Les simulations, alibi pseudo-scientifique de la vaccination des enfants

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Dr Gérard Delépine, pour FranceSoir

TRIBUNE – Volet II de l’analyse des simulations-prédictions au cours de la crise covid-19.

[NDLR Volet I : Retour sur la manipulation via des simulations au cours de la plandémie Covid]

Le scandale de la fermeture des écoles et des dommages infligés aux enfants

Depuis plus de 18 mois, la politique sanitaire française ne s’appuie pas sur les faits constatés dans le monde réel, mais uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement fausses, et faussées, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif, nous faire accepter la perte de nos libertés et nous imposer les pseudo vaccins.

Dans un article précédent, nous avons démontré les erreurs (ou trucages ?) invraisemblables du rapport 9 de Ferguson (Imperial college) de mars 2020 qui a servi de prétexte aux confinements, et des articles fallacieux écrits ultérieurement pour les justifier [1].

Dans ce second volet, nous rappellerons les données de la littérature internationale qui montrent que l’enfant ne participe pas à la transmission du covid-19 et que toutes les mesures qui lui nuisent sont inutiles sur la maladie.

Les enfants sont innocents et ne transmettent pas la maladie

La fermeture des écoles imposée par la majorité des gouvernements de la planète, en particulier occidentaux, repose seulement sur la foi et/ou l’obéissance en des simulations dont le modèle a été élaboré pour la grippe (où les enfants représentent effectivement un vecteur important de transmission).

Mais pour le covid-19, la littérature internationale montre que l’enfant est complètement innocent de la transmission.

Toutes les études épidémiologiques réalisées au début de l’épidémie prouvent qu’il est rarement atteint, que lorsque cela arrive c’est à domicile par l’intermédiaire d’un parent proche, qu’il fait des formes bénignes [2-3], et qu’il ne transmet pas la maladie [4-17], sauf exceptionnellement à ses parents, à domicile.

Le professeur Robert Cohen, pédiatre très « pro vaccin » précise :

« les enfants ne sont pas des super-contaminateurs, bien au contraire, ils sont de tout petits contaminateurs ».

Il n’y a donc aucune raison scientifique de conseiller la vaccination des enfants dans l’espoir de protéger la population plus âgée, d’autant plus que les vaccins actuels n’empêchent pas les transmissions, que l’immunité obtenue après une guérison naturelle est beaucoup plus efficace et durable que celle post injection, et qu’il n’y a plus aucun scientifique indépendant pour croire encore que l’immunité collective puisse être obtenue par la vaccination.

Les écoles ne jouent aucun rôle prouvé dans la transmission du covid-19

Dans sa note du 20 avril 2020, le conseil scientifique reconnaissait :

« Il n’y a pas eu d’épidémie documentée dans les crèches, écoles, collèges, lycées ou universités à ce jour, en l’état des connaissances actuelles, sauf une dans un lycée en France où le virus a touché 38% des lycéens, 43% des enseignants, et 59% des personnels travaillant dans l’établissement scolaire (Crépy-en-Valois). »

Or, la transmission de l’épidémie de Crépy en Valois a été analysée par l’institut Pasteur [18] sans qu’aucune contamination par les enfants n’ait pu être mise en évidence « no secondary cases in the following 14 days among pupils, teachers and non-teaching staff of the same schools ».

Au 17 septembre 2021, malgré 226 844 344 cas confirmés par l’OMS, aucune étude épidémiologique n’a mis en évidence de transmission par des élèves à l’école et partout où les écoles sont restées ouvertes les autorités sanitaires ont constaté qu’il n’y a pas eu de transmission des écoles vers les communautés [19-22].

De plus, si les adultes qui travaillent dans les écoles peuvent être atteints et transmettre la maladie (via d’autres adultes), ils sont moins souvent atteints que les autres professions :

« les enseignants ont montré un risque plus faible d’hospitalisation avec covid-19 et de covid-19 sévère que la population générale [23].

Travailler en milieu scolaire a plutôt un effet protecteur contre le risque covid-19.

Les données de surveillance nationale au Royaume-Uni ont montré que le personnel scolaire est moins exposé au risque d’infection en milieu scolaire que la population adulte en général [24].

Une autre étude, portant sur 57 000 personnes s’occupant d’enfants dans des crèches aux États-Unis, a également montré qu’il n’y avait pas de risque accru d’infection pour les personnes s’occupant d’enfants. 

La fermeture des écoles et les mesures prétendument sanitaires qui ont été imposées aux enfants n’ont donc jamais eu aucune justification scientifique dans le monde réel.

Le statisticien Ola Rosling a déclaré au podcast « More or Less » de la BBC en juillet 2020 :

« Nous avons gardé nos écoles ouvertes et je pense vraiment que tous les pays du monde peuvent le faire ».

Le 27 mai 2020, le Premier ministre norvégien Erna Solberg à la télévision, a regretté le coût excessif du confinement pour son pays et s’est demandé si elle n’aurait pas mieux fait de suivre l’exemple de la Suède : « il n’était peut-être pas nécessaire de fermer les écoles ». « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur« , a-t-elle ajouté.

En juillet 2020, l’Agence suédoise de la santé publique et l’Institut finlandais de la santé et du bien-être ont publié une étude conjointe avec, révélant un taux similaire de cas de coronavirus chez les enfants en Suède, qui a maintenu les écoles ouvertes (et n’a pas imposé de masque), et en Finlande, qui les a fermées.

Les écoliers suédois peuvent remercier chaleureusement A. Tegnell et son équipe pour les décisions qui ont sauvé leur année scolaire 2020 et leur équilibre psychologique. Cet épidémiologiste a revu les prédictions de Ferguson, ne les a pas confirmées et son gouvernement l’a suivi à juste raison.

La réouverture des écoles n’a nulle part été suivie par une reprise de l’épidémie que ce soit en Italie, en Irlande, en Grande-Bretagne, en Corée du Sud, ou en Israël, contrairement à ce que prévoyaient les simulations et les déclarations alarmantes des covido-terrorisants diffusées en France avant chaque rentrée scolaire [25-29].

La simulation alarmiste de l’institut Pasteur est totalement biaisée

La rentrée scolaire actuelle est à nouveau la cible de déclarations alarmistes par Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, le conseil scientifique, B. Lina, ou Vittoria Colizza, co auteure d’une simulation Pasteur aussi fausse que les précédentes [30-34].

Tenir compte des chiffres réels et non d’hypothèses

Dans cette simulation mathématique, les auteurs ont pris comme hypothèse que les enfants de moins de 14 ans regrouperaient 30 % des contaminés alors qu’en réalité ils ne représentaient que 5 % des contaminés de la première vague [35] et ne dépassent pas 10 % des contaminés début septembre 2020.

Cette même simulation est basée sur l’hypothèse que les enfants seraient à l’origine de la moitié des transmissions virales, ce qui est totalement contraire à toutes les analyses des faits avérés et constitue une colossale surestimation.

Rappelons tout particulièrement l’étude épidémiologique menée par l’Institut Pasteur lui-même dans des écoles de Creil sur 510 enfants de six écoles primaires : les cas déclarés dans ces écoles avant les vacances n’ont pas donné lieu à des cas secondaires, que ce soit parmi les autres écoliers ou parmi les enseignants. Les modélisateurs de l’institut Pasteur lisent-ils les enquêtes épidémiologiques de leurs collèges ?

Quant au ratio de transmission R, la simulation le fixe à sept, ce qui est également notablement plus élevé que ceux observés à l’étranger même pour le variant delta.

La surestimation systématique invraisemblable des trois facteurs clefs de la simulation montre qu’elle a été conçue par ses auteurs pour persuader nos dirigeants que les enfants représenteraient un facteur important de transmission, et que leur vaccination pourrait diminuer ce risque.

Ce n’est pas une étude scientifique mais un pur article de propagande covid terrorisante, destinée à faire injecter des vaccins aux enfants, qui ne peuvent en aucun cas en tirer un bénéfice personnel alors qu’ils peuvent souffrir de graves complications post vaccinales, dont les myocardites.

Cette prépublication de l’institut Pasteur, à ce jour toujours non examinée par des pairs, a pourtant inspiré à nouveau les décisions du conseil scientifique et de nos gouvernants.

Le Pasteur Gate

Pour juger de la valeur de cette profession de foi catastrophe qui constitue un véritable « Pasteur Gate », il suffit de comparer sa prédiction (un pic de 5 200 hospitalisations quotidiennes, bien au-delà de la première ou de la seconde vagueà la situation réelle actuelle d’une moyenne de 350 hospitalisations quotidiennes et en baisse constante depuis un mois. Quinze fois plus !

Cette publication et la médiatisation dont elle a immédiatement bénéficié [36] constituent une illustration du phénomène des propagandistes professionnels, déguisés en leur rôle de scientifiques pour servir la fonction de fabrication du consentement pour les politiques gouvernementales. De la même manière, tout au long de la pandémie, les médias grand public alarmistes ont généralement fait du plaidoyer politique plutôt que du journalisme.

La situation sanitaire actuelle ne justifie aucune des mesures qui briment les enfants et induisent de nombreux troubles physiques et psychologiques

La situation sanitaire globale est en effet en constante amélioration en France depuis août, avec un nombre de nouveaux cas quotidiens actuels inférieur à 7 000, soit huit fois moins par million d’habitant qu’en Israël, et quatre fois moins qu’en Grande-Bretagne, champions historiques de la pseudo vaccination massive.

Et cette amélioration globale se marque aussi sur le nombre d’hospitalisations quotidiennes actuelles inférieure à 350, (soit quatre fois moins par million d’habitants qu’en Israël et deux fois moins qu’en Grande-Bretagne), et sur le nombre quotidien d’admissions en soins intensifs (- 50 % en un mois) qui est très proche de celui d’Israël, à la population huit fois moins élevée.

Cette amélioration globale se ressent tout particulièrement chez les enfants, que le covid-19 a totalement abandonnés, ainsi que le montre le dernier graphique du réseau sentinelle :« La semaine dernière (2021s36), le taux de positivité au SARS-CoV-2 des patients de 0-14 ans consultant pour une insuffisance respiratoire aigüe était de 0 % »

Les restrictions des activités scolaires et le port obligatoire du masque par les enfants, ainsi que les menaces d’obligation vaccinale des enfants en France, constituent donc bien des brimades dogmatiques contraires à l’état actuel de la science basé sur les faits avérés. Les dégâts qui en résultent sont malheureusement bien réels et considérables.

Voir aussi : Faire vacciner les enfants, vraiment ?

Les mesures sanitaires ont infligé des dommages considérables aux enfants

Difficultés d’apprentissage du langage dues au masque, décrochages scolaires massifs, en particulier des enfants défavorisés, démotivation des élèves et des enseignants, problèmes psychiques parfois très graves, confirmés dans de nombreux services d’urgences pédopsychiatriques (dont des suicides d’enfants très jeunes inconnus jusqu’ici).

« L’école à distance a provoqué beaucoup de dégâts en termes de santé mentale » dit le pédiatre François Angoulvant. Il ne fait d’ailleurs que répéter ce que toutes les sociétés de pédiatrie affirment depuis le premier confinement.

Didier Jourdan, titulaire de la chaire UNESCO et directeur du centre collaborateur OMS Éducation et Santé constate [37] :

« la fermeture des écoles dans le cadre du confinement a eu un impact sur la santé mentale et physique des enfants, principalement pour les plus vulnérables d’entre eux car fermer les écoles c’est limiter l’accès à des repas équilibrés, à des services sociaux et sanitaires etc. Le confinement influence également l’éducation en termes de pertes d’apprentissage pour les enfants et d’accroissement des inégalités… »

La poursuite d’études après le secondaire aux États-Unis a baissé de 6,8 % du fait de la crise sanitaire, mais avec des écarts majeurs en fonction du niveau socioéconomique. La baisse est de 11,4 % pour les plus vulnérables contre 2,9 % pour les plus favorisés. En tout état de cause, la fermeture des écoles aura un impact durable sur les enfants.

L’agence statistique norvégienne a été la première au monde à souligner les dommages permanents causés par les fermetures d’écoles [38-39] :

« chaque semaine de fermeture des classe freine les chances de vie et réduit de façon permanente le potentiel futur de revenus ».

La Royal Society a estimé que

« les enfants britanniques pourraient perdre 40000 £ de leurs gains potentiels à vie, à moins que les gouvernements britanniques ne puissent réparer les lacunes d’apprentissage causées par la fermeture des écoles » [40].

Après avoir nuit aux enfants par des mesures scientifiquement et médicalement injustifiées, les lobbyistes des marchands de pseudo vaccins veulent les exposer aux complications de leurs injections expérimentales, qui ne peuvent leur apporter aucun bénéfice individuel (ni collectif), avec pour seul argument des simulations mathématiques truquées.

Battons-nous pour les protéger de cette ignominie.


Références :

[1] Retour sur la manipulation via des simulations au cours de la « plandémie » covid-19 – Docteur Nicole Delépine

[2] Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children ? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020.

[3] LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9.

[4] Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China : summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020 ; published online Feb 24. DOI :10.1001/jama.2020.2648.

[5] Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232 -2.

[6] Weiyong Liu .et al : Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371.

[7] Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics en 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020.

[8] Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020 www.jpeds.com.

[9] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. COVID-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020 ;146(2).

[10] Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China : an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars ; S1473-3099 (20) 30198.

[11] Benjamin Lee et William V. Raszka Covid19 transmission children are not to blame Pediatrics aug 2020, 146 e2020 004879 ; DOI : https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879.

[12] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.

[13] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020.

[14] Christèle Gras-Le Guen

[15] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903.

[16] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles – L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020.

[17] Francesco Nunziata Aucune propagation du SRAS-CoV-2 des enfants symptomatiques infectés aux parents : une étude de cohorte prospective dans un milieu hospitalier contrôlé Pédiatre 3 août 2021 ; 9 : 720084.doi : 10.3389/fped.2021.720084. Collection électronique 2021.

[18] Ibid 13

[19] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19.

[20] FR24 Seulement 0,01 % des écoles touchées par des épidémies de coronavirus après la réouverture et aucun enfant n’a eu besoin de soins hospitaliers. 24 aout 2020.

[21] Tadatsugu Imamura. Rôles des enfants et des adolescents dans la transmission du COVID-19 dans la communauté : une analyse rétrospective des données nationales au Japon Pédiatr. 10 août 2021.

[22] https://www.theguardian.com/education/2020/aug/23/covid-outbreaks-in-english-schools-uncommon-says-phe

[23] Fenton L, Gribben C, Caldwell D, Colville S, Bishop J, Reid M, White J, Campbell M, Hutchinson S, Robertson C, Colhoun HM, Wood R, McKeigue PM, McAllister DA. Risk of hospital admission with covid-19 among teachers compared with healthcare workers and other adults of working age in Scotland, March 2020 to July 2021 : population based case-control study. BMJ. 2021 Sep 1 ;374 : n2060. doi : 10.1136/BMJ. e2020. PMID : 34470747 ; PM CID : PMC8408959.

[24] ONU info

[25] Lucie Barcellini La réouverture des écoles affecte-t-elle la séroprévalence du SRAS-CoV-2 chez les enfants d’âge scolaire à Milan ? PLoS Un 2 sept. 2021 ; 16 (9) : e0257046. doi : 10.1371/journal.pone.0257046. Collection électronique 2021.

[26] Dong Y, Mo X, Hu Y, Qi X, Jiang F, Jiang Z, et al. Épidémiologie du COVID-19 chez les enfants en Chine. Pédiatrie. (2020) 145 : e20200702. doi : 10.1542/peds.2020-0702.

[27] Un rapport du gouvernement britannique a révélé que lorsque les écoles ont rouvert en Angleterre et au Pays de Galles pendant l’été, les taux d’infection parmi les élèves n’ont pas augmenté par rapport au taux de la population existante.

[28] Une étude menée en Corée du Sud a montré aussi qu’il n’y avait pas eu d’augmentation des cas de Covid-19 dans les deux mois ayant suivi la reprise des cours en mai 2020.

[29] Shirley Shapiro Ben David COVID-19 chez les enfants et effet de la réouverture des écoles sur la transmission potentielle aux membres du ménage Acta Pédiatre septembre 2021 ;110(9) :2567-2573. doi : 10.1111/apa.15962. Publication en ligne du 22 juin 2021.

[30] https://www.france24.com/fr/france/20210902-covid-19-faut-il-s-attendre-%C3%A0-une-flamb%C3%A9e-des-cas-avec-la-rentr%C3%A9e-scolaire

[31] https://www.leparisien.fr/societe/covid-19-pourquoi-la-rentree-scolaire-fait-craindre-une-reprise-epidemique-01-09-2021-6T3MMDOOIZDJTDYJEOJBVGK35Q.php

[32] Le professeur Bruno Lina, virologue, membre du conseil scientifique, affirme jeudi 2 septembre sur France Info que la rentrée scolaire « amène un risque supplémentaire de reprise épidémique ».

[33] « les mineurs pourraient représenter presque 50% des cas en septembre ».

[34] P Bosetti1, C Tran Kiem, A Andronico, V Colizza, Y Yazdanpanah, A Fontanet D Benamouzig, S Cauchemez Epidemiology and control of SARS-CoV-2 epidemics in partially vaccinated populations : a modeling study applied to France 2021.

[35] D’après un rapport publié en août 2020 par l’Agence Européenne du contrôle et des maladies.

[36] M. Blachier : La 4ème vague va arriver (C News) basée sur la simulation de Pasteur.

[37] https://www.thinktankcraps.fr/la-fermeture-des-ecoles-a-un-impact-durable-sur-les-enfants/

[38] https://fr.businessam.be/norvege-le-confinement-netait-pas-necessaire-pour-gerer-le-covid-19/

[39] COVID-19-EPIDEMIEN : Kunnskap, situasjon, prognose, risiko og respons i Norge etter uke 18 Folkehelseinstituttet, 5. mai 2020.

[40] https://www.fr24news.com/fr/a/2020/07/les-enfants-britanniques-pourraient-perdre-3-de-leurs-revenus-a-vie-en-raison-des-fermetures-decoles

Auteur(s): Dr Gérard Delépine, pour FranceSoir




Plus de 5000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence criminelle contre le COVID-19

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Edouard Husson

[Photo : Robert Malone]

Ils sont déjà plus de 5000. Ils ont constitué une « Alliance Internationale des médecins et des chercheurs en médecine. Et ils ont signé l’appel de Rome, lancé à l’occasion d’un Global Covid Summit qui s’est tenu du 12 au 14 septembre à Rome. Parmi les premiers signataires, on compte Robert Malone, l’un des inventeurs du vaccin à ARN messager, Peter McCullough , cardiologue américain qui est intervenu précocement pour prévenir des dangers de vaccins encore insuffisamment testés, Geert Vanden Bossche, spécialiste mondialement reconnu de la recherche sur les vaccins. Ils rappellent ce qu’implique le serment d’Hippocrate, avertissent les gouvernements sur les dangers qu’ils courent à ne pas laisser les médecins prescrire et expérimenter librement des traitements. Et ils demandent que l’on « restaure confiance, intégrité et professionnalisme dans l’exercice de la médecine ». Le Courrier des Stratèges vous propose la traduction française de ce texte, qui rappelle l’appel de Great Barrington lancé en 2020 et que vous pourrez aussi consulter dans la version anglaise :

DÉCLARATION DES MÉDECINS
SOMMET MONDIAL DU COVID – ROME, ITALIE

Alliance Internationale des Médecins et des Scientifiques Médicaux

Septembre 2021

Nous, médecins du monde, unis et fidèles au serment d’Hippocrate, reconnaissant que la profession de médecin telle que nous la connaissons est à la croisée des chemins, sommes contraints de déclarer ce qui suit :

  • ATTENDU QU’il est de notre plus grande responsabilité et de notre plus grand devoir de maintenir et de restaurer la dignité, l’intégrité, l’art et la science de la médecine ;
  • ATTENDU QUE notre capacité à prendre soin de nos patients fait l’objet d’une attaque sans précédent ;
  • ATTENDU QUE les décideurs publics ont choisi d’imposer une stratégie de traitement “taille unique”, entraînant des maladies et des décès inutiles, plutôt que de défendre les concepts fondamentaux de l’approche individualisée et personnalisée des soins aux patients, qui s’est avérée sûre et plus efficace ;
  • ATTENDU QUE les médecins et les autres fournisseurs de soins de santé qui travaillent en première ligne, en utilisant leurs connaissances en épidémiologie, en pathophysiologie et en pharmacologie, sont souvent les premiers à identifier de nouveaux traitements susceptibles de sauver des vies ;
  • CONSIDÉRANT que les médecins sont de plus en plus découragés de s’engager dans un discours professionnel ouvert et d’échanger des idées sur les maladies nouvelles et émergentes, ce qui met en danger non seulement l’essence de la profession médicale, mais surtout, plus tragiquement, la vie de nos patients ;
  • CONSIDÉRANT que des milliers de médecins sont empêchés de fournir un traitement à leurs patients, en raison des barrières érigées par les pharmacies, les hôpitaux et les agences de santé publique, ce qui rend la grande majorité des prestataires de soins de santé impuissants à protéger leurs patients face à la maladie. Les médecins conseillent maintenant à leurs patients de simplement rentrer chez eux (permettant ainsi au virus de se répliquer) et de revenir lorsque leur maladie s’aggrave, ce qui entraîne des centaines de milliers de décès inutiles de patients, en raison de l’absence de traitement ;
  • CONSIDÉRANT que ceci n’est pas de la médecine. Ce ne sont pas des soins. Ces politiques peuvent en fait constituer des crimes contre l’humanité.

PAR CONSÉQUENT, IL EST

  • RÉSOLU que la relation médecin-patient doit être restaurée. Le cœur même de la médecine est cette relation, qui permet aux médecins de mieux comprendre leurs patients et leurs maladies, de formuler des traitements qui donnent les meilleures chances de succès, tandis que le patient est un participant actif à ses soins.
  • RÉSOLU que l’intrusion politique dans la pratique de la médecine et la relation médecin/patient doit cesser. Les médecins, et tous les prestataires de soins de santé, doivent être libres de pratiquer l’art et la science de la médecine sans crainte de représailles, de censure, de calomnie ou de mesures disciplinaires, y compris la perte éventuelle de l’autorisation d’exercer et des privilèges hospitaliers, la perte des contrats d’assurance et l’ingérence des entités et organisations gouvernementales – qui nous empêchent encore davantage de soigner les patients dans le besoin. Plus que jamais, le droit et la capacité d’échanger des résultats scientifiques objectifs, qui font progresser notre compréhension des maladies, doivent être protégés.
  • RÉSOLU que les médecins doivent défendre leur droit de prescrire des traitements, en respectant le principe “D’ABORD, NE PAS NUIRE”. Les médecins ne doivent pas être empêchés de prescrire des traitements sûrs et efficaces. Ces restrictions continuent de provoquer des maladies et des décès inutiles. Les droits des patients, après avoir été pleinement informés des risques et des avantages de chaque option, doivent être rétablis pour recevoir ces traitements.
  • RÉSOLU que nous invitons les médecins du monde entier et tous les prestataires de soins de santé à nous rejoindre dans cette noble cause, alors que nous nous efforçons de restaurer la confiance, l’intégrité et le professionnalisme dans la pratique de la médecine.
  • RÉSOLU que nous invitons les scientifiques du monde entier, qui sont compétents en matière de recherche biomédicale et qui respectent les normes éthiques et morales les plus élevées, à insister sur leur capacité à mener et à publier des recherches objectives et empiriques sans craindre de représailles sur leur carrière, leur réputation et leurs moyens de subsistance.
  • RÉSOLU que nous invitons les patients, qui croient en l’importance de la relation médecin-patient et en la possibilité de participer activement à leurs soins, à exiger l’accès à des soins médicaux fondés sur la science.

EN FOI DE QUOI, le soussigné a signé la présente déclaration à la date indiquée en premier lieu.

Signer la déclaration




Comment la peur court-circuite le raisonnement

[Source : Nexus via reseauinternational.net]

Détournement de l’amygdale du cerveau : tous hackés par le narratif de la peur ?

Avec la crise du Covid-19, nombre de Français ne comprennent plus certaines réactions de leurs proches face à la réalité. Nous avons constaté ces derniers mois qu’il est de plus en plus difficile de discuter de certains aspects de la gestion sanitaire avec des collègues, des amis, voire la famille. Le clivage, le jugement ou le déni, semblent être devenus la nouvelle normalité dans la société et l’amygdale de notre cerveau n’y est certainement pas pour rien…

Face à l’évocation de certains faits qualifiés de « fake news » par les médias mainstream, aussitôt se met en place une stratégie d’évitement, voire de conflictualité. La peur de voir la réalité dans son ensemble s’est-elle emparée du raisonnement dans la société depuis notre amygdale ? Il s’avère que cette partie de notre cerveau joue un rôle déterminant dans le rapport à la réalité et à la manipulation de la population.

◆ L’amygdale du cerveau, la gardienne des souvenirs émotionnels

Nous savons tous que nous avons des amygdales au fond de la gorge, mais le « complexe amygdalien » du cerveau est quant à lui peu connu, il est aussi appelé amygdale. C’est un groupe de cellules en forme d’amende situé derrière l’os temporal, au niveau des tempes. L’amygdale du cerveau sert au décodage et à la régulation des émotions. En elle, les souvenirs de joie, de tristesse, de bonheur se trouvent conservés et associés à des émotions. On parle alors de souvenirs émotionnels dont l’amygdale du cerveau est la gardienne. Elle fait partie du système limbique du cerveau, aussi appelé cerveau émotionnel qui conditionne les réponses émotionnelles et comportementales d’une personne.

◆ L’amygdale du cerveau, le système d’alarme organique

Dans notre cerveau, le complexe amygdalien est en charge de la sécurité de l’intégrité physique et psychique de son hôte. Elle a une fonction d’alarme« dédiée aux situations pouvant constituer un danger ou une menace ».

Les émotions telles que le stress, la peur, l’anxiété, l’agression et la colère peuvent l’activer. Combattre ou fuir, c’est l’amygdale du cerveau qui décide pour l’être humain, de manière autonome, sans lui demander son avis. Lorsque le complexe amygdalien détecte un danger, il signale à votre cerveau de pomper des hormones de stress, préparant votre corps à lutter pour survivre, ou à fuir pour se mettre en sécurité.

 ◆ Le lobe frontal et le raisonnement

Le lobe frontal du cerveau régule le raisonnement, la pensée, le mouvement, la prise de décision et la planification, sans mode alerte à la différence de l’amygdale. Selon l’Institut du Cerveau, 

« Le lobe frontal est une région du cerveau responsable de la coordination motrice volontaire et du langage. Il contient notamment les aires qui contrôlent la coordination musculaire, et les mouvements de la tête et du cou comme la mastication et la déglutition. Il renferme également les centres de la mémoire, de la prise de décision, de la créativité et du raisonnement par analogie. »

Si le lobe frontal du cerveau régule le raisonnement, la pensée, le mouvement, la prise de décision, l’amygdale peut « hacker » son système, c’est-à-dire littéralement le court-circuiter.

◆ Quand l’amygdale du cerveau détourne le lobe frontal

Le Dr Karin Gepp est une psychologue clinicienne expérimentée dans une grande variété de domaines, notamment les difficultés liées à l’humeur, l’anxiété, la psychose, les traumatismes, les dépendances, les troubles de la personnalité, les problèmes d’adaptation, la gestion de la colère et les sujets médico-légaux. Sur le site healthline.com, elle écrit ceci :

« Le détournement de l’amygdale se produit lorsque votre amygdale réagit au stress et désactive vos lobes frontaux. Cela active la réaction de lutte ou de fuite et désactive les réponses rationnelles et raisonnées. En d’autres termes, l’amygdale “détourne” le contrôle de votre cerveau et de vos réponses. »

Le Dr Karin Gepp cite également Daniel Goleman qui est un psychologue américain, docteur en psychologie clinique et développement personnel, devenu journaliste au New York Times, où il suit particulièrement les sciences du comportement. Dans son livre de 1995 intitulé « Emotional Intelligence : Why It Can Matter More Than IQ »il a baptisé cette réaction émotionnelle excessive au stress « détournement de l’amygdale ». Voici une vidéo dans laquelle il explique le processus.

◆ Le narratif de la peur vous menace de mort et de sanction

Le Directeur Général de la Santé, tous les jours, début 2020, nous annonçait les morts dues au coronavirus. Dans la mémoire émotionnelle de beaucoup de citoyens, le terme Covid-19 n’est-il pas égal à « mort systématique » ? Encore aujourd’hui, les titres des médias de masse nous annoncent sans cesse le retour de flambées épidémiques et des chiffres inquiétants. « Le Covid-19 a tué plus d’Américains que la grippe espagnole », titrait par exemple Le Parisien le 21 septembre 2021. Au Royaume-Uni, l’utilisation exacerbée de la stratégie de la peur a été récemment admise au plus haut niveau de l’État.

La musique du générique du JT de TF1 elle-même est anxiogène. Serge Llado, chroniqueur dans « On va s’gêner », l’émission de Laurent Ruquier sur Europe 1 expliquait en 2006 que ce générique semblait être construit sur l’un des thèmes de la bande originale du film d’horreur « Les Dents de la mer ».

Le citoyen ne semble plus avoir d’autre choix que d’avoir peur, se faire vacciner, et être dénigré ou menacé  jusque dans les médias s’il ne le fait pas.  À titre d’exemples, citons les propos d’Emmanuel Lechypre qui a déclaré vouloir aller chercher les non-vaccinés avec des menottes pour les faire vacciner de force, ou encore ceux du Professeur Gilbert Deray, qui a accusé les leaders antivax d’être des « criminels » sur RMC en juillet 2021.

◆ Vers un nouvel Ordre dépressif ? 

Les menaces psychologiques et le narratif mainstream permanent de la menace de mort ou de sanction peuvent déclencher la réaction de l’amygdale et des mécanismes de défense psychotiques. Notre rationalité par rapport au réel peut être en quelque sorte hackée. Avec la menace permanente de mourir et la culpabilisation, comment rester calme, rationnel, devant tant d’informations anxiogènes ? Quels stimuli ces narratifs mainstream envoient-ils à nos amygdales ? Nous conduit-on vers une dépression mondialisée ?

Sur le site neuroplasticite.com, on peut lire : « Siège de nos émotions les plus primitives, l’amygdale reçoit des afférences directes de différentes modalités sensorielles et se projette sur de nombreuses régions cérébrales, comme l’hippocampe ou l’hypothalamus. L’action amygdalienne a donc un rôle de survie car c’est elle qui nous fait réagir en une fraction de seconde à la suite d’un stimulus menaçant. L’amygdale a également un rôle important dans la reconnaissance des émotions. Les patients victimes de lésions bilatérales de l’amygdale souffrent d’une véritable anesthésie des émotions et ne connaissent plus ni l’angoisse ni le plaisir. »

D’après Serban Ionescu, psychiatre et psychologue, professeur émérite de psychopathologie à l’Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis : 

« Les mécanismes de défense sont des processus psychiques inconscients visant à réduire ou à annuler les effets désagréables des dangers réels ou imaginaires, en remaniant les réalités internes et/ou externes et dont les manifestations – comportements, idées ou affects – peuvent être inconscientes ou conscientes ».

Les auteurs de cette violence psychologique (en infraction à l’article 222-14-3 du Code Pénal) peuvent ainsi contrôler leurs victimes par les émotions. Selon Passeportsante.net, dans un article consacré à la manipulation mentale,

« La manipulation mentale consiste à mettre en place une emprise sur la conscience d’autrui pour pouvoir la contrôler de façon à lui faire adopter des comportements qui ne sont pas dans son intérêt. »

◆ Clivage et déni des citoyens incités par la presse

Les citoyens déclenchent ces mécanismes de défense de façon inconsciente. Ceux qui cherchent en dehors de ce qui est communément admis se voient marginalisés, ce sont des « anti-ceci », des « anti-cela », des « complotistes », etc.  Les troubles psychotiques affectent le fonctionnement du cerveau de façon majeure en modifiant les pensées, les croyances ou les perceptions. Trop stressés par les mantras de menace de mort et de culpabilisation, beaucoup de citoyens utilisent désormais des mécanismes de défense pour clore tout débat rationnel sur la situation Covid-19. Ces mécanismes sont essentiellement le clivage et le déni, dont ils n’ont pas conscience.

D’après le site cairn.info, dans un article intitulé  L’étude des mécanismes de défense psychotiques ; un outil pour la recherche en psychothérapie psychanalytique, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux IV de 1994 énonce que 

« les individus n’ont généralement pas conscience de ces processus lorsqu’ils sont à l’œuvre. Les mécanismes de défense opèrent une médiation entre la réaction de l’individu aux conflits émotionnels et les facteurs de stress internes ou externes. Les mécanismes de défense sont divisés conceptuellement et empiriquement en différents groupes qui se rapportent aux niveaux de fonctionnement défensif ».

Il ne faut pas oublier que les médias français sont détenus pour la très grande majorité par des groupes privés, lesquels ont besoin de vendre. Les médias à grande diffusion ne respectent pas toujours la Charte de Munich qui concerne la déontologie du journalisme, composée de 10 devoirs et de 5 droits qui tiennent sur une page. Parmi ces devoirs, on trouve celui de « Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité », et celui de « Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique. » Ce devoir d’information et de vérité peut manquer dans les gros titres, car le sensationnel fait vendre…

◆ Garder la tête froide et connaître les lois pour qualifier les violences psychologiques

Pour Alexandre Boisson, ex-policier garde du corps de Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy et expert en sécurité systémique, le citoyen peut sortir de l’emprise de la peur et éviter de se faire hacker par l’amygdale du cerveau.

« C’est juste un entraînement à faire sur d’autres parties du cerveau. Pour sortir de ce piège, il faut rester factuel, poser des questions, s’intéresser à la loi, observer le réel au-delà de ce que raconte le communément admis et rationaliser les événements. Le citoyen doit observer, par exemple, toutes les unes des médias à grande diffusion depuis le début de la crise. Il doit les relire et les comparer au réel. Est-ce que tous les Suédois sont morts ? Que disait la presse mainstream française de tous ces réfractaires Suédois aux mesures sanitaires de confinement qu’on imposait aux Français ? Face à de telles pressions psychologiques exercées par les médias mainstream et la doxa, pressions psychologiques pouvant entrainer un état de sujétion mentale, il est important de poser des maux sur les mots. Avec Légifrance, le service public de la diffusion du droit, les citoyens disposent d’un très bon outil pour qualifier, les violences psychologiques dont ils sont victimes. Ils peuvent ainsi qualifier au regard du code pénal : les menaces d’exclusion, les pressions psychologiques, les chantages, les discriminations et autres extorsions de consentement. »

Images par Gerd Altmann et RENE RAUSCHENBERGER de Pixabay




Lettre ouverte aux assassins d’enfants

Par Alain Tortosa

À partir de jeudi ce n’est plus « la bourse ou la vie », mais « la santé ou la vie » pour les enfants français de 12 à 17 ans.

Pass sanitaire obligatoire pour vivre, aller à la piscine, au cinéma ou au restaurant…

Officiellement, tout enfant de 12 ans ou plus devra être vacciné pour pouvoir avoir une vie d’ado.

J’imagine que quelques crétins manipulateurs, corrompus ou de mauvaise foi pourraient rajouter « mais non ils peuvent faire un test PCR ! » Un test PCR invasif et dangereux toutes les 48 heures et qui sera facturé 44 euros dès le 15 octobre, vous appelez cela un choix ?!

Notez que je n’aborderai pas ici l’aspect légal ou illégal de la vomissure (il n’y a pas de décret d’application pour les mineurs à ce jour, mais cela n’empêche pas la propagande).

Pourquoi obligez-vous la « vaccination » des enfants ?

Si l’on en croit votre incessante propagande que vous matraquez depuis des mois, c’est pour mettre fin à la fameuse « pandémie ».

Il existe bien encore ici et là parmi vous quelques pourritures pour faire croire que le Covid peut toucher n’importe qui et que des enfants peuvent être hospitalisés… Certains osent même parler de « Covid long » pour une population qui généralement ne fait que des Covid asymptomatiques. Notons que vous avez réussi à inventer depuis l’année dernière la « maladie sans symptômes et sans risque » ce qui d’un point de vue marketing est assez « merveilleux ».

Bref, il est quand même majoritairement reconnu, même dans la sphère des plus corrompus, que le Sars-cov2 et ses variants sont totalement inoffensifs pour les enfants.

Donc vous actez sans sourciller que :

« La vaccination des enfants est uniquement un acte SO-LI-DAI-RE ».

« Les enfants DOIVENT se vacciner pour sauver des personnes âgées en fin de vie ou des malades, »

Sur le papier cela pourrait presque se défendre, si…

Et c’est bien là le problème, les « SI » sont délirants dans cette affaire.

Vous, âmes damnées, reconnaissez que le risque lié aux injections n’est pas NUL.
Vous allez jusqu’à trouver publiquement acceptable, quand bien même le risque serait de 1 sur 1 million, que des enfants aient des séquelles à vie ou meurent pour espérer sauver… des vieux !

C’est acté.
Dans votre « nouveau monde », la « solidarité » veut que l’on puisse sacrifier quelques enfants au bénéfice hypothétique d’adultes en fin de vie interdits de traitements.

La publicité gouvernementale que vous cautionnez ne se cache même pas pour dire aux enfants qu’ils doivent protéger « papi ou mamie » avec des masques ou des injections.

Comment font papi et Mamie pour l’accepter ?
Comment font papi et Mamie pour ne pas être dans la rue et dire NON ?
Comment font papi et Mamie pour se regarder encore dans un miroir  ?

Le bénéfice du doute que l’on aurait pu vous accorder au début a fondu comme neige au soleil depuis bien longtemps. Votre propagande nous a convaincus qu’un ARN messager expérimental était ce qu’il y avait de plus sûr pour les injections y compris pour des enfants ! Que l’on était « certain » de son « innocuité », car injecté à plus d’un milliard d’humains !

Mais aujourd’hui et à la veille de la mise en œuvre de cette loi inique et criminelle…
Criminelle, car elle conduit inexorablement à TUER sciemment des enfants pour un dessein que j’ignore.

  • Vous SAVEZ que « l’injection » massive n’est PAS de nature à stopper la contamination.
  • Vous SAVEZ que l’immunité de masse est un leurre ou une tromperie.

Votre entreprise est d’autant plus criminelle et préméditée que vous savez que la « vaccination » des enfants n’a RIEN de solidaire et qu’elle ne permettra pas d’arrêter l’épidémie.

Pire encore :

  • Vous SAVEZ que ces injections sont potentiellement mortelles à court terme.
  • Vous SAVEZ que des enfants sont déjà morts de ces injections.
  • Vous SAVEZ qu’il y a notamment des problèmes menstruels chez les jeunes filles.
  • Vous SAVEZ qu’il y a des risques sur la fertilité.
  • Vous SAVEZ qu’il y a des risques à long terme que nous ne maîtrisons pas !

Des parents incitent leurs enfants ou cèdent à leurs demandes d’injection.

Telle une loterie macabre leurs enfants seront peut-être les « heureux » gagnants dont le premier prix est la MORT et le prix de consolation un handicap à vie !

Et pour quoi ?

  • Pour aller à la piscine avec les copains ?
  • Pour aller au cinéma avec les copains ?
  • Pour aller au restaurant avec les copains ?

Et c’est là que l’on touche du doigt votre cynisme et votre absence totale d’humanité ou d’empathie, vous les décideurs. Vous savez à quel point il est important à l’adolescence de faire partie du groupe et à quel point le rejet est difficile à vivre à une période de la vie où l’on se cherche.

Vous FORCEZ les enfants à jouer à la roulette russe pour pouvoir vivre leur vie d’ado et en plus vous les habituez à présenter un QR-code pour ce qui touche au quotidien.

Vous les tuez DEUX FOIS :

  • Une fois par l’injection d’un poison.
  • Et une autre fois par l’annihilation du sentiment ou de la conscience de la liberté.

Vous êtes à vomir, vous les décideurs, vous les politiques, vous les médecins complices et vous les médias à la botte.

Tous sans exception, vous avez du sang d’enfants sur les mains et ce n’est pas avec du gel hydroalcoolique que vous pourrez l’enlever.

Alain Tortosa.

28 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210928-lettre-ouverte-aux-assassins-d-enfants.pdf




Mme Whitmer, gouverneur du Michigan, interdit le port du masque et la vaccination obligatoire

[Source : lemediaen442.fr]

Comme le rapporte Fox News le gouverneur démocrate du Michigan, Gretchen Whitmer, et la législature de l’État se sont mis d’accord sur une proposition de budget qui interdit aux responsables de la santé d’ordonner le port du masque dans les écoles et aux agences publiques de l’État d’obliger employés ou clients à se faire vacciner.


La gouverneure démocrate a accepté une disposition des républicains interdisant d’aller plus loin que les plans du président Joe Biden : donc pas de vaccination obligatoire dans les entreprises de moins de 100 salariés et dans celles n’appartenant pas au secteur de santé.

« Le directeur ou l’agent de santé local ne doit pas émettre ni appliquer d’ordonnances ou d’autres directives exigeant qu’une personne de moins de 18 ans dans cet État porte un masque facial ou un couvre-visage », selon le nouveau projet de loi budgétaire du Michigan.

L’accord budgétaire de 70 milliards de dollars empêcherait également les agences publiques du Michigan d’appliquer la vaccination aux employés et aux clients. « Je suis ravi que la législature et moi ayons pu nous mettre d’accord sur un budget bipartite », a déclaré Whitmer dans un communiqué, selon MLive. 

« Notre collaboration témoigne de ce qui est possible lorsque nous travaillons ensemble et donnons la priorité à nos familles, nos communautés et nos petites entreprises. »

Après avoir soutenu les restrictions, le confinement… l’impopularité a obligé Gretchen Whitmer à s’attaquer aux masques et à la vaccination obligatoire en se soumettant au désir de la population. En mai 2020 des manifestants armés avaient pénétré la maison d’État du Michigan pour protester contre les restrictions.

Traduction Le Média en 4-4-2  




« La seule urgence, c’est le sursaut parlementaire » : lettre ouverte

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : F.Froger / D6 – FS]

Auteur(s): Dominique Bard, pour FranceSoir

LETTRE OUVERTE – Chambon-sur-Lignon, le 20 septembre 2021 – Madame, Monsieur, chers parlementaires,

Depuis le début de cette mandature, vous légiférez dans l’urgence plus souvent qu’il n’est souhaitable, cela vous agace et c’est bien légitime. Le nombre de motions de rejet préalable et de rappels au règlement occupent plus de place dans vos débats que les échanges constructifs sur le fond. Il est intolérable pour le peuple que vous représentez de voir que l’on coupe vos micros quand votre temps de parole est écoulé, sans vous laisser finir vos phrases.

Sur Public Sénat, deux sénateurs ont témoigné : l’un raconte qu’il a légiféré « avec un pistolet sur la tempe », l’autre qu’elle a eu le sentiment d’être en garde à vue, de ne pouvoir sortir qu’une fois qu’elle aura, non pas avoué, mais voté. C’est édifiant. À travers les parlementaires, c’est le peuple qui est méprisé par le pouvoir en place, et vous ne pouvez pas laisser perdurer cette situation. Il serait long de revenir sur toutes les lois que vous avez votées dans l’urgence, je vous propose de nous concentrer sur la dernière.

Les chiffres officiels

Au moment où vous légifériez dans l’urgence, voilà ce que disaient les chiffres officiels du réseau Sentinelles sur le nombre de cas symptomatiques remontés par les médecins généralistes :

Le seuil d’alerte est de 170 cas pour 100 000 habitants. La semaine où vous légifériez dans l’urgence, on était à moins de dix ! Les chiffres de Santé Publique France sur le nombre de décès avec la covid étaient aussi en baisse. Mais, après que le président s’est exprimé le 12 juillet, ils remontent, avec la reprise de la vaccination. Le jour où vous légifériez dans l’urgence, selon les chiffres officiels, 20 personnes en moyenne mouraient avec la covid, sur plus de 1 600 décès :

Mais ce qui devrait beaucoup plus retenir votre attention, ce sont les chiffres de la pharmacovigilance, pris sur le très officiel site de l’ANSM, sur la mortalité post-vaccination. À ce jour, on a déjà constaté en France :

  • 761 décès suite à la vaccination Pfizzer
  • 206 décès suite à la vaccination AstraZeneca
  • 17 décès suite au vaccin Janssen
  • 44 décès suite au vaccin Moderna

Ces vaccins ont tué plus en six mois, que tous les vaccins confondus en 30 ans. Le minimum que l’on puisse attendre d’un vaccin, c’est son innocuité. Force est de constater qu’elle n’est pas scientifiquement prouvée.

Alors pourquoi avez-vous légiféré dans l’urgence ?

Vous l’avez fait sur la base d’une projection mathématique prépubliée sur le site de l’Institut Pasteur, et retenue par le Conseil scientifique. Or, il se trouve que vous avez été trompés. Cette étude fait l’objet d’une plainte car le modèle mathématique est critiquable du point de vue de plusieurs scientifiques, qui en ont fait une relecture minutieuse. Depuis ce dépôt de plainte, cette étude, comme celle qui avait été publiée par le Lancet sur les traitements précoces, semble avoir été rétractée. La loi cadre que vous aviez votée prévoyait qu’en cas d’amélioration, le décret puisse être levé. Le fait est que le pic épidémique annoncé ne s’est pas produit, et que les chiffres du réseau sentinelles montrent clairement une amélioration ces derniers jours :

De nombreux scientifiques s’appuient sur leur domaine de compétence pour dénoncer les exagérations sanitaires. Au lieu de les faire taire, ne vaudrait-il pas mieux les entendre dans un débat d’idées équilibré ? Il est impossible de les citer tous, mais parlons au moins que quelques-uns d’entre eux : Vincent Pavan, qui dénonce l’étude sur laquelle repose nos privations de liberté ; Amine Umlil, qui souhaite débattre avec Olivier Véran ; Christian Vélot, qui explique pourquoi la vaccination de masse n’est pas nécessairement une bonne idée dans le cas précis du coronavirus, devraient être écoutés. Je ne sais pas s’ils se trompent ou s’ils ont raison. Mais les parlementaires devraient faire en sorte qu’on les entende et que leurs arguments soient confrontés à ceux des ministres. J’attire également votre attention sur la lettre ouverte que BonSens adresse au président de la République.

