Plainte auprès de la Cour pénale internationale contre Bill Gates, Klaus Schwab, le Dr Fauci, le président de la Fondation Rockefeller et quelques autres covidistes

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Un groupe de personnes, parmi lesquelles l’ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, a déposé une plainte auprès de la Cour pénale internationale (CPI) au nom de citoyens britanniques contre Boris Johnson et des responsables britanniques, mais aussi et surtout contre différentes figures bien connues à l’échelmon mondial telles que Bill et Melinda Gates, ou encore le président exécutif du Forum économique mondial, Klaus Schwab, pour crimes contre l’humanité.

La plainte vise aussi le Dr Anthony Fauci ; Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ; June Raine, directrice générale de l’agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) ; Dr Radiv Shah, président de la Fondation Rockefeller ; et le Dr Peter Daszak, président d’EcoHealth Alliance, en tant que « responsable de nombreuses violations du Code de Nuremberg » au Royaume-Uni et dans d’autres pays.

Après des tentatives infructueuses répétées de soulever une affaire auprès du système judiciaire anglais, les requérants ont eu recours à un appel « de la plus haute urgence » pour que la CPI « arrête le déploiement des vaccinations anti-COVID, l’introduction de passeports de vaccination illégaux et tous les autres types de guerre… menée contre le peuple du Royaume-Uni.

Dans la plainte déposée le 6 décembre, les plaignants présentent des preuves que les « vaccins » contre le COVID-19 sont en fait des thérapies géniques expérimentales conçues avec la recherche de gain de fonction à partir de coronavirus de chauve-souris, arguant que ces « vaccins » ont causé massivement des morts et des effets secondaires et que le gouvernement britannique n’a pas enquêté sur ces décès et effets secondaires signalés ; que le nombre de cas et de décès de COVID a été artificiellement gonflé ; que les masques faciaux sont nocifs en raison de l’hypoxie, de l’hypercapnie et d’autres causes ; et que les tests PCR sont « peu fiables » et « contiennent de l’oxyde d’éthylène cancérigène ».

Les plaignants ont en outre fait valoir que les traitements efficaces contre le COVID-19, tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, avaient été supprimés, entraînant un plus grand nombre de décès dus au COVID-19 que ce qui aurait dû se produire.

Ils font valoir que les politiques d’apartheid sanitaire ont été promulguées sous le prétexte d’infections artificiellement gonflées et de nombres de décès dus à un virus modifié.

Dommages et décès massifs à court terme, avec au moins 395 049 effets indésirables signalés aux « vaccins » anti-COVID au Royaume-Uni uniquement ; une forte augmentation des appels à ChildLine d’enfants perturbés pendant les confinements ; la « destruction de richesses et d’entreprises » par des confinements imposés ; » « une privation grave de liberté physique en violation des règles fondamentales du droit international », y compris des interdictions de voyager et de rassemblements, ainsi que la quarantaine et l’auto-isolement forcés ; l’apartheid en raison de la ségrégation par possession du passeport vaccinal ; et la « réduction attendue de la fertilité » après la « vaccination », entre autres effets physiques et psychologiques nocifs.

En outre, les requérants soutiennent que « la suppression de traitements alternatifs sûrs et efficaces contre le Covid-19 équivaut à un meurtre et justifie une enquête approfondie par le tribunal ». Ils ont noté qu’en plus de la censure des informations en ligne et de la promotion de ces traitements alternatifs, « certaines revues universitaires bloquent la publication d’études montrant l’efficacité de médicaments tels que l’ivermectine et l’hydroxychloroquine ».

Les demandeurs ont également cité des survivants de l’Holocauste qui ont établi « des parallèles frappants entre les restrictions de Covid et le début de l’Holocauste ». Dans une lettre ouverte , ces survivants de l’Holocauste ont demandé aux autorités de réglementation médicale de « mettre immédiatement fin à cette expérience médicale impie sur l’humanité », qui, selon eux, viole le Code de Nuremberg.

Ils allèguent même qu’ »un autre holocauste de plus grande ampleur se déroule sous nos yeux ». Une survivante, Vera Sharav, a noté dans une interview citée dans la plainte :

« La dure leçon de l’Holocauste est que chaque fois que les médecins unissent leurs forces avec le gouvernement et s’écartent de leur engagement personnel, professionnel et clinique de ne pas nuire à l’individu, la médecine peut alors être détournée d’une profession humanitaire de guérison en un appareil meurtrier. »

« Ce qui distingue l’Holocauste de tous les autres génocides de masse, c’est le rôle central joué par l’establishment médical, l’ensemble de l’establishment médical. Chaque étape du processus meurtrier a été approuvée par l’établissement médical universitaire et professionnel. Les médecins et les sociétés et institutions médicales prestigieuses ont prêté le vernis de légitimité à l’infanticide, au meurtre de masse de civils.»

Selon les demandeurs, toutes les conséquences dommageables des « vaccins », du confinement et du virus répondent aux critères de génocide, de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre contre le peuple britannique, car les « membres coupables du gouvernement britannique et les dirigeants du monde ont à la fois des connaissances et des intentions concernant ces crimes présumés ».

Les plaignants soutiennent que les conséquences destructrices des « vaccins », des confinements et du virus artificiel sont des tentatives délibérées de dépeuplement et de déstabilisation de la société dans le cadre d’un plan coordonné à l’échelle mondiale pour consolider la richesse et le pouvoir entre les mains de quelques-uns.

Ils soutiennent que ces mesures ont également pour objectif de « démanteler tous les États-nations démocratiques, étape par étape », et de « détruire les petites et moyennes entreprises, en déplaçant les parts de marché vers les plus grandes entreprises », détenues par le ultra-riches, pour donner à cette « élite » mondialiste un plus grand contrôle politique et monétaire.




La République en marche… vers la Mondialisation

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

La République en marche… vers la Mondialisation en deux preuves flagrantes, mais peu connues, avec d’autres documents qui vont vous le faire comprendre

Intervention commune de Macron et de Klaus Schwab lors du Forum Économique Mondial (Forum de Davos janvier 2021)

Klaus Schwab est l’ingénieur qui a fondé le Forum Économique Mondial (Forum de Davos), spécialiste de transhumanisme, à l’origine du Great Reset (La Grande Réinialisation).(([1] https://nouveau-monde.ca/le-great-reset-nest-pas-du-complotisme/)) Son père Eugen Schwab fut à la tête d’une entreprise qui participa à l’effort de guerre nazi. Nous ne savons pas s’il fut contraint et forcé. Par contre ce qui est sûr, c’est que Klaus Schwab a vraiment un parcours professionnel et des activités pour le moins particulières, qui dénotent une fascination pour le contrôle, comme le montre les passages qui le concerne dans cette rare biographie familiale.(([2] https://nouveau-monde.ca/les-valeurs-familiales-de-schwab/))

Peu de temps auparavant, Macron avait prononcé le discours d’ouverture du Sommet Finance en Commun, une initiative de la finance et des instances internationales qui se servent du prétexte de la crise sanitaire pour se refaire une virginité, mais surtout pour chapeauter toutes les décisions futures et court-circuiter les citoyens, comme les états. 12 NOVEMBRE 2020. (([3] https://nouveau-monde.ca/le-choc-en-retour-ii/))

Mesdames et messieurs,

Je suis très heureux de participer aujourd’hui, même par ce truchement d’une visioconférence, à la première réunion jamais organisée réunissant toutes les banques publiques de développement du monde et tous leurs partenaires.

Parce que nous avons tous compris qu’il nous faut changer en profondeur et reconstruire, c’est une initiative forte et utile. J’en félicite les organisateurs et tous les partenaires du Sommet Finance en commun. En particulier la Fédération mondiale des institutions financières de développement (WFDFI). Les banques multilatérales partenaires. Et l’International Development Finance Club (IDFC) que préside l’Agence Française de Développement, à l’origine de ce Sommet.

Nous venons, avec plusieurs autres chefs d’État, avec le Secrétaire Général des Nations Unies, la Directrice Générale du Fonds Monétaire Internationale, la Présidente de la Commission européenne, de débattre et de dégager les principes d’une action internationale renouvelée et renforcée pour dépasser cette crise, et changer ce qui doit l’être dans nos façons de produire, de consommer et de coopérer, pour que les liens sociaux et l’environnement soient préservés, protégés, reconstruits.

Dans la continuité de cet échange sur les principes qui doivent refonder le multilatéralisme, nous avons tenu à participer au Sommet Finance en Commun, pour passer à l’action en mobilisant le plus fortement possible nos banques publiques.

Ce sommet est une preuve. Une preuve que notre transformation est possible. En vous réunissant aujourd’hui, en faisant émerger une coalition inédite par son ampleur, sa diversité et son rôle de plateforme entre tous les acteurs financiers, vous venez nous rappeler qu’il est possible de construire des réponses communes, cohérentes, concertées, aux grands défis globaux. Votre présence à tous l’atteste : un consensus profond existe sur l’urgence de combattre le dérèglement climatique et sur la nécessité de construire un monde plus juste, équitable et durable. Mais aussi sur la nécessaire complémentarité de ces agendas. Nous ne pouvons plus parler désormais de trajectoires de développement sans prendre en compte les impacts du changement climatique. Nous ne pouvons plus agir pour le climat sans prendre en compte les inégalités sociales. 

Il y a quelques jours, les États-Unis sont sortis officiellement de l’accord de Paris sur le climat. Le résultat des élections ouvre la voie à un retour au premier jour. Nous l’avons souhaité, dès les premières heures vous le savez, nous nous sommes battus pour cela, et c’est la preuve qu’il fallait tenir bon face à tous les vents mauvais. Je me souviens des One Planet Summit, du G7 de Biarritz, du sommet Action Climat de New York en septembre 2019, et de tant d’autres réunions internationales organisées depuis trois ans pour sauver notre capacité d’action collective. Nous y sommes parvenus.

Il y a quelques semaines la Chine a confirmé sa disposition à avancer conformément aux engagements pris. L’Union européenne prendra dans les jours et semaines à venir des décisions structurantes pour elle-même. Le 12 décembre, jour du cinquième anniversaire de l’accord de Paris, sera le temps de la clarification. Des engagements tenus et à venir.

Soyons collectivement au rendez-vous. Maintenant. Plus que jamais. Make our planet great again est une possibilité. Pas seulement dans les mots. Dans la réalité.

Ici, il ne s’agit plus de rechercher un accord international — nous l’avons trouvé il y a cinq ans déjà avec l’accord de Paris sur le climat, celui de New York sur les Objectifs de Développement Durable et à Addis Abeba sur le financement du développement. Non, il s’agit de passer à l’acte, de passer à l’échelle et d’entraîner avec nous tous les acteurs de bonne volonté.

Je suis donc heureux de voir qu’aujourd’hui, à ce moment très précis de notre vie internationale, vous venez vers nous avec la volonté de « financer en commun » nos politiques et notre transformation. Avec la capacité d’agir à tous les niveaux, multilatéral, international, régional, national et local, puisqu’il existe des banques publiques de développement dans chacun des pays du monde. Avec la volonté de répondre en même temps, dans chacun des projets que vous financez, aux enjeux environnementaux et sociaux. Et avec l’ambition de démultiplier les 2 300 milliards de dollars que vous investissez déjà chaque année, en agissant comme des plateformes dans chacun des pays, comme le G20 l’a appelé de ses vœux.

Ce que vous êtes en train de créer, c’est une nouvelle infrastructure financière publique globale, qui n’avait jamais été conçue à cette échelle et dont nous avons tellement besoin, aux côtés des budgets des gouvernements et des outils des banques centrales. Une nouvelle infrastructure capable de relancer l’investissement public, de façon contra-cyclique pendant les crises, et d’accélérer la mobilisation de la finance privée au service de l’Accord de Paris et des ODD. Une architecture capable de mobiliser l’épargne partout où elle se trouve dans le monde et de l’orienter plus efficacement là où sont les opportunités d’investissement les plus prometteuses, au Sud, en particulier. Une architecture capable de stimuler les investissements de développement durable.

Je vous invite à faire entendre votre voix plus fortement, distinctement dans les débats internationaux. Une voix concrète, constructive, entrant en dialogue avec celles, tout aussi essentielles, des collectivités locales, des financiers privés, des entreprises, de la société civile, des philanthropes.

J’y suis particulièrement sensible, car les banques publiques de développement ont joué un rôle majeur dans l’histoire économique de la France. Et elles sont aujourd’hui aux avant-postes face à la crise de la COVID19 et pour la transformation que j’ai engagée depuis plus de trois ans.

C’est en France qu’est née en 1816 la plus ancienne banque publique de développement du monde, devenue le groupe Caisse des Dépôts et Consignations. Et dans la crise que nous traversons, ce groupe s’est immédiatement mis au service de la relance et consacre une part importante de ses fonds propres, à hauteur de 26 Mds € pour que la reprise économique soit la plus rapide, la plus responsable, la plus durable possible, dans de nombreux domaines comme le logement ou le soutien aux entreprises et à l’économie, le renforcement de la cohésion sociale et bien sûr de la transition écologique et énergétique. Avec la Banque des Territoires et Bpifrance, ce sont plus de 40 Mds d’euros consacrés à la lutte contre le changement climatique d’ici à 2024, en changeant d’échelle sur de nombreux sujets qui permettront de réduire nos émissions de CO2. Il n’y a donc aucune fatalité, et ce groupe aide un écosystème d’innovation en matière de développement durable pour qu’il se structure, et pour avancer aussi en matière de prêts et de fonds propres.

C’est au service de la France et de l’Afrique qu’est née également, à Londres en 1941 fondée par le Général de Gaulle pour être la Caisse de la France libre, la plus ancienne banque publique internationale du monde : le groupe Agence Française de Développement. Au service du climat, de la biodiversité et des ODD, en Afrique, dans le monde émergent et dans nos outremers, ce groupe œuvre pour un monde en commun, et atteint 14 Md€ de financement annuel en 2019. L’AFD ira plus loin dans l’appui aux politiques publiques de nos partenaires avec l’entrée d’Expertise France dans le groupe AFD. Je remercie aussi l’AFD d’aider à faire de Paris une capitale des solutions pour le développement durable, avec toutes les institutions internationales qui y résident, et avec notre Place financière, à la pointe du combat pour la finance verte et durable.

Je veux enfin souligner le rôle important des banques publiques de développement dans la nouvelle étape de la construction de l’Union Européenne. Je sais que la BEI, la BERD, la Banque de développement du Conseil de l’Europe et les banques publiques de différents États d’Europe ont participé très activement à vos travaux. Elles sont engagées avec force pour soutenir le Green New Deal européen et dans la coopération internationale, en particulier avec l’Afrique. Avec nos partenaires européens, nous allons transformer, renforcer la BEI pour en faire une véritable « Banque européenne du climat », renforcer la force de frappe des banques européennes de développement en structurant un système d’action plus lisible, plus articulé, plus coordonné. 

Vous l’avez compris, nos banques publiques proposent aujourd’hui, de contribuer à engager une nouvelle étape du développement de nos sociétés. Faite de respect, de coopération internationale, d’engagement de chacun de nos États, le local, le national, le régional, du productif au social. Nos banques nous proposent au fond de relier, de réconcilier, comme jamais, les échelles d’espace, de temps, et la cohérence d’une action pour aider au développement durable. En insistant sur notre devoir de solidarité et le souci des plus pauvres, dans le monde comme dans chacune de nos sociétés.

Alors je souhaite vraiment longue vie au mouvement « finance en commun », que vous lancez tous aujourd’hui. J’accueille très positivement la force de vos engagements collectifs et ferai en sorte que vos travaux soient reconnus et encouragés au plan international, à l’occasion des grands sommets de 2021 sur la biodiversité, le climat, le financement des économies africaines, l’égalité femme-homme et sur la sécurité alimentaire. Je souhaite en tout cas que vos travaux puissent nous éclairer au G7, au G20, et puissent surtout changer concrètement la vie de toutes celles et ceux à qui elles se destinent. Changer la vie de chacun, permettre de la rendre meilleure, c’est notre objectif à tous.

Je vous remercie

Compléments, les médias au service du Nouvel Ordre Mondial, omissions, désinformations et censures

Manipulations à tous les étages, comment faire peur à la population pour vendre des vaccins à tour de bras : l’exemple de la gestion en Belgique de l’épidémie H1N1 en 2009

Marc van Ranst (actuellement membre du Comité scientifique coronavirus qui donne des avis aux autorités de la santé en Belgique) a fait une conférence en janvier 2019 devant des membres du Royal Institute of International Affairs — plus souvent appelé Chatham House qui est l’un des think tanks (groupe de réflexion) les plus influents au monde — pour expliquer comment il a géré en 2009 l’épidémie H1N1. Il raconte comment à l’époque, après avoir été nommé responsable de cette opération, il a pu convaincre les belges à se faire vacciner pour favoriser les intérêts du lobby pharmaceutique. Tous les médias belges cherchant des infos sur l’épidémie passaient par son intermédiaire. Un quasi copié-collé de l’arnaque, vaccins covid-19. La vidéo de cette conférence, où l’on entend, de plus, l’assistance composée de gens de la haute glousser de plaisir au récit de cette manipulation, est tellement dérangeante pour les covidistes, qu’elle a été censurée il y a quelques mois.

Si cela n’était pas extrêmement grave, ce serait risible.

https://nice-provence.info/2021/12/17/mandarins-dans-petrin/

https://www.fawkes-news.com/2021/12/bfm-fait-une-entrevue-lhopital-dun.html

Palombi serait donc un antivax? Ce n’est pourtant pas ce qui ressortait de cet article de BFM en juillet dernier ou il incitait les gens à aller se faire vacciner.

Palombi était candidat La République en marche en Lozère aux élections Législatives

Pour enfoncer le clou, par les comploteurs eux-mêmes, les preuves absolues d’un gigantesque complot qui cherche à contrôler les populations :

Conclusion

La quasi-totalité des médias dominants est dans les mains d’intérêts privés,(([4] Concernant la France :
https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/PPA)) de personnes qui cherchent à vous influencer, pour parler plus directement à vous manipuler :
n’est-ce pas « la crise sanitaire » ? Aussi, dès que vous verrez les médias du système mettre en avant à l’unisson un candidat lors des prochaines élections présidentielles, vous pouvez être sûr qu’il ne faut surtout pas voter pour lui (ou pour elle). Si nous en sommes là actuellement, c’est aussi en grande partie à cause des corrompus qui sont à la tête de l’Union Européennes. Il nous faut voter pour un candidat qui veut impérativement sortir de ce nid de vipères, car les députés européens honnêtes et lucides sont actuellement très largement minoritaires. Quand nous avons fait l’Union Européenne, nous ne l’avons pas fait pour ça !!!





Pourquoi les gens ne font-ils pas « confiance à la science » ? Parce que les scientifiques sont souvent surpris en train de mentir

[Source : aubedigitale.com]

Par Brandon Smith

Au cours des dernières décennies, les pratiques éducatives occidentales se sont malheureusement éloignées de ce que nous appelions autrefois la « pensée critique ». En fait, la pensée critique était autrefois un élément fondamental des universités américaines et il semble aujourd’hui que ce concept n’existe plus, du moins pas de la manière dont il le faisait auparavant. Au lieu de cela, une autre forme d’apprentissage est apparue, qui promeut la « bonne pensée » ; une forme d’endoctrinement qui encourage et récompense une réponse particulière des étudiants, conforme à l’idéologie et pas nécessairement à la réalité.

Ce n’est pas que les écoles imposent directement une idéologie collectiviste ou corporatiste (parfois elles le font), c’est plutôt qu’elles filtrent les points de vue alternatifs ainsi que les faits et les preuves qu’elles n’aiment pas jusqu’à ce qu’il ne reste qu’une seule voie et une seule conclusion à un problème donné. Ils apprennent aux élèves à NE PAS penser en leur présentant des expériences de pensée, puis en contrôlant les résultats acceptables.

Par exemple, une expérience de pensée courante et manipulatrice utilisée dans les écoles consiste à demander aux élèves d’écrire une « analyse » sur les raisons pour lesquelles les gens ne font pas confiance à la science ou aux scientifiques de nos jours. L’astuce est que la question est toujours présentée avec une conclusion intégrée – il faut faire confiance aux scientifiques, et certaines personnes refusent de les écouter, alors essayons de comprendre pourquoi ces personnes sont si stupides.

J’ai vu cette expérience de nombreuses fois, toujours présentée de la même manière. Pas une seule fois je n’ai vu un professeur de collège ou un enseignant d’école publique demander aux étudiants :

« Doit-on faire confiance aux scientifiques d’aujourd’hui ? »

Pas une seule fois.

Ce n’est PAS une analyse, c’est une hypothèse contrôlée. Si vous avez déjà une conclusion en tête avant de vous lancer dans une expérience de pensée, vous allez naturellement essayer d’ajuster le résultat de l’expérience pour qu’il corresponde à vos idées préconçues. Les écoles d’aujourd’hui présentent cette bêtise comme une forme de jeu de réflexion alors qu’il s’agit en fait de propagande. On apprend aux élèves à penser à l’intérieur de la boîte, pas à l’extérieur de la boîte. Ce n’est pas de la science, c’est de l’anti-science.

Les programmes éducatifs de ce type sont désormais monnaie courante, alors que la science réelle est reléguée au second plan. Des millions d’enfants sortent des écoles publiques et des universités sans aucune compréhension de la méthode scientifique réelle ou de la science en général. Demandez-leur quelles sont les équations de la densité ou de l’accélération, et ils n’auront aucune idée de ce dont vous parlez. Interrogez-les sur les questions relatives à la vaccination ou au « changement climatique », et ils vous régurgiteront une litanie de réponses préprogrammées expliquant pourquoi la science ne peut être remise en question d’aucune manière.

Dans les médias alternatifs, nous appelons souvent cela « être piégé dans la matrice », et il est difficile de trouver une meilleure analogie. Les gens ont été récompensés pendant si longtemps pour avoir accepté le récit dominant et rejeté aveuglément toute autre information que lorsqu’on leur présente la réalité, ils en rient avec arrogance ou reculent avec horreur. La matrice est tellement plus confortable et sûre, et regardez toutes les bonnes notes que vous obtenez lorsque vous dites les bonnes choses, évitez les questions difficiles et êtes d’accord avec le professeur.

Étant donné le triste état de la science en Occident ces jours-ci, en ce qui concerne la réponse au covid ainsi que la pression insensée et non scientifique pour les vaccinations forcées, j’ai pensé qu’il serait intéressant d’essayer cet exercice de pensée, mais sous un angle qui n’est jamais autorisé dans les écoles d’aujourd’hui :

Pourquoi les gens ne font-ils plus confiance à la science et aux scientifiques ?

La réponse est simple : Parce que de nombreux scientifiques ont été surpris en train de mentir et de déformer leurs données pour les adapter aux conclusions qu’ils souhaitent plutôt qu’aux faits. La science est souvent politisée pour servir un programme. Ce n’est pas une théorie du complot, c’est un fait avéré.

Cela ne veut pas dire qu’il faut se méfier de toutes les sciences.

Le fait est qu’aucune science ne devrait être acceptée aveuglément sans un examen indépendant de TOUS les faits disponibles. C’est là tout l’intérêt de la science, après tout.

Oui, il existe des théories du complot idiotes lorsqu’il s’agit d’analyse scientifique, mais il existe également un certain nombre d’escroqueries dans le monde de la science.

L’affirmation fausse habituelle est que la personne moyenne est ignorante et qu’elle n’a pas la capacité de comprendre les données scientifiques. Je trouve intéressant que ce soit là le message général de l’expérience de pensée sur la confiance dans la science. Il s’inscrit dans la droite ligne du discours dominant et gouvernemental selon lequel LEURS scientifiques, ceux qu’ils paient et que les entreprises paient, sont implicitement corrects et ne doivent pas être remis en question. Ils sont les grands prêtres de l’ère moderne, s’adonnant à de grandes incantations magiques que nous, sales paysans, ne pouvons pas saisir. Ce n’est pas à nous de remettre en question « la science », c’est à nous de la considérer comme une religion et de nous prosterner en signe de révérence.

La plupart des gens ont la capacité de passer au crible les données scientifiques tant qu’elles sont transparentes. Lorsque les faits sont obscurcis, déformés ou omis, cela crée la confusion, et bien sûr, seuls les scientifiques de l’establishment peuvent démêler le désordre, car ce sont eux qui l’ont créé. Examinons quelques exemples directement liés à la santé humaine…

Les cultures OGM et le flux d’argent des entreprises

La propagande entourant les organismes génétiquement modifiés est implacable et omniprésente, l’idée générale étant qu’ils sont parfaitement sûrs et que quiconque dit le contraire est un cinglé avec un chapeau en aluminium. Et il est certain qu’il existe des centaines, voire des milliers d’études qui confirment aisément cette conclusion. Alors, affaire classée, n’est-ce pas ?

Pas tout à fait. Voici où l’esprit critique est si utile et où la réalité échappe aux endoctrinés – Qui a payé ces études, et ont-ils un intérêt direct à censurer les données négatives sur les OGM ?

Eh bien, dans la grande majorité des cas, les études sur les OGM sont financées par deux sources : les géants de l’industrie des OGM comme Monsanto, Dupont et Syngenta, ou des agences gouvernementales comme la FDA et l’EPA. Très peu d’études sont réellement indépendantes, et c’est là le problème. Le gouvernement et les entreprises comme Monsanto ont tout intérêt à empêcher la publication de toute étude critique sur les OGM.

Monsanto a été prise à de nombreuses reprises en train de cacher les effets dangereux de ses produits sur la santé, de l’agent orange à l’hormone de croissance RGBH utilisée pour les vaches laitières. Elle a été prise en train de constituer des dossiers illégaux sur ses détracteurs. L’industrie a été prise à plusieurs reprises en train de payer des universitaires et des scientifiques pour produire des études sur les OGM avec une tournure positive et même pour attaquer d’autres scientifiques qui participent à des expériences critiquant les OGM. Les recherches montrent qu’au moins la moitié de toutes les études sur les OGM sont financées par l’industrie des OGM, tandis que la majorité de l’autre moitié est financée par les gouvernements.

Il existe également depuis longtemps une porte tournante entre les initiés de l’industrie des OGM et la FDA et l’EPA ; les fonctionnaires travaillent souvent pour Monsanto, puis obtiennent des emplois au sein du gouvernement, avant de retourner chez Monsanto. Le grattage de fond est si flagrant que le gouvernement a même créé des protections juridiques spéciales pour les entreprises d’OGM comme Monsanto dans le cadre de ce qui est maintenant connu sous le nom de Monsanto Protection Act (section 735 du Agricultural Appropriations Bill HR 993) sous l’administration Obama en 2013. Cela rend essentiellement les entreprises OGM immunisées contre les litiges concernant les OGM, et les mêmes protections ont été renouvelées dans différents projets de loi depuis lors.

Au-delà de la porte tournante, le gouvernement a approuvé de nombreux produits OGM avec peu ou pas de données critiques pour confirmer leur sécurité. De plus, dans la plupart des cas, le gouvernement bénéficie d’une immunité souveraine contre tout litige, même s’il a été négligent. En d’autres termes, s’il est prouvé que l’un de ces produits cause des dommages à long terme à la santé, le gouvernement ne peut être poursuivi pour l’avoir approuvé, sauf circonstances particulières.

S’il pouvait être tenu responsable, vous seriez sûr que la FDA effectuerait tous les tests imaginables pour confirmer que les OGM sont définitivement sûrs, sans aucun parti pris, mais ce n’est pas le cas. Au lieu de cela, le gouvernement fait activement de la propagande pour les entreprises d’OGM et utilise des hommes de main pour faire dérailler toute critique publique.

Pour ma part, j’aimerais savoir avec certitude si les OGM sont nocifs pour le corps humain à long terme, et il y a certainement des données scientifiques qui suggèrent que cela pourrait être le cas. Il y a eu de nombreuses situations dans lesquelles des aliments OGM spécifiques ont été retirés du marché dans des pays étrangers en raison d’effets secondaires potentiellement dangereux. Les toxines endogènes des plantes dont les métabolites ont été modifiés sont une source de préoccupation, tout comme les « protecteurs incorporés aux plantes » (plantes conçues pour produire des toxines qui agissent comme des pesticides).

Il existe des données qui nous incitent à nous méfier, mais rien de concluant. Pourquoi ? Parce que des milliards de dollars sont investis par les entreprises dans des recherches visant à « démystifier » toute notion d’effets secondaires. Si le même montant était investi dans des études indépendantes et impartiales, nous pourrions entendre une histoire différente sur les risques des OGM. Tout l’argent est consacré à écarter les risques des OGM ; il n’y a presque pas d’argent pour les étudier honnêtement.

La science semble être truquée en faveur d’un résultat ou d’un récit particulier, et c’est un mensonge. La science est censée rester aussi objective que possible, mais comment peut-elle l’être lorsqu’elle est payée par des gens qui ont un programme ? La tentation de trahir est extrême.

Les vaccins contre le Covid et la mort de la science

J’évoque l’exemple des OGM car je pense qu’il est représentatif de la manière dont la science peut être contrôlée pour ne produire qu’un seul message en excluant toute autre analyse. Nous ne savons pas vraiment à quel point les OGM sont dangereux parce que la majorité des données sont dictées par les personnes qui en tirent profit et par leurs amis au gouvernement. Le fait de ne pas savoir est considéré comme une preuve de sécurité – Mais ce n’est pas scientifique. La science et la médecine exigent que nous fassions preuve de prudence jusqu’à ce que nous soyons certains.

[Note de Joseph Stroberg : depuis environ un siècle, les entreprises pharmaceutiques, sous l’influence de l’empire Rockefeller, ont pareillement pris le contrôle d’une bonne partie de la médecine, au point où des théories pourtant jamais scientifiquement démontrées (ceci en suivant une démarche qui devrait être rigoureuse, émaillée d’expériences de contrôle ou contre-expériences) doivent être crues à l’image de dogmes religieux, sans la moindre remise en question. Ceci est particulièrement le cas de la théorie des germes et de son corollaire viral.]

La même dynamique existe dans le monde des vaccins contre les covidés. Les grandes entreprises pharmaceutiques ont tout intérêt à ce qu’AUCUNE information négative ne soit diffusée sur les vaccins à ARNm, car il y a une rivière perpétuelle d’argent à gagner tant que le vaccin reste approuvé pour une utilisation d’urgence par la FDA. Il peut être important de noter que la FDA a déclaré qu’il lui faudrait au moins 75 ANS pour publier toutes les données dont elle dispose sur les vaccins contre le covid de Pfizer, ce qui suggère à nouveau qu’il existe une collusion bénéfique entre le gouvernement et les mastodontes industriels.

Entre-temps, quiconque met en doute l’efficacité ou la sécurité des vaccins est immédiatement pris à partie par les chiens d’attaque des médias, la plupart d’entre eux étant payés en publicité par les grandes entreprises pharmaceutiques. Ces attaques ne se limitent pas aux médias alternatifs ; l’establishment s’en prend également à tout scientifique ou médecin qui s’interroge sur la sécurité des vaccins.

Il existe des programmes idéologiques clairs et ouvertement admis autour de la science des vaccins qui n’ont rien à voir avec la sécurité de la santé publique et tout à voir avec le contrôle politique. Lorsque le chef du Forum économique mondial applaudit la pandémie de covid comme une « opportunité » parfaite pour faire avancer la centralisation socialiste mondiale et effacer les derniers vestiges des marchés libres et de la liberté individuelle, toute personne rationnelle devrait se demander si la science du covid n’est pas également truquée pour soutenir des intérêts particuliers.

Heureusement, le problème du covid est si vaste qu’il leur est impossible de contrôler chaque étude. Au lieu de cela, l’establishment ignore les études et les données qu’il n’aime pas.

Le virus est présenté comme une menace pour la majorité du public et comme une justification pour des taux de vaccination de 100%, par la force si nécessaire. Pourtant, le taux médian de létalité de l’infection par le covid n’est que de 0,27%. Cela signifie qu’en moyenne 99,7% de la population n’a rien à craindre du virus à un moment donné. Cela est confirmé par des dizaines d’études médicales indépendantes, mais quand avez-vous entendu pour la dernière fois ce chiffre discuté par des scientifiques du gouvernement comme Anthony Fauci ?

Je ne les ai jamais entendus en parler. Mais en quoi est-ce scientifique d’ignorer des données simplement parce qu’elles ne correspondent pas à vos objectifs politiques ? Encore une fois, l’omission délibérée de données est une forme de mensonge.

Qu’en est-il des multiples études indiquant que l’immunité naturelle offre une protection bien supérieure à celle des vaccins à ARNm ? Qu’en est-il du fait que les pays ayant les taux de vaccination les plus élevés ont également les taux d’infection les plus élevés et que leurs hospitalisations ont en fait augmenté ? Qu’en est-il du fait que les États et les pays ayant les obligations les plus strictes en matière de confinement et de port de masques présentent également les taux d’infection les plus élevés ? Qu’en est-il du fait que le vaccin ordinaire est testé pendant 10 à 15 ans avant d’être approuvé pour un usage humain, alors que les vaccins à ARNm covid ont été mis en production en quelques mois ? En d’autres termes, il n’existe AUCUNE donnée à long terme pour prouver la sécurité du vaccin contre le covid.

Ce sont des faits scientifiques facilement observables, mais nous n’en entendons jamais parler par les scientifiques des entreprises ou les scientifiques du gouvernement comme Fauci. Au lieu de cela, Fauci soutient que la critique de ses politiques est une attaque contre lui, et l’attaquer revient à « attaquer la science ». En d’autres termes, Fauci croit qu’IL EST la science.

Et cela ne montre-t-il pas à quel point la science est tombée bas dans le nouveau millénaire. De vrais scientifiques comme Kary Mullis, l’inventeur du test PCR, qualifient Fauci de fraude, mais ils sont ignorés alors que Fauci est adulé. Je ne peux même pas parler ici de la « science » du changement climatique, il faudrait que j’écrive un article entier sur les erreurs commises par les universitaires spécialistes du réchauffement climatique (saviez-vous que les températures mondiales n’ont augmenté que d’un degré Celsius au cours du siècle dernier ? Oui, seulement 1 degré selon les propres données de la NOAA, et pourtant, des institutions comme la NOAA continuent de prétendre que la fin du monde est proche à cause du réchauffement climatique).

L’étranglement rigoureux de la science aujourd’hui me rappelle l’église catholique sous le pape Innocent III, lorsque les autorités ecclésiastiques interdisaient aux gens ordinaires de posséder ou de lire une bible dans leur propre langue. Ces lois sont restées en vigueur pendant une bonne partie des XIIIe et XIVe siècles. À la place, les paysans devaient se rendre à l’église et se faire lire les textes par un clergé spécifique. Souvent, les lectures bibliques étaient faites en latin (les bibles ne pouvaient être écrites qu’en latin), langue que la plupart des gens ne parlaient pas, et interprétées comme l’église le souhaitait.

Ce n’est que l’invention de la presse à imprimer dans les années 1400 qui a changé la dynamique du pouvoir et permis aux bibles d’être largement distribuées et aux informations de se répandre sans la surveillance de l’église. Tout comme la création de l’internet permet au public d’accéder à des montagnes de données et de méthodologies scientifiques du bout des doigts. La libre circulation de l’information est un anathème selon l’establishment ; ils soutiennent qu’ils sont les seuls à avoir le droit de traiter l’information pour la consommation publique.

Le culturalisme exige un contrôle excessif des données et la restriction complète des interprétations extérieures. Lorsque l’information devient ouvertement disponible, le public est alors en mesure d’apprendre toute la vérité, et pas seulement les récits approuvés par l’establishment.

La science devient rapidement une religion politique plutôt qu’un bastion de la pensée critique. Les données contradictoires sont ignorées en tant que « non-science » ou même censurées comme étant « dangereuses ». Les études payées par les gouvernements et les entreprises sont considérées comme sacro-saintes. Faut-il s’étonner que tant de gens se méfient aujourd’hui de la science ? Toute personne raisonnable aurait des questions et des soupçons. Ceux qui ne le font pas ont été endoctrinés dans un culte dont ils ne savent même pas qu’ils font partie.

Traduction d’Alt Market par Aube Digitale




L’insanité cynique de la Secte au pouvoir se précise

Par Lucien SA Oulahbib

La monstruosité n’a pas de limites, par définition, avec comme exemple ce qui se passe aujourd’hui en matière de santé. En l’occurrence, ce dernier « mutant » aux effets si infimes, si epsilonesques [minuscules] qu’il nécessite une propagande hors pair pour en amplifier les dégâts supposés tout en rejetant son émergence sur les non injectés. On jete alors des millions, voire des milliards de personnes dans l’angoisse effroyable de la morbidité permanente, anxiogène, productrice d’effets secondaires encore plus redoutables, puisqu’ils font baisser par le stress l’efficience du système immunitaire naturel. Ces effets dramatiques (perte de sommeil, crises d’angoisse, boulimies, catalepsies progressives inédites — immobilité accrue avec injections de séries télévisées à répétition pour compenser une vie sociale atone) s’ajoutent à ceux, cachés, de ces injections expérimentales (toujours sous AMM conditionnelle) qui nécessitent plusieurs doses par an, ce qui est également inédit, du jamais vu dans l’histoire vaccinale, surtout pour un virus si peu létal.

Au fond, ces injections (loin d’ailleurs de protéger à la différence des vaccins classiques) complexifient les données de santé au sens de s’ajouter négativement à tous ces autres traitements palliatifs qui tentent vainement de contrer toutes ces maladies chroniques produites par un mode de vie urbain si critique que certains spécialistes parlent plutôt désormais de syndémie. Ce terme est bien plus exact que cettedite « pandémie » que d’aucuns stipulent sans aucune preuve qu’elle serait essentiellement transmise (la virulence pas la contagion) par les « asymptomatiques » et les « enfants », d’où la [prétendue] nécessité d’injecter et de museler tout le monde ce qui est faux du moins si l’on ne confond pas « cas » et « malades » comme l’indiquent d’innombrables études désormais.

Mais comme l’indique Laurent Toubiana, il y a bien plus grave, car « nous sommes sortis de la rationalité », ce qui veut dire semble-t-il que nous sommes désormais en dehors d’elle, entremêlant alors l’irrationalité magique (croyance en des gris-gris comme les muselières, la ségrégation, distanciation, injections d’élixirs douteux) et anti-rationalité (mise à l’index des savants disant le contraire et des médicaments susceptibles de soigner efficacement, insultes et ségrégation pour les récalcitrants).

Cette sortie « hors de la rationalité », dans ces deux dimensions ci-dessus, amène nécessairement vers la bouffée délirante de la transe psychotique qui structure brusquement les comportements des foules prises dans des injonctions paradoxales (certaines cocasses : fermer les boîtes de nuit et non les boîtes échangistes, forçant les premières à se métamorphoser en direction des secondes ?).

