux du vrai. VERSION PDF

Les nanoparticules de graphènes (oxyde de graphène, oxyde de graphène réduit et graphène quantum dots) : Propriétés, applications, toxicité et réglementations

À RETENIR

  • Les études de toxicités des nanoparticules d’oxyde de graphène ne permettent pas encore une application pratique dans le domaine des médicaments, des vaccins ou des dispositifs médicaux.
  • L’élimination rapide par le système immunitaire des nanoparticules d’oxyde de graphène rend difficilement possible la thèse d’une administration frauduleuse.

Il a circulé récemment sur les réseaux sociaux des allégations sur la présence non déclarée de nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19 (voir encadré). Certains sont même allés jusqu’à évoquer son utilisation (frauduleuse donc) pour une connexion des individus à la 5G et ont proposé des méthodes de détoxification au glutathion, N acétylcystéine (acides aminé précurseur du glutathion endogène), Zinc et autres [1]. Ricardo Delgado de La Quinta Columna [2] affirme avoir fait réaliser par des chercheurs espagnols des études observationnelles de doses de vaccin par microscopie optique et électronique, allant jusqu’à affirmer avoir dosé 747 ng de graphène. Certains sites vont jusqu’à affirmer que cette substance serait également présente dans les tests PCR, antigénique et les masques [3]. Mais il n’existe à ce jour aucune publication revue par des pairs.

Cet article tente de faire le point sur les propriétés physico chimiques, l’état de la recherche et les applications industrielles en cours, particulièrement dans les vaccins, la toxicité et la réglementation actuelle au sujet des nanoparticules d’oxyde de graphène afin de démêler le faux du vrai.

Composition du produit PFIZER (source : 
https://faqs.in.gov/hc/en-us/articles/360054190632-What-are-the-components-of-the-Pfizer-vaccine-shot-)

Ingredient actif

  • ARNm modifié codant pour la glycoproteine virale Spike du SARS-CoV-2

Lipides

  • (4-hydroxybutyl)azanediyl)bis(hexane-6,1-diyl)bis (ALC-3015)
  • (2- hexyldecanoate),2-[(polyethylene glycol)-2000]-N,N-ditetradecylacetamide (ALC-0159)
  • 1,2-distearoyl-snglycero-3-phosphocholine (DPSC)
  • cholesterol

Sels

  • potassium chloride
  • monobasic potassium phosphate
  • sodium chloride
  • basic sodium phosphate dihydrate

Autre

  • sucrose

1/ Propriétés chimiques et physiques de l’oxyde de grahène NP

Le GO est un isolant et un semi-conducteur électrique (cependant moins fort que le Graphène pur). Il s’agit d’une monocouche de carbone de structure hexagonale en nid d’abeille avec des groupes hydroxyde (OH) et carboxyliques COOH.

En raison de ses défauts dans la structure, des propriétés magnétiques locales ont été observées de différents types (ferromagnétique, paramagnétique, antiferromagnétique) du fait de ses propriétés semi-métalliques. Pour résumer, le magnétisme n’est pas une propriété inhérente du GO mais liée à la quantité de défauts de structures et son analyse physique est en cours.

Concernant le magnétisme des nanoparticules de ces composés, des recherches visent actuellement à régler deux problématiques pour activer leur magnétisme :

  1. la nécessité d’une consommation élevée d’énergie
  2. la contrainte d’un température ambiante (20°C) pour réussir à activer ce magnétisme

2/ Recherches et applications Industrielles

On distingue 3 structures : l’oxyde de graphène (GO), l’oxyde de graphène réduit (rGO) et le graphène quantum dots (GQD) qui sont des nanoparticules (donc de moins de 100 nm).

Les nanoparticules de GO sont actuellement étudiées et développées comme nano-supports pour une variété d’agents biologiquement actifs (biocatalyseurs, biocapteurs et médicaments).

De nombreuses applications utilisant des nanoparticules (NP) de GO sont envisagées :

  • Environnementale : formant des complexes avec des polluants organiques / métalliques, il peut être utilisé comme dépolluant, pour purifier l’eau (salée) en améliorant l’hydrophilie des membranes de purification et en facilitant la photo-oxydation des molécules polluantes de l’eau.
  • La production d’énergie par conversion de lipides en carburants par des lipases encapsulées.
  • Médecine : les quantum dots (nanocristaux semi-conducteurs) – de graphène et de nano-composites magnétiques (Fe3O4) offrent un ensemble unique de propriétés optiques et magnétiques pour les futures applications énergétiques et médicales. Ils peuvent également être utilisés en imagerie médicale comme agent de contraste. De plus, les propriétés magnétiques des nanoparticules Fe3O4 en font un excellent agent de contraste pour les applications IRM. Ils montrent également une excellente réponse à la luminescence lorsqu’ils sont exposés à la lumière UV, entraînant une émission de lumière visible.

Les GO peuvent être utilisés pour faciliter la pénétration et l’absorption d’anticorps, d’enzyme, des médicaments, des protéines. Cependant des limitations à l’usage et l’application des nanoparticules magnétiques telle que l’agrégation et la précipitation à l’intérieur des vaisseaux sanguins, peuvent entraîner de graves conséquences. Enfin il y a des applications potentielles en thérapies anticancéreuses par ciblage actif de cellules tumorales ou ciblage passif quand des NP chargées positivement s’accumulent au niveau des sites tumoraux en raison des fuites vasculaires et de la faiblesse du système immunitaire fonctionnel de la région. Toutes ces applications n’ont pas encore abouti à des applications commerciales concrètes.

3/ La nanotechnologie et les vaccins à base d’ARNm basés sur le SARS-CoV-2 

Les vaccins de Pfizer/BioNTech et Moderna utilisent un ARNm de synthèse protégé par une bicouche lipidique, elle-même constituée de nanoparticules lipidiques (McGill COVID19 Vaccine Tracker Team, 2021) afin de permettre l’entrée de l’ARNm dans la cellule. Il n’y a pas de GO déclaré par le fabricant.

Pourtant, les NP GO et Graphène ont retenu l’attention en raison de leurs propriétés antimicrobiennes et antivirales. Le graphène favorise l’absorption de médicaments et de macromolécules (acides nucléiques, protéines…). Gao et al., en 2020 [4] ont développé un nouveau vaccin contre le COVID-19 en utilisant la combinaison d’un nano adjuvant et d’oxyde de graphène. Cette étude, réalisée sur souris, montre que ce vaccin peut induire des anticorps anti-SARS-CoV-2 RBD à titre élevé neutralisant le SARS-CoV-2 chez la souris en 2 semaines. Les auteurs concluent sur l’efficacité du vaccin à induire une réponse immunitaire mais également sur la nécessité d’études complémentaires sur la dégradation du graphène in vivo afin de construire un vaccin répondant aux critères de sécurité et de biocompatibilité

Des équipes de recherches travaillant actuellement sur NP de GO-Polyethylène glycol- polyethyleneimine, dans le cadre du développement d’immunothérapies anticancéreuses, tentent de retarder leur phagocytose (absorption et destruction de molécules par certaines cellules immunitaires) afin de rendre possible leur utilisation dans de telles thérapies.

Un autre aspect limitant de son utilisation est la toxicité potentielle in vivo du graphène. Ce sujet de débat et le manque d’informations suffisantes pour autoriser légalement les applications humaines semblent sa commercialisation peu probable dans l’état actuel des connaissances. Ainsi, son instabilité et l’agrégation du graphène en solution sont un défi supplémentaire alors que la solution des médicaments et des vaccins a besoin de stabilité [5].

4/ Toxicité des nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO)

Le projet européen Graphene Flagship étudie la toxicité de ce matériau (environnemental, santé) du fait de l’utilisation prometteuse dans l’administration de médicaments, la bio-imagerie, l’ingénierie tissulaire, la biodétection [6]. Un rapport de 2016 de l’Agence suédoise KEMI fournit un état des lieux très complet en 2019 sur l’absorption et la biodistribution de NPs, étape cruciale avant la toxicité potentielle des NPs [7].

Leur toxicité est dépendante de la biodégradation qui dépend elle-même fortement du pourcentage d’oxygène, du type de groupes fonctionnels (comme des epoxy), des défauts, de la taille et du nombre de couches. Plusieurs mécanismes cellulaires de toxicité des nanomatériaux de GO ont été identifiés : le stress oxydatif (inflammation), dommages à l’ADN (impact de la réplication cellulaire), réponse inflammatoire ou encore la destruction cellulaire par différents mécanismes : apoptose, autophagie, nécrose.

Le GO serait dégradé par une enzyme (la myéloperoxydase) produite par des globules blancs (neutrophiles) arrivant sur un site d’infection.

Toxicité cutanée : Selon Wang et al, 2016 [8], la majorité des études existantes suggèrent que les graphène quantum dots (GQD) ont une toxicité in vivo et in vitro relativement faible et une excellente biocompatibilité, par rapport avec notamment l’oxyde de graphène (GO), les nanotubes de carbone et les semi-conducteurs conventionnels. Mais le profil de toxicité des GQD varie selon les tests et la production de GQD. Les GQD voient leur pénétration cutanée augmenter avec l’exposition aux UV ou si la barrière cutanée est détériorée. D’une manière générale l’absorption systémique dépend de nombreux facteurs comme la taille, la charge de surface, le revêtement des NP, l’agglomération des NP, la composition du milieu et son pH. D’une manière générale, par la voie cutanée, la voie de pénétration par les follicules pileux (cavité à la base du poil) serait considérable, surtout pour les petites NP inférieures à 20 nm.

En intramusculaire et en sous cutané chez la souris, les QD de carbone se diffusent rapidement depuis le point d’injection. Après 24h, il n’y a plus d’identification dans aucun organe, suggérant une élimination totale des nanoparticules de carbone. En injection sous-cutanée, ils se retrouvent dans les ganglions lymphatiques entraînant une importante réponse immunitaire rapide.

Administrées par voie intranasale, des NPs de polymères de carbone polyanhydre sont aussi rapidement dispersées. Certaines, hydrophobes, peuvent persister cependant dans le tissu pulmonaire. D’une manière générale, les NPs par voie intranasale, surtout quand elles sont très petites, traversent la muqueuse olfactive et sont véhiculées en quantité importante dans le bulbe olfactif et autres parties du cerveau.

Injectés directement dans le sang, les quantum dots (QD) se retrouvent principalement dans le foie, la rate et les reins, qui sont les organes de « détoxifications » et en faible quantité dans le cerveau (0.1%). D’une manière générale, injectées dans le sang, les NP, en fonction de leur taille et de leur charge, peuvent subir une adsorption ou une opsonisation (= liaison à un anticorps) par les protéines sériques. Cette opsonisation favorise sa clairance (la purification par cette voie dépend de la taille des particules : plus le diamètre est grand, plus la clairance est cependant ralentie). Les cellules endothéliales qui tapissent les vaisseaux sanguins, forment une barrière semi-sélective selon la taille des nanoparticules : au niveau de l’endothélium vasculaire, des pores de 5nm permettent le passage des QD, ce qui fait qu’ils atteignent rapidement l’espace extracellulaire extravasculaire alors que les plus grandes >5nm restent plus longtemps dans la circulation sanguine où elles subissent une phagocytose et sont donc évacuées.

En résumé, les NP de Graphène (Go, G, GQD) sont d’autant plus toxiques que leur taille est grande (micron). Les groupements époxy du GO peuvent entraîner un stress oxydatif (inflammation) pouvant conduire à la mort cellulaire. Elles sont cependant plus facilement dégradées par des enzymes comme les peroxydases.

Des études visant à réduire leur toxicité en les liant à des polymères biocompatibles sont actuellement en cours. A l’heure actuelle, la toxicité du graphène est encore insuffisamment définie et seuls les effets aigus (court terme) et subaigu (moyen terme) ont été déterminés.

Le schéma de distribution des NP confirme que les molécules sont phagocytées et donc rapidement neutralisées. Cette distribution et leur accumulation/dégradation dépendent de la taille, la forme et la charge de surface des particules mais également de l’organe cible, le flux sanguin, le nombre de cellules phagocytaires.

5/ Réglementation

L’UE ne précise pas de consignes particulières concernant les nanomatériaux utilisées dans les dispositifs médicaux, il y a peu de détails dans le règlement 2017/74/CE mais d’autres Réglementations Européennes telles que REACH 1907/2006/CE (qui concerne la mise sur le marché des produits chimiques) considèrent les propriétés et dangerosités propres aux nanomatériaux.

Il existe un guide du comité scientifique dédié aux risques émergents (SCENIHR) de 2015 qui précise certaines recommandations pour l’évaluation des risques sanitaires et environnementaux des nanomatériaux. Ces risques sont principalement liés aux NP libres dans les dispositifs médicaux et la durée d’exposition ainsi que la nécessité d’étudier la distribution et la persistance dans des organes spécifiques.

L’oxyde de graphène (GO) n’est pas officiellement classifié selon le règlement relatif à la classification, à l’étiquetage et à l’emballage, CLP 1272/2008/CE. Il existe cependant une Valeur Limite Professionnelle de 3.6 mg/m3 par inhalation.

Il est à noter également, que les nanomatériaux de la famille du graphène ne sont pas approuvés par la FDA aux États-Unis pour la consommation humaine. Selon la FDA, le graphène, l’oxyde de graphène et l’oxyde de graphène réduit provoquent des effets toxiques à la fois in vitro et in vivo et leurs utilisations ne sont donc pas autorisées.

RETOUR à LA RUMEUR ….

La présence de l’oxyde de graphène dans le vaccin est née d’une observation au microscope électronique à transmission demandée par R. Delgado Martin au Prof. Dr. Pablo Campra Madrid (Ecole supérieure d’ingénieurs Univ. Almeria, Espagne). Il ne s’agit donc pas d’un travail de recherche revu par des pairs mais d’une commande privée. Ce dernier a rendu un rapport non publié dans une revue à comité de lecture. Il a comparé le résultat à un article de Choucair publié en 2009 dans Nature Nanotechnology [9] montrant une observation de graphène. La lecture de ces deux publications souligne deux points qui s’opposent à la présence supposée d’oxyde de graphène dans les vaccins à ARNm :

  1. La publication de référence (Choucair et al., 2009) montre une analyse en microscopie électronique de graphène obtenu par pyrolyse et non d’oxyde de graphène. L’obtention de l’échantillon par pyrolyse confirme que cette référence ne montre pas un oxyde de graphène.
  2. Cette analyse proposée par Delgado est basée sur des observations par diverses techniques et il est surprenant qu’elles n’aient pas été confirmées par une analyse chimique qui validerait le résultat et la substance observée dans l’échantillon étudié.

C’est d’autant plus surprenant qu’un brevet, intitulé « Vaccin recombinant nano-coronavirus prenant de l’oxyde de graphène comme vecteur » a été déposé par Shanghai National Engineering Research Center for Nanotechnology Co Ltd depuis le 27 Septembre 2020 et n’a à ce jour pas été accepté [10].

CONCLUSION

Face à la crainte légitime qu’inspire actuellement le projet transhumaniste, il est compréhensible de s’interroger sur les intentions et applications possibles et souhaitables pour l’humanité.  Cependant il faut bien distinguer les utilisations existantes, possibles et potentielles.

L’oxyde de graphène peut jouer un rôle de vecteur ou de ciblage comme le montrent certains projets de recherche biomédicale en cours. Mais, à ce jour, peut-on répondre de la manière la plus objective possible, à la question : est –il possible qu’il y ait de l’oxyde de graphène dans les vaccins et pourquoi y en aurait-il ?

Au regard de la réglementation, les études de toxicités des NP de l’oxyde de graphène ne permettent pas encore une application pratique dans le domaine des médicaments, des vaccins ou des dispositifs médicaux. Si des progrès certains sont à noter dans le domaine de leurs propriétés de surfaces pour améliorer leur biosolubilité et leur biocompatibilité, il reste encore trop de données manquantes en toxicité in vivo, mais aussi en cancérogénèse, mutagénèse et génotoxicité ainsi que dans la compréhension de la phagocytose dans les monocytes (foie, rate, ganglions lymphatiques). Ces données issues de tests standardisés sont nécessaires aux fins d’autorisation réglementaire et cela exclut l’usage actuel dans le domaine des vaccins, même si cela est envisagé.

Dans le cas des « vaccins » actuels contre la COVID-19, administrés en injection intramusculaire, l’élimination rapide par phagocytose des nanoparticules d’oxyde de graphène rend difficilement possible la thèse d’une administration frauduleuse en vue d’une connexion furtive à la 5G qui plus est. Il paraît plus probable que si une telle connexion était à envisager entre un serveur et un individu, elle se fera d’abord par des objets connectés portés de manière volontaire ou contrainte (smartphones), puis par une micropuce sous-cutanée implantée, mais pas via une injection systémique de NP dispersées censées s’accumuler dans un organe (cerveau, cœur…), compte tenu de leur élimination rapide que ce soit par réactions d’oxydation pour le GO ou par phagocytose pour le graphène. Par la voie systémique, l’utilisation à venir dans un avenir proche ne peut qu’être ponctuelle comme en imagerie ou en thérapie anticancéreuse par exemple.

BIBLIOGRAPHIE

[1] https://rumble.com/vkipvb-comment-degrader-loxyde-de-graphene-version-franaise.html

[2] https://www.henrymakow.com/upload_docs/4_5976673186836646447.pdf

[3] https://chemicalviolence.com/2021-07-14-spanish-study-pfizer-vaccine-toxic-graphene-oxide.html

[4] Gao A., Liang H., Shen Q., Zhou C., Chen X.M., Tian J., …Cui D. Designing a novel nano-vaccine against SARS-CoV-2. Nano Biomedicine and Engineering. 2020;12(4):321–324.

[5] Ghaemi F, Amiri A, Bajuri MY,Yuhana NY,Ferrara M, Role of different types of nanomaterials against diagnosis, prevention and therapy of COVID-19. Sustainable Cities and Society, 25 May 2021, 72:103046

[6] https://graphene-flagship.eu/

[7] https://www.kemi.dtu.dk/nyheder/2019/07/opening_the_door_to_hybrid_2d_materials?id=363e4fee-645b-42ba-8aa1-ce8ca23528e6

[8] S. Wang, I. S. Cole, and Q. Li, “The toxicity of graphene quantum dots,” RSC Advances, vol. 6, no. 92, pp. 89867–89878, 2016.

[9] Mohammad Choucair, Pall Thordarson and John A. Stride, 10.1038/NNANO.2008.365 “Gram-scale production of graphene based on solvothermal synthesis and sonication, Feb 2009.

Uptake and biodistribution of nanoparticles – a review, Report 12/16, Swedish Chemicals Agency. Stockholm 2016

[10] Nano coronavirus recombinant vaccine taking graphene oxide as carrier (depuis 27/9/2020) par Shanghai National Engineering Research Center for Nanotechnology Co Ltd
https://patents.google.com/patent/CN112220919A/en




Macron, Véran et consorts… ignorants ou comploteurs ? Une réponse claire en treize points essentiels

Par les Gilets Jaunes de la Victoire

Tous les citoyens conscients doivent se poser cette question à propos notamment des plus en vues des covidistes en France, Macron et Véran*.

Point 1, la quarantaine.

Depuis plusieurs siècles, on sait que la méthode la plus efficace pour stopper une épidémie est la quarantaine. Quarantaine, XII siècle, dérivé de quarante d’abord au sens de « espace de quarante jours » ; au XVII siècle, isolement de quarante jours des contaminés pour éviter la contagion des sujets sains. De nombreux pays dans le monde ont utilisé ce processus très simple avec un franc succès. Ils ont testé les malades (avec des tests fiables) et les ont immédiatement isolés de la population, cassant ainsi la chaîne de propagation du virus.

Commentaire : la quarantaine, même les ânes la connaissent.

Point 2, des tests sérologiques efficaces et sûrs.

Des tests sérologiques précis et rapides (30 min) existaient avant l’épidémie, ils furent utilisés depuis le début de la crise par plusieurs pays, au début en Asie, Japon, Corée du Sud, Hong-kong… puis en Europe, Luxembourg, Allemagne, Autriche… ils permirent de détecter rapidement les positifs et de les isoler pour éviter la contagion.
ASIE — ÉPIDÉMIE : Sortir du confinement par les tests sérologiques d’immunité au Covid 19

Commentaire : la France de Macron à la ramasse.

Point 3 : les frontières comme des passoires.

Le point de départ de l’épidémie a été très rapidement circonscrite à la région de Wuhan en Chine, c’était dans tous les médias, personne ne pouvait échapper à cette information, pourtant le gouvernement n’a pas hésité à faire rentrer pendant de nombreux jours tous les avions qui venaient de cette région et de Chine, avec eux les contaminés. Idem pour l’Italie, le premier foyer épidémique en Europe, qui s’était déclaré en Lombardie fut annoncé rapidement par les médias. Pourtant pendant plusieurs jours les autorités françaises n’ont pas cherché à freiner l’arrivée des personnes venant de ces régions. Elles ont même autorisé les supporters du PSG à aller voir un match de leur équipe favorite à Milan et bien sûr à revenir, certains avec le virus.

Commentaire : même les ânes auraient été plus prudents.

Point 4, les tests PCR imposés.

Article France Soir : La grande supercherie des tests PCR, 90 % des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux.

Les tests PCR n’isolent pas et ne détectent pas le covid-19 comme tel, ils montrent simplement que les testés ont toute une série de virus et de bactéries dans leur corps, ceux-ci n’ont peut-être aucun rapport avec le covid-19. Cependant, quand l’individu est déclaré positif (après un délai), il est déclaré systématiquement positif au covid-19 ce qui fausse et amplifie les cas.

Confirmé par plusieurs articles publiés par divers médias comme Paris-Match,
https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Covid-19-les-tests-PCR-contestes-1713289 ou Businesstravel.fr, 
https://www.businesstravel.fr/les-tests-pcr-actuels-sont-peu-fiables-pour-detecter-une-infection-virale.html

Commentaire : malgré que les premières informations sur ce sujet furent publiées dès septembre/octobre 2020 le gouvernement a continué sans vergogne à les mettre en avant, curieux, non !

Point 5, un conseil scientifique créé par Macron avec plusieurs membres ayant des liens rémunérés avec l’industrie pharmaceutique

Un Conseil Scientifique dont plusieurs membres ont des liens avec des entreprises pharmaceutiques. Cette collusion a été dénoncée par le Pr Raoul lors de son audition par le Parlement, le 24 juin 2020. Malgré cette dénonciation faite il y a plusieurs mois déjà aux yeux de tous, ce Conseil Scientifique continue toujours de fonctionner en l’état comme si de rien n’était, en donnant son avis au gouvernement qui le suit.

Article de France Soir : Top 13 du classement des revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique
ou de La Croix : Crise sanitaire : le retour des accusations de conflit d’intérêt

Conflit d’intérêt strictement interdit par la loi.(([1] Les documents officiels français : Légifrance

LOI n° 2013-907 du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique (1)
Chapitre Ier : La prévention des conflits d’intérêts et la transparence dans la vie publique (Articles 1 à 24)
Article 1
Modifié par LOI n°2016-1691 du 9 décembre 2016 — art. 29 (V)

Les membres du Gouvernement, les personnes titulaires d’un mandat électif local ainsi que celles chargées d’une mission de service public exercent leurs fonctions avec dignité, probité et intégrité et veillent à prévenir ou à faire cesser immédiatement tout conflit d’intérêts. Les membres des autorités administratives indépendantes et des autorités publiques indépendantes exercent également leurs fonctions avec impartialité.

Section 1 : Obligations d’abstention (Articles 2 à 3)
Article 2
Modifié par LOI n°2017-1339 du 15 septembre 2017 — art. 6

))

Commentaire : Macron et son gouvernement prouvent par ce premier manquement très grave à la loi qui perdure depuis, son mépris des lois républicaines confirmé par la suite par de très nombreuses décisions illégales.(([2] Macron et sa Dictature en Marche, en trois preuves et quelques faits incontestables — Profession Gendarme))

Point 6, masques ou pas masques ?

Le gouvernement français, s’appuyant sur les recommandations du conseil scientifique, décide le confinement de l’ensemble de la population, avant le confinement le port du masque est déconseillé, après le confinement il est imposé !!!

De nombreuses études scientifiques de haut niveau ont été réalisées depuis le début de la crise sur l’utilité du port du masque par les adultes et les enfants selon le niveau de protection des masques et les circonstances de leurs utilisations. Aucune de ces études n’a été portée à la connaissance du grand public par le gouvernement et les médias subventionnés qui laissent ainsi la population dans l’ignorance. Aussi il faut que les citoyens se posent la question suivante : les masques sont-ils toujours vraiment utiles ou sont-ils devenus au fil du temps un signe de soumission à un pouvoir corrompu ?

Commentaire : une communauté d’ignorants, vraiment ?

Point 7, des vaccins  produits en un peu plus d’un an, recherches comprises, peuvent-ils être sûrs ?

Extrait de l’article  « Pourquoi je ne me ferai pas vacciner. » du Docteur italien S. R. Valli, diplômé en médecine et en chirurgie à La Sapienza à Rome, et spécialiste en médecine interne et en allergologie et immunologie cliniques, publié en septembre 2021 sur le site web Benoitetmoi.fr dans Mes pièces.

« En général, un médicament (mais aussi un vaccin) doit passer par plusieurs phases d’étude :

la phase préclinique sur les animaux, qui sert essentiellement à établir la toxicité éventuelle de la molécule sur un organisme vivant complexe, puis certains paramètres pharmacocinétiques : voie d’administration privilégiée, absorption, distribution, métabolisme et élimination ;

la phase 1, c’est-à-dire sur des volontaires sains, qui permet de s’assurer que les résultats obtenus chez l’animal sont confirmés chez l’homme ;

la phase 2, celle des volontaires “malades”, qui sert à vérifier l’efficacité thérapeutique du médicament, ou l’efficacité préventive du vaccin chez les sujets exposés à la contagion ;

la phase 3, la plus importante. Ici, les études sont multicentriques, c’est-à-dire réalisées dans différents hôpitaux, et doivent être en double aveugle et contrôlées par placebo. Dans cette phase, il est obligatoire d’obtenir le consentement éclairé, car le patient doit savoir qu’il est soumis à un essai clinique et qu’il peut donc recevoir soit le médicament actif, soit le placebo, sans que ni lui ni son médecin ne le sachent (c’est la signification du double aveugle). La phase 3 doit durer de 3 à 5 ans (et il se trouve que les vaccins contre le SARSCoV-2 sont testés jusqu’en décembre 2023 !)

La phase 4, ou pharmacovigilance, qui est la phase à laquelle sont soumis les médicaments une fois qu’ils sont mis sur le marché. La pharmacovigilance (ou surveillance) peut être active ou passive : elle est active lorsque le médecin visite périodiquement le patient qui a reçu le médicament et signale tout effet indésirable ; elle est passive lorsque le patient signale un événement indésirable au médecin, qui doit le signaler aux autorités sanitaires qui doivent en prendre note.

On estime que les événements indésirables signalés dans le cadre de la surveillance active sont 100 fois plus nombreux que ceux signalés dans le cadre de la surveillance passive. Ces vaccins font uniquement et exclusivement l’objet d’une surveillance passive et, d’après l’expérience directe, presque aucun des effets indésirables signalés par les patients n’est signalé ! Enfin, les effets à long terme : c’est là que réside la question la plus critique.

Nous (et Pfizer, Moderna, Astra Zeneca) ne savons absolument rien de ce que le vaccin pourrait provoquer dans un, deux, cinq ou dix ans. En effet, pour qu’une étude clinique soit fiable, deux critères fondamentaux doivent être respectés : la taille de l’échantillon et la durée d’observation. Une étude portant sur cinquante millions de personnes pendant un mois ne peut que nous dire que le médicament est sûr dans les situations aiguës, tandis qu’une étude sur une personne suivie pendant vingt ans ne nous donne aucune information, car tout peut être ramené à des variables individuelles.

Dans le cas de ces vaccins, le nombre de sujets ne dépasse pas 70 000 (contre 2,5 milliards de vaccinations effectuées !), et la période d’observation à ce jour ne dépasse pas un an. Je rappelle que des médicaments utilisés depuis plus de quarante ans comme antiulcéreux (ranitidine, cimétidine) ont été suspendus du marché, car on a découvert en 2018 qu’ils avaient un composant potentiellement cancérigène ! “ 

Commentaire : comment se fait-il que le conseil scientifique n’ait pas tenu compte de ce que tout médecin digne de ce nom a appris sur le ban de la fac ? N’est-ce pas docteur Véran !!!!

Point 8, des vaccins ne bénéficiant que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.  

Autorisation de mise sur le marché conditionnelle. Début de l’article publié sur le site web de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé.)

‘Les Autorisations de mises sur le marché (AMM) seront délivrées par la Commission Européenne à l’issue de cette évaluation et seront valables dans tous les États membres de l’UE. Dans le contexte de la pandémie et de l’urgence de santé publique, les AMM seront dites conditionnelles.

En effet, une AMM conditionnelle permet l’autorisation de médicaments qui répondent à un besoin médical non satisfait avant que des données à long terme sur l’efficacité et la sécurité ne soient disponibles. Cela est possible uniquement si les bénéfices de la disponibilité immédiate du médicament l’emportent sur le risque inhérent au fait que toutes les données ne sont pas encore disponibles. L’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients.

Une fois qu’une AMM conditionnelle a été accordée, les laboratoires doivent fournir les données complémentaires provenant d’études nouvelles ou en cours dans des délais fixés par l’EMA pour confirmer le rapport bénéfice/risque positif.

Une AMM conditionnelle est accordée pour un an et peut être renouvelée. Lorsque les autorités européennes ont reçu et évalué toutes les données complémentaires exigées, l’AMM conditionnelle peut être convertie en une AMM standard.’

Commentaire : actuellement on ignore donc bien les effets sur le long terme de la vaccination.

Point 9, malgré ce qui précède, pour Macron et son gouvernement, la vaccination est l’unique solution contre le covid, c’est clair, c’est net

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/04/24/la-vaccination-seule-solution-face-a-la-covid-19

Pour tous les vaccins, les fioles contenant les injections ne comportent aucune mention, à part le nom du produit. Pour Macron ce n’est pas un problème.

Mais pour ceux qui ont reçu, par exemple le vaccin Pfizer, vous a-t-on montré ceci ?

Commentaire : faisant abstraction du principe de précaution, contre tout bon sens, Macron et son gouvernement proposent quasiment une vaccination obligatoire avec des produits pour le moins incertains. Avec les points précédents nous avons déjà vu une cascade d’inepties qui, trop nombreuses, paraissent très suspectes, mais à ce stade, on est en droit de se demander si Macron, le bon samaritain qui ne vous veut que du bien, et son gouvernement à sa botte, ne nous mène pas en bateau.

L’ENVERS DU DÉCOR

Macron et son théâtre d’ombres

Deux interventions de Macron que vous n’avez pas vues dans les médias.

Point 10, discours de Macron en ouverture du sommet des banques publiques de développement finance en commun, novembre 2020.

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2020/11/12/discours-du-president-emmanuel-macron-en-ouverture-du-sommet-des-banques-publiques-de-developpement-finance-en-commun.

Commentaire : tranquillement et en douce il nous vend à ses collègues de la finance, n’oublions pas qu’il a travaillé plusieurs années à la banque Rothchild.

Point 11, intervention de Macron avec Klaus Schwab au Forum virtuel de Davos janvier 2021.

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/01/26/intervention-du-president-emmanuel-macron-dans-le-cadre-de-lagenda-de-davos-organise-par-le-world-economic-forum

Commentaire : incontestablement ils se croient tout permis et ils décident pour nous.

+ Point 12, le parrain et un de ses hommes de main.

https://by-jipp.blogspot.com/2021/09/vers-une-gouvernance-medico-genocidaire.html

No comment.

Et pour finir, Point 13, un drôle de paroissien.

Pour ceux qui ne la connaisse pas voici l’œuvre de Shepard Fairey (Obey) que Macron a derrière son bureau de l’Élysée, une Marianne où est inclus MANIFESTEMENT un pentagramme noir :

De plus près :

No comment

Conclusion

Face à cette monstruosité, la destruction de l’intérieur de la Démocratie et de la République, très bien explicitée par le dialogue aux enfers de Macron et de Schwab, les Gilets Jaunes de la Victoire et tous les citoyens conscients, se lèvent et s’unissent pour dénoncer le projet démoniaque des mondialistes. Ce projet à déjà reçu un coup en partie mortel par Vladimir Poutine,(([3] C’est pour cette raison que Biden l’a qualifié de tueur.)) grâce son intervention percutante qui à remis les choses en perspectives — faite après celle de Macron et de Schwab — lors de ce même Forum de Davos. La voici :
https://nouveau-monde.ca/discours-de-vladimir-poutine-au-forum-de-davos-2021-lhomme-ne-doit-pas-etre-un-moyen-mais-un-but-de-leconomie/

Remarquez le Haut symbolisme de l’architecture et de la décoration de la salle du Kremlin où Poutine à fait son discours.

Quoiqu’ils fassent à l’avenir, Macron, Véran et consort, cela ne les dédouaneront pas de leurs responsabilités passées.

Grâce à l’union des forces populaires conscientes, nous vaincrons.


* et consort… seront prochainement nommés.




Programme en dix points pour les cent jours du Sursaut Français (S.F.) — mai 2022

Par Lucien Samir Oulahbib

  1. S’il est encore présent, suspension immédiate jusqu’à sa mise au rebut dudit « passe sanitaire » avec mise au point d’un renforcement en urgence du service de santé (traitements précoces, services spécialisés) sous la direction de Christian Perronne, Didier Raoult, Alexandra Henrion-Caude, Martine Wonner, Laurent Toubiana, Jean-François Toussaint (liste non exhaustive).
  2. Mise sur pied immédiate (fin mai) de deux commissions parlementaires : l’une pour évaluer les urgences et les moyens d’y remédier en matière de santé, l’autre dite de « renforcement, réveil et sursaut national » (sécurité, justice, économie, enseignement, défense). Ces deux structures auront trois mois (juin, juillet, août) pour donner non pas seulement un constat, mais des axes d’action afin que dès septembre l’action du Gouvernement s’en enrichisse.
  3. Car pendant ce temps ce dernier ne chôme évidemment pas :
    • suspension des impôts de production pour les petites et moyennes entreprises et ETI,
    • suspension des mises en faillite et liquidation ;
    • pression sur le système bancaire, sous la direction de la Caisse des Dépôts et Consignation (qui pourra lever un grand emprunt pour ce faire) pour qu’il réévalue sa politique de prêt, 
    • évaluation (et éventuellement élaboration) de dispositions juridiques visant à ce que les aides économiques aillent en priorité aux petites et moyennes entreprises, en particulier lorsqu’elles s’installent dans les « déserts socio-économiques » et « quartiers dits chauds »,
    • mise sur pied d’une collaboration mixte assurances, mutuelles, sécurité sociale, pour diminuer fortement les cotisations sociales qui pèsent sur les PME, ETI et salariés, et grèvent leur compétitivité en particulier à l’international.
    • Mise en demeure à ce qu’il n’y ait pas de dumping social au sein de l’UE et à ses frontières.
      Politique de la chaise vide, mise sur pied de taxes compensatrices si ce n’est pas tenu compte.
  4. [Mesures écologiques]
    • Diminution significative des taxes sur l’essence, gasoil, etc.,
    • moratoire sur les éoliennes,
    • arrêt du démantèlement de Fessenheim,
    • arrêt de la hausse des tarifs électriques et gaziers,
    • renforcement de l’indépendance énergétique par l’évaluation effectuée par une équipe indépendante du quasi-sabotage actuel opéré contre nos centrales nucléaires d’ancienne et nouvelle génération, nos industries (automobiles, hautes technologies)
    • évaluation et remise à niveau de toute la politique dite de « transition énergétique »,
    • renforcement des coopérations interrégionales,
    • développement réel des ports français,
    • fin des monopoles syndicaux.
  5. Mise en demeure des grands groupes de transport numérique qu’ils lèvent toute censure sous peine d’être eux-mêmes suspendus.
  6. Pluralité et équité imposée aux chaînes d’information publiques ET privées sous peine de perdre leur accréditation et évaluations des subventions octroyées aux organes de presse.
  7. Suspension du regroupement familial effectué par des résidents légaux, mais non français (carte de séjour, même de dix ans) et suivi renforcé de la donation en matière d’allocations familiales, droit au logement, sécurité sociale, retraites (en s’appuyant sur les travaux de Charles Pratz, entre autres).
  8. Discussion avec l’UE et l’ONU pour que les déboutés asilaires soient immédiatement et convenablement installés dans des endroits salubres financés par ces deux structures. En cas de refus, la France opère la politique de la chaise vide, se retire de toutes les instances humanitaires tant que ce problème n’est pas réellement pris en main par ladite « Communauté internationale ».
  9. Sans attendre les mesures qui seront préconisées par les deux commissions parlementaires, renforcement d’une politique familiale en proposant une allocation dès le premier enfant, une aide également physique à domicile pour les personnes élevant seules un enfant comme aller le chercher à l’école, l’aider à faire ses devoirs (renforcer l’apprentissage du français). Proposition également de conseils et d’aides pratiques pour que toute jeune femme hésitant entre vie professionnelle et vie familiale ne se sente pas obligée de mettre à plus tard celle-ci en opérant par exemple des avortements dits (officieusement) de « confort »…
  10. [Géopolitique et échanges internationaux]
    • Suspension des interdictions d’échanges commerciaux avec la Russie,
    • accroissement de la coopération avec le Royaume-Uni, 
    • pression sur l’Iran pour qu’il accepte le fait israélien en échange de son désir de se doter d’un nucléaire civil ; 
    • amorce de discussion bilatérale avec la Chine sur divers points cruciaux ;
    • organisation pour ce faire, et plus généralement, d’une réelle réévaluation des approches en matière de politique étrangère (défense incluse) faite directement sous la direction de la Présidence de la République afin que ladite « politique arabe de la France » (mais aussi africaine) soit enfin réévaluée, y compris pour comprendre ce qui s’est réellement passé en 1947 lors du conflit judéo-arabe dont les effets ont des conséquences sous-estimées dans la recrudescence de l’antisémitisme ;
    • ce qui passera déjà par un rééquilibrage de l’enseignement historique en la matière, sans oublier une analyse de la présence dite « culturelle » des influences étrangères, avec moratoire lorsque le cultuel et le culturel sont mélangés et lorsque la présence de l’égalité homme/femme n’y est pas probante ;
    • renforcement de la présence française dans le Pacifique,
    • coopération avec le Vietnam, Laos, Cambodge, Indonésie ;
    • réévaluation de la présence française au sein de l’OTAN et au sein de l’ONU et de toutes les instances internationales (en s’appuyant sur les travaux de la Commission ad hoc, point 2).

S’opère ici une tactique dite de brise-glaces ou poussée en quinconce (sous forme de flèche avec protection sur les hauteurs opérée par le Président) qui brise comme son nom l’indique les obstacles au fur et à mesure et non pas d’un coup ; ce qui nécessite bien sûr de faire des trouées (les mesures prises par le Gouvernement en interaction avec un Parlement non godillot) et lorsque le flottement lié aux fissures apparaît, glisser dans l’une d’elles et pousser de toute l’inertie possible, faire acte de pesanteur avec tout l’art diplomatique d’usage, art premier en France (autrefois). Le « coût » budgétaire sera évalué à partir des travaux des deux Commissions parlementaires.

Ce qui nécessite des Stratèges, des Incorruptibles aussi… Et puis, au 101° jour et sur la base des travaux de la seconde commission, il faudra renforcer, soulager, élaguer les Institutions…

Vaste programme !




L’insupportable épée de Damoclès au-dessus de la tête des jeunes vaccinés

Par Nicole Delépine

L’épée de Damoclès sur la tête des jeunes vaccinés : acceptable ou insupportable ?

Danger majeur du pseudo-vaccin chez l’enfant : l’épée de Damoclès sur leur avenir. On ne vaccine pas pour une maladie à risque zéro dans cette tranche d’âge

Nous ne répéterons jamais assez aux citoyens, aux soignants, aux enseignants, aux parents, mais aussi aux sénateurs favorables aux obligations, aux députés et à tous les élus ayant un quelconque pouvoir, le risque accru des injections de substances géniques chez les sujets jeunes. Ce risque est d’autant plus élevé que la personne est plus jeune, probablement en raison d’une forte immunité qui les fait réagir plus violemment.

LES MYOCARDITES ET PÉRICARDITES, UN RISQUE MAJEUR MÊME SI RELATIVEMENT RARE EN DÉBUT DE SUIVI SELON LE VAERS, AUX USA

Soulignons qu’en l’absence d’essais cliniques avec suivi plusieurs années (les essais ne finiront qu’en 2023 et les résultats à plus long terme dans les dix ans à venir), personne ne peut prédire si les accidents cardiaques par exemple se multiplieront ou non à l’avenir. Faire vacciner vos enfants pour autoriser une inscription au sport ou à la musique fait peser sur leur avenir une épée de Damoclès. Bien sûr les médias inconscients ne le disent pas, mais la réalité est là : on ne sait RIEN de l’avenir.

Quoi qu’il en soit, les faits sont là et par exemple le Pr émérite Claverie, de la faculté d’Aix, rapporte l’incidence des myocardites post- vaccinales en fonction de l’âge en ces premiers mois de suivi.

Ce virologue français, reconnu internationalement publie sur son compte Linkeldin les chiffres du Centre pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) agence fédérale américaine(([1] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-08-30/03-COVID-Su-508.pdf)) des cas de myocardites chez les jeunes.(([2] https://www.profession-gendarme.com/pour-le-virologue-jean-michel-claverie-reconnu-internationalement-les-myocardites-ont-explose-chez-les-enfants-il-faut))

À la date du 18 août 21, 2 574 signalements ont été rapportés dans l’ensemble des groupes de tous âges

  • Myopéricardites : 1 903 cas • Péricardites seules 671 cas

Ces évènements  « indésirables » cardiaques touchent essentiellement les garçons plus jeunes ayant reçu deux doses de vaccin à ARN messager, les symptômes apparaissant dans les quelques jours suivant la vaccination.

Pour éclairer le lecteur, le Pr Claverie met en exergue la fréquence très augmentée chez les jeunes garçons par rapport à la population générale.

MÊME CONSTATATION AU CANADA QU’AUX USA

La fréquence des myocardites et péricardites après vaccin à ARN messager est confirmée par un rapport récent de l’agence canadienne de santé en Ontario.(([3] Myocarditis and pericarditis following vaccination with COVID-19 mRNA vaccines in Ontario e Public Health Case and Contact Management Solution as of August 7, 2021
https://www.publichealthontario.ca/-/media/documents/ncov/epi/covid-19-myocarditis-pericarditis-vaccines-epi.pdf?sc_lang=en))

Depuis le début de la vaccination à ARN messager en Ontario, 314 déclarations de myocardites et/ou de péricardites ont été recensées après injection d’ARN messager dont 204 remplissaient les critères les rendant suspects d’être secondaires à l’injection.