S’agissant du passe sanitaire

L’OMS ne le recommandait pas, le Conseil européen non plus, les pays qui l’avaient préconisé l’ont abandonné au moment même où vous l’adoptiez dans l’urgence. Soyons pragmatiques et réfléchissons : les vaccins n’empêchent ni la contamination ni la transmission, ils permettent seulement d’atténuer les effets du virus pour éviter les formes graves. Ce sont les bases sur lesquelles les AMM conditionnelles ont été délivrées. Olivier Véran le rappelle au Conseil d’État quand un octogénaire demande, après avoir été vacciné, à ne plus respecter les gestes barrière. Si l’on n’a pas la certitude que les personnes vaccinées ne peuvent pas transmettre le virus, alors il faut exiger pour sa délivrance un test négatif pour tout le monde, pas seulement pour les non-vaccinés. Si cela devait s’avérer inapplicable, alors on s’abstiendrait de le mettre en place.

S’agissant de l’obligation vaccinale

Il faut écouter les scientifiques exposer leurs arguments. Est-ce que la vaccination contre le coronavirus s’apparente à la grippe (nombreux variants) ? Est-ce qu’on peut obtenir une immunité collective avec les quatre vaccins dont on dispose ? Il semble que les effets indésirables graves (1 028 décès après vaccination sur les sept premiers mois) disqualifient les quatre vaccins préconisés aujourd’hui en France, faut-il persister ? Ne vaudrait-il pas mieux s’intéresser à d’autres technologies ? Au vaccin de Valneva par exemple ?

En conséquence, vous devez être inventifs

Le moment est venu de trouver des solutions pour éviter de vous laissez enfermer dans la prochaine procédure d’urgence. Vous connaissez les règles de fonctionnement du Parlement. Vous connaissez la Constitution. Vous avez le pouvoir de nous représenter mais c’est aussi un devoir : pouvoir législatif et pouvoir de contrôle de l’exécutif. Que nous soyons vaccinés volontairement, vaccinés par obligation professionnelle, ou non vaccinés, nous sommes tous pour la liberté et le triomphe de la démocratie !
 
Si vous arrivez à stopper la marche forcée qui vous est imposée, quelque soit la solution que vous proposerez pour sortir de cette impasse, et restaurer la démocratie qui nous est chère, nous, le peuple, vous soutiendrons.
 
Dans l’attente de votre sursaut, nous vous prions d’agréer, nos salutations républicaines.

Dominique Bard, pour un collectif du Haut-Lignon

Auteur(s): Dominique Bard, pour FranceSoir




Tous vaccinés, tous menacés

[Source : ripostelaique.com]

Par Laurent Droit

« Tous vaccinés, tous condamnés !! »

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Sur les chaînes de télévision, l’État continue de diffuser toute la journée des spots publicitaires du genre « lutte contre le sida » dans le but de faire « vacciner » un maximum de gens contre le Coronavirus, quels que soient ses autres noms.

Sous le titre/thème « Spot TV sur la vaccination – le débat » celui-ci met en scène une famille ou une bande d’amis à table qui débattent sur l’intérêt ou non du vaccin. Débat, donc avis différents.
Ce qui est clair, c’est que cela représente la grande masse des Français peu instruits de ces choses et en ignorant à peu près tout.
Leur discussion est donc assez stérile.
Voir le spot : https://www.dailymotion.com/video/x83jaht

Cela se termine par un texte froid de l’autorité publique :

– « On peut débattre de tout… sauf des chiffres »
– « Aujourd’hui, en France, 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du covid ne sont pas vaccinées. »
– « Tous vaccinés, tous protégés. »
– « Plus d’informations sur les lieux de vaccination sur www.sante.fr »

Et la fin traditionnelle des communications gouvernementales :

À noter qu’aujourd’hui la santé passe après les « solidarités » dans un ministère fourre-tout où on considère que la santé a peu d’importance et passe largement après les solidarités (qui restent à définir et à préciser)…!
C’est totalement stupide comme ordre des priorités…

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Je souhaite maintenant revenir sur la dialectique de ce message de fin.

Primo, « on peut débattre de tout sauf des chiffres. »

Je me demande bien ce que peuvent faire tous nos fantastiques scientifiques qui débattent sans arrêt entre eux de choses chiffrées d’un très haut niveau pour nous apporter tout ce dont nous avons besoin dans nos vies, dans le monde entier.
On peut parfaitement débattre des chiffres sur leur précision, mais lorsque la démonstration de l’exactitude d’un chiffre a été faite et reconnue par la communauté scientifique, il devient assez difficile de le contester, sauf à apporter une autre démonstration tout aussi exacte mais différente.
Cette formule est donc fausse.
C’est un mensonge.
C’est une « fake-news » d’État !
Elle est faite pour endormir les naïfs et les crédules dans le but de les contraindre mentalement et de les culpabiliser à se faire vacciner.
Pourquoi ? Parce que Macron est le manipulateur en chef de toutes les manipulations de masse en France et que Macron et ses subalternes ont pour mission de faire injecter à tous les Français une substance nocive, dangereuse et à terme mortelle afin de faire diminuer la population française de souche d’origine, dans le cadre du Grand Remplacement et du Great Reset mondial décidé par les mondialistes.
À noter que les immigrés ne sont pas invités au bal des injections.

Secundo, « Aujourd’hui, en France, 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du covid ne sont pas vaccinées. »

Cette allégation gratuite est parfaitement mensongère aujourd’hui. C’est en effet tout le contraire qui se passe, car la vérité démontrée et dénoncée par d’innombrables médecins, biologistes et scientifiques non soumis au diktat de la doxa macronienne qui l’ont exprimée de nombreuses fois et de nombreuses manières :
En France et dans le monde, aujourd’hui, 8 personnes sur 10 hospitalisées dans des états désespérés ont déjà reçu une ou deux doses d’un des vaccins.
Et leur état désespéré est précisément lié aux effets secondaires dramatiques des pseudo-vaccins de grande toxicité.
J’en ai parlé suffisamment longuement dans mon livre avec tous les liens nécessaires pour en faire une preuve indiscutable : http://cabalard.free.fr/1zemmour.html

Mais je vous ai quand même noté quelques liens importants à la fin de cet article.

Par ailleurs, on ne doit pas dire « le covid », mais « la covid-19 » car il s’agit de LA maladie covid identifiée en 2019.

Tercio, enfin, ce slogan qui fleure bon le dentifrice ou la lessive miracle :
« Tous vaccinés, tous protégés. » est également l’exact contraire de la réalité démontrée dans le paragraphe précédent, c’est-à-dire que les vaccins sont très dangereux et introduisent dans l’organisme humain de nombreuses substances nocives, toxiques pouvant apporter des pathologies nombreuses et très graves susceptibles d’entraîner la mort dans des délais qui vont de quelques minutes après l’injection à plusieurs mois ou plusieurs années, sans plus de précisions, car nous n’avons pas encore assez de recul pour en juger (il faudrait au moins 5 ans).

La seule vérité c’est que « tous vaccinés » signifie en réalité « tous condamnés à mort » dans des délais inconnus, mais sans doute pas très longs. Mais en aucun cas protégés.

Je souhaite aussi préciser que ces substances hautement toxiques fabriquées et vendues par l’industrie pharmaceutique sont tout sauf des vaccins, comme je l’ai aussi déjà expliqué en long et en large dans mon livre et dans des articles, avec tous les témoignages de nombreux scientifiques non politisés dont la sincérité et l’honnêteté ne peuvent pas être mises en doute.

Nous vivons malheureusement une période extrêmement grave et pénible sur le plan sanitaire où, en plus, l’État Macron totalitaire s’ingénie à mentir au peuple français à longueur de temps dans des buts qui sont aujourd’hui connus de tous, même si beaucoup en doutent encore, tant cela peut paraître incroyable.
Mais des choses encore plus incroyables se sont produites tout au cours notre histoire et il faut quand même que les Français ouvrent un peu les yeux…

Attention, des articles prétendant démentir que les vaccins n’ont pas d’effets secondaires dangereux et que le rapport bénéfice/risque est largement favorable, courent sur le web. Ce sont des mensonges.
Ne les croyez pas !!!
L’État Macron fait tout pour vous cacher la vérité.

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Ne croyez jamais ce gouvernement de menteurs professionnels, mettez en doute toutes leurs déclarations concernant cette crise sanitaire, éloignez-vous de ces vaccins, refusez-les et avertissez vos amis et votre famille de leurs dangers mortels et aussi exigez que soient largement vendus et distribués les vrais traitements curatifs anciens, connus et efficaces qui ont déjà sauvé des centaines de milliers de personnes atteintes de la Covid-19. Chloroquine et Ivermectine associées à des antibiotiques qui éviteront les complications comme l’azithromycine ou la clarithromycine.

Cela dit, je ne vais pas refaire mon livre ici. Vous n’avez qu’à le lire, il est gratuit et en ligne.

Laurent Droit

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Liens :

Vidéo récente qui semble montrer que Pfizer refuse d’endosser toute responsabilité devant les États quant aux effets secondaires probablement nombreux et létaux de leurs « vaccins. »
Chacun en tirera ses propres conclusions…
« La députée @MicheleRivasi au CSI : beaucoup de pays africains et d’Amérique latine refusent les vaccins Pfizer car le laboratoire demande à ces pays d’hypothéquer une partie de leurs richesses nationales pour faire face à d’éventuels procès suite à d’éventuels effets secondaires. »
https://twitter.com/boutaour/status/1441354445980258311

« Film Covid, 26 raisons pour refuser les vaccins » 
https://odysee.com/@Vivresainement:f/film-covid-26-raisons-pour-refuser-les-vaccins:8

« Dr Zelenko nous dit tout sur le Covid et l’acharnement vaccinal. Accrochez-vous, c’est dur !! »
https://rumble.com/vky0dy-dr-zelenko-nous-dit-tout-sur-le-covid-et-lacharnement-vaccinal.-accrochez-v.html

« Décrypter le coup du passe sanitaire et la stratégie de la caste mondialisée »
https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/08/11/decrypter-le-coup-du-passe-sanitaire-et-la-strategie-de-la-caste-mondialisee/

« Les vaccins et le confinement sont-ils efficaces ? » 
https://www.youtube.com/watch?v=sCqqbP6Oe_Q

« Covid-19 : la stratégie d’immunité collective par la vaccination est-elle remise en cause en Islande ? »
https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-la-strategie-d-immunite-collective-par-la-vaccination-est-elle-remise-en-cause-en-islande-20210811

« La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique » 
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-dangerosite-des-nouveaux-vaccins-anti-covid-est-un-fait-historique

« 57 scientifiques et médecins demandent l’arrêt immédiat de toutes les “vaccinations” Covid-19 »
https://www.francesoir.fr/societe-sante/57-scientifiques-et-medecins-demandent-larret-immediat-de-toutes-les-vaccinations

« TRIBUNE – Un aperçu sur le scandale du vaccin COVID-19 et du passe sanitaire »
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-le-regne-de-la-cupidite-et-la-chute-de-la-medecine-occidentale-moderne

« Alerte ! Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène (très dangereux) dans les injections Covid et leur létalité » Vidéo très importante en anglais sous-titré de 22’49. 
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Alerte-!-Une-ancienne-employ%C3%A9e-de-Pfizer-confirme-la-pr%C3%A9sence-d’oxyde-de-graph%C3%A8ne-dans-les-injections-Covid-et-leur-l%C3%A9talit%C3%A9.:c

Docteur Nicole Delépine : « Tous vaccinés, mais pas protégés ! » 
https://ripostelaique.com/tous-vaccines-mais-pas-proteges.html
et aussi :
« Sortir du délire : les thérapies géniques ne sont pas des vaccins » 
https://ripostelaique.com/sortir-du-delire-les-therapies-geniques-ne-sont-pas-des-vaccins.html

Docteur Nicole Delépine : « Des témoignages personnels dramatiques avec l’injection génique se multiplient »
https://ripostelaique.com/des-temoignages-personnels-dramatiques-avec-linjection-genique-se-multiplient.html

Docteur Nicole Delépine, encore une excellente étude de sa part sur le scandale de la vaccination des enfants :
« Il faut stopper la publicité à la vaccination des enfants » 
https://ripostelaique.com/il-faut-stopper-la-publicite-a-la-vaccination-des-enfants.html

« Le Dr. Laurent Montesino Réanimateur – à coeur ouvert »
La vérité sur les traitements, les tests et procédures, sur l’efficacité des injections.
https://rumble.com/vkybzq-le-dr.-laurent-montesino-ranimateur-coeur-ouvert.html

Le témoignage de cet homme, directeur d’une entreprise de pompes funèbres australienne, est tout aussi important que courageux.
« Le témoignage capital d’un directeur des pompes funèbres » 
https://reseauinternational.net/un-temoignage-capital/
Autre source :
http://www.urantia-gaia.info/2021/09/21/un-temoignage-capital/#more-9853

« Les surprises d’analyses de sang de personnes vaccinées » Observations par plusieurs personnes, dans un laboratoire, d’anomalies sanguines dangereuses, sur une vidéo de microbiologie. Commenté en français.
La conclusion est qu’il s’agit d’un crime à grande échelle, de l’euthanasie collective.
https://rumble.com/vluavl-les-surprises-danalyses-de-sang-de-personne-vaccines.html




Vous avez tué le principe de la vaccination pour les 20 prochaines années

Vous avez tué le principe de la vaccination pour les 20 prochaines années.

Vous les défenseurs de la vaccination classique l’avez anéantie, mais vous êtes assez idiots et narcissiques pour l’ignorer encore !

Pourquoi ?!

En avril 2021, alors que le gouvernement français s’apprêtait à étendre l’injection aux personnes non à risque, j’ai publié un texte appelé « Sauvez la vaccination en mettant fin à la vaccination(([1] https://7milliards.fr/tortosa20210430-sauvez-la-vaccination-en-arretant-la-vaccination.pdf))» qui n’a pas été entendu au même titre que celui-ci ne le sera pas non plus…

Vous avez fait le pari de la « vaccination » dès le début de la crise alors même que vous saviez que :

  • Le sars-cov2 était assez inoffensif pour les personnes en bonne santé.
  • Qu’il existait des méthodes préventives.
  • Qu’il fallait protéger les personnes à risque.
  • Qu’il existait des traitements efficaces.
  • Que le sars-cov2 est un coronavirus et que, par essence, il mute.
  • Que l’immunité naturelle de masse était une des clefs les plus importantes.
  • Que le masque et le confinement étaient des mesures uniquement politiques.
  • Qu’un vaccin ne pouvait conduire qu’à un échec du fait des mutations.
  • Que le vaccin était mort-né lors de sa commercialisation du fait des mutations déjà importantes.
  • Que cibler uniquement la protéine Spike était une garantie d’échec.
  • Qu’une immunité vaccinale était IMPOSSIBLE !
  • Que le « vaccin » n’empêchait pas la contamination (donnée connue même avant la première injection).
  • Que l’imperfection de ces « vaccins » allait en toute logique favoriser les variants.
  • Qu’il y avait un fort risque d’anticorps facilitant se retournant contre les injectés.

Vous avez sciemment pris le risque :

  • De créer des nouveaux variants potentiellement plus mortels.
  • De générer des effets secondaires graves et définitifs sur des personnes en bonne santé non concernées par ce virus.
  • De provoquer la mort chez ces mêmes personnes.
  • De favoriser des maladies auto-immunes ou des cancers à 10 ou 20 ans.
  • De rendre stériles des personnes en bonne santé non concernées.

Et alors même que vous disposez désormais d’un flux de données extraordinaire !

  • Vous savez désormais que la vaccination massive n’est pas de nature à contrôler et diminuer l’épidémie.
  • Vous savez que les variants sont apparus dans des pays qui ont massivement commencé par vacciner la population générale en bonne santé.
  • Vous savez que les pays les plus vaccinés voient une explosion des cas et des décès chez des personnes non concernées.
  • Vous savez que les effets secondaires sont inédits dans le monde de la vaccination.
  • Vous savez que la vaccination n’empêche pas de faire des formes graves et que la majorité des personnes hospitalisées sont vaccinées.

Non seulement vous cachez, mentez et faites croire le contraire à un public crédule qui ne peut imaginer que des humains sont à ce point mauvais.

Public qui a oublié tous les scandales sanitaires précédents ou que Pfizer a négocié des milliards de dollars d’indemnisation pour échapper à des procès.

Pire encore et vous ne serez pas pardonné pour cela, parce que vous êtes désormais certain que :

  • Les jeunes et les enfants n’ont AUCUN bénéfice personnel à la « vaccination ».
  • L’injection massive de la population générale est totalement inutile et même contre-productive pour lutter contre l’épidémie.
  • Vous connaissez les effets secondaires immédiats, définitifs et graves comme les myocardites.
  • Vous savez que des enfants meurent et que d’autres vont mourir de ces injections !

Et vous faites quoi face à cette situation immonde et dramatique ?

Vous accélérez sciemment la « vaccination » expérimentale chez des personnes de plus en plus jeunes alors même que vous connaissez les résultats catastrophiques.

Aujourd’hui la vaccination « solidaire » quasi forcée des enfants de 12 à 17 ans…

Demain l’injection des enfants à partir de 6 ans…

Après demain l’injection des enfants dès la naissance !

Vous êtes dans une entreprise à visée criminelle et pécuniaire et en ce sens vous n’êtes pas mieux que la mafia.

Mafia qui ne cherche pas à me convaincre qu’elle est bonne pour l’humanité !

Pour manipuler le public et le faire adopter une technologie totalement folle et inédite d’ARNm vous n’avez pas hésité à discréditer les autres vaccins autorisés pour ne garder que cet ARN messager jamais testé à grande échelle et encore moins sur l’humanité entière.

Vous avez orchestré une campagne de dénigrement de l’AstraZeneca, soulignant auprès du public des cas « exceptionnels » de thromboses alors même que vous saviez pertinemment qu’il y en avait au moins autant, sinon plus, chez BioNTech ou Moderna.

Votre entreprise criminelle a été à ce point efficace que le public en est arrivé à demander ou exiger de l’ARNm expérimental et rejeter des vaccins un peu plus « classiques ».

Le plus extraordinaire étant que le public ait peur du vaccin chinois « CoronaVac » alors que c’est un vaccin classique à virus atténué… rejeté sous prétexte qu’il est chinois.

Alors même que le BNT162 BioNTech à ARNm expérimental est issu de la collaboration entre Fosun Pharma (compagnie chinoise) et BioNTech dans un accord du 13 mars 2020 !

Je vous rappelle que les premiers essais du vaccin sur les humains ont eu lieu fin avril début mai 2020 et les Chinois ont été les premiers (tu m’étonnes) à disposer de la séquence complète du génome du virus.

Simple guerre commerciale, simple ultra-capitalisme ?

Il est quand même étrange que les autorités mondiales, l’OMS, l’agence européenne du médicament, l’ANSM, les médecins médiatiques aient tous été sinon à l’origine ou tout du moins complices de la campagne de dénigrement des vaccins les plus classiques pour privilégier la technologie la plus expérimentale, avec le plus d’inconnues et d’interrogations quant à l’innocuité aussi bien à court qu’à long terme.

Avons-nous assisté à la victoire d’un géant de l’industrie dans une guerre commerciale sans conscience ?

Ou avons-nous assisté au déroulé d’un plan pensé encore plus machiavélique, visant à nuire à la santé et au devenir de milliards d’humains ?

Cette fuite en avant alors même que les spécialistes disposent de preuves à ne plus savoir que faire sur l’inefficacité des injections pour lutter contre l’épidémie et surtout une absence d’innocuité, ne peut que questionner.

On n’arrête pas un train fou, corruption à tous les étages et/ou plan machiavélique ?

Le résultat est là…

Même si les chiffres du gouvernement concernant le nombre de personnes vaccinées sont probablement faux comme TOUTES les autres données sur la « pandémie », il n’en demeure pas moins vrai que le nombre d’injectés demeure délirant…

Alors, combien se sont vaccinés par obligation et non par choix ? …

Un nombre exorbitant à n’en pas douter…

Si l’on retire les personnes menacées dans leur emploi, les personnes désirant continuer à vivre (spectacles, voyages, restaurants, etc.)… je ne suis pas sûr qu’il reste grand monde.

Restent celles et ceux qui se sont vaccinés principalement par égoïsme chez qui la peur a parlé (la peur de mourir, ou la peur de faire mourir un proche).

  • Empêcher la propagation et les contaminations ? Bénéfice nul.
  • Empêcher les formes graves pour des personnes en bonne santé ? Bénéfice nul.
  • Protéger des personnes en fin de vie ? Bénéfice nul.
  • Protéger des personnes à risque avec ces injections versus des traitements préventifs ? Bénéfice non évalué.

Combien parmi ceux qui croient l’avoir fait par choix l’auraient fait s’ils avaient disposé d’une information « libre et éclairée » que vous, les autorités, avez interdite ?

La réponse est bien évidemment ZÉRO !

Aujourd’hui les informations sortent à l’étranger, mais pas en France, une des plus grandes dictatures occidentales, qui pourrait désormais aboutir à la République Populaire de France.

La dictature a quand même réussi à mettre en place une discrimination des personnes en fonction d’un statut vaccinal, et ce en l’absence totale d’épidémie (données sentinelles).

Et le pass sanitaire va probablement être reconduit jusqu’à l’été prochain…

Comme je viens de l’écrire, bienvenue en République Populaire de France !

Mais, la vérité ne peut pas s’arrêter, tout juste pouvez-vous la ralentir encore quelques semaines ou quelques mois…

Mais vous qui avez orchestré cette horreur, n’allez pas tarder à voir comment les rats quittent le navire.

Vos vassaux politiciens, médecins corrompus ou débiles, médias arrosés, vont retourner leur veste et en collabos d’hier, devenir les « grands » résistants de demain.

Les médias classiques qui ne sont que des putes sans conscience vont flairer le vent qui tourne et vont voir une opportunité formidable, un nouveau marché et vont se présenter comme les grands héros (pauvres « victimes » manipulées hier qui ne pouvaient pas savoir) au service du peuple.

Tous les scandales du passé ne sont que bruissement de feuille et la déferlante va être inouïe.

Dernière chance avant décès de la vaccination habituelle

Alors vous – vous les médecins — qui croyez à la vaccination.

Vous qui croyez que c’est une des plus grandes avancées de la médecine du 20e siècle.

Vous qui croyez qu’elle a sauvé des millions de vies.

Vous qui, au minimum, avez fermé votre gueule, « gueule », car ce n’était pas une bouche tant elle manquait d’humanité.

Vous êtes les acteurs, les complices de la mort quasi définitive de la vaccination !

Non seulement quasi plus personne ne se vaccinera ou ne vaccinera son enfant pour les nouveaux vaccins mis sur le marché, mais la vaccination obligatoire va aussi s’effondrer.

La vaccination obligatoire des 11 vaccins devra très vite être supprimée pour espérer redonner un tout petit peu confiance au peuple que vous avez trompé pour gagner du fric ou le tuer.

Mais c’est sans oublier que tous les « antivax » de la planète, toutes les études interdites par la doxa sur l’efficacité, l’innocuité des vaccins ; vont pouvoir sortir et qu’aucun lobby ne pourra plus les retenir.

Vous les convaincus, vous avez tué la vaccination !

Et vous les rapaces industriels, vous avez tué la poule aux œufs d’or !

Comme je l’ai écrit, ce n’est peut-être pas aujourd’hui, demain ou dans un mois…

Mais prenez bien note, vous pourrez relire ce texte dans un an ou deux…

Vous, les complices ou coupables, êtes trop lâches, trop cupides, trop narcissiques pour faire demi-tour.

Tel le scorpion de la fable de La Fontaine, vous allez piquer la grenouille qui vous aide à traverser la rivière. Vous allez obéir à votre nature et… vous allez mourir.

Si vous ne terminez pas en prison, vous terminerez votre vie, seuls et ruinés… justice sera passée.

Je le répète, vous avez encore la possibilité de sauver quelques meubles de l’incendie que vous avez provoqué ou attisé, mais vous êtes trop narcissiques et stupides pour saisir votre dernière chance.

Et comme Internet a la mémoire, comme des milliers de résistants ont déjà archivé toutes les données pour votre futur procès, vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas… car non seulement vous saviez, mais tous les résistants vous ont alerté.

Merci.

Alain Tortosa.

26 septembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20210926-deces-de-la-vaccination.pdf




Médiapart, Attal & Co marchepieds de la Secte Affairiste-Hygiéniste-Scientiste

Par Lucien Samir Oulahbib

« Médiapart » vient encore une fois d’enlever un article sur son site relatant les « risques » liés à la prise de ces injections expérimentales (([1] « Ce billet a été dépublié par la rédaction de Mediapart, car il ne respecte pas notre Charte de participation »)) appelées pompeusement d’un nom qu’ils n’ont pas à s’affubler tant qu’elles restent encore sous « AMM conditionnelle valable un an »(([2] Injections au statut désormais inconnu aux dernières nouvelles, ayant en effet dépassé cette date butoir d’un an)) et tout en considérant que cette « autorisation de médicaments » réponde encore « à un besoin médical non satisfait », ce qui n’est pas le cas comme on le sait de mieux en mieux. D’où l’obsession systématique à dénigrer tous les autres traitements (dernier en date l’ivermectine), alors que d’innombrables témoignages et les chiffres comparatifs montrent leur efficacité, surtout couplés à un renforcement du système immunitaire naturel bien plus efficace que son remplaçant injecté actuellement, comme nombre d’études le prouvent amplement.

Mais que nenni bien sûr, « journalistes », « savants » et « soignants » (aux ordres, tel Médiapart ci-dessus) viennent donc ânonner l’injonction paradoxale : comme en effet pour la très grande majorité des malades ce virus reste « bénin », alors on peut en être guéri avec n’importe quoi (donc les traitements vantés ne servent à rien) ; mais par contre (achtung!) pour les « formes graves », l’injection « est  « préférable ». Ceci n’est pourtant toujours pas démontré, contrairement aux propos de plateau média (nouveaux racontars de bistrot). Il est cependant possible d’avoir également de bons résultats avec les traitements dénigrés pris précocement (Raoult l’a démontré d’où son éviction) et d’autre part la plupart de ceux qui font des formes graves ont plutôt des comorbidités ou des prédispositions génétiques défavorables inconnues des patients (idem pour les non-vaccinés et… aujourd’hui aussi les vaccinés par exemple en Israël, en UK, USA, etc.).

Attal, dans ce contexte si fallacieux (pour être mesuré…) et alors que les chiffres divers sont partout à la baisse (([3] comme en septembre 2020 en fait et alors qu’il n’y avait pas d’injections et ceci y compris en Guyane…)), ce triste sire aura beau jeu de faire le beau (façon Dorian Gray) tout en jouant le rôle du grand savant qui sait tout (en avançant de manière péremptoire que « le passe serait prolongé jusqu’à l’été prochain »). Et pourtant il a de plus en plus de mal à cacher que non seulement il ne peut pas prédire ce qui se passera version virus, mais surtout qu’en réalité ce « passe » sert à tout autre chose…

En particulier à la mise en place d’un contrôle générique associant environnement, injections, « droits » divers (ou la fusion, à terme, entre la carte de la SS et ce PaSS) permettant bonus et malus à la façon — on l’aura reconnu — du passe maoïste. C’est le dévoilement, mais sans le dire, de la connexion désormais fatale entre toutes les castes formant la Secte, au sens de s’affubler d’une légitimation (santé, climat, protections diverses) et de recruter massivement n’importe qui (principe de toute Secte) du moment qu’il adopte le catéchisme et ses rituels jusqu’à ses rictus (Médiapart par exemple) afin de fomenter ce nouveau Moyen-âge bioélectronique avec le corps humain comme matière première principale à fabriquer, recycler (jusqu’au « compost » façon Soleil vert de plus en plus prémonitoire).

Que des anciens léninistes se recyclent dans cet affairisme scientiste sans scrupules n’étonnera guère (Staline et Lénine y avaient pris leur part), mais que des académiciens, universitaires, intellectuels, journalistes, politiques, artistes qui autrefois avaient un certain cachet critique prennent part à l’actuelle mystification, voilà qui sans aucun doute ne peut qu’interpeller le futur tribunal international. Il faut espérer que celui-ci punira durement tous les acteurs et complices de cette sinistre affaire de plus en plus criminelle tant non seulement des vies auraient pu être sauvées, mais aujourd’hui des médecins, infirmiers, soignants, pompiers sont radiés pour une maladie de plus en plus soignable quand bien même serait-elle « inconnue » en tout cas bien moins que ces injonctions aux effets plus « inconnus » encore….

P.S. Dommage que cet énorme enjeu soit passé à l’as lors du « débat » M&Z (une causerie plutôt) alors qu’il est de plus en plus central, voire « civilisationnel »…




Effondrement prévisible du système de santé du Québec ?

[Source : samizdat.qc.ca]

Paul Gosselin (23/9/2021)

À ce stade de la crise du Covid, on a probablement tous entendu parler, entre les branches, de personnes devenues gravement malades, voire décédées suite à suite de son vaccin. Dans mon cas, un beau-frère est décédé dans son sommeil une semaine après son vaccin. Puisqu’on n’a pas fait d’autopsie, alors ça évite d’établir la cause. Je me doute que pour ces cas le système médical québécois recommande fortement aux familles de ne pas demander d’autopsie, si ce n’est de REFUSER toute demande d’autopsie (même de la part des membres des familles directement concernés). Mais avec un laps de temps aussi court, il est LOGIQUE de faire ce lien et poser des questions sérieuses.

Un contact québécois m’a parlé d’un père de famille qu’il connaît, un gars super-athlète, probablement dans le top 5 % des Québécois pour la forme physique (faisant la traversée à la nage du Lac St-Jean), mais qui est décédé deux semaines après sa double dose du vaccin anti-Covid. Il avait des enfants… Évidemment certains n’ont pas été exposés à de telles choses et peuvent penser que ça ne peut t’être que de quelques cas isolés, car après tout: « On nous dit que les vaccins anti-Covid sont efficaces et sécuritaires ». À ceux-là, je vous invite à lire l’article de Hartnett dans les références.

Mais là, non seulement le premier ministre du Québec François Legault met de plus en plus de pression sur la population en général pour imposer le vaccin, mais le 7 septembre il a annoncé qu’à partir du 15 octobre, que tout le personnel médical du Québec doit être vacciné. Cela implique la perte d’emploi pour ceux qui osent refuser. Quel chantage extraordinaire pour imposer le vaccin !! Et le écise que cette exigence vise les organismes suivants :

  • les centres locaux de services communautaires;
  • les centres hospitaliers;
  • les centres d’hébergement et de soins de longue durée, publics, privés non conventionnés et conventionnés;
  • les centres de protection de l’enfance et de la jeunesse;
  • les centres de réadaptation;
  • les établissements privés conventionnés autres que les CHSLD;
  • les ressources intermédiaires et de type familial (RI-RTF);
  • les résidences privées pour aînés;
  • les groupes de médecine familiale (GMF);
  • les titulaires de permis d’exploitation de services ambulanciers et la Corporation d’Urgences-santé;
  • les laboratoires d’imagerie médicale offrant des services publics;
  • les entreprises d’économie sociale en aide à domicile;
  • certains groupes communautaires et acteurs qui offrent des services aux personnes vulnérables.

C’est d’ailleurs le même scénario en France où officiellement que c’est 3,000 membres du personnel médical du système médical français qui seront mis à pied. Mais cette infirmière française rejette ces chiffres et affirme que c’est plutôt 300,000 membres du personnel médical qui seront mis à pied !

UNE INFIRMIÈRE parle vrai :

« Vous pensez vraiment qu’il n’y a que 3 000 soignants mis à la porte ? Les vrais chiffres sont 300 000 !! […] »

(Laurent Du Mcse – VK – 7 minutes – 16/9/2021)



Au Québec, il ne faut pas se leurrer, il est probable que les conséquences du geste irresponsable de François Legault touchant l’imposition du vaccin anti-Covid sur le personnel médical seront EXACTEMENT les mêmes que celles prévues par cette infirmière, c’est-à-dire d’exclure du système de santé un grand nombre de personnes compétentes à un moment où il en faudrait justement plus de personnel. À ce sujet, récemment un autre contact ayant longtemps travaillé dans le système de santé québécois m’a avoué

Je sais de sources sures que le système de santé du Québec s’effondre d’ici quelques mois, un an tout au plus…

Et si on entend parler de plus en plus des conséquences dramatiques des vaccins sur la population en générale, qu’en est-il du personnel médical vacciné ? Un de me contacts m’a raconté l’anecdote (histoire vraie) suivante :

Je connais un gars travaillant dans un CHSLD, un gars en forme, actif, svelte. Un gars jamais malade, pas de diabète, pas de boisson ni de drogue. Quelques jours après son 2e “ vaccin ”, il éprouve une forte douleur dans l’un de ses pieds. Plusieurs médicaments antidouleurs plus tard, il passe une très mauvaise nuit. Le lendemain la douleur est trop forte malgré les analgésiques, il va à l’hôpital et les médecins lui apprennent que son pied est comblé de caillots sanguins et qu’ils doivent l’amputer… Et c’est ce qu’ils ont fait.

Mais ce n’est qu’un cas connu. Et si effectivement au Québec dans les prochaines semaines et mois on commence à faire face de plus en plus aux conséquences dramatiques des vaccins anti-Covid sur le personnel médical vacciné, logiquement on va faire face à événement dramatique et sans précédent, c’est-à-dire une implosion du système de santé. Le premier coup de démolition du système de santé ce sera l’exclusion du personnel médical non-vacciné, mais le deuxième premier coup de démolition du système sera le personnel vacciné qui commencera à tomber suite aux répercussions toxiques du vaccin à l’ARNm… Et à moins de voir reculer le gouvernement sur l’exclusion du personnel médical non vacciné alors il ne faut pas s’étonner que le gouvernement soit pris pour traiter avec une crise de grande envergure. Comment s’en sortiront-ils sans subir (eux-mêmes…) trop de répercussions directes ? À vrai dire le hargne que le gouvernement met pour imposer, par toutes sortes de moyens (et par la menace essentiellement…), le vaccin expose le fait que les Legault et Arruda savent bien qu’il leur reste peu de temps avant que les retombés catastrophiques du vaccin deviennent évidentes aux yeux de toute la population.

On peut s’attendre à quel genre de réaction du gouvernement ?

Que va faire le gouvernement Legault lorsque les conséquences de ses décisions de saboter le système de santé seront manifestes aux yeux de tous ? Que va-t-il se passer quand les gens vont hurler qu’ils paient leurs taxes pour avoir accès au système de santé et que (faute de personnel adéquat) on leur REFUSE les services auxquels ils ont droit ?

Mais on voit une constante dans la gestion gouvernementale, il y a toujours une porte de sortie pour les menteurs et les manipulateurs… Dans ce cas-ci, il faudra créer des coupables. Et ces coupables sont là, tout prêts. Eh oui, vous l’avez deviné, ce sont les non—vaccinés. Ainsi lorsque la crise du système de santé deviendra INDÉNIABLE, Legault et Dubé vont trouver quelques cas de personnes non-vaccinés qui auraient contaminé le personnel médical vacciné. Ah quel horreur ?? Mais, vous vous demandez peut-être comment des personnes vaccinées peuvent attraper le Covid s’ils sont vaccinés ?? Sans doute on vous dira que vous vous posez trop de questions, taisez-vous… Mais enfin, voyant tout le blabla débile sur les variants Delta, Epsilon, etc. il ne sera PAS étonnant qu’on met de l’avant un truc manipulateur du genre : “ On vient de découvrir que chez les non-vaccinés, le Covid fait des mutations multiples qui mettent en danger TOUTE la population. Ainsi pour leur bien (et le bien de la population en général), il faut mettre en isolation obligatoire les non-vaccinés, les mettre en quarantaine, les interner dans des camps(([1] – Et NON, ce n’est pas une blague ou “fake news”. En octobre l’an dernier, le député ontarien Randy Hillier a osé poser des questions à ce sujet, mais on lui a RAPIDEMENT coupé la parole…
Doug Ford gov’t won’t deny COVID-19 quarantine camps are coming to Ontario
(YouTube – 5 minutes – 9/10/2020) )) (ou, si nécessaire, les exterminer)… ” Évidemment l’avenir seulement diras si ces spéculations seront complètement réfutées et à coté de la plaque ou s’ils seront dépassées par la réalité des événements…

Évidemment ça peut sembler complètement farfelu, si ce n’est irresponsable, de se permettre de telles spéculations, mais faisons face à la dure réalité actuelle. Cher lecteur/lectrice, si tu pouvais reculer dans le temps et raconter à ton moi du premier janvier 2020 TOUTES les restrictions, violations de liberté et changements de comportement que tu as déjà vus, ne penses-tu pas que ton moi du début 2020 ne trouverais pas complètement farfelues tes affirmations et te demanderait pas si tu as (peut-être) fait des abus de substances hallucinogènes, si ce n’est de te traiter de complètement dérangé, cinglé et irrationnel ??

Comment on construit un bouc émissaire commode

Voyons le cas du Mega Fitness Gym à Saint-Romuald. (avril 2021). Ce qui est un fait est qu’un client du gym, Étienne Desrochers-Jean est décédé à cette époque. La journaliste de RadioCan Marie Maude Pontbriand (7/4/2021) précise au sujet de Desrochers-Jean que

Il avait auparavant reçu un résultat positif à un test de dépistage de la COVID-19, mais rien ne permet d’affirmer qu’il a contracté le virus au Mega Fitness Gym.

Est-ce que l’on peut prouver que le Covid a vraiment tué cet homme ? Je me le demande… Enfin, si la famille de Étienne Desrochers-Jean a toutes mes sympathies les plus sincères, évidemment pour le gouvernement ce décès est TRÈS commode et ce n’est pas un hasard non plus que les grands médias leur ont donné toute cette attention à ce cas de décès particulier (et pas à d’autres).(([2] – Tout en ignorant totalement les pertes d’emploi et suicides résultant des politiques de restrictions et isolement qu’a mis en place le régime de Legault.)) Dans un article par le journaliste Alain Rochefort (RadioCan – 7/4/2021), le Mathieu Boivin, le porte-parole du CIUSSS de la Capitale-Nationale, fit ces commentaires :

Bien sûr, dans le contexte épidémiologique actuel, nous n’hésiterons pas à utiliser tous les moyens et leviers à notre disposition pour contrer toute menace à la santé et la sécurité de la population de la Capitale-Nationale. C’est ce que nous avons fait dans cet établissement, ajoute M. Boivin.

Et le titre cet article ultra-culpabilisant de Rochefort fait valoir que 419 cas de covid sont liés à l’éclosion du Mega Fitness Gym. Oh, encore des cas, c’est-à-dire des positifs au test PCR que tous savent ne signifient rien… En général les gens classés positifs au test PCR ne sont pas malades, c’est-à-dire n’ont pas de symptômes de Covid. Et Rochefort va plus loin en insinuant (à mots couverts) que la troisième vague de Covid dans la région de Québec (et TOUTES les restrictions qui suivent) soit de la faute du Mega Fitness Gym.

L’éclosion dans ce gym, propriété de Daniel Marino, qui a  défié la santé publique à quelques reprises, ne peut cependant être considérée comme la cause unique de la troisième vague à Québec, insiste la santé publique.

Et dans le dossier du Mega Fitness Gym on a même vu RadioCan (Marie Maude Pontbriand – 5/4/2021) donner la parole au maire de la ville de Québec afin qu’il s’en prenne au poste Radio X qui avait un moment appuyé le Mega Fitness Gym. Dans l’article de Pontbriand, Labeaume a d’ailleurs traité RadioX de dangereux et les proprios du gym, d’irresponsables. Dans un autre article par Sébastien Tanguay (RadioCan – 3/4/2021) on a encore donné la parole au maire Labeaume qui a proféré la menace légale suivante (pas très voilée) à l’égard du proprio du gym, menace qui évidemment vise tout autre commerce osant braver les restrictions.

Selon le maire de Québec, autant le Mega Fitness Gym que le [bar] Kirouac sont bien chanceux qu’au point de vue légal, la loi ne puisse pas les rejoindre.

Et dans le même article de Tanguay, Labeaume en rajoute du guilt-mongering au sujet du proprio du gym :

C’est le cas parfait. Le gars, grand génie, contestait les mesures sanitaires et ironiquement, ironiquement, ce grand monsieur-là, tout d’un coup, a fait que la pandémie déferle en ville. Il en est grandement responsable. 

Récemment un copain m’écrivait disant :

Plus le temps passe et plus l’on est enclin à penser que plusieurs États et gouvernements profitent d’un maintien de la crise à des fins autres (politiques). Il est étonnant de constater le silence généralisé des ordres professionnels du milieu de la santé, des syndicats, des partis d’opposition, etc. Avec l’expérience on apprend que quand tous les médias disent de regarder quelque part, l’action véritable se passe souvent ailleurs. Peut-on suggérer par exemple, des objectifs tels que la mort planifiée des États-Nations souverains, la disparition des classes moyennes instruites avec un retour vers une prochaine génération moins (ou mal) instruite et dont le principal caractéristique serait la docilité ?

Un autre contact m’a souligné qu’au Québec, les partis de l’opposition politique ne sont pas silencieux, mais en fait sont manifestement tout à fait complices du néo-totalitarisme que l’on installe au Québec, décret par décret, loi spéciale, par loi spéciale… Voici une nouvelle (offert par les journalistes Vincent Larin et Geneviève Lajoie de TVA – 23/9/2021) qui offre un élément de preuve de plus de cette tendance, soit l’adoption par l’Assemblée nationale du Québec d’une loi interdisant aux “ antivaccins ” de manifester à moins de 50 mètres des garderies, écoles, hôpitaux ou de centres de vaccination et de dépistage. Larin et Lajoie observent :

“ Si la version initiale du projet de loi du gouvernement prévoyait déjà des amendes salées, de 1000 à 6000 $ pour les manifestations et de 2000 à 12 000 $ pour les menaces ou l’intimidation, elles ont finalement été doublées. (…) Geneviève Guilbault a toutefois rejeté la demande du Parti libéral du Québec de permettre aux tribunaux d’emprisonner jusqu’à six mois les multirécidivistes, une mesure qu’elle juge “excessive”. ”

On constate ici que la supposée « opposition » est en fait un acteur très important pour aider à maintenir une dictature, car ils demandent toujours pire que ce que la CAQ finit par appliquer. Quelle folie! Et les journalistes Larin et Lajoie citent la ministre de la Sécurité publique, Geneviève Guilbault qui dit :

« Geneviève Guilbault voit aussi “un lien manifeste” entre les critiques contre les mesures sanitaires et celles contre le gouvernement. C’est pourquoi “si quelqu’un, sur Facebook, écrivait « le gouvernement, dictature, blablabla, allons protester […] devant telle école », le policier pourrait déjà interdire”, dit-elle.  »

C’est curieux comment cette classe dirigeante tolère si peu les critiques. Mais s’ils n’aiment pas se faire traiter de totalitaires, la solution est pourtant simple. Ils n’ont qu’à commencer à montrer du respect de la Charte des droits ainsi que du respect envers le peuple. Et qui sait? Et si cette nouvelle loi anti-manifestations n’est justement pour but de se protéger des effets qu’ils ont prévus de l’effondrement du système de santé du Québec suite à leur exclusion du personnel médical refusant le vaccin? Une telle loi laisse bien entendre que l’effondrement du système de santé est non pas un accident, mais voulu…

Il est donc clair que cette classe dirigeante a un mépris très profond des droits du peuple. La liberté d’expression ? Oui, on veut bien vous accorder ce privilège, mais à la condition que vous pensez exactement (et servilement) comme nous… On se retrouve donc avec un régime tout à fait comparable aux régimes islamiques. Sous un régime islamique intégriste, où règne la Charia, puisque l’État est considéré “ défenseur de l’Islam ”, alors un critique contre l’État (ou ses dirigeants) est alors considéré intolérable, car implicitement une critique contre l’Islam. Ainsi, au Québec avec le parti de François Legault on se retrouve avec un régime intégriste, totalitaire où le covidisme devient Vérité (ou religion) d’État et ainsi la critique contre le covidisme est désormais considérée une hérésie qu’il faut chasser. On a donc affaire à une nouvelle Inquisition High Tech. Qu’auraient fait les inquisiteurs du Âge avec le contact-tracing je me le demande ? On peu supposer que ça leur aurait grandement facilité leur travail…


Ressources

Le fanatisme religieux Covidien /Covidian Religious Fanaticism.


Références

John Gideon Hartnett (2021) Les injections anti-COVID tuent un grand nombre de personnes, prévient le docteur COVID de haut niveau Peter McCullough. (Samizdat)

Lance D Johnson – Canadian government erecting a network of covid detainment camps and “isolation” sites to incarcerate those who don’t cooperate with medical tyranny. (JellyFIsh News – 16/410/2020)

Vincent Larin et Geneviève Lajoie – La loi pour repousser les manifestations en lien avec les mesures sanitaires adoptée. (TVA Nouvelles – 23/9/2021)

François Legault – Pandémie de COVID-19 – Le gouvernement du Québec annonce la vaccination obligatoire des intervenants de la santé et des services sociaux. (Publié par : Cabinet du ministre de la Santé et des Services sociaux ; En collaboration avec : Cabinet du premier ministre) – 7 septembre 2021, 17 h 23

François Legault – CONCERNANT l’ordonnance de mesures visant à protéger la santé de la population dans la situation de pandémie de la COVID-19. [la version administrative du décret numéro 1276-2021 du 24 septembre 2021] -> loi anti-manifestations

Marie Maude Pontbriand – COVID-19 : le coroner enquête sur la mort d’un membre du Mega Fitness Gym. (RadioCan –7/4/2021)

Alain Rochefort – 419 cas liés à l’éclosion du Mega Fitness Gym. (RadioCan – 7/4/2021)

Marie Maude Pontbriand – Régis Labeaume s’en prend à Dan Marino et aux propriétaires de CHOI. (RadioCan – 5/4/2021)

Sébastien Tanguay – Le maire Labeaume vitriolique envers le Mega Fitness Gym. (RadioCan – 3/4/2021)


Notes




Bilan sanitaire au 25/9/2021 dans les pays champions de la vaccination anticovid

Par le Dr G Delépine, chirurgien cancérologue et statisticien

Je tiens à rappeler que tous les chiffres et courbes publiés dans cet article sont authentiques. Les données sont les données officielles publiées par l’OMS que chacun peut vérifier en tapant OMS Covid Dashboard suivi du nom du pays. Les courbes (que j’ai commentées en rouge) ne font que traduire graphiquement les données OMS ; elles ont été pour la plupart publiées par Ourworldindata et peuvent également être retrouvées en tapant Ourworldindata covid suivi du nom du pays en anglais.

