France — Contre la prorogation du passe sanitaire et de l’état d’urgence : lettre ouverte d’universitaires aux députés

[Source : enseignementrecherchelibertes.fr]

Lettre ouverte aux députés contre la prorogation du passe sanitaire et de l’état d’urgence

Syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! »

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Objet : Lettre ouverte aux députées et aux députés de la République Française

Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

Le syndicat d’enseignants, de chercheurs et de personnels d’éducation « Enseignement, Recherche et Libertés ! » a examiné le Projet de loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire, présenté par M. Jean Castex, Premier ministre, enregistré le 13 octobre et qui doit être discuté prochainement par l’Assemblée Nationale. En ce qui suit, notre syndicat propose une analyse des implications de l’« Exposé des motifs » censé justifier ce projet de loi. Nous comptons ainsi enrichir le débat autour de ce projet qui devrait s’ouvrir publiquement le 19 octobre 2021. Un tel sujet, qui affecte l’ensemble de la communauté nationale ne saurait se dérouler dans un cercle étroit : en citoyennes et citoyens, nous entendons faire valoir notre opinion et notre expertise dans ce domaine. Étant donné que nous avons traité plus en détail la dimension médicale et sanitaire de la crise épidémique que nous traversons dans la lettre ouverte adressée au Sénat le 7 octobre 2021, nous la mettons ici en annexe afin de nous concentrer à présent surtout sur les implications juridiques et politiques du présent Projet de loi.

1. Un passe socio-économique sans aucune pertinence sanitaire  

Le premier ministre M. Jean Castex, à peine quelques mois après la mise en place du système du passe, dit « sanitaire », se présente devant les élus de la Nation pour demander – ou plutôt exiger – la prolongation de l’état d’urgence et la poursuite de l’implémentation de ce système. Revenir sur ces questions en « procédure accélérée » n’est pas sans évoquer une sensation de déjà vu des scènes déroulées en juillet 2021. Après le débat orageux à l’Assemblée et au Sénat, le ministre de la Santé, M. Olivier Véran n’avait pas hésité à déclarer alors que : «À l’heure où certains taxent le gouvernement de faire preuve d’autoritarisme, parlent de dérive autocratique voire pourquoi pas de dictature, la meilleure réponse que vous pouvez apporter, c’est celle (…) qui consiste à avoir recueilli la majorité tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat». Il n’a pas hésité à se féliciter de « l’union nationale retrouvée ». Maniant ainsi à son habitude la désinformation, il oubliait de mentionner que la loi avait été votée avec 156 voix pour, 60 voix contre et 14 abstentions, avec non moins de 60 % d’absentéisme sur un total de 557 députés. Dans le rythme effréné imposé alors par l’agenda du gouvernement, le texte a été arraché, selon l’expression des sénateurs, « avec un pistolet sur la tempe »[1]. Faisant usage de fausses informations scientifiques, entretenant un climat de peur par les médias autour de l’explosion de cas du variant Delta (alors que l’on faisait à l’époque entre 4 et 5 millions de tests par semaine), et mettant une incroyable pression sur les parlementaires, l’exécutif avait précisément éveillé les spectres de « l’autoritarisme », de la « dérive autocratique » voire « pourquoi pas la dictature » que le ministre de la Santé voulait conjurer par sa rhétorique.

Malgré ce passage en force et les problèmes posés par rapport aux valeurs de la République, le Conseil Constitutionnel avait néanmoins validé le projet de loi, avec à peine quelques modifications à la marge, le 5 août 2021[2]. Selon la décision de la haute juridiction, cela était justifié par « l’existence d’une catastrophe sanitaire et du risque qu’elle persiste dans les deux prochains mois », prémisse que le Conseil, loin de vérifier par ses propres spécialistes, acceptait sur la foi de l’exécutif. Le dispositif du passe dit « sanitaire » s’était donc mis en place dans un contexte d’urgence habilement entretenu par la propagande de l’exécutif. De sorte que les mises en garde de l’opposition et de la Défenseure des Droits, Madame Claire Hédon, quant aux risques démocratiques que comportait ce dispositif sans précédent dans l’histoire de notre République, n’ont pas été véritablement prises en compte. (Nous y reviendrons dans la partie finale de notre analyse).   

Le jour suivant, le 6 août 2021, le Conseil Constitutionnel a néanmoins acté sur une « Proposition de loi de programmation pour garantir un accès universel à un service public hospitalier de qualité ». Cette proposition de loi était portée par l’association « Notre hôpital, c’est vous », composée de collectifs de soignants et ONG caritatives, et soutenue par plus de 200 députés et sénateurs issus de 11 groupes politiques d’opposition, tant de gauche que de droite. Son objectif était de mettre « la question de l’hôpital au centre de la grande explication démocratique qui vient », à savoir les élections de 2022 et, concrètement, d’augmenter les moyens des hôpitaux, en particulier « en termes de lits et de soignants »[3]. En pleine pandémie, on aurait pu croire qu’un tel objectif était pourtant essentiel. Mais malgré toutes les attentes, butant sur un petit détail technique, le Conseil Constitutionnel, qui n’avait trouvé que peu à redire sur le passe dit « sanitaire », a considéré une si opportune proposition de loi comme étant tout simplement « contraire à la Constitution »[4].

Nous rappelons cette succession des faits qui soulève trois questions de fond. Pourquoi ce n’est pas le gouvernement Jean Castex qui a élaboré une loi en faveur d’un hôpital public de qualité ? Pourquoi, si l’opposition l’a initiée en fin de compte, le gouvernement n’a pas appuyé une si généreuse initiative ? Et quelles ont été les véritables priorités du Conseil Constitutionnel s’il a pu signer l’échec d’une initiative sincèrement dédiée à la santé publique et à l’urgence de la crise sanitaire, tout en donnant feu vert aux mesures liberticides et sans pertinence sanitaire dudit passe ?

Les deux décisions du Conseil Constitutionnel du 5 et du 6 août 2021 doivent donc se lire comme la face et le revers d’une seule et même médaille. Promouvant l’un et interdisant l’autre, le Conseil Constitutionnel a fait malgré tout le choix conscient de favoriser une certaine ligne politique fidèle à l’agenda de l’exécutif, dont la dimension sanitaire et le sort de l’hôpital n’étaient que le cadet de ses soucis.

Le principe du passe dit « sanitaire » s’appuyait toutefois sur deux prémisses de base concernant les vaccins : une efficacité réputée exceptionnelle d’environ 95 %, avec pour résultat l’empêchement de la transmission de la maladie une fois le schéma vaccinal de deux doses accompli par le patient. Selon les déclarations publiques répétées du ministre de la Santé, les personnes doublement vaccinées seraient devenues « complètement immunisées ». Qui pourrait en effet s’opposer à une perspective aussi prometteuse ?

Pourtant, ce fut précisément durant la discussion du passe dit « sanitaire » que des nouvelles préoccupantes parvinrent en France depuis Israël et d’autres pays connaissant une forte vaccination et qui subissaient en juillet-août 2021 une forte hausse des contaminations due à la progression du variant Delta[5].

En effet, on l’a appris alors que : 

  • 1)    Les vaccins n’empêchent les personnes vaccinées ni de se contaminer ni d’être contagieuses.
  • 2)    L’immunité qu’ils confèrent se réduit comme peau de chagrin en six mois : baissée devant le variant Delta à seulement 39 %, elle arrive après six mois à environ 16 %. C’est précisément de ce constat qu’il apparut très vite la nécessité d’introduire une troisième et une quatrième dose[6]

Ainsi, en vertu du point 2), il apparut de manière claire que les assertions du ministre Olivier Véran, qui se référait aux personnes doublement vaccinées comme étant « complètement immunisées » étaient au mieux une forte exagération et au pire une fausse publicité. Mais, ce qui était encore plus inquiétant, le point 1) révélait que le dispositif du passe dit « sanitaire » était en fait dépourvu de toute véritable efficacité sanitaire. Questionné à ce sujet, le professeur Éric Caumes a reconnu le 6 septembre que les vaccins n’empêchaient pas les infections, voire des formes graves de la maladie. De ce fait, il concédait que le passe dit « sanitaire » était en réalité plutôt un « passe socio-économique »[7].

2. Le passe socio-économique : un dispositif éphémère et limité juridiquement

Malgré son penchant certain en faveur du gouvernement, le Conseil d’État n’a validé le dispositif du passe « sanitaire » que d’une manière extrêmement circonscrite. Il faut relire attentivement son Avis du 19 juillet 2021 relatif à l’adaptation des outils de gestion de la crise sanitaire, qui est loin du résumé que l’on veut en donner[8].

D’abord le Conseil d’État reconnaît que ce dispositif porte une grave atteinte aux libertés fondamentales :

« cependant une telle mesure, en particulier lorsqu’elle porte sur des activités de la vie quotidienne, est susceptible de porter une atteinte particulièrement forte aux libertés des personnes concernées ainsi qu’à leur droit au respect de la vie privée et familiale ».

Ensuite, il reconnaît qu’une telle mesure pourrait avoir pour conséquence d’entraîner une « obligation de soins » :

« le fait de subordonner certaines de ces activités à l’obligation de détenir un certificat de vaccination ou de rétablissement ou un justificatif de dépistage récent peut, dans certaines hypothèses, avoir des effets équivalents à une obligation de soin ».

De surcroît, le Conseil rappelle que le passe « sanitaire » ne doit pas être un outil de contrainte à la vaccination. La formule est incisive :

« l’application du passe sanitaire à chacune des activités pour lesquelles il est envisagé de l’appliquer doit être justifiée par l’intérêt spécifique de la mesure pour limiter la propagation de l’épidémie, au vu des critères mentionnés précédemment et non par un objectif qui consisterait à inciter les personnes concernées à se faire vacciner ».

Enfin, pour justifier la légalité de la mesure, le Conseil d’État analyse minutieusement les indicateurs de l’épidémie à la date de sa saisine et rappelle les modélisations de l’Institut Pasteur : diffusion du variant Delta (80,2% de tests révélant sa présence), transmissibilité du virus accru de 60%, taux d’incidence de 96% pour 100.000 habitants, admission à l’hôpital (+ 57%) et en soins critiques (+67%), couverture vaccinale de 46,4%…

Pourtant, il est apparu très vite que les modélisations de l’Institut Pasteur, qui ont servi comme base du discours du 12 juillet 2021 et de l’action du gouvernement étaient tirées d’une étude non publiée et non revue par les pairs produite à l’occasion. Ces informations ont été soumises à une critique par le professeur Peter McCullough, de l’université Baylor du Texas, une des autorités mondiales en matière de Covid-19[9] et par le mathématicien Vincent Pavan[10]. Non seulement les données se révèlent fausses, mais il apparaît même qu’elles auraient été consciemment manipulées. Il est digne de noter que, après ces critiques, l’équipe de l’Institut Pasteur a rétracté l’étude concernée… mais les décisions politiques extrêmes prises sous son influence, elles, sont restées en place, affectant la vie de 67 millions de Français. Cela évoque un parfum de scandale politico-scientifique, comme la célèbre étude frauduleuse du Lancet, qui avait permis au même ministre Olivier Véran d’interdire en été 2020 les traitements de la Covid-19 en France. La fraude a été alors vite démontrée par les scientifiques, l’étude publiée retirée avec un grand retentissement (Lancetgate) ; nonobstant la décision d’Olivier Véran est restée en vigueur, avec des conséquences catastrophiques sur le nombre de morts en France durant la pandémie (118 000, comparé au Japon, qui n’a eu que 18.000 morts de Covid-19 pour une population deux fois plus nombreuse, plus dense et plus âgée)[11].

En matière de libertés fondamentales, les plus hautes juridictions de la République Française ne contestent donc pas que le passe socio-économique dit « sanitaire » constitue une atteinte grave aux droits des citoyens. Le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État n’ont pas manqué de le souligner, tout en précisant que ce système était acceptable, soit du fait de sa limitation dans le temps, soit du fait de sa proportionnalité avec la situation sanitaire au moment de son adoption. L’instauration, le maintien et surtout la prolongation de ce dispositif soulèvent toutefois de nombreuses interrogations juridiques.

3.  Obligation vaccinale détournée et discriminations scandaleuses

 Aucune étude ne permet de démontrer l’efficacité de ce dispositif. Il est en effet impossible de mesurer spécifiquement l’efficacité d’une mesure sanitaire donnée, notamment parce qu’elle n’est pas appliquée de manière exclusive mais associée à un panel de mesures incluant notamment la vaccination massive et les mesures barrières. Au surplus,

« la circulation virale est également influencée par des paramètres sociologiques tels que la mobilité, la fréquentation des transports, commerces, entreprises, et leur densité de population, les brassages associés aux vacances, la rentrée scolaire » [12].

Nos représentants politiques l’avouent d’ailleurs : il s’agissait en fait d’un moyen pour « inciter fortement » les Français récalcitrants à se faire vacciner, comme le rappelait même le ministre des Transports, M. Jean-Baptiste Djebbari[13]. Les conséquences du refus de cette vaccination, accentuées par le non-remboursement des tests et la fin des autotests constituent les prémisses d’une véritable mort sociale. Les personnes non vaccinées sont exclues directement ou indirectement d’une partie des transports publics, des cafés, des restaurants, des bibliothèques et autres lieux culturels, des associations sportives…  Aussi surprenant que cela puisse être, nous avons affaire à des instances gouvernementales qui assument de travailler activement pour la persécution des citoyennes et des citoyens de France, qui entre autres bénéfices considérables, leur paient le salaire.  Au-delà de cette aberration démocratique de fait, les actions du gouvernement contreviennent frontalement à la législation nationale et européenne. 

Le Conseil d’État a souligné, à deux reprises, l’obligation vaccinale que pouvait entraîner l’instauration du passe dit « sanitaire » :

« Il rappelle, ainsi qu’il l’avait relevé dans son avis n° 401741 du 17 décembre 2020 sur le projet de loi relatif au régime pérenne de gestion des crises sanitaires, que le fait de subordonner certaines de ces activités à l’obligation de détenir un certificat de vaccination ou de rétablissement ou un justificatif de dépistage récent peut, dans certaines hypothèses, avoir des effets équivalents à une obligation de soins[14] ».

En ce sens, le passe dit « sanitaire » est un outil de contrainte plus qu’un outil sanitaire et, incontestablement il est vecteur de discriminations. Or, ces deux aspects ont été fermement condamnés par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe dans ses Considérations éthiques, juridiques et pratiques sur la vaccination contre la Covid 19. Ainsi au point 7.3 du texte :

« 7.3 pour ce qui est de garantir un niveau élevé d’acceptation des vaccins :

7.3.1 de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ;

7.3.2 de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner » [15].

Force est donc de constater que le système mis en place par le gouvernement Jean Castex est l’exact contraire de ce texte.

4. Un régime de privation de libertés hors cadre et déconnecté de la réalité de l’épidémie

Ce système entraîne au surplus une privation de liberté doublement incompréhensible. Ainsi qu’a pu le souligner Guillaume Zambrano, maître de conférences à la faculté de droit de Nîmes, cette restriction de liberté est décidée de manière arbitraire, par simple effet mécanique d’un texte et sans aucun débat contradictoire alors que « toute personne privée de liberté a le droit de passer devant un juge. De fait, quand une personne est assignée à résidence ou condamnée à porter un bracelet électronique, la mesure doit être approuvée par le juge des libertés et de la détention. Quand on condamne des personnes pour des dommages sociaux comme le vol, la fraude fiscale, les coups et blessures, elles ont eu droit à un procès ». Qui plus est, cette restriction ne repose que sur une simple présomption de contagion. Autrement dit, on applique une sanction très lourde et significative sur de simples suppositions. Il s’agit d’une forme d’application d’un principe de précaution dont on laisse le soin aux citoyens de contrôler l’application[16].

Le Conseil d’État, saisi en référé de plusieurs requêtes visant à suspendre le passe dit « sanitaire », n’a pas estimé qu’il existait un doute suffisamment sérieux sur sa légalité l’autorisant à faire droit aux demandes. Il a cependant expressément lié ces décisions aux données scientifiques existantes permettant d’établir un tableau de l’épidémie en temps réel. Dans une série d’ordonnances en date du 26 juillet 2021, le juge des référés du Conseil d’État a ainsi insisté sur la dégradation de la situation sanitaire en France,

« avec une diffusion croissante du variant Delta, particulièrement transmissible. À la date du 19 juillet, le nombre de personnes infectées par la covid-19 a augmenté de 111 % par rapport à la semaine précédente et de 244 % par rapport à la semaine du 3 juin. Le nombre d’hospitalisations a quant à lui augmenté de 57 % voire 67 % pour les admissions en service de soins critiques. Par ailleurs, les modélisations de l’Institut Pasteur font craindre une aggravation encore plus importante en août, avec une couverture vaccinale encore insuffisante pour permettre un recul durable de l’épidémie[17] ».

Même dans la décision du Conseil Constitutionnel du 5 août on trouve également cette délimitation par le principe de proportionnalité :

« 23. Les mesures prévues dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire ne peuvent en tout état de cause être prises qu’aux seules fins de garantir la santé publique. Selon le paragraphe III du même article, elles doivent être strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu. Il y est mis fin sans délai lorsqu’elles ne sont plus nécessaires. Le juge est chargé de s’assurer que de telles mesures sont adaptées, nécessaires et proportionnées à la finalité qu’elles poursuivent.

24. En dernier lieu, quand la situation sanitaire le permet, il doit être mis fin à l’état d’urgence sanitaire par décret en conseil des ministres avant l’expiration du délai fixé par la loi le prorogeant »  [18].

Par rapport à ce cadre législatif contraignant, il faut remarquer que l’ « Exposé des motifs » du projet de Loi par lequel le gouvernement entend justifier une décision de prorogation du passe « sanitaire » et de l’état d’urgence, n’avance au total que deux arguments, qui sont tous les deux d’une pauvreté surprenante.

Premièrement, il est affirmé que les mesures prises (état d’urgence sanitaire, vaccination, passe sanitaire) auraient « contenu » l’épidémie. La vérité est qu’il n’en existe aucune preuve scientifique. Bien au contraire, une étude toute récente publiée par S.V. Subramanian et A. Kumar, comparant les États-Unis avec d’autres pays hautement vaccinés souligne que « les pays dont le pourcentage de la population entièrement vaccinée est plus élevé présentent un plus grand nombre de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants. Notamment, Israël, dont plus de 60 % de la population est totalement vaccinée, a enregistré le plus grand nombre de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants au cours des 7 derniers jours. L’absence d’association significative entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 est également illustrée, par exemple, par la comparaison entre l’Islande et le Portugal. Ces deux pays, dont plus de 75 % de la population est entièrement vaccinée, comptent plus de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud, dont environ 10 % de la population est entièrement vaccinée ». Croire ainsi qu’une vaccination massive de la population aurait conféré une protection générale s’avère être une chimère, contraire aux études les plus récentes, car les personnes vaccinées continuent d’être porteuses, malades et vectrices du virus[19].

Deuxièmement, dans le même « Exposé des motifs », le gouvernement affirme qu’il y aurait malgré tout un « risque » de rebond épidémique. Ainsi, c’est le gouvernement qui, après avoir « fortement incité » – pour utiliser une litote – à la vaccination de plus de 70% de la population, doute lui-même des résultats de sa propre politique sanitaire ? Néanmoins, il est impossible de fonder des décisions politiques aussi liberticides sur des divinations de cette nature. Il y aura toujours à l’avenir un risque quelconque : à ce compte-là, le passe et l’état d’urgence devraient être éternels.

En revanche, l’ « Exposé des motifs » est complètement muet sur le seul élément qui serait déterminant pour asseoir une telle décision : l’état actuel de l’épidémie. Or selon le bulletin du Réseau sentinelles INSERM du 13/10/2021, le taux d’incidence de la Covid-19 est de 3 cas pour 100 000 habitants : « Surveillance de la COVID-19 : La semaine dernière (2021 s40), le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [2 ; 5]), ce qui représente 2 181 [1 187 ; 3 175] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste[20]. L’ « Exposé des motifs » du premier ministre Jean Castex n’apporte à cette réalité aucun démenti.

Or, dans la mesure où tant le Conseil d’État que le Conseil Constitutionnel lient l’existence et non simplement l’application du passe dit « sanitaire » à la réalité de l’épidémie, et non aux divinations doctes qui se sont tant de fois trompées jusqu’à présent, au regard des mêmes indicateurs, il résulte que le maintien du passe socio-économique ne devrait même pas être débattu… Et cela d’autant moins que le Conseil scientifique, dans son avis du 5 octobre, reconnaît que l’on ne peut lier passe « sanitaire » et amélioration de la situation épidémique[21].

5. Un projet de loi d’inspiration totalitaire chinoise

Il y a ainsi un très grand écart entre les objectifs sanitaires affichés par l’exécutif, validés sur la foi du gouvernement par les hautes juridictions de la République, et le « passe socio-économique » qui a finalement été mis en œuvre. Ce qui devient encore plus inquiétant désormais est l’utilisation politique du passe dit « sanitaire » pour exercer un contrôle généralisé de la population et la priver, comme c’est déjà le cas, de vie sociale (voire, comme en Italie ou en Israël, de vie professionnelle). Cela constitue une atteinte insupportable aux droits fondamentaux que rien, et surtout pas une maladie au taux de mortalité comparable à celui de la grippe dont le taux d’incidence est négligeable depuis plusieurs mois, ne saurait justifier[22].

Le grand philosophe italien Giorgio Agamben, un disciple de Michel Foucault et spécialiste de la question du biopolitique, a admirablement expliqué récemment devant le Sénat italien, le 7 octobre 2021, le problème politique (non médical) posé par une vaccination assortie à un « Green Pass » :

« nos sociétés sont passées du modèle qu’on appelait autrefois de la « société disciplinaire » à celui d’une « société de contrôle » ; de société fondées sur un contrôle numérique quasi illimité des comportements individuels qui deviennent ainsi quantifiables dans un algorithme. Nous nous habituons maintenant à ces dispositifs de contrôle, mais je vous demande : jusqu’où sommes-nous prêts à accepter que ce contrôle aille ? Est-il possible que les citoyens d’une société prétendument démocratique soient dans une situation pire que les citoyens de l’Union soviétique sous Staline ? Vous savez peut-être que les citoyens soviétiques étaient obligés de présenter une propiska, un laissez-passer pour tout déplacement d’un endroit à un autre. Mais on est aussi obligé de montrer un passe sanitaire pour aller au restaurant, voire même pour aller au musée ou au cinéma. Et maintenant —ce qui est encore plus grave avec le décret que vous devez transformer en loi— même à chaque fois que vous allez travailler »[23].

Si l’on essaie de faire la généalogie intellectuelle des mesures du gouvernement Castex, on peut noter que leur inspiration remonte directement au rapport du Sénat du 3 juin 2021, intitulé Crises sanitaires et outils numériques : répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés[24]. Défendant le principe selon lequel « si une dictature sauve des vies pendant qu’une démocratie pleure ses morts », les auteurs du rapport invitaient à adopter « la bonne attitude [qui] n’est pas de se réfugier dans des positions de principe, mais de s’interroger sur les moyens concrets, à la fois techniques et juridiques, de concilier efficacité et respect de nos valeurs » (sic !)[25]. À cet effet, ils saluaient le principe de passe(port) sanitaire comme une « bonne nouvelle », et ceci même au prix de prendre le contre-pied de la critique sévère de la Défenseure des droits[26] qui, déjà dans son avis du 17 mai adressé au Parlement, avait sévèrement jugé le dispositif présenté par le Gouvernement[27]. On réalise ainsi que ce rapport opposait sans sourciller les valeurs de la République, incarnées par la Défenseure des droits, à un dispositif directement inspiré – comme le reconnaissent les auteurs eux-mêmes – du modèle chinois, pays qui a vu, selon leur analyse, la mise en place des premiers passes sanitaire et vaccinal[28].

Reconstituer la généalogie de l’idée et du système de passe « sanitaire », fait ainsi remonter les origines intellectuelles du présent projet de loi jusqu’au modèle totalitaire chinois, que le gouvernement Jean Castex a adopté, une rhétorique habile à l’appui, presque intégralement, sans faire beaucoup de cas des mises en garde de la Défenseure des Droits en faveur de la défense des valeurs de la République Française. Mais le premier ministre n’est pas le seul à pouvoir s’attribuer ce mérite. Il faut également reconnaître que, dans la mise en place de ce système inspiré de la Chine communiste, le ministre de la Santé M. Olivier Véran a joué aussi un rôle capital. Comme le révèle l’enquête du Monde publiée en mai 2020 par les journalistes Solenn de Royer et Harold Thibault sur le réseau tentaculaire de la Fondation France – Chine, l’actuel ministre de la Santé en était une des plus brillantes recrues, bien que loin d’être le seul.  

« Le monde est tout petit », reconnaît l’ambassadeur de France en Afrique du Sud Aurélien Lechevallier, ex-conseiller diplomatique d’Emmanuel Macron, qui a, pour sa part, rencontré M. Macquin à HEC et M. Lenain à Washington, où ils ont été tous deux en poste. Intégré à la promotion 2017-2018, M. Lechevallier a aidé le trio à repérer les valeurs montantes de la Macronie, comme les ministres Brune Poirson et Agnès Pannier-Runacher ou la députée (La République en marche, LRM) Coralie Dubost, qui a coopté l’année suivante Olivier Véran, son compagnon et futur ministre de la Santé »[29].

Les assertions des journalistes du Monde sont d’ailleurs confirmées par les données publiques de la Fondation France – Chine, qui a en effet l’honneur de compter M. Olivier Véran parmi les membres de la promotion 2019[30]. Selon l’analyse du Monde, ce « réseau puissant » où « se fabrique l’influence » est un réseau « sous le contrôle total du Parti Communiste Chinois ». Selon l’ambassadeur Aurélien Lechevallier, ce réseau de soft power « offre aux Chinois un accès privilégié à des responsables politiques de haut niveau et à des PDG dans des secteurs stratégiques. Certes pas à des secrets d’État, mais à un niveau d’interlocuteurs inégalé ». Or, force est de constater que, à force de côtoyer les Young Leaders chinois et les hauts responsables de la République Populaire de Chine, le gouvernement Jean Castex, où les ministres Olivier Véran, Brune Poirson et Agnès Pannier-Runacher jouent un rôle déterminant dans la construction du programme sanitaire, est en train de mettre en place précisément un système de contrôle socio-économique inspiré du modèle totalitaire chinois.

À la lumière de ce constat, les dix points d’alerte de la Défenseure des Droits ne font que gagner encore plus une brûlante actualité[31]. Sous le rouleau compresseur de ce modèle d’inspiration totalitaire, on constate plus que jamais « la nécessité d’un débat démocratique » qui fait défaut en raison de la sourde oreille que le gouvernement prête à l’opposition et à la population qui, depuis plus de 14 semaines, manifeste dans la rue contre la mise en œuvre de ce système. Avançant masqué, ce projet totalitaire se décline dans une avalanche de documents normatifs, rédigés dans une novlangue qui pose des problèmes d’« intelligibilité du texte », laissant de « nombreuses zones d’ombre » qui confèrent une énorme marge d’action au gouvernement. Nous avons tous pu constater à quel point les mesures élaborées depuis début août 2021 par le gouvernement ont provoqué des « restrictions d’accès aux transports publics et aux biens et services ». La « mise en œuvre des restrictions d’accès » a incité « le contrôle d’une partie de la population par une autre », situation typique d’un régime totalitaire qui rompt décisivement avec l’idée même de fraternité de la République française.

Cette société de surveillance est en même temps également une société de discriminations, qui n’en sont que la conséquence naturelle. Ainsi La Défenseure des droits avait souligné « les risques de discriminations dans l’emploi », rappelant « qu’aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié, ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, telle que définie à l’article 1er de la loi du 27 mai 2008 ». Toutefois les « mesures d’isolement étendues » et la « vaccination obligatoire pour certaines professions » ont conduit au licenciement de dizaines de milliers de médecins et de soignants, ordonné de manière autoritaire par le ministre Olivier Véran, ce qui n’a fait que donner justice à cet avertissement formulé par Madame Claire Hédon. Cela marque une rupture radicale avec le système de protection du travail mis en place par le Préambule de la Constitution de 1946, qui fait partie de notre socle constitutionnel.

Mais ce qui est encore plus grave c’est que le passe socio-économique, prétendument « sanitaire » a entraîné « des risques considérables d’atteinte aux droits de l’enfant ». Se fondant sur les données scientifiques, la Défenseure des droits était « favorable à ce que, pour les mineurs de 12 à 18 ans, la vaccination reste uniquement encouragée et ne tombe pas sous le coup d’une obligation déguisée. Elle considère en outre que, pour les mineurs de moins de 12 ans, le projet de loi devrait indiquer de manière expresse qu’ils sont exemptés de la vaccination ». Allant à l’encontre de ces recommandations, le gouvernement a incité fortement la vaccination massive des jeunes, en conditionnant leur vie sociale à la possession d’un passe « sanitaire ». Dans le pays des Droits de l’Homme, non seulement les vies des adultes mais aussi celles des enfants et des adolescents sont désormais conditionnées par la possession de cet artefact d’inspiration chinoise.

Ensuite, le passe socio-économique contribue à exclure « Les personnes en situation de pauvreté », qui « pourraient (en) être doublement victimes ». Comme par la politique catastrophique des trois confinements ordonnés de manière autoritaire par le président Emmanuel Macron un million de personnes ont basculé dans la catégorie des pauvres, ces mesures doublement discriminatoires affectent plus de 10 millions de personnes. Enfin, « les risques liés au traitement des données » ont été prouvés par les fuites de données de santé de millions de citoyens : si même les passes « sanitaires » du premier ministre Jean Castex et du président Emmanuel Macron se sont retrouvés en accès libre sur les réseaux sociaux, quelle protection du secret de la santé peut dès lors espérer le citoyen commun ? Jamais en reste de décliner sa responsabilité, l’Elysée a fustigé « une faille déontologique » et « la négligence ou la malveillance de professionnels de santé ». Alors qu’en réalité, c’était au responsable de la mise en place de ce système de surveillance généralisée que le président de la République aurait dû s’en prendre… en se regardant dans le miroir.

Désormais cependant, c’est un 11e point d’alerte que la Défenseure des droits devrait ajouter dans sa liste. Il s’agit d’une alerte suprêmement politique. Car le gouvernement Jean Castex, en tentant de nouveau d’imposer en force la prorogation du passe « sanitaire » jusqu’en été 2022, ne cache même plus ses velléités de biaiser fortement le déroulement des élections présidentielles et législatives de l’année prochaine en faveur du président Emmanuel Macron et de sa future majorité. Parmi les nombreuses déclarations en ce sens, celle du ministre de l’Intérieur, M. Gérald Darmanin, sont peut-être les plus inquiétantes. Dans son entretien dans le JDD, il n’a pas caché son plan de « vouloir peser sur le scrutin » présidentiel de 2022.

« Ce qu’ambitionne le ministre de l’Intérieur c’est avant tout d’être le ministre de l’Intérieur de la réélection d’Emmanuel Macron. « Je suis candidat à ça : montrer la force du Président sur le régalien », confie Darmanin, qui y voit sa « responsabilité dans la campagne » et se dépeint en « garant, en partie » de ce front » [32].

Ces déclarations sont d’une gravité sans précédent et nous tenons à avertir les députés de leur signification : dans tous les régimes autoritaires ou dictatoriaux, les ministres de l’intérieur contribuent à faire élire le président sortant, tout en sauvant les apparences du contraire. Alors que, en France, le ministre de l’Intérieur proclame haut et fort son projet dans ce sens ! C’est donc une alerte démocratique d’une extrême urgence que pose, en fin de compte, le projet de loi présenté par le gouvernement.

En conclusion de cette analyse, le syndicat « ERL ! » attire l’attention sur le manque d’arguments scientifiques et juridiques du projet du passe socio-économique, faussement nommé « sanitaire ». De surcroît, ce projet dont nous épinglons l’inspiration totalitaire, pose un grave problème démocratique durant une année électorale qui a déjà commencé. À ce titre, le livre récent d’enquête publié par les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme, a révélé une série de détails sur l’origine du mouvement. En particulier, nous retenons la signification du nom « En Marche ! », que d’ailleurs le parti LREM a conservé jusqu’à présent :

« C’est Brigitte Macron qui choisit finalement En Marche ! En effet, l’unanimité n’est pas immédiate ; l’avocat François Sureau, membre de la bande quoique proche de François Fillon (en macronie, tout devient possible), n’est franchement pas fan. Au cours d’un déjeuner, il s’emporte : « C’est pas possible que ça s’appelle En Marche ! Ça rappelle la Grande Marche sur Rome de Mussolini ! La définition du fascisme, c’est le mouvement, sans direction… » L’avocat, homme de culture, jette un froid, ses objections portent. « À ce moment-là, pour nous, le nom est flingué, opine [Stanislas] Guerini. Et là, Brigitte dit : “Moi, j’aime bien.” L’argument historico-intellectuel est balayé. »[33].

En tant que scientifiques, nous mettrons au contraire devant les députés de la Nation précisément cet argument historico-intellectuel. Nous nous permettons de vous rappeler que vous n’êtes pas les élus d’un président, ni d’un parti, mais d’abord et avant tout celles et ceux de la Nation française. Nous vous appelons, toutes et tous, membres de l’opposition tout comme de la majorité, à un véritable sursaut démocratique. Vous ne voudrez pas rester dans l’histoire comme les garants de la mise en place définitive d’un programme de contrôle de la population française et, partant, de la démocratie de notre République, inspiré du modèle totalitaire du Parti Communiste Chinois ou d’autres régimes du passé. Pour toutes ces raisons, le syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! » s’adresse à tous les parlementaires pour les persuader de rejeter cette proposition de loi au nom des valeurs suprêmes de la République Française : Liberté, Égalité et Fraternité que le système du passe socio-économique bafoue au point qu’il finit par menacer désormais l’existence même de notre République.

Recevez, Mesdames les Députées, Messieurs les Députés, y compris de la majorité présidentielle, les meilleures salutations des membres du syndicat « Enseignement, Recherche et Libertés ! » et de ses sympathisants.

Paris – Aix-en-Provence – Poitiers

17 octobre 2021





Le Québec sur les traces du Rwanda : la propagande gouvernementale haineuse

[Source : Les 7 du quebec]

Par Serge Charbonneau

Il y a quelques années, l’un des sujets politico-médiatiques était « le discours haineux »[1].   Combien de fois n’avons-nous pas été mis en garde et même sermonnés concernant les fameux discours « haineux » ? [2]    Puis, peu à peu, on a utilisé cette notion du discours haineux pour limiter la liberté d’expression et même, par la bande, la liberté d’opinion.  Sous le prétexte de la lutte contre les « discours haineux » : les géants du Web concluent un accord avec les annonceurs ! [3] Les grandes plateformes Internet, dont Facebook, ont conclu un accord avec les annonceurs pour mieux lutter contre les contenus incitant à la haine !

Comment peut-on s’opposer au bien !

Les Facebook, YouTube, Google surveillent maintenant les discours haineux !  Puis ce fut les gouvernements qui emboitèrent le pas pour eux aussi assainir la société.  

« Le gouvernement du Canada prend des mesures pour protéger les Canadiens contre les discours et les crimes haineux ! »[4]

En fait, le gouvernement tout comme les grands de l’Internet se sont donné des outils de censure.   Et la censure prévaut de façon incroyable.

La liberté d’opinion est devenue illusoire.  Dès qu’une opinion interdite est émise (sécurité des vaccins, mesures sanitaires, points positifs pour l’administration Trump, fraude électorale américaine) c’est la censure partout tout le temps.  Quant au discours haineux, il a été « oublié ».  La haine est permise et même requise pour lutter contre cette résistance à la dictature sanitaire.

Le discours haineux est devenu monnaie courante et semble même être considéré comme étant nécessaire.

Prenons quelques exemples :

Un chroniqueur au service de la propagande de la secte de Davos compare les travailleurs de la santé qui refusent d’être injectés à des terroristes.

« J’ai un arrière-goût terrible en disant cela : les antivax ont gagné. Le même arrière-goût que je ressens quand des terroristes libèrent des otages… on encourage les bourreaux à recommencer. » [5]

Selon le chroniqueur Patrick Lagacé, ces gens formés en santé seraient des terroristes parce qu’ils refusent de se faire injecter ce produit expérimental que l’on présente comme étant « le vaccin de la liberté » !  Il dit : « Ces gens-là, les conspi-négationnistes… Ces gens-là n’ont qu’un pouvoir de nuisance. Et pour nuire, ils nuisent. »

Monsieur Lagacé attise la haine, tout comme les commentateurs de la Radio des Milles Collines au Rwanda attisaient la haine des Tutsies avant de lancer le massacre.   M. Lagacé n’est pas le seul à attiser la haine de ceux qui refusent l’injection expérimentale, ils sont légion sur tous nos grands médias.

Chez-nous au Québec outre Lagacé, nous avons les Martineau, Bombardier, Dumont, Lamarche, Dussault, Roy, Chouinard, Haché, bref tout le gratin des grands médias qui chaque jour vomissent sur les gens qui mettent en doute la sécurité et l’utilité de cette injection.  On traite ces derniers de tous les noms : Covidiots, coucous [6], sous-éduqués, bande de crétins, d’illuminés [7], d’édentés [8], de conspirationnistes, de complotistes, d’analphabètes fonctionnels et j’en passe et j’en oublie. Le discours haineux est partout. Il est soutenu et constant.

Chaque jour les médias font monter la haine envers les gens non vaccinés. Nous vivons définitivement une situation semblable à celle qu’ont vécu les Rwandais.

Il y a vingt-sept ans, la Radio-Télévision des Mille Collines (RTLM) encouragea le génocide au Rwanda. Sur ses ondes, le média a diffusé la haine, timidement d’abord, puis de façon totalement assumée : « Vous allez mettre le feu aux Tutsis et ils vont regretter d’être nés… Faites du bon travail ! », « Les fosses sont encore à moitié vides, vous devez les remplir ! » La RTLM a joué un rôle capital dans le génocide de 1994, où 800 000 Tutsi et Hutu modérés ont perdu la vie. [9]

« Réjouissons-nous, amis! Les inkotanyi [Tutsis] ont été exterminés! Réjouissons-nous, amis! Dieu ne peut jamais être injuste ! », entonne Habimana Kantano sur les ondes de la Radio télévision libre des Mille collines (RTLM), le 2 juillet 1994. »   Cet extrait est tiré de l’article de Manon Cornellier intitulé  « Un outil d’endoctrinement – Les médias assassins » [10].

Au Rwanda, la Radio mille collines, l’organe du gouvernement hutu, prônait quotidiennement l’éradication des Tutsis. [11]  RTLM, Radio Mille Collines était définitivement la radio de la haine [12].

Au Québec, va-t-on se rendre jusque là ?  Espérons que non.  Cependant, force est de constater que la haine contre les gens non vaccinés est en croissance constante dans notre société.  Il suffirait que les Lagacé, Martineau, Dussault, Roy, Dumont, Lamarche et Cie sonnent la charge pour « purifier » (sic) la société que probablement les endoctrinés emboiteraient le pas et iraient éliminer la menace que représente les non vaccinés pour eux.   Bien sûr, cette avenue semble exagérée, mais demandons-nous sérieusement si les Rwandais pouvaient s’imaginer que leurs voisins avec lesquels ils ont été sur les bancs d’école puissent un jour les pourchasser avec des machettes ?   Je pense que non. Le peuple juif pouvait-il s’imaginer que les nazis les exterminaient systématiquement ?  Lorsque ces pauvres gens  montaient dans les trains, qui donc montait en se disant qu’il se dirigeait vers la mort et non vers un camp de travail ?

On ne peut imaginer jusqu’où peut se rendre la folie.  Et force est de constater que, présentement, la folie est bien réelle.   Chaque jour nos « journalistes » (sic) émettent des propos haineux envers ceux qui remettent en question la doctrine covid.   

Avec le recul on constate que le Rwanda a servi de laboratoire humain.  Tout indique qu’on cherchait à savoir jusqu’où on pouvait pousser une population en utilisant, entre autres, les médias.   Le général Dallaire a bien vu cet endoctrinement de la population et cette montée de la haine.  Il a tenté de contrer cette folie qu’il voyait s’installer, mais l’ONU l’en a empêché.   Comment peut-on expliquer autrement que par une volonté de tester une manipulation de masse qu’on lui refusa les outils (armes et soldats) pour empêcher le massacre ?

La réalité crève de plus en plus les yeux. Il y a définitivement des puissants qui possèdent les moyens pour manipuler les masses.   Pensons à la folie Pokémon !  Une autre expérience mondiale pour connaître à quel point et avec quelle efficacité on pouvait contrôler les populations occidentalisées.

Le Pokémon Go chargé 150 millions de fois dans le monde en l’espace de quelques jours.   La folie est implantée avec une facilité incroyable ! [13]

Ludique, sympathique, un retour irrésistible à l’enfance. Un marketing courriel agressif et avec l’aide précieuse des médias [14], même les adultes les plus sérieux se laisse séduire.   Tous sont dans la rue, l’œil rivé sur leur écran de cellulaire ou leur tablette pour chasser le Pokémon.

L’agence France-Presse répand la nouvelle :

La folie Pokémon Go gagne la planète 

Des joueurs chassant des Pikachu et autres Bulbizarre dans un hôpital d’Amsterdam, des «battues» organisées à Sydney, des jeunes Américains se hasardant en terrains interdits : la folie Pokémon Go, ce jeu de réalité augmentée qui permet d’attraper ces créatures virtuelles, envahit le monde. [15]

Depuis des lustres on étudie et on développe des stratégies de manipulation de l’opinion publique et la manipulation mentale des masses.   En 2014 Facebook avouait avoir testé sa capacité de manipulation mentale des foules [16].

Combien d’ouvrages traitent du sujet !  Nous savons tous que la propagande ou la publicité cherchent à mobiliser le comportement des masses en utilisant des moyens généralement malhonnêtes. Militairement, la désinformation est considérée comme une arme de guerre.  La désinformation est utilisée, tout comme la propagande, pour manipuler l’opinion publique.  La désinformation est vicieuse et probablement l’une des manipulations les plus difficiles à déceler. Nos médias désinforment massivement et utilisent aussi l’inversion des valeurs.   Ceux qui à l’aide des faits exposent la réalité indéniable sont considérés comme étant les menteurs et les porteurs de désinformation alors que c’est tout l’inverse.   Les propagandistes crachent allègrement sur la réalité et ignorent totalement les faits véritables et vérifiables.

À l’aide de la propagande, on endoctrine les gens.   C’est ce qui a été fait pendant des mois au Rwanda.  Puis en utilisant des méthodes démagogiques, on cultive la haine et on la fait croître.  Il faut être conscient des méthodes qui ont cours et des conséquences qui peuvent en découler.

Soyons conscients de cette haine véhiculée par ces faux porteurs de « vérité » (sic) qui nous endoctrinent.

Il faut éveiller ceux qui se laissent entrainer vers la haine avant qu’il ne soit trop tard.

Merci de rester alerte et de réfléchir sérieusement à ce que nous vivons.

Réfléchir n’est pas un luxe.   C’est de plus en plus une nécessité.

Salutations,

Serge Charbonneau.  Québec


Liste des liens

[1] Qu’est-ce qui constitue un discours haineux ?

https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/le-15-18/segments/chronique/93062/justice-droit-incitation-haine-crime

[2] Le discours haineux, un phénomène tentaculaire

https://www.concordia.ca/ucactualites/central/nouvelles/2018/03/12/institut-interdisciplinaire-estival-discours-haineux.html

[3] Discours haineux : les géants du Web concluent un accord avec les annonceurs

https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/discours-haineux-les-geants-du-web-concluent-un-accord-avec-les-annonceurs-20200923

[4] Le gouvernement du Canada prend des mesures pour protéger les Canadiens contre les discours et les crimes haineux

https://www.canada.ca/fr/ministere-justice/nouvelles/2021/06/le-gouvernement-du-canada-prend-des-mesures-pour-proteger-les-canadiens-contre-les-discours-et-les-crimes-haineux.html

[5] Les antivax ont gagné  – Patrick Lagacé

https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2021-10-13/les-antivax-ont-gagne.php

[6]  La victoire des coucous  – Richard Martineau

https://www.journaldequebec.com/2021/10/14/la-victoire-des-coucous

[7]  Les illuminés  – Marie-Andrée Chouinard

https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/632673/-les-illumines

[8]  Les édentés  – Patrick Lagacé

https://www.lapresse.ca/actualites/2021-03-19/les-edentes.php#

[9] Au Rwanda, les funestes échos de Radio-Mille Collines

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/04/08/au-rwanda-les-funestes-echos-de-la-radio-des-mille-collines_5447242_3212.html

[10] Un outil d’endoctrinement – Les médias assassins

https://www.ledevoir.com/societe/51434/un-outil-d-endoctrinement-les-medias-assassins

[11]  Rwanda : «Tuez-les tous», «éradication totale», «nettoyage»… les voix funestes du génocide

https://www.leparisien.fr/international/rwanda-tuez-les-tous-eradication-totale-nettoyage-les-voix-funestes-du-genocide-21-04-2019-8057496.php

[12] Mille Collines, la radio de la haine

https://www.la-croix.com/Culture/Theatre/Mille-Collines-la-radio-de-la-haine-_NG_-2012-12-13-887560

[13] La folie Pokemon Go contamine tout le monde

[14] La folie Pokémon Go arrive chez nous! 

https://www.lecourrierdusud.ca/la-folie-pokemon-go-arrive-chez-nous/

[15] La folie Pokémon Go gagne la planète

https://www.lesoleil.com/affaires/techno/la-folie-pokemon-go-gagne-la-planete-876b2b8f8ea6ff258425fc4f03d2a07c

[16]  Facebook a testé sa capacité de manipulation mentale des foules

https://www.numerama.com/magazine/29852-facebook-a-teste-sa-capacite-de-manipulation-mentale-des-foules.html




« Neo Kosmo » vous explique la mafia des laboratoires pharmaceutiques

[Source : lemediaen442.fr]

Neo Kosmo :

« Le fonctionnement du système de santé français peut être un peu flou pour beaucoup de gens. Alors, on va prendre le temps d’éclaircir tout ça. Dans un premier temps, je vais faire un schéma pour expliquer comment ça fonctionne. Ensuite je vous dirai pourquoi c’est un système super malsain et pour finir, j’exposerai une solution pour éradiquer définitivement le problème. »

Mediator, Levothyrox, Dépakine ont obtenu une autorisation de mise sur le marché. Un autre exemple des dérives causées par le lobbying des laboratoires (il se compte en milliards, comme leurs profits). En 2013, le CEPS (Comité économique des produits de santé) a accordé une AMM au Sovaldi, un médicament de Gilead contre l’hépatite C. Si on tient compte d’un prix de vente au plus haut, le traitement complet devrait coûter 600 €, mais… la sécu accepte de le rembourser à 100 % au tarif de 56 000 € ! Un peu cher ? Pas de problème, l’État n’en achète que pour la moitié des malades. Devant les protestations des associations, les négociations reprennent et finalement, en 2014, le prix du traitement est baissé à 41 000 € ! On voit comment est creusé le trou de la sécu.

SOMMAIRE :

  • 0:00 Introduction
  • 0:41 Comment marche le système de santé ?
  • 4:04 Les dérives du système
  • 10:15 La solution
Neo Kosmo



À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?

[Source : LHK]

Par LHK

À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène? À l’Internet des corps (IoB)

https://winteroakpress.files.wordpress.com/2020/10/klaus-schwab.jpg?w=772
Partisan du transhumanisme, il prévoit l’implantation de puces d’abord dans les vêtements puis dans le cerveau, pour établir une « communication directe entre notre cerveau et le monde digital »8. Il défend et promeut l’avènement de l’intelligence artificielle pour nos vies dans La quatrième révolution industrielle paru en 2017. (Wikipédia)
https://lilianeheldkhawam.com/2021/02/06/qui-est-klaus-schwab-le-maitre-de-la-montagne-magique/?fbclid=IwAR3WUD-fesufEvSfJodxAtqde4Jcm7nHyeeXpU3ijOQ0n7_yNHovjSxlSf0

Souvenez-vous de notre article sur l’oxyde de graphène où nous y avions effleuré la notion de l’Internet des corps. Nous y disions notamment que : « En général, les capteurs pour la surveillance de la santé humaine, qu’il s’agisse de capteurs invasifs ou non invasifs, peuvent être considérés comme un « sens augmenté », qui est une extension des sens humains. ». Nous parlions dans les faits d’un matériau qui pouvait ouvrir la voie au transhumanisme.

Eh bien, la présence de capteurs n’a pas d’autres objectifs que de connecter le corps humain à un serveur et donc à fusionner les deux entités pour en créer une 3ème qui est le transhumain. Cette dernière appellation est l’antichambre du posthumain qui est l’objectif final de ceux qui tiennent le stylo de la création monétaire contre crédits.

Je vous laisse mieux découvrir l’Internet des corps ou IoB avec une collaboratrice de la Rand Corporation et de documents pris sur le site du World Economic Forum.

C’est ce qui attendrait chacune et chacun d’entre nous, à moins d’un impondérable qui aurait échappé aux algorithmes de nos amis.

Bonne lecture.

LHK

Traduction du texte de la vidéo de Mary Lee

Au 20e siècle, la technologie sans fil intégrée au corps humain n’était rien de plus que de la science-fiction. Mais aujourd’hui, les appareils connectés au Wi-Fi tels que les moniteurs de fréquence cardiaque et les moniteurs de sommeil sont devenus des éléments courants de la vie américaine. Comment la technologie bionique a-t-elle évolué si rapidement de la science-fiction à la réalité ? Et que pourrait signifier cet Internet des corps pour nos vies à l’avenir ? Les chercheurs de RAND étudient ce phénomène et ce que les consommateurs et les décideurs doivent savoir alors que nous nous dirigeons vers un territoire inexploré.

Mary Lee, mathématicienne ; Chercheur, RAND Center for Global Risk and Security

Mary Lee est mathématicienne à la RAND Corporation et membre inaugurale du RAND Center for Global Risk and Security.
Ses intérêts de recherche comprennent la modélisation mathématique et la simulation de systèmes complexes dans les domaines de la défense/aérospatiale, de la cyberpolitique, des soins de santé et des maladies chroniques.…
Vidéo ICI https://www.rand.org/multimedia/video/2020/10/29/what-is-the-internet-of-bodies.html

L’Internet des corps [« Internet of Bodies » en anglais], ou IoB , est en fait un écosystème. Il s’agit d’un ensemble d’appareils connectés à Internet qui contiennent des logiciels et qui collectent des données personnelles sur votre santé ou peuvent altérer le fonctionnement du corps. Nous considérons l’Internet des corps comme cette collection de tous ces appareils, ainsi que toutes les données que les appareils collectent à votre sujet. Et dans le domaine de la santé, l’Internet des corps existe depuis un certain temps. Avec l’avènement d’Internet, il est tout à fait logique de connecter votre stimulateur cardiaque à Internet afin que votre médecin puisse être automatiquement averti si quelque chose d’anormal se produit, s’il y a une anomalie. Il est naturel à bien des égards de vouloir en savoir plus sur votre corps, comment il fonctionne, comment il se porte bien.

Narrateur

Les appareils IoB pourraient révolutionner les soins de santé. Des quantités sans précédent de données de santé personnelles pourraient éclairer des plans de traitement entièrement adaptés aux besoins d’un patient.

Marie Lee

Il existe maintenant des pilules qui ont un capteur électronique qui permet à un fournisseur de soins de santé de savoir si vous avez pris le médicament. D’autres choses, comme la médecine de précision, la médecine de précision est donc l’idée de créer des produits pharmaceutiques ou un traitement spécifiquement pour votre corps, pour votre traitement personnalisé. Et je pense que l’ IoB pourrait vraiment aider avec cela car de nos jours, de nombreux soins de santé sont basés davantage sur des réactions moyennes, alors qu’avec les données des appareils IoB , vous pourriez être en mesure de traiter de manière vraiment plus précise une certaine maladie.

Narrateur

Mais l’Internet des corps ne sera pas une panacée. En fait, le marché largement non réglementé présente des risques pour les données particulièrement sensibles que ces appareils collectent.

Marie Lee

Tout d’abord, il y a le risque cyber qu’un acteur puisse potentiellement pirater le système, quel qu’il soit. Il y a un risque pour la vie privée de toutes ces données qui sont collectées, et les réglementations concernant ces données sont vraiment obscures pour le moment. Et donc il n’y a pas beaucoup de clarté sur qui possède les données, ce qui leur arrive, à qui elles sont vendues, comment elles sont utilisées. Et il existe même des risques potentiels pour la sécurité nationale et la sécurité mondiale.

Narrateur

Quelques exemples de ces risques se sont déjà manifestés dans la vie réelle. Par exemple, en 2018, des informations très sensibles sur les activités militaires américaines et les emplacements des bases ont été révélées par inadvertance par les trackers de fitness des soldats. C’est donc un moment charnière. Que pouvons-nous faire pour nous assurer de profiter des avantages potentiels de l’Internet des corps sans risquer notre vie privée, notre sécurité et notre autonomie personnelle ?

