Lettre ouverte aux politiques de tous bords, aux députés et sénateurs et candidats à la Présidence

Par N. et G. Delépine(([1] Sur telegram t.me/DrDelepine))

L’état actuel de notre système de soins, des libertés publiques, et en particulier les libertés de soigner et celle d’être soigné, doit investir les débats

Les médias mainstream et les politiques se comportent comme si l’après Covid était acquis et ne posait plus aucun problème.

Ils veulent nous persuader qu’un consensus, une fausse évidence de l’accord de tous pour l’injection génique existerait. Que le respect des libertés fondamentales de circuler, de se réunir, de travailler, la liberté vaccinale, le passe ne serait pas un sujet politique majeur ! De qui se moque-t-on ?

Peut-on à nouveau imaginer une présidentielle sans débat sur le système de soins, la liberté de soigner, comme en 2016, alors que les hôpitaux publics et privés se vident de leur personnel et qu’en conséquence des pans entiers de nos hôpitaux ferment jour après jour et que les déserts médicaux se multiplient ? Les Français en subissent déjà les dégâts avec la suppression continue de lits et la régression de la qualité des soins…

L’apartheid a été instauré aux pays des droits de l’homme ! Au moins vingt-cinq millions de Français se sentent discriminés, les « vaccinaux prudents »(([2] Ceux qui attendent la publication des résultats définitifs des essais en cours qui devraient être terminés en 2023)) mis au ban de la société, dont les 300 000 soignants suspendus ou qui risquent de l’être, et les pompiers, mais aussi au moins cinq millions à dix millions de « malgré nous », les personnes qui ont été contraintes à se faire injecter par extorsion de consentement par un chantage ignoble au droit de travailler, de prendre le train ou l’avion, d’aller au restaurants, au spectacle ou aux musées, de faire du sport en équipe ou en compétition.

Toutes ces personnes ne comprennent absolument pas que la perte de liberté et le pass sanitaire ne soient pas débattus entre candidats déclarés ou putatifs. Dans quel monde vivent-ils, ces politiques ?

D’autant que l’instauration d’un pass a été suivie dans la plupart des cas d’une augmentation importante des nouvelles contaminations quotidiennes comme en Tchéquie :

En Roumanie :

Ou en Autriche :

La vie des exclus est devenue une réclusion volontaire à domicile. Et beaucoup de ceux qui sont titulaires actuels d’un passe craignent de les rejoindre devant la perspective inacceptable d’être soumis à nouvelles injections de plus en plus dangereuses selon toutes les études sérieuses.

La proportionnalité des restrictions rapportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles sont censées poursuivre, réclamée par le défenseur des droits, n’est pas respectée puisque d’après les données du réseau sentinelle, l’épidémie est terminée en France.

Ce pass et cette obligation vaccinale ouverte ou cachée via les extorsions de consentement sont inacceptables et d’ailleurs condamnés par le conseil de l’Europe, imposés y compris aux enfants (quand des pays proches comme la Grande-Bretagne ou le Danemark n’en ont pas).

Les violences continues faites aux enfants par le port du masque alors que le coronavirus a disparu sont inacceptables, d’autant que leur suppression dans des pays européens de plus en plus nombreux n’est nulle part suivie d’une reprise de l’épidémie.

Croire que les restrictions majeures injustifiées des libertés publiques et l’obligation de fait du pseudovaccin pour ceux qui veulent poursuivre leurs activités normales n’intéresseraient pas les candidats est un non-sens.

Nous dire que le candidat élu fera ce qu’il faut après l’élection relève de la croyance au Père Noël.

Aucun président ne pourra être élu, sans un positionnement très clair sur ce sujet qui perturbe la vie de tous les habitants. Faire semblant que tout va bien avec le pass et le vax relève de la méthode Coué bien connue des médias et de trop d’élus.

Chaque jour, une nouvelle lettre ouverte aux sénateurs, aux députés, au Président apparaît sur le net de personnes concernées ou de groupes, avec la demande aux citoyens de partager, d’écrire personnellement à nos élus et en particulier aux sénateurs qui doivent examiner le 13 octobre un projet d’obligation étendue chez les nourrissons avec un douzième vaccin qui n’est qu’une thérapie génique EXPÉRIMENTALE avec tous les risques que l’on commence à découvrir et à entrevoir.

Appel de détresse face au projet de vaccination universelle anticovid : lettre ouverte aux sénateurs — Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr) le 22 sept

« Actuellement, en septembre 2021, malgré le spectre des variants, le réseau sentinelle dénombre en France, zéro cas pour 100 000 enfants et 9/100000 chez l’adulte, soit très en dessous des seuils d’alerte qui font habituellement prendre des mesures préventives (173/100000 pour la grippe).

Le vaccin ne permet pas l’immunité collective

Il est malheureusement démontré et reconnu par de multiples agences sanitaires nationales et par l’OMS que les vaccins anticovid actuels ne permettent pas d’obtenir l’immunité collective recherchée par une vaccination universelle. Même le Pr Fischer, son avocat n’y croit plus. Les pays hautement vaccinés font face à une mortalité élevée dans les suites immédiates des campagnes de vaccination ; (…) ».

Il faut cesser l’injection génique : appel de survivants de l’Holocauste à la CPI — Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr) le premier octobre

https://nouveau-monde.ca/appel-au-rassemblement le 5 octobre 2021 avec des modèles de lettres à envoyer aux élus, et voir https://www.comitedesalutpublic.fr/

La commission des lois du Sénat : premier espoir

a rejeté l’amendement qui voulait rendre obligatoire l’injection génique expérimentale, ce qui est réconfortant et justifie la poursuite d’informations venant de multiples sources à nos sénateurs.

[Info Public Sénat] Vaccination obligatoire contre le covid-19 : le texte rejeté en commission au Sénat | Public Senat

Et ce jour, nous partageons un nouvel appel à cesser ces injections mortifères écrit par un professeur des universités, chirurgien, résumant l’avis de très nombreux confrères qui le félicitent largement.

Le Professeur Jean Gabriel Balique, Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie(([3] jgbalique@gmail.com))

À propos du projet d’obligation vaccinale. Lettre ouverte Le 2 octobre 2021 Mesdames les Sénatrices, Messieurs les Sénateurs, Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

« Au moment où vous allez discuter de l’obligation vaccinale, il est de mon devoir en tant que médecin, père et grand-père, de vous alerter sur la catastrophe sanitaire qui se déroule sous nos yeux, à l’ombre des autorités de tutelle.

Je précise d’emblée que je ne suis ni complotiste ni anti-vaccin (je me fais régulièrement vacciner contre la grippe et je n’ai pas des a priori envers les vaccins “classiques” rendus obligatoires dans notre pays).

Le vaccin contre la Covid 19, en novembre 2020, devait nous sauver et nous ramener à une vie normale. Maintenant que nous avons du recul, il devient plus “facile” de faire le bilan du bénéfice-risque de la stratégie vaccinale.

La première constatation qui s’impose est que le “vaccin” ne protège pas et n’empêche pas de contaminer (cf. déclaration du Ministre de la Santé Olivier Véran devant le Conseil d’État au mois d’avril 2021). »

COMMENTONS CE PASSAGE

L’exemple d’Israël que nos autorités ont pris comme modèle montre qu’une couverture vaccinale record et des restrictions sévères ne préviennent pas une récidive de l’épidémie avec une intensité accrue avec des hospitalisations en hausse et des réanimations débordées de personnes vaccinées ! On ne cite plus Israël actuellement ! Une étude parue dans European Journal of Epidemiology le 30 septembre 2021 confirme que les pays où le pourcentage de population vaccinée est le plus élevé, ont un nombre de cas de Covid-19 pour 1 million d’habitants plus élevé (exemple Israël, Portugal, Islande…).

Suite de la lettre ouverte du Pr Balique

« Nous n’avons jamais vu en médecine imposer un traitement ou une vaccination qui ne marche pas (sauf pour les personnes à risque où la balance bénéfice/risque est différente). Ceci ne serait pas dramatique si cette stratégie n’était pas à l’origine de complications graves, mortelles, inadmissibles et éthiquement insupportables pour tout médecin qui, tous les jours, se bat, pour soulager et soigner des patients.

Les médecins “du terrain” croient encore au serment d’Hippocrate qui a été leur guide depuis des siècles et que les politiques les obligent à bafouer.

Les principes fondamentaux du serment, dont “primum non nocere” (avant tout ne pas nuire), le secret médical, le consentement libre et éclairé… ont été écartés d’un revers de main par décret. Comme vous le savez, ce vaccin est en cours de phase d’expérimentation, phase 3 de mise au point d’un médicament. Maintenant que cette phase, déclenchée au niveau mondial, a du recul, les médecins du terrain voient apparaître de nombreuses complications.

Au 2 octobre 2021, l’agence européenne du médicament, l’EMA, recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications dont 1 million graves.

Ces chiffres ne représentent qu’une partie des cas observés. En France, l’Agence nationale du médicament (ANSM) dans son rapport du 16 septembre 2021 rapporte 22 559 cas graves parmi lesquels des décès. De nombreux cas ne sont pas rapportés pour différentes raisons.

En France, l’expérience du terrain rapportée par les médecins de ville et hospitaliers montre clairement l’accroissement des complications survenant dans les semaines suivant la vaccination : de nombreux cas de paralysie faciale, de myocardite et péricardite dans les suites précoces de la vaccination, des complications cardio-vasculaires (Infarctus, AVC) chez des sujets relativement jeunes et pas forcément à risque cardio-vasculaire, de nombreux cas de thrombose veineuse et d’embolie pulmonaire.

Les médecins signalent une élévation fréquente des marqueurs de thrombose (D-Dimères) parfois à des taux anormalement élevés, une fatigue et altération de l’état général accélérée chez les patients âgés, des cancers jusque-là contrôlés, explosent après vaccination, des maladies auto-immunes comme des polyarthrites, des thyroïdites se dérèglent dans les semaines qui suivent la vaccination.

L’ANSM indique comme “signaux confirmés” la myocardite et la péricardite de survenue précoce après la vaccination avec les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech) et Moderna sans donner le nombre exact de malades et en minimisant la pathologie alors que les complications et les séquelles à long terme peuvent être graves.

Depuis le début de la vaccination des 12-18 ans, 206 cas d’effets indésirables graves (dont des décès) ont été rapportés avec le vaccin Comirnaty et 18 cas graves avec Moderna alors que nous sommes à peine à 3 mois et demi de vaccination dans ce groupe d’âge.

Il s’agit de jeunes qui n’étaient pas à risque de forme grave ni de décès du Covid, mais qui vont garder probablement à vie des séquelles de la vaccination.

Ces derniers jours, deux adolescentes sans facteurs de risques viennent de décéder et un jeune a été amputé d’une jambe, 15 jours après le vaccin. N’est-ce pas un sacrifice que la société fait et quel est le prix à payer ? À partir de combien de décès d’adolescents diriez-vous STOP à la vaccination des jeunes qui n’ont rien à gagner, car ils sont à risque infime de forme grave et de décès du Covid ?

Chez les femmes, des troubles des règles, des fausses couches ou des morts du fœtus in utero au cours des grossesses sont observés.

Comment se fait-il que la Direction Générale de la Santé autorise la vaccination dès le premier trimestre de la grossesse alors que les données sur la sécurité du vaccin chez les femmes enceintes sont très limitées et incomplètes ? Où est le principe de précaution ? Toutes ces complications surviennent précocement après la vaccination chez des personnes sans antécédent ayant une vie normale.

Elles surviennent aussi chez des sportifs qui ont dû arrêter leur activité après avoir été vaccinés, hypothéquant leur carrière : Jérémy Chardy et Christophe Lemaitre en sont les exemples les plus célèbres…

Parallèlement dans la même population de personnes jeunes sans co-morbidité, non vaccinées il n’y a aucun décès du Covid, seules sont exposées les personnes à risque, c’est pour cette population-là que le “vaccin” peut avoir une certaine protection.… /… Malheureusement ces complications sont passées sous silence, elles ne remontent pas aux tutelles ou celles-ci ne veulent pas les voir.

Ce drame humain sanitaire ne va faire qu’empirer avec la persistance de cette vaccination et la multiplication probable des doses. La mise au point d’un essai de vaccin anti H1N1 a été arrêté pour beaucoup moins de complications. Aucun des vaccins obligatoires n’a entraîné de telles complications. Actuellement les médecins voient plus de patients en consultations pour des complications du vaccin que du Covid lui-même. La balance bénéfice/risque n’est pas en faveur du “vaccin” dans cette population. Pourquoi voulez-vous encore rendre obligatoire un “remède” plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques !

Il est urgent d’en tirer les conséquences, au moment où l’immunité naturelle se développe, où le variant Delta s’avère beaucoup moins agressif et que l’épidémie décroît. Ne recommencez pas le syndrome de Tchernobyl où l’on nous a affirmé que le nuage nucléaire radio-actif s’était arrêté à la frontière. N’oubliez pas le scandale du Sang contaminé. À ce sujet, savez-vous que l’Établissement français du sang exige un délai de 28 jours après vaccination avec vaccin atténué (Rougeole, Rubéole, Oreillons, Fièvre jaune…), mais ne prend aucune précaution quant aux donneurs de sang récemment vaccinés avec ces nouveaux vaccins dont on connaît incomplètement la biodistribution dans le corps.

N’est-ce pas encore une fois une ignorance du principe de précaution et un potentiel scandale à venir ? Même si vous n’êtes pas médecin, regardez autour de vous ce qui se passe, recherchez l’information.

Vous avez le droit de vous informer, car vous êtes nos représentants. La vérité commence à éclater. Déjà le vaccin Astra Zeneca a été interdit chez les moins de 55 ans à la suite de thromboses (c’est dire l’innocuité de ces vaccins !) puis récemment le Janssen et progressivement on voit des États remettre en cause la pseudo vaccination généralisée :

Au Royaume-Uni, la vaccination est interdite aux moins de 15 ans et ils viennent de renoncer à la pseudo vaccination obligatoire
Au Texas l’injection anticovid des jeunes est interdite.
Au Danemark, seules sont vaccinées les personnes à risques et il y a une liberté totale retrouvée sans pass sanitaire.
En Afrique, on observe une mortalité 10 fois inférieure à la nôtre alors qu’il n’y a que 2 % de vaccinés (on leur annonçait une catastrophe sanitaire !)

Tous ces soignants, médecins, infirmières, aides-soignants, mais aussi pompiers qui sont montrés du doigt ne sont pas des anti-vaccins, mais des vaccinaux prudents redoutent les effets de pseudo vaccins(([4] Ce ne sont pas des vaccins selon Pasteur, car ils ne contiennent aucun antigène)) encore en expérimentation dont ils voient dans leur pratique directement les effets néfastes.

Ces soignants “du terrain” voient de vrais malades, contrairement aux médecins des plateaux télé qui extrapolent à partir de chiffres issus de simulations mathématiques dont la plupart se sont avérées erronées. Dans cette crise il ne doit pas y avoir de couleur politique, mais un consensus pour défendre la santé des Français qui vous ont élus.

Au nom de toutes les victimes, au nom de tous ces soignants muselés qui ne peuvent pas s’exprimer sous peine de sanctions, du jamais vu dans un pays soi-disant de liberté, je vous demande de regarder au-delà des chiffres officiels totalement manipulés par les médias et de refuser la vaccination obligatoire, à plus forte raison pour les enfants dont on met en danger l’avenir.…/…

FAITES AU MINIMUM UN MORATOIRE, au cours duquel vous pourrez entendre l’avis de nombreux médecins, scientifiques et autres qui essayent de se faire entendre, mais qui sont systématiquement boycottés quand leur avis va à l’encontre de la politique sanitaire gouvernementale.

Il faut aussi ré-évaluer la fiabilité des tests utilisés, discuter des traitements actuellement proposés.

Supprimer le passe sanitaire et faites arrêter la propagande honteuse et mensongère sur la vaccination : “tous vaccinés = tous protégés” slogan complètement faux, on le sait maintenant !

Levez les sanctions de tous les soignants non vaccinés interdits d’exercer alors qu’ils sont passionnés par leur vocation et qui ne sont pas devenus plus dangereux le 15 septembre que le 15 juin ».

Certains hôpitaux malgré l’interdit continuent à juste titre d’employer des personnels non vaccinés pour pouvoir maintenir leur activité sans aucune conséquence sanitaire, mais en créant une inégalité criante par rapport à ceux qui ne peuvent pas travailler. Rappelez-vous que vous les avez encensés lors de la première vague et qu’un certain nombre d’entre eux sont morts pendant cette vague faute de masques et de moyens de protection.

LA STRATÉGIE IMPOSÉE EST DÉCONNECTÉE DE LA RÉALITÉ :

c’est une pandémie qui s’accompagne d’une mortalité de 0,05 %, représentée par les personnes à risque, la moyenne d’âge des décès est de 83 ans, un peu moins actuellement, car les personnes les plus fragiles sont décédées lors de la première vague. Que l’on propose une vaccination est logique à condition d’avoir un vrai vaccin ce qui n’est pas encore le cas et en respectant la volonté de chacun (il ne s’agit pas d’Ebola, d’une méningite ou de la variole…).

En attendant, en cas de maladie, il est possible de proposer, à un stade précoce, des traitements. De nombreux médecins les ont prescrits avec succès. Ils peuvent même être proposés à titre préventif chez les personnes à risque. Ces personnes sont connues et peuvent donc être protégées isolément (notamment par ce « vaccin » dont c’est la seule indication) sans pénaliser le reste de la population.

Sachez que vous aurez été informé et que le moment venu, lorsque la vérité éclatera, car elle éclatera tôt ou tard compte tenu de l’accumulation des données scientifiques et des données du terrain sur les complications, votre responsabilité risque d’être engagée.

En espérant être entendu au nom des victimes du vaccin et des soignants qui refusent cette expérimentation et en restant à votre disposition, je vous prie de croire, Messieurs et Mesdames les élus (es), en mes respectueuses salutations.

Professeur Jean Gabriel BALIQUE, Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie »

Merci Mr Le Professeur pour cette belle lettre qui résume bien ce que nous, médecins fidèles au serment d’Hippocrate ressentons. Espérons que vous serez entendu…

Des professeurs de droit conseillent de rappeler aux élus l’expérience de Papon :

« Je vous recommande de diffuser largement cette mise en garde solennelle d’un professeur de médecine et de préciser à vos éventuels destinataires parlementaires que si les choses devaient se gâter sérieusement, nous serions dans le cadre de poursuites pour “crime contre l’humanité”. En ce domaine il n’y a ni prescription, ni immunité parlementaire ou autre. 

Papon l’a appris à ses dépens sur le tard, et pourtant il avait des circonstances atténuantes, car la France était occupée par une puissance totalitaire, ce qui n’est pas le cas en ce moment… »

En résumé et comme le conseille également Éric Verhaeghe

Continuer à écrire en masse aux sénateurs (contre la loi d’obligation vaccinale) et aux députés (contre la prolongation de l’état d’urgence et du pass sanitaire, et contre toutes les mesures « sanitaires »).

Il y a actuellement 4 cas de covid pour 100 000 habitants, bulletin du Réseau de surveillance Sentinelles du 29/9/2021, et ce taux est très bas depuis novembre 2020, le seuil épidémique étant de 173 cas / 100 000 h.

Toutes leurs adresses sont sur www.voxpublic.org, rubrique « Annuaires partagés ».

« Attention, danger ! Le texte rejeté reviendra.

Le Courrier des Stratèges suit ce dossier depuis plusieurs mois. Le 1er juillet, nous vous avions averti du rôle joué par Bernard Jomier, qui sert de poisson-pilote à Emmanuel Macron et Olivier Véran. Plus récemment, nous vous avons montré combien une réélection d’Emmanuel Macron rendrait quasi-certaine une vaccination obligatoire contre le Covid. 

Ce qui doit inquiéter le plus, c’est le type d’argumentation développée, purement planiste, quantitative et volontariste sans aucun rapport avec le réel d’une palette de vaccins à dispositions encore peu efficaces et comportant des effets secondaires beaucoup plus nombreux que pour d’autres vaccins. Comme l’a dit Éric Verhaeghe dans ces colonnes, la vaccination obligatoire est “fâchée avec le principe de précaution‘.  C’est pourtant le moment de se rappeler la formule de Chesterton sur la folie — ici idéologique — qui consiste à ‘avoir tout perdu sauf la raison’. Le texte reviendra, parce qu’ainsi le veut la raison technocratique. Le jour même où la proposition de texte est rejetée, la Haute Autorité de Santé recommande une troisième dose de vaccin Pfizer pour les soignants soumis depuis seulement le début août à la vaccination obligatoire. Et l’expérience des assemblées conduit à redouter un passage à l’usure ou par surprise, lors d’une discussion parlementaire en petits effectifs. Il va falloir rester très vigilants. »(([5] Le rejet du texte du PS pour la vaccination obligatoire ne signifie pas que le danger soit écarté —Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

L’heure est grave et personne ne doit se croire dispenser de se battre pour la liberté de soigner, pour le libre choix thérapeutique et en particulier pour la liberté vaccinale.

Aucun politique ne pourra être choisi par le peuple s’il ne défend pas le peuple et aujourd’hui s’il ne bat pas pour le libérer MAINTENANT de l’état d’urgence pseudo- sanitaire complètement injustifiable, des masques et des injections mortifères. REGAGNONS NOS LIBERTÉS AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD COMME L’EXPLIQUENT LES SURVIVANTS DES CAMPS.





Lettre ouverte aux présidents des conseils de l’Ordre et à tous mes confrères cliniciens

Chers amis,

Lettre ouverte aux autorités que mon papa (médecin retraité et chercheur vivant en France et vacciné à regret) a rédigée après avoir enfin creusé les sujets Covid-19 et vaccins. Ces sujets ne l’avaient pas fort intéressé jusque-là, puis il a décidé d’ouvrir les placards… et gloups. 

6 pages qui valent la peine d’être lues et diffusées intelligemment je trouve.

Amicalement, Julie

Julie STEVENS

À La Hulpe

Marsac le 01/10/2021

Cher Confrère,

Je suis médecin, retraité depuis 5 ans et fort de 45 ans d’une expérience clinique particulièrement éclectique : médecine hospitalo-universitaire, médecine interne, médecine générale (en Belgique) et cardiologie (en France). Depuis ma retraite, je ne n’avais suivi que de loin l’épidémie de Covid-19 jusqu’à ce que, il y a quelques mois, suivant les conseils des « autorités » politiques et sanitaires, je reçoive, la seconde injection du Vaccin Astra-Zeneca. Or, depuis lors, je souffre de douleurs musculaires diffuses et de transpirations à l’effort qui me donnent le sentiment d’avoir vieilli de 10 ans. Ces effets secondaires invalidants ainsi que l’émergence évidente, dans mon entourage proche, d’autres effets secondaires nullement bénins et d’une défiance croissante vis-à-vis des contraintes imposées par ces « autorités » m’ont poussé à tenter d’éclairer au mieux ma lanterne. Et si j’écris cette lettre, c’est parce que je sors atterré de ce que j’ai découvert.

J’ai très logiquement cherché d’abord les données scientifiques et médicales objectives concernant cette nouvelle maladie, mais en y incluant intentionnellement le discours de ces confrères cliniciens éprouvés ou de ces scientifiques à la compétence incontestée que ces mêmes « autorités » et la plupart des médias qualifient — depuis la pandémie — de « complotistes ». La raison en est que l’Histoire nous a très souvent appris que les « complotistes » vilipendés un temps par les « autorités » en place s’avèrent devenir, quelques années plus tard, des héros, des « résistants » au pouvoir en place et des sauveurs de notre humanité et de ses valeurs profondes. Nous applaudissons ainsi aujourd’hui ceux qui ont résisté aux autorités nazies comme ceux qui se battent pour la défense de ces mêmes valeurs en Afghanistan, en Russie ou en Chine. Notez que ces « complotistes » sont toujours, au départ, largement minoritaires. La vérité et la vertu exigent du courage et riment rarement avec le discours majoritaire du pouvoir en place.

J’ai eu la chance de découvrir, dès le début de mon enquête, une vidéo publiée en juin dernier par un médecin américain de réputation internationale, le Dr Richard Fleming.(([1] « Event 2021 » par le Dr Richard Fleming, version doublée vocalement en français :
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/fleming-presentation)) En quatre heures de conférence, il brosse un tableau du « dessous des cartes » de cette épidémie qui font frissonner d’horreur en moi autant le passionné de science que le vieux clinicien. Son discours me convainc parce qu’il fonde ses propos exclusivement sur des faits objectifs, vérifiables et incontestables (émanant de documents publiés par les institutions qui ont « autorité » dans leur domaine). Je suis de plus particulièrement sensible à son discours parce qu’il a une formation et une expérience très proche de la mienne (clinicien en médecine interne et cardiologie et chercheur depuis 53 ans). Son palmarès est prestigieux : 500 publications scientifiques et une théorie des maladies cardiovasculaires aujourd’hui reprise dans les classiques « textbooks » de cardiologie. Quant à son enquête — fouillée et compétente —, elle présente tous les signes d’une grande rigueur scientifique et morale. Comme les conclusions qu’il tire de son enquête sont diamétralement opposées à ce que nous présentent lesdites « autorités », il me semble que, selon leurs critères, son discours devrait être qualifié de « complotiste ».

Le scientifique et le clinicien en moi se trouvent donc confrontés à un dilemme moral. Si je pratiquais encore, devrais-je me fier aveuglément aux contraintes imposées par les « autorités » ou au contraire écouter mon « intime conviction » — à savoir que ses propos sont fondés — et donc entrer en « résistance » ? Heureusement, je ne pratique plus la médecine, ce qui m’offre une liberté d’expression que n’ont plus les cliniciens en fonction puisque ceux qui ne soumettent pas aux règles imposées par lesdites « autorités » sont menacés de perdre leur autorisation de pratiquer.

Ce problème « moral » est en réalité extrêmement grave et repose, à mon sens, sur la question de la légitimité (et des limites) de cette « autorité » que s’attribuent aujourd’hui certaines institutions politiques, scientifiques et sanitaires au nom de l’idée qu’elles se font du bien public et de leur fonction dans la santé des citoyens. La fonction des politiciens est de gérer au mieux l’organisation de la société, celle de la Science de présenter des données objectives aux preneurs de décision et celle des institutions sanitaires d’organiser au mieux le réseau de la santé et l’information des médecins. Jusqu’ici, toutes ces institutions sont largement diffusées par la plupart des médias.

Aucune de ces institutions, toutefois, n’est en droit de se substituer aux médecins cliniciens dans les décisions qu’ils prennent, en âme et conscience, dans le dialogue singulier qui les lie (par la confiance) à leurs malades. C’est là une fonction spécifique à la profession médicale. Même un conseil de l’ordre n’a pas le droit d’intervenir de façon coercitive sur la liberté de conscience du médecin. Il contreviendrait ainsi gravement aux principes mêmes qu’il est censé défendre : ceux du serment d’Hippocrate (qui sacralise la valeur de l’individu et du dialogue singulier) et celui, fondamental, du « primum non nocere ». Il est particulièrement regrettable de constater que, dans cette pandémie, les premiers concernés par le respect de ces principes — les médecins généralistes — ont été totalement écartés des lieux de décision au profit de spécialistes certes pointus, mais inévitablement moins concernés que ces derniers par la dimension humaine du problème.

Les contraintes qu’imposent aujourd’hui ces « autorités » à la liberté diagnostique et thérapeutique des médecins sont incompatibles avec les valeurs sacrées de leur métier, valeurs auxquelles ils ont tous juré fidélité au début de leur carrière. Au vu de la tournure que prennent les événements dans cette pandémie, j’en viens à penser que le serment d’Hippocrate qui lie tous les cliniciens — mais ne contraint aucune institution — constitue le dernier rempart de la défense des valeurs humaines fondamentales face à la puissance manipulatrice et médiatique des mondes politiques, économiques et même scientifiques. Après tous les scandales (sang contaminé, grippe H1N1, Mediator, Vioxx etc…) qui ont ébranlé ces honorables institutions, il faudrait être d’une grande naïveté pour croire encore en l’absolue pureté de leurs motivations.

Ces institutions, à l’image de toute notre société, ont quasiment sacralisé la Science. Cependant, quarante ans de réflexion profonde sur les rapports entre science et médecine m’ont fait clairement comprendre que ce mode de connaissance est, par principe (d’objectivité, de causalité et de réductionnisme) aveugle à la dimension subjective de la réalité. Cela signifie que la Science appliquée unilatéralement à la médecine est aveugle à la réalité du sujet. Elle ne peut voir dans l’organisme humain qu’un objet dénué de toute « profondeur ». C’est d’ailleurs cette « cécité sélective » de la Science qui explique son incapacité — avouée par tous les chercheurs honnêtes — à définir la vie et la conscience.

La « scientocratie »(([2] Terme que j’emprunte au doyen du barreau de Grenoble, Me Jean-Pierre Joseph
https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/pass-sanitaire-ou-pass-suicidaire)) est en réalité la philosophie qui, jusqu’ici, a inspiré la logique décisionnelle des « autorités » sanitaires et politiques, mais cette philosophie souffre d’une « inhumanité » intrinsèque. C’est donc le rôle, me semble-t-il, des vrais cliniciens de rendre au sujet et à l’individu une place centrale face aux arguments objectifs, mais exclusivement statistiques des autorités sanitaires et politiques.

La remarquable vidéo du Dr Fleming a le désavantage de durer quatre heures et d’entrer souvent dans des détails techniques qui ne sont vraiment pertinents que pour des initiés. Il me semble toutefois que son message devrait être connu de tous les cliniciens embarqués en confiance (par naturelle « soumission à l’autorité ») dans une entreprise d’envergure mondiale qui a fait sauter tous les verrous de sécurité mis en place depuis des décennies par nos institutions démocratiques : le code de Nuremberg (1946), la convention internationale en matière d’expérimentation humaine (1966), la déclaration d’Helsinki sur l’éthique de la recherche (1964), la convention sur les armes biologiques (1975) et — ce qui devrait intéresser les membres des conseils de l’ordre — le code éthique de l’association des médecins américains.

Aujourd’hui je suis vraiment en colère et je sais ma colère juste. Les « autorités » auxquelles je m’étais fié ont trompé ma confiance et continuent à tromper (par négligence ou compromission, je ne sais) celle de mes pairs à propos

  • (1) de la fiabilité du travail de contrôle des essais cliniques avant la mise sur le marché des vaccins,
  • (2) de l’efficacité des vaccins et, plus grave encore,
  • (3) de leur toxicité. Toutefois, personnellement, ce qui a le plus violemment heurté mon « âme » de chercheur et de médecin, c’est
  • (4) l’occultation délibérée par des « autorités » scientifiques et politiques de l’origine non pas « naturelle », mais « chimérique » (artificielle) du virus responsable de la pandémie.

1— Fiabilité des études préliminaires :

La FDA et l’ANSM ont accordé aux industriels du médicament l’autorisation de la procédure d’urgence (EUA) malgré le non-respect d’une de ses conditions impératives, l’inexistence d’alternatives thérapeutiques. Ceci leur a permis de raccourcir la durée des expérimentations de 10 ans à 11 mois. De plus, les instances responsables de la vérification des expérimentations (FDA, ANSM) — entièrement pilotées par ces industriels — n’ont pas fait correctement leur travail de lecture critique des statistiques des résultats publiées. Une lecture plus attentive (dénoncée par Fleming et d’autres experts(([3] Par exemple Christine Cotton, biostatisticienne forte de 23 ans d’expérience dans la lecture critique des essais cliniques
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/debriefing-de-christine-cotton-expertise-des-resultats-des-essais-des-4)) leur aurait montré une réalité qu’aujourd’hui même les « autorités » acceptent, à savoir que le vaccin ne protège ni du risque de réinfection, ni du risque de contagion, ni (bien évidemment) d’une infection par les inévitables variants.

2— Efficacité du vaccin :

Une lecture critique des essais cliniques réalisés avant mise sur le marché montre que l’efficacité (voisinant les 90 % selon les industriels) a en fait été évaluée sur base d’un paramètre — le « risque relatif » — qui n’a pas de signification clinique alors qu’exprimé sur base du paramètre cliniquement pertinent généralement utilisé (le « risque absolu »), cette efficacité voisine plutôt les 1 %. La « manipulation » des chiffres (et de l’incompétence des citoyens et des médecins en matière de statistique) est flagrante, mais inacceptable. De plus, une lecture attentive démontre, à partir des résultats présentés par les firmes que, par exemple, l’efficacité des vaccins n’est pas statistiquement significative chez les sujets de plus de 70 ans, pourtant les premiers bénéficiaires du vaccin. Si j’avais su cela, jamais je ne me serais fait vacciner.

Quant aux études faites après mise sur le marché, on trouve — quand on les cherche — des preuves accablantes de nombreux cas d’infections et d’hospitalisations pour la Covid-19 chez des patients dûment vaccinés.

3— L’étude critique de la toxicité potentielle des vaccins est encore plus effrayante.

Le « rapport bénéfice/risque » avancé par les firmes correspond à une grossière manipulation des statistiques. Des responsables compétents n’auraient jamais permis sa mise sur le marché en temps normal. Aujourd’hui que des millions de gens ont été vaccinés, la chose est évidente. Le site américain de recensement des « effets indésirables » des vaccins (VAERS) recense en mai 2021 plus de 4 000 morts et 17 200 effets secondaires sévères. Une étude européenne de pharmacovigilance recense, elle près de 20 000 morts et 800 0000 cas d’effets secondaires jugés « graves ». En France, l’ANMS recensait en juillet 2021 900 décès et 8 700 cas d’effets secondaires graves pour le seul vaccin Pfizer. Pour rappel, l’épidémie de grippe porcine en 1976 aux USA (célèbre scandale sanitaire) a été arrêtée quand on a recensé 25 morts après une campagne de publicité semblablement orchestrée par les « autorités » politiques et sanitaires qui avait amené 46 millions d’Américains à se faire vacciner.

Le statisticien en santé publique (l’autorité ultime de la « scientocratie ») va mettre ces chiffres en balance avec le nombre (supposé) de « vies sauvées » grâce au vaccin. Aux yeux de tout médecin vivant une relation de confiance avec son patient (la base du serment d’Hippocrate), ce calcul est inacceptable parce qu’en prescrivant ou administrant un médicament qui peut causer la mort ou un handicap grave à son patient il n’est en rien excusable puisque, s’il connaît le risque statistique du vaccin qu’il propose, il est déontologiquement obligé de donner cette information à son patient et d’obtenir son consentement « libre et éclairé ». En rendant le vaccin obligatoire, les « autorités » sanitaires et politiques bafouent ouvertement ces principes fondamentaux de la médecine au nom de statistiques portant sur l’incidence (potentielle) et la mortalité (inférieure à 0,1 %) d’une maladie virale « naturelle » (cf. point 4).

Mourir de la Covid est certes un drame pour les proches, mais cette mort est « naturelle » (pour autant qu’on croie le virus de la Covid-19 naturel). Par contre, mourir à cause d’un vaccin qu’on a forcé le médecin à administrer ou le malade à accepter contre sa volonté, sa conscience dûment éclairée ou son intime conviction est tout simplement un sacrilège, une atteinte inacceptable aux valeurs fondamentales (sacrées) de l’homme. C’est là que moi personnellement je décide d’entrer en résistance et de donner raison à tous ces citoyens anonymes et soignants de plus en plus en plus nombreux qui, se fondant sur leur profonde intuition (l’intime conviction), s’opposent aux directives des autorités. L’attitude de ces autorités politiques et sanitaires est aujourd’hui inacceptable du point de vue de l’éthique médicale. En dépossédant les médecins de leur fonction spécifique, elles se rendent en réalité complices de ce que certains appellent un « crime contre l’humanité ».

4— Du caractère « naturel » du virus de la Covid-19.

Toutes ces « révélations » génèrent chez moi une profonde colère, mais celles qui, dans cette vidéo, m’ont personnellement le plus effrayé sont d’ordre scientifique et pas médical. Elles concernent la protéine spike, l’acteur majeur de cette pandémie et la cible visée par les vaccins. J’ignorais, avant la lecture de cette vidéo, que cette protéine (les « épines » du virus) commune à tous les coronavirus est, dans le cas du SARS-Cov 2, une pure « chimère » c’est-à-dire le résultat de manipulations génétiques menées patiemment depuis 20 ans dans des laboratoires de virologie largement financés par le ministère de la Défense (!!!) des USA (laboratoire de Ralph Baric) puis « améliorés » par des virologues chinois dans l’institut de Wuhan (laboratoire de Shi Zhengli). Ces études portant sur le « gain de fonction » des virus visent à « améliorer » la virulence du virus pour la race humaine et sa capacité à pénétrer dans le cerveau. C’est donc indubitablement une arme biologique. Ces bricoleurs de virus ont en effet « inséré » dans la protéine spike du coronavirus de la chauve-souris (H4U4), totalement inoffensif pour l’homme, des fragments du virus du sida (insert de 590 acides aminés) et de celui de l’hépatite C ainsi qu’un court « insert » appelé PRRA constitué de 4 acides aminés (codés par 12 nucléotides) absents de toutes les autres souches naturelles de coronavirus et impossibles à attribuer à des mutations naturelles puisqu’il faudrait qu’apparaisse simultanément la mutation de 12 nucléotides successifs du génome.

