L’Union européenne amorce sa dissolution

[Source : voltairenet.org]

[Photo : Bloomberg]

par Thierry Meyssan

Le Traité du Quirinal, conclu par la France et l’Italie, ainsi que le projet de gouvernement du prochain chancelier allemand, Olaf Schotz, sont incompatibles avec l’histoire de l’Union européenne. Paris et Berlin viennent de poser des actes concrets qui ne peuvent qu’amorcer l’inévitable dissolution de l’Union européenne.

[Voir aussi Derrière le dos des peuples européens]

Par Thierry Meyssan

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, Winston Churchill imagina un système permettant aux Anglo-Saxons de s’assurer que l’Europe occidentale ne tomberait pas dans les mains de l’Union soviétique et qu’ils en conserveraient le contrôle. Il s’agissait de créer un marché commun européen avec les pays ruinés qui acceptaient le Plan Marshall.(([1] « Histoire secrète de l’Union européenne », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 juin 2004.))

Les États-Unis et le Royaume-Uni avançaient alors de concert. En quelques années, ils jetèrent les bases de notre monde : l’Otan est une alliance militaire dominée par eux, tandis que ce qui est devenu l’Union européenne est l’organisation civile pour leurs alliés. Certes, les membres d’une institution ne sont pas nécessairement membres de l’autre, mais il n’en reste pas moins que, basées à Bruxelles, l’une et l’autre sont les deux faces d’une même médaille. Les services communs des deux structures sont discrètement installés au Luxembourg.

Après la crise entre Washington et Londres lors de l’expédition de Suez, le Royaume-Uni qui était en train de perdre son Empire, décida d’entrer dans ce qui n’était pas encore l’Union européenne. Si Harold Macmillan échoua en 1958, Edward Heath y parvint en 1973. Mais l’équilibre des forces évoluant encore, le Royaume-Uni quitta l’Union européenne fin 2020, se tournant à nouveau vers son ancien Empire (« Global Britain »).

Tous les documents de l’Union européenne sont traduits dans chaque langue officielle des pays membres. Plus l’anglais qui en est devenu la langue officielle alors qu’il ne l’est plus d’aucun de ses membres. Ce n’est pas parce que les Britanniques en ont fait partie, mais parce que l’Union est sous la coupe de l’Otan ainsi que le précise l’article 42, paragraphe 7 du Traité sur l’Union européenne modifié par le Traité de Lisbonne (qui a remplacé par la force le Traité constitutionnel rejeté par les peuples).(([2] Art. 42 §7 : « Au cas où un État membre serait l’objet d’une agression armée sur son territoire, les autres États membres lui doivent aide et assistance par tous les moyens en leur pouvoir, conformément à l’article 51 de la charte des Nations unies. Cela n’affecte pas le caractère spécifique de la politique de sécurité et de défense de certains États membres.
Les engagements et la coopération dans ce domaine demeurent conformes aux engagements souscrits au sein de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord, qui reste, pour les États qui en sont membres, le fondement de leur défense collective et l’instance de sa mise en œuvre ».))

L’Allemagne, qui fut occupée par les quatre vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale jusqu’en 1990, c’est-à-dire après sa réunification, s’est toujours satisfaite de ne plus être une puissance militaire. Aujourd’hui encore, ses services secrets, réorganisés par les USA avec leur ancien personnel nazi, leur sont toujours tout dévoués, tandis que le Pentagone y dispose de très importantes bases militaires avec fiction d’exterritorialité.

La France, au contraire, rêve d’indépendance militaire. C’est pourquoi Charles De Gaulle, qui avait été le leader de la France Libre durant la Seconde Guerre mondiale, la fit quitter le commandement intégré de l’Otan, en 1966. Mais Nicolas Sarkozy, qui avait été élevé adolescent par le fils du créateur états-unien du réseau Stay-behind de l’Otan (« Gladio »), la réintégra en 2009. Aujourd’hui, les opérations extérieures de l’armée française sont donc, en pratique, commandées in fine par des officiers états-uniens.

Durant des années, l’Allemagne et la France prirent le leadership de ce qui est devenu l’Union européenne. François Mitterrand et Helmut Kohl imaginèrent de transformer le marché commun en un État supranational —toujours vassal des États-Unis— capable de rivaliser avec l’URSS et la Chine : l’Union européenne. Cette structure, à la quelle les États-Unis exigèrent que les anciens membres du Pacte de Varsovie adhérent en même temps qu’ils rejoignaient l’Otan, devint une bureaucratie colossale. Malgré les apparences, le Conseil des chefs d’État et de gouvernement n’est pas un super-gouvernement, mais une chambre d’enregistrement des décisions de l’Otan. Celles-ci sont élaborées par l’Alliance atlantique —toujours dominée par les États-Unis et le Royaume-Uni—, puis transmises à la Commission européenne, soumises au Parlement et en définitive ratifiées par le Conseil.

Il faut bien comprendre que l’Otan à vocation à se mêler de tout : de la composition du chocolat (il y a une barre de chocolat dans la ration du soldat) à la construction des ponts (ils doivent être utilisables par des blindés), en passant par les vaccins anti-Covid (la santé des civils conditionne celle des militaires) ou les virements bancaires (il faut surveiller les transactions ennemies).

Les armées britannique et française étaient les deux seules qui pesaient dans l’Union européenne. Elles se sont donc rapprochées avec les Traités de Lancaster House, en 2010. Mais lorsqu’intervint le Brexit, l’armée française se retrouva encore seule, comme l’atteste la résiliation des contrats franco-australiens de construction de sous-marins au profit de Londres. La seule option qui restait à la France était de se rapprocher de l’armée italienne, pourtant deux fois plus petite que la française. C’est ce qui vient d’être décidé avec le Traité du Quirinal (2021). Cette opération a été facilitée par l’idéologie commune d’Emmanuel Macron (ancien banquier chez Rothschild) et Mario Draghi (ancien banquier chez Goldman Sachs) et leur leadership commun sur la réponse politique à l’épidémie de Covid. Au passage, on remarquera l’invraisemblable jargon politiquement correct dans lequel ce document est rédigé, très loin des traditions latines.(([3] « Traité du Quirinal », Réseau Voltaire, 26 novembre 2021.))

Il se trouve que dans le même temps, la chancelière Angela Merkel cède sa place à Olaf Scholtz. Celui-ci n’a que faire, ni des questions militaires, ni des déficits budgétaires français et italiens. L’accord de coalition de son gouvernement(([4] Mehr Fortschritt wagen. Bündnis für Freiheit, Gerechtigkeit und Nachhaltigkeit, Sozialdemokratischen Partei Deutschlands (SPD), Bündnis 90 / Die Grünen und den Freien Demokraten (FDP), 2021.)) aligne la politique étrangère allemande en tous points sur celle des Anglo-Saxons (USA + Royaume-Uni).

Jusqu’alors les gouvernements d’Angela Merkel luttaient contre l’antisémitisme. Le gouvernement Scholz va plus loin en s’engageant à soutenir « toutes les initiatives qui promeuvent la vie juive et promeuvent sa diversité ». Il ne s’agit plus de protéger une minorité, mais de la promouvoir.

Concernant Israël, que le Royaume-Uni et les États-Unis ont créés dans une logique impériale,(([5] « Qui est l’ennemi ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 4 août 2014.)) le nouvel accord stipule également que « la sécurité d’Israël est un intérêt national » de l’Allemagne, et promet de bloquer « les tentatives antisémites de condamner Israël, y compris à l’ONU ». Il déclare que l’Allemagne continuera à soutenir la solution à deux États du conflit israélo-palestinien (c’est-à-dire qu’elle s’opposera au principe « un homme, une voix ») et se félicite de la normalisation des relations entre Israël et les pays arabes. Ce faisant, le gouvernement Scholz enterre la politique traditionnelle du SPD, dont le ministre des Affaires étrangères, Sigmar Gabriel (2013-18), qualifiait le régime israélien d’« apartheid ».

Olaf Schotz est un avocat préoccupé de faire fonctionner l’industrie de son pays sur la base d’un compromis entre les ouvriers et le patronat. Il n’a jamais trop été présent sur les questions internationales. Il a désigné la juriste verte Annalena Baerbock comme ministre des Affaires étrangères. Elle n’est pas seulement une partisane des énergies décarbonées, mais un agent d’influence de l’Otan. Elle soutient haut et fort le principe de l’adhésion de l’Ukraine à l’Otan et à l’Union européenne. Elle est opposée à la Russie et donc refuse le gazoduc Nord Stream 2 et encourage le projet de terminaux gaziers pour importer du gaz des États-Unis par méthaniers malgré le prix exorbitant de ces installations. Enfin elle qualifie la Chine de « rival systémique » et soutient tous ses séparatismes, taïwanais, tibétains et ouïghours.

Il est prévisible que les politiques de Berlin et de Paris vont donc lentement s’éloigner jusqu’à faire ressurgir le conflit qui opposa les deux pays, causant trois guerres de 1870 à 1945. Contrairement à la publicité, ainsi que je l’ai rappelé plus haut, l’Union européenne n’a pas été créée pour assurer la paix en Europe occidentale, mais pour stabiliser les populations dans le camps anglo-saxon durant la Guerre froide. Le conflit franco-allemand n’a jamais été résolu. L’Union européenne, bien loin de faire la paix, a posé un édredon sur le problème plutôt que de le régler. Durant les guerres de Yougoslavie, les deux pays se sont durement affrontés militairement : l’Allemagne soutenait la Croatie, tandis que la France soutenait la Serbie. Berlin et Paris s’entendaient dans les frontières de l’Union, mais se faisaient la guerre à l’extérieur. Les spécialistes des opérations spéciales savent qu’il y a eu des morts des deux côtés.

Les politiques étrangères qui fonctionnent sont celles qui traduisent l’identité de leur nation. Aujourd’hui, le Royaume-Uni et l’Allemagne poursuivent leur route, fiers de ce qu’ils sont, pas la France qui traverse une crise d’identité. Emmanuel Macron assurait au début de son mandat qu’« il n’y a pas de culture française ». Il a changé de discours depuis, sous la pression de son peuple ; de discours, mais pas de pensée. La France a des moyens, mais ne sait plus qui elle est. Elle poursuit la chimère d’une Union européenne indépendante rivalisant avec les États-Unis alors que les 26 autres membres n’en veulent pas. L’Allemagne commet cependant une erreur en s’abritant sous le parapluie nucléaire états-unien alors que cette grande puissance est entrée en décomposition.

Il est évident que nous venons d’enter dans la phase de dissolution de l’Union européenne. C’est une chance pour chacun de retrouver sa pleine indépendance, tant cette structure est sclérosée. Mais c’est aussi, et surtout, un défi qui peut vite tourner au drame. Les États-Unis s’effondrent sur eux-mêmes et bientôt l’Union européenne n’aura plus de suzerain. Ceux qui la composent devront se positionner chacun face aux autres. Il est extrêmement urgent de commencer à nous comprendre non plus comme de simples partenaires commerciaux, mais comme des partenaires en toutes choses. Ne pas le faire conduira inévitablement à la catastrophe, à la guerre généralisée.

Chacun a pu constater que tous les membres de l’Union européenne —sauf les Anglais, mais ils sont partis— partagent des éléments culturels communs. Ces éléments sont aussi ceux de la Russie qui est plus proche de l’Union que ne l’est le Royaume-Uni. Il est désormais possible de reconstruire l’Europe comme un réseau d’États et non plus comme une bureaucratie centralisée, en s’ouvrant à ceux qui étaient artificiellement séparés par les Anglo-Saxons pour assurer leur domination sur le continent durant toute la Guerre froide. C’est ce dont parlait Charles De Gaulle lorsque, s’opposant à Winston Churchill, il déclarait vouloir l’« Europe de Brest à Vladivostok ».





Louis Fouché : « Il faut rester ouvert et en lien avec le monde »

[Source : francesoir.fr]

Marseille, épisode 5 – Il est toujours difficile de débriefer un entretien avec Louis Fouché. Cultivé et passionné, l’anesthésiste-réanimateur passe d’une idée à l’autre, dresse des ponts là où on ne les attend pas, enchaîne propositions et contre-propositions. Faire une synthèse de son propos s’avère délicat, tant il semble que chaque phrase revêt une importance cruciale.

Il faut dire que cette révolte qu’il ne cesse d’exprimer depuis un an et demi bouillonnait en lui depuis longtemps. Coincé dans le confort de sa vie de « médecin nanti », il a fallu que la crise sanitaire, qu’il perçoit comme une chance, « vienne secouer le cocotier » pour le faire descendre dans l’arène de la vie publique.

La technique et ses conséquences sur la société est l’un des grands champs de la réflexion du leader – il préfère « diplomate », l’organisation ne se voulant pas pyramidale – du collectif Reinfo Covid. À ses yeux, le problème réside dans le fait qu’elle progresse aujourd’hui à un rythme trop élevé « pour pouvoir être régulée par le corps social ». Conséquence : « Celui qui est le tenant de la technique va toujours prendre le pouvoir sur le groupe social. Pour le dire plus simplement : aujourd’hui, ce n’est pas vous qui décidez si votre fille de 12 ans a un IPhone dans la poche. C’est Google, c’est Amazon, c’est Microsoft, c’est Facebook, mais ce n’est pas vous. »

Alors, anti-progrès le Dr Fouché ? Non, bien entendu. Mais à condition d’être en mesure à chaque fois de bien peser le pour et le contre des implications d’une avancée technologique. « Si vous faites le compte des bénéfices-risques des systèmes numériques tels qu’ils sont conçus aujourd’hui, je crois qu’il faudrait les brider, les calmer et dire non à certains moments. »

Paradoxalement, c’est pourtant grâce à ces mêmes outils numériques qu’une partie de la population est en train de se réapproprier certains pans de sa vie. On le voit par exemple dans le domaine de la santé, où la diffusion des savoirs conduit désormais certains à reprendre en main leur alimentation ou la façon de prévenir les maladies. Autre exemple prosaïque donné par le médecin : les tutoriels disponibles sur YouTube permettent à des gens de refaire une partie de leur maison « à leur sauce, et non à celle de Leroy Merlin ».

« Entre être heureux et avoir raison, je préfère être heureux »

Rompre avec la société, rejoindre un groupe alternatif, comporte un risque de dérive sectaire. Une critique qui a souvent été formulée à l’égard de ceux qu’on catalogue comme « dissident », « résistant » ou encore « complotiste ». C’est un écueil dont a conscience Louis Fouché. « A Reinfo Covid, il y a cette idée qu’il faut rester ouvert et en lien avec le monde. » Apôtre de la non-violence, il déplore que les débats passionnés autour de la gestion de la crise sanitaire, et plus largement du rapport au monde tel qu’il est, conduisent familles et amis à se déchirer. « À mon avis, cela n’a pas de sens. […] Entre être heureux et avoir raison, je préfère être heureux. En revanche, il faut bien sûr ne pas oublier ce qui est important et conserver ses valeurs. »

À propos du système de santé, celui qui a été poussé à se mettre en disponibilité de son poste à l’AP-HM (anesthésiste-réanimateur à l’hôpital de la Conception, à Marseille) dit avoir été très marqué par une conférence à laquelle il a assisté en 2014 au Collège de France. Il était question de l’évaluation en santé. « L’ambition actuelle, c’est de parvenir à un système où tout serait standardisé, et où les médecins, les infirmiers, les aides-soignants, ceux qui font le ménage se contenteraient d’appliquer des protocoles préconçus par « ceux qui savent penser ».

« Je ne crois pas que la manifestation soit quelque chose d’utile »

Symbole de cette doxa :  la Convention on Health Analysis and Management (CHAM), qui réunit chaque année à Chamonix les ministres de la Santé, des Finances, les patrons de grands fonds d’investissement, des Gafam, « et quelques chefs de services ronflants d’hôpitaux parisiens ». Le rêve de ces gens-là : « une santé qui ne serait que le fruit d’algorithmes ». « C’est déjà l’idée qu’on essaye de faire passer aux étudiants en médecine actuels. […] Mais c’est un leurre complet. Parce que ce qui soigne au fond, c’est l’humain et c’est la relation [entre le médecin et son patient]. »

Comment faire face à ce système ? Et d’une manière générale, comment s’opposer au néolibéralisme, désigné par Louis Fouché comme « l’ennemi » ? Cela en décevra certains, mais l’anesthésiste est sceptique quant au pouvoir de la rue. « Je ne crois pas que la manifestation soit quelque chose d’utile. […] Quand ils veulent, [les gouvernants] peuvent envoyer les blacks blocs afin de vous faire passer pour des gens violents. Quand ils veulent, ils peuvent faire dire aux médias que vous étiez 300 alors que vous étiez 3 000. »

Il appelle plutôt les opposants au système à recréer du lien, à monter des systèmes parallèles. « Il n’y a pas besoin de tout lâcher. Par exemple : pour organiser une bibliothèque collective destinée à ceux qui n’ont plus le droit d’entre dans une bibliothèque municipale, et ainsi leur permettre d’accéder à nouveau à des livres et du savoir, vous n’avez rien besoin d’abandonner. » Cela suffira-t-il ? On ne demande qu’à y croire.

Un « Entretien essentiel » dans lequel Louis Fouché nous parle de son livre « Tous résistants dans l’âme – Éclairons le monde de demain ! », (éditions Guy Trédaniel)… et de bien d’autres choses encore.

Auteur(s): FranceSoir




Injection génique chez les enfants : aberration inutile et dangereuse. MàJ

Par Nicole Delépine

[Mise à jour : vidéo en fin d’article].

Mais payée jusqu’à deux millions de dollars pour ceux qui en font la propagande !

Jusqu’où iront-ils et jusqu’à quand les parents laisseront-ils faire cette folie criminelle ?

« Une éventuelle campagne de vaccination des plus jeunes en France ne débuterait pas avant la fin de l’année au plus tôt, a indiqué Olivier Véran »,

écrit Le Parisien, le 11 novembre 2021.

AU SECOURS HIPPOCRATE ! 

On a appris il y a quelques jours que l’EMA autorisait l’injection expérimentale du Pfizer aux enfants de 5 à 11 ans. Tristesse, désespoir, colère. Pourquoi attaquer ces petits déjà meurtris par les mesures restrictives de leur liberté depuis deux ans ou presque dont le port du masque, sans intérêt contre la transmission,(([1] Comme l’ont démontré entre autres l’essai randomisé danois Danmasq19 et la Suède qui a laissé ses enfants aller sans masque à l’école et n’a constaté aucune propagation du virus en milieu scolaire.)) mais toxique avec risques médicaux, psychologiques et surtout sociaux ? Des enfants de 6 ans dessinent des visages sans bouche ni nez. Imaginez-vous que ce sera sans séquelles à vie ?

« Le vaccin de Pfizer contre le Covid-19 a été approuvé pour les enfants de 5 à 11 ans par le régulateur européen du médicament », a annoncé le 25 novembre 2021 cette agence, ouvrant la voie à une vaccination au sein de ce groupe d’âge dans l’Union européenne.

Un groupe d’experts « a recommandé d’approuver une extension de l’application du vaccin contre le Covid-19 Comirnaty pour inclure son usage chez les enfants de 5 à 11 ans », a expliqué l’Agence européenne des médicaments (EMA). Ce vaccin à ARN messager est déjà autorisé pour les enfants de plus de 12 ans dans les 27 pays de l’UE.(([2] https://video.lefigaro.fr/figaro/video/Covid-19-lautriche-commence-a-vacciner-les-enfants-de-plus-de-cinq-ans))

Hors du continent européen, le vaccin de Pfizer a déjà été approuvé pour les enfants de 5 à 11 ans dans un petit nombre de pays, parmi lesquels les États-Unis, Israël(([3] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/14/Covid-19-israel-autorise-la-vaccination-des-enfants-de-5-a-11-ans_6102053_3244.html/)) et le Canada. Les enfants de 5 à 11 ans recevront un tiers de la dose utilisée pour les personnes plus âgées, en deux injections espacées de trois semaines, a expliqué le régulateur européen.

Le vaccin a démontré une efficacité de 90,7 %,(([4] En réalité seulement 1517 enfants ont reçu l’injection, l’efficacité n’a pas été jugée sur des critères pertinents (nombre de maladies symptomatiques et d’évolutions sévères), mais seulement sur le taux des anticorps (dont on ne connaît mal le rôle précis dans cette maladie nouvelle) et le suivi médian ne dépasse pas 2,3 mois, totalement insuffisant pour évaluer les effets secondaires.)) lors d’un essai réalisé sur 2 000 jeunes enfants suivis de cette classe d’âge a-t-il ajouté. Les effets secondaires ont été jugés « légers ou modérés ».(([5] Le nombre des enfants injectés et leur suivi médian ne dépassant pas 2,3 mois sont totalement insuffisants pour évaluer les complications à moyen et plus long terme ; en particulier aucune péricardite n’a été signalée alors qu’il s’agit d’une complication reconnue de ce pseudo vaccin à cet âge.)) Ils peuvent durer quelques jours et peuvent se manifester sous la forme d’une douleur localisée à l’endroit de l’injection, d’une fatigue, de maux de tête, de douleurs musculaires ou d’un rhume.

Selon le communiqué, le régulateur « a donc conclu que les bénéfices du Comirnaty chez les enfants de 5 à 11 ans dépassent les risques, particulièrement chez ceux qui présentent des comorbidités augmentant le risque de contracter une forme grave du Covid-19 ».

La propagande récente de l’Institut Pasteur

Pour promouvoir la vaccination chez les enfants qui n’ont absolument aucun bénéfice à en espérer, tous les médias montent en épingle un détail d’une étude de l’institut pasteur selon laquelle les personnes de plus de 40 ans vivant avec des enfants seraient plus exposées à la contamination.(([6] BFM TV Covid-19 : les personnes vivant avec des enfants sont plus exposées à la contamination 26/11/2021))

Il faut préciser que les auteurs de cet article(([7] Rebecca Grant Impact of SARS-CoV-2 Delta variant on incubation, transmission settings and vaccine effectiveness: Results from a nationwide case-control study in France The Lancet Regional Health – Europe 2021;00:100278)) sont majoritairement salariés par les promoteurs et/ou responsables des vaccinations.(([8] Institut Pasteur, Research & Action Emerging Infectious Diseases (REACTing), ANRS | Maladies Infectieuses Emergentes, Fondation de France (Alliance « Tous unis contre le virus »), Caisse Nationale d’Assurance Maladie, Paris, France…)) Que le but déclaré du travail est de préciser l’impact du variant delta sur l’efficacité des pseudo vaccins actuels. Qu’il ne s’agit absolument pas d’une enquête épidémiologique, mais une simple étude « cas control » dont tous les scientifiques admettent la très faible valeur probante du fait de l’incertitude de la réelle représentativité du groupe dit «control » construit a posteriori. De plus, le nombre de sous-groupes testés n’est pas précisé et tout le monde sait qu’au risque 5 % un test sur vingt est positif, même en l’absence de tout lien causal.

De plus, cet article de circonstances contredirait les conclusions de l’enquête épidémiologique de ce même Institut Pasteur sur les écoles de Creil et de plus d’une vingtaine d’articles internationaux prouvant que « les enfants sont innocents du Covid ».(([9] https://docteur.nicoledelepine.fr/il-faut-stopper-la-pub-a-la-vaccination-chez-lenfant-innocent-du-sars-cov-2/))

Vacciner les enfants, une absurdité dramatique contre ce rhume des fous(([10] Vacciner les enfants, une absurdité dramatique contre le rhume des fous (20+) Facebook ReinfoCovid Quebec))

Des appels à la raison émanent de partout dans le silence et la soumission des peuples dont les 20 à 30 % réveillés n’arrivent pas à ouvrir les yeux de trop de concitoyens travaillés au corps par les politiques et la propagande écrasante des médias aux ordres.

De plus en plus de personnes même médiatiques prennent conscience de la vaste manipulation, mais encore insuffisamment nombreux. Poursuivons l’information, l’exposé des faits avérés et sauvons des vies, comme disait Pascal Praud quand il croyait aux prétendus vaxx…

Combien de victimes faudra-t-il avant ce réveil salutaire ?

Nous ne pouvons que confirmer ce que tous les articles les pédiatres honnêtes expliquent depuis avril mai 2020 :

Les enfants non malades (sans comorbidité = sans cancer ni immunodépression) ne risquent rien du SARS-CoV-2(([11] Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) même dans ses formes initiales plus virulentes, les mutants actuels dont l’Omicron étant de moins en moins dangereux, bien que plus contagieux : une tempête dans une tasse de thé selon les Sud-Africains.

Les enfants porteurs du rhume Covid ne contaminent ni les enfants ni les adultes et aucun bénéfice collectif n’est à attendre de cette injection chez les petits. DONC PAS DE BÉNÉFICE NI INDIVIDUEL NI COLLECTIF.

L’INJECTION, UN RISQUE NON NÉGLIGEABLE ET INUTILE

Comment convaincre les parents de refuser cette injection chez les petits ?

Une nouvelle fois, rappeler l’état des lieux des effets dits indésirables avec les données récentes et les diffuser au maximum. Lecteurs, aidez-nous, aidez les petits et informez vos proches.

Ce risque est bien réel, car plus les sujets sont jeunes, plus leur système immunitaire est réactif, donc plus les enfants sont à risque de complications liées à la déferlante immunitaire.

C’est ainsi que les immunologistes expliquent que les jeunes présentent beaucoup plus de complications en tous cas précoces, des injections que les sujets âgés dont l’immunité est peu réactive. Et plus on est jeune, plus on est à risque : ainsi les sujets de moins de trente ans font des myocardites post vax, mais les 15 -18 ans plus que les 20 –30 ans et moins que les 11 – 15. Tout est à craindre chez les plus petits.

Les graphiques suivants montrent la parfaite concordance entre le nombre d’injections et la fréquence des myocardites et démontrent ainsi l’effet dose.

Vaccinations des enfants de 10 à 14 ans et mortalité toutes causes confondues en Angleterre — données officielles

Comparée à la moyenne de la mortalité toutes causes confondues de ces enfants pour les 5 dernières années : augmentation de + 44 %

Pour le Virologue J-M Claverie : La « vaccination » des enfants est une erreur grave(([12] https://planetes360.fr/video-virologue-j-m-claverie-la-vaccination-des-enfants-est-une-erreur-grave/))

La maladie des enfants est complètement bénigne. Ce rhume n’est pas dangereux, on devrait laisser les enfants faire leur petite maladie dans leur coin et pour acquérir l’immunité naturelle contre tous les ingrédients du virus et pas seulement une seule protéine. De plus la durée des tests a été très insuffisante : suivi 57 jours !

LES FORMES GRAVES CHEZ LES ENFANTS SONT UN MYTHE

Même la société française de pédiatrie le reconnaît :

voici sa mise au point le 30 septembre 2021 : FORMES GRAVES DE Covid CHEZ L’ENFANT : QU’EN EST-IL VRAIMENT ?

En août 2021, des données venant des USA et concernant un nombre important de décès des enfants et adolescents ont inquiété quant à la possibilité d’une plus forte virulence chez l’enfant. Cependant, ces données sont à moduler par les données globales aux États-Unis (https://www.aap.org/en/pages/2019-novel-coronavirus-Covid-19-infections/children-and-Covid-19-state-level-data-report/) qui font état d’un taux de létalité de 0,00 %-0,03 % (pourcentage de décès parmi les enfants atteints de Covid).

Les données françaises sont également très rassurantes ET CONFIRMENT TOUTES LES ANALYSES PRÉCÉDENTES : LES ENFANTS BIEN PORTANTS NE RISQUENT RIEN DU Covid

(https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/donnees-hospitalieres-relatives-a-lepidemie-de-Covid-19/)

La mortalité hospitalière cumulée au 18 août 2021 depuis le début de l’épidémie est de 11 cas pour les 10-19ans et 6 pour les moins de 10ans soit 0,02 % de la mortalité hospitalière cumulée rapportée au 18 aout 2021 par Sante Publique France (17 / 86 451) alors que les enfants et jeunes de moins de 20 ans représentent plus de 23,9 % de la population.(([13] (source https://fr.statista.com/statistiques/472349/repartition-population-groupe-dage-france/))

Ces données sont illustrées par les graphiques visibles sur le PDF de santé France,(([14] Ce document PDF [téléchargé automatiquement] : Évolution des indicateurs épidémiques chez les 5-11 ans et comparaison avec les 12-17 ans. Au 31 octobre, semaine 43. Le point sur. 10 novembre 2021. Saint-Maurice : Santé publique France, 4 p. Directrice de publication : Pr Geneviève Chêne. Dépôt légal : 10 novembre 2021)) représentant le nombre d’enfants hospitalisés en soins critiques (moins de 10 ans et 10-19 ans), ainsi que la proportion de moins de 20 ans parmi les hospitalisations en soins critiques et le nombre d’hospitalisations en soins critiques tous âges confondus (données quotidiennes)

Chiffres officiels concernant les décès et hospitalisations des enfants de 5 à 11 ans dus au Covid-19 ?(([15] Analyse du Pr La Scola de l’IHU de Marseille Copyright © Prof. Bernard La Scola et Candice Vacle, Mondialisation.ca, 2021))

Point épidémique de Santé Publique France sur la « situation SARS-CoV-2 depuis le début de l’épidémie chez les 5-11 ans et les 12-17 ans » datant du 31 octobre 2021 :

« Très rares décès d’enfants pour lesquels le lien avec le SARS-COV-2 est possible ou établi (respectivement 3 et 12 chez les 5-11 ans et 12-17 ans). Très grande majorité de ces décès chez des enfants présentant des pathologies chroniques.(([16] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/enquetes-etudes/evolution-des-indicateurs-epidemiques-chez-les-5-11-ans-et-comparaison-avec-les-12-17-ans.-point-au-31-octobre-2021))»

Selon cette source officielle, en 1 an et 8 mois de crise Covid-19, il y a eu 3 décès dus au Covid-19 chez les enfants de 5 à 11 ans ; et 12 chez les enfants de 12 à 17 ans et tous ces enfants avaient une fragilité puisqu’ils avaient des pathologies chroniques.

Santé Publique France écrit aussi pour toute la période de la crise du Covid-19 :

« Les hospitalisations chez les enfants âgés de 5-11 ans et de 12-17 ans représentent respectivement 0,3 % et 0,5 % de l’ensemble des hospitalisations, sans différence entre 2020 et 2021. »

Donc, sur 1000 personnes hospitalisées ayant le Covid-19, il y a en moyenne 3 enfants de 5 à 11 ans et 5 de 12 à 17 ans. Cette situation est stable.

Les enfants hospitalisés du Covid-19 ne sont pas des enfants en bonne santé

Professeur Bernard La Scola a précisé :

« Il en est des enfants comme des adultes de moins de 50 ans en moyenne. Ceux qui sont hospitalisés sont des personnes atteintes de pathologies chroniques — notamment immunosuppression — souvent liées à un cancer, ou une obésité morbide. »(([17] Mail du 16 novembre 2021 le pr la Scola))

Les chiffres ci-dessus de Santé Publique France peuvent-ils justifier une vaccination des 5-11 ans et des 12-17 ans ?

Réponses recueillies auprès du Pr La Scola(([18] Prof. Bernard La Scola et Candice Vacle, Mondialisation.ca, 2021))

Pr La Scola :

« Ça n’a jamais été ces chiffres qui ont justifié la vaccination des enfants, mais une éventuelle limitation de la transmission virale. »

Dans l’état actuel des connaissances est-il prouvé que la vaccination des enfants limite la transmission et la circulation du virus Sars-CoV-2 ?

Pr La Scola :

« Non, pas plus que celles des adultes d’ailleurs. Les pays les plus vaccinés et le plus tôt comme UK [Royaume-Uni] et Israël ont eu des taux d’incidence parmi les plus élevés au monde avec la propagation du variant delta. C’est bien l’évidence que la vaccination de masse ne protège pas la circulation du virus. »

La vaccination contre le Covid-19 représente-t-elle un/des risque(s) pour les enfants ? Si oui le ou lesquels ? Et avez-vous des preuves concernant ces risques ?

Le Pr explique qu’on n’a pas de démonstration des risques faute d’essai clinique sérieux et prolongé. En d’autres termes si nous les laissons faire vos enfants seront des cobayes purement et simplement.

« Les autorités se basent sur les résultats d’une étude faite sur un peu plus de 2000 enfants dont la moitié ont reçu le vaccin (10.1056/NEJMoa2116298) »(([19] https://www.nejm.org/doi/pdf/10.1056/NEJMoa2116298?articleTools=true))

« On n’a pas détecté d’effets secondaires graves. Mais en testant 1000 enfants, on ne détectera jamais que les effets secondaires fréquents à une fréquence inférieure à 1/1000. Orles effets qu’on a vus chez les adultes jeunes (thromboses, myocardites) ont une fréquence bien inférieure. En clair, on ne peut pas détecter ces effets secondaires rares. »

« On ne les détectera qu’en faisant les apprentis sorciers, en faisant une vaccination de masse des enfants et en reproduisant ce qui a été fait avec les adultes jeunes. Je trouve toujours aussi scandaleux qu’on puisse continuer à vacciner des jeunes sans aucun facteur de risque avec les risques de thrombose et de myocardite que ça représente »

« Ce qui me gêne le plus depuis le début c’est le risque à très long terme d’une technologie non éprouvée justement sur ce long terme (vaccination ARN). Il ne se passera peut-être rien et il faut l’espérer, mais si ces vaccins sont responsables de pathologies cancéreuses ou dégénératives d’ici 15-20 ans, comment justifiera-t-on auprès des jeunes de les avoir vaccinés alors que c’était inutile ? »

Pour les 0 à 19 ans, le risque de soins critiques est de 2 pour 4962 contaminés non vaccinés (soit 0,05 %) et de 2 pour 1279 contaminés vaccinés (soit 0,16 %). LE RISQUE EST DONC TROIS FOIS SUPÉRIEUR POUR UN JEUNE VACCINÉ. Compte tenu des effets secondaires, la balance bénéfice/risque est totalement défavorable à la vaccination, car la probabilité des seules myocardies est supérieure.(([20] Ils tentent de vous faire croire que leurs injections protègent des formes graves, c’est bidon ! Nous avons besoin de traitements précoces et des vrais scientifiques qu’ils censurent ! | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) ))

Les jeunes 12-17 ans représentent 15 % des déclarations depuis le début dans les 8 derniers jours (120/780)

La proportion des déclarations des jeunes est de 22 % des déclarations de myocardites tous âges ces 8 derniers jours. Ce pour juste une tranche d’âge de 6 années.

Ajouter 269 péricardites, dont 29 ces 8 derniers jours.

Total 12-17 ans : myocardites + péricardites = 1049 dont 149 du 19 au 26 novembre.

Exemple de rapport(([21] marco nius @NiusMarco))

Aux USA les données du VAERS sont cruelles

VACCINATION DES 12-17 ans

L’effroyable remontée de pharmacovigilance du VAERS (ministère de la Santé US)

EN 4 MOIS :

  • 24 DÉCÈS
  • 86 CÉCITÉS
  • 444 MYOCARDITES
  • 1159 HOSPITALISATIONS

Toujours garder à l’esprit que seulement 10 % de la réalité est remontée

ET LES MODÉLISATIONS SUR LES VAX DES ENFANTS, INVRAISEMBLABLE PROPAGANDE

Données Pfizer/FDA, par million de 5-11 ans doubles doses. En résumé : Ils vont filer 106 myocardites à des enfants en bonne santé à risque zéro pour éviter 200 hospitalisations à des enfants malades. 22

LA CORRUPTION DES EXPERTS CACHÉE PAR LES MÉDIAS PERMET CETTE ABOMINATION

ENFIN SE DEMANDER CE QUI MOTIVE CERTAINS MÉDECINS À ENVOYER LES ENFANTS JOUER A LA ROULETTE RUSSE. Croyance ? Crédulité ? Liens d’intérêts ? Corruption ?

Déjà une interrogation : Le Pr Alain Fischer , Mr Vaccin est président de la fondation Rothschild(([23] http://www.fedr.ibpc.fr/fr/la-fondation-edmond-de-rothschild-85.htm. Leurs missions :
https://www.edmondderothschildfoundations.org/nos-missions/sante/default.aspx#SubSection)) promoteur des vaccinations. Est-ce que ce lien n’aurait pas dû l’exclure de cette fonction de conseiller ?

Pas facile de savoir exactement les motivations, mais pour certains elles sont claires. Les exploits de l’urologue Gilbert Deray (néphrologue cumulant 171 déclarations pour plus de 160 000 €)(([24] D’après Covidinfos.net)) deviennent bien connus comme ceux de Karine Lacombe (247 861€) qui prétendait que les vaccins étaient efficaces à 100 % et veut nous faire porter le masque ad vitam aeternam.

« Vacciner » des enfants à risque ZÉRO par une injection génique expérimentale dangereuse qui ne protège ni les vaccinés ni leurs contacts des contaminations n’a pas de sens médical, d’autant que leurs effets à long terme sont complètement inconnus.

Aucune justification en dehors de la corruption, de la propagande à la Goebbels et de la soumission des peuples à la pression quotidienne, répétée depuis 18 mois. La stratégie de la peur même avec un variant du nom omicron que l’on sait déjà n’être une tempête dans une tasse de thé.

Un expert canadien, Jim Kellner, qui fait la promotion de la vaccination des enfants vient d’être sacré champion mondial de la corruption Covid avec 2 millions de dollars reçus de Pfizer. Citons quelques articles canadiens(([25] Par Aguellid 3 novembre 2021 2 millions de dollars versés par Pfizer à un médecin qui fait la promotion de la vaccination des enfants — Bing News))(([26] Cosmin Dzsurdzsa Québec Nouvelles Info 1er novembre 2021))(([27] Tags : Alberta corruption Dr Jim Kellner pédiatre et professeur à l’Université de CalgaryPfizer PharmaceuticalsPromotion de la vaccination des enfants.)):

«Tout est logique, simple, limpide : c’est celui qui paie qui écrit la musique. Les médias sont conscients et complices de cette folie, ils devront le payer face à la justice. Comme par hasard, les chaînes d’info ont le numéro de téléphone de la crapule la plus corrompue de l’état ! »

Il est super content le monsieur… et souriant…

Plusieurs des plus grandes entreprises médiatiques du Canada n’ont pas révélé qu’un éminent professeur de pédiatrie de l’Alberta avait reçu près de 2 millions de dollars de Pfizer Pharmaceuticals pour promouvoir la vaccination des enfants de 5 à 11 ans.

Le Dr Jim Kellner, pédiatre et professeur à l’Université de Calgary, a été cité comme une autorité dans des dizaines d’articles publiés par CTV News, CBC, Global News, le Toronto Star et le Globe and Mail sur la vaccination des enfants et d’autres questions liées aux pandémies.

Depuis 2014, les recherches de Kellner ont reçu 1 940 443 $ de Pfizer Pharmaceuticals pour diverses études sur les vaccins, la subvention la plus récente de 787 004 $ étant allouée jusqu’à l’année 2022.

Le financement de la recherche de Kellner n’a pas été divulgué par les médias susmentionnés dans de nombreux articles remontant à 2020, bien qu’il soit indiqué publiquement dans son CV, qui est publié sur le site Web de l’université de Calgary.

(…) Dans les articles où M. Kellner est cité, il est tour à tour qualifié de « professeur et chercheur » , de « pédiatre », de « spécialiste des maladies infectieuses à l’Alberta Children’s Hospital », d’ »expert en maladies infectieuses », de « membre du groupe de travail fédéral sur l’immunité Covid-19 » et d’autres variantes. Kellner est également employé par les services de santé de l’Alberta.

Un article publié par CBC News ce 24 novembre, intitulé » Wondering about vaccinating younger kids against Covid-19? Alberta experts weigh in”, cite Kellner sur le sujet de l’administration du vaccin Pfizer aux enfants, sans faire référence à son financement.

« De mon point de vue, l’analyse des risques et des avantages montre qu’il y a un avantage certain à administrer le vaccin pour prévenir l’infection et les conséquences graves du Covid-19 », aurait déclaré M. Kellner.

Dans un autre article publié en avril par le radiodiffuseur public, M. Kellner encourage l’élargissement des groupes de personnes admissibles au vaccin Covid « en particulier en fonction de l’âge » et aurait déclaré que « la vaccination est la première chose qui peut faire la différence ».

Selon les résultats de recherche de la CBC, le nom de Kellner apparaît plus de 41 fois et apparaît dans de nombreuses vidéos et articles sur le thème de la vaccination, sans aucune indication sur les sommes qu’il a reçues du fabricant de vaccins Pfizer.

Les données du gouvernement du Canada montrent que le vaccin Pfizer-BioNTech (Cormirnaty) est le vaccin le plus utilisé au Canada, plus de 14 millions de Canadiens ayant reçu au moins une dose du produit.

Dans un article publié en juin par le Globe and Mail, Kellner remet en question la protection offerte par l’immunité naturelle.

« Nous encourageons les personnes qui ont eu le Covid à se faire vacciner, et il est recommandé de le faire. On pourrait même dire que les personnes qui ont eu le Covid sont plus susceptibles de se faire vacciner, ayant vécu cette expérience », a déclaré M. Kellner au Globe and Mail. Le journal a cité Kellner comme une autorité au moins sept fois.

Quant au Toronto Star, Kellner apparaît en tant qu’expert dans au moins 11 articles, dont beaucoup encouragent la vaccination des enfants, et ce sans divulguer son financement. Dans le dernier article publié le 18 octobre 2021, Kellner discute des essais de vaccins Pfizer sur des enfants et est cité aux côtés du PDG de Pfizer, Albert Bourla.

De même, Global News cite Kellner à de nombreuses reprises, y compris dans des interviews, à propos de ses recherches sur le Covid-19 et les enfants, sans révéler les près de 2 millions de dollars qu’il reçoit de Pfizer.

Quant à CTV News, Kellner fait plusieurs apparitions à la une en tant que pédiatre, notamment dans un article daté du 20 octobre 2020.

Comme l’a rapporté en exclusivité True North au début du mois, le Globe and Mail et le Toronto Star n’ont pas non plus divulgué le financement par AstraZeneca de l’éminent professeur et auteur d’articles d’opinion Mark Lautens.

En comparaison la cote des experts français paraît bien plus faible (8 fois moins pour la championne française d’Euros for docs).

Contrairement à ce qu’on croit généralement la cause principale de la chute de l’Empire romain n’est pas la puissance brute des barbares, mais la corruption généralisée du bas empire qui l’a vidé de ses moyens de défense.(([28] Max Gallo La Chute de l’Empire romain Paru le 15 septembre 2016.))

En France la corruption paraît déjà avoir décrédibilisé les experts scientifiques et la parole des représentants de l’état. Au-delà de la santé des enfants, elle menace les fondements de notre démocratie ; comme l’avaient déjà expérimenté les citoyens d’Athènes(([29] Paul Demont, « Le tirage au sort dans la démocratie de l’Athènes classique », Silomag, n° 10, déc. 2019. URL :
https://silogora.org/le-tirage-au-sort-dans-la-democratie-de-lathenes-classique/)) et de certaines cités italiennes du Moyen âge qui ont recouru au tirage au sort de leurs représentants pour la limiter.








Et la dictature créa le PCR pour nous soumettre…

Par Alain Tortosa

De la multiplication d’un RIEN pour en faire un TOUT !
Des preuves supplémentaires du mensonge et de la fausse pandémie…

Je me bornerai aujourd’hui à ne parler que de la France quand bien même gouvernement et médias ne se privent pas de nous parler de la « catastrophe » européenne pour crédibiliser leurs nombreux mensonges. Et ce en prenant systématiquement soin de ne pas évoquer les pays qui ne confinent pas, ne vaccinent pas ou peu, qui traitent leurs malades et qui ont des résultats remarquables. Partant du principe acquis que « tous les pays qui font mieux ne sont pas comparables à la France et que seuls les pays qui ont de moins bons résultats sont fiables en termes de comparaison ».

Donc nous voici dans cette fameuse « 5e vague » tout aussi extraordinaire que les précédentes… une épidémie de « cas » comme il se doit.

Et un « cas », c’est quoi ?
C’est une personne asymptomatique, c’est-à-dire sans le moindre symptôme — fièvre, douleur, toux, etc. — qui est positive à un test PCR pratiqué au fond de votre nez !

Qu’est-ce qu’un test PCR ?
C’est une méthode inventée uniquement à des fins de recherches et non à visée diagnostique. Le principe revient à amplifier, augmenter la quantité de virus dans un échantillon par un certain nombre de cycles… Plus on fait de cycles et plus on peut trouver… n’importe quoi comme des virus « morts » ou des fragments de virus qui seraient des « restes » d’une ancienne infection. Le test est à ce point « impressionnant » que durant la première vague des bananes et du Coca-cola étaient positifs ainsi que des écouvillons vierges…

Et pourquoi pratique-t-on un prélèvement aux tréfonds de votre nez ? Parce que la probabilité de trouver des traces de virus est plus grande que dans votre salive…

De façon pragmatique, il faudra m’expliquer comment une personne en bonne santé sans le moindre symptôme, qui ne crache pas et ne tousse pas, et dont il n’est possible de détecter (par une méthode douteuse) un virus uniquement dans le fond de sa gorge, mais pas dans sa salive et dont la charge virale ne pourra qu’être faible, pourrait contaminer qui que ce soit ?
Et ce alors même que c’est un virus qui se transmet par les voies aériennes… il faut bien qu’il sorte de vous pour contaminer votre voisin ou tuer papi mamie !

D’autre part, les tests n’étant pas effectués sur 100 % des français et uniquement une infime partie… ces Français asymptomatiques et non testés sont donc non isolés et donc des « propagateurs officiels de virus ». De fait si tout ceci n’était pas une vaste escroquerie, le taux d’incidence de malades des semaines suivantes devrait suivre de près la courbe des positifs asymptomatiques des semaines précédentes. Bien entendu, ce n’est pas le cas comme nous pouvons le voir sur le tableau suivant.

Analysons les données…

Pour celles et ceux qui l’ignorent, le réseau Sentinelles(([1] https://www.sentiweb.fr)) comporte un ensemble de médecins de ville répartis sur toute la France qui fournissent chaque semaine une image de leur activité. Il est associé à d’autres réseaux dont Grippenet comportant un ensemble de Français (peut-être pas représentatif, mais reproductif) qui font remonter leur état de santé. Ces réseaux conjugués au réseau des hospitalisations permettent de détecter et suivre les épidémies en France.

En janvier 2018 par exemple, Sentinelles indiquait qu’il y avait épidémie de grippe en France dès lors que l’on dépassait les 179 cas (personnes symptomatiques) pour 100 000 habitants.

Notons que jusqu’à présent et pour la grippe il n’a jamais été question de tester massivement des personnes asymptomatiques et de les isoler pour gérer l’épidémie qui présente tous les ans sa courbe d’évolution en forme de cloche. Mais tout ceci a volé en éclat avec le Covid où le chef d’orchestre n’est plus Sentinelles, mais Santé Publique France avec ses positifs PCR, son taux d’incidence de positifs et son fameux R0 magique !

Tableau de données réseau Sentinelles, Grippenet et Santé Publique France.(([2] https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&i=sp_pe_std_heb.tx_std&s=2021-S46&t=a01&view=map2))

Sur le tableau, j’ai reproduit le taux d’incidence du pic épidémique de symptômes grippaux des saisons 2016-17, 2017-18 et 2018-19. Nous voyons que celui-ci a oscillé entre 437 et 527 cas pour 100 000 habitants. Le pourcentage de virus de la grippe type A ou B dans les prélèvements était entre 65 % et 79 %, le solde étant d’autres virus respiratoires. À noter qu’au pic épidémique de ces saisons grippales, 5 % des Français du panel Grippenet déclaraient avoir eu des symptômes dans la semaine et qu’entre 2 et 8 % s’étaient rendus aux urgence sans passer par un médecin.

À ma grande surprise et contrairement au mensonge véhiculé par la propagande, l’hiver 2019-2020 a eu sa grippe. Certes un peu moins en termes de pic de taux d’incidence, 324 pour 100 000 habitants, mais comparable en termes de personnes touchées. Le pic a eu lieu en février et aussi bien le taux d’incidence que le pourcentage de virus de grippe dans les prélèvements faits par les médecins ont diminué régulièrement dans les semaines suivantes…

L’absence d’augmentation des déclarations de symptômes, mais aussi de passages aux urgences relevés par le réseau Grippenet tendrait à prouver que le Sars-cov2 n’avait pas remplacé la grippe et que les syndromes grippaux n’étaient pas du Sars-cov2 qui s’ignore… Sars-cov2 qui était sans doute ou probablement présent depuis un certain temps, mais à un niveau marginal. Sans compter que le taux de virus de grippe A ou B présent dans les prélèvements étaient comparables aux années précédentes.

À ce titre Sentinelles déclarait le 17 mars, juste avant le confinement :

« C’est la première fois depuis la mise en place de la surveillance des syndromes grippaux par le réseau sentinelles en 1984, qu’une remontée simultanée des cas de syndromes grippaux est observée dans plusieurs régions après le pic annuel de l’épidémie de grippe. Plusieurs raisons pourraient expliquer ces observations, comme la modification des comportements de consultation de la population due à la situation actuelle, mais aussi l’accroissement du nombre de cas de Covid-19 sur le territoire. »

Je peux donc affirmer que les deux épidémies de grippe et de Covid sont 2 épidémies distinctes et non concomitantes.

Quelle était l’ampleur de la première vague de Covid ?

La réponse du réseau Sentinelles est biaisée du fait du confinement et de l’interdiction de soins faite aux médecins de ville. Il fallait rester chez soi, prendre du paracétamol,(([3] https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/covid19_fiche_patients-2.pdf)) ne pas se rendre chez le médecin et appeler le 15 uniquement en cas de détresse respiratoire. Selon les médecins de ville, au pic de l’épidémie de la vague 1, le taux d’incidence était de 138 cas pour 100 000 habitants, soit inférieur au seuil d’épidémie. En revanche l’ensemble des infections respiratoires présentes était de 436 cas pour 100 000 habitants, de fait le Covid représentait moins de 30 % des infections respiratoires rencontrées par les médecins du réseau.

D’autre part nous ne disposons pas du taux d’incidence de l’épidémie de positifs par test PCR, car à l’époque il n’y avait aucune campagne de dépistage massif des personnes en bonne santé positives.

(Notons au passage que Sentinelles a changé son outil de mesure dès l’apparition du Covid. Auparavant il mesurait les symptômes grippaux, puis il s’est mis à mesurer les Infections Respiratoires Aigus, qui englobent tous les virus y compris les symptômes grippaux. Il n’est donc pas possible de comparer le taux d’IRA au taux de symptômes grippaux.)

Comme je l’ai expliqué, il y a un biais sur le taux d’incidence de Sentinelle pour la vague 1. 41 % des consultations étaient des téléconsultations et selon Grippenet, 14 % des personnes interrogées symptomatiques se rendaient directement aux urgences, contre moins de 8 % pour les saisons grippales précédentes.

En revanche, si la médecine de ville était quasi interdite d’exercice, expliquant sans doute la faiblesse des 138 cas pour 100 000, le réseau Grippenet continuait de fonctionner.

Il est intéressant de voir qu’au pic de la vague 1, seules 2,5 % des personnes interrogées déclaraient des symptômes soit environ deux fois moins que pour les pics d’épidémie de grippe des années précédentes… Si on divise (avec le même coefficient) par deux le taux d’incidence moyen du pic d’une épidémie de grippe de 480 qui correspond à 5 % de personnes déclarant des symptômes, on arrive à un taux d’incidence au pic de la vague 1 de 240 Covid pour 100 000 habitants avec 2,5 % de personnes déclarant des symptômes.

Une autre façon de voir est d’estimer (ce qui est vérifié par les chiffres de mortalité saisonnière) que la petite épidémie de grippe de la saison 2019-20 additionnée de la « encore plus petite épidémie de Covid » de la même saison forme une épidémie somme toute banale qui a été perturbée par les mesures de restrictions et interdictions de soins.

On peut donc estimer le pic de la vague 1 non pas à 138 cas pour 100 000, mais à 240 cas pour 100 000 soit l’équivalent d’une toute petite épidémie de grippe.

Je rappelle pour celles et ceux qui l’ignorerait, Santé Publique France a reconnu ne pas savoir faire la différence entre un patient hospitalisé positif au Covid et un patient hospitalisé dont la pathologie principale, ou conduisant au décès, est le Covid.