79,9 % des cas touchaient des hommes et 69,6 % sont survenues après la seconde injection.

Le risque d’accident cardiaque par million de doses atteint 6,4 après la première dose du Pfizer et 8,7 après la seconde dose, contre respectivement 6 et 28,2 pour Moderna. Les jeunes hommes d’âge compris entre 18 et 24 ans étaient le plus exposés avec une prévalence du risque post-seconde dose atteignant 37,4 par million de doses après Pfizer et 263,2 Moderna.

Si on extrapole ces constatations à la France, l’injection de ces médicaments à 15 millions de mineurs est susceptible d’entraîner entre 135 (Pfizer) et 450 (Moderna) myocardites et/ou péricardites alors que l’espoir de bénéfice personnel pour eux est nul.

Ces complications cardiaques ne sont pas anodines ; au mieux elles guérissent après plusieurs semaines de gêne, mais elles peuvent aussi laisser des séquelles définitives annulant de plus tout espoir de poursuite d’une carrière sportive professionnelle comme Greyson Follmer,(([4] était un athlète d’élite et membre du chapitre universitaire du Reserve Officers’ Training Corps (ROTC) )) un étudiant de l’Ohio State University (OSU) après sa deuxième injection Pfizer. Au pire elles peuvent entraîner la mort.

Le Pr Claverie est revenu sur l’immunité naturelle des enfants comparée à l’immunité post-vaccinale le 7 septembre sur CNews :

 « L’immunité qui est naturellement acquise par les enfants est de meilleure qualité, elle est plus durable, elle est plus générale, car elle ne repose pas uniquement sur un composant du vaccin, mais sur plein de protéines du virus. Et on l’acquiert au niveau des muqueuses, ce qui est très important pour des maladies respiratoires. »

Ses considérations théoriques ont été confirmées par l’analyse d’une épidémie de Covid-19 dans une mine d’or de Guyane(([5] Vignier N, Bérot V, Bonnave N, Peugny S, Ballet M, Jacoud E, et al. Breakthrough infections of SARS-CoV-2 gamma variant in fully vaccinated gold miners, French Guiana, 2021. Emerg Infect Dis. 2021 Oct https://doi.org/10.3201/eid2710.211427)) où aucun des malades guéris d’un précédent covid n’a rechuté alors que 60 % des vaccinés à deux doses ont néanmoins été infectés par le virus.

L’épée de Damoclès(([6] Damoclès était attablé, une épée suspendue au-dessus de sa tête ; mais cette épée n’était retenue que par un crin de cheval. On parle d’une « épée de Damoclès » pour décrire une situation périlleuse ou pour évoquer des circonstances particulièrement risquées.)) globale

Nous avons détaillé il y a peu(([7] IL FAUT STOPPER LA PUB A LA VACCINATION CHEZ L’ENFANT INNOCENT DU SARS COV-2 – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) les craintes qui pèsent sur l’enfant dès avant la naissance chez les mères vaccinées, mais toute information qui ne répète pas les mensonges gouvernementaux a du mal à passer et nous insistons à nouveau sur ces dangers majeurs, connus et inconnus à long terme de ces substances géniques expérimentales (toujours en essai thérapeutique) dont l’avenir est inquiétant.

Faisons ici écho au message du Pr Montagnier aux médecins français

« Messages à 227 300 médecins français — comportez-vous en vrai médecin, soignez avec des médicaments peu coûteux qui ont fait leurs preuves : hydroxychloroquine, Ivermectine, antibiotiques (Azithromycine) selon l’état infectieux du malade ; anticoagulants selon le bilan biologique (D-dimères) ; et anti-inflammatoires (corticoïdes). De plus, complémentez vos patients en Zinc, Vitamines D et C en plus d’une alimentation très végétale de qualité. — ne vous faites pas vacciner, ne vaccinez pas, entrez en RÉSISTANCE et unissez-vous — ne vaccinez ni les enfants, ni les jeunes, ni les femmes enceintes TOUS en bonne santé. Les risques de la vaccination pour ces populations sont supérieurs aux bénéfices attendus. Leurs défenses immunitaires suffisent pour qu’ils développent la covid a minima et sans danger »(([8] Une erreur stratégique qui impacte l’avenir de l’humanité. pdf
https://professeur-joyeux.com/2021/08/30/trois-messages-de-prevention-sante-a-votre-portee/))





Le triste scoop du jour : épuisé, l’avocat Fabrice Di Vizio renonce

Par Nicole Delépine

Un triste scoop :  l’avocat Fabrice di Vizio renonce en ce jour symbolique de l’obligation vaccinale des soignants qui va achever le système de santé, déjà en déficit chronique de personnel bien avant la crise du Covid.

https://youtu.be/7yZ2eE5CQfM
Sa vidéo du 14 Septembre sur VA+

Tout d’abord, saluons son énergie, son dévouement sans limites au cours de ces longs mois de mascarade et de désastre sanitaire.

On peut imaginer que sa décision de stopper tout combat n’arrive pas sans causes profondes qu’il explique largement dans cette belle et longue vidéo que je conseille de regarder plutôt que les habituels tweets infondés et commentaires inadaptés.

Nous extrayons quelques phrases de cet échange qui ne remplacera pas l’écoute complète de son interview, mais qui, j’espère, vous en donnera l’envie.

Père et chrétien, il se demande si on mesure ce qui se passe dans ce pays. Le pass sanitaire n’est pas sanitaire — personne ne s’en cache — et traduit les restrictions des libertés publiques au nom de l’État. Il nous explique qu’il est avocat et n’a pas vocation à faire de la politique ni à être chef de guerre. Ce combat coûte cher, entraîne beaucoup de lassitude. Il subit des attaques de toutes parts, et n’est pas préparé à cela.

On va entrer dans une lutte des classes

Il choisit de pointer du doigt qu’on a changé l’État de droit, en un mois. Enfants pénalisés, ils ne pourront plus se payer le pass sanitaire, ne pourront pas payer ces tests et donc se feront vacciner. Et on ne peut pas en parler, en débattre. On n’a plus le droit de réfléchir ni de parler. On vous pourrit la vie.

Des gens renoncent aux soins. On induit une société de discrimination, il n’en veut pas. Il ne veut pas de cette société où il se balade avec des gardes du corps et ses enfants aussi. C’est insupportable.

À propos du Pape : Le pape parle sans savoir. L’église a renoncé d’emblée.

L’église est responsable d’une force de désespérance, seul péché qui ne soit pas pardonné (Saint Paul).

À propos des délires de Tweeter et des journalistes, ça suffit

Une collaboratrice, à la suite d’une scène tellement violente à l’aéroport, s’est fait vacciner. Alors oui cela l’a mis en colère, non pas qu’elle se vaccine, mais qu’elle le fasse sous la contrainte et je l’ai dit.

Un tweet suffit à enflammer la toile et un journal reprend. Comment vivre dans ce monde-là ?

« Je ne suis pas préparé à cela. Je n’ai pas vocation à prendre des coups dans le g. toute la journée. Je refuse de vivre dans un monde de caricature ».

Oui, ils auront sa démission ou sa radiation évidemment, mais il va partir avant.

À la suite de l’épisode Buzyn

J’ai fait ce que j’avais à faire. Le parisien a dit que j’étais mis en examen par la cour de justice de la république ! ils disent n’importe quoi et ne vérifient rien. Ce sont les ministres qui peuvent être mis en examen par la CJR !   Grotesque. De fait, il précise n’avoir commis qu’un seul crime, celui de proposer aux citoyens de porter plainte.

Comment ressent-il les attaques de la presse : il n’est pas préparé à cette violence majeure de la société.

On l’accuse dans la presse ou sur tweeter d’être un escroc avec ses plaintes à 2 €.

Or il a créé une association qui assure des permanences juridiques gratuites pendant les manifestations et répond à 500 mails par jour, a recruté des juristes à temps plein et n’a pas voulu faire payer des cotisations. On a encaissé en tout à l’association douze mille euros, soit un mois de salaire des juristes de l’association qui a 4 mois d’existence.

« On me reproche d’avoir saisi le tribunal. Pour ne pas devenir fou, il faut partir ! »

Leur seule volonté est de nous faire devenir fou. Je suis rationnel et accepte l’idée du débat, mais ce débat est interdit. Les plaintes de l’association coûtaient deux euros. Certains docteurs ont touché 750 EUROS de l’heure pour injecter les vaccins. Une consultation de 4 min pour recueillir un « consentement éclairé, et dont personne ne parle sauf le canard enchaîné. La presse ne s’y intéresse pas.   Les PCR ne seront pas remboursés parce qu’inutiles et les plus pauvres ne pourront pas se les offrir et se feront vacciner.

En 2020, il a emprunté 100 000 EUROS et on le présente comme quelqu’un de vénal : incroyable !

Il est un homme de débat, mais on n’est plus dans la rhétorique, il a découvert ce qu’est la méchanceté.   Il ne revendique rien, « arrêtez de m’applaudir ». Cette communauté hyène se déchire. Vous n’avez plus le droit d’avoir une opinion : 

« je ne suis pas fait pour vivre dans un monde d’animaux ».

Pass sanitaire et contraintes à dimension variable selon les milieux

Il est contre le pass sanitaire et en tire toutes les conséquences, ne va plus au restaurant. Oui, il ne triche pas.

Vie de paria ? Une vie sociale limitée, cela ne le dérange pas, mais ce qui lui fait mal, c’est une société avec la vie déjà à deux vitesses, comme pendant le confinement et les restaurants clandestins. Il n’est pas un révolutionnaire, mais n’accepte pas que la vaccination donne un privilège aux vaccinés alors qu’elle ne protège ni de la contamination ni des formes graves.

La société parallèle existe déjà, société des pass et société des passe-droits

Tout cela est un écran de fumée et la propagande a marché qui finalement s’attaque à autre chose ; l’industrie impose des champs lexicaux qui sont les mêmes dans les pays et mêmes attitudes. Et personne ne s’intéresse à Mac Kinsey et à ses deux millions d’euros par mois payés par nos impôts pour nous imposer cette communication :  « on assiste à une « coupe de monde » de l’industrie pharmaceutique ».

Où est l’opposition politique ?

Il ne s’attendait pas à cela : le but est de faire taire ceux qui dérangent la bonne conscience du monde, des confrères ont écrit qu’il occupe l’espace public !!

De la mise en examen de Mme Buzyn on retient qu’il a porté les plaintes.   La presse s’enfonce et creuse sa propre tombe. Elle espère sa mort. Ses enfants sont sous protection. Sa maison est un bunker. Il dit être menacé et certains prétendent qu’il est mytho, mais les docteurs qui seraient menacés ne le seraient pas.
De l’autre côté colère froide calculée, en Italie ils ont réussi à faire taire un docteur qui avait trouvé un traitement efficace, il s’est suicidé.

État de la France : hypnose, hallucination collective

Attention réveiller les gens sous hypnose sera difficile et probablement violent

MISE EN EXAMEN D’AGNÈS BUZYN

Il craint qu’elle ne soit que le bouc émissaire. Le droit des citoyens est de porter plainte et celui d’Agnès Buzyn de se défendre.

La Cour a préalablement rejeté toutes les plaintes de mise en danger de la vie d’autrui et A.B. a cependant été mise en examen sous ce chef d’accusation. Pourquoi ? La Cour de cassation cassera, car ce chef d’accusation ne tient pas si, comme elle l’a dit il y a longtemps, elle a averti le gouvernement dès janvier.

Pourquoi ne s’est-elle pas présentée le 18 juillet ? Pourquoi E Philippe et Veran ne sont-ils pas là ? Est-elle le dindon de l’histoire ?

L’ÉTAT DE DROIT EST MORT :  on a confiné sous la pression on a changé de civilisation en un an

Est-ce que la vaccination ne mérite pas une enquête pénale et idem pour le pass et les liens entre mac Kinsey et E.Macron ?

Il faut des idiots utiles et Agnès Buzyn en est une. Son avenir politique est nul et donc on peut l’utiliser. Agnès B est la faible de service. Parallélisme avec les attaques contre di Vizio ? On a l’impression d’un vent de panique.

Théâtre ? il ne sait pas.

Les fameuses 14 000 plaintes

lui sont reprochées, mais pas celles de Bruno Gaccio qui a fait un site pour plaintes en début de crise. Le seul droit qui vous reste est pourtant d’exercer votre droit devant les juges.

Une VIOLENCE INTRINSÈQUE

présente des deux côtes, vaccinés ou non vaccinés. Qui est le gardien de la violence légitime ? La justice préfère les plaintes aux rixes. Les jeunes, les salariés vaccinés par extorsion d’un consentement non éclairé ont le ressentiment qu’on va payer cher !!

Les agences font de la politique et les politiques du sanitaire

Il explique qu’à la suite de l’affaire du sang contaminé, on a voulu créer des agences indépendantes de l’état. Mais de fait les politiques se défaussent sur les agences, mais réunissent des conseils de défense secrets.

On avait oublié que si les agences sont indépendantes, il est plus facile pour l’industrie pharmaceutique de les infiltrer. L’industrie a infiltré les agences.

On a dit que la nicotine protège du covid : tous ceux qui ont dit cela sont tous en rapport avec l’industrie du tabac. Un ancien président de l’EMA a dit qu’il est génial de vivre en Europe, car le politique ne contrôle pas l’EMA. L’EMA est financée par les labos qui fabriquent les molécules.

L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE A PRIS LE POUVOIR : propagande monstrueuse !

Le rôle de mac Kinsey consiste à organiser les campagnes de communication par des messages simplistes en boucle. Le pass sanitaire, idée géniale, ne freine pas l’épidémie, mais sert à vous contraindre !

Le pass ne sert à rien puisque le vaccin ne protège pas de la contamination, mais le green pass en Italie : une dose suffit

Il n’y a plus rien à faire selon maître Di Vizio. L’avocat ne voit plus comment avancer avec ses armes juridiques d’où son retrait.

Il évoque les conséquences avec quelques exemples

Dans l’Hôpital de Montbéliard, on supprime des opérations ; des sociétés d’ambulance n’ont plus de personnel, même le Pr Juvin provax ne peut pas se passer des personnels réfractaires

LE BUT : satisfaire une partie du peuple

Intérêt économique : on a écoulé des vaccins ; le cours de l’action a explosé

Et si Karine Lacombe dit « qu’ils changent de métier », eh bien elle ira faire la toilette aux personnes âgées, ira prendre en charge les malades, faire l’anesthésie. Que va-t-il se passer ?

Quand on va se réveiller, cela va faire mal…

Fabrice Di Vizio va partir de France et de sa profession à très court terme, car il refuse de faire une profession réglementée comme les médecins et avocats et appartenir à un ordre qui a trop démérité

Il est à bout de nerfs, dans cette société violente, ne veut pas exposer sa famille à cela.

L’urgence est à former des gens comme on ne peut plus soigner, ni défendre  

On a laissé les gens chez eux sans soins : c’est la guerre ! Le taux de décès à domicile a explosé, comment certains médecins ont-ils pu accepter de refuser de recevoir un patient ? Ne serait-ce que pour le rassurer au minimum.

Les avocats ont laissé des gens en prison sans juge.

URGENCE À OUVRIR DES ÉCOLES, FORMER NOS ENFANTS À L’ESPRIT CRITIQUE

Alexis de Tocqueville a dit « l’état c’est la dictature du bonheur » : nous vivons dans un monde qui fait peur, mais même cela n’a plus le droit de le dire.

Beaucoup de soignants ont l’illusion de vivre dans un monde d’avant, mais quand on se soumet dans un monde qui n’a pas de sens… La Vaccination extorquée, c’est un viol. Il ne se soumet pas et refuse d’être violé par qui que ce soit.

Son crédo : La vérité rend libre. C’est aussi son Engagement de chrétien et là, on est dans un mensonge éhonté.

« Pourquoi une personne comme moi sans aucune aspiration politique fait aussi peur ? L’avenir le dira »

AINSI VOICI DES EXTRAITS DE SA VIDÉO.

Merci à Maître Di Vizio et à son équipe. Il a beaucoup donné.

Et aussi à Éric Zemmour autre combattant forcé de prendre du recul, car tel est le bon plaisir du monarque qui nous gouverne et de tous ses suppôts complices et soumis

Et à tous ceux qu’on tente de faire taire et dont la liberté d’expression est menacée.




Témoignages exclusifs sur les refus de soin par l’administration

Par Nicole Delépine

SOINS ANNULÉS PAR L’ADMINISTRATION POUR CAUSE DE PASSE DIT SANITAIRE

De nombreuses familles racontent des refus de soins à l’entrée de la clinique ou de l’hôpital public gardés par des vigiles. Pourtant ces derniers n’ont pas le droit de voir les papiers d’identité des demandeurs et donc la vérification du passe sanitaire n’est qu’une lutte d’influence, une manipulation.

Certains plus solides que d’autres arrivent avec un avocat ou un huissier, refusent de partir et demandent
 qu’un directeur ou en tous cas un responsable les rejoigne et montre les décrets ou circulaires qui justifieraient de refuser à Madame X. de venir faire sa chimiothérapie prévue (donc non urgente vue par un énarque) ou de venir accoucher sur rendezvous prévu… Tant pis pour les pertes des eaux précoces, le bébé attendra ou verra le jour dans la voiture du père ou de l’ambulancier.

Ceux venus accompagnés ont toujours eu gain de cause, car bien malin celui qui trouve le document administratif clair, à l’heure où la loi du 7 août n’aurait pas été suivie du décret la rendant utilisable. Les avis sont partagés sur ce point, mais j’imagine qu’un DRH ou un directeur de clinique aura du mal à affirmer ce qui est légal ou non et encore plus à le prouver…

D’autres, repoussés, contiennent leur colère et décident finalement de mettre en cause ces petits kapos qui pensent pouvoir imposer leur propre loi au nom de décisions indignes mettant en jeu la vie des patients parfois, leur confort et la qualité des soins toujours.

Tel ce monsieur qui nous fait partager sa lettre à la direction de la polyclinique du nord de la France où il devait conduire sa vieille maman, à 70 km de chez lui.

« Objet : À transmettre à la directrice Mme N pour mise en danger d’autrui pour rupture de continuité des soins, nous avons dû annuler par force nos rendez en ORL

Madame la Directrice N,

Aujourd’hui lundi 13/09/2021 nous avions rendez-vous, pour ma maman en ORL avec le DR G à 16 h 40, pour des suivis médicaux, j’ai téléphoné ce matin au secrétariat pour avertir que nous annulions nos rendez-vous, pour les raisons suivantes imposées par votre clinique.

Nous refusons le passe sanitaire illégal et discriminant et reposant sur des PCR qui donnent des données fausses.

Je rappelle que selon son fabricant, il n’est pas fait pour détecter les virus, mais détourné de sa fonction officielle et rien ne prouve scientifiquement que le faux virus covid 19 synthétique est encore là.

Les vigiles que vous avez mis aux entrées de votre établissement pour contrôler le passe sanitaire ne sont pas habilités à contrôler nos identités, et que seule la police judiciaire est habilitée à contrôler nos papiers et le passe sanitaire.

En conséquence, ma mère est privée de soins et j’ai l’intention de vous poursuivre pour mise en danger d’autrui par manque de soins, de suivi médical et de traitements, dans un but de nous contraindre à nous faire injecter des injections géniques, poison expérimental, avec des risques non négligeables de décès (près de 25 000 en UE) ou d’accidents de gravité variable (deux millions environ en UE dont la moitié reconnue comme graves par l’agence du médicament elle-même).

J’ai contacté mon avocat pour les démarches à suivre contre vous, l’ARS, et éventuellement les vigiles complices de ce détournement de la loi.

Sans modification des conditions anormales d’accueil, nous serons dans l’obligation d’annuler les RV suivants cardiologiques et pneumologiques.

Dans l’espoir que vous ferez votre possible pour améliorer l’accueil des patients, recevez mes salutations.

Un ancien employé des hôpitaux en tant que ASH.

  1. Cette plainte sera adressée au Procureur de la République à visée pénale avec des preuves, vidéos et documents à l’appui.

Il est bien triste que les patients soient conduits à en arriver là et que tout dialogue social soit interdit avec application des lois sans interprétation intelligente.

La vie d’exclu des non-vaccinés

D’autres témoignages du même genre nous parviennent et les plus inquiets sont évidemment les personnes déjà touchées dans leur passé par un cancer guéri, en rémission ou encore en traitement.

Et ils ont raison d’être inquiets, car s’ils refusent la voie de la tyrannie et de son passe sanitaire pour consulter ou pour recevoir des visites en cas d’hospitalisation ou même pendant l’accouchement (!), ils sont gravement discriminés et tous les défenseurs de l’égalité entre les humains auraient dû déjà se lever bruyamment…

L’enfer d’angoisse des vaccinés, l’épée de Damoclès

Ou bien ils acceptent cette injection génique et toutes ses inconnues, à court terme entre effets nocifs graves (voire décès) ou désagréables, et pire les effets inconnus à long terme sur leur fertilité, leurs défenses immunitaires et le risque de modifier le génome humain, tous risques possibles non calculés.

Les essais toujours en cours ne seront achevés au minimum dans un an pour les effets à court terme. Pour l’évaluation des effets à long terme, il faudra attendre et encore attendre.

Un antécédent sordide que racontent bien « les filles du Distilbène » exemplaire

Rappelez-vous que nous en sommes à la quatrième génération d’effets délétères pour le Distilbène, pilule toute bête donnée aux femmes enceintes pour limiter nausées et vomissements. Et après les effets sur la fertilité de la deuxième génération, les malformations utérines, etc., on découvre des troubles psychiques chez les petits-enfants des parturientes nauséeuses de 1948…

Imaginez-vous tout cela et le combat des « filles » et petites-filles de ces malheureuses ?

(([1] Le DES est l’abréviation du diéthylstilbestrol, un œstrogène de synthèse commercialisé dans les années 1940 aux États-Unis et en Europe sous plusieurs noms différents : par exemple Distilbène pour le laboratoire Ucepha (plus tard racheté par UCB Pharma) ou Stilbeostrol pour la firme Borne (aujourd’hui Novartis). À l’époque, ce médicament était prescrit pour prévenir les fausses couches chez les femmes confrontées à ce risque.

Pendant des années, le DES a fait figure de « pilule miracle » jusqu’à ce qu’au début des années 1970 aux États-Unis, quelques cas de cancers du vagin chez de jeunes filles attirent l’attention. Les spécialistes américains ont alors fait le lien entre ces cancers et une exposition de ces jeunes filles in utero au DES délivré à leurs mères enceintes.

En 1971, les autorités américaines ont recommandé aux médecins d’arrêter de prescrire du DES aux femmes enceintes. Une recommandation qui ne sera appliquée qu’en 1997 en France.

L’alerte venue des États-Unis était sérieuse, mais un certain nombre de médecins français n’y ont pas cru. Ils minimisaient le problème en disant qu’en France, les prescriptions étaient différentes et sans risque.

Cf. la croix 9 AVRIL 2009 la douloureuse histoire des filles du distilbène.

))

Comme nous dit un de ces professeurs omniprésents sur les plateaux, après trois mois, on ne voit plus d’effets secondaires nouveaux d’un vaccin qui n’est qu’un médicament… Il a oublié — entre autres — les narcolepsies du vaccin H1N1 (pourtant stoppé après 53 morts) qui handicapent à vie 2 500 personnes en Europe dont 800 en France (demande d’indemnisation toujours en cours pour une majorité des victimes(([2] Plusieurs ont néanmoins reçu des indemnisations atteignant plus de 600 000 euros et le tribunal administratif de Rennes a dédommagé la famille à hauteur de 1,39 million d’euros, au regard notamment des « conséquences métaboliques et cardiovasculaires tout cela à nos frais par l’Omniam.))) apparus plus de six mois plus tard…

Vaccin anticovid et cancer : une enquête à mener

Et parmi les vaccinés, au-delà des effets secondaires déjà amplement décrits en particulier sur les sites des agences comme l’EMA Eudravigilance pour l’Europe (UE), on voit apparaître d’autres « coïncidences » chez les cancéreux et anciens cancéreux guéris de longue date.

Et les effets du vax sur les pathologies antérieures ou dormantes ?

Par exemple ce généraliste, qui m’envoie un mail pour me demander ce que dit la littérature jusque-là bien silencieuse à propos des cancers et du vax, est très inquiet.

On le comprend, car chaque patient qui pose la question dans son centre s’entend répondre qu’évidemment, il y a aucun lien… Donc encore moins d’études sérieuses sur tous leurs patients vaccinés ou non.

Il raconte ses inquiétudes sur quelques patients récents. Cette jeune femme jeune encore de 45 ans chez laquelle on découvre un cancer du sein deux mois après son vaccin Pfizer et pourtant très « sérieuse » : elle ne manquait pas une mammographie et la dernière datait de trois mois… Coïncidence possible bien sûr, ces cancers de l’intervalle entre deux mammos sont connus.

Cet homme valide, âgé de 75 ans en pleine forme sportif. Mince musclé. Pas l’obèse caricatural des comorbidités devenues célèbres avec le covid qui culpabilisent le malade et exonèrent le médecin du décès sous ventilateur.

Non, un bel homme encore profitant de la vie de retraité bien méritée, comme on dit. Quelle idée saugrenue l’a-t-il pris de se faire injecter le fameux vax en février 21 ? La pression bienveillante de ses enfants ?

Qui feraient bien de s’occuper de leur santé et qui trop jeunes n’ont pas connu les affres de la désinformation habituelle en temps de guerre (même celle d’Algérie pour cette génération, ou du Vietnam, ou d’Irak avec les armes de destruction massive et les frappes chirurgicales sans victimes collatérales, et aussi les faux charniers de Timisoara).

Peut-être certains « vieux » ont-ils pu échapper, sauf en EHPAD où la piqûre à risque est le prix à payer pour ne pas être enfermé dans sa chambre, seul, même si PCR négatif. Punition du kapo obéissant aux ordres venus d’en haut, même si on ne sait pas pourquoi…

Mais les enfants insistent trop souvent pour leurs parents, leur fratrie, etc.

Pour jouer à la roulette russe, on rigole plus tous ensemble, ou bien est-ce l’espoir de l’héritage ?

Ne soyons pas méchants, ou la peur ou la jalousie de ne pas avoir de retraite, la guerre des générations voulue et réussie par le pouvoir ?

En tous cas, le nombre de transactions viagères est en hausse notable. Tout d’abord sous l’effet d’une offre plus abondante. La population est vieillissante. En France, un peu moins de 5 millions de personnes auraient dû avoir plus de 85 ans en 2050, plus de trois fois le chiffre actuel.

Or selon l’Insee, près des trois quarts des seniors sont propriétaires de leur résidence principale. Ajoutez à cela la baisse du pouvoir d’achat des retraites, et tous les ingrédients sont réunis pour stimuler l’offre en viager. La Covid-19 n’a fait qu’accélérer la tendance.

Bon nombre de seniors ont préféré continuer à vivre chez eux plutôt que de déménager dans un EHPAD où ils auraient été emprisonnés et menacés d’une injection de Rivotril à la moindre toux… Ils ont donc eu recours au viager pour rester chez eux et assurer leur train de vie. De l’autre, on peut suspecter que certains acquéreurs ont misé sur une hausse soudaine de la mortalité chez les personnes âgées. Belle époque…

Bref ce monsieur sportif de 75 ans, dès son retour de l’injection en février 2021 se plaint de sensation de malaise avec AVC probable : le médecin dit que ça ne peut pas être le vaccin. ÉVIDEMMENT ; il reçoit Saint Doliprane et… vieillit à toute allure.

« Il faisait 60 ans, il en fait 90 ».

Malgré tout, incroyable de la part du médecin, du patient et de la famille il reçoit le 2e vaccin et en quelques jours on constate une aggravation neurologique et psychique. Finalement il aura une IRM sur la pression de ses enfants qui découvre un glioblastome IV, 5 cm… Hasard bien sûr. Phase terminale. Personne ne peut exclure que cette tumeur se trouvait là, mais ne se manifeste-t-elle pas à l’occasion d’un déséquilibre induit par l’injection ?

C’est l’histoire récurrente d’une petite tumeur silencieuse qui brutalement explose. Nous en voudra-t-on d’évoquer des modifications immunitaires décisives à l’occasion du vaccin ? Complotiste ? En tous cas d’autres confrères signalent l’aggravation brutale d’une pathologie connue antérieurement à l’occasion du vax. Sclérose en plaques, leucémie, etc.

Ce généraliste a rencontré aussi dans les semaines récentes une patiente de 84 ans qu’il connaissait, guérie d’un cancer du corps de l’utérus sans aucune extension. Elle est obligée de se faire vacciner pour pouvoir être opérée en février 2021. QUI A INVENTÉ CETTE OBLIGATION INSENSÉE ? QUEL TEXTE ?  QUELLE RESPONSABILITÉ MÉDICOLÉGALE ?

Aucune démonstration scientifique ! Il n’y eu que le Pr Raoult à devoir démontrer l’absence de toxicité de la chloroquine sur le marché depuis 70 ans.

De fait pour une pathologie habituellement curable, la voici décédée en août 2021. Coïncidence ?

Enfin notre médecin inquiet se pose des questions sur la flambée rapide d’un homme stabilisé d’un cancer abdominal et qui a évolué très vite après la vaccination de son épouse. Lui a-t-elle cédé quelques protéines Spike ?

Des questions sans réponses, mais auxquelles on aurait dû répondre AVANT la généralisation du vaccin et AVANT toute obligation vaccinale.

Comme aurait dit Raoult, il n’est pas interdit d’être intelligent et surtout il ne devrait pas être interdit de se poser des questions ! Eh bien si ! Et c’est peut-être cela que voulait nous dire le patron de l’IHU en début de crise covid. Il avait compris que le pire fléau ne serait pas ce petit virus sensible aux traitements précoces, mais bien la perversité des gouvernants, et la crédulité d’une trop grande partie de la population à l’intoxication médiatique mondiale.

Bravo aux marcheurs du samedi qui tentent de faire cesser cette guerre !





Sept signes d’alerte indiquant que quelqu’un que vous connaissez est en train de devenir « woke »

[Source : anguillesousroche.com]

Le covid n’est pas le seul virus qui balaie l’Occident. Selon des experts, le fait d’être « woke » pourrait en fait être un type de « virus » qui infecte l’esprit et altère la personnalité d’une personne.

L’historien Brett Sinclair a identifié sept traits de personnalité distincts qui suggèrent que quelqu’un est devenu ou est en train de devenir « woke ».

« Woke » est aujourd’hui un terme courant pour désigner ceux qui deviennent insupportablement furieux sur des questions de justice sociale faussement progressistes. Souvent, cette obsession prend la forme d’un activisme de protestation suffisant et agressif – qui s’infiltre dans tous les aspects de la vie d’une personne.

Rt.com rapporte : Bien qu’il existe des marqueurs physiques bien connus indiquant qu’il s’agit d’une personne « woke » (cheveux bleus ou violets, obésité, androgynie, barbes folles chez les hommes, lunettes gênantes), je suis depuis quelque temps un étudiant curieux de leurs habitudes et de leurs maniérismes psychologiques, dont j’ai également remarqué, avec les traits physiques, qu’ils ont des qualités universelles.

Jusqu’à récemment, j’avais supposé que ces traits de personnalité universels étaient la preuve d’un état existant d’abord chez la personne (c’est-à-dire une confiance excessive en soi) qui la rendait sensible aux « idées bizarres ». Mais de plus en plus d’expériences anecdotiques m’apprennent que le fait de devenir woke, ou de contracter le « virus woke », crée son propre type de psyché humaine chez l’hôte sans méfiance, qui est reconnaissable dans de nombreux cas observables. Je pense que cette psyché est le résultat du virus de l’esprit, et pas nécessairement une qualité préexistante. Ainsi, si c’est vrai, cela signifie que le wokeness lui-même remodèle l’esprit.

Ces qualités sont :

  1. La suffisance. Une attitude absolue, inébranlable et arrogante de condescendance envers toutes les opinions non wokes. Bien qu’il s’agisse d’un trait de caractère en soi, il est lié au numéro 2.
  2. Absence d’introspection. Aucune trace d’auto-questionnement ou de monologue intérieur apparent. Aucun sens de l’équité ou de la compréhension de l’opinion relative.
  3. La rapidité de la colère. Volonté non seulement d’exprimer son opinion en toute occasion, avec n’importe qui, même en infériorité numérique, mais aussi de le faire avec colère. La volonté de couper les ponts avec tout ami ou membre de la famille qui ne se conforme pas à leur croyance.
  4. Un athéisme nihiliste. Ils déblatèrent beaucoup sur la science, tout en ignorant la science qui ne correspond pas à leurs croyances. Ils ont tendance à supposer que vous êtes dogmatiquement religieux si vous n’êtes pas d’accord avec eux. Ils s’accrochent à un nihilisme fortement négatif, croyant que tout est finalement sans espoir, et que c’est de l’orgueil sardonique que de faire ou de croire en quoi que ce soit (ce qui rejoint le point 6).
  5. La malhonnêteté. Ils sont prêts à être ouvertement malhonnêtes pour faire avancer leurs idées virales. S’ils perdent un point dans un argument, ils passent à un nouveau point, sans jamais reconnaître ou acquiescer qu’un point a été perdu. Lorsque tous les points d’attaque sont utilisés, les attaques personnelles commencent. Le passé est une ardoise vierge ouverte à la révision.
  6. L’égocentrisme. J’ai mis du temps à m’en apercevoir, mais il s’agit d’une idiosyncrasie qui indique que vous avez affaire à une infection woke si la personne est devenue anormalement égocentrique et que, dans la conversation, elle ne rend pas la pareille, mais parle plutôt d’elle-même, toujours de façon positive ou en s’exaltant, souvent de façon irréaliste. Elle peut également s’apitoyer sur son sort, ce qui semble généralement exacerber un besoin de recherche d’attention.
  7. Dépression, faible estime de soi, anxiété. Je ne l’ai remarqué que récemment, c’est probablement le résultat subconscient des numéros 4 et 6 en particulier. Tout véritable questionnement personnel sur le sujet révèle généralement des inquiétudes et des angoisses profondes, et souvent des problèmes de santé mentale.

Une expérience récente avec une connaissance, une femme d’âge moyen qui, grâce à un nouveau cercle d’amis, est passée de normale et apolitique à pleinement woke, m’a permis d’étudier les changements (avec une horreur détachée) au fur et à mesure qu’ils se produisaient. Tout d’abord, elle a commencé à faire preuve d’un égocentrisme extrême, car ce nouveau groupe social de pairs est devenu important pour elle (je crois qu’il s’agissait d’un « club de lecture »). Elle est devenue apparemment incapable de parler d’autre chose que d’elle-même. J’avais déjà remarqué cette qualité chez d’autres amis de l’époque de la veille, et je me souviens que beaucoup d’entre eux n’étaient pas comme ça auparavant, mais c’était la première personne adulte à faire une transition lente sous mes yeux, alors j’ai sorti mon bloc-notes et j’ai pris des notes.

Elle est devenue quelque peu maniaque, très anxieuse, plus inquiétante et moins saine d’esprit. En même temps, elle faisait des remarques politiques désinvoltes dans les conversations polies. Il va sans dire qu’elle publiait constamment des messages sur Facebook à propos de la politique woke, d’elle-même ou de la combinaison idéale : des messages sur elle-même, woke-croisades. Auparavant, rien de tout cela ne faisait partie de sa personnalité, bien que la politique « woke » soit présente depuis de nombreuses années maintenant. Cela a commencé pour elle avec un nouveau cercle de pairs qu’elle souhaitait manifestement impressionner et cela culmine actuellement avec ses amis et sa famille qui envisagent sérieusement une intervention d’aide psychologique, non pas à cause de la signalisation constante de la vertu, mais pour les autres changements de personnalité plus autodestructeurs.

Cela me rappelle la science de la psychopathie. J’ai été très intéressé d’apprendre dans ma jeunesse, non seulement que les psychopathes ont essentiellement peu ou pas de sentiments émotionnels, et certainement pas d’empathie, mais qu’ils existent parmi nous en grand nombre. Ils ne deviennent pas tous des tueurs en série, mais il y a des gens que vous connaissez qui sont des psychopathes et que vous n’auriez jamais devinés parce qu’ils apprennent à imiter le comportement humain. Un traumatisme sévère dans la jeunesse peut sembler créer la psychopathie, donc il peut s’agir d’une condition environnementale.

Je ne dis pas que les wokes sont des psychopathes (bien qu’ils partagent tous le narcissisme), je dis que des conditions psychologiques peuvent être créées, et que le monde moderne, avec son consumérisme matérialiste effréné, son athéisme dogmatique et son système éducatif qui se déteste, est peut-être en train de fabriquer une nouvelle psyché humaine, à la fois fragile et fragile et, à sa manière perverse, impitoyable.

Observez la propagation du virus, observez, étudiez et espérez être immunisé.




L’HRC fait marche arrière et interdit l’ivermectine malgré des centaines de bons résultats

[Source : limpertinentmedia.com]

Par Amèle Debey

Dernièrement, les loufoqueries américaines ont remplacé les relais d’études sérieuses dans les médias francophones qui abordent le thème de l’ivermectine. Pourtant, il existe bel et bien une expérience clinique qui plaide en faveur de la molécule. En Suisse romande aussi, des médecins la prescrivent au sein d’une institution reconnue. Du moins, c’était le cas jusqu’à la semaine dernière. Explications.

Les réseaux sociaux influenceraient-ils les décisions médicales? Selon une source de la permanence Riviera-Chablais, qui traitait les patients Covid avec de l’ivermectine depuis janvier 2021 et jusqu’à la semaine dernière, les bons résultats du traitement vantés sur Facebook ont valu aux responsables de la Providence une convocation face au Comité Médical de l’HRC, composé de tous les médecins chef(fe)s de service, du directeur médical, et du doyen. Résultat: malgré un bilan de 350 à 400 patients guéris jusqu’ici, l’ivermectine est désormais interdite.

Si le porte-parole de l’Hôpital Riviera-Chablais confirme l’interdiction, il ne répond pas directement sur ce qui l’a motivée. Et surtout pourquoi maintenant? «Le Comité Médical de l’HRC a décidé d’édicter que seules les recommandations nationales et internationales concernant le traitement du COVID-19 devaient guider la prise en charge des cas COVID dans l’ensemble des structures de l’Hôpital Riviera-Chablais, explique Christophe Schull. Ceci exclut notamment l’emploi de protocoles à base d’ivermectine par l’ensemble des médecins de l’Institution. Cette décision a été prise suite à l’exposé de la littérature actuelle, qui ne démontre pas de bénéfices de ce traitement pour le COVID-19.»

Et d’ajouter: «Les règles internes de l’HRC donnent la compétence au Comité Médical de statuer sur la liberté thérapeutique à l’intérieur des règlements de services. C’est sur cette base que le Comité Médical de l’HRC a pris sa décision, après avoir entendu un expert reconnu qui a présenté une mise à jour de la littérature internationale.»

L’expert reconnu en question, c’est le professeur Oriol Manuel, spécialiste des maladies infectieuses et chercheur au CHUV. Ce dernier s’exprime volontiers dans les médias pour témoigner de l’inefficacité de l’ivermectine. Cependant et de son propre aveu, il ne maîtrise pas les données du cas particulier du HRC: «Je ne peux pas me prononcer concernant les patients à Rennaz parce je ne connais pas leur âge ou leur taux de comorbidités. Le taux d’hospitalisation pour des patients Covid est extrêmement faible, donc probablement que si nous leur donnions n’importe quel médicament, l’évolution clinique serait favorable de toute façon.»

Rappel des faits

En novembre dernier, comme le révélait L’Impertinent, c’est la direction de l’Hôpital Riviera-Chablais elle-même qui décide d’autoriser ses médecins à prescrire de l’ivermectine, juste après avoir interdit le traitement du Dr. Zelenco à base d’hydroxychloroquine. Une première dans un établissement public romand.

A (re)lire: L’invraisemblable désaveu des traitements précoces

Une trithérapie est mise au point dès janvier. La prise en charge en prophylactique, qui requiert une surveillance moindre qu’avec l’HCQ, fait ses preuves. L’ivermectine est non seulement sans danger, mais en plus les résultats sont au rendez-vous. En neuf mois, de 350 à 400 patients sont traités, selon la fiche d’information destinée à assurer le consentement éclairé du malade. Parmi ceux-ci, seuls quatre doivent finalement être hospitalisés et aucun ne succombera au Covid.

Dès la semaine dernière, et l’interdiction formelle des hôpitaux de continuer à assurer à ses médecins leur liberté de prescrire, c’est la consternation dans la permanence veveysanne. Les professionnels de la santé sont abasourdis et ne comprennent pas qu’on leur interdise de traiter leurs patients. Ils se préparent psychologiquement à devoir renvoyer à la maison avec du paracétamol les souffrants qui viennent leur demander de l’aide, alors même qu’en leur âme et conscience ils estiment qu’un traitement est disponible.

À suivre sur L’Impertinent: que reste-t-il des droits et des devoirs des médecins?

Pourtant, les études et les données tendant à valider l’efficacité de l’ivermectine sont légion. En Inde, notamment, certains états seraient parvenus à contrer le variant delta grâce à la molécule, largement distribuée aux citoyens. Au Mexique et au Pérou également. Mais rien ne semble probant pour l’OMS et la communauté scientifique, qui martèlent que seules les études randomisées contrôlées feraient foi.

Même son de cloche du côté du porte-parole de l’hôpital: «Nous constatons aujourd’hui que la communauté scientifique internationale et nationale ne recommande pas d’administrer ce médicament, sur la base d’un manque d’évidence scientifique. Or, le faible nombre de patients traités ne permet aucunement de tirer des conclusions scientifiquement valables. En effet, une étude solide nécessite plusieurs dizaines de milliers de patients, et notamment un groupe témoin. Ces deux conditions ne sont pas réunies ici. Dès lors, il n’est pas possible de se prononcer sur d’éventuels bons résultats, nous nous alignons donc sur les recommandations internationales et nationales.»

Cependant, comment obtenir des données sur des milliers de patients si on n’autorise pas les expériences cliniques sans danger? Personne ne semble disposé à répondre à cette question. Dans le même temps, le rémdesivir de Gilead, désavoué par l’OMS, potentiellement toxique et dont l’utilité n’a pas non plus été soumise à des études randomisées contrôlées, a été approuvé par Swissmedic qui a autorisé un élargissement de son utilisation l’année dernière.

De plus, et selon la littérature scientifique sur le sujet, seules les entreprises pharmaceutiques seraient en mesure de financer des études sur plusieurs dizaines de milliers de patients.