Marie Lee

Les consommateurs doivent se méfier des appareils IoB, car à mesure qu’ils deviennent de plus en plus populaires, toutes ces données intimes sont collectées, sans doute des données plus intimes que nous n’avons jamais vraiment enregistrées auparavant. Il n’y a pas de clarté sur ce qui est fait avec ces données. Vous savez, avec un vieux stimulateur cardiaque mécanique, aucune donnée n’est collectée et stockée, et, vous savez, vous pouvez consulter l’historique des rythmes cardiaques de quelqu’un.

Parce que la politique a tendance à prendre du retard sur les technologies innovantes comme celle-ci, il appartient probablement aux consommateurs et aux patients des soins de santé d’être vraiment conscients des appareils qu’ils utilisent et de ce qui arrive à leurs données et de savoir quelles sont les réglementations en vigueur. leur état particulier, car il varie tellement d’un état à l’autre. Même si vous pensez que vous n’êtes pas intéressant ou que rien ne se passera avec vos données, il y a beaucoup d’inconnues auxquelles je pense que nous devons faire attention.

Le World Economic Forum, promoteur de l’Internet des corps

Selon le World Economic Forum: L’Internet des corps est là : relever les nouveaux défis de la gouvernance technologique.
Les récents progrès technologiques ont inauguré une nouvelle ère de « l’internet des corps » (IoB), avec un nombre sans précédent d’appareils et de capteurs connectés fixés ou même implantés et ingérés dans le corps humain.
L’IoB génère d’énormes quantités de données biométriques et comportementales humaines.
Cela alimente à son tour la transformation de la recherche et de l’industrie en santé, ainsi que d’autres aspects de la vie sociale, tels que l’adoption de l’IoB dans les environnements de travail, ou la fourniture de nouvelles options pour le divertissement – le tout avec des innovations remarquables basées sur les données. et prestations sociales.

Pourtant, l’IoB soulève également de nouveaux défis pour la gouvernance des données qui concernent non seulement la vie privée et l’autonomie des individus, mais aussi de nouveaux risques de discrimination et de préjugés dans l’emploi, l’éducation, la finance, l’accès à l’assurance maladie et d’autres domaines importants pour la répartition des ressources sociales.

Nous entrons dans l’ère de « l’Internet des corps » : collecter nos données physiques via une gamme de dispositifs pouvant être implantés, avalés ou portés.

Le résultat est une énorme quantité de données liées à la santé qui pourraient améliorer le bien-être humain dans le monde et s’avérer cruciales dans la lutte contre la pandémie de COVID-19.

Mais un certain nombre de risques et de défis doivent être abordés pour réaliser le potentiel de cette technologie, des problèmes de confidentialité aux obstacles pratiques.

Dans les services spéciaux du Centre clinique de santé publique de Shanghai, les infirmières utilisent des thermomètres intelligents pour vérifier la température des patients COVID-19. La température de chaque personne est enregistrée avec un capteur, réduisant le risque d’infection par contact, et les données sont envoyées à un tableau de bord d’observation. Un résultat anormal déclenche une alerte au personnel médical, qui peut alors intervenir rapidement. Les données recueillies permettent également aux médecins d’analyser les tendances au fil du temps.

Les thermomètres intelligents sont conçus par VivaLNK, une startup basée dans la Silicon-Valley, et sont un exemple puissant des nombreux produits et services numériques qui révolutionnent les soins de santé. Après l’Internet des Objets, qui a transformé notre façon de vivre, de voyager et de travailler en connectant des objets du quotidien à Internet, place à l’Internet des corps. Cela signifie collecter nos données physiques via des dispositifs pouvant être implantés, avalés ou simplement portés, générant d’énormes quantités d’informations liées à la santé.

Certaines de ces solutions, comme les trackers de fitness, sont une extension de l’Internet des objets. Mais parce que l’Internet des corps se concentre sur le corps humain et la santé, il soulève également son propre ensemble spécifique d’opportunités et de défis, des problèmes de confidentialité aux questions juridiques et éthiques.

Image : McKinsey & Compagnie

Connecter nos corps

Aussi futuriste que puisse paraître l’Internet des corps, de nombreuses personnes y sont déjà connectées via des appareils portables. Le segment des montres intelligentes à lui seul est devenu un marché de 13 milliards de dollars d’ici 2018 et devrait augmenter de 32 % à 18 milliards de dollars d’ici 2021. Les brosses à dents intelligentes et même les brosses à cheveux peuvent également permettre aux gens de suivre les habitudes de leurs soins personnels et de leur comportement.

Pour les professionnels de la santé, l’Internet des corps ouvre la porte à une nouvelle ère de surveillance et de traitement efficaces.

En 2017, la Federal Drug Administration des États-Unis a approuvé la première utilisation de pilules numériques aux États-Unis. Les pilules numériques contiennent de minuscules capteurs ingérables, ainsi que des médicaments. Une fois avalé, le capteur est activé dans l’estomac du patient et transmet les données à son smartphone ou à d’autres appareils.

En 2018, Kaiser Permanente, un fournisseur de soins de santé en Californie, a lancé un programme de réadaptation virtuelle pour les patients qui se remettent d’une crise cardiaque. Les patients ont partagé leurs données avec leurs prestataires de soins via une montre connectée, permettant un meilleur suivi et une relation plus étroite et plus continue entre le patient et le médecin. Grâce à cette innovation, le taux d’achèvement du programme de réadaptation est passé de moins de 50 % à 87 %, accompagné d’une baisse du taux de réadmission et du coût du programme.

Le déluge de données recueillies grâce à ces technologies fait progresser notre compréhension de la façon dont le comportement humain, le mode de vie et les conditions environnementales affectent notre santé. Il a également élargi la notion de soins de santé au-delà de l’hôpital ou de la chirurgie et dans la vie quotidienne. Cela pourrait s’avérer crucial dans la lutte contre la pandémie de coronavirus. Le suivi des symptômes pourrait nous aider à arrêter la propagation de l’infection et à détecter rapidement de nouveaux cas. Les chercheurs étudient si les données recueillies à partir de montres intelligentes et d’appareils similaires peuvent être utilisées comme alertes d’infection virale en suivant la fréquence cardiaque et la respiration de l’utilisateur.

Dans le même temps, cette technologie complexe et évolutive soulève de nouveaux défis réglementaires.

Qu’est-ce qui compte comme information de santé?

Dans la plupart des pays, il existe des réglementations strictes concernant les informations de santé personnelles telles que les dossiers médicaux et les échantillons de sang ou de tissus. Cependant, ces réglementations conventionnelles ne couvrent souvent pas le nouveau type de données de santé générées par l’Internet des corps, et les entités qui collectent et traitent ces données.

Aux États-Unis, le Health Insurance Portability and Accountability Act (HIPPA) de 1996, qui est la principale loi pour la réglementation des données de santé, s’applique uniquement aux prestataires de soins médicaux, aux assureurs-maladie et à leurs associations professionnelles. Sa définition de « renseignements personnels sur la santé » ne couvre que les données détenues par ces entités. Cette définition s’avère inadaptée à l’ère de l’Internet des corps. Les entreprises technologiques proposent désormais également des produits et services liés à la santé et collectent des données. Margaret Riley, professeur de droit de la santé à l’Université de Virginie, m’a fait remarquer dans une interview que HIPPA ne couvre pas les masses de données des appareils portables grand public, par exemple. Données

Comment le Forum économique mondial aborde-t-il les défis soulevés par l’Internet des corps ?

Recent technological advancements have ushered in a new era of the “internet of bodies” (IoB), with an unprecedented number of connected devices and sensors being affixed to or even implanted and ingested into the human body.

L’IoB génère d’énormes quantités de données biométriques et comportementales humaines. Cela alimente à son tour la transformation de la recherche et de l’industrie en santé, ainsi que d’autres aspects de la vie sociale, tels que l’adoption de l’IoB dans les environnements de travail, ou la fourniture de nouvelles options pour le divertissement – le tout avec des innovations remarquables basées sur les données. et prestations sociales.

Le Forum économique mondial a récemment publié un rapport spécial sur cette région en développement. Le rapport d’août 2020 explore comment l’IoB soulève de nouveaux défis pour la gouvernance des données qui concernent non seulement la vie privée et l’autonomie des individus, mais aussi de nouveaux risques de discrimination et de préjugés dans l’emploi, l’éducation, la finance, l’accès à l’assurance maladie et d’autres domaines importants pour la répartition des ressources sociales. .

Un autre problème est que la réglementation actuelle ne regarde que si les données sont sensibles en elles-mêmes, et non si elles peuvent être utilisées pour générer des informations sensibles. Par exemple, le résultat d’un test sanguin dans un hôpital sera généralement classé comme une donnée sensible, car il révèle des informations privées sur votre santé personnelle. Mais aujourd’hui, toutes sortes de données apparemment non sensibles peuvent également être utilisées pour tirer des conclusions sur votre santé, grâce à l’analyse de données. Glenn Cohen, professeur à la faculté de droit de Harvard, m’a dit dans une interview que même les données qui ne concernent pas du tout la santé, telles que les listes de courses, peuvent être utilisées pour de telles inférences. En conséquence, les réglementations conventionnelles peuvent ne pas couvrir les données sensibles et privées, simplement parce qu’elles ne semblaient pas sensibles avant d’être traitées.

Risques liés aux données

L’identification et la protection des données sensibles sont importantes, car elles peuvent affecter directement la façon dont nous sommes traités par les institutions et les autres personnes. Avec l’analyse des mégadonnées, d’innombrables actions et décisions quotidiennes peuvent finalement alimenter notre profil de santé, qui peut être créé et maintenu non seulement par les prestataires de soins de santé traditionnels, mais également par des entreprises technologiques ou d’autres entités. Sans lois et réglementations appropriées, il pourrait également être vendu. Dans le même temps, les données de l’Internet des corps peuvent être utilisées pour faire des prédictions et des déductions qui pourraient affecter l’accès d’une personne ou d’un groupe à des ressources telles que les soins de santé, l’assurance et l’emploi.

James Dempsey, directeur du Berkeley Center for Law and Technology, m’a dit dans une interview que cela pourrait conduire à un traitement injuste. Il a mis en garde contre la discrimination et les préjugés potentiels lorsque de telles données sont utilisées pour des décisions en matière d’assurance et d’emploi. Les personnes concernées peuvent même ne pas en être conscientes.

Une solution serait de mettre à jour la réglementation. Sandra Wachter et Brent Mittelstadt , deux universitaires de l’Oxford Internet Institute, suggèrent que la loi sur la protection des données devrait se concentrer davantage sur comment et pourquoi les données sont traitées, et pas seulement sur leur état brut. Ils plaident pour un soi-disant « droit aux déductions raisonnables », c’est-à-dire le droit que vos données soient utilisées uniquement pour des déductions raisonnables et socialement acceptables. Cela impliquerait d’établir des normes pour savoir si et quand déduire certaines informations des données d’une personne, y compris l’état de sa santé présente ou future, est socialement acceptable ou trop invasif.

Problèmes pratiques

Outre les préoccupations concernant la confidentialité et la sensibilité, il existe également un certain nombre de problèmes pratiques liés au volume considérable de données générées par l’Internet des corps. Le manque de normes en matière de sécurité et de traitement des données rend difficile la combinaison de données provenant de diverses sources et leur utilisation pour faire avancer la recherche. Différents pays et institutions tentent conjointement de surmonter ce problème. L’Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE) et sa Standards Association travaillent avec la Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis, les National Institutes of Health, ainsi que des universités et des entreprises parmi d’autres parties prenantes depuis 2016, pour aborder la sécurité et question d’interopérabilité de la santé connectée.

Alors que l’Internet des corps se répand dans tous les aspects de notre existence, nous sommes confrontés à une série de nouveaux défis. Mais nous avons également une chance sans précédent d’améliorer notre santé et notre bien-être et de sauver d’innombrables vies. Pendant la crise du COVID-19, saisir cette opportunité et trouver des solutions aux défis est une tâche plus urgente que jamais. Cela repose sur les agences gouvernementales et les organes législatifs travaillant avec le secteur privé et la société civile pour créer un cadre de gouvernance solide et pour inclure des déductions dans le domaine de la protection des données. L’élaboration de normes technologiques et réglementaires pour l’interopérabilité et la sécurité serait également cruciale pour libérer la puissance des nouvelles données disponibles. La clé est de collaborer au-delà des frontières et des secteurs pour réaliser pleinement les énormes avantages de cette technologie en évolution rapide.

https://www.weforum.org/agenda/2020/06/internet-of-bodies-covid19-recovery-governance-health-data/

wef-iob-briefing_paper_2020

Lire également

https://lilianeheldkhawam.com/2020/11/17/reset-recreer-lhumain-par-la-revolution-bio-technologique/


[Voir aussi :
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
et Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA]




Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Christine Massey et Jon Rappoport

Avec une formation en biostatistique, Christine Massey a utilisé les demandes de liberté d’information (FOIA) comme un outil de recherche, comme une fraise à diamant, pour découvrir la vérité sur le SARS-CoV-2. C’est-à-dire : Le virus existe-t-il ?

Son approche a donné des résultats choquants.

Dans un monde à moitié sain d’esprit, le travail de Christine remporterait de nombreux prix et bénéficierait d’une large couverture médiatique. Dans le monde actuel, de plus en plus de personnes, de leur propre chef, s’éveillent à ses découvertes et révisent complètement leur perception de la “pandémie”.

Voici mon récent entretien avec la brillante et implacable Christine Massey :

Q : Vous et vos collègues avez adressé de nombreuses demandes de communication d’informations aux agences de santé publique du monde entier. Vous avez demandé des documents qui montrent que le virus SARS-CoV-2 existe. Comment avez-vous développé cette approche ?

R : En 2014, une dame d’Edmonton a soumis une demande de liberté d’information à Santé Canada, demandant des études relatives à l’ajout d’acide hydrofluorosilisique (acide fluorure résiduel industriel) à l’eau potable publique (fluoration de l’eau). La réponse de Santé Canada indiquait qu’elle ne disposait d’aucune étude pour étayer ses affirmations selon lesquelles cette pratique est sûre ou efficace.

Quelques années plus tard, des études de grande qualité financées par le gouvernement ont montré que les niveaux courants d’exposition au fluorure pendant la grossesse sont associés à un QI inférieur et à des symptômes accrus de trouble du déficit de l’attention chez les enfants. Néanmoins, les dentistes et la communauté de la santé publique ont continué à promouvoir et à défendre la soi-disant “grande réussite de santé publique” consistant à imposer ce traitement dentaire préventif controversé à des communautés entières, et ont fait fi de ces études. J’ai donc eu recours à des demandes de liberté d’information pour montrer que diverses institutions promouvant et défendant la fluoration de l’eau en Ontario, en Alberta et dans l’État de Washington n’ont pas pu fournir ou citer ne serait-ce qu’une seule étude primaire indiquant l’innocuité de ces résultats.

Ainsi, lorsque j’ai appris de la part de personnes comme David Crowe, le Dr Andrew Kaufman, le Dr Stefan Lanka et le Dr Thomas Cowan que le prétendu virus [Coronavirus] n’avait jamais été isolé (purifié) à partir d’un échantillon de patient, puis caractérisé, séquencé et étudié au moyen d’expériences comparatives, et que son existence n’avait donc jamais été démontrée, j’ai réalisé que les demandes de liberté d’information pouvaient être utilisées pour vérifier leurs affirmations.

La plupart des gens ne vont pas prendre le temps de vérifier toutes les études sur la soi-disant “isolation du virus” par eux-mêmes, donc les demandes de liberté d’information étaient un moyen de 1) s’assurer que rien n’avait été oublié, et 2) d’aller droit au but et de confirmer ce que ces messieurs [Kaufman, Cowan, Crowe, Lanka] disaient, s’ils étaient effectivement corrects.

Ainsi, en mai 2020, j’ai commencé à soumettre des demandes d’accès à l’information pour tout document détenu par l’institution concernée décrivant l’isolement/la purification du prétendu “virus du COVID-19” à partir d’un échantillon non altéré prélevé sur un patient malade, par quiconque, n’importe où sur la planète.

Q : Combien d’agences de santé publique et d’agences gouvernementales avez-vous interrogées dans le cadre de demandes FOIA ?

R : J’ai personnellement posé des questions et reçu des réponses de 22 institutions canadiennes. Il s’agit d’institutions de santé publique, d’universités qui prétendent avoir “isolé le virus”, et de 3 services de police – en raison de leur application des restrictions liées au “COVID-19”. J’ai également reçu personnellement des réponses de plusieurs institutions à l’extérieur du Canada, y compris les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies et le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci. J’attends les réponses d’un certain nombre d’autres institutions.

De nombreuses personnes à travers le monde ont obtenu des réponses à des demandes identiques, similaires ou connexes de la part d’institutions de leur propre pays. Une personne qui a beaucoup travaillé sur ce sujet en Nouvelle-Zélande et dans d’autres pays est mon collègue Michael S. Un collègue nommé Marc Horn a également obtenu de nombreuses réponses au Royaume-Uni. Une poignée d’autres personnes ont obtenu plusieurs réponses, et beaucoup de gens en ont obtenu une ou deux.

J’ai compilé toutes les réponses qui m’ont été envoyées sur ma page FOI[archive cv19], et au moment où je tape ces lignes (4 octobre 2021), nous avons des réponses FOI de 104 institutions dans plus de 20 pays, toutes relatives à la purification/existence du prétendu virus. En outre, il y a des documents judiciaires d’Afrique du Sud et du Portugal. Au total, 110 instructions sont représentées en ce moment sur mon site web. Il y a des réponses FOI d’autres institutions que je n’ai pas encore eu l’occasion de mettre en ligne.

Q : Comment qualifieriez-vous les réponses que vous avez reçues de ces agences ?

R : Toutes les institutions sans exception ont omis de fournir ou de citer ne serait-ce qu’un seul document décrivant la purification du prétendu virus à partir d’un seul échantillon de patient.

Vingt et un des 22 établissements canadiens ont admis sans détour qu’ils ne possédaient pas de tels documents (comme l’exige la législation canadienne). De nombreuses institutions à l’extérieur du Canada ont admis la même chose, y compris le CDC (2 novembre 2020), le ministère de la Santé de l’Australie, le ministère de la Santé de la Nouvelle-Zélande, le ministère de la Santé et des Soins sociaux du Royaume-Uni…

Et dans certains cas, des excuses stupides ont été fournies. Par exemple, la réponse de la Direction norvégienne de la santé a été qu’elle ne possède pas, ne stocke pas et ne contrôle pas les documents contenant des informations sur les patients. La Direction de la santé publique du Pays de Galles a répondu au Dr Janet Menage qu’elle n’avait pas produit de tels documents et que, même si elle était normalement disposée à l’orienter vers des documents relevant du domaine public, ce serait trop difficile dans ce cas.

L’agence brésilienne de réglementation de la santé (Anvisa), qui approuve les injections à la manière de la FDA, a déclaré à Marcella Picone qu’elle ne disposait d’aucun dossier sur la purification du virus et qu’elle n’y était pas tenue par la loi, de sorte qu’il n’est pas de son ressort de s’assurer que le virus existe réellement.

Q : Quel est le texte exact de vos demandes FOIA ?

Le texte a quelque peu varié au fil du temps. Par exemple, au début, j’utilisais le mot “isolation”. Mais comme ce terme est tellement galvaudé par les virologues, je m’en tiens maintenant à “purification”.

Dans toutes mes demandes, j’ai spécifié exactement ce que j’entendais par “isolement/purification” (séparation du prétendu virus de tout le reste), et que les particules purifiées devaient provenir directement d’un échantillon prélevé sur un être humain malade, l’échantillon du patient n’ayant pas été préalablement altéré par une autre source de matériel génétique (c’est-à-dire les cellules rénales de singe, alias cellules Vero, et le sérum bovin fœtal qui sont généralement utilisés dans les études bidon d’”isolement de virus”).

J’ai toujours précisé que je ne demandais pas de dossiers où les chercheurs n’ont pas purifié le prétendu virus et ont plutôt cultivé quelque chose et/ou effectué un test PCR et/ou séquencé quelque chose. J’ai également précisé que je demandais des documents rédigés par n’importe qui, n’importe où – et pas seulement des documents créés par l’institution en question. Et j’ai demandé des citations pour tout document de purification détenu par l’institution mais déjà disponible au public ailleurs.

La dernière itération [de la demande FOIA] est publiée sur une page de mon site Web où j’encourage les autres à soumettre des demandes aux institutions de leur propre pays : Template for “SARS-COV-2 isolation” FOI requests.

Q : Ces agences disent toutes qu’elles n’ont pas de dossiers prouvant l’existence du SARS-CoV-2, mais en même temps, certaines de ces agences parrainent et financent des études qui affirment que le virus existe. Comment expliquez-vous cette contradiction ?

Je vais aborder cette question à l’aide d’un exemple.

L’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) est la seule institution canadienne qui n’a pas fourni de réponse directe ” aucun dossier ” jusqu’à présent. Au lieu de cela, elle m’a fourni ce qu’elle prétendait être des documents recevables.

Il s’agit de quelques courriels et d’une étude de Bullard et al. qui a été soutenue par l’ASPC et son Laboratoire national de microbiologie, ainsi que par Santé Manitoba et le Laboratoire provincial Cadham du Manitoba.

Ni l’étude ni les courriels ne décrivent la purification du prétendu virus à partir d’un échantillon de patient ou de quoi que ce soit d’autre. Le mot “isoler” (ou “isolation” / “purifier” / “purification”) n’apparaît même pas, sauf dans le manuscrit de l’étude dans le contexte de l’isolement de personnes, pas d’un virus.

…dans la section Matériaux et méthodes, nous constatons que ces chercheurs ont effectué des “tests” PCR pour une partie de la séquence du gène E (pas un virus), et qu’ils ont incubé des échantillons de patients (pas un virus) sur des cellules Vero (cellules rénales de singe) supplémentées avec du sérum bovin fœtal, de la pénicilline/streptomycine et de l’amphotéricine B, et qu’ils ont surveillé les dommages causés aux cellules de singe.

Aucun virus n’a été recherché ou purifié dans les échantillons des patients. Aucun groupe de comparaison, de quelque nature que ce soit, n’a été mis en place dans les procédures relatives aux cellules de singe. Aucun virus n’a été requis ou démontré comme étant impliqué dans l’étude, mais “il” a été accusé de tout dommage aux cellules de singe et “il” a été mentionné à plusieurs reprises tout au long de l’étude (j’ai compté 26 occurrences).

Néanmoins, il s’agissait du seul document fourni par l’Agence de santé publique du Canada.

Et bien que les chercheurs n’aient pas prétendu avoir “isolé” le prétendu virus dans cet article, ils ont effectué le même genre de procédure de culture cellulaire et de travaux sur les singes que les virologues de tous les pays font passer pour un “isolement du virus”. (Parce que la virologie n’est pas une science).

…Notez l’admission dans le résumé [de l’étude] : “La RT-PCR détecte l’ARN, pas le virus infectieux”.

…J’ai donc écrit à l’Agence de la santé publique du Canada pour l’informer qu’aucun des documents qu’elle m’a fournis ne décrit réellement la séparation du prétendu virus de tout le reste dans un échantillon de patient, et que j’exige une réponse précise indiquant qu’elle n’a aucun document à ce sujet.

Dans sa réponse révisée, l’Agence a insisté sur le fait que l’essai de référence utilisé pour déterminer la présence d’un virus intact dans les échantillons de patients est l’effet cytopathique visible [destruction des cellules] sur les cellules dans une culture cellulaire, et que “la PCR confirme en outre la présence d’un virus intact”.

…Comme vous l’avez souligné à vos lecteurs à maintes reprises : Personne n’a isolé/purifié “le virus”. Ils supposent simplement que les échantillons de patients le contiennent (sur la base de tests PCR sans signification). Ils falsifient les échantillons de patients avec du matériel génétique et des médicaments toxiques, affament les cellules, puis accusent de manière irrationnelle le “virus” de nuire aux cellules. Ils montrent du doigt quelque chose qui n’a jamais été purifié, caractérisé, séquencé ou étudié scientifiquement, dans une culture cellulaire et insistent sur le fait que “c’est le virus”. Ils fabriquent les “génomes” à partir de zillions de séquences détectées dans une soupe. Ce ne sont que des spéculations et des hypothèses sauvages, aucune science.

Les personnes responsables des affirmations manifestement frauduleuses faites par ces institutions sont donc soit extrêmement incompétentes, soit intentionnellement menteuses.

-fin de l’interview-


Pour soutenir les derniers commentaires de Christine, ces agences répondront aux demandes de FOIA par : “nous n’avons pas de dossiers sur la purification du virus” – et parraineront ensuite des études qui prétendent que le virus A ÉTÉ purifié et découvert, parce que…

Les normes de purification du virus dans les études ne sont pas des normes du tout. Elles sont totalement irrationnelles.

Cependant, parce que Christine est très précise et exacte dans ses demandes FOIA, quand il s’agit de ce que signifie la purification, les agences sont obligées de répondre …

“Eh bien, dans ce cas, nous n’avons aucune trace de purification du virus…”

Ce qui veut dire : Il n’y a pas de documents montrant que le virus a été isolé ; il n’y a pas de documents montrant que le virus existe.

Article original (anglais) : https://blog.nomorefakenews.com/2021/10/07/the-non-existent-virus-explosive-interview-with-christine-massey/
La source originale de cet article est nomorefakenews.com
Copyright © Christine Massey et Jon Rappoportnomorefakenews.com, 2021


[Voir aussi :
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]




Le Nouvel ordre mondial pour Les Nuls en sept étapes et en images

[Source : Sott.net]

Voici en images un condensé explicatif plus ou moins hypothétique du plan qui se déroule actuellement sous nos yeux pour celles et ceux qui se sont réveillés récemment et ont encore du mal à y voir clair. Le texte a été écrit Jean-Jacques Crèvecoeur et le graphisme créé par Le Grand Réveil.

[Ndlr : l’intérêt d’un tel exposé n’est pas de sombrer dans le pessimisme et le défaitisme, mais d’une part de se préparer au mieux (notamment psychologiquement) au cas où de telles éventualités interviendraient malgré tout, mais d’autre part d’envisager dès maintenant les meilleurs moyens d’empêcher que cela arrive.]

Théorie ou réalité il n’en reste pas moins que nous sommes bel et bien entre la phase 4 et la phase 5…

Le NOM pour les Nuls-2
Le NOM pour les Nuls-3
Le NOM pour les Nuls-4
Le NOM pour les Nuls-5
Le NOM pour les Nuls-6
Le NOM pour les Nuls-7
Le NOM pour les Nuls-8
Le NOM pour les Nuls-9

[Voir aussi :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
et Les 13 étapes machiavéliques ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]




Lettre ouverte aux députés et sénateurs français appelés à voter le 19 octobre 2021 la prolongation injustifiée de « l’état d’urgence »

Par Nicole et Gérard Delépine

INJUSTIFIÉE, car épidémie terminée

« Le gouvernement présentera un texte de loi au Parlement le 19 octobre pour “maintenir pendant plusieurs mois encore, jusqu’à l’été, la possibilité de recourir” au pass sanitaire, a précisé Gabriel Attal, au cas où la situation sanitaire venait à se dégrader. Il sera débattu à l’Assemblée nationale mercredi 19 octobre sous l’intitulé Projet de loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire. “On demande au Parlement de nous laisser la possibilité de déclencher tout ou une partie des mesures de freinage” a expliqué le ministre de la Santé Olivier Véran mercredi matin, interrogé sur France Info. Ainsi, le recours au confinement, au couvre-feu et autres mesures de restrictions serait également possible jusqu’au 31 juillet 2022. »(([1] L’internaute.com Sarah Ponchin, Mis à jour le 15/10/21 PASS SANITAIRE. Une troisième dose de rappel du vaccin Covid-19 sera-t-elle bientôt obligatoire pour tout le monde afin d’avoir un pass sanitaire valide ? Le gouvernement pourrait l’envisager à long terme.))

Dans ce texte, le porte-parole reconnaît lui-même que l’épidémie est terminée.

Pourquoi une procédure accélérée alors que l’épidémie est terminée dans notre pays ?

À vous, nos représentants élus, nous demandons solennellement de nous rendre nos libertés fondamentales et à ne pas céder à l’autoritarisme de l’exécutif.

Vous avez pu constater que la France livrée aux décisions arbitraires du gouvernement reposant sur un conseil de défense sortant de la limite constitutionnelle, n’a eu que des résultats très décevants, parmi les plus mauvais mondialement, y compris en Europe. La Suède tant décriée pendant de longs mois par nos médias a conservé l’essentiel des libertés avec finalement un taux de décès inférieur au nôtre de 20 % (1478/Million d’habitants contre 1760/M), sans confinement, sans fermeture des écoles, de la vie, sans masque, sans vaccination obligatoire, sans victimes collatérales et sans perte majeure de son PIB (-2,5 % contre 8,5 % en France) etc.

Il est temps que les décisions législatives vous reviennent et que les propositions de loi puissent être discutées avec le temps nécessaire sur des dossiers étayés de données avérées.

Comme beaucoup de professionnels de santé, nous sommes d’ailleurs à votre disposition pour toute information objective basée sur les chiffres de l’OMS et des agences sanitaires nationales. Nous nous permettons de vous apporter ici quelques précisions quant à l’absence de justification médicale de ce pass qui aggrave la situation sanitaire, là où il est encore imposé.

LE PASSE DIT SANITAIRE, LIBERTICIDE, N’A AUCUNE JUSTIFICATION MÉDICALE, CAR LE PASS AUGMENTE LES CONTAMINATIONS

Les données avérées internationales prouvent que le pass est médicalement nocif

Quelques pays européens ont imposé le pass à leur population depuis plus de trois mois. L’examen des courbes de l’épidémie dans ces pays montre que le pass, loin de ralentir les contaminations, entraîne une augmentation de celles-ci. Les courbes actualisées en ce 15 octobre 2021 le démontrent une nouvelle fois.

L’Autriche a imposé le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 22.

La Grèce a imposé le passe en espérant ainsi rassurer les touristes et sauver sa saison touristique.

Malheureusement l’obligation du pass a été suivie par la multiplication par 4,5 du nombre quotidien de contaminations et la saison touristique en a souffert ne retrouvant pas son niveau de 2019 (-30 %).

Mais aussi la population, car depuis le pass la mortalité a été multipliée par 2.

La Tchéquie a instauré le pass début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 4

En Roumanie le pass a été imposé début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 160.

Cette envolée des contaminations a été suivie quelques jours plus tard de l’explosion de la mortalité quotidienne alors qu’elle est proche de zéro dans les pays sans passe comme le Suède, la Biélorussie, la Croatie, la Belgique…

Au Danemark la mise en route du pass a été suivie par une augmentation franche du nombre quotidien des contaminations (multiplication par 5 en un mois.) Depuis lors, le Danemark a supprimé le pass.

Ainsi dans tous les pays champions du pass, les évolutions de l’épidémie ont été marquées par une accélération paradoxale importante des contaminations et souvent de la mortalité quotidienne.

L’échec du pass a été également constaté dans tous les concerts-tests récents dont l’entrée était subordonnée à la présentation d’un pass.

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur pass sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombrait, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus (dont une majorité de vaccinés !).

Les 50 000 participants des festivals Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont dû présenter des tests négatifs et porter des masques avant d’y participer. Ces festivals test ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes [soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents). Ce surplus de contaminations confirme que ni les pass, ni les tests, ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.

En France aussi, le pass n’empêche pas les clusters d’apparaître. Malgré le pass sanitaire, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

Comment peut-on expliquer ces échecs avérés du pass partout où il est utilisé ?

Le concept du passe repose sur l’hypothèse que les pseudo vaccins empêchent d’être malade et encore plus d’être contaminant. Ces deux croyances sont fausses ainsi que le ministère l’a officiellement reconnu devant le Conseil d’État. Les fortes reprises d’épidémies récentes en Israël et Grande-Bretagne champions des injections Pfizer et Astra Zeneca le confirment amplement.

Les porteurs de pass, victimes de la propagande officielle se croient protégés et négligent fréquemment les mesures de protection s’exposant ainsi davantage à la contamination. Cela a été remarqué lors de la plupart des concerts avec pass aux Pays-Bas comme en Catalogne. Cette pratique favorise les infections, en s’opposant par ailleurs à l’immunité collective acquise pendant la vie « normale » comme le démontre l’absence de contaminations des pays libres comme le Texas. Les matches avec grande foule n’y déclenchent aucun cluster, comme les énormes manifestations en Europe où les peuples se libèrent du pass et du masque le plus souvent, retrouvant un écosystème normal.

Le passe majoritairement refusé ou abandonné en Europe

En Europe, la majorité des états ont refusé ou abandonné le pass, qu’il s’agisse de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la Russie, du Danemark, de la Suède, de la Norvège, de la Finlande, de l’Estonie, de la Pologne, de la Bulgarie, de la Biélorussie, de la Croatie et leur situation sanitaire actuelle est bonne.

Seuls principalement les pays du sud suivent encore les recommandations de la Commission européenne entraînant d’énormes réactions populaires comme en Italie dans de nombreuses villes, et le blocage des ports italiens.

Il faut espérer que les décideurs de ces pays considèrent enfin les mauvais résultats avérés de cette mesure et se rendent compte qu’au lieu de ralentir l’épidémie, le pass l’accélère et la pérennise et donc qu’il est donc urgent, ne serait-ce que pour des raisons sanitaires, de le supprimer.

POURSUIVRE LA SURVEILLANCE PAR LE PASS EST UNE DÉCISION EXCLUSIVEMENT POLITIQUE ET LIBERTICIDE

L’épidémie est terminée comme en atteste quotidiennement et depuis des mois le réseau sentinelle. Il n’y a plus d’épidémie ! G. Attal l’a confirmé !

 Comme l’a établi Laurent Toubiana, l’épidémie est terminée depuis fin novembre 2020 Depuis cette date, le taux d’incidence, le seul fiable, celui du Réseau sentinelles a été sans discontinuer ridiculement bas. Cette semaine, il est de 3 cas/100 000 h :

« Surveillance de la Covid-19 :

la semaine 40 (2021s40), le taux d’incidence des cas d’IRA(([2] IRA : insuffisance respiratoire aiguë, non spécifique du Covid)) dus au SARS-CoV-2 (Covid-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants, ce qui représente 2 181 nouveaux cas de Covid-19 ayant consulté un médecin généraliste.

Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s39 : 3 [2 ; 5], soit 2 247 [1 425 ; 3 069] nouveaux cas d’IRA dus à la Covid-19 vus en médecine générale). »(([3] https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/)) Ce taux est établi à partir d’examens cliniques, non faussé à partir des tests PCR non fiables.

LA DISCUSSION DE L’OPPORTUNITÉ DE LA PROLONGATION DE L’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE EST PUREMENT POLITIQUE

Et la liberté du gouvernement de légiférer via décrets en toute impunité et sans contrôle parlementaire, comprenant la poursuite de l’exigence du pass, ne relève en aucun cas de santé, de sanitaire, mais exclusivement de politique, avec privations de liberté.

Ces sujets ont déjà largement été débattus : le pass conduit à une discrimination en matière de droit à la liberté de mouvement, jouissance d’autres droits et libertés fondamentaux, tels que, le droit au respect de la vie privée et familiale ou encore le droit à la liberté de réunion.(([4] Pass sanitaire : l’équilibre délicat entre libertés et protection de la santé publique | Le HuffPost (huffingtonpost.fr) ))

Le pass s’oppose à La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen :

« Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits » (art. 1)

« La Loi est l’expression de la volonté générale. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents » (art. 6). 

La rupture du principe d’égalité peut également entraîner des conséquences pénales puisque toute discrimination au sens du Code pénal (article 225-1) est passible de peines correctionnelles, notamment lorsqu’elle porte sur l’état de santé d’un citoyen.

Ne doutons pas que les tribunaux soient déjà inondés de plaintes pour discrimination et en particulier depuis l’interdiction de travail et rémunération de soignants et pompiers opposés à recevoir l’injection génique, dite vaccin, encore en expérimentation thérapeutique jusqu’en 2023 et sujet à de nombreux accidents dont témoigne l’éviction au moins temporaire de Moderna et d’AstraZeneca, en plus des rapports officiels des agences de santé FDA, MHRA, EMA, et ANSM.

Ces rapports chiffrent un nombre de décès post vaccinaux et d’accidents secondaires aux injections, bien supérieur aux chiffres ayant abouti à l’interdiction du vaccin H1N1 (53 morts). Ce silence devant ces morts officialisés par les responsables de santé publique et niés par notre ministre pose des problèmes. Nous espérons qu’en tant que représentants du peuple, vous pourrez avoir des réponses sur ce silence assourdissant, qui ne peut à long terme qu’augmenter la méfiance des citoyens sur la parole de l’état, ses représentants et les vaccinations véritables au sens pasteurien.

Le droit international érigeant un principe de non-discrimination

Le pass s’oppose donc à ce droit reconnu par la France. L’article 14 de la Convention européenne des droits de l’homme dispose

« La jouissance des droits et libertés… doit être assurée, sans distinction aucune, fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, la langue, la religion, les opinions politiques ou toutes autres opinions, l’origine nationale ou sociale, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance ou toute autre situation ».

Le Protocole nº 12 à ladite Convention européenne des droits de l’homme, plus large encore, interdit tout acte de discrimination lié à la « jouissance de tout droit prévu par la loi ».

« Nul ne peut faire l’objet d’une discrimination de la part d’une autorité publique, quelle qu’elle soit » (article 1).

Le Défenseur des droits est très critique, dans son avis rendu en urgence « Extension du passe sanitaire : les 10 points d’alerte de la Défenseure des droits » du 20 juillet 21. Fondamentalement, il remet en cause la proportionnalité des restrictions apportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles poursuivent.

Le 31 mars 2021, le Conseil de l’Europe avait alerté

dans son avis « Protection des droits de l’homme et pass vaccinal » sur l’utilisation éventuelle de certificats de vaccination, comme celle de données relatives à l’immunisation, « à des fins autres que strictement médicales, par exemple pour donner aux personnes concernées un accès exclusif à des droits, services ou lieux publics ».

Cette question soulevait de nombreuses questions de respect des droits de l’homme et devait être considérée « avec la plus grande prudence ».

Cette position trouve un écho dans sa résolution 2351 « Vaccins contre le Covid-19 : considérations éthiques, juridiques et pratiques », qui présentait comme élément permettant de garantir un niveau élevé d’acceptation des vaccins le fait « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ».

Cette mesure liberticide, présentée par le gouvernement comme libératrice a des relents orwelliens suscite une opposition grandissante semaine après semaine. Comme le dit l’économiste Éric Verhaeghe :

« la mise en place du pass sanitaire donne lieu à un magnifique flash totalitaire provoqué par Emmanuel Macron. Dans ces moments où la démocratie cède brièvement la place à des mesures autoritaires illibérales, la propagande d’État donne dans la novlangue à la Big Brother de 1984. Ce qui est liberticide devient libérateur, et ce qui est libérateur est dénoncé comme une menace. »(([5] Le pass sanitaire, ce flash totalitaire entre novlangue de Big Brother et Great Reset — Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

À quoi correspond cette volonté du gouvernement de prolongation du pass en l’absence d’épidémie comme le prouve le réseau sentinelle, sinon à une extorsion de consentement à la pseudo vaccination et à la troisième dose et les suivantes ?

« le gouvernement s’occupe de contraindre les personnes encore non vaccinées de le faire : ce vendredi 15 octobre a marqué la fin du remboursement des tests PCR et antigéniques de confort. “Les tests ne seront payants que pour les personnes qui ne sont pas du tout vaccinées et qui n’ont pas d’ordonnance”, a expliqué Olivier Véran sur France Info le 13 octobre. De plus, les autotests négatifs réalisés sous supervision médicale ne sont plus reconnus comme preuve d’obtention du pass sanitaire. »(([6] Pass sanitaire : bientôt une troisième dose pour tous ? (internaute.com) ))

UNE EXTORSION DE CONSENTEMENT AUX PLUS FAIBLES

Cette décision est inacceptable. Elle va discriminer ceux qui ne pourront s’assurer un budget « tests » et contraindre les plus pauvres à s’injecter cette thérapie inefficace et dangereuse. La transparence sur les contaminations post vaccinales et l’existence niée de formes graves chez les vaccinés ainsi que les effets secondaires relatés par les agences paraît indispensable auprès de vous, nos représentants. Est-ce le cas ? Et que justifie une nouvelle fois une « procédure accélérée » alors que le gouvernement lui-même reconnaît « la baisse de la circulation du virus » ?(([7] De l’aveu même du porte-parole de l’Elysée, l’épidémie est terminée et toutes ces mesures existeraient, car : « Gabriel Attal a martelé qu’il existait toujours un “risque non négligeable de reprise de l’épidémie”. Actuellement c’est plutôt une épidémie de tuberculose qui se profile pourtant…))

CHERS ÉLUS, NOUS COMPTONS SUR VOUS

pour nous rendre nos libertés chèrement acquises il y a un peu plus de deux siècles. Il semble que la commission des lois aille dans ce sens et nous félicitons ses membres.

« Pass Sanitaire : Les Députés Desserrent Momentanément Le Dispositif En Commission Des Lois » C.M. avec AFP Le 15/10/2021

Le projet de loi « vigilance sanitaire » sera-t-il rétabli à sa version initiale le 19 octobre lors de son passage en séance à l’Assemblée ?

« Momentanément, les députés ont allégé vendredi les conditions de mise en œuvre du controversé pass sanitaire, prenant ainsi le gouvernement à rebrousse-poil, avant le passage du projet de loi “vigilance sanitaire” dans l’Hémicycle, mardi » Contre toute attente, les députés, qui examinaient cet énième texte sur l’état d’urgence sanitaire en commission des Lois, ont adopté un amendement du député La République en marche (LREM) Pacôme Rupin, opposant de longue date à cet outil qu’il juge « dangereux » pour les libertés publiques. »

L’amendement de Pacôme Rupin, adopté de justesse par 8 voix contre 7, prévoit de circonscrire l’utilisation du pass sanitaire géographiquement et en fonction de l’évolution de l’épidémie de Covid. Il propose que le recours au pass soit territorialisé et qu’il ne puisse être mis en œuvre qu’en cas de taux d’incidence supérieur ou égal à 50, sur une semaine continue, dans le département concerné.

« Il est important de mettre des critères. On ne peut pas laisser une totale faculté au gouvernement d’utiliser cet outil sans un minimum de règles. Je pense qu’on peut avancer, peut-être pas sur celui-là (son amendement adopté, NDLR) mais sur un encadrement un peu plus strict », a déclaré Pacôme Rupin.(([8] https://www.bfmtv.com/politique/parlement/pass-sanitaire-les-deputes-desserrent-momentanement-le-dispositif-en-commission-des-lois))

Ceci est déjà un premier pas, mais bien sûr nous espérons, de vous, nos élus, une récupération totale de nos libertés, la suppression de la loi d’urgence qui comme le montre la disparition de l’épidémie, n’a plus aucune légitimité sanitaire.

Merci de votre écoute.

Avec nos respects.





Bill Gates explique que le vaccin covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN… MàJ

[Source : crashdebug.fr]

Vous trouverez dans ces articles plus d’informations sur le vaccin de Gates et de la DARPA,

https://youtu.be/2MGXePjIzXE [Vidéo censurée]

[Mise à jour : ]

[anglais]

Et dans cette autre vidéo,

[anglais]

Bill Gates explique tranquillement, sans aucun état d’âme, ça semble même le faire marrer, qu’il pourrait y avoir un effet de bord toutes les 10.000 vaccinations, ce qui ferait 700.000 personnes potentiellement impactées [anglais], et pour lui c’est une bagatelle. Ces gens sont des psychopates….

Plutôt que d’enseigner aux gens comment améliorer leur état de santé général ou renforcer leur immunité grâce à des aliments sains, des compléments de qualité et une activité physique, les pouvoirs en place disent au monde que la seule façon de survivre à la crise du Coronavirus est de hâter le développement d’un vaccin et de l’injecter ensuite à chaque être humain sur la planète.

Le gouvernement américain, ainsi que de grandes villes comme Chicago, vont déjà de l’avant avec des plans visant à utiliser les ressources gouvernementales et l’armée pour distribuer des centaines de millions de doses de vaccins aux Américains d’ici la fin de l’année.

Au premier plan de cette conversation se trouve Bill Gates, qui est devenu en quelque sorte le plus grand expert mondial en matière de pandémies et de vaccins. Par le biais de sa fondation, il soutient l’OMS et le développement de nouveaux vaccins, et soutient actuellement un certain nombre de sociétés pharmaceutiques dans leur course à l’invention du produit qui sauvera le monde du Covid-19.

En règle générale, le processus de développement, d’essai et de production de masse des vaccins prend des années, mais grâce à la nouvelle technologie expérimentale émergente, M. Gates espère pouvoir vacciner « 7 milliards de personnes en bonne santé » en un temps record.

Une nouvelle génération de vaccins est en train d’émerger à l’heure où nous parlons. Pour l’instant, il n’existe pas de vaccins à ADN et à ARN approuvés pour l’usage humain, mais comme le dit M. Gates dans le post suivant de son blog personnel, le moment est venu de les essayer sur tout le monde. Dans le commentaire suivant, il explique la différence entre les vaccins traditionnels et les vaccins à ADN/ARN, qui, une fois encore, n’ont jamais été approuvés pour un usage humain :

Enseigner à votre corps comment vaincre un agent pathogène sans jamais tomber malade. Les deux types les plus courants – et ceux que vous connaissez probablement le mieux – sont les vaccins inactivés et les vaccins vivants. Les vaccins inactivés contiennent des agents pathogènes qui ont été tués. Les vaccins vivants, en revanche, sont constitués d’agents pathogènes vivants qui ont été affaiblis (ou « atténués »). Ils sont très efficaces, mais plus sujets aux effets secondaires que leurs homologues inactivés.

Les vaccins inactivés et vivants sont ce que nous considérons comme des approches « traditionnelles ». Il existe un certain nombre de candidats vaccins COVID-19 des deux types, et pour une bonne raison : ils sont bien établis. Nous savons comment les tester et les fabriquer.

L’inconvénient est que leur fabrication prend du temps. Il y a une tonne de matière dans chaque dose d’un vaccin. La plupart de ce matériel est biologique, ce qui signifie que vous devez le cultiver. Cela prend du temps, malheureusement.

C’est pourquoi je suis particulièrement enthousiaste à l’égard de deux nouvelles approches adoptées par certains des candidats : Les vaccins à ARN et à ADN. Si l’une de ces nouvelles approches se révèle efficace, nous serons probablement en mesure de diffuser les vaccins dans le monde entier beaucoup plus rapidement (par souci de simplicité, je ne vais expliquer que les vaccins à ARN. Les vaccins à ADN sont similaires, mais avec un type de matériel génétique et un mode d’administration différents).

Notre fondation – à la fois par son propre financement et par l’intermédiaire de la CEPI – soutient le développement d’une plateforme de vaccins à ARN depuis près de dix ans. Nous avions prévu de l’utiliser pour fabriquer des vaccins contre des maladies qui touchent les pauvres comme la malaria, mais aujourd’hui, elle semble être l’une des options les plus prometteuses pour le COVID. Le premier candidat à entamer des essais sur l’homme était un vaccin à ARN créé par une société appelée Moderna.

Voici comment fonctionne un vaccin à ARN : plutôt que d’injecter l’antigène d’un agent pathogène dans votre corps, vous lui donnez le code génétique nécessaire pour produire cet antigène lui-même. Lorsque les antigènes apparaissent à l’extérieur de vos cellules, votre système immunitaire les attaque et apprend à vaincre les futurs intrus au cours du processus. En gros, vous transformez votre corps en sa propre unité de fabrication de vaccins.

Comme les vaccins à ARN laissent votre corps faire la plus grande partie du travail, ils n’ont pas besoin de beaucoup de matériel. Cela les rend beaucoup plus rapides à fabriquer. Mais il y a un hic : nous ne savons pas encore avec certitude si l’ARN est une plate-forme viable pour les vaccins. Étant donné que le COVID serait le premier vaccin à ARN à sortir, nous devons prouver à la fois que la plateforme elle-même fonctionne et qu’elle crée une immunité. C’est un peu comme si vous construisiez votre système informatique et votre premier logiciel en même temps ». ~ Bill Gates

Ainsi, le vaccin Covid-19 ne sera pas un vaccin traditionnel. Il ne sera pas testé de manière significative ou standard étant donné l’état d’urgence actuel. Il sera administré par les militaires, et tout le monde sur la planète devra le prendre.

Comme l’a fait remarquer le journaliste d’investigation Jon Rappoport :

« Deux nouvelles technologies sont dans la filière de test COVID au moment où nous parlons : Les vaccins à ADN et à ARN. Ils n’ont jamais été mis en circulation pour un usage public. La technologie de l’ADN est en fait une thérapie génique. Des gènes sont injectés dans le corps et modifient de façon permanente et inconnue la composition génétique du receveur. Les vaccins à ARN comporteraient le danger de déclencher des réactions auto-immunes, c’est-à-dire que l’organisme se mettrait en guerre contre lui-même.

Le vaccin qui est exploité par le gouvernement américain… sous l’égide de ses National Institutes of Health… par le biais de la société pharmaceutique Moderna… n’a JAMAIS été utilisé sur le marché avant.

IL N’EST PAS AUTORISÉ À ÊTRE UTILISÉ PAR LE PUBLIC.

LES VACCINS ARN ET LA TECHNOLOGIE QU’ILS UTILISENT SONT ENTIÈREMENT EXPÉRIMENTAUX.

ET C’EST LE TYPE DE VACCIN QUI EST MIS EN PLACE À LA HÂTE EN 90 JOURS.

Qu’est-ce qui pourrait bien mal tourner dans le monde ?

Une façon de le découvrir est de le lancer sur des millions de personnes, de prendre du recul et de voir ». ~Jon Rappoport

Vous êtes prêts à ce que votre famille et vos enfants servent de cobayes dans le cadre de la plus grande expérience de santé mondiale jamais menée ?

Alex Pietrowski est un artiste et un écrivain soucieux de préserver une bonne santé et la liberté fondamentale de jouir d’un mode de vie sain. Il est rédacteur pour WakingTimes.com. Alex est un étudiant passionné de yoga et de vie.

Cet article (Bill Gates explique que le vaccin Covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN), créé et publié à l’origine par Waking Times, est publié ici sous une licence Creative Commons avec mention d’Alex Pietrowski et de WakingTimes.com.

Source : Dcdirtylaundry.com

Informations complémentaires :


Source : https://www.santeglobale.world :

« Il est à noter, qu’à cette occasion, j’ai pu observer un délire, qui est le plus stupéfiant sur le plan médicamenteux, de toute ma carrière, pourtant longue, sur le danger extrême de l’utilisation de l’hydroxychloroquine et de la chloroquine. Ces médicaments sont prescrits depuis 80 ans, il est probable qu’au moins 1/3 de la population a eu l’occasion d’en manger. En France, la CNAM rapporte que 36 millions de comprimés de Plaquenil 200 mg ont été́ distribués en 2019. L’émotion formidable, sur les risques de la chloroquine et l’hydroxy-chloroquine, témoigne d’une absence complète de contrôle de l’information raisonnée, basée sur la bibliographie, et non pas sur les émotions des uns et des autres, voire la manipulation de l’opinion et je mesure mes termes. Par définition, le directeur de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), en est responsable. »

Professeur RAOULT : La chloroquine : émotion, délire, manipulation de l’opinion

Youtube : (sud radio) J.D Michel – « Les courbes épidémiques des pays confinés et des pays non confinés sont les mêmes ! »

Le confinement était la dernière chose à faire !!

DAVID ICKE SANS CENSURE !! LA FIN DU CONTRÔLE, LE TRIOMPHE DE L’AMOUR !

Troisième interview de David Icke par Brian Rose sur ©London Real (mai 2020) :



(en anglais)

David Icke montre avec clarté toute la folie de la « pandémie » créée par le technocrates pour nous asservir :

Tony Robbins interroge des médecins sur la pseuodo épidémie de coronavirus, décapant !

(audio, en anglais)




Une province canadienne publie de nouvelles règles COVID qui permettent au gouvernement de saisir des propriétés privées

[Source : resistance-mondiale.com]

[Photo : Scot Moe, Premier ministre de la Saskatchewan]

Par bertruxskydric

Les fonctionnaires de la Saskatchewan peuvent « autoriser l’entrée dans tout bâtiment ou sur tout terrain, sans mandat, par toute personne dans le cadre de la mise en œuvre d’un plan d’urgence ».

Un gouvernement provincial canadien a promulgué des pouvoirs d’urgence de type orwellien au nom de la lutte contre le COVID qui permettent aux autorités de détenir ou de renvoyer des personnes sans mandat et de saisir des biens personnels à volonté. 

En vertu des  nouvelles ordonnances sanitaires , le ministre de la Saskatchewan peut « autoriser l’entrée dans tout bâtiment ou sur tout terrain, sans mandat, par toute personne dans le cadre de la mise en œuvre d’un plan d’urgence ».

Le gouvernement a également le pouvoir de « provoquer l’évacuation de personnes et le retrait de personnes ou de bétail et de biens personnels de toute région de la Saskatchewan qui est ou pourrait être touchée par une situation d’urgence et de prendre des dispositions pour les soins et la protection adéquats de ces personnes ou du bétail et des biens personnels.