La tension monte donc. Une sensation de se faire berner imprègne l’atmosphère, ce qui fait que ces foules surchauffées par des médias aux ordres peuvent à terme se ruer sur les boucs-émissaires en l’occurrence non plus les « antivax », mais les « nonvax » tout court, les insultant de plus en plus fort par des seconds couteaux qui profitent de l’aubaine pour se faire mousser, les menaçant même (« notre patience a des limites » tonne une Caroline Fourest que l’on ne connaissait pas infectiologue), les internant dans certains pays, inscrivant sur leurs vitrines comme en Allemagne (à nouveau) des menaces, et faisant même appel juridiquement à l’encontre de blâmes jugés pas assez punitifs envers des médecins qui ont osé soigner de façon traditionnelle (avec des résultats pourtant très probants comme l’a indiqué, malgré les dénis vindicatifs, le doctothon).

Tout ceci donna, en d’autres temps, l’amplification de la ségrégation légale pour ainsi « purifier ». Ceci implique, peu à peu, de passer des violences indirectes actuelles (mises à l’index, dénonciations verbales, perte d’emplois, impossibilité de voyager se restaurer d’avoir des loisirs faire du sport en salle) à des violences de plus en plus directes comme furent justifiés les pogroms et génocides d’autrefois qui ont souvent commencé tout aussi « doucement ». Ainsi, même la « nuit de cristal » aura mis cinq ans à arriver : 1938.

Comparaison n’est pas raison, certes, mais tout de même, la montée d’un cran vers la ségrégation globale pour une maladie de moins en moins létale résulte bien d’une montée aux extrêmes aux conséquences non encore calculables, sauf sur un point peut-être : une telle mise sous tension ne peut pas être d’origine médicale (la létalité étant epsilon comparée aux autres maladies infectieuses telles les insuffisances respiratoires aiguës), mais bel et bien politique. Elle vise à mettre au pas peu à peu la population mondiale en lui imposant la substitution de son système immunitaire naturel par un système immunitaire artificiel à obsolescence programmée.

Ce qui fait que nous voyons émerger la constitution mondialisée d’une Secte globale hygiéniste et affairiste qui au nom de la Science impose d’un côté des traitements divers à vie (la syndémie) et, de l’autre, des « transitions » énergétiques à vie, elles aussi sachant pourtant sur ce dernier point que le passage du thermique au tout électrique « saccage » bien plus la planète qu’une énergie fossile issue de la nature et dont les effets négatifs sont de plus en plus contrôlés.

À cela s’ajoute la mise à l’index de la peau blanche, la fin de la différence entre les sexes (ainsi l’OPA des dits « trans » sur le concours Miss France), la réduction du terme de « nation » — transcendant, pourtant racines ethniques et culturelles vers un être ensemble permettant une meilleure circulation des compétences — à un obstacle majeur envers cette métamorphose inédite de l’individu en terminal cybernétique de plus en hybride…

C’est la victoire idéologique du nazisme au sens heideggérien de construction d’une « race métaphysique » transcendant ontologiquement le léninisme et le fascisme avec comme hantise commune le libéralisme ; car ce dernier est philosophiquement antinomique au formatage uniforme nécessaire pour les ambitions étatistes d’expansionnisme impérialiste. Mais le maoïsme a montré qu’en isolant dans le libéralisme la protéine SC (pour Système Capitaliste), il était possible de mieux organiser les flux d’offres et demandes et par là assurer la vie luxuriante de la Secte (cette nouvelle « race métaphysique ») jusqu’à désormais inclure l’intériorité des corps et des esprits et non plus seulement leur « force » physique et intellectuelle.

C’est le passage de la mécanique des fluides vers la pneumatique dynamique ondulatoire : celle qui considère les individus en autant de systèmes de particules ou synthèses culturelles multiformes qu’il est possible de diffracter, matricer en points cibles divers afin par exemple ici de remplacer telle « pièce » (une immunité) jugée défectueuse par une injection, ou ailleurs par une série télévisée plus « dégenrée », plus « colorée », le tout porté par les photocopies et affiches (leaders d’opinion appelés aujourd’hui « influenceurs ») à la mode…

Quel est l’intérêt d’une telle qualification ?  Indiquer que nous avons à faire à une Secte imbue d’elle-même, sûre de sa supériorité, méprisant ceux qui la critiquent en les cataloguant avec des termes infâmes, refusant enfin toute rationalité désormais au profit de la pure logique ami/ennemi qui caractérise la cristallisation sectaire.

Or, celle-ci en passant de « l’espace infini au monde clos » (à l’inverse de ce qui s’était passé naguère) nous amène vers une période inédite que d’aucuns nomment génocidaire (nécessitant un Tribunal ad hoc) d’autres, totalitaire. J’estime pour ma part qu’il s’agit d’un processus sectaire cooptant ses membres sur des bases puristes articulant les prémisses de l’un et l’autre mouvement, mais nous ne pouvons encore à ce stade l’affirmer tel quel, même si les germes de 38 étaient là dès 25 et 33, ou ceux des grands massacres communistes (URSS, Chine maoïste, Cambodge de Pol Pot) étaient en germe dès 1917, d’autant que les pleins effets secondaires des injonctions et injections actuelles bien que montant crescendo (explosion des maladies chroniques, des suicides, de la prise d’opiacés légaux et illégaux, des bouffées délirantes) n’atteindront leur acmé que dans deux à trois ans au niveau sanitaire et un peu plus au niveau politique global. La destruction des nations et des individus prend bien plus de temps que prévu, d’où la nécessité de corréler à l’alarmisme sanitaire le catastrophisme climatique. Le premier confond (intentionnellement) cas et malades, le second météo et climat avec la même intention de nuire et ce de façon méticuleuse. Ceci est bien la caractéristique du tueur en série qui est aussi un pédocriminel en distanciel (piquer les enfants) tout en se prétendant artiste façon Néron : mettre le feu (à l’économie la société) et jouir de voir des millions de particules se ruer vers l’injection forgeant ainsi en temps réels toutes ces courbes exponentielles progressant dynamiquement sur les écrans qui font office de support à l’instar des cadres en bois d’autrefois.

Le hic pour cette Secte est que jamais dans l’Histoire ses aînées n’ont pu tenir bien longtemps, à l’exception sans doute de sa tendance soviétique (72 ans) et le fait que la maoïste, elle, grâce à son injection de la protéine SC tient encore et même mène la danse en compagnie de diverses cinquièmes colonnes. Mais le pot aux roses se dévoile, et à moins de surprises toujours possibles, cette Secte ira rejoindre les autres dans le fameux « puits sans fond de l’Histoire ».

*

PS : Le dernier numéro de la revue Dogma : https://dogma.lu/wp-content/uploads/2021/12/Edition-17._Dogma.pdf




Une nouvelle étude d’envergure montre que le COVID n’a causé aucun décès chez les enfants allemands en bonne santé

[Source : crashdebug.fr]

Les conclusions, en un mot : si vous laissez votre enfant ou votre adolescent en bonne santé recevoir le vaccin Covid à ARNm, vous êtes fou…

Rédigé par Alex Berenson via ‘Unreported Truths’ substack,

Des médecins-scientifiques allemands ont rapporté lundi que pas un seul enfant en bonne santé âgé de 5 à 18 ans n’est mort du Covid en Allemagne au cours des 15 premiers mois de l’épidémie.

Pas un seul.

Même en incluant les enfants et les adolescents présentant des conditions préexistantes, seuls six enfants de cette tranche d’âge sont morts, ont constaté les chercheurs.

L’Allemagne est le plus grand pays d’Europe, avec plus de 80 millions d’habitants, dont environ 10 millions d’enfants et d’adolescents en âge scolaire.

Les maladies graves étaient également extrêmement rares. Selon les chercheurs, la probabilité qu’un enfant en bonne santé âgé de 5 à 11 ans ait besoin de soins intensifs pour un Covid était d’environ 1 sur 50.000. Pour les enfants plus âgés et plus jeunes, les probabilités étaient un peu plus élevées, soit environ 1 sur 8000.

Huit autres nourrissons et jeunes enfants sont décédés, dont cinq présentaient des conditions préexistantes. Au total, 14 Allemands de moins de 18 ans sont morts du Covid, soit environ un par mois. Environ 1,5 million d’enfants ou d’adolescents allemands ont été infectés par le Sars-Cov-2 entre mars 2020 et mai 2021, ont constaté les chercheurs.

« Globalement, la charge associée au SRAS-CoV-2 d’une évolution grave de la maladie ou d’un décès chez les enfants et les adolescents est faible », ont rapporté les chercheurs.

« Cela semble particulièrement le cas pour les enfants de 5 à 11 ans sans comorbidités. »

Les chercheurs ont fait part de leurs conclusions dans un article de 18 pages publié sur le serveur de préimpression medrxiv lundi.

Les données proviennent d’un registre que l’Allemagne a mis en place en mars 2020 et qui visait à recenser toutes les hospitalisations de personnes de moins de 18 ans atteintes de Covid. Tous les hôpitaux pour enfants allemands, les spécialistes des maladies infectieuses pédiatriques et les sociétés de pédiatrie ont été invités à participer.

Death Rate Children Covid Germany

(SOURCE: https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.11.30.21267048v1.full.pdf)

Des chercheurs britanniques ont publié des résultats similaires, signalant que seuls six enfants en bonne santé (y compris les moins de 18 ans) sur 12 millions sont morts de Covid.

Compte tenu des risques connus de myocardite induite par les vaccins chez les jeunes hommes, du fait que Pfizer a testé ses vaccins à ARNm sur à peine 3000 enfants de 5 à 11 ans et n’a suivi la plupart d’entre eux que pendant quelques semaines après la deuxième dose, les données allemandes soulèvent à nouveau la question de savoir comment les autorités sanitaires peuvent justifier d’encourager les enfants ou les adolescents à se faire vacciner.

Mais elles l’ont fait.

Les parents devront donc décider de ce qui est le mieux pour leurs enfants (du moins dans les États qui interdisent aux fanatiques de la vaccination d’essayer de vacciner les adolescents sans le consentement des parents).




Toi aussi, affame un non-vacciné pour retrouver ta vie d’avant

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Que faire du non-vacciné moyen qui résiste opiniâtrement à la propagande gouvernementale sur la énième dose de vaccin qui nous ramènera à la vie normale ? L’affamer bien entendu, faute de pouvoir le génocider directement. C’est l’idée proposée par le Président de la Fédération Nationale des Médecins Radiologues (FNMR), Jean-Philippe Masson, dans le cadre d’une boucle WhatsApp de l’Institut Santé créé par le vétérinaire Frédéric Bizard qui se proclame désormais économiste. Voilà une idée qui nous semble excellente : pour tuer le virus, empêchons les non-vaccinés de se nourrir. Olivier Véran et son passe vaccinal sont sur la bonne voie.

C’est vrai qu’ils sont usants tous ces non-vaccinés qui résistent encore et toujours aux progrès de la science. Et leur manie d’inventer des complots en imaginant que l’industrie pharmaceutique pourrait privilégier ses profits en sacrifiant la santé (par exemple en livrant des vaccins mal testés) est à la limite du supportable. 

Le non-vacciné, coupable du pire

Car comment expliquer, sinon du fait des non-vaccinés qui menacent toute la population, que nous ayons passé Noël 2020 sans vaccin et en dansant, alors que, un an plus tard, et avec 85% de vaccinés dans la population, il faut interdire les discothèques et les réveillons ?

Le non-vacciné porte en lui une sorte de résistance à toute épreuve : on a beau l’écarter de toute vie publique depuis six mois, en lui imposant un passe sanitaire, en l’obligeant à se tester toutes les 24 heures, il est encore capable de contaminer toute la société. C’est son côté blatte, ou cafard : il survit à tout et sa toxicité est en expansion permanente. 

Comme le déclarait Gilbert Deray, chef de service à l’hôpital Pitié-Salpêtrière à Clea Calcutt de Politico (selon la newsletter de cet organe), 

« il serait irresponsable, avec l’émergence du variant Omicron, de maintenir “un réservoir de millions de personnes [non-vaccinées] qui vont faire prospérer le virus” ».

Le “réservoir” de non-vaccinés est dangereux, et c’est en l’éliminant, ou en tout cas en le réduisant, que les hôpitaux vont se désengorger, puisque, c’est bien connu, seuls les non-vaccinés font circuler le virus, et eux seuls tombent malades. 

Certes, ceci ne doit en rien empêcher les autres de prendre une troisième dose, au cas où le vaccin serait moins sûr et moins efficace qu’on ne le dit… et au cas où les vaccinés pourraient être la cause de l’épidémie. Mais ceci ne doit pas être ébruité : on vous le répète, il faut avoir confiance dans le vaccin, dans les médecins, dans le gouvernement. 

Faire taire les complotistes coûte-que-coûte

C’est évidemment une faiblesse coupable d’Emmanuel Macron de ne pas faire taire une bonne fois pour toutes les ragots des complotistes qui sèment le trouble sur l’efficacité et l’innocuité du vaccin. 

Le bon sens est que tout le monde obéisse aux prescriptions des médecins sans contester leur expertise. Il faut écouter les nouvelles officielles sans douter, et arrêter de laisser le non-vacciné ordinaire croire qu’il est capable de comprendre quelque chose à sa santé. 

Il faudrait donc débrancher les accès aux réseaux sociaux et à Internet des non-vaccinés. Leur interdire de prendre la parole et de répandre le venin du doute dans les esprits. Leur interdire de s’exprimer. 

Car leurs progrès sont assez inquiétants, et même très inquiétants. Cette semaine, le gouvernement a désamorcé 400.000 passes sanitaires détenus par des personnes de plus de 65 ans qui ont refusé le 3è dose. Soit 12% de personnes éligibles de 80 ans et plus et 10% des 65/79 ans.

À ce rythme-là, les non-vaccinés pourraient être 10 millions, en février. Soit le double du nombre actuel. 

Bien entendu, Olivier Véran ne peut pas s’en vanter : les Français résistent à la troisième dose parce que les non-vaccinés leur bourrent le mou avec des délires complotistes.  

Il faut donc durcir le ton. 

Du passe vaccinal à l’élimination complète

Les discussions vont donc bon train entre pontes de la médecine pour éviter la progression du doute dans l’esprit de M. Dupont, et un recul conséquent de l’indispensable vaccination qui nous ramènera la vie d’avant. Sur ce point, les positions du bon docteur Jean-Philippe Masson, président de la FNMR (évoqué plus haut), fournissent sans doute les clés de la solution finale à adopter. 

Comme on le voit, dans cette conversation, Jean-Philippe Masson donnait la réplique au médecin Jean-Yves Le Goff. Leur proposition est simple : pour convaincre le non-vaccinés de recevoir la potion magique, il faut “demander le pass vaccinal partout”, affirme Jean-Yves Le Goff. 

Et à la question “Y compris dans les magasins d’alimentation ?”, le président Jean-Philippe Masson répond “bien sûr”. 

Bref, pour réduire le nombre de non-vaccinés, il suffit de les affamer ! Leur interdire enfin l’accès aux biens de première nécessité !

Comme le regrette Jean-Yves Le Goff, “le gouvernement ne le fera pas, habitué à la mollesse”. 

Alors, c’est qui les gros musclés qui ne se dégonflent pas devant le petit peuple des analphabètes complotistes et qui leur qui c’est le plus fort ?

Véran et Macron prisonniers des affameurs

Entourés de ces grands humanistes à côté de qui Himmler ressemble à un gentil organisateur du club Med (mais ne le dites surtout pas, Jean-Philippe Masson est médecin et président de sa fédération, donc supérieurement intelligent et éclairé), Olivier Véran n’a pas tortillé : il a proposé au Grand Timonier de transformer le passe sanitaire en passe vaccinal, c’est-à-dire de le réserver aux vaccinés. 

Interrogé sur le sens de son geste, Véran n’a pas tortillé :

Ah voilà ! le passe vaccinal, c’est une obligation vaccinale en mieux ! 

Au passage, Véran soulage le Conseil d’État de devoir expliquer régulièrement aux requérants que le passe sanitaire n’est pas une forme de vaccination obligatoire. Désormais les choses sont claires, dites, et de façon expéditive. 

Du passe vaccinal au génocide…

L’avantage, avec Jean-Philippe Masson comme avec Olivier Véran, c’est qu’on les reconnaît facilement car ils osent tout. Et sur ce point, il n’y a plus aucune ambiguïté sur la stratégie utilisée par le gouvernement : on n’est pas bien sûr que le vaccin, même injecté tous les trois mois, réduise d’une quelconque façon les contaminations et les hospitalisations. 

Mais on est sûr que le non-vacciné, complotiste et appartenant forcément à la fachosphère, est la cause de tous les maux. Pour le réduire à néant, on l’exclut de tout, pour l’instant, sauf des magasins de première nécessité. 

Prochainement, il est même question qu’il doive présenter un test avant d’aller travailler. 

L’étape suivante est déjà connue : on l’affamera. 

Alors, si toi aussi tu veux retrouver ta vie d’avant, aide le gouvernement. Affame un non-vacciné. 




La surveillance numérique – le vrai motif derrière la pression pour vacciner les enfants

[Source : ns2017]

Par Michael Nevradakis, Ph.D.

COVID-19 a peut-être pris une grande partie de la planète par surprise à la fin de 2019 et au début de 2020, mais une grande partie des bases de la technologie aujourd’hui largement utilisée comme “réponse” à la pandémie a été conceptualisée et développée des années auparavant.

Aux États-Unis et dans le monde entier, des efforts ont été déployés récemment pour mettre en œuvre divers régimes de “passeport vaccinal”, dont beaucoup s’appuient sur des technologies numériques telles que des applications mobiles permettant d’enregistrer – du moins jusqu’à présent – le carnet de vaccination COVID-19 d’une personne.

Ces “outils” sont présentés par les responsables publics et d’importantes sections des médias au cours des dernières semaines et des derniers mois comme une sorte d’inévitabilité, une progression technologique aussi naturelle que la respiration.

Ils sont également présentés comme une réponse “nouvelle” à une crise sans précédent.

Ces applications technologiques sont présentées comme un moyen de maintenir les commerces ouverts et d’assurer la “tranquillité d’esprit” des citoyens qui hésitent à pénétrer dans les espaces publics.

Mais dans quelle mesure cette “nouvelle” technologie est-elle nouvelle ? Et l’utilisation de la technologie se limitera-t-elle aux vaccinations COVID, ou à des fins de “santé” ?

Les “alliances” internationales qui soutiennent la fusion entre “Big Tech” et “Big Health”

C’est au début de la décennie précédente, en janvier 2010, que Bill Gates, par l’intermédiaire de la Fondation Bill & Melinda Gates, a proclamé : “Nous devons faire de cette décennie celle des vaccins”, ajoutant que “l’innovation permettra de sauver plus d’enfants que jamais”.

En lançant cette “Décennie des vaccins”, la Fondation Gates a promis un financement de 10 milliards de dollars. Mais Gates n’était pas le seul acteur derrière cette initiative.

Par exemple, le programme de la “Décennie des vaccins” a utilisé un modèle provenant de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health pour projeter l’impact potentiel des vaccins sur les décès d’enfants au cours de la décennie à venir.

Et l’annonce de l’initiative “Décennie des vaccins” a été faite lors de la réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM) de cette année-là.

Ces mêmes acteurs – la Fondation Bill et Melinda Gates, la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health et le WEF – ont organisé le désormais célèbre exercice de simulation de pandémie Event 201, en octobre 2019, juste avant que le COVID n’entre dans nos vies.

En outre, en 2010, un “Plan d’action mondial pour les vaccins” a été annoncé dans le cadre de cette initiative. Il s’agissait d’une collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’UNICEF et l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), le Dr Anthony Fauci faisant partie du conseil de direction.

Comme l’a déclaré la Fondation Gates à l’époque :

“Le Plan d’action mondial pour les vaccins permettra une meilleure coordination entre tous les groupes de parties prenantes – gouvernements nationaux, organisations multilatérales, société civile, secteur privé et organisations philanthropiques – et identifiera les lacunes critiques en matière de politiques, de ressources et autres qu’il faut combler pour réaliser le potentiel des vaccins à sauver des vies.”

Le comité de pilotage du “Plan d’action mondial pour les vaccins” comprenait un membre de GAVI Alliance. Notamment, l’annonce initiale de la “Décennie des vaccins” a été faite en présence de Julian Lob-Levyt, alors PDG de GAVI Alliance.

Qu’est-ce que, ou qui, est GAVI Alliance ? Également connue sous le nom d’”Alliance pour les vaccins”, elle se donne pour mission de “sauver des vies et de protéger la santé des populations” et déclare “contribuer à la vaccination de près de la moitié des enfants du monde contre des maladies infectieuses mortelles et débilitantes”.

GAVI poursuit en décrivant son partenariat principal avec diverses organisations internationales, dont les noms sont désormais familiers : l’OMS, l’UNICEF, la Fondation Bill et Melinda Gates et la Banque mondiale. (Loin d’aider les pauvres du monde, la Banque mondiale a été décrite par un ancien initié, John Perkins, comme une organisation qui utilise des “tueurs à gages économiques” pour assujettir des pays financièrement paralysés).

En 2018, GAVI, par le biais de son initiative INFUSE (innovation pour la mise à jour, l’échelle et l’équité dans la vaccination), a mis en avant les ” éléments de réflexion ” suivants :

“Imaginez un avenir dans lequel tous les enfants ont accès à des vaccins salvateurs, quel que soit l’endroit où ils vivent – un avenir dans lequel les parents et les agents de santé veillent à ce qu’ils soient vaccinés à temps, un avenir dans lequel ils disposent de leur propre dossier médical stocké numériquement, qui ne peut être ni perdu ni volé, un avenir dans lequel, indépendamment du sexe, du statut économique ou social, ce dossier permet à chaque enfant (et à ses parents) d’avoir accès à un compte bancaire, d’aller à l’école, d’accéder à des services et, en fin de compte, de construire une vie prospère.

“Ce futur est possible aujourd’hui. Grâce aux dernières avancées des technologies numériques qui permettent des moyens plus efficaces d’enregistrer, d’identifier les naissances et de délivrer des preuves d’identité et d’authentification pour l’accès aux services – nous sommes sur le point de construire un avenir plus sain et plus prospère pour les enfants les plus vulnérables du monde.”

Selon GAVI, cet objectif serait atteint par le biais de l’initiative INFUSE, notamment en “faisant appel à des innovations qui tirent parti des nouvelles technologies pour moderniser le processus d’identification et d’enregistrement des enfants qui ont le plus besoin de vaccins vitaux”.

Comme décrit par le journaliste d’investigation Leo Hohmann :

Ne vous laissez pas tromper par la partie concernant la “construction d’un avenir plus sain et plus prospère”. Ce n’est que de la poudre aux yeux. Il ne s’agit que de collecte de données et cela n’a rien à voir avec la santé.

“Le véritable objectif derrière la poussée historique et sans précédent pour vacciner les très jeunes, même contre des maladies comme le COVID qui ne représentent pas une menace pour eux, est d’intégrer la génération actuelle d’enfants dans le système d’identité numérique mondial en plein essor.”

GAVI elle-même a confirmé la déclaration ci-dessus, puisqu’elle a décrit les utilisations potentielles de ces ” nouvelles technologies ” comme allant au-delà de la délivrance d’une ” carte de santé numérique pour enfant ” pour englober ” l’accès à d’autres services “, y compris les ” services financiers ” au sens large.

Les limitations de ” l’accès ” à ces ” autres services ” sont déjà apparentes dans les juridictions où les passeports COVID restreignent l’accès aux entreprises, aux banques et à d’autres espaces privés pour les personnes non vaccinées.

GAVI Alliance collabore également étroitement avec l’Alliance ID2020, fondée en 2016, qui prétend plaider en faveur ” d’approches éthiques et protectrices de la vie privée en matière d’identification numérique “, ajoutant que ” bien faire l’identification numérique signifie protéger les libertés civiles “.

Sans surprise, aucune clarification n’est fournie concernant la perte potentielle de libertés civiles pour les personnes qui choisissent, pour quelque raison que ce soit, de ne pas se faire vacciner et qui sont donc exclues de larges pans de la société dans les zones où les passeports COVID ont été mis en œuvre et appliqués.

Une telle rhétorique de la part d’ID2020 rappelle les déclarations publiques de l’Union européenne (UE) alors qu’elle se préparait à lancer son “Passeport vert” au début de l’année :

Les fonctionnaires de l’UE, comme la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen – qui a récemment appelé à une “discussion” sur les vaccinations obligatoires dans l’UE – se sont donné beaucoup de mal pour souligner la manière dont la vie privée des individus serait protégée.

D’une manière que certains pourraient considérer comme un manque de ton, ils ont également souligné que ce laissez-passer numérique permettrait aux gens de “se déplacer en toute sécurité” pour “le travail ou le tourisme”, comme si cette libre circulation était un nouveau concept que seul un laissez-passer numérique pourrait rendre possible.

Une fois encore, les restrictions imposées aux personnes non vaccinées, y compris celles concernant le “travail ou le tourisme”, étaient totalement absentes du discours public entourant cette nouvelle mesure.

Soulignant les possibilités que pourrait apporter la collaboration entre GAVI et ID2020, l’appel à l’innovation d’INFUSE déclare

Toutes ces propositions et initiatives semblent, à leur tour, s’aligner étroitement sur les Objectifs de développement durable des Nations unies, et en particulier sur l’Objectif 16.9, qui appelle à la fourniture d’une identité légale numérique pour tous, y compris les nouveau-nés, d’ici 2030.

À cette fin, l’ONU a créé en 2018 le groupe de travail sur le programme d’identité légale des Nations unies. En mai 2021, cette task force, aux côtés du Programme des Nations unies pour le développement et de divers acteurs du secteur privé, a organisé les sessions de tables rondes “Future of Technology and Institutional Governance in Identity Management”.

Le rapport final de ces sessions indique notamment que les parties prenantes souhaitent l’expansion des partenariats public-privé pour la poursuite du développement et de la mise en œuvre des régimes d’identité numérique dans le monde entier, y compris dans le Sud global.

L’une des parties prenantes présentes, l’organisation à but non lucratif Secure Identity Alliance, se félicite de son soutien à “la fourniture d’une identité légale et fiable pour tous et au développement de services numériques inclusifs nécessaires à une croissance économique et une prospérité durables à l’échelle mondiale”.

Dans un document publié en juillet par la Secure Identity Alliance, il est question de “faire des certificats de santé une réalité réalisable”.

L’un des cinq principes mis en avant par le document pour ces passeports médicaux est qu’ils soient “à l’épreuve du temps”, en offrant une “fonctionnalité polyvalente” afin de “garantir une valeur continue au-delà de la crise actuelle”.

La Secure Identity Alliance compte parmi ses observateurs des autorités gouvernementales de pays tels que l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Estonie, la Slovénie, les Émirats arabes unis, le Nigeria et la Guinée.

En outre, l’un de ses membres fondateurs et membres actuels du conseil d’administration est le groupe Thales, une entreprise privée active dans l’aérospatiale, la défense et la sécurité – en bref, un entrepreneur de la défense.

Sur son site web, le groupe Thales fait fièrement la promotion de sa “carte de santé intelligente” et de sa technologie de portefeuille d’identification numérique. Au milieu d’un langage utopique affirmant que “nous sommes prêts pour le changement” et que “nous donnons le contrôle aux citoyens”, le portefeuille d’identification numérique promet au public la possibilité “d’accéder aux droits et services auxquels nous avons droit.”

En effet, les documents qui seraient disponibles via ce portefeuille d’identification numérique vont au-delà des “titres de santé” et incluent les cartes d’identité nationales, les permis de conduire et tout autre document officiel.

De nombreux pays dans le monde, y compris les États-Unis, se trouvent actuellement à différents stades de la mise en œuvre de ce type de “portefeuille numérique”.

Les “passeports santé” franchissent une étape (ou plus) : les régimes de porte-monnaie numériques prennent forme

Le 30 novembre, la Chambre des représentants des États-Unis a adopté le projet de loi H.R. 550, intitulé Immunization Infrastructure Modernization Act of 2021.

Si elle est adoptée par le Congrès, cette loi prévoit un financement de 400 millions de dollars pour développer les systèmes de suivi des vaccins au niveau des États et des collectivités locales, permettant aux responsables de la santé des États de surveiller le statut vaccinal des citoyens américains et de fournir ces informations au gouvernement fédéral.

Des passeports vaccinaux et des listes d’interdiction de vol pour les personnes non vaccinées – un concept pour lequel Fauci a exprimé son soutien – pourraient être créés en vertu de la loi.

Le projet de loi, parrainé par la représentante Annie Kuster (NH-02), a été adopté par la Chambre des représentants des États-Unis avec 294 voix, dont toutes les démocrates et 80 républicains. Il est maintenant devant le Sénat, où il est examiné par la commission de la santé, de l’éducation, du travail et des pensions.

Depuis son adoption par la Chambre des représentants, le projet de loi a suscité une attention considérable – d’autres développements récents en matière d’identification numérique aux États-Unis semblent toutefois être restés relativement discrets.

En septembre, par exemple, Apple a annoncé un partenariat avec huit États – l’Arizona, le Connecticut, la Géorgie, l’Iowa, le Kentucky, le Maryland, l’Oklahoma et l’Utah – pour rendre les permis de conduire de ces États disponibles sous forme numérique via la plateforme Apple Wallet.

Parallèlement, plusieurs États, dont New York (via son “Excelsior Pass”) et le Connecticut, ont introduit leur propre certificat de vaccination numérique COVID.

À l’instar de la promotion des passeports vaccinaux par l’UE, ces initiatives au niveau des États américains sont présentées comme un moyen de rouvrir l’économie en toute “sécurité” et d’encourager les voyages et les déplacements.

En effet, l’État de New York est allé jusqu’à mettre à disposition un “plan” de sa plateforme de passeports vaccinaux, “comme guide pour aider d’autres États, territoires et entités dans l’expansion de systèmes compatibles de titres de vaccination COVID-19 afin de faire progresser les efforts de développement économique à l’échelle nationale”.

En ce qui concerne l’UE, l’une des priorités du bloc dans le cadre de son plan quinquennal 2019-2024 est de créer une “identité numérique pour tous les Européens.” À savoir que chaque citoyen et résident de l’UE aurait accès à un “portefeuille numérique personnel” dans le cadre de cette initiative.

Ce “portefeuille numérique personnel” pourrait inclure des documents tels que des cartes d’identité nationales, des certificats de naissance, des certificats médicaux et des permis de conduire.

L’UE a ensuite présenté ses projets pour la “décennie numérique européenne”, dans le cadre de laquelle, selon la “boussole numérique” de l’UE, 100 % des principaux services publics seront disponibles sous forme numérique, avec un objectif de 80 % d’adoption des documents d’identification numériques.

Plusieurs États membres de l’UE se sont déjà lancés dans l’aventure.

L’Allemagne, qui dispose de cartes d’identité nationales électroniques (via des puces biométriques) depuis 2010, a introduit des versions numériques de ces cartes d’identité à l’automne dernier, via l’AusweisApp2. La même application rend les permis de conduire allemands disponibles sous forme numérique.

L’Allemagne et l’Espagne ont également signé récemment un accord pour lancer un programme transfrontalier d’identification numérique, qui impliquerait une reconnaissance mutuelle des documents numériques officiels de l’autre partie.

La France a également annoncé récemment son intention d’intégrer sa carte d’identification nationale aux smartphones.

La Grèce a reçu les éloges de la presse mondiale lorsqu’elle a introduit des outils numériques particulièrement draconiens lors de ses deux lockdowns COVID, tels qu’une plateforme SMS gouvernementale à laquelle les résidents devaient envoyer un message texte afin de pouvoir circuler en public pour un ensemble limité de “raisons”.

Plus récemment, la Grèce a annoncé la création prochaine d’un portefeuille numérique qui contiendra des documents tels que la carte d’identité nationale, le permis de conduire et les documents médicaux.

L’Estonie, considérée comme un leader mondial dans l’introduction de l’e-gouvernance numérique et qui dispose de cartes d’identité numériques depuis 2002, prépare son propre système de portefeuille numérique tout en exprimant son soutien à la “boussole numérique” de l’UE.

En dehors de l’Europe, plusieurs autres pays ont également étendu leurs régimes d’identification numérique de diverses manières.

En Australie, par exemple, des États comme la Nouvelle-Galles du Sud, l’Australie-Méridionale et le Queensland ont introduit ou testé des permis de conduire numériques.

C’est en Inde, cependant, que ces documents numériques semblent avoir suscité le plus de controverse jusqu’à présent.

La mission numérique Ayushman Bharat a été annoncée en 2020 et lancée en tant que programme pilote dans six régions de l’Inde en 2021. Il s’agit d’une application qui fournit un identifiant de santé numérique unique à chaque citoyen et qui est liée à son dossier médical personnel.

Sa création intervient sur les traces du développement d’Aadhaar, le système de carte d’identité numérique nationale de l’Inde.

Aadhaar a suscité la controverse en raison des projets du gouvernement de le relier à la base de données nationale des électeurs, tandis qu’il a également été la cible de pirates informatiques.

Des questions se posent alors que de nouvelles plateformes numériques sont déployées à des “fins officielles”.

Le déploiement de plateformes numériques soulève des questions quant à la sécurité des données des individus sur ces plateformes numériques, malgré les assurances contraires des gouvernements concernant la protection de la vie privée.

En outre, on ne sait toujours pas combien de temps les “passeports COVID”, qu’ils soient sous forme numérique ou papier, resteront en vigueur, ni si les gouvernements envisagent de rendre ce régime permanent.

Un article récent paru dans The Atlantic, intitulé “Why Aren’t We Even Talking About Easing COVID Restrictions” (Pourquoi ne parlons-nous pas de l’assouplissement des restrictions COVID ?), s’interroge sur la raison pour laquelle les passeports vaccinaux obligatoires aux États-Unis n’ont pas de date d’expiration.

En effet, si l’on en croit la proclamation de la Secure Identity Alliance concernant la nécessité de “préparer l’avenir” de ces documents numériques, il se pourrait que les gouvernements n’aient pas l’intention de supprimer les passeports vaccinaux.

Même si ces utilisations spécifiques des “passeports” numériques finissent par disparaître, l’éventail des utilisations potentielles des portefeuilles numériques est stupéfiant, y compris, par exemple, via le suivi des “quotas de carbone personnels”, comme l’a précédemment rapporté The Defender.

[Voir aussi :
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+ Une vidéo en anglais, hébreux et français
(Comment repérer les vaccinés codés Bluetooth avec un téléphone Android ?) :



(Source vidéo : hyativ)]

Source :




Selon Reuters, les réfugiés n’ont pas accès aux vaccins car Big Pharma craint les poursuites judiciaires !

[Source : lelibrepenseur.org]

Pendant que les morticoles cathodiques nous vendent la vaccination comme sure et sans risque, pas plus dangereuse que si on avalait une cacahouète, on apprend que Big Pharma refuse de vacciner les réfugiés car ils ne sont pas sous la protection d’un État qui prend la responsabilité de la vaccination et de l’indemnisation des effets indésirables. Ceci est une énième démonstration de cette mascarade vaccinale mondiale qui est clairement la plus grande escroquerie de tous les temps. Honte aux médecins et à tous les professionnels de la santé impliqués et complices.


Des dizaines de millions de migrants pourraient se voir refuser les vaccins COVID-19 d’un programme mondial parce que certains grands fabricants s’inquiètent des risques juridiques liés aux effets secondaires nocifs, selon des responsables et des documents internes de Gavi, l’organisation caritative qui gère le programme, examinés par Reuters.

[Voir aussi :
Les laboratoires limitent l’accès au vaccin pour les migrants par peur des procédures judiciaires (RT France)]

Près de deux ans après le début d’une pandémie qui a déjà tué plus de 5 millions de personnes, seuls 7 % environ des habitants des pays à faible revenu ont reçu une dose. Les livraisons de vaccins dans le monde ont été retardées par des problèmes de production, la thésaurisation par les pays riches, les restrictions à l’exportation et la bureaucratie. De nombreux programmes ont également été entravés par l’hésitation du public.

Les préoccupations d’ordre juridique constituent un obstacle supplémentaire pour les responsables de la santé publique qui s’attaquent au coronavirus, alors même que les responsables affirment que les personnes non vaccinées offrent un environnement idéal pour sa mutation en de nouveaux variants qui menacent l’immunité durement acquise dans le monde entier. Selon les Nations unies, de nombreux fabricants de vaccins COVID-19 ont exigé que les pays les indemnisent pour tout événement indésirable subi par des personnes à la suite de l’administration de ces vaccins.

Là où les gouvernements n’ont pas le contrôle, cela n’est pas possible.

Les préoccupations concernent les personnes, telles que celles déplacées par les crises au Myanmar, en Afghanistan et en Éthiopie, qui sont hors de portée des programmes de vaccination des gouvernements nationaux.

Pour les réfugiés, les migrants et les demandeurs d’asile, ainsi que pour les personnes touchées par des catastrophes naturelles ou d’autres événements qui les mettent hors de portée de l’aide gouvernementale, le programme mondial connu sous le nom de COVAX a créé un tampon humanitaire – une réserve de vaccins de dernier recours à administrer par des groupes humanitaires. Gavi, l’alliance pour les vaccins, est un partenariat public-privé créé en 2000 pour promouvoir la vaccination dans le monde.

Mais ce tampon ne dispose d’aucun mécanisme permettant d’offrir une compensation. Gavi, qui gère COVAX avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), explique que lorsque les demandeurs de doses, principalement des ONG, ne peuvent pas supporter les risques juridiques, les livraisons à partir de ce stock ne peuvent être effectuées que si les fabricants de vaccins acceptent leur responsabilité.

Les entreprises qui sont prêtes à le faire dans ces circonstances ne fournissent qu’une minorité des vaccins du programme, selon des personnes connaissant bien le dossier et les documents, rédigés par le personnel de Gavi pour une réunion du conseil d’administration qui débutera fin novembre.

Plus des deux tiers des doses de COVAX proviennent de Pfizer Inc. (PFE.N) et de son partenaire BioNTech SE (22UAy.DE), AstraZeneca PLC (AZN.L) et Moderna Inc. (MRNA.O), indique Gavi. Moderna a refusé de commenter. AstraZeneca et Pfizer ont déclaré être en pourparlers avec Gavi mais ont refusé de faire d’autres commentaires. Tous trois ont déclaré qu’ils s’engageaient à mettre des doses à la disposition des nations les plus pauvres à des prix relativement bas. Pfizer a déclaré qu’elle collaborait directement avec les gouvernements de Jordanie et du Liban pour donner des doses aux réfugiés.

Principalement en raison des problèmes juridiques, moins de 2 millions de doses ont été envoyées jusqu’à présent par les pays tampons, selon Gavi. Environ 167 millions de personnes risquent d’être exclues des programmes nationaux, selon les données des Nations unies citées dans les documents.