Une solution alternative?

Depuis juin, la Task force conseille les anticorps monoclonaux pour lutter contre le Covid dès les premiers jours de l’infection. Ce traitement, bien que validé par Swissmedic, ne bénéficie pas d’autorisation de mise sur le marché. Il est plus coûteux que l’ivermectine et n’a pas fait ses preuves non plus. Mais, selon Oriol Manuel, «les données des anticorps monoclonaux, même sans être miraculeuses, sont beaucoup plus convaincantes qu’avec l’ivermectine».

Ce qui est sûr, c’est que ce traitement représente une manne non négligeable pour Roche. Comme le rapportaient Le Matin et Le Temps en avril déjà, la Confédération a acheté 3000 doses d’anticrops monoclonaux pour un usage postérieur à l’hospitalisation, pour un montant confidentiel.

Pour rappel, l’absence de traitement alternatif fait partie des conditions de la FDA (équivalent américain de Swissmedic) pour la validation express d’un vaccin. Qui plus est, les contrats signés entre les pharmas et les Etats stipulent que ceux-ci ne pourront être rompus, même en cas de découverte d’un traitement alternatif au vaccin.

Depuis le début de cette pandémie, il semble y avoir autant d’avis que d’individus et autant d’études contradictoires que d’avis. C’est pourquoi il est important de s’en tenir aux faits, à la réalité du terrain. Une réalité que le Comité médical de l’hôpital de Rennaz semble pourtant avoir choisi d’ignorer.

Les précédentes enquêtes d’Amèle Debey:




Est-ce la fin de la médecine libre ?

[Source : Michelle d’Astier de la Vigerie (michelledastier.com)]

[Également transmis par Christine Côte]

Par Jérôme (Fondation Hippocrate)

– Vous n’avez jamais tué quelqu’un, docteur ?
– Sans ordonnance, jamais !
Cet extrait d’un sketch de Raymond Devos m’a longtemps fait sourire.

Aujourd’hui, c’est la médecine intégrative que l’on tue. Et cela se fait par décret. Le gouvernement a pris la peine d’établir un arrêt de mort officiel.

L’apparence du droit et de la démocratie est respectée. Toutefois, le résultat est le même : à partir du 15 septembre 2021, des milliers de soignants et de médecins en France se trouvent bannis du système de santé.

Il leur est imposé une obligation vaccinale contre la covid 19 sans laquelle ils ne peuvent plus exercer. S’ils sont hospitaliers du public ou du privé, ils seront suspendus le temps de l’état d’urgence et de l’obligation vaccinale. Ils ne seront pas payés. (1)

S’ils pratiquent leur discipline en libéral en tant que médecin, ostéopathe ou kiné, leur cabinet peut être fermé à tout moment s’ils ne montrent pas la preuve de leur “passe sanitaire”.

Or, comme les tests PCR vont devenir payants et qu’ils doivent en faire un tous les trois jours, c’est une obligation vaccinale déguisée.

10% d’irréductibles !

Au mois d’août dernier, 9 médecins généralistes sur 10 auraient été vaccinés contre la covid 19. Il resterait donc 10% d’irréductibles. (2)

Cela pourrait représenter 10 000 médecins sur les un peu plus de 100 000 médecins généralistes qui exercent en France. (3)

Au niveau des hôpitaux, le chiffre serait de 13% sur les 1,1 millions de soignants. (4)

Cela fait tout de même plus de 100 000 soignants !

En tout, 300 000 thérapeutes et soignants pourraient refuser d’appliquer l’obligation vaccinale. (5)

L’obligation vaccinale imposée aux médecins et aux soignants est donc une mesure qui va toucher des millions de Français. Pour l’instant, ils ne se doutent de rien. La mesure a été peu commentée dans les médias. Elle est presque passée inaperçue. Pourtant, ces conséquences à court et à long termes devraient être considérables.

Cette décision pourrait aboutir à un véritable désastre sanitaire. Explications.

Le cadre juridique

Comment, un gouvernement, peut-il, en toute légalité, licencier 10% des effectifs d’un secteur économique entier ?

Cette décision a été prise au début du mois d’août, en quelques jours. Elle a été actée par un décret du 1er ministre du 7 août 2021. (1)

Il faut comprendre que de telles décisions sont possibles sans discussion parce que nous sommes en état d’urgence sanitaire. (6)

Cet état de droit d’exception a été institué une première fois par décret le 17 octobre 2020 à minuit. Il a été prolongé :

  • par une loi du 14 novembre 2020 jusqu’au 16 février 2021.
    par une loi du 15 février 2021 jusqu’au 1er juin.
    par une loi du du 31 mai 2021 jusqu’au 30 septembre 2021.
    par une loi du 5 août 2021 jusqu’au 15 novembre 2021.
    Nul doute que le 14 novembre 2021, nos députés voteront sagement une nouvelle loi pour étendre encore et toujours l’état d’urgence sanitaire…

En tout cas, ce cadre juridique permet au gouvernement d’agir vite et sans débat. En effet, lorsque les mesures ne sont pas discutées au Parlement, elles sont moins reprises par les médias. Cela fait moins de polémiques.

Un décret du 7 août 2021 a instauré le fameux “passe sanitaire”. (1)

Depuis le 15 août, ce document ou “QR code” est exigé de tous les majeurs pour accéder aux :

  • restaurants, bars et musées ;
    hôpitaux, Ephad et maisons de retraite ;
    transports publics longue distance (train, avion) mais pas aux métros ni aux bus urbains ;
    centres commerciaux supérieurs à 20 000 m2.
    événements de plus de 50 personnes.
    Il est exigible pour tous les majeurs. Il le sera pour les adolescents de plus de 12 ans à partir du 30 septembre 2021.

Celui qui ne présente pas son “passe sanitaire” s’expose à une amende de 135 euros. Les commerçants qui ne contrôlent pas les “passes sanitaires” risquent, eux, une amende de 1000 euros. (1)

Enfin, les soignants hospitaliers ou libéraux ont l’obligation de se vacciner avant le 15 septembre. S’ils ont déjà reçu une dose de vaccin, ils ont jusqu’au 15 octobre pour faire la deuxième.

Le refus des soignants libres et ses conséquences

Comprenez bien la situation. Les soignants fonctionnaires ne seront pas payés. Mais ils n’auront pas le droit non plus d’avoir une autre activité salariée en raison de leur statut, sauf illégalement. Ils risquent donc d’être à la rue.

Les salariés du privé pourront essayer de trouver un emploi ailleurs.

Les médecins ou les libéraux, habitués à une gestion plus souple de leur activité, la mettront entre parenthèses en espérant tenir sur leurs réserves ou prendront leur retraite pour ceux qui le peuvent.

Dans ces conditions, certains se feront vacciner et continueront à travailler avec beaucoup d’amertume. Vous serez soignés par des personnes qui détesteront les autorités, la société et peut-être même leurs patients.

D’autres partiront à l’étranger ou changeront de voie.

Personne ne sait aujourd’hui combien de thérapeutes, d’infirmiers, d’ostéopathes, etc. vont cesser de travailler.

Même s’il n’y en avait “que” 100 000, c’est énorme pour un système de santé exsangue où le “turn over” et les “burn out” sont déjà très élevés. (7,8)

Le départ de nombreux médecins libéraux va accentuer encore les déserts médicaux. De nombreux patients ne pourront plus se soigner

Pourquoi refusent-ils ?

Vous me direz mais pourquoi ces médecins et ces soignants refusent-ils l’obligation vaccinale contre la covid 19 ?

Pourquoi sont-ils prêts à tout perdre pour ne pas se soumettre aux obligations du gouvernement?

Il y a trois raisons essentielles à cela :

1/ Ils ne veulent pas des effets secondaires des vaccins. La covid 19 tue certaines personnes, c’est vrai. Néanmoins, les vaccins provoquent de nombreux effets secondaires et peuvent tuer également. (9)

Plusieurs milliers de personnes pourraient avoir trouvé la mort à cause du vaccin en Europe, même si ces chiffres font débat parce qu’il n’est pas toujours simple d’établir le lien entre une vaccination et un décès. (9)

C’est moins que la covid 19 mais ce n’est pas un détail non plus.

Par exemple, beaucoup de jeunes infirmières redoutent les effets secondaires douloureux des vaccins. Elles risquent de voir leurs cycles menstruels très perturbés, elles ne savent pas si le vaccin n’impacte pas leur fertilité alors qu’elles savent que la covid 19 ne représente pas un danger pour elles. (10)

Par ailleurs, elles font extrêmement attention aux gestes barrières et sont très prudentes avec leurs patients. Pour elles, le bénéfice du vaccin est vraiment discutable.

2/ Ils savent que les vaccins ne jouent pas ou peu sur l’épidémie. Ces soignants ont en tête la situation sanitaire dans des pays comme Israël ou l’Islande. Ces pays sont ultra vaccinés mais connaissent toujours des vagues épidémiques. Les contaminations y sont à la hausse ! (11,12)

Les vaccinés y sont autant hospitalisés que les non vaccinés et le virus tue autant les uns que les autres. Il est possible que chez les personnes à risque, ayant des comorbidités, le vaccin permet d’éviter les formes graves de la covid 19. Mais pour des soignants de moins de 60 ans en bonne santé, le risque mortel est faible.

3/ Ils savent que la covid 19 fait peu de victimes. Le taux de létalité du SARS- CoV-2 est faible. (13) La moyenne d’âge des morts est au-dessus de 80 ans. (14) La très grande majorité des morts avaient des comorbidités. On dit qu’ils sont morts de la covid 19 mais on aurait pu les compter dans les victimes du cancer, du diabète de type II, de l’obésité ou simplement de la grande vieillesse.

La vaccination obligatoire n’est pas une fatalité !

Les soignants dont nous parlons sont-ils égoïstes ? Prennent-ils le risque de contaminer leurs patients ?

Ce n’est pas le cas.

Ces soignants comme la majorité des thérapeutes ont choisi ce métier par vocation, par amour de leur prochain. C’est le désir d’aider les autres qui les a mis là où ils sont.

Il faut comprendre qu’ils refusent de se soumettre à une obligation vaccinale qui crée une situation absurde du point de vue sanitaire.

En effet, les vaccins Janssen et AstraZeneca ne fonctionnent pas ou peu. (15,16) Ils n’empêchent pas la transmissibilité du virus. Or ces vaccins ont beaucoup été utilisés pour les personnels hospitaliers. Les soignants concernés ne sont pas protégés et sont des vecteurs possibles de la maladie sans en avoir nécessairement conscience.

À l’inverse, ceux qui ne sont pas vaccinés le savent. Ils font donc très attention. Ils seraient disposés à faire deux tests PCR par semaine s’il le fallait, si ces derniers restaient gratuits.

En clair, il était possible de construire une politique sanitaire prudente fondée sur la confiance et le dialogue avec les patients. Ce n’est pas le choix qui a été fait. Le gouvernement passe en force.

Qui sont ces soignants ?

Parmi les médecins et les thérapeutes qui refusent la vaccination, beaucoup pratiquent des médecines intégratives.

Ils pratiquent l’homéopathie, l’acupuncture, la nutrition, l’hypnose, l’ostéopathie, toutes ces disciplines douces qui s’appuient sur le terrain du patient autant que sur le remède pour l’aider à guérir.

Pour eux, c’est la relation entre le patient et le médecin qui compte avant tout.

Ils refusent d’être les exécutants d’un système médico-technocratique qui ne fait plus qu’appliquer des protocoles de santé validés par l’industrie pharmaceutique et semble ne plus s’occuper des patients.

La perte pour les patients sera donc énorme à la fois au niveau du nombre de médecins mais aussi de la pluralité de l’offre médicale.

Il était déjà difficile de trouver un nutritionniste ou un phytothérapeute. Cela deviendra quasi impossible. Vous n’aurez plus que des médecins prescripteurs de paracétamol – potentiellement dangereux pour la Covid 19 (17) -, d’antibiotiques et de statines.

C’est la grande victoire de la médecine chimique et systématique !

Et c’est de fait, la mort programmée des médecines intégratives, faute de praticiens…

Un désastre sanitaire

Cette victoire toutefois sera de courte durée.

L’innovation dans la médecine vient de ceux qui pensent librement. Toute la recherche actuelle sur le microbiote est venue de gastro-entérologues et nutritionnistes courageux qui ont cherché à comprendre le rôle du monde bactérien dans la santé humaine.

Cela a permis de découvrir de nouvelles pathologies : l’intestin poreux, le SIBO ou l’intestin qui fermente, etc. (18)

Cela a surtout permis de développer de nouveaux traitements et thérapies pour de très nombreuses maladies : digestives mais aussi neurologiques et psychiques. L’importance du lien entre le cerveau et l’intestin n’est plus à démontrer !

La médecine y perd donc et les patients aussi.

Ces médecines intégratives permettent d’agir au niveau préventif. Elles proposent des solutions efficaces pour traiter le stress, les troubles divers, les douleurs multiples…

D’une manière ou d’une autre, donc, compte tenu de leur efficacité, ces médecins reviendront. Mais que de souffrances endurées ! Que de temps perdu !

Enfin, ce passe sanitaire, de manière plus générale, coûte cher aux patients.

Il y a le défaut de soignants, la complexité administrative, les oublis de passe sanitaire, les fraudes, la perte de confiance dans le système médical et la science plus généralement…

Comment chiffrer tout cela ?

Jusqu’où iront les injonctions sanitaires ?

Quand s’arrêtera la chasse aux sorcières contre les médecins alternatifs ?

Combien d’injections vaccinales faudra-t-il pour calmer la machine gouvernementale ?

Voilà les questions que se posent ces soignants libres, dont certains ont tout perdu depuis le 15 septembre 2021.

Jérôme
Responsable communication
Fondation Hippocrate

Références

  1. https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15084
  2. https://www.lesechos.fr/economie-france/social/covid-la-vaccination-des-soignants-a-fait-un-bond-en-quelques-semaines-1339505
  3. https://www.vie-publique.fr/fiches/273947-quest-ce-que-letat-durgence-sanitaire
  4. https://www.ouest-france.fr/sante/hopital/13-des-soignants-non-vaccines-la-federation-hospitaliere-de-france-relativise-les-chiffres-a71b3bf2-10a2-11ec-9117-940091b907ce
  5. https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/les-infos-de-6h-obligation-vaccinale-des-soignants-c-est-abject-reagit-une-infirmiere-7900072410
  6. https://www.vie-publique.fr/fiches/273947-quest-ce-que-letat-durgence-sanitaire
  7. https://www.actusoins.com/344397/turnover-et-absenteisme-a-lhopital-une-hausse-sensible-et-constante.html
  8. https://www.caducee.net/actualite-medicale/15406/burn-out-dans-la-sante-98-des-soignants-reconnaissent-avoir-deja-ressenti-les-symptomes-de-l-epuisement-professionnel.html
  9. https://www.precisionvaccinations.com/european-agency-confirms-covid-19-vaccine-fatalities
  10. https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/08/06/covid-19-vaccins-et-perturbation-des-regles-des-signaux-et-beaucoup-d-incertitudes_6090781_4355770.html
  11. https://www.la-croix.com/Monde/Record-contaminations-Israel-pays-continue-miser-vaccin-2021-09-02-1201173431
  12. https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2021-08-17/pourquoi-les-contaminations-au-covid-19-sont-en-hausse-en-islande-lun-des-pays-les-plus-vaccines-558ccfd9-594f-4f37-9919-c62a80a7a5e8
  13. https://fr.statista.com/themes/6050/le-coronavirus-covid-19/
  14. https://www.estrepublicain.fr/sante/2021/04/18/qui-sont-les-100-000-morts-francais-du-covid-19
  15. https://fr.sott.net/article/37419-Conclusion-d-un-rapport-du-centre-francais-d-evaluation-des-medicaments-la-vaccination-avec-les-produits-Pfizer-Moderna-AstraZeneca-et-Janssen-doit-etre-interrompue
  16. https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/vaccins-contre-le-covid-19-sont-ils-tous-efficaces-contre-le-variant-delta-on-vous-repond-fc7b1bd8-d8e6-11eb-9333-fd7799748e3d
  17. https://www.20minutes.fr/sante/2900083-20201103-coronavirus-ibuprofene-reellement-dangereux-face-covid-19
  18. https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=sibo-symptomes-traitements-cette-infection



Guide pratique pour éviter la suspension sans salaire

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Est-il possible d’éviter la suspension de salaire à partir de demain pour les salariés et les fonctionnaires soumis à l’obligation d’un passe sanitaire, à partir du 15 septembre pour les salariés et les fonctionnaires soumis à l’obligation vaccinale ? La réponse est oui. Nous avons synthétisé ici les grands points à connaître (avant d’approfondir ou de prendre un avocat) pour sauver la mise au milieu de la tempête.

Oui, il est possible d’éviter la suspension de salaire à partir de demain pour tous les salariés et fonctionnaires qui doivent en principe présenter un passe sanitaire et qui n’en disposent pas, ou à partir du 15 septembre pour ceux qui sont soumis à l’obligation vaccinale. Nous vous rappelons ici comment faire, tout en soulignant que le mieux, pour vous, est d’être accompagné d’un avocat spécialisé en droit du travail (la facturation moyenne d’un avocat se situe entre 1.500 et 2.000€). 

Dans quelle catégorie êtes-vous ?

Pour bien vous repérer, il faut que vous sachiez à laquelle de ces 4 catégories vous appartenez :

  • salarié du secteur privé soumis à l’obligation d’avoir un passe sanitaire
  • fonctionnaire soumis à l’obligation d’avoir un passe sanitaire
  • salarié du secteur privé soumis à l’obligation de se vacciner
  • fonctionnaire soumis à l’obligation de se vacciner

Ces distinctions sont importantes, car il ne faut jamais oublier que les salariés du secteur privé ont un contrat qui relève du code du travail, alors que les fonctionnaires sont soumis au statut de la fonction publique. Ces deux “ordres” fonctionnent de façon relevant différente. Les salariés peuvent par exemple faire un recours devant les prudhommes, alors que les fonctionnaires doivent saisir le tribunal administratif compétent pour leur domicile. 

Dans les “fonctionnaires”, nous regroupons ici tous les agents publics, c’est-à-dire ceux qui sont titulaires d’un emploi permanent et ceux qui ont signé un contrat relevant du décret sur les contractuels de la fonction publique. 

La suspension en droit public et en droit privé

Vous êtes désormais exposé au risque d’une suspension avec interruption de salaire. Il faut bien comprendre, pour déterminer votre stratégie, ce qu’est une suspension selon votre statut public ou privé. 

Une suspension, sur le fond, n’est pas une rupture définitive de contrat ou de nomination comme fonctionnaire, mais une interruption temporaire de ses effets. Il s’agit donc d’une position bâtarde, que la loi du 5 août 2021 n’a pas pris soin “d’encadrer”. Ce flou ouvre la voie à de nombreuses innovations jurisprudentielles qui devraient profiter aux salariés, beaucoup plus qu’aux employeurs. 

Dans le secteur privé, il n’y aucune ambiguïté : la suspension est une sanction disciplinaire. Elle ne peut donc intervenir que dans le respect des “garanties disciplinaires” habituelles (entretien préalable, etc.)

Dans le secteur public, la suspension n’est pas une sanction, mais l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983 prévoit qu’elle n’entraîne pas l’interruption du traitement. En imposant le contraire sans aucune explication, la loi du 5 août 2021 a pris beaucoup de risques, notamment celui de faire basculer la suspension du fonctionnaire dans le champ de la sanction disciplinaire, comme dans le Code du Travail. 

La suspension du fonctionnaire : une chance !

S’agissant de la suspension dans la fonction publique, nous restons sur notre avis et nos conseils déjà publiés, la jurisprudence devrait être favorable aux fonctionnaires qui demanderont leur maintien de salaire à l’occasion d’un référé devant le juge administratif. La loi du 5 août 2021 prévoit en effet la pire des sanctions disciplinaires (l’interruption immédiate sans indemnité du salaire) en soutenant qu’il ne s’agit pas d’une sanction, donc qu’elle est décidée unilatéralement sans que le fonctionnaire ne puisse exposer ses arguments. 

C’est une invention baroque qui n’a pas de sens. Elle ouvre la voie à des décisions d’application massive du droit ordinaire :
la suspension avec maintien du traitement. Nous avons publié des recours-types pour l’obtenir

Les risques pour l’employeur

Globalement, et avant d’examiner les situations au cas par cas, un point important doit être rappelé, martelé et au besoin écrit à votre employeur. La loi n’a pas prévu de sanction pour en employeur qui ne vérifie pas le passe sanitaire de ses salariés, et elle a prévu des sanctions modestes pour l’employeur qui ne vérifie pas le respect de l’obligation vaccinale. Elle a en revanche prévu des sanctions lourdes en cas de demande abusive d’un employeur à ses salariés (un an de prison et 45.000€ d’amende). 

Mathématiquement, un employeur a donc tout intérêt à ne pas jouer les auxiliaires du gouvernement en faisant respecter une loi dont il ne tirera aucun profit, et qui risque de lui coûter très cher s’il se trompe… ce qui sera très souvent le cas. 

Le cas des salariés soumis à l’obligation du passe sanitaire

Si vous êtes salarié du secteur privé non soumis à l’obligation vaccinale, mais en apparence soumis au passe sanitaire, nous vous conseillons de collectionner les demandes écrites de votre employeur, et d’attendre sagement votre suspension pour l’attaquer devant les prudhommes. Comme nous l’avons indiqué, il faut invoquer la discrimination en raison de votre état de sante et la violation du secret médical.
Il faut par ailleurs vérifier que votre activité est effectivement soumise à l’obligation du passe sanitaire

Surtout, n’oubliez pas la différence entre le passe sanitaire et la vaccination obligatoire. Vous pouvez obtenir un passe sanitaire sans vaccin…

Le cas des fonctionnaires soumis à l’obligation du passe sanitaire

Si vous êtes fonctionnaire et que votre employeur vous demande de présenter un passe sanitaire, commencez par vérifier que vous êtes réellement concerné par cette obligation.
Nous avons par exemple cité le cas d’un adjoint technique de ménage qui n’est pas concerné par le sujet, mais à qui le maire demande un passe sanitaire

Si vous ne pouvez échapper à ce passe sanitaire, attendez la notification de votre suspension sans traitement
pour demander, en référé, le rétablissement de votre traitement au juge administratif

Le cas des salariés soumis à l’obligation vaccinale

Si vous appartenez aux catégories socio-professionnelles concernées par l’obligation vaccinale (essentiellement les soignants de l’hospitalisation privée et les para-médicaux), n’oubliez pas que la suspension est une sanction disciplinaire. Il vous faut agir comme pour les salariés soumis au passe sanitaire, en invoquant la discrimination en raison de votre état de santé et la violation du secret médical.
N’oubliez pas que l’employeur doit vous proposer un entretien pour évoquer votre reclassement

Le cas des fonctionnaires soumis à l’obligation vaccinale

Pour ces cas où la pression est forte, nous le savons, il faut là aussi saisir le juge administratif en référé pour demander le maintien du salaire pendant la période de suspension. 

Écrivez-nous vos difficultés

Nous recevons déjà énormément de courrier, qui nous instruit sur la réalité des pratiques dans les entreprises. Continuez à nous écrire sur les difficultés pratiques et les comportements de vos employeurs. Ces informations sont indispensables pour ne pas donner de conseil déconnecté du réel.

Notre adresse est : lecourrierdesstrateges@gmail.com

Merci à tous. 


GRATUIT : le référé-type des fonctionnaires contre la suspension imposée par l’employeur

Par Éric Verhaeghe

Il y a quelques jours, je vous ai exposé ma conviction selon laquelle la suspension du fonctionnaire sans traitement et sans garanties disciplinaires n’était ni constitutionnelle ni « conventionnelle ». Autrement dit, suspendre un fonctionnaire et son traitement sans l’avis d’une commission de discipline viole à la fois la Constitution et la Convention Européenne des Droits de l’Homme (et son droit au procès équitable prévu par l’article 6). Je vous avais promis un modèle de référé à introduire. Le voici ! Mais surtout lisez bien les conseils qui le précèdent…

Le référé que vous introduisez obéit à une mécanique simple que vous devez bien comprendre. Il ne concerne que les fonctionnaires exposés à la suspension sans traitement, et pas les salariés de droit privé. 

Rappelons qu’on entend par “fonctionnaire” tous les agents de droit public, qu’ils soient titulaires d’un concours de la fonction publique ou bénéficiaire d’un contrat avec une collectivité publique. Mais ce dispositif ne concerne pas les salariés de droit privé. 

Dans la pratique, le raisonnement est simple :

  1. en droit français, toute sanction disciplinaire infligée à un fonctionnaire suppose un passage devant un conseil de discipline (ce qu’on appelle les “garanties disciplinaires”)
  2. suspendre un fonctionnaire n’est pas une sanction lorsque la suspension se fait avec maintien du traitement
  3. la suspension devient une sanction lorsqu’elle s’accompagne d’un arrêt du traitement (c’est-à-dire de la paie)
  4. suspendre un fonctionnaire et son traitement sans garanties disciplinaires est donc inconstitutionnel (et contraire à la Convention Européenne des Droits de l’Homme). 

Comme la suspension du traitement est une mesure d’urgence, elle vous ouvre droit à un référé devant le tribunal administratif compétent pour votre lieu de travail. Dans ce référé, vous demandez le rétablissement de votre traitement pendant votre suspension. 

Bien comprendre la procédure administrative

Pour bien comprendre les opérations, il faut avoir en tête que l’intervention d’un avocat n’est pas obligatoire devant le tribunal administratif de première instance. Je vous recommande toutefois d’en choisir un qui connaisse un peu le droit administratif. 

En outre, le droit administratif n’est pas plaidé, mais écrit, ce qui signifie qu’il se passe essentiellement sur dossier. 

Pour que votre dossier soit complètement carré, il faut qu’il soit précédé :

  • d’un recours dit “hiérarchique” contre la décision prise,
  • d’un recours ordinaire devant le tribunal administratif

Ces documents doivent être cités dans votre référé.

ASTUCE : multipliez les écrits. Souvent, les gestionnaires de personnel dans le service public sont des burnes finies qui ne connaissent pas les textes. Faites-les écrire le plus possible, ils commettront rapidement des fautes qui vous serviront (je vous en donnerai quelques exemples au fil de l’eau).

Commençons par le recours hiérarchique

Cette étape consiste à écrire à celui qui a un pouvoir de nomination sur vous. Dans la plupart des cas, il s’agit du président du conseil d’administration de l’hôpital où vous travaillez (on part de ce cas-type, hein). 

Une fois que votre suspension vous est notifiée, vous lui écrivez ceci :

XXX, le 15 septembre 2021

Albert Dupond, Infirmier à l’hôpital XXXX

à

M. le Directeur de l’Hôpital de…

OBJET : recours hiérarchique contre ma suspension sans traitement

M. le Directeur, par arrêté en date du XXX, vous avez procédé à ma suspension sans traitement, en application de l’article 14 de la loi du 5 août 2021. J’ai l’honneur de solliciter de votre haute bienveillance le retrait grâcieux de cette mesure que je considère comme contraire à la Constitution et aux traités dont la France est signataire. 

S’il entre en effet dans vos prérogatives de procéder à ma suspension, l’interruption de mon traitement est une sanction disciplinaire qui ne peut être prise sans le respect des garanties disciplinaires prévues par la Constitution, telles que le Conseil Constitutionnel les a rappelées dans sa décision du 10 mai 2019. 

En outre, ce procédé viole le droit à un procès équitable prévu par l’article 6 (§1) de la Convention Européenne de Sauvegarde des Droits de l’Homme. 

Par conséquent, je vous serais par avance reconnaissant de bien vouloir respecter les règles de l’Etat de droit et, par conséquent, de rétablir mon traitement sans délai. 

Pour votre information, je saisis ce jour-même le tribunal administratif d’un référé en ce sens. 

FORMULE DE POLITESSE

Un grand rappel : surtout on ne polémique pas dans ce genre de courrier, et on s’en tient aux faits. 

Ce courrier doit être envoyé en recommandé avec accusé de réception. 

Continuons par le recours au principal

Ce qu’on appelle le recours au principal est le dossier de fond que vous montez contre l’employeur qui vous a suspendu. Il est obligatoire de déposer un premier recours sur le fond pour ouvrir droit à un référé, qui est une procédure d’urgence, mais provisoire. 

Le recours au principal est gratuit et ne suppose pas forcément l’intervention d’un avocat, même si (j’insiste) mieux vaut en avoir un qui ne soit pas une bille complète en droit administratif. Dans la pratique, le tribunal administratif ne prendra aucune décision sur le fond avant plusieurs mois. Vous aurez tout le temps d’améliorer votre dossier, qui ne dira pas grand chose d’autre que votre référé. 

Voici comment vous pouvez le libeller :

XXX, le 15 septembre 2021,

M. le Président du Tribunal Administratif de…

OBJET : recours pour excès de pouvoir contre une suspension d’un fonctionnaire avec interruption de traitement

POUR : M. Albert Dupont, infirmier hors classe à l’hôpital de…

Ici, vous présentez rapidement votre situation administrative, votre adresse personnelle, etc.

CONTRE : l’arrêté de suspension sans traitement en date du 15 septembre 2021 pris par M. le directeur de l’hôpital de… en application de l’article 14 de la loi du 5 août 2021 créant une obligation vaccinale pour certaines catégories de personnel. 

FAITS : le 15 septembre 2021, le directeur de l’hôpital de XXX a suspendu sans traitement Albert Dupont, infirmier, pour défaut de présentation d’un schéma vaccinal complet, en application des articles 12 et 14 de la loi du 5 août 2021 sur le passe sanitaire. 

M. Dupont a été recruté le 5 septembre 1986 et bénéficie d’un excellent dossier administratif. Sa manière de servir a toujours été exemplaire. Il est employé dans le service de réanimation de l’hôpital depuis le… Il a toujours manifesté son grand attachement au service public. Il est père de trois enfants, etc.

(sur tous ces points, mentionner le maximum d’annexes qui taillent un portrait flatteur de vous). 

DISCUSSION :

  • sur la légalité externe de la décision attaquée :

La décision de suspension sans traitement est prise en application de la loi du 5 août 2021. Dans la mesure où elle crée le grief d’une interruption de traitement, elle constitue indéniablement une sanction disciplinaire grave et lourde. 

Pour mémoire, l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983 rappelle que, durant la suspension : “Le fonctionnaire suspendu conserve son traitement, l’indemnité de résidence, le supplément familial de traitement et les prestations familiales obligatoires. Sa situation doit être définitivement réglée dans le délai de quatre mois.” La loi de 1983 a entendu exclure la suspension du champ de la santion disciplinaire dans la mesure où elle s’accompagne d’un maintien du salaire. 

Dès lors que la suspension entraîne une interruption du traitement, elle constitue donc forcément un grief entraînant un dommage financier évident pour le fonctionnaire suspendu. Ce dommage est caractéristique d’une sanction disciplinaire. 

Or, il est de jurisprudence constitutionnelle et conventionnelle constante qu’une sanction disciplinaire ne peut être prise sans le respect des garanties disciplinaires d’usage : communication du dossier, respect du principe du contradictoire, convocation d’un conseil de discipline en bonne et due forme. 

  • rappel du principe constitutionnel des garanties disciplinaires

L’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen stipule que : “Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.” Il est de jurisprudence constante du Conseil Constitutionnel d’interpréter cette disposition comme une cause de nullité sans qu’il soit besoin d’examiner d’autres motifs pour toute sanction disciplinaire qui serait prise sans le respect des garanties disciplinaires.

Ce principe général du droit a été rappelé dans la décision 2019-781 QPC : “En application de l’article 3 de l’ordonnance du 6 août 1958, peut être sanctionné disciplinairement l’agent des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire qui prend part à une cessation concertée du service ou à tout acte collectif d’indiscipline caractérisée, lorsque ces faits sont susceptibles de porter atteinte à l’ordre public. Toutefois, en prévoyant que cette sanction peut être prononcée « en dehors des garanties disciplinaires », le législateur a méconnu le principe du contradictoire.” 

Il est donc constant que le Conseil Constitutionnel annule toute disposition prévoyant une sanction disciplinaire sans respect du principe du contradictoire. 

  • sur les effets de sa décision du 5 août 2021 

Dans sa décision sur la loi de gestion de la crise sanitaire, le Conseil Constitutionnel a pris soin de préciser (considérant 125) : “Le Conseil constitutionnel n’a soulevé d’office aucune question de conformité à la Constitution et ne s’est donc pas prononcé sur la constitutionnalité des autres dispositions que celles examinées dans la présente décision.” Autrement dit, n’ayant pas été saisi sur la légalité de la suspension sans garantie disciplinaire, le Conseil Constitutionnel a laissé libre le champ jurisprudentiel sur cette question. 

Selon sa jurisprudence classique, il ne peut en aucun cas valider une différence de traitement entre le droit privé où la suspension du contrat de travail avec interruption de traitement est sans ambiguïté considérée comme une sanction disciplinaire, et le droit public où l’analyse inverse serait faite. 

  •  sur le respect de la Convention Européenne des Droits de l’Homme

L’article 6 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme prévoit le droit à un procès équitable. Il est de jurisprudence constante que ce droit est entendu, s’agissant des fonctionnaires, comme incluant les conflits professionnels. Dans son arrêt Vilho Eskelinen et autres c. Finlande [GC], 2007, §§ 50-62, la Cour a conclu qu’il y a présomption
que l’article 6 trouve à s’appliquer, et il appartiendra à l’État défendeur de démontrer,
premièrement, que d’après le droit interne un requérant fonctionnaire n’a pas le droit d’accéder à
un tribunal, et, deuxièmement, que l’exclusion des droits garantis à l’article 6 est fondée s’agissant
de ce fonctionnaire.

Au titre de cet arrêt, il est donc manifeste qu’un conflit du travail, dans le cadre de la fonction publique, conduisant à suspendre unilatéralement un traitement, ne peut être mené sans respect du contradictoire. 

  • sur le rétablissement du salaire

Compte tenu de l’inconstitutionnalité et de l’inconventionnalité d’une suspension sans traitement décidée sans respect du principe du contradictoire, il est évident que la mesure de suspension ne peut intervenir qu’en application de l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983, c’est-à-dire avec maintien de salaire. Sans qu’il soit besoin d’examiner d’autre motif, il vous est donc demandé de procéder à cette mesure sans délai. 

PAR CES MOTIFS et tous autres à produire, déduire ou suppléer, au besoin d’office,
l’exposant conclue qu’il plaise à Monsieur le Président du Tribunal administratif de XXXX

– Ordonner la suspension de la décision attaquée;

– Rétablir le versement du traitement de M. Albert Dupont

– Condamner le directeur de l’hôpital de… à verser à l’exposant la somme de 5.000 euros en
application de l’article L.761-1 du code de justice administrative;
le tout sous astreinte de 100 euros par jour de retard
dans un délai de 8 jours  à compter de la notification de l’ordonnance à intervenir.

SOUS RESERVE DE TOUS AUTRES ELEMENTS DE DROIT OU DE FAIT A PRODUIRE ULTERIEUREMENT PAR MEMOIRES COMPLEMENTAIRES, ET SOUS RESERVE DE TOUS AUTRES RECOURS

Vous devez déposer ce recours par lettre recommandée au tribunal administratif. Vous pouvez l’envoyer le même jour que votre référé, dont voici le texte. 

Venons-en au référé que vous envoyez

Dans ce référé, qui est une procédure urgente et provisoire, qui vous permet d’obtenir une décision rapide du tribunal administratif, vous devez mettre en copie et en annexe :

– l’arrêté de suspension dont vous faites l’objet

– votre recours hiérarchique

– votre recours au principal

– tout autre document que vous jugez utile (bien numéroter ces pièces à la fin de votre recours)

Voici comment vous devez libeller votre référé :

XXX, le 15 septembre 2021,

M. le Président du Tribunal Administratif de…

OBJET : référé contre une suspension d’un fonctionnaire avec interruption de traitement

POUR : M. Albert Dupont, infirmier hors classe à l’hôpital de…

Ici, vous présentez rapidement votre situation administrative, votre adresse personnelle, etc.

CONTRE : l’arrêté de suspension sans traitement en date du 15 septembre 2021 pris par M. le directeur de l’hôpital de… en application de l’article 14 de la loi du 5 août 2021 créant une obligation vaccinale pour certaines catégories de personnel. 

FAITS : le 15 septembre 2021, le directeur de l’hôpital de XXX a suspendu sans traitement Albert Dupont, infirmier, pour défaut de présentation d’un schéma vaccinal complet, en application des articles 12 et 14 de la loi du 5 août 2021 sur le passe sanitaire. 

M. Dupont a été recruté le 5 septembre 1986 et bénéficie d’un excellent dossier administratif. Sa manière de servir a toujours été exemplaire. Il est employé dans le service de réanimation de l’hôpital depuis le… Il a toujours manifesté son grand attachement au service public. Il est père de trois enfants, etc.

(sur tous ces points, mentionner le maximum d’annexes qui taillent un portrait flatteur de vous). 

DISCUSSION :

– sur le bien-fondé du référé :

L’alinéa ler de l’article L.521.1 du code de justice administrative prévoit que « quand une décision administrative, même de rejet, fait l’objet d’une requête en annulation ou en réformation, le juge des référés, saisi d’une demande en ce sens, peut ordonner la suspension de l’exécution de cette décision, ou de certains de ses effets, lorsque l’urgence le justifie et qu’il est fait état d’un moyen propre à créer, en l’état de l’instruction, un doute sérieux quant à la légalité de la décision ».
Il ressort de ces dispositions procédurales législatives que le prononcé du référé est subordonné à la réunion de deux conditions :
– d’une part, une condition d’urgence;
– d’autre part une condition tenant à l’existence d’un doute sérieux quant à la légalité de la décision attaquée.

En l’espèce, ces deux conditions sont à l’évidence réunies.

Concernant l’urgence, l’arrêté du directeur de l’hôpital de… prive M. Albert Dupont de son traitement. Conformément à l’Ordonnance du juge des référés (Mme Aubin), du 22 juin 2001, 234434, mentionné aux tables du recueil Lebon, le Conseil d’Etat reconnaît qu’il s’agit d’une situation d’urgence. 

S’agissant du doute sérieux concernant la légalité de la décision attaquée, cette condition est satisfaite pour les raisons suivantes. 

La décision de suspension sans traitement est prise en application de la loi du 5 août 2021. Dans la mesure où elle crée le grief d’une interruption de traitement, elle constitue indéniablement une sanction disciplinaire grave et lourde. 

Pour mémoire, l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983 rappelle que, durant la suspension : “Le fonctionnaire suspendu conserve son traitement, l’indemnité de résidence, le supplément familial de traitement et les prestations familiales obligatoires. Sa situation doit être définitivement réglée dans le délai de quatre mois.” La loi de 1983 a entendu exclure la suspension du champ de la santion disciplinaire dans la mesure où elle s’accompagne d’un maintien du salaire. 

Dès lors que la suspension entraîne une interruption du traitement, elle constitue donc forcément un grief entraînant un dommage financier évident pour le fonctionnaire suspendu. Ce dommage est caractéristique d’une sanction disciplinaire. 

Or, il est de jurisprudence constitutionnelle et conventionnelle constante qu’une sanction disciplinaire ne peut être prise sans le respect des garanties disciplinaires d’usage : communication du dossier, respect du principe du contradictoire, convocation d’un conseil de discipline en bonne et due forme. 

  • rappel du principe constitutionnel des garanties disciplinaires

L’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen stipule que : “Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.” Il est de jurisprudence constante du Conseil Constitutionnel d’interpréter cette disposition comme une cause de nullité sans qu’il soit besoin d’examiner d’autres motifs pour toute sanction disciplinaire qui serait prise sans le respect des garanties disciplinaires.

Ce principe général du droit a été rappelé dans la décision 2019-781 QPC : “En application de l’article 3 de l’ordonnance du 6 août 1958, peut être sanctionné disciplinairement l’agent des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire qui prend part à une cessation concertée du service ou à tout acte collectif d’indiscipline caractérisée, lorsque ces faits sont susceptibles de porter atteinte à l’ordre public. Toutefois, en prévoyant que cette sanction peut être prononcée « en dehors des garanties disciplinaires », le législateur a méconnu le principe du contradictoire.” 

Il est donc constant que le Conseil Constitutionnel annule toute disposition prévoyant une sanction disciplinaire sans respect du principe du contradictoire. 

  • sur les effets de sa décision du 5 août 2021 

Dans sa décision sur la loi de gestion de la crise sanitaire, le Conseil Constitutionnel a pris soin de préciser (considérant 125) : “Le Conseil constitutionnel n’a soulevé d’office aucune question de conformité à la Constitution et ne s’est donc pas prononcé sur la constitutionnalité des autres dispositions que celles examinées dans la présente décision.” Autrement dit, n’ayant pas été saisi sur la légalité de la suspension sans garantie disciplinaire, le Conseil Constitutionnel a laissé libre le champ jurisprudentiel sur cette question. 

Selon sa jurisprudence classique, il ne peut en aucun cas valider une différence de traitement entre le droit privé où la suspension du contrat de travail avec interruption de traitement est sans ambiguïté considérée comme une sanction disciplinaire, et le droit public où l’analyse inverse serait faite. 

  •  sur le respect de la Convention Européenne des Droits de l’Homme

L’article 6 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme prévoit le droit à un procès équitable. Il est de jurisprudence constante que ce droit est entendu, s’agissant des fonctionnaires, comme incluant les conflits professionnels. Dans son arrêt Vilho Eskelinen et autres c. Finlande [GC], 2007, §§ 50-62, la Cour a conclu qu’il y a présomption
que l’article 6 trouve à s’appliquer, et il appartiendra à l’État défendeur de démontrer,
premièrement, que d’après le droit interne un requérant fonctionnaire n’a pas le droit d’accéder à
un tribunal, et, deuxièmement, que l’exclusion des droits garantis à l’article 6 est fondée s’agissant
de ce fonctionnaire.

Au titre de cet arrêt, il est donc manifeste qu’un conflit du travail, dans le cadre de la fonction publique, conduisant à suspendre unilatéralement un traitement, ne peut être mené sans respect du contradictoire. 

  • sur le rétablissement du salaire

Compte tenu de l’inconstitutionnalité et de l’inconventionnalité d’une suspension sans traitement décidée sans respect du principe du contradictoire, il est évident que la mesure de suspension ne peut intervenir qu’en application de l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983, c’est-à-dire avec maintien de salaire. Sans qu’il soit besoin d’examiner d’autre motif, il vous est donc demandé de procéder à cette mesure sans délai. 