Le nouveau décret d’urgence provincial en vertu  de la Loi sur les plans d’urgence a  été signé le 13 septembre par le premier ministre Scott Moe. Les commandes ont été annoncées par le ministère de la Santé de la Saskatchewan.

Selon le ministère de la Santé, les nouvelles ordonnances sont nécessaires pour « assurer la mobilité de la main-d’œuvre du système de santé grâce à une plus grande flexibilité dans la planification et la réorientation des travailleurs de la santé vers les zones confrontées à des pressions de capacité et dans l’utilisation de ressources supplémentaires ».

Les nouveaux pouvoirs sanitaires d’urgence permettent au gouvernement « d’assumer la direction et le contrôle de l’intervention d’urgence d’une autorité locale ».

Ils donnent également au gouvernement le pouvoir « d’acquérir ou d’utiliser tout bien immobilier ou personnel que le ministre juge nécessaire pour prévenir, combattre ou atténuer les effets d’une situation d’urgence ».

Dans le cadre de cette ordonnance, le gouvernement a réactivé les termes d’une lettre d’entente avec la Saskatchewan Health Authority et un grand nombre de syndicats provinciaux, dont le Saskatchewan Union of Nurses et la Health Sciences Association of Saskatchewan.

La lettre d’entente explique comment le gouvernement peut forcer le « redéploiement temporaire des employés de la santé pour répondre à l’augmentation prévue des besoins en soins de santé liés à la COVID-19 ». 

Toute personne résidant en Saskatchewan est mandatée par la loi pour suivre les nouvelles ordonnances d’urgence ou faire face à des sanctions sévères ou à une peine d’emprisonnement.

Les nouvelles commandes sont intervenues après que le gouvernement a déclaré une « quatrième vague » de COVID-19 stimulée par la « variante Delta ».

La province, qui compte environ un million d’habitants, indique actuellement que 262 personnes sont hospitalisées en raison de COVID-19. 

Le 17 septembre, le Dr Saqub Shahab, médecin hygiéniste en chef de la province, a émis une ordonnance d’isolement provisoire obligatoire et de couverture faciale comme palliatif jusqu’à l’entrée en vigueur du passeport vaccinal de la province en octobre.

Moe a récemment déclaré que son gouvernement était “trop ​​patient” avec ceux qui n’avaient pas reçu les vaccins COVID lors de l’introduction d’ un passeport vaccinal.  

Les mots de Moe contre les non vaccinés comprenaient également une phrase selon laquelle, bien qu’il n’ait jamais voulu « mettre en œuvre » un passeport vaccinal, sa « patience a pris fin » avec les non-piqûres.

À partir du 1er octobre, il faut présenter une preuve de vaccination ou un test négatif pour manger à l’intérieur, se rendre dans des lieux de divertissement, assister à des conférences ou à de grands événements ou participer à des centres de fitness intérieurs.

Toutes les provinces canadiennes ont depuis longtemps le pouvoir d’édicter de telles règles draconiennes, qui limitent en fait les droits des personnes en cas d’urgence, mais utiliser une urgence « sanitaire » pour le faire est du jamais vu dans les temps modernes.

La province de l’Alberta a également récemment déclaré une urgence publique en vertu de sa  Public Health Act Comme en Saskatchewan, le gouvernement peut pénétrer dans des immeubles sans mandat ou saisir des biens personnels. 

Le premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney, bien qu’il ait promis que sa province serait ouverte « pour de bon »,  a  récemment introduit un passeport vaccinal COVID-19. Il a également promulgué de nouvelles règles interdisant aux personnes «non vaccinées» de se rassembler dans leurs maisons privées.

John Carpay, président du Justice Center for Constitutional Freedoms (JCCF), a déclaré qu’en « vertu » du gouvernement Kenney limitant les interactions sociales à l’intérieur de pas plus de 10 personnes, le gouvernement « reconnaît que les personnes vaccinées sont propagateurs de virus.

« Sur quelles preuves le gouvernement s’appuie-t-il pour croire que les personnes non vaccinées sont de pires vecteurs de virus que les personnes vaccinées », a déclaré Carpay dans un communiqué envoyé à LifeSiteNews.

« Le premier ministre Kenney s’est joint au premier ministre Trudeau pour faire des boucs émissaires, diaboliser et vilipender la minorité d’individus non vaccinés.

Les injections de COVID-19 approuvées pour une utilisation d’urgence au Canada, y compris le vaccin Pfizer pour les 12 ans et plus, ont toutes des liens avec des cellules dérivées de bébés avortés.  

Tous les quatre ont également été associés à de possibles effets secondaires graves tels que des caillots sanguins, des éruptions cutanées, des fausses couches et même des crises cardiaques chez les hommes jeunes et en bonne santé. 

La liste des événements indésirables reconnus par la FDA est passée des réactions anaphylactiques graves aux événements thrombotiques mortels, à la myocardite inflammatoire  et aux maladies neurologiques invalidantes comme le syndrome de Guillain Barré. Pendant ce temps, le CDC a signalé un taux de survie à l’infection COVID-19 supérieur à 99,95 % pour les moins de 50 ans. 

Contact:

L’honorable Scott Moe
Premier ministre de la Saskatchewan
226 Édifice législatif
Regina, Saskatchewan
CANADA S4S 0B3

Téléphone : (306) 787-9433
Télécopieur : (306) 787-0885
Courriel :  premier@gov.sk.ca

Traduction de l’article Canadian province issues new COVID rules that let gov’t seize private property – LifeSite (lifesitenews.com)




Un pas de plus vers l’empoisonnement du monde avec l’interdiction envisagée des huiles essentielles

Par Diane Vincero

Big Pharma, Monsanto (Nestlé — Bayer), les GAFA, etc. continuent leur progression pour rendre le monde totalement tributaire d’eux… Nous en voyons déjà largement les effets aujourd’hui avec la prétendue pandémie de Covid.

Big Pharma :

piétine le système à son profit :

  • a déjà obtenu d’être lavé de toute responsabilité pour les effets secondaires de ses vaccins, a déjà imposé 11 vaccins aux bébés (les générations futures…),
  • a imposé la vaccination Covid,
  • a obtenu que les plantes comme la Valériane (effet tranquillisant sans accoutumance), la passiflore (effet sur le sommeil, sans accoutumance), le millepertuis (antidépresseur), etc., etc. ne puissent plus être présentés comme ce qu’ils sont, mais comme de vulgaires « compléments alimentaires »,
  • a obtenu en 2007, à l’échelle européenne, que l’argent colloïdal ne puisse plus être recommandé per os (= par voie générale) — alors que c’est un excellent antibactérien, antiviral, antimycosique, anti-inflammatoire et cicatrisant —, sous le prétexte totalement fallacieux et mensonger (…) qu’il entraîne « des dépôts bleus dans le corps », ce qui n’est vrai qu’au-delà de 20 ppm (= parties par million), c’est-à-dire à des concentrations totalement inutiles puisque les ions sont alors agglomérés et sont trop volumineux pour pouvoir pénétrer dans les cellules pour assurer leurs multiples effets bénéfiques. Ceux-ci sont obtenus pour des concentrations optimales de 15 ppm (où les ions sont libres et donc suffisamment petits pour pénétrer dans les cellules).
  • a obtenu qu’on ne puisse pas, en France, procéder à des perfusions à hautes doses de vitamine C pour guérir des cancers.
  • a obtenu d’imposer ses 2 protocoles de chimiothérapie contre le cancer alors qu’il y a des protocoles plus anciens
  • qui fonctionnent de façon vraiment efficace (comme l’a souligné le Dr N. Délépine.
  • a obtenu que les traitements par la médecine tibétaine et autres médecines ancestrales ne soient pas délivrés en France.
  • etc., etc.

Progressivement, au fil des décennies, Big Pharma a pris le pouvoir sur les politiques, a évincé tous les traitements naturels et veut maintenant parachever son œuvre destructrice en supprimant les huiles essentielles… Jusqu’à ce qu’il n’existe plus que… leurs molécules chimiques avec leurs effets secondaires délétères…

Il faut savoir que toutes ces substances naturelles connues et utilisées depuis la plus haute antiquité constituent une concurrence importante pour Big Pharma puisqu’il ne peut pas breveter les substances naturelles… Donc, il a jeté le discrédit sur leurs effets, tout en ayant — quand même — synthétisé les molécules chimiques à partir des connaissances sur les effets bénéfiques des plantes !!… Puis, il en a fait interdire l’utilisation, et maintenant, il veut terminer par l’élimination des huiles essentielles !!!

Programme mégalo et délirant qui n’obéit à aucune logique saine et bienveillante.

[Voir aussi :
Les résultats dévastateurs de la « révolution verte » en Afrique
et Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910]

Monsanto :

industrie chimique qui détruit l’Humanité avec ses produits chimiques, « phytosanitaires », comme les pesticides. Monsanto qui existe depuis les années 1920 et qui s’est juré de rendre l’Humanité entière tributaire de lui !!… Stratégie progressive là aussi, au fil des décennies.

Les insecticides qui détruisent les insectes pollinisateurs [abeilles, papillons, etc.] et donc à terme, empêchent le développement les fleurs et les fruits. À terme, il restera quoi à manger ???? Les céréales OGM de Monsanto qui résistent aux pesticides…. [cf. plus bas] !!!

Le Roundup [glyphosate], herbicide promu de façon universelle par Monsanto auprès des cultivateurs, jardiniers, etc. qui stérilise la terre, qu’on retrouve dans nos assiettes tous les jours et qui détruit notre système immunitaire, provoque de l’hypertension artérielle, du diabète de type 2, de l’obésité qui touche maintenant 30 % de la population mondiale […], des cancers, des maladies auto-immunes [sclérose en plaques, thyroïdite d’Hashimoto, spondylarthrite ankylosante, etc.], etc., etc.

Les OGM Monsanto résistants au Roundup, mais dont il faut racheter les semences à Monsanto chaque année, car elles ne repoussent pas….

Monsanto qui a racheté Nestlé [industrie agroalimentaire polluée, générant de plus en plus de maladies], s’est marié à Bayer [notre voisin allemand, industriel chimique et pharmaceutique], arrivant ainsi à nos portes et permettant ainsi le mariage entre les effets délétères de l’industrie chimique et les traitements pharmaceutiques des maladies provoquées par la partie chimique du système…

Toute une chaîne de A à Z : produits chimiques sur les cultures et dans la nourriture, destruction des pollinisateurs et disparition des fleurs et des fruits, OGM résistant aux pesticides, maladies diverses, médicaments.

Et ainsi : ils tiennent tout le monde dans leurs mains…

Progressivement, ces géants broient tout sur leur passage. Ne les laissons plus avancer !!

[Voir aussi :
Nestlé dit que la majorité de son portefeuille de produits alimentaires est mauvais pour la santé
Les Racines de nos Maladies
Monsanto, Syngenta et Bayer ont décidé d’investir des millions de dollars pour développer des « sprays » de morceaux d’ARN afin de transformer les plantes en OGM directement dans les champs
Comment la Fondation Gates pousse le système alimentaire dans la mauvaise direction]


[Source : leslignesbougent.org]

Par Helena Wittkopf

Pétition : Huiles essentielles en danger — sauvons notre patrimoine naturel !

Adressé à : La Commission Européenne

Huiles essentielles en danger : sauvons notre patrimoine naturel !

Non à l’interdiction des huiles essentielles par l’Union Européenne !

A l’heure où je vous parle, la Commission Européenne a déjà pris sa décision : classer les huiles essentielles comme des substances dangereuses dans l’Union européenne… 

… D’ici la fin de l’année !

L’étape d’après ? Les interdire complètement ?

A partir de cette date, les huiles essentielles pourraient bien être en passe de disparaître du paysage santé et cosmétique. 

Les huiles essentielles n’ont rien à voir avec les substances chimiques de synthèse ! 

Les huiles essentielles contiennent plus de 200 molécules actives100% naturelles : elles sont les extraits les plus purs et les plus concentrés d’une plante ! 

Pourtant, une des mesures phares du Pacte vert initié par la Commission européenne ? 

Les traiter sur le même plan que des substances chimiques de synthèse : c’est absurde ! 

D’ici la fin de l’année, on pourrait vraiment finir par voir figurer des têtes de mort sur un flacon de lavande ou de menthe poivrée… comme sur la bouteille d’un produit ménager corrosif ! 

Alors que les huiles essentielles sont utilisées depuis des millénaires pour soigner de nombreux maux mais aussi embellir la peaules cheveuxle corps

Aujourd’hui, ce sont des millions de Français qui ont chaque jour recours aux puissantes propriétés des huiles essentielles (Il se peut d’ailleurs que vos propres produits de beauté en contiennent ou que vous en fassiez vous-même usage quotidiennement) !

C’est la meilleure alternative qui existe aux cosmétiques chimiques qui contiennent souvent des substances très controversées (perturbateurs endocriniens, substances cancérigènes, allergènes…). 

Des centaines de milliers d’emplois menacés ! 

La production des huiles essentielles crée un nombre considérable d’emplois chaque année, en France et dans le reste de l’Europe. 

De la culture agricole à la parfumerie, la cosmétique ou encore la distillerie : ce sont des milliers de personnes qui vont se retrouver sur la paille si ce projet de loi est adopté ! 

La Commission européenne ne peut pas se permettre de faire mourir tout un artisanat et un savoir-faire

Ce sont les petits producteurs et les agriculteurs qui seront les premières victimes de cette mesure. Ne sont-ils pas déjà assez bridés dans leur métier comme ça ? Qui va les indemniser si on les empêche de travailler ? 

Et qu’allons-nous faire de toutes ces étendues de lavande si caractéristiques du sud de la France ? Les brûler ? 

Tout un écosystème est sur le point de s’effondrer ! 

Il y a urgence ! 

La Commission européenne doit rapidement prendre conscience que les huiles essentielles sont aujourd’hui indispensables

Elles ont de multiples vertus sur notre santé et sur notre bien-être physique et psychique. En cosmétique par exemple, elles sont capables de résoudre de nombreux problèmes de peau acné, imperfections, poils incarnés, inflammations, rougeurs… 

La Commission européenne doit rapidement prendre conscience de la spécificité des huiles essentielles : il n’est pas possible de les classer dans la même catégorie que les produits chimiques de synthèse que l’on trouve sur le marché

Si nous n’agissons pas maintenant, d’ici la fin de l’année : il sera plus facile de se procurer un produit potentiellement cancérigène qu’un cosmétique élaboré à partir d’un extrait de plante 100 % naturel !

C’est pourquoi nous exigeons que la Commission européenne adopte une législation spécifique et adaptée aux produits naturels dont font partie les huiles essentielles..

… Qui serait plus proche de la réalité ! 

Les huiles essentielles font partie de notre patrimoine culturel et naturel

Elles sont indispensables pour obtenir des cosmétiques durables, respectueux de notre peau et 100 % naturelles

Avons-nous, aujourd’hui, réellement envie de revenir aux produits toxiques et douteux suite aux mesures du Pacte Vert ? 

La réponse est NON ! 

Signez cette pétition pour faire savoir notre désaccord, sauver des emplois et pouvoir continuer à avoir des cosmétiques naturels sur le marché !

Aidez-moi à mobiliser vos proches, aidez-moi à faire renoncer l’Union Européenne.

Il y a urgence !

S’il vous plaît, signez ma pétition et faites-la signer autour de vous !

Un grand merci !

Pour signer la pétition

Sources

Auteur : Helena Wittkopf




15 octobre 2021 : radiation des soignants = autodafé du Serment d’Hippocrate

Par Lucien Samir Oulahbib

À écouter le dernier Conseil Scientifique indépendant (CSI) qui avait invité un spécialiste du SARS-CoV-2, il semble bien que, selon lui, les Autorités en place aient échoué, d’une part en employant imprudemment une technologie mal maîtrisée (d’où les doses à répétition par ailleurs périmées au bout de six mois), d’autre part en écartant des techniques préventives comme la vitamine D ; elles ont donc aggravé la situation. Alors que cette prévention articulée à une thérapie précoce pour les malades effectifs aurait pu représenter une barrière puissante évitant l’aventurisme affairiste auquel nous assistons actuellement.

Le second exposé, relatif au déni de l’existence de relations de causalité entre injections et effets secondaires, était également d’autant plus intéressant qu’il rappelait en effet que les industries du tabac avaient pendant longtemps rigoureusement nié les corrélations causales entre tabac et cancer du poumon. L’exposé se fragilise cependant inutilement en indiquant aussi comme exemple lesdites négations de « climato-sceptiques » concernant les liens entre hausse des températures (1,5 % sur 150 ans) et élévation de gaz dits à « effet de serre » (CO2, méthane, vapeur d’eau…) liée à l’activité humaine, car là, pour le coup, la démonstration n’est pas faite comme l’a indiqué François Gervais, spécialiste du CO2, en signalant d’une part que les 3/4 de l’augmentation du CO2 a émergé avant les années 1940 (donc avant le boom industriel des années 50-60) et que d’autre part l’on confond CO2 et CO. Le premier est bénéfique pour la végétation, à la différence du second qui du fait d’une combustion non aboutie sécrète des toxines toxiques qui sont cependant éliminées de mieux à mieux (ainsi les nouveaux pots catalytiques les éliminent à 98 %).

Ce qui fait que les relations causales dépendent de l’objet étudié et surtout de l’angle choisi : si l’on adopte par exemple un point de vue purement arithmétique, il est sûr qu’en lissant sur 500 ans le nombre d’incidences criminelles l’on peut trouver que la Cour des Miracles pouvait être plus dangereuse que Place Stalingrad aujourd’hui. Mais cette constatation académique ne vaut rien au niveau politique lorsqu’il s’agit de subir pour tout un chacun des perturbations vitales qui statistiquement pèsent peu alors qu’elles sont si importantes pour les personnes les vivant au quotidien. Il en est évidemment de même pour ces quartiers qui voient les « natifs » être réellement chassés par les nouveaux arrivants comme l’indiquent ces derniers temps ces nombreux exemples relatés par des maires courageux, même si cela ne forme encore qu’une poignée en ratio avec le nombre d’étrangers aux quartiers concernés ; mais dans ce cas, et si cela était si infime que cela, ce serait identique à ce qui est dit aujourd’hui concernant les effets secondaires des injections qui, comparés aux trois milliards de personnes en phase expérimentale, pèseraient peu au vu de leurs remontées encore infimes. Alors que cependant, l’on sait d’une part que des médicaments ont été arrêtés pour moins que cela et que d’autre part l’on ne connaît pas encore les effets à long terme de ces injections à AMM conditionnelle (et qui n’a pas été renouvelée aux dernières nouvelles), comme la prolifération actuelle des maladies auto-immunes et des cancers. C’est du moins ce que relatent plusieurs membres du CSI (à cette même séance) ; tout en espérant, à décharge, que les fonctions immunitaires naturelles des personnes en bonne santé ont en fait éliminé d’emblée cette inoculation (alors que celle-ci accentuerait la fragilité des personnes plus à risques ce qu’il faut creuser).

En tout cas, ce qui est à retenir et ce qui est très grave, c’est que l’on a adopté une technologie qui n’a guère d’effets positifs, car si l’on compare l’été 2020 et l’été 2021 l’écart létal n’est pas significatif avec ou sans injection. En effet, en juin 2020 avant l’arrivée de ce que l’on a appelé plus tard des « variants », causes des remontées de cas et de malades, la courbe était retombée sans injection (voir d’autres comparaisons ici dans l’étude animée par Laurent Toubiana). D’autre part, le fait d’avoir empêché les médecins de prescrire, y compris lorsqu’il n’y avait pas d’injections, est bien la preuve que le Serment d’Hippocrate aura été piétiné et, aujourd’hui mis au feu, puisqu’en cette date désormais maudite du 15 octobre 2021 (au même titre que celles du 5 août et du 12 juillet 2021), les soignants non injectés sont non seulement suspendus, mais interdits de pratiquer, ce qui est un scandale immense, inouï, inédit qui fera date.

Jamais en effet, pour une maladie si peu létale qui plus est, et alors que ces soignants savent prendre leurs précautions, une politique aussi brutale et cruelle, n’a été adoptée, montrant par là toute l’inhumanité d’une Secte sûre de son fait, prétentieuse, alors qu’elle s’est trompée sur toute la ligne (y compris sur l’efficacité supposée des « confinements », battue en brèche), croyant tout savoir sur l’immense complexité de la vie humaine. Alors qu’il faut toujours rester modeste, tant nous savons encore si peu de choses sur ce que le mot « santé » veut dire, du moins si l’on cherche à aller plus loin que cette remarque de Claude Bernard lorsqu’il indiquait pour celle-ci qu’il s’agissait déjà du « silence des organes », ce qui n’est pas rien, certes, mais nécessiterait sans doute de continuer à les sonder, tant le silence, surtout lorsqu’il est abyssal, décèle des causalités insoupçonnées, ce qui peut cependant permettre d’en prévenir les effets à venir si on laisse précisément les médecins faire librement leur travail.

Mais Claude Bernard est oublié. La médecine, les médecins, leurs longues, très longues années d’études et de pratiques, tout est jeté à la « poubelle de l’Histoire » au profit d’une vaste machinerie pseudo scientifique (scientiste en réalité) façon Frankenstein, Folamour, voire Menguele, tant expérimenter par exemple sur des enfants — qui ne font pas partie des catégories à « risques » (censées être par ailleurs « protégées » par l’injection) — s’avère être de plus en plus un crime contre l’Humanité, à tendance génocidaire. Ceci devra être bien sûr durement sanctionné, à commencer par tous ces sophistes de plateau qui sont les premiers responsables à avoir par exemple décrié les traitements précoces et surtout, comme l’indique Didier Raoult dans son dernier ouvrage, sont restés minutieusement silencieux devant ces manipulations de données dignes de pratiques cyniques nihilistes et en fait mafieuses.

C’est ce silence, plus que celui des « organes » qui est devenu inadmissible et doit donc être très durement sanctionné.




L’étude foireuse de Véran pour s’autojustifier

[Source : pgibertie.com]

Epi-Phare — des questions à poser sur la fameuse étude de Véran qui justifie Véran

… Covid-19 : une étude française confirme l’efficacité des vaccins sur plus de 22 millions de personnes

Fait sans précédent, ces deux analyses ont été réalisées sur un total de 22,6 millions de personnes. Ce sont « les études épidémiologiques analysant l’efficacité “en vie réelle” des vaccins qui portent sur le plus grand nombre de personnes dans le monde », souligne Antoine Flahault, professeur d’épidémiologie et directeur de l’Institut de santé globale à Genève. « Les études israéliennes sur le sujet, elles, ont inclus près de 6,5 millions de participants, les études britanniques 2,6 millions et les études nord-américaines 3,4 millions », précise l’épidémiologiste suisse.

Une étude  chez 15,4 millions de personnes âgées de 50 à 74 ans (7,7 millions vaccinées comparées à 7,7 millions non vaccinées) l’autre chez 7,2 millions de personnes âgées de 75 ans et plus (3,6 millions vaccinées comparées à 3,6 millions non vaccinées). Les deux cohortes ont été suivies jusqu’au 20 juillet 2021.

Une presse d’investigation se serait posée la question des conflits d’intérêt : Véran justifiant Véran  et surtout elle aurait lu l’étude

Il me semble utile de poser quelques questions sur la fiabilité de l’étude.

1) Il n’est pas vrai que la totalité des Français de plus de 50 ans soient incorporés dans cette étude et nous ne pouvons que le regretter…

L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200000

Ils auraient inventé un million d’habitants…

https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/chiffres/france/structure-population/population-ages/

https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381474

Pour les 50 à 75 ans , ils en étudient 15,4millions, l’INSEE en compte 21M soit …

Ce serait donc plus de 85% des plus de 50 ans  en France qui auraient été suivis depuis le 11 février et jusqu’au 20 juillet , pour moitié  non vaccinés pour une autre moitié  à partir de la première dose

2) Toutes les hospitalisations covid n’ont pas été prises en compte

Un total de 26000 hospitalisés depuis  le 11 février  jusqu’au 20 juillet pour cause de covid selon l’étude

Au cours de cette même période selon Geodes nous en obtenons huit fois plus  pour les catégories concernées : 80% des hospitalisations covid ont disparu…

La Drees nous a habitué à des choix sélectifs et l’ont ne peut que s’en inquiéter.

Nous constatons que les effets secondaires ne sont pas pris en compte pour les vaccinés , nous pouvons être certains qu’au moins 90%  des hospitalisés Covid ont été testé covid via un test pcr, mais ils ne doivent être que 60% des hospitalisés non vaccinés à être certifiés covid.

3) En réalité il n’y a pas eu de suivi de tous les Français de plus de 50 ans

mais des « appariements de vaccinés et non vaccinés pouvant être utilisés plusieurs fois, un non-vacciné servant  ensuite après la vaccination comme vacciné dans la poursuite de l’étude.

L’étude reconnait les appariements.

Les groupes « vaccinés » et « non vaccinés » ont été constitués, en appariant chronologiquement (du 27
décembre 2020 au 30 avril 2021) chaque sujet vacciné à un sujet non vacciné à la date de vaccination (ou
date index) de mêmes âge, sexe, région administrative et type de résidence (EHPAD et USLD avec/sans
PUI (pharmacie à usage intérieur)). Les personnes vaccinées et non vaccinées ont été suivies de la date
de vaccination jusqu’au 20 juillet 2021.

Nous retrouvons les même défauts dans une étude israélienne, la même opacité des données  avec plusieurs biais évidents :

Le biais chronologique reconnu de l’étude israélienne : risque de mettre dans le même couple un vacciné et un non vacciné  mais pour des périodes chronologiques différentes , les non vaccinés sont très nombreux pour les groupes âgés en pleine pandémie ( février mars  avril) et sils seront très exposés à la maladie. Si on les compare à un nombre équivalent de vaccinés  en mai ou juin , les vaccinés tomberont moins malades non parce qu’ils sont vaccinés mais parce que la pandémie est terminée…

Ils nous garantissent bien un appariement chronologique entre le 27 décembre et le 30 avril …Je veux bien mais il y a un os.

Très concrètement parlons des vaccinés Pfizer suivis après le 14e jour  post deuxième dose. Il y en a beaucoup parmi les plus de 75 ans après le mois de mai , qu’ils en aient trouvé  1M700 000 n’est pas difficile. Mais pour trouver un nombre équivalent de non vaccinés, il y a un os dans le yaourt…

Mais à qui feront ils croire qu’ils ont pu suivre un nombre équivalent  de plus de 75 ans  non vaccinés et de vaccinés après le 30 avril ? ….Au début mai il n’y avait en France que 1,5 millions de plus de 75 ans  , et leur nombre n’ a cessé depuis de diminuer…

À moins d’inventer un million de plus de 75 ans non vaccinés, l’étude était impossible à réaliser pour cette période faute d’effectifs

À moins de ne pas respecter l’appariement chronologique et de comparer ce qui ne l’est pas , des vaccinés

Merci de me rassurer.

Reprenons donc l’étude en attendant des précisions sur les comparaison s à long terme qui me posent problème.

Plus de 75 ans : le risque  d’hospitalisation réduit des deux tiers.

Non=vaccinés 5 471 / 3 645 744 (0.15 %)
Vaccinés à partir de la première dose 1 540 / 3 645 744 (0.04 %)

Pour les 50 74 ans Le risque d’hospitalisation  réduit de moins des deux tiers   et seulement de moitié avec moderna :

Non-vaccinés 13 223 / 7 754 912 (0.17 %)
Vaccinés après la première dose 4 317 / 7 754 912 (0.06 %)

On nous dit qu’il ne s’agit que des hospitalisations covid  Rien donc sur l’ensemble des hospitalisations qui auraient pu nous interpeler sur les effets secondaires. Cependant entreau cours de la deuxième semaine qui suit la première inoculation il se passe quelque chose d’étrange

Suivi du 7e jour jusqu’au 13e jour après la 1re dose :

Moderna

Non-vaccinés 139 / 288 795 (0.05 %)
Vaccinés 179 / 288 795 (0.06 %)

Pfizer

Non-vaccinés 1 926/ 2 823 965 (0.07 %)
Vaccinés 1 234 / 2 823 965 (0.04 %)

Il n’y a aucune différence [franche] entre vaccinés et non-vaccinés.

Une protection liée à la vaccination de un à trois pour les hospitalisations semble cohérente avec des statistiques d’autres pays.

Pour arriver à un à neuf il faut s’appuyer sur des comparaisons post deuxième doses qui butent sur des impossibilités démographiques étudiées plus haut.

CE QUE L’ON POUVAIT ATTENDRE.

Si l’on applique  la règle Véran ( le vaccin réduit la mortalité de 90% on tombe alors sur des absurdités statistiques). En effet sans le vaccin il faudrait multiplier par dix le nombre de morts vaccinés  pour avoir le nombre de décès évités

Sans le vaccin , cet été la France aurait eu plus de mort que l’hiver dernier avec deux fois moins de cas … Impossible

Israël et le Royaume Uni auraient dû avoir  depuis mars   trois fois plus de décès que n’en ont enregistré les statistiques de ces pays , bien plus que cet hiver

DEUX POSSIBILITES

  1. L’étude est truandée
  2. La France est protégée par Jupiter

Voir la démonstration par l’absurde sur Twitter  par un biologiste dissimulé par le pseudo Mounotella.

L’équipe de France Soir met en évidence d’autre biais :

Epi-phare, une étude d’auto-validation du ministre de la Santé (francesoir.fr)


[Source : francesoir.fr]

Epi-Phare, une étude d’auto-validation du ministre de la Santé

Une si petite chose, et tant d’effets
Pixabay

Auteur(s) : Pierre Chaillot, statisticien, Vincent Pavan, mathématicien, et Xavier Azalbert, pour FranceSoir

ANALYSE — Ce lundi 11 octobre, le groupement Epi-Phare a publié deux études affirmant que « la vaccination est efficace à plus de 90 % pour réduire les formes graves de Covid-19 chez les personnes de plus de 50 ans en France ». Cette étude sort à quatre jours des discussions au Sénat sur la vaccination obligatoire en France. Depuis près de 18 mois, les experts nous vantent les mérites des études randomisées en double aveugle publiées après revue par les pairs dans des journaux indépendants sans que les auteurs n’aient de lien d’intérêt. Le canon de la science nous dit-on, malgré le fait que nous avons dû faire face à une nouvelle maladie qui aurait dû entraîner au sein de la loi d’urgence des « décisions adéquates ». Les études définies comme « best practice » font l’objet de protocoles enregistrés (clinicaltrials.gov ou bien Prospero) afin de s’assurer que celles-ci respectent les normes et règles établies. Le lecteur de cette dernière étude ne pourra donc qu’être surpris de l’absence de déclaration préalable de cette étude ou de l’absence de revue par les pairs. Le « deux poids, deux mesures » dénoncés par bien des scientifiques lors des derniers mois prend toute sa mesure avec cette nouvelle étude qui s’apparente plus à une autoévaluation ou auto-validation du ministre de la Santé Olivier Véran. Avant de rentrer dans les biais méthodologiques, les travers de cette étude au niveau macro sont nombreux : absence de revue par les pairs, non-déclaration préalable, lien entre Epi-phare, l’ANSM et le ministère de la Santé, sans parler de l’absence de validation ou calibration au réel en comparant à d’autres pays.

Transparence

L’étude Epi-Phare mesure-t-elle vraiment l’impact de la vaccination ?

La méthodologie d’Epi-phare est sensiblement la même que celle utilisée pour Israël dans l’étude de Dagan et al, dont la critique a été faite dans l’article « A-t-on encore le droit de questionner la politique vaccinale ? » Elle utilise le même type de données, les mêmes outils d’analyses, porte donc les mêmes biais et arrive aux mêmes conclusions. Les résultats dépendent entièrement de la manière dont ont été remonté les hospitalisations et décès liés à la Covid-19.

Cette étude montre seulement que les vaccinés ont 90 % moins de chance d’être déclarés malades de la Covid-19 ou décédés de la Covid-19. Rien ne nous montre que les vaccinés sont réellement moins hospitalisés ou décédés que les non-vaccinés. Il serait pourtant très simple de vérifier si la vaccination a un impact positif sur la santé.

La méthode volontairement borgne, biaisée d’emblée

La méthode de cette étude est décrite en page 7 ou 8 selon l’une ou l’autre des deux études : La cohorte de sujets vaccinés a été identifiée à partir de la base des données nationales pseudonymisées VAC-SI mise en œuvre par l’Assurance maladie. Ces données ont été couplées au Système national des données de santé (SNDS) afin de décrire leurs caractéristiques sociodémographiques et leurs comorbidités ainsi que d’identifier la cohorte de sujets non vaccinée.

Cela signifie que l’étude peut suivre tous les événements intéressants des vaccinés et non vaccinés intervenant à l’hôpital et les comparer.

Les événements d’intérêt (hospitalisation pour COVID, décès survenant au cours de l’hospitalisation pour COVID-19) ont été définis à partir des données d’hospitalisation du Programme de médicalisation des systèmes d’information (PMSI) Fast Track collecté et restitué par l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH).

Cela signifie que seuls les évènements déclarés comme liés à la Covid-19 seront analysés. C’est un énorme biais.

En premier lieu, comme il a été montré dans la dernière revue des statistiques de la DREES, les non-vaccinés sont bien plus souvent testés que les vaccinés (pass sanitaire oblige). Ainsi, un non-vacciné a beaucoup plus de chance d’avoir un test positif qu’un vacciné.

Rappelons ici que la Haute autorité de santé considère que la spécificité des tests Covid-19 est de 98%. Ainsi, jusqu’à 2 % de faux positifs peuvent être comptabilisés. Tester massivement les non-vaccinés qui ne sont pas malades va nécessairement entraîner des comptages de faux positifs qui seront rangés dans la case « asymptomatique ». Si on testait tous les millions de petits garçons français avec un test de grossesse, on en trouverait forcément quelques-uns de positifs. Avec la nouvelle logique Covid, il faudrait donc les déclarer en « grossesse asymptomatique ».

Ainsi, tous ces non-vaccinés, surtestés et donc positifs par le hasard des choses, vont voir leurs évènements indésirables classés en « Covid ». Biaisant ainsi tous les résultats statistiques.

De plus, dans cette dernière critique sur les statistiques de la DREES, il a été montré que les non-vaccinés sont beaucoup plus souvent inscrits à l’hôpital dans la case Covid-19 que les vaccinés, même sans test positif de confirmation.

Chacun peut vérifier que dans le tableau 1 de sa dernière étude, la DREES informe des entrées à l’hôpital, soins critiques et décès pour cause Covid-19, selon le statut vaccinal et la présence d’un test RT-PCR positif. Ainsi, sur la période du 30 août au 5 septembre, 619 personnes ont été déclarées décédées de la covid-19 à l’hôpital. Parmi elles, 466 étaient non vaccinées et 130 avaient une vaccination complète. Étonnamment, seuls 61% des non-vaccinés déclarés décédés de la Covid avaient bien un test positif (286/466) contre 92% des vaccinés (119/130).

Cette étude d’Epi-Phare n’est pas une étude randomisée. Il ne s’agit pas d’un groupe d’étude et d’un groupe de contrôle choisis au hasard et portant des caractéristiques similaires. Cette étude est construite à partir de données administratives médicales. Il n’y a donc absolument aucun contrôle scientifique préalable sur leur qualité. Personne ne sait si la déclaration « hospitalisation Covid-19 » ou « décès Covid-19 » est sans biais relatif au statut vaccinal. Les statistiques semblent plutôt révéler un biais en accord avec des pressions politiques ou financières, comme nous avons pu le voir sur l’aspect « surdéclaration » expliqué dans cette vidéo ou l’étrange répartition géographique expliquée dans cet article.

Ainsi, ces études d’Epi-Phare contiennent les mêmes biais de sélections que les statistiques de la DREES, il est donc normal d’y retrouver les mêmes ordres de grandeur des résultats.

Une méthodologie complexe permet de masquer les incohérences

S’il y a bien une maladie qui s’est répandue depuis 2020 dans le monde scientifique, c’est la modélite aiguë. Désormais, toute étude semble devoir s’appuyer sur des modèles. Cela a le double avantage de donner un caractère sérieux à n’importe quel résultat trivial ou même invraisemblable, tout en éliminant toute relecture par des personnes non initiées à ces cascades. Lorsqu’on a été formé à comprendre les mécanismes de ces modèles, on est souvent surpris de la distance séparant le titre de l’étude des statistiques utilisées.

Un appariement étrange vaccinés/non-vaccinés

Concernant l’étude des 75 ans et plus, les auteurs annoncent page 5 suivre une cohorte de vaccinés et une cohorte de non-vaccinés en France, représentant 7,2 millions de personnes. Il est étonnant d’avoir les données d’autant de personnes puisque l’Insee estime la population de France (donc incluant les DOM-TOM) de plus de 75 ans à 6,4 millions de personnes. Une erreur de 800 000 personnes de la part de l’institut semblerait assez improbable, surtout s’il s’agit de personnes ayant leurs données SNDS disponibles.

À la page 11, les auteurs précisent : 2 486 060 (40,5%) sujets inclus uniquement dans le groupe « vaccinés », 2 486 060 (40,5%) sujets inclus uniquement dans le groupe « non vaccinés » et 1 160 913 (19,0%) sujets initialement inclus dans le groupe « non-vaccinés » puis devenus vaccinés par la suite, et donc inclus successivement dans le groupe « non-vaccinés » puis le groupe « vaccinés ».

Ainsi, la cohorte suivie serait en réalité de 6,1 millions de personnes (et pas 7,2), dont 1,1 million comptés 2 fois.

Ce double comptage est à la fois incompréhensible et problématique. Les auteurs écrivent en page 8 : 

Afin de rendre comparable les groupes « vaccinés » et « non vaccinés », nous avons constitué des couples (1 personne vaccinée et 1 personne non-vaccinée), en appariant chronologiquement (de 27 décembre 2020 au 30 avril 2021) chaque sujet vacciné à un sujet non vacciné à la date de vaccination (ou date index) de mêmes âge (même année de naissance), sexe, région administrative et type de résidence (EHPAD et USLD avec/sans PUI (pharmacie à usage intérieur)). Ces informations constituent les variables d’appariement. Les sujets non vaccinés (témoins) ne pouvaient être appariés qu’à une seule personne vaccinée. Si un sujet témoin était vacciné au cours du suivi, le suivi était aussitôt arrêté pour l’ensemble du couple auquel il appartenait, puis le sujet nouvellement vacciné était de nouveau éligible pour être inclus dans la cohorte en tant que vacciné.

Ainsi, avec cette méthode, les premiers vaccinés sont très rapidement sortis de l’étude puisqu’ils ont beaucoup de chance d’être appariés à un non-vacciné qui va se faire vacciner rapidement. Dès lors, il paraît tout à fait normal que l’étude ne soit pas capable de détecter de baisse d’efficacité vaccinale, puisqu’elle se débarrasse des primo-vaccinés au fur et à mesure. Les 1,1 million de comptés 2 fois signifient que l’étude de 1,1 million des 2,4 millions de vaccinés qui n’ont pas changé de groupe s’est arrêté précocement soit 45%.

Pourtant, il est trivial de savoir qui dans toute la cohorte sera un jour vacciné. Il ne faut donc pas apparier un vacciné avec un futur vacciné pour ne pas perdre son suivi.

Des non-vaccinés en bien mauvaise santé

Les auteurs ont apparié vaccinés et non-vaccinés selon quatre critères : même âge (même année de naissance), sexe, région administrative et type de résidence (EHPAD et USLD avec/sans PUI (pharmacie à usage intérieur)).

Pourtant, les nombreuses études à disposition montrent que l’état de santé d’une personne est déterminant sur son risque d’être hospitalisée ou même de décéder. À la page 16 de l’étude, on apprend que les non-vaccinés sont plus souvent :

  • En situation de grande défavorisation (indice 4 et 5)
  • Fragiles
  • Alcooliques
  • Obèses
  • Diabétiques
  • Fumeurs

Précisons à ce stade que les personnes défavorisées sont le plus souvent sous-diagnostiquées, ainsi les problèmes médicaux identifiés ont une probabilité plus grande d’être sous-estimés.

Il est donc « étonnant » que l’appariement n’ait pas eu lieu également sur ce type de critère qui risque fort de biaiser les résultats.

« Nous demandons que soit réalisé un appariement cohérent avec les variables affectant le résultat. »

Au lieu d’améliorer la qualité de l’appariement, les auteurs ont décidé d’établir une méthode pour corriger les biais des covariables citées. Le modèle de Cox est censé proposer des résultats sans biais. Pour appliquer cette méthode il faut supposer que l’évènement que l’on suit (décès ou hospitalisation) résulte d’une somme de facteurs et que certaines hypothèses soient vérifiées.

Ainsi, il faut que le risque porté par chaque covariable soit constant. Le modèle ne tient pas la route si le risque d’être hospitalisé pour Covid-19 lorsque l’on est fumeur dépend de la période de l’année. Étant donné que ce risque est fortement lié à la saison (beaucoup d’hospitalisations et de décès l’hiver et très peu l’été).

« Il faut donc que soient publiées les vérifications d’hypothèses permettant de justifier le modèle. »

Ajoutons que cette régression de Cox qui additionne des facteurs de risque n’a aucun sens si on considère que les risques ne s’additionnent pas. Ainsi, pour simplifier, si on considère que le risque porté par le fait de fumer et d’être obèse à la fois, est bien plus grand que le risque d’être fumeur additionné au risque d’être obèse, ce modèle ne tient pas non plus. Pourtant, cette augmentation du risque plus forte qu’un simple cumul semble bien probable dans la vraie vie. À l’inverse, si les risque ne s’additionnent pas et que le plus grand l’emporte, par exemple, le modèle s’écroule aussi.

Une méthode sans biais pourtant facile à mettre en œuvre

Il serait extrêmement facile pour Epi-Phare de retirer le biais de sélection sur l’enregistrement « Covid ». Il suffirait de garder la même étude, mais de choisir comme évènement d’intérêt « hospitalisation » et « décès », à la place d’« hospitalisation Covid » et « décès Covid ».

Cette étude permettrait en plus d’évaluer le bénéfice total de la vaccination, rapporté à ses risques. En effet, même si nous supposions que la déclaration Covid-19 n’a aucun biais de sélection entre non-vacciné et vacciné, il reste le biais lié à l’injection en elle-même. Si jamais l’injection est associée à une augmentation de la mortalité, même faible, des plus fragiles, alors les plus fragiles sont décédés avant d’être malades de la Covid-19. On trouvera alors un taux de mortalité lié à la Covid-19 plus faible chez les vaccinés, car certains seront morts avant.

Ainsi, comme pour l’étude de Dagan et al., nous demandons que soient considérés comme évènements d’intérêt les « décès » et « hospitalisations ». Cela nous permettra de savoir si ces injections ont un réel intérêt pour la santé publique.

D’autres personnes se sont interrogées sur cette étude

Sur les réseaux sociaux, plusieurs personnes se sont employées à critiquer cette pseudo-étude, comme Patrice Gibertie sur son blog Epiphare/des questions a poser sur la fameuse étude de veran qui justifie veran.

L’analyse la plus intéressante porte sur la validation exogène de l’étude en appliquant les données à d’autres pays comme Israël ou le Royaume uni pour analyser qu’en appliquant les ratios (1/10 décès de vaccinés) de l’étude Epi-Phare au Royaume uni il y aurait donc au 15650 décès de plus de 50 ans s’il n’y avait pas eu les vaccins. La calibration au réel est une phase essentielle de toute étude rétrospective et visiblement elle a été totalement omise de l’étude Epi=Phare comme si les autres pays n’existaient pas.

Et d’un point de vue de la dépense publique et du rapport coût-bénéfice ?

Il ne fait aucun doute que, si la Covid-19 est bien une maladie hautement contagieuse et mortelle dont les vaccins protègent à plus de 90%, il devrait apparaître nettement un intérêt de ces produits pour les décès et hospitalisations toutes causes.

Rappelons que cette demande a été clairement formulée par la Cour des comptes. Dans son rapport du 22 septembre 2021, la Cour des comptes analyse les statistiques mises à disposition par le gouvernement pour « informer » sur la situation actuelle et surtout justifier sa politique

La Cour des comptes est donc bien consciente que les statistiques estampillées « Covid » n’apportent absolument aucune information sur la situation sanitaire, et ce depuis le début de cette crise. Le terme « opaque » est bien évidemment le doux euphémisme de « propagande ».

Vu les sommes actuellement engagées dans cette politique vaccinale (5,7 milliards d’euros) alors qu’est maintenu le choix de supprimer les lits d’hôpitaux (-5 700 en 2020), il est plus que temps de prouver l’intérêt de cette stratégie, sans biais.

Un gain ridicule au regard de son coût

À partir de la page 23 sont listées les différences entre vaccinés et non-vaccinés selon la méthode utilisée. Même si nous n’avions pas relevé de problème de méthode dans cette étude, il faut réaliser le piètre bénéfice révélé ici.

Pour une somme engagée de 5,7 milliards d’euros, la politique du tout-vaccinal « permettrait » de passer d’un taux de 0,31% d’hospitalisation des personnes de 75 ans et plus à 0,03%, soit de 19 000 à 2 000 (-17 000 séjours) pour 6,2 millions de personnes. Pour les 20 millions de 50-74 ans, le risque passerait de 0,05% à 0,01%, soit de 9 000 à 1000 (-8 000).

Cela fait donc 5,7 milliards dépensés pour « éviter » 25 000 hospitalisations. En comparaison l’hôpital a enregistré en 2019 11,7 millions de séjours en hospitalisation complète et 17,6 millions de journées en hospitalisation partielle. Ce 25 000 est donc complètement insignifiant sur l’activité hospitalière française (0,21%) comme le révèle la quasi-impossibilité de l’observer graphiquement.

En revanche, en 2019, les dépenses de consommation de soins hospitaliers (secteurs public et privé, hors soins de longue durée) s’élèvent à 97,1 milliards d’euros. Les 5,7 milliards dépensés représentent près de 6 % de ce budget.

Constater un tel montant d’argent public ainsi dépensé au bénéfice des grands industriels pharmaceutiques, alors que le gain que l’État s’échine à vouloir justifier n’a pas le moindre rapport avec le coût de la vaccination, n’est qu’une preuve supplémentaire qu’à aucun moment depuis 18 mois il n’a été question de santé publique.

La transparence est le socle de toute étude scientifique, permettant à tous les chercheurs de réaliser des analyses sur la même base de données publiques. Si le gouvernement est aussi sûr de lui sur l’efficacité des vaccins, qu’il permette enfin aux chercheurs indépendants d’accéder aux données. C’est normalement le fondement de toute étude scientifique de nous permettre de réaliser aussi des analyses sur la même base. Pourquoi continuer à cacher des données pseudonymisées qui d’après eux prouvent le miracle de la vaccination en sauvant de nombreuses vies ? Ouvrez enfin les accès pour que nous puissions, nous aussi, être enfin convaincus par votre politique, au lieu d’avoir à subir vos conclusions sans pouvoir les vérifier.

Jacques Attali a bien déclaré que « faire confiance doit devenir un droit de l’Homme » et Lénine que « La confiance n’exclut pas le contrôle. » 

Auteur(s): Pierre Chaillot, statisticien, Vincent Pavan, mathématicien, et Xavier Azalbert, pour FranceSoir


[Source : pgibertie.com]

Même si Pascal Praud ne le veut pas, l’étude de Véran est foireuse

Non, Mr Praud vous ne pouvez renvoyer Yvan Rioufol dans les cordes par un simple argument d’autorité. L’étude EPI-PHARE est indigne, comparable à celle menée par la call-girl américaine pour discréditer l’hydroxychloroquine et permettre l’arrêt des expériences sur la molécule.

Non M Praud vous ne pouvez renvoyer Yvan Rioufol dans les cordes par un simple argument d’autorité. L’etude EPI PHARE est indigne, comparable a celle menée par la call girl américaine pour discréditer l’hydroxychloroquine et permettre l’arret des expériences sur la molécule.

Tout comme pour le Lancet Gate les observateurs découvrent le pot aux roses en mettant en évidence des impossibilités statistiques. J’avais exposé les mêmes remarques pour une étude qui prétendait suivre via des appariements presque toute la population israélienne. Depuis le biais chronologique a été reconnu : risque de mettre dans le même couple un vacciné et un non-vacciné, mais pour des périodes chronologiques différentes, les non-vaccinés sont très nombreux pour les groupes âgés en pleine pandémie (février mars avril) et ils seront très exposés à la maladie. Si on les compare à un nombre équivalent de vaccinés en mai ou juin, les vaccinés tomberont moins malades non parce qu’ils sont vaccinés, mais parce que la pandémie est terminée…

L’étude de Mr Véran s’en défend, mais alors nous nous heurtons à des impossibilités statistiques : comment trouver des non-vaccinés en nombre suffisant en mai juin juillet ?

L’étude explose sous les incohérences ! Les données de l’Assurance Maladies et celles de Santé publique France sont en contradiction sur de multiples points avec celles de ladite étude. Vérifiez !

Si l’on applique la règle Véran (le vaccin réduit la mortalité de 90 % on tombe alors sur des absurdités statistiques). En effet sans le vaccin il faudrait multiplier par dix le nombre de morts vaccinés pour avoir le nombre de décès évités

sans le vaccin, cet été la France aurait eu plus de morts que l’hiver dernier avec deux fois moins de cas… Impossible

Israël et le Royaume-Uni auraient dû avoir depuis mars trois fois plus de décès que n’en ont enregistré les statistiques de ces pays, bien plus que cet hiver

Aux 722 décédés britanniques non vaccinés il faudrait rajouter 1700 vaccinés décédés et donc 17 000 décédés évités par le vaccin selon Véran. 20 000 MORTS au lieu de 2400… Impossible !

Vous avez lancé un appel à témoignage, nous serons des centaines d’universitaires à vous répondre sur tous les points précis, mais en attendant :

Comment expliquez-vous que cette étude qui prétend suivre 22 millions de Français sur plusieurs mois puisse y parvenir ?

Le diable se cache dans les détails :

20 % DES PLUS DE 55/74 ANS FUMENT, l’étude n’en trouve que 5 %.

10 % DES PLUS DE 74 ANS FUMENT L’ÉTUDE EN TROUVE 1 %.

Les statistiques officielles comptent 170 000 personnes prises en charge pour Parkinson dans toute la France, l’étude en trouve le double pour les plus de 50 ans.

Des différences inexplicables en plus ou en moins sont vérifiables pour le diabète ou Alzheimer.

Les groupes de non-vaccinés sont deux fois plus nombreux à ne pas être vaccinés contre la grippe. Les lecteurs de ce blog n’ignorent pas que la moitié des Covid graves sont associés à une grippe préparant le terrain à la Covid.

la différence est conséquente pour les plus de 75 ans parmi lesquels on compte 700 000 non vaccinés contre la grippe de plus dans le groupe des non-vaccinés Covid.

L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200 000

1,1 M DE VACCINES AURAIENT ÉTÉ COMPTES ET APPARIES DEUX FOIS

Au début de la période considérée 1,1 M de vaccinés contre I, 1 million de non vaccinés, mais au fur et à mesure où les non-vaccinés se font vacciner, ils deviennent dans l’étude des vaccinés et sont appariés à de nouveaux non vaccinés. Les 1,1 M de vaccinés avec lesquels ils étaient appariés sont retirés définitivement de l’étude et par conséquent cessent d’être suivis. S’ils tombent malades par la suite, au pire moment de la pandémie, cela ne sera pas pris en compte.

Étudions ce qui se passe au cours du dernier mois de ladite étude

CONTRADICTION ENTRE SANTÉ PUBLIQUE France ET L’ÉTUDE EPI-FOIRE : 600 vaccinés hospitalisés manquent à l’appel en juillet

Entre le 20 juin et le 21 juillet selon Geodes nous avons eu en tout 730 hospitalisations de plus de 75 ans

Par ailleurs selon Epi Phare l’étude se serait poursuivie avec en appariement un million de non vaccinés de cette tranche d’âge, soit a minima, tous ceux qui vivent dans le pays à ce moment-là…

Et un million de vaccinés (faciles à trouver). Mais à qui feront-ils croire qu’ils ont pu suivre un nombre équivalent de plus de 75 ans non vaccinés et de vaccinés après le 30 avril ? … Au début mai il n’y avait en France que 1,5 million de plus de 75 ans, et leur nombre n’a cessé depuis de diminuer…

Toujours selon EPI-PHARE il y aurait eu pour tous les non-vaccinés disponibles dans le pays 154 hospitalisations… On devrait en déduire que les hospitalisés vaccinés de plus de 75 ans sont 730-154 soit 576… Pas du tout ils n’en trouvent que 25

Problèmes majeurs c’est de cette période que l’on tire les enseignements sur l’efficacité à long terme des vaccins contre le Delta

En recoupant les statistiques de l’étude avec celles de la DREES, nous observons deux biais majeurs :

  • les vaccinés se font tester dix fois moins que les non-vaccinés ce qui rend impossibles les comparaisons de risques de contamination entre les deux catégories. Les études sérieuses portent sur la charge virale dans les muqueuses, elle est identique ce qui démontre que la vaccination ne protège pas de la contamination
  • nous pouvons être certains qu’au moins 90 % des hospitalisés vaccinés Covid ont été testés Covid via un test PCR, mais ils ne doivent être que 60 % des hospitalisés non vaccinés à être certifiés Covid

La sous-évaluation des vaccinés hospitalisés est donc là encore évidente !