De plus, en déformant la protéine, ces trois inserts ont créé à son extrémité un domaine dit de type « prion », c’est-à-dire semblable à l’agent de la vache folle. Et, de fait, on peut induire expérimentalement ce type de maladie (encéphalopathie spongiforme) chez les souris génétiquement modifiées (dites « humanisée ») après infection par le SARS-Cov-2. Le SARS-Cov-2 est donc, incontestablement à mon sens, un virus artificiel — une « chimère » — dont la création a « bypassé » tous les processus de sélection naturelle. Tous les gouvernements impliqués dans la mise au point de cette chimère (les USA, la Chine, mais aussi la France cofondatrice de l’institut de Wuhan) se sont empressés de nous faire passer ce virus pour une zoonose (le fameux pangolin) ou le résultat de mutations (naturelles). Mais une chimère n’est pas un mutant (naturel) et j’ai le sentiment que tout est fait « quelque part » pour que cette vérité embarrassante — mais cruciale dans le procès de la thèse du complotisme — soit tue.

5— De la vaccination obligatoire et généralisée.

Nous devons prendre conscience, nous médecins cliniciens, que les vaccins actuels contre ce « monstre » de la biotechnologie forcent nos propres cellules à synthétiser en millions d’exemplaires cette protéine chimérique imaginée et créée de toutes pièces par des scientifiques irresponsables. Le simple principe de précaution devrait nous pousser à redoubler de vigilance vis-à-vis de ce vaccin doublement atypique (technologie à ARN messager/nanoparticules lipidiques et antigène spike artificiel), mais les médecins généralistes, témoins les plus concernés par la santé individuelle de leurs patients et source la plus fiable des éventuels effets secondaires ont été écartés des centres de décision gérés par les autorités politiques, sanitaires et scientifiques. Avec un an et demi de recul, nous disposons aujourd’hui de statistiques de mortalité, de létalité et du rapport bénéfice/risque des différents vaccins commercialisés. Nous avons le devoir de les analyser objectivement et, personnellement, ils me glacent d’effroi.

Alors que le risque de mourir est quasiment nul
pour un Covid « naturel » entre 0 à 14 ans,
il est non nul pour l’administration du vaccin.
Or, cette seule réalité n’empêche pas les autorités
de prévoir une vaccination obligatoire de tous les enfants.

Dans la tranche d’âge entre 15 et 44 ans, le rapport bénéfice-risque est à peu près égal à 1 (seuil maximal admissible), mais si on évalue ce même rapport chez les sujets sans « comorbidité » (c’est-à-dire la majorité de cette population), il grimpe à 3 (1,5 à 4,4), ce qui signifie qu’il est trois fois plus toxique qu’efficace. Un parent ou un patient dûment éclairé de ces chiffres refuserait très certainement le vaccin. Comme personne n’est en droit de prétendre remplacer la responsabilité parentale ou personnelle dans une telle situation, les « autorités » ont balayé ce droit et manipulé l’information au nom d’une « immunité collective » dont nous savons aujourd’hui qu’elle ne sera jamais réalisée par les vaccins puisqu’ils ne protègent ni des réinfections, ni de la contagiosité, ni des variants.

Il est plus que temps, me semble-t-il, messieurs les présidents des conseils de l’ordre et chers confrères cliniciens, d’ouvrir nos yeux à des réalités que les « autorités » impliquées jusqu’au cou dans une politique unilatérale ne peuvent pas regarder en face sans perdre la face. Nous avons maintenant un recul suffisant face à cette maladie nouvelle. Le corps médical — et en particulier les omnipraticiens, premiers acteurs responsables dans une pandémie, et les conseils de l’ordre, seuls remparts officiels de l’éthique médicale — peut-il continuer à se « soumettre à une autorité » qui nous a dépossédés de ce qui fait toute la valeur éthique de notre métier, sa « densité humaine ». Comme le rappelle à plusieurs reprises mon collègue Richard Fleming : « Qu’en est-il si ceux qui prétendent soigner le problème (les “autorités” politiques et scientifiques et l’industrie biotechnologique) sont aussi ceux qui l’ont créé ? »

Si, après avoir visionné en intégralité la vidéo du Dr Fleming et, si possible aussi, celle de Christine Cotton ou du Dr de Lorgeril (deux spécialistes français de la lecture critique des statistiques dans les études cliniques) vous continuez, chers confrères à accorder votre confiance au discours des « autorités », je crains fort que vous ne puissiez rétablir — quand la vérité sera enfin établie — la confiance de la population en une médecine qu’elle jugera, à juste titre, très sévèrement.

Tout le monde sait que la pandémie a créé en quelques mois une vague de décès (en rien comparable à celle la grippe espagnole ou de la peste), une secousse sans précédent de l’économie mondiale, mais aussi quelques heureux, les neuf nouveaux milliardaires de l’industrie du vaccin et des tests biologiques. À titre d’exemple, le patron de la firme Moderna — qui ne cache pas publiquement son rêve de créer une médecine préventive fondée sur la manipulation (le « piratage », dit-il même) du génome, le plus précieux trésor de chaque organisme vivant que la Nature a mis plusieurs milliards d’années à sélectionner. En apprenant que ses gains personnels en 2020 (4.3 milliards de $) ont été exemptés d’impôts (cadeau de l’État du Delaware), et placés dans des paradis fiscaux (cadeau de la Suisse qui abrite le siège social de sa société), j’ai peine à croire en la pureté des objectifs humanitaires de ce genre d’industrie. Il est très loin le temps où le Dr Sabin, inventeur du vaccin de la polio, avait fait don de son brevet aux enfants de l’humanité.

La seule façon, me semble-t-il, chers confrères — et mon exhorte s’adresse également à tous les soignants, parents et jeunes — de résister à la puissance de ces géants est, je pense, d’entrer massivement en « résistance » et d’unir les voix de plus en plus nombreuses de ceux qui devinent — sans souvent pouvoir le démontrer — que quelque chose de fondamental à l’homme est en train de pourrir dans notre société capitaliste et hyperlibérale. En tant qu’humain, médecin, père et grand-père soucieux du devenir des générations futures, il me semble que cette démarche relève du noble « devoir civique ».

Très confraternellement,

Jean Stevens, 82 140 Saint Antonin (France)

P.S. Au moment d’envoyer cette lettre, j’apprends la courageuse démission de l’ordre des médecins d’un médecin de Montpellier à qui ses « autorités sanitaires » avaient refusé qu’il publie des résultats (très inquiétants) concernant les effets secondaires graves dans 83 EPHAD.(([4] http://youtu.be/Vdg4vVmFy5g)) Il souligne au passage l’inquiétante augmentation des effets secondaires du vaccin Pfizer (+160 % en deux mois).





La HAS exprime ses craintes sur le vaccin et son impact sur les défenses immunitaires

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Plus personne désormais ne remet en cause la très faible efficacité du vaccin (et deux études scientifiques que nous citons ici, publiées dans le prestigieux New England Journal Of Medicine, le démontrent). Malgré l’évidence répétée que la vaccination n’empêchera pas de nouvelles vagues de contaminations, et malgré une reconnaissance par l’EMA de nouveaux effets secondaires du vaccin Pfizer, la Haute Autorité de Santé française préconise désormais une 3è dose de vaccin. En reconnaissant parfaitement que, pour les jeunes générations, le bénéfice-risque est discutable. La logique des sacrifices humains s’affiche au grand jour.

Si la caste mondialisée qui nous dirige était capable d’un minimum de raison et de souplesse face à ses certitudes religieuses, elle examinerait posément ce que signifie aujourd’hui l’analyse bénéfice-risque du vaccin Pfizer, sans y mettre d’orgueil idéologique ni de considération dogmatique sur l’utilité de la vaccination en général. Car, redisons-le, le vaccin à ARN Messager que nous sommes contraints de subir (on suivra ici avec attention la décision du Conseil d’Etat en référé sur l’obligation vaccinale en Polynésie) n’est pas un vaccin comme les autres. C’est un jeune vaccin qui soulève, de l’aveu même de nos autorités scientifiques, de sérieux problèmes de santé et d’efficacité.  

Mais, sans prendre la moindre précaution, nos autorités maintiennent contre toute rationalité une logique de sacrifice qui soulève de graves questions éthiques. 

L’agence européenne élargit la liste des effets secondaires graves

La presse subventionnée ne l’a évidemment pas relevé, mais l’Agence Européenne du Médicament (EMA) vient d’élargir la liste des effets secondaires du vaccin Pfizer. Elle reconnaît désormais comme nouveaux effets secondaires les érythèmes multiples et la perte du toucher. 

Ceux qui méconnaîtraient la liste des effets secondaires reconnus de ce vaccin, nous la rappelons ici :

Comme on le voit, on y trouve aussi l’asthénie, la léthargie, la perte d’appétit, des sueurs nocturnes, des désordres menstruels et des inflammations des reins. Nous le répétons, il y a tout lieu de penser que cette énumération est extrêmement limitative par rapport à la réalité. Mais elle prouve que les autorités sanitaires ne peuvent pas faire comme si elles ne savaient que le vaccin Pfizer posait des problèmes de santé. 

Des études soulignent l’inefficacité du vaccin

Dans le même temps, la prestigieuse revue scientifique New England Journal of Medicine vient de publier deux études qui démontrent l’inefficacité forte des vaccins dans la lutte contre l’épidémie. 

Une étude israélienne conclut ceci :

Six months after receipt of the second dose of the BNT162b2 vaccine, humoral response was substantially decreased, especially among men, among persons 65 years of age or older, and among persons with immunosuppression.

Autrement dit, la réponse immunitaire au virus permise par le vaccin ne dure pas six mois, ce qui pose un vrai problème quant à l’efficacité dudit vaccin. 

Une étude qatarie confirme ces résultats :

BNT162b2-induced protection against SARS-COV-2 infection appeared to wane rapidly following its peak after the second dose, but protection against hospitalization and death persisted at a robust level for 6 months after the second dose. (Funded by Weill Cornell Medicine–Qatar and others.)

Traduction : la protection apportée par le vaccin diminue rapidement, même si (c’est la version officielle) la protection contre les formes graves ou mortelles se maintient à un niveau robuste pendant six mois après la seconde dose. 

Conclusion : le vaccin ne fonctionne que très peu de temps après la deuxième dose pour empêcher la circulation active du virus (être contaminé et contaminer les autres), et il n’empêche les cas graves que pendant six mois. Ces constats ne proviennent pas de quelconques sites complotistes, mais de sources parfaitement autorisées et non contestées par les grands défenseurs du vaccin. 

La Haute Autorité de Santé dresse des constats pires

C’est à la lumière de ces études qu’il faut lire les deux derniers avis rendus hier par la Haute Autorité de Santé sur la troisième dose de vaccin. Un premier avis élargit le périmètre de la dose de rappel aux personnels soignants. Un second texte donne une recommandation au gouvernement sur la dose de rappel de Pfizer, à distinguer de la troisième dose. 

Chacun de ces avis mérite d’être lu, car ils révèlent tous deux des considérations qui constitueront un jour des imprudences bien plus graves que l’affaire du sang contaminé. 

Le premier avis, qui préconise une dose de rappel pour les soignants, explique sans ambiguïté que l’efficacité du vaccin baisse rapidement, et qu’il n’empêche pas la circulation de la maladie. Il justifie la dose de rappel (soit six mois après la deuxième dose, et non quelques semaines après celle-ci comme pour la “troisième” dose, il faut suivre ces distinctions jésuitiques) par la nécessité de diminuer les contaminations des “plus fragiles” mais certainement pas de les empêcher…

Mais la conclusion de l’avis est particulièrement assassine au regard du risque que la Haute Autorité de Santé fait prendre à la population :

La HAS considère que l’amélioration de la situation sanitaire et les données encore limitées sur les conséquences d’un déclin de l’efficacité vaccinale au cours du temps chez le jeune adulte sans comorbidité ne justifient pas à ce stade de recommander l’administration d’une dose supplémentaire en population générale. 

Donc, il est clairement établi que les données sur le bénéfice-risque de la vaccination pour les jeunes adultes est loin d’être clair ! Malgré ce manque de connaissance, la Haute Autorité exige, pour “protéger” les autres, que ces jeunes adultes se vaccinent s’ils sont soignants. 

Quelle façon tordue de reconnaître que la vaccination est potentiellement plus dangereuses que la non-vaccination chez les adultes sans comorbidité ! Quel scandale sanitaire que de reconnaître sans l’assumer les sacrifices humaines auxquels on promet ces jeunes adultes, pour mieux protéger nos petits vieux…

La Haute Autorité de Santé reconnaît qu’elle ne sait pas si une 3è dose sert à quelque chose

Mais c’est surtout le second avis, baptisé “recommandation”, qui mérite son pesant de cacahuètes. Dans un premier temps, il donne des chiffres officiels sur le taux d’échec du vaccin, bien plus élevé que les données affichées par l’Agence Européenne du Médicament lors de l’attribution de l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle. 

Nous laissons ici le lecteur se forger sa propre opinion :

Mais de cet avis, nous retiendrons des phrases explicites qui montrent que le principe de précaution est ici totalement balayé au nom d’une doctrine fondée sur l’acceptation consciente de sacrifices individuels au nom du bien du “groupe” (réduit en l’espèce à quelques membres apeurés). 

Ainsi, on retrouve cette phrase :

  • Les données limitées d’une étude rétrospective israélienne (avec seulement 245 infections survenues chez des personnes ayant reçu une dose de rappel en Israël), montrent que l’administration d’une dose de rappel est associée à une diminution statistiquement significative de la charge virale en comparaison à celle des personnes primovaccinées qui n’avaient pas reçu leur dose de rappel, suggérant ainsi que l’administration d’un rappel diminuerait la charge virale et de fait, probablement la contagiosité des personnes développant une infection par le SARS-CoV-2 (variant Delta).

De façon totalement ahurissante, la Haute Autorité de Santé reconnaît qu’elle fonde sa recommandation sur des “données limitées”… “suggérant”… “que l’administration d’un rappel diminuerait la charge virale et de fait, probablement la contagiosité”. On se pince pour vérifier que l’on ne rêve pas. 

Ainsi, la décision d’obliger les soignants à recevoir une troisième dose se fonde sur une étude aux “données limitées” qui suggère l’efficacité du procédé, et “probablement” la baisse de la contagiosité. Nous sommes ici non plus dans le domaine de la science, mais de la spéculation. 

Souvenons-nous des arguments opposés à l’hydroxychloroquine ou à l’ivermectine : malgré des études positives, les autorités sanitaires en demandaient toujours plus, pour, au final, interdire ces traitements. En revanche, la pauvreté des données sur le vaccin Pfizer ne semble pas être un obstacle à la reconduction de son utilisation. 

Deux poids deux mesures ! Mais une certitude est acquise : dès qu’il s’agit de vaccin, la suggestion, la vraisemblance, le conditionnel, l’indigence des données suffisent largement pour établir des preuves scientifiques. 

La HAS ne dit pas tout sur ses inquiétudes profondes

Nous laissons chaque lecteur lire la recommandation de la Haute Autorité de Santé au prisme des doutes qu’elle laisse transparaître sans oser les écrire clairement. Mais on sent partout, dans cet avis, la gêne de ceux qui sont pris de doutes mais qui, dans le climat ambiant de détestation et de bannissement, n’osent guère prendre la parole pour dénoncer l’imposture. 

Nous retiendrons seulement les dernières phrases qui en disent long sur les craintes de ses membres :

Par ailleurs, la HAS insiste sur le fait que l’essai de phase 3 devra être poursuivi afin de pouvoir disposer de données d’immunogénicité, d’efficacité et de tolérance à plus long terme et souhaite être informée des résultats des analyses en sous-groupes dans cet essai, ainsi que des études mises en place dans le cadre du Plan de Gestion des Risques (PGR). La HAS souhaiterait également disposer d’informations complémentaires sur l’acceptabilité de la vaccination, en particulier sur les motifs des refus de vaccination chez les professionnels du secteur de la santé et du médico-social.

Cet avis sera revu en fonction de l’évolution des connaissances, notamment au regard des données d’efficacité et de sécurité en conditions réelles d’utilisation sur un plus long terme (données israéliennes notamment), des résultats complets des essais de phase 3 chez l’adulte, ainsi que des données épidémiologiques et de pharmacovigilance.

Autrement dit, la HAS ne cache pas son inquiétude sur la tolérance à long terme vis-à-vis du vaccin, et sur les conséquences en matière “d’immunogénicité”. Ce terme savant recouvre la probable baisse durable de défenses immunitaires chez les personnes vaccinées. Tiens ! tiens !

En outre, elle commence à se poser des questions sur le refus du vaccin chez les médecins et les soignants… Elle indique clairement que la mise sur le marché doit rester conditionnelle tant que des données à plus long terme ne sont pas mises à jour. 

Toutes ces précautions devraient naturellement conduire à suspendre la vaccination en attendant d’y voir plus clair. C’est la rationalité même qui l’exige. Mais les talibans au pouvoir ne sont plus, depuis longtemps, dans le domaine de la raison. 




PCB : Réponse à la conférence de presse aérienne de François entre Bratislava et Rome

Par Élie, Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

[Photo : Le Pape écoute une question lors de la conférence de presse sur le vol Bratislava-Rome, le 15 septembre 2021.  (Vatican Media)]

Le journaliste Bohumil Petrik (Denník Štandard) :

« La vaccination a divisé les chrétiens, également en Slovaquie. Vous dites que se faire vacciner est un acte d’amour. … Il y a différentes approches dans les différents diocèses sur ce point. Alors, on aimerait tous savoir comment s’entendre, comment se réconcilier sur cette question. »

Citation de François :

« … l’incertitude concernant la réputation de certains vaccins qui ne sont rien d’autre que de l’eau distillée. Cela a apeuré les gens. Puis, d’autres qui disent que c’est un danger, car avec le vaccin, vous êtes infecté… Je ne sais pas bien l’expliquer : certains disent que les vaccins ne sont pas suffisamment testés. Au Vatican, tout le monde est vacciné, sauf un petit groupe… »

Commentaire : Bergoglio admet qu’il ne sait pas bien l’expliquer, mais malgré cela, il utilise l’autorité papale afin de promouvoir des slogans tels que « le vaccin pour tous », « cela doit être fait », « se faire vacciner est un acte d’amour ». La réalité, aujourd’hui, c’est que le fabricant, le gouvernement ou le professionnel de la santé qui vous injecte le vaccin refusent d’assumer la responsabilité de ce vaccin, mais si vous refusez de vous faire vacciner, vous êtes étiqueté comme étant un(e) irresponsable ! Et Bergoglio ajoute que vous n’avez pas non plus d’amour !

Que disent les meilleurs scientifiques et experts ? En plus de beaucoup d’autres, mentionnons juste un récent avertissement urgent du professeur S. Bhakdi d’Allemagne, qui a de nombreuses années d’expérience dans la recherche en tant que microbiologiste et virologue. Il parle de la fraude mondiale au Covid, et d’une fraude encore plus grande concernant la vaccination mondiale contre le Covid. Il met en garde :

« Ne permettez à personne de vous faire de la propagande afin que vous obteniez la deuxième dose ! Si vous avez déjà reçu la première injection et que tout va bien pour vous, remerciez Dieu pour cela. Mais assurez-vous de ne pas obtenir la seconde injection, car alors le danger est vraiment grand. Les lymphocytes tueurs attaquent le corps et peuvent bloquer les vaisseaux sanguins… ce qui peut conduire à une maladie auto-immune, où le corps commence à s’attaquer lui-même ».

Les médecins allemands sont choqués par l’apparence du sang après la vaccination contre le covid-19, et déclarent n’avoir rien vu de tel en 30 à 40 ans de pratique. (https://odysee.com/videoghj:1)

Seule l’immunité innée — immunité « générale » à large spectre — peut mettre fin à cette soi-disant pandémie. Les vaccins ne peuvent jamais arrêter la mutation, l’infectiosité ou la transmission du covid-19, pour la simple raison que ces vaccins ne perçoivent jamais l’avenir, et même le CDC admet qu’ils ne peuvent pas empêcher l’infection ou la transmission. Actuellement, 2,4 milliards de personnes dans le monde sont vaccinées. Même si la vaccination prenait fin maintenant, un milliard de personnes dans le monde pourraient en mourir dans les trois prochaines années.

Ce sont des faits disponibles auprès des experts aujourd’hui. Dans ce contexte, il est choquant que si quelqu’un en Slovaquie souhaite assister à une célébration religieuse avec Bergoglio, la condition était qu’il devienne un rat de laboratoire et reçoive deux doses de vaccin expérimental. Le Code de Nuremberg inclut les expériences effectuées sur les êtres humains parmi les crimes contre l’humanité. Bergoglio ne le sait-il pas ? N’a-t-il pas pitié de ces gens ? Sera-t-il responsable des conséquences, qu’il s’agisse de mutilations ou de décès prématurés chez les jeunes ?

Un vrai berger est obligé de mettre en garde radicalement contre ces dangereux vaccins sur base d’informations véridiques provenant d’experts incorruptibles. Faire appel à ou prendre ses sources à partir des arguments provenant des médias mainstream ou de politiciens corrompus, constitue une trahison du service pastoral. C’est ce que Bergoglio, qui est un faux berger, fait.

Journaliste Gerard O’Connell (America Magazine) :

« … Comme vous le savez, aux États-Unis, après les dernières élections, il y a eu une discussion parmi les évêques concernant le fait de donner la communion aux politiciens qui ont soutenu les lois pro-avortement. Il y a des évêques qui veulent refuser la communion au président et à d’autres. Que pensez-vous de cette réalité, et que recommandez-vous aux évêques ? ».

Citation de François :

« Celui qui pratique un avortement tue. À la troisième semaine de conception, tous les organes sont déjà là. Tous. Même l’ADN. … C’est une vie humaine. Cette vie humaine doit être respectée. Ce principe est si clair. … Est-il juste, est-ce juste, de tuer une vie humaine pour résoudre un problème ? Est-il juste d’engager un tueur à gages pour résoudre un problème ? … C’est pourquoi l’Église est si stricte sur cette question, car accepter cela, c’est un peu comme accepter un meurtre quotidien ».

Commentaire : Ici, Bergoglio dit la pure vérité, exactement comme l’Église l’a toujours prêché. Mais quel paradoxe qu’en même temps, il promeuve cyniquement un vaccin qui contient des tissus arrachés à un bébé à naître, avant que ce bébé ne soit tué ! Il impose avec véhémence ce vaccin à tout le monde, et dit de manière manipulatrice que c’est un acte d’amour !

Il ne répond pas du tout à la question de savoir si la position des évêques américains qui veulent refuser la communion aux partisans publics de l’avortement, c’est-à-dire du meurtre, est correcte ou non. Il est de son devoir d’avertir et d’admonester les politiciens catholiques aux États-Unis et, en outre, non seulement de leur refuser la communion, mais même de les expulser publiquement de l’Église s’ils continuent à promouvoir le meurtre d’enfants à naître et refusent de se repentir. Bergoglio élude cependant cette question et soutient publiquement ces politiciens, même au cours de la campagne électorale.

On sait également que Bergoglio a fait l’éloge d’un avorteur notoire en Italie, responsable de plus de dix mille avortements ! De plus, il l’a béni pour la suite du « travail ». Selon l’enseignement de l’Église, non seulement ceux qui ont avorté sont accusés de meurtre, mais aussi ceux qui y ont participé. Bergoglio bénit les meurtres de masse, appelle le meurtre « travail » et lui donne une décoration papale. C’est pourquoi il est également passible d’une peine pour le meurtre d’enfants à naître. De plus, il est de son devoir d’avertir les politiciens, et s’il ne le fait pas, les paroles de saint Basile s’appliquent à lui :

« Celui qui a le devoir de réprimander dans l’Église et ne le fait pas sera puni comme un meurtrier ».

Citation de Bergoglio :

« Vous souvenez-vous de la tempête provoquée par Amoris Laetitia ? “Hérésie, hérésie !” Dieu merci, il y avait le cardinal Schönborn, un grand théologien qui a clarifié les choses… »

Commentaire : L’exhortation Amoris Laetitia contient-elle des hérésies, ou est-elle orthodoxe ? Pourquoi François, depuis plusieurs années, n’a-t-il pas du tout répondu aux doutes de quatre cardinaux ? Pourquoi n’a-t-il pas répondu à la Correction Filiale émise par les intellectuels et théologiens catholiques ? Au lieu de cela, il fait appel au théologien hérétique Schönborn. Schönborn est connu pour promouvoir l’homosexualité, et a maintenant transformé la cathédrale de Vienne en centre de vaccination.

Journaliste Stefano Maria Paci (télévision italienne Sky TG24) :

« La question concerne la famille : vous en avez parlé avec les autorités hongroises, et hier est arrivée la nouvelle d’une résolution au Parlement européen, résolution qui invite les États membres à reconnaître les mariages homosexuels. Que pensez-vous de ceci ? »

Citation de François :

« Ce sont des lois qui essaient d’améliorer la situation de nombreuses personnes d’orientations sexuelles différentes. Et c’est important… Les États ont la possibilité de les soutenir civilement, de donner une sécurité par l’héritage [l’assurance] santé… »

Commentaire : L’année dernière, dans un documentaire intitulé « François », le pseudo-pape a publiquement soutenu, pour la première fois, la légalisation du mariage homosexuel et de l’adoption d’enfants par les homosexuels. Comme il y avait beaucoup de bruit à ce sujet, on a rapidement soutenu qu’il ne s’agissait que d’un film. Mais Bergoglio ne se défendit pas, il se tut. Et à présent, dans l’avion, au moment où le Parlement européen a publié une résolution, il (François) soutient ouvertement le mariage civil entre personnes du même sexe.

L’enseignement de l’Église est qu’un catholique qui est enclin à l’homosexualité doit combattre cette concupiscence pécheresse, et éviter la prochaine occasion de pécher parce que le salut de son âme immortelle est en jeu. Le mariage homosexuel signifie légaliser l’obstination dans le péché, et rejeter la repentance salvatrice. Si Bergoglio dit qu’ils sont des enfants de Dieu qui n’ont pas besoin de se repentir, et que l’Église doit les accompagner, alors nous demandons : pour aller où ? Vers l’abîme de l’enfer ?

Bergoglio est coupable d’un plus grand péché que les homosexuels, parce qu’il abuse de la plus haute autorité ecclésiastique afin de légaliser le péché.

La sodomie fait tomber une malédiction et l’Écriture met en garde contre elle, parlant du feu temporel et éternel (Jud 1:7 ; 2P 2:6).

De plus, l’homosexualité est désormais associée à une anti-législation décadente, qui promeut l’idéologie du genre, la chirurgie de conversion sexuelle et le vol d’enfants par les services sociaux.

Il est gênant que la plus haute autorité ecclésiastique utilise l’héritage ou l’assurance-maladie comme argument en matière de mariage homosexuel, ferme les yeux sur les dégâts moraux pour les individus et la société, et boycotte la chose la plus importante, qui est le salut de l’âme.

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires

Le 16 septembre 2021

Réponse à la conférence de presse aérienne de François entre Bratislava et Rome

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) est une communauté de moines, de prêtres et d’évêques vivant dans des monastères. Le PCB est dirigé par le patriarche Élie, en collaboration avec deux évêques secrétaires, Timothée et Méthode. Ce patriarcat est né de la nécessité de défendre les vérités chrétiennes fondamentales contre les hérésies et l’apostasie. Le PCB ne reconnaît pas le pseudo-pape Bergoglio, et ne lui est pas subordonné.

Abonnez-vous aux newsletters du PCB :
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Grève nationale contre la vaccination en Israël

[Source : Cogiito]

Par Shai Shelly & Philippe A. Jandrok

La grande grève a commencé en Israël

ISRAËL S’ÉVEILLE ENFIN, ET CRIE STOP AU CRIME VACCINAL ET AU MENSONGE D’ÉTAT.

Alors que la presse israélienne aux ordres, refuse de diffuser l’information de cette prise de conscience, le peuple manifeste aujourd’hui son épuisement et son ras-le-bol face à la situation COVID et aux vaccinations criminelles dans tout le pays. Les voitures s’accumulent, se mettent les unes derrière les autres pour bloquer la circulation, le peuple ferme le pays d’une ville a l’autre, toutes les villes sont désormais solidaires dans ce combats pour la vie, pour la survie de tout un peuple.

La négation de la science a pour conséquence, la privation des libertés mais également le massacre de la population israélienne et internationale à l’échèle d’un nouvel Holocauste comme l’affirme le Dr Zelenko à New York, Vera Sharav rescapée des camps et combien d’autres ?

https://www.youtube.com/embed/NGoWgYHl7Os



Le peuple israélien ne supporte plus cette privation de liberté et ce nouvel holocauste organisé par les laboratoires, les industriels de la pharmacie, les banques et le gouvernement Israélien.

Les preuves scientifiques sont criantes, ils ne peuvent plus mentir, ils ne peuvent plus les cacher, les vaccins anti-COVID sont dangereux, mortels, destructeurs de la vie ; le jour de la révolte pour la vérité et l’humanité est enfin arrivé… en Israël.

En ce jour béni, les voitures bloquent tout le pays et toutes les rotondes par des opérations escargots.

DES DIZAINES DE MILLIERS DE CITOYENS ONT PORTÉ PLAINTE CONTRE LA POLICE ET LE GOUVERNEMENT POUR CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ

Des centaines de milliers de personnes sont dans les rues à manifester et ils ne vont pas cesser de bloquer le pays tant que le gouvernement n’annulera pas le passeport vert et les obligations vaccinales.

La vérité est enfin découverte par le peuple, malgré les dissimulations de Facebook, Youtube et les médias techno-nazis, les vaccins Pfizer ont tué des centaines de milliers de personnes dans tout le pays, alors que le ministre de la santé a déclaré officiellement :

“QU’IL N’Y AVAIT PAS DE VICTIMES VACCINALES APRÈS LA TROISIÈME INJECTION”.

20 000 citoyens ont témoigné que les israéliens sont soit blessés avec de graves effets secondaires, soit ils décèdent rapidement après les injections du vaccin Pfizer.

Le peuple Israélien veut mettre un terme à ce massacre et réclame de retrouver son statut d’êtres humains libres comme avant le déclenchement de la crise pandémique du Coronavirus.

Nous sommes à l’ère des révélations, les psychopathes organisateurs de cette pandémie ne pourront plus se cacher et leurs complices hommes et femmes politiques, médecins, personnels soignants, fonctionnaires, policiers, toutes ces personnes qui ont joué un rôle dans ce crime contre l’humanité devront rendre des comptes.

Klaus Schwab, grand ordonnateur du Forum Economique Mondial nous averti de sa fausse bienveillance et de sa prochaine globale cyber attaque – car nous pensons qu’il n’y est pas étranger – pour empêcher l’humanité d’accéder à la véritable information et pour permettre aux banques d’imposer la monnaie numérique en pillant l’argent des citoyens du monde entier. Cette opération sert également à tous ces criminels pour s’échapper, se cacher et tenter de garder le contrôle sur notre humanité.

Restons lucides, ne cédons à aucune panique, celles et ceux qui portent la lumière de la vérité devront tenir bon face à la tempête qui s’affaiblit de jour en jour. Le peuple vaincra car, il est dans la vérité.

Il ne tient qu’à nous toutes et tous, êtres bienveillants de faire s’écrouler ce géant aux pieds d’argile.





https://www.facebook.com/nurit.orvieto/videos/289437172731496

THE GREAT STRIKE HAS BEGUN IN ISRAEL




Covid-19 : l’étau se resserre autour du docteur Anthony Fauci

[Source : voltairenet.org]

The Intercept a publié le 23 septembre 2021 une demande de subvention d’EcoHealth Alliance soumise à la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) en 2018.(([1] « Leaked Grant Proposal Details High-Risk Coronavirus Research] », Sharon Lerner & Maia Hibbett, The Intercept, September 23 2021.)) On peut y lire que cette société se propose de créer en laboratoire un virus artificiel à partir de coronavirus de chauve-souris.(([2] https://www.documentcloud.org/documents/21066966-defuse-proposal))

L’ancien conseiller économique du président Donald Trump, Peter Navarro, a par ailleurs révélé qu’EcoHealth Alliance a servi au docteur Anthony Fauci à détourner de l’argent public US pour financer des recherches — illégales aux États-Unis — effectuées par le laboratoire P4 de Wuhan (Chine).

Le directeur d’EcoHealth Alliance, Peter Daszak, est l’auteur principal de la pétition, parue dans The Lancet,(([3] « Statement in support of the scientists, public health professionals, and medical professionals of China combatting COVID-19 », The Lancet, February 19, 2020.)) pour soutenir les professionnels de santé de Wuhan injustement accusés d’être responsables de l’épidémie de Covid-19. Peter Daszak a aussi été membre de la Mission d’information de l’OMS à Wuhan.

Alex Jones (InfoWars) a diffusé, le 4 septembre 2021, deux extraits d’une vidéo diffusée par la chaîne publique états-unienne CSPAN, en octobre 2019, d’une table ronde sur la création d’un vaccin universel contre la grippe.(([4] « Monday Night Emergency Broadcast : Video of Fauci and HHS Plotting to Stage Massive Health Scare Using “New Virus” Emerges », InfoWars, September 4, 2021.))

Les experts y débattent de la nécessité
• de modifier la procédure d’habilitation des vaccins contre la grippe et
• de changer la manière dont on produit les vaccins contre la grippe et de les remplacer par des système ARN messager.
Ils constatent que l’industrie pharmaceutique ne franchira pas le pas car la grippe n’est pas une maladie qui fait peur.

Le docteur Anthony Fauci déclare alors en substance qu’il faudrait un choc, une épidémie d’une sorte de grippe beaucoup plus mortelle, pour que l’industrie pharmaceutique et l’Humanité avancent.

Anthony Fauci est directeur, depuis 1984, de l’Institut national US des allergies et maladies infectieuses (National Institute of Allergy and Infectious Diseases). Il a été un collaborateur du secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld et a milité en 2004 pour son projet de confinement des personnes saines. Il est membre de « L’Aube rouge »,(([5] « Le Covid-19 et l’Aube rouge », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 avril 2020.)) le groupe qui a milité en 2020 pour l’application du plan de confinement des personnes saines à l’occasion de l’épidémie de Covid-19. Il a été nommé par le président Donald Trump à la cellule de crise sur la Covid-19 et a été maintenu à ce poste par le président Joe Biden.





Les mécanismes des régimes totalitaires

[Extrait de Viol des esprits et psychose de masse – Anthropo-logiques]

Audition donnée devant la Commission Corona de l’avocat allemand Reiner Fuellmich par le Pr Mattias Desmet. Celui-ci enseigne la psychologie clinique à l’université de Gand en Belgique et s’est spécialisé dans la « formation de masse » typique des régimes totalitaires.

Dans un exposé brillant, il présente un modèle effectivement éclairant quant aux conditions préalables nécessaires, mais aussi à la dynamique propre des dérives de l’ordre de celle dans laquelle nous sommes.

Laquelle se caractérise en effet par un « état préalable » de la société, fait de niveaux élevés de mal-être et de perte de sens. Soulignant les taux stupéfiants (littéralement) de consommation de médicaments psychotropes dans nos différents pays ainsi que de marqueurs de souffrance psychique comme le burn-out et les dépressions, le Pr Desmet souligne que nous étions déjà des sociétés souffrant de fort taux d’anxiété et de frustration psychique diffuses, amplifiées par la perte de liens sociaux. Il en résulte une société déboussolée, avec des individus en proie à des affects d’autant plus douloureux qu’ils ne savent pas les attribuer à une cause en particulier. Cette souffrance « flottante » est d’autant plus redoutable que tout facteur obvie apparaissant porte en lui le risque de précipiter les deux principaux processus inconscients mis en lumière par Freud : le déplacement et la condensation.

Un agent comme le coronavirus peut ainsi devenir la cible de cette projection massive sur laquelle les individus vont décharger mais aussi investir massivement leur souffrance diffuse : grâce au Covid, ils savent enfin (ou croient savoir bien sûr) pourquoi ils sont aussi angoissés et déboussolés.

La captation de cet investissement pulsionnel par le narratif officiel devient un jeu d’enfant : dans une configuration élémentaire « à la » triangle de Karpmann (que Desmet ne mentionne pas), les gens s’éprouvent victimes ou à risque de l’être avec un bourreau identifié (le redoutable virus, auquel se retrouvent agglutinés ceux qui contestent le narratif officiel -complotistes et antivaxx selon les étiquettes de circonstance- désignés eux aussi comme des « dangers publics » ) et un sauveur qui l’est tout autant (les autorités protectrices et le « vaccin » salvateur).