Quant à l’immunité collective espérée par les vaccins Covid elle est, depuis l’apparition du variant delta, reconnue comme inatteignable par la quasi-totalité des spécialistes de la planète et plusieurs l’ont déclaré officiellement (Islande, Grande-Bretagne). D’ailleurs même Monsieur le Pr Fischer qui en a fait longtemps la promotion n’ose plus se prononcer sur le sujet.

Que les vaccins n’empêchent pas d’être contaminant est parfaitement établi, ne serait-ce que par l’explosion récente de 100 cas de covid en quelques jours parmi les 1200 membres d’équipage tous complètement vaccinés depuis plus de 3 mois à bord du porte-avions Queen Elizabeth. D’ailleurs monsieur Veran l’a officiellement reconnu dans sa réponse au Conseil d’État fin mars 2021.

Que les vaccins n’empêchent pas de faire une forme grave et même d’en mourir est affirmé par les expériences israélienne et anglaise.

Que le passe sanitaire ne protège pas des contaminations a été malheureusement affirmé par ses échecs (lorsque l’épidémie sévissait encore début juillet) après de nombreux concerts avec passe qui ont été suivis de poussée épidémique aux Pays-Bas et en Catalogne et par la multiplication par 20 en un mois des contaminations journalières après l’instauration d’un passe en Autriche.

Je vous signale également que tous les chiffres et courbes cités dans nos articles proviennent de sources officielles et sont sourcés.

Gérard Delépine

L’immunité vaccinale anticovid est un mythe

Depuis le début de la crise sanitaire, l’exécutif français a prétendu que les traitements précoces étaient inefficaces, imposé des restrictions majeures à nos libertés, en particulier de prescription des médecins,(([1] Pour la première fois depuis 2500 ans…)) et a promis que la vaccination obtiendrait l’immunité collective, la sortie de crise et le retour à une vie normale.

Mais l’échec permanent depuis 18 mois de cette stratégie sanitaire fondée sur des simulations fausses, des mensonges innombrables, des promesses jamais tenues, la propagande de la peur et l’extorsion du consentement à la vaccination par les chantages aux libertés de circuler, d’avoir des loisirs et de travailler, devient insupportable.

Les vaccins actuels qu’ils veulent nous imposer sont-ils efficaces ? Peuvent-ils aboutir à une immunité collective ou n’est-ce qu’un mythe ? Pour y répondre, nous ferons le bilan sanitaire actuel des pays les plus vaccinés d’après les chiffres fournis par l’Organisation Mondiale de la Santé et les courbes de OurWorldinData.

Mortalité record à Gibraltar champion des injections Astra Zeneca

Gibraltar (34 000 habitants) a commencé la vaccination en décembre 2020 alors que l’agence sanitaire recensait dans ce pays seulement 1040 cas confirmés et 5 morts attribués au covid19. Après une campagne de vaccination éclair très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols), le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 5 (passant à 5314) et celui des morts par 19. Atteignant 97, soit 2853 morts par million d’habitants, ce chiffre constituant l’un des records européens de mortalité. Mais les responsables de la vaccination nient tout lien causal sans proposer une autre étiologie plausible. Et après une accalmie de quelques mois, l’épidémie reprend confirmant qu’une couverture vaccinale à 115 % ne protège pas de la maladie.

Malte : une couverture vaccinale de 84 %, mais tout aussi inefficace

Malte fait partie des champions européens des pseudo vaccins : dans cette île de 500 000 habitants, près de 800 000 doses ont été administrées assurant une couverture vaccinale de près de 84 % avec un recul d’environ 6 mois.

Mais depuis début juillet 2021, l’épidémie est repartie et les formes graves (mortelles) augmentent forçant les autorités à reconnaître que la vaccination ne protège pas la population et à imposer des restrictions.

Là aussi la récidive de l’épidémie des cas et de la mortalité prouve qu’un taux élevé de vaccination ne protège pas la population.

En Islande, on ne croit plus à l’immunité collective vaccinale

Dans ce petit pays de 360 000 habitants, plus de 80 % d’entre eux sont primo-vaccinés et 75 % ont un cycle vaccinal complet. Mais à la mi-juillet 2021, les nouvelles contaminations journalières sont passées d’une dizaine à environ 120, avant de se stabiliser à un taux supérieur à celui de la période pré vaccinale. Cette récidive brutale a convaincu l’épidémiologiste en chef de l’impossibilité d’obtenirl’immunité collective vaccinale « C’est un mythe » a-t-il publiquement déclaré.

Belgique : récidive de la maladie malgré la vaccination

En Belgique, près de 75 % de la population est primo-vaccinée. Et 65 % des habitants disposent d’un cycle vaccinal complet. Cependant, depuis fin juin 2021, le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes est passé de moins de 500 à près de 2000. Comme le reconnaît la RTBF, face au variant Delta, la vaccination actuelle est loin d’être suffisante pour protéger la population.

Singapour abandonne l’espoir du « Zéro Covid » par les vaccins

Ce petit pays est lui aussi très vacciné et près de 80 % de la population a au moins reçu une dose. Mais depuis le 20 août 2021, il doit faire face à une reprise exponentielle de l’épidémie avec une hausse des cas passés d’une dizaine en juin à plus de 150 fin juillet et à 1246 cas le 24 septembre.

Cette récidive incontrôlée de la maladie malgré la vaccination a fait abandonner la stratégie de l’éradication du virus pour un modèle de « vivre avec le virus » en essayant de traiter la maladie « comme la grippe ».

Au Royaume-Uni : remontée inquiétante des contaminations

Le Royaume-Uni constitue le champion européen de la vaccination Astra Zeneca avec plus de 70 % des habitants primo-vaccinés, et 59 % disposant d’un schéma vaccinal complet. Ce taux élevé de « vaccination » n’a pas évité une explosion des cas au début de l’été, avec, à la mi-juillet jusqu’à 60 000 nouveaux cas quotidiens.

Devant cette reprise importante de l’épidémie malgré la vaccination Andrew Pollard, représentant de l’Oxford Vaccine Group, a reconnu devant le parlement : « l’immunité collective par le vaccin est un mythe »

Cette reprise des infections s’est accompagnée d’une reprise des hospitalisations, des cas graves et des décès. D’après le rapport officiel d’août,(([2] SARS-CoV-2 variants of concern and variants under investigation in England Technical briefing 21
Published August 2021 Public Health England Gateway number : GOV 9374 20 August 2021)) les décès sont plus fréquents chez les malades complètement vaccinés (679) que chez les non-vaccinés (390) démentant ainsi cruellement les espoirs d’un effet protecteur du vaccin sur la mortalité.

Après la levée des dernières restrictions sanitaires, une décrue de l’épidémie a été observée avec un niveau de moins de 30 000 cas par jour alors que début juillet des simulations d’épidémiologistes covid terroristes prophétisaient jusqu’à 100 000 nouveaux cas quotidiens en cas de suppression des mesures sanitaires.

Israël : catastrophe post vaccinale évidente niée par les responsables

Israël, champion de l’injection Pfizer, jadis partout cité en exemple d’efficacité est actuellement durement rappelé à la réalité et représente maintenant le modèle de l’échec vaccinal.

70 % de la population est primo-vaccinée, et près de 90 % des personnes à risque ont un cycle vaccinal complet. Mais l’épidémie est repartie plus forte que jamais depuis fin juin et plus de 11 000 nouveaux cas ont été enregistrés en 1 jour (le 14 septembre 2021) dépassant de près de 50 % les pics observés en janvier 2021 lors de la poussée qui a suivi les premières injections Pfizer.

Cette reprise de l’épidémie malgré les injections Pfizer s’accompagne d’une hausse des hospitalisations où les vaccinés représentent la majorité des personnes hospitalisées.

La vaccination ne protège pas non plus des formes graves ni de la mort.

Fin juillet : 71 % de des 118 Israéliens sérieusement atteints (serious, critical) étaient totalement vaccinés !

Cette proportion de malades graves vaccinés est très supérieure à la proportion de personnes totalement vaccinées : 61 %. Prétendre que le vaccin protège des formes graves de la maladie, comme le déclara imprudemment le ministre de la Santé israélien, est une erreur (ou une désinformation ?).

Pour ne pas reconnaître ses erreurs, le gouvernement israélien reste dans le déni de cet échec patent et continue à ne proposer que la vaccination comme solution. Combien faudra-t-il de morts supplémentaires pour qu’il suive l’exemple de l’Inde ou du Japon et qu’il adopte enfin les traitements précoces ?

Conclusions

Les pseudo vaccins actuels sont trop peu efficaces. Ils ne préviennent ni les récidives de l’épidémie, ni les hospitalisations, ni les formes graves, ni la mort. En Israël et en Grande-Bretagne qui précisent le statut vaccinal des victimes, les vaccinés souffrent d’un sur risque de mortalité par rapport aux non-vaccinés.

La poursuite d’une politique uniquement vaccinale aboutit à une impasse mortifère alors que les pays qui conseillent officiellement (Inde) les traitements précoces ou qui laissent leurs médecins les prescrire (Japon, Corée) s’en sortent beaucoup mieux.

Qu’attendent nos autorités sanitaires pour cesser de croire en des simulations fausses réalisées par des épidémiologistes trop liés aux entreprises des vaccins, regarder les faits avérés et interrompre leur campagne pro vaccinale mensongère et délétère et recommander les traitements précoces ?

La poursuite de l’interdiction des traitements précoces par les médecins traitants entraîne une perte de chances pour de nombreux malades et engage directement la responsabilité du gouvernement et singulièrement du ministre de la Santé.





Le professeur Jacques van Helden, de l’université Aix-Marseille, explose les mensonges du Dr Fauci dans The Lancet

[Source : ZEjournal]

Auteur : Jean-Patrick Grumberg

La principale revue médicale au monde, The Lancet, vient de publier un article (1) condamnant explicitement les positions conspirationnistes d’Anthony Fauci, le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, qui déclarait le 17 février 2020 à USA Today (2) que le risque de coronavirus aux États-Unis était « minuscule », puis niait qu’il sortait du laboratoire de Wuhan dont il a financé les travaux de recherche. 

Dans leur appel « pour un débat scientifique objectif, ouvert et transparent sur l’origine du SRAS-CoV-2 », publié le 17 septembre dans The Lancet (1), une quinzaine de scientifiques français et étrangers accusent implicitement le Dr Fauci d’avoir menti, et de continuer à mentir sur les origines du coronavirus, sous le fallacieux prétexte qu’il fallait « suivre la science et non les spéculations ».

Typique travers de la nature humaine, où le voleur accuse celui qu’il vient de dérober d’être le voleur, si bien illustré par le loup furieux contre l’agneau qui « trouble son breuvage », alors que d’une part, l’agneau se désaltérait déjà quand le loup est arrivé, et qu’au surplus, l’innocent accusé se trouvait « plus de vingt pas au-dessous » du loup dans le courant. Jean de la Fontaine (merci, Gérard Pierre, pour la mention) décrit ce que nous observons quotidiennement dans les médias : être traité de conspirationniste par les conspirationnistes, et accusés de Fake News par les industriels de la Fake News.

En réalité, dans l’origine du coronavirus, les faits pointent vers tout l’inverse de ce qu’affirmait Fauci, comme le loup qui pollue l’eau de l’agneau et lui reproche de troubler son breuvage : la science semble indiquer que le virus est de fabrication humaine, et les spéculations l’attribuent à une origine animale.

Mais revenons à nos moutons…

Source de la controverse

  • Nous sommes au tout début de ce qui deviendra une pandémie. Nous sommes le 1er février 2020, et lorsqu’il a été confronté aux premiers indices que le Covid pouvait provenir du laboratoire de Wuhan qu’il a financé via EcoHealth Alliance de Peter Daszak, président de l’organisation basée à New York, le docteur Fauci a organisé une conférence téléphonique secrète pour discuter de la manière de supprimer cette information dangereuse, puisque la piste menait directement à eux.

« Un groupe d’élite de scientifiques internationaux a donc eu une réunion téléphonique pour discuter d’une possibilité choquante : Le virus semblait avoir été créé dans un laboratoire », explique Alison Young, membre de l’équipe d’investigation de USA TODAY, qui couvre les questions de santé, d’environnement et de consommation.

https://www.usatoday.com/story/opinion/2021/06/17/covid-19-fauci-lab-leaks-wuhan-china-origins/7737494002/

  • Le 19 février 2020, Peter Daszak et 27 autres scientifiques ont publié une lettre dans The Lancet (3), disant :

« Nous nous unissons pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le COVID-19 n’a pas une origine naturelle ».

https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30418-9/fulltext

Cette lettre a ensuite été utilisée par tous les médias pendant plus d’un an pour supprimer et censurer toutes discussions – et même toute question – suggérant que le virus est sorti d’un laboratoire chinois. Les médias sociaux ont tous apporté leur concours à cette censure. Les sites qui combattent les théories conspirationnistes ont ridiculisé ceux qui posaient des questions, et les organismes de vérifications des faits, en prenant pour référence la lettre du 19 février, ont rejeté comme Fake news tout avis contraire. Pendant plus d’un an.

  • La veille, soit le 18 février 2020, Dreuz a été le premier média en langue française à émettre des doutes sur l’origine du coronavirus et à pointer du doigt le laboratoire de Wuhan (4).

Ce qui, dans la lettre des élites scientifiques de février avait attiré les doutes de l’homme simple que je suis, n’était pas difficile à déceler : comment ces messieurs, sans faire d’enquête, sans encore rien connaître au virus, pouvaient-ils affirmer de manière absolue et définitive que le Covid-19 était d’origine naturelle, et ne pouvait absolument pas venir d’un laboratoire. Ils ne présentaient aucune preuve scientifique de leurs affirmations parce qu’ils n’en avaient pas. A la place, ils se servaient de l’autorité et du prestige de leur position pour demander qu’on les croie.

Et cela doit nous servir de leçon : ce n’est pas parce qu’un grand scientifique, réputé, honoré et honorable par ailleurs, affirme quelque chose, que ce soit suffisant pour le croire.

  • Le 17 septembre 2021, un nouvel article paru dans The Lancet, rédigé par Jacques van Helden de l’université d’Aix-Marseille en France, Richard Ebright de l’université Rutgers et 14 autres auteurs français et américains, a mis à mal les Fake news de la clique des élites de Fauci qui prétendaient apporter un soutien écrasant à l’hypothèse selon laquelle le nouveau coronavirus à l’origine de la pandémie de COVID-19 provenait de la faune sauvage.

« Les auteurs ont associé tout point de vue alternatif à des théories du complot, en déclarant : « Nous nous unissons pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le COVID-19 n’a pas une origine naturelle ».

Cette déclaration a eu pour effet de réduire au silence le débat scientifique au sens large, y compris parmi les journalistes scientifiques », accuse van Helden.

Contrairement à ce qu’affirmaient ces élites scientifiques, poursuit l’article,

« Il n’y a pas de soutien direct à l’origine naturelle du SRAS-CoV-2, et un accident lié à un laboratoire est plausible. Il n’existe à ce jour aucune preuve scientifiquement validée qui soutienne directement une origine naturelle. »

« Ni l’option de l’hôte, de la chauve-souris à l’homme, ni la route géographique du Yunnan (où les virus les plus proches du SRAS-CoV-2 ont été échantillonnés) à Wuhan (où la pandémie a émergé) n’ont été identifiées.

Plus de 80 000 échantillons prélevés dans des sites sauvages et des fermes d’élevage chinoises se sont tous révélés négatifs », écrivent les chercheurs.

En outre, poursuivent les auteurs :

La communauté internationale des chercheurs « n’a pas accès aux sites, échantillons ou données brutes » liés au laboratoire de Wuhan et à l’épidémie de Covid.

Même le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a maintenant déclaré « que toutes les hypothèses restaient sur la table, y compris celle d’une fuite de laboratoire. »

Et donc, ajoutent les scientifiques, l’origine pointe plutôt vers un virus fabriqué par l’homme :

L’origine de la pandémie par une fuite en laboratoire est « plausible. Certaines caractéristiques inhabituelles de la séquence du génome du SRAS-CoV-2 suggèrent qu’elles pourraient résulter du génie génétique. »

Le professeur de l’université Aix-Marseille poursuit ainsi :

En tant que scientifiques, nous devons évaluer toutes les hypothèses sur une base rationnelle, et peser leur probabilité sur la base de faits et de preuves, sans spéculation quant à d’éventuels impacts politiques.

Contrairement à la première lettre publiée dans The Lancet … nous ne pensons pas que les scientifiques doivent promouvoir l’ »unité » (« Nous soutenons l’appel du directeur général de l’OMS à promouvoir les preuves scientifiques et l’unité plutôt que la désinformation et les conjectures »).

Comme nous l’avons montré ci-dessus, les hypothèses liées à la recherche ne sont pas de la désinformation et des conjectures. Plus important encore, la science accepte les hypothèses alternatives, les arguments contradictoires, la vérification, la réfutabilité et la controverse. S’écarter de ce principe risque d’établir des dogmes, d’abandonner l’essence de la science et, pire encore, d’ouvrir la voie aux théories du complot. Au lieu de cela, la communauté scientifique devrait amener ce débat là où il doit être : dans les colonnes des journaux scientifiques ».

Conclusion

Lorsque je faisais des recherches sur Dreuz pour retrouver l’historique de nos publications – je ne fais pas confiance dans les médias traditionnels à moins qu’ils fournissent leurs sources, ce qu’ils ne font pas – j’ai compris une partie du légitime rejet du vaccin par une partie du public informé : ils ont très tôt été pris pour des imbéciles par les autorités, et dès cet instant, ont décidé de ne plus leur faire confiance en rien concernant leur santé et la pandémie.

J’ai également remarqué que très tôt, je me suis personnellement, ainsi que tous les auteurs de Dreuz.info, positionné en faveur des médicaments comme l’hydroxy, tandis que des lecteurs me reprochent aujourd’hui de soutenir son interdiction – qu’ils fassent une recherche dans mes articles passés, ils verront qu’ils se trompent. Ils verront également que j’ai été le premier, en 2020, à évoquer les dangers révélés lors des tests grandeur nature du vaccin – là encore, les mêmes m’accusent à tort d’être pro-vaccin, qu’ils fassent une recherche. Mais qu’ils se rassurent, je crois avoir compris qu’au train où vont les dons – qui se sont taris, Dreuz ne sera plus là très longtemps pour les embêter avec son refus d’être anti-vaccin.

Enfin, je m’étonne qu’autant de politiques et de scientifiques mettent l’accent sur la dangerosité pour la vie de l’homme du réchauffement climatique – une certitude du futur selon eux – et qu’ils réclament qu’on ait confiance dans leur désir de protéger notre bien-être, alors qu’ils ne réclament pas d’enquête internationale sur l’origine d’un virus qui a déjà tué 5 millions de personnes, qu’ils ne menacent pas la Chine de sanction si elles s’obstinent à refuser la visite d’experts, et ne demandent pas des précautions extraordinaires et des observateurs indépendants au laboratoire chinois d’où est plus que probablement sorti le virus.

Références :

  1. https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)02019-5
  2. https://www.usatoday.com/story/news/health/2020/02/17/nih-disease-official-anthony-fauci-risk-of-coronavirus-in-u-s-is-minuscule-skip-mask-and-wash-hands/4787209002/
  3. https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30418-9/fulltext
  4. https://www.dreuz.info/2020/02/coronavirus-celui-par-qui-la-theorie-du-complot-est-partie-rompt-le-silence-207081.html

Lire aussi : RÉVÉLÉ : 26 des 27 scientifiques du Lancet qui ont réfuté la théorie selon laquelle le Covid aurait fui d’un laboratoire chinois ont des liens avec des chercheurs de Wuhan
– Source : Dreuz Info




URGENT : Véran rétropédale sur les sanctions aux soignants non-vaccinés en arrêt-maladie

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Après avoir annoncé en toute illégalité l’interruption des versements maladies pour les soignants non-vaccinés, Olivier Véran a bien dû manger son chapeau. Alors que, depuis plusieurs semaines, les directeurs d’hôpitaux avaient affirmé aux non-vaccinés que, même en arrêt-maladie, ils ne percevraient aucun revenu, une circulaire diffusée par les ARS aux chefs d’établissement a finalement rétabli le droit. On y verra un signe supplémentaire de la « légèreté » avec laquelle l’équipe actuellement au pouvoir traite les dossiers du pays.

Les soignants non-vaccinés ont fait l’objet, depuis le mois d’août, d’un déferlement de violence managériale sans égal, dans l’indifférence générale des organisations syndicales représentatives dont il faudra se souvenir le jour J.

Cette violence inouïe d’une institution vis-à-vis de ses salariés ne s’est pas seulement déployée dans des comportements de harcèlement ponctuel (nous avons reçu des témoignages accablants sur des chefs d’équipe interpellant des collaborateurs en réunion pour les interroger sur leur statut vaccinal et les humilier sans complexe sur leur refus du vaccin). Elle s’est aussi traduite par un harcèlement institutionnel, avec une multitude de mails, de SMS, de courriers recommandés ou non, contenant des menaces et des intimidations. 

Dans la panoplie de ce harcèlement, les hôpitaux ont utilisé une arme absolument illégale, qui a beaucoup inquiété les soignants : l’interruption des indemnités maladie pour les soignants non-vaccinés. Beaucoup ont en effet légitimement craqué sous la pression haineuse qui s’est exercée sur eux au mois d’août, et ont souvent plongé dans un désespoir et une angoisse qui les ont obligés à s’arrêter avant le 15 septembre. 

Une menace illégale des hôpitaux

Nous avons eu l’occasion à plusieurs reprises, depuis le mois d’août, de rappeler que l’interruption des versements maladie était illégale en cas de suspension de l’agent. La règle est simple : un agent malade peut être suspendu (sans traitement) durant sa maladie, mais l’interruption de traitement ne commence qu’à la fin de l’arrêt-maladie

Cette règle vaut pour les suspensions intervenues après le début de l’arrêt-maladie, mais aussi pour les arrêts maladie qui interviennent pendant la suspension. Une jurisprudence constante prévoit qu’un agent suspendu bénéficie d’une indemnisation de sa maladie. Comme on le voit dans la capture d’écran ci-dessus : le ministère de la Santé a fait un premier pas en appliquant la règle du maintien de l’indemnisation maladie commencé avant la suspension. Reste à franchir la deuxième étape, qui est de reconnaître clairement qu’un agent suspendu qui tombe malade doit être indemnisé. 

Une violence patronale rare

Il faudra quand même un jour tirer le bilan des six semaines qui viennent de s’écouler, en documentant les fautes commises par le gouvernement relevant de la correctionnelle (et incontestablement, menacer illégalement des fonctionnaires a participé à un harcèlement moral qui relève du code pénal), et mener les procédures utiles pour obtenir réparation de ces fautes.

Dans la pratique, le discours d’Emmanuel Macron du 12 juillet a donné le signal d’un déferlement de haine contre les non-vaccinés que certains affidés se sont chargés de propager. On pense au président de la Fédération Hospitalière Française (FHF), Frédéric Valletoux, accessoirement maire de Fontainebleau, qui a consciencieusement adopté les lignes les plus extrémistes, violant la loi au passage, contre les soignants résistants. 

Il en est ressorti une violence patronale dans les hôpitaux qui méritera d’être réparée comme il se devra. 




Dictature sanitaire : bon résumé par un professeur de droit

https://twitter.com/PATRIOTOSORUS/status/1441613423788298240?s=20



La Roumanie ouvre une enquête sur la façon dont les vax Covid ont été acquis et ferme ses centres de vaccination

[Source : MIRASTNEWS]

Les procureurs roumains ont ouvert une enquête sur les acquisitions de vaccins Covid du pays et ont également fermé ses centres de vaccination car les gens ont refusé les vaccins expérimentaux.

Comme indiqué plus tôt par GreatGameIndia, l’Union européenne a lancé une enquête sur les pourparlers secrets qui ont eu lieu entre le chef de la Commission européenne et le PDG de Pfizer pour la vente de vaccins.  

Le Médiateur européen a demandé à la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, d’expliquer comment elle a perdu les SMS qu’elle a échangés avec le PDG de Pfizer lors des discussions sur l’achat de vaccins.

Maintenant, même la Direction nationale anticorruption (DNA) de la Roumanie a annoncé avoir ouvert des enquêtes sur les circonstances dans lesquelles la Roumanie a acheté [trop, les procureurs semblent impliquer] des vaccins Covid.

« Pour autant que je sache, les procédures suivies pour l’achat [de vaccins] dans tous les pays de l’Union européenne étaient les mêmes, et elles ont été développées par la Commission européenne », a déclaré Valeriu Gheorghiță, responsable de la campagne nationale de vaccination, selon à Hotnews.ro.

Les procureurs ont déclaré que les enquêtes étaient ouvertes afin de détecter un « abus de pouvoir » potentiel [impliquant des avantages personnels tirés par des personnes jusqu’à présent non identifiées] impliquées.

Notamment, le ministère de la Santé a été dirigé jusqu’au début du mois de septembre par le parti réformiste USR-PLUS, qui s’est entre-temps retiré de la coalition au pouvoir et a lancé une motion de censure contre le gouvernement. Mais le ministère de la Santé n’était pas directement impliqué dans l’approvisionnement.

La Roumanie a également fermé ses centres de vaccination car les gens ont refusé les vaccins expérimentaux.

La baisse de la demande de vaccination contre le coronavirus en Roumanie a incité les autorités à fermer 117 centres de vaccination et à réduire le calendrier à 371 autres, ont déclaré des responsables de la santé.

« La semaine précédente, nous avons réévalué l’efficacité des centres de vaccination fixes. Environ 80% des centres de vaccination fixes vaccinent moins de 25% de la capacité de vaccination allouée à chaque volet », a déclaré mardi le chef du comité national de vaccination, Valeriu Gheorghita, lors d’une conférence de presse.

Pendant ce temps, la République tchèque prévoit de détruire 45 000 doses de vaccins AstraZeneca sous la marque Covishield en Inde, car personne ne veut se faire vacciner.

Pendant ce temps, plus de 14 000 doses du vaccin d’AstraZeneca ont été jetées au cours du seul mois dernier en raison du manque d’intérêt du public.

Même, Singapour étudie la possibilité d’utiliser des vaccins sans ARNm comme injections de rappel et est en pourparlers avec des fournisseurs pour obtenir les flacons, a déclaré le ministre d’État à la Santé Janil Puthucheary au Parlement.  

Récemment, le président croate a martelé les médias lundi après qu’un journaliste a demandé pourquoi le taux de vaccination en Croatie n’est pas aussi élevé que dans d’autres pays de l’Union européenne.

Le président croate Zoran Milanovic a rétorqué en disant : « Nous ne serons plus vaccinés ».

Les Croates ont été « suffisamment vaccinés » et devraient être autorisés à accepter les risques d’être infectés par le [SRAS-CoV-2 de la] COVID selon leurs propres conditions, selon le président Zoran Milanović.

    « Il faut savoir quel est le but de cette frénésie. Si le but est d’éradiquer complètement le #virus, alors nous avons le but. Je n’ai pas entendu dire que c’était le but. Si quelqu’un me dit que c’est un objectif, je lui dirai qu’il a perdu la tête.  

    Lire la suite 👉🏽 https://t.co/7YVyVRiXbt pic.twitter.com/VdWWNBPDWj

    – GreatGameIndia (@GreatGameIndia) 23 septembre 2021

« Nous n’irons pas à plus de 50%, qu’ils nous clôturent avec du fil de fer », a déclaré Milanovic dans des déclarations récentes à la presse. « Je m’en fiche. Nous sommes suffisamment vaccinés et tout le monde le sait.« 

« Il faut savoir quel est le but de cette frénésie. Si le but est d’éradiquer complètement le virus, alors nous avons le but. Je n’ai pas entendu dire que c’était le but. Si quelqu’un me dit que c’est un objectif, je lui dirai qu’il a perdu la tête.« 

Le président Milanovic a rompu avec la majorité de ses contemporains en exprimant sa frustration face à l’autoritarisme médical et à l’hystérie COVID poussés par les médias mainstream et les mondialistes.

Traduction : MIRASTNEWS




La Lettre de la Médecine du Sens n°341

[Source : lessymboles.com]

« Je m’entête affreusement à adorer la liberté libre. »

Arthur Rimbaud

 « Ce n’est pas une crise, c’est un changement de monde. »

Michel Serres

« Pour un pervers narcissique, un mensonge réussi vaut une vérité. »

Paul-Claude Racamier

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Le 15 septembre restera le jour de la honte nationale. Le jour où des soignants qui se sont sacrifiés pour chaque français ont été mis au pilori, forcés, violés.

Et pourtant rien ne justifie tout cela.

Les 20 et 25 août le Conseil Scientifique de Macron a bien confirmé que le vaccin ne protégeait pas (à 50%) de la contamination et que les vaccinés transmettent autant le virus que les non vaccinés ce qui enlève tout intérêt au vaccin obligatoire et au pass sanitaire. Le CDC, la plus haute autorité sanitaire américaine, et faisant autorité dans le monde, confirme ces données. 

Le vaccin se retrouve à rester utile pour certaines franges de la population : les personnes âgées et/ou avec comorbidités.

[Ndlr : et encore, ceci reste à réellement démontrer.]

C’est donc uniquement une mesure politique et plus du tout sanitaire. Une épreuve de soumission, mais surtout une entreprise de numérisation des populations.

Ceux qui ont eu le Covid et qui ont donc une immunité bien supérieure aux doubles vaccinés sont donc priés de se vacciner !

Les chiffre d’Israël sont encore plus parlants.

Mais si le vaccin ne fonctionne pas et ne protège personne, la mortalité elle est en explosion. L’Australie pays super vaccinateur avoue dans ses chiffres officiels (lien France Soir : https://www.francesoir.fr/societe-sante/australie-trois-fois-plus-de-deces-rapportes-vaccins-vs-covid) que le vaccin tue 3 fois plus que le Covid (2,91). En Europe les chiffres de Eudra vigilance montrent plus de 25 000 morts et 2,5 millions d’effets secondaires dont plus de la moitié sont graves (handicap à vie).

En France, l’ANSM dans ses chiffres montre que pour 100 000 habitants il y a 5 morts du Covid et 7 morts du vaccin. Avec des jeunes qui ne devraient jamais mourir.

Un thanatopracteur raconte qu’il rencontre une super mortalité des jeunes qui n’auraient jamais du mourir depuis le vaccin (Voir plus bas la vidéo du CSI n° 22).

« Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’il mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir. » 

Alexandre Soljenitsyne

Cependant la résistance est bien là, bien que toute la propagande tente de démontrer le contraire.

Plus de 15 millions de Français refusent encore de se faire vacciner.

300 000 soignants dont 10 000 médecins, qui n’hésitent pas à prendre le risque de perdre leur travail. Ce sont de véridivs héros.

Un certain nombre de soignants se sont organisés en syndicat devant l’inaction des syndicats classiques et la gravité et l’urgence de la situation.

Le Syndicat Liberté Santé a été crée le 1er septembre

www.syndicat-liberte-sante.com

A ce jour il compte déjà plus de 4500 adhérents. Une formidable réponse à la situation actuelle.

Rejoignez-le massivement. Vous tous, qui en raison de votre travail dans le domaine de la santé et du soin, êtes soumis à l’obligation vaccinale par la loi du 5 août 2021. Médecins, paramédicaux, agents administratifs et pompiers.

Tout l’été l’équipe a travaillé sur les points juridiques pour fournir les meilleurs stratégies de défense. Le syndicat a regroupé sur toute la France un nombre important d’avocats pour que vous puissiez vous défendre, baisser le prix de procédures graves et grâce à la volonté des avocats d’aider à la justice.

Transmettez l’information à tous les soignants que vous connaissez.

Le gouvernement pensait en finir rapidement, mais un peu partout en France les soignants, les nouveaux héros résistent.

De très nombreux services hospitaliers et EPADH doivent fermer faute de personnel.

C’est tout un système de santé qui s’effondre contrairement à ce qu’avait pensé le gouvernement en orchestrant sa propagande.

Regardez le nombre impressionnant de services qui résistent en France et en Outremer.

Services et personnel qui résistent en France et en Outremer

Services et personnel qui résistent en France et en Outremer

De très nombreux services hospitaliers et EPADH doivent fermer faute de personnel.

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Regardez sur le site officiel Géodes

Le nombre de vaccinations par jour est en effondrement après un pic à la suite des déclarations du 12 juillet. En clair, ceux qui restent ne vont plus se faire vacciner d’où la pression et la désinformation du gouvernement.

https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=0&i=vacsi_s.n_dose1&s=2021-09-15&t=a01&view=map2

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Macron et la vaccination ? C’est bidon !

 « Macron disait s’être fait vacciné le 31 mai (tweet).
Mais son certificat indique le 13 juillet.
« Erreur de transmission » pour l’Elysée.
Bref, on ne sait même pas s’il s’est fait vraiment fait vacciner. Faites ce que je dis, pas ce que je fais ?! « 
Source: Tweet de Florian Philippot-26/08/2021

Lien de l’article Mediapart : Imbroglio autour de la vaccination de Macron

https://www.mediapart.fr/journal/france/260821/imbroglio-autour-de-la-vaccination-de-macron

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Guadeloupe

Un juge du tribunal de Basse Terre ordonne la commande d’hydroxychloroquine et d’Ivermectine pour soigner les populations de la Guadeloupe.

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Des experts de la FDA révèlent que les vaccins Covid-19 tuent au moins 2 personnes pour 1 vie qu’ils sauvent

Ils votent contre l’approbation des injections de rappel

Lien (article en anglais): https://theexpose.uk/2021/09/18/fda-experts-reveal-the-covid-19-vaccines-are-killing-2-people-for-every-1-life-saved/

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Allemagne : 23 000 médecins abandonnent la campagne de vaccination.

C’est confirmé.

En Allemagne : 23 000 médecins abandonnent la campagne de vaccination

En Allemagne : 23 000 médecins abandonnent la campagne de vaccination

Parallèlement au retrait des médecins, les Länder envisagent déjà de mettre fin à leurs centres de vaccination.

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Vaccins : des effets secondaires terribles par milliers

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Des thanatopracteurs observent une surmortalité chez les jeunes

CSI n° 22 du 9 septembre 2021

VACCINATION : Des thanatopracteurs dans le monde observent une surmortalité chez des jeunes qui n’auraient jamais dû mourir.

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Ontario plus de 100 myocardites chez les jeunes avec vaccin ARN

Santé publique Ontario (SPO) a publié un rapport jusqu’à présent passé largement inaperçu regroupant les événements indésirables de la vaccination COVID-19  signalés dans la solution de gestion des cas et des contrats de santé publique. Pour la période du 13 décembre 2020 au 7 août 2021, SPO signale un groupe important d’activités d’innocuité des vaccins associées au programme COVID-19 en cours. Sur la base des vaccins associés à la fois à Pfizer-BioNTech et à Moderna, le rapport révèle qu’au 7 août, 106 cas de myocardite/péricardite ont été signalés chez des résidents de l’Ontario de moins de 25 ans, ce qui représente plus de cinquante pour cent du nombre total d’incidents. Segmentés par âge, 31 du total des cas ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, tandis que 75 du total appartenaient au groupe des 18 à 24 ans. En d’autres termes, 80 % du total des MAPI étaient des jeunes de 24 ans et moins.

Lien (article en anglais) : https://trialsitenews.com/public-health-ontario-reports-100-youth-hospitalizations-involving-heart-problems-post-covid-19-mrna-vaccination/?utm_source=Contextly&utm_medium=ChannelEmail&utm_campaign=COVID-19&utm_content=Notification

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Les vaccins présentent plus de risques que le virus

Nous reprenons et vous partageons cet article dans son entièreté car il a été censuré par Mediapart.

Les vaccins plus risqués que le virus selon les chiffres de l’ANSM

Les vaccins plus risqués que le virus selon les chiffres de l’ANSM

7 cas graves pour 100 000 vaccinés / mois, contre 5 décès de la COVID-19 pour 100 000 habitants / mois

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Décès d’un membre de leur famille à la suite de la vaccination : les Chinois réduits au silence

Décès d’un membre de leur famille à la suite de la vaccination : les Chinois réduits au silence

Les autorités ont depuis surveillé leurs proches et accusé une famille au franc-parler de divulguer des « secrets d’État ».

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Le professeur Montagnier explique l’inutilité de la “vaccination”

Ces vaccins portent une partie de l’ARN du virus codant pour sa protéine de surface permettant sa fixation sur des cellules-cibles. Les fabricants de ces vaccins ont naïvement cru et fait croire que les organismes injectés allaient monter une forte réponse en anticorps neutralisant cette protéine de surface et ainsi empêcher la transmission du virus. Or les faits contredisent cet espoir : les vaccins Pfizer , Moderna, Astra Zeneca n’empêchent pas la transmission du virus de personne à personne et les vaccinés sont aussi transmetteurs que les non-vaccinés. Par conséquent l’espoir d’une « immunité collective » par une augmentation du nombre de vaccinés est totalement vain. L’explication de cet échec est simple : la haute capacité de mutation du virus liée à sa haute transmissibilité permettent la sélection de variants résistant aux vaccins.

Le professeur Montagnier explique l’inutilité de la “vaccination”

Le professeur Montagnier explique l’inutilité de la “vaccination”

Sur la base de données encore expérimentales, ils ont permis et encouragé des campagnes d’inoculation massive de nouveaux types de vaccins.

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Le cri d’une députée italienne du Mouvement 5 étoiles, Sara Cunial

Vous ne pouvez plus dire…

Vous ne pouvez plus dire…

Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol.

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Explications à la Chinoise

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Le ministre australien Victor Dominello paralysé du visage après une vaccination

Lien : https://lemediaen442.fr/le-ministre-australien-victor-dominello-paralyse-du-visage-apres-une-vaccination/

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Des anticorps renforçant l’infection ont été détectés dans les Covid-19 symptomatiques ;

or, l’augmentation des anticorps dépendant de l’infection (ADE) est une préoccupation potentielle pour les vaccins. Les anticorps renforçant l’infection reconnaissent à la fois la souche Wuhan et les variants delta, faisant de l’ADE un risque potentiel pour les vaccinés infectés par les variants delta (Journal of Infection, article en impression).

Lien (article en anglais) : https://www.journalofinfection.com/article/S0163-4453(21)00392-3/fulltext#relatedArticles

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Ariane Bilherian : Chronique du totalitarisme – Hommage aux héros français du 15 septembre 2021 

Chroniques du totalitarisme

Chroniques du totalitarisme

Ce qui s’est passé en France ce 15 septembre 2021 est un scandale moral, éthique et déontologique qui place au rang de parias des catégories de citoyens.

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RADIO COURTOISIE : « La Tyrannie en marche »
avec Vincent Reliquet, Louis Fouché, Olivier Soulier…

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Inscrivez-vous plus que jamais aux collectifs ! Seuls remparts aujourd’hui contre la dictature.

BonSens, RéinfoCovid, Laissons les médecins prescrire, Réaction19, AIMSIB, Les tribunes de Laurent Mucchelli, Manifeste des Médecins pour une 4ème voix, Bas les masques

Vous retrouverez les liens de ces divers collectifs dans l’article : Le monde s’organise https://www.lessymboles.com/le-monde-sorganise/

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HUMOUR

Une conséquence inattendue de la vaccination !

Augmentation du prix du sperme des non-vaccinés !

Augmentation du prix du sperme des non-vaccinés !

Ces clients sont-ils instruits sur la science ?

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Bonne semaine à toutes et à tous !




BRAS DE FER : SOIGNANTS — VÉRAN

Par Nicole Delépine

Grève de la faim de soignants à Nice. Qui en parle ?

Nice — Quatre cent cinquante soignants suspendus au CHU

Ils veulent nous faire croire que le refus de l’obligation vaccinale est anecdotique, d’autant qu’ils ont imposé depuis des mois un lavage de cerveau permanent, quotidiennement répété et des chantages (sur nos déplacements et même sur le droit au travail) pour nous extorquer l’accord à l’injection génique. La population et les élus de tous bords devraient s’interroger sur les raisons de ce refus

Les soignants comme les pompiers ne sont pas des antivax primaires (ils se sont toujours fait vacciner et ont vacciné leurs malades), mais ils sont aux premières loges pour constater les dégâts chez les vaccinés, qu’on peut à la télé transformer en malades officiellement non vaccinés, mais pas au lit du malade.

Les accidents vasculaires cérébraux, troubles neurologiques, infarctus survenus avant la quatorzaine suivant la deuxième dose ont été catalogués « prévaccinaux » et non déclarés le plus souvent comme effet indésirable du vaccin.

Les coïncidences étaient très nombreuses en cette année 2021, de quoi dégoûter tous les Mégret ou enquêteurs de police du monde !

UNE GRÈVE DE LA FAIM DÉBUTÉE LE JOUR FATIDIQUE DE L’OBLIGATION DANS LE SILENCE MÉDIATIQUE

« Je rappelle qu’il y a qui font en ce moment la grève de la faim à Nice devant l’hôpital, Christophe & Thierry aide-soignant et pompier. Nous leur manifestons tout notre soutien, ils n’ont plus de salaire et de boulot » tweet du 20 septembre pour une grève commencée le 15 septembre, date terrible pour ceux qui refusent l’injection génique aux effets secondaires multiples et sans efficacité comme le montre la malheureuse expérience israélienne hyper-vaccinée qui souffre actuellement d’une mortalité quotidienne record

Une chaîne d’humains pour les soutenir

18 sept. Nice pour les soignants et pompiers en grève de la faim depuis le 15 septembre 2021

@LE_GENERAL_OFF_ 18 sept.

4e jour de Grève de la faim pour Thierry Pompier & Agent Incendie au CHU de Nice il campe devant le CHU #Nice suspendu à cause de l’obligation vax. Pour le soutenir, ce soir une aide-soignante, suspendue elle aussi après 20 ans de service, vient camper avec lui #solidarite

Et les conséquences des suspensions : des services ou des hôpitaux fermés faute de personnel, des grèves, des déserts médicaux passés sous silence des médias complices. Pas le moment de tomber malade !

Quelques exemples

Montpellier

Des soignants de la clinique Millénaire de Montpellier en grève contre l’obligation vaccinale(([1] Mercredi 15 septembre 2021 à 6 h 14 —
Par Virginie VandevilleFrance Bleu Hérault
Montpellier))

Près de cinquante soignants étaient mobilisés devant la clinique Millénaire de Montpellier. Une mobilisation destinée à dénoncer l’obligation vaccinale, et pour réclamer des hausses de salaire et une amélioration de leurs conditions de travail. »

Une cinquantaine de soignants étaient mobilisés ce mardi devant la clinique du Millénaire.
© Radio France — Virginie Vandeville en grève devant les grilles. 

Des témoignages poignants, tous plus bouleversants les uns que les autres

Nous en trouvons à la pelle sur les réseaux sociaux, mais comme ils disent tout le monde s’en fiche, l’hôpital se meurt depuis trente ans dans l’indifférence générale et cela continue. Le réveil est individuel quand le drame frappe à la porte et qu’on découvre que ces bruits des professionnels de santé faisant depuis des années des grèves symboliques en travaillant avec une pancarte sur le dos de la blouse « en grève » correspondaient à quelque chose de grave. Évident que les pouvoirs publics nationaux ou locaux ricanaient de notre naïveté de gréviste au boulot, réquisitionné si besoin et que cela n’impressionnait personne.

« Dimanche, j’ai travaillé. C’était mon dernier jour, c’était étrange. Je me suis dit, tu sors de la clinique et tu n’auras plus le droit d’y rentrer mercredi », explique une infirmière présente. Depuis une vingtaine d’années, elle travaille en tant que CDD. Elle aimait sa vie de soignante. « Dimanche, je pouvais encore soigner des patients. Là, je ne peux plus le faire. Je ne suis plus rien. » 

Cette obligation a eu raison de l’amour de son métier.

« Évidemment de temps en temps, je me suis dit que ce n’était finalement qu’une piqûre. Mais j’ai des valeurs, des valeurs qui grandissent et je ne peux pas les bafouer », affirme celle qui souligne le caractère expérimental et le manque de recul du vaccin.

« Pour ce qui est de la suite, je vais chercher du travail dans des boîtes d’intérim, je vais demander dans des supermarchés qui ne demandent pas de pass sanitaire. Je ne m’inquiète pas trop pour cela. » 

Cassés, écoeurés, scandalisés, en colère confinant au désespoir, pour la plupart, ils ne reviendront pas

Reprendre sa vie d’infirmière plus tard ? « Il faudra des mois et des mois pour digérer tout cela. Je ne me vois plus rentrer de nouveau dans ce monde »

« Je ne savais pas que je pouvais être dans le camp des résistants. »

« Même chose pour la collègue : “J’ai peur. Mais je me dis que je ne trouve plus de sens à mon métier et qu’il est temps de changer”. Infirmière depuis 20 ans. Son opposition au vaccin s’est dessinée progressivement. “Je me suis souvent demandé de quel côté je me placerais s’il y avait une révolution dans notre pays. Je ne savais pas que je pouvais être dans le camp des résistants, enfin si l’on peut appeler cela de la résistance. Finalement, c’est ce que je fais aujourd’hui”.

Selon les délégués CGT de l’établissement de santé, les non-vaccinés représentent 10% des effectifs de la clinique. Avec leur suspension, les conditions de travail vont obligatoirement se détériorer. Lits fermés, cadences élevées, multiplication des accidents de travail, des arrêts, des burnout, démissions, etc.. QUE CROYAIT LE GOUVERNEMENT ? L’espérait-il dans son désir de fermer toujours plus de lits ?

La mascarade du Ségur de la santé de juillet 2020

Des conditions de travail déjà très dégradées avant ce coup de massue des suspensions, avec de nombreux démissions et départs dans l’établissement et partout en France à la suite en particulier du Ségur de la santé de juillet 2020 qui ne fut qu’une mascarade.

Ils inventent des primes pour incitation à recrutement :
la direction a lancé depuis fin août la prime de cooptation pour les soignants, depuis le 7 septembre pour les aides-soignants. Une prime de 300 euros destinée à inciter le personnel à recommander des personnes pour venir travailler. Même pas en rêve !

La Roche-sur-Yon

Jeanne entame son 5e jour de grève de la faim devant la préfecture de La Roche-sur-Yon.

Soutien aux soignants qu’on a applaudi l’année dernière »(([2] Tweet 19 sept.-21.@BIKETTEClash))

Digne-les-Bains

Lits fermés, records d’arrêts maladie : à l’hôpital de Digne-les-Bains, les conséquences du vaccin obligatoire”(([3] par Alice Kachaner publié le 15 septembre 2021 à 17 h 45
Lits fermés, records d’arrêts maladie : à l’hôpital de Digne-les-Bains, les conséquences du vaccin obligatoire (franceinter.fr) ))

Dans les Alpes-de-Haute-Provence, plusieurs hôpitaux sont contraints de fermer des lits, faute de bras. Avec l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale, les arrêts maladie explosent.