La poliomyélite, une escroquerie médicale de plus ?

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

L’histoire de la polio

La maladie la plus souvent invoquée pour défendre les vaccins est sans conteste la poliomyélite. Par coïncidence, c’est aussi le plus grand mensonge et la plus grande escroquerie médicale de tous les temps. Les toxines causant la “polio” sont bien documentées. Le virus responsable de la polio n’a jamais existé.

Une infirmière assiste un patient de 27 ans dans un poumon d’acier à Syracuse, N.Y., en 1954

1824 : Les ouvriers métallurgistes souffraient depuis des siècles d’une paralysie similaire à la polio, causée par le plomb et l’arsenic présents dans les métaux qu’ils travaillaient. Le scientifique anglais John Cooke observe : “Les fumées de ces métaux, ou leur réception en solution dans l’estomac, provoquent souvent des paralysies”.

1890 : Aux États-Unis, on commence à pulvériser de l’arséniate de plomb jusqu’à 12 fois par été pour tuer le carpocapse des pommes.

1892 : Des épidémies de polio commencent à se produire dans le Vermont, une région de culture de pommes. Dans son rapport, l’inspecteur du gouvernement, le Dr Charles Caverly, note que les parents signalent que certains enfants tombent malades après avoir mangé des fruits. Il déclare que ” la paralysie infantile se produit généralement dans des familles comptant plusieurs enfants, et comme aucun effort n’a été fait pour les isoler, il est très probable qu’elle n’est pas contagieuse ” (un seul enfant de la famille ayant été touché).

1907 : L’arséniate de calcium est utilisé principalement sur les cultures de coton.

1908 : Dans une ville du Massachusetts comptant trois usines de coton et des vergers de pommiers, 69 enfants tombent soudainement malades de paralysie infantile.

1909 : Le Royaume-Uni interdit les importations de pommes en provenance des États-Unis en raison de la présence de résidus importants d’arséniate de plomb.

1921 : Franklin D. Roosevelt développe la polio après avoir nagé dans la baie de Fundy, au Nouveau-Brunswick. La toxicité de l’eau pourrait être due à des écoulements polluants.

1943 : Introduction du DDT, un pesticide neurotoxique. Au cours des années suivantes, son utilisation se généralise dans les foyers américains. Par exemple, du papier peint imprégné de DDT a été placé dans les chambres d’enfants.

1943 : Une épidémie de polio dans la ville britannique de Broadstairs, dans le Kent, est liée à une laiterie locale où les vaches étaient lavées au DDT.

1944 : Albert Sabin rapporte qu’une cause majeure de maladie et de décès des troupes américaines basées aux Philippines était la poliomyélite. Les camps militaires américains y sont pulvérisés quotidiennement avec du DDT pour tuer les moustiques. Les colonies philippines voisines n’ont pas été touchées.

1944 : Le NIH rapporte que le DDT endommage les mêmes cellules de la corne antérieure qui sont endommagées dans la paralysie infantile.

1946 : Gebhaedt montre que la saisonnalité de la polio est en corrélation avec la récolte des fruits.

1949 : Le Dr Morton Biskind, endocrinologue, praticien et chercheur médical, constate que le DDT provoque ” des lésions de la moelle épinière similaires à celles de la polio humaine “.

1950 : Le directeur médical de l’hygiène industrielle de la santé publique américaine, J.G. Townsend, note la similitude entre l’empoisonnement au parathion et la polio et pense que certaines polio pourraient être causées par la consommation de fruits ou de légumes contenant des résidus de parathion.

1951 : Le Dr Biskind traite ses patients atteints de polio comme des victimes d’empoisonnement, en éliminant les toxines de la nourriture et de l’environnement, en particulier le lait et le beurre contaminés par le DDT. Le Dr Biskind écrit : “Bien que les jeunes animaux soient plus sensibles aux effets du DDT que les adultes, dans la mesure où la littérature disponible est concernée, il ne semble pas que les effets de telles concentrations sur les nourrissons et les enfants aient même été pris en compte.

1949-1951 : D’autres médecins déclarent avoir du succès dans le traitement de la polio avec des antitoxines utilisées pour traiter les empoisonnements, le dimercaprol et l’acide ascorbique. Exemple : Le Dr. F. R. Klenner rapporte : Lors de l’épidémie de poliomyélite en Caroline du Nord en 1948, 60 cas de cette maladie ont été pris en charge… Le traitement consistait en des doses massives de vitamine C toutes les deux à quatre heures. Les enfants jusqu’à quatre ans recevaient une injection de vitamine C par voie intramusculaire… Tous les patients étaient cliniquement bien portants au bout de 72 heures.”

1950 : Le Dr Biskind présente au Congrès américain des preuves que les pesticides sont la principale cause des épidémies de polio. Il est rejoint par le Dr. Ralph Scobey qui déclare avoir trouvé des preuves évidentes d’empoisonnement en analysant les traces chimiques dans le sang des victimes de la polio.

Commentaire : C’était un non-lieu. La théorie de la causalité virale ne devait pas être remise en question. Les carrières d’éminents virologues et d’autorités sanitaires étaient menacées. Les idées de Biskind et Scobey sont tournées en ridicule.

1953 : Les vêtements sont rendus imperméables aux mites en les lavant dans de l’EQ-53, une formule contenant du DDT.

1953 : Le Dr Biskind écrit : “On savait déjà en 1945 que le DDT était stocké dans les graisses corporelles des mammifères et qu’il apparaissait dans leur lait… pourtant, loin d’admettre une relation de cause à effet entre le DDT et la polio qui est si évidente et qui, dans n’importe quel autre domaine de la biologie, serait immédiatement acceptée, pratiquement tout l’appareil de communication, tant profane que scientifique, a été consacré à nier, dissimuler, supprimer, déformer et tenter de convertir en son contraire cette preuve accablante. La diffamation, la calomnie et le boycottage économique n’ont pas été négligés dans cette campagne”.

1954 : Une législation reconnaissant les dangers des pesticides persistants est promulguée, et l’élimination progressive du DDT aux États-Unis s’accélère parallèlement à un transfert des ventes de DDT vers les pays du tiers monde.

(Notez que l’élimination progressive du DDT coïncide avec le début de la vaccination généralisée contre la polio. Cela dit, les cas de polio ne montent en flèche que dans les communautés qui acceptent le vaccin antipoliomyélitique, car ce dernier contient des métaux lourds et d’autres toxines, de sorte que le récit de la paralysie recommence. Comme les vaccins contre la polio provoquent d’énormes pics de polio, le public mal informé demande davantage de vaccins contre la polio et le cycle s’emballe de manière exponentielle).

1956 : l’American Medical Association impose à tous les médecins agréés de ne plus classer la polio comme telle. Tous les diagnostics de polio sont rejetés au profit du syndrome de Guillian-Barre, de la PFA (paralysie flasque aiguë), de la paralysie de Bell, de l’infirmité motrice cérébrale, de la SLA (maladie de Lou-Gehrig), de la SEP, de la MD, etc. Ce tour de passe-passe a été fabriqué dans le seul but de donner au public l’impression que le vaccin contre la polio avait réussi à faire reculer la polio ou à l’éradiquer. Le public a mordu à l’hameçon et, jusqu’à ce jour, de nombreux arguments en faveur des vaccins sont alimentés par le mensonge fabriqué concernant l’éradication de la polio par le vaccin.

1962 : Publication de Silent Spring de Rachel Carson.

1968 : Abandon de l’homologation du DDT aux États-Unis.

2008 : La paralysie flasque aiguë (PFA) fait toujours rage dans de nombreuses régions du monde où l’utilisation de pesticides est élevée, et où le DDT est toujours utilisé. La PFA, la sclérose en plaques, la paralysie de Bell, l’infirmité motrice cérébrale, la sclérose latérale amyotrophique (maladie de Lou Gehrig) et le syndrome de Guillain Barré sont tous des diagnostics de type “panier de crabes”, aux symptômes similaires, liés à l’empoisonnement par les métaux lourds et à une charge toxique élevée.

2008 : L’OMS déclare sur son site web : Il n’y a pas de remède à la polio. Ses effets sont irréversibles”.

Conclusion :

La croyance moderne selon laquelle la polio est causée par un virus est une tragédie permanente pour les enfants du monde. Les fonds publics sont gaspillés pour des vaccins inutiles et dangereux alors que les enfants pourraient être traités avec des antitoxines. Un débat sur le mythe de la vaccination est justifié, ainsi qu’une enquête complète sur le véritable programme exécuté contre l’humanité, impliquant la science, les produits chimiques, les vaccins, le domaine médical en général et le gouvernement.

[Voir aussi :
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Propositions de ressources pour vérifier ces informations :
https://learntherisk.org/vaccines/diseases/#Polio
https://www.westonaprice.org/health-topics/environmental-toxins/pesticides-and-polio-a-critique-of-scientific-literature/

Source (anglais) : https://truth11.com/2021/10/09/the-history-of-polio-the-go-to-disease-to-defend-vaccines-is-polio-coincidently-its-also-the-greatest-lie-and-medical-con-job-of-all-time/




La secrétaire de presse de la Maison Blanche qualifie les vaccinés de « personnes marquées » — La marque de la bête !

[Source : Hal Turner Radio Show]

Le 10 septembre 2021, la Maison Blanche a diffusé en direct sur Internet une conférence de presse à laquelle participait l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki.  Une grande partie de cette conférence de presse portait sur l’annonce faite précédemment par le président qu’il allait obliger les entreprises de 100 employés ou plus à faire vacciner leurs employés contre le COVID-19.

Ce mandat met les gens dans une position où ils doivent soit accepter une thérapie génique expérimentale dans leur corps, soit perdre leur gagne-pain.  C’est de la coercition et de l’extorsion.

Depuis cette annonce, de plus en plus d’efforts ont été déployés, tant aux États-Unis qu’à l’étranger, pour obliger les gens à se faire vacciner contre le COVID.  Au Canada, par exemple, les autorités québécoises ne se contentent pas d’exiger que les travailleurs de la santé se fassent vacciner, mais si ces derniers refusent, ils ne seront pas simplement renvoyés de leur emploi, mais leur LICENCE de soins de santé sera révoquée afin qu’ils ne puissent pas aller travailler ailleurs !

Le niveau de « pression » pour prendre cette modification génétique est si fort, et le refus de la prendre est si répandu que l’intimidation draconienne, la coercition et l’extorsion pour prendre la modification génétique, semblent maintenant la norme.

Les raisons pour lesquelles de nombreuses personnes rejettent le vaccin sont valables : Il provoque des caillots sanguins qui entraînent des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques chez de nombreux patients.  Plus de 14 000 Américains sont déjà morts quelques jours seulement après avoir pris le vaccin.  Certains meurent en quelques minutes !

Chez les jeunes, le vaccin a provoqué des myocardites, c’est-à-dire des gonflements du muscle cardiaque… et des péricardites, c’est-à-dire des gonflements de la paroi du cœur.  Statistiquement, les jeunes qui souffrent de myocardite ont un taux de mortalité de vingt pour cent dans l’année et de cinquante pour cent dans les cinq ans.  En d’autres termes, la moitié d’entre eux meurent.  Sur les quelque 9 millions de jeunes qui ont pris le vaccin, 360 000 ont contracté une myocardite.  Statistiquement, la moitié d’entre eux (180 000) seront MORTS dans les cinq ans !
Pourtant, le pouvoir en place continue de faire pression pour que ce vaccin soit administré à un nombre croissant de personnes.   

Dès le début de la distribution du soi-disant vaccin COVID-19, on a appris que les soi-disant « vaccins » ne contenaient pas le contenu typique d’un vaccin.   Habituellement, un vaccin contient une petite quantité du virus réel, soit vivant, soit atténué pour le rendre plus faible.  Ce n’est pas le cas des vaccins COVID.   Habituellement, les vaccins contiennent des versions « ADN recombinant » du virus, où des gènes du virus réel sont génétiquement remplacés par des gènes de levure, de sorte que l’extérieur du virus conserve son apparence, mais que l’intérieur est constitué de levure inoffensive.  Les vaccins COVID ne contiennent pas cela non plus.

La plupart des vaccins COVID contiennent de l’ARN messager (ARNm), l’un des messagers les plus fondamentaux des blocs de construction de l’ADN du corps humain.  L’ADN dit à l’ARN ce qu’il doit faire ; l’ARN dit ensuite à toutes les cellules de notre corps ce qu’elles doivent faire. Étrangement, l’ARN a la capacité de modifier l’ADN par l’action de la transcriptase inverse.   Une fois que l’ADN est modifié, il ne peut jamais – JAMAIS – être remis dans sa forme originale.  Il est modifié à jamais.

Ce fait a conduit certaines personnes à demander :

« Si l’ARNm modifie notre ADN, sommes-nous encore humains ? ». 

D’autres ont demandé,

« puisque la Cour suprême des États-Unis a statué que personne ne peut breveter une substance naturelle, mais peut breveter des substances modifiées, si le fait de permettre à l’ARNm de modifier notre ADN fait de nous la propriété de la société qui a modifié notre ADN ?  Sommes-nous un nouveau produit maintenant ? »

Enfin, certains sont allés jusqu’à demander :

« Notre Créateur, Dieu, nous reconnaîtrait-il comme siens une fois que notre ADN a été modifié ? ». 

C’est cette question que beaucoup de gens ont trouvé la plus troublante, car les croyants de la Bible ont été mis en garde depuis des générations contre « la marque de la Bête ».

Sans entrer dans les interprétations sans fin des passages bibliques, nous présentons simplement ce que dit la Bible :

1 Puis je vis monter de la mer une bête qui avait sept têtes et dix cornes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème.
2 La bête que je vis ressemblait à un léopard; ses pieds étaient comme ceux d’un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, son trône et une grande autorité.
3 Une de ses têtes paraissait blessée à mort; mais sa plaie mortelle fût guérie, et toute la terre, saisie d’admiration, suivit la bête,
4 et l’on adora le dragon, parce qu’il avait donné l’autorité à la bête, et l’on adora la bête, en disant:  » Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle? « 
5 Et il lui fut donné une bouche proférant des paroles arrogantes et blasphématoires, et il lui fût donné pouvoir d’agir pendant quarante-deux mois.
6 Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, son tabernacle et ceux qui habitent dans le ciel.
7 Et il lui fut donné de faire la guerre aux saints et de les vaincre; et il lui fût donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue et toute nation.
8 Et tous les habitants de la terre l’adoreront, ceux dont le nom n’a pas été écrit dans le livre de vie de l’Agneau immolé, dès la fondation du monde.
9 Que celui qui a des oreilles entende!
10 si quelqu’un mène en captivité, il sera mené en captivité; si quelqu’un tue par l’épée, il faut qu’il soit tué par l’épée. C’est ici la patience et la foi des saints.
11 Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui portait comme un dragon.
12 Elle exerçait toute la puissance de la première bête en sa présence, et elle amenait la terre et ses habitants à adorer la première bête, dont la plaie mortelle avait été guérie.
13 Elle opérait aussi de grands prodiges, jusqu’à faire descendre le feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes,
14 et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu’il lui était donné d’opérer en présence de la bête, persuadant les habitants de la terre de dresser une image à la bête qui porte la blessure de l’épée et qui a repris vie.
15 Et il lui fut donné d’animer l’image de ta bête, de façon à la faire parler et à faire tuer tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la bête.
16 Elle fit qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front,
17 et que nul ne pût acheter ou vendre, sil n’avait pas la marque du nom de la bête ou le nombre de son nom.
18 C’est ici la sagesse! Que celui qui a de l’intelligence compte le nombre de la bête; car c’est un nombre l’homme et ce nombre est six cent soixante-six.

La Bible indique donc que les habitants de la terre seront séduits [Ndlr : « ensorcelés », « hypnotisés »…] et devront accepter une marque pour pouvoir acheter ou vendre.

Qu’est-ce que le monde voit se dérouler en ce moment même avec la marque du COVID ?   Nous voyons les gens se faire dire qu’ils ne peuvent pas sortir, qu’ils ne peuvent pas entrer dans les magasins (acheter ou vendre) sans quoi ?  Le vaccin !

Et quel est l’un des ingrédients du vaccin COVID ?  « Luciférase »… le nom de Lucifer !

Pourtant, alors qu’une myriade de personnes, même des experts religieux, ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour expliquer aux gens que les vaccins COVID ne sont PAS la « marque de la bête », l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a laissé échapper le contraire.  Lors du point de presse du 10 septembre, Psaki, depuis le podium de la salle de presse de la Maison Blanche, a répondu à une question des journalistes sur le mandat de Biden en disant ce qui suit :

« Ce que vous avez entendu le président transmettre hier, ce sont les prochaines mesures qu’il prend, en utilisant tous les leviers du gouvernement, pour réduire, euh, les maladies, pour réduire les hospitalisations, pour protéger les personnes marquées, et sauver plus de vies. »   [Ndlr : « Marked people » en anglais.]

Elle l’a vraiment dit, PERSONNES MARQUÉES.
PERSONNES MARQUÉES !!!!!!!!

Avancez jusqu’à 1:11:50 dans la vidéo ci-dessous, et vous entendrez la journaliste poser la question à Psaki et vous verrez et entendrez Psaki le dire elle-même :

Personne ne fait une telle erreur.  Personne ne substitue le mot « marqué » [« marked » en anglais] à « plus » [« more » en anglais].  

Pourtant, c’est exactement ce que le secrétaire de presse de la Maison Blanche a dit.  « Des personnes marquées. »

Commentaire d’Hal Turner

Ne vous laissez pas tromper.  Vous connaissez maintenant la vérité.  Vous l’avez entendue de leur propre bouche.
Les vaccinés sont des « personnes marquées ».  Quelle autre marque aurait-elle pu vouloir dire, sinon la marque de la bête ?

Une fois que vous l’aurez entendu de vos propres oreilles, si vous restez assis là, complètement étonnés, vous ne serez pas les seuls.   J’ai été complètement abasourdi de l’entendre moi-même.

C’est aussi clair que le jour.  Aussi clair que le nez au milieu de ma figure.  « Les personnes marquées. »
Un certain nombre d’entre vous m’ont dit que nous vivions dans les derniers jours.   J’ai eu du mal à le croire, mais après cela… wow!… c’est ce que je vois.  

En fait, compte tenu de ce que je vois, il semble maintenant que notre gouvernement national soit dirigé par Satan lui-même.

Non, merci.


[Note de Joseph :
L’élément le plus abondant de la croûte terrestre est la silice (SIO2) composée de silicium et d’oxygène.
Le silicium est la base des puces électroniques qui équipent tous les ordinateurs, tablettes, téléphones prétendument intelligents, et même la plupart des appareils électroniques et électroménagers, jusque dans les voitures.
Il est la base de l’informatique pratique, et se trouve donc derrière le fonctionnement de tous les logiciels sans lesquels une bonne partie des miracles de la technologie moderne ne seraient pas accomplis.
Les États-Unis et leur pouvoir bicéphale (ou bicorne) Démocrate-Républicain représentent la terre de naissance de l’informatique moderne, notamment avec la Silicon Valley.
La Bête de la terre peut donc symboliser à la fois les États-Unis et l’informatique.
La science s’est corrompue en scientisme technologique répandu sur la Terre entière au point de devenir comme une véritable religion mondiale dont les dogmes et croyances ne se discutent pas plus que ceux du catholicisme en nette perte d’influence. Le dogme vaccinal et celui du réchauffement climatique anthropique, par exemple, sont indiscutables aux yeux des grands-prêtres médiatiques qui font office de nouveaux inquisiteurs devant toute déviation de la pensée unique. Les discuter, les remettre en question, c’est s’exposer à l’excommunication de l’église scientiste, voire au bûcher pour sorcellerie.

Voir aussi :
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist]




Lettre ouverte aux journalistes diffamateurs

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Maryse Laurence Lewis

Ce texte a été motivé par la lecture d’un article rédigé par la psychologue Geneviève Beaulieu-Pelletier, publié dans le journal le Soleil.(([1] https://www.lesoleil.com/actualite/science/neuf-barrieres-psychologiques-derriere-le-refus-de-la-vaccination-314dc917f0c619c1956b5396bbdf5f51))

Les gens qui refusent actuellement la vaccination, et dont on parle tant, sont en fonction dans les hôpitaux et les CHSLD. Contrairement aux journalistes des grands médias, leurs études englobent l’anatomie, la biologie, la connaissance des substances chimiques. De plus, même pour les préposés n’ayant pas cette formation, ceux-ci et le personnel soignant sont en contact direct avec les patients. Donc, mieux placés que quiconque pour savoir combien de malades décèdent réellement de la Covid-19 et combien de cas lui sont attribués par “co-morbidité”, alors que des centaines de patients sont hospitalisés pour des maladies respiratoires, cardiaques ou pour faiblesses immunitaires. Selon la Société Canadienne du Cancer, ce sont en moyenne 228 personnes par jour, au Québec et au Canada, qui meurent de cette maladie. (Des conspirationnistes, sans doute!) Excluant les cas habituels de mortalité par grippes saisonnières, malgré la vaccination effectuée chaque automne, depuis des années. Faites le compte et n’allez pas insinuer que ces causes de décès n’existent plus, et ne confondez pas les détections supposées de cas positifs d’avec les individus réellement atteints par un virus.(([2] https://cancer.ca/fr/research/cancer-statistics/cancer-statistics-at-a-glance))

La publicité mensongère

Dans les publicités gouvernementales, radiodiffusées ou livrées par la poste aux citoyens, on affirme que la vaccination ne présente aucun risque. Même l’Organisation Mondiale de la Santé mentionne les effets secondaires possibles et les incertitudes. Sans doute, les journalistes des grands médias et le gouvernement ignorent-ils ce qu’est un choc anaphylactique ou le syndrome de Guillain Barré. Et on insulte ceux qui refusent la vaccination et qui, eux, savent la différence entre les quatre types de vaccins que l’on administre en ce moment.(([3] https://www.who.int/fr/news-room/q-a-detail/coronavirus-disease-(covid-19)-vaccines?adgroupsurvey))

De même, Mme Beaulieu-Pelletier affirme que les vaccins dérivent de techniques connues depuis longtemps. En ce qui concerne le vaccin des Chinois, oui. Ce sont d’ailleurs eux qui ont inventé le principe des vaccins, bien avant Pasteur! Dans “Les voyages de Potocki”, en 1791, cet aventurier polonais le confirme, durant un périple au Maroc, un père montrait fièrement son enfant vacciné, grâce au procédé utilisé en Chine et en pays musulmans pour contrer la variole.(([4] Jean Potocki, Voyages, Éditions Garnier-Flammarion, publication de 2015.))

Si on parle de vaccin à virus inactivé ou atténué, oui, la technique est maîtrisée depuis longtemps. De vaccin à véhicule viral ou protéine recombinante, c’est plus récent, mais déjà testé. Quant aux doses de Moderna et Pfizer, toutes les deux utilisant un brin d’ARN, il est totalement faux de prétendre que cette technique est éprouvée et que les tests sur les humains sont achevés. Bill Gates n’est pas un philanthrope, il a investi dans tous les vaccins, sauf celui des Russes, et s’il se préoccupait de la santé des Africains, il n’aurait pas fait entreposer ses doses dans un hangar à 28 degrés Celsius, alors que même un congélateur ordinaire ne suffit pas à conserver adéquatement ces composés à l’ARN. 

L’Esprit critique, c’est justement savoir rejeter les sites farfelus et s’informer au-delà des médias subventionnées par des entreprises privées et des monopoles financiers. Et surtout, se renseigner auprès des scientifiques qui ne sont pas en collusion avec les entreprises pharmaceutiques. Celles-ci ont d’ailleurs exigé des États de ne jamais être tenues responsables de l’inefficacité ou des dommages entraînés par leurs vaccins. De plus, si les vaccins s’avéraient si efficaces, le peu d’individus non vaccinés ne pourraient contaminer ceux qui ont reçus les deux doses, et auxquels on en proposera une troisième, une quatrième… Étant donné qu’il existe une cinquantaine de laboratoires de niveau P4 où l’on conserve les pires virus, cette histoire n’aura de fin que lorsqu’on les interdira.

Si j’en avais les moyens, j’initierais un procès en diffamation et pour non respect de la neutralité journalistique, entre autres, à Mme Marie-Andrée Chouinard et à Richard Martineau, à Mme la Bien-Pensante psychologue, ainsi qu’aux responsables d’Info-sectes qui confondent les gens lucides et les  instigateurs de groupes ésotériques. Ces journalistes trahissent leur rôle de média d’information en ne présentant pas les arguments des gens qui s’opposent à la vaccination obligatoire. Ils sont incapables de justifier ou décrire les particularités des vaccins, ne sont aptes qu’à insulter ceux qui savent pourquoi ils ne désirent pas devenir cobayes pour des entreprises n’ayant rien de philanthropiques. Les gens qui défendent la liberté de recevoir ou de refuser le vaccin, lié à la Covid, ne sont pas des ignorants aux prises avec des problèmes psychologiques. Au lieu de confondre les amateurs de sectes, les visionnaires d’extraterrestres et autres fabulateurs d’avec les gens conscients, formés en médecine ou en biologie, Mme Beaulieu-Pelletier ferait mieux de soigner de véritables complotistes et pervers tel que Klaus Schwab, le fondateur du Forum Économique Mondial et les membres de la Fondation Rockefeller.

[Note de Joseph : les personnes qui ont vu des entités non humaines, supposément extraterrestres ou d’une autre nature, ou celles qui pensent que celles-ci peuvent réellement exister ne sont pas du tout nécessairement des fabulateurs ni des tarés. Un nombre non négligeable de scientifiques en font partie, dont des astronomes professionnels. Quant aux sectes, n’importe qui peut s’y retrouver embarqué sans s’en rendre compte au départ, parce qu’il traverse une période de vulnérabilité, ou parce qu’il trouve un groupe sympathique, ou encore parce que les idéaux, les philosophies, ou les modes de vie présentés l’attirent. Des individus de tous milieux socioculturels, de toutes professions, et de n’importe quel QI s’y sont déjà retrouvés.

Le procédé qui consiste à dénigrer des groupes humains pour tenter de revaloriser celui auquel on s’identifie est beaucoup trop facile. S’il y a présentement un combat contre l’Humanité, peut-être vaut-il mieux éviter de se tromper d’adversaire ou de s’en créer inutilement. Cette dernière se trouve déjà suffisamment divisée.]

Le premier publiant sans censure des élucubrations transhumanistes dans sa “Quatrième révolution industrielle” et les seconds ayant financé les recherches eugénistes avant, pendant et après la période nazie. Quant à la « théorie conspirationniste » de volonté de réduction de la population, faites une recherche sur l’initiative de Henry Kissinger et son Memorendum-200. Des femmes et aussi des hommes pauvres, de l’Inde, du Brésil, du Pérou, entre autres, ont été stérilisés grâce au Fonds des Nations-Unies pour la Population. Un travail parfois effectué à une vitesse digne d’une usine performante, comprenant des dommages collatéraux sous forme de décès. Sur le site officiel, on parle de contraception, de prévention, jamais de charcuterie en série.(([5] https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9rilisation_contrainte
//pdf.usaid>pdf_docs>PCAAB500 (document qui se télécharge) ))

À l’ensemble du personnel soignant que l’on menace de congédiement, je suggère donc de s’allier au groupe CSAPE qui demande à la Cour Pénale Internationale de juger les responsables de la crise actuelle pour crime contre l’humanité.(([6] https://www.csape.international/))

Maryse Laurence Lewis

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Maryse Laurence Lewis, Mondialisation.ca, 2021

Notes – Références :




La prison électronique ou rien?

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Dominique Muselet

J’ai participé autrefois à une expérience grâce à laquelle j’ai découvert un des principes fondamentaux de ce qu’on appelait la Création quand Dieu dirigeait nos vies.

L’animateur a mis toutes sortes d’instruments à la disposition d’un groupe de personnes n’ayant aucune connaissance musicale, puis il nous a demandé de jouer ensemble, a enregistré notre performance et nous l’a fait écouter. A la cacophonie du début, s’est substituée, en deux jours, une belle harmonie…

Et c’est là que j’ai compris que l’harmonie est le cœur de la Création. Il me semble que tout dans l’univers aspire à l’harmonie et que sans harmonie rien ne fonctionnerait. Ou du moins, il doit y avoir davantage d’harmonie que de désordre pour que ça marche.

Bon, je crois que nul ne niera qu’en ce moment l’harmonie est particulièrement mise à mal dans notre société. La polarisation, la « fracture » qui est le fonds de commerce des commentateurs stipendiés, a atteint des sommets. Au niveau international, le conflit s’intensifie entre l’Occident déclinant et le bloc eurasiatique montant. La guerre nucléaire menace. Les multinationales financiarisées et les politiciens qu’elles ont fait élire mènent une guerre impitoyable aux peuples, les riches aux pauvres, les covidistes aux réfractaires à l’ordre sanitaro-politique, les mondialistes au communautarisme, et au niveau local, les tribus nouvellement formées, se livrent de cruelles guerres de territoire et d’influence…

L’histoire de la création chez les Iroquois

La recherche d’harmonie est ce que personnellement j’appelle Dieu. Dans un ashram, en Inde, j’ai lu, dans la traduction d’un livre de prières sanskrites, que Dieu, c’est « ce qui tient tout ensemble ». Quand Jésus dit que Dieu est amour, il dit la même chose. L’amour n’est pas un sentiment, c’est l’action de créer ou de maintenir l’harmonie, l’unité, la paix. Le diable, c’est l’incarnation de tout ce qui divise. Jusqu’ici, l’univers est toujours là et nous aussi. Cela semble indiquer que, même si des morceaux de l’univers se désagrègent sans cesse, Dieu, la force « qui tient tout ensemble », triomphe encore, peut-être de justesse, mais il triomphe.

C’est ce qu’ont tenté de nous enseigner Jésus, Gandhi, Martin luther King et tant d’autres. Malheureusement, les États, nos nouveaux dieux, n’ont pas à leur disposition de grandes réserves d’amour. Du coup, ils choisissent le contrôle, la menace, la manipulation, la coercition, la punition, la prison, pour tenter de tenir tout ensemble. Il est vrai que leur but n’est pas non plus aussi désintéressé que celui du Dieu de Jésus, eux cherchent plutôt à se maintenir eux-mêmes, à nos dépens s’il le faut.

La dérive liberticide actuelle est bien documentée par de nombreux observateurs, même si le camp de l’Establishment tente de les faire taire par tous les moyens. Je ne vais pas y revenir. D’ailleurs, j’ai décidé d’ignorer désormais ce gouvernement et ses folies criminelles pour protéger ma santé mentale et ma paix intérieure. Ce qui m’intéresse ici, c’est d’essayer, à partir du présent, de nous projeter dans l’avenir.

Un des effets les plus inattendus de l’opération-Covid a été, à mon sens, de rebattre les cartes des alliances sur le terrain. Des gens et des groupes ont carrément changé de camp. Les Socialistes, certains écologistes, quelques Gilets jaunes et beaucoup de gens qu’on croyait tolérants et de bon sens ont révélé leur vrai visage en soutenant les mesures mises en place par les apprentis Big Brother, ou en en exigeant d’encore plus liberticides. On dirait qu’ils veulent passer de la libre circulation des personnes et des capitaux à la prison électronique pour tous (sauf pour eux évidemment).

De l’autre côté, des gens qu’on avait l’habitude de considérer comme des fashos comme Florian Philippot, ou qu’on tenait pour de nuisibles capitalistes ou des suppôts de la Caste, se sont révélés des défenseurs de la liberté tout à fait extraordinaires. Les irréductibles gauchistes diront que ces gens-là déguisent leur pensée pour tirer un profit personnel de la crise, mais moi j’ai tendance à croire que ceux qui risquent leur statut, leur emploi, leur vie, pour défendre la liberté, sont au moins aussi sincères que ceux qui hurlent avec les loups…

Et donc il n’est pas question que, pour plaire aux censeurs de tout bord, je me prive des analyses, des expériences et des enseignements de qui que ce soit.

Et je commence  derechef, ma descente aux enfers avec le conspirationniste, Giorgio Agamben, qui pose la question que beaucoup se posent :

Et si le passe sanitaire n’était pas une conséquence, mais la finalité ?

Auditionné par le Sénat italien le philosophe Giorgio Agamben a d’abord souligné une énorme contradiction dans la loi italienne:

 « Vous savez que le Gouvernement, avec un décret-loi spécial numéro ddl 44/2021 appelé « bouclier pénal » désormais converti en loi, s’est exonéré de toute responsabilité pour les dommages causés par le vaccin. 

Et la gravité de ces dommages résulte du fait que l’article 3 du décret en question mentionne explicitement les articles 589, 590 du Code pénal qui se réfèrent à l’homicide involontaire et… aux blessures par négligence (…)

Comment l’État peut-il accuser d’irresponsabilité ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner, alors que c’est le même État qui décline le premier, formellement, toute responsabilité pour les éventuelles conséquences graves ? »

Puis il a répondu à la question soulevée plus haut :

 « Il a été dit par des scientifiques et des médecins que le passe sanitaire n’a aucune signification médicale en soi, mais sert à forcer les gens à se faire vacciner.

Je crois plutôt que l’on peut dire le contraire : c’est-à-dire que le vaccin est un moyen de forcer les gens à avoir un passe sanitaire. C’est-à-dire un dispositif qui vous permet de contrôler et de suivre, une mesure sans précédent, leurs mouvements.

Les politologues savent depuis longtemps que nos sociétés sont passées du modèle qu’on appelait autrefois de la « société disciplinaire » à celui d’une « société de contrôle » ; de société fondée sur un contrôle numérique quasi illimité des comportements individuels qui deviennent ainsi quantifiables dans un algorithme.

Nous nous habituons maintenant à ces dispositifs de contrôle, mais je vous demande : jusqu’où sommes-nous prêts à accepter que ce contrôle aille ? »

Thalès et la société de surveillance

J’enchaîne avec le libéral libertaire Éric Verhaeghe qui est lui aussi épinglé par le pape de la bien pensance comme « proche de la sphère conspirationniste ». Si son amour de la liberté peut le rendre aveugle aux méfaits de la propriété privée des moyens de production, il fait merveille dans la lutte contre l’hystérie covido-politico-sécuritaire. Interviewé par Rachel Marsden, Verhaeghe nous révèle que Thalès, le marchand d’armes, a énormément investi dans l’énorme marché d’avenir de l’identité numérique à travers sa filiale Idémia, avec les encouragements de l’État. Le passe sanitaire, que les gens sont soi-disant très heureux d’avoir, est, selon cette entreprise elle-même, la première étape de la construction d’une identité numérique à travers un wallet qui se terminera par les moyens de paiement (ce qui permettra à l’État et aux banquiers centraux de disposer de notre argent comme si c’était le leur !) Dans le monde dystopique qu’ils nous promettent, il faudra montrer ses papiers (enfin son code QR !) pour aller prendre un café ou l’autoroute, bref nous serons surveillés sans cesse et partout.

 Selon Éric Verhaeghe, le Brexit et tous les mouvements souverainistes inquiètent la caste libérale occidentale mondialisée. Elle a donc décidé de neutraliser les effets du suffrage universel en utilisant des technologies numériques pour pérenniser sa domination sur nos sociétés. Le passe sanitaire est la première expérience de Crédit social dans le monde occidental. Il punit les dissidents et récompense les obéissants sous couvert de nous protéger, l’argument des castrateurs de tous les temps. En Chine, il est d’ailleurs prévu que les paysans, qui sont d’éternels mauvais payeurs, règlent leurs impôts à travers la reconnaissance faciale, efficace à 80/95%.

Cette surveillance répressive est déjà utilisée en entreprise grâce à la télémétrie, selon la Quadrature du cercle, qui échappe, on ne sait pourquoi, à la vindicte de Conspiracy Watch :

« l’employé·e data-driven n’a pour seule fonction que de maximiser ses performances et la plus-value qu’il ou elle produit pour le bénéfice d’une entreprise qui aspire à une omniscience quasi-divine (…) Amazon se distingue régulièrement en la matière, par exemple avec la surveillance des conducteur·ice·s de camions de livraisons par un logiciel d’intelligence artificielle aux États-Unis, l’usage d’un logiciel qui suit automatiquement l’activité de chaque personne en mesurant le nombre de colis scannés et qui peut décider de licencier automatiquement les moins productives ou encore, en 2018, le dépôt de deux brevets pour un bracelet permettant de surveiller les mouvements des mains des employé·e·s dans les entrepôts. »

Y a-t-il un antidote à la dérive totalitaire de la Caste ?

En principe tout excès génère son antidote, pas toujours pour le mieux d’ailleurs. Par exemple, la caste mondialiste a supprimé les frontières des États, résultat, les frontières se sont rapprochées au point d’envahir notre intimité (codes d’accès, codes secrets, passe sanitaire et autres passes, caméras, surveillance électronique, etc.)

C’est le sociologue Michel Maffesoli, dûment vilipendé par Street Press (dans la grande famille des gardiens du discours convenu, on se répartit les rôles) pour ses soi-disant liens avec l’extrême-droite, qui nous apporte ici des éléments de réponse dans un article intitulé : Comment l’idéal démocratique a été remplacé par l’idéal communautaire.

A la question de Durkheim :

« Comment tient une société que rien ne transcende mais qui transcende ses membres ? » 

Maffesoli répond :

« Par le sentiment partagé. Le partage du sentiment est le vrai ciment sociétal ; il peut conduire au soulèvement politique, à la révolte ponctuelle, à la lutte contre l’exclusion, à la grève par solidarité, il peut également s’exprimer par ou dans la banalité courante. Dans tous les cas, il constitue un ethos qui fait que contre vents et marées, au travers des carnages et des génocides, le peuple se maintient en tant que tel, et survit aux péripéties politiques ».

Selon lui, « la standardisation mondiale » engendre une « accentuation des valeurs particulières » qui permettent de se « réapproprier son existence ». Les « petits réseaux fédérant de petits groupes existentiels » se multiplient. On constate une « émergence de l’idéal communautaire que la modernité s’emploie à nier ».

La réponse et l’antidote à la déshumanisation totalitaire que veut nous imposer la Caste, c’est de l’ignorer autant que possible et de s’unir et de se réunir partout avec ceux qui partagent notre sentiment, pour défendre des terres, des bâtiments, des idées, des acquis, des droits, des idéaux, ou pour échapper à l’esclavage de l’emploi et de la consommation, à l’isolement, à la précarité, à la robotisation, à la surveillance, ou pour expérimenter d’autres façons de vivre.

Bien sûr tout cela sera combattu pied à pied par la Caste au pouvoir, mais le mouvement est irréversible. Le balancier est reparti dans l’autre sens. Rien n’empêchera les liens de se tisser, les communautés de se former et la société de se régénérer, d’autant plus qu’il suffit que le positif l’emporte d’un iota sur le négatif pour que le désordre (la haine, l’envie, la division, l’exploitation) cède la place à l’ordre (l’harmonie, la coopération, la paix).

C’est ainsi que, comme le dit Maffesoli, 

« contre vents et marées, au travers des carnages et des génocides, le peuple se maintient en tant que tel, et survit aux péripéties politiques  ». 

Dominique Muselet, Montreuil, le 13 octobre 2021

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dominique Muselet, Mondialisation.ca, 2021




Pseudo-vaccins ou Artémisine ? Les Seychelles versus Madagascar

Par Gérard Delépine

Depuis 20 mois, nos gouvernants et les médias prétendent qu’il n’y aurait pas de traitement du Covid et que le seul espoir de sortie de crise résiderait dans l’injection génique appelée fallacieusement vaccin.

Deux îles de l’Océan indien éloignées seulement de 1800 kilomètres ont choisi des stratégies anticovid différentes : les Seychelles ont opté, comme la France, pour le tout vaccin.

Madagascar a choisi les traitements précoces et tout particulièrement le CVO+, composé de plantes locales, entre autres d’artémisinine et de ravintsara. La comparaison de l’évolution de ces deux îles semblables par leurs populations, leurs climats et leur mode de vie permet d’évaluer l’efficacité des deux approches.

Les Seychelles

La population des Seychelles avait été épargnée par le Covid, mais son activité touristique principale source de devises, était paralysée par les restrictions des voyages et la peur des touristes potentiels.

Pour tenter de sauver sa saison touristique, le gouvernement a décidé de vacciner l’ensemble de la population. La campagne de vaccination a débuté le 10 janvier 21 avec l’injection télévisée du président et a depuis touché près de 80 % des habitants.

Depuis la « vaccination », le nombre de cas a été multiplié par 40 et celui des morts par plus de cent. La mortalité cumulée globale au 17/10/2021 atteint 1120 par million (112/100000) ainsi que le montre ce graphique publié par l’OMS(([1] À consulter sur l’OMS Covid Dashboard en choisissant sur la carte du monde les Seychelles)) et annoté par nos soins en rouge.

Localisation des Seychelles (îles entourées en rouge)
En zoomant

L’explosion du nombre des contaminations et la forte augmentation de la mortalité apparus après le début de la campagne de vaccination censée stopper l’épidémie font craindre que celle-ci ait paradoxalement facilité l’épidémie.

Madagascar

À Madagascar, le président a refusé de suivre les recommandations de l’OMS et de confiner sa population. Il a fortement milité pour les traitements précoces par les plantes traditionnellement utilisées avec succès contre le paludisme, distribuées et contenues dans le CVO+.

« La formulation de la gélule CVO+ a suivi les normes et protocoles sanitaires internationaux en vigueur », a affirmé la présidence de la République en octobre 2020 dans le cadre du lancement de la formule produite par la société Pharmalagasy. Ses recommandations, raillées par les médias dominants et critiquées par l’OMS, ont été largement suivies par son peuple avec succès, comme l’objective ce schéma de l’évolution de l’épidémie publié par l’OMS.

Le 20 mars 2021, le président malgache s’est montré prudent sur la vaccination dans son intervention télévisée, en indiquant que lui et sa famille n’avaient pas l’intention de se faire vacciner, et préfèrent encore toujours le Covid Organics maintenant distribué en gélules. En réponse aux critiques de ses adversaires, il leur a proposé de servir de cobayes. « Si on commande un vaccin, on va d’abord le tester sur l’opposition ».

Le 5 juillet 2021, l’Organisation Mondiale de la Santé a reconnu qu’elle avait décidé d’étudier les données scientifiques fournies par les épidémiologistes et les hôpitaux malgaches concernant le Covid-Organics en s’intéressant plus particulièrement au médicament appelé CVO.

Au 13 octobre 2021, Madagascar ne recense que 43 610 cas de Covid (1615 par million soit 125 fois moins que les Seychelles) et pleure 960 morts, mortalité cumulée de 35 par million, soit trente fois moindre que celle des Seychelles.

Dans l’Océan indien, le match traitements précoces/pseudo-vaccin a été gagné par KO par Madagascar et ses traitements précoces !




Le Pass sanitaire a été annulé à l’hôpital de Trinité en Martinique

[Source : qactus.fr]

VICTOIRE DES SOIGNANTS EN MARTINIQUE !!

Le Pass sanitaire a été annulé à l’hôpital de Trinité en Martinique. VICTOIRE des soignants en Martinique contre le Pass sanitaire.

Le directeur de l’hôpital de Trinité en Martinique vient d’annuler le Pass sanitaire face à la résistance des soignants. Le Pass sanitaire devait être applicable à partir d’aujourd’hui pour les salariés du CHUM de Trinité en Martinique.

Bravo  !





Voilà comment la Martinique se défend contre l’obligation vaccinale et voilà pourquoi la Martinique a gagné la bataille

Cette vidéo devrait être envoyé à la direction de tous les établissements de santé concernés :




Lapsus révélateur sur un plateau de télé

« Les chiffres sont évidents, il y a un vaccin qui tue » !

Ce monsieur est le directeur du CHU Martinique :




Liza – figure de la résistance – Martinique

Suite à la censure de la vidéo sur Youtube, Liza est de retour sur Viméo.

https://player.vimeo.com/video/623558728?h=f3c78cf83b
Liza – figure de la résistance – Martinique from MAWONAJ on Vimeo.

Le 11/10/2011 en MARTINIQUE

Les syndicats hospitaliers, opposés à l’obligation vaccinale, ont rencontré la direction du CHU de Martinique contre le Pass sanitaire obligatoire dans les hôpitaux.

Le personnel hospitalier, opposé à l’obligation vaccinale, a été reçu par Benjamin Garel, le directeur du CHU de Martinique hier matin (lundi 11 octobre).

Les syndicats hospitaliers ont érigé des barrages devant les entrées des différents hôpitaux de l’île (Fort-de-France, Lamentin, Trinité…).

Benjamin Garel a proposé la mise en place d’un test antigénique à compter de ce mercredi (13 octobre 2021) pour les soignants qui ne veulent pas se faire vacciner.

Une soignante a exigé de Benjamin Garel qu’il s’engage et ‘assume sa responsabilité pour les effets secondaires du vaccin… mais il n’a pas assumé!!






Traitement pour calmer la tempête de cytokines : une découverte russe qui sauvera beaucoup de vies

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Un groupe de scientifiques russes a créé un médicament qui pourrait potentiellement révolutionner le traitement du Covid-19 en désamorçant la réaction la plus catastrophique que la maladie provoque chez les patients, sans détruire leur réponse immunitaire.

Le médicament, appelé Leitragin, a été développé par le Centre de recherche en technologie biomédicale de l’Agence fédérale russe de médecine et de biologie (FMBA) et fait actuellement l’objet d’essais cliniques en Russie. Bien que sa substance de base était auparavant connue et utilisée dans la médecine du traitement des ulcères par les médecins soviétiques et russes, c’est l’équipe FMBA qui a découvert comment l’appliquer pour le traitement des cas graves de Covid-19 et d’autres maladies qui causent une inflammation pulmonaire potentiellement mortelle.

Les scientifiques russes s’étaient chargés de trouver une substance qui agirait comme un «interrupteur d’arrêt» pour la réaction en chaîne qui, après avoir été déclenchée par le virus envahissant SARS-CoV-2, provoque en fait une défaillance potentielle des organes et la mort. Cette réaction du système immunitaire, surnommée la « tempête de cytokines », a été diversement décrite comme une réaction excessive de notre corps au virus ou une « attaque suicide » contre l’agent pathogène envahissant, et même comme un mécanisme évolutif pour arrêter la propagation d’infections mortelles avec la mort de l’hôte.

Essayer d’arrêter cette réponse immunitaire incontrôlée tout en préservant la capacité du corps à combattre le virus sans causer plus de dommages est ce pour quoi les scientifiques et les médecins des unités de soins intensifs du monde entier ont lutté pendant la pandémie de Covid-19. À cet égard, le Leitragin est présenté comme un changeur de jeu, car son nouveau mécanisme agit de manière ciblée et serait totalement sans danger pour la santé.

RT a interviewé le chef de l’équipe de scientifiques russes derrière le Leitragin, et a parlé à un chercheur indépendant étudiant les tempêtes de cytokines, pour en savoir plus sur le potentiel du nouveau médicament.

À la recherche du déclencheur mortel

Une tempête de cytokines, également connue sous le nom d’hypercytokinémie, est déclenchée par de minuscules protéines messagères appelées cytokines, qui sont normalement les agents de confiance de notre corps pour traiter les infections, les inflammations et les traumatismes. Cependant, lorsqu’il s’agit de certains agents pathogènes dangereux tels que le H1N1, le H5N1, le virus Ebola et le SRAS-CoV-2, le système immunitaire peut décider qu’il est submergé par le virus et « devenir fou ». Cela peut entraîner une inflammation massive et, potentiellement, un choc septique et la mort, a déclaré à RT Maxim Skulachev, un associé de recherche de premier plan à l’Institut de recherche en biologie physicochimique de l’Université d’État de Moscou (MSU).

Jusqu’à présent, on pensait qu’une tempête de cytokines était causée par une libération incontrôlable de dizaines de types de cytokines différents, ce qui la rend difficile à contenir. Cependant, les scientifiques du FMBA Biomedical Technology Research Center disent qu’ils ont peut-être tout simplement trouvé le fond du problème et identifié un seul coupable clé.

Le groupe, dirigé par le chef du centre, Vladislav Karkischenko, a publié les résultats des essais précliniques de leur médicament sur des souris dans le Journal of Immunology Research fin septembre.

Au début, les scientifiques russes ont passé des mois à déterminer leur modèle d’infection Covid-19 – selon Skulachev, la réponse des rongeurs à la maladie ne correspond pas tout à fait à celle des humains, même chez les souris dites «humanisées». Ensuite, ils sont passés par un processus de dépistage de drogues et ont identifié une substance désamorçant ce qu’ils croient être une cytokine particulière déclenchant la tempête.

La cytokine en question est appelée protéine du groupe de boîte 1 à haute mobilité, ou HMGB1, a déclaré Karkischenko à RT. Libéré en masse par les cellules immunitaires lors de cas graves de Covid-19, il déclenche la libération de nombreuses autres cytokines, le transformant en un « processus incontrôlable ».

Des recherches antérieures n’ont pas considéré le HMGB1 comme la « cytokine principale », mais il est si omniprésent que son nombre pourrait être mille fois plus élevé pendant l’infection, a déclaré Karkischenko, ce qui indique qu’il est responsable de la « cascade finale de réactions ».

Nous pensons que cette cytokine de phase tardive [HMGB1] est le principal agent d’inflammation pendant [l’infection par] le SRAS-CoV-2

Les scientifiques de la FMBA ne sont pas seuls dans leurs hypothèses. La protéine HMGB1 a déjà attiré l’attention des chercheurs du monde entier et a été désignée comme cible thérapeutique potentielle dans le traitement du Covid-19.

Saluant « l’énorme quantité de travail » effectué à la FMBA, Skulachev de MSU dit qu’une équipe de son institut a obtenu des résultats similaires au cours de leurs propres recherches sur les tempêtes de cytokines. De plus, il pense que les deux équipes ont peut-être découvert indépendamment un « mécanisme de suicide évolutif » universel qui tue un organisme pour empêcher la propagation d’infections graves.

« Nous ne pouvons pas vivre sans système immunitaire. Si une personne a souffert d’une infection virale grave, il faut être méticuleux dans le choix du moment d’administration du médicament. Faites-le quelques heures trop tôt et un virus tuerait une personne par auto-réplication », a-t-il déclaré.

Dans leur recherche d’une solution, les chercheurs de la FMBA ont essayé un hexapeptide opioïde appelé [D-Ala2]-dynorphine 1-6, et les résultats se sont avérés étonnamment prometteurs. Les taux de mortalité chez les souris présentant des conditions induites chimiquement similaires aux tempêtes de cytokines chez l’homme ont diminué de quatre fois, a déclaré Karkishenko. Notant que les scientifiques occidentaux semblent se concentrer sur les opioïdes en tant que composants des analgésiques, il ajoute que ces substances sont beaucoup plus polyvalentes et peuvent également être inoffensives.

« Dans notre article, nous avons pu prouver que les récepteurs opioïdes déclenchent des processus avec un effet anti-inflammatoire massif tout en ne causant aucun dommage à une personne« , a déclaré Karkischenko.

En juin, Leitragin a été enregistré par les autorités sanitaires russes dans le cadre d’une procédure d’urgence. À cette époque, la FMBA a déclaré qu’elle avait déjà été testée sur quelque 300 volontaires et avait montré des résultats très positifs puisqu’aucun des patients, qui avaient reçu de le Leitragin, n’avait été admis dans des unités de soins intensifs ou n’était décédé. Ils avaient également tendance à récupérer plusieurs jours plus tôt que ceux qui avaient reçu un traitement « standard », a déclaré Karkischenko. Le Leitragin était initialement destiné à des tests sur des patients Covid avec une gravité modérée de la maladie, mais certains médecins se sont chargés de traiter les patients critiques, a-t-il ajouté.

« Ce médicament est conçu pour résoudre un problème insoluble. Ces patients n’ont pratiquement pas d’autres alternatives », a expliqué Skulachev, faisant référence à des cas graves de Covid.

« Développement majeur »

Malgré ce que Karkischenko dit être des résultats prometteurs, les scientifiques derrière le Leitragin doivent encore prouver son efficacité dans des études cliniques. Le centre travaille actuellement sur une publication à grande échelle qui impliquerait les résultats des essais cliniques et plus d’informations sur le médicament lui-même. Les hôpitaux russes, quant à eux, sont autorisés à traiter les patients avec le Leitragin dans le cadre d’une autorisation d’utilisation limitée.

« Il s’agit d’un mécanisme évolutif que nous avons hérité de nos ancêtres« , a déclaré Skulachev, ajoutant que le trait évolutif n’a pas rattrapé le fait que l’humanité a développé des vaccins et des médicaments pour faire face à de telles maladies.

« Résoudre un problème insoluble »

Actuellement, les médecins n’ont pas beaucoup d’options dans leur lutte contre la tempête de cytokines. Ils doivent soit utiliser des anticorps monoclonaux – des médicaments très coûteux capables de supprimer un seul type de cytokine – soit « tuer » complètement le système immunitaire avec des anti-inflammatoires stéroïdiens. Les deux méthodes présentent de sérieux inconvénients.

Les recherches du centre FBMA ont montré que la suppression des cytokines souvent ciblées pourrait ne pas toujours produire l’effet requis car la « tempête » pourrait continuer à faire rage après un bref répit, a déclaré Karkishenko. Skulachev, quant à lui, note que l’utilisation de stéroïdes hormonaux pourrait être encore plus dangereuse.