À moins que toutes les entreprises n’acceptent leur responsabilité légale, « l’accès aux vaccins pour certaines populations restera un défi », indiquent les documents de Gavi, ajoutant que de nouvelles crises généreront une demande supplémentaire pour couvrir les populations déplacées.

La réticence des fabricants de vaccins à assumer les risques juridiques constitue « un obstacle majeur » aux tentatives de fournir des vaccins pour les populations tampons, a déclaré à Reuters un porte-parole de Gavi. Gavi n’a pas commenté les détails contenus dans les documents, mais a déclaré que les demandes de vaccins sont confidentielles jusqu’à ce que les doses soient livrées. En septembre, le PDG de Gavi, Seth Berkley, a lancé sur Twitter un appel aux fabricants de médicaments pour qu’ils renoncent à leurs exigences en matière d’indemnisation légale.

Trois fabricants de médicaments chinois ont accepté d’assumer les risques juridiques lorsque leurs vaccins sont livrés par le biais du tampon : SinoVac Biotech Ltd (SVA.O), Sinopharm Group Co. Ltd (1099.HK) et Clover Biopharmaceuticals Co. Ltd, selon le document de Gavi. Les fabricants de médicaments n’ont pas répondu aux demandes de commentaires.

L’entreprise américaine Johnson & Johnson (JNJ.N) a confirmé qu’elle renonçait à exiger une indemnité pour les livraisons du tampon : « Nous sommes fiers de participer à cet effort pour protéger les personnes les plus vulnérables du monde », a déclaré Paul Stoffels, vice-président du comité exécutif et directeur scientifique. Il n’a pas donné de détails.

Cependant, moins d’un tiers des fournitures de COVAX proviennent de ces quatre entreprises, selon les données de COVAX : Le vaccin de Clover n’a pas encore été approuvé et n’est donc pas utilisé.

L’association industrielle mondiale, la Fédération internationale de l’industrie du médicament (FIIM), a déclaré qu’ »aucune entreprise n’a refusé d’envisager » d’assumer le risque juridique. Toutefois, dans le cas des vaccins administrés à partir de la zone tampon, certaines entreprises ont estimé qu’elles ne pouvaient pas le faire sans savoir exactement où et comment les vaccins seraient utilisés.

Il serait difficile de contrôler en permanence l’innocuité des vaccins dans les camps de réfugiés, et la livraison est très difficile d’un point de vue logistique et ne convient pas à tous les types, a déclaré la Fédération européenne d’associations et d’industries pharmaceutiques (EFPIA), qui représente les grandes entreprises pharmaceutiques en Europe.

Les gens peuvent blâmer les vaccins pour des problèmes qui apparaissent par la suite, même s’ils n’ont aucun lien, a-t-elle ajouté.

« Cela pourrait conduire à une augmentation du nombre de litiges (…) au cours desquels la sécurité et l’efficacité du vaccin seraient publiquement remises en question », a-t-elle déclaré dans une déclaration à Reuters. Cela pourrait conduire à une plus grande hésitation à se faire vacciner et à une reprise plus lente de la pandémie, a-t-elle ajouté.

Jusqu’à présent, il y a peu d’informations sur les litiges concernant le vaccin COVID, mais les réclamations faites auprès des programmes de compensation extrajudiciaire sont une mesure du risque. Selon les données publiques, un programme mis en place aux États-Unis n’a jusqu’à présent rien versé, pas plus qu’un programme mis en place par l’OMS pour les pays à faible revenu. En Europe, une poignée d’indemnités ont été accordées pour des montants non divulgués, selon les données officielles du Danemark, de l’Allemagne, de la Norvège et de la Suisse. Lire plus

À l’échelle mondiale, peu d’infections au COVID ont été signalées parmi les réfugiés, les migrants et les demandeurs d’asile – les tests ne sont pas toujours systématiques et les infections peuvent n’engendrer que des symptômes légers, en particulier chez les jeunes.

Mais l’exiguïté des lieux et la faiblesse des soins de santé les exposent à un risque d’infection élevé. Cette situation, associée à de faibles niveaux de vaccination dans une population mobile, pourrait favoriser l’émergence de nouvelles variantes et constituer un vecteur d’infection, a déclaré Mireille Lembwadio, coordinatrice mondiale de la vaccination à l’Organisation internationale des migrations (OIM), un organisme lié aux Nations unies qui conseille les gouvernements et les migrants.

« Les laisser non vaccinés pourrait contribuer à la propagation du virus et de ses variantes dans le monde », a-t-elle ajouté.

L’ATTENTE DES DOSES

François Nosten, un professeur français qui aide à coordonner les soins de santé pour les personnes originaires du Myanmar vivant à la frontière avec la Thaïlande, est l’un de ceux qui attendent des vaccins. En juin, il a déposé une demande de 70 000 doses auprès du tampon humanitaire – certaines pour les quelque 90 000 personnes réfugiées dans des camps le long de la frontière, mais la plupart pour les migrants non enregistrés dans la ville frontalière de Mae Sot et les villages voisins.

Nosten, dont le travail principal est la recherche sur le paludisme, attend les doses – une fraction des plus de 8 milliards administrées dans le monde – ce mois-ci. On lui a dit qu’elles proviendraient de Sinopharm, et il espère qu’elles pourront aider à vacciner les principaux groupes à risque dans la province thaïlandaise de Tak. Gavi a indiqué que les modalités de livraison sont encore en cours de finalisation.

Environ 20 000 doses seront administrées aux personnes vivant dans les camps par l’International Rescue Committee (IRC), un groupe humanitaire travaillant avec Nosten.

« À ce stade, nous sommes reconnaissants pour tout vaccin que nous pouvons obtenir », a déclaré Darren Hertz, directeur de l’IRC pour la Thaïlande. Il a ajouté que l’IRC pensait que la probabilité qu’un membre de la population réfugiée tente d’intenter une action en justice en cas d’effets secondaires était « extrêmement faible ».

Selon M. Hertz, l’IRC a reçu quelques dons de vaccins ad hoc du gouvernement thaïlandais et s’attaque actuellement à des épidémies importantes dans cinq des neuf camps situés à la frontière, où environ 3 000 cas ont été confirmés, dont au moins 26 décès. Un porte-parole du ministère thaïlandais des Affaires étrangères a confirmé que le gouvernement travaillait avec l’IRC pour fournir des vaccins dans les abris le long de la frontière.

L’organisation caritative de Nosten, Border Health Foundation (BHF), est l’une des huit organisations dans le monde à avoir demandé à distribuer les vaccins provenant du tampon humanitaire et l’une des trois à avoir été approuvée, a déclaré Gavi.

Ann Burton, chef de la santé publique à l’agence des Nations unies pour les réfugiés (HCR), a déclaré que la question de la responsabilité était l’une des raisons pour lesquelles les agences ont été lentes à se porter candidates. Le programme a également été retardé par la pénurie générale de vaccins et les obstacles administratifs.

Les organisations qui demandent des fournitures à partir du tampon ne peuvent pas choisir les vaccins qu’elles reçoivent. Travaillant avec des personnes déplacées, M. Nosten a déclaré qu’il serait plus pratique de leur donner le vaccin de Johnson & Johnson, qui offre une protection après une seule dose au lieu des deux doses nécessaires pour celui de Sinopharm.

Mais la version de Sinopharm sera « mieux que rien », a-t-il ajouté.

Plus de 100 gouvernements nationaux ont promis d’offrir des vaccins, dans la mesure du possible, à toutes les personnes déplacées sur leur sol, selon l’OIM. Toutefois, le groupe des Nations unies affirme que les migrants et les réfugiés sont souvent exclus de ces programmes en raison d’obstacles administratifs ou culturels.

Dans les cas où les gouvernements ne sont pas en charge ou n’ont pas accepté de vacciner les migrants, le tampon humanitaire de COVAX est la seule option. Selon l’OIM, au moins 40 pays n’ont pas encore inclus les migrants non autorisés dans leurs programmes de vaccination – l’OIM et le HCR ont refusé de nommer ces pays.

Gavi a mis en place le tampon en mars 2021, prévoyant de réserver jusqu’à 5 % des doses de vaccin au fur et à mesure qu’elles deviennent disponibles pour COVAX, ce qui représenterait environ 70 millions de doses à ce jour.

Les seules doses livrées à partir de la réserve jusqu’à présent – un peu plus de 1,6 million de doses de Sinopharm – ont atterri en Iran en novembre, où un grand nombre d’Afghans déplacés sont arrivés, a déclaré UNICEF Iran. Cela suffit pour vacciner environ 800 000 personnes, mais il en faudra probablement davantage, a précisé l’UNICEF.

BESOIN DE RAPIDITÉ

L’inquiétude juridique des fabricants de vaccins trouve son origine dans la rapidité sans précédent des efforts déployés pour développer les vaccins COVID, selon l’EFPIA.

Dans des circonstances normales, les fabricants de médicaments souscrivent une assurance pour couvrir la responsabilité des effets indésirables potentiels des vaccins. Mais le COVID les a obligés à développer des médicaments si rapidement que certains effets secondaires – par exemple, un trouble rare de la coagulation sanguine chez certaines personnes ayant reçu le vaccin d’AstraZeneca – apparaissent au moment où les vaccins arrivent dans les bras des gens.

De nombreux gouvernements et agences internationales ont mis en place des systèmes de compensation pour rembourser les victimes et éviter de longs procès. Une loi d’urgence invoquée par le gouvernement américain prévoit l’immunité juridique des entreprises pharmaceutiques pour les effets secondaires de leurs vaccins COVID-19 utilisés dans le pays. La seule exception concerne les cas de « faute intentionnelle ».

Pour les entreprises pharmaceutiques, accepter une responsabilité potentielle va à l’encontre des pratiques habituelles.

« Les fabricants de vaccins essaient de minimiser les risques juridiques dans presque tous les cas », a déclaré John T. Monahan, professeur à l’université de Georgetown. « La norme d’or est l’immunité totale contre les poursuites judiciaires. S’ils acceptent des exemptions, il pourrait devenir plus difficile d’atteindre cet objectif. »


Photo d’illustration : Un homme reçoit une vaccination COVID-19 au camp de réfugiés de Thamhin, en Thaïlande, le 25 octobre 2021. Photo prise le 25 octobre 2021. Filigrane fourni à la source. International Rescue Committee/Handout via REUTERS


Francesco Guarascio et Panu Wongcha-um

Reuters

16 décembre 2021


Titre de l’article original en anglais : The Great Reboot Refugees lack COVID shots because drugmakers fear lawsuits, documents show




Covid : 2 heures de vérité après 2 ans de mensonges !

[Source : TVlibertés]

Élise Blaise reçoit quatre invités prestigieux, tous scientifiques : la généticienne Alexandra Henrion-Caude, spécialiste de l’ARN, le professeur Christian Perronne, infectiologue et ancien conseiller des gouvernements en matière de santé publique, Laurent Toubiana, épidémiologiste et directeur de l’IRSAN, et Laurent Montesino, médecin réanimateur, ainsi que la participation du généticien moléculaire, Christian Vélot et le témoignage de Marc Doyer, dont l’épouse, Mauricette, aurait contracté la maladie de Creutzfeld-Jakob après la deuxième injection du vaccin Pfizer.

Au fil de ces deux heures d’émission, la stratégie du gouvernement et ses effets sont passés au crible pour expliquer pourquoi un an après le lancement de la campagne de vaccination, les pouvoirs publics et médiatiques continuent de faire peur aux Français.

Manipulation des chiffres, prise en charge des patients malades du Covid, traitements interdits, vaccination massive et effets secondaires, conflits d’intérêts… tous les sujets que les médias refusent d’aborder avec honnêteté et sérieux sont traités ici, par des scientifiques et des praticiens de renom.






Gilbert Deray, médecin orateur de plateau TV, avec 171 déclarations, a été payé 161 646€ par Big Pharma pour forcer à faire vacciner les 0-11 ans

[Source : Qactus]

Gilbert Deray :

« Les 0-11 ans ne sont pas vaccinés et sont des vecteurs majeurs de la contamination »…

Les 0- 11 ans ?? … On marche sur la tête ! Et personne pour faire tomber cela, même ces journalistes complices qui savent très bien ce qu’ils font, et ce qu’ils disent et par qui ces médecins véreux sont payés !!

Voyez la vidéo ci-dessous :



Statistiques NHS par age et comorbidité en, dessous de 40 ans en bonne santé, risque COVID si bas qu’il ne justifie aucun vaccin, et rappelle que @GilbertDeray n’est que néphrologue et chef de service de néphrologie @HopPitieSalpe. Nous ne voyons donc pas en quoi il a les #competences pour parler du #COVID19 . Cela relève de l’épidémiologie et des médecins spécialisés !


Maintenant, amusez-vous à chercher ci-dessous sur le site EUROFORDOCS.fr voici le lien officiel ci-dessous de la déclaration des revenus payé par Big Pharma à tous ces corrompus satanistes et génocidaire du peuple, complice du gouvernement.

Voyez ses déclarations avec les labos et ses revenus payés en Euros ventilés en trois termes distincts :

  • Avantage
  • Convention
  • Rémuneration

Mais ceux que nous préférons sont dans la rubrique « Type Déclaration » = « Rémunération » agrémenté d’une ligne blanche « RIEN », « NADA » avec des 1680 €, 1350 € etc… versé en rémunérations sans commentaire ?? Eh aussi d’autre comme ORATEUR, ah oui nous l’avons vu sur TF1 justement !! C’est une honte quand on oblige des salariés à une injection contre la perte de leur seul revenu, ces collabos eux se gavent sans injection.

Pr Didier #Raoult met le doigt sur les conflits d’intérêts en France et l’obligation vaccinale  » Il y a des mœurs dans ce pays qui ne sont pas raisonnables » Pr Raoult et Pr Perronne sont en train de démolir la propagande médiatico-politique!




Quand a Covidinfos.net, c’est au total : 172 761 € Que Deray a touché!!

Un petit rappel que les conflits d’intérêts, ne sont qu’une minorité de médecins de plateaux TV.

Quand on est bourré de liens et de conflits d’intérêt avec BIGPHARMA comme le sont Karine Lacombe et Gilbert Deray, pas étonnant qu’ils se donnent corps et âme pour défoncer la chloroquine et vilipender l’IHU. Cela dit, vous n’aurez jamais la carrière scientifique du Pr Raoult.

Il ne faudra jamais oublier !!


https://twitter.com/Yoann_IV/status/1462777752403292166

Merci à BAN pour cette vidéo regardez la et vous comprendrez ce qu’ils font.

Gilbert Deray (conflits d’intérêt avec Big Pharma) menace très explicitement Laurence Ferrari de faire stopper l’invité, Pr. #Perronne qui exécute l’ordre aussitôt. Observez bien le comportement, la gestuelle et le langage corporel de ses individus!




France — Pétition pour le retour à la normale dans les écoles le 3 janvier 2022

[Source : wesign.it]

Pour signer la pétition :
https://www.wesign.it/fr/sante/ecoles-retour-a-la-normale-le-3-janvier-2022?s=08

Au vu des données scientifiques disponibles

  • sur la circulation virale dans les différentes classes d’âge (taux de positivité supérieur chez les plus de 40 ans par rapport au moins de 12 ans),
  • sur la quasi absence de formes graves de la Covid19 chez les enfants de moins de 12 ans,
  • de la vaccination des enseignants qui le souhaientent avec 3 doses de vaccins ARN,
  • de l’impact des mesures sanitaires en cours sur l’apprentissage et la qualité de développement de nos enfants (25% des hospitalisations des enfants sont en pédopsychiatrie, 22% de baisse de QI des enfants pendant la crise, augmentation massive des troubles anxieux, dépressifs, obsessionnels compulsifs et du comportement alimentaire),

nous demandons à ce que les conditions de vie scolaire soient ramenées à la normale à partir du 3 janvier sans aucune condition vaccinale.

C’est-à-dire

  • la fin du port du masque en classe et lors des activités extérieures,
  • l’absence de toute forme de pression vaccinale sur les enfants ainsi que
  • la fin des évictions scolaires pour les enfants positifs au covid.

Cette pétition est lancée par Marie-Estelle Dupont psychologue clinicienne à Paris et le Dr Martin Blachier, médecin de santé publique.

Mobilisation créée par Martin Blachier
15/12/2021

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Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G

[Source : Sott.net]

National Institutes of Health

Nous vous proposons ci-dessous la traduction partielle d’un article paru sur le National Institutes of Health concernant le rôle éventuel du rayonnement électromagnétique lié aux communications sans fil, dont la 5G, dans la dissémination du virus SARS-CoV-2 ou ses effets sur la maladie Covid-19. Nous avons traduit l’introduction et la conclusion qui donnent déjà un aperçu du sujet traité dans la publication et que les anglophones pourront lire ici.

Une traduction E&R.

Contexte et objectif

La politique de santé publique relative à la maladie à coronavirus (Covid-19) s’est concentrée sur le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2) et ses effets sur la santé humaine, tandis que les facteurs environnementaux ont été largement ignorés. En considérant la triade épidémiologique (agent-hôte-environnement) applicable à toutes les maladies, nous avons étudié un facteur environnemental possible dans la pandémie de Covid-19 : le rayonnement radiofréquence ambiant des systèmes de communication sans fil, y compris les micro-ondes et les ondes millimétriques.

Le SARS-CoV-2, le virus à l’origine de la pandémie de Covid-19, est apparu à Wuhan, en Chine, peu de temps après la mise en place d’un système de rayonnements de communications sans fil de cinquième génération (5G) à l’échelle de la ville, et s’est rapidement propagé dans le monde entier, montrant initialement une corrélation statistique avec les communautés internationales disposant de réseaux 5G récemment établis.

Dans cette étude, nous avons examiné la littérature scientifique évaluée par des pairs sur les effets biologiques néfastes du rayonnement des communications sans fil et nous avons identifié plusieurs mécanismes par lesquels le rayonnement des communications sans fil peut avoir contribué à la pandémie de Covid-19 en tant que cofacteur environnemental toxique. En franchissant les frontières entre les disciplines de la biophysique et de la pathophysiologie, nous présentons des preuves que le rayonnement des communications sans fil peut :

(1) provoquer des changements morphologiques dans les érythrocytes, notamment la formation d’échinocytes et de rouleaux qui peuvent contribuer à l’hypercoagulation ;
(2) altérer la microcirculation et réduire les taux d’érythrocytes et d’hémoglobine en exacerbant l’hypoxie ;
(3) amplifier le dysfonctionnement du système immunitaire, notamment l’immunosuppression, l’auto-immunité et l’hyperinflammation ;
(4) augmenter le stress oxydatif cellulaire et la production de radicaux libres, ce qui entraîne des lésions vasculaires et des dommages aux organes ;
(5) augmenter le Ca2+ intracellulaire essentiel à l’entrée, à la réplication et à la libération des virus, en plus de favoriser les voies pro-inflammatoires ; et
(6) aggraver les arythmies cardiaques et les troubles cardiaques.

Conclusion

Il existe un chevauchement pathobiologique important entre l’exposition au Covid-19 et le rayonnement des communications sans fil. Les preuves présentées ici indiquent que les mécanismes impliqués dans la progression clinique du Covid-19 pourraient également être générés, selon les données expérimentales, par l’exposition au rayonnement des communications sans fil. Par conséquent, nous proposons un lien entre les bioeffets néfastes de l’exposition au rayonnement électromagnétique des appareils sans fil et le Covid-19.

Plus précisément, les preuves présentées ici soutiennent l’hypothèse selon laquelle la RFE et en particulier la 5G, qui implique une densification de la 4G, pourraient avoir exacerbé la pandémie de Covid-19 en affaiblissant l’immunité de l’hôte et en augmentant la virulence du SARS-CoV-2 en :

  • (1) provoquant des changements morphologiques dans les érythrocytes, notamment la formation d’échinocytes et de rouleaux qui pourraient contribuer à l’hypercoagulation ;
  • (2) altérant la microcirculation et réduisant les taux d’érythrocytes et d’hémoglobine, exacerbant l’hypoxie ;
  • (3) amplifiant le dysfonctionnement immunitaire, y compris l’immunosuppression, l’auto-immunité et l’hyperinflammation ;
  • (4) augmentant le stress oxydatif cellulaire et la production de radicaux libres exacerbant les lésions vasculaires et les dommages aux organes ;
  • (5) augmentant le Ca2+ intracellulaire essentiel à l’entrée, la réplication et la libération virale, en plus de la promotion des voies pro-inflammatoires ; et
  • (6) aggravant les arythmies cardiaques et les troubles cardiaques.

L’exposition au rayonnement des communications sans fil est un facteur de stress environnemental très répandu, mais souvent négligé, qui peut produire un large éventail de bioeffets indésirables. Depuis des décennies, des chercheurs indépendants du monde entier soulignent les risques sanitaires et les dommages cumulatifs causés par le rayonnement des communications sans fil. Les preuves présentées ici sont cohérentes avec un grand nombre de recherches établies. Les travailleurs de la santé et les décideurs politiques devraient considérer le rayonnement des communications sans fil comme un facteur de stress environnemental potentiellement toxique. Des méthodes permettant de réduire l’exposition au rayonnement des communications sans fil devraient être proposées à tous les patients et à la population en général.

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[Voir aussi : Dossier 5G et ondes pulsées]
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Note au sujet de mon absence

[Source : Arrêt sur Info]

Par Brandon Turbeville

Publié le 20 novembre 2021 sur Activistpost sous le titre A Note On My Absence


Cela fait presque deux ans que je n’ai rien écrit. Que je n’aie plus publié d’articles. Que je n’ai plus rédigé de nouveaux poèmes. Que je n’ai plus exercé mon métier de journaliste. Il se peut que j’aie écrit des commentaires sur les médias sociaux durant cette période, mais même de cela, je n’en suis pas sûr.

Il fut un temps où j’écrivais toute la journée. Je publiais plusieurs articles par jour, je travaillais assidûment sur mes livres et j’écrivais de la poésie jusqu’au matin. Pendant des années, c’était mon rituel quotidien et j’y travaillais jusque tard dans la nuit, même après une journée entière de travail. Mais ces deux dernières années ? Rien. J’ai tout simplement disparu des médias alternatifs.

J’ai le sentiment de ne pas pouvoir revenir à mon métier d’écrivain avec certitude sans au moins expliquer auparavant à mes lecteurs la raison de mon absence.

J’ai toujours été étonné qu’autant de personnes lisent religieusement, au fil des ans, les articles que j’ai écrit. Mais ce qui a commencé comme une nécessité de faire entendre ma voix à une époque où je croyais qu’il n’y avait pas assez de voix, s’est arrêté exactement dans les mêmes circonstances. Pour cela, je suppose que je dois des excuses à mes lecteurs. Les deux dernières années ont eu plus que jamais besoin d’entendre des voix et, pendant ce temps, la mienne est restée silencieuse.

Le plus étrange, c’est que je n’ai plus jamais eu envie d’écrire quoi que ce soit, du moins jusqu’à récemment. Alors comment quelqu’un dont l’identité entière était enveloppée dans le mot écrit, a-t-il soudainement arrêté d’écrire ? Pour moi, il y a eu un concours de circonstances.

D’abord, mes derniers articles ont été écrits au début de la prétendue « pandémie ». Au milieu de cette nouvelle hystérie, je me suis rendu compte que j’avais bouclé la boucle dans ma vie professionnelle et personnelle. La première fois que j’ai pris conscience de faits politiques, c’était à la suite du 11 septembre, un besoin de rechercher la vérité entourant cet événement et de préserver les libertés constitutionnelles mises à mal par une classe dirigeante qui avait prévu depuis longtemps d’enfoncer le dernier clou dans le cercueil des États-Unis tels que nous les connaissions. À l’époque, je me sentais, comme beaucoup d’autres, pris entre une oligarchie totalitaire et un public terrifié. M’élever contre la guerre, la destruction de la Déclaration des droits et l’État policier vêtu de noir m’a valu d’être surveillé par l’État profond et, plus malheureusement, de voir le public américain pousser des cris d’orfraie. Mais ce n’était qu’un début.

Cinq ans plus tard, après cinq années de massacres en Afghanistan, trois ans de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité en Irak, une surveillance active, la suspension de l’habeus corpus, la torture, une police militarisée, l’humiliation publique, et une définition élargie du « terrorisme », ceux d’entre nous qui ont réagi en 2001 ont trouvé des oreilles plus réceptives. Si seulement ces oreilles avaient été à l’écoute le 11 septembre, alors toutes les atrocités susmentionnées auraient pu être évitées.

En mars 2020, presque vingt ans plus tard, je me suis retrouvé dans la même situation. Cette fois, beaucoup de ceux qui avaient depuis suivi le programme, dénoncé le totalitarisme, les États policiers, les guerres, etc., s’en prenaient maintenant légitimement à ceux qui osaient remettre en question les gouvernements omniscients et (à leurs yeux) qui non seulement interdisaient les rassemblements, mais obligeaient les citoyens à se couvrir le visage en public, faisaient la guerre à leurs propres économies (en particulier les petites entreprises) et réglementaient même les funérailles, les services religieux et la possibilité pour des êtres humains souverains d’étreindre les membres de leur propre famille. Le gouvernement américain était mauvais, semblait-il, sauf dans les moments où il y avait un danger perçu de tomber malade. Au moment du COVID, ils en étaient tous venus à aimer Big Brother.

J’ai été particulièrement choqué par ceux d’entre ces « patriotes » qui avaient longtemps mis en garde contre « l’ennemi intérieur », eux-mêmes tellement imprégnés d’images religieuses prêchant constamment contre une société où le gouvernement réglementerait qui pourrait acheter et vendre en fonction du « crédit social » et de la conformité. Leur propre obsession de rester en vie à tout prix les a conduits à embrasser la chose même qu’ils avaient auparavant considérée comme un signe avant-coureur de la fin des temps et un péché impardonnable.

Néanmoins, au moment où la folie a commencé, j’ai écrit de nombreux articles s’opposant aux port de masques, aux « lockdowns », et aux attaques contre les libertés civiles et la liberté économique. J’ai été accueilli par des cris de « Vous voulez que les gens meurent ? » et d’autres questions tendancieuses qui étaient toujours sous-tendues par l’idée, propagandisée et psychiquement motivée, que ces politiques gouvernementales n’étaient pas l’affront à la vie et à la dignité humaines qu’elles sont en réalité.

Après avoir écrit pendant près de 20 ans, je me sentais plus découragé que je ne l’avais jamais été. Si un si grand nombre de mes lecteurs, qui avaient été à mes côtés dans la lutte pour mettre fin à la guerre en Syrie ainsi que dans de nombreuses autres batailles, étaient si facilement amenés non seulement à renoncer à leur propre liberté mais aussi à aider à la retirer par la force à leurs amis et aux membres de leur famille, alors je ne voyais pas l’intérêt de continuer à écrire des paroles qui, au mieux, seraient comprises correctement des années après les faits et, au pire, seraient utilisés pour me condamner en tant qu’indésirable devant le tribunal de l’opinion publique ou le tribunal gouvernemental.

Alors, j’ai tout simplement tout arrêté. J’ai complètement arrêté d’écrire. Peu après, j’ai cessé de lire les nouvelles. J’ai arrêté de débattre. J’ai cessé de parler des questions qui me tenaient tant à cœur autrefois. Je n’en ai même pas parlé. Je vous épargnerai tous les détails mais, au milieu de mon hiatus, ma vie personnelle s’est effondrée. Ma santé s’est dégradée. Les médias alternatifs ont perdu l’une de leurs voix les plus importantes lorsque mon ami, Alan Watt, est décédé subitement et j’ai remplacé la lecture des nouvelles que je dévorais par du whisky et de la vodka. J’ai décidé que la scène du film où ma bataille avec le système se déroulait publiquement était terminée et que je ne résisterais plus ouvertement.

Mais, pour une raison quelconque, je ne pouvais toujours pas céder. Ou plutôt, je n’en avais pas le droit. Je ne pouvais tout simplement pas retourner dans la matrice et me fondre dans la masse parce que la grande machine à manger s’est maintenant tournée pour se nourrir du peuple américain et, une fois de plus, il semble que je ne puisse pas éviter l’inévitable confrontation avec elle. Il reste à voir si moi ou la machine survivrons à cette confrontation mais, comme l’a dit Alexandre Soljenitsyne,

« Laissez le mensonge venir au monde, laissez-le même triompher. Mais pas à travers moi. »

Cher lecteur, nous ne pourrons peut-être pas empêcher ce qui vient, mais nous pouvons au moins entrer dans la prochaine vie avec la dignité de celui qui n’y a pas contribué, qui a refusé de se laisser consommer et coopter pour le servir. Qui a dit : « Tu peux dire tous les mensonges que tu veux, mais je ne les croirai pas et je ne les répéterai jamais. Vous pouvez me faire ce que vous voulez, mais vous ne pourrez jamais me forcer à le faire à quelqu’un d’autre. » ?

J’ai longtemps plaidé pour une résistance organisée. Je suppose que c’est encore le cas. Mais je ne me fais pas d’illusions sur le fait qu’une résistance massive est encore possible. C’est l’ère de l’individu. Car l’humanité choisira dans les prochains jours si oui ou non l’individu continuera à être habité par ce qui reste de notre culture. En fait, l’humanité décidera bientôt si l’individu continuera d’exister.

Nous avons atteint le point où la résistance individuelle est le seul espoir. Cette résistance ne viendra pas de la nécessité, mais de la détermination à vivre une vie de dignité et de liberté. Elle viendra lorsque nous aurons atteint le point où l’individu devra décider qu’il y a des choses pires que la mort et qu’il doit vivre en conséquence.

« Comme il suffisait de peu de choses pour lutter et vaincre – simplement ne pas s’accrocher à la vie ! Une vie qui était de toute façon déjà perdue », a écrit Soljenitsyne. Comme il avait raison.

Cela fait presque deux ans et sachez que je n’ai pas encore porté de masque. J’ai refusé à chaque fois qu’on me l’a demandé et surtout lorsqu’on a exigé que je le fasse. Dans certains cas, mon refus a déclenché une réaction en chaîne, d’autres autour de moi ont également enlevé le leur et bientôt la foule couverte de visages avait à nouveau des visages. D’autres fois, j’étais le seul.

J’ai refusé la « distance sociale », choisissant plutôt de rejoindre les foules de personnes non masquées au plus fort de l’hystérie, même lorsque le pouvoir gouvernemental déclarait qu’il était criminel de le faire.

Je n’ai jamais obéi aux ordres de « rester à la maison » et je n’ai jamais obéi aux « lockdowns ». Je ne me plierai tout simplement pas à cette tyrannie ni ne me soumettrai à la folie et à l’hystérie. Ni de la part de mon gouvernement, ni de la part de mes amis.

*
[Voir aussi : La clef de la libération]
*

La plupart d’entre nous ont toujours été très prudents dans les médias alternatifs. Nous avons toujours choisi nos mots pour exprimer les choses que nous voulions vraiment dire. Mais, au cours des deux dernières années, nous avons vu où mène le souci de sécurité et de prudence. Au lieu de cela, je vous encourage tous aujourd’hui à refuser de vous conformer à tous les niveaux.

Ne portez pas de masque. Ne prenez pas de distance sociale. Ne fermez pas votre entreprise. Ne prenez pas le vaccin. N’obéissez pas. Ne reculez pas devant votre gouvernement ou les membres de votre communauté qui veulent vous contraindre à la soumission. Résistez. L’existence de votre culture et de votre pays ne dépend pas de candidats présidentiels ou de leaders activistes. Votre existence même en tant qu’individu ne repose que sur vos épaules. Si vous ne préservez pas votre droit à vivre une vie librement individuelle, qui le fera ? Et qui devrait le faire ?

[Voir aussi :
Un message de Robert F. Kennedy, Jr. un an après le rassemblement historique de Berlin : « L’heure est à la désobéissance civile (pacifique) ! »
Appel à la désobéissance civile
Demander au gouvernement ou aux tribunaux ne permettra jamais d’obtenir la liberté: seule la désobéissance massive peut prévaloir
Un Maire Français ose dire NON et rentre en désobéissance civile : il n’appliquera pas la fermeture]

« Et comme nous avons brûlé dans les camps plus tard, en pensant : Qu’en aurait-il été si chaque agent de la Sécurité, lorsqu’il sortait la nuit pour procéder à une arrestation, avait été incertain de revenir vivant et avait dû dire au revoir à sa famille ? Ou si, pendant les périodes d’arrestations massives, comme par exemple à Leningrad, quand ils ont arrêté un quart de la ville entière, les gens n’étaient pas simplement restés enfermés dans leurs retranchements, pâlissant de terreur à chaque claquement de la porte du rez-de-chaussée et à chaque marche de l’escalier, mais avaient compris qu’ils n’avaient plus rien à perdre et avaient hardiment installé dans le hall du rez-de-chaussée une embuscade d’une demi-douzaine de personnes avec des haches, des marteaux, des tisonniers, ou tout ce qui leur tombait sous la main ? … Les Orgues auraient très vite souffert d’un manque d’officiers et de transport et, malgré toute la soif de Staline, la maudite machine se serait arrêtée ! Si…si…nous n’aimions pas assez la liberté. Et même plus – nous n’avions aucune conscience de la situation réelle ! Nous avons purement et simplement mérité tout ce qui est arrivé par la suite ».

Soljenitsyne

Nous voici donc presque deux ans plus tard, et je tape à nouveau sur un clavier. J’écris.

Je ne me fais aucune illusion sur l’effet que peut avoir ce que j’écris. Je ne sais pas quand ni si j’écrirai un autre article. Vous ne devez plus vous attendre à des mises à jour quotidiennes sur la Syrie ou tout autre sujet. Il est possible que j’en écrive, mais rien n’est certain et je ne fais aucune promesse.

Le monde se dirige dans une voie très sombre. Les économies sont mises à mal. La liberté est écartelée. L’âme de l’humanité est en train d’être modifiée. Les lumières de l’humanité vacillent. Comme l’a dit Orwell « La morale à tirer de cette dangereuse situation est simple : ne laissez pas ce cauchemar se produire. Cela dépend de vous. »

J’ai passé deux semaines à essayer de rassembler la motivation et le courage nécessaires pour rédiger ce texte, tel qu’il est. Il s’agit peut-être du début d’une longue série d’articles ou d’un des rares articles que je suis en mesure d’écrire.

Je n’ai pas de but précis pour cet article, si ce n’est d’expliquer mon absence et d’encourager les quelques personnes qui restent proches à résister. Pour vous encourager tous à prononcer le mot le plus puissant dans toutes les langues qui existent dans ce monde… « Non. »

Brandon Turbeville


Brandon Turbeville – les archives de ses articles sont ici – est l’auteur de sept livres, Codex Alimentarius — The End of Health Freedom7 Real ConspiraciesFive Sense Solutions et Dispatches From a Dissident, volume 1 et volume 2The Road to Damascus: The Anglo-American Assault on Syria, et The Difference it Makes: 36 Reasons Why Hillary Clinton Should Never Be President. Turbeville a publié plus de 650 articles sur une grande variété de sujets dont la santé, l’économie, la corruption gouvernementale et les libertés civiles. L’émission de radio de Brandon Turbeville, Truth on The Tracks, peut être écoutée chaque lundi soir à 21h EST sur UCYTV. Son site est BrandonTurbeville.com 

Traduction Olinda/Arrêt sur info

Source : Activistpost




Mehdi Belhaj Kacem : « Un nouveau totalitarisme est en train de se mettre en place »

[Source : FranceSoir]

Philosophe autodidacte et reconnu, comme en témoignent ses publications dans les plus grandes maisons d’édition (Gallimard, Grasset, Fayard…), Mehdi Belhaj Kacem est venu nous accorder un « Entretien essentiel ».

[Voir aussi : Réponse du philosophe Mehdi Belhaj Kacem à la Lettre du maire de Turenne]



L’écrivain avait fait du bruit le mois dernier, en publiant un long texte de réponse à un édito pro-vaccin rédigé par le maire de sa commune. 

Au-delà de cette controverse, dont FranceSoir s’est fait le relais, ce libre penseur nous fait part de ses réflexions sur « le nouveau totalitarisme » en place, visant « sciemment à rendre les gens fous » et qui promeut le transhumanisme.

Pour autant, même s’il considère que nous vivons « la période la plus sombre de notre histoire », Mehdi Belhaj Kacem se dit optimiste, « car à long terme, ils ne peuvent pas gagner ».

Auteur(s): FranceSoir




Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges – Bill Gates est aux commandes »

[Source : anguillesousroche.com]

La Dre Astrid Stuckelberger, lanceuse d’alerte de l’Organisation mondiale de la santé, a déclaré publiquement que l’OMS avait été prise en charge par des entités hostiles telles que Bill Gates, qui perpétuent une « pandémie de mensonges » afin d’asservir l’humanité.

Dans une interview accordée à un journal norvégien, elle a déclaré que la pandémie avait été orchestrée par les élites mondiales afin d’instaurer un « nouvel ordre mondial » et de contrôler la population.

Freewestmedia.com rapporte : 

« C’était spécial : Des organisations telles que GAVI – l’Alliance mondiale pour la vaccination dirigée par Bill Gates – sont arrivées à l’OMS en 2006 avec des fonds. Depuis lors, l’OMS est devenue un nouveau type d’organisation internationale. GAVI a gagné de plus en plus d’influence, et une immunité totale, plus que les diplomates de l’ONU. GAVI peut faire exactement ce qu’elle veut, la police ne peut rien faire. »

L’OMS a fait l’objet d’un audit en 2014 et après cela, elle est devenue davantage une entreprise dont les pays sont les filiales.

« Quand je travaillais avec les relations internationales à l’OMS en 2013, j’ai vu que GAVI arrivait de plus en plus. GAVI a présenté un plan d’action mondial pour la vaccination 2012-2020. C’est-à-dire huit années où GAVI avait tout entre les mains. Bill Gates s’est occupé de la vaccination, il a pris le relais. »

[Voir aussi :
Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma
Le monstre de la vaccination GAVI : immunité juridique totale !
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !]

L’OMS exerce un pouvoir énorme sur les pays, a-t-elle ajouté. 

« Avant, tous les pays étaient libres. Mais maintenant, quand je fais des interviews dans le monde entier, je vois que chaque pays fait partie d’une ‘société OMS’. L’OMS n’est plus une organisation membre démocratique, comme l’ONU. Les différents gouvernements constituent la base de ‘l’entreprise’. Cela correspond logiquement à ce qui se passe actuellement, puisque les ‘entreprises’ veulent de l’argent, des affaires, et contrôler les gens. C’est comme l’esclavage. Les impôts que nous payons vont aux gouvernements qui sont soumis à « l’entreprise ». Sous les organisations multinationales, comme GAVI. »

Contrat entre GAVI, la Banque mondiale et l’OMS

« GAVI, la Banque mondiale et l’OMS ont conclu un contrat appelé IFFM : International Facility Finance for Immunization. Nos pays, nos populations, paient à l’OMS, à la Banque mondiale et à GAVI pour réaliser leurs programmes de vaccination. Ce qui signifie vacciner l’ensemble de la population. Quand vous voyez le plan de GAVI, vous voyez que de 2012 à 2020, ils ont eu cet objectif. Mais comme cela n’a pas fonctionné, ils ont dû créer une pandémie. »

Selon elle, la pandémie a très certainement été planifiée. 