Nous pouvons trouver une explication de texte sur le document des autorités de santé « Parcours hospitalier des patients atteints de la Covid-19 lors de la première vague de l’épidémie(([4] Parcours hospitalier https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dd67.pdf))»

« En effet, il convient de préciser que l’outil SI-VIC ne permet pas de distinguer les patients hospitalisés pour des formes graves de Covid, des patients admis à l’hôpital pour d’autres raisons (opération planifiée, crise d’appendicite, etc.) et qui s’avèrent être également infectés par le SARS-Cov2. Ces derniers ne représentaient probablement que très peu de cas au début de l’épidémie, mais leur proportion a pu augmenter par la suite, sans que l’on puisse quantifier ce phénomène. »

Page 13

De plus on nous a toujours menti sur le taux d’occupation en réanimation(([5] https://7milliards.fr/tortosa20201122-fausses-reanimations.pdf)) qui en fait additionnait les personnes en soins critiques pour les diviser par le nombre total de lits de réanimation.

De fait au pic de la vague 1, le taux d’occupation des lits de soins critiques par des personnes officiellement Covid (les malades et les positifs) ne dépassait pas les 36 % (et non le chiffre mensonger de 138 %).

Enfin le nombre de décès est un faux, d’une part parce qu’il n’est fait aucune distinction entre les personnes malades décédées du Covid et les personnes positives, mais aussi parce que c’est une recommandation officielle de l’OMS de mentir sur les chiffres.(([6] https://7milliards.fr/coronavirus-faux-morts-officiels-oms.html))

Je vous cite le document officiel :

« Un décès dû à la Covid-19 ne peut pas être imputé à une autre maladie (par exemple, à un cancer) et doit être comptabilisé indépendamment des affections préexistantes qui sont soupçonnées d’avoir déclenché une évolution grave de la Covid-19. »

De fait, une personne avec un cancer en phase terminale positive au Sars-covd2 ou avec des symptômes faisant penser à un Covid, doit être considérée comme décédée du Covid.

Nous pouvons conclure de tout ceci que la première vague de Covid a bien existé, mais l’ampleur était celle d’une petite grippe qui serait restée inaperçue si on n’avait pas empêché les malades de se rendre chez leur médecin et si on avait autorisé ceux-ci à prescrire ne serait-ce que des antibiotiques en lieu et place du paracétamol… et non attendu qu’ils soient à l’article de la mort pour les hospitaliser et les placer en réanimation avant décès. Ceci sans parler du Rivotril dans les maisons de retraite.

Les autres « vagues ».

Si l’on se réfère aux données officielles reprises dans le tableau, la vérité est qu’elles n’ont pas existé.

Ces vagues n’ont pas le biais de la vague 1 du fait du confinement et de l’empêchement de consultation.

Pic de la « vague 2 » :

  • Taux d’incidence de PCR, 497 « cas » pour 100 000 habitants.
  • Taux d’incidence de personnes symptomatiques, de « malades », 82 malades pour 100 000 habitants (soit 6 fois moins que le taux mensonger de SPF et à la moitié du seuil de déclaration d’une épidémie). Pas d’épidémie, juste une présence d’un virus !

Pic de la « vague 3 » :

  • Taux d’incidence de PCR, 360 « cas » pour 100 000 habitants.
  • Taux d’incidence de personnes symptomatiques, de « malades », 35 malades pour 100 000 habitants (soit 10 fois moins que le taux mensonger de SPF et cinq fois moins que le seuil de déclaration d’une épidémie). Pas d’épidémie, juste une petite présence d’un virus !

Pic de la « vague 4 » :

  • Taux d’incidence de PCR, 244 « cas » pour 100 000 habitants.
  • Taux d’incidence de personnes symptomatiques, de « malades », 16 malades pour 100 000 habitants (soit 15 fois moins que le taux mensonger de SPF et onze fois moins que le seuil de déclaration d’une épidémie). Pas d’épidémie, juste une petite présence d’un virus !

Actuellement « vague 5 » :

  • Taux d’incidence de PCR, 191 « cas » pour 100 000 habitants.
  • Taux d’incidence de personnes symptomatiques, de « malades », 22 malades pour 100 000 habitants (soit 8 fois moins que le taux mensonger de SPF et huit fois moins que le seuil de déclaration d’une épidémie). À noter que 4 % des prélèvements effectués par le réseau Sentinelles indiquent le début probable d’une épidémie de grippe. Pas d’épidémie en cours actuellement, juste une petite présence d’un virus qui sera probablement supplanté par la grippe qui arrive !

La présence de Sars-cov2 chez des personnes symptomatiques n’étant pas nulles…

Il est possible de se poser des questions sur l’existence de ces vaguelettes 2 à 5 et plus si affinités… au-delà des données mensongères.

  • Ont-elles été facilitées par l’interdiction de traitements ?
  • Ont-elles été facilitées par l’absence de politique ciblant les personnes à risque ?
  • Ont-elles été facilitées par les injections expérimentales inefficaces et créatrices de variants ?

Cela me semble plus que probable.

Il faut voir les pays qui s’étaient débarrassés du Covid et des morts qui sont réapparus après des campagnes massives d’injections de personnes en bonne santé non à risque.

Pour résumer :

Il est crédible et raisonnable d’affirmer :

  • Que les tests PCR permettent de fabriquer des épidémies de positifs en bonne santé.
  • Que ces positifs PCR ne se traduisent pas ensuite en « vrais » malades (le « faux » malade étant devenu une norme).
  • Que les PCR sont l’outil de la peur, de la privation des libertés, du passe-sanitaire et de l’obligation « vaccinale ».
  • Sans les PCR, pas d’épidémie de Covid, pas de dictature sanitaire, pas de manne vaccinale !
  • Que la première « vague » a été une petite épidémie qui a pris le relais de l’épidémie de grippe et dont les conséquences désastreuses ont été induites par les décisions sanitaires d’interdiction de consultation ET de soins.
  • Qu’il n’y a pas eu d’autres vagues épidémiques, les suivantes n’étant que mensonges et manipulations, ce que nous savions depuis fort longtemps et qui est corroboré par les données officielles Sentinelles.

Merci.

Alain Tortosa.

30 novembre 2021

https://7milliards.fr/tortosa20211130-pcr-sentinelles-fausse-pandemie.pdf





La mutation du virus chez un traiteur juif qui infecte toute l’Afrique est venue de Beverly Hills

Par Jon Rappoport

Tony Fauci, Le Grand Père Blanc (les pères blancs étaient des missionnaires catholiques envoyés en Afrique — NDT), est en train de voler vers l’Afrique pour sauver le continent de la dernière mutation du virus, qui trouve son origine chez un traiteur de Beverly Hills.

Tony Fauci a fait une déclaration devant des journalistes au LAX (nom de l’aéroport de Los Angeles — NDT) avant de s’envoler :

« Nous savons maintenant que ce que nous appelons SARS-CoV-6 a fait un saut d’espèces fin octobre d’un sandwich au pastrami (spécialité gastronomique de la ville de New York et qu’on trouve chez les traiteurs haut de gamme américains — NDT) de chez le traiteur Fineberg sur Rodeo Drive, sur un client Fred Reilly. Reilly s’est envolé vers le Botswana où il a infecté trois joueurs de football qui faisaient du travail au noir comme agents de sécurité à une réception des Nations Unies ».

Fauci va expliquer à l’Afrique que le nouveau médicament de IG Farben, le RP-1984, qui a été stocké depuis 20 ans, puisqu’il a échoué à freiner la progression de la leucémie chez les rats, sera parachuté sur le continent.

Le médicament attaque toutes les cellules du corps, les empêchant de se répliquer. L’espoir c’est qu’il empêchera également le variant deli de se répliquer avant qu’il ne tue l’hôte (l’être humain).

« Les premières données semblent prometteuses », a déclaré Fauci. « Bien sûr, des confinements pendant au moins un an, la vaccination, le port du masque et la distanciation devront être religieusement appliqués », a-t-il ajouté.

« En raison des fermetures d’entreprises, la plupart des pays africains sombreront dans une dette irréversible et désespérée. Le Fond Monétaire International, comme à son habitude, va dépanner ces pays par des prêts. Cependant, cette fois-ci, les Nations Unies inaugureront une nouvelle monnaie numérique pour l’Afrique ».

La monnaie, a affirmé Fauci, inclura le Revenu de Base Universel pour toutes les personnes en Afrique — aussi longtemps qu’ils obéissent aux diktats gouvernementaux sans interrogations ou protestations.

À la Maison-Blanche Joe Biden a dit « Je ne mange pas de pastrami. Jill l’infirmière (qui veille sur moi — NDT) ne me le permettrait pas ».

Le propriétaire du Deli, Hank Fineberg, a dit au Los Angeles Times,

« Ce n’est pas de notre faute. Nous achetons nos pastramis à Gornish Garnish, un grossiste de Brooklyn. Pour quelle raison le CDC n’enquête pas sur eux ? En plus, aucun de nos clients n’a en fait été malade. Alors, quel est le problème ? ».

Le Times attribue le plongeon de la Bourse au variant deli. On peut également s’interroger sur la décision du Gouverneur de Californie, Gavin Newsom, de « laisser Rodeo Drive ouvert aux chalands ».

Bill Gates presse les gens à manger un succédané de pastrami fabriqué à partir de feuilles d’érable séchées, d’un dérivatif de résine de pin et de mica salé. (le mica est un des trois composants du granite avec le quartz et le feldspath — NDT)

Une nouvelle étude publiée par le New England Journal of Medicine (une des revues prestigieuses du domaine médical — NDT) conclut que

« le variant deli amène le corps à produire différents ensembles d’anticorps, certains d’entre eux ressemblant au SARS-CoV-2 originel. Le corps est alors confronté à la perspective d’anticorps attaquant des anticorps, ce qui entraîne un cycle tourbillonnaire ressemblant à un trou noir dans l’espace… »

NBC déclare,

« les dirigeants de Black Lives Matters se concertent avec des fonctionnaires à la Fondation Ford, pour élaborer une réponse aux nouvelles que le variant deli est en train de balayer l’Afrique ».

CBS :

« En Afrique, les principaux symptômes associés au variant deli sont la perte de poids, la déshydratation et la diarrhée. Ces symptômes proviennent habituellement de la malnutrition et de la famine, mais des chercheurs disent que c’est le variant qui est maintenant le principal coupable… »

Hier à la Maison Blanche, le Porte-Parole du Président, Jen Psaki, a dit aux journalistes,

« Le sombre hiver est arrivé en avance. Il est là. Le variant deli nécessitera de nouveaux confinements et fermetures de commerces. Le Président Biden publiera dans les prochains jours un large éventail d’obligations vaccinales. Pour le moment, il est en réunion avec les chercheurs du NIH (National Institute of Health – Institut National de la Santé – NdT) et se penche sur les dernières données de taux d’infection. À cet égard sa formation en analyse statistique lui servira bien… »

Un journaliste de FOX News a demandé,

« Est-ce que Noël sera annulé ? »

Psaki a répondu

« Le shopping aura lieu. Mais Jésus est né qu’une seule fois. Est-il nécessaire de continuer à célébrer cet événement ? Le Secrétaire d’État va rencontrer le Pape François pour discuter de la question ».

Le journaliste de FOX a poursuivi avec une autre requête :

« Qu’en est-il au sujet de tous ces migrants qui traversent la frontière mexicaine ? Combien sont porteurs du variant deli ? »

Psaki :

« Nous avons un nouveau programme de dépistage de masse appelé Baguette magique. Il peut surveiller des milliers de personnes en même temps et détecter la présence de virus. Jusqu’à présent nous n’avons trouvé qu’une seule personne à la frontière qui était infectée avec le variant deli – an ancien habitant du Montana (le Montana est un État du nord des États-Unis – NDT). Il a fait l’objet d’une chasse à l’homme de la part du FBI, en raison du fait qu’il était présent lors de l’intrusion dans le Capitole du 6 janvier. Il est maintenant en détention à L’Hôpital Walter Reed. Il ne présente pas de symptôme, ce qui est un peu un mystère.

Le directeur sortant du NIH, Francis Collins, a apporté lors d’une audioconférence ce matin avec des journalistes des précisions sur plusieurs problèmes posés par le variant deli : « Le nouveau variant produit différents effets dans différentes populations. En Afrique nous voyons des pertes de poids, des déshydratations et des diarrhées. En Amérique du Sud, le principal symptôme est une toux sèche. En Australie c’est une douleur passagère à la jambe et de la colère. En Europe un engourdissement des extrémités et une pauvreté accrue. Aux États-Unis un déclin de l’immunité conférée par le vaccin, une passivité hypnotique, et paradoxalement, une présence aux matches de football… »

Le Sénateur Chuck Schumer a déposé un projet de loi qui compensera les victimes du variant deli, sous la forme d’une carte fédérale qui peut être utilisée pour des achats de biens et de services d’un montant de 900 dollars. Les médecins qui diagnostiqueront recevront également une carte, d’un montant de 3900 dollars pour chaque cas de variant identifié.

Ne sortez pas de chez vous sans elle. En fait, ne quittez pas la maison. Confinez-vous.

Traduction Jean Bitterlin, le 29 novembre 2021.




La virologie est-elle une religion ?

Par Jean Bitterlin

La Virologie (que l’on écrit avec une majuscule depuis qu’elle a pris le pouvoir sur le Monde) se veut science et pourtant elle présente de très importantes caractéristiques qui font penser qu’elle est avant tout une religion.

Voyons donc tout d’abord les définitions de la religion puisées dans le dictionnaire Larousse :

  1. Ensemble déterminé de croyances et de dogmes définissant le rapport de l’homme avec le sacré.
  2. Ensemble de pratiques et de rites spécifiques propres à chacune de ces croyances.
  3. Adhésion à une doctrine religieuse.

Ajoutons pour le plaisir la citation de José Cabanis :

« Tout y est vrai, pourvu qu’on y croie ».

Le dogme

Dans les grandes religions (et leurs variantes, voir ci-dessous) le sacré a été défini par l’homme : il s’agit de dieu, entité toute puissante que personne n’a vue (en dehors de quelques illuminés) et qui ne se manifeste qu’indirectement par des signes que clergé surtout, mais aussi fidèles, sont capables d’interpréter. Le dogme est donc l’existence de Dieu.

En Virologie, c’est le virus qui est l’entité toute puissante que personne n’a vue (même avec les microscopes les plus puissants du monde) et qui ne se manifeste qu’indirectement par des signes que seuls les virologues peuvent interpréter : la présence d’anticorps décrétés par eux comme étant spécifiques aux virus. Le dogme est donc l’existence des virus.

La dévotion des fidèles

Religions et Virologie ont toutes deux essentiellement recours à la terreur pour s’assurer de la dévotion des fidèles. Promesse de l’enfer éternel pour les premières, promesses d’épidémies ou de pandémies pour la seconde. Il vaut mieux suivre les préceptes du clergé, préceptes garants de vie éternelle dans l’au-delà ; si l’on suit ceux des virologues, la promesse est celle d’une vie sur Terre quasi éternelle. Carotte et bâton sont bien dans les deux cas le moyen utilisé pour obtenir la dévotion des fidèles.

Les religions expliquent de nombreux phénomènes par l’intervention divine. Si les récoltes sont bonnes, c’est que Dieu a apprécié les actions de grâce à son égard ; par contre sécheresse, inondation ou autres calamités témoignent de sa grande colère. Le clergé explique alors aux fidèles que Dieu avait de multiples raisons de ne pas être satisfait de leurs comportements ; ce que les fidèles reconnaissent volontiers quand ils sont dans le pétrin.

Le clergé virologue quant à lui invoque l’action des virus pour expliquer l’origine de nombreuses maladies. Le comportement des fidèles, là non plus, ne correspond que très rarement aux attentes du clergé ; d’où les épidémies. Malgré les moyens colossaux mis en œuvre dans les médias pour nous rappeler régulièrement notre grande vulnérabilité face aux virus, les couvertures vaccinales sont insuffisantes et les gestes barrières ont tendance à être absents.

Le clergé et les prophètes

Religions et Virologie ont toutes deux un clergé dont la hiérarchie est pratiquement identique. Au sommet de l’Église catholique (par exemple) il y a un pape qui donne le la aux évêques puis viennent les prêtres et les missionnaires. Dans la virologie il y a également un pape, le Dr Anthony Fauci (appelé également tsar de la Virologie), qui donne le la à des évêques (les responsables de santé publique), il y a des prêtres officiants (les médecins) et les missionnaires qui interviennent sur les plateaux à la télévision. La Virologie, comme l’église mormonne, a couvert les pays du Monde entier de missionnaires ; en France les plus célèbres sont Martin Blachier, Michel Cymes ou encore feu Jean-Daniel Flaysakier.

De temps en temps les hauts dignitaires (des religions ou de la virologie) se réunissent pour faire le point afin de s’assurer de la pureté de la foi et de la dévotion des fidèles.

Les religions ont de nombreux prophètes qu’elles vénèrent et dont elles aiment à citer les paroles (dites saintes paroles). La Virologie n’a que Jenner et Pasteur à présenter comme prophètes, mais ils sont d’autant plus vénérés. Neil Fergusson de l’Imperial College de Londres est également présenté comme prophète, mais il faut bien reconnaître qu’il n’a pas rencontré de réel succès dans ses prophéties jusqu’à présent.

Répartition dans le Monde

Si les religions se partagent en plusieurs chapelles qui ont chacune une certaine préférence géographique, la Virologie a un très net avantage, car elle est unifiée et présente dans le Monde entier. Il faut dire qu’étant très récente au regard des premières elle n’a pas encore eu le temps de connaître de schisme.

L’apparition des variants

La religion monothéiste est apparue vers –1200 puis sont apparues diverses variantes, la religion chrétienne en l’an 0 de notre ère, puis la religion musulmane vers 600. Il y a également eu des religions variantes de la variante chrétienne avec les religions orthodoxe, protestante, et bien d’autres variantes encore (Témoins de Jéhovah, mormons et autres sectes).

La Virologie est un bloc soudé, mais ce sont les virus eux-mêmes qui présentent des variants. On appelle cela des mutations ou de nouvelles souches. En mutant, certains virus deviennent plus pathogènes (ça veut dire plus méchants) et plus contagieux. D’après les virologues le virus de la grippe prend chaque année un malin plaisir à muter rien que pour les embêter alors qu’ils avaient, disent-ils, préparé un vaccin avec ce qu’ils pensaient être la bonne souche.

Il faut aussi ajouter que le SARS-CoV-2 a battu tous les records de variants ; il y a même eu des variants de variants, avec le variant Delta tenant le haut du pavé. Rien qu’au 4 février 2021, le ministre britannique de la Vaccination annonçait qu’il y en avait plus de 4 000 ! Il doit y en avoir plusieurs dizaines de milliers aujourd’hui.

On ne sait pas trop non plus ce que le virus de la grippe a fait en 2020 ; il est pourtant malin comme un singe (ça se trouve qu’il provient d’un singe et s’est dit « hop, je fais un saut d’espèce » pour aller voir à quoi ressemblent les cellules humaines). Mais les virologues lui prédisent malgré tout un bel avenir pour 2022, 2023, et les suivantes puisqu’une grande partie de la population humaine étant désormais vaccinée contre le SARS-CoV-2 la voie est à nouveau dégagée pour le virus de la grippe.

Les guerres

Dans l’Histoire les conflits entre les adeptes des différentes religions ont été nombreux et particulièrement féroces.

Il en va de même pour les virus, et là encore c’est le plus fort qui l’emporte. C’est ainsi que le virus SARS-CoV-2, qui est apparu fin 2019 on ne sait trop comment en Chine, était tellement plus fort que celui de la grippe que ce dernier, lors de l’hiver 2019/2020 a tout juste eu droit à quelques petits vieux (et encore on n’en est pas sûr). Sa force provient sans doute de son enveloppe dont les virologues affirment qu’elle est hérissée d’épines (les fameuses protéines spike) si joliment dessinées par les artistes, alors que les virus de la grippe n’en possèdent apparemment pas. Malgré ses handicaps le virus de la grippe arrive à provoquer quasiment les mêmes symptômes que le terrible SARS-CoV-2 (fatigue, fièvre, toux, perte de goût et d’odorat) et comme lui s’attaque prioritairement aux personnes très âgées avec des comorbidités.

Les fêtes

Si la vie des religions est rythmée par des fêtes qui ont lieu chaque année à date plus ou moins fixe, les fêtes des virologues dépendent de phénomènes tels que les famines, les guerres et leurs conséquences (peste noire au 14e siècle, grippe espagnole entre 1918 et 1921), mais aussi de décisions prises par les grands prêtres de la Virologie (SIDA, H1N1, SARS-CoV-1, SARS-CoV-2, etc.).

La célébration de la grippe dite saisonnière se distingue des autres fêtes virales, car elle est annuelle, et ce probablement depuis des siècles (hormis 2020 comme nous venons de le voir ci-dessus). Elle fluctue légèrement dans le temps en fonction de l’ensoleillement et des températures, ne semble pas dépendre des phases lunaires et bat généralement son plein du cœur à la fin de l’hiver. Les virologues occidentaux n’aimant pas trop les Chinois ont d’ailleurs longtemps parlé de « grippe asiatique » à son sujet puisque cette « saloperie » ne pouvait provenir que de Chine, les Chinois ayant l’habitude de manger toutes sortes de bestioles ; on peut d’ailleurs raisonnablement penser que pas plus que la « grippe espagnole » n’avait pour origine l’Espagne, « la grippe asiatique » n’avait pour origine la Chine.

Le doute

Le doute n’est pas permis en religion : qui doute de l’existence de Dieu s’exclut de la communauté des croyants. Si un membre du clergé exprime publiquement ses doutes sur certaines orientations décidées par la Congrégation pour la doctrine de la foi (pour l’Église catholique par exemple) il est démis de sa fonction et de ses avantages et n’a plus qu’à créer une nouvelle église, ce qui est très difficile, ou suivre une formation quelconque (dans la restauration de nombreux postes sont à pourvoir) ou, au pire, s’inscrire au RSA (Revenu de Solidarité Active).

La Virologie demande également de son clergé qu’il fasse preuve de foi et de fidélité absolues. La Congrégation (appelée également Big Pharma) finançant directement ou indirectement toutes les recherches, les expériences sont donc automatiquement menées dans le cadre de la foi afin de donner les résultats escomptés. Ceux (les résultats) qui s’opposent au dogme ne peuvent qu’être entachés de grossières erreurs et finissent à la poubelle ; ce qui n’arrive pas souvent.

Le clergé de la virologie peut également compter sur la foi et la fidélité de ses nombreux domestiques qui sont très bien rétribués par la Congrégation ou par l’argent des contribuables. Dans ces conditions il est hors de question d’exprimer publiquement ses doutes sur certaines expériences ou de critiquer certains résultats, à moins de vouloir renoncer à un salaire plus que confortable et de se retrouver à la rue ; ou d’être à la retraite. L’exemple qui dissuade le clergé ou les domestiques de faire des bêtises est celui du célèbre professeur Peter Duesberg de l’Université de Berkeley qui avait, au début des années 1990, osé affirmer que le « virus » appelé VIH n’était en rien responsable du SIDA ; en réaction la Congrégation lui a tout supprimé : financement pour son laboratoire de recherche, étudiants du 3e cycle, conférences et publications dans des revues prestigieuses. De toute façon la Congrégation, qui possède également les médias mainstream fait savoir aux éventuels dissidents qu’ils ne pourront que « crier dans le désert ».

Conclusion

La science s’oppose aux religions dans le sens que « le premier devoir de tout scientifique est de vérifier rigoureusement ses propres assertions et d’essayer de les réfuter » comme le dit le biologiste Stefan Lanka. Ce dernier avait offert 100 000 euros à qui prouverait l’existence du virus de la rougeole ; le malheureux représentant de l’Institut Robert Koch (l’équivalent allemand de l’Institut Pasteur) qui l’a poursuivi en justice n’a pu que présenter 6 soi-disant études scientifiques dont l’une présentait des erreurs grossières et les 5 autres ne faisaient que répéter ce que disait la première ; et le professeur Stefan Lanka attend donc toujours un postulant aux 100 000 euros.

Les religions ne peuvent suivre, par essence même, ce principe fondamental de vérification et de réfutation.

Mais la Virologie, tout comme les religions, ne suit pas non plus ce premier devoir ; poliomyélite et le SIDA illustrent cela parfaitement. Dans les deux cas, pour les virologues, seul un virus était responsable de la maladie et il était hors de question de vérifier s’il n’y avait pas d’autres causes. Pourtant :

L’isolation d’un virus, c’est-à-dire la séparation d’un virus de tout autre matériel génétique, serait la preuve scientifique de l’existence des virus. La Virologie n’a jamais réussi cela ; virus de la rougeole, VIH ou le tout récent SARS-CoV-2 n’ont jamais été isolés et il est donc malhonnête de prétendre à leur existence.

De plus la Virologie écarte tout simplement tous les faits avérés qui s’opposent au dogme de l’existence des virus. Qui sait, par exemple, que toutes les expériences faites lors de « l’épidémie de grippe espagnole » pour tenter d’inoculer le virus de la grippe à des bien-portants ont lamentablement échoué ?

La Virologie se situe donc clairement dans le domaine religieux : ELLE EST UNE RELIGION !

Jean Bitterlin 27 octobre 2021




La nouvelle hystérie du variant « Omicron » provient de la même institution qui a popularisé les confinements et les précédentes peurs du COVID

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

Le monde dans lequel nous vivons est bien petit. La peur du « variant Nu » dont vous entendez parler provient des mêmes personnes et institutions qui ont engendré la toute récente crainte du COVID, et celle d’avant, et celle d’avant, remontant jusqu’au début de l’hystérie du Covid.

[Mise à jour : l’Organisation mondiale de la santé a maintenant étiqueté cette souche comme étant le « variant Omicron », en omettant visiblement le « Xi » dans l’alphabet grec].

La presse d’entreprise et les gouvernements du monde entier ont fait un tapage incroyable autour d’un prétendu nouveau variant du COVID, le variant « Nu », qui a été détecté en Afrique du Sud et au Botswana.

Comme dans le cas des précédents accès d’hystérie-19 encouragés par la classe dirigeante, il n’y a aucune raison statistique de s’alarmer de cette nouvelle souche, qui est l’une des 100 000 mutations du coronavirus.

La « nouvelle souche » a à peine produit des cas confirmés en laboratoire, mais un récit paniqué a déjà été semé dans le public. Le Royaume-Uni, en particulier, a fait monter la peur d’un cran. Le pays a déjà ajouté plusieurs pays africains à sa liste d’interdiction de voyage, en invoquant la nouvelle souche.

Comme toutes les autres politiques prescrites par les gouvernements pour lutter contre un virus, les interdictions de voyager ne permettent pas d’arrêter un virus, mais elles réussissent à agiter les marchés et les masses dans des accès de folie.

Et ce n’est pas une coïncidence si le Royaume-Uni est à nouveau le premier à agir sur le front de la « souche Omicron ».

L’hystérie du nouveau variant est née à l’Imperial College UK, le siège d’une institution académique de modélisation corrompue et disgracieuse qui a fait du prosélytisme pour le confinement du monde occidental. Tout au long de la COVID Mania, l’Imperial a été la source d’innombrables versions de la propagande de la « nouvelle souche ». L’institution ne fait pas que participer à la modélisation de mauvaise qualité. Elle fomente la folie et exige une série de mesures totalitaires pour faire face à ses créations narratives défectueuses.

La campagne de peur du nouveau variant est née en début de semaine avec un fil Twitter de Tom Peacock, un post-doc d’une trentaine d’années employé à l’Imperial College de Londres. Il a mis le feu aux poudres par son interprétation alarmiste du variant, décrivant la nouvelle souche comme ayant un « profil de mutation de la protéine Spike vraiment horrible ».

Les médias d’entreprise, les gouvernements mondiaux et d’autres institutions ont régurgité les proclamations de pandémie de Peacock, déclenchant une nouvelle série de demandes autoritaires de la part de la classe dirigeante.

L’actuelle panique liée à la nouvelle souche survient à un moment où les cas de COVID-19 se multiplient en Europe, malgré l’adoption universelle des injections d’ARNm qui étaient promises pour résoudre le problème du COVID-19.

Cette « nouvelle souche » aurait été découverte en Europe, poussant le récit des médias encore plus loin dans l’abîme totalitaire.

https://twitter.com/disclosetv/status/1464226028205842439

Avec des affirmations diffusées aux masses par les grandes entreprises technologiques et les gouvernements mondiaux, l’Organisation mondiale de la santé, influencée par Gates Inc. et la Chine, sème un maximum de panique et de terreur.

En dehors du Parti communiste chinois, aucune autre institution n’a eu autant d’influence sur les politiques destructrices du COVID-19 que l’Imperial College de Londres.

C’est à l’Imperial College de Londres que l’on doit les tristement célèbres « modèles apocalyptiques » du COVID-19, qui promettaient que des millions de personnes seraient effacées de la surface de la terre si le monde occidental ne se confinait pas en mars 2020 en raison du COVID-19. L’idée que le monde devait « aplatir la courbe » par des confinements pseudo-scientifiques est née d’un modèle académique défectueux de Neil Ferguson, épidémiologiste à l’Imperial College. Lorsqu’on lui a demandé d’ouvrir ses modèles, Ferguson a refusé catégoriquement. Il a ensuite démissionné en disgrâce du conseil consultatif scientifique du gouvernement britannique. Pourtant, le « Professeur Confinement » reste, d’une manière ou d’une autre, un personnage très influent dans la conduite des politiques totalitaires de réponse à la pandémie en Grande-Bretagne.

En ce qui concerne les nouvelles souches, il semble que tout ce qui est ancien soit à nouveau nouveau d’actualité. L’Imperial était la source principale du nouveau variant des modèles d’épouvante de 2020. C’est à peu près à la même époque l’année dernière que le Premier ministre britannique Boris Johnson, citant les spéculations d’Imperial sur une souche différente, a lancé un confinement hivernal.

Lisez mon article dans The Dossier sur cette « nouvelle souche » de 2020 et vous verrez les incroyables parallèles. La propagande de la « nouvelle souche Omicron » sud-africaine et botswanaise s’appuie sur la même campagne de peur, mais dans une version relookée. C’est exactement le même manuel.

L’année dernière, cela a commencé avec Erik Volz, un épidémiologiste de l’Imperial College de Londres, qui a affirmé que la nouvelle souche était 70% plus transmissible. Ses propos exacts ont ensuite été repris par le Premier ministre Johnson pour justifier son confinement.

Lisez le reste du rapport ici.

Traduction de The Dossier par Aube Digitale

[Note de Joseph : avec la théorie alternative à la virale (qui est la théorie des « exosomes »), les virus n’y sont pas vus comme la cause des maladies virales, mais la conséquence de divers empoisonnements et/ou de déficiences en certains nutriments alimentaires. Ils sont produits par les cellules humaines sans qu’il y ait intervention de matériel viral externe à l’organisme. Sous l’effet des agressions diverses subies de nos jours, dont les ondes électromagnétiques telles que la 5G, les cellules créent des « endosomes » qui en sortent ensuite et sont alors dénommés « exosomes ». Ces derniers sont constitués de morceaux d’ARN ou d’ADN qui sont entourés d’une enveloppe lipidique munie de bras ou de clefs (comme les protéines Spike) pour sortir de la cellule en franchissant la membrane cellulaire. Ils représentent dans certains cas des déchets à éliminer ensuite de l’organisme, au besoin de manière accélérée par la fièvre lorsque leur production est trop intense suite à une grave agression externe du corps. Dans d’autres cas, ils semblent être destinés à communiquer la nature de l’agression à d’autres cellules pour qu’elles se préparent à leur tour à y faire face. Ces exosomes qui ont été découverts par trois prix Nobel de médecine sont exactement de même forme que les virus, et pour cause, puisque cette théorie alternative mentionne que les virus sont en fait les exosomes, qu’ils soient à ADN ou à ARN.

Par ailleurs, lorsque des virologues ou des microbiologistes prétendent isoler un virus, ils ne font en fait que la succession des opérations suivantes :
1)- Culture du virus (parce qu’ils ne le trouvent pas en quantité suffisante sur le malade) à partir de tissus biologiques supposés infectés de la maladie virale, ceci en utilisant diverses substances chimiques et par exemple des cellules de singe vero comme hôte viral.
2)- Centrifugation de la soupe génétique récupérée.
3)- Prélèvement de la couche de densité qui est supposée correspondre à celle du virus.
4)- Analyse et reconstitution du matériel génétique par voie logicielle (calculs) à partir des morceaux de chaînes d’ADN ou d’ADN récupérés. Il s’agit ici en gros de reconstituer un puzzle en se basant sur un modèle viral préexistant. Dans la pratique, la reconstitution n’est jamais faite à 100 %, car il existe toujours des manques ou trop de chevauchements disparates qu’il faut en quelque sorte moyenner ou raboter.

À l’étape 1, on obtient exactement le même résultat de mort des tissus en partant de personnes parfaitement saines et donc de tissus sains, si on ajoute exactement les mêmes produits. C’est logique à partir du moment où ce sont en fait ces produits et le manque de nutriments (puisque les tissus sont séparés du corps et ne peuvent plus être alimentés) qui causent, selon la théorie alternative, la mort des cellules et non un supposé méchant virus.

À l’étape 4, il suffit de changer de modèle viral, au besoin en combinaison avec son prélèvement dans une autre couche de l’éprouvette (à l’étape 3) pour découvrir une ressemblance avec un autre virus avec aussi une précision qui ne sera jamais de 100 %.

La théorie alternative explique parfaitement pourquoi on n’obtient jamais 100 %, puisque d’une part aucun virus n’a ainsi été réellement isolé, mais seulement reconstitué à partir d’une soupe génétique et d’un modèle, et d’autre part, chaque être humain (idem pour les animaux) est unique et donc les virus, en fait « exosomes » qu’il produit sont également spécifiques. Et l’on peut quand même malgré tout obtenir une ressemblance à 99.7 % par exemple, parce que les différences génétiques entre deux individus sont mineures au sain d’une même espèce (inférieures à 1 %).

Les prétendus « variants » proviennent simplement des variations génétiques entre individus et entre ethnies, ainsi que des différences dans l’agression, comme notamment celle de la 5G qui n’est pas basée sur les mêmes fréquences selon les pays ou les régions, et comme celle des vaccins qui ne sont pas non plus les mêmes selon les différents pays ou les différents lots vaccinaux, surtout que nous sommes toujours en phase de test et que les fabricants de vaccins introduisent alors des différences de dosages des divers adjuvants et du nombre de nanoparticules entre les lots.]




Comprendre qu’il n’y a jamais eu de « crise covid » autre qu’artificiellement créée

Par BS

Pierre de Décoder l’Eco a publié un document fondamental pour comprendre qu’il n’y a jamais eu de « crise covid », comme indiqué par Marc Girard dans plusieurs articles. Le délire se reprend avec intensité (variant OMICRON), avec la dévaccination des vaccinés 2 doses dans les prochaines semaines (désactivation du pass sanitaire selon 2 échéances), avec la menace de vaccination des 5 – 11 ans, avec les émeutes dans certains Dom-Tom, l’obligation de tests (avec autotests) pour les enfants de sixième (qui va évidemment se transformer en pass vaccinal pour aller à l’école dès que la vaccination des moins de 12 ans sera autorisée par l’UE)… etc..

La vidéo dure 8 minutes, elle fût publiée le 23 novembre et détaille les informations chiffrées les plus significatives du récent rapport de l’Agence Technique de l’Information sur l’Hospitalisation (ATIH) consacré à la Covid-19. Ce rapport officiel indique que le Covid n’a représenté que 2% de l’activité hospitalière sur l’année 2020 et que l’hôpital a fonctionné en sous-régime. Pierre utilise également les données fournies par un autre rapport de l’ATIH détaillant l’activité hospitalière totale pour montrer que l’hôpital n’a jamais été débordé à cause d’un petit coronavirus.

À la différence de Géodes de Santé Publique France sur lequel s’est basé le décompte des morts du covid du croque-mort Jérôme Salomon, l’ATIH ne reprend que les patients dont le motif d’hospitalisation est spécifique à la Covid-19. L’analyse de Pierre permet de chiffrer les conséquences des mesures prises par le gouvernement conseillé par le Conseil Scientifique (déprogrammation de soins, confinements, non-prise en charge des patients en urgence, etc.) : 

une activité hospitalière en baisse de 10% sur l’année 2020 incluant une baisse de 50% pour le mois d’avril 2020 (celui du 1er confinement, montrant un pic de mortalité) avec un taux de prise en charge Covid sur ce mois qui présente un maximum de 7,6% des admissions, taux inclus dans un taux de prise en charge total qui chute de moitié par rapport aux années précédentes. Que sont devenue les personnes qui auraient statistiquement dues être prises en charge pour les pathologies habituelles sur cette période ?

La vidéo a été publiée à la fois sur YouTube et Odysee (Odysee échappe à la censure).

L’activité hospitalière en 2020 : la vraie version (Pierre Chaillot de Décoder l’Eco – 23/11/21 – 8 minutes 25) :



Version texte (via France Soir) :

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/lactivite-hospitaliere-en-2020-la-vraie-version

L’agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH) a sorti un rapport d’analyse sur l’impact de la Covid-19 sur les hospitalisations durant l’année 2020. Ce rapport a notamment révélé que durant l’année 2020, les hospitalisations pour cause de Covid-19 n’ont finalement représenté que 2 % de l’activité hospitalière sur l’année. La lumière a été faite sur ce rapport lorsque Martin Blachier l’a évoqué sur LCP, émission Ça vous regarde du 09 novembre 2021. La presse s’est bien évidemment empressée d’enterrer les résultats de ce rapport pour éteindre cet incendie qui menaçait de brûler l’histoire officielle.

Ce rapport a été enterré un peu vite et, surtout, l’autre rapport concernant l’activité totale des hospitalisations en 2020 a été passé sous silence. Nous allons voir que, non seulement l’activité Covid-19 à l’hôpital est très loin d’avoir ressemblé à l’image que les médias ont voulu véhiculer, mais qu’en plus, l’hôpital français n’a jamais été autant sous-utilisé qu’en 2020.

L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible sur l’année

La première révélation de l’étude de l’ATIH est le nombre d’hospitalisations pour cause Covid-19 en 2020. Sur l’ensemble de l’année, 217 974 patients ont été hospitalisés pour cette cause (Figure 1).

Ce nombre est étonnamment assez éloigné de ce que l’on peut trouver sur Géodes, le portail des statistiques du ministère de la Santé, sur lequel on trouve 277 821 en 2020 (Figure 2). Il semble manquer 60 000 hospitalisations dans le rapport de l’ATIH, soit 20 % du total. Cependant, à la page 20 du rapport, dans la partie Sources et Méthodes, on peut lire « La population d’étude est constituée des patients hospitalisés en 2020 pour une prise en charge de la COVID-19. […] Les hospitalisations de patients testés positifs à la COVID-19 mais asymptomatiques 16 ou dont le motif de recours à l’hospitalisation de court séjour n’était pas la COVID-19 ne sont pas intégrées au champ d’analyse. » Ainsi, l’ATIH, contrairement au ministère de la Santé, ne compte pas comme « Covid-19 » les patients hospitalisés pour une jambe cassée, mais déclarés malades a posteriori de la Covid-19. Il est intéressant de savoir que ces patients représentent 20 % des statistiques officielles, soit un patient sur cinq.

Au bilan, ces hospitalisations Covid-19 représentent 2 % de l’activité hospitalière sur l’année (Figure 3). Une activité assez insignifiante au regard de ce que gère l’hôpital avec ses 11 millions d’hospitalisations annuelles.

Les seules statistiques qui augmentent sont les durées d’hospitalisations et les nombres de décès des patients Covid par rapport aux autres patients.

Cependant, comme nous l’avons vu, les personnes hospitalisées pour Covid-19 sont les personnes âgées (Figure 4). Il paraît donc normal (voire rassurant) d’avoir plus de décès pour les hospitalisations Covid-19 de patients de plus de 80 ans, que pour les ruptures des ligaments croisés après un match de football de patients de moins de 40 ans.

À ce stade, il convient de rappeler que chaque année, plus de la moitié des décès français (donc plus de 300 000) ont lieu à l’hôpital (Figure 5). L’hôpital est le principal lieu de décès des Français, et c’est le signe qu’ils sont pris en charge, pas que l’hôpital est un lieu dangereux.

Concernant la durée des hospitalisations et la part des décès (Figure 6), nous avons montré à de nombreuses reprises que les patients Covid-19 n’ont pas eu de soins précoces de la part de leur médecin (puisque c’était déconseillé, voire interdit). Ils sont arrivés à l’hôpital dans un état fortement dégradé et il est normal qu’ils y soient restés plus longtemps et soient plus souvent décédés que pour une grippe prise en charge précocement. Cela ne prouve pas la dangerosité de la maladie, mais celle de l’interdiction de soin.

En plus de montrer que la Covid-19 a finalement peu pesé sur l’activité hospitalière sur l’année, il convient de rappeler que l’activité hospitalière n’a jamais été aussi faible que pendant cette année 2020. Toutes les déprogrammations ou les évictions de patients du fait de la politique de non prise en charge ont eu un effet déplorable sur l’organisation du soin. Cette non prise en charge est mesurée dans l’autre rapport de l’ATIH sur les hospitalisations totales.

Sur l’année, l’hôpital a accueilli 1,3 million de patients en moins, représentant 2,2 millions de séjours en moins. Cela représente un recul de plus de 10 % à chaque fois, et autant de personnes qui n’ont pas été prises en charge et soignées.

La presse s’est évidemment fait l’avocat du gouvernement en nous expliquant que ces chiffres annuels de faible activité totale ou Covid ne représentent pas les pics énormes qui ont eu lieu pendant les vagues. Heureusement, l’ATIH nous permet de vérifier tout cela.

L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible pendant les vagues

Les fiches synthétiques de l’ATIH nous permettent de mesurer l’activité hospitalière mois par mois et de la comparer à l’activité liée à la Covid-19. Le nombre de séjours liés à la Covid-19 représente donc 1,3 % des séjours sur l’année, mais selon les mois cette part a pu varier entre 0 et 7,5 % (Figure 8).

Ainsi, au plus fort de l’activité Covid, cette dernière n’a représenté que 7,5 % de l’activité hospitalière en avril 2020. C’est déjà peu, mais encore à nuancer. En effet, les mesures de confinement et d’annulation de tout le reste de l’activité ont drastiquement diminué l’activité hospitalière à cette période.

L’activité hospitalière d’avril 2020 est 50 % inférieure à l’activité normale de cette période, comme en témoignent les courbes de 2018 et 2019 (Figure 9). Ainsi, 7,5 % de Covid dans un contexte où l’hôpital ne fonctionne qu’à mi-régime, signifie que l’activité Covid n’a représenté au maximum que 3,7 % d’une activité normale.

Il n’y a donc jamais eu d’impact de la Covid pour faire déborder l’hôpital. Non seulement à aucun moment l’hôpital n’a débordé, mais il a fonctionné en sous-régime toute l’année, et l’impact de la Covid est insignifiant quel que soit le moment.

L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible partout

Les fiches synthétiques de l’ATIH nous permettent de mesurer l’activité région par région pour savoir si finalement la crise hospitalière a eu lieu quelque part, puisque au niveau de la France, elle n’a eu lieu à aucun moment.

On observe alors que la région ayant la part d’hospitalisations Covid la plus forte est l’Île-de-France, avec 2,2 % d’hospitalisations Covid (Figure 10). Ainsi, même au niveau régional, on est incapable de trouver un hôpital qui déborde à cause de la Covid-19.

En revanche, on note une correspondance quasi-parfaite entre la part de Covid-19 déclarée et la sous-activité de l’hôpital. Plus l’hôpital a déclaré une part importante de Covid-19 et plus son activité a en fait baissé en 2020.

On note également que cet ordre correspond parfaitement à l’affiliation au pouvoir des grands dirigeants des services de santé de ces territoires, avec en premier lieu les Parisiens bien évidemment.

En conclusion, nous pouvons dire que nous avons montré dans de nombreux articles et vidéos que la mortalité sur l’année 2020 ne peut en aucun cas être attribuable à la seule Covid et est bien trop faible pour justifier la moindre mesure coercitive. Grâce à l’ATIH, nous savons dorénavant qu’il en est de même pour les hospitalisations. Le catastrophisme médiatique est toujours une mise en scène justifiant la répression.

Toutes ces statistiques proposées par l’ATIH ne font que nous confirmer que nous faisons face depuis deux ans à des choix idéologiques, politiques ou financiers de la part des décideurs, qui n’ont rien à voir avec la santé des Français.

Auteur(s): Pierre Lecot, pour FranceSoir


Gabriel Attal, à propos de ce rapport

https://francais.rt.com/france/92634-attal-reconnait-que-chiffre-2-patients-admis-hopital-cause-covid-juste

Interrogé sur le plateau du talk-show On est en direct le 13 novembre, le porte-parole du gouvernement a reconnu que le chiffre portant à 2% le nombre de patients Covid admis à l’hôpital en 2020 était «juste» mais a voulu tempérer son interprétation.

Invité de l’émission On est en direct (France 2) le 13 novembre, Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, s’est exprimé au sujet d’un rapport de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH) établissant à 2% le nombre de patients admis à l’hôpital pour cause de Covid-19.

«Tout ça pour ça ? Pour si peu de gens !», s’est alors étonné l’animateur de l’émission Laurent Ruquier en référence aux restrictions sanitaires inédites prises durant l’année 2020. Si Gabriel Attal a en conséquence reconnu que «ce chiffre est juste», il a cependant tenu à tempérer les interprétations à en tirer. Selon lui, le rapport expliquerait également «qu’il y a eu une tension très forte à l’hôpital du fait du Covid».

Gabriel Attal a estimé que les 2% des patients hospitalisés en 2020 pour prise en charge du Covid-19 représenteraient en réalité une moyenne de personnes «ayant franchi la porte de l’hôpital sur l’année». Il a souligné notamment l’apparition «de moments de saturation des hôpitaux sur trois mois, peut-être quatre mois sur les douze mois de l’année». «Ce chiffre ne donne pas le nombre de jours d’hospitalisation», a-t-il assuré, précisant que ces patients étaient selon lui «restés beaucoup plus longtemps».

Fondée en 2000, l’ATIH est un établissement public à caractère administratif placé sous la tutelle des ministres chargés de la santé, des affaires sociales et de la sécurité sociale. Publié le 28 octobre 2021, son rapport sur l’activité hospitalière 2020 liée au Covid-19 a été beaucoup commenté, notamment par les opposants aux mesures restrictives, jugées disproportionnées.

Mais du côté du gouvernement, la ligne directrice reste inchangée : répondant à la journaliste Léa Salamé, toujours sur le plateau d’On est en direct, sur la question d’un éventuel reconfinement, Gabriel Attal a ainsi fait savoir qu’il ne fallait «jamais rien exclure par principe». «Cette épidémie continue de surprendre le monde entier», a-t-il argumenté, assurant toutefois que pour le moment il n’était «absolument pas question d’un reconfinement dans notre pays, parce qu’on a ce taux de vaccination très élevé».

Articles de Marc Girard les plus importants consacrés à la crise covid

Été 2020 : https://www.rolandsimion.org/coronavirus-mortalite-epidemiologie-fake-intimidation/

Novembre 2020 : https://www.rolandsimion.org/un-commentaire-sur-le-re-confinement/

L’accélération du délire de ces derniers jours est une preuve supplémentaire que le but du gouvernement n’a AUCUN RAPPORT avec la santé publique.




Appel aux policiers et gendarmes de France

[Source : Profession Gendarme (profession-gendarme.com)]

Un appel aux policiers et gendarmes de France circule actuellement sur la toile. Nous vous en donnons connaissance ici :

Mesdames, Messieurs les agents,

Depuis le mois de juillet vous avez pour consigne de contrôler le passe sanitaire auprès des citoyens et des établissements concernés. Après plusieurs mois d’application, vous avez pu constater les effets de cette mesure sur notre société : division, tensions, exclusion, discrimination, et dépravation de la notion même de liberté, pilier de notre République.

La loi n°2021-1465 du 10 novembre 2021 portant diverses dispositions de vigilance sanitaire permet au gouvernement de poursuivre l’usage de cet outil « si la situation sanitaire le justifie ». Elle ouvre également la voie à de nouvelles mesures de confinement, dont vous seriez la pièce maîtresse.

Jusqu’à quand ?

Il est bon que vous vous posiez la question avant de prendre part à l’application d’une loi qui aura pour conséquence de changer radicalement le monde dans lequel nous vivons.

Votre code de déontologie SUBORDONNE L’EXERCICE DE VOS MISSIONS AU STRICT RESPECT DE LA DECLARATION DES DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN, DE LA CONSTITUTION, DES CONVENTIONS INTERNATIONALES ET DES LOIS.

Voici ce que disent les textes suivants :

• Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 :

Article premier :

“Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience…”

Cela signifie qu’une personne est libre, indépendamment de son statut vaccinal ou de son état de santé.

Si la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme reconnaît que tous les êtres humains sont doués de raison et de conscience, alors tout être humain a droit à ce que l’on respecte le choix auquel cette même raison l’a amené quant à la possibilité de se vacciner ou non.

Article 3 :

“Tout individu a le droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.”

Le risque de décès est inhérent à tout acte médical, car il ne peut jamais être exclu. Imposer – par la pression ou par la force – la vaccination, revient à imposer un risque de mort et enfreint donc l’article 3 de cette Déclaration.

Article 13 :

“Toute personne a le droit de circuler librement”

Article 23 :

“Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.”

Article 27 :

“Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts”

• Code civil :

Article 16-1 :

“Chacun a droit au respect de son corps.”

Le passe sanitaire viole ces dispositions de multiples manières. Il porte atteinte à la liberté et à l’égalité des êtres humains, car:

les individus n’ont plus accès aux lieux de loisirs, ni au système de santé, ni à l’éducation, ni au travail, de manière libre, puisque, s’ils font le choix, guidés par leur raison et leur conscience, de ne pas se soumettre à la vaccination, ils doivent supporter les frais engendrés par la réalisation des tests PCR ou antigéniques obligatoires. L’accès à l’éducation, à la culture, à la santé et au travail est donc conditionné aux ressources économiques de chacun. Ceci va à l’encontre des principes d’égalité et de liberté inscrits dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

Saviez-vous que :

L’article R434-5 de votre code de déontologie prévoit la chose suivante : Sens de l’honneur

“Le policier ou le gendarme exécute loyalement et fidèlement les instructions et obéit de même aux ordres qu’il reçoit de l’autorité investie du pouvoir hiérarchique, sauf dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public.

S’il pense être confronté à un tel ordre, il fait part de ses objections à l’autorité qui le lui a donné, ou, à défaut, à la première autorité qu’il a la possibilité de joindre, en mentionnant expressément le caractère d’illégalité manifeste qu’il lui attribue. Si, malgré ses objections, l’ordre est maintenu, il peut en demander la confirmation écrite lorsque les circonstances le permettent. Il a droit à ce qu’il soit pris acte de son opposition. Même si le policier ou le gendarme reçoit la confirmation écrite demandée et s’il exécute l’ordre, l’ordre écrit ne l’exonère pas de sa responsabilité.”

Le caractère illégal de la loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire a été démontré plus haut.

Quant à l’intérêt public : Croyez-vous que ces mesures ont été conçues dans une logique de santé publique? Ou de contrôle social?

Quelle société voulez-vous pour votre avenir, et celui de vos enfants ?

Un jour, l’opinion publique demandera des comptes à ce gouvernement et à tous ceux qui auront collaboré à l’exécution de ses ordres.

Ce jour-là, comme le prévoit votre code de déontologie, vous serez jugés responsables de vos actes.

Nous vous rappelons également que, selon l’article R434-11 du Code de la sécurité intérieure, “le policier et le gendarme […] n’établissent aucune distinction dans leurs actes et leurs propos de nature à constituer l’une des discriminations énoncées à l’article 225-1 du code pénal.”

Article 225-1 du code pénal :

“Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de leur origine, de leur sexe, […], de leur état de santé, …”

N’oubliez pas que vous êtes au service de la population, qui compte plus que jamais sur votre sens du devoir.