Face à l’obligation vaccinale, les réticences des soignants à la vaccination varient selon les établissements et les territoires, mais à l’hôpital de Digne, elles sont particulièrement importantes. Selon le dernier comptage, 82% du personnel était en règle à la veille de l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale. Pour éviter des sanctions, certains agents se mettent également en arrêt maladie.

On a des arrêts de travail, beaucoup plus nombreux que d’habitude, notamment de toute une partie des personnes qui ne souhaitent pas se faire vacciner”, constate Franck Pouilly, directeur du groupement hospitalier des Alpes-de-Haute-Provence.

La semaine dernière, nous avons enregistré 20 arrêts, rien que sur l’hôpital de Digne. C’est un record jamais atteint sur une semaine. »

Des efforts supplémentaires sont demandés aux personnels vaccinés. « C’est une pression pour les agents. Il y a eu des rappels de soignants, un recours accru aux heures supplémentaires.

Le directeur qui n’exclut pas de nouvelles fermetures de lits, liées aux suspensions de contrats et démissions.

COMBIEN FAUT-IL D’EXEMPLES ?

Mulhouse

22-09-21 Urgences fermées pour 1 semaine à l’hôpital Diaconat à Mulhouse par manque de personnel suspendu pour cause de non-vaccination = 169 personnes dans tout l’hôpital !!  

Ainsi, la clinique du Diaconat a déprogrammé des opérations pour des raisons d’absence de personnel et ses urgences sont fermées jusqu’au 28 septembre.(([4] Information DNA 22-09-2021 & confirmé par France Bleu Alsace & France 3 à 12 h 30 dans leurs informations.))

Curieusement alors que les personnels non vaccinés seraient peu nombreux et ne compromettraient pas le fonctionnement du système le plan blanc est déclenché dans le Haut — Rhin.

Obligation vaccinale : les hôpitaux du Haut-Rhin contraints de déclencher le plan blanc

Le 22 septembre —L’hôpital de Mulhouse et le Groupement hospitalier Mulhouse Sud Alsace (GHRMSA) annoncent déclencher le plan blanc dans leur établissement.

En cause, l’éviction temporaire des soignants qui ne se sont pas soumis à l’obligation vaccinale. Ainsi, selon la direction du GHRMSA, environ 8 % des 5 500 agents ne sont pas vaccinés et 169 personnels ont dû être suspendus.”

Le groupe hospitalier explique être confronté à “une situation critique marquée par la poursuite de la gestion de la crise sanitaire, le besoin en renforts de ressources humaines, la réduction du nombre de lits liée à un absentéisme conséquent”. Seules les interventions urgentes sont maintenues.

Première alerte, après que, déjà, les hôpitaux de Montélimar et de Nice ont dû organiser des déprogrammations (sans activer le plan blanc) pour les mêmes raisons de manque d’effectifs.(([5] Copyright © http://www.jim.fr))

On semble loin, en tout cas, des déclarations rassurantes d’Olivier Véran qui ne comptait que 3 000 suspensions dans toute la France… bien qu’au moins 5 % des agents hospitaliers ne soient pas vaccinés, soit des dizaines de milliers de personnes.”

Le combat paye : les Antillais ont fait reculer le gouvernement

Près de 70% de soignants guadeloupéens ont décidé de refuser l’obligation vaccinale. Devant leur détermination le directeur du CHU a cédé en autorisant les non vaccinés à poursuivre leurs activités professionnelles.

À Saint-Barth

Aussi la résistance des soignants est majoritaire.

Et le ministre de la Santé a décidé de laisser tranquilles les soignants antillais et de ne pas leur imposer tout de suite la vaccination obligatoire. “Un sursis, temporaire seulement” dit-il, mais en France le temporaire dure longtemps et celui-là durera aussi longtemps que le personnel se battra pour la liberté.

Les exemples sont nombreux à travers la France

Cachés ou parfois relatés via de petits journaux locaux ou via les réseaux sociaux. Faut-il épiloguer et faire défiler la litanie des drames locaux ? Ou bien est — il temps de revenir à la réalité du pourquoi ?

Il n’existe plus aucune raison sanitaire pour une obligation d’un produit expérimental (épidémie terminée)(([6] Sources de données : https://www.sen (tiweb.fr/document/5408,
https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/ site=fr, http://www.sentiweb.fr/france/fr/
page=epidemies
Le réseau Sentinelles est développé sous la tutelle conjointe de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) et de Sorbonne Université, a pour objectif le suivi des épidémies de COVID-19, de GRIPPE ainsi que celles dues aux autres virus respiratoires saisonniers (VRS, rhinovirus et métapneumovirus). Pour plus de détails et de commentaires sur la lecture de données vous pouvez nous contacter https://reaction19.fr/contacts))

Bulletin épidémiologique du réseau sentinelle semaine 36 (du 6 septembre au 12 septembre 2021) :

L’incidence est de 7 malades covid-19 pour 100 000 habitants.

Il n’y a donc actuellement aucune épidémie due à la covid-19 : le taux d’alerte épidémique pour la grippe saisonnière est de 170 malades pour 100 000 habitants). Pour la grippe type A (H1N1 pdm09 B) le pic d’incidence épidémique 2019 atteignait 599/100 000 (sans confinement, sans vaccination, sans imbroglio de pass sanitaire/green pass) L’incitation forcée à la “vaccination” — thérapie génique continue, mais elle n’a pas pour objectif de prévenir et d’endiguer la Covid-19

➢ Le passe sanitaire n’est qu’un moyen de chantage dont le seul objectif est de contraindre à une “vaccination” inutile (au vu des données épidémiques qui sont disponibles) et d’attribuer un QR code à tous les Français afin de préparer un flicage à la chinoise. Certains politiques du pouvoir l’ont dit clairement !

QU’ESPÈRE LE GOUVERNEMENT AVEC CE BRAS DE FER AVEC SOIGNANTS ET POMPIERS ?

A-t-il sous-estimé la résistance de terrain et cru que les manifestations suffiraient à calmer les rien, les sans dents et bientôt sans soins, les soumis permanents ?

Il continue à instrumentaliser la peur (alors que l’épidémie est terminée en France !) pour poursuivre son plan d’injection généralisée génique aux effets délétères et sans aucune efficacité réelle sur un virus très sensible aux traitements précoces.

La victoire rapide contre la maladie dans tous les pays qui utilisent les traitements comme l’Ivermectine démontre, s’il le fallait, que cette stratégie n’a rien de sanitaire, mais qu’elle est politique avec pour seul but de supprimer nos libertés fondamentales et d’instaurer une société selon le modèle chinois ou chacun est fliqué par son QR code.

LA CERISE SUR LE GÂTEAU 
POUR ÊTRE EMBAUCHÉ À L’HÔPITAL, DEUX CONDITIONS :
VACCIN ET OBÉISSANCE

Suivez sur Telegram les actualités moins censurées(([7] https://t.me/toutelesinfos/1323 Toute l’info, [Sep 22, 2021 at 2:58 a.m.])) “— Le CHU de Lille recrute une cinquantaine d’agents de service hospitalier vaccinés sans expérience”.(([8] Au CHU de Lille gros manque de personnels suite à l’obligation vaccinale où plusieurs soignants sont suspendus ou en arrêt maladie.
https://www.lavoixdunord.fr/1071084/article/2021-09-17/le-chu-de-lille-recrute-une-cinquantaine-d-agents-de-service-hospitalier-ni-cv
https://t.me/toutelesinfos))

L’agence de pôle emploi de Lille Grand Sud et le CHU de Lille vont collaborer avec l’accord de l’ARS pour recruter du personnel vacciné sans expérience et sans CV, juste en faisant un test et un entretien !

Test où les sujets sont : respect des consignes, faculté à maintenir l’attention, facilité relationnelle et capacité à travailler sous pression : CQFD

Ceux qui ont la moyenne poursuivent avec un entretien de motivation avec la direction des ressources humaines du CHU de Lille. S’ils réussissent, ils seront embauchés.

L’histoire ne dit pas sur quels critères le DRH est embauché.

On peut s’étonner de la discordance entre le faible pourcentage de personnels soignants non vaccinés, donc suspendus, et les énormes difficultés rencontrées dans tout le territoire français dont nous n’avons cité que quelques exemples : trois mille suspensions pour 2,7 millions de personnels soignants désorganiseraient-ils tellement le système, ou bien comme pour tout le reste de la gestion de cette crise, le mensonge sur le nombre de non vaccinés est-il l’explication ?

Portez-vous bien !





Oui, un médecin de famille peut prescrire un certificat de dispense de masque

Par Alain Tortosa

Oui, un médecin de famille peut prescrire un certificat de dispense de masque.
Oui une académie peut (et doit) accepter le certificat.
Oui un élève muni d’un certificat médical peut aller en classe sans masque et sans discrimination.

La propagande affirme et fait courir de nombreux bruits sur l’interdiction ou l’invalidité en France d’un certificat médical de dispense de port du masque établi par son médecin de famille.

Tout ceci n’est que mensonge, intox et propagande !

Si votre médecin pense qu’en raison de votre santé ou de la santé de votre enfant une dispense de port du masque est nécessaire, il a toute liberté de le rédiger.

Il demeure totalement libre dès lors qu’il le fait en son âme et conscience et estime cette dispense légitime en fonction de l’état de santé physique ou psychique de son patient.

Il n’existe pas de liste, de critères « valables » ou « non valables », c’est évidemment du cas par cas.

Quelques rappels de droit :

Le protocole sanitaire de l’éducation nationale n’a strictement AUCUNE valeur légale.
C’est un simple guide qui ne fait pas force de loi.

Décision du Conseil d’État du 1er juin 2021 :

« Le protocole sanitaire établi par le ministère de l’Éducation nationale, de la jeunesse et des sports sous la forme d’un guide mentionné au point précédent ne constitue pas une mesure d’exécution du décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020 »

https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2021-06-01/452487

Les élèves disposant d’un certificat médical de dispense d’un médecin n’ont pas à porter de masque.

Article 2 du décret 2021-699 du 1er juin 2021 :

« Les obligations de port du masque prévues au présent décret ne s’appliquent pas aux personnes en situation de handicap munies d’un certificat médical justifiant de cette dérogation. »

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000043575238

Il n’appartient pas à un médecin scolaire (et encore moins un enseignant ou un encadrant) de juger de la validité du motif handicapant d’un certificat médical établi par un médecin.

Décision du Conseil d’État du 1er juin 2021 :

« En ce qui concerne le port du masque… Il ne résulte pas de ces termes qu’un médecin de l’éducation nationale… soit habilité à remettre en cause les constatations ou indications à caractère médical portées dans un certificat médical. »

https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2021-06-01/452487

Le législateur n’a pas prévu de sanctions pour les élèves ne portant pas (ou pas bien) de masques.

Voir décret 2021-699 du 1er juin 2021.

Attention à ne pas confondre « situation de handicap » et avoir un statut « handicapé »

Article L114 du code de l’action sociale et des familles :

« Constitue un handicap, au sens de la présente loi, toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant. »

https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006796446/

Le secret médical.

Mais attention, toute personne, adulte ou enfant, a droit au secret médical, et aucune administration, aucun directeur ou enseignant n’est en droit de connaître les raisons de la dispense.

Article L. 1110-4 du Code de santé publique :

« IV.-La personne est dûment informée de son droit d’exercer une opposition à l’échange et au partage d’informations la concernant. Elle peut exercer ce droit à tout moment.

V.-Le fait d’obtenir ou de tenter d’obtenir la communication de ces informations en violation du présent article est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. »

Comment un médecin doit-il rédiger un certificat médical ?

Il n’existe pas de modèle type, chaque médecin est libre de sa rédaction.

Dès lors que le secret médical est un droit inaliénable, le certificat médical pourra être ainsi rédigé :

« Je soussignée, Dr XXX, médecin traitant de XXX, né le XXX certifie que l’état de santé de XXX présente un motif handicapant justifiant la dispense du port de masque dans la durée.

Le motif handicapant justifiant la dispense est indiqué sur un 2° certificat médical confidentiel à usage exclusif du médecin scolaire (ou de la médecine du travail).

Certificat établi à la demande de XXX et destiné à (directeur établissement). »

Le premier certificat sera remis à l’administration de l’établissement scolaire (ou entreprise).

Rédaction du certificat médical numéro 2

Si la médecine scolaire (ou la médecine du travail ou une autorité médicale) vous le demande, vous pourrez présenter un 2e certificat médical rédigé le même jour par votre médecin.

« Je soussignée, Dr XXX, médecin traitant de XXX, né le XXX certifie que l’état de santé de XXX présente un motif handicapant justifiant la dispense du port de masque dans la durée.

En effet, XXX présente (détail des motifs)…

Certificat établi à la demande de XXX et destiné à Monsieur ou Madame le médecin scolaire (ou médecin du travail). »

Que faire du 2e certificat ? Lettre d’accompagnement :

Si celui-ci vous est demandé par une autorité médicale, vous pourrez le remettre par exemple au médecin scolaire sous pli fermé.

Vous pourrez joindre une lettre d’accompagnement ainsi rédigée :

« À l’attention du Dr XXX médecin scolaire.

Docteur,

Suite à la demande de XXX, (directeur/principal) de XXX à XXX, nous vous prions de trouver ci joint le certificat médical de dispense de port du masque sous pli confidentiel.

Ce certificat, à usage exclusif du médecin scolaire, a été établi pour XXX, scolarisé en classe de XXX au (établissement).

Nous vous invitons à rentrer en contact directement avec notre médecin traitant, le docteur XXX pour toute question ou précisions dont vous auriez éventuellement besoin.

Nous nous permettons juste de vous rappeler la décision du Conseil d’État du 1er juin 2021.

« En ce qui concerne le port du masque… Il ne résulte pas de ces termes qu’un médecin de l’éducation nationale… soit habilité à remettre en cause les constatations ou indications à caractère médical portées dans un certificat médical. »

https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2021-06-01/452487

En vous remerciant. 

»

Vous n’avez alors plus qu’à attendre la décision qui ne saurait qu’être favorable.

Dès que votre enfant sera accepté en classe et sans masque, il sera nécessaire d’être vigilant et s’assurer que celui-ci n’est victime d’aucune discrimination du fait de son état de santé.

Merci

Alain Tortosa.

Le 23 septembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20210923-certificat-dispense-masque.pdf

P.S. Ces conseils issus de mon expérience ne sauraient constituer une référence ou un guide juridique. Il appartient à chacun de vérifier la pertinence des propos auprès d’un conseil et/ou de l’association réaction19 et de les adapter en fonction de sa situation personnelle,

Je rappelle enfin que la décision d’établir un certificat médical relève de la seule compétence d’un médecin qui est libre de le rédiger ou pas et seul responsable de ses actes.

Il ne saurait de fait être possible de l’exiger de son médecin.




L’avocat à l’origine du scandale Agnès Buzyn

[Source : BLAST – Le souffle de l’info]

« Depuis quand en France on refuse de soigner les gens quand ils sont malades ? Depuis quand, quand on appelle le Samu ou quand on va aux urgences et qu’on explique qu’on a 41, 42 de fièvre, qu’on vomit et qu’on a de la diarrhée, on refuse les gens ? Je pense que ça pose une question fondamentale sur la manière dont les pouvoirs publics ont abordé cette épidémie, avec l’idée qu’on ne pouvait pas soigner les gens sauf quand ils arrivaient à l’état extrême où il fallait les hospitaliser pour les mettre sous oxygène, voire les intuber. »

Denis Robert a reçu Bertrand Mertz, avocat à l’origine de la récente mise en examen d’Agnès Buzyn pour « mise en danger de la vie d’autrui » dans le cadre de la gestion de la crise sanitaire au début de l’année 2020.




« Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ?

[Source : Sott.net]

Par David Skripac — Global Research

Cette année marque un tournant décisif dans l’histoire humaine. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont maintenant permis de modifier définitivement le génome humain — et de modifier à jamais la relation de l’humanité avec la Nature — au moyen d’une injection pharmaceutique expérimentale qui est faussement appelée « vaccin ».

À la lumière de cet événement déterminant, je crois que nous devons examiner attentivement les motifs et les actes qui sont en train de transformer l’humanité telle que nous la connaissons. Par ailleurs, nous devons examiner le traitement de plus en plus destructeur que nous réservons au monde naturel.

Afin d’étudier les multiples facteurs qui contribuent à accélérer la disparition de l’humanité et à compromettre notre rôle essentiel de protecteurs de la Terre et de ses milliards d’espèces végétales et animales, j’ai divisé cette étude en quatre parties principales, qui apparaîtront sous forme d’articles distincts.

Dans la première partie : Le microbiome et le virome, nous découvrirons que nous nageons littéralement dans une vaste mer d’informations génomiques qui ont joué un rôle essentiel pour que la vie commence et s’épanouisse sur cette Terre précieuse et qui essaie toujours d’aider toutes les espèces à survivre. La matrice des organismes qui composent le microbiome a construit un flux d’information viromique qui a permis l’adaptation et la biodiversité sur la planète. Et ce même flux d’information viromique est responsable de la construction de l’espèce humaine.

Dans la deuxième partie : Notre guerre contre la Nature, nous explorerons comment notre propre comportement imprudent détruit l’environnement, nous avançant ainsi vers la sixième extinction massive. J’entends par là que je couvrirai la véritable catastrophe environnementale, et non le canular financé par des milliardaires « réchauffement climatique/changement climatique » initié par le Club de Rome et promulgué par le Forum économique mondial (FEM).

Dans la troisième partie : Ce qui s’est passé en 2020, nous examinerons comment cette véritable dévastation environnementale a contribué à la « pandémie » qui a été déployée en 2020, qui a conduit à des injections expérimentales massives de substances inconnues dans des « sujets » humains en 2021, et qui n’a pas de fin prévisible. (J’ai mis « pandémie » entre guillemets en raison de son caractère frauduleux. En effet, il est décrit plus précisément et à juste titre comme une plandémie, une arnaque, une pseudo-pandémie ou tout autre terme indiquant une fausse pandémie.)

Dans la quatrième partie : Notre réponse, nous analyserons la réponse irresponsable et irrationnelle de la plupart des gens de la planète à cette soi-disant pandémie.


Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Le microbiome

Le microbiome (dérivé des mots grecs micro, qui signifie « petit », et biotikos, qui signifie « vivant ») est un écosystème massif composé de milliards de micro-organismes. Fait incroyable, quelque 40 000 espèces de bactéries, 300 000 espèces de parasites, 65 000 espèces de protozoaires et entre 3,5 millions et 5 millions d’espèces de champignons vivent dans l’environnement qui nous entoure et vivent dans ou sur le corps humain. Ce monde complexe de micro-organismes sécrète continuellement une mer de virus, qui servent de réseau de communication pour les bactéries, les parasites, les protozoaires et les champignons. Et, comme nous le découvrirons bientôt, ces virus ont toujours été là pour nous aider, pas pour nous nuire. En d’autres termes, ils sont porteurs de vie, et non mort.

Voici un indice de la complexité, de l’incroyable diversité et de la taille infinitésimale du microbiome : Le nombre de gènes dans le règne fongique est d’au moins 125 milliards ! Le génome humain, à titre de comparaison, se compose de seulement 20 000 gènes. Une mouche à fruits a 13 000 gènes, une puce en a 31 000. Ainsi, en termes de complexité génétique, le génome humain ne possède qu’un minuscule fragment d’information génétique par rapport au vaste monde de l’information génomique contenue dans le microbiome.

Un aspect fascinant du microbiome est son réseau de communication symbiotique, qui permet la transmission d’informations protéiques d’un micro-organisme à l’autre. Par exemple, le réseau mycélien (une matrice de filaments blancs fins) chez les champignons permet aux champignons de communiquer entre eux sur des distances qui peuvent s’étendre jusqu’à plusieurs kilomètres. Ces structures mycéliennes sont capables de transférer des ressources minérales et protéiques à plus d’un kilomètre. Comment ? Ils utilisent l’énergie lumineuse et les électrons qui circulent à travers les voies présentes dans le système du sol. De cette façon, le microbiome aide les plantes et d’autres formes de vie multicellulaires à prospérer. Il n’est pas exagéré d’appeler le réseau mycélien dans le royaume fongique le « cerveau » littéral de la planète. Soit dit en passant, tous les petits organismes intelligents qui composent le microbiome sont alimentés par l’énergie biophotonique du Soleil.

Commentaire : Voir notre Focus La science relative à l’intelligence végétale prend racine

Aussi difficile à comprendre, au moins 1,4 quadrillion de bactéries et 10 quadrillions de champignons vivent à l’intérieur du corps humain. Rien que dans le côlon humain on trouve 3,8 x 1013 cellules bactériennes. Chaque organe du corps, y compris le cerveau, a son propre microbiome. Le but des bactéries et des champignons dans notre corps est de nourrir et d’entretenir nos cellules, en nous gardant en bonne santé et en équilibre avec le microbiome plus vaste qui nous entoure.

Le virome

Le virome est l’immense monde dans lequel les messagers de Dame Nature existent. Il est composé de milliards et de milliards de virus produits par les bactéries, les parasites, les protozoaires et les champignons du microbiome susmentionné.

Le corps humain adulte moyen contient 1 x 1015 virus. En revanche, dans l’air qui enveloppe la Terre, il y a 1 x 1031virus ; dans le sol terrestre, il y a 2,5 x 1031 virus ; et dans les océans de la Terre, il y a 1,2 x 1030 virus. Pour donner une certaine perspective sur ces nombres impressionnants, 1 x 1031 est 10 millions de fois plus grand que le nombre d’étoiles connues dans l’Univers entier.

En termes simples, un virus est une information génomique, soit de l’ADN ou de l’ARN, enveloppée dans une enveloppe protéique. Les petits brins de protéines dépassant de la surface extérieure de l’enveloppe protéique d’un virus sont appelés protéines Spike. Les virus ne sont pas des organismes vivants. Ils ne produisent pas leur propre carburant. Ils n’ont pas de métabolisme pour produire de l’énergie. Et ils ne peuvent pas se reproduire.

Les virus voyagent à l’échelle mondiale, au-dessus de la couche limite atmosphérique, depuis des millions d’années, bien avant l’invention des machines de transport aérien. Leurs codes génétiques couvrent la Terre depuis des lustres, créant la biodiversité et permettant l’adaptation dans tout l’écosystème. Par adaptation, je veux dire que les virus cherchent toujours à adapter leurs codes génétiques dans le but de créer une santé résiliente dans toutes les formes de vie de la planète. Il est ridicule de suggérer que, pour voyager d’une région du globe à l’autre, un virus puisse sauter à bord d’un avion, comme la Division de la recherche sur la sécurité nationale de RAND voudrait nous le faire croire.

En outre, les virus — y compris les coronavirus — ne viennent pas par vagues pour disparaître ensuite sans laisser de trace, puis réapparaître miraculeusement plus tard au même endroit ou dans un autre. Au lieu de cela, les virus ne partent jamais, n’expirent jamais. Ils habitent tous les éléments de l’environnement qui nous entoure. En bref, ils sont omniprésents et toujours présents.

Notre relation avec des virus particuliers peut changer en raison de nos actions nocives envers la Nature. Chaque fois que les humains empoisonnent et polluent l’air, le sol et l’eau, ils créent un déséquilibre entre l’humanité et le virus — un déséquilibre qui peut nous amener à à être en déséquilibre avec un virus particulier.

Malheureusement, le régime de médecine allopathique, que les ploutocrates John D. Rockefeller et Andrew Carnegie ont imposé à la majeure partie du monde avec leur rapport Flexner de 1910, a encore une grande partie de la communauté scientifique qui croit que les bactéries, les champignons et les virus sont notre ennemi.

Le fondement du système de médecine allopathique de Rockefeller est la « théorie des germes » imparfaite de Louis Pasteur, qui affirme que des micro-organismes extérieurs tels que les bactéries et les virus attaquent, envahissent et infectent le corps, causant ainsi des maladies.

La plupart des pays occidentaux attribuent à Pasteur (1822-1895) un rôle fondamental dans l’établissement de ce que nous appelons la « médecine moderne » — un paradigme qui retrace l’origine de chaque maladie à un seul germe.

Sans la théorie de Pasteur, la plupart des médicaments modernes ne seraient jamais produits, promus ou prescrits — un fait qui explique pourquoi l’establishment médical d’aujourd’hui et son industrie pharmaceutique co-dépendante refusent de reconnaître leurs défauts ou d’admettre leur inefficacité.

En revanche, la « théorie du terrain », initiée par Claude Bernard (1813-1878) et plus tard construite par Antoine Béchamp (1816-1908), allègue que le terrain — c’est-à-dire l’environnement interne du corps — et non un germe externe détermine notre santé ou notre absence. Ce que Béchamp a appelé le « terrain » est très proche de ce que la médecine moderne a maintenant appelé le système immunitaire inné. Comme nous le verrons dans les paragraphes suivants, Béchamp était certainement sur la bonne voie pour découvrir comment le corps humain interagit vraiment avec l’environnement extérieur.

Commentaire : Pasteur ne s’est par contre pas promu tout seul… Il avait un sens aigu des relations publiques, et si l’on reprend le contexte de l’époque où fleurissait aussi la théorie de l’évolution de Darwin, l’on peut comprendre que des courants idéologiques avaient — et ont toujours — des intérêts bien précis à promouvoir Pasteur plutôt que Béchamp.

À eux deux, Pasteur et Darwin ont stérilisé toute véritable recherche spirituelle en la ramenant au seul terrain matérialiste et mécaniste. On peut aussi faire le parallèle entre ces matérialismes « scientifiques » et le capitalisme libéral dans lequel s’exerce la loi du marché, ramenée à la loi de la jungle où seul le plus fort peut survivre, une loi qui ne gère que les rapports matériels entre les différents organismes vivants. Sus aux faibles, sus aux vilains microbes qui nous attaquent, et tant pis si sans beaucoup d’entre eux, nous ne serions même pas là pour en parler.

Voir aussi nos Focus :

Contrairement à Pasteur, Béchamp avait une formation universitaire en sciences. Il croyait que la maladie était le résultat biologique des changements qui se produisent dans le corps lorsque ses processus métaboliques deviennent déséquilibrés. Lorsque le corps est dans un état de déséquilibre, a allégué Béchamp, les germes deviennent des symptômes qui, à leur tour, stimulent plus de symptômes, ce qui conduit finalement à la maladie.

Bien que Béchamp aille dans la bonne direction avec sa théorie du terrain, la tyrannie pharmaceutique dépendante des germes de Rockefeller a prévalu, en grande partie en raison d’importantes infusions d’argent, que Rockefeller et Carnegie ont volontiers fournies sous forme de subventions aux universités, aux hôpitaux et aux installations de recherche médicale. Leur grande taille « philanthropique », qui dépassait facilement 100 millions de dollars, leur a permis d’influencer la politique de l’ensemble de l’établissement médical américain et, éventuellement, de la plupart des pays occidentaux, les dirigeant vers un régime allopathique exclusivement chimique.

Je démontre dans cet article que, contrairement à ce que la médecine Rockefeller nous enseigne depuis plus de cent ans, les virus ne sont pas là pour attaquer nos cellules ou nous nuire de quelque manière que ce soit.. Au contraire, l’information moléculaire génétique sur l’ADN et l’ARN contenue dans les virus constitue en fait les éléments fondamentaux de la vie sur terre. Pour utiliser une analogie moderne, nous pouvons considérer le flux d’information d’un virus comme une mise à jour logicielle transportant une intelligence moléculaire importante qui peut être téléchargée, au besoin, sur n’importe quelle cellule d’un organisme multicellulaire vivant, y compris l’une des 70 milliards de cellules contenues dans le corps humain. Nos cellules régulent de nouvelles informations génomiques qui sont reçues et d’autres informations qui ne sont pas reçues. Les virus cherchent simplement à s’adapter aux cellules dans le but de créer une santé humaine résiliente.

Commentaire : Voir notre Focus Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2 et particulièrement la section sur les virus.

Un mot ici sur le système immunitaire.

Il existe deux types d’immunité : innée et adaptative

Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour.

Le système immunitaire inné fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes, comme l’APOBec3A/3G et le CAS9Ces enzymes sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus.

Le système immunitaire adaptatif monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.

Pour comprendre la rapidité avec laquelle le corps humain s’adapte lorsqu’il est exposé au virome, envisagez un nourrisson de sept jours. Il a 1 x 108 particules virales dans seulement un gramme de matières fécales. Même si cet enfant n’a pas la capacité de développer des anticorps à un stade aussi précoce de sa vie, il s’adapte néanmoins instantanément à ces particules virales, restant parfaitement en bonne santé. Au lieu de développer une fièvre, il reste en équilibre stable — l’homéostasie — avec le virome, tant microbien que génétiquement. Ce seul fait prouve que nous n’interagissons pas avec le virome par notre système immunitaire adaptatifmais que nous interagissons plutôt avec lui par l’intermédiaire de notre système immunitaire inné.

Quel est le principal point à retenir de ces faits ? Selon moi, c’est que la décision du corps d’adopter l’information génétique est un processus biologique très complexe et contrôlé. Il existe de nombreuses façons dont notre corps reste en équilibre avec l’immense mer d’informations génétiques que nous inspirons et avec lesquelles nous entrons en contact à chaque instant de notre vie.

Puisqu’un virus n’est pas un organisme vivant, notre système immunitaire inné ne peut pas tuer les virus — et il ne voudrait pas le faire. Au lieu de cela, comme mentionné ci-dessus, le système immunitaire inné entre simplement en équilibre génétique avec un nouveau virus. Il le fait en reproduisant ou en recevant des mises à jour de ce virus — et en répondant immédiatement à ce nouveau téléchargement viral. Une fois l’équilibre génétique atteint, généralement 4 à 5 jours après l’exposition initiale au virus, notre système immunitaire inné refuse de recevoir d’autres mises à jour.

De ces faits, nous pouvons conclure que les humains ne peuvent pas empêcher une « épidémie » de se produire, ni changer la trajectoire d’une épidémie. En d’autres termes, il est inutile — en fait, pire qu’inutile : c’est nocif — d’essayer de contrôler un virus par ailleurs utile en déployant un dispositif expérimental non approuvé d’édition génétique conçu pour produire une réponse immunitaire (aussi connue sous le nom de réponse adaptative du système immunitaire induite par l’injection). Ce modèle scientifique obsolète est biologiquement illogique et ne pourra jamais fonctionner. Nous savons maintenant qu’il interfère avec notre système immunitaire inné magnifiquement conçu, qui est parfaitement capable de gérer tout virus avec lequel nous pourrions développer un déséquilibre temporaire. (La façon exacte dont nous développons un déséquilibre avec un virus particulier, comme le virus du VIH ou tout coronavirus, sera expliquée plus loin dans l’article).

De plus, contrairement au récit officiel propagé par les fabricants de vaccins et les organismes de santé des gouvernements du monde entier, notre système immunitaire conserve en mémoire des virus avec lesquels notre corps a interagi et des gènes qui ont été insérés naturellement — après avoir reçu une nouvelle mise à jour virale — dans nos cellules. Dans le système immunitaire inné, par exemple, l’enzyme Cas9, qui est responsable du clivage de l’excès d’ADN lorsqu’une trop grande quantité d’un transfert viral est présentée à une cellule, est la banque de données de mémoire naturelle qui se souviendra du modèle d’ADN qu’elle a rencontré.

En outre, les dossiers permanents tenus par un système immunitaire inné sont transmis aux générations futures d’humains, qui n’auront donc jamais de réaction inflammatoire à un virus particulier. Même dans le système immunitaire adaptatif, les lymphocytes B (la source d’anticorps) et les lymphocytes T (stimuli des lymphocytes B) fournissent une immunité durable.

Une étude à plusieurs volets des NIH présentée par le Center for Infectious Disease Research and Policy (CIDRAP) en 2008 a prouvé de manière concluante que l’immunité aux anticorps peut durer toute une vie. Dans cette étude, un groupe de scientifiques, dirigé par le Dr. Eric Altschuler, a prélevé des échantillons de sang sur 32 survivants — âgés de 91 à 101 ans — de la pandémie de grippe espagnole de 1918. (En fait, le nom correct de cette pandémie est la grippe du Kansas — son lieu d’origine.) À leur grande surprise, les scientifiques ont découvert que, près d’un siècle plus tard, tous les participants à l’étude portaient encore les anticorps contre la même souche de grippe.

Commentaire : Et plus précisément en ce qui concerne cette grippe de 1918,

« La pandémie de grippe dite « espagnole » a débuté avec l’expérience brutale de l’Institut Rockefeller sur la vaccination des troupes américaines contre la méningite bactérienne. Cette expérience menée en 1918-1919 pourrait avoir tué cinquante à cent millions de personnes. Et si l’histoire qu’on nous a racontée sur cette pandémie n’était pas vraie ? Et si, au contraire, l’infection mortelle n’était ni la grippe ni d’origine espagnole ?
[…]
La pandémie n’était par grippale. On estime que 95 pour cent (ou plus) des décès ont été causés par une pneumonie bactérienne, et non par un virus de la grippe. La pandémie n’était pas d’origine espagnole. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas. Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé sur des chevaux par l’Institut Rockefeller pour le Medical Research de New York a été injecté aux soldats à Fort Riley.

Pendant le reste de l’année 1918, alors que ces soldats — vivant et voyageant souvent dans de mauvaises conditions sanitaires — étaient envoyés en Europe pour combattre, ils ont répandu la bactérie à chaque arrêt entre le Kansas et les tranchées de la ligne de front en France.
[…]
Pendant la Première Guerre mondiale, l’Institut Rockefeller a également envoyé son sérum expérimental contre les méningocoques en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d’autres pays, contribuant ainsi à la propagation de l’épidémie dans le monde entier. »

Sur la base des conclusions de cette étude vieille de 21 ans, nous pouvons rejeter la propagande qui nous est imposée par les médias mainstream et les organisations médicalesIl n’est pas vrai que l’immunité naturelle au virus Sras-CoV-2 peut s’estomper six mois à un an après l’exposition initiale. Et il n’est pas vrai qu’une injection expérimentale est le seul moyen d’atteindre l’immunité. De telles allégations non fondées ne sont que des ruses inventées pour faire avancer l’agenda avide de l’industrie pharmaceutique et des autres technocrates opérant en coulisses.

En résumé : Le pouvoir de l’immunité naturelle surpassera toujours toute présumée immunité contre un virus censé résulter d’une injection, qu’elle soit expérimentale ou approuvée par le gouvernement.

Du point de vue biologique, toute la vie sur Terre est construite à partir des séquences génétiques moléculaires d’ARN et d’ADN contenues dans les virus. Ces virus sont des systèmes d’administration génétique de nature complexe, ils demeurent essentiels à l’épanouissement et au maintien de la vie sur Terre. En fait, plus de 50 % des 20 000 gènes hérités par les humains d’aujourd’hui ont été insérés il y a des millions d’années dans le génome des mammifères par ces minuscules merveilles de la Nature. Au moins 8 % de ces gènes ont été insérés par des rétrovirus à ARN similaires au rétrovirus du VIH. (Un rétrovirus est un virus à ARN qui insère une copie d’ADN de son génome dans la cellule hôte afin de se répliquer.) Tout aussi intrigant est le fait qu’il y a des millions d’années, les mises à jour rétrovirales ont joué un rôle clé dans l’émergence des mammifères placentaires.

Fait intéressant à noter, une étude publiée en 2017 par le National Institute of Health (NIH) démontre que beaucoup d’entre nous sont porteurs du rétrovirus du VIH sans même le savoir. Dans cette étude, les chercheurs « ont exploré des données de séquence non humaines provenant du séquençage du génome entier » du sang de 8 240 adultes vivant aux États-Unis et en Europe — dont aucun n’a été établi comme étant atteint d’une maladie infectieuse. Ils ont constaté qu’un total de 42 % des participants ont obtenu un résultat positif pour la présence de 94 virus connus. Ces virus comprenaient le VIH, le virus de l’hépatite B, le virus de l’hépatite C et le virus de la grippe.

Nous avons été formés par la communauté médicale et les médias sous la coupe des entreprises pour croire que le VIH devrait prédominer chez les personnes vivant en Afrique subsaharienne. Après tout, nous dit-on, 95 % de tous les cas « séropositifs pour le VIH » proviennent de cette région du globe. Si tel était le cas, nous devrions nous attendre à voir dans d’autres régions très peu de VIH et une prévalence beaucoup plus élevée, par exemple, de l’hépatite C ou de la grippe. Au contraire : c’est juste l’inverse ! En fait, l’étude de 2017 a révélé une prévalence cinq fois plus élevée du VIH que d’hépatite C et de grippe chez ces 8 240 Américains et Européens asymptomatiques. Étonnamment, chacun était complètement en harmonie avec le virus du VIH, même si aucun d’entre eux n’avait jamais voyagé en Afrique. Nous devons conclure à partir de cette étude que non seulement le monde a tout simplement mal compris la prévalence du virus du VIH dans toutes les régions du monde, mais que notre peur de celui-ci — et du virome en général — est tout à fait injustifiée.

Étant donné que de nombreuses organisations puissantes, publiques et privées, bénéficient des énormes subventions et dons qui perpétuent le mouvement sans fin contre le SIDA, il n’est pas surprenant qu’aucune étude scientifique évaluée par les pairs n’ait été réalisée pour fournir des preuves concluantes qu’un virus appelé VIH provoque une maladie appelée SIDA. Si une telle étude devait être entreprise, elle prouverait que l’hypothèse du VIH au SIDA est sans fondement et, plus précisément, frauduleuse.

La question sur laquelle les scientifiques devraient se concentrer est la suivante : qu’est-ce qui se passe en Afrique subsaharienne qui crée une relation aussi anormale entre les personnes vivant dans cette région et le rétrovirus du VIH, ce qui fait que 95 % d’entre elles sont séropositives ?

Pour répondre à cette question, nous devons examiner le terrain où résident les virus et rester en équilibre avec le corps humain. (Par « terrain », j’entends une zone géographique avec son écosystème associé. Je ne fais pas référence ici à la théorie du terrain Bernard/Béchamp susmentionnée.) Lorsqu’un terrain est perturbé par quelque chose d’innaturel — par exemple, l’empoisonnement de l’environnement par un comportement humain irresponsable — les virus deviennent surexprimés et l’équilibre du corps avec le virome est perdu.

Compte tenu du terrain, nous constatons que le facteur numéro un commun à toutes les épidémies ou pandémies dites de maladies infectieuses est la destruction de l’écosystème. En d’autres termes, le terrain naturel a été modifié par un comportement humain irresponsable à un point tel que notre adaptation innée à toute l’information génétique qui nous entoure est sapée.

Commentaire : Il est toutefois à noter qu’un environnement peut aussi, comme l’Histoire nous l’apprend, être en partie ou totalement détruit par des changements cosmico-terrestres : ouragans, tornades, volcans, séismes, inondations, grêle, passage rapproché de comète, astéroïdes, et autres boules de feu météoriques, etc.

Ce n’est pas tant que les virus causent une maladie. C’est plutôt qu’ils présentent simplement au corps une nouvelle option d’adaptation génétique. Le système immunitaire inné de l’organisme détermine ensuite la quantité de ces nouvelles informations qu’il absorbera. Si les cellules ont un besoin urgent de réparation — peut-être en raison de mauvais choix alimentaires, d’un mode de vie sédentaire ou d’une toxicité dans l’environnement — le virus créera un événement inflammatoire au fur et à mesure que le corps traverse son processus de régénération. Cela s’accompagne généralement d’une fièvre, d’une perte d’appétit et d’un nombre élevé de globules blancs. Un tel événement inflammatoire est ce que nous appelons communément « la grippe ».

Ce que nous appelons de manière désobligeante une réaction inflammatoire — en laissant entendre qu’il est mauvais pour le corps — fait en réalité partie du processus de guérison du corps. L’inflammation est nécessaire pour créer une régénération dans le corps. Il agit au nom de l’organisme [corps], pas contre lui. Mais si le microbiome du corps est riche au lieu d’être déficient, il n’aura pas besoin d’une mise à jour et, par conséquent, aucune inflammation ne se produira.

Dans le cas de l’Afrique subsaharienne, l’écosystème est en train de mourir. L’effondrement des systèmes de sol riches en nutriments, la mauvaise hygiène de l’eau, le manque d’assainissement de base, une population souffrant de sous-alimentation chronique et l’élimination complète de l’agriculture biologique traditionnelle — dépassée par la révolution verte oxymoronique, imposée aux pays en développement par l’agriculture industrielle — ont provoqué un déséquilibre entre leur système immunitaire inné et l’environnement. Le syndrome connu sous le nom de « SIDA » est l’expression de ce déséquilibre. Le virus du VIH, découvert pour la première fois par le virologue français Luc Montagnier, a été faussement accusé d’être le principal responsable du SIDA — une forme de culpabilité par association. En fait, le virus du VIH est bénin et n’essaie pas de prendre en charge la mécanique d’une cellule.

La véritable racine du problème est que le système immunitaire inné du peuple subsaharien a été dégradé par un manque de nutrition à un point tel qu’il est en proie à une myriade de maladies, qui ont été regroupées collectivement sous le seul titre « SIDA ». Cependant, au lieu de s’adapter à la réalité de ce que provoque la terrible catastrophe écologique, les « scientifiques » blâment le virus du VIH comme un prétexte pour cacher des décennies de crimes environnementaux et économiques gouvernementaux et commerciaux.

D’après les informations recueillies jusqu’à présent, nous pouvons à juste titre conclure qu’il est impossible pour les virus ou les agents pathogènes de créer des pandémies et des épidémies de maladies infectieuses — car il n’existe pas de maladie infectieuse au sens traditionnel du terme — par exemple « SIDA », « Ebola » et d’autres pandémies « virales » non fondées. Oui, la propagande pharmaceutique pousse le paradigme des maladies infectieuses dans le monde entier depuis des siècles. Mais la croyance que de telles maladies existent n’est qu’une conséquence de la théorie des germes démystifiées de Pasteur. Ce que nous appelons communément une épidémie ou une pandémie est simplement le résultat de la dégradation du système immunitaireinnéd’une partie de la population de la planète. Les raisons de cette dégradation peuvent inclure l’empoisonnement chimique par des herbicides, des pesticides ou des aliments génétiquement modifiés, que nous examinerons plus en détail dans la partie suivante.

Comme nous pouvons le voir par la description ci-dessus du virome, il n’est pas exagéré de dire que le virome est le langage de toute vie sur Terre. Nous nageons littéralement dans une vaste mer d’informations génomiques qui demeure essentielle pour que la vie commence et s’épanouisse sur cette Terre précieuse et qui essaie toujours d’aider toutes les espèces à survivre. La matrice des organismes qui composent le microbiome a construit un flux d’information viromique qui a permis l’adaptation et la biodiversité sur la planète. Et c’est ce même flux d’information viromique qui a permis de façonner l’espèce humaine.

Ainsi, les humains ne sont pas séparés du virome et du microbiome, mais ils font plutôt partie intégrante du vaste écosystème complexe du virome et du microbiome. Pourtant, nous nous sommes de plus en plus placés en opposition directe avec le système vivant même dont nous faisons partie intégrante : la Nature.

Commentaire : Nous pouvons sérieusement, comme le fait l’article, nous interroger sur la fonction exact des microbes/virus dans l’écologie planétaire, et déterminer s’ils ne seraient pas en fait nécessaires à l’évolution de la vie sur Terre. Aucune de ces réponses ne peuvent être trouvées dans la biologie pasteurienne qui fait aujourd’hui religion.

Rappelons par ailleurs que dans l’approche matérialiste de Pasteur et de ses suiveurs (autoritaristes), notre système immunitaire serait « niais, étourdi et sans conscience » et il faudrait inoculer à l’organisme des agents extérieurs dont il « serait » dépourvu « à l’intérieur », tout en stérilisant l’environnement extérieur constitué de micro-organismes pathogènes à l’influence « néfaste ». On ne sait jamais, des fois que certains d’entre eux nous rendent plus intelligents ou plus réceptifs à certaines idées ou convictions situées à l’opposé du mantra délivré par les autorités bien mal pensantes, basé sur la toute-puissance médicale, pourtant bien insuffisante à éclairer les chercheurs de vérité.

Cette vision limitée de la Vie est exclusive, linéaire, compétitive, iatrogène, inopérante et fait l’objet d’un culte qui prétend que la maladie est extérieur à l’organisme, et qu’elle ne peut jamais, en rien, procéder d’un équilibre intérieur.

Cette vision est anti-vie.

À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’un baccalauréat en technologie en génie aérospatial. Au cours de ses deux périodes de service en tant que capitaine dans l’Aviation canadienne, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti. Utilisant un esprit curieux, un souci du détail et des compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré plus d’une centaine d’heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener cet article à bien.

Source de l’article publié initialement en anglais le 15 août 2021 : Global Research
Traduction : Mondialisation.ca
Corrections : Sott.net


Note du traducteur 1 : La première partie de cet article a été publiée sur Sott.net et concernait l’analyse du microbiome et du virome : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome.

Nous publions ici les deuxième, troisième et quatrième parties réunies.

Deuxième partie — Notre guerre contre la Nature

L’espèce connue sous le nom d’Homo sapiens est la seule sur cette planète qui cherche activement à s’éradiquer elle-même tout autant qu’à éradiquer son habitat. Tous les systèmes de soutien de la vie sur Terre — le sol, l’eau et l’air — sont en déclin, conséquence directe de notre activité économique actuelle, qui vise à extraire le plus possible de la Terre sacrée sans se soucier des conséquences qui en découlent.

En adoptant un paradigme économique aussi intolérable, nous ne respectons pas les limites écologiques ni les limites éthiques. Notre modèle économique axé sur la consommation, que nous avons conçu et dont nous sommes aujourd’hui esclaves, est à l’origine de carences perpétuelles : épuisement des ressources, perte de biodiversité et contamination par des substances toxiques, autant de facteurs qui causent des ravages perpétuels à l’ensemble de l’écosystème et à son environnement. Les méga-corporations continuent de propager l’idéologie de la croissance économique illimitée, qu’elles entendent tirer d’une planète aux ressources limitées et dont elles sont les seules à tirer un bénéfice financier. Leurs objectifs égocentriques se heurtent aux motivations généreuses des masses, qui privilégient le concept d’égalité des chances, y compris le droit égal de tous les humains à vivre dans un environnement sain. La quête incessante de profits par l’ensemble des milliardaires, au détriment du bien-être social de chacun, alimente la concurrence mondiale pour les ressources et provoque un holocauste écologique. En bref, nous assistons à une nouvelle forme de colonialisme imposée par la classe des prédateurs [qui sont aussi des parasites – NdT] à l’ensemble de l’humanité, alors que nous entrons dans ce que l’on appelle communément la sixième extinction de masse.