Dans ce processus, les individus se soulagent efficacement de leur souffrance diffuse, avec de surcroît le sentiment de participer à une communauté héroïque, recréant ainsi le sentiment d’être en liens d’une manière où ils se sentent prêts à tous les sacrifices. Le Pr Desmet insiste sur le fait que la participation à la dérive totalitaire est tout sauf égoïste : elle est à l’inverse solidaire, altruiste et même sacrificielle. Ce que confirme la facilité avec laquelle les peuples renoncent actuellement à leurs droits et libertés.

Une fois cet « engoncement » dans un narratif fantasmatique réalisé, le piège s’est refermé : le risque qu’il y aurait à ouvrir les yeux, à comprendre la réalité de la situation, à mesurer aussi l’étendue et la gravité des manipulations et maltraitances subies de la part de dirigeants en qui ils avaient placé leur confiance implique nécessairement le risque d’être renvoyé à la souffrance flottante, perspective psychiquement insupportable. Ce qui explique pourquoi les « covidistes » (autorités et population) sont si peu intéressés par les faits, les chiffres et les données. A tel point qu’ils les rejettent même avec acharnement et une hostilité marquée envers ceux qui cherchent à les en informer.

Un paramètre frappant de ce processus est que ce ne sont de loin pas les personnes les mieux éduquées ou soi-disant les plus aptes à la pensée critique qui se trouvent être les mieux protégés face à cette dérive délirante. Au contraire ! Les « élites » sont d’autant plus à risque que leur narcissisme social rend difficile pour elle l’admission de leurs erreurs ou dérapages. Les biais cognitifs de confirmation, amplifiés par la pensée grégaire et la supériorité de caste, rend à l’inverse les médecins, scientifiques, universitaires, avocats, psychologues, dirigeants d’entreprise, cadres et journalistes d’autant plus à risque de s’enfermer dans des postures délirantes.

Les chiffres insensés que continue à produire la Task Force scientifique suisse dans ses hallucinations modélisatoires en est un bon exemple : après avoir prétendu à l’encontre de toute réalité que les confinements avaient sauvé des dizaines de milliers de vies (là où la vraie science montre qu’il n’ont pas eu d’impact favorable) sa vice-présidente Samia Hurst est venue il y a peu expliquer aux médias complaisants que le pass sanitaire allait permettre maintenant d’éviter des dizaines de milliers d’hospitalisations, là où les meilleurs épidémiologistes ont montré son inutilité en ce sens. A part aligner les « 0 » après un nombre entier dans de parfaits fantasmes pseudoscentifiques, les élucubrations de la Task Force ne sont rien d’autre depuis le début de l’épidémie de Covid que des productions proprement délirantes au regard des critères de la vraie science.

Symptôme d’un mal plus profond : comme le problème n’est pas intellectuel ou logique, les données véridiques ne peuvent rien pour ces psychismes azimutés. Qui se tiennent parmi hélas dans une grande bouffée psychotique pour le plus grand malheur de la population.

Alors comment sortir de l’ornière ?! Mattias Desmet souligne qu’il y a toujours dans les formations de masse une répartition inégale de la population : à peu près 30% est captive de l’hypnose collective et ne dispose pas de la ressource nécessaire à la remettre en question. 40% de la population est simplement emportée par le mouvement, mais tout en conservant la ressource latente de se questionner et de sentir intuitivement que quelque chose ne joue pas. En particulier dans la présentation absurde des données. Enfin, de 20 à 30% de la population est constituée de personnes qui ont une immunité psychique face à la formation de masse. Elles ont vocation à être des gardiens des valeurs humaines et du bon sens, avec pour objectif principal de garder le dialogue ouvert avec les 40% de personnes « récupérables ».

Cette audition est si éclairante, si fondamentale, que je ne peux qu’en recommander vivement le visionnement. Fuellmich et son équipe poussent évidemment les questions plus loin, notamment quant à la possible « ingénierie » délibérée et impliquant donc une responsabilité pénale de certains acteurs. La suite est à découvrir ici :



  • Article « Masse und Macht renommées « La formation de masse » par Mattias Desmet » par Valoloz sur son blog de Mediapart : cliquer ici.
  • Dr. Mattias Desmet – psychological crisis and mass formation, podcast (en anglais) : cliquer ici.

[Voir aussi :
LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Comment la peur court-circuite le raisonnement
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Dernier appel avant embarquement pour suicide collectif
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes
Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés
Le cerveau électronique
Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population]




Au sujet de la vaccination obligatoire




Lien entre relations sociales et santé

[Source : plos.org]

Relations sociales et risque de mortalité : une revue méta-analytique

Résumé

Contexte

La qualité et la quantité des relations sociales des individus
ont été liées non seulement à la santé mentale.
mais aussi à la morbidité et à la mortalité.

Objectifs

Cette revue méta-analytique a été menée pour déterminer dans quelle mesure les relations sociales influencent le risque de mortalité, quels aspects des relations sociales sont les plus prédictifs et quels facteurs peuvent modérer le risque.

Extraction des données

Les données ont été extraites sur plusieurs caractéristiques des participants, y compris la cause de la mortalité, l’état de santé initial et les conditions de santé préexistantes, ainsi que sur les caractéristiques de l’étude, y compris la durée du suivi et le type d’évaluation des relations sociales.nes bleues) 

Résultats

Dans l’ensemble des 148 études (308 849 participants), la taille de l’effet moyen pondéré par les effets aléatoires était OR = 1,50 (IC à 95 % : 1,42 à 1,59), ce qui indique une probabilité de survie accrue de 50 % pour les participants ayant des relations sociales plus fortes. Ce résultat est resté cohérent quels que soient l’âge, le sexe, l’état de santé initial, la cause du décès et la période de suivi. Des différences significatives ont été constatées selon le type de mesure sociale évaluée (p<0,001) ; l’association était la plus forte pour les mesures complexes de l’intégration sociale (OR = 1,91 ; IC 95 % 1,63 à 2,23) et la plus faible pour les indicateurs binaires du statut résidentiel (vivre seul ou avec d’autres) (OR = 1,19 ; IC 95 % 0,99 à 1,44).

Conclusions

L’influence des relations sociales sur le risque de mortalité
est comparable aux facteurs de risque de mortalité bien établis.


[Source : infochretienne.com]

Comment vivre heureux et en bonne santé ?
Découvrez la réponse des scientifiques d’Harvard

Quand les équipes de recherche d’Harvard ont interrogé les jeunes adultes de la génération Y sur le but de leur vie, et la manière avec laquelle ils pensaient accéder au bonheur, 80% d’entre eux ont reconnu vouloir être riche et 50% célèbre ! Mais qu’est-ce qui nous rend vraiment heureux et en bonne santé pour toute la vie ? 4 générations de chercheurs se sont succédées tout au long d’une étude inédite, réalisée sur un échantillon de 724 hommes pendant 75 ans. Et la réponse à cette grande question est désormais connue et démontrée scientifiquement. Elle n’est en aucun cas liée à la richesse, à la célébrité ou au travail.



Cette étude est la plus longue jamais réalisée. 75 ans d’enquêtes, de questionnaires, d’entretiens, d’analyses médicales, de scanners, conduits par 4 directeurs de recherche successifs, ont permis d’étudier de manière scientifique ce qui rend vraiment les gens heureux.

Le projet initié par l’Université d’Harvard a démarré en 1938. 2 groupes de jeunes garçons de 19 à 20 ans ont été constitués. Le premier était formé par des étudiants de Harvard en deuxième année. Des jeunes garçons pauvres des bas quartiers du Boston des années 30 constituait le deuxième groupe. 60 de ces hommes sont toujours en vie aujourd’hui.

L’étude a commencé par des entretiens avec les garçons et leurs parents, ainsi que des analyses médicales variées. Tous les 2 ans, le rituel s’est répété, s’étoffant peu à peu, au fur et à mesure des progrès de la science et de l’imagerie médicale.

Les jeunes hommes sont devenus ouvriers, maçons, avocats, médecins… L’un d’eux est même devenu président des États-Unis ! Certains sont devenus alcooliques, schyzophrènes… Quelques-uns ont pris l’ascenseur social et d’autres ont fait le chemin inverse.

Aujourd’hui l’étude s’est élargie et porte sur les épouses, les enfants et petits-enfants. Des dizaines de milliers de pages de données ont été collectées autour de cette passionnante étude, pour pouvoir répondre à la grande question de la recette du bonheur.

« Comment vivre heureux et en bonne santé ? »

La réponse est simple :

Ni l’argent, ni le travail, ni la célébrité ne sont nécessaires au bonheur et à la bonne santé.
C’est la nature de nos relations qui compte.

Les relations harmonieuses nous rendent plus heureux et en meilleure santé !

Selon l’actuel directeur de recherche, le psychiatre Robert Waldinger, l’étude au long cours enseigne 3 grandes leçons :

  • Les connexions sociales sont d’une importance capitale et la solitude tue. Les personnes les plus connectées à leurs amis à leurs familles sont en meilleure santé. Mais la solitude est toxique. Les gens isolés socialement voient leur santé décliner en milieu de vie, et leurs fonctions cérébrales ralentissent plus vite.
  • Ce n’est pas le nombre d’amis qui compte, ce n’est pas non plus le fait de vivre en couple, mais c’est la qualité des relations avec ses proches qui importe. Vivre en conflit est désastreux pour la santé, alors que les relations chaleureuses protègent notre santé. Les quinquagénaires qui ont de bonnes relations deviennent des octogénaires en bonne santé.
  • Les relations de qualité ne protègent pas que notre corps. Elles protègent également notre cerveau. Les personnes qui ont des relations de qualité à 80 ans, ont moins de problèmes de mémorisation et le cerveau est mieux protégé. Certains couples d’octogénaires se disputent, mais tant qu’ils peuvent compter l’un sur l’autre, leur mémoire ne flanche pas.

Le psychiatre conclut sa présentation ainsi :

« On aimerait une solution facile… Les relations sont désordonnées et compliquées. C’est un dur labeur de s’accrocher à sa famille et ses amis, ce n’est ni sexy ni glamour. C’est tout le long de la vie. Ça ne finit jamais ! »

Les querelles et les mauvaises relations laissent des empreintes indélébiles en nous. Laissons nos écrans pour des temps de qualités, allons discuter pendant de longues marches, préservons les relations avec nos proches.

Nul besoin de la richesse, de la célébrité ou d’un travail valorisant, une belle vie se construit avec de bonnes relations.

« On n’a pas le temps, si brève est la vie, pour les chamailleries, les excuses, l’animosité, les appels à rendre des comptes. On n’a que le temps pour aimer et pas un instant de plus, pour ainsi dire, que pour ça. »

Mark Twain

H.L.


[Source : PubMed (nih.gov)]

Dans la maladie et dans la santé :
La corégulation de l’inflammation et du comportement social

Résumé

Bien qu’il ait été communément admis que le système immunitaire et les processus qui régissent le comportement social sont des entités distinctes et non communicantes, les recherches menées au cours des dernières décennies suggèrent le contraire.

Des preuves considérables montrent maintenant que
les processus inflammatoires et le comportement social
sont en fait de puissants régulateurs les uns des autres.

Cette revue résume d’abord les preuves que les processus inflammatoires régulent le comportement social, conduisant à des changements caractéristiques qui peuvent aider un individu à naviguer dans l’environnement social pendant les périodes de maladie. Plus précisément, cette revue montre que l’inflammation :

  • (1) augmente la sensibilité neuronale liée à la menace pour les expériences sociales négatives (par exemple, le rejet, les réactions sociales négatives), probablement pour augmenter la sensibilité aux menaces pour le bien-être ou la sécurité afin de les éviter
  • et (2) augmente la sensibilité neuronale liée à la récompense pour les expériences sociales positives (par exemple, voir des personnes proches et recevoir des réactions sociales positives), probablement pour augmenter la motivation liée à l’approche des autres qui pourraient fournir un soutien et des soins pendant la maladie.

Ensuite, cette revue résume les preuves montrant que le comportement social régule également certains aspects de l’activité inflammatoire, préparant le corps à des situations dans lesquelles les blessures et les infections sont plus probables (isolement social). Ici, nous passons en revue les recherches montrant :

  • (1) que l’exposition à des facteurs de stress social augmente l’activité pro-inflammatoire,
  • (2) que les individus qui sont plus isolés socialement (c’est-à-dire solitaires) présentent une activité pro-inflammatoire accrue,
  • et (3) que les individus qui sont plus isolés socialement présentent une activité pro-inflammatoire accrue en réponse à un défi inflammatoire ou à un facteur de stress social. Les implications de la corégulation de l’inflammation et du comportement social sont discutées.



« Je n’en peux plus »

[Source en allemand : multipolar-magazin.de]

Dans une lettre ouverte, un collaborateur d’ARD critique un an et demi de reportages sur la Covid-19. Ole Skambraks travaille depuis 12 ans comme collaborateur éditorial et rédacteur en chef de la radio publique.


Par OLE SKAMBRAKS

Je ne peux plus me taire. Je ne peux plus accepter sans mot dire ce qui se passe depuis maintenant un an et demi chez mon employeur, la radiodiffusion de service public. Les statuts et les traités d’État sur les médias consacrent des éléments tels que « l’équilibre », la « cohésion sociale » et la « diversité » dans la couverture médiatique. C’est tout le contraire qui se pratique. Il n’y a pas de véritable discours et d’échange dans lequel toutes les composantes de la société se retrouvent.

Dès le début, j’ai estimé que la radiodiffusion de service public devait remplir précisément cet espace : promouvoir le dialogue entre les partisans de l’action et les critiques, entre les personnes qui ont peur du virus et les personnes qui ont peur de perdre leurs droits fondamentaux, entre les partisans de la vaccination et les sceptiques de la vaccination. Mais depuis un an et demi, l’espace de discussion s’est considérablement rétréci.

Les scientifiques et les experts respectés avant la Covid-19, qui ont reçu un espace dans le discours public, sont soudainement des cinglés, des porteurs de chapeaux d’aluminium ou des covidiots. L’exemple cité est celui de Wolfgang Wodarg. Il est médecin spécialiste, épidémiologiste et politicien de longue date en santé. Jusqu’à la crise Covid, il a également siégé au conseil d’administration de Transparency International. En 2010, en tant que président de la commission de la santé publique du Conseil de l’Europe, il a mis au jour l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la pandémie de grippe porcine. À l’époque, il pouvait exprimer personnellement son opinion à la radio publique, et ce n’est plus possible depuis la Covid-19. Il a été remplacé par ce que l’on appelle des vérificateurs de faits [ou « fact checkers » en anglais] qui le discréditent.

Un consensus paralysant

Au lieu d’un échange de vues ouvert, un « consensus scientifique » a été proclamé, qu’il convient de défendre. Ceux qui en doutent et réclament une perspective multidimensionnelle sur la pandémie récoltent l’indignation et l’hésitation.

Ce schéma fonctionne aussi au sein des rédactions. Depuis un an et demi, je ne travaille plus dans les actualités quotidiennes, ce dont je suis très heureux. Dans ma position actuelle, je ne participe pas aux décisions sur les questions qui seront traitées ni sur la manière dont elles le seront. Je décris ici ma perception des conférences de rédaction et d’une analyse de la couverture médiatique. Pendant longtemps, je n’ai pas osé sortir du rôle d’observateur, le prétendu consensus semblait trop absolu et à l’unisson.

Depuis quelques mois, je m’aventure sur la glace [au risque de glisser] et j’apporte ici et là une remarque critique lors de conférences. Il est souvent suivi d’un silence affecté, parfois d’un « merci pour l’indication » et parfois d’une leçon sur les raisons pour lesquelles ce n’est pas vrai. Cela n’a jamais donné lieu à des reportages.

Le résultat d’un an et demi de Covid-19 est une division de la société sans équivalent [dans l’Histoire]. La radiodiffusion de service public y a largement contribué. Elle assume de moins en moins sa responsabilité de construire des ponts entre les camps et de promouvoir les échanges.

On avance souvent l’argument selon lequel les critiques constituent une petite minorité qui n’a pas besoin d’être concertée, à qui il ne faut pas accorder trop de place pour des raisons de proportion. Cela devrait être réfuté au plus tard depuis le référendum en Suisse sur les mesures sanitaires. Bien qu’il n’y ait pas non plus d’échanges de vues libres dans les médias, le vote n’y a été que de 60 pour le gouvernement contre 40.(([1] L’exception était la couverture du référendum, pendant laquelle la télévision suisse était tenue de donner aux deux parties la même place de diffusion (vidéo ici) )) Peut-on parler d’une petite minorité à 40 % des suffrages exprimés ? Il convient de mentionner que le gouvernement suisse avait lié l’aide Covid au vote, ce qui a pu influencer la décision de certains de cocher le « oui » [en faveur du gouvernement].

Les développements de cette crise se déroulent à tant de niveaux, avec des répercussions sur toutes les composantes de la société, qu’en ce moment même, il faut non pas moins d’espace de débat, mais plus de liberté de débat.

Ceci n’est pas révélateur de tout ce qui est discuté à la radio publique, mais de ce qui n’est pas évoqué. Les raisons en sont multiples et nécessitent une analyse interne honnête. Les publications du chercheur en médias et ancien conseiller de la radio MDR Uwe Krüger peuvent y contribuer, comme par exemple son livre « Grand public — Pourquoi nous ne faisons plus confiance aux médias ».

Quoi qu’il en soit, il faut beaucoup de courage pour nager à contre-courant lors de conférences où des sujets sont débattus et discutés. Souvent, c’est celui qui est le plus éloquent qui peut présenter ses arguments, qui les imposent, et en cas de doute, c’est bien sûr la direction de la rédaction qui décide. Très tôt, l’équation a été que la critique des mesures sanitaires appartient au spectre de droite. Quel rédacteur en chef ose encore formuler une pensée contraire ?

Questions en suspens

Ainsi, la liste des incohérences et des questions en suspens qui n’ont pas reçu de rapports substantiels est très large :

  • Pourquoi en savons-nous si peu dans la recherche de « gain de fonction » sur la façon de rendre les virus plus dangereux pour l’homme ?
  • Pourquoi la nouvelle loi sur la protection contre les infections stipule-t-elle que le droit fondamental à l’intégrité physique et l’inviolabilité du logement peuvent désormais être restreints, indépendamment d’une situation épidémique ?
  • Pourquoi les personnes qui avaient déjà eu la Covid-19 doivent-elles se faire vacciner alors qu’elles sont au moins aussi bien protégées que les personnes vaccinées ?
  • Pourquoi ne parle-t-on pas de l’événement 201 et des exercices pandémiques mondiaux avant la propagation du SRAS-CoV-2 ou seulement en liaison avec des mythes conspirationnistes ?(([2] Les autres exercices d’urgence pandémique étaient « Clade X » (2018), « Atlantic Storm » (2005), « Global Mercury » (2003) et « Dark Winter » (2001). Ces exercices ont toujours porté sur la gestion de l’information.))
  • Pourquoi le document interne du ministère fédéral de l’Intérieur, connu des médias, n’a-t-il pas été publié dans son intégralité — et a-t-il été discuté par l’opinion publique ? — alors qu’il demandait que les autorités aient un « effet de choc » pour mettre en évidence les effets de la pandémie Covid sur la société humaine ?
  • Pourquoi l’étude du Professeur Ioannidis sur le taux de survie (99,41 % chez les moins de 70 ans) n’arrive-t-elle pas à faire les gros titres, alors que les projections fatalement fausses de l’Imperial College l’ont déjà fait (Neil Fergusson a prédit un demi-million de morts de la Covid-19 au Royaume-Uni au printemps 2020 et plus de 2 millions aux États-Unis) ?
  • Pourquoi un rapport d’expertise a-t-il été établi pour le ministère fédéral de la Santé que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients de Covid-19 n’était que de 2 % en 2020 ?
  • Pourquoi Brême a-t-elle de loin l’incidence la plus élevée (113 le 4/10/2021) et de loin le taux de vaccination le plus élevé en Allemagne (79 %) ?
  • Pourquoi des paiements de 4 millions d’euros ont-ils été versés sur un compte familial de la commissaire européenne chargée de la santé, Stella Kyriakides, responsable de la conclusion des premiers contrats européens de vaccins avec les groupes pharmaceutiques ?(([3] Panorama a fait état des paiements, mais le rôle des Kyriakides dans les contrats de vaccin anti-Covid n’a pas été clairement indiqué. Pour le reste, le sujet n’a pas eu beaucoup d’importance dans les médias.))
  • Pourquoi les personnes ayant de graves effets vaccinaux ne sont-elles pas dépeintes dans la même mesure qu’en 2020 les personnes atteintes de Covid-19 l’étaient ?(([4] Par exemple, la radio publique n’a guère parlé du musicien britannique Eric Clapton, qui a développé de vives réactions après la vaccination et qui les regrette aujourd’hui.))
  • Pourquoi personne ne s’inquiète-t-il de l’impropre comptage des « cas » de contamination ?(([5] Selon l’ICR, il y a un « cas » si un vacciné présente à la fois un test positif et des symptômes — pour les personnes non vaccinées, un test positif suffit. De cette manière, les personnes non vaccinées sont statistiquement plus importantes.))
  • Pourquoi les Pays-Bas signalent-ils beaucoup plus d’effets indésirables des vaccins Covid-19 que les autres pays ?
  • Pourquoi la description de l’efficacité des vaccins Covid-19 du côté de l’Institut Paul Ehrlich a-t-elle changé trois fois au cours des dernières semaines ? « Les vaccins Covid-19 protègent contre les infections par le virus SRAS-CoV-2. » (15 août 2021) « Les vaccins Covid-19 protègent contre toute infection grave par le virus SRAS-CoV-2 » (7. « Les vaccins Covid-19 sont indiqués pour l’immunisation active pour la prévention de la maladie de Covid-19 causée par le virus SRAS-CoV-2 » (27 septembre 2021)(([6] sous la rubrique « Liste des vaccins autorisés » ; éditions de sites web précédents de PEI accessibles via les archives Internet Wayback Machine (ici, ici, et ici).))

Je voudrais aborder quelques points en détail.

« Gain de fonction » et « Fuite de laboratoire »

En ce qui concerne la recherche sur le gain de fonction — c’est la recherche pour rendre les virus plus dangereux, ce qui a été pratiqué à l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine, et financé par les États-Unis — je n’ai rien entendu ni lu de substantiel à ce jour. Cette recherche a lieu dans ce que l’on appelle les laboratoires P4, où l’on travaille depuis des décennies à la manière dont les virus présents dans le règne animal peuvent être modifiés pour devenir dangereux pour l’homme. Jusqu’à présent, ARD et ZDF ont fait un grand pas en avant sur cette question, alors qu’il faut clairement discuter de cette question. Une première question à débattre pourrait être, par exemple, la suivante : voulons-nous, en tant que société, une telle recherche ?

La théorie de la fuite du laboratoire — c’est-à-dire l’hypothèse que le SRAS-CoV-2 est issu d’un laboratoire — a fait l’objet de nombreux rapports. Il convient de mentionner que cette question a été immédiatement qualifiée de mythe conspirationniste l’année dernière. Les médias alternatifs qui ont suivi cette piste ont été bannis des réseaux sociaux tels que YouTube et Twitter et les informations ont été supprimées. Les scientifiques qui ont exprimé cette thèse ont été massivement attaqués. Aujourd’hui, la théorie de la « fuite du laboratoire » est au moins aussi plausible que la transmission par une chauve-souris. Le journaliste d’investigation américain Paul Thacker a publié dans le British Medical Journal les résultats de ses recherches minutieuses. À ce sujet, le Dr Ingrid Mühlhauser, professeur de sciences de la santé à l’Université de Hambourg, écrit :

« Pas à pas, il montre [Thacker] comment les opérateurs d’un groupe de laboratoires américain développent de manière ciblée une théorie du complot pour masquer leur accident de laboratoire à Wuhan comme un complot. Le mythe est soutenu par des magazines prestigieux comme le Lancet. Les journalistes scientifiques et les prestataires de services de vérification des faits prennent en charge les informations sans réfléchir. Les scientifiques impliqués se taisent de peur de perdre du prestige et du soutien pour leur recherche. Facebook bloque pendant près d’un an les messages qui remettent en question l’origine naturelle du SRAS-CoV-2. Si la thèse de l’accident de laboratoire était confirmée, ZDF et d’autres médias auraient défendu les mythes conspirationnistes. »

Ivermectine et alternatives à la vaccination

Depuis des mois, on voit également qu’il existe des traitements efficaces et peu coûteux contre la Covid-19 qui [pourtant et officiellement] ne doivent pas être utilisés. Les données à ce sujet sont claires. Mais les campagnes pseudo-scientifiques de désinformation contre ces moyens sont révélatrices de l’état de notre médecine. L’hydroxychloroquine est connue depuis des décennies et a été utilisée des millions de fois contre le paludisme et les maladies rhumatismales. L’année dernière, elle a été soudainement déclaré dangereuse. La déclaration du président Donald Trump selon laquelle l’hydroxychloroquine est un « changement de jeu » a fait le reste pour la discréditer. La raison politique ne permettait plus une confrontation scientifique sur l’HCQ [l’hydroxychloroquine].

Tous les médias ont largement parlé de la situation catastrophique en Inde due à la prolifération du Delta au printemps (à l’époque, on parlait encore de la variante indienne du virus). En revanche, le fait que l’Inde ait maîtrisé la situation assez rapidement et que le médicament ivermectine ait joué un rôle déterminant à cet égard dans de grands États comme l’Uttar Pradesh ne valait plus la peine d’être rapporté.(([7] L’OMS a même fait l’éloge de l’État indien de l’Uttar Pradesh pour sa politique covidienne, mais sans mentionner l’ivermectine. Le taux de vaccination dans l’Uttar Pradesh est inférieur à 10 %.))

L’ivermectine est également autorisée provisoirement en République tchèque et en Slovaquie pour le traitement des patients atteints de Covid-19. C’est tout de même ce que rapporte le MDR, mais avec une connotation négative.

Dans la liste des médicaments possibles de la Bayerische Rundfunk, l’ivermectine n’est même pas mentionnée, et à l’hydroxychloroquine sont citées seulement des études négatives et non positives.

La molécule clofoctol a également démontré un bon effet contre le SRAS-CoV-2 lors des tests effectués en laboratoire au cours de l’été 2020. Jusqu’en 2005, l’antibiotique était commercialisé en France et en Italie sous les noms d’Octofene et Gramplus. À plusieurs reprises, les autorités françaises ont empêché l’Institut Pasteur de Lille de réaliser une étude portant sur des patients atteints de Covid-19. Après plusieurs tentatives, ils ont recruté le premier patient début septembre.

Pourquoi les autorités sanitaires s’opposent-elles avec véhémence aux traitements qui auraient été disponibles dès le début de la pandémie ? Pour ce faire, j’aurais souhaité des recherches d’investigation de l’ARD ! Il convient de mentionner que les nouveaux vaccins anti-Covid n’ont pu obtenir une autorisation d’urgence que parce qu’il n’existait pas de traitement officiellement reconnu pour le SRAS-CoV-2.

Il ne s’agit pas de vanter n’importe quel remède miracle contre la Covid-19. Je voudrais mettre en évidence des faits qui n’ont pas reçu l’attention nécessaire. Dès le début, le discours public a fait état de l’opinion selon laquelle seule une vaccination peut y remédier. L’OMS est même allée temporairement jusqu’à modifier la définition de « l’immunité collective » dans le sens où celle-ci ne peut être obtenue que par la vaccination et non plus par une infection antérieure comme c’était le cas jusqu’à présent.

Et si la voie empruntée était une impasse ?

Questions sur l’efficacité vaccinale

Les données des pays où les taux de vaccination sont particulièrement élevés montrent que les infections par le SRAS-CoV-2 ne sont pas rares, même chez les personnes entièrement vaccinées, mais qu’elles sont monnaie courante. Le Dr Kobi Haviv, directeur de l’hôpital Herzog à Jérusalem, dit que 85 à 90 % des personnes gravement malades sont doublement vaccinées dans ses soins intensifs.(([8] Voir aussi la réunion de la FDA du 17 septembre 2021, à 5:47:25))

Le magazine Science écrit en référence à tout Israël : « Le 15 août, 514 Israéliens ont été hospitalisés avec des maladies graves ou critiques de Covid-19… Parmi ces 514 personnes, 59 % étaient entièrement vaccinées. Parmi les personnes vaccinées, 87 % avaient 60 ans ou plus. » Science cite un conseiller du gouvernement israélien qui dit : « L’une des grandes histoires d’Israël est : « Les vaccins fonctionnent, mais pas assez bien ».

En outre, il est désormais évident que les personnes vaccinées ont en elles (et le répandent) autant de matériel viral de la variante Delta que les personnes non vaccinées.

Qu’en est-il de ces données en Allemagne ? — Un verrouillage spécifiquement pour les personnes non ou insuffisamment vaccinées ou : la règle 2G. La société est de facto divisée en deux classes. Les personnes vaccinées retrouvent leurs libertés (parce qu’elles ne représentent [soi-disant] aucun risque pour les autres), les personnes non vaccinées (car présentant un risque potentiel pour les autres) doivent se soumettre à des tests qu’elles sont censées payer elles-mêmes et ne reçoivent plus de paiement de salaire en cas de quarantaine. De même, les interdictions d’emploi et les licenciements dus au statut vaccinal ne sont plus exclus et les caisses de maladie pourraient imposer à l’avenir des tarifs moins favorables aux non-vaccinés. Pourquoi cette pression sur les non-vaccinés ? D’un point de vue scientifique, ce n’est pas justifiable et très dommageable sur le plan social.

Les anticorps générés par la vaccination diminuent considérablement au bout de quelques mois. Le regard porté sur Israël montre qu’après la deuxième vaccination, il y a maintenant la troisième dose pour l’ensemble de la population et que la quatrième est déjà annoncée. Ceux qui ne rafraîchissent pas la vaccination au bout de six mois ne sont plus considérés comme immunisés et perdent leur « passeport vert » (la carte de vaccination numérique introduite par Israël). Aux États-Unis, Joe Biden parle maintenant de boosters anti-Covid à injecter tous les 5 mois. Marion Pepper, immunologue à l’Université de Washington, remet toutefois en question cette stratégie. Elle a déclaré au New York Times que « la stimulation répétée des défenses de l’organisme peut aussi conduire à un phénomène appelé « l’épuisement immunitaire » ».

On discute peu du fait que l’infection naturelle peut créer une immunité nettement plus robuste. Des anticorps ultrapuissants ou une « super-immunité » ont été trouvés chez des personnes infectées par le SRAS-CoV-2 l’année dernière. Ces anticorps réagissent à plus de 20 mutations virales différentes et sont conservés plus longtemps que les anticorps générés par le vaccin.

Après tout, le ministre de la Santé, Jens Spahn, vient d’annoncer qu’une détection d’anticorps serait également autorisée. Toutefois, pour être officiellement considéré comme immunisé, une vaccination doit toujours suivre. Qui comprend cette logique ? Une interview de CNN avec le Dr Anthony Fauci, président de l’Institut national de santé (l’équivalent américain de l’ICR), illustre l’absurdité. Jusqu’à présent, les personnes ayant une immunité naturelle ne sont pas prises en considération par la politique !

Je connais un médecin qui essaie désespérément d’obtenir une réponse de la part des autorités sanitaires et de l’ICR à ce sujet : un de ses patients a un titre d’anticorps IgG de 400 UI/ml, bien plus que beaucoup de vaccins. Son infection Covid remonte à plus de six mois, donc il n’est plus considéré comme immunisé. La réponse qu’il a reçue était : « Vaccinez-le ! », ce que le médecin refuse de faire [du fait de l’immunité naturelle acquise].

Absence de compréhension journalistique de base

Le moyen de sortir de la pandémie, prôné par la politique et les médias, s’avère être un abonnement de vaccination permanente. Les scientifiques qui demandent une approche différente sur la Covid n’obtiennent toujours pas une place adéquate dans les médias publics, comme l’a montré une fois de plus la couverture médiatique parfois diffamatoire de l’action #allesaufdentisch. Au lieu de discuter avec les participants du contenu des vidéos, des experts ont été recherchés pour discréditer la campagne. Ce faisant, les justiciables font exactement l’erreur qu’ils accusent #allesaufdentisch.

Le journaliste du Spiegel Anton Rainer a déclaré dans l’interview du CES à propos de l’action vidéo qu’il ne s’agissait pas d’interviews au sens classique du terme : « En principe, on voit deux personnes se donnant raison l’une à l’autre. » J’ai eu mal au ventre après avoir écouté la couverture de ma chaîne et j’ai été totalement irrité par l’absence de compréhension journalistique fondamentale de laisser l’autre partie prendre la parole.(([9] Les rapports les plus justes viennent du BR, où, là aussi, on a débattu, mais pas seulement avec une partie. Le MDR offre sur son portail de médias une analyse complète et différenciée.)) J’ai fait part de mes préoccupations par courrier électronique aux parties concernées et à la direction de la rédaction.

Une mention classique dans les conférences est qu’un sujet est « déjà traité ». Par exemple, lorsque j’ai évoqué la très probable sous-couverture des complications vaccinales. Oui, c’est vrai, le sujet a été abordé avec l’expert de la maison qui a conclu — c’est peu surprenant — qu’il n’y avait pas de sous-couverture. « L’autre côté » est mentionné ici et là, mais très rarement sous la forme de parler réellement aux personnes qui adoptent des points de vue critiques.

Les critiques sous pression

Les critiques les plus claires doivent s’attendre à des perquisitions, poursuites, fermeture de compte, transfert ou licenciement, jusqu’à l’internement en psychiatrie. Même s’il s’agit d’opinions dont on ne partage pas les positions, cela ne doit pas exister dans un État de droit.

Aux États-Unis, on discute déjà de la question de savoir si la critique scientifique doit être considérée comme un « hate crime » (crime de haine). La Fondation Rockefeller a décerné 13,5 millions de dollars pour la censure de la désinformation dans le domaine de la santé.

Jörg Schönenborn, directeur de la télévision WDR, a déclaré : « Les faits sont des faits qui sont établis ». Si tel était le cas, comment est-il possible que des scientifiques se disputent sans cesse à huis clos et soient même profondément divisés sur certaines questions assez fondamentales ? Tant que nous ne nous en rendrons pas compte, toute hypothèse d’objectivité présumée conduira à une impasse. Nous ne pouvons que nous rapprocher de la réalité — et cela ne peut se faire que dans un discours ouvert d’opinions et de connaissances scientifiques.

Ce qui se passe en ce moment n’est pas une lutte sincère contre les « fausses nouvelles ». On a plutôt l’impression que toute information, toute preuve ou discussion contraire au récit officiel est interdite.

Un exemple récent est la vidéo objective et scientifiquement transparente de l’informaticien Marcel Barz. Lors d’une analyse de données brutes, Barz constate avec étonnement que ni les chiffres relatifs à la surmortalité, ni à l’occupation des lits, ni à l’infection ne correspondent à ce que nous avons lu ou entendu des médias et de la politique depuis un an et demi. Il montre également comment ces données peuvent constituer une pandémie et explique pourquoi c’est malhonnête pour lui. La vidéo a été supprimée par YouTube après 145 000 visonnements au bout de trois jours (et n’a été de nouveau rendue accessible qu’après l’opposition de Barz et beaucoup de protestation). La raison invoquée est la « désinformation médicale ». Ici aussi, la question est la suivante : qui a pris une telle décision, et sur quelle base ?

Les fact checkers du contrefacteur discréditent Marcel Barz comme un faux. Le jugement de Correctiv est un peu plus clément (Barz y a répondu publiquement et en détail). L’expertise réalisée pour le ministère fédéral de la Santé, qui montre que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients atteints de Covid-19 en 2020 n’était que de 2 %, lui donne raison. Barz a contacté la presse avec son analyse, mais n’a pas reçu d’attention. Dans un discours qui fonctionne, nos médias l’inviteraient au débat.

Des millions de fois, le contenu sur les sujets Covid a été supprimé, comme le montre la journaliste Laurie Clarke dans le British Medical Journal, Facebook et Cie sont des entreprises privées et peuvent donc décider de ce qui sera publié sur leurs plateformes. Mais peuvent-ils contrôler le discours ?

La radiodiffusion de service public pourrait apporter un équilibre important en assurant un échange de vues ouvert. Malheureusement, mauvaise indication !

Passeports d’application numériques et surveillance

Les fondations Gates et Rockefeller ont conçu et financé les directives de l’OMS pour les passeports d’application numériques. Ceux-ci sont maintenant introduits dans le monde entier. Ce n’est qu’avec eux que la vie publique doit être possible, qu’il s’agisse de prendre le tramway, de prendre un café ou de recevoir un traitement médical. L’exemple français montre que cette carte d’identité numérique doit être maintenue même après la fin de la pandémie. La députée Emanuelle Ménard a demandé l’ajout suivant dans le texte de loi : le passeport de vaccination numérique « prendra fin si la propagation du virus ne présente plus un risque suffisant pour justifier son application ». Son amendement a été rejeté. Le pas vers le contrôle mondial de la population, voire vers l’État de surveillance, par le biais de projets tels que ID2020, est donc très petit.