PAR CES MOTIFS et tous autres à produire, déduire ou suppléer, au besoin d’office,
l’exposant conclue qu’il plaise à Monsieur le Président du Tribunal administratif de XXXX

Vu l’article L.521.1 du code de justice administrative :

– Ordonner la suspension de la décision attaquée;

– Rétablir le versement du traitement de M. Albert Dupont

– Condamner le directeur de l’hôpital de… à verser à l’exposant la somme de 5.000 euros en
application de l’article L.761-1 du code de justice administrative;
le tout sous astreinte de 100 euros par jour de retard
dans un délai de 8 jours  à compter de la notification de l’ordonnance à intervenir.

SOUS RESERVE DE TOUS AUTRES ELEMENTS DE DROIT OU DE FAIT A PRODUIRE ULTERIEUREMENT PAR MEMOIRES COMPLEMENTAIRES, ET SOUS RESERVE DE TOUS AUTRES RECOURS

Bien entendu, il s’agit ici d’une trame “développée” mais que vous pouvez enrichir (ou martyriser, ma contribution est gratuite, solidaire, et sans amour-propre… faites-en juste profiter les autres), de préférence avec un bon avocat si vous en connaissez. 

Tenez-moi au courant !

Dans tous les cas, souvenez-vous qu’un acte administratif ne peut faire l’objet d’un recours que dans les deux mois suivant son édiction. Ne traînez surtout pas !


Première victoire des anti-passe sanitaire au tribunal administratif contre un maire abusif

Par Éric Verhaeghe

Depuis plusieurs semaines, nous vous incitons à introduire des référés devant le tribunal administratif de votre domicile pour faire annuler soit certaines dispositions de la loi du 5 août 2021, soit des applications abusives qui en sont faites notamment par certains employeurs. La décision que nous publions ci-dessous, obtenue par la CGT des fonctionnaires territoriaux du Gard, illustre le bien-fondé de cette démarche. Le juge de Nîmes vient en effet d’annuler le passe sanitaire dans les services municipaux de Saint-Laurent-d’Aigouze, demandé illégalement par le maire.

Le tribunal administratif peut parfois réserver de très belles surprises. La preuve en est fournie par cette ordonnance en référé rendue par le tribunal administratif de Nîmes annulant l’obligation du passe sanitaire imposée par circulaire à tous les fonctionnaires municipaux de Saint-Laurent-Aigouze, dans le Gard. Le juge du référé n’a pas hésité à suspendre cette demande abusive d’un maire (parmi tant d’autres, nous avons reçu de nombreux témoignages à ce sujet) de voir tout le monde présenter un passe sanitaire alors même que la loi ne le prévoit pas. 

Les arguments du tribunal administratif

Pour suspendre le passe sanitaire dans les services municipaux de cette ville, le juge administratif a considéré, de façon très prévisible, qu’un maire n’était pas habilité à ajouter des critères restrictifs à la loi. L’extension du passe sanitaire décidée par le maire constitue donc une “atteinte grave et manifestement illégale au droit des intéressés, au respect de leur vie privée et à leur droit au travail”. 

Ces motivations sont importantes, car elles pourront être retenues dans d’autres jurisprudences. Nous rappelons ici que le tribunal administratif est compétent pour annuler des décisions administratives (des circulaires, mais aussi des arrêtés de suspension…) qui ne seraient pas conformes à la loi ou à la constitution (ou aux traités). 

Une campagne de référés contre la suspension

Nous avons beaucoup souligné, au mois d’août, l’importance de saisir les tribunaux de première instance (tribunal administratif, prudhommes, notamment) contre les applications abusives du passe sanitaire. Nous avons aussi proposé un guide complet de référé administratif contre la suspension dans le cadre de l’obligation vaccinale

Démonstration est désormais faite de l’utilité de ces propositions… N’hésitez pas à vous en emparer. 




Retour sur la manipulation via des simulations au cours de la plandémie Covid. MàJ

[Source : docteur.nicoledelepine.fr]

Par Gérard Delépine

[Mise à jour : ajout des diagrammes.]

VOLET 1

Les erreurs du rapport 9 de Mars 2020 de Neil Ferguson, justification fallacieuse des confinements

Depuis plus de 20 mois, la politique sanitaire française est décidée dans le plus grand secret(([1] Aucun compte rendu détaillé des discussions tenues lors des réunions du conseil scientifique n’a été publié mais seulement des résumés d’avis ; pour le conseil de défense sanitaire c’est pire : manque de transparence  dans sa composition, contournement du Parlement, délibérations classifiées secret-défense obstruant le travail des enquêteurs de la Cour de justice de la République sur la gestion de la pandémie.)) par le « conseil de défense » appuyé par un « conseil scientifique. Ce dernier est dominé par Simon Cauchemez, mathématicien modélisateur au sein de l’Institut Pasteur et élève de Ferguson de l’Imperial College.

La politique de santé s’appuie presque uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement frauduleuses, car basées volontairement sur des hypothèses du pire, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif et nous faire accepter la perte de nos libertés et la pseudo vaccination génique inefficace.

La folle prophétie de Neil Ferguson qui a justifié le confinement de Mars 2020 était fausse

Détaillée dans le rapport 9 de l’impérial College,(([2] COVID-19 Response Team Neil M Ferguson Report 9: Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID-19 mortality and healthcare demand 16 March 2020 Imperial College https://doi.org/10.25561/77482 Page 1 of 20)) cette simulation catastrophe prétendait que sans confinement les hôpitaux seraient partout débordés et qu’on compterait 500000 morts en France, comme en Grande Bretagne, 600000 en Allemagne, 70000 en Suède et 2 millions aux USA. Elle affirmait aussi que les mesures médicales traditionnelles (fermeture des frontières et isolement des seuls malades le temps qu’ils ne soient plus contagieux) ne serviraient à rien, qu’il fallait confiner à l’aveugle la population jusqu’à fin décembre 2021 pour imposer les futurs vaccins et/ou nouveaux traitements.

La plupart des gouvernements occidentaux ont pris ou voulu prendre cette prophétie pour une vérité et imposé à leurs populations des mesures liberticides contre- productives, telles que le confinement aveugle sans même en avoir vérifié la pertinence de la méthode de calcul, ni publié ce rapport préalablement à son application, empêchant ainsi toute discussion scientifique et tout débat démocratique.

La confrontation aux faits constatés révèle la supercherie de cette simulation

Le rapport 9 avait prédit qu’en l’absence de confinement la Suède verrait ses hôpitaux submergés et compterait 70000 morts en quelques mois. La Suède n’a pas confiné, ses hôpitaux ont pris en charge tous les malades qui en avaient besoin et après 19 mois d’épidémie (au 10/9/2021), comptait, d’après l’OMS, 14602 morts. La prophétie de Ferguson surestimait par plus de 500% le risque réel !

Même chose pour l’Allemagne.

La prophétie de N Ferguson prétendait qu’en l’absence de confinement de la population, « les mesures médicales classiques de quarantaine des malades seraient inefficaces, que les hôpitaux seraient débordés et qu’on compterait plus de 600000 morts ». L’Allemagne n’a jamais été confinée, au sens que ce mot a en France a rappelé Thomas Wieder, correspondant du  Monde dans ce pays. Au 10/9/2021 après 19 mois d’épidémie l’Allemagne comptait 92 553 morts attribuées au Covid. Là encore la prophétie de Ferguson a surestimé le risque réel par plus de 500% !

Une de ses élèves, Jasmine M GARDNER,(([3] Jasmine M GARDNER Intervention strategies against COVID-19 and their estimated impact on
Swedish healthcare capacity 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.11.20062133v1.full.pdf)) a même prédit que sans confinement total et strict, la Suède compterait 100000 morts au 1/7/2020. En réalité au 1/7/2020, selon les données de l’OMS, la Suède sans confinement ne comptait que 5496 décès attribués au Covid (19 fois moins).

À ce niveau d’erreur on ne peut plus croire à une simple bévue, mais vraiment qualifier ce texte de « propagande Covid terroriste » d’autant que sa large diffusion dans les médias suédoises a largement participé à une tentative de pression sur l’agence sanitaire pour l’obliger à confiner.

Ces simulations ne traduisaient donc ni la réalité ni la science, mais constituaient seulement de mauvais scénarios de film catastrophe destinés à nous terroriser. En témoignent les hypothèses retenues pour son modèle : des index de mortalité par infection, multipliant par 2 à 3 les chiffres réels dans les différents groupes d’âge (pour les 10-19 : 0,006% au lieu de 0,002% et pour les 20-29 : 0,03% au lieu de 0,01%) et une forte surestimation du taux de reproduction R. En surestimant ces paramètres clefs de la simulation, Ferguson et ses élèves ont obtenu les prévisions apocalyptiques désirés par Bill Gates qui les finance, et les gouvernements qui obéissent.

La surestimation des risques est une constante des prédictions de Ferguson et une technique bien rodée des imposteurs

Lors d’un de mon premier stage d’interne en neurochirurgie, mon maître m’expliqua comment se créer une aura de sauveur. « Devant cette petite tumeur du cerveau facilement opérable, ne dis surtout pas aux parents qu’elle est facile à opérer, car en cas d’accident opératoire imprévu, ils pourraient porter plainte. Au contraire explique-leur qu’il s’agit d’une mauvaise tumeur, mal placée et que seule une chirurgie très difficile peut sauver le malade. Si un accident survient, ils ne se plaindront pas. Et si tout se passe bien, ils te considéreront comme le sauveur capable de chirurgie extraordinaire ».

Apparemment cette technique est utilisée par l’équipe de l’Imperial College. Ils prophétisent un futur apocalyptique et proposent « la solution ». Si leurs prédictions ont suffisamment surestimé le danger, ils pourront, après la crise, prétendre, que c’est grâce à l’application des mesures qu’ils ont proposées que la situation a évolué plus favorablement que ce qu’ils avaient prévu.

Les religions reposent sur la foi et le caractère immuable des crédos que personne ne peut discuter sans être qualifier d’hérétique.

La démarche scientifique, basée sur le doute fertile, consiste au contraire à confronter en permanence les faits observés aux hypothèses dominantes. Lorsque les faits avérés ne sont pas compatibles avec les hypothèses, celles-ci doivent être abandonnées. Mais l’équipe de l’Imperial College, dirigée par N. Ferguson ne tire pas de leçons de ses erreurs et se comporte en gardienne d’une nouvelle religion dont les dogmes sont indiscutables, plutôt qu’en scientifique désireuse de reconnaître et d’élucider les paradoxes.

Les erreurs passées de Ferguson très nombreuses ont été dommageables

En 1997, lors de la maladie de la vache folle, N. Ferguson avait prédit jusqu’à 150 000 morts en deux décennies. Vingt ans plus tard, en janvier 2017, on ne comptait que 223 victimes humaines dans le monde (dont 177 au Royaume-Uni et 27 en France).

En 2001, ses prédictions sur la fièvre aphteuse ont entraîné l’abattage de 6 millions de bovins, décision aujourd’hui considérée comme aberrante.

En 2005, N. Ferguson prophétisait qu’une pandémie de grippe aviaire pourrait tuer de 5 à 150 millions de personnes dont 65 000 Britanniques. Il y en eu au total 45.

En 2009, lors de la grippe H1N1, Ferguson avait prédit 8000 morts au Canada : il y en eut 428. En France, il avait prédit 20000 morts, il y en eut 323 (soit environ trente fois moins qu’une grippe habituelle).  Les mesures sanitaires prises en France sur la foi de cette prédiction fausse nous ont couté deux milliards d’euros et le vaccin Pandemix hâtivement mis sur le marché a été responsable de nombreux accidents neurologiques graves dont 450 narcolepsies sur l’ensemble de l’Europe, dont plus de 60 cas en France et d’une perte de confiance de la population dans les vaccins et en la parole publique.

Ces surestimations considérables des risques des maladies constituent une donc une caractéristique constante des prédictions de l’Imperial College. Mais Ferguson comme beaucoup de prophètes sait, que pour imposer ses mesures, il faut faire peur et donc prédire des cataclysmes. Si l’évolution est moins catastrophique qu’annoncée, il pourra alors s’en attribuer le mérite.

De nouvelles simulations bidons pour glorifier le confinement

De nombreuses études(([4] Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 »)) rétrospectives d’auteurs indépendants des modélisateurs et des responsables des confinements ont évalué l’effet des mesures de confinements sur les évolutions constatées de l’épidémie. Aucune n’a démontré qu’elles auraient pu avoir un impact positif sur l’épidémie, qu’il s’agisse de l’étude danoise sur le Nord Jutland(([5] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov b Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland medRxiv preprint doi : https://doi.org/10.1101/2020.12.28.20248936)) de l’étude néo- zélandaise,(([6] John Gibson, 2020. « Government Mandated Lockdowns Do Not Reduce Covid-19 Deaths : Implications for Evaluating the Stringent New Zealand Response », Working Papers in Economics 20/06, University of Waikato.)) de l’étude anglaise,(([7] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown ? September 21, 2020
https://arxiv.org/abs/2005.02090)) des analyses indiennes(([8] Rabail Chaudhry A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes EClinicalMedicine 25 (2020) 100464))(([9] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins JEL Classification Numbers : E310, C830, D840, J260)), des études allemandes,(([10] Thomas Wieland Une approche phénoménologique pour évaluer l’efficacité des interventions non pharmaceutiques liées au COVID-19 en Allemagne 2020 novembre; 131: 104924.
doi: 10.1016 / j.ssci.2020.104924. En ligne du 21 juil.2020.))(([11] T Wieland  Flatten the Curve! Modeling SARS-CoV-2/COVID-19Growth in Germany at the County Level Volume 7, Number 2, 2020, 43–83 journal homepage: region.ersa.org
DOI: 10.18335/region.v7i2.324l)) croate,(([12] Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 » 
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02861011)) des études des pays d’Europe occidentale[(([13] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19  https://doi.org/10.1101/2020.04.24.20078717;)) et de toutes les autres études internationales basées sur les faits avérés(([14] Philip Thomas Written evidence submitted by Professor of Risk Management, South-West Nuclear Hub, University of Bristol EIC0563))(([15] Joseph Stroberg
Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains 2020-11-28
https://nouveau-monde.ca/en/lockdowns-destroy-what-makes-us-human/
[Les pages anglaises ont été supprimées du site il y plusieurs mois. Voici un lien fonctionnel pour la version française :
Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains | (libreinfo.world)])) dont celle particulièrement exhaustive de John PA Ioannidis.(([16] Eran Bendavid, Christophe Oh, Jay Bhattacharya, John PA Ioannidis Évaluation des effets du maintien à domicile obligatoire et de la fermeture des entreprises sur la propagation de COVID-19.   Eur J Clin Invest 2021 avril ; 51(4) : e13484. doi: 10.1111/eci.13484.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/))

Les seuls articles prétendant qu’il existerait un avantage au confinement sont ceux d’auteurs proches de Ferguson ou des responsables du confinement aveugle qui n’analysent pas les faits constatés, et espèrent ainsi s’exonérer de leurs responsabilités. Ils comparent leurs prévisions colossalement exagérées aux mortalités réellement observées à une date donnée. Ainsi, plus ils se trompent par excès dans leurs estimations initiales et plus ils se gargarisent ultérieurement du grand nombre de « morts évitées ».

Le mécanisme frauduleux de leurs études bidon a été  dévoilé dans un article de Nature,(([17] S.Flaxman et al. Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe. Nature https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7Nature | www.nature.comAccelerated Article Preview)) dans lequel les auteurs de l’Imperial College prétendaient ainsi avoir sauvé 3,1 millions d’européens et en particulier 26000 suédois, grâce au confinement.

Ils ne savaient apparemment pas que les Suédois n’ont jamais confiné et que leur chiffre de 2800 morts recensés au 5 mai 2020 prouvait seulement que les prévisions de l’Imperial College surestimaient par dix le risque réel.

De même pour l’Allemagne ; le rapport 9 de l’Impérial College affirmait que si l’Allemagne ne confinait pas totalement, elle pleurerait 570000 morts au 5 mai 2020.

L’Allemagne, qui n’a pas confiné à l’aveugle mais simplement pratiqué la technique classique d’endiguement, ne comptait, au 5 mai 2020, que 6800 décès attribués au Covid19. Mais l’équipe de Ferguson prétend que 560000 allemands auraient été sauvés grâce au confinement qui n’a pas été pratiqué !

Dans le scandale du Lancet Gate, les auteurs avaient inventé des données pour prétendre que la chloroquine était dangereuse. Dans cette publication fallacieuse, ce « Nature Gate », il n’y a pas eu fabrication de données mais le refus de regarder la réalité des mesures sanitaires réellement utilisées pour se glorifier des erreurs de la prophétie initiale ; il est très étonnant qu’aucun membre du comité de lecture de cette revue Nature, de bonne réputation, ne se soit rendu compte des erreurs de raisonnement et des mensonges sur les politiques suédoises, néerlandaises et allemandes aboutissant à une aussi grosse supercherie.

La même technique de glorification frauduleuse du confinement par des simulations a été utilisée en France par 3 élèves de l’école supérieure de santé publique(([18] site internet de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique, sur une page depuis supprimée (https://www.ehesp.fr/2020/04/23/une-etude-inedite-de-chercheurs-de-lehesp-montre-que-le-confinement-aurait-sauve-au-moins-60-000-vies/).)) prétendant que le confinement aurait sauvé 60000 français. Leurs conclusions, non validées par des pairs, ont été immédiatement présentées aux députés par le premier ministre comme justification du confinement.

Les erreurs de conception, le choix d’hypothèses péjoratives et les conclusions fausses de cette étude vraisemblablement commandée par le pouvoir ont été depuis largement démontrées dans des revues scientifiques, mais les médias mainstream en ont très peu parlé alors que la simulation biaisée de propagande avait été très largement diffusée.

Aucune de ces publications glorifiant les confinements n’a chiffré les dégâts considérables que les confinements ont causés sur le plan sanitaire (victimes collatérales des retards et absences de traitements, problèmes psychiatriques), scolaire et universitaire, économique (perte de PIB, aggravation des dettes publiques et du chômage), sur l’aggravation de la pauvreté dans les pays riches et de la faim dans les pays pauvres.(([19] Confinement et faim dans le monde Du Trends-Tendances du 15/10/2020 « Le confinement a sans doute causé bien davantage de victimes que la pandémie elle-même. »))

Certains auteurs estiment que les pertes d’années de vie causées par ces mesures tyranniques sont dix fois plus importantes que celles causées par le Covid19 seul.(([20] Ari R Joffe COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778.
doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.))

Toutes ces complications du confinement, étaient parfaitement prévisibles d’emblée, par tout médecin habitué à évaluer la balance Avantages/Risques des traitements qu’il propose. Le traitement des épidémies, comme les autres maladies, ne doivent pas être décidés par des astrologues mathématiciens ou des épidémiologistes qui ne quittent pas leurs bureaux(([21] Aurélie Haroche, Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie Journal International de Médecine, 25 avril 2020)) mais par des médecins qui traitent des malades !

Les simulations mensongères constituent le socle de la désinformation gouvernementale et la seule justification des mesures autoritaires nocives qu’on nous impose.

Il ne faut pas se laisser abuser par l’aspect pseudo scientifique de ces simulations de circonstances que la propagande terrorisante du gouvernement nous impose. Elles ne sont pas plus fiables et beaucoup plus dangereuses que celles des astrologues traditionnels. Il est grand temps d’abandonner cette politique sanitaire délétère basée sur la peur et de la réorienter selon les règles de la médecine classique, d’après les faits avérés du monde réel.





Israël : La catastrophe sanitaire récurrente de l’injection Pfizer

Par Gérard Delépine

L’analyse de l’évolution de l’épidémie en Israël, champion mondial de l’injection Pfizer permet d’évaluer son efficacité en population réelle qui est à l’opposé de ce qu’annoncent les communiqués de leurs fabricants, les gouvernants et les médias complices.

La réussite de la campagne d’injection Pfizer

En termes de vitesse de vaccinations, le succès de la campagne d’injection est remarquable. Au 11 septembre 2021, 14 392 024 doses de vaccin de doses ont été administrées(([1] D’après OMS covid Dashbord du16/9)) et plus de 70 % de la population auraient reçu au moins une dose de vaccin.

Mais on ne juge pas un traitement préventif au nombre de personnes traitées, mais uniquement à ses conséquences sur l’évolution du nombre de contaminations journalières, de la mortalité quotidienne et des complications post médicamenteuses observées.

Évolution du nombre des contaminations
Accroissement post « vaccination » immédiat des cas(([2] Ibid D’après OMS covid Dashbord du16/9))

Les deux mois et demi qui ont suivi les premières injections Pfizer ont été marqués par une augmentation considérable des contaminations journalières (463 000), leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. Elles ont abouti à plus que doubler le nombre (370 000) total de cas observés pendant les 9 mois précédant les injections.

Ces 2 mois post injections Pfizer ont établi les records mensuels mondiaux de contaminations depuis le début de l’épidémie.

Cette évolution paradoxale montre que le pseudo-vaccin Pfizer est incapable d’empêcher la transmission de la maladie.

L’augmentation post vaccinale précoce des contaminations ne s’est calmée qu’avec la pause de l’épidémie dans presque tous les pays, vaccinés ou pas, confinés ou pas.

Certains avancent que c’est seulement le développement naturel de l’épidémie qui avait commencé avant la campagne d’injection Covid qui expliquerait la gravité de cette hausse.

Mais la comparaison des évolutions des nouveaux cas journaliers entre Israël très vacciné et ses voisins alors peu vaccinés (Liban) ou très peu vaccinés (Jordanie, Palestine) est en faveur de la responsabilité de l’injection Pfizer

D’autant plus que cette forte augmentation post injection des cas durant plusieurs semaines ou mois est observée dans plus de 90 % des pays qui ont beaucoup vacciné.

Si elle avait permis d’assurer l’immunité définitive de la population contre le Covid19, le coût humain aurait pu éventuellement paraître acceptable, mais ce n’est malheureusement pas le cas, la hausse immédiate des contaminations n’a pas apporté de protection aux Israéliens.

La vaccination Covid Pfizer n’évite pas la reprise de l’épidémie

6 mois plus tard, depuis fin juin 2021, l’injection Pfizer se révèle incapable d’éviter une reprise exponentielle de l’épidémie et actuellement 80 % des nouvelles personnes contaminées ont reçu deux doses de Pfizer.

Les chiffres publiés par le ministère de la Santé israélien en août reconnaissent que le vaccin contre le coronavirus n’est efficace qu’à 39 % pour prévenir la transmission du coronavirus,(([3] I24 Israël/Covid : le vaccin efficace qu’à 39 % pour arrêter la transmission)) ce qui est cohérent avec les faits observés, mais très inférieur aux communiqués de victoire de Pfizer (>90 %) diffusés si complaisamment par les médias et par nos autorités.

Il est incroyable de constater que certains provax se félicitent que les vaccinés double dose puissent être infectés et y voient « la preuve que les vaccins fonctionnent ».(([4] La tribune juive « Les vaccinés infectés en Israël sont la preuve que les vaccins fonctionnent »
https://www.tribunejuive.info/2021/08/22/les-vaccines-infectes-en-israel-sont-la-preuve-que-les-vaccins-fonctionnent/)) Absurdité digne des pires antivax pourtant reprise en chœur par l’express,(([5] https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/oui-des-personnes-vaccinees-meurent-du-covid-19-et-c-est-mathematique_2154072.html)) 20 minutes Santé Fr,(([6] https://www.20minutes.fr/sante/3118523-20210907-vaccination-pourquoi-cas-personnes-vaccinees-positives-coronavirus-si-surprenants)) Le Parisien,(([7] Covid-19 : non, la part croissante de vaccinés parmi les cas infectés ne remet pas en cause l’efficacité du vaccin Le Parisien
https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-non-la-part-croissante-de-vaccines-parmi-les-cas-infectes-ne-remet-pas-en-cause-lefficacite-du-vaccin-29-06-2021-WV3GF2TSJJHDDLKHOL5JPGSOHY.php)) Emergency Live,(([8] Cristiano Antonino L’apparent Paradoxe Des Vaccinés Positifs Au Covid-19 : Une Histoire De Tromperie Statistique
https://www.emergency-live.com/fr/la-sant%C3%A9-et-la-s%C3%A9curit%C3%A9/le-paradoxe-apparent-des-vaccin%C3%A9s-positifs-au-covid-19-une-histoire-de-tromperie-statistique/)) l’agence Santé Presse(([9] https://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/detecteur-rumeurs/2021/06/30/non-vaccines-testes-positifs-covid-ne-prouvent-inefficacite))…

Savent-ils qu’un vaccin est conçu pour prévenir la maladie, et que tout vacciné qui tombe malade constitue un échec qui, s’il n’est pas rarissime, interroge sur l’intérêt même de la vaccination ?

Pour tenter d’enrayer la reprise de l’épidémie, les autorités israéliennes imposent actuellement de nouvelles restrictions sanitaires : quarantaine pour les personnes revenant de l’étranger vaccinés ou non, port du masque obligatoire, passe sanitaire à partir de 3 ans, nouvelle injection pour les personnes à risques. Et ils envisagent un nouveau confinement…

En Israël, les injections Pfizer ne constituent manifestement pas la solution du Covid, mais plutôt un problème supplémentaire. Que vaut un traitement préventif qui dans un premier temps entraîne une flambée de la maladie et qui plus tard se révèle incapable d’éviter une forte récidive de l’épidémie ?

Dans l’histoire des vaccinations, aucune ne s’est montrée aussi inefficace sur la propagation de la maladie cible. Le vaccin contre la fièvre jaune protège totalement à vie et sans rappel contre la maladie, comme le vaccin contre la poliomyélite, ou comme celui contre la variole qui a permis l’éradication de la maladie. Il n’y a guère que le vaccin contre la grippe dont l’efficacité est variable selon les années et aussi faible (de l’ordre de 20 %).

Mortalité liée au Covid19 : l’hécatombe post vaccinale précoce

En Israël, malgré un confinement strict, la première campagne d’injections a été suivie d’une véritable hécatombe. Le mois de janvier 2021 a établi le record mensuel de la mortalité, regroupant à lui seul près de 30 % de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays. Entre mi-décembre et mi-février, on dénombre 2337 des 5351 morts alors attribuées au COVID-19 (43,7 %.).

Parmi celles-ci 1271 sont survenues chez des personnes dont le statut vaccinal était connu et le ministère de la Santé a précisé le 10 février 2021 que 660 d’entre elles (51,9 %) faisaient partie des 1,3 million de vaccinés de l’époque qui ne représentaient que 12,5 % de la population totale.

Un excellent article paru sur Agoravox(([10] Les leçons à tirer d’Israël par Décoder l’éco mardi 14 septembre 2021 Agoravox
https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/les-lecons-a-tirer-d-israel-235688)) analyse finement cette hausse de la mortalité survenue durant la première campagne de vaccination :

« Toutes les tranches d’âge sans exception ont présenté une hausse de mortalité les mois d’injections. Nous observons que les plus âgés ont reçu massivement des injections en janvier et présentent en pic de mortalité en janvier. Les plus jeunes ont reçu des injections plus tard, à partir du mois de février et présentent un pic de mortalité en février. Ce lien est un fort indice de causalité supplémentaire entre les injections et la hausse de la mortalité. »

La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé durant cette période. Haim Yativ, ingénieur, et le Dr docteur Hervé Seligmann, de l’unité de recherche sur les maladies infectieuses et tropicales émergentes de la faculté de médecine de l’université d’Aix-Marseille, analysant ces chiffres officiels et concluent(([11] he uncovering of the vaccination data in Israel reveals a frightening picture
http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?p=276314)):

« les vaccins Pfizer, pour les personnes âgées, ont tué au cours de la période de vaccination de 5 semaines environ 40 fois plus de personnes que la maladie elle-même en aurait tué, et environ 260 fois plus de personnes que la maladie parmi les plus jeunes (les moins de 65 ans). »

Selon les données du Bureau Central des Statistiques israélien, en janvier-février 2021, au plus fort de la campagne israélienne de vaccination de masse, on a constaté une augmentation de 22 % de la mortalité globale (toutes causes confondues) en Israël par rapport à l’année précédente.

Janvier-février 2021 ont été les mois les plus meurtriers de la dernière décennie, avec les taux de mortalité globale les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années. Dans le groupe d’âge des 20-29 ans, l’augmentation du taux de mortalité global est encore plus spectaculaire, au cours de la même période de vaccination, entre janvier et mars 2021, on observe une augmentation de 30 % de la mortalité globale par rapport à la mortalité moyenne trimestrielle en 2020.

Il existe une forte corrélation entre le nombre de personnes vaccinées par jour et le nombre de décès par jour, jusqu’à 10 jours après la vaccination dans tous les groupes d’âge. Pour les 20-49 ans — une fourchette de 8 jours entre la date de la vaccination et le décès ; pour les 50-69 ans — 5 jours entre la date de la vaccination et le décès ; pour les 70 ans environ 3 jours entre la date de la vaccination et le décès.

Une semblable hécatombe post vaccinale précoce ne peut pas être attribuée au seul hasard : elle a été également observée avec des délais identiques dans la quasi-totalité des pays qui ont beaucoup vacciné (Grande-Bretagne, Émirats Arabes Unis, Gibraltar, Seychelles..)

Les vaccinés ne sont pas protégés des formes graves de la maladie

Depuis la reprise récente de l’épidémie, contrairement aux déclarations officielles non étayées par des études publiées, les vaccinés ne sont protégés ni des formes graves ni de la mort, bien au contraire.

Selon le ministère israélien, rapporté par le Jerusalem Post,(([12] https://www.jpost.com/health-science/coronavirus-in-israel-what-do-we-know-about-the-143-hospitalized-people-674508)) le 21 juillet,

« sur les 143 hospitalisés, 58 % étaient totalement vaccinés, 3 % partiellement, 39 % non vaccinés. Sur les 64 patients graves du pays… le pourcentage de cas vaccinés était élevé. »

Le 5 août, sur Chanel 13, le Dr Kobi Haviv, Directeur du Herzog Hospital de Jérusalem, constatait(([13] https://ugetube.com/watch/dr-kobi-haviv-earlier-today-on-chanel-13-newsisrael13-quot-95-percent-of-the-severe-patients-are-vac_raEmhKdAhmGoFHB.html?__cf_chl_jschl_tk__=pmd_SVqTdednujFjXZKnCQV_EPl1benoTf.YGKw2jlE3Ai4-1631865254-0-gqNtZGzNArujcnBszQil)):

95 % des patients sévères sont vaccinés

90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées

Pareilles constatations ont été aussi faites en Grande-Bretagne. Il est donc très étonnant que pareil phénomène ne soit pas observé en France. Comme le nuage de Tchernobyl qui ne pouvait pas franchir nos frontières, du moins d’après nos agences officielles…

Inefficaces et dangereuses

Ces injections ont été de plus sources d’effets secondaires importants : AVC, thromboses et phlébites, mais aussi péri et myocardites en particulier chez les jeunes qui n’étaient pas menacés par la maladie ; elles s’accompagnent de plus de modifications virales qui menacent les enfants classiquement épargnés avant la pseudo-vaccination.

Un traitement préventif se juge à l’évolution observée de la maladie cible. En Israël, l’évolution post vaccinale précoce a été catastrophique tant sur les contaminations que sur l’évolution des formes graves.

Comment expliquer cet échec cuisant ?

Cet échec massif et précoce constitue une première dans l’histoire des vaccinations et s’explique peut-être par le fait que l’injection expérimentale Pfizer n’est pas un vrai vaccin, car elle ne contient ni antigène ni virus atténué, mais un ARN messager, technique qui n’avait jusqu’ici jamais été utilisée en pathologie infectieuse.

En attendant que des travaux scientifiques expliquent les causes de cet échec, de nombreuses hypothèses peuvent être soulevées. L’une des plus probables est que la vaccination Pfizer se heurte au phénomène d’anticorps facilitants déjà responsable de l’échec du Dengvaxia aux Philippines et des vaccins contre les précédentes épidémies à coronavirus (SRAS en 2003 et MERS en 2012).

La possibilité de cette complication avait été soulevée par l’Académie de médecine française, dans son communiqué du 11 janvier 2021.(([14] Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages 11 janvier 2021))

Le trop faible niveau d’immunité observée après la première injection, accusée de pouvoir faciliter l’émergence de variants et l’échec de la vaccination ont été signalés par 5 membres du comité scientifique français, dont le Pr Delfraissy dans une courte lettre au BMJ.(([15] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy laetitia.atlan Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Public Health 2021
Published Online Februar y 18, 2021
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0))

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible à court terme, en Israël comme en France, car complètement pollué par la situation politique. Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup aux gouvernements qui l’ont conseillée.

Il faut donc s’attendre à ce que les gouvernements et les médias qui leur sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le méchant virus. Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ,(([16] Covid-19: Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant
BMJ 2021; 372
doi: https://doi.org/10.1136/bmj.n314)) quel que soit le pays « quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou « radical » est complotiste ».





300.000 soignants non vaccinés : Macron a perdu la guerre de la contrainte

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Par Nicole Delépine

« Ce n’est pas la fin. Ce n’est même pas le commencement de la fin. Mais, c’est peut-être la fin du commencement. » 

Churchill à propos de la bataille de Stalingrad

Trois mille soignants sont suspendus en ce 16 septembre, dans un système de santé déjà exsangue depuis deux décennies au moins. Peu importe, puisque certains hôpitaux ou services n’hésitent pas à renvoyer des malades en chimiothérapie ou des parturientes pour absence de passe sanitaire, dont chacun a compris qu’il n’avait de sanitaire que le nom. Et la suppression continue des lits depuis 2020 a démontré pour les plus naïfs que le but du pouvoir n’était pas de soigner (interdiction des traitements précoces efficaces, euthanasie déguisée au Rivotril dans les EHPAD, etc..) mais bien de soumettre le peuple au contrôle numérique via la mise en condition par la vaccination et le pass de moins en moins sanitaire et de plus en plus totalitaire.

LE STALINGRAD DU POUVOIR

La médecine d’Hippocrate agonise, et la question est de savoir quand on va la mettre en réanimation et lui donner les traitements précoces efficaces… Mais est-ce une victoire du pouvoir ou bien un Stalingrad de Emmanuel Macron quand on sait qu’environ 300 000 soignants ont résisté au harcèlement, aux menaces, aux intimidations de leur hiérarchie, des ARS et de la sécurité sociale, et pire peut-être aux pleurs de leur famille, inquiète des conséquences en particulier financières d’un licenciement sans indemnité de chômage, ni aides sociales ni rien… « On va se retrouver à la rue ».

Comme l’explique clairement le Dr Éric Menat dans une interview coup de gueule du soir de cette Bérézina du pouvoir, un étranger qui arrive en France reçoit rapidement entre 1500 et 2000 euros, et il ne le remet pas en cause le moins du monde, mais souhaiterait que l’aide-soignante qui gagne à tout casser 1500 euros par mois et n’a donc pas d’avance sur ses comptes, ne se retrouve pas SDF faute de salaire, mais aussi interdiction d’autre travail et absence d’indemnité y compris de logement.

Comment accepter cette discrimination sordide entre citoyens ?

Eric Verhaeghe comme souvent nous remonte le moral dans sa tribune du 15 septembre 2021 dans le courrier des Stratèges(([1] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/09/15/pourquoi-macron-a-dores-et-deja-perdu-la-bataille-de-lobligation-vaccinale-pour-les-soignants/?)):

« c’est démangeant d’établir une corrélation entre ce coup de pouce aux profits et les immenses besoins de financement de la campagne électorale qui s’ouvre, même si aujourd’hui aucun élément factuel sérieux ne permet d’étayer ce soupçon. Les communiqués officiels sur l’issue de cette bataille sont évidemment triomphalistes sous la plume du gouvernement. En réalité, Macron a perdu la première manche, et il le sait ».

« Cette campagne, portée par de très puissants intérêts industriels trouvent dans la Commission Européenne une écoute très attentive. Ces intérêts sont à la fois ceux des laboratoires pharmaceutiques, mais aussi ceux de l’industrie numérique et en particulier sa branche spécialisée dans la surveillance numérique des populations, la reconnaissance faciale, la recherche des citoyens (tracking), l’identité numérique dont le passe dit sanitaire est le modèle. »

Pour Éric Verhaeghe l’idée de la bulle du pouvoir renfermée sur elle-même, à cent lieues de la vraie vie des villes et des campagnes, est qu’elle a déjà gagné.

A contrario les combattants pour la liberté du samedi sont convaincus qu’ils ont déjà perdu ! Ces analyses sont aussi fausses l’une que l’autre et nous partageons cet avis.

Comme nous avait avertis Emmanuel Macron en mars 2020, il s’agit d’une guerre dont les racines sont déjà anciennes (voir les nombreuses vidéos des défenseurs de l’eugénisme et de la société du tout numérique de Attali à Bill Gates en passant par Laurent Alexandre, par exemple).

L’actualité doit nous rassurer sur l’avenir

« Il n’y aura par conséquent aucune victoire-éclair, ni d’un côté ni de l’autre. Il y aura un long combat. Il faut s’y préparer. »

Les médias complices des adorateurs du Great Reset ont réussi à réduire le débat (qui n’a jamais lieu) sur l’opportunité de la vaccination et du pass et à le réduire à une bataille rangée entre provax et les citoyens prudents qualifiés d’antivax.

 « Dans la durée, l’enjeu mondialisé du passe sanitaire est bien la projection de l’Occident dans une logique de crédit social à la chinoise, et dans une numérisation de l’identité couplée au contact tracking et à la surveillance généralisée. L’État veut désormais tout savoir de vous, de vos amis, de vos lieux préférés, de votre emploi du temps, sans que vous n’en preniez ombrage. Votre servitude doit devenir un motif de fierté » nous explique Éric Verhaeghe.

Finalement les générations des jeunes ou encore jeunes nés après 1968, qui ont vécu en bisounours, dans la pensée unique, sans grande conscience de ses dangers, découvrent un monde inimaginable. Parfois les parents et grands-parents avaient évoqué la Seconde Guerre mondiale, et l’extermination des Juifs dont certains étaient restés en Allemagne lors de la montée du nazisme, car ils ne pouvaient croire aux horreurs que d’autres, plus clairvoyants, pressentaient.

Ils découvrent comme le dit joliment Éric Verhaeghe.

« que la démocratie peut finir brutalement et se transformer en dystopie, lorsque sa conduite est abandonnée à une caste de petits marquis soudoyés par quelques grands possédants. La démocratie est comme une orchidée : elle est fragile, au fond, et demande une attention de tous les instants, quand on croyait qu’elle était immortelle. »

LA FORCE INTÉRIEURE INSOUPÇONNÉE EN NOUS 

Et là il nous explique la force intérieure que beaucoup auront découvert dans les nuits d’angoisse et d’hésitations et finalement

« ont laissé leur volonté de liberté s’affirmer malgré la pression collective. Ils assument d’être mis au ban de la société pour rester eux-mêmes.

Cette force-là, ce n’est pas en temps de paix, en temps de bonheur, qu’on la découvre en soi. Et il faut ici remercier Macron d’avoir permis à des millions de Français de découvrir qu’ils pouvaient aller loin, très loin, dans les ressources intérieures, dans la souffrance, pour affirmer leur volonté et pour résister. 

L’électrochoc du 12 juillet a produit un formidable réveil de la volonté et la volonté est ce qui a toujours sauvé et sauvera à nouveau l’Occident. Organiser la sécession pour se protéger de la Caste en commençant par une sécession psychique. »

LA TRAGÉDIE ACTUELLE COUPLÉE À LA RÉSISTANCE

La limite du supportable a-t-elle été atteinte ? Comme pour mon père, entré en résistance et le maquis lorsque les mesures de l’occupant avaient dépassé le supportable.

Partout, des soignants ont démissionné, parfois par centaines (on parle de 300 démissions au CHU de Strasbourg), avant d’être suspendus. 450 soignants seraient suspendus à Nice.

Les arrêts-maladie ont explosé partout avec de nombreuses fermetures de service, des urgences, itératives, intermittentes.

Partout, l’obligation vaccinale a clivé et traumatisé des équipes déjà fortement secouées par des mois de COVID et surtout de faux covid et d’interdiction de soigner, de prendre en charge des malades non-covid devant des lits obstinément vides.

Les soignants ont ensuite vu arriver les malades du vaccin, AVC, infarctus, embolies pulmonaires, thromboses, etc. avec interdiction d’en parler à l’extérieur sous peine de sanction. Ils ont été aux premières loges pour évaluer les conséquences morbides de ces faux vaccins qu’on leur impose, d’où les refus, les dépressions, les démissions, les suicides, etc.

Quant aux résidences pour personnes âgées, qui vivent un vrai désastre, les familles ne tarderont pas à voir les effets ? Où est passé le respect de la personne humaine dans ces lieux qui n’étaient pas des prisons, mais sont devenus des lieux d’enfermement pire que les prisons. Rappelons-nous à quel point les résidents sont contraints à l’injection dangereuse, car refus signifie isolement dans la chambre, interdiction de visites et de vie commune, etc. les capos se révèlent vite dans ces périodes de guerre, comme les héros à l’opposé. Dans les prisons, le refus est accepté, car les détenus ne sont pas des cobayes le ministre de la Justice l’a dit… Mais les vieux, pas de problème ?

Et chaque jour, le pouvoir en rajoute comme aujourd’hui ces mesures propres à la Nouvelle-Calédonie

« Épouvante de l’obligation vaccinale covid en Nouvelle-Calédonie : les trisomiques, les obèses ou les personnes souffrant d’un cancer auront une amende de 175 000 francs (1470 euros) si non vaccinés ! Affreux et scabreux ! Notre combat n’est pas que politique, il est humain ! »(([2] Tweet de Florian Philippot))

Mais la résistance continue

Des centaines de personnes rassemblées devant l’ARS de #Montpellier, contre l’obligation vaccinale pour le personnel soignant. Ils avaient jusqu’à aujourd’hui pour avoir au moins une première dose du vaccin. Autrement, leur contrat de travail sera suspendu.

Et devant l’hôpital de Besançon.

Devant l’ARS DU VAUCLUSE à Avignon

 Chaîne humaine autour du ministère de la Santé en soutien aux soignants soumis à l’obligation vaccinale.

Une action parmi les centaines d’actions en #France pour défendre la #Liberté de soins & #prescription et dénoncer la Dictature sanitaire.

Aucun rationnel médical.

Poursuivons, le Droit, l’Humain sont de notre côté, les consciences se réveillent.

Nicole Delépine




Deux visions de la maladie et de la santé

Par Joseph Stroberg

Comme pour la plupart des autres domaines de la vie humaine, la question de la maladie ou de la santé peut s’appréhender selon deux perspectives assez radicalement opposées : une approche matérialiste et une autre spirituelle. La première suppose que la conscience naît de la matière et la seconde qu’elle s’y incarne, mais peut exister en dehors d’elle ou provenir d’ailleurs (de plans d’existence immatériels, dont au moins une partie est alors appelée « au-delà »). La différence d’abord ou de traitement d’un tel domaine aboutit bien sûr dans la pratique à des résultats à leur tour différents.