Au nom du peuple français,
et pour vous-mêmes,
unissez-vous et résistez !




L’analyse concrète après 9 mois de vaccination Covid montre des conséquences dévastatrices !

[Source : ]



Ces chiffres officiels choquants montrent une augmentation impressionnante de 24 000 % par rapport à la moyenne annuelle de 9,8 décès post-vaccinaux, dans la période qui précède le début des vaccinations contre le Covid-19 !
Pourquoi l’institut Paul Ehrlich ne tire-t-il toujours pas la sonnette d’alarme ?

Le bilan choquant de 9 mois du CDC (CDC = Centre américain pour le contrôle et la prévention des maladies). On constate une augmentation de 9 200 % par rapport au taux de déclaration annuel moyen de 235 décès avant le début des vaccinations contre le Covid-19 !

Un crime mondial historique de vaccination contre l’ensemble de l’humanité se déroule donc sous nos yeux, qui est encore étouffé de manière criminelle par tous les médias du mainstream.
Le « débat sur la vaccination contre le Covid-19 » connaît actuellement un développement vertigineux :

  • La Saxe est le premier État à avoir introduit le pass sanitaire 2G (2G = vacciné ou guéri du Covid) à l’intérieur des restaurants et lors d’événements, excluant ainsi les personnes non vaccinées d’une grande partie de la vie sociale !
  • Le joueur de football national Joshua Kimmich exprime ses inquiétudes concernant la vaccination contre le Covid-19 et il est ensuite traité comme un « criminel ». L’ancien champion du monde de football Paul Breitner ne le laisserait plus jouer.
  • L’ancien chancelier allemand Gerhard Schröder exige même qu’on discute enfin d’une vaccination obligatoire pour tous les citoyens.
    D’autre part, presque personne dans les médias du mainstream n’est autorisé à signaler (et encore moins à discuter publiquement) les décès et les effets secondaires graves survenus en rapport avec les « vaccins contre le Covid-19 ».
    Dans une vérification des faits, déjà 3 mois après le début des vaccinations en avril 2021, Kla.tv a révélé dans son émission « appel urgent au réveil », un bilan choquant des vaccinations contre le Covid-19 :
    Des milliers de personnes meurent après avoir été vaccinées contre le Covid-19.
  1. 324 personnes âgées meurent dans les maisons de retraite allemandes peu après la « vaccination contre le Covid-19 » !
  2. 3 298 personnes âgées sont infectées dans les maisons de retraite allemandes peu après la « vaccination contre le Covid-19 » !
  3. Des autorités renommées, telles que l’Institut allemand Paul Ehrlich – PEI en abrégé -, l’Agence européenne des médicaments EMA ainsi que l’agence américaine de protection de la santé CDC ont publié depuis le début de la « vaccination contre le Covid-19 » un nombre sans précédent dans l’histoire de la vaccination de décès choquants et d’effets secondaires graves !

Les gens sont très intéressés par ce débat public sur les dommages causés par les vaccins contre le Covid-19, qui a jusqu’à présent été catégoriquement bloqué par les médias du mainstream. C’est ce que montre la réponse à l’appel urgent au réveil d’avril :

Grâce à une diffusion active, plus de 2,75 millions de personnes ont déjà vu cet appel au réveil. Par l`engagement d’un seul téléspectateur de Kla.tv, environ 400 000 personnes ont pu être atteintes rien qu’au Japon. Cela a peut-être contribué au fait que la campagne de vaccination contre le Covid-19 au Japon a été arrêtée pour l’instant !

Aujourd’hui, nous effectuons une nouvelle analyse concrète sur la base de données beaucoup plus complètes après 9 mois de « vaccination contre le Covid-19 » : Quelles sont concrètement les conséquences actuelles de cette vaccination ?

Les décès et les infections causées par le Covid-19 dans les maisons de retraite ne cessent pas, malgré la vaccination !

Osthofen :
Malgré une vaccination complète : plus de 100 personnes ont été infectées ! 13 résidents sont morts à la suite de l’infection.

Norderstedt :
Sur 76 résidents, 60 ont été infectés – seuls 3 n’étaient pas vaccinés ! Plus tard, 6 résidents sont décédés.

Schorfheide :
44 résidents ont été infectés malgré un large taux de vaccination ! 10 femmes et 1 homme sont décédés !

Bad Doberan :
Epidémie massive de coronavirus : malgré un taux de vaccination de plus de 90 %, 66 des 83 résidents de la maison de retraite ont été infectés, 6 sont décédés !

Oberhausen-Holten :
3 personnes âgées ont dû être réanimées 3 jours après la 3e vaccination ! Une de ces personnes est décédée !

Zedelgem/Belgique :
Bien que près de 100 % des personnes âgées aient déjà reçu « la piqûre de rappel », 28 résidents tombent malades du Covid-19 !

Ces quelques exemples constituent tout au plus la « pointe de l’iceberg » et soulèvent la question urgente suivante : les 2 ou 3 « vaccins » protègent-ils vraiment contre le Covid-19 ?

L’IPE lui-même semble avoir de sérieux doutes à ce sujet, puisqu’il a dû modifier trois fois la description de l’efficacité des vaccins contre le Covid-19 au cours des dernières semaines :

15 août 2021 : Les vaccins COVID-19 protègent contre les infections par le virus du SRAS-CoV-2.
7 septembre 2021 : les vaccins COVID-19 protègent contre une évolution grave d’une infection par le virus du SRAS-CoV-2.

23 septembre 2021 : Les vaccins COVID-19 sont indiqués pour l’immunisation active en vue de prévenir la maladie COVID-19 causée par le virus SARS-CoV-2.

De la protection initialement promise contre une infection par le coronavirus, il ne reste donc désormais qu’un vague espoir que les prétendus « vaccins » puissent avoir un effet préventif !

Même l’institut Robert Koch (RKI en abrégé) n’ose désormais plus parler d’un effet protecteur de ce qu’on appelle le « vaccin de protection contre la maladie du Covid », car il a retiré de sa page d’accueil, le 2 novembre 2021, la formulation suivante :

« La vaccination a un effet protecteur élevé d’au moins 80% contre le COVID-19 sévère, indépendamment du vaccin utilisé. » De même, l’estimation selon laquelle « les personnes vaccinées ne jouent pas un rôle important dans l’épidémiologie » a été supprimée. C’est donc précisément ce qui constituait jusqu’à présent la base des privilèges des vaccinés qui a été supprimé !

Cela constitue une déclaration de faillite et montre que les personnes vaccinées ont été trompées. L’effet protecteur n’a été que simulé !
Manifestement, le PEI et le RKI tentent de sauver la face avec ces modifications, car la vaccination, avec l’augmentation rapide des infections au Covid chez les personnes déjà plusieurs fois vaccinées, met en évidence le manque d’effet protecteur !

Bilan choquant sur 9 mois de l’Institut Paul Ehrlich

En l’espace de 21 ans, de 2000 à 2020, un total de 206 décès d’adultes suite à des vaccinations a été signalé au PEI. Cela correspond à une moyenne de 9,8 décès par an.
Dans notre cri d’alarme : « Des décès par milliers après la vaccination Covid-19 », nous avons déjà indiqué pour le premier trimestre 2021, selon le PEI, 407 décès après une vaccination contre le Covid.

Au 30 septembre 2021, le PEI annonçait déjà 1 802 décès après l’administration du vaccin Covid ! Extrapolé à l’ensemble de l’année 2021, cela correspond à 2 402 décès. Ces chiffres officiels choquants prouvent une augmentation d’environ 24 000 % par rapport à la moyenne annuelle de 9,8 décès avant le début des vaccinations Covid !
Pourquoi le PEI ne tire-t-il toujours pas la sonnette d’alarme ? Au lieu de cela, le PEI a même supprimé le point « décès » dans l’aperçu de ses prétendus rapports de sécurité et a dissimulé les décès de manière raffinée dans le texte. Au vu de tels faits, ne faut-il pas conclure à une irresponsabilité inconcevable, voire à une démarche criminelle de la part de cette autorité ?

Bilan choquant sur 9 mois du CDC

Avant le début des « vaccinations Covid », le CDC a signalé 235 décès en moyenne annuelle entre 2010 et 2020 après l’administration de toutes sortes de vaccins. Le 29 mars 2021, après seulement 3 mois environ de vaccinations Covid, le CDC annonçait déjà 2 509 décès. Après environ 9 mois, le CDC annonce maintenant un nombre incroyable de 17 128 décès au 15 octobre 2021.

Extrapolé à l’ensemble de l’année 2021, cela représenterait 21 635 décès ! Par rapport au taux de déclaration annuel moyen de 235 décès avant le début des vaccinations Covid, cela représente une augmentation de 9 200 % !
L’émission Kla.tv « USA : plus de décès dus à la vaccination Covid que de décès dus au Covid » montre même qu’aux États-Unis, il y a très probablement eu plus de décès après la vaccination que de décès dus à la maladie du Covid elle-même !

Autres faits mis en lumière depuis le 1er appel à la vigilance d’avril, qui exigent un arrêt immédiat de la vaccination

Des pathologistes démontrent, sur la base d’autopsies, que la vaccination est à l’origine de la mort dans 30 à 40 % des cas !

Des médecins démontrent la présence de graves impuretés dans les vaccins dits « Covid » ! Le Japon a arrêté la campagne de vaccination en raison des « impuretés » dans le « vaccin Covid »!

Des fausses couches augmentent dramatiquement après la vaccination Covid-19 !

Contrairement à ce qu’affirment les médias, plus de personnes vaccinées que de personnes non vaccinées doivent être hospitalisées à cause du Covid-19 !

Un entrepreneur de pompes funèbres britannique témoigne que depuis le début du programme de vaccination Covid, une vague de mortalité sans précédent a commencé. En revanche, les chiffres concernant les décès dus au Covid ont été massivement faussés vers le haut !

TOTAL de l’analyse concrète après 9 mois de vaccination :

Les chiffres publics choquants des plus hautes autorités comme le PEI et le CDC ont encore une fois explosé de manière dramatique par rapport au cri d’alarme de Kla.tv en avril ! Sous nos yeux se déroule donc un crime vaccinal mondial historique contre l’humanité entière ; celui-ci est encore criminellement passé sous silence par tous les médias du mainstream. Notre appel au réveil est donc plus urgent que jamais!

La grande tromperie de la population par les médias de masse uniformisés

Les effets secondaires exorbitants des vaccins cités dans cette émission, allant jusqu’à des milliers et des milliers de décès en relation temporelle étroite avec l’injection Covid contrastent fortement avec la propagande vaccinale quotidienne des médias dirigeants financés par les taxes obligatoires. Comment est-il possible que tous les médias de masse taisent de manière tout à fait irresponsable cette « catastrophe vaccinale » devant le peuple, et bloquent catégoriquement tout débat public?

Le fameux virologue Christian Drosten a même récemment déclaré : « Notre réalité est ce que les médias nous reflètent. »
De cette manière, en tant qu’« agence de publicité pharmaceutique », les médias de masse suggèrent au peuple la réalité d’une vaccination Covid parfaitement sûre. L’analyse concrète après 9 mois de vaccination Covid révèle cependant une véritable catastrophe vaccinale. Les médias de masse manifestement alignés ont ainsi désinformé et trompé la population de manière tout à fait criminelle.

Appel urgent à tous les citoyens !

Chers téléspectateurs,

Notre appel urgent s’adresse donc une fois de plus à tous les citoyens: aidez-nous à mettre immédiatement un terme au crime vaccinal révélé dans cette vidéo. Cela ne peut être fait que par le peuple, c’est-à-dire par le souverain suprême.
Demandez donc aux responsables politiques, aux responsables de la santé publique et aux médecins de rendre des comptes sur les faits choquants révélés dans cette vidéo et exigez une prise de position ! De cette manière, il sera possible de lancer un débat public indispensable !

Ne laissez plus les groupes médiatiques criminels détenir le pouvoir sur l’information. Utilisez plutôt la possibilité de contacter personnellement les nombreuses personnes de valeur qui sont encore largement ignorantes par rapport à cette catastrophe vaccinale. Étant donné que même les plateformes sociales, comme Youtube, suppriment généralement toute voix critique à l’égard de la vaccination peu de temps après sa mise en ligne, ce rappel à l’ordre urgent ne peut plus être transmis que par voie personnelle, c’est-à-dire de personne à personne.

Partagez donc MAINTENANT cette vidéo éducative avec le plus grand nombre possible d’amis, de collègues de travail et de membres de votre famille en utilisant le lien qui s’affiche. Utilisez tous les moyens à votre disposition, par exemple mail, WhatsApp, Twitter, Vimeo, Telegram ou publiez simplement la vidéo sur Facebook. Aidez-nous à faire en sorte que ce rappel à l’ordre urgent atteigne le plus grand nombre possible de citoyens !

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Sources / Liens :

Die « Corona-Impfdebatte »
https://www.deutschlandfunk.de/coronapandemie-landesweite-2g-regel-in-sachsen-ab-montag.1939.de.html?drn:news_id=1319099

https://www.deutschlandfunk.de/corona-impfung-podolski-kimmich-wird-als-schwerverbrecher.2851.de.html?drn:news_id=1317847

https://www.focus.de/sport/fc-bayern-paul-breitner-nimmt-sich-kimmich-zur-brust-bei-mir-haette-er-nicht-gespielt-oder-trainiert_id_24380676.html

https://www.t-online.de/nachrichten/deutschland/id_91095622/rekord-infektionen-altkanzler-schroeder-bringt-impfpflicht-fuer-alle-ins-spiel.html

Stopp der Impfkampagne in Japan
https://uncutnews.ch/japan-laesst-die-einfuehrung-von-impfstoffen-fallen-stellt-auf-ivermectin-um-und-beendet-Covid-fast-ueber-nacht/

Aussagen von PEI und RKI zur Wirksamkeit der « Corona- Impfstoffen »
https://web.archive.org/web/20210815002224/https://www.pei.de/DE/arzneimittel/impfstoffe/Covid-19/Covid-19-node.html

https://reitschuster.de/post/rki-stellt-im-kleingedruckten-corona-kurs-auf-den-kopf-und-keiner-merkt-es/

https://web.archive.org/web/20211101190904/https://www.rki.de/SharedDocs/FAQ/COVID-Impfen/FAQ_Transmission.html

Die aktuellen Zahlen von PEI und CDC zu Nebenwirkungen und Verdachtsfällen
PEI
https://www.pei.de/SharedDocs/Downloads/DE/newsroom/dossiers/sicherheitsberichte/sicherheitsbericht-27-12-20-bis-30-09-21.pdf?__blob=publicationFile&v=6

CDC
https://pressecop24.com/usa-neue-berichte-und-zahlen-ueber-noch-mehr-todesfaelle-nach-Covid19-impfungen

Verunreinigungen im Corona-Impfstoff in Japan
https://uncutnews.ch/japan-laesst-die-einfuehrung-von-impfstoffen-fallen-stellt-auf-ivermectin-um-und-beendet-Covid-fast-ueber-nacht/

Zitat Christian Drosten
https://www.n-tv.de/panorama/Drosten-kritisiert-Corona-Berichterstattung-article22909525.html?utm_source=pocket-newtab-global-de-DE




Mr Véran, un « cas » n’est pas un malade ! Sans test PCR, il n’existe pas de vague. Stop mesures antiCovid ! MàJ

Par Nicole Delépine

Une nouvelle fois les mesures annoncées par le ministre reposent sur des « cas » dépistés par tests et non sur des malades.

VAGUE DE « CAS » FONDÉS SUR TESTS PCR DÉNONCÉS PAR LA FDA, MAIS PAS DE MALADES

Les nouvelles annonces d’O. Véran reposent comme depuis plus d’un an sur les « cas » et la mystification, qui consistent à confondre cas dépistés par des tests fallacieux et de vrais malades.

Et comme les médias diffusent en continu la propagande gouvernementale sans dénoncer la différence entre un test positif et un vrai malade (que le réseau sentinelle dépiste), la panique et ses conséquences funestes continuent sur tous les plans, médical, mais aussi psychologique, économique et politique. Pendant que des pays aussi différents que le Texas ou la Côte d’Ivoire ont repris des vies normales depuis des mois, la France continue de s’enfoncer dans la désespérance et la régression générale.(([1] Faites vos jeux, rien ne va plus ! Comment le gouvernement peut-il parler de cinquième vague ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Qu’a dit Véran ?

« Le pass sanitaire ne sera plus valide sans la 3e dose à partir du 15 janvier.

La 3e dose de vaccin anti-Covid est ouverte à tous les Français de plus de 18 ans dès 5 mois après la 2e injection. Le pass sanitaire sera désactivé 7 mois après la 2e dose.

– Le gouvernement a exclu toute mesure de restriction stricte de type confinement et couvre-feu, compte tenu de la pression hospitalière qui reste modérée.
– La durée de validité des tests PCR et antigéniques, qui permettent d’obtenir le pass sanitaire sans vaccination, sera réduite à 24 h.
– Le port du masque est à nouveau obligatoire dans tous les établissements recevant du public, et dans les lieux de brassage de population à l’extérieur sur décisions des préfets.
– Les classes d’école ne seront plus fermées dès détection d’un cas de Covid-19. En cas de nouveau cas détecté, les élèves seront tous testés, ceux présentant un résultat négatif resteront admis en classe.

Les tests seront gratuits et pourront être faits par les parents à l’extérieur de l’école »

Cerise sur le gâteau : passe obligatoire pour les marchés de Noel !! .

LES ÉVEILLÉS : OUVREZ LES YEUX CONTRE LES TESTS PCR ET INFORMEZ !

Quand les « éveillés » vont-ils ouvrir leurs propres yeux et ceux de la population sur la vague de tests et l’absence d’augmentation du nombre de malades ? Ce test est l’arme de terreur du pouvoir qui permet de tenir le peuple dans l’angoisse de cette fameuse nouvelle vague qu’ils attendent tant elle est annoncée. Et tant que la population ne fera pas la différence entre cas et malades, ils recommenceront encore et encore.

Il faut dénoncer la supercherie qui nous trompe depuis janvier 2020. Elle a été clairement démontrée par maître Reiner Fuellmich dès octobre 2020(([2] Nuremberg-Covid : un crime contre l’humanité qui doit être jugé ! — Riposte LaïqueRiposte Laïque (ripostelaique.com) )) et par le tribunal de Lisbonne qui a fort longuement expliqué qu’un diagnostic est un acte médical qui repose sur une consultation, des signes cliniques et éventuellement confirmé par les examens paracliniques.(([3] Vers le faire-part de décès des tests PCR (francesoir.fr)
Un tribunal portugais juge que les tests PCR sont « peu fiables » et les quarantaines « illégales » (profession-gendarme.com) )) Nous avions espéré que ces petites victoires juridiques aideraient à faire cesser cette tromperie mondiale, mais rien n’y a fait : le cirque continue, entretenant la peur même chez les soi-disant éveillés qui vont se faire tester pour se rassurer, et même chez certains médecins lanceurs d’alerte qui incluent le test PCR dans leurs algorithmes.

LE LEURRE DES CONTAMINATIONS DOIT CESSER

LES CAS NE SONT NI DES MALADES NI DES MORTS

Et le ministre l’avoue puisqu’il n’envisage pas de confinement ni couvre-feu en l’absence de pression hospitalière. Pas de malades, pas de morts.

Il vient de se faire prendre la main dans le sac, obligé de reconnaître que la soi-disant surcharge insupportable de nos hôpitaux de 2020 n’a rempli que 2 % des lits en moyenne et donc même si c’est 19 % au moment des pics, on reste très loin du tsunami décrit chaque soir par notre croque-mort de service toujours en place à ce jour. Donc il attend un peu que l’effet négatif médiatique soit oublié. Quelques journalistes n’ont pas apprécié le mensonge éhonté.

Le test PCR

ne dépiste que des virus, proches ou équivalents au SARS-CoV-2, des résidus de virus plus ou moins récents, mais ne démontre en aucun cas une nouvelle vague de Covid19.

Kary Mullis, l’inventeur du test PCR.
Voir aussi : Dr Kary Mullis : Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH

Tous ceux qui tentent d’informer sur les vérités et mensonges dans ce scénario catastrophe de plandémie depuis bientôt deux ans doivent le hurler, le répéter, l’expliquer, etc. et ne jamais le laisser oublier ! Et n’oubliez jamais que les bien portants appelés asymptomatiques ne transmettent pas le virus : ceci fut définitivement démontré par l’étude chinoise sur dix millions de personnes et aussi vite oublié. C’est la deuxième arme du trucage du scénario Covid.(([4] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr) ))

LE TEST PCR EST L’ARME DU POUVOIR POUR NOUS MUSELER, PIQUER, ENFERMER, TRACER

Laissons raconter cette supercherie des tests PCR par le Dr Édouard Broussalian

Extrait de son magnifique récit de cette pandémie(([5] Un Plan Pour Le Monde — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) et
Planète Homéopathie • Un Plan Pour Le Monde (planete-homeopathie.org) avec toutes les références)):

« Sans tests PCR il n’y avait point de pandémie(([6] résumé par Fuellmich lui-même : « Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent ». « En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes ». « Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé — n’en déplaise au bon Docteur Knock. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement “normal” ». « Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires.)) et le test était parfaitement vérolé de manière à détecter un maximum de “cas”. Mais c’était tout ce qu’il fallait pour aller dans le sens de la nouvelle définition de “pandémie”, juste des “cas”, pas forcément des vrais malades et encore moins de mortalité. Un document qui vient d’être publié par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis admet ouvertement que le fameux test PCR pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a été mis au point non pas à partir d’échantillons réels du virus chinois, mais plutôt à partir de ce qui semble être du matériel génétique d’un virus du rhume. Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR.(([7] CDC 2019 Novel Coronavirus (nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel—Instructions for Use (fda.gov) ))

De manière parfaitement incroyable, l’article de Corman-Drosten a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne. »

« Plus incroyable encore, le protocole de test Drosten, qu’il avait envoyé à l’OMS à Genève le 17 janvier 2020, avant même que l’article ne soit publié(([8] Et donc sans possibilité de relecture par ses pairs.)) a été officiellement recommandé par l’OMS comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus de Wuhan. »

Que dire du scandale des cycles d’amplification ? L’OMS et Drosten ont recommandé un CT de 45 cycles. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les “positifs” PCR en Allemagne et ailleurs explosent. Comme le soulignent les auteurs critiques, si les autorités sanitaires devaient spécifier 35 cycles maximum, selon l’article de Jaafar à l’IHU à 35 cycles, il ne resterait plus que 3 % de vrais positifs ! Ils notent, « un résultat analytique avec une valeur CT de 45 est scientifiquement absolument dénué de sens (une valeur CT raisonnable ne doit pas dépasser 30). »

Le 27 novembre 2020, un groupe très respecté de plus de 20 virologues, microbiologistes et scientifiques du monde entier a publié un appel à Eurosurveillance pour retirer l’article du 23 janvier 2020 du « Dr » Christian Drosten, l’inventeur du dit « test » PCR. Leur analyse minutieuse de la pièce originale est accablante. Le leur est un véritable « examen par les pairs ». Ils accusent Drosten d’incompétence scientifique « fatale » et de failles dans la promotion de leur test.

Il est même possible que ce test fourré au fond du nez serve rapidement à ficher toute la population avec l’ADN des frottis. Une firme britannique entend gagner ainsi beaucoup d’argent.

Que seule la complicité servile des mé(r)dias — hormis en France l’exception notable de France Soir et quelques rares autres — soutenue par une censure féroce dans tous les réseaux sociaux a permis d’installer la doxa officielle dans les cerveaux d’une population hypnotisée, abasourdie. Toute forme de pensée critique, quelle qu’elle soit, est immédiatement accusée d’être complotiste, la plupart des professionnels compétents sont muselés par la peur du dénigrement.

« Le grand test que fut la grippe H1N1 a appris aux mondialistes que le contrôle absolu des médias conditionnait la réussite du projet. C’est aujourd’hui chose faite. Devant des médias complices de la conspiration, débitant ad nauseam la doxa du système, la censure systématique — notamment sur les réseaux sociaux — et la ridiculisation de toute voix discordante à l’aide d’étiquettes telles que « complotisme » ou « anti-vax ». La censure organisée sur tous les réseaux sociaux et dans la pressetituée nous a prouvé très tôt l’existence d’un projet, d’une volonté, d’une coordination du crime, avec les fameux « fact-checkers » — simples informaticiens ou joueurs de jeux vidéo autoproclamés défenseurs de la « science » — formant les bataillons de la répression afin de maintenir à tout prix la vision et les ordres de l’OMS. »

Notons que cette nouvelle version de l’historique confirme une fois de plus les récits de Denis Rancourt et Pascal Sacré dans mondialisation.ca entre autres, et ceux de Reiner Fuellmich dans nombre de vidéos et de bien d’autres ; tous travaux que nous avons tenté de répercuter pour rassurer et faire stopper cette double tromperie, imposture, duperie, falsification, fraude, dans un silence et une indifférence intersidérale.

D’où vient la valeur magique de ce bout de coton enfoncé au fin fond de votre nez, alors qu’on vous raconte que ce virus malin est fort contagieux et qu’il faut porter un masque pour éviter de contaminer les autres, même en forêt ou à la plage voire seul sur le mont Blanc ?

Appelez le test PCR du nom de votre choix, fraude médicale étant peut-être encore le plus approprié, mais informez, que cette plandémie puisse cesser avec son cortège de drames, de malades cancéreux et autres non traités, de suicides, de faillites, de ruptures, etc.

En résumé

Les tests PCR doivent être abandonnés et les malades diagnostiqués par les médecins comme pour n’importe quelle grippe.

Les cas ne sont pas des malades.

Les asymptomatiques ne sont pas malades et ne sont pas contagieux.

Les pseudovaccins géniques ne protègent pas des contaminations ni des formes graves, comme le nombre élevé d’hospitalisés double-vaccinés en Israël ou en Angleterre le démontre. Leurs effets secondaires sont importants, bien supérieurs aux autres « vaccins ».

En France, le syndrome Tchernobyl et la peur du conseil de l’ordre et des supérieurs hiérarchiques bloquent l’information qui ne doit néanmoins être guère différente des autres pays.

Pour désarmer le ministre sans violence, il faut le priver de la croyance en son test PCR et de ce narratif mensonger.

Et pour tous ceux qui se sont fait injecter pour retrouver la liberté, si vous ne vous réveillez pas, vous avez pris un abonnement pour perpet…(([9] élargissement de la dose de rappel à tous.
– Réduction du délai de 6 à 5 mois pour faire prendre sa dose de rappel ;
– À partir du 15 décembre, le pass sanitaire pour les +65 ans ne sera plus actif si l’injection de rappel n’aura pas été prise dans un délai de 7 mois après la dernière dose ;
– À partir du 15 janvier 2022, le pass sanitaire ne sera plus valide pour toutes les autres classes d’âges n’ayant pas pris leur dose de rappel.
Pour toutes et tous ceux qui croyaient que se faire injecter, c’était le retour à la liberté, vous voilà rassurés.
Vous venez de prendre pour perpet ». Via libreetinsoumis sur telegram))





À propos de la prétendue 5e vague. MàJ

[Source : IRSAN Recherche]

La « cinquième vague », nouvel épisode d’un feuilleton qui a trop duré

Par Laurent Toubiana

Depuis quelques jours, la petite musique tant de fois entendue d’un nouvel épisode du feuilleton sanitaire en France se fait de nouveau entendre. Ce nouvel épisode s’appelle la « 5e vague ». Depuis plus d’un an et demi, la population française est soumise à un flot quasi continu de mauvaises nouvelles dont l’un des acteurs principaux est un virus du nom de Sars-Cov-2. Nous voici donc entrés dans une nouvelle zone de turbulence.

Fig. 1 : Évolution du taux d’incidence hebdomadaire pour 100 000 habitants de malades du Covid-19 et des décès liés au Covid-19
Source : Réseau Sentinelles, Santé Publique France, mise en forme IRSAN (https://covid.irsan.eu)
Champ : France métropolitaine
Note de lecture : la courbe rouge montre l’évolution hebdomadaire pour 100 000 habitants de malades du Covid-19 selon le Réseau Sentinelles (échelle à droite en rouge de 0 à 120). En mars 2020, cette courbe montre un maximum avec 140 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants. Lors du 4ème « pic » de cette courbe (début août 2021), l’incidence est de 31 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants.
La courbe noire montre l’évolution du nombre hebdomadaire de décès testés positifs au Covid-19 pour 100 000 habitants source Santé Publique France (échelle à droite en noir de 0 à 10). Le point maximum est au début de la courbe avec 9,7 décès en une semaine pour 100 000 habitants début avril 2020.

Le scénario est maintenant bien rodé. En amont, il commence par des avis de scientifiques qui, alors que tout est supposé « sous contrôle », annoncent la possibilité du retour d’une nouvelle vague épidémique. Ces oracles sont bientôt confirmés par des données venant de pays plus ou moins lointains ; tout va bien en France, mais ailleurs c’est très grave. Les hypothèses de nos scientifiques s’avèreraient donc exactes. Les articles de presse pleuvent sur la panique engendrée dans ces pays et les mesures très dures en passe d’être mises en œuvre. Ces mesures nous paraissent démesurées, mais une petite voix nous dit qu’il faut se préparer à ce que ce soit bientôt notre tour. Enfin, Santé Publique France donne l’estocade et annonce à son tour une élévation « inquiétante de l’incidence » sans vraiment expliquer ni de quoi il s’agit exactement, ni en quoi elle est inquiétante. Cette information est immédiatement relayée par de puissants organes médiatiques. Elle est ensuite reprise par les autorités qui remettent en place des mesures contraignantes (masque obligatoire dans toutes les écoles et dans la rue de départements de plus en plus nombreux). « En même temps », le porte-parole du gouvernement nous assure de ne pas nous inquiéter. Cela inquiète encore plus car, à chaque fois qu’il ne faut pas s’inquiéter, nous pouvons être sûrs du contraire ; cela est en général confirmé quelques jours plus tard. Le nombre d’articles publiés sur la prochaine vague augmente et prépare

le terrain. « Quelques dissidents » sont invités à s’exprimer pour faire bonne mesure car nous sommes en démocratie, juste le temps de les décrédibiliser : incompétents, naïfs, inconscients, irresponsables, dangereux, complotistes.

Depuis toujours, une épidémie se caractérise essentiellement par le nombre de malades et de morts qu’elle provoque. Ainsi, ce que l’on appelle normalement « incidence » est le nombre de nouveaux malades en une semaine rapporté à la population, lequel permet d’évaluer la dynamique d’une épidémie de maladie transmissible à évolution rapide. L’arrivée des tests et la massification de leur utilisation dévoyée à partir d’août 2020 a permis de redéfinir l’essence même de la définition classique de l’épidémie. Dans le cadre de l’épidémie de Covid -19, les estimations de l’incidence à destination du grand public ne se réfèrent plus aux nouveaux malades ou morts engendrés par le virus mais à des porteurs de virus qui, à plus de 80 %, ne sont pas malades et ne le seront jamais. De fait, le nombre de porteurs de virus est beaucoup plus important que le nombre de malades ou de morts. Il est donc fallacieux d’utiliser le même mot « incidence » pour représenter une réalité différente de la définition communément admise par les épidémiologistes, l’incidence d’une pathologie.

Pourtant, l’incidence d’une pathologie est un outil élémentaire utilisé pour le suivi de toutes les épidémies sous surveillance depuis des dizaines d’années (dont la plus emblématique est celle des syndromes grippaux). Pourquoi n’est-il pas appliqué pour l’événement épidémique du siècle ? Probablement parce que les incidences de la maladie covid-19 (et non des tests positifs) sont tellement faibles qu’elles ne peuvent être décemment invoquées pour justifier les mesures de contrôle qui apparaîtraient à l’évidence disproportionnées : confinements généralisés de la population, port du masque obligatoire dans la rue, taux de couverture vaccinale aberrant, passe sanitaire. Si l’incidence « classique » était utilisée, les populations n’auraient plus peur et n’accepteraient pas ces mesures considérées dès lors comme extravagantes.

Justement, quelles sont les valeurs de l’incidence du Covid-19 ? En France, sur les 90 semaines depuis le commencement de la crise du Covid -19, la plus forte incidence a été observée entre le 23 et le 29 mars 2020, au tout début de la crise ( cf. fig. 1). Lors de cette semaine paroxysmique, 140 nouveaux malades pour 100 000 habitants ont été estimés par le Réseau Sentinelles (premier réseau de surveillance de maladies transmissibles en France) ;les autres sources de médecins généralistes de terrain, dits de premier recours, sont concordantes. Pour fixer les idées, 100 000 habitants, c’est environ la population d’une préfecture importante (Caen, Nancy, Avignon…). À titre de comparaison, le même réseau de médecins estimait dans les mêmes conditions à plus de 600 malades de syndromes grippaux en une semaine pour 100 000 habitants en moyenne lors des pics épidémiques des annéesantérieures depuis 20 ans. Pourtant, connues depuis des siècles, les épidémies de grippe ont toujours été désignées comme des épidémies « banales » alors que le tableau clinique de la grippe est considéré comme touchant les individus plus durement que celui du Covid-19 dans la plupart des cas. Depuis mars 2020, aucune autre semaine n’a montré une incidence du Covid-19 supérieure. L’amplitude des pics saisonniers de l’incidence du Covid-19, fin octobre 2020, fin mars 2021 correspondant à ce qui a été improprement appelé « vagues » n’ont cessé de décroître. Pour la dernière, dite 4ème vague, début août 2021, l’incidence du Covid-19 a atteint le chiffre dérisoire de 31 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants (cf. fig. 1).

Il en va de même pour les hospitalisations et les décès. 31 nouvelles personnes avaient été hospitalisées et 9 sont décédées pour 100 000 habitants au cours de la semaine la plus impactée en 1 an et demi de crise.

Ces chiffres sont à peine crédibles tellement ils sont faibles. Toutefois ils sont cohérents avec ceux qui ont été publiés par l’ATIH et qui indique que seulement 2 % de l’activité des hôpitaux ont été consacré au Covid-19 en 2020. Par ailleurs, il a été établi que cette période de crise sanitaire prétendue « majeure » n’avait provoqué aucune surmortalité pour les personnes âgées de moins de 65 ans, soit 80 % de la population française, et unesurmortalité de moins de 4 % pour les autres.

De nombreux articles scientifiques ont montré que, sans pouvoir limiter l’épidémie, les mesures prises ont eu de nombreux effets délétères directs et indirects sur les individus et les populations. Ceux-ci ne font que commencer, comme la dégradation de l’état psychique, notamment chez les jeunes, la baisse du niveau scolaire ainsi que les conséquences sur la santé de la dégradation économique du pays suite à la politique du « quoi qu’il en coûte » décidée pour mettre en place le premier confinement et que les Français subissent du fait de l’augmentation de la facture énergétique. Quant au taux de couverture vaccinale aberrant avoisinant les 90 % de la population des plus de 12 ans, les autorités l’ont imposé aux populations usant de méthodes d’intimidations ou de culpabilisation au motif de les protéger collectivement. Nous venons de montrer que l’impact réel en termes de morbidité et mortalité est extrêmement faible mais cela ne suffit toujours pas, ces populations ayant déjà beaucoup souffert des mesurescensées les protéger, doivent encore endurer un nouvel épisode de ce feuilleton insupportable.

Tous les chiffres cités sont disponibles pour le grand public, accessibles sur Internet. Ils crèvent les yeux mais décidément, ils semblent difficiles à voir.

IRSAN : Institut de Recherche pour la valorisation des données de SANté

37, rue des Mathurins 75008 Paris.




La mystification par le test PCR pour créer le mythe de la pandémie et entretenir la peur. MàJ

Par Nicole Delépine

RÉVÉLATIONS CAPITALES DE LA FDA

Invention du récit Covid

La mystification par l’usage inapproprié du test PCR, dénoncée depuis octobre 2020 par l’avocat Reiner Fuellmich continue malgré sa condamnation en justice en octobre 2020 au Portugal.(([1] Vers le faire-part de décès des tests PCR (francesoir.fr) ))(([2] La grande supercherie des tests PCR, 90 % des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux (francesoir.fr) ))

Kary Mullis, l’inventeur du test PCR.
Voir aussi : Dr Kary Mullis : Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH

Partout dans les pays riches, les gouvernants imposent son usage mortifère grâce à la corruption de nombreux scientifiques et médecins, médias auxquels on laisse la parole, les nombreux autres étant diffamés menacés et muselés.

Actuellement, un simple test positif vous fait qualifier de « cas »,(([3] *Elena Surkova, Vladyslav Nikolayevskyy, Francis Drobniewsk
False-positive Covid-19 results: hidden problems and costs www.thelancet.com/respiratory Vol 8 December 2020))(([4] https://latribunedissidente.over-blog.com/2020/10/la-pertinence-des-tests-pcr-dr-pascal-sacre.html))(([5] Covid : La PCR nasale peut-elle mentir ? Dr Pascal Sacré, AIMSIB, 30 août 2020)) vous déclare dangereux pour les autres, vous interdit de travail, d’école ou de sport et vous expose à des interrogatoires dignes de l’inquisition (la torture physique en moins) pour que vous dénonciez ceux que vous avez rencontrés, qui seront aussitôt déclarés cas contact et soumis à leur tour à la folie d’exclusion et de tests répétitifs.

Pour casser la chaîne de transmission, il faut isoler les vrais malades, ceux qui présentent des signes cliniques (fièvre, toux, fatigue, anosmie…) chez lesquels le test peut être utile pour confirmer le diagnostic d’infection virale (et guère plus) et laisser vivre normalement les asymptomatiques (qui ne sont que très exceptionnellement contaminateurs).

Chez une personne ne présentant aucun signe clinique, la positivité d’un test PCR n’indique absolument pas qu’elle est malade, ni qu’elle le deviendra, ni qu’elle est porteuse de virus, ni qu’elle peut le transmettre.

Ces constatations ont initialement été faites sur 3790 cas positifs.(([6] Rita Jaafar Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère Maladies infectieuses cliniques, 28/9/2020 ciaa1491,
https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491))

Leur confirmation définitive en a été réalisée lors du dépistage colossal (10 millions de personnes testées) autour de Wuhan(([7] France info avec AFP : Après avoir mobilisé plus de 28 000 soignants sur plus de 2 800 sites, les autorités de Wuhan (Chine) ont réalisé la plus vaste opération de dépistage du Covid-19 chez onze millions d’habitants pour un prix de 127 millions de dollars lundi 9 août 2020…)) où aucun des 300 asymptomatiques positifs en PCR ne s’est révélé porteur de virus, ni contaminant, ni atteint par la maladie après un mois de surveillance.

Nous savons, ils savent, et nous savons qu’ils savent.(([8] L’archipel du goulag, Soljenitsyne))

Un document récent de la FDA admet enfin que le test PCR « Covid » a été développé sans échantillons viral spécifique isolé pour l’étalonnage des tests, admettant qu’il teste autre chose,(([9] https://www.fda.gov/media/134922/downloadwww.fda.gov)) quelques séquences d’ARN insuffisamment spécifiques du virus

Le tristement célèbre test PCR pour le coronavirus (Covid-19) n’a pas été développé avec des échantillons réels, mais plutôt avec ce qui semble être du matériel génétique provenant d’un virus du rhume.

Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR.

Pourtant les autorités savaient que de nombreuses personnes seraient testées « positives », leur permettant ainsi d’utiliser ces résultats pour créer le récit « Covid ».

Il n’existe aucun test légitime permettant d’identifier avec précision la présence du SRAS-CoV-2.

Une autre révélation dans le document récent est l’admission par la FDA que les résultats des tests sont « regroupés » et donc produisent des chiffres inexacts. La FDA fabrique littéralement des données pour soutenir un faux récit.

AINSI : « nous sommes maintenant à la croisée des chemins dans le monde entier. Le moment est à nous de décider si nous allons permettre à ce type de fascisme médical de persister et d’avoir un impact sur l’avenir de nos enfants. Ou si nous allons enfin dire non à la politique tyrannique du gouvernement. »(([10] https://rightsfreedoms.wordpress.com/2021/10/27/fda-document-admits-Covid-pcr-test-was-developed-without-isolated-samples-for-test-calibration-e))

Extraits choisis du document de la FDA de janvier 2020 et revu régulièrement (dernier en juillet 2021)

« Since no quantified virus isolates of the 2019-nCoV were available for CDC use at the time the test was developed and this study conducted, assays designed for detection of the 2019-nCoV RNA were tested with characterized stocks of in vitro transcribed full length RNA (N gene; GenBank accession : MN908947.2)

« Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et que cette étude a été menée, des tests conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN transcrit in vitro sur toute la longueur (gène N ; Accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/μL) enrichi en un diluant constitué d’une suspension de cellules A549 humaines et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique.(([11] https://www.fda.gov/media/134922/downloadwww.fda.gov))

CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel(([12] Centers for Disease Control and Prevention Division of Viral Diseases 1600 Clifton Rd NE Atlanta GA 30329 CDC-006-00019, Revision: 07 CDC/DDID/NCIRD/ Division of Viral Diseases Effective: 07/21/2021))

« Les résultats concernent l’identification de l’ARN du SRAS-CoV-2.

L’ARN du SRAS-CoV-2 est généralement détectable dans les échantillons des voies respiratoires supérieures et inférieures pendant l’infection. Les résultats positifs sont révélateurs d’une infection active par le SRAS-CoV-2, mais n’excluent pas une infection bactérienne ou une co-infection par d’autres virus. L’agent détecté peut ne pas être la cause définitive de la maladie. Les laboratoires aux États-Unis et dans leurs territoires sont tenus de rapporter tous les résultats aux autorités de santé publique compétentes.

Les résultats négatifs n’excluent pas l’infection par le SRAS-CoV-2 et ne doivent pas être utilisés comme seule base pour le traitement ou d’autres décisions de prise en charge des patients. Les résultats négatifs doivent être combinés avec des observations cliniques, des antécédents du patient et des informations épidémiologiques. »

Autre extrait :

NE PAS JETER : Informations importantes spécifiques au produit *** LIMITATIONS Ce test n’a pas été approuvé par la FDA. Ce test a été autorisé par la FDA en vertu d’une EUA pour une utilisation par des laboratoires autorisés. Ce test n’a été autorisé que pour la détection de l’acide nucléique à partir du 2019-nCoV, et non pour d’autres virus ou agents pathogènes.

Ce test n’est autorisé que pour la durée de la déclaration selon laquelle il existe des circonstances justifiant l’autorisation de l’utilisation d’urgence de diagnostics in vitro pour la détection et/ou le diagnostic du SARS-CoV-2 en vertu de l’article 564(b)(1) de la Federal Food, Drug, and Cosmetic Act, 21 U.S.C. § 360bbb-3(b)(1), à moins que l’autorisation ne soit résiliée ou révoquée plus tôt.”

“Mea Culpa de l’OMS”

L’OMS en avril 2021 avait attiré l’attention de l’invalidité de trop des tests PCR surtout lorsque les laboratoires utilisent fallacieusement des amplifications du signal trop élevées. Aucun compte n’a été tenu de cette mise en garde, du moins dans la plupart des labos français.(([13] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Vous trouverez ci-dessous la ‘rétractation’ soigneusement formulée par l’OMS. Le texte intégral avec le lien vers le document original est en annexe« (([14] WHO Information Notice for Users 2020/05))

Le document d’orientation de l’OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence.

La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV(([15] Diagnostic in vitro)) que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente.

Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test. (emphase ajoutée par l’auteur).

Estimations erronées 

Ce n’est pas une question de “faibles positifs” ou de “risque de faux positifs”. L’enjeu relève au point de départ en janvier 2020 de la mise en application par l’OMS d’une méthodologie trompeuse et erronée qui conduit à des estimations qui n’ont aucune base scientifique. 

Ce que cette déclaration contradictoire de l’OMS confirme, c’est que l’estimation du Covid positif à partir d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) est tout simplement invalide. Dans ce cas, l’OMS recommande de répéter le test PCR : 

il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test…”.

“Retester, On s’est trompé…”. Cette recommandation de RÉPÉTER LE TEST n’a aucun sens. C’est une impossibilité. Des millions de personnes dans le monde entier ont déjà été testées, à partir du début février 2020. Il s’agit néanmoins de conclure que la recommandation contradictoire de l’OMS de “retester” confirme sans équivoque QUE CES ESTIMATIONS PCR RELATIVES À LA Covid SONT TOUT SIMPLEMENT ERRONÉES.(([16] Le Pr Prof Michel Chossudovsky mentionne qu’il existe plusieurs autres défauts concernant le test PCR qui ne sont pas abordés dans cet article. (Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky :  
The 2020 Worldwide Corona Crisis: Destroying Civil Society, Engineered Economic Depression, Global Coup d’État and the Great Reset(Chapitre II).))

Au point de départ en janvier 2020, le test PCR fut (de manière routinière) appliqué à un seuil d’amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de l’OMS. Cela signifie que la méthodologie PCR appliquée dans 193 pays membres des Nations Unies a mené au cours des 12 à 14 derniers mois à la compilation de statistiques Covid surestimées et trompeuses.

Et ce sont ces statistiques (erronées) qui servent à mesurer l’évolution de ladite “pandémie”.

Au-dessus d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas spécifiquement les segments du virus . Par conséquent, ces chiffres n’ont aucun sens.

Il s’ensuit qu’il n’y a aucune base scientifique pour confirmer l’existence d’une pandémie.

Ce qui signifie également que le verrouillage (confinement) ainsi que les mesures économiques qui ont entraîné la panique sociale, l’accroissement extrême de la pauvreté et le chômage (dont l’objectif annoncé par les gouvernements était de freiner la propagation du virus) n’ont aucune justification ».

Par ailleurs d’autres scandales éclatent par rapport au test PCR(([17] FDA recalls millions of Covid test kit over false results – Asume Tech 11 Nov 21))

La US Food and Drug Administration a émis « le type de rappel le plus sérieux » pour des kits de test à domicile populaires qui indiquent si une personne est infectée par le coronavirus. Au moins 2,2 millions de produits pourraient avoir donné de faux positifs.

Quelques 2 212 335 kits produits par la société de biotechnologie Ellume, basée en Australie, et distribués aux États-Unis, présentent potentiellement des résultats faussement positifs au test de dépistage du SARS-CoV-2, a indiqué l’agence de santé publique dans un communiqué récent en novembre 21.

La FDA a averti que l’utilisation de kits défectueux « peut entraîner de graves conséquences néfastes pour la santé ou la mort », qualifiant le cas de « rappel de classe I ».

En conclusion, la confirmation que les tests PCR ne sont pas fiables et ne devraient en aucun cas être utilisés par les gouvernements comme preuve de la « pandémie » vient de la FDA elle-même.

Il est grand temps que nos dirigeants reviennent aux moyens classiques d’évaluer les épidémies :
le comptage des malades et celui des morts de la maladie.





Le gouvernement fait des concessions aux Antillais vaccino prudents : il leur promet un « vaccin » sans ARN messager !

Par Gérard Delépine

Devant l’exaspération des Antillais contre l’obligation vaccinale, qui s’exprime parfois violemment, depuis plusieurs jours à la Guadeloupe, en Martinique et bientôt en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie, le gouvernement a d’abord envoyé la gendarmerie avec des chars, puis le GIGN. Belles provocations. Inutiles et dangereuses pour l’unité de la Nation, car elles rappellent à une partie de la population qui se croyait en pays démocratique l’époque où le maître faisait obéir les esclaves au fouet.

Le pouvoir a dû méditer la constatation de Charles Maurice, prince de Talleyrand-Périgord « On peut tout faire avec des baïonnettes sauf s’asseoir dessus » et fait maintenant semblant de négocier et propose aux soignants « un autre vaccin ». Ah oui, d’où sort-il ? Et pourquoi tous les métropolitains n’y auraient-ils pas droit ? Trop de stocks de Pfizer à écouler ?

Mais il n’existe actuellement aucun vrai « vaccin » au sens pasteurien sur le marché français.

Pasteur a défini la vaccination comme l’injection d’antigènes provenant d’un pathogène tué ou inactivé afin de susciter la création d’une réponse immunologique par la fabrication d’anticorps et la stimulation des cellules immunocompétentes de la personne injectée.

Aucune des injections antiCovid actuellement autorisées en France ne contient d’antigène ; ce ne sont donc pas des « vaccins » mais des médicaments, de plus totalement expérimentaux et issus d’une technologie expérimentale en infectiologie.

Si les labos, les gouvernements et les médias les qualifient de « vaccins », c’est uniquement pour camoufler la nature réelle de ces médicaments géniques et les faire bénéficier de la popularité et des lois qui protègent les vrais vaccins.

Tous ces pseudo vaccins sont expérimentaux, car leurs essais ne sont même pas terminés.

Les complications de ces pseudo vaccins sont trop nombreuses

Le gouvernement compte-t-il remplacer le Pfizer ou le Moderna par l’AstraZeneca ou le Jansen. De toute façon par des mécanismes différents ils interfèrent également sur l’ARN messager et font produire de la protéine spike. Les Antillais seront-ils dupes ?

Pour l’Astra Zeneca, l’Agence Européenne du Médicament EMA, pourtant très proche des fabricants, a identifié un surrisque de cas de coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) et de thrombose veineuse cérébrale (TVC) chez les personnes de moins de 55 ans.

Pour ces raisons, il est interdit dans de nombreux pays et réservé en métropole aux plus de 55 ans (donc aux infirmières qui prennent statutairement leur retraite à cet âge).

Les vaccins anti-Covid AstraZeneca et Janssen ont un point commun : il s’agit de vaccins à vecteurs viraux qui utilisent des adénovirus.

Le vaccin Janssen du laboratoire Johnson & Johnson. Le 13 avril 2021, les autorités sanitaires américaines ont annoncé « mettre en pause » temporairement l’utilisation du vaccin Janssen par mesure de précaution. Comme pour l’AstraZeneca, plusieurs cas de thromboses ont été observés chez des patients ayant reçu le vaccin Janssen. La recommandation de la Haute Autorité de santé d’administrer une dose supplémentaire de vaccin à ARN messager a été suivi d’une chute brutale de ses injections, et ses livraisons sont stoppées en France depuis début juillet 2021 après utilisation d’environ 50 % des doses achetées. Le Danemark a été le premier pays d’Europe à exclure ce vaccin dès le lundi 3 mai après que l’autorité sanitaire ait déclaré :

« les avantages de l’utilisation du vaccin contre le Covid-19 de Johnson & Johnson ne l’emportent pas sur le risque de possibles effets indésirables chez les personnes qui le reçoivent. »

En France Janssen est destiné aux plus de 55 ans ce qui exclut les infirmières parties normalement en retraite à cet âge.

Le vaccin Moderna

En Suède et en Finlande, le vaccin a été interdit pour les moins de 30 ans tandis qu’au Danemark et en Norvège il a été formellement déconseillé pour les moins de 18 ans après qu’une étude scandinave associant ces 4 pays a établi que :

« les hommes injectés avec le Spikevax de Moderna âgés de moins de 30 avaient un risque accru de développer une inflation du myocarde ».(([1] Déclaration de Mika Salminen, directeur de l’Institut finlandais pour la santé.))

O. Veran a prétendu devant les députés qu’il n’y aurait aucun mort démontré dû à la pseudo vaccination Covid en France. Les sites gouvernementaux sont-ils complotistes ? Consulter les sites est très instructif. Eudravigilance en compte plus de 30 000, le VAERS en recense plus de 18 000 et celui de l’Agence Sanitaire du Médicament française en signale plus de mille.

Après avoir menti sur les masques, sur la prétendue toxicité de la chloroquine, sur l’efficacité réelle des vaccins, il tente de nous refaire le coup du nuage de Tchernobyl qui aurait épargné la métropole ou du chlordécone qui n’était pas toxique !

Ce gouvernement croit-il que les Antillais sont à ce point ignares qu’ils ignoreraient les graves complications recensées publiées dans les revues internationales et reconnues par de très nombreuses agences sanitaires ?

Ni les effets secondaires subis par les soignants métropolitains au début des vaccinations en France ?

Complications si fréquentes que la Haute Autorité de Santé avait conseillé de ne plus vacciner en même temps le personnel d’un service, pour ne pas risquer d’être obligé de le fermer par manque de soignants.