S’il s’avère efficace et sûr, cependant, le médicament peut s’avérer avoir des utilisations bien au-delà du traitement Covid-19, car il est conçu pour faire face à la réaction du système immunitaire et non à un virus spécifique.

« Le Leitragin vise à supprimer les processus inflammatoires« , a déclaré Karkischenko, ajoutant que « c’est un médicament basé sur une approche absolument innovante » et peut être utilisé pour traiter « diverses conditions« . Le centre FMBA travaille déjà sur différentes formulations de médicaments pour le Leitragin.

« Environ 80% de toutes les conditions critiques [chez les patients] dans les unités de soins intensifs sont liées à la tempête de cytokines et potentiellement à cette protéine spécifique qui la provoque« , a expliqué Skulachev, notant que « la gamme potentielle d’utilisations de ce médicament pourrait être extrêmement large« .

Cela pourrait être une évolution majeure. « 

Algora Blog | October 12, 2021 URL: https://wp.me/p7g3IJ-1oX

[Source originelle : Drug to calm cytokine storm: Life-saving Russian discovery could be key to stopping body’s ‘suicide attack’ in severe Covid cases — RT Russia & Former Soviet Union]




PCB : Les évêques mexicains font chanter des prêtres afin qu’ils se fassent vacciner

Par Élie, Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

Il a été rapporté que :

« les évêques mexicains ont publié le 30 août quatre cas dans lesquels leur service de santé ne paiera pas les factures que le prêtre ne peut pas payer lui-même :

– lorsqu’un prêtre s’est exposé imprudemment au Covid ; »

Commentaire : De facto, tout peut être considéré comme imprudent : par exemple, le fait que le prêtre n’oblige pas les fidèles à porter des masques. Ainsi, tout opposant idéologique à la corona-psychose peut être innocemment puni.

« – quand il est testé positif au Covid-19, mais ne prend pas de mesures ; »

Commentaire : le Dr Montanari déclare que les tests PCR sont à 80 % peu fiables et utilisés à des fins de manipulation publique. Le virologue tchèque S. Pekova ajoute qu’un test positif ne signifie pas qu’une personne est malade. De plus, ces tests se sont avérés très dangereux. Ils endommagent les muqueuses, introduisent même des parasites et des nanoparticules dans l’organisme, et il y a eu des cas de rupture de la barrière hématoencéphalique. Les médecins mettent en garde contre ces tests.

– Dr Petrella : « Ne vous faites pas tester ! Une fois testé, vous serez obligé de vous faire vacciner. »

« – quand il n’utilise pas de masques [inutiles] ; »

Commentaire : Les médecins disent : Les personnes en bonne santé n’ont jamais été obligées de porter un masque. Le masque ne protège pas contre le virus ; au contraire, l’immunité chute rapidement. En portant un masque, une personne respire ses propres émissions et souffre d’un manque d’oxygène, ce qui a un impact négatif sur le fonctionnement du cerveau.

Idéologiquement, si un prêtre masqué fait face au peuple pendant la messe, tout cela n’est qu’un coup publicitaire pour tout ce système frauduleux, qui se poursuit avec des tests peu fiables et une vaccination expérimentale. C’est une parodie de Dieu et une manipulation des personnes qui mettent leur confiance dans les prêtres.

« – quand il refuse la « vaccination » [controversée et dangereuse]. »

Commentaire : Les évêques mexicains ont-ils au moins une connaissance élémentaire du vaccin à ARN messager ? Rappelons quelques faits :

  • 1) Qui fait la promotion du vaccin ? Le vaccin est promu par les pouvoirs en place. Pourquoi ? Pas pour le bien de la santé humaine; c’est tout le contraire, comme l’a révélé Bill Gates : « Si nous faisons un excellent travail sur les vaccins, nous pourrions réduire la population de 10 à 15 % » (dans la première étape). Les évêques mexicains, ainsi que le pseudo-pape Bergoglio, appliquent ce programme de mort à tous leurs prêtres, sous la terreur.
  • 2) Le vaccin à ARN modifié change le génome humain, et c’est un crime contre Dieu le Créateur ! Les évêques mexicains sont-ils conscients qu’ils forcent les prêtres et les croyants à cette rébellion ? À qui servent ces évêques ? Dieu ou Satan ?
  • 3) Le vaccin possède, comme base biologique, des tissus arrachés à un enfant vivant à naître avant qu’il ne soit tué. En imposant des vaccins à ARNm, les évêques mexicains promeuvent le meurtre sadique d’enfants à naître. Sous la morale catholique, ils sont sujets à l’excommunication – l’expulsion de l’Église.
  • 4) Les évêques mexicains savent-ils que le vaccin contient des nanoparticules et fait partie du processus de puçage de l’humanité ? L’Écriture met en garde contre cela, parlant de l’étang de feu. Ces Judas mexicains portant la mitre obligent les prêtres, ainsi que toute la nation mexicaine, à suivre le chemin qui aboutit à l’étang de feu. C’est une tragédie que la hiérarchie catholique apostate soit devenue la meneuse de la nation, et s’oppose au président du Mexique, qui s’oppose à la vaccination obligatoire et aux restrictions de liberté qui y sont associées.
  • 5) Ces loups épiscopaux mexicains déguisés en mouton savent-ils que la vaccination est une expérience interdite sur l’être humain en vertu du Code de Nuremberg, et qu’elle vise la réduction ou le génocide de l’humanité ? Ici, les imposteurs et les criminels religieux, qui vivent en parasites du Corps mystique du Christ, se sont clairement exposés. Ils travaillent astucieusement avec Bergoglio pour détruire l’Église ; non seulement afin de perpétrer un génocide physique, mais aussi pour jeter beaucoup d’âmes qui ont reçu la marque dans l’étang de feu.

Que disent les véritables experts, plutôt que le pseudo-pape Bergoglio ou les médias mensongers, à propos de la vaccination ?

Dr Vladimir Zelenko, États-Unis :

« Le ministère de la Santé vous ment. Le 20 décembre 2020 : Il y a un énorme pic dans la courbe des décès en Israël. La vaccination nationale a commencé le 20 décembre. Il n’y a aucune justification à l’utilisation de cette injection mortelle et empoisonnée… C’est une arme biologique. Lorsqu’une personne reçoit une injection de ces « vaccins », son corps devient une usine de production de protéines spike. »

Dr Dolores Cahill, Irlande :

« 90 % des vaccinés mourront dans les deux ans. »

Dr Ryan Cole, États-Unis :

« Le vaccin (à ARNm) est une toxine. Il provoque des micro-caillots, des réponses inflammatoires dans le cerveau, le cœur, les poumons… »

Pr Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste et virologue :

« Après la vaccination contre le Covid-19, des caillots sanguins ont été retrouvés dans les vaisseaux. Lorsque vous faites vacciner votre enfant, vous commettez un crime ! Je considère ces vaccins expérimentaux comme des expériences menées sur les êtres humains, expériences qui sont interdites. » (Voir Code de Nuremberg)

Le Dr Luc Montagnier, virologue français et lauréat du prix Nobel de la découverte du VIH, appelle à l’arrêt immédiat de la vaccination de masse :

« C’est le plus grand risque de génocide de l’histoire de l’humanité. »

Nous demandons de quel droit et sur quelle base les évêques mexicains font du chantage et imposent des sanctions aux prêtres guidés par le bon sens, la conscience et les avertissements d’experts incorruptibles et honnêtes en virologie. Ces clercs sont-ils des experts en médecine ? S’ils scandent « le vaccin pour tous » comme un mantra, faisant appel au pseudo-pape Bergoglio, rappelons que Bergoglio s’est attiré une malédiction multiple, un anathème, pour crimes spirituels commis contre le Christ, l’Église et l’humanité. Il a intronisé le démon Pachamama, violant ainsi le Premier Commandement et introduisant l’idolâtrie païenne, ce qui conduit à l’apostasie du Christ vivant qui est le seul Sauveur. En promouvant la légalisation du mariage homosexuel et l’adoption d’enfants par les homosexuels, Bergoglio non seulement abolit les lois morales, mais attire le châtiment du feu temporel et éternel (2Pt 2:6; Jud 1:7) sur ceux qui se soumettent à lui. Quant au vaccin à ARNm, le pseudo-pape boycotte notoirement les avertissements urgents des meilleurs experts médicaux, et est consciemment impliqué dans le génocide sournois de l’humanité.

Posons une question à ces Judas mexicains : Bergoglio est-il un hérétique et est-il expulsé de l’Église, ou est-il un pape légitime ? « Si quelqu’un prêche un autre évangile, qu’il soit maudit (anathème) ! »(Gal 1:8-9) Bergoglio prêche un anti-évangile sodomite et du Covid, et donc, il est maudit, expulsé.

Chers évêques mexicains, nous vous demandons de vous repentir publiquement, de vous excuser auprès des prêtres et d’appeler la vérité la vérité, l’hérésie, l’hérésie et un crime, un crime. Si vous n’êtes pas disposés à vous repentir, laissez les prêtres et les croyants se séparer de vous en tant que plus grands ennemis du Christ et de l’Église, sur base des enseignements de l’Église.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Evêques secrétaires

Le 29 septembre 2021

Les évêques mexicains font chanter des prêtres afin qu’ils se fassent vacciner

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) est une communauté de moines, de prêtres et d’évêques vivant dans des monastères. Le PCB est dirigé par le patriarche Élie, en collaboration avec deux évêques secrétaires, Timothée et Méthode. Ce patriarcat est né de la nécessité de défendre les vérités chrétiennes fondamentales contre les hérésies et l’apostasie. Le PCB ne reconnaît pas le pseudo-pape Bergoglio, et ne lui est pas subordonné.

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Concernant la prière et les vaccins (vidéo)




Le troublant Accord signé par la France en décembre 2019 confirme le pouvoir mondial de l’OMS. Fin probable de l’hôpital public…

[Source et auteur : LHK]

Nous avons vu dans notre dernière publication que l’OMS a l’ambition de s’approprier la gouvernance mondiale de la santé avec des conséquences définitives et irrémédiables sur l’autorité locale, celle-ci devenant une simple exécutante de l’organisation supranationale.

En faisant mes recherches sur la montée en puissance de l’OMS (vs l’autorité locale), je suis tombée hier sur des informations très intéressantes qui concernent la France, et curieusement 3 ministères sont signataires dont celui de la Santé de Agnès Buzyn, actuellement sur la sellette.
https://www.ouest-france.fr/politique/agnes-buzyn/justice-agnes-buzyn-affirme-n-avoir-aucun-doute-que-la-verite-sera-connue-95f88e73-51f7-4f29-9102-67db15e5b961

Ce n’est pas la première fois que nous parlons d’elle ici. Souvenez-vous quand nous avions découvert le dossier où la ministre de l’époque demandait le classement de l’hydroxychloroquine dans la catégorie des molécules vénéneuses. Nous avions alors trouvé que le timing de ce classement était incroyablement troublant par rapport à l’émergence du Covid.
https://lilianeheldkhawam.com/2020/03/18/un-timing-troublant-qui-consista-a-compliquer-lacces-a-lhydroxychloroquine/

Nous avions parlé aussi d’elle dans l’étude du rôle de Alain Fisher, le monsieur vaccin de France, qui avait réussi à faire passer l’obligation de faire injecter 11 vaccins aux enfants. La ministre de l’époque était Mme Buzyn.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/06/24/alain-fischer-le-pediatre-qui-fait-le-grand-ecart-entre-la-recherche-scientifique-les-multinationales-et-les-fondations-rothschild-les-citoyens-doivent-se-mobiliser/

La vidéo ci-dessous montre à quel point Mme Buzyn était contestée dans le milieu hospitalier mis sous pression de manière chronique et interpellante.



D’autres scandales connus et moins connus avaient fait de la ministre de la Santé une personne encombrante à la fin de son mandat.

Ce décor planté, voici l’incroyable découverte que j’ai faite hier soir. Un décret avait été publié en mars 2020.

Décret n° 2020-243 du 12 mars 2020 portant publication de l’accord-cadre entre le Gouvernement de la République française et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un partenariat renforcé pour la période 2020-2025 (ensemble deux annexes), signé à Paris le 16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019 (1)

Ce Décret daté du 12 mars 2020 est passé entre le Gouvernement de la République française et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un partenariat renforcé. Jusque-là rien de spécial. Il y a une pandémie et un gouvernement décide de passer un accord avec un organisme mondial afin de définir la collaboration.

Texte du Décret et de ses annexes

decret-nc2b0-2020-243-du-12-mars-2020-portant-publication-de-laccord-cadre-entre-le-gouvernement-de-la-republique-francaise-et-oms-pour-un-partenariat-renforce-legifranceTélécharger

Ce texte converge de manière très précise avec les arguments relevés dans notre dernière publication.

Un accord-cadre qui couvre la période 2020-2025

Ce qui interroge plus, c’est le contrat-cadre qui est au coeur de ce décret. Or, il a été signé avec l’OMS à Paris le 16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019. Au moment où le virus circulait déjà à Colmar…
https://lilianeheldkhawam.com/2020/03/24/3-decembre-2019-au-moins-un-cas-avere-de-coronavirus-a-colmar/

… confirmé par la suite :
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/02/10/le-sars-cov-2-circulait-sans-doute-en-france-des-novembre-2019_6069431_3244.html

La signature intervient après que des hospitalisations eurent lieu à Wuhan :
https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-des-chercheurs-de-wuhan-hospitalises-des-novembre-2019-la-chine-dement-da7fb9bc-bc80-11eb-a359-3a714ef76b03

En décembre 2019, Paris ne pouvait ignorer ce qu’il se passait à Colmar ou à Wuhan. C’est d’autant plus vrai que Mme Buzyn a pris ses fonctions quelques semaines après l’inauguration du laboratoire P4 de Wuhan à laquelle assistait son mari Yves Lévy, à l’époque directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Elle ne pouvait donc ignorer que le virus circulait à ce moment.
https://lilianeheldkhawam.com/2020/01/26/la-sulfureuse-cooperation-franco-chinoise-a-wuhan-challenges/

Or, nous retrouvons le nom de Mme Buzyn en tant que signataire de l’Accord avec l’OMS. Et ce papier est signé en décembre 2019, plus exactement le 31 du mois. Qu’est-ce qui justifiait cette précipitation?

Les signataires

En effet, l’accord-cadre (contrat) qui lie le Gouvernement de la République française et l’OMS pour un partenariat renforcé pour la période 2020-2025, a été signé à Paris le16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019. On y notera la participation du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. En quoi est-il concerné à l’heure où on ne parlait pas encore de trouver des vaccins révolutionnaires, ni de tests, et de vaccination sur les lieux d’enseignement?

Quelques commentaires sur l’Accord

Dans cet accord, nous nous bornerons à relever quelques éléments intéressants. L’OMS est l’autorité directrice et coordinatrice des travaux en matière de santé mondiale. Elle est donc d’abord une Autorité qui a un rôle non seulement de coordination supranationale, mais aussi opérationnel sur le terrain. Et ce à l’intérieur de TOUS les pays du monde.

Réaffirmant le rôle de l’OMS, renforcé par le processus de transformation en cours, en tant qu’autorité directrice et coordinatrice des travaux en santé mondiale et garante de la santé de tous les peuples ;
Soulignant que la France et l’OMS souhaitent travailler ensemble à faire progresser la Couverture sanitaire universelle (CSU) et poursuivre leurs efforts vers la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies

extrait des objectifs de l’accord-cadre signé en 2019 entre la France et l’OMS

Cela signifie qu’il faut imaginer qu’un jour viendra où c’est l’OMS qui devra prendre le relai en matière de décision et de mise à disposition de ressources venues d’autres pays, à l’image du recrutement massif de personnel soignant libanais pour la France. Le tout en référence aux ODD qui sont les objectifs de l’Agenda 2030.

Peut être une image de 3 personnes, personnes debout et texte qui dit ’NOUS RECRUTONS La 1ère entreprise sociale d'Europe recrute des MÉDECINS Libanais, Libanaises Un salaire attractif, prise en compte de l'ancienneté et l'expérience Regroupement familial accéléré Une aide financière à l'installation Un accompagnement individuel et facilitateur Si vous êtes: Médecin Anesthésiste Réanimateur, Pédiatre, Gynécologue Obstétricien, Cardiologue, Pneumologue Endocrinologue, Chirurgien Digestif, Chirurgien Urologue, Chirurgien Orthopédiste, Ophtalmologue, Oncologue, Médecin Généraliste. Vous êtes prêt pour un nouveau départ en France? N'hésitez pas, envoyez votre CV beleyconsulting@gmail.com’
Le pillage des cerveaux est en cours après que la finance internationale ait mis en place un embargo sur tout ce qui permet non de vivre mais de survivre. La jeunesse et les gens les mieux éduqués sont cueillis facilement et pour bien moins cher que leurs équivalents locaux.

Dans son Article II qui décrit le champ et les domaines de coopération, nous relevons brièvement la référence à l’harmonisation, à la structure transversale des processus (cf nos travaux sur le Coup d’Etat planétaire), et à des ingénieurs sanitaires (cf nos travaux sur l’ingénierie sanitaire, la nanomédecine, etc Exemple:
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/02/notre-sante-livree-aux-ingenieurs/comment-page-1/).

Avec le recul, un objectif de ce texte attire particulièrement l’attention. Je rappelle qu’il a été signé le 16 décembre déjà à Paris. Soit AVANT que la crise du Covid ne démarre officiellement en Europe :

(…) une meilleure protection des populations face aux situations d’urgence sanitaire, notamment à travers le renforcement de la sécurité sanitaire, y compris la lutte contre les flambées épidémiques et les maladies à potentiel pandémique et la mise en œuvre du Règlement sanitaire international (RSI), notamment par les activités menées par le bureau de l’OMS à Lyon ;

Décret n° 2020-243 du 12 mars 2020 portant publication de l’accord-cadre entre le Gouvernement de la République française et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un partenariat renforcé pour la période 2020-2025 (ensemble deux annexes), signé à Paris le 16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019 (1)

Administration des dons accordés à l’OMS

Un passage de cet accord-cadre mérite attention. Il s’agit d’un extrait du financement de l’OMS par Paris. Dans le point 3.4 des Dispositions financières, il est dit que:

« La France concourt aux mécanismes mis en œuvre par l’OMS avec ses donateurs afin de mieux prévoir et aligner les ressources disponibles de l’Organisation avec les budgets programmes approuvés par ses Etats membres, en particulier à travers les processus de dialogue financier. »

Coup de théâtre le 16 février 2020, Mme Buzyn quitte précipitamment son poste .

Création de l’Académie de l’OMS conformément à l’Accord-cadre et à l’Agenda 2030…

Le 24 février 2020 la France s’engage à verser 100 millions de dollars à l’OMS. Ca tombe bien puisque toutes les modalités d’administration des subventions étaient prévues dans le contrat signé en décembre 2019.

Voici un extrait du communiqué de l’OMS au sujet des 100 millions de subvention :

Aujourd’hui, le Ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, M. Jean-Yves Le Drian et le Directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, se sont rencontrés à la Mission permanente de la France auprès de l’Office des Nations Unies à Genève pour aborder la question, qui sera la plus grande plateforme de formation continue, et la plus innovante, dans le domaine de la santé mondiale.

L’Académie de l’OMS vise à atteindre des millions de personnes dans le monde, offrant un milieu d’apprentissage de haute technologie, constitué d’un pôle à Lyon et d’antennes dans les six Régions de l’OMS. L’Académie offrira des possibilités d’apprentissage aux dirigeants, aux enseignants, aux chercheurs, aux agents de santé, aux membres du personnel de l’OMS et au grand public et proposera des formations de grande qualité, multilingues, à la fois en ligne et en présentiel, et abritera un centre de simulation pour les situations d’urgence sanitaire à la pointe de la technologie.

La discussion qui a eu lieu aujourd’hui fait suite à une Déclaration d’intention signée par Emmanuel Macron, Président de la République française, et le Dr Tedros le 11 juin 2019 et à l’annonce par la France d’une contribution de US $100 millions (€90 millions) à l’OMS pour appuyer la création de l’Académie, qui sera une division interne de l’Organisation.

https://www.who.int/fr/news/item/24-02-2020-france-pledges-us100-million-for-who-academy

… Mme Buzyn devient ce septembre 2021 la directrice exécutive de ladite Académie de l’OMS!!! AJOUT

En clair, Mme Buzyn dirige en 2021 le centre qu’elle a créé avec l’OMS en 2019, la veille de quitter sa fonction de ministre de la santé. Ledit centre financé avec l’argent public français. Juste incroyable.

Soudain la crise des hôpitaux publics prend une autre allure

Le 13 janvier 2020, Mme Buzyn réagissait à la crise que connaît l’hôpital public:

« Dans certains endroits, la pression financière a été trop importante depuis 10 ou 15 ans et elle a dégradé considérablement les conditions de travail. Nous sommes dans une dynamique inverse », assure ce lundi sur franceinfo la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn alors que plus de 1 000 médecins ont signé une pétition et menacent d’abandonner – certains l’ont déjà fait – leurs fonctions administratives.

Et de poursuivre qu’elle dégageait « des financements dès ce mois de janvier : 150 000 euros ont été alloués aux hôpitaux dès ce mois-ci pour l’achat du matériel du quotidien« . Une somme ridicule donc en comparaison avec la donation de 100 millions de dollars à l’OMS…

Alors pourquoi?

La conclusion qui semble s’imposer à ce stade est que les gouvernants nationaux ont décidé de laisser couler les hôpitaux publics et autres assurances sociales au profit d’un système planétaire intégré et globalisé détenu par le marché de la finance (BigPharma entre autres).

Ce sont les financiers qui dirigent et dirigeront toujours plus la stratégie sanitaire locale et globale. Cela signifie très clairement qu’ils auront des droits sur le corps humain. Restera à envisager le sort des inutiles. A commencer par les personnes âgées…

Et ces gens ont des idées de ce que nous devrions être, faire et penser…

Entretemps, le personnel soignant des hôpitaux et les libéraux, clairement harcelés, risquent d’avoir des jours bien difficiles devant eux.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/09/04/la-medecine-financiarisee-est-numerique-elle-na-que-faire-dun-raoult-ou-dun-fouche/ https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/25/nanosante-le-metier-de-medecin-voue-a-disparaitre-changement-du-paradigme-medical/

LHK


Rappel :

https://lilianeheldkhawam.com/2021/10/11/important-loms-veut-lautorite-absolue-en-matiere-de-sante-publique-mondiale-alain-berset-en-fer-de-lance/




Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison ?…

Par Alain Tortosa

Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison…
Et si je me faisais des idées, et si je m’étais pris à mon propre piège.
Et si nous vivions en démocratie, et si nos gouvernants et l’industrie étaient « bons ».
Et si les médias étaient ce qu’ils disent :
compétents, intègres, intelligents, professionnels et indépendants ?

Liberté ?

Hier j’étais encore une fois de plus en train de manifester aux cris de « liberté » et de « dictature ». Nous étions bien entendu peu nombreux au regard de la population.

Je n’avais pas l’impression que ceux qui nous dévisageaient avaient le sentiment de ne pas être libres. Ni même ceux que nous pouvons croiser (pas moi, je n’y mets plus les pieds) dans un supermarché avec un masque jusqu’au front et trois doses de « vaccin ».

Dictature ?

Voilà un mot que nous devrions bannir ou manier avec précaution comme ne manque pas de nous le rappeler les « journalistes » tous les jours. Ceci n’étant « qu’une simple marque de respect à l’égard des peuples opprimés » qui eux, vivent « vraiment » dans une dictature !

Si j’interroge nom voisin en évoquant les mots de « dictature sanitaire », il va me regarder avec des yeux exorbités comme si je lui avais annoncé avoir vu une soucoupe volante débarquer dans mon jardin.

La masse, le peuple français, ne vit pas en dictature… mais pourquoi moi oui ?

Histoire d’enfoncer encore plus le clou, j’ajouterais que je vivais déjà en dictature avant même la crise du Covid, c’est dire si je dois être complètement « allumé » aux yeux de certains.

Afin de tenter de mettre un peu d’objectivité, je vais d’abord me référer à la définition du dictionnaire.

Si l’on en croit Le Larousse, une dictature c’est un :

« Régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par une personne ou par un groupe de personnes (junte) qui l’exercent sans contrôle, de façon autoritaire »

Tout être « raisonnable » ou « journaliste » confirmera que nous vivons bien dans une « démocratie ». Et oui, où avais-je la tête… nous avons un président élu, un gouvernement, un parlement élu, des institutions, des contre-pouvoirs, des juges « indépendants », une presse « libre » et surtout des « élections libres »… Comment pourrions-nous vivre en dic-ta-tu-re ?

Mais j’y pense, Hitler est bien arrivé au pouvoir par des élections, Pétain a bien obtenu les pleins pouvoirs par les députés, il y a aussi un parlement en Corée du Nord où le dictateur a été élu ! En fait, si on y regarde bien, quasi tous les régimes totalitaires ont des élections et un parlement, non ?

Et voilà, emporté par ma crise délirante, je me mets à oser comparer la France à la Corée du Nord ! Tout être de raison sera bien conscient que mes propos sont outranciers et frisent le ridicule…

Vous dites « Un parlement » ?

Pour autant, une démocratie existe principalement par la liberté d’expression et ses contre-pouvoirs.

Or, depuis le début de la crise, le Conseil d’État et même le Conseil Constitutionnel approuvent des lois d’exception que ledit conseil reconnaît non-constitutionnelles, mais « acceptables » au motif que nous vivons un état d’urgence, une crise « exceptionnelle » et que ces lois sont « temporaires ».

Je vous rappelle pour exemple que le « temporaire » du passe sanitaire qui est censé prendre fin le 15 novembre sera probablement reconduit jusqu’à l’été prochain « pour notre sécurité »…

Depuis le début de la prétendue crise sanitaire, les décisions sont prises en dehors de toute transparence, de tout contre-pouvoir et par un « conseil de défense ». Les lois d’urgence sont votées par un parlement qui, lorsque les décisions ne sont pas en accord avec le gouvernement, sont revotées le plus « légalement » du monde… dans l’indifférence quasi générale.

Cette « démocratie » a pour le moins un fonctionnement bien étrange. Elle donne le sentiment que TOUS les pouvoirs sont dans les mains d’un seul homme, le Président de la République, président dont nous ne savons pas précisément de qui il tient les siens.

Tout ceci serait votre définition d’une démocratie ?

L’indice de bonheur et le totalitarisme ?

Les Français semblent globalement heureux. Je ne perçois pas le moindre désespoir chez tous ces masqués, vaccinés, passe-sanités… Ils sont confinés, privés de liberté de mouvement, privés de loisirs, contraints à porter une muselière, contraints de se vacciner pour avoir le droit de vivre, mais… heureux. Nous pouvons supposer que si nous vivions en dictature ils seraient écrasés par tout ceci ?!

Et bien non !

« Le bonheur ne se mesure pas non plus à la liberté.

Je ne pense pas qu’il y avait de sondages, mais le peuple allemand semblait heureux en Allemagne pendant la période nazie (avant 1944).

Ils avaient leur ennemi commun, de quoi manger, du travail… et ils croyaient en leur leader charismatique qui allait les sauver et leur rendre leur honneur.

Un article publié par Forbes en 2008 “Chasing Happiness” (à la poursuite du bonheur), indique : “Les données révèlent que le bonheur n’est pas proportionnel au revenu moyen, au type de gouvernement — démocratie contre dictature…” »(([1] Extrait « 7 milliards d’esclaves et demain ? »))

Nous voyons donc que celui qui vit dans une dictature, mais qui n’est pas ciblé par cette même dictature pourra être aussi heureux que dans une démocratie.

Mais pourquoi ne suis-je pas comme tout le monde ? Les droits de l’homme sont pour moi une donnée non négociable alors qu’ils semblent totalement annexes pour des millions de Français.

Démocratie, liberté d’expression et censure ?

Nous vivons à ce point une période « merveilleuse » qu’il n’existe aucune censure en France. Non, non, ne riez pas ! Je ne fais que rapporter le sentiment de la masse.

Une majorité de Français adhère à la propagande et regrette que les réseaux sociaux soient si laxistes. D’aucuns pensent même que les médias classiques font une part trop belle aux « complotistes ».
Et oui !
Il n’y a de fait aucune « censure » en France, mais uniquement une chasse à la « désinformation ».

Une preuve de plus que nous vivons donc bien en démocratie pour la majorité des Français qui approuvent la suppression des « informations mensongères ». C’est d’autant plus intéressant que cette même majorité, totalement servile, se dit à la fois « Charlie » et pour la « liberté d’expression ».

Rappelons que celui qui ne suit pas la Doxa est un « ennemi du peuple », un « assassin » en puissance. Allons bon, ne pas adhérer, discuter, critiquer toutes les mesures mises en œuvre « pour notre bien » ne peut qu’être « objectivement » criminel.

Par exemple, celui qui ne met pas de masque (comme votre serviteur) et qui affirme que celui-ci est inefficace, contre-productif et dangereux va, de fait, automatiquement mettre en danger les personnes qui sont autour de lui. Il n’y a donc pas « censure » en le muselant, mais « suppression de propos dangereux ».

Le monde est à ce point délirant que l’on applaudit l’interdiction de publier sur Facebook ou Twitter à un président des États-Unis en exercice et démocratiquement élu…

Démocratie qui définit donc ce qui est vrai ou pas, acceptable ou pas, dangereux ou pas. Tout français est ainsi totalement libre de dire ce qui est autorisé par le Ministère de la Vérité.

Nous ne serions donc pas dans une « dictature qui censure la liberté d’expression », mais dans une « démocratie qui protège son peuple de personnes dangereuses ».

Et moi, naïf, qui m’obstine à nommer un tel régime une dictature. L’idée de l’État « grand frère » et bienveillant qui me protège choque profondément mes valeurs.
Éduquer, oui, mettre en garde oui, interdire non !

Les confinements ?

Étant indécrottable, je n’ai toujours pas digéré le fait d’avoir été assigné à résidence en l’absence d’accusation, de procès et de jugement. Procédé qui me semble plus présent dans un régime dictatorial qu’en démocratie…

Pour être honnête, le confinement a été plutôt agréable pour ma famille. Notre dictateur bienfaiteur a acheté notre silence (que nous devrons rembourser avec intérêts)… Et puis nous avions la chance de sortir sans les nuisances des voitures, les enfants étaient heureux de ne pas aller à l’école… Je confesse que cette période était pour moi à la fois viscéralement inacceptable et dans le même temps plutôt agréable.

Ici encore mon émoi n’était pas celui de la majorité des Français.

« Mais n’as-tu pas compris qu’à virus exceptionnel, solution exceptionnelle ? »

Ben non, quand bien même, la fin ne justifie pas les moyens !

Petit rappel des déclarations du président du conseil scientifique en juin 2020 :

« Nous assumons le fait d’avoir proposé le confinement durant les trois journées très difficiles des 12, 13 et 14  mars. Ce n’était pas notre décision, car elle appartient au politique.

Ce n’était pas une bonne décision, mais la moins mauvaise, étant donné les outils que nous avions. » 

Une autorité a dit aux Français, en dehors de toute preuve scientifique, qu’il fallait confiner ensemble malades et bien portants pour éviter le pire. Puis cette autorité leur a dit que ce confinement a sauvé des dizaines de milliers de vies. Et enfin nombreux sont celles et ceux qui croient encore à ce joli conte pour enfants.

Les catastrophes économiques, sur la santé mentale, sur la violence conjugale, sur les retards de soin ? Cela n’interpelle que les Français concernés. Pour les autres, c’était plutôt des vacances payées. Et si vous leur dites que les pays qui n’ont pas confiné ont eu moins de morts par habitant que nous, ils ne peuvent l’entendre, grâce au soutien actif de la propagande.

Alors ?

  • Si je ne m’obstinais pas à vouloir me rappeler le « liberté égalité fraternité » sur le fronton de toutes les mairies…
  • Si j’oubliais que je pouvais me prendre 135 euros d’amende juste pour être sorti de mon domicile…
  • Qu’il y avait des haut-parleurs dans la ville répétant les consignes…
  • Que des drones tournaient sur la plage au cas où un promeneur en plein hiver contaminait une mouette…
  • Ceci tandis que l’on pouvait s’entasser devant des supermarchés bondés…

Alors j’aurais peut-être pu me convaincre que nous étions en démocratie et que le confinement des personnes non malades était une « bonne » chose.

  • Aussi « bonne » que de dire aux malades de rester chez eux et de ne surtout pas se rendre chez leur médecin de famille avant d’être à l’article de la mort ?
  • Aussi « bonne » que d’interdire les médecins de prescrire ?
  • Aussi « bonne » que de « finir » les vieux au Rivotril ?

Les masques ?

Et que dire de ces « appendices naturels » ? Encore aujourd’hui je croise des centaines de personnes qui ne semblent souffrir en rien avec leur accessoire sur le nez. Après tout, ce n’est qu’un bout de tissu ou du plastique devant la bouche. Elles semblent ne présenter aucune souffrance, même si je ne peux voir leur visage.

Pire encore, elles continuent de le porter et je vois encore des cours d’école pleines d’enfants masqués alors même que le seigneur du département (préfet) a supprimé son arrêté l’obligeant à l’extérieur. Je ne supporte pas de les voir, cela me retourne les tripes à en avoir physiquement mal.

Suis-je juste un crétin d’égoïste (comme le disent les autorités ou les masqués que je croise) ? Le plus drôle avec l’affaire du masque est qu’elle a eu des débuts rocambolesques. Sans doute le seul épisode de la crise qui a débuté par une vérité « le masque ne sert à rien et est dangereux » Pour terminer en « le masque est vital pour ne pas assister à la fin du monde », masque qui demeure indispensable pour protéger les vaccinés d’un « vaccin efficace à 90 % ». L’affaire est à ce point comique que le français manipulé croit que c’est la première annonce qui était un mensonge et la deuxième une vérité.

Ici encore mon problème est que je sais lire et que je ne me contente pas d’écouter la Pravda.

  • Que dois-je faire de toutes les études publiées avant la crise, y compris des écrits de l’OMS, qui affirmaient que ce masque en population générale ne sert strictement à rien, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur ?
  • Que dois-je penser des pays qui n’ont pas masqué leur population et qui n’ont pas plus de décès ?
  • Que dois-je faire du nombre de cas qui n’a cessé d’augmenter au fil de la généralisation du port du masque ?
  • Que dois-je faire de la dangerosité du produit et du faux sentiment de sécurité qui était aussi affirmé par l’OMS ?
  • Que dois-je faire de ce nid à bactéries, de cet appendice qui augmente votre taux de CO2 et diminue votre oxygène ?
  • Que dois-je faire des troubles psychiques induits chez les bébés, les enfants et même les adultes ?
  • Que dois-je faire d’une société qui fait d’une personne en bonne santé une menace pour la vie d’autrui et dont on doit se méfier ?

De toute évidence, aucune de ces pensées ne traverse l’esprit de celles et ceux qui le portent toute la journée y compris seuls dans une voiture.

Une autorité qu’ils ne peuvent penser malveillante leur a dit qu’il fallait le porter et ils arrêteront de le porter temporairement uniquement le jour où cette même autorité leur dira qu’il n’est plus nécessaire.

Autorités qui nous ont dit que le confinement nous sauverait, puis que la distanciation nous sauverait, puis que les tests PCR nous sauveraient, puis que le masque nous sauverait, puis que le vaccin nous sauverait, puis que le passe sanitaire nous sauverait… et aujourd’hui ?

Aujourd’hui, on vous dit que la suppression en tous lieux du masque n’est pas à l’ordre du jour et que ce serait même irresponsable, alors même que 90 % des personnes à risque seraient injectées… Cela gêne-t-il ou questionne-t-il ces mêmes Français qui le portent sans colère ni révolte ?
Non, absolument pas… « C’est comme ça et c’est pas bien grave ».

Je m’aperçois de l’échec qui se dessine au fil de mon écriture… comment pourrais-je raisonnablement adhérer à la doxa et me dire que je me fourvoie depuis le début de la crise ?

Le vaccin et le passe sanitaire ?

C’est peut-être ma dernière chance de « pouvoir me réveiller, de sortir de mes délires complotistes et enfin revenir vers le bon sens ». Comment douter de la vérité sanitaire quand 100 % des politiques, médecins médiatiques, journalistes vous répètent depuis des mois que les « vaccins » sont efficaces et sans danger ? Après tout, je ne vois pas les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’ils sont presque tout injectés. OK, mais je n’ai pas vu les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’il y avait cette fameuse terrible pandémie !

Pourquoi des personnes en bonne santé, et encore plus des enfants, se feraient-elles injecter ces produits expérimentaux pour lesquels nous n’avons que quelques mois de recul ? Même la majorité des médecins corrompus reconnaît que le Covid ne touche que les personnes en mauvaise santé, aux défenses immunitaires défaillantes.

Je suis décidément sur une très mauvaise pente et je sens déjà les portes de l’enfer se refermer sur moi. Mais j’ai encore une petite chance de pouvoir revenir dans le bon chemin. Tel un éclair d’espoir, une lumière vient d’apparaître… Une étude « indépendante » vient d’être publiée en France sur l’efficacité des vaccins. Réjouissons-nous mes frères, les vaccins sont bien efficaces à plus de 90 % comme on le pensait, pour réduire les hospitalisations ! C’est une étude « indépendante » (si, si, c’est écrit sur leur site) conduite par « epi-phare », une émanation de l’ANSM (qui évalue la sécurité des médicaments pour le ministère). Je vais enfin pouvoir cesser de regarder les courbes épidémiques des pays qui ont massivement vacciné et pour lesquels nous assistons à une explosion des cas et des décès.. Et puis pourquoi irais-je chercher la petite bête comme le fait que l’étude s’arrête juste avant la remontée des décès de la 4e vague ? Ou quelle compare 3,6 millions de vaccinés à 3,6 millions de non vaccinés de plus de 75 ans alors même que plus de 75 % des personnes dans la tranche d’âge étaient vaccinés vers la fin de l’étude et que de fait il n’y avait plus suffisamment de non-vaccinés pour en trouver autant que de vaccinés. Le plus rigolo est qu’il semble que l’étude portait sur 7,5 millions de plus de 75 ans alors que la France en compterait un million de moins !
Et voilà, mes délires me reprennent, je vais chercher la petite bête au lieu de me contenter de cette simple affirmation d’efficacité.

Quand bien même le risque de s’injecter et d’avoir des séquelles graves ou de mourir ne serait que d’un sur un million, pourquoi le prendre ? Comment pourrais-je survivre à la mort de mon enfant en pleine santé si d’aventure il décédait d’une injection expérimentale ?

Vient alors le mythe de la vaccination solidaire et altruiste. Il faut que je me ressaisisse et me rappelle que le français de 2020 et 2021 est devenu so-li-dai-re !
Ça va rentrer oui ?

Je dois absolument m’empêcher de penser que même les autorités sanitaires reconnaissent et insistent sur le fait que les vaccinés sont contaminants, qu’ils doivent continuer à porter le masque et qu’ils doivent désormais prendre une troisième dose d’un produit « efficace » pour le rendre « efficace ».

Effacer de ma mémoire les pays qui ont eu un recours massif à l’injection et dont la situation est catastrophique.

Pendant ce temps, tout ce petit monde de « vaccinés » vit comme si tout ceci n’était que mythe ! Pour être honnête, ce n’est pas tout à fait vrai, la plupart ignorent totalement les faits que j’ai relatés, n’ayant qu’une unique source « d’informations ».

Mais revenons au fameux « vaccin solidaire » qui vise à injecter tous les enfants pour (officiellement) empêcher de vieux grabataires de mourir…

Qui peut croire qu’un humain s’injecterait ces poisons ou qu’il l’injecterait à ses enfants pour protéger quiconque s’il avait le sentiment que ces produits sont potentiellement dangereux ou mortels ?

Seule la publicité peut nous faire gober un truc pareil. Les injections sont purement égoïstes. POINT.

Nous avons eu dans un premier temps une petite frange de la population paniquée qui s’est vaccinée « volontairement » pour se protéger du « méchant virus ». Puis le gros de la troupe s’est fait injecter pour aller en vacances, au cinéma ou au restaurant. Croyez-vous que ces millions de Français auraient fait ces injections s’ils avaient pensé qu’il y avait un risque, même infinitésimal, pour leur propre vie ou celle de leurs enfants ? Non, ils sont à ce point crédules (j’avais ajouté « et con », mais je suis désormais politiquement correct) pour gober les mensonges de la dictature et croire ce que les médias vomissent à longueur de journée :

« Une injection expérimentale de masse inédite d’ARNm sur des sujets sains et jeunes ne présente aucun danger ni à court ni à long terme ! »

Ce monde est merveilleux.

À noter que par le passé, l’alcool, le tabac, les rayonnements ionisants, le mercure, l’amiante et j’en passe… ne présentaient aucun danger pour la santé et, qui plus est, étaient considérés pour certains comme bénéfiques, alors pourquoi pas de l’ARN messager ?!

Donc ici aussi je ne peux pas… Je suis dans l’incapacité de croire que cette injection d’ARNm sur tous les habitants de la planète permettra d’éradiquer un virus qu’ils croient dangereux et que cet acte ne présente strictement aucun danger pour la santé.

Nous, les complotistes dissidents, disposons de milliers de témoignages d’effets secondaires graves, nous disposons de centaines de témoignages sur la planète de médecins qui signalent des effets secondaires et des décès à court terme chez des enfants. Nous disposons aussi de témoignages sur les soignants menacés et interdits de faire remonter ces informations. Tous ces soignants respectés hier seraient-ils devenus soudainement fous ou menteurs ?

Mais quand bien même toutes mes objections ne seraient que délire complotiste… Pourquoi prendre le risque d’un cancer à 20 ou 30 ans pour une maladie somme toute bénigne qui ne menace que des personnes à risques spécifiques et pour laquelle il est désormais prouvé que l’injection massive n’amènera pas une immunité de masse ?

Qui est le fou, l’irresponsable ou le criminel comme certains aiment à l’affirmer ? Celui qui critique comme moi ou celui qui injecte ses propres enfants ?

Alors ?

Et moi dans tout ça ?
Je ne suis pas comme tous ces Français absents, je vis les débuts d’une vraie dictature dans laquelle la censure est « juste », dans laquelle il n’y a plus de parlement, ni même de gouvernement et encore moins de juges, mais un « conseil de défense ».
Je suis victime de discrimination, interdit de commerces, de restaurants, de cinémas, de vacances, de voyages et bientôt de travail au nom de la « sécurité ».

Je souffre, je hurle, je pleure… souffrance d’autant plus grande que je ne vois pas les endormis souffrir.
Je suis bien sûr interdit de communication avec toutes ces personnes « heureuses », les médias ne cessant de les mettre en garde contre moi le non-malade, mais pour autant potentiellement contaminateur d’idées. Je possède non pas des indices, mais des centaines de preuves que mes pensées ne sortent pas d’un chapeau, mais toute discussion est vaine et interdite. Tous ces masqués, confinés, vaccinés ne veulent surtout pas savoir… alors je suis leur con et la réciproque l’est tout autant. Ces pourritures de vérificateurs qui pleuvent sur tous les médias de toutes les grandes chaînes rient en parlant de nous les « complotistes ». Ils font de nous des débiles, des naïfs, des analphabètes ou de dangereux psychopathes d’extrême droite de la fachosphère et donc bien sûr antisémites comme il se doit. Ceci afin de bien dédouaner les « bons » Français de discuter avec nous, les « pervers manipulateurs ».

J’ai passé et je passe encore des milliers d’heures à étudier la maladie, les symptômes, les publics touchés, les traitements, les statistiques, l’efficacité de telle ou telle mesure, les « vaccins » ou les études scientifiques publiées avant ou depuis la crise.

Et pourtant ma parole a moins de crédit à leurs yeux qu’un « médecin » médiatique :

  • Qui passe sa vie sur un plateau TV.
  • Qui est allé jusqu’à approuver l’interdiction de prescrire.
  • Dont la « vérité » se résume à la vérité médiatique.
  • Qui de fait n’a pas lu la moindre étude.
  • Et, qui plus est, croule sous les conflits d’intérêts.

Dans notre monde qui a perdu toutes ses valeurs, un tel gars corrompu est crédible, car il passe dans les grands médias et a un diplôme.

Au-delà de l’injustice, au-delà de ce procès en sorcellerie, au-delà de cette interdiction qui m’est faite de discuter, d’argumenter, de prouver mon absence de folie…

Ces autorités, ces médias et ces moutons (comment les appeler autrement ?) m’ont fait un mal terrible.

ILS ont tué (ou tout du moins blessé mortellement) mon empathie ! Je confesse n’en avoir plus rien à faire de leur sort. Je suis usé, lessivé…

Ils veulent continuer à porter leur muselière jusqu’à la fin de leurs jours, vivre comme des moutons et diminuer leurs défenses immunitaires… je n’en ai plus que faire. Ils veulent prendre le risque d’avoir des effets secondaires graves à court, moyen ou long terme ou même mourir de ces injections expérimentales… Grand bien leur fasse ! Pire encore, ils ont pris la décision d’injecter leurs propres enfants dont certains sont déjà ou vont décéder pour qu’ils puissent jouer au foot… Eh bien, cela ne me fait plus rien.

J’ai fait ma part. J’ai écrit des dizaines d’articles sur la dangerosité et la totale inutilité de ces poisons. Ils veulent croire la propagande ? Ils veulent croire l’industrie pharmaceutique alors qu’elle est la plus pourrie de toutes les industries qui de plus prétend agir pour nous ?

Grand bien leur fasse !… Ils m’ont à ce point déçu. Ils ont à ce point cette volonté de mettre la tête dans le sable, de ne pas vouloir savoir… que je ne peux plus RIEN pour eux.

Je les vois tel un banc de sardines. Leur survie est purement statistique comme la survie d’une sardine l’est aussi. D’un côté nous avons (pour peu que les sardines et la masse des Français pensent) « avec de la chance, je vais survivre à l’attaque des requins » et de l’autre « avec de la chance, je vais survivre au vaccin ». Ils ne comptent que sur le faible pourcentage de risques, à leurs yeux inexistants, tout en croyant à la dangerosité de ce virus… statistiquement anodin.

C’est trop tard. Je ne peux plus être empathique. J’ai acquis la conviction que si on leur disait de marcher à quatre pattes ou qu’on les faisait monter dans des trains pour aller dans des camps « afin de se mettre à l’abri du virus », ils le feraient sans la moindre réaction.

Ma survie n’est plus que pur égoïsme pour moi et pour les miens. Tous les résistants, les personnes qui réfléchissent et doutent, nous allons finir par faire tomber cette dictature immonde qui se drape sous ses airs de « bienveillance ». Mais personnellement, et même s’ils en tireront aussi les bénéfices, je ne le fais plus du tout pour eux.
Ils ont tué cette lumière en moi et je ne suis pas prêt de leur pardonner.

Alain Tortosa

12 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211012-et-si-ils-avaient-raison.pdf




Laboratoires pharmaceutiques, psychiatrie et oligarchie apatride mondiale ! Le cocktail mortifère

Par Claude Janvier

Laboratoires pharmaceutiques, psychiatrie et oligarchie apatride mondiale ! Le cocktail mortifère.

28 septembre 2021 : Emmanuel Macron a reçu un œuf sur l’épaule. Immédiatement, le lanceur a été placé en garde à vue, puis interné en hôpital psychiatrique. (1) Depuis, il y est toujours. Ça ne rigole pas dans notre beau pays. Un lancé d’œuf peut vous conduire direct en HP. Et là, vous n’êtes plus rien. Un psychiatre peut conclure à l’abolition de votre discernement et hop ! Bouclé, drogué, voire électrochoqué. — pardon sismochoqué, le terme est plus soft, voire plus chic qu’un électrochoc —, mais le résultat sera le même. Tout est une question de langage diplomatique et démagogique.

Hospitalisation d’office :

Depuis quelque temps, les hospitalisations d’office en hôpital psychiatrique d’opposants ou supposés gênants à la doxa gouvernementale sont à la mode.

— 10 décembre 2020 : le professeur Jean-Bernard Fourtillan, professeur émérite connu notamment pour ses travaux de recherche sur la maladie de Parkinson et d’Alzheimer, a été interné dans un hôpital psychiatrique. Il a été placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Nîmes après son interpellation. Trois jours plus tard, un médecin a considéré que son état de santé nécessitait un placement dans un établissement psychiatrique et le préfet a suivi ces recommandations. (2)

— Décembre 2020 : maître Bernard Ripert, ténor du barreau grenoblois, a été placé en garde à vue à Grenoble dans le cadre d’une procédure ouverte à la suite d’un incident survenu avec un magistrat. Puis, à cause d’une tension élevée, il a été hospitalisé, a reçu une expertise psychiatrique et a été interné sous contrainte. (3) (4)

— 14 juin 2021 : le professeur Éric Caumes, chef de service à l’hôpital de La Pitié-Salpêtrière, docteur en pathologie infectieuse et tropicale, clinique et biologique a été hospitalisé pour « décompensation psychiatrique ». Les sources proches du dossier déclarent qu’il est arrêté pour trois mois à ce jour. (5)

Quid de la facilité de faire interner quelqu’un ? Que dit la loi ?

« Comment se déroule l’hospitalisation sous contrainte ?

La personne hospitalisée sous contrainte est d’abord placée en observation, dans le cadre d’une hospitalisation complète. Dans les premières 24 heures, un médecin réalise un examen complet de la personne, et un psychiatre établit un certificat médical (article L 3211-2-2 du Code de la santé publique). Le certificat médical doit comporter le constat de l’état mental de la personne, et confirmer (ou infirmer) la nécessité de maintenir les soins psychiatriques. Puis, dans les 72 heures qui suivent l’admission, un nouveau certificat médical doit être établi. Si les deux certificats médicaux confirment la nécessité de maintenir les soins psychiatriques, le psychiatre propose alors un parcours de soins et de prise en charge du malade. Avant toute décision, précise la loi, la personne concernée “doit être informée et doit aussi être mise en mesure d’émettre un avis”.

La personne hospitalisée peut-elle contester ?

Depuis le 1er septembre 2014, la légalité de cet acte administratif individuel doit être examinée par le juge des libertés et de la détention dans un délai maximal de douze jours à compter de l’admission, ou à compter du retour en hospitalisation complète. Le tribunal judiciaire se prononce donc dans les douze jours sur la légalité et le bien-fondé de cet acte privatif de liberté pris par une autorité administrative (le Préfet ou un directeur d’établissement).

Donc, pendant 12 jours, vous pouvez être, sans votre consentement, bourré de psychotropes et/ou subir une “sismothérapie”. »

Qui peut lever l’hospitalisation sous contrainte ?

« Plusieurs personnes peuvent en décider.

Le psychiatre : il doit alors certifier que les conditions de l’hospitalisation sur demande d’un tiers ne sont plus réunies. Un certificat circonstancié doit mentionner l’évolution ou la disparition des troubles ayant justifié l’hospitalisation. Dans les vingt-quatre heures qui suivent la fin de cette mesure d’hospitalisation, le directeur de l’établissement en informe le représentant de l’État dans le département, le procureur de la République, et la personne qui a demandé l’hospitalisation.

Le juge peut aussi en décider. L’article L. 3211-12-1 — III du Code de la santé publique précise que “lorsque le juge ordonne une mainlevée, il peut, au vu des éléments du dossier et par décision motivée, décider que la mainlevée prend effet dans un délai maximal de vingt-quatre heures, afin qu’un programme de soins puisse, le cas échéant, être établi en application du II de l’article L. 3211-2-1. Dès l’établissement de ce programme ou à l’issue du délai [de 24 heures], la mesure d’hospitalisation complète prend fin”.

Le représentant de l’État dans le département (généralement le préfet) peut également ordonner la levée immédiate d’une hospitalisation à la demande d’un tiers lorsque les conditions de l’hospitalisation ne sont plus réunies. (6)

Le 19 juin 2020, le Conseil constitutionnel a ordonné au législateur de prendre des mesures pour que le maintien à l’isolement ou en contention en psychiatrie d’une personne hospitalisée sans son consentement soit contrôlé par un juge. En 2017, on estimait que 92 000 patients étaient enfermés en psychiatrie contre leur gré, parfois quelques jours, parfois plusieurs semaines (étude de la démographe Magali Coldefy). » (7) (8) (9)

Un médecin ou un psychiatre et un Préfet peuvent donc vous embastiller et vous pouvez vous retrouver sans le vouloir, drogué, voire plus grave électrochoqué. Et vu que dans un hôpital psychiatrique, vos droits sont réduits pratiquement à zéro, tout peut se faire sans votre consentement.

Vous pensez que j’exagère ? Vu l’historique de la psychiatrie, on peut légitimement se poser la question du bien-fondé de cette « science ».

Psychiatrie : une science vraiment ?

En essence, ce mot signifie médecine de l’âme. La psychiatrie s’est donc, dès le début, perdue en chemin. Si vous pensez guérir d’un passage à vide en allant voir un psychiatre, oubliez. Au mieux, vous tomberez sur un praticien qui vous écoutera et vous fera un peu de bien, mais en général, vous ressortirez avec une ordonnance vous prescrivant un ou plusieurs neuroleptiques.

