Lettre ouverte du Docteur Hervé STAUB au gouvernement

Par Docteur Hervé STAUB

Le 27 octobre 2021
Docteur Hervé STAUB
68140 MUNSTER

Lettre ouverte à

Monsieur Jean CASTEX Premier Ministre
Monsieur Olivier VERAN Ministre de la Santé
Mesdames et Messieurs les Députés et Sénateurs
Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la Santé, Mesdames et Messieurs,

Dans le cadre de la crise actuelle et en tant que médecin, après m’être largement documenté à partir de nombreuses sources toutes vérifiables, je tenais à vous faire part de mes réflexions. Je souhaite que vous les considériez en toute objectivité, en faisant abstraction de toute tendance partisane quelle qu’elle soit, de sorte que vous ne puissiez plus dire ignorer les éléments ci-après exposés.

Depuis maintenant plusieurs mois, en raison de l’épidémie de SARS-COV-2, il a été préconisé comme seul traitement l’injection d’une substance qualifiée à tort de vaccin. Cette substance, selon les règles pasteuriennes, n’est en effet pas un vaccin mais une thérapie génique en phase 3 d’expérimentation, ayant reçu une autorisation de mise sur le marché provisoire. Cette AMM provisoire a été attribuée à la condition de l’absence de tout autre traitement efficace. Or, contrairement à toutes les déclarations officielles, reprises et diffusées par la plupart des médias, des traitements et des moyens de prévention efficaces existent. J’y reviendrai ultérieurement.

Vous n’ignorez pas que les substances injectées, dénommées vaccins, sont expérimentales (cf. le produit de Pfizer qui est en essai de phase 3 jusqu’en janvier 2023). Par conséquent, leur injection est contraire à la loi, si l’on se réfère à la Convention d’Oviedo, à la déclaration d’Helsinki et au Code de Nuremberg. Ce sont des traitements expérimentaux administrés en l’absence de consentement libre et éclairé de la part des personnes injectées. En effet, la majorité des sujets injectés ignore la composition de la soupe « vaccinale ». Plusieurs scientifiques dont le Docteur R. Young, ont mis en évidence dans le « vaccin » de Pfizer, de l’oxyde de graphène, des particules de Trypanosoma cruzi responsable du SIDA et de nombreuses nano particules de divers métaux. Dans le produit d’Astra Zeneca, outre l’oxyde de graphène, les scientifiques ont décelé des particules d’acier inoxydable, du poly-éthylène-glycol (PEG) et de l’alcool éthylénique, substances cancérigènes.

Les pseudo-vaccins actuels n’empêchent ni de contracter la maladie, ni de faire des formes graves, ni de la transmettre, contrairement à ce qui est affirmé en boucle par les médias officiels. Vous avez comme exemples flagrants les pays champions de la vaccination » : Israël, la Grande Bretagne, l’Islande, Singapour ou encore Hong Kong.

Par ailleurs, plusieurs agences sanitaires dénoncent l’immunité collective obtenue par la « vaccination » et qui n’est qu’un mythe. Selon ces agences et plusieurs épidémiologistes, « obtenir l’immunité collective par la vaccination générale est hors d’atteinte ». D’ailleurs, il est à présent bien prouvé que l’immunité obtenue naturellement est nettement supérieure à celle donnée par la « vaccination ».

Ces traitements expérimentaux, qualifiés à tort de vaccin, représentent un danger réel en raison de leur composition, non seulement pour les adultes, mais aussi pour les enfants et les adolescents. Vous trouverez tous les chiffres des décès et des effets secondaires graves liés aux pseudo-vaccins sur les sites officiels du VAERS aux Etats-Unis et d’Eudravigilance pour l’Europe. À titre d’illustration, à la date du 10 septembre 2021, le VAERS a enregistré 14 925 décès sur plus de 3,1 millions d’accidents graves secondaires à l’injection. Il y a également eu 1 614 décès fœtaux chez les femmes ayant reçu un « vaccin » anti-covid, alors qu’aucun décès fœtal n’a été déploré en 2021 chez les femmes enceintes ayant reçu un vaccin anti-grippal.

Pourquoi alors continue t’on de recommander aux femmes enceintes de se faire injecter avec cette thérapie génique ? Pourquoi le déni des traitements peu coûteux dont l’Ivermectine, ayant prouvé leur efficacité sur de larges tranches de la population dans différents pays ? Ainsi, à titre d’exemple pour l’Ivermectine, voici quelques chiffres :

  • ce jour, il y a eu 31 essais contrôlés randomisés. Tous ont établi que l’ivermectine réduisait considérablement les taux de mortalité et d’hospitalisation, ainsi que le risque de contracter le covid. En Inde, dans l’Uttar Pradesh, avec une population de 241 millions d’habitants, au 10 septembre 2021, seulement 11 cas ont été enregistrés et pas un décès. Une réussite similaire fut notée en Indonésie après que le gouvernement ait autorisé en juillet 2021 l’usage du médicament, alors que le variant delta faisait des ravages. Mêmes réussites au Mexique et au Pérou.

Avec de telles preuves qui sont, je le répète, vérifiables, pourquoi ce type de traitement (et il en existe d’autres) n’est-il pas conseillé en France alors qu’il est inoffensif, pourquoi ne parle t’on en boucle que du pseudo-vaccin ? La réponse à cette question est simple : si l’on admettait l’existence de remèdes efficaces, l’AMM temporaire serait annulée et les injections géniques perdraient toute leur raison d’être. Je vous laisse tirer vos propres conclusions.

Pourquoi envisage-t-on d’injecter les enfants et les adolescents alors qu’ils ne constituent pas un facteur réel de transmission du virus (cf. des études de l’INSERM, notamment à propos de l’enfant des Contamines). Par conséquent, les enfants sains ne peuvent espérer aucun bénéfice personnel des injections, alors qu’en revanche ils ne sont pas à l’abri d’effets secondaires graves. Pourtant certains « experts », niant les faits établis, prétendent que la « vaccination » des enfants serait utile pour contrôler le covid et protéger leurs ainés. Alors qu’il n’en est rien.

Au total, et il est fondamental de le souligner, les pseudo vaccins de Pfizer, Astra Zeneca, Moderna et Janssen sont des agrégats complexes de nano particules d’oxyde de graphène, composés de divers nano éléments fixés à des acides nucléiques génétiquement modifiés d’ARNm, provenant de cellules animales et de cellules fœtales avortées. Ces ingrédients sont hautement magnéto-toxiques, cytotoxiques et génotoxiques pour les membranes cellulaires des plantes, des insectes, des oiseaux, des animaux et des humains, ainsi que pour leur génétique. Ceci a déjà entrainé de graves accidents (estimés à plus de 500 millions de par le monde) et / ou la mort (estimée à plus de 35 millions).

En conclusion, il faut rejeter toute obligation « vaccinale » pour quelque raison que ce soit, en particulier chez les enfants, dont on ignore toutes les répercussions à moyen terme et a fortiori à long terme.

En revanche, il faut préconiser la stimulation des défenses immunitaires naturelles et des actions préventives, en plus des gestes barrières.

Pourquoi n’en parle-t-on jamais sur les médias officiels, pourquoi ne voit-on pas sur les plateaux télé officiels les scientifiques de haut niveau (et ils sont nombreux) pouvant prendre le contre-pied de ceux qui s’y retrouvent invariablement et qui n’ont d’autre discours que celui de la « vaccination » ?

[Note de Joseph Stroberg : parce que le but réel de cette campagne prétendument « vaccinale » n’est pas la protection contre une maladie dénommée bizarrement « Covid-19 » et dont les symptômes ont été définis de manière suffisamment large pour englober différentes causes autres qu’un virus SRAS-CoV-2 qui n’a par ailleurs jamais été physiquement et réellement isolé (voir ici, ici, ici et ici).
Le but réel est plutôt exposé dans les articles suivants :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
et
Obsession vaccinale et transhumanisme
Ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd nous met en garde contre les vaccins à ARNm anti-ADN Covid-19 qui nous rendront transhumains
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm.]

Probablement, pour un certain nombre d’entre vous, Mesdames et Messieurs, je vais être qualifié de « complotiste ». Que cela ne tienne, j’en serai honoré.

Mais pour les autres qui ne se voilent plus la face, je les laisse libres de leurs réflexions et des conclusions qu’ils en tireront en toute honnêteté.

Recevez, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la Santé, Mesdames et Messieurs les Députés et Sénateurs, l’expression de ma respectueuse considération.

Docteur Hervé STAUB




Le futur confinement du changement climatique

[Source : theepochtimes.com]

[Photo : John Kerry, l’envoyé spécial du président des États-Unis pour le climat, prend la parole lors d’une conférence de presse à Séoul, en Corée du Sud, le 18 avril 2021. (Ambassade des États-Unis à Séoul via Getty Images)]

Par BILL TUFTS

On nous annonce déjà que le changement climatique risque d’amener une nouvelle crise sanitaire majeure. Comme l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a été si impitoyable sur la question du Covid-19, on pourrait envisager que, peut-être, on lui confiera la gestion de la question du climat.

La brigade d’élites mondialistes, soutenue pas le Forum économique mondial de Davos, les Nations unies et autres organisations du « wokisme » voient une belle occasion de créer la même hystérie et la même panique autour du changement climatique qu’autour du Covid-19.

L’une des sources d’inspiration de nombreux militants du climat est une importante baisse des émissions de dioxyde de carbone (CO2) qui a eu lieu lorsque le confinement du Covid-19 a été mis en place. Les alarmistes du changement climatique considèrent les émissions de CO2 comme un événement apocalyptique qui est en passe de détruire le monde au cours de la prochaine décennie. Ainsi, ils se sentent justifiés de prendre toutes les mesures possibles pour contrôler ce changement.

Cependant, la raison de la baisse des émissions à la suite du confinement du Covid-19 provient de l’énorme dévastation causée par l’arrêt de l’économie. Au Canada, la chute du PIB a été de 18 % seulement au cours des deux premiers mois du confinement au début de 2020.

Le Forum économique mondial a indiqué que le confinement avait entraîné une baisse des émissions mondiales estimée à 8 % en concluant que c’était un bon pas vers la réalisation des objectifs de l’accord de Paris sur le climat : « Nous devons réaliser une telle baisse chaque année au cours des 15 prochaines années pour atteindre l’objectif de 1,5 °C fixé par l’accord de Paris. »

Une partie de la dévastation économique créée par le confinement se manifestait en une importante réduction du déplacement par automobile et les transports publics. Comme les gens travaillaient à la maison et ne se rendaient pas au lieu habituel de leur travail, ils utilisaient beaucoup moins ces moyens de transport, ce qui a permis de réduire considérablement les émissions. Dans de grandes villes comme, par exemple, Calgary, les taux d’inoccupation des immeubles de bureaux dans les centres-villes étaient à des niveaux jamais vus depuis la Grande Dépression des années 1930.

Aujourd’hui, les alarmistes du changement climatique se dirigent vers une nouvelle conférence dans le cadre de l’accord de Paris – la COP26 qui se tiendra à Glasgow, en Écosse, à partir du 31 octobre. Elle réunira 30 000 personnes venues du monde entier – elles consommeront une quantité monstrueuse de carbone et émettront d’énormes quantités de CO2 pour s’y rendre. Les élites des gouvernements, de la finance et des sociétés mondialistes seront présentes pour expliquer que les personnes ne participant à leur conférence devront réduire considérablement leur utilisation de combustibles fossiles et leur consommation d’énergie. Ils diront au monde qu’il a besoin de réductions annuelles d’émissions, l’équivalent de ce que nous avons vu pendant le confinement du Covid-19.

Toutefois, il est intéressant de noter que les mesures prévues par l’accord de Paris ciblent surtout les pays occidentaux, tandis que la Chine – le principal pollueur mondial – pourra continuer d’accroître ses émissions et stimuler son développement en augmentant la production d’énergies fossiles bon marché jusqu’au moins 2030. Il est aussi intéressant de constater que les 30 000 personnes présentes à Glasgow seront exemptées des exigences prévues par le passeport vaccinal.

Certaines organisations climatiques nous proposent des stratégies et des tactiques qu’elles comparent à celles des temps de guerre. Comme dans une guerre, toutes les actions drastiques nécessaires pour gagner seront envisagées. Un bon nombre de ces recommandations ont déjà été formulées par le Forum économique mondial au cours des dernières années. Elles incluent, par exemple, l’arrêt de la consommation de viande, en affirmant que les flatulences des vaches détruisent le monde. Et les mesures qu’ils ont prises ont déjà fait grimper les prix des produits carnés dans certains pays.

Pour combattre le Covid-19, des lois accordant aux autorités des pouvoirs spéciaux similaires à ceux octroyés sous menace de guerre ont été mises en place dans de nombreux pays. Les croisés du changement climatique nous disent que nous avons besoin de mesures fortes et similaires à celles du Covid-19 pour mener une nouvelle guerre. Au Canada, l’ancienne Loi sur les mesures de guerre a déjà changé de nom pour devenir la Loi sur les mesures d’urgence et elle pourrait maintenant être renommée en la Loi sur les mesures relatives au changement climatique. Une telle loi permettra aux bureaucrates et aux grandes sociétés de mettre en place des mesures et des contrôles similaires à ceux que nous avons vus par rapport au Covid-19.

Michelle Stirling, directrice de la Friends of Science Society, a fait des recherches sur certains projets de guerre contre le changement climatique qui comprennent des mesures telles que la limitation des rassemblements et des voyages. Nous avons déjà vu des cas de prêtres envoyés en prison pour avoir tenu des services religieux et la fermeture de nombreux lieux de travail, ce qui obligeait les employés à travailler à domicile. Le télétravail fait partie des projets : les employés restent chez eux et n’ont pas besoin d’utiliser les moyens de transport pour se rendre au bureau. Bien sûr, il y aura des couvre-feux pour les voitures limitant les heures d’utilisation ou le nombre de kilomètres que vous pourrez parcourir chaque mois. Pour ceux qui ne font pas partie de la classe privilégiée, les voyages aériens internationaux seront également limités. À cause de la pandémie du Covid, les voyages aériens internationaux ont chuté de 60 % en 2020. C’est une tendance que les guerriers du changement climatique voudraient bien maintenir.

Une version du passeport vaccinal pourrait être un nouvel outil dans la lutte contre le changement climatique. Utilisé dans ce but, il permettrait de suivre constamment la consommation d’énergie des citoyens du monde. Autre nouveauté : les pays développés envisagent de créer des monnaies numériques mondiales qui permettront de suivre les transactions des gens et de les mesurer en fonction de leur empreinte carbone. MasterCard a déjà contribué au développement d’une carte de crédit spéciale, appelée DO Black. Elle permet de gérer vos dépenses en tenant compte de leur impact sur les émissions de carbone. Lorsque votre limite personnelle est atteinte, le crédit se ferme pour toute autre transaction.

Lorsque la COP26 arrivera à sa fin, il sera intéressant de voir combien d’actions seront prises et recommandées par les élites lors de cette conférence. Bien entendu, en tant que généraux dans la guerre contre le changement climatique, elles seront exemptées de toute mesure imposée à la population. En tenant compte de ce qui se passe actuellement en Chine avec le crédit social – un système de surveillance totale des citoyens qui leur attribue des notes continuellement mises à jour selon leur « conduite » – les nouvelles règles proposées à la COP26 pourraient ressembler à un système de crédit social lié au changement climatique. Un rapport de la Deutsche Bank a déjà suggéré qu’une « éco-dictature » devrait être nécessaire pour mettre en application les mesures à prendre – probablement sous le contrôle strict des élites, des Nations unies et des politiciens « woke ».

Entretemps, les élites ont créé l’hystérie de masse et on nous dit que tout cela va se terminer dans une boule de feu apocalyptique de changement climatique…

[À propos de l’auteur]

Bill Tufts est un commentateur politique canadien. Il est le fondateur de Fair Pensions For All, un groupe de plaidoyer qui se concentre sur les questions de retraite et de rémunération dans le secteur public, et il est l’auteur du livre Pension Ponzi.




Gigantesque recrutement à l’échelle mondiale ? Sommes-nous en train de subir des tests d’embauche ?

Par Alain Tortosa

Tout être pensant sait qu’il n’y a pas eu de crise sanitaire.
Les statistiques INSEE prouvent que le nombre de décès est totalement classique.

De plus dans une crise sanitaire :

  • On n’investit pas des milliards pour contrôler les populations.
  • On investit les milliards dans la recherche, la prévention et l’hôpital.
  • On n’empêche pas les médecins de prescrire.
  • On n’interdit pas la vente de molécules inoffensives qui, au pire, ne fonctionnent pas.
  • On ne fait pas tout pour massacrer les défenses immunitaires des citoyens.
  • On ne commercialise pas un pseudo vaccin qui cible la protéine spike du sars-cov-2 qui est un virus ARN dont le métier est de muter et dont la spike est la plus à même de muter.

Mais surtout :

  • On stoppe les injections dès l’émergence des preuves de leur inefficacité et de leur dangerosité.
  • On ne se met pas à injecter en masse des enfants de plus en plus jeunes au péril de leur vie.

Bref nous savons qu’il n’y a pas de pandémie et nous savons que l’intention est de nuire.
En revanche, même si j’ai des indices, je ne sais pas pourquoi…

Il serait une erreur de désigner LE coupable, car dans l’affaire il est probable, pour ne pas dire certain, que des alliances de circonstance « contre nature » aient vu le jour :

  • Les « satanistes ».
  • Les fervents de la diminution de la population mondiale.
  • Les fervents de l’importation de la dictature chinoise et du contrôle des populations.
  • Les fervents de l’ultralibéralisme, du fric pour du fric.
  • Etc.

Ils ont tous des intérêts et il serait de fait logique qu’ils travaillent temporairement main dans la main.

Je me pose néanmoins la question suivante.
La stratégie mise en œuvre cible principalement les populations des pays riches, pourquoi ?

La thèse de l’extermination de la population par un virus expérimental

Échec

Cette thèse présente l’avantage de cibler tout le monde, pays riches et pays pauvres.
Répandu volontairement ou accidentellement ? Les preuves manquent.
Si ce virus a été mis au point pour tuer, le résultat est très décevant et même un échec cuisant !
Ils ont fabriqué au final un « tueur » moins méchant que la grippe saisonnière.
Pour valider la thèse du virus exterminateur d’une partie non négligeable de la population, il faut aussi partir du principe que ces pourritures disposaient d’un VRAI vaccin (qui n’a pas été commercialisé).

[Note de Joseph Stroberg :
L’Event 201 prévoyait la mort de 65 millions d’individus dans leur simulation préalable à la pandémie. Cela n’a pas fonctionné comme prévu, car les virus ne sont probablement pas du tout ce que la plupart des virologues et autres experts ont cru toute leur vie sur la base de leur formation universitaire. Si un virus à ARN est en fait créé par la cellule pour expulser sous forme de déchet un brin d’ARN qui a fini son travail, alors modifier génétiquement un tel virus revient à modifier un déchet pour le réintroduire dans l’organisme, un peu comme si nous modifions chimiquement notre urine avant de la reboire. Au mieux, ça n’aurait pas bon goût et pourrait être plus ou moins nocif pour notre santé. Au pire, ça deviendrait un poison non naturel même si on y ajoutait une saveur de fraise. L’élément particulièrement dommageable dans leur tentative de réinjection du déchet (qu’eux pensaient être un méchant virus capable de se répliquer à l’intérieur d’une cellule) est la protéine spike que la chaîne d’ARN encapsulée parvient apparemment à commander au corps de produire, au moins chez certaines personnes et qui tend en particulier à se relier aux récepteurs ACE2 et à provoquer ainsi de sales dommages aux tissus cellulaires.

Lorsque les virologues croient isoler un virus, ils commencent en fait par chercher à en produire en quantité suffisante en les cultivant à partir d’un tissu biologique supposé infecté dans une soupe contenant des cellules de singe vero (ou quelque chose d’équivalent) et divers produits chimiques dont des antibiotiques pour tuer les bactéries. Ils observent alors la production par les cellules de ces supposés virus fils qui selon eux proviendrait de la multiplication du virus infectant initial. Pourtant, avant cette tentative de multiplication virale dans l’espoir de pouvoir observer ensuite en quantité suffisante celui qui est ciblé, ils n’en trouvaient généralement pas suffisamment d’exemplaires sur le matériel infecté, alors qu’un malade de maladie virale est supposé en être envahi.

L’explication alternative beaucoup plus logique est la suivante : la préparation effectuée pour prétendument permettre la multiplication du virus tend en fait à tuer rapidement les cellules du tissu biologique et lors de leur mort, elles se désagrègent progressivement en produisant de nombreux brins d’ADN et d’ARN qu’elles expulsent au départ avec une enveloppe lipidique sous forme d’exosome ou de virus.
Les cellules meurent pour les deux raisons suivantes :
– elles sont empoisonnées par les substances introduites dans la préparation ;
– elles ne sont plus alimentées par le corps en nutriments, puisqu’elles en sont désormais séparées.
Les millions de cellules du tissu supposément infecté produisent chacune un certain nombre de déchets viraux provenant des brins d’ADN endommagés et des brins d’ARN divers participants à la vie cellulaire, ceci jusqu’à ce que la cellule finisse par mourir.

Dans une telle préparation, au lieu de multiplier un prétendu virus infectant, on créée en fait des millions de virus à ARN et d’autres à ADN différents en multiples exemplaires.

Ensuite, les virologues prennent cette soupe résultante et la passent à la centrifugeuse dans le but de séparer les couches de déchets génétiques selon leur densité et donc selon leur taille supposée. Ils isolent celle correspondant supposément au virus infectant qui selon eux doit avoir une composition génétique spécifique, une chaîne de nucléotides particulière. Parmi les millions de déchets viraux, ils auront en général d’assez fortes chances d’en trouver de très proches du matériel génétique ciblé.

Enfin, ils effectuent le « séquençage » génétique du matériel biologique récupéré dans la couche isolée et qui contient un grand nombre de bouts d’ARN et d’ADN. Ceci est la reconstitution logicielle d’un puzzle pour tenter de reconstituer la chaîne génétique intégrale du virus recherché. Ce faisant, ils doivent se baser sur le modèle génétique (également supposé) de ce dernier. Mais dans la pratique, il manque toujours des zones non remplies et d’autres qui ne cadrent pas sont éliminées. Le virus n’est quasiment jamais reconstitué ainsi à 100 %.

(Voir notamment : Déclaration sur l’isolement des virus)

Pour un scientifique pur tel qu’un physicien, cet ensemble d’opérations ne prouve rien, mais relève de « bullshit » (foutaise, conneries), d’escroquerie intellectuelle, ceci d’autant plus qu’elles sont accompagnées d’un grand nombre de suppositions qui n’ont finalement jamais été réellement démontrées dans selon une méthode scientifique rigoureuse qui doit inclure obligatoirement des contre-expériences. À aucun moment le supposé virus n’a réellement été isolé en entier et observé simultanément au microscope électronique. Changez le modèle viral recherché et dans toute la soupe génétique récupérée par l’opération, il y a de fortes chances que vous le trouviez aussi, surtout avec une méthode d’amplification telle que celle utilisée pour les tests PCR qui introduisent potentiellement des erreurs lors de chaque cycle d’amplification.

Pour finir, le virologue Stefan Lanka a gagné un procès en cours suprême d’Allemagne pour démontrer la non-existence du virus de la rougeole. Pour ce faire, il a réalisé une contre-expérience à celle supposée démontrer la présence de virus dans la préparation partant d’un tissu supposément infecté par la rougeole. Il a fait la même chose dans une préparation parallèle, mais avec un tissu sain supposément non infecté. Eh bien celui-ci a produit les mêmes virus (déchets) que l’autre, car les conditions de mort cellulaires sont les mêmes dans les deux préparations : empoisonnement chimique et absence de nutriment. Les « virus » se sont multipliés pareillement dans les deux alors que dans l’une il n’y avait pas de virus de rougeole présent.

(Voir notamment Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
et Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
avec les liens inclus)

Pour résumer : le virus trafiqué génétiquement a été mis au point pour tuer massivement, mais comme les virus ne sont pas ce que les virologues croient, ça n’a pas donné les résultats escomptés.

Qu’à cela ne tienne, les vaccins prennent le relais.
Les poisons sont cette fois directement injectés dans le corps.]

Cet échec aurait pu inciter à changer de plan et se focaliser finalement sur les « vaccins ».

La thèse de l’extermination massive de la population par l’injection

Échec

Si vous voulez exterminer une partie de la population mondiale pourquoi ne pas cibler principalement les Africains ou les Indiens ? (Les Chinois ce n’est pas possible, c’est leur dictature qui gère.)
Ces populations sont bien des « inutiles » pour reprendre le vocabulaire de ce cher Dr Alexandre.

[Note de Joseph Stroberg :
Pour ne pas être accusés d’extermination, les commanditaires et les agents de la procédure doivent éviter que ce soit trop visible. En conséquence, le génocide doit être lent, rendre stérile une partie de la population, et cibler en priorité les nations « éduquées » et « informées » pour s’occuper tranquillement ensuite, sans plus aucun gêneur, des nations « arriérées ».]

De plus, d’un point de vue capitalistique, les pauvres produisent et les classes moyennes consomment.
Les richesses colossales acquises par les entreprises tentaculaires le sont par la surconsommation des classes moyennes de biens produits par les pauvres.
Tuer la classe moyenne revient à tuer le consommateur sans tuer le producteur (les pauvres) et donc la poule aux œufs d’or.
En plus, les occidentaux ne se reproduisent plus alors que plus vous êtes pauvre et plus vous faites d’enfants, ce n’est donc pas logique si vous voulez lutter contre la surpopulation.
J’ai toujours dit que si vous vouliez diminuer la population mondiale, il suffit de donner un capital, un crédit et une voiture à tous les pauvres et ils cesseront de faire des enfants ou la grève.

[Note de Joseph Stroberg : les ressources minérales et énergétiques sont insuffisantes pour généraliser le mode de vie occidental à l’ensemble de la planète.]

Je ne suis donc pas séduit par la stratégie de l’injection de masse pour supprimer la majeure partie de la population occidentale mondiale.
J’aurais personnellement commencé par tuer un milliard d’Africains et d’Asiatiques avant de me retourner vers les classes moyennes occidentales.
J’aurais donc plus tendance à penser que les morts provoquées par les injections seraient plus une cerise sur le cadeau, un lot de consolation pour les exterminateurs, un bénéfice secondaire non quantifié… qu’un plan mûrement réfléchi. Les injections ne tuent pas (encore ?) assez et pas assez vite…

[Note de Joseph Stroberg :
La grande majorité des êtres humains, lorsqu’ils combattent, tendent à rechercher et viser le point faible de l’adversaire.
Les élites mondiales qui relèvent de pensée satanique visent au contraire le point fort. Lorsque la tête tombe, le corps ne survit pas longtemps. Alors qu’avec l’approche du point faible, l’adversaire peut encore résister. On peut continuer à combattre même avec un bras en moins.
(De manière allégorique).]

La thèse de l’injection purement capitalistique

Succès

Dans ce cas, « vacciner » des riches et non des pauvres a un sens.
Produire des injections inefficaces et qui plus est, favorisant des variants, a aussi un sens.
Cela expliquerait sans doute pourquoi les injections mises à jour ne sont pas présentes sur le marché.
Économies, attente de variants et on ne sortira les mises à jour que lorsqu’il ne sera plus possible de camoufler la totale inefficacité des injections.
Et avec un peu de chance, un nouveau variant un peu méchant arrivera, ce qui permettra de bien relancer le marché des « vaccins ».
Bien entendu il y aurait le risque de faire émerger un variant vraiment mortel, mais ça, l’industrie n’en a que faire. On peut bien prendre le risque de détruire l’espèce humaine si on peut en tirer 50 dollars.

Cette thèse présente néanmoins des contradictions.
Si le nombre de 80 % de vaccinés en France est réel, pourquoi s’acharner à vouloir vacciner les 20 % restants au lieu de se focaliser sur les 3e, 4e… 10e dose qui sont des rentes à vie ?
Vacciner dès la naissance, ça c’est bien, même si quelques enfants meurent on s’en tape…
Mais pourquoi se focaliser sur les irréductibles alors même qu’ils sont irréductibles et qu’ils pourraient finir par vraiment se fâcher ?
Ou alors c’est encore une fois l’appât du gain… j’ai 80 % du marché, j’aurai les 100 % !

[Note de Joseph : Bill Gates veut vacciner 7 milliards d’êtres humains et non pas 7,5 ni 8 milliards que l’Humanité est en passe d’atteindre. Et c’est lui qui est derrière toute cette plandémie par le biais notamment de l’OMS dont il est le principal donateur privé et de la GAVI qu’il contrôle aussi, sachant qu’il a aussi financé la plupart des fabricants de vaccins à ARN ou à adénovirus. Son but n’est pas l’extermination de l’Humanité, mais son contrôle (son asservissement), même si cela doit passer par l’extermination d’une partie de cette humanité.]

Le crédit social

Succès

Quand bien même l’objectif initial eut été d’éliminer une partie non négligeable de la population, l’opération est un succès sans précédent du point de vue de son contrôle.

Dans la vie, il y a souvent des galères, mais parfois de très bonnes surprises.
Qui aurait pu croire qu’il était si facile de se foutre de la gueule des gens et leur faire gober n’importe quoi ?
Au point qu’ils acceptent TOUT, sans limites !

  • Se confiner ? No problem.
  • Porter une muselière et la mettre à ses enfants ? No problem.
  • S’injecter des substances expérimentales dangereuses ? No problem.
  • Présenter un passeport vaccinal pour se rendre au cinéma ? No problem.

Si la dictature sanitaire était une mise en bouche pour la dictature climatique alors c’est un succès total.
Nous savons désormais qu’il suffit de faire croire en une menace mortelle imaginaire pour obtenir une obéissance sans limites.
Il y en a qui vont prendre leur pied et bien se marrer en nous regardant avec la nouvelle dictature climatique.
Dictature qui présente l’avantage d’être sans fin pour « sauver la planète » avec le concours d’une autiste au QI d’un singe qu’on exhibe comme au cirque et à qui l’on donne le prix Nobel sous les applaudissements des moutons terrorisés.

[Note de Joseph : Prise de conscience et autisme.]

Une campagne de recrutement à l’échelle mondiale ?

Pas impossible

Et si cette campagne de « vaccination » ciblée principalement dans les pays riches n’était qu’une campagne de recrutement ? Un test d’embauche ?
Des centaines de millions de personnes sont ainsi pucées. Pour l’instant avec leur smartphone, peut-être avec un système d’identification qui serait dans l’injection, mais qu’importe…
Et si les confinements, les masques, les injections, les pass sanitaires n’étaient que des épreuves de sélection ?
Avec ces tests à grande échelle, la dictature mondiale est en capacité de différencier précisément ceux qui acceptent tout et ceux qui refusent, ceux qui gobent et ceux qui réfléchissent !
Je ne doute pas que parmi ces maîtres du monde il y a de grands tarés qui ont des visions plus sataniques que chrétiennes.
Mais il y a aussi certainement des personnes sincères qui ont peur de la surpopulation, de l’évolution de la planète, de la destruction des écosystèmes, etc.

Les plus pessimistes (réalistes ?) d’entre nous pensent que les résistants termineront leur vie dans des camps et qu’ils seront exterminés petit à petit… On est idéaliste ou on ne l’est pas (sourire).

Mais si c’était le contraire ?
Et si nous étions en train de vivre une campagne de recrutement ?
Nous serions alors les recrutés sur des critères de volonté, d’indépendance, de réflexion, d’esprit critique, de curiosité, et donc d’intelligence instinctive.
Ceci pourrait aussi expliquer pourquoi l’Afrique n’est pas dans le plan, nous les Occidentaux étant si « supérieurs ».

Parce que si l’on se ramène au modèle des tarés qui veulent des surhommes, pensez-vous qu’ils vont les sélectionner parmi les moutons hypnotisés qui ont dit oui à tout ou parmi nous ?

[Note de Joseph Stroberg : pour l’instant, ceux qui mènent le jeu sont dans le camp génocidaire et de recherche de contrôle par coercition de Bill Gates. Eux ne recrutent que parmi les gens de leur caste et même de leur lignée sanguine. Si parmi le peuple certains les rejoignent à un relativement haut niveau, ce n’est alors qu’en tant que subalternes et parce qu’ils auront pu les contrôler d’une manière ou d’une autre. Le président actuel de l’OMS, un Africain, est là pour démontrer qu’ils ne s’occupent pas de la provenance, mettant tout le monde externe à leur caste dans le même paquet. Une condition presque indispensable pour travailler avec eux est d’être psychopathe.

S’il y a sélection d’êtres humains à l’échelle de l’Humanité, elle est d’un autre ordre, plus élevé.
Voir : L’épée, le bon grain et l’ivraie.]

Parce que je vous rappelle que tous les « grands » de ce monde n’ont respecté aucun confinement, qu’ils ne portaient pas de masque et ne les portent que devant les caméras. Qu’ils ne respectent les gestes barrières que face aux gueux, qu’ils ont fait semblant de s’injecter et ont des faux pass sanitaires !
Mis à part les faux pass (qui sont certainement légion dans le milieu médical), nous avons fait comme eux.
Ils sont libres et nous aussi !

Réfléchissez avant de jeter aux oubliettes ma théorie.
Nous sommes peut-être dans une campagne de recrutement et c’est nous qui serons embauchés dans ce nouveau monde.
(Ne me faites pas dire que nous allons accepter et ne pas leur cracher à la gueule.)
Là aussi, il y aurait prise de risque de leur part, car si nous n’adhérons pas à leur projet, nous serons debout pour décider du monde que nous voulons et il n’est pas dit qu’ils soient de la partie.

Merci.

Alain Tortosa.

29 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211029-dictarure-mondiale-cherche-cadres.pdf




Pourquoi faire croire à une efficacité à 90 % des pseudovaccins ? Énorme fake à visée parlementaire ?

Par Gérard Delépine

Pourquoi faire croire à une efficacité à 90 % des pseudovaccins ?
Énorme fake à visée parlementaire ?
Epiphare(([1] « Créé fin 2018 par l’ANSM et la Cnam, EPI-PHARE réalise, pilote et coordonne des études de pharmaco-épidémiologie à partir des données complexes et massives du Système National des Données de Santé (SNDS), pour éclairer les pouvoirs publics dans leur prise de décision. » GIS EPI-PHARE )) et O. Véran

Nos gouvernants se plaignent du manque de confiance de la population dans leurs propos, accusent les réseaux sociaux et viennent de créer le ministère de la Vérité conseillé par Orwell (via la commission Bronner) pour tous les apprentis dictateurs. Mais pour mériter notre confiance, il faudrait qu’ils arrêtent de mentir et l’intervention récente de O. Véran, le ministre de la Santé, montre qu’ils n’en prennent pas le chemin.

Aujourd’hui la propagande pour les pseudos vaccins expérimentaux s’appuie sur une désinformation clamant sur tous les médias et même au Parlement : « les vaccins sont efficaces à 90 % contre les formes graves de Covid », « les personnes vaccinées ont 9 fois moins de risque d’être hospitalisées ou de décéder de la Covid-19 que les personnes non vaccinées » en s’appuyant sur un texte d’Epi-phare(([2] Une étude chez 15,4 millions de personnes âgées de 50 à 74 ans (7,7 millions vaccinées comparées à 7,7 millions non vaccinées) l’autre chez 7,2 millions de personnes âgées de 75 ans et plus (3,6 millions vaccinées comparées à 3,6 millions non vaccinées). Les deux cohortes ont été suivies jusqu’au 20 juillet 2021.)) aussi biaisée que le célèbre article du LancetGate affirmant que la chloroquine était très toxique.

Les études Epiphare, auto-validation truquée de la politique du ministère(([3] P Chaillot, V. Pavan, Xavier Azalbert. Epi-phare, une étude d’auto-validation du ministre de la Santé. France Soir 12/10/2021
https://www.francesoir.fr/societe-sante/epi-phare-une-etude-dauto-validation-du-ministre-de-la-sante))(([4] EPIPHARE/DES QUESTIONS A POSER SUR LA FAMEUSE ÉTUDE DE VÉRAN QUI JUSTIFIE VÉRAN
https://pgibertie.com/2021/10/11/epiphare-des-questions-a-poser-sur-la-fameuse-etude-de-veran-qui-justifie-veran/))(([5] https://nice-provence.info/2021/10/19/etude-epi-phare-autoratification-veran/))

Les auteurs de l’étude dont Mahmoud Zureik, directeur de la structure Epi-Phare dépendent des responsables de la campagne de vaccination (Assurance maladie et l’Agence du médicament).

La méthode des « études » Epiphare ne respecte pas les critères scientifiques.

Les données utilisées ne sont pas fiables. Les auteurs de l’étude n’ont ni suivi ni examiné aucun des sujets de l’étude, mais seulement compilé des déclarations du Système National des Données de Santé qui ne sont pas conçues pour ce type d’étude.

Il ne s’agit pas d’études prospectives, mais rétrospectives qui créent a posteriori des groupes vaccinés/non-vaccinés.

L’absence de tirage au sort (indispensable pour obtenir deux groupes comparables) aboutit à créer des groupes non comparables en attribuant (si besoin ?) les malades mauvais pronostic aux groupes non vaccinés. De fait, dans l’étude Epiphare, sur les plus de 75 ans, on remarque que les non-vaccinés sont beaucoup plus fréquemment en situation de grande pauvreté, obèses, diabétiques, fragiles, alcooliques, et/ou fumeurs tous facteurs de mauvais pronostiques démontrés. Les groupes comparés dans cette étude ne sont donc effectivement pas comparables !

Cette étude n’a pas été déclarée ni enregistrée sur le site clinical trials.gov avant inclusion des patients, ce qui devrait lui interdire d’être publiée dans les revues médicales les plus sérieuses. Ce n’est d’ailleurs manifestement pas son ambition.

Les non-vaccinés sont bien plus souvent testés que les vaccinés (du fait de l’absence de passe sanitaire qui les oblige à répéter les tests à chaque tentative de sortie). Ainsi, un non-vacciné a beaucoup plus de chance d’avoir un test positif (majoritairement faux, s’il n’a aucun signe clinique) qu’un vacciné qui n’est testé qu’en cas de maladie symptomatique déclarée.

Tester massivement les non-vaccinés qui ne sont pas malades va nécessairement entraîner des comptages de faux positifs qui les feront compter « asymptomatiques » augmentant ainsi faussement le risque de contamination apparente d’un non-vacciné.

De plus, dans une critique précédente sur les statistiques de la DREES, il a été démontré que les non-vaccinés sont beaucoup plus souvent inscrits à l’hôpital dans la case Covid-19 que les vaccinés, même en l’absence de test positif de confirmation. L’étude Epiphare se base sur 26 000 hospitalisés entre le 11 février 2021 et le 20 juillet 2021 pour cause de Covid. Au cours de cette même période, Geodes en signale huit fois plus pour les catégories concernées : 80 % des hospitalisations Covid ont disparu…

Ces pseudo études affirment des choses numériquement impossibles 

L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,2 

Ils auraient inventé un million d’habitants…

Dans l’étude des 50 à 74 ans, les auteurs prétendent avoir comparé 7,7 millions de vaccinés à 7,7 millions de non-vaccinés. Or l’Insee estime à 20 495 198 le nombre de personnes de 50 à 74 ans et le ministère affirme que 16 302 772 d’entre elles étaient vaccinées(([6] D’après le ministère en juillet 2021 date de fin de l’étude)) ne laissant que 4,192 millions non vaccinés dans cette tranche d’âge. Comment Mahmoud Zureik a-t-il pu en trouver 7,7 millions ?

Concernant l’étude des 75 ans et plus, les auteurs prétendent suivre une cohorte de 3,6 millions de vaccinés et une cohorte de 3,6 millions de non-vaccinés en France, représentant 7,2 millions de personnes. Ce qui est contraire aux chiffres de l’Insee qui estime la population de plus de 75 ans à 6,4 millions de personnes.

Il y aurait donc 1,1 million de Français comptés 2 fois. Ce double comptage illogique crée un biais majeur dans les durées de suivi des deux groupes.

Ces articles proclament seulement que les vaccinés ont 90 % moins de chance d’être déclarés malades de la Covid-19 ou déclarés décédés de la Covid-19. Rien ne démontre que les vaccinés sont réellement moins hospitalisés (80 % des hospitalisations de la période n’ont pas été prises en compte) ou moins décédés que les non-vaccinés, d’autant que les considérables erreurs relevées ci-dessus sèment le doute sur la crédibilité des études Epiphare.

PROPAGANDE GROSSIÈRE

Méthodologie peu scientifique, auteurs liés aux responsables de la vaccination, critères de comparaison non pertinents, ces études n’ont pas été revues par des pairs…. Il s’agit d’un simple argument de propagande de circonstances, sans aucune valeur scientifique, destiné à tromper les parlementaires avant un vote important et la population.

SI ON VOULAIT CONNAÎTRE LA RÉALITÉ

Si le ministère voulait comparer le devenir des vaccinés et des non vaccinés, il pourrait très facilement publier les chiffres bruts de mortalité globale de ces deux groupes depuis la vaccination.

La CPAM connaît l’intégralité du statut vaccinal de ses administrés(([7] Qu’elle transmet aux médecins traitants et aux directeurs des établissements scolaires en rompant ainsi le secret médical)) et la date de décès des vaccinés et non vaccinés. Pourquoi ne les publie-t-elle pas ?

Ses conclusions sont de plus incompatibles avec les résultats officiels des autres pays.

Les résultats officiels de Grande-Bretagne démentent les affirmations d’O. Véran

Les responsables sanitaires britanniques, beaucoup plus transparents que le ministère de la santé français, publient chaque mois leurs constatations détaillées selon le statut vaccinal.

Leur dernier rapport (Public Health England technical briefing 23 du 17/9/2021) précise que sur les 2532 morts du Covid (variant delta) recensés entre le 1er février et le 12 septembre 2021, 78 % étaient vaccinés (dont 1613 plus de 14 jours après la deuxième dose) et seulement 722 (28 %) étaient non vaccinés. Comme environ 70 % de la population britannique était vaccinée mi-septembre, ces chiffres démontrent qu’en Angleterre la vaccination n’est pas efficace à 90 % et ne diminue pas le risque de mourir du Covid. Alors comment le feraient-ils en France ?

Les résultats officiels d’Israël démentent aussi les dires d’O. Véran

Israël champion de l’injection Pfizer n’est pas protégé du Covid et chaque nouvelle vague compte davantage de contamination que les précédentes.

Cette augmentation des contaminations s’accompagne d’une augmentation de la mortalité, ainsi que le montre ce graphique de l’université Johns Hopkins commenté par nos soins en rouge.

Dans les neuf premiers de l’épidémie (sans injection Pfizer) Israël comptabilisait 3015 décès attribués au Covid. Depuis la vaccination, en 9 mois ce chiffre atteint 8050 (+160 %).

Cette mortalité atteint préférentiellement les vaccinés, ainsi que l’objective ce schéma exposant les données officielles du ministère israélien. Dans ce pays la vaccination constitue un facteur aggravant le risque de mort.

En Israël la vaccination ne diminue pas le risque de mourir du Covid ; on peut même craindre qu’elle ne l’aggrave.(([8] http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?t=270811))(([9] http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?t=270873))

Ceux qui prétendent(([10] eight among ten co authors got funds from Pfizer, as detailed in there disclosure PDF, hence, most of the authors are in a situation of conflicts of interests, especially Professor Ran Balicer, the research team’s leader.)) le contraire biaisent leurs résultats,(([11] https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/la-vaccination-en-israel-le-diable-est-dans-les-details)) en ne considérant la mortalité des vaccinés que 15 jours après la deuxième injection, ignorant ainsi la poussée de mortalité qui suit la première injection.

Mais pour recevoir la 2e (ou 3e) injection, il faut avoir reçu la première ; la mortalité des vaccinés doit donc être calculée dès la première injection.

Les mensonges passés du gouvernement ont entraîné des conséquences sanitaires lourdes pour les populations. Les mensonges sur la pseudo vaccination sont encore plus dangereux

Ceux qui ont plus de 50 ans se souviennent de la catastrophe de Tchernobyl et de la campagne intense de désinformation du gouvernement de l’époque. « les retombées radioactives de Tchernobyl, en France, ne représentent aucun danger sanitaire ».

Et la télévision, carte à l’appui, montrait que les « vents chassent le nuage toxique vers le nord ». Depuis les chirurgiens corses ont déclaré avoir observé 4 fois plus de cancers de la thyroïde en Corse que sur le continent.(([12] https://www.amessi.org/4-fois-plus-de-cancers-de-la-thyroide-en-Corse-que-sur-le-continent))

Même désinformation organisée pour le Chlordécone, insecticide utilisé massivement aux Antilles dans la culture des bananes jusqu’en 1993, alors qu’il avait été interdit dès 1976 aux USA car augmentant par 2,5 le risque d’apparition et de récidive du cancer de la prostate.

Et que dire de l’agence du médicament qui a prolongé l’autorisation de vente du Médiator alors que sa toxicité connue l’avait fait interdire dans de nombreux pays voisins plusieurs années auparavant ?

Les mensonges sur la prétendue efficacité(([13] Il est maintenant reconnu par tous qu’ils n’empêchent pas d’être malade ni de transmettre la maladie)) et supposée innocuité des pseudo vaccins antiCovid et le chantage du passe sanitaire pour extorquer un consentement contraint auront bien plus de conséquences sanitaires que les précédents, car ils exposent l’ensemble de la population à des risques précoces lourds et des risques inconnus à moyen et long terme, particulièrement graves chez l’enfant.

Véran prétendant que les vaccins nous diminueraient le risque de mourir nous refait le coup du nuage de Tchernobyl, du chlordécone, du médiator, des masques ! Il sera responsable des complications des vaccins que les Français subissent déjà et subiront dans les années à venir et d’une perte de confiance de la population en les vrais vaccins.





Robert F. Kennedy : Appel à une grève mondiale le 3 novembre !

[Source : zonefr.com]

Ces élites sûres de leur puissance, ne se cachent même plus. Leur conspiration se déroule devant les yeux de tous car malheureusement la masse des ignorants est telle, qu’ils peuvent agir sans même être inquiétés !

Robert F. Kennedy Jr. appelle à une grève mondiale pour le 3 novembre.

Le neveu du Président John F. Kennedy, fils de l’ex Ministre de la Justice Bob Kennedy, tous deux assassinés par la Cabale, fondateur de Children’s Health Defense appelle à une « grève mondiale » pour le 3 novembre, contre la perte de libertés, pour le retour aux principes démocratiques, contre les mandats illégaux et les gouvernements tyranniques.

La situation est grave, nous ne pouvons plus attendre de ces gouvernements d’assassins qu’ils répondent à nos demandes car ils sont missionnés pour le génocide vaccinal et la mise en place du Nouvel Ordre Mondial.