Ni la surcharge des Centres régionaux de pharmacovigilance comme celui de Limoges chargés de recueillir tous les signalements d’effets indésirables des médicaments submergés par les signalements post-vaccination Covid-19 depuis janvier dernier. Plus précisément, 4 000 en quatre mois et demi (sur 283 000 personnes ayant reçu une ou deux doses de vaccin en Limousin) : un record pour cette structure qui recueille les déclarations des effets indésirables des médicaments et fait remonter ses observations à l’Agence nationale de sécurité du médicament, l’ANSM. Le Haut Conseil pour la Santé Publique considère que l’obligation vaccinale des professionnels de santé doit être justifiée par les quatre conditions suivantes : prévention d’une maladie grave, risque élevé d’exposition pour le professionnel de santé ; risque élevé de transmission soignant-soigné, existence d’un vaccin efficace et bien toléré.

Une obligation infondée selon les critères du Haut Conseil de la Santé Publique

À propos du vaccin antigrippal, il s’est déclaré pour une incitation forte et contre une obligation considérant que la maladie est habituellement sans gravité chez les personnes jeunes et en bonne santé, qui représentent la majorité des soignants, que la prévention de la grippe repose sur les mesures d’hygiène (lavage et désinfection des mains, port du masque), que l’efficacité de la vaccination est modérée, ne dépassant pas 70 %, et diminue fortement lorsque les souches circulantes ne sont pas contenues dans le vaccin et qu’enfin les études disponibles en faveur des vaccins sont entachées de biais et n’apportent pas une preuve claire de leurs avantages.

Si on applique les mêmes critères au Covid dont les pseudo vaccins expérimentaux sont moins efficaces que ceux de la grippe (40 %),(([2] d’après le ministre de la Santé d’Israël, lors d’une interview télévisuelle)) moins durables et la tolérance très inférieure, l’obligation des soignants est infondée.

L’épidémie est terminée en Guadeloupe

L’obligation d’injecter un médicament génique expérimental pour stopper l’épidémie est d’autant plus à contretemps que l’épidémie n’a pas attendu la vaccination pour se terminer ainsi que le montre les courbes de l’OMS.

Cette évolution favorable sans vaccin confirme le cycle naturel des poussées bien décrites par le professeur Ben Israël ; une ascension de 4 à 6 semaines puis une chute brutale. Et comme l’immunité naturelle obtenue après guérison est plus forte et plus durable qu’après les pseudo vaccins la situation actuelle de la Guadeloupe est meilleure qu’après vaccination.

Et s’il devait survenir un nouveau variant, la vaccination serait incapable de la prévenir comme le sont, chaque hiver, les vaccins antigrippaux de l’année précédente.

Il suffirait alors de suivre l’exemple de l’Inde et d’utiliser les traitements préventifs et/ou précoces pour éliminer la menace. Des médicaments utilisés sur près d’un milliard d’Indiens et qui n’ont pas été suivis de complications !

Pourquoi le gouvernement s’acharne-t-il contre les Antillais ?

Parce que loin de la métropole, les méfaits de ce gouvernement se voient moins d’autant que les médias minimisent ses responsabilités !!!

Après la Guadeloupe et la Martinique qui sont totalement bloquées par leur grève générale illimitée, un préavis de grève générale a été déposé aussi en Nouvelle-Calédonie. preuve que ça va très mal et que ce gouvernement utilise les outres mers comme laboratoire pour leurs injections et leurs répressions, avant la métropole.

Une pensée et un soutien sans faille à tous nos amis guadeloupéens qui subissent les premiers la dictature “sanitaro politique” de ce gouvernement, les médias corrompus nous diront bien sûr que l’ordre doit revenir à cause des pillages ou autres, mais ils vous mentent, car, c’est bien ce gouvernement qui pille l’économie, abandonne les hôpitaux et maintenant menace la vie des Français des DOM-TOM dans une violence jamais connue pour eux depuis la fin de l’esclavage.

Honneur à vous, amis français de Guadeloupe, de Martinique et d’outre-mer, les métropolitains vous regardent, car si vous tombez, c’est le reste du pays qui risque de tomber sous cette dictature.




PCB : Vaccination à ARN messager : une situation insoluble. Où est notre aide ?

Par Élie, Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin



vidéo :
https://vkpatriarhat.org/fr/?p=14720 
https://signore-abbi-pieta.wistia.com/medias/xu8s4cvokw
https://rumble.com/vo1r0b-vaccination-o-est-notre-aide.html
cos.tv/videos/play/31540594990945280
ugetube.com/watch/mcVrrG2Y5S3m9mK
bitchute.com/video/X15n0T5EngFP/

À qui faites-vous confiance ? Faites-vous confiance aux experts en virologie, ou à ceux qui mentent sans arrêt sur toutes les chaînes de télévision ?

Les médias de masse instillent la peur chez les gens, produisent de l’hystérie et leur font un lavage de cerveau professionnel. Dans quel but ? Faire croire au plus grand nombre au mensonge selon lequel la seule issue et le dernier espoir est la vaccination contre le Covid. Ils disent que si vous obtenez ce vaccin, pour lequel ni le fabricant, ni le gouvernement, ni le médecin ne veulent être tenus responsables, tout redeviendra normal. Cependant, mes vrais experts disent exactement le contraire. Les faits prouvent déjà que ceux qui meurent du Covid aujourd’hui étaient totalement vaccinés ! Alors, ils sont morts du vaccin plutôt que du Covid ! Le directeur des pompes funèbres britannique John O’Looney a dénoncé cela, confirmant que ceux qui sont décédés récemment ont été vaccinés. Le mythe du vaccin miracle s’est avéré être un gros fake. De plus, les vaccinés deviennent la plus grande menace pour eux-mêmes et leur environnement. Pourquoi ? Cela s’explique non seulement par le Dr Zelenko, mais aussi par d’autres. Le Dr Zelenko déclare : 

« Lorsqu’une personne reçoit une injection de ces « vaccins », le corps devient une usine de production de protéines spike. »

Exemple : Une jeune femme enceinte et son mari ont rendu visite aux parents vaccinés du mari. Immédiatement après, la jeune femme a souffert de crampes sévères, a complètement perdu ses forces, est désormais alitée et ne peut plus bouger.

Autre exemple : un jeune couple avec des enfants en bas âge a rendu visite à sa tante. La tante et son mari avaient déjà reçu le vaccin à ARNm. Au cours de la visite, les os et tout le corps du jeune homme ont commencé à lui faire mal; il a subi une température élevée et a complètement perdu ses forces.

Une femme atteinte d’un cancer avait forcément besoin d’une radiothérapie. Elle était sous forte pression pour qu’elle se fasse d’abord vacciner ou subisse une série de tests dangereux et peu fiables. Si elle ne remplit pas ces conditions, elle se voit refuser un traitement vital.

Des infirmières témoignent que les patients actuellement hospitalisés pour un Covid-19 sévère ont tous été entièrement vaccinés contre le Covid. Ainsi, le mythe du vaccin miracle s’est évanoui. Néanmoins, les médias continuent leur démagogie vaccinale afin de créer une atmosphère frauduleuse pour des mesures gouvernementales absurdes. Ils retiennent intentionnellement des informations vraies.

Le professeur Bhakdi d’Allemagne, chercheur et virologue, met en garde d’urgence contre la vaccination :

« Si vous avez eu la première injection et que vous vous en êtes tiré, Dieu merci, remerciez le Seigneur, mais ne prenez pas la deuxième injection. Parce que lorsque vous prenez cette seconde injection, vous allez aller au-devant de gros ennuis.

Dans les ganglions lymphatiques, vous aurez les lymphocytes tueurs et d’autres cellules X. Si une cellule X fabrique ces protéines spike, ce lymphocyte va attaquer son frère ou sa sœur. C’est déjà terrible en soi si les lymphocytes tueurs commencent à essayer de vous tuer.

Je veux que vous décidiez de ne pas prendre la deuxième injection. Non seulement la seconde injection, mais toute injection par la suite mettra votre vie en danger. La pandémie n’existe pas en tant que nouvelle maladie mortellement dangereuse. »

Le Covid-19 est une fraude mondiale, et la vaccination mondiale contre le Covid  est une fraude encore plus grande !

Le terrorisme médiatique a d’abord donné une image d’une prétendue calamité avec des boîtes de congélation surpeuplées de cadavres, et maintenant, pour changer, ils ont proposé l’idée que ceux qui refusent les vaccins sont à blâmer pour une soi-disante pandémie et menaceraient tout le monde, y compris les vaccinés. C’est complètement absurde ! Les médias menteurs sont maintenant à blâmer pour le lynchage d’innocents qui rejettent un vaccin absurde et très dangereux qui n’est pas un vaccin et est plutôt une arme biologique. Le Dr Zelenko le confirme : 

« Il s’agit d’une arme biologique fabriquée artificiellement. »

Et il poursuit : 

« Il n’y a aucune justification à l’utilisation de cette injection mortelle empoisonnée ! … Votre ministère de la Santé vous ment. Le 20 décembre 2020 : Il y a un énorme pic dans la courbe des décès en Israël. Savez-vous ce qui s’est passé en Israël, le 20 décembre ? La vaccination nationale a commencé ! »

Le docteur Zelenko dit la vérité, et est donc pratiquement menacé de mort quotidiennement, admet-il. Lui et son équipe ont traité avec succès plus de 6 000 patients contre le Covid. Il est compétent pour commenter le vaccin de façon professionnelle. Les vrais experts comme lui sont persécutés, réduits au silence et moralement détruits pour l’amour de la vérité. Aujourd’hui, on peut citer les noms de spécialistes qui ont mis en garde d’urgence contre le vaccin expérimental et qui, bien que non malades, sont décédés subitement.

Qui fait la promotion du vaccin et pourquoi ? Il est promu, par exemple, par Bill Gates qui a déclaré : 

« Si nous faisons un excellent travail sur les vaccins, nous pourrions réduire la population de 10 à 15 % ».

Un autre analphabète qui promeut la vaccination, et ne recule devant rien, est le pseudo-pape François Bergoglio qui dit : « Il faut le faire ! ». Et il ajoute hypocritement : « C’est un acte d’amour ! » – En fait, c’est un crime contre l’humanité ! Il a lui-même introduit les passeports Covid obligatoires au Vatican en tant que premier État au monde. Tous les employés du Vatican doivent être vaccinés. Le pseudo-pape boycotte notoirement les avertissements des véritables experts, et ne cesse de répéter comme un mantra un mensonge flagrant sur la nécessité absolue de se faire vacciner. Il commet ainsi un crime non seulement contre Dieu et l’Église, mais aussi contre toute l’humanité. La démagogie trompeuse de Bergoglio est suivie par certains des prélats qui ont échangé la vérité contre le mensonge, et Dieu contre le diable. Il faut se méfier de ces loups déguisés en brebis ; vous les reconnaîtrez à leurs fruits.

Contrairement à l’archi-menteur papal Bergoglio, le Dr Montagnier, virologue français et lauréat du prix Nobel pour la découverte du VIH, appelle à l’arrêt immédiat de la vaccination de masse. Il dit : 

« Ce vaccin est le plus grand risque de génocide pour l’humanité dans toute l’histoire de l’humanité. » 

Le pseudo pape, cependant, soutient de façon absurde que ce génocide programmé est un acte d’amour.

Le drame est que les gens accablés par les mensonges médiatiques sont incapables de prendre au sérieux ces vrais experts. Ils risquent d’être paralysés ou de mourir après la vaccination. Aujourd’hui, il convient de demander aux gens : Pourquoi suivez-vous ceux dont le but est votre mutilation ou votre mort et la propagation massive de la maladie ? Pourquoi les écoutez-vous ? Ce qui se passe aujourd’hui est-il même possible ? Il est facile de prouver aujourd’hui que plus de personnes meurent du vaccin que du Covid. Dans le même temps, on sait que la mortalité due au Covid n’a pas dépassé la mortalité due à la grippe saisonnière ordinaire. De plus, des statistiques peu fiables ont été gonflées en comptant les décès de personnes décédées avec le Covid, mais pas du Covid. Le Covid était la cause de la mort même dans des accidents de voiture.

La virologue tchèque Sona Pekova a commenté la question de savoir s’il est possible de produire un vaccin efficace contre le Covid. Elle a expliqué qu’il n’est pas possible de produire un vaccin efficace en raison d’une mutation rapide du virus. Pourquoi ? Parce que le vaccin n’est pas capable de devancer la mutation. Le spécialiste russe, le professeur Redko, a déclaré que des vaccins efficaces n’avaient toujours été utilisés que contre les infections stables telles que la polio, la rougeole etc., et jamais contre un virus qui mute.

La vaccination déclenche une guerre mondiale, qui dans le domaine psychologique conduit à la division des familles et de la nation.

Exemple : dans une famille, un homme dans la soixantaine a été vacciné. Sa femme, en revanche, est contre la vaccination. Sa belle-fille croyait au vaccin et a également été vaccinée. Son mari a obtenu de vraies informations auprès d’experts et s’est donc radicalement opposé à la vaccination. Dans une maison, les parents âgés sont divisés les uns contre les autres et les jeunes époux aussi. Une division aussi profonde de la société n’a jamais été réalisée dans toute l’histoire de l’humanité. L’agression et la haine sont uniquement de la part des vaccinés.

De vrais experts révèlent la nature de la menace du vaccin expérimental :

1) Il modifie le génome humain, faisant ainsi de l’homme un organisme génétiquement modifié, conduisant à l’autodestruction de la race humaine.
2) Le vaccin contient des nanoparticules qui pénètrent dans le cerveau, et il appartient donc au processus de puçage de l’humanité, notamment en association avec la 5G. Une personne pucée cesse d’être un humain, c’est-à-dire un être libre. Elle devient un robot biologique.
3) La vaccination est un moyen de réduire la population, c’est-à-dire de provoquer l’autodestruction de l’humanité.
4) La vaccination est également un élément de diabolisation, car la base biologique du vaccin à ARNm consiste en des tissus arrachés à un enfant vivant à naître, avant qu’il ne soit tué.

Il convient également de noter que la vaccination actuelle est une expérience menée sur l’être humain, qui est interdite par le code de Nuremberg en tant que crime contre l’humanité.

Des dizaines d’experts incorruptibles en virologie mettent en garde contre les conséquences spécifiques que nous constatons déjà aujourd’hui. Le Dr Ryan Cole, États-Unis : 

« Le vaccin à ARNm est une toxine. Il provoque la maladie. La même maladie pulmonaire, la même maladie vasculaire, la même maladie cardiaque, la même maladie cérébrale… ».

D’autres experts soulignent que le vaccin endommage le système nerveux central. Le pronostic sur lequel le Dr Cahill d’Irlande tire la sonnette d’alarme est le suivant : « D’ici deux ans, 90 % des personnes vaccinées seront mortes. Ceci est une affaire sérieuse! Il faudrait vraiment commencer à avoir peur de ça, plutôt que des histoires de croque-mitaines dans les médias, qui, au contraire, nous poussent vers l’abattoir de la vaccination.

Le plus grand crime consiste à introduire la vaccination obligatoire des enfants, comme ils essaient déjà de le faire dans certains pays. Les experts affirment que 99,998% des enfants se remettent du Covid sans aucun traitement. Mais après le vaccin, les enfants meurent ou ont de graves problèmes. Le Dr Bhakdi, microbiologiste et virologue, prévient : 

« Si vous donnez cette injection à votre enfant, vous commettez un crime ! Je considère ces vaccins géniques comme des expériences menées sur les êtres humains, des expériences qui sont interdites ! ».

Aujourd’hui, nous sommes au sommet de la révolution technologique. L’informatique est un avantage, mais c’est aussi un grand danger pour l’humanité. Le contrôle total des personnes s’établit. L’esprit humain est aveuglé, ivre de l’orgueil du succès. Tout progrès scientifique, placé entre les mains de méchants, se retourne contre l’individu et l’humanité.

Nous arrivons ici aux questions de base que les gens évitent. La question du mal, la question des guerres… Toutes les guerres, tous les crimes proviennent de la source commune du mal qui est en chaque personne. Nous l’avons hérité de nos premiers parents. Ni la logique ni la technologie ne nous libéreront, nous les humains, de cette source spirituelle du mal : le péché héréditaire. Les gens sont les esclaves du mensonge et du mal, ce que beaucoup ne veulent pas admettre dans leur aveuglement spirituel. Nous en voyons les fruits visibles dans la psychose du coronavirus. La puissance du mal s’est déchaînée en mettant progressivement de côté les lois justes qui avaient toujours empêché l’invasion du mal. Le mal est privilégié par des anti-lois, et est appelé droit de l’homme. Nous sommes témoins de la promotion de l’idéologie du genre qui a le culot de dire des bêtises sur le fait qu’un homme n’est pas un homme et qu’une femme n’est pas une femme. Par conséquent, le vol d’enfants par le système de la justice pour mineurs est également accepté. Ces crimes sont enveloppés de phrases concernant les droits des enfants et des femmes. C’est une parodie de la vérité, de la justice et de la réalité. Mais les gens subissent un lavage de cerveau pour qu’ils acceptent progressivement ces mensonges absurdes. Les médecins prêtent le serment d’Hippocrate, ils ont donc le devoir de soigner la maladie. Aujourd’hui, cependant, si quelqu’un tombe malade et refuse de se faire vacciner ou de subir des tests absurdes, on le laisse mourir, par exemple, d’une appendicite. En les mettant sous forte pression, ce système criminel transforme les médecins en croque-morts. Environ 125.000 personnes sont décédées en Allemagne en trois mois, en raison de l’accent mis sur les mesures dites Covid, et donc de la négligence des soins médicaux.

Avec l’asile de fous du Covid, nous nous sommes retrouvés dans une situation où chacun d’entre nous doit sérieusement penser à la mort. Et la deuxième question que tout le monde doit se poser est ce qui se passera après la mort. Après la mort, il y a le jugement de Dieu, et ensuite l’éternité. Heureuse pour certains, malheureuse pour d’autres. Ce n’est pas cent ou mille ans, mais une éternité. L’homme lui-même fait le choix final dans la vie concernant son destin éternel. La seule voie de salut pour chaque être humain est la vraie repentance, sans laquelle personne ne sera sauvé, pas même un évêque ou un pape.

Et qu’est-ce que la vraie repentance ? Se repentir, c’est se confesser à soi-même son péché – dire : je me suis trompé, j’ai cru à un mensonge – et le confesser aussi à Dieu. En même temps, je dois accepter le salut offert, c’est-à-dire le sacrifice par procuration du Fils de Dieu pour les péchés que j’ai commis dans ma vie. Tout le monde, sans exception, ne peut être sauvé que par la repentance, par laquelle il obtient le pardon des péchés (Lc 24, 47). La repentance est associée non seulement à la confession des péchés, mais aussi à la foi au Sauveur, Jésus-Christ. Les Écritures soulignent : 

« Il n’y a de salut en personne d’autre »

 (Actes 4:12).

Comment parvenir au salut ? Les Écritures disent : « Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. » (Rom 10:10). Quel est le nom du Seigneur ? Son nom est Jésus, Isus en grec, Yehoshua en hébreu. Par conséquent, trouvez au moins trois minutes chaque jour, par exemple avant de dormir, réalisez votre culpabilité devant Dieu, et répétez avec foi : « Jésus, Jésus, Jésus, aie pitié de moi, pauvre pécheur » – faites-le cinq fois avec vos yeux spirituels concentrés sur les cinq plaies du Christ. C’est la contrition parfaite. Vous n’aurez besoin de rien de plus à l’heure de votre mort. Par conséquent, faites quotidiennement un acte de contrition parfaite. Dieu vous promet dans sa Parole : « Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé ». Vous serez sauvé !

L’invocation du nom de Jésus est un moyen de salut par rapport à la mort éternelle en enfer. Seule une personne spirituellement aveugle ou orgueilleuse rejette son propre salut ou, en d’autres termes, commet son suicide spirituel.

Tous ceux qui ont reçu le vaccin à ARN messager doivent admettre que même s’ils ont été mis sous pression, ils sont toujours à blâmer parce qu’ils s’y sont soumis. Ils doivent se confesser à eux-mêmes et à Dieu, et demander pardon à Dieu aujourd’hui même, car Jésus a dit : « La mort viendra comme un voleur ; vous n’en connaissez ni le jour, ni l’heure ». Chaque personne vaccinée, en particulier, doit être préparée à affronter la mort, le jugement de Dieu et l’éternité. Invoquez quotidiennement le nom de Dieu, car en ce nom réside votre salut !

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin




Voici la preuve que le gouvernement impose un essai clinique sauvage sur toute la population française !

[Source : Ma France]

Comme vous pouvez le lire avec vos yeux et sans l’aide des journalistes corrompus des médias mainstream, sur ce site du gouvernement vous pouvez lire le plus simplement du monde que la phase 3 de l’essai clinique, ce qui a été confirmé par Pfizer, doit se réaliser à l’hôpital, en centre privé ou chez des médecins habilités uniquement. 

C’est après la validation de cette phase 3 que l’autorisation de mise sur le marché (AMM) peut-être donnée au laboratoire.

On est donc dans un essai clinique sauvage imposé à toute la population par la peur et le chantage, l’extorsion de consentement. C’est tout simplement CRIMINEL !

Comme tout médicament, les vaccins contre la Covid-19 ne peuvent pas être commercialisés sans autorisation de mise sur le marché. 

Comment les laboratoires obtiennent-ils ce précieux sésame ? Décryptage.

Covid-19 ou pas, la décision d’autoriser ou non un vaccin ne relève pas du Gouvernement, mais appartient aux autorités scientifiques indépendantes qui sont en charge de l’évaluation des produits de santé.

En Europe, c’est l’Agence européenne des médicaments (EMA) qui organise l’évaluation des vaccins contre la Covid-19, en s’appuyant sur l’expertise des 27 agences nationales. En France, il s’agit de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).

Avant de détailler la procédure d’autorisation d’un vaccin contre la Covid-19, penchons-nous d’abord sur les différentes étapes d’élaboration du vaccin lui-même…

[Extrait du site gouvernemental La stricte procédure de mise sur le marché des vaccins contre la Covid-19 | Gouvernement.fr (voir aussi la capture PDF ci-dessous)]




Reiner Fuellmich invité à Varsovie : un « Nuremberg 2.0 » à l’initiative d’intellectuels polonais

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Le 15 novembre dernier, Me Reiner Fuellmich, fondateur de la Corona Ausschuss (comité Corona) et ancien candidat à la chancellerie pour le nouveau parti politique allemand DieBasis, a été l’invité d’une commission d’enquête parlementaire polonaise sur le Covid-19. À Varsovie, il a ainsi participé à l’inauguration du projet « Nuremberg 2.0 », à l’initiative de cette même commission, qui se trouve être un think-tank d’intellectuels polonais. On y retrouve par exemple Grzegorz Braun, le professeur Mirosław Piotrowski, Paweł Skutecki et Me Jacek Wilk, secondés par les avocats Arkadiusz Tetela, Krzysztof Łopatowski et Jarosław Litwin.

Avec l’aide de Reiner Fuellmich et du comité Corona avec lequel il travaille depuis maintenant des mois, ils prévoiraient des actions en justice contre ce qu’ils appellent « le nouveau totalitarisme ».

La commission d’enquête et le projet « Nuremberg 2.0 »

La conférence a duré trois heures et a été transmise en direct sur YouTube. Un doublage en anglais est disponible.

En description de la vidéo, le projet est ainsi présenté :

« Une initiative citoyenne née tant de l’urgence du moment que d’un cri du cœur. L’objectif est de pousser les Polonais conscients et responsables à rassembler la documentation qui décrit les délits, violations du droit, abus et omissions des autorités et à témoigner au sujet des tragédies individuelles dont le public général n’est peut-être pas au courant aujourd’hui…

[…] Nous allons nous-mêmes rassembler et classer la documentation ; nous préparons des actions en justice où les accusations sont spécifiées, et nous agirons en justice contre les fauteurs directs ou indirects des délits en question. Nous dresserons également des archives de documentation professionnelle, sur lequel fondement nous publierons des annales juridiques intitulées « Les annales Nuremberg 2.0 » ».

Ce projet a été lancé suite aux « décisions du gouvernement polonais, et plus spécifiquement celles du ministère de la Santé et des agences qui lui sont subordonnées, qui ont causé de graves préjudices et injustices, dont la plupart des victimes sont des Polonais – des citoyens de la République de Pologne. » Concernant son titre, qui ne manquera pas d’interloquer certains lecteurs, les auteurs précisent qu’il « fait référence aux procès que rapportent les livres d’histoire, où le système NSDAP du Troisième Reich a été poursuivi pour les délits perpétrés par ceux qui portaient les politiques et ordonnances mises en œuvre par ledit système. Le nom du projet est purement symbolique ».

Déclaration de Varsovie contre le nouveau totalitarisme

Le lendemain de la conférence, les porteurs du projet prennent la plume pour rédiger un premier manifeste, synthèse qui marque les débuts de l’enquête avec force. Une chose est sûre : ils veulent marquer l’Histoire. Nous avons traduit ce manifeste, et vous proposons de le lire intégralement ci-dessous :

Étant réunis en ce mois de novembre 2021 dans la capitale polonaise, Varsovie, nous adressons aujourd’hui au monde entier ce message très important et très urgent. Il est évident pour nous que l’humanité se retrouve à ce jour en face du plus grand défi de toute son histoire. Des grandes multinationales, ayant leurs activités surtout dans les domaines numérique, bancaire et pharmaceutique, ont entrepris une grande réfection de notre monde, et ce faisant, détruisent d’une manière sans précèdent la santé, les richesses et la vie de milliards de personnes. Dans le but d’élargir leurs domaines d’influences et leurs acquis, les groupes mondialistes centrés sur l’idéologie du sanitarisme, ont commencé – avec préméditation – des agissements criminels ayant pour but de provoquer le chaos mondial, avec comme résultat des importants mouvements sociaux, des problèmes économiques et des guerres sanglantes. Il est établi à ce jour que le remède prévu contre une telle situation devrait être le contrôle politique et financier strict imposé aux populations, sous le prétexte d’un faux souci de préservation de la santé, d’équilibre économique et de sécurité. Les gouvernements de plusieurs pays, étant sous l’influence des globalistes, luttent contre leur propre population, à une échelle jamais connue auparavant. Ces gouvernements sont devenus ainsi les superviseurs locaux des groupes d’oppression, groupes criminels et internationaux. Les gouvernements ont, dans la majeure partie, monopolisé la sphère médiatique et ont obtenu ainsi la soumission, le contrôle et la coercition, effondrant par là même les lois fondamentales et les libertés individuelles en se servant du mensonge, de la terreur et de la peur. Les effets néfastes de ces agissements se sont fait connaître à travers l’augmentation du nombre des décès, à travers l’activité économique détruite,  au travers de difficultés d’accès aux soins. La violation systématique du secret médical et de l’intimité suscite beaucoup d’inquiétude. En même temps, se profilent à notre horizon, des dangers encore plus importants. À ce jour, nous ne connaissons pas d’effets à long terme des expérimentations médicales imposées par les gros groupes pharmaceutiques. Nous ne savons pas non plus quelle sera l’ampleur des dégâts causés par cette limitation artificielle d’activité économique et des relations interhumaines.

C’est depuis la capitale polonaise, ayant fait l’expérience des deux périodes totalitaires du XXe siècle, que nous appelons toutes les personnes de bonne volonté à se réunir ensemble au-delà de toutes les divisions, et ceci devant l’asservissement qui s’approche rapidement de nous tous.

La vie humaine ne peut être régie par aucune idéologie qui menacerait la dignité de la personne humaine, la vérité et les lois naturelles.

La dignité est un signe intrinsèque, inné et naturel de l’Homme, indépendant du contexte social et historique. Pour cette raison la personne humaine ne doit pas être traitée comme un objet manipulable ni comme un moyen pour un but quelconque – comme ceux prévus par les idéologies totalitaires. La dignité de la personne humaine reste une source de droits fondamentaux de base, inviolables, comme le droit à l’autodéfense, loi de la liberté et de la propriété, le droit à la vérité et au travail… La vie humaine ne peut en aucun cas devenir l’objet de restrictions, de manipulation ni d’exploitation. Nous soulignons avec insistance que le mensonge propagé actuellement via les médias et même via des milieux scientifiques, appelle le retour à la vérité entendue comme la cohérence entre la réalité perçue et la réalité vécue. Cela sera un processus long et difficile, néanmoins personne n’est dispensé du devoir de recherche de la vérité objective. La désinformation et la pseudoscience (également à l’échelle globale) doivent aujourd’hui éveiller non seulement une grande inquiétude, mais également une condamnation. Le relativisme conduit inéluctablement à l’asservissement et au totalitarisme. À notre avis, toutes les lois doivent absolument respecter la loi naturelle, qui offre à toute autre réglementation une dimension morale qui lui permet de servir le réel bien de l’Homme. En revanche, le positivisme juridique qui est contraire aux exigences de la loi naturelle, n’a pas de valeur d’engagement moral. L’injuste loi statutaire devrait être mise en question par la voie de la désobéissance civile, et même être considérée comme caduque. Le droit à la désobéissance aux lois est une caractéristique de droit subjectif devant l’autorité.

Il est de notre devoir de résister à l’autorité qui abuse de ses prérogatives, de même qu’il est nécessaire de lutter contre la dictature sous toutes ses formes. Nous ne protestons pas uniquement contre les différentes formes de harcèlement, mais avant tout contre la puissance tyrannique qui n’a pas de nom, mais qui gouverne aujourd’hui le monde de la finance, des médias, de la surveillance policière et de la politique. La dignité humaine, la vérité et la loi naturelle ne pourront pas, à titre définitif, perdre contre le nouveau totalitarisme. Restons fermement aux côtés des valeurs humaines les plus précieuses. Soyons unis, gardons courage et soyons actifs. Nous gagnerons !

Auteur(s): FranceSoir




Des preuves de l’escroquerie de la vaccination !

Par Alain Tortosa

Étude : « L’importance épidémiologique de la population vaccinée contre le COVID-19 augmente».(([1] « The epidemiological relevance of the COVID-19-vaccinated population is increasing » — Günter Kampf — November 19, 2021 — https://www.thelancet.com/journals/lanepe/article/PIIS2666-7762(21)00258-1/fulltext))

« Les taux élevés de vaccination contre le COVID-19 devaient réduire la transmission du SRAS-CoV-2 dans les populations en réduisant le nombre de sources possibles de transmission et ainsi réduire le poids de la maladie COVID-19. Des données récentes, cependant, indiquent que l’importance épidémiologique des individus vaccinés contre le COVID-19 augmente.

Au Royaume-Uni, il a été décrit que les taux d’attaque secondaire parmi les contacts familiaux exposés à des cas index entièrement vaccinés étaient similaires à ceux des contacts familiaux exposés à des cas index non vaccinés (25 % pour les vaccinés contre 23 % pour les non-vaccinés). 12 des 31 infections chez les contacts familiaux entièrement vaccinés (39 %) provenaient de cas index entièrement vaccinés liés épidémiologiquement. La charge virale maximale ne différait pas selon le statut vaccinal ou le type de variant [1].

En Allemagne, le taux de cas symptomatiques de COVID-19 parmi les personnes complètement vaccinées (« infections avancées ») est signalé chaque semaine depuis le 21 juillet 2021 et était de 16,9% à cette époque chez les patients de 60 ans et plus[2]. Cette proportion augmente de semaine en semaine et était de 58,9% le 27 octobre 2021 (Figure 1), ce qui prouve clairement l’importance croissante des personnes entièrement vaccinées comme source possible de transmission.

Une situation similaire a été décrite pour le Royaume-Uni. Entre la semaine 39 et la semaine 42, un total de 100 160 cas de COVID-19 ont été signalés parmi les citoyens de 60 ans ou plus. 89 821 sont survenus chez les vaccinés complets (89,7%), 3,395 chez les non-vaccinés (3,4%) [[3]]. Une semaine auparavant, le taux de cas de COVID-19 pour 100 000 était plus élevé dans le sous-groupe des vaccinés par rapport au sous-groupe des non-vaccinés dans toutes les tranches d’âge de 30 ans ou plus.

En Israël, une épidémie nosocomiale a été signalée impliquant 16 travailleurs de la santé, 23 patients exposés et deux membres de leur famille. La source était un patient COVID-19 entièrement vacciné. Le taux de vaccination était de 96,2 % chez tous les individus exposés (151 soignants et 97 patients). Quatorze patients complètement vaccinés sont tombés gravement malades ou sont décédés, les deux patients non vaccinés ont développé une maladie bénigne [4].

Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis identifient quatre des cinq principaux comtés avec le pourcentage le plus élevé de population entièrement vaccinée (99,9 à 84,3 %) comme des comtés à transmission « élevée » [[5]]. De nombreux décideurs supposent que les vaccinés peuvent être exclus comme source de transmission.
Il semble être une négligence grave d’ignorer la population vaccinée en tant que source de transmission possible et pertinente au moment de décider des mesures de contrôle de la santé publique.(([2] Traduction sous réserve.))»

Ceci confirme que toutes les affirmations du gouvernement, des médecins médiatiques et des journalistes mainstream ne sont que mensonges (volontaires?).

  • Les vaccinés ne bloquent pas le virus.
  • Les vaccinés ont une charge virale identique aux non-vaccinés.
  • Les vaccinés font des cas graves et meurent aussi du Covid.

Alain Tortosa 24 novembre 2021 – https://7milliards.fr/2021124-lancet-contamination-vaccine.pdf





Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés

Par Gabriel Baumgartner, docteur en physique EPFL,

auteur de :

Introduction

Le présent document constitue une synthèse des découvertes de l’année 2021 concernant l’inoculation contre la Covid-19. Il est rédigé dans l’idée de relever les aspects scientifiques et diffuser les questions ouvertes.

Il faut tout d’abord mesurer à quel point certains effets secondaires rapportés sont littéralement extraordinaires.

Ainsi, l’attraction entre certaines parties du corps et des aimants ou des parties métalliques suite à l’inoculation interpelle. Ce phénomène est si déconcertant qu’il est bien difficile de se convaincre de son existence. En tant que scientifique, j’ai cherché à comprendre ce phénomène qui dépasse l’entendement.

Au fil des découvertes, il apparaît que ce phénomène de magnétisme humain n’est qu’une pièce dans un gigantesque puzzle. Ainsi, au cœur de l’été est tombée une nouvelle stupéfiante concernant la composition de ces inoculations : la première analyse au microscope d’un vaccin Pfizer a détecté des particules identifiées comme un composé du carbone, plus précisément des nanoparticules de graphène. Cette nouvelle est particulièrement alarmante car aux nanoparticules est associée une nanotoxicité et celle du graphène a été étudiée depuis des années. La détection de graphène a été confirmée. Le 2 novembre 202, le docteur en chimie Pablo Campra de l’Université d’Almeria a publié son rapport intitulé :

Détection de graphène dans les vaccins Covid-19 par spectroscopie microRaman

Voici en 3 minutes, la présentation de ce rapport final par le Dr. Campra :



La détection de particules de graphène ouvre la voie à des recherches sur la composition des vaccins et soulève de graves questions. Comment expliquer la présence d’ingrédients potentiellement toxiques, non déclarés par les fabricants ? Quels peuvent être les effets de ces nanoparticules sur l’organisme ?

Ce document, destiné au plus grand nombre, fait la présentation de ces découvertes scientifiques qui modifient radicalement la compréhension de l’actualité.

Remerciements :

Je remercie chaleureusement le trio de laquintacolumna qui a initié en Espagne un travail d’analyse exceptionnel :

Grâce leur rigueur scientifique et à leurs intuitons, ce trio a ouvert des réflexions qui méritent d’être diffusées dans le grand public.

Effets biomagnétiques

Depuis le début de la campagne de vaccination, la population du monde entier observe un phénomène inédit dans l’histoire de l’humanité. Des personnes ont testé une attraction de type magnétique sur leur corps. Des pièces de monnaie et objets métalliques en tout genre restent collés au point d’injection du vaccin contre le virus Covid-19.

Cette information est tellement stupéfiante qu’elle ne paraît même pas croyable. Surtout après avoir tellement entendu de la part de nos autorités que le vaccin est sûr et efficace. Il paraît vraiment impossible de voir un tel phénomène se produire. A contrario, dans un monde normal, si phénomène aussi irréel venait à se produite, c’est tout le mythe vaccinal qui viendrait à s’effondrer.

Voici un témoignage, daté du 30 mai, du médecin Pedro Chavez au Mexique qui a fait des observations sur ses propres patients (voir sous son interview).

D’autres témoignages, issus de partout dans le monde, ont rapporté ce phénomène invraisemblable. On voit l’adhérence d’objets de masse variable. De plus, le magnétisme s’étend souvent à partir du bras sur tout le tronc.

(image tirées des émissions de laquintacolumna)

L’histoire devient encore plus irrationnelle lorsque l’ on voit comment cette information a été niée, notamment sur internet. Une recherche ne propose que des sites qui démontent ces observations :

Ainsi, il apparaît d’emblée que nous vivons une guerre de la connaissance et de l’information.

Tous les sites listés nient l’existence du biomagnétisme. Voici un exemple d’argumentation :

https://www.rtbf.be/info/societe/detail_les-vaccins-contre-le-coronavirus-ne-rendent-pas-magnetiques-les-bras-des-vaccines?id=10777776

Des vidéos et des photos de personnes parvenant à se coller des objets métalliques sur la peau après avoir été vaccinées contre le Covid-19 circulent abondamment sur les réseaux sociaux. Ce phénomène fait dire à certains militants « antivax » que cela prouverait que les vaccins contiennent des puces ou rendent magnétiques le bras. Il n’y a pourtant pas de puce dans les vaccins et ils ne peuvent pas non plus rendre les bras magnétiques. Les explications de ce phénomène sont à chercher ailleurs, notamment dans un état de la peau qui permet de rendre le bras « collant ». Ce changement de l’état de la peau pourrait, par ailleurs, être induit pas la réaction inflammatoire créée par l’injection du vaccin mais cette théorie n’est pas démontrée et demande des analyses scientifiques plus poussées.

……………

Divers trucages possibles

Si les vaccins ne contiennent pas de puces électroniques et ne contiennent aucun élément permettant de rendre le bras magnétique, des trucages sont bien efficaces pour créer le phénomène.

De l’adhésif transparent, des résidus de colle des pansements, ou même du miel permettent de coller des objets à la peau sans que cela se voie, comme l’a démontré l’équipe du site de fact checking « Fact and Furious ». Une autre hypothèse est celle d’une éventuelle prothèse d’épaule. Cette dernière peut contenir du cobalt et est donc susceptible d’attirer des aimants.

Il est donc impossible de se fier aux moteurs de recherche Internet. Par contre, à partir du moment où des médecins et un chercheur réputé comme Stefano Montanari, spécialiste de l’analyse des vaccins en Italie, a rapporté le biomagnétisme, le phénomène pouvait être considéré comme un fait acquis.

Pour compléter les témoignages, un lien britannique à ce sujet :

https ://www.notonthebeeb.co.uk/magnetism

À ce jour, aucune institution n’a relevé l’existence du biomagnétisme.

Il faudra donc se tourner vers des chercheurs indépendants et notamment le trio de laquintacolumna pour commencer à comprendre ce qui nous arrive.

Détection d’un composé non déclaré

En Espagne, bien avant la crise du Covid 19, Ricardo Delgado, le fondateur du site la quintacolumna, avait constaté un lien entre des décès dans des maisons de retraite et un vaccin particulier contre la grippe. En collaboration avec le docteur José-Luis Sevillano, ils ont cherché quel pourrait être le composé du vaccin qui expliquerait cet excès de décès. Ils ont pensé à un matériau : le graphène. Dès lors, ils ont entrepris d’analyser la composition de divers vaccins pour comprendre cette anomalie.

Ils ont réussi à détourner une fiole de vaccin Pfizer contre Covid-19 et ils ont demandé une analyse à l’Université d’Almeria.

Un premier rapport, dit préliminaire, est sorti fin juin. Il a montré, pour la première fois, que des nanoparticules étaient visibles au microscope optique et elles ont été également détectées avec d’autres méthodes (spectromètres et microscopie électronique).

Le docteur en chimie Campra, qui est l’auteur du rapport, a conclu qu’il s’agissait probablement de nanoparticules de graphène. Pour comprendre les graves questions qui se sont posées suite à la découverte d’une nanoparticule toxique pour l’organisme, nous allons commencer par voir en quoi consiste ce matériau et quelles sont ses caractéristiques.

En quoi consiste le graphène ?

Pour comprendre ce qu’est le graphène, partons du graphite qui est le matériau qui constitue une simple mine de crayon. Le graphite est uniquement constitué d’atomes de carbone, liés les uns aux autres. Sa structure montre des plans de carbone superposés. À partir de cette structure, il suffit de détacher un seul plan pour obtenir le graphène.

Atomes de carbone liés formant un plan de graphène

Le graphène est donc un composé qui n’a qu’une seule couche atomique, comme il s’apparente à une feuille et non à un volume, on parle d’un matériau bidimensionnel. Sa hauteur, avec une seule couche d’atomes, est la plus petite que l’on puisse créer. Il faut cependant préciser qu’il existe beaucoup de variantes de graphène. Ainsi, on parle de graphène même s’il comporte plusieurs couches (jusqu’à 10 couches).

À cette échelle de grandeur, on a affaire à un nanomatériau. Si nous prenons 1 mm que nous le divisons par 1000 nous obtenons 1 micromètre et c’est presque la limite observable au microscope optique. Divisons encore par 1000 et obtenons un nanomètre (nm). A cette échelle, on utilise des microscopes électroniques qui envoient des électrons sur l’échantillon à analyser.

Une nanoparticule de graphène est un petit bout de ce plan. C’est comme si l’on prend un kleenex et qu’on le déchire pour faire des confettis.

Le graphène est extraordinaire à bien des égards. Rendez-vous compte qu’un hamac imaginaire de 1 mètre carré de surface ne pèserait que 0,77 milligrammes, soit moins qu’une unique moustache de chat. Un tel hamac pourrait cependant supporter le poids d’un chat de 4 kilos !

Si un tel hamac était constitué d’une feuille d’acier mesurant la même épaisseur, il ne supporterait que 40 grammes, soit 100 fois moins que le graphène.

En lui attachant des molécules, on peut modifier le graphène. Cette fonctionnalisation chimique va permettre de le rendre soluble dans un fluide ou même magnétique. Grâce à cette capacité de fonctionnaliser ce matériau, il existe toute une chimie et une physique propre au graphène.

C’est bien sûr sa capacité de conduire le courant électrique et sa capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique qui focalisent les recherches et placent le graphène au cœur de la 4ème révolution industrielle. Il est le matériau rêvé pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer un certain paramètre biologique et transmettre le résultat sans connexion filaire.

Quelques caractéristiques des nanoparticules de graphène :

  • Très grande résistance mécanique et grande capacité à conduire le courant ( 100 fois plus conducteur que le cuivre) et l’énergie thermique
  • La nanoparticule de graphène monocouche peut franchir n’importe quelle barrière du fait de son épaisseur infinitésimale et s’intercaler dans n’importe quel tissu biologique.
  • Ses particules ont la capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique. Cette propriété permet de comprendre pourquoi le graphène est au cœur de la 4ème révolution industrielle. Il est le matériau rêvé pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer un certain paramètre biologique et transmettre le résultat sans connexion filaire.

Pour la synthèse du graphène en partant du graphite, il y a diverses méthodes, on passe par une phase intermédiaire d’oxyde de graphène qui est le précurseur du graphène.

Dans le rapport, l’oxyde de graphène de référence représenté ci-dessous a été comparé aux particules présentes dans le vaccin.

Si l’on déchire ce plan de graphène pour en faire des confettis, on obtient des nanoparticules de taille et de forme variable.

Résultat de l’analyse au microscope optique

La taille (en surface) de ces nanoparticules est suffisamment grande pour pouvoir les observer au microscope optique. À droite, nous voyons une particules de graphène de type monocouche de référence, comparée à gauche avec une particule trouvée dans le vaccin. La similitude est complète, le graphène se présente comme un petit morceau de kleenex déposé au fond d’un récipient plein de liquide. Il comporte des plis et apparaît un peu froissé.

Voici d’autres particules, identifiées comme du graphène, présentes dans le vaccin analysé :

À part le microscope optique, d’autres méthodes ont été utilisées dont le microscope électronique et une méthode de spectroscopie. (voir l’annexe 1)

Pour affiner ces résultats, le Dr. Campra a entrepris une étude avec une technique d’analyse qui permet d’identifier un composé avec davantage de fiabilité. Cette technique combine un microscope avec un spectromètre de type Raman et elle a fourni des résultats qui ont confirmé la présence de graphène.

Le fait de combiner le microscope et le spectromètre dans le même appareil permet un grand niveau de confiance dans le résultat. On peut ainsi assurer que la particule pointée grâce à l’optique est analysée par le faisceau de spectromètre.

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Rapport final

https://www.dropbox.com/s/tnnq4ftw818chmx/FINAL_VERSI%C3%93N_CAMPRA _REPORT_DETECTION_GRAPHENE_IN_COVID19_VACCINES.pdf?dl=0

OU

https://www.researchgate.net/publication/355979001_DETECTION_OF_GRAPHEN E_IN_COVID19_VACCINES

Une solution de graphène acheté dans le commerce a constitué la référence. Elle contient divers types de graphène. Ci-dessous, on voit une particule monocouche quasi transparente et une particule noire multicouche :

Voici un résultat de détection au microscope optique dans un vaccin Pfizer :

Après avoir déposé une goutte de vaccin sur le support du microscope, on laisse cette goutte s’évaporer un certain temps et on voit à gauche une forme blanche qui correspond à ce qu’il en reste après évaporation. On voit une particule en noir qui est alors analysée avec le spectromètre Raman. Il s’agit d’envoyer un faisceau laser sur la particule et d’analyser le rayonnement qui sera émis en retour. La position des pics sur le spectre a permis d’identifier le graphène. Il s’agit ici d’une particule multicouche, d’où sa couleur noire.

Plusieurs vaccins ont été étudiés et du graphène a été détecté dans les vaccins Pfizer, Astrazeneca, Moderna et Janssen.

L’importance de ce rapport

Omettre de mentionner un composé toxique dans l’injection contre la Covid 19 est un délit contre la santé publique. La quintacolumna avait déjà formé un réseau qui avait alerté les préfets en envoyant les résultats du rapport préliminaire.

Désormais, l’intention est de relancer les plaintes dans toute l’Espagne sur la base des conclusions du dernier rapport du Dr. Campra. Porter cette affaire en justice va de pair avec une opération de diffusion des conclusions scientifiques de ce rapport.

En principe, l’inoculation est le fruit d’un choix conscient. A défaut d’information sur la présence de graphène et de sa toxicité, il est clair qu’il n’est pas possible de donner un consentement éclairé.

Dans la prochaine section nous allons découvrir les divers aspects de la toxicité du graphène.

Auparavant, il faut savoir que la présence de graphène dans les vaccins se confirme en consultant des brevets et des patentes.

L’état de la recherche confirme la présence d’oxyde de graphène

Le graphène a fait l’objet d’intenses recherches qui ont été largement financées par nos institutions au travers du projet Graphene Flagship . Les brevets déposés concernant le vaccin contre le coronavirus sont sans équivoque, comme le montre ce brevet chinois.

Abstract

The invention belongs to the field of nano materials and biological medicines, and relates to a vaccine, in particular to development of a 2019-nCoV coronavirus nuclear recombinant nano vaccine. The invention also comprises a preparation method of the vaccine and application of the vaccine in animal experiments. The novel coronavirus vaccine contains graphene oxide, carnosine, CpG and novel coronavirus RBD —–

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

……

Le brevet KR02010028065, déposé en Espagne (sollicité par KIM H. S. de Corée) pour une solution saline contenant du graphène, précise que le vaccin contre le coronavirus en contient également :

Finalement, l’intuition initiale de la quinta columna suivant laquelle le graphène était présent dans plusieurs vaccins s’est bel et bien confirmée, il a été détecté dans un vaccin contre la grippe de l’année 2019.

Enfin, voici des images du vaccin PROQUAD, destinée aux enfants entre 9 mois et 3 ans contre diverses pathologie dont la rubéole et la varicelle, photos du bas, comparé à une référence d’oxyde de graphène, photos du haut :

Toxicité de l’oxyde de graphène

La toxicité des nanoparticules de graphène est un sujet bien connu. Voici un tour d’horizon d’articles sur la question (extraits d’articles).

Le premier article montre les divers modes d’interaction entre la nanoparticules de graphène et une cellule. Ce qui est mis en évidence est que la dimension nano joue un rôle particulier car un telle particule peut s’introduire dans une cellule et s’intercaler dans tous les tissus.

https://particleandfibretoxicology.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12989-016-0168-y

Résumé

Cette revue rassemble des études sur les effets toxiques des GFN dans plusieurs organes et modèles cellulaires. Nous soulignons également que divers facteurs déterminent la toxicité des GFN, notamment la taille latérale, la structure de surface, la fonctionnalisation, la charge, les impuretés, les agrégats et l’effet couronne, etc.

Interactions possibles entre les matériaux liés au graphène avec les cellules (les flocons de graphène ne sont pas à l’échelle).

  1. Adhérence sur la surface externe de la membrane cellulaire.
  2. Incorporation entre les monocouches de la bicouche lipidique de la membrane plasmique.
  3. Translocation de membrane.
  4. Internalisation cytoplasmique.
  5. Endocytose médiée par la clathrine.
  6. Internalisation endosomale ou phagosomique.
  7. Localisation lysosomale ou autre compartiment périnucléaire.
  8. Localisation exosomale.

Effets sur le sang

Les 2 prochains articles montrent que le graphène va déclencher des pathologies semblables à la Covid 19.

https://www.researchgate.net/publication/328338305_Graphene_Oxide_Touches_Bloo d_In_Vivo_Interactions_of_Bio-Coronated_2D_Materials

L’oxyde de graphène est le sujet brûlant de la recherche biomédicale et pharmaceutique de cette décennie. Cependant, ses interactions complexes avec les composants du sang humain compliquent la transition des résultats prometteurs in vitro vers les paramètres cliniques. Même si l’oxyde de graphène est composé des mêmes atomes que nos organes, tissus et cellules, sa nature bidimensionnelle provoque des interactions uniques avec les protéines sanguines et les membranes biologiques et peut entraîner des effets graves tels que la thrombogénicité et l’activation des cellules immunitaires.

…….

Notre objectif est de faire la lumière sur les problèmes non résolus de la littérature corona d’oxyde de graphène afin de jeter les bases du développement futur de la technologie d’administration de médicaments.

In the journey of GO after injection in our body, the first process that occurs is undoubtedly the binding of plasma proteins on its surface (see Fig. 3-1). Intravenously injected nanoparticles encounter multiple lines of defense intended to neutralize the invaders. The first and most critical defense line is the blood protein adsorption and formation of the biomolecular corona (BC).
[Traduction : Dans le parcours de l’Oxyde de Graphène (OG) après injection dans notre corps, le premier processus qui se produit est sans aucun doute la liaison des protéines plasmatiques à sa surface (voir Fig. 3-1). Les nanoparticules injectées par voie intraveineuse rencontrent de multiples lignes de défense destinées à neutraliser les envahisseurs. La première ligne de défense, la plus critique, est l’adsorption des protéines sanguines et la formation de la couronne biomoléculaire (CB).]

Of the thousands of proteins present in our body, 10 to 50 may take part in a nanomaterial BC. The subset of blood proteins that have been identified in at least one nanomaterial BC has been named ‘‘adsorbome’’.
[Traduction : Sur les milliers de protéines présentes dans notre corps, 10 à 50 peuvent prendre part à une CB de nanomatériaux. Le sous-ensemble des protéines sanguines qui ont été identifiées dans au moins un nanomatériau CB a été nommé  »adsorbome ».]