L’Australie teste maintenant une demande de reconnaissance faciale pour s’assurer que les gens restent en quarantaine à la maison. Israël utilise des bracelets électroniques. Dans une ville italienne, des drones sont testés pour mesurer la température des visiteurs de la plage, et en France, la loi est en cours de modification pour permettre la surveillance par drones à grande échelle.

Tous ces sujets nécessitent des échanges intenses et critiques au sein de la société. Mais il n’a pas lieu suffisamment dans la couverture médiatique de nos radiodiffuseurs et n’a pas fait l’objet d’une campagne électorale.

Point de vue rétréci

La manière dont le point de vue du discours est rétréci est révélatrice des « gardiens de la porte de l’information ». Jan Böhmermann fournit un exemple récent en demandant que le virologue Hendrik Streeck et le professeur Alexander S. Kekulé ne soient plus en place parce qu’ils ne sont pas compétents.

Outre le fait que les deux médecins ont une Vita [?] extrêmement respectable, Böhmermann a ainsi réajusté ses œillères. Ne faut-il même plus entendre les gens qui présentent leur critique du cours du gouvernement avec des gants de velours ?

La limitation du discours est désormais telle que la Bayerische Rundfunk n’a pas diffusé à plusieurs reprises, lors de la retransmission des débats parlementaires du parlement régional, les discours de députés critiques à l’égard des mesures.

Telle est la nouvelle conception de la démocratie de la radiodiffusion de service public ? Les plateformes médiatiques alternatives prospèrent d’abord parce que les personnes établies ne remplissent plus leurs fonctions de correctif démocratique.

Quelque chose a mal tourné

Pendant longtemps, j’ai pu dire avec fierté et joie que je travaillais à la radio publique. De nombreux formats, recherches et contenus exceptionnels viennent d’ARD, de ZDF et de la radio allemande. Les normes de qualité sont extrêmement élevées et des milliers de collaborateurs font un excellent travail, même sous une pression accrue sur les coûts et des objectifs d’économie. Mais quelque chose a mal tourné avec la Covid-19. Soudain, je perçois une vue de tunnel et des œillères et un prétendu consensus qui n’est plus remis en question.(([10] Je ne veux pas parler d’une véritable « opinion unique » des justiciables publics. Il y a toujours eu des contributions critiques et des changements de cap dans les rapports. Mais c’est toujours une question de contexte, de temps d’antenne et d’étendue de la façon dont un sujet est traité. Mes observations ont également été faites par d’autres collègues.))

La chaîne autrichienne Servus TV montre qu’il en va autrement. Dans l’émission « Corona-Quartet » / « Talk im Hanger 7 », les partisans et les critiques prennent également la parole. Pourquoi cela ne serait-il pas possible à la télévision allemande ?(([11] Des formats frais comme « Sur le canapé » du ZDF donnent de l’espoir, même si je ne pense pas qu’il y aura bientôt une Karina Reiß ou un Wolfgang Wodarg.)) « Il ne faut pas donner une place à tous les cinglés », c’est la réponse rapide. Il faut éviter le faux équilibre, le fait que les opinions sérieuses et peu sérieuses soient entendues doit être évité. — Un argument d’homicide involontaire qui n’est pas scientifique. Le principe fondamental de la science est le doute, la remise en question, la vérification. Si ça n’a plus lieu, la science deviendra une religion. [Ndlr : c’est déjà le cas en médecine, en climatologie et dans d’autres domaines politisés.]

Oui, il y a en fait un faux équilibre. C’est la tache aveugle qui est revenue dans nos esprits, qui ne permet plus une véritable confrontation. On se jette des faits apparents, mais on ne peut plus s’écouter. Le mépris remplace la compréhension, la lutte contre l’autre opinion remplace la tolérance. Les valeurs fondamentales de notre société sont balancées par-dessus bord. Ici, on dit que les gens qui ne veulent pas se faire vacciner sont fous, qu’ils disent : « Honte aux brebis endormies ».

Pendant que nous nous disputons, nous ne réalisons pas que le monde qui nous entoure change à une vitesse fulgurante. Presque tous les domaines de notre vie sont en pleine transformation. La manière dont cela se passe est déterminante pour notre capacité de coopération, de compassion et de conscience de nous-mêmes et de nos paroles et de nos actes. Pour notre santé mentale, nous ferions bien d’ouvrir l’espace de débat, avec attention, respect et compréhension des différentes perspectives.(([12] L’initiative « Dialogue culture » ouvre des approches valables qui peuvent également intéresser les formats de médias.))

En écrivant ces lignes, j’ai l’impression d’être un hérétique, quelqu’un qui commet une trahison et qui doit s’attendre à une punition. Ce n’est peut-être pas le cas. Je ne risquerai peut-être pas mon travail et la liberté d’expression et le pluralisme ne sont pas menacés. Je le souhaite vivement et je me réjouis d’un échange constructif avec mes collègues.

Ole Skambraks

ole.skambraks@protonmail.com

À propos de l’auteur :

Ole Skambraks, né en 1979, a étudié les sciences politiques et le français à l’Université Queen Mary, à Londres et à la gestion des médias à l’ESCP Business School, Paris. Il était présentateur, reporter et auteur à Radio France Internationale, rédacteur en ligne et community manager chez cafebabel.com, directeur de l’émission du matin chez MDR Spoutnik et rédacteur chez WDR Funkhaus Europa / Cosmo. Actuellement, il travaille en tant que rédacteur en chef dans la gestion/conception de son de programmes chez SWR2.

Informations complémentaires de l’auteur

P.S. Pour les vérificateurs factuels et les personnes intéressées par une perspective multiple, voici les contre-positions aux points abordés dans le texte :

Étude ARD-ZDF

https://www.rnd.de/medien/kritik-an-corona-berichterstattung-von-ard-und-zdf-sender-wehren-sich-gegen-medienstudie-C3B4FEKAMNBFBNTKGO5EETMR3E.html

Pr John Ioannidis

https://www.faz.net/aktuell/wissen/forscher-john-ioannidis-verharmlost-corona-und-provoziert-17290403.html

Imperial College Modelling

https://blogs.bmj.com/bmj/2020/10/07/Covid-19-modelling-the-pandemic/

Gain of function reserch

https://www.gavi.org/vaccineswork/next-pandemic/nipah-virus

Hydroxychloroquine/ivermectine

https://www.br.de/nachrichten/wissen/corona-malaria-mittel-hydroxychloroquin-bei-Covid-19-unwirksam,RtghbZ4

https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-therapeutics-2021.2

https://www.forbes.com/sites/siladityaray/2021/05/11/indian-state-will-offer-ivermectin-to-entire-adult-population—even-as-who-warns-against-its-use-as-Covid-19-treatment/

Immunité des personnes vaccinées

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.08.23.457229v1

Immunité des convalescents

https://science.orf.at/stories/3208411/?utm_source=pocket-newtab-global-de-DE

https://www.businessinsider.com/fauci-why-covid-vaccines-work-better-than-natural-infection-alone-2021-5

Percées / pandémie

https://www.spektrum.de/news/corona-impfung-wie-viele-geimpfte-liegen-im-krankenhaus/1921090#Echobox=1631206725

https://www.mdr.de/wissen/covid-corona-impfdurchbrueche-sind-selten-100.html

https://www.businessinsider.de/wissenschaft/gesundheit/neue-daten-risiko-an-Covid-19-zu-sterben-fuer-ungeimpfte-elfmal-hoeher-a/

Pseudo-experts / Négationnistes / PRINCIPE PLURV

https://www.ndr.de/nachrichten/info/82-Coronavirus-Update-Die-Lage-ist-ernst,podcastcoronavirus300.html#Argument

Notes :




Le sénateur macroniste Bernard Jomier a déposé un amendement visant à sanctionner d’une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros les parents qui refusent de soumettre leurs enfants à la vaccination obligatoire. MàJ

[Source : Ma France]

[Photo : Wikimedia Commons]

Par jipp

Jomier : Celui là, il ne faudra pas l’oublier non plus le jour ou l’on soldera les comptes

Image

Docteur P.E.B
@DocteurPEB1·

La DICTATURE n’a plus de limite ! Le sénateur macroniste Bernard Jomier a déposé aujourd’hui un amendement visant à sanctionner d’une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros les parents qui refusent de soumettre leurs enfants à la #VaccinationObligatoire à compter du 01/01/2022 

https://twitter.com/AntiJupiter_TER/status/1445051972529311745?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1445051972529311745%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fby-jipp.blogspot.com%2F2021%2F10%2Fjomier-il-ne-faudra-pas-loublier-non.html

Mise à jour : Extrait FranceSoir :

Bernard Jomier, sénateur depuis 2017 et médecin très impliqué dans Vers Paris Sans Sida qui a été « aidé » par Gilead

En 2015 2016 alors que Bernard Jomier était adjoint à la mairie de Paris, chargé de la Santé, il a mis en œuvre la politique « vers Paris sans sida » en 2014.  Il était déjà membre de la commission des affaires sociales (1) sur l’enquête de la Cour des comptes sur la politique de prévention et de prise en charge du VIH. (Rapport du 3 juillet 2019 Numéro 624).

Dans un article de juin 2017 d’Hervé Latapie sur le site de Médiapart, était évoquée la PrEP (consistant à faire prendre des médicaments à des non malades !).  Il y dénonçait déjà certaines pratiques de l’industrie pharmaceutique et des liens d’intérêts affectant l’indépendance des décisions.

Hervé Latapie écrivait « Il va être difficile d’en sortir pour en limiter les dégâts, tant il est compliqué de déconstruire une idéologie et de remettre en cause des intérêts socio-économiques établis par cette politique. »

« Ainsi le consensus en faveur de la promotion de la PrEP à grande échelle s’est construit grâce à l’action de certains acteurs très impliqués, aux motivations complexes et non dénuées de conflits d’intérêts. Il est regrettable que l’on n’ait pas davantage écouté et pris en compte les critiques formulées par de nombreuses personnes, moins intégrées dans les institutions dominantes, mais présentes sur le terrain, et donc tout aussi légitimes pour évaluer l’attractivité et l’efficacité de la prévention auprès du public gay. Leurs propositions alternatives risquent bel et bien de s’imposer très vite, lorsque les promesses excessivement optimistes des partisans de la PrEP s’effriteront. »

Latapie continue en expliquant « La firme Gilead va donc se retrouver à tous les niveaux de la mise en place de la PrEP : apports financiers directs auprès des associations de lutte contre le sida ou d’organismes de santé communautaires gays, conventions de recherche avec des services hospitaliers, mise en place d’essais démonstratifs, émoluments et autres cadeaux distribués auprès de professionnels de santé (billets d’avion business, séjours hôteliers de hauts grade, inscription onéreuses à des congrès, bourses d’études ou de recherches, …), encarts publicitaires offerts à la presse gay. Le tout se déroule d’une manière assez habile, Gilead n’apparait pas forcément au premier plan, tout se passe comme si le laboratoire avait réussi à déléguer à des acteurs non commerciaux (associations, médecins, …) la campagne de promotion de son produit PrEP. »

En 2018 l’initiative « vers Paris sans sida » recevait 530 000 euros de conventions du laboratoire Gilead.  

On retrouve dans le rapport de la commission de l’époque, les professeurs Delfraissy, Molina, Yazdanpanah, ainsi que le laboratoire Gilead, des liens d’intérêts et des sommes substantielles d’argent en jeu.  

Latapie concluait en 2017

« On retrouve dans cette histoire tout le savoir-faire habituel de l’industrie pharmaceutique pour gérer son commerce, planifier des essais thérapeutiques, contrôler les prix, s’appuyer sur les particularités locales de chaque sphère géographique du marché et surtout, bien manier son pouvoir d’influence grâce à des moyens financiers énormes. »




Les décès d’enfants « vaccinés » contre le SARS-CoV-2 en France ou en Europe sont « impossibles » car ce serait ouvrir la boîte de Pandore

Par Alain Tortosa

La dictature fera tout pour qu’il en soit ainsi et il ne sera pas avoué que l’injection Anti-Covid puisse être la principale cause de décès d’un enfant.

Il existe bien des statistiques françaises et européennes sur les effets secondaires des injections, mais :

  • D’une part la sous-déclaration est connue et actée sans compter toutes les pressions.
  • Tous les effets secondaires graves et décès de personnes vaccinées ne sont jamais imputés aux thérapies géniques, mais uniquement aux comorbidités.

Au 18 septembre, plus de 25 000 européens injectés seraient officiellement décédés.

Décédés, mais de quoi ? Car le problème est sur la charge de la preuve…

Pour tenter de prouver qu’un médicament a des effets secondaires, une des méthodes consiste à cesser de le prendre et de voir si l’on va mieux. Mais il n’existe pas de retour en arrière possible pour une vaccination et encore moins si l’on est décédé.

Les autorités ont ainsi beau jeu de déclarer que toutes ces personnes sont mortes de comorbidités.

Mais là où la malhonnêteté est élevée au rang d’un art… c’est que le gouvernement ne s’est pas gêné et ne se gêne pas pour étiqueter Covid tout décès d’une personne positive à un test PCR comme cela était demandé dès le premier trimestre 2020 par l’OMS (Je ne vais pas m’embêter à référencer une fois de plus les liens, le mouton paniqué qui les a sous les yeux n’en tire aucune conclusion).

Le summum du tragi-comique étant sur la Nouvelle-Calédonie qui ne fait même plus semblant :

« Toute personne décédée à son domicile, dans un établissement social, un EHPAD ou sur la voie publique est présumée décédée du Covid-19, sauf si un certificat médical en atteste autrement. »

D’un côté nous avons les personnes vaccinées qui décèdent et pour lesquelles le « vaccin » ne sera JAMAIS la cause. Ces personnes injectées seront mortes uniquement de leurs comorbidités, quand bien même elles étaient jeunes et en bonne santé.

Et de l’autre côté, nous avons les personnes positives à un test Covid ou dont les symptômes pourraient laisser penser à un Covid qui, lorsqu’elles décèdent, ne sont JAMAIS mortes de leurs comorbidités ou de leur grand âge.

Le statut vaccinal décide ainsi de la cause du décès !

Bien entendu tout est fait pour camoufler ou manipuler les statistiques afin de cacher un pic de mortalité soudain dans une tranche d’âge…

Dans les temps anciens, il y a deux ans, il était parfois possible d’admettre que des vaccins pouvaient exceptionnellement entraîner des effets secondaires graves et parfois même le décès.

En 2013 Le Monde titrait « Les médicaments causent au moins 18 000 morts par an en France ». Il est naturellement admis que des médicaments tuent, mais en revanche il est totalement inimaginable et blasphématoire de penser que des vaccins pourraient tuer, même dans des proportions minimes. Et il est encore plus hérétique de laisser croire qu’une injection expérimentale à grande échelle d’ARNm, première mondiale sur des personnes en bonne santé, puisse avoir des effets secondaires graves ou provoquer la mort alors même que le produit est encore en phase III de test.

Et pourquoi ?

Tout simplement parce que la dictature et Big Pharma ne peuvent pas reconnaître ne serait-ce qu’un seul décès, chez un adulte et encore moins chez un ado ou un enfant, qui serait dû à la « vaccination ».

S’il est « autorisé » qu’un médicament puisse tuer c’est que les médicaments sont (en théorie, mais de moins en moins) donnés à des personnes malades et potentiellement gravement malades.

De fait la balance bénéfice/risque pour le patient a un sens. Si on admet que le médicament est là pour sauver des vies on peut admettre que, parfois, il tue, mais avec un rapport bénéfice vs risque favorable.

Avec un vaccin c’est très différent pour la simple raison qu’il s’adresse majoritairement à des personnes en bonne santé et, qui plus est, des enfants. Prenons une maladie infantile…. Le risque de mourir d’une maladie infantile est infime pour un enfant en bonne santé. Il devrait d’ailleurs être nul si la médecine faisait son boulot et qu’elle était en capacité de détecter si un enfant est à risque ou pas. Bref le vaccin contre cette maladie infantile devra être d’une innocuité délirante afin que le rapport bénéficie vs risque demeure favorable. Pour autant, le risque de décéder de maladie infantile n’est pas nul et donc il peut s’entendre qu’un vaccin pourrait avoir un rapport bénéfice vs risque positif…

Il est quand même étrange que les médicaments tuent et que les vaccins ne tuent pas… Nous pouvons regretter que l’exigence de sécurité pour un médicament ne soit pas la même que pour un vaccin… à moins que nous ne disposions pas des vraies données sur les vaccins (fin de la parenthèse).

Mais avec le Covid, rien ne va plus… Le risque pour un enfant en bonne santé de mourir du Covid n’est pas simplement minime, mais NUL. Il n’existe pas de cas d’enfants sans comorbidités décédés dont la cause de décès serait le Covid… et quand bien même il y en aurait 2 ou 3, ce risque demeurerait NUL.

Dès lors, il ne peut exister de rapport bénéfice vs risque positif pour l’injection d’ARNm chez un enfant. C’est pourquoi il n’y a pas et la dictature fera TOUT, même du plus ignoble, pour que tout enfant « vacciné » qui décède le soit de ses comorbidités, mais certainement pas de l’injection.

Le plus abject est qu’en cas de décès d’un enfant qui avait des problèmes cardiaques non connus et qui serait décédé suite à l’injection du poison, il ne sera JAMAIS reconnu que le « vaccin » aura été catalyseur de ses problèmes cardiaques et que cet enfant ne serait pas décédé en l’absence d’injection.

Il donc est IMPOSSIBLE de reconnaître que : « Un enfant est décédé des suites de l’injection ». Simplement parce que c’est ouvrir la boîte de Pandore et que des médecins vont alors enfin avoir le courage de reconnaître et affirmer médiatiquement qu’il existe des dizaines d’autres victimes.

Quand on pense que la propagande a réussi à tuer l’AstraZeneca en avouant de rares thromboses chez des adultes au point que le peuple berné en est arrivé à réclamer de l’ARNm expérimental…

La mort d’enfants en bonne santé dans le but (officiel, mais pas réel) de sauver des vieux grabataires signerait l’arrêt de mort de la « vaccination » Anti-Covid et la mort de la poule aux œufs d’or ou d’un dessein plus sombre.

La dictature n’avouera donc JAMAIS son crime et il faudra la forcer avec le soutien des rares médecins qui ont encore leur dignité.

Merci

Alain Tortosa.

5 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211005-avouer-deces-vaccin-boite-pandore.pdf




Dr Nicole Delépine à Ondes de choc sur LaUnetv

[Source : LaUnetv2]






Un tribunal italien se range du côté d’une infirmière suspendue à tort pour avoir refusé le vaccin contre le COVID-19

[Source : resistance-mondiale.com]

La décision renverse les précédents et consacre dans la loi l’illégitimité du licenciement ou de la suspension sans solde des salariés pour non-vaccination.  

MILAN, Italie, ( LifeSiteNews ) – Un tribunal civil s’est rangé du côté d’une infirmière qui a été suspendue sans salaire après avoir refusé le vaccin COVID-19.

La décision a été rendue par le tribunal de Milan le 16 septembre, suite à l’appel de l’infirmière italienne, qui n’a pas été nommée. Elle avait été suspendue sans salaire en février parce qu’elle refusait de recevoir le vaccin au mépris d’ une obligation vaccinale imposée par son employeur. Le tribunal a qualifié la suspension d’« illégitime » et a ordonné à l’employeur de verser à l’infirmière l’intégralité de son salaire avec intérêts et arriérés. La décision annule les décisions de justice antérieures pour des cas similaires.  

C’est la première fois en Italie qu’un tribunal donne raison à un salarié dans une affaire de suspension ou de licenciement pour non-vaccination. 

La décision émane de l’un des tribunaux les plus autoritaires d’Italie et est considérée comme particulièrement importante car elle annule les précédents et consacre dans la loi l’illégitimité du licenciement ou de la suspension d’employés sans salaire pour non-vaccination.  

“C’était l’un des premiers cas de suspension d’un travailleur de la santé”, a déclaré Mauro Sandri, l’avocat de l’infirmière, dans une interview sur YouTube.

Sandri a comparé le cas à celui de 5 infirmières dans une situation similaire ; ils ont perdu leur appel en mai. 

« Tout le monde [en Italie] se souviendra de la décision de Belluno, lorsque 5 infirmières suspendues par leur employeur ont fait appel et l’ont perdu », a-t-il déclaré.  

« Les médias grand public ont amplifié le résultat de cette décision en allant jusqu’à dire qu’il était inutile de faire appel aux suspensions imposées par les employeurs.  

Sandri a ensuite rappelé que la décision dans cette affaire avait été “malheureusement imitée par d’autres tribunaux, dont Modène et Vérone” et qu’”une jurisprudence avait été créée, autorisant les employeurs à suspendre leurs employés”. 

Toutes les tentatives précédentes de Sandri pour faire appel de telles décisions avaient été infructueuses. Cependant, il voit que cette nouvelle décision avait renversé la tendance. 

“Cette décision a été extrêmement positive, car elle a établi le caractère illégitime de la suspension”, a-t-il déclaré.  

L’infirmière en question était suspendue depuis février et n’avait reçu aucun salaire depuis cette date. Le tribunal a donc ordonné à l’employeur de lui verser son salaire pour toute la période pendant laquelle elle n’avait pas été indemnisée, avec des intérêts en sus, comme l’a souligné Sandri. 

“Le recours visait à obtenir sa réintégration dans le travail (…) Nous avons donc demandé cela, ainsi qu’un paiement intégral de son salaire, avec arriérés.” 

L’avocat italien est convaincu que la nouvelle décision servira de jurisprudence pour des affaires similaires à l’avenir. 

« La décision du tribunal constituera certainement une référence pour les décisions futures », a déclaré Sandri.

« Ça va être une étape importante (…). Pour moi, cela va également servir de base à d’autres affaires que j’ai en cours. »

L’avocat a encouragé les travailleurs dans des situations similaires après avoir résisté aux pressions pour prendre le vaccin à poursuivre non seulement pour perte de salaire mais aussi pour dommages et intérêts. Sandri a décrit les tactiques alarmistes et les menaces utilisées par certains employeurs qui font pression sur leurs travailleurs pour qu’ils se fassent vacciner comme une forme de « intimidation ».  

« Le même principe peut être appliqué dans de nombreuses autres situations où il existe une obligation vaccinale », a-t-il déclaré.

« Toute personne employée dans une entreprise qui a subi des pressions indues pour se faire vacciner et peut-être suspendue pour ne pas l’avoir fait devient ainsi une victime d’intimidation. »  

Sandri considère également la décision comme un développement prometteur dans la lutte en cours contre l’imposition du « Green Pass » en Italie. 

“Cette décision nous montre à quel point il est important de défendre vos droits de manière efficace afin d’obtenir des résultats”, a-t-il déclaré.

Source : Italian court sides with nurse wrongly suspended for refusing COVID-19 jab – LifeSite (lifesitenews.com)




Médecins de plateaux : les nouveaux télévangélistes

[Source : RT en français]

[Photo : © REUTERS/Regis Duvignau/File Photo]

Ariel Beresniak, docteur spécialiste en santé publique, met en garde contre les médecins de « plateaux » des médias mainstream, qui relaieraient le discours du pouvoir sur les questions de santé et donneraient une fausse idée du consensus scientifique.


Par Ariel Beresniak.

La « pandémie de Covid » a fait émerger une nouvelle catégorie de médecins, les médecins de « plateaux ». Il ne s’agit pas des plateaux de Madagascar ou des Andes, mais des plateaux de télévision.

Ces médecins étaient inconnus du grand public avant la crise sanitaire. Ils ont été sélectionnés soit par les médias qui étaient à la recherche de médecins experts, soit par le pouvoir exécutif à la recherche de conseillers scientifiques courtisans.

Issus de spécialités très variées (urologues, urgentistes, réanimateurs, diététiciens, généralistes, immunologistes voire même simples administrateurs comme les directeurs d’hôpitaux…), le plus souvent très éloignées de celle des maladies transmissibles, ils sont courtisés par toutes les chaînes d’information car le public s’est habitué à ces personnages en blouse blanche sachant expliquer l’intérêt des mesures gouvernementales coercitives.

Le public s’est habitué à ces personnages en blouse blanche sachant expliquer l’intérêt des mesures gouvernementales coercitives

C’est que l’argument d’autorité allié à un ton péremptoire devant les caméras relèvent d’une stratégie de communication extrêmement efficace utilisée couramment par les télévangélistes américains. Ces successeurs modernes des prédicateurs anglais itinérants méthodistes du XVIIIe siècle fondent leurs stratégies de communication sur la répétition d’un même message élémentaire en utilisant un ton charismatique afin de provoquer une adhésion frénétique collective de l’audience écartant toute velléité d’esprit critique. Comme tous les catéchismes, la parole ne doit souffrir d’aucune critique car chaque question amène une réponse et chaque réponse correspond à une question.

Portés par une notoriété soudaine, il apparaît plus facile à ces médecins de plateaux, non compétents en dynamique des épidémies ou en évaluation des interventions de santé publique, d’adhérer et de colporter un dogme ambiant clé en main, plutôt que d’évoquer des informations alternatives pouvant exiger des investigations et des connaissances particulières.

Oscillant entre un ton condescendant et une agressivité paternaliste, ils relaient et martèlent ainsi avec conviction la communication du pouvoir exécutif, fusse-t-elle contradictoire à quelques semaines d’intervalle. Magister dixit, Le Maître a dit.

Pour convaincre, ces nouveaux télévangélistes ne disent pas « Dieu à dit que… » mais « La communauté scientifique a dit… » ou « La Science montre que… ». Qui peut être contre Dieu, la Communauté scientifique ou la Science ? Le mariage de la télévision et de la blouse blanche fait son grand œuvre : la force de conviction du « vu à la télé » exploite les principes élémentaires du marketing auprès d’un public naïf.

Aucun médecin honnête ne se permet de s’autoproclamer représentant de la communauté scientifique, encore moins de la science en général

Quelques éclaircissements permettent cependant à chacun de développer son propre esprit critique.

En premier lieu, aucun médecin honnête ne se permet de s’autoproclamer représentant de la communauté scientifique, encore moins de la science en général. La communauté scientifique ne cautionne aucun dogme. Elle est une mosaïque composée d’une multitude de chercheurs confrontant leurs idées et leurs travaux. Selon le fameux philosophe de la science Karl Popper, une théorie ne peut d’ailleurs être considérée comme scientifique qu’à la condition où elle peut être réfutée. Sinon il ne s’agit pas de science mais d’idéologie.

En deuxième lieu, un médecin n’est pas un scientifique. Il est à la fois moins et plus que cela : il est un homme de l’art. Un scientifique est titulaire d’une thèse de sciences, et non d’une thèse de médecine dite « d’exercice ». Un scientifique a publié un minimum d’articles scientifiques sur les sujets dont il est censé être compétent. Bien entendu, certains médecins peuvent aussi être de véritables scientifiques mais ils sont alors titulaires de deux doctorats et poursuivent une activité de recherche.

En troisième lieu, un médecin est compétent dans le périmètre de sa spécialité, voire de sa sous-spécialité. Le public devrait s’interroger face aux discours d’un urologue, d’un réanimateur ou d’un diététicien s’exprimant sur des sujets extérieurs à leurs domaines de compétence comme les épidémies à maladies transmissibles. On ne demande pas à un gynécologue obstétricien une prescription de lunettes de vue, ni à un ophtalmologiste de réaliser un accouchement.

La science n’est pas une démocratie et la vérité ne se décrète pas par le plus grand nombre, fussent-ils médecins ou scientifiques

Enfin les questions médicales et les interrogations scientifiques réelles ne se résolvent pas à la majorité ! La science n’est pas une démocratie et la vérité ne se décrète pas par le plus grand nombre, fussent-ils médecins ou scientifiques. Sinon la Terre serait toujours plate et toujours au centre de l’Univers.

L’ignorance de ces principes par le public permet aux télévangélistes en blouse blanche de manipuler très facilement leur audience par les techniques bien connues de lavage de cerveau dont l’objectif est d’amenuiser les résistances pour faciliter la persuasion :

  • Isolement social : situation imposée à la population pendant les confinements et couvre-feux, générant une vulnérabilité extrême
  • Contrôle de l’information et dénigrement de l’esprit critique : répétition de la pensée officielle unique avec avertissement à se méfier des informations alternatives présentées comme complotistes appartenant au camp du « mal »
  • Tromperie : déformation de la réalité par simplification pour accentuer le côté dramatique de l’épidémie et entretenir la peur
  • Soumission : incitation à se conformer au dogme
  • Identification au groupe : chaque individu abandonne sa propre personnalité pour rejoindre celle du groupe, par exemple des vaccinés
  • Contrôle du vocabulaire : une véritable novlangue s’est imposée depuis le début de l’épidémie (nombre de « cas », « clusters », on « sauve des vies », « pas de traitements », « la seule solution est la vaccination généralisée », etc.)
  • Distorsion de l’autorité : la seule autorité médicale valable est celle de l’État qui concentre tous les pouvoirs, relayés par les télévangélistes en blouse blanche. Les discours des autres médecins sont pervertis et à éviter.

Par ces moyens, la population se sent nécessairement fragilisée physiquement et moralement. Les sujets, se sentant coupables de risquer de contaminer les autres s’ils ne suivent pas strictement les règles imposées, demeurent les cibles idéales d’une persuasion psychologique.

Ces mécanismes d’avilissement de la population pendant la pandémie de Covid-19 n’auraient pas pu se mettre en place sans la complicité des principaux médias dits « mainstream » et du pouvoir exécutif qu’ils servent. Si les journalistes de ces médias avaient fait correctement leur métier, ils auraient sélectionné des spécialistes en fonction du périmètre de leurs compétences pour répondre aux questions légitimes de la population, ne serait-ce qu’en consultant la nature de leurs travaux accessibles sur les bases de données scientifiques. Les chaînes d’information auraient ainsi prôné des débats contradictoires d’experts confrontant tous les points de vue médicaux, plutôt que d’interviewer un seul médecin par plateau, lui laissant le champ libre pour déverser ses éléments de langage face à un public suffisamment fragilisé pour être conquis par le discours officiel. Il n’est ainsi pas étonnant que ce public manipulé constitue vite une majorité qui cherche à forcer la minorité dissidente à la rejoindre en servitude.

Le principe fondamental de la démocratie n’est-il pas de protéger la minorité contre la tyrannie de la majorité ? C’est bien le rôle de la Constitution censée protéger les droits de tous. Encore faut-il qu’elle soit respectée !

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/opinions/91312-medecins-plateaux-nouveaux-televangelistes-ariel-beresniak




« Halte à l’holocauste du Covid ! » lettre ouverte de survivants de la Shoah

[Photo : wikipedia]

« Halte à l’holocauste du Covid ! » lettre ouverte de survivants de la Shoah
Lettre ouverte de survivants des atrocités de la Seconde Guerre mondiale
Nous vous demandons d’arrêter immédiatement cette expérience

Chaque jour nous découvrons un nouvel appel à cesser cette injection génique mortifère vendue aux peuples comme vaccin réactivant leur confiance inconsciente en ces médicaments.

Mensonge grave, car l’inefficacité est évidente, mais se complique d’accidents graves et de décès inacceptables de personnes de plus en plus jeunes, à mesure que l’obligation s’élargit de fait ou par extorsion de consentement devant les privations de liberté qu’impose le refus de la piqûre.

Nous partageons ici la lettre ouverte de rescapés de l’Holocauste et de leurs familles : « Survivants des camps de concentration, leurs fils et filles, et petits-enfants, y compris les personnes de bonne volonté et de conscience »

Comme la lettre ouverte de Vera Sharav et coll. précédemment publiée,(([1] Dans leur lettre à la CPI, les survivants de l’Holocauste, Vera Sharov, Moshe Brown et Hillel Handler ont réitéré les appels lancés par l’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum pour que le programme de « vaccins » COVID-19 soit arrêté avec effet immédiat, afin de mettre fin au très grand nombre d’événements indésirables souvent graves qui apparaissent.
Appel solennel de survivants de l’Holocauste à la Cour Pénale Internationale pour un arrêt de la « vaccination » anticovid — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) ils insistent avec des mots comparables sur l’horrible scénario en cours qui leur évoquent la Shoah.

Malgré le déni du journal Libération, ce sont bien des survivants qui écrivent et supplient les autorités de cesser ce massacre.

(La Rédaction)


Stop the Covid Holocaust ! Open Letter—Global Research—Centre for Research on Globalization

Envoyé à :

  • Agence médicale européenne (EMA), Union européenne
  • Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), Royaume-Uni
  • L’Agence australienne de réglementation de la santé, AHPRA, Australie
  • Administration des produits thérapeutiques (TGA), Australie
  • Medsafe, Nouvelle-Zélande
  • Fédération des organismes de réglementation médicale (FMRAC), Canada

***

Mesdames et Messieurs,

Nous, les survivants des atrocités commises contre l’humanité pendant la Seconde Guerre mondiale, nous sentons tenus de suivre notre conscience et d’écrire cette lettre.

Il est évident pour nous qu’un autre holocauste de plus grande ampleur se déroule sous nos yeux. La majorité de la population mondiale ne réalise pas encore ce qui se passe, car l’ampleur d’un crime organisé comme celui-ci dépasse leur champ d’expérience.

Nous savons pourtant. On se souvient du nom de Josef Mengele. Certains d’entre nous ont des souvenirs personnels. Nous vivons un déjà-vu si horrible que nous nous levons pour protéger nos pauvres frères humains. 

Les innocents menacés comprennent désormais des enfants, et même des nourrissons. En seulement quatre mois, les vaccins COVID-19 ont tué plus de personnes que tous les vaccins disponibles combinés de la mi-1997 à la fin de 2013, soit une période de 15,5 ans. Et les personnes les plus touchées ont entre 18 et 64 ans — le groupe qui ne figurait pas dans les statistiques Covid.

Nous vous demandons d’arrêter immédiatement cette expérience médicale impie sur l’humanité. Ce que vous appelez « vaccination » contre le SRAS-CoV-2 est en réalité un empiétement blasphématoire sur la nature

Jamais auparavant la vaccination de la planète entière n’avait été réalisée en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain. C’est une expérience médicale à laquelle le Code de Nuremberg doit être appliqué.

 Les 10 principes éthiques de ce document représentent un code d’éthique médicale fondamental formulé lors du procès des médecins de Nuremberg pour garantir que les êtres humains ne seront plus jamais soumis à des expérimentations et procédures médicales involontaires.(([2] Le « vaccin » COVID-19 et le code de Nuremberg. Crimes contre l’humanité, génocide))

Principe 1 du Codex de Nuremberg :

(a) « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement ; doit être situé de manière à pouvoir exercer le libre choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, d’excès ou de toute autre forme ultérieure de contrainte ou de coercition ; et devrait avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet en cause pour lui permettre de prendre une décision éclairée et éclairée.

(b) Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision affirmative par le sujet expérimental, il lui soit fait connaître la nature, la durée et le but de l’expérience ; la méthode et les moyens par lesquels elle doit être menée ; tous les inconvénients et dangers raisonnablement prévisibles ; et les effets sur sa santé ou sa personne qui peuvent éventuellement provenir de sa participation à l’expérience.

(c) Le devoir et la responsabilité de vérifier la qualité du consentement incombent à chaque individu qui initie, dirige ou s’engage dans l’expérience. C’est un devoir et une responsabilité personnels qui ne peuvent être délégués à autrui en toute impunité.

Re (a) : Il n’est pas question d’une décision libre. Les médias de masse répandent la peur et la panique et utilisent la règle de la propagande de Goebbels en répétant des contrevérités jusqu’à ce qu’on les croie. Depuis des semaines, ils appellent à l’ostracisme des non-vaccinés. S’il y a 80 ans c’étaient les juifs qui étaient diabolisés comme des propagateurs de maladies infectieuses, aujourd’hui ce sont les non-vaccinés qui sont accusés de propager le virus. Intégrité physique, liberté de voyager, liberté de travailler, toute coexistence a été enlevée aux gens pour leur imposer la vaccination. Les enfants sont incités à se faire vacciner contre le jugement de leurs parents.

Re (b) : Les 22 effets secondaires terribles déjà énumérés dans l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA n’ont pas été divulgués aux sujets de l’essai expérimental. Nous les énumérons ci-dessous au profit du public mondial.

Par définition, il n’y a jamais eu de consentement éclairé. En attendant, des milliers d’effets secondaires enregistrés dans de nombreuses bases de données sont enregistrés. Alors que les soi-disant nombres de cas sont bipés à des intervalles de 30 minutes par tous les médias, il n’y a aucune mention des effets secondaires indésirables graves ni comment et où les effets secondaires doivent être signalés. Pour autant que nous le sachions, même les dommages enregistrés ont été supprimés à grande échelle dans chaque base de données.

Le principe 6 du Code de Nuremberg exige :

« Le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérimentation ».

La « vaccination » contre le Covid s’est avérée plus dangereuse que le Covid pour environ 99 % de tous les humains. Comme l’a documenté Johns Hopkins, dans une étude portant sur 48 000 enfants, les enfants ne courent aucun risque de contracter le virus.