Nous ne sommes ni des complotistes ni des illuminés mais des Éveillés plus informés que la masse des hypnotisés par les médias mainstream, chargés de désinformer et manipuler l’opinion publique. Nous pourrions publier la longue liste de leurs mensonges, nous pouvons prouver et démontrer ce que nous affirmons car leurs propres déclarations les condamnent.

Le Système tyrannique qui nous est imposé depuis bientôt 2 ans n’a rien à voir avec la crise sanitaire car comment expliquer que des médecins et des infirmiers ayant gérée l’épidémie à ses débuts, sans moyens, sans masques, sans aucune aide de l’Etat, soient aujourd’hui mis à pied alors qu’on nous fait croire à une fausse pandémie ?

Les chiffres des morts décédés du Covid publiés par l’Istituto Superiore della Sanità italien (ISS – Institut Supérieur de la Santé) prouvent que le gouvernement italien ment à son peuple en lui faisant croire que plus de 130.000 personnes seraient mortes du Covid alors qu’elles ne sont « que » 3783 !!

Et même si la même campagne de diffamation qu’a vécue le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine quand il a déclaré que le virus est un « produit de laboratoire » est maintenant déclenchée par les médias terroristes contre l’ISS considéré jusqu’à hier comme LA référence absolue en matière de santé, ils ne pourront plus cacher la vérité très longtemps car partout le narratif officiel se fissure, prouvant que l’ensemble des gouvernements des pays de l’OTAN, du Canada jusqu’à l’Australie et la Nouvelle Zélande en passant par la France et l’Italie, mentent à leurs peuples !

Tous les jours des êtres humains meurent à cause des faux vaccinsLes effets secondaires sont dramatiques, des personnes jeunes et en bonne santé deviennent soudain paralysées. Des jeunes meurent de crises cardiaques ! Des familles et des vies sont brisées et nos gouvernements font semblant de croire que tout va bien, s’appuyant sur un « bénéfice/risque » totalement mensonger et criminel !

Les plus grands virologues, chercheurs, biologistes, infectiologues mondiaux lancent des cris d’alerte et jugent cette campagne vaccinale au mieux « irresponsable » et au pire criminelle, parlant même de « crimes contre l’humanité«  !

Des collectifs d’avocats internationaux se sont constitués pour dénoncer ce génocide programmé mais malgré leurs efforts, toutes les instances internationales comme la Cour Européenne des Droits de l’homme ou même nos tribunaux corrompus, se refusent à appliquer le droit et répondre à la demande de justice de groupements de citoyens déposant plainte sur plainte. 

Comment ne pas faire le lien avec le discours historique du Président John Kennedy quand il a voulu avertir l’Amérique et le monde d’une « conspiration monolithique et sans merci » ayant pour objectif de mettre l’humanité en esclavage ?

Comment ne pas faire le lien avec les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial gravés dans presque toutes les langues sur les Georgia Guidestones et prévoyant de ramener la population mondiale à 500 millions d’individus ?

Comment ne pas se souvenir que de Sarkozy en passant par AttaliRockefeller, le Duc d’EdimbourgBill GatesKlaus Schwab et d’autres tarés de la même espèce, tous ont en commun l’obsession de la surpopulation et la nécessité de la réduireAttali écrivant même que « les idiots iront à l’abattoir de leur plein gré« .

Et c’est exactement ce qui se passe car l’individu moyen maintenu dans l’ignorance et manipulé par la désinformation, ne parvient pas à croire que le gouvernement puisse lui vouloir du mal. Erreur fatale car tous ceux qui gouvernent en ce moment l’Occident, proviennent tous des Young Global Leaders, formés et formatés par le Forum Economique Mondial du transhumaniste fou Klaus Schwab, temple et guru de la mondialisation et du Nouvel Ordre Mondial collectiviste et dictatorial ! Nous sommes gouvernés par des fous !

Ce Klaus Schwab qui ose déclarer : « Dans 10 ans vous ne posséderez plus rien et vous en serez heureux.« 

Réveillons-nous frères humains avant qu’il ne soit  trop tard !

Ces élites sûres de leur puissance, ne se cachent même plus. Leur conspiration se déroule devant les yeux de tous car malheureusement la masse des ignorants est telle, qu’ils peuvent agir sans même être inquiétés !

Si nous réagissons pas, si nous restons passifs, le pire est devant nous. En nous limitant à des manifestations pacifiques encadrées par la police, nous n’obtiendrons rien car ce pouvoir s’amuse de nous voir déambuler tous les samedis. La police est le rempart, leur bouclier protecteur, leur garde rapprochée. Cette milice « républicaine«  dirigée par des Francs Maçons, ne réalise pas qu’on lui ment, qu’on la conditionne, qu’on la dresse contre le peuple pour protéger les intérêts de cette élite sans morale, sans scrupule, sans foi ni loi. On leur fait croire qu’elle protège la République alors qu’elle assure la sécurité des corrompus, des traîtres et des assassins qui sont en train de détruire notre pays, notre économie et nos vies !

Cette première grève mondiale doit être le premier signal d’une mobilisation globale. Nos amis italiens manifestent tous les jours, bloquent les ports, décrètent des grèves surprises, harcèlent députés et sénateurs, publient les vrais chiffres de cette fausse pandémie et exercent une pression massive sur Mario Draghi qui envisagerait même sa démission.

Nous, Français, sommes trop modérés. Nous ne réalisons pas que face à ce pouvoir criminel, nous sommes en danger de mort et que la légitime défense est désormais la dernière alternative pour sauver nos vies !

MOBILISATION !

Nous avons le devoir moral de protéger nos vies et la vie de nos enfants !

Commençons par paralyser l’économie et si cela ne suffit pas, que Dieu nous garde, nous aviserons !!

En 7 mn, vous allez tout comprendre…




Alain de Benoist : « Aucune élection, fût-elle présidentielle, ne peut créer les conditions de la véritable révolution dont notre peuple a besoin »

[Source : breizh-info.com]

Nous n’avions pas eu l’occasion de recueillir les analyses d’Alain de Benoist au sujet de la percée d’Éric Zemmour dans la bataille présidentielle, mais aussi de son affrontement probable avec Marine Le Pen et Emmanuel Macron notamment. C’est chose faite, ci-dessous.

Nous en avons également profité pour l’interroger sur la continuité de la politique de tyrannie sanitaire mise en place par les autorités, mais également sur le rôle de l’Europe centrale dans le sauvetage de la civilisation européenne.

Alain de Benoist, tout d’abord, quel regard portez-vous sur l’ascension médiatico-politique d’Eric Zemmour à quelques mois de l’élection présidentielle ? Cette ascension n’est-elle pas le signe de l’échec définitif du Rassemblement national en politique ?

Toute campagne présidentielle en France a ses coups de théâtre et ses événements imprévus. Cette année, c’est le phénomène Zemmour. Je le regarde avec curiosité – mais aussi avec détachement, tant je reste convaincu qu’aucune élection, fût-elle présidentielle, ne peut créer les conditions de la véritable révolution dont notre peuple a besoin.

Éric Zemmour est un ami, dont je connais la vaste culture politico-historique et dont j’admire la posture réfractaire et la pugnacité, ce qui ne m’empêche d’être en désaccord avec lui sur des points nombreux (son jacobinisme, sa critique de l’idée d’Empire, son parti-pris sans nuances pour l’assimilation, son hostilité aux prénoms régionaux, pour ne rien dire de la question des « racines chrétiennes »). Son ascension de « presque candidat » a été remarquable, puisqu’il semble être aujourd’hui en mesure d’empêcher Marine Le Pen d’arriver en tête au premier tour, voire de l’empêcher d’être présente au second. Cela dit, à six mois du scrutin, rien n’autorise à faire un pronostic. Zemmour peut très bien continuer à progresser, comme Macron en 2017, ou s’effondrer brusquement, comme Chevènement en 2002.

Au départ, la candidature Zemmour a été soutenue, d’un côté par des républicains d’accord avec Marine Le Pen sur l’immigration, mais qui trouvent trop extrémistes ses positions en matière sociale, et par une farandole de déçus du Rassemblement national qui lui reprochent au contraire d’avoir excessivement voulu se dédiaboliser au risque de « banaliser » son discours, leur grand objectif étant, non pas d’empêcher la réélection de Macron, mais de « dégager définitivement Marine ». Le problème est évidemment qu’il est difficile de séduire durablement des gens qui trouvent cette dernière trop radicale et d’autres qui trouvent qu’elle ne l’est pas assez…

Je pense par ailleurs que l’on aurait tort d’enterrer trop vite Marine Le Pen. En dépit de l’état lamentable du RN (mais à une présidentielle, on vote pour une personne, pas pour un parti), elle reste la candidate préférée des classes populaires. Zemmour, tout à son désir de « réinventer le RPR », dit vouloir réconcilier les classes populaires et la « bourgeoisie patriote » (ou fusionner la sociologie de la Manif pour tous et celle des Gilets jaunes), mais pour l’instant il ne touche pratiquement pas les premières, qui le connaissent en outre assez peu. Il l’a indirectement reconnu lorsqu’il a déclaré, le 22 octobre, que « Marine Le Pen n’a pour elle que des classes populaires, elle est enfermée dans une sorte de ghetto ouvrier et chômeur, qui sont des gens tout à fait respectables et importants, mais elle ne touche pas les CSP+ et la bourgeoisie ». Zemmour, lui, connaît surtout du succès auprès des anciens électeurs de Fillon et de Bellamy, des CSP+ et des cathos versaillais, c’est-à-dire auprès de cette petite et moyenne bourgeoisie qui craint pour son avenir et son identité parce qu’elle s’inquiète de son insécurité culturelle, mais très peu d’une insécurité économique qui est au contraire l’une des préoccupations majeures d’une « France périphérique » qui, comme l’a dit Marine Le Pen, « n’acceptera pas d’être sacrifiée à une vision ultralibérale de l’économie ».

Il y a en fait deux façons bien différentes de concevoir la formation d’un nouveau bloc historique à vocation hégémonique : l’« union des droites » et ce que Christophe Guilluy ou Jérôme Sainte-Marie (Bloc contre bloc, 2019, Bloc populaire, 2021) appellent le « bloc populaire ». La première s’appuie sur un clivage droite-gauche qui n’a plus grand sens aujourd’hui, l’autre sur un rapport de classe qui s’affirme au contraire de plus en plus, au fur et à mesure que diminue le pouvoir d’achat et que se généralise la précarité. Ces deux manières de voir ne sont guère conciliables. A un moment où toutes les institutions qui fabriquaient hier du consentement sont entrées en état de crise systémique, il est difficile de prendre en compte les revendications des classes populaires, confrontées à la fois à la misère sociale et une immigration devenue immaîtrisable, et qui savent très bien que la question de l’identité nationale est indissociable de la question sociale, tout en s’employant à donner des gages aux patrons du CAC 40.

Attendons donc encore six mois. On saura alors si Zemmour est parvenu à autre chose qu’à faire réélire Macron.

Alain de Benoist

La politique tyrannique (officiellement sanitaire) mise en place par les autorités françaises se poursuit. La population française, dans sa majorité, semble avoir capitulé, tout du moins accepté, d’être réduite à présenter un code barre et une preuve de vaccination pour dîner en ville, aller au cinéma, etc. La soumission généralisée d’une population est-elle de tendance à vous inquiéter ?

Vous oubliez quand même qu’au cœur même de l’été dernier, à une période de l’année où aucun syndicat n’a jamais osé organiser une manifestation, on a vu des centaines de milliers de Français défiler semaine après semaine pour protester contre le passe sanitaire. Du jamais vu.

D’un autre côté – je crois que nous en avons déjà parlé – il est clair qu’un grand nombre de gens sont prêts à abandonner leurs libertés quand ils croient leur sécurité ou leur santé menacée. La peur est le moteur premier de la servitude volontaire. Mais ce que vous interprétez en termes de soumission peut aussi s’interpréter en termes de résilience ou de pouvoir d’adaptation, sans que cela empêche la colère de gronder. La soumission généralisée, personnellement, je la verrais plutôt dans l’acceptation par les masses d’un système capitaliste qui est en passe de les déposséder de leur humanité.

Alain de Benoist

Vous avez publié récemment « Survivre à la désinformation », livre qui compile et reprend vos entretiens donnés à Nicolas Gauthier sur le site « Boulevard Voltaire ». Comment s’informer correctement dans une société ouverte qui produit de l’information à chaque seconde ?

Il y a évidemment des sources d’information qui sont meilleures que d’autres. Inutile d’en faire l’énumération (Breizh-Info y aurait bien sûr sa place). Mais l’important n’est pas tant de savoir quelle quantité d’informations on absorbe que de savoir en évaluer l’importance. Le drame est que les médias actuels, du fait même de leur structure, interdisent de plus en plus de hiérarchiser les informations, et surtout d’en comprendre le sens et la portée. Montrer que les événements susceptibles d’avoir une véritable portée historique ne sont pas nécessairement (et sont même rarement) ceux dont on parle le plus est précisément l’un des objectifs de ce recueil.

Alain de Benoist

Finalement, quelle différence peut-on faire entre la personne sous-informée – c’est-à-dire celle qui ne regarde que le JT de 20 h ou ne lit que quelques extraits d’un quotidien régional – et la personne qui a la tête dans l’information toute la journée, à ne plus pouvoir prendre du recul dessus ?

En fin de compte aucune. La première ne sait pas grand-chose, la seconde a entendu parler de tout mais n’y comprend rien. L’excès d’informations est parfaitement équivalent à l’absence d’informations, du fait d’un phénomène de contre-productivité dont Ivan Illich a donné bien d’autres exemples.

Alain de Benoist

Pour s’élever un peu et évoquer l’Europe et son avenir, comment analysez-vous les offensives de plus en plus violentes des commissaires de Bruxelles vis-à-vis des pays d’Europe centrale, Pologne et Hongrie en tête ? Pensez-vous que l’Union européenne puisse possiblement exploser, ou se scinder en deux ?

La Commission de Bruxelles ne supporte pas ce qu’elle présente invariablement comme des « atteintes à l’Etat de droit ». Cela n’a rien d’étonnant, puisqu’elle est l’un des vecteurs d’une idéologie dominante qui voit dans l’Etat de droit un moyen de soumettre le politique à l’autorité des juges et la souveraineté populaire à la morale des « droits de l’homme ». Les pays de l’Est, de leur côté, ont découvert que le « monde libre » qui les avait fait rêver à l’époque communiste est d’autant moins un exemple à suivre qu’il peut aussi constituer une menace. Dans la polémique que vous évoquez, la Pologne et la Hongrie ne sont pas isolées puisque le 7 octobre, pas moins de douze pays-membres (Autriche, Bulgarie, Chypre, Danemark, Estonie, Grèce, Hongrie, Lituanie, Lettonie, Pologne, République tchèque et Slovaquie) ont tenté de faire adopter un texte visant à ce que la Commission finance la construction de murs ou de clôtures de barbelés aux frontières extérieures de l’Union. Cette demande a bien entendu été rejetée, mais elle n’en reste pas moins significative.

On pourrait certes voir dans le groupe de Visegrád l’amorce d’une « autre Europe ». C’est un espoir raisonnable, mais il ne faut pas se dissimuler que les pays qui en font partie sont loin d’être d’accord sur tout. En matière de politique étrangère, par exemple, la Pologne continue de s’aligner aveuglément sur les Etats-Unis et professe une russophobie que la Hongrie ne partage pas. Il ne faut pas oublier non plus que la Pologne a beaucoup à perdre dans une épreuve de force avec l’Union européenne, car elle est actuellement la principale bénéficiaire des fonds européens. Plus qu’à une explosion, j’ai tendance à croire à une implosion de l’UE qui aboutirait à une dislocation de fait.

Alain de Benoist

En France, dans cette hypothèse, nous nous retrouverions alors sans doute dans le camp occidental… c’est-à-dire pas franchement le camp des défenseurs de l’Europe civilisation… Que faire alors demain pour maintenir les ponts fondamentaux ?

Le risque de se retrouver dans le « camp occidental » me semble surtout considérable dans le bras de fer qui oppose actuellement Washington et Pékin, et qui pourrait très bien aboutir un jour ou l’autre à un conflit armé entre une hyperpuissance américaine déclinante et une puissance montante chinoise qui ne cesse de s’affirmer. Les Etats-Unis manœuvrent déjà pour reconstituer contre la Chine une « coalition occidentale » semblable à celle qui visait à contenir l’Union soviétique à l’époque de la guerre froide. En cas de guerre, la plus grande erreur pour les Européens consisterait à s’aligner sur Washington, au lieu d’adopter pour le moins une attitude de neutralité. L’Europe n’a pas vocation à faire la guerre aux Chinois !

Alain de Benoist

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Conflits d’intérêt et corruption à l’Agence Européenne du Médicament (EMA)

[Source : @DocteurGonzo4]

Par Dr Gonzo

La Santé des français mérite mieux que cette association de malfaiteurs.

Initialement, l’octroi d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) appartenaient à chaque État membre. Un règlement de 1993, remplacé par un règlement de 2004 régulièrement modifié a institué une agence d’évaluation, l’Agence européenne des médicaments (@EMA_News). L’EMA se compose d’un conseil d’administration de 36 membres dont la plupart représentent les États membres (le plus souvent le directeur ou président de leur agence nationale). Le conseil d’administration nomme un directeur exécutif entouré de 7 comités d’experts. L’Agence fait partie de la vaste catégorie des organismes plus ou moins décentralisés, aux dénominations elles-mêmes variables (agence, office, observatoire, etc.) créées pour conseiller la Commission européenne sur des sujets techniques. La Commission, en sa qualité d’institution politique, reste libre de suivre ou non ces conseils, et octroie l’AMM. Mais l’Agence, disposant de la compétence d’expert, surtout dans le domaine médical, joue un rôle préparatoire crucial. Ça semble invraisemblable mais le budget de fonctionnement de l’EMA (346 millions €) provient à 85,70% de redevances payées par l’industrie pharmaceutique et a seulement 14,29% de financements publics de l’UE.

PR_Dec_Agencies (europa.eu)

En tant qu’agence de la Commission Européenne, les obligations de l’EMA en matière de transparence et d’accès aux documents découlent de directives stipulant que tout document détenu par l’EMA dans le cadre de ses activités est de fait un document public. Dans les faits, la revue Prescrire a montré que l’EMA refuse de communiquer de nombreux documents et que ceux sur qui sont transmis, le caviardage intensif y est la règle.

De qui se moque l’Agence Européenne du Médicament ? – Formindep

Son manque de transparence a été dénoncé lors de son refus d’indiquer aux députés sur quelles bases les laboratoires à l’origine des vaccins #Covid diffusés dans l’UE ont été choisis, et le montant des prix payés pour ces vaccins.

Achats européens des vaccins : un secret très bien gardé (franceinter.fr)

La “prévisibilité” de l’EMA est si grande que l’industrie étatsunienne nous l’envie, notamment le think tank néoconservateur Pacific Research Institute, financé par l’industrie des biotech, et qui milite pour toujours moins d’intervention des pouvoirs publics. Et pour cause. 

Dès le lendemain de son départ de l’EMA en 2011, le Directeur exécutif, Thomas Lönngren, rejoint le conseil d’administration de NDA Ltd, société de lobbying au service des firmes pharmaceutiques, qui l’a recruté en tant qu’”influenceur de premier plan“.

Scandale à l’Agence Européenne du Médicament – Formindep

Le pantouflage ou « revolving doors » est un fléau. Dans un secteur de la santé à la fois très lucratif et très réglementé, les firmes ont un grand intérêt à placer leurs hommes dans les agences publiques et à mettre en place cette stratégie d’entrisme.

L’EMA ou le Royaume des Bisounours – Formindep

L’italien Guido Rasi a ensuite été nommé directeur de l’EMA en 2011, puis forcé a démissionné par la Justice européenne pour conflit d’intérêt non déclaré, avant d’être renommé à nouveau directeur de l’EMA en 2015.

Head of European Medicines Agency suspended – POLITICO

L’actuel directrice, Emer Cooke, a passé 7 ans au sein de l’EFPIA, le principal lobby de l’industrie pharma en UE qui organise des rencontres au Parlement européen avec des représentants de GSK, Roche, Novartis, Pfizer…

Lobbying : comment l’industrie pharmaceutique prend d’« assaut » les institutions européennes – Basta!

Un audit européen de la Cour des comptes de 2012 confirme de graves problèmes de conflits d’intérêt au sein de l’EMA (et de 3 autres agences : l’EASA (sécurité aérienne) l’EFSA (sécurité alimentaire) et l’ECHA (sécurité vis à vis des produits chimiques)).

Management of conflict of interest in selected EU Agencies. Special Report No 15, 2012 – Publications Office of the EU (europa.eu)

Le rapport pointe de graves irrégularités, la direction de l’EMA favorisant la présence, dans les comités scientifiques, d’experts en conflit d’intérêts avec les compagnies pharmaceutiques dont ils évaluent les produits.

Dans un rapport, la Cour des Comptes de l’UE estime que les agences de l’UE qu’elle a auditées « ne géraient pas les situations de conflit d’intérêts de manière appropriée » – Europaforum Luxembourg – Octobre 2012 (public.lu)

Le @canardenchaine a révélé que certains experts de l’EMA sont salariés ou possèdent des actions dans les entreprises pharmaceutiques dont ils sont censés évaluer les produits lucratifs.Des lanceurs d’alerte ont dénoncé ce problème :

« Depuis des mois, notre entreprise rémunère discrètement un expert pour qu’il fasse le lobbying de notre produit. La rémunération est exorbitante, mais le plus grave est qu’il officie comme expert à l’EMA. »

Un médecin, ex-cadre de l’industrie pharmaceutique, dénonce les pratiques de ses employeurs | Le Quotidien du Médecin (lequotidiendumedecin.fr)

Dans l’affaire du Mediator, l’Inspection générale des affaires sociales a mis en cause plusieurs experts français, qui siégeaient à l’Agence européenne du médicament, dans l’interdiction tardive du Mediator et le drame sanitaire consécutif.

Mediator : une enquête sur d’éventuels conflits d’intérêt à l’Agence européenne du médicament (lemonde.fr)

L’EMA propose elle même en toute opacité aux firmes pharmaceutiques des «conseils scientifiques» facturés pour les aider à faire passer leur dossier de demande d’AMM, notamment conditionnelles (AMMc).

Agence européenne du médicament : une aide opaque aux firmes

Or, les médicaments mis sur le marché de manière accélérée le sont souvent au détriment de la qualité de l’évaluation clinique. Pire, cette évaluation n’est pas suffisamment complétée non plus après commercialisation.

Des médicaments mis sur le marché avec très peu d’évaluation

Un rapport de 2017 note «une acceptation générale de la corruption» au sein de l’EMA et :

-une acceptation générale de la corruption
-des structures de gestion inefficaces
-des mécanismes de financement inappropriés
-une répartition inégale des ressources

EU Study on Corruption in the Healthcare Sector 2017 (globalcompliancenews.com)

« L’industrie pharmaceutique tient fermement les rênes d’une vaste machine de lobbying, richement dotée, qui dispose d’un accès presque systématique aux décideurs de la Commission […] et des institutions bruxelloises, y compris l’EMA »

Un rapport pointe l’influence excessive du secteur pharmaceutique à Bruxelles (lemonde.fr)

En juin 2020, l’EMA prend la décision d’autoriser le remdesivir de Gilead.

La revue Prescrire commente : “Une fois de plus, l’EMA a manqué de rigueur dans sa relation avec les firmes, aux dépens des patients et soignants, laissés dans l’incertitude.”Au mois d’octobre, suite à cette décision a priori insensée, la Commission signe un contrat mirobolant avec Gilead, alors que l’industriel vient de prendre connaissance de la dernière étude de l’OMS qui invalide l’efficacité de son traitement.

Le scandale Remdesivir, ou comment l’Europe s’est fait délester de plusieurs dizaines de millions d’euros | L’Humanité (humanite.fr)

La Santé des français mérite mieux qu’une dictature sanitaire, elle mérite un pôle public des médicaments, une expertise publique transparente et indépendante, un processus décisionnel démocratique, et des politiques de santé intelligentes, bienveillantes et non-coercitives. 




Vers l’abolition de vos droits fondamentaux

Par Thibaux de Santé Non Censurée

Chère lectrice, cher lecteur,

La semaine dernière, lors d’une conférence de presse1, les membres du Parlement européen ont tiré la sonnette d’alarme.

Selon eux, “les droits civiques sont de plus en plus restreints2” suite à la mise en place du pass sanitaire. Le Pass sanitaire : un puissant outil de discrimination. Confrontés, comme vous et moi, au besoin de montrer patte blanche pour accéder à leur lieu de travail, les membres du Parlement européen dressent un constat inquiétant :

“Les droits humains fondamentaux tels que les droits humains à la liberté individuelle, à l’emploi, l’égalité, l‘éducation, la santé, la libre expression de la pensée sont gravement violés. Et dans toute l’Europe, des protestations pacifiques sont violemment réprimées3.” 

Destiné à l’origine à faciliter la circulation au sein de l’Europe, le pass sanitaire s’est transformé en un puissant outil de discrimination.

Nos droits les plus élémentaires sont aujourd’hui devenus des privilèges accordés par l’État sous la forme d’un… QR code !

Jamais il n’avait été question de restreindre l’accès à un lieu ou à une activité aux personnes non vaccinées… et pourtant !

Ce que les pires complotistes imaginaient… nos Gouvernements élus démocratiquement sont en train de le faire ! Des confinements pour les non vaccinés. Il faut croire que les pays de l’Union Européenne n’ont pas compris le problème. 

Puisque quelques jours après cette conférence, voilà que le chancelier autrichien, Alexander Schallenberg, annonce la potentielle mise en place d’un confinement pour les non vaccinés en cas de dégradation de la situation sanitaire actuelle4.

“Je ne permettrai pas que le système de santé soit surchargé parce qu’il y a encore trop d’hésitants et de procrastinateurs qui ne peuvent se résoudre au vaccin5.” assène-t-il. 

Donc faire un choix libre et éclairé concernant sa santé personnelle, ce qui, rappelons-le, est le droit le plus strict des citoyens, c’est faire preuve de procrastination ?

En Russie, de nouvelles mesures drastiques ont d’ores et déjà été prises dans ce sens. 

Les autorités ont ordonné un confinement pour “tous les plus de 60 ans non vaccinés” et ce pendant 4 mois6 ! 

Idem en Colombie, où une municipalité a imposé un confinement obligatoire sous peine d’amende à ses habitants “récalcitrants”7. Vite, ma 3ème dose… En France, la situation n’est pas plus rose pour les anti-pass (abusivement traités “d’anti-vax” par les médias).

Si un confinement n’est pas à l’ordre du jour, les employés non vaccinés sont la première cible de la dictature sanitaire, mettant à mal le droit à l’emploi. Pour rappel :

“Si un professionnel soumis au pass sanitaire ou à la vaccination obligatoire ne respecte pas cette règle, il ne sera pas forcément licencié, mais ne pourra toucher ni son salaire, ni d’indemnité chômage8.”

Tels étaient les mots de la ministre française du Travail et de l’Emploi, Elisabeth Borne, en août dernier.

En résumé, l’employé ne perd pas son emploi, mais ne touche pas un centime et se retrouve à la rue s’il ne suit pas la norme sanitaire. 

Je ne sais pas vous, mais moi j’appelle cela de l’asservissement par la contrainte.

En octobre, cette même ministre annonçait ne pas “exclure la perte du pass sanitaire pour ceux qui refuseraient la 3e dose9.”Fini la marelle à l’école sans QR code. Pire encore, les discriminations se propagent également dans les collèges et les lycées ! 

Les jeunes non vaccinés décelés cas contact sont “évincés” (dixit le Ministre de l’Éducation) pendant 7 jours, contrairement à leurs camarades vaccinés ou immunisés10.

Comble de l’absurde, cette mesure est également en vigueur pour les sixièmes, qui n’ont pourtant pas tous 12 ans et ne sont donc pas éligibles pour le vaccin11.

Et le tout sans assurance que l’enfant contraint de rester à domicile puisse continuer à suivre les cours.

C’est une véritable atteinte au droit à l’éducation !

Et dire que tout ceci part du postulat erroné que les non vaccinés sont les uniques porteurs du virus. NON !

Les personnes vaccinées peuvent toujours être porteuses du virus, elles peuvent toujours être malades ! Le vaccin n’assure qu’une potentielle protection, mais celle-ci n’est pas infaillible… sans parler des effets secondaires.

Pourtant… “Les personnes vaccinées sont testées positives à un taux plus important que les non vaccinés12”. Encore tout récemment, un rapport de surveillance de l’Agence de santé publique britannique a illustré que désormais, “les personnes vaccinées sont testées positives à un taux plus important que les non vaccinés, et ceci pour toutes les tranches d’âge à partir de 30-39 ans13.”

Ce qui est parfaitement normal dans une population majoritairement vaccinée et prouve bien que le vaccin n’empêche pas une contamination.

Alors pourquoi, partout dans le monde, observe-t-on de telles discriminations ?

Quels autres droits fondamentaux allons-nous voir disparaître au nom de la “santé publique” ?

Prenez soin de vous,

Thibaud de Santé Non Censurée

P.S. : Je viens d’apprendre dans le journal Libération que l’hôpital est à nouveau en “surchauffe”. Apparemment 20 % des lits d’hôpitaux seraient fermés faute de soignants14. Un chiffre nié par le Ministre Olivier Véran15, bien qu’il convienne d’un absentéisme inhabituel lié à une augmentation des démissions et de l’épuisement du personnel (rien à voir bien sûr avec les soignants suspendus parce qu’ils ne veulent pas du vaccin…). Comme en 2020, l’histoire se répète : face à la surcharge d’hospitalisation, les hôpitaux craquent de toutes parts et la seule solution viable que nous présente le gouvernement est de vacciner à tour de bras, sinon gare au reconfinement !! Je prépare activement un projet de résistance à ce choix infâme. Je vous en parle très vite.

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Sources

https://www.youtube.com/watch?v=MuVguEJA-tU
idem
idem
https://www.lematin.ch/story/lautriche-envisage-de-confiner-les-non-vaccines-746575434886
idem
https://www.capital.fr/economie-politique/face-au-boom-du-covid-19-en-russie-4-mois-de-confinement-a-moscou-pour-les-seniors-non-vaccines-1417681
https://www.rtbf.be/info/societe/detail_confinement-pour-les-non-vaccines-dans-une-ville-de-colombie-objectif-atteint-aux-etats-unis-le-point-sur-la-pandemie-de-coronavirus-dans-le-monde?id=10816979
https://www.capital.fr/votre-carriere/pass-sanitaire-un-salarie-suspendu-ne-touchera-pas-dallocation-chomage-1411587
https://www.europe1.fr/politique/borne-nexclut-pas-la-perte-du-pass-sanitaire-pour-ceux-qui-refuseraient-la-3e-dose-4071491
10 https://www.liberation.fr/societe/education/aux-colleges-et-lycees-on-aboutit-a-une-discrimination-des-eleves-par-rapport-a-leur-statut-vaccinal-20210902_PNP2OFXGKJECDDL7ODO4VBFC3U/
11 https://www.midilibre.fr/2021/07/29/nouveau-protocole-sanitaire-dans-les-colleges-quelles-regles-pour-les-moins-de-12-ans-non-soumis-a-la-vaccination-9701179.php
12 https://www.lefigaro.fr/sciences/les-personnes-vaccinees-ont-elles-plus-de-risque-d-etre-contaminees-que-les-autres-20211020
13 idem
14 https://www.leparisien.fr/societe/sante/hopital-public-un-lit-sur-cinq-ferme-dans-le-public-faute-de-soignants-selon-une-etude-menee-par-jean-francois-delfraissy-27-10-2021-HPUOXBFRZRDH5OLIAVN36KBMXM.php
15 https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/olivier-v%C3%A9ran-met-en-doute-le-chiffre-de-20-de-lits-ferm%C3%A9s-dans-les-h%C3%B4pitaux/ar-AAQ1GU5




Pour profiter de la LIBERTÉ, il faut être vivant et en bonne santé ! Refusons l’injection !

Par Nicole Delépine

Bravo aux combattants de la Liberté, qui chaque semaine, battent le pavé et tentent de remonter le moral aux déprimés… Non, les dictatures ne perdurent jamais, et le nombre et la force des résistants déterminent évidemment la durée du totalitarisme. Mais les résistants, comme les autres doivent être en forme. Et certains d’entre eux « vaccinés malgré eux »(([1] Les « malgré nous » de 2021 (reseauinternational.net) )) ont dû recevoir la piquouse et comme beaucoup (dont les sportifs) sont fatigués longtemps et ne peuvent pas trop compter sur l’hôpital pour les soigner.

C’est pourquoi les épuisés doivent se reposer et ne pas démoraliser les autres, ni les éloigner de la résistance, et se taire le temps de la récupération bien normale. « Ami, si tu tombes, un ami sort de l’ombre à ta place ». Ne craquez pas, chacun fait ce qu’il peut, mais ne détournez pas les autres de la lutte, pour l’information en particulier.

Trop de silence sur le danger des injections géniques

On ne peut que regretter le silence sur les dangers immédiats maintenant connus et plus tardifs des injections géniques, en expérimentation, leurs compositions inconnues et inquiétantes, l’absence d’autorisation de mise sur le marché et…. l’absence d’injections chez les salariés de Pfizer, et jusqu’à présent chez les membres du parlement européen, américain et français entre autres, l’absence de pass à l’Assemblée nationale et au Sénat, ce qui laisse toute possibilité de choix ou non de la piquouse.

Enfin les députés du Parlement européen se réveillent et réalisent le détournement du pass vert qu’ils avaient voté pour améliorer la liberté de mouvement des citoyens européens d’un pays à l’autre. Et ils se réveillent alors que le totalitarisme se met en place et veut passer les élus au rouleau compresseur. L’élite exemptée se réduira aux grands chefs.

Pourquoi ces différences de traitement entre les « gueux » et la « supposée » élite ? Jadis les chefs entraînaient leurs troupes par l’exemple.

Écoutez cette vidéo de parlementaires européens et diffusez-là largement aux élus, mais aussi à tous les citoyens. Difficile de les traiter de complotistes ! N’hésitez pas à l’adresser à nos journalistes obéissants, qui devraient être déchirés entre l’obéissance au gouvernement et à l’UE auquel ce dernier se réfère en permanence. Cruel dilemme pour les JT.



Appartenir au groupe, même si c’est celui des moutons, c’est plus confortable

On est étonné du nombre de personnes intelligentes et calmes ayant cédé à la pression des médias et s’étant fait injectés malgré tout… Facilité du quotidien, doublée d’une cécité volontaire qui entraîne la certitude du gouvernement de pouvoir passer à la phase de l’injection des petits… De plus en plus petits, et bientôt le douzième vax (qui n’en est pas un au sens pasteurien) en plus des onze obligatoires chez les nourrissons. Obligation déjà scandaleuse qui devait être rediscutée et supprimée d’autant qu’injecter par exemple le vaccin anti-hépatite B à un bébé n’a pas de sens, les risques ne venant pas avant l’âge de 15 ans alors que l’efficacité est déjà estompée. Mais Big Pharma veille pour toujours plus de vaccins obligatoires.

Lire l’article de Ariane BILHERAN(([2] Ariane BILHERAN : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire » — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) :

« Il y a des sommes d’intérêts, de corruptions, de peurs. Certains s’empêchent eux-mêmes de critiquer, de penser, pour ne pas perdre ces privilèges. Le plus ironique est que, souvent, ce sont les mêmes qui ont hurlé à la défense de la liberté d’expression en France. »

Comprendre ce qu’est le totalitarisme auquel nous devons résister :

« Le totalitarisme, c’est considérer que les individus sont des cellules interchangeables d’un même corps au sens propre, avec la suppression totale et l’éradication totale de toute singularité. La singularité c’est le fait qu’aucun individu n’est comparable à un autre sur Terre. Que tout le monde est unique, différent, avec l’humanité en partage, où “rien d’humain ne m’est étranger”. Le totalitarisme est la proposition inverse. »

L’exemple caricatural du comportement mouton : la RCP en cancérologie

On se souvient des opinions personnelles sur un traitement adéquat fondé sur l’expérience pour un patient, qui brutalement s’inversent pour s’adapter à l’avis du « groupe », imposé par le pouvoir par l’obligation de la RCP : ainsi combien de patients n’ont pu bénéficier de l’intervention pour leur cancer, car la sacro-sainte réunion pluridisciplinaire imposée par le merveilleux et si toxique plan cancer a imposé la chimiothérapie par nouvelles drogues de Big Pharma.

Et la tumeur devint inopérable, mais le centre garde son « accréditation de traiter les cancers » délivrée par les ARS, agences régionales de santé créées par la loi Bachelot(([3] Notre actuelle ministre de la Culture…)) en 2008. Vous avez découvert au cours de la plandémie covid le rôle autoritaire de la bureaucratie médicale. Les médecins le subissaient en silence depuis le début du siècle, ce qui explique — sans les excuser — sans doute leur soumission au refus de traitement des patients livrés au doliprane, l’euthanasie des vieux en EHPAD (pendant qu’on fait croire aux jeunes qu’ils se sacrifient pour sauver les plus âgés) et maintenant l’injection expérimentale sans sourciller jusqu’au jeunes qui ne peuvent en aucun cas en espérer un bénéfice personnel. Les mesures totalitaires sont toujours imposées très progressivement comme les nazis l’ont très bien formulé. Pour que la grenouille ne saute pas hors de la casserole, il faut la cuire à feu doux.

Il ne faut pas sous-estimer les effets secondaires graves

Devant les mensonges du ministre, y compris devant l’Assemblée nationale, niant les décès recensés par l’agence nationale du médicament ANSM, mensonges adoubés par les silences des médias, tous ceux qui se battent pour la liberté devraient se battre pour une liberté en bonne santé ! Donc informer encore et encore sur les dangers des pseudovaccins relatés par les agences officielles américaines, anglaises et européennes entre autres plus libres (ou moins corrompues ?) que les nôtres 

EFFETS INDÉSIRABLES DES INJECTIONS GÉNIQUES (sources officielles au 10 octobre 2021) — Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr)

Entre les dangers de myocardites trop fréquentes chez les jeunes, associées à des morts quasi subites, et les troubles cognitifs chez les personnes âgées, qui se perdent dehors sur leurs chemins habituels, perdent la mémoire par intervalles, l’apparition de diabète et l’explosion des cancers, les troubles menstruels des femmes, etc. le panel des effets secondaires est vaste, sans citer les plus tragiques comme la maladie à prion exposée sur Cnews à Pascal Praud qui ne croyait pas aux effets secondaires….

Comment Francois Ruffin pourrait-il nous annoncer qu’il va se faire injecter s’il connaissait vraiment les dangers de ce geste définitif, car aucun antidote connu n’est actuellement démontré efficace pour inverser les effets néfastes et durables de la protéine spike … Certes on peut avoir de la « chance » comme peut-être des connaissances qui ont reçu le placebo ou pas… Et chacun est différent, mais comment prendre ces risques si on en a vraiment la connaissance…

Revivez en vidéo la matinale spéciale consacrée aux effets secondaires indésirables des #vaccins contre le #Covid19 par Clémence Houdiakova sur RadioCourtoisie très explicite. Écoutez, diffusez !

le VAERS est-il complotiste, lui qui dépend des centres officiels gouvernementaux des USA ?(([4] VAERS Summary for COVID-19 Vaccines through 10/1/2021 – VAERS Analysis ))

Le plus parlant est le diagramme relatant les effets secondaires cumulés des vaccins tous types de puis 1990 qui montent cruellement depuis l’adjonction des pseudovaccins covid… Prenez le temps de visiter EudraVigilance site équivalent pour l’UE et vous aurez le même type de graphique… Telle est la réalité niée par notre ministre, car comment expliquer cette flambée de décès et d’accidents graves (le détail dans le PDF ci-après VAERS-Summary-10012021) temporellement significative ?

La liberté en bonne santé !


Les patriotes ne dénoncent pas assez les produits qu’ils veulent nous injecter — Riposte Laïque (ripostelaique.com)

Je partage l’opinion de Victor Hallidée qui fait remarquer fort justement :

« Je déplore juste une faiblesse que je remarque et qui me gêne, chez la plupart des patriotes anti-dictature sanitaire : c’est surtout la privation de liberté qui est pointée, mais les produits suspects que l’on veut absolument nous injecter ne sont que rarement évoqués, mis en cause.

L’AMM provisoire, accordée au prétexte qu’aucun médicament ne soignerait le covid, est fallacieuse vu qu’elle a été obtenue illégalement, en supprimant les médicaments qui soignent, en interdisant aux médecins de les prescrire.

Des injections expérimentales administrées sous contrainte, qui doivent être assumées par ceux-là seuls qui les subissent pour ne pas être privés de travailler, privés de revenus, privés d’étudier…

Alors même que ces produits sont expérimentaux, douteux, mais aussi totalement inefficaces. »

Oui ces « vaccins » non pasteuriens, et expérimentaux ne sont pas efficaces comme les analyses répétées du DR G Delépine sur l’échec majeur des pays les plus vaccinés auraient pu convaincre ceux qui veulent bien regarder la réalité.

Relisez le Bilan sanitaire au 25/9/2021 dans les pays champions de la vaccination anticovid — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le silence complice sur la composition des injections

Oui, la composition de ces injections géniques est difficile à obtenir et l’avocat Brusa Carlo s’en est inquiété dans le silence médiatique, mais aussi finalement le silence des réseaux alternatifs. Les résultats obtenus n’ont pas eu la couverture médiatique indispensable.

Comme pour le totalitarisme rampant qu’on ne veut pas affronter de face, veut-on vraiment savoir ce que Maître Brusa nous a fait découvrir et que tant de nos proches, amis, collègues, ont accepté de subir ? Faire l’autruche a-t-il jamais sauvé personne ?(([5] MAITRE BRUSA NOUS ÉNUMÈRE LA REDOUTABLE COMPOSITION DES INJECTIONS NAZITAIRES !!! — Profession Gendarme (profession-gendarme.com) ))(([6] 140921 — Composition des pseudo-vaccins – Dr Robert YOUNG — Réaction19 (reaction19.fr) ))

OUVRIR LES YEUX MÊME SI DOULOUREUX ET ÉVITER L’INJECTION N° 3 à ceux que vous aimez

Alors nous avons le choix, soit nous taire au moins relativement pour ne pas raviver la peur, soit informer largement pour qu’il n’y ait pas de nouvelles victimes et que les vax 1/2 évitent la troisième et surveillent leurs éventuels symptômes pour les faire prendre en charge au plus vite (caillots sanguins, dimères, IRM si troubles du comportement, agressivité, etc..).

Les vax comme les autres devront avoir droit aux traitements symptomatiques au minimum et ne devraient pas être renvoyés chez eux avec des réponses vagues et sans traitement comme c’est trop souvent le cas actuellement. Il en va de l’honneur de la médecine. Les docteurs doivent cesser d’obéir, en cachant les complications, même s’ils encourent des sanctions comme le Dr Philippe de Chazournes qui explique le silence imposé sur les effets secondaires. Merci à ce courageux médecin de la Réunion. Visitez son site.

Mais pour l’instant quel traitement post vax efficace… Les tisanes d’aiguilles de pin, la vitamine D suffiront-elles au désastre ?

Fischer, le M. Vaccin de Macron, veut nous vacciner tous pour notre bien — Riposte Laïque (ripostelaique.com) et les liens d’intérêt de Mr Vax avec le lobby vaccinal ne sont évidemment pas mentionnés par les TV qui diffusent largement ces conseils toxiques…

Réveillons-nous, évitons de nouvelles injections, soignons les patients et demandons aux députés et sénateurs de refuser une prorogation de l’état d’urgence qui n’a aucune raison sanitaire et du passe pseudo sanitaire.(([7] Lettre ouverte à Mmes Mrs les Sénateurs et Députés, adressée par N et G Delépine médecins cancérologues — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) L’éclairante vidéo des députés européens devrait les y encourager.

Et pour ceux qui ne seraient pas convaincu du drame actuel et à venir, pour éviter son amplification, informons, malgré la douleur et l’inquiétude.

Mr Zemmour et ses nombreux partisans, F. Philippot et quelques autres travaillent pour libérer notre France et les Français.

Mais cette France ne doit pas être celles de malades, de veuves ou de veufs, d’endeuillés par le départ d’un jeune cédant à l’injection expérimentale pour un stage, pour un voyage, pour être « comme tout le monde » ou d’un être aimé, ni celle de cancéreux en rémission dont le cancer flambe brutalement après l’injection ?

Oui Messieurs, Mesdames les politiques et singulièrement les candidats, vous ne pouvez faire l’économie d’une guerre contre l’attaque médicale des Français et plus seulement de leur système de santé moribond.(([8] Le collectif d’élus de Haute-Savoie : https://www.lefigaro.fr/vox/societe/nous-elus-locaux-demandons-l-abandon-du-passe-sanitaire-20211019))

Votre silence vous coupera d’une partie de la population.

La France doit survivre et ses habitants, résistants ou non, rester en bonne santé.

On ne compte plus les dégâts du confinement (suicides, dépressions, pauvreté, maladies chroniques non traitées, etc.), des restrictions sanitaires (plan blanc) et maintenant des suspensions des soignants non vaccinés pour des établissements déjà en manque de personnel. Les conséquences directes et indirectes de l’obligation vaccinale imposée sous contrainte avec extorsion de consentement sont une urgence que vous devez traiter vite, très vite autant que le permis à points (bravo au passage).

Nous ne sommes pas alarmistes, mais conscients de l’état de santé réel du pays qui s’aggrave, et menace de se détériorer encore plus avec la vaccination absurde et scandaleuse des enfants.

Est-il besoin de rappeler qu’ils ne font pas de covid grave, ne contaminent jamais les autres ni les adultes ni les autres enfants. Cette vaccination des enfants sans aucune justification médicale est insupportable et aurait dû ouvrir les yeux.  D’autant que les risques de fertilité sont de plus en plus craints par les généticiens du monde entier. Que cherche-t-on ? Les candidats à la présidence ne peuvent se taire sur cette monstrueuse attaque de l’avenir des Français que sont leurs enfants.

Et si vous n’êtes pas convaincu de la gravité de la situation, faites comme ce présentateur télé

« Ce présentateur TV ne croyait pas aux risques des vaccins. Quand soudain…

« Il y a trois milliards d’individus vaccinés, (…) croyez-moi, s’il y avait des effets secondaires gravissimes, ça se saurait ! »

Pascal Praud, présentateur de CNews, était sceptique quand l’un de ses chroniqueurs a évoqué les nombreux effets indésirables des vaccins. Sûr de lui, il a alors appelé tous les vaccinés victimes d’effets secondaires à contacter l’émission pour venir témoigner.

Il s’attendait à recevoir tout au plus une poignée de messages. Mais…

CNews a été submergé d’appels… à tel point que Pascal Praud a revu sa position.

Il a même invité un homme à partager son témoignage à la TV.