Considérez ce que nous faisons à notre eau douce. La surface de notre planète est composée à 80 % d’eau, dont 97 % d’eau salée. Les 3 % restants de nos réserves d’eau potable ont été traités avec une telle insouciance qu’elles sont très pollués et s’épuisent rapidement. Sur ces 3 % d’eau douce, au moins 29 % sont siphonnés par les industries de la viande et du lait, grandes consommatrices d’eau. Les Nations unies estiment qu’au cours de la prochaine décennie, 2 milliards de personnes souffriront d’une extrême pénurie d’eau et que, d’ici la fin du siècle, la moitié de la population mondiale connaîtra une forme ou une autre de pénurie d’eau.

Note du traducteur 2 : Ou peut-être plus exactement d’un rationnement de l’eau décidé dans les hautes sphères, peu importe la quantité disponible. Par ailleurs, les événements météorologiques de ces dernières années, et plus particulièrement de ces derniers mois, laisse à entendre que les Nations Unies pourraient avoir tort : certaines parties pourraient en effet être affectées par un manque d’eau (en Amérique du Nord de l’Ouest) mais d’autres (comme l’Asie et l’Europe) pourraient bien en avoir beaucoup trop. Les Nations Unies se feraient-elles l’écho d’un Agenda 2030, aujourd’hui bien identifié par nos lecteurs ?

Les industries minière et pétrolière ne sont pas non plus des amis de l’environnement. Aux États-Unis, les sociétés minières ont abattu plus de 500 montagnes dans les Appalaches, provoquant une immense pollution des sols et des eaux de surface. Dans d’autres régions du pays, le forage pour le pétrole et le gaz de schiste, appelé fracturation hydraulique mais plus connu sous le nom de « fracking », pompe depuis le sol des substances cancérigènes et des toxines qui sont rejetées dans l’air, l’eau et le sol de surface, ce qui aggrave encore le problème de la pollution. Bien qu’elle soit présentée comme une solution à la dépendance des États-Unis vis-à-vis du pétrole étranger, la fracturation est en fait le dernier acte de stupidité d’un pétro-État.

Livre Toxic Waters

Les industries de la viande et du lait susmentionnées ne font pas que monopoliser l’eau. L’agriculture animale — qui englobe les énormes fermes industrielles et les petites exploitations familiales — est également la principale cause des gaz à effet de serre, de la déforestation, de l’extinction des espèces et des « zones mortes » des océans. L’élevage industriel intensif des animaux et de leurs cultures fourragères est en grande partie responsable du taux le plus élevé d’extinction massive d’espèces depuis 65 millions d’années [ça se discute – NdT].

En outre, aucune autre industrie sur la planète n’a besoin d’autant de surface que l’agriculture animale : elle accapare 45 % de toutes les terres libres de glace de la planète. Selon la World Animal Foundation, 70 % de la forêt amazonienne est détruite dans le seul but de cultiver du soja ou du maïs OGM pour nourrir le bétail en Amérique du Sud et en Europe. Entre 1970 et 2019, un total de 718 927 kilomètres carrés de la partie brésilienne de la forêt amazonienne a été déboisé.

Note du traducteur 3 : À noter toutefois que la même World Animal Foundation (WAF) nous encourage au véganisme et nous demande de « sauver la planète ».

Quelques faits supplémentaires à prendre en considération :

  • La moitié de l’approvisionnement mondial en céréales est destinée aux animaux de boucherie, alors qu’un milliard de personnes souffrent de la faim.
  • Aux États-Unis, 54 % de l’eau douce est détournée par l’agriculture animale, alors que 99,8 % de la zone géographique de la Californie connaît une sécheresse critique.
  • À l’échelle mondiale, l’industrie de l’agriculture animale, qui tue au moins 72 milliards d’animaux terrestres chaque année (200 millions par jour), est à l’origine de 51 % de toutes les émissions de gaz à effet de serre, soit bien plus que les 13 % générés par tous les modes de transport réunis.

Note du traducteur 4 : C’est un fait, mais l’auteur ne fait pas mention de l’absurdité de nourrir des bovins et des ovins avec des céréales, ce qui n’est absolument pas leur régime naturelle. Ce n’est donc pas l’élevage animal en tant que tel qui devrait être soumis à la question, encore que l’aspect industriel et tout ce qui l’accompagne est à prendre en considération, mais bien la façon dont ils sont nourris qui est en soi contre-Nature. Par ailleurs, l’auteur omet aussi de faire mention des cultures agricoles destinés à alimenter les moteurs de voiture pour une consommation dite « verte » qui participe à la propagation des polluants dans l’air, voir plus bas à propos du glyphosate.

Le « fait » le plus surprenant concernant la dévastation causée par l’agriculture animale est que la quasi-totalité des prétendues organisations environnementales à but non lucratif sont silencieuses sur cette question.

La catastrophe environnementale est encore plus grave dans les océans du monde. L’industrie de la pêche commerciale détruit la vie océanique, y compris les fonds marins, à un rythme jamais vu dans l’Histoire. Aucune autre industrie ne tue plus d’animaux que ce commerce. Un rapport de Matthew Zampa pour Sentient Media observe qu’entre 37 et 120 milliards de poissons sont tués chaque année dans des fermes piscicoles commerciales créées par l’être humain et qu’au moins un autre trillion d’animaux aquatiques vivant dans des plans d’eau naturels sont tués pour chaque année pour les nourrir. Selon des recherches présentées sur le site Web d’Oceana, ce total stupéfiant ne comprend pas les 100 millions de requins et les 650 000 baleines, dauphins et phoques qui sont tués chaque année en tant que prises accessoires — les prises accessoires sont le nombre total d’animaux marins que les pêcheurs capturent involontairement dans leurs filets et tuent, soit en les rejetant en mer, soit en les ramenant au port.

Note du traducteur 5 : Les fermes piscicoles créées par l’être humain sont elles aussi contre-Nature et engendrent un nombre incalculable de maladies. Qui plus est, ces poissons sont nourris de farines, d’ingrédients douteux et de poissons qu’il faut bien prendre quelque par : et à part les étangs mentionnés par l’auteur, ils pourraient bien être prélevés dans ces mêmes bassins piscicoles…

En raison de cette extraction et de cette extermination, les populations mondiales de nombreuses espèces de vie aquatique sont en train de chuter à des niveaux proches de l’extinction. Une étude scientifique présentée dans le New York Times prévoit que si la pêche commerciale dans le monde se poursuit à son rythme actuel, les océans seront pratiquement vides en 2048.

Tout aussi inquiétant, les océans sont utilisés comme dépotoir pour les entreprises manufacturières et minières du monde entier. Il n’est donc pas surprenant que des chercheurs de la Scripps Institution of Oceanography de l’université de San Diego aient découvert que les populations de poissons [et de mammifères y compris terrestres, comme l’ours polaire – NdT] des océans sont contaminées par des métaux lourds comme le mercure, les polychlorobiphényles (PCB), les pesticides organochlorés (DDT et CHL), les polybromodiphényléthers (PBDE), les composés plastiques et l’hexachlorobenzène.

Les fabricants de produits chimiques synthétiques, de pesticides, d’insecticides, d’herbicides et d’engrais comptent parmi les pires ennemis de la Terre. La menace la plus récente pour notre environnement provient des cultures industrielles génétiquement modifiées, connues sous le nom d’organismes génétiquement modifiés (OGMs). Avec l’introduction de ces nouvelles cultures, nous avons accéléré notre capacité à manipuler la Nature à un rythme inimaginable à une époque antérieure. Malheureusement, en conséquence de notre ingérence, nous assistons à une explosion des maladies chroniques.

Note du traducteur 6 : Des facteurs naturels et cycliques peuvent aussi entrer en ligne de compte, bien que ce qui précède puisse en accélérer le processus.

Voir Oubliez le réchauffement climatique, nous sommes au bord de l’extinction !

Comment notre discussion susmentionnée sur les microbiomes, les viromes et l’immunité s’inscrit-elle dans ce tableau de désolation environnementale ?

Tout d’abord, depuis l’introduction de l’agriculture chimique et l’utilisation des OGMs à l’échelle mondiale en 1996, nous avons modifié notre environnement naturel à un point tel que nous décimons notre système immunitaire inné. (N’oubliez pas cette date : 1996.) En conséquence, les maladies auto-immunes et autres maladies chroniques qui, à une époque, ne touchaient qu’un infime pourcentage de la population générale, connaissent aujourd’hui une explosion de leur prévalence. Le timing de cette explosion ne nous échappe pas : ces maladies ont commencé à toucher les humains de manière importante à partir de 1996. Il n’est donc pas exagéré de conclure que l’utilisation prodigue des OGMs est liée au déclin marqué de la santé humaine au cours des deux dernières décennies et demie.

Je vais citer quelques exemples :

Dans le monde, une personne sur quatre souffre désormais d’allergies ; en Amérique du Nord, une personne sur trois est obèse ; aux États-Unis, une femme sur deux et un homme sur trois développeront un cancer au cours de leur vie.

En outre, le trouble du développement appelé « trouble du spectre autistique » est passé de 1 enfant sur 5 000 en 1975 à 1 sur 36 en 2016. Si la tendance actuelle se poursuit, on peut s’attendre à ce qu’un enfant sur trois soit atteint d’autisme d’ici 2035. Pendant la même période, nous avons assisté à une augmentation spectaculaire d’autres troubles du système immunitaire, tels que la maladie de Crohn, la maladie cœliaque, la maladie de Parkinson (chez les hommes), la maladie d’Alzheimer (chez les femmes), la démence et le diabète de type 1.

Note du traducteur 7 : Il faut aussi mentionner que la vaccination de masse avec un nombre délirant de vaccins inoculés dès les tout premiers jours de la vie concourt à considérablement affaiblir le système immunitaire inné et à désorganiser le système immunitaire adaptatif, lequel n’a techniquement aucune raison de s’activer, en général, tant que le premier est optimal. Le fait de développer des anticorps est déjà en soi le signe d’un système immunitaire inné affaibli.

Les cultures OGMs sont pulvérisées avec des herbicides, comme le Roundup de Bayer, qui contient l’ingrédient actif appelé glyphosate et qui est l’herbicide/antibiotique cancérigène le plus omniprésent de la planète. En 2014, plus de 747 millions de kg de glyphosate ont été utilisés dans le monde. Aujourd’hui, à peine sept ans plus tard, ce chiffre a plus que doublé, passant à 2 milliards de kg. Étant un composé soluble dans l’eau, le glyphosate contamine les eaux souterraines partout, de la Chine à l’Amérique du Nord. Comme si cela ne suffisait pas, le glyphosate contamine également l’air que nous respirons. Une étude de l’US Geological Survey réalisée en 2007 révèle que le Roundup (alias glyphosate) et son sous-produit toxique, l’acide aminométhylphosphonique (AMPA), ont été retrouvés dans plus de 75 % des échantillons d’air et de pluie testés dans le Mississippi en 2007.

Parallèlement, le plus long fleuve des États-Unis, le puissant Mississippi, et ses centaines d’affluents recueillent plus de 80 % du Roundup pulvérisé sur les cultures dans l’ensemble des États-Unis. Le fleuve Mississippi reçoit également des milliers d’autres polluants chimiques qui y sont déversés par les entreprises pétrochimiques. Il n’est pas surprenant que les personnes résidant le long des 140 derniers kilomètres du fleuve, qui traverse la Louisiane — plus précisément dans la région de Baton Rouge et de la Nouvelle-Orléans — aient l’un des taux de cancer les plus élevés au monde.

Note du traducteur 8 : Le glyphosate se retrouve dans l’atmosphère également en raison de l’usage de carburants dits « verts », qui sont issus de cultures OGMs traités au glyphosate et qui sortent des pots d’échappement de tous les véhicules, qui, pour « sauver la planète » contribuent à la polluer, elle, son environnement et toute la vie qui s’y développe.

Le brevet du Roundup, autrefois détenu par Monsanto (aujourd’hui Bayer), ayant expiré en 2000, la Chine est devenue le premier utilisateur et exportateur de glyphosate au monde. En 2017, la Chine a exporté dans le monde plus de 300 000 tonnes de glyphosate. Il s’avère que la province du Hubei, où siège la tristement célèbre Wuhan, est l’une des principales utilisatrices de glyphosate en Chine. Les effets toxiques combinés de la production porcine, de l’industrie lourde et de l’agriculture chimique dans la province de Hubei ont fait de cette région l’un des endroits les plus pollués de la planète. L’écosystème de Wuhan, autrefois diversifié et propre, a été complètement ravagé par les polluants d’origine humaine et l’utilisation massive de glyphosate dans l’agriculture industrielle.

Il existe un lien indiscutable entre le taux élevé de cancer actuel et l’utilisation massive de glyphosates. En une seule génération, le taux de cancer diagnostiqué chez les hommes a doublé. Parallèlement à cette augmentation, en 25 ans (environ une génération) entre 1990 et 2015, la toxicité de l’environnement a également doublé.

Les données statistiques compilées par Nancy L. Swanson et al. dans le Journal of Organic Systems fournissent des preuves accablantes d’une corrélation précise, de 1975 à 2010, entre l’utilisation du glyphosate et l’incidence de nombreux types de cancer, notamment le cancer de l’urine/de la vessie, le cancer du foie, le cancer de la thyroïde et la leucémie myéloïde. Les graphiques présentés dans l’étude de Swanson montrent que l’augmentation de la prévalence du cancer recoupe parfaitement l’augmentation de l’utilisation du glyphosate.

Un autre lien qui ne peut être ignoré est la baisse du nombre de spermatozoïdes masculins dans les pays occidentaux. Shanna Swan, épidémiologiste au Mount Sinai Medical Center de New York et éminente spécialiste de la santé génésique, prévoit que le nombre de spermatozoïdes de l’homme moyen sera nul d’ici 2045. Avec l’introduction des perturbateurs endocriniens, le nombre de spermatozoïdes masculins a chuté de 50 à 60 %, soit une moyenne de 1 à 2 % par an, entre 1973 et 2011. Il est vrai que les microplastiques perturbateurs endocriniens présents dans l’eau potable posent un problème, mais ce problème n’est rien en comparaison des effets néfastes de l’agriculture chimique et de l’utilisation du glyphosate, affirme le spécialiste de la médecine interne, de l’endocrinologie et du métabolisme, le Dr Zach Bush, sur son site web Global Health Education.

De plus, écrit le Dr. Bush,

« le glyphosate fonctionne comme un puissant agent chélateur, bloquant les nutriments dans les systèmes du sol, des plantes et de l’eau, de sorte que nous pouvons maintenant nous trouver dans un état biologique qui équivaut à une famine tout en étant confronté à l’excès calorique le plus extrême que l’humanité ait jamais produit. »

Note du traducteur 9 : Il est question ici de la population des États-Unis, en particulier. Cet « excès calorique » ne concerne évidemment pas les populations touchées par une famine à la fois nutritionnelle et calorique.

Les avertissements mondiaux d’autres scientifiques, médecins et environnementalistes abondent. Par exemple, le Dr Vandana Shiva, militante pour l’environnement et la souveraineté alimentaire et écoféministe basée à Delhi, en Inde, n’a cessé de mettre en garde, dans les livres et articles qu’elle écrit, et dans les discours et interviews qu’elle donne dans le monde entier, contre le fait que les OGMs ont ruiné la vie des sols et des plantes en inhibant leur capacité à stocker les micro-organismes et les minéraux, tels que le zinc, le fer et le magnésium, qui sont vitaux pour la réponse immunitaire des animaux et des humains. Dans son article d’opinion de 2012 intitulé « Mythes sur l’agriculture industrielle », le Dr Shiva cite une étude de 1995 selon laquelle l’agriculture industrielle (qui a commencé en 1965) est responsable de 75 % de l’érosion de la biodiversité de la Terre, de 75 % de la destruction de l’eau et de 40 % des gaz à effet de serre, alors qu’elle ne produit que 30 % de l’approvisionnement alimentaire des humains.

Note du traducteur 10 : Voir sur le sujet l’excellent ouvrage de Lierre KeithLe Mythe végétarien.

En 2013, Sott.net a publié un article qui présente l’ouvrage traduit cette année-là en français : Revue de livre – Le Mythe végétarien, nourriture, justice et pérennité.
Toujours en 2013, Sott.net a publié une interview exclusive avec l’auteur : Radio Interactive SOTT – Entretien avec Lierre Keith

En 2009, trois articles qui reprennent les Chapitres et 1 et 2 ont été traduits par Sott.net et également publiés :
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (1re partie)
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (2e partie)
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (3e partie)

Depuis le milieu des années 1990, l’agriculture industrielle/chimique a décimé le microbiome du sol à l’échelle mondiale. Pensez-y : en 2014, une haute fonctionnaire des Nations unies, Maria-Helena Semendo, de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), a expliqué à l’assemblée qu’à moins de développer de nouvelles approches de l’agriculture, la quantité mondiale de terres arables et productives par personne ne représentera en 2050 qu’un quart du niveau de 1960. À considérer également : dans une étude menée par l’université de Lancaster en septembre 2020, les chercheurs ont constaté que 90 % des sols cultivés de manière conventionnelle dans le monde s’amincissaient, et que 16 % d’entre eux avaient une durée de vie inférieure à un siècle.

En bref, la réduction susmentionnée du nombre de spermatozoïdes masculins, associée à la dégradation des sols dans le monde entier, sont les deux facteurs clés qui conduisent l’humanité vers l’extinction.

Chaque fois que nous pulvérisons du Roundup ou l’un des autres herbicides encore plus toxiques qui sont maintenant largement utilisés — comme le 2,4-D (le 2,4-dichlorophénoxyacétique est un ingrédient principal de l’herbicide de guerre chimique largement connu sous le nom d’Agent Orange) ou le dicamba (un herbicide 200 fois plus toxique que le glyphosate du Roundup) — nous détruisons le microbiome du sol, celui des mauvaises herbes, des plantes et des animaux ainsi que notre propre microbiome. Et, pour enfoncer le clou, le Roundup se disperse non seulement dans le sol mais aussi dans l’air. Tout comme ses produits concurrents.

Malheureusement, les herbicides ne sont pas la seule substance toxique présente dans l’air que nous respirons. De nombreux autres polluants — mercure, arsenic, soufre et cyanure, pour n’en citer que quatre — circulent également dans l’atmosphère. Ces toxines, qui sont produites par les secteurs du transport et de l’énergie, sont capables de se lier aux particules de carbone. Les particules fines de carbone, appelées PM2,5 (c’est-à-dire les particules inférieures à 2,5 microgrammes par mètre cube, soit 100 fois plus fines qu’un cheveu humain), sont un sous-produit de la combustion de carburant et des réactions chimiques. cette combustion est particulièrement préoccupante pour la santé humaine lorsque les niveaux de PM2,5 dans l’air sont élevés, comme le démontrent ces deux études de 2017 de la NIH National Library of Medicine et du The New England Journal of Medicine.

Il s’avère que les toxines ne sont pas les seules à se lier aux PM2,5 ; les virus aussi. Avant la révolution industrielle, les virus se dispersaient de manière [à peu près – NdT] égale dans l’atmosphère. Cependant, maintenant que les particules de carbone sont omniprésentes dans l’air, les virus se concentrent anormalement autour de cette substance. Plus la concentration de PM2,5 est élevée, plus la concentration de matériel viral est importante.

Chaque année, de la dernière semaine de septembre à la fin juin, la nature entre dans son cycle de sommeil dans l’hémisphère nord. Pendant cette période, les concentrations d’émissions de particules de carbone et de CO2 et d’autres polluants qui seraient normalement absorbées par les arbres, les plantes, les océans et le sol ne peuvent pas l’être. Il en résulte de très fortes concentrations de polluants qui se déplacent en direction de l’est avec les courants éoliens — Dans le même temps, des amas de virus à protéines Spike se sont accrochés aux particules de carbone. Les concentrations accrues de PM2,5 dans les zones où le sol a été dégradé au point que son microbiome vivant et doté d’une respiration aérobie a perdu la capacité d’absorber le carbone tout au long de l’année, quelle qu’en soit la saison, aggravent le problème et démontrent les effets néfastes de l’agriculture chimique.

Grâce à l’imagerie satellitaire de la NASA, nous pouvons voir, à partir de la mi-octobre de chaque année, un énorme panache de carbone qui flotte depuis les centres d’industrie lourde de Chine et d’autres régions industrielles du monde et se disperse dans un flux d’est à travers l’hémisphère nord. Au mois de mai, cette brume toxique recouvre l’hémisphère nord. Vous pouvez consulter le site IQAir pour une analyse en temps réel des données sur la toxicité des PM2,5 dans le monde.

De manière étrange, ce que nous appelons « la grippe saisonnière » coïncide parfaitement avec la période où la Nature entre dans son cycle de sommeil dans l’hémisphère nord. Pendant les mois que nous appelons « saison de la grippe », notre corps est plus susceptible de subir un événement inflammatoire — fièvre, congestion, toux et perte d’appétit. Ce phénomène se produit lorsque notre corps s’adapte et s’équilibre avec les toxines industriellesprésentes dans l’environnement. Lorsque l’été arrive, fin juin, la Nature reprend son cycle de régénération : les panaches de PM2,5 se dissipent lentement pour finalement se diluer, ce qui réduit notre risque de maladie respiratoire. C’est la raison pour laquelle nous ne souffrons que rarement, voire jamais, de grippe pendant les mois d’été dans l’hémisphère nord. Par conséquent, en suivant les flux de particules de carbone, nous pouvons en fait cartographier et prévoir exactement où se trouveront les points chauds des infections respiratoires, des « pandémies » et de la grippe saisonnière.

Note du traducteur 11 : Les toxines présentes dans l’environnement ne sont pas uniquement de nature industrielle, sinon l’ère pré-industrielle n’aurait pas eu son lot de « pandémies ». Toutefois, l’environnement qui est le nôtre aujourd’hui accentue certainement et de manière drastique ce qui était au départ un phénomène naturel et cyclique. Les éjections dues au volcanisme — et aux grands incendies — et les injections dues aux météores et autres phénomènes cosmiques font aussi partie du cycle naturel de la Terre et de son atmosphère, et l’augmentation ces dernières années de ces deux activités cycliques, en particulier, ajoute à la problématique. Le fait même de faire fi de leur existence et de leur impact sur notre environnement et sur la vie en général permet de ne focaliser que sur l’aspect humain des causes en question. Nous ne sommes pas séparés de ce qui constitue le système terrestre-atmosphérique, pas plus que la planète Terre n’est séparée de son système Solaire, pas plus que ce dernier n’est séparé de la Voie lactée, etc. Tout est lié.

Voir Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney – Ce qui se profile à l’horizon

Troisième partie — Que s’est-il passé en 2020-21 ? La « pandémie »

Cette année marque un tournant décisif dans l’Histoire de l’humanité. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est en train d’être génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont rendu possible la modification permanente du génome humain — et la modification à jamais de la relation de l’humanité avec la Nature — par le biais d’une injection pharmaceutique expérimentale faussement appelée « vaccin ».

À la lumière de cet événement déterminant, je crois que nous devons jeter un regard sobre sur les motifs et les actes qui sont en train de bouleverser l’humanité telle que nous la connaissons. Simultanément, nous devons examiner le traitement de plus en plus destructeur que nous réservons au monde naturel.

Dans les mois qui ont précédé 2020, la Terre a connu une série d’incendies de forêt sans précédent, de l’Australie à l’Amazonie et de l’Indonésie à la Californie. Rien qu’en Californie, la saison des feux de forêt de 2019 a détruit plus de 100 000 hectares de terre, ainsi que 732 structures. Au total, les feux de friches en 2019 dans le monde ont envoyé 7,8 milliards de tonnes métriques de CO2 et de particules de carbone dans la stratosphère — le plus haut niveau de PM2,5 depuis 2002. Une fois dans la stratosphère, les particules de carbone ont pu parcourir des milliers de kilomètres depuis leur provenance d’origine. De nombreuses villes du monde entier, comme Canberra, Wuhan, New York et Milan, ont connu une qualité d’air extrêmement faible en raison de niveaux extrêmement élevés de PM2,5.

Il s’avère que l’une des substances les plus toxiques générées par la combustion de matières synthétiques telles que le plastique, le nylon, la laine et la soie — combustion provoquée par des feux de forêt ou par des réactions chimiques industrielles — est le cyanure. Plus précisément, le cyanure d’hydrogène gazeux. Le cyanure est un agent hautement toxique qui provoque une hypoxie vasculaire et même la mort s’il n’est pas traité correctement.

Ainsi, alors que dans la seconde moitié de 2019 et le début de 2020 nous entrions dans la « saison de la grippe », nous nous trouvions face à la tempête parfaite de toxicité alors en circulation sur le globe. Les niveaux anormalement élevés de PM2,5, associés à des niveaux élevés de sous-produits industriels tels que le soufre, le mercure, l’arsenic, le carbone, le glyphosate et le cyanure, ont créé des conditions idéales pour supprimer le système immunitaire inné, en particulier chez les personnes fragiles et âgées, qui sont dans de nombreux cas déjà aux prises avec de graves conditions médicales sous-jacentes.

Pour aggraver les choses, la plupart des patients atteints de ces pathologies sous-jacentes — hypertension, diabète, obésité, maladie coronarienne et maladie rénale — prennent des médicaments couramment prescrits, notamment des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (IEC) pour contrôler la tension artérielle et des statines pour réduire le cholestérol. Or, nous savons aujourd’hui, grâce à une étude publiée pour la première fois le 31 mars 2020 dans l’American Journal of Physiology Heart and Circulatory Physiology (volume 318, numéro 5), que les IEC et les statines régulent à la hausse le récepteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) par lequel le coronavirus pénètre dans l’organisme.

L’ACE2 est une protéine qui se trouve à la surface de nombreux types de cellules du corps humain, notamment l’intestin, les reins, l’utérus, les testicules, le cerveau, le cœur et, plus important encore pour notre sujet, les poumons et les muqueuses nasales et orales.

L’enzyme ACE2 joue un rôle important en aidant l’organisme à réguler la pression artérielle et en contribuant à la cicatrisation des plaies et des inflammations. En outre, les acides aminés de l’ACE2 aident à capturer et à hacher une protéine nocive appelée angiotensine II, qui fait monter la pression artérielle et endommage les tissus. C’est pourquoi les médecins du monde occidental prescrivent généralement de l’ACE-I afin de stimuler l’expression de l’ACE2 et de réduire ainsi le risque d’hypertension artérielle. De plus, lorsque l’enzyme ACE2 est régulée, elle peut très facilement capturer — ou accrocher — n’importe laquelle des nombreuses protéines Spike émanant de la surface d’un coronavirus.

Puisque nous parlons des protéines Spike, j’aimerais faire quelques commentaires, sous forme de questions-réponses, sur la recherche sur le gain de fonction dans ce domaine.

La recherche sur le gain de fonction vise à modifier les caractéristiques fonctionnelles d’un virus dans le but d’accroître sa capacité à infecter une espèce et à augmenter potentiellement son impact en tant que pathogène aérien. En rendant un virus plus « mortel », on pense qu’il pourrait ensuite être utilisé contre un ennemi potentiel comme arme de guerre biologique. Nous savons qu’il existe des laboratoires de recherches sur le gain de fonction à Wuhan, en Chine, et dans les installations de l’armée américaine à Fort-Detrick, dans le Maryland — En 2018, au moins 15 autres pays, outre les États-Unis et la Chine, dont le Canada, le Royaume-Uni, la France, Israël, l’Allemagne et la Russie, avaient des programmes documentés d’armes biologiques et des laboratoires de recherche sur les armes biologiques.

  1. Est-il possible que les deux laboratoires de Wuhan et de Fort-Detrick, ou l’un d’entre eux, aient manipulé l’une des protéines Spike d’un coronavirus qui le rendrait encore plus apte à se connecter au récepteur ACE2, comme le suggère ce document de l’Institut de microbiologie humaine de New York ? Absolument.
  2. Le Dr Anthony Fauci a-t-il des liens financiers profonds avec le laboratoire de Wuhan de par sa position de directeur, depuis 1984, du National Institute of Allergy and Infectious diseases (NIAID) ? Absolument.
  3. Par extension, le gouvernement des États-Unis est-il indirectement ou directement impliqué dans le financement de l’Institut de virologie de Wuhan ? Absolument.
  4. Le Dr Fauci et le spécialiste du gain de fonction de l’université de Caroline du Nord, Ralph Baric, ont-ils reçu des millions de dollars de subventions de recherche de plusieurs agences fédérales — NIH, DARPA et NIAID — pour étudier le gain de fonction dans les coronavirus, comme l’indique clairement ce dossier du Dr David Martin ?

Néanmoins, nous ne devons pas perdre de vue le fait que toute cette attention portée au gain de fonction pourrait être en fait une opération psychologique habilement déguisée destinée à nous distraire du fait que nous ne disposons d’aucune preuve scientifique validée par des pairs qu’un coronavirus est à l’origine du syndrome respiratoire connu sous le nom de Covid-19.

En outre, l’attention soudaine et intense que les médias portent au Dr Fauci et au lien avec Wuhan pourrait être une tactique destinée à faire porter le chapeau à la Chine pour avoir créé la « crise », tout en occultant habilement le fait que de nombreux acteurs issus de nombreuses nations et organisations, comme le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé et la Fondation Bill & Melinda Gates, travaillent de concert avec la Chine pour « asservir » l’ensemble de l’humanité dans « un cauchemar technocratique dystopique ».

Ou bien, est-il possible que les véritables armes biologiques à gain de fonction soient les injections expérimentales non approuvées (appelées « vaccins anti-Covid-19 ») qui sont actuellement déployées dans le monde entier ? L’avenir nous le dira.

Pour en revenir aux événements de 2020, nous pouvons voir qu’en régulant à la hausse le récepteur ACE2 qui se trouve à la surface des poumons et de la muqueuse nasale, nous avons facilité la tâche d’un coronavirus [des protéines Spike, en fait – NdT], en conjonction avec les particules PM2,5 qui transportent du cyanure et d’autres possibles polluants, pour qu’il s’accroche et soit attiré dans la voie respiratoire. Une fois dans les voies respiratoires, les toxines finissent par passer dans la circulation sanguine et entrer dans les globules rouges de l’organisme. Lorsqu’une toxine pénètre dans un globule rouge, elle modifie la forme de la protéine hémoglobine qui transporte l’oxygène dans le globule rouge et rend ce dernier incapable de transporter l’oxygène. Ce processus prive littéralement l’organisme d’oxygène. Par conséquent, avec cette combinaison de variables, le décor était planté dans la seconde moitié de 2019 pour produire le système de diffusion parfait permettant l’empoisonnement au cyanure.

L’empoisonnement au cyanure provoque un état connu sous le nom d’hypoxie histotoxique. Cet état comprend les symptômes suivants

  • Changement de la couleur de la peau (allant du bleu au rouge) ;
  • Désorientation ;
  • Toux ;
  • Fréquence cardiaque élevée ;
  • Respiration rapide ;
  • Essoufflement (dû à la perte de la capacité des globules rouges à transporter l’oxygène) ;
  • Transpiration.

Par conséquent, à la fin de l’année 2019 et au début de l’année 2020, les professionnels de la santé de la province de Hubei, du nord de l’Italie, de la région métropolitaine de New York et d’ailleurs ont été confrontés à des patients présentant des symptômes d’empoisonnement au cyanure. Comme le souligne une étude du JAMAparue en avril 2020ces symptômes présentent toutes les caractéristiques d’une hypoxie histotoxique, mais aucun des symptômes d’une pneumonie ou d’une insuffisance respiratoire. En d’autres termes, ils n’avaient pas de fièvre (afébrile), pas d’accumulation de liquide dans les poumons et pas d’augmentation du nombre de globules blancs (que l’on s’attendrait à voir en cas d’infection).

Nous devons donc conclure que ces patients en détresse aiguë, dont beaucoup étaient âgés, devaient initialement souffrir d’hypoxie, etnonde pneumonie etpas non plusd’insuffisance respiratoire. La pneumonie et les micro-caillots de sang, qui ont fini par les tuer, sont survenus plusieurs jours ou semainesaprèsl’empoisonnement initial — et ce, uniquement parce que leur système immunitaire inné avait été tellement affaibli que leur organisme a succombé aux effets en cascade des infections secondaires.

Par ailleurs, toutes les personnes qui ont été touchées de manière aiguë par le Sras en 2002 et par le Mers en 2012 présentaient les mêmes symptômes d’hypoxie histotoxique, et non d’infection virale. En d’autres termes, leurs symptômes étaient identiques à ceux des cas aigus en 2020 de ce qui a été appelé à tort Covid-19.

Note du traducteur 14 : Le nom de Covid-19 peut tout aussi bien avoir été choisi à dessein, et non à tort : Cov ID 2019, ce qui pourrait indiquer une volonté programmée à l’avance d’utiliser ce nom et pas un autre ; le « lancement » en 2019 du programme de mise en place des identités numériques par le biais d’un coronavirus… peut-être.

En fin de compte, la plupart des patients hospitalisés en 2020 sont décédés des suites d’un événement toxicologique — qui a été baptisé à tort « Covid-19 » d’après ce qui a été appelé une nouvelle souche de coronavirus — et non de la maladie infectieuse ainsi nommée. Même au plus fort de la « pandémie », le prétendu Covid-19 ne représentait qu’un très faible pourcentage du total des décès en Italie et ailleurs.

Heureusement, le taux de mortalité global par infection signalé pour le syndrome Covid-19 n’est que légèrement supérieur à celui de la prétendue grippe saisonnière. Tout aussi heureusement (mais pas pour ses victimes), le syndrome n’a représenté un danger que pour un seul grand groupe de population : les personnes âgées atteintes d’au moins deux maladies chroniques majeures. La présence de comorbidités — maladies cardiaques, accidents vasculaires cérébraux et cancer du poumon — est à l’origine de la grande majorité de leurs décès. Mais pour les personnes de moins de 70 ans sans ces comorbidités, le risque de mourir dans un accident de voiture est plus élevé que le risque de mourir de ce que l’on appelle la maladie Covid-19. En effet, les maladies graves et les décès dus au Covid-19 ne sont survenus que chez des personnes plus jeunes souffrant de troubles de l’immunodéficience — obésité, diabète, maladies auto-immunes et immunodéficiences héréditaires.

Néanmoins, ces décès, bien que tragiques, ne justifient en aucun cas qu’un gouvernement viole les droits naturels des citoyens. Ces droits incluent la liberté de…

  • de se déplacer — y compris de quitter son domicile à toute heure du jour ou de la nuit ;
  • voyager — y compris entre états, provinces, pays et continents ;
  • s’associer — c’est-à-dire se réunir en personne avec ses amis et sa famille ;
  • se réunir — pour protester pacifiquement contre des édits injustes, des pratiques corrompues et la censure ;
  • prier — y compris se réunir avec d’autres croyants ;
  • exprimer son individualité — y compris choisir de porter ou non un masque ;
  • jouir d’une autonomie corporelle — notamment ne pas être contraint psychologiquement ou physiquement à recevoir des injections expérimentales de quelque nature que ce soit ;
  • rester en activité — au lieu d’être considéré par des politiciens tyranniques et des bureaucrates de la santé publique comme « non essentiel », une étiquette qui a forcé des millions de petites entreprises à fermer leurs portes, souvent de façon permanente.

Le Dr Bush résume comme suit les cas de maladies respiratoires aiguës sévères qu’il a observés en 2020 :

« Malheureusement, nous n’avons pas abordé la question comme un empoisonnement, mais comme une infection. Nous avons continué à croire que ces personnes qui mouraient, mouraient d’une infection. Je pense qu’elles étaient très clairement surchargées de PM2,5 liées au cyanure transporté dans l’environnement pulmonaire et finalement dans la circulation sanguine par le virus. Le virus est naturellement conçu pour pénétrer dans l’organisme par les poumons, les tissus vasculaires et les tissus neuronaux, comme nos sinus nasaux. Nous observons toutes ces pertes de goût et d’odeur chez les personnes exposées à ce virus parce qu’il passe par le récepteur ACE2 à la surface de tous ces tissus. Le récepteur ACE2 se lie au coronavirus [à la protéine Spike du virus – NdT] et attire le cyanure directement dans le globule [rouge] et empoisonne le corps humain avec des quantités élevées de pollution atmosphérique qui n’ont pas été respirées mais qui ont été littéralement acheminées de manière ingénieuse dans la circulation sanguine à l’aide d’un virus présent dans notre environnement depuis très longtemps. »

D’après sa description détaillée, nous pouvons clairement constater que les gens mouraient de toxicité environnementale, et non d’une infection virale. C’est précisément la raison pour laquelle il n’existe pas d’étude scientifique, évaluée par des pairs, apportant la preuve concluante qu’un virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie mortelle appelée Covid-19. De telles preuves n’existent pas, car le coronavirus, soi-disant, ne cherche pas à nuire à qui que ce soit, mais présente simplement une mise à jour virale à ceux qui en ont besoin.

Note du traducteur 15 : Cette mise à jour virale constitue l’essence mêmes des virus et en l’occurrence des coronavirus. Toutefois, avec le Sras-CoV-2, nous n’avons pas à faire à un coronavirus naturel, mais à une arme biologique développée en laboratoire.

Voir la partie sur les virus et leur vraie nature dans cet article : Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2

En résumé, deux scénarios différents se sont déroulés en 2020 :

Dans le premier scénario, nous avons vu des personnes présentant un événement inflammatoire marqué par de la fièvre, une congestion, une perte d’appétit, un nombre élevé de globules blancs et un malaise. Tous ces symptômes sont ceux auxquels on peut s’attendre lorsqu’un nouveau variant issu d’un coronavirus déclenche le système immunitaire inné — et éventuellement le système immunitaire adaptatif — lequel fait ce qu’il fait toujours pour nous ramener à l’équilibre après une nouvelle mise à jour génomique d’un virus. N’oubliez pas que les coronavirus nous donnent des informations génétiques qui régénèrent notre organisme ; ils œuvrent pour nous [et la vie en général – NdT] et ne nous infectent pas de maladies [sauf à ce que cet équilibre ne soit pas restauré et que les virus soient vus comme la cause des maladies – NdT].

Dans le second scénario, nous avons vu des personnes souffrant de comorbidités graves, parfois multiples, succomber finalement à un événement toxicologique, tel que décrit par le Dr Bush ci-dessus.

Certes, dans les deux scénarios, le coronavirus est présent, mais de façon bénigne. Comme je l’ai expliqué précédemment, un virus n’essaie pas de prendre le contrôle de la mécanique d’une cellule du corps. Il ne cause ni ne force rien. Il est simplement présent — un autre exemple de culpabilité par association, tout comme le faux lien entre le virus VIH et le Sida que j’ai décrit plus haut.

Note du traducteur 16 : « un virus n’essaie pas de prendre le contrôle de la mécanique d’une cellule du corps. Il ne cause ni ne force rien. » Un virus, non, mais un virus créé en laboratoire, sûrement.

À propos du VIH et du Sida, voici ce que Kary Mullis déclarait dans The San Diego Union-Tribune, le 15 Mai 1994 :

« Bien que plus de 75 000 articles ont été publiés sur le Sida, aucun n’a sérieusement étudié toutes les preuves pertinentes ni essayé de prouver que le VIH causait bien le sida. Quelques articles répondent à des objections spécifiques, mais ils commencent en supposant que le VIH est la cause du Sida, ce qui est justement la question problématique. S’il avait été possible d’écrire un tel article, il aurait déjà été écrit et ce serait la publication scientifique la plus citée du siècle. Puisque de tels articles n’existent pas, il est impossible de réfuter ou d’étayer les arguments qu’ils pourraient contenir. »

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[Voir aussi : Contestation du lien entre VIH et SIDA]
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Cependant, au lieu de faire la différence entre les deux scénarios, les responsables de la santé publique du monde entier, sous la direction de l’OMS totalement corrompue, les ont commodément regroupés dans une seule catégorie : Covid-19. Pour ce faire, ils ont utilisé le test RT-PCR, monstrueusement inapproprié et inexact, et son inventeur, Kary Mullis, a insisté (avant sa mort prématurée en août 2019) sur le fait qu’il n’était pas destiné à diagnostiquer une maladie mais simplement à vérifier la présence d’une charge virale.

Note du traducteur 17 : Kary Mullis a déclaré ce qui suit :

« C’est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malade. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »

Un des individus à qui profite les ventes de tests PCR est Christian Drosten, un virologue allemand, qui en 2003 a co-découvert le Sras ; on reste en famille. Il est devenu dès janvier 2020 le conseiller « Covid » d’Angella Merkel, il est le « Tony Fauci » allemand.

En dépit de ses résultats faciles à falsifier et donc souvent falsifiés, le test PCR est toujours utilisé dans le monde entier pour remplacer les analyses cliniques. Pourquoi ? La seule réponse logique est que le dépistage du coronavirus est une forme de contrôle destinée à créer une hystérie publique. Ne comprenant pas que la plupart des résultats positifs sont frauduleux, que les mots effrayants « cas positif » ne signifient pas la présence d’une infection, et que les personnes asymptomatiques ne peuvent ni avoir ni propager la maladie, le public a été trompé en croyant qu’un dangereux pathogène tue un grand pourcentage de la population.

En attisant la peur, les gouvernements du monde entier ont pu justifier des mesures de confinement et des obligations de porter un masque qui sont nuisibles et totalement inefficaces, ainsi que des mesures de distanciations sociales absurdes. Mais pourquoi provoquer intentionnellement la panique et pourquoi sévir comme des dictateurs ? Les politiciens et les responsables de la santé publique doivent soit obéir à des ordres menaçants, soit accepter des pots-de-vin irrésistibles, soit simplement suivre les instructions de leurs supérieurs, en croyant naïvement qu’ils font « ce qui est le mieux » dans l’intérêt de la sécurité publique. Dans la plupart des cas, ils doivent être incités, par la ruse ou par l’astuce [ou la corruption – NdT], à persuader les citoyens de prendre part à la plus grande expérience médicale de l’Histoire — une campagne mondiale de « vaccination » de masse conçue dans le but d’injecter à tout humain qui s’y conforme une thérapie génique expérimentale non testée, non approuvée, appelée ARNm anti-Covid-19 — dans quelques endroits, comme l’Italie, l’Arabie saoudite et le Tadjikistan, même les non conformistes sont contraints de se soumettre à l’aiguille Covid-19.

Les parallèles entre l’« épidémie de Sida » et la « pandémie de Covid-19 » sont trop frappants pour être ignorés. Dans les deux cas, l’acteur central est un virus bénin qui peut être facilement accusé d’être la cause première d’une maladie déclarée, en dépit de l’absence de toute preuve scientifique réelle examinée par des pairs pour étayer cette affirmation.

Note du traducteur 18 : Répétons-le encore une fois ; le Sras-CoV-2 a été créé en laboratoire et ce n’est pas le virus en soi qui est dangereux, mais bien la protéine Spike, la même que celle qui a reçu l’ordre en laboratoire via les injections anti-Covid-19 de pousser le corps humain à en produire en quantité industrielle. Quant à l’épidémie de Sida, ou plutôt son effrayant battage médiatique, elle a très probablement amorcé et fait remonter à la surface — par programmation — la peur ancrée dans l’inconscient d’une future épidémie, quelle qu’elle soit. À force de jouer avec les Lois de la Nature sans les comprendre, on peut s’attendre à moyen terme à un vrai drame, une vraie épidémie.

De même, dans les deux cas, le virus peut être utilisé comme façade pour masquer des décennies de dégradation environnementale engendrée par des entités gouvernementales et des entreprises, dont les responsables ne paient jamais sous forme d’amendes ou de peines de prison pour leurs crimes.

Enfin, dans les deux cas, l’histoire du virus procure d’immenses profits à l’industrie pharmaceutique mondiale, qui n’est jamais tenue financièrement responsable pour des dommages et des décès causés par ses vaccins ou ses médicaments — pour ces derniers, c’est le cas tant qu’on ne découvre pas qu’ils sont la véritable cause du décès (pensez à l’AZT).

Quatrième partie — Notre réponse

Plutôt que d’accepter la façon dont nous détruisons notre habitat, plutôt que d’apprendre les leçons que la Nature a tenté de nous enseigner au cours des 18 derniers mois, nous avons continué d’ignoré les ravages et nous avons refusé d’en tirer des leçons. En fait, au cours de la pseudo-pandémie de l’année dernière, l’humanité n’a fait qu’intensifier sa guerre contre la Nature.

Par exemple, depuis janvier de l’année dernière, 129 milliards de masques de protection (pour la plupart en polypropylène) et 65 milliards de gants en latex ont été jetés chaque mois, selon une étude publiée par la revue Environmental Science & Technology de ACS Publications.

Une partie importante de ces déchets finira par se retrouver dans les océans du monde, où ils prendront la forme de microplastiques polluants. Il y a aussi les milliards et les milliards de récipients alimentaires en plastique et en papier qui ont été utilisés — et jetés — en raison de l’augmentation des commandes de plats à emporter provoquée par la pandémie, une fois les restaurants fermés aux clients.

Et ce n’est là qu’une partie des dommages environnementaux causés par la plus grande des escroqueries. Les gouvernements du monde entier — notamment en Chine et en Italie — pulvérisent des biocides cancérigènes dans l’atmosphère. Cet ultime acte de folie, qui vise à contenir ou à détruire le virus redouté de manière injustifiée, soumet les piétons à des produits chimiques encore plus nocifs. Ces désinfectants finiront par se retrouver dans l’eau du robinet de millions de foyers. En bref, nous n’avons aucune idée des conséquences que les biocides peuvent avoir sur le microbiome et sur notre santé à long terme [voire à court terme considérant l’empilement des problématiques – NdT].

Pendant ce temps, des centaines, voire des milliers de professionnels de la santé et de scientifiques du monde entier ont osé respecter leur serment de ne pas nuire et de suivre leur conscience en disant la vérité sur les conséquences dévastatrices de l’adhésion aux directives liées à la fausse pandémie.