Vos propres données montrent que les enfants qui ne sont pas exposés au virus ont eu des crises cardiaques par suite de la vaccination ; plus de 15 000 ont subi des événements indésirables, dont plus de 900 événements graves. Au moins 16 adolescents sont décédés par suite de la vaccination aux États-Unis. Comme vous le savez, à peine 1 % environ sont signalés. Et les chiffres augmentent rapidement au moment où nous écrivons. Avec vos connaissances.

Principe 10 du Code de Nuremberg :

« Au cours de l’expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l’expérience à n’importe quel stade, s’il a des raisons probables de croire, dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence supérieure et du jugement prudent requis de lui, qu’un la poursuite de l’expérience est susceptible d’entraîner des blessures, une invalidité ou la mort du sujet expérimental »

Environ 52 % de la population mondiale aurait reçu au moins une injection. La divulgation honnête du nombre réel de « vaccinés » blessés, en phase terminale et décédés dans le monde se fait attendre depuis longtemps. Ce sont des millions en attendant. Fournissez-nous maintenant le nombre réel de victimes du vaccin Covid.

Combien suffiront à éveiller votre conscience ?

Liste des effets indésirables connus de la FDA avant l’approbation d’urgence :

  1. Syndrome de Guillain-Barré
  2. Encéphalomyélite aiguë disséminée
  3. Myélite transverse
  4. Encéphalite/encéphalomyélite/méningoencéphalite/méningite/encéphalopathie
  5. Convulsions/convulsions
  6. AVC
  7. Narcolepsie et cataplexie
  8. Anaphylaxie
  9. Infraction aiguë du myocarde
  10. Myocardite/péricardite
  11. Maladie auto-immune
  12. Décès
  13. Grossesse et issues de la naissance
  14. Autres maladies démyélinisantes aiguës
  15. Réactions allergiques non anaphylactiques
  16. Thrombocytopénie
  17. Coagulation intravasculaire disséminée
  18. Thromboembolie veineuse
  19. Arthrite et arthralgie/douleurs articulaires
  20. Maladie de Kawasaki
  21. Syndrome inflammatoire multisystémique chez les ENFANTS
  22. Maladie renforcée par le vaccin

Signé

Survivants des camps de concentration, leurs fils et filles, et petits-enfants, y compris les personnes de bonne volonté et de conscience.

Selon les présents consentements :

Rabbi Hillel Handler
Hagar Schafrir
Sorin Shapira
Mascha Orel
Morry Krispijn
Shimon Yanowitz
Hila Moscovich
Tamir Turgal
Amira Segal
Jacqueline Ingenhoes
Andrea Drescher
Edgar Siemund, Esq.


Ecoutez aussi la vidéo de Vera Sharav qui pointe le rôle terrible des médecins pendant les atrocités nazies et de façon comparable dans le drame actuel de la mascarade covid.






Hommage aux enfants « morts pour la France » dans la lutte contre le Covid

Par Alain Tortosa

Remerciements éternels aux parents solidaires du sacrifice de leurs enfants injectés

La Nation est bien trop timide et timorée !

Les médias ne rendent pas suffisamment justice et hommage à tous les enfants et adolescents en pleine santé qui n’ont pas hésité à donner leur vie ou leur santé pour essayer de sauver des vieux grabataires.

Vous enfants balayés par cette injection dans la force de l’âge et à l’avenir radieux, êtes des « héros » et la France ne vous oubliera jamais !

Je voudrais être le plus juste possible et remercier :

  • Le gouvernement et particulièrement le ministère de la Santé et de l’Éducation.
  • Les députés, préfets, hommes politiques et les maires.
  • Les médias grand public et TOUS leurs « journalistes ».
  • L’OMS, les médecins médiatiques, les médecins et infirmiers injecteurs grassement arrosés.
  • Les personnels de l’éducation et les enseignants.
  • Les entreprises privées qui ont offert des avantages commerciaux aux enfants injectés ou qui ont mis en œuvre des « vaccibus ».

Mais aussi tous ceux qui ont œuvré à la publicité pour inciter, manipuler, fait pression, culpabilisé, instauré le pass sanitaire, afin qu’un maximum d’enfants soient injectés.

Vous, acteurs, n’avez pas hésité une seconde à donner de votre personne et continuez à mettre toute votre énergie afin d’envoyer un maximum de soldats enfants au front dans cette guerre impitoyable !

Sachez que je n’oublierai JAMAIS vos actions au service de l’injection massive des enfants et que je mettrai mon énergie à rappeler votre participation active lors de l’après-guerre.

Je ne manquerai pas de rafraîchir la mémoire aux plus modestes d’entre vous qui diront alors qu’ils manquaient d’informations…

Je tiens d’autant plus à vous rendre hommage, vous les protagonistes qui ont conduit à l’injection massive de ces « vaccins » pour des enfants en pleine santé, que…

Vous n’avez pas reculé devant les difficultés qui auraient pu faire barrage à cette injection de masse et prévenir le sacrifice de ces enfants et je vous en remercie.

  • Ignorer que les données sont mensongères.
  • Ignorer qu’il existe des traitements.
  • Ignorer que de nombreuses personnes âgées ont été terminées au Rivotril.
  • Ignorer que le paracétamol a précipité dans la mort des patients.
  • Ignorer que les enfants en bonne santé ne sont pas concernés par cette maladie.
  • Ignorer que l’immunité de masse est un leurre et que ces injections ne bloquent pas le virus.
  • Ignorer les statistiques officielles publiées et effets secondaires dramatiques.

Espérons qu’un maximum d’enfants et parents prendront modèle sur ces « héros morts pour la France ».

Fasse que la plupart s’engagent « héroïquement » dans la lutte contre le « fléau » et n’hésitent à se faire injecter ces produits, en hommage aux victimes, et ce au péril de leur vie ou de leur santé.

Produits qui sont « les seuls qui permettront de mettre fin à cette odieuse pandémie » tueuse de vieux !

Non ces enfants ne seront pas morts en vain et on élèvera une stèle à leur mémoire afin que personne n’oublie leur « merveilleux sacrifice ».

Vive la République populaire de France ! Vive la France !

Alain Tortosa.

3 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa2021003-enfants-injectes-morts-pour-la-france.pdf




Le Seigneur des « vaccins »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Je ne suis pas pratiquant, au sens habituel du terme, d’une religion ou d’un courant ésotérique.

Par contre, j’ai beaucoup lu, étudié, réfléchi, curieux de tout, ouvert à priori à tout. 

Je n’exclus rien, je vais partout, surtout si une autorité me dit, sans autre argument que son « autorité », de ne pas y aller.

Grâce à cette qualité (considérée comme un danger par certains), je continue à apprendre, inlassablement.

Médecin « orthodoxe » issu d’une université belge et d’un cursus classique, j’ai longtemps suivi le chemin balisé, marché dans les clous et traversé lorsque le feu passe au vert, presque toujours.

La curiosité, défaut incurable chez moi, m’a amené sur des chemins de traverse, là où vous rencontrez des personnes, foulez des sols, dénichez des trésors qualifiés par ceux qui tracent les routes et balisent les passages pour piétons, de sources corrompues (expression moderne : « fake news »), d’enseignants infréquentables.

Je ne suis pas un gourou, pas plus qu’Alexander De Croo, Young Global Leader 2015, Alexander De Croo devient Young Global Leader | Focus on Belgium, pas plus qu’Edouard Philippe et le président Macron, Young Global Leaders respectivement en 2011 et 2012, ou Olivier Véran en 2019, Emmanuel Macron et Edouard Philippe, ces « young leaders » qui nous gouvernent – Gala

Vérifiez par vous-même, tous les chefs ou sous-chefs des gouvernements ayant appliqué la feuille de route en 2020,  le plan établi par le cartel des véritables gourous, ont été des Young Global Leaders, la « secte du forum économique mondial du Great Reset »

Non, je ne suis pas un gourou, pas plus ou moins que Bill Gates ou Tedros Adhanom Ghebreyesus (chef de l’OMS-Organisation Mondiale de la Santé) qui eux, pourtant, sans être soignant ni médecin, entraînent le monde dans leur idéologie terroriste sanitaire.

Par contre, oui, je suis médecin depuis 25 ans, anesthésiste-réanimateur depuis 17 ans (quelqu’un qui endort et réveille les gens, les endort pour leur éviter la souffrance et les réveille pour leur rendre leur autonomie).

Fort de ma curiosité, de mes apprentissages et de mon ouverture à tout ce qui peut aider l’humanité, sans tabous ni censures, je dis à l’humanité entière de stopper cette course vers la mort.

Descendez du train fou en marche. 

Je sais, cela fait peur, cela peut faire mal, et en même temps, tant que vous sentez la douleur, c’est que vous êtes vivant.

Reprenez votre autonomie physique et intellectuelle et protégez vos enfants.

Ces Young Global leader devenus « Leaders » (gourous) tout courts ne vous veulent pas du bien.

Sous couvert de ces injections mortelles (immédiatement ou à distance par stérilisation), autant de chevaux de Troie de la mort dans votre corps, dans votre esprit et dans votre âme, ils vont font croire qu’ils veulent vous sauver.

C’est faux. C’est convaincant, bien présenté, mais c’est faux.

S’ils voulaient vous sauver, ils vous diraient depuis longtemps de bouger davantage, de mieux manger (vraiment, pas des produits lights qui vous empoisonnent autant que les produits « lourds », Reévaluer les risques de l’aspartame. Nouvelles données expérimentales et épidémiologiques), de gérer votre stress au quotidien, de prendre soin de votre microbiote, de prendre des compléments alimentaires, certains toute l’année dans un pays comme la Belgique (vitamine D).

Cela n’est possible, malheureusement, que grâce à la complicité de certaines personnes qui dirigent les institutions censées nous protéger et les médias principaux censés nous informer. 

Comme le dit le professeur Nagarra au procureur Henry Volney (Yves Montand) dans I comme Icare, le film d’Henri Verneuil, il suffit de morceler les responsabilités : 

« Un tyran a besoin avant tout d’un état-tyran, alors il va utiliser un million de petits tyrans fonctionnaires qui ont chacun une tâche banale à exécuter, et chacun va exécuter cette tâche avec compétence, et sans remords, et personne ne se rendra compte qu’il est le millionième maillon de l’acte final. Les uns vont arrêter les victimes, ils n’auront commis que de simples arrestations, d’autres vont conduire ces victimes dans des camps. Ils n’auront fait que leur métier de mécanicien de locomotive, et le directeur de prison ouvrant ses portes n’aura fait que son devoir de directeur de prison. Bien entendu les chefs-tyrans utilisent les individus les plus cruels dans la violence finale, mais à tous les maillons de la chaîne, on a rendu l’obéissance confortable. » © Henri Verneuil, I comme Icare, 1979.

Cela vous rappelle quelque chose ? 

Délation encouragée, violence sur des citoyens sans défense banalisée, justifiée même, citoyens exclus des hôpitaux pour le seul « crime » de ne pas être « encore » injecté par un produit expérimental, ce vendeur dans un magasin d’électro-ménager qui vous ordonne de mettre votre masque correctement, le tenancier de bar transformé à la fois en policier et en médecin puisque vous devez dorénavant lui montrer votre état de santé.

Où croyez-vous que cela nous mène ?

Le dire maintenant, ce qui est considéré comme choquant par les mêmes qui vous disent que tout va bien, est la seule chance de ne pas franchir le seuil au-delà duquel tout espoir d’éviter la répétition de l’Histoire sera définitivement perdu.

Qui est Pfizer pour être aussi « puissant », à la fin ? 

Malgré le total de décès dus à la vaccination, même ce chiffre officiel de 15 937 morts issu du programme de surveillance des États-Unis (VAERS)-période du 14 décembre 2020 au 24 septembre 2021), dont on sait qu’il est largement sous-estimé, Pfizer, au casier judiciaire lourdement chargé, continue, reste en lice (Le casier judiciaire de Pfizer et son « vaccin » tueur (reseauinternational.net) 

Pfizer s’attaque à présent aux femmes enceintes sur toute la durée de leur grossesse, aux femmes ayant accouché malgré 1444 fausses couches déclarées (en réalité bien plus) ou naissances prématurées, malformées.

Certaines femmes font pression pour résister, appeler à l’aide ou alerter (« La main sur le berceau », Big Pharma étend ses injections aux femmes enceintes et aux enfants — Les Maîtres du Monde — Sott.net) mais c’est la pression de Pfizer qui l’emporte, systématiquement.

Alors, logiquement puisque nous les laissons faire, Pfizer s’attaque aux enfants de 5 à 11 ans, avec une demande d’autorisation en urgence pour leur produit toxique, alors que 21 jeunes de 12 à 17 ans sont décédés récemment aux États-Unis.

La seule chose de nouvelle dans leur vie ? Avoir accepté le produit toxique de Pfizer. 

Sérieusement, faut-il faire des autopsies pour vous convaincre ?

Alors que presqu’aucun jeune de moins de 30 ans, à moins d’une maladie débilitante préalable, n’est mort du COVID-19 ou n’a fait la moindre forme grave.

Qui est Pfizer ? 

Qui est « Big Pharma » ? 

Derrière ces firmes se trouvent des personnes, des noms, des responsables autorisés. 

Dorénavant, citons ces noms qui servent le Système, appelé Sauron dans le Seigneur des Anneaux.

Nous pourrions appeler le Système actuel, le Seigneur des ‘vaccins’, avec à sa tête Sauron, à son service des Balrogs, des serviteurs zélés, des « idiots » utiles (cf. I comme Icare), des traîtres (Saroumane), des gens qui regardent et d’autres qui attendent.

Ne riez pas. 

L’analogie est réaliste.

Les mots sont importants ! 

Ils activent à notre insu des concepts profondément ancrés dans nos inconscients individuel et collectif : les archétypes chers à Carl Jung.

Malgré l’évidence, les preuves de plus en plus solides et les témoignages de plus en plus convaincants, les ‘vaccins’, même avant le Covid, ne sont pas les bienfaiteurs de l’humanité (Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ? — Santé et Bien-être — Sott.net), mais il faut du temps pour tirer un archétype de son piédestal doré.

Aujourd’hui, le concept de ‘vaccin’ utilisé comme cheval de Troie, permet à une firme frappée de la plus grosse amende fédérale de l’histoire des États-Unis, associée à BioNTech, et à d’autres firmes aussi peu recommandables d’entraîner la partie de l’humanité qui les dérange (vous et moi) vers une extinction qui ne devra rien au hasard, avec la complicité d’escrocs aux dents blanches et au costume parfait.

Certains y vont gaiement, en chantant, en suivant le joueur de flûte. 

D’autres y vont car ils se sentent coupable d’être vivant : les gourous criminels ont réussi à leur faire croire qu’ils sont les responsables-coupables du dérèglement climatique, du racisme à l’égard des gens de couleur (le blanc est une couleur), du terrorisme, des inégalités, des crises et aujourd’hui, des pandémies.

Oui, pour « Sauron le système », nous ne nous laverons jamais assez les mains, nous ne mettrons jamais assez bien notre masque et nous n’accepterons jamais assez de leurs produits (faussement appelés vaccins) dans notre corps meurtri.

Certains, les pires, y vont sciemment, soit pour y gratter quelque avantage, soit pour y briller telle une lumière d’Udûn*.

Faites attention aux mots. N’utilisez plus ceux de l’Ennemi. 

Bannissez le mot qui commence par v et se termine par n ! Et les mots comme ‘obligatoire’, ‘confinement’, ‘masque’, ‘lavage des mains’, ‘distanciation sociale’…, leurs mots, leurs expressions utilisées à dessein pour envelopper leurs poisons dans un concept archétypal puissant et salvateur (perçu comme tel par la majorité de l’humanité), pour mieux les faire accepter à une population de plus « hypnotisée » via la peur, la répétition, la confusion et les ruptures de pattern (outils utilisés pour plonger à son insu une personne en hypnose, état de conscience caractérisé par une hypersuggestibilité, une sensibilité exagérée à l’influence).

Utilisez les mots réels  qui désignent ce que ces choses sont vraiment :

  • V…n = injection transgénique
  • Masque = obstacle respiratoire
  • Lavage des mains = trouble hygiénique compulsif
  • Distanciation sociale = isolement social

Ce sont des propositions. 

Le plus important est d’avoir compris la raison pour laquelle ces considérations sémantiques sont capitales dans le combat que nous menons contre l’idéologie transgénique actuelle.

Je m’adresse particulièrement à tous ceux qui ont compris, qui ont ouvert les yeux sur tout cela aujourd’hui.

Dans ce passage particulièrement sombre du premier volet du Seigneur des Anneaux (« La Communauté de l’Anneau), dans la Moria, les caves de Khazad-dûm, le spectateur-lecteur voit deux feux s’affronter.

Gandalf contre le Balrog. Anor contre Udûn. La Flamme peut servir le Bien, elle peut servir le Mal. La Flamme peut vous réchauffer, comme elle peut vous brûler.

Quel fabuleux message d’espoir à toute la planète encore libre et vivace.

Udûn ne passera pas, grâce à chacun d’entre vous, petites et grandes flammes d’Anor.

Dr Pascal Sacré


Que veut dire Gandalf par « Feu secret », « Flamme d’Anor » et « Flamme d’Udûn » ? (askfrance.me)  Anor est un nom pour le Soleil en Terre du Milieu, tandis qu’Udûn (qui se traduit par enfer) est le nom de l’un des premiers repaires de Morgoth, le Maître de Sauron. « J’ai le pouvoir du bien de mon côté, vous avez le pouvoir du mal ».

Image en vedette : Photo du film : Le Seigneur des anneaux : la communauté de l’anneau

Dr Pascal Sacré est diplômé en médecine, en Belgique, depuis 1995. Il a entamé une spécialité en anesthésie-réanimation en 1997, terminée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs (critical care) en 2003. Il travaille en milieu hospitalier depuis cette date, en soins intensifs, avec un passage de 2,5 ans dans un centre pour grands brûlés (l’hopital militaire Reine Astrid HMRA à Bruxelles) entre 2009 et 2011. Depuis 2011, il travaille dans un centre de soins intensifs médico-chirurgical à Charleroi, Belgique. Il est formé en hypnothérapie en milieu médical depuis 2014 et à ce titre, il est responsable de formations en gestion du stress pour le personnel de son hôpital. Il collabore pour le Centre de recherche sur la Mondialisation depuis 2009.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2021




France : « Maintenant, ça suffit…Le gouvernement doit absolument lever toutes ces mesures liberticides ! On n’a pas droit de faire vivre cela à nos enfants !!! »

[Source : businessbourse.com]




Des infirmières canadiennes lanceuses d’alerte disent que de nombreuses personnes meurent des vaccins contre le Covid, les hôpitaux sont remplis de personnes entièrement vaccinées

[Source : ZEjournal.mobi]

[Ndlr : au Québec et au Canada en général, les médias mainstream font croire le contraire, à savoir que les hôpitaux sont remplis de personnes non vaccinées, sachant qu’en fait des personnes n’ayant reçu qu’une dose sont le plus souvent considérées comme non vaccinées et que si elles meurent peu de temps après la vaccination, on dit qu’elles sont mortes de la Covid-19, mais surtout pas d’un effet secondaire du « vaccin ». Dans beaucoup de pays, il semble bien qu’il faille passer par des médias étrangers ou par des médias alternatifs pour avoir un autre son de cloche que celui du gouvernement.]

Deux infirmières canadiennes se sont exprimées en tant que lanceuses d’alerte et ont révélé ce qu’elles ont vu pendant la pandémie de Covid-19. Les infirmières ont décrit avoir vu des personnes mourir après la vaccination et des hôpitaux submergés de personnes entièrement vaccinées souffrant de Covid.

Erica Beardsley, qui a été infirmière pendant 11 ans dans la petite ville de Pontiac, dans la province canadienne de Québec, a récemment démissionné après que son employeur lui a ordonné de se faire vacciner.

Lors d’une manifestation contre le mandat anti-vaccin au Canada, Beardsley a parlé à un journaliste de ce dont elle a été témoin pendant la pandémie.

« J’ai vu physiquement des gens retenir des personnes âgées et les vacciner contre leur gré pendant qu’elles criaient ‘Non’ », a-t-elle déclaré.

« J’ai vu des patients se suicider et… une fois qu’ils sont morts, ils les testent pour le COVID. Pourquoi? Pourquoi les testons-nous pour COVID ? »

« J’ai vu beaucoup de gens mourir d’une crise cardiaque peu de temps après le vaccin », a-t-elle poursuivi. « J’ai été témoin de fausses couches à terme cinq jours, quatre jours après le vaccin ».

Bien qu’il vienne d’une ville d’environ 5 000 habitants, Beardsley a déclaré que cela devenait un phénomène inquiétant.

« Je suis dans un petit hôpital, un petit hôpital. J’ai travaillé à tous les étages », a déclaré Beardsley. Elle a dit qu’elle a travaillé dans les soins de longue durée, les soins généraux, le service des urgences et même pour la clinique externe de son hôpital. « J’ai tout vu. »

« Je n’ai rien à perdre, rien à cacher. Ils voulaient me faire vacciner et j’ai refusé. »

Une deuxième infirmière travaillant à l’hôpital St. Michael’s de Toronto affirme que l’hôpital est rempli de patients Covid entièrement vaccinés.

Un journaliste a demandé : « Les hôpitaux sont-ils pleins de patients Covid ?

L’infirmière a répondu : « Les hôpitaux sont à peu près pleins de gens qui ont été vaccinés. Ils retournent à l’hôpital en raison de leurs vaccinations. »

« Alors vous me dites que les gens qui se sont fait vacciner sont à l’hôpital en ce moment ? » demanda le journaliste.

« Oui, pas seulement à St. Michael’s, mais partout dans le monde », a déclaré l’infirmière. « C’est ce qui revient dans les hôpitaux à cette période de l’année, alors que les hôpitaux devraient être au plus bas, ce sont des gens qui sont vaccinés ».

Actuellement, au Canada, tous les travailleurs de la santé doivent être vaccinés ou risquent de perdre leur emploi. Cela inclut ceux qui travaillent dans les hôpitaux et dans un établissement de soins. Cependant, le gouvernement canadien a récemment annoncé que tous les travailleurs fédéraux doivent être vaccinés contre le Covid-19 d’ici la fin septembre.

Une fois ce mandat en place, une autre règle sera introduite pour rendre les injections obligatoires pour ceux qui travaillent dans les transports aérien, ferroviaire et maritime, et sera mise en œuvre «dès que possible à l’automne et au plus tard fin octobre. », a déclaré le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada.



Source : The Daily Expose (Royaume-Uni)




Une ex-employée de Facebook fait trembler le géant américain avec ses révélations

[Source : sputniknews.com]

[Photo : © REUTERS / Stephen Lam]

Par Julia Belyakova

Une série de révélations a été faite grâce à des documents connus sous le nom de Facebook Files, transmis à la Security and Exchange Commission par une lanceuse d’alertes. Selon le Wall Street Journal, qui a pu consulter des documents, le fonctionnement de l’entreprise semble ne toujours pas correspondre au discours public de la direction.Est-ce que des temps difficiles attendent l’entreprise Facebook et sa direction? Une lanceuse d’alertes qui avait déjà révélé une partie des documents portant sur des règlements intérieurs de travail du réseau social, donnant la base à une série de publications par le Wall Street Journal qui a pu les consulter, aurait promis de sortir de l’ombre ce dimanche 3 octobre dans l’émission 60 Minutes de la chaîne CBS.

Toutefois, elle avait déjà transmis certains documents, connus sous le nom de Facebook Files, pour une étude à la Security and Exchange Commission (SEC), l’organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers. Et selon les investigations menées par le Wall Street Journal, parmi les révélations faites par cette lanceuse d’alertes, il y a l’effet négatif d’Instagram sur les jeunes, jamais communiqué par Facebook, alors qu’il s’agit de résultats d’une étude interne, la censure manuelle des comptes de personnalités et influenceurs, ce qui prouverait l’implication du facteur humain dans cette censure qui comme il s’avère n’est pas faite par des robots.

L’influence négative d’Instagram

Les chercheurs d’Instagram, qui appartient à Facebook, étudient depuis des années comment l’application de partage de photos touche des millions de jeunes utilisateurs. À plusieurs reprises, la société a constaté qu’Instagram était nuisible pour un pourcentage important d’entre eux, en particulier les adolescentes, plus que d’autres plateformes de réseaux sociaux. En public, Facebook a constamment minimisé les effets négatifs de l’application, y compris dans les déclarations au Congrès, et n’a pas rendu sa recherche publique ou disponible pour les universitaires ou les législateurs qui l’ont demandée. En réponse, Facebook dit que les effets négatifs ne sont pas répandus, que la recherche en santé mentale est précieuse et que certains des aspects nocifs ne sont pas faciles à traiter, précise le Wall Street Journal dans sa publication.

Les comptes privilégiés

Mark Zuckerberg a publiquement déclaré que Facebook permettait à ses plus de trois milliards d’utilisateurs de parler sur un pied d’égalité avec les élites de la politique, de la culture et du journalisme, et que ses normes de comportement s’appliquent à tous, peu importe leur statut ou leur renommée, rappelle le média. En privé, l’entreprise a conçu un programme, connu sous le nom de « vérification croisée » ou « XCheck », créé comme une mesure de contrôle de la qualité pour les comptes de haut niveau. Aujourd’hui, il protège des millions de comptes privilégiés, montrent les documents. Beaucoup abusent de ce privilège, publiant des images relevant du harcèlement et de l’incitation à la violence qui conduiraient généralement à des sanctions. Les comptes de personnalités faisant partie de ces listes « privilégiées » sont traités manuellement, ainsi cela prend plus de temps et la modération n’est pas exempte d’un facteur et jugement humains. Cela concerne presque six millions de comptes (5,8 millions à en croire les documents dévoilés). Parfois, XCheck avait protégé des personnalités publiques dont les messages contiennent du harcèlement ou de l’incitation à la violence, violations qui généralement conduiraient à des sanctions pour les utilisateurs réguliers. En 2019, il a permis à la star internationale du football Neymar de montrer des photos nues d’une femme, qui l’avait accusé de viol, à des dizaines de millions de ses fans avant que le contenu ne soit supprimé par Facebook, démontrent les documents.

L’un des documents internes consultés explique aux employés ce qu’est le programme XCheck de la manière suivante:

« Cela signifie que, pour un petit nombre de membres de notre communauté, nous n’appliquons pas nos politiques et nos normes. Contrairement au reste de notre communauté, ces personnes peuvent violer nos normes sans aucune conséquence », indique le Wall Street Journal, citant l’une des notes il a pu consulter.

Facebook a répondu pour sa part que critiquer ce programme était justifié, qu’il a été conçu pour un bon but et que l’entreprise travaillait à le corriger.

Le trafic d’organes humains, la pornographie et les cartels de la drogue

De nombreux documents Facebook examinés par le Wall Street Journal montrent des employés s’alarmant de la façon dont la plateforme est utilisée dans les pays en développement, où sa base d’utilisateurs est énorme et en expansion. Des employés ont signalé que les trafiquants d’êtres humains au Moyen-Orient utilisaient le site pour attirer les femmes. Ils ont averti que les groupes armés éthiopiens utilisaient le site pour inciter à la violence contre les minorités ethniques. Ils ont envoyé des alertes à leurs patrons sur la vente d’organes, la pornographie et l’action du gouvernement contre la dissidence politique, selon les documents. Ils montrent également la réaction de l’entreprise, qui dans de nombreux cas est inadéquate ou reste sans réponse.

Notamment, en janvier 2021, un ancien policier devenu enquêteur pour Facebook a publié une note de service pour tout le personnel sur le tableau des messages internes où il a détaillé un nouvel ensemble de ce qu’il a appelé « les apprentissages ». Le plus important d’entre eux était celui qui portait sur un cartel mexicain de la drogue utilisant Facebook pour recruter, former et payer les tueurs à gages, donne comme exemple le Wall Street Journal, en se référant aux documents révélés. Le comportement était choquant dans nombre de cas rapportés et en violation flagrante des règles de Facebook. Mais l’entreprise n’a pas empêché le cartel de publier sur Facebook ou Instagram.

Un porte-parole de Facebook a déclaré que l’entreprise avait déployé des équipes à travers le monde, des partenariats locaux et des vérificateurs de faits tiers pour augmenter la sécurité des utilisateurs.

L’impact de Facebook dans la campagne vaccinale

Facebook a pesé de tout son poids dans la promotion des vaccins contre le Covid-19, « une priorité de compagnie supérieure », souligne une note interne, dans une démonstration de Mark Zuckerberg pour faire valoir que sa création est une force pour le bien dans le monde. Il a fini par démontrer des lacunes entre ses aspirations et la réalité de la plus grande plateforme sociale du monde. Les activistes ont inondé le réseau, selon les notes internes consultées par le quotidien. Ils ont utilisé les outils de Facebook pour semer le doute sur la gravité de la menace de la pandémie et la sécurité de la principale arme des autorités pour la combattre. Les problèmes liés au Covid-19 ont créé des difficultés pour la direction de Facebook. Même quand il fixait un objectif, le chef de l’exécutif ne pouvait pas diriger la plateforme comme il le voulait. Un porte-parole de Facebook a déclaré dans un communiqué que les données montrent que l’hésitation vaccinale des gens aux États-Unis sur Facebook a diminué d’environ 50% depuis janvier, et que les documents montrent le « processus de routine de l’entreprise pour faire face à des défis difficiles ».

Une fuite précédente liée à Cambridge Analytica

Il ne s’agit pas de la première fuite géante chez Facebook. En 2018, le scandale autour du cabinet britannique Cambridge Analytica, qui avait récupéré les données de 87 millions d’utilisateurs à des fins de propagande politique, avait porté un coup dur à la réputation du réseau social qui compte actuellement près de 2,8 milliards d’usagers mensuels.

En octobre 2020, une association de consommateurs a annoncé lancer une action en justice au Royaume-Uni contre Facebook pour l’utilisation illégale de données d’utilisateurs en Angleterre et au pays de Galles, à la suite de l’affaire Cambridge Analytica. Précédemment, Facebook avait accepté de payer une amende de 500.000 livres sterling (585.000 euros) au Royaume-Uni.




Camps de détention du COVID-19 : Les rafles gouvernementales des résistants sont-elles notre avenir ?

[Source : Aube Digitale]

Par JADE

« Sans doute les camps de concentration étaient-ils un moyen, une menace utilisée pour maintenir l’ordre. »

Albert Speer, procès de Nuremberg

Il ne s’agit plus de savoir si le gouvernement enfermera les Américains pour avoir défié ses mandats, mais quand.

Voici ce que nous savons : le gouvernement a les moyens, les muscles et la motivation pour détenir les individus qui résistent à ses ordres et ne se conforment pas à ses mandats dans un vaste éventail de prisons, de centres de détention et de camps de concentration de la FEMA payés avec l’argent des contribuables.

Ce n’est qu’une question de temps.

La question la plus brûlante n’a plus d’importance (les vaccins obligatoires, l’immigration, les droits des armes à feu, l’avortement, le mariage homosexuel, les soins de santé, la critique du gouvernement, la protestation contre les résultats des élections, etc.

Le travail préparatoire a déjà été effectué

En vertu de la disposition relative à la détention indéfinie de la loi sur l’autorisation de la défense nationale (NDAA), le président et l’armée peuvent détenir et emprisonner des citoyens américains sans accès à leurs amis, à leur famille ou aux tribunaux si le gouvernement les considère comme des terroristes.

Il n’est donc pas surprenant que le simple fait de critiquer le gouvernement ou de s’opposer à la vaccination contre le COVID-19 puisse vous faire qualifier de terroriste.

Après tout, il suffit de peu de choses pour être considéré comme un terroriste, d’autant plus que le gouvernement aime utiliser indifféremment les mots « anti-gouvernemental », « extrémiste » et « terroriste ».

Par exemple, le département de la sécurité intérieure définit les extrémistes comme des individus, des vétérans militaires et des groupes « qui sont principalement anti-gouvernementaux, rejetant l’autorité fédérale en faveur de l’autorité étatique ou locale, ou rejetant entièrement l’autorité gouvernementale ».

Les vétérans militaires revenant d’Irak et d’Afghanistan peuvent également être qualifiés d’extrémistes et de menaces terroristes intérieures potentielles par le gouvernement, car ils peuvent être « mécontents, désillusionnés ou souffrir des effets psychologiques de la guerre. »

En effet, si vous croyez en vos droits constitutionnels et les exercez (à savoir, votre droit de parler librement, de pratiquer librement votre culte, de vous associer à des personnes partageant vos opinions politiques, de critiquer le gouvernement, de posséder une arme, d’exiger un mandat avant d’être interrogé ou fouillé, ou toute autre activité considérée comme potentiellement anti-gouvernementale, raciste, bigote, anarchique ou souveraine), vous pourriez figurer en tête de la liste de surveillance du gouvernement en matière de terrorisme.

En outre, comme le souligne un éditorial du New York Times, vous pouvez être un extrémiste antigouvernemental (alias terroriste domestique) aux yeux de la police si vous craignez que le gouvernement ne complote pour confisquer vos armes à feu, si vous pensez que l’économie est sur le point de s’effondrer et que le gouvernement va bientôt déclarer la loi martiale, ou si vous affichez un nombre inhabituel d’autocollants politiques et/ou idéologiques sur votre voiture.

Selon le FBI, vous pourriez également être classé comme une menace de terrorisme intérieur si vous adhérez à des théories du complot ou osez souscrire à des opinions contraires à celles du gouvernement.

Le gouvernement dispose également d’une liste de plus en plus longue, partagée avec les centres de fusion et les services répressifs, d’idéologies, de comportements, d’affiliations et d’autres caractéristiques susceptibles de signaler une personne comme suspecte et de la faire passer pour un ennemi potentiel de l’État.

C’est ce qui se passe lorsque l’on confie non seulement le pouvoir de déterminer qui est un danger potentiel aux agences gouvernementales, aux tribunaux et à la police, mais que l’on donne également à ces agences l’autorité libérale d’enfermer des individus pour des méfaits perçus.

C’est un système qui ne demande qu’à être abusé par des bureaucrates assoiffés de pouvoir et désireux de conserver leur pouvoir à tout prix.

Cela s’est déjà produit auparavant.

Comme le montre l’histoire, le gouvernement américain n’hésite pas à enfermer ses propres citoyens à ses propres fins

Il suffit de remonter aux années 1940, lorsque le gouvernement fédéral a proclamé que les Américains d’origine japonaise, qualifiés de dissidents potentiels, pouvaient être placés dans des camps de concentration (ou d’internement) sur la seule base de leur origine ethnique, pour voir jusqu’où le gouvernement fédéral est prêt à aller pour maintenir « l’ordre » dans son pays.

La Cour suprême des États-Unis a validé le programme de détention dans l’affaire Korematsu v. US (1944), concluant que la nécessité pour le gouvernement d’assurer la sécurité du pays l’emportait sur les libertés individuelles.

Bien que cette décision Korematsu n’ait jamais été formellement annulée, le juge en chef Roberts a opiné dans l’affaire Trump v. Hawaii (2018) que

« la relocalisation forcée de citoyens américains dans des camps de concentration, uniquement et explicitement sur la base de la race, est objectivement illégale et en dehors de la portée de l’autorité présidentielle. »

Les déclarations de Roberts n’offrent guère d’assurance en matière de sécurité, compte tenu de la tendance du gouvernement à contourner la règle de droit lorsque cela satisfait ses objectifs. Soulignant que de telles détentions manifestement illégales pourraient se reproduire – avec la bénédiction des tribunaux – le juge Scalia a un jour averti :

« En temps de guerre, les lois se taisent. »

En fait, la création de camps de détention au niveau national fait depuis longtemps partie du budget et des opérations du gouvernement, relevant de la FEMA, l’Agence fédérale de gestion des urgences.

L’histoire trouble de la FEMA remonte aux années 1970, lorsque le président Carter l’a créée par le biais d’un décret fusionnant plusieurs agences gouvernementales d’aide en cas de catastrophe en une seule grande agence.

Dans les années 1980, cependant, des rapports ont commencé à faire état d’exercices secrets d’entraînement de type militaire menés par la FEMA et le ministère de la Défense. Sous le nom de code Rex-84, 34 agences fédérales, dont la CIA et les services secrets, ont été formées à la gestion des troubles civils intérieurs.

Le rôle de la FEMA dans la création de camps d’internement américains top-secret est bien documenté

Mais faites attention à qui vous partagez cette information : il s’avère que le fait de s’inquiéter de l’existence des camps de détention de la FEMA fait partie de la liste croissante d’opinions et d’activités qui peuvent amener un agent fédéral ou un fonctionnaire à penser que vous êtes un extrémiste (alias un terroriste) ou que vous êtes favorable à des activités terroristes, et que vous pouvez donc être placé en détention pour une durée indéterminée en vertu de la NDAA. Cette liste de points de vue « dangereux » comprend également la défense des droits de l’État, la conviction que l’État n’est pas nécessaire ou est indésirable, la « théorie de la conspiration », les préoccupations concernant les camps de la FEMA, l’opposition à la guerre, l’organisation pour la « justice économique », la frustration à l’égard des « idéologies dominantes », l’opposition à l’avortement, l’opposition à la mondialisation et le stockage de munitions.