La femme de cet homme est dans un état critique après s’être fait vacciner. Elle a développé une maladie à prions, une pathologie incurable extrêmement rare en temps normal, qui provoque une dégénérescence rapide du système nerveux.

Pascal Praud a d’ailleurs estimé que ce témoignage tragique était « représentatif » des nombreux messages qu’il a reçus.

Qu’une chaîne TV de l’importance CNews évoque ouvertement les risques liés à la vaccination est une première en France à ma connaissance.

Les médias vont-ils enfin commencer à se réveiller ? »(([9] nicolas-wirth@mail1.puresante.info))

Chaîne TV américaine prise à son propre « piège » : la chaîne WXYZ-TV Channel 7, filiale d’ABC a lancé un appel sur Facebook pour trouver des histoires de personnes non vaccinées décédées du covid : la chaîne a reçu plus de 255 000 commentaires, dont la plupart concernaient des victimes… de la vaccination !

Parmi les témoignages, Becky : sa tante est décédée une semaine après la vaccination. Ils ont fait le lien entre le décès et le vaccin quand ils ont rendu visite à un autre cousin, dont un proche est aussi décédé dans des circonstances similaires après avoir reçu le vaccin. Krista : elle a déclaré qu’elle connaissait au moins trois personnes décédées peu de temps après avoir été vaccinées.

Maximilien : il connaît un homme de 37 ans qui a été vacciné et est décédé d’un anévrisme cérébral huit jours après avoir reçu le vaccin.

Richard : la fille de 12 ans de son collègue a eu besoin de services médicaux d’urgence lorsqu’elle s’est effondrée une heure après avoir reçu sa deuxième injection.

Jessica : sa mère a subi une crise cardiaque quatre jours après avoir été vaccinée et elle a maintenant un caillot de sang dans les poumons. Quand les médias donnent la parole à la population, on se rend alors compte que la situation est beaucoup moins rassurante que ce qu’on nous dit.

En conclusion, chacun doit informer !

Même si vos proches vont bien, tant mieux, mais les victimes sont nombreuses dès ces effets à court terme et il ne faut pas les oublier, comme on passe à côté de SDF sans les voir… une personne sans cancer n’a jamais prouvé que d’autres n’en aient pas… pour les témoins de l’innocuité du vax, moi je vais bien !

Ce massacre doit cesser maintenant. Les politiques doivent y contribuer, comme les députés européens. Sinon, nous ne pourrons jamais leur faire confiance. Est-ce si difficile à comprendre ?

Et comme les médecins et scientifiques chercheurs qui ont osé parler, ils auront peut-être dans l’immédiat des ennuis, le refus des chaînes de les recevoir, des calomnies, des campagnes de diffamation, et seront traités de complotistes, d’antisémites ou d’extrême droite, etc.

Mais le peuple leur sera vite reconnaissant, car malheureusement à neuf mois du début de l’injection génique, les conséquences s’accumulent et deviennent de plus en plus visibles. ALERTEZ !

Quant à nos députés et sénateurs amenés à voter pour ou contre la prolongation de l’état d’urgence, et maintenant contre l’avis de nombreux députés européens, il faut les joindre, leur donner tous ces éléments qui leur ont été cachés par le pouvoir et singulièrement Olivier Véran qui ose nier les morts de l’injection.(([10] Lettre ouverte à Mmes Mrs les Sénateurs et Députés, adressée par N et G Delépine médecins cancérologues — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Comment imaginer de tels mensonges en séance parlementaire et pourtant nous avions été prévenus par les affirmations « les yeux dans les yeux » de Jérôme Cahuzac et bien pire encore de Collins Powell et les armes de destruction massive en Irak qui vient de décéder de Covid malgré ses deux injections, etc.

Alors oui ils mentent. Nous savons. Ils savent !

« Nous savons qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent, et ils continuent à nous mentir. »

Alexandre Soljénitsyne (L’Archipel du Goulag)





Mathématiques et Enseignement : entre état des lieux et état d’urgence

Par Karen Brandin

Quel que soit le chemin qui nous aura finalement conduit un jour à nous présenter devant un parterre d’élèves avec l’envie, l’espoir, le devoir, la responsabilité toujours de transmettre de manière motivée et loyale un peu de mathématiques, nous avons tous à un moment emprunté de manière joyeuse souvent, douloureuse parfois, celui escarpé de l’algèbre. On a alors forcément croisé la route de la notion de groupe tout d’abord ; un enfant terrible, un peu insaisissable, à l’origine d’une théorie aussi difficile que riche, et qu’étudiante je trouvais redoutable parce « qu’instable ».

Dans un groupe, on se rassemble bien sûr par « caractères », par « classes d’équivalence », mais tout en gardant son identité et une certaine indépendance aussi. Il peut donc y avoir des tensions, car après tout, il n’y a qu’une loi interne pour régir l’ensemble.

Quand nous avons ensuite abordé la notion d’anneaux, je me souviens avoir été soulagée. On avait rigidifié le cadre ; c’était un peu comme si l’on avait ajouté un angle à une figure et avec lui, la possibilité nouvelle de se réfugier en cas de menace. Avec l’anneau, qu’il soit factoriel, principal ou noethérien, on devinait les prémisses d’une structure « idéale. »

Sont ensuite venus, dans cette maladroite esquisse d’une hiérarchie algébrique aussi partielle qu’imparfaite, les corps. De nombres ou de fonctions, on pouvait les étendre, les décomposer, mais dans tous les cas, on avait à faire à une structure stable, fiable, sur laquelle on pouvait s’appuyer ; une structure garante d’une certaine homogénéité.

Si j’évoque en préambule ces notions si peu présentes au lycée ou alors seulement en filigrane, c’est parce que l’on parle bel et bien du « Corps enseignant », du « Corps professoral » et que cela suggère peut-être qu’il est plus que temps de renouer avec la volonté, le courage, mais aussi une forme de solidarité intra et interdisciplinaire. Car en plus de masquer durablement les visages, les sourires et les expressions, la crise dite sanitaire, désormais suivie d’une vigilance du même nom, camoufle une entreprise de destruction massive contre laquelle il est urgent de se dresser : celle de l’éducation.

En conséquence, si l’on comprend difficilement ce qui pourrait justifier la prolongation d’un état d’urgence sanitaire, on souscrit en revanche sans réserve à un état d’urgence de l’école comme de l’hôpital, deux zones désormais sinistrées.

On nous avait prévenus : « Nous sommes en guerre, en guerre contre un ennemi invisible. » Cette guerre des mots, des idées, de la parole libre et éclairée brutalise les Corps forcément, menace de les disloquer.

Voici donc un nouvel appel à une résistance active, un appel à « faire corps » pour « faire sens » puisqu’il est urgent de protéger une discipline qu’à force de regarder agoniser, on va finir pour mettre en bière, mais cette fois sans l’humour et le talent tant regretté du groupe Bourbaki au moment de la publication de leur inoubliable faire-part de décès. Un canular à lire, à relire absolument alors que quelques mois à peine nous séparent de l’édition de « Récoltes et Semailles » d’A. Grothendieck annoncée chez Gallimard pour janvier 2022.

Cette tribune militante, engagée sans doute, n’a pas la prétention d’être exhaustive ; d’autres avant et avec moi se sont inquiétés de la tentation d’une forme de désinstruction, voire de déconstruction des savoirs et des êtres. Il s’agit avant tout d’une invitation aux enseignants, notamment issus de l’éducation nationale, à se mobiliser tout d’abord contre l’aberration d’une épreuve de spécialité prévue au mois de mars qui empêche d’aborder sereinement et de manière équilibrée, motivée aussi, les différentes parties d’un programme aussi hétérogène qu’ambitieux. Cette échéance doit être repoussée au mois de mai au plus tôt. Enseigner n’est pas associable à un processus de gavage, car d’un gavage, on ressort écoeuré, mais certainement pas instruit.

Parce que le temps presse, les profs doivent absolument sortir de leur mutisme et s’emparer à voix haute du débat, l’alimenter de sorte de construire une réflexion étoffée en plus d’un plaidoyer argumenté pour un enseignement de qualité, à la mesure tout simplement de celui que l’on a parfois eu la chance de recevoir et que l’on souhaite légitimement, à notre tour, dispenser. Je compte donc sur l’APMEP (([1] APMEP : Association des Profs de Maths de l’Enseignement Public)) et sur la SMF (([2] SMF : Société Mathématique de France)) dont on connaît l’engagement, pour soutenir cette requête.

Il conviendra aussi dans un second temps de se pencher sur la pertinence desdits programmes, notamment dans le cadre du lycée. Comme d’autres j’imagine, je serais curieuse de comprendre ce qui a pu motiver en terminale, la réintégration d’un chapitre sur les méthodes de dénombrement quand cet outil n’est finalement pas appliqué aux calculs des probabilités (ou si peu, avec la loi binomiale enseignée en classe de première il y a de cela deux ans). Pourquoi et comment a-t-on pu estimer que le chapitre pourtant fondamental des nombres complexes n’avait plus sa place dans le socle de spécialité, mais seulement dans le cadre de l’option facultative des maths dites « expertes ? » Pourquoi avoir réintroduit la notion d’équations différentielles du premier ordre, ce qui laisserait penser à une orientation vers des outils de maths appliquées, pour se séparer dans le même temps des lois continues dont l’étude de la loi normale si présente en médecine et en économie (cette loi associée à la fameuse courbe en cloche, la gaussienne, désormais si familière aux Français, covid oblige) ? Pourquoi lui avoir préféré l’inégalité de Bienaymé-Tchebychev, un outil difficile à appréhender si bien que l’on se retrouve réduit à des applications naïves qui produisent des résultats qui le sont tout autant avec des majorations souvent grossières ? S’il y a dans ces choix une motivation pédagogique, je ne la comprends pas. Que les enseignants des classes préparatoires notamment, ces observateurs en première ligne, n’hésitent pas à nous communiquer leur ressenti ainsi que les universitaires dont les retours sont encore trop timides.

André Revuz, dans les années 80, se posait déjà une question qui allait devenir le titre d’un magnifique ouvrage d’une intelligence et d’une pertinence intemporelle et qui forcent l’admiration, question plus que jamais d’actualité : « Est-il impossible d’enseigner les maths ? »

Avait-il seulement imaginé que cette discipline serait un jour considérée comme secondaire et reléguée sans émotion au rang d’option, les si mal nommées : « spécialités » ? Nous y reviendrons.

On est à un moment charnière, précipité par une réforme tellement aberrante qu’elle en serait presque risible si les conséquences n’étaient pas dramatiques ; un moment où l’on se demande si les maths ont encore un avenir en France ou si l’on finira par simplement les tolérer en les associant aux caprices de quelques originaux parqués au fond d’un couloir. À moins qu’on ne les réduise à des compétences strictement numériques, les maths « utiles » du digital. Depuis quelques mois d’ailleurs, elles sont trop souvent réduites voire assimilées aux entreprises, à bien des titres contestables, de modélisation. Un point de vue pour le moins réducteur.

Bien entendu, chaque début d’année est l’occasion de dresser un cahier de doléances pour ne pas dire de lamentations face aux dommages causés par un été mathématiquement meurtrier. Mais pour travailler avec des élèves de première et de terminale essentiellement depuis plus de quinze ans dans des contextes variés, force est de constater que je n’ai jamais observé avec cette intensité, une telle détresse en matière de compréhension, et ce, que les élèves soient issus de lycées privés réputés prestigieux ou de structures publiques ; c’est à dire qu’ils aient été soumis ou pas l’an dernier à ce régime absurde en plus d’être inégalitaire, de demi-jauge.

On a désormais le sentiment douloureux d’être réduits à dispenser un enseignement d’urgence, quelque chose comme les premiers secours pour parer au plus pressé en évitant l’hémorragie fatale à quelques heures du devoir surveillé, mais rien de réellement abouti qui garantirait la satisfaction d’un travail bien fait, c’est-à-dire, durable. À cette urgence, est associée une forme de maltraitance, au sens littéral de : « traiter mal, » qu’il s’agisse des élèves ou de la discipline avec un corollaire immédiat : le mal-être, la culpabilité de l’enseignant. Donc non, la fuite des profs ne saurait être réduite à des arguments strictement comptables que l’on pourrait imaginer juguler par une simple augmentation de salaire. Le malaise, puisqu’il existe, est bien plus profond et plus dense. Il faudra un jour comprendre que l’on ne peut pas tout chiffrer. Alors bien sûr, on dit : « le temps, c’est de l’argent » ; si la réciproque est vraie, alors les profs ont besoin d’argent parce qu’ils ont besoin de temps et les élèves aussi.

Il faut bien avouer que prof de maths est désormais sur un siège éjectable, car sa discipline a été reconnue, décrétée, « non essentielle » si l’on se réfère à un vocabulaire qui nous est désormais familier. Il n’a plus d’autres choix pour attirer les élèves dans son cours et surtout les convaincre de rester, que de se transformer en une sorte de VRP et de consentir par la même occasion à un certain nombre de concessions quitte à s’arranger un peu avec la réalité pour la rendre plus attractive, plus « vendeuse » (on pense aux notes largement ajustées, au programme libre d’interprétation).

Dans le lycée start-up de Blanquer, le client-élève est roi et il le sait. Concrètement, « maths expertes » ou « matelas-confort », même combat. Vous essayez le produit durant 30 jours et s’il ne vous convient pas, vous avez jusqu’au 30 novembre pour vous désister après acceptation de votre requête auprès du proviseur. Une formalité si j’en crois mon expérience. « Satisfait ou remboursé » en quelque sorte. Certains en rêvaient, Blanquer l’a fait. L’élève est désormais un consommateur en fin de chaîne, encouragé à choisir ses options par opportunisme, c’est-à-dire en en évaluant la rentabilité notamment au regard du redoutable et insondable Parcoursup, le côté décidément obscur de la force. À la manière du gouvernement, le jeune gère un risque, un risque seulement d’une autre nature que pénal. Pour le moment…

Il serait trop long de revenir sur l’imposture du Grand Oral qui a été dénoncée à de nombreuses reprises par des collègues de philosophie notamment ; en réalité, le simple nom un peu trop « ronflant » de ce simulacre d’épreuve suscite naturellement inquiétude et méfiance. Il s’agit du bac option « force de vente » à tous les étages ; on teste durant quelques minutes l’éloquence de l’élève, paraît-il, ou plutôt sa capacité à faire un peu de tout avec beaucoup de rien.

Pendant que ce temps commercial s’écoule lentement, on est face à un illettrisme mathématique grandissant. Les lacunes ont atteint un tel seuil dans une discipline qui se construit par strates, une discipline faite de correspondances que l’on sort de cours presque hagard tant il faut déployer d’énergie pour tenter de donner ne serait-ce qu’un peu de recul aux élèves, espérant ainsi les soulager. On a toujours dans un coin de la tête cette phrase de Nicolas Boileau : « Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement ». Reste que l’on ne parvient notamment plus en terminale à convaincre nos jeunes que les questions d’un exercice sont autant de bribes, autant de personnages d’une histoire dont il s’agit simplement de respecter le déroulement, le fil conducteur. Que les questions ne sont ni gratuites ni indépendantes en général. Qu’il faut se saisir du : « en déduire » qui débute une phrase parce qu’il est en soi une partie de la réponse à venir et qu’il est primordial de se saisir de ce tremplin…

Parce qu’ils ne savent plus vraiment lire, plus vraiment écrire non plus et qu’ils n’ont plus de connecteurs logiques à leur disposition, les élèves sont trop souvent incapables de construire un raisonnement indépendant et argumenté. On parvient tout au plus à déclencher chez eux des réflexes, des automatismes régis par les circuits courts de la récompense, à grand renfort d’exercices types qu’ils reproduisent inlassablement sans passion et sans haine, mais surtout, sans jamais aiguiser leur esprit critique. C’est pour nous, enseignants, les prémisses de l’échec.

Mais qu’importe finalement puisqu’à chaque élève, on est juste tenus d’associer un camembert (un diagramme circulaire, retour dans le monde merveilleux de marketing) qui rend compte d’un coup d’œil (code couleur oblige) des acquis et des faiblesses suivant les séquences.

C’est bien là ce que l’on nous présente, avec l’introduction des neurosciences à l’école couplées à la troublante « pédagogie inversée, » comme la Rolls-Royce de l’enseignement : le fameux enseignement personnalisé, celui des capsules et des bilans de compétences. Celui des profils et des pronostics aussi.

Il faut bien comprendre qu’en maths, on est dépendants de la maîtrise de la langue ; c’est une discipline d’expression avec sa ponctuation et sa grammaire. Une langue pour nous tous (ou presque) étrangère bien sûr, mais qu’à force de pratiquer, on a des chances de parler assez correctement. Suffisamment en tout cas, pour se faire comprendre et être compris en retour. Toujours est-il que l’on a besoin du : « mais, ou, et, donc, or, ni, car » si cher au primaire et aux exercices de Bled de mon enfance. Ce sont ces mots « minuscules » qui permettent d’articuler le raisonnement, en lui donnant sa cohérence et sa consistance.

Dans une phrase mathématique, il y a une action, une sorte de verbe (=, ≤, ≥, 6= ) que la plupart des élèves ne repèrent plus si bien que l’on est sans cesse contraints, tentés, de reformuler les questions pour qu’ils parviennent enfin à se les approprier. Si seulement ils cherchaient à comprendre plutôt qu’à reconnaître, plutôt qu’à se souvenir… Si seulement, ils osaient de nouveau prendre leur raisonnement en main.

Les mots qui devraient tant les aider à se repérer, à se raccrocher, les déroutent au contraire. Je prends souvent l’exemple des suites auxiliaires, ces suites au service d’une suite-mère dont l’étude pose quelques problèmes puisqu’elle ne tombe pas sous la coupe des suites simples à savoir, les suites arithmétiques ou géométriques. Comment est-il possible que le parallèle pourtant naturel avec une auxiliaire de vie qui vient vous seconder dans les tâches quotidiennes ne les aide pas à comprendre la philosophie de ce type d’énoncés ?

Autre exemple, la relation de Chasles rapidement évoquée dans les prémisses du chapitre de géométrie dans l’espace avec la notion de vecteurs coplanaires. Là encore, quand on évoque, pour les aider à s’approprier la notion, les mots de : « copropriété, codirection, colocation », ils vous rétorquent qu’ils ne voient pas le rapport ! J’ai des terminales, assez brillants au demeurant, qui m’écrivent tranquillement, pas une fois, mais bien à dix reprises :

Je rappelle que cet outil très intuitif était au programme du brevet des collèges il y a encore une dizaine d’années. Quand vous leur dites : « Donc si tu fais le trajet Antibes-Bordeaux, tu penses que tu pars de Marseille ou bien que tu peux faire, si tu le souhaites, une escale à Marseille ? » Et le gamin de répondre : « vu comme çà c’est évident, mais d’habitude, les maths ne veulent rien dire donc… »

Ce matin encore, pour prouver que trois points de l’espace formaient un plan, j’ai un élève qui envisageait de prouver que ces derniers étaient coplanaires. Pour plaisanter un peu, je lui demande alors : « je voudrais bien que tu me prouves s’il te plaît que les points A et B sont alignés… !

Les maths pour cette génération, ça ne se comprend pas ; ça se retient et encore, pas longtemps. C’est un peu magique finalement ; il faut avoir un don, être fait pour ça comme ils disent. Quand on ne comprend pas, c’est la fatalité en quelque sorte et on n’y peut rien !

Les outils fondamentaux normalement vus au collège ne sont plus jamais acquis ; qu’il s’agisse des fractions, des propriétés des puissances, de celles des racines carrées ou encore de la factorisation, sans parler des identités remarquables devenues une exigence digne de Normale Sup à écouter les élèves. On paie au prix fort l’application aux maths d’une sorte de méthode globale au lieu d’avoir conservé la bonne vieille méthode syllabique basée sur la compréhension.

Ils retiennent que diviser par 0, 1 revient à multiplier par 10, mais ils ne savent pas pourquoi. Ce qui est grave, c’est que de ne pas comprendre ne leur manque pas ou plus. Ils délèguent aussi facilement qu’ils abdiquent et s’en remettent malheureusement complètement à nous. Il faudrait “les repousser” d’une certaine manière pour leur rendre leur autonomie. On rencontre des erreurs réellement grossières qu’ils devraient être en mesure de corriger d’eux-mêmes, simplement via des arguments de bon sens dont ils sont largement capables. Mais pour cela, il faudrait encore qu’ils acceptent de s’immerger dans les énoncés.

Ci-dessous, une galerie d’art non soumise au pass sanitaire ; une sorte de chambre des curiosités extraite de mon, de notre quotidien. “Parce qu’il faut rire de tout avant que d’en pleurer”, que mes élèves soient chaleureusement remerciés pour leur extraordinaire… créativité :

Or la concentration est désormais vécue comme une sorte de vertige, de saut dans l’inconnu ; elle revêt un caractère inquiétant même, car elle semble avoir pour but de les isoler, de les éloigner de leur tribu. Combien de notifications loupées pendant que je planchais sur cet exercice ? On retrouve ici la fameuse balance : “bénéfices/risques.”

C’est ainsi que ce temps consacré à la réflexion, ce temps “calme” bien plus que “mort”, est associé à du temps perdu. En première, puisque j’évoque les fractions, j’ai vu en septembre le “calcul” suivant :

Pour cet élève de seize ans, tout à fait standard au demeurant, quand vous avez deux moitiés de pomme, vous avez… une demi-pomme. Et oui. Pas besoin des neurosciences pour comprendre que chez certains élèves, le 2 de x = 2 n’est pas le 2 de “deux pommes”.

Pour ne rien arranger, il y a chez cette génération une addiction aux raccourcis, une dépendance à l’immédiateté que l’on a, sinon crée, du moins entretenue à grand renfort de QCM. Cette manière synthétique et très artificielle d’évaluer les élèves contre laquelle je ne cesse de m’insurger, a pour conséquence qu’il est désormais nécessaire de déployer les grands moyens pour restaurer l’envie d’une rédaction soigneuse, rigoureuse et précise. Le déconditionnement est assez douloureux en plus d’être incertain.

Les explications, estimées fleuves, les étouffent. “TROP DE MOTS”, disent-ils. Ou encore : “Il faut vraiment écrire tout çà ?” en espérant négocier une remise de peine d’une ligne ou deux. Il faut d’ailleurs reconnaître que lorsqu’ils communiquent entre eux ou avec nous par messages, ils en décuplent le nombre comme s’il était désormais nécessaire pour assimiler une information ou bien la transmettre, de la démembrer, de la disséquer.

Ce qui est incohérent, voire paradoxal, c’est que ces mêmes élèves rétifs aux phrases sont souvent terriblement réfractaires au langage algorithmique qui aurait a priori tout pour les séduire. Était-il donc si urgent d’investir (je n’ose pas dire : “contaminer”) le cours de maths par des séances de Python quand la plupart des élèves ne connaissent ni le sens du mot “hypothèse” ni celui du mot “conjecture” à presque 18 ans ? Rien n’est moins sûr.

On constate enfin une résistance à l’effort très dégradée et en même temps une forme de crédulité, de passivité surtout, teintée d’indifférence qui doit nous alerter, car notre but est bien de participer à l’émancipation intellectuelle de ces jeunes. On ne souhaite en faire des matheux à tout prix, mais seulement des citoyens libres, capables si besoin de démonter, de repérer un argumentaire fallacieux. Ils assistent trop souvent au cours en zombie, réduits à l’état de scribes. J’ai en tête un exemple récent d’un élève de terminale dont je consultais le cahier de cours et notamment le chapitre concernant les limites de suites. Au moment de produire les énoncés relatifs aux théorèmes des “Gendarmes” et de comparaison, je me rends compte que le lycéen, parce qu’il y voyait mal au tableau, avait remplacé tous les termes vn par √n !!!! Comment peut-on en arriver à un tel degré d’incompréhension alors qu’il s’agit là encore d’énoncés très intuitifs (jusqu’au nom qui est très imagé et ne fait d’ailleurs pas l’unanimité). Il s’agit aussi de les déconditionner de l’ambiance délétère des derniers mois qui, sans état d’âme, a associé le doute nécessaire, le doute légitime, à une forme de complotisme.

Pour clore ce long, trop long billet, je vais suivre la voie de l’humour, celle de la dérision en même temps que les conseils d’une amie cancérologue qui m’encourage toujours à témoigner, à revenir à des cas concrets. “C’est ce qui intéresse les gens”, me dit-elle.

Faute de témoignages pertinents, je vais entreprendre en revanche de rassurer les jeunes collègues qui n’auraient pas été aussi attentifs que nécessaire lors des précieux cours dispensés à l’INSPE (autrefois, l’IUFM) pour gérer au mieux une classe. Ne vous inquiétez pas ; rien n’est perdu, bien au contraire, car nous disposons grâce à ce gouvernement, cet État-care bien décidé à combler nos moindres désirs et à anticiper chacune de nos inquiétudes, de séances de travaux pratiques hebdomadaires.

J’ai nommé : les séances à l’Assemblée Nationale avec un maître de stage incontesté, que le monde entier nous envie : Olivier Véran. On pourra se reporter aux séances hautement instructives des 19 et 20 octobre 2021. Première règle : jauger (voire juger ; l’œil acéré d’un neurologue aide bien sûr) l’auditoire. Autrement dit, intégrer le douloureux principe de réalité selon lequel cette année encore, vous n’êtes pas face à des lumières. Oh que non… ! Mais que voulez-vous ? Chacun sa croix.

Ne pas hésiter à parcourir l’amphi, fût-il clairsemé, d’un regard oscillant entre résignation, suffisance et accablement avant de se lancer dans l’arène,

fougueusement en entreprenant un monologue aussi inintelligible que possible, ce qui nécessite une élocution assez rapide en plus d’une aptitude à l’apnée que vous seriez bien inspirés de développer. Le but est d’éviter au maximum les questions. Que l’adhésion à vos propos soit par la suite extorquée ou consentie, peu importe. On ne va pas jouer sur les mots/maux.

Malheureusement, il y a dans toutes les classes des élèves terriblement lents comme ce député, peu coutumier d’internet, qui ne parvenait pas à trouver sur le site de l’agence européenne du médicament, la description et le report des effets secondaires incombables au vaccin (vaccin dans un sens à préciser, puisque “non pasteurien”). Mais il faut aussi et surtout compter avec les fortes têtes du type F. Ruffin, la réincarnation du redouté élève Ducobu bien connu des bédéphiles. Toujours au fond de la classe, tripotant son masque et adepte d’un humour douteux, avec des questions plein le cartable et qui n’en finit pas de discuter avec son voisin alors même que le prof s’exprime. Bref, cet élève, c’est votre défi. Vous noterez en conséquence, avant de vous en inspirer bien sûr, l’agilité et l’extrême patience dont on a fait preuve O. Véran face à cet élément perturbateur. On peut même parler de bienveillance, ce mot devenu un concept, si cher à J. M. Blanquer. Toujours très pédagogue, serein même, le ministre de la Santé et des Solidarités (et oui, on ne s’y fait pas…) l’a gentiment rappelé à l’ordre en prenant soin de préciser qu’il ne répéterait pas l’explication en cas de récidive.

Il n’y a pas à dire : “une main de fer dans un gant de velours”… Une main de fer surtout. Car c’est çà la réalité et “si vous ne voulez pas l’entendre, sortez d’ici.”

En attendant, restons groupés. “L’orage aussi peut conduire au port” disait Jean-François Senault alors gardons espoir.

Karen Brandin




Choc : un médecin critique de Corona de la première heure, se suicide tragiquement

Par Christine Côte

[Illustration : Bild: Dr. Jens Bengen; Hintergrund: freepic @Dragana_Gordic]

J’ai traduit cet article en français, surtout pour un parent allopathe (et vaXXinator) qui s’est méchamment réjoui l’année dernière du suicide d’un homéopathe de sa région, qui avait été harcelé et traîné dans la boue par les merdias après avoir perdu UN patient échoué chez lui en phase terminale. (En France, que je sache, tous les médecins homéopathes sont obligés de faire les études allopathiques et font donc les études d’homéopathie, EN PLUS.

L’on sait qu’à peine 10% des victimes de la chimio”thérapie” survivent. Selon le Dr. Coldwell, ce ne seraient que 2%. 

Je pense donc que cette nouvelle lui fera grand plaisir également.

Après une répression brutale, un médecin critique s’est donné la mort.

Les enfants se suicident, les médecins honnêtes se suicident, les artistes, les pères de famille, les mères, les petits entrepreneurs, les policiers, les infirmières se suicident, les personnes âgées se laissent mourir… et ils prétendent « se préoccuper pour notre santé » ? 

Merci Dr Bengen pour votre engagement et votre courage, et nous espérons que vous n’êtes pas mort en vain…


https://report24.news/schock-corona-kritscher-arzt-der-ersten-stunde-beging-tragisch-selbstmord/

Le Dr Jens Bengen a été l’un des premiers médecins à critiquer le battage médiatique autour de Corona. Il est allé au fond des choses et les a expliquées à un large public via sa chaîne « Sword of Truth ». Le 26 mai, Bengen ne voit plus d’issue pour lui-même, ou peut-être pour l’ensemble de la société. Il choisit le suicide, laissant derrière lui un grand trou sombre. Les Résistants sont choqués, horrifiés et exhortent les responsables à réaliser enfin ce qu’ils font par leurs actions.

Le Dr Bengen est arrivé très tôt à la conclusion qu’il s’agissait d’une fausse pandémie. Les histoires officielles ne collaient pas, les hôpitaux étaient vides. Il a adopté le point de vue bien documenté selon lequel les masques faciaux n’offraient aucune protection contre un virus qui n’était de toute façon pas plus dangereux que la grippe annuelle. Bengen a tenté sans relâche d’éduquer le public et a produit de nombreuses vidéos, notamment sur la chaîne YouTube « Sword of Truth » (L’épé de la vérité). 

https://twitter.com/rebew_lexa/status/1398259675305418754?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1398259675305418754%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Freport24.news%2Fschock-corona-kritscher-arzt-der-ersten-stunde-beging-tragisch-selbstmord%2F

Les médias du système avec leur harcèlement incessant, sont indiscutablement complices. De nombreux médias grand public se sont acharnés sur le médecin résistant et ont contribué à son désespoir ultime par leur constante incitation à la haine. On ne peut même pas s’attendre  à ce qu’un seul des journalistes fidèles au système ait honte de ce qu’il ait fait. 

HNA.de : Le médecin de Trendelburg est une star pour les sceptiques de la couronne et les “complotistes”.




Évaluer l’immunité naturelle anti-Covid : sérologie, immunité cellulaire

[Source : AIMSIB]

Par Hélène Banoun, alias Emma Kahn

Résumé
– Il est important d’évaluer l’immunité naturelle contre la Covid-19 : elle est plus solide, plus durable et de meilleure qualité que l’immunité vaccinale
Seule l’immunité adaptative humorale (anticorps) ou cellulaire peut être évaluée ; l’immunité innée n’est pas mesurable. La sérologie est seule pratiquée en routine, c’est la mesure du taux d’anticorps. La mesure du taux d’anticorps conduit à une sous estimation de la séroprévalence qui est pourtant déjà élevée et supérieure à 50% de la population dans la plupart des pays. Les tests sont conçus par rapport à la souche isolée en 2019 en Chine et l’étalonnage se fait par rapport à du sang de convalescents prélevé avant juin 2020.
Il existe une grande hétérogénéité des tests commerciaux disponibles. Un pourcentage important de la population infectée peut présenter une sérologie négative dans les mois suivant l’infection. La recherche de l’immunité cellulaire pourrait éliminer ces faux négatifs mais elle n’est pas applicable en routine et coûte cher.

Introduction

J’ai récemment montré que l’immunité naturelle à la Covid-19 (suite à une infection) était plus solide, plus durable et de meilleure qualité que l’immunité vaccinale (1) Les raisons en ont été exposées récemment par Sonigo et al (2). Avant l’introduction de la 3è dose, les autorités françaises conseillaient une seule dose de vaccin pour les personnes déjà immunisées naturellement (3). Pour l’instant la HAS ne prend pas position sur la nécessité d’une seconde dose chez les personnes ayant déjà été infectées par la Covid  (4) Il est donc important d’évaluer les méthodes de mesure de l’immunité naturelle acquise après infection. Mais les personnes en bonne santé peuvent aussi éliminer un virus grâce à leur immunité innée non spécifique : on ne sait pas évaluer cette immunité et il se peut que chez ces personnes aucune trace de leur rencontre avec le virus ne soit facilement détectable. Dans la Covid, l’infection naturelle commence par les muqueuses du naso-pharynx qui sont un sanctuaire immunitaire (2). L’immunité innée à ce niveau peut suffire à éliminer les virus sans intervention importante de l’immunité adaptative et donc sans production importante d’anticorps spécifiques. De plus l’infection peut être combattue grâce à l’immunité croisée déjà acquise contre les coronavirus de rhume banal (5). L’immunité spécifique (adaptative) peut être évaluée par la mesure des anticorps circulants anti-SARS-CoV-2 et par la mesure de la mémoire cellulaire immune.

Rappel sur Immunité innée et immunité acquise

1- Immunité innée

 Ricci D et al., 2021, https://www.mdpi.com/1422-0067/22/13/7017 , Innate Immune Response to SARS-CoV-2 Infection: From Cells to Soluble Mediators

Ricci D et al., 2021, https://www.mdpi.com/1422-0067/22/13/7017 ,
Innate Immune Response to SARS-CoV-2 Infection: From Cells to Soluble Mediators

2- Immunité adaptative

Extraits d’une revue (7) : Le système immunitaire adaptatif prend le relais si le système immunitaire inné ne parvient pas à détruire les germes. Il cible spécifiquement le type de germe à l’origine de l’infection. Mais pour ce faire, il doit d’abord identifier le germe. Cela signifie qu’il est plus lent à réagir que le système immunitaire inné, mais lorsqu’il le fait, il est plus précis. Il a également l’avantage de pouvoir se « souvenir » des germes, de sorte que la prochaine fois qu’un germe connu est rencontré, le système immunitaire adaptatif peut réagir plus rapidement.

Grâce à cette mémoire, certaines maladies ne peuvent être contractées qu’une seule fois dans la vie : Le système immunitaire adaptatif met quelques jours (maximum 14 jours concernant la Covid) à réagir la première fois qu’il entre en contact avec le germe, mais la fois suivante, le corps peut réagir immédiatement. La deuxième infection n’est alors généralement même pas remarquée, ou du moins elle est moins grave.

Le système immunitaire adaptatif repose sur les lymphocytes T, les lymphocytes B et les anticorps présents dans le sang et les autres fluides corporels.

Les cellules de l’immunité innée et de l’immunité adaptative

-Les lymphocytes T ( appelés T car ils ont été découverts dans le thymus) sont produits dans la moelle osseuse, puis se déplacent vers le thymus par la circulation sanguine, où ils arrivent à maturité.

Les cellules T ont trois fonctions principales :
Elles utilisent des molécules pour activer d’autres cellules du système immunitaire qui vont lancer le système immunitaire adaptatif (cellules T auxiliaires).
Elles détectent les cellules infectées par des virus ou les cellules tumorales et les détruisent (cellules T cytotoxiques).
Certaines cellules T auxiliaires deviennent des cellules T à mémoire après que l’infection a été vaincue. Elles peuvent « se souvenir » des germes qui ont été vaincus et sont alors prêtes à activer rapidement le système immunitaire adapté en cas de nouvelle infection.

Les cellules T possèdent des caractéristiques de détection sur leurs surfaces qui peuvent s’attacher aux germes. Le système immunitaire peut produire en quelques jours un type de cellule T correspondant à chaque germe présent dans une infection.
Ensuite, si un germe se fixe sur un lymphocyte T correspondant, ce dernier commence à se multiplier, créant ainsi d’autres lymphocytes T spécialisés dans ce germe. Comme seules les cellules qui correspondent au germe se multiplient, la réponse immunitaire est spécifique.

-Les lymphocytes B (cellules B) sont fabriqués dans la moelle osseuse et y mûrissent pour devenir des cellules spécialisées du système immunitaire. Ils tirent leur nom du « B » de « bourse de Fabricius », un organe que seuls possèdent les oiseaux et chez qui ils ont été découverts.

Les cellules B sont activées par les cellules T auxiliaires. Elles se multiplient alors et se transforment en plasmocytes. Ces plasmocytes produisent rapidement de très grandes quantités d’anticorps et les libèrent dans le sang. Certaines des cellules B activées se transforment en cellules mémoire et font partie de la « mémoire » du système immunitaire adaptatif.

Les différentes cellules du système immunitaire adaptatif communiquent soit directement, soit par l’intermédiaire de molécules solubles tels que les cytokines (petites protéines).

-Les anticorps sont des glycoprotéines (composés formés de protéines et de sucres ou glucides) qui circulent dans le sang. Ils sont produits par les plasmocytes (cellules B) et sont spécifiques des antigènes des pathogènes auxquels ils se lient.

Sérologie ou mesure des anticorps circulants dans le sang

C’est la mesure des anticorps spécifiques produits contre le SARS-CoV-2, virus responsable de la Covid-19

Rappel, séroprévalence :
J’ai donné récemment (1) quelques mesures de séroprévalence (proportion de la population ayant des anticorps : 1/3 de la population au Kenya en novembre 2020, 25% en Inde en janvier 2021, 23% en France, 50% aux USA, 40% à Madagascar). Depuis de nouvelles données sont sorties :Tchéquie : 51% de séropositifs en février/mrs 2021, Estonie : 77% de positifs au 27 septembre 2021 (8). En Estonie, seuls les anticorps anti-N ont été mesurés et donc cette étude ne prend bien en compte que l’immunité naturelle (N n’est pas incluse dans le vaccin) et ne peut comptabiliser les anticorps induits par le vaccin.

Les tests disponibles

Il existe différentes techniques de détection des anticorps et tous les tests ne détectent pas des anticorps dirigés contre les mêmes antigènes du SARS-CoV-2 : en général il s’agit des anticorps dirigés contre la protéine S (spike), soit entière, soit seulement le RBD (domaine de liaison du récepteur), ou contre la nucléocapside N (protéine liée à l’ARN du virus).

Les réponses immunes des personnes ayant rencontré le virus sont très hétérogènes et certaines peuvent ne pas produire d’anticorps contre l’un ou l’autre des antigènes du virus. De plus les mutations des variants sont nombreuses sur le RBD de la spike, sur la spike entière et en moindre mesure sur la protéine N. Selon le variant auquel a été confronté le patient, les anticorps produits pourraient donc ne pas être détectés par certains tests sérologiques.

  • La HAS autorise 17 tests sérologiques (9).
  • La Commission Européenne recense 588 tests de recherche d’anticorps anti-Covid avec la marque CE et 158 sans marque CE (10).
  • Au 12 octobre 2021, la FDA autorise 89 tests (11)

L’OMS a rendu disponible un étalon international de référence pour le dosage des anticorps anti-SARS-CoV-2. (12). Mais il est obtenu à partir de sang de convalescents prélevés avant juin 2020, donc avant l’émergence des variants. Les sérums sont prélevés plus de 28 jours après le début des symptômes mais il n’est pas précisé la durée maximum après symptômes : il ne donnera pas d’indication sur les prélèvements effectués trop longtemps après l’infection.

La mesure des anticorps neutralisants est pratiquée sur des souches de 2020 et pourrait ne pas être reproductible avec les variants récents.
De très fortes variations apparaissent entre les laboratoires qui testent ces pools de sérums.
Aucun laboratoire français n’a participé à cette évaluation.
Pour le pool à taux faible, très peu de laboratoires utilisant des kits commerciaux ont donné un résultat quantitatif : la moyenne et la variabilité n’ont pu être calculées.
Pour toutes ces raisons, il est donc difficile de se fier aux résultats quantitatifs calculés à partir de cet étalon et rendus fin 2021, et surtout pour les taux faibles d’anticorps.

Évaluation des tests sérologiques

Les performances de ces tests sérologiques varient considérablement, certains tests étant loin de répondre aux critères de sensibilité et d’efficacité proposés par la FDA. En particulier, certains tests sérologiques ont montré que la sensibilité à un stade précoce de l’infection est beaucoup plus faible que celle à un stade avancé de l’infection. (13)
On trouvera dans un article de revue (14), la description complète de tous les tests sérologiques utilisés ainsi que toutes les causes nombreuses de faux positifs (en particulier chez des malades atteints de maladies auto-immunes) et faux négatifs.

Selon de récentes publications, le taux d’anticorps dépend de la sévérité de la maladie: Les convalescents ayant présenté une forme bénigne de Covid sont plus susceptibles d’avoir un taux d’IgG indétectable après plusieurs mois. (15) (16)

Ceci confirme ce qui avait déjà été publié en 2020 (5). Quelques études montrant la corrélation entre sévérité de la maladie et taux d’anticorps :

  • 40% des asymptomatiques sont séronégatifs,
  • 12,9% des symptomatiques aussi dans le début de la convalescence. (17)
  • Selon Wu F. et al., 2020, 30% des rétablis ont un taux faible d’anticorps. (18)
  • Selon Toh ZQ et al., 2021, une proportion plus faible d’enfants séroconvertit par rapport aux adultes [20/54 (37,0 %) contre 32/42 (76,2 %)]. (19). Ce phénomène n’est pas lié à la charge virale, qui est similaire chez les enfants et les adultes [Ct moyen 28,58 vs 24,14 ]. L’âge et le sexe n’ont pas non plus influencé la séroconversion ou l’ampleur de la réponse des anticorps chez les enfants ou les adultes. Chez les adultes (mais pas chez les enfants), les adultes symptomatiques présentaient des taux d’anticorps trois fois plus élevés que les adultes asymptomatiques. Des preuves d’immunité cellulaire ont été observées chez les adultes qui ont séroconverti mais pas chez les enfants qui ont séroconverti (mais on peut difficilement conclure étant donné le faible effectif observé).

Selon Lui W et al (20) la maladie clinique ne garantit pas la séroconversion et les laboratoires disposant de tests RT-PCR très sensibles sont plus susceptibles de détecter les non-répondants sérologiques. Ces résultats fournissent une explication à la variabilité déconcertante de la séroconversion dans les différentes cohortes. 36% de leur cohorte représentaient des non-répondants sérologiques.

Selon Masia M et al,  (21) 25 % des patients ont présenté des titres d’anticorps indétectables. (20) Les patients qui n’ont pas séroconverti présentaient des valeurs de seuil de cycle plus élevées pour la RT-PCR (38,0 contre 28,0 ), un délai plus court pour la clairance virale (3,0 contre 41,0) et étaient plus susceptibles d’avoir le SRAS-CoV-2 détecté uniquement sur des échantillons de selles. Les non-séroconvertis présentaient également des niveaux plus faibles de biomarqueurs inflammatoires sanguins à l’admission et une gravité moindre de la maladie. La sérologie a été effectuée pour les anticorps anti-S1 et anti-N.

Le résultat dépend du temps écoulé entre l’infection et le test sérologique :

Un pourcentage important de la population infectée peut présenter une sérologie négative dans les mois suivant l’infection et la réponse sérologique des IgG aux cibles du SARS-CoV-2 est hétérogène ; ces cibles sont : la protéine spike et la protéine N (nucléocapside). Il y a hétérogénéité de réponse selon les patients et pas seulement selon la gravité de l’infection. (15)

Selon une étude internationale de mars 2021 (22), un an après les symptômes, 36% des IgG anti-S seulement persistent, 31% des IgG anti RBD,et 7% des IgG anti-N persistent; les IgM et IgA disparaissent rapidement. Une modélisation permet d’étendre la durée d’observation de 1 an maximum jusqu’à 2 ans :

Au bout de 6 mois, à peine la moitié (55% ) des IgG anti spike persistent, 36% persistent 12 mois et 16% 24 mois. Moins de la moitié des autres anticorps détectés 15 jours après l’infection persistent (que ce soient les IgG anti RBD, antiN, IgM antiS, RBD ou antiN, IgA anti S, RBD et N)

Un des meilleurs tests selon une équipe française (23) serait le test chinois Wantai dosant les anticorps totaux (IgG, IgM anti RBD de spike) : (24)
C’est un des tests les plus sensibles et spécifiques d’après le fabricant Bioscience. (25)

Les tests les plus utilisés détectent des antigènes différents avec des sensibilités et des spécificités différentes : Selon une étude européenne, on note des différences substantielles de sensibilité et de spécificité selon les laboratoires et selon que les réactifs sont certifiés ou non, le manque d’harmonisation est très net. (26)

Selon une étude canadienne, seul un test commercial s’approche des standards exigés par Health Canada (16)

Les tests ont été conçus à partir des antigènes de la souche de référence isolée à Wuhan en 2019
Depuis, le virus a énormément muté et certains antigènes des variants circulants actuellement pourraient induire la synthèse d’anticorps non reconnus par les tests sérologiques, problème évoqué par Banoun (27). Certains tests pourraient donner des faux négatifs chez les personnes infectées par des variants éloignés : cette éventualité est soulignée par la FDA mais ne semble pas encore évaluée à ce jour (28).

Selon un récent rapport britannique (29), la séroprevalence mesurée par le test Roche anti-N donne un maximum de 25 à 30% de séropositivité selon les régions et les âges. Ce rapport note l’affaiblissement de la réponse des anticorps N au fil du temps. Les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les individus qui contractent l’infection après deux doses de vaccination, comme expliqué précédemment (1) la vaccination peut endommager la capacité du système immunitaire à répondre à l’infection.

De juin à septembre 2021, le profil des niveaux d’anticorps dans ces cohortes diminue progressivement, ce qui correspond à un déclin. Au début de la campagne de vaccination en décembre, les taux d’anticorps se situaient généralement dans une fourchette de 0,8 à 1 000 UA/ml, alors qu’après la vaccination, les taux d’anticorps dépassent généralement 1 000 UA/ml. Les taux d’anticorps sont globalement plus élevés chez les personnes qui ont déjà été infectées ; on s’attend à ce que la vaccination après l’infection et la réinfection après la vaccination augmentent les taux d’anticorps existants.

L’idée actuelle est qu’il n’existe pas de niveau d’anticorps seuil offrant une protection totale contre l’infection, mais qu’au contraire, des niveaux d’anticorps plus élevés sont susceptibles d’être associés à une moindre probabilité d’infection.

Immunité cellulaire

C’est la recherche des cellules mémoires capables de reconnaître immédiatement le virus et de déclencher une réponse rapide Selon une étude française du CHU de Strasbourg (30), la sérologie (détection des anticorps spécifiques) pour détecter l’infection par le SARS-CoV-2 n’est absolument pas fiable : on observe une absence d’anticorps mais une solide immunité cellulaire chez des personnes pauci ou asymptomatiques.

Cette immunité cellulaire peut être évaluée par le test ELISpot ( interferon-gamma (IFN-γ) enzyme linked immunospot ) : dans cette étude, les cellules mononucléées du sang périphérique sont prélevées et stimulées avec un pool de peptides couvrant la protéine spike mais aussi les autres protéines structurales et non structurales du SARS-CoV-2. Ensuite la synthèse d’interféron γ par les cellules T stimulées a été mesurée. Des patients contacts de personnes modérément atteintes de Covid ont développé des symptômes du Covid. Ils sont séronégatifs mais présentent une immunité cellulaire contre le SARS-CoV-2.