La psychiatrie a son origine dans les traitements médicaux les plus inhumains. Les neurologues portugais Egas Moniz et Almeida Lima de l’Université de Lisbonne ont reçu un Prix Nobel en 1949 — incroyable, mais vrai ! — pour l’invention et la formalisation de la lobotomie en 1935. En gros, la lobotomie était un trifouillage de votre cerveau se faisant découper ou sectionner par un « boucher chirurgien ».

Vous êtes bien assis ? Prenez un petit cognac, car ce que vous allez lire n’est pas de la science-fiction.

Lobotomie : une horreur absolue

En 1936, le Dr Egas Moniz, neurologue, inventa la lobotomie au « pic à glace ». La technique constitue à enfoncer un pic à glace au coin de l’œil pour atteindre le cerveau, et plus particulièrement le lobe frontal. Cette partie gère, soi-disant les émotions. Le but était donc de créer une lésion au cerveau pour toutes les pathologies, qui à l’époque, relevaient d’un trouble de l’émotion : dépression lourde, schizophrénie, homosexualité et bien d’autres états…

Un de ses disciples, le docteur Walter Freeman, entre 1945 et 1954, parcourut les États-Unis dans sa « Lobotomobile » — véridique — et lobotomisa à peu près 4 000 personnes en enfonçant un pic à glace après avoir soulevé une paupière. Le plus souvent sans anesthésie. À peu près 100 000 personnes furent lobotomisées dans le monde à l’époque. Il faudra attendre 1960 pour que cette abomination soit rayée du menu des « soins » psychiatriques.

À noter qu’en 1941, Freeman opéra la plus célèbre de ses patientes, Rosemary Kennedy, sœur du futur président, âgée de 23 ans. Souffrant, selon ses parents et la thèse officielle, d’un léger retard mental et de trouble de l’humeur, elle subit l’opération, en resta incontinente et passe le reste de sa vie dans un état quasiment végétatif. La lobotomie n’est plus en application heureusement, mais l’électrochoc est toujours réalisé. (10) et (11)

L’Électrochoc : une thérapie ?

Mode d’emploi : le psychiatre envoie un courant électrique dans votre cerveau afin de créer une crise convulsive. Contrairement aux débuts de « l’électrothérapie » le patient est aujourd’hui mis sous anesthésie générale courte (5 à 10 minutes) — ouf, nous voici rassurés, quoique… Car le produit injecté est du curare — oui vous lisez bien —, une substance provoquant une paralysie des muscles, afin de prévenir les convulsions musculaires et éviter qu’il ne se blesse — . Toujours partant pour essayer ?

En bref, cette pratique barbare n’a aucun intérêt, sauf de vous cramer les neurones. Malgré le fait que ce procédé ne soigne pas, la médecine traditionnelle vous en vante toujours les mérites, sous le nom plus chic, mais toujours aussi choc, de sismothérapie. En revanche, la petite cure de « sismo » risque fort de faire de vous un légume au fil des années.

Au final, ce court-jus cervical peut s’avérer bien pratique afin de museler des opposants politiques, ou des gens en petite ou grande détresse mentale. D’ailleurs, les effets secondaires sont significatifs : maux de tête, nausées, et pertes de mémoire à court, moyen ou long terme. Sympa !

Ajoutez à une petite « sismo », un cocktail de neuroleptiques, plus communément appelé « camisole chimique » et vous obtenez un lavage de cerveau très efficace. Vous devenez branché ou à la masse — c’est peut-être là l’origine des deux expressions —. Plus aucune résistance. Tout passe par le bon vouloir du psychiatre qui, suivant son humeur, peut vous délivrer de cet enfer ou vous y maintenir.

Ce qui est incroyable sont les tonnes de louanges figurant dans des sites médicaux, tel que « Passeport santé » (12) par exemple sur ce genre de pratiques et autres.

Louanges que vous avez certainement déjà lues concernant par exemple des médicaments néfastes et des affaires scandaleuses tel que le Médiator, le Distilibène, l’Isoméride, la Dépakine, le Vioxx, les vaccins H1N1, le Lévothyrox et de bien d’autres comme l’histoire ubuesque du Remdesivir dont l’Union européenne a acheté pour plus 1 milliard d’euros de doses juste avant que l’OMS le déconseille contre la Covid-19…

À ce propos, les vaccins Covid-19 qui malgré le fait qu’ils soient toujours en essais cliniques, sont injectés à grand renfort de publicité à quasiment toute la population, provoquant beaucoup de décès et d’innombrables effets secondaires. — Union européenne – dans la base de données de l’Union européenne sur les effets indésirables des vaccins anti-Covid, appelée EudraVigilance, 1 509 266 blessures ont été signalées, dont 15 472 décès, au 19 juin 2021. EudraVigilance n’accepte que les rapports des membres de l’UE, et ne couvre donc que 27 des 50 pays européens —(13)

Mais à écouter la presse mainstream, le gouvernement et la haute caste médicale, les nouveaux vaccins sont si « merveilleux » ! Donc, ceux qui croient encore que les laboratoires pharmaceutiques œuvrent afin d’améliorer votre santé feraient bien de réviser leur copie. Rares sont les médicaments chimiques efficaces vous menant à une guérison complète. En revanche, les bénéfices sont énormes pour les labos et leurs actionnaires.

Bénéfices ultra juteux :

La psychiatrie et l’industrie pharmaceutique ont compris que si chaque comportement pouvait être redéfini comme une maladie mentale, il serait alors possible de vendre des quantités considérables de psychotropes censés modifier les comportements. C’est ainsi que l’on a vu se multiplier le nombre de « troubles mentaux ». Ces derniers sont répertoriés depuis 1952 dans le DSM, Diagnostic Statistical Manual, un ouvrage publié par l’Association Américaine de Psychiatrie, véritable bible mondiale de la psychiatrie.

En 1952, la première version du DSM recensait 112 troubles. En 1968, une nouvelle édition comptait 182 troubles. Aujourd’hui, nous en sommes à la quatrième édition et à 374 troubles mentaux recensés.

Ainsi, par exemple, la timidité est devenue le trouble d’anxiété sociale et il existe bien sûr un antidépresseur supposé le traiter. En 2012, est sortie la cinquième édition du DSM. De nouveaux troubles sont apparus. Ainsi, le trouble de l’acheteur compulsif, le syndrome d’aliénation parentale, le trouble explosif intermittent (colère), le trouble d’alimentation excessive et le trouble relationnel devraient tous faire partie des maladies mentales à traiter. La stupidité et la cupidité ne sont toujours pas traitées… Dommage.

Quelques chiffres :

En 2012, il s’est vendu 131 millions de boîtes de médicaments psychotropes en France. Soit deux boîtes par habitant. À quatre euros le prix moyen d’une boîte de psychotropes, cela fait 524 millions d’euros par an de CA. Bien loin d’être neutre.

À noter qu’en 2018, le chiffre d’affaires des médicaments en France s’élevait à environ 29 milliards d’euros. Chiffre d’affaires mondial en 2020 des médicaments : 1 046 milliards de dollars. (14) et (15)

Edouard Zarifian, un rare psychiatre honnête

« Dans son rapport, publié en 1996, concernant la prescription et l’utilisation de médicaments en France, le regretté Édouard Zarifian, psychiatre hospitalier universitaire à Caen avait écrit : “La France consomme plus de médicaments que les pays de niveau économique comparable. Les psychotropes, en particulier, sont trois fois moins utilisés en Allemagne ou en Grande-Bretagne. En France, ‘l’évolution totale de la classe de psychotropes est due à l’augmentation des ventes d’antidépresseurs. Cette classe thérapeutique a connu une augmentation de 5,63 % par an en moyenne de 1990 à 1994’, soit une hausse en dépenses de 10 % par an. ‘Si le taux de croissance de la Grande-Bretagne paraît plus élevé que celui de la France dans la période 1990-1994, il faut noter que le volume de prescriptions [d’antidépresseurs] en France en 1990 était de 40 % supérieur à celui de la Grande-Bretagne à la même époque. […]»

Les femmes en consomment plus que les hommes. 22,7 % de femmes contre 12,9 % pour les hommes, et plus elles avancent en âge, plus la consommation augmente jusqu’à 75 ans. Les adolescents ne sont pas épargnés et comme pour les adultes, ce sont les adolescentes qui en prennent le plus : 23,4 % contre 13,8 %. Et dans un tiers des cas, ce ne sont pas les médecins qui prescrivent en première intention ces psychotropes, mais leurs parents qui prennent sur leur bonnet de leur en donner, car leurs médecins leur ont fait une ordonnance !

Il n’existe actuellement aucune réflexion dans le milieu médical, et en particulier dans le milieu psychiatrique académique, sur l’éthique de la prescription de médicaments psychotropes. Les leaders d’opinion restent muets face à l’abaissement de la limite entre le normal et le pathologique, ouvrant de nouveaux marchés à la prescription ; […] ils acceptent la banalisation de l’utilisation des psychotropes pour lesquels il n’existe nulle part de pharmacovigilance spécifique de leurs possibles effets psychiques indésirables. […] Il existe une intentionnalité claire de fournir exclusivement aux médecins généralistes ou aux spécialistes, par la voie de discours académiques, une représentation monolithique réduite aux seuls symptômes accessibles aux seuls médicaments.” Alors que “pratiquement toutes les études cliniques, épidémiologiques, médico-économiques, sont suscitées, financées et exploitées au plan statistique de manière autonome par l’industrie ou par des sous-traitants qu’elle rémunère.” » (16)

Après cet exposé clair et concis, revenons aux « pilules magiques » qu’une majorité de gens avalent comme des boules de gomme.

Pilules et vaccins magiques : une relation ?

« La collectivité débourse environ un milliard d’euros chaque année pour ses petites pilules du bonheur quand la moitié voire les deux tiers pourrait être facilement économisé. Ajoutons à cela, le prix des dizaines de milliers de journées d’hospitalisations liées aux effets secondaires. Mais surtout, la facture est très lourde sur le plan humain. On a tendance à l’oublier, mais les psychotropes agissent en modifiant la chimie de nos neurones. Mal prescrits, mal utilisés, ils peuvent mettre le feu dans le cerveau et être à l’origine de détérioration cérébrale (troubles de mémoire, voire Alzheimer), modifications du comportement (agitation, confusion mentale, désinhibition…), malformations du fœtus, accidents de toute sorte (voitures, chutes notamment des personnes âgées) et jusqu’à des actes de violence de type infanticides, homicides, suicides. »

Nous avons donc une population sur-gavée de neuroleptiques, donc droguée et de facto avec une réflexion amoindrie. Corollaire : l’acceptation aussi rapide par une majorité de gens d’un liquide expérimental appelé trompeusement vaccin ne peut se faire qu’avec une réflexion amoindrie, ce qui expliquerait en partie cette ruée inexplicable. Bien que chaque personne, droguée ou non, peut toujours conserver un certain pourcentage de lucidité et ne pas être en accord. Mais le désir de voyager, de manger au resto et d’aller siroter sur une terrasse son verre de Spritz avec son bol de pop-corn vaut bien une piquouse… Vendre son âme pour un shoot… Pathétique et affligeant. (17)

Le Prozac est à la mode et se vend sans ordonnance sur Internet.

Hé oui, vous pouvez vous droguer tranquille.

Extrait de « Santé Féminine » : — le titre de ce canard serait-il trompeur ? — .

« Pourquoi faut-il prendre le Prozac ?

Le Prozac est un médicament de la famille des inhibiteurs sélectifs du re captage de la sérotonine, on l’utilise dans le traitement de la dépression où il aide à améliorer l’humeur. Nombreuses sont les personnes qui font usage de cet antidépresseur efficace aux effets secondaires réduits. La substance active contenue dans le Prozac est la Fluoxétine qui est un psychotrope de type inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS). La Fluoxétine a été développée par la firme Eli Lilly en 1974 et mise sur le marché pharmaceutique sous le nom commercial de Prozac en 1986. La Fluoxétine va agir au niveau de certaines parties du cerveau en augmentant le niveau de la sérotonine qui est un neurotransmetteur. Les bienfaits du Prozac sont souvent visibles au bout de quelques semaines après le début du traitement. Il sera donc possible d’attendre quelques semaines avant que l’effet de la Fluoxétine n’atteigne son seuil maximal. En plus de traiter la dépression, le Prozac permet également de réduire ou d’éliminer les symptômes du trouble obsessionnel compulsif et pour traiter la boulimie, un trouble de l’alimentation. En effet, la FDA qui est l’équivalent de l’Agence européenne des médicaments (AEM) aux États-Unis a approuvé l’utilisation du Prozac 60 mg par jour pour le traitement de la boulimie. De façon simple, vous pouvez utiliser le Prozac pour la perte de poids, mais ceci sous le contrôle d’un spécialiste. Le Prozac peut donc être prescrit pour : épisodes dépressifs majeurs. Troubles obsessionnels compulsifs. Boulimie, trouble dysphorique prémenstruel.

Prozac en France :

En France, le médicament Prozac est très demandé, il est d’ailleurs le troisième meilleur médicament le plus vendu. Les chiffres parlent d’eux-mêmes avec près de 11,2 millions de boîtes achetées et 1 million de Français par an à prendre du Prozac. Les avis des Français sont divergents : beaucoup le trouvent génial, et à ce titre, il a d’ailleurs reçu le petit nom de pilule du bonheur ou pilule de tous les fantasmes, celle qui fait jouir. Suite à l’expiration du brevet Prozac détenue par Eli Lilly d’autres laboratoires ont également développé et commercialisé la Fluoxétine, ainsi, on trouve plusieurs génériques Prozac en vente en France. Le Prozac générique est également en vente sous le nom de Sarafem.

Prozac sevrage : ça se gâte.

Un arrêt brutal du traitement Prozac peut entraîner des symptômes de sevrage. Le risque de symptômes de sevrage dépend de plusieurs paramètres comme : posologie, durée du traitement, rythme de diminution de la posologie. Les réactions les plus fréquentes rapportées étaient les suivantes : sensations vertigineuses, troubles sensoriels, troubles du sommeil, asthénie, agitation ou anxiété, nausées, tremblements, céphalées. L’arrêt du traitement Prozac doit se faire de façon progressive en diminuant la dose.

Prozac effets secondaires :

Les effets indésirables du Prozac fréquemment rapportés sont : céphalées, nausées, insomnie, fatigue, diarrhée. Les effets indésirables peuvent diminuer en intensité et en fréquence lors de la poursuite du traitement sans toutefois que l’arrêt du traitement ne soit nécessaire. » (18)

Et vous faites toujours confiance aux labos ?

La drogue du violeur

Un benzodiazépine hypnotique, le Zolpidem reste la principale « drogue du violeur »

La soumission chimique, en vue d’agression sexuelle, de vol ou de maltraitance, est liée dans les trois-quarts des cas à la prise d’un médicament, benzodiazépine en tête.

« La soumission chimique consiste en l’administration à des fins criminelles ou délictuelles (agression sexuelle, vol, maltraitance) de substances psychoactives à l’insu de la victime ou sous la menace. En 2017, ces méfaits, qui touchent principalement les femmes, sont en augmentation de 36 % par rapport à 2016, avec 462 cas de soumission chimique rapportés, selon une enquête publiée le 13 mars par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Dans les trois-quarts des cas, un médicament est impliqué : 4 fois sur 10, il s’agit de benzodiazépines ou apparentés.

Le produit le plus utilisé reste le Zolpidem. Il est suivi du Diazépam, puis du Bromazépam et de la Zopiclone. “L’utilisation du Zolpidem a toutefois amorcé une baisse, alors que le recours au Diazépam et à la Zopiclone a bien progressé. Quant au Clonazépam, il persiste encore, mais en faible proportion”, indiquent les auteurs de l’enquête. On retrouve également des sédatifs divers, avec sur le podium la Cyamémazine, les antipsychotiques puis l’Hydroxyzine. Enfin, parmi les substances non médicamenteuses utilisées, le MDMA se maintient en tête et voit son chiffre doubler par rapport à 2016, et le GHB a été détecté dans 3 cas. » (19)

Donc, la drogue du violeur est un médicament chimique inventé par des labos. Pas belle la vie ?

Et vous faites toujours confiance aux labos ? Oui, je sais, je me répète, mais c’est au cas où…

Oligarchie mondiale financière apatride :

Les liens entre les laboratoires pharmaceutiques, la psychiatrie, et l’oligarchie mondiale financière sont évidents. Tout ce « beau linge » marche ensemble, engrange des bénéfices indécents, tout en regardant la majorité de la population planétaire obtempérer sans résistance. Droguez-vous en paix, dormez en paix, moutonnez en paix braves gens, nous veillons sur vous… Continuez à ne vous préoccuper que de futilités, nous nous occupons du reste. Désolé, si certains n’apprécient pas mes propos, mais le fait est que, si la majorité de gens refusait que des lois liberticides soient votées et appliquées, nous n’en serions pas là.

Ajoutez à cela la facilité avec laquelle la majorité a accepté le port du masque généralisé, a accepté sans broncher l’injection d’un liquide expérimental, — encore sous essais cliniques, a accepté le passe sanitaire de la honte, et enfin accepte de continuer à se bourrer de médicaments nocifs à la santé, nous n’en serions toujours pas là. C’est bien normal de s’occuper de sa vie, de sa famille, de sa petite auto et de ses vacances, mais c’est très loin d’être complet. La vie embrasse beaucoup de domaines, à commencer par la vie en société, la politique, les relations avec les autres, les animaux, la planète et la spiritualité.

À noter que les vaccins Covid-19 n’ont bénéficié à leur lancement que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle en raison du fait que les expérimentations, normalement réalisées d’abord avec des animaux infectés, puis avec des patients infectés afin d’observer le degré de succès du médicament sont insuffisantes pour en garantir l’efficacité et la sûreté. C’est également la raison pour laquelle les fabricants de produits à ARNm ont demandé à être déchargés de leurs responsabilités quant aux effets secondaires pouvant survenir. De ce fait, leur injection viole l’article 32 de la Convention de Genève de 1949. Cet article stipule que « les mutilations et les expériences médicales ou scientifiques non nécessaires au traitement médical d’une personne protégée » sont interdites.

Au-delà de quelques familles connues — Rothschild, Rockefeller, Warburg — pour leur fortune et leurs implications dans l’organisation et l’établissement d’un gouvernement occulte mondial, il est nécessaire de souligner que depuis quelques années, l’oligarchie mondiale financière apatride a pris l’aspect de groupes financiers mondiaux tentaculaires, dirigé au sommet par la City de Londres et possédant des actions dans presque toutes les sociétés mondiales. Leurs valets obéissants et ultra-friqués tels que Bill Gates, George Soros, et les GAFAM — Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft — s’assurent de la propagande, du noyautage des états et de la censure. (20)

Tout ce beau monde ultra protégé par une armée de mercenaires et de gardes du corps, s’assure d’emmagasiner toujours plus d’argent tout en se faisant construire, en Nouvelle-Zélande par exemple, une villa bunker tout confort — piscine intérieure, jacuzzi, lumière artificielle, etc. –

Un exemple :

« Le milliardaire Peter Thiel, fondateur de PayPal et de Palantir, a lancé le mouvement en 2015, en achetant pour près de 12 millions d’euros une ferme et près de 200 hectares de terrain sur les rives du lac Wanaka, dans le sud de la Nouvelle-Zélande. Il y a fait construire une pièce ultra sécurisée. Avec quatre autres entrepreneurs de la Silicon Valley, dont Sam Altman, patron de Y Combinator, il garde toujours un avion prêt à s’envoler et à traverser 7 000 kilomètres au-dessus du Pacifique au moindre signe d’apocalypse ou de révolte sociale. L’un d’entre eux avoue même conserver dans son garage de San Francisco une moto et des armes, pour rejoindre au plus vite l’avion privé. » (21)

Parano les cocos. Altération mentale en vue, mauvais signe ! Un petit Prozac ? Il parait que ça détend…

Vanguard, BlackRock, State Street sont les nouveaux empires financiers tentaculaires. Time Warner, Comcats, Disney, News Corp appartiennent aux deux premiers, contrôlant ainsi plus de 90 % des médias américains. À eux trois, ils détiennent des participations dans 1600 entreprises américaines avec des revenus combinés en 2015 s’élevant à 9 100 milliards de dollars. Bagatelle !

Les actions des plus grandes entreprises du monde sont détenus par ces quelques investisseurs. Ils sont tous propriétaires interactifs. Des marques concurrentes comme Coca-Cola et Pepsi ne le sont pas, puisque leurs actions sont détenues par ces conglomérats. La mondialisation financière dans toute sa splendeur. Un rapport de Bloomberg indique que ces deux sociétés, en 2028, auront ensemble des investissements d’un montant de 20 000 milliards de dollars. Cela signifie qu’elles posséderont presque tout.

Vanguard, le principal actionnaire de BlackRock depuis mars 2021, n’est pas coté en bourse. Ceux qui possèdent Vanguard n’aiment apparemment pas être sous les feux de la rampe : Rothschild Investment Corp et Edmond De Rothschild Holding en font partie, tout comme la famille italienne Orsini, la famille américaine Bush, la famille royale britannique, la famille du Pont, les Morgan, les Vanderbilt, les Rockefeller, etc. Toujours les mêmes !

BlackRock et Vanguard possèdent Big Pharma. En février 2020, BlackRock et Vanguard étaient les deux plus grands actionnaires de GlaxoSmithKline, avec respectivement 7 % et 3,5 % des actions. Chez Pfizer, la propriété est inversée, Vanguard étant le premier investisseur et BlackRock le deuxième plus grand actionnaire.

Vous n’y croyez toujours pas ? Un exemple : Merckgroup.

Page de pub du site de Merck : « C’est une équipe vibrante de spécialistes dans les domaines de la Santé, des Sciences de la vie et des Matériaux de haute performance. Chez Merck, nous partageons le même amour de la science et la même passion pour la technologie. » (22)

Oh, que c’est beau ! Sauf que le premier actionnaire de Merck est The Vanguard Group, Inc., qui détient par ailleurs aussi des parts dans des grandes sociétés comme Michelin, Amazon, American Express, Pernod-Ricard, Monsanto, ExxonMobil, Alphabet, Dow Chemical ou encore Foxconn (liste non-exhaustive). N’en jetez plus… Les grandes sociétés françaises du CAC -40 sont aussi gangrenées. J’avais presque oublié que Vanguard est également le principal actionnaire de Microsoft, Facebook, Google, Apple — en gros, les Big Techs — et de Goldman Sachs.

Blackrock Inc., est n° 1 mondial de la gestion d’actifs avec 8 676 milliards de dollars d’actifs à la fin de 2020, le positionnant devant The Vanguard Group avec ses 6 200 milliards de dollars d’actifs sous gestion au début de 2020.

Vertigineux. Dans l’absolu, on pourrait penser qu’un gouvernement mondial serait une bonne solution, car il éviterait les querelles et guerres inutiles entre pays et qu’au final, tous les citoyens de cette planète bénéficieraient de la bienveillance de ces « bons samaritains oligarchiques ». Sauf que ce n’est pas le cas. Leurs âmes sont noires et leurs desseins sont tout, sauf altruistes.

La meilleure preuve en est qu’avec autant d’argent empilés dans des actions, des comptes bancaires numérotés et des stocks options, la misère, la faim, l’illettrisme et la pauvreté n’ont toujours pas disparu de la planète et sont même plutôt en augmentation. Donc, bémol, il y a, et bémol, il y aura si nous leur laissons le champ libre.

Claude Janvier


Ecrivain polémiste.
https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/




Festival des personnes remarquables

[Source : alternative-academy.net]

Bande-annonce :

SANTE & MÉDECINE

Dr TADEUSZ NAWROCKI – 26/10/21 à 19h30

Spécialiste du système HLA depuis 40 ans – pour lequel il s’est passionné dès la découverte par l’immunologiste et Prix Nobel, Jean Dausset – le Dr Nawrocki met en place, dans les années 1990, la recherche HLA complète comme outil de singularisation anthropologique et ethnique. Puis il crée, en 2015, un fichier informatique : l’Haplotype (HLA), et mène des travaux sur la molécule HLA-G et la tolérance immunitaire de la grossesse.

Il compte 30 publications scientifiques dans les domaines de la cytogénétique, la génétique moléculaire, l’anthropologie médicale, l’odontologie, la  stomatologie et la biophysique. Au cours de sa carrière, le Dr Tadeusz Nawrocki a obtenu différents diplômes inter universitaires : de cancérologie, de méthodologie des essais cliniques des médicaments, environnement et santé, environnement et cancer, de médecine prédictive. Il a obtenu également un diplôme de l’Institut Pavlov de Saint-Petersbourg, un diplôme d’homéopathie et il s’est également formé en pharmacologie botanique ainsi qu’un diplôme universitaire de formation et recherche en anthropologie médicale DUFRAM. http:// acmeditions.com

THEME DE LA RENCONTRE : Le système HLA, un outil de diagnostic fascinant :

« En anthropologie, le système HLA est un outil qui permet d’individualiser chacun dans son appartenance ethnique, migratoire, géographique. En immunogénétique, le système HLA permet de comprendre pourquoi certaines comorbidités, qui se transmettent entre ascendant à descendants, sont activés en pathologie par leur juxtaposition sur l’haplotype. Ceci avec des susceptibilités microbiennes, virales, aux métaux lourds, véritables accélérateurs de certaines procédures maladives qu’elle soit cancéreuse, auto-immune, neurodégénérative. »

Dr GÉRARD DIEUZAIDE : 23/10/21 à 14h30

Le Docteur Gérard Dieuzaide est chirurgien-dentiste, conférencier, diplômé universitaire de posturologie et d’implantologie. Il s’intéresse depuis de nombreuses années plus particulièrement au problème occlusal dentaire, mais aussi à l‘électrosensibilité aux ondes, notamment à travers l’effet d’antenne et l’écho vibratoire de certains matériaux situés sur nos dents.

Il est l’auteur des livres « Libérez-vous de ces matières parasites » aux éditions Trédaniel, « Les maladies des ondes comment s’en préserver, électrosensibilité, fibromyalgie, fatigue chronique », « Si ça venait des dents », et « Testing thérapie » aux éditions Dangles.

Le Dr DIEUZAIDE a participé au documentaire  « Les sacrifiés des ondes » du réalisateur Jean-Yves Bilien avec entre autres le Professeur Luc Montagnier et le Professeur Dominique Belpomme. site : https://www.dieuzaide-electrosensibilite.com/fr

THEME DE LA RENCONTRE : Ces matériaux qui font « antenne » …

Certains matériaux font « antenne » avec les ondes ambiantes. Tester permet ainsi de donner à chacun les moyens de reconnaître certaines agressions environnementales, auto-induites,  proprioceptives, électromagnétiques   ou émotionnelles, de toute nature, en sachant lire et observer les réactions de son corps afin de s’en protéger. Mais tester permet également aux thérapeutes, quels qu’ils soient , médecins,  dentistes,  naturopathes, nutritionnistes, psychologue, osteopathes, etc..de respecter la célèbre maxime « primum non nocere »( D’abord ne pas nuire )qui est malheureusement trop souvent oubliée par la médecine moderne… Savoir tester donne les clés d’une méthode thérapeutique inédite qui est spectaculaire non seulement du fait des résultats obtenus mais aussi du fait de la diversité des incroyables améliorations de santé qui s’en suivent.

Enfin il faut savoir que les tests utilisés sont issus d’une jeune discipline de la médecine officielle, science que l’on appelle la Posturologie.

Dr DOMINIQUE ERAUD : 31/10/21 à 17h30

Homéopathie, Acupuncture, Phytothérapie, Nutrition –

Fondatrice du colloque Écomédecine, d’Intelligence Verte, de la CNMSE : Coordination Nationale Médicale Santé Environnement – Membre fondateur du RES : Réseau Environnement Santé Présidente Paris : Solidarité Homéopathie.

THEME DE LA RENCONTRE : Le dosage d’anticorps : un outil pour individualiser l’acte vaccinal.

Le dosage d’anticorps : un outil pour individualiser l’acte vaccinal. Une expérience menée avec l’Hôpital Privé Nord Parisien (HPNP) Une réflexion sur une vaccination sur mesure.

MARION KAPLAN  : 24/10/21 à 18h

Marion Kaplan est naturopathe, bio nutritionniste, spécialisée en Nutrithérapie et en micronutrition. Tout au long de sa vie elle a étudié avec des experts précurseurs comme le Dr Catherine Kousmine, Robert Masson, le Dr Jean Seignalet, le Pr Henri Joyeux, Dr Thadèe Nawrocki,  Pr Vincent Castronovo… Elle  s’est également passionnée pour les médecines énergétiques, comme l’homéopathie, l’acupuncture, la bio énergie, les médecines quantiques, mais également les médecines de compréhension de l’humain comme la PNL, le développement personnel, la spiritualité.  C’est une éternelle étudiante. Toutes ces compréhensions ont abouti à plus d’une vingtaine d’ouvrages sur l’alimentation et à l’organisation de nombreux congrès « quantique planète » et à son « Ecole des Sages ».Livres : Paléobiotique (Thierry Souccar), Powerbiotique (Trédaniel), sans gluten ni laitages (Jouvence)…Site : https://95degres.com

THEME DE LA RENCONTRE : Vivre en pleine santé après 64 ans, c’est possible ! Nous avons gagné en longévité, mais le temps de vie en bonne santé ne dépasse toujours pas 64 ans. A partir de cet âge, les statistiques démontrent que les maladies explosent, qu’elles soient de civilisation, auto immunes, infectieuses, virales, métaboliques ou autres.Pourtant, grâce aux progrès de la Médecine Préventive, nous avons tous les moyens pour prévenir plutôt que guérir.Nous avons accès maintenant à l’étude de notre génome qui nous permet de prendre les précautions et les résolutions qui ne nous ferons jamais basculer dans les maladies auxquelles nous sommes génétiquement prédisposés.

Dr Alain DUBLANCHET : 28/10/21 à 19h30

Médecin, biologiste honoraire des hôpitaux, ancien chef du laboratoire de microbiologie du Centre hospitalier de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) il a consacré son activité à la microbiologie médicale et à l’infectiologie. Il a publié de nombreux articles originaux concernant notamment l’étude des bactéries anaérobies et les résistances bactériennes aux antibiotiques.

Durant son activité hospitalière, ayant lui-même utilisé il y a plusieurs dizaines d’années des bactériophages pour traiter des infections ostéo-articulaires graves en impasse thérapeutique, il s’est attaché, à réintroduire la phagothérapie dans la communauté médicale et à correspondre avec les spécialistes français et étrangers. Il est l’auteur du chapitre « Phagothérapie » dans l’Encyclopédie Médico- Chirurgicale, et d’un ouvrage destiné au médecins généralistes et au grand public : « La phagothérapie : des virus pour combattre les infections. Renouveau d’un traitement au secours des antibiotiques ». Il a également écrit une biographie de Félix d’Hérelle, qui fut le découvreur du bactériophage en 1917 et le promoteur de la phagothérapie.  Livre : « La phagothérapie – Des virus pour combattre les infections » (Favre)  https://www.sesoignerengeorgie.com/docteurdublanchet.html

THEME DE LA RENCONTRE : De la découverte des bactériophages au développement de la phagothérapie !

Le développement continu des résistances bactériennes aux antibiotiques entraîne l’apparition d’infections de plus en plus souvent impossibles à maîtriser. Il en résulte des situations individuelles dramatiques qui met la médecine en échec. Il devient urgent de trouver une réponse. La phagothérapie, qui utilise des virus singuliers « mangeurs de bactéries » appelés bactériophages, est probablement la réponse la plus abouti à cette évolution inéluctable et préoccupante.

Dr DOMINIQUE BOURDIN : 27/10/21 à 16h  

Diplômé en Médecine du Sport et en Acupuncture, Dominique Bourdin bénéficie d’une solide expérience de médecin et de psychothérapeute (ayant exercé près de vingt ans la médecine générale et l’acupuncture, et la psychothérapie pendant plus de dix ans). Egalement formé en Sciences et en Théologie, sa quête est perpétuelle : comprendre l’être humain et le sens qu’il peut donner à sa vie.

Durant ces années d’expériences, les rencontres multiples et variées, la recherche, l’expérimentation lui ont permis de concevoir des techniques de soins performantes : la musicothérapie (ou holopsonie) qui stimule les ressources de la personne à travers l’ouïe, et la chromothérapie (ou luminothérapie de précision) qui agit sur toute la structure vibratoire du corps humain. https://www.holobiolistic.eu/new5/index.php

THEME DE LA RENCONTRE : La chromobiologie, une piste pour la médecine de demain ?

En développant une conception de l’être humain fondée sur la conscience, la lumière et les couleurs, la chromobiologie permet de comprendre les besoins et donc d’en prendre soin efficacement.

Elle propose aussi un outil thérapeutique pertinent dans une approche globale de la santé, non symptomatique, non analytique, centrée sur la personne et ses ressources plus que sur ses problèmes dans un accompagnement d’autoguérison et de prise de conscience.


Programme

Vendredi 22 Octobre 2021

14h Film « DE LA PSYCHOLOGIE A LA SPIRITUALITE » avec Thierry Janssen

18h Film « ENFANTS HYPERSENSIBLES, UN PRESENT POUR L’AVENIR »
        avec Jeanne Siaud-Facchin

20h Rencontre avec Jeanne Siaud-Facchin
 » Intelligence acérée & sensibilité exacerbée, une Alchimie pour demain ?
Échangeons ensemble !

Samedi 23 Octobre 2021

10h Projection de l’interview  » Aluminium, le corps Blessé … une invasion toxique » – Pr Christopher Exley

13h Projection du film : « Les sacrifiés des ondes « avec le Dr Gérard Dieuzaide

14h30 Rencontre avec le Dr Gérard Dieuzaide
« Le corps ne ment pas » Echangeons ensemble !

16h Projection du film : « LA ROUTE DE LA CONSCIENCE »

17h Interview de Philippe Guillemant : Comment adresser notre meilleur futur ?

18h Rencontre avec Philippe Guillemant 
Échangeons ensemble !

19h30 Rencontre avec Alexandre Rusanov
Le rôle des facteurs géologiques et géophysiques dans la pollution électromagnétique
Échangeons ensemble !

21h Projection du film : « LES GUERISSEURS, LA FOI, LA SCIENCE »

Dimanche 24 Octobre 2021

10h Projection du Film :  « LA TROUSSE D’URGENCE DE L’AROMATHÉRAPIE », avec le Dr Dominique Baudoux

14h Interview de Olivier Barbarroux : L’humain, fils de la terre, à la croisée des chemins

15h Rencontre avec Olivier Barbarroux
Échangeons ensemble !

16h30 Projection du Film : « CROQUE LA VIE »

18h Interview du Marion Kaplan  : Vivre en pleine santé après 64 ans, c’est possible !

19h Rencontre avec Marion Kaplan
Échangeons ensemble !

20h Interview du Dr Hervé Janecek : « Les ondes , la lumière,  les électrons en nutrition et en thérapie » ?

21h Rencontre avec le Dr Hervé Janecek
Échangeons ensemble !

22h00 Projection du Film : « GUERISON EXTRAORDINAIRE » avec Willy Barral

Lundi 25 Octobre 2021

10h Projection du Film :  » LE MOINE BLANC DE SHAOLIN » avec Andréas Beskow  

15h Projection du Film : « DERMO-OPTIQUE avec Antonin Poncik

18h30 Projection du Film : « CEUX QUI NE VEULENT PAS GUERIR » avec Jean-Philippe Brébion

19h30 Interview de JP Brébion : « Ne cherchons pas à vivre, cessons de survivre, la vie oeuvre en nous »

20h30 Rencontre avec Jean-Philippe Brébion
Échangeons ensemble !

Mardi 26 Octobre 2021

10h Projection du film : « LES GUERISSEURS DE L’IMPOSSIBLE »

14h Projection du film : « LA NOUVELLE BIOLOGIE CELLULAIRE » avec le Dr Bruce Lipton

16 h30 Interview du Dr Tadeusz Nawrocki : « Coronavirus & traitements » du Dr Tadeusz Nawrocki

19h30 Rencontre avec le Dr  Tadeusz Nawrocki
Le système HLA : Votre carte génétique tissulaire, un outil de diagnostic fascinant
Échangeons ensemble !

22h Projection du film : « LES ETAPES DE DEVELOPPEMENT DE L’ENFANT & DE L’ADOLESCENT »  avec Nathalie Brochard

Mercredi 27 Octobre 2021

10h Projection du film  : « MEDECINE, LE GRAND TOURNANT »

14h Projection du film : « GUERIR PAR L’AMOUR » avec le Dr Léonard Laskow

16h Rencontre avec le Dr Dominique Bourdin
L’utilisation de la lumière : A chaque couleur, sa fonction !

18 h30 Projection du film : « SEUL EST VAINCU CELUI QUI RENONCE » avec Babeth & Raphaël Colicci

20h Rencontre avec Raphaël Colicci : Le défi de la simplicité
Échangeons ensemble !

Jeudi 28 Octobre 2021

14h Projection du Film : « LES CHEMINS DE LA GUERISON »  avec le Dr Guy Londechamp

15h45 Interview du Dr Guy Londechamp : L’eau & La conscience

16h30 Rencontre avec le Dr Guy Londechamp Echangeons ensemble !

18h Projection du film « LA NATUROPATHIE VITALISTE » Ecole Dargère- Pierre-Valentin Marchesseau

19h30 Rencontre avec le Dr Alain Dublanchet
De la découverte des bactériophages au développement de la phagothérapie
Échangeons ensemble !

Vendredi 29 Octobre 2021

10h Projection du film « FUSION FROIDE » avec Jean-Paul Bibérian

14h  Projection du film : FREQUENCES ELECTROMAGNETIQUES DE L’ADN » avec le Pr Luc Montagnier

18h30 Interview du Dr Claude Touzet : Théorie neuronale de la cognition

20h Rencontre avec le Dr Claude Touzet
Échangeons ensemble !

Samedi 30 octobre 2021

10h Projection du film « AU DELÀ DU MIROIR » – Sylvie Ouellet

13h Projection du film « PHOTOBIOLOGIE – LUMINOTHERAPIE » – Dr Luc Benichou

14h15 Rencontre avec le Dr Luc Benichou
La lumière, l’eau et la cellule, 

15h30 Interview de Vahé Zartarian : L’humanité a-t-elle un avenir ?

16h30 Rencontre avec Vahé Zartarian 
Échangeons ensemble !

18h Projection du film : « MUSIQUE & THERAPIE » avec Marc Vella

19h Interview de Marc Vella : Le maître & la Grâce

20h Rencontre avec Marc Vella
Échangeons ensemble !

Dimanche 31 octobre 2021

10h Interview de Jean-Christophe Thiery : Et si nous parlions un peu de fraternité ?

11h Rencontre avec Jean-Christophe Thiery
Échangeons ensemble !

14h Interview de Patrice Van Eersel : Comment croire en l’avenir quand on a 30 ans

15h Rencontre avec Patrice Van Eersel
Échangeons ensemble !

16h Interview du Dr Dominique Eraud : « Le dosage d’anticorps : un outil pour individualiser l’acte vaccinal »

17h30 Rencontre avec le Dr Dominique Eraud
Échangeons ensemble !

19h30 Rencontre avec Philippe Desbrosses
Agriculture : nos semences en vérité. 
Échangeons ensemble !




Obligation vaccinale et totalitarisme : pas de clivage gauche-droite

Par Nicole et Gérard Delépine(([1] t.me/DrDelepine))

Obligation vaccinale et totalitarisme : pourquoi ce projet de loi ne clive-t-il plus gauche et droite ?

Peut -être parce que la gauche et la droite se sont noyées dans la pensée unique, système totalitaire développée depuis quarante ans et qui contribue à passer dans la vie réelle les délires de certaines minorités que les autres appuient en silence de peur d’être marginalisés.

Les exemples foisonnent avec la destruction de statues d’hommes célèbres ou le licenciement de musiciens accomplis dans les conservatoires anglais pour insuffisance de diversité. Ne voient-ils pas qu’ils reconstruisent des ghettos ?

La commission des lois a rejeté l’amendement de B. Jomier (ses liens avec les associations anti-sida et Gilead sont-ils trop connus ?).(([2] Le sénateur macroniste Bernard Jomier a déposé un amendement visant à sanctionner d’une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros les parents qui refusent de soumettre leurs enfants à la vaccination obligatoire. MàJ – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Mais le risque est entier pour le 13 octobre. Les citoyens doivent donc continuer à envoyer des mails, des courriers par poste et des demandes de rendez-vous aux sénateurs qui auront l’énorme responsabilité de rendre le totalitarisme visible, s’ils se laissaient aller à voter, ou laisser passer cet amendement par absence de l’hémicycle.(([3] joignez nos représentants !
sénateurs : 
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs
députés :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes
membres des cabinets Ministériels :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=cabmin
Des 4 Agences de presse :  
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=medias&type_media=Agence%20de%20presse
et pour plus d’infos voir :
https://t.me/recensementeffetsecondaire/40101
Alice (Lili Liberté), [Oct 6, 2021 at 12 :54]
ANNUAIRE))

L’obligation vaccinale n’est absolument pas un sujet clivant droite/gauche
Monstrueuse pensée unique

Les totalitaires de l’obligation se retrouvent tragiquement autant à droite qu’à gauche (exemples : Yannick Jadot, Gérard Larcher, Valérie Rabault, Olivier Faure, Christian Estrosi, Fabien Roussel, Michel Onfray, Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Ségolène Royale, Robert Ménard, JC Lagarde, F Bayrou, … liste malheureusement non exhaustive) Comment en sommes-nous arrivés là ?

La menace totalitaire portée par B. Jomier est tellement mortifère que les politiques qui refusent de prendre position contre les obligations vaccinales sont largement complices de ceux qui les réclament. Leur silence est pesant, inacceptable, inexplicable, insupportable.

Il faut exiger le rejet sans condition du principe de l’obligation. Toute autre position est purement et simplement criminelle, tant les menaces sur les droits fondamentaux et la santé sont lourdes.

Si le principe de l’obligation d’un médicament expérimental est accepté, on ouvre la boîte de pandore de la médicalisation obligatoire de la population, toujours sous prétexte de prévention, comme expliqué par Marc Girard (par exemple dans cet article à lire absolument dans sa totalité tant il est d’actualité bien que paru en 2017 et que nous rappelle justement Ben Lyo.

On peut lire sur le blog du Dr Marc Girard en mars 2020 et en rappel de l’élargissement de l’obligation vaccinale à 11 vaccins des nourrissons, la remarque suivante tellement d’actualité.

https://www.rolandsimion.org/elargissement-obligations-vaccinales-lanceurs-dalerte/

« On s’interroge sur la modération des réactions qui ont accueilli le récent projet gouvernemental d’élargir – et considérablement – les obligations vaccinales en vigueur dans notre pays, malgré les risques d’un tel élargissement et la perspective qu’il ne cesse ensuite de se voir accentué par d’autres obligations encore moins justifiables d’un point de vue médico-scientifique ou économique.

On s’interroge d’autant plus qu’aucun des « lanceurs d’alerte » médiatiquement patentés n’avait éprouvé le besoin de la moindre mise en garde relativement à un coup de force pourtant aussi prévisible. »

« Un rapide inventaire des contributions mises en ligne sur le présent site permet de recenser, depuis janvier 2010, pas moins de 45 articles évoquant comme très préoccupante la menace d’un tel élargissement des obligations vaccinales, et désignant répétitivement la mystification Médiator comme micro-scandale destiné à détourner l’attention des citoyens en attendant que l’administration sanitaire ne passe à l’acte sur ce projet dont les bénéficiaires ne sont ni les bébés, ni les enfants, ni les contribuables de notre pays.

On termine en examinant les principaux facteurs pouvant expliquer l’aveuglement du public par rapport à la stratégie pourtant grossière qui ouvre désormais aux prédateurs du complexe médico-pharmaceutique un boulevard pour réaliser leurs rêves les plus fous. »

Et combien avait-il raison, notre ami Marc Girard en prévoyant les catastrophes successives que le silence (relatif) sur l’obligation vaccinale des tous petits allait permettre à l’avenir :
Étrange épidémie de mutité chez les lanceurs d’alerte

« On ne peut pas dire que la décision d’élargir les obligations vaccinales, annoncée depuis le 26/06/2017, soulève des réactions proportionnées à son potentiel pourtant vertigineux d’inconvénients facilement prévisibles, auquel il convient d’ajouter le risque non moins évident d’un renforcement de plus en plus contraignant une fois testée la capacité de résistance citoyenne à ce coup de force1.

Exactement comme avec l’évolution – scientifiquement injustifiable – du calendrier vaccinal, mais cette fois avec l’appui de loi et de la force publique, il est facile d’anticiper qu’une fois rassurés sur l’acceptabilité de leur connivence avec la pègre médico-pharmaceutique, nos responsables politiques n’auront aucune inhibition à charger la barque : on verra bientôt l’obligation de se vacciner contre la grippe ou contre les HPV, pour ne point parler de l’élargissement desdites obligations à la population adulte – pourquoi se gêner ?… Et pourquoi limiter les obligations aux vaccins, quand – des échographies obstétricales aux mammographies et autres dépistages foireux, en passant par l’hypercholestérolémie et l’hypertension artérielle – il existe tant d’autres médicalisations qui n’attendent qu’un claquement de doigts de nos dirigeants pour se voir imposées au bon peuple 2? »

(…) De la sorte, la médecine se trouvera la première activité humaine à avoir accompli le rêve ultime du capitalisme sauvage : réduire les gens au statut de fourmis tout juste bonnes à travailler jusqu’à l’épuisement pour payer du fruit de leur misérable salaire des biens qui n’auront d’autre utilité que remplir les poches de ceux qui les fabriquent.

(…)

Enfin réalisé sous l’impulsion de Big Pharma, ce rêve ultime du capitalisme passera forcément par l’officialisation d’une novlangue confondant santé et thérapeutique, rançon et bénéfice, solidarité et esclavage.

Depuis G. Orwell, on sait que l’avènement d’une telle novlangue implique forcément le contrôle d’une Police de la pensée : il est tristement évident que mes confrères, dans leur immense majorité, ne se feront pas prier pour jouer ce rôle20.

Ils ont déjà commencé, d’ailleurs : pensez au mois “rose” qui s’annonce…En attendant la prochaine alerte grippale…”

Mais en ce domaine comme en d’autres 42, le capitalisme international sera redevable à la patrie de Robespierre de la French touch consistant, cette fois, à carrément inscrire dans le marbre de la Loi que les citoyens sont désormais forcés d’acheter des biens dont ils n’ont nul besoin et dont la dangerosité devrait aller de soi43 . »

Nos ancêtres s’interrogeaient sur l’au-delà, sur ce que l’on doit à autrui, sur l’instruction des pauvres, sur la possession des moyens de production et sur le partage de la valeur ajoutée : Narcisse contemporain se demande avec anxiété s’il fera caca demain à la bonne heure, si ce sera dur ou liquide – tandis qu’assis sur la cuvette des chiottes, il feuillettera avec passion toute revue afin d’y trouver le dernier produit-miracle susceptible de régulariser son transit intestinal (ou d’apaiser son côlon irritable)32. »

Une médicalisation peut parfaitement être assimilée à une torture si elle est réalisée sans le consentement éclairé de celui qui la subit. 

Le politique doit protéger les citoyens des prédateurs, pas accompagner leur business.

De nombreuses lois ont été édictées depuis le procès de Nuremberg qui aboutit au code de Nuremberg traduit en normes éthiques internationales par l’association médicale mondiale qui se réunit environ tous les trois ans pour empêcher de traiter les individus contre leur volonté. Après la déclaration d’Helsinki, la convention d’Oviedo est un texte international opposable aux pays signataires dont la France. Depuis la crise du covid, on piétine les lois nationales (loi Kouchner, loi Huriet, etc.) et internationales. Pour combien de temps sans réaction majeure ?

Ces lois existent parce que des régimes politiques ont commis des horreurs, en s’appuyant sur des lois dictatoriales, sur les forces armées (des récits terribles parviennent actuellement de l’Australie à ce sujet).

Ne transigeons jamais sur le principe abominable de l’obligation vaccinale, qui n’est rien d’autre qu’une folie criminelle imprescriptible et illimitée.  Dans la hiérarchie des crimes, la vaccination obligatoire, de surcroit par des produits expérimentaux figure au niveau le plus élevé.

Et pourtant, cette obligation n’a évidemment rien de sanitaire  

le Journal Europeen d’épidémiologie publie une étude de Harvard qui démontre qu il n’y a aucun lien entre le taux de vaccination et l’évolution de la pandémie.

Non, la vaccination n’a pas fait reculer l’épidémie !  Dirigée par SV Subramanian à la Harvard TH Chan School of Public Health, cette étude a collecté et analysé des données jusqu’au 3 septembre 2021. Elle démonte les dires des plateaux télés.

Non les vaccins n’ont pas fait reculer la pandémie qui est cyclique.

Sa disparition interviendra si des variants moins virulents apparaissent et si une part suffisante de la population a été en contact avec le virus.

https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7

Les vaccins sont actuellement la principale stratégie pour lutter contre le COVID-19 dans le monde occidental.  le récit lié à la recrudescence continue de nouveaux cas aux États-Unis  serait expliqué par les zones à faible taux de vaccination [ 1 ].

 Un récit similaire a également été observé dans des pays comme l’Allemagne et le Royaume-Uni [ 2 ]. 

Dans le même temps, Israël, salué pour ses taux de vaccination rapides et élevés, a également connu une résurgence substantielle des cas de COVID-19 [ 3 ]. 

Nous avons étudié la relation entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 dans 68 pays et dans 2947 comtés aux États-Unis.

Pour ces pays, il ne semble pas y avoir de relation discernable entre le pourcentage de la population complètement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19

En fait, la ligne de tendance suggère une association légèrement positive telle que les pays avec un pourcentage plus élevé de population entièrement vaccinée ont des cas de COVID-19 plus élevés pour 1 million de personnes

Notamment, Israël, avec plus de 60 % de sa population entièrement vaccinée, a enregistré les cas de COVID-19 les plus élevés pour 1 million de personnes. 

L’absence d’association significative entre le pourcentage de population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 est encore illustrée, par exemple, par l’exemple de l’Islande, mais aussi Chypre, Malte, Singapour}

Ces pays ont plus de 75 % de leur population entièrement vaccinée et ont plus de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud qui ont environ 10 % de leur population entièrement vaccinée.

Cette étude confirme celle de Juan Chamie 

LA VACCINATION OBLIGATOIRE DES PLUS DE 60 ANS N’A AUCUN IMPACT SUR LA MORTALITE

90% ou 100% de plus de 60 ans vaccinés : pratiquement aucun impact sur la mortalité, c’est ce qui est constaté à partir de l’observation de dizaines de comtés américains.

L’étude mathématique de l’institut Pasteur est donc mise à mal ; 40% ou 90% de vaccinés, il y a une petite différence mais aucune dans ce qui peut être espéré d’une vaccination obligatoire Ajoutons que les effets secondaires ne sont pas pris en compte….

Jadis les soviétiques disposaient de la meilleure école de mathématiciens du monde, ils obtenaient des prévisions totalement fausses à partir de constructions mathématiques merveilleusement justes

Un analyste observe des données justes et il explique, il ne s’agit pas de prévisions mais d’observations, c’est toute la différence !

Juan Chamie, Senior Data Analyst at FLCCC à Cambridge (USA) vient de publier une étude sur l’impact du pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans sur le taux de mortalité covid.

 Il observe des centaines de comtés américains du même état ou d’état voisins avec donc des données structurelles comparables. Dans certains le pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans est élevé, dans d’autre au même moment, il plus faible.

L’augmentation du nombre de vaccinés se traduit-elle par une baisse des décès covid ?

 entre des comtés dans lesquels 70% des personnes à risques sont vaccinées et d’autres dans lesquels on dépasse les 90%, il n’y a pas de différence significative.

Réduire de 10 à 0% le nombre de non vaccinés parmi les plus de 60 ans n’aurait aucun effet significatif sur leur mortalité

Et le monde se réveille

Grève nationale contre la vaccination en Israël – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Nombreuses autres manifestations partout dans le monde y compris à Genève dont ce n’est pas l’habitude.

Manifestation contre le pass sanitaire ce samedi à Genève
© Fabrice COFFRINI / AFP

Et surtout les citoyens interpellent leurs élus sur la gravité d’instaurer une pseudo vaccination obligatoire chez les bébés pour une thérapie génique expérimentale non testée et dont les résultats chez les enfants plus âgés sont déjà très inquiétants. Gardez-vous bien chers élus de vous engager dans ce piège qui ne vous a probablement pas été explicité en totalité.

Et vous, candidats à la gestion du pays, ne laissez pas ce sujet majeur de côté, les Français ne comprennent pas.

Et signez la pétition

https://petitions.senat.fr/initiatives/i-629

DROITS DE L’ENFANT

« Au regard de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) et du droit français, il apparaît une carence législative sur la situation des enfants lors d’un état d’urgence.

Ce vide législatif a autorisé le gouvernement français à imposer en milieu scolaire, à partir de mai 2020, un protocole sanitaire de plus en plus contraignant, sans documents justificatifs, et sans considération des débats d’experts inhérents au contexte sanitaire.

Or l’efficacité et la pertinence de protocole ont largement été remises en question la communauté scientifique et pédiatrique.

Par cette pétition, nous demandons que cette carence législative soit comblée au plus vite dans les textes législatifs nationaux.

Nous demandons que la loi exige que toute décision contrevenant aux droits fondamentaux de l’enfant soit scientifiquement solidement justifiée et motivée.