Si vous voulez avoir des camps d’internement sur le sol américain, il faut bien que quelqu’un les construise.

Ainsi, en 2006, il a été annoncé que Kellogg Brown and Root, une filiale de Halliburton, avait obtenu un contrat de 385 millions de dollars pour construire des centres de détention américains. Bien que le gouvernement et Halliburton n’aient pas précisé où et quand ces centres de détention nationaux seraient construits, ils en ont justifié la nécessité en cas « d’afflux urgent d’immigrants, ou pour soutenir le développement rapide de nouveaux programmes » en cas d’autres urgences telles que des « catastrophes naturelles. »

Bien entendu, ces camps de détention devront être utilisés pour toute personne considérée comme une menace pour le gouvernement, et cela inclut les dissidents politiques.

Ce n’est donc pas une coïncidence si le gouvernement américain a, depuis les années 1980, acquis et maintenu, sans mandat ni ordonnance du tribunal, une base de données de noms et d’informations sur des Américains considérés comme des menaces pour la nation.

Comme le rapporte Salon, cette base de données, qui aurait été baptisée « Main Core », doit être utilisée par l’armée et la FEMA en cas d’urgence nationale ou de loi martiale pour localiser et rassembler les Américains considérés comme des menaces pour la sécurité nationale. Il y a au moins 8 millions d’Américains dans la base de données Main Core.

Avance rapide jusqu’en 2009, lorsque le département de la sécurité intérieure (DHS) a publié deux rapports, l’un sur l’ »extrémisme de droite », qui définit largement les extrémistes de droite comme des individus et des groupes « qui sont principalement anti-gouvernementaux, rejetant l’autorité fédérale en faveur de l’autorité étatique ou locale, ou rejetant entièrement l’autorité gouvernementale », et l’autre sur l’ »extrémisme de gauche », qui qualifie d’extrémistes les groupes de défense de l’environnement et des droits des animaux.

Chose incroyable, les deux rapports utilisent indifféremment les mots terroriste et extrémiste.

La même année, le DHS a lancé l’opération Vigilant Eagle, qui prévoit la surveillance des vétérans de l’armée revenant d’Irak, d’Afghanistan et d’autres pays lointains, les qualifiant d’extrémistes et de menaces terroristes intérieures potentielles parce qu’ils peuvent être « mécontents, désillusionnés ou souffrir des effets psychologiques de la guerre ».

Ces rapports indiquent que pour le gouvernement, ce que l’on appelle l’extrémisme n’est pas une question partisane. Toute personne perçue comme s’opposant au gouvernement – qu’elle soit de gauche, de droite ou quelque part entre les deux – est une cible, ce qui nous ramène, en boucle, à la question de savoir si le gouvernement exercera le pouvoir qu’il prétend posséder pour détenir toute personne perçue comme une menace, c’est-à-dire toute personne critiquant le gouvernement.

La réponse courte est : oui.

La réponse plus longue est plus compliquée.

Malgré ce que certains peuvent penser, la Constitution n’est pas une incantation magique contre les méfaits du gouvernement. En effet, son efficacité dépend de ceux qui la respectent.

Toutefois, en l’absence de tribunaux disposés à faire respecter les dispositions de la Constitution lorsque des représentants du gouvernement n’en tiennent pas compte et en l’absence de citoyens suffisamment informés pour être indignés lorsque ces dispositions sont remises en cause, la Constitution n’offre que peu ou pas de protection contre les raids des équipes d’intervention, la surveillance domestique, les tirs de la police sur des citoyens non armés, les détentions illimitées, etc.

Pour être franc, les tribunaux et la police ont tellement harmonisé leur façon de penser que tout est permis quand c’est fait au nom de la sécurité nationale, de la lutte contre la criminalité et du terrorisme.

Par conséquent, l’Amérique ne fonctionne plus dans le cadre d’un système de justice caractérisé par une procédure régulière, la présomption d’innocence, une cause probable et des interdictions claires concernant les excès du gouvernement et les abus de la police. Au lieu de cela, nos cours de justice ont été transformées en cours d’ordre, défendant les intérêts du gouvernement plutôt que les droits des citoyens, tels qu’ils sont inscrits dans la Constitution.

Nous semblons boucler la boucle sur de nombreux fronts

Il y a vingt ans, nous débattions de la question de savoir si les non-citoyens – par exemple, les soi-disant combattants ennemis détenus à Guantanamo Bay et les Américains musulmans raflés à la suite des attentats du 11 septembre – avaient droit aux protections prévues par la Constitution, notamment en ce qui concerne la détention indéfinie. À l’époque, les Américains ne se préoccupaient pas outre mesure des droits des non-citoyens, et aujourd’hui, c’est nous qui sommes dans la position peu enviable d’être ciblés par notre propre gouvernement pour une détention indéfinie.

De même, la plupart des Américains ne se sont pas inquiétés outre mesure lorsque la Cour suprême des États-Unis a donné aux policiers de l’Arizona le feu vert pour arrêter, fouiller et interroger quiconque – vraisemblablement ceux qui correspondent à un profil racial particulier – qu’ils soupçonnent d’être un immigrant illégal. Dix ans plus tard, les flics ont largement carte blanche pour arrêter tout individu, citoyen ou non, qu’ils soupçonnent de faire quelque chose d’illégal (attention, à notre époque de surcriminalisation, cela peut aller de donner à manger aux oiseaux à la culture d’orchidées exotiques).

De même, il existe encore aujourd’hui une partie non négligeable de la population qui ne se préoccupe pas de la pratique du gouvernement consistant à espionner les Américains, car on leur a lavé le cerveau en leur faisant croire que si vous ne faites rien de mal, vous n’avez rien à craindre.

Ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils n’apprennent à leurs dépens que dans un État policier, peu importe qui vous êtes ou à quel point vous prétendez être vertueux, car finalement, vous serez mis dans le même sac que tous les autres et tout ce que vous ferez sera « mauvais » et suspect.

C’est d’ailleurs ce qui se passe déjà, la police s’appuyant sur des logiciels de surveillance tels que ShadowDragon pour observer l’activité des gens sur les médias sociaux et sur d’autres sites Web, qu’ils soient ou non soupçonnés d’un crime, et les utiliser potentiellement contre eux en cas de besoin.

Il s’avère que nous sommes dans Soleil Vert, cannibalisés par un gouvernement qui cherche à nous soutirer jusqu’à la dernière goutte.

Le film Soleil Vert (Soylent Green) de 1973, avec Charlton Heston et Edward G. Robinson, se déroule en 2022 dans une ville de New York surpeuplée, polluée et affamée, dont les habitants dépendent des aliments synthétiques fabriqués par la Soylent Corporation pour survivre.

Heston joue le rôle d’un policier qui enquête sur un meurtre et découvre l’effroyable vérité sur l’ingrédient principal du biscuit, Soleil Vert, qui constitue la principale source d’alimentation d’une population affamée. « Ce sont les gens. Soleil Vert c’est de la chaire humaine », déclare le personnage de Heston. « Ils fabriquent notre nourriture à partir de personnes. Bientôt, ils nous élèveront comme du bétail pour nous nourrir. »

Oh, comme il avait raison.

Soleil Vert est en effet constitué de personnes ou, dans notre cas, Soleil Vert est constitué de nos propres données personnelles, reprises, reconditionnées et utilisées par les entreprises et le gouvernement pour nous piéger dans des prisons de notre propre fabrication.

Sans protections constitutionnelles en place pour se prémunir contre les empiètements sur nos droits lorsque le pouvoir, la technologie et la gouvernance militariste convergent, il ne faudra pas longtemps avant que nous nous retrouvions, un peu comme le personnage d’Edward G. Robinson dans Soleil Vert. Robinson dans Soylent Green, à regarder le passé avec nostalgie, à revenir à une époque où nous pouvions parler à qui nous voulions, acheter ce que nous voulions, penser ce que nous voulions et aller où nous voulions sans que ces pensées, ces mots et ces mouvements ne soient suivis, traités et stockés par des géants industriels comme Google, vendus à des agences gouvernementales comme la NSA et la CIA, et utilisés contre nous par une police militarisée avec son armée de technologies futuristes.

Nous n’en sommes pas encore là, mais comme je l’explique clairement dans mon livre 
Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictionnel 
The Erik Blair Diariesce moment décisif se rapproche à chaque minute.

Traduction du Rutherford Institute par Aube Digitale




Le commissaire de police en chef australien refuse d’appliquer le décret du passeport vaccinal

[Source : Aube Digitale]

La révolte grandit après des manifestations sauvages.

Le commissaire de police de la Nouvelle-Galles du Sud a refusé de faire respecter le passeport vaccinal imposé par l’État, révélant que les agents ne vérifieront pas le statut vaccinal des personnes dans les restaurants, les clubs et les bars.

Le gouvernement s’apprête à faire passer un décret qui interdira à toute personne non vaccinée d’entrer dans de nombreux lieux jusqu’au 1er décembre au moins, reprenant ainsi le système de ségrégation adopté dans de nombreux pays occidentaux.

Toutefois, après que des questions aient commencé à se poser quant à savoir si les entreprises seraient contraintes d’imposer ces mesures à leurs clients, le commissaire de la police de Nouvelle-Galles du Sud, Mick Fuller, a précisé que ses agents ne patrouilleraient pas.

« Le rôle de la police en termes de passeports vaccinaux, nous ne nous promènerons pas dans les restaurants, les cafés et les pubs pour vérifier si les gens sont doublement vaccinés », a-t-il déclaré.

« [Mais] nous aiderons certainement les propriétaires de restaurants et de magasins s’ils refusent l’entrée à quelqu’un – nous répondrons certainement pour aider ces personnes. »

Le ministre de la Santé, Brad Hazzard, a affirmé que ce serait à la police de faire respecter les mesures, mais cela ne semble pas devoir se produire.

Contrairement à ce qui se passe dans certains pays, les entreprises ne risquent pas d’amende si elles laissent entrer des personnes non vaccinées, ce qui rend l’ensemble du dispositif plutôt inutile.

Comme nous l’avons déjà souligné, de nombreuses entreprises en France n’appliquent pas le passeport vaccinal, pourtant prévu par la loi.

Depuis le début de la semaine dernière, Melbourne est secouée par des manifestations indisciplinées après qu’un syndicat d’ouvriers du bâtiment a exigé que ses employés se fassent vacciner ou perdent leur emploi.

Après que les travailleurs de la construction ont organisé une manifestation devant le siège du syndicat, le gouvernement a annoncé qu’il arrêterait tout travail lié à l’industrie pendant deux semaines à titre de sanction.

Cela a conduit à de nouveaux affrontements entre la police et les manifestants, avec des flics anti-émeute et des unités spéciales normalement réservées aux opérations anti-terroristes lâchées sur les Australiens.

Pendant ce temps, le Dr Kerry Chant, responsable de la santé en Nouvelle-Galles du Sud, a révélé la vérité hier en laissant entendre que les mesures de confinement du COVID resteront en place même si les gens se font vacciner.




Plus d’un million d’Israéliens qui n’ont pas reçu de 3e dose ont perdu le pass sanitaire dimanche

[Source : resistance-mondiale.com]

Beaucoup ne pourront pas accéder à certains lieux publics et rassemblements sans un test de virus négatif après un changement de politique nécessitant un rappel six mois après le 2e vaccin COVID-19.

À partir de dimanche, plus d’un million d’Israéliens perdront leur Green Pass (pass sanitaire) après qu’un changement de politique ait dicté qu’un rappel de COVID-19 soit requis six mois après avoir reçu les deux premières doses.

Les données du ministère de la Santé lundi ont montré que 4 710 716 Israéliens ont été vaccinés avec deux doses il y a six mois, mais seulement 3 243 641 d’entre eux ont reçu une dose de rappel.

Même en soustrayant les centaines de milliers de personnes infectées par COVID-19 au cours des six derniers mois, ce qui signifie qu’elles n’auraient pas besoin de la troisième dose de vaccin, le nombre de personnes qui n’auront plus un soi-disant Green Pass dépasse le million.

Le pass n’est valable qu’une semaine après avoir reçu la dernière dose requise, et pendant six mois après. Le document, détenu par ceux qui sont vaccinés ou qui se sont rétablis du COVID-19, permet d’accéder à de nombreux lieux et événements publics, y compris les restaurants et les musées.

Un laissez-passer vert temporaire peut être obtenu grâce à un test de dépistage du virus négatif, qui doit être payé sauf si la personne n’est pas admissible à la vaccination.

Par ailleurs, le ministère a annoncé cette semaine que les patients guéris du COVID-19 devront recevoir une seule dose de vaccin contre le coronavirus après avoir été diagnostiqués, afin de rester éligibles pour recevoir un Green Pass. Auparavant, toutes les personnes récupérées étaient éligibles.

Des enfants montrent leur Green Pass alors qu’ils font la queue à l’entrée du Science Museum de Jérusalem, le 19 août 2021 (Olivier Fitoussi/Flash90)

De plus, à partir de dimanche, les personnes infectées après avoir reçu un vaccin ne conserveront leur laissez-passer que six mois supplémentaires. Ensuite, le ministère réexaminera ces cas, a-t-il déclaré.

Israël – le premier pays à offrir officiellement une troisième dose – a commencé sa campagne de rappel COVID-19 le 1er août, en l’étendant initialement aux personnes de plus de 60 ans. Il a ensuite progressivement baissé l’âge d’éligibilité, pour finalement l’étendre à toute personne âgée de 12 ans. et plus qui ont reçu la deuxième injection il y a au moins cinq mois.

Une enseignante reçoit une dose du vaccin COVID-19 dans un centre de vaccination à Jérusalem, le 24 août 2021. (Yonatan Sindel/Flash90)

Le cabinet de haut niveau sur les coronavirus se réunira également dimanche pour la première fois en un mois, le Premier ministre Naftali Bennett étant censé résister à l’imposition de nouvelles restrictions sur les coronavirus malgré des centaines de nouveaux décès dus au COVID.

Depuis la dernière réunion du cabinet du coronavirus, plus de 600 Israéliens sont morts du COVID-19. Le nombre de cas graves dans l’ensemble est légèrement inférieur à ce qu’il était alors, avec 760 enregistrés le 30 août, contre 641 lundi.

Lundi, les chiffres du gouvernement plaçaient le taux de reproduction de base du virus, qui mesure la transmission, à 0,78. Tout nombre supérieur à 1 indique que les infections sont en augmentation, tandis qu’un chiffre en dessous indique qu’une épidémie diminue.

Alors que la quatrième vague d’infections en Israël a enregistré un nombre record de cas quotidiens, le nombre de patients nécessitant une hospitalisation est resté inférieur aux épisodes précédents, ce que les experts attribuent aux taux de vaccination élevés du pays.

Un travailleur de la santé effectue un test rapide d’antigène COVID-19 à Jérusalem, le 26 septembre 2021 (Olivier Fitoussi/Flash90)

Le nombre de morts depuis le début de la pandémie est passé lundi à 7 684. Septembre est le deuxième mois consécutif où Israël a enregistré au moins 500 décès, après qu’août ait vu 609 décès attribués au COVID-19.

Dans le même temps, les chiffres du ministère ont montré 3 819 nouvelles infections dimanche, poursuivant une lente tendance à la baisse, bien que les tests aient tendance à baisser fortement au cours des week-ends. Le taux de positivité des tests dimanche était en baisse à 4,19 %.

Traduction de l’article :
Over 1 million Israelis who haven’t had 3rd dose to lose Green Pass on Sunday | The Times of Israel




France — Lettre ouverte aux sénateurs contre le projet de loi de « vaxx oblig »

Par Syndicat « Enseignement Recherche Liberté ! »

La « Lettre ouverte aux sénateurs contre le projet de loi de vaccination obligatoire » rédigée par le syndicat « Enseignement Recherche Libertés! » ayant le mérite d’exister, chacun peut l’envoyer avec un petit mot d’accompagnement…

Cet envoi paraît d’autant plus utile que la vaccination obligatoire est censée compléter la surveillance numérique totale à la chinoise recommandée par le rapport n°673 du sénat.

Jean Happel


Syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! »

Lettre ouverte à Mesdames et Messieurs les Sénateurs

Mesdames et Messieurs les Sénateurs,

Le syndicat d’enseignants, de chercheurs et de personnels d’éducation « Enseignement, Recherche et Libertés ! » a examiné votre proposition de loi relative à la vaccination obligatoire, prévue à la discussion courant octobre 2021.

Outre l’idée, irrationnelle, d’imposer à l’ensemble de la population une injection sous AMM provisoire et conditionnelle et qui est toujours en phase III des essais cliniques, notre syndicat dénonce les contre-vérités nombreuses que comporte l’« Exposé des motifs » censé justifier cette proposition de loi.

Nous rappelons en préambule qu’un vaccin, comme tout traitement médical, doit présenter plus de bénéfices que de risques, protéger le sujet d’une maladie potentiellement grave pour laquelle n’existe aucun traitement et réduire la propagation de l’épidémie. Un vaccin n’est cependant jamais une panacée : 
https://reinfocovid.fr/science/la-vaccination-est-une-excellente-solution-contre-certaines-maladies/

Si notre syndicat fait, comme vous, confiance aux scientifiques, cette confiance ne se confond en aucun cas avec une « croyance » (cf. « Exposé des motifs ») : cela relèverait d’une démarche irrationnelle et conduirait à exposer la population à des dangers plus grands que la maladie dont on prétend la protéger.

  1. Sur la gravité de la COVID-19

Il est connu depuis mars 2020 que les principales victimes de la COVID-19 sont des sujets âgés, obèses et diabétiques présentant généralement des facteurs de risques sanitaires importants. Selon le site
https://geodes.santepubliquefrance.fr/, il est attesté que la population jeune et en bonne santé générale ne risque pas de mourir de la COVID 19. Les chiffres donnés par Géodes indiquent que les décès pour la population en dessous de 20 ans sont plus qu’exceptionnels. On sait aussi que sur l’année 2020, la surmortalité fut identique à celle de 2015, et a surtout concerné des personnes de plus de 80 ans :
https://colab.research.google.com/drive/1TGhYXE7F9LnXavVcvgSa7_PyXGa-lElF

  1. Sur le taux d’incidence de la COVID-19 en septembre 2021

En se penchant par ailleurs sur le taux d’incidence de la COVID-19 sur le territoire français métropolitain, on s’aperçoit qu’il est actuellement très bas (6 cas pour 100 000 habitants). En d’autres termes, nous ne sommes pas, en septembre-octobre 2021, en épidémie :
http://www.sentiweb.fr/france/fr/?page=maladies&mal=25.

  1. Sur la vaccination « altruiste », la protection collective et les variants

Les pays qui mènent des campagnes vaccinales massives contre la Covid sont victimes de vagues d’infections massives (voir Israël). Le vaccin contre la Covid n’empêche ni de développer la maladie ni de la transmettre. D’après des données du CDC (Center for Disease Control and Prevention) rendues publiques en juillet 2021, plus de 70 % des personnes malades de la Covid aux États-Unis étaient doublement vaccinées :
https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/pdfs/mm7031e2-H.pdf

Croire à une protection générale (cf. « Exposé des motifs ») par la vaccination universelle est donc une chimère, les personnes vaccinées continuant d’être porteuses, malades et vectrices du virus.

Ainsi, votre affirmation « Nous avons la chance de bénéficier de vaccins qui, collectivement, nous protègent et nous permettent de renouer avec un quotidien apaisé, de limiter les restrictions et les privations de liberté, de mettre fin à la situation que nous connaissons depuis trop longtemps, faite de craintes pour nos familles, pour nos emplois, pour la scolarité de nos jeunes » relève du vœu pieux.

  1. Sur la vaccination obligatoire et le danger des vaccins anti-COVID-19

Ces produits, en phase III d’expérimentation et sous AMM provisoire et conditionnelle, ne peuvent de surcroît pas être légalement imposés. Contraindre la population à participer à une telle expérimentation médicale enfreint l’article 223-8 du Code Pénal.

Vous ne pouvez non plus ignorer le très récent règlement européen, adopté le 14 juin 2021 (Règlement 2021/953 du 14/6/2021)1 qui prévoit notamment qu’il y a lieu « d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, quelle qu’en soit la raison, y compris lorsque ces personnes ne souhaitent pas se soumettre à ces injections ».

Vous osez pourtant le parallèle avec des obligations vaccinales décrétées précédemment pour enrayer des maladies gravement incapacitantes comme la tuberculose, la variole ou la poliomyélite (cf. « Exposé des motifs »). Mais la Covid 19, affection virale grippale pulmonaire classée par le Réseau Sentinelles INSERM dans les infections respiratoires aiguës (IRA), ne correspond pas à ce type de maladie. Au surplus, les vaccins antituberculeux, antivariolique ou antipoliomyélitique ont été rendus obligatoires après une très longue période probatoire, ce qui n’est pas le cas des vaccins contre la Covid, expérimentaux, dont on ne sait rien des effets secondaires à moyen et à long terme, mais dont on connaît bien, en revanche, les effets secondaires immédiats, qui sont nombreux, dont la mort :
https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/03-COVID-Shimabukuro-508.pdf

Pourtant, vous affirmez encore dans votre « Exposé des motifs » que « la vaccination obligatoire (…) est la manifestation de la primauté de l’intérêt général (…) ». Rien ne saurait être plus faux ! La vaccination expérimentale contre la Covid n’offre qu’un espoir, entièrement hypothétique, de « protection générale ». Cela relève en effet, comme vous l’admettez à juste titre, de la « croyance » (cf. « Exposé des motifs »).

En réalité, cette « obligation vaccinale » que vous entendez promouvoir, déraisonnable, contraire à l’intérêt général, illégale, serait pour vous un moyen de vous dispenser de la fastidieuse chasse à ceux des Français qui s’obstineraient, malgré toute la « pédagogie » (si on peut se risquer à l’emploi d’un tel terme…) du gouvernement, à refuser ces injections.

Pour l’ensemble de ces raisons, le syndicat « Enseignement Recherche Libertés ! » combattra cette proposition de loi, et a d’ores et déjà saisi tous les parlementaires pour les persuader de la rejeter.

Avec nos salutations.

Enseignement, Recherche, Libertés !


Emails/courriels des sénateurs

(Réf. www.voxpublic.org)




Le train est en marche

Par Diane Vincero

[Photo : bahnbilder.ch]

Sachant que le monde entier se retrouve actuellement soumis au pouvoir infini et écrasant des GAFA (Google, Apple, Facebook et Amazon), des grands lobbies pharmaceutiques (Pfizer etc.) et chimiques (Monsanto etc.), l’action doit se porter directement au niveau de la Cour pénale internationale (CPI) pour dépasser les instances mineures (nationales et européennes) — dépassées par — soumises aux grands lobbies.

En ce sens, le CSAPE, syndicat anti-corruption, a pris maintenant une position de force à l’échelle mondiale en rassemblant des acteurs de tous les pays :

CSAPE SYNDICATS ET ASSOCIATIONS anti-corruption

Plainte personnalisée CSAPE

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LE TRAIN EST LANCÉ : 7,8 milliards d’habitants face à… une poignée de possédants (politiques et lobbyistes)…

Cette poignée de dirigeants table sur l’asservissement, à son unique profit, de l’armée, de la gendarmerie et de la police, pour détruire l’Humanité et engranger toujours plus de richesses. 

Projet manifestement totalement délirant et machiavélique puisque dores et déjà, 1 % de l’Humanité détient… 99 % des richesses!! 

Ce besoin pathologique d’asservir le monde entier, est en fait, une position de faiblesse de la part de cette poignée de dirigeants. 

En effet, quand on est normalement constitué, on n’a nul besoin d’asservir qui que ce soit …

Mais, ce besoin coûte que coûte d’asservir et de manipuler l’armée, la gendarmerie et la police… montre également et surtout, une peur intense des 7,8 milliards de membres de l’Humanité que nous sommes.

Des milliers de personnes sont mortes du Covid à la suite d’un refus de traitement précoce salvateur.
La Déclaration ci-dessous est un cri de guerre des médecins qui se battent quotidiennement pour le droit de traiter leurs patients et le droit des patients de recevoir ces traitements — sans crainte d’ingérence, de représailles ou de censure de la part du gouvernement, des instances ordinales (conseils de l’ordre des médecins, des avocats, etc.), des pharmacies, des sociétés pharmaceutiques et des grandes technologies.

Si vous êtes médecin ou scientifique et que vous souhaitez signer la déclaration :

https://doctorsandscientistsdeclaration.org/ (traduction en français : Plus de 5000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence criminelle contre le COVID-19).

En n’oubliant pas que l’action du CSAPE sera celle qui prévaudra sur l’ensemble, d’où l’intérêt que toutes ces différentes actions et groupements ci-dessus et ci-dessous se fédèrent. 

Lettre pour les médecins de l’enfant – Collectif de santé pédiatrique (collectifdesantepediatrique.fr)

LETTRE OUVERTE A NOS CONSOEURS ET CONFRERES MEDECINS DE L’ENFANT, Pédiatres, Généralistes, Médecins Scolaires, Médecins de PMI, Pédopsychiatres…
Cher(è)s Collègues, Nous sommes à l’aube d’une vaccination de masse des enfants contre une maladie qui ne les concerne quasiment pas, qu’ils transmettent peu et cela avec une technique expérimentale dont les […]

Hallucinant! Qui sont les victimes ? Les parents et ceux décédés après vaccin : Mélanie Macip 15 ans, Maxime Beltra 22 ans, Anthony Rio 24 ans? Ou bien, ces messieurs en costume qui refusent de discuter? Je n’ai jamais menacé. Ils ont peur de la vérité.

Pour respecter le serment d’Hippocrate, un médecin démissionne de l’ordre des médecins et de son statut de praticien hospitalier

Pause avec Olivier Soulier, venu nous présenter le Syndicat Liberté Santé :

« En 2021, la médecine est passée totalement sous le joug de l’industrie pharmaceutique […] asservie à des objectifs qui ne sont plus la santé. »

Article :

« On nous ment encore sur les chiffres des soignants non-vaccinés » Olivier Soulier (francesoir.fr)

🧭 Après l’obligation vaccinale, le retour du confinement et l’arrestation du Dr Théron [Voir La Gestapo 2.0 : un médecin arrêté pour avoir traité ses patients contre la Covid], entretien avec RéinfoCovid Nouvelle-Calédonie pour faire un point sur la situation sanitaire : « Que le monde ouvre l’œil » 👇

Nouvelle-Calédonie : « l’île va être un théâtre expérimental surprenant » alors que l’obligation vaccinale a été votée début septembre en Nouvelle-Calédonie et que l’actualité s’y montre dense depuis.

Nouvelle-Calédonie : « l’île va être un théâtre expérimental surprenant » (francesoir.fr)

Une fois de plus, il faut que toutes ces actions, collectifs, associations, se fédèrent et rejoignent le CSAPE pour avoir enfin LE poids indispensable et qu’elles portent ainsi leur action au niveau suprême de la Cour pénale internationale (CPI) pour dépasser les instances mineures (nationales et européennes) soumises aux GAFA, Big Pharma, Monsanto, etc.

UNE CHOSE IMPORTANTE ENFIN : 

la poignée de dirigeants fonctionne sur le mode de la manipulation perverse : ils tablent entre autres, sur de la violence de la part des peuples, pour justifier du lancement de l’armée, de la gendarmerie et de la police contre eux. 

Ces dirigeants n’hésiteront pas non plus à payer des individus pour semer le début de la violence, comme une sorte de détonateur…

Coupons-leur l’herbe sous les pieds : ne marchons pas dans leur stratagème. Et si par malheur, quelques personnes commencent à faire preuve de violence, la règle d’or sera alors de s’en écarter immédiatement, pour bien scinder les choses et éviter l’amalgame…

En termes de manipulation, n’oublions jamais que le principe est de mettre en avant un « beau principe » (« prendre telle décision pour soi-disant le bien du peuple »), pour mieux cacher derrière, des actions destructrices et financières… 

N’oublions jamais que les états ne sont pas philanthropes (ils ne sont pas là dans l’intérêt des peuples), c’est même écrit dans les manuels scolaires de philo!!!…

Voici un exemple de l’absence de philanthropie, parmi tant d’autres, à réfléchir : pourquoi et de quel droit, un agriculteur n’a-t-il pas le droit de vendre des semences originelles de fruits et de légumes (!!!!), alors qu’en Norvège, dans un bunker, toutes les semences originelles sont stockées, ne laissant aux peuples que les semences OGM qui détruisent la santé de milliards d’individus et les rendent tributaires de Big Pharma ?? 

Où est le lézard ??? Etc., etc.

DIFFUSEZ LARGEMENT


Site pour l’organisation de mobilisations

Les clés de la mobilisation citoyenne (accelerateurdelamobilisation.org)




Appel solennel de survivants de l’Holocauste à la Cour Pénale Internationale pour un arrêt de la « vaccination » anticovid

Publié par CSAPE

Des survivants de l’Holocauste se joignent aux avocats, au Dr Fleming et au professeur Luc Montagnier pour exiger que la Cour pénale internationale inculpe les gouvernements du monde de crimes contre l’humanité, de génocide et de violations du Code de Nuremberg.

Le 26 septembre 2021

Les survivants des camps de concentration nazis ont envoyé une lettre à la Cour pénale internationale pour une « demande d’enquête » conjointe à celle d’avocats qui ont soumis des preuves, ainsi que les déclarations sous serment du professeur Luc Montagnier et du Dr Richard Fleming, alléguant que les gouvernements du monde entier et leurs conseillers sont complices de génocide, de crimes contre l’humanité et d’infractions au Code de Nuremberg.

L’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum ont soumis une « demande d’enquête » de 27 pages à la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye en avril 2021, alléguant que le gouvernement britannique et ses conseillers étaient complices de crimes contre l’humanité au nom du Covid-19.

Le CSAPE en France a porté plainte à la CPI.(([1] Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens
Secrétaire général Tel : 33 (0)6 12 55 63 20 — Directeur juridique Tel : 33 (0)6 79 61 44 22
Nous contacter : csape.sg@hotmail.com — site : www.csape.international))(([2] Compte rendu sur la plainte à la CPI pour génocide et crimes contre l’humanité à partir d’armes biologiques concernant SARS-CoV-2 et le vaccin covid19 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) août 2021))(([3] Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) 2 juillet 2021))(([4] Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Une nouvelle demande depuis l’été soumise à la CPI en raison de la grande quantité de nouvelles preuves et d’informations révélées au cours des derniers mois. Les avocats disposent désormais de preuves convaincantes que « le virus SRAS — CoV-2 et les “vaccins” Covid-19 sont des armes biologiques délibérément envisagées lancées en deux phases sur des peuples du monde sans méfiance ».

L’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum ont confirmé qu’elles étaient désormais jointes par des avocats qui ont déposé des demandes d’enquêtes similaires auprès de la Cour pénale internationale, en France, en République tchèque et en Slovaquie.

L’équipe d’avocats et d’experts a reçu le soutien des survivants de l’holocauste,

Ceux-ci ont adressé une lettre à la CPI décrivant leurs graves préoccupations concernant la réponse mondiale à Covid-19 et les dangers des injections expérimentales de Covid-19 utilisées pour prétendument combattre le virus.

La lettre envoyée est signée par trois des très rares survivants des camps de concentration nazis, qui ont vécu de première main les horreurs de l’Holocauste, choqués et consternés par le mal qu’ils voient se dérouler une fois de plus, cette fois dans le monde entier — et en particulier, le mépris total apparent pour le Code de Nuremberg.

Ces mêmes survivants ont déjà remis une lettre à l’Agence européenne des médicaments (EMA) et au régulateur britannique des médicaments (MHRA) exigeant l’arrêt du déploiement du vaccin Covid-19 par suite de la décision de la FDA d’accorder l’approbation complète des nouveaux lots de vaccins Pfizer Covid-19

Les survivants ont accusé les autorités de ne pas avoir correctement informé les populations des risques liés aux vaccins et d’avoir violé le droit au consentement libre et éclairé en vertu du Code de Nuremberg.

Dans leur lettre à la CPI, les survivants de l’Holocauste, Vera Sharov,(([5] Voir aussi Israeli Holocaust Survivor Vera Sharav and Dr Reiner Fuellmich on “Global Genocide” — Bible Science Forum))(([6] Israeli holocaust survivor Vera Sharav (public advocate for human rights and the founder and president of the Alliance for Human Research Protection (AHRP)).)) Moshe Brown et Hillel Handler ont réitéré les appels lancés par l’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum pour que le programme de « vaccins » COVID— 19 soit arrêté avec effet immédiat, afin de mettre fin au très grand nombre d’événements indésirables souvent graves qui apparaissent.

Les survivants de l’Holocauste ont ainsi conclu leur lettre :

« Nous, en tant que survivants des camps de concentration, avons été témoins de nombreuses atrocités commises pendant la Seconde Guerre mondiale et on nous a dit que cela ne se reproduirait plus jamais, mais pourtant cela se reproduit. Quelle prise de conscience accablante : combien de personnes âgées ont été contraintes par la peur de prendre le “vaccin” ?

Combien ont survécu à l’Holocauste, mais n’ont pas survécu à l’injection de COVID-19 ? Combien ont-elles survécu aux expériences médicales d’Auschwitz et de Birkenau, mais n’ont-elles pas survécu à cette expérience médicale contemporaine ?

Nous vous implorons donc d’accepter la “demande d’enquête” conjointe du Royaume-Uni, de la Slovaquie, de la France et de la République tchèque et d’ouvrir immédiatement et sans plus tarder une enquête urgente sur les crimes contre l’humanité, le génocide et les violations du Code par de nombreux responsables, qui ont déclenché tant de morts inutiles et d’accidents graves et continuent de le faire quotidiennement.

La Cour pénale internationale, en tant que tribunal de dernier recours, a le devoir d’enquêter sur ces crimes les plus odieux et de traduire les auteurs en justice.

Il est en votre pouvoir de sauver des vies.

Nous savons que plusieurs accusations criminelles ont été rejetées par vous pour des motifs formels. Indépendamment des détails techniques, vous les avez lus.

Nous savons que vous êtes conscients, à cause de ces affirmations, que des millions de personnes sont accidentés et handicapés et meurent à cause de la soi-disant vaccination.

Par exemple, les avocats irlandais ont fourni les chiffres des victimes en Israël et l’accès à la base de données de l’EMA sur les effets secondaires. C’était il y a plus de trois mois. Depuis lors, davantage de personnes sont décédées, sont tombées malades en phase terminale ou ont été blessées (voir ci-dessus).

Et vous n’êtes pas intervenus. Vous êtes averti en outre du fait que les enfants sont désormais de plus en plus parmi les victimes de la “vaccination”.

C’est à vous de punir les actes délibérés contre la vie et l’intégrité physique,

chaque jour que vous gaspillez sans rien faire, des vies humaines sont détruites, des vies d’enfants.

Nous exigeons la fin immédiate de la campagne de vaccination et une enquête immédiate sur les preuves que vous ne pouvez pas ignorer.

Les gens pardonneront une erreur. Un meurtre délibéré de leurs enfants — non.

Faire le bon choix.

L’histoire ne vous regarde pas d’un bon œil si vous manquez à votre devoir de le faire. Sachez que nos yeux et ceux des peuples du monde sont braqués sur vous — la responsabilité vous appartient. Vous savez ce qui se passe, vous avez les preuves et maintenant vous devez agir. »

VERSION INTÉGRALE DE LA LETTRE DES SURVIVANTS

« À Monsieur le Procureur de la Cour pénale internationale, M. Karim Khan

Nous soussignés, en tant que survivants des camps de concentration nazis ayant subi des atrocités commises contre l’humanité pendant la Seconde Guerre mondiale, nous nous sentons obligés de suivre notre conscience et d’écrire cette lettre pour soutenir la « demande d’enquête » conjointe soumise à la Cour pénale internationale au nom du Royaume-Uni (143.21), de la Slovaquie (133.21), de la France (271/21) et de la République tchèque (326/21) le 12 août 2021.

Le contenu de la « demande » comprend des déclarations sous serment de témoins experts, le Dr Richard Fleming, le professeur Luc Montagnier et le Dr Kevin McCairn. Il est évident pour nous qu’une autre série d’événements horribles, touchant cette fois tous les peuples du monde, se déroule sous nos yeux.

Cependant, la majorité de la population mondiale ne se rend pas encore compte de ce qui se passe, car l’ampleur d’un crime organisé tel que celui-ci dépasse leur champ d’expérience.

Nous, cependant, nous savons.

Nous nous souvenons du nom de Josef Mengele. Certains d’entre nous ont des souvenirs personnels. Nous avons une impression de déjà-vu qui est si horrible que nous nous levons pour protéger nos pauvres semblables. Les innocents menacés comprennent maintenant des enfants, et même des nourrissons.