Les sérologies ont été effectuées avec 3 tests différents (dont l’une utilisant la technique « lateral flow ») et les épitopes testés sont la nucléoproteine et la proteine spike du SARS-CoV-2

Donc la réponse cellulaire est plus sensible que la sérologie. Un contact asymptomatique développe aussi une réponse cellulaire. L’explication pourrait être que l’exposition à de faibles doses de virus pourrait induire une brève réplication du virus chez ces contacts : l’immunité innée pourrait faire avorter une réplication correcte du virus.Concernant la détection des personnes ayant été infectées par la Covid-19, la recherche d’anticorps conduit donc à une sous-estimation de l’exposition.

Un réactif britannique existe et a été évalué également : T-Spot.Covid de Oxford Immunotec Ltd  est disponible au Royaume Uni (32) il a été évalué par Public Health (Wyllie D et al., 2021) et par Kruse et al., 2021.

Conclusion

Avant l’institution de la troisième dose, les autorités de santé recommandaient de n’injecter qu’une seule dose de vaccin aux personnes déjà infectées; elles demandaient donc de faire une sérologie avant injection mais ceci n’était pas obligatoire. À ce jour aucune recommandation claire n’est émise concernant une éventuelle seconde dose pour les personnes déjà infectées.
La sérologie (mesure du taux d’anticorps spécifiques anti-SARS-CoV-2) donne des résultats hétérogènes selon les individus, le temps écoulé depuis l’infection, la sévérité des symptômes observés lors de l’infection, le réactif utilisé, le laboratoire effectuant l’analyse. Les taux faibles d’anticorps sont difficilement interprétables, elle n’est donc pas suffisante en cas de résultat négatif. Il est possible de mesurer l’immunité cellulaire spécifique anti-Covid mais ce test est cher et non remboursé.

Hélène Banoun
Octobre 2021

Notes et sources:

(1) Banoun, 2021a, Covid-19 : Immunité naturelle versus immunité vaccinale, Octobre 2021 https://www.researchgate.net/publication/354985184_Covid-19_Immunite_naturelle_versus_immunite_vaccinale
(2) Sonigo et al., 2021.17 SEPTEMBRE 2021 – FAUT-IL VACCINER CONTRE LA DÉTECTION PAR PCR OU CONTRE LA MALADIE COVID-19 ?, https://www.jle.com/fr/covid19-vacciner-contre-detection-par-PCR-ou-contre-maladie-covid19)
(3) HAS, 12 février 2021, https://www.has-sante.fr/jcms/p_3237456/fr/une-seule-dose-de-vaccin-pour-les-personnes-ayant-deja-ete-infectees-par-le-sars-cov-2
(4) HAS, 16 juillet 2021, https://www.has-sante.fr/jcms/p_3278140/fr/vaccination-contre-la-covid-19-pas-de-dose-de-rappel-pour-le-moment-en-dehors-des-plus-vulnerables-et-des-plus-ages?portal=p_3058934
(5) Banoun, 2020, Covid19 : immunité croisée avec les autres coronavirus, phénomènes immunopathologiques-update-aout2020 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02914300
(6) Majdoul et Compton, 2021, Lessons in self-defence: inhibition of virus entry by intrinsic immunity, https://doi.org/10.1038/s41577-021-00626-8
(7) Cologne, Germany: Institute for Quality and Efficiency in Health Care (IQWiG),The innate and adaptive immune systems, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK279396/
(8) Tchéquie, Estonie, 2021 (Tchéquie, Piler P et al., 2021, Dynamics of seroconversion of anti-SARS-CoV-2 IgG antibodies in the Czech unvaccinated population: nationwide prospective seroconversion (PROSECO) study https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.15.21262007v1 ,
Estonie https://www.ut.ee/en/research/study-prevalence-coronavirus-estonia
https://www.ut.ee/sites/default/files/styles/ut_content_width/public/eng-antikehade-analsitulemused_2.png?itok=umXfBmP9
Jogi P et al.,Seroprevalence of SARS-CoV-2 IgG antibodies in two regions of Estonia (KoroSero-EST- 1) https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.21.20216820v1.full.pdf
(9) Covid-19 Santé Gouv.fr, 2021, Covid-19 Santé Gouv.fr, 2021, https://covid-19.sante.gouv.fr/tests
(10) CE, 2021 , COVID-19 In Vitro Diagnostic Medical Devices https://covid-19-diagnostics.jrc.ec.europa.eu/devices?device_id=&manufacturer=&text_name=&marking=Yes&method=&rapid_diag=&target_type=1&field-1=HSC+common+list+%28RAT%29&value-1=0&search_method=AND#form_content
(11) FDA, 2021, In Vitro Diagnostics EUAs – Serology and Other Adaptive Immune Response Tests for SARS-CoV-2 https://www.fda.gov/medical-devices/coronavirus-disease-2019-covid-19-emergency-use-authorizations-medical-devices/in-vitro-diagnostics-euas-serology-and-other-adaptive-immune-response-tests-sars-cov-2
(12) OMS, 2020, Establishment of the WHO International Standard and Reference Panel for anti-SARS-CoV-2 antibody https://www.who.int/publications/m/item/WHO-BS-2020.2403
(13) Gong F. et al., 2021, Evaluation and Comparison of Serological Methods for COVID-19 Diagnosis https://www.frontiersin.org/article/10.3389/fmolb.2021.682405
(14) Liu G et al., 2021, COVID-19 Antibody Tests and Their Limitations https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC7885805/
(15) Perez-Olmeda M. et al., 2021, Evolution of antibodies against SARS-CoV-2 over seven months: experience of the Nationwide Seroprevalence ENE-COVID Study in Spain
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.03.11.21253142v1
(16) Therrien C. et al., 2021, Multicenter Evaluation of the Clinical Performance and the Neutralizing Antibody Activity Prediction Properties of 10 High-Throughput Serological Assays Used in Clinical Laboratories, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33303562/
(17) Long Q-X et al., 2021, Clinical and immunological assessment of asymptomatic SARS-CoV-2 infections https://www.nature.com/articles/s41591-020-0965-6
(18) Wu F, Wang A, Liu M, et al., 2020, Neutralizing antibody responses to SARS-CoV-2 in a COVID-19 recovered patient cohort and their implications. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.03.30.20047365v2
(19) Toh ZQ et al., 2021,Reduced seroconversion in children compared to adults with mild COVID-19 https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.10.17.21265121v1
(20) Lui W et al., 2021, Predictors of Nonseroconversion after SARS-CoV-2 Infection https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8386781/ 
(21) Masia M et al, 2021 , SARS-CoV-2 Seroconversion and Viral Clearance in Patients Hospitalized With COVID-19: Viral Load Predicts Antibody Response, https://doi.org/10.1093/ofid/ofab005
(22) Pelleau S. et al., 2021, Serological reconstruction of COVID-19 epidemics through analysis of antibody kinetics to SARS-CoV-2 proteins https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.03.04.21252532v1
(23) Velay A. et al., 2021, Evaluation of the performance of SARS-CoV-2 serological tools and their positioning in COVID-19 diagnostic strategies https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32957073/
(24) Wantai , FDA https://www.fda.gov/media/140929/download
(25) Bioscience, https://www.bioscience.co.uk/cpl/sars-cov-2-ab-elisa
(26) Ast V. et al., 2021, Assessing the quality of serological testing in the CoViD-19 pandemic: results of a European external quality assessment (EQA) scheme for anti-SARS-CoV-2 antibody detection https://journals.asm.org/doi/10.1128/JCM.00559-21
(27) Banoun,  Evolution of SARS-CoV-2: review of mutations, role of the host immune system Banoun H, Nephron (2021 Apr 28:1-12) , https://www.karger.com/Article/Abstract/515417
(28) FDA, 23 /09/2021, https://www.fda.gov/medical-devices/coronavirus-covid-19-and-medical-devices/sars-cov-2-viral-mutations-impact-covid-19-tests
(29) COVID-19 vaccine surveillance report Week 42 https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1027511/Vaccine-surveillance-report-week-42.pdf
(30) Gallais et al., 2020, Intrafamilial exposure to Sars-cov-2 induces cellular immune response without seroconversion
https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/27/1/20-3611_article
(31) Cerba https://www.lab-cerba.com/home/vous-informer/news/sars-cov-2–un-nouveau-test-dans.html
(32) https://www.tspotcovid.com




Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »

[Source : limpertinentmedia.com]

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Ariane Bilheran est normalienne, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie et auteure de plus de vingt-cinq ouvrages. Ses domaines d’expertise sont le harcèlement, la paranoïa, les déviances du pouvoir et la reprise de son pouvoir personnel. Depuis le début de la crise Covid, elle fait partie de ceux qui ont tôt fait de déceler les incohérences et les abus des politiques mises en place. Depuis la Colombie, où elle réside, cette observatrice du psychisme humain a accepté de nous livrer son regard sur la situation actuelle.

Amèle Debey, pour L’Impertinent : En tant que docteure en psychopathologie, qu’est-ce qui vous frappe le plus dans la situation que nous vivons depuis 18 mois?

Ariane Bilheran : La violence des décideurs sur les populations, le harcèlement exercé sur les populations, à tous les niveaux. Idéologie, manipulation de masse, violence économique, violence sur les corps, censure, atteintes à la liberté d’expression.

Un de vos domaines d’expertise est les déviances du pouvoir. Ce qui se passe en ce moment à de quoi nourrir votre réflexion?

Oui. Dès avril 2020, j’ai écrit un article appelé Totalitarisme sanitaire: «c’est pour ton bien»… Le mal radical. C’était encore un gros mot, on n’avait pas le droit d’en parler. Mais depuis, cela a fait son chemin. Après, j’ai éprouvé le besoin d’écrire un autre article en août que j’ai appelé Le moment paranoïaque, où j’ai trouvé l’expression de «déferlement totalitaire» qui, depuis, a bien circulé. Et puis, en décembre, je me suis exprimée sur Radio Canada à propos du totalitarisme actuel dont on voit la manifestation.

Grâce à mon expertise, j’en ai repéré les symptômes très tôt: dans le caractère idéologique, c’est-à-dire le fait de présenter comme une vérité une fiction mensongère tout en demandant l’adhésion de la population à cette fiction. Le passage à l’acte: les obligations de confinement, la suppression des droits les plus élémentaires; les paradoxes permanents.

«La souffrance engendrée sur les populations m’a frappée très tôt»

En Amérique du Sud par exemple, empêcher les gens d’aller travailler ne peut pas être dans l’intérêt de leur santé, parce que lorsqu’on n’a pas de source de revenus fruits de notre travail pendant plusieurs mois, et qu’on n’a pas d’aide, ce n’est à priori pas ce qui va nous mettre en bonne santé!

La souffrance engendrée sur les populations m’a frappée très tôt. De la même façon, il y a une notion qu’on appelle le clivage, en psychologie, qui consiste à diviser un collectif en deux populations irréductibles qui ne peuvent plus s’entendre entre elles. Car l’une étant sous perfusion idéologique. Elles ne peuvent plus communiquer.

J’ai travaillé pendant longtemps dans des organisations du travail. Quand elles devenaient pathogènes, créatrices de troubles psychosociaux au travail, j’en repérerais les mécanismes à différentes échelles. Que ce soient les manipulations émotionnelles, les contradictions, les mensonges, les paradoxes sur les discours, le fait de réduire la complexité du réel à un seul paradigme, à un seul paramètre, tout cela m’a paru quand même assez fou.

On voit que ce sont les pays les plus riches qui ont réagi de la façon la plus disproportionnée. N’étions-nous pas installés dans une sorte de confort?

Je ne sais pas si la première phrase est juste. Parce que la Colombie n’est pas un pays riche et nous avons eu six mois de confinement extrêmement sévère. Il y a eu beaucoup de pays pauvres où cela s’est également joué comme ça.

Par contre, dans les pays occidentaux, il y a eu beaucoup d’aides distribuées aux gens. Ils ont donc davantage eu l’impression que c’était pour leur bien cette affaire, puisqu’on les prenait en charge. Il y a donc eu moins de dissonances au départ sur ce point. La différence est sans doute là.

Certains pensent tout de même que ces mesures étaient tout à fait justifiées.

J’ai une seule question pour eux: on sait qu’en 2020, ne serait-ce que pour l’Amérique du Sud, les décisions politiques ont plongé dans la misère plus de 20 millions de gens. Près de 30 millions en 2021. Est-ce qu’on peut prendre soin de sa santé lorsqu’on est dans la pauvreté extrême? Est-ce vraiment justifié? Est-ce vraiment une politique tout à fait mesurée, équilibrée, qui prend en compte différents paramètres?

Est-ce que la docilité des gens vous a surprise?

Oui et non. D’abord, je pense que tous les peuples ne réagissent pas de la même façon par rapport à leur passé. Au niveau européen, il y a souvent une croyance naïve que les gouvernants sont là pour notre bien. Ce qui fait qu’il est très compliqué de remettre en question deux choses: les gouvernements ne nous veulent pas du bien, mais en plus ils nous veulent sciemment du mal.

Vous pensez vraiment que les gouvernements nous veulent sciemment du mal?

Peut-être pas tous. Mais je pense en effet que les décideurs à haut niveau et en particulier les soi-disant philanthropes qui, avec leurs milliards, auraient de quoi faire de la planète un paradis, nous veulent sciemment du mal.

Dans quel but?

A partir du moment où vous avez confisqué la majorité des richesses au détriment d’une plus grande population, cette population représente une menace pour vous.

C’est pourtant celle qui fait fonctionner le système, non? Ils ont forcément besoin de nous.

Dans quelle mesure ont-ils besoin de nous, je n’en sais rien. Ça ne me paraît pas évident. Nous sommes vus comme des pollueurs, des parasites. Je crois qu’à un moment donné, la question d’accumulation de richesses à un stade qu’on ne peut pas se représenter, ni vous, ni moi, fait tourner la tête si elle n’était déjà pas solide avant. Ça crée un gouffre incommensurable entre les pauvres et une toute petite minorité d’une classe extrêmement riche qui prétend dicter à la planète toutes sortes de choses. Et qui fait des gouvernants de simples exécutants.

On voit bien que si les gouvernements étaient autonomes, ce ne se serait pas passé comme ça. Or, la marche de manœuvre pendant la crise était assez réduite, puisque tout le monde a appliqué à peu près la même politique. Et pas dans l’intérêt des peuples.

Vous disiez récemment qu’il s’agissait d’une guerre des riches contre les pauvres?

Oui. Encore une fois je pense que l’on observe l’arbre à ses fruits. On a un appauvrissement toujours croissant de la pauvreté et un enrichissement toujours plus grand de l’autre côté. Il y a des gens qui s’enrichissent considérablement sur la crise. On a basculé l’immense majorité de la population mondiale dans une extrême pauvreté, sans se préoccuper des impacts sur la santé.

Il y a une intention de nuire, totalement assumée dans les discours d’ailleurs, dans les projets. Il y a un très fort déficit d’empathie de la part de cette micro-caste de très, très riches par rapport au reste de l’humanité. C’est à cela qu’on caractérise le harcèlement, d’ailleurs. Une partie des citoyens doit se sacrifier pour le bien commun. C’est une logique totalitaire. On se rend compte que ceux dont on exige le sacrifice sont à peu près toujours les mêmes.

Il semblerait qu’on ait amené les gens à confondre les conséquences des mesures prises avec les conséquences du Covid. On a donc créé le contexte pour qu’ils aient envie de cette servitude volontaire dont parlais La Boétie. Comment peut-on expliquer cette situation?

Sur le plan de la philosophie politique, on peut l’expliquer par le fait qu’a été mis en place de façon assez clair et un peu partout un régime totalitaire. Il rencontre de la résistance ça et là, mais c’est le projet.

Pourquoi totalitaire, parce qu’il vise la domination totale des individus, la rupture des classes, de l’appartenance sociale, des familles, jusqu’à l’intrusion dans l’intimité de la personne. Pour que le projet totalitaire fonctionne, il doit se maintenir au pouvoir grâce à la terreur, donc il faut un ennemi. Visible ou invisible. Auquel on va faire la guerre, pour justifier le terrorisme de l’État. Pour justifier aussi la suppression des libertés et des droits. Il faut une idéologie. Un discours qui mette en scène un ennemi contre lequel on va partir en guerre et qui, supposément, nous met en danger de mort. Il va falloir construire pour cela un discours mensonger, complètement déconnecté de la réalité de l’expérience. Mais afin qu’il puisse avoir une certaine légitimité, il faut qu’il évolue en permanence, pour empêcher qu’il soit figé et donc soumis à la critique.

Il faut que l’idéologie réussisse à modifier la réalité. Ce n’est donc plus la réalité de l’expérience qui fait foi. Avec l’idéologie, on va modifier l’expérience pour qu’elle corresponde à ce qu’on est en train de raconter.

Par exemple, si on désigne telle population comme paria, comme danger pour la nation, on va faire en sorte qu’elle devienne dangereuse. On va l’exclure économiquement, lui supprimer ses droits. Si on veut démontrer qu’elle met en danger la santé des individus, on va la mettre elle-même dans des conditions d’hygiène précaire, etc., etc. De telle sorte que le retour de la réalité finisse par correspondre à l’idéologie.

«On crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie»

En 2020, on n’a pas du tout pris les mesures nécessaires pour soigner. Au contraire, il y a eu une grande exposition des gens sur le plan de la santé. J’ai pris l’exemple économique tout à l’heure: quand vous n’avez plus à manger, que vous ne pouvez plus payer vos factures, comment faites-vous pour vous alimenter correctement, ne pas être dans l’angoisse et la précarité, vous protéger au niveau de votre santé et de votre immunité ainsi que vos enfants? Ce n’est donc pas du tout une politique en faveur de la santé, mais une politique de précarisation qui a eu lieu dans de nombreux pays du monde et qui a entraîné davantage de troubles de santé.

Quand on interdit à des médecins de prescrire ou de soigner, on crée des maladies. Quand on renvoie les gens chez eux avec du doliprane, on crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie.

Comment peut-on expliquer que la majorité des gens ne se rendent pas compte de tout cela? N’y a-t-il pas un fonctionnement, au niveau du cerveau, qui fait que nous ne sommes pas capables d’envisager certaines réalités trop éloignées de notre ligne de pensées, au risque de devenir complètement fous?

Tout à fait. C’est lié à la violence. Il y a eu des chocs traumatiques répétés envoyés aux populations. De diverses manières, avec différents décors. Et ces chocs traumatiques ont été créés par les discours politiques, par les décisions prises, dont l’absurdité et l’arbitraire ont cassé tous les repères des gens. Il faut savoir que cette violence entraîne, pour le psychisme, la mise en place de mécanismes de défense. Le meilleur exemple: quand vous subissez un traumatisme grave, cela peut déclencher une amnésie. C’est un mécanisme de défense. Ou, encore une fois, on peut être dans le déni: le réel est tellement insupportable que je ne peux pas me le représenter.

Donc je pense que moins on s’attend à la violence, plus on est vulnérable, comme c’est le cas des pays occidentaux qui ont l’habitude de fonctionnement plus équilibrés. Nier la réalité de la violence, ou la justifier, dans la mesure où il y a en face un discours très séducteur du type «on fait ça pour votre bien»: c’est très tentant d’y entrer. Je pense que la majorité des gens, et c’est bien normal, ne parvenant pas à comprendre ni accepter l’existence de la violence que ça véhicule, régressent sur le plan psychologique et se laissent prendre en charge par le discours dominant.

Il y a également une bonne partie de gens qui préfère tout simplement ne pas s’interroger et suivre le mouvement, sans chercher à savoir si ce qu’il se passe est normal ou non.

Oui, alors là c’est le syndrome du fonctionnaire qui fonctionne. C’est-à-dire qui préfère restreindre son champ de pensée et le réduire à la tâche qu’il a à exécuter. Car s’il devait penser vraiment ce qu’il se passe, probablement qu’il pourrait en devenir fou.

Je pense que le psychisme protège, jusqu’à un certain point, les gens de ce basculement. De cette désintégration psychique.

On constate aussi que ce n’est pas une question d’intellect, de connaissances, ni de niveau d’éducation. L’autrefois philosophe Raphaël Enthoven en est le parfait exemple.

D’abord, c’est lié à une solidité psychologique et non pas à une intelligence. C’est lié à la capacité d’être ancré dans plusieurs choses et dans la capacité d’affronter la solitude, même si la majorité du groupe se désaxe. Ancré dans quoi? Dans le rapport à la réalité. Dans le désir de vérité. Dans la valeur morale de se rendre compte, dans le réel, qu’on fait du mal aux gens.

Il y a des profils très hétérogènes qui peuvent se retrouver dans une prise de conscience, mais tous sont caractérisés par plusieurs choses: d’abord, ils ont un fort ancrage dans la réalité, des gens qui ont plein de bon sens, des gens qui ont d’autres références, y compris chez leurs ancêtres, qui leur permettent d’apprécier d’une autre façon ce qu’il se passe, de sortir du discours dominant. Ensuite, ce sont des gens qui questionnent la légitimité de l’autorité; ils n’obéissent pas pour obéir, mais parce que le discours de l’autorité a du sens. Et enfin, la caractéristique commune à chaque fois, c’est de ne pas se satisfaire d’un à peu près au niveau de la vérité. Il y a une recherche de vérité, de compréhension. Et le quatrième point: ce sont des gens qui sont capables de faire face à l’isolement. Parce qu’en ce moment, penser au vent contraire, c’est être exposé au harcèlement, à l’isolement, à l’insulte, à la censure et pour cela, il faut avoir une sacrée solidité psychologique.

Il faut bien se dire que le système devient fou, mais que quand on fait partie du système parce qu’on y a des avantages, des privilèges et que remettre en question la doxa dominante impliquerait de perdre ces privilèges et sa place dans ces groupes d’appartenance (groupes de pairs notamment), tout le monde n’est pas prêt à le faire. Je connais des gens qui ont des doubles discours. Des discours publics et des discours privés. Donc ils ne sont pas si naïfs que ça.

Pourtant, j’avais tendance à penser que Raphaël Enthoven pouvait réunir ces caractéristiques.

Il fait sans doute partie de groupes d’appartenance (par exemple, l’intelligentsia parisienne) qu’il n’est pas prêt à quitter. Et ces groupes d’appartenance ont fait cette allégeance-là. Cela met tout le monde face à des conflits de loyauté.

C’est à dire?

On voit le prix qu’ont payé certains scientifiques, certains universitaires et certains chercheurs à dire leur vérité. Si l’on n’est pas prêt à payer ce prix-là et si son groupe d’appartenance exige de manière implicite ou explicite une adhésion au dogme, pour accéder aux privilèges du sérail, on est réduit à une forme de soumission, consciente ou non.

Quand Laurent Mucchielli se fait dédire par le CNRS, la question est de qui dépend le CNRS? Qui a peur de perdre sa place? Je ne suis pas sûre qu’il n’y ait que des endoctrinés là-dedans, si vous voulez. Je suis même sûre du contraire. Il y a des sommes d’intérêts, de corruptions, de peurs. Certains s’empêchent eux-mêmes de critiquer, de penser, pour ne pas perdre ces privilèges. Le plus ironique est que, souvent, ce sont les mêmes qui ont hurlé à la défense de la liberté d’expression en France.

De manière plus générale, la collaboration des intellectuels avec les régimes totalitaires n’est pas nouvelle. Hannah Arendt avait exprimé son dégoût des intellectuels dès le début des années 1930; Klemperer avait été sidéré par l’opportunisme de certains universitaires; Günther Anders avait dit son aversion pour la complaisance active d’Heidegger, en particulier car ce dernier avait tous les outils de philosophie politique pour penser ce qu’li se passait.

Vous disiez aussi que la crise sanitaire était un peu l’aboutissement d’une déliquescence qui a débuté il y a longtemps. Que vouliez-vous dire?

Le totalitarisme, c’est considérer que les individus sont des cellules interchangeables d’un même corps au sens propre, avec la suppression totale et l’éradication totale de toute singularité. La singularité c’est le fait qu’aucun individu n’est comparable à un autre sur Terre. Que tout le monde est unique, différent, avec l’humanité en partage, où «rien d’humain ne m’est étranger». Le totalitarisme est la proposition inverse.

Dans l’idée que nous sommes tous des cellules d’un même corps, il y a l’idée qu’il faut sacrifier les cellules cancéreuses, celles qui s’autonomisent du corps. Donc l’individu n’est pas sacré en soi, mais plutôt quelque chose qui peut être éliminé si on en a besoin. Et je pense que cela est en cours depuis très longtemps. C’est une perte à la fois de la transcendance, de la transmission, de valeurs morales et spirituelles. Et en même temps, c’est la profanation de tous les individus. «Vous ne pourrez plus rien cacher», c’est la proposition totalitaire: l’exact inverse de la pudeur, socle de la civilisation selon Hegel. On doit cacher notre intimité, c’est un devoir, elle ne peut pas être profanée sous peine de sombrer dans la barbarie.

C’est en cours depuis longtemps, on le voit dans l’évolution du management au travail, dans la prolifération des écrans pour les enfants: ce sont des façons d’abraser complètement le sujet et de le nier dans ses besoins propres pour en faire un bon consommateur. On va mettre les gens dans des cases, où ils vont devenir a minima des instruments de production, et quand ils ne servent plus, qu’ils sont inutiles du point de vue de la production capitalistique, on les jette.

Tout cela est le total inverse des valeurs qui ont été le socle de notre civilisation, mais ça fait longtemps que c’est à l’œuvre.

Mais qu’est-ce qui a déclenché tout ça? C’est à l’œuvre depuis combien de temps, selon vous?

C’est difficile à dire. Je pense qu’il y a une conjonction de plusieurs facteurs et ce n’est pas exhaustif: premièrement, le transhumanisme est la référence nazie par excellence, celle du surhomme. Cela veut dire que le nazisme, dans sa valeur première de recherche d’immortalité matérielle et de surhomme humain, qui en même temps est un humain modifié, n’est pas mort. L’idéologie de fond n’est pas morte. Le nazisme n’a pas été totalement pourchassé, il a fait des petits dans les sectes idéologiques de pouvoir qui ont pour vocation à s’étendre et visent l’expansion. Je pense que la question de la conquête idéologique d’un pouvoir mondial par des sectes occultes est rarement abordée, mais devrait être étudiée de très près. Mais ce n’est pas suffisant.

Le deuxième point, c’est le développement technologique. On arrive à une époque – on y est sans doute depuis Hiroshima – où on n’arrive pas à se représenter, ni imaginer ce que les outils que nous créons sont capables d’engendrer. L’humanité engendre des monstruosités qu’elle n’a pas forcément les moyens de freiner, comme l’illustrent la création des chimères, le clonage, les trafics génétiques… Je pense que cela est aussi à œuvre.

«Nous nous sommes laissé destituer des contre-pouvoirs»

Si on regarde du point de vue de l’instruction publique, il y a eu une volonté délibérée de supprimer l’apprentissage auprès des enfants. Ces sonnettes d’alarme ont été tirées par les enseignants. Il y a quand même un pouvoir qui orchestre le fait de rendre les citoyens dociles. Mais ça n’est pas nouveau. C’est la nature du pouvoir de comploter pour se maintenir. La question nouvelle, c’est que nous nous sommes laissé destituer des contre-pouvoirs.

Peut-être, mais ça n’est qu’une hypothèse, que l’ère de la jouissance et de la consommation à tout va a fait s’effondrer les individus moralement. Mais c’est compliqué de répondre à cette question et je pense que la nature est polyfactorielle. En même temps, c’est presque inéluctable.

La seule question qui aurait dû occuper l’humanité après la deuxième guerre mondiale, c’est: comment en est-on arrivé à un tel degré d’autodestruction? Les gens ne se sont pas tellement préoccupés de cette question. Ils ont voulu récupérer la vie; ils ont été incités à jouir de tout, mais cela aurait dû les préoccuper. Tout comme le fait que des chefs d’État aient aujourd’hui la possibilité de balancer des Hiroshima bis devrait nous préoccuper. Günther Anders n’a cessé de tirer la sonnette d’alarme. Pourquoi avons-nous la capacité de nous autodétruire? Pourquoi la majorité des gens préfère être dans la jouissance plutôt que dans cette conscience, qui est certes très austère? Parce que ce n’est pas très marrant de se poser la question de notre responsabilité. C’est plus confortable de se laisser régresser dans un statut de consommateur.

Vous avez des réponses à cette question ? Pourquoi en est-on arrivés là?

Il y a eu, en tout cas du point de vue du développement des technologies de masse, de la publicité, du marketing etc. un encouragement, une dérégulation qui ont fait que les individus n’ont plus été protégés, en particulier de l’émergence de ces nouvelles technologies, des écrans. Et à partir du moment où l’on contrôle un cerveau et le temps de cerveau disponible, on contrôle toute possible révolte de la part des citoyens. C’est un peu le monde de Huxley.

Ne pensez-vous pas que cette crise peut être une opportunité? Tout ce qui se passe est tellement gros que ça ne peut que déclencher une révolte et aboutir sur quelque chose de positif, non?

Je ne sais pas, peut-être. Il me semble que c’est un peu David contre Goliath pour l’instant. On peut toujours espérer un miracle.

Comment expliquer l’apathie totale de la gauche? Et qu’il faille finalement compter sur la droite, voire l’extrême-droite, pour s’opposer aux mesures?

Ma réponse est peut-être un peu trash, mais je pense que la politique n’est plus du tout représentative des aspirations des peuples. C’est une caste qui se reproduit entre elle, selon des codes d’initiation conférés, et qui a trahi les peuples depuis longtemps. Quelle qu’elle soit. Ils roulent pour leur pomme. Les États sont managés comme de grandes entreprises, avec des actionnaires de l’ombre et des gens qu’on va placer aux commandes. On les remplace lorsqu’ils ne conviennent plus. On va orienter des sondages, des votes, jusqu’à les trafiquer dans certains pays.

L’Impertinent a publié plusieurs articles sur la maltraitance des enfants, car l’état dans lequel se retrouve la génération de demain m’inquiète beaucoup. Quel est votre avis là-dessus ? A quoi vont ressembler les adultes dans 10 ans?

Ce qu’il faut bien comprendre c’est que, du point de vue psychologique, la psychose paranoïaque produit des traumatismes en chaîne, des dissociations traumatiques et donc de la schizophrénie. On risque donc d’avoir, sur des esprits fragiles, une augmentation exponentielle des taux de suicides et une augmentation des pathologies de type schizophrène chez les enfants. C’est gravissime. Tous les totalitarismes s’en prennent systématiquement aux enfants, les endoctrinent, poussent à la délation, divisent les familles, tournent les enfants en opposition contre leurs parents, etc. On est dans cette politique-là.

J’observe que certains de mes collègues passent beaucoup plus de temps à dénoncer les complotistes qu’à enquêter sur les véritables sujets et je me demande s’ils n’ont pas une part de responsabilité dans la radicalisation de certaines minorités?

Pour la radicalisation des minorités, il faut comprendre que le régime totalitaire fonctionne sur un mode paranoïaque. Mais la paranoïa est partout. C’est une structure collective, non un psychisme seul. C’est la notion de la méfiance tous contre tous. Il va donc y avoir, dans l’opposition, des phénomènes en miroir de ceux qui sont dénoncés dans cette fameuse opposition. Finalement, pour certains, il peut y avoir aussi une vraie folie en miroir. C’est pourquoi il faut toujours faire attention aux assimilations qui sont faites.

Dans l’idéologie sur la santé qui nous occupe, il y a la création d’une nouvelle langue. Celle-ci inclut a minima plus de 60 nouveau mots et d’expressions détournées de leur sens. A partir du moment où cette nouvelle langue est acceptée (comme le terme «complotiste» d’ailleurs, avec lequel on croit faire allusion à une certaine réalité mais sans savoir exactement bien laquelle, chacun y met de sa subjectivité interprétative), cela crée une adhésion au système. Si les opposants à cette politique générale acceptent cette nouvelle langue, ils en deviennent les promoteurs. C’est donc très compliqué. On le voit déjà à un tout petit niveau avec les anglicismes. Le terme «narratif» n’existe en français que comme un adjectif. Le terme exact est «narration». Pourtant, moi comprise, nous avons souvent utilisé «narratif» au lieu de «narration». C’est de la colonisation linguistique.

Tout cela fait qu’on n’a plus la capacité de se représenter la réalité au travers de notre patrimoine, qui est une langue commune que nous partageons. Et, en prime, on n’a plus la capacité de communiquer avec les autres. Pour ce faire, il faudrait rentrer dans la nouvelle langue, mais elle n’a plus la capacité de désigner la réalité de l’expérience. Donc les dés sont pipés.

On entend régulièrement, depuis près de deux ans, les gens nous dire que cette crise est bientôt finie. Comment est-ce que vous voyez les choses se terminer?

Mal. Le problème c’est qu’une fois qu’on est entrés dans l’idéologie, elle ne va pas lâcher le morceau. Cette histoire, je la vois se terminer de deux façons possibles: soit en guerre, soit en autodestruction qu’il ne va pas être possible de cacher. Ou les deux. Pour sortir de l’idéologie, il faut que la réalité soit suffisamment difficile pour que les gens se réveillent. Un peu comme dans les sectes desquelles les endoctrinés parviennent à se sortir lorsqu’un événement suffisamment grave est survenu.

Tout ceci va mal se terminer. Par une recrudescence de violence. Y compris dans l’opposition qui fera qu’elle pourra même ressembler à ce qu’elle dénonce. Ceux qui n’ont pas compris en théorie devront comprendre en pratique. À partir du moment où vous niez qu’il y a une porte devant vous, vous allez devoir vous la prendre en pleine figure pour accepter son existence. Hannah Arendt disait que le totalitarisme s’effondre quand les masses cessent de croire. Le problème c’est qu’on n’y est pas.

Et si cela s’arrêtait simplement, dans quelques mois, avec la levée totale de toutes les mesures et qu’on décidait enfin de vivre avec ce virus?

Non, parce que le sanitaire est un prétexte à une gouvernance mondiale de type totalitaire. À une mise sous contrôle totale de l’individu, dans ses mouvements, dans ses réflexions, dans ses faits et gestes. Ça ne marchera pas parce que ce n’est pas compatible avec la nature humaine. Mais ça ne veut pas dire que ça ne va pas créer des dégâts immenses. C’est déjà le cas.

Le site d’Ariane Bilheran, c’est par ICI!

[Voir aussi :
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Les mécanismes des régimes totalitaires
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Le contrôle mental au temps du Covid]




Le chef de l’OMS a-t-il été un des acteurs-clés qui se seraient livrés à « des meurtres » et auraient autorisé « la détention arbitraire et la torture d’Éthiopiens »? La plainte qui le discrédite

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par Liliane Held-Khawam



L’économiste américain David Steinman, qui a été nominé pour le prix Nobel de la paix en 2019, a déposé une plainte auprès de la CPI, exigeant des poursuites contre le chef de l’OMS.

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Les gouvernements du monde soutiennent l’OMS de Tedros Adhanom Ghebryssus (TAG). Plus que cela, il y a consensus pour transférer à l’organisation supranationale la gouvernance mondiale en matière de santé publique.(([1] L’OMS veut l’Autorité absolue en matière de Santé Publique Mondiale. Alain Berset en fer de lance.))

Nous avons vu récemment qu’une Académie avait vu le jour sous l’impulsion du gouvernement français. Un Accord-cadre avait déjà été signé avant la crise du Covid, soit en décembre 2019. Le document français porte la signature de Mme Agnès Buzyn qui en est depuis septembre 2021 la patronne fondatrice.(([2] Le troublant Accord signé par la France en décembre 2019 confirme le pouvoir mondial de l’OMS. Fin probable de l’hôpital public…))

Ce message fait suite à celui publié mardi soir par le dirigeant français sur son compte Twitter officiel appelant à « construire, autour de l’OMS, une initiative forte sur les diagnostics, les traitements et les vaccins accessibles à tous ».(([3] https://www.20minutes.fr/monde/2762671-20200417-coronavirus-patron-oms-remercie-macron-leadership-reponse-internationale-pandemie))

Cependant, l’OMS est aussi le lieu du lobbying actif de tout ce que la terre compte comme « philanthropes » et lobbyistes. Pour faire simple, en d’autres temps, ces accointances publiques-privées auraient été qualifiées de corruptions et de conflits d’intérêt. D’autres temps, d’autres moeurs…(([4] Bill Gates: la philanthropie dans le circuit fermé du grand business. Le Média.
L’argent des Gates infiltre notre environnement.
La haute finance prend le contrôle de votre santé.))

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Dans les faits, plus les gouvernants des Etats sponsorisent et cautionnent l’OMS financiarisée, et plus les tenants du marché financier global sont renforcés et légitimés pour pénétrer la sphère publique et l’influencer. Dès le début de l’épidémie, la Fondation Bill & Melinda Gates a appelé mercredi 15 avril « à un effort mondial pour fabriquer un vaccin ».

« Il y a sept milliards de gens sur la planète et nous devrons vacciner pratiquement tout le monde, mais nous n’avons pas les capacités de production », a ajouté Mark Suzman, le directeur général de la fondation. Les gouvernements devraient selon lui « unifier leurs efforts et leur argent » pour que les vaccins soient accessibles au plus grand nombre, une campagne mondiale qui devrait coûter « plusieurs milliards de dollars »(([5] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/coronavirus-l-oms-la-fondation-223461))

Et voici une dame qui siège simultanément chez Pfizer ET à la Fondation Gates. Ca vous pose problème?

Eh bien oui. Problème il y a. Nous ne parlons plus à ce stade de se faire piquer les avoirs bancaires ou de se faire refiler leurs casseroles. Là nous parlons de la conception que les financiers ont du corps humain de la masse de l’humanité qu’ils considèrent comme des inutiles. Les rapports multiples provenant de scientifiques honnêtes convergent vers des questionnements lourds et urgents quant à la nature et à l’ampleur des conséquences résultant des injections expérimentales imposées à l’humanité.

En ce moment, il est question entre autres de surmortalité « toutes causes confondues » qu’aucun politique ne cherche à étudier. Pire la censure continue de frapper ce genre d’informations.



Nous parlons de surmortalité. Cela signifie qu’une quantité importante de gens meurent sans qu’aucune enquête ne soit diligentée par les autorités des différents pays.

Et de me souvenir de cet échange entre Harari et un journaliste. Celui-ci demande:

Quelle sera l’utilité des humains dans un tel monde ? Que ferons-nous de milliards d’humain sans valeur économique ?

Nous ne savons pas. Nous n’avons pas de modèle économique pour une telle situation. Ce pourrait bien être la plus grande question économique et politique du XXIème siècle.

https://lilianeheldkhawam.com/2016/03/30/la-reorganisation-du-monde-confirmee-par-deux-entretiens-liliane-held-khawam/

Et si l’impensable était en train de se produire à l’instant même où j’écris ces quelques lignes? A-t-on autorisé/obligé les responsables de la Santé publique de fermer les yeux sur les chiffres de surmortalité? Se pourrait-il que cela soit la solution à la grande question économique qui ne trouvait pas de réponse.

Et pour les autres? Souvenez-vous que nous sommes très concernés sur ce site par la question du transhumanisme. Or, manifestement, les scientifiques honnêtes sont en train de mettre au jour de drôles de « choses » présentes dans les produits injectés et qu’ils ne savent nommer. Ces découvertes tournent autour de nos publications sur le sujet.(([6] Qu’y a-t-il d’autre que de l’ARN messager dans le vaccin? Les nanoparticules peuvent s’auto-assembler. L’argent anglo-saxon développe la technologie nécessaire au transhumanisme… en Chine.))

En voici une de plus dont les filaments ressemblent furieusement à ce que les scientifiques découvrent dans les produits dont on bombarde l’humanité.



Plongée dans mes interrogations, je me suis retrouvée très concernée par l’information qui titre: » Un candidat au prix Nobel de la paix accuse le chef de l’OMS, Tedros Ghebreyseus, d’avoir aidé au génocide en Éthiopie « . Fâcheux tout de même!

Je vous ai mis l’article en question avec la traduction automatique de google.Voir aussi la vidéo.

Dernière information et non des moindres: Tedros Ghebreyseus avait nommé à son arrivée à l’OMS… Robert Mugabe comme ambassadeur de bonne volonté! Grotesque!

Il dut le démettre quelques jours plus tard… Il faut dire que 2 ans avant qu’il ne le nomme, Mugabe faisait parler de lui au sujet d’un génocide. Le Guardian nous explique en 2015 que: A partir de janvier 1983, une campagne de terreur a été menée contre le peuple Ndebele au Matabeleland, dans l’ouest du Zimbabwe. Les soi-disant massacres de Gukurahundi restent la période la plus sombre de l’histoire post-indépendance du pays, lorsque plus de 20 000 civils ont été tués par la redoutable cinquième brigade de Robert Mugabe.(([9] https://www.theguardian.com/world/2015/may/19/mugabe-zimbabwe-gukurahundi-massacre-matabeleland))

Je vous laisse prendre connaissance de ce qui suit. Je me permets de rappeler qu’une rencontre aura lieu le 29 novembre (au lendemain de la votation suisse sur le pass) au cours de laquelle le monsieur mis en accusation pourrait devenir l’homme fort de la santé publique mondiale.

Un candidat au prix Nobel de la paix accuse le chef de l’OMS, Tedros Ghebreyseus, d’avoir aidé au génocide en Éthiopie

L’économiste américain David Steinman, qui a été nominé pour le prix Nobel de la paix en 2019, a déposé une plainte auprès de la CPI, exigeant des poursuites contre le chef de l’OMS.

Par Krishnendu Banerjee 15 décembre 2020(([11] https://www.ibtimes.sg/nobel-peace-prize-nominee-accuses-who-chief-tedros-ghebreyseus-aiding-genocide-ethiopia-54207))

Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, a connu une année difficile. Pendant ce temps, l’Éthiopien devait non seulement coordonner une riposte mondiale à la pandémie, mais était constamment sous les projecteurs des médias. Il a été accusé d’être une « marionnette » de la Chine tandis que son incapacité à accepter l’échec du pays asiatique à gérer les premiers jours de la pandémie de COVID-19 a également nui à son image. Aujourd’hui, un candidat au prix Nobel de la paix l’a accusé d’avoir aidé au génocide en Éthiopie et a exigé des poursuites.

Selon l’économiste américain David Steinman, nominé pour le prix Nobel de la paix en 2019, Ghebreyesus était l’un des trois responsables en charge des services de sécurité éthiopiens entre 2013 et 2015. Durant cette période, son parti Tigray People’s Liberation Front était le principal membre. de la coalition au pouvoir. Steinman a déclaré que Ghebreyesus était un « décideur crucial en ce qui concerne les actions des services de sécurité qui comprenaient le meurtre, la détention arbitraire et la torture d’Éthiopiens ».

Les revendications de Steinman

Avant de devenir le premier Africain à occuper le poste le plus élevé de l’OMS, Ghebreyesus a été ministre éthiopien de la Santé entre 2005 et 2012, puis ministre des Affaires étrangères entre 2012 et 2016. Pendant ce temps, des manifestations à grande échelle ont balayé les régions d’Oromia et d’Amhara.

Tedros Adhanom Ghebreyesus
Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, a été accusé d’avoir aidé au génocide en Éthiopie Wikimedia Commons

Le gouvernement éthiopien a été accusé de ne pas maintenir le contrôle de ses forces de sécurité et de la police locale. Selon un rapport du gouvernement américain de 2016 sur les pratiques en matière de droits humains en Éthiopie, « les autorités civiles n’ont parfois pas maintenu le contrôle sur les forces de sécurité, et la police locale dans les zones rurales et les milices locales ont parfois agi de manière indépendante ».

Même un rapport de Human Rights Watch a accusé le gouvernement, dont Ghebreyesus faisait partie, d’avoir réprimé les manifestants pacifiques, entraînant plus de 500 morts. En dehors de cela, les deux rapports ont cité des crimes systémiques contre l’humanité et la corruption par le gouvernement. Steinman, se référant aux deux rapports, a déclaré que Ghebreyesus avait supervisé « tuer et causer des dommages corporels et mentaux graves aux membres des tribus Amhara, Konso, Oromo et Somali avec l’intention de détruire ces tribus en tout ou en partie », a rapporté le Times . .

Steinman a passé 27 ans en Éthiopie et a co-planifié la résistance civile du pays et la campagne électorale en 2005. Il a été le principal conseiller étranger du mouvement démocratique éthiopien jusqu’en 2018. Pendant son séjour, il a été témoin de la montée de Ghebreyesus en tant que personnalité politique. L’économiste a maintenant déposé une plainte auprès de la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye, appelant à la poursuite du chef de l’OMS pour génocide. Dans sa plainte, Steinman a ajouté que Ghebreyesus était impliqué dans « l’intimidation des candidats et des partisans de l’opposition », qui comprenait « une arrestation arbitraire et une longue détention provisoire ».

Éthiopie proteste
Le gouvernement central éthiopien dont faisait partie le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus accusé d’une violente répression des manifestations pacifiques de 2015-16 ayant fait plus de 500 morts
(image représentative) Pixabay

La voix anti-Ghebreyesus grandit

Cependant, ce n’est pas la première fois que Ghebreyesus est critiqué. L’administration Trump l’avait précédemment accusé de se ranger du côté de Pékin et de réprimer l’échec de la Chine dans la gestion du coronavirus qui a fait plus de 1,5 million de morts et une récession mondiale en raison des blocages à l’échelle nationale.

Récemment, le chef de l’armée éthiopienne, le général Berhanu Jula, a également accusé Ghebreyesus de fournir des armes aux forces locales dans la région du Tigré, lui demandant de démissionner de son poste à l’OMS. Les accusations de Jula sont venues au milieu du conflit du Tigré. Depuis novembre 2020, les forces centrales éthiopiennes combattent les forces locales du Tigré fidèles au parti de Ghebreyesus, le Front populaire de libération du Tigré (TPLF). Le TPLF, qui faisait partie de la coalition du Front démocratique révolutionnaire du peuple éthiopien (EPRDF), s’est retiré de l’alliance en raison de divergences en 2018.

Quant à la plainte devant la CPI, l’affaire ne peut se poursuivre que si les procureurs de la CPI décident de la saisir. S’ils le font, ce sera la première fois qu’un haut responsable des Nations Unies sera poursuivi. Cependant, Ghebreyesus a nié les allégations dans un communiqué le mois dernier.

Vidéo Bonus






Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent

Par Alain Tortosa

Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent.

La somme des mensonges rend l’émergence de la vérité de plus en plus difficile.

Jusqu’au jour où le château de cartes s’effondrera.

Les médias et les politiques ont menti de tout temps, ce qui est probablement dans leur ADN.

Mais depuis début 2020, nous battons tous les records.