Fig. 3 Main results of GO interaction with blood components are summarized in this illustration of the injection of GO flakes in the bloodstream. The formation of the BC (1) prevents the hemolysis of red blood cells (2a). Thrombosis (2b) and interaction with complement proteins (2c) are ascribed to GO. In (2d) some of the possible fates after macrophage encounters are shown: extracellular blocking or intracellular uptake. The release of cytokines occurs when macrophages uptake GO. Aggregates of GO in macrophage cytoplasm induce the production of pro-inflammatory cytokines. Dendritic cells fail to present antigens to lymphocytes when they uptake GO (2e). Lymphocyte activity is not inhibited, and BC protects lymphocytes from apoptosis (2f).
[Traduction : Les principaux résultats de l’interaction de l’OG avec les composants sanguins sont résumés dans cette illustration de l’injection de paillettes d’OG dans la circulation sanguine. La formation de CB (1) empêche l’hémolyse des globules rouges (2a). La thrombose (2b) et l’interaction avec les protéines du complément (2c) sont attribuées à l’OG. Dans (2d), certains des destins possibles après la rencontre avec les macrophages sont montrés : blocage extracellulaire ou absorption intracellulaire. La libération de cytokines se produit lorsque les macrophages absorbent de l’OG. Les agrégats d’OG dans le cytoplasme des macrophages induisent la production de cytokines pro-inflammatoires. Les cellules dendritiques ne parviennent pas à présenter des antigènes aux lymphocytes lorsqu’elles absorbent de l’OG (2e). L’activité des lymphocytes n’est pas inhibée, et la CB protège les lymphocytes de l’apoptose (2f).]


https://iopscience.iop.org/article/10.1088/2515-7639/ab5844

On pense que le principal mécanisme de toxicité du graphène est causé par des espèces réactives de l’oxygène produites dans les cellules, qui à leur tour interagissent avec diverses biomolécules, y compris l’ADN. Dans cette revue, nous avons cherché à discuter de différentes études de génotoxicité réalisées avec des Graphene Based Materials en mettant l’accent sur les différents types et conditions cellulaires. En comparant et en discutant de tels rapports, les scientifiques seront en mesure de concevoir des GBM non toxiques pour de futures études précliniques et/ou cliniques.

On pense que le principal mécanisme de toxicité du graphène est causé par les espèces réactives de l’oxygène (ROS) produites dans les cellules. L’interaction des cellules avec GO, qui est la forme oxydée du graphène, provoque une production excessive de ROS , avec l’augmentation de la production de ROS, entraînant un stress oxydatif . ROS agit comme un messager secondaire dans de nombreuses cascades de signalisation cellulaire. Les ROS affectent également de manière significative les processus cellulaires et le métabolisme, tels que la fragmentation de l’ADN, les fractures des lipides membranaires et la dénaturation des protéines. Les dommages aux protéines et à l’ADN causés par les ROS conduisent à la mort cellulaire par des voies apoptotiques et nécrotiques . Par exemple, GO provoquerait l’apoptose et l’inflammation du tissu pulmonaire après inhalation chez les souris C57BL/6,

Lorsque l’oxyde de graphène (GO) est associé au polyéthylène glycol (PEG), on obtient un composé dont nous allons reparler plus loin du fait qu’il peut traverser la barrière hémato-encéphalique et devenir ainsi particulièrement nocif.

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acs.molpharmaceut.6b00696

Le revêtement en polyéthylène glycol (PEG) a été fréquemment utilisé pour améliorer le comportement pharmacocinétique des nanoparticules.
Les études qui contribuent à mieux démêler les effets de la PEGylation sur la toxicité de la formulation de nanoparticules sont donc très pertinentes. Dans la présente étude, l’oxyde de graphène réduit (rGO) a été fonctionnalisé avec du PEG, et ses effets sur les composants clés de la barrière hémato-encéphalique, tels que les astrocytes et les cellules endothéliales, ont été analysés en culture et dans un modèle de rat in vivo. Les études in vitro ont démontré une toxicité dépendante de la concentration. La concentration la plus élevée (100 μg/mL) de rGO non pégylée a eu une influence toxique plus faible sur la viabilité cellulaire dans les cultures primaires d’astrocytes et de cellules endothéliales de cerveau de rat, tandis que la rGO pégylée a induit des effets délétères et la mort cellulaire.


https://www.nature.com/articles/srep03469

Maintenant, il est possible de fabriquer du GO de haute qualité en grandes

quantités 14, 15 et sa production industrielle augmente de façon exponentielle. Avec ses applications potentielles dans le domaine biomédical, la biosécurité de GO est d’une importance critique. De nombreuses investigations ont porté attention à sa biocompatibilité 16, 17, 18, 19. À une concentration d’environ 50 g/mL ou plus, GO commence à montrer la toxicité contre les érythrocytes, les fibroblastes et les cellules PC12. Il peut induire l’apoptose cellulaire, l’hémolyse et le stress oxydatif 16, 18, 19. La modification chimique de surface, telle que la PEGylation, est susceptible d’améliorer la biocompatibilité de GO 20, 21. Cependant, les liaisons chimiques liant le GO au polymère modifié peuvent être rompues in vivo , ainsi le GO modifié en surface peut également induire une toxicité in vivo .

GO a interféré avec la réplication de l’ADN et induit une mutagenèse au niveau moléculaire

Il a été rapporté que les nanofeuillets GO peuvent s’intercaler efficacement dans les molécules d’ADN24. Nous émettons donc l’hypothèse que GO peut interagir avec l’ADN génomique et interférer avec la réplication des gènes. Pour tester cette hypothèse, nous avons examiné l’interaction entre GO et ADN génomique.


https://link.springer.com/article/10.1007/s00005-015-0369-3

Résumé

Le graphène et l’oxyde de graphène (GO), en raison de leurs propriétés physico-chimiques et de leur biocompatibilité, peuvent être utilisés comme matériau biomédical innovant dans la biodétection, la distribution de médicaments dans le corps, le traitement des néoplasmes, la médecine régénérative et la chirurgie implantaire. Les recherches sur l’utilisation biomédicale du graphène et du GO qui ont été menées jusqu’à présent sont très prometteuses et montrent que les nanomatériaux de carbone présentent une haute biocompatibilité.

Cependant, l’intolérance du système immunitaire aux nanomatériaux de graphène, si faible soit-elle, peut en conséquence rendre impossible leur utilisation en médecine. Cet article montre le mécanisme spécifique de l’influence moléculaire du graphène et du GO sur les macrophages et les lymphocytes dans des conditions in vitro et in vivo et leur application pratique en médecine.

On ne peut qu’être interpellé par les contradictions de cet article de 2015. On commence par évoquer des recherches prometteuses de nanomatériaux qui sont biocompatibles. Ensuite, on constate l’intolérance du système immunitaire au graphène. Finalement, on conclut qu’il pourrait être impossible de l’utiliser en médecine.

Il est légitime de s’interroger sur les motivations de ces chercheurs.

Si l’on prend un matériau toxique, par quel tour de passe-passe peut-il être qualifié de prometteur ? Comment mettre en avant sa biocompatibilité ?

Comment espérer un progrès scientifique en partant d’un matériau toxique ? Force est de constater qu’en dépit de son caractère toxique, le graphène a trouvé en 2021 beaucoup d’applications, notamment dans les vaccins.

Cette étude démontre que l’oxyde de graphène induit la cytotoxicité et l’apoptose dans les cellules pulmonaires humaines.


Cet article traite de la manière d’éliminer le graphène.

D’autres articles portant sur les organes de reproduction

Il ressort de ce tour d’horizon que la toxicité du graphène n’est pas à démontrer.

Malgré cela, on poursuit encore et toujours les recherches pour mieux cerner la toxicité du graphène. Ainsi, en 2018, un article relance encore le débat autour de la toxicité :

https://link.springer.com/article/10.1557/jmr.2017.388

« En tant que tel, une compréhension globale de l’hémotoxicité des nanomatériaux de graphène est d’une importance cruciale. Cette revue présente une élucidation à jour de l’hémotoxicité des nanomatériaux de graphène à travers leurs interactions avec les protéines sanguines et les cellules, et offre quelques perspectives sur les défis actuels, les opportunités et le développement futur de ce domaine important.¨


Il faut savoir que depuis l’arrivée des nanoparticules, la compatibilité avec la biologie humaine et animale fait l’objet de recherches. Il n’est pas vraiment pertinent de parler de ¨défi actuel¨ à telle ou telle date car le problème de la toxicité est intrinsèque aux nanomatériaux du fait de leur taille.

À l’heure où le graphène est introduit massivement et vient interagir avec le monde animal et végétal, il apparaît urgent de prendre conscience des limites à respecter en matière de compatibilité entre les nanoparticules et les organismes vivants

L’article suivant montre bien que la recherche ne se donne aucune limite et qu’une révolution basée sur l’introduction du graphène est en marche, quelles qu’en soient les conséquences.

https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fnsys.2018.00012/full

Devant. Syst. Neurosci., 11 avril 2018 | https://doi.org/10.3389/fnsys.2018.00012

« La communauté scientifique a été témoin d’une augmentation exponentielle des applications du graphène et des matériaux à base de graphène dans un large éventail de domaines, de l’ingénierie à l’électronique en passant par les biotechnologies et les applications biomédicales. Pour ce qui concerne les neurosciences, l’intérêt suscité par ces matériaux est double. D’un côté, des nanofeuillets constitués de graphène ou de dérivés de graphène (oxyde de graphène, ou sa forme réduite) peuvent être utilisés comme supports pour l’administration de médicaments. Ici, un aspect important est d’évaluer leur toxicité, qui dépend fortement de la composition des flocons, de leur fonctionnalisation chimique et de leurs dimensions. D’un autre côté, le graphène peut être exploité comme substrat pour l’ingénierie tissulaire.¨

¨Dans cette revue, nous essayons de donner une vue d’ensemble des réalisations et des nouveaux défis du domaine, ainsi que quelles sont, à notre avis, les directions les plus excitantes à prendre dans un avenir immédiat. Il s’agit notamment de la nécessité de concevoir des nanoparticules multifonctionnelles (NP) capables de traverser la barrière hémato-encéphalique pour atteindre les cellules neurales et d’assurer la livraison à la demande de médicaments spécifiques.¨

Applications du graphène en neurosciences

¨Les applications biomédicales du graphène représentent un domaine en expansion continue. Les traitements traditionnels des troubles du système nerveux central (SNC) présentent un certain nombre de défis. Par conséquent, le développement de nouveaux outils qui surpassent les technologies de pointe pour l’imagerie, l’administration de médicaments, la régénération neuronale et l’enregistrement et la détection électriques est l’un des principaux objectifs des technologies modernes. médecine et neurosciences¨

Confirmation et découverte d’autres nanoparticules

À la suite des travaux du Dr. Campra, plusieurs chercheurs ont procédé à l’analyse des différents vaccins et ont confirmé la présence de graphène.

De plus, d’autres nanoparticules ont été détectées, notamment des métaux lourds en grande variété. Avant de lister ces travaux, il faut les placer dans un contexte historique

En soi, la présence de nanoparticules de métaux lourds n’est pas une découverte au même titre que le graphène. La détection de métaux lourds est une inquiétante réalité depuis bien des années, comme l’avait déjà montré une étude de Stefano Montanari et Antonella Gatti en 2017.

Grâce à une nouvelle technique d’analyse, leur travail avait déjà révélé que les 44 vaccins testés à l’époque contenaient des particules non déclarées par les fabricants.

Voici l’essentiel de ce travail.

https://medcraveonline.com/IJVV/new-quality-control-investigations-on-vaccines-micro–and-nanocontamination.html

Reçu : 30 novembre 2016 | Publié: 23 janvier 2017

Résumé

Des vaccins sont à l’étude pour les effets secondaires possibles qu’ils peuvent provoquer. Afin d’apporter de nouvelles informations, une méthode d’investigation en microscopie électronique a été appliquée à l’étude des vaccins, visant à vérifier la présence de contaminants solides au moyen d’un Microscope Electronique à Balayage Environnemental équipé d’une microsonde à rayons X.

…….

Matériaux et méthodes

44 types de vaccins provenant de 2 pays (Italie et France) ont été analysés. …

Résultats

Les investigations ont permis de vérifier la composition physico-chimique des vaccins considérés selon la composante inorganique déclarée par le Producteur. En détail, nous avons vérifié la présence de sels salins et d’aluminium, mais une présence supplémentaire de corps étrangers inorganiques de taille micro, sous-micro et nanométrique (allant de 100 nm à une dizaine de microns) a été identifiée dans tous les cas, dont la présence n’était pas déclarées dans les notices livrées dans l’emballage du produit.

Images d’une particule individuelle, d’amas de micro- et nanoparticules (<100 nm) avec son spectres EDS.

On détecte : Fer, Silicium, Calcium Titane, Chrome,

Discussion

La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leurs compositions chimiques inhabituelles nous ont déconcerté. Les particules inorganiques identifiées ne sont ni biocompatibles ni biodégradables, c’est-à-dire qu’elles sont biopersistantes et peuvent induire des effets qui peuvent devenir évidents soit immédiatement à l’approche du moment de l’injection, soit après un certain temps après l’administration.

Il est important de se rappeler que les particules (cristaux et non molécules) sont des corps étrangers à l’organisme et qu’elles se comportent comme tels.

Plus particulièrement, leur toxicité est à certains égards différente de celle des éléments chimiques qui les composent, ajoutant à cette toxicité qui, de toute façon, est toujours là, celle typique des corps étrangers. Pour cette raison, ils induisent une réaction inflammatoire.

Résultats d’analyse de vaccins Covid 19

Voici un exemple de détection de nanoparticules de fer et de chrome dans le région à gauche en rouge.

PROF. WERNER BERGHOLZ (CORONA COMMITTEE 71) ‘VAXXED BATTLE BODIES / CONTAMINATED SERUM’


Voilà une étude très complète de l’équipe du Dr. Robert Young :

D’autres études indépendantes qui ont analysé la composition ont découvert des nanoparticules est sont répertoriées dans l’Annexe 2.

À part ces découvertes issues de l’analyse expérimentale, Karen Kingston, présentée comme une ancienne employée de Pfizer a expliqué la composition du vaccin et comment remonter au graphène en partant des composés listés dans la composition.

Elle explique que le graphène est lié à la molécule de PEG qui apparaît dans la composition. On a déjà vu que le procédé de PEGylation du graphène était bien étudié (voir sous toxicité).

https://rumble.com/vkgdq7-deadly-shots-former-pfizer-employee-confirms-poison-in-covid-vaccine.html



Karen Kingston analyse également le vaccin Moderna et évoque un composé, le SM-102, qui est vendu pour la recherche uniquement, en excluant une utilisation biologique.

https://exoportail.com/urgent-le-connecticut-publie-la-liste-des-ingredients-des-doses-de-moderna-qui-contiennent-un-produit-chimique-nocif-pour-les-humains-et-les-animaux/

Deux faits dans un gigantesque puzzle

À ce stade, nous avons 2 faits scientifiques confirmés qui constituent les pièces d’un puzzle:

  • Le phénomène de biomagnétisme. Du jamais vu chez l’être humain.
  • La détection de nanoparticules dans tous les vaccins , tant de graphène que divers métaux.

Avant de s’interroger sur des conséquences dans l’organisme de ces nanoparticules, ajoutons dans ce puzzle le fait que ces informations ne sont absolument pas relayées dans les médias. Pourtant, dans un monde humaniste ces deux faits scientifiques sont de nature à provoquer une déflagration médiatique.

Au contraire, nous avons droit à une désinformation systématique par tous les médias.. Le grand public qui utilise largement Internet pour s’informer va trouver un message unanime : pas de graphène dans les vaccins.

Résultats de recherche avec : graphène vaccin covid

En Espagne, le site maldita.es a totalement discrédité le rapport préliminaire du Dr. Campra.

https://maldita.es/malditaciencia/20210916/informe-universidad-almeria-vacuna-covid-19-pfizer-grafeno-oxido/

Ce site a montré ce qu’il faut prendre pour un communiqué de l’Université d’Almeria, communiqué non signé et véhiculé pat Tweeter . Le texte évoque ¨des fausses informations diffusées sur les réseaux sociaux¨ . Notez que ce faux communiqué de l’Université est lui-même diffusé sur le réseau Tweeter.

La guerre d’information est donc profonde et palpable à travers la corruption qui sévit tant dans les sciences qu’au niveau politique.

Une gestion mafieuse du secteur de la santé a été constatée au niveau de l’UE depuis des années, voici l’extrait d’un rapport, établi en 2014, sur la question :

Il était déjà alarmant que la corruption dans le secteur de la santé soit aussi généralisée et que ce rapport anticorruption de 2014 constate avec résignation son impuissance.

La tournure des événements, depuis le début de la crise coronavirus, a bien démontré à quel point la science est également corrompue. Ces déclarations de 3 journaux de référence du secteur de la santé donnent bien l’état des lieux.

Comme l’affirme cet éditorial du British Medical Journal : lorsque la bonne science est supprimée les gens meurent.

3 exposés pour mieux comprendre cette effroyable anarchie intellectuelle qui règne actuellement à tous les niveaux:

Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, esposé à l’IHU Marseille La médecine et la santé publique à l’épreuve du Covid

Présentation sur la corruption systémique

https://reinfocovid.fr/articles_video/jean-dominique-michel-la-corruption-systemique-partie-3-tribune-reinfo/

« Tout ce que je vais vous dire est su connu et documenté mais d’un autre côté cela à l’air scandaleux d’en parler parce que c’est un tabou collectif. Il y a une logique criminelle qui est devenue la norme en matière industrielle c’est vrai aussi dans la finance.

En ce qui concerne les politiques de santé c’est la même chose…¨

[Ndlr : vidéo censurée.]

Science sans conscience 5 avec Denis Rancourt

Crise du Covid-19 : le triomphe de la « science » sans conscience – Jérémie Mercier (jeremie-mercier.com)



Discussion de l’état de la recherche et de l’article qui annonce l’efficacité des essais sur les vaccins.

Études sur le sang

Le sang des personnes vaccinées a montré des modifications impressionnantes.

Plusieurs documents montrent une modification des globules rouges qui s’empilent pour former des rouleaux.

Dr. Zandre Botha was shocked after studying the blood of « vaccinated » patients that were coming to her with serious illness after being injected with the shots being called « Covid vaccines ».

https://gloria.tv/post/CYb3Qraejiiy2SRLNkusqEjaC

comparaison du sang chez la même patiente avant et après vaccination :

Formation de rouleaux autour d’une nanoparticule

https://www.ethiccitizen.com/2021/08/24/les-effets-de-la-vaccination-sur-le-sang/

[Ndlr : site non actif au moment de la publication du présent article.]

Jane Ruby présente des résultats d’analyse de sang



laquintacolumna



Un composé du vaccin a donc provoqué une force attractive sur les globules rouges.

À défaut d’avoir les explications des fabricants, qui affirment avoir testé ces thérapies, les chercheurs indépendants tentent des explications basées sur la présence de graphène.

On suppose que le graphène acquiert des propriétés magnétiques à l’intérieur de l’organisme au contact de l’hydrogène.

Dr. Andrew Goldsworthy avance que la molécule de graphène est le siège de grands courants susceptibles d’aimanter ce qui l’entoure . Cela pourrait aimanter l’atome de fer de l’hémoglobine. Le globules rouges se comporteraient ainsi comme des aimants et s’empileraient en rouleaux.

https://www.notonthebeeb.co.uk/post/imperial-college-london-dr-andrew-goldsworthy

IMPERIAL COLLEGE LONDRES – Dr Andrew Goldsworthy sur le magnétisme induit par un vaccin

POINTS FORTS :

« … Où qu’il (le magnétisme) aille, il pourrait faire des ravages dans la perméabilité cellulaire et avoir toutes sortes d’effets biologiques, y compris l’insuffisance cardiaque, la maladie d’Alzheimer prématurée et, lorsque les mitochondries sont affectées, la fatigue chronique…. « 

On peut aussi faire l’hypothèse que l’oxyde de graphène va capturer des électrons à la surface des globules rouges et modifier leur état de charge.

Initialement, les globules rouges possèdent une charge négative à leur surface ce qui attire des ions positifs. Cet état naturel provoque la répulsion entre les globules rouges et peut se mesurer grâce au potentiel zeta (exprimé en Volts). Si l’oxydes de graphène arrache des électrons de la surface des globules rouges, cela va altérer cette configuration électronique et cela pourrait ainsi diminuer la force de répulsion entre les globules.

Pour les scientifiques , ces hypothèses forment un puzzle et le graphène est au cœur de toutes les questions ouvertes.

La formation de tels rouleaux de globules rouges est un phénomène qui a déjà été observé par ceux qui étudient les effets des ondes électromagnétiques sur l’homme. Il a déjà été rapporté que les ondes électromagnétiques de notre environnement provoquent également cette formation de rouleaux.

https://magdahavas.com/electrosmog-exposure/mobile-phones-electrosmog-exposure/live-blood-cells-and-electrosmog/

Pour compléter cette section, un test rapporté par des médecins est le TEST D DIMERE Extrait de l’article de Jean-Dominique Michel

https://anthropo-logiques.org/viol-des-esprits-et-psychose-de-masse/

D dimère Témoignage de médecins qui ont constaté le problème

Une autre alerte tout aussi grave retentit de partout : les injections géniques conduisent un nombre important d’inoculés de tous âges et profils de risque à connaître une élévation vertigineuse du taux de D-dimères (produits de dégradation de la fibrine), marqueur sanguin de thromboses (et donc de troubles de la coagulation, phlébites, embolies ou caillots sanguins). Avec une caractéristique troublante : les mesures effectuées sur certains « vaccinés » (de 20% à 62% d’entre eux selon les sources) atteignent des seuils astronomiques en l’absence de tout symptôme habituel identifiable. Alors que le taux normal de D-dimères ne doit pas dépasser 500, et qu’un taux de 2’500 est habituellement considéré comme grave et requérant une hospitalisation immédiate, nombre de personnes testées atteignent des valeurs allant jusqu’à 7’500, provoquant la stupeur des médecins et des laboratoires.

Ce qui laisse redouter des effets graves et même une mortalité importante à un horizon de quelques mois : l’explosion de micro-caillots dans le sang ne peut qu’endommager de manière irréversible les capillaires sanguins dans lesquels ils s’accumulent in fine, en particulier dans le cerveau. D’où l’appel pressant de ces médecins, invitant tous les injectés géniques à tester au plus vite leur niveau de D-dimères.

Témoignages de médecins





15ème numéro de « Science en Conscience » pour ReinfoCovid, Jérémie Mercier reçoit le médecin généraliste luxembourgeois Benoît Ochs,



La portée de ces découvertes

La prise en compte du biomagnétisme et la découverte de nanoparticules dans les vaccins sont 2 découvertes fondamentales.

De graves questions se posent :

Comment expliquer qu’un toxique se trouve présent dans des injections biologiques. ?

Pourquoi ces informations sur les nanoparticules non déclarées ne sont-elles pas relayées et diffusées au plus grand nombre. ?

Lorsque l’on voit que le grand public ignore tout ce qui découle de ces 2 découvertes, on prend réellement la mesure du lavage de cerveau qui opère dans notre monde.

Qui réalise vraiment ce que cela signifie ?

Les découvertes fondamentales sont susceptibles de provoquer une révolution dans la manière de penser. Comme lorsque Galilée a pointé une lunette astronomique vers Jupiter et a observé, pour la première fois, des lunes qui lui tournaient autour. Il a compris que tout ne tournait pas autour de la Terre et une révolution copernicienne était en marche. Après plusieurs années de combat, notamment contre l’Eglise, la révolution copernicienne a vu le jour et les planètes ont tourné autour du Soleil.

Au vu de ce qui précède, c’est bien quelque chose de fondamental qui s’est dévoilé cet été avec l’observation du biomagnétisme et les diverses nanoparticules qui n’ont rien à faire dans ce qui a été nommé ¨vaccin¨ .

Depuis longtemps, on sait que les microparticules sont des corps étrangers qui vont provoquer des maladies de dégénérescence et que l’organisme va les combattre.

A présent, il faudra prendre en compte les risques liés aux nanoparticules. Le docteur José Luis Sevillano de laquintacolumna a présenté une comparaison entre les divers effets produits par la Covid 19 et les divers effets possibles provoqués par une intoxication au graphène :

Effets produits par le Covid 19 Effets provoqués par une intoxication due à une nanoparticule
Thrombose, coagulation du sang Thrombose, coagulation du sang
Inflammation des tissus Inflammation des tissus
Altération du système immunitaire Altération du système immunitaire
Tempête de cytokines Tempête de cytokines

[Ndlr : des ondes électromagnétiques pulsées sur une porteuse de la gamme des micro-ondes ou des ondes millimétriques, comme pour le Wi-Fi, la 4G et la 5G, tendent à produire aussi au moins une partie de tels symptômes. Voir le Dossier 5G et ondes pulsées.]

Face à une agression de type chimique par des nanoparticules d’oxyde de graphène, le système immunitaire va tenter de s’attaquer à ces particules et provoquer une réponse immunitaire très semblable, voire identique, à la réaction face à un pathogène type viral.

Le Dr. Sevillano a d’ailleurs soulevé une question intéressante. Comment un virus peut-il développer une pneumonie bilatérale ? N’est-il pas établi qu’un virus va affecter les tissus à partir d’un foyer et qu’il ne va pas affecter les 2 poumons simultanément ? Autrement dit, est-il cohérent d’attribuer à un virus une pneumonie bilatérale ?

Pour celui qui voit là une incohérence, il faut bien chercher une autre explication.

L’explication alternative avancée par l’équipe de la quintacolumna est que certains patients (et peut-être la grande majorité ? ) sont affectés par un syndrome de rayonnement aigu SRA ( ou ARS Acute Radiation Syndrom).

Un article fondamental qui supporte cette théorie

https://meridian.allenpress.com/radiation-research/article/195/1/1/446280/Commonalities-Between-COVID-19-and-Radiation

Au fur et à mesure que les composants multisystémiques de COVID-19 émergent, des étiologies parallèles peuvent être établies entre l’infection par le SRAS-CoV-2 et les radiolésions. Alors que certaines personnes infectées par le SRAS-CoV-2 se présentent comme asymptomatiques, d’autres présentent des symptômes bénins pouvant inclure de la fièvre, de la toux, des frissons et des symptômes inhabituels tels qu’une perte du goût et de l’odorat et une rougeur des extrémités (par exemple, « orteils COVID », suggestifs des dommages aux microvaisseaux).

…..

Il est intéressant de noter que des années de recherche dans le domaine de la radiobiologie documentent la nature multiorganique complexe d’un autre état pathologique qui survient après une exposition à de fortes doses de rayonnement : le syndrome de rayonnement aigu (SRA). L’inflammation est un acteur commun clé dans COVID-19 et ARS, et entraîne les dommages multi-systèmes qui modifient considérablement l’homéostasie biologique. Les deux conditions déclenchent une tempête de cytokines, avec une augmentation des molécules pro-inflammatoires similaires et une diminution des autres molécules anti-inflammatoires. Ces changements se manifestent de diverses manières, avec un impact manifestement plus élevé sur la santé des patients ayant des problèmes de santé sous-jacents.

….

L’impact humain potentiellement dramatique de l’ARS a guidé la science qui a identifié de nombreux biomarqueurs de l’exposition aux rayonnements, établi des stratégies de gestion médicale pour les SRA et a conduit à l’élaboration de contre-mesures médicales à utiliser en cas d’urgence radiologique de santé publique. Ces efforts peuvent maintenant être mis à profit pour aider à élucider les mécanismes d’action des blessures COVID-19. De plus, cette intersection entre COVID-19 et ARS peut indiquer des approches qui pourraient accélérer la découverte de traitements pour les deux. …

Dans cette revue, nous décrivons les parallèles observés entre COVID-19 et les effets biologiques des lésions dues aux rayonnements qui incluent des composantes immédiates et à long terme : le syndrome de rayonnement aigu (SRA) et les effets retardés de l’exposition aiguë aux rayonnements (DEARE).

Coronavirus ou Syndrome du Rayonnement Aigu ?

Pour aller plus loin, nous pouvons comparer 2 équations bien distinctes :

Equation 1

Nouveau virus + nouveau vaccin = retour à la vie d’avant

Equation 2

Introduction de graphène partout + activation ondes radio = un nouveau monde

Analysons ces équations de manière méthodique.

Nouveau virus :

Même si le coronavirus a colonisé les esprits, les questions de l’origine et de l’existence même du virus se posent. Robert Young a ouvert le débat en demandant au Center for Desease Control (CDC aux Etats-Unis) la confirmation que le virus avait bel et bien été isolé. Le Dr. Robert Young doutait du fait que l’on avait vraiment isolé le virus a posé la question au CDC en utilisant le ¨freedom information act¨.

La réponse de cette haute institution est claire et définitive :

PERSONNE N’A JAMAIS ISOLÉ, PURIFIÉ ET/OU VÉRIFIÉ SCIENTIFIQUEMENT ET PROUVÉ L’EXISTENCE DE TOUT VIRUS À TOUT MOMENT, À TOUT ENDROIT, PARTOUT DANS LE MONDE !

https://www.drrobertyoung.com/post/cdc-now-admits-no-gold-standard-for-the-isolation-for-any-virus?fbclid=IwAR2RylFrVu30xj3836v0rlSvK4PRtdyZPfmTsEzRcMJ3jgNYMLpsyhsmE7g

La même question a été posée à des institutions à travers le monde avec toujours la même réponse. Voir l’annexe 3 avec la liste des 87 institutions qui ont été questionnées autour du monde.

Pour confirmer ce qui précède, il vaut la peine de comprendre ce que sont les méthodes de purification utilisées en biologie.

Stefano Scoglio montre dans l’article suivant comment on a fourvoyé la science en détournant purement et simplement le sens fondamental du terme ¨isoler¨

En physique ou en chimie, isoler une particule ou une molécule veut dire la séparer du reste.

Scoglio explique qu’il n’en va pas de même en biologie.

Scoglio a commencé en mars 2020 à dénoncer que le prétendu isolement du SARS-Cov2, réalisé principalement par l’équipe du Chinese Center for Disease Control (CCDC) sous le nom de Zhu N. et al. n’était pas du tout un isolement, car il n’y a pas eu de purification du virus, mais seulement la culture sur des cellules rénales de singe du fluide broncho-alvéolaire de certains patients atteints de pneumonie :

https://agenparl.eu/covid-scoglio-candidato-nobel-medicina-2018-la-questione-dellisolamento-del-virus-e-della-sua-patogenicita-secondo-la-legge-dei-cinque-postulati-di-koch/

Covid, Scoglio : La question de l’isolement du virus et de sa pathogénicité selon la loi des cinq postulats de Koch.

En microbiologie il existe une règle d’or, le postulat de Koch, développé par le microbiologiste allemand Robert Koch :

  1. l’agent présumé responsable de la maladie en question doit être présent dans tous les cas de cette maladie constatés ;
  2. il doit être possible d’isoler le microorganisme de l’hôte malade et de le faire croître en culture ;
  3. chaque fois qu’une culture du micro-organisme est inoculée à un hôte sain, la maladie se reproduit ;
  4. l’organisme doit pouvoir être à nouveau isolé de l’hôte infecté expérimentalement ……

En conclusion, le virus SARS-Cov2 n’a jamais été isolé au sens commun du terme. Les virologues se sont habitués à appeler « isolement » ce qui est la culture du surnageant du liquide centrifugé du patient sur des cellules rénales de singe ; mais appeler une chose pour une autre n’en fait pas ce qu’elle prétend être.

Puisque le virus n’a jamais été isolé, toute autre discussion sur la pathogénicité du virus, ou sa capacité à générer une pneumonie Covid, ainsi que tous les tests qui prétendent rechercher le virus, et enfin tout vaccin qui veut vaincre le virus, ne sont que des géants aux pieds d’argile, complètement dépourvus de tout fondement scientifique.

Et pour clore en revenant au début et en refermant la boucle, nous avons vu comment la possibilité de déclarer qu’un micro-organisme provoque une pathologie doit se fonder sur les postulats de Koch. Eh bien, ce sont les chercheurs chinois eux-mêmes qui déclarent, à la fin de leur étude : « Bien que notre étude ne satisfasse pas aux postulats de Koch… » [15]

Vidéo en italien du Dr. Stefano Scoglio, Ph.D.

https://www.youtube.com/watch?v=5z5ZWfZf11Y


[Ndlr : les annexes n’étaient pas présentes dans le document fourni. Cependant, les articles suivants fournissent des informations et des hypothèses complémentaires :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Sur les « virus », leur non isolement, la contagion… :
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]




Crise de confiance entre les Français et le corps médical

[Source : ripostelaique.com]

Par Christophe Sévérac

Je suis Covid+. Grosse fièvre, fatigue, courbature, perte partielle du goût. Je ne suis pas vacciné, mais je suis en bonne santé et surtout, je sais à peu près comment me soigner. J’appelle mon docteur, lui explique mes symptômes. Il me demande si je suis vacciné… et me prépare une ordonnance pour un test PCR en labo. Avec une seule consigne : isolement, isolement, isolement. C’est beau la médecine en France en 2021. Ça sait remplir des papiers et vous coller l’ARS aux fesses.

Ils ont oublié leur mission qui était de soigner les gens. Les docteurs renvoient chez eux des milliers de personnes malades, sans traitements, sans soins, et quand leur état se détériore, direction les urgences et pour beaucoup (surtout au début), hélas, la morgue.

Comment appeler cela? Un crime de masse. L’état est le premier responsable qui a interdit pêle-mêle quasiment tous les traitements précoces. Mais on peut interroger néanmoins l’attitude pour le moins servile de la majorité des médecins.

Flavia Groșan, pneumologue roumaine affirme que c’est le protocole Covid appliqué dans les hôpitaux qui tue les malades ! Ce qui compte selon elle, c’est un traitement précoce, elle a donné des antibiotiques comme la clarithromycine, utilisé pour les pneumonies. Elle n’a eu aucun décès dans ses patients, même parmi les personnes âgées. En France, le professeur Raoult a eu de trop bons résultats dans son hôpital, il est maintenant harcelé par la meute.

Comme ils n’ont rien côté remèdes précoces, les médecins matraquent côté vaccination.

Mon grand frère (54 ans) s’est fait vacciner deux fois Moderna. Depuis sa vie a basculé dans l’horreur. Péricardites à répétition, douleurs cardiaques insupportables, impossibilité de réaliser le moindre effort, aucune amélioration depuis six mois. Les médecins ne comprennent pas, ils évoquent peut-être une péricardite auto-immune…

Il a voulu faire un signalement ANSM, les médecins ont cherché à l’en dissuader, puis devant son insistance, on lui a fait remplir un papier, depuis il n’a eu aucune nouvelle.

Les victimes d’effets indésirables du vaccin témoignent de la difficulté des médecins à les écouter et les prendre au sérieux…

Ça va du condescendant « c’est psychologique, vous êtes dépressif », en passant par l’agacement « vous deviez avoir ça avant, c’est le hasard » ou le scientifique « désolé, mais statistiquement c’est infime », pour finir par l’autoritaire «  il n’y a aucun rapport, le vaccin n’y est pour rien ».

Un ami infirmier me disait que ces personnes dérangent. Leurs souffrances dont le vaccin est responsable est une accusation silencieuse de tout le système médical. Celui-ci se protège en ignorant, minorant, en rejetant tout lien de causalité.

Pourtant les chiffres sont affolants, le nombre de signalements concernant ces vaccins est sans commune mesure avec ceux des autres vaccins ou médicaments, même sur des décennies !

Peut-on encore faire confiance à ce système médical ?

La médecine est censée être le fer de lance du progrès et de la science, en réalité elle a toujours été inféodée au pouvoir en place. La médecine n’est pas une science et elle n’est aucunement neutre. En France, elle est intrinsèquement lié aux groupes pharmaceutiques et aux puissances dirigeantes. Le conseil de l’ordre, sorte de chien de garde, se charge de ramener les rebelles dans le droit chemin ou de les expulser.

Il faudrait un article entier pour parler de toutes ces personnes, ostracisées pour avoir oser chercher et trouver des solutions hors du cadre fourni par l’institution.

Dès les premiers symptômes, puisque je savais que mon docteur ne me donnerait rien,  j’ai pris des antibiotiques et antiviraux naturels, des huiles essentielles. Le Ravintsara est pratique d’utilisation car même les enfants et femmes enceintes peuvent en prendre et j’ai complété avec du pin sylvestre, très efficace pour les voies respiratoires. Ce sont des substances puissantes, il faut toujours faire attention à la posologie et aux allergies éventuelles.

Les Français ne s’y trompent pas, la consommation d’huiles essentielles explose, +45 % en 6 ans (chiffres 2017).

L’industrie pharmaceutique ne pouvait pas rester sans réagir, le programme Reach de l’union européenne, qui a l’origine devait lutter contre les substances chimiques toxiques dans les produits de consommation, s’attaque aux huiles essentielles, en les considérant comme des produits industriels ! Elles risquent de disparaître. L’enjeu est crucial : la possibilité de se soigner quand le gouvernement vous prive des médicaments efficaces.

Le système médical s’est transformé en une espèce d’accélérateur de la numérisation de l’individu, compte virtuel, dossier médical numérique dès la naissance. On sent la nasse se refermer, ce mouvement de numérisation de notre santé et de nos identités est mondial. Pour ma part, j’ai refusé l’ouverture de ces comptes pour mes enfants et pour moi-même.

En prenant un peu de hauteur, on peut voir que le système de santé a été dévoyé de sa mission première qui est de soigner, pour vacciner et contrôler la population. Il a été déshabillé par des fermetures de lits, des manques de moyens, la maltraitance des soignants, la persécution de nombreux médecins et infirmiers.

Nous avons glissé en deux ans dans le monde merveilleux de Kafka.

Christophe Sévérac




Nouvelles de l’Autriche

[Source : fpoe.at]

Traduction par Christine Côte

VIENNE : (nouvelles vidéos) 100.000 personnes pour la Liberté et annonce prochaines manifs — Message de Herbert Kickl

Kickl Herbert – Freiheitliches Bildungsinstitut
Photo: Herbert Kickl  (ne l’appelez pas simplement “un député autrichien”, mais svp retenez bien son nom. La FPÖ (Freiheitliche Partei Österreichs)  correspond en gros au RN, sauf que Le Pen s’est prononcée POUR la vaccination de masse. 

Chère amie de la FPÖ ! Cher ami de la FPÖ ! !

Samedi, les Autrichiens ont donné un signal fort en faveur de la liberté. Près de 100.000 personnes sont venues à Vienne pour les rassemblements et les manifestations organisés par la FPÖ et de nombreux mouvements citoyens et ont donné un signal pacifique mais retentissant. Ils ont montré au gouvernement qu’ils refusaient la restriction des droits fondamentaux et des libertés ainsi que l’obligation de vaccination annoncée !

Message de Herbert Kickl

Notre président du parti fédéral FPÖ, Herbert Kickl, a envoyé un message vidéo aux participants, dans lequel il a formulé la grande mission commune : « Il s’agit de se défendre contre un danger et une menace totalitaires. Mais il s’agit également de repousser une incroyable prétention de ce gouvernement turquoise-vert(([1] L’Autriche est sous coalition Turquoise-Vert. La ÖVP est le parti chrétien-social NOIR, mais Sebastian KURZ l’a rebaptisée “La nouvelle ÖVP” et lui a attribué la couleur TURQUOISE. La “nouvelle ÖVP” n’a plus rien ni de chrétien ni de social, mais est l’instrument du Nouvel Ordre Mondial. (KURZ fait partie des Young Global leaders et a été placé par qui on sait). En raison de divers scandales, KURZ a dû quitter la fonction de chancelier, et s’est mis président du parti et chef de son groupe au parlement… L’on murmure – assez bruyamment – que son successeur SCHALLENBERG, diplomate issu de la vieille aristocratie autrichienne, ne serait que sa marionnette. (Les particules (VON ou ZU) ont été abolies pour l’état civil en Autriche à la fin de la monarchie; Dans leurs cercles, bien sûr, cela ne change rien). On l’appelle “SchaTTenberg”  (“Schatten” signifie “ombre”. Le chancelier, ombre de KURZ). Le parlement venant de voter la suppression de l’immunité parlementaire de KURZ, les investigations du parquet anti-corruption peuvent se poursuivre. [NDT])) qui pense devoir penser et décider à notre place. Un gouvernement qui a l’audace de vouloir restreindre notre liberté et de nous enfermer, et qui veut nous obliger, en matière de vaccination, à faire des choses que nous ne nous laisserons jamais faire de notre plein gré. C’est un incroyable dépassement des limites que celui auquel nous avons affaire ici ».

Et Herbert Kickl a annoncé vouloir bientôt se tenir à nouveau personnellement aux côtés des manifestants(([2] Herbert KICKL (FPÖ) est actuellement en quarantaine et n’a donc pu, à son grand regret, accompagner sa manif. Il n’a que des symptômes légers et se fait soigner en médecine douce, enfin il promeut l’Ivermectine. (Elle n’est pas interdite en Autriche mais ne s’obtient que sur ordonnance). Les merdias se moquent de lui et appellent cela “un vermifuge vétérinaire”. Ce qui fait aussi la force de Herbert KICKL, c’est qu’il n’a pas de casseroles, et qu’il n’est pas un intrigant. Il serait donc difficile de lui imputer corruption, comportement immoral, ou délits sexuels, ou de lui tendre un piège, comme à STRACHE (Le scandale d’IBIZA). Heinz-Christian STRACHE était le seul à bloquer la prohibition du tabac, qui a été imposée en Autriche dans les bars et restaurants et je crois, même les clubs et réunions d’associations, en Novembre 2019 dès qu’il a sauté.  (Petit à petit ils avaient déjà imposé auparavant la prohibition du tabac au travail, dans les hôpitaux (sauf salons réservés) et même les TAXIS! Le lendemain, le Président de l’Ordre des Médecins, SZEKERES  celui-là même qui veut nous attacher pour nous coller son injection de force, demandait 8 milliards d’Euro sortis des caisses de l’état et NON de la sécu (donc en plus),. pour (mal)traiter les amateurs de tabac! Pour 8 millions d’habitants, soit € 1000- par personne, nourrissons compris. l’industrie anti-fumeurs est au moins aussi puissante que l’industrie vaccinale: elle a ruiné le monde et détruit la société, d’autant plus qu’elle aussi, concocte des “vaccins”. (TA-NIC de Novartis et NicVax de GSK ont échoué en 2011 en phase III. Mais ils en concoctent d’autres). Tous ceux qui ont cru,, ne serait-ce qu’une minute qu’il s’agissait pour L’OMS de santé avec la diabolisation du tabac ont été effroyablement mystifiés. [NDT])):

« Ce n’était que le début. Nous continuerons à descendre dans la rue jusqu’à ce que le gouvernement revienne à la raison ! »

Des images saisissantes de Vienne

C’est un signe pacifique et bruyant qu’ont donné les participants au rassemblement venus de toute l’Autriche(([3] Il y avait aussi de nombreux participants venus d’Allemagne et de Suisse. De nombreux appels avaient été lancés (par exemple par le professeur Sucharit Bhakdi. et Maître Haintz). [NDT])). Le nombre de 40.000 participants colporté par la police et les médias peut être relégué sans crainte dans la catégorie des « fake news ». Dans cette vidéo, tu peux te faire une idée de la foule :

Vers la vidéo de la foule :
http://aktuell.fpoe.at/c/65265722/8fe044ccbac7-r2zmbk

Merci aux participants et à la police

Que ce soit lors du rassemblement de la FPÖ dans le quartier des musées ou lors de tous les autres rassemblements et de la grande manifestation commune autour du Ring, les participants étaient très disciplinés et portaient pour la plupart les masques FFP2 prescrits. Même le ministre de l’Intérieur ÖVP Nehammer a été obligé de le confirmer indirectement dimanche. Seuls 400 procès-verbaux ont été dressés, en grande partie pour absence de masque. La police a agi samedi avec une grande prudence – et les policiers méritent un grand merci pour cela. Ils ont été applaudis à plusieurs reprises par les participants à la manifestation pour leur engagement exemplaire.

Pour tous ceux qui n’ont pas pu être présents samedi, voici les meilleurs moments de la manifestation contre la folie corona de ce gouvernement fédéral turquoise-vert(([1] L’Autriche est sous coalition Turquoise-Vert. La ÖVP est le parti chrétien-social NOIR, mais Sebastian KURZ l’a rebaptisée “La nouvelle ÖVP” et lui a attribué la couleur TURQUOISE. La “nouvelle ÖVP” n’a plus rien ni de chrétien ni de social, mais est l’instrument du Nouvel Ordre Mondial. (KURZ fait partie des Young Global leaders et a été placé par qui on sait). En raison de divers scandales, KURZ a dû quitter la fonction de chancelier, et s’est mis président du parti et chef de son groupe au parlement… L’on murmure – assez bruyamment – que son successeur SCHALLENBERG, diplomate issu de la vieille aristocratie autrichienne, ne serait que sa marionnette. (Les particules (VON ou ZU) ont été abolies pour l’état civil en Autriche à la fin de la monarchie; Dans leurs cercles, bien sûr, cela ne change rien). On l’appelle “SchaTTenberg”  (“Schatten” signifie “ombre”. Le chancelier, ombre de KURZ). Le parlement venant de voter la suppression de l’immunité parlementaire de KURZ, les investigations du parquet anti-corruption peuvent se poursuivre. [NDT])):

Vers la vidéo des plus belles impressions :
http://aktuell.fpoe.at/c/65265723/8fe044ccbac7-r2zmbk

La résistance se poursuit

Lorsque l’injustice devient le droit, la résistance devient un devoir ! C’est pourquoi la FPÖ ne lâchera pas prise et organisera, en plus de la résistance au niveau parlementaire et juridique, d’autres grands rassemblements et manifestations afin d’amener le gouvernement fédéral à prendre conscience de la situation. En plus de Vienne, des manifestations auront lieu dans d’autres grandes villes – à Bregenz, Graz, Linz, Innsbruck(([4] Bregenz (Vorarlberg), Graz (Styrie), Linz (Haute-Autriche), Innsbruck (Tyrol) [NDT])) et dans de nombreuses autres villes, des signes forts ont déjà été donnés ces derniers jours contre la folie des Corona du gouvernement fédéral.

Nous te tiendrons bien sûr au courant des prochaines manifestations !

Ton équipe de la FPÖ
Secrétariat fédéral de la FPÖ
Friedrich-Schmidt-Platz 4/3a(([5] En Autriche l’adresse postale se rédige de la façon suivante: je sais que cela en interloque plus d’un.
Nom de la rue (ou de la place ‘Platz’ comme ci-dessus), PUIS numéro de l’immeuble ou de la maison, puis barre oblique (slash), puis no de l’appartement ou du bureau. 3a correspondrait à 3 bis en France.))
1080 Vienne
Autriche
+43 1 5123535
newsletter@fpoe.at

Traduction : Christine Côte

Sebastian Kurz zum zweiten Mal jüngster Ex-Kanzler | Tiroler Tageszeitung  Online – Nachrichten von jetzt!
Sebastian Kurz,
ex-chancelier fédéral       
Fellner! LIVE: Alexander Schallenberg im Interview
Alexander Schallenberg,
nouveau chancelier fédéral




Merci Docteur Blachier pour votre éclairage…

Par Alain Tortosa

Merci Docteur Blachier(([1] https://7milliards.fr/tortosa20201009-blachier.pdf)) pour votre éclairage…

(Ce mardi 23 novembre 2021 sur Cnews.)

Ce matin vous étiez l’invité de Pascal Praud pour nous faire bénéficier de votre expertise.

N’étant pas certain de vous avoir compris et étant, hélas, limité intellectuellement par une génétique qui n’est pas toujours à mon avantage, je vous prie de bien vouloir m’excuser par avance si d’aventure je trahissais vos propos et votre pensée…

Le sujet portait sur la 5e vague que certains journalistes ou médecins n’hésitent plus à qualifier de « terrible » quoique le réseau Sentinelle en ignore encore l’existence.

Voici donc ce que j’ai compris et retenu de vos propos :

  • Le sujet de l’hôpital n’est pas la crise Covid, mais elle est systémique.
  • Alors que 90 % des personnes à risque sont vaccinées deux doses, l’effet de la troisième dose ne se produira pas avant la fin de la nouvelle vague.
  • Donc cette nouvelle dose ne sera pas de nature à pouvoir prévenir la vague actuelle.
  • La nouvelle vague disparaîtra naturellement (comme les autres ?) grâce à l’immunité naturelle de masse acquise par les anciens et nouveaux contaminés.
  • La fin du Covid, c’est l’histoire de quelques mois…

M Praud ayant fait remarquer que la vaccination ne servait donc pas à grand-chose et qu’il fallait peut-être mieux attraper le Covid, s’est interrogé sur la pertinence d’une vaccination des enfants.

Ce à quoi vous vous êtes étonné d’une espèce de velléité de sa part de ne pas vouloir les vacciner…

J’aurais pu interpréter vos propos par « y’a des doses ; pourquoi ne pas les utiliser ? » et vous avez justifié cette vaccination de millions d’enfants du fait que certains (rares) faisaient des formes graves.

D’autre part vous avez insisté sur le fait que les non-vaccinés et les quelques vaccinés deux-doses qui font un Covid menacent l’hôpital, hôpital dont le sujet n’est pas le Covid…

Donc pour résumer la situation telle que je l’ai modestement comprise :

  • Aucune des mesures prises n’a été et ne sera en mesure d’arrêter le virus et l’épidémie. (Mais selon vous, il ne fallait pas et il ne faut pas que le gouvernement dise aux Français que l’on ne peut rien faire.) Elle va poursuivre son bonhomme de chemin.
  • Seule l’immunité naturelle sera en mesure de participer à la fin de l’épidémie.
  • Chaque nouvelle dose pourra temporairement protéger pour une durée inconnue.
  • Il faut absolument vacciner les enfants qui ne font pas de formes graves pour les empêcher de faire des formes graves.
  • Sachant que les non-vaccinés sont majoritairement des personnes jeunes et en bonne santé qui ne font pas de formes graves et que 90 % des personnes qui peuvent faire des formes graves sont vaccinées… Il demeure INDISPENSABLE de vacciner les 10 % de personnes à risque non vaccinées, car ces 10 % (qui sont en partie protégées par l’immunité naturelle de la population et par l’immunité des fraîchement vaccinés) pourraient saturer l’hôpital. 10 % auraient donc à terme le même effet de saturation que 100 %.
  • Il est désormais admis que le vaccin n’empêche pas les hospitalisations ou le décès, mais « diminue » le risque.
  • Il est « logique » que le nombre de vaccinés hospitalisés puisse être supérieur au nombre de non-vaccinés hospitalisés parce qu’il y a plus de vaccinés que de non-vaccinés… Le fait que des vaccinés puissent être hospitalisés ou mourir n’interroge en rien sur « l’efficacité » du « vaccin », « vaccin » à qui l’on ne demande plus de prévenir les contaminations ou les hospitalisations !
  • La notion même d’effets secondaires potentiels au « vaccin » est un non-sujet et ne peut donc influer sur la balance bénéfice versus risque y compris pour des enfants.
  • Pourquoi douterions-nous de ces affirmations optimistes alors même que le confinement, les masques, la première dose, la deuxième dose et maintenant la 3e dose étaient censés nous permettre de nous débarrasser définitivement de ce virus ? De même que l’immunité vaccinale de masse devait être atteinte avec 50 % des adultes vaccinés puis 60 %, 70 %, 80 % et même 100 % de vaccinés pour Gibraltar et d’autres pays qui sont en pleine nouvelle vague et envisagent des confinements. Pourquoi devrions-nous douter ? Soyons raisonnables, que diable !

Si je devais résumer (partialement ?) l’intervention en deux phrases :

  • « Les vaccins ne servent pas à grand-chose et ne permettront ni de protéger à long terme les personnes à risque ni de mettre fin à l’épidémie, mais nous devons les utiliser sur tous puisque nous les avons, y compris sur des enfants non concernés. »
  • « Il faut donc principalement accélérer la vaccination des non-vaccinés et des enfants pour nous protéger collectivement et éviter la saturation des hôpitaux par des personnes vaccinées ou non à risque ! »

Amen.

J’espère qu’après cette lecture vous serez plus éclairés et à même de prendre les bonnes décisions grâce à l’expertise du docteur Blachier.(([2] J’ai cherché à être le plus fidèle possible aux affirmations du Dr Blachier que j’invite à me contacter.))

N’hésitez pas à commenter pour me faire avancer encore plus dans la compréhension du sujet.

Merci.

Alain Tortosa.