Pour les individus qui ne conçoivent la vie qu’en termes matériels et la conscience comme un simple épiphénomène de la matière, comme quelque chose qui se manifeste peut-être ou sans doute automatiquement dès qu’un niveau suffisamment complexe de capacités de calcul apparaît. Dans une telle perspective, aussi bien un robot perfectionné finirait par développer une forme de conscience, notamment de lui-même. Jusqu’à maintenant, aucun ordinateur ni robot n’a pu démontrer une telle capacité. Par contre, pour ceux qui ont une approche plus spirituelle, la conscience finirait peut-être par s’incarner dans un robot si elle s’y trouvait à son aise.

Les individus matérialistes s’identifient généralement à leur corps physique fait de chair et de sang. Celui-ci fait intimement partie de leur identité. Il leur faut disposer d’un beau corps pour se sentir beaux. À l’inverse, si ce corps est difforme ou généralement considéré comme laid, ils se trouveront souvent laids ou deviendront plus facilement tristes, rancuniers ou encore négatifs, mais aboutiront plus rarement à une vision positive d’eux-mêmes et de la vie. Pour les gens de nature spirituelle, le corps physique ne représente au contraire qu’un véhicule de leur conscience et ils ne s’y identifient guère plus que le pilote s’identifie à sa voiture. Ils ne se sentent pas autant perdus s’il arrive que leur corps soit moche ou dégradé ou désormais handicapé par un accident. Ils s’accommoderont plus facilement du nouvel état de ce dernier et s’accommodent aussi plus facilement de son usure et de son vieillissement inéluctables.

Sachant que leur corps biologique n’est pas immortel, mais croyant que leur conscience en dépend pourtant exclusivement et ne voulant pas s’éteindre après la mort de celui-ci, bien des matérialistes cherchent ou chercheront à rendre leur corps immortel ou bien à transférer leur conscience dans une machine d’acier inoxydable qui serait prétendument capable de franchir le temps sans limites. Ils courent après un élixir de jeunesse éternelle, la pierre philosophale, ou encore le transhumanisme pour devenir surhumains ou autre chose qu’un humain périssable. En face d’eux, les individus spirituels croient en l’immortalité de la conscience et à la survie de cette dernière après la mort physique de leur véhicule de chair et de sang. Ils ne ressentent aucun besoin de prétendue immortalité physique, d’autant que par ailleurs la matière elle-même n’est pas éternelle.

Pour les matérialistes, la maladie est le plus souvent une affaire de malchance, de mauvaise génétique du corps ou de méchants microbes qui viennent l’attaquer. Comme ils ont peur de la mort, ils ont également peur de la maladie puisque celle-ci peut y conduire. Or, même des médecins matérialistes ont fini par réaliser que la peur elle-même, l’angoisse, le stress et des états émotionnels voisins finissent par engendrer ou au moins favoriser la maladie. Dans le même temps, d’autres chercheurs ont fini par découvrir que leur propre corps contenait en permanence des dizaines de milliers de milliards de bactéries et des centaines de milliers de milliards de virus au sein de ce qu’ils ont appelé respectivement le microbiote et le virome. S’ils étaient matérialistes ou au moins embarqués plus ou moins malgré eux dans les théories matérialistes dominantes, il leur a fallu alors faire toute une gymnastique conceptuelle pour arriver à justifier la simultanéité des méchants microbes et leur si abondante présence dans le corps humain. Ah ! Eh bien finalement, ceux dans le corps sont les gentils et les autres sont les méchants, du moins selon leur conception ainsi schématisée.

Une approche beaucoup plus spirituelle perçoit la maladie comme le résultat de deux grandes causes : l’existence de déficiences ou au contraire d’excès qui le plus souvent conduisent à des formes d’empoisonnement, sachant que la dose fait le poison (et même l’eau bue en trop grande quantité peut entraîner la mort physique). Pour simplifier, ceci a été plutôt traduit en termes de déficiences d’un côté et d’intoxications ou d’empoisonnements de l’autre. Cependant, ces déficiences et ces empoisonnements ne concernent pas seulement le domaine tangible (le corps de chair et de sang), mais aussi les plans d’existence plus subtils :

  • émotionnel, affectif, désirs ;
  • intellect, mental, idées, pensées ;
  • psychisme, conscience, âme ;
  • spirituel, intuitif pur, essence.

Et donc, une déficience importante ou prolongée en certaines émotions telles que la joie ou la satisfaction, en des pensées optimistes ou positives, en moralité et même en écoute des intuitions et de l’être intérieur finit par descendre de plan en plan jusque dans l’organisme physique et y produire des maladies. De même, un excès important ou prolongé de certaines émotions (telles que la haine, la colère, la jalousie, ou encore la peur), de pensées négatives ou pessimistes, mensongères, illogiques ou incohérentes, d’immoralité ou de sadisme psychopathe… finit aussi par se répercuter dans le corps de chair et de sang et par le rendre malade. Notons au passage que sur le plan physique lui-même, les sources d’empoisonnements sont de nos jours multiples et variées : pesticides qui se retrouvent dans la nourriture, additifs alimentaires, édulcorants et autres succédanés d’origine pétrochimique, adjuvants vaccinaux et autres toxines vaccinales (dans les « vaccins » anti-covid, notamment, comme la protéine Spike modifiée), produits nettoyants ménagers, peintures, colles, vernis, décapants…, parfums artificiels, polluants atmosphériques (gaz d’échappement automobiles…), radiations nucléaires en provenance des centrales déficientes, armes à uranium, plutonium provenant des essais nucléaires, etc., et également les ondes électromagnétiques pulsées (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G, 4G+, 5G, etc.) en raison des phénomènes physiques d’induction magnétique et de résonance, compte tenu de la nature électrique et magnétique du corps humain. Rappelons que c’est la dose qui fait le poison, mais que de nos jours, à force de cumul des poisons, la résistance du corps est mise à rude épreuve.

L’approche de la médecine matérialiste face à la maladie consiste le plus souvent à introduire de nouveaux manques ou au contraire à ajouter de nouveaux poisons en espérant soigner le mal par le mal. Ainsi, d’un côté on coupe des organes malades, on mutile davantage le corps. Et de l’autre, on le drogue au point éventuellement de le rendre même dépendant de ces poisons. En face de cette approche barbare et archaïque (pour la vie universelle et cosmique, pour le divin…), la santé s’obtient par le retour à l’équilibre, par la réalisation de l’homéostasie et de la symbiose avec le microbiote et le virome, par l’obtention du juste milieu entre déficiences et excès. La voie du milieu proposée par le Bouddha Gautama vaut pour tous les plans : physique, émotionnel, mental, psychique et spirituel. Et elle conduit naturellement et logiquement à la santé physique, affective, mentale, psychique et spirituelle. Elle ne nécessite ni ablations chirurgicales ni prise de médicaments chimiques.

Chaque être humain a le choix de la méthode de guérison, le choix de l’approche qui favorise la santé plutôt que celle qui favorise la maladie. Cela dépend essentiellement de sa manière d’envisager la vie.




En France aussi ils ont menti pour faire croire que la majorité des décès Covid étaient des non-vaccinés

Par Patrice Gibertie et Pierre de « Décoder l’éco« 

[Voir aussi, pour les USA : La « pandémie de personnes non vaccinées » est un mensonge — en voici la preuve]

[Source : pgibertie.com]

1)- LE GOUVERNEMENT A PLANQUÉ 50% des décès pour sous évaluer la part des vaccinés décédés

Les preuves de la magouille, le gouvernement communique 926 décès covid entre le 31 mai et le 11 juillet , il précise 720 non vaccinés, les chiffres officiels que l’on retrouve sur Geodes sont différents : il y a eu en réalité 1880 décès covid sur la même période. Pourquoi avoir triché et magouillé ?

On apprend que  les 926 décès correspondent à des personnes ayant un test PCR avant ou après l’entrée à l’hôpital. Étrange quand on sait que les vaccinés malades sont le plus souvent non testés, consignes obligent…

Soit la France est le seul pays au monde  dans lequel les vaccinés deux doses représentent 2% des décès (partout ailleurs, Israël, UK, [etc.] c’est plus de la moitié) , soit c’est du truandage et les décès planqués sont dans leur immense majorité des vaccinés…

EN Israel 86% des décédés de plus de 60 ans en juillet sont vaccinés deux doses ( ce qui correspond à leur part dans la population). En France …2%…Les propagandistes ont la main lourde.

La « disparition  » concerne peu les cas de contamination 145000 sur Geodes, 138000 pour la DREES, plus les hospitalisations ou même les réas 2084 sur Geodes et 1696 dour la DREES, Le mystère est total pour les décès: un sur deux escamoté.

Les données internationales donnent toujours plus de contaminations parmi les non vaccinés car nous savons que les vaccinés sont plus souvent asymptomatiques ( mais contagieux) et donc non testés.

Les vaccinés connaissant des formes graves sont proportionnellement plus nombreux

L’étude n’est pas crédible:on ne peut pas parler d’échantillon car ils prennent pratiquement tous les cas ,encore 80% des cas graves mais seulement 50% des décès

C’est une manipulation.

LES SOURCES MERCI AU TRAVAIL D’ENQUÈTE @NiusMarco

https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2021-07-23_-_sivic-sidep-vacsi_premiers_resultats_-_drees-2.pdf…

https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=home

À TITRE DE COMPARAISON, LES CHIFFRES DE DÉCÈS EN GRANDE Bretagne : 34 non vaccines sur 72 décès

toujours pour comparer les chiffres en israel


[Source : francesoir.fr]

2)- Statistiques officielles, « oublis » : la DREES a-t-elle reconnu son erreur ? « Décoder l’éco » débriefe

Auteur(s): FranceSoir

Les prétendus « complotistes » avaient-ils raison ? Une fois n’est pas coutume, suite à une analyse de Patrice Gibertie au coeur de l’été, le désormais bien connu de nos lecteurs Pierre, de « Décoder l’éco« , s’était installé en verificateur de sa déclaration. En effet, Patrice Gibertie avait écrit que la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du ministère de la Santé, oubliait 50% des décès dans son analyse qui a servi de base à la justification d’un message sur l’efficacité vaccinale.

Tout l’été, nous avons entendu que les cas covid dans les hôpitaux étaient principalement des non-vaccinés. Pierre s’est intéressé en statisticien à la validité des déclarations de Patrice Gibertie… pour les confirmer !

Il y a quelques jours, la DREES s’est fendue d’un addendum donnant raison au travail de « Décoder l’eco ». Il manquait bien 900 décès dans l’analyse, ce qui entraîne une inversion du message que 85% des hospitalisés étaient des non-vaccinés. Une correction qui fait un peu tache pour l’organisme se présentant comme « l’expertise statistique publique en santé et en social ».

Cette erreur a été justifiée par la DREES : cependant l’explication n’est pas convaincante pour le statisticien : il nous explique pourquoi en détail dans ce debriefing.

La DREES devra se fendre d’analyses supplémentaires pour fournir une analyse compléte de l’effet de la vaccination. Les données sont là, et cela ne prendrait que quelques semaines pour une bonne équipe.

Les conséquences de cette erreur sont complexes à analyser, mais sans doute importantes : elles peuvent par exemple avoir affecté le consentement libre et éclairé des personnes qui auront été se faire vacciner sur la base de la déclaration du ministre.

Il devient critique pour les médias de questionner les chiffres et communiqués de presse du ministre : le diable est vraiment dans le détail et c’est la précision, l’intelligence collective et le travail de citoyens qui tentent de rebâtir une confiance. Comme le dit Pierre, « c’est facile de vérifier, faites-le » !

Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org :




[Source : pgibertie.com]

3)- Le mythe des 85 % explose en plein vol : les services gouvernementaux avouent avoir « oublié » la moitié des décès (et 20 % des cas graves)…

Vous les avez tous entendus se gargariser de statistiques fabuleuses sur l’efficacité vaccinale ! « On peut débattre de tout sauf des chiffres ! » Oui mais quand les chiffres sont pipés ! La DREES finit par reconnaitre mais la propagande se poursuit…

Depuis des mois je passe en revue toutes les informations  officielles  et je débusque les magouilles :

Le 31 juillet :

LE GOUVERNEMENT A PLANQUE 50% des décès pour sous évaluer la part des vaccinés décédés

Les preuves de la magouille, le gouvernement communique 926 décès covid entre le 31 mai et le 11 juillet , il précise 720 non vaccinés, les chiffres officiels que l’on retrouve sur Geodes sont différents : il y a eu en réalité 1880 décès covid sur la même période. Pourquoi avoir triché et magouillé ?

On apprend que  les 926 décès correspondent à des personnes ayant un test pcr  avant ou après l’entrée à l’hôpital . Etrange quand on sait que les vaccinés malades sont le plus souvent non testés, consignes obligent…

Soit la France est le seul pays au monde  dans lequel les vaccinés deux doses représentent 2% des décès ( partout ailleurs, Israel UK, c’est plus de la moitié) , soit c’est du truandage et les décès planqués sont dans leur immense majorité des vaccinés…

https://pgibertie.com/2021/07/31/le-gouvernement-a-planque-50-des-deces-pour-sous-evaluer-la-part-des-vaccines-decedes/

Décoder l’info et France SOIR VOUS EXPLIQUENT

Tout l’été, nous avons entendu que les cas covid dans les hôpitaux étaient principalement des non-vaccinés. Pierre s’est intéressé en statisticien à la validité des déclarations de Patrice Gibertie… pour les confirmer !

Il y a quelques jours, la DREES s’est fendue d’un addendum donnant raison au travail de « Décoder l’eco ». Il manquait bien 900 décès dans l’analyse, ce qui entraîne une inversion du message que 85% des hospitalisés étaient des non-vaccinés. Une correction qui fait un peu tache pour l’organisme se présentant comme « l’expertise statistique publique en santé et en social ».

Cette erreur a été justifiée par la DREES : cependant l’explication n’est pas convaincante pour le statisticien : il nous explique pourquoi en détail dans ce debriefing.

La DREES devra se fendre d’analyses supplémentaires pour fournir une analyse compléte de l’effet de la vaccination. Les données sont là, et cela ne prendrait que quelques semaines pour une bonne équipe.

Les conséquences de cette erreur sont complexes à analyser, mais sans doute importantes : elles peuvent par exemple avoir affecté le consentement libre et éclairé des personnes qui auront été se faire vacciner sur la base de la déclaration du ministre.

Il devient critique pour les médias de questionner les chiffres et communiqués de presse du ministre : le diable est vraiment dans le détail et c’est la précision, l’intelligence collective et le travail de citoyens qui tentent de rebâtir une confiance. Comme le dit Pierre, « c’est facile de vérifier, faites-le » 

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/la-drees-oubli-erreur-pierre-decoderleco

À QUOI DOIT CORRESPONDRE LA SITUATION DE LA France ? 

La France a quelques semaines de retard sur Israël ou la Grande Bretagne , ainsi en aout, en Israel, 390 personnes vaccinées  deux ou trois doses sont décédées  soit 58 ,5% des décès pour une population vaccinée qui représente à cette date 62% DES HABITANTS

Présenté ainsi l’avantage vaccinal serait très très faible.

Calculés en décès pour 100 000 habitants on obtient 8 décés pour 100 000  non vaccinés contre 7 pour 100 000 deux ou trois doses…

https://pgibertie.com/2021/09/14/israel-60-des-decedes-de-la-covid-etaient-vaccines/




Pourquoi Macron a d’ores et déjà perdu la bataille de l’obligation vaccinale pour les soignants

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le 12 juillet, à la faveur d’un improbable été pluvieux, Emmanuel Macron déclenchait la bataille de l’obligation vaccinale pour les soignants. L’histoire dira un jour quels ont été les tenants et aboutissants exacts de ce fabuleux cadeau aux laboratoires pharmaceutiques, renforcé par un passe sanitaire qui a tonné comme une mise sous contrainte de toute une population pour recevoir aveuglément l’injonction d’un produit sous autorisation conditionnelle. Mais enfin, c’est démangeant d’établir une corrélation entre ce coup de pouce aux profits et les immenses besoins de financement de la campagne électorale qui s’ouvre, même si aujourd’hui aucun élément factuel sérieux ne permet d’étayer ce soupçon. Les communiqués officiels sur l’issue de cette bataille sont évidemment triomphalistes sous la plume du gouvernement. En réalité, Macron a perdu la première manche, et il le sait.

Et voilà, nous sommes le 15 septembre, et le temps d’un premier bilan pour la bataille de l’obligation vaccinale lancée par Emmanuel Macron vient. Beaucoup de victimes de ce diktat sont encore dans un état de sidération et font régulièrement part de leur angoisse ou de leur conviction d’une résistance sans espoir face à l’évidente offensive internationale, commencée par la France, en faveur d’une vaccination. Nous avons commencé à expliquer (et c’est à suivre), les dessous de cette campagne, portée par de très puissants intérêts industriels qui trouvent dans la Commission Européenne une écoute très poreuse. Ces intérêts sont à la fois ceux des laboratoires pharmaceutiques, mais aussi ceux de l’industrie désormais spécialisée dans l’identité numérique

Deux mois après le lancement de cette campagne éclair par la caste mondialisée au pouvoir, quelle tendance globale pouvons-nous observer ? Je voudrais ici prendre le temps d’expliquer pour quelle raison, de mon point de vue, l’actualité doit nous rassurer sur l’avenir. 

La croyance naïve d’une victoire éclair de la caste

Nous l’avons exposé récemment, la caste vit dans une bulle dont la réalité n’est pas la même que la nôtre. Dans cette bulle-là, les Français sont des “veaux”, une sorte d’emballage de Babybel qu’on peut tourner dans les doigts pour lui donner la forme qu’on veut. Pourvu que les Français puissent prendre un pot en terrasse, tout leur irait, et toutes les libertés pourraient être abolies. Dans ce monde-là, les signaux faibles d’une opinion en colère ne comptent pas, et les craquements qui s’entendent de partout dans la structure architectonique de la maison France n’ont aucune importance. 

Forte de ces croyances naïves sur l’état d’une société, la caste a la conviction (comme l’état-major allemand en 1941 lorsqu’il a lancé l’opération Barbarossa) que l’obligation vaccinale serait une promenade de santé et que tous les Français finiraient bien, tôt ou tard, par s’y conformer. Certes, il y aurait des manifestations, des gens pas contents, mais, globalement, tout finirait par suivre et rentrer dans l’ordre. 

Les adversaires du passe sanitaire (ou en tout cas beaucoup d’entre eux) ont, d’une certaine façon, nourri une croyance assez proche. Dans leur esprit, la bataille durerait deux mois au maximum, et battre le pavé jusque-là chaque samedi devait suffire à faire reculer le gouvernement. D’où l’effet de désespoir qui tétanise de nombreux partisans des libertés, convaincus que, dans une démocratie libérale, un gouvernement ne peut pas se comporter comme ça. 

Et d’où leur sentiment d’avoir déjà perdu la guerre et de ne rien pouvoir face au coup de force contre la démocratie mené par la caste mondialisée

De notre point de vue, la réalité est très différente. Nous essayons de l’argumenter et de le documenter depuis plusieurs mois : la caste mondialisée s’est organisée depuis quelques années pour changer le cours de l’histoire en imposant unilatéralement un nouveau modèle de société où l’humanité sera dégradée au profit de la “nature”. Je renvoie sur ce point à mon livre sur le Great Reset. La bataille qui a commencé le 12 juillet n’est donc qu’un épisode dans une longue guerre qu’il va nous falloir mener avec nos armes face à un ennemi moins nombreux, mais beaucoup mieux équipé, et beaucoup plus structuré. 

Il n’y aura par conséquent aucune victoire-éclair, ni d’un coté ni de l’autre. Il y aura un long combat. Il faut s’y préparer. 

Le Great Reset et la dilution de l’Occident dans un grand tout mondialisé et désincarné

Poussée en cela par la presse subventionnée, l’opinion française a essentiellement réduit la question du vaccin et du passe sanitaire à un comportement de mauvais coucheurs “antivax” qui feraient preuve d’irresponsabilité en menaçant la vie des vaccinés. Cette fixation sur une logique de bouc-émissaire a permis d’occulter l’essentiel de la visée politique portée par le passe sanitaire : la mise en place d’un crédit social, où les citoyens les plus obéissants sont récompensés (le droit d’aller au restaurant, au concert, etc.), et où les dissidents sont dégradés (obstacles multiples pour être soignés, sociabilisés, etc.). Ce faisant, le gouvernement est parvenu à faire croire aux amis du passe sanitaire que devoir décliner son identité pour prendre un café était une récompense réservée aux bons élèves, alors qu’il s’agit d’une ahurissante bascule dans la surveillance de masse. 

Dans la durée, l’enjeu mondialisé du passe sanitaire est bien la projection de l’Occident dans une logique de crédit social à la chinoise, et dans une numérisation de l’identité couplée au contact tracking et à la surveillance généralisée. L’Etat veut désormais tout savoir de vous, de vos amis, de vos lieux préférés, de votre emploi du temps, sans que vous n’en preniez ombrage. Votre servitude doit devenir un motif de fierté. 

L’instrumentalisation de l’épidémie pour convaincre une bonne moitié de la société française que le passe sanitaire est un outil de liberté constitue, de ce point de vue et de la part d’Emmanuel Macron, un coup de maître. Le spectacle des bien pensants au sens large (on y mettra pêle-mêle Pascal Praud, Michel Onfray, et une quantité d’autres qui se laissent distraire par l’écran de fumée du vaccin) convaincus d’être très intelligents en plaidant en faveur de leur mise sous surveillance est de ce point de vue jubilatoire et d’une ironie absolue. 

Mais le programme du Great Reset ne s’arrête pas là. Nous avons déjà insisté sur l’importance du Big Government et sur le remplacement des Etats-Nations par des ensembles multilatéraux calqués sur l’Union Européenne. Mais la principale phase du Great Reset, son stade ultime, sera la révolution “écologique” où l’humanisme ne sera qu’un vieux souvenir, où l’humanité sera considérée comme un stade primitif dans un nouvel ordre naturel où la technologie permettra le dépassement de l’homme.

Autrement dit, le vieux noyau occidental qui conduit le monde depuis des siècles sera définitivement dilué, après des décennies de sape menée par George Soros et ses sbires de Black Lives Matter et autres mouvements racialistes. 

Grâce à Macron, le réveil de la volonté individuelle

Après des décennies de consumérisme aveugle, où le confort valait religion dans une sorte d’insouciance éternelle savamment cultivée comme l’a très bien montré Philippe Muray (aujourd’hui lâchement trahi par certains ou certaines de ses disciples), le réveil est douloureux. Bercés par la propagande unioniste selon laquelle l’Europe garantissait la paix et la victoire ultime des bisounours, beaucoup découvrent que la démocratie peut finir brutalement et se transformer en dystopie, lorsque sa conduite est abandonnée à une caste de petits marquis soudoyés par quelques grands possédants. Et beaucoup comprennent que la démocratie est comme une orchidée : elle est fragile, au fond, et demande une attention de tous les instants, quand on croyait qu’elle était immortelle. 

De ce point de vue, le discours du 12 juillet par Emmanuel Macron a constitué un premier et formidable révélateur. Si une majorité de Français l’a avalé dans le contentement, ou parfois dans la peur et le tremblement, il a pour un grand nombre de Français constitué un signal majeur. L’heure du réveil a sonné, particulièrement pour une masse colossale d’agents hospitaliers, d’aide-soignant(e)s, d’infirmiers ou d’infirmières qui ont dû choisir entre conserver leur emploi ou subir une injection dont ils ou elles ne voulaient pas. 

Pour tous ceux-là, le discours de Macron a constitué une ordalie, comme l’épreuve du feu dans le droit germanique au Moyen-Âge. Certains ont parfois, la mort dans l’âme, et pour des raisons que l’on peut comprendre, choisi d’être vaccinés. Mais leur amertume durera, et la caste le paiera cher tôt ou tard. D’autres, souvent après des nuits d’angoisse et d’incertitudes, après des tourments qu’ils n’imaginaient pas, ont laissé leur volonté de liberté s’affirmer malgré la pression collective. Ils assument d’être mis au ban de la société pour rester eux-mêmes.

Cette force-là, ce n’est pas en temps de paix, en temps de bonheur, qu’on la découvre en soi. Et il faut ici remercier Macron d’avoir permis à des millions de Français de découvrir qu’ils pouvaient aller loin, très loin, dans les ressources intérieures, dans la souffrance,  pour affirmer leur volonté et pour résister. 

Comment le Great Reset réveille la liberté

Ce 15 septembre au soir, nous subirons très probablement la propagande officielle, délivrée industriellement par des medias subventionnés (et détenus par les marionnettistes qui meuvent la classe politique), selon laquelle la mise en place de l’obligation vaccinale constitue une grande victoire des colonnes macroniennes. La réalité profonde est toute autre. 

D’abord parce que la saignée imposée dans les hôpitaux et dans la médecine de ville est terrible, même si elle sera de-ci de-là longue à montrer ses effets. Partout, des soignants ont démissionné, parfois par centaines (on parle de 300 démissions au CHU de Strasbourg), avant d’être suspendus. Les arrêts-maladie ont explosé. Les suspensions vont couronner cette situation de fragilité dangereuse. Partout, l’obligation vaccinale a clivé et traumatisé des équipes déjà fortement secouées par des mois de COVID. Et que dire des résidences pour personnes âgées, qui vivent un vrai désastre dont les familles ne tarderont pas à voir les effets ?

Ceux qui ont déclenché cette bataille méprisent le bien commun et prendront leur mépris en boomerang dans les mois qui viennent, lorsque les vaccinés seront à la recherche d’un médecin, d’un service hospitalier, capable de leur injecter leur quatrième dose, ou capable de soigner en urgence la thrombose créée par le vaccin, et qu’ils trouveront devant eux un système sanitaire dévasté par la folie macronienne. 

Surtout, l’électrochoc du 12 juillet a produit un formidable réveil de la volonté  – et la volonté est ce qui a toujours sauvé et sauvera à nouveau l’Occident. 

Organiser la sécession pour se protéger de la caste

Beaucoup (qui ignoraient que l’Histoire est tragique) me répondront que la meilleure volonté du monde ne peut rien contre un rouleau compresseur aussi puissant que le projet de Great Reset qui se met en place. C’est assez vrai, mais nous disposons en réalité d’une arme extrêmement puissante et destructrice pour contrer les visées de la caste. Il s’agit de la sécession, forme suprême de la désobéissance civile qu’il convient désormais de décliner sous toutes ses formes. 

Je vous propose que nous mettions les jours à venir au service de cette déclinaison, que nous pourrions partager collectivement. L’urgence est en réalité de procéder à une sécession psychique. Je vous expliquerai demain comment la pratiquer. 




Covid-19 : l’OMS ne compte plus sur le vaccin pour mettre fin à la pandémie

[Source : Boursorama]

[Photo : Hans Kluge à Moscou, en Russie, le 23 septembre 2020. ( SPUTNIK / ALEXANDER ASTAFYEV )]

« L’objectif essentiel de la vaccination est avant tout d’empêcher les formes graves de la maladie et la mortalité » a reconnu vendredi 10 septembre le directeur de l’OMS en Europe, Hans Kluge. Selon lui, l’émergence de variants plus contagieux a remis en question la possibilité de contrôler l’épidémie grâce au vaccin.

Il faut « anticiper pour adapter nos stratégies de vaccination », notamment sur la question des doses supplémentaires, selon lui, alors qu’il est probable que le covid-19 devienne une maladie saisonnière et ne puisse être éradiquée.

En mai, le responsable sanitaire onusien avait affirmé que « la pandémie sera(it) terminée lorsque nous aurons atteint une couverture vaccinale minimale de 70% » de la population mondiale. Interrogé sur le fait de savoir si cet objectif valait toujours ou s’il devait être relevé, Hans Kluge a souligné que les nouveaux variants plus contagieux, principalement Delta, avaient changé la donne.

Une immunité collective illusoire ?

À l’époque, même si le variant détecté initialement en Inde sévissait déjà, « il n’y avait pas une telle émergence des variants plus transmissible et plus viraux », a-t-il fait valoir. « Donc je crois que cela nous amène au point où l’objectif essentiel de la vaccination est avant tout d’empêcher les formes graves de la maladie et la mortalité » , a souligné Hans Kluge.

« Si on considère que le Covid va continuer à muter et rester avec nous , comme la grippe, alors nous devons anticiper comment adapter progressivement notre stratégie de vaccination à la transmission endémique, et acquérir un savoir très précieux sur l’impact des doses supplémentaires », a-t-il ajouté.

Selon des épidémiologistes, il semble désormais illusoire d’atteindre l’immunité collective uniquement grâce aux vaccins , mais ceux-ci restent tout de même cruciaux pour circonscrire la pandémie de Covid-19. Un niveau très élevé de vaccination reste aussi indispensable « pour réduire la pression sur nos systèmes de santé qui ont désespérément besoin de traiter les autres maladies que le Covid », a souligné Hans Kluge vendredi.

Désormais dominant, le variant Delta est jugé 60% plus transmissible que le précédent (Alpha) et deux fois plus que le virus historique. Or, plus un virus est contagieux, plus élevé est le seuil nécessaire à l’immunité collective, c’est-à-dire le seuil de personnes immunisées au-delà duquel l’épidémie cesse. Celle ci peut s’obtenir via les vaccins ou l’infection naturelle.




Un juge fédéral bloque l’obligation de vaccination des soignants de l’État de New York

Par Nicole Delépine

Voici le résumé du jugement qui donne de l’espoir aux soignants du monde entier, espérant qu’il pourra faire jurisprudence.

Federal Judge Blocks New York State Health Care Worker Vaccination Mandate (theepochtimes.com)

Un juge fédéral a accordé une injonction d’urgence empêchant l’État de New York d’appliquer une nouvelle obligation de vaccin anticovid pour les travailleurs de la santé.

Dix-sept professionnels de la santé avaient demandé au tribunal la suspension de l’exécution d’obligation, à New York imposé par le gouvernement de l’époque. Le maire exigeait que le personnel des hôpitaux et des établissements de soins de longue durée tels que les maisons de soins infirmiers, les établissements de soins pour adultes et d’autres établissements de soins collectifs soit vacciné contre la COVID-19 pour continuer à être employé.(([1] Verified-Complaint-and-Exhibits-Dr.-A.-et-al.-v.-Hochul-et-al.-Filed-Version.pdf (thomasmoresociety.org) ))

Les demandeurs, des médecins, des infirmières, un technicien médical et un agent de liaison d’un médecin étaient confrontés à un licenciement, à la perte de privilèges d’admission à l’hôpital et à la destruction de leur carrière à moins qu’ils ne consentent à être vaccinés avec des vaccins en contradiction avec leurs croyances religieuses, a fait valoir la poursuite.

Leurs croyances religieuses ont contraint les plaignants « à refuser la vaccination avec les vaccins COVID-19 disponibles, qui utilisent tous des lignées cellulaires de fœtus avortées dans leurs tests, leur développement ou leur production », selon des documents judiciaires.

Les employés de la santé ont fait valoir que l’obligation de vaccination annulerait les protections pour les croyances religieuses sincères en vertu du titre VII de la loi sur les droits civils de 1964, même si l’ordonnance sanitaire antérieure de l’État en vigueur quelques jours plus tôt avait accordé les mêmes protections. Plus précisément, ils ont fait valoir que l’obligation violait les premier et quatorzième amendements, la clause de suprématie et la clause de protection égale de la Constitution des États-Unis.

« Ce que New York tente de faire, c’est de fermer une trappe d’échappement à une obligation de vaccination inconstitutionnelle », a déclaré l’avocat Christopher Ferrara, avocat spécial de la Thomas More Society, dans un communiqué avant que l’injonction ne soit accordée.

« Et ils le font tout en sachant que beaucoup de gens ont des objections religieuses sincères aux vaccins qui ont été testés, développés ou produits avec des lignées cellulaires dérivées d’enfants avortés. »

Les plaignants ne sont identifiés dans la poursuite que par des pseudonymes, car, comme ils l’indiquent dans la plainte légale, ils sont « vilipendés » par les médias comme « des parias qui doivent être exclus de la société jusqu’à ce qu’ils soient vaccinés contre leur volonté ».

La nouvelle injonction

« émerge dans le contexte d’une atmosphère de peur et d’irrationalité dans laquelle les non-vaccinés sont menacés d’être réduits à une caste d’intouchables s’ils ne consentent pas à se faire injecter […] avec des vaccins qui violent leurs croyances religieuses, ne sont clairement pas aussi efficaces que promis, et ont connu et de plus en plus évident des risques d’effets secondaires graves et même potentiellement mortels. »

Le juge David Hurd de la Cour de district des États-Unis pour le district Nord de New York, nommé par Bill Clinton, a accordé une ordonnance restrictive temporaire le matin du 14 septembre dans l’affaire. Le procès a été intenté contre le gouverneur de New York, Kathy Hochul.

« L’obligation de vaccination est suspendue » et le ministère de la Santé de New York « est interdit de prendre toute mesure, disciplinaire ou autre, contre le permis, la certification, la résidence, les privilèges d’admission ou tout autre statut professionnel ou qualification de l’un des demandeurs en raison de leur demande ou de l’obtention d’une exemption religieuse de la vaccination obligatoire CONTRE LA COVID-19 », indique l’ordonnance de Hurd. 




La « pandémie de personnes non vaccinées » est un mensonge — en voici la preuve

[Source : mercola.com]

Par Dr. Joseph Mercola

Alors que les responsables de la santé publique et les médias grand public affirment que la pandémie de COVID-19 est désormais « une pandémie de personnes non vaccinées « 1, nous savons maintenant que cette affirmation est basée sur des statistiques très trompeuses.

Lors d’un point presse de la Maison Blanche du 16 juillet 20212, la Dre Rochelle Walensky, directrice des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies, a affirmé que « plus de 97 % des personnes qui entrent à l’hôpital en ce moment ne sont pas vaccinées ». Quelques semaines plus tard, dans une déclaration datant du 5 août 2021, elle a révélé par inadvertance comment cette statistique avait été obtenue3.

Il s’avère que les CDC ont examiné les données relatives aux hospitalisations et à la mortalité de janvier à juin 2021 – une période pendant laquelle la grande majorité de la population américaine n’était toujours pas vaccinée4.

Mais ce n’est plus du tout le cas maintenant. Le CDC joue également avec les statistiques d’autres manières pour créer l’impression fausse et inexacte que les personnes non vaccinées constituent la majeure partie des infections, des hospitalisations et des décès. Par exemple, nous savons maintenant que l’agence compte comme non vaccinés tous ceux qui sont morts dans les 14 jours suivant l’injection.

Non seulement cela gonfle de manière inexacte le nombre de décès de personnes non vaccinées, mais cela cache également les véritables dangers des injections de COVID, puisque la grande majorité des décès dus à ces injections surviennent dans les deux premières semaines.5 Maintenant, leurs décès sont comptés comme des décès de personnes non vaccinées au lieu d’être comptés comme des décès dus à des effets secondaires vaccinaux ou à des infections COVID-19 post-vaccinales !

Comment le CDC comptabilise les cas de Covid post-vaccinaux

Selon le CDC6, vous n’êtes pas considéré comme pleinement vacciné tant que 14 jours ne se sont pas écoulés depuis votre deuxième injection dans le cas de Pfizer ou Moderna, ou 14 jours après votre première dose de Janssen. Voici comment le CDC définit un cas post-vaccinal :

« … une infection post-vaccinale est définie comme la détection de l’ARN ou de l’antigène du SRAS-CoV-2 dans un échantillon respiratoire prélevé sur une personne à partir de 14 jours après qu’elle ait reçu toutes les doses recommandées d’un vaccin COVID-19 autorisé par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis. »

En d’autres termes, si vous avez reçu une dose de Pfizer ou Moderna et que vous développez des symptômes de COVID-19, que vous êtes admis à l’hôpital et/ou que vous décédez du COVID, vous êtes compté comme un cas non vacciné. Si vous avez reçu deux doses et tombez malade dans les 14 jours, vous êtes toujours considéré comme un cas non vacciné.

Le problème est que plus de 80 % des hospitalisations et des décès semblent survenir parmi les personnes ayant reçu les vaccins, mais cette réalité est masquée par la manière dont les cas sont définis et comptés. Une stratégie très astucieuse et courante des CDC au cours de la pandémie a consisté à modifier les définitions et les points de repère afin de soutenir leur narration infâme.

Par exemple, les CDC ont discrètement modifié la définition du terme « vaccin », apparemment dans le but de valider l’appellation de vaccins pour les thérapies géniques à ARNm COVID. Dans une version archivée7 du 26 août 2021, le CDC définit le vaccin comme un

« produit qui stimule le système immunitaire d’une personne pour produire une immunité contre une maladie spécifique, protégeant ainsi la personne contre cette maladie ».

Mais quelques jours plus tard, une nouvelle définition est apparue sur le site web du CDC8, qui dit maintenant qu’un vaccin est une « préparation utilisée pour stimuler la réponse immunitaire du corps contre les maladies. » Les différences entre les définitions sont subtiles mais distinctes : la première définissait un vaccin comme quelque chose qui va « produire une immunité ».

Mais comme les vaccins COVID-19 ne sont pas conçus pour stopper l’infection, mais seulement pour en diminuer le degré, il est évident que la nouvelle définition a été créée pour couvrir les vaccins COVID.

Différentes directives de test pour les vaccinés et les non-vaccinés

Ce n’est pas seulement la définition du CDC d’un cas post-vaccinal qui fausse les données. Plus flagrant et illogique encore est le fait que le CDC a même deux séries différentes de directives de test : une pour les patients vaccinés et une autre pour les non-vaccinés.

Depuis le début de la pandémie, les CDC recommandent un seuil de cycle (CT) de 40 pour le test PCR.9 Cette recommandation va à l’encontre du consensus scientifique, selon lequel un CT supérieur à 35 produit 97 % de faux positifs10, ce qui rend le test inutile.11,12,13

À la mi-mai 2021, le CDC a finalement abaissé le nombre de CT recommandé, mais uniquement pour les patients ayant reçu une ou plusieurs injections de COVID.14 Donc, si vous avez reçu une injection de COVID, les directives du CDC prévoient que votre test PCR doit être effectué à un CT de 28 ou moins. Si vous n’êtes pas vacciné, votre test PCR doit être effectué à un CT de 40, ce qui surestime largement la prévalence réelle de l’infection.

Le résultat final est que les personnes non vaccinées qui se font tester sont beaucoup plus susceptibles d’obtenir des faux positifs, tandis que celles qui ont été vaccinées ont plus de chances d’obtenir un diagnostic précis de l’infection.

Si vous êtes vacciné, seules l’hospitalisation et la mort seront comptabilisées

Et ce n’est pas tout. Le CDC dissimule également les échecs de la vaccination et soutient le récit de la « pandémie des non-vaccinés » en ne comptabilisant que les cas post-vaccinaux qui entraînent une hospitalisation ou un décès.

En d’autres termes, si vous avez reçu votre deuxième injection de COVID il y a plus de 14 jours et que vous développez des symptômes, vous ne comptez pas comme un cas post-vaccinal à moins d’être admis à l’hôpital et/ou de mourir du COVID-19 à l’hôpital, même si votre test est positif. Donc, pour résumer, les cas de COVID post-vaccinal ne comptent que si tous les éléments suivants s’appliquent :

  • Le patient a reçu la deuxième dose du vaccin Pfizer ou Moderna il y a au moins 14 jours (ou une dose dans le cas de l’injection monodose de Johnson & Johnson).
  • Le patient est testé positif pour le SRAS-CoV-2 avec un CT de 28 ou moins, ce qui permet d’éviter les faux positifs.
  • Le patient est admis à l’hôpital pour le COVID-19 et/ou décède à l’hôpital.

Les vaccinés représentent probablement l’essentiel des hospitalisations

Si les vaccinés et les non-vaccinés n’étaient pas traités avec des normes aussi différentes, nous constaterions probablement que les vaccinés représentent aujourd’hui la majorité des hospitalisations, ce qui fait de la pandémie de COVID celle des vaccinés. Un article publié le 30 août 2021 par The Epoch Times révèle ce qui se passe réellement sur la ligne de front :15

« Après une batterie de tests, on a diagnostiqué à mon ami une pancréatite. Mais il a été plus facile pour la bureaucratie de l’hôpital d’enregistrer l’admission comme un cas de COVID… Les médias grand public rapportent que les cas graves de COVID concernent principalement les personnes non vaccinées… Est-ce que c’est vraiment ce qui se passe ?

Ce n’est certainement pas le cas en Israël, le premier pays à avoir entièrement vacciné une majorité de ses citoyens contre le virus. Aujourd’hui, le pays affiche l’un des taux d’infection quotidiens les plus élevés et la majorité des personnes qui attrapent le virus (77 % à 83 %, selon l’âge) sont déjà vaccinées, selon les données recueillies par le gouvernement israélien…

Après mon admission, j’ai parlé à l’infirmière du service COVID… Elle m’a dit qu’elle avait reçu les deux vaccins mais qu’elle était inquiète : « Deux tiers de mes patients sont complètement vaccinés », a-t-elle dit. Comment peut-il y avoir un tel décalage entre ce que l’infirmière du service COVID m’a dit et les reportages des médias grand public ? »

Le cœur du problème est que les États-Unis n’essaient même pas d’obtenir un décompte précis. Comme le note The Epoch Times,

« les Centres de contrôle et de prévention des maladies ont publiquement reconnu qu’ils ne disposaient pas de données précises. »

Ainsi, lorsque vous entendez que les cas augmentent, et que la plupart d’entre eux ne sont pas vaccinés, vous devez vous demander : « S’agit-il de personnes qui ont reçu un vaccin et sont tombées malades, deux vaccins et sont tombées malades, ou pas de vaccin du tout ? ». Sans plus de détails, il est impossible de savoir ce qui se passe réellement », indique The Epoch Times.16

Tout ce que nous savons, selon un médecin qui s’est entretenu avec The Epoch Times, c’est que

« les vaccins ne sont pas aussi efficaces que les responsables de la santé publique nous l’ont dit. C’est un produit qui ne fait pas ce qu’il est censé faire. Il est censé arrêter la transmission de ce virus et il ne le fait pas ».

Comptabilisation des maladies non liées au COVID comme des cas de COVID

En plus de tout cela, les hôpitaux continuent de déclarer des maladies non liées au COVID comme des cas de COVID. Comme le rapporte The Epoch Times17:

« Les autorités sanitaires du monde entier agissent ainsi depuis le début de la crise du COVID. Par exemple, un jeune homme du comté d’Orange, en Floride, qui est décédé dans un accident de moto l’été dernier, a été initialement considéré comme un décès lié au COVID par les autorités sanitaires de l’État….