Sans cela, le risque est réel de ne plus assurer dignement sa santé, sa liberté et sa protection. »

Pour ceux qui veulent leur écrire(([4] https://www.lejdd.fr/Politique/lappel-de-38-parlementaires-socialistes-oui-a-la-vaccination-obligatoire-contre-le-covid-19-4061142?fbclid=IwAR2I2AdzuqYoHVciRnm1upc4uYmgbcIsBauUY0kEniueViHT663xx9JO-Ic
2021.08.31. PROPOSITION DE LOI
Instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2    Enregistré à la Présidence du Sénat le 31 août 2021
http://www.senat.fr/leg/ppl20-811.html)):

Députés

Sénateurs




Pétition — Covid19 : dites-nous la vérité sur les chiffres de la vaccination et de ses effets secondaires !

[Source : leslignesbougent.org]

Par Thibaut Masco

Cela fait 18 mois que l’on nous martèle chaque jour ou presque les chiffres du Covid : 

  • Nombre de contaminations 
  • Nombre de décès 
  • Nombre de vaccinés (1è dose, 2è dose, …énième dose)

Ces chiffres-là, extrêmement anxiogènes, le gouvernement n’a aucun scrupule à nous les soumettre, tous les jours.

Mais on ne nous parle pas de pourcentage de la population (« 0,00X pourcent a été contaminé aujourd’hui), NON, on nous donne des chiffres bruts. 

C’est vrai que cela fait bien plus peur.

Pourtant, depuis le début de la pandémie, qui vous a dit sur une chaîne de grande écoute, lors d’un point presse ou dans les journaux :

  • Combien de personnes ont eu des effets secondaires après une vaccination (légers ou graves) ;
  • Combien de personnes ont développé un « Covid long vaccinal » après s’être fait injecter un vaccin ?

Sans doute Personne.

Pourtant, un rapport de l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) datant du début du mois de septembre annonce ces chiffres [1] : 

  • 5’832 cas d’effets indésirables ;
  • Dont 25 % de formes graves !

Depuis le début de la campagne de vaccination ?

Pas du tout.

En deux semaines, du 20 août au 2 septembre 2021.

Qui vous en a parlé ? 

Sur cette même période, 269’668 nouveaux cas de Covid étaient enregistrés sur le territoire français [2].

En deux semaines donc, plus de 2 % de la population française a rencontré des effets secondaires dus aux vaccins.

C’est du jamais vu !

Au total, depuis le début de la vaccination, ce sont 84 501 cas d’effets secondaires qui ont été recensés en France. 

Parmi les vaccinés, 75 % ont développé des formes « légères ». Ils ont reporté : 

  • Des affections du système nerveux
  • Des troubles gastro-intestinaux
  • Des gênes musculaires
  • Des gênes cutanées
  • Des troubles vasculaires
  • Des infections
  • Des affections respiratoires
  • Des affections des organes sexuels (parties génitales, seins)
  • Des douleurs au point d’injection

Les autres 25 % (soit plus de 21’000 personnes), eux, ont subi des formes graves :

  • Troubles nerveux
  • Troubles vasculaires
  • Troubles cardiaques
  • Des « troubles généraux »
  • Affections respiratoire set thoraciques (dont les fameuses thromboses et myocardites)
  • Affections gastro-intestinales (dont les hépatites)
  • Troubles musculaires
  • Infections graves
  • Affections cutanée graves
  • Affections de l’oreille

Face à cela, les laboratoires et les autorités nous répètent que les effets secondaires sont bien moins graves que les risques d’attraper le virus.

Pourtant, ils sont bien réels.

Et face à ce danger, nous sommes en droit d’être informés du risque que nous courons en nous faisant vacciner et de résultats véritables de la vaccination massive.

On nous répète, depuis des mois que « le vaccin est sans danger » !

Cela n’est pas le cas.

Gouvernants, nous ne maîtrisons pas la politique de santé que vous nous imposez depuis un an et demi, mais nous sommes en droit d’exiger de la transparence.

Nous voulons connaître les véritables chiffres de la vaccination et de ses effets secondaires :

  • les effets secondaires légers comme les graves ;
  • les effets secondaires à court terme (24 heures, 72 heures, 1 semaine et 2 semaines) ;
  • les effets secondaires à plus long terme (au-delà de deux semaines et pendant plusieurs années).

Mais où sont ces chiffres ?

Nous demandons à ce que ces chiffres soient publiés quotidiennement, au même titre que le nombre de contaminations et de décès liés au Covid, pour que les citoyens puissent exercer librement leur choix de se faire vacciner ou non, avec à leur disposition toutes les informations nécessaires sur le rapport bénéfice/risque.

Je signe la pétition

Source

[1] https://ansm.sante.fr/uploads/2021/09/13/vaccins-covid-19-fiche-de-synhtese-vf-20210910.pdf

[2] https://ourworldindata.org/covid-cases




Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers

[Extraits de : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Ndlr : voir les détails et références sur
Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Voir aussi :
Spartacus : « Au diable l’enfer. Vous ne détruirez pas l’Amérique et le monde libre, et vous n’aurez pas votre nouvel ordre mondial » — La lettre anonyme contre la COVID est devenue virale – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Guy Boulianne Par Guy Boulianne

« Voici des faits et des sources clés sur la prétendue « pandémie », qui vous aideront à comprendre ce qui est arrivé au monde depuis janvier 2020 et à éclairer tous vos amis qui pourraient être encore piégés dans le brouillard de la nouvelle normalité. »

OffGuardian le 22 septembre dernier


PARTIE I : « DÉCÈS DUS AU COVID » & MORTALITÉ

1. Le taux de survie de « Covid » est supérieur à 99%. 

Les experts médicaux du gouvernement se sont donné beaucoup de mal pour souligner, dès le début de la pandémie, que la grande majorité de la population n’est en aucun cas en danger face au Covid.

2. Il n’y a eu AUCUNE surmortalité inhabituelle. 

La presse a qualifié 2020 d’« année la plus meurtrière du Royaume-Uni depuis la Seconde Guerre mondiale », mais cela est trompeur car elle ignore l’augmentation massive de la population depuis cette époque. (…)

Par cette mesure, 2020 n’est même pas la pire année de mortalité depuis 2000. En fait, depuis 1943, seulement 9 ans ont été meilleurs que 2020.

3. Le nombre de « morts de Covid » est artificiellement gonflé. 

Des pays du monde entier ont défini un « décès de Covid » comme un « décès quelle qu’en soit la cause dans les 28/30/60 jours suivant un test positif ».

4. La grande majorité des décès par covid ont des comorbidités graves. 

En mars 2020, le gouvernement italien a publié des statistiques montrant que 99,2% de leurs « décès Covid» présentaient au moins une comorbidité grave. Ceux-ci comprenaient le cancer, les maladies cardiaques, la démence, la maladie d’Alzheimer, l’insuffisance rénale et le diabète (entre autres). Plus de 50 % d’entre eux avaient au moins trois affections préexistantes graves.

Cette tendance s’est maintenue dans tous les autres pays au cours de la « pandémie ». Une demande FOIA d’octobre 2020 à l’ONS du Royaume-Uni a révélé que moins de 10 % du nombre officiel de « décès par Covid » à cette époque avait la Covid comme seule cause de décès.

5. L’âge moyen du « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie moyenne. 

L’âge moyen d’un « décès de Covid » au Royaume-Uni est de 82,5 ans. En Italie, c’est 86. Allemagne, 83. Suisse, 86. Canada, 86. Les États-Unis, 78, Australie, 82. Dans presque tous les cas, l’âge médian d’un « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie nationale.

En tant que telle, pour la majeure partie du monde, la « pandémie » a eu peu ou pas d’impact sur l’espérance de vie. Comparez cela avec la grippe espagnole, qui a entraîné une baisse de 28 % de l’espérance de vie aux États-Unis en un peu plus d’un an. [source]

6. La mortalité due à la Covid reflète exactement la courbe de mortalité naturelle.

Des études statistiques du Royaume-Uni et de l’Inde ont montré que la courbe de « décès de Covid » suit presque exactement la courbe de mortalité attendue :

OffGuardian -03
OffGuardian -04

Le risque de décès « de la Covid » suit, presque exactement, votre risque de décès de fond en général.

La faible augmentation pour certains des groupes d’âge plus âgés peut s’expliquer par d’autres facteurs. [faits 7, 9 et 19]

7. Il y a eu une augmentation massive de l’utilisation de DNR « illégaux ». 

Les chiens de garde et les agences gouvernementales ont signalé une augmentation considérable de l’utilisation des ordres de non-réanimation (DNR) au cours des vingt derniers mois. Aux États-Unis, les hôpitaux considéraient comme des « DNR universels » pour tout patient testé positif pour la Covid, et les infirmières dénonciatrices ont admis que le système DNR avait été abusé à New York.


PARTIE II : VERROUILLAGES

8. Les confinements n’empêchent pas la propagation des maladies. 

Il y a peu ou pas de preuves que les verrouillages ont un impact sur la limitation des « décès de Covid ». Si vous comparez des régions verrouillées à des régions qui ne l’ont pas fait, vous ne pouvez voir aucune tendance.

9. Les confinements tuent des gens. 

Il existe des preuves solides que les blocages – par le biais de dommages sociaux, économiques et autres pour la santé publique – sont plus mortels que le « virus ».

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation Mondiale de la Santé pour la Covid-19, a qualifié les fermetures de « catastrophe mondiale » en octobre 2020 :

Nous, à l’Organisation Mondiale de la Santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle du virus […] il semble que la pauvreté mondiale pourrait doubler d’ici l’année prochaine. Nous pourrions bien avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile […] C’est une terrible et horrible catastrophe mondiale.

10. Les hôpitaux n’ont jamais été anormalement surchargés. 

Le principal argument utilisé pour défendre les blocages est que « l’aplatissement de la courbe » empêcherait un afflux rapide de cas et protégerait les systèmes de santé de l’effondrement. Mais la plupart des systèmes de santé n’ont jamais été sur le point de s’effondrer.


PARTIE III : TESTS PCR

11. Les tests PCR n’ont pas été conçus pour diagnostiquer une maladie. 

Le test Reverse-Transcriptase Polymerase Chain Reaction (RT-PCR) est décrit dans les médias comme le « Standard Or » pour le diagnostic de Covid. Mais l’inventeur du procédé, lauréat du prix Nobel, n’a jamais eu l’intention de l’utiliser comme outil de diagnostic, et l’a déclaré publiquement :

La PCR est juste un processus qui vous permet de faire beaucoup de quelque chose à partir de quelque chose. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé allait vous faire du mal ou quelque chose comme ça.

12. Les tests PCR ont toujours été inexacts et peu fiables. 

Les tests PCR « Standard Or » pour Covid sont connus pour produire de nombreux résultats faussement positifs, en réagissant à du matériel ADN qui n’est pas spécifique au Sars-Cov-2.

13. Les valeurs CT des tests PCR sont trop élevées. 

Les tests PCR sont exécutés en cycles, le nombre de cycles que vous utilisez pour obtenir votre résultat est connu sous le nom de « seuil de cycle » ou valeur CT. Kary Mullis a déclaré : 

« Si vous devez faire plus de 40 cycles[…] il y a quelque chose qui ne va vraiment pas avec votre PCR. »

14. Les tests PCR admis par l’Organisation mondiale de la santé ont produit des faux positifs. 

En décembre 2020, l’OMS a publié une note d’information sur le processus de PCR demandant aux laboratoires de se méfier des valeurs CT élevées provoquant des résultats faussement positifs :

Lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir.

15. La base scientifique des tests Covid est discutable. 

Le génome du virus Sars-Cov-2 aurait été séquencé par des scientifiques chinois en décembre 2019, puis publié le 10 janvier 2020. Moins de deux semaines plus tard, des virologues allemands (Christian Drosten et al.) auraient utilisé le génome pour créer des tests pour les tests PCR.


PARTIE IV : « INFECTION ASYMPTOMATIQUE »

16. La majorité des infections à Covid sont « asymptomatiques ». 

Dès mars 2020, des études réalisées en Italie suggéraient que 50 à 75 % des tests Covid positifs ne présentaient aucun symptôme. Une autre étude britannique d’août 2020 a révélé que 86 % des « patients Covid » ne présentaient aucun symptôme viral.

Il est littéralement impossible de faire la différence entre un « cas asymptomatique » et un résultat de test faussement positif.

17. Il existe très peu de preuves étayant le prétendu danger de « transmission asymptomatique ». 

En juin 2020, le Dr Maria Van Kerkhove, chef de l’unité maladies émergentes et zoonoses de l’OMS, a déclaré :

D’après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu’une personne asymptomatique transmette réellement à un individu secondaire.

Une méta-analyse des études Covid, publiée par le Journal of the American Medical Association (JAMA) en décembre 2020, a révélé que les porteurs asymptomatiques avaient moins de 1% de chance d’infecter les personnes au sein de leur foyer


PARTIE V : VENTILATEURS

18. La ventilation n’est PAS un traitement contre les virus respiratoires. 

La ventilation mécanique n’est pas, et n’a jamais été, un traitement recommandé pour les infections respiratoires de quelque nature que ce soit. Au début de la pandémie, de nombreux médecins se sont manifestés pour remettre en cause l’utilisation de ventilateurs pour traiter le « Covid ».

19. Les ventilateurs ont tué des gens. 

Mettre sous respirateur quelqu’un qui souffre de la grippe, d’une pneumonie, d’une maladie pulmonaire obstructive chronique ou de toute autre affection qui restreint la respiration ou affecte les poumons, n’atténuera aucun de ces symptômes. En fait, cela aggravera presque certainement la situation et en tuera beaucoup.

Les tubes d’intubation sont une source potentielle d’infection connue sous le nom de « pneumonie associée à un ventilateur », qui, selon des études, affecte jusqu’à 28 % de toutes les personnes sous ventilateur et tue 20 à 55 % des personnes infectées.

La ventilation mécanique endommage également la structure physique des poumons, entraînant des « lésions pulmonaires induites par le ventilateur », qui peuvent avoir un impact considérable sur la qualité de vie et même entraîner la mort.


PARTIE VI : MASQUES

20. Les masques ne fonctionnent pas. 

Au moins une douzaine d’études scientifiques ont montré que les masques ne font rien pour arrêter la propagation des virus respiratoires. Une méta-analyse publiée par le CDC en mai 2020 n’a révélé « aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques faciaux ». Une autre étude portant sur plus de 8 000 sujets a révélé que les masques « ne semblaient pas être efficaces contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire ni contre les infections respiratoires cliniques ». Il y en a littéralement trop pour les citer tous, mais vous pouvez les lire : [ 1 ][ 2 ][ 3 ][ 4 ][ 5 ][ 6 ][ 7 ][ 8 ][ 9 ][ 10 ] Ou lire un résumé par SPR ici.

Alors que certaines études ont été réalisées en prétendant montrer que les masques fonctionnent pour la Covid, elles sont toutes sérieusement imparfaites. L’une s’est appuyé sur des enquêtes autodéclarées comme données. Une autre a été si mal conçue qu’un panel d’experts demande qu’il soit retiré. Une troisième a été retirée après que ses prédictions se soient avérées totalement inexactes.

21. Les masques sont mauvais pour la santé. 

Le port d’un masque pendant de longues périodes, le port du même masque plus d’une fois et d’autres aspects des masques en tissu peuvent être mauvais pour votre santé. Une longue étude sur les effets néfastes du port du masque a été récemment publiée par l’ International Journal of Environmental Research and Public Health.

Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il observait une augmentation de la pneumonie bactérienne, des infections fongiques et des éruptions cutanées du visage. Les masques sont également connus pour contenir des microfibres de plastique, qui endommagent les poumons lorsqu’elles sont inhalées et peuvent être potentiellement cancérigènes.

Les enfants portant des masques encouragent la respiration buccale, ce qui entraîne des déformations du visage. Partout dans le monde, des personnes se sont évanouies à cause d’un empoisonnement au CO2 alors qu’elles portaient leurs masques, et certains enfants en Chine ont même subi un arrêt cardiaque soudain .

22. Les masques sont mauvais pour la planète.

Des millions et des millions de masques jetables sont utilisés par mois depuis plus d’un an. Un rapport de l’ONU a révélé que la pandémie de Covid-19 entraînera probablement un doublement des déchets plastiques au cours des prochaines années, et la grande majorité d’entre eux sont des masques faciaux.

Le rapport poursuit en avertissant que ces masques (et d’autres déchets médicaux) obstrueront les systèmes d’égouts et d’irrigation, ce qui aura des effets néfastes sur la santé publique, l’irrigation et l’agriculture.

Une étude de l’Université de Swansea a révélé que « des métaux lourds et des fibres plastiques étaient libérés lorsque des masques jetables étaient immergés dans l’eau ». Ces matériaux sont toxiques pour les humains et la faune.


PARTIE VII : VACCINS

23. Les « vaccins » contre la Covid sont totalement inédits. 

Avant 2020, aucun vaccin efficace contre un coronavirus humain  n’avait jamais été développé. Depuis, nous en aurions fabriqué 20 en 18 mois.

Les scientifiques tentent de développer un vaccin contre le SRAS et le MERS depuis des années avec peu de succès. Certains des vaccins contre le SRAS qui ont échoué ont en fait provoqué une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vaccinées pourraient potentiellement contracter la maladie « plus gravement » que les souris non vaccinées. Une autre tentative a causé des dommages au foie chez les furets.

Alors que les vaccins traditionnels fonctionnent en exposant le corps à une souche affaiblie du micro-organisme responsable de la maladie, ces nouveaux vaccins Covid sont des vaccins à ARNm.

Les vaccins à ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent théoriquement en injectant de l’ARNm viral dans le corps, où il se réplique à l’intérieur de vos cellules et encourage votre corps à reconnaître et à fabriquer des antigènes pour les « protéines de pointe » du virus. Ils font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais avant 2020, aucun vaccin à ARNm n’avait jamais été approuvé.

24. Les vaccins ne confèrent pas d’immunité et n’empêchent pas la transmission. 

Il est volontiers admis que les « vaccins » Covid ne confèrent pas d’immunité contre l’infection et ne vous empêchent pas de transmettre la maladie à d’autres. En effet, un article du British Medical Journal a souligné que les études sur les vaccins n’étaient même pas conçues pour essayer d’évaluer si les « vaccins » limitaient la transmission.

Les fabricants de vaccins eux-mêmes, lors de la sortie des thérapies géniques à base d’ARNm non testées, ont clairement indiqué que « l’efficacité » de leur produit était basée sur la  « réduction de la gravité des symptômes ».

25. Les vaccins ont été précipités et ont des effets à long terme inconnus. 

Le développement d’un vaccin est un processus lent et laborieux. Habituellement, du développement aux tests et finalement à l’approbation pour un usage public, il faut de nombreuses années. Les différents vaccins contre la Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an. De toute évidence, il ne peut y avoir de données de sécurité à long terme sur des produits chimiques qui ont moins d’un an.

26. Les fabricants de vaccins ont obtenu une indemnité légale en cas de préjudice. 

La Public Readiness and Emergency Preparedness Act (PREP) des États-Unis accorde l’immunité jusqu’en 2024 au moins. La loi de l’UE sur les licences de produits fait de même, et il existe des rapports de clauses de responsabilité confidentielle dans les contrats que l’UE a signés avec les fabricants de vaccins.


PARTIE VIII : TROMPERIE ET PRESCIENCE

27. L’UE préparait des « passeports pour les vaccins » au moins un AN avant le début de la pandémie. 

Les contre-mesures COVID proposées, présentées au public comme des mesures d’urgence improvisées, existent depuis avant l’émergence de la maladie.

Deux documents de l’UE publiés en 2018, le « 2018 State of Vaccine Confidence » et un rapport technique intitulé « Conception et mise en œuvre d’un système d’information sur la vaccination » ont discuté de la plausibilité d’un système de surveillance de la vaccination à l’échelle de l’UE. Ces documents ont été regroupés dans la « Feuille de route vaccinale » 2019 qui a établi (entre autres) une « étude de faisabilité » sur les passeports vaccinaux pour commencer en 2019 et se terminer en 2021 :

28. Un « exercice d’entraînement » a prédit la pandémie quelques semaines seulement avant son début. 

En octobre 2019, le Forum économique mondial et l’Université Johns Hopkins ont organisé l’événement 201. Il s’agissait d’un exercice d’entraînement basé sur un coronavirus zoonotique déclenchant une pandémie mondiale. L’exercice a été parrainé par la Fondation Bill et Melinda Gates et l’alliance vaccinale GAVI.

L’exercice a publié ses conclusions et recommandations en novembre 2019 sous la forme d’un « appel à l’action ». Un mois plus tard, la Chine enregistre son premier cas de « Covid ».

29. Depuis le début de 2020, la grippe a « disparu ». 

Aux États-Unis, depuis février 2020, les cas de grippe auraient diminué de plus de 98 %.

30. L’élite a fait fortune pendant la pandémie. 

Depuis le début du confinement, les personnes les plus riches sont devenues considérablement plus riches. Forbes a rapporté que 40 nouveaux milliardaires ont été créés « pour lutter contre le coronavirus », dont 9 sont des fabricants de vaccins.

Business Insider a rapporté que « les milliardaires ont vu leur valeur nette augmenter d’un demi-billion de dollars » en octobre 2020. Il est clair que ce nombre sera encore plus grand maintenant.


Ce sont les faits vitaux de la pandémie, présentés ici comme une ressource pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers. Merci à tous les chercheurs qui ont rassemblé et collecté ces informations au cours des vingt derniers mois, en particulier Swiss Policy Research.



France — La 3e dose vaccinale programmée pour tous les professionnels de santé

[Source : solidarites-sante.gouv.fr]




l’ANSM, gendarme français du médicament, se désintéresse totalement du fait que la dispensation des quatre vaccins anti-Covid soit réalisée de manière illégale

[Source : AIMSIB]

[Photo : Le siège de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), le 17 octobre 2017 à Paris. Photo d’illustration. (ALAIN JOCARD / AFP)]

Des vaccins écoulés sans aucune AMMc valide, c’est possible?

Par Dr Vincent Reliquet

Des vaccins écoulés sans aucune AMMc valide, c’est possible?

Nous nous sommes fait l’écho récemment (1) de ce que l’ANSM,  gendarme Français du médicament, se désintéressait totalement du fait qu’à ce jour la dispensation des quatre vaccins anti-Covid puisse être réalisée de manière parfaitement illégale sur son sol: En effet, celle-ci se trouvait incapable de documenter que les Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles (AMMc) régissant l’écoulement de ces produits n’existent encore… Vient alors le temps d’interroger l’Agence Européenne du Médicament à ce sujet, cette puissante institution gère donc ce dossier pour l’ensemble des États membres qui apparemment lui vouent une confiance sans limite, au point de ne plus souhaiter jamais lui opposer le moindre contrôle national. Au final on s’alarme, ou plutôt on se désespère car il n’y a plus de pilote dans l’avion. Bonne lecture.

AMM conditionnelle, définition

Par rigueur nous ne nous risquerons pas à citer une autre source que la plus officielle pour ce qui est de la France, c’est ici: (2)

Vaccination infoservice.fr

On en comprend l’évidence et la nécessité:

En cas de péril sanitaire avéré l’attribution d’une AMMc à un produit de santé innovant doit demeurer possible en urgence si on le pense probablement efficient et si on lui suppose un bénéfice probablement supérieur aux risques que la population va encourir par son utilisation.

S’agissant des vaccins Covid cette AMMc sera dite centralisée, à l’EMA, à nouveau pour des raisons d’efficience accrue, après que cette décision ait été avalisée par la Commission Européenne. L’AMMc est alors accordée à tous les états membres ensemble.  Seule l’EMA reste donc pilote et maîtresse du dossier dans les suites, ce qui n’obère aucunement aux pays de procéder à leur propres actions de vigilance sanitaire et juridique, ce que manifestement l’ANSM Française ne souhaite pas réaliser dans ce dossier.

AMM conditionnelle, la particularité temporelle qui change tout

Dans la mesure où le rapport bénéfice sur risque demeure hypothétique, encore plus pour ces produits innovants que pour les autres, le législateur a raccourci le délai de validité de 5 ans pour une AMM standard à 1 an seulement, charge aux industriels de présenter pendant ce délai les réponses aux questions laissés en suspens vu l’urgence de la délivrance, toute AMMc qui ne se trouve pas confortée par les rapports manquants au départ se devrait donc d’être interrompue à ce terme. Ainsi,

  • « Conformément au règlement (CE) no 726/2004, les autorisations de mise sur le marché conditionnelles auront une durée de validité d’un an renouvelable. Le délai pour l’introduction d’une demande de renouvellement doit être de six mois avant l’expiration de l’autorisation de mise sur le marché et l’avis de l’Agence européenne des médicaments (ci-après dénommée « l’Agence ») sur la demande devra être adopté dans les quatre-vingt-dix jours suivant la réception de celle-ci. Afin d’assurer que les médicaments ne sont pas retirés du marché sauf pour des raisons de santé publique, pour autant que la demande de renouvellement soit introduite dans les délais, l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle doit être valable jusqu’à ce que la Commission prenne une décision fondée sur la procédure d’évaluation de la demande de renouvellement ». (3)

Compte tenu de ce qui précède et nous remercions chaudement le CTIAP de Cholet  sous la vigilance des Drs.  Amine Umlil (4) et Catherine Frade (5) qui en avaient inspiré  son article,

Les dates limites de dépôt des compléments de preuves de qualité pour la substance active et le produit fini pour les quatre industriels en lice se clôturaient en :
– Juillet 2021 pour BioNTech/Pfizer ;
– Juin 2021 pour Moderna ;
– Juin 2021 pour AstraZeneca ;
– Août 2021 pour Janssen.

A noter qu’en plus, s’agissant des deux premiers, des modifications d’excipients ont eu lieu au décours de la mise sur le marché de ces produits et que l’un des quatre a carrément changé de nom.  Et qu’avons-nous pu lire à ce sujet dans la presse spécialisée médicale et scientifique internationale? Rien. Que devaient impérativement documenter les industriels?

AMMc, les contenus scientifiques qui devaient être divulgués

Deux tableaux vont éviter de grands discours, merci encore à Catherine Frade de les avoir compilés en annexe dans son article. Nous ne nous bornerons qu’à l’étude des deux dossiers encore commercialisés en France (Pfizer et Moderna) puisque les vaccins AstraZeneca et Janssen ne sont plus importés en France depuis déjà des semaines: (6)

Annexe IIE AMM Pfizer
Annexe IIE de l’AMM Moderna, page 15

Ainsi, Pfizer s’était engagé à démontrer la qualité de ses excipients ALC-0315 et ALC-1559la caractérisation de son produit fini, le process en matière de contrôle de qualité ainsi que sa stratégie de contrôle de qualité finale pour Juillet 2021, et Moderna devait démontrer « une qualité constante du produit«  autour essentiellement de la stabilité des substances utilisées ainsi que « revoir les spécifications…/… du produit fini«  pour Juin 2021.

Pourquoi un tel silence médiatique autour de ces données essentielles à la sécurité des consommateurs si ces documents avaient été effectivement transmis en temps et en heure à l’EMA? Il faut donc admettre que ces données n’ont pas été publiées parce que les résultats réels seraient possiblement dévastateurs pour les dossiers des deux industriels encore en lice.

On en vient alors à se demander pour quelle raison l’EMA n’a pas sévi immédiatement en suspendant immédiatement les AMMc de ces deux vaccins aux termes évoqués plus haut.

EMA et AMMc, l’histoire d’une permissivité sans fin

Dans un bref article en date de 2017 (7) la revue Prescrire nous apprenait ainsi qu’entre 2006 et 2016  pas moins de 30 médicaments avaient fait  l’objet d’AMM conditionnelles, et que sur ces 30, 17 vivaient encore sous ce régime en  2016 alors qu’ils auraient dû l’abandonner dans l’année et seulement 11 ont été converties en AMM classique pendant que 2 ont été retirées à la demande de la firme propriétaire (8). La fin de cet article se passe de commentaire:
– » …/… l’arrivée d’un médicament sur le marché environ 4 ans plus tôt par rapport à une AMM classique, les patients ayant ainsi accès plus tôt à des médicaments nouveaux. Mais accès à quel bénéfice thérapeutique ? À quels effets indésirables ? Des questions qui restent sans réponse si l’EMA n’est pas plus exigeante, avec le risque de laisser longtemps les patients exposés à des médicaments dont la balance bénéfices-risques n’est pas favorable« .

Ainsi « oublier » la surveillance renforcée d’un médicament récent donc très peu évalué se révèle monnaie courante à l’EMA. Pour comprendre un tel dysfonctionnement il faut se pencher sur la structuration de cette agence hors norme.

L’EMA, bastion financier privé…

Juridiquement, l’EMA ne dépend même pas de la CEE. On peine à y croire, mais en 2019,

L’Agence européenne du médicament tirait son budget de fonctionnement  des redevances payées par l’industrie pharmaceutique à hauteur de 85,70 % pour seulement 14,29 %  à partir des deniers de la CEE (9) au point que cette institution a été qualifié un temps par le Sénat Français « d’objet juridique non identifié ». (10)

Les demandes de transmissions de documents adressés à l’EMA demeurent généralement lettre morte ou sont livrées avec une lenteur exaspérante propre à réduire à néant tout travail de recherche, comme Gøtzsche et Jørgensen  l’avaient démontré en 2011. (11)

La revue Prescrire avait soulevé un immense scandale très vite étouffé en 2017,  documentant que certains membres de l’EMA délivraient régulièrement des « conseils secrets et payants » aux firmes afin d’ »améliorer » leurs chances d’enregistrement, laissant naturellement la porte ouverte à toutes les supputations de corruption passive. On retiendra de cet article un élément qui nous intéresse au plus au point ici:
– » 71 % des demandes d’AMM conditionnelle qui ont suivi les conseils scientifiques de l’EMA ont abouti à une AMM, contre 40 % de celles qui ne les ont pas suivis. Ces chiffres peuvent s’interpréter de différentes façons. Mais l’opacité des procédures soulève la question d’éventuels compromis et influences, dus à une trop grande proximité entre les personnels des firmes et ceux de l’EMA« . (12)

On ne s’étonnera donc pas de cette triple et fatale constatation réalisée par europaforum.lu en 2012: (13)

  • A l’Agence européenne du médicament (EMA) ou à l’Agence de sécurité des aliments (EFSA), les déclarations d’intérêts des experts divergeaient parfois d’une année à l’autre sans que l’administration ne s’en inquiète ou ne leur demande des clarifications. Ou bien, comme à l’ECHA, un employé n’a pas déclaré tous ses emplois des derniers cinq ans, comme c’est requis, et personne n’a comparé CV et déclaration d’intérêts.
  • A l’EMA, l’agence a relevé un conflit d’intérêts chez un membre du comité scientifique et avait conclu que l’expert ne pouvait plus en faire partie. Pourtant, ce dernier a continué à participer aux réunions du comité et son mandat a même été renouvelé par la Commission européenne pour trois ans. Par la suite, sa déclaration d’intérêts mise à jour ne mentionnait plus les données qui avaient mené à la conclusion qu’il se trouvait en situation de conflit d’intérêts.
  • A la même EMA, deux membres du comité scientifique se sont vus classés comme des personnes présentant un risque très bas en termes de conflit d’intérêts, alors qu’elles avaient travaillé pour des compagnies pharmaceutiques, ce qui aurait dû conduire à ce qu’on les classe à un niveau de risque plus élevé selon les règles qui ont cours au sein de l’EMA et à certaines restrictions de leur travail d’experts.

Ce dossier serait incomplet sans évoquer le cursus exemplaire de porosité de sa directrice générale, l’Irlandaise Emer Cooke. Après avoir débuté dans l’industrie pharmaceutique elle a intégré les autorités de règlementation de son pays puis en 1991 elle rejoint le temple industriel du médicament, l’Association Européenne de l’Industrie Pharmaceutique (EFPIA) dont on supputait en 2019 un budget de lobbying officiellement compris entre 4 651 809 (14) et 5 414 776 euros. (15)

AFP – F. Walschaerts

L’lEFPIA dispose d’une « branche vaccin » dans laquelle sont évidemment représentés de nombreux industriels du secteur. A partir de 1998 et pour quatre ans elle prit la direction du département pharmaceutique de la Commission européenne. On la retrouve ensuite à l’EMA puis plusieurs années à l’OMS, le déménagement de l’EMA de Londres à Amsterdam en 2020 la plaça à la tête de l’institution depuis. (16) On comprend aisément qu’un choix pareil ne peut être interprété autrement que comme une main-mise officielle des industriels du secteur sur le fonctionnement déjà gravement perturbée de l’EMA.

A noter d’ailleurs que c’est l’IEFPIA qui a poussé l’Union européenne a apporter une « immunité juridique totale » à ses membres, les rendant ainsi totalement non responsables des effets indésirables graves générés par les vaccins anti-Covid. (17)

… Au centre d’une CEE gangrenée par le lobbying

Et c’est celle-ci, considérablement influencée voire infiltrée par le secteur pharmaceutique, qui choisit les molécules à mettre sur le marché après avis de l’EMA.

Prétextant du secret des affaires tous les contrats liant les firmes à la Commission européenne demeurent non divulgués, même auprès des membres de la Commission du contrôle budgétaire de l’Union dont c’est le rôle le plus primordial. (18)

Le poids financier du lobbying pharmaceutique auprès des institutions européennes a été évalué à 16,3 M€ en 2015 par l’ONG bruxelloise CEO et ne pourrait refléter que la partie immergée de l’iceberg des financements opaques. Fort logiquement ces masses d’argent déversées auprès des institutions européennes ouvrent aux industriels la porte des commissions parlementaires, c’est ainsi que « pendant la dernière mandature les dix laboratoires pharmaceutiques les plus gros ont ainsi eu 112 réunions importantes avec la Commission Juncker, et 60 accès au Parlement« . (19)

Les actes corruptifs font rage à la Commission, se souvenir par exemple que celle-ci a acheté en octobre 2020 pour 1,2 milliards d’€ de remdesivir, quelques jours avant que l’OMS ne déclare le produit parfaitement inefficace, à ce jour il semble qu’aucun remboursement n’ait jamais eu lieu. (20)

Le CV de la présidente de la Commission européenne paraît à première vue sans tache. Madame Ursula Von der Leyen est allemande, ancienne Ministre de la la Famille, puis du Travail, puis de la Défense dans son pays. Economiste elle est aussi médecin. Son diplôme est entaché de soupçons de plagiats massifs mais celui-ci ne lui a été au final jamais retiré. (21) Elle se serait également inventée un poste à l’Université de Stanford qu’elle n’a jamais obtenu.

REUTERS / Francois Lenoir

Les soupçons de conflits d’intérêts de la Présidente sont écrasants. Elle aurait par exemple présidé pendant 5 ans une commission sur « l’analyse des changements systémiques dans les chaînes de valeur entraînés par l’intelligence artificielle » pour laquelle le cabinet MacKinsey, qui avait embauché son propre fils, aurait touché 5,5M€ de la Commission Européenne. Son mari est médecin, Directeur de Orgenesis Inc. entreprise de biotech orientée vers les thérapies cellulaires et génétiques. (22) L’entreprise aurait lancé le programme appelé BioShield, conçu pour accélérer la découverte et la validation potentielles d’anticorps humains neutralisants en vue d’atténuer la propagation de virus tels que la COVID-19. 

Citons le dernier scandale en date qui éclabousse à nouveau la présidente, elle a reconnu avoir détruit l’ensemble des SMS échangés par elle avec Robert Bourla, le PDG américain de Pfizer, ainsi que la listes des appels téléphoniques échangés entre eux alors que l’ensemble des correspondances professionnelles des membres de l’Union est sensé appartenir à l’Union, l’article du Courrier des stratèges nous en donne une description effarante. (23)

Qu’attendre de l’EMA

Probablement, rien et pour  quatre raisons. Notre requête référencée ASK-94876 du 24/09/2021 a déjà produit les réponses suivantes:

1- Correspondance non conforme: Après que les Associations AIMSIB, Bonsens et LNPLV avaient mandaté Maître Jean-Charles Teissèdre pour réclamer en leurs noms des preuves de validité persistante de ces AMMc, la première réponse a été que les demandes doivent être adressées dans la seule langue autorisée à l’EMA, l’anglais.

2- Arguties juridiques sans rapport avec la demande formulée: Il a été ainsi annoncé que chaque demandeur ne pouvait réclamer plus de deux documents à la fois. Notre réclamation impose qu’on nous apporte un corpus de preuves quant à la licité des AMMc de deux vaccins, deux « documents » ne réussiront jamais à nous convaincre.

3- Demande de transmission de la demande de l’ANSM à l’EMA à propos de la validité des AMMc:   « you will receive a reply via a secure Eudralink within 15 working days. The Agency may extend this period by a further 15 working days in exceptional circumstances in accordance with the Regulation. Should such an extension be applied by the Agency, you will be informed at the time. » 15 à 30 jours pour recevoir une simple copie de mail.

4- Temps de réponse estimé à l’envoi de notre requête: « Regarding the answer(s) required as a reply to your questions, please note that we are currently processing them and you will receive them in due course. » (Trad: Concernant la ou les réponses requises pour répondre à vos questions, veuillez noter que nous les traitons actuellement et que vous les recevrez en temps voulu.)

Nous ne partons pas pour faire mentir les conclusions de Gøtzsche et Jørgensen mentionné plus haut. Sur le fond un arrêt récent de la Cour Européenne en date du 22/01/2020 doit nous faire comprendre que les industriels réclameront encore une fois le maintien du secret des affaires pour ne pas transmettre leurs données, et ceci sera probalement, voire certainement entériné par l’EMA, lisez plutôt:

.../…  » Aux points 91 à 93 de cet arrêt, le Tribunal a souligné que la requérante n’avait apporté aucun élément permettant de comprendre les raisons pour lesquelles les occultations effectuées par l’EMA n’étaient pas suffisantes. Il a rappelé que, selon la politique de l’EMA elle-même, cette dernière ne divulguait pas d’informations commerciales confidentielles, telles que les informations détaillées concernant la qualité et la fabrication des médicaments, de…/… (24)

Conclusion

Dans « la vraie vie », un conducteur privé de son permis de conduire ne sera absolument jamais autorisé à continuer à conduire. Un avionneur qui perd son certificat de navigabilité pour un modèle d’appareil voit immédiatement l’entièreté de ses avions cloués au sol pendant des mois (25)  mais en matière de produit de santé en général et de vaccin en particulier, la permissivité absolue demeure de mise.

Il est absolument inadmissible qu’aucune voix ne se fasse entendre en Europe (politiciens, journalistes, médecins, chercheurs, juristes) pour réclamer que les Lois européennes de protection des consommateurs soit appliquées. Il est inouï, totalement totalitaire de prétendre  imposer en France un vaccin en phase III  dont l’Autorisation de Mise sur le Marché est peut-être complètement inexistante depuis des mois.

Qui pourra encore faire à nouveau respecter le droit et la plus légitime protection des européens face à cette folie vaccinale actuelle?

Dr Vincent Reliquet
Octobre 2021

Notes et sources

(1) https://www.aimsib.org/2021/09/17/moratoire-sur-la-loi-francaise-dobligation-vaccinale-des-soignants-vite/
(2) https://professionnels.vaccination-info-service.fr/FAQ/Repondre-aux-questions-sur-la-vaccination-COVID/Qu-est-ce-qu-une-autorisation-de-mise-sur-le-marche-conditionnelle
(3) Règlement Européen 2006, Point 9, préambule
(4)  « Inédit. Exclusif. Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament » (EMA) 02/04/2021 Dr A. Umlil. http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/inedit-exclusif-vaccins-contre-la-covid.html
(5) http://www.catherinefrade.com/blog/2021/04/01/eclairage-sur-les-donnees-publiques-europeennes-des-amm-conditionnelles-pour-les-4-vaccins-covid-19-31-mars-2021/
(6) https://www.aimsib.org/2021/09/12/soignants-contaminants-ca-va-etre-pire-en-bonus-la-francafrique-revient/
(7) « AMMc, avec très peu de données » Page 856 • La revue Prescrire • Novembre 2017 • Tome 37 N° 409
(8) – EMA “Conditional marketing authorisation – Report on ten years of experience at the European Medicines Agency” 2017 : 42 pages
(9) « Rapport concernant la décharge sur l’exécution du budget de l’Agence européenne des médicaments pour l’exercice 2019 » (2020/2157(DEC)), Commission du contrôle budgétaire Rapporteur: Ryszard Czarnecki https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/A-9-2021-0073_FR.pdf
(10) https://www.senat.fr/rap/r05-404-2/r05-404-257.html
(11) Gøtzsche PC, Jørgensen AW. Opening up data at the European Medicines Agency. BMJ. 2011 May 10;342:d2686. doi: 10.1136/bmj.d2686. PMID: 21558364. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21558364/
(12) Agence européenne du médicament : une aide opaque aux firmes https://www.prescrire.org/Fr/3/31/53660/0/NewsDetails.aspx
(13) https://europaforum.public.lu/fr/actualites/2012/10/eca-agences-conflit-interets/index.html
(14) https://lobbyfacts.eu/representative/0e0020135cfc4775bb5a4bd0313b120d/european-federation-of-pharmaceutical-industries-and-associations
(15) https://www.republique-souveraine.fr/2019/05/04/european-federation-of-pharmaceutical-industries-and-associations-efpia/
(16) https://www.profession-gendarme.com/la-directrice-generale-de-lagence-europeenne-des-medicaments-emer-cooke-a-la-solde-des-labos/
(17) https://www.mediapart.fr/journal/france/170920/vaccin-contre-le-covid-19-le-lobby-pharmaceutique-se-dedouane-par-avance?onglet=full
(18) https://www.aimsib.org/2021/01/24/hesitants-a-la-vaccination-anti-covid-voila-qui-va-vous-decider/
(19) https://multinationales.org/Comment-l-industrie-pharmaceutique-a-pris-d-assaut-les-institutions-europeennes
(20) https://www.marianne.net/politique/union-europeenne/remdesivir-inefficace-comment-la-commission-europeenne-sest-laissee-seduire-par-gilead
(21) https://www.welt.de/politik/deutschland/article146956797/Kritiker-bewerten-Arbeit-als-eindeutiges-Plagiat.html
(22) https://www.zonebourse.com/barons-bourse/Heiko-von-der-Leyen-0NQRH5-E/biographie/
(23) https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/09/25/ursula-von-der-leyen-a-t-elle-instaure-une-diplomatie-personnelle-parallele-avec-le-pdg-de-pfizer/
(24) https://curia.europa.eu/juris/document/document.jsf;jsessionid=CC2A121378B1B992BACB6833B99700D7?text=&docid=222502&pageIndex=0&doclang=FR&mode=lst&dir=&occ=first&part=1&cid=4750303 point 30
(25) https://www.rtbf.be/info/societe/detail_tous-les-boeing-737-max-cloues-au-sol-depuis-un-an-6-questions-pour-comprendre?id=10451449




APPEL AUX SÉNATEURS POUR REFUSER L’OBLIGATION V antiCovid CHEZ LES ENFANTS

Par Nicole et Gérard Delépine

Merci aux sénateurs qui ont rejeté la proposition de loi Jomier en commission.

Cette Proposition de loi du groupe socialiste veut rendre obligatoire pour les enfants la vaccination contre le SARS-Cov-2. Elle sera soumise à nouveau au Sénat, le 13 octobre.

Comme médecins, nous sommes affligés qu’un confrère puisse proposer une telle mesure contraire à l’état réel de la science, au principe de précaution et au serment d’Hippocrate : « d’abord ne pas nuire ».

  • Peut-il ignorer que les enfants sains ne peuvent en espérer aucun bénéfice personnel ?
  • Ignore-t-il que les enfants ne constituent pas un facteur réel de contamination ?
  • Ignore-t-il que les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper la maladie ni de la transmettre ?
  • Ignore-t-il que l’immunité collective n’est qu’un mythe dénoncé par des agences sanitaires ?
  • Ignore-t-il que les pseudo vaccins actuels sont expérimentaux ? Et qu’obliger quelqu’un à subir un traitement expérimental est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signée ?
  • Ignore-t-il que ces traitements représentent un danger réel pour les enfants avec déjà des morts ?

RAPPEL DES FAITS ETABLIS

Les enfants sains ne peuvent espérer aucun bénéfice personnel des injections

D’après Santé publique France, 7 à 10 enfants meurent chaque année de la grippe saisonnière contre laquelle le vaccin antigrippal n’est pas indiqué, sauf chez ceux qui souffrent de lourdes comorbidités.

Durant l’année 2020, on a recensé en France 4 décès d’enfants attribués au Covid et tous souffraient auparavant de pathologies lourdes. Cette bénignité du Covid chez l’enfant sain est confirmée par toute la littérature mondiale et toutes les sociétés de pédiatrie.

Les enfants ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel de cette pseudo vaccination même si elle était parfaitement efficace.

Les enfants ne constituent pas un facteur réel de transmission du Covid

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.(([1] Jonas F Ludvigsson Children are unlikely to be the main drivers of the Covid-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug ; 109(8) :1525-1530. doi : 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.
Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review – PubMed (nih.gov) ))(([2] Indrė Stacevičienė A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (Covid-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr25 févr.2021.
A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic – PubMed (nih.gov)
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7906570/pdf/431_2021_Article_3999.pdf))(([3] Benjamin Lee and William V. Raszka Covid-19 Transmission and Children : The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879 ; DOI :
COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame – PubMed (nih.gov) ))

L’étude de l’INSERM(([4] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.
Cluster of Coronavirus Disease 2019 (COVID-19) in the French Alps, February 2020 | Clinical Infectious Diseases | Oxford Academic (oup.com))) est très démonstrative. L’enfant des Contamines, en contact alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.

L’étude de l’institut Pasteur(([5] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020
SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission | medRxiv)) sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Aucun des enfants malades pendant qu’il fréquentait l’école n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans a conclu : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec Covid-19 (alors qu’ils représentent 20,7 % de la population). Seulement 0,6 % des hospitalisations et aucun décès signalé concernaient des enfants de moins de 18 ans. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et aucun enfant de moins de 12 ans n’a été le premier infecté de la famille.

En Irlande,(([6] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of Covid-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ; 25 :2000903.
No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020 – PubMed (nih.gov))) avant la fermeture des écoles, aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).

En Australie(([7] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. Covid-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020Google Scholar)) 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées dont 1 élève du primaire potentiellement infecté par un membre du personnel.

En Suisse(([8] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. Covid-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020 ; 146(2) :
https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576)): sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, seulement 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).

En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.

En Grèce, l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

De même, la persistance ou la reprise des activités scolaires n’ont été suivies nulle part d’une reprise de l’épidémie. Après 20 mois d’épidémie et plus de 235 175 106 cas (au 6/10/2021) confirmés de Covid-19, après analyse des publications internationales référencées par PubMed (plus de onze mille sur Covid et enfant), aucun cas de transmission du virus par un enfant infecté n’a pu être formellement démontré.

Alors pourquoi certains, niant les faits établis, prétendent que la vaccination des enfants serait utile pour contrôler le Covid ? La vaccination des enfants ne peut pas protéger les aînés. 

Les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper la maladie, ni de faire des formes graves, ni de la transmettre 

L’exemple des pays champions de la vaccination montre que les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper, ni de transmettre la maladie. Depuis l’apparition du variant Delta, les reprises de l’épidémie dans les pays les plus vaccinés, souvent plus fortes que les poussées précédentes, montrent que même une couverture vaccinale très élevée ne protège ni les vaccinés ni les autres.

L’inefficacité de l’injection Pfizer à empêcher la diffusion de la maladie est démontrée dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné. L’exemple d’Israël est à cet égard démonstratif.

Le 5 août dernier, sur Channel 13 TV News, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog de Jérusalem déclarait : « 95 % des patients sévères sont vaccinés » et « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées »

L’immunité collective n’est qu’un mythe dénoncé par des agences sanitaires

Mais Monsieur Bernard Jomier feint de l’ignorer lorsqu’il récite sa croyance en la pseudo vaccination en essayant de tromper ses collègues sénateurs en prétendant que la pseudo vaccination serait le « seul moyen d’atteindre une protection collective suffisante », et de « transformer l’épidémie en un phénomène à bas bruit avec d’éventuelles résurgences saisonnières, tout en conciliant l’impératif de protection de la santé publique et un traitement égalitaire de nos concitoyens » dans la conclusion de son rapport à ses collègues.

Il reconnaît que « le variant Delta, avec son plus haut degré de transmissibilité, a changé la donne et nécessite désormais un taux d’immunité de la population (vaccinale ou acquise après infection) compris entre 90 % et 95 % ». Mais il fait semblant d’ignorer qu’un tel taux de couverture vaccinale ne pourra pas être atteint en France et que les représentants de nombreuses agences sanitaires majeures de pays qui ont atteint ce niveau d’injection en ont reconnu l’échec de l’espoir d’immunité collective par les pseudo vaccins.

Ainsi en Islande où devant la recrudescence de l’épidémie malgré un taux d’injection dépassant 93 %

L’épidémiologiste en chef, Orólfur Gudnason déclarait : « obtenir l’immunité collective par la vaccination générale est hors d’atteinte. » pendant que le directeur de l’hôpital universitaire national Páll Matthiasson affirmait « Cette pandémie et d’autres sont là pour rester » « Nous devons renforcer le système de santé pour qu’il ne soit pas toujours au bord de l’effondrement ».

Ainsi en Grande-Bretagne championne de l’injection Astra Zeneca qui n’a pas évité une récidive majeure de l’épidémie depuis juillet 21 :

Le chef de l’Oxford Vaccine Group et l’un des pères du vaccin AstraZeneca, Andrew Pollard a déclaré devant les députés « L’immunité collective n’est qu’un mythe »

À Singapour comme à Hong Kong, l’échec cuisant de la vaccination a fait revoir la stratégie sanitaire officielle passant de l’objectif « zéro Covid par la vaccination » au « vivre avec ».

En France, le professeur Fischer chargé de la vaccination qui affirmait il y a quelques mois qu’on atteindrait bientôt l’immunité collective par la vaccination se montre maintenant beaucoup plus prudent.

« Si l’immunité de groupe peut être atteinte ou non, je ne sais pas, c’est devenu un challenge très ambitieux que je ne trancherai pas »

Il n’y a plus guère que Bernard Jomier et un quarteron d’académiciens probablement trop liés à l’industrie pharmaceutique et/ou mal informés pour croire encore au contrôle de l’épidémie par les pseudo vaccins Covid.

Les pseudo vaccins actuels sont expérimentaux

Pour le vérifier, il suffit de consulter le site officiel américain clinicaltrials.gov qui montre que la fin des essais phase 3 n’est pas attendue avant 2023.

Or obliger quelqu’un à subir un traitement expérimental est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signée. Cette convention d’Oviedo ne fait que transcrire dans la loi internationale, la déclaration d’Helsinki élaborée par l’Association Médicale Mondiale après le procès des médecins de Nuremberg condamnant certains d’entre eux à la pendaison pour avoir administré des traitements expérimentaux (pour la moitié des candidats vaccins) sans le consentement libre et éclairé des intéressés.

Ces traitements expérimentaux représentent un danger réel, particulièrement pour les enfants et adolescents

Les péricardites post vaccinales ont été signalées pour la première fois en Israël depuis plusieurs mois. Comme cette maladie est naturellement exceptionnelle chez l’enfant le lien de causalité est hautement probable.

Depuis lors, une étude américaine réalisée à partir du VAERS a montré dès juin 2021 que les garçons en bonne santé âgés de 12 à 17 ans présentaient un taux d’hospitalisation dû à une inflammation cardiaque plus élevé après leur deuxième vaccination ARNm Covid-19 que le taux d’hospitalisation attendu pour le Covid-19 dans ce groupe d’âge.

Une analyse par le CDC (l’autorité américaine de Santé) des rapports d’inflammation cardiaque signalés après l’administration du vaccin Covid-19 l’a confirmé et cette complication des pseudo vaccins est maintenant inscrite dans la notice d’utilisation de ces médicaments aux USA. Rappelons la gravité de cette complication qui peut aboutir à la mort et lorsqu’elle guérit, peut laisser de lourdes séquelles interdisant les efforts prolongés comme la pratique des sports et annulant tout espoir de carrière sportive professionnelle.(([9] La myocardite inflammation du muscle cardiaque, péricardite : inflammation des sacs protecteurs entourant le cœur. Les deux sont des conditions extrêmement graves en raison du rôle vital que joue le cœur pour maintenir une personne en vie et du fait que le muscle cardiaque ne peut pas se régénérer. Une myocardite grave peut entraîner un arrêt cardiaque et faire perdre des années à la vie d’une personne.)) La guérison rapide et définitive est un mensonge. Des accidents neurologiques divers ont également été rapportés depuis plusieurs mois (paralysie faciale, cécité, certes rares, mais inacceptables pour une maladie sans risque chez l’enfant sain.