En quatre mois seulement, les « vaccins » COVID-19 ont tué plus de personnes que tous les vaccins disponibles réunis entre la mi-1997 et la fin 2013, soit une période de 15,5 ans.

Et les personnes âgées de 18 à 64 ans qui étaient à peine menacées par le COVID-19 et qui, par conséquent, n’apparaissaient pas dans les statistiques de mortalité sur ou avec le COVID-19 représentent jusqu’à 80 % des enregistrements en tant que victimes de la « vaccination ».

La base de données EudraVigilance rapporte que jusqu’au 18 septembre 2021, 24 863 décès et 3 691 366 blessures ont été signalés à la suite d’injections de quatre prétendus vaccins expérimentaux COVID-19.

En ce qui concerne les chiffres réels, le célèbre rapport Lazarus de Harvard Pilgrim Health Care Inc., publié en 2009, a révélé qu’en général, seul 1 % des effets indésirables des vaccins est signalé :

Les effets indésirables des médicaments et des vaccins sont fréquents, mais peu signalés. Bien que 25 % des patients ambulatoires subissent un événement indésirable lié à un médicament, moins de 0,3 % de tous les événements indésirables liés aux médicaments et 1 à 13 % des événements graves sont signalés à la Food and Drug Administration (FDA). De même, moins de 1 % des effets indésirables des vaccins sont signalés.”

Nous vous demandons d’aider à arrêter immédiatement cette expérience médicale impie et criminelle sur l’humanité.

Ce que l’on appelle « vaccination » contre le virus SRAS-CoV-2 est en réalité un empiétement blasphématoire sur la nature. Jamais auparavant l’immunisation de la planète entière n’a été accomplie en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain.

Il s’agit d’une expérience médicale à laquelle le code de Nuremberg doit être appliqué.

Les 10 principes éthiques contenus dans ce document représentent un code fondamental d’éthique médicale qui a été formulé lors du procès des médecins de Nuremberg afin de garantir que les êtres humains ne seraient plus jamais soumis à des expériences et procédures médicales involontaires, mais c’est pourtant exactement ce qui se passe actuellement dans le monde.

Nous vous rappelons ce qui suit.

Principe 1 du Codex de Nuremberg :

(a) “Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement ; qu’elle doit être dans une situation telle qu’elle puisse exercer le libre pouvoir de choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, de surenchère ou de toute autre forme de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet concerné pour lui permettre de prendre une décision compréhensible et éclairée.

(b) Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision affirmative par le sujet expérimental, celui-ci soit informé de la nature, de la durée et du but de l’expérience, de la méthode et des moyens par lesquels elle sera menée, de tous les inconvénients et dangers auxquels on peut raisonnablement s’attendre, et des effets sur sa santé ou sa personne qui pourraient résulter de sa participation à l’expérience.

(c) Le devoir et la responsabilité de s’assurer de la qualité du consentement incombent à chaque individu qui initie, dirige ou s’engage dans l’expérience. Il s’agit d’un devoir et d’une responsabilité personnels qui ne peuvent pas être délégués à une autre personne en toute impunité.

Re. (a) : Il n’est pas question d’une décision libre. Les gouvernements et les médias répandent la peur et la panique et utilisent la règle de la propagande de Goebbels en répétant des contre-vérités jusqu’à ce qu’elles soient crues.

Depuis des semaines, ils appellent à l’ostracisme des personnes non vaccinées. S’il y a 80 ans, les Juifs étaient diabolisés en tant que propagateurs de maladies infectieuses, aujourd’hui, ce sont les non-vaccinés qui sont accusés de propager le virus.

L’intégrité physique, la liberté de voyager, la liberté de travailler, toute coexistence ont été retirées aux gens afin de leur imposer la vaccination

On incite les enfants à se faire vacciner contre l’avis de leurs parents.

Re (b) : Les 22 terribles effets secondaires déjà énumérés dans l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA n’ont pas été divulgués aux sujets de l’essai expérimental.

Ils sont les suivants :

  • Syndrome de Guillain-Barré
  • Encéphalomyélite aiguë disséminée
  • Myélite transverse Encéphalite/encéphalomyélite/méningo-encéphalite/méningite/encépholapathie
  • Convulsions/épilepsies
  • Accident vasculaire cérébral
  • Narcolepsie et cataplexie
  • Anaphylaxie
  • Infarctus myocardique aigu
  • Myocardite/péricardite
  • Maladie auto-immune, Décès, Problèmes lors de la grossesse et de l’accouchement, Autres maladies démyélinisantes aiguës
  • Réactions allergiques non anaphylactiques
  • Thrombocytopénie
  • Coagulation intravasculaire disséminée
  • Thromboembolie veineuse
  • Arthrite et arthralgie/douleurs articulaires
  • Maladie de Kawasaki Syndrome inflammatoire multisystémique chez l’ENFANT
  • Maladie renforcée par un vaccin.

Par définition, il n’y a jamais eu de consentement éclairé.

Entre-temps, des milliers d’effets secondaires sont enregistrés dans de nombreuses bases de données.

Tandis que les soi-disant numéros de cas (positifs de covid) sont diffusés dans des intervalles de 30 minutes par tous les médias, il n’y a aucune mention des effets secondaires graves ni de la manière et du lieu où ils doivent être signalés. Pour autant que nous le sachions, même les décès et les effets indésirables enregistrés ont été supprimés à grande échelle dans certaines bases de données.

Le principe 6 du Code de Nuremberg exige :

Le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérience”.

La “vaccination” contre le COVID-19 s’est avérée plus dangereuse que la maladie COVID-19 pour environ 99% des humains.

Comme l’a démontré Johns Hopkins, dans une étude portant sur 48 000 enfants, les enfants ne courent aucun risque face au virus. Les données montrent que des enfants qui ne courent aucun risque avec le virus ont eu des crises cardiaques après avoir été vaccinés ; en attendant la mise à jour depuis août 2021, plus de 15 000 ont subi des événements indésirables — dont plus de 900 événements graves.

Au moins 16 adolescents sont morts après avoir été vaccinés aux États-Unis. Et les chiffres augmentent rapidement au moment où nous écrivons ces lignes.

Pourtant, le principe 10 du Code dit :

Au cours de l’expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l’expérience à n’importe quel stade, s’il a des raisons probables de croire, dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence supérieure et du jugement prudent qui sont exigés de lui, que la poursuite de l’expérience risque d’entraîner une blessure, une invalidité ou la mort du sujet expérimental.”

Selon les allégations, environ 52% de la population mondiale a reçu au moins une injection. La divulgation honnête du nombre réel de personnes blessées par les vaccins, de personnes en phase terminale et de personnes décédées dans le monde aurait dû être faite depuis longtemps.

Nous craignons qu’ils soient déjà des millions. En tant que survivants des camps de concentration, nous avons été témoins de nombreuses atrocités commises au cours de la Seconde Guerre mondiale et on nous a dit que cela ne se reproduirait jamais, pourtant cela se reproduit.

Quelle constatation accablante : Combien de personnes âgées ont été contraintes par la peur à prendre le “vaccin” et n’ont pas survécu ? Combien ont survécu à l’Holocauste, mais n’ont pas survécu à l’injection de COVID-19 ?

Combien ont survécu aux expériences médicales d’Auschwitz et de Birkenau, mais n’ont pas survécu à cette expérience médicale contemporaine ?

Nous vous implorons donc d’accepter la “demande d’enquête” conjointe du Royaume-Uni, de la Slovaquie, de la France et de la République tchèque et d’ouvrir immédiatement et sans plus tarder une enquête sur les crimes contre l’humanité, le génocide et les violations du Code de Nuremberg par de nombreux auteurs, qui ont causé tant de morts inutiles et de blessures graves et continuent de le faire quotidiennement.

La Cour pénale internationale, en tant que juridiction de dernier recours, a le devoir d’enquêter sur ces crimes, les plus odieux, et de traduire leurs auteurs en justice.

Il est en votre pouvoir de sauver des vies.

Nous savons que plusieurs accusations criminelles ont été rejetées par vous pour des raisons formelles. Indépendamment des détails techniques, vous les avez lues. Nous savons que vous êtes conscient, en raison de ces accusations, que des millions de personnes sont blessées et meurent à cause de la soi-disant vaccination.

Par exemple, les avocats israéliens ont fourni les chiffres des victimes en Israël et l’accès à la base de données de l’EMA sur les effets secondaires. C’était il y a plus de trois mois. Depuis, d’autres personnes sont mortes, sont tombées en phase terminale ou ont été blessées (voir ci-dessus). Et vous n’êtes pas intervenu. Vous cautionnez en outre le fait que les enfants font désormais de plus en plus partie des victimes de la “vaccination”.

C’est à vous de punir les actes délibérés contre la vie et l’intégrité physique, et non de vous porter volontaire en acceptant de manière approbatrice l’atteinte à la vie humaine.

Chaque jour que vous gaspillez sans rien faire, des vies humaines sont détruites, des vies d’enfants.

Nous exigeons l’arrêt immédiat de la campagne de vaccination et une enquête immédiate sur les preuves dont vous disposez. Les gens pardonneront une erreur. Un meurtre délibéré de leurs enfants — non.

Faites ce qui est juste. L’histoire ne vous verra pas d’un bon œil si vous manquez à votre devoir de le faire. Sachez que nos yeux et ceux des peuples du monde sont braqués sur vous — la responsabilité vous incombe. Vous savez ce qui se passe, vous avez les preuves et maintenant vous devez agir.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de nos sentiments distingués.

Signé Moshe Brown ; Hillel Handler ; Vera Sharav Survivants des camps de concentration nazis


Chers lecteurs, ne restez pas passifs après cette lecture si émouvante et douloureuse, dont on imagine l’effort des auteurs pour se replonger dans ces horreurs qu’ils espéraient ne plus voir.

Diffusez cette lettre et en même temps ces plaintes auxquelles vous pouvez vous joindre par l’intermédiaire de la CSAPE et informez vos élus, désinformés comme beaucoup de français par la propagande quotidienne. Informez !

Et écrivez aux sénateurs, qui peut-être faute d’informations risquent de voter une obligation vaccinale pour tous les Français.

Appel de détresse face au projet de vaccination universelle anticovid : lettre ouverte aux sénateurs – Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr)





Le coup d’État trop pressé du système financier numérique

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Ceci est la suite et fin de la conférence donnée dans le cadre des auditions de l’avocat Reiner Fuellmich en vue du procès des responsables de la crise covidienne. Cette publication est une exclusivité Antipresse/Le Courrier des Stratèges. Nous remercions François Stecher pour son remarquable effort.

[NDLR Pour voir la première partie avec la vidéo complète sous-titrée en Français :
Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset]

Vers la monnaie programmable

Et à quoi ce système doit-il ressembler, nous le savons déjà. Il s’agit de la disparition complète de l’argent liquide, des banques dans leur forme actuelle, et de l’introduction de monnaie numérique de banque centrale. L’objectif final prévoit que chacun d’entre nous ne détienne plus qu’un unique compte en banque, par lequel s’effectueront toutes les transactions. Ce compte ne sera plus tenu par une banque commerciale, mais par la banque centrale. La raison profonde de ce plan est la suivante: la monnaie numérique de banque centrale est programmable (18:44). Comme une banque centrale peut créer de la monnaie sans limites, on peut ainsi, par le fait, introduire des taux négatifs sans détruire le système. Mais cela n’est pas, loin s’en faut, la seule propriété que possède la monnaie numérique de banque centrale. Elle permettrait à l’État de surveiller toutes les transactions (19:12), de nous appliquer des taux d’imposition différenciés, et de nous infliger individuellement des sanctions pécuniaires. L’État pourrait lier certaines sommes à une date de péremption, nous contraindre à dépenser certaines sommes dans une période déterminée (19:33). Il pourrait également donner cet argent pour un but fixé, et nous imposer d’utiliser certains montants uniquement pour l’achat de certains biens, ou de dépenser seulement dans certaines régions. Mais avant tout, il lui serait possible, d’un simple clic, de nous couper de tous les flux de transactions, et ainsi de nous débrancher financièrement (20:04). La monnaie numérique de banque centrale serait le mécanisme de contrôle social le plus efficace qu’on ait jamais eu dans l’histoire de l’humanité, et par là, ni plus ni moins que l’achèvement d’une dictature universelle obtenue par le moyen de l’argent (20:25).

La tactique du renversement

Tout cela est cependant soumis à une énorme hypothèque: la résistance à laquelle il faut s’attendre de la part de la population. Il faut très sûrement compter avec le fait qu’une grande partie des gens n’accepterait pas cette forme de paiement, et que l’introduction de la monnaie numérique de banque centrale provoquerait de graves troubles sociaux. Et c’est précisément cette difficulté qui a très clairement conduit le complexe financier digital à imaginer de renverser la problématique de l’introduction de cette monnaie (21:07). Plutôt que d’introduire cette monnaie numérique de banque centrale progressivement, et risquer ainsi de provoquer une grosse résistance, procéder à l’inverse, c’est-à-dire faire sombrer la société dans le chaos, afin de faire apparaître la monnaie numérique de banque centrale comme la solution pour régler tous les problèmes, à savoir sous la forme du revenu universel de base (21:35).

Celui qui pense maintenant qu’il s’agit encore d’une théorie du complot tombée de nulle part, je lui recommande de se remémorer très précisément tout ce que nous avons vécu au cours des dix-huit derniers mois. Sous le prétexte de combattre une maladie, on a provoqué des dommages dévastateurs et irréversibles, qu’ils soient sanitaires, économiques ou financiers, dont nous n’avons encore perçu les effets qu’à la marge (22:09). En même temps, on travaille chaque jour à aggraver ces dommages. En parallèle, on s’emploie à creuser de manière systématique les divisions au sein de la société, en enfonçant toujours plus de division entre les gens. Tout cela nous conduit, conformément au but, dans une seule direction: celle des troubles sociaux, jusqu’à la guerre civile, dans le monde entier. Et tout cela, c’est exactement ce qui est voulu, selon toutes les informations dont je dispose (22:46).

Ce que nous vivons actuellement, c’est que l’on essaye, par la mise en œuvre de tous les moyens imaginables, de provoquer le chaos social le plus énorme, d’attendre que le chaos ait atteint son intensité maximale, et, alors à l’aide d’une panacée nommée «revenu universel de base», de passer d’une situation de chaos maximal à celle d’un contrôle total (23:12). Il y a du reste encore une deuxième raison pour laquelle le revenu universel, du point de vue des puissants, doit arriver. Nous sommes en plein dans la quatrième révolution universelle, et nous allons vivre, dans la période qui s’étend devant nous, la perte de millions et de millions d’emplois, par le recours à l’intelligence artificielle. En d’autres termes, des millions de consommateurs vont faire défaut, la demande de biens de consommation va se réduire de plus en plus fortement. Comme le modèle économique actuel repose sur la consommation, il faut, pour le maintenir en vie, bloquer la descente sur cette pente fatale. Et cela ne peut fonctionner que si l’on distribue de l’argent aux chômeurs-consommateurs même s’ils sont sans emploi (24:09).

Une apocalypse préparée et agendée

Nous voyons donc que ce que nous avons vécu ces dix-huit derniers mois, et ce que nous vivons actuellement, suit manifestement un plan; et ce plan peut s’énoncer ainsi: démontage du système actuel au bénéfice de l’élite, instigation d’un chaos économique et social maximal, et établissement d’un nouveau système au bénéfice de l’élite, sous le prétexte de vouloir apporter une assistance humanitaire (24:42). Ce plan, on peut d’ailleurs le trouver dans les deux ouvrages, La Quatrième révolution industrielle et Le Grand Reset de Klaus Schwab, dont le World Economic Forum joue un rôle clef dans l’élaboration et la mise en œuvre de cet agenda. Le WEF a réussi à devenir au cours des 50 dernières années l’une des plus importantes plateformes du complexe financier digital, en mettant en relation, d’abord des dirigeants d’entreprises, ensuite des politiciens, puis des représentants des médias, plus tard encore de la haute aristocratie et du monde du spectacle, et en les soumettant en outre à partir des années 90 à une formation dédiée (25:33).

Nous savons aujourd’hui qu’à partir de 1992 les «Global Leaders of Tomorrow», et depuis 2005 les «Young Global Leaders» ont été soumis à une formation systématique et toujours plus approfondie, et que ce sont précisément ces personnes-là qui se trouvent placées aujourd’hui aux leviers de commande du pouvoir. Qu’il s’agisse de Bill Gates, Jeff Bezos ou Jack Ma, du secteur du numérique, qu’il s’agisse du patron de BlackRock Larry Fink, de la patronne du FMI Kristalina Georgiewa, ou de l’ex-directeur de la Bank of England Mark Carney, pour la finance, ou encore d’Emmanuel Macron, de Sebastian Kurz ou bien d’Angela Merkel pour la politique: tous, ils ont été formés par le WEF ou bien siègent dans ses instances dirigeantes (26:38).

Et ce ne sont pas seulement les 1.300 membres de cette petite élite dirigeante étroitement connectée qui tirent les ficelles à travers le monde. Depuis 1992, ce sont encore 10’000 «Global Shapers» de moins de 30 ans qui ont également été réunis et mis en relation par le WEF, et s’emploient désormais à influer sur la marche du monde dans le sens qui lui convient (27:08). À qui veut savoir à quoi cette marche du monde devrait ressembler, il faut recommander la lecture des œuvres du fondateur du WEF, Klaus Schwab. Et celui qui, parvenu à ce point, ne serait toujours pas convaincu que ce que nous avons vécu et vivons encore suit un plan devrait jeter un œil à la date de publication du «Great Reset» de Schwab: le livre est paru le 9 juillet 2020, soit à peine quatre mois après le confinement mondial, et donne déjà les instructions précises expliquant comment utiliser le COVID-19 afin de, selon les propres mots de Schwab, «détruire le monde de manière créative et construire un nouveau monde», où il laisse transparaître une vision de l’homme qui renvoie aux temps les plus sombres du national-socialisme (28:02).

Je sais, tout cela est terrifiant, comme une apocalypse préparée de manière minutieuse. Et de fait l’agenda qui est poursuivi ici n’est pas seulement planifié, visiblement, mais c’est à peine s’il peut, de surcroît, être dépassé en malignité et en sournoiserie. Qui aurait jamais imaginé que l’on fasse s’effondrer l’économie mondiale sous le prétexte de protéger les gens des effets d’une maladie, que l’on retire aux gens la liberté de voyager, de se rassembler, de parler et d’exprimer librement leurs opinions, et que l’on condamne encore plus de 100 millions d’entre eux à la famine, tout cela soi-disant pour la protection de leur propre santé. Et qui aurait pensé qu’un eugéniste déclaré du nom de Klaus Schwab pourrait se retrouver en situation, non seulement de répandre à travers le monde son infernale vision de la fusion entre l’homme et l’intelligence artificielle, mais encore de trouver 10’000 aides pour la faire avancer (29:18). Tout cela, ce sont des événements bouleversants au plus haut point, avec lesquels nous devons vivre actuellement, dont nous devons souffrir, et dont les détails devraient glacer le sang de tout être humain pensant et sentant normalement.

La déraison conduit à l’échec

Mais – et j’en viens maintenant au message le plus important que je veux délivrer ce soir – tout cela a un autre aspect, un tout autre aspect, un aspect qui doit nous donner une énorme impulsion et des forces à profusion pour les tâches qui nous attendent. Les plans de l’élite, et la vision de Klaus Schwab, sont en effet voués à l’échec, et cela pour plusieurs raisons (30:11). La raison principale réside dans le fait que le narratif d’un virus mortel, qui menacerait l’humanité dans son existence même, ne pourra pas tenir dans la durée. Nous voyons déjà comment l’échafaudage de mensonges s’effondre sous nos yeux, et comment, pour le justifier, on a recours à des argumentations toujours plus absurdes et à des diffamations toujours plus furieuses (30:39).

Arrivée à ce point, il est important de comprendre que la véhémence que les médias mettent en branle n’est pas un signe de force mais bien de faiblesse. Celui qui, avec une insistance toujours plus forte, répand des mensonges toujours plus grotesques tel que celui de «la pandémie des non-vaccinés», celui qui déclare que les personnes en bonne santé représentent le facteur de risque numéro 1 au sein de la société, celui qui à cause d’une poignée de malades ou de testés positifs met un pays tout entier à l’arrêt, celui-là n’agit ainsi que parce qu’il est à bout d’arguments et que, dans son désespoir, il frappe à l’aveugle autour de lui (31:21).

Abraham Lincoln a déclaré: «on peut mentir tout le temps à une partie des gens; on peut mentir à tout le monde une partie du temps; mais on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde». C’est exactement cela qui se vérifie en notre temps. Et cela a pour nous, naturellement, une immense signification. Car cela ouvre, de manière ironique, ce que Klaus Schwab appelle «a window of opportunity», une fenêtre d’opportunité – à ceci près qu’elle s’ouvre avec une dynamique exactement inverse (32:07). En effet, grâce à la désintégration du narratif, la crédibilité de ceux qui nous ont amenés à cette situation est chaque jour plus profondément sapée, nous ouvrant à tous une fenêtre temporelle pour une campagne d’éclaircissements puissante et de grande envergure. Les conditions objectives pour éclairer les gens sur les véritables faits derrière la soi-disant pandémie, sur les relations de pouvoir réelles dans le monde et sur les vraies menaces auxquelles nous sommes confrontés n’ont jamais été meilleures qu’aujourd’hui (32:51). Et elles s’améliorent de jour en jour, parce que le camp d’en face doit s’empêtrer chaque jour davantage dans des mensonges toujours moins crédibles.

Et même si le complexe financier digital devait parvenir à introduire la nouvelle monnaie, cela ne serait pas encore la fin du monde. En effet, la monnaie numérique de banque centrale ne peut fonctionner qu’adossée à un système de contraintes complet. Il faudra introduire sans cesse de nouveaux contrôles des prix, augmenter constamment le revenu universel de base, et générer avec vigueur une inflation permanente, ce qui conduira en retour à un appauvrissement continu de la population et à un conflit permanent avec l’État et les autorités (33:49).

Ce que nous devons savoir est la chose suivante: nous nous trouvons en toute certitude au seuil d’une période de turbulences et de dangers. Mais nous avons en main un atout historique : il tient au fait que ceux d’en face n’agissent pas conformément aux lois de la raison, mais poussés par des mobiles comme la cupidité et la soif de pouvoir, et ne peuvent, pour cette raison, rien faire d’autre que de se mettre toujours plus inextricablement en difficulté (34:21). De cela, précisément, nous devons profiter, et garder ceci présent à l’esprit : le camp d’en face peut bien disposer de plus d’argent, de plus de biens, et en plus de toutes les armes du monde; son pouvoir ne réside ni dans son argent, ni dans ses biens, ni même dans ses armes, mais repose sur un seul et unique facteur: l’ignorance de la majorité des gens, ou pour le dire autrement, le fait que la majorité ne voit pas clair dans le jeu que la minorité joue avec elle (35:01).

Quelle que soit l’atrocité de ce que le complexe financier digital a commis au cours des dix-huit derniers mois et continue à commettre avec ses suppôts, il s’est enfermé dans une situation dont il ne pourra pas s’extirper, et dans laquelle il doit, dans son désespoir, franchir de plus en plus de lignes rouges (35:25). Pour nous tous, cela signifie que nous devrions dans cette situation exceptionnelle, tout simplement: conserver notre calme, démasquer résolument les mensonges, et montrer ainsi aux gens, pièce par pièce, pourquoi et par qui ils se font berner. Si nous faisons cela, et qu’en le faisant nous nous souvenons de la force de nos arguments, alors nous pourrons, non seulement résoudre les problèmes actuels, mais peut-être réussir quelque chose de beaucoup plus grand, à savoir : utiliser l’une des crises les plus profondes qu’ait affrontées l’humanité pour redresser la barre de l’histoire du monde, et ouvrir ainsi d’un coup la porte sur une ère nouvelle. Je vous remercie.





La disparition voulue de Poutine

[Source : Entre La Plume et l’Enclume]

Par Israël Adam Shamir

Le président Poutine s’est caché. Enfin, en quelque sorte. Le 14 septembre, il a déclaré que de nombreuses personnes (« des dizaines ») de son cercle intime avaient été testées positives au virus et qu’il devait donc s’isoler. Sa soudaine réclusion a suscité des vagues d’angoisse à travers cet immense pays. Son explication a été accueillie avec incrédulité. Tout le monde autour de Poutine est vacciné et Poutine l’est aussi, du moins l’a-t-il affirmé.

Pourquoi aurait-il besoin de s’isoler ; et comment toutes ces personnes vaccinées pourraient-elles tomber malades ? Le vaccin est-il un faux ? Ou devons-nous chercher une autre explication. Est-il tombé, ou a-t-il été poussé ? Va-t-il revenir ? Est-ce la fin de l’ère de Poutine ? Poutine est-il malade, ou a-t-il été contraint à l’isolement ? S’agit-il d’une conspiration ? Le gouvernement russe est, et a toujours été, de type manuel et non automatique ; l’absence du dirigeant à la barre du puissant navire qu’est l’État russe pourrait être synonyme de problèmes. Les Russes ne croient pas à la version officielle, mais où est la vérité ?

Une semaine avant son annonce, le 8 septembre, un ami proche de Poutine et son ancien garde du corps, l’homme considéré comme un successeur probable, le ministre des Urgences, M. Evgueni Zinichev, est décédé dans des circonstances inhabituelles lors d’un exercice dans l’Arctique. Selon la directrice de RT, Margarita Simonyan, il est mort en essayant de sauver un caméraman tombé d’une falaise. Les rumeurs disent qu’il avait peut-être été ciblé en tant que successeur de Poutine. Juste avant cela, le 7 septembre, Poutine s’était rendu dans une retraite en Sibérie avec son ministre de la Défense, M. Choïgou. De quoi ont-ils discuté, loin des oreilles indiscrètes ? Selon certaines rumeurs, Poutine aurait soupçonné ou découvert un complot contre lui et aurait préféré minimiser ses contacts avec le monde extérieur et même avec ses propres gardes du corps. Homme très prudent, le président Poutine sait que nombreuses sont les personnes et organisations puissantes qui aimeraient le voir mort et il ne veut pas leur donner cette satisfaction. C’est pour cette raison que ses ennemis l’appellent « le vieil homme dans le bunker ». Cependant, Poutine est apparu à la télévision depuis sa cachette.

Par ailleurs, il existe des précédents de dirigeants invoquant un cas de force majeure pour manquer un événement ou éviter une réunion.

Le président Gorbatchev avait appris l’existence d’un complot ourdi par les partisans de la ligne dure soviétique et avait décidé de rester à l’écart, espérant profiter de ses avantages en cas de réussite du complot et avoir un alibi en cas d’échec. Il s’est rendu dans son palais de Crimée-Phoros au cours d’un mois d’août 1991 tumultueux et a prétendu être détenu par des comploteurs ; le complot a échoué, il est retourné dans la capitale, mais il n’a jamais retrouvé ses pouvoirs.

De même, le dernier empereur russe, le tsar Nicolas II, avait appris que des paysans et des ouvriers avaient l’intention de venir au Palais d’hiver pour implorer le tsar. Il décida de se tenir à l’écart des problèmes éventuels et se rendit dans sa résidence de campagne de Tsarskoe Selo. Ses fonctionnaires mitraillèrent les plaideurs lors du dimanche sanglant. C’est ce massacre qui provoqua la première révolution russe de 1905-07, et l’absence du tsar ne le servit aucunement. À une autre échelle, le président Trump est allé jouer au golf pendant que ses partisans se rassemblaient à la Maison Blanche. Cela ne l’a pas aidé : il avait perdu la Maison Blanche et il s’est retrouvé accusé d’actions illégales. Bref, rester à l’écart n’est pas le bon choix pour un dirigeant, mais cela se fait, parfois.

Considérons cette possibilité. Qu’est-ce qui pourrait pousser Poutine à réaliser un Phoros-2 ? La période actuelle est très mouvementée et un Poutine en bonne santé devrait se rendre à Douchanbé et s’occuper des élections législatives russes, entre autres choses.

Le Sommet de Douchanbé

Les 16 et 17 septembre, le double sommet de l’OCS et de l’OTSC s’est tenu à Douchanbé. L’OCS et l’OTSC sont deux organisations internationales différentes, bien que leurs membres coïncident en partie. M. Poutine était censé venir en personne et s’occuper des dispositions relatives à l’après-Afghanistan, même si cela pouvait se traiter à distance. Mais il devait également rencontrer les dirigeants de la Chine, de l’Inde et de l’Iran. Le sommet prévu avec le président Xi était particulièrement important, car les deux dirigeants ne se sont pas rencontrés en personne depuis longtemps. Des rumeurs circulent à Moscou selon lesquelles Poutine éviterait de rencontrer le dirigeant chinois, alors que cette rencontre était prévue immédiatement après le sommet de Genève avec Joe Biden. Le sommet Poutine – Xi avait été prévu encore plus tôt, pour coïncider avec le 20ème anniversaire du traité d’amitié russo-chinois ; il a ensuite été reporté à cause du sommet de Genève, puis tout simplement annulé. Xi était censé venir à Douchanbé pour le sommet de l’OCS. Lorsqu’il a appris que Poutine ne viendrait pas, il est également resté chez lui. Ainsi, ce sommet très important entre deux dirigeants ne s’est pas concrétisé. Se pourrait-il que Poutine ne veuille pas être vu comme se rangeant du côté de la Chine, dans le contexte du triangle fatidique Washington-Moscou-Pékin ? Peut-être. Les élites russes sont divisées : certains préfèrent des relations étroites avec la Chine, d’autres veulent que la Russie se range du côté de l’Occident. Poutine cherche à équilibrer ces deux groupes. Qui sera le premier à conclure un accord avec Biden, Poutine ou Xi ? Peut-être Poutine préfère-t-il ne pas intervenir et laisser Xi s’y essayer le premier, lors du prochain sommet du G2.

La place physique de Poutine à Douchanbé a été prise par Alexandre Loukachenko, le solide président du Belarus, et il a visiblement apprécié cette tâche. Il y a quelques années, après que le Belarus et la Russie eurent conclu l’accord sur l’État de l’Union, les gens pensaient que Loukachenko dirigerait les deux États, ou au moins qu’il s’occuperait aussi des affaires intérieures russes. On avait le sentiment que Loukachenko serait le meilleur pour l’économie, l’agriculture, l’industrie et la structure sociale que Poutine, qui s’occupait davantage des affaires étrangères. Si la Russie et le Belarus votaient pour un président, les Biélorusses voteraient pour Poutine, tandis que les Russes voteraient pour Loukachenko, disait-on en plaisantant. Cependant, cela ne s’est pas produit. Loukachenko a très bien géré la session de Douchanbé et Poutine s’est entretenu avec eux par liaison vidéo.

Il semble qu’ils n’aient pas réussi à faire entendre raison à l’obstination de M. Rahmon, même s’ils ont essayé. La Russie est prête à défendre le Tadjikistan en cas d’offensive ou d’infiltration des Taliban. Mais le président tadjik a des projets beaucoup plus audacieux. Il s’élève contre l’ingérence des Taliban au Tadjikistan, mais espère ressusciter l’Alliance du Nord, le groupe des chefs de guerre du Nord, ennemis des Taliban. Il s’agit principalement de membres de groupes ethniques minoritaires, dont beaucoup de Tadjiks, le deuxième groupe ethnique le plus important (après les Pachtounes) d’Afghanistan. Il semble que Rahmon souhaiterait briser l’Afghanistan et y créer un deuxième État tadjik, ce qui signifierait un nouvel épisode de guerre civile, ce que personne ne souhaite.

Il a été rapporté que Rahmon a reçu et amusé Ahmad Massoud, le « rebelle du Panchir », et l’ancien vice-président de l’Afghanistan Amrullah Saleh (qui s’est déclaré « président par intérim de l’Afghanistan », après la fuite de Ghani). Il n’est pas certain qu’une telle réunion ait réellement eu lieu. Il ne s’agit peut-être que de l’un des nombreux exemples de fausses nouvelles en provenance d’Afghanistan produites par les usines à fausses nouvelles indiennes. Si celle-ci était vraie, cela franchirait la ligne rouge dans les relations entre les deux pays voisins.

La Russie n’apprécierait pas non plus : La Russie a établi des relations de travail avec les Taliban ; les Taliban ont demandé à la Russie de les aider à retrouver leur siège légitime à l’ONU ; ils ont proposé une visite d’État à Moscou. La « résistance du Panchir » a été vaincue sans combat. Certains des « résistants » errent dans les montagnes et font appel au soutien de politiciens américains belliqueux, mais pour le reste, ils ont perdu leur guerre. Apparemment, Massoud et Saleh ont trouvé un refuge au Tadjikistan ; ce pourrait donner lieu à un geste humanitaire, à moins que l’ambitieux Rahmon ne transforme son pays en base dans la guerre civile afghane.

Toutefois, cette évolution ne justifierait pas que Poutine les héberge, à moins qu’il n’y ait des problèmes de sécurité.

Les élections parlementaires russes

La Russie va « rattraper et dépasser l’Amérique », déclarait Nikita Khrouchtchev en 1957. Les récentes élections parlementaires (17-19 septembre 2021) pourraient être considérées comme une nouvelle tentative pour faire mieux que la fraude électorale américaine. Mais les Russes n’ont pas pu dépasser la Cité brillante sur la colline : les dernières élections présidentielles américaines étaient si profondément malhonnêtes que personne n’a pu les battre. N’empêche que les Russes ont bel et bien essayé.

La Russie a un système mixte pour l’élection des membres du Parlement : certains sont élus par une liste de parti et d’autres par un système majoritaire. Dans les endroits où les gens ont été autorisés à voter librement et où leurs voix ont été décemment comptées, – principalement en Sibérie – les communistes ont gagné. Ailleurs, le parti au pouvoir, Russie Unie, a obtenu les sièges. Ils ont utilisé toutes les méthodes appliquées avec succès par les démocrates américains. Les gens ont été autorisés à voter à domicile et les équipes de collecte ont récolté de nombreux votes. Il y a eu plus de votants que d’inscrits. L’opposition a été tenue à l’écart du dépouillement. Les scellés des urnes étaient souvent brisés. Mais la meilleure méthode reste le vote numérique, autorisé dans quelques villes dont Moscou.

Comme le vote par correspondance à Detroit, le vote numérique à Moscou était en totale contradiction avec le vrai vote papier. Voici l’image du vote de Moscou, à gauche – le vote réel seulement, à droite – le vote réel et numérique ; vert pour l’opposition (principalement communiste), bleu pour les candidats du gouvernement. Le vote numérique à Moscou présentait une caractéristique inhabituelle : les électeurs étaient autorisés à changer d’avis et à voter à nouveau. Le gouvernement pouvait donc voir les résultats et faire « re-voter » autant qu’il le voulait.

La « démocratie » russe est aussi limitée que partout ailleurs. Le processus politique est contrôlé par un organe directeur appelé AP (Administration du Président) ; il n’est même pas mentionné dans la constitution, mais c’est lui qui décide qui peut participer aux élections et qui sera élu au parlement. Ils font aussi des coups bas, en créant des partis dissidents pour voler des voix à l’opposition. L’AP a décidé que les communistes ne devaient pas obtenir plus de 20% des voix, tandis que le parti au pouvoir, Russie Unie, devait en obtenir environ 50%. Telles étaient les instructions données aux chefs locaux et ils n’ont fait que suivre les ordres. Dans quelques districts où les patrons locaux ont décidé d’ignorer les ordres de l’AP, les communistes ont obtenu jusqu’à 30%, et Russie Unie moins de 30%. Avec les socialistes, les Rouges russes pourraient former le nouveau gouvernement. Ils seraient heureux de servir sous les ordres de Poutine.

Les Rouges russes ne ressemblent pas à la gauche américaine (et européenne). Ils sont contre la politique des minorités, contre le discours sur le genre et la race, ils aiment le Christ et Staline. Les Rouges russes diffèrent de la droite américaine (et européenne), car ils sont favorables à une nationalisation massive, à un service de santé complet et à une éducation gratuite ; ils sont contre les oligarques et n’aiment pas l’immigration. En bref, ils sont beaucoup plus poutinistes que Poutine. Et ils ne sont pas favorables à l’Occident. Leur ascension changerait les choses à l’échelle mondiale. Aujourd’hui, pour la première fois depuis 1996, ils sont devenus populaires parmi les jeunes ainsi que parmi les citoyens plus âgés. Bien qu’ils soient très différents de l’opposition libérale pro-occidentale, ils ont appris à faire les choses ensemble contre le diktat de l’AP. Le CPRF est fondamentalement un parti social-démocrate, parfaitement apte à gouverner, mais l’AP le considère comme trop indépendant.