Et un ouvrier du bâtiment d’âge moyen, tombé d’une échelle en Croatie, a également été considéré comme un décès dû au COVID… Pour brouiller encore plus les pistes, même les personnes dont le test de dépistage du COVID est négatif sont parfois considérées comme des décès dus au COVID.

Prenons le cas de Matthew Irvin, 26 ans, père de trois enfants, originaire du comté de Yamhill, dans l’Oregon. Comme le rapporte KGW8 News, Irvin s’est rendu aux urgences pour des douleurs à l’estomac, des nausées et des diarrhées le 5 juillet 2020. Mais au lieu de l’admettre à l’hôpital, les médecins l’ont renvoyé chez lui.

Cinq jours plus tard, le 10 juillet 2020, Irvin est mort. Bien que son test COVID se soit révélé négatif deux jours après sa mort et que sa famille ait déclaré aux journalistes et aux responsables de la santé publique que personne dans l’entourage d’Irvin ne présentait de symptômes COVID, le médecin légiste aurait dit à la famille qu’une autopsie n’était pas nécessaire, inscrivant son décès comme un cas de coronavirus. Il a fallu deux mois et demi à l’autorité sanitaire de l’Oregon pour corriger cette erreur.

Dans un exemple encore plus frappant de sur-dénombrement des décès dus au COVID, une maison de retraite du New Jersey qui ne compte que 90 lits a été déclarée à tort comme ayant 753 décès dus au COVID. Selon un porte-parole, il y a eu moins de vingt décès. En d’autres termes, le nombre de décès a été sur-déclaré de 3 700 %. »

[…]

Sources et références




La chanteuse lyrique Espagnole Ainhoa Arteta dans un état grave depuis son injection

[Photo : Ainhoa Arteta, image stock LE MONDE]




L’obligation vaccinale des soignants fragilisée par l’indigent décret d’application

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

C’est vrai ! le décret sur la vaccination obligatoire prévu par l’article 12 de la loi du 5 août 2021 fait l’objet d’un débat, le gouvernement soutenant qu’il est intégré dans le décret du 7 août. Cette position soulève de nombreux problèmes, car ce décret se borne très largement à citer la loi, et ne porte aucune des précisions que celle-ci prévoit explicitement. Dans ces conditions, il nous semble qu’il existe une voie pour contester la façon dont la loi concilie (insuffisamment) le secret médical et la déclaration de statut vaccinal auprès de l’employeur.

https://youtu.be/u-7yxHTziqk

Effectivement, il existe un flou sur la parution du décret d’application de l’article 12 de la loi du 5 août 2021, considéré comme intégré au décret du 7 août 2021. Pour mémoire, la loi prévoyait ceci :

II. – Un décret, pris après avis de la Haute Autorité de santé, détermine les conditions de vaccination contre la covid-19 des personnes mentionnées au I du présent article. Il précise les différents schémas vaccinaux et, pour chacun d’entre eux, le nombre de doses requises.
Ce décret fixe les éléments permettant d’établir un certificat de statut vaccinal pour les personnes mentionnées au même I et les modalités de présentation de ce certificat sous une forme ne permettant d’identifier que la nature de celui-ci et la satisfaction aux critères requis. Il détermine également les éléments permettant d’établir le résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par la covid-19 et le certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par la covid-19.

On retiendra donc que la loi prévoit un décret pour remplir deux objets principaux :

  • expliquer les schémas vaccinaux et le nombre de doses à recevoir pour être “conforme”
  • préciser dans quelle condition les employeurs sont informés du statut vaccinal sans violer le secret médical. 

Le décret du 7 août dispose ceci :

« Art. 49-1.-Hors les cas de contre-indication médicale à la vaccination mentionnés à l’article 2-4, les éléments mentionnés au second alinéa du II de l’article 12 de la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 susvisée sont :
« 1° Un justificatif du statut vaccinal délivré dans les conditions mentionnées au 2° de l’article 2-2 ;
« 2° Un certificat de rétablissement délivré dans les conditions mentionnées au 3° de l’article 2-2 ;
« 3° A compter de la date d’entrée en vigueur de la loi et jusqu’au 14 septembre 2021 inclus et à défaut de pouvoir présenter un des justificatifs mentionnés aux présents 1° ou 2°, le résultat d’un examen de dépistage, d’un test ou d’un autotest mentionné au 1° de l’article 2-2 d’au plus 72 heures. A compter 15 septembre 2021 et jusqu’au 15 octobre 2021 inclus, ce justificatif doit être accompagné d’un justificatif de l’administration d’au moins une des doses d’un des schémas vaccinaux mentionnés au 2° de l’article 2-2 comprenant plusieurs doses.
« Les seuls tests antigéniques pouvant être valablement présentés pour l’application du présent 3° sont ceux permettant la détection de la protéine N du SARS-CoV-2.
« La présentation de ces documents est contrôlée dans les conditions mentionnées à l’article 2-3.

On le voit, l’essentiel du décret consiste à… répéter la loi, sans rien y ajouter. Dans ces conditions, le décret semble d’autant plus attaquable qu’il était supposé être rendu sur avis de la Haute Autorité de Santé. Or, comme l’indiquent les visas du décret, celle-ci n’a rendu qu’un seul avis postérieur à la loi : sur les tests auto-géniques. Elle ne s’est pas exprimée sur le schéma vaccinal nécessaire à respecter. Le décret est donc entaché d’illégalité. 

Le décret est-il annulable devant le Conseil d’Etat ?

De notre point de vue, cette réduction du décret d’application à un simple renvoi à la rédaction de la loi, avec un avis très insuffisant (et de pure forme) de la Haute Autorité de Santé, est un motif d’illégalité du décret… et de la loi elle-même. En effet, l’intervention du décret, selon les termes de la loi elle-même, vise à éclaircir les conditions d’application de la loi sur un point très sensible : la conciliation du secret professionnel et de la déclaration vaccinale. 

En restant muet sur ce point, le décret pèche par inaction de l’exécutif et met en danger les libertés fondamentales. Il nous semble donc qu’il y a là, en complément d’un recours contre une décision de suspension prise sans garanties disciplinaires, un motif pour demander l’annulation du décret et affaiblir l’obligation vaccinale. 

Que faire concrètement ?

Ceux qui voudraient se prévaloir de l’incapacité du gouvernement à définir des règles telles que la loi les a prévues ont une vraie possibilité d’ébranler l’édifice juridique qui a conduit à l’obligation vaccinale en mettant en avant l’inaction du pouvoir réglementaire. Pour ce faire, il faut profiter d’un recours devant un tribunal de première instance pour enrichir ses griefs d’une mise en cause de la qualité du décret. 

La mise en cause de l’illégalité du décret obligera les tribunaux à se prononcer. 

Plus subtile, cette mise en cause d’un système où la loi invite à prendre un décret qui se contente de renvoyer à la loi sans rien lui ajouter, sur un sujet aussi sensible que le secret médical, peut conduire à soulever une question prioritaire de constitutionnalité devant le Conseil Constitutionnel… Une procédure encadrée, mais qui peut se relever gagnante, dans la mesure où la question est nouvelle et sérieuse, et où le Conseil Constitutionnel, redisons-le, n’a pas traité cette question dans sa décision du 5 août. 




Des journalistes présentent leurs 10 théories du complot préférées les plus fausses et les plus débiles

Par Nicolas Bonnal

Nous vivons une époque où les débiles vous accusent de débilité. Après Kaboul nos mabouls s’en donnent à cœur joie. Un canard féminin résume ces théories :

1. Bill Gates aurait créé ce virus pour vacciner la population mondiale et lui implémenter une micro-puce dans la foulée. Le fondateur de Microsoft a été contraint de démentir, tant les vidéos l’accusant de vouloir «contrôler les masses» sont devenues virales. Les accusations sont parties de conférences datant de 2015, et repartagées, dans lesquelles le milliardaire annonçait que le monde n’était pas prêt pour la prochaine épidémie. Il faisait référence à Ebola.

2. Il s’agirait d’un programme d’armes biologiques chinois, conçu dans le laboratoire de Wuhan, d’où l’épidémie est partie. La moitié des adhérents veulent que la propagation soit un acte volontaire, l’autre moitié parlant plutôt d’un accident.

3. En Chine aussi, on accuse les autres pays d’être responsables du virus, dont… les Etats-Unis, qui l’auraient créé pour «cibler précisément le peuple chinois». En mars, l’ambassadeur chinois à Washington
a été convoqué par le gouvernement américain pour s’expliquer.

4. Après la chauve-souris et le pangolin, le raton laveur est aussi devenu persona non grata, puisque, en anglais, racoon est l’anagramme de corona. De plus, il passe son temps à se laver les mains et porte un masque…

5. La mouvance d’extrême droite américaine QAnon a affirmé que Donald Trump avait planifié la pandémie pour ordonner un confinement. Il aurait eu pour but de procéder à une «arrestation massive de pédophiles, de politiciens, de personnalités comme Tom Hanks ou Hillary Clinton et d’acteurs hollywoodiens».

6. Selon certains, la 5G propagerait le virus; selon d’autres, elle serait même à l’origine du virus. Des antennes ont été détruites aux Pays-Bas et au Royaume-Uni où ces théories sont très populaires.

7. Dans un post Facebook viral, des internautes avancent que Nostradamus avait prédit la pandémie. Or, les textes partagés… n’ont jamais été écrits par l’auteur français.

8. La Corona a été désertée par les amateurs de bières – on n’est jamais trop prudent, n’est-ce pas. Un sondage publié en mars aux Etats-Unis a montré que 38% des sondés ne boiraient plus de Corona. Parmi eux, 16% soupçonnent un lien entre le virus et la bière. Quand le Covid était encore un sujet de plaisanterie, en janvier et février, les ventes de Corona avaient augmenté de 5%.

9. Par peur de se faire griller les neurones par les pistolets thermomètres (ce qui évidemment n’arrive pas), au Mexique, les clients des magasins ont réussi à faire plier les vigiles: ces derniers prennent désormais leur température au poignet.

10. Fake news encore, des recettes permettraient de se prémunir contre le virus, parmi lesquelles se laver à l’huile de sésame ou à l’urine d’enfant, manger de l’ail ou du foie de bœuf, boire de la Javel (attention, ce peut être mortel), du jus de fenouil ou de gingembre.

On commente ?

https://www.femina.ch/societe/actu-societe/comment-parler-a-un-ami-complotiste?


[NDLR en comparaison, voici quelques éléments factuels :

  • La plupart des pays du monde (194 pays membres) s’en remettent à l’OMS pour ce qui concerne la gestion des pandémies et d’autres phénomènes médicaux supposés de grande ampleur, ceci du fait de leur adhésion signée à cet organisme.
  • Bill Gates est le plus grand contributeur privé au financement de l’OMS, loin devant la plupart des pays
    (voir notamment 
  • Lors de l’épidémie initiale de Covid, la Grippe a pratiquement disparu des radars.
  • La 5G a été initialement installée à Wuhan, en Corée du Sud et Saint-Marin, pays qui ont vu naître l’épidémie.
  • Le Laboratoire P4 de Wuhan a été financé en partie par la France (par le biais de l’Institut Pasteur). Ce laboratoire travaillait sur des coronavirus issus notamment de chauves-souris
    (voir : 
  • L’OMS a recommandé initialement les mesures sanitaires Covid-19 reprises en chœur par la plupart des pays membres, sans preuve scientifique suffisante de leur validité et alors que jamais dans l’Histoire humaine de telles mesures n’avaient été prises (distanciation sociale, port du masque obligatoire, confinement de biens portants, etc.).
  • Les courbes de mortalité des différents pays ne montrent généralement aucune incidence favorable de ces mesures sur l’évolution de la situation (voir notamment les données de l’OMS et OurWorldinData).
  • Une pandémie très similaire a été simulée quelques semaines avant celle attribuée à la Covid-19, lors de lEvent 201 en fin 2019.
  • Il existe des composants biologiques minuscules d’aspect similaire dans les cellules humaines et animales, dont certains sont appelés « endosomes » (ou « exosomes » lorsqu’ils en sortent) et d’autres « virus » ou « rétrovirus » et dont on ne connaît pas en toute certitude la fonction ou les fonctions exactes.
  • Alors que l’hypothèse d’une origine humaine du SRAS-CoV-2 était décriée pendant près d’un an comme étant purement « complotiste », bien qu’elle soit soutenue comme hautement probable par le Professeur Montagnier et quelques autres sommités, elle circule maintenant sur les médias mainstream en tant qu’hypothèse réaliste et assez probable, surtout depuis que le gouvernement américain a commencé à investiguer sur cette question.
  • Les symptômes attribués à la maladie Covid-19 sont le plus souvent
    (voir Maladie à coronavirus (COVID-19) : Symptômes et traitement — Canada.ca) :
    • apparition ou aggravation de toux
    • essoufflement ou difficulté respiratoire
    • température égale ou supérieure à 38 °C
    • sensation de fièvre
    • frissons
    • fatigue ou faiblesse
    • douleurs musculaires ou courbatures
    • perte de l’odorat ou du goût
    • mal de tête
    • symptômes gastro‑intestinaux (douleur abdominale, diarrhée, vomissements)
    • malaises intenses.
  • Les symptômes attribués aux ondes pulsées (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G, 4G+…), similaires à ceux attribués à d’autres agents tels que chimiques en raison notamment des phénomènes de résonance et d’induction électromagnétique qui peuvent être induits par ces ondes à des fréquences particulières correspondant aux fréquences propres (notamment d’absorption) de ces agents
    (voir Diagnostic, traitement, ressources — ASEQ-EHAQ) :
    • Symptômes neurologiques : maux de tête, vertiges, nausées, difficultés de concentration, perte de mémoire, irritabilité, dépression, anxiété, insomnie, fatigue, faiblesse, spasmes musculaires, altération des réflexes, douleurs articulaires, douleurs dans les jambes, fièvre, ainsi que des symptômes plus sévères pouvant inclure des paralysies ou encore des psychoses.
    • Symptômes cardiaques : palpitations, arythmie, douleur dans la poitrine, modification de la pression sanguine, modification du rythme cardiaque, manque de souffle.
    • Symptômes respiratoires : sinusites, bronchites, pneumonies, asthme.
    • Symptômes dermatologiques : rougeurs, démangeaisons, sensation de brûlure.
    • Symptômes ophtalmologiques : douleurs et sensations de brûlure, tension oculaire, détérioration de la vision, cataracte.
    • Autres symptômes : problèmes digestifs, douleur abdominale, problème de thyroïde, douleurs aux ovaires ou aux testicules, sécheresse de la bouche, de la langue, des yeux, grande soif, déshydratation, saignements du nez, saignements, modification dans l’assimilation de sucre, problèmes immunitaires, perte de cheveux, douleurs dans les dents, détérioration des sens, perte d’odorat, bourdonnement dans les oreilles.
  • Symptômes grippaux 
    (voir Les symptômes et l’évolution de la grippe:
    • une forte fièvre (autour de 39 °C) ;
    • des frissons ;
    • une fatigue intense (asthénie), une sensation d’abattement avec perte d’appétit ;
    • des douleurs musculaires (courbatures) et articulaires diffuses ;
    • des maux de tête (céphalées) ;
    • puis une toux sèche et douloureuse.
  • Symptômes de l’action de la protéine Spike des « vaccins » à ARNm et du SRAS-CoV-2 
    (voir : SARS-CoV2 : alertes sur les potentialités toxiques de la protéine Spike (francesoir.fr)):
    • microthromboses et saignements, etc.
  • Ondes électromagnétiques et corps humain
    • Le Wi-Fi, la 3G, la 4G, la 4G+, la 5G, etc. sont des ondes électromagnétiques pulsées.
    • Le corps humain est aussi de nature électrique (influx nerveux et neuronaux, courants électriques dans les mitochondries pour la transformation du glucose en ATP, etc.) et magnétique (présence de magnétite dans les cellules).
    • Même à très faible intensité, les cellules humaines peuvent subir des effets de la part des ondes électromagnétiques (spécialement lorsqu’elles sont pulsées, à cause de l’équivalence des impulsions et de la superposition d’un très grand nombre d’ondes de fréquences différentes — cf. la transformée de Fourier d’un pic de Dirac), ceci notamment par les phénomènes physiques de résonance et d’induction magnétique :

]




« Je n’ai jamais aimé l’idée de dire aux gens de montrer leurs papiers » : l’Angleterre dit « non » au pass sanitaire

[Source : lindependant.fr]

Le ministre de la Santé britannique a annoncé ce dimanche que le projet de passeport vaccinal envisagé notamment pour entrer en discothèque était abandonné.

« Je n’ai jamais aimé l’idée de dire aux gens de montrer leurs papiers (…) pour faire ce qui est simplement une activité courante », a expliqué Sajid Javid ce dimanche sur la BBC, rapporte BFMTV.

Le ministre de la Santé a ainsi décidé d’enterrer son projet d’introduire un passeport vaccinal pour les discothèques et les grands évènements, comme les stades. Le gouvernement le juge désormais inutile en raison du succès de la campagne de vaccination.

« Nous l’avons considéré comme il se doit, et tandis que nous devrions le garder en réserve comme une option potentielle, je suis ravi de dire que nous n’allons pas poursuivre avec notre projet de passeport vaccinal », a-t-il ajouté.

81% de personnes complètement vaccinées

Le gouvernement britannique avait pourtant réaffirmé cette semaine son intention de créer un tel passeport vaccinal et s’était d’ailleurs attiré les foudres des professionnels du secteur de la nuit et de nombreux députés, qu’ils soient de la majorité ou de l’opposition.

Malgré un nombre quotidien de contaminations toujours élevé, le ministre de la Santé estime que le pays peut se passer d’une telle mesure grâce à son taux de vaccination très élevé. Près de 81% de la population de plus de 16 ans dispose d’un schéma vaccinal complet.

Chaque nation du Royaume-Uni disposant néanmoins d’un droit de légiférer sur les restrictions anti-Covid, le gouvernement écossais a lui décidé d’introduire, dès le 1er octobre, un certificat de vaccination pour accéder aux discothèques et à certains événements.

N.M./lindependant.fr




Éviction de Zemmour : Patrick Cohen est lui (parmi d’autres) « sorti du cadre » depuis longtemps

Par Lucien Samir Oulahbib

Sur quoi, tout d’abord, s’appuient tous nos prétentieux prétendants concernant maints sujets, dont C.19 ? Sur le même type d’arguments qu’ils avancent pour dénigrer les traitements précoces en disant que même s’ils marchent ici et là ils ne sont pas nécessaires.

Ainsi un placebo ou une aspirine suffirait pour « soigner » 98 % des gens touchés. Les médecins de plateau s’en délectent : c’est « bénin » pour la plupart de la population, dixit également Google(([1] Cf. ce lien (voir sous la carte mondiale des cas Covid-19) )) en se référant à l’OMS :

« La majorité des personnes atteintes de la Covid-19 ‎ne ressentiront que des symptômes bénins ou ‎modérés et guériront sans traitement particulier ».

Et comme les trois milliards de personnes qui se sont faites injectées vont bien (balayant d’un revers de main les effets secondaires et les morts de cette expérimentation mondiale), tout ce branle-bas de combat concernerait en fait seulement ces fameux « 2 % » qu’il faudrait à tout prix protéger en amont en empêchant de les infecter ou en les injectant massivement, alors que la contamination ne veut pas dire maladie et que la prise de traitements précoces montre empiriquement que celle-ci les protège bien plus que l’injection. D’innombrables exemples le prouvent, mais évidemment placés sous l’aune de la concomitance, comme ces EHPAD et monastères plus touchés mortellement depuis qu’ils ont fait l’injection qu’avant…

De plus, on peut fort bien renverser cet argument qui relativise la portée des traitements précoces. Pour la plupart des personnes en bonne santé, l’injection d’une partie du virus est sans doute immédiatement détruite par leur système immunitaire. Elle ne leur sert donc à rien (sauf à montrer patte blanche), mais s’avère nuisible à certains, au vu des effets secondaires et des morts, en particulier pour ceux qui, bien que jeunes, ont des malformations génétiques et/ou des comorbidités, du moins lorsqu’ils ont un système immunitaire déficient.

Quelle est alors la réaction d’ensemble d’un Patrick Cohen, déjà lorsqu’il s’en était pris à Raoult ? Précisément, le fait que ce dernier souligne ce caractère « bénin » (OMS, supra) nécessitant plutôt de tester, soigner, isoler les personnes malades et ce de façon précoce (afin d’éviter les séquelles) tout en avançant que les jeunes ont en effet bien plus de risques de mourir d’un accident de la route, y compris de « trottinette électrique » que de cette maladie « bénigne ». Ensuite, lorsque ce même Patrick Cohen (suffisant à souhait) critique dernièrement le dénommé Véran, c’est bien moins pour souligner les déficiences, de plus en plus criantes, de leur « thérapie génique » (exclusive) que de lui signifier robotiquement, à l’instar d’un responsable australien ou néo-zélandais (ou d’un démocrate US, ou d’un sénateur PS français) la « stagnation » du taux d’injection (car il l’avait félicité au contraire du niveau tout de même atteint au préalable). Il présuppose ainsi que ce serait là le facteur clé. D’où la hargne, rentrée, contre les supposés « antivax » qui seraient, eux, les principaux responsables de la persistance virale, bien sûr, ce qui reste évidemment faux au regard des chiffres réels (et où en sont les « clusters » ?). Sans parler de ce qui se passe à l’étranger (qui sont les « non-vaccinés en réa » en réalité ? Nul ne le sait hormis les effets d’opérette habituels : ici un jeune, là une femme enceinte, sans que l’on en sache plus sur leur cas, toujours singulier, mais, en Israël, les choses ne se précisent-elles pas un peu plus, oui ou non ?…).

S’agissant maintenant des autres sujets sur lesquels un Patrick Cohen (parmi mille [animateurs], tels Ruquier, Apathie, Salamé…) « sort du cadre » (expression qu’il a utilisée contre Zemmour) depuis longtemps, il s’agit (tout à l’avenant) de ces problèmes de taille qui sont systématiquement minorés ou mis sur le tapis, comme l’impossibilité de lire uniquement de manière démographique les entrées et sorties migratoires, les financements illégaux de lieux de culte islamique sous couvert de lieux culturels, le tout afin de continuer pour des fins clientélistes à placer sous cloche spirituelle des populations qui ont précisément fui les contrées régies par l’islam. Sans parler du caractère délétère de l’enseignement de ce dernier et du silence abyssal quant à sa propre colonisation en Afrique (du Nord), en Asie, en Inde, toutes choses que Zemmour critique et dénonce en tant qu’éditorialiste, une profession reconnue comme faisant partie du corps journalistique, semble-t-il, et que Patrick Cohen ne se prive pas, lui, d’utiliser pour brocarder un Trump, une Le Pen, etc.,etc. Un temps de parole qu’il faudrait décompter aussi, ou additionner, c’est selon (Zemmour n’étant toujours pas candidat, pourquoi une telle attaque préventive qui s’avère inconstitutionnelle ? Vous avez quatre heures [pour répondre]…).

Est-ce que pour autant et ce faisant Zemmour « sort du cadre républicain » ? Ce n’est pas à un Patrick Cohen de le juger, même s’il peut le dire, ce qui n’est pas la même chose. En tout cas Patrick Cohen sort du cadre français, lui, et en particulier du cadre voltairien. Ne remontons pas plus haut. L’Histoire n’est, semble-t-il, pas son fort.

Aussi, au final (et pour la route), quand une radio comme Europe 1 glougloute parce que Google aurait « démonétisé » FranceSoir, ce « site de désinformation » écrit-elle, on comprend pourquoi Patrick Cohen l’aura quitté lors de cette rentrée : il craignait qu’elle n’aille pas assez loin dans l’épuration, la désinfection des idées « nauséabondes ». C’est chose faite. Patrick Cohen peut donc y revenir tranquillement (en attendant à nouveau F.I, qui sait ?…).

Reste aussi la nécessité de brûler le(s) dernier(s) livre(s) de Zemmour en place de Grève. Les soumis Canadiens ont montré la voie.




Appel aux parents européens : exigez le retrait de l’autorisation des vaccins Covid de Pfizer pour les enfants de 12 ans et plus

[Source : Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]

Date limite : 15 septembre 2021
Action : participer en tant qu’intervenant à l’action en justice visant à annuler l’autorisation par l’UE du vaccin Pfizer/BioNtech pour les enfants âgés de 12 ans et plus. 
Conditions de candidature : parent d’un enfant dans l’Union européenne 
Coûts : aucuns frais pour la demande
Détails de l’affaire et formulaire de demande : voir à la fin de cet article.

En Italie, à partir du 6 août, les enfants de plus de 12 ans devront être munis d’un « laissez-passer vert » ou d’un certificat Covid pour accéder aux restaurants, aux installations sportives et culturelles couvertes et même pour fréquenter l’école dès la rentrée.

La présente demande d’annulation découle du fait qu’en pratique, cette mesure introduit de facto une obligation vaccinale  pour les enfants et constitue un danger imminent pour leur santé.  Le recours est dirigé contre la Commission européenne, car elle a délivré une autorisation de mise sur le marché conditionnelle centralisée pour le vaccin, qui ne nécessite pas de décision supplémentaire de la part des États membres (en l’occurrence le gouvernement italien, mais c’est la même chose pour les autres états).

Les enfants en bonne santé ont un risque ZÉRO d’infection par le virus Sars-Cov-2.  Par conséquent, il ne peut y avoir de rapport risque-bénéfice positif pour les enfants, en particulier lorsqu’il s’agit d’injecter une substance basée sur une thérapie génique expérimentale

Les preuves scientifiques citées dans la plainte montrent également que :

Le Covid peut être traité
La transmission asymptomatique n’est pas réelle
Le vaccin Covid n’a aucune efficacité
Il n’y a pas de dosage spécifique du vaccin pour les enfants ; ils auront une injection plus puissante
La coagulation/coagulation sanguine liée à l’utilisation de la protéine spike a été observée comme un effet indésirable dangereux.
Contrairement aux affirmations de Pfizer, la substance injectée ne reste pas dans le bras mais se répand dans tout le corps et s’accumule dans des zones fragiles comme le cerveau, le cœur, les reins et les organes génitaux.

Renate Holzeisen a intenté cette action au nom de familles italiennes qui s’opposent aux autorisations de mise sur le marché qui ont été délivrées dans l’UE pour les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech). Bien que les plaignants dans cette affaire soient italiens, tout Européen ayant des enfants peut participer à cette action en justice en tant qu’intervenant. En termes juridiques, un intervenant est une personne qui n’est pas impliqué directement dans le procès en cours mais qui s’y associe en se joignant au plaignant ou en s’unissant au défendeur pour résister aux revendications du plaignant.

La participation à cette action en justice est gratuite et les participants ne risquent pas d’être tenus financièrement responsables en cas de perte du procès.

Les personnes qui souhaitent devenir intervenants doivent fournir une copie de leur pièce d’identité et une preuve d’inscription dans leur profession à l’avocat coordinateur de leur pays – pour la France vous pouvez contacter la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations  (cliquer ici pour l’adresse concernant cette action) – qui remplira les documents fournis par Maître Holzeisen et enregistrera leur participation.

Pour plus d’informations, veuillez lire l’article ci-dessous. Les formulaires de demande sont disponibles en plusieurs langues sous l’article. Si vous avez besoin des documents dans une langue qui ne figure pas dans la liste, veuillez nous contacter.

La date limite de participation est le 15 septembre 2021.

Vous pouvez lire le texte intégral de l’action en justice ici et regarder une interview de l’avocate Renate Holzeisen ici.

Les parents participants peuvent demander à un avocat européen inscrit au Tribunal e-curia d’introduire une demande d’intervention au titre de l’article 142 du règlement de procédure du Tribunal.

Si la demande est acceptée, le Tribunal admettra le demandeur en tant qu’intervenant, ce qui lui permettra de soutenir l’action et d’assister à toute audience.

La demande doit être déposée en allemand – la langue du recours – dans les six semaines suivant la publication du recours au Journal officiel de l’Union européenne. L’avocat Holzeisen a préparé un projet de demande en allemand mais tous les documents sont également disponibles en plusieurs langues.   Les intervenants potentiels doivent remplir le formulaire et joindre une preuve de leur capacité professionnelle à un avocat national qui examinera les documents et déposera ensuite une demande en leur nom auprès du tribunal de l’UE. Les avocats peuvent demander une inscription temporaire au barreau européen, auquel cas ils auront un accès de 48h pour déposer les documents.

Les intervenants et les avocats ayant besoin d’une assistance supplémentaire peuvent contacter le bureau de l’avocat Holzeisen par courriel.

Historique des actions précédentes : Quatre actions, une pour chaque vaccin autorisé, ont déjà été intentées par l’avocate italienne Renate Holzeisen pour défendre les droits des travailleurs de la santé du nord de l’Italie.

Les travailleurs de la santé italiens ont demandé l’aide de l’avocate Holzeisen après que leur gouvernement leur a demandé d’accepter les vaccins expérimentaux du candidat Covid ou de quitter leur emploi. L’avocat Holzeisen conteste les licences accordées par la Commission européenne dans sa décision d’exécution du 21 décembre 2020 pour l’utilisation de ces produits au sein de l’UE.


DISPONIBLE pour le TÉLÉCHARGEMENT (cliquez sur la langue choisie pour télécharger le PDF) :

Recours en annulation pour le vaccin Comirnaty (Pfizer/BioNTech) :
ANGLAIS / ALLEMAND / FRANÇAIS




3 mois avant le COVID, l’Union mangeait la soupe du vaccin servie par Bill Gates et Big Pharma

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

par Éric Verhaeghe

La Commission Européenne n’a pas attendu le COVID pour promouvoir les ventes de vaccins fabriqués par Big Pharma. Il s’agit probablement d’un élément-clé, passé sous les radars, qui explique dans quelle condition la Commission est devenue la meilleure cliente des Pfizer, Moderna et AstraZeneca à l’occasion de l’épidémie de COVID. Dès septembre 2019, la Commission organisait le premier Global Vaccination Summit (le Sommet Mondial de la Vaccination), en partenariat avec l’OMS… et l’industrie du vaccin, dont la fondation Bill Gates est l’un des piliers. C’était trois mois avant le début d’une épidémie qui constitue un formidable accélérateur de profit pour toute une filière d’activité.

La Commission Européenne est-elle le meilleur véhicule publicitaire pour l’industrie du vaccin ? Cette question, taboue depuis l’éclatement de l’épidémie de COVID, mérite probablement d’être largement approfondie, tant les frontières semblent poreuses, depuis plusieurs années, entre les “politiques” européens et les intérêts industriels. 

Nous en voulons pour preuve ce révélateur “Global Vaccination Summit” du 12 septembre 2019, organisé conjointement entre la Commission Européenne, l’Organisation Mondiale de la Santé, et l’industrie pharmaceutique.

Parmi celle-ci, on retrouve notamment l’institut Pasteur, le groupe Pfizer, et deux fleurons de cette industrie qui gagnent à être connus : le GAVI (sur lequel nous reviendrons) et la Fondation Gates. 

La Commission Européenne et la religion du vaccin

On relèvera que cette grand-messe (c’est le cas de le dire), comportait des tables rondes qui ne font pas mystère de la sacralisation religieuse du vaccin. La table ronde de 10h30, par exemple, intitulée “In Vaccines we trust”, illustre à merveille le remplacement de Dieu par la petite fiole supposée sauver le monde. Il est amusant de constater que l’un des intervenants de cette table était un salarié de Facebook.

La deuxième table ronde s’intitulait : “la magie de la science”. L’expression là aussi est révélatrice de la dimension surnaturelle dont l’industrie du vaccin entend revêtir ses produits pour mieux les vendre. La troisième table ronde, intitulée “les vaccins protègent tout le monde en tous lieux” n’hésite pas à évoquer une sorte d’omniprésence divine. 

Nous retrouvons ici les deux phénomènes auxquels le COVID nous a accoutumés : d’une part, le vaccin est un culte religieux monothéiste, d’autre part, il est porté par une caste sous influence protestante blanche d’Amérique du Nord, praticienne quotidienne de l’altruisme efficace. Vendre des vaccins sauve l’humanité et enrichit les fabricants : c’est le monde idéal. 

Un intense lobbying de Bill Gates

Il se trouve que cette ode universaliste au vaccin n’a pas été déclamée spontanément. On peut même dire qu’elle a fait l’objet d’un intense lobbying de la part de la galaxie Bill Gates depuis plus d’une décennie. 

Ainsi, on trouve dans la presse britannique cet article évocateur dès 2011 : “Bill Gates confiant pour un sommet mondial de la vaccination”. Il est amusant de voir le professionnalisme, la constance, la détermination de Bill Gates et des fabricants de vaccin à mettre en oeuvre leurs projets. Ce sommet mondial de la vaccination tenu au plus haut niveau européen (et non américain) aura mis dix ans à éclore. Mais il aura éclos. 

On ne pouvait donner meilleur exemple de l’efficacité de l’industrie pharmaceutique dans le domaine du lobbying. Rassembler la Commission européenne (y compris la représentante de l’Union Mogherini), l’OMS et de nombreuses personnalités politiques autour de la défense de leurs intérêts, en endossant tous leurs éléments de langage, chapeau !

Multilatéralisme et industrie du vaccin

L’organisation de ce sommet sous l’influence de l’industrie pharmaceutique nous éclaire sur un aspect mal compris du Great Reset : l’importance du multilatéralisme pour la défense des intérêts industriels, notamment dans le domaine pharmaceutique. Il est évidemment plus facile d’influencer une seule institution qui chapeaute un marché de 300 ou 400 millions de clients potentiels, plutôt que 27 gouvernements dont certains dirigent des territoires lilliputiens. 

Rappelons que, progressivement, c’est l’Agence Européenne du Médicament (EMA) qui a centralisé les autorisations de mise sur le marché conditionnelles pour les Etats-membres en cas d’épidémie. Ce dispositif a notamment été appliqué pour l’épidémie de H5N1 en 2009. La Commission constitue donc une cible de choix pour les grandes entreprises mondialisées qui veulent bénéficier de protections réglementaires pour écouler leurs produits sans concurrence. 

On remarquera qu’elle a fini par officialiser ses liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. 

Le rôle du GAVI et de Bill Gates

Dans l’entrelacs des lobbies industriels au service du vaccin et de la vaccination tous azimuts, on trouve une structure discrète, mais particulièrement intéressante : le GAVI (Vaccine Alliance). Pour comprendre de quoi il s’agit, il suffit de consulter ce schéma publié sur le site de l’Alliance, et qui illustre la politique d’influence déployée par l’industrie vaccinale :

Les initiés du lobbying comprennent immédiatement le sens de ce schéma : il explique que le GAVI est une structure d’influence conduite par la fondation Bill Gates, entremêlant les intérêts publics et privés, notamment l’Unicef, l’OMS, la Banque Mondiale, les chercheurs et l’industrie vaccinale. On pourrait qualifier ce genre d’organismes de “cheval de Troie” chargé d’unifier les industriels du vaccin derrière des campagnes “ciblées” (sur les pouvoirs publics s’entend) de promotion de l’image du vaccin lui-même. 

Une épidémie qui tombe à pic

On comprend que, après 10 ans d’efforts pour obtenir le soutien officiel de la Commission Européenne dans la promotion du vaccin comme religion universelle, les industriels aient jubilé lorsque l’épidémie de COVID a éclaté. Pour l’instant, nous ne savons pas encore tous les tenants et aboutissants sur l’extrême réactivité de certains laboratoires dès le début de l’épidémie. Mais un fait est certain : la stratégie du tout-vaccin déployée par la Commission européenne n’a pas été improvisée après l’apparition de l’épidémie. Elle était préparée depuis longtemps.

On peut féliciter les laboratoires et Bill Gates pour leur travail d’anticipation. Reste que… malgré les écrans de fumée d’une presse subventionnée aux ordres, il serait bon de démystifier le vaccin et de démonter les processus d’influence qui ont transformé les politiques publiques en santé en hyper-marché des grands laboratoires.




Lettre ouverte et pétition nationale de soutien au Dr Amine UMLIL

[Source : Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)]

13 septembre 2021 / Commentaires ferméssur Lettre ouverte et pétition nationale de soutien au Dr Amine UMLIL

Le 15 septembre prochain, le Dr Amine UMLIL, responsable de l’unité de pharmacovigilance du centre hospitalier (CH) de Cholet et plusieurs professionnels de la santé et autres professionnels risquent la suspension de leurs fonctions avec une interruption immédiate de leur rémunération, et sans possibilité d’exercer une autre activité rémunérée.

La lettre ouverte ci-dessous constitue le fondement d’une pétition nationale de soutien à l’excellent travail de vigilance pharmacologique du Dr Amine UMLIL, et de protestation contre la menace de suspension de ses fonctions. Elle vient en complément d’un dépôt d’une requête en Référé liberté au tribunal administratif de Nantes demandant notamment la suspension en urgence de l’obligation vaccinale (contre la Covid-19), avec une QPC (question prioritaire de constitutionnalité) à titre subsidiaire et une question préjudicielle à titre encore plus subsidiaire. Elle fait également suite à la suppression abusive et scandaleuse de la page web du Centre Territorial d’Information et d’Avis Pharmaceutiques (CTIAP), jusqu’alors incluse dans le site du centre hospitalier de Cholet. Cet événement grave de par sa symbolique constitue le point d’orgue d’une campagne de harcèlement et d’intimidation contre la personne et le travail légitime de veille et d’information accompli par le Dr UMLIL au sein du CTIAP du centre hospitalier de Cholet. Par ailleurs, cette lettre ponctue elle-même une série de lettres ouvertes du Dr UMLIL, qui pour la grande majorité sont restées sans réponses :

–    la première était adressée au Ministre des solidarités et de la santé, M. Olivier VERAN, et l’interpellait sur l’illégalité du projet de vaccination obligatoire, lettre restée sans réponse ;

–    la seconde invitait son contradicteur, le Dr Jean-Michel DEBARRE, à un débat télévisé public à une heure de grande écoute. Cette seconde est également restée sans réponse et n’a même pas, du reste, été relayée par le Courrier de l’Ouest, comme s’il y avait une volonté manifeste d’enterrer à tout prix le débat scientifique et de faire taire les voix dissidentes courageuses. En tout état de cause, il est certain qu‘un refus de débattre publiquement peut être interprété, comme l’écrit le Dr UMLIL, “comme une reconnaissance du bien-fondé de l’intégralité de [m]ses réflexions publiées” ;

–    la troisième lettre ouverte adressée à la direction du centre hospitalier de Cholet marquait une étape supplémentaire dans le combat du Dr UMLIL pour faire triompher la science, la raison et le droit contre la pseudoscience, la folie, les mensonges, les conflits d’intérêt et collusions entre les groupes pharmaceutiques, le monde politique et les organismes de santé publique. Il y révélait les jacasseries, puérilités et mesquineries d’un directeur d’hôpital davantage effrayé par les insinuations de “complotisme” d’un critique anonyme sur Twitter que par les avertissements d’un scientifique professionnel qualifié au sujet de l’illégalité de l’obligation vaccinale et des effets indésirables potentiels des vaccins. Il y révélait de savoureux détails sur des pratiques inimaginables dans un établissement hospitalier qui datent d’une époque révolue et montrent les dessous de la “science” officielle.

Dans cette lettre ouverte, nous présentons l’activité de vigilance pharmacologique et argumentons sur un de ses apports déterminants lorsqu’elle est exercée librement, c’est-à-dire dans un climat de confiance réciproque avec le système. Nous mettons ensuite en avant la contribution particulière du CTIAP avec à sa tête le serviteur exceptionnel de son métier en la personne du Dr Amine UMLIL. Les obstacles rencontrés lors de ce service de vigilance sont énumérés et étayés de façon à permettre au lecteur d’évaluer le niveau de déstabilisation et de sabotage subis. Finalement, un appel légitime au soutien du Dr Amine UMLIL est lancé, manifesté par la signature d’une pétition.

Sur la nature de la pharmacovigilance et ses apports (en exercice libre) : cas de la Covid-19

Le travail de vigilance pharmacologique est essentiel pour un fonctionnement sain du système pharmaceutique. D’après la définition indiquée sur le site du ministère français des solidarités et de la santé, il “a pour objet la surveillance des médicaments et la prévention du risque d’effet indésirable résultant de leur utilisation, que ce risque soit potentiel ou avéré. Elle constitue une garantie qui s’exerce tout au long de la vie d’un médicament”.

Cela est simple à comprendre. Par exemple, lorsque m’approchant d’une destination identifiée, je n’en sais pas le chemin sur le dernier kilomètre, je peux me faire aider par un passant. Si ce dernier m’indique la direction, je me mets ensuite en marche dans cette direction suivant un ordre du cerveau à mes muscles ; mais ce sont mes yeux ou à défaut un bâton qui m’aident à détecter et contourner les obstacles plus ou moins dangereux pendant ce parcours. De façon analogue, les terminaisons nerveuses de la peau vous permettent d’éviter de vous brûler au troisième degré, même si prendre et transporter la tasse de thé chaud sont bien les gestes que vous aviez décidé de faire. Les fonctions de contrôle et de régulation des systèmes, parties intégrantes même de l’organisme, sont donc nécessaires et même vitales. Le système pharmaceutique ne fait pas exception.

L’un des impacts majeurs de ce travail de pharmacovigilance est de générer la confiance des usagers dans le bon fonctionnement de l’écosystème pharmaceutique. Les tensions actuelles qui traversent notre nation illustrent intensément les menaces graves que fait peser l’étouffement ou le dysfonctionnement de tout mécanisme régulateur – générateur de confiance – sur l’équilibre sociétal. Voici un échange entre le Courrier de l’Ouest et le directeur du CH Cholet, datant de décembre 2020, rapporté par le Dr UMLIL et concernant la 7e réunion d’information indépendante destinée au public. Elle portait justement sur le sujet des vaccins contre la Covid-19. Cet échange expose la pertinence de l’activité du CTIAP comme instrument de vulgarisation dans le contexte actuel :

« Bonjour,

Nous avons pris connaissance de l’organisation d’une soirée d’information du CTIAP jeudi prochain autour des questions liées à la vaccination contre le Covid-19. Sujet qui intéresse évidemment nos lecteurs. Dans le doute, faute de communication officielle de l’hôpital, peut-on savoir si la direction de l’établissement cautionne sa tenue ? (…) »

Courrier de l’Ouest.