« Vous pouvez le voir dans tous les documents. Tout le monde peut les analyser, ils sont au grand jour, sous nos yeux. »

[Voir aussi :
Preuves que la pandémie a été planifiée ?
Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010]

Elle a souligné les recherches du professeur John Ioannidis de l’université de Stanford, qui montrent que la mortalité en 2020 n’était pas plus élevée que les autres années. 

« C’est un mensonge, et il n’y a pas de pandémie. L’OMS accepte que la mortalité ne soit pas plus élevée, pourtant elle n’a pas déclaré que la ‘pandémie’ était terminée », a-t-elle ajouté.

[Voir aussi :
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
(ou sur Mondialisation.ca)
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents du Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Mme Stuckelberger a déclaré qu’elle ne se considérait pas comme une lanceuse d’alerte, mais comme une experte en santé publique, en médecine et en science. Mais les larbins de Gates lui ont déclaré la guerre. 

« Les universités de Genève et de Lausanne ont arrêté tous mes cours. Je suis en procès, ils m’attaquent. Ils veulent révoquer ma licence médicale, ils essaient de dire que je ne suis pas compétente, que je mens. Cela s’applique à tous les chercheurs qui disent cela, nous sommes maintenant plusieurs médecins à mettre en garde contre la mort après la vaccination. C’est dangereux pour les professionnels d’en parler. »

L’ancienne employée de l’OMS s’est moquée avec ironie du rôle des médias dans la diffusion des mensonges. 

« Les médias sont payés par les « entreprises » multinationales. Je les appelle les pirates internationaux. Et les médias contrôlent les gouvernements. Les médias doivent devenir indépendants, ils doivent aider la population à obtenir des informations libres. »

[Voir aussi :
Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias
Concentration des médias (2) : convergences et dépendances – Acrimed | Action Critique Médias
Démocratiser les grands médias – Acrimed | Action Critique Médias
Médias, information et mondialisation libérale
La Presse-Système
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
Médias sous influence | Le monde politique]

Un certain nombre d’études et de médecins ont souligné qu’il existe un traitement pour le Covid-19.

Stuckelberger, qui vit à Genève, pense que la solution est de revenir à l’ancienne vie communautaire : 

« Nous devons organiser un système social parallèle. Nous devons revenir à l’âge des Vikings. C’est arrivé en Suisse, beaucoup de choses ici maintenant ont des racines dans l’époque des Vikings. J’y pense beaucoup – en Norvège, on peut revenir à l’agriculture. »




Castex, Véran et Blanquer visés par une nouvelle plainte à la Cour de justice de la République

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Nous avions rapporté à la mi-novembre la plainte des associations BonSens.org et Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB) contre X, notamment les médias grand public et leurs directeurs de publication. L’objet : un traitement médiatique partial qui se traduit par une diffusion en continu d’une information déloyale et biaisée, conduisant à l’exercice d’une pression psychologique visant à soumettre le public à un essai clinique de thérapie génique, qui présente des risques pour la santé.

Une nouvelle fois, BonSens s’associe à l’AIMSIB dans le cadre d’une plainte contre Jean Castex, Premier ministre, Olivier Véran, ministre de la Santé, et Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, pour des faits d’abus de faiblesse et d’ignorance, d’extorsion de consentement et de tentative d’extorsion de consentement, d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement, d’escroquerie et de tentative d’escroquerie en bande organisée, de tromperie aggravée et de tentative de tromperie aggravée en bande organisée, de génocide.

En premier lieu, les associations estiment que nous vivons actuellement, non pas une crise sanitaire, mais une crise mondiale financière sur fond d’idéologie mondialiste et néomalthusienne. Une crise dont les membres du gouvernement se sont saisis pour inciter la population à se faire injecter des produits pharmaceutiques expérimentaux appelés à tort « vaccins » au moyen de mesures coercitives sans précédent.

Il leur est reproché les publicités mensongères à propos de ces produits expérimentaux sans jamais informer les Français sur les risques encourus, sur le fait qu’il s’agisse d’un essai clinique, sur les décès survenus en France et à l’international.

À l’appui de leur dossier de plainte, de nombreux éléments sont apportés pour démontrer les liens d’intérêt financier entre les grands médias, les GAFAM, l’OMS, GAVI, différentes fondations, les intervenants de plateau, les agences de conseil sélectionnées par le gouvernement et les laboratoires pharmaceutiques commercialisant les « thérapies géniques expérimentales » (condamnés à de multiples reprises pour corruption de chefs d’État, fausse publicité, atteinte au principe du consentement libre et éclairé, blessures et homicides).

BonSens et AIMSIB concluent qu’il faut donc évoquer ici une collusion se manifestant par un ensemble d’actes depuis janvier 2020 qui démontrent une volonté d’atteinte à la vie, à l’intégrité physique et psychique d’un grand nombre de citoyens français.

Pour étayer leur argumentaire, le dossier de 135 pages comporte une avalanche de faits et de documents notamment sur les mécanismes de torture psychologique et de manipulation de masse, le recours à des tests PCR pour créer une pandémie de tests positifs et de faux malades, l’exploitation d’un taux d’incidence fixé à un niveau de cas extrêmement bas pour justifier la prolongation de l’état d’urgence sanitaire, le faible taux d’hospitalisation Covid pour l’année 2020 contrastant avec le discours de peur tenu par Olivier Véran, le nombre de morts causés par le Covid augmentés artificiellement, l’interdiction de traitements efficaces mondialement connus au motif qu’il n’y aurait « aucune preuve scientifique » alors qu’il en existe une abondance, la dépendance des médias français vis-à-vis des géants financiers américains empêchant les citoyens de se former un consentement libre et éclairé, les violences, menaces, discriminations et incitations à la haine à l’endroit des personnes qui ne se soumettent pas à l’expérience scientifique en cours, ou encore le haut niveau d’effets secondaires et de décès liés à la vaccination.

Au regard de ces éléments, des premiers décès survenus au moment de la vaccination de masse, des multiples alertes d’experts mondiaux, les associations jugent que l’éthique médicale et le principe de précaution auraient dû pousser à la cessation immédiate de cette expérimentation.

Elles accusent donc les membres du gouvernement de persister dans une voie « meurtrière » et de dramatiser aujourd’hui une cinquième vague qui n’existe pas afin de contraindre les Français à courir vers une troisième injection, adolescents compris, qui, elles soulignent, s’ils sont loin d’être la cible du Covid, sont, en revanche, fortement susceptibles de développer des effets secondaires.

S’appuyant sur les définitions juridiques, elles estiment que les éléments constitutifs d’un génocide sont réunis, posant la question : « Quelle idéologie ou raison financière peut pousser un gouvernement à terroriser et sacrifier ainsi sa population ? »

Pour l’ensemble de ces raisons, BonSens et AIMSIB ont choisi de déposer une plainte auprès de la Commission des Requêtes.

Retrouvez ici l’intégralité de la plainte (PDF) [135 pages]

Auteur(s): FranceSoir




Pourquoi changer de mode de tricherie quand il fonctionne et que les Français gobent encore le mensonge ? Toujours pas de 5e vague en France !

Par Alain Tortosa

Les données ci-dessus sont officielles et extraites du réseau Sentinelles(([1] https://www.sentiweb.fr/france/fr/?page=bulletin&option=calendrier)) ou Santé Publique France.(([2] https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=0&i=Covid_hospit_clage10.hosp&s=2021-12-15&t=a01&view=map1))
J’ai représenté 4 colonnes, une pour chacun des pics du taux d’incidence des vagues 2 à 5.

Les constats sont les suivants :

  • Il n’y a eu aucune épidémie de Covid selon le réseau Sentinelles pour les « vagues » 2 à 5.
  • Le taux d’incidence en semaine 49 pour Sentinelles est de 36 pour 100 000 habitants alors que le seuil épidémique est fixé à 179.
    Dans le même temps, le taux d’incidence retenu par le gouvernement est de 508 soit 14 fois plus que le taux constaté par les médecins de Sentinelles.
  • Le gouvernement utilise le taux d’incidence de positifs (non malades) pour déclarer qu’il y a une épidémie. Si cet indicateur était valide et pertinent, il devrait être reproductif et refléter la situation épidémique réelle du pays.
    Le taux d’incidence de SPF actuel est proche du taux du pic de la vague 2.
    À taux d’incidences SFP identiques, Sentinelles était quant à lui à 82 pour 100 000 pour la vague 2 tandis qu’il est aujourd’hui de 32 pour 100 000. Pourquoi ?
  • Toujours à taux identiques le nombre de personnes hospitalisées, en soins critiques ou décédées étaient largement plus importants au pic de la vague 2 qu’aujourd’hui. Pourquoi ?
    Preuve en est que le taux d’incidence SPF n’a aucune valeur prédictive.
  • Le pourcentage de patients Covid parmi les infections respiratoires aiguës.
    Nous sommes officiellement en pleine vague Covid et pourtant le Covid ne représente que 10 % des infections respiratoires.
    90 % des personnes qui souffrent d’états grippaux n’ont PAS le Covid ! Il est intéressant de noter que lors du pic de la vague 2 (taux incidence identique à aujourd’hui) le Covid représentait un tiers des infections respiratoires versus 10 % aujourd’hui, non seulement il n’y a pas d’épidémie de Covid en France, mais de plus celui-ci est marginal dans les infections respiratoires.
  • Intéressons-nous maintenant au nombre de tests.
    Pourquoi ? En théorie les données ne devraient pas être impactées par les tests. Cependant SPF ne comptabilise pas les malades qui souffrent du Covid, mais les personnes positives au Covid…
    Pour arriver à un taux d’incidence identique à la vague 2, SPF a provoqué 5 millions de tests dans la semaine versus 2 millions. Plus de deux fois plus de tests, confirmant bien que le taux de 508 est bien le résultat d’une explosion du nombre de tests et non du nombre de malades.
  • Les données hospitalières.
    Beaucoup moins d’hospitalisations, de soins critiques et de décès actuellement qu’en vague 2 ! Si on regarde ces données en fonction du nombre de tests alors nous avons un plus grand éclairage.
    Je vous rappelle que SPF n’est pas en capacité de distinguer un patient hospitalisé pour Covid d’un patient positif au Covid… donc plus il y a de positifs asymptomatiques et plus le nombre de personnes hospitalisées va augmenter artificiellement.
    1,13 % des personnes testées étaient hospitalisées au pic de la vague 2 versus 0,27 % aujourd’hui !
    Cela prouve une fois de plus que le taux d’incidence est trompeur et que la situation n’a rien de dramatique
    Quant aux soins critiques, 0,17 % en vague 2 et 0,06 % en vague 5.
    99,73 % des personnes testées ne sont pas hospitalisées et 99,94 % des personnes testées ne vont pas en réanimation…
  • Les hôpitaux saturés ?
    Le matraquage médiatique est sans faille. Les chefs de service corrompus se succèdent pour parler de leurs services de réanimation saturés par le Covid, oubliant de dire que les données fournies ne concernent pas les personnes en réanimation, mais les personnes positives en soin critiques.
    On laisse entendre ou on dit carrément que 50 % des réanimations sont prises par le Covid (5000 lits de réanimation environ en France) alors qu’il y a environ 17 000 lits de soins critiques.
    Nous sommes donc à ce jour officiellement à 17 % d’occupation des lits de soins critiques par des patients ayant un test positif au Covid.

Tout ceci nous prouve que l’actuelle vague 5 est totalement mensongère.
Le taux d’incidence est artificiellement dopé par une explosion de tests et même malgré cela peu d’hospitalisations et peu de soins critiques.
Les naïfs diront que c’est grâce à la vaccination et les autres que c’est grâce à l’immunité acquise par la population et les variants de moins en moins dangereux.

Le mensonge peut continuer dans une indifférence générale.

[Note de Joseph Stroberg : on nous sert le même genre d’escroquerie numérique au Québec pour faire croire également à l’existence d’une cinquième vague, à la dangerosité d’un variant Omicron ou encore au caractère urgent et indispensable d’une troisième dose pseudo-vaccinale.
Dans l’article Pays les plus restrictifs en matière de mesures prétendument sanitaires, le Canada apparaît même pire que la France en ce qui concerne les mesures répressives qui en découlent. Cependant, l’Allemagne qui semble avoir soudainement oublié son passé nazi est actuellement en tête de la course au totalitarisme.]

Merci

Alain Tortosa.
https://7milliards.fr/tortosa20211217-s49-mensonge-vague5.pdf





La FDA forcée de révéler les données de sécurité de Pfizer : c’est explosif (détails)

[Source : Sott.net]

Par Sonia Elijah
Trial site news

[Ndlr : ceci avait déjà été évoqué succinctement dans l’article La justice américaine oblige la FDA à divulguer les documents Pfizer. C’est explosif]

Les documents hautement confidentiels de Pfizer, qui ont été synonymes de l’extrême manque de transparence révélé par les actions des principales agences gouvernementales, au cours des 20 derniers mois, amenant les critiques du récit officiel à demander « montrez-nous les données », sont enfin révélés – enfin en quelque sorte : les quelques premières centaines de pages expurgées sur un total de 451 000.

pfizzzz

Qu’est-ce qui a conduit à cette divulgation ?

La faille dans le dispositif de sécurité draconien de Pfizer et de la Food and Drug Administration (FDA) est apparue sous la forme d’un communiqué de la Freedom of Information Act (FOIA) avec la demande déposée le 27 août 2021 pour accéder à toute la documentation de Pfizer sur laquelle la FDA s’était appuyée pour autoriser l’utilisation en urgence du vaccin Pfizer-BioNTech Covid-19. Une agence qui a reçu une requête de FOIA est tenue de « déterminer, dans les 20 jours ouvrables suivant la réception de cette demande, s’il convient d’y donner suite », comme le prévoit la loi de 1967 sur le droit à l’information. Il a pourtant fallu trois mois à la FDA pour publier les 91 premières pages caviardées, le 20 novembre.

La requête de FOIA a été formulée par un groupe de plus de 30 scientifiques et universitaires qui ont intenté une action en justice contre l’agence parce qu’elle n’avait pas entièrement satisfait à la demande, puisque moins de 1 % de la documentation avait été divulgué et que la FDA avait déclaré que toutes les données seraient partagées d’ici 2076. Par la suite, l’agence gouvernementale a eu l’audace de repousser la date encore plus loin, à 2096. Cela en raison de sa révélation de l’existence de milliers de pages supplémentaires, soit 451 000 pages au total, contre 320 000 pages initialement prévues. Toutefois, le rythme auquel la FDA est disposée à publier la documentation n’a pas changé et reste de 500 pages par mois. Il convient de noter qu’il n’a fallu que 108 jours à la FDA pour examiner toute la documentation de Pfizer avant d’autoriser l’utilisation du vaccin Pfizer BNT162B2 dans le cadre d’une autorisation d’urgence le 1er décembre 2020.

Les scientifiques, les responsables de la santé publique et les universitaires, dirigés par le Dr Peter McCullough, forment le groupe de plaignants, PHMPT (Public Health and Medical Professionals for Transparency) et sont représentés par le cabinet d’avocats Aaron Siri, de Siri & Glimstad LLP.

Dans une interview exclusive accordée à Trial Site News, Aaron Siri, associé directeur du cabinet, qui a une grande expérience des litiges civils, a déclaré :

« Le tribunal n’a pas encore ordonné la production d’une seule page. Dans la plupart des cas, lorsque notre cabinet soumet une demande en vertu de la loi sur le droit à l’information, ils [l’agence] produisent des documents, mais la FDA veut le faire à un rythme incroyablement lent, qui ne correspond pas aux besoins de la demande. Le problème n’est pas de savoir s’ils vont produire les documents – ils vont les produire. Le problème est de savoir combien de temps cela prendra et, une fois que nous l’aurons obtenu, le problème sera celui des modifications qu’ils y apporteront. »

Lorsque je lui ai demandé si des requêtes de FOIA seront faites pour obtenir les documents de Moderna et de Janssen (une filiale de Johnson and Johnson) fournis à la FDA pour obtenir l’autorisation d’utilisation en urgence, il a répondu :

« Vous ne pouvez pas faire de demande tant qu’un vaccin n’a pas été homologué. L’autorisation d’utilisation d’urgence n’est pas la même chose que l’homologation ou l’approbation. Le vaccin Pfizer est le seul vaccin qui a été homologué/approuvé comme étant « sûr et efficace » selon la FDA le 23 août 2021. »

Vous trouverez des détails sur l’affaire et les documents judiciaires pertinents sur le blog d’Aaron Siri, Injecting Freedom.

Les premières centaines de pages des documents Pfizer récemment publiés ont été partagées sur le site Web du PHMPT.

Le présent rapport d’enquête se concentre sur le document de 38 pages intitulé « Cumulative Analysis of Post-Authorization Adverse Event Reports of PF-07302048 (BNT162B2) received through 28 February 2021 « . Le rapport a été préparé par Pfizer, entre le 1er décembre 2020 et le 28 février 2021. Les rapports d’événements indésirables proviennent des États-Unis, du Royaume-Uni, d’Italie, d’Allemagne, de France, du Portugal, d’Espagne et de 56 autres pays.

Il est intéressant de noter que l’artefact représente une analyse modifiée fournie par Pfizer, en réponse à ses manquements associés à la soumission incomplète d’un ensemble de données de sécurité à la FDA, sur laquelle l’agence a émis des commentaires. Une référence est faite à la demande du 9 mars de la FDA à Pfizer : « Nous sommes très intéressés par une analyse cumulative des données de sécurité post-autorisation pour soutenir votre future soumission BLA. Veuillez soumettre une analyse intégrée de vos données cumulatives de sécurité post-autorisation, y compris l’expérience post-autorisation aux États-Unis et à l’étranger, dans votre prochaine soumission de BLA. Veuillez inclure une analyse cumulative des risques importants identifiés, des risques potentiels importants et des zones d’informations manquantes importantes identifiés dans votre plan de pharmacovigilance, ainsi que des événements indésirables d’intérêt particulier et des erreurs d’administration du vaccin (associées ou non à un événement indésirable). Veuillez également inclure les données de distribution et une analyse des événements indésirables les plus courants. En outre, veuillez soumettre votre plan de pharmacovigilance mis à jour avec votre demande de BLA.

Les nombreuses inconnues

Au cours de la courte période de trois mois pendant laquelle les données ont été « signalées spontanément à Pfizer », 42 086 cas ont été enregistrés avec 158 893 événements. D’après les données, on peut interpréter que la personne moyenne (cas) aurait souffert d’un peu moins de quatre symptômes (événements). Fait particulièrement troublant, la FDA a choisi de protéger les intérêts de Pfizer en caviardant le nombre total de doses à (b) (4), empêchant ainsi de calculer les taux d’incidence et de fournir une analyse significative des données. Un autre fait profondément inquiétant concerne des limitations importantes citées par Pfizer : « l’ampleur de la sous-déclaration est inconnue ». À ce sujet, les chercheurs qui ont dirigé une importante étude de Harvard menée de 2007 à 2010 ont découvert que « moins de 0,3 % de tous les effets indésirables des médicaments et de 1 à 13 % des effets graves sont signalés à la FDA ». En supposant que ce calcul soit correct, nous pouvons conclure que les 42 086 cas représentent un nombre stupéfiant de cas non signalés.

D’autres  » inconnues  » significatives parsèment l’analyse de Pfizer :

  • 2990 cas où le sexe est inconnu
  • 6876 cas où l’âge est inconnu
  • 9440 cas dont l’issue est inconnue

Une autre anomalie est que, pour les issues concernant les cas, Pfizer a choisi d’inclure les personnes qui se rétablissent d’événements indésirables dans la même catégorie que celles qui sont rétablies, sous l’étiquette « rétabli/en cours de rétablissement ». Cette décision à elle seule semble discutable.

Le grand nombre de déclarations spontanées d’événements indésirables

Il est alarmant de constater que l’analyse fait état d’un tel volume d’événements indésirables, classés comme « cas graves », au cours de cette courte période, que Pfizer a dû embaucher davantage d’employés à temps plein et procéder à des changements technologiques importants pour pouvoir traiter les rapports volumineux tout en respectant les délais réglementaires. Comme indiqué dans le document :

En raison du grand nombre de déclarations spontanées d’effets indésirables reçues pour le produit, le titulaire de l’autorisation de mise sur le marché a donné la priorité au traitement des cas graves, afin de respecter les délais de déclaration réglementaire et de s’assurer que ces déclarations sont disponibles pour la détection des signaux et les activités d’évaluation. Le rapport indique ensuite comment Pfizer a traité ce grand nombre de rapports d’événements indésirables. Pfizer a également pris de nombreuses mesures pour atténuer la forte augmentation du nombre de rapports d’événements indésirables. Ces mesures comprennent des améliorations technologiques importantes, des solutions en matière de processus et de flux de travail, ainsi que l’augmentation du nombre de collègues chargés de la saisie des données et du traitement des cas. À ce jour, Pfizer a embauché b4* employés à temps plein (ETP) supplémentaires…

(*b4 est un terme expurgé)

Les 1228 décès

Dans le document généré par Pfizer, un sérieux signal d’alarme apparaît : 1228 personnes sont décédées dans les trois mois suivant la prise du vaccin, alors qu’aucun enregistrement ne rend compte du sexe des participants à l’étude qui sont décédés. Ces données, qui ont d’importantes répercussions sur la sécurité, étaient connues de Pfizer à la fin du mois de février. Pourtant, le 12 avril, le Dr Mace Rothenberg, ancien directeur médical de Pfizer, a déclaré au Washington Journal à propos de la mise au point du vaccin Pfizer : « Je peux vous dire qu’aucun détail n’a été négligé » et « aucun décès n’a été directement imputé au seul vaccin ». Ceux qui défendent la sécurité du vaccin Pfizer ont soulevé l’argument selon lequel  » la corrélation n’implique pas la causalité, c’est-à-dire que deux événements qui se produisent ensemble n’établissent pas une relation de cause à effet « .



La page 10 de l’analyse de Pfizer présente un important risque identifié d’anaphylaxie avec neuf décès signalés. Quatre de ces neuf décès sont survenus le jour même où les personnes ont été vaccinées (voir ci-dessous).

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Pfizer a souligné que ces personnes souffraient d’affections sous-jacentes, mais le fait qu’elles soient toutes les quatre décédées le jour même où elles ont reçu le vaccin suggère une causalité potentielle de décèsvaccinal.

Dans le tableau 7 des pages 16 et 17, 1403 cas d’EIAS (événement indésirable d’intérêt spécifique) cardiovasculaires ont été signalés et segmentés comme suit : Arythmie ; Insuffisance cardiaque ; Insuffisance cardiaque aiguë ; Choc cardiogénique ; Coronaropathie ; Infarctus du myocarde ; Syndrome de tachycardie orthostatique posturale ; Cardiomyopathie d’effort ; Tachycardie.

La latence d’apparition de l’événement pertinent allait de moins de 24 heures à 21 jours. Cela signifie que les événements pertinents sont survenus à n’importe quel moment entre moins de 24 heures et 21 jours après la réception du vaccin, avec une médiane de moins de 24 heures. 136 événements pertinents ont eu une issue fatale. Par conséquent, 50 % de ces événements pertinents (y compris les décès) sont survenus moins de 24 heures après l’administration du vaccin. Cela indique une fois de plus la causalité de décès vaccinal.

Pourtant, Pfizer conclut : « Cette revue des cas cumulés ne soulève pas de nouveaux problèmes de sécurité. La surveillance va se poursuivre ».

Si l’on examine la catégorie « IESA à médiation immunitaire/auto-immune », 1 050 cas ont été signalés, avec un peu plus de trois fois plus de femmes affectées que d’hommes – il y a eu 12 issues fatales. La médiane de la latence d’apparition de l’événement pertinent était inférieure à 24 heures, ce qui suggère à nouveau une causalité de décès vaccinal.

La gravité des cas

Si l’on regarde le graphique ci-dessous, on constate qu’une part importante des cas sont déclarés comme étant graves par rapport aux cas non graves, le nombre le plus élevé de cas graves se trouvant dans la catégorie « troubles généraux ». Un cas grave est un cas qui est médicalement important et qui entraîne soit une hospitalisation, soit une conséquence mettant la vie en danger, soit le décès. Il est intéressant de noter que pour les troubles cardiaques, immunitaires, vasculaires et les infections, les cas graves dominent et que pour les troubles immunitaires, tous sont classés comme graves.

graph

Les femmes étaient x3 fois plus touchées par les effets indésirables du vaccin

Dans toutes les catégories d’événements indésirables d’intérêt particulier, les femmes sont généralement trois fois plus touchées que les hommes. Toutefois, ce phénomène n’était nulle part aussi prononcé que dans le cas de l’anaphylaxie (une réaction allergique potentiellement mortelle), où les femmes étaient plus de huit fois plus touchées. Sur les 1002 cas d’anaphylaxie rapportés répondant au niveau 1-4 de la Brighton Collaboration (le niveau 1 étant le plus haut niveau de certitude diagnostique de l’anaphylaxie), 876 femmes ont été affectées contre 106 hommes. Les femmes étaient également beaucoup plus touchées par les événements cardiovasculaires ; 1076 femmes ont été signalées comme des cas contre 291 hommes. Ces données statistiquement significatives révèlent la possibilité réelle de risques liés à la sécurité des vaccins en fonction du sexe.

Pourtant, Pfizer ne commente nulle part ces données dans son analyse, mais réaffirme avec assurance que « l’examen des cas cumulés ne soulève aucun nouveau problème de sécurité ».

Les informations manquantes

Il convient également de noter que les données associées à la rubrique « Utilisation pendant la grossesse et l’allaitement » ont été on ne sait pourquoi exclues de l’analyse initiale soumise à la FDA. Dans la version modifiée, 413 cas d’effets indésirables sont signalés, dont 84 sont classés comme graves.

Les résultats des 270 grossesses ont été rapportés comme suit : avortement spontané (23), résultat en attente (5), naissance prématurée avec décès néonatal, avortement spontané avec décès intra-utérin (2 chacun), avortement spontané avec décès néonatal et résultat normal (1 chacun).

Il est alarmant que Pfizer affirme que « l’examen de ces cas d’utilisation pendant la grossesse et l’allaitement n’a fait apparaître aucun signal de sécurité ». Les données contenues dans le document fortement expurgé semblent contredire cette évaluation optimiste.

Chez les enfants de moins de 12 ans, qui à l’origine ne figuraient pas dans l’analyse de Pfizer, 34 cas ont été signalés, dont 24 ont été classés comme graves. Le fait que de jeunes enfants aient reçu le vaccin de Pfizer suscite des inquiétudes, puisque l’entreprise n’a pas reçu d’autorisation d’utilisation d’urgence pour administrer le vaccin à la population pédiatrique à ce moment-là. En outre, la fourchette d’âge a suscité une inquiétude considérable, car elle allait de 2 mois à 9 ans. Le rapport ne contient pas de données sur le nombre total d’enfants ayant reçu le vaccin. Il n’est donc pas possible de calculer les taux d’incidence pour extrapoler une analyse significative.

Un exemple de liste des IESA connus dans l’analyse cumulative de Pfizer

  • Affections hématologiques et du système lymphatique : Lymphadénopathie
  • Événements cardiovasculaires : infarctus aigu du myocarde ; Arythmie ; Insuffisance cardiaque ; Insuffisance cardiaque aiguë ; Choc cardiogénique; Maladie de l’artère coronaire; Infarctus du myocarde; Syndrome de tachycardie orthostatique posturale ; Cardiomyopathie d’effort ; Tachycardie
  • Problèmes gastro-intestinaux
  • Troubles généraux et anomalies au site d’administration
  • Infections et infestations
  • Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif : Arthralgie; Arthrite; Arthrite bactérienne; Syndrome de fatigue chronique; polyarthrite; Polyneuropathie; Syndrome de fatigue post-virale ; La polyarthrite rhumatoïde
  • Troubles du système nerveux
  • Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux : infections des voies respiratoires inférieures ; insuffisances respiratoires, infections virales des voies respiratoires inférieures; syndrome de détresse respiratoire aiguë; Intubation endotrachéale; Hypoxie ; Hémorragie pulmonaire ; Trouble respiratoire ; Syndrome respiratoire aigu sévère
  • Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • Anaphylaxie
  • Maladie augmentée associée au vaccin (VAED) comprenant la maladie respiratoire augmentée associée au vaccin (VAERD).
  • COVID-19
  • Paralysie faciale
  • Troubles à médiation immunitaire/auto-immuns
  • Neurologique (y compris la démyélinisation) : Convulsions ; Ataxie; Cataplexie ; Encéphalopathie ; Fibromyalgie ; Augmentation de la pression intracrânienne ; Méningite; Méningite aseptique ; Narcolepsie
  • Liés à la grossesse : infection de la cavité amniotique ; Césarienne; Anomalie congénitale; Décès néonatal; Éclampsie; syndrome de détresse fœtale ; Bébé de faible poids à la naissance ; Exposition maternelle pendant la grossesse ; placenta praevia; Pré-éclampsie ; Accouchement prématuré; Mortinaissance ; Rupture utérine ; Vasa praevia
  • Rénal : Lésion rénale aiguë, insuffisance rénale
  • Événements thromboemboliques : embolie et thrombose ; AVC AESI, thrombose veineuse profonde ; Coagulation intravasculaire disséminée; Embolie; Embolie veineuse ; Embolie pulmonaire

Cela vaut la peine de comparer la liste ci-dessus avec la liste ci-dessous accessible via le site Web de la FDA sous le document « fiche d’information Pfizer-BioNTech pour les destinataires et les soignants », révisée au 9 décembre 2021. Il est manifeste que de nombreux effets secondaires engageant le pronostic vital n’ont pas été inclus, même si l’analyse cumulative de Pfizer des rapports d’événements indésirables post-autorisation a été produite pour la FDA le 30 avril 2021.

https://www.sott.net/embed/37weJlnXceVeC4YeFJJybwhmLPg

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Conclusion

Bien que l’auteur s’efforce de rester aussi objectif et impartial que possible, un examen approfondi de ce seul rapport suggère que la FDA et Pfizer semblent avoir dissimulé au public toute l’étendue des effets secondaires du vaccin Pfizer-BioNTech. Si cette hypothèse est effectivement vraie, alors l’agence de réglementation « Gold Standard » et la prestigieuse multinationale pharmaceutique ont jeté par la fenêtre tout le concept de consentement éclairé.

Cela relève également du simulacre que des mois plus tard, la FDA ait traîné les pieds et ait publié cet important document de sécurité basé sur les rapports de cas d’événements indésirables en vertu de la loi FOIA. Les rapports de cas jouent un rôle important dans la pharmacovigilance. La reconnaissance du lien entre la thalidomide administrée aux mères et les malformations de leurs bébés a été déclenchée par un rapport de cas.

Ce qui serait peut-être encore plus dévastateur – et qui tournerait en dérision tout l’intérêt des systèmes de réglementation avancés censés garantir la sécurité du public – serait que si la FDA gagne le litige en cours pour retarder la publication des informations, le public doive attendre encore 75 ans pour avoir accès à toutes les données, ce qui sera alors beaucoup trop tard.

Traduction : Résistance mondiale.
Corrections : Sott.net




Malaria business : les laboratoires contre la médecine naturelle ?

[Source : La Pilule Rouge]






Ne sacrifiez pas vos enfants, ils sont l’avenir de l’Humanité

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Par Nicole Delépine

Nous ne pouvons dans un texte court relater tous les effets délétères de cette injection expérimentale et nous vous joignons ici le résumé qu’en fait le Dr Malone, inventeur infortuné de cette technique qu’il eut voulu utile à l’Homme et qui est en passe de détruire une part de l’Humanité.

Et voici la déclaration de l’inventeur de la technologie de thérapie génique que j’imagine dans l’état d’Einstein après les méfaits de sa création de fait de  la bombe atomique.

Texte intégral de la déclaration du Dr Malone(([1] « Avant que votre enfant ne soit injecté », déclaration du Dr Robert Malone sur les vaccins géniques Covid pour enfants – Anthropo-logiques))

[Vidéo : « Voulez-vous vraiment que votre enfant fasse partie de l’expérience la plus radicale de l’histoire de l’humanité? » Le plaidoyer du Dr Robert W. Malone, inventeur du vaccin ARNm (décembre 2021)]

« Je m’appelle Robert Malone, et je m’adresse à vous en tant que parent, grand-parent, médecin et scientifique. Je n’ai pas l’habitude de lire un discours préparé, mais ce sujet est si important que je voulais m’assurer que chaque mot et chaque fait scientifique étaient exacts.

Je m’appuie sur cette déclaration, ma carrière étant consacrée à la recherche et au développement de vaccins. Je suis vacciné contre le Covid et je suis généralement pro-vaccination. J’ai consacré toute ma carrière au développement de moyens sûrs et efficaces pour prévenir et traiter les maladies infectieuses.

Ensuite, je publierai le texte de cette déclaration afin que vous puissiez la partager avec vos amis et votre famille.

Avant que vous ne fassiez l’injection à votre enfant – une décision qui est irréversible – je voulais vous faire connaître les faits scientifiques concernant ce vaccin génétique, qui est basé sur la technologie du vaccin ARNm que j’ai créée.

Il y a trois points que les parents doivent comprendre :

La première est qu’un gène viral sera injecté dans les cellules de vos enfants. Ce gène oblige l’organisme de votre enfant à fabriquer des protéines Spike toxiques. Ces protéines provoquent souvent des dommages permanents dans les organes vitaux des enfants, notamment :

  •     ○ leur cerveau et leur système nerveux ;
  •     ○ leur cœur et leurs vaisseaux sanguins, y compris les caillots sanguins ;
  •     ○ leur système reproductif ;
  •     ○ ce vaccin peut en outre déclencher des modifications fondamentales dans leur système immunitaire.

Le point le plus alarmant à ce sujet est qu’une fois ces dommages survenus, ils sont irréparables.

  •     ○ Vous ne pouvez pas réparer les lésions dans leur cerveau.
  •     ○ Vous ne pouvez pas réparer les cicatrices du tissu cardiaque.
  •     ○ Vous ne pouvez pas réparer un système immunitaire génétiquement réinitialisé.
  •     ○ ce vaccin peut causer des dommages à la reproduction qui pourraient affecter les générations futures de votre famille.

La deuxième chose que vous devez savoir est le fait que cette nouvelle technologie n’a pas été testée de manière adéquate.

  •     ○ Nous avons besoin d’au moins 5 ans de tests/recherche avant de pouvoir vraiment comprendre les risques.
  •     ○ Les inconvénients et les risques des nouveaux médicaments ne sont souvent révélés que plusieurs années plus tard.

Demandez-vous si vous voulez que votre propre enfant fasse partie de l’expérience médicale la plus radicale de l’histoire de l’humanité.

Un dernier point : la raison qu’on vous donne pour faire vacciner votre enfant est un mensonge.

  •     ○ Vos enfants ne représentent aucun danger pour leurs parents ou grands-parents
  •     ○ C’est en fait le contraire. L’immunité qu’ils développent naturellement après avoir été infectés par le Covid est essentielle pour sauver votre famille, sinon le monde, de cette maladie…

En résumé, il n’y a aucun avantage pour vos enfants ou votre famille à les « vacciner » contre les faibles risques du virus, compte tenu des risques sanitaires connus du « vaccin » avec lesquels, en tant que parent, vous et vos enfants devrez peut-être vivre pour le reste de leur vie.

L’analyse des risques et des avantages est loin d’être aussi précise.

En tant que parent et grand-parent, je vous recommande de résister et de vous battre pour protéger vos enfants ».

En conclusion

1°) Très peu d’enfants sont malades  du Covid (moins de 5% des malades recensés), ils ne font que des formes légères (trois fois moins de risque de mourir que de la grippe saisonnière). ils ne peuvent pas espérer de bénéfice personnel de la vaccination.

2°) Les enfants ne constituent pas un vecteur de transmission. Les pseudo vaccins actuels ne protègent pas de la maladie et n’empêchent pas de la transmettre. On ne peut donc pas espérer que les vacciner puisse protéger les autres.

3°) les pseudo vaccins actuels, issus d’une technique jusqu’ici jamais utilisée en pathologie infectieuse humaine, sont totalement expérimentaux : les résultats des essais ne seront connus qu’en 2023. On ne connaît donc pas la totalité de leurs risques.

À court terme, ils exposent à des complications sévères, dont des myocardites. Aucun bénéfice, complications nombreuses et parfois mortelles la balance avantage risque est totalement défavorable chez l’enfant.

Cette injection diabolique l’est tellement que même un médecin de plateau comme Martin Blachier s’y oppose !

Le boom du jour : Ecoles = retour à la normale le 3 janvier 2022 – We Sign It

« Au vu des données scientifiques disponibles

– sur la circulation virale dans les différentes classes d’âge (taux de positivité supérieur chez les plus de 40 ans par rapport au moins de 12 ans),

– sur l’absence de risque de formes graves de la maladie covid19 chez les enfants de moins de 12 ans non à risque,

– de la vaccination des enseignants qui le souhaitent avec 3 doses de vaccins ARN qui protège à plus de 98%,

– de l’impact des mesures sanitaires en cours sur l’apprentissage et la qualité de développement de nos enfants (25% des hospitalisations des enfants sont en pédopsychiatrie, 22% de baisse de QI des enfants pendant la crise;

nous demandons à ce que les conditions de vie scolaire soient ramenées à la normale à partir du 3 janvier sans aucune condition vaccinale en dehors des 5% d’enfants à risque.

C’est à dire

– la fin du port du masque en classe et lors des activités extérieures,

– l’absence de toute pression vaccinale sur les enfants sans comorbidités majeures ainsi que

– la fin des évictions scolaires pour les enfants positifs au covid.

Cette pétition est lancée par Marie-Estelle Dupont psychologue clinicienne à Paris et le Dr Martin Blachier, médecin de santé publique. »

Mobilisation créée par Martin Blachier 15/12/2021 Contacter

Un gros progrès, même si on  pourrait discuter l’injection des enfants avec comorbidité etc.. mais chaque jour suffit sa peine.