Ces hommes et ces femmes courageux — qui sont tous médecins ou titulaires d’un doctorat et portent donc le titre de « Dr » ou de « Pr » — sont notamment :

  • Robert Malone, inventeur de la technologie des vaccins à ARNm et à ADN ;
  • Lawrence Palevsky, pédiatre ;
  • Vladimir Zelenko, médecin généraliste ;
  • Judy Mikovits, avocate et ancienne scientifique du NIAID ;
  • Simone Gold, médecin et fondatrice de America’s Frontline Doctors ;
  • Stephen Malthouse, médecin de famille ;
  • Sucharit Bhakdi, microbiologiste ;
  • Byram Bridle, professeur associé d’immunologie virale ;
  • Paul Thomas, pédiatre ;
  • Richard Fleming, cardiologue ;
  • Patrick Philips, urgentiste et médecin de famille ;
  • Roger Hodkinson, pathologiste ;
  • et Mike Yeadon, ancien directeur scientifique de Pfizer… pour n’en citer que quelques-uns.

Chacun d’entre eux a exprimé de sérieuses inquiétudes quant aux effets secondaires potentiels de ces « vaccins » jamais testés, approuvés ou utilisés pour soigner les êtres humains. Et, pour s’être exprimé, chacun d’entre eux est menacé, censuré et pire encore.

Collectivement, leurs appréhensions vont de

  1. Comment les nanoparticules lipidiques (LNP) peuvent affecter le cerveau humain ;
  2. Comment l’utilisation du polyéthylène glycol (PEG) peut provoquer des réactions immunitaires anaphylactoïdes chez l’être humain;
  3. Comment les protéines Spike induites artificiellement qui se déplacent dans tout le corps humain peuvent produire des troubles de la coagulation du sang dans différentes parties du corps ;
  4. Comment ces protéines Spike en excès, qui constituent une toxine neurovasculaire pour le corps, peuvent être à l’origine de myocardites — inflammation du muscle cardiaque — chez les enfants et les jeunes adultes.

L’une des façons par lesquelles les praticiens de la médecine sont intimidés est le recours à la force des organismes qui les autorisent à exercer.
Par exemple, le Collège des médecins et chirurgiens de l’Ontario (CPSO) a publié une déclaration inquiétante fin avril 2020, menaçant de retirer l’autorisation d’exercer la médecine à tout médecin qui s’exprimerait publiquement — ou même poserait des questions — sur les effets secondaires nocifs des confinements et/ou des « vaccins » Covid-19 dont ils ont été témoins lorsqu’ils travaillaient en première ligne dans leurs hôpitaux et communautés locales. Aux États-Unis, la procédure de retrait de la licence d’un médecin est légèrement différente, mais le résultat final est le même.

Chaque État a son propre conseil médical qui peut suspendre temporairement une licence médicale sans audience si « le conseil estime que la conduite du titulaire de la licence a enfreint les normes de soins et a mis en danger la santé et la sécurité de plusieurs de ses patients ».

Note du traducteur 19 : La même chose s’est produite en France, et certainement aussi dans d’autres pays, notamment en Occident : Haro sur les médecins non alignés sur l’Agenda totalitaire des mondialistes implanté en France par son VRP Macron !
Rappelons aussi que les contrats signés entre les compagnies pharmaceutiques et les États stipulent que ces derniers doivent tout faire pour défendre le produit expérimental en question.

Voir PfizerLeak : Révélation sur les contrats Pfizer et leurs clauses « surprenantes »

Parmi les autres tentatives visant à empêcher les informations scientifiques vitales d’atteindre le public, citons le discrédit et la mise au silence des praticiens, médecins et scientifiques par les plateformes de médias sociaux grand public de Big Tech, comme YouTube de Google.

Cela ne devrait pas surprendre, puisque Google, qui a été créé par la CIA, entretient également des liens étroits avec des compagnies pharmaceutiques comme GlaxoSmithKline (GSK), enregistrée en Angleterre. Ces personnes sont également censurées de Facebook — une autre société privée créée par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) et la CIA — ainsi que d’Instagram, Amazon Web Services (AWS), Linkedin et Twitter.

Pire encore, des médecins ont été soumis à une censure extrême pour avoir fourni des preuves qu’il existe effectivement des traitements viables, efficaces et peu coûteux pour traiter le Covid-19 — des traitements qui rendent inutile le recours à un « vaccin ».

Par exemple, tous les médecins mentionnés ci-dessus, ainsi que des centaines d’autres dans de nombreux pays, n’ont pas seulement fait l’éloge des antipaludéens chloroquine et hydroxychloroquine et d’autres remèdes comme l’Ivermectin, l’azithromycine, la doxycycline et le zinc, dans le traitement de leurs patients atteints de Covid-19, mais ils ont démontré à plusieurs reprises leur efficacité. Ils ont prouvé, par exemple, que la chloroquine et l’hydroxychloroquine, lorsqu’ils sont administrés à petites doses prescrites, exercent relativement peu ou pas d’effets indésirables. De nombreuses études menées en Corée du Sud, en Chine et en France en témoignent également.

Néanmoins, les agences gouvernementales de santé — la FDA, les NIH et les CDC aux États-Unis, la MHRA au Royaume-Uni et Santé Canada [tout comme l’HAS en France – NdT] — ainsi que l’OMS interdisent continuellement ces traitements peu coûteux, tentent de décourager les gens de les utiliser et, avec la complicité des médias grand public, font à leur sujet des déclarations manifestement fallacieuses.

Pour savoir pourquoi cette suppression de traitements efficaces a lieu, il suffit de consulter l’autorisation d’utilisation d’urgence de vaccins contre le Covid-19 de la FDA qui a été délivrée en octobre 2020. À la page six de ce document, à la section lll, « Critères et considérations pour la délivrance d’une autorisation d’utilisation d’urgence pour un vaccin contre le Covid-19, la dernière puce de la liste indique clairement que la FDA ne peut délivrer une telle autorisation que si elle a déterminé qu’« il n’existe pas d’alternative adéquate, approuvée et disponible au produit pour diagnostiquer, prévenir ou traiter la maladie ou la condition médicale. » Cette déclaration signifie que toute la prémisse de l’autorisation d’utilisation d’urgence est basée sur la présupposition qu’il existe aucune alternative disponible.

En réalité, il existe plusieurs produits hors brevet bon marché parmi lesquels choisir, comme nous l’avons cité plus haut — et comme la FDA le sait parfaitement. Cependant, si elle devait permettre à un produit bon marché et facilement disponible comme l’hydroxychloroquine de dominer le marché, l’industrie pharmaceutique — qui semble dicter sa politique à la FDA — risquerait de perdre des milliards de dollars provenant des ventes de « vaccins » anti-Covid-19.

La cupidité est-elle à l’origine de la suppression par Big Pharma des informations sur les produits alternatifs ? Très certainement. Et les relations étroites que Big Pharma entretient avec les responsables des agences gouvernementales et avec les médias — ces derniers étant largement tributaires de la publicité pharmaceutique pour leur existence — empêcheront-elles la majorité du public de prendre connaissance de l’existence de ces produits alternatifs ? Il semblerait que oui. En d’autres termes, l’autorisation d’utilisation d’urgence n’aurait pas été publiée si la vérité sur les produits alternatifs avait pu être largement partagée.

Mais puisque cette vérité a été dissimulée, les décès dus aux « vaccinx anti-Covid-19 » sont de plus en plus nombreux.

En août 2021, et selon les données recueillies par EudraVigilance, au moins 21 000 personnes dans les 27 pays de l’Union européenne sont mortes après avoir reçu une injection de ces dispositifs qui modifient les gènes. Aux États-Unis, et selon les données fournies au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), c’est plus de 13 000 personnes ont succombé à ces injections. Le chiffre des États-Unis est choquant : il signifie que ces injections expérimentales ont causé plus de décès en l’espace de 6 mois que la combinaison de 70 vaccins différents approuvés en circulation au cours des 30 dernières années. Comme si cela ne suffisait pas, une étude de Harvard a conclu que seulement 1 % des dommages et des décès dus à tous les vaccins aux États-Unis sont signalés au VAERS. Même si le taux de déclaration est de 10 %, ce dernier reste faible par rapport aux chiffres réels.

Et pourtant, les injections anti-Covid-19 qui modifient les gènes continuent de faire l’objet d’une promotion agressive de la part des propagandistes et de leurs théories non scientifiques et non prouvées, et ce malgré les preuves que la propagation asymptomatique n’est pas possible, que nous n’avons pas besoin de ces injections et qu’elles ne sont ni sans danger ni efficaces, que le Covid-19 est très loin d’être aussi dangereux pour la vie qu’on l’avait prédit et que les enfants n’ont pas besoin d’être protégés contre ce virus. De plus, malgré leur insistance, il n’existe aucune preuve que le Sras-CoV-2 cause le Covid-19.

Note du traducteur 20 : En effet, et comme nous l’avons précisé dans la Note du traducteur 12, ce n’est pas le virus du Sras-CoV-2 créé en laboratoire qui est dangereux, mais bien sa protéine Spike. Donc, prétendre que c’est le virus du Sras-CoV-2 qui déclenche la maladie appelée Covid-19, est à tout le moins faux, voire une mystification.

Les gouvernements du monde entier continuent de corrompre et de contraindre les citoyens à recevoir ces injections — en violation directe du Code de Nuremberg et sur la seule base d’un prétendu « intérêt de la santé publique ». Ceux d’entre nous qui ont fait des recherches et lu sur ce sujet depuis que tout a commencé savent qu’il n’a jamais été question de préserver la santé publique. Il a toujours été question des objectifs qui visent à mettre en œuvre un plan de biosécurité mondial et une grille de contrôle transhumaniste qui, si ces objectifs étaient amenés à se réaliser, signifieraient la fin de l’espèce humaine [telle que nous la connaissons – NdT].

Cette crise largement fabriquée a fourni la rampe de lancement parfaite pour que la convergence biodigitale prenne place. Pour ceux d’entre vous qui pensent que la notion qui consiste à combiner le corps humain avec des systèmes numériques est une hyperbole ou un fantasme, je me permets d’attirer votre attention sur le document « Exploring Biodigital Convergence » [Explorer la convergence biodigitale – NdT] publié le 11 février 2020 par Horizons politiques Canada. Ce document indique que le comité directeur de la politique canadienne a discuté du concept effrayant consistant à modifier l’évolution du corps humain par l’intégration de nanotechnologies biologiques et numériques. En effet, il s’avère que la large modification génétique de l’espèce humaine en cours d’élaboration par les injections expérimentales soi-disant anti-Covid-19 n’est que la première phase de cette convergence transhumaniste.

Note du traducteur 21 : Nous avons publié la traduction en français de ce document : La convergence bionumérique ou comment faire miroiter aux populations un avenir meilleur synonyme de prison, et en voici notre présentation :

« cette « présentation » a le mérite de nous informer de l’état de la « science » dans le domaine bionumérique en général et dans ses développements en particulier, dans tous les champs d’application qui y sont envisagés, ou presque… Il en dit long également sur l’état psychopathique des élites au pouvoir, affamées de contrôle absolu (mais illusoire) sur l’ensemble du vivant qui anime notre planète, dans une sorte de course contre la montre (désespérée) engagée contre la Nature, les forces cosmiques et leur énorme potentiel créatif — bien que ce processus puisse d’abord passer par une phase destructrice. À ce jeu, qui est le plus fort ? »

Comme si le document canadien n’était pas assez alarmant à lui tout seul, une menace encore plus grande pour l’humanité est en train de se déployer ailleurs. En mai 2021, le ministère britannique de la Défense a publié un document intitulé « Human Augmentation — The Dawn of a New Paradigm » [L’humain augmenté — L’aube d’un nouveau paradigme – NdT]. Ce document a été élaboré par le Centre de développement, de concept et de doctrine du Royaume-Uni, en partenariat avec le Bureau de planification de la défense de la Bundeswehr allemande [les forces armées allemandes – NdT]. Leur objectif est de

« comprendre les implications futures de l’humain augmenté, en préparant le terrain pour une recherche et un développement de défense plus précis. »

En intégrant les recherches de spécialistes de la défense allemands, suédois, finlandais et britanniques, le projet du Centre de développement, de concept et de doctrine tente de mieux appréhender comment les technologies émergentes, telles que le génie génétique, les interfaces cerveau-ordinateur et la bioinformatique, peuvent renforcer les capacités de sécurité et de défense. Bien qu’elle soit présentée comme un outil stratégique à usage militaire, l’augmentation de l’humain sera sans aucun doute, à l’instar du développement de tant de programmes militaires au cours de l’histoire, finalement déployée pour être utilisée dans le secteur civil.

Je dois le dire sans ambages : les projets transhumanistes au Canada, au Royaume-Uni et en Europe, et probablement subrepticement dans d’autres pays, combinés à la destruction délibérée de l’écosystème, sont les deux plus grandes menaces existentielles auxquelles l’humanité est aujourd’hui confrontée. Peut-être même comme jamais auparavant.

Dernières remarques

Nous sommes bombardés sans relâche par une croyance qui fait d’un ancien virus — y compris ses variants — le seul coupable d’une crise sanitaire mondiale. Pourtant, il n’existe pas la moindre preuve que le virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19. Cette vision myope nous empêche de comprendre la véritable nature utile des virus, comme nous l’avons détaillé ci-dessus. En effet, les virus sont nos amis [ils font partie du système de la vie sur Terre, sans eux nous ne serions même pas là pour en parler – NdT].

En outre, cette vision nous empêche de voir le véritable désastre écologique qui se déroule autour de nous et que les virus tentent de nous aider à découvrir et à surmonter.

Non seulement l’humanité marche vers sa propre extinction, mais elle s’éloigne aussi rapidement de la science et s’étouffe au contraire dans le dogme technocratique anti-science [et anti-vie – NdT] — un dogme qui s’est transformé en une religion rigide dont les adeptes vénèrent de nombreuses divinités, dont l’un se nomme « Vaccin » et l’autre « Technologie ».

Note du traducteur 22 : Qu’est-ce que la « science » ? Selon Nissim Amzallag, dans son ouvrage intitulé La Réforme du vrai, il déclare :

« La science ne distille pas forcément le vrai, cela nous le savons depuis le début du XXe siècle. Et pourtant, une aura d’objectivité continue de protéger la science de toute critique non seulement sur ses fondements, mais encore sur la manière dont elle s’impose pour façonner la société. »

Dans on ouvrage, l’auteur explore l’Histoire pour savoir si la science « fut réellement motivée par un désir sincère d’intelligence du réel ». Même si nos lecteurs ne l’ont pas lu, il suffit de contempler notre présent pour se rendre compte que ce n’est pas le cas, et c’est un euphémisme.

Comme je l’ai expliqué au début de cet article (première partie), nous vivons une époque sans précédent, où les humains peuvent être génétiquement modifiés à un point tel qu’ils seront méconnaissables et dans laquelle le monde naturel est ravagé de façon presque irrémédiable.

Pourtant, si ces menaces sont mortifères, il existe aussi des signes d’espoir. Il n’est pas trop tard pour envisager une autre voie possible — une voie qui ne nous condamne pas à l’échec, mais nous invite plutôt à accepter que l’humanité est faite, depuis le début, pour s’intégrer de manière intrinsèque à la Nature. Si nous tirons les leçons de nos erreurs, nous avons la possibilité de nous éloigner de l’abîme du transhumanisme et de l’extinction des espèces. Nous pouvons au contraire embrasser notre belle planète avec toute sa glorieuse biodiversité — une Terre grouillante d’une vie abondante qui offre un aperçu de l’Univers parfait créé par Dieu, l’Esprit, et qui est conférée à la Création spirituelle de la divinité.
Permettons à notre bonne Terre et à notre bonté innée de devenir manifestes au lieu d’être obscurcies et finalement annihilées.

La Terre et chaque homme, femme, enfant et créature qui l’habitent sont en fait des idées infinies, éternelles et divines créées par un Esprit infini, éternel et divin. Il est temps pour nous de reconnaître cette vérité — et de la manifester dans nos vies.

À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’un baccalauréat en technologie en génie aérospatial. Au cours de ses deux périodes de service en tant que capitaine dans l’Aviation canadienne, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti. Utilisant un esprit curieux, un souci du détail et des compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré plus d’une centaine d’heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener cet article à bien.

Source des différentes parties initialement publiées en anglais :

Partie 2 – le 20 août 2021 : GlobalResearch
Partie 3 – le 15 septembre 2021 : GlobalResearch
Partie 4 – le 7 septembre 2021 : GlobalResearch

Note : La 3e partie a été publiée après la 4e.
Traduction : Sott.net




Suite à la mise à l’écart de plus de 300 000 soignants, le système de Santé français est à la dérive

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




Un « lanceur d’alerte » du ministère de la santé américain rend public des enregistrements secrets concernant les vaccins

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par JULIEN G. – Jodi O’Malley, infirmière diplômée du gouvernement fédéral et du HHS (United States Department of Health and Human Service) rend public des enregistrements secrets. Cette vidéo, postée par « Projet Veritas », est déjà devenue virale. Des millions de personnes l’ont partagée sur les médias sociaux.

Cet enregistrement met à mal le narratif du gouvernement Américain et du CDC (Centers for Disease Control and Prevention) sur les effets secondaires de la vaccination aux Etats-Unis.

En effet, dans cet extrait, les médecins et employés incriminent directement les autorités de santé américaines de cacher aux citoyens la vérité.

1. Qu’est-ce que le Projet Veritas ?

« Project Veritas » est une organisation américaine à but non lucratif, connue pour faire un travail de fond dans l’infiltration des organisations gouvernementales et autres lobbies, afin de démonter leurs intentions partisanes et souvent mensongères. Le Projet Veritas réalise des montages audio et vidéo à partir d’informations brutes enregistrées sous couverture afin de dénoncer ces méfaits.

Fondé par James O’Keefe, un militant politique conservateur américain, Project Veritas considère que sa mission est d’enquêter et exposer la corruption, la malhonnêteté, l’égoïsme, le gaspillage, la fraude et toute autre faute dans les institutions publiques et privées afin de parvenir à une société plus éthique et plus transparente.

Bien que très controversé dans le milieu main Stream et censuré par les GAFA, chacune des vidéos du Projet Veritas est souvent relayée massivement et on les retrouve même sur des chaines grand public comme FoxNews.

2. Une vidéo qui fait l’effet d’une bombe

« Le gouvernement ne veut pas montrer que le vaccin [COVID] est plein de merde »

« Ils poussent les rapports d’effets indésirables sous le tapis »

Ces extraits, issus de cette vidéo, font l’effet d’une bombe. En effet, ces propos sont tenus par des médecins et infirmières, employés Fédéraux du gouvernement de santé Américain.

En résumé, on y apprend, selon ces personnes, que les effets secondaires des vaccins ne sont pas rapportés aux autorités, alors que la « phase 3 » l’exige, notamment pour certifier ou non de la non dangerosité d’un produit.

Ils mettent, en exemple, des cas de patients souffrant de différentes pathologies post-vaccinal.

Toujours selon les affirmations de médecins filmés dans cette vidéo, on y apprend que les traitements basés sur l’ivermectine notamment sont proscrits sous peine de perdre leur travail.

Enfin, l’infirmière O’Malley  sous-entend qu’une de ses collègues, vaccinée par obligation, serait décédée quelques jours après sa 2e injection.

Depuis des années les vidéos d’infiltration de l’organisation « Projet Veritas » sont de véritables épines dans le pied des organisations gouvernementales américaines. A l’instar d’un Wikileaks, elle véhicule une information dissidente, mais toujours sourcée, des médias classiques.

Leurs montages audio et vidéo sont de plus en plus écoutés et relayés par les américains.

Voir la vidéo originale sur projectveritas.com



Le pathologiste en chef allemand sonne l’alarme sur les blessures mortelles causées par le vaccin Covid : « Le vaccin est la cause de la mort dans 30 à 40 % des autopsies de personnes récemment vaccinées »

[Source : resistance-mondiale.com]

Le directeur de l’Institut pathologique de l’Université de Heidelberg, Peter Schirmacher, a effectué plus de quarante autopsies sur des personnes décédées dans les deux semaines suivantes la réception d’un vaccin Covid-19 et a exprimé son inquiétude face à ses conclusions.

Schirmacher a déclaré que 30 à 40 % des personnes qu’il a examinées sont mortes du vaccin et qu’à son avis, la fréquence des conséquences mortelles des vaccinations est «sous-estimée».

À la suite de ses découvertes, Schirmacher a appelé à davantage d’autopsies de personnes vaccinées pour déterminer davantage si les vaccins sont liés à des décès. Il a averti que le nombre élevé de cas non signalés de décès par vaccination est dû au fait que “les pathologistes ne remarquent rien sur la plupart des patients qui meurent après et possiblement d’une vaccination”.

Malgré la sonnette d’alarme concernant les vaccins, beaucoup ont émis les conclusions de Schirmacher, l’Institut Paul Ehrlich qualifiant les déclarations du directeur d’”incompréhensibles”. Le laquais du chancelier, l’immunologiste allemand principal Thomas Mertens, a immédiatement rejeté les conclusions : “Je ne connais aucune donnée qui permet de faire une déclaration justifiable ici et je ne suppose pas un nombre non déclaré.”

L’immunologiste Christian Bogdan de l’hôpital universitaire d’Erlangen, membre de la Commission permanente de vaccination (STIKO), a également contredit l’hypothèse de Schirmacher d’un « nombre élevé de complications de vaccination non signalées, voire de décès » .

Malgré les critiques, Schirmacher a reçu le soutien de ses propres rangs, et l’Association fédérale des pathologistes allemands a déclaré que davantage d’autopsies de personnes vaccinées décédées dans un certain délai après la vaccination doivent être effectuées.

Le responsable du « Groupe de travail Autopsie » de cette association à prendre en compte les médecins généralistes et les autorités sanitaires. Fondamentalement, les médecins des patients décédés dans les jours ou semaines suivants la vaccination doivent demander une autopsie en cas de doute ou les autorités sanitaires doivent prendre des mesures,

L’Association fédérale des pathologistes l’avait déjà demandé en mars dans une lettre au ministre de la Santé Jens Spahn (CDU), mais cela est resté sans réponse.

Bien sûr, il convient de noter que l’avertissement de Schirmacher pourrait faire perdre à diverses sociétés pharmaceutiques des milliards de dollars d’activités à long terme, ce qui explique ses conclusions ont été scrutées et ternies par l’agenda pro-vaccin.

Cependant, la réputation et le sérieux de Schirmacher ne peuvent être ignorés.

Schirmacher lui-même dirige déjà un projet d’autopsie sur des personnes décédées du Covid-19, qui est subventionné par l’État. Il a ensuite élargi l’attention et a commencé à effectuer des autopsies sur plus de 40 personnes vaccinées décédées. Alors que ses résultats ne représentent qu’une petite taille d’échantillon, il s’agit d’une inquiétante d’un tableau plus large : 30 à 40 pour cent sont morts de la vaccination elle-même. Le pathologiste a cité “des effets secondaires rares et graves de la vaccination – tels que la thrombose veineuse ou les maladies auto-immunes”.

En réponse aux critiques, Schirmacher a nié un manque de compétence, déclarant: “Les collègues ont définitivement tort car ils ne peuvent pas évaluer cette question spécifique avec compétence.” De plus, le directeur a déclaré qu’il n’essayait pas de semer la peur et qu’il n’était pas opposé aux vaccinations, car il a lui-même reçu le vaccin.

Il ne sera pas surprenant de voir dans les semaines à venir la réputation de Schirmacher complètement déchirée dans les médias, en ligne et dans la communauté scientifique et médicale.

source :

German Chief Pathologist Sounds Alarm on Fatal Covid Vaccine Injuries: “Jab is Cause of Death in 30-40% of Autopsies of Recently Vaccinated”Peter Schirmacher, the director of the Pathological Institute of the University of Heidelberg. The director of the Pathological Institute of the University o




Covid : la quatrième vague meurtrière programmée à partir d’octobre prochain

Par Diane Vincero

Voici un texte du Sénat (texte n° 811 – 2020-2021) sur « les motifs de la proposition de loi sur la vaccination obligatoire contre le Covid » qui doit être étudié le 13/10/2021 et qui vise à ajouter aux 11 vaccins déjà obligatoires, un 12e ** : celui du Covid.

Les termes du texte en sont intéressants.

Voici d’abord le texte, puis le décryptage qui s’impose.

Texte n° 811 (2020-2021) de MM. Patrick KANNERBernard JOMIER, Mmes Marie-Pierre de LA GONTRIEMonique LUBIN et plusieurs de leurs collègues, déposé au Sénat le 31 août 2021 —

proposition de loi instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2 (exposé des motifs) (senat.fr)

« EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs,

Dès juillet dernier, les parlementaires socialistes ont prôné l’obligation progressive d’une vaccination universelle, de toutes et tous (sauf contre-indication médicale), dans une démarche de santé publique visant à obtenir une protection collective, seule à même de garantir un retour à une vie quotidienne normale pour tous du fait des différents variants en circulation.

L’objectif de cette protection collective de toute la société, en l’état de nos connaissances scientifiques et médicales, peut être atteint par une obligation vaccinale généralisée (sauf contre-indication médicale).

Nous croyons en la science, en la recherche, et au progrès médical et social, qui bénéficient à toutes et tous.

Nous avons la chance de bénéficier de vaccins qui, collectivement, nous protègent et nous permettent de renouer avec un quotidien apaisé, de limiter les restrictions et les privations de liberté, de mettre fin à la situation que nous connaissons depuis trop longtemps, faite de craintes pour nos familles, pour nos emplois, pour la scolarité de nos jeunes.

L’obligation vaccinale a été édictée en France pour la première fois en 1902 et a permis d’éradiquer nombre de maladies et protéger nombre de nos enfants. L’obligation vaccinale est la pierre angulaire de l’intérêt collectif : en s’engageant tous, on protège chacun, partout sur le territoire national et dans tous les foyers. Elle faisait reposer la politique de santé sur des principes clairs, transparents, démocratiques et qui s’appliquaient à tout le monde.

La vaccination universelle est également la seule solution qui permet de réduire les inégalités sociales et territoriales d’accès à la vaccination. Elle permettra de lancer enfin une grande campagne d’information et de sensibilisation pour aller vers les Français non vaccinés. C’est également un geste de responsabilité et de solidarité vis-à-vis de nos soignants, engagés de toutes leurs forces dans cette bataille dont ils ne voient plus le bout et de soutien vis-à-vis de nos acteurs économiques durement touchés par les restrictions sanitaires.

Nous notons surtout que plusieurs institutions du champ scientifique et médical se sont d’ores et déjà prononcées en faveur de l’obligation vaccinale généralisée. C’est le cas notamment de l’Académie nationale de médecine, le 19 juillet dernier, jour de présentation en conseil des ministres de la loi n° 2021-1040 du 5 aout 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire. Rappelons d’ailleurs que l’Académie s’était prononcée publiquement pour le port du masque dès avril 2020, quand le Gouvernement soutenait encore que le masque était inutile pour la protection de la population générale.

Ainsi, face à l’augmentation rapide de l’incidence des infections dues aux différents variants, l’Académie nationale de médecine recommandait :

“- d’amplifier l’information sur le principe de l’isolement volontaire et sur les capacités d’hébergement des personnes ne pouvant s’isoler à domicile ;

– d’inciter toutes les personnes dépistées positives à s’auto-isoler pendant 10 jours en leur rappelant le risque de contamination auquel elles exposent leur entourage ;

– de ne rendre obligatoire qu’une seule mesure : la vaccination contre la Covid-19 de tous les Français âgés de 12 ans et plus”.

Depuis, les Antilles ont payé un lourd tribut à la pandémie du fait du faible taux de vaccination des populations. La Guadeloupe et la Martinique ont d’ailleurs été contraintes au reconfinement et aux couvre-feux. Les services hospitaliers de Polynésie sont toujours saturés et le nombre des hospitalisations continue d’y progresser.

C’est pourquoi, nous maintenons que la vaccination contre le Covid-19 de toutes les Françaises et de tous les Français est la seule décision publique qui :

–   Protège sa propre santé et liberté, mais aussi celles des autres ;

– Correspond à une démarche de santé publique claire, assise sur nos connaissances médicales et scientifiques ;

–   Constitue une démarche de lutte contre les inégalités territoriales et sociales, car elle crée un devoir de l’État d’aller vers les publics les plus éloignés de la vaccination ;

–  Évite le “glissement vers des pratiques de surveillance sociale générale” pointé par la Défenseure des droits et l’extension attentatoire aux libertés du pass sanitaire à tous les gestes de la vie quotidienne ;

–  Dispense de transformer en agents de sécurité sanitaire les professionnels accueillant du public.

La vaccination obligatoire est le seul chemin à ce jour pour sortir d’une politique de sécurité sanitaire et entrer enfin dans une politique de santé publique clairement assumée. Elle est la manifestation de la primauté de l’intérêt général sur les tentations individualistes, de la clarté face à l’obligation masquée que représente le pass sanitaire, de l’égalité face au “chacun pour soi”, de la solidarité face à l’égoïsme. Le choix du Gouvernement a été un choix par défaut et de défausse, qui le désengageait de ses responsabilités.

L’absence d’application du III de l’article 76 vise simplement à rendre la proposition de loi recevable financièrement et n’a pas pour objectif de diminuer la prise en charge de cet acte médical par la Sécurité Sociale. »


En voici maintenant le décryptage proposé

Le texte met en avant « la nécessité d’une protection collective contre les variants du Covid afin de garantir un retour à une vie quotidienne normale, de limiter les restrictions et les privations de libertés, de mettre fin aux craintes pour nos familles, nos emplois, et la scolarité de nos jeunes », éternelle tactique de la carotte (en attendant le prochain bâton), sachant par ailleurs que les scientifiques indépendants de Big Pharma sont tous d’accord pour dire que pendant une pandémie, la vaccination collective est contre-indiquée, qu’elle laisse la place à des variants potentiellement plus graves et qu’enfin, la contagion reste effective même après la vaccination.

« La vaccination universelle est également la seule solution qui permet de réduire les inégalités sociales et territoriales d’accès à la vaccination. » qu’on peut traduire par « la seule solution de rentabilité financière maximale ».

Au passage, le texte refait l’éloge des soignants « engagés dans cette bataille dont ils ne voient plus le bout », sachant que tous les soignants qui ont refusé la vaccination ont été jetés dehors depuis le 15 septembre dernier, sans salaire… Le texte évoque aussi les « acteurs économiques durement touchés par les restrictions sanitaires ». Mais qui a fermé les restaurants, les cinémas, les théâtres, les magasins de vêtements, etc. des centres commerciaux, pendant que les grandes surfaces qui vendaient les mêmes articles ont pu continuer à fonctionner ?

Les Sénateurs se réfugient derrière l’Académie de Médecine pour justifier de leur proposition, sachant que celle-ci, tout comme eux-mêmes est en lien étroit avec Big Pharma.

En effet, ils s’abritent derrière le fait que l’Académie de Médecine prônait l’usage du masque, alors que le masque laisse passer le coronavirus. Comment l’Académie de Médecine peut-elle ignorer que le SARS-CoV2 mesure entre 0,06 et 0,14 µm et que les masques laissent passer les particules jusqu’à 0,6 µm, et donc que le coronavirus est bien plus petit que les mailles des masques ?

Dans le fond, quelle peut être la réelle utilité du masque si ce n’est de nous rappeler sans arrêt qu’il existe une prétendue épidémie ?

De la même manière, les sénateurs s’abritent derrière l’Académie de Médecine pour l’obligation vaccinale pour tous, mais, comment l’Académie de Médecine peut-elle prôner

« de ne rendre obligatoire qu’une seule mesure : la vaccination contre la Covid-19 de tous les Français âgés de 12 ans et plus ».

Il est en effet étonnant de constater que cette « éminente instance », pourtant censée abriter des médecins, puisse ignorer les principes énoncés ci-dessus sur la contre-indication de la vaccination généralisée en cas de pandémie.

La situation évoquée par les sénateurs concernant les Antilles ne reflète pas les réalités du terrain, d’une part sur le vrai pourcentage de patients hospitalisés et/ou décédés, et le vrai pourcentage parmi eux de personnes vaccinées ou non, et enfin, la résultante, en période de pandémie, des comorbidités (hypertension artérielle, diabète, cancer, maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques, la polyarthrite rhumatoïde, la thyroïdite d’Hashimoto, etc.), comorbidités aux Antilles liées aux OGM et aux pesticides utilisés largement (tels que le chlordécone dans les bananeraies, pourtant interdit en France métropolitaine, et le DDT pourtant interdit en France depuis 1962)…

Quand très noblement, nos sénateurs écrivent que la vaccination de tous « Évite le “glissement vers des pratiques de surveillance sociale générale” pointé par la Défenseure des droits et l’extension attentatoire aux libertés du pass sanitaire à tous les gestes de la vie quotidienne, et dispense de transformer en agents de sécurité sanitaire les professionnels accueillant du public. », on ne peut alors que s’interroger sur le pourquoi de ce nouveau formulaire de dénonciation de faits et de personnes ne respectant pas les ordres sur le covid, formulaire destiné aux procureurs de la République, et le pourquoi de la plateforme du service de répression des fraudes du Ministère de l’Économie et des Finances qui recueille les mêmes éléments…

« La vaccination est la manifestation de la primauté de l’intérêt général sur les tentations individualistes, de la clarté face à l’obligation masquée que représente le passe sanitaire, de l’égalité face au “chacun pour soi”, de la solidarité face à l’égoïsme ». Phrase d’un apparent altruisme magnifique, mais qui ne tient plus lorsqu’on connaît l’ampleur des conflits d’intérêts entre ces politiciens et Big Pharma… 

Dans le fond, ce texte nous révèle, outre les « beaux principes » et les « belles promesses » (la carotte) mis ostensiblement en avant pour faire avaler la couleuvre, « beaux principes » que sont le fait de « vouloir protéger le peuple », que « chacun pense aux autres », « qu’il faut que tout le monde ait la chance d’avoir le vaccin », avec la culpabilisation systématique du peuple à chaque occasion, et l’aspect financier colossal qui apparaît avec Big Pharma, ce texte donc, nous révèle également la difficulté qu’ont nos dirigeants à arriver à ces fins financières, et à trouver pour ce faire, les arguments convaincants et incontournables.

On peut simplement penser que, si la pandémie était réelle, elle n’aurait besoin d’aucun argument pour imposer une marche à suivre. La transparence évoquée dans le texte du sénat serait effective, honnête et les faits se seraient enchaînés sans contre-vérités à répétition, sans revirements incessants, sans données tronquées ou complètement erronées et sans autoritarisme…

Mais qui, le 13 octobre prochain sera présent au Sénat pour apporter la réalité des faits, avant que ce 12ème vaccin ne soit rendu obligatoire ??


30 % DES DOSES DE « VACCINS » ADMINISTRÉES SONT DES ÉQUIVALENTS PLACEBO                                                

En résumé, ce texte explique que, comme dans les études cliniques sur les effets des médicaments, les patients sont divisés en 2 groupes pour les « vaccins anti-covid » : l’un qui reçoit, sans le savoir, un placebo, et l’autre qui reçoit réellement le médicament.

Ici, 30 % des doses injectées, ne contiennent pas les ingrédients « anti-covid », mais probablement seulement du sérum physiologique, et constituent l’équivalent placebo des études cliniques ci-dessus.

Étant donnée la réalité des faits qui se déroulent depuis début 2020, étant donnée l’ampleur de la manipulation des peuples autour d’une pseudo-pandémie de covid, étant donné ce que contiennent ces pseudo vaccins,  on peut penser qu’il s’agit là, d’une manipulation supplémentaire, hautement perverse, à savoir que comme 30 % des doses sont inoffensives, les personnes qui la reçoivent ne développent aucun symptôme et vont donc se croire plus fortes de nature, ou, n’envisageront pas un seul instant être l’objet d’une stratégie « vaccinale »… Elles croiront que ceux qui sonnent l’alarme sont de simples complotistes et inciteront les autres à se faire vacciner « puisqu’il ne se passe en réalité rien de grave »…

De cette manière, ces personnes vont elles-mêmes se revacciner, jusqu’au jour où elles recevront un vrai vaccin « anti-covid » et développeront à leur tout un effet secondaire grave, MAIS IL SERA TROP TARD…


** Proposition de loi instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2 (senat.fr)

1.— Le 1 de l’article L.3111-2 du code de la santé publique est complété par un 12° ainsi rédigé :

« 12° contre le SARS-CoV-2. »

Article L3111-2 — Code de la santé publique — Légifrance.gouv.fr : 

Version en vigueur depuis le 01 janvier 2018                                  Modifié par LOI n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 — art. 49 (V)

I.-Les vaccinations suivantes sont obligatoires, sauf contre-indication médicale reconnue, dans des conditions d’âge déterminées par décret en Conseil d’État, pris après avis de la Haute Autorité de santé
1° Antidiphtérique ;
2° Antitétanique ;
3° Antipoliomyélitique ;
4° Contre la coqueluche ;
5° Contre les infections invasives à Haemophilus influenzae de type b ;
6° Contre le virus de l’hépatite B ;
7° Contre les infections invasives à pneumocoque ;
8° Contre le méningocoque de sérogroupe C ;
9° Contre la rougeole ;
10° Contre les oreillons ;
11° Contre la rubéole.

II.— Les personnes titulaires de l’autorité parentale ou qui assurent la tutelle des mineurs sont tenues personnellement responsables de l’exécution de l’obligation prévue au I. La preuve que cette obligation a été exécutée doit être fournie, selon des modalités définies par décret, pour l’admission ou le maintien dans toute école, garderie, colonie de vacances ou autre collectivité d’enfants.




Macron débauche les personnels soignants libanais pour remplacer les non-vaccinés français !

[Source : voltairenet.org via L’Échelle de Jacob]

À l’issue d’une visite à Beyrouth, le directeur général et le directeur régional de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) ont déploré que 40 % des médecins et 30 % des infirmiers aient quitté le Liban en quelques semaines.

Tedros Adhanom Ghebreyesus et Ahmed Al-Mandhari ont dénoncé la responsabilité d’un État étranger dans cet « exode des cerveaux ». Ils ont pris l’engagement d’aider autant qu’ils le peuvent le pays à traverser cette crise supplémentaire.

Les hôpitaux ferment les uns après les autres en raison de l’absence de courant, de la pénurie de médicaments et maintenant de l’absence de personnel.

L’ambassade de France a lancé un appel aux soignants libanais et a mis en place une procédure accélérée pour leur permettre de venir travailler en FranceIl s’agit pour le président Emmanuel Macron de remplacer d’urgence les soignants français qu’il a interdit de travailler car ils refusent de se faire vacciner contre la Covid-19.

L’année dernière, la France faisait applaudir les soignants, qualifiés de « combattants de la première ligne » dans la « guerre contre la Covid-19 ». Aujourd’hui, elle en licencie sans état d’âme.

Les soignants qui avaient quitté le Liban lors de la Guerre civile, dans les années 80, n’y sont jamais rentrés. Le pays n’a donc plus de système de santé et n’en aura plus avant de longues années.




Couverture vaccinale en France, enfin la preuve du mensonge ?

Par Alain Tortosa

La propagande n’hésite pas à nous dire qu’en France 95 % des soignants libéraux auraient reçu au moins une dose tandis que 90 % des soignants seraient injectés dans les EHPAD et USLD.

Regardons les données pour la Guadeloupe :

70 % des personnels soignants libéraux auraient reçu au moins une dose en Guadeloupe au 15 septembre.

Pour ce qui est des EHPAD et USLD :

49 % des soignants auraient reçu au moins une dose en Guadeloupe.

Et enfin la population générale…

31 % des Guadeloupéens auraient reçu au moins une dose au 15 septembre.

En résumé, pourcentage de vaccination au moins 1 dose pour la Guadeloupe au 15 septembre.

  • 70 % des soignants en libéral (et combien de fausses injections ?).
  • 49 % des soignants en EHPAD et USLB.
  • 31 % de la population générale.

Santé publique France dans un document au 10 août indique(([1] https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/366946/document_file/2021_LePointSur_Couv_vaccinale_pro_santé_etablissements_sante.pdf)) que :

« 81,3 % des professionnels exerçant dans un établissement de santé » ont une couverture vaccinale au moins une dose.

Au 10 août, le site géodes santé publique(([2] https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&i=vacsi_psl.psl_couv_dose1&s=2021-09-15&selcodgeo=971&t=a01&view=map2)) indique que 90 % des soignants en libéraux (60 % en Guadeloupe) et 81 % en EHPAD (32 % en Guadeloupe) ont reçu une dose.

L’écart entre les professionnels en établissement de santé et en libéral est 9 %.

Il n’y a pas d’écart entre les professionnels de santé en établissement et les professionnels en EHPAD.

À ce jour, le pourcentage de personnes vaccinées en établissement de santé au moins une dose devrait donc être de 49 % en Guadeloupe !

Or que nous dit Gérard Cotellon, directeur du CHU de la Guadeloupe le 17 septembre ?

Que 75 % des personnels sont non vaccinés(([3] https://www.france.tv/franceinfo/ca-fait-l-actu/2797143-emission-du-vendredi-17-septembre-2021.html)) ce qui veut dire que 25 % sont vaccinés.

Comment le directeur de l’hôpital peut affirmer le 17 septembre que 25 % des personnels sont vaccinés (à moins qu’il ne soit un menteur) quand Santé Publique France annonce 49 % de vaccinés le 15 septembre en Guadeloupe et donc un peu plus le 17 septembre, soit DEUX FOIS PLUS ?

Si l’on en croit la propagande, la population générale guadeloupéenneserait vaccinée à 31 % alors que les personnels soignants, qui selon la même propagande, ont vécu l’enfer avec la dernière vague, seraient quant à eux vaccinés à 25 %, soit 6 points de moins que la population générale ?

De qui se moque-t-on ?

Quoiqu’il en soit, ces éléments objectifs apportent la preuve que les données de Santé Publique France sur la vaccination sont des FAUX (ou que le directeur est un menteur).

Sachant que les données sur le nombre de malades sont un faux, que le nombre de personnes hospitalisées Covid est un faux, que le pourcentage de personnes en réanimation est un faux et que le nombre de morts attribués au Covid est un faux, nous pourrions vraiment nous demander pourquoi les données sur les injections ne seraient pas aussi des faux…

Nous disposons désormais d’une preuve de mensonge à la Guadeloupe, il est quand même probable que ce soit aussi le cas en France métropolitaine.

Donc si le même coefficient de manipulation est utilisé en France métropolitaine nous pourrions alors penser que la couverture vaccinale 1 dose de la population ne serait pas de 74 % mais de 37 % ce qui change tout !

Merci

Alain Tortosa.

22 septembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20210922-preuve-manipulation-vaccination.pdf





Lettre ouverte aux sénateurs contre le projet de loi de vaccination universelle antiCovid

Par Nicole et Gérard Delépine

Le 22 septembre 2021 LETTRE OUVERTE AUX SÉNATEURS

Objet : Appel au sujet du projet de loi de vaccination universelle antiCovid au Sénat

Mmes, Mrs les Sénateurs

Nous apprécions votre volonté d’obtenir une protection collective permettant un retour à la vie normale et avons lu avec intérêt le projet de loi déposé au Sénat le 31 août en première lecture.

Néanmoins, nous permettons de vous apporter quelques informations complémentaires : le SARS-CoV-2 est très sensible aux traitements précoces tels que l’Ivermectine, comme les expériences récentes de l’Inde et du Japon en témoignent. L’utilisation de ces traitements précoces permettrait de faire disparaître le spectre de formes graves en rapport à cette forme de grippe, qui ne tue que les personnes âgées à fortes comorbidités.

Actuellement, en septembre 2021, malgré le spectre des variants, le réseau sentinelle dénombre en France, zéro cas pour 100 000 enfants et 9/100 000 chez l’adultesoit très en dessous des seuils d’alerte qui font habituellement prendre des mesures préventives (173/100000 pour la grippe).

Le vaccin ne permet pas l’immunité collective

Il est malheureusement démontré et reconnu par de multiples agences sanitaires nationales et par l’OMS que les vaccins antiCovid actuels ne permettent pas d’obtenir l’immunité collective recherchée par une vaccination universelle. Même le Pr Fischer, son avocat n’y croit plus.

Les pays hautement vaccinés font face à une mortalité élevée dans les suites immédiates des campagnes de vaccination

En Israël les deux mois qui ont suivi la vaccination ont battu les records de nouveaux cas et de mortalité Covid depuis le début de l’épidémie. Depuis août 21, la reprise de l’épidémie confirme que la vaccination ne permet pas d’espérer le retour à une vie normale malgré un taux très élevé de vaccination et des réinjections répétées. En contraste, les pays qui ont laissé leurs citoyens vivre à peu près normalement comme la Suède ou la Biélorussie s’en sortent beaucoup mieux que nous.

Les vaccins antiCovid ne sont pas de vrais vaccins selon Pasteur

Vous basez votre confiance en les vaccins antérieurs, mais il faut prendre largement en compte que le « vaccin antiCovid » n’est pas un vaccin au sens pastorien du terme (des antigènes obtenus à partir du virus lui-même), mais bien une injection génique sensée faire produire par notre organisme les anticorps susceptibles de combattre ce virus. Ces substances injectées sont en expérimentation jusqu’en 2023 et utilisent une technique jamais validée en pathologie infectieuse humaine. Les essais contre les précédents coronavirus et le SIDA ont été des échecs et les phases habituelles, comme l’expérimentation animale, ont été sautées dans le cas des pseudovaccins actuellement utilisés.

Campagne d’information

Vous évoquez une grande campagne d’information et vous avez raison, mais elle aurait dû être commencée avant toute injection afin que chaque injecté puisse avoir donné un véritable consentement éclairé. Au stade actuel, il conviendra que le peuple soit informé de la nature des injections, de leurs composants, et des risques éventuels à court, moyen et long terme.

Actuellement, les bases de données officielles de l’EMA, FDA, MHRA, permettent de se faire une idée des effets indésirables dans la première année. Il est d’ailleurs remarquable que le grand nombre de décès reconnus par l’agence européenne par exemple (EudraVigilance) de l’ordre de 25 000 n’ait pas entraîné un moratoire de toute vaccination pour étudier les raisons de ces drames (deux millions d’effets indésirables reconnus, dont la moitié graves selon l’agence). Rappelons que la vaccination antiH1N1 a été interrompue après 53 décès et la vaccination contre la grippe aviaire après une trentaine.