Même lors du premier confinement, les sondages indiquaient déjà (et ceux-ci n’ont pas été infirmés par une révolte de la rue) que plus de 90 % des Français approuvaient la mesure.

Je vous rappelle qu’il y a avait officiellement à ce moment-là 7 000 morts présumés (car non testés) sur la planète et 149 en France. Les Français avaient forgé leur intime conviction non pas sur une réalité épidémique et des cadavres dans la rue, mais sur un modèle mathématique (frauduleux ?) relayé par tous les médias et les médecins de plateau.

Si le 17 mars vous disiez à votre voisin : « Ce virus n’est rien d’autre qu’une grippe et les confinements sont inefficaces et dangereux », votre discours était déjà, à ce moment-là, totalement inaudible.

Alors imaginez-vous entrer en discussion aujourd’hui avec un convaincu triplement injecté (hypothèse délirante, car il refuse tout échange).

Mais imaginons que vous alliez vers lui pour lui dire :

« L’étude gouvernementale qui confirme l’efficacité à 90 % des injections géniques est un faux grossier qui va à l’encontre des protocoles et de toutes les données internationales connues sur la vaccination Covid. »

Interrogé par votre affirmation il pourrait alors vous répondre par une série d’autres questions :

« Et le fait que le vaccin soit efficace contre les formes graves c’est un mensonge ? »

Question à laquelle vous répondriez par l’affirmative et lui de poursuivre :

  • « Et le fait que la vaccination a permis de contrôler le virus et éviter une 4e vague terrible, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les hospitalisés sont majoritairement non vaccinés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la vaccination limite la propagation du virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la 3e dose va protéger les plus faibles et permettre de ralentir encore plus le virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la vaccination entraîne très peu d’effets secondaires, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin n’a entraîné aucun décès et que les vaccinés décédés ne le sont que de leurs comorbidités, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne présente aucun danger pour les enfants, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les enfants ont un bénéfice propre à se faire vacciner au-delà de l’acte solidaire, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne présente aucun danger pour la femme enceinte et le fœtus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les vaccins ne peuvent pas favoriser les variants, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les pays qui ont une mauvaise couverture vaccinale ont plus de morts, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les vaccins ont subi toutes les étapes de sécurité, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que nous avons la garantie que les vaccins sont sans danger, car inoculés à plus d’un milliard de personnes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’ARNm est déjà utilisé sans problème depuis des années, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne puisse absolument pas interagir avec notre ADN et/ou créer des maladies auto-immunes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que seul le vaccin nous permettra de venir à bout du virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que si 100 % des personnes sont vaccinées le virus disparaîtra, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il faille absolument vacciner les enfants pour parvenir à l’immunité vaccinale de masse, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin est vraiment efficace, mais que les non-vaccinés sont dangereux pour les vaccinés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on connaît parfaitement la composition des vaccins, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les couvre-feux d’une population en bonne santé sauvent des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le passe-sanitaire sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la fermeture des commerces non essentiels sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le confinement de la population générale en bonne santé sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’État a fait ce qu’il pouvait et ouvert de nouveaux lits, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les gestes barrières en population générale en bonne santé sauvent des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le port du masque en population générale en bonne santé sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le port prolongé du masque est inoffensif y compris pour les enfants les plus jeunes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il n’existe aucun traitement efficace contre le Covid, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la Chloroquine ou l’Ivermectine sont inefficaces, mais surtout dangereux, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que toutes les études sérieuses prouvent que ces molécules sont inefficaces c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait d’avoir interdit les médecins de prescrire a sauvé des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on a jamais empêché de soigner et que l’on n’a jamais terminé des vieux au Rivotril, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on ne disposait que du paracétamol sous la main, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le Sars-cov2 est extrêmement dangereux, largement plus que la grippe, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que tout le monde peut en mourir ou avoir de graves séquelles y compris les enfants et les personnes en parfaite santé, c’est un mensonge ? »
  • « Et sur le nombre de cas, d’hospitalisés, de personnes en réanimation, de morts… c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il n’y a pas de censure en France, que seuls les propos dangereux sont supprimés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les prétendus bons résultats d’autres pays que la France ne sont pas comparables, c’est un mensonge ? »
  • Etc. (j’en ai certainement oublié).

Oui, oui, oui… et encore oui… pour TOUT !

(Il y a bien eu quelques bribes de vérité durant la crise.
Par exemple lorsque M. Véran, emporté dans son élan, affirmait que telle ou telle mesure ne servait à rien, mais se ressaisissait par la suite en balayant ses propos de la veille.)

Et mon interlocuteur convaincu qu’il n’y a pas eu de mensonges systématiques, de me demander :

« Alors pour toi tout est faux, on nous ment sur tout, toute l’OMS est corrompue, tous les médecins sont corrompus, tous les politiques sont corrompus et tous les journalistes sont complices ? »

M’obligeant à répondre : « Oui, les autres n’ont pas la parole, sont poursuivis ou sont terrorisés ».

Alors bien sûr, il a pu arriver que pour telle ou telle mesure, le convaincu hypnotisé ait ressenti quelques doutes sur une mesure. Quand on lui disait qu’il ne pouvait pas y avoir de clusters dans une rame de métro bondée, mais qu’il ne fallait pas dépasser 4 personnes dans une boutique, ça a pu quand même interroger le plus aveugle des non-voyants… comme le fait d’interdire de se promener sur une plage déserte en plein hiver, mais avoir le droit d’aller dans un supermarché.

Sa bouée de sauvetage prenait alors une des formes suivantes :

  • « Les humains sont idiots et nous assistons à une accumulation de bêtise humaine. »
  • « On apprend tous les jours du virus, on ne savait pas. »

Mais rien qui puisse laisser supposer qu’il pourrait y avoir quelque intention de nuire de la part de nos dirigeants ou de Big Pharma.

Afin de pouvoir échapper à ces interrogations sans réponse, la personne « intelligente » va poser la fameuse question bateau suivante, pour balayer toute argumentation d’un revers de manche.

« Pourquoi feraient-ils cela ? »

N’ayant pas de réponses (ou de preuves par rapport à des hypothèses), le convaincu s’autorise alors à jeter aux oubliettes le bébé avec l’eau du bain.

C’est comme si un inspecteur arrivait sur les lieux d’un crime et, en consultant la scène, voyait un cadavre, des traces de lutte, du sang partout et un couteau ensanglanté…
Bref qu’il ait sous les yeux des preuves qu’il y a bien eu un assassinat.
Puis soudain une personne « censée » (donc non-complotiste) arrivait et posait la question suivante :

« Mais qui, mais pourquoi, dans quel but ? »

[Note de Joseph Stroberg : bien des « complotistes » peuvent proposer des réponses.
À la question « Qui ? », ils pourraient répondre : les élites psychopathes qui détiennent les leviers de la finance mondiale.
À « Pourquoi ? », ils pourraient répondre : pour liquider 90 % de l’Humanité sans se faire accuser du crime et pour asservir les survivants.
À la question « Dans quel but ? », ils pourraient répondre : pour nettoyer la planète, sachant qu’aux yeux de ces élites, nous ne sommes que des « sans-dents », des « vaux », des quantités et des qualités négligeables. Maintenant qu’ils développent grâce à nous des robots et qu’ils rêvent eux-mêmes à l’immortalité qu’ils croient promise par les machines sous forme de surhumains transgéniques ou de cyborgs, ils pensent pouvoir se passer de 90 % des êtres humains pour continuer à exploiter la planète à leur profit.
De telles réponses paraîtraient bien sûr particulièrement délirantes aux yeux d’un convaincu vacciné.
Sont-elles pour autant fausses ?]

Et l’inspecteur de répondre bien évidemment qu’il n’a pas, en tous les cas pas encore, la réponse.
Et donc d’en déduire qu’il n’y a eu ni décès ni meurtre !

C’est exactement ce processus utilisé pour jeter aux oubliettes la réalité des faits dans la crise du Covid.

« Tu ne sais pas pourquoi et par qui tous ces mensonges ont été mis en œuvre au niveau mondial, c’est donc qu’ils n’existent pas et que tu es dans le délire en énumérant tous ces prétendus mensonges. »

Le fait de disposer d’indices concordants et de preuves pour chacun des mensonges n’est pas de nature à les rendre réels en l’absence de mobile.

Il est extraordinaire de voir à quel point il est facile de tromper le public.

Prenons l’exemple de l’HCQ et du Remdesivir.

  • Tout part de scientifiques chinois qui affirment, étude à l’appui, que l’hydroxychloroquine couplée à un antibiotique montre une efficacité.
  • Le professeur Raoult annonce en janvier sur l’IHU l’existence des essais pratiqués par des Chinois.
  • Immédiatement les médias et les médecins corrompus donnent la paternité de l’annonce non pas aux Chinois, mais au professeur Raoult. Premier mensonge.
  • Ces mêmes corrompus corrupteurs répandent l’idée que Raoult est un irresponsable incompétent, que la molécule est non seulement inefficace, mais dangereuse. Mensonge au moins sur la 1re et 3e assertion.
  • Le Remdesivir (hors de prix) est commandé en masse par l’Union Européenne et la promotion en est faite (alors même que son efficacité n’est pas prouvée et que sa dangerosité est prouvée). Mensonges.
  • La fameuse étude du Lancet annonce la mise à mort de l’HCQ (alors que cette étude est un FAUX). Mensonges.
  • Le Ministre de la Santé fait interdire le produit sur la base de l’étude qui est un faux. Mensonges.
  • L’escroquerie sur le faux éclate au grand jour dans l’indifférence des médias et des politiques…

Dans un monde « normal », la molécule est, au minimum, réautorisée et les chercheurs du monde entier se mettent à l’étudier avec neutralité.
Et bien là non ! C’est l’inverse !
Tout ceci pour dire que même lorsque l’on amène la preuve d’un mensonge (une fausse étude dans l’illustre Lancet), cette preuve n’est pas de nature à réviser les croyances.

Toutes les études qui par la suite diront que la molécule est inoffensive et efficace à divers degrés seront étiquetées non fiables et toutes les autres avec des conflits d’intérêts concluant à son inefficacité seront validées par les scientifiques médiatiques et le gouvernement.

La science ne sert plus à RIEN, elle est corrompue, un simple outil au service de la manipulation des peuples.

Et je le redis encore, ils arrivent à transmettre leurs mensonges parce que le commun des mortels est foncièrement gentil et qu’il ne peut imaginer à quel point il existe des méchants.

Réfléchissons un peu sur la « vaccination » des enfants.

  • Les autorités SAVENT (et reconnaissent) que le Covid ne concerne pas les enfants en bonne santé.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que le Covid long chez des enfants en bonne santé n’est que légende.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que les « vaccins » n’empêchent ni d’être contaminé ni d’être contaminant.
  • Les autorités SAVENT (l’ANSM le dit) qu’il y a des effets secondaires rares (à court terme), mais graves sur des enfants injectés en pleine santé.
  • Les autorités SAVENT qu’il y a des décès « étranges » chez des enfants injectés sans problèmes de santé connus.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que les effets à long terme sont totalement inconnus, notamment pour la procréation (ils ont connaissance des problèmes sur les règles).
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que le rapport bénéfice vs risque d’une injection pour un enfant ne peut qu’être défavorable.
  • Les autorités SAVENT qu’elles manipulent et mentent quand elles comparent ces injections expérimentales en phase III aux vaccins obligatoires, vaccins qui ont plus de 20 ans et qui sont là pour prévenir des maladies qui tuent des enfants (à la différence du Covid).
  • Les autorités de l’Alberta SAVENT qu’un enfant de 14 ans avec une tumeur au cerveau de stade 4 n’est pas décédé du Covid. Alors, pourquoi le tester (et positif) deux jours avant son décès et le déclarer mort du Covid ?

Ils fabriquent sciemment de la peur et mettent en place un pass sanitaire pour les enfants afin de les contraindre à se faire injecter. Cet acte n’est pas de la bêtise ni de l’incompétence. Au regard de l’ensemble de ces faits connus, non-complotistes, publiés notamment par l’ANSM, nous pouvons affirmer qu’il y a une volonté objective de nuire aux enfants !

Les autorités décident sciemment de menacer la santé de millions d’enfants (de plus en plus jeunes).
Ils prennent sciemment le risque que des enfants aient des effets secondaires graves ou à vie.
Ils prennent sciemment le risque d’effets secondaires dans les prochaines années.
Ils prennent sciemment le risque que des enfants meurent de ces injections expérimentales.
Ils mentent sciemment aux enfants et aux parents en cachant volontairement ces faits.
Ils font taire ou dénigrent sciemment tous les scientifiques, médecins et lanceurs d’alertes qui rapportent ces faits.

Et ce alors qu’ils SAVENT que ces injections chez les enfants (et les autres) ne seront PAS de nature à réduire ou éradiquer le virus et que l’immunité vaccinale de masse est une chimère.

Ne me posez pas la question du « pourquoi » pour tenter d’occulter à nouveau ces vérités.

Pourquoi ces instigateurs qui sont des êtres humains, des parents, des grands-parents agiraient volontairement de façon aussi immonde ?
Je n’ai pas la réponse.
Mais regardez l’histoire du monde et des bourreaux, ceux-ci avaient bien souvent une famille, des enfants et cela ne les empêchait pas de commettre les pires horreurs.

Nous voyons bien une fois encore, que plus il y a de mensonges et plus il est impossible pour le commun des mortels de les voir, les débusquer et les remettre en question.

[Note de Joseph Stroberg : certaines hypothèses et certains faits exposés notamment dans l’article
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial laissent présager qu’il existe un plus gros mensonge chapeautant le tout, celui de la théorie virale qui veut que les virus soient de méchantes et minuscules bestioles qui pourtant ne répondent pas à tous les critères pour être qualifiées de « vivantes », puisqu’ils ne peuvent pas se répliquer seuls. Et au-dessus, il existerait même le mensonge de la théorie des germes qui veut qu’aussi les bactéries soient de méchantes micro bestioles, alors que dans le même temps le corps humain contient naturellement environ un million de milliards de virus dans son « virome » et des dizaines de milliers de milliards de bactéries dans son « microbiote ».

Si en réalité, les bactéries ne sont que des symbiotes des corps vivants végétaux, animaux et humains et si les virus ne sont que des composants naturels du corps participant au fonctionnement cellulaire (dans certains cas comme éboueurs, dans d’autres cas comme déchets, dans d’autres cas comme messagers, etc. selon leur forme et leurs spécificités, sachant notamment que les virus sont similaires aux « exosomes » ou aux « endosomes »), alors ils ne sont en fait pas contagieux, ni la cause véritable des maladies dont on les accuse, mais la simple conséquence d’empoisonnements du corps par diverses causes.

Sous l’effet des poisons et toxines que sont les pesticides, les additifs alimentaires, les adjuvants vaccinaux, les produits ménagers, les cosmétiques artificiels, les polluants atmosphériques, les matières plastiques, les médicaments produits par l’industrie pharmaceutique, les thérapies géniques, mais aussi la peur et d’autres émotions négatives, le stress, les pensées négatives, et les ondes électromagnétiques pulsées (Bluetooth, Wi-Fi, 2G, 3G, 4G, 4G+, 5G…), ainsi que par les toxines produites par des bactéries sous certaines conditions non souhaitables, les cellules corporelles sont agressées en permanence. Il suffit alors de dépasser le seuil de tolérance par la dose de trop ou aussi par l’affaiblissement du corps (par le froid ou le manque de soleil en hiver, ou encore par la malnutrition et le manque de nutriments essentiels à son fonctionnement) pour que la maladie apparaisse.

Pour peu que les causes d’empoisonnement et/ou de déficience soient endémiques ou communes à un endroit donné (village, région, pays…), elles procurent l’illusion d’une contagion et même d’une contagion fulgurante dans certains cas.

Dans une telle perspective qui est peut-être la vérité et qui renverra alors un jour aux oubliettes les mensonges que sont la théorie virale et celle des germes, les prétendus « variants » ne sont que l’observation des variations génétiques virales entres ethnies et individus d’une part et selon les conditions de l’agression du corps d’autre part, ainsi que selon le modèle viral pris comme base de contrôle dans les processus d’analyse. De même, le prétendu affaiblissement des virus lors de nouvelles vagues épidémiques traduit seulement le fait que le corps est déjà habitué à réagir à certains poisons lorsqu’il s’y trouve de nouveau exposé et qu’il se nettoie plus vite dans le processus qui se traduit sous forme apparente de maladie.]

Le mensonge est en danger d’être dévoilé lorsqu’il est tout seul alors qu’il se renforce via l’apport des autres mensonges.
Dans ces conditions ma liste de faits sur les mensonges du Covid ou de la vaccination des enfants n’est peut-être pas exhaustive, mais tellement « délirante », pour quiconque nourri aux médias classiques, qu’il ne peut l’entendre.

Médias qui passent en plus leur temps à faire du « fact checking » en prenant bien soin de n’être qu’à charge et en ne donnant la parole qu’aux auteurs et complices des mensonges.

Plus les mensonges sont nombreux et délirants, plus ils passent et plus il s’ancre dans l’imaginaire que tout n’est que vérité.
Faire tomber ne serait-ce qu’un seul mensonge n’est pas possible pour le manipulé.
Cela l’obligerait à les regarder tous, un par un, et prendre le risque d’ouvrir une boîte de pandore.

Le risque pour la dictature est bien là et c’est bien pour cela qu’elle verrouille le système au maximum.
Si la vérité sort publiquement sur les morts dus aux injections alors le château de cartes s’effondrera.

[Note de Joseph Stroberg : si la théorie des germes et son corollaire la théorie virale sont un jour reconnues fausses par suffisamment de scientifiques, puis de politiciens et d’hommes ordinaires, alors les mensonges subséquents comme tous ceux liés à la crise Covid s’effondreront à leur tour, vaccination comprise (y compris pasteurienne).]

Merci.

Alain Tortosa.

22 octobre 2021, https://7milliards.fr/tortosa20211022-les-mensonges-se-nourrissent-de-mensonges.pdf




Lettre ouverte à Mmes Mrs les Sénateurs et Députés, adressée par N et G Delépine médecins cancérologues

Par Nicole et Gérard Delépine

Objet : loi Vigilance santé Le 23 octobre 2021

Mmes, Mrs les Députés et Sénateurs,

Vous allez être amenés une nouvelle fois à voter pour ou contre l’élargissement de nos libertés et nous mesurons l’importance de vos responsabilités. Néanmoins beaucoup d’éléments se sont accumulés dans les derniers mois que nous nous permettons de vous rappeler ici, conscients de votre charge de travail sur tant de sujets différents.

Contrairement aux espoirs, la « vaccination » injection génique nouvelle technique utilisée pour la première fois chez l’Homme en infectiologie n’a pas permis d’éradiquer le coronavirus Sars Cov 2, puisque dans tous les pays très vaccinés, les contaminations ont repris, suivies par la hausse de la mortalité. L’exemple d’ISRAËL, qui devait convaincre le monde, est tristement instructif, puisque des responsables ont reconnu qu’ils ne pourront atteindre par ce biais l’immunité collective et devront injecter les citoyens au moins tous les six mois.

L’accumulation des effets indésirables quantifiée par les agences officielles, VAERS pour les USA, Eudravigilance pour l’UE, MHRA pour le Royaume-Uni entre autres, atteint des chiffres jusqu’ici inédits avec plus de 50 000 décès imputables cumulés, et des millions d’accidents dont près de la moitié la moitié sont notés graves par les mêmes agences.

Pouvons-nous douter de ces rapports de nos agences officielles et ne pas au minimum exiger un moratoire ? L’arrêt de toute injection au moins chez les jeunes parait une urgence tant les complications en particulier cardiaques sont tragiques pour un bénéfice nul.

Ces rapports chiffrent un nombre de décès post vaccinaux et d’accidents secondaires aux injections, bien supérieur aux chiffres ayant abouti à l’interdiction du vaccin H1N1 (53 morts). Ce silence devant ces morts officialisés par les responsables de santé publique et niés par notre ministre pose des problèmes.

Nous espérons qu’en tant que représentants du peuple, vous pourrez avoir des réponses sur ce silence assourdissant, qui ne peut à long terme qu’augmenter la méfiance des citoyens sur la parole de l’État, ses représentants et les vaccinations véritables au sens pasteurien.

Les jeunes ne risquent rien du covid, ne transmettent pas le virus et le « vaccin » ne protège pas des contaminations, et peu des formes graves. La vaccination des plus jeunes n’a aucun intérêt sanitaire.

Parallèlement à l’échec du tout vaccin, bientôt reconnu par les instances, comme le prouve la mise sur le marché de cinq médicaments anticovid par l’agence européenne EMA courant octobre 2021, les pays qui se sont libérés de toute mesure sanitaire vont très bien, sans contamination ni mortalité élevée, en l’absence d’isolement, masque, etc. du fait de la très faible létalité du virus qui diminue à chaque nouveau variant, comme habituellement.

Ce sont les conséquences des vaccins et des mesures anticovid qui laissent évoluer le marasme sanitaire et économique. La comparaison entre les pays peu vaccinateurs qui facilitent un libre accès aux traitements précoces, et les pays hautement vaccinés qui les interdisent est éloquente et devrait convaincre le monde entier de cesser les restrictions des libertés. Les pays européens qui ont choisi cette option avec succès comme l’Angleterre et tous les pays nordiques s’en trouvent rassérénés.

En l’absence d’efficacité réelle de la vaccination contre les transmissions, le pass sanitaire n’a plus de justification médicale. Les conséquences juridiques de ces privations de liberté ne sont par ailleurs plus à souligner et inacceptables en l’absence de danger sévère comme une peste par exemple, mais pas pour un virus très peu létal et encore seulement chez les sujets à forte morbidité et âgés.

La décision de ne plus rembourser les tests apparaît comme une extorsion de consentement aux plus démunis et le porte-parole du gouvernement a avoué que c’était une ruse pour obliger à la vaccination non obligatoire. Cette décision est inacceptable. Elle va discriminer ceux qui ne pourront s’assurer un budget « tests » et contraindre les plus pauvres à s’injecter cette thérapie inefficace et dangereuse.

À l’occasion de cette extorsion de prolongation de l’état d’urgence, le ministre piétine encore plus le Secret médical : Olivier Véran veut autoriser les directeurs d’établissements à savoir si votre enfant est vacciné. Les maires n’ont pas connaissance des fichés S, mais on saura si les enfants seront ou pas vaccinés. Les directeurs concernés rejettent d’ailleurs officiellement cette décision.

Le pass s’oppose à La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.(([1] « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits » (art. 1)

« La Loi est l’expression de la volonté générale. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents » (art. 6).
))

La rupture du principe d’égalité peut également entraîner des conséquences pénales puisque toute discrimination au sens du Code pénal (article 225-1) est passible de peines correctionnelles, notamment lorsqu’elle porte sur l’état de santé d’un citoyen.

Les plaintes pour discrimination s’accumulent, en particulier depuis l’interdiction de travail et rémunération de soignants et pompiers opposés à recevoir l’injection génique encore en expérimentation thérapeutique jusqu’en 2023 et sujet à de nombreux accidents dont témoigne l’éviction au moins temporaire de Moderna et d’AstraZeneca, en plus des rapports officiels des agences de santé FDA, MHRA, EMA, et ANSM.

Le droit international érige un principe de non-discrimination

Le pass s’oppose à ce droit reconnu par la France.(([2] L’article 14 de la Convention européenne des droits de l’homme dispose

« La jouissance des droits et libertés… doit être assurée, sans distinction aucune, fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, la langue, la religion, les opinions politiques ou toutes autres opinions, l’origine nationale ou sociale, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance ou toute autre situation ».
))

Le Protocole nº 12 à ladite Convention européenne des droits de l’homme, plus large encore, interdit tout acte de discrimination lié à la « jouissance de tout droit prévu par la loi ».

« Nul ne peut faire l’objet d’une discrimination de la part d’une autorité publique, quelle qu’elle soit » (article 1).

La Défenseure des droits est très critique, dans son avis rendu en urgence « Extension du passe sanitaire : les 10 points d’alerte de la Défenseure des droits » du 20 juillet 21(([3] Fondamentalement, elle remet en cause la proportionnalité des restrictions apportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles poursuivent. Et l’avis du 20 octobre 2021 explicite ses inquiétudes.)) ainsi qu’en octobre 2021.

Le 31 mars 2021, le Conseil de l’Europe avait alerté dans son avis « Protection des droits de l’homme et pass vaccinal » sur l’utilisation éventuelle de certificats de vaccination, comme celle de données relatives à l’immunisation, « à des fins autres que strictement médicales, par exemple pour donner aux personnes concernées un accès exclusif à des droits, services ou lieux publics ». Cette question de respect des droits de l’homme devait être considérée « avec la plus grande prudence ».

En ce 22 octobre, des députés du Parlement Européen ont tenu une conférence de presse sur les abus de l’usage du Green Pass qui explicite une nouvelle fois les violations des droits de l’homme, les fondements démocratiques de L’Europe et des engagements du Parlement européen.

CHERS ÉLUS, NOUS COMPTONS SUR VOUS

Pour nous rendre nos libertés chèrement acquises il y a un peu plus de deux siècles.

Les avancées de l’Assemblée nationale avec de nombreuses interventions de députés de tous bords lors de la première lecture de cette loi, nous font espérer que le Parlement aura la possibilité de s’opposer à la prorogation injustifiée de l’état d’urgence, et retrouver ainsi ses prérogatives législatives, sachant qu’en cas d’une reprise épidémique, l’utilisation des traitements précoces permettrait de régler rapidement la situation sanitaire comme dans tous les pays qui l’ont décidé, telle l’Inde.

En restant à votre disposition pour tout complément d’information, croyez en nos sentiments respectueux.





Le premier ministre de l’Ontario annonce la fin du passeport vaccinal en janvier 2022 ? Voici pourquoi !

[Source : ontario.ca via Conscience du peuple]

ID numérique en Ontario [Extraits]

Découvrez l’identité numérique, une nouvelle façon de vous identifier qui rendra l’accès aux services en ligne et en personne plus simple, plus sécuritaire et plus sécurisé.

Nous présenterons l’ID numérique de l’Ontario à la fin de 2021.

Qu’est-ce que c’est l’ID numérique?

L’ID (identification) numérique est une version électronique d’une pièce d’identité gouvernementale fiable assurant une meilleure sécurité et une meilleure protection de la vie privée que les cartes d’identité ou les documents physiques.

Elle peut être sauvegardée en toute sécurité dans la future application Portefeuille de l’Ontario conçue pour les téléphones intelligents et autres appareils numériques (comme les tablettes et les ordinateurs) et permettra aux particuliers et aux entreprises de prouver leur identité en ligne et en personne.

L’identification numérique est le fondement qui facilitera l’accès aux services en ligne et fera de l’Ontario l’un des territoires les plus avancés au monde en matière de numérisation, dont la valeur pour les Ontariens, les entreprises et le gouvernement est estimée à 20 milliards de dollars footnote 1[1] .

Comment pouvez-vous utiliser l’ID numérique?

Services financiers

Services bancaires

  • Ouvrir un compte bancaire ou un compte d’investissement
  • Demander un prêt personnel ou hypothécaire
  • Demander un compte d’entreprise ou un prêt commercial

Assurances

  • Demander des services liés aux assurances
  • Soumettre une demande de règlement auprès d’un assureur

Autres

  • Acheter ou vendre des biens immobiliers
  • Acheter, louer ou vendre un véhicule

Soins de santé

Traditionnels

  • Fixer un rendez-vous médical
  • Consulter un médecin ou un autre professionnel de la santé en personne
  • Obtenir une ordonnance
  • Accéder aux carnets de vaccination et les utiliser

Numériques

  • Accéder aux dossiers médicaux en ligne
  • Participer à un rendez-vous médical en ligne

Services publics pour particuliers

  • Obtenir, renouveler ou remplacer un permis de conduire
  • Demander, renouveler ou remplacer une carte de santé
  • Renouveler ou remplacer un autocollant de plaque d’immatriculation
  • Obtenir ou renouveler une carte pour activités récréatives de plein air
  • Obtenir un permis de chasse ou de pêche
  • Faire une demande de RAFEO
  • Demander des prestations ou des crédits d’impôt provinciaux
  • Demander une pension alimentaire pour enfant ou pour conjoint ou le partage des biens
  • Déposer une demande auprès de la Commission de la location immobilière

Accueillir un nouveau client ou une nouvelle entreprise

  • Vérifier les références et l’historique d’une autre entreprise
  • Vérifier d’autres entreprises qui offrent des produits et services en ligne
  • Vérifier l’identité d’un client sans mot de passe ou sans sa présence physique

Gestion d’une entreprise

Opérations

  • Louer des propriétés ou des véhicules pour une entreprise
  • Vérifier les antécédents des employés
  • Demander la preuve de l’âge des clients
  • Obtenir des licences ou des documents d’importation ou d’exportation
  • Vérifier les références et l’historique d’une autre entreprise

Propriété

  • Prouver la propriété d’une autre entreprise

Numérique

  • Souscrire des contrats numériques
  • Demander et envoyer des signatures numériques
  • Recevoir des paiements en ligne

Services publics pour les entreprises

Licences

  • Obtenir l’enregistrement d’une entreprise, des permis ou des licences
  • Obtenir des licences ou des documents d’importation ou d’exportation

Prestations

  • Demander des subventions ou des avantages gouvernementaux
  • Obtenir un financement pour le commerce international

Rapports

  • Produire une déclaration de revenus ou d’autres rapports légaux ou réglementaires



Témoignage d’un Belge refoulé de son propre pays !

[Source : lesmoutonsenrages.fr]

Bonjour,

Mon nom est Raphaël Van Renterghem, bien Belge d’origine, possédant une carte d’identité belge et un passeport belge, résidant toutefois en Angleterre depuis mai 2004.

Je souhaite vous faire part de mon expérience de retour en Belgique pour uniquement rendre visite à ma famille à Dinant (oncles et cousines) et ma mère (Anseremme). Donc, pas de tourisme ! Famille que je n’ai plus vue depuis plus de treize mois en raison, paraît-il selon les médias traditionnels, d’un « contexte sanitaire » particulier.

J’ai eu l’honneur d’être refoulé aux contrôles de sécurité à l’aéroport de Courtrai après mon arrivée par vol privé et direct le lundi 11 octobre 2021 aux alentours de 14h30, m’empêchant ainsi de rendre visite à ma famille. Avec une conscience professionnelle exemplaire, les deux agents de police m’ont demandé, dans un premier temps, de remplir un formulaire de localisation (depuis le sas de sécurité de l’aéroport, bien sûr) avant qu’il me soit finalement demandé de quitter le territoire belge par le même avion. Ce qui fut fait 1 heure après. Mon séjour en Belgique ne s’est donc limité, en tout, qu’à une durée de 1h30 sur le bord du tarmac de l’aéroport de Courtrai.

La raison de mon refoulement par les deux agents de police résulte de mon refus parfaitement légitime de me soumettre à un acte médical sur ma propre personne—i.e. test PCR—avant de pouvoir éventuellement bénéficier du droit de rendre visite à ma famille.

Je précise que les deux agents de police se sont admirablement bien comportés. Ils ont été compréhensifs au sujet de ma situation et n’ont absolument exercé aucune contrainte physique sur ma personne. Tout s’est passé dans une ambiance parfaitement cordiale. J’ai pu faire preuve de sang-froid, j’ai joué carte sur table et collaboré pour leur faciliter la tâche.

Mon témoignage va dans ce sens : aussi surprenant que cela puisse paraître, la Belgique n’hésite pas à refouler ses propres citoyens belges hors de ses frontières. Alors que je ne demandais qu’à visiter ma famille (uniquement) que je n’ai plus vue depuis plus de treize mois.

Je suis, ce qu’on appelle, un « récalcitrant » selon les médias traditionnelles du Royaume ! Ma dignité et mes valeurs avant tout le reste. Si je dois sacrifier mes relations familiales, je le ferai. Je ne me ferai ni testé ni vacciné, ni QR-codé, ni tracé. Je ne veux pas participer à cette mise en scène ou mascarade. Comme s’il fallait encore se justifier : je ne suis pas anti-vax, mais seulement bien informé sur ce qu’il se passe en-dehors des plateaux télés.

Je vous joins ma correspondance avec l’AVIQ pour leur avoir signifié que je ne suis pas en Belgique vu que j’ai été refoulé. En effet, avant d’être refoulé, j’ai dû remplir le PLF sur place (puisque je ne l’avais pas rempli avant de venir en Belgique)

Je vous donne le droit d’en parler autour de vous, sur votre site, lettres, etc. et même de rendre public mon témoignage. J’accepte que mon nom soit rendu public.

Je souhaite également vous signaler que je suis une personne de 45 ans, en parfaite santé, pratique beaucoup le sport (VTT, course à pied, banc rameur + un peu de muscu pour entretenir les muscles), mène une vie saine, vis en partie sur mon potager, prends des douches froides (seulement après le sport, pas au réveil le matin, LOL), pratique le jeûne intermittent de manière quotidienne, un jeûne mensuel de 3½ jours, et prend aussi des compléments alimentaires (C, D, magnésium, Zinc (bientôt, donc), protéine de lait, etc.). Je dois mon hygiène de vie au Docteur Mercola maintenant censuré de partout !

Aussi bizarre que cela puisse paraître (lol), je n’ai eu, jusqu’à présent, aucune infection respiratoire ni pulmonaire depuis décembre 2018. Serais-je donc passé entre les gouttes en 2019 et une bonne partie de 2020 malgré l’affreuse pandémie qui a éradiqué la moitié de la planète ? Ah, mais non, j’avais oublié, la définition de la pandémie a été changée…

Je vous notifie également que je contacterai d’autres relais indépendants d’informations.

Mes coordonnées : +44 xxxx xxxxxx

Sincères salutations,

Raphael Van Renterghem




Lettre de Marc Wathelet, PhD, au Ministre belge de la santé

[Source : covexit.com]

Cette lettre de Marc Wathelet, PhD, Expert en Biologie Moléculaire et Immunologie, adressée au ministre belge de la santé, analyse non seulement les mandats imposés au personnel soignant, mais aussi la vaccination des enfants et le pass sanitaire “Safe Ticket” destiné à la population générale. Le contenu de la lettre est pertinent non seulement à la situation belge mais aussi à celle des autres pays adoptant ce genre de mesures coercitives et particulièrement discutables sur le plan de la santé publique.


Cher Monsieur Vandenbroucke, Vice-Premier ministre et ministre des Affaires sociales et de la Santé publique

Merci pour votre réponse à notre courrier concernant la vaccination obligatoire des soignants, que vous justifiez en vous basant sur un certain nombre d’affirmations qui ne sont pas étayées par une documentation de faits avérés scientifiquement. 

Au contraire, les données scientifiques disponibles à ce jour contredisent l’ensemble de votre argumentation et, comme détaillé ci-après, nous ne pouvons que conclure que la vaccination obligatoire des soignants est non seulement inutile, mais aussi contre-productive d’un point de vue de santé publique, au-delà du fait qu’elle viole les principes de bioéthique et de déontologie médicale, ainsi que les droits de l’homme. 

1) La vaccination obligatoire des soignants est inutile

La vaccination obligatoire des soignants est inutile car les études démontrent au-delà d’un doute raisonnable qu’elle ne permet ni de prévenir la contamination d’un individu, ni de réduire la charge virale des personnes infectées, et donc leur capacité à transmettre le virus à autrui.

Vous trouverez dans l’annexe A la longue liste de faits, de publications scientifiques et de déclarations officielles d’agences et d’individus qualifiés, comme par exemple le Dr. Fauci, qui confirme notre assertion que la vaccination ne permet pas de prévenir la contamination d’un individu et sa capacité à transmettre à autrui le variant delta circulant aujourd’hui.

Nous ne reprendrons ici que le dernier exemple en date : le 23 septembre, l’Irish Examiner annonçait que dans la ville de Waterford, 99,7 % des plus de 18 ans étaient complètement vaccinés, le plus haut total dans toute l’Union Européenne(([1] https://www.irishexaminer.com/news/arid-40704104.html)). Le 11 octobre, Waterford News & Star annonce que la ville a le plus haut taux d’incidence d’Irlande(([2] https://waterford-news.ie/2021/10/11/waterford-now-has-highest-incidence-of-covid-in-ireland/)). 

Une seule conclusion s’impose, qui ne peut pas être contestée de bonne foi : au-delà des études, dans le monde réel, en pratique, la vaccination ne permet pas d’empêcher la transmission de SARS-CoV-2 au sein d’une communauté.

2) La vaccination obligatoire des soignants est contre-productive d’un point de vue de santé publique

Le message que les vaccins contre la COVID seraient « sûrs et efficaces », une affirmation non étayée si ce n’est que par l’absence du recul nécessaire, a été martelé constamment pendant de longs mois dans tous les médias. Un des effets néfastes de cette campagne est l’acceptation de cette affirmation comme un fait établi, non seulement par la population mais aussi par ses dirigeants.

En conséquence, les personnes vaccinées respectent moins les gestes barrières tels la distanciation ou le port du masque et, comme elles ont plus de chances d’être asymptomatiques lorsqu’elles sont infectées, ce qui les rend moins conscientes du risque qu’elles font courir à autrui, elles sont en fait plus susceptibles de propager le virus que les personnes non vaccinées.

En pratique, cela veut dire que le COVID Safe Ticket est non seulement inutile mais contre-productif : une licence pour les personnes vaccinées de contaminer autrui, qu’ils soient vaccinés ou non.

Le même raisonnement s’applique aux soignants, même s’ils observaient plus scrupuleusement les gestes barrières, car l’efficacité de ceux-ci n’est que partielle : vacciner tous les soignants n’empêchera pas la contamination « des personnes malades ou vulnérables en raison de leur grand âge » dont vous vous inquiétez à juste titre.

Nous sommes d’accord avec vous que « les personnes soignées ont droit à une sécurité maximale ». Nous vous proposons deux alternatives non exclusives à la vaccination obligatoire des soignants qui seront beaucoup plus efficaces pour prévenir les infections nosocomiales :

1. Faire tester tout le personnel soignant, vacciné ou non, à une fréquence élevée. À cet égard, notons que les tests naso-pharyngés ne sont pas sans risque, comme le rapporte l’Académie de médecine en France(([3] https://tinyurl.com/7fnj6nu8)). Deux autres méthodes plus sûres peuvent être considérées : un test antigénique oro-pharyngé ou un test PCR buccal.

2. Instaurer un programme de prophylaxie volontaire à base d’ivermectine : il y a 14 études qui soutiennent l’efficacité de cette approche(([4] https://ivmmeta.com.))

Enfin, la vaccination obligatoire des soignants est contre-productive d’un point de vue de santé publique car ceux qui refusent encore de se faire vacciner ne pourront plus travailler, et dès lors le nombre de soignants, déjà limitant, sera encore plus réduit, avec un impact néfaste sur la santé publique. En France, il y a ~300.000 soignants non vaccinés (~10 %)(([5] https://tinyurl.com/47j2pd5v)), et 15.000 d’entre eux sont déjà suspendus(([6] https://tinyurl.com/5ejfxewf)). Dans les hôpitaux belges, 9,4 % des soignants ne sont pas vaccinés et dans les MR/MRS, 13,1 % ne le sont pas(([7] https://tinyurl.com/4fzvma6m)).

3) L’illusion de l’immunité collective

Vous affirmez : « Selon les scientifiques, il faudrait que 70 % de la population totale (enfants compris) soit entièrement vaccinée pour que tout le monde soit protégé. Avec le variant Delta, qui est plus contagieux que les premiers variants, nous continuons à viser ces 70 %, mais nous nous efforçons d’atteindre le plus haut pourcentage possible. »

Cette opinion semble partagée surtout par les experts mandatés par le gouvernement. Au contraire, de nombreux scientifiques avaient anticipé le fait que vacciner pendant une pandémie ne soit pas une approche suffisante pour contrôler le virus, et les événements leur ont donné raison (voir annexe A pour une liste de citations).

Vous dites que « La vaccination réduit la circulation du virus ». Ceci est contredit par les articles cités plus haut à propos du variant delta (annexe A), l’exemple de la ville de Waterford, et maintenant une étude de grande envergure démontre que les augmentations de COVID-19 ne sont effectivement pas liées aux niveaux de vaccination à travers le monde (une étude portant sur 68 pays, ainsi que 2947 comtés aux États-Unis)(([8] https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7)).

4) Les dangers de la COVID vs. les dangers de la vaccination

Vous dites « Si nous avons peur des variants, nous devons certainement vacciner davantage aujourd’hui. » Puisque les données objectives indiquent que la vaccination ne fonctionne pas en pratique, même quand tout le monde est vacciné, la solution ne peut pas être de vacciner plus !(([9] >>  Effets adverses : que nous disent les données du système américain VAERS – un entretien avec Jessica Rose, PhD))

Il n’y a pas de raison d’avoir peur des variants : d’une part la létalité du variant delta est un dixième de l’alpha d’après Public Health England, et d’autre part la létalité de la COVID est intrinsèquement faible. Elle est surtout liée à la présence de comorbidités (99% des décès surviennent chez des personnes avec une comorbidité, 96% chez des personnes avec de multiples comorbidités, Annexe B).

Surtout, cette létalité est comparable à celle causée par d’autres infections respiratoires. Dès lors, ni le COVID Safe Ticket ni la vaccination obligatoire ne sont justifiables d’un point de vue santé publique !

Les personnes à risque ont eu le loisir de se faire vacciner ou peuvent prendre un traitement prophylactique si elles choisissent de ne pas se faire vacciner. La situation de ces individus ne peut donc justifier de faire courir un risque inutile à d’autres individus en bonne santé.

Le risque inhérent à la vaccination contre la COVID à moyen et long terme reste tout simplement inconnu, faute du recul nécessaire (on note cependant le syndrome post-vaccinal prolongé, semblable au COVID long). Le risque à court terme est manifeste malgré les efforts intenses des autorités sanitaires, des médias traditionnels et des GAFAM pour supprimer toute information à ce sujet.

Par exemple, le Ministère israélien de la Santé a publié sur sa page Facebook un article sur les effets indésirables sévères qu’il qualifiait de très rares seulement pour se retrouver inondé par un déluge d’avis contraires de ses citoyens (14.000 en quelques heures), avis qui ont tout simplement été supprimés. Simplement nier cette réalité n’est pas une solution au problème qu’elle pose.

Facebook supprime systématiquement tout groupe qui recensent les effets indésirables des vaccins, groupes comptant des dizaines de milliers d’utilisateurs aux États-Unis et ailleurs. De quel droit ? Rien qu’en francophonie, la collection (non exhaustive) de captures d’écran de ces rapports individuels témoigne de l’ampleur catastrophique du phénomène(([10] https://tinyurl.com/337947zx)).

Les banques de données de pharmacovigilance à travers le monde rapportent toutes un surcroit d’effets indésirables sévères et de décès pour les vaccins contre la COVID :
(http://www.vigiaccess.org/ [OMS] ; 
https://vaers.hhs.gov/ [États-Unis] ;
https://yellowcard.mhra.gov.uk/the-yellow-card-scheme/ [Royaume-Uni] ;
https://www.adrreports.eu/en/search.html [Eudravigilance, Union Européenne]).

L’analyse des données de VAERS, par exemple, montre une incidence beaucoup plus élevée pour les vaccins contre la COVID que contre la grippe d’effets indésirables sévères (28X plus) et de décès (57X plus, voir Annexe B). À quoi servent ces sites de pharmacovigilance si de tels chiffres sont balayés du revers de la main comme inconséquents, quand au contraire ils appellent à la suspension de la campagne de vaccination jusqu’à ce que leur signification soit établie ?

Les sites de « fact-checking », financés par l’industrie pharmaceutique, viennent à la rescousse de la doxa en affirmant qu’il n’y a pas de preuve que ces décès soient imputables aux vaccins. C’est inverser la charge de la preuve !

Selon un rapport de l’ANSM en France (28.01.2021), la règle officielle en pharmacovigilance, est celle-là : « L’analyse des cas déclarés prend en compte les données cliniques, chronologiques, sémiologiques, et pharmacologiques. Elle peut conduire à écarter la responsabilité du vaccin dans la survenue d’un évènement indésirable observé dès lors qu’une autre cause, certaine, est mise en évidence. »

De fait, un audit des données de VAERS montre que seulement 14 % des décès consécutifs à la vaccination peuvent être attribués à une autre cause ; et ce n’est pas n’importe qui faisant ces déclarations, 67 % des rapports ayant été introduits par un médecin. De même dans Eudravigilance, 79 % des rapports concernant un décès ont été introduits par un professionnel de la santé.

Tous les critères de Bradford Hill sont observés, impliquant ces vaccins comme la cause de la plupart des effets indésirables reportés. Quand les autopsies, qui ne sont que trop rarement faites, sont réalisées, entre 30 et 100 % des décès sont imputables à la vaccination (voir annexe B).

Ces banques de données sont mal conçues, conduisant à des rapports erronés de part et d’autre du débat. On voit par exemple circuler pour Eudravigilance un chiffre supérieur à 25.000 décès suite à la vaccination contre la COVID. Une analyse plus rigoureuse indique 7.174 décès au 9 octobre 2021. L’analyse de VAERS donne un nombre de décès du même ordre de grandeur (7.680, au 8 octobre 2021).

Ces systèmes de pharmacovigilance sont passifs, conduisant à une sous-déclaration très importante du nombre réel de cas. Un facteur de 5 semble conservateur, mais peu importe le nombre exact, ce qui est incontestable c’est que des gens en bonne santé, sans comorbidité, jeunes, décèdent suite à la vaccination ou sont gravement blessés.

Le vaccin contre le rotavirus a été retiré du marché en 1999 à cause de seulement 15 cas d’intussusception. La campagne de vaccination contre la grippe porcine en 1976 a été interrompue après 25 décès. Nous en sommes à environ 3.000 fois plus au minimum (annexe B). Combien de morts de plus faudra-t-il avant que l’on ne se rende à l’évidence ?

Les données montrent que ceux qui font preuve de prudence vis-à-vis des vaccins sont plus éduqués en moyenne que ceux qui favorisent la vaccination, contrairement à la manière dont ils sont dépeints dans les médias.

Et la réalité des effets indésirables graves dus à la vaccination est confirmée par le fait que ce sont justement des soignants qui ne veulent pas être vaccinés, malgré leur éducation et le fait qu’ils sont généralement favorables à la vaccination (il ne s’agit pas d’antivax !), car ils sont en première ligne et peuvent constater les dégâts que ces vaccins-ci causent.

Il est dès lors profondément immoral de rendre la vaccination obligatoire, qu’il s’agisse de soignants ou de n’importe quelle catégorie de citoyens. De même, il est contraire à la bioéthique d’encourager à se vacciner des classes d’individus qui étaient exclues de la phase 3 des essais cliniques, notamment les femmes enceintes et les moins de 18 ans.