Et même l’OMS : l’OMS exhorte l’Europe à ne pas vacciner les #enfants ! Si la vaccination des plus jeunes continue de faire débat à travers le continent, l’OMS a fermement tranché sur le sujet. Source : #AFP

Nicole Delépine





Le Dr Andrew Hill a reçu une subvention de 40 millions de dollars de la Fondation Gates pour publier une étude contre l’Ivermectine

[Source : ZEJournal]

Dans un aveu stupéfiant, le Dr Andrew Hill, virologue, a reconnu, lors d’un appel zoom, que la publication de son étude pourrait entraîner la mort d’au moins un demi-million de personnes.

En défendant son revirement sur l’efficacité de l’ivermectine comme traitement du COVID-19, il a évoqué sa « situation difficile » et a déclaré : « J’ai ce rôle où je suis censé produire ce document et nous sommes dans un équilibre très difficile et délicat ».

L’incident est relaté dans le best-seller du New York Times de Robert Kennedy Jr, The Real Anthony Fauci: Bill Gates, Big Pharma, and the global war on Democracy and Public Health.

[Cf. Fauci et la grande arnaque du sida]

Andrew Hill, PhD, est chercheur invité senior en pharmacologie à l’université de Liverpool. Il est également conseiller pour la Fondation Bill et Melinda Gates et la Fondation Clinton. En tant que chercheur de l’OMS chargé d’évaluer l’ivermectine, Andrew Hill a exercé une influence considérable sur les directives internationales relatives à l’utilisation de ce médicament.

Il avait déjà rédigé une analyse de l’ivermectine comme traitement du COVID-19, qui avait conclu à l’efficacité écrasante du médicament.

Le 6 janvier 2021, Hill a témoigné avec enthousiasme devant le NIH COVID-19 Treatment Guidlelines Panel en faveur de l’utilisation de l’ivermectine. Un mois plus tard, cependant, Hill s’est retrouvé dans ce qu’il décrit comme une « situation délicate ». Sous la pression de ses sponsors financiers, Hill a alors publié une étude défavorable. Ironiquement, il a utilisé les mêmes sources que dans l’étude originale. Seules les conclusions avaient changé.

Peu avant la publication, le Dr Tess Lawrie, directrice de l’Evidence-based Medicine Consultancy à Bath, en Angleterre, et l’une des plus grandes analystes de recherche médicale au monde, a contacté Hill via Zoom et a enregistré l’appel (transcription ci-dessous). Lawrie avait appris son nouveau poste et l’a contacté pour tenter de rectifier la situation.

Au cours d’un échange remarquable, Hill a admis que son étude manipulée retarderait probablement l’adoption de l’ivermectine au Royaume-Uni et aux États-Unis, mais il a déclaré qu’il espérait que cela ne retarderait l’acceptation du médicament salvateur que de « six semaines » environ, après quoi il serait prêt à soutenir son utilisation.

Hill a affirmé que le taux de mortalité à cette époque était de 15 000 personnes par jour. Avec un taux de guérison de 80 % grâce au médicament, dont Hill et Lawrie ont discuté plus tôt au cours de l’appel, le nombre de décès évitables causés par un tel délai serait stupéfiant – jusqu’à 504 000.

Lawrie n’a pas réussi à convaincre Hill qui, au lieu de rejoindre son équipe en tant qu’auteur principal, est allé de l’avant et a publié ses résultats manipulés.

Quatre jours avant la publication, Unitaid, le sponsor de Hill, a donné 40 millions de dollars à l’Université de Liverpool, l’employeur de Hill. Il s’avère qu’Unitaid était également l’un des auteurs des conclusions de l’étude de Hill.

Lors de l’appel, Lawrie a qualifié l’étude de Hill de « défectueuse », « précipitée », « mal ficelée » et de « mauvaise recherche… mauvaise recherche », ce que Hill ne semble pas avoir nié.

Au contraire, lorsqu’on le presse, il admet que son sponsor, Unitaid, est un auteur non reconnu des conclusions.

« Unitaid a son mot à dire dans les conclusions de l’article. Oui », a-t-il dit à Lawrie.

Kennedy a expliqué : « Unitaid est une organisation de plaidoyer quasi-gouvernementale financée par la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF) et plusieurs pays… pour faire pression sur les gouvernements afin qu’ils financent l’achat de médicaments auprès de multinationales pharmaceutiques » pour les distribuer en Afrique.

Il rapporte :

« Le Dr Lawrie savait que pour se déterminer sur l’ivermectine, l’OMS s’appuierait sur l’étude de Hill et une autre étude de l’Université McMaster connue sous le nom de ‘Together Trial’. McMaster était désespérément et irrémédiablement en conflit. Le NIH a donné à McMaster 1 081 541 $ en 2020 et 2021. Un groupe distinct de scientifiques de l’Université McMaster était, à l’époque, engagé dans le développement de leur propre vaccin COVID – un effort qui ne porterait jamais ses fruits si l’OMS recommandait l’ivermectine comme norme de soins. La Fondation Bill et Melinda Gates finançait l’essai massif ‘Together’ qui testait l’ivermectine, l’HCQ et d’autres médicaments potentiels contre le COVID, au Brésil et ailleurs. Les critiques ont accusé Gates et les chercheurs de McMaster d’avoir conçu cette étude pour faire échouer l’ivermectine ».

En d’autres termes, les chercheurs de McMaster, tout comme Andrew Hill, savaient qu’une évaluation positive de l’ivermectine coûterait des millions de dollars à leur université.

Dans un échange laconique, Lawrie a exposé les risques éthiques et personnels pour Hill :

Lawrie : Je souhaite vraiment, vraiment, et vous m’avez expliqué très clairement, à la fois dans ce que vous avez dit et dans votre langage corporel, que vous n’êtes pas entièrement à l’aise avec vos conclusions, et que vous êtes dans une position délicate en raison de l’influence que les gens exercent sur vous, et notamment les personnes qui vous ont payé et qui ont essentiellement écrit cette conclusion pour vous.

Hill : Vous devez comprendre que je suis dans une position difficile. J’essaie de trouver un juste milieu et c’est extrêmement difficile.

Lawrie : Oui. Un terrain d’entente. Le juste milieu n’est pas un juste milieu… Vous avez pris une position extrême en appelant à de nouveaux essais qui vont tuer des gens. Donc cela va sortir, et vous serez coupable.

Tout comme « deux semaines pour aplatir la courbe », Hill semble s’être lancé, dans l’année qui a suivi, dans une tromperie qui, à l’origine, ne devait durer que six semaines.

Kennedy rapporte que le 1er octobre 2021, « Hill a refait surface sur Twitter pour vanter sa prochaine conférence, ironiquement intitulée ‘Effets de la partialité et de la fraude médicale potentielle dans la promotion de l’ivermectine’ ».

Le Dr Pierre Kory, de la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance, a commenté : 

« Andrew gagne apparemment sa vie maintenant en accusant les médecins et les scientifiques qui soutiennent l’ivermectine de fraude médicale ».

L’acceptation réglementaire de l’ivermectine ne s’est pas faite attendre seulement six semaines. Au contraire, près d’un an plus tard, elle n’a toujours pas été approuvée par les agences sanitaires du Royaume-Uni ou des États-Unis. Au lieu de cela, l’OMS, les CDC, les NIH et la FDA ont supprimé l’utilisation du médicament.

Kory a ajouté : 

« Hill et ses partisans sont parmi les pires personnes de l’histoire de l’humanité. Ils sont responsables de la mort de millions de personnes ».

Voici la transcription de la conversation entre Lawrie et Hill :

Lawrie : Beaucoup de gens sont dans des situations délicates ; ils sont à l’hôpital, dans des unités de soins intensifs en train de mourir, et ils ont besoin de ce médicament.

Hill : Eh bien …

Lawrie : C’est ce que je ne comprends pas, vous savez, parce que vous n’êtes pas un clinicien. Vous ne voyez pas les gens mourir tous les jours. Et ce médicament prévient les décès de 80 %. Donc 80 % des personnes qui meurent aujourd’hui n’ont pas besoin de mourir parce qu’il y a l’ivermectine.

Hill : Comme je l’ai dit, il y a beaucoup d’opinions différentes à ce sujet. Comme je l’ai dit, certaines personnes ont simplement…

Lawrie : Nous examinons les données ; ce que disent les autres n’a pas d’importance. C’est nous qui sommes chargés d’examiner les données et de rassurer tout le monde sur le fait que ce traitement bon marché et efficace sauvera des vies. C’est clair. Vous n’avez pas besoin de dire, eh bien, untel ou untel dit ceci, et untel ou untel dit cela. C’est absolument clair comme de l’eau de roche. Nous pouvons sauver des vies aujourd’hui. Si nous pouvons obtenir du gouvernement qu’il achète l’ivermectine.

Hill : Eh bien, je ne pense pas que ce soit aussi simple que cela, parce que vous avez des essais …

Lawrie : C’est aussi simple que cela. Nous n’avons pas besoin d’attendre des études… nous avons suffisamment de preuves qui montrent que l’ivermectine sauve des vies, qu’elle évite les hospitalisations. Elle évite au personnel clinique de se rendre au travail tous les jours et d’être exposé. Et franchement, je suis choqué de voir que vous n’assumez pas la responsabilité de cette décision.

Et vous ne m’avez toujours pas dit qui [vous] influence ? Qui vous donne cette opinion ? Parce que vous continuez à dire que vous êtes dans une position sensible. Je comprends que vous soyez dans une position sensible, si vous êtes payé pour quelque chose et qu’on vous dit [de soutenir] un certain récit… c’est une position sensible.

Alors, vous devez décider, en quelque sorte, si vous acceptez ce paiement ? Parce qu’en fait, [vous] pouvez voir que [vos] fausses conclusions vont nuire aux gens. Vous devez donc peut-être dire : « Je ne vais pas être payé pour cela ».

Je peux voir les preuves et je vais rejoindre l’équipe Cochrane en tant que bénévole, comme tout le monde dans l’équipe Cochrane est bénévole. Personne n’est payé pour ce travail.

Hill : Je pense que fondamentalement, nous arrivons à la [même] conclusion sur le bénéfice en termes de survie. Nous trouvons tous deux un effet significatif sur la survie.

Lawrie : Non, j’évalue mes preuves. Je dis que je suis sûr de cette preuve. Je dis que je suis absolument sûr qu’il empêche les décès. Il n’y a rien d’aussi efficace que ce traitement. Quelle est votre réticence ? De qui vient cette conclusion ?

Hill se plaint à nouveau que des personnes extérieures l’influencent.

Lawrie : Vous n’arrêtez pas de faire référence à d’autres personnes. C’est comme si vous ne vous faisiez pas confiance. Si vous aviez confiance en vous, vous sauriez que vous avez fait une erreur et que vous devez la corriger car vous savez, au fond de vous, que ce traitement empêche la mort.

Hill : Eh bien, je sais, je sais pour un fait que les données en ce moment ne vont pas obtenir le médicament approuvé.

Lawrie : Mais, Andy – sachez que cela va sortir. Il apparaîtra qu’il y avait toutes ces barrières pour que la vérité soit dite au public et que les preuves soient présentées. Alors s’il vous plaît, c’est l’occasion de reconnaître [la vérité] dans votre revue, de changer vos conclusions et de vous rallier à cette revue Cochrane, qui sera définitive. Ce sera la revue qui montrera l’évidence et donnera la preuve. Tel était le consensus de la réunion de mercredi soir avec 20 experts.

Hill proteste contre le fait que les National Institutes of Health des États-Unis n’accepteront pas de recommander l’ivermectine.

Lawrie : Oui, parce que le NIH est détenu par le lobby des vaccins.

Hill : Ce n’est pas quelque chose que je connais.

Lawrie : Eh bien, tout ce que je dis, c’est que cela sent la corruption et que vous vous êtes fait avoir.

Hill : Je ne le pense pas.

Lawrie : Alors, vous n’avez aucune excuse parce que votre travail dans cette revue est défectueux. C’est précipité. Il n’est pas correctement assemblé.

Lawrie souligne que l’étude de Hill ignore une foule de résultats cliniques qui affectent les patients. Elle lui reproche d’ignorer les effets bénéfiques de l’ivermectine en prophylaxie, son effet sur la rapidité des tests de dépistage du virus, sur la nécessité d’une ventilation mécanique, sur la réduction des admissions en soins intensifs et sur d’autres résultats cliniquement significatifs.

C’est une mauvaise recherche… une mauvaise recherche. Donc, à ce stade, je ne sais pas … vous avez l’air d’un type sympa, mais je suis vraiment, vraiment inquiet pour vous.

Hill : Ok. Ouais. Je veux dire, c’est, c’est une situation difficile.

Lawrie : Non, vous pourriez être dans une situation difficile. Je ne le suis pas, parce que je n’ai pas de payeur. Je peux dire la vérité. Comment pouvez-vous délibérément essayer de tout gâcher… vous savez ?

Hill : Il ne s’agit pas de tout gâcher. Il dit que nous avons besoin, nous avons besoin d’un peu de temps pour examiner d’autres études.

Lawrie : Alors, combien de temps allez-vous laisser les gens mourir inutilement – à vous de voir ? Quel est, quel est le délai que vous avez prévu pour cela, alors ?

Hill : Eh bien, je pense… Je pense que c’est à l’OMS [Organisation mondiale de la santé] et au NIH [National Institutes of Health] et à la FDA [Food and Drug Administration] et à l’EMA [European Medicines Agency] de décider. Et ils doivent décider quand ils pensent que c’est assez.

Lawrie : Comment décident-ils ? Parce qu’il n’y a personne qui leur donne une bonne synthèse des preuves, parce que la vôtre n’est certainement pas bonne.

Hill : Eh bien, lorsque la vôtre sera publiée, ce qui ne saurait tarder… au même moment, d’autres essais produiront des résultats qui, avec un peu de chance, permettront de conclure. Et nous serons là.

Lawrie : C’est déjà fait.

Hill : Non, ce n’est pas l’avis de l’OMS et de la FDA.

Lawrie : Vous préférez risquer la vie de beaucoup de gens. Vous savez que si vous et moi étions ensemble sur ce sujet, nous pourrions présenter un front uni et nous pourrions obtenir cette chose. Nous pourrions faire en sorte que ça arrive. Nous pourrions sauver des vies ; nous pourrions empêcher [les médecins et les infirmières du service national de santé britannique] les gens d’être infectés. Nous pourrions empêcher les personnes âgées de mourir.

Ce sont des études menées dans le monde entier, dans plusieurs pays différents. Et elles disent toutes la même chose. De plus, il existe toutes sortes d’autres preuves de son efficacité. Les essais contrôlés randomisés ne sont pas forcément la panacée. Mais [même] sur la base des essais contrôlés randomisés, il est clair que l’ivermectine fonctionne. Elle prévient les décès, les dommages et améliore les résultats pour les gens…

Je vois que nous n’arrivons à rien parce que vous avez un programme, que vous le vouliez ou non, que vous l’admettiez ou non, vous avez un programme. Et l’ordre du jour est de botter en touche aussi loin que possible. Donc… nous essayons de sauver des vies. C’est ce que nous faisons.

Je suis médecin et je vais sauver autant de vies que je peux. Et je vais le faire en faisant passer le message sur l’ivermectine. Ok. Malheureusement, votre travail va nuire à cela, et vous semblez être capable de supporter le fardeau de beaucoup, beaucoup de morts, ce que je ne peux pas faire.

Lawrie demande alors à nouveau : Pouvez-vous me le dire ? J’aimerais savoir qui vous paie en tant que consultant à l’OMS ?

Hill : C’est Unitaid.

Lawrie : Très bien. Alors qui a aidé à… À qui appartiennent les conclusions de l’examen que vous avez effectué ? Qui n’est pas listé comme auteur ? Qui a réellement contribué ?

Hill : Eh bien, je veux dire, je n’ai pas vraiment envie de rentrer dans les détails, je veux dire, c’est… Unitaid…

Lawrie : Je pense que… il faut que ce soit clair. J’aimerais savoir qui, qui sont ces autres voix qui sont dans votre document et qui ne sont pas reconnues ? Est-ce qu’Unitaid a son mot à dire ? Est-ce qu’ils influencent ce que vous écrivez ?

Hill : Unitaid a son mot à dire dans les conclusions de l’article. Oui.

Lawrie : Ok. Alors, qui est dans Unitaid, alors ? Qui vous donne des avis sur vos preuves ?

Hill : Eh bien, ce sont les gens qui sont là. Je n’ai pas…

Lawrie : Donc ils ont leur mot à dire dans vos conclusions.

Hill : Oui.

Lawrie : Pourriez-vous me donner le nom d’une personne d’Unitaid à qui je pourrais parler, afin que je puisse partager mes preuves et espérer les convaincre de les comprendre ?

Hill : Oh, je vais réfléchir à qui vous proposer un nom… mais je veux dire, c’est très difficile parce que je suis, vous savez, j’ai, j’ai ce rôle où je suis censé produire ce document et nous sommes dans un équilibre très difficile, délicat…

Lawrie : Qui sont ces gens ? Qui sont ces gens qui disent ça ?

Hill : Oui… c’est un lobby très puissant…

Lawrie : Ok. Ecoutez, je pense que je vois une sorte d’impasse, parce que vous semblez avoir tout un tas d’excuses, mais, hum, vous savez, que pour, pour justifier une mauvaise pratique de recherche. Donc je suis vraiment, vraiment désolé pour ça, Andy.

Je souhaite vraiment, vraiment, et vous m’avez expliqué très clairement, à la fois dans ce que vous avez dit et dans votre langage corporel, que vous n’êtes pas tout à fait à l’aise avec vos conclusions, et que vous êtes dans une position délicate à cause de l’influence que les gens exercent sur vous, y compris les personnes qui vous ont payé et qui ont essentiellement écrit cette conclusion pour vous.

Hill : Vous devez comprendre que je suis dans une position difficile. J’essaie de trouver un juste milieu et c’est extrêmement difficile.

Lawrie : Ouais. Le juste milieu. Le juste milieu n’est pas un juste milieu… Vous avez pris une position jusqu’à l’autre extrême en demandant de nouveaux procès qui vont tuer des gens. Donc cela va sortir, et vous serez coupable.

Et je ne comprends pas pourquoi vous ne le voyez pas, parce que les preuves sont là et que vous ne vous contentez pas de les nier, mais que votre travail consiste en fait à obscurcir activement la vérité. Et cela va se savoir. Je suis donc vraiment désolé… Comme je l’ai dit, vous semblez être un type bien, mais je pense que vous avez été induit en erreur d’une certaine manière.

Hill promet qu’il fera tout ce qui est en son pouvoir pour faire approuver l’ivermectine si elle lui donne six semaines.

Hill : Eh bien, ce que j’espère, c’est que cette, cette impasse dans laquelle nous sommes ne dure pas très longtemps. Elle ne dure que quelques semaines. Et je vous garantis que je vais faire pression pour que cela dure le moins longtemps possible.

Lawrie : Alors, combien de temps pensez-vous que l’impasse va durer ? Combien de temps pensez-vous que vous serez payé pour faire durer l’impasse ?

Hill : De mon côté. Ok … Je pense que fin février, nous serons là, six semaines.

Lawrie : Combien de personnes meurent chaque jour ?

Hill : Oh, bien sûr. Je veux dire, vous savez, 15 000 personnes par jour.

Lawrie : Quinze mille personnes par jour multiplié par six semaines… parce qu’à ce rythme, tous les autres pays reçoivent de l’ivermectine, sauf le Royaume-Uni et les États-Unis, parce que le Royaume-Uni, les États-Unis et l’Europe appartiennent au lobby des vaccins.

Hill : Mon objectif est de faire approuver le médicament et de faire tout ce que je peux pour qu’il atteigne le maximum …

Lawrie : Vous ne faites pas tout ce que vous pouvez, parce que tout ce que vous pouvez impliquer de dire aux personnes qui vous paient, « Je peux voir que cela empêche les décès. Donc je ne vais plus soutenir cette conclusion, et je vais dire la vérité ».

Hill : Quoi, je dois faire mes responsabilités pour obtenir le plus de soutien possible pour que ce médicament soit approuvé le plus rapidement possible.

Lawrie : Eh bien, vous ne pouvez pas le faire approuver de la façon dont vous avez écrit cette conclusion. Vous vous êtes en fait tiré une balle dans le pied, et vous nous avez tous tiré une balle dans le pied. Tout le monde… tout le monde qui essaie de faire quelque chose de bien. Vous l’avez en fait complètement détruit.

Hill : Okay. Eh bien, c’est là que nous allons, je suppose que nous allons devoir accepter d’être différents.

Lawrie : Ouais. Eh bien, je ne sais pas comment vous faites pour dormir la nuit, honnêtement.

– Source : World Tribune (Etats-Unis)




Pascal Praud : ça ne vous étonne pas qu’à 85% de Français vaccinés nous avons le plus haut pic de contamination depuis le début de l’épidémie ? Ça devrait vous alerter, vos cerveaux devraient se mettre à fonctionner !

[Source : Business Bourse]




USA — Déjà 111 pilotes d’avion morts après le Vax !

[Source : Grand Changement 2]

Par Lance D Johnson

Les décès de pilotes américains explosent de +1750 % après l’introduction du vaxxin contre le covid-19 !

Les pilotes de ligne américains, auparavant en bonne santé, décèdent à un rythme sans précédent. Les pilotes doivent être en parfaite condition physique, mais en 2021, l’ensemble de l’industrie aérienne a conspiré contre la santé individuelle des pilotes et les a menacés de licenciement s’ils ne participaient pas à l’expérience du vaccin covid-19. En conséquence, plus de cent jeunes pilotes sont mystérieusement décédés en 2021, tandis que d’innombrables autres pilotes souffrent en silence d’événements indésirables et d’un système immunitaire affaibli. 

Un total de cent onze pilotes sont morts au cours des huit premiers mois de cette année ! Cela représente une augmentation de +1750 % par rapport à 2020, alors que le monde était censé être en pleine pandémie. Une liste des personnes décédées a été publiée dans le magazine de l’Air Line Pilot Association. En comparaison, il y a eu 6 décès de pilotes de ligne en 2020, et un seul décès en 2019. 

La recrudescence des décès de pilotes est un signal d’alarme pour tous. 

La plupart des 111 décès sont survenus après que les vaccins covid-19 ont été déployés en nombre. Comme il n’existe pas de codes médicaux pour les décès dus aux vaccins, la plupart des décès sont attribués à d’autres causes. Ces causes peuvent être liées aux preuves pathologiques à l’origine des lésions vaccinales, mais ne sont jamais codées comme telles. Les preuves pathologiques sont souvent ignorées, et les décès de jeunes hommes et femmes sont souvent qualifiés de « soudains » ou « inexpliqués » – sans aucune investigation pathologique. 

Seuls 5 décès ont été enregistrés entre janvier et mars 2021, alors que le taux de vaccination était faible. Curieusement, un total de (39) décès sont survenus en juillet et (34) en août – juste après que les gouvernements et les entreprises privées aient utilisé les mandats de vaccination pour violer la vie privée de leurs employés et les punir. Même si ces tactiques d’intimidation sont illégales, ces mandats de vaccination ont été utilisés pour effrayer les pilotes et les contraindre à se soumettre. Comme dans de nombreux domaines professionnels, les pilotes sont allés à l’encontre de leurs propres croyances et de leur situation médicale privée, acceptant la soumission. Nombreux sont ceux qui se sont pliés au mandat de vaccination parce que la discrimination était si forte, que l’égalité des chances était supprimée et que les décisions personnelles en matière de santé n’étaient pas respectées. Nombreux sont ceux qui, craignant de perdre leur emploi et leurs perspectives de carrière, ont fait la queue, espérant le meilleur tout en justifiant la tyrannie médicale.

Les problèmes mortels liés aux vaccins ont été mis de côté pendant des décennies, alors que le monde se réveille aux horreurs cachées de l’industrie. 

Les jeunes athlètes, auparavant en bonne santé, connaissent la même tendance à la mortalité que les pilotes. Goodsciencing.com a suivi plus de 300 incidents médicaux post-vaccinaux du 1er janvier au 10 décembre. Ces incidents concernent de jeunes athlètes en bonne santé qui se sont soudainement effondrés sur le terrain de jeu en 2021. Parmi ces incidents médicaux inexpliqués, 170 athlètes ont fini par mourir. Ces tendances ne sont pas surprenantes, car les données de pharmacovigilance recueillies dans le monde entier montrent que les vaccins à ARNm provoquent des inflammations cardiaques, des problèmes auto-immuns et une déplétion immunitaire, entraînant des arrêts cardiaques soudains, des dysfonctionnements neurologiques et des infections graves. CovidVaccineVictims.com conserve un mémorial pour les personnes décédées à la suite de cette expérience génétique horriblement forcée et épouvantable. 

Les problèmes liés à la vaccination ont été balayés d’un revers de main pendant des décennies, depuis que le Childhood Vaccine Injury Act de 1986 a accordé des protections juridiques aux fabricants de vaccins aux États-Unis. Bénéficiant d’une immunité juridique depuis plus de trente ans, les fabricants de vaccins se sont moqués de l’État de droit, s’exonérant de toute responsabilité juridique lorsque leurs produits nuisent aux personnes. Aujourd’hui, les fabricants de vaccins à ARNm ont conclu des contrats avec des gouvernements du monde entier afin de soustraire leurs activités à toute responsabilité judiciaire ou à un procès avec jury. Les fabricants de vaccins opèrent au-dessus des lois et continueront à s’en tirer avec un génocide si l’état de droit n’est pas rétabli. Les fabricants de vaccins à ARNm prévoient maintenant des rappels sans fin. Leur domination sur les gouvernements et leur masse monétaire sans fin leur permettront de voler, tuer et détruire en utilisant la propagande, la coercition et la force.

Les sources comprennent : 
SteveKirsch.substack.com
NaturalNews.com
NaturalNews.com
GoodScience.com
NaturalNews.com
Publications.aap.org
CovidVaccineVictims.com

Source : https://chemicalviolence.com/2021-12-13-us-pilot-deaths-increase-after-covid-vaccine-rollout.html#




Véran interdit les antibiotiques pour plusieurs pathologies… et la Covid !

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Comment interdire de se soigner contre la Covid? Ce sera donc le Doliprane, rien que le Doliprane… Véran préfère que vous creviez ! Véran a décidé de limiter l’usage de plusieurs antibiotiques largement utilisés en France à la présentation d‘un test attestant d’une angine à streptocoques. Vous vous en foutez ?

Et quand le « pass » climatique sera à son tour instauré, votre autorisation d’acheter un billet d’avion supprimée, ça vous fera réagir ? Même pas…

Au même moment, l’échec des référés auprès du Conseil d’État est un encouragement à étendre la politique de discrimination à l’encontre des non-vaccinés. Soit une majorité de Français saisit l’enjeu démocratique derrière le #Covid, soit nous deviendrons des sous-citoyens d’un pays asservi.

Sont concernés :

  • amoxicilline ;
  • cefuroxime (sous forme de céfuroxime axétil) ;
  • cefpodoxime ;
  • azithromycine ;
  • clarithromycine ;
  • josamycine.

Problème ces antibiotiques sont largement utilisés pour tous les problèmes bucco-dentaires (dent arrachée), pour toutes les pathologies ORL et pulmonaires.

Vous avez reconnu l’azithromycine efficace contre la Covid et en toute certitude contre les complications bactériennes qui accompagnent la Covid.

https://www.vidal.fr/medicaments/gammes/azithromycine-teva-30508.html

En application des dispositions de l’article R. 5132-5-1 du code de la santé publique et dans le respect des dispositions de l’article R. 5123-1 du même code, le prescripteur peut recourir à une ordonnance de dispensation conditionnelle pour la prescription de médicaments de la classe des antibiotiques dans la suspicion d’angine bactérienne à streptocoque du groupe A. La liste des principes actifs entrant dans la composition des médicaments relevant de cette situation médicale est fixée dans l’annexe au présent arrêté.
Cette ordonnance conditionne la délivrance de l’antibiotique à la réalisation d’un test oro-pharyngé d’orientation diagnostique (TROD) des angines à streptocoque beta-hémolytique du groupe A dont le résultat est positif. Cette ordonnance devient caduque dans un délai maximum de 7 jours, dont le premier jour correspond à la date de l’ordonnance.
La mention à faire figurer sur l’ordonnance, rattachée à la dénomination commune du médicament, est la suivante : « si TROD angine positif, sous 7 jours calendaires ».

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000044483134

Il n’est pas interdit de prescrire sans test, mais attention, les médecins courageux seront marqués à la culotte… Crevez, mais crevez vaccinés !

Par tous les moyens le pouvoir limite la liberté de prescrire des médecins. Le totalitarisme conduit au désespoir et le désespoir aux actes désespérés. Véran en partage la responsabilité avec Macron.




La pandémie d’euthanasie médico-économique (2/2)

Par Khider Mesloub et Robert Bibeau

La première partie de ce texte est disponible ici :
La pandémie d’euthanasie médico-économique (1/2) – les 7 du quebec

L’euthanasie sociale sous le socialisme et sous le fascisme

Curieusement, cette « euthanasie sociale » (socialiste et/ou social fasciste)  des personnes âgées et vulnérables, opérée à la faveur de la pandémie du Covid-19, a une résonnance historique avec une pratique de l’État nazi appelée l’Aktion T4, programme d’extermination de plus de 300 000 Allemands handicapés physiques et mentaux. L’Aktion T4, appelé aussi « programme d’euthanasie » est un véritable protocole d’élimination des handicapés physiques et mentaux mis en œuvre dès 1939 à la demande expresse d’Adolphe Hitler. À cet égard, ironie de l’histoire linguistique, il n’est pas inutile de relever que le terme euthanasie contient le mot nazi (euthanazi), comme l’a écrit Lionel Chrzanowski : « De l’euthanasie à l’État nazi, il n’y a que quelques lettres d’indifférence ».

L’État nazi voyait ces personnes comme une charge pour la société, n’ayant aucune utilité pour la nation (sic). Les personnes à exterminer étaient sélectionnées par les médecins et réparties en trois groupes : celles souffrant de maladie psychologique, de sénilité ou de paralysie incurable ; celles hospitalisées depuis au moins cinq ans ; et enfin celles internées comme aliénés criminels, les étrangers et celles qui étaient visées par la législation raciste nationale-socialiste. Dans l’optique des nazis, les faibles d’esprit et tuberculeux, les enfants atteints de malformations et les vieillards malades, étaient des individus improductifs, antisociaux, mais surtout un fardeau social pour le système sanitaire et financier de l’État. Ils étaient considérés comme de véritables « choses inutiles ». Aussi, l’assistance de ces personnes était un gaspillage, en particulier dans un contexte où le pays devait concentrer toutes ses énergies sur l’effort de guerre (aujourd’hui, en 2021, pour le moment la guerre est économique, et conséquemment diplomatique, juridique, politique et idéologique, mais elle ne va pas tarder à se transformer en conflagration armée généralisée, permettant de concrétiser à l’échelle mondiale le programme d’euthanasie planifié). Les arguments eugéniques et d’hygiène sociale visant la création d’une pure race germanique (aujourd’hui le système capitaliste, avec sa tentative de reconfiguration économique sur fond de destruction des secteurs obsolètes de l’économie et d’euthanasie sociale des personnes vulnérables en raison du coût de leur entretien et de leurs soins), vise à créer une nouvelle « race » (catégorie-classe sociale)  de producteurs salariés numérisés et atomisés et de consommateurs isolés -désocialisés- d’e-Commerce, autrement dit une société avec moins de grandes unités-usines concentrationnaires- de production (sources de dangers de fraternisation de la classe ouvrière) et sans commerces physiques de proximité, devenus coûteux, désuets, non rentables) se mêlaient aux exigences utilitariste, chères aux libéraux.

Il faut comprendre ici que cette stratégie de démantèlement-réorganisation (Great Reset) de la nouvelle économie politique capitaliste vise particulièrement la petite et la moyenne bourgeoisie dont l’avenir de paupérisation et de prolétarisation est tracé par les complotistes du Grand capital mondialisé. On comprend mieux que ces segments marginaux et sacrifiés de la bourgeoisie dominante montent aux crénaux  de la Résistance à l’hystérie pandémique du Covid-19.(([1] Marie-Estelle Dupont: «Les individus sont fragilisés par cette répression, ce chantage, cette manipulation médiatique» – les 7 du quebec)) Ces segments bourgeois adoptent deux tactiques différenciés. Un segment de la petite bourgeoisie se soumet au diktat des grands patrons et ordonne à la populace (plèbe) de se soumettre aux autorités « démocratiques » totalitaires, espérant ainsi sauvegarder leurs privilèges de classe en perdition. Un second segment de cette basse bourgeoisie se révolte et mène la charge contre l’évolution incontournable – inévitable – du monde de production capitaliste monopoliste, espérant ainsi entraver la marche en avant inéluctable du Grand capital moribond.(([2] Résultats de recherche pour « crise économique » – les 7 du quebec)) Peine perdue, l’histoire ne revient jamais sur ses pas… ces petits bourgeois l’apprendront de triste façon. Nous espérons qu’a la fin de leur périple ils se rallieront au prolétariat plutôt qu’au fascisme de leurs patrons.

Les gouvernements des États capitalistes de gauche et de droite

Quoi qu’il en soit, les gouvernants ne peuvent pas s’exonérer de leur responsabilité dans cette tragédie en arguant qu’ils ignoraient la menace de l’épidémie du coronavirus. Depuis plusieurs années, les scientifiques n’ont pas cessé de tirer la sonnette d’alarme. Les autorités médicales internationales (OMS) comme les États de tous les pays capitalistes étaient informés de la menace d’une épidémie liée aux coronavirus. D’autant mieux informés que le Grand capital mondialisé subventionnait des dizaines de laboratoires militaires de recherche de nouvelles armes bactériologiques de tuerie massive (virus à gain de fonctions meurtrières virales).(([3] Résultats de recherche pour « gain de fonction » – les 7 du quebec)) Or, comme on le constate dramatiquement aujourd’hui, aucune politique de santé prophylactique n’a été instituée, ni aucune thérapeutique curative n’a été expérimentée. Le scandale Ivermectine – les 7 du quebec   Les États ont délibérément ignoré les recommandations des autorités médicales en refusant de développer une véritable politique de santé prophylactique et curative.(([4] Pr Didier Raoult – Bilan scientifique suite à la terreur pandémique du COVID-19 – les 7 du quebec)) Pour des raisons de restrictions budgétaires, ils ont détruit le système de santé, notamment le secteur de prévention sanitaire tout comme les secteurs des soins de longue durée (CHSLD et EHPAD).(([5] Mourir parmi les personnes âgées emprisonnées en CHSLD ou en EHPAD! – les 7 du quebec)) Car, pour le capitalisme, les dépenses de prévention sont « improductives » – c’est-à-dire ne produisent pas de profit. Aussi, l’État, organe de planification et de rationalisation de la domination de classe, alloue-t-il un financement dérisoire à ce poste budgétaire jugé stérile en termes  de rentabilité économique et sociale.

Comment expliquer cette barbarie à visage démocratique ?

En premier lieu, comme on l’a souligné plus haut, du fait des restrictions budgétaires, responsables ces dernières années du démantèlement des hôpitaux et de la réduction des effectifs des personnels soignants (qui se poursuit encore aujourd’hui en pleine pandémie). Mais, plus globalement, cette politique sanitaire dépourvue d’humanité s’inscrit dans une « philosophie » de l’existence libérale où l’intérêt individuel prime sur les besoins primordiaux collectifs, conception particulièrement répandue parmi les classes dirigeantes cyniques, au sein des instances gouvernementales et entrepreneuriales. La mondialisation a converti l’ensemble des oligarques et larbins politiques à la logique comptable en matière de rapports sociaux. Pour cette pensée marchande vénale, l’homme n’est pas la fin de l’organisation sociale  et politique mais seulement le moyen de l’accumulation du capital, ce que nombre de Résistants appellent communément « le règne de l’argent roi » oubliant que l’argent n’est que la représentation du capital variable (salaire) et du capital constant (immobilisation et machinerie) . Enserré dans l’idéologie du culte de la performance (productivité) et de la compétition (concurrence pour les marchés) pour l’accumulation de profits et la valorisation du capital, « l’homme capitaliste » (le ploutocrate) est assujetti à des impératifs économiques supérieurs : la conquête des parts de marché, l’accroissement de la productivité, l’expansion (valorisation) de la rentabilité des capitaux, l’extension illimitée de l’économie libidinale de la jouissance personnelle et du divertissement individuel (strictement pour le profit). De là s’explique que, pour le système capitaliste, les individus ne sont dignes d’intérêt que dans la mesure où ils constituent une marchandise active, un objet dynamique capable lui-même de consommer d’autres objets qu’ils auront payés par leur travail salarié. Dès lors qu’ils perdent leur force productive génératrice de valeur et leur dynamique consommatrice, autrement dit ils vieillissent ou deviennent inaptes au travail, ils sont considérés par le capital comme des objets à charge, un coût dont il doit se décharger. Aussi, la reconnaissance de leur qualité humaine et de leur dignité sociale disparaît-elle au sein de la société capitaliste.

Corrélativement, doivent-ils se résoudre à accepter ou à commander leur disparition, leur dépérissement. Pour les gouvernants de l’État capitaliste sans coeur, les personnes âgées ne constituent qu’un amas d’objets rouillés, d’ex-moyens de production, destinés à être jetés à la casse… comme n’importe quelle autre marchandise obsolète.

En vertu de la conception de l’obsolescence programmée chère aux libéraux, à l’instar de Schumpeter, fondateur de la théorie de la «destruction créatrice», les personnes fragiles, invalides, âgées, inutiles, devenues surnuméraires, doivent ainsi abréger leur durée de vie, autrement dit se laisser mourir, du coronavirus ou de quelque maladie chronique inoculée par le système capitaliste pathogène via ses laboratoires virologiques de recherche de nouvelles armes létales. Plus exactement, c’est l’État qui se charge d’abréger leur durée de vie par leur mise à mort précipitée, au moyen de l’application de la politique d’«euthanasie sociale», dans le cadre de la conception malthusienne, cette mort volontaire, organisée par les gouvernements des riches par leur incurie volontaire, pour résoudre à leur manière scélérate la question des fonds de retraites (déficitaires et insolvables)  et du déficit de la sécurité sociale, de la démographie surnuméraire.(([6] Résultats de recherche pour « retraite » – les 7 du quebec))

Pour les puissants 20% de la population active suffiraient pour faire fonctionner l’économie mondiale

En réalité,  cette politique euthanasique s’intègre dans l’idéologie néo-malthusienne, c’est-à-dire la gestion de la démographie par l’accroissement de la mortalité, autrement dit la programmation de la dépopulation de la planète opérée actuellement par la pathologisation des populations (contamination virale, infection bactérienne, dégradation psychologique, aliénation sociale), la planification de la destruction de millions d’emplois occasionnée par la robotisation de l’industrie et la dématérialisation de l’économie (désignés sous le nom de Grand Reset), avec, comme corollaire, la paupérisation généralisée de centaines de millions de personnes privées de revenus, et, à court terme, la propagation de la famine, donc l’explosion de la mortalité. À cet égard, il est utile de rappeler que, bien avant le début de notre millénaire apocalyptique (marqué par deux profondes crises économiques en l’espace d’une décennie – 2008 et 2020 -), à la fin du siècle dernier, lors de la réunion des principaux dirigeants du monde capitaliste, tenue à Hôtel Fairmont de San Fransisco en 1995, cinq cents convives (parmi lesquels figuraient George Bush père, Margaret Thatcher, Václav Havel, Bill Gates, Ted Turner, Zbigniew Brzezinsky) avaient envisagé  que, dans la future société hautement technologique, 20% de la population active suffiraient pour faire fonctionner l’économie mondiale. En d’autres termes, 80% de la population mondiale deviendraient inemployables, donc inutiles, surnuméraires. Avec la volonté du grand capital d’accélérer actuellement la robotisation et la dématérialisation de l’économie, donc l’expulsion de millions de salariés de la production, les prévisions des puissants du monde se concrétisent. Et, par extension, le programme d’élimination des surnuméraires en voie d’exécution par les autorités étatiques, ces succursales du grand capital financier.