Les données récentes de septembre 2021 chez les enfants soumis au pseudovaccin confirment ces premières indications et sont très inquiétantes aux USA(([10] The Covid-19 Vaccines have harmed and killed more children in the USA than all other vaccines combined according to official data (wordpress.com) ))

Et à nouveau cette information tragique : les vaccins Covid-19 ont nui et tué plus d’enfants aux États-Unis que tous les autres vaccins combinés selon les données officielles(([11] Search Results from the VAERS Database (medalerts.org) ))

BY DAILY EXPOSE ON SEPTEMBER 20, 2021

De nouveaux chiffres du système de déclaration des événements indésirables vaccinaux (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis montrent que les enfants souffrent après avoir été vaccinés contre le Covid-19, avec de nombreux malades graves, handicapés et, dans certains cas, décès.

Du 1er janvier 1991 au 30 novembre 2020, donc sur deux décennies, un mois avant que le premier vaccin contre le Covid-19 ne reçoive une autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis, il n’y avait qu’un total de 6 068 décès enregistrés (principalement des bébés nourrissons) en raison de tous les vaccins disponibles.

Mais au 10 septembre 2021, en moins d’un an, plus de 3,1 millions d’accidents avaient été enregistrés dans le VAERS en raison des vaccins Covid-19, ainsi que 80 337 visites aux urgences, 60 565 hospitalisations, 19 210 incapacités permanentes, 15 012 événements mettant la vie en danger et 14 925 décès.

Il y a également eu 1 614 décès fœtaux enregistrés à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin contre le Covid-19, bien qu’aucune femme enceinte n’ait participé à un seul essai clinique pour aucun des vaccins anti-Covid 19.

Une recherche dans la base de données VAERS montre qu’il n’y a eu aucun décès fœtal à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2021, et 16 décès fœtaux à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2020.

Les pseudo vaccins anti-Covid représentent donc un risque de mort fœtale cent fois plus élevé que le vaccin contre la grippe

Pourquoi les autorités continuent-elles de recommander aux femmes enceintes de se faire vacciner contre le Covid-19 ?

Les dernières données VAERS publiées le 10 septembre 2021 montrent également comment les enfants qui ont un risque pratiquement nul de souffrir d’une maladie grave due au Covid-19, souffrent des vaccins Covid-19.

Il y a eu 21 décès, 77 incapacités permanentes, 2 019 visites aux urgences, 942 hospitalisations et 165 événements mettant la vie en danger chez les enfants de moins de 17 ans en raison des vaccins contre le Covid-19.

De plus, les vaccins contre le Covid-19 ont causé 21 fois plus de décès, près de 8 fois plus d’incapacités, 40 fois plus de visites aux urgences, 36 fois plus d’hospitalisations et 18 fois plus d’événements mettant la vie en danger chez les enfants de moins de 17 ans que tous les autres vaccins disponibles combinés (depuis le début des injections antiCovid).

Une autre recherche dans la base de données VAERS pour la thrombose (caillots sanguins), un effet secondaire connu des vaccins Covid-19, montre qu’il y a eu 91 rapports contre les vaccins Covid-19 chez les ados de 12 à 20 ans jusqu’au 10 septembre 2021.

La même recherche pour tous les autres vaccins disponibles montre que seulement 4 cas de thrombose ont été enregistrés. Cela signifie que les cas de thrombose sont 23 fois plus élevés chez les adolescents qui ont reçu une injection anti-Covid 19.

Et pourtant malgré ces énormes alertes sur l’impact dévastateur sur les adolescents aux États-Unis, la FDA et le CDC sont sur le point d’approuver le vaccin de Pfizer pour une utilisation chez les enfants de plus de 5 ans, le Dr Fauci déclarant même qu’il pourrait être approuvé pour une utilisation chez des enfants aussi jeunes que 6 mois d’ici Noël !

Big Pharma a toujours le pouvoir.

Les données récentes de l’office national de statistiques anglais sont (ONS) également très inquiétantes pour les enfants(([12] Augmentation de 63 % des décès chez les adolescents au Royaume-Uni — Morts après vaccination (wordpress.com) ))

« Les données de l’ONS pour 2021 montrent qu’entre le 25 juin 2021 et le 17 septembre 2021, il y a eu 217 décès parmi les adolescents âgés de 15 à 19 ans, ce qui signifie que les décès chez les adolescents de plus de 15 ans étaient 47 % plus élevés qu’à la même période en 2020.

La différence ? L’augmentation du nombre de décès d’adolescents en 2021 a coïncidé avec l’offre du vaccin Covid-19, comme le montrent les données du NHS qui peuvent être téléchargées,(([13] Statistics » Covid-19 Vaccinations Archive (england.nhs.uk) )) et accessibles sur le site Web du NHS, montre qu’au 27 juin 2021 plus de 147 000 personnes de moins de l’âge sur 18 avaient reçu au moins une dose d’un vaccin contre le Covid-19 ».

L’Agence de réglementation des produits de santé et de médecine anglaise a ouvertement admis qu’elle soupçonnait la myocardite et la péricardite d’être des effets secondaires potentiels des vaccins Pfizer et Moderna Covid-19, en particulier chez les jeunes hommes.

UK Medicine Regulator a ajouté officiellement des avertissements concernant la myocardite et la péricardite aux étiquettes de sécurité des vaccins Covid-19. L’EMA également et les généralistes ont reçu des lettres les incitant à expliquer ce risque aux futurs vaccinés. Mais s’ils le font, qui se vaccinera ? Et si les médecins ne vaccinent plus, ils se font tancer par les ARS et l’ordre des médecins…

Les données sont maintenant publiées pour que les autorités voient, une augmentation de 63 % des décès d’adolescents masculins depuis qu’ils ont commencé à recevoir le vaccin antiCovid-19, elles doivent enquêter sur cela et cesser immédiatement le déploiement de cette injection expérimentale aux enfants.(([14] https://theexpose.uk/2021/10/04/teen-boy-deaths-increased-by-63-percent-since-they-had-Covid-vaccine/))

En Angleterre, la bataille continue ! Le mardi 5 septembre, Chris Whitty, le médecin-chef anglais a décidé d’annuler le Comité mixte sur la vaccination et de conseiller au gouvernement de proposer le « vaccin » anti-Covid 19 à tous les enfants du secondaire en bonne santé. Cela a jusqu’à présent conduit à augmenter de 400 % le nombre de décès chez les enfants de sexe masculin par rapport à la même période en 2020.(([15] Investigation : Deaths among male Children have increased by 400% since Chris Whitty decided they should have the Covid-19 Vaccine – The Expose))

Il y a environ 15,6 millions de personnes âgées de 19 ans et moins au Royaume-Uni, ce qui signifie que seulement 1 enfant et adolescent avec comorbidité grave, sur 410 526 serait décédé du Covid-19 en 18 mois. Seulement 1 enfant sur 1,7 million serait mort du Covid-19 en 18 mois, sans comorbidité connue.

Il n’y avait donc aucune excuse pour imposer cette injection dans les écoles et les journaux se demandent si le médecin-chef a compris qu’il mettait ainsi en danger la vie des enfants anglais.

Cependant, les gens se sont battus devant les tribunaux pour annuler la décision du médecin en chef de l’Angleterre(([16] UK Judge orders Government to provide evidence in court that justifies Covid-19 Vaccination of Children in legal challenge to halt roll-out of the jabs to Kids – The Expose)) selon laquelle les enfants devraient recevoir une injection expérimentale de Covid-19, malheureusement en vain jusqu’à présent.

Un juge a ordonné au gouvernement britannique de soumettre des preuves justifiant la vaccination des enfants contre le Covid-19, leur donnant une date limite du lundi 11 octobre.

L’ordre de l’honorable juge Jay est le bienvenu après que la révélation, le jeudi 30 septembre, que depuis que les adolescents de plus de 15 ans ont reçu le vaccin Covid-19, les décès dans ce groupe d’âge ont augmenté de 47 % par rapport à la même période en 2020.

Mais l’examen par la Cour traîne depuis le premier septembre sans suspension des injections, et les drames se poursuivent…

Alors pourquoi en France cette proposition de loi susceptible de mettre en danger nos enfants, après toutes ces informations provenant des sources officielles ?

Mr le Sénateur Jomier et les autres signataires de cette proposition de loi sont-ils à ce point désinformés ? Qui les informe ? Qui sera responsable et coupable ?

Ne représenteraient-ils que des lobbyistes des entreprises du médicament ?

Les antécédents du docteur Jomier dans l’expérience « Paris sans Sida » plaideraient pour cette dernière possibilité.

En 2015-2016 alors que Bernard Jomier était adjoint à la mairie de Paris, chargé de la Santé, il a mis en œuvre la politique « vers Paris sans sida » faisant la promotion d’un médicament préventif de GILEAD ; la PrEP.  Dans un article de juin 2017, Hervé Latapie dénonçait certaines pratiques de l’industrie pharmaceutique et des liens d’intérêts affectant l’indépendance des décisions.

« Ainsi le consensus en faveur de la promotion de la PrEP à grande échelle s’est construit grâce à l’action de certains acteurs très impliqués, aux motivations complexes et non dénuées de conflits d’intérêts.

« La firme Gilead va donc se retrouver à tous les niveaux de la mise en place de la PrEP : apports financiers directs auprès des associations de lutte contre le sida ou d’organismes de santé communautaires gays, conventions de recherche avec des services hospitaliers, mise en place d’essais démonstratifs, émoluments et autres cadeaux distribués auprès de professionnels de santé (billets d’avion business, séjours hôteliers de hauts grade, inscriptions onéreuses à des congrès, bourses d’études ou de recherches…), encarts publicitaires offerts à la presse gay ».

En 2018, l’initiative « vers Paris sans sida » recevait 530 000 euros de conventions du laboratoire Gilead.  Après cinq ans de cette promotion de la PrEP qui a rapporté beaucoup à Gilead, le bilan sanitaire global est très mitigé(([17] D’après santé publique France l’incidence du sida à Paris s’est stabilisée (en grande partie grâce à l’accroissement sensible du dépistage) mais l’abandon trop fréquent du préservatif par ceux qui se croient ainsi protégés par le PrEP a été suivi par une augmentation de 20 à 30 % des autres maladies sexuellement transmissibles (syphilis, gonorrhée, chlamydia) ))(([18] ? ))

Gilead ? Toujours Gilead, que personne n’a pu oublier et dont les liens d’intérêt avec les anti Raoult, médecins de plateau permanents et les promoteurs du tragique Remdesivir ont constitué un des feuilletons de l’année 2020. 

EFFETS INDÉSIRABLES RELATÉS PAR LES AGENCES OFFICIELLES DES THÉRAPIES GÉNIQUES

Quelques éléments complémentaires à leur fournir ainsi qu’à tous les candidats à la présidentielle tragiquement silencieux alors que ces drames se jouent sous leurs yeux

En UE selon le site officiel de l’agence européenne du médicament(([19] https://adrreports.eu/fr/)):

Tableau comparatif des Myocardites déclarées sur Eudravigilance pour les 12-17 ans et les 12-17 ans complètement vaccinées en France complètement superposables.

ET GLOBALEMENT EN UNION EUROPÉENNE

Plus de 26 000 décès reconnus par l’agence et plus d’un million d’accidents notés comme graves par EudraVigilance. Un tel risque, une fois connu, avec ces sources officielles est — il acceptable surtout chez les jeunes qui ne risquent rien du Covid ?

Et comme aux USA, le nombre de décès post Vax antiCovid a flambé depuis les injections antiCovid.

TOUS les décès, pour TOUS les vaccins répertoriés, depuis 2010 dans la base de données de pharmacovigilance européenne EudraVigilance, année par année.

En conclusion, il faut refuser cette obligation chez des enfants en particulier, et exiger un moratoire devant l’accumulation des effets secondaires, dont certains graves, et des décès chez des personnes en bonne santé.

Ceci d’autant plus que l’épidémie est terminée comme le réseau sentinelle le démontre.(([20] Réseau Sentinelles — Semaine 39))

Merci aux sénateurs qui ont refusé de voter cette proposition de loi contraire aux données actuelles de la science et espérons qu’ils pourront convaincre leurs collègues.

Encourageons— les tous à refuser définitivement cette proposition dangereuse. Chacun a le droit à l’erreur, mais persévérer est diabolique surtout quand il s’agit d’enfants et donc de l’avenir de la nation.

Et tous les politiques de tous les bords devraient s’emparer de ce risque énorme pour les jeunes et s’opposer à ce danger imminent et impossible à nier. Sinon, comment croire à leur intérêt pour les Français et singulièrement sa jeunesse ?

Et nous citoyens, contactons-les par tous les moyens pour les informer et qu’aucun ne puisse dire plus tard « je ne savais pas » !

sénateurs :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs

De tous les députés :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes





Euthanasiés parce qu’ils avaient le Covid !

[Source : Alternatif Bien-Être (alternatif-bien-etre.com)]

Par Rodolphe Bacquet

Chers amis,

Il y a quelques jours, en Chine, trois chats ont été euthanasiés… parce qu’ils avaient été testés positifs au Covid-19.(([1] L’euthanasie de trois chats positifs au Covid-19 fait polémique en Chine (courrierinternational.com) ))

Ces trois chats appartenaient à la même personne, une habitante de Harbin (province du Heilongjiang). Les vétérinaires ne lui ont pas demandé son avis pour la mise à mort de ses chats.

Pire, malgré son opposition désespérée et ses suppliques, ils les ont tués pour « le bien de la collectivité ». 

Cela vous choque ?

Si l’objet de mon message vous a choqué… c’est bien.

Si le détail de cette nouvelle apparemment sans importance – après tout, des milliers d’animaux sont euthanasiés chaque jour sans que cela n’émeuve personne – vous choque aussi… c’est encore mieux. C’est qu’il y a encore de l’espoir.

Il y a encore deux ans, que l’on euthanasie ces trois animaux au lieu de tenter de les soigner aurait ému bien au-delà du cercle des défenseurs des animaux.

Pire, que cette triple euthanasie soit opérée sans le consentement de leur propriétaire et pour assurer la « sécurité » d’une ville chinoise… serait passée pour une extravagance supplémentaire de ce régime autoritaire.

Exactement comme le confinement d’une ville entière, Wuhan, nous avait paru si « exotique » : « ça, ça n’est possible qu’en Chine ! », s’était-on dit… pas vrai ?

Jusqu’à ce que cela se produise à nos portes – en Italie – et finalement… bel et bien chez nous.

Il y a deux ans également, le port du masque généralisé nous semblait un « trait culturel » typiquement asiatique…

… Les vaccinodromes, une manifestation de l’autorité que des régimes d’un autre âge exercent sur des masses dociles…

… La nécessité de devoir présenter un QR code dévoilant des informations sur votre santé pour obtenir la permission de vous asseoir à la terrasse d’un café ou de monter dans un train, une trouvaille issue d’un roman d’anticipation de George Orwell ou Philipp K. Dick…

Tout cela, qui nous paraissait inouï, inimaginable chez nous, a pourtant eu lieu, a lieu en ce moment-même.

Cela a choqué plusieurs d’entre nous, et j’en fais partie, vous le savez.

Mais cela a, en fin de compte, a été accepté et intégré par la majorité de la population avec une rapidité et une facilité déconcertantes.

Cette façon de nous « accoutumer », par petites touches, à des mesures toxiques, porte un nom : la mithridatisation.

Et nous vivons, aujourd’hui, une forme de mithridatisation collective, sociale et sanitaire.

Comment on s’accoutume au poison

Ce mot un peu compliqué de « mithridatisation » vient du roi antique Mithridate le Grand, qui régnait sur le Pont-Euxin au Ier siècle avant J.-C.

Buste en marbre de Mithridate VI le Grand, musée du Louvre

Mithridate avait de nombreux ennemis, à l’intérieur de son royaume comme à l’extérieur, qui en voulaient à sa vie – et le roi en avait parfaitement conscience.

Or, la méthode la plus discrète et radicale à la fois pour se débarrasser d’un rival ou d’un adversaire politique était à l’époque l’empoisonnement.

Sachant qu’il lui était impossible de contrôler toute boisson et toute nourriture dans laquelle un espion aurait pu verser du poison, Mithridate adopta une méthode originale : il devint lui-même expert en poisons… et en ingéra chaque jour, à petites doses.

Alors qu’une dose massive et unique de poison aurait pu le tuer, ces petites doses quotidiennes de poison non seulement ne le tuaient pas, mais le rendaient plus résistant.

C’est l’accoutumance de son organisme au poison qui protégea Mithridate du risque d’empoisonnement.

Cette méthode fut un succès au-delà de toute espérance… qui se retourna contre lui.

Finalement détrôné, Mithridate voulut se suicider en absorbant une dose massive de poison, mais n’y parvint pas : son corps s’y était trop accoutumé !

Mithridate fut donc passé au fil de l’épée par les soldats de son propre fils, qui lui avait ravi son trône. Une fin déshonorante et brutale.

La mithridatisation des esprits

La mithridatisation, c’est donc cela : l’absorption à faible dose d’un poison, auquel on s’accoutume.

On commence par de toutes petites doses, qu’on augmente à mesure que l’on y devient insensible.

Lorsque l’organisme ingère une quantité plus importante de ce même produit toxique, le cas échéant, on y survit.

[Ndlr : Est-ce que l’organisme s’habitue au mercure, au plomb ou à l’arsenic qui s’accumulent dans le corps jusqu’à produire des effets notables et indésirables sur l’organisme, à le rendre malade ou même à le tuer ? Est-ce qu’il peut même s’habituer au cyanure et à des toxines encore plus radicales ? Il est plus prudent de ne pas tenter ce genre d’approche avec tous les poisons, surtout lorsque ceux-ci ne s’éliminent pas naturellement et rapidement du corps. C’est la dose qui fait le poison. N’importe quelle plante médicinale, n’importe quel aliment, même de l’eau, peuvent devenir nocifs à trop haute dose.]

La crise du Covid-19 a sonné le départ d’une étrange mithridatisation des esprits.

[Ndlr : il s’agit de ce que d’autres ont appelé la méthode des petits pas qui consiste à aller vers l’objectif par étapes, avec au besoin une halte entre deux étapes données pour laisser le temps de récupérer après la tension imposée lors de l’étape précédente. En physique, que l’on applique une torsion progressive ou rapide à une barre métallique ne change pas grand-chose au résultat : si la tension accumulée devient trop forte, la barre se rompt. En psychologie, si l’on applique une tension trop forte et trop soutenue à un individu, il se brise. En politique, ceux qui veulent amener des changements sociétaux ou structurels doivent veiller à faire redescendre la tension à certains moments s’ils ne veulent pas provoquer une explosion. Et dans le cas de la crise Covid, il y a donc eu des périodes de relâchement des mesures avant de mieux repartir pour de nouvelles encore plus radicales.
Voir aussi Le contrôle mental au temps du Covid]

Le poison de cette mithridatisation, ce n’est pas le virus, ce sont les mesures qui s’accumulent pour, nous dit-on, nous en « protéger ». 

L’énormité de cette mithridatisation nous dépasse déjà.

Il y a deux ans, le principe du pass sanitaire, hormis peut-être quelques technocrates fadas biberonnés aux GAFA,(([2] Les géants du numérique qui, de fait, contrôlent hors de toute réglementation étatique, l’information et l’économie contemporaines : Google, Amazon, Facebook, Apple.)) nous aurait semblé révoltant. Plus qu’inapplicable : inimaginable.

Mais la privation de liberté « pour le bien de tous » s’est faite à petites doses.

Il y a eu certes le choc du premier confinement, mais tout, ensuite, s’est déroulé par touches subtiles, comme sur un tableau impressionniste :

  • Les attestations de sorties ;
  • Le port du masque obligatoire ;
  • Le couvre-feu ;
  • La quarantaine ;
  • Les tests obligatoires, gratuits, puis payants ;
  • La vaccination « conseillée », puis « encouragée » et finalement de facto obligatoire…

Nous avons avalé toutes ces mesures empoisonnées. Une à une. Chacune allant un peu plus loin que la précédente, jusqu’à cet état de fait inquiétant : la discrimination pour raisons médicales.    

Nos sociétés championnes de la lutte anti-discrimination ont beau jeu

Nos démocraties occidentales modernes, qui se targuent de lutter :

  • contre la discrimination raciale,
  • contre la discrimination religieuse,
  • contre la discrimination sexuelle,
  • contre la discrimination pour préférences sexuelles…

… ont en fin de compte créé de toutes pièces une toute nouvelle discrimination : la discrimination vaccinale.

L’être humain est un animal social, d’accord, mais c’est surtout un animal discriminant. 

Il faut qu’il discrimine, c’est comme ça.

S’il ne peut plus discriminer selon que vous êtes blanc ou noir, homme ou femme, chrétien ou musulman, homo ou hétéro, français, belge ou marocain… il trouvera autre chose.

Il vous discriminera parce que vous avez les pieds grecs ou égyptiens, parce que vous êtes riche ou pauvre, parce que vous êtes plutôt thé que café.

Les problèmes sérieux commencent quand l’État prend en charge cette discrimination

C’est-à-dire quand l’État légifère sur l’achat de certains hommes comme esclaves par d’autres réputés « libres », sur les droits accordés à une confession religieuse et pas à une autre, sur la possibilité ou non des femmes d’accéder à l’éducation.

L’État français, ni pionnier, ni bon dernier, vient de créer une société dotée de deux nouvelles « classes » de citoyens : les vaccinés et le non-vaccinés, les premiers ayant plus de droits que les seconds.  

Oh, nous pouvons nous enorgueillir, dans nos pays occidentaux développés, d’avoir conquis la liberté de confession, la liberté d’orientation sexuelle… Mais nous sommes, en parallèle, en train de mettre fin à la liberté de choix médical.  

Nous vivons depuis si longtemps déjà dans l’invraisemblable que nous avons laissé passer cette discrimination inédite sans y prendre garde. Par mithridatisation.

Nous vivons depuis si longtemps dans l’épouvante, entretenue par les médias, que cette discrimination nous paraît presque « normale », et même pour certains… indispensable. Par mithridatisation.

Nous vivons depuis si longtemps dans l’intimidation, entretenue par les gouvernements, que nous acceptons d’une âme égale qu’ils décident à notre place à quelle heure entrer et sortir de chez nous, ou si nos enfants doivent ou non se faire injecter des produits pharmaceutiques créés il y a moins d’un an.

Par mithridatisation. Par petites touches.

C’est ainsi que nous laissons cette politique toxique nous empoisonner en tant que société, et en tant qu’êtres humains.

Mais attendez : ce n’est pas terminé.

Voici deux autres exemples d’une actualité brûlante de cette mithridatisation en marche.

Suisse : 50 francs pour l’incitation à la vaccination

En Suisse, le Conseil Fédéral a, dans le sillage de la France, instauré autoritairement l’obligation de présenter un « certificat Covid », équivalent de notre pass sanitaire.  

La mesure a choqué bon nombre d’habitants de ce pays à très forte tradition démocratique et la Suisse, pour la première fois depuis des décennies, connaît depuis régulièrement des manifestations à Berne, sa capitale, contre cette mesure.

Mais, cette semaine, le Conseil Fédéral a décidé d’aller plus loin dans sa politique « tout-vaccin » en ayant l’idée d’offrir un « bon-cadeau » de 50 francs suisses à toute personne convaincant un proche de se faire vacciner.(([3] Annonces du Conseil fédéral – Vaccination: un bon de 50 francs à ceux qui persuadent leurs proches – Le Matin))

A priori ça n’est pas « nouveau ».

Aux États-Unis, le gouvernement du New Jersey offrait une bière à toute personne allant se faire faire une injection anti-Covid.(([4] Covid-19 aux États-Unis. Une bière offerte contre une dose de vaccin dans le New Jersey (ouest-france.fr) ))

Le gouvernement chinois de Hong-Kong incitait, lui, à la vaccination en offrant aux bons élèves des billets de loterie pour gagner une Tesla ou un appartement de luxe.(([5] Un vaccin contre une Tesla, à Hong Kong des loteries pour stimuler la campagne | Le HuffPost (huffingtonpost.fr) ))

[Ndlr : aux États-Unis et au Québec, des loteries vaccination ont été mises en place, avec possibilité de gagner jusqu’à un million de dollars si on se fait vacciner.]

Mais cela s’adressait à toute personne susceptible de se faire vacciner… Pas à son entourage, pour la convaincre d’y aller !

Le Conseil Fédéral suisse a bel et bien franchi un pas supplémentaire, qui en dit long sur la conception qu’ont nos gouvernements de la santé : quelque chose qui s’achète… et que l’on peut vendre.

À présent je vous demande : cela vous choque-t-il ?

Israël : 3ème dose obligatoire pour garder un pass sanitaire valide

Israël est, vous le savez, le pays « en avance » en termes de politique vaccinale anti-Covid. Ils ont été :

  • les premiers à vacciner en masse,
  • les premiers à instaurer un pass sanitaire (et rappelez-vous, à ce moment-là, Emmanuel Macron a juré ses grands dieux que JA-MAIS il ne mettrait en place un système équivalent)…
  • et les premiers à connaître un rebond spectaculaire des contaminations et des décès dans la population vaccinée.

Ce terrible désaveu n’empêche pas le gouvernement actuel de s’entêter dans sa politique vaccinale :

« Les passeports verts, délivrés aux personnes vaccinées ou guéries du Covid-19, seront remplacés dès ce dimanche en Israël. Ceux déjà délivrés seront annulés. Près de deux millions de citoyens ne pourront plus accéder à certains espaces publics sans un résultat de test négatif. »(([6] Deux millions de vaccinés israéliens privés de pass sanitaire s’ils ne prennent pas de 3e dose – 03.10.2021, Sputnik France (sputniknews.com) ))

En Israël comme en France, la troisième dose a d’abord été présentée comme « optionnelle »… jusqu’à aujourd’hui, où elle est de facto obligatoire.

Les promesses n’engagent décidément que ceux qui y croient…

Quant à ceux qui ont encore l’innocence de se dire « bon, allez, une troisième dose, et c’est enfin terminé »… sachez qu’en fait de « troisième dose » la nouvelle réglementation israélienne stipule que le pass sanitaire sera valide pendant six mois après l’administration de la dernière dose

Cela vous choque-t-il ?

Le poison de la lassitude

Si tout cela vous choque, comme je vous l’écrivais plus haut, c’est qu’il y a encore de l’espoir.

Car le propre de la mithridatisation, c’est de nous rendre insensible.

Nous regardons tous ces pas supplémentaires vers l’indignité, vers la confiscation de notre consentement, vers la discrimination pour raisons médicales, d’un œil las.

Moi le premier. Que croyez-vous ? Je me lasse de vous parler du Covid… du pass sanitaire… des injections et de ses effets secondaires… des milliers de morts directes ou indirectes sacrifiées sur l’autel du « bien collectif »… C’est usant.

J’en ai marre, comme vous. J’ai envie de penser à autre chose. De passer à autre chose.

Or, c’est précisément là qu’est le danger.

Je me lasse de vous en parler, je deviens désabusé… mais les mesures qui continuent à être appliquées, celles qui s’apprêtent à être prises (la prolongation du pass au-delà du 15 novembre, la généralisation de la troisième dose…), elles, n’ont pas cessé d’être problématiques : elles sont même pires !  

Mais nous sommes habitués. Anesthésiés. Mithridatisés.

C’est ce qui permet à l’inimaginable il y a encore quelques semaines ou mois de se produire sous nos yeux. Pas à pas. Par petites touches. L’air de rien.

Aujourd’hui ce sont des chats qui sont euthanasiés en Chine. Pourquoi pas demain ici en Europe ? Et pourquoi pas, demain, des patients humains ?

Toujours pour la même raison : le « bien collectif ».

Aujourd’hui c’est la Suisse qui propose un billet de 50 pour « inciter » votre ami, votre cousin ou votre petit frère à se faire vacciner. Pourquoi pas la France demain ? Et puis, ce cadeau pour l’incitation ne pourrait-il pas devenir un cadeau pour… délation de non-vaccination ?

Pour le « bien collectif ».

Aujourd’hui c’est la troisième dose qui est obligatoire en Israël. Et demain, pourquoi pas en France ? Et puis, pourquoi pas la quatrième dose, et puis la suivante ?

Vous ne croyez pas à tout cela ?

Mais il y a deux ans, auriez-vous cru au confinement du pays entier ?

Il y a six mois, auriez-vous cru que nos gestes quotidiens seraient déterminés par une injection médicale ?

On vous dira que c’est pour le bien collectif. Même si toutes les données indiquent le contraire.

La Norvège, la Suède, le Danemark, n’ont pas ou plus de pass sanitaire. Y’a-t-il une hécatombe dans ces pays ? Non.

Mais en France, en Suisse, en Italie, en Israël évidemment, les gouvernements soutiennent que c’est la seule voie de sortie possible de la crise.

Ces mêmes pays qui s’assoient allègrement sur le million d’effets secondaires des injections anti-Covid officiellement reconnues par l’OMS… pour la seule Europe.(([7] Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

Oui, la mithridatisation, l’anesthésie, la lassitude, sont dangereuses. C’est cela qui nous fait baisser la garde : nous sommes choqués, révoltés au départ (certains d’entre nous en tout cas). Puis résignés. Puis habitués.

Mais la force de l’habitude ne change rien au caractère moralement indigne de cette politique de santé, ni surtout aux dégâts qu’elle provoque.

Le caractère choquant de mon mail reflète mon dégoût quand j’ai appris l’euthanasie de ces animaux. Que cela me choque, m’a rassuré : je ne suis pas entièrement mithridatisé.

Peut-être vous non plus, si vous avez ouvert ce message.

Alors… Alors il faut continuer. Je continue à protester par ces lettres et surtout à lutter, à ma modeste échelle, contre les dégâts provoqués par cette insensée politique sanitaire.

Que faire contre cet empoisonnement ? Distribuer l’antipoison

Je ne peux pas immobiliser ce rouleau-compresseur qu’est l’injection en masse, voulue par un accord gouvernemental et pharmaceutique, d’un produit médical dont les effets secondaires commencent à être aussi effrayants que documentés.

Mais je peux, je l’espère, réunir les moyens de vous aider à prévenir et traiter ces effets secondaires si, pour X raison, vous vous êtes fait vacciner ou connaissez quelqu’un qui en souffre.

Ces moyens, je ne les sors pas de mon chapeau : il s’agit de solutions appliquées par des thérapeutes intègres et courageux, qui sont aujourd’hui dans une situation de résistants face à une armée d’occupation : ils continuent à traiter leurs patients, coûte que coûte, et surtout en bravant les intimidations, les menaces.

Portez-vous bien,

Rodolphe Bacquet





Pourquoi deviendrait-il si urgent de faire abolir la peine de mort à l’échelle internationale ??

Par Diane Vincero

Est-ce qu’au vu des milliers de plaintes pour crimes contre l’Humanité, déposées dans tous les pays (à l’échelle nationale, comme européenne, comme internationale), les dirigeants français (entre autres) ne pendraient pas conscience que leur tête est mise à prix, au sens littéral du terme ??

Donc, voilà un abus supplémentaire, une volonté supplémentaire de la part des dirigeants d’aménager les lois dans le sens qui les arrange. Tout cela présenté, une fois de plus, de façon très mielleuse, très onctueuse, en mettant en avant que « la peine de mort est une peine honteuse », et bla-bla…

Et les centaines de milliers de morts et de handicaps graves provoqués par l’obligation vaccinale covid, c’est quoi ??? N’est-ce pas pire qu’un meurtre « habituel », dans le sens où ces meurtres là, par la vaccination, ont été commis SCIEMMENT, sous une apparence mielleuse, onctueuse, de « vouloir protéger le peuple » alors que partout ont été soulevés ces effets catastrophiques de cette vaccination !!!! 

Lorsque les procès éclateront, tous ces dirigeants voudront encore se cacher, comme d’habitude, derrière de « beaux principes, bien mielleux » qui seront : « nous ne savions pas que les vaccins pouvaient entraîner tous ces effets secondaires, on nous l’avait caché. », « Nous avons pris soin de nous appuyer sur la HAS », etc., etc.. 

Mais, ce manège ne tient pas, puisqu’eux et nous savons les liens TRÈS étroits entretenus DEPUIS DES DÉCENNIES entre Big Pharma et toutes ces « autorités de santé », ces conseils de l’ordre des médecins, ces personnalités politiques, etc., etc., etc. qui montrent bien que l’intérêt de toutes ces personnes n’était certainement pas dans la protection du peuple (et ce à l’échelle mondiale). 

D’ailleurs, première décision extrêmement honteuse, scandaleuse qui est d’avoir accordé à Big Pharma, et ce dès 2003 (environ) que les laboratoires pharmaceutiques soient dégagés de toute responsabilité en cas d’effets secondaires engendrés par leurs vaccins !!!!!! Qui les a dégagés de ces responsabilités ??? Les politiques…….

Mais encore une fois, qui parmi les citoyens ordinaires est dégagé de toute responsabilité sur les conséquences de ses actes ??????!!!! Vous n’avez qu’à regarder la tornade d’amendes qui s’abat actuellement sur les automobilistes qui osent dépasser légèrement les limitations de vitesse drastiques qui viennent d’être mises en place : pour le « moindre clignement d’œil de travers », le citoyen lui est sanctionné. 

Il est question par ailleurs d’augmenter les sanctions pour les non-vaccinés avec des amendes lourdes.

Donc, les dirigeants sont excellents quand il s’agit de donner des leçons, de sanctionner à tout va, en se cachant systématiquement derrière le masque de prétextes onctueux « pour le bien du peuple », mais comme ils devront répondre de leurs actes et décisions, ils anticipent déjà la levée de toute responsabilité….

D’ailleurs, il vient d’être question de dégager les dirigeants français de toute responsabilité dans la campagne covid !!!

Mais arrêtez !!!!!!!!! Cela dépasse l’entendement !!!!! 

Dans les corps de métier régaliens, il y a des devises comme « Force et Honneur », « Honneur et Patrie », etc., etc.  

Donc, on bourre le mou des policiers, gendarmes, militaires, de devises vertueuses, de valeurs, ALORS QUE PENDANT CE TEMPS, LES DIRIGEANTS EUX, BAFOUENT TOUTE ÉTHIQUE, TOUTES LES VALEURS FONDAMENTALES, etc., etc. SOUS NOS YEUX !!!!!!!!!!!! 

Où est leur force ? Où est leur probité ? Où est leur honneur ??? Ils ont été jusqu’à obliger les médecins à ne pas utiliser des traitements qui guérissent du covid, et les ont amenés à vacciner, alors que la devise des médecins est « Primum non nocere » (« d’abord, ne pas nuire »).

Au passage, on peut lire dans Wikipedia que

« Un ministère régalien est un ministère qui répond aux fonctions régaliennes de l’État, c’est-à-dire les fonctions dont la responsabilité doit normalement être prise par l’État et qu’il ne doit pas déléguer à des sociétés privées1. »

Alors pourquoi certaines amendes, etc., etc. sont-elles confiées à des sociétés privées ???

STOP !!! STOP !!!

Dirigeants, vous avez dépassé les bornes depuis plus de 18 mois !!!

En conclusion : cessez de vous cacher derrière de prétendues bonnes intentions et assumez vos responsabilités, comme l’éducation nationale l’enseigne aux enfants dès la maternelle….. Vous n’êtes pas des enfants de maternelle, et, vous n’en avez aucunement l’innocence… Si vous avez pu leurrer une catégorie de population, les autres voient clair dans votre jeu !!!! 

La manipulation destructrice fonctionne en 3 étapes : mettre en avant de « beaux principes » avec des arguments tellement onctueux qu’on pourrait y croire. Ensuite, on culpabilise à tout va « vous êtes de mauvais citoyens, des non-vaccinés, des délinquants routiers, vous coûtez cher à la SS, etc., etc., etc. », et enfin, il y a l’argent, le nerf de la guerre ; ici en l’occurrence, les milliards que gagne Big Pharma avec ses vaccins, ses médicaments, etc., etc., etc.

Un exemple, quand on parle du « trou de la SS » : comment expliquer que les médicaments déjà anciens qui ne coûtent plus rien sont retirés du marché, alors qu’ils fonctionnaient très bien chez les patients, et ce, au profit de « nouvelles » molécules qui coûtent très cher ??????? Si on regardait de près ce mode de fonctionnement entre Big Pharma, les dirigeants de la SS et les dirigeants politiques, on serait certainement très surpris de tout ce qui se passe depuis des décennies…




Québec, où ceux qui recommandent des vitamines sont accusés d’exercice illégal de la médecine, mais les journalistes qui poussent à la vaccination ne le sont pas

[Source : Le Tribunal de l’infaux (tribunaldelinfaux.com)]

Exercice illégal de la médecine pour les pushers de vitamines, mais pas de vaccins

Les journalistes et les élus peuvent-ils dire aux gens « allez vous faire vacciner »? N’est-ce pas un acte réservé aux médecins que de suggérer un traitement médical?

C’est ce qu’a déclaré en mars dernier la juge Duchesneau dans l’affaire Maison Jacynthe, reconnue coupable d’exercice illégal de la médecine.

Dans son jugement, la juge a clairement dit que le simple fait de suggérer un traitement et d’affirmer qu’il améliorerait la santé étaient des actes réservés aux médecins.

Armée de cette jurisprudence, l’auteure de ces lignes a donc vérifié auprès du Collège des médecins en quoi consiste l’exercice illégal de la médecine avant de faire une plainte contre Richard Martineau, Denise Bombardier et Vincent Marissal, lesquels ont tous dit aux gens « aller vous faire vacciner ». Mme Bombardier l’a même suggéré au ministre de la Santé, disant qu’il devrait le faire pour « rassurer les autres », alors que M. Martineau est allé jusqu’à dire « vous allez vous sentir bien » après la piqûre.

La responsable des relations avec les médias du Collège des médecins, Leslie Labranche, a confirmé que « toute personne qui n’est pas médecin ne peut en aucun cas suggérer un traitement contre une maladie » et que cela comprend « les médicaments vendus sans ordonnance comme les produits naturels, les vitamines ou, par exemple, un sirop pour le rhume ».

Une fois l’information sur l’exercice illégal corroborée par le Collège, l’auteure a fait parvenir à ce dernier une plainte formelle, laquelle a été immédiatement rejetée par le responsable des enquêtes en exercice illégal de la médecine, Marc Legault, vétéran de la Gendarmerie Royale du Canada et des Forces armées canadiennes.  

Étrangement, le vétéran est incapable de faire la différence entre un ordre et une opinion. Voici sa réponse à la plainte :

« Le fait qu’une personne a une opinion sur le vaccin, qu’il soit pour ou contre, cela ne consiste pas de l’exercice illégal de la médecine. »

L’auteure a tenté de lui expliquer que l’impératif est employé pour donner des commandements, pas des opinions. Elle lui a rappelé au passage que, dans leurs publicités, il est interdit aux pharmaceutiques de suggérer aux téléspectateurs de prendre les médicaments promus, puisque cela équivaut à prescrire. La prescription est un acte réservé aux médecins, de là la mention systématique dans les publicités : « parlez-en à votre médecin ».

L’auteure a voulu confirmer que s’il est légal pour n’importe quel quidam de dire « allez vous faire vacciner », l’inverse est aussi vrai. Que vous soyez livreur de pizza ou astronaute, vous pouvez dire aux gens de ne pas se faire injecter avec un traitement expérimental dont la « mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne » est passée sous silence dans les médias. Non?

Homme de peu de mots, M. Legault a réitéré sa compréhension très suspecte du langage et sa réponse demeure nébuleuse :

« La section d’exercice illégal de la médecine ne va pas faire enquête sur des gens qui recommandent de prendre le vaccin, ou faire enquête sur des gens qui sont contre le vaccin. »

(Soulignements ajoutés)

Est-ce dire qu’il est légal de suggérer des injections, mais illégal de suggérer le contraire? Est-il légal d’être contre les injections, mais illégal de suggérer de ne pas les prendre?

M. Legault a signifié qu’il n’a « rien d’autre à ajouter », donc la question demeure sans réponse pour l’instant.

Nous vivons à une époque démente où des médecins se font menacer de sanctions parce qu’ils s’expriment sur leur champ de compétences, alors que des journalistes peuvent recommander des traitements expérimentaux à toute la population.

Voici tous les échanges dans l’ordre, lesquels démontrent une fois de plus que chaque jour de la Saga covidienne mélange avec brio l’absurde de Kafka et l’ubuesque de Ionesco.


De : Julie Levesque <XXXXXXX>
Envoyé : 7 juillet 2021 10:01
À : Marc Legault <MLegault@cmq.org>; Info <info@cmq.org>
Objet : Question sur l’exercice illegal de la médecine

Bonjour,

Je suis journaliste indépendante et j’aimerais vérifier avec vous ce qui constitue un exercice illegal de la médecine.

En mars dernier, Maison Jacynthe a été condamnée pour exercice illegal de la médecine. Dans le jugement, on peut lire:

“[43]     Par conséquent, le fait de soigner ou prétendre soigner une personne qui croit ou prétend souffrir d’un problème de la santé par un traitement quelconque lorsque l’on n’est pas médecin constitue de l’exercice illégal de la médecine.

[44]      Il en va de même de poser un diagnostic ou suggérer un traitement dans le but de pallier à un problème de santé[14]. En fait, le seul fait de laisser entendre que l’on peut améliorer la santé suffit[15].

[45]      Diagnostiquer les maladies, déterminer le traitement médical et le prescrire constituent donc des actes réservés[16].”

(Vous trouverez le jugement ici:
https://www.canlii.org/fr/qc/qccq/doc/2021/2021qccq1874/2021qccq1874.html?searchUrlHash=AAAAAQAPbWFpc29uIGphY3ludGhlAAAAAAE&resultIndex=1#_edn15)

Selon ce jugement, je comprends que toute personne qui n’est pas médecin ne peut en aucun cas suggérer un traitement contre une maladie. Est-ce que cela comprend les médicament vendus sans ordonnance comme les produits naturels, les vitamines ou, par exemple, un sirop pour le rhume?

Je vous remercie d’avance pour votre réponse.

Cordialement,

Julie Lévesque

Montréal, le 3 octobre 2021

Julie Lévesque
XXXXX

Dr Mauril Gaudreault
Président
Collège des médecins du Québec
1250, boul. René-Lévesque Ouest, bureau 3500,
Montréal (Québec) H3B 0G2

Objet : Plainte contre Richard Martineau, Denise Bombardier et Vincent Marissal pour exercice illégal de la médecine

Monsieur,

À l’émission de Richard Martineau le 16 mars 2021, Denise Bombardier a affirmé à deux reprises que « le ministre [Christian Dubé] devrait aller se faire vacciner […] pour l’exemplarité de la chose, il devrait aller se faire vacciner pour rassurer les gens ».

Richard Martineau lui a répondu qu’« il faut vraiment enfoncer le message que c’est très important de se faire vacciner ». 

Dans sa chronique du 25 mars 2021, M. Martineau a dit : « Allez vous faire vacciner, vous allez vous sentir tellement bien ensuite. »

Dans une publication Facebook le 23 avril 2021, le député de Rosemont Vincent Marissal a écrit : « N’hésitez pas, allez vous faire vacciner! ».

Selon le site du Collège des médecins, ces propos constituent un exercice illégal de la médecine, puisque Mme Bombardier, [M. Marissal] et M. Martineau se livrent à une activité réservée aux médecins.

La juge Nathalie Duchesneau l’a clairement exprimé dans sa décision dans Collège des médecins du Québec c. Limoges : « […] suggérer un traitement dans le but de pallier à un problème de santé [et] le seul fait de laisser entendre que l’on peut améliorer la santé suffit » pour constituer un exercice illégal de la médecine. Elle ajoute : « […] déterminer le traitement médical et le prescrire constituent donc des actes réservés ».

Dans un courriel au Collège des médecins le 7 juillet 2021, j’ai posé la question suivante :

« Selon ce jugement, je comprends que toute personne qui n’est pas médecin ne peut en aucun cas suggérer un traitement contre une maladie. Est-ce que cela comprend les médicaments vendus sans ordonnance comme les produits naturels, les vitamines ou, par exemple, un sirop pour le rhume? »

La réponse de Leslie Labranche, conseillère principale – relations médias de la Direction des communications et des affaires publiques du Collège, est sans équivoque. Elle répond : « C’est exact. »

Si « toute personne qui n’est pas médecin ne peut en aucun cas suggérer un traitement contre une maladie » incluant « des médicaments vendus sans ordonnance », cela est d’autant plus vrai en ce qui concerne les vaccins.

Mme Bombardier suggère d’ailleurs que le ministre de la Santé devrait se faire vacciner, non pas pour un quelconque bienfait pour sa santé, mais seulement « pour rassurer les gens ». Je n’ai pas trouvé d’article se rattachant à cette situation particulière dans le Code des professions ni dans la Loi médicale, mais je suppose que si un non-professionnel ne peut pas suggérer un traitement pour pallier un problème de santé, il ne devrait pas pouvoir suggérer à quelqu’un de prendre un traitement uniquement dans le but rassurer d’autres personnes sur son innocuité.

Je souhaite donc déposer une plainte formelle contre Richard Martineau, Denise Bombardier et Vincent Marissal, respectivement chroniqueur et chroniqueuse chez Québecor, et député de Rosemont pour exercice illégal de la médecine.

Vous trouverez ci-dessous une copie de mon échange avec Leslie Labranche.

Merci de confirmer la réception de ce courriel et de m’indiquer la marche à suivre pour cette plainte.

Veuillez agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.

Julie Lévesque

De : Julie Levesque <XXXXXX>
Envoyé : 5 octobre 2021 12:09
À : Marc Legault <MLegault@cmq.org>
Objet : Objet : Collège des médecins

Bonjour M. Legault,

Merci pour votre réponse rapide.

Je vous envoyais cette plainte à titre de citoyenne, mais maintenant je me questionne à titre de journaliste indépendante et au nom de la Fondation pour la défense des droits et libertés du peuple, qui a intenté plusieurs recours contre le gouvernement du Québec en lien avec la crise actuelle.

Je suis un peu confuse puisque votre opinion semble contredire celle de votre collègue Leslie Labranche et de la juge Nathalie Duchesneau, pour qui « suggérer un traitement dans le but de pallier à un problème de santé » constitue un exercice illégal de la médecine.

Mme Labranche m’a même confirmé que suggérer des médicaments vendus sans ordonnance constitue un acte réservé aux professionnels de la santé. Je comprends mal comment le fait de suggérer un vaccin ne l’est pas.

Vous dites que les trois personnes visées par ma plainte expriment une opinion, mais il s’agit plutôt d’un commandement ou d’une forte recommandation puisqu’elles emploient toutes l’impératif, par exemple, « allez vous faire vacciner ». Selon Le Robert, l’impératif est un « [m]ode grammatical qui exprime le commandement et la défense ».

D’ailleurs, les publicités de médicaments comportent toutes la mention « parlez-en à votre médecin », justement parce qu’une compagnie pharmaceutique « ne peut pas ordonner directement à des téléspectateurs de prendre [un médicament] ».

Le Center for Health Journalism explique clairement cette mention. Il s’agit d’une couverture « éthique » et « légale », puisqu’ordonner à quelqu’un de prendre un médicament équivaut à prescrire :

« What does “Talk to your doctor” (TTYD) mean? Essentially, it’s a legal and ethical security blanket. Only people with medical licenses can prescribe medication or provide care. Pharmaceutical companies can’t directly instruct TV viewers to take Enbrel; that would be prescribing. » 

https://centerforhealthjournalism.org/2015/09/21/world-full-drug-ads-and-online-advice-talk-your-doctor-more-clich%C3%A9

Cela correspond à la définition de la juge Duchesneau :

 « Le mot “prescrire” correspond, dans son sens courant, au mot “recommander[20] et suppose que cette recommandation est faite de manière verbale ou écrite[21]. »

https://www.canlii.org/fr/qc/qccq/doc/2021/2021qccq1874/2021qccq1874.html?searchUrlHash=AAAAAQAPbWFpc29uIGphY3ludGhlAAAAAAE&resultIndex=1#_edn15

Parmi les actes réservés aux médecins cités dans l’article 31 de la Loi médicale figurent :

« 2°    prescrire les examens diagnostiques;

4°    déterminer le traitement médical;

5°    prescrire les médicaments et les autres substances;

6°    prescrire les traitements »

Si « ordonner » et « recommander », c’est « prescrire », les trois personnes visées par ma plainte, en ordonnant ou en recommandant aux gens d’aller se faire vacciner, ont prescrit des vaccins, donc ont exercé illégalement la médecine.

Vous dites cependant que ce n’est pas le cas.

Vous dites : « Le fait qu’une personne a une opinion sur le vaccin, qu’il soit pour ou contre, cela ne consiste pas de l’exercice illégal de la médecine. »

Si je comprends bien votre point de vue, le fait d’ordonner ou de recommander fortement à la population de se faire vacciner parce qu’elle en tirera des bienfaits ou simplement pour rassurer les autres ne constitue pas un exercice illégal de la médecine, mais une simple opinion.

Si c’est le cas, l’inverse est aussi vrai. Une personne qui n’est pas un professionnel de la santé peut ordonner ou suggérer fortement à la population de ne pas se faire vacciner parce que les risques sont plus grands que les bénéfices, puisqu’il s’agit d’une opinion sur les vaccins.

Pourriez-vous me confirmer que c’est effectivement le cas?

Merci d’avance pour vos explications.

Cordialement,

Julie Lévesque




Le scandale des pots-de-vin de Big Pharma éclate en Australie, entraînant la chute de six fonctionnaires corrompus et du Premier ministre australien Berejiklian

[Source : resistance-mondiale.com]

Gladys Berejiklian et plus d’une demi-douzaine de membres du personnel de la Nouvelle-Galles du Sud et de l’Australie ont démissionné, honteux de leur implication dans un vaste programme de corruption contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).

Berejiklian et ses camarades auraient reçu des dizaines de millions de dollars de Big Pharma en échange d’avoir poussé les blocages et maintenant les « vaccins », détruisant d’innombrables vies et entreprises dans le processus.

Selon un ancien membre du parlement australien, Pfizer et AstraZeneca ont tous deux payé des lobbyistes pour imposer des vaccins à la population, assurant ainsi un flux constant de profits mal acquis.

Juste avant sa démission, Berejiklian a été vue sur un écran géant à Qudos Bank Arena à Sydney en train de dire aux enfants qui étaient rassemblés dans le cadre d’une campagne de vaccination de masse qu’il est nécessaire de se faire piquer contre le virus chinois pour rester “en sécurité” et “en bonne santé”. . “

Clive Palmer, chef du United Australia Party, a déclaré qu’on avait promis à Berejiklian qu’elle ne serait pas inculpée dans une enquête pour corruption si elle imposait une obligation vaccinale. Elle aurait accepté cette offre et aurait depuis démissionné de son poste.

Il y a fort à parier que ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, et que d’autres inculpations et démissions sont à venir, tant en Australie qu’à l’étranger. Peut-être que toutes ces révélations entraîneront bientôt la fin des obligations vaccinales et du pass sanitaire.

Toute la cabale du covid doit être abattue à la hâte

Berejiklian affirme que c’était une “décision difficile” pour elle de démissionner, juste après qu’un groupe de surveillance de la corruption a annoncé qu’il enquêtait sur sa “faute présumée”.

Son vice-Premier ministre John Barilaro a également démissionné, citant la pression constante des médias et une affaire de diffamation en cours contre le YouTuber Jordan Shanks, qui, selon Barilaro, est une “grande raison” pour laquelle il s’est officiellement retiré de la politique.

Shanks, quant à lui, affirme que Barilaro ment et l’accuse faussement d’être un “raciste”. Barilaro a en outre appelé Shanks “un escroc dans l’âme, propulsé par des spaghettis”.

Avec la disparition de ces deux Covidiens de service, la Nouvelle-Galles du Sud (NSW) serait dans un état de «désarroi politique et de chaos». Beaucoup se demandent ce qui se passera ensuite et dans combien de temps la région pourrait atteindre la « liberté post-Covid ».

En plus de Berejiklian et Barilaro, la Nouvelle-Galles du Sud a perdu un ministre de haut rang et trois membres vétérans du parlement de la Coalition. Il est également prévu qu’un nouveau trésorier remplace l’actuel.

Parfois, le désarroi politique et le chaos sont nécessaires pour extirper les serpents, et on ne peut qu’espérer que la même chose se produise aux États-Unis. À l’heure actuelle, les Américains doivent faire face à un régime illégitime qui n’a pas été légalement élu, mais qui essaie de forcer le pays à la même tyrannie qui a été imposée en Nouvelle-Galles du Sud.

Avec cette vague de démissions, l’espoir est que ceci se répande dans le monde entier à chaque endroit où la tyrannie de la grippe Fauci balaie le pays. Nous, le peuple, devons faire pression pour que chaque dernier criminel covid démissionne ou soit renvoyé – sans exceptions.

« Vous savez, quand cette histoire de virus a débuté et que j’ai commencé à entendre des choses sur « Big Pharma », j’étais sceptique », a admis un commentateur de Creative Destruction Media sur ce qu’il ressentait au tout début de tout cela.

« Mais maintenant, je suis convaincu que tout cela est une arnaque de plusieurs milliards de dollars. Maintenant, nous obtenons enfin des preuves et une connaissance d’initié de la corruption impliquée et c’est vraiment TRÈS laid. »

Les dernières nouvelles sur l’onde de choc des démissions qui vont probablement arriver alors que de plus en plus de fraudes au coronavirus de Wuhan (Covid-19) sont exposées peuvent être trouvées sur Collapse.news.

Les sources de cet article incluent :

Traduction de l’article :

Big Pharma payola scandal erupts in Australia takes down six corrupt officials and Australian Premier Berejiklian – NaturalNews.com