Les décès d’enfants dû à la COVID sont extrêmement rares et observés exclusivement chez des individus souffrant de sévères comorbidités, et donc les décès d’enfants sains déjà enregistrés suite à la vaccination doivent conduire à un moratoire immédiat sur la vaccination des enfants et des femmes enceintes, outre l’absence de recul des effets à long terme de cette procédure sur ces populations.

La vaccination obligatoire viole non seulement l’éthique, mais également des concepts fondamentaux de droits, comme démontré par Alessandro Negroni, professeur de philosophie du droit à l’Université de Gênes :

« Au regard du droit européen et du droit international, les vaccins génétiques anti-covid constituent une expérimentation médicale sur les êtres humains. Or, d’un point de vue tant éthique que juridique, nul ne peut être obligé de se soumettre à une forme d’expérimentation médicale en l’absence d’un consentement libre et éclairé. » 

http://www.mediaplus.site/2021/10/09/les-vaccins-genetiques-anti-covid-sont-une-forme-dexperimentation-medicale/>>  Comment atteindre l’immunité collective – L’expert en virologie et vaccins Geert Vanden Bossche explique

Nous espérons que vous tiendrez compte de cette analyse sourcée, et que vous vous rendrez à l’évidence qu’il faut abandonner l’idée de la vaccination obligatoire avec des produits expérimentaux pour qui que ce soit, ainsi que l’implémentation d’un COVID Safe Ticket basé sur autre chose qu’un test récent.

Abandonnons aussi le nihilisme thérapeutique, et traitons les individus contaminés précocement, comme la médecine l’avait toujours fait avant le début de cette crise.

Avec notre profond respect, 

Par Reinfocovid Belgique et l’ASBL « Notre Bon Droit »

Analyse par Marc G. Wathelet, Ph.D. (Biologie Moléculaire)

ANNEXE A Les données concernant l’effet de la vaccination sur la contamination et la transmission de SARS-CoV-2

L’effet de la vaccination sur le risque de contamination par SARS-CoV-2 et sa transmission à autrui était modeste dans les études initiales, mais le déclin rapide de l’immunité chez l’individu vacciné et l’apparition de variants plus contagieux rend cet effet négligeable aujourd’hui, comme discuté en détails dans ce document(([11] https://www.linkedin.com/pulse/questions-sur-limmunisation-et-la-transmission-de-marc-wathelet/?published=t)), rédigé dans le cadre d’une action en justice de l’ASBL « Notre Bon Droit » en opposition au « COVID Safe Ticket » proposé par le Gouvernement belge.

Ce document date du 28 juillet 2021, contient 50 références et les études apparues depuis cette date ne font que confirmer cette analyse :

Données de Public Health England jusqu’à la 40ème semaine de 2021

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Les données les plus récentes de Public Health England indiquent que dans toutes les cohortes le taux d’infection est plus élevé chez les vaccinés que chez les non-vaccinés à partir de 30 ans. Dans ces conditions, l’obligation de la vaccination est simplement absurde. 

Les CDC et le Dr. Fauci reconnaissent l’impact de la plus grande contagiosité du variant delta et réinstaure le port du masque pour les vaccinés(([12] https://www.cnbc.com/2021/07/28/dr-fauci-on-why-cdc-changed-guidelines-delta-is-a-different-virus.html)).

Par ailleurs, le document cité ci-dessus(([13] https://www.linkedin.com/pulse/questions-sur-limmunisation-et-la-transmission-de-marc-wathelet/?published=t)) compare aussi l’immunité contre SARS-CoV-2 acquise à la suite de la vaccination et celle consécutive à une infection naturelle et montre que cette dernière est plus robuste, plus large, plus équilibrée entre la production d’anticorps et de cellules T, et dure plus longtemps que l’immunité vaccinale, ce qui se traduit par une meilleure et plus durable protection contre l’infection pour les individus convalescents comparativement aux vaccinés.

Les soignants font partie de ceux qui ont été les plus exposés au virus jusqu’à présent, et il serait donc absurde de leur imposer une vaccination quand leur immunité naturelle est plus efficace. Ici aussi, les études apparues depuis cette date ne font que confirmer cette analyse :

Le collectif #Covidrationnel en Belgique, qui comprend une trentaine de professeurs d’universités, chercheurs et médecins a réalisé une analyse semblable et arrive aux mêmes conclusions :
https://covidrationnel.be/2021/10/06/de-source-sure/

Ces études sont confirmées par les observations dans le monde réel, dans les territoires avec le plus haut taux de vaccination comme par exemple les Seychelles, Gibraltar, l’Islande, ce haut taux n’empêche pas d’importantes vagues de contamination qui suivent de près la campagne de vaccination.

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Plus récemment, dans la ville de Waterford en Irlande où 99,7 % des plus de 18 ans sont complètement vaccinés(([14] https://www.irishexaminer.com/news/arid-40704104.html)), cette ville connait malgré ça le plus haut taux d’incidence d’Irlande (618,9 contaminés par 100.000 sur les 2 dernières semaines)(([15] https://waterford-news.ie/2021/10/11/waterford-now-has-highest-incidence-of-covid-in-ireland/)).

Une étude globale récente démontre que les augmentations de COVID-19 ne sont effectivement pas liées aux niveaux de vaccination à travers le monde (68 pays et 2947 comtés aux États-Unis)(([16] https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7)).

ANNEXE B  Les dangers de la COVID vs. les dangers de la vaccination contre la COVID 

Il n’est pas utile d’un point de vue de santé publique de considérer le taux de létalité général, il s’agit d’identifier les populations à risque. 

Les dangers de la COVID

Les dangers de la COVID sont liés à l’âge et à la présence de comorbidités, 99 % des décès surviennent chez des personnes avec une comorbidité, 96 % chez des personnes avec de multiples comorbidités d’après les CDC américains :

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Les taux de survie au COVID par tranche d’âge selon l’équipe du Dr. Ioannidis:

Âge Taux de survie
0-19 99.9973%
20-29 99.986%
30-39 99.969%
40-49 99.918%
50-59 99.73%
60-69 99.41%
70+ 94.5%

Ces chiffres ne distinguent pas la COVID d’autres infections respiratoires en termes de létalité, et donc ne justifient pas une approche différente pour gérer cette maladie d’un point de vue de santé publique. Dès lors ni le COVID Safe Ticket, ni la vaccination obligatoire ne sont justifiés d’un point de vue de santé publique !

Les dangers de la vaccination contre la COVID

Il y a d’excellents vaccins, avec un rapport risque bénéfice très favorable, contre des maladies sévères, comme par exemple le tétanos ou la fièvre jaune. Cependant, le rapport bénéfice risque s’avère parfois défavorable, et le vaccin en question est alors retiré du marché.

Par exemple, un vaccin contre le rotavirus a été retiré du marché en 1999 à cause de seulement 15 cas d’intussusception(([17] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC2094741/)).

La campagne de vaccination contre la grippe porcine en 1976 a été interrompue après 25 décès(([18] https://www.lemonde.fr/planete/article/2009/09/15/le-precedent-vaccinal-de-1976_1240713_3244.html)). Elle a causé également 532 cas de syndrome de Guillain-Barré.

Qu’en est-il pour les vaccins contre la COVID ?

Une simple corrélation n’est pas synonyme de causalité. On utilise les critères de Bradford Hill, qui s’avèrent largement vérifiés pour ces vaccins comme montré ci-après, la liste est :

  • 1.    Force de l’association (plus l’ampleur des effets liés à l’association sont larges, plus un lien causal est probable, même si un faible effet n’implique pas une absence de lien de causalité) ;
  • 2.    Stabilité de l’association (sa répétition dans le temps et l’espace)
  • 3.    Cohérence (les mêmes observations sont réalisées dans différentes populations) ;
  • 4.    Spécificité (une cause produit un effet particulier dans une population particulière en l’absence d’autres explications);
  • 5.    Relation temporelle (temporalité). Les causes doivent précéder les conséquences ;
  • 6.    Relation dose-effet (une plus large dose mène à un plus large effet);
  • 7.    Plausibilité (plausibilité biologique, possibilité d’expliquer les mécanismes impliqués) ;
  • 8.    Preuve expérimentale (chez l’animal ou chez l’homme) ;
  • 9.    Analogie (possibilité d’explications alternatives). 

Par exemple, la temporalité (#5) montre une incidence très élevée de décès dans les jours qui suivent la vaccination, avant de redescendre au niveau normal.

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Le même profil des effets indésirables est observé en Europe et aux États-Unis (#3), dont voici la liste, en ordre décroissant de fréquence par rapport à leur norme respective :
>>  Effets adverses : que nous disent les données du système américain VAERS – un entretien avec Jessica Rose, PhD

embolie pulmonaire, accident vasculaire cérébral, thrombose veineuse profonde, thrombose, augmentation des dimères de fibrine D, appendicite, acouphènes, arrêt cardiaque, décès, maladie de Parkinson, parole lente, aphasie (incapacité de parler), fatigue, épanchement péricardique, maux de tête, frissons, péricardite, surdité , myocardite, hémorragie intracrânienne, avortement spontané, toux, paralysie de Bell , paresthésie, cécité, dyspnée (difficulté à respirer), myalgie, dysstasie (difficulté à se tenir debout), convulsions, réaction anaphylactique, suicide, trouble de la parole, purpura thrombotique thrombopénique, paralysie, gonflement, diarrhée, neuropathie, syndrome de dysfonction multiviscérale, dépression.

Leur nombre augmentent avec le niveau de vaccination, et il y a spécificité (#4), le profil d’effets indésirables repris ci-dessus est différent de celui observé pour les vaccins contre la grippe mais est semblable aux effets de la COVID ; aussi, certaines populations sont affectées différemment, par exemple les myocardites et péricardites touchent plus les jeunes hommes.

Plausibilité biologique (#7) : les vaccins contre la COVID produisent dans nos cellules la protéine Spike de SARS-CoV-2 comme le fait l’infection avec le virus, et les effets indésirables ressemblent à ceux observés dans la maladie ; la protéine Spike fait preuve in vitro d’une toxicité intrinsèque vis-à-vis des cellules endothéliales et des péricytes cardiaques :

Preuve expérimentale (chez l’animal ou chez l’homme, #8), expériences sur les souris reproduisent la myopéricardite(([19] https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciab707/6353927)).

Force de l’association (#1) et stabilité (#2) :

Rapport des effets indésirables graves et des décès pour tous les vaccins contre la COVID par million de doses comparé aux vaccins annuels contre la grippe de 2016 à 2021, au vaccin contre la souche H1N1 de la grippe en 2009-2010, et à tous les vaccins excepté ceux contre la COVID de 2006 à 2021 dans le système VAERS américain.

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L’analyse des données de VAERS montre une incidence beaucoup plus élevée pour les vaccins contre la COVID que contre la grippe d’effets indésirables sévères (28X plus) et de décès (57X plus).

Chiffres absolus des effets indésirables graves et décès dans VAERS pour les 3 vaccins aux États-Unis contre la COVID, et leur rapport par nombre d’injections.

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Un audit des données de VAERS montre que seulement 14 % des décès consécutifs à la vaccination peuvent être attribués à une autre cause ; au moins 67 % des rapports ont été introduits par un médecin.(([20] https://www.researchgate.net/publication/352837543_Analysis_of_COVID-19_vaccine_death_reports_from_the_Vaccine_Adverse_Events_Reporting_System_VAERS_Database_Interim_Results_and_Analysis?channel=doi&linkId=60dc44c9a6fdccb745f48fc7&showFulltext=true))

Le système VAERS étant passif, seule une faible proportion des cas réels y sont recensés. On peut estimer cette proportion sur base d’une étude portant sur 64.900 employés d’un hôpital du Massachusetts mesurant les réactions graves compatibles avec l’anaphylaxie qui peuvent survenir immédiatement après la vaccination : elles se sont produites à un taux de 2,47 pour 10.000 vaccinations. Le taux d’incidence de l’anaphylaxie confirmée dans cette étude est plus élevé que celui rapporté par les CDC sur la base des méthodes passives (VAERS) de notification spontanée (0,025-0,11 pour 10.000 vaccinations).(([21] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2777417))

Ces données suggèrent que le sous-reportage dans VAERS est d’un facteur compris entre 22.5 et 98.8 !

Ce qui indique que le nombre de décès dépasse 150.000 et le nombre d’effets indésirables sévères dépasse le million aux États-Unis. 

Chiffres absolus des effets indésirables graves et décès dans l’Espace Économique Européen pour les 4 vaccins contre la COVID, et leur rapport par nombre d’injections.

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79% des rapports de décès ont été introduits par un personnel soignant.

La règle officielle en pharmacovigilance : « L’analyse des cas déclarés prend en compte les données cliniques, chronologiques, sémiologiques, et pharmacologiques. Elle peut conduire à écarter la responsabilité du vaccin dans la survenue d’un évènement indésirable observé dès lors qu’une autre cause, certaine, est mise en évidence.(([22] https://www.lelibrepenseur.org/temoignage-explosif-demission-dun-membre-du-comite-scientifique-permanent-pharmacovigilance-de-lansm/embed/#?secret=ddpd8Qzwpd))

Quand les autopsies, qui ne sont que trop rarement faites, sont réalisées, entre 30 et 100 % des décès sont imputables à la vaccination. Peter Schirmacher, pathologiste en chef à l’Université de Heidelberg, a déterminé que les rapports d’autopsies indiquent qu’au minimum 30 à 40 % d’un échantillon de 40 personnes décédées dans les deux semaines suivant la vaccination sont effectivement décédées du vaccin, en étant conservatif(([23] https://www.aerzteblatt.de/nachrichten/126061/Heidelberger-Pathologe-pocht-auf-mehr-Obduktionen-von-Geimpften)). 

Les professeurs Arne Burkhardt et Walter Lang, médecins légistes, ont présenté lundi 20 septembre à Reutlingen le résultat de dix autopsies. Sur les dix décès, sept sont “probablement” liés aux injections, dont cinq le sont « très probablement ». Pour les trois derniers cas, l’un d’entre eux reste à évaluer, un autre semble être « une coïncidence », et pour le dernier, le lien « est possible mais pas certain ».(([24] https://tinyurl.com/3b779fer)).

En Norvège, quand 23 décès consécutifs à la vaccination sont survenu dans un EHPAD, les autorités ont procédé à 13 autopsies et ces 13 décès se sont avérés liés à la vaccination(([25] https://norwaytoday.info/news/norwegian-medicines-agency-links-13-deaths-to-vaccine-side-effects-those-who-died-were-frail-and-old/)).  

Un centre français d’évaluation des médicaments conclu que vaccination contre la COVID doit être interrompue(([26] https://tinyurl.com/2s64aenn)), pour les 4 produits. Et le vaccin Moderna est abandonné par certains pays pour les plus jeunes (Norvège, Suède, Danemark ; la France pour la seconde dose).

Voir aussi :
https://www.researchgate.net/publication/354601308_Paradoxes_in_the_reporting_of_Covid19_vaccine_effectiveness_Why_current_studies_for_or_against_vaccination_cannot_be_trusted_and_what_we_can_do_about_it

Enfin, dans un article intitulé « Pourquoi vaccinons-nous les enfants contre la COVID ? », les auteurs concluent que non seulement leur vaccination est contrindiquée, mais que même pour les sujets les plus vulnérables de plus de 65 ans, l’analyse du rapport risque bénéfice montre qu’il y a 5 fois plus de décès attribuables à la vaccination qu’à la maladie(([27] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S221475002100161X)).

Il est contraire à la bioéthique et la loi de vacciner des classes d’individus qui étaient exclues de la phase 3 des essais cliniques, en particulier les moins de 18 ans.(([28] https://medcritic.fr/la-vaccination-des-enfants-contre-le-covid19-1/)): la société en vaccinant les enfants les soumet à un risque dans le but de protéger les adultes sans considérer leur bien-être, alors que c’est aux adultes qu’il incombe de se protéger.

Il est par ailleurs non seulement inexact que le variant delta serait plus dangereux pour les enfants(([29]
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.10.06.21264467v1)), mais les données de l’office national des statistique (ONS) britannique indique une augmentation de 46 % des décès dans la tranche d’âge 15-19 ans depuis que leur vaccination a été autorisée (+63 % chez les jeunes hommes, +16 % chez les jeunes femmes #4 ), comparé à la même période en 2020.(([30] https://theexpose.uk/2021/09/30/deaths-among-teenagers-have-increased-by-47-percent-since-covid-vaccination-began/)).

La présente lettre, datée du 17 Octobre, est reproduite avec permission d’un post sur LinkedIn. Une version anglaise sera disponible sous peu.





Lettre de la Nation au Président de la République, le mettant en demeure de faire toute la Vérité sur l’épidémie, de déclassifier les rapports du Conseil de Défense Sanitaire, de mettre fin sans délai à la vaccination de masse et au passeport anti-sanitaire, et de mettre un terme à l’état d’urgence sanitaire

Par Capitaine Alexandre JUVING-BRUNET

[Transmis par upinsky.work]

[Illustration : Comité de Salut du Peuple / National – Accueil | Facebook]

Monsieur le Président de la République,

Votre Liberté de chef de l’État ne vous dispense pas du devoir de respecter votre parole donnée de n’imposer ni le « pass sanitaire » ni l’obligation vaccinale. Votre liberté ne vous dispense ; ni du devoir de Vérité médicale ; ni, pour pouvoir établir la balance bénéfice/coût, du devoir de publier journellement l’évaluation du « quoi qu’il en coûte ! » de votre politique de guerre épidémique ; ni de votre devoir de ne pas cacher la Vérité médicale des faits et chiffres prouvant que le résultat de votre politique frappant d’interdit la Médecine d’Hippocrate est exactement inverse de celui que vous avez annoncé, comme l’atteste les huit éléments de preuve suivants.

Premier élément : la négation du traitement au profit du tout-vaccin

La « Réponse de la Nation au Président de la République, Pour en finir avec le coronavirus et la peur : Ordre de Mission, Exit le Vaccin ! », du 28 avril 2020, apportée àl’Élysée par les Gilets Jaunes constituants, a apporté la Preuve de l’intention criminelle ayant présidé à la politique anti-sanitaire de refus d’appliquer la véritable médecine avec un protocole basé sur le traitement qui s’imposait pour ramener cette épidémie à sa plus simple expression. Cette lettre vous alertait sur l’applicabilité et l’efficacité immédiate du traitement, en ces termes : « Le 15 avril le Dr. Gilles Besnainou a lancé un appel de salut public pathétique à tous les Français : “on a les antibiotiques, on a le traitement ; maintenant on sait soigner le coronavirus !” cette lettre évaluait la surmortalité de 82,5 % devant résulter dunégationnisme du traitement sur les malades du coronavirus. Mais insensible à toute humanité et aux intérêts fondamentaux de la France, vous n’avez ni répondu à cette lettre écrite au nom de la Nation, ni a fortiori agi pour sauver vos compatriotes d’une mort barbare ! Le serment d’Hippocrate est violé, la médecine immémoriale mise hors la loi.

Deuxième élément : la fraude sur les autorisations d’AMM conditionnelles

Compte tenu des délais et des conditions nécessaires pour obtenir d’authentiques AMM répondant à tous les critères de garantie, nulle AMM d’injection d’ARN-messager ou autre n’aurait pu être obtenue si l’existence de traitement n’avait tout de suite été niée par votre gouvernement. C’est donc par fraude, par négationnisme mortifère du traitement que les AMM conditionnelles des prétendus vaccins ont été obtenus. C’est ce qu’atteste le règlement européen n°2020/1043, adopté en urgence le 15 juillet 2020, qui a supprimé toutes les procédures de protection, d’analyse du risque, de contrôle, de suivi, d’étiquetage et d’information du public concernant l’utilisation, le transport, la dissémination dans l’environnement, l’injection aux Êtres humains d’organismes et de micro-organismes génétiquement modifiés, dès qu’il s’agit de recherches ou essais cliniques sur un vaccin ou un médicament contre la Covid-19.

Troisième élément : le vaccin ne protège ni de la contamination ni même des cas graves

C’est le constat officiel. Dans son ordonnance du 2 avril 2021, le Conseil d’État a bien estimé que les personnes vaccinées “peuvent demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à

  • la diffusion de l’épidémie”. Et à cette occasion, Olivier Véran, Ministre de la solidarité et de la santé a bien déclaré : “les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin [admirez la litote] ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant […] Le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la propagation du virus n’est pas encore connu.” Soit l’inverse du Mensonge d’État diffusé partout : “Tous vaccinés, tous protégés”.

Quatrième élément : le passeport vaccinal est anti-sanitaire

Encore une inversion. Le passeport imposé même pour prendre un café sur une terrasse

n’est qu’une persécution pour rendre la vie insupportable à ceux qui ne sont pas vaccinés. Dispenser du test les vaccinés, potentiellement contaminants, qui vont dans un lieu confiné pour se mélanger avec des non-vaccinés à test négatif, au risque de les infecter est donc anti-sanitaire !

Cinquième élément : la preuve de l’inefficacité vaccinale par le Royaume-Uni et Israël

Exactement à l’inverse de ce que vous aviez annoncé à Tahiti, le 24 juillet 2021, à savoir

que partout où l’on vaccinait le virus reculait, les chiffres prouvent que dès son apparition la

vaccination fait flamber les poussées épidémiques, avec deux modèles :

  • Le Royaume-Uni constitue le champion européen de la vaccination utilisant l’Astra Zeneca avec plus de 70 % des habitants primo-vaccinés, et 59 % disposant d’un schéma vaccinal complet. Ce taux élevé de “vaccination” n’a pas évité une explosion des cas au début de l’été, avec, à la mi-juillet jusqu’à 60 000 nouveaux cas quotidiens. Devant cette reprise importante de l’épidémie malgré la vaccination, monsieur Andrew Pollard, représentant de l’Oxford Vaccine Group, a reconnu devant le parlement : “l’immunité collective par le vaccin est un mythe” ;
  • Israël est une catastrophe niée par les responsables politiques. Champion de l’injection Pfizer, jadis partout cité en exemple d’efficacité, Israël est actuellement durement rappelé à la réalité et représente maintenant le modèle de l’échec vaccinal. 70 % de la population est primo-vaccinée, et près de 90 % des personnes à risque ont un cycle vaccinal complet. Mais l’épidémie est repartie plus forte que jamais depuis fin juin et plus de 11 000 nouveaux cas ont été enregistrés en 1 jour (le 14 septembre 2021) dépassant de près de 50 % les pics observés en janvier 2021 lors de la poussée qui a suivi les premières injections Pfizer. Depuis les vaccinations, les poussées épidémiques sont de plus en plus fortes.

Sixième élément : la vaccination provoque l’irruption des variants

Exactement à l’inverse de votre campagne de propagande — “Tous vaccinés, tous protégés” — la vaccination ne combat pas l’épidémie, elle la multiplie, comme l’attestenotamment, sous sa haute autorité, notre prix Nobel de médecine le professeur Luc Montagner : “Les variants viennent des vaccinations”.

Septième élément : le tabou sur la vague de morts et d’effets graves de la vaccination

Tout est fait pour cacher le “quoi qu’il en coûte” de votre campagne de vaccination forcée. L’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé), chargée de recenser et d’évaluer les résultats d’enquête de pharmacovigilance devant surveiller “en temps réel” le profil de sécurité des vaccins, à partir des déclarations réalisées par les professionnels de santé, les personnes vaccinées ou leur entourage, est d’une opacité totale. Au 26 septembre 2021, 1205 morts, 90 236 effets indésirables — dont 22 559 graves — ont été déclarés en France, à la suite d’injections. Coût en vie et préjudices dramatiquement sous-évalué. C’est ce que montre une étude comparative avec l’Écosse où le département de Santé Publique a recensé 5 522 personnes décédées dans les 28 jours suivant un vaccin contre le covid-19, alors que la population écossaise n’a que de 5,454 millions d’habitants, avec un recensement de 7 820 décès covid-19 depuis le début de la pandémie. En France le sujet est tabou, l’omerta règne, alors que le nombre de morts et d’effets indésirables devrait être donné dans les média quotidiennement au même titre que les autres chiffres de l’épidémie.

Huitième élément : l’obligation vaccinale, une condamnation à mort potentielle

Portant atteinte à nos droits élémentaires en créant des discriminations parmi les Citoyens d’un même Peuple, le passeport imposé même pour prendre un café sur une terrasse n’est qu’une persécution pour rendre la vie insupportable à ceux qui ne sont pas vaccinés. Mais elle équivaut à une condamnation à mort potentielle comme la vaccination obligatoire. C’est donc en toute logique médicale et orale que le Pr Montagnier, prix Nobel de médecine, a dit qu’il “était temps de stopper cette campagne”.

En conclusion, vous avez dit aux Français que leur droit à la liberté ne les dispensait pas de leur devoir de se faire vacciner. Au contraire, c’est votre devoir de chef d’État de faire toute la vérité sur le “quoi qu’il en coûte” de votre politique de vaccination forcée plus mortifère et dévastatrice que le virus et d’en tirer les conséquences qui s’imposent.

En plein accord avec le professeur Montagnier et au nom de la Vérité, de la science médicale, du Conseil d’État et de la Nation, de sa lettre du 28 avril 2020, nous vous mettons donc en demeure :

  1. De faire toute la vérité médicale sur l’épidémie, en publiant quotidiennement les chiffres des morts et des effets indésirables de votre vaccination de masse forcée ;
  1. D’en tirer une base de données, facilement utilisable par tous les Français par synthèse et périmètres (âges, vaccin, catégories d’effet, etc.) avec un historique cumulable depuis 2020 ;
  1. D’en tirer toutes les conséquences, en mettant fin sans délai à votre campagne de vaccination forcée et au passeport anti-sanitaire, liberticides et plus mortifères que le virus lui-même avec les variants qu’il multiplie.

Monsieur le Président de la République, nous sommes prêts à débattre publiquement, scientifiquement et démocratiquement, de ces huit éléments de preuve — prouvant que votre politique est exactement l’inverse de la science médicale, de la protection de la santé des Français et de leurs intérêts fondamentaux —, avec vous ou avec vos représentants, en vue d’un retour sans délai à la vie normale des Français.

Sans réponse de votre part, prenant acte du fait que vous ne seriez plus alors l’émanation ni de la Nation, ni de ses droits naturels et imprescriptibles, ni de ses intérêts fondamentaux, ni de sa volonté générale et par conséquent du Peuple français dans son ensemble, nous nous verrions dans l’obligation d’en tirer toutes les conséquences, de fait et de droit, pour restaurer au plus vite le Peuple souverain dans sa pleine souveraineté et la Démocratie dans son juste fonctionnement, comme expression de la volonté générale et non d’intérêts particuliers contraires aux intérêts vitaux de la France.

Dans cette attente, veuillez agréer, Monsieur le Président, l’assurance de notre haute considération.

Au nom de la Nation,

Capitaine Alexandre JUVING-BRUNET

Initiateur des Comités de Salut du Peuple




Italie. Selon l’Institut national italien de la santé, la plupart des décès recensés en 2020 n’ont pas été causés par le Covid-19

[Source : breizh-info.com)

Selon le rapport de juillet 2021 de l’Istituto Superiore di Sanità (Institut national italien de la santé, équivalent de notre ARS) sur la mortalité due au Covid, cité par le journal Mainstream Il Tempo, il semblerait que la plupart des décès recensés en 2020 n’aient pas été causés par le Covid-19 mais par des comorbidités et des pathologies lourdes.

Ainsi, sur les 130.000 décès répertoriés Covid depuis février 2020, seuls 3.700 seraient réellement liés au virus en lui-même, et uniquement à lui.

[Ndlr : cela signifie que seulement 1 décès sur 35 est réellement attribuable à ce qui a été nommé Covid-19 (et qui est à la base un ensemble de symptômes). La proportion est probablement voisine dans la plupart des autres pays qui trichent sur les chiffres, comme la France, les USA et le Canada.]

Tous les autres décès sont en réalité liés aux autres maladies des patients (hypertension, cancer, diabète, pathologie pulmonaire, cardiopathie).

Ceux qui ont perdu la vie et qui ont été classés comme « décédés du Covid » avaient entre une et cinq maladies qui, selon l’Institut national italien de la santé, leur laissaient déjà peu d’espoir. Pas moins de 67,7% auraient eu plus de trois maladies cumulées, et 18% au moins deux cumulées.

Selon l’Institut national italien de la santé, 65,8 % des Italiens qui ne sont plus de ce monde après avoir été infectés par Covid souffraient d’hypertension. 23,5% étaient également atteints de démence, 29,3% de diabète et 24,8% de fibrillation auriculaire. Et ce n’est pas tout : 17,4 % avaient déjà des poumons malades, 16,3 % avaient eu un cancer au cours des cinq dernières années ; 15,7 % souffraient d’une insuffisance cardiaque, 28 % d’une cardiopathie ischémique, 24,8 % d’une fibrillation auriculaire, plus d’un sur dix était également obèse, plus d’un sur dix avait eu un accident vasculaire cérébral, et d’autres encore, bien que dans un plus faible pourcentage, avaient de graves problèmes de foie, de dialyse et de maladies auto-immunes.

Traduction ; des personnes faibles et gravement malades, dont les décès n’étaient que question de jours, de semaines ou de mois, ont été probablement achevées par le Covid-19.

Rien qui ne justifiait, ni qui ne justifie toujours, d’enfermer pendant des mois et de mois une population, et de mettre en place une politique sanitaire tyrannique de contrôle des masses….Qui devra rendre des comptes ?

[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




TÉMOIGNAGES | Les effets secondaires graves du vaccin contre le Covid-19

[Source : Radio Courtoisie]

Clémence Houdiakova et l’équipe de la «Ligne Droite» ont proposé jeudi 21 octobre une émission spéciale où des victimes d’effets secondaires graves et indésirables du vaccin contre le Covid-19 ont témoigné de leur expérience. Pour décrypter leurs témoignages, étaient en présents:
~ Alexandra Henrion-Caude, généticienne, directrice de l’institut de recherche Simplissima, ancienne directrice de recherche à l’Inserm ;
~ Dr Olivier Soulier, médecin généraliste, responsable des soignants du Collectif Reinfo Covid, co-fondateur et responsable presse du syndicat Liberté Santé ;
~ Marc Doyer, témoin.

Marc Doyer collecte les témoignages des victimes d’effets secondaires indésirables.

Vous pouvez le joindre au 06.20.51.15.93
ou par son groupe de soutien «Mauricette» sur Facebook:
Mauricette Groupe | Facebook




Obsession vaccinale et transhumanisme

[Source : AgoraVox]

Par Opposition Contrôlée

Le 12 août 2021, un article nommé « Opération Dent Bleue » a été publié sur Agoravox. L’auteur y décrit un dispositif expérimental et sa mise en œuvre, visant à valider une hypothèse : les personnes vaccinées émettent-elles un signal Bluetooth ? Ce n’est pas l’expérience ni ses résultats qui m’intéressent ici, mais les commentaires que l’article a suscités.

transhumain

Il va sans dire qu’une telle hypothèse a un degré suffisant d’hétérodoxie pour que « l’honnête homme » la juge absurde et se retranche dans l’indignation, la dérision, et la condescendance, devant ce véritable cas d’école de complotisme. Les commentaires de l’article, nombreux, ont majoritairement été d’aimables conversations ironiques. À vrai dire, on ne compte que trois tentatives de réfutation. Je laisserai de côté la dernière, évoquant une probable confusion des signaux captés avec des anti-vols électroniques, suggestion tout à fait pertinente au demeurant.

Voici les réfutations que je vais commenter, qui ont inspiré le présent article :

commentaire 1

Réfutations immédiatement saluées (sanctifiées ?) par un représentant du bon sens et de la raison :

commentaire 2

Pas sérieux tout ça, hein ? Puisque chacun devrait savoir qu’etc.. Mais le problème ici, ce n’est pas ce que certains croient savoir, mais bien plutôt ce qu’ils ignorent.

Car malheureusement pour nos braves défenseurs de la science et du sérieux, voilà plus de 10 ans que la prestigieuse revue « American Chemical Society » a publié un papier intitulé : « Le premier dispositif auto-alimenté avec transmission de données sans fil ».(([1] https://www.sciencedaily.com/releases/2011/06/110615103042.htm))

Zhong Lin Wang et ses collègues expliquent que les progrès de l’électronique ont ouvert la voie à la mise au point de minuscules dispositifs fonctionnant sans batterie grâce à d’infimes quantités d’électricité pouvant être récoltées à partir du pouls d’un vaisseau sanguin, d’une brise légère ou des mouvements d’une personne qui marche. « Il est tout à fait possible de faire fonctionner ces dispositifs en récupérant l’énergie de sources présentes dans l’environnement, telles qu’un léger courant d’air, des vibrations, des ondes sonores, l’énergie solaire, chimique et/ou thermique », expliquent les scientifiques.

Le dispositif se compose d’un nanogénérateur qui produit de l’électricité à partir d’une vibration ou d’un déclenchement mécanique, d’un condensateur pour stocké l’énergie et d’un système électronique comprenant un capteur et un émetteur radio similaire à ceux des casques de téléphone mobile Bluetooth. Leur dispositif a transmis des signaux sans fil qui pouvaient être détectés par une radio commerciale ordinaire à des distances de plus de 30 pieds. [10 m]

Les auteurs remercient la DARPA et le ministère américain de l’énergie pour le financement de leurs travaux.

D’ailleurs, ces nanogénérateurs sont déjà anciens, on trouve des publications remontant à 2008(([2] https://pubs.acs.org/doi/10.1021/nl8027813)) détaillant leur fonctionnement et leur fabrication. Et leur dimension ne dépassait pas quelques µm. Le trou d’une petite aiguille pour injection sous-cutanée(([3] https://en.wikipedia.org/wiki/Birmingham_gauge)) (G 26) est de 0.26 mm, soit 260µm. Il y a très largement la place… Et tout ça, c’était plus d’une décennie en arrière…

Depuis, les publications se sont multipliées, annonçant de nouveaux champs d’application, de meilleurs performances, de nouveaux procédés de fabrication, etc. Une recherche au mot clef « nanogenerator » retourne 400 000 résultats, en grande partie issus de revues scientifiques. Même chose pour les dispositifs de transmission sans-fil.

On peut se poser la question : certes, ces dispositifs sont nanoscopiques, mais peut-on pour autant les injecter directement dans l’organisme, par seringue épidermique ? Là encore, un petit effort de recherche permet de se faire une idée. Parmi les publications les plus récentes, on peut consulter l’étude d’une équipe de l’« University of California, Santa Cruz » (UCSC),(([4] https://ieeexplore.ieee.org/document/9466139)) publiée par le très prestigieux « Institute of Electrical and Electronics Engineers » (IEEE), bien connu des électroniciens. Les chercheurs y décrivent un nouveau procédé d’implémentation d’une interface cerveau-machine (Brain to computer interface, BCI), qui ne nécessite pas de chirurgie.

Ces interfaces sont destinées à lire l’activité neuronale complète du cerveau, c’est-à-dire de déterminer avec une très grande résolution l’emplacement des circulations électriques qui s’y produisent. Vous pourrez consulter, sur le site de la DARPA(([5] https://www.darpa.mil/program/our-research/darpa-and-the-brain-initiative)) (Defense Advanced Research Projects Agency soit « Agence pour les projets de recherche avancée de défense »), l’étendue des applications de tels systèmes. Il s’agit littéralement de lire les pensées directement dans le cerveau, mais aussi d’y écrire des informationsÉgalement, d’être capable de lire et écrire dans la mémoire de l’individu. Outre des applications « médicales », largement mises en avant par l’agence, tel que simuler la sensibilité d’un membre pour un amputé, ou redonner la mémoire à un amnésique, les applications militaires ou policières sont bien sûr légion : contrôle de drone par la pensée, avec transmission des images directement dans le cerveau de l’opérateur,(([6] https://www.technologyreview.com/2019/10/16/132269/us-military-super-soldiers-control-drones-brain-computer-interfaces/)) suppression des sentiments de peur, suppression de la douleur ressentie, etc, etc.

Nos chercheurs de l’UCSC ont mis au point un procédé à base de nano-dispositifs, de moins de 200 nm (pour comparaison, un virus de la grippe fait entre 80 et 120 nm), capable de circuler dans les vaisseaux sanguins pour aller se fixer dans le cerveau (tout comme les nano-particules de graphène, au passage), par simple injection.

Une limitation fondamentale des interfaces cerveau-machine (ICM) implantables est le câblage nécessaire au transfert d’énergie et à la transmission des signaux. Les technologies de microélectrodes existantes ne peuvent enregistrer que des sections localisées du cerveau et nécessitent l’implantation d’électrodes invasives par le biais de chirurgies crâniennes. Nous présentons ici un système sur une sonde nanoparticulaire, le Neuro-SWARM 3 (Neurophotonic Solution-dispersible Wireless Activity Reporter for Massively Multiplexed Measurements), permettant la détection à distance de signaux bioélectriques in vivo.

Les dispositifs fixés émettront alors un signal lisible de l’extérieur, permettant de reconstituer par calcul l’activité neuronale du sujet. L’originalité de cette méthode est d’employer les propriétés photoélectriques d’une substance, qui lorsqu’elle est excitée électriquement, émet une lumière en proche-infrarouge ( λ 1000-1700 nm) qui est « biologiquement transparente », c’est-à-dire qu’elle traverse les matières biologiques, y compris la boite crânienne. C’est ce signal qui est récupéré depuis une ou plusieurs caméras, littéralement comme une simple photo de l’activité cérébrale. L’interprétation est alors réalisée par un ordinateur, qui explorera les gigantesques progrès de l’analyse d’image pour reconstituer l’activité en trois dimensions. Celle-ci peut être alors comparée à une base de données, et dévoiler ce qui se passe dans la tête du sujet.

activité cérébrale

De nombreuses autres techniques, à base d’excitation électromagnétique, permettent d’atteindre un même résultat. Le lecteur sceptique pourra se demander « où on en est-on vraiment de ces technologies ? ». S’agit-il d’effet d’annonce, de science « anticipatoire » ? La réponse est non. La lecture des pensées et des sentiments est un domaine déjà largement exploré : dans un article de CBSnews(([7] https://www.cbsnews.com/news/functional-magnetic-resonance-imaging-computer-analysis-read-thoughts-60-minutes-2019-11-24/)) de 2019, on peut lire :

Les scientifiques utilisent l’IRM pour révéler la composition physique de nos pensées et de nos sentiments.

Il y a dix ans, 60 Minutes a rencontré une équipe de scientifiques de l’université Carnegie Mellon qui avait commencé à décoder les pensées simples à l’intérieur du cerveau. Aujourd’hui, ils sont passés à l’identification de pensées complexes, de la spiritualité au suicide.

Concernant la capacité à lire ce que voit un sujet directement dans son cerveau, la seule limitation majeure est de constituer une base de données des réponses neuronales aux images, comme nous l’apprend un article de l’université de Berkeley(([8] https://news.berkeley.edu/2011/09/22/brain-movies/)):

Grâce à l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) et à des modèles de calcul, des chercheurs de l’université de Berkeley ont réussi à décoder et à reconstituer les expériences visuelles dynamiques des gens, en l’occurrence les bandes-annonces de films hollywoodiens.

Pour l’instant, la technologie permet de ne reconstituer que les séquences de films que les gens ont déjà regardées. Toutefois, selon les chercheurs, cette avancée ouvre la voie à la reproduction des films que nous avons dans la tête et que personne d’autre ne voit, comme les rêves et les souvenirs.

A gauche, l’image vue par le spectateur, à droite, l’image reconstituée par lecture de son cerveau.

J’ai entendu un certain nombre de commentateurs, dans des médias « respectables », évoquer un lien entre la « crise covid » et sa « gestion » pour le moins déconcertante, et le but à terme du transhumanisme. Mais ceux-ci n’ont jamais développé le lien de cause à effet. N’étant pas moi-même intime des cercles dirigeants, et n’ayant pas de boule de cristal, je ne permettrais pas de tirer des conclusions définitives sur ce qui nous attend. Cet article n’a pour vocation que de donner une « piqûre de rappel » sur les avancées des neurosciences, des nano-technologies et des capacités de traitement du signal à destination des profanes.


[Voir aussi :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!]


Notes :




Les Canadiens non vaccinés sont en train de devenir la nouvelle minorité discriminée et persécutée

[Source : legrandsoir.info]

Par Eva BARTLETT

Au Canada, un pays soi-disant bienveillant qui se targue d’être inclusif, le totalitarisme du Covid est devenu manifeste avec la décision que bientôt seules les personnes entièrement vaccinées pourront voyager.

L’obligation de se faire vacciner a également été imposée aux travailleurs de la santé, aux employés municipaux et aux fonctionnaires fédéraux. En fait, dans le cadre de ce que le premier ministre Justin Trudeau a appelé l’une des politiques les plus strictes au monde en matière d’obligation vaccinale, les Canadiens non vaccinés sont de plus en plus restreints/exclus non seulement du travail, mais aussi de la vie sociale. On prétend que cela est fait pour leur bien-être et leur santé. Je soutiens cependant que ce n’est rien d’autre que du « fascisme médical ».

Il y a quelques mois, les médias du monde entier ont fait beaucoup de bruit lorsque le gouvernement du Canada a versé des larmes de crocodile sur l’emprisonnement, la torture, la privation de nourriture et le meurtre d’enfants autochtones dans le cadre de l’horrible système des « pensionnats ». Nous étions censés croire que le gouvernement se souciait soudainement d’une population qu’il avait toujours cherché à éliminer.

Mais, en plus des nombreux exemples qui prouvent que ce ne sont que des discours de façade, il est devenu clair, depuis plus d’un an et demi, que le gouvernement se moque bien des Canadiens, un point c’est tout.

Dans le cadre d’un des plus longs confinements au monde, les Canadiens ont vu leurs entreprises fermées, ont été privés de contact avec leurs aînés, ont été empêchés de pratiquer leur culte, d’organiser des réunion ou des fêtes pendant les vacances (alors que les dirigeants canadiens, eux, s’exemptaient des règles) et, plus grave encore, ont été privés de soins médicaux essentiels – tout cela au nom de la santé publique.

Les Canadiens, qui ont une immunité naturelle affirment qu’on leur a dit que ce n’était pas suffisant pour entrer dans le pays.

À partir du 30 octobre, seules les personnes vaccinées pourront prendre l’avion ou le train au Canada. Si un grand nombre de Canadiens se sont fait vacciner, beaucoup d’autres ont des inquiétudes légitimes quant à la sécurité des vaccins.

Lorsque le Dr Byram Bridle, professeur agrégé d’immunologie virale – un expert reconnu en vaccinologie – a refusé la vaccination parce qu’il avait une immunité naturelle, il a été tourné en dérision par les médias et renvoyé de l’Université de Guelph. Il a précisé qu’il était « un amoureux des vaccins et un innovateur dans ce domaine », mais qu’il s’inquiétait du « lien possible entre l’inflammation cardiaque qui voit apparaître et ces vaccins COVID-19 ».

Je savais déjà qu’il était peu probable, étant donné les circonstances, que je puisse rendre visite à ma famille au Canada, et les nouvelles règles du  » pas de piqûre, pas de voyage  » règlent la question en ce qui me concerne.

Mais, pour les personnes qui vivent au Canada, il ne s’agit pas seulement de la possibilité de voir des êtres chers. Pour certaines personnes, ces nouvelles règles sont une question de vie ou de mort : elles peuvent les empêcher de recevoir des soins médicaux vitaux et/ou de gagner leur vie.

C’est le cas d’une chercheuse italienne vivant au Canada depuis 2001, à qui on a diagnostiqué cette année-là une sclérose en plaques. J’ai récemment échangé avec Valentina Capurri sur la façon dont l’obligation vaccinale va l’affecter.

Elle m’a expliqué qu’à la suite de son diagnostic de sclérose en plaques, on lui avait proposé de participer au programme d’essai d’un nouveau médicament. Bien que cela soit risqué, elle avait accepté pour différentes raisons, notamment parce que cela lui assurerait les soins de santé et les médicaments qu’elle ne pouvait pas s’offrir en tant qu’étudiante internationale alors seule.

Elle m’a décrit l’importance de cet essai, qui a duré douze ans.

« De nombreuses personnes souffrant d’effets graves de la sclérose en plaque auraient pu bénéficier de ces médicaments. Malheureusement ça n’a pas été le cas parce qu’on ne peut pas administrer largement un médicament dont les effets peuvent se révéler néfastes. »

Tous les nouveaux médicaments, ou vaccins doivent habituellement passer par des essais comme celui-ci, a-t-elle souligné.

« Mais rien de tout cela n’a été fait dans ce cas précis. C’est donc ce qui m’a rendue un peu méfiante à l’égard des vaccins Covid. »

Depuis un an et demi, dit-elle, elle n’a pas été autorisée à voir son neurologue, tous les rendez-vous médicaux à son hôpital de Toronto ont été annulés et remplacés par des consultations téléphoniques. Pas de visites physiques, pas d’IRM, seulement des appels téléphoniques.

« En 2003, quand il y a eu le SRAS, j’avais l’habitude d’aller une fois par mois à l’hôpital. Malgré le fait que le SRAS avait alors un taux de mortalité beaucoup plus élevé que le Covid, nous étions quand même autorisés à entrer régulièrement à l’hôpital. Aucune de nos visites n’a été annulée à l’époque, comme c’est le cas aujourd’hui. »

Comme ni elle ni son mari canadien ne se feront vacciner, ils vont perdre leur emploi et ne pourront plus payer les médicaments onéreux dont elle a besoin.

« On me prive de mon emploi et de ma capacité à subvenir à mes besoins, simplement parce que j’exerce mon droit à ne pas subir une procédure médicale expérimentale. C’est pire que le fascisme, c’est absolument épouvantable ».

De plus, les personnes ayant besoin d’une greffe d’organe risquent maintenant de se la voir refusée s’ils ne consentent pas aux piqures obligatoires.

Parmi les autres Canadiens suspendus sans salaire pour leur refus de se faire vacciner figurent des centaines de travailleurs hospitaliers, dont des infirmières. Le genre de personnes qui ont normalement quelques connaissances dans le domaine de la santé…

Et, en août, le Dr Rochagné Kilian, médecin urgentiste et médecin de famille, a démissionné pour protester contre les pressions violentes et immorales exercées sur les Canadiens pour qu’ils se fassent piquer.

Alors que les travailleurs médicaux et les Canadiens moyens sont obligés de renoncer à leur emploi, se voient refuser des soins médicaux et sont mis au ban de la société, le gouvernement a clairement montré que l’adage : « Fais ce que je dis mais pas ce que je fais », s’applique toujours.

Le premier ministre Trudeau a déclaré que tous les travailleurs fédéraux seraient obligés de se faire vacciner, mais il s’avère que ce n’est pas le cas. Selon un article du Toronto Sun, environ 70 % de la main-d’œuvre fédérale sera exemptée de la vaccination, notamment les juges fédéraux, les inspecteurs des abattoirs, les gardiens de parc, les postiers, les contrôleurs fiscaux, le personnel de la Chambre des communes et du Sénat, les soldats, les marins et le personnel des forces aériennes, ainsi que les employés de Postes.