“À cette question du journal, vous le directeur avez répondu ceci :

« Monsieur [un journaliste du Courrier de l’Ouest],

La vaccination est un enjeu majeur pour limiter, voire supprimer l’impact de la COVID. Le Centre Hospitalier de CHOLET souhaite la réussite des opérations de vaccination qui seront menées dès que les autorisations sanitaires indépendantes en France et en Europe auront validé ces vaccins. La réussite de ces opérations suppose l’adhésion et la confiance de la population, qui, passe par une information claire et transparente sur le sujet. C’est pourquoi l’initiative du CTIAP est la bienvenue. (…) »

Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier (CH) de Cholet.

C’est certainement sur la confiance (légitime) en une information claire et transparente provenant de la pharmacovigilance que veut s’appuyer notre premier ministre, M. Jean CASTEX [JC, ci-dessous] lorsqu’il l’évoque dans cette interview :

– JC : Ce vaccin présente une certaine efficacité notamment pour les formes les plus graves de la maladie. Donc, nous avons un système qui s’appelle la pharmacovigilance où on suit cela de très près ; de façon extrêmement rigoureuse. Je peux vous assurer que si j’avais le moindre doute, si j’avais le moindre doute…

– Animateur : Vous demanderiez la suspension.

– JC : Absolument ! Parce que c’est mon devoir, c’est ma responsabilité. Mais à ce stade, il faut avoir confiance en ce vaccin.

Extrait à retrouver dans cette vidéo, à l’instant 17’15.

La question légitime que l’on serait naturellement porté à se poser est la suivante :

La pharmacovigilance française ou internationale a-t-elle à ce jour produit, agrégé et délivré une information claire et transparente relative aux solutions pharmaceutiques à la pandémie de Covid-19 ?

Nous croyons que les quelques éléments rapportés ci-dessous permettront au lecteur de pouvoir répondre sans ambiguïté à cette dernière question.

Rappelons, s’il en est besoin, que la résolution du volet sanitaire de la crise que nous vivons aujourd’hui se dessine à l’échelle mondiale autour d’une campagne quasi globale de vaccination, avec principalement des vaccins dits à ARN/ADN. Ces vaccins, divergeant du principe habituel de conception de vaccins, s’appuient sur l’émission de message ADN/ARN ordonnant à la machinerie de l’expression génique cellulaire de synthétiser massivement la protéine spike (qui caractérise le virus) ; une réponse immunitaire est ainsi forcée en réaction à cette apparition. Le principe habituel, consistant aussi à forcer une réponse immunitaire, la favorise par une injection d’un échantillon inoffensif du virus isolé, sans intrusion autoritaire dans la machinerie génique cellulaire.

Dans ce premier article, l’auteur(([1] Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherches au CNRS (Centre Méditerranéen de Sociologie, de Science Politique et d’Histoire.) )) élabore une surveillance des vaccins ARN/ADN au travers de leurs impacts relatifs sur la propagation du virus qu’ils doivent combattre. Il s’appuie sur des données nationales issues de sources étatiques ou d’organisations internationales officielles (compilées et traitées par ourworldindata.org, voir au bas de la page Web), et portant sur le nombre de personnes testées positives à la Covid-19 et le nombre de personnes décédées de la Covid-19. Ces données couvrent la période allant de décembre 2020 au 16 juillet 2021 – correspondant à la campagne globale de vaccination. Pour les 15 pays les plus vaccinés, ces données permettent une conclusion que l’on peut considérer comme une connaissance certaine :

La vaccination n’a pas empêché l’émergence de nouveaux cas ni la contamination, puisque des phases épidémiques tardives ont été observées dans les 15 pays les plus vaccinés (> 50 % de moyenne) à la date du 16 juillet 2021.

Cette conclusion et toutes celles que l’on peut tirer de ces données-là ouvrent le champ de réflexion sur d’autres interrogations, dont la question principale suivante : quelle est la proportion de vaccinés/non-vaccinés parmi les nouveaux cas ? Nous y revenons plus bas.

Dans un séminaire donné à l’Institut Hospitalier Universitaire (IHU) Méditerranée tenu le 29 juin 2021, le Pr Peter McCullough, qui a « traité des personnes de plus de 90 ans à la maison qui ont été malades, mais sans être hospitalisées », a rassemblé les données de plusieurs dizaines d’études ayant élaboré une surveillance de la valeur thérapeutique de plusieurs traitements anti-Covid : ivermectine et hydroxychloroquine pour les plus connus, mais également infusions d’anticorps anti-protéine spike, favipiravir, corticostéroïdes, colchicine, anticoagulants. Les méta-études (résumés synthétiques des études) concernant en particulier l’ivermectine et l’hydroxychloroquine révèlent les données suivantes :

Phase/Type d’essais Nombre d’essais Amélioration en %
IVERMECTINE pour Covid-19 au 26 août 2021
63 essais, 613 scientifiques, 26 398 patients
Traitement prophylactique 14 86
Traitement précoce 27 72
Traitement tardif 22 40
Nombre de décès survenus 25 58
Essai randomisé 31 58
HYDROXYCHLOROQUINE pour Covid-19 au 26 août 21
279 essais, 4555 scientifiques, 398 331 patients
Traitement précoce 30 65
Traitement précoce RCT 7 48
Traitement tardif 190 21
Nombre de décès survenus après traitement précoce 13 75
Essai randomisé 43 23

Les données présentées ont conduit le Pr McCullough aux conclusions suivantes :

  • La période de maladie avant l’hospitalisation est LA période favorable d’intervention.
  • L’hospitalisation et le traitement tardif correspondent à une sûreté faible des médicaments avec une mortalité intolérablement haute.
  • Le traitement ambulatoire précoce, réalisé séquentiellement avec un panache de médicaments a un profil bénéfice-risque positif (risques réduits d’hospitalisation et de décès.)

Relativement à ces traitements, le docteur Harvey Risch de l’université de Yale a affirmé dans un article-témoignage que la clé pour vaincre la Covid-19 existe déjà : il y mentionne de nombreuses études sur des traitements avec zéro mort sur des quantités importantes de patients à haut risque atteints de la Covid-19, et provenant d’Israël, des États-Unis, du Brésil. Il rapporte aussi qu’en Suisse, autour de la période allant du 27 mai au 11 juin 2020, un pic de 400 % du nombre de morts de la Covid-19 s’est intercalé entre une interdiction gouvernementale de prescription libre d’hydroxychloroquine et la levée de cette interdiction.

Justement, le Pr McCullough a aussi présenté des indicateurs qui permettent d’évaluer très objectivement les effets indésirables des vaccins à ARN/ADN. Sachant que par exemple, en 1976, la surveillance avait conduit à l’arrêt du programme de vaccination contre la grippe porcine après (seulement) 25 morts enregistrés, il est rapporté par le Pr McCullough les données suivantes :

Au 11 juin 2021, le VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System] – plateforme de collecte des événements adverses liés aux vaccins – affichait pour les seuls vaccins à ARN/ADN 5993 morts et 20 737 hospitalisations pour 358 379 signalements. En comparaison, le cumul de ces mêmes indicateurs avant les vaccins ARN/ADN produit une moyenne d’environ 158 morts par an pour 16 320 signalements annuels : ces dernières données portant sur un total de 70 vaccins différents et 500 millions d’injections. L’on peut donc observer, à part les hausses explosives des nombres absolus d’événements rapportés et de décès (2 200 % et 3 700 % respectivement), une hausse de 72 % de la proportion de décès parmi les événements rapportés.

Ces données ont conduit le professeur à la conclusion suivante :

Les vaccins à ARN/ADN ont un profil de sûreté défavorable, et ne peuvent dès lors pas être approuvés pour un usage clinique.

Cette conclusion est partagée par un très grand nombre de spécialistes de ce domaine, et s’appuie, comme mentionné précédemment, sur des dizaines d’études produites par des scientifiques du monde entier. Un article datant de mai 2021 présente les questions urgentes que posent 57 médecins et spécialistes de 17 pays différents, et met littéralement en demeure les régulateurs nationaux et internationaux de suspendre incessamment la campagne courante de vaccinations, afin de « commencer des évaluations critiques indépendantes » et un « dialogue pluraliste » portant sur des questions critiques nécessitant des réponses urgentes si l’on souhaite particulièrement « éviter une érosion à l’échelle mondiale de la confiance du public dans la science et dans la santé publique ». Et cette érosion ne menace pas seulement le grand public, mais s’attaque aux corps constituants du système médical et paramédical. À titre d’exemple, ce témoignage viral d’un sapeur-pompier lyonnais qui découvre avec beaucoup d’émotion que les nombreux AVC qu’il a observés récemment dans l’exercice de sa fonction « ont bien un lien avec » l’injection des vaccins à ARN/ADN, et qu’il n’y a « rien qui ne remonte » malgré le fait que les infirmières « alertent tout le monde »…

L’émergence de toutes ces données ainsi que les conclusions logiques qui en ont découlé ont conduit le Pr McCullough à entreprendre de les vulgariser largement, jusque devant une commission sénatoriale du Texas, aux États-Unis, dont la présidente a été directement impactée par le traitement et la guérison de son époux à domicile. Il s’est impliqué, avec des partenaires de l’Association des médecins et chirurgiens américains, dans l’édition – salutaire pour des milliers d’autres – du guide de traitement de la Covid-19 à domicile.

Sur les causes d’une pharmacovigilance qui dysfonctionne et ses graves conséquences

« La justice ne viendra pas à Athènes jusqu’à ce que ceux qui ne sont pas blessés soient aussi indignés que ceux qui sont blessés. »

Thucydides

En France, nous pourrions (presque) tous avoir oublié les récents et moins récents scandales sanitaires. Est-ce que l’on devrait attendre d’être soi-même victime directe ou indirecte dans l’un de ces scandales, avant de joindre sa voix à celles et ceux qui exigent les garanties d’un fonctionnement plus clair, transparent et sain des organes publics et des système médicaux et paramédicaux qu’ils sont censés surveiller ?

Dans un récent article intitulé « Médicaments, argent et faits trompeurs », la journaliste Laura Spinney réaffirme qu’il “est plus que jamais essentiel que la société puisse faire confiance aux entreprises pharmaceutiques qui cherchent à obtenir une approbation règlementaire”. Or, en citant dans son article les travaux du pédopsychiatre Jon Jureidini et du philosophe Leemon McHenry, elle rapporte que ceux-ci “contestent l’hypothèse selon laquelle tous les médicaments et appareils médicaux approuvés sont sûrs et efficaces. Ils avertissent que lorsque la science clinique s’accroche à la course aux profits de l’industrie pharmaceutique, la méthode scientifique est sapée par les effets de marketing et le tri sélectif des données. Ils proposent une solution inspirée par le philosophe des sciences Karl Popper : retirer les essais des médicaments des mains des fabricants”. Cette solution forte s’appuie sur le constat par les auteurs de “déformations volontaires de données de sécurité et d’efficacité” lors d’essais sur la paroxétine et le citalopram, respectivement objets des études 329 de GlaxoSmithKline et CIT-MD-18 de Forest Laboratories.

Peter C. Gotzche, dans son livre Remèdes mortels et crimes organisés, particulièrement étayé de preuves détaillées, constate que l’une des causes de cette atrophie de l’action de pharmacovigilance réside dans le fait que « les patients ont confiance (aveuglément ! NDLR) dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… » Avis bien résumé par lui par ces mots : “Tout ce que nous savons sur leur compte (c’est-à-dire sur les médicaments), c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins…”

Concernant les conséquences de ces actions, nous avons déjà mentionné l’effet dévastateur de la perte de confiance du public, et surtout – dans la crise actuelle – du personnel médical et paramédical. Le système, qui se veut vigilant et se dote d’organes consacrés, apparaît comme schizophrène puisqu’il s’emploie à asphyxier méthodiquement ces organes. En ce qui concerne la confiance, notamment dans les acteurs industriels de production et de vente de médicaments, il existe une liste de condamnations(([2] Les liens donnés plus bas apparaissant dans l’histoire fictive extraite des réseaux sociaux. Les sites sont en anglais.)) dont la longueur est tout simplement choquante ! En fait, la violence du choc est renforcée à la lecture des motifs de condamnation (falsifications volontaires, etc.) et surtout au constat de la forte proportion de récidive. Qualifieriez-vous de responsable une attitude qui consisterait à exiger des garanties claires et fortes face à une proposition d’injection d’un vaccin provenant de l’un de ces acteurs industriels, dont l’utilisation est frappée de surcroît d’une autorisation de mise sur le marché dite conditionnelle (AMM) ? Et comment qualifieriez-vous l’attitude d’un chef de famille qui n’exigerait pas ces garanties ? Une histoire – (probablement) fictive – publiée(([3] Pseudonyme Anna-Lyse sur Twitter.)) sur un réseau social illustre bien ce questionnement :

Suis-je une mère irresponsable ?
Pfizer…

15 sept. 1825. Une mère, 3 enfants. Accusée à tort d’irresponsabilité, elle a été éloignée, retenue loin de ceux-ci, dès lors en situation de grande détresse. Le plus âgé avait 15 ans.
AstraZeneca… 

Une lettre, dans laquelle elle rassure, et décrit comment ils vont pouvoir affronter l’année à venir sans elle (la cachette de la bourse, la tante à 3 j de charrette, etc.)
Johnson & Johnson…

Ce jour-là, la prison ne lui a proposé, comme messager de la lettre, nul autre qu’un abuseur récidiviste, sortant de prison du fait d’un aménagement de peine “opportun”.

Avec tout ça, Moderna devrait-elle garder son SM-102 secret ? 

Ils ont insisté, affirmant qu’ils n’avaient pas le choix…

Finalement, nous ne mentionnerons pas le nombre de décès et autres destructions physiologiques et psychologiques vécues par les victimes d’un consentement non éclairé à exposer leurs êtres à des substances ou des protocoles de traitement. L’absence de cette lumière éclairante étant fortement favorisée par l’absence d’exercice libre ou la défaillance orchestrée des systèmes de régulation, et particulièrement la pharmacovigilance. À ce sujet, des réseaux sociaux ont incompréhensiblement et, semble-t-il, abusivement censuré un groupe destiné à recenser les victimes d’effets indésirables en France. Mais sur d’autres plateformes plusieurs témoignages sont apparus ; et ceux-ci ne décrivent probablement qu’une partie émergée de l’iceberg, tant la censure sur les réseaux sociaux apparaît anormalement intense contre les témoignages de ce type. Quelques-uns, très emblématiques, apparaissent dans ce documentaire sur AstraZeneca.

Sur les obstacles à l’exercice libre de la pharmacovigilance et le rapport positif à la contradiction du Dr UMLIL

Si les huit (8) ans de « gestation administrative » du CTIAP – dont le projet était prêt dès le 10 décembre 2007 – pouvaient déjà interpeller, la litanie d’obstacles de toutes sortes qui se succèdent depuis les premières prises de positions critiques émanant de cet organisme dans la crise actuelle doit interpeller encore davantage le lecteur de cette lettre. Et ce au regard, d’une part, de la reconnaissance profonde, unanime et prolongée dans le temps de la qualité du travail accompli par le Dr UMLIL avant ces dites prises de position ; et d’autre part, du fait de la qualité de l’approche du CTIAP et de son directeur le Dr Amine UMLIL face aux objections exprimées sur le fond : cette approche consistait à ouvrir systématiquement une discussion publique à travers des lettres ouvertes, des droits de réponse au médias relais des opinions de ses contradicteurs, et même des débats télévisés censés présenter les preuves contradictoires. Dans ces différents courriers, il ne nous a pas été donné de trouver ni propos offensants sur la forme, ni arguments de fond qui n’aient été étayés par une preuve documentaire. De plus, il apparaît à notre lecture que les réponses et propositions du Dr UMLIL n’étaient que peu frappées de l’horizontalité stérile, de la plate – et souvent puérile – mise en défaut du contradicteur, mais tendaient toujours à viser la prise en compte de l’enjeu ultime de sa fonction, qui est de faire émerger et s’imposer le factuel et l’information utiles pour l’usager du système pharmaceutique, même à travers l’épreuve de la contradiction.

Les obstacles à l’exercice libre de pharmacovigilance opposés au CTIAP ainsi qu’au Dr UMLIL reproduisent les formes qu’il est possible d’observer concernant plusieurs chercheurs ou praticiens ayant exprimé des opinions divergentes : sources d’origines collégiale, institutionnelle et médiatique, telle une hydre à 3 têtes. Nous faisons remarquer qu’une quatrième tête judiciaire est malheureusement plutôt rare, sinon elle aurait eu la vertu de susciter un apport de preuves probantes de la part des deux parties, permettant ainsi à l’opinion de juger plus justement de la pertinence des positions respectives.

D’un point de vue collégial, le principal obstacle provient de l’attitude de la direction du centre hospitalier de Cholet, avec en tête son directeur Pierre VOLLOT. Ce sont principalement des dénis de compétences ou de légitimité injustifiés au regard des faits, tendant à décrédibiliser l’action ou la personne du Dr UMLIL. Or la conséquence logique principale de la décrédibilisation d’une action ou d’une personne est l’affaiblissement de son impact dans l’atteinte des objectifs de sa mission. L’on peut même se questionner sur la profondeur de ce que subit personnellement le Dr UMLIL en coulisse lorsque ce dernier révèle, preuve à l’appui, avoir été informé par sa direction de l’envoi d’une lettre adressée à un organe disciplinaire contre lui, au travers d’un recommandé avec accusé de réception “adressé alors que j’étais en congé”. Le chapelet des obstacles, manquements, et – il faut le dire – sabotages, est égrené par le docteur, dans sa réponse au directeur Pierre VOLLOT du 23 août 2021, et sa réponse à la direction du centre hospitalier de Cholet du 10 avril 2021.

D’un point de vue institutionnel, c’est le docteur UMLIL qui a été personnellement visé par une lettre adressée au centre national de gestion des praticiens hospitaliers et des personnels de direction de la fonction publique hospitalière (CNG), organe disciplinaire consacré. Dans cette lettre de dénonciation, à laquelle le Dr UMLIL a répondu par une lettre ouverte au CNG du 10 août 2021 (avec ampliation adressée à la tutelle), Pierre VOLLOT évoque un droit de réserve qu’il oppose à la diffusion d’avis critiques et d’analyses proposées par le Dr UMLIL à travers le canal du CTIAP.
Or, sur la forme, le recours à ce droit de réserve à l’encontre d’un pharmacien des hôpitaux s’évapore devant plusieurs dispositions du Code de santé publique qui enjoignent, par exemple, de ne « se soumettre à aucune contrainte financière, commerciale, technique ou morale, de quelque nature que ce soit, qui serait susceptible de porter atteinte à son indépendance dans l’exercice de sa profession » (R. 4235-18 du CSP). Sur le fond, et en cohérence avec ce que nous avons pu constater continuellement dans l’action du Dr UMLIL, sa réponse fut adressée via un avocat sous forme de « lettre – recommandée avec avis de réception – l’invitant [Pierre VOLLOT] à formuler, de façon précise, ses griefs à l’encontre des analyses proposées par le CTIAP et concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19 ».La réponse de Pierre VOLLOT ne contenait « aucun reproche envers les analyses publiées sur le site du CTIAP ».

Le dernier champ d’obstacles, de véhicule médiatique, nous apparaît revêtir une violence particulière, du fait de l’amplification par le nombre et les réseaux sociaux. Il nous est apparu comme constitué d’amalgames, d’omissions, d’enquêtes à charge omettant de consulter les sujets avant publication et ignorant les droits de réponse, et quelques fois de censures grossières et surtout injustifiées, au regard du principe d’équité.

Il s’y trouve en particulier l’évolution plutôt déroutante de la couverture du travail et de l’impact du CTIAP et du Dr UMLIL par le journal Le Courrier de l’Ouest. Toujours avec coupures de presses et autres preuves renseignées, le Dr UMLIL fait constater que :

« le Courrier de l’Ouest, ainsi qu’Ouest-France, avaient toujours relayé l’information selon laquelle les analyses du CTIAP sont « fiables ». Comme le montrent leurs anciens et nombreux articles tels que ceux d’octobre 2017 concernant l’« affaire LÉVOTHYROX® »… Ces anciens articles admettent notamment l’indépendance et la rigueur des analyses proposées.

[…]

Mais, brusquement, les analyses proposées concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, avec la même indépendance et la même rigueur, deviendraient celles d’un « antivax »« complotiste », pourvoyeur de « fausses informations »

Le positionnement initial était aligné sur celui de plusieurs confrères généralistes et spécialisés par lesquels les « réflexions et alertes ont été également relayées » : Le PointLe MondeLe NouvelObsLe Quotidien du PharmacienHospimedia, parmi d’autres.

Mais un article du 14 août dernier – publié sur le Web par Ouest France –  intitulé « Amine Umlil de nouveau en conflit avec l’hôpital », réunit dans son contenu un ensemble de déclarations tendancieuses et peu empreintes de la neutralité promue par la déclaration de Munich. Extrait :

« Le pharmacien est très actif sur son blog et sur les réseaux sociaux. Résolument opposé à la vaccination contre le Covid-19, le Choletais est cité en référence par de nombreux « antivax ». Il a aussi son rond de serviette sur le site internet FranceSoir.fr. Un média sans journaliste, relais de thèses complotistes et de fausses informations. »

De plus, ici encore, le professionnalisme et a minima la déontologie, sinon la probité du journal sont sérieusement défiés par un fait marquant. En effet, à la lecture de la fermeture de l’article :

« Contacté, Amine UMLIL n’était pas disponible, hier »,

La banalité que transporte cette mention n’aurait pas permis de découvrir, sinon de par la révélation par le Dr UMLIL des échanges constituant ce contact, que deux informations avaient été données par le journaliste : (i) seulement un « mot, bref » devait paraître le lendemain, en attendant (ii) d’être « contacté par un ou une de mes collègues » la semaine suivante ; réponses à valeur de promesses, que l’on peut considérer comme logiques, puisqu’à la sollicitation du journaliste le matin même pour l’après-midi (c’est-à-dire la veille de la publication), le Dr UMLIL avait répondu :

« Bonjour Monsieur [nom du journaliste],

Merci pour votre message.

Je ne peux pas cet après-midi.

La semaine prochaine, si vous pouvez.

Bien à vous,

(…) »

Un certain surplus d’honnêteté intellectuelle ou de devoir d’équité envers le Dr UMLIL, sachant le contenu – à charge – de ce qui était attendu comme « mot bref », aurait favorisé cette autre écriture de la fermeture de l’article, par exemple :

« Contacté hier, Amine UMLIL n’était pas disponible. »

Dans une publication dans laquelle le Dr UMLIL dénonce cet article et plusieurs autres meurtrissures publiques contre son image, l’on énumère plusieurs des procédés médiatiques subis par beaucoup trop de chercheurs, scientifiques et praticiens à travers le monde, qui sont passés de la reconnaissance élargie de leurs mérites vers la mise au banc et les injures du fait de l’expression légitime, raisonnée et lucide de questionnements légitimes et de divergences de points de vue.

Sur la reconnaissance de la qualité des contributions particulières du CTIAP et du Dr UMLIL et leur efficacité mesurable

D’abord comme responsable de la pharmacovigilance depuis son recrutement en septembre 2002, ayant mis en place la coordination des vigilances sanitaires en 2007 au centre hospitalier de Cholet, et enfin comme fondateur et acteur majeur du CTIAP dès 2015, le Dr UMLIL a réalisé un travail excellent et reconnu comme tel ; et ce, partant de ses collègues (éventuellement hiérarchiques) jusqu’aux médias locaux et nationaux, généraux ou spécialisés.

Le Point avait qualifié le CTIAP de « structure originale qui pourrait servir d’exemple », et le Quotidien du Pharmacien avait salué « la pédagogie d’un pharmacien ».

Un « Docteur en médecine »« psychiatre des hôpitaux »« praticien hospitalier au centre hospitalier de Cholet depuis 1980 », « ancien président de sa commission médicale d’établissement ». Ce médecin « atteste » ce qui suit :

« Je soussigné (…), atteste, en ce qui concerne mon collègue, Monsieur Amine UMLIL, pharmacien des hôpitaux,

1. Celui-ci apporte au centre hospitalier de Cholet un potentiel de connaissances, de compétences, d’exigences, nouvelles et de nature à constituer une contribution extrêmement positive au fonctionnement de l’hôpital ; il y a lieu de relever en particulier :

— des connaissances scientifiques et méthodologiques rares, une aptitude concrète à l’évaluation des produits et des procédures pharmaceutiques conformes aux exigences actuelles de la science, et surtout : cette évaluation indépendante des actions commerciales des firmes pharmaceutiques ;

— une connaissance précise, détaillée, actuelle de la réglementation relative à l’exercice de sa profession et, ce qui est encore plus important, un rapport positif à la loi et aux règlements ;

— une référence constante aux règles de métier de sa profession, en entendant par là non pas seulement les us-et-coutumes et les habitudes de celle-ci, mais les normes constitutives de l’excellence, d’où, chez mon collègue, un rapport spontanément sincère et sérieux, mais méthodique, aux procédures des démarches qualité ;

— une mise en œuvre effective, chaque fois qu’il n’y a pas été mis obstacle, de ces compétences en termes de performance, en particulier au service des patients grâce à sa disponibilité efficace et rapide auprès des médecins cliniciens, grâce à la qualité et à l’actualité de son information (et de la diffusion de cette information) relative aux risques liés à la pharmacothérapie fondée scientifiquement et non simple relais des messages commerciaux des firmes pharmaceutiques ;

— un respect de principe, sans doute excessif, parce que systématique, pour ses aînés et pour les détenteurs de l’autorité, de nature à lui rendre totalement inintelligible que ceux-ci ne s’illustrent pas par leur exemplarité en termes relationnels, professionnels, déontologiques et éthiques.  (…) ».

L’actuel directeur du centre hospitalier de Cholet, Pierre Vollot, attestait en 2017, auprès du ministère public d’Angers :
« […] Monsieur le Docteur UMLIL a acquis une expertise technique incontestable, renforcée par des capacités pédagogiques certaines. »

D’autre part, quand le législateur mosaïque recommandait, dans une loi sociale du texte biblique, de ne pas craindre le service prophétique de l’individu dont les oracles ne s’accomplissent pas, il ne croyait peut-être pas si bien fournir un indicateur objectif de mesure pour tout service de vigilance. Ici, et en l’espèce, dans une lettre ouverte datant du 12 mars 2021, le Dr UMLIL avertissait déjà de la nécessité d’un « recueil de consentement libre et éclairé », dénonçant alors le « projet d’obligation vaccinale » comme contrevenant aux articles 7.3.1 et 7.3.2 de « la résolution 2361 » du Conseil de l’Europe « adoptée le 27 janvier 2021 – alors même que même la loi introduisant le pass sanitaire n’allait intervenir que deux mois plus tard. Propos conclus à l’époque en qualifiant ledit projet de « faute juridique, morale, éthique et politique notamment ». Si six mois plus tard l’atmosphère sociale est saturée de ces sujets-là précisément, c’est bien dire que depuis sa vigie – le CTIAP, la sentinelle UMLIL avait bien vu ! Sinon cela révèle tout au moins la fiabilité de ses sources et une fatale efficacité du travail de vigilance effectué à ce moment-là, qui consiste à (pré)voir et signaler les anormalités et menaces perçues.

Appel final à manifester son adhésion à la nécessité de l’exercice libre de la vigilance pharmacologique et son soutien au CTIAP et au Dr UMLIL

Sur la base de ce qui précède, nous, signataires rassemblés par le collectif Vigilance Pandémie, appelons à exprimer concrètement l’adhésion à l’exercice libre de la pharmacovigilance, fonction vitale de notre système de santé, et ce en signant la pétition de soutien à l’un de ses fleurons nationaux, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet, et au Dr Amine UMLIL son fondateur et dont il est une principale figure active. Ce dernier est particulièrement menacé aujourd’hui par la perte de son poste du fait d’une obligation vaccinale dont la teneur sanitaire et juridique a été l’objet de ses critiques ordonnées.

La toile, à travers plusieurs médias, des sites internet ainsi que les réseaux sociaux, révèle une multiplication d’obstacles et sabotages de plusieurs scientifiques et praticiens en médical, biomédical et paramédical. Mais nous nous sommes focalisés sur le cas du CTIAP et du Dr UMLIL du fait de la fonction stratégique qu’ils occupent en faveur de la santé de tout le système en France. C’est ce que nous nous sommes employés à démontrer et à étayer dans cette lettre. Le soutien au Dr UMLIL et à son travail va unir et cristalliser toutes nos affirmations individuelles de la nécessité d’une pharmacovigilance forte en France. C’est donc là une démarche d’engagement nécessaire et stratégique dans le processus d’assainissement du système pharmaceutique et sanitaire en France.

Engageons-nous donc résolument à signer cette pétition dès maintenant !

Signataires :

Dominique TASSOT,

Ancien directeur R&D d’un groupe pharmaceutique

Alexandra HENRION CAUDE,

Directrice de recherche, spécialiste de l’ARN

Edouard HUSSON,

Professeur des universités

Gérald PECH,

Ingénieur dans l’industrie, ancien chercheur

Didier MAGNE,

Directeur industriel chez Symbiose SE2D

Agnès D’AMILLY,

Directrice administrative et financière

Maître Virginie DE ARAUJO RECCHI,

Avocate au Barreau de Paris, membre de l’Institut Art & Droit et de l’American Bar Association

Nicole DELEPINE,

Cancérologue, ancienne chef de service d’oncologie pédiatrique


Notes




Crise-covid. Vous ne pouvez plus dire…

[Source : benoit-et-moi.fr]

Le cri d’une députée italienne du Mouvement 5 étoiles, Sara Cunial, exclue de son parti (qui est actuellement au sein de la coalition gouvernementale menée par le banquier Draghi) pour avoir tenu des propos hors des clous à propos de la gestion de la crise sanitaire: elle interpelle ses collègues lors d’un débat à la Chambre sur le « Green Pass ». Seule contre tous, dans un magnifique élan de courage. En conclusion, elle s’adresse directement au Pape. On attend vainement la même chose en France.

Original en italien trouvé sur ce non moins formidable site: 
www.korazym.org/64986/la-dichiarazione-di-voto-di-sara-cunial-alla-camera-durante-la-discussione-del-vergognoso-decreto-green-pass/

Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol.

https://youtu.be/ttm3k0ws0Vo

Vous ne pouvez plus dire qu’il s’agit d’une urgence, car cela fait maintenant presque deux ans que cette gestion hystérique a commencé.

Vous ne pouvez plus dire que l’on ne sait rien du COVID, car il existe maintenant une littérature très solide, qui remonte même à avant la soi-disant pandémie.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de remèdes, car les remèdes sont connus depuis le printemps 2020, et maintenant l’EMA (Agence européenne de médicaments] a même commencé à approuver les premiers médicaments.

Vous ne pouvez plus dire que le plasma convalescent n’est pas une solution pour les cas qui ne nécessitent pas d’hospitalisation, car ceux qui l’ont démontré l’ont payé très cher [le principal promoteur de cette thérapie, le Prof. De Donno, chef de service à Mantoue, a très mal vécu le rejet dont elle a été l’objet, et il vient de se suicider, cf. blog du Dr Gulisano, ndt].

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin est la seule alternative, car il ne s’agit pas d’un vaccin mais d’une thérapie génique expérimentale, et il est illégal de forcer indirectement les Italiens à être des cobayes dans cette expérience.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins ne sont pas expérimentaux, car même les tests du premier vaccin autorisé ne sont pas encore terminés.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont sûrs car vous ne savez même pas ce qu’ils contiennent. Au contraire, les nouvelles du monde entier sont claires : des millions de lots ont été confisqués dans de nombreux pays en raison de la présence de substances étrangères, dont certaines très dangereuses, qui n’ont pas été reconnues et ne sont pas indiquées sur l’étiquette.

Vous ne pouvez plus dire qu’il est impossible d’obtenir une immunité collective sans le vaccin, car il a été prouvé qu’une grande partie de la population est déjà immunisée sans ce sérum, raison pour laquelle vous ne voulez pas que soient diffusés les tests sérologiques correspondants.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont efficaces, car on a fait les comptes, et la diminution du risque est à peine supérieure à zéro.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de risque dans la vaccination, car les chiffres des réactions indésirables des bases de données en Grande-Bretagne, aux États-Unis et en Europe parlent d’eux-mêmes. Lisez-les !

Vous ne pouvez plus dire que votre stratégie est le vaccin volontaire, car vous contraignez lentement tout le monde à le faire indirectement, par le chantage social, la traque et le mobbing. Vous utilisez la pandémie comme excuse pour les réformes sociales, économiques et du travail « sang et larmes » que votre Recovery exige comme rançon.

Vous ne pouvez plus dire que toutes les mesures mises en place ne sont que pour l’urgence, car l’OMS a publié un document – financé par Bill Gates et Rockefeller – sur l’utilisation permanente du passeport vaccinal.

Vous ne pouvez plus dire « l’Europe nous le demande », car dans le règlement 2021/953 de l’UE, à l’article 36, il est écrit : « il est nécessaire d’éviter toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui choisissent de ne pas être vaccinées ». Une phrase qui, dans le SEUL CAS de la TRADUCTION ITALIENNE, a été habilement dissimulée par les petites mains des Palais [du gouvernement] pilotés par les voleurs de vérité qui aiment saboter les textes normatifs de référence. Le but du Pass Covid européen – qui n’est vert qu’en Italie (évidemment en accord avec les visions nucléaires du ministre Cingolani) – est de « faciliter l’exercice du DROIT DE LIBRE CIRCULATION par les détenteurs ». NOTEZ « LIBRE », et non « SOUS CHANTAGE ». L’article 3, paragraphe 6, du règlement stipule : « La possession des certificats visés au paragraphe 1 ne constitue pas une condition préalable à l’exercice de la liberté de circulation ».

Vous ne pouvez plus dire que vous respectez la priorité des sources normatives car en acceptant le compromis au rabais pour les [tests] salivaires, dont la mise en œuvre est réglementée par la fameuse Circulaire du Ministère de la Santé, vous établissez qu’avec un pizzino [ndt: du mot sicilien pizzinu signifiant «petit bout de papier». Utilisé pour désigner de petits bouts de papier échangés de la main à la main par la mafia sicilienne pour les communications sensibles. Mais aussi les papiers que les députés et les sénateurs échangent au Parlement] de Speranza [ministre de la santé] vous décidez de la vie ou de la mort sociale, professionnelle et économique des citoyens italiens et de ce pays. Je vous rappelle que les tests salivaires rapides ont la même efficacité et donc le même taux d’erreur que les [test] nasaux chinois de torture.

Vous ne pouvez plus raconter la fable de l’immunisation que les vendeurs de vaccins savent si bien raconter, même ici. Combien de collègues testés, ou pire, de collègues vaccinés, ici, peuvent prétendre être immunisés et donc jurer qu’ils ne sont pas infectés ou contaminés ? Puis-je me sentir en sécurité si j’entre en contact avec la collègue Lorenzin [Beatrice Lorenzin, députée PD, ex-ministre de la santé] plurivaccinée ou bien suis-je dans la même situation que les patients de l’hôpital S. Eugenio, fermé pour cause d’épidémie Covid avec des personnels de santé tous vaccinés ?

Vous ne pouvez plus dire que les vaccinés ne contaminent pas, maintenant les nouvelles de vaccinés infectés et contagieux sont de notoriété publique.

Vous ne pouvez plus dire que vous travaillez pour le peuple car les membres du CTS [comité techno-scientifique] ainsi que les experts de la télévision, sont TOUS – et je dis bien TOUS – payés par les compagnies pharmaceutiques.

Vous ne pouvez plus dire que vous avez un système de pharmacovigilance rigoureux parce que nous avons compris à partir de l’incohérence des données entre l’AIFA [Agence Italienne du médicament.] et l’ISS [Istituto Superiore di Sanità] que vous ne pouvez plus tenir le devant de la scène et que vous êtes donc obligés de saboter les différents systèmes informatiques de santé nationaux et régionaux.

Vous ne pouvez plus dire que c’est pour notre bien, car les Italiens n’ont jamais été aussi mal.

Vous ne pouvez plus dire que la situation est mondiale, car de plus en plus de pays annulent leurs mesures d’urgence.

Vous ne pouvez plus dire que nous sommes dans une démocratie, parce qu’avec vos paroles et vos actions, chaque droit et chaque liberté disparaît, et depuis trop longtemps maintenant, ceux qui exercent leurs libertés constitutionnelles et naturelles sont blâmés et humiliés.

Vous ne pouvez plus parler de l’utilité des masques, après vos belles photos sans masque lors de divers événements officiels et sociaux.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont bons car les rapports des autorités sanitaires mondiales que vous censurez nous disent que les cas d’effets indésirables augmentent chez les vaccinés, touchent tout le monde, surtout les jeunes : par exemple en Israël (où le taux de population vaccinée est parmi les plus élevés au monde) le rapport officiel des effets indésirables des vaccins Pfizer avril 2021, fait état d’une augmentation de la mortalité de 22%. Et je vous épargne le dernier parce que c’est un carnage. Dans la tranche d’âge 20-29 ans, l’augmentation de la mortalité est dramatique ! Nous parlons de +32%, ce qui nous indique que le vaccin est beaucoup plus mortel pour les jeunes que pour les personnes âgées ! Il existe une étroite corrélation entre le nombre de personnes vaccinées chaque jour et le nombre de décès par jour dans chaque groupe d’âge. Le risque de décès après la deuxième vaccination est plus élevé qu’après la première. On observe une augmentation considérable – jusqu’à 26 % – de tous les problèmes cardiaques chez les personnes de moins de 40 ans (myocardite et péricardite). Et encore : forte prévalence des pertes menstruelles, atteintes neurologiques, squelettiques, cutanées… les cas de coagulopathie sont à l’ordre du jour, tout comme les infarctus du myocarde, les accidents vasculaires cérébraux, les fausses couches, l’interruption de la circulation sanguine dans les membres inférieurs et supérieurs, les embolies pulmonaires.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins préviennent les maladies car le chiffre officiel du ministère israélien de la santé du 13/08/2021 dit que 81% des cas graves à l’hôpital sont vaccinés avec 2 ou 3 doses !

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin améliore les vies car, en Grande-Bretagne, les décès des vaccinés sont plus de deux fois supérieurs à ceux des non-vaccinés ! Un document officiel intéressant de British Health, publié le 3 septembre 2021, indique que les cas de variant Delta mis à jour au 29 août 2021 indiquent 1798 décès, dont 536 n’étaient PAS vaccinés (30 % du total) et 1233 étaient vaccinés (69 % du total). DONC LE TAUX DE MORTALITÉ DES VACCINÉS EST PLUS DU DOUBLE DE CELUI DES NON VACCINÉS !

Vous ne pouvez plus dire que ceux qui critiquent la campagne de vaccination ont peur, car les données officielles rapportées ici concernent des pays qui ont fait une démonstration de vaccination dans le monde entier.

Vous ne pouvez plus dire que 1/3 des Italiens est soudainement devenu no-vax, ou penser que ceux qui sont critiques ont « peur » du vaccin parce que la peur ne provient pas des citoyens, la peur a été la clé de ceux qui ont géré et continuent de gérer une urgence très discutable et occupent indignement des postes au niveau du gouvernement.

Vous ne pouvez plus prétendre être intellectuellement honnêtes. Je ne m’adresse pas tant à la majorité, dont le parti dissident, en retirant des amendements et en votant contre des amendements visant à généraliser les tests salivaires et sérologiques rapides, a révélé les véritables positions, mais aussi à l’opposition. « Le certificat vert marque un premier pas vers la suppression définitive des obstacles à la libre circulation qui ont fait tant de mal à notre économie. Cet instrument doit être mis en œuvre le plus rapidement possible, afin qu’il soit effectif dès avant le début de la saison estivale. » C’est la déclaration officielle faite le 19 mars par la dirigeante de Fratelli d’Italia, Giorgia Meloni, qui a défendu la décision d’instaurer un laissez-passer vert car « l’adoption homogène de cette mesure dans toute l’Union européenne conduirait finalement à la suppression de toutes les restrictions ». INDIQUEZ CLAIREMENT POUR QUI VOUS TRAVAILLEZ. LES ITALIENS SONT FATIGUÉS DE CE MÉPRIS.

Vous ne pouvez plus dire que le Green pass améliorera nos vies parce qu’il est le moyen d’instaurer définitivement une dictature politique basée sur la peur et les éternelles urgences sanitaires justifiées par de fausses bases scientifiques, qui s’amuse à diviser la société en camps opposés, de bons et de mauvais, qui s’affrontent au lieu de combattre l’ennemi commun.

Vous ne pouvez plus dire que l’Italie est la meilleure parce qu’elle n’est que le laboratoire historique des expériences d’ingénierie sociale, et avec la France, elle est condamnée à devoir répondre aux folies des élites : d’un côté Draghi de matrice et de foi Goldman Sachs et de l’autre Macron, de marque Rothschild. Tout cela est dirigé par Soros et Gates qui, en jouant sur l’acquisition d’usines de tampons [tests], de terres agricoles et d’hôtels de luxe, sont les testimonial des fameux philanthropes de Davos amis d’Epstein

Vous ne pouvez plus envoyer le chef de cet État pour dire que nous devons renoncer à nos libertés et à la revendication de nos droits parce que l’État, c’est nous, les Italiens, et que nous sommes prêts à mourir pour les défendre !

Vous ne pouvez plus dire que se vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol.




Le test de résilience au covidisme d’État

[Source : (plumenclume.org]

Par Sébastien Renault

L’avantage des dictateurs, c’est qu’ils incitent à une mise à jour régulière de la santé mentale des peuples qu’ils victimisent, contribuant par-là, malgré eux, à la réviviscence de la conscience de leurs victimes et à la réappropriation des principes moraux qui président toujours à la construction individuelle et sociale d’êtres rationnels et libres. Macron et consorts ne font pas exception, il faut les en remercier.

La société dans laquelle nous vivons depuis des décennies était mûre pour une prise de contrôle dictatoriale des esprits bien avant l’émergence de la grande supercherie covidique d’État. La lucidité et l’honnêteté intellectuelle nous forcent à le reconnaître.  

Les malfaiteurs en chef, nouveaux dictateurs patentés à la solde de l’idéologie mondialiste et auxquels nous avons nous-mêmes donné le pouvoir, sont devenus de plus en plus puissants, sans rencontrer la moindre opposition notable, en raison de notre propre lâcheté et complicité consommatrices vis-à-vis d’un système pourtant frauduleux et pourri jusqu’à la moelle. Le problème de fond ne découle donc pas seulement des criminels qui sont derrière la « Grande Réinitialisation », mais bien de notre propre concours, jusqu’à une date récente au moins.

Dans un premier temps, l’esprit sainement septique, face aux escrocs politico-médiatiques en charge du discours officiel dogmatique, s’est développé sur le terrain délétère et contagieux de la peur, et nous avons vu la tromperie reprendre de plus belle.