Les communistes ont rejeté les résultats du vote numérique ; le gouvernement a répondu par la force. De nombreux candidats communistes et leur personnel ont été arrêtés. Le gouvernement a interdit les manifestations et les rassemblements de protestation, sous le prétexte du Coronavirus. Que feraient-ils sans le Corona, je me le demande ! L’Occident a accusé à juste titre les autorités russes de manipuler les résultats des élections ; à tort, il a attribué le succès de l’opposition à Navalny et à ses libéraux pro-occidentaux. Mais les Rouges sont assez timides, pour deux raisons : ils sont plutôt favorables à Poutine et à sa politique étrangère, et ils ont peur d’être mis hors la loi et interdits, comme cela s’était produit sous Eltsine. Les libéraux avaient renversé les communistes et bombardé le parlement dans les années 1990, et ils ne vont pas permettre le retour des rouges, m’a dit un membre du parlement russe, la Douma.

En outre, la population a bien digéré les résultats. Il n’y a pas eu de grands rassemblements ou de manifestations ; certes, ils étaient interdits, mais les gens ont accepté l’interdiction plutôt docilement. Il n’y a pas de révolution à venir, ni même de grandes manifestations. Apparemment, les Russes se sont réconciliés avec cette « démocratie limitée ». Comme nous tous : de l’Australie aux États-Unis, de la France à l’Allemagne, la vraie démocratie est morte. Au lieu de cela, nous avons une tyrannie sanitaire avec quelques « élections » pour sauver la face, corrigées par une fraude électorale massive.

Les Russes pensent qu’ils vont bien. Les gens ont leurs salaires, leurs voitures, leurs maisons de campagne ; les villes sont en bon état, il n’y a pas beaucoup de chômage. Avant les élections, le Covid obéissant a presque disparu ; maintenant il risque de réapparaître, mais c’est le cas partout dans le monde. Il n’y a donc pas de motifs forts de protestation, comme c’était le cas en 1991 ou même en 2011. De plus en plus de gens arrivent à la conclusion que les élections ne sont qu’une farce. Mais cela ne suffit pas à pousser les gens à la révolution.

J’ai parlé à des personnes proches du Kremlin ; elles m’ont dit qu’elles pensaient que Poutine s’était caché à cause des élections, car ses services de sécurité n’étaient pas certains de la façon dont les masses allaient réagir à la fraude électorale. On aurait pu avoir une répétition de 1991, lorsque des masses énormes de personnes avaient renversé le pouvoir soviétique. Nous voyons maintenant que cela ne s’est pas produit. Les gens ont pris tout cela de haut. Mais la sécurité aime jouer la carte de la surenchère. À Washington, Londres et Moscou, il y a plus de policiers que de manifestants dans pratiquement tous les rassemblements.

Une semaine après les élections, elles ont été totalement oubliées. Le jour de la publication des résultats, il y a eu une fusillade de masse ; un jeune homme de 18 ans a pris un fusil de chasse et a abattu six élèves dans son école. Ces attaques terroristes surviennent opportunément lorsqu’il est nécessaire de changer radicalement l’ordre du jour, et il y a suffisamment d’hommes mentalement perturbés pour commettre un massacre si on ne les arrête pas à l’avance.

Conclusion

Nous ne savons pas avec certitude pourquoi Poutine a décidé d’affirmer qu’il devait s’auto-isoler. Il n’est pas totalement impossible (bien que peu probable) qu’il y ait effectivement une épidémie de Covid. Sinon, cela pourrait être lié à l’incertitude des élections ou à l’imminence du sommet Poutine-Xi, ou, effectivement, il y aurait eu un complot qui a été découvert. Poutine sortira très probablement de son abri le 29 septembre, pour son sommet avec le président Erdogan, car ils ont beaucoup de choses à se dire. Mais sa réclusion ne lui fera pas gagner des points aux yeux des Russes.

Traduit par Maria Poumier
– Source : The Unz Review (Etats-Unis)




La mémoire du stress dû au WIFI est aussi angoissante que la mémoire de la douleur

[Source : Kla.TV]

[Illustration : Thinkstock]

Le transfert de données sans fil WIFI fonctionne avec des fréquences de 2,4 et 5 gigahertz. De courtes impulsions cadencées à 10 hertz sont insérées dans cette transmission radio basée sur les micro-ondes.
Le professeur Lebrecht von Klitzing a découvert que ce sont précisément ces impulsions qui peuvent provoquer des perturbations intenses dans les processus du corps. Lorsqu’elles sont utilisées fréquemment, le corps peut même former une mémoire du stress, de la même manière que la douleur forme une mémoire de la douleur sur une plus longue période.
À cause de cette mémoire du stress, une électrohypersensibilité chronique, un stress oxydatif et d’autres symptômes peuvent se développer.

Alors que dans le domaine médical, on veille strictement à ce que les patients souffrant de douleurs ne développent pas une mémoire de la douleur exténuante, on ne fait rien pour empêcher développement d’une mémoire du stress due à l’utilisation du WIFI, qui ne fait pas moins souffrir, n’est pas empêché. Au contraire, même les écoles sont équipées de WIFI, bien qu’il existe une véritable alternative sous la forme d’un réseau local câblé (LAN). Pourtant c’est surtout avec les enfants que des dommages irréparables sont à craindre, car ils sont encore en pleine croissance.

D’une certaine manière, il semble que l’esprit du temps et la politique générale des médias fassent que l’on n’entende presque que l’opinion des experts achetés par les grandes entreprises, tandis que les experts indépendants qui ont la santé publique à l’esprit sont presque complètement ignorés.

Toutefois, pour se protéger des dommages tragiques, il est essentiel d’écouter sans parti-pris toutes les voix d’experts.




Pourquoi BioNTech et Moderna ne livrent pas de « vaccins » actualisés ?

Par Alain Tortosa

Pourquoi 18 mois après les premiers essais sur l’homme il n’existe pas de versions adaptées aux nouveaux variants pourtant si nombreux ?

Pour nous nuire ?

« Ils » ne savent pas qu’il y a une perte d’efficacité ?

Cela fait des mois que les médias mainstream avec la complicité des médecins médiatiques corrompus cherchent à nous convaincre que ces injections d’ARNm demeurent efficaces contre tous les variants.

La fameuse 3e dose n’étant qu’une dose de rappel pour booster les défenses immunitaires des petits vieux, ceci n’ayant « rien à voir avec les mutations du virus ».

À noter que l’on se demande bien comment un « vaccin » ARNm pourrait garder son efficacité alors qu’il ne cible QUE la protéine spike (à la différence des vaccins classiques à virus atténués qui eux ont plusieurs cibles) quand ladite protéine spike a muté dans les variants.

Le 23 juillet 2021, on pouvait lire un article sur CNBC(([1] https://www.cnbc.com/2021/07/23/delta-variant-pfizer-covid-vaccine-39percent-effective-in-israel-prevents-severe-illness.html)):

« Israël says Pfizer Covid vaccine is just 39% effective as delta spreads, but still prevents severe illness »

L’efficacité officielle de « 95 % » étant tombée à « 39 % », tout en constituant à raconter qu’il était efficace à 90 % contre les formes graves… va comprendre.

Pourtant le 11 août le Ministre de la Santé israélien rapportait(([2] https://www.naturalnews.com/2021-08-13-most-patients-in-serious-condition-fully-vaccinated.html)) que 64 % des patients gravement malades étaient totalement vaccinés tandis que 32 % des malades ne l’étaient pas du tout.

Pour celles et ceux qui oseraient dire « c’est normal qu’il y ait des vaccinés parce que toute la population est vaccinée ».

Je leur répondrais deux choses :

  • De un, ce n’est pas normal, quand un vaccin est réputé 90 % efficace on ne va plus à l’hôpital.
  • De deux, au 11 août, 66,3 % de la population avait reçu au moins une dose(([3] https://ourworldindata.org/vaccination-israel-impact)) et 61,5 % étaient totalement vaccinés.

Il faudrait aussi m’expliquer pourquoi Pfizer a annoncé le 9 juillet 2021 qu’il préparait un vaccin contre le Delta et que les essais cliniques démarreraient en août.(([4] https://www.lavoixdunord.fr/1042827/article/2021-07-09/pfizer-et-biontech-preparent-un-vaccin-contre-le-variant-delta))

Annonce bien étrange quand on affirme par ailleurs que son vaccin fonctionne parfaitement.

Information d’ailleurs contredite en août 2021 avec BioNTech qui annonce qu’il n’est pas nécessaire d’adapter son vaccin au variant Delta(([5] https://www.lapresse.ca/covid-19/2021-08-09/selon-biontech/pas-encore-necessaire-d-adapter-le-vaccin-pfizer-aux-variants.php)) et qui préconise la 3e dose.

Quant à Moderna, ceux-ci continuaient à dire encore au 15 septembre que leur injection demeurait extrêmement efficace contre le Delta.(([6] https://www.forbes.com/sites/jemimamcevoy/2021/09/15/moderna-vaccine-highly-effective-against-delta-but-protection-against-infection-may-wane-over-time-new-data-suggests/?sh=4954b1b3339f))

Sortir une nouvelle version des « vaccins » coûterait-elle trop cher ?

On doit naturellement se poser la question d’autant plus que l’article de La Presse sur BioNTech précise :

« Depuis le début de l’année, ce laboratoire allemand a déjà enregistré 7,3 milliards d’euros de chiffre d’affaires, contre 69,4 millions d’euros sur la même période l’an dernier, avant la mise au point du sérum contre la COVID-19 »

Quant à Moderna, elle déjà avait engrangé 1,7 milliard de dollars de chiffre d’affaires début mai.

On peut imaginer que l’on peut se permettre de dépenser quelques euros et d’autant plus en sachant qu’un vaccin adapté au Delta ne pourrait qu’avoir un retour sur investissement délirant.

« L’analyste de Morningstar Karen Andersen s’attend à ce que les boosters à eux seuls rapportent environ 26 milliards de dollars de ventes mondiales l’année prochaine pour Pfizer et BioNTech et environ 14 milliards de dollars pour Moderna s’ils sont approuvés pour presque tous les Américains. »(([7] https://www.nouvelles-du-monde.com/covid-19-les-rappels-de-vaccins-covid-19-pourraient-signifier-des-milliards-pour-les-fabricants-de-medicaments/))

Société Moderna qui, rappelons-le, ne commercialise qu’un seul produit, le « vaccin ».

Une adaptation aux variants prendrait-elle trop de temps ?

Nous serions alors face à des problèmes d’annonce…

Le 8 février 2021, le journal Les Échos publiait :

« Le vaccin à ARN messager de Pfizer/BioNTech permet également a priori une adaptation rapide. Le laboratoire allemand a déjà assuré pouvoir produire un vaccin contre de nouveaux variants en six semaines. »(([8] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/covid-comment-les-vaccins-sadaptent-aux-variants-1288302))

Notez qu’il y a eu régulièrement des articles nous expliquant qu’il faudrait environ 5 semaines pour sortir un nouveau vaccin adapté aux variants.

Pour aller dans ce sens, les premières injections humaines du Pfizer/BioNTech/Fosun(([9] https://www.pfizer.com/news/press-release/press-release-detail/pfizer_and_biontech_dose_first_participants_in_the_u_s_as_part_of_global_covid_19_mrna_vaccine_development_program)) ont été annoncées le 5 mai 2020.

Autant la collaboration de BioNTech le fabricant du « vaccin » avec Pfizer n’a été que commerciale, autant il est plus que probable que la collaboration avec le chinois Fosun(([10] https://www.bloomberg.com/press-releases/2020-03-16/biontech-and-fosun-pharma-form-covid-19-vaccine-strategic-alliance-in-china)) a permis à BioNTech de récupérer des éléments permettant la conception du produit et notamment la récupération du génome du Sars-cov2.

Cette collaboration ayant débuté le 16 mars, il s’est donc passé 7 semaines entre ces deux dates.

Quant à Moderna, la société a conclu un partenariat avec le National Institute of Allergy and Infectious Diseases(([11] https://www.pharmaceutical-technology.com/news/new-coronavirus-vaccine/)) le 24 janvier 2020.

Le NIAID étant une émanation du NIH (Institut National de Santé des USA).

Le « vaccin » Moderna étant financé par ce petit monde.

Et qui est le directeur du NIAID ?

Le Dr Fauci, le monsieur vaccin des USA, qui commence à être acculé. Lui-même étant impliqué dans des recherches de « gain de fonction » sur des virus au laboratoire de Wuhan.

Bref on peut facilement déduire que Moderna a bénéficié d’informations sur le virus en provenance de Wuhan en janvier.

Quant aux premiers essais(([12] https://www.pharmaceutical-technology.com/news/first-us-covid-19-vaccine-trial-moderna/)) sur l’homme du « vaccin » Moderna, ceux-ci ont débuté le 17 mars 2020 soit 7 semaines après le début de la collaboration.

Ceci tendrait donc à prouver qu’il n’a pas fallu bien longtemps pour créer ces « vaccins » et par conséquent, qu’il en faudrait largement moins pour une « mise à jour ».

Pourquoi un vaccin ?

Si Moderna et BioNTech avaient commencé à travailler sur le virus dès la fin décembre 2019, quand les Chinois ont rendu public le Sars-cov2, cela ne laisse quand même que 3 mois entre la connaissance de l’existence d’un nouveau virus et les premiers essais sur l’homme par Moderna.

Le 30 janvier 2020, les médias commençaient à parler d’une course au vaccin…

Tandis qu’au 22 janvier 2020, il n’y avait que 17 morts(([13] https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&time=earliest..2020-03-09&facet=none&pickerSort=asc&pickerMetric=location&hideControls=true&Metric=Confirmed+deaths&Interval=Cumulative&Relative+to+Population=false&Align+outbreaks=false&country=~OWID_WRL)) officiels sur la planète et 557 cas…

Pourquoi vouloir créer un vaccin dès le mois de janvier alors que ce Sars-cov2 semble encore totalement inoffensif ?

D’autant plus que les scientifiques savaient qu’ils avaient affaire à un coronavirus et qu’il passe son temps à muter.

Donc même avec un énorme flair, ils n’ont pas pu avoir plus de 2 mois entre le début de la conception et les premiers essais sur l’homme.

Quelles hypothèses raisonnables pour soutenir la non-sortie d’une mise à jour ?

Si l’on considère pour acquis qu’il a fallu moins de 2 mois entre la conception des « vaccins » et les premiers essais sur l’homme, alors il est totalement logique de penser qu’il faudrait environ 1 mois pour faire une mise à jour en partant du génome du variant Delta ou de tout autre variant.

De plus l’injection étant « sans danger » (on ne rit pas jaune s’il vous plaît) et du fait que l’on subit des nouvelles vagues « terribles » avec un variant qui « s’attaque même aux jeunes », il serait inutile et irresponsable d’attendre un délai entre la mise au point du nouveau vaccin et l’injection en masse de la population. Délai de « sécurité » déjà mis en œuvre pour les premières versions.

Pour résumer :

  • Le délai (très court) n’est pas un problème.
  • L’argent (retour sur investissement garanti) n’est pas un problème.

Je ne vois pas le moindre argument valide pour ne pas commercialiser des vaccins adaptés aux nouveaux variants, et même tous les mois si il faut !

Dans un monde ultralibéral, tu n’hésites pas à choisir l’option qui va te rapporter le plus d’argent et, qui plus est, augmenter ton capital sympathie.

D’autant plus que si ton vaccin protégeait à 90 % avec la souche d’origine, que tu sais qu’il a énormément perdu d’efficacité avec les variants et que tu pourrais retrouver la même d’efficacité d’origine avec la version 2,0, pourquoi t’en priver ?

Nous voyons de plus que le « booster » est inefficace (cf. Israël) et que les injectés de la première date ont l’impression qu’on les prend pour des cons…

Alors que, je le répète, s’il y avait une mise à jour Delta, de très nombreuses victimes de la propagande retomberaient dans le piège.

Ils voudraient détruire leur marché qu’ils ne s’y prendraient pas autrement…

Quelles hypothèses dites « complotistes » pour soutenir la thèse de non-sortie ?

  • Le mensonge sur les délais… En fait il ne faudrait pas un mois pour mettre au point la mise à jour comme il n’a pas fallu 2 mois pour fabriquer les premiers vaccins. Ces délais ne seraient que mensonges. Dans cette hypothèse, il faudrait un an ou plus pour mettre au point une thérapie génique ARNm. Vous pourriez me rétorquer « mais comment ont-ils fait alors » ? Ici la réponse est « complotiste » (mais de moins en moins au fil des révélations). Dans cette hypothèse, le virus est un virus pour partie artificiel et les fabricants ont mis au point le vaccin en même temps que le virus. Il devient de fait logique qu’aucune mise à jour ne puisse voir le jour, car il leur faudrait au moins des mois, voire des années, pour la faire (peut-être que cela expliquerait aussi pourquoi des Sanofi n’ont toujours pas sorti leur « vaccin » ARN).
  • Une volonté de nuire… S’il est effectivement possible de sortir des mises à jour rapidement et qu’en plus l’opération serait à la fois rentable économiquement, rentable en termes d’image et rentable en termes de lutte contre le virus, c’est que l’intention n’est pas de sauver, mais de détruire des vies. Nul ne peut ignorer qu’un vaccin imparfait favorisera les variants. De fait insister avec le même vaccin tout en sachant qu’il sera OBLIGATOIREMENT moins efficace du fait des mutations sur la spike souligne bien une intention criminelle. Sans compter les risques d’anticorps facilitants qui font que le vaccin peut se retourner contre les vaccinés qui feraient alors des formes plus graves que s’ils n’étaient pas vaccinés.

Mes conclusions (provisoires).

Je ne doute pas que les vérificateurs de l’information à la solde de la propagande auront des raisons totalement « valables » pour soutenir cette absence de vaccins mis à jour.

À se demander comment ils supportent que le vaccin contre la grippe soit adapté d’année en année en fonction des mutations du virus… « quelle hérésie » !

Cette absence d’évolutions 18 mois après les premiers essais sur l’homme constitue une preuve du mensonge.

Les fabricants de « vaccins » à ARNm sont donc soit des menteurs avec de mauvaises intentions, soit des menteurs avec de mauvaises intentions.

Merci.

Alain Tortosa.

30 septembre
https://7milliards.fr/tortosa20210930-vaccins-pourquoi-pas-de-mises-a-jour-variants.pdf





New York lance la loi martiale médicale avec des troupes pour prendre le contrôle des hôpitaux où des travailleurs de la santé non vaxés sont licenciés en masse

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

La prise de contrôle de la société par la loi martiale a commencé à New York, où le gouverneur Kathy Hochul a annoncé le licenciement massif d’agents de santé non vaccinés, qui seront remplacés par des travailleurs étrangers et des troupes de la Garde nationale.

Ce même modèle de remplacement des travailleurs civils par des troupes militaires sera reproduit dans les forces de l’ordre, les ambulanciers paramédicaux, les pompiers, les chauffeurs de camion, les ouvriers d’usine et d’autres secteurs de l’économie qui s’effondrent rapidement en raison des restrictions de verrouillage de la covid. Le résultat est que nous assistons à une prise de contrôle militaire rapide de la société sous le couvert d’un «état d’urgence» à la suite de pénuries de personnel qui sont en fait causées par les propres politiques du gouvernement.

[Ndlr : lorsqu’un pays expérimente une mesure, une tactique ou une stratégie liberticide supplémentaire au cours de cette plandémie Covid, on peut s’attendre à ce que les autres gouvernements s’en inspirent au cours des semaines ou des mois suivants.]

La seule raison pour laquelle les hôpitaux de New York manquent désespérément de travailleurs de la santé, bien sûr, c’est parce que des dirigeants gouvernementaux corrompus ont veillé à ce que tous les travailleurs non vaxxés soient licenciés. Ce sont les mêmes travailleurs qui ont survécu à 2020 sans vaccins contre le covid, travaillant en première ligne de la « plandémie »  causée artificiellement par des protéines de pointe et du graphène, mais maintenant ils sont jetés dans la rue parce qu’ils ne prendront pas de vaccin en 2021.

« La Gouv. Kathy Hochul a déclaré samedi qu’elle était prête à déclarer l’état d’urgence si le mandat de vaccination de l’État pour l’industrie des soins de santé entraînait une pénurie ingérable de travailleurs lorsque la règle entrera en vigueur lundi », a rapporté WSKG.org ce week-end.

New York annonce également l’utilisation de troupes de la Garde nationale et une prise de contrôle fédérale des soins de santé locaux. Comme le rapporte WSKG :

L’État envisage également d’activer des membres de la Garde nationale formés médicalement pour combler les lacunes dans les effectifs de la santé, et pourrait travailler avec le gouvernement fédéral pour faire venir des équipes de travailleurs médicaux pour aider les établissements de santé locaux.

C’est la phase d’ouverture de la prise de contrôle de la loi martiale médicale sur l’Amérique, et si elle n’est pas stoppée, elle risque de se transformer rapidement en manœuvres de plus en plus totalitaires de la part du régime :

  • Postes de contrôle des vaccins militaires sur les routes et les autoroutes.
  • Des troupes militaires assurent les livraisons de nourriture et de carburant, contrôlant les infrastructures critiques.
  • La militarisation de la nourriture, de l’essence, des fournitures médicales et d’autres articles essentiels, les empêchant d’entrer dans les États rouges qui refusent de pousser les vaccins obligatoires.
  • Les troupes militaires gardant les entrées des épiceries, des églises, des centres commerciaux et d’autres bâtiments, exigeant des passeports vaccinaux « Den Ausweis, bitte» avant d’autoriser les gens à entrer.
  • Des troupes militaires extrayant involontairement des personnes de leurs maisons sous la menace d’une arme et les emmenant dans des camps de la mort dirigés par le CDC. [1]

Voici une carte des camps de la mort de covid actuellement en activité par le CDC. Vous pouvez confirmer cette carte sur le site Web du CDC.

New York crée sa propre « crise » du personnel, puis utilise la crise qu’elle a créée pour déployer la loi martiale médicale

New York a créé cette crise en licenciant des travailleurs de la santé en premier lieu. Puis, au fur et à mesure que cette «crise du personnel» se déroule, New York utilise la crise pour déployer des migrants de remplacement (pour remplacer tous les malades sur le point de mourir qui ont subi un lavage de cerveau suffisant pour qu’ils acceptent la piquouse qui les achève) et installer des troupes militaires dans des postes d’infrastructure clés. .

Une partie de cette opération psychologique consiste à habituer le peuple américain à voir des troupes tout gérer : hôpitaux, transports, usines, forces de l’ordre, etc. Une fois que toutes les troupes sont en place, Biden invoquera simplement l’Insurrection Act, et déclarera que tous les anti-vaxxers sont engagé dans une « insurrection », puis dépêchera les troupes pour rassembler et/ou exécuter tous ses ennemis politiques. Cette liste d’exécution comprendra des chrétiens, des pasteurs, des médecins au franc-parler, etc.

Je couvre tout cela dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui, qui expose le programme génocidaire de l’industrie des vaccins et le régime criminel de Biden :

Brighteon.com/ce8bdd6d-8aab-48ef-b23c-82d2f73937bf

Mardi 28 septembre 2021 par Mike Adams Source




Vaccination obligatoire : l’Agence européenne des médicaments ne sait pas répondre non plus !

[Source : francesoir.fr]

[Photo : MARTIN BERTRAND / HANS LUCAS / AFP]

Auteur(s): FranceSoir

De grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités. De grandes contraintes aussi. Alors que certains professionnels de santé, indispensables dans la gestion de la crise sanitaire, sont exclus de l’hôpital pour ne pas s’être soumis à l’obligation vaccinale, une bataille plus discrète se joue en ce moment même auprès de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de Santé (ANSM) et de l’Agence européenne des médicaments (AEM).

Ces autorités ont récemment été sollicitées par l’avocat de trois associations pour s’assurer du respect des règlements européens et des autorisations européennes (autorisations de mise sur le marché conditionnelles) dont bénéficient les vaccins anticovid.

Une simple visite de courtoisie qui s’avère être un pavé dans la mare puisque ni l’agence française ni l’agence européenne ne savent répondre. Me Teissedre vient en effet de recevoir cette réponse surprenante de la direction de l’Agence européenne des médicaments : « Nous examinons actuellement votre demande et vous répondrons en temps voulu ».

Curieuse réponse lorsque l’on sait que depuis plusieurs semaines le temps non seulement est venu, mais il est aussi passé ! En effet, les délais réglementaires sont expirés. C’est le cas du délai à observer pour le renouvellement annuel de chaque autorisation délivrée à chacun des vaccins actuellement sur le marché mais aussi des délais dont disposaient les fabricants pour transmettre à l’AEM les données complémentaires relatives aux caractéristiques des produits vaccinaux.

On ne parle pas de rien puisqu’il est question de connaître notamment la composition de la substance active des vaccins et des excipients ! Pourquoi alors l’agence européenne entretient-elle le mystère lorsqu’un avocat lui pose des questions aussi légitimes, sachant que l’agence française a déjà botté en touche en renvoyant l’encombrante requête vers l’Agence européenne des médicaments ?

Voir aussi : Données relatives aux vaccins : l’ANSM ne possède pas les informations demandées par Me Teissedre

Les fabricants disposent évidemment d’une armada de juristes compétents qui connaissent par cœur ces délais. Alors imaginer que le calendrier relatif à l’évaluation des vaccins ne serait pas respecté est-il vraiment raisonnable ?

La réponse est oui. Et c’est même l’hypothèse privilégiée. La revue Prescrire a consacré en novembre 2017 un article à ce sujet, à l’occasion des 10 ans (2006-2016) de pratique des autorisations de mise sur le marché conditionnelles. Ces autorisations sont des autorisations anticipées répondant à une urgence. Aux termes de chacune de ces autorisations, les fabricants s’engagent à fournir à l’agence européenne régulièrement, post-autorisation, des données essentielles sur le produit mis sur le marché.

Sauf que la revue Prescrire relevait dans son article de novembre 2017 que les fabricants jouent rarement le jeu une fois l’autorisation octroyée ; l’agence ayant ensuite tendance à se montrer très laxiste. Le problème ici est que c’est le monde entier que l’on vaccine, sous la contrainte, que la vaccination des enfants européens est envisagée et on parle de 3e, de 4e dose en dehors de tout cadre alors même que de nombreux États ont retiré du marché 2 vaccins (Janssen et AstraZeneca) sur 4.

Il est donc plus que difficile dans un tel contexte de passer sous les radars… Une autre explication est également donnée par la députée européenne Madame Michèle Rivasi, qui déclare dans une vidéo récente que les fabricants ont besoin de protéger leur savoir-faire, ce qui expliquerait leur refus de livrer des informations stratégiques.

Madame Rivasi a pu poser la question à l’Agence européenne des médicaments : « Est-ce que vous savez tous les ingrédients qui ont été mis dans un vaccin ? Ils m’ont dit que non alors que normalement même s’il y a une partie confidentielle elle devrait avoir accès à ces données ».

Ce qui veut dire aussi au passage que la Commission européenne s’est contractuellement engagée à garantir les fabricants contre toutes les conséquences financières liées à des déconvenues vaccinales, incluant les honoraires des avocats, sans avoir pu préalablement évaluer le risque.

Notons qu’alors qu’elles préconisent des lois liberticides et contraignantes, les autorités sanitaires ne sont même pas en capacité de faire respecter les obligations qui sont les leurs. En droit, l’obligation vaccinale, inscrite à l’article 12 de la loi du 5 août 2021, sur la validité de laquelle le Conseil constitutionnel ne s’est pas encore prononcé, est donc plus fragile qu’il n’y paraît.

Manifestement le législateur n’est pas si sûr de lui en l’édictant puisque la loi qui l’institue prévoit aussi qu’un décret, pris après avis de la Haute autorité de santé, peut suspendre l’obligation en fonction notamment des connaissances médicales et scientifiques. Or, dans la mesure où cette connaissance est impossible, on peut considérer que la loi ne peut plus être appliquée et l’obligation ne peut plus être maintenue. L’obligation vaccinale, en l’état des connaissances, est contraire au consentement libre et éclairé, et expose en plus les pouvoirs publics à un risque considérable car la responsabilité pour l’État n’est pas la même selon que la vaccination est obligatoire ou ne l’est pas.

Auteur(s): FranceSoir




Connaissez-vous le Dolder Club ?

[Source : economiedistributive.fr via Geopolintel]

Le « DOLDER Club »

par B. BLAVETTE

Le Dolder Grand est un hôtel cinq étoiles situé dans la forêt, sur les hauteurs entourant la ville de Zurich. Avec ses tours, ses tourelles, ses colombages, le bâtiment semble sorti d’un film d’aventures ou d’espionnage.

C’est en ce lieu, à la fois ultra luxueux et discret, qu’en 1970 une trentaine de hauts dirigeants de l’industrie pharmaceutique mondiale choisissent de se réunir pour la première fois. Depuis cette date, la rencontre se déroule une ou deux fois par an dans divers pays du monde et a adopté en toute modestie le terme de « Dolder Club » qui dans divers patois allemands et en alsacien désigne « la cime la plus haute, qui domine toutes les autres ».

C’est tout à fait par hasard que j’ai appris, il y a quelques semaines, l’existence du Dolder Club par l’intermédiaire d’un site faisant la promotion de la santé naturelle par les plantes.(([1] Il s’agit de « La lettre directe santé ». Attention, la fiabilité générale de ce site me semble par ailleurs incertaine du fait de ses attaques sans nuance à l’encontre de la médecine allopathique.)) Car, plus encore que le « Groupe de Bidelberg », cette réunion est ultra confidentielle. Le Dolder Club ne possède pas de site internet, nulle mention n’en est faite sur le site de la Fédération Internationale des Fabricants Pharmaceutiques (IFPMA pour Inter­national Federation of Pharmaceutical Manufacturers) qui en est pourtant l’organisatrice, nulle mention non plus dans les agendas des divers participants.

La dernière réunion du Dolder Club s’est tenue à Paris les 7-8-9 juillet 2018. Mais cette fois l’anonymat intégral avait été brisé par une dépêche de l’AFP, reprise par différents organes de presse (La Croix, Le Point, Le Monde…), qui relate succinctement la rencontre et précise que le groupe a été reçu le 9 juillet au soir par Emmanuel Macron bien que ne figurant pas sur l’agenda officiel du Président. Le site internet de l’Elysée ne comporte pas non plus de compte rendu de ces discussions. L’AFP a pu se procurer la liste des participants au Dolder Clu : sans surprise on rencontre Jaquin Duato, le dirigeant de Johnson and Johnson, N°1 mondial (USA), Kenneth Frazier, PDG de Merck and Co (USA), Lars Fruergaard Jorgensen du laboratoire Navo Nordisk (Danemark), Pascal Soriot PDG de AstraZeneca (GB/Suède), Christophe Weber le directeur français de Tadeka (Japon)… La réunion est présidée par une vieille connaissance, Serge Weinberg, Président du Conseil d’Administration de Sanofi. Ce personnage s’est particulièrement illustré par son intransigeance dans le cadre du scandale de la Dépakine, cet anti épileptique produit par Sanofi qui, administré aux femmes enceintes, engendre des enfants mentalement handicapés. Selon un rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) du 22/6/2018, entre 16.600 et 30.400 enfants exposés à la Dépakine avant la naissance seraient atteints de troubles du comportement. Mais le pire c’est que tout porte à croire que Sanofi connaissait les effets délétères de la Dépakine depuis au moins le milieu des années 80 grâce à un rapport de l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS).(([2] Voir l’excellent article du magazine Capital du 22/10/2018.)) Pourtant l’affaire de la Dépakine ne s’arrête pas ici. Le lundi 9 juillet 2018 l’association France Nature Environnement publiait une étude montrant que l’usine Sanofi de Mourenx dans les Pyrénées Atlantiques (qui fabrique notamment la Dépakine) procédait régulièrement et depuis plusieurs dizaines d’années à des rejets toxiques dans l’atmosphère dépassant… 90.000 à 190.000 fois, suivant les cas, les normes admises. À la suite de ces révélations l’usine a été fermée pendant deux mois, le temps pour Sanofi de procéder à « quelques ajustements ». Puis la production a repris, « business as usual ». France Nature Environ­nement a déposé une plainte qui, comme d’habitude, n’est pas suspensive… Il est vrai que l’année précédente (le 7/10/2017) Christophe Castaner avait déclaré lors d’une visite du site de Sanofi à Sisteron « On ne doit pas critiquer des entreprises qui réussissent comme Sanofi » et Édouard Philippe avait renchéri (le 17/10/2017) devant l’Assemblée Natio­nale à propos de Sanofi : « Il ne faut pas dénigrer une entreprise française qui fonctionne bien ». Le cynisme, allié à la bêtise, de ces deux perroquets atteint ici des sommets. Il faut ajouter aussi que Serge Weinberg doit se penser intouchable, lui qui est un ami proche d’Emmanuel Macron, lui qui a largement contribué à son élection. En effet les deux hommes se sont rencontrés dans le cadre de la « Commission Attali pour la libération de la croissance » mise en place par Nicolas Sarkozy et ont rapidement sympathisé. Serge Weinberg était alors Président du Conseil d’Administration du groupe Accor et PDG du fond d’Investissement Weinberg Capital Partner et Emmanuel Macron, Inspecteur des Finances et Rapporteur général adjoint de la Commission. Par la suite Weinberg introduira Macron dans la Banque Rothschild et le soutiendra pendant toute la campagne électorale. Selon le député de la France Insoumise François Ruffin, lors de la réception donnée à l’Elysées à la suite de son élection, Macron fendra la foule de manière très remarquée pour donner l’accolade à son ami Serge…

Il n’est guère étonnant dans ces conditions qu’Emmanuel Macron « soigne les industriels du médicament » comme le déclare France-Info du 10/7/2018.(([3] Remarquons que suivant Le Canard Enchaîné du 7/6/2017 et Wikipédia, l’actuelle Ministre de la santé, Agnès Buzyn, a tissé tout au long de sa carrière dans des organismes publics des liens très étroits avec plusieurs grands laboratoires pharmaceutiques, ce qui a donné lieu à de multiples conflits d’intérêts. Agnés Buzyn a notamment effectué de nombreuses missions rémunérées pour Novartis, Bristol-Myers Squibb et, entre 1998 et 2011, le laboratoire Genzyme, filiale étasunienne de… Sanofi !)) En fait, selon RFI, la date de la réunion ne doit rien au hasard, elle permet aux membres du Dolder Club de participer au Conseil Stratégique des Industries de Santé (CSIS) qui s’est tenu le 10 juillet à l’Hôtel Matignon sous l’égide du Premier Ministre. Cette rencontre, qui se déroule tous les deux ans depuis 2004, est sensée établir un dialogue qui peut apparaître utile entre l’État et l’industrie pharmaceutique. Cependant, au fil des années, le CSIS s’est transformé en opération de lobbying permettant aux grands groupes pharmaceutiques de présenter, on pourrait même dire imposer, leurs revendications. Et ces revendications sont nombreuses.

À l’issue de la réunion, Édouard Philippe a annoncé deux mesures phares auxquelles l’industrie pharmaceutique est très attachée :

  • La réduction à 180 jours des autorisations de mise sur le marché des nouveaux produits, au lieu de 300 jours actuellement. Ceci en dépit des multiples scandales qui secouent actuellement le secteur pharmaceutique : Médiator, Lévo­thy­rox, Dépakine, implants mammaires….
  • Un nouveau système de régulation du prix des médicaments : une garantie minimale annuelle de 0,5% de croissance du chiffre d’affaire pendant les trois ans à venir, garantie pouvant aller jusqu’à 3% pour les médicaments dits “innovants”. Mais qui décidera qu’une molécule est réellement innovante ? Mais comment est-il possible qu’une entreprise privée puisse se voir offrir par la collectivité une garantie de croissance ?

Parmi les revendications que les laboratoires espèrent pouvoir faire aboutir dans un futur rapproché on citera notamment l’obligation de la vaccination contre la grippe pour les plus de 65 ans (tout comme les fournisseurs d’eau, l’industrie pharmaceutique adore les consommateurs captifs), le déremboursement, voire, dans certains cas, l’interdiction des médecines alternatives : homéopathie, utilisation des huiles essentielles…

Le marché mondial du médicament avoisine les 830 milliards d’euros annuels, ce qui donne à ses acteurs une formidable force de frappe.

On peut considérer qu’aujourd’hui l’industrie du médicament est hors de tout contrôle, qu’elle impose sa loi aux États ainsi qu’aux instances internationales comme l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) par une généralisation de la corruption et du conflit d’intérêts. Il s’agit là d’une atteinte supplémentaire à nos processus démocratiques.

Ajoutons qu’il m’a été impossible de connaître le lieu et la date de la prochaine réunion du Dolder Club en 2019.

Ainsi une fois de plus notre avenir collectif se décide dans des instances illégitimes, dans la plus parfaite clandestinité, dans l’indifférence générale…

Note de la rédaction :

Nous aurions aimé, par une photo, faire admirer à nos lecteurs cet hôtel absolument extraordinaire. Il aurait fallu pour cela payer à cet hôtel des droits d’auteur, ce dont nous pensons qu’il n’a pas besoin.

Mais sur internet, à l’adresse : The Dodler Grand,
vous pouvez admirer l’hôtel et son site par une foule de très belles photos… et même retenir une chambre pour vos vacances, (entre 600 et 900 € la nuit).