Le Canada ne se préoccupe même plus de logique. C’est le fascisme médical pur et simple pour la majorité des Canadiens.

Avec l’introduction de la vaccination obligatoire, ce n’est qu’une question de temps avant que le Canada n’atteigne le totalitarisme de la Lituanie, où les personnes non vaccinées sont presque totalement exclues de tous les domaines de la société.

S’il vous plaît, prenez une seconde pour vous demander s’il s’agit vraiment encore de santé publique !

Eva Bartlett est une journaliste indépendante et une militante canadienne. Elle a passé des années sur le terrain à couvrir les zones de conflit au Moyen-Orient, notamment en Syrie et en Palestine (où elle a vécu près de quatre ans). Suivez-la sur Twitter @EvaKBartlett.

Traduction : Dominique Muselet»»https://www.rt.com/op-ed/538035-unvaccinated-canadians-become-outcasts/URL de cet article 37476
https://www.legrandsoir.info/c-est-absolument-epouvantable-les-canadiens-non-vaccines-sont-en-train-de-devenir-la-nouvelle-minorite-discriminee-et.html




Des médecins demandent l’arrêt de la 5G

Par Joseph Stroberg

Traduction approximative :

La technologie 5G promet des téléchargements plus rapides et des avantages que la plupart d’entre nous n’avaient pas imaginés, mais ceci est terni par un nouveau type de rayonnements appelé « ondes millimétriques » [Ndlr : nouveau pour ce qui est du caractère artificiel et de l’exposition.]. Des experts de la santé avertissent d’un risque croissant lié au déploiement de la 5G.

« Il n’est pas encore rendu clair pour le public que la 5G ne sera pas juste un nouveau nombre et une nouvelle lettre sur le téléphone cellulaire. Cela nécessite une entièrement nouvelle infrastructure de milliers de petites antennes cellulaires qui doivent être installées dans les villes. »

Franck Clegg

À quoi ressemblerait l’infrastructure 5G : les petites antennes pourraient être placées tous les trois poteaux. Des scientifiques de 42 pays avertissent maintenant nos gouvernements à propos des problèmes émergents associés aux rayonnements du sans-fil et des scientifiques et docteurs canadiens ont ajouté leurs voix.

« Les symptômes les plus courants incluent les mots de tête, la fatigue [chronique], la difficulté de concentration (…?…), irritabilité et insomnie. L’impact sur le coeur et le système nerveux est également très préoccupant. »

Dr. Riina Bray

Docteure Riina Bray a travailler à la clinique pour la prévention des maladies chroniques environnementales pendant 15 ans et a vu croître le nombre de gens souffrant des effets des ondes électromagnétiques sur la santé.

« Nous sommes préoccupés par la prochaine introduction de la 5G qui va significativement accroître de manière significative la proximité et l’étendue de l’exposition aux micro-ondes (…?…). Nous prévoyons que le nombre de symptômes que je viens de mentionner va croître dans les endroits où la 5G a été installée en premier.

Dr. Riina Bray

La docteure Magda Havas est internationalement reconnue pour ses recherches sur les effets biologiques de la pollution électromagnétique. Elle dit qu’à de hautes intensités ces ondes causent (…?…) et souffrance, parce que les glandes sudoripares à la surface de la peau se comportent comme de mini antennes.

« À des fréquences plus basses, les scientifiques prévoient des dommages aux yeux, la diminution de populations déjà déclinantes, des effets antibiotiques sur les bactéries et des effets biologiques sur le système immunitaire et le système nerveux »

Dr. Magda Havas

Les rayonnements des ondes radio sont classés dans la même catégorie de cancérigènes que le plomb. L’un des conseillers de l’Organisation Mondiale de la Santé a dit qu’il y avait suffisamment de preuves pour réévaluer les rayonnements radiofréquence.

« Elles devraient être mises dans la classe 1, c’est-à-dire cancérigènes pour l’Homme. Et les gouvernements ne pourraient pas l’ignorer. »

Dr. Anthony Miller

Certaines personnes disent que le débat sur les effets des micro-ondes est clos, mais il reste la question de savoir si nous pouvons nous permettre de prendre ce risque. Des docteurs en médecine réclament un moratoire, le temps d’effectuer des tests sur les effets biologiques à long terme de la technologie 5G.




Tout s’explique quand on réalise qu’ils veulent nous tuer

[Source : reseauinternational.net]

par Mike Whitney.

« Il est maintenant évident que ces produits dans la circulation sanguine sont toxiques pour les humains. Un arrêt immédiat du programme de vaccination est nécessaire pendant qu’une analyse de sécurité indépendante est entreprise pour étudier toute l’étendue des dommages, qui, selon les données de la carte jaune britannique, comprennent la thromboembolie, la maladie inflammatoire multisystème, la suppression immunitaire, l’auto-immunité et l’anaphylaxie, ainsi que l’augmentation dépendante des anticorps (ADE) »

 Tess Lawrie, cabinet de conseil en médecine fondée sur les preuves.

« Car nous ne luttons pas contre la chair et le sang, mais contre les dominateurs des ténèbres de ce monde, contre la méchanceté spirituelle dans les lieux élevés ».

Éphésiens 6:12

Question : Les vaccins à ARNm ont-ils été testés sur des animaux ?

Réponse : Oui, ils l’ont été.

Q : Les essais sur les animaux ont-ils été couronnés de succès ?

R : Oui et non.

Oui, les expériences sur les souris ont montré qu’une faible dose du vaccin induit une réponse anticorps robuste à l’infection.

Mais, non, les anticorps n’ont pas été capables d’attaquer la protéine spike d’une souche différente du virus.

Q : Je ne suis pas sûr de ce que cela signifie ? Voulez-vous dire que le vaccin fournit une protection limitée contre le virus original (Wuhan), mais ne fournit pas nécessairement une protection contre les variants ?

R : C’est exact, mais c’est un peu plus compliqué que cela car, lorsque le virus change, les anticorps qui ont aidé à combattre le virus original peuvent en fait renforcer « l’infectivité » du variant. En d’autres termes, les anticorps générés par le vaccin peuvent changer de camp et accroître la gravité de la maladie. En d’autres termes, ils peuvent vous rendre plus malade ou vous tuer. Les scientifiques le savent depuis longtemps. Regardez cet extrait d’un document de recherche de 2005 :

« Un vaccin contre une souche pourrait aggraver l’infection par d’autres…

Dans cette étude, Gary Nabel, de l’Institut national des Allergies et des Maladies infectieuses, a injecté à des souris la protéine spike d’un virus SRAS prélevé sur un patient humain infecté au début de 2003. Ils ont ensuite recueilli les anticorps produits par les animaux.

Lors d’expériences en laboratoire, ils ont montré que ces anticorps étaient incapables d’attaquer la protéine spike d’une autre souche de SRAS, isolée chez un patient infecté fin 2003… L’équipe a ensuite vérifié si les anticorps pouvaient attaquer les protéines spike de deux souches de SRAS isolées chez les civettes, à partir desquelles le virus aurait été transmis à l’homme. Dans ce cas, ils ont trouvé des indices montrant que les anticorps renforçaient en fait la capacité du virus à infecter les cellules…

Les résultats montrent que le virus évolue dans le temps, de sorte qu’une souche apparaissant dans une épidémie peut être très différente de celle d’une épidémie ultérieure. « Ce virus n’est pas immobile et nous devons en tenir compte », déclare Nabel.

Il est donc possible qu’un vaccin contre une souche du virus du SRAS se révèle inefficace contre d’autres. Pire encore, un vaccin contre une souche pourrait même aggraver une infection par le virus du SRAS provenant de civettes ou d’une autre espèce. « C’est évidemment une préoccupation », déclare Nabel.

Ce ne serait pas le premier cas où l’exposition à une souche d’un virus peut aggraver une infection par une autre ».(([1] « Caution raised over SARS vaccine », Nature))

Q : Je suis toujours confus. Pouvez-vous résumer ce qu’ils disent ?

R : Bien sûr. Ils disent que les scientifiques savent depuis près de deux décennies que les vaccins qui ne visent qu’une seule protéine sont voués à l’échec. Ils disent que la protéine spike est hautement adaptable et capable de changer de forme pour survivre. Ils affirment que les vaccins visant la protéine spike produiront inévitablement des variants qui échapperont aux anticorps générés par le vaccin. Ils affirment qu’en limitant le vaccin à la seule protéine spike, les entreprises pharmaceutiques ont fait en sorte que des anticorps auparavant utiles fassent volte-face, permettent au virus de pénétrer dans les cellules saines, de se répliquer à volonté et de provoquer la maladie ou la mort. Ils affirment que la gamme actuelle de vaccins perpétue en fait la pandémie. Et puisque la science est claire depuis 16 ans, nous pouvons ajouter une autre observation à la liste, à savoir que l’approche actuelle de la vaccination de masse n’est ni hasardeuse, ni bâclée, ni aléatoire. Elle est intentionnelle. Les responsables de la campagne de vaccination ignorent délibérément les données scientifiques afin de maintenir un état de crise permanent. La science est manipulée pour atteindre un objectif politique.

Q : Je pense que vous exagérez, mais j’aimerais revenir aux essais sur les animaux au lieu de discuter de politique. Comme vous le savez probablement, les rapports des médias ne correspondent pas à votre analyse. En fait, tous les articles des médias mainstream disent que les essais sur les animaux ont été un succès retentissant. Voici un court texte que j’ai trouvé aujourd’hui et qui confirme ce que je dis :

« … la vaccination de primates non humains avec le vaccin à ARNm a induit une activité neutralisante robuste du SRAS-CoV-2 et notamment une protection rapide dans les voies aériennes supérieures et inférieures… »

(Covid-19, NIH.gov)

Q : Suggérez-vous que les auteurs mentent ?

R : Non, ils ne mentent pas. Ils ne vous disent simplement pas toute la vérité, et vous devez connaître toute la vérité pour pouvoir prendre une décision éclairée. Les vaccins offrent une certaine protection (temporaire). Nous ne le contestons pas. Ils déclenchent également une forte réponse immunitaire. Nous ne le contestons pas non plus. Mais quelle différence cela fait-il ? Laissez-moi vous expliquer : Disons que vous avez un gros rhume et que vous prenez un nouveau médicament qui, selon vous, soulagera la douleur. Et, bien sûr, une heure après avoir pris les pilules, votre congestion et votre mal de tête ont complètement disparu. C’est fantastique, non ? Non, car vous ne vous rendez pas compte que le médicament contient de la strychnine à action lente qui vous tuera trois jours plus tard. Vous pensez toujours que c’était une bonne idée de prendre ce médicament ?

Bien sûr que non. Et la même règle s’applique à ces vaccins qui, en fait, renforcent vos anticorps et vous procurent une « immunité » éphémère. Mais ils peuvent aussi vous tuer. Ne pensez-vous pas que cela devrait être pris en compte dans votre décision ? N’oubliez pas que des personnes sont mortes 3, 4, 5 semaines après l’inoculation sans aucun avertissement préalable. Beaucoup d’entre eux auraient même pu être gorgés d’anticorps, mais ils sont quand même morts. Vous voyez le problème ?

Q : D’accord, mais il y a toujours cette question des essais sur les animaux. Les médias disent que les compagnies pharmaceutiques ont effectué les essais sur les animaux et qu’ils ont été couronnés de succès. Êtes-vous en désaccord avec cela ?

R : Ils n’ont pas été couronnés de succès et les « vérificateurs de faits » qui ont été engagés pour discréditer les critiques des vaccins comme moi, ont délibérément déformé ce qui s’est passé dans les essais. Par exemple, voici un article typique des « vérificateurs de faits » intitulé « Les vaccins COVID-19 n’ont pas sauté les essais sur les animaux à cause des décès d’animaux » par Reuters. En voici un extrait :

« Les articles affirmant que les producteurs de vaccins COVID-19 ont abandonné les essais sur les animaux en raison de la mort de ces derniers sont faux. Pfizer-BioNTech, Moderna et Johnson & Johnson, qui ont reçu une autorisation d’utilisation d’urgence de la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis, ont tous mené des essais sur des animaux et n’avaient aucun problème de sécurité important à signaler ».

Cela semble rassurant, non ? Mais ensuite, ils disent :

« En raison des contraintes de temps et de l’urgence de trouver un vaccin contre le COVID-19, Moderna et Pfizer ont reçu l’autorisation de mener simultanément les essais sur les animaux et les premiers essais sur les humains, au lieu de terminer complètement les essais sur les animaux avant de passer aux essais sur les humains. Cela ne signifie toutefois pas que les essais sur les animaux aient été ignorés ou que la sécurité des vaccins ait été compromise ».

Laissez-moi voir si j’ai bien compris : Les entreprises pharmaceutiques étaient tellement pressées qu’elles ont mené leurs essais minimaux sur les animaux en même temps que leurs essais sur les humains (ce qui est sans précédent), puis elles ont envoyé les résultats à la FDA pour qu’elle les approuve et les fasse passer en vertu de l’autorisation d’utilisation d’urgence ?

Est-ce ainsi que les choses se sont passées ?

Oui.

Mais si les résultats ont été transmis à la hâte en quelques mois, alors les « vérificateurs de faits » admettent tacitement qu’il n’y a pas de données de sécurité à long terme. Il n’y a pas de données de sécurité à long terme, et il n’y a pas non plus de tentative de réfuter les recherches des essais précédents où les furets, les souris et d’autres animaux sont morts après l’injection de vaccins à ARNm. Ils ne le nient pas, ils l’ignorent simplement comme si le fait de le balayer sous le tapis allait tout faire disparaître. Voici un extrait du document de recherche auquel Reuters fait référence dans son article :

« Nous démontrons que les vaccins candidats… induisent respectivement de fortes réponses immunitaires spécifiques de l’antigène chez les souris et les macaques… Les deux (vaccins) ont protégé des macaques âgés de 2 à 4 ans contre une infection par le SRAS-CoV-2, et la détection de l’ARN viral a été réduite chez les macaques immunisés par rapport à ceux qui ont reçu une solution saline ». (Note – Nous avons déjà reconnu que les vaccins produisent une forte réponse immunitaire)

« Les TGM neutralisants ont diminué au jour 56 (35 jours après la dose 2), ce qui correspond à la phase de contraction ; cependant, ils sont restés bien au-dessus des TGM du panel de sérums humains. La durée de l’étude n’était pas assez longue pour évaluer le taux de déclin pendant la phase de plateau de la réponse anticorps ».(([2] « Les vaccins BNT162b protègent les macaques rhésus contre le SRAS-CoV-2 », Nature))

Vous voyez ce qui se passe ? L’essai n’a duré que 56 jours, en fait, aucun des essais sur les animaux n’a dépassé 56 jours. Réfléchissez-y une minute. La raison pour laquelle les animaux sont morts lors des essais précédents est qu’ils ont été exposés à une version mutée du virus (sauvage) qui a fini par les tuer. C’est ainsi que fonctionne l’ADE (amélioration dépendante des anticorps). Cela ne se produit pas du jour au lendemain, ni en 56 jours. Il faut beaucoup plus de temps que cela pour qu’une version mutée du virus émerge et réinfecte l’hôte. Les compagnies pharmaceutiques le savent. Elles ne sont pas stupides. Donc le fait que les animaux aient eu une forte réponse immunitaire n’est absolument pas pertinent. Nous SAVONS qu’ils ont eu une forte réponse immunitaire. Nous savons également qu’ils sont morts quelques mois plus tard lorsqu’une souche différente du virus a émergé. Conclusion : La production d’anticorps ne signifie pas qu’un médicament est sûr.

Le but évident de ces essais était de faire passer les vaccins avant que quiconque ne comprenne ce qui se passait. C’est pour la même raison que les sociétés pharmaceutiques ont « levé l’insu » sur leurs essais sur l’homme après que les vaccins aient reçu le feu vert de la FDA. Peu après la fin des essais, les personnes du groupe placebo ont été autorisées à se faire vacciner.

Pourquoi ont-ils fait cela ? Pourquoi vacciner les personnes qui ont accepté d’être des cobayes pour le bien de la santé publique, pour ensuite les vacciner peu de temps après, éliminant ainsi toute chance de découvrir les problèmes de sécurité à long terme ? Cela n’a aucun sens, n’est-ce pas ?

Jetez un coup d’œil à ce court extrait du British Medical Journal, les scientifiques sont tout aussi déconcertés :

« Bien que la FDA ait accordé aux vaccins une autorisation d’utilisation d’urgence, deux années de données de suivi sont nécessaires pour obtenir une autorisation complète. Or, ces données risquent d’être peu nombreuses et moins fiables, étant donné que les essais sont effectivement réalisés en aveugle.

Le représentant des consommateurs, Sheldon Toubman, avocat et membre du comité consultatif de la FDA, a déclaré que Pfizer et BioNTech n’avaient pas prouvé que leur vaccin prévenait les cas graves de Covid-19. « La FDA dit que tout ce que nous pouvons faire, c’est suggérer une protection contre le Covid sévère ; nous devons savoir si c’est le cas », a-t-il déclaré.

Il a répondu aux affirmations selon lesquelles, d’après l’expérience acquise avec d’autres vaccins, un suivi de six semaines était suffisant pour détecter des signaux de sécurité. Six semaines ne sont peut-être pas suffisantes pour ce type entièrement nouveau de vaccin [ARNm] « non testé », a déclaré Toubman.

Goodman souhaite que toutes les entreprises soient tenues de respecter les mêmes normes et affirme qu’elles ne devraient pas être autorisées à inventer leurs propres règles. Il a déclaré au BMJ que, même s’il était « très optimiste » à propos des vaccins, « faire sauter les essais » en autorisant la levée de l’insu « établira une norme de facto pour tous les essais de vaccins à venir ». Et cela, a-t-il dit, « est dangereux ».(([3] « Covid-19 : Should vaccine trials be unblinded ? » The British Medical Journal))

Aimez-vous son choix de mots : « faire sauter les essais » ? Pensez-vous que c’est une description juste de ce que les compagnies pharmaceutiques ont fait ?

Oui, c’est exactement ce qu’elles ont fait.

Et quel motif possible aurait les compagnies pharmaceutiques pour faire sauter les essais ? Je ne vois que deux possibilités :

  • Ils pensent que leur vaccin est tellement génial qu’il sauvera la vie de nombreuses personnes du groupe placebo.
  • Ils s’attendent à ce qu’un pourcentage élevé des personnes du groupe vacciné tombent gravement malades ou meurent, et ils veulent donc cacher les preuves de dommages liés au vaccin.

Qu’est-ce que c’est ?

Vous connaissez la réponse. Tous ceux qui regardent cette farce connaissent la réponse.

Q : Ok, alors allons droit au but : Les vaccins sont-ils sûrs ou non ?

R : Non, ils ne sont pas sûrs. Pour décider si un médicament est sûr ou non, nous le soumettons à un processus rigoureux de tests et d’essais cliniques. Après les tests, les données sont transmises à des médecins, des statisticiens, des chimistes, des pharmacologues et d’autres scientifiques qui les examinent et formulent leurs recommandations ou leurs critiques. Cela ne s’est pas produit avec les vaccins Covid, en fait, toutes les normes et tous les protocoles normaux ont été suspendus au nom de « l’urgence ». Mais beaucoup pensent que « l’urgence » a été fabriquée pour faire passer des vaccins qui n’auraient jamais été approuvés sur leurs propres mérites. Il suffit de consulter les données sur les blessures causées par les vaccins (VAERS) pour se rendre compte qu’il s’agit de l’intervention médicale la plus meurtrière de tous les temps et, pourtant, les experts en santé publique, les médias et le gouvernement ne cessent de clamer qu’ils sont « sûrs et efficaces ». C’est absurde et les compagnies pharmaceutiques le savent, c’est pourquoi elles rejettent toute responsabilité pour les personnes qui vont être tuées par ces « injections mortelles ».

Savez-vous ce qui se passe dans votre corps après l’injection d’un de ces vaccins « à base de gènes » ?

Une fois que le vaccin pénètre dans la circulation sanguine, il pénètre dans les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins, les obligeant à produire des protéines spike qui font saillie dans la circulation sanguine comme des millions d’épines microscopiques. Ces épines activent les plaquettes sanguines qui déclenchent la coagulation du sang, suivie peu après d’une réponse immunitaire qui détruit les cellules infectées, affaiblissant ainsi le système vasculaire tout en drainant la réserve de lymphocytes tueurs. De cette façon, le vaccin lance une double attaque contre l’infrastructure critique de l’organisme, causant des dommages tissulaires étendus dans tout le système circulatoire tout en laissant le système immunitaire moins apte à repousser une future infection.

Si vous pensez que vous pouvez avoir une vie longue et heureuse sans un système circulatoire fonctionnel, alors rien de tout cela n’a d’importance. Mais si vous êtes assez intelligent pour comprendre que faire des ravages sur votre système vasculaire est la voie rapide vers le cimetière, alors vous comprendrez probablement que l’administration de ces « injections de poison mortel » est une très mauvaise idée.

D’ailleurs, il est exagéré d’appeler ces injections hybrides des « vaccins ». Elles ont autant de points communs avec un vaccin traditionnel qu’un python avec une table basse. Rien. Le surnom de « vaccin » a été choisi pour renforcer la confiance du public, c’est tout. Cela fait partie d’une stratégie marketing. Il n’y a pas de réelle similitude. La majorité des gens font confiance aux vaccins et les considèrent comme un exemple brillant de réussite médicale. Les compagnies pharmaceutiques voulaient profiter de cette confiance et l’utiliser à leurs propres fins. C’est pourquoi ils l’ont appelé « vaccin » au lieu de « thérapie génique », qui décrit plus précisément ce qu’il fait. Mais comme nous l’avons dit, c’est juste une stratégie de marketing.

Vous êtes-vous déjà demandé comment les compagnies pharmaceutiques ont pu lancer leurs propres vaccins à quelques semaines d’intervalle ? C’est un sacré tour de passe-passe, ne pensez-vous pas, d’autant que le développement d’un vaccin prend généralement de 10 à 15 ans. Comment pensez-vous qu’ils y soient parvenus ? Voici un extrait d’un article qui fournit un peu d’information sur le sujet :

« Le virus à l’origine de l’épidémie qui a débuté à Wuhan, en Chine, a été identifié le 7 janvier. Moins d’une semaine plus tard – le 13 janvier – les chercheurs de Moderna et du NIH avaient une proposition de séquence pour un vaccin ARNm contre ce virus et, comme l’a écrit la société dans des documents gouvernementaux, « nous nous sommes mobilisés pour la fabrication clinique ». Le 24 février, l’équipe expédiait des flacons d’une usine de Norwood, dans le Massachusetts, au National Institute of Allergy and Infectious Diseases, à Bethesda, dans le Maryland, en vue d’un essai clinique destiné à tester l’innocuité du vaccin ».(([4] « Des chercheurs s’empressent de tester le vaccin contre le coronavirus chez l’homme sans savoir s’il fonctionne bien chez l’animal », Stat))

C’est noté ? « Le virus s’est déclaré à Wuhan… le 7 janvier, et moins d’une semaine plus tard, Moderna a proposé une séquence pour un vaccin à ARNm contre ce virus.

Vraiment ? S’agit-il de la même société Moderna qui s’est amusée avec l’ARNm pendant plus d’une décennie, mais qui n’a jamais réussi à mettre un vaccin sur le marché ?

Oui, la même société. Voici la suite :

« Et le 24 février, l’équipe expédiait des flacons depuis une usine à Norwood, Massachusetts… »

Wow ! Un autre miracle du Covid ! On a presque le tournis en voyant ces entreprises produire leurs « médicaments miracles » à une vitesse record.

N’oubliez pas qu’il y a une très forte probabilité que le virus ait été créé par l’homme (en d’autres termes, il s’agit d’une arme biologique) et que les personnes qui ont été impliquées dans le financement et la création de cette arme biologique sont également étroitement liées aux grandes entreprises pharmaceutiques qui ont produit l’antidote en un temps record, ce qui a déjà rapporté des dizaines de milliards de dollars de bénéfices pour un médicament pour lequel il n’y a eu aucun test fiable sur les animaux, aucune donnée de sécurité à long terme et aucune approbation réglementaire officielle.

Donc je vous le redemande : Est-ce que tout cela ne semble pas un peu suspect ?

Est-il vraiment si difficile de voir l’ébauche d’un programme politique ici ? Après tout, les entreprises pharmaceutiques ne travaillent-elles pas avec les agences de réglementation, qui travaillent avec les responsables de la santé publique, qui travaillent avec les médias, qui travaillent avec les politiciens corrompus, qui travaillent avec les agences de renseignement, qui travaillent avec les milliardaires mondialistes qui se mêlent de tout, qui travaillent avec les sociétés de capital-investissement géantes qui supervisent l’ensemble de l’opération et tirent les ficelles appropriées chaque fois que cela est nécessaire ?

On dirait bien que oui.

Et les changements sociaux tectoniques auxquels nous avons assisté l’année dernière n’ont-ils pas plus à voir avec une vaste campagne de terre brûlée lancée par la « classe parasite » contre le reste de l’humanité qu’avec un virus relativement bénin qui tue principalement des personnes âgées et fragiles souffrant de multiples problèmes de santé ?

Oui, encore une fois. En fait, beaucoup ont remarqué les fissures dans l’artifice de la pandémie depuis le tout début, tout comme beaucoup ont souligné que le thème du virus n’est que le masque derrière lequel les parasites continuent de mener leur projet de restructuration mondiale. En bref, il s’agit de politique, de politique du Nouvel Ordre Mondial qui ne fait pas de quartier.

Vous avez posé un certain nombre de questions sur les essais sur les animaux, mais aucune sur les études de biodistribution et de pharmacocinétique qui ont été réalisées en même temps. Comment cela se fait-il ? (Note : la pharmacocinétique est la branche de la pharmacologie qui s’intéresse au mouvement des médicaments dans l’organisme).

Q : Je ne savais pas qu’il y en avait. Les médias en ont-ils parlé ?

R : Non, ils n’en ont pas parlé. Ils les ont complètement ignorés, bien qu’ils aient été réalisés par Pfizer et qu’ils fournissent des informations essentielles sur l’endroit où la substance contenue dans le vaccin se déplace dans le corps, en quelles quantités et pendant combien de temps. En sachant comment le médicament est distribué, il est possible de faire des hypothèses éclairées sur son effet sur les organes et autres tissus. En d’autres termes, ces études sont inestimables. Les Doctors for Covid Ethics ont effectué des recherches approfondies sur ces études et ont rédigé un rapport intitulé « Le vaccin ARNm de Pfizer : pharmacocinétique et toxicité ». Voici quelques extraits qui permettent d’illustrer les dangers des vaccins :

« Comme pour tout médicament, un élément clé de la toxicité des vaccins à ARNm anti-covid est de savoir où ils se retrouvent exactement dans l’organisme et pendant combien de temps ils y restent. Ces questions, qui relèvent de la pharmacocinétique, font généralement l’objet d’une étude approfondie au cours du développement du médicament. Les études initiales sur la pharmacocinétique et aussi sur la toxicité sont effectuées sur des animaux… ce document a des implications assez importantes : il montre que Pfizer – ainsi que les autorités qui ont eu connaissance de ces données – devait avoir reconnu les risques graves d’effets indésirables après la vaccination avant même le début des essais cliniques. Néanmoins, les propres essais cliniques de Pfizer n’ont pas permis de contrôler les risques cliniques qui ressortaient clairement de ces données, et les autorités réglementaires n’ont pas appliqué les normes de surveillance appropriées. Ce double échec a causé le préjudice le plus grave au public…

Que présagent les données animales de Pfizer quant aux effets biologiques chez l’homme ?

  • Apparition rapide de la protéine spike dans la circulation.
  • Toxicité pour les organes dont on s’attend à ce que le taux de pénétration soit élevé, en particulier le placenta et les glandes mammaires en lactation.
  • La pénétration de certains organes pourrait être plus élevée avec le vrai vaccin qu’avec ce modèle à base de luciférase… L’entrée rapide du vaccin modèle dans la circulation signifie que nous devons nous attendre à ce que la protéine spike soit exprimée dans la circulation, en particulier par les cellules endothéliales (endothéliales – la fine couche de cellules qui tapisse les vaisseaux sanguins). Nous avons vu auparavant que cela conduira à l’activation de la coagulation du sang par l’activation directe des plaquettes et aussi, ce qui est probablement plus important, par l’attaque immunitaire des cellules endothéliales…

Résumé

Les données animales de Pfizer laissaient clairement présager les risques et dangers suivants :

  • coagulation du sang peu après la vaccination, pouvant entraîner des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et des thromboses veineuses
  • atteinte grave à la fertilité féminine
  • grave préjudice pour les nourrissons allaités
  • toxicité cumulative après de multiples injections

À l’exception de la fertilité féminine, qui ne peut tout simplement pas être évaluée dans le court laps de temps pendant lequel les vaccins ont été utilisés, tous les risques susmentionnés ont été corroborés depuis que les vaccins ont été déployés – tous sont manifestes dans les rapports des différents registres d’événements indésirables. Ces registres contiennent également un nombre très important de rapports d’avortements et de mortinaissances peu après la vaccination, qui auraient dû susciter une enquête urgente…

L’élimination très lente des lipides cationiques toxiques est particulièrement préoccupante. Chez les personnes auxquelles on injecte de façon répétée des vaccins à ARNm contenant ces lipides… il en résulterait une toxicité cumulative. Il existe une réelle possibilité que les lipides cationiques s’accumulent dans les ovaires. Le risque grave pour la fertilité féminine qui en découle exige l’attention la plus urgente du public et des autorités sanitaires.

Les soi-disant essais cliniques ayant été menés avec une telle négligence, les véritables essais n’ont lieu que maintenant – à grande échelle et avec des résultats dévastateurs. … Il est grand temps de mettre fin à cette expérience ratée. La poursuite, voire l’obligation, de l’utilisation de ce vaccin toxique, ainsi que la délivrance apparemment imminente d’une autorisation totale pour celui-ci, sont des crimes contre l’humanité ».(([5] « Le vaccin à ARNm de Pfizer : pharmacocinétique et toxicité », The Doctors for Covid Ethics))

Ne pensez-vous pas que les gens ont le droit de savoir ce que le gouvernement veut injecter dans leur corps ? Ne pensez-vous pas qu’ils ont le droit de savoir comment cela affectera leur système immunitaire, leurs organes vitaux et leur santé en général ? Ne pensez-vous pas qu’ils ont le droit de décider eux-mêmes des médicaments qu’ils prendront et de ceux qu’ils refuseront de prendre ?

Forcer quelqu’un à prendre un médicament qu’il ne veut pas, ce n’est pas seulement mal. C’est anti-américain. C’est pourquoi les gens devraient rejeter les mandats de vaccination par principe. Ils sont une attaque contre la liberté individuelle, le fondement de notre système constitutionnel. C’est un principe qui vaut la peine que l’on meure pour lui.

Quant à la campagne de vaccination de masse, c’est le projet le plus maniaquement génocidaire jamais concocté par l’homme. Il n’y a tout simplement aucun moyen de calculer la quantité de souffrance et de mort à laquelle nous sommes sur le point d’être confrontés pour avoir fait confiance à des personnes dont les politiques ont manifestement été façonnées par leur haine pure de l’humanité. Comme l’a dit le microbiologiste allemand Dr. Sucharit Bhakdi :

« Au final, nous allons assister à des maladies et des décès en masse parmi des personnes qui, normalement, auraient eu de merveilleuses vies devant elles ».

C’est une grande tragédie.

source : https://www.unz.com

traduit par Réseau International





La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)

Par Arthur Firstenberg,

auteur de The Invisible Rainbow: A History of Electricity and Life
[L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie]

[Voir :
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 2)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 3)]


En 1995, l’industrie des télécommunications se préparait à introduire un nouveau produit dangereux aux États-Unis : le téléphone cellulaire numérique. Les téléphones cellulaires existants étaient analogiques et coûteux. Ils appartenaient surtout à des personnes fortunées et n’étaient utilisés que quelques minutes à la fois. Nombre d’entre eux étaient des téléphones de voiture dont les antennes se trouvaient à l’extérieur de la voiture, pas dans la main ni à côté du cerveau. Les téléphones cellulaires ne fonctionnaient que dans les grandes villes ou à proximité. Les quelques tours cellulaires qui existaient se trouvaient pour la plupart au sommet de collines, de montagnes ou de gratte-ciel, et non à proximité des habitations.

Le problème pour l’industrie des télécommunications en 1995 était la responsabilité. Les rayonnements micro-ondes sont nocifs. Les téléphones cellulaires allaient endommager le cerveau de tout le monde, rendre les gens obèses et donner à des millions de personnes le cancer, des maladies cardiaques et le diabète. Et les tours de téléphonie cellulaire allaient endommager les forêts, anéantir les insectes, torturer et tuer les oiseaux et la faune.

Tout cela était connu. Des recherches approfondies avaient déjà été menées aux États-Unis, au Canada, en Union soviétique, en Europe de l’Est et ailleurs. Le biologiste Allan Frey, sous contrat avec la marine américaine, était tellement alarmé par les résultats de ses études sur les animaux qu’il refusait de faire des expériences sur les humains. « J’en ai trop vu », a-t-il déclaré à ses collègues lors d’un symposium en 1969. « J’évite très soigneusement de m’exposer moi-même, et ce depuis un certain temps déjà. Je n’ai pas l’impression de pouvoir emmener des gens dans ces champs et les exposer et, en toute honnêteté, leur indiquer qu’ils entrent dans quelque chose de sûr. »

M. Frey a découvert que les micro-ondes endommagent la barrière hématoencéphalique — la barrière protectrice qui empêche les bactéries, les virus et les produits chimiques toxiques d’entrer dans le cerveau et maintient l’intérieur de la tête à une pression constante, empêchant ainsi les accidents vasculaires cérébraux. Il a découvert que les personnes et les animaux peuvent entendre les micro-ondes. Il a découvert qu’il pouvait arrêter le cœur d’une grenouille en synchronisant les impulsions de micro-ondes à un moment précis du rythme cardiaque. Le niveau de puissance qu’il a utilisé pour cette expérience n’était que de 0,6 microwatt par centimètre carré, soit des milliers de fois moins que le rayonnement des téléphones portables actuels.

L’ophtalmologiste Milton Zaret, qui avait des contrats avec l’armée, la marine et l’armée de l’air américaines, ainsi qu’avec la Central Intelligence Agency, a découvert dans les années 1960 que les micro-ondes de faible niveau provoquent des cataractes. En 1973, il a témoigné devant le Comité du commerce du Sénat des États-Unis. « Il existe un danger clair, présent et toujours croissant », a-t-il déclaré aux sénateurs, « pour l’ensemble de la population de notre pays en raison de l’exposition à toute la partie non ionisante du spectre électromagnétique. Les dangers ne peuvent être surestimés… » Zaret a parlé au comité de patients qui avaient non seulement des cataractes causées par l’exposition aux micro-ondes, mais aussi des tumeurs malignes, des maladies cardiovasculaires, des déséquilibres hormonaux, de l’arthrite et des maladies mentales, ainsi que des problèmes neurologiques chez leurs enfants. Ces patients allaient du personnel militaire exposé au radar aux ménagères exposées à leur four à micro-ondes.

« La norme de fuite des fours à micro-ondes fixée par le Bureau de la santé radiologique », a-t-il déclaré au comité, « est environ 1 milliard de fois supérieure à la totalité du spectre des micro-ondes émis par le Soleil. Il est consternant que ces fours soient autorisés à fuir, et encore plus que les publicités pour les fours encouragent nos enfants à s’amuser en apprenant à cuisiner avec eux ! » La norme de fuite des fours à micro-ondes, aujourd’hui en 2021, est la même qu’en 1973 : 5 milliwatts par centimètre carré à une distance de 5 centimètres. Et les niveaux d’exposition du cerveau aux micro-ondes de tous les téléphones portables utilisés aujourd’hui sont plus élevés que cela.

À l’époque, la marine exposait les soldats à des micro-ondes de faible intensité dans le cadre de recherches menées à Pensacola, en Floride. Faisant écho à Frey, Zaret a déclaré que ces expériences étaient contraires à l’éthique. « Je ne crois pas qu’il soit possible », a-t-il déclaré à la commission sénatoriale, « d’obtenir le consentement éclairé et sans réserve d’un jeune adulte qui accepte d’être exposé à une irradiation dont on ne sait pas exactement quel sera le résultat final… De plus, les enfants qu’il aura un jour pourront souffrir de cette irradiation ». Il a souligné à nouveau les problèmes éthiques que pose cette recherche : « Je pense que si on leur expliquait tout cela et qu’ils se portaient quand même volontaires pour ce projet, on s’interrogerait d’emblée sur leur capacité mentale. »

Les scientifiques qui faisaient des expériences sur les oiseaux étaient tout aussi alarmés par leurs résultats et ont émis des avertissements sur les effets environnementaux des radiations que notre société déversait sur le monde, qui étaient tout aussi terribles que les avertissements lancés au Congrès par Milton Zaret et les avertissements lancés à la marine par Allan Frey.

À la fin des années 1960 et tout au long des années 1970, John Tanner et ses collègues du Conseil national de la recherche du Canada ont exposé des poulets, des pigeons et des mouettes aux micro-ondes et ont constaté des effets effrayants à tous les niveaux d’exposition. Les poulets exposés à des doses comprises entre 0,19 et 360 microwatts par centimètre carré pendant neuf mois ont développé des tumeurs du système nerveux central et une leucose aviaire — également un type de tumeur — des ovaires, des intestins et d’autres organes qui, chez certains oiseaux, ont atteint des « proportions massives », à une « échelle jamais vue auparavant par les vétérinaires expérimentés dans les maladies aviaires ». La mortalité était élevée chez les oiseaux irradiés. Tous les oiseaux exposés, à tous les niveaux de puissance, avaient un plumage détérioré, avec des plumes perdues, cassées ou avec des tiges tordues et cassantes.

Dans d’autres expériences, au cours desquelles ces chercheurs ont irradié des oiseaux à une puissance plus élevée, les oiseaux se sont effondrés de douleur en quelques secondes. Cela se produisait non seulement lorsque l’oiseau entier était irradié, mais aussi lorsque seules les plumes de la queue étaient irradiées et que le reste de l’oiseau était soigneusement protégé. Au cours d’autres expériences, ils ont prouvé que les plumes des oiseaux constituaient d’excellentes antennes de réception pour les micro-ondes et ont émis l’hypothèse que les oiseaux migrateurs pouvaient utiliser leurs plumes pour obtenir des informations directionnelles. Ces scientifiques ont averti que l’augmentation des niveaux de micro-ondes ambiantes causerait de la détresse aux oiseaux sauvages et pourrait interférer avec leur navigation.

Maria Sadchikova, qui travaillait à Moscou, Václav Bartoniček et Eliska Klimková-Deutshová, qui travaillaient en Tchécoslovaquie, et Valentina Nikitina, qui a examiné des officiers de la marine russe, ont constaté, dès 1960, que la majorité des personnes exposées aux micro-ondes dans le cadre de leur travail — même celles qui avaient cessé de le faire cinq à dix ans auparavant — avaient un taux de sucre élevé dans le sang ou dans l’urine.

Les expériences sur les animaux ont montré que les rayonnements interfèrent directement avec le métabolisme et qu’ils le font rapidement. En 1962, V.A. Syngayevskaya, à Leningrad, a exposé des lapins à des ondes radio de faible intensité et a constaté que la glycémie des animaux avait augmenté d’un tiers en moins d’une heure. En 1982, Vasily Belokrinitskiy, à Kiev, a signalé que la quantité de sucre dans l’urine était directement proportionnelle à la dose de rayonnement et au nombre de fois où l’animal était exposé. Mikhail Navakitikian et Lyudmila Tomashevskaya ont rapporté en 1994 que le taux d’insuline diminuait de 15 % chez les rats exposés pendant une demi-heure seulement, et de 50 % chez les rats exposés pendant douze heures à un rayonnement pulsé d’une puissance de 100 microwatts par centimètre carré. Ce niveau est comparable au rayonnement qu’une personne reçoit aujourd’hui en s’asseyant directement devant un ordinateur sans fil, et nettement inférieur à ce que le cerveau d’une personne reçoit d’un téléphone portable.

Ce ne sont là que quelques-unes des milliers d’études menées dans le monde entier à l’époque, qui ont révélé les effets profonds des micro-ondes sur tous les organes humains, ainsi que sur le fonctionnement et la reproduction de toutes les plantes et de tous les animaux. Le lieutenant Zory Glaser, chargé par la marine américaine en 1971 de répertorier la littérature mondiale sur les effets des micro-ondes et des radiofréquences sur la santé, a rassemblé 5 083 études, manuels et actes de conférence en 1981. Il a réussi à trouver environ la moitié de la littérature existant à cette époque. Ainsi, environ 10 000 études avaient prouvé que les micro-ondes et les radiofréquences étaient dangereuses pour toute forme de vie, et ce dès avant 1981.

Cuire votre ADN et griller vos nerfs

Au début des années 1980, Mays Swicord, qui travaillait au National Center for Devices and Radiological Health de la Food and Drug Administration, a décidé de vérifier son hypothèse selon laquelle l’ADN absorbe de manière résonante les micro-ondes et que même un très faible niveau de rayonnement, bien que ne produisant aucune chaleur mesurable dans le corps humain dans son ensemble, peut néanmoins chauffer votre ADN. Il a exposé une solution contenant une petite quantité d’ADN à un rayonnement micro-ondes et a constaté que l’ADN lui-même absorbait 400 fois plus de rayonnement que la solution dans laquelle il se trouvait, et que les différentes longueurs de brins d’ADN absorbent par résonance différentes fréquences de rayonnement micro-ondes. Ainsi, même si la température globale de vos cellules n’est pas augmentée à un degré détectable par le rayonnement, l’ADN à l’intérieur de vos cellules peut être énormément chauffé. Les recherches ultérieures de Swicord ont confirmé que cela endommageait l’ADN, provoquant des cassures d’ADN à simple et double brin.

Le professeur Charles Polk, de l’université de Rhode Island, a fait un rapport similaire lors de la vingt-deuxième réunion annuelle de la Bioelectromagnetics Society en juin 2000 à Munich, en Allemagne. Des mesures directes ont récemment montré que l’ADN est beaucoup plus conducteur d’électricité qu’on ne le soupçonnait : il a une conductivité d’au moins 105 siemens par mètre, soit environ 1/10 de la conductivité du mercure ! Un téléphone portable tenu à la tête peut irradier le cerveau à un débit d’absorption spécifique (DAS) d’environ 1 watt par kilogramme, ce qui produit un faible réchauffement global. Polk a cependant calculé que ce niveau de rayonnement augmenterait la température à l’intérieur de votre ADN de 60 degrés Celsius par seconde ! Il a déclaré que les tissus ne peuvent pas dissiper la chaleur aussi rapidement et qu’un tel échauffement romprait les liens entre les brins complémentaires d’ADN, ce qui expliquerait les ruptures d’ADN signalées dans diverses études.

En 2006, Markus Antonietti, de l’Institut Max Planck en Allemagne, s’est demandé si un type similaire d’absorption résonante se produisait dans les synapses de nos nerfs. Les téléphones portables sont conçus de manière à ce que les rayonnements qu’ils émettent ne chauffent pas votre cerveau de plus d’un degré Celsius. Mais que se passe-t-il dans le minuscule environnement d’une synapse, où des ions chargés électriquement participent à la transmission de l’influx nerveux d’un neurone à l’autre ? Antonietti et ses collègues ont simulé les conditions régnant dans les synapses nerveuses avec de minuscules gouttelettes de graisse dans de l’eau salée et ont exposé les émulsions à un rayonnement micro-ondes à des fréquences comprises entre 10 MHz et 4 GHz. Comme prévu, les fréquences d’absorption résonantes dépendaient de la taille des gouttelettes et d’autres propriétés de la solution. Mais c’est la taille des pics d’absorption qui a choqué Antonietti.

« Et maintenant vient la tragédie », a déclaré Antonietti. « Exactement là où nous sommes les plus proches des conditions du cerveau, nous voyons le plus fort réchauffement. Il y a cent fois plus d’énergie absorbée que ce que l’on pensait auparavant. C’est une horreur. »

Les efforts de l’EPA pour protéger les Américains

Face à un barrage de résultats scientifiques alarmants, l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) a créé son propre laboratoire de recherche sur les rayonnements micro-ondes qui a fonctionné de 1971 à 1985 avec jusqu’à 30 employés à temps plein exposant des chiens, des singes, des rats et d’autres animaux aux micro-ondes. L’EPA a été tellement troublée par les résultats de ses expériences qu’elle a proposé, dès 1978, d’élaborer des lignes directrices sur l’exposition humaine aux micro-ondes afin qu’elles soient adoptées et appliquées par d’autres agences fédérales dont les activités contribuaient à l’épaississement rapide du brouillard de pollution électromagnétique dans notre pays. Mais ces agences se sont montrées réticentes.

La Food and Drug Administration ne voulait pas que les limites d’exposition proposées s’appliquent aux fours à micro-ondes ou aux écrans d’ordinateur. La Federal Aviation Administration ne voulait pas avoir à protéger le public des radars de contrôle du trafic aérien et des radars météorologiques. Le ministère de la Défense ne voulait pas que les limites s’appliquent aux radars militaires. La CIA, la NASA, le ministère de l’Énergie, les garde-côtes et Voice of America ne voulaient pas avoir à limiter l’exposition du public à leurs propres sources de rayonnement.

Enfin, en juin 1995, alors que l’industrie des télécommunications prévoyait de mettre des appareils à rayonnement micro-ondes dans les mains et à côté du cerveau de chaque homme, femme et enfant, et d’ériger des millions de tours et d’antennes cellulaires dans les villes, villages, forêts, réserves naturelles et parcs nationaux de tout le pays afin de faire fonctionner ces appareils, l’EPA a annoncé qu’elle allait publier la phase I de ses directives d’exposition au début de 1996. La Commission fédérale des communications aurait été tenue d’appliquer ces directives, les téléphones cellulaires et les tours cellulaires auraient été illégaux, et même s’ils n’avaient pas été illégaux, les entreprises de télécommunications auraient été exposées à une responsabilité illimitée pour toutes les souffrances, les maladies et la mortalité qu’elles étaient sur le point de causer.