D’où la pertinence de l’analogie du terrain et du virus, qui s’appuie sur la différence de paradigmes fondamentaux pour l’étude des maladies infectieuses, paradigme de l’origine interne de la maladie d’un côté ; paradigme canonique de son origine extrinsèque par l’intermédiaire de micro-organismes de l’autre. À la vue de ce qui se passe depuis maintenant un an et demi, on peut faire valoir que si les populations, analogues du terrain, n’étaient pas des proies aussi faciles, alors les élites et l’empire GAFAM, analogues du virus, ne pourraient pas si aisément les infecter.

Le déphasage fondamental entre la perception et la réalité de ce qu’on appelle, depuis début 2020, la « pandémie Covid-19 », continue de rendre possible ce phénomène psychoculturel que nous avons baptisé, dès les premiers mois de focalisation sanitaire monomaniaque et de sécuritarisme auto-aliénateur, le COVID-isme.

Le covidisme rime avec travestissement éhonté de la science. Il rime également avec hygiénisme scientiste – qui n’est évidemment pas la science (la science n’étant pas fanatique, comme le sont au contraire l’hygiénisme et le scientisme). Il rime encore avec lâcheté collaboratrice, qui sait toujours se présenter sous des airs de supériorité vertueuse et éclairée. Il rime, de surcroît, avec redéfinition de la santé par l’absence fantasmagorique d’influence virale (par-dessus tout du coronavirus), culpabilisation des innocents, interventionnisme étatique, obligation vaccinale, effémination de la société, nouvel obscurantisme, éclipse de la raison, dogmatisation de l’absurde sanitaire, …

[Note de Joseph :
Là société est-elle vraiment rendue « efféminée » (comme le pensent notamment ceux qui l’ont comparée à une jeune fille) ou plutôt infantilisée ?
Pour déterminer laquelle des analogies est la plus fidèle à la réalité observée, il est nécessaire de rappeler au moins brièvement les caractéristiques masculine, féminine et de l’enfant, adolescent y compris.
Le comportement et le tempérament de l’être humain découlent en grande partie de la biologie et des traditions ancestrales depuis notamment les sociétés primitives de chasseurs-cueilleurs.
Le masculin se caractérise ainsi plutôt par l’usage de la force physique, la tendance à l’action impulsive (par réflexe plutôt que sous l’effet d’une longue réflexion), l’exploration du monde, le goût pour la lutte et la compétition, l’esprit de conquête ou de domination, l’agressivité, la brutalité, le courage physique, la détermination, la prédation, la bestialité, le goût pour le bricolage, l’agitation, etc.
Le féminin se caractérise plutôt par la douceur, la tendresse, la réceptivité, la sensibilité, l’attention, les aptitudes éducatives, la fragilité, la tendance à protéger, le goût pour la décoration, la possessivité, la patience, le dévouement, la frivolité, la coquetterie, le courage moral, etc.
Si, dans la ligne ou la logique de l’inversion des valeurs et des choses, les femmes, sous l’impulsion du féminisme, ont tendance à développer des caractéristiques masculines, et, par réaction, les hommes ont tendance à développer des caractéristiques féminines, les deux polarités ont globalement tendance à trouver un certain équilibre, même si celui-ci reste instable et peut être dans certains pays plus marqué vers le féminin.
L’enfant lui est plutôt caractérisé par l’insouciance, le goût pour les jeux, le besoin d’être rassuré, le besoin d’attention, l’irrationalité, la curiosité, l’égocentrisme, le développement émotionnel, l’immaturité, la recherche des limites, les caprices, le manque ou la recherche de confiance en soi, etc.
L’adolescent y ajoute la rébellion, l’affirmation de soi, la recherche d’émancipation, l’angoisse existentielle, les changements rapides d’humeur, le développement mental et du raisonnement, etc.
Maintenant, quelles sont les caractéristiques de nos sociétés, au moins dans le monde occidental ?
Elles sont plutôt caractérisées de nos jours par l’irresponsabilité, l’égoïsme, le matérialisme, la recherche d’émotions fortes, la tendance aux loisirs, le goût pour la facilité, l’absence d’efforts, l’individualisme tout en recherchant le contact des foules ou des autres par instinct grégaire, la tendance à s’en remettre aux gouvernements et aux pouvoirs locaux, le manque de volonté, l’alignement sur la pensée unique ou commune, l’absence de questionnements, la faiblesse morale, la légèreté, la superficialité, l’absence de profondeur, le conformisme, etc.
De telles caractéristiques se rapprochent davantage de celles que l’on trouve chez l’enfant ou éventuellement l’adolescent et ne sont pas vraiment liées aux différenciations entre le masculin et le féminin ou au contraire peuvent parfois puiser dans les deux polarités, plutôt d’ailleurs par le manque que par la présence des caractères. Ainsi en est-il notamment de l’absence de courage. La masse des individus, et donc la société en général, tend à manquer à la fois de courage physique (caractère plutôt masculin) et de courage moral (caractère plutôt féminin). Par ailleurs, entre les tendances infantiles et celles de l’adolescence, le grand conformisme civilisationnel et la tendance à suivre les consensus et la pensée unique sont plutôt à l’opposé des tendances rebelles d’un adolescent et auraient bien plus à voir avec l’enfance. La forte et croissante tendance ludique et frivole se trouve elle autant chez le jeune enfant que chez l’ado.]

Ces derniers mois, tous ceux qui se sont courageusement évertués à mettre en garde les populations à la fois contre les dangers d’injections en phase expérimentale (alors qu’il existe déjà, comme nous le savons tous, des médicaments efficaces pour traiter les patients atteints du SARS-CoV-2) et contre la duperie de leur efficacité à triompher du virus, ont été censurés et ridiculisés comme des complotistes et des propagateurs de désinformation.

Après la proscription de traitements comme l’hydroxychloroquine [1] et l’ivermectine [2] (qui auraient pu sauver des centaines de milliers de vies), l’abolition pratique du serment d’Hippocrate et celle du consentement éclairé, voici donc venue la canonisation du « vaccin » mondialiste sous autorisation conditionnelle de mise sur le marché… Autant de faits vastement documentés et criants de scandale qui serviront, en son temps, au jugement de l’histoire.      

En attendant, que nous disent les faits du phénomène Covid politico-sanitaire à l’heure d’aujourd’hui ? En cette fin d’été 2021, la contagiosité grandissante des personnes complètement « vaccinées » parle d’elle-même. Après les flots d’aboiements accusatoires par les divers porte-drapeaux de l’autoritarisme sanitaire inflexible à l’encontre des pestiférés non-vaccinés, retour à la réalité parfaitement prévisible : le phénomène de transmissibilité aggravée du virus, en ces dernières semaines d’été, est principalement vectorisé par les vaccinés contaminés.

En appliquant à cette situation factuelle une manière toute covidique de raisonner, il faudra donc dire que ce sont ces nouveaux vecteurs vaccinés qui représentent aujourd’hui la principale menace pour la santé publique. Ce que confirment par ailleurs les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), qui les ont récemment identifiés comme des « super-diffuseurs » de nouveaux « variants » du SARS-CoV-2 [3].

Le 30 juillet dernier, les CDC ont publié un rapport d’enquête faisant état des nouvelles émergences d’infection vraisemblablement conditionnées dans le cadre d’importants rassemblements publics (où l’on suppose que le phénomène dit de « super-diffusion » se produit. Le document commence par admettre ce qui suit [4] :

« […] Environ trois quarts (346 ; 74 %) des cas sont survenus chez des personnes entièrement vaccinées (celles qui avaient complété un traitement de 2 doses de vaccin ARN messager [Pfizer-BioNTech ou Moderna] ou bien n’avaient reçu qu’une seule dose du vaccin Janssen [Johnson & Johnson] ≥14 jours avant l’exposition). […] Dans l’ensemble, 274 (79 %) patients vaccinés présentant une infection émergente étaient symptomatiques. Parmi les cinq patients atteints de la maladie COVID-19 qui ont dû être hospitalisés, quatre étaient complètement vaccinés… »

Les efforts déployés par le lobbying vaccinal absolutiste en vue d’inoculer le plus grand nombre de personnes possibles lors d’une pandémie à peine définissable comme telle (à la lumière de l’estimation du taux d’incidence des cas de SARS-CoV-2 en France à l’heure d’aujourd’hui [5] et de la spécification française du seuil épidémique des syndromes grippaux [6]), finissent toujours par déboucher sur des mutations virales qu’aucun vaccin, pas même au sens propre du terme, ne peut efficacement juguler. Encore moins des « vaccins » dont l’efficacité et la sécurité à long terme n’ont pas encore été testées (puisqu’il faut des années de recul pour parvenir à des conclusions probantes), sinon sur les populations elles-mêmes…

La mise en échec par les faits de la religion covidico-vaccinale absolue

En jouant comme toujours sur la peur et les sentiments, le gouvernement et ses relayeurs médiatiques habituels ont continué à pousser coûte que coûte la stratégie du radicalisme vaccinal comme solution consacrée, dans leur narrativité mystificatrice, par son « efficacité ». Les incompétents au pouvoir, dans leur folie covidique avancée, ont ainsi persévéré dans l’incompétence et l’arrogance qui les caractérisent depuis le début de la crise, oubliant que l’OMS elle-même a souligné à plusieurs reprises que la « vaccination » ne supprime pas le virus. 

Les médias se sont gargarisés tout l’été du slogan flagellateur de « pandémie des personnes non-vaccinées ». Sous-entendu, dans leur narrativité mystificatrice et détractrice : les personnes qui n’ont pas reçu l’injection expérimentale mondialiste constituent la majorité des personnes hospitalisées et des décès dus à la propagation du « variant delta ». Un mensonge éhonté !

Il s’agit toujours des mêmes procédés d’intimidation par les détenteurs de la bonne conscience extrémiste scientiste et humanitaire. Pour eux, toutes les contrevérités se justifient, puisque l’intégrisme de leur proposition, « hors du vaccin, pas de salut », ne saurait souffrir le doute des gens suffisamment éclairés. Tous les moyens sont donc légitimes, y compris l’atteinte aux libertés fondamentales, la diffusion de fausses nouvelles et la promotion discriminatoire, même s’ils plaident par ailleurs en faveur de tout ce qui est « antidiscriminatoire » – bienséance politicienne oblige (ne relevez pas ici la contradiction, même si elle est évidente, car elle est, elle aussi, « justifiée »).

En réalité, le nombre de cas positifs chez les personnes ayant reçu une ou plusieurs doses de l’injection expérimentale augmente régulièrement depuis la mi-juillet, comme l’attestent notamment les données de santé publique d’outre-Manche, d’Israël et d’Islande.

Au 21 août dernier, 62 % des patients britanniques hospitalisés et âgés de plus de 50 ans avaient reçu deux doses de l’injection expérimentale AstraZeneca-Oxford, contre 13 % n’en ayant reçu qu’une seule. Au total, les personnes « partiellement » ou « complètement » inoculées représentaient donc 75 % des nouvelles hospitalisations outre-Manche.

Il en va de même pour les personnes malheureusement décédées. Dans le groupe des plus de 50 ans, la nette majorité des patients (70 %) avaient reçu soit une ou deux doses du composé à vecteur adénovirus d’AstraZeneca-Oxford.

On ne sait pas si les hôpitaux britanniques désignent encore comme « patient Covid » toute personne ayant été admise et dont le test PCR est déclaré « positif ». Si tel était encore le cas (comme ça l’est, notamment dans de nombreux établissements aux États-Unis), les personnes souffrant de pathologies ne présentant aucun symptôme du SARS-CoV-2 pourraient être indûment comptées dans la catégorie des « patients non vaccinés » (histoire de maintenir aussi longtemps que possible le statu quo narratif).

En Israël, où l’adoption de l’injection expérimentale a été très élevée en raison des restrictions draconiennes de liberté imposées aux personnes qui ne s’y soumettraient pas, les données montrent que les personnes ayant reçu au moins deux doses du cocktail mondialiste sont 6 à 7 fois plus susceptibles d’être infectées que les personnes bénéficiant d’une immunité naturelle [7].

Le fameux laboratoire israélien grandeur nature n’entend d’ailleurs pas en rester là, puisque plus d’un million de ses citoyens âgés de 50 ans et plus ont déjà reçu un troisième rappel de l’injection à ARN messager concoctée par Pfizer-BioNtech. Les nouveaux cas de contamination ne s’en multiplient pas moins à l’heure actuelle à une vitesse croissante.

Selon Uri Shalit, bio-informaticien au Technion (l’Institut israélien de technologie) :

« Il y a tellement d’infections émergentes qu’elles s’avèrent prédominantes, et la plupart des patients hospitalisés sont en fait vaccinés. » [8]

Dvir Aran, expert en données biomédicales également au Technion, avertit les autres nations tentées de s’inspirer du modèle israélien pourtant catastrophique :

« Ne pensez pas que les rappels soient la solution. »

Dans leur étude mise en ligne le 25 août 2021 [9], Sivan Gazit et coauteurs montrent, comme nous l’avons pointé plus haut, que la protection naturellement conférée par une infection antérieure est largement supérieure à ce que peut conférer l’injection de Pfizer-BioNTech.

Ces chercheurs ont également suivi de près l’évolution récente des infections dites « émergentes », et leurs études indiquent que les personnes « vaccinées » sont jusqu’à 13 fois plus susceptibles de contracter le variant covidien « delta » que les personnes « non-vaccinées » et déjà rétablies d’une infection par le SARS-CoV-2.

L’étude indique également que les personnes « vaccinées » présentent toujours un risque plus élevé d’hospitalisations liées au SARS-CoV-2 par rapport aux personnes « non-vaccinées » ayant déjà été contaminées par le virus. Plus précisément, les personnes « vaccinées » qui n’ont pas été infectées auparavant par le SARS-CoV-2 présentent désormais un risque près de 6 fois plus élevé de vectoriser l’infection dans sa nouvelle forme dite « delta » …

D’après ces données, il semble assez clair que les différentes injections « miracles » des grands cartels pharmaceutiques à la tête de la « guerre » génique expérimentale anti-Covid ne protègent pas les personnes de plus de 50 ans (sans entrer ici dans les détails des effets indésirables graves et non graves par tranches d’âge [10] potentiellement liés aux produits dits « vaccinaux » anti-Covid). De sorte que le déploiement des injections de rappel dans ces pays (pour une quatrième, puis une cinquième, puis une sixième dose, etc.) ne fait pas l’ombre d’un doute (car l’évidence de l’échec ici n’entrave nullement la détermination covidique officielle vis-à-vis de l’efficacité des « vaccins », porteurs contemporains du salut). Et il y a tout lieu de penser que les mêmes tendances apparaîtront prochainement dans d’autres pays, à commencer par la France (chose déjà en vigueur pour ce qui est de la troisième dose [11]).

Comme toujours depuis que le monde entier est en proie à un projet d’essai « vaccinal » unidimensionnel sous prétexte dela propagation du SARS-CoV-2, il est de mise de rappeler qu’un vaccin, au sens propre du terme, doit non seulement stimuler une réponse immunitaire chez le patient qui le reçoit, mais encore perturber la transmission de tel ou tel pathogène x ou y.

Ce n’est pas ce que fait l’ARN messager des injections dites « anti-Covid », dont l’information entre directement dans les cellules des personnes aujourd’hui inoculées en masse. Ce produit est un traitement synthétique (au sens où il consiste fondamentalement en la synthétisation de nanoparticules toxiques, appelées protéines de pointe), qui n’est pas conçu pour faire obstacle à la transmission du virus. Outre le mécanisme spécifique de l’ARN messager dans la production de protéines de pointe conformes au principe actif du SARS-CoV-2, la présence attestée d’oxyde de graphène, sur laquelle nous allons succinctement revenir ci-dessous, est fortement susceptible d’expliquer la montée actuelle de multiplication des nouveaux cas d’infection comprenant un grand nombre de personnes déjà plusieurs fois inoculées.  

À noter enfin qu’en Italie, l’extrémisme vaccinal n’est pas non plus en reste, avec la récente menace émise par l’ancien président de la Banque centrale européenne, l’actuel Premier ministre Mario Draghi, de rendre l’inoculation anti-Covid obligatoire pour tous [12]. Draghi attend de l’Agence européenne des médicaments (AEM) le feu vert de leur accord complet pour faire sauter la liberté au nom du covidisme qu’il professe. Le gouvernement italien, comme en France, a déjà rendu obligatoire la « vaccination » des travailleurs médicaux s’ils veulent être rémunérés.

Divergence de base virale : « en guerre » contre « quoi » ?  

Dans leur bienveillance affectée, les pouvoirs publics accordent aujourd’hui au peuple une liberté conditionnelle, qui n’est donc plus un droit naturel (au sens de droit fondamental et inaliénable), mais plutôt un privilège qui s’octroie ou non – cela dépend de la volonté des citoyens de se conformer à ce qui a été décidé pour eux par le « Conseil de défense et de sécurité nationale » (puisque nous serions « en guerre »), pour leur « plus grand bien » (c’est évident, il faudrait être tombé dans le piège du complotisme pour penser le contraire).

En guerre, mais contre qui exactement ? Ou plutôt, contre quoi ? Contre la liberté certes, cela est désormais explicitement entériné par les mesures en place, notamment un apartheid sanitaire. Mais en « guerre » déclarée, en premier lieu, sous prétexte de la mener à l’encontre d’un certain virus (chose en soi des plus absurdes), dont l’identité aurait néanmoins peut-être échappé aux va-t-en-guerre patentés de la nouvelle sanitocratie universelle.

Que voulons-nous dire ? Que Fauci et ses acolytes des CDC et de l’Institut Pasteur sont soupçonnés, non sans raison, de ne pas avoir disposé de la base virale entièrement développée du SARS-CoV-2 ; base à partir de laquelle il serait possible de calibrer un test de dépistage standard propre à la détection de ce virus particulier.

Un document [13] mis en ligne le 21 juillet dernier par l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (la FDA) semble en effet indiquer que les CDC et la FDA, faute d’échantillons physiques du SARS-CoV-2, ont échafaudé un protocole de test destiné à la détection massive du « coronavirus » sur la base de cellules humaines immunitaires et épithéliales combinées à des fragments de rhinovirus (d’où procèdent les formes annuelles de la rhinopharyngite).

Or, sans matériel génétique de référence pour calibrer et confirmer le PCR, le test n’a aucune base scientifique dans le domaine de la réalité physique proprement dite. Par conséquent, si la chose était corroborée, la crédibilité matricielle de l’analyse PCR basée sur ledit protocole serait des plus douteuses (avant même de parler des amplifications de cycles qui ont eu cours sans vergogne dans le monde entier depuis plus d’un an). Car nous aurions alors affaire à une méthode falsifiée à la racine même de ce qui est devenu le test standard de dépistage PCR.

L’avantage de cette falsification est bien sûr facile à comprendre, si l’objectif était de répertorier le plus grand nombre de personnes possibles comme patients ayant été testés « positifs », donc infectés par le SARS-CoV-2, quand bien même elles ne présenteraient rien d’autre que d’infimes quantités de fragments d’ARN issues d’autres souches des Coronaviridae – d’infections virales révolues des mois auparavant, mais encore détectables au sein de l’appareil respiratoire des patients testés tous azimuts depuis le début de la crise sanitaire Covid-19.

Si, comme le document semble l’indiquer, les chercheurs travaillant au sein de l’orbite « faucien » ne purent fournir « d’isolats quantifiés du 2019-nCoV à l’usage des CDC » lors de la mise au point de ce qui allait devenir le test standard universel de dépistage PCR (à noter que la défectuosité du protocole du test PCR est désormais admise par les CDC, qui l’interdiront en conséquence d’ici la fin de l’année, affaire à suivre), c’est qu’en lieu et place de tels échantillons de référence proprement isolés, le profil de base de la maladie virale « faucienne » ne présente rien d’autre qu’un composé multicellulaire de souches de virus grippaux et de rhumes banals.

Dans la logique interne de cette histoire somme toute curieuse, les tests de dépistage PCR ont donc été configurés de manière à détecter chez les patients testés les séquences génétiques obtenues initialement à partir de banques de données numériques artificielles (donc plus ou moins forgées à partir de cellules épithéliales alvéolaires et de fragments d’ARN inventoriés de quelques picornaviridés et autres virus grippaux saisonniers communs).

Aucun médecin ou chercheur n’ayant isolé le SARS-CoV-2 à partir d’un patient infecté et symptomatique, aucun instrument de laboratoire ne peut être proprement calibré contre les caractéristiques dictées par son statut référentiel physique. En conséquence, les tests s’appuient simplement sur les propriétés des bases de données diffusées par les CDC et l’OMS, en utilisant le terme « Covid » comme étiquette numérique de référence ubiquitaire.

Cela expliquerait par ailleurs pourquoi la grippe saisonnière a quasiment disparu en 2020… Tous ceux ou presque qui en sont réellement tombés malades se sont vus attribuer, par défaut, le diagnostic « Covid » …

Il est vain de faire la guerre à un virus, puisqu’un virus ne fait qu’exécuter un programme naturel de perpétuation de lui-même, sans intelligence réflexive libre ni la moindre volonté de détruire qui que ce soit. Oui, le virus de Fauci et consorts est bien là, fabrication mondialiste au service d’un plus grand projet mondialiste. Son identité réelle (variée et variante) demeure néanmoins évasive, quoiqu’inscrite, d’abord, dans un profil de bases virales connues. Tout semble avoir été pensé pour protéger les différents coupables à court et à long terme, et finalement les exonérer (comme on le fait déjà aujourd’hui en accordant l’immunité aux consortiums pharmaceutiques), alors qu’on pénalise collectivement les victimes de cette grande expérimentation covidique mortifère.

Oxyde de graphène : confirmation (dans le silence médiatique)

À la fin du mois d’août, les résultats d’un chercheur américain, le docteur Robert O. Young, ont été rendus publics sous la forme d’un article approfondi intitulé Scanning & Transmission Electron Microscopy Reveals Graphene Oxide in CoV-19 Vaccines (une traduction en a été relayée ici sur ce site).

Nous conseillons fortement la lecture de cet article, ainsi que l’examen attentif des diverses images provenant de la microscopie électronique en transmission, des tableaux, des schémas et des graphiques particulièrement intelligibles que fournit l’auteur.

Il ne s’agit nullement de « complotisme », mais bien de science et de recherche protocolaire détaillée, faisant certes dissensus par rapport au discours public ambiant (lequel se fait l’écho du chantage gouvernemental à la liberté pour engendrer un alignement anti-libéral collectif).

Ce n’est pas notre propos de récapituler ici le contenu de cet article. Mais nous en prenons acte pour mettre en exergue les résultats remarquables de cette enquête scientifique (contre l’omission prévisible de la part des médias globaux) et ajouter quelques réflexions complémentaires. Le principal résultat que confirme cette étude, et qu’il convient de souligner en premier lieu, est le suivant : le signal d’absorption des faisceaux nanoparticulaires identifiés dans les flacons d’injections « vaccinales » (de Pfizer, de Moderna, d’AstraZeneca et de Janssen), lorsqu’on l’analyse au moyen de la microscopie électronique en transmission, indique que ces produits contiennent des quantités importantes d’oxyde de graphène, un composé carbonique caractérisé par sa très haute conductivité électrique. Chose qui avait déjà été esquissée et observée il y a plusieurs semaines par des chercheurs espagnols, mais qui nécessitait un protocole et des outils technologiques particuliers pour être corroborée par différents chercheurs dans différentes régions du monde. C’est désormais le cas. On notera au demeurant que le problème, en tant que tel, de la toxicité des nanoparticules d’oxyde de graphène, a été traité auparavant et diffusé dans le domaine public à travers diverses publications scientifiques [14].

Autre élément notoire, le fait que l’oxyde de graphène tient lieu d’ingrédient « masqué » dans les produits géniques expérimentaux présentés au public comme « vaccins » (les brevets ne le divulguent pas, contrairement à tous les autres ingrédients). Pourquoi une telle dissimulation ?

Or, on constate que les troubles de coagulation (sous forme de micro-caillotages tout-à-fait symptomatiques), plus encore que les myocardites, les maladies à prions, les divers problèmes de reproduction et autres complications à foison, sont non seulement les plus fréquents, mais également les plus directement mis en corrélation avec les propriétés thrombogènes de l’oxyde de graphène. Il y aurait donc matière à vigilance ici, si du moins la déraison covidique ne s’était pas implantée si profondément au sein de nos sociétés décadentes et subjuguées par la peur.

Il est également indiqué ici de souligner que les électro-fréquences et les phénomènes magnéto-biologiques particuliers induits par l’intermédiaire de l’oxyde de graphène dans les injections anti-Covid ont de fortes chances de modifier de manière significative les propriétés conductrices des fluides et des tissus corporels (nous ne prétendons pas avoir observé et mesuré un tel phénomène, mais soumettons simplement ici nos réflexions, à titre d’hypothèse). Le contenu ionique intracellulaire et extracellulaire d’un système biologique détermine en premier lieu les propriétés conductrices de ses organes et fluides constitutifs. Ce qui a été observé, à l’intérieur comme à l’extérieur de structures bio-corporelles animales, c’est que la résistance diminue progressivement à mesure que la fréquence augmente. Bien sûr, si l’on considère le profil conducteur interne d’un système biologique donné, la résistivité va varier d’un organe à l’autre. La question est donc de déterminer dans quelle mesure la résistance et la capacitance de structures corporelles internes sont sujettes aux fluctuations des fréquences d’éléments complexes absorbés (tels que l’oxyde de graphène) et des radiations environnementales.

Une chose semble certaine, c’est qu’après inoculation, l’oxyde de graphène ainsi biologisé acquiert une excitation électronique et une résonance magnétique qui s’alignement précisément sur la troisième bande de fréquence du rayonnement des technologies 5G.

Rappelons par ailleurs que les cellules du corps humain sont spécifiquement conçues pour conduire des courants électriques. Le flux intra-somatique d’électricité est indispensable au système nerveux pour assurer l’émission de signaux à travers tout le corps, crucialement vers le cœur et le cerveau. La membrane cellulaire elle-même fonctionne comme un dispositif de séparation ionique permettant à la cellule de générer des courants électriques. La stimulation d’une cellule permet notamment aux charges positives d’en pénétrer la structure par le biais de ce qu’on appelle des canaux ioniques. Lorsque la cellule se charge positivement, elle génère d’autres courants électriques qui vont à leur tour produire des impulsions électriques, influx neveux indispensables à la mise en action de nos mouvements et gestes moteurs quotidiens, de nos pensées et autres comportements coutumiers au jour le jour.

En outre, les réactions d’oxydoréduction revêtent une grande importance au sein des systèmes électro-biologiques, tels que le corps humain. Le processus d’oxydation biologique repose fondamentalement sur le transfert (libération et capture) de protons et d’électrons d’une molécule (dite « oxydée », par perte d’électrons) à une autre (dite « réduite », par gain d’électrons). Les processus biologiques d’oxydoréduction présentent un certain nombre de caractéristiques bien définies. Ils font partie intégrante de la préservation du bon fonctionnement et de la santé d’un organisme. Nous n’y reviendrons pas ici, mais voulons simplement rappeler que l’altération de ces processus (telles que la respiration tissulaire, la phosphorylation oxydative, les réactions constituant le cycle de Krebs, etc.) est à l’origine de perturbations métaboliques et de maladies très graves pouvant entraîner la mort (les symptômes de maladies graves associées à l’altération des processus d’oxydoréduction peuvent inclure faiblesse musculaire, tremblements incontrôlés, manque de coordination, accidents vasculaires cérébraux, diverses paralysies, …).

De ces réflexions de base, retenons et appliquons les deux principaux objets d’analyse que nous avons ici brièvement abordés: 1) l ’incidence de la fonction de fréquence par rapport à la résistivité organique, et 2) l’induction d’un déséquilibre du mécanisme de transfert des électrons inhérent aux réactions d’oxydation et de réduction dans l’organisme; appliquons-les donc à la présence électriquement active d’oxyde de graphène chez les milliards de patients aujourd’hui inoculés à travers le monde « contre » le SARS-CoV-2. 1) Lorsqu’il est excité par truchements électromagnétiques ambiants, l’oxyde de graphène multiplie en conséquence ses propres fréquences. 2) En fonction de l’intensité du signal incident, il s’oxyde beaucoup plus vite et finit notamment par rompre l’équilibre entre les niveaux (naturellement bénéfiques) de glutathion et la toxicité dont il est lui-même l’élément déclencheur une fois intégré à l’organisme au moyen d’une des quatre injections mondialistes. C’est en cela qu’il peut entraîner toute une panoplie d’altérations métaboliques redoutables et de modifications très sérieuses du comportement du système immunitaire.   

Objectif perpétuation pathogénique indéfinie, régulation démographique, et neuromodulation des peuples… On peut certainement le craindre, en prenant acte de ces découvertes, quand bien même (et surtout !) puisqu’elles ne seront pas ébruitées par les maîtres du discours.

Récapitulation : comprendre le covidisme en fonction du tout globaliste

Nous vivons une époque sans précédent de mensonges, de négation de la vérité, de propagande et de violence systémique sans précédent. Cela est d’autant plus attesté et pernicieux que cette même époque aime par-dessus tout se parer des apparences de l’illumination intellectuelle, du progrès, de la compassion inclusive à toute épreuve (sauf quand il s’agit des brebis galeuses non-vaccinées), de la philanthropie (du moins, lorsqu’elle est rentable), de l’œcuménisme non dogmatique (dont le seul dogme n’est autre que l’absence de dogme, opinionisme oblige), de la liberté de choisir (par exemple d’en terminer avec une grossesse encombrante, mais certainement pas de mettre en doute et de rejeter les nouveaux « vaccins » mondialistes), etc.

L’hypocrisie est pour le moins flagrante, d’où la violence fondamentale, à la fois intériorisée et de plus en plus extériorisée, qui caractérise notre situation historique et culturelle en ce premier quart du XXIe siècle.

Mais il fallait, semble-t-il, redonner une épaisseur nouvelle à l’hypnose collective bêtifiante. Car les récents « travers » populistes (principalement le Brexit et l’élection de Trump en 2016) indiquaient qu’une prise de conscience des peuples allait dans le sens d’un mouvement de réluctance opiniâtre capable d’interférer avec les principes et les tactiques politiques des forces organisées du mondialisme.  

Entrent en scène la peur (outil de choix des despotes), la panique mimétique, la surenchère de dépistage et de chiffres falsifiés (fraude des tests PCR, statistiques de décès des plus douteuses), l’effondrement économique, les élections américaines piratées et dérobées au profit de Biden, l’isolement forcé des peuples limitant l’accès à l’air frais et à la lumière du soleil… Entrent donc dans notre champ visuel les conditions d’existence du monde covidique façonné en 2020.

La censure technocratique, la lutte contre le changement climatique (objectif « Pacte vert mondial », au nom de la « santé publique »), la numérisation de l’éducation et de l’interaction sociale, le « vaccin » universel (comprenant, dans sa confection, des produits génétiques dérivés de lignées cellulaires d’enfants avortés), la mise en place d’une monnaie numérique mondiale, comptent parmi les principaux piliers impérieux de la refonte escomptée par les partenaires mondiaux du Forum de Davos. Les retournements orwelliens de définition et autres détournements linguistiques (« neutralité climatique », « pandémie », « seuls ensemble », « nouvelle normalité », « le pass = liberté », « vaccins », « nouveaux variants ») sont aussi au programme de la fraude épistémique généralisée – au service du dressage et de la conquête des esprits – et de la grande reconfiguration du monde, selon le projet pan-numérique de la caste technocratique.

D’où l’énumération non exhaustive suivante du programme de « Grande Réinitialisation », plus violemment que jamais à l’ordre du jour, que nous proposons ici pour mieux situer le phénomène du covidisme d’État dans son rapport au grand Léviathan du tout globaliste (le lecteur sera libre de peaufiner et de compléter la liste) :

  • un gouvernement mondial ;
  • une monnaie numérique mondiale ;
  • une banque centrale mondiale ;
  • une armée mondiale ;
  • la fin de la souveraineté nationale ;
  • la fin des races (selon la logique interne du racisme suprême de l’antiracisme institutionnalisé) ;
  • la fin de toute propriété privée (maisons, voitures, petits commerces…) ;
  • la fin de la cellule familiale traditionnelle ;
  • la fin de la conjugalité et de la fécondité naturelles ;
  • la prise en charge éducationnelle des enfants par le gouvernement ;
  • ’éradication « compassionnelle » des personnes âgées (euthanasie universelle) ;
  • la dépopulation eugénique au profit du culte néopaïen de la planète (rappelons, par contraste, ce que disait un saint Jean de la Croix, qui scandaliserait les nouveaux fondamentalistes de la révérence écologique absolue : « Une seule pensée de l’homme vaut mieux que tout l’Univers, et Dieu seul en est digne ») ;
  • la mise en place d’une sanitocratie universelle ;
  • les vaccins obligatoires partout (canonisation universelle des principes de l’Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation, en anglais GAVI) ;
  • l’interdiction de la naturopathie et des médecines naturelles alternatives ;
  • perpétuation indéfinie des masques faciaux (suppression des visages) ;
  • l’allocation universelle ou revenu de base (l’austérité généralisée) ;
  • le sécuritarisme omniprésent ;
  • la surveillance de masse : basée sur la pan-connexion 5G (un réseau d’ondes millimétriques universalisé), les QR codes, et les micropuces ;
  • le système de crédit social (à la chinoise) ;
  • la fin des entreprises indépendantes ;
  • la fin des combustibles fossiles ;   
  • la restriction des voyages aériens non essentiels ;
  • la fin de l’irrigation, des fermes et des pâturages privées ;  
  • la concentration de la population dans les zones de peuplement ;
  • l’utilisation restreinte des terres ;

Réflexions conclusives

En 2021, la vertu maîtresse est de garantir la santé publique et le « bien-être » des peuples sous tutelle étatique, quand bien même les moyens d’y parvenir seraient irrationnels et liberticides.

Dans le prolongement de l’effémination de la société et de l’élévation désormais obligatoire de la figure homosexuelle bienpensante en Occident, la castration de l’homme covidique contemporain, par la peur et l’infantilisation, fait le jeu d’un remodelage complètement contre nature de l’humanité et des valeurs qui sous-tendent toujours l’édification et le développement de toute authentique civilisation. Aujourd’hui sous régime de liberté surveillée, l’homme covidique contemporain s’accommode très bien des prémisses émasculateurs de l’État-providence et de la destruction des valeurs, en premier lieu des valeurs masculines de courage, de résilience, de persévérance dans l’adversité, y compris face à la mort, inéluctable pour tous ici-bas.

Les mesures sanitaires prises par les autorités françaises n’ont eu aucune incidence jugulatrice sur l’épidémie, tout le monde le sait très bien (même ceux qui font semblant de ne pas le savoir). Plutôt que d’en prendre acte, ces mêmes autorités ont diffusé sans vergogne l’idée que la responsabilité de nouveaux développements et cas d’infection devait être imputée aux comportements déviationnistes des Français, particulièrement des « anti-vax complotistes » …

L’utilisation de la force et de la culpabilisation contre les citoyens pour se dédouaner de ses responsabilités colossales dans la gestion désastreuse de la crise sanitaire est une stratégie que le gouvernement français a systématiquement adoptée depuis un an et demi. Par son comportement répressif, accusateur et bien souvent bricoleur, il a fait le lit d’un vaste sinistre aussi bien économique que sanitaire et social. La dogmatisation de l’absurde sanitaire qu’il continue de professer et d’imposer au peuple est un scandale sans précédent.

La débâcle gestionnaire que nous avons vue à l’œuvre et malheureusement subie relève à la fois de ce scandale et de ce qui caractérise le plus distinctement cette ère hystérique du covidisme d’État : l’abdication de la rationalité.

Le type de rationalité qui perdure, par nécessité, nonobstant l’élaboration de politiques sécuritaires irrationnelles par nos instances étatiques entièrement soumises au covidisme, est celui qui soutient le projet aujourd’hui presque entièrement actualisé d’une hégémonie technocratique (vaccinale et numérique). Sans rationalité découlant d’abord de la technè, impossible de concevoir et de finalement mettre en œuvre le Nouvel Ordre civilisationnel de l’inoculation génique et de la surveillance universelle qui s’impose aujourd’hui.

C’est contre ce dévoiement totalitaire que continue de se lever aujourd’hui la France courageuse, la France qui fait aujourd’hui des émules dans le monde entier.  

Les représentants du pouvoir, de leur côté, restent enfermés dans leur déni péremptoire et autoritaire, coutumiers indécrottables de tactiques violant toute éthique médicale digne de ce nom. Ils se sont fourvoyés depuis le début, et l’entêtement persiste, comme si de rien n’était.

L’inversion accusatoire qui consiste à faire porter le fardeau de l’immoralité sur le dos des défenseurs des libertés fondamentales est la marque immanquable de cet orwellisme pharisaïque des détenteurs contemporains du pouvoir politico-médiatique. Dans leur suffisance « anti-complotiste » et donneuse de leçons de morale sanitaire, les accusateurs covidistes vont aujourd’hui jusqu’à faire passer les conditions d’existence en société pour un crime contre celle-ci. À commencer par le simple fait d’interagir avec autrui (sans faire de concession à l’irrationalité covidique de la peur d’autrui), parce que cela pourrait impliquer la possibilité de transmettre le virus à d’autres personnes… La logique de l’inversion morale, derrière cette manière démentielle de raisonner, pose pour prémisse que la transmission du virus, en soi, constitue un crime sans équivoque. Les restrictions en place sont dès lors moralement justifiables et justifiées. On trouve la même forme de raisonnement vicié depuis un an et demi au fondement des stratégies de contrainte préventive, d’infantilisation des peuples et d’utilisation de la force constitutionnelle et exécutive pour asseoir un monopole sanitaire illégitime.

Lorsque les exceptions qu’un État impose par rapport aux libertés et aux droits fondamentaux de ses citoyens peuvent être mises en avant et promulguées sans honte comme « libératrices », il est clair que l’inversion morale est allée beaucoup, beaucoup trop loin.

Dans ces conditions, se défendre du sécuritarisme tyrannique d’État, du covidisme hystérique et délateur, et des intimidations coercitives « légales » du pouvoir face à une menace aussi peu meurtrière que celle du coronavirus devient un devoir incontournable, une obligation morale interne surgissant de la conscience de tout homme encore rationnel et libre.

Pénaliser par « précaution », voilà une démarche qui ne pouvait tenir (on l’a vu dès l’an dernier). Le chantage à la liberté, intrinsèquement contradictoire, ne peut non plus tenir. Nous sommes une majorité à abominer la surveillance universelle, dont le « pass sanitaire » est le marchepied. Le glissement totalitaire est désormais consommé. Mais il s’agit d’un échec gouvernemental en tous points, et le grondement légitime des peuples se fait entendre des quatre points cardinaux.

Gardons espoir que la rentrée et les semaines à venir vont fournir la poussée supplémentaire à la levée de boucliers de tous les amis de la civilisation et de la loi naturelle.

Notes

[1] Et le procès condamnateur particulièrement avilissant à l’endroit du professeur Didier Raoult.

[2] Qui, entre autres effets bénéfiques, renforce de manière prouvée l’activité cellulaire antivirale naturelle en augmentant la production naturelle d’interféron. En d’autres termes, il ne s’agit pas seulement d’un médicament antiparasitaire à l’usage des vétérinaires (comme d’aucuns propagandistes du pouvoir l’ont répété à l’envi), mais bien d’un inhibiteur avéré (et sans effets secondaires) de l’activité du SARS-CoV-2.

[3] https://www.businessinsider.com/cdc-fully-vaccinated-people-can-spread-delta-variant-2021-7.

[4] Outbreak of SARS-CoV-2 Infections, Including COVID-19 Vaccine Breakthrough Infections, Associated with Large Public Gatherings — Barnstable County, Massachusetts, July 2021 | MMWR (cdc.gov).

Il convient de signaler ici un article de recherche de 2015 qui examine si les vaccins pourraient en fait favoriser l’évolution d’agents pathogènes plus virulents que le virus de base : 
Imperfect Vaccination Can Enhance the Transmission of Highly Virulent Pathogens (plos.org).  

[5] https://www.sentiweb.fr/document/5398 (« Situation observée pour la semaine 35 de l’année 2021, du 30/08 au 05/09/21 », voir p. 2/3).

[6] De 173 cas pour 100 000 habitants (ratio du seuil épidémique établi en 2016).

[7] Voir l’étude intitulée 
Comparing SARS-Cov-2 natural immunity to vaccine-induced immunity: reinfections versus breakthrough infections, par les docteurs Sivan Gazit et son équipe de recherche au 
Maccabi Research and Innovation Center (nous allons y revenir quelque peu ci-dessous). 

[8] https://www.science.org/news/2021/08/grim-warning-israel-vaccination-blunts-does-not-defeat-delta

[9] Voir en note [7].

[10] Thromboses (artérielles, veineuses, cérébrales), ischémies, myocardites, péricardites, cas d’hyperperméabilité capillaire, pneumopathies, fausses-couches spontanées, cas de syndrome de Guillain-Barré, …

Voir, par exemple en France, d’après les données répertoriées par l’ansm (et, plus spécifiquement, 
https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins), les enquêtes de pharmacovigilance pour l’injection de Pfizer-BioNTech
(le rapport nº 17 : période du 28 mai 2021 au 1er juillet 2021, ce qui date déjà quelque peu), notamment les pages 8 et 9, ainsi que les tableaux récapitulatifs des cas non graves et graves en pages 43 à 51 ; et pour l’injection Vaxzevria/AstraZeneca
(le rapport nº 14 : période du 04 juin au 08 juillet 2021).

[11] https://www.vie-publique.fr/en-bref/280887-covid-19-la-has-rend-son-avis-sur-une-3e-dose-de-vaccin

[12] https://francais.rt.com/international/90331-covid-19-mario-draghi-pret-imposer-vaccination-obligatoire-italie

[13] https://www.fda.gov/media/134922/download

[14] Voir le bulletin d’alerte du 21 juillet 2021 : 
https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html   

Une étude de 2016 sur les nanomatériaux dérivés du graphène et sur leur toxicité in vivo et in intro : 
Toxicity of graphene-family nanoparticles: a general review of the origins and mechanisms | Particle and Fibre Toxicology (biomedcentral.com).

Une autre étude, datant de 2014, sur les nanoparticules magnétiques (à l’œuvre dans les thérapies géniques) : Superparamagnetic nanoparticle delivery of DNA vaccine – PubMed (nih.gov).

Également cette étude de 2010 portant spécifiquement sur la toxicité provoquée par les nanoparticules lipidiques chargées positivement : The systemic toxicity of positively charged lipid nanoparticles and the role of Toll-like receptor 4 in immune activation – ScienceDirect.