Cependant, une embuche imprévue se présente sur la route des convives malthusiens de l’Hôtel Fairmont. Quelle faction du Grand capital international commandera à son profit l’armée des salariés aliénés, ce 20% de population active enchaîné? En 1995 l’émergence de la super puissance chinoise (1,4 milliard d’individus solidement encadré par un gouvernement totalitaire) n’était pas encore évidente. En 2021, la superpuissance chinoise mène son expansion dans toutes les directions sous le programme des Nouvelles routes de la soie, entraînant la déroute de l’Alliance Américaine moribonde.(([7] Résultats de recherche pour « nouvelles route de la soie » – les 7 du quebec
Et débâcle américaine en Afghanistan et en Asie centrale :
Résultats de recherche pour « afghanistan » – les 7 du quebec))

Faute d’hôpitaux en cours d’élagages, larbins politiciens et technocrates bureaucratiques ont opté pour l’érection du dogme du « Vaccinisme »

Pour preuve. Pour ceux qui douteraient de l’agenda machiavélique planifié par les puissances du Grand capital, illustrée par l’euthanasie sociale (élimination d’une partie de la population surnuméraire non profitable) et économique (destruction des infrastructures devenues obsolètes du point de vue du grand capital financier, ce génocidaire des petits industriels et de l’économie productive, car les industriels, singulièrement les petits indépendants, pâtissent également des politiques euthanasiques économiques infligées par le grand capital financier), il suffit de citer la dernière étude consacrée à la baisse record de l’espérance de vie enregistrée depuis l’apparition de la pandémie, baisse occasionnée par la gestion criminelle de la crise sanitaire avec ces confinements déments.(([8] Résultats de recherche pour « confinements » – les 7 du quebec)) En effet, selon une étude publiée par l’université d’Oxford dans l’International Journal of Epidemiology, la diminution de l’espérance de vie dans 29 pays, dont les États-Unis, le Chili et 27 pays d’Europe (autrement dit les principaux pays de l’Alliance Américaine), est la plus importante de l’histoire moderne. Pour l’Europe occidentale, la diminution de l’espérance de vie est la pire depuis les années de la Seconde Guerre mondiale. Ces indices démographiques sont bien différents en Asie et en Afrique…Pourquoi ?

Pour les États-Unis, la diminution de l’espérance de vie est la pire depuis l’instauration des registres officiels démographiques en 1933, au plus fort de la Grande Dépression. L’étude d’Oxford conclut par cet avertissement sur les implications potentiellement mortelles à long terme de la pandémie (traduction, des mesures politiques et économiques meurtrières décrétées par les gouvernants, la pandémie est innocente  dans ces manigances) :

«Bien que la Covid-19 puisse être considérée comme un choc passager sur l’espérance de vie, les preuves de la morbidité potentielle à long terme due à une Covid longue et les impacts des soins retardés pour d’autres maladies, ainsi que les effets sur la santé et l’élargissement des inégalités découlant de la perturbation sociale et économique de la pandémie suggèrent que les cicatrices de la pandémie de Covid-19 sur la santé de la population pourraient être plus durables.» En d’autres termes, le taux de mortalité va considérablement augmenter, et l’espérance de vie continuer à dramatiquement baisser. Notamment du fait de la déprogrammation de nombreuses consultations et interventions chirurgicales au cours de la pandémie politiquement instrumentalisée.

Il en est ainsi du cancer. Pour prendre la situation de la France (à généraliser à l’ensemble des pays atlantistes), selon la Ligue contre le cancer, la « crise sanitaire » a freiné considérablement le dépistage. Cette négligence médicale entraînera inévitablement une explosion du nombre de décès dans les années à venir. Car, par le dépistage précoce du cancer, la chance de guérison est de 90%. Or, du fait de la défaillance de dépistage organisée depuis le début de la pandémie, on va assister à une inversion de la tendance : la mortalité liée au cancer va augmenter de manière exponentielle. En France, selon la Ligue, quasiment 100 000 cas de cancer n’ont pas été diagnostiqués en 2020, en raison des mesures restrictives de déplacement, de confinement, et, surtout, de déprogrammations ordonnées par les hôpitaux (pour cause, soi-disant de saturation de malades de Covid. Or, les hospitalisations liées au Covid n’ont représenté (comme on le souligne ci-dessous) que 2% au cours de l’année 2020. À cette défaillance de dépistage du cancer, il faut ajouter les autres pathologies chroniques létales qui n’auront pas été détectées, traitées et soignées à temps. Aussi, à court terme, faut-il s’attendre à une augmentation très importante des décès parmi ces populations atteintes désormais de maladies chroniques létales.

Une chose est sûre : la majorité des morts du Covid est décédée par manque de soins (défaillance d’unités de réanimation, de respirateurs, d’oxygénation, de traitement médicamenteux). Et les États sont responsables de cette hécatombe covidale. Car, après avoir sacrifié le système de santé sur l’autel du capital, à défaut de pouvoir mobiliser les hôpitaux moribonds, ils ont opté pour l’érection du dogme du « Vaccinisme » (croyance en le pouvoir thaumaturgique de la vaccination désormais déifiée, édifiée en exclusive méthode de soin aux dépens de la thérapeutique médicale curative conventionnelle, diabolisée et excommuniée par les médecins et scientifiques stipendiés par les Big Pharma, ces Seigneurs du grand capital, Démiurges du nouvel ordre mondial despotique) en religion médicale mercantile. Les États inféodés au grand capital en sont réduits à soigner (administrer) leurs populations à coups d’injonctions dictatoriales et d’injections vaccinales.(([9] Résultats de recherche pour « vaccin » – les 7 du quebec))

Qu’importe le moyen, l’essentiel est la disparition des « vieux », des fragiles, des surnuméraires, pour être remplacés par une nouvelle génération réifiée de producteurs et de consommateurs génétiquement modifiés, façonnés selon les normes capitalistiques du nouvel ordre économique financiarisé, numérisé, dématérialisé et, surtout, déshumanisé (au double sens du terme : un monde composé d’une humanité démographiquement réduite, et dépourvu sentimentalement et spirituellement de toute humanité).

La propagation mondiale de cette doctrine capitaliste utilitariste a infecté toutes les classes dirigeantes, pour qui l’avoir ($$$) a remplacé l’être, la quantité a effacé la qualité, l’esprit marchand a englouti les valeurs morales. Aussi, dressés comme des machines à commander, accoutumés à observer la vie uniquement par le prisme de la quantité, des statistiques, des courbes et des nombres, les technocrates modernistes (fascistes) sont-ils dépourvus de toute empathie, incapables d’évaluer l’impact inhumain de leurs décisions. Avec leur logique comptable, leur cerveau en forme de calculette, la vie devient une abstraction, la société une irréalité, les rapports humains sont réifiés, la gouvernance chosifiée. Nous avons affaire à de véritables pervers narcissiques et psychopathes, des êtres dépourvus d’affects, de sensibilité, d’humanité… N’est-ce pas l’exact définition du fascisme et du social-fascisme ?(([10] Marie-Estelle Dupont: «Les individus sont fragilisés par cette répression, ce chantage, cette manipulation médiatique» – les 7 du quebec 
et fascisme : Résultats de recherche pour « fascisme » – les 7 du quebec))

Les gouvernants contaminés par le virus de la doctrine capitaliste utilitariste

  Pour escamoter leur incompétence, ils se dissimulent derrière les courbes statistiques, les chiffres comptables. Leur reproche-t-on la réduction des lits d’hôpitaux, les technocrates sous-fifres des politiciens vassaux des ploutocrates milliardaires s’abriteront derrière les restrictions budgétaires. Leur reproche-t-on la défaillance des équipements médicaux (masques, tests, respirateurs, lits de réanimation), ils brandiront, dans un langage technique abscons, l’argument spécieux de « la conformité aux règles comptables exigées par les instances économiques supranationales garantes d’une gestion optimale en matière de sécurité établie selon les normes de fonctionnement en flux tendu en cours dans toutes instances gouvernementales » (sic). Leur présentera-t-on un tableau dramatique du nombre de femmes et d’hommes morts du fait du Covid-19 ou d’autres maladies, ils ne verraient qu’abstraction chiffrée et non une réalité humaine décimée.

Ironie de l’histoire, en plein XXIème siècle, à l’ère de la domination triomphale de la science et de la technologie, les classes dirigeantes décadentes, pour lutter contre un banal virus grippal, auront employé trois moyens mortellement incongrus : le confinement-isolement  dément ayant entraîné la mort de million de pauvres en pays émergents; l’euthanasie déguisée en compassion pour les vieux et les vulnérables;  et la vaccination expérimentale avec des médicaments non validés-alambiqués et testés sur des milliards de cobayes anthropoïdes contraints.

En effet, au lieu de soigner la maladie, sous forme thérapeutique médicale curative conventionnelle (totalement proscrite par les autorités gouvernementales), les médecins (tels des marabouts prescrivant des potions magiques pour guérir les maux de leurs clients en détresse, moyennant paiement de sommes souvent colossales), sous la pression des États soumis aux firmes pharmaceutiques, auront été assignés au rôle de prometteur de la vaccination. Autrement dit, usant de formules incantatoires vaccinales en guise d’argumentation scientifique, il se seront bornés d’orienter les patients vers les vaccinodromes, à déléguer leur pouvoir soignant aux vaccins, cet élixir pharmacologique, dernière potion médica-menteuse génique aux vertus magiques, inventée par les laboratoires des Big Pharma. Ainsi, les médecins auront démissionné de leur fonction soignante, décidant de ne plus soigner. Autant par lâcheté que par esprit de vénalité, ils auront trahi leur serment d’Hippocrate. (Pourtant, dans les études de médecine les étudiants apprennent que la vaccination ne doit jamais être employée pendant une période épidémique.)

Or, une maladie, ça se soigne. La maladie ne se vaccine pas. Sinon, autant supprimer la médecine pour octroyer le pouvoir thérapeutique médicale à la seule vaccination, autrement dit aux laboratoires pharmaceutiques, ces nouveaux thaumaturges de la médecine. Une vaccination, c’est un simple additif aux soins. C’est d’autant plus un additif dès lors qu’il s’agit d’un véritable vaccin. Or, ce n’est pas le cas avec les nouveaux produits géniques ARN-m commercialisés pourtant encore en phase d’essai clinique, c’est-à-dire expérimentale.

Par ailleurs, selon les gouvernants la surmortalité enregistrée au cours de l’année 2020 serait imputable à la saturation des hôpitaux, autrement dit aux admissions massives de malades dans les établissements de soin débordés. De même, selon le gouvernement Macron (c’est le même argument excipé par tous les États atlantistes), les mesures restrictives, tout comme les confinements, avaient été décrétées car les hôpitaux étaient saturés par les admissions ininterrompues de patients atteints de Covid. Donc, selon les gouvernants, c’est pour éviter une surmortalité incontrôlable dans les hôpitaux saturés de patients de Covid que les États avaient décidé d’instaurer les confinements, restreindre les déplacements, fermer les établissements accueillant le public, pour éviter également la propagation accélérée du virus.

Or, aujourd’hui, à lire le dernier rapport publié par l’ATIH (Agence technique de l’information sur l’hospitalisation), consacré aux hospitalisations en France, notamment aux causes des admissions hospitalières des patients, on apprend que les hôpitaux français n’ont accueilli au cours de l’année 2020 à peine 2% de malades liés au Covid. Dès l’introduction, le rapport écrit : « au cours de l’année 2020, les patients Covid représentaient 2% de l’ensemble des patients hospitalisés, tous champs hospitaliers confondus ». Ainsi, par ce rapport officiel, on découvre que, durant l’année 2020, au plus fort de la pandémie ayant prétendument saturé les hôpitaux, seulement 2% des malades hospitalisés étaient des patients Covid. Autant dire, Rien. Alors que les gouvernants et leurs médias stipendiés par les Big Pharma n’avaient cessé de déclarer que les hôpitaux étaient saturés, débordés par les admissions incontrôlables de malades de Covid, au point de ne plus pouvoir soigner les autres maladies (pour accréditer cette narration gouvernementale mystificatrice, de nombreuses consultations et interventions chirurgicales avaient été annulées par les hôpitaux, mettant ainsi en péril la vie de ces vrais malades sacrifiés sur l’autel de l’imposture sanitaire covidale). Au point d’organiser également, dans une mise en scène médiatiquement orchestrée, des transferts de malades vers d’autres régions aux hôpitaux prétendument moins saturés, voire vers l’étranger, notamment l’Allemagne, pour accréditer le scénario de la saturation des hôpitaux nationaux. Il ne faut pas oublier que cette imposture sanitaire gouvernementale a occasionné des mois de confinement avec les dommages collatéraux financiers, sociaux et psychologiques dramatiques. À analyser uniquement la situation de la France, le coût financier est estimé à 200 milliards d’euros juste pour l’année 2020 (d’ici la fin 2021, l’imposture sanitaire aura coûté 424 milliards d’euros), des millions de salariés mis en chômage partiel ou définitif (donc avec perte de revenus), des milliers de petits entrepreneurs acculés à la faillite, des millions de personnes précipitées dans la paupérisation, plongées dans la dépression (35% des jeunes avaient déclaré avoir des idées suicidaires du fait des confinements et des restrictions, des millions d’élèves avaient subi des retards scolaires, développé des phobies scolaires du fait notamment du port du masque en cours et des multiples mesures restrictives).


Nota bene : Pour ceux qui souhaiteraient être éclairés sur les réelles intentions des gouvernants, animés depuis des années par le projet de la mise en œuvre de l’Euthanasie sociale et économique, voici ce qu’écrivait déjà en 1981 un de leurs serviteurs et fidèles conseillers, Jacques Attali. En effet, dans le livre « l’Avenir de la Vie » (Segher éd.), publié par Michel Salomon, Jacques Attali déclarait : (…) « dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte alors cher à la société.

D’où je crois que dans la logique même de la société industrielle, l’objectif ne va plus être d’allonger l’espérance de vie, mais de faire en sorte qu’à l’intérieur même d’une durée de vie déterminée, l’homme vive le mieux possible mais de telle sorte que les dépenses de santé seront les plus réduites possible en termes de coûts pour la collectivité ». Quelques lignes plus loin, il déclarait : « en effet, du point de vue de la société, il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement ». (…). « On pourrait accepter l’idée d’allongement de l’espérance de vie à condition de rendre les vieux solvables et de créer ainsi un marché. Je crois que dans la logique même du système industriel dans lequel nous nous trouvons, l’allongement de la durée de la vie n’est plus un objectif souhaité par la logique du pouvoir ». (…) « L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures ». (…) « Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. Je pense donc que l’euthanasie, qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future », préconisait-il. (…)

« La production de consommateurs et leurs entretiens coûtent cher, plus cher encore que la production de marchandises elles-mêmes. Les hommes sont produits par des services qu’ils se rendent les uns aux autres, en particulier dans le domaine de la santé, dont la productivité économique n’augmente pas très vite. ». « La productivité de la production de machines, augmente plus rapidement que la productivité relative de la production de consommateurs. Cette contradiction sera levée par une transformation du système de santé et d’éducation vers leur marchandisation et leur industrialisation. ». Ainsi, pour les puissants, l’euthanasie sociale et économique constitue une variable d’ajustement économique censée réduire les coûts d’entretien de personnes « improductives », « inutiles » à la société.

Khider Mesloub 





Quand l’ARN messager était interdit à cause de nombreux cancers chez les enfants

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Vacciner les enfants à l’ARN messager, quelle bonne idée lancée par Jean Castex ! Ce n’est pas comme si cette technique sentait le soufre, et avait déjà suscité des controverses scientifiques tragiques il y a une quinzaine d’années… En effet, c’est une technique proche, celle des thérapies géniques, qui fonctionne à partir de fragments d’ARN, qu’avait utilisée le professeur Alain Fischer, devenu le Mr Vaccin du gouvernement, pour soigner les « bébé-bulles ». Les expérimentations avaient été arrêtées à cause des cas de cancers que la technologie développait chez les enfants, plusieurs mois après le traitement.

Jean Castex vient d’expliquer que vacciner les enfants à l’ARN messager était une “nécessité”. Le Premier Ministre nous donne l’occasion de redire quelques mots sur le manque de recul que constituerait une pareille décision, qui se prendrait au mépris du principe de précaution.

Vacciner les enfants à l’ARN messager ? Mais pour protéger qui ?

Redisons-le, une fois de plus, l’analyse bénéfice-risque de la vaccination des enfants… n’est certainement pas à l’avantage des enfants, puisque ceux-ci ne meurent pas du coronavirus. En revanche, ils peuvent contracter de très lourds effets secondaires avec le vaccin. 

Vacciner les enfants se justifie donc pour protéger les adultes, mais certainement pas les enfants eux-mêmes. C’est une logique purement sacrificielle qui dicte cette orientation du Premier Ministre. 

L’intéressé ne s’en cache d’ailleurs pas :

“Ce sont des transmetteurs, j’en suis l’exemple vivant, a déclaré le Premier ministre. C’est ma fille de 11 ans qui m’a donné le virus il y a quelques semaines. J’étais vacciné, donc je n’ai eu qu’une forme extrêmement légère, mais voilà. Donc oui, la vaccination des enfants est une nécessité.”

On ne vaccine donc pas les enfants pour protéger les enfants, mais pour protéger les adultes. 

Le précédent des bébé-bulles

Or, l’utilisation de séquences d’ARN sur des enfants a déjà été testée dans le passé, avec des résultats tragiques, bien connus du Monsieur Vaccin du gouvernement, Alain Fischer. Nous avons déjà évoqué ce sujet dans nos colonnes

Comme le relatait de façon très synthétique mais très éclairante Sciences & Avenir en 2014, de nombreux enfants traités avec des séquences d’ADN et des vecteurs viraux sont morts plusieurs mois après leur traitement, sous la houlette du professeur Fischer. Dans notre précédent article sur le sujet, nous donnes une série de liens sur la question, et nous rappelons que le docteur Fauci, aux USA, a ensuite prétendu sécuriser la technique en ciblant mieux son action sur les lymphocytes B. 

Il n’en reste pas moins que l’injection d’ARN messager chez les enfants manque de recul aujourd’hui, et que les effets secondaires se mesurent sur plusieurs mois, voire plusieurs années, et non sur quelques semaines. 

Une violation caractérisée du principe de précaution

Le propos n’est donc pas d’expliquer que, par principe, un vaccin à ARN messager déclenche des cancers en masse chez les enfants. Il est de dire qu’aujourd’hui nous manquons de recul pour estimer la masse des effets secondaires graves, voire létaux, que cette technologie peut produire chez des enfants, qui ne tireront par ailleurs aucun bénéfice direct de ce vaccin. Autrement dit, il est urgent de mesurer dans la durée le bénéfice-risque de ce vaccin. 

Il s’agit d’une simple application du principe de précaution à la santé de nos enfants. 




Troubles du spectre autistique : guide de sécurité en ligne

[Source : wizcase.com]

Par John Bennet

Des personnes de tous horizons et de toutes origines peuvent être victimes du harcèlement en ligne et de la cybercriminalité. Toutefois, des études ont révélé que les personnes atteintes de troubles du spectre autistique (TSA) sont plus exposées que les autres aux menaces en ligne.

Les TSA sont un trouble du développement qui affecte le comportement et la communication. Les personnes atteintes de troubles du spectre autistique mènent une vie relativement normale, mais peuvent avoir besoin de supervision et manquer de discernement – un trait identifié comme dangereux lorsqu’elles sont livrées à elles-mêmes dans le cyberespace.

Les enfants et adultes atteints de TSA ne sont pas seulement vulnérables vis-à-vis des autres. En effet, ils sont également susceptibles de développer des habitudes compulsives en ligne et dépendances à Internet, et d’être davantage affectés par l’exposition à un contenu inapproprié.

Tout le monde devrait se sentir en sécurité en ligne. Il est donc extrêmement important de vous assurer que votre sécurité en ligne est adéquate, et de faire constamment preuve de vigilance sur Internet.

Pour vous aider à naviguer facilement et à limiter votre vulnérabilité aux attaques, jetez un œil à notre Guide de sécurité Internet pour les personnes atteintes de TSA. (Partager sur Facebook)

Sommaire :

  • 01 Le harcèlement en ligne
  • 02 Comprend le contexte des messages en ligne
  • 03 Devenir la victime d’une arnaque, d’une manipulation ou d’un piratage
  • 04 L’exposition à du contenu inapproprié
  • 05 La surcharge sensorielle sur Internet
  • 06 La dépendance à Internet
  • 07 Comment vous protéger sur les réseaux sociaux populaires ?
  • 08 Les rencontres en ligne et les TSA
  • 09 Comment savoir si quelqu’un est vraiment la personne qu’il prétend être ?
  • 10 Les indicateurs de dangers potentiels en ligne
  • 11 Astuces pour améliorer la sécurité de vos enfants sur Internet
  • 12 Conclusion

Problèmes en ligne courants

De nombreuses menaces pèsent constamment sur le cyberespace. Familiarisez-vous avec, et faites preuve d’une vigilance extrême. Nous vous conseillons vivement de disposer d’un plan d’action. Vous trouverez ci-dessous les problèmes en ligne les plus courants auxquels se heurtent les personnes atteintes de TSA, ainsi que des conseils pour vous aider à maîtriser la situation.

1 Le harcèlement en ligne

Le harcèlement en ligne, ou cyber-intimidation, est une tendance de plus en plus courante sur Internet, et qui touche particulièrement les enfants et personnes atteintes de TSA. Les harceleurs utilisent des plates-formes numériques, telles que des réseaux sociaux ou forums de chat sur Internet, pour harceler et intimider leurs victimes. Parfois, ce harcèlement peut dégénérer en menaces et harcèlement dans le monde réel. N’importe qui peut être la cible du harcèlement en ligne, quel que soit son âge, son origine ou son mode de vie.

Selon le Journal de la recherche en santé mentale sur les déficiences intellectuelles (Journal of Mental Health Research in Intellectual Disabilities), les personnes présentant une déficience intellectuelle ou développementale sont plus exposées aux risques de harcèlement en ligne. L’alliance anti-harcèlement a également révélé que les personnes handicapées étaient plus susceptibles d’être victimes de harcèlement en ligne.

Des efforts supplémentaires sont déployés afin de comprendre le phénomène et contribuer à créer un environnement en ligne plus sûr. Toutefois, le harcèlement en ligne n’est pas toujours facile à reconnaître.

Il est parfois difficile de transmettre le même niveau de signification et de contexte à l’écrit qu’à l’oral. Pour cette raison, il n’est pas toujours évident de savoir si une personne essaye de harceler de manière intentionnelle, ou s’il s’agit d’un malentendu. Cependant, si quelqu’un vous envoie des messages abusifs, ou tente de vous intimider ou de vous faire honte en ligne, il est fort probable qu’il s’agisse de harcèlement en ligne.

Les effets du harcèlement en ligne à long terme

Le harcèlement peut affecter votre estime de soi et/ou votre santé mentale. Le harcèlement continu est susceptible de vous pousser à vous isoler, limitant vos interactions avec vos amis et proches. Si rien n’est fait, le harcèlement en ligne peut avoir un impact profond et durable.

Même si cela semble effrayant, cela ne devrait pas vous empêcher d’explorer en ligne et de vous faire des amis via Internet.

Les différents types de harcèlement en ligne

Le harcèlement en ligne présente de nombreuses facettes. Sa forme la plus fréquente est l’envoi de messages abusifs par e-mail, SMS et chat. Toutefois, les harceleurs en lignes peuvent vous atteindre de nombreuses autres manières.

Infographie sur les différents types de cyberintimidation

Le harcèlement en ligne peut également se manifester sous les formes suivantes :

  • Une personne qui propage des rumeurs sur vous en ligne, auprès de vos amis ou même d’inconnus
  • Quelqu’un qui publie des statuts et commentaires dans l’intention de vous humilier ou d’altérer la façon dont les autres vous perçoivent.
  • Des menaces à votre intention adressée via les réseaux sociaux et d’autres moyens de communication en ligne
  • Quelqu’un qui utilise son profil en ligne pour partager des informations, vidéos ou photos de vous sans votre consentement ou après leur avoir demandé d’arrêter.
  • Une personne qui utilise vos profils et informations en ligne pour vous harceler en ligne et/ou dans la vie réelle.
  • Quelqu’un qui pirate vos comptes en ligne ou se fait passer pour vous avec l’intention d’utiliser votre nom et votre réputation pour propager du contenu inapproprié ou préjudiciable. Cette pratique est connue sous le nom de « fraping ».

Comment prévenir le harcèlement en ligne ?

Des recherches récentes indiquent que le harcèlement en ligne a tendance à se produire lorsque certains facteurs de risque ne sont pas évités. Bien qu’il soit difficile de mettre fin au harcèlement en ligne, vous pouvez prendre des mesures pour éviter de devenir une victime.

La première étape consiste à modifier les paramètres de vos comptes de réseaux sociaux afin que vos profils soient uniquement accessibles aux personnes que vous connaissez et en qui vous avez confiance. Les harceleurs en ligne sont opportunistes par nature, et vous êtes donc davantage exposé au harcèlement en ligne si des inconnus peuvent facilement vous contacter.

De même, vous devriez toujours éviter d’ouvrir des messages ou d’accepter les demandes d’amis de personnes que vous ne connaissez pas. La possibilité de se cacher derrière un écran d’ordinateur pour attaquer quelqu’un protège souvent les harceleurs en ligne des conséquences concrètes de leurs actes. Ils s’en prennent donc à une personne qui n’appartient pas à leur cercle social, ou qu’ils ne connaissent pas.

Que faire si vous êtes victime de cyberintimidation
  • Sécurisez vos comptes de réseaux sociaux. Définissez vos niveaux de sécurité sur « amis uniquement » afin que les inconnus ne puissent pas voir votre profil ni vous envoyer de messages.
  • Ne publiez pas d’informations personnelles en ligne. Ne publiez jamais d’informations telles que votre localisation, votre adresse, votre numéro de téléphone, votre école ou votre lieu de travail. Cela contribuera à prévenir le harcèlement en ligne, et empêchera les harceleurs de vous contacter face à face ou par téléphone.
  • Si quelqu’un vous envoie des messages abusifs, ne mordez pas à l’hameçon. L’objectif principal de la plupart des harceleurs est d’obtenir une réaction de leur cible. Si vous répondez, cela risque de les inciter à continuer. Par conséquent, mieux vaut s’abstenir de leur donner ce qu’ils veulent. En l’absence de réponse, la plupart des harceleurs abandonneront et vous laisseront tranquille.
  • Signalez-les. Si quelqu’un vous harcèle ou s’en prend à une personne de votre entourage, signalez-le à l’équipe d’assistance de la plateforme. Un membre du personnel examinera le contenu et décidera de le supprimer ou de le laisser. Dans des cas plus graves, la plateforme peut même prendre des mesures contre le harceleur en le bloquant ou en lui interdisant l’accès.
  • Bloquez le harceleur. Bloquer quelqu’un l’empêchera d’accéder à votre profil et de vous contacter dans le futur.
  • Parlez-en. Informez un ami de confiance ou un proche de la situation. Il pourra peut-être vous aider ou vous prodiguer des conseils utiles.

2 Comprendre le contexte des messages en ligne

Les malentendus en ligne

Il est possible de mal interpréter une situation lorsque vous communiquez avec quelqu’un par Internet. Vous pouvez facilement passer à côté du contexte ou du sens du commentaire d’une personne en l’absence d’indices sociaux, ce qui peut faire dévier la discussion en ligne, voire même provoquer un conflit.

Avoid Miscommunication online

Voici les meilleures pratiques pour éviter les malentendus en ligne :

  • N’oubliez pas que tout ce que vous lisez en ligne n’est pas vrai, et que toutes les personnes auxquelles vous parlez ne sont pas honnêtes.
  • Si quelque chose n’est pas clair, demandez à la personne de clarifier ce qu’elle veut dire avant de partager votre opinion.
  • Utilisez des sources fiables pour vérifier les faits et informations afin d’éviter de partager des informations inexactes.
  • Souvenez-vous de faire preuve de politesse et de calme, même lorsque vous êtes certain que quelqu’un a tort ou vous manque de respect.
  • Contactez les administrateurs et modérateurs des groupes et forums pour assurer la médiation des discussions en ligne en cas de malaise ou de conflit.

Certains forums en ligne comme Talk About Autism, sont spécialement conçus pour permettre aux personnes atteintes de TSA de discuter et se faire des amis. La plupart de ces forums ont des modérateurs qui suivent les discussions et sont formés pour offrir une médiation en cas de malentendu.

12 astuces pour mieux communiquer sur les réseaux sociaux et en ligne

L’utilisation des réseaux sociaux présente de nombreux avantages, en particulier pour les personnes atteintes de troubles du spectre autistique, qui peuvent avoir des difficultés à interagir avec les autres. Toutefois, le fait de publier toutes vos informations sur les réseaux sociaux s’accompagne souvent d’inconvénients. Voici 12 astuces pour vous aider à mieux communiquer en ligne et minimiser le risque de malentendu.

Capture d'écran des moyens d'améliorer les médias sociaux et la communication en ligne
  1. N’ajoutez jamais votre patron, enseignant ou superviseur sur les réseaux sociaux. Si vous êtes amis en ligne, ils pourront voir le contenu de votre profil, ce qui pourrait donner lieu à des interprétations erronées de votre personnalité. Si leur opinion sur vous est affectée par ce qu’ils voient, cela pourrait vous empêcher d’obtenir une promotion.
  2. Ne publiez jamais de commentaires en ligne concernant votre entreprise, en particulier si vous vous plaignez. Cela peut vous sembler innocent, mais pourrait vous coûter votre emploi si votre patron ou vos collègues en avaient vent. En outre, la plupart des entreprises interdisent désormais les publications concernant le travail sur les réseaux sociaux.
  3. Évitez de publier du contenu qui pourrait fausser l’avis des autres sur vous, par exemple des coups de colère. Les employeurs potentiels consultent généralement vos profils en ligne et peuvent fonder leur opinion sur ce qu’ils voient, même si cela ne représente pas vraiment votre personnalité.
  4. Donnez toujours rendez-vous à vos nouveaux amis en ligne pendant la journée et dans un lieu public. Informez toujours quelqu’un du lieu de rendez-vous, de la personne que vous rencontrez et de tout changement de lieu. Pour une rencontre encore plus sûre, vous pouvez demander à un ami de confiance ou un proche de vous accompagner. Évitez les endroits isolés, et n’allez jamais chez la personne. Si quelque chose vous semble louche, n’hésitez pas à partir.
  5. Protégez vos mots de passe et évitez de pirater les comptes ou sites Web d’autres personnes, même si vous en avez la possibilité. Les personnes atteintes de TSA se retrouvent souvent victimes d’une personne manipulatrice qui leur demande d’enfreindre la loi ou de pirater un ordinateur, ce qui est illégal.
  6. Ne croyez pas tout ce que vous lisez en ligne, en particulier sur les réseaux sociaux. De nombreux utilisateurs propagent de fausses nouvelles et informations sur Internet, et ont tendance à exagérer pour que leur vie semble parfaite.
  7. Ne comparez pas votre vie à celle des autres sur les réseaux sociaux. Souvenez-vous que vous voyez uniquement les moments forts de leur vie, et non leurs activités quotidiennes.
  8. Faites toujours preuve de politesse dans votre discours en ligne et évitez les conflits, même lorsque vous estimez que l’autre personne a tort.
  9. N’oubliez pas que la plupart des internautes considèrent que les majuscules sont l’équivalent numérique de crier. Dans cette optique, l’utilisation de majuscules peut être perçue comme impolie.
  10. Vous pouvez utiliser des émoticônes, ou emojis, pour mieux exprimer le contexte et le sens de vos mots. Par 5La surcharge sensorielle sur Internetexemple, l’ajout d’un smiley souriant à la fin d’une phrase montrera que vous êtes de bonne humeur ou sympathique.
  11. Si quelqu’un vous met mal à l’aise ou en danger, mettez fin à la situation et bloquez-le.
  12. N’envoyez jamais de photos explicites de vous-même, et ne transmettez jamais des photos de quelqu’un d’autre. Si vous partagez des photos sans consentement ou d’un mineur, vous enfreignez la loi et vous vous exposez à des poursuites judiciaires.

3 Devenir la victime d’une arnaque, d’une manipulation ou d’un piratage

Les arnaqueurs et hackers font malheureusement partie du quotidien en ligne. En termes simples, certaines personnes ont de mauvaises intentions et souhaitent manipuler les autres à leur avantage.

Ils feront semblant de vouloir devenir votre ami, voire même un compagnon sentimental potentiel. Ils mettront tout en œuvre pour établir une relation afin de gagner votre confiance, puis de vous arnaquer !

Les arnaqueurs, hackers et cybercriminels peuvent avoir différents motifs. Par exemple, ils peuvent essayer de vous convaincre de leur envoyer de l’argent ou de commettre un crime à leur place.

Ils peuvent également essayer d’obtenir vos informations personnelles, par exemple les informations de votre passeport, afin d’usurper votre identité ou de se faire passer pour vous en ligne.

Les meilleures pratiques pour éviter les arnaques et la manipulation

  • Ne communiquez à personne vos informations personnelles telles que votre adresse, votre numéro de téléphone ou votre numéro de carte d’identité.
  • Ne divulguez jamais vos informations bancaires ou de carte de crédit en ligne. N’oubliez pas que des arnaqueurs peuvent vous contacter en se faisant passer pour votre banque. Votre banque ne vous contactera jamais pour vous demander des informations personnelles et confidentielles.
  • Ne communiquez à personne votre lieu de travail ou d’études, ou celui de vos amis et proches.
  • Pensez à utiliser un pseudonyme au lieu de votre vrai nom. De nombreuses personnes utilisent leur premier et deuxième prénom ou s’inventent un nouveau nom.
  • Faites preuve de prudence lorsque vous acceptez de rencontrer des personnes que vous avez connues en ligne.
  • N’envoyez jamais d’argent à quelqu’un que vous avez rencontré en ligne. Si quelqu’un vous demande de lui envoyer de l’argent, il essaye probablement de vous arnaquer.
  • Ne cliquez jamais sur des liens vers des sites Web que vous ne reconnaissez pas, car ils risquent de vous amener sur un site susceptible de compromettre la sécurité de votre ordinateur.

Si vous pensez avoir été victime d’une arnaque, contactez immédiatement votre banque et l’organisme local chargé de l’application de la loi.

Play it Safe (ne prenez pas de risques)

Le Centre sur l’enseignement secondaire pour les élèves atteints de troubles du spectre autistique (Center on Secondary Education for Students with Autism Spectrum Disorder) a créé un acronyme facile à retenir pour rester en sécurité en ligne : Play it Safe, qui signifie « Ne prenez pas de risques » en anglais.

JOUEZ EN SÉCURITÉ avec ASD

Personal information (Informations personnelles) : Ne partagez jamais vos informations personnelles en ligne.

Let a friend or family member know if someone has asked you for this information, or if you don‘t feel safe (Informez un ami ou proche si une personne vous a demandé ces informations ou si vous ne vous sentez pas en sécurité).

Attachments (Pièces jointes) : Souvenez-vous que les pièces jointes peuvent contenir des malware susceptibles d’endommager votre ordinateur et de recueillir des informations confidentielles. Ne les ouvrez pas, sauf s’il s’agit d’un fichier que vous attendiez de quelqu’un en qui vous avez confiance.

Your feelings are important (Vos sentiments sont importants) : Si quelque chose vous met mal à l’aise ou en danger, mettez fin à votre activité et informez quelqu’un.

Information : N’oubliez pas que tout ce que vous lisez en ligne n’est pas vrai.

Take breaks from your computer often to socialize, stretch, and give your eyes a rest (Faites régulièrement des pauses pour interagir avec d’autres personnes, vous étirer et reposer vos yeux).

Spend your money safely. (Dépensez votre argent prudemment) : N’achetez rien dans des boutiques ou en suivant des liens inconnus, et n’envoyez jamais d’argent.

Act politely and don‘t say things online that you wouldn‘t say in real life. (Faites preuve de politesse et ne dites pas en ligne des choses que vous ne diriez pas dans la vie réelle.)

Friends online should stay online (Les amis en ligne doivent le rester) : Si quelqu’un souhaite vous rencontrer, refusez.

Enjoy yourself and have fun! (Amusez-vous !)

4 L’exposition à du contenu inapproprié

Certes, le Web offre une incroyable richesse de contenu passionnant et instructif. Malheureusement, il s’accompagne de la même profusion de contenu inapproprié et préjudiciable. Vous risquez en effet de tomber sur des images violentes ou pornographiques, ainsi que du contenu illégal que la plupart des gens préfèrent éviter. L’accès à des choses telles que la pornographie infantile, même par mégarde, peut avoir des conséquences juridiques désastreuses. Vous devez donc vous protéger.

Outils de blocage du contenu inapproprié

1. SafeSearch :

La fonctionnalité SafeSearch de Google bloque le contenu explicite dans vos résultats de recherche Google. Bien qu’elle ne soit pas toujours précise à 100%, elle vous permet de filtrer des éléments tels que la pornographie et les images explicites lorsque vous naviguez sur Google, que ce soit sur votre tablette, votre téléphone ou votre ordinateur.

Configuration de SafeSearch :

Cliquez sur le bouton « paramètres » de votre page d’accueil Google, puis accédez aux paramètres de recherche. Sous Filtres SafeSearch, cochez la case à côté de l’option « Activer SafeSearch » et assurez-vous de cliquer sur Enregistrer avant de quitter.

Vous pouvez consulter le guide Google SafeSearch pour savoir comment l’activer sur votre dispositif Android ou iOS.