Mais il n’en a rien été. L’Electromagnetic Energy Association, un groupe de pression de l’industrie, a réussi à empêcher la publication des directives d’exposition de l’EPA. Le 13 septembre 1995, le Comité sénatorial des crédits a supprimé les 350 000 $ qui avaient été budgétés pour le travail de l’EPA sur ses directives d’exposition et a écrit dans son rapport : « Le Comité estime que l’EPA ne devrait pas s’engager dans des activités liées aux CEM. »

La Personal Communications Industry Association (CTIA), un autre groupe industriel, a également fait pression sur le Congrès, qui était en train de rédiger un projet de loi appelé Telecommunications Act, et une disposition a été ajoutée à la loi interdisant aux États et aux gouvernements locaux de réglementer les « installations de services sans fil personnels » sur la base de leurs « effets environnementaux ». Cette disposition a protégé l’industrie des télécommunications de toute responsabilité pour les blessures causées par les tours et les téléphones cellulaires et a permis à cette industrie de vendre au public américain la technologie la plus dangereuse jamais inventée. Les gens n’étaient plus autorisés à parler de leurs blessures à leurs élus lors d’audiences publiques. Les scientifiques n’étaient plus autorisés à témoigner devant les tribunaux sur les dangers de cette technologie. Tous les moyens permettant au public de découvrir que la technologie sans fil les tuait ont été soudainement interdits.

L’industrie des télécommunications a tellement bien réussi à vendre cette technologie qu’aujourd’hui, le foyer américain moyen contient 25 appareils différents qui émettent des micro-ondes et l’Américain moyen passe cinq heures par jour sur son téléphone portable, l’a dans sa poche à côté de son corps le reste de la journée et dort avec toute la nuit dans ou à côté de son lit. Aujourd’hui, presque tous les hommes, femmes et enfants tiennent un appareil à micro-ondes dans leur main ou contre leur cerveau ou leur corps toute la journée, sans se rendre compte de ce qu’ils font à eux-mêmes, à leur famille, à leurs animaux domestiques, à leurs amis, à leurs voisins, aux oiseaux dans leur cour, à leur écosystème et à leur planète. Ceux qui sont même conscients qu’il y a un problème ne voient que les tours comme une menace, et leur téléphone comme un ami.

(à suivre) 


[Voir aussi : dossier
5G et ondes pulsées]




Conflits d’intérêts et corruption à l’Agence européenne du médicament

[Source : Dr. Gonzo]

Rappel : Le scandale des pots-de-vin de Big Pharma éclate en Australie, entraînant la chute de six fonctionnaires corrompus et du Premier ministre australien Berejiklian

À qui le tour ?

De qui se moque l’Agence Européenne du Médicament ?

https://formindep.fr/de-qui-se-moque-lagence-europeenne-du-medicament/

Formindep (« Association pour une formation et une information médicale indépendante »), le 19 septembre 2009.

L’European Medicines Agency (EMEA), ou Agence Européenne du Médicament est un organe de l’Union Européeenne, chargé de l’évaluation et de la supervision des produits de santé humaine et animale. Elle a été épinglée à différentes reprises pour sa politique de transparence pour le moins insuffisante et qui laisse la place à toutes les suspicions.

L’Agence du médicament et l’Autorité de sécurité alimentaire sont soupçonnées de conflits d’intérêts.

https://www.lemonde.fr/planete/article/2011/11/14/les-autorites-sanitaires-europeennes-en-accusation_1603384_3244.html

Le Monde, le 14 novembre 2011.

L’onde de choc du scandale du Mediator, qui aurait provoqué jusqu’à 2 000 morts, a atteint l’Agence européenne du médicament (AEM), déjà mise en cause pour son manque de transparence, ses carences en matière de pharmacovigilance et ses insuffisances dans la lutte contre les conflits d’intérêts. Aiguillonnée par sa tutelle, la Commission européenne, l’AEM tente désormais de redresser la barre.

Agence européenne du médicament : trop de conflits d’intérêts.

https://www.prescrire.org/Fr/3/31/47913/0/NewsDetails.aspx

Revue Prescrire, le 1er juillet 2012.

Un audit réalisé par la Commission européenne a porté sur la gestion par l’Agence européenne du médicament (EMA) des conflits d’intérêts des personnes impliquées dans ses activités. Il a fallu deux ans de procédures et l’intervention du Médiateur européen pour que l’association Formindep obtienne la copie de cet audit, que l’EMA refusait de transmettre. Les résultats sont accablants…

Question avec demande de réponse écrite à la Commission européenne.

Objet: Indépendance de l’Agence européenne des médicaments.

https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2021-001644_FR.html

Parlement européen, le 24 mars 2021.

Dans son dernier rapport en date, l’EMA indique elle-même que sur les 4 010 experts auxquels elle a fait appel en 2019, 926 avaient des liens directs ou indirects avec l’industrie pharmaceutique. Des spécialistes pointent également le mode de financement de l’EMA, ainsi que les « allers-retours » de membres de l’agence, y compris hauts placés, entre public et privé. Des « pantouflages et rétro-pantouflages » problématiques, selon Bruno Toussaint, directeur éditorial de la revue Prescrire, cité par Le Figaro (31/12/2020).

Conflits d’intérêt et corruption à l’Agence européenne du médicament.

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/conflits-dinteret-et-corruption-lagence-europeenne-du-medicament

France Soir, le 13 octobre 2021.

Cela semble invraisemblable, mais le budget de fonctionnement de cette agence (346 millions d’euros) provient à 85,70 % de redevances payées par l’industrie pharmaceutique et à seulement 14,30 % de financements publics de l’Union européenne.

Budget de l’Agence européenne des médicaments pour l’exercice 2019.

https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/A-9-2021-0073_FR.pdf

Parlement européen, le 30 mars 2021. Page 7/21 :




Explosion de la science et de la morale

Par Patriarcat Catholique Byzantin (PCB)

Les médias produisent chaque jour des nouvelles de plus en plus choquantes : il doit y avoir un passeport de vaccination et cela à cette date ; le Ministre de la Santé rapporte « la population, y compris les nouveau-nés, doit aussi avoir un passeport génétique… », etc., etc.

Personne ne demande quelle est la menace, qui la fait progresser et quel est son objectif. On sait seulement que quiconque désobéira sera expulsé de la société. Les mesures insensées et pénales prises par le gouvernement sont acceptées sans examen de leurs conséquences.

Les armes nucléaires constituent la plus grande menace de destruction massive. Ce qui se passe aujourd’hui, cependant, est un moyen encore plus efficace d’autodestruction massive et totale de l’humanité.

À quoi bon la science et la technologie lorsqu’elles sont entre les mains de criminels intelligents et cyniques qui cherchent non seulement à exterminer l’humanité, mais aussi à perturber la nature humaine en tant que telle ? Sans conscience et sans principes moraux, la science et la technologie conduisent à l’autodestruction de l’humanité. Le puçage est introduit afin de contrôler les gens de façon totale, et pas seulement pour contrôler, mais aussi pour dégrader les gens dans les médias du système, ou en robots biologiques. Il s’agit vraiment de diaboliser l’humanité et de créer un enfer sur Terre, qui culminera dans un enfer après la mort.

La question de la moralité interpersonnelle dépend de la pureté morale. La promotion de l’immoralité ne conduit pas à la liberté, mais à l’esclavage des passions et, finalement, au crime. Le paradoxe est que c’est le Concile de Vatican II qui a ouvert la porte à ce processus de démoralisation en établissant le respect du paganisme. Les hérésies du modernisme ont perturbé une relation vivante avec Dieu. Sans cette relation, la moralité décline. La moralité est la base d’une famille saine, et donc de la société saine. Elle conduit à la vraie liberté.

Dans les années 1960, le boom du yoga et des arts martiaux entraîna l’expansion du paganisme. Leurs méditations sont intrinsèquement liées à l’hindouisme et au bouddhisme païens. Ces méditations incluent la conscience et nient Dieu le Créateur et Son salut, qui est en Christ. Dans les cultes païens, il n’y a ni amour pour Dieu, ni amour pour le prochain. Le paganisme est fondamentalement basé sur l’occultisme, c’est-à-dire diverses formes de divination, de magie et de spiritualisme, qui ouvrent les âmes aux démons et conduisent au satanisme. Cela entraîne un déclin complet de la conscience et de toute morale.

Dans les années 1970, Kinsey commença à promouvoir la pédophilie et l’homosexualité. Pendant cette période d’invasion de l’immoralité, l’institution de la famille fut bouleversée. Les divorces se produisaient en masse parce que les principes moraux et les racines à partir desquelles la moralité se développait avaient été sapés. Un boom de la télévision commença dans les années 1960, et bientôt, il n’y eut presque plus de film sans contenu immoral.

Le tournant du millénaire a été marqué par une propagande gay extrême, et ces dernières années, nous avons été témoins d’une idéologie du genre qui entraîne la légalisation de toutes sortes de perversions, et en même temps d’un changement massif dans l’esprit humain. L’irréalité est considérée comme une réalité, le bon sens est punissable et la conscience est complètement éliminée. La distinction entre le bien et le mal, la vérité et le mensonge est floue, et l’existence de normes morales objectivement valides est niée, même par le soi-disant pape François.

Les paradigmes ont été changés. Le but caché est l’autodestruction de l’humanité et, après la mort, la damnation de chaque individu en enfer. Dans cette situation, chacun doit résister au système d’autodestruction, même au prix du martyre.

Cette idéologie de la bête apocalyptique, qui a le pouvoir entre ses mains, abuse de toutes les réalisations de la science et de la technologie pour la programmation globale du mal. L’application de cette voie de mort est basée sur des mensonges et des manipulations professionnels. La guerre autodestructrice actuelle est guidée par le principe : croyez en vous, mentez et détruisez ! Nous devons savoir que ce programme compte sur la racine génétique du mal – si — qui est en chaque être humain. Par conséquent, Dieu s’est fait homme afin d’obtenir pour nous le pardon des péchés et de nous délivrer de cette source du mal, le péché originel — l’ancien moi (Rm 6, 6). Il est nécessaire que nous recevions le Sauveur et sa voie de vérité et d’amour désintéressé pour Dieu et le prochain.

Connaître la vérité est profondément lié aux principes moraux. Une personne qui mène une vie immorale devient spirituellement aveugle et cynique. Elle commettra elle-même des crimes et les légalisera, se faisant ainsi du mal à elle-même et aux autres. Ce n’est pas une chose innocente. La morale est la base de la véritable autocritique, qui rend une personne capable d’admettre la racine du mal en elle-même, ainsi que son système d’auto-tromperie, et de s’y opposer. Ce n’est qu’alors qu’elle pourra accepter le plan de Dieu pour sa vie et son accomplissement dans le bonheur éternel après la mort.

Aucune responsabilité, aucune justice, aucun comportement honnête ne peut être attendu d’une personne immorale. L’immoralité va de pair avec le déclin des vertus. Le canal vers la plus grande immoralité est le retour au paganisme — c’est-à-dire le retour au culte des démons et du diable, et en même temps à la perversion morale, et même au sacrifice humain. C’est ce à quoi nous sommes parvenus aujourd’hui. C’est de la cruauté envers les enfants à grande échelle. Tout est-il en train d’être adopté ? Ces crimes sont appelés « droits de l’enfant ». Pour être moral et consciencieux, il faut acquérir l’abnégation : le sacrifice. Le sens et le but de la vie humaine ne sont pas authentiques : cela ne se termine pas avec la mort.

Quel changement de mentalité a eu lieu au cours du dernier demi-siècle ? Cela a commencé avec la popularisation de l’immoralité, qui a progressivement conduit à la promotion de la perversion (Kinsey : pédophilie et homosexualité), et cela a finalement été suivi d’un passage de la réalité à l’irréalité (idéologie transgenre). La distinction entre le bien et le mal a cessé d’exister. La société post-chrétienne a alors pu accepter le système colossal du mensonge, tel que nous le voyons aujourd’hui. Un autogénocide de masse est en cours sous couvert de la « santé ».

Quelle est la solution ? Pas la foi dans les mensonges ou les menteurs, mais la Metanoe : un changement d’avis et une croyance en l’Évangile ! (Matthieu, 1:15).

Patriarcat Catholique Byzantin (PCB)

Le 9 juillet 2021

Explosion de la science et de la morale

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« L’islamophobe » n’est-ce pas le non-musulman ?…

Par Lucien Samir Oulahbib

That is the question. Ou cela revient au même au-delà du fait de répondre « mais non bien sûr », car la logique derrière paraît imparable : si vous n’êtes pas islamophobe pourquoi ne pas être musulman pour le prouver ? Répondre que ce n’est pas nécessaire apparaîtra ambigu, d’autant plus que si « islam » veut dire aussi paix et que vous êtes pour la paix, si cela veut dire aussi protéger les femmes du regard sale des hommes, tous les lgbtistes sont d’accord avec ça, donc il n’y a aucune raison de ne pas le devenir, d’autant plus que concernant l’environnement la couleur de l’islam est le vert, donc tout va bien. Pourquoi attendre ?…

Le même raisonnement prévaut aussi ailleurs :

  • être climatoréaliste (c’est-à-dire se baser sur les faits et donc les observations et non pas sur les corrélations modélisées) n’est-ce pas être « négationniste », « platiste », n’est-ce pas refuser d’ouvrir les frontières pour les « réfugiés climatiques » (stade suprême du sans-frontiérisme ?) et donc être « d’extrême droite »?…
  • être « rassuriste » s’agissant de C19 (c’est-à-dire se baser sur les faits et donc les observations concernant l’efficacité comparative des traitements et non pas sur les corrélations modélisées) n’est-ce pas être « anti-science » et donc « conspirationniste » ?…

On le voit, ces trois exemples, islam, climat, injections expérimentales, fonctionnent sur le même schéma logique du syllogisme banal (qui est antirationnel) : si vous n’êtes pas ceci, traduisez « comme nous » alors vous êtes cela donc « contre nous », c’est la formule « ami/ennemi » de Carl Schmitt qui avait remarquablement résumé la manière dont Lénine renversa la formule de Clausewitz (reprise par Foucault et tout le mouvement déconstructionniste actuel) :

« la guerre c’est la politique continuée par d’autres moyens » devient « la politique c’est la guerre continuée par d’autres moyens » autrement dit la guerre (de classe, de race…) est permanente (alors que même chez Hobbes elle ne l’est pas) tant que vous n’acceptez pas la « paix » proposée par la partie adverse soit votre soumission (reddition)….

C’est ce qui est proprement antirationnel en ce sens où la raison se distingue de la logique parce qu’elle pose la question du sens : si a alors b si et seulement si a « doit » aller vers b, cela dépend donc de l’objet visé : technique, affectif, politique… Ainsi une jeune fille de neuf ans pourrait physiologiquement si elle est « réglée » être « mariée », le devrait-elle pour autant ? C’est un choix dans ce cas non plus logique, mais rationnel au sens où cela engage l’avenir psychique du développement humain propre à cette enfant. Et concernant alors son « impression » de sentir « garçon », ne va-t-on pas interroger au préalable cette « impression » pour voir s’il s’agit d’un sentiment profond ou juste fugace ? Ce sont des types de questions propres à notre civilisation judéo-chrétienne ayant affiné ici la pensée gréco-romaine au sens de mettre au centre la liberté jusqu’à même défier Dieu (Adam et Eve, Moïse) Jésus lui-même assumant la trahison de Judas, refusant de jeter la première pierre, discutant avec la Samaritaine, chassant certes les marchands du Temple (mais ne les tuant pas).

Ces questions, , ne font pas partie du lexique de ceux qui fonctionnent façon ami/ennemi : aussi les déconstructionnistes (de plus en plus néoléninistes) sont bien les alliés objectifs des djihadistes et bien entendu leur servent d’idiots utiles alors que même dans les pays dominés par l’apparence pourtant « diplomatique » de ces derniers, les femmes, les homosexuels, les libres-penseurs sont pourchassés et assassinés s’ils ne se soumettent pas à la « paix » exigée.

Aussi faut-il être très méfiant devant de telles injonctions :

  • être non-musulman ne veut pas dire antimusulman, mais, comme son nom l’indique, être en dehors de sa conception du monde, que l’on peut cependant critiquer, car telle est par contre l’un des fondements de notre civilisation : le fait de mettre tout en doute et d’avoir la liberté de le faire ; si l’on refuse ce trait-là, eh bien oui, c’est dans ce cas l’affrontement y compris lorsque Jacob se bat contre l’Ange jusqu’au matin (sauf que ce dernier ne le tue pas non plus…).
  • être climatoréaliste ne veut pas dire que l’on nie les changements climatiques, mais que l’on souligne que le climat change toujours et que l’on confond souvent cela avec le phénomène de la pollution, par exemple le CO2 et le CO ce qui veut dire par exemple qu’il a été fait beaucoup d’efforts pour réduire ce dernier parmi les particules dites fines jusqu’à 98 % pour le diesel dernière époque par exemple ; d’où le constat qu’au bout du compte le moteur thermique s’avère être bien plus « propre » que le moteur électrique, surtout dans les pays peu nucléarisés…
  • être enfin plutôt « rassuriste » en matière de santé c’est observer que le renforcement du système immunitaire naturel et la lutte contre la syndémie (les maladies dites « chroniques ») le tout dans une revalorisation du système de soins, s’avère être une action pratique rationnelle au sens de prendre en compte toutes les données, pas seulement logique (« l’urgence » supposée), mais aussi civilisationnel au sens où l’on fait politiquement et techniquement la part des choses parce que la liberté ne peut être sacrifiée au nom de la « sécurité », surtout lorsque cela ne se justifie pas objectivement (« proportionnellement »).

La campagne présidentielle française à venir ne peut alors pas ne pas tourner autour de ces questions fondamentales ; ce qui fait qu’au-delà de ce que l’on peut penser de la candidature d’un Éric Zemmour, ce dernier a déjà le mérite de les poser au niveau nécessaire et suffisant : il s’agit désormais d’un choix de civilisation et non plus seulement de « société »… To be or not to be. A-t-il les « bonnes » réponses ? Sinon qui ?…

That is (also) the question




De nombreux députés et des millions de citoyens refusent la prolongation du pass liberticide, sans aucune justification sanitaire

Par Nicole Delépine

Loi de vigilance sanitaire, en direct de l’Assemblée nationale. Quelques extraits

Le gouvernement exige une nouvelle fois les pleins pouvoirs pour bloquer nos libertés et ce enjambant les élections. Il appelle cela une boite à outils ! Mais comme répond un député, cette boite à outils devrait être dans les mains du parlement et non de l’exécutif d’autant que l’épidémie en France a disparu et que personne ne le nie plus, même pas le pouvoir.

Les citoyens devant l’assemblée :

https://twitter.com/KARIMAMARKHODJ1/status/1450486392778276866

Des députés au parlement exigent des limites

Aurélien Pradié LR : la société du pass sanitaire n’est pas la société que vous voulez. NOUS DEVONS NOUS INQUIÉTER AUTANT DE LA SANTE DE LA DEMOCRATIE QUE DE CELLE DE NOS CONCITOYENS

le député José Evrard proteste contre cette politique d’atteinte aux libertés et rappelle la protestation importante dans le même temps devant l’Assemblée nationale que les médias ignorent !

https://twitter.com/Joseevrard62/status/1450503878147969024

« Vous massacrez les Français ! »

Prolongation de l’état d’urgence sanitaire, grosses tensions. le 1er article est adopté

par le député Ratenon : dénonciation de la violence
du gouvernement et rappel du gazage des soignants en Martinique.

également en commission

« Nous les pas plus, nous les pas moins ». Il est très choqué, car le ministre de la Santé est parti sans même lui répondre. Indifférence aux gueux, indifférence aux députés, des gueux comme les autres, probablement.

Lors de la commission des lois, le député JH Ratenon (LFI La Réunion) a interpellé O. Veran sur le pass sanitaire et les revirements du gouvernement.

O. Véran est parti sans avoir pris la peine de lui répondre.

« Le ministre de la Santé vient de faire la démonstration d’un total mépris des députés d’outre-mer, il refuse de répondre à nos questions, nos remarques, peut-être est-il en flagrant délit de mensonges ou tout simplement est-ce un réflexe colonial, et je dénonce cela avec la plus grande fermeté.

Aujourd’hui nous pouvons nous exprimer pour défendre l’intérêt de nos citoyens, des citoyens qui souffrent énormément de la politique de ce gouvernement et notamment du comportement sectaire de ce ministre de la Santé.

Je voudrais dire que ce comportement n’a pas sa place dans la République Française. »

Le député Ratenon

Via :

Le député François Ruffin se révolte contre cette nouvelle loi :

Et l’irrespect permanent pour nos représentants après la fête sans masque ni distanciation à l’Élysée il y a quelques jours, pourquoi nos députés devraient porter cette muselière tellement symbolique de leur interdiction de parler, d’exister.

Ainsi cette fois, des élus de droite comme de gauche dénoncent la perte de nos libertés

Enfin ils critiquent le projet de maintien du régime transitoire de sortie de l’État d’urgence sanitaire. Ils évoquent un « chèque en blanc », dans un « état d’exception » qui devient « la norme ».

« C’est le passe sanitaire à vie », a critiqué la candidate du RN à la présidentielle Marine Le Pen,

La communiste Karine Lebon a dénoncé un « déni de démocratie » et l’insoumise Mathilde Panot des décisions prises au gré « des ordres et des contre-ordres de Jupiter ».

le LR Philippe Gosselin a défendu en vain une motion de rejet contre cette « banalisation de l’état d’urgence ».

la député Emmanuel Ménard confirme : Des mesures d’exception sanitaire jusqu’à cet été ? Non, ça suffit !

https://www.facebook.com/watch/?v=4772197916138416

Mais trop d’absents, même si certains se battent avec conviction. Comparez à quelques minutes près :

Le SECRET MÉDICAL ÉCRASÉ

À l’occasion de cette extorsion de prolongation de l’état d’urgence, le ministre piétine encore plus le Secret médical : Olivier Véran veut autoriser les directeurs d’établissements à savoir si votre enfant est vacciné. Les maires n’ont pas connaissance des fichés S, mais on saura si les enfants seront ou pas vaccinés.(([1] Marcel D.@DubreuilhMarcel))

Les maires n’ont pas connaissance des fichés S, mais on saura si les enfants seront ou pas vaccinés. De quoi laisser rêveur Kim Jong-un. Mais peut-on envisager un amendement qui dévoile le statut vaccinal des sénateurs, députés et membres du gouvernement… ou bien tout ce beau monde restera-t-il exempté ?(([2] Secret médical : Olivier Véran veut autoriser les directeurs d’établissements à savoir si votre enfant est vacciné (lemediaen442.fr) ))

Si certains se battent pour nos libertés, d’autres en rajoutent, voire se ridiculisent comme la députée MODEM Sophie Mette, qui a osé déclarer :

« Pourtant, en dépit des critiques souvent stériles et excessives, jamais nous n’avons dévié de cette ligne — exigeante — qui porte pleinement ses fruits : la campagne de vaccination et le passe sanitaire sont une réussite. On compte 5 000 nouvelles contaminations par jour, en baisse régulière, et la décrue des hospitalisations, ainsi que des décès, est considérable. »

Ou comment confondre la confiance dans le vaccin et l’obligation d’être vacciné pour garder son emploi. Les 300 000 soignants qui ont refusé l’injection dangereuse (devant les nombreux accidents rencontrés depuis janvier) sont bannis de l’hôpital qui ne peut plus fonctionner, bannis de leurs amis qui ne comprennent pas, devant la publicité honteuse des médias. Combien de dépressions et de suicides, de soignants, de pompiers ?

Le député de Paris Pierre-Yves Bournazel en a rajouté une couche et commis cette phrase historique :

« Quelle est la raison d’être du passe sanitaire ? Il ne vise pas à restreindre nos libertés. Au contraire, c’est le seul moyen de retrouver notre liberté de déplacement en toute sécurité et de préparer sereinement l’avenir. »

Montrer ses papiers pour prendre un café ou assister à un concert, ça s’appelle retrouver sa liberté de déplacement ! La paix c’est la guerre, on commence à connaître Orwell par cœur !

LREM se défend curieusement alors que l’épidémie est terminée et de nombreux autres périls même sanitaires guettent les Français comme la dépression (voir le taux d’antidépresseurs prescrits) ou la tuberculose renaissante.
Le ministre a justifié cette proposition de loi par la nécessité de « rester vigilants, acteurs, actifs pour ne pas laisser la moindre prise au virus ».

Le gouvernement a insisté sur l’importance de la troisième dose du vaccin, « fondamentale » pour les plus fragiles, plus de 65 ans et personnes malades. « À terme, 22 millions de nos concitoyens sont appelés à recevoir ce rappel », a-t-il précisé. Donc un pseudovaccin qui ne protège pas, mais qu’il faut éternellement renouveler… Cela ne vous pose-t-il pas de question ?

Rappelons qu’il y a moins de vingt morts par jour de covid contre plus de cinq cents décès de cancer. Il laisse bien la moindre prise au crabe, mais aussi aux suicides qui se multiplient. Ensuite le ministre s’est échappé. Pourquoi répondre aux députés qui finalement sont traités honteusement comme des riens comme tous les autres français.

La validité du passe pour les plus de 65 ans et les plus fragiles pourrait aussi être soumise à l’injection d’une troisième dose de vaccin. « C’est une possibilité », a confirmé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal.

La prorogation du passe sanitaire est discutée dans une précipitation inouïe — POURQUOI UNE PROCÉDURE D’URGENCE ? — à l’Assemblée nationale

On notera les propos hallucinés du rapporteur Jean-Pierre Pont… et l’amendement courageux porté par le macroniste parisien Pacôme Rupin.(([3] Passe sanitaire : quand les députés macroniens mangent des champignons hallucinogènes – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il faut absolument lire l’extravagant rapport sur le passe sanitaire rendu par le député LREM du Pas-de-Calais Jean-Pierre Pont, rapporteur de la loi scélérate qui proroge le passe sanitaire sans raison… sanitaire ! Ce texte digne de la propagande stalinienne à ses meilleures heures (..)

On récapitule : passe sanitaire grande réussite, qui a permis d’endiguer la quatrième vague, et de rendre aux Français la liberté que le virus leur avait volée.

Pas un mot sur la société de surveillance, pas un mot sur le crédit social, pas un mot des manifestations qui se déroulent chaque samedi en France, pas un mot sur les milliers de suspensions prononcées dans les hôpitaux.

Mais il est vrai que si l’on oublie ce point de détail, où 30 % des soignants n’ont accepté le vaccin que sous la menace de perdre leur emploi, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

LE PROJET DE LOI CONTINUE À ÊTRE DISCUTÉ CE JOUR ET DEMAIN AU PARLEMENT

Joignons nos députés dont certains répondent rapidement. Écrivez-leur votre propre missive ou envoyez-leur une lettre ouverte

Participez à leur information. Comme beaucoup de nos familles, ils ont été désinformés par le gouvernement, les médias et ont reçu très peu d’éléments de réflexion véritables. Certains comme le ministre qui répond aux députés craignent encore ce virus mythique, quand ils feraient mieux de craindre le cancer ou des effets secondaires de l’injection génique.


Notes




Coronacircus — Plus on est intelligent, moins on se vaccine

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Par Thomas T. Siler, M.D. American Thinker

Il y a une campagne de propagande massive contre ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner contre Covid-19 avec les vaccins expérimentaux à ARNm. Les médias grand public, les grandes entreprises technologiques et nos gouvernements ont combiné leurs efforts pour récompenser la conformité et pour humilier et marginaliser la non-conformité. Leur mantra dit qu’il s’agit d’une pandémie causée par les non-vaccinés. Ces derniers sont décrits comme des personnes inintelligentes, égoïstes et paranoïaques qui ne lisent pas beaucoup et vivent isolées dans un parc à roulottes dans des banlieues paumées. Jamais, de mémoire d’Homme, il n’y a eu un tel effort pour les manipuler par la peur et les pénaliser afin de les obliger à suivre un traitement médical expérimental.

Cependant, au fur et à mesure que le temps passe avec cette pseudo pandémie et que de plus en plus de données s’accumulent sur le virus et le vaccin, les non-vaccinés semblent de plus en plus intelligents chaque semaine qui vient. Il a été démontré maintenant que les vaccinés attrapent et propagent le virus encore plus que les non-vaccinés.[1] Les données sur les effets secondaires des vaccins continuent de s’accumuler, ce qui rend le risque de prendre le vaccin prohibitif à mesure que la pandémie diminue.[2] Les médicaments oraux et intraveineux qui fonctionnent tôt dans le traitement du Covid-19 sont beaucoup plus attrayants à prendre maintenant, car les risques du vaccin sont de plus en plus connus, en particulier parce que les vaccinés auront besoin de rappels sans fin tous les six mois.

Tout d’abord, abordons l’intelligence des non-vaccinés. L’hésitation à la vaccination est multifactorielle et varie avec le niveau d’éducation ou d’intelligence. L’Université Carnegie Mellon a réalisé une étude évaluant l’hésitation à la vaccination à tous les niveaux d’éducation. Selon l’étude, quel est le niveau d’éducation avec le plus d’hésitation à la vaccination ?doctorat niveau Ph. D.! De toute évidence, les scientifiques capables de lire les données et d’évaluer les risques sont parmi les moins susceptibles de prendre les vaccins à ARNm.

L’affirmation selon laquelle il y a une pandémie chez les non-vaccinés est donc manifestement fausse. Comme l’a récemment demandé une infirmière à la retraite de Californie : « Pourquoi les protégés doivent-ils être protégés des non-protégés en forçant les non-protégés à utiliser la protection qui ne protége pas les protégés en premier lieu ? ». Si le vaccin agit pour prévenir l’infection, alors les vaccinés n’ont rien à craindre. Si le vaccin ne prévient pas l’infection, les vaccinés restent exposés à un certain risque et les non-vaccinés seraient moins susceptibles de choisir un vaccin qui ne fonctionne pas bien.

L’efficacité du vaccin à ARNm est très étroite et se concentre sur la souche alpha originale de Covid-19. En ciblant un groupe d’antigènes sur la protéine de pointe, cela aide la souche alpha d’origine, mais il est clair maintenant qu’elle ne protège pas contre la souche Delta et ne protège probablement pas contre les futures souches qui pourraient circuler. Il semble également que l’efficacité diminue en 4 à 6 mois, ce qui conduit à des discussions sur les boosters (rappels).

Plusieurs auteurs ont souligné que la vaccination avec un vaccin « qui fuit » lors d’une pandémie pousse le virus à s’échapper et à créer des variantes. Si le rappel n’est qu’une autre itération du même vaccin, il n’aidera probablement pas contre la nouvelle souche, mais produira plutôt une pression évolutive sur le virus pour produire encore plus de variantes et nous exposer à plus d’effets secondaires. Pourquoi, alors, cette stratégie de rappel pour tout le monde est-elle poursuivie ?

Ce vaste essai clinique de phase 3 de vaccins à ARNm auquel les Américains participent principalement par peur ne se passe pas bien. Il est tout à fait clair pour quiconque défend la santé publique que le programme de vaccination doit être arrêté. L’Islande vient de cesser de donner le vaccin Moderna, ce qui est un bon pas dans la bonne direction. La Suède, le Danemark et la Finlande ont interdit le vaccin Moderna à toute personne de moins de 30 ans.
VAERS, notre système de déclaration des effets indésirables des vaccins, a révélé au début de cette semaine 16 000 décès, 23 000 invalidités, 10.000 IM/myocardite, 87 000 visites de soins d’urgence, 75 000 séjours à l’hôpital et 775 000 événements indésirables au total. Le système VAERS est bien connu pour sous-déclarer les événements, avec environ 90 à 99 % des événements qui n’y sont pas signalés.[3]

Eudravigilance, le système de déclaration européen associe désormais 26 000 décès (chiffre réel entre 2,3 et 2,6 millions) à proximité immédiate de l’administration du vaccin. Les données des lanceurs d’alerte du système CMS (graphiques Medicare) ont montré près de 50 000 décès dans le groupe Medicare peu de temps après le vaccin (chiffre réel entre 4,5 et 5 millions).

Un programme de suivi basé sur l’IA appelé Project Salus suit également la population de Medicare et montre que les bénéficiaires de Medicare vaccinés ont de moins bons résultats semaine après semaine, dans le type d’amélioration de la dépendance aux anticorps (ADE Antibody Dependent Enhancement). Cela se produit lorsque les anticorps du vaccin accélèrent réellement l’infection, entraînant une aggravation des résultats de l’infection au Covid-19. L’amélioration dépendante des anticorps a déjà eu lieu avec des essais d’autres vaccins contre le coronavirus chez les animaux. Le CDC et la FDA suppriment ces données ; et les personnes qui reçoivent le vaccin n’ont pas un véritable consentement éclairé.

La déclaration de Rome compte 6700 signataires médicaux attestant que la gestion de la pandémie constitue des crimes contre l’humanité pour avoir refusé le meilleur traitement médical et pour avoir continué à plaider en faveur de vaccins nocifs. Les preuves sont juste devant les Américains pour mettre fin à la propagande et à la psychose des masques de masse.

Le récit médiatique de la peur perpétuelle s’effondre. La Norvège, la Suède et le Danemark ont mis fin à toutes les restrictions liées au Covid et se portent bien mieux que les États-Unis, le Royaume-Uni et Israël, trois pays qui continuent de vacciner pendant la pandémie. Le Mexique, le Guatemala, l’Indonésie, la quasi-totalité de l’Afrique et certaines parties de l’Inde ont de faibles taux de vaccination et se portent bien mieux que les États-Unis, ce qui est attribué à leur gestion de la pandémie en utilisant l’ivermectine.

Plus de 500 000 personnes ont assisté au rallye de motos Sturgis en août et il n’y a pas eu de super propagation de Covid-19. La saison de football a commencé en août et les stades à travers le pays sont remplis de 80 000 fans hurlant sans masques. Il n’y a pas eu d’événements de super contamination, mais les étudiants sont obligés de retourner au masquage en classe. Cela n’a aucun sens.

Si le vaccin est si important, pourquoi nos chefs de gouvernement n’ont-ils pas à le prendre ? Actuellement, 13 États démocrates avec des taux de vaccination élevés ont les taux de «cas» les plus élevés (en utilisant un test PCR défectueux), tandis que les États républicains s’en sortent tous mieux. Comment cela peut-il arriver ?

Il devrait être clair que le gouvernement a manipulé Covid pour créer une peur perpétuelle, afin que nous lui laissions donc notre liberté. Dans cette bataille géante entre notre gouvernement et les non-vaccinés, j’espère que suffisamment de gens refuseront de se conformer comme des moutons pour que nous puissions nous unir pour arrêter cette folie.

Source : The Unvaccinated Are Looking Smarter Every Week

by Thomas T. Siler, M.D. American Thinker


NOTES de H. Genséric

[1] L’Afrique, test géant pour la chloroquine. Comparaisons des mortalités Covid entre l’Afrique et l’Europe
Témoignage d’un directeur de Pompes funèbres. Covid est un vaste programme d’euthanasie des vieux et de mutilation des jeunes
Bulletin mensuel de la terreur Covid planétaire et de la vaccination au 25 Septembre 2021
La « chasse aux sorcières » contre les médecins honnêtes s’intensifie

[2] Le vaccin Covid. Sourds, aveugles, morts cérébrales : 5 640 décès et 780 000 effets secondaires
Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS
Les vaccins ARNm Covid-19 sont les produits médicaux les plus mortels jamais fabriqués par l’Homme
USA. Selon les statistiques officielles, les vaccins Covid-19 tuent 78 fois plus que les vaccins standards
La dangerosité des nouveaux vaccins anti-Covid est un fait historique

[3] Si VAERS ne déclare que de 1 % à 10 % des cas réels, nous pouvons conclure que les chiffres réels sont les suivants :

ChiffresOfficiels VAERS Chiffres réels (en millions)
minimum Maximum
Décès 16 000 1,44 1,6
Invalidités 23 000 2,07 2,3
IM/Myocardites 10 000 0,9 1,0
Urgences 87 000 7,83 8,7
Hospitalisations 75 000 6,75 7,5
Évènements indésirables 775 000 69,75 77,5

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Hannibal Genséric




Passe sanitaire : quand les députés macroniens mangent des champignons hallucinogènes

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

La prorogation du passe sanitaire est d’ores et déjà discutée (dans une précipitation inouïe) à l’Assemblée Nationale. Le débat donne lieu à des renoncements et une démonstration de soumission qui illustre le rôle désormais accessoire que joue la représentation nationale dans le débat démocratique. On notera les propos hallucinés du rapporteur Jean-Pierre Pont… et l’amendement courageux porté par le macroniste parisien Pacôme Rupin.

Il faut absolument lire l’extravagant rapport sur le passe sanitaire rendu par le député LREM du Pas-de-Calais Jean-Pierre Pont, rapporteur de la loi scélérate qui proroge le passe sanitaire sans raison… sanitaire ! Ce texte digne de la propagande stalinienne à ses meilleures heures comporte de nombreuses perles dont nous citerons quelques-unes ici :

Le bilan qui peut être dressé de la gestion de la quatrième vague montre que la mise en œuvre du passe sanitaire, combinée au déploiement de la campagne de vaccination, a fonctionné et qu’elle a rempli les objectifs qui lui ont été assignés : il a permis de préserver la reprise des activités à laquelle les Français aspiraient cet été, tout en limitant les risques de propagation du virus dans un contexte épidémique défavorable.

Le déploiement du passe, qui s’est fait sans heurts et ni difficultés, ainsi que la formidable accélération de la vaccination au cours de l’été — 85 % de la population française éligible est désormais vaccinée — ont permis de dissiper les craintes, parfois légitimes, et les vives critiques, souvent infondées, qui avaient été émises à l’encontre du passe lors de la discussion de la loi du 5 août 2021. Les Français se sont incontestablement appropriés cet outil précieux, sésame de leur liberté retrouvée.  

Donc, on récapitule : le passe sanitaire est une grande réussite, qui a permis d’endiguer la quatrième vague, et de rendre aux Français la liberté que le virus leur avait volée. Ceux-ci disposent désormais d’un « sésame » qui est un « outil précieux ». Pas un mot sur la société de surveillance, pas un mot sur le crédit social, pas un mot des manifestations qui se déroulent chaque samedi en France, pas un mot sur les milliers de suspensions prononcées dans les hôpitaux. On est frappé par la cécité, réelle ou d’emprunt, qui peut s’emparer d’un député de la majorité vis-à-vis de la réalité du pays qu’il est supposé représenter. 

Une chose est sûre avec le passe sanitaire : c’est qu’il a segmenté les perceptions. Il y a ceux qui se convainquent que tout va bien, quoiqu’il arrive, et il y a ceux, plus rares, qui s’interrogent sur une gouvernance qui procède par des coercitions plus ou moins ouvertes où ne pas être vacciné condamne à une dégradation sociale ou au chômage.

Mais il est vrai que si l’on oublie ce point de détail, où 30 % des soignants n’ont accepté le vaccin que sous la menace de perdre leur emploi, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. 

La propagande de Véran a fait son effet

Lors de l’audition du ministre de la Santé, qui a suivi la présentation du rapport, Olivier Véran n’a pas mâché ses mots pour répéter la propagande dont Jean-Pierre Pont s’est inspiré (ça simplifie le travail). On précisera que Jean-Pierre Pont est médecin, de formation… Normal qu’il ait besoin de nègres pour écrire des discours politiques. 

Voici donc le code source, en quelque sorte, du rapport parlementaire. Ce sont les propos du ministre Véran :

« Parce que nous avons mené une campagne massive de vaccination, puisqu’en métropole près de 90 % des adultes sont désormais vaccinés, mais aussi grâce aux outils de gestion de la crise sanitaire, notamment le passe sanitaire et le respect des gestes barrières, nous avons réussi à écrêter cette quatrième vague épidémique en métropole et donc à éviter de trop fortes conséquences sanitaires.

Les courbes comparatives des quatre vagues montrent bien la corrélation entre la mortalité, les hospitalisations, les cas graves et le nombre de cas : elle a totalement explosé au cours de la quatrième, dans le bon sens du terme, c’est-à-dire qu’il y a eu beaucoup moins de cas graves proportionnellement au nombre de contaminations une fois la population vaccinée.

D’ailleurs la plus grande étude mondiale sur l’efficacité des vaccins, qui est française, publiée la semaine dernière, qui a comparé onze millions de Français vaccinés avec onze millions de Français non vaccinés confirme une réduction de 92 % du risque d’hospitalisation chez les personnes âgées de 50 ans et plus lorsqu’elles ont été vaccinées.»

On est forcément frappé par la proximité des « éléments de langage » entre le rapport parlementaire et le discours du ministre. On remarque aussi que la grande étude sur « onze millions de Français vaccinés » est sortie au bon moment. Juste quand il fallait justifier le maintien du passe sanitaire ! Comme c’est bizarre…

Nos lecteurs se souviendront des chiffres de mortalité pour 2021 qui nous avons donnés, qui relativisent très très fortement les déclarations triomphalistes du gouvernement. Rappelons que, en 2021, l’été a été plus meurtrier en France qu’en 2020. Et pourtant le vaccin n’existait pas il y a un an !

Mais plus personne n’en est à ces approximations près… L’essentiel est que les pions majeurs de l’Assemblée Nationale répètent ad libitum la propagande officielle. 

La députée MODEM Sophie Mette se ridiculise

Au rang des meilleures perles, on citera les propos bouffons de la députée MODEM Sophie Mette (Gironde), qui a osé déclarer :

« Pourtant, en dépit des critiques souvent stériles et excessives, jamais nous n’avons dévié de cette ligne — exigeante — qui porte pleinement ses fruits : la campagne de vaccination et le passe sanitaire sont une réussite. Les chiffres sont plus qu’éloquents : il y a environ un an, seuls 44 % des Français avaient confiance dans le vaccin ; ils sont désormais presque 70 % à avoir achevé leur schéma vaccinal. On compte 5 000 nouvelles contaminations par jour, en baisse régulière, et la décrue des hospitalisations, ainsi que des décès, est considérable. »

Ou comment confondre la confiance dans le vaccin et l’obligation d’être vacciné pour garder son emploi. Là encore, les députés qui prennent leur désir pour des réalités, et qui imaginent que la coercition ne se paiera pas cash tôt ou tard. Mais au fond, devons-nous apitoyer sur le sort d’une caste politique aussi médiocre, qui baigne dans une propagande stérile et coupée des réalités ?

Nouvelle trahison du parisien Bournazel

Habitué aux circonvolutions politiques, le député de Paris Pierre-Yves Bournazel a pour sa part commis cette phrase historique :

 « Quelle est la raison d’être du passe sanitaire ? Il ne vise pas à restreindre nos libertés. Au contraire, c’est le seul moyen de retrouver notre liberté de déplacement en toute sécurité et de préparer sereinement l’avenir. »

Bien évidemment, montrer ses papiers pour prendre un café ou assister à un concert, ça s’appelle retrouver sa liberté de déplacement !

L’amendement salvateur de Pacôme Rupin

Seul motif de satisfaction : l’amendement porté par le député LREM Pacôme Rupin, encadrant de façon plus stricte la mise en œuvre du passe sanitaire. On notera les considérants de l’amendement :

Cet outil, s’il a favorisé le déploiement de la vaccination au sein de la population depuis l’été, reste un outil très problématique en ce qu’il va à l’encontre de la liberté́ de conscience et de choix de chacun (en instaurant une forme d’obligation vaccinale déguisée), surtout dès lors que les tests de dépistage sont rendus payants. Cette mesure porte en elle-même une forme de discrimination pour l’accès à des lieux essentiels à la vie quotidienne. C’est un risque supplémentaire de division de la société et d’opposition des citoyens entre vaccinés et non-vaccinés.

Pacôme Rupin sauve l’honneur de l’Assemblée Nationale en étant le seul à dire les choses : le passe sanitaire est un outil de discrimination qui porte atteinte aux libertés et qui fracture la société française. 

Cet amendement prévoit ceci :

Le présent amendement propose donc que le recours au passe sanitaire soit territorialisé et qu’il ne puisse être mis en œuvre qu’en cas de taux d’incidence supérieur ou égal à 50, sur une semaine continue, dans le département concerné.

Triste consolation pour un Parlement godillot.




Effondrement : la phase douloureuse de la démence collective

[Source : yetiblog.org]

Par Pierrick Tillet

Selfie à l’Élysée après la partie de foot “triomphale” du président.
NB : seul le personnel de service est masqué (au fond entouré en vert),
mais pas le ministre de la Santé (en rouge),
ni aucun autre convive (au premier plan, deux “vieilles gloires” :
Marcel Desailly et Arsène Wenger).

L’épilogue d’un effondrement systémique passe inévitablement par une phase douloureuse de démence collective que plus rien ne saurait freiner. Nous y sommes désormais en plein.

Trois exemples récents viennent encore de nous le démontrer.

Scène d’incontinence hystérique à l’Élysée

Il y eut d’abord ces scènes de libations inconsidérées filmées à l’Élysée après un match de foot grotesque organisé à la gloire de l’occupant immature des lieux.

Cet étalage obscène d’une hystérie incontinente, bien sûr sans masque ni précaution de distanciation, exposé sans la moindre pudeur au public, en dit long sur le dérèglement mental de la classe dominante, encore plus sur son irresponsabilité (rappelons que la vidéo ne fut pas tournée par un opposant malintentionné, mais par un des invités, et diffusée sur les chaînes mainstrean en toute inconscience).

103 % de vaccinés

Il y eut ensuite cette information officielle du gouvernement français révélant que le taux de vaccination de la population majeure parisienne atteignait désormais le pourcentage inédit de… 103,09 % !

Répétée à l’envi (on se rappelle les pataquès sur le port ou non du masque, les approximations aussitôt démontées du premier ministre Castex au fil de ces interventions en forme de sketch, les mensonges éhontés et vite éventés d’un Véran…), ce genre de bourde absurde est surtout révélatrice d’une totale perte de contrôle dans la communication, donc dans la maîtrise de la situation.

Un Great reset qui en rappelle fâcheusement un précédent

Sur un autre registre, on rappellera les élucubrations hallucinantes d’un Klaus Schwab sur le mythe du Great reset et de ses manipulations génétiques même plus dissimulées.

https://twitter.com/LeGrandReveilfr/status/1449855419309076487?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1449855419309076487%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fyetiblog.org%2Farchives%2F33535

L’ennui, c’est que ce Great reset du suprématisme blanc occidental en rappelle fâcheusement un précédent : celui de la race aryenne ! Et on sait de quelle fâcheuse façon l’aventure se termina pour ses promoteurs.

Les dictateurs déments tiennent rarement sur la durée

Que les clowns hallucinés de l’empire occidental décadent aient des vélléités d’autoritarisme totalitaire est incontestable. Mais n’est pas dictateur qui veut, en tout cas pas sur la durée. Les régimes autoritaires durables doivent leur pérennité à la puissance et à l’intelligence (même maléfique) de leurs dirigeants, qui savent imposer leur main de fer tout en assurant un minimum matériel suffisant à leurs sujets.

Mais que dire de ces dirigeants grotesques qui commencent par mettre leurs médecins, leurs soignants, leurs pompiers sur la paille, qui sont bien sûr incapables d’assurer le fonctionnement d’une économie en voie de délabrement, qui se ridiculisent en rafales aux yeux de leurs populations ?

Les phases de démence collective d’un pays ou d’un empire sont certes fort douloureuses, mais finalement assez brèves au regard de l’Histoire. Voyez comment s’acheva brutalement le règne des fous furieux que furent les Napoléon, Hitler, Mussolini, Ceaucescu…