Le système sanitaire en déroute

Vous insistez à juste raison sur les difficultés du système sanitaire français bien antérieur au Covid. En 2019, plus de 200 services d’urgence étaient en grève. Il faut redonner des lits, des postes de soignants, des rémunérations correctes à l’ensemble des personnels et diminuer l’emprise de la bureaucratie sur la gestion de l’hôpital public et privé. L’obligation vaccinale des soignants n’a fait qu’aggraver les choses, car les personnels, vaccinés ou non, n’ont pas apprécié cette extorsion de consentement, alors qu’ils voient des effets secondaires graves tus dans les médias et auprès de vous tous. Leurs suspensions ne font qu’aggraver les difficultés de recrutement du personnel mettant en péril le fonctionnement des établissements hospitaliers en augmentant le nombre des déserts médicaux.

La crise du Covid se termine dans le monde au moins dans tous les pays convertis plus ou moins vite aux traitements précoces peu chers et non toxiques tels l’ivermectine (Japon par exemple).

Les enfants innocents du Covid. Protégez l’avenir

Quant aux enfants, ils ne présentent jamais de formes graves de Covid, et ne participent pas à la transmission du virus, comme l’ont démontré les publications internationales multiples depuis vingt mois et l’ont répété toutes les sociétés de pédiatrie. Les soumettre à un traitement expérimental est sans intérêt individuel et sans intérêt collectif, puisque la vaccination ne protège pas des contaminations ni des formes graves, comme l’a écrit le ministre au Conseil d’État fin mars 2021.

La vaccination ne protège ni le vacciné ni son entourage et ne repose sur aucun argument scientifique réel, mais seulement sur des simulations mathématiques grossièrement fausses

Nous sommes à votre disposition pour un entretien à ce sujet vu la gravité des conséquences possibles de cette injection.  Nous n’avons pas abordé ici les nombreux traités signés par la France, dont la convention d’Oviedo, la charte des droits de l’enfant, etc. qui s’opposent à un traitement expérimental sans consentement éclairé réel. Ce volet juridique est traité par d’autres. Ici c’est le témoignage et le cri d’alerte de médecins au lit du patient qui voient l’inutilité du vaccin — puisque des rappels sont déjà demandés tous les six mois — et qui constatent quotidiennement les dégâts de ces thérapies expérimentales doublés de leur inefficacité.

Il est urgent que vous obteniez une enquête parlementaire doublée d’un moratoire comme d’autres parlementaires anglais, italiens ou belges en particulier l’ont déjà demandé. Nous comptons sur vous.

En vous remerciant de l’attention que vous porterez à cette supplique, nous vous prions de croire, Mmes, Mrs les Sénateurs en nos sentiments respectueusement dévoués.

Dr N Delépine pédiatre cancérologue, Dr G. Delépine chirurgien orthopédiste cancérologue


Pour information

Texte du projet de loi commenté dans cette lettre ouverte, disponible sur le site du sénat

« 31 août 2021 :Vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2( texte déposé au sénat – première lecture – exposé des motifs )

EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs,

Dès juillet dernier, les parlementaires socialistes ont prôné l’obligation progressive d’une vaccination universelle, de toutes et tous (sauf contre-indication médicale), dans une démarche de santé publique visant à obtenir une protection collective, seule à même de garantir un retour à une vie quotidienne normale pour tous du fait des différents variants en circulation.

L’objectif de cette protection collective de toute la société, en l’état de nos connaissances scientifiques et médicales, peut être atteinte par une obligation vaccinale généralisée (sauf contre-indication médicale).

Nous croyons en la science, en la recherche, et au progrès médical et social, qui bénéficient à toutes et tous.

Nous avons la chance de bénéficier de vaccins qui, collectivement, nous protègent et nous permettent de renouer avec un quotidien apaisé, de limiter les restrictions et les privations de liberté, de mettre fin à la situation que nous connaissons depuis trop longtemps, faite de craintes pour nos familles, pour nos emplois, pour la scolarité de nos jeunes.

L’obligation vaccinale a été édictée en France pour la première fois en 1902 et a permis d’éradiquer nombre de maladies et protéger nombre de nos enfants. L’obligation vaccinale est la pierre angulaire de l’intérêt collectif : en s’engageant tous, on protège chacun, partout sur le territoire national et dans tous les foyers. Elle faisait reposer la politique de santé sur des principes clairs, transparents, démocratiques et qui s’appliquaient à tout le monde.

La vaccination universelle est également la seule solution qui permet de réduire les inégalités sociales et territoriales d’accès à la vaccination. Elle permettra de lancer enfin une grande campagne d’information et de sensibilisation pour aller vers les Français non vaccinés. C’est également un geste de responsabilité et de solidarité vis-à-vis de nos soignants, engagés de toutes leurs forces dans cette bataille dont ils ne voient plus le bout et de soutien vis-à-vis de nos acteurs économiques durement touchés par les restrictions sanitaires.

Nous notons surtout que plusieurs institutions du champ scientifique et médical se sont d’ores et déjà prononcées en faveur de l’obligation vaccinale généralisée. C’est le cas notamment de l’Académie nationale de médecine, le 19 juillet dernier, jour de présentation en conseil des ministres de la loi n°2021-1040 du 5 aout 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire. Rappelons d’ailleurs que l’Académie s’était prononcée publiquement pour le port du masque dès avril 2020, quand le Gouvernement soutenait encore que le masque était inutile pour la protection de la population générale.

Ainsi, face à l’augmentation rapide de l’incidence des infections dues aux différents variants, l’Académie nationale de médecine recommandait :

« – d’amplifier l’information sur le principe de l’isolement volontaire et sur les capacités d’hébergement des personnes ne pouvant s’isoler à domicile ;

– d’inciter toutes les personnes dépistées positives à s’auto-isoler pendant 10 jours en leur rappelant le risque de contamination auquel elles exposent leur entourage ;

– de ne rendre obligatoire qu’une seule mesure : la vaccination contre la Covid-19 de tous les Français âgés de 12 ans et plus ».

Depuis, les Antilles ont payé un lourd tribu à la pandémie du fait du faible taux de vaccination des populations. La Guadeloupe et la Martinique ont d’ailleurs été contraintes au re-confinement et aux couvre-feux. Les services hospitaliers de Polynésie sont toujours saturés et le nombre des hospitalisations continue d’y progresser.

C’est pourquoi, nous maintenons que la vaccination contre le covid-19 de toutes les Françaises et de tous les Français est la seule décision publique qui :

–      Protège sa propre santé et liberté mais aussi celles des autres ;

–      Correspond à une démarche de santé publique claire, assise sur nos connaissances médicales et scientifiques ;

–      Constitue une démarche de lutte contre les inégalités territoriales et sociales, car elle crée un devoir de l’État d’aller vers les publics les plus éloignés de la vaccination ;

–      Evite le « glissement vers des pratiques de surveillance sociale générale » pointé par la Défenseure des droits et l’extension attentatoire aux libertés du pass sanitaire à tous les gestes de la vie quotidienne ;

–      Dispense de transformer en agents de sécurité sanitaire les professionnels accueillant du public.

La vaccination obligatoire est le seul chemin à ce jour pour sortir d’une politique de sécurité sanitaire et entrer enfin dans une politique de santé publique clairement assumée. Elle est la manifestation de la primauté de l’intérêt général sur les tentations individualistes, de la clarté face à l’obligation masquée que représente le passe sanitaire, de l’égalité face au « chacun pour soi », de la solidarité face à l’égoïsme. Le choix du Gouvernement a été un choix par défaut et de défausse, qui le désengageait de ses responsabilités.

L’absence d’application du III de l’article 76 vise simplement à rendre la proposition de loi recevable financièrement et n’a pas pour objectif de diminuer la prise en charge de cet acte médical par la Sécurité Sociale. »


Pour joindre les sénateurs, coordonnées sur le site du sénat et si vous souhaitez contacter  les membres de la commission des lois présentant le projet, voici les coordonnées des membres du bureau visibles sur le site du sénat (de même que celles de l’ensemble des sénateurs, si vous pouvez joindre les sénateurs et sénatrices de votre région pour les rencontrer directement).

Le Bureau de la commission des affaires sociales


Appel de détresse face au projet de vaccination universelle anticovid : lettre ouverte aux sénateurs – Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr)




Aucune alerte épidémique Covid depuis 1 an !

Bulletin épidémiologique semaine 36

du 6 septembre au 12 septembre 2021

Toujours aucune alerte épidémique depuis 1 an !

Le taux d’incidence : 7 malades covid-19 pour 100.000 habitants !

Il n’y a aucune prétendue crise sanitaire due à la covid-19

Taux d’alerte épidémique : 170 malades pour 100.000 habitants

Le passe sanitaire n’a pour objectif que de forcer une « vaccination » inutile, aux vues des données épidémiques dérisoires, qui sont disponibles.

L’incitation forcée à la « vaccination » – thérapie génique continue mais elle n’a toujours pas pour objectif de prévenir et d’endiguer la Covid-19.

Les courbes ci-dessous démontrent que l’épidémie de la covid-19 était sous le seuil d’alerte déjà en 2020 bien avant que ne débute la campagne de vaccination (thérapie génique – OGM – expérimentale) !

Le « vrai » Taux d’incidence: 7/100.000 hab (personnes effectivement malades vues en consultation médicale)

À savoir :

Taux de seuil-alerte épidémique : 170/100.000 hab (taux employé historiquement pour surveiller les épidémies)

Taux incidence épidémique 2019 à son pic (grippe type A(H1N1)pdm09 B) : 599/100.000hab

(sans confinement, sans vaccination , sans imbroglio de pass sanitaire/green pass)

Sources de données :

Le réseau Sentinelles est développé sous la tutelle conjointe de Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale) et de Sorbonne Université, qui a pour objectif le suivi des épidémies de COVID-19, de GRIPPE ainsi que celles dues aux autres virus respiratoires saisonniers (VRS, rhinovirus et métapneumovirus).

Pour plus de détails et de commentaires sur la lecture de données vous pouvez nous contacter
https://reaction19.fr/contacts/

Pour imprimer en une page :




Outre les morts fœtales, les bébés allaités meurent ou tombent malades à la suite des injections COVID de leur mère

[Source : Cogiito]

par Brian Shilhavy
Rédacteur, Health Impact News
HealthImpactNews.com

En avril de cette année, nous avons publié un commentaire vidéo de ReallyGraceful dans lequel elle rapportait que de nombreuses mères qui allaitaient leurs bébés voyaient leur lait maternel se tarir après avoir reçu une injection de COVID.

Alors que de plus en plus de données sont saisies dans le système gouvernemental de signalement des effets indésirables des vaccins (VAERS), nous voyons maintenant des cas où des bébés allaités souffrent de réactions indésirables aux injections de COVID que leurs mères prennent. Ces vaccins n’ont pas encore été autorisés pour les nourrissons, mais cette autorisation est attendue d’un jour à l’autre.

Celeste McGovern de LifeSite News a rapporté un cas où le bébé allaité est mort de caillots sanguins, un phénomène rarement observé chez les nourrissons, mais un effet secondaire courant chez les personnes qui prennent les injections de COVID, des caillots sanguins que le CDC déclare “rares” malgré les données du VAERS qui montrent plus de 10 000 cas de “thrombose”, dont 488 décès.

Le rapport VAERS ID 1532154 a apparemment été déposé par la mère, une femme de 36 ans vivant au Nouveau-Mexique :

Le 17 juillet, mon bébé est décédé.

J’avais allaité mon bébé de 6 semaines au moment où j’ai reçu le premier vaccin Pfizer le 4 juin 2021.

Il est devenu très malade avec une forte fièvre environ 2 semaines après avoir reçu le premier vaccin Pfizer le 21 juin. Il a été traité pendant deux semaines avec des antibiotiques par voie intraveineuse pour une supposée infection bactérienne.

Cependant, ils n’ont jamais trouvé de bactérie spécifique, et ont appelé son diagnostic septicémie à culture négative. À la fin de son séjour à l’hôpital, il a été testé positif au rhinovirus.

Après un traitement antibiotique de 14 jours, il est resté à la maison pendant une semaine, mais a présenté des symptômes étranges (paupière enflée, éruptions cutanées étranges, vomissements).

Je l’ai ramené à l’hôpital le 15 juillet, où il présentait ce qu’ils ont appelé une maladie de Kawasaki atypique.

Il est décédé peu après à cause de caillots dans ses artères gravement enflammées. Je suis curieuse de savoir si la protéine de pointe a pu passer dans le lait maternel et provoquer une réaction inflammatoire chez mon enfant.

On dit que la maladie de Kawasaki se présente de façon très similaire au syndrome inflammatoire multisystémique chez les enfants qu’on observe dans les infections post-Covid. (Mon bébé a également eu des circonstances de naissance inhabituelles, puisqu’il est né à 37 semaines, déclenchées par une appendicite maternelle).

CEPENDANT, SI L’ON SAIT QUE LES ANTICORPS PASSENT DANS LE LAIT MATERNEL COMME UNE BONNE CHOSE, ALORS POURQUOI LA PROTÉINE DE POINTE NE PASSERAIT-ELLE PAS AUSSI DANS LE LAIT MATERNEL ET NE CAUSERAIT-ELLE PAS DES PROBLÈMES ? (SOURCE.)

J’ai effectué une recherche dans la base de données VAERS pour voir combien d’autres rapports ont été déposés concernant des mères qui allaitent leurs bébés, et j’ai trouvé 94 cas, dont un autre décès de nourrisson. (Source.)

L’autre décès de nourrisson allaité est le cas VAERS 1166062, qui mentionne le purpura thrombocytopénique thrombotique comme l’un des symptômes. Le purpura thrombocytopénique thrombotique est un trouble sanguin rare dans lequel des caillots de sang se forment dans de petits vaisseaux sanguins dans tout le corps.

La patiente a reçu la deuxième dose du vaccin Pfizer le 17 mars 2020 alors qu’elle était au travail. Le 18 mars 2020, son bébé de 5 mois allaité au sein a développé une éruption cutanée et, dans les 24 heures, il était inconsolable, refusait de s’alimenter et avait de la fièvre.

La patiente a amené le bébé aux urgences locales où des évaluations ont été effectuées, l’analyse de sang a révélé des enzymes hépatiques élevées. Le nourrisson a été hospitalisé mais son état a continué à décliner et il est décédé.

Diagnostic de PTT. Pas d’allergies connues. Pas de nouvelle exposition à part la vaccination de la mère la veille. (Source.)

Voici quelques autres cas dans VAERS où l’injection de COVID administrée à la mère qui allaite, a apparemment affecté le bébé.

Certains des cas de mères allaitantes ayant reçu l’injection de COVID font état d’une diminution de la montée de lait, de mastite, de thrombophlébite dans le sein, de menstruations abondantes malgré l’allaitement, etc.

Je n’inclus ici que certains des cas qui ont affecté le bébé qui était allaité, et qui n’ont PAS été vaccinés mais qui ont apparemment eu des effets secondaires en buvant le lait maternel de leurs mères qui ont été vaccinées.

Mère de 30 ans du Connecticut qui allaite son fils de 5 mois – Vomissements, diarrhée, éruption cutanée et hématurie

Cas VAERS 970309 : La patiente allaite son fils de 5 mois. Deux nuits après sa première dose de Moderna, il a eu de violents vomissements, de la diarrhée, une éruption cutanée et une hématurie (sang dans les urines).

Mère californienne de 36 ans qui allaite – urticaire

Cas VAERS 999040 (Pfizer) : Un fils allaité a eu de l’urticaire sévère pendant 5 jours.

Une mère californienne de 31 ans qui allaite son fils de 4 mois – Diarrhée

Cas VAERS 1070803 (Pfizer) : J’étais exclusivement allaitante au moment où j’ai reçu les deux doses. Mon fils de 4 mois a développé une diarrhée le 1er février et cela a duré 2 semaines. Les analyses de laboratoire/études des selles ont été négatives pour toute infection bactérienne ou virale.

Mère de 38 ans du New Jersey qui allaite et dont la fille a 3 mois – Éruption cutanée

Cas VAERS 1111787 (Pfizer) : J’allaite ma fille exclusivement. Elle est née le 9 décembre 2020. Elle a environ 3 mois. Elle a eu une éruption cutanée sur tout le corps.

Mère de 35 ans de l’Alaska qui allaite son enfant de 12 mois – Choc anaphylactique

Cas VAERS 1119088 (Pfizer) : La patiente a reçu le premier vaccin covid de la série vers 9 h 15… elle a allaité son enfant de 12 mois peu de temps après sans problème. Vers 12 h 15, le bébé est devenu difficile et a été allaité pendant environ 5 minutes avant que le bébé ne fasse de l’urticaire.

Le SAMU a été appelé et de l’épinéphrine/diphénhydramine a été administrée pour la toux/la respiration sifflante, vraisemblablement une anaphylaxie.

Les autres aliments consommés par le bébé le même jour comprenaient une banane, une barre Newton aux figues pour enfants, des pommes séchées, de la viande provenant d’un repas congelé et deux morceaux de céréales (nouveaux pour le bébé). L’urgence a nécessité 4 heures de surveillance mais aucune autre intervention médicale.

Nourrisson allaité en Alaska – Choc anaphylactique

Cas VAERS 1124474 (Pfizer) : LA MÈRE D’UN GARÇON DE 12 MOIS A REÇU LA PREMIÈRE DOSE DU VACCIN COVID-19 À 9H15 ; ELLE A ALLAITÉ SON FILS DE 12 MOIS 3 HEURES PLUS TARD ET PENDANT L’ALLAITEMENT, L’ENFANT A DÉVELOPPÉ UNE ANAPHYLAXIE AIGUË. POUR ÊTRE CLAIR : LA MÈRE A REÇU LE VACCIN ET L’ENFANT A EU LA RÉACTION.

Une mère californienne de 34 ans qui allaite son enfant de 11 semaines – diminution de l’appétit, vomissements.

Cas VAERS 1139952 (Moderna) : J’allaite exclusivement mon petit garçon de 11 semaines. Je n’ai aucun effet indésirable autre qu’une douleur au bras, mais dans les 24 heures, le bébé a perdu l’appétit et a vomi une fois jusqu’à présent.

Mère de 40 ans qui allaite son bébé d’un mois – Diarrhée pendant 36 heures.

Cas VAERS 1144429 (Pfizer) : J’allaite et le jour après avoir reçu le vaccin Pfizer-BioNTech COVID19 et avoir allaité ce jour-là, mon bébé d’un mois a eu de la diarrhée pendant environ 36 heures. Il n’y a pas eu d’autres changements dans son alimentation. Environ 14 heures avant la diarrhée, j’avais pris une dose de tylenol pour soulager les douleurs dues à la réaction au vaccin.

Mère de 29 ans du New Jersey qui allaite son enfant de 15 mois – Infection de l’oreille, fièvre.

Cas VAERS 1149144 (Moderna) : La patiente qui a reçu le vaccin était une mère qui allaitait. Son enfant de 15 mois a développé une infection de l’oreille, nécessitant des antibiotiques pour la première fois, dans les 72 heures suivant l’administration du vaccin.

Son enfant de 15 mois a développé une fièvre de 102,6 environ 6 jours après l’administration du vaccin. On lui a ensuite prescrit des antibiotiques 7 jours entiers après l’administration du vaccin à la mère.

Mère de 31 ans de l’Illinois qui allaite son fils de 10 mois – Fièvre persistante de 100 – 103 F.

Cas VAERS 1168528 (Moderna) : La patiente allaite son fils de 10 mois, et l’enfant a développé une fièvre persistante de 100 – 103 F. qui a commencé 12-24 heures après la vaccination et qui persiste encore au jour 4 après la vaccination.

Mère de 34 ans de l’Indiana qui allaite son fils – Éruption cutanée

Cas VAERS 1205906 (JANSSEN) : Fatigue vers 20 heures, suivie de frissons, d’une fièvre de 101,8, de sueurs (prises vers 12 h 30), de faiblesse, de douleurs articulaires et de nausées. La fièvre et les frissons ont duré environ 5 heures. Le jour suivant, j’étais faible dans mes mains et mes articulations étaient douloureuses. Je suis une mère qui allaite et mon fils a fait une éruption cutanée le jour suivant.

Mère de 30 ans de l’Indiana qui allaite son fils – L’éruption s’est propagée de l’estomac à tout le corps.

Cas VAERS 1229118 (Pfizer) : On m’a diagnostiqué un zona le 18-3-21. J’ai commencé à avoir une éruption cutanée le 15-3-21. On m’a prescrit un médicament que je viens de commencer. J’allaite et mon fils a développé une éruption cutanée le 15-3-21. L’éruption s’est étendue de son estomac à tout son corps.

L’éruption est devenue rouge vif et des bosses étaient visibles sur tout son corps. La rougeur a diminué à partir du 3-17-21. Il a été examiné par un médecin le 19 mars 21 et on lui a dit qu’il s’agissait d’une éruption virale probablement due au vaccin, mais qu’il n’y avait rien à faire.

Indiana, 28 ans, mère allaitante avec un fils de 9,5 mois – Fièvre, selles anormales

Cas VAERS 1242964 (Moderna) : J’allaite actuellement un bébé de sexe masculin âgé de 9 mois et demi au moment où j’ai reçu mon vaccin.

Cet après-midi-là, il a fait une sieste inhabituellement longue, a été inhabituellement grincheux et léthargique pendant la journée et, le soir, il avait une fièvre de 100,7 °F. Il a dormi toute la nuit (il n’a pas fait de sieste).

Il a dormi toute la nuit (en sautant sa tétée nocturne – cela ne s’est produit que trois fois depuis sa naissance, donc c’est très rare) et était encore grincheux, fatigué et somnolent le lendemain. Sa fièvre est tombée environ 30 heures après son apparition.

Depuis, ses couches mouillées et sales ont changé de façon significative : le nombre total de couches mouillées par jour a diminué et ses couches sales sont passées de selles semi-solides à des selles très humides, plus explosives et incroyablement granuleuses (cela fait maintenant une semaine et demie depuis ma dose). J’ai continué à allaiter pendant tout ce temps.

Mère de 37 ans du New Jersey qui allaite son bébé de 3 mois – Diarrhée

Cas VAERS 1258446 (Pfizer) : Un bébé de 3 mois, allaité au sein, a eu des selles molles pendant une semaine après avoir reçu la deuxième injection de Pfizer.

New York, 33 ans, mère allaitante avec un bébé – Vomissements projectiles

Cas VAERS 1262437 (Pfizer) : Un nourrisson allaité a développé des vomissements projectiles pendant des heures. Elle s’est rendue à un centre de soins d’urgence qui lui a dit que d’autres mères allaitantes s’y trouvaient avec des nourrissons malades présentant des symptômes similaires quelques jours après avoir été vaccinées.

Une mère de 27 ans de New York qui allaite son enfant de 8 semaines – Fièvre.

Cas VAERS 1275035 (Moderna) : Un bébé de 8 semaines allaité au sein a eu de la fièvre un jour après la vaccination de sa mère.

Mère de 25 ans en Floride qui allaite sa fille – Fièvre, diarrhée

Cas VAERS 1277155 (Moderna) : J’allaite et à 19h15, ma fille a commencé à avoir de la fièvre. Elle était chaude au toucher. La température de son front était de 99.7F.

Elle a depuis eu de la diarrhée et s’est montrée très collante et allaitante 24 heures sur 24. Toujours en cours à 7 h 11, le 1er mai 2021.

Mère de 35 ans qui allaite son enfant de 14 mois – Diarrhée

Cas VAERS 1298064 (Moderna) : J’allaite ma fille de 14 mois 3 fois par jour. Elle a eu une légère diarrhée et de légers maux d’estomac les 5/6 et 5/7. Aucun changement de régime alimentaire n’a été constaté. La diarrhée n’est pas courante chez elle.

Mère californienne de 30 ans qui allaite et dont la fille a 22 mois – Fièvre, irritabilité

Cas VAERS 1324020 (Pfizer) : Environ dix jours après le vaccin, j’ai commencé à avoir des crampes intenses et j’ai perdu un caillot de sang. Mon ventre se resserrait et j’ai commencé à ressentir une pression vers le bas. J’avais aussi des douleurs dans le dos. J’ai été examinée à l’hôpital, et ils n’ont rien trouvé d’anormal. J’étais enceinte de 23 semaines à l’époque. Je n’ai plus eu de crampes.

J’allaite également ma petite fille et elle était grincheuse et de mauvaise humeur après chaque dose du vaccin. Elle était vraiment irritable et avait une légère fièvre. Ma fille a 22 mois. Deuxième grossesse

Mère de 32 ans qui allaite son bébé de 7 semaines – Léthargique, augmentation des régurgitations.

Cas VAERS 1334516 (Pfizer) : Maux et frissons débutant 10 à 12 heures après la dose. Également un peu de faiblesse et de fatigue. A persisté pendant environ 24 heures. Traitement modéré avec de l’acétaminophène (500 mg toutes les 6 heures). La patiente allaite ; son bébé de 7 semaines était quelque peu léthargique et avait augmenté de façon significative la fréquence et le volume de ses régurgitations au cours de la même période de 24 heures, mais il ne semblait pas être mal à l’aise.

Mère de 31 ans en Caroline du Nord qui allaite son enfant de 2 mois

Caillot de sang, selles foncées.
Cas VAERS 1347789 (Pfizer) : Cette personne a un enfant de 2 mois et l’allaitait au moment de l’administration des deux vaccins Pfizer covid19.

Quatre jours après le premier vaccin, la personne a remarqué que le nourrisson avait des crachats semblables à des caillots teintés de sang, puis des selles foncées un jour plus tard.

Deux jours après le second vaccin, la mère a remarqué un écoulement du mamelon ressemblant à un caillot de sang (qui, selon la personne, ressemblait exactement au crachat teinté de sang remarqué chez le nourrisson).

Texas, 32 ans, mère allaitante avec un enfant de 4 semaines – Fièvre, congestion nasale, perte d’appétit.

Cas VAERS 1443445 (Pfizer) : Je suis actuellement en train d’allaiter. Mon fils, âgé de 4 semaines seulement, a eu 101 ? de fièvre vers minuit le 6/12/2021 et la fièvre ne voulait pas baisser même avec du Tylenol. Il avait également une congestion nasale et ne voulait pas manger. Il a été hospitalisé le jour même, mais on n’a pas trouvé d’origine à la fièvre, etc.

Texas, 37 ans, mère allaitante avec une fille de 10 mois – Urticaire sur le visage et le corps.

Cas VAERS 1592542 (Moderna) : Dix minutes après avoir reçu le vaccin, j’ai eu l’impression que j’allais m’évanouir. J’ai dû m’asseoir sur le sol de la pharmacie. Dans les heures qui ont suivi, j’ai ressenti une légère douleur thoracique, un mal de tête léger à modéré et des symptômes semblables à ceux de la grippe. De plus, la majeure partie du côté gauche de mon visage s’est engourdie comme une paralysie de Bell (front, joue, lèvres et langue à gauche). J’ai reçu le vaccin un mardi.

Mercredi et jeudi, mon bébé de 10 mois allaité au sein a commencé à avoir de l’urticaire sur le visage et le corps. Ses oreilles étaient rouges à l’extrémité

Le CDC continue d’affirmer que les caillots sanguins sont “rares” après les injections de COVID-19, et pourtant si les caillots sanguins chez les nourrissons sont déjà extrêmement rares sans que les mères qui allaitent reçoivent une injection de COVID-19, et voilà que nous avons maintenant plusieurs cas, dont deux décès, en un court laps de temps (environ 9 mois) dans un système (VAERS) dont nous savons qu’il est largement sous-déclaré puisque des pressions sont exercées sur les infirmières et les travailleurs de la santé pour qu’ils ne signalent PAS les effets indésirables du COVID-19 (source), alors il est criminel de ne pas le signaler au public et de ne pas avertir les femmes enceintes et allaitantes de ces dangers.

A titre de comparaison, j’ai recherché les réactions indésirables chez les mères allaitantes au cours des 5 années précédant les injections de COVID-19, et en 5 ans, seuls 5 cas ont été signalés au VAERS de réactions négatives de mères allaitantes chez leurs bébés, avec ZERO décès, après TOUS les vaccins non-COVID. (Source.)

https://medalerts.org/vaersdb/findfield.php?TABLE=ON&GROUP1=AGE&EVENTS=ON&SYMPTOMS=Breast+feeding+%2810006247%29&VAX_YEAR_LOW=2015&VAX_YEAR_HIGH=2020&VAX_MONTH_HIGH=11

Il y a aussi maintenant 1 490 morts fœtales enregistrées suite à des injections de COVID-19 chez des femmes enceintes pour les 9 derniers mois.

À titre de comparaison, j’ai recherché les décès fœtaux consécutifs à TOUS les vaccins pour les 5 dernières années avant que les injections de COVID ne soient autorisées en décembre 2020, et il y a eu un total de 398 décès fœtaux consécutifs à toutes les vaccinations pour les 5 dernières années (moins un mois – décembre 2020). (Source.)

Cela représente une moyenne de 7 décès par mois avant COVID, et 165 décès par mois après les injections de COVID. 25 fois plus de morts fœtales après les injections de COVID que de morts fœtales après tous les vaccins au cours des 5 dernières années.

Cela ressemble à un plan eugénique de réduction de la population,
d’après les données gouvernementales du CDC.




Vaccinators : voici venu le temps des tueurs en série !

[Source : ripostelaique.com]

Par Christian Navis

On sait que les tueurs en série se repaissent des tortures qu’ils infligent. Observer la souffrance d’autrui, mijoter son trépas et ricaner de l’indignation que cela provoque leur procurent un plaisir indicible.

Une compensation à une libido souvent capricieuse : impuissants ou complexés par un micropénis ou des testicules atrophiés, homosexuels honteux ou gérontophiles portés sur les vieilles dames, les possibilités sont multiples. Et cumulables.

S’ils occupent une position sociale élevée, certains psychopathes deviennent plus retors. Ils évitent de s’exposer et découvrent que le voyeurisme de la souffrance peut être aussi gratifiant que l’exaction elle-même.

Ils embauchent alors des « apprentis » pour commettre à leur place les crimes dont ils se délectent.

Un aspect de leur personnalité souvent oubliée par le cinéma, sauf dans la série « Bones » inspirée de faits réels compilés par la criminologue Kathy Reichs.

Les ministres empoisonneurs, les miliciens sadiques, les fonctionnaires tortionnaires et les médicastres cupides complètent cette typologie de la complicité par incitation, émulation ou imitation. Une comparaison justifiée, puisqu’il y a là aussi d’innocentes victimes assassinées, ou meurtries et traumatisées à vie.

Ayant coché dans la monographie des serial killers rédigée par les profilers du FBI de nombreuses cases « collant » au vécu et aux actions du despote, je me suis inspiré de cette méthodologie pour l’étendre aux VRP de Big Pharma :

  • Comment devient-on vaccinator compulsif ?
  • Quels sont les traits communs de ces psychopathes ?
  • Comment passent-ils du fantasme au fanatisme ?
  • Quelles justifications invoquent-ils ?
  • Jusqu’à quel point sont-ils contagieux au point de générer des répliques ?

Qui sont-ils ?

Les meneurs occultent leur passé ou affabulent. Une éducation stricte chez les jésuites et la soutane jetée aux orties pour se faire chevaucher par une théâtreuse mature, quand on est davantage attiré par des cupidons d’ébène, c’est aussi glorieux qu’être réformé au service militaire pour les raisons qu’on peut imaginer.

Dans ces égouts du diable, où les leaders sont des imbéciles instruits sinon des « savants » sans scrupules, la masse des suiveurs est un ramassis d’anciens cancres qui ont raté leur vie et trouvent valorisant de répéter sans toujours les comprendre les formules assassines de leurs maîtres.

Quoi de plus jubilatoire pour un minus habens qui a atteint son apogée à la session de rattrapage du brevet que de pouvoir traiter d’ignorants et d’imbéciles des universitaires et des chercheurs de renommée internationale, reconnus par leurs pairs, voire des prix Nobel ?

L’humiliation avant le coup de grâce, fût-il virtuel, comme chez les tueurs en série. On se défoule comme on peut !

Terroriser leur victime, l’annihiler moralement en alternant faux espoirs et sévices, l’affaiblir par la faim, la soif et les traitements dégradants avant de l’achever, ces ignominies font partie de la panoplie usuelle des psychopathes serial killers.

La « politique sanitaire » du dictateur et de ses séides aussi psychotiques pervers que lui a suivi depuis le début le même cheminement tordu : diffuser la panique d’une pandémie imaginaire pour conditionner les victimes, puis les avoir à leur merci en alternant les faux espoirs de vaccins miracle et l’interdiction de remèdes efficaces. Culpabiliser les gens simples. Les asservir par des séquestrations à domicile. Infliger des humiliations et des punitions aux réfractaires. Conditionner l’exercice des libertés élémentaires à une injection de poison et un passeport intérieur.

Avec l’orgasme ultime qui leur secoue les tripes d’un 220 volts d’extase quand un grand nombre de leurs victimes finissent sur des lits de souffrance, avant de partir au cimetière à brève échéance.

Tout cela ressemble furieusement aux délires criminels des serial killers répertoriés par le FBI. Seule l’échelle change.

On est passé de quelques dizaines de cadavres chez les plus monstrueux, à plusieurs millions. Comme chez les nazis, le crime artisanal est devenu une industrie de la mort qui rapporte gros. En plus du plaisir sadique de détruire des vies.

Le plaisir de la transgression chez les serial vaccinators

Doués pour leurrer leur entourage, les tueurs en série restent longtemps impunis et finissent par se croire invincibles. Cela ne peut qu’encourager les récidives.

Le comportement de Macronescu, de ses courtisans et de leurs sbires, illustre jusqu’à la caricature cette constatation.

Le « procureur » que je suis rappelle, en prévision des procès à venir, ces extraits du Code de Nuremberg.

« Art premier : Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.

La personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir (ndlr pas les mineurs !) et doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition.

Elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

Ce dernier point demande que, avant d’accepter une décision positive par le sujet d’expérience, il lui soit fait connaître : la nature, la durée, et le but de l’expérience ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience.

(…..)

Aucune expérience ne doit être conduite lorsqu’il y a une raison a priori de croire que la mort ou des séquelles invalidantes surviendront. »

Mais les macronards s’assoient sur ces dispositions, comptant sur les lenteurs et la servilité de la justice pour éviter d’être condamnés. On peut même avancer que ces  détraqués éprouvent une jubilation intense à compisser les lois, comme la plupart des tueurs en série se délectent à narguer les flics et embrouiller les criminologues.

La France est devenue en 2 ans un labo démoniaque où des millions de cobayes se prêtent passivement à des expérimentations hasardeuses menées par des fous criminels.

Un espoir toutefois pour celles et ceux qui ont le courage de résister :

Si l’on en croit le milliardaire chinois en exil Guo Wen Gui (alias Miles Kwok) celui-ci expliquait le 23 août 2021 que les grands gagnants du fiasco politique covid seront ceux qui auront refusé la vaccination.

Ils seront alors en mesure de survivre à un inévitable effondrement économique à cause de la surmortalité des vaccinés à partir de 2022. Une projection plausible si l’on additionne les morts et les handicapés dont les vaccins sont déjà responsables, et qui commencent à être décomptés, malgré le black out imposé par les gouvernements.

Vidéo traduite en français :

Guo Wen Gui ne nomme pas ses compatriotes assassins (son pays a mis un contrat sur sa tête, suspendu s’il met en veilleuse) mais nous connaissons ceux qui tuent en France. Même si l’on sait qu’il sera plus difficile de leur demander des comptes qu’aux nazis dont ils s’inspirent.

Au pire pour eux, l’abolition de la peine de mort leur évitera le gibet comme leurs prédécesseurs des années 40.

Quant au despote, un jet privé a été mis à sa disposition 24 h/24 par Soros pour l’exfiltrer si nécessaire. Les autres, les complices, les demi-sel, les rabatteurs, les gros bras, les porte-flingues, les dealers de mort et les sicaires, s’ils n’ont pas réussi à fuir à temps en Amérique du Sud, ils attendront l’amnistie dans des prisons 4 étoiles.

Ruses basiques et grosses ficelles

Pendant WW2 puis la guerre froide, s’intéressant au modus operandi de Hitler et de Staline, les comportementalistes Hovland, Lumsdaine & Sheffield ont étudié de façon expérimentale les facteurs permettant d’influencer le maximum de personnes en même temps. Car les exécutions sommaires ne sauraient suffire pour contrôler le peuple. Les tyrans ont besoin de bras pour faire tourner les usines et cultiver les champs. Il leur faut aussi des miliciens et des délateurs endoctrinés.

Pour mener à bien ce genre d’étude, on constitue des groupes témoins comparables (âge, éducation, niveau social) et on les soumet à des jeux de rôles après avoir défini une situation crédible, en rapport avec l’actualité. Interprétations et extrapolations sont  les lignes directrices.

Des meneurs de jeu, les uns ostensibles, les autres dissimulés dans la masse, se font les hérauts de boniments tantôt « logiques » (syllogismes, sophismes) tantôt insolites voire dérangeants. Les réactions du public sont  notées et des statistiques établies. Quels que soient le sujet, la désinformation et les objections, des constantes apparaissent.

L’influenceur efficace sera crédible, ou du moins en donnera l’apparence (discours saupoudré de termes techniques, compétences surestimées) en différant le plus tard possible l’argument d’autorité brutal façon Stanley Milgram.

La pression sera insidieuse mais permanente, adaptée au public ciblé. En lui inspirant de l’inquiétude afin de neutraliser ses composantes affective (méfiance) relationnelle (morale sociale) et cognitive (aptitude à raisonner) pour le rendre réceptif à un message apaisant sous conditions.

On voit le rôle joué par les médias d’État qui rabâchent inlassablement les mêmes mensonges, en faisant défiler des cohortes de pseudo-experts qui se confortent les uns les autres en usant de mots différents.

« Dire toujours la même chose mais avec un vocabulaire adapté selon qu’on parle à un ouvrier, un paysan, un professeur ou un ingénieur » recommandait Goebbels.

Le message répétitif doit paraître évident, réconfortant et indiscutable, usant des grosses ficelles de la dynamique de groupe et des pulsions primaires de l’instinct grégaire. Soutenues par une claque qui applaudit bruyamment afin de donner l’illusion de l’approbation générale.

Tandis que sous l’aspect attrayant de celui qui se dévoue au nom de l’intérêt général, le polémiste sournois discréditera, ostracisera et diabolisera ceux qui « pensent mal ». Avec l’appui des cenSSeurs tapis dans l’ombre pour couper les micros puis interdire d’antenne les débateurs de talent.

Quand on est convaincu d’avoir toujours raison, pourquoi s’embarrasser de  contradicteurs ?

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/




Covid-19 : témoignage d’un directeur de pompes funèbres

[Source : @Nawac7]

Il mentionne en résumé notamment les faits suivants :

Les morts, lors de la première vague, venaient presque exclusivement de maisons de retraite qui avaient reçu préalablement un afflux de malades en provenance d’hôpitaux et qui avaient été traités au Midazolam.

Ils étaient tous étiquetés Covid, alors qu’ils avaient par exemple un cancer en phase 4 ou d’autres maladies.

Il n’y a pas eu plus de morts en 2020 que l’année d’avant, sauf pendant quelques semaines en mars et avril du fait des morts dans les maisons de retraite.

La deuxième vague en janvier 2020 est venue par les récents vaccinés.

Presque tous les morts Covid venaient d’être vaccinés.

Il révèle d’autres informations choquantes et révélatrices indiquant qu’il n’y a pas eu de réelle pandémie.



Son entreprise : MK Family Funeral Services (mkffs.co.uk)

Son adresse courriel : john@mkffs.co.uk

À noter qu’à la fin de la vidéo, le réalisateur de l’entretien mentionne que John O’Looney a été contacté par RT (chaîne russe pourtant souvent considérée comme alternative) pour qu’il se taise en échange de 100 000 euros.




Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset”. Mise à jour

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

[Mise à jour : vidéo complète sous-titrée en français]



EXCLU L’ANTIPRESSE/LE COURRIER DES STRATÈGES

Notre correspondant en Allemagne, François Stecher, nous a signalé cette conférence du journaliste-enquêteur ERNST WOLFF (né en 1950 et spécialisé dans l’analyse des crises financières) donnée dans le cadre des auditions de l’avocat Reiner Fuellmich en vue du procès des responsables de la crise covidienne. Cet exposé nous a frappé par sa cohérence, sa mesure et sa limpidité. Il propose, loin de tout «complotisme», une «contre-narration» de la crise en cours. Elle corrobore la thèse proposée dès avril-mai 2020 dans L’Antipresse: celle du coup d’État technologique et l’analyse du Great Reset proposée par Eric Verhaeghe dans son ouvrage « Great reset: mythes et réalités » (éditions Culture et racines, 2021) ou celle du « fascisme gris » proposée par Edouard Husson dans ces colonnes. Le schéma proposé par Wolff complète également de manière frappante la stratégie de l’hyper-normalisation exposée dans le documentaire capital d’Adam Curtis produit en 2016 par la BBC. Le nihilisme robotique du projet illustre enfin la thèse du grand sociologue américain Theodore Roszak sur la Secte informatique résumée et commentée dans l’Antipresse durant l’été 2020. Les enquêtes et intuitions de Wolff s’inscrivent ainsi dans un faisceau de tendances et d’indices plus que convaincant, d’autant plus qu’il est assumé et alimenté par les protagonistes eux-mêmes de ce grand renversement, notamment au travers de la mise à jour permanente doctrines resettistes et transhumanistes de Davos. François Stecher a bien voulu traduire la conférence en français et nous la publions en deux parties. Le lecteur pourra se reporter à la vidéo en allemand ainsi qu’à la version sous-titrée en anglais dont nous donnons les liens ci-dessous. À toutes fins utiles, des repères de minutage sont insérés dans le texte. Nous remercions François Stecher pour son remarquable effort.

L’effondrement a-t-il été planifié?

Le président américain Franklin Delano Roosevelt a dit une fois: «rien en politique ne se produit par hasard. Si quelque chose arrive, vous pouvez parier que c’était exactement planifié ainsi». Si l’on regarde tout ce qui s’est passé au cours de l’année et demie qui vient de s’écouler, cette phrase est particulièrement terrifiante. Est-il seulement possible que tout ce que nous avons vécu ait été planifié?

Je voudrais en préambule clarifier un point: je ne peux apporter aucune preuve de l’existence d’un tel plan, par exemple sous la forme de documents authentifiés. Mais après m’être intéressé, depuis dix-huit mois, à ce sujet de manière approfondie, je dois dire qu’il y a un nombre impressionnant de signes et d’indices qui vont dans cette direction. De ceux-ci et de leurs conséquences, je voudrais parler aujourd’hui(1:09). 

D’absurdité en absurdité

La situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui est unique dans l’histoire de l’humanité. Jamais encore le monde entier n’a été soumis à un régime de contraintes comme celui qui règne aujourd’hui. Et jamais encore n’ont été prises autant de mesures qui paraissent à première vue si incompréhensibles, parfois si absurdes et à de nombreux égards si contradictoires (1:42).

Officiellement, nous avons, de mémoire d’homme, affaire à la plus grave crise sanitaire de l’histoire de l’humanité. Pourtant, les mesures qui ont été prises pour y faire face n’ont pas amélioré la situation, mais l’ont au contraire continûment dégradée (1:58). Tout médecin peut aujourd’hui confirmer que l’état de santé des gens, de la majorité des gens est aujourd’hui moins bon [pire] qu’il n’était avant la crise. Et même du point de vue de ceux qui ont ordonné ces mesures, la situation est catastrophique. La quatrième vague qui prétendument nous menace, comme l’annonce de la nécessité des troisième puis quatrième puis cinquième injections, montrent bien que toutes les décisions prises jusqu’ici ont échoué à atteindre leur but, celui de contenir la maladie (2:35).

[1]

Mais ce n’est pas tout, loin s’en faut. Nous avons affaire désormais, dans la foulée des confinements, à une crise économique globale. Dans les moindres coins et recoins du monde, la production est comme suspendue, la logistique est à terre, les chaînes d’approvisionnement sont brisées, nous faisons face à de mauvaises récoltes, des pénuries alimentaires, et de surcroît, à un manque cruel de semi-conducteurs, si essentiels à des pans entiers de l’économie (3:12). Mais dans ce domaine également, ce que nous voyons, c’est que l’on ne s’attaque pas aux problèmes pour les résoudre, mais qu’au contraire, par la prise de nouvelles mesures et la menace permanente de nouvelles restrictions, on les multiplie et les amplifie (3:31).

Dernier exemple en date: en Chine, un terminal du troisième plus grand port de fret du monde a été fermé à cause d’un unique cas positif parmi les employés du port (3:47). Ou bien encore la Nouvelle-Zélande: en Nouvelle-Zélande, la semaine dernière, on a confiné le plus sérieusement du monde 5 millions de gens parce qu’une seule personne de 58 ans a eu un résultat de test positif.

Une autre crise concerne les classes moyennes (Mittelstand), qui sont de loin les premiers employeurs à la surface du globe, et supportent en outre le gros de la pression fiscale (4:17). Par une insécurité sans cesse attisée et de nouvelles réglementations qui surgissent en permanence, les classes moyennes se retrouvent acculées, plus fortement de semaine en semaine, et n’ont encore jamais été confrontées à une telle crise.

Mais même cela, ce n’est pas tout. Nous vivons actuellement une violente hausse de l’inflation pour le monde entier, en particulier pour ce qui concerne les matières premières, les prix à la production et les aliments (4:49). Et là encore, bizarrement, on ne fait rien pour contrecarrer cela, bien au contraire. On maintient la surabondance d’argent, et même on la renforce. Les États et les banques centrales ont injecté 20 billions de dollars dans les circuits financiers mondiaux depuis le début la crise, sans qu’on puisse voir la fin de ces agissements. Et le Fonds monétaire international, la plus puissante organisation financière au monde, libérera lundi prochain, pour 650 milliards, la plus grosse somme jamais sortie de sa propre monnaie, des droits de tirage spéciaux (DTS) (5:32).

Et la situation sociale n’est pas meilleure. Un seul exemple: aux États-Unis, la première puissance économique mondiale, près de 4 millions de personnes sont menacées d’expulsion parce qu’elles sont incapables de payer leurs loyers ou de payer les traites de leurs emprunts. Aux États-Unis encore, plus de dix fois autant de personnes – j’insiste, il s’agit du pays le plus riche du monde – ne sont pas en mesure de se nourrir avec leur seul revenu (6:06). Et ce que la destruction délibérée de l’économie et l’aggravation de l’inflation n’ont pas réussi à provoquer, les politiciens y sont parvenus: quel que soit le pays, une division au sein des populations comme nous n’en avons jamais connue.