2. Filtres Internet :

Les filtres Web comme Net Nanny surveillent les sites que vous consultez pour en bloquer le contenu inapproprié. Vous pouvez personnaliser les éléments à filtrer, et même établir une liste blanche de sites Web que vous considérez comme sûrs. Il s’agit d’un excellent outil pour les adultes qui souhaitent filtrer le contenu peu sûr au travail, ainsi que pour les parents qui souhaitent protéger leurs enfants en ligne.

3. Bloqueurs de publicité et de fenêtres émergentes :

Nous avons tous entendu des histoires d’amis surpris en flagrant délit pile au moment où une fenêtre émergente explicite et inattendue s’affichait à l’écran. Vous pouvez éviter ces incidents potentiellement désastreux en installant un bloqueur de fenêtres émergentes et de publicité sur votre navigateur.

4. Protection anti-virus et anti-malware :

Certains virus et malware provoquent l’ouverture de fenêtres émergentes à des moments inopportuns. Un bon antivirus à jour protégera non seulement votre ordinateur des infections préjudiciables, mais vous protégera également du contenu inapproprié.

5. Liens :

Évitez de cliquer sur des liens que vous ne reconnaissez pas. Même si le message vous est envoyé par un ami, ne cliquez pas sur un lien que vous ne reconnaissez pas ou que vous n’attendez pas. Vous recevrez souvent des messages spam par SMS et par e-mail vous invitant à cliquer sur un lien pour accéder à un site Web ou même à un cadeau. Toutefois, tout ce que vous risquez de gagner est un virus ou une arnaque.

5 La surcharge sensorielle sur Internet

Les personnes qui présentent une sensibilité sensorielle peuvent souffrir d’une surcharge provoquée par les dispositifs électroniques et Internet. Les bruits forts, les rétroéclairages lumineux, la musique inattendue et la lecture automatique de vidéos ne sont que quelques-uns des éléments irritants susceptibles de conduire à une surcharge.

Heureusement, vous pouvez prendre certaines mesures pour minimiser cet impact sensoriel.

  • Réglez les niveaux de luminosité de votre écran et investissez dans une application qui bloque la lumière bleue sur votre dispositif. Votre écran prendra une teinte légèrement orangée, mais il est indispensable de bloquer la lumière bleue pour atténuer les effets du rétroéclairage sur nos sens. Des applications pour bloquer la lumière bleue sont disponibles sur la plupart des dispositifs, et vous aideront même à vous endormir plus rapidement et à réduire l’impact des migraines provoquées par la sensibilité à la lumière.
  • Désactivez la lecture automatique des fichiers audio et vidéo sur vos plates-formes de réseaux sociaux.
  • Investissez dans un clavier et une souris « silencieux » pour réduire le bruit lors de la frappe.
  • Le bruit blanc est un excellent outil pour apaiser les sens. Cela peut également atténuer des sons irritants, comme le bourdonnement de votre ordinateur ou vos voisins bruyants ! Des vidéos de bruit blanc sont disponibles gratuitement sur YouTube, ou vous pouvez également acheter une machine à bruit blanc.

6 La dépendance à Internet

L’attrait et la facilité des rencontres en ligne peuvent avoir un impact négatif sur votre volonté d’interagir avec les autres dans le monde réel. La dépendance en ligne est un problème grave qui touche de nombreuses personnes. Des études indiquent que les personnes sujettes à des comportements obsessionnels présentent un risque plus élevé de développer une dépendance à Internet. Les personnes atteintes de TSA et de troubles anxieux présentent un risque particulièrement élevé.

L’explication est simple : Internet offre un refuge, et un moyen facile de rencontrer et communiquer avec les autres. Si la plupart de vos amis sont sur Internet, c’est là que vous voudrez passer le plus clair de votre temps.

Il est essentiel pour votre santé physique et mentale de développer et maintenir des relations dans le monde réel. Internet est un outil formidable, mais s’il vous empêche de passer du temps avec vos amis et proche, il est peut-être temps de faire une pause.

Conseils de prévention de la dépendance à Internet :

  • Établissez une limite de temps lorsque vous êtes sur votre ordinateur. Vous pouvez par exemple créer une alarme au bout d’une heure ou deux, et vous déconnecter lorsque le temps est écoulé.
  • Créez une liste de projets et réservez du temps chaque jour pour vos amis et proches, ou pour des passe-temps et de l’exercice physique. Incluez le temps que vous prévoyez de passer en ligne dans votre liste, mais planifiez d’autres activités pour votre temps libre.
  • Assurez-vous d’avoir terminé toutes les autres tâches que vous devez effectuer, par exemple les tâches ménagères, avant de vous connecter chaque jour.
  • Utilisez des applications spécialement conçues pour vous rappeler de faire une pause. Des programmes tels que Offtime contrôlent votre navigation et vous montrent le temps passé sur les réseaux sociaux. Vous pouvez même les configurer pour bloquer certains sites, tels que Facebook, à certaines heures de la journée.
  • Désactivez les notifications push de vos réseaux sociaux sur votre téléphone ou tablette. Ainsi, vous les recevrez uniquement lorsque vous vous connectez, et non lorsque vous êtes en train de faire autre chose.

Si vous pensez être victime d’une dépendance à Internet, vous pouvez demander à votre médecin de vous orienter vers un thérapeute expérimenté, qui sera à même de vous prodiguer d’autres conseils.

7 Comment vous protéger sur les réseaux sociaux populaires ?

Vous trouverez ci-dessous un bref guide qui vous aidera à rester en sécurité sur les réseaux sociaux les plus populaires. Nous vous expliquons leurs risques, et comment modifier les paramètres de votre compte pour éviter le contenu explicite, les arnaqueurs, les faux profils et les harceleurs en ligne.

Facebook

Facebook

Quels sont les principaux risques sur Facebook ?

  • Sur Facebook, les arnaqueurs peuvent facilement se lier d’amitié avec vous et vous leurrer en utilisant de faux profils.
  • Il existe un risque moyen à élevé d’être exposé à des liens pointant vers des sites Web de hameçonnage de vos informations personnelles.
  • Les harceleurs en ligne utilisent souvent Facebook pour harceler leurs victimes.
  • Même si cela est contraire aux politiques de Facebook, vous pouvez être exposé à des publications explicites non détectées par leurs filtres de contenu.
  • Des fonctionnalités telles que la lecture automatique vidéo peuvent déclencher une surcharge sensorielle.
  • En général, les réseaux sociaux peuvent créer une dépendance.

Astuces pour vous protéger sur Facebook

Évitez d’utiliser vos informations personnelles :

Bien que Facebook vous demande votre prénom et votre nom, évitez de les utiliser dans la mesure du possible. De nombreux internautes utilisent un pseudonyme ou créent un faux nom de famille. Ainsi, il sera plus difficile de vous retrouver sur d’autres plateformes ou dans la vie réelle.

Évitez de trop personnaliser votre section « À propos ». N’indiquez jamais votre lieu de résidence, de travail ou d’études à Facebook.

Si vous utilisez un dispositif avec GPS, n’autorisez pas Facebook à publier votre localisation. Pour ce faire, le moyen le plus simple consiste à empêcher Facebook d’accéder aux informations de localisation de votre dispositif. Ce paramètre est généralement disponible sur votre dispositif sous Paramètres > Confidentialité > Services de localisation.

Rendez votre compte privé :

Assurez-vous que votre profil est configuré comme « privé », afin que seuls vos amis puissent voir votre statut et vous envoyer des messages. Cela réduit les risques de harcèlement en ligne en vous permettant de choisir qui peut vous contacter. N’oubliez pas que les personnes que vous ne connaissez pas pourront tout de même lire les commentaires que vous faites sur les publications de vos amis et pages publiques.

Comment limiter l’accès à vos publications à vos amis :

Une fois la boîte de dialogue de statut ouverte, cliquez sur le menu déroulant des paramètres de confidentialité dans la barre inférieure. Vous aurez le choix entre « amis » ou « public ». Si l’option par défaut est « amis », cela signifie que seuls les amis que vous avez acceptés verront cette publication. Si l’option est définie sur « public », cliquez dessus et sélectionnez « amis » avant de cliquer sur le bouton Publier.

Comment rendre votre profil privé :

Connectez-vous à Facebook et cliquez sur la flèche en haut de votre page dans la barre d’accueil. Sélectionnez « Paramètres ».

Une fois la page des paramètres chargée, sélectionnez « Confidentialité » dans la barre latérale. Cela chargera deux catégories de paramètres de confidentialité que vous pourrez modifier.

Deux options de confidentialité sont proposées sous « votre activité ». Pour une confidentialité optimale, configurez-les comme suit :

Qui peut voir vos futures publications ?

Ce paramètre doit être défini sur « amis » pour que les inconnus ne puissent pas voir vos mises à jour de statut privées.

Limiter l’audience des publications que vous avez ouvertes aux amis de vos amis ou au public ?

Si vous choisissez « amis », cela augmentera la confidentialité de toutes vos publications précédentes, de sorte que les inconnus ne pourront plus les voir.

Ensuite, vous pouvez choisir la manière dont les gens peuvent vous trouver et vous contacter.

Qui peut vous envoyer des invitations à devenir amis ?

Si vous ne souhaitez pas recevoir de demandes d’amis de la part d’inconnus, définissez cette option sur « amis de vos amis ». Malheureusement, il n’y a aucun moyen d’éviter complètement les invitations, mais cela en réduira considérablement l’occurrence.

Qui peut voir votre liste d’amis ?

Pour une sécurité optimale, définissez ce paramètre sur « amis » ou « moi uniquement ».

Qui peut vous trouver en utilisant l’adresse email/le numéro de téléphone que vous avez fourni(e) ?

Si vous craignez que des inconnus ou harceleurs vous trouvent via votre adresse e-mail ou numéro de téléphone, définissez ce paramètres sur « amis ». Vos amis peuvent déjà vous contacter par l’intermédiaire de votre compte, et n’ont donc aucune raison de vous chercher d’une autre manière.

Souhaitez-vous que les moteurs de recherche externes à Facebook indexent votre profil ?

Si vous sélectionnez « oui » pour cette option, les gens pourront trouver votre page Facebook en cherchant votre nom sur Google ou tout autre moteur de recherche. Pour une sécurité optimale, sélectionnez « non ».

À présent, accédez à vos paramètres « journal et identification » (« timeline and tagging ») pour finaliser le processus.

Qui peut publier dans votre journal ?

Pour empêcher les inconnus (et harceleurs) de publier dans votre journal, vous pouvez définir cette option sur « moi uniquement ». Toutefois, cela empêchera également vos amis de publier dans votre journal.

Qui peut voir ce que d’autres personnes publient dans mon journal ?

Ici encore, définissez ce paramètre sur « amis » ou « moi uniquement » afin que les inconnus ne puissent pas voir les publications d’autres personnes dans votre journal.

Évitez les harceleurs :

Si quelqu’un utilise Facebook pour vous harceler, vous pouvez l’empêcher de voir votre profil ou de vous contacter. Il vous suffit d’accéder à son profil et de sélectionner le menu déroulant représenté par trois petits points en haut de sa page. Ensuite, sélectionnez « bloquer ». Il ne pourra ni trouver, ni consulter votre profil, et il ne saura pas que vous l’avez bloqué.

Évitez le contenu inapproprié :

Dans la plupart des cas, le logiciel de censure de Facebook filtre le contenu inapproprié et préjudiciable de votre feed. Toutefois, vous pouvez également configurer Facebook pour filtrer les commentaires contenant des mots spécifiques et les éliminer de votre journal.

Revenez à vos paramètres « journal et identification », puis dans la catégorie « journal », sélectionnez l’option « Masquer les commentaires contenant certains mots ». Vous pourrez alors créer une liste de mots, de termes et même d’émoticônes que vous souhaitez éviter dans votre journal. Facebook se chargera de les bloquer à votre place.

Faites une pause :

Vous pouvez vous déconnecter de Facebook à tout moment, mais vous pouvez également désactiver temporairement votre compte pour une absence prolongée. L’intégralité de vos amis, publications et photos resteront dans votre profil pendant votre absence, mais personne d’autre ne pourra accéder à votre compte ou vous envoyer de messages jusqu’à votre prochaine connexion. C’est une excellente solution si vous souhaitez vous distancier des réseaux sociaux sans pour autant perdre votre contenu et vos souvenirs.

Pour désactiver votre compte, rendez-vous dans Paramètres > Général > Gérer le compte > Désactiver votre compte.

Twitter

Twitter

Quels sont les principaux risques sur Twitter ?

  • Twitter est un centre névralgique de l’activisme social et politique, ce qui peut parfois être éprouvant.
  • De par la nature extrêmement diversifiée du contenu de Twitter, vous risquez de tomber sur des tweets explicites ou provocateurs de temps en temps.
  • Les discussions sur Twitter aboutissement souvent sur des disputes passionnées, et les utilisateurs risquent d’être victimes de harcèlement en ligne.
  • Comme tous les réseaux sociaux, Twitter peut potentiellement créer une dépendance et interférer avec votre vie quotidienne.

Astuces pour vous protéger sur Twitter

Rendez vos tweets privés :

Lorsque vous définissez votre profil Twitter et vos publications sur privé, elles seront uniquement visibles pour vos « followers ». Lorsque qu’une nouvelle personne vous suit, Twitter vous envoie une notification et vous demande d’approuver ou de refuser sa demande. Toutefois, les comptes qui vous ont suivi avant de protéger vos tweets pourront toujours voir et interagir avec votre profil, sauf si vous les bloquez.

Pour protéger vos tweets, rendez-vous dans la section confidentialité des Tweets dans vos paramètres de confidentialité et de sécurité, et cochez la case à côté de « Protéger mes tweets ». Cliquez sur le bouton Enregistrer, saisissez votre mot de passe pour confirmer, et c’est tout bon !

Par ailleurs, vous pouvez faire en sorte que les personnes qui disposent de vos informations de contact ne puissent pas vous trouver sur Twitter à moins que vous ne les suiviez au préalable. Dans la page des paramètres de confidentialité et de sécurité, décochez les deux options de détectabilité.

Empêchez Twitter de publier vos informations de localisation :

À chaque fois que vous créez un tweet, vous pouvez choisir si Twitter publie ou non votre localisation. Par défaut, Twitter ne communiquera pas votre localisation à moins que vous n’ayez déjà opté pour le service.

Évitez les harceleurs en ligne :

Le processus de blocage d’un utilisateur sur Twitter s’apparente à celui de Facebook. À partir de son profil, cliquez sur l’icône « Plus » (trois points verticaux), puis sélectionnez « Bloquer » dans le menu. Ensuite, cliquez à nouveau sur « Bloquer » pour confirmer. Les personnes que vous avez bloquées ne peuvent ni suivre, ni voir votre profil Twitter. Twitter ne leur enverra pas de notification lorsque vous les bloquerez. Toutefois, si elles consultent votre profil, elles recevront un message les informant du blocage.

Évitez le contenu inapproprié :

Le meilleur moyen de vous assurer d’éviter le contenu que vous ne souhaitez pas voir sur Twitter est de suivre uniquement les personnes qui sont déjà vos amis, et de consulter uniquement le contenu de votre feed Twitter principal. Si vous explorez la fonctionnalité de recherche de Twitter ou examinez les hashtags, vous serez vulnérable au contenu inapproprié. Par défaut, Twitter affiche un avertissement avant d’afficher du contenu qu’il considère comme peu sûr pour un environnement professionnel. Toutefois, cet outil n’est pas précis à 100% et certains tweets peuvent passer à travers le filtre de Twitter.

Faites une pause :

La désactivation de votre compte Twitter est une solution permanente. Si vous souhaitez vous distancier de Tweeter à court terme, mieux vaut vous déconnecter. Vous pouvez désactiver complètement votre compte, mais vous risquez de perdre votre profil et vos tweets antérieurs.

Instagram

Instagram

Rendez votre compte privé :

À l’heure de publier des photos personnelles sur Instagram, la confidentialité est importante. Vous ne souhaitez sans doute pas que des inconnus puissent accéder à vos informations personnelles ou utiliser vos photos pour se faire passer pour vous en ligne.

Heureusement, vous pouvez rendre toutes vos publications privées et uniquement visibles pour vos amis. Pour ce faire, accédez à vos paramètres, puis sélectionnez « confidentialité du compte » et activez « compte privé ».

Les utilisateurs devront désormais vous envoyer une demande d’abonnement que devrez approuver avant qu’ils puissent consulter vos publications, vos abonnés et vos listes d’abonnements. Si une personne vous suivait avant de rendre votre compte privé et que vous souhaitez l’empêcher de voir vos futures publications, vous devrez la bloquer.

Évitez les harceleurs en ligne :

Comme la plupart des plateformes de réseaux sociaux, Instagram vous permet de bloquer facilement quelqu’un. Il vous suffit d’accéder au profil de la personne concernée, de cliquer sur le bouton « Plus » (représenté par les petits points) et de sélectionner « Bloquer ».

Une fois que vous bloquez quelqu’un, il ne pourra plus trouver votre profil, vos publications ou vos histoires. Instagram n’informera pas les utilisateurs bloqués.

Évitez le contenu inapproprié :

Bien que la publication de contenu explicite soit contraire aux politiques d’Instagram, certains utilisateurs ne se privent malheureusement pas de le faire. Comme pour Twitter, le meilleur moyen d’éviter de tomber sur du contenu explicite est de consulter uniquement le profil des personnes en qui vous avez confiance et d’éviter d’explorer les hashtags.

Faites une pause :

Si vous souhaitez vous distancier un peu de votre compte Instagram, connectez-vous à partir d’un navigateur Internet mobile ou de bureau, accédez à votre profil, puis cliquez sur « modifier le profil ». Sélectionnez « Désactiver temporairement mon compte » et suivez les instructions. Tous vos abonnés et votre contenu vous attendront patiemment jusqu’à ce que vous soyez prêt à vous reconnecter.

8 Les rencontres en ligne et les TSA

Les rencontres en ligne sont un excellent moyen de vous faire de nouveaux amis, voire plus si affinités, mais s’accompagnent de dangers non négligeables. Les personnes que vous rencontrez via des sites de rencontre en ligne ne sont pas toujours celles qu’elles prétendent être, et les « catfish » sont très répandus.

Un « catfish » est une personne qui crée un profil de rencontre en ligne en se faisant passer pour quelqu’un d’autre. Elle peut utiliser un faux nom, de fausses images et une fausse histoire, entre autres, pour que vous vous représentiez une image mentale d’une personne qu’elle n’est pas.

Sécurité des rencontres en ligne

Il n’est pas toujours évident d’identifier les « catfish ». Par conséquent, vous trouverez ci-dessous des astuces pour vérifier si quelqu’un vous ment sur son identité.

Si vous faites des rencontres sur Internet, gardez à l’esprit les conseils suivants :

  • Prenez toujours le temps de discuter avec quelqu’un et d’apprendre à le connaître avant d’accepter de le rencontrer en personne.
  • Demandez-lui de discuter par vidéo ou téléphone pour vérifier qu’il s’agit bien de la personne sur la photo. Les personnes qui n’ont rien à cacher concernant leur identité n’émettent généralement aucune objection, et seront également rassurées de leur côté.
  • Demandez-lui également de l’ajouter sur Facebook si vous avez un compte. Vous pourrez ainsi consulter son profil, ses photos et ses amis pour vous faire une meilleure idée de son identité.
  • Proposez toujours un lieu public animé comme lieu de rencontre, par exemple un café en journée. Assurez-vous que d’autres personnes soient présentes pour vous aider en cas de problème, et envisagez de demander à un ami ou à un proche de vous accompagner.
  • Ne communiquez jamais d’informations personnelles telles que votre adresse, même si la personne propose de venir vous chercher.
  • Assurez-vous de pouvoir vous rendre au lieu de rendez-vous de manière autonome et en toute sécurité. Ainsi, vous n’aurez pas à demander à la personne de vous raccompagner si le courant ne passe pas.

9 Comment savoir si quelqu’un est vraiment la personne qu’il prétend être ?

La plupart des gens que vous rencontrez en ligne disent la vérité sur leur identité, mais certains peuvent utiliser de faux profils conçus pour vous attirer et vous manipuler. Heureusement, il est généralement facile de vérifier si une personne ment sur son identité grâce à quelques astuces simples.

Vérifiez leur photo :

Vérifiez si leur photo de profil est celle d’une personne réelle.

Si vous retrouvez la même personne sur d’autres photos de leur compte, il est probable qu’elles soient sincères. Vous pouvez enregistrer l’une de ces photos sur votre ordinateur et utiliser la recherche d’image inversée de Google pour voir si elle apparaît ailleurs en ligne.

Si vous la trouvez sur de nombreux sites, la photo est peut-être volée. Toutefois, si elle apparaît uniquement sur leur profil, il y a de fortes chances qu’il s’agisse d’une photo d’eux.

Vérifiez leur nombre d’amis :

Ont-ils d’autres amis sur leur compte ? Si vous êtes leur seul ami, ils utilisent peut-être un faux profil pour vous atteindre.

S’ils ont d’autres amis, ces derniers publient-ils des choses dans le journal ou sur le profil de la personne en question susceptibles d’indiquer qu’ils se connaissent vraiment ? Dans le cas contraire, cette personne utilise peut-être un faux profil pour attirer plusieurs cibles qui ne l’ont jamais rencontrée auparavant.

Vérifiez les mises à jour de leur statut et leurs publications :

Leurs mises à jour de statut sont-elles régulières, et concernent-elles leur vie quotidienne ? Ou publient-ils principalement des liens et publicités ? S’ils publient principalement des liens et annonces, ils utilisent probablement un faux profil pour arnaquer des gens ou vendre quelque chose.

Secret:

Vous ont-ils demandé de ne parler d’eux à personne ? Le cas échéant, cela indique qu’ils pourraient avoir de mauvaises intentions et ne sont pas de vrais amis.

Argent:

Vous ont-ils demandé de l’argent, ou vous ont-ils dit qu’ils se trouvaient dans une situation délicate et qu’ils avaient besoin d’une aide financière ? Le cas échéant, ils se font probablement passer pour un ami pour vous arnaquer.

Si vous pensez que votre ami en ligne n’est pas la personne qu’il prétend être, cessez immédiatement de lui parler et bloquez son compte.

10 Indicateurs de dangers potentiels en ligne

Si vous vous sentez contrarié, mal à l’aise ou en danger, votre situation en ligne pourrait être sérieusement menacée. Il est important d’écouter votre for intérieur et de mettre fin à la situation avant qu’elle ne se dégrade. Vous devrez peut-être bloquer la personne responsable de ce sentiment, ou solliciter l’aide d’un tiers, par exemple un proche ou la police.

Si l’un de vos amis en ligne n’est pas cohérent dans ses propos, il est possible qu’il mente sur son identité. Vous pouvez appliquer les astuces ci-dessus pour vérifier s’il vous dit la vérité, et dans le cas contraire, le supprimer de votre réseau en ligne.

Le harcèlement en ligne est courant sur les réseaux sociaux. Si une personne se montre cruelle envers vous ou d’autres personnes, elle n’en vaut pas la peine. Nous vous conseillons de signaler les commentaires cruels à l’administrateur du site Web, puis de la bloquer pour l’empêcher de vous contacter ultérieurement.

Si quelque chose semble trop beau pour être vrai, c’est probablement le cas. Méfiez-vous toujours des arnaques. Si un inconnu ou ami vous propose quelque chose qui vous semble louche, par exemple un cadeau en échange d’un clic sur un lien, évitez-le à tout prix. En cas de doute, vous pouvez faire des recherches sur Google ou même sur Snopes.com pour savoir s’il s’agit d’une arnaque.

11 Astuces pour améliorer la sécurité de vos enfants sur Internet

Tous les parents devraient se soucier de la sécurité de leurs enfants sur Internet, que ces derniers soient atteints de TSA ou non. Voici quelques astuces et conseils pour vous aider à garantir la sécurité de vos enfants en ligne et éviter certains des dangers d’Internet.

Façons d'améliorer la sécurité Internet de votre enfant
  • Laissez l’ordinateur de votre famille dans un espace commun, par exemple le salon ou la cuisine. Ainsi, vous pouvez garder un œil sur les cercles de relations en ligne de vos enfants.
  • Créez des rappels visuels et affiches avec des conseils de sécurité sur Internet, et affichez-les à proximité de votre ordinateur. C’est également une excellente occasion d’aborder la sécurité Internet avec vos enfants et de vous mettre d’accord sur certaines règles.
  • Informez vos enfants sur la sécurité en ligne, assurez-vous qu’ils en comprennent l’importance et renouvelez régulièrement leurs connaissances.
  • Créez différents scenarios avec vos enfants pour leur apprendre à réagir face aux dangers en ligne dans un environnement sécurisé. Vous pouvez créer un compte sur la plate-forme qu’ils utilisent et l’utiliser pour leur envoyer des messages dans le cadre du jeu de rôle, afin de le rendre plus réaliste.
  • Rédigez et tenez-vous à une liste stricte de temps d’utilisation d’Internet afin de prévenir les problèmes de dépendance à Internet. Vous pouvez même diviser le temps en ligne en différentes catégories, par exemple le jeu ou les études, et l’intégrer également à la liste.
  • Rangez tous les dispositifs électroniques environ deux heures avant le coucher afin de favoriser un sommeil de qualité.
  • Utilisez des filtres de contenu Internet comme Net Nanny pour surveiller et limiter l’activité de navigation de vos enfants. Ces programmes limiteront également leur accès au contenu inapproprié et à tout autre site Web que vous décidez de bloquer.
  • Installez des navigateurs Internet adaptés aux enfants, comme par exemple KidSplorer. Ils sont visuellement attrayants pour les enfants et sécurisent leur navigation sur Internet. Comme avec un filtre de contenu, ils pourront uniquement accéder aux sites Web que vous avez spécifiés et bloqueront même l’accès à Internet à certaines heures.
  • Établissez un plan d’action avec eux pour qu’ils sachent comment réagir et à qui s’adresser en cas de harcèlement en ligne.
  • Posez-leur naturellement des questions sur leurs amis en ligne et les sujets dont ils parlent, comme si vous leur demandiez comment s’est passé leur journée à l’école.
  • Fournissez-leur une liste de contrôle des informations qu’ils ne sont pas autorisés à communiquer par Internet, par exemple leur nom complet, leur date de naissance, leur adresse et le nom de leur école.

12 Conclusion

Pour résumer, l’essentiel est de s’assurer que vous êtes en sécurité sur Internet. Renforcez vos mesures de sécurité en ligne. Informez-vous et restez vigilent.

Les personnes qui présentent des TSA sont plus exposées que les autres aux menaces en ligne. Nos conseils pour rester en sécurité en ligne sont donc d’autant plus importants pour elles.

Les harceleurs et arnaqueurs en ligne feront malheureusement toujours partie du décor sur Internet. Il est donc de votre responsabilité de prendre les précautions nécessaires pour vous protéger des attaques.

Suivez nos conseils pour repérer les situations suspectes, et prenez des mesures pour vous protéger si vous vous sentez menacé.

Ce Guide de sécurité Internet traite des domaines clés à surveiller et de la manière de faire face aux menaces. Profitez de votre temps en ligne, mais n’oubliez pas de redoubler de prudence sur Internet !




Le code de Nuremberg — prise de conscience bioéthique

[Source : AgoraVox]

Par eau-du-robinet.fr

La science, en particulier celle de la médecine​,​ est devenue la victime d’une corruption massive, idem pour les études dites « scientifiques ». Ils sont en train de viol​er les trait​és, les codes bioéthiques, notamment le serment d’Hippocrate, ainsi les lois. Sous un faux prétexte ils ont déclaré une pandémie. Celle-ci ayant été déclarée pour nous imposer des sanctions liberticides ​et inédites, sans fondement​s​ scientifique​s, ​et ​qui mettent en danger notre santé, en ignor​ant totalement no​tre​ immunité naturelle, cadeau gratuit et inestimable offert par Mère Nature.

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un tribunal est constitué pour juger les principaux dirigeants nazis. Il est connu sous le nom de Tribunal de Nuremberg, une ville de Bavière. L’accord menant à sa création a été signé à Londres par des représentants des puissances victorieuses, dont la France.
SOURCE

L’importance du Code de Nuremberg conçu notamment pour juger les crimes commis par des médecins sur des déportés, tient à ce qu’il a constitué le point de départ de la prise de conscience sur les dangers des progrès de la science avec les dérives qu’elle peut susciter, et de la nécessité de l’encadrer par un certain nombre de règles. Ça été la naissance du code de Nuremberg et de la prise de conscience de la bioéthique.

La science est à la dérivé depuis des dizaines d’années, prise en otage par un groupe de personnes pour lesquelles les intérêts financiers priment sur notre santé et notre bien être. La science est aux mains des faussaires.

Il est important d’éveiller la conscience des scientifiques, en particulier celle des médecins, et bien évidement de toute la population pour défendre plus que jamais les valeurs humanistes et démocratiques.

La science, en particulier celle de la médecine​,​ est devenue la victime d’une corruption massive, idem pour les études dites « scientifiques ». Ils sont en train de viol​er les trait​és, les codes bioéthiques, notamment le serment d’Hippocrate, ainsi les lois. Sous un faux prétexte ils ont déclaré une pandémie. Celle-ci ayant été déclarée pour nous imposer des sanctions liberticides ​et inédites, sans fondement​s​ scientifique​s, ​et ​qui mettent en danger notre santé, en ignor​ant totalement no​tre​ immunité naturelle, cadeau gratuit et inestimable offert par Mère Nature.



Voici les 10 points du code Nuremberg

Le code de Nuremberg – 1947

1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de la capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision.
Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.
L’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à cette personne, qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.

2. L’expérience doit avoir des résultats pratiques pour le bien de la société impossibles à obtenir par d’autres moyens : elle ne doit pas être pratiquée au hasard et sans nécessité.

3. Les fondements de l’expérience doivent résider dans les résultats d’expériences antérieures faites sur des animaux, et dans la connaissance de la genèse de la maladie ou des questions de l’étude, de façon à justifier par les résultats attendus l’exécution de l’expérience.

4. L’expérience doit être pratiquée de façon à éviter toute souffrance et out dommage physique et mental, non nécessaires.

5. L’expérience ne doit pas être tentée lorsqu’il y a une raison a priori de croire qu´elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet, à l’exception des cas où les médecins qui font les recherches servent eux-mêmes de sujets à l’expérience.

6. Les risques encourus ne devront jamais excéder l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience envisagée.

7. On doit faire en sorte d’écarter du sujet expérimental toute éventualité, si mince soit-elle, susceptible de provoquer des blessures, l’invalidité ou la mort.

8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes qualifiées. La plus grande aptitude et une extrême attention sont exigées tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent où y participent.

9. Le sujet humain doit être libre, pendant l’expérience, de faire interrompre l’expérience, s’il estime avoir atteint le seuil de résistance, mentale ou physique, au-delà duquel il ne peut aller

10. Le scientifique chargé de l’expérience doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s’il a une raison de croire que sa continuation pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet expérimental.

Source

Quand on regarde les chiffres institutionnels on constate qu’on n’a pas affaire à une pandémie mais à une épidémie ; Or les médias ont fait bouillir la marmité de la désinformation pour semer une peur infondée, celle de mourir, en exagérant la dangerosité, déformant gravement des faits, en manipulant les chiffres, en donnant la parole essentiellement aux personnes ayant des conflits d’intérêts ! Ils ont osé d’interdire aux médecins les traitements ambulatoires précoce et inventé le mensonge qu’il n’existe aucun remède contre le Covid, pour nous imposer les vaccinations à perpétuité !

https://www.youtube.com/embed/6D3ZR_rg6cc

Pour rappel des faits, de la réalité, voici les vrais chiffres émanant des instituts français :

Voici un premier rapport :
Le rapport de l’I.R.SAN. l’Institut de Recherche pour la valorisation des données de SANté, datant du 25 Mars 2021, confirme l’analyse de DR Astrid Stuckelberger, citation du rapport : L’épidémie, qui a touché la France en 2020, montre une surmortalité nulle pour les moins de 65 ans, (soit 80 % de la population) et très faible pour les plus de 65 ans (+3,72 % d’excès pour cette classe d’âge).
Voici le rapport

Voici un deuxième rapport :
Mr Martin Blachier, médecin français spécialiste en santé publique, se réfère au rapport de la A.T.I.H. (Agence Technique de l’Information sur l’Hospitalisation) sur le COVID. Cette agence gère tous les systèmes d’informations des hôpitaux du territoire français, dont toutes les hospitalisations. 

Au cours de l’année 2020, les patients Covid représentait : 5% de l’ensemble des patients pris en charge dans les services de réanimation, ET 2% de l’ensemble des patients tout champs hospitaliers confondus.
Voici le rapport la A.T.I.H. datent d’Octobre 2021

L’irruption de la conscience bioéthique

Le 9 décembre 1946 s’ouvre devant le tribunal militaire américain de Nuremberg (Allemagne) le procès de vingt-trois médecins et scientifiques, accusés notamment d’avoir réalisé des expérimentations médicales sur des êtres humains durant la seconde guerre mondiale. Ce procès suit de quelques semaines celui de dirigeants nazis mené à Nuremberg par le Tribunal militaire international. Même si le procès des médecins, qui s’est achevé le 19 août 1947, s’est déroulé selon la procédure américaine, le jugement prononcé le lendemain est considéré comme une décision pénale internationale. Il comprend une liste de critères pour apprécier le caractère légal, ou non, des expérimentations médicales – liste connue sous le nom de code de Nuremberg.

Les principes érigés dans ce texte de portée universelle qui intervient quelques mois avant la Déclaration universelle des droits de l’homme (consentement, information loyale, justification scientifique et conditions éthique de mise en œuvre de la recherche, évaluation des risques encourus), seront repris par la suite au sein de l’Association médicale mondiale dans la Déclaration d’Helsinki régulièrement adaptée aux évolutions scientifiques depuis sa première version, en 1964.
Source

Citoyennes, citoyens, c’est l’heure de vous réveiller, même si c’est déjà presque trop tard, car les dégâts sont énormes et irréparables, pour défendre notre liberté, notre santé, notre intégrité, nos valeurs humanistes, car il est inacceptable de nous laisser transformer progressivement en cyborg comme c’est envisagé par Laurent Alexandre et autres transhumanistes dont certains très fortunés comme Elon Musk.




Nous n’avons pas mis nos enfants au monde pour qu’ils servent de cobayes aux laboratoires pharmaceutiques !

Bonjour,

Comme vous le savez, en un an de campagne de « vaccination » anti-Covid-19, parmi les plus de 50 millions de citoyens français « vaccinés », plus de 1300 personnes ont été signalées aux services de pharmacovigilance comme ayant perdu la vie suite à ces injections.

À la veille du lancement d’une campagne équivalente ciblant des millions d’enfants (dans un premier temps, ceux âgés de 5 à 11 ans), de nombreux experts et personnalités, impliqués dans la résistance aux mesures dites sanitaires imposées par le gouvernement français, ont alerté sur le caractère scandaleux de ce projet « vaccinal » pédiatrique.

Ayant découvert que plus de 22 000 enfants de moins de 12 ans avaient déjà été piqués avec des doses non adaptées à ces enfants et non validées par les instances responsables des processus de validation d’autorisation de mise sur le marché, nous désirons relayer le plus massivement possible l’appel de plusieurs personnalités exigeant l’arrêt immédiat de ces expérimentations sur les enfants.

Dans ce contexte, ci-joint, nous vous transmettons la copie d’un courrier destiné aux autorités sanitaires nationales ; courrier que plusieurs de ces personnalités ont co-signé.

Nous vous serions extrêmement reconnaissants de bien vouloir diffuser cette lettre appelant les autorités sanitaires à faire connaître les rapports de suivi de la « vaccination » illégale de ces 22 490 enfants, avant qu’elle ne soit étendue à des millions d’autres enfants de moins de douze ans.

Un très grand merci, par avance, pour votre intérêt et pour ce que vous pourrez faire pour les enfants de notre pays !

Le collectif INSEME de Porto-Vecchio

COURRIER NATIONAL DES LEADERS RÉSISTANTS UNIS POUR LA VÉRITÉ

Mesdames et Messieurs de la Société Française de Pédiatrie, du Comité Consultatif National d’Éthique, de la Haute Autorité de Santé, de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé et du Ministère des Solidarités et de la Santé :

NOUS N’AVONS PAS MIS NOS ENFANTS AU MONDE
POUR QU’ILS SERVENT DE COBAYES AUX LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES !!!

En France, selon Santé Publique France, en mai 2021, alors qu’aucune autorisation de mise sur le marché n’avait encore été octroyée pour les adolescents français, des médecins ont commencé à inoculer des doses de pseudo-vaccins à ARNm viral pour prévenir le Covid-19, à des enfants de moins de 12 ans !

Au cours de ce même mois de mai, Alain Fischer, le monsieur Vaccin du Gouvernement Macron, déclarait que ce n’était pas envisageable en 2021 !(([1] “…la vaccination des enfants de moins de 12 ans, celle-ci n’est “pas à l’ordre du jour” et ne devrait pas être envisageable “avant le début de 2022”, selon M. Fischer, qui a souligné que les essais cliniques relatifs à cette population commençaient à peine. »
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/05/21/covid-19-la-vaccination-des-adolescents-pourrait-commencer-courant-juin-selon-alain-fischer_6081022_3244.html))

Plus tard, alors que des médecins avaient déjà piqué plusieurs milliers d’enfants de moins de douze ans, le 21 juin, le Comité Consultatif National d’Éthique, présidé par le Président du Conseil Scientifique du gouvernement Macron, déclarait qu’il était inacceptable, éthiquement et scientifiquement, de « vacciner » des enfants de moins de douze ans avec ces mêmes produits !(([2] À ce jour, pour le CCNE, la vaccination des enfants de moins de 12 ans ne semble pas éthiquement et scientifiquement acceptable, en grande partie parce qu’il n’existe aucune étude évaluant la sécurité des vaccins contre la Covid-19 dans cette population. D’ailleurs, aucun pays n’a actuellement pris la décision de vacciner ses jeunes enfants.
https://www.ccne-ethique.fr/sites/default/files/enjeux_ethiques_relatifs_a_la_vaccination_covid_08.06.21_0.pdf))

Selon le quotidien Le Monde du 23 novembre dernier(([3] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/11/23/covid-19-qui-sont-les-17-000-enfants-de-moins-de-12-ans-deja-vaccines_6103239_4355770.html?fbclid=IwAR14JGyvYxszOnLzKCZVzMlWio2u4woiWH5vlixs68pcnfdiT5tvfCkqsOE)), à la date du 18 novembre, selon les données statistiques officielles de Santé Publique France, 22 490 enfants français de moins de douze ans, dont plus de 4500 enfants de moins de 5 ans, ont été piqués avec de l’ARNm de protéine virale depuis le mois d’avril dernier (Le Monde avance même la date du 27 décembre 2020 pour les deux premières injections sur des touts-petits).