23 novembre 2021
https://7milliards.fr/tortosa20211123-eclairage-blachier.pdf





SCIENCE ET POLITIQUE — Le leurre de la cinquième vague démasqué sur cnews par le Pr Perronne, et par Zemmour sur France info

Par Nicole Delépine

La 5e vague, leurre pour masquer les autres sujets et imposer la dictature à la chinoise

Il est temps et très utile de remettre les pendules à l’heure ! Comme ont pu le faire en partie le Pr Perronne malgré les cris et interruptions du journaliste de l’émission de Yvan Rioufol le 21 novembre 2022(([1] Interview exclusive dans l’émission de @ivanrioufol
à revoir sur https://vk.com/wall622964491_30515))

le journaliste…

https://twitter.com/i/status/1462517769648418821

Toutes les lois sur les vaccins sont illégales, car il y a des médicaments qui marchent (des centaines de publications le prouvent).

De plus les pseudovaccins sont toujours en phase expérimentale et obliger quelqu’un à s’injecter un produit expérimental sans consentement éclairé est contraire au code de Nuremberg et à la convention d’Oviedo signée par la France en particulier.

Les pays qui ne vaccinent pas n’ont plus d’épidémie.

Pr Péronne rappelle « Qu’il n’y a pas de 5e vague, l’épidémie est quasiment terminée.

Il explique pourquoi la plus grande IMPOSTURE est d’avoir appelé cela un vaccin : tous les pays qui ont vacciné massivement voient un rebond des infections, des effets secondaires et des morts » :

Point crucial développé par C. Perronne : non le « vaccin » qui n’en est pas un, mais bien une thérapie génique qui vise à modifier nos gènes comme les fabricants l’ont expliqué : ils ne fournissent pas un virus atténué ou tué susceptible de vous faire produire des anticorps qui pourraient lutter contre le virus lors d’une prochaine épidémie, mais introduisent dans vos gènes un « logiciel » qui fera fabriquer par vos cellules la fameuse protéine spike mère de tous les dangers.

Et ce pseudo vaccin ne marche pas puisqu’il faudrait au moins tous les six mois réinjecter une dose de la substance supposée vous aider à résister à ce virus qui de fait n’est plus toxique, car comme tous les autres virus depuis des lustres perd sa virulence à travers le temps, comme l’a souligné le Pr Perronne. Quel véritable vaccin nécessite rappel permanent en dehors du vaccin antigrippal qui justement ne marche pas malgré l’insistance à l’injecter depuis plus de trente ans, bénéfice Big Pharma oblige.

« Si vous regardez le monde, tous les pays pauvres qui n’avaient pas les moyens d’obtenir le vaccin n’ont plus d’épidémie de Covid19. Et ceux qui ont encore l’épidémie sont les pays qui vaccinent à fond… Aujourd’hui la COVID19 est une maladie bénigne.»(([2] CES CARTES QUI DEMONTRENT COMBIEN CHRISTIAN PERRONNE A RAISON | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) ))

Le nombre des morts et personnes atteintes d’effets secondaires explose et même si le journaliste ne parvient pas à l’entendre, oui il y a des vagues de décès dans les pays qui vaccinent comme de nombreux articles en témoignent.

Zemmour parle enfin de la politique sanitaire

E. Zemmour qu’on n’attendait plus et revient au galop, lui aussi face à des journaleux prétentieux, pétris de certitudes fausses qu’ils assènent comme des vérités absolues, de fait des dogmes qui n’ont rien de scientifique. Il est curieux de voir les remarques de l’OBS parlant de conversations de salon de thé.

Il dit enfin ce qu’on attendait de lui et de tous les candidats ; la vaccination obligatoire est injustifiée comme le pass sanitaire.

Car le pseudo vaccin ne protège pas et les non-vaccinés ne sont pas plus contagieux que les vaccinés bien au contraire. Les journalistes feraient bien d’écouter les vrais spécialistes plutôt que de se contenter de répéter la propagande gouvernementale

VIDÉO. Covid-19 : « On en fait trop », déclare Éric Zemmour pour qui la prolongation du pass sanitaire est une « habileté tactique » (francetvinfo.fr)

Les points essentiels actuels : non, il n’y a pas d’épidémie déclarée(([3] Laurent Toubiana,
« La » cinquième vague », nouvel épisode d’un feuilleton qui a trop duré » (17 novembre 2021)
http://u.irsan.fr/bm75g
ou À propos de la prétendue 5e vague – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) et les vagues ne sont que des vagues de folie organisée pour détourner l’attention des peuples et mettre en place la dictature mondialiste de la caste de Davos via le pass sanitaire, bientôt pass à la chinoise.

Depuis quelques jours, la petite musique tant de fois entendue d’un nouvel épisode du feuilleton sanitaire en France se fait de nouveau entendre. Ce nouvel épisode s’appelle la « 5e vague ». Depuis plus d’un an et demi, la population française est soumise à un flot quasi continu de mauvaises nouvelles dont l’un des acteurs principaux est un virus du nom de Sars-Cov-2. Nous voici donc entrés dans une nouvelle zone de turbulence.

Fig. 1 : Évolution du taux d’incidence hebdomadaire pour 100 000 habitants de malades du Covid-19 et des décès liés au Covid-19
Source : Réseau Sentinelles, Santé Publique France, mise en forme IRSAN (https://covid.irsan.eu)
Champ : France métropolitaine
Note de lecture : la courbe rouge montre l’évolution hebdomadaire pour 100 000 habitants de malades du Covid-19 selon le Réseau Sentinelles (échelle à droite en rouge de 0 à 120). En mars 2020, cette courbe montre un maximum avec 140 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants. Lors du 4ème « pic » de cette courbe (début août 2021), l’incidence est de 31 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants.
La courbe noire montre l’évolution du nombre hebdomadaire de décès testés positifs au Covid-19 pour 100 000 habitants source Santé Publique France (échelle à droite en noir de 0 à 10). Le point maximum est au début de la courbe avec 9,7 décès en une semaine pour 100 000 habitants début avril 2020.

Évidemment l’argument « les autres pays qui tentent le même coup de force contre les peuples n’en est pas un puisqu’il s’agit d’un coup de force mondialiste contre les peuples », fort bien expliqué en toute transparence depuis vingt ans (Attali explique qu’ils iront à l’abattoir volontairement, la queue au vaccinodrome semble lui donner raison)…

Relisez le livre de Schwab dernière version en juillet 2020 si vous ne l’avez pas cru à l’époque. L’OMS décrète épidémie – critères variables) et les gouvernements obéissent à l’accord signé en cas de « pandémie mondiale ». Bien organisé, non ? Plan mis au point depuis longtemps, rodé en 2009, mais échoué alors, car ils n’avaient pas muselé les médecins ni contrôlé tous les médias et rebelote.(([4] https://www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la-conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont octobre 2020))

MORALITÉ : INFORMONS ENCORE ET ENCORE AFIN

QUE LA PEUR DISPARAISSE ET

QUE LE SCÉNARIO PLANDEMIE NE PUISSE PLUS CACHER LES AUTRES SUJETS

NI JUSTIFIER DES MESURES LIBERTICIDES COMME LA PROLONGATION DE LA LOI D’URGENCE OU LE PASS PSEUDO SANITAIRE





Des médecins allemands confirment à nouveau la corrélation entre vaccin et surmortalité

[Source : lecourrierdesstrateges.fr)

par Lalaina Andriamparany

Ute Bergner, député du Land de Thuringe, a remis à la ministre de la santé Heike Werner les données concernant l’étude sur la surmortalité en Allemagne. Elles ont révélé l’existence d’une corrélation étroite entre la vaccination contre le Covid-19 et la surmortalité dans le pays au cours de la période 6 septembre 2021 au 10 octobre 2021. Cette étude apporte de l’eau au moulin du rapport des deux médecins allemands qui ont associé les décès et la vaccination anti-covid ,en s’appuyant sur des autopsies réalisées par un des médecins allemands les plus respectés, le Professeur Peter Schirmacher ?

.

Une corrélation de plus de 31

Alors que l’Allemagne fait actuellement face à une hausse du taux de contamination au coronavirus, avec plus de 65% d’habitants complètement vaccinés, dans nos colonnes, nous avions déjà évoqué les études effectuées par le Professeur  Arne Burkhardt et le Professeur  Walter Lang, appuyés par les autopsies du Professeur.Peter Schirmacher qui ont établi un lien de causalité entre vaccins anti-covid et 40% des décès qui sont apparus dans les 14 jours suivant la vaccination.  

Une nouvelle étude sur la surmortalité en Allemagne a été menée en tenant compte des publications de l’Institut Robert Koch et de l’Office fédéral de la statistique. Les analyses effectuées établissent l’existence d’une corrélation entre le taux de vaccination au Covid-19 et la surmortalité. Elle est de plus de 31.

La logique serait de dire : plus le nombre de personnes vaccinées augmente, plus le nombre de décès diminue. Or, la situation est tout autre. En effet, plus le taux de vaccination est élevé, plus le taux de mortalité augmente. La question qui se pose est : cette surmortalité est-elle réellement liée à l’injection des vaccins contre le Covid-19?

Les données réunies jusqu’à présent ne permettent pas d’obtenir une conclusion définitive sur le sujet. En tout cas, ce fait est constaté dans 16 pays et il demande une clarification dans le meilleur délai qui soit.

Ute Bergner demande un changement de politique

La député Ute Bergner a donné son avis concernant les résultats de cette étude sur la surmortalité. Elle demande à l’État d’arrêter de mettre la pression sur les personnes non vaccinées et de tenir compte de la corrélation entre les vaccins contre le Covid-19 et la hausse du nombre de décès.

Selon le député du Land de Thuringe, les citoyens ont le droit à consentement libre et éclairé au vaccin, c’est-à-dire d’avoir le choix entre se faire vacciner ou non. Pour elle, la règle du « 2G » qui interdira aux non-vaccinés l’accès à des lieux publics est tout simplement discriminatoire.

En France, la suspension des soignants qui refusent le vaccin constitue une violation flagrante consentement libre et éclairé.




Le système de santé français à l’agonie, sous les soins répétés de J. Castex et de tous les gouvernements depuis les années 90

Par Dr G Delépine(([1] Joignez-nous sur https://t.me/DrDelepine))

La destruction organisée depuis plusieurs décennies de notre système hospitalier

En l’an 2000, notre système de distribution de soins était placé au 1er rang mondial grâce à la complémentarité entre médecine de ville et hôpitaux publics et privés répartis harmonieusement sur le territoire, prenant en charge les cas les plus lourds.

En 2020, d’après l’institut Legatum,(([2] THE LEGATUM PROSPERITY INDEX™ 2020Creating the Pathways from Poverty to Prosperity
https://docs.prosperity.com/3916/0568/0669/The_Legatum_Prosperity_Index_2020_Overview.pdf)) il a rétrogradé au 16e rang. Depuis plusieurs années, il est fréquent d’attendre 8 heures dans une salle d’attente inconfortable sur une chaise en fer, et bondée avant d’être examiné par un médecin ou même tout simplement inscrit et « évalué » par un infirmier pour juger de l’urgence. Certains patients meurent avant la consultation comme Lou, 11 ans, morte le 22 décembre 2020 à l’hôpital Necker, à Paris, après avoir passé plusieurs heures dans la salle d’attente de l’hôpital,(([3] Décès aux urgences : depuis un an, ces nombreux cas qui illustrent la crise L’express 2/2/2020 0
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/deces-aux-urgences-depuis-un-an-ces-nombreux-cas-qui-illustrent-la-crise_2117608.html)) le fameux hôpital dont la vitrine avait souffert au cours d’une manifestation des gilets jaunes et dont cet incident avait passionné la presse pendant plusieurs jours. Avez-vous entendu parler de Lou ?

Le gouvernement actuel n’est pas l’unique responsable de la déliquescence catastrophique de notre système de santé, mais il en porte une part considérable par son refus d’entendre les soignants qui manifestent à répétition depuis l’élection du chef de l’état et qui furent tabassés en février 2020, immédiatement avant l’état d’urgence qui a permis d’enterrer les revendications sur l’hôpital et les retraites.

Au lieu de véritables solutions, le pouvoir a aggravé la bureaucratie oppressive uniquement préoccupée d’économies et de pouvoir. À chaque nouveau forum, les pouvoirs administratifs sont renforcés via les cruelles agences régionales de santé (ARS).

Les derniers propos du Premier ministre inquiètent, car ils confirment malheureusement la poursuite du dialogue de sourds entre ce pouvoir et les soignants. L’espoir de redresser l’hôpital à court terme s’effrite, malgré la crise du Covid qui aurait dû entraîner une amélioration si le problème et ses solutions avaient été véritablement sanitaires et les drames médicaux répétés.

Devant la nouvelle protestation sur le nombre de lits fermés en 2020 malgré la crise, Mr Castex ose prétendre : « il ne s’agit pas de fermeture de lits pour cause budgétaire », alors que c’est l’une des principales raisons, évidemment aggravée par le manque criant de personnels liés aux licenciements abusifs pour refus d’obtempérer à l’obligation « vaccinale » imposée par le président de la République.

Pourtant ces pseudovaccins sont expérimentaux et leurs injections nécessitent le consentement libre et éclairé du citoyen, y compris personnel de soins. Or les conventions signées par la France sont toutes violées à cette occasion. Mais qu’importe, depuis 2020, on marche allégrement sur les traités signés et les lois en vigueur.

La gestion de la santé sous l’autorité de fait de l’UE

Depuis que la gestion des hôpitaux ne dépend plus des maires, mais du pouvoir central, leur gestion ne vise plus à répondre aux besoins des populations, mais aux demandes d’économie du gouvernement qui relaie la pression renouvelée chaque année, des autorités de Bruxelles pour la diminution des budgets sociaux.

Dans le livre Hôpitaux en détresse, patients en danger (2018), les auteurs (respectivement chef du service de radiologie à l’hôpital Georges-Pompidou à Paris, et neurologue ancien chef de l’unité neurovasculaire de l’hôpital universitaire de Strasbourg) expliquent crûment que :

« la mission d’un directeur d’hôpital n’est plus de soigner les gens, mais de faire des économies ».

Jean Castex et la T2A mise en œuvre en 2006, en est l’un des principaux responsables

La T2A (Tarification A l’Activité) met en place le concept simple pour les hôpitaux : rentabilité ou fermeture, d’où gestion de l’hôpital comme une entreprise privée en privilégiant les actes techniques « rentables » au détriment des consultations, et de l’écoute des malades lors des soins infirmiers, chassant ainsi l’humain du soin.

Comme si un malade pouvait ou pire devait être rentable, rapporter de l’argent à l’établissement qui le soigne ? Ce concept de malade rentable s’oppose aux conceptions des assurances santé mises en place dès la fin du XIXe siècle par les patrons, qui avaient pour finalité de garder les ouvriers en bonne santé afin qu’ils soient efficaces.

Monsieur T2A J. Castex, mit en place cette réforme en tant que Directeur de l’Hospitalisation et de l’Offre de Soins au ministère de la Santé dont Xavier Bertrand le responsable, ce candidat en 2021 qui veut nous faire croire qu’il fera du neuf. On prend les mêmes et on recommence.

J. Castex déclarait au Monde en 2006 : « ce système nécessite un gros travail de pédagogie. Il a le mérite, d’obliger tous les établissements à se regarder avec lucidité. »

La Tarification à l’activité, la « T2A », a fait de l’Hôpital une « entreprise de production de soins ». Avec elle, l’établissement ne reçoit plus un budget destiné à répondre aux besoins de la population, mais est rémunéré d’après sa « production ».

Et comme dans toute entreprise, celle-ci doit être suffisante et rentable.

La conséquence est inéluctable. Les Hôpitaux sont incités financièrement à sélectionner les pathologies les mieux rémunérées et les patients n’entraînant pas de « surcoûts », en évitant par exemple les personnes âgées ayant de multiples pathologies, mais aussi les handicapés, etc..

La « T2A » pousse à la fermeture des services de soins ou les maternités de proximité n’atteignant pas le « seuil de rentabilité ». Pour être rentable, un séjour doit être court, et riche en actes techniques (scanner, IRM, biopsies, endoscopies, Petscan, etc.) qui rapportent des émoluments. L’examen clinique, la surveillance clinique rapprochée nécessitant beaucoup de personnels coûteux (70 % minimum du budget des établissements de soin tant publics que privés) ne sont pas valorisés et donc réduits au minimum. Cependant il y a explosion des examens complémentaires. Initialement les patients se croient bien surveillés puisqu’on les passe à la moulinette des examens.

Progressivement la déshumanisation associée (pas de temps pour expliquer le pourquoi ou les résultats) entraîne une déception grandissante des patients qui prennent conscience de devenir un pion sur l’échiquier du bénéfice. Mieux vaut donc renvoyer au plus vite (et parfois trop vite) le malade chez lui… Quitte à le réadmettre quelques jours plus tard, en générant un nouvel acte à nouveau « rentable » et un nouveau « séjour » rémunéré à nouveau. Si le malade reste quelques jours de plus cela ne rapporte quasiment rien, alors qu’un nouveau séjour est plus valorisé… La sensation d’être mis à la porte se banalise.

Les missions de service public, la nécessité de disposer de lits disponibles pour faire face à des événements exceptionnels (épidémie) n’ont guère de place dans un tel système.(([4] La mystérieuse T2A du docteur Castex ou la chaine de démontage de l’hôpital ? (francesoir.fr) ))

Jean-Marc Aubert, dans son rapport « Réformes des modes de financement et de régulation : vers in modèle de paiement combiné » constate :

“La T2A ne favorise ni la qualité des soins ni la prévention et elle peut même inciter à la réalisation de soins non pertinents”

Depuis, les tarifs payés par l’assurance maladie aux hôpitaux pour rémunérer leurs actes ont baissé de 5 % tandis que, dans le même temps, l’inflation grimpait de 9,4 % et que la population vieillissante nécessitait davantage de soins.

Condamnés à faire toujours plus avec toujours moins, beaucoup d’hôpitaux (publics et privés) vivent sous perfusion.

La tarification à l’activité T2A et les contraintes budgétaires associées ont conduit les deux tiers des hôpitaux au déficit. En 2019, le déficit des hôpitaux publics atteignait 569 millions d’euros, l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris (APHP) affichant la plus forte dégradation de sa situation financière, avec un déficit atteignant 2,2 % de ses recettes.

Entre 2016 et 2017, le déficit global de l’hôpital public est passé de 470 millions d’euros à 1,5 milliard €

Certains hôpitaux sont dans une telle situation financière qu’ils ne peuvent plus payer… leurs charges sociales à l’URSSAF

Depuis la T2A, le taux d’endettement des hôpitaux est passé de 35 % à plus de 50 %

La dette globale des établissements de santé a triplé passant de 9 milliards d’euros en 2002 à 30 milliards en 2013.

Pour l’hôpital, les politiques de restrictions budgétaires sont responsables d’une baisse des investissements, des rémunérations des personnels en francs constants et de la dégradation de leurs conditions de travail.

Dans ces années de misère, les contraintes budgétaires, la part rapidement croissante des dépenses médicamenteuses (liée à la hausse des prix des nouveaux médicaments souvent peu efficaces) et le coût d’une administration en croissance rapide ont considérablement réduit les investissements hospitaliers.

Il faut noter que les prix délirants des nouvelles molécules sont accordés par le ministère de la Santé après négociation. Mais leur inflation majeure n’est pas arrêtée malgré les possibilités théoriques du ministre.

La part des investissements dans les budgets des hôpitaux est passée de 10 % en 2009 à 5,7 % en 2017 et 4,7 % en 2019. On comprend l’état déplorable de certains établissements comme à Marseille ou à l’APHP.

Pour diminuer les déficits, les Agences Régionales de Santé créées en 2008, et devenues de plus en plus puissantes à chaque réforme, sans contre-pouvoir, ont organisé la quasi-disparition des hôpitaux et des maternités de proximité. En quarante ans, deux tiers des maternités ont disparu, notamment les plus petites entraînant de longs trajets en voiture pour de soins parfois urgents aux conséquences potentiellement dramatiques.(([5] La Nouvelle République Le dramatique exemple du bébé de l’autoroute A 20 le 21/10/2012
https://www.lanouvellerepublique.fr/le-blanc/le-dramatique-exemple-du-bebe-de-l-autoroute-a-20))

La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), rattachée au ministère de la Santé, constatait dans son Panorama des établissements de santé, édition 2019, la baisse de 69 000 lits d’hospitalisation complète entre 2003 et 2017 alors pourtant que la population augmentait et vieillissait, nécessitant théoriquement davantage de soins, à la condition qu’on accepte de les soigner.

On a vu la décision ministérielle en mars 2020 imposée aux médecins hospitaliers ou libéraux, de laisser les malades chez eux avec du Doliprane et de refuser les hospitalisations en service aigu des personnes de plus de 75 -80 ans, quitte à les euthanasier par Rivotril s’ils commençaient à souffrir…

De nombreux services d’urgence ont aussi été fermés en les regroupant jusqu’à la saturation, les rescapés.

Des cris d’alarme ignorés

Dès les années 2003, des médecins avaient tenté d’alerter sur le danger de la bureaucratisation de la médecine comme le Pr Philippe Even.(([6] Avertissement aux malades, aux médecins et aux élus…
https://livre.fnac.com/a1347780/Philippe-Even-Avertissement-aux…
Avertissement aux malades, aux médecins et aux élus, Philippe Even, Bernard Debré))

En 2016, nous avions tenté attirer l’attention des politiques dont ceux qui se présentaient aux présidentielles sur la nocivité des restrictions budgétaires sur les hôpitaux et la médecine de ville, et de la mise sous tutelle de la médecine par une bureaucratie croissante par notre livre “soigner ou obéir”.(([7] Nicole Delépine, Gérard Delépine Soigner ou obéir ? Premières mesures urgentes pour éviter le naufrage 1 octobre 2016)) Mais manifestement les politiques ne se sont pas intéressés au problème de la santé, estimant peut-être que ce n’était pas une priorité et pensant encore que notre système était le meilleur au monde. Fatal error à ne pas recommencer dans cette campagne électorale.

Nous n’étions pas les seuls : tous les syndicats hospitaliers le crient depuis plus de dix ans.

Le 6 novembre 2018 pour la première fois, les quatre fédérations hospitalières — la Fédération hospitalière de France (FHF), la Fédération des cliniques et hôpitaux privés de France (FHP), la Fédération des établissements hospitaliers et d’aide à la personne privés non lucratifs (Fehap)(([8] Fehap —La fédération)) et Unicancer —, qui représentent hôpitaux publics, privés, privés à but non lucratif et centres de cancérologie, soit tous les établissements de soins, ont lancé ensemble, “un cri d’alarme sur la dégradation des conditions d’activités de soins”.

En 2019, la plupart des services d’urgence ont fait grève pendant plusieurs mois sans que le personnel soit écouté. Les soignants qui manifestaient ont reçu comme réponse des gaz lacrymogènes, des flash-balles et des promesses non tenues.

Le plan d’urgence pour l’hôpital, présenté le 20 novembre 2019, prévoyait seulement un financement supplémentaire de 1,5 milliard d’euros sur trois ans (soit chaque année une augmentation 0,5 % inférieure à la hausse des prix !). Il promettait la reprise par l’État d’un tiers de la dette hospitalière, mais en novembre 2021 cette promesse de reprise de la dette n’est plus à l’ordre du jour.

En 2020, plus de 1000 chefs de service ont démissionné de leur fonction administrative pour “sauver l’hôpital public”. En vain.

Jean Castex lorsqu’il a pris ses fonctions ne pouvait donc pas ignorer l’état financier pitoyable des hôpitaux, ni la détresse des soignants. Ses déclarations niant les faits en prétendant que ce serait “le numerus clausus le responsable de la fermeture des lits” augure donc mal de sa volonté de redresser l’hôpital et laisse coi, vu ses fonctions antérieures. Et à propos de la perte de l’envie de devenir soignant, des démissions par lassitude et du licenciement récent des soignants motivés, mais prudents, omerta.

La lassitude des soignants

Le Ségur de la santé de juillet 2020(([9] Les Contes de Ségur, revus et corrigés par O. Véran…
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-contes-de-segur-revus…))(([10] L’ambition affichée : « bâtir les fondations d’un système de santé encore plus moderne, plus résilient, plus innovant, plus souple et plus à l’écoute de ses professionnels, des usagers et des territoires » Qu’en reste -t-il ?)) n’a apporté aucune augmentation significative de salaire des soignants, seulement une promesse de médaille Covid,(([11] https://www.ouest-france.fr/societe/fetes/14-juillet/coronavirus-mais-ou-est-passee-la-medaille-de-l-engagement-6975522 mercredi 13 mai, Sibeth Ndiaye, alors porte-parole du gouvernement, relaie la volonté présidentielle de récompenser celles et ceux qui se sont engagés, dans la lutte contre l’épidémie de Covid-19.
Elle annonce, une promotion unique de la Légion d’honneur et de l’Ordre national du mérite le 1er janvier Contactée, la grande chancellerie de la Légion d’honneur dit ne pas être concernée. Elle renvoie vers l’hôtel de Matignon qui renvoie vers le palais de l’Élysée qui temporise, Sans suite.)) une augmentation de 183 euros net par mois pour certains et quelques primes distribuées avec parcimonie. Le salaire d’infirmier hospitalier reste inférieur de 10 % au salaire français moyen, ce qui situe le salaire infirmier français au 28e rang sur 32 pays, selon l’OCDE.

L’absence d’embauche pérenne (seulement quelques intérimaires pour certains hôpitaux) entraîne une surcharge permanente de travail.

Le personnel soignant en sous-effectif doit travailler dans l’urgence tout en étant confronté à un public en situation de vulnérabilité, voire de détresse entraînant souvent des agressions verbales et parfois physiques. Ces mauvaises conditions de travail aggravent les difficultés majeures à recruter que rencontre l’hôpital public. Le métier de soignant ne fait plus rêver.

On estime que 180 000 infirmières diplômées, et en âge de travailler, n’exercent plus leur métier. Parmi celles qui travaillent, une étude récente pointait que 43 % d’entre elles “ne savent pas si elles seront toujours infirmières dans cinq ans”.

Et la relève par les étudiants en formation est incertaine :

Chez les infirmiers en formation entre 2018 et 2021, un peu plus d’un millier a démissionné avant la fin de leurs études”

La crise du Covid n’a hélas pas modifié la politique destructrice de l’hôpital.

Aucune réouverture de lits, mais au contraire la fermeture, malgré la crise Covid de plus de 5 700 lits d’hospitalisation complète(([12] Selon une étude menée par le ministère de la Santé (DREES) publiée en septembre 2021)) en 2020.

Alors que les autorités prétendaient que le confinement était destiné à donner du temps au gouvernement pour qu’il puisse remettre à niveau le service hospitalier ainsi que le précisait l’OMS(([13] David Nabarro ».)) lors d’une déclaration de son porte-parole :

« Le seul moment, selon nous, où un confinement s’avère pertinent, c’est pour permettre de gagner du temps, de se réorganiser, de se rassembler, de redéployer ses moyens et de protéger son personnel de santé épuisé, mais il est clairement préférable d’éviter d’en arriver là. »

Le personnel soignant, épuisé par la crise et découragé par l’absence d’effort gouvernemental pour améliorer ses conditions de travail et de vie a davantage démissionné cette année que par le passé alors que les carrières étaient déjà très courtes en région parisienne.(([14] Défi métiers a ainsi pu établir que la durée moyenne des carrières en Ile-de-France se situe entre 11 ans et 15 ans pour les aides-soignants et entre 10,5 ans et 14,5 ans pour les infirmiers
https://www.defi-metiers.fr/sites/default/files/users/229/carrieres_as_ide_0.pdf))

Le coup de grâce a été asséné par O. Veran voulant obliger tous les soignants à se vacciner par le produit en cours d’expérimentation.

Les soignants prudents ne sont pas des antivax, mais sont beaucoup mieux informés que les journalistes et le reste de la population sur l’efficacité insuffisante et les conséquences parfois dramatiques des pseudo vaccins Covid, puisque comme les ambulanciers et les pompiers ils sont confrontés directement aux conséquences parfois catastrophiques des injections. En revanche ils sont sommés de se taire tant auprès des patients qu’à l’extérieur, sous peine de sanctions.

Ils sont majoritairement jeunes et savent qu’ils n’ont rien à craindre du Covid, que la pseudo vaccination n’empêche pas d’attraper la maladie ni de la transmettre, et que les injections ont des effets secondaires fréquent et parfois graves.

Le décès post vaccinal d’un interne de Nantes auparavant sportif en pleine santé et d’un agent hospitalier du sud de la France en ont d’emblée inquiété plus d’un. Puis les pertes sévères de performance et décès brutaux en particulier des sportifs vaccinés connus se sont multipliées.

Vouloir les contraindre à se faire injecter des médicaments géniques expérimentaux constitue une injure à leurs connaissances théoriques et à leur expérience personnelle.

Ils ont été parmi les premiers à se vacciner et ont vu une grande partie de leurs collègues vaccinés mis en arrêt de travail au point que la Haute Autorité de Santé a dû recommander(([15] France Info Covid-19 : les autorités sanitaires recommandent aux hôpitaux d’échelonner la vaccination de leur personnel en raison des effets secondaires
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/Covid-19-les-autorites-sanitaires-recommandent-aux-hopitaux-d-echelonner-la-vaccination-de-leur-personnel-en-raison-des-effets-secondaires_4294167.html)) « d ’échelonner les vaccinations dans les services afin d’éviter de trop nombreux arrêts de travail dans une même unité ».

Depuis l’application de la vaccination obligatoire des soignants, entre les nouveaux vaccinés malades, les agents en arrêt de travail pour dépression, et les non-vaccinés interdits de travail, les équipes ne sont plus suffisantes pour maintenir ouverts les lits (pourtant insuffisamment nombreux) ni maintenir l’activité des blocs opératoires.

D’après l’enquête du comité scientifique présidé par J F Delfraissy, résumée dans Libération du 27 octobre 20 % des lits disponibles des CHU et CHR de France sont fermés faute de personnel soignant, des chambres vides, des services à demi fermés.

La secrétaire générale du syndicat Coordination Nationale Infirmière précise : « Au départ on fermait des lits, et maintenant des services entiers parce qu’on n’a pas les effectifs pour les faire tourner. » Par exemple, les urgences de Draguignan, ancienne préfecture du Var, n’assurent plus la continuité du service public qui est pourtant un droit constitutionnel.

Que pourrait faire le gouvernement s’il voulait sauver l’hôpital ?

Frédéric Valletoux, président de la Fédération hospitalière de France affirme :

« L’urgence, c’est de donner envie aux jeunes générations de s’investir dans les métiers du soin et de mieux financer le système. » Cela passe par une meilleure attractivité des carrières dans l’hôpital public, mais aussi par la revalorisation des consultations du médecin généraliste. Au total, il faut embaucher 125 000 soignants.(([16] https://www.interurgences.fr/2021/10/la-situation-est-compliquee-sans-blague/))

Dans l’immédiat supprimer l’obligation vaccinale des soignants permettrait de remettre immédiatement au travail 10 % du personnel qualifié.

Dans l’immédiat, augmenter le salaire mensuel des vrais soignants (ceux au contact permanent des malades) de 300 euros afin de leur montrer qu’il ne les méprise plus et qu’il honore leur travail.

Dès que possible alléger le poids oppressant de la bureaucratie en remettant les soignants occupés par des tâches administratives à leur place naturelle, au lit des malades, et en limitant le nombre des administratifs de soutien. Alors que le personnel non soignant représente 33,7 % des effectifs en France, il ne représente que 25,1 % chez les Italiens, 25,4 % chez les Allemands, ou encore 23,7 % chez les Espagnols.

Mais J. Castex et son gouvernement veulent-ils sauver l’hôpital ? où est-il heureux des économies réalisées par ces fermetures de lits ?

Nous portons l’espoir que la Santé devienne un sujet central pour les prochaines élections présidentielles, puisque les carences de notre système ont un retentissement gravissime sur la vie des citoyens.





« La 3ème dose c’est carrément de la magie ! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Insolentiae]

Par Charles Sannat

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

William Dab n’est pas n’importe qui, c’est l’ancien DGS de notre pays, l’ancien directeur général de la santé.

Un grand mamamouchi avec plein de galons donc.

C’est en plus un type qui, je pense, est intelligent.

D’ailleurs, il semble un peu hésiter et les professionnels de la communication verbale et non verbale pourraient étudier cette séquence qui sera sans doute un jour dans les manuels.

Que nous dit-il ?

Que la troisième dose c’est de la magie. Pourquoi ? Hésitation, parce que, parce que et je réponds à côté parce qu’en fait il n’en sait strictement rien, et personne ne sait rien à part que Pfizer nous explique que son sérum est efficace à 98 %, mais que plus il est efficace, plus le nombre de cas augmente. Ce n’est pas moi qui dit que les cas augmentent. Ce sont les autorités.

Plus on pique, plus nous avons de cas.

C’est vrai que cela relève de la magie !

Nous avons quitté la science pour la magie… parce qu’en Macronie, c’est de la magie !

Vous vous souvenez de la ministre Pannier Runacher avec sa magie des lignes de production et de l’industrie le tout sur une musique entraînante dans une convention de start-up nation ?

Nous avons donc quitté le monde rationnel, celui de Descartes et de la raison, celui de la science, de l’analyse, de l’observation, celui où l’on quantifie, où l’on compte, où l’on compare, où l’on jauge, celui où l’on nuance les jugements, celui où on calcule des ratios et des bénéfices/risques, parce que dans tout processus de décision il y a des avantages et des inconvénients. Dans un monde normal on pèse, on soupèse avant de prendre des décisions.

Dans notre pays il n’y a plus rien de tel.

Nous avons une 3e dose magique.

Les bonnes fées se sont penchées sur la formule magique.

Et quand vous vous faîtes piquer, si en plus vous faîtes une incantation au soleil un soir de pleine lune, cela devrait renforcer votre immunité. Vous pouvez aussi plonger votre arrière train dans une bassine d’eau froide comme le préconisait une grande magicienne, Rika Zaraï, en des temps plus reculés que les moins de 20 ans n’ont pas connus.

Je refuse ce monde où l’on ne veut plus penser.

Penser.

Pensez mes amis.

Défendez le fait de penser dans chaque conversation. Dans chaque dîner en ville, à chaque rencontre. Vous ne vous ferez pas que des amis, mais si nous laissons la pensée disparaître, alors ce pays implosera et nous sommes très proches de ce point de bascule et de non retour.

Je vous en parlerai demain.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
Pour m’écrire charles@insolentiae.com
Pour écrire à ma femme helene@insolentiae.com

Vous pouvez également vous abonner à ma lettre mensuelle « STRATÉGIES » qui vous permettra d’aller plus loin et dans laquelle je partage avec vous les solutions concrètes à mettre en œuvre pour vous préparer au monde d’après. Ces solutions sont articulées autour de l’approche PEL – patrimoine, emploi, localisation. L’idée c’est de partager avec vous les moyens et les méthodes pour mettre en place votre résilience personnelle et familiale.

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes »

(JFK)

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Selon les pompiers, le CHU de Guadeloupe a ordre de cacher les vaccinés hospitalisés

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Nous avons interviewé Maître Ellen Bessis, avocate en Guadeloupe, qui nous adresse des révélations stupéfiantes sur la situation dans son département. Selon les témoignages qu’elle a reçus, verbalement et par écrit, le CHU de Guadeloupe ne déclare aucune hospitalisation en mentionnant le statut de vacciné. Autrement dit, lorsqu’un vacciné est hospitalisé en Guadeloupe, l’hôpital le déclare comme non-vacciné… Et en métropole, on fait comment ?



Maître Ellen Bessis nous apporte un témoignage de premier ordre sur la Guadeloupe et sur le déroulement des opérations dans ce département français si souvent oublié par la métropole. Elle travaille activement avec le collectif Reinfocovid et défend les personnels suspendus du fait de l’obligation vaccinale. Elle fait partie de la coordination des avocats que nous avons déjà évoquée dans nos éditions précédentes.  

En Guadeloupe, les vaccinés hospitalisés sont cachés

On peut remercier Maître Bessis de témoigner ouvertement des tromperies statistiques dont le gouvernement se rend probablement coupable pour inciter de façon irresponsable à la vaccination. Ainsi, il semblerait que, en Guadeloupe, le Centre Hospitalier Universaire ait reçu pour consigne de déclarer comme non-vaccinés tous les vaccinés hospitalisés….

Si cette information se vérifiait, elle révèlerait un scandale absolu : le mensonge statistique organisé pour dissimuler la dangerosité du vaccin. Elle créerait une crise de confiance absolue avec les pouvoirs publics car, dès lors, tous les chiffres, toutes les données, pourraient être mis en doute. 

On attend avec impatience que l’hôpital infirme ces affirmations soutenues par des pompiers et des soignants. 

Combien de vaccinés au juste en Guadeloupe ?

Autre point de doute : combien de vaccinés la Guadeloupe compte-t-elle au juste ? Selon Maître Bessis, les chiffres réels seraient très inférieurs aux chiffres officiels. Elle estime à 35 ou 40% le volume réel de vaccinés. 

Cette question mérite d’être aussi posée pour la métropole. Les chiffres de la vaccination sont-ils ou non “truqués” au niveau national, pour donner l’impression du nombre (hors cas de “vaccination du coussin”, probablement beaucoup plus fréquents qu’on ne le croit dans les services de santé) ? De fait, la France affiche des taux de vaccination extravagants, dont on peut douter dans la pratique. 

Bientôt une révolution en Guadeloupe ?

Reste que le raidissement gouvernemental en Guadeloupe, accompagné d’un traitement perçu comme de faveur pour la Martinique, crée un trouble profond dans les populations. Ellen Bessis confirme le risque d’assister à un embrasement général dans l’île si le gouvernement ne change pas son approche vis-à-vis des problèmes locaux. 

Derrière cet avertissement reviennent les images de la mobilisation de 2009 autour d’Elie Domota et de quelques autres. 




Bill Gates a-t-il demandé à Bergoglio de fermer l’Église catholique ?

[Source : From Rome]

Par Frère Alexis Bugnolo

En tant que lecteur de FromRome.Info, vous avez peut-être remarqué que j’essaie de mettre l’accent sur les rapports qui relient les points — c’est-à-dire qui montrent les relations entre les causes et les effets, et qui essaient de discerner la cause des effets et de démontrer les effets des causes.

Je fais cela parce que, lorsque j’étais élève au collège, j’ai compris que ce n’est que lorsque l’on comprend les causes et les effets que l’on commence vraiment à comprendre.

Enquête sur le battage médiatique autour du coronavirus

Au début, j’ai cru au battage médiatique sur le coronavirus. Comme la plupart des gens, il n’est pas normal que tous les médias mentent sur quelque chose de la même manière, au même moment et dans un but précis. Mais grâce à vos lecteurs, j’ai jeté un coup d’œil aux faits et cela m’a ouvert les yeux.

Pour cette raison, j’ai récemment publié pour vous une série d’articles sur la crise Covid, qui montrent que la panique poussée par l’Organisation Mondiale de la Santé et les dirigeants nationaux n’est pas basée sur la menace réelle du COVID-19, dont la mortalité naturelle dans le monde est bien inférieure à la grippe hivernale normale dans les principales nations de la terre. Pour tous les articles sur la Covid-19, voir ici.

C’est ce qui m’a amené à prendre position contre ce battage médiatique, le 16 mars, dans mon Editorial, en m’engageant à m’y opposer.

En y réfléchissant, j’ai commencé à reconnaître que la véritable histoire ici était le battage universel, indiscutable et dogmatique concernant un phénomène qui, médicalement, ne méritait pas une telle panique.

En tant qu’anthropologue — B. A. University of Florida, Gainesville, 1986 — je sais que dans de tels événements humains, les causes sont des êtres humains. Plus précisément, les causes proviennent d’individus qui se demandent ou se conseillent mutuellement d’agir en réponse à certains événements. Pour cette raison, je dois un grand merci à la dame qui se fait appeler Nick, The Amazing Polly, pour m’avoir encouragé à m’interroger sur ce qui se passait, du point de vue de l’événement humain de la crise Covid.

En tant que fils de Saint Maximilien Kolbe, je sais que lorsqu’il s’agit de manipuler les masses, il faut regarder du côté de la franc-maçonnerie et des nombreuses organisations qui sont fondées sur la promotion du mensonge afin de gouverner par l’imposture. Pour cette raison, je connaissais déjà une grande partie de ce qu’Alex Jones a rapporté il y a plus de 10 ans, sur le groupe Bilderberg. Mais son rapport était prophétique, en un sens, car il y explique, d’une manière facilement compréhensible, ce que le réseau mondial des élites veut faire et comment il réalise ses plans. Voir son film, The End Game, dont vous trouverez le lien ici au milieu de l’article.

La réunion Bilderberg de 2019 a-t-elle planifié la crise Covid ?

L’une des leçons importantes que vous pouvez tirer de Endgame, de Jones, est que le groupe Bilderberg planifie les événements mondiaux à l’avance et les exécute par le biais d’une myriade d’organisations dont chacune est contrôlée par un agent Bilderberg dans cette organisation, qu’elle soit privée, nationale ou ecclésiastique.

Si vous voulez alors comprendre la cause ultime de la panique Covid, il est utile de jeter un coup d’œil à l’ordre du jour de l’année dernière [Ndlr: article original en anglais écrit le 25 mars 2020] pour la réunion Bilderberg de 2019.  Permettez-moi de citer un extrait de leur communiqué de presse officiel, sur l’ordre du jour de leur réunion de 2019. Ce sont leurs mots, pas les miens :

MONTREUX, 28 MAI 2019 – La 67e réunion Bilderberg aura lieu du 30 mai au 2 juin 2019 à Montreux, en Suisse. Environ 130 participants de 23 pays ont confirmé leur présence. Comme toujours, un groupe diversifié de dirigeants politiques et d’experts de l’industrie, de la finance, du monde universitaire, du monde du travail et des médias a été invité. La liste des participants est disponible sur bilderbergmeetings.org.
Les principaux sujets de discussion de cette année sont les suivants :
1. Un ordre stratégique stable
2. Quelle suite pour l’Europe ?
3. Changement climatique et développement durable
4. La Chine
5. Russie
6. L’avenir du capitalisme
7. Brexit
8. L’éthique de l’intelligence artificielle
9. La militarisation des médias sociaux
10. L’importance de l’espace
11. Les cybermenaces

En ce qui concerne le battage médiatique autour de la Covid, l’ordre du jour comporte plusieurs sujets qui traitent explicitement des éléments clés de ce battage : La Chine, la militarisation des médias sociaux, l’avenir du capitalisme, le changement climatique et le développement durable, l’avenir de l’Europe ? Mais si vous réfléchissez à tous ces sujets de discussion, vous verrez qu’ils peuvent tous être résumés en une seule phrase :

Pour atteindre nos objectifs de domination du monde, qui consistent en un Ordre stratégique stable contrôlé par nous-mêmes, nous devons faire advenir le Que va-t-il se passer pour l’Europe ? en utilisant comme base idéologique fondamentale le changement climatique et la durabilité, en chargeant la Chine de libérer son virus SRAS bio-ingénié pour créer, au moyen de l’armement des médias sociaux, une panique mondiale, mais surtout en Europe et en Occident, qui induira une fin de partie fondamentale pour l’avenir du capitalisme en détruisant les économies nationales et en rendant l’Europe en particulier dépendante de la Chine, au nom de la protection de la planète et de la santé publique : et ceci pour soumettre la Chine à nos objectifs en lui donnant un rôle central dans l’économie mondiale en échange de sa loyauté envers nous.

J’ai écrit ce qui est en italique. J’ai utilisé ma formation en archéologie pour assembler les faits et les rassembler dans une hypothèse de travail qui, sous de multiples aspects, correspond le mieux aux événements qui se sont produits et qui se produisent.

Étant donné que l’ordre du jour du groupe Bilderberg de 2019 mentionne des facteurs clés qui s’avèrent faire partie de la panique Covid et qu’il n’est pas difficile d’interpréter l’ordre du jour global comme quelque chose qui correspond à ce qui s’est réellement passé, je reviens à ce qu’Alex Jones a dit dans son film Endgame, à savoir que ceux qui deviennent des visages publics ou des dirigeants de nations assistent d’abord à une réunion du groupe Bilderberg, puis sont déployés sur la scène publique.

Je trouve donc intéressant que Bill Gates ait participé à la réunion du groupe Bilderberg en 2010, tout simplement parce que, dans le cadre de l’événement plandémique de 2020, ses empreintes digitales sont présentes sur tous les acteurs majeurs, comme le démontre David Kaftal dans le rapport d’aujourd’hui, intitulé Bill Gates : Père divin de la panique mondiale liée au coronavirus.  (Veuillez noter que je n’ai pas intitulé l’article God-Father [Dieu le Père] à cause d’une faute de frappe. L’absence de trait d’union était intentionnelle).

L’article de David donne de nombreuses raisons de soupçonner Bill Gates d’être un acteur majeur dans le battage médiatique autour du coronavirus, du point de vue de ses contacts personnels, du soutien financier ou moral qu’il a choisi d’accorder à chaque groupe impliqué, ou de ses relations personnelles préexistantes.

Qui et où a commencé la plandémie ?

Mais, comme vous l’a peut-être appris Sherlock Holmes — un personnage que j’admire beaucoup pour sa promotion de la science de l’analyse médico-légale — dans son combat contre le cerveau du crime, le docteur Moriarty, pour prouver quoi que ce soit, il faut montrer que chronologiquement le suspect ou ses agents étaient impliqués dès le début.
Voici donc quelques informations sur le déroulement des événements qui ont conduit à l’affaire de la crise Covid. Je cite les notes que m’a adressées le journaliste d’investigation de FromRome.Info, l’autre jour :

Le premier rapport d’information que j’ai pu trouver mentionnant le coronavirus date du 31 décembre 2019, c’est-à-dire avant que le virus ne soit identifié ou nommé. Il s’agit d’un article du Center for Infectious Disease Research and Policy de l’Université du Minnesota, publié sur le site http://www.cidrap.umn.edu/news-perspective/2019/12/news-scan-dec-31-2019.

La source de l’article est le Centre de protection de la santé (CHP) du ministère de la Santé de Hong Kong (([1] https://www.info.gov.hk/gia/general/201912/31/P2019123100667.htm)).

La plupart des médias se contentent de dire que le 31 décembre 2019, les représentants de l’État chinois ont contacté l’OMS et signalé un groupe de cas de pneumonie à Wuhan.

À l’exception des deux liens ci-dessus, toutes les autres références à l’événement que j’ai pu trouver ont été publiées après coup dans une chronologie rétrospective. Les publications ultérieures d’informations, comme celles qui ont eu lieu lorsque le virus a été [prétendument] isolé et nommé, et lorsque le premier décès est survenu, semblent avoir été publiées soit par les ChiComs, soit par l’OMS, reprises par l’AP et distribuées par les MSM.

[Voir : 87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais]

Bill Gates semble être le personnage central dans tout cela. Il a financé l’Institut Pirbright, qui détient le brevet d’une itération antérieure du coronavirus vivant et travaille à la mise au point d’un vaccin contre le coronavirus actuel, qui est presque identique (([2] https://coercioncode.com/2020/01/24/unbelievable-gates-foundation-predicted-65-million-deaths-via-coronavirus-3-months-ago/)), et a fait don de 20 millions de dollars à Johns Hopkins (([3] https://www.gatesfoundation.org/Media-Center/Press-Releases/1999/05/Johns-Hopkins-University-School-of-Public-Health)).

Il a également fait don de plusieurs millions de dollars à l’OMS. Pas plus tard que le 5 février, en réponse à la demande de l’OMS de 675 millions de dollars de dons mondiaux pour lutter contre le virus, il a annoncé qu’il donnait 100 millions de dollars pour la recherche de vaccins (([4] https://www.forbes.com/sites/lisettevoytko/2020/02/05/bill-and-melinda-gates-donate-100-million-to-coronavirus-vaccine-research/#2109657c6e9e)).

Bill Gates veut utiliser sa fortune pour « améliorer l’humanité », par le biais de la vaccination, dont il a dit à plusieurs reprises qu’elle contribuerait à la réduction de la population (selon son raisonnement, la surpopulation est due au fait que les habitants des pays du tiers-monde doivent avoir trop d’enfants parce que certains d’entre eux mourront par manque de vaccins) et par des dons directs au Planning familial et à d’autres organisations qui se consacrent à la réduction de la population.

Le visage public du rôle de Johns Hopkins dans l’événement 201 est Lauren Gardiner, codirectrice du Centre de science et d’ingénierie des systèmes de Johns Hopkins. Les médias ne cessent de citer les chiffres de Johns Hopkins en raison de leur « Dashboard », un site Web de suivi sophistiqué qui utilise les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé, des Centers for Disease Control and Prevention, de la Commission nationale de la santé de la République populaire de Chine et de Dingxiangyuan, un site de réseau social pour les professionnels de la santé qui fournit des informations en temps réel sur les cas. (([5] https://hub.jhu.edu/2020/01/23/coronavirus-outbreak-mapping-tool-649-em1-art1-dtd-health/)). Depuis lors, les sources de leurs données auraient changé : OMS, CDC, Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, Commission nationale de la santé de la Chine, et ncov.dxy.cn, une source de données indépendante gérée par des médecins chinois. (([6] https://www.medpagetoday.com/infectiousdisease/publichealth/84698)).

Comme vous pouvez le voir dans ces notes, la première organisation à tirer la sonnette d’alarme au sujet du virus de Wuhan se trouvait aux États-Unis : le Centre de recherche et de politique sur les maladies infectieuses de l’Université du Minnesota.

Pourquoi le Minnesota ? On pourrait penser que le premier à tirer la sonnette d’alarme serait une organisation en Chine ou quelqu’un de l’Organisation mondiale de la santé. Mais si l’on invente un récit, il faut le lancer à partir d’un endroit où il sera considéré comme une crise authentique, et non pas directement à partir d’un acteur principal qui, dans les semaines suivantes, prendrait l’initiative de diriger et d’instrumentaliser la crise.

Mon intuition était donc que ce centre de l’Université du Minnesota était contrôlé par Gates d’une manière ou d’une autre, et sur demande, mon enquêteur a trouvé ce qui suit :

Le Centre des maladies infectieuses et des politiques de l’Université du Minnesota élabore le « paysage technologique du vaccin antigrippal universel » avec le soutien du Consortium mondial des bailleurs de fonds pour le développement d’un vaccin antigrippal universel, qui a été créé en 2017 grâce au financement de la Fondation Bill et Melinda Gates.

http://www.cidrap.umn.edu/universal-influenza-vaccine-technology-landscape

Bingo ! Nous disposons maintenant d’indications substantielles selon lesquelles Bill Gates est en fait à l’origine de ce battage médiatique.

Crise Covid pour la fermeture de l’Église catholique

Une partie du battage médiatique de la Covid, pour nous catholiques, a été la décision de Bergoglio de fermer les messes à Rome, puis de demander à la Conférence épiscopale italienne et aux Conférences épiscopales d’une grande partie de la planète de fermer la religion catholique. Cette fermeture consiste à mettre fin à la célébration publique du Sacrifice de la Messe et à toutes les fonctions sacramentelles publiques. Mais ce n’est pas tout, elle consiste à mettre fin à tout ministère sacerdotal, pour la plupart, et à fermer tous les services sociaux que l’Église rend aux pauvres par l’intermédiaire des paroisses.

Cette fermeture est le rêve des rêves de la franc-maçonnerie et des satanistes et de la tyrannie marxiste chinoise de Chine. Elle est inexplicable sur la base de l’enseignement catholique, et son motif doit donc être recherché en dehors de la religion catholique.

Ainsi, avec tous les faits rassemblés jusqu’ici, nous devons examiner attentivement les relations du Vatican avec le Bilderberg et Bill Gates.

Le secrétaire d’État du Vatican au Bilderberg 2018

La première chose à noter est l’événement scandaleux de 2018, lorsque le secrétaire d’État du Vatican a participé à la réunion Bilderberg cette année-là. Pour comprendre comment cela a pu se produire, il faut d’abord comprendre le coup d’État qui a eu lieu en 2013, lorsque le pape Benoît XVI a lu une déclaration sur son désir de démissionner, mais n’a pas démissionné. Et comment les cardinaux l’ont interprété comme une démission pour l’écarter et ouvrir la voie à Jorge Mario Bergoglio, cardinal archevêque de Buenos Aires, et adhérent notoire du socialisme international et du globalisme.