Il faut encore y ajouter désormais, dans une certaine mesure comme un couronnement de tout cela, le changement de pouvoir, prémédité, provoqué par les États-Unis en Afghanistan. Là-bas, on a abandonné délibérément, pour 20 milliards de dollars US de matériel militaire, une armée de l’air complète et onze bases aériennes, ce qui va déclencher de manière absolument certaine la prochaine vague géante de réfugiés (7:04).

Pourquoi?, se demande-t-on. Pourquoi, à travers le monde entier de telles mesures sont prises, qui provoquent un désastre après l’autre, et poussent vers l’abîme la majorité des gens, au lieu de les tirer de leur misère? Pour répondre à cette question, il convient d’en poser deux autres: qui a un intérêt à cet agenda global, et qui en tire profit (7:38)?

Le complexe financier-numérique

La réponse à ces deux questions est indiscutable: le plus grand profiteur de la crise actuelle et le plus important des instigateurs dans la coulisse est le «complexe financier numérique», c’est-à-dire une sorte de communauté d’intérêts à la pointe de laquelle on trouve les plus grosses entreprises informatiques et les plus gros gestionnaires de fortune de notre temps. Sont comptées au nombre des plus grosses entreprises du numérique Apple, Alphabet, la société mère de Google, Amazon, Microsoft et Facebook. La valeur boursière de ces seules cinq compagnies représente la somme hallucinante de 9,1 milliers de milliards de dollars US. À titre de comparaison, le produit intérieur brut de l’Allemagne, de la France et de l’Italie réunies pèse 8,6 milliers de milliards de dollars US (8:39)!

À ces entreprises du numérique, il faut ajouter les grands gestionnaires de fonds: BlackRock, Vanguard, Statestreet et Fidelity. Tous, ils ont des participations massives dans chacune des entreprises du numérique. Mais ce n’est pas tout: à eux seuls, ces quatre-là gèrent actuellement un portefeuille d’un montant de 22,6 milliers de milliards de dollars US. À titre de comparaison, une fois encore: le produit intérieur brut des 28 pays de l’Union Européenne représentait l’année dernière une valeur de 15,7 milliers de milliards de dollars US.

Mais ce n’est pas seulement la monstrueuse puissance financière de ces entreprises qui rend le complexe financier numérique si puissant (9:29). Commençons d’abord par les entreprises du numérique: elles n’ont pas seulement par elles-mêmes une écrasante force sur le marché, elles contrôlent également des centaines de milliers d’autres entreprises, parce qu’elles organisent leur numérisation et jouissent ainsi d’une surveillance permanente de leurs flux de données. L’industrie du numérique n’est rien d’autre qu’une tumeur qui, au cours des années, a répandu ses métastases dans toutes les branches de l’économie, les a placées dans sa dépendance, et désormais les domine complètement (10:09).

Il n’en va pas différemment des gestionnaires de fonds. Ils ont des participations dans toutes les grandes entreprises du monde, et sont en situation de pouvoir pousser n’importe quel marché de leur choix dans n’importe quelle direction. Le plus grand d’entre eux, BlackRock, dispose avec un système d’analyse de données sur plus de 40 ans, du plus gros fonds d’informations financières que le monde ait jamais vu. Et BlackRock, sur la base de ce fonds, conseille les plus grandes banques centrales du monde, c’est-à-dire la Réserve fédérale et la Banque centrale européenne (10:48). Compte tenu de l’avantage considérable dont jouit BlackRock avec ses fonds, il devrait être facile de voir qui, ici, dépend de qui.

Nous avons donc affaire à l’association, unique dans l’histoire, d’une puissance financière écrasante et de la jouissance d’une base d’informations géante aux dimensions inimaginables. Depuis le début de la crise, cette combinaison a donné à ces entreprises un essor comme elles n’en avaient jamais connu auparavant. Et ce n’est pas tout: cet essor s’accélère sans cesse (11:29). Pour le seul dernier trimestre, c’est-à-dire aux mois d’avril, de mai et de juin, elles ont enregistré les plus gros gains de leur histoire.

Un immense geste de désespoir

Si l’on considère ces faits, on n’a pas besoin d’une imagination débordante pour arriver à la conclusion que l’on a affaire, avec le complexe financier numérique, au centre global de pouvoir, autour duquel tout gravite (11:57). Le complexe financier numérique se tient largement au-dessus de tous les gouvernements de la planète, il est en situation, à tout instant, de les mettre à genoux et de les soumettre à sa volonté. On s’étonnera d’autant plus des méthodes avec lesquelles le complexe œuvre depuis le début de la crise actuelle: il semblerait presque qu’il sape justement le système dont il profite lui-même (12:28). Quelques exemples de cela: si le complexe financier numérique détruit les classes moyennes, il détruit, de fait, les fondements mêmes de son existence, puisque comme nous l’avons dit, ce sont les classes moyennes qui paient le plus d’impôts et qui créent le plus d’emplois; et s’il attise l’inflation, c’est bien à lui-même qu’il inflige des dommages; et s’il détruit la paix sociale en faisant exploser les déséquilibres sociaux, cela détruit aussi le terrain sur lequel il fait ses affaires (13:02).

Tout cela, ce sont des objections justifiées – mais elles font fi de la réalité. Et voici ce qu’elle est : le complexe financier numérique n’a pas d’autre choix que celui de faire précisément ce qu’il est en train de faire. Ce que nous vivons actuellement, ce n’est pas, par exemple, la mise en œuvre d’un quelconque agenda conçu à une table de travail, par lequel il voudrait s’approprier encore plus d’argent et encore plus de pouvoir, afin de jouir ensuite en paix du fruit de ses efforts (13:42). Ce que nous vivons actuellement, c’est un gigantesque geste de désespoir, sans doute le plus grand qu’il ait jamais été donné de vivre dans l’histoire de l’humanité.

[2]

Cet acte désespéré trouve son origine dans le fait que le système auquel le complexe financier numérique doit son existence ne peut plus être maintenu en vie avec les moyens employés jusqu’ici (14:09). Il a déjà frôlé la fin lors de la crise financière mondiale de 2007–2008. Si les gouvernements, alors, n’avaient pas mobilisé en masse l’argent des impôts, et donné aux banques centrales l’instruction de tirer du néant des quantités faramineuses de monnaie, le système se serait alors déjà effondré. De fait, le sauvetage n’était que provisoire. Au cours de ces plus de douze années, il a fallu continuellement accroître la masse monétaire, tandis que les taux d’intérêt étaient réduits pas à pas – rendant ainsi le système toujours plus instable. Cela ne pouvait pas bien se terminer. L’année dernière, on y était: en mars 2020, un nouvel effondrement menaçait déjà. Et cet effondrement a été repoussé une toute dernière fois, par un dernier tour de force, en amenant les taux à zéro et en injectant de la monnaie par milliers de milliards, non plus par milliards (15:22).

La solution du dernier recours

Cela a fait émerger, qualitativement, une nouvelle situation. Différer l’issue finale nécessiterait désormais de pousser les taux dans le domaine négatif, détruisant ainsi les fondements du système bancaire actuel. Les banques ne peuvent pas durablement vivre avec des taux négatifs. En d’autres termes, il n’y aura pas de nouvelle tentative pour repousser cette issue avec les moyens jusqu’ici utilisés (15:56). On peut tout au plus, dans la situation actuelle, injecter une toute dernière fois des milliers de milliards et des milliers de milliards, avec pour conséquence, cependant, que l’on attisera une inflation déjà galopante et qu’on la fera basculer dans le domaine de l’hyperinflation. La situation dans laquelle se trouve donc le complexe financier numérique est celle d’une alternative entre, d’un côté, l’effondrement numérique du système, et de l’autre l’hyperinflation, c’est-à-dire la dévalorisation totale de la monnaie (16:36). Ainsi, historiquement, nous sommes arrivés à un point où le complexe financier numérique n’a plus que le choix entre deux modes d’effondrement.

Que doit-il donc faire? De toute évidence, dans cette situation, on s’est décidé, pour un nouveau système et en vue de son installation, à mettre en œuvre une double stratégie (17:08). D’un côté, on prépare en arrière-plan, à l’abri des regards du public, un nouveau système. De l’autre côté, on exploite en parallèle la phase terminale de l’ancien système désormais voué à la mort pour le piller, selon les meilleures règles de l’art. C’est exactement ce que nous vivons depuis mars de l’année dernière (17:35) : la destruction délibérée et consciente de l’économie mondiale par le complexe financier numérique dans l’unique but de s’enrichir, avec en parallèle la préparation d’un nouveau système par les banques centrales en coopération avec les groupes informatiques. 

2e partie


[1] NDLR : les données factuelles démontrent assez largement que les prétendues troisièmes et quatrièmes vagues sont essentiellement des vagues de résultats positifs à un test PCR, sauf dans les pays qui ont massivement vacciné leur population et qui voient une nouvelle explosion des malades effectifs. Le test PCR ne devrait nullement servir d’outil de diagnostic et donne un nombre d’autant plus important de faux positifs que le nombre de cycles d’amplification utilisé est grand. Il n’y a plus de pandémie (naturelle ou bien produite initialement par un virus fabriqué en laboratoire, selon des deux hypothèses principales) que dans l’imagination de ceux qui subissent encore l’effet de la psychose de masse créée par le biais des médias dominants.

[2] Note de Joseph : un autre point de vue, probablement plus « complotiste » est que cette action n’est nullement un geste de désespoir, mais s’inscrit dans la logique de l’ordo ab chao (l’ordre à partir du chaos ou de la destruction). Pour achever la création du Nouvel Ordre Mondial, cette élite pense nécessaire et indispensable de détruire l’ordre ancien de A à Z, de faire table rase du passé, et même d’effacer ce dernier des livres d’Histoire. Au bout du processus, après le Great Reset (ou Grande Réinitialisation), se trouve un « Meilleur des Mondes » orwellien où les survivants de la purge seront asservis aux machines ou devenus eux-mêmes des cyborgs, mi-hommes mi-machines, et contrôlés par Intelligence Artificielle, entassés dans des villes ou des mégapoles surpeuplées, laissant le reste de la planète aux élites. Voir notamment Le « Great Reset » n’est pas du complotisme. Pour réussir, cependant, la destruction ne doit pas être trop rapide, mais contrôlée, afin qu’il subsiste malgré tout pour cette élite des matériaux intacts pour une reconstruction adéquate.




La mauvaise manière faite à Didier Raoult est un point bas pour l’université française

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Edouard Husson

Le processus de la succession du Professeur Raoult a été lancé. Certains parlent d’une semi-victoire pour le grand chercheur, puisqu’il ne sera remplacé qu’à l’été 2022. En fait, sous la pression politique, les stakeholders de l’IHU mettent à peine les formes. Au-delà des mauvaises manières infligées à l’un des très grands chercheurs français, on se souviendra du quinquennat d’Emmanuel Macron comme d’une période très sombre, où le pouvoir, de mèche avec des intérêts économiques, aura tenté de mettre fin à l’indépendance de la recherche scientifique.

Cet article est dédié à la mémoire de mon père, Jean-Marc Husson (1938-2011), praticien hospitalier, chercheur, industriel, qui toute sa carrière est resté, d’abord, un médecin.

Le vendredi 17 septembre dernier, un communiqué officiel a annoncé l’enclenchement d’une procédure de recrutement du successeur de Didier Raoult à la tête de l’IHU qu’il a fondé. Les six membres fondateurs de l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection de Marseille (Aix-Marseille Université (AMU), les Hôpitaux universitaires de Marseille (AP-HM), l’Institut Mérieux, le service de santé des armées, l’Etablissement français du sang et l’Institut de recherche pour le développement) ont ainsi validé un appel d’offres qui indique que le nouveau directeur de l’Institut  aura été recruté le 30 juin 2022. A priori, le successeur devra prendre les rênes à compter du 30 septembre 2022.  Ce qui laisse encore une années à Didier Raoult. Le communiqué sorti précise ainsi qu’ “une commission de recrutement sera créée à cet effet et un appel d’offres international sera lancé ». Quand on voit les médias français s’extasier devant cette annonce, cela prouve tout simplement qu’ils ne connaissent pas les procédures de recrutement standard dans le monde scientifique.  

Faut-il rappeler que l’IHU du Professeur Raoult a été créé en 2011 suite à une procédure internationale de sélection dans le cadre du Programme Investissement d’Avenirs lancé par le gouvernement Sarkozy – en même temps que cinq autres IHU? 

Faut-il rappeler, aussi que le Professeur Yves Lévy, lorsqu’il était président de l’INSERM, en 2017, avait fait un tel lobbying, alors qu’Agnès Buzyn, son épouse, était ministre de la Santé, pour mettre fin à l’indépendance des IHU et les refaire passer sous la coupe des organismes de recherche que le président du jury international, le Professeur Richard Fracowiak, chargé d’évaluer le travail effectué par les IHU depuis 2011, avait démissionné?  Devant le risque de perte de réputation internationale pour la science française et internationale, Emmanuel Macron, destinataire d’une lettre  de Richard Fracowiak, avait reculé et donné tort à Yves Lévy. En particulier, l’INSERM n’avait pas obtenu gain de cause sur la réduction de 200 millions du budget des six IHU. 

Mais il faut connaître cette histoire pour comprendre ce qui se passe depuis dix-huit mois à Marseille. A l’époque du hold-up manqué de l’INSERM, en effet, Didier Raoult avait été le plus courageux et s’était battu en première ligne pour préserver l’intégrité des IHU, leur indépendance. Cette dernière est en effet vitale, en face d’organismes de recherche qui sont devenus des mastodontes bureaucratiques dont la prétention à avoir une stratégie est relativisée par le fait que l’essentiel de leur budget est de la masse salariale. Les IHU, ce sont en quelque sorte des ETI de la science, suffisamment gros pour pouvoir mener une recherche d’envergure, mais à taille suffisamment maîtrisable pour ne pas se bureaucratiser. Les IHU rendent la recherche française compétitive internationalement parlant. 

C’est ce qui explique que le Professeur Raoult ait été l’un des premiers en France, lors du déclenchement de l’épidémie de COVID, à proposer un traitement précoce (hydroxychloroquine et azithromycine): il avait réagi très vite aux rapports de ses collègues chinois; et son traitement a vite obtenu une notoriété mondiale. La carte que nous reproduisons ci-dessous montre une utilisation massive de ce traitement sur la plus grande partie de la planète à la date de février 2021.  Là encore, les médias français subventionnés qui vivent en vase clos ne savent pas ce qui se passe dans le reste du monde. Les limitations du traitement précoce du COVID à l’hydroxychloroquine sont le fait, par exemple, des Etats-Unis, où les Démocrates en ont fait une arme de campagne contre Donald Trump ou…la France, où les apparatchiks du Ministère de la Santé et des organismes de recherche ont voulu prendre leur revanche contre un très grand chercheur français qui ne respecte aucun des codes compassés d’un petit milieu “parisien” où l’on fait tout sauf de la science.  

La cabale des lyssenkistes

Didier Raoult n’est pas seulement un très grand chercheur. C’est aussi un médecin comme l’école française en a produit pendant des générations.  En période d’épidémie, il a pris les moyens de soigner les gens rapidement et efficacement. Il a eu recours aux vidéos et aux interviews pour faire connaître  sa méthode. Comme un vrai médecin, Raoult ne peut pas passer une journée sans voir des patients. Et il aime les personnes qu’il soigne. Il faut être une journaliste très parisienne, comme Ariane Chemin, pour parler à son propos de “populisme médical”.  A vrai dire une telle formule en dit long sur l’état d’esprit de la caste qui croit nous gouverner et organise un système d’encensement mutuel en vase clos. Soigner, c’est être populiste ! Rien ne dit mieux finalement que la priorité de notre gouvernement, des médias subventionnés, d’une partie de la technocratie sanitaire, depuis le début de la crise, n’a pas été de soigner. Soigner, c’est populiste. Surtout, cela aurait voulu dire renoncer rapidement à cette pandémie qui est si pratique pour verrouiller des positions de pouvoir, confisquer les libertés individuelles, mettre en place un système d’économie administrée, garantir la rente perçue des grands laboratoires pharmaceutiques.  

Emmanuel Macron a bien senti à un moment que le Professeur Raoult avait gagné le coeur des gens et il s’est rendu à Marseille pour le voir. Mais le Président de la République, à peine rentré à Paris, n’a pas résisté à l’essoreuse des nouveaux médecins de Molière qui fréquentent le Ministère de la Santé ou les plateaux de télévision. Que reproche-t-on à Didier Raoult? Mais tout ! 

  • Il est un des chercheurs les plus cités au monde dans son domaine. 
  • Il écrit de bons livres de vulgarisation scientifique. 
  • Il est un médecin qui aime ses patients. 
  • Il a dénoncé l’absurdité d’un système de recherche qui engloutit des milliards d’argent public et privé pour inventer péniblement de nouvelles molécules alors que la réutilisation des molécules existantes et le marché des médicaments génériques sont le seul avenir rationnel pour le système de santé. 

En écrivant ces lignes, je pense à la cabale d’un nouveau lyssenkisme – pour faire allusion à Lyssenko, chercheur soviétique dont les théories non étayées furent soutenues par Staline et Khrouchtchev. Mais dans la France de 2021, Lyssenko est devenu vénal. Il préfère le fascisme gris de la corruption par l’industrie pharmaceutique au néo-maoïsme d’un Xi Jingping. 

Il ne faut donc pas se raconter d’histoires. La manière dont le conseil d’administration de l’IHU, APHM et François Crémieux en tête, prend le prétexte de la retraite de Raoult en tant que PUPH (Professeur des Universités- Praticiens Hospitaliers) pour le faire partir  de la direction de l’IHU est non seulement une très mauvaise manière. Mais c’est totalement stupide si l’on pense à la réputation scientifique du pays et à ses intérêts. Et de ce point de vue, peu importe que Raoult parte dans un mois ou dans un an, le mal est fait ! 

Nous vivons dans un pays où le budget de l’université n’a pas cessé de chuter depuis 2012; où notre gouvernement est incapable de garantir un contrat industriel international à une grande entreprise de la défense, où on ne sait pas sortir un vaccin contre le COVID au même rythme que les grandes nations scientifiques; et où l’on pense pouvoir se passer du talent scientifique et médical de Didier Raoult. 

Le quinquennat d’Emmanuel Macron représente vraiment un point bas.  Mais on aura oublié depuis longtemps le Président de la République quand on se souviendra encore de Didier Raoult.  




Nous Français et Occidentaux sommes les plus « intelligents »… raison pour laquelle une majorité d’entre nous restera dans l’ignorance et la soumission jusqu’à la lie

Par Alain Tortosa

Cela fait des siècles que nous sommes formatés à « l’intelligence ». Et encore plus le Français qui a « TOUT » inventé depuis la nuit des temps.

Les hommes politiques, les médias ne se privent pas de rappeler que les Français sont intelligents, qu’ils ont du bon sens, et qu’il suffit de leur expliquer pour qu’ils comprennent. Ils rajoutent même qu’il est « impossible » de les tromper et les prendre pour des imbéciles… ben oui, « on le verrait tout de suite ! ».

De bien entendu, nous sommes tous « Charlie », ouverts d’esprit, ouverts au débat, pour la liberté d’expression et bien entendu totalement « antiracistes », c’est bien connu.

Cela ne nous empêche pas de penser ou de dire en petit comité que l’Afrique en est encore à la préhistoire en cassant des noix de coco tandis que nous, les Occidentaux, envoyons des astronautes sur la Lune. (sourire).

Si on interroge le Français moyen, il regarde tous les jours la chaîne de TV Arte alors que si on analyse la réalité, le fait est que son émission préférée sera plus « touche pas à mon poste » animée par le grand Cyril Hanouna et des intervenants dont l’intelligence ferait rougir de honte un prix Nobel…

Nous sommes les plus « intelligents » alors même que le niveau scolaire ne fait que décroître d’année en année, que l’on formate les élèves à se gaver d’un savoir monolithique et que dans le même temps tout est fait pour leur interdire de penser et d’avoir un esprit critique.

L’enseignement officiel a pour objet de fabriquer des clones avec le minimum de libre arbitre… et bien entendu, c’est exactement le contraire qui est valorisé par les mots et certainement pas par les actes.

La dictature nous manipule en jouant sur notre « intelligence »

C’est un des plans machiavéliques utilisés par l’État profond pour endormir notre cerveau et notre esprit critique. Comment les êtres les plus intelligents du monde (les Occidentaux), et encore plus les Français, pourraient-ils être manipulés ?

À la rigueur mon voisin, qui par axiome, est totalement idiot, mais moi ??

Dès lors que les « intelligents » que nous sommes ont gobé au mois de mars 2020 que nous étions menacés par un « terrible virus » et que l’unique solution était de confiner la population mondiale, c’était gagné pour la dictature.

Il a suffi de balancer quelques fausses données dans tous les « médias » avec des prévisions apocalyptiques pour nous précipiter dans la fosse.

Rendez-vous compte que l’on a réussi à faire croire à une majorité de Français que le confinement de malades et de bien portants dans un même lieu était de nature à juguler une épidémie et sauver des vies.

On a même réussi à nous faire croire à nous, « les êtres les plus intelligents du système solaire », qu’il était « vital » d’enfermer les personnes en bonne santé pour endiguer une épidémie !

On a réussi à nous faire croire que si nous avions des symptômes, il ne fallait surtout PAS se rendre chez notre médecin, mais attendre l’article de la mort pour nous précipiter à l’hôpital et nous faire exploser les bronches avec de l’oxygène à haute pression pour mourir 5 jours plus tard !

Oui dès ce jour béni de l’obscurantisme scientifique et digne de l’inquisition, l’affaire était gagnée, la marche arrière devenait impossible !

Qui plus est sans heurter le moins du monde les plus grands défenseurs des droits de l’homme conscients que « la fin justifie les moyens ».

La pensée la plus présente chez les covidistes étant :

« Comment moi, une personne supérieurement intelligente, aurais pu être débile et manipulable au point de gober une histoire aussi énorme, aussi mal foutue, autant improvisée, autant créée de toutes pièces avec des bouts de ficelle. »

Nous avons été terrorisés par un virus télévisuel « aussi mortel que la peste » alors même que nous n’avions pas vu le moindre mort. (Et encore aujourd’hui qui connaît une personne en bonne santé et non en fin de vie ou avec de fortes comorbidités décédée réellement du Covid… et non avec le Covid.)

En fait, le mois de mars 2020 était un remake de « La Guerre des Mondes » diffusée en 1938 ayant provoqué la panique chez les auditeurs convaincus qu’une attaque extraterrestre était en cours.

Idem en mars 2020 où des millions de Français ont été convaincus de l’attaque d’un virus dont pas grand monde n’en a vu la couleur… Une sale grippe en 2019 serait passée inaperçue, mais un supposé (supposé, car nous n’avions aucun test à l’époque) sars-cov2 en 2020 à symptômes identiques, était du domaine de l’enfer.

Plus les mois ont passé, plus les mensonges ont grandi, plus les incohérences se sont multipliées et plus le piège se resserrait sur nous !

Comment ouvrir les yeux aujourd’hui ?

Comment accepter que l’on ait pu être idiot au point de gober un an et demi de mensonges aussi énormes et aussi anti-scientifiques les uns que les autres.

À ce point de mon récit, il est probable que j’ai déjà perdu une énorme partie du lectorat membre de l’église du coronavirus qui a autre chose à faire que lire des élucubrations complotistes…

C’est ainsi que notre cerveau est devenu le plus grand complice de cette supercherie à l’échelle mondiale !

Tel le syndrome de Stockholm, chaque Français est devenu complice de ses preneurs d’otages.

Il est devenu vital pour la santé mentale de chacun que cette pandémie soit à ce point terrible. Vital que les mesures prises fussent les « bonnes », compte tenu de la situation qui risquait de conduire à l’apocalypse et à l’anéantissement de l’espèce humaine.

LE point de non-retour a été franchi avec les injections et pour de très très nombreuses années.

Des parents ont injecté à leurs enfants des substances inutiles, expérimentales à l’inefficacité prouvée et à la dangerosité tout aussi prouvée, mais cachée par les médias menteurs !

Cette vérité statistique est TOTALEMENT inacceptable pour un parent.

C’est pour cela que tous les parents qui ont injecté leur enfant, sont condamnés à avoir l’intime conviction d’avoir agi, non pas pour le bien de la communauté dont tout le monde se moque éperdument, mais d’avoir agi directement ou indirectement pour le bien de leur enfant.

Imaginez qu’un vaccin sur le marché depuis 20 ans présente des contre-indications potentiellement mortelles même si elles sont rarissimes. Mais que dire d’une injection d’ARNm dont les premiers essais sur l’homme ont eu lieu au mois de mai 2020 ! Alors même si l’on tablait sur un risque de décès de 1 sur 1 million d’injections, cela veut dire que mathématiquement des enfants vont et sont déjà décédés de cette injection (ce qui est confirmé par les statistiques).

Mais à la différence d’un vaccin classique qui protège l’enfant d’une maladie potentiellement mortelle pour lui, la thérapie génique à ARN messager ne le protège en rien d’une maladie qui ne le concerne PAS s’il est en bonne santé… car le Covid n’est PAS une maladie infantile comme l’écrit régulièrement l’association française de pédiatrie.

Bref, le retour en arrière est donc désormais totalement impossible.

Les « convaincus » ne peuvent PAS ou PLUS croire que dès le mois de mars 2020 :

  • De nombreuses études sur la (non) dangerosité du virus étaient parues.
  • L’on savait quelles étaient les personnes à risque et donc les personnes non à risque comme les enfants.
  • Que les confinements d’une population générale étaient contre-productifs.
  • Que le confinement du mois de mars 2020 était un échec avant même de commencer, car il était déjà un échec en Italie. Mais par contre, la méthode sud-coréenne de tracing sans confinement fonctionnait parfaitement.
  • Que les masques en population générale étaient dangereux, inefficaces et contre-productifs.
  • Qu’un vaccin contre un coronavirus (qui ne fait que muter) était OBLIGATOIREMENT une impasse thérapeutique.
  • Que l’immunité vaccinale de masse était de fait un leurre.
  • Que l’HCQ (introduite et étudiée par les Chinois et non par Raoult) et certains antibiotiques étaient efficaces avant l’orage.
  • Que seule l’immunité naturelle pouvait nous sauver, car « adaptative ».
  • Que les tests PCR ne sont pas prédictifs
  • Que les gestes barrières relèvent de la pensée magique
  • Etc.

La propagande est même arrivée à leur faire croire que l’AstraZeneca, un adénovirus génétiquement modifié, était plus dangereux qu’un ARNm expérimental. ARN messager testé par le passé à petite échelle sur des malades en phase terminale. Qui plus est encore en phase III expérimentale et ARNm « bizarrement » jamais utilisé contre la grippe.

AUCUN parent qui a gobé toute cette mascarade macabre ne peut ouvrir les yeux aujourd’hui et se dire désormais :

« J’ai pris le risque de provoquer un cancer à 10 ans pour mon enfant, mis peut-être en péril sa capacité reproductive, alors même qu’il ne risque RIEN de cette maladie et que le vaccin ne protège pas de la contamination et qu’il n’a donc RIEN de solidaire. »

Une personne « intelligente » et manipulée depuis le début et qui aurait fait l’effort de lire mon texte jusqu’à cette ligne ne peut pas se poser sereinement la question et se dire :

« Et si ce qui est écrit là était véridique ? »

Il est alors naturel d’utiliser des mécanismes de défenses classiques, se poser des questions sur l’auteur et non sur le fond, botter en touche, ricaner, mais il est à parier que le lecteur ne prendra pas le risque de faire un travail de recherche qu’il n’a JAMAIS entrepris depuis le début de l’affaire.

Travail d’autant plus facile aujourd’hui qu’il a été prémâché par de si nombreux scientifiques ou lanceurs d’alertes qui facilitent l’accès aux informations et à leurs sources.

Dédouaner « l’être supérieur »

Le gouvernement, les médecins corrompus et les médias achetés ont fait un travail formidable de décrédibilisation de la parole dissidente.

Au point que de très nombreux manipulés CROIENT qu’il y a un quasi-consensus scientifique mondial et que les dissidents sont quasi inexistants et relèvent (tous ?) de la psychiatrie.

La Pravda a donc rabâché jour après jour que tous ceux qui avaient une parole dissidente étaient des « complotistes » dont la crédibilité était proche de ceux qui pensent que les extraterrestres ont remplacé les chefs d’État par des clones.

Ces « complotistes » sont, dans la bouche des médias, à la fois des psychopathes d’extrême droite et antisémites qui ont réussi à manipuler un flot de débiles profonds analphabètes, paumés et en perte de repères.

« Un être doué d’intelligence ne pouvant prêter foi à des théories qui vont à l’encontre de la pensée unique. »

La manipulation de la dictature a été à ce point intelligente et diabolique qu’elle a dit à tous les êtres intelligents et supérieurs que nous sommes qu’il ne fallait surtout pas discuter avec les « autres »  !

Ne surtout par argumenter parce que « les complotistes sont des pervers manipulateurs qui peuvent retourner votre honnête cerveau ». On nous a donc expliqué qu’il ne fallait pas nous fabriquer NOTRE propre opinion, car nous serions manipulés par ces malfaisants.

La parfaite illustration en fut le film documentaire « hold-up ».

Question à une personne « intelligente » : « Tu as vu hold-up ? » Réponse ; « Non c’est un ramassis de théories complotistes d’extrême droite avec des intervenants dissidents rejetés par leurs pairs. »

Rendez-vous compte que la « sagesse », la démarche « intelligente et scientifique » n’était plus de regarder hold-up, puis d’aller étudier et vérifier chacune des affirmations pour se faire sa propre opinion, mais d’obéir à la consigne officielle :

« Surtout, ne regarde pas, c’est une dangereuse perte de temps ! »

Nous étions dédouanés d’avoir une démarche scientifique, dédouanés de ne pas nous interroger grâce aux « décodeurs de l’information » qui l’avaient fait pour nous.

La pensée unique

Nous avons vécu et vivons encore une période où le révisionnisme est roi ! L’OMS a réécrit son site, des études sont venues dire le contraire de dizaines d’années de travail… pas de soucis. Le Lancet, quant à lui, a fait des faux ou censuré des études dans l’indifférence générale.

On a même inventé la vérification de l’information dans le but, toujours le même, d’empêcher les êtres « intelligents » que nous sommes, d’aller nous renseigner et étudier pour nous forger notre opinion.

Le principe de la « vérification de l’information » est très simple à mettre en œuvre.

  • Un « illuminé » affirme une pensée déviante.
  • Vous allez interroger un « spécialiste » qui est d’accord avec vous et la pensée unique qui répond « Non cette affirmation est fausse ! ».
  • Ainsi vous avez « démontré » que ces propos complotistes étaient ridicules !

Petit à petit les manipulés ont acquis l’intime conviction que le récit mondialiste était vrai parce que tous les médias traditionnels, ainsi que tous les « scientifiques » médiatiques (toujours les mêmes d’ailleurs) avaient le même discours parfois au mot près.

« S’ils disent tous la même chose, c’est bien que c’est vrai ! »

Nous aurions pu trouver étrange que la quasi-intégralité des médias se contente de reprendre les dépêches AFP sans rien vérifier, mais non !

Presse considérée « indépendante » alors que sa survie repose EXCLUSIVEMENT sur les aides de l’État !

Donc soit la masse s’est contentée de l’affirmation de tel ou tel média de « confiance », genre France Inter, BFM ou Cnews, soit elle a fait « un travail d’enquête » en lisant plusieurs journaux mainstream différents qui disaient tous la même chose !

D’innombrables « débats » ont eu lieu sur les chaînes d’info où des personnes d’accord entre elles débattaient pendant des heures. Ceci entrecoupé 5 minutes par semaine d’un invité (généralement invité qu’une seule fois) qui cherchait à se défendre face à plusieurs accusateurs médiatiques présents pour le lyncher.

Ainsi la recherche de la vérité, la recherche de sa propre opinion ne procédait plus en la lecture d’auteurs, d’études ou d’opinions diamétralement opposées, mais en la lecture d’informations concordantes appelées « consensus ».

La plupart des Charlie se réjouissaient que le temps d’antenne des complotistes soit le plus bref possible et que les réseaux sociaux censurent à tout va… L’apothéose étant de trouver normal qu’un président américain élu soit censuré par des entreprises privées !

Le CSA veillant scrupuleusement à l’absence de pluralisme et sanctionnant les rares émissions où un « ennemi du peuple » pouvait prendre la parole sans contradicteurs autres que le « journaliste » présent pour le descendre en flèche.

Comment survivre face à toutes les incohérences ?

On a beau être manipulé, on a beau se voiler la face et ne rien lier, les incohérences sont parfois trop énormes pour arriver à se les cacher.

  • Il est compliqué de trouver logique d’utiliser des drones ou des hélicoptères pour verbaliser des personnes seules sur une plage ou dans une montagne durant un confinement alors que dans le même temps on peut s’entasser dans un supermarché.
  • Compliqué que le masque soit inutile et dangereux le lundi puis obligatoire et vital le mardi.
  • Compliqué qu’il faille rester enfermé le mercredi et sortir le plus possible le jeudi.
  • Compliqué de voir que l’on diminue les budgets dans la santé, que l’on ferme des lits alors même que l’on dépense des millions pour recruter des vigiles.
  • Compliqué que l’on interdise de s’asseoir en terrasse, mais que l’on autorise d’être entassé sur le quai d’un RER.
  • Compliqué que l’on interdise les médecins de prescrire et qu’on les sanctionne s’ils le font.
  • Compliqué que l’on impose une troisième dose du même vaccin alors même que le virus a muté (comme si le vaccin pour la grippe était le même tous les ans).
  • Etc., etc.

Alors comme je suis un être « supérieurement intelligent », je décide que ceci n’est pas de la malveillance, de l’intention de nuire, mais de la bêtise humaine.

Le fait que ces « erreurs » soient répétées à l’infini ne me choque pas tant que ça… que les parlementaires guignols continuent à n’être que les membres d’une chambre d’enregistrement et que tout soit décidé par un conseil de défense totalement opaque, pas de soucis. Que les mêmes soient encore aux commandes comme le Ministre de la Santé malgré tous les échecs et mensonges, no problem !

L’indispensable amnésie et surtout ne rien lier

Pour ne pas faire exploser notre cerveau nous devons avoir la mémoire courte et ou-bli-er ! Oublier tous les scandales, les milliards de dollars d’amendes de Pfizer pour tromperie, corruption de médecins, etc. Oublier les lobbies en Europe qui pèsent un poids délirant ainsi que les chaises musicales, passage du privé au public et inversement. Ignorer que l’OMS, sans les fonds de Bill Gates et des laboratoires pharmaceutiques, mettrait la clef sous la porte. Ignorer que des personnalités politiques doivent leur poste grâce au soutien financier des dits laboratoires. Ignorer que des chercheurs ne pourraient plus conduire de recherches sans la participation financière des laboratoires.

AUCUN LIEN entre les sujets !

  • Un taux de suicide en explosion chez des enfants et des personnes âgées.
  • Une explosion de la violence intrafamiliale.
  • Une explosion de la dette.
  • Des maladies graves non diagnostiquées en temps et en heure.
  • Une précarité financière dramatique chez les étudiants, petits boulots…
  • Des pertes de QI chez les enfants.
  • La destruction du lien social et voir en autrui une menace.
  • La suppression des droits de l’homme et des libertés.

Mais aussi des reportages sur Arte sur la dépendance de l’OMS, la corruption mise en œuvre par l’industrie pharmaceutique et les lobbies, le rôle vital des virus pour notre santé, l’indispensable respiration d’un bon air… Tout ceci n’est JAMAIS mis en balance et corrélé avec les mesures dites « sanitaires »…

Les données ignorées

Sans compter les chiffres et la réalité qui sont totalement biaisés.

  • C’est la première fois au monde que l’on ne remet pas à zéro le compteur de décès annuels.
  • L’OMS qui oblige à comptabiliser les faux morts (ex cancer)
  • Le réseau Sentinel qui compte les malades remplacé par un décompte de positifs dix fois plus nombreux.
  • Une épidémie de positifs (nullement malades et statistiquement nullement contagieux).
  • Le nombre d’hospitalisés « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de personnes en réanimation « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de morts « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de patients vaccinés hospitalisés « Covid » qui est un faux (reconnu par la DRESS)
  • Les pays pauvres qui ont 5, 10 ou 100 fois moins de morts par habitant.
  • Un premier confinement qui n’a JAMAIS aplati la courbe et qui pourtant a été répété.
  • Une augmentation du nombre de cas d’autant plus que le masque devenait de plus en plus obligatoire.
  • Les pays qui ont massivement vacciné et qui ont eu une explosion du nombre de morts depuis la vaccination.
  • La situation catastrophique en Israël qui n’arrive pas à endiguer les décès même avec la 3e dose.
  • L’absence de corrélation en France métropolitaine et dans les DOM entre le taux de vaccination et le taux d’incidence (selon les données officielles, mais pas selon la propagande médiatique).
  • Des effets secondaires dramatiques de la vaccination qui sont minimisés ou ignorés en France.
  • Des membres de la FDA qui affirment que le vaccin tue plus qu’il ne sauve.
  • Des spécialistes qui osent affirmer une autre voie et qui sont ridiculisés et traînés dans la boue.
  • Des pays qui ont utilisé l’Ivermectine avec des résultats spectaculaires.
  • Des pays qui n’ont jamais confiné et pourtant avec largement moins de morts.
  • Des pays qui n’ont jamais imposé de masque et sans le moindre geste barrière.
  • Le Rivotril dans les maisons de retraite. L’année d’avant on soignait les malades de la grippe notamment avec des antibiotiques, en 2020 on les a achevés…
  • L’interdiction de prescrire de l’HCQ ou de l’Ivermectine.
  • La négation de l’efficacité des méthodes préventives pour booster son immunité.
  • Etc.

Ma liste est loin d’être exhaustive. Tous ces arguments sont ignorés, méprisés, balayés et surtout « non liés ».

Alors pour s’en sortir, pour ne pas avoir à reprogrammer son cerveau, on va dire soit « mensonges » avec la complicité active des « vérificateurs » et des médecins de plateau arrosés, soit dans le cas d’autres pays, on affirmera que « on ne peut pas comparer ».

En France on ne peut strictement jamais comparer d’ailleurs si on les écoute, en fait si on peut, mais uniquement quand c’est pire ailleurs.

Rien, rien, rien n’est jamais lié…

Par exemple, depuis juin 2020 on nous a promis des clusters après les grands rassemblements, clusters qui n’ont JAMAIS existé. Depuis le mois de juillet 2021, il y a des centaines de milliers de manifestants dans les rues toutes les semaines en France dans des centaines de villes. Pour la plupart les manifestants sont non vaccinés, sans masque, sans distanciation, sans le moindre geste barrière et de tout âge. On s’embrasse, on se serre la main, on se partage des bouteilles d’eau et ZÉRO cluster !

Et on continue à se foutre de nous et nous dire qu’il faut respecter les gestes barrières et porter des masques !

On continue de terroriser nos enfants, à leur dire qu’ils vont tuer papi et mamie alors même que papi et mamie seront bientôt vaccinés trois doses avec un vaccin présumé « efficace » selon la propagande.

Mais là aussi pas de lien… que l’on nous terrorise en nous disant que les non-vaccinés, non malades peuvent tuer des personnes qui sont injectées avec un « vaccin » dit « efficace » ne fait pas réagir…

Jamais le moindre lien, jamais la moindre réflexion de fond… et sans compter le régulier « on ignore encore tout de ce virus » dès que les données sont franchement contre vous !

Dans les fait, le sars-cov2 demeure un gentil virus qui ne fait qu’accompagner dans la mort des personnes en fin de vie, personnes privées volontairement de traitements dont l’efficacité n’est plus à démontrer, mais qui, hélas, ne coûtent rien.

Mais en parallèle les médias et médecins corrompus continuent à vous dire que la population en réa est de plus en plus jeune et que nul n’est à l’abri pour une maladie dont l’âge médian des décès est de 85 ans !

Depuis le début la crise, strictement aucune mesure n’a jamais été prise en direction des personnes à risque à la différence de la Corée du Sud (même niveau de vie, même pyramide des âges, même densité de population que la France). Corée du Sud qui déplore 47 morts par million d’habitants versus 1 700 pour la France soit 36 fois moins !

Avec une politique identique et en partant du chiffre mensonger de 100 000 morts en France par année de Covid, nous aurions eu 2 800 décès du Covid en France en mettant en œuvre la politique coréenne. Certains « spécialistes » osent dire que l’on n’aurait pas pu mettre en œuvre en France la politique sud-coréenne « anti-démocratique » de tracing alors même que nous sommes masqués, confinés, vaccinés de force et avons un pass sanitaire pour aller faire des courses au supermarché.

Mais on se moque de qui ? Pourquoi M. Veran est encore ministre, pourquoi M. Macron n’a pas démissionné ? Pourquoi l’opposition est-elle silencieuse ? Pourquoi les médias applaudissent-ils au lieu de crier au scandale ?

Cela interroge-t-il les aveuglés ? Absolument pas !

Les médias sont même allés jusqu’à dire qu’il serait injuste ou illégal de confiner les personnes à risque alors que l’on ne se prive pas de supprimer les droits de l’homme de la population en bonne santé. Toutes les mesures dictatoriales ont été uniquement ciblées en direction des personnes en bonne santé qui risquent plus d’être foudroyées que de mourir du Covid. Tout a été fait pour massacrer les défenses immunitaires des plus faibles et prescrire du paracétamol (contre-indiqué) et obtenir un maximum de morts… Nous aurions voulu faire pire qu’il eut été quasi impossible d’y parvenir…

Pour se rassurer, on énonce alors que notre politique Anti-Covid ne peut pas être si « mauvaise » quand quasi tous les pays européens et occidentaux ont pratiqué la même.

Afrique : 150 morts par million d’habitants. Asie : 235 morts par million d’habitants. Europe : 1600 morts par million d’habitants ! Vous ne pensez pas qu’il y a un ÉNORME problème ?

De la conviction prémâchée et prédigérée

« Si tous les médias le disent, c’est que c’est vrai »

« Les journalistes sont trop fiers pour se faire commander ! »

Nous sommes si « intelligents », si « supérieurs » aux peuples des pays sous-développés, que nous n’avons pas besoin de nous poser la moindre question ni regarder ce qu’il se passe à l’étranger.

La « vérité » des paniqués est ainsi considérée comme aussi légitime et valide que celles et ceux qui ont passé des milliers d’heures à étudier profondément le sujet depuis des mois.

Se sont-ils posées les mêmes questions, ont-ils lu les mêmes études, les mêmes stats, investi du temps pour se faire LEUR propre opinion, et non le pré-mâchage médiatique, puis arrivé à des conclusions diamétralement opposées à celles des « complotistes » ?

Bien sûr que non, à quoi bon perdre son temps face à des « allumés » qui racontent n’importe quoi quand une presse « indépendante » fait le travail pour vous !

Pas de coupables, pas de meurtres !

Le dernier argument qui permet de se dédouaner et de retourner se coucher est le suivant :

« OK d’accord tout serait faux, mais alors c’est organisé par qui et pour quoi ? »

Imaginons que vous disposez de toutes les preuves (facilement disponibles) que toute cette pandémie est un faux et que ce sars-cov2, probablement fabriqué, n’est pas plus méchant que les virus respiratoires habituels. Vous avez alors tous les éléments de preuve, mais, sous prétexte que les coupables ou complices ne sont pas identifiés, alors les preuves peuvent être discréditées et celui qui vous les a amenés devient un complotiste illuminé…

C’est comme si vous étiez policier… vous arrivez sur les lieux d’un crime et découvrez un cadavre. Vous posez alors la question :

« Vous connaissez le meurtrier et ses motivations ? »

Et si la réponse est « non » alors vous déduisez « bon ça doit être une erreur, on a imaginé le meurtre ! »

Personnellement, même si j’ai quelques éléments, quelques indices, je ne possède strictement aucune preuve quant aux commanditaires, complices, opportunistes, desseins…

Je croule juste sous les preuves que :

  • Bill Gates n’est pas clair.
  • L’OMS est corrompue.
  • Les laboratoires pharmaceutiques n’ont strictement aucune valeur morale.
  • Des politiques disposent d’informations, mais agissent contre l’intérêt commun.
  • Les lobbies et la corruption vont bon train.
  • Les médecins médiatiques ont des conflits d’intérêts.
  • Ce virus est un gentil virus dont nous n’aurions JAMAIS entendu parler si les médecins avaient conservé le droit de soigner les malades et que les politiques et médias n’avaient pas monté l’affaire en épingle.
  • Les données sanitaires sont des faux.
  • Il existe des traitements.
  • Les prétendus « vaccins » sont inutiles, inefficaces et dangereux.
  • Etc.

Les « possédés » n’ouvriront pas les yeux

C’est lorsque l’autorité qui leur a dit « blanc » dira « noir » qu’ils acquiesceront et changeront d’avis, pardon… adhéreront à la nouvelle « vérité ».

Se poser les questions, chercher les réponses (bien entendu en dehors des médias classiques) ouvre une boîte de pandore trop violente.

« Comment moi, une personne si intelligente, ai-je pu tomber dans un piège qui, si on le regarde de l’extérieur, est extrêmement grossier ? »

C’est ce que se disent les personnes, pourtant intelligentes, qui sortent de secte…

Cette révélation est désormais d’autant plus difficile pour celles et ceux qui se sont injectés « volontairement » qui vont découvrir que la substance expérimentale est d’autant plus dangereuse que l’on s’injecte de doses, mais aussi qu’elle ne protège en rien de la contamination et de fait qu’elle n’aidera pas à mettre fin à la « pandémie ». Substance dont on ignore totalement les effets à long terme (une première mondiale à l’échelle de la planète). Et que dire de la violence de la révélation pour les parents qui ont injecté les thérapies géniques à leurs propres enfants et qui leur ont fait courir un risque (peut être minime, mais réel) pour RIEN ou pire… pour aller en vacances.

C’est donc grâce à notre « intelligence supérieure », grâce à l’impossibilité de se tromper (à ce point) qui nous est conférée par celle-ci (que les complotistes n’ont pas bien évidemment) que nous les Occidentaux et surtout les Français resterons dans l’ignorance… pour l’instant.

Pour l’instant, car si on regarde ce qu’il se passe à l’étranger, l’édifice commence à se fissurer de toutes parts… Et quand la vérité sortira, elle fera mal à tous les manipulés et complices malgré eux.

Personnellement j’ai dépensé suffisamment d’énergie pour les aider…

Merci Alain Tortosa.
20 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210920-intelligence-superieure-francais.pdf


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Voir aussi : Le défi de l’intelligence
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