Ainsi, en ce qui concerne les catholiques, Bergoglio n’a jamais été ni ne pourrait être le pape, car l’Église ne peut avoir qu’un seul pape, et tant que le premier ne renonce pas à tous les aspects de sa fonction et de sa dignité, le second n’est rien d’autre qu’un usurpateur et un antipape.

[Ndlr : une autre raison pour laquelle Bergoglio ne peut être pape est qu’il est Jésuite.]

Dès le départ, Bergoglio s’est montré un agent du globalisme et a repris les positions politiques de Barrack Obama et Hilary Clinton, qui avaient ouvertement prôné, avant 2013, un « printemps » catholique pour écarter le pape Benoît XVI du pouvoir.

Le fait que Bergoglio envoie son secrétaire d’État de facto, le cardinal Parolin, n’était donc pas surprenant pour les catholiques, mais choquant pour ceux qui ont cru au grand mensonge de février 2013, car ils ne pouvaient pas comprendre comment le Vatican, ennemi juré de la Loge maçonnique depuis 200 ans, pouvait être invité et encore moins assister à l’un des hauts conseils de la franc-maçonnerie mondiale.

De manière inquiétante également, la réunion Bilderberg de 2018 s’est tenue à Turin, en Italie, qui est l’une des capitales du satanisme en Europe.

Edward Pentin — qui est l’ancien secrétaire d’un socialiste de premier plan du Royaume-Uni — a écrit un article dans le National Catholic Register (autrefois détenu par les Légionnaires du Christ, qui ont fait l’objet d’une enquête de Benoît XVI, mais maintenant par EWTN qui collabore maintenant avec l’Opus Dei pour la couverture des nouvelles du Vatican) tentant d’expliquer la présence de Parolin à la conférence Bilderberg de 2018. Il était intitulé, Un officiel du Vatican explique pourquoi le cardinal Parolin a participé à la réunion Bilderberg.

Dans cet article, Pentin rapporte le fait crucial, en parlant de Bergoglio :

Le pape était certainement au courant de la participation du cardinal, a déclaré le fonctionnaire, et le cardinal était « pleinement conscient de la nature controversée » de l’événement, mais se sentait encouragé par le fait d’avoir déjà rencontré de nombreux participants dans « d’autres contextes ».
« Il connaissait déjà certaines personnes, des premiers ministres et ainsi de suite », a déclaré le fonctionnaire.

Après la réunion Bilderberg de 2018, Bergoglio a signé en octobre un accord avec la Chine, abandonnant l’Église de ce pays aux mains de Pékin, puis, au mois de janvier suivant, il s’est rendu aux Émirats Arabes Unis pour signer un accord en faveur d’une initiative en faveur d’une religion mondiale unique, qui nie effectivement que la religion catholique soit uniquement voulue par Dieu pour le salut de tous. Il est donc difficile de nier que la présence du cardinal Parolin n’a eu aucun effet.

Bill Gates a-t-il demandé à Bergoglio de fermer l’Église catholique ?

Nous arrivons enfin au point où nous pouvons poser la question clé du jour, et tenter d’y répondre : La fermeture mondiale de l’Église catholique, la suspension du sacrifice public, est-elle un événement dans lequel Bill Gates, dans le cadre du rôle qui lui a été confié par la réunion Bilderberg en 2010, et prévu dans la réunion de 2019, a joué un rôle central ?

Bien sûr, c’est possible. Gates aurait simplement pu appeler Bergoglio au téléphone et lui demander. Et seul le gouvernement américain, qui intercepte tous les appels téléphoniques, aurait eu les preuves. Mais il est évident qu’une demande aussi importante devrait nécessiter des négociations préalables. Bergoglio devrait signer et en retirer quelque chose. Et qu’est-ce que ce serait ? Parce qu’en fermant les églises et les diocèses, vous risquez de détruire le soutien financier de l’Église et de vous aliéner une grande partie des fidèles.

Jetons donc un coup d’œil à l’ordre du jour de la réunion Bilderberg 2018 pour voir si le cardinal Parolin, en tant que représentant du Vatican, a été invité à discuter de quoi que ce soit de pertinent pour la présente affaire. Il est intéressant de noter que Wikipedia, qui a un article sur les réunions de 2017 et 2019, n’a pas d’article en anglais sur la réunion de 2018. Pour cela, il faut se rendre sur le site officiel du Bilderberg. C’était leur 66e réunion et elle s’est tenue immédiatement après le 06/06/2018, mais ne soyons pas superstitieux !

TURIN, 5 JUIN 2018 – La 66e réunion Bilderberg doit se dérouler du 7 au 10 juin 2018 à Turin, en Italie.
TURIN, 5 JUIN 2018 – La 66e réunion Bilderberg se déroulera du 7 au 10 juin 2018 à Turin, en Italie. À ce jour, 131 participants de 23 pays ont confirmé leur présence. Comme toujours, un groupe diversifié de dirigeants politiques et d’experts de l’industrie, de la finance, du monde universitaire et des médias a été invité. La liste des participants est disponible sur www.bilderbergmeetings.org.
Les principaux sujets de discussion de cette année sont les suivants :
1. Le populisme en Europe
2. Le défi de l’inégalité
3. L’avenir du travail
4. L’intelligence artificielle
5. Les États-Unis avant les élections de mi-mandat
6. Le libre-échange
7. Le leadership mondial des Etats-Unis
8. Russie
9. L’informatique quantique
10. Arabie Saoudite et Iran
11. Le monde de la « post-vérité »
12. L’actualité

Puisque le Christ dit de lui-même : « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie », en tant que catholique, je peux comprendre que le point 11 peut très bien signifier un monde sans Christ. Et puisque le Christ est présent sur Terre à travers l’Église, son Corps mystique, un monde sans la vérité est théologiquement un monde sans l’Église.  Je sais aussi, de par ma formation en théologie, que l’Église est définie comme l’assemblée publique de ceux qui croient en Jésus comme Dieu. Elle se concentre sur la messe, mais aussi sur les autres sacrements. Fermer l’Église comme l’a fait Bergoglio, c’est donc établir un monde de post-vérité.

Les autres sujets tels que le populisme, contre lequel Bergoglio s’est fortement élevé depuis 2018, l’inégalité, que Bergoglio ne cesse de répéter comme la raison pour laquelle le socialisme doit être imposé aux masses, et le leadership mondial des États-Unis, que Bergoglio considère comme une menace pour l’humanité et la fraternité, sont tous des raisons clés pour lesquelles Bergoglio pourrait avoir envoyé Parolin à la réunion Bilderberg.

Ce sont toutes des raisons, également, pour lesquelles Bergoglio serait motivé à se conformer aux plans du Bilderberg 2019 s’ils incluaient l’attaque de ses ennemis.

Bill Gates et Bergoglio se sont mis d’accord en 2014 pour sauver le monde ensemble ?

Je devine aussi que si Bergoglio devait se voir confier par le groupe Bilderberg le rôle principal de chef de la religion mondiale qu’ils prévoient de dévoiler, qu’un tel prix le convaincrait certainement de faire n’importe quoi.

Mais il y a plus que des spéculations dans cette histoire, car Bill Gates et Bergoglio semblent s’être déjà engagés en 2014 à sauver le monde ensemble. Market Watch en a fait état dans un exposé détaillé rédigé par Paul B. Farrel et publié le 14 juin 2014. Les mots de Farrel étaient significatifs :

Le pape François nous a déjà mis en garde contre trois tendances autodestructrices :
Premièrement : le réchauffement planétaire non durable et le changement climatique sur la planète Terre.
Deuxièmement : le pape affirme que l’économie mondiale est « proche de l’effondrement » alors que les inégalités augmentent, alimentant les révolutions.
Troisièmement : les ressources naturelles de la Terre seront incapables de nourrir les 10 milliards de personnes qui vivront en 2050. Les trois vont de pair, fusionnent, avec des mécanismes de déclenchement liés entre eux pour s’enflammer simultanément.

Certes, le pape François, Bill Gates et bien d’autres milliardaires travaillent déjà sur des projets philanthropiques d’intérêt personnel. Il est maintenant temps de combiner les forces, de voir le monde comme une seule entité, de chercher des solutions communes. Car comme l’a dit Ben Franklin lors de la signature de la Déclaration d’indépendance en 1776 : « Nous devons, en effet, nous accrocher tous ensemble, ou nous serons certainement tous accrochés séparément. »

Relisez la dernière phrase.

Farrel a compris que Bill Gates et Bergoglio étaient poussés à collaborer non seulement idéologiquement mais aussi historiquement. Quel était l’ennemi qu’ils cherchaient à éradiquer ? Je résume Farrel, en citant les titres de son article :
1. Le changement climatique insoutenable qui détruit la planète ;
2. L’économie mondiale s’effondre, alimentée par le fossé croissant des inégalités ;
3. Les ressources naturelles de la Terre ne pourront pas nourrir 10 milliards de personnes en 2050.

Si vous savez une chose sur les marxistes, de la variété Gramescienne, c’est qu’ils cherchent à provoquer l’effondrement du gouvernement ou de la société par incrémentation. Et s’ils ne peuvent pas y parvenir de cette manière, ils cherchent à créer des crises pour pousser la nation à l’effondrement. La panique causée par le virus Covid est la crise parfaite pour un tel travail. Bill Gates et Bergoglio ont déjà publiquement approuvé l’objectif de l’agenda. Alors pourquoi Bergoglio ne serait-il pas prêt à voir ces objectifs atteints par tous les moyens ?

Oui, l’histoire de Farrel est une couverture. Il parle de ce qui devrait et pourrait arriver dans le futur, et non d’un quelconque accord signé. Mais lorsqu’un grand site d’information comme Market Watch publie une propagande aussi ridicule sur des hommes ayant beaucoup d’influence politique, et qu’il se pâme devant eux, il s’agit clairement d’une propagande voulue par les hommes mentionnés pour des raisons de publicité. Appelez cela un ballon d’essai ou un préavis aux cercles intérieurs.

Mais il existe d’autres liens, qui ne peuvent être ignorés.

Jeffry Dorfman, écrivant pour le très influent Forbes.com, le 9 janvier 2014 a été plus explicite que Farrel. Son article est intitulé Le pape veut plus de gens comme Bill Gates et non le président Obama. Forbes n’est pas mal informé de ce qui se passe réellement. Leur famille a fait fortune en poussant les fake news qui ont provoqué le krach boursier de 1929.

En 2015, le Vatican a accueilli un spectacle de feux d’artifice financé par le cofondateur de Microsoft, selon Sandro Magister, écrivant le 9 mars 2016. Ce sont des événements comme celui-ci, où l’argent peut circuler pour des raisons autres que celles énoncées. Tout comme cela aurait pu se produire plus tôt cette année 2020, lorsque le Vatican a envoyé 600 000 masques médicaux en Chine.

Gates et Bergoglio semblent avoir maintenu leur collaboration sur un autre plan depuis 2014, avec le Pacte mondial pour l’éducation, qui est laissé par Sachs mais cherche des fonds auprès de Gates. La suspension, le 3 mars, de cette réunion au Vatican, prévue pour ce printemps, a été la première indication que Bergoglio signerait la Crise Covid.
Nous devons donc tous nous poser la question : Bill Gates a-t-il suggéré à Bergoglio que les sacrements sont des occasions malsaines de transmission virale et qu’il serait préférable de fermer l’Église catholique pour arrêter la propagation du Coronavirus ?

Ce serait la grande réussite de la plandémie parce que de cette façon, vous vous assurez qu’un milliard de catholiques restent à la maison tous les jours et les dimanches et soient privés des grâces qui leur permettraient de résister à la crise Covid et d’établir un réseau contre elle.

Le nom de Bill Gates, comme je l’ai démontré l’autre jour, a la valeur ASCII décimale de 666. Le nom de Bergoglio aussi, mais pas de la même manière. Selon les Pères de l’Église, l’Anti-Christ sera un juif qui mettra fin au sacrifice public de la Messe pendant 1260 jours. Je ne dis pas que Gates, dont les 4 grands-parents ont des noms de famille utilisés par les juifs, ou Bergoglio, qui semble n’avoir aucun juif dans sa lignée, est l’Antéchrist, mais je reconnais que la valeur prophétique du Livre des Révélations, écrit par l’Apôtre Saint Jean, peut non seulement s’appliquer à la fin réelle de ce monde, mais aussi à toutes les préfigurations, ou répétitions, de cette fin.

Je vous laisse le soin de poser les questions qui doivent maintenant être posées.

Mais je pense que le coup du Coronavirus pourrait très bien être l’instrument par lequel le groupe Bilderberg coopte dans son plan mondial de domination à la fois l’Église catholique et la Chine marxiste, qui ont déjà signé une alliance secrète mutuelle en 2018, suite à la réunion Bilderberg 2018 à laquelle Parolin a participé.

Pour terminer, Bill Gates investit dans une technologie qui permettra de suivre par empreinte digitale qui a été vacciné et qui n’a pas été vacciné par quels vaccins. Un monde futur, post Covid, exigera-t-il que tout le monde soit ainsi enregistré avec la technologie de Bill Gates, afin de pouvoir acheter et vendre de manière saine et hygiénique ? Cela accomplirait de manière inquiétante une autre prophétie de Saint Jean, dans Apocalypse 13:17.




5G : réponse à un pseudo « vérificateur de faits »

[Source : Le Magazine de la Maison Saine]

Par Pascal Gélinas

5G : réponse à Jean-François Cliche

Pascal Gélinas est un ancien réalisteur de l’émission Découverte de Radio-Canada. Il répond ici à la critique du chroniqueur scientifique du quotidien Le Soleil, Jean-François Cliche, à sa lettre ouverte sur la 5G adressée à Valérie Plante.

Bonjour Monsieur Cliche,

Vous avez procédé à une vérification des faits concernant notre lettre ouverte à Valérie Plante [maire de Montréal] : Agir en bonne « maire » de famille, publiée le 26 octobre dernier. Et vous rendez un verdict implacable : ce texte est partiel, partial et très exagéré! Alors, tentons de suivre votre raisonnement.

LES FAITS

Rappelons d’abord quel est le but de cette lettre : concernant cette nouvelle technologie 5G qu’elle veut incruster dans les moindres recoins de la ville sans consultations ni études d’impacts indépendantes, il était demandé à Valérie Plante d’appliquer le principe de précaution et de favoriser la technologie filaire, qui est la plus rapide, la plus économique et la plus sécuritaire. Où est l’angle mort? 

Parlant des radiofréquences, vous écrivez : Malgré des masses et des masses d’études sur la question, on n’a toujours pas trouvé de signe probant qui indiquerait de manière minimalement solide l’existence d’un danger. Vous avez sans doute oublié qu’il y a 10 ans l’OMS a classé ce type de rayonnement dans le Groupe 2B, « peut-être cancérogène pour l’homme, sur la base d’un risque accru de gliome, un type de cancer malin du cerveau, associé à l’utilisation du téléphone sans fil ». Au terme de cette nouvelle décennie de recherches, la classification des radiofréquences devrait prochainement être révisée à la catégorie du Groupe 2A « probablement cancérogène pour l’homme », voire au Groupe 1 « cancérogène avéré pour l’homme », tel que le recommande un conseiller de l’OMS, le Dr Anthony B. Miller, professeur émérite de médecine à l’Université de Toronto, qui a dirigé pendant 15 ans l’unité d’épidémiologie de l’Institut national du cancer, et qui, soit dit en passant, est l’un des cinq cosignataires de notre lettre.

PREUVE D’ASSSURANCE

Évoquant le lien cancer-cellulaire, vous écrivez que notre lettre ouverte à Valérie Plante exagère fortement la solidité de la preuve scientifique. Vous évitez de mentionner à vos lecteurs que depuis 10 ans, les compagnies d’assurance refusent catégoriquement d’assurer tout dommage relié aux tours cellulaires et aux appareils de communication sans fil, leur attribuant la classe de risque la plus élevée! Vous écrivez plutôt à vos lecteurs : En réalité, on n’a présentement aucune raison de croire que ce danger existe. En fait, on croule sous les études qui nous avertissent du danger. Les assureurs l’ont bien compris. Alors comment expliquez-vous, M. Cliche, que ce qui est beaucoup trop dangereux pour être assurable soit inoffensif pour l’Institut national de la santé publique du Québec ou son équivalent de Colombie-Britannique, ou encore Santé Canada? 

LE CREDO DE L’INDUSTRIE

Simplement parce que Santé Canada (qui proposait récemment d’augmenter le taux de glyphosate résiduel dans nos aliments) continue de défendre l’idée désuète que le seul danger de tout rayonnement non ionisant est l’effet thermique, l’échauffement des tissus, un critère établi arbitrairement au début des années 1950 et promu depuis 1992 par la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants, l’ICNIRP. Par son adhésion à ce dogme si cher à l’industrie de la téléphonie sans fil, l’ICNIRP est en contradiction avec la très grande majorité des études actuelles. Même la Cour d’appel de Turin a confirmé en janvier 2020 que le neurinome acoustique d’un travailleur avait bien été causé par l’utilisation de son téléphone portable, tout en prenant soin de préciser que les scientifiques financés par l’industrie de la téléphonie, ou les membres de l’ICNIRP, sont moins fiables que les scientifiques indépendants. Vérification faite, la plupart des 14 membres de l’ICNIRP ont des liens avec l’industrie, ce qui les place en conflit d’intérêts, comme le révèle le rapport soumis en juin 2020 au Parlement européen par les députés Klaus Buchner et Michèle Rivasi.

L’ARROSEUR ARROSÉ

C’est précisément pour trancher cette question cruciale de l’effet de l’exposition aux ondes de la téléphonie mobile que le centre de recherche américain en toxicologie, le National Toxicology Program (NTP), a entrepris les études les plus complètes jamais réalisées sur des rats et des souris. Publiés le 1er novembre 2018, ces résultats ont non seulement révélé que le rayonnement des téléphones portables augmentait les tumeurs dans le cœur et le cerveau, mais induisait également des lésions cardiaques (cardiomyopathie du ventricule droit chez les rats mâles et femelles) et des dommages à l’ADN dans les cellules cérébrales des rats et des souris.

Vous discréditez cavalièrement ces résultats en écrivant ceci : Cette étude n’a trouvé qu’un petit surplus d’une forme rare de tumeur au cœur chez les rats mâles, mais pas chez les femelles, et rien chez les souris. Ça n’est pas exactement ce que j’appellerais un « lien clair ». Que vous le vouliez ou non, l’étude du NTP (révisée par des pairs) a prouvé hors de tout doute que les RF sous le seuil thermique (non ionisants) peuvent causer le cancer et des bris d’ADN chez les rongeurs. C’est ce qu’ont toujours nié les 14 membres de l’ICNIRP, tout comme le font nos agences de santé. Et à qui faites-vous appel pour invalider l’étude du NTP? Précisément à l’arroseur arrosé, à ces membres de la Commission de l’ICNIRP, que vous prenez soin de présenter comme un groupe de réviseurs indépendants. Pourquoi tromper ainsi vos lecteurs?

Ajoutons que la différence de réponse entre les rats mâles et femelles se produit fréquemment dans les études expérimentales de toxicité et de cancérogénicité, tout comme elle existe dans les taux de cancer chez les humains. Or en science, vous le savez, ce qui est fondamental, c’est la réplication des résultats. Quelques mois plus tard, le réputé Institut Ramazzini, de Bologne en Italie, a publié une étude à long terme sur les effets des rayonnements RF (simulant l’exposition au rayonnement d’antennes cellulaires) sur près de 500 rats. Tout comme l’étude du NTP, cette étude a clairement démontré que l’exposition chronique aux radiofréquences cause chez les rats les mêmes types de tumeurs que l’on constate chez les humains qui utilisent le cellulaire contre l’oreille 30 minutes par jour pendant au moins dix ans, ou qui habitent à moins de 500 m d’une antenne. En somme, cette étude confirme la corrélation entre l’émission de radiofréquences et l’apparition des tumeurs de l’oreille ainsi que des tumeurs multiformes du cerveau.

ERREUR STATISTIQUE

Encore une fois vous n’êtes pas d’accord et vous brandissez un argument irréfutable : cette étude est une « erreur statistique » (statistical fallacy). Ici, votre lien ne mène ni à la critique de l’étude ni à la réponse des chercheurs italiens. Cherchez l’erreur! L’éditeur André Fauteux, cosignataire de notre lettre, a donc dû faire venir la réponse de l’Institut Ramazzini, pour constater que cette critique soulevait des points de procédures et d’analyse non pertinents, ne remettant pas en cause les conclusions de l’étude. Disons que dans cette épreuve des faits, vous partez avec deux prises contre vous!

VERDICT

Vous citez un avis de l’Union européenne datant de janvier 2015 n’ayant trouvé aucun signe probant d’un danger après avoir examiné l’ensemble de la littérature sur le sujet. C’était il y a six ans, bien avant les études du NTP et de l’Institut Ramazzini. Cet été, le Parlement européen a publié un rapport de recherche intitulé “Health Impact of 5G. Voyons ses conclusions : 1) les fréquences de RFR couramment utilisées (450 à 6000 MHz) sont probablement cancérogènes pour l’homme, notamment en raison de preuves solides d’accroissement de gliomes et de neurinomes acoustiques. Ces fréquences nuisent clairement à la fertilité masculine et possiblement à la fertilité féminine. Elles peuvent possiblement avoir des effets indésirables sur le développement des embryons, des foetus et des nouveau-nés; 2) concernant les futures fréquences millimétriques de la 5G (24 à 100 GHz), aucune étude adéquate n’a été réalisée sur les effets non thermiques de ces fréquences plus élevées.

Trouvez-vous ces conclusions partielles, partiales et très exagérées? Pour compléter votre vérification des faits, je vous suggère aussi de revoir l’enquête rigoureuse présentée le 12 novembre 2020 par la télévision publique de France 2, intitulée 5G l’onde d’un doute

Souhaitons qu’à l’avenir la rubrique « Vérification faite » prenne le temps de fouiller les faits en profondeur, afin de nous donner l’heure juste. Car personne n’aime les fausses nouvelles.

Pascal Gélinas

Pascal Gélinas

De 1984 à 2009, Pascal est réalisateur aux émissions Science-Réalité et Découverte, de la Société Radio-Canada. Auparavant il avait réalisé Montréal-Blues, La turlute des années dures et Taire des hommes. En 2006 il réalise Le porteur d’eau, Grand prix et prix du public au FPPE en 2007. En 2009, il réalise un film sur son père, Gratien Gélinas, un géant aux pieds d’argile. En 2013, il signe Huguette Oligny, le goût de vivre. Puis en 2016, Un pont entre deux mondes, suite du film Le porteur d’eau.

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FILMOGRAPHIE DU RÉALISATEUR

Un pont entre deux mondes (2016)
Huguette Oligny, le goût de vivre (2013)
Gilles Pelletier, un cœur de marin (2013)
Gratien Gélinas, un géant aux pieds d’argile (2009)
Terres à la dérive (2008)
Le porteur d’eau (2006)
La Turlute des années dures (1983)
Montréal Blues (1973)
Taire des Hommes (1968)
Émissions Découverte et Science-Réalité de Radio-Canada (1984 à 2009) : 350 reportages et dossiers.




Ahmed Bensaada et les « dommages collatéraux » : Les songes d’une nuit d’automne d’Omar Zelig-Chaulet

[Source : Algerie54]

Par Abdellali Merdaci*

Le dénommé Omar Zelig, nom de guerre de Luc Chaulet, époux de la journaliste Ghania Mouffok, aux identités nationales imperceptibles (Algériens, Français ou Franco-algériens ?), tous deux embusqués dans le fatras des réseaux sociaux, vient d’ajouter sa danse joyeuse sur le cadavre encore fumant du professeur Ammar Belhimer, relevé de ses fonctions de ministre de la Communication par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune. Zelig-Chaulet appelle, de son maquis – enfumé – la même disgrâce présidentielle pour l’éminent universitaire, écrivain et publiciste Ahmed Bensaada, le journal en ligne « La Patrie News » et les « autres consternations du boulevard des Martyrs », traités de « dommages collatéraux » dans un post fulminant.

Post d’Omar Zelig incriminant des « dommages collatéraux »

Il est vrai que l’œuvre critique de Bensaada secoue les marécages méphitiques d’une opposition strictement boboïste, plus justiciable du « demi-pression » dans les brasseries germanopratines et d’une militance protégée dans les gargotes dorés d’Alger, que des dédales d’une lointaine politique algérienne. Les motifs du vif ressentiment de Luc Chaulet et de Ghania Mouffok envers Bensaada sont certainement connus et entendus dans le cercle de leurs amis, notamment ceux d’Alger, depuis longtemps poussés dans le mouvement du néo-hirak et dans une campagne épouvantable contre le pouvoir de M. Tebboune et l’unité de la nation algérienne aux côtés des islamistes de Rachad et des séparatistes du MAK……

En vérité, Ahmed Bensaada dérange beaucoup de convictions délétères. Il a toujours préservé une vision largement documentée des événements politiques qui façonnent nos sociétés du Maghreb et du Moyen Orient. Il avait ainsi tenté d’expliquer, en interrogeant le contexte politique international, les « révolutions arabes » qui marquèrent leur auréole printanière. Il ne croyait pas à leur spontanéité et le faisait savoir, preuves à l’appui, dans un remarquable essai (1) qui décrypte les sources des surprenantes mutations de pays arabes (Tunisie, Libye, Syrie), de leurs acteurs, de leurs enjeux, de leurs commanditaires et de leurs ressources occultes. Accusait-il l’arrogante Amérique et ses agences de « démocratisation » du Moyen Orient, reprenant les semblables protocoles qui ont forgé en Europe de l’Est les fameuses révolutions colorées ? Derrière des élans populaires, les lecteurs de Bensaada apprenaient à reconnaître les inspirateurs de « soulèvements révolutionnaires » dans le monde arabe et découvraient leurs lignes de crédit patiemment retranscrites. La National Endowment for Democracy (NED), aux nombreuses succursales, reprenant des attributions de la CIA, est une hydre à sept têtes, posant sa semelle de plomb sur des États du Maghreb et du Moyen Orient réfractaires aux attentes de l’Amérique. Cette entreprise de démythification par Bensaada de ferveurs « printanistes » arabes, autant imprévues qu’inédites, hâtait de mordantes répliques de bien-pensants, principalement en Algérie.

En 2011, le vent du boulet du « printemps arabe » était-il passé si près des oreilles des dirigeants algériens, plus préoccupés par l’activisme indécent et foutraque d’un « Saïd Samedi » que de ses initiateurs américains et de leurs fondés de pouvoir locaux ? Bensaada ne pouvait admettre une Algérie formatée par les hérauts américains de la « démocratisation » du monde arabe, qui échouaient, en 2011, dans leurs menées et dans leurs diversions factieuses. Non pas, parce que l’État y faisait face, mais parce que les Algériens ne s’y prêtaient pas. Cette pétition de principe, éminemment patriotique, gonflera le remous d’attaques personnelles, pro domo, et de sermons rageurs. Le publiciste Ahmed Bensaada était déjà l’ennemi à abattre ? Avant les incantations d’Omar Zelig et de son impromptu automnal.

Hirak, néo-hirak et « ténors autoproclamés »

Le 22 février 2019, des marches populaires, sur l’origine et les motivations desquelles l’Histoire devra se prononcer, balaient les prétentions du régime honni des frères Bouteflika, dans les starters-blocks pour un cinquième mandat. Ce n’était plus un secret pour les Algériens que le président Abdelaziz Bouteflika, ingambe, ne disposait plus des capacités  – physiques – pour diriger le pays laissé à la discrétion de son cadet Saïd, vaguement conseiller à la présidence de la République. Depuis les désagréments de santé, au printemps 2013, Saïd Bouteflika incarnait à lui seul le pouvoir secondé par un clan d’oligarques, qui a, sous sa bienveillante direction, asséché la trésorerie de l’État. Le peuple algérien, unanime, ne voulait plus prolonger le règne césarien de la fratrie Bouteflika. Des grandes cités jusqu’aux hameaux d’Algérie soufflait une sourde révolte sans précédent dans l’histoire de l’Algérie indépendante. Des centaines de milliers d’Algériens marchaient chaque vendredi contre le 5e mandat présidentiel convoité par les frères Bouteflika et contre leur clientèle de mascarade, la « ’içaba ».

Par leur nombre, les marcheurs étaient légitimes dans leur demande de changement. L’Armée nationale populaire, dernier recours dans cette confrontation entre le peuple et le régime des frères Bouteflika, est intervenue, comme elle l’a fait, en 1991, devant la menace islamiste pour éviter l’effondrement de l’État et la désagrégation du pays. Le général Ahmed Gaïd Salah est apparu, à l’épreuve des faits, comme l’homme de la situation, obtenant le départ des Bouteflika et la mise en cause publique de la « ’içaba » prédatrice. Dans le calendrier républicain du commandement de l’Armée nationale populaire, le retour à l’élection et au verdict des urnes restait prioritaire. Beaucoup d’Algériens, si ce n’est la majorité d’entre eux, se sont rendus à la sagesse de cette proposition, pour prendre du recul d’avec les marches. Mais entre-temps, le hirak, en partie phagocyté par des activistes d’Alger, agents de la NED, repoussant le slogan du « khawa-khawa » et la fraternisation du peuple et de son armée, tentait de se structurer dans une direction séditieuse en répandant le mot d’ordre de rejet de l’élection présidentielle au profit d’un collège présidentiel et d’une assemblée constituante. C’est précisément sur cette phase décisive du hirak qu’Ahmed Bensaada apporte son analyse aiguisée des faits et sa probité intellectuelle dans leur compréhension exacte. La synthèse, toute stimulante, de son travail d’enquête est publiée, au printemps 2020, par l’éditeur algérois APIC sous le titre « Qui sont ces ténors autoproclamés du hirak ? ».

Dans cet opus, Bensaada démonte, pièce par pièce, l’OPA sur le hirak d’acteurs politiques et civils, tous formés et financés par la NED. Et reconstitue les phases d’un schéma d’agit-prop soigneusement pensé. À la manoeuvre, Lahouari Addi, sociologue français d’origine algérienne, conférencier de la NED, met en branle une instance présidentielle et en désigne les membres, les avocats Mustapha Bouchachi et Zoubida Assoul et le militant politique (sans parti agréé) Karim Tabbou, clients à divers titres de la NED, auxquels est assigné l’objectif de lancer une Assemblée constituante composée de membres cooptés. Cette démarche est nettement étayée par Ahmed Bensaada qui donne le détail des accointances et des financements par la NED des membres du triumvir présidentiel pressentis par Addi.

Cependant, au gré des marches, les rapports de force à l’intérieur d’un néo-hirak, qui n’a plus aucune légitimité populaire après l’élection du 12 décembre 2019 qui a consacré M. Tebboune, évoluent vers une nouvelle direction islamiste et un nouvel objectif qui est la destruction de l’État algérien. Les anciens membres du FIS dissous, réinvestis dans Rachad, Mourad Dhina et Larbi Zitout, appellent de Genève et Londres à un renversement du président de la République, élu légalement. Un dernier acteur dans l’opposition la plus extrême non seulement au pouvoir mais aussi à la nation algérienne est Ferhat Mehenni, chansonnier de Tizi Ouzou, président-fondateur, à Paris, du Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie (MAK). Si Rachad est à l’œuvre dans l’ensemble du pays, le MAK a la parfaite maîtrise de la Kabylie. Les activistes pro-américains, rejoints par la gauche communiste agréée (MDS, PST) et le Rassemblement algérien de la jeunesse (RAJ, interdit par décision de justice), apparaissent comme minoritaires dans cet échafaudage politico-insurrectionnel. Mais, leurs troupes  restent fidèles au pacte léonin qui les lie aux islamistes et aux séparatistes kabyles pour le renversement de l’État algérien et de son pouvoir légal. On verra ainsi, au printemps 2021, le journaliste Ihsène El Kadi (« Maghreb émergent », Radio M.) apporter sa caution à Rachad et au MAK alors qu’un maître de chaire réputé de sociologie de l’Université d’Alger louera dans un entretien avec « Le Quotidien indépendant », autre soutien du néo-hirak, les vertus démocratiques des chefs de Rachad.

Censuré dans la presse privée, affiliée au néo-hirak, le publiciste Ahmed Bensaada combattra-t-il avec vigueur dans la presse patriotique en ligne les parrains du néo-hirak ? Singulièrement, ses nouveaux ténors islamistes. Ils s’attacheront, ainsi que leurs hommes de main (et de plume), de Londres à Genève, Paris et Montréal, y compris Lahouari Addi à Lyon-France, à minorer l’auteur et son œuvre. Ahmed Bensaada, didacticien des sciences physiques reconnu et salué au Québec, est traité de « petit professeur » et son essai sur le néo-hirak de « koutiyyeb » (livret, « petit livre », dans un sens péjoratif ; fascicule). Au-delà d’attaques venimeuses au-dessous de la ceinture, Dhina, Zitout et leurs acolytes se gardent de lui opposer des contre-arguments. Parce qu’ils n’en ont pas. Discréditer l’homme ? Ce n’est pas très honorable, pour autant qu’un tueur islamiste respecte les règles de l’honneur, mais il n’en est rien resté.

Les Chaulet-Mouffok en marge du hirak

Je ne connais ni Luc Chaulet (alias Omar Zelig) ni Ghania Mouffok, ancienne journaliste d’« Algérie actualité », à Alger, un hebdomadaire gouvernemental à la ligne éditoriale flottante où elle pu raviver une aura de « rebelle » au système. Mais est-ce suffisant pour construire une histoire dans la presse ? Luc Chaulet, né à Alger en 1956, peut affirmer crânement dans un récent entretien avec le quotidien « El Moudjahid » (Alger) être un « Algérien à part entière » (2) alors que le site français d’informations littéraires Babelio le présente comme un « journaliste et producteur français ». Ce qu’il n’a ni corrigé ni démenti, craignant de sortir de cette  ambigüité à ses dépens.

Dans les années 1990, les Chaulet-Mouffok ont pris leur part de la tragédie nationale. Un exil parisien : quatre années ferme, entre 1994 et 1998, « sans papiers », mais pas pour autant des SDF. C’est à cette période contristée que Luc Chaulet forge son pseudonyme : double hommage à Woody Allen et à son personnage-caméléon Zelig et à une algérianité transcendante incarnée par le prénom Omar. Cet hybride juif new yorkais mâtiné d’Algérien ne manque pas de piquant (on pense à tous les « petits Omar », de Tlemcen à la Casbah d’Alger, de la fiction au réel). Et, de piquant, Luc Chaulet s’en est gargarisé dans une signalée carrière, toute inventive, à la Chaîne 3 de la radio algérienne. De retour à Alger, vers la fin des années 1990, il y reprendra sa place, même si comme il le confie à ses amis de la presse privée, « il n’y était plus attendu ». Comme à son habitude, le talent en bandoulière, il crée de nouveaux formats et concepts (ainsi, « Réactions en chaine ») dans une radio où il perdait ses repères, chamboulé par des vexations presque ordinaires et d’infamantes retenues sur salaire décidées par des chefaillons. Son métier de bourlingueur des ondes, dans une Algérie déboussolée, perdait son surcroit de poésie.

Lorsque, un 22-Février, se levèrent drues les graminées du hirak dans le vaste pays, Luc-Omar était prêt. Ce combat pour une Algérie « autre » ne pouvait échapper à sa candeur et à sa générosité et à ses mots parfois rageurs. Dans un dossier qu’il signe sur la révolution du bitume, qui ne fut pas heureuse, il reste un constat douloureux : « Bien sûr, dans les rangs des ‘‘hirakistes’’, on nie encore l’évidence, on veut encore se persuader que l’esprit du 20-02 existe encore, qu’il n’y a pas de défection dans les rangs, que le changement peut encore advenir pour peu que le peuple reste uni, mais il a du plomb dans l’aile le hirak, les mots et les slogans deviennent plus durs, on se traite facilement de khawana, de traître,  de harki, de collabo, de ouled franssa, enfant de la France, on refuse tout compromis, tout dialogue, on s’épuise à clamer que personne n’est habilité à parler au nom du hirak, et à réclamer la libération des détenus d’opinion, les suprématistes de la religion, de l’identité voire de l’armée en font des tonnes, et la pandémie du coronavirus, comme un allié mondial de tous les pouvoirs, vient l’achever, autour de la mi-mars, lorsqu’est instauré le confinement » (3). Acte de décès du hirak, lucide et sans fioritures. Dans les marches, on se bouffait le nez allègrement lorsque «  les suprématistes de la religion » le mettaient dehors sous la bourrasque. Mais Luc-Omar savait d’instinct – ou par imprégnation cultuelle ou historique, c’est un grand lecteur – que les révolutions mangent leurs lendemains qui chantent. C’était si vrai, à Moscou, en 1917, à Pékin, en 1947, à Alger en 2019. Les authentiques révolutions sont faites pour être dépeuplées et pleurées.

À Alger, Omar Zelig recherche des amitiés exigeantes. Celle d’Ihsène El Kadi, entre autres – il faudra y revenir. Il lui prête sa voix et son ingéniosité dans une émission de Radio M intitulée  évasivement « Mim ». Sans doute connaissait-il le mystérieux adage des Orientaux : « Garde le ‘‘mim’’, il te gardera ». Simplement malicieux. Cette amitié deviendra-t-elle nocive au gré des alliances intempestives d’El Kadi, enrégimenté dans un néo-hirak sulfureux ? Voire…

Brève évocation à propos de Ghania Mouffok, la compagne de Luc-Omar. Une image compassée de la journaliste passionnée des années 1980 ? Vieillotte et archaïque. Comme dans un palimpseste, elle se superpose à celle très actuelle de la militante des droits de l’homme, de l’experte de l’Unesco pour l’émancipation des femmes, de la journaliste indépendante et de l’écrivaine. Comme je ne suis pas accro aux télévisions françaises (TV5, France 24) auxquelles elle collabore, je ne peux me prononcer sur ses productions. J’ai, par contre, trouvé sur le site de la Ligue algérienne de défense des Droits de l’Homme (LADDH) sa défense et illustration du journaliste Khaled Drareni. Elle l’achève par cette déclaration bravache : « Je soussigné Ghania Mouffok, traître depuis cent ans, pour servir ce que de droit » (4). Mais, cette auto-assignation est franchement trop convenue. Et, sa traitrise, un fantasme.

Dans ce texte Ghania Mouffok expose sa conception du journalisme, très caricaturale. Lisons-là : « Les journalistes, et c’est ce qui fait ce métier, déjeunent, dinent, fréquentent toutes sortes de faunes, le matin avec un voleur de portable, le soir avec un ambassadeur et à midi avec un milliardaire, c’est ainsi qu’ils informent, se forment et informent quand ils prennent aux sérieux leur métier et c’est ce qui en fait par ailleurs le sel » (5). Dans les faits, le journaliste confronté au voleur de portable émarge dans un sous-compartiment de la rubrique « Société », les faits divers ou « chiens écrasés », pour remonter au temps de Rouletabille ; le milliardaire à midi ne saurait traiter qu’avec le directeur-général d’un titre ou le président de son conseil d’administration ; et, le soir, Son Excellence l’ambassadeur soupe avec des éditorialistes bien introduits dans les arcanes du système politique, le sommet de l’échelle dans une rédaction. En l’espèce, Mme Zelig pose un bémol : « Bien sûr, les ambassades n’invitent pas tous les journalistes mais ceux qu’ils espèrent, qu’ils estiment suffisamment influents, crédibles, pour éventuellement faire entendre leur voix » (6). Elle indique avoir été dans les agapes des ambassades, sans préciser si elle a rencontré tôt le matin un « voleur de portable ». Ce n’est plus Rouletabille, c’est Tintin au Congo. En quoi, cette mise en scène de comédie amende-t-elle son fils putatif (dans le journalisme) Khaled Drareni et ses virées chez M. l’ambassadeur. Du Burkina-Faso ? Non, de France, naturellement ? Comique, si n’est fâcheux.

J’ai retiré dans ce texte de la « copine du barbouze » cette exquise formule : « à mon âge fêlé ». Quelle poéticité, qui défie tous les savoirs rhétoriques ! Terminons par une note dysphorique : l’essayiste est éditée par Les Éditions la Découverte, du temps de François Gèze, et l’abominable RSF. Ses pensums, que je n’ai pas lus, sont collationnés dans « Mondafrique » de Nicolas Beau. Que de précieux amis de l’Algérie.

Les Zelig-Mouffok sont unis dans la créativité et militent vent debout contre le « système ». S’ils sont opportunément restés Algériens, comme le soutient véhémentement Luc Chaulet, ils ont possiblement, l’un et l’autre, comme beaucoup de leurs compatriotes, des raisons de détester et de contester le pouvoir d’Alger. Ils en ont le droit et l’entière liberté, lorsqu’ils en assument la responsabilité éthique, sans atermoiements. Est-ce que leurs raisons de titiller le pouvoir actuel sont celles d’Ihsène El Kadi et derrière lui de Mourad Dhina, porte-parole en France du FIS dans les années 1990, diffusant à Paris auprès des agences de presse, des journaux et des radios et télévisions d’Occident les bilans quotidiens des tueries des groupes islamistes armés, de Larbi Zitout, son alter ego, prêt à appliquer la « solution finale » dans l’Algérie d’aujourd’hui si les digues du pouvoir cédaient à Alger, de Ferhat Mehenni et de son MAK qui n’attendent que de prendre les armes pour tuer des Algériens de Kabylie et de toutes régions, et des activistes stipendiés par la NED, bourgeois bien installés d’Alger et petit-bourgeois, communistes orthodoxes et trotskystes, zélateurs du « Grand Soir » ?

Une impensable duplicité

Dans les fumeries (convient-il de s’attarder, ici, sur l’urgente demande de Luc Chaulet de libérer en Algérie le commerce du cannabis et d’ouvrir les frontières avec le Maroc ?) et dans les fumisteries de débats sibyllins, l’angle de vision de l’Algérie  et de l’islamisme algérien est certainement trouble et déformé. Luc Chaulet et Ghania Mouffok condamnent – vraisemblablement – les attentats islamistes à Paris, de janvier et de novembre 2015, et à Nice, au mois de juillet 2016, à Alger, ils sont, à la suite de leurs amis bobos, des défenseurs d’islamistes en costume-cravate grimés en « démocrates ». Amis d’Ihsène El Kadi, les Chaulet-Mouffok n’ont pas vidé leur sac de contradictions. Observons : c’est en « Algérien à part entière », bruyamment proclamé dans les colonnes d’« El Moudjahid », que Luc Chaulet  espère après l’éviction de M. Ammar Belhimer un mauvais sort carbonisant ses « dommages collatéraux », entre autres Ahmed Bensaada. Comment ne pas s’étonner de la complexité de cette filiation politique chassant l’oxymoron, d’El Kadi à Tebboune ?

Peut-on être à la fois le défenseur d’El Kadi et le solliciteur du président Tebboune ? Duplicité nuisible. Car, il est avéré que l’État algérien et ses institutions, spécialement la présidence de la République, sont dans la ligne de mire d’El Kadi et du néo-hirak. Omar Zelig-Luc Chaulet peut donc banqueter à Radio M et, dans le même temps, lorgner une rude sentence présidentielle contre Ahmed Bensaada et les contradicteurs de la politique antinationale d’El Kadi et de ses comparses islamo-séparatistes. Cette situation n’est pas exceptionnelle : beaucoup de bobos d’Alger ont un pied dans le pouvoir qu’ils se font un devoir d’étriper publiquement et un pied dans l’opposition, quelle qu’en soit la nature ; ils n’en ont cure. Et, c’est un trait inaltérable de la sociologie politique des classes supérieures de la société d’Alger, certains bobos, quel que soit leur positionnement politique, sont intouchables. Et, parmi eux, les Chaulet-Zelig-Mouffok ?

De Paris à Alger, le couple Omar Zelig-Ghania Mouffok se prévaut d’une infaillible défense des droits de l’Homme et de la liberté d’expression. Ces droits, sont-ils définitivement compromis en Algérie, dans l’Algérie de M. Tebboune ? Où aucun marcheur n’a été estropié comme un Gilet jaune, en France, ou tué comme c’est le cas en Colombie ou d’autres pays d’Amérique latine ou d’Asie. Cela mérite une explication. À Alger, il y a un président élu légalement, qui fait sa politique, bonne ou mauvaise, selon un programme largement répandu, et à l’heure du bilan, il  revient aux seuls électeurs de la reconduire ou de la sanctionner. Or, une cohorte d’Algériens et de binationaux franco-algériens, rassemblée dans un néo-hirak, noyauté par des organisations terroristes, refusant le passage par les urnes, entend prendre le pouvoir par la violence de la rue. C’est, résolument, Abdelouahab Fersaoui, ancien président du RAJ-dissous, activiste farouche, membre de la conspiration contre l’État, qui a déclaré que la démocratie n’a pas besoin d’urnes en Algérie (7). Pourquoi le pouvoir légal algérien n’aurait-il pas la ressource, comme dans toutes démocraties d’Occident, de se protéger contre les acteurs d’un coup de force prémédité ? Le président Tebboune aurait mille fois raison de dire qu’il n’y a pas un seul militant politique en prison ou dans l’attente d’être jugé par un tribunal en Algérie. Les seuls activistes du néo-hirak sont poursuivis devant la justice et parmi eux, a-t-il signalé, au magazine allemand « Der Spiegel » (8), « deux ou trois journalistes » auteurs de fausses nouvelles dans une population qui en compte plusieurs milliers. Et, hypothétiquement, des filous de partis qui nagent plus dans les eaux boueuses du droit commun que dans la politique. Évidemment, cela ne fait pas foule.

Les ligues des Droits de l’Homme devraient recenser, hors des agitateurs du néo-hirak, les citoyens poursuivis en raison de leur opinion politique. Il n’y en a pas. Il n’est interdit à aucun Algérien d’exprimer son opinion et beaucoup de journaux, leurs éditorialistes et leurs contributeurs le font régulièrement, stigmatisant le gouvernement du président Tebboune et pas seulement pour ce qui ressort de la gestion de la communication par M. Belhimer. J’ai lu sous la plume de l’excellent Djamel Labidi (9), au demeurant un grand patriote et témoin de l’histoire contemporaine de l’Algérie, une analyse sur la crise de la pomme de terre en Algérie qui devrait figurer par sa clarté et sa pédagogie dans un traité d’économie agricole algérienne, à contre-courant des thèses du ministre de l’Agriculture révoqué. Et, sur un autre registre, railleur, le billettiste Chawki Amari peut proférer dans « Le Quotidien indépendant » de graves et amères vérités sur le fonctionnement de l’État et de ses dirigeants. Si Ihsène El Kadi n’était que journaliste, rien ne devrait l’empêcher ainsi que ses titres de presse et leurs journalistes d’enquêter sur les failles nombreuses des ministres du gouvernement et d’éclairer les Algériens. Et, pas sur la seule patate. Qui ne défendrait pas sa liberté d’expression, comme celles de tous les journalistes algériens ? Or, le néo-hirakiste El Kadi, dans ses reliques de lieutenant des états-majors islamistes et séparatistes, est davantage dans une perspective de putschiste que de journaliste, fut-il un adepte du journalisme d’opinion. Il est distinctement sous une couverture de journaliste dans une association terroriste dont l’objectif est de briser par la violence l’État algérien, en disloquer le territoire et les institutions. De cette cruelle vérité, pourra-t-il se défendre ? Est-il, seulement, défendable ? Et, aussi, ses amis, les Chaulet-Mouffok, « copains du barbouze », embarqués dans ses choix et dans ses turpitudes.

Les espérances d’Ahmed Bensaada

Dans ses contributions données à la presse, dans ses conférences publiques, Ahmed Bensaada, qui est un esprit indépendant, met à nu le néo-hirak et son maléfique projet destructeur d’un autre temps. En paye-t-il le prix scélérat ? Cette antienne, servie dans les estaminets malfamés d’Oran, d’Alger et de Paris, qui traite d’officier des « services » tout Algérien qui défend son pays au-delà de ce que sont les pouvoirs, est tout autant injuste que malveillante.  Le couple Chaulet-Mouffok et ses amis de Paris et d’Alger (opposants de tout poil, souvent hirsutes, instruits par la lecture de Nicolas Beau, fondateur du site « Mondafrique », qui se connaît, semble-t-il, en généraux algériens), se rangeant derrière El Kadi et ses certitudes, en font un client du pouvoir lorsqu’il n’a aimé que l’Algérie. Omar Zelig attend de M. Tebboune de le bouter dans la même charrette mortuaire qu’Ammar Belhimer, dorénavant injurié. Mais les Chaulet-Mouffok, journalistes, savent-ils en quoi l’ancien ministre a démérité pour le couvrir d’opprobre ? Les hauts cadres de l’État ne sont-ils pas par nécessité – politique ou autre – appelés à des fins de fonctions ? Il aurait été souhaitable que les Chaulet-Zelig-Mouffok s’expriment sur les mutations les plus sensibles de la politique du pays. Omar Zelig, rajustant sur son visage le masque chaloupé d’« Algérien à part entière » de Luc, pérore sur l’Algérie et se félicite de la fin de mission d’un ministre algérien. Triomphe dérisoire.

Luc-Omar Chaulet-Zelig et sa compagne Ghania Mouffok (10) appartiennent à cette frange d’intellectuels en peau de mouton, qui s’arrogent le droit de rêver pour les autres, autrefois cloués au pilori par Ahmed Bensaada, morigénant leur comparse Kamel Daoud : « […] il se place de facto dans le quart qui sait ce que les autres quarts doivent faire, penser ou rêver. Le quart instruit, propre, civique, tolérant et qui abhorre la bigoterie » (11). Mais les temps changent. Foin de bigoterie !  À Alger, l’islamisme de Dhina et Zitout devient fréquentable pour être adoubé par des partis pseudo-démocrates ayant pignon sur rue et leurs claques. Ihsène El Kadi et ses amis du « premier quart » des sachant s’abreuvent d’une soupe malodorante et écœurante de conspirateurs contre l’État légal, s’inscrivant dans les rangs islamistes et de leurs alliés séparatistes, qui ne rêvent que de dépecer le pays et de le précipiter dans une furie sanglante ? Un rêve fou. Les Chaulet-Mouffok ne peuvent l’ignorer. Ce sont les nouveaux amis d’Ihsène El Kadi, les chefs de Rachad, continuateur du FIS-dissous, justifiant la mort de centaines de milliers d’Algériens, qui les ont condamnés, dans les années 1990, à l’exil.

Le trublion Omar Zelig doit s’éveiller au réel algérien, qu’il méconnaît totalement, qui est enseigné quotidiennement dans les lignes d’« El Moudjahid », qu’il ne lit pas. Insistons. Pourquoi veut-il que M. Tebboune exécute Ahmed Bensaada, comme il l’aurait fait pour M. Belhimer, nonobstant qu’il n’émarge ni dans les états de salaires du gouvernement ni dans ceux de ses administrations. Je comprends que les engagements de Bensaada, qui est une haute conscience de notre temps réprouvé, irritent comme du papier à gratter Dhina, Zitout, El Kadi – et, avec une inaccoutumée rage,  les bénéficiaires d’enveloppes de la NED,  à leur tête Mme Zoubida Assoul, qui lui a promis la géhenne des tribunaux de la République (12). Le néo-hirak, qui est un rassemblement terroriste, et ses spadassins décochent de mortelles imprécations contre l’empêcheur de rêver à leur monde démentiel. Omar Zelig y ajoute sa petite musique nocturne. Et ses terribles songes d’une nuit d’automne, précipitant dans le convoi funèbre du professeur Belhimer – sûrement déchu ? – outre Bensaada, « La Patrie News », fleuron de la nouvelle presse numérique, les radio et télévision d’État, qui n’ont pas touché à un iota de leur charte éditoriale depuis l’indépendance. Pittoresque, mais discernable regroupement. Et les horions infligés par Zelig-Chaulet à la radio nationale sont compréhensibles. N’a-t-il pas déclaré : « J’aime la radio quand elle ne prend pas les gens pour des cons » (13). Luc-Omar, qui lui a beaucoup donné, et la radio se sont tellement aimés, puis séparés pour une vilaine histoire de « cons ». Un drame.Cet inquiétant Ahmed Bensaada, qui tarabuste Omar Zelig-Luc Chaulet ! Il l’a déjà éreinté dans un post, en 2020, en admonestant Lahouari Addi sur une intangible question de morphologie du verbe, lui intimant, relativement aux griefs qu’il nourrissait envers Bensaada et son intention de le citer en justice après la publication de son enquête sur les « ténors autoproclamés du hirak », d’utiliser le futur de l’indicatif plutôt que le présent du conditionnel : « Je déposerai », mieux que « je déposerais ». Addi se réservait une part de doute et de patience, pas Zelig, méchamment acrimonieux. Fondamentale dispute linguistique : qu’en aurait-il été si le malencontreux Addi avait dégainé son subjonctif ? Cela se serait soldé fatalement par mort d’homme.

Post d’Omar Zelig adressé à Lahouari Addi

Ahmed Bensaada et Omar Zelig ne se connaissent pas. Ils se sont rencontrés une seule fois, à distance, dans un combat homérique. C’était en 2010. Au sens politique le plus conventionnel, le publiciste Bensaada pointait sur de nombreuses questions culturelles l’impréparation du gouvernement et ses lâchetés honteuses. Ainsi, la censure officielle du livre égyptien dans un Salon international du Livre d’Alger après une rapide et fulgurante guerre du football entre l’Algérie et l’Égypte. Je me souviens que nous en discutions, admettant que le livre porte une ineffable charge d’humanité, que la « trilogie du Caire » de Naguib Mahfouz vaut mieux qu’un précis de sociologie de l’Égypte contemporaine. Bensaada prenait seul l’initiative de faire circuler un appel aux quatre coins cardinaux du pays et d’ailleurs contre l’impéritie d’une ministre de la Culture de Bouteflika, contre une censure instituée. Le temps qui passe est étrange. Parmi de nombreux appuis à cet appel, d’écrivains, d’éditeurs, d’artistes, de journalistes, de citoyens, il y avait Omar Zelig. Et son compère Ihsène El Kadi.

Qu’est-ce qui a changé depuis cette avanie gouvernementale somptueusement vilipendée ? Les idées et les engagements d’un jour ne sont pas ceux du lendemain et les chemins, comme dans un récit ajouré de Borgès, bifurquent. Et, plus explicitement, les regards sur le monde. Mais ce fut, et cela ne se répétera plus, une belle victoire pour Bensaada, pour Zelig et El Kadi, qui l’ont rejoint, et leurs cosignataires, contre les errements d’une politique culturelle inepte.

Immuablement, le professeur Ahmed Bensaada cultive-t-il l’art de se faire des ennemis de tout bois, pas seulement dans les rangs désormais clairsemés du néo-hirak ? Ces derniers mois, analysant le dossier Graphika (14), il alertait l’Algérie sur la cyber-guerre qu’entreprennent contre elle des puissances étrangères. C’est plus qu’une éventualité, une menace minutieusement renseignée que le président de la République et le commandement de l’Armée algérienne n’excluent plus. Est-il vraiment le « dommage collatéral » contre lequel Omar Zelig rêve de voir le président Tebboune sévir ? Faudrait-il croire que dans l’Algérie idéale des Chaulet-Mouffok la prime du patriotisme reviendrait aux assassins d’Algériens Dhina et Zitout, aux mercenaires Bouchachi, Assoul, Tabbou, manœuvriers en sous-sol du néo-hirak, qui ont plus que les deux mains dans les canevas américains de « démocratisation » du monde arabe, au Français Lahouari Addi, au cabaretier kabyle Ferhat Mehenni, à Ihsène El Kadi et à tous les activistes islamistes et séparatistes qui veulent ébranler les assises de l’État algérien, plutôt qu’à Ahmed Bensaada – et, aussi, à « La Patrie News », la radio et la télévision d’État ?Dans l’Algérie d’aujourd’hui, toutes les convictions ne se valent pas. Ceux, qui au nom de l’aventurisme forcené, veulent détruire le pays, promettent aux Algériens  des houris pour ouvrir les frondaisons du ciel et les allées des cimetières, ceux qui rêvent de créer dans une région historique du pays un État-croupion de la France et d’Israël, ceux qui agitent l’abécédaire frelaté de la démocratie américaine et des lendemains qui chantent en espadrilles, veulent prospérer sur une Algérie en ruines. Voici la famille décriée de Luc Chaulet-Omar Zelig et de Ghania Mouffok, qui rêve d’écrire une histoire heurtée de la nation algérienne, une histoire de terreur, de larmes et de sang. Elle n’aura jamais raison contre les espérances d’Ahmed Bensaada d’un pays partagé et aimé, qui est le pays apaisé de tous les Algériens sans exclusive.

* Ecrivain, critique et historien de la littérature. 

Notes:

1.     Ahmed Bensaada, « Arabesque américaine. Le rôle des États-Unis dans les révolte de la rue arabe », Montréal, Michel Brûlé, 2011 (1ère éd. Dernière éditions revue et augmentée, Alger, ANEP, 2016).

2.     « Luc Chaulet : ‘‘Je suis Algérien à part entière’’ ». Entretien avec Soraya Guemmouri, « El Moudjahid », 2 novembre 2021.

3.     Omar Zelig, « Une symphonie algérienne inachevée », « El ‘Arabi-El Safir », 15 janvier 2021. Texte publié avec le soutien du Rosa Luxembourg Institute.

4.     Cf. Un journaliste n’est pas toujours un flic », Site de la Ligue algérienne de défense des Droits de l’Homme (LADDH), 12 novembre 2020.

5.     Id.

6.     Id.

7.     Abdellali Merdaci, « Médias. Vraiment la mise à mort du ‘‘Quotidien indépendant », « Algérie 54 » (Oran), 10 août 2021.

8.     Cf. le texte intégral de l’entretien du président Tebboune avec « Der Spiegel », reproduit dans « Le Jeune Indépendant » (Alger), 6 novembre 2021.

9.     Djamel Labidi, « La pomme de terre de la discorde », étude publiée dans « Le Quotidien d’Oran » (http://www.lequotidien-oran/index.php?newsz =5306601).

10.  Faudrait-il souligner la proximité et la complicité des Chaulet-Mouffok et d’El Kadi ? Dans son article « « À propos des Zelig-Mouffok copains du barbouze » (« Algérie 54 », 14 novembre 2021), Ahmed Bensaada publie des extraits d’une enquête de Boualem Snaoui (« Yetnahaw gaâ »), diffusée précédemment sut le site, qui incrimine les douces gâteries entre amis des Chaulet-Mouffok et du patron-activiste de Radio M.

11.  Ahmed Bensaada, « Kamel Daoud : Cologne, contre-enquête ». Préface de Jacques-Marie-Bourget, Boumerdès, Les Éditions Frantz Fanon, 2016, p. 75.

12.  Abdellali Merdaci, « Le hirak, la main de l’étranger et ses vérités des ténèbres », « Algérie 54 », 11 juillet 2020.

13.  « Omar Zelig : ‘‘J’aime la radio quand elle ne prend pas les gens pour des cons ! ». Entretien avec Adlène Meddi, « Le Quotidien indépendant », 1 février 2014.

14.  Lire sur ce dossier l’étude d’Ahmed Bensaada sur son site www.ahmedbensaada.com.




Pourquoi la peur n’a pas (encore) changé de camp ?

Par Alain Tortosa

« Open your eyes(([1] Ouvrez vos yeux))»

Pourquoi la peur n’a pas (encore) changé de camp ?
Médecins, soignants, journalistes ou politiques, il est encore temps…

Ce message ne s’adresse pas à celles et ceux qui sont corrompus et mentent sciemment sur les plateaux. Ils devront répondre de leurs actes tôt ou tard… Le problème est qu’ils sont allés beaucoup trop loin et trop fort dans leurs mensonges et leur fabrique de la peur pour revenir en arrière. Leur succès se mesure chaque jour face à un peuple tétanisé qui continue à gober leurs mensonges.

On aurait pu croire que les différentes séquences de « grands de ce monde » faisant la fête, se serrant la main ou s’embrassant et vivant sans masque ni distanciation (en l’absence de caméras) auraient pu permettre à tout un chacun de réaliser l’ampleur de l’escroquerie… Pensez-vous une seconde qu’ils auraient agi ainsi (dès le début de la crise) s’ils avaient pensé, ne serait-ce qu’une seconde, que nous étions face à un fléau mortel ?

Quel benêt témoin d’une énième preuve de l’escroquerie pourrait croire que leurs comportements seraient le fruit d’un certain relâchement ou comme a osé affirmer M Attal « nous sommes tous humains ! ».

Qui peut encore ignorer que toutes ces personnes « importantes » continuaient de pouvoir aller au restaurant ou de bénéficier de concerts privés dès le premier confinement… Certaines de ces libertés n’étant même pas dissimulées, les députés ont toujours pu déjeuner ou dîner au restaurant de l’Assemblée nationale sans masque ni gestes barrières et en toute impunité !

Les corrompus seront, je le répète, rattrapés tôt ou tard par la justice des hommes.

Rendez-vous compte qu’il n’y a plus rien de choquant à réclamer l’internement de non-vaccinés ou des peines de prison. Toute phrase passe telle une feuille au gré du vent… « les prendre par la peau du cul pour les amener au centre de vaccination » ou « comment peut-on s’en débarrasser » ou même suggérer l’idée du napalm… Il n’y a (quasi) plus aucune limite, aucune voix pour s’insurger contre l’utilisation de balles réelles face à des manifestants voulant défendre des libertés ! Ils ont à ce point « pété les plombs » que le Ministre de la Santé allemand a déclaré que d’ici la fin de l’hiver tous les Allemands seront « vaccinés, guéris ou morts » !!!

Et c’est nous les complotistes qui, à force d’avoir raison sur quasi tous les sujets, commençons sérieusement à manquer de théories du complot…

Alors que leur bateau du mensonge prend l’eau de toutes parts, ceux-ci persistent et accélèrent encore plus leurs mensonges :

  • « Les Israéliens ont été sauvés de la nouvelle vague par la 3e dose. »
  • « Le “booster” permet d’obtenir des résultats extraordinaires »

… À se demander si la dose ne guérit pas tous les cancers et ne permettrait pas de rendre la vue aux aveugles et l’usage de leurs membres aux handicapés moteurs ?!

Le pauvre Français qui ne lit que le Figaro ou ne regarde que BFM pour ne citer qu’eux (car ils sont TOUS alimentés par l’AFP qui est le canal unique de la Pravda) ne peut qu’être terrorisé par la nouvelle vague qui s’abat sur l’Europe et pour laquelle « notre salut ne viendra que d’une nouvelle dose »…

Nouvelle vague qui est toujours invisible pour le réseau Sentinelles qui constate que le Covid représente moins de 10 % des infections respiratoires aiguës à 10 cas pour 100 000 habitants ! Réseau pour qui la France vit non pas une épidémie de Covid, mais la fin d’une épidémie de gastro. Si demain les thérapies géniques ne sont plus « gratuites », mais réservées à certains, nul doute que les trafiquants de drogue abandonneront le crack pour se reconvertir dans les « vaccins ».

En même temps, comme dirait l’autre, le marché des trafiquants de drogue fait face aujourd’hui au monopole de Pfizer, trafiquant mondial de drogues, adoubé par l’OMS, les politiques, etc. Ils fourguent leur came à des milliards d’habitants en ayant largement connaissance des conséquences mortelles liées à sa consommation. Alors même que le pire trafiquant, le pire fils de pute (pardon pour cette profession honorable, elle…) s’empêcherait de transformer les enfants en toxicomanes à la santé vacillante.

Désormais, l’industrie du sucre, pionnière de l’addiction chez les enfants, est supplantée par Pfizer qui finira par fournir son poison dès la naissance et sans la moindre once de conscience.

Chez Pfizer et tous les fabricants de « vaccin » Covid, tuer on s’en tape, y compris tuer des enfants. Pourvu que ça rapporte « un max de blé »… Je n’ai pas vérifié la source, mais Pfizer engrangerait actuellement environ 1000 dollars de bénéfices à la seconde !

Situation délirante, paradoxale et extraordinaire alors même que tout le monde sait ou peut savoir, hormis un « camé du Covid », que :

  • Le virus est probablement non naturel.
  • Les traitements efficaces existent depuis décembre 2019 et qu’ils n’ont fait que progresser.
  • Les médecins ont été interdits de soigner les malades.
  • Ordre a été donné de tuer des personnes que l’on aurait pu traiter.
  • Le Covid, pardon, « les faux Covid » devrais-je dire, car 90 % des positifs n’étaient pas des malades, a représenté 2 % des hospitalisations de l’année 2020.
  • Le Covid a tout au plus tué quelques milliers de personnes en France, les autres étant décédées de leurs pathologies et « avec » le Covid.
  • Les thérapies géniques sont expérimentales et bénéficient d’une autorisation de mise sur le marché qui est conditionnée à l’absence de traitements existants.
  • Les « vaccins » n’empêchent pas la contagion.
  • Les « vaccins » n’empêchent pas les formes graves ni les décès.
  • Il n’y a pas de corrélation entre le taux de vaccination et la baisse de l’épidémie.
  • Les « vaccins » favoriseraient les variants.
  • Les effets secondaires, quasi interdits de déclaration, dépassent tout ce qui a été connu pour toutes les autres vaccinations « classiques ».
  • La 3e dose se fait sur un « vaccin » non mis à jour pour les variants. Je vous rappelle que les « complotistes » avaient affirmé qu’il y aurait une troisième dose, un abonnement à vie à la vaccination et que le passe-sanitaire serait annulé en l’absence de nouvelles doses… et ce sous les sarcasmes des « grands » journalistes vérificateurs de l’information.

Le monde est à ce point fou, nous sommes dans « 1984 », la réécriture de l’histoire est telle qu’on en arrive à voir désormais des études qui affirment que l’activité physique et le sport peuvent être dangereux pour la santé et provoquer des crises cardiaques. Surtout, ne faisons jamais le lien entre la vaccination et l’explosion des problèmes cardiaques dans une population jeune.

J’en finis donc avec ma « brève introduction de deux pages » pour dire qu’entre les mougeons, mi-moutons, mi-pigeons, et les pourritures corrompues il y a une masse de médecins et de journalistes pas totalement idiots qui ont été à la fois naïfs dans un premier temps puis ont eu peur pour leur carrière et leur image dans un deuxième temps.

Je m’adresse donc aux conscients non corrompus pour leur dire une fois de plus qu’il est temps… Comme je l’ai écrit, le bateau fuit de toutes parts, les informations sortent de plus en plus massivement.
Vous qui savez désormais (ou pouvez savoir en quelques clics) que c’est un mensonge organisé.
Vous qui savez que le gouvernement a mis sciemment en place une politique qui vise à nuire à son peuple
Vous qui savez que cette fausse vaccination est inefficace et qu’elle entraîne des effets secondaires graves, voir qu’elle tue des enfants…

Vous ne pouvez demeurer silencieux !

Profitez des quelques langues qui commencent à se délier,

  • De l’aveu que les injections ne protègent pas de la contagion.
  • De l’aveu qu’elles ne permettront pas une immunité vaccinale de masse.
  • De l’aveu qu’elles n’empêchent pas d’être hospitalisés.

Profitez de ces avancées pour oser dire le reste, profitez des rares journalistes qui commencent à parler.
Profitez de l’invitation du professeur Perronne…
À ce titre je remercie Cnews qui semble commencer à avoir le courage de mettre quelques minutes de vérité dans un océan de propagande.

Vous médecins qui disposez encore de valeurs, rachetez-vous une conscience et allez sur les plateaux télé !
Vous politiques qui avez été bernés, muselés par cette dictature sanitaire, rachetez-vous une conscience et prouvez-nous que nous n’êtes pas uniquement là pour faire carrière et récolter des millions.
Vous journalistes qui vous êtes tus par peur, rachetez-vous une conscience et cessez d’inviter toujours les mêmes incompétents, menteurs, ou corrompus.

Tous ceux qui hier ou aujourd’hui ont peur de perdre leur réputation ou leur emploi en disant la vérité devraient sacrément avoir peur des poursuites judiciaires à la libération.

Ne sentez-vous pas le vent qui tourne ?
Ne sentez-vous pas la brise de la liberté se lever ?

La dictature semble paniquer. Car seul un paniqué ou un débile peut envisager d’enfermer son peuple dans des camps ou de lui tirer dessus ! Cette amplification de la folie est révélatrice d’une urgence… museler au plus vite !

Faites des plateaux télé avec le professeur Perronne, le professeur Toubiana ou Alexandra Henrion-Caude (sans oublier les autres), résistants de la première heure qui ont fait, et font les frais de la police politique.

Je suis conscient de l’inutilité de mon texte, je suis conscient d’avoir écrit le même texte des dizaines de fois, mais je veux croire encore que celles et ceux qui savent et qui ont une conscience ou qui veulent échapper aux futurs procès et condamnations feront le bon choix…

Rejoignez les défenseurs de la liberté, les défenseurs des droits de l’homme et de l’enfant, les défenseurs d’une science honnête et non corrompue…

Sauvez-vous, sauvez-nous de cette barbarie !

Merci

Alain Tortosa.

22 novembre 2021

https://7milliards.fr/tortosa20211122-ayez-le-courage-de-l-honnetete.pdf




La priorité des hôpitaux est maintenant la rentabilité financière

[Source : Emile levoile]




Discours de Robert F. Kennedy, Jr. et de Catherine Austin Fitts à Milan, Italie le 13 novembre

[Source : Childrens’ Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]

Discours de Robert F. Kennedy, Jr. (vidéo + script)



Discours de Catherine Austin Fitts, The Solari Report (vidéo + script)



Robert F. Kennedy, Jr. — Transcript :

« Aucun gouvernement, dans l’histoire de l’humanité n’a jamais renoncé volontairement au pouvoir.

Le pouvoir qu’ils nous ont pris, au cours de ces 20 derniers mois, ils ne le rendront jamais.

Ils nous ont enlevé notre liberté d’expression. Ils ont fermé les églises. Ils ont supprimé les procès avec jury contre les entreprises, peu importe leur négligence, peu importe leur imprudence, peu importe la gravité de votre blessure, vous ne pouvez pas poursuivre cette entreprise.

Ils ont supprimé nos droits de propriété aux États-Unis, ils ont fermé un million d’entreprises, pendant un an, sans compensation équitable et sans procédure régulière.

Ils ont supprimé notre droit d’être libre, à l’abri des perquisitions et des saisies sans mandat, et de la surveillance par le gouvernement.

Aux États-Unis, tous ces droits sont énumérés dans notre Déclaration des droits de la Constitution des États-Unis.

Parmi les plus importants de ces droits, après le droit à la libre expression, qui a disparu, il y a le droit de pouvoir participer à l’élaboration des règles.

Donc quand le gouvernement veut passer une loi, il doit publier la loi proposée. Il doit expliquer la base scientifique de cette loi. Il doit faire une analyse bénéfice/risque de cette loi et l’expliquer au public. Et puis nous avons des commentaires, auxquels tout le public peut participer. Et puis nous avons une audience, où les personnes qui s’opposent à la loi, comme moi, peuvent apporter leurs propres scientifiques, experts, et études scientifiques, et tout est transparent, tous ces garde-fous ont été effacés. Aujourd’hui, la loi est dictée par un homme présenté comme le meilleur médecin d’Amérique, Anthony Fauci.

Au mois de mars, Tony Fauci a dit au monde que les masques ne marchaient pas. C’était sans valeur scientifique. Deux mois plus tard, il a ordonné à tous les Américains de mettre un masque. Il ne nous a donné aucune étude scientifique qui l’ait fait changer d’avis. Il nous a simplement dit « au vu de cette nouvelle loi, faites ce qu’on vous dit »…

Tous ces droits, pour lesquels les fondateurs de notre pays, sont morts, en sacrifiant leurs biens ou leurs moyens de subsistance, pour nous donner une Déclaration des droits, et tous ces droits, en 20 mois, ont été oblitérés, enlevés au peuple américain et pas seulement aux Américains. C’est un coup d’état global contre la démocratie libérale à travers la planète.

Tous ces droits qui nous ont été retirés, le gouvernement nous a dit que c’était temporaire, que c’était seulement deux semaines que ça serait fini. En vérité, vous pouvez tous voir ce qui se passe. Ils prennent ces droits et ils ne les rendront jamais, à moins que nous ne les forcions.

Le Pass Sanitaire est leur coup d’état. Le Pass Sanitaire est la façon dont ils consolident leur pouvoir sur vos vies.

Le Pass Sanitaire n’est pas une mesure de santé publique. C’est un outil de contrôle totalitaire, de vos transports, de votre compte en banque, de vos mouvements ; chaque aspect de votre vie.

Et ce n’est pas une idée nouvelle.

C’est la même idée qu’ils ont utilisé en Allemagne en 1937, il ont émis un pass pour les gens qu’ils voulaient contrôler.

Quand le gouvernement sud-africain de l’apartheid, a voulu contrôler la population noire d’Afrique du Sud, quelle a été la chose la plus importante qu’il a faite ? Ils ont émis un pass.

Je veux que vous demandiez, à toutes les personnes de la presse journalistique, qui sont ici aujourd’hui, si le pass sanitaire concerne la santé publique, pourquoi ce n’est pas le ministère de la santé qui le délivre ?

Il est délivré par le ministère des finances. Nous prennent-ils pour des idiots ?

C’est un moyen de contrôler votre argent. Une fois que vous avez ce pass, et qu’ils ont la monnaie numérique, si quelqu’un vous dit de ne pas quitter Milan, et que vous partez en voyage à Bologne, votre argent ne fonctionnera pas à Bologne. Si le gouvernement vous dit de ne pas acheter de pizza, il peut faire en sorte que votre pass ne vous permette pas d’acheter une pizza, il peut contrôler tous les aspects de votre vie.

Ils vous disent que nous avons besoin d’un p pour nous assurer que tout le monde se fait vacciner. Mais ils admettent que le vaccin n’empêche pas la transmission. Le vaccin ne vous empêche pas de contracter la maladie. Le vaccin ne peut pas arrêter la pandémie. Alors pourquoi ont-ils besoin de nous faire vacciner si le vaccin n’arrête pas la transmission ?

Je vais vous le dire dans deux minutes, je vais parler du vaccin.

Les gens qui disent que je suis contre les vaccins, je ne suis pas contre les vaccins. Je suis seulement contre les mauvais vaccins.

Et je ne vais pas vous dire ce que pense Robert Kennedy. Je vais vous dire ce que Pfizer a dit à la FDA des Etats-Unis.

Pfizer est la seule entreprise à avoir un vaccin approuvé aux Etats-Unis.

Et Pfizer était censé faire une étude de trois ans, mais ils l’ont réduite à six mois. Et ensuite ils ont donné des vaccins à tous le groupe témoin.

Pourquoi ont-ils fait ça ? Pourquoi ont-ils arrêté l’étude après 6 mois ?

Parce qu’ils ont appris que les anticorps disparaissent en 6 mois et que le vaccin ne protège plus.

Ils ont donc dû y mettre fin en 6 mois. Ils ne pouvaient pas faire ce qu’ils avaient prévu, trois ans.

Ils ont pris tous leurs dossiers pour ces 6 mois et les ont remis à la FDA.

Le tableau le plus important est celui qui vous indique la mortalité toutes causes confondues. Combien de personnes sont mortes dans le groupe vacciné ? Combien sont mortes dans le groupe placebo pendant cette période de 6 mois ? Ce tableau est appelé « S4 » vous pouvez tous le regarder.

Voici ce que disent les chiffres.

Il y avait 22 000 personnes, dans le groupe vacciné, sur une période de 6 mois, une est décédée du COVID.

Dans le groupe placebo, le groupe témoin, sur 22 000 il y a eu 2 personnes qui sont mortes du COVID en 6 mois.

Cela a permis à Pfizer de dire au public américain que le vaccin est efficace à 100%, parce qu’il y a eu 2 mort au lieu de 1, soit 100% d’augmentation.

La plupart des Américains et des Italiens, lorsqu’ils entendent dire que le vaccin est efficace à 100%, pensent que si je prends le vaccin, j’ai 100% de chances de ne pas mourir du COVID.

Ce que cela signifie [en réalité], c’est qu’ils doivent administrer 22 000 vaccins pour protéger [supposément] une personne contre le COVID.

Ce que cela signifie, c’est qu’ils doivent s’assurer que le vaccin lui-même ne tue pas une personne, car s’il en tue une, cela annule tous les bénéfices.

Voici ce qui est important.

Dans le groupe vacciné, 20 personnes sont mortes en 6 mois, toutes causes confondues, 20 sur 22 000.

Dans le groupe témoin, seules 14 personnes sont mortes sur 22 000.

Cela signifie que si vous prenez le vaccin, vous avez 48% plus de chances de mourir au cours des 6 prochains mois que si vous ne le prenez pas.

Ce sont les chiffres de Pfizer, pas les miens.

Voici comment les gens sont morts.

Dans le groupe témoin, 1 personne est morte d’une crise cardiaque.

Dans le groupe vacciné, 5 personnes sont mortes d’une crise cardiaque en 6 mois.

Cela signifie que si vous faites le vaccin, vous avez un risque de 500% d’avoir une crise cardiaque fatale dans les 6 mois.

Cela signifie également, que pour chaque personne sauvée de la mort par le COVID, le vaccin tue 4 personnes d’une crise cardiaque.

Ce n’est pas une bonne politique de santé publique.

La santé publique est censée sauver des vies.

C’est pour contrôler, contrôler notre société et contrôler nos enfants.

Et la seule raison pour laquelle les gens ne comprennent pas ce que je viens de dire, et que les gens soutiennent encore le vaccin, la seule raison, est la manipulation par la peur.

Ce sont des mathématiques simples. N’importe qui peut le vérifier, si vous le faites, vous aurez encore plus peur du vaccin que vous n’avez peur du covid.

Le gouvernement, et les compagnies pharmaceutiques, ont une méthode pour éteindre le cerveau des gens, afin qu’ils ne puissent plus faire de simples mathématiques.

Et leur outil, c’est la peur. La peur nous empêche d’exercer notre esprit critique. Elle nous permet de croire que si nous faisons simplement ce qu’on nous dit, c’est le seul moyen de sauver nos vies. Cela s’appelle le syndrome de Stockholm. Et les ravisseurs enferment un pays entier pendant un an, et les gens deviennent reconnaissants envers leurs ravisseurs. Et pensent que la seule façon de sortir d’ici vivant est de faire preuve une obéissance absolue.

Je vais faire une autre remarque. Combien de personnes ici ont entendu parler de l’Event 201 ?

Si vous n’en avez pas entendu parler, vous devriez aller le voir sur YouTube.

L’event 201, est une simulation d’une pandémie de Coronavirus. Elle s’est produite à New York en octobre. Nous savons maintenant, qu’un coronavirus circulait à Wuhan le 12 septembre 2019. Ainsi, un mois plus tard, une pandémie de coronavirus a été simulée à New York.

Nos hôtes, les personnes qui ont participé à cet événement, étaient les grandes entreprises de médias sociaux, les entreprises de médias. Et Johnson and Johnson, la plus grande entreprise de vaccins, a accueilli trois personnes. Un est Bill Gates.

Le deuxième, George Gao, qui est à la tête du CDC chinois, et la troisième, Avril Haines, la directrice adjointe de la CIA.

Et Avril Haines est aujourd’hui, l’espionne numéro un des Etats-Unis. Elle est à la tête de l’agence de sécurité nationale de Joe Biden. Donc elle est passée d’Event 201 à devenir la plus grande espionne de notre pays.

Parce que la CIA ne fait pas de santé publique, la CIA a fait un coup d’État.

Entre 1947, et l’année 2020, la CIA a été engagée dans 73 coups d’états, la plupart d’entre eux contre des démocraties. 1 tiers des pays du monde.

Eh bien, si vous regardez l’Event 201, il n’y avait aucune discussion sur la santé publique.

Personne ne parlait de comment apporter de la vitamine D à tous les gens. Comment faire pour que les gens perdent du poids ? Comment s’assurer qu’ils mangent bien ? Comment trouver des médicaments réutilisables pour soigner les gens ? Comment mettre les malades en quarantaine ? Comment préserver les droits constitutionnels ? Pas un mot n’a été dit sur la santé publique.

Au contraire, ce dont ils ont parlé, c’est comment utiliser la pandémie, comme un prétexte pour installer un contrôle totalitaire et pour déconstruire la démocratie.

Ils ont passé un quart de la journée, à discuter de la manière de s’assurer que personne n’est autorisé à répandre la rumeur, selon laquelle la pandémie de coronavirus est générée en laboratoire, nous sommes en octobre 2019.

Et ils parlent de comment confiner la population, comment la forcer à prendre des vaccins expérimentaux. Comment s’assurer que les Noirs ne commencent pas à résister, car dans notre pays, les Noirs sont très méfiants à l’égard de l’establishment médical et ils étaient très inquiets de notre résistance.

Quand j’ai fait des recherches pour mon livre, ce que j’ai appris, c’est que l’Event 201 n’était pas unique. Nous avons trouvé 20 simulations de pandémie distinctes commençant en 2020.

La seule chose qu’ils avaient en commun, la plupart d’entre eux, Bill Gates a été impliqué, Tony Fauci a été impliqué et tout le monde, la CIA a été impliqué et la CIA a écrit le script, des fonctionnaires de la CIA ont participé à chacune de ces simulations de pandémie.

Elles impliquent des centaines de personnes. Elles étaient menées secrètement, par des travailleurs américains de première ligne, et elles formaient la police, les systèmes hospitaliers et les services publics en Europe, en Italie, en Allemagne, au Canada et en Australie, tous en même temps, à réagir à une pandémie. Il ne s’agissait pas d’une réponse de santé publique. Il s’agissait d’une réponse visant à utiliser la pandémie pour autre chose.

Ils s’exercent donc, encore et encore et encore, à utiliser une pandémie comme prétexte pour imposer des contrôles totalitaires et pour anéantir la démocratie libérale sur toute la planète.

Une des expériences qu’ils utilisent, s’appelle l’expérience de Milgram, c’était une expérience de la CIA en 1957. Et ce que la CIA a découvert, c’est que si un puissant responsable médical, ordonne aux gens de faire quelque chose de mal, c’est-à-dire quelque chose qui viole leur conscience, qui viole leurs valeurs fondamentales, 67% des gens, obéiront à l’autorité, plutôt qu’à leurs valeurs.

Et 67% des gens, seront hypnotisés par la peur, ils obéiront à une position d’autorité, à une figure d’autorité.

Mais 33% des gens n’obéiront pas. Et vous êtes les 33%.

Notre mission est de sortir de là aujourd’hui. Et de tendre la main à nos frères et soeurs, les gens qui sont encore hypnotisés, et de leur dire que nous allons nous battre pour leur liberté, jusqu’à ce qu’ils soient capables de se battre eux-mêmes.

Nous devons tendre la main quand nous partirons d’ici aujourd’hui, à tous nos frères et soeurs, les 67% qui sont encore hypnotisés, et nous devons leur dire, que vous devez aimer votre liberté plus que vous avez peur d’un germe.

Cette année, nous avons assisté à la destruction de la Constitution américaine. Cette Constitution a été écrite par un groupe de personnes, qui ont compris qu’il y a des choses pires que la mort.

Et ils ont mis leur vie en première ligne, leurs biens, leurs carrières, leurs moyens de subsistance, pour se battre pour la liberté, et pour se battre pour ces droits que nous avons perdus au cours des mois précédents.

Et maintenant c’est notre travail. Et c’est le travail de tout le monde dans cette foule de sortir et de se battre pour résister, résister, résister, résister…

Et de réclamer à notre gouvernement, de réclamer nos vies pour nos enfants, pour notre pays et pour toutes les générations futures et je peux vous dire que je serai à vos côtés. Et si je dois mourir pour ça, je mourrai la tête haute. »

Catherine Austin Fitts — Transcript :

« C’est tellement merveilleux de retourner à Milan, et de voir tant de gens qui célèbrent la liberté, merci…

Je voyage et je communique dans le monde entier, et dans le monde entier les gens apprécient la lutte acharnée du peuple italien, et la clarté de votre lutte contre le pass sanitaire.

Le pass sanitaire n’a rien à voir avec la santé. En août 2019, les banquiers centraux du monde entier se sont réunis aux États-Unis, à Jackson Hole, et ont voté en faveur d’un plan « Going Direct Reset ». (remise à zéro directe 00:41)

Ce plan a été conçu par un groupe de banquiers centraux travaillant par l’intermédiaire du Blackrock investment Institute.

Dans le cadre de ce plan Going Direct, les banques centrales ont injecté d’importantes sommes d’argent dans certains secteurs de l’économie, depuis deux ans.

L’argent a commencé à être injecté en septembre 2019. Et en mars, l’arrêt de l’économie a permis à l’économie de faire du shopping.

Les petites entreprises, et les agriculteurs ayant fermé leurs portes dans le monde entier, l’argent était disponible pour acheter des actifs à des prix dérisoires.

Les banquiers centraux ont pu centraliser le contrôle, d’énormes quantités de richesses.

Mais surtout, ils ont pu briser l’équilibre du pouvoir que nous avons depuis plus de 100 ans.

Depuis de très nombreuses générations, il existe un équilibre du pouvoir entre les banquiers et l’électorat.

Les banquiers dirigent la politique monétaire, et les gens votent pour leurs représentants qui dirigent la politique fiscale.

Et maintenant les banquiers centraux veulent contrôler les deux, dans un coup d’état financier.

Depuis de nombreux siècles, ce n’est pas la première fois que les lois de la peste sont utilisées pour centraliser le contrôle

Le contrôle des transports, le contrôle du travail, le contrôle des banques, mais cette fois, c’est différent. S’ils arrivent à créer un système de transaction financière entièrement numérique, ils peuvent nous ramener à l’esclavage.

Le pass sanitaire n’est qu’une partie de la mise en place d’un système de transactions financières, qui mettra fin aux monnaies pour la population générale.

Les banquiers centraux auront le contrôle direct de votre et de mon compte bancaire et ils pourront prélever des impôts quand ils le voudront et les augmenter quand ils le voudront.

Pendant de nombreuses années, ils ont utilisé le principe « diviser pour régner » pour centraliser le contrôle.

Les hommes contre les femmes, les noirs contre les blancs, et maintenant les vaccinés contre les non vaccinés.

Mais lorsqu’ils contrôleront les comptes bancaires des vaccinés et des non-vaccinés, ils dépouilleront chacun d’entre nous de tous les actifs et de toutes les richesses familiales.

Notre plus grande richesse, où est notre plus grande richesse ? Notre plus grande richesse, ce sont nos enfants. Pour construire une grande civilisation, il faut un enfant à la fois.

Alors nous nous levons et nous célébrons et nous nous battons pour la liberté, mais plus que tout, nous nous battons pour les enfants.

C’est donc un grand privilège pour moi, de passer le micro à quelqu’un qui a fait plus que n’importe quel homme sur la planète, pour défendre et protéger et se battre pour nos enfants et leur avenir. Un homme qui n’a pas besoin d’être présenté. Quelqu’un peut-il deviner de qui je parle ?

Je vous demande donc de l’inviter au micro, en lui exprimant ce que vous ressentez vis à vis de la liberté ! »




Santé et environnement : la future tarte à la crème du réchauffement climatique

Par Diane Vincero

Après la mascarade covid, il se profile une autre étape pour asservir encore plus les peuples, sous prétexte, là encore, de faire les choses « pour le bien de ces peuples »… : il s’agit de la tarte à la crème de la pollution de l’environnement et du réchauffement climatique. Ce prétexte va être utilisé bientôt pour renforcer toutes les mesures coercitives expérimentées jusque là, notamment avec le covid qui était un galop d’essai à l’échelle mondiale.

Voici quelques pistes de réflexion :

– En 1886, Nikola Tesla, ingénieur américain d’origine serbe, un génie incroyable, avait déjà trouvé le moteur électrique (à courant alternatif), et le moyen de produire de l’électricité de façon non polluante et GRATUITEMENT. Mais son projet a coulé… pour servir les intérêts financiers de concurrents…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Nikola_Tesla

– En 1957, René Febvre, dijonnais, Français «pure souche», a inventé le moteur à eau, plus propre et plus économique, etc. que le pétrole : on l’a fait couler, au profit… du pétrole pour servir les intérêts financiers des dirigeants avec les pays pétroliers, etc.

– En 1968, Jean Bertin, ingénieur, encore un Français, a trouvé l’Aérotrain (ce magnifique train à réacteur, ultra-léger sur coussins d’air) qui devait relier Orly à Roissy en…. 2 minutes !!! et pouvait monter au-delà de 400 km/h. On l’a fait couler et on a même détruit le prototype… au profit… du TGV (pour des intérêts financiers des dirigeants)… Or, l’aérotrain était infiniment moins polluant, beaucoup plus économique et beaucoup plus rapide que tous les trains existants…

Ces trois moyens de locomotion amènent à une première réflexion :

on culpabilise les utilisateurs de véhicules essence et diesel «parce qu’ils polluent la planète» par les gaz d’échappement, les particules fines du diesel, et on fait miroiter la fin des énergies fossiles (pétrole notamment).

On nous serine avec le devoir d’économiser l’énergie.

Alors, pourquoi nos dirigeants ont-ils et font-ils inlassablement encore, le choix des énergies polluantes, alors que les solutions propres et extrêmement économiques et rapides existent depuis 1886, 1957 et 1968 ???!!!

Les peuples ne demandent que de pouvoir se déplacer sans polluer, mais tout le monde n’a pas les facultés exceptionnelles d’un Tesla, ou Febvre ou Bertin pour élaborer des solutions non polluantes et économiques !!!…

Par ailleurs, avec les solutions ci-dessus, la Méditerranée et les autres mers du globe n’auraient pas été transformées en réservoirs d’hydrocarbures et de résidus de plastique avec tous les effets nocifs sur la faune et la flore marines…

Avec le pétrole, est né en effet… le plastique qui se désagrège en microparticules que nos dirigeants ont donc de fait, volontairement laissées s’écouler de nos logements aux cours d’eau, puis aux océans où le plastique constitue maintenant l’équivalent de… six continents de résidus rassemblés par les courants et pour lesquels aucun état ne veut assumer la responsabilité (collective, bien sûr) de trouver la solution pour assainir les océans de cette énorme quantité de plastique.

Tous ces résidus se retrouvent dans les espèces marines que nous consommons ensuite…. Pour les plastiques non encore désagrégés, nous connaissons en plus, les répercussions tragiques sur les espèces animales qui se retrouvent piégées dans des structures de plastiques ou qui les avalent et s’étouffent avec…

En d’autres termes, ce ne sont pas les peuples qu’il faut culpabiliser sans cesse et sanctionner, mais ceux qui sont passés et passent encore volontairement à côté des solutions qui protègent la planète et toutes les espèces végétales et animales qui la peuplent….., à savoir les dirigeants politiques et des grands lobbies (encore et toujours les mêmes !!!)

Quand on baisse la vitesse à 80 km/h sur les routes et… 30 km/h dans les agglomérations, sous prétexte de diminuer la pollution (!!!…), comme à Paris, le premier résultat patent qu’on obtient c’est…. la planche à billets que représentent tous les radars que les dirigeants n’ont cessé de développer, là encore sous l’éternel prétexte fallacieux de «faire notre bien, en diminuant le nombre de morts sur les routes, en réduisant la pollution», etc., etc.

Tesla doit se retourner dans sa tombe !!!…

Après Tesla, ce génie hors normes et son moteur quantique, ont été créés des aimants géants qui sont dans la droite lignée de la découverte de Tesla et dont il aurait pu être l’inventeur quelques décennies après son moteur quantique et qui théoriquement, peuvent fournir une énergie propre et quasi-infinie, potentiellement cruciale pour l’avenir de l’humanité.

https://korii.slate.fr/tech/technologie-fusion-nucleaire-guerre-aimants-geants-iter-mit-20-tesla-rebco-2025

Au passage, pour rendre hommage à Tesla, son nom a été donné à une unité de mesure (de la densité de flux magnétique ou de l’induction magnétique, le Tesla dont le symbole est T).

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tesla_ (unit%C3%A9)

Pour mémoire, sur la Terre, le champ magnétique est de :

  • 58 µT (micro tesla) à la latitude de 50° et
  • 31 µT à l’équateur (latitude de 0°).
  • Les aimants au néodyme-fer-bore, disponibles dans le commerce à bas prix, produisent des champs magnétiques de l’ordre de 1 T.
  • Le spectromètre de résonance magnétique nucléaire, le plus puissant commercialisé actuellement, a été installé au Centre européen de résonance magnétique nucléaire à très hauts champs (CRMN), à Lyon en octobre 2009 avec un champ de 23,5 T.
  • Le plus puissant aimant, non destructif, à impulsions du monde, situé au National High Magnetic Field Laboratory de Los Alamos au Nouveau-Mexique, a généré un champ de 100 T pendant 15 ms en mars 2012.

Aujourd’hui donc, les aimants géants existent. Deux projets sont en cours d’étude : ITER et celui du MIT.

Le projet ITER, s’appuie sur des supraconducteurs à basse température — des températures proches du zéro absolu, de l’ordre de — 270°C. Et les travaux du MIT, eux, se concentrent sur des supraconducteurs à haute température — qui fonctionnent à quelque 250°C.

L’un d’eux est si puissant qu’il est capable de soulever un porte-avions. Il devrait être mis en fonctionnement commercial dès le début des années 2030.

Le principe de ces aimants est de chauffer un gaz pour former un plasma à plus de 100 millions de degrés Celsius. Car c’est alors que le deutérium et le tritium — des isotopes de l’hydrogène –, introduits dans le tokamak, commencent à fusionner, en émettant des noyaux d’hélium et des neutrons. Et c’est l’énergie de ces neutrons, transférée sous forme de chaleur à un liquide caloporteur qui circule dans les parois du tokamak, qui va permettre de produire de l’électricité. Pour maintenir le plasma — et donc les réactions de fusion nucléaire –, il faut, en revanche, éviter que celui-ci entre en contact direct avec les parois en question. Il faut donc réussir à le confiner, grâce à un champ magnétique…

https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/fusion-fusion-nucleaire-avancee-majeure-cette-source-energie-presque-illimitee-59320/

Ces aimants géants représentent une solution fondamentale en termes d’énergie non polluante et économique. Quel choix feront les dirigeants quand ces aimants géants seront prêts à la commercialisation ??? Vont-ils là encore, faire couler ce projet au profit d’une solution destructrice pour la planète, mais avantageuse pour leurs intérêts financiers personnels ???

[Voir aussi : La face cachée d’ITER, par le physicien Jean-Pierre Petit. Il a avancé des arguments scientifiques qui tendaient à démontrer que ces projets pharaoniques soutenus par les pouvoirs en place de différents pays ne sont pas du tout en voie d’apporter les résultats espérés en matière du fusion nucléaire.
Il lui a été répondu notamment par Analyse_critique article_Petit.
Cependant, après plus de 10 ans et l’engloutissement de plusieurs milliards d’euros, la phase d’assemblage du réacteur doit durer jusqu’à fin 2024 et la production du premier plasma n’est pas prévue avant décembre 2025. Autrement dit, pour l’instant c’est une énorme quantité d’argent qui a été investie par des dizaines de pays, sans la moindre garantie que ce projet parvienne à réaliser une fusion nucléaire rentable comme alternative aux sources d’énergie pour l’instant utilisées.
La voie de la fusion froide, beaucoup plus abordable, n’a pour l’instant elle-même rien donné non plus ou a été étouffée à l’image des inventions citées plus haut.]

Après ces projets propres volontairement coulés au profit de solutions destructrices pour la planète, un autre angle environnemental maintenant, également destructeur : celui des pesticides (herbicides, insecticides et fongicides), des fertilisants chimiques, des perturbateurs endocriniens, des additifs alimentaires (pourtant dénoncés depuis des décennies, et qu’ont fait les dirigeants là encore ??), etc., etc..

Revenons sur les pesticides, tels que le glyphosate (herbicide déjà évoqué dans de précédents articles), c’est-à-dire le Rondup de Monsanto — Bayer-Nestlé. C’est un herbicide qui stérilise la terre, ne laissant plus pousser que… les céréales OGM de Monsanto résistant à cet herbicide et dont il faut racheter les semences chaque année parce qu’on ne peut pas les replanter… Excellent calcul de Monsanto qui dès les années 1920 avait décidé de rendre la totalité de l’humanité tributaire de lui sur le plan alimentaire. On voit bien effectivement la progression du programme suivi jusqu’à ce jour…

Les insecticides ensuite qui font disparaître également et malheureusement les insectes pollinisateurs (abeilles, papillons, etc.) et donc disparaître de ce fait, les fleurs et donc les fruits et légumes, de manière à ce qu’il ne reste plus que… les céréales. Au passage, cela ne fait qu’environ 10 000 ans que les humains consomment régulièrement des céréales qui ne correspondent pas à leurs véritables besoins nutritifs…

Les insecticides comme le DDT, organochloré, totalement interdit de fabrication en France depuis le 15 octobre 1969, du fait de sa toxicité et de sa rémanence élevée (il reste 30 ans dans le milieu environnant…), fabriqué par… Monsanto, mais… qui est toujours utilisé aux Antilles !!! qui pourtant sont bien françaises, non ??

Au passage, on lit sur Internet «qu’il n’y a pas d’étude scientifique prouvant que le DDT soit particulièrement toxique pour les humains», on peut en être très surpris lorsqu’on sait qu’en 1962 déjà, la biologiste américaine Rachel Carson dénonçait les effets toxiques du DDT sur la faune et l’humain dans son livre «Silent spring» et qu’en France, en 1985, la thèse de Médecine du Dr. Pagnard* sur les effets des insecticides organochlorés dont le DDT, sur l’environnement et sur l’Homme, a été primée par le Ministère de l’Environnement et l’Académie de Médecine, montrant par là même que ces effets étaient connus en haut lieu…

[Voir aussi la mention du DDT comme cause réelle de la polio dans l’ouvrage Le mythe de la contagion]

*«La pollution en Méditerranée par les insecticides et les agents bactériologiques» – 1984.

Voici pour nos chers Antillais, la réponse sur les effets toxiques du DDT’, et d’une façon générale, des autres insecticides organochlorés. Ils ont un tropisme particulier pour les tissus nerveux et adipeux et peuvent être stockés de façon importante dans ces derniers. Cela explique les pathologies qu’ils provoquent.

Au niveau neurologique, le DDT entraîne des myalgies, des polynévrites, des maux de tête, la maladie d’Alzheimer. Au niveau sanguin, le DDT entraîne anémie, agranulocytose, voire pancytopénie (atteinte de toutes les lignées sanguines : globules rouges, globules blancs, plaquettes). L’un des plus grands effets toxiques du DDT est sur le foie, avec perturbation du métabolisme des glucides, et de la fabrication des protéines (indispensables au bon fonctionnement du corps…). En allergologie, on observe des dermites, urticaire, bronchites, sinusites, etc.

D’après le Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism, les femmes qui ont été exposées in utero au DDT, ont quatre fois plus de risque de développer un cancer du sein. Par ailleurs, une étude de la NAS américaine (Académie des Sciences américaines) de 1977 sur l’eau de boisson et la santé, montre aussi l’effet cancérigène des insecticides organochlorés dont le DDT.

Comme pour tous les insecticides et tous les produits toxiques en général, la corrélation entre ces produits et l’apparition de cancers n’est pas clairement établie en raison de la multiplicité des facteurs pouvant entraîner un cancer, et, du délai d’apparition du cancer qui peut aller jusqu’à 20 ans après le début de l’exposition. Cela laisse malheureusement la voie libre aux industriels sur ce plan-là et les met à l’abri de la responsabilité d’un lien de causalité….

Il ne faut pas perdre de vue un facteur très important qui est l’ingestion quotidienne de ces insecticides et ce, pendant toute la vie, par l’eau de boisson, l’air et les produits alimentaires (céréales, fruits et légumes, mais aussi les crustacés et les poissons qui accumulent les insecticides au fur et à mesure qu’on s’élève dans la chaîne alimentaire…), les cultures subissant des épandages répétitifs chaque année d’insecticides (mais aussi d’autres pesticides, fertilisants, etc.) qui passent dans les eaux de ruissellement, les nappes phréatiques, les cours d’eau (rivières, fleuves) et les océans. Les nourrissons sont contaminés par le lait maternel et le lait de vache…

D’autre part, il est à noter que du fait du réchauffement climatique, la fonte des glaces des pôles peut faire réapparaître le DDT dans notre environnement…

Les organochlorés ont été abandonnées au profit des insecticides organophosphorés dont la rémanence dans le milieu environnant est beaucoup plus courte, de quelques semaines à quelques mois, contre 30 ans pour le DDT…

Donc, comment expliquer qu’aux Antilles, le DDT qui a pourtant été interdit de fabrication en 1969 et qui a une rémanence de 30 ans dans le milieu environnant, puisse être encore retrouvé aujourd’hui et soit encore utilisé ??? Qui en sont les responsables ???

Le chlordécone, autre insecticide interdit en France en raison de sa toxicité et qui a lui, une rémanence de… 700 ans dans le milieu environnant !!! et qui lui aussi, est utilisé aux Antilles dans les bananeraies !!!!!, Antilles qui sont pourtant françaises, non ?? Et d’ailleurs, il est «très amusant» de penser que les bananes sont ensuite vendues… en France, notamment dans nos écoles, pour nos «chères petites têtes blondes» !!!… Qui en sont les responsables ???

En conséquence, lorsqu’on voit que les dirigeants actuels continuent à autoriser le glyphosate (pour ne parler que de lui), tout en sachant toutes les conséquences catastrophiques qu’il entraîne sur l’environnement, on se demande qui doit être sanctionné??? Lorsqu’on voit qu’ils laissent la production et l’utilisation du DDT, du chlordécone, et bien d’autres produits, toujours pour des questions d’intérêts financiers, on ne peut qu’exiger qu’ils rendent des comptes et qu’ils arrêtent de nous faire croire qu’ils se soucient de l’environnement !!!…

Autres polluants, les fertilisants : le couple Bourguignon, ingénieurs agronomes, s’est évertué à enseigner aux agriculteurs que les labours d’antan avec la charrue qui retournait la terre à seulement 8 cm de profondeur, maintenaient toute la richesse vive (bactéries et autres micro-organismes, vers de terre, etc.) de la terre, alors qu’avec les tracteurs qui la retournent à 80 cm, la terre est totalement stérilisée, privée de sa richesse vive et devient dure comme du béton, infertile, nécessitant l’usage de fertilisants qui sont des produits également toxiques… Là encore, les lobbies ont fait leur œuvre et les politiques avec…

De même pour les perturbateurs endocriniens (qu’on retrouve entre autres dans les dentifrices) qui font le bonheur des lobbies correspondants, au détriment des humains et d’espèces animales qui deviennent bisexuées etc.!!!…

En conclusion, la pollution de l’environnement et le réchauffement climatique constituent la future tarte à la crème qui sera un prétexte supplémentaire pour taxer les peuples, les priver de libertés, etc., alors que parallèlement, les dirigeants se détournent régulièrement de solutions économiques et non ou peu polluantes qui pourraient réellement sauver la planète !!!

Que va-t-il advenir des aimants géants par exemple ??? Va-t-on là aussi les faire couler pour des raisons de profits individuels comme les dirigeants viennent de le faire pour l’Ivermectine et l’hydroxychloroquine, pourtant efficaces et économiques pour le traitement du covid et coulées au profit des injections covid toxiques de Big Pharma, pour lesquels on prive la population de libertés, de travail et de salaire, etc. si elle ne se fait pas vacciner…

Finalement, on ne peut que constater que le mode opératoire est le même qu’il s’agisse de l’environnement, du Covid ou autre : on fait croire aux populations qu’on œuvre pour leur bien, on les culpabilise de polluer ou de ne pas se faire vacciner, et on privilégie les solutions onéreuses, inefficaces, polluantes et toxiques au profit des intérêts financiers d’une poignée de dirigeants, intérêts qui priment sur l’intérêt de la planète et des populations.

Cette façon de fonctionner est corroborée par l’éminent ambassadeur Peter Ford qui dit que « le récit officiel sur la crise « Covid » repose sur le même modus operandi que la guerre de propagande lancée contre les trois États laïcs que sont l’Irak, la Libye et la Syrie. C’est un schéma identique à celui déployé dans la guerre de propagande « réchauffement climatique ». »

À bon entendeur, salut !!…