Ces injections ont été réalisées sans que personne, aucun parent, ni aucune autorité de tutelle, n’ait pu donner un consentement éclairé, vu qu’aucune étude clinique n’avait été réalisée, ni évaluée, et qu’aucune autorisation de mise sur le marché n’avait été approuvée par aucune agence publique, qu’elle soit française ou de l’Union Européenne.

Par ailleurs, informée par Santé Publique France de la réalisation de ces injections sur des bébés et sur d’autres enfants de moins de douze ans, qu’a fait l’ANSM concernant la pharmacovigilance correspondant à ces injections tellement délicates, vu leur caractère doublement expérimental, sur des enfants de cet âge-là ?

Le Ministre de la Santé considère-t-il tolérable que ces 22 490 bébés et enfants de moins de douze ans se soient vu injecter ces substances expérimentales appelées vaccins, alors que les premières doses adaptées aux enfants de 5 à 11 ans ne sont pas encore arrivées en France au moment où cette lettre est rédigée (11 décembre 2021) ?

Monsieur le Ministre est-il au courant que la cohorte d’enfants servant l’étude clinique de Pfizer est 10 fois plus petite que ce nombre de 22 490 enfants français ?

Nous exigeons que la lumière soit faite sur cette scandaleuse affaire et que les rapports de pharmacovigilance soient publiés AVANT que ne débute la campagne d’injections prévue pour le 15 décembre prochain.

Fait à Paris, le 11 décembre 2021

Signataires : Martine Wonner, Virginie de Araujo-Recchia, Nicole Delépine, Alexandra Henrion Caude, Yoanna Micoud, Laurent Mucchielli, Benoît Ochs, Jean-Marc Sabatier, Pierre Barnérias, Louis Fouché, Pascal Sacré, We for Humanity — une association humanitaire fondée par des survivants de l’Holocauste et leurs descendants, Collectif Soignants Militants Libres et Unis, Sébastien Recchia, Jean-Pierre Eudier, LNPLV, Le Collectif des Maires Résistants, Collectifs corses INSEME et INSEME SCOLA, Antennes de RéinfoCovid (Vaucluse, Var, 84, 13, 05 et Soignants) Jacqueline D’Antuoni, Sylvain d’Antuoni, Stefan Litty, Lionel Million, Lucette Istace, Marie Anne Andreani, Isabelle Bocognani, Jackie Giraud, Jean-Marc Sabatier, Fabrice Martineu, Nathalie Biancarelli, Michel Biancarelli, Laure Vignot, Alain Schollaert





La conquête communiste du Canada — La réponse à la COVID-19 révèle que le Canada a succombé à une attaque vieille de décennies

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

UN ARTICLE DE ABRAHAM BLONDEAU — Le 1er juillet est la Fête du Canada, lorsque tout le Canada peut célébrer collectivement notre fondation en tant que nation libre. Mais tout le monde ne fait pas la fête. À Toronto, Ontario ; Victoria, Colombie Britannique ; et d’autres endroits, la Fête du Canada a été annulée. Il s’agit en partie d’une réaction à la découverte de plusieurs centaines de corps sur les propriétés des pensionnats, ce qui, selon certains, justifient l’annulation de la célébration positive de l’histoire du Canada. Mais la Fête du Canada est également annulée pour une autre raison : la COVID-19. La réaction du gouvernement au virus a révélé quelques vérités choquantes sur le Canada.

Premièrement, elle a montré à quel point nos dirigeants fédéraux et provinciaux sont prêts à confiner les gens dans leurs maisons, à empiéter sur nos droits et libertés garantis par la Charte canadienne des droits et libertés, et à exercer un régime autocratique.

Deuxièmement, elle a démontré à quel point les Canadiens sont devenus dociles pour suivre les directives du gouvernement, même lorsque ces directives violent leurs droits. Il semble y avoir une majorité silencieuse croissante qui n’est pas d’accord avec une partie ou la totalité des politiques gouvernementales. Mais le mal est déjà fait. Le coronavirus était la tempête parfaite pour que ces dirigeants profitent de la société polie et docile du Canada.

Mais comment le Canada en est-il arrivé là ? Devrions-nous annuler la Fête du Canada, ou devrions-nous célébrer notre patrimoine ? Les dirigeants s’emparent-ils délibérément du pouvoir, ou s’agit-il de mesures bien intentionnées pour assurer la sécurité des Canadiens ? Les gens ont-ils été conditionnés à être dociles, ou s’agit-il simplement d’une théorie du complot ?

La vérité est que le Canada est un exemple de ce qui arrive quand une nation succombe à l’infiltration communiste de son gouvernement et de son système éducatif. La propension de nos dirigeants à être des autocrates et la société politiquement correcte et docile du Canada ont été délibérément manipulées pour transformer le Canada en une dictature communiste. Cette attaque est en cours depuis des décennies.

Cependant, un homme avertissait contre cette attaque et prophétisa ce qui arriverait au Canada il y a plus de 70 ans.

Infiltration communiste

Au début de la Guerre froide, l’accent était mis en grande partie sur le potentiel d’affrontements militaires entre les forces soviétiques et américaines et la perspective d’une guerre nucléaire. L’Occident fut lent à reconnaître que le danger évident et présent résidait dans la guerre idéologique et la subversion par les communistes au sein de nos propres nations. Pourtant, en 1956, Herbert W. Armstrong avertissait de cette guerre exacte dans laquelle l’Amérique et l’Occident se trouvaient engagés :

« C’est une sorte de guerre que nous ne comprenons pas, ou que nous ne savons pas comment gérer. Elle utilise tous les moyens diaboliques pour nous affaiblir de l’intérieur, saper nos forces, pervertir nos mœurs, saboter notre système éducatif, détruire notre structure sociale, détruire notre vie spirituelle et religieuse, affaiblir notre puissance industrielle et économique, démoraliser nos forces armées, et finalement, après une telle infiltration, renverser notre gouvernement par la force et la violence ! Tout ceci, habilement déguisé en un parti politique inoffensif ! Le communisme est une guerre psychologique mondiale ! »

La Trompette a rapporté et documenté cette infiltration aux États-Unis durant les années 1960 et 1970. (Pour en apprendre davantage à ce sujet, lisez la brochure gratuite “Il avait raison”, et l’article de Gerald Flurry, le rédacteur en chef de la Trompette, « Les racines du dangereux virage vers la gauche de l’Amérique »). M. Armstrong et M. Flurry ont tous deux souligné de façon précise que l’attaque la plus efficace avait été la conquête du système éducatif. M. Flurry a écrit : 

« C’est dans le système éducatif que la gauche a pris pied dans la nation : d’abord dans les collèges, puis les lycées et même les écoles primaires. C’est à partir du système d’éducation qu’une nation tire son leadership. D’où viennent les idées des dirigeants américains aujourd’hui ? De nos établissements d’enseignement. »

Si vous contrôlez la classe, alors vous façonnez les esprits des générations futures. De ces générations viennent les dirigeants et les éducateurs, et le cycle ne cesse de se répéter. Cette infiltration qui se produisait aux États-Unis a également eu lieu dans tous les pays occidentaux durant cette période, spécialement en Grande-Bretagne, en Australie, en Nouvelle-Zélande et au Canada.

Dans son livre historique “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”, M. Armstrong prouva que les États-Unis et le Royaume-Uni sont les descendants de l’Israël biblique. Les nations du Commonwealth britannique, qui comprend le Canada, sont des descendants de la tribu d’Éphraïm, en particulier. L’idéologie communiste athée attaque spécialement les nations qui ont une histoire avec Dieu. Cette attaque communiste s’est manifestée différemment dans chaque nation, et particulièrement au Canada, qui a toujours chevauché les mondes de l’anglais et le français.

Français contre Anglais

S’il y a un mot pour résumer l’histoire et le caractère canadien, c’est bien le compromis.

Les Français arrivèrent pour la première fois dans ce qui allait devenir le Canada au milieu des années 1500. Durant les nombreux conflits entre la Grande-Bretagne et la France, les Britanniques ont mené une politique de lutte contre la France dans ses colonies au lieu de l’Europe continentale. La Bataille de Québec en 1759 sur les Plaines d’Abraham à l’extérieur de la ville de Québec durant la Guerre de sept ans a finalement donné à la Grande-Bretagne le contrôle de pratiquement toute l’Amérique du Nord.

Les Britanniques ont permis aux Français de rester au Québec et se sont engagés dans une politique de compromis après des tentatives infructueuses d’assimilation des habitants français. Ce fut le début de l’instabilité inhérente du Canada. Les Britanniques considéraient 1759 comme le début de l’histoire canadienne ; les Français le voyaient comme la fin tragique de l’histoire canadienne. Les Britanniques sont majoritairement protestants ; les Français sont catholiques. Les uns parlent anglais, les autres parlent français. Qui plus est, M. Armstrong montra que les Britanniques sont de la tribu d’Éphraïm et les Français de la tribu de Ruben, ce qui ajoute une rivalité fraternelle aux couches de la concurrence entre les deux peuples. (Ces faits peuvent être prouvés en lisant “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”.)

Il n’existe pas d’histoire unificatrice d’une naissance nationale qui transcende l’ascendance et la race au Canada comme elle existe aux États-Unis, mais seulement une construction juridique engageant le gouvernement à faire des compromis entre les deux parties. La division s’amplifia après la Seconde Guerre mondiale lorsque le mouvement séparatiste germa au Québec et prit une grande partie de son élan avec Charles de Gaulle, qui le visita en 1967 et déclara « Vive le Québec libre ! ».

Cet esprit de compromis a saturé chaque aspect de la loi canadienne, du gouvernement et de la société. Il fut enseigné comme une voie de vie aux Canadiens. Cette façon de gouverner et de penser ouvrit la voie à l’attaque communiste sur le système éducatif.

Transformer l’éducation

En 1997, l’auteur et historien canadien J.L. Granatstein a fourni les preuves de l’infiltration des marxistes dans les écoles du Canada dans son livre “Qui a tué l’histoire canadienne ?”. Ces faits correspondent directement à l’avertissement de M. Armstrong. La première bataille entre les marxistes et les éducateurs traditionnels commença dans l’histoire du travail. Au lieu d’enquêter sur la raison pour lesquelles des syndicats furent créés et sur les griefs des travailleurs, les marxistes ont demandé aux étudiants ; Pourquoi se sont-ils levés contre leurs oppresseurs ? et Comment une grève générale peut-elle être utilisée comme une arme ? M. Granatstein explique :

« Les deux camps se sont combattus avec vigueur, mais personne ne peut rivaliser avec les marxistes dans la vitupération. Les historiens du travail institutionnel à l’ancienne étaient soit chassés soit livré à eux-mêmes pour chercher de nouveaux domaines dans lesquels travailler. Les marxistes avaient le contrôle complet du domaine de l’histoire du travail, y compris les journaux et les étudiants, et ils le maintiennent encore malgré le discrédit du marxisme partout dans le monde. Les universités, à l’abri du monde réel, continuent de protéger leurs marxistes. »

Cette attaque se propagea rapidement à tous les autres champs de l’histoire, chaque groupe d’intérêt spécial faisant valoir sa revendication. M. Granatstein poursuit :

« Il était beaucoup plus important d’étudier comment les travailleurs résistaient à l’industrialisation, déclaraient les historiens marxistes ; pour enquêter sur la manière dont le contrôle des naissances était pratiqué avant la pilule, ont maintenu les historiennes féministes ; ou pour documenter les expériences des hommes gais dans les bains publics de Toronto, que pour étudier les vies ennuyeuses des Premiers ministres, les efforts du Corps expéditionnaire canadien dans la Grande Guerre, ou la Révolution tranquille au Québec. Le blâme devait être attribué. Le Canada s’était rendu coupable de génocide contre les Indiens, du bombardement de l’Allemagne, du viol écologique du paysage, et d’autres choses encore. Leur objectif était d’utiliser l’histoire, ou leur version de l’histoire, pour guérir les mâles blancs de leur sentiment de supériorité. »

Les éducateurs marxistes protégés ont changé les programmes d’histoire dans les écoles primaires, secondaires et universitaires pour rendre nos jeunes gens honteux de leur histoire et remplis de haine de soi. Ils visent également à effacer toute l’histoire des hommes blancs et britanniques. Ils voulaient les « guérir » de leur supériorité sur les autres groupes et races. M. Granatstein explique, à l’aide d’un aperçu d’un manuel d’histoire populaire pour les universités intitulé “L’Histoire des peuples canadiens” :

« Il s’agit d’une histoire des peuples canadiens—il faut notez l’utilisation politiquement correct du pluriel—qui vise délibérément à parler des gens ordinaires, non pas des rois, des Premiers ministres et des élites. Comme sa préface l’affirme fièrement, il s’agit d’une histoire écrite pour contrer celle produite dans le passé par « une petite élite d’hommes blancs instruits, pour être lue par d’autres personnes comme eux ». Ce n’est pas une histoire de guerre et de développements politiques « dans laquelle eux et leurs pairs ont participé », ni d’une histoire écrite « du point de vue de gens qui dominaient de tels événements ». De plus, il ne s’agit pas d’une histoire écrite d’un point de vue canadien central. Au lieu de cela, c’est plutôt de l’histoire du point de vue des femmes, de la classe ouvrière, des minorités et des régions. »

Cette vue historique a été enseignée pour diviser les Canadiens en de petites factions et proclamer le faux récit de comment le Canada a opprimé les femmes et les minorités. Mais pourquoi cette attaque contre l’histoire des blancs anglais ? La raison est exposée par ce que M. Armstrong a écrit dans “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”. Le Canada faisait partie de l’héritage d’Éphraïm, ou il faisait partie du domaine de la Grande-Bretagne, non pas de celui de Ruben (la France).

Une fois que vous changez l’histoire de comment une nation est apparue et qui est cette nation, vous pouvez changer le peuple. Quand vous combinez cette attaque contre l’identité et l’histoire du Canada avec l’esprit de compromis saturé dans la pensée canadienne, vous avez une combinaison mortelle.

Les fruits des efforts communistes pour endoctriner les Canadiens ont atteint leur plein épanouissement grâce à la dynastie politique d’une famille : les Trudeau.

Le Trudeauisme

Il n’y pas eu de premier ministre du Canada plus charismatique que Pierre Trudeau. On parlait de la « Trudeau manie ». Mais les fruits de son leadership sont profondément troublants. Particulièrement, la famille Trudeau a toujours eu une histoire constante d’avoir un « penchant » pour les tyrans, comme l’écrivain Mark Milke le soulignait dans l’article « La famille Trudeau aime les tyrans » publié dans la revue Maclean’s en 2018. M. Milke a écrit :

« Avoir un penchant pour les tyrans provoque plusieurs angles morts, que ce soit sur la démocratie, l’économie ou, plus récemment, sur l’environnement. Tous ont été exposés dans l’engouement continu de la famille Trudeau pour les tyrannies et les autocraties dans les commentaires d’Alexandre, Margaret et Justin Trudeau. Nous voyons des preuves de la longue histoire d’amour de la famille Trudeau avec les autocrates et les tyrans du monde. Mais le problème commença avec Pierre. »

Cet engouement est plus qu’un « penchant » mais c’est une claire amitié avec des gens d’un même esprit. Dans le numéro de la Trompette de janvier 2016, le contributeur Robert Morley exposa l’éducation, l’histoire et les politiques communistes de Pierre Trudeau et de son fils, l’actuel Premier ministre canadien Justin Trudeau. Dans son article « Tel père, tel fils », M. Morley a révélé que les deux ont fait l’éloge des dictatures communistes brutales et ont fait étalage des droits légitimes des Canadiens. Cet amour pour les Communistes était également évident dans les politiques sur l’éducation et la réforme constitutionnelle de Pierre Trudeau.

En 1965, l’enseignant d’histoire canadienne, A. B. Hodgetts convainquit le gouvernement de produire un rapport sur la façon dont l’enseignement de l’histoire au Canada affectait l’attitude des Canadiens à l’égard de leur gouvernement et de leur nation. Granatstein écrit, « Le rapport de Hodgetts suscita un intérêt croissant pour le Canada », ce qui incita le gouvernement Trudeau à fournir un financement supplémentaire aux provinces pour des « études canadiennes ». Mais ce n’était pas ce qu’il semblait être, pourtant. Granatstein poursuit :

« L’essor des études canadiennes s’est avéré très différent d’un intérêt pour le passé canadien. Les études canadiennes étaient… peu importe ce que ceux qui enseignaient quelque chose, n’importe quoi sur le Canada voulaient qu’il soit—un amalgame de littérature, d’art, d’actualité, de politique et d’enjeux publics, et d’environnement. »

Ce mouvement n’a fait que d’accélérer le remplacement de l’histoire canadienne par la propagande communiste. Ce qui créa plus de confusion et de division, c’est le fait que l’éducation était contrôlée au niveau provincial et territorial, ce qui a fait en sorte qu’il y ait 13 versions différentes de l’éducation canadienne. Cela commença à avoir une incidence sur la façon dont les Canadiens considéraient leur patrimoine et leurs traditions, ce qui permit à Pierre Trudeau de complètement remanier la Constitution canadienne en 1982 et d’inscrire cette façon de penser dans la loi. Granatstein écrit :

« Le boom des études canadiennes s’inscrivait dans le cadre d’un changement plus large des attitudes à l’égard de l’apprentissage… Dans la société en général (et surtout après l’entrée en vigueur de la Charte canadienne des droits et libertés), l’accent est passé des droits et libertés communautaires aux droits et libertés individuels, et hors du Québec, les droits collectifs ont commencé à être perçus comme anti-démocratiques. Les écoles reflétaient le changement… Pour les théoriciens de l’éducation, l’histoire était ennuyeuse, hors de propos, et ne convenait qu’au tas de scories, à l’exception de petites pépites qui pouvaient être extraites du passé et rendues utiles pour les préoccupations actuelles concernant le racisme, l’équité entre les sexes, et le sort des peuples autochtones. Que tout ce saccage de l’histoire et du patrimoine soit destructeur et une source de division, plutôt qu’une force unificatrice, ne semblait pas avoir d’importance. »

Trudeau tenta pendant des années de réformer la Constitution canadienne (créée le 1er juillet, 1867), mais il n’a pu réussir qu’en 1982, quand il ajouta la Charte des droits et libertés aux lois constitutionnelles. Bien que la charte consacre de nombreux droits importants pour les Canadiens, elle consacre aussi les valeurs insérées par les éducateurs marxistes, en mettant l’accent sur le multiculturalisme, les droits des minorités et les droits de l’individu, et elle plaça le Québec en position de pouvoir sur le reste du Canada anglais. Bien que les droits ne soient pas mauvais en eux-mêmes, c’est le contexte qui leur a été donné par les éducateurs qui cause le problème. La charte et le programme d’études communiste vont de pair pour imposer leur manière de penser aux Canadiens et donner aux « victimes opprimées » le pouvoir d’agir contre les traditions du Canada. Les juges et avocats radicaux ont utilisé la charte pour forcer continuellement la majorité des Canadiens à faire des compromis, même s’ils ne sont pas d’accord avec elle. Comme Granatstein écrit :

« Le résultat de ce point de vue, comme Michael Bliss l’exprima en 1991, a été la « scission » de l’histoire canadienne, une scission qui reflétait la fragmentation de la nation. Le résultat avec lequel nous vivons chaque jour est un Québec à l’esprit séparatiste, un Occident malheureux, et une Charte des droits qui met l’accent sur les droits individuels ou collectifs. »

Rien n’illustre ceci plus clairement que la réponse à la COVID-19. La nation se fracture en plusieurs groupes, et dans chaque province, chaque région sanitaire agit indépendamment l’une de l’autre, sans uniformité. Cela illustre à quel point les Canadiens sont prêts à faire des compromis avec leurs propres droits parce qu’on leur a enseigné à faire des compromis avec leurs propres valeurs dans des salles de classes partout dans le pays.

Pierre Trudeau était peut-être le produit le plus visible du système éducatif communiste, mais nous avons toute une génération de dirigeants qui pensent de la même manière. Certains peuvent se dire conservateurs, libéraux ou néo-démocrates, mais un léopard ne peut pas changer ses taches : tous les dirigeants de tous les partis ont accumulé du pouvoir et violé les droits des Canadiens. Le Trudeauisme est l’intégration d’un régime de style communiste dans le gouvernement.

La normalisation du communisme

Le transfuge du KGB Yuri Bezmenov a mis en garde l’Amérique dans les années 1970 que la guerre idéologique communiste se faisait en quatre étapes : 1) la démoralisation, 2) la déstabilisation, 3) la crise, 4) la normalisation. Les États-Unis et le Canada ont vu leur système d’éducation infiltré par les communistes, comme M. Armstrong l’avait prévenu il y a 70 ans, mais les deux nations sont à des stades différents de cette guerre idéologique. En Amérique, il y a une guerre sur l’âme de la nation. Au Canada, la normalisation du communisme bat son plein.

Au Canada, il n’y a pas de leadership pour s’opposer aux politiques radicales de gauche des gouvernements provinciaux et fédéraux. Il y a peut-être une majorité croissante qui n’est pas d’accord avec le fait que leurs droits soient bafoués et que les gouvernements accumulent du pouvoir, mais ils n’ont aucune voix ou moyen organisé pour s’opposer aux autocrates au pouvoir. Le remplacement de l’histoire dans les écoles par le féminisme, la victimisation et l’idéologie marxiste a enseigné aux Canadiens à penser comme leurs éducateurs : Socialistes, Marxistes, Communistes. L’introduction des soins de santé nationalisés, de règlements détaillés et d’un système d’aide sociale généreux a appris aux Canadiens à se fier au gouvernement. Ceci n’existe pas en Amérique. L’esprit de compromis, ancré dans la vie des Canadiens, a été utilisé contre les Canadiens pour transiger avec leurs croyances fondamentales. Une nouvelle identité nationale a été fabriquée par les éducateurs et les médias qui se concentrent sur les excuses, le féminisme, le politiquement correct, et le multiculturalisme. L’identité du Canada a été pratiquement effacée !

Les États-Unis sont un exemple de cas où une infiltration communiste mène à une guerre pour sa survie ; le Canada est un exemple de cas où une infiltration communiste a pratiquement terminé le coup d’État.

Abraham Blondeau
Abraham Blondeau
Rédacteur, laTrompette.fr



Grande-Bretagne — Selon la chambre des Lords, les preuves sont insuffisantes pour rendre la vaccination obligatoire chez les soignants

[Source : REINFOCOVID]

Le DHSC, équivalent britannique du ministère de la santé, n’a fourni aucune explication cohérente pour expliquer et justifier la politique qu’il entend mener selon la Chambre des Lords.

La chambre des Lords est la chambre haute du parlement britannique dont le rôle s’apparente à celui du Sénat français.

Un article, paru dans le British Medical Journal, rapporte les échanges entre l’équivalent du Ministère de la Santé et la Chambre des Lords.

Les points importants de ce débat politique britannique sont les suivants :

  • Les plans du gouvernement n’ont pas fait l’objet d’une réflexion approfondie selon la chambre ;
  • 126 000 soignants quitteraient leur emploi si la vaccination devenait obligatoire, selon la chambre ;
  • Le gouvernement ne propose pas de plan d’impact de cette perte de soignants ;
  • Cette obligation vaccinale des soignants engendrerait un surcoût de 270 millions de livres sterling.

Le DHSC, équivalent britannique du ministère de la santé, n’a fourni aucune explication cohérente pour expliquer et justifier la politique qu’il entend mener selon la Chambre des Lords

Traduction de l’article

https://www.bmj.com/content/bmj/375/bmj.n2957.full.pdf

Un comité de la Chambre des Lords a soulevé plusieurs préoccupations concernant la proposition de loi visant à rendre obligatoire la vaccination contre le SARS-CoV-2 pour l’ensemble du personnel soignant en Angleterre, particulièrement de savoir si le bénéfice de la vaccination des 8 % des soignants non vaccinés était proportionnée et comment le système de soin ferait face à la perte des 5,4 % qui ne veulent pas être vaccinés.

Le Secondary Legislation Scrutiny Committee a déclaré que les plans du gouvernement n’avaient pas fait l’objet d’une réflexion approfondie, empêchant la chambre des Lords d’examiner la proposition de loi.

Le 9 novembre, le ministre anglais de la santé et de l’aide sociale, Sajid Javid, a annoncé que tous les membres du personnel travaillant dans des établissements de santé et d’aide sociale réglementés par le gouvernement britannique seraient tenus de se faire vacciner d’ici le 1er avril. « Nous devons éviter les dommages évitables et protéger les patients du système de soins, nos collègues du système de soins et le système de soins lui-même.

Mais dans un rapport publié le 30 novembre, la commission a déclaré que l’avantage d’augmenter la couverture vaccinale du personnel “peut être marginal” et que le gouvernement n’a pas publié de plans d’urgence sur la façon dont il ferait face à la perte de personnel qui ne veut pas du vaccin.

Le rapport indique que sur les 208 000 membres du personnel du Système de Santé National qui ne sont pas actuellement vaccinés, 54 000 (26 %) se feraient vacciner en vertu de la loi et 126 000 (61%) quitteraient leur emploi.

“Étant donné que l’on s’attend à ce que la législation entraîne des coûts supplémentaires de recrutement et de formation de 270 millions de livres sterling et des perturbations majeures de l’offre de soins à la fin de la période de grâce, des preuves très solides devraient être fournies pour soutenir ce choix politique.

Le DHSC [Department for Health and Social Care] (NDLR : équivalent du ministère de la Santé) n’a pas fourni de telles preuves”, a-t-elle déclaré.

La commission a également critiqué le ministère pour ne pas avoir inclus dans la législation des détails pratiques sur comment des expressions telles que “face à face” ou “autrement engagé” seraient appliquées, renvoyant à la place à des directives qui seront produites à l’avenir.

Le président de la commission, Robin Hodgson, a déclaré : “Nous sommes tout à fait favorables à des niveaux élevés de vaccination, mais le DHSC est responsable de ses décisions devant le Parlement et doit nous donner une idée claire sur les effets de ces réglementations, sur de l’effet de l’inaction et de toute autre solution envisagée, afin que le Parlement comprenne pleinement toutes les conséquences de ce que le DHSC lui demande d’accepter.

Ceci est particulièrement important lorsque le Système National de Santé est déjà soumis à une telle pression.

“Le DHSC n’a fourni aucune déclaration cohérente pour expliquer et justifier la politique qu’il entend mener, et cela nuit à la capacité de la Chambre à entreprendre un examen efficace de la législation proposée.”

Références

Référence : https://www.bmj.com/content/bmj/375/bmj.n2957.full.pdf  BMJ 2021;375:n2957 http://dx.doi.org/10.1136/bmj.n2957




Tribune : « Une nouvelle religion vaccinale est née en Occident »

[Source : QG – Le média libre]

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L’idéologie de la vaccination intégrale et répétée des populations est une sorte de nouvelle religion, avec son dieu, ses grands maîtres argentiers, ses dévots, ses techniques de propagande de masse et ses mensonges éhontés. En ouvrant désormais la voie à la vaccination des enfants et en créant par ailleurs entre les citoyens des discriminations inédites pour des régimes réputés démocratiques, elle viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables » et dresse les citoyens les uns contre les autres. Plus de 1.200 universitaires, médecins et soignants alertent dans une tribune sur QG, le média libre.

La séquence d’appel à la vaccination des enfants par le gouvernement français ce lundi 6 décembre était écrite d’avance. L’Agence européenne du médicament (EMA) avait autorisé le 25 novembre l’usage des vaccins expérimentaux contre le Covid-19 chez les enfants âgés de 5 à 11 ans, ne faisant que suivre une nouvelle fois la Food and Drug Administration (FDA) américaine (communiqué du 29 octobre). Ceci ne concerne plus désormais que le produit de Pfizer/BioNTech, même s’il faut bien par ailleurs continuer à écouler le stock de celui de Moderna dans les vaccinodromes. En France, la Haute Autorité de Santé (HAS) lui emboîtait le pas en proposant (le 30 novembre) de vacciner tous les « enfants fragiles », à savoir « tous ceux qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder et pour ceux vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou vulnérables non protégées par la vaccination ». Elle appelle cela « la stratégie du cocooning », une appellation d’apparence bienfaisante, qui masque le fait que les enfants sont bien moins contaminants que leurs parents et leurs enseignants (comme le montre une étude de l’Institut Pasteur). Et la HAS annonce déjà qu’elle « se prononcera ultérieurement sur la pertinence d’élargir cette vaccination ». Le premier groupe (les enfants « à risque ») concernerait déjà au bas mot 360.000 personnes. Mais, bizarrement, la HAS ne chiffre pas le second groupe, celui des « enfants de 5 à 11 ans vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou celui de personnes vulnérables non protégées par la vaccination ». Il faut dire que, selon le gouvernement, le taux de vaccination des personnes de plus de 65 ans dépasse les 92% en France, de sorte que l’on ne voit pas très bien combien de « personnes immunodéprimées ou vulnérables » ne seraient pas encore vaccinées. Mais peu importe en réalité, l’essentiel est de continuer la grande marche en avant vers la vaccination intégrale (et répétée tous les six mois au minimum) de toute l’humanité. Telle est la nouvelle religion qui se répand dans le monde et permet aux grands maîtres argentiers Pfizer et Moderna d’engranger 1 000 dollars de bénéfice par seconde à chaque instant de nos vies, le tout orchestré par leurs vassaux régionaux que sont devenus la plupart des gouvernements occidentaux ainsi que les agences internationales – à commencer par une Commission Européenne emmenée par une Ursula von der Leyen orchestrant la grande opération vaccinale tout en ayant un fils travaillant pour le cabinet McKinsey et un mari directeur d’une entreprise de biotechnologies orientée vers les thérapies génétiques.

En France, la Haute Autorité de Santé (HAS) propose de vacciner tous les « enfants fragiles », à savoir « tous ceux qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder »

Les ressorts éculés de la propagande de masse

Pour y parvenir, ces gouvernements (et les nombreux journalistes qui les suivent au garde-à-vous) utilisent toutes les vieilles ficelles de la propagande. La logique de base est celle qu’expliquait déjà Jacques Ellul il y a 60 ans (Propagandes, 1962) : « En face de la propagande d’agitation [des révolutionnaires, des putschistes, des terroristes], nous trouvons la propagande d’intégration, qui est la propagande des nations évoluées, et caractéristique de notre civilisation. C’est une propagande de conformisation ». En effet, « dans une démocratie, il faut associer les citoyens aux décisions de l’Etat. C’est là le grand rôle de la propagande. Il faut donner aux citoyens le sentiment d’avoir voulu les actes du gouvernement, d’en être responsables, d’être engagés à les défendre et à les faire réussir ». On reconnaît là le fondement de ce qui est appelé nudge de nos jours, un mot anglais à la mode pour désigner de vieilles techniques de marketing et de publicité. C’est en effet aux années d’entre-deux-guerres que remonte cette conception moderne de la propagande. L’un de ses maîtres à penser fut Edward Bernays, dont toute l’œuvre de propagandiste et de publicitaire reposait sur l’idée que « la masse est incapable de juger correctement des affaires publiques et que les individus qui la composent sont inaptes à exercer le rôle de citoyens en puissance qu’une démocratie exige de chacun d’eux : bref, que le public, au fond, constitue pour la gouvernance de la société un obstacle à contourner et une menace à écarter », comme le résume son préfacier français.

Le premier socle permanent de cette propagande est la peur, qui permet de placer les sujets en état de suggestibilité. Après avoir longtemps nié l’existence des variants (sans doute parce que c’est l’IHU de Marseille qui le montrait), le gouvernement s’en est emparé pour renouveler cette stratégie de la peur. Chaque nouveau variant permet ainsi de relancer l’idée simplette des « vagues » successives censées nous submerger, et vient justifier de nouvelles étapes dans l’objectif de vaccination intégrale, tout en détournant l’attention des véritables causes de la mortalité occasionnée par ces virus. Causes qui sont essentiellement d’une part la proportion croissante de personnes atteintes de maladies chroniques environnementales (obésité, diabète, insuffisances cardiaques ou respiratoires, etc.), d’autre part la tiers-mondisation de l’hôpital public.

Vient ensuite la technique de propagande « blouses blanches et galons » bien décrite par Etienne Augé (Petit traité de propagande. À l’usage de ceux qui la subissent, 2007). Elle consiste à « faire appel à des individus disposant de par leur titre, grade ou mandat, d’une autorité sociale susceptible de bénéficier d’une crédibilité sans rapport avec leurs propos et de provoquer chez leur audience une adhésion à leurs idées, arguments ou actions ». Ainsi peut-on constater dans les médias « l’apparition de spécialistes-professionnels, capables d’intervenir sur des sujets dont ils n’ont parfois pas une connaissance suffisante mais sur lesquels ils parviennent à s’exprimer avec un langage convaincant. Leur discours est perçu par la plupart des non-spécialistes comme un avis valant expertise car on a pris soin de les présenter, par exemple par le biais d’un bandeau à la télévision, en mettant en valeur leurs titres, tels que docteur, professeur, général, ainsi que leur domaine d’expertise ». Bien entendu, pour que cela fonctionne, il faut soigneusement dissimuler leurs fréquents liens avec les industries pharmaceutiques.

En outre, les gouvernements comme celui de la France utilisent massivement un autre classique de la propagande d’Etat qu’Etienne Augé appelle « le choix truqué ». Il consiste à « proposer à un public un choix, comme s’il lui revenait de trancher et de choisir la meilleure option, tout en sachant à l’avance quel sera le résultat de cette consultation. Ainsi, le propagandiste met l’auditoire devant l’alternative entre un choix inacceptable qui sera nécessairement rejeté, et une option qui apparaîtra comme peu désirée mais inéluctable devant l’ampleur du danger qui menace ». Vaccinés ou reconfinés ? Vaccinés ou remasqués ? Vaccinés, guéris ou morts ? L’histoire était écrite d’avance pour qui sait la reconnaître: « on utilise le choix truqué principalement pour expliquer des sacrifices ou pour annoncer des mesures drastiques. Il n’est pas rare, dans ces cas-là, que l’on utilise des expressions inquiétantes, car l’objectif est de montrer qu’il n’existe qu’une solution pour prévenir une catastrophe ». Et l’auteur de conclure que le chef politique doit alors« s’imposer dans un rôle de sauveur qui sait apprécier l’altruisme de ses ‘ouailles’. Il peut demander qu’on lui sacrifie certaines libertés primaires afin de mieux garantir la sécurité de chacun dans des temps troublés. Cette technique se retrouve à l’origine de la plupart des systèmes de domination massifs qui conduisent à des dictatures ».

Enfin, arrive la technique de la grenouille ébouillantée dans la célèbre fable : plongez une grenouille dans de l’eau bouillante et elle bondira pour s’échapper, mais plongez-la dans de l’eau froide et portez progressivement l’eau à ébullition, la grenouille s’engourdira et finira par mourir de cette cuisson sans s’en apercevoir. Les gouvernements usent et abusent de cette technique de contrainte en passant leur temps à jurer que telle obligation n’arrivera jamais ou que telle catégorie de la population ne sera jamais concernée, afin de ne pas alarmer la population. Tout en réalisant la chose petit à petit. Ainsi la vaccination fut-elle d’abord réservée aux personnes les plus âgées et aux professionnels de soins. Ensuite, elle a été élargie progressivement aux adultes des tranches d’âge inférieures, avant de passer aux adolescents, puis aux enfants. Aujourd’hui ce sont les enfants réputés « fragiles », pour continuer à jouer le noble rôle de protecteur. Demain, ce sera en réalité la totalité.

La réalité n’a pas grand-chose à voir avec cette propagande

La réalité, elle, se moque de ces manipulations des peuples. Elle se résume en cinq constats.

Figure 1 : Évolution par rapport à 2019 du nombre de décès cumulé selon l’âge

Source : INSEE, état civil. Nombre de décès quotidiens transmis jusqu’au 8 novembre 2021
Note de lecture : manque l’année sur la dernière couleur (1er mars-30 avril 2020)

Le premier [constat] est que la prétendue « pandémie du siècle » n’a jamais menacé les personnes âgées de moins de 60 ans. S’il y a bien une catégorie de personnes qui ne risquent rien statistiquement, ce sont les enfants. Les statistiques de mortalité établies par l’INSEE montrent même que les personnes âgées de moins de 25 ans ont connu une sous-mortalité en 2020 et 2021 par rapport à 2019 (Figure 1 ci-contre). Quant à celles âgées de 25 à 49 ans, elles n’ont globalement pas vu la différence. La figure montre aussi que, sur la période actuelle (1er juin – 8 novembre 2021), il n’y a pas non plus de surmortalité chez les 50-64 ans.

Le deuxième constat est qu’il n’est pas justifié d’annoncer systématiquement le pire, aujourd’hui l’imminence d’une « cinquième vague ». La réalité est d’abord qu’il est fallacieux de présenter une courbe des « cas positifs » (qui dépend de nombreux facteurs, à commencer par la fréquence des tests) comme une courbe du nombre de « malades ». L’immense majorité des personnes porteuses de ce virus ont toujours été peu ou pas symptomatiques. Ensuite, les hospitalisations et les décès augmentent certes lentement, mais c’est le cas chaque année à cette période d’entrée dans l’hiver. Les données du réseau Sentinelles (un réseau français qui existe depuis 1984 et qui constitue un échantillon de plusieurs centaines de médecins généralistes faisant remonter leur activité médicale sur les maladies infectieuses) montrent même que le nombre de malades se situe actuellement très en deçà non seulement des deux principales épidémies de Covid (mars-avril 2020 et octobre-novembre 2020), mais aussi des années de plus fortes grippes saisonnières (Figure 2 ci-contre). Ceci signifie que la spécificité de l’épidémie de Covid ne réside probablement pas dans sa dangerosité intrinsèque, mais bien plutôt dans la réponse thérapeutique, ou plutôt l’absence de réponse thérapeutique, qui lui a été opposée par les médecins du fait des consignes gouvernementales qui ont privilégié d’abord des mesures non-pharmaceutiques (confinements, couvre-feux, etc.), ensuite la « solution vaccinale ».

Figure 2 : comparaison du nombre de malades recensés lors des épidémies de Covid (2020-2021) et des épidémies de grippes saisonnières 2019 et 2020

Source : réseau Sentinelles, mise en forme IRSAN

Le troisième constat est que la vaccination se dirige vers 100% de couverture de la population générale sans que cela ne change rien à la dynamique des épidémies successives provoquées par les variants. C’était déjà le cas du variant Delta (Indien) lors de l’été dernier, et c’est à nouveau le cas du variant sud-africain dit Omicron (apparemment moins dangereux que les précédents). La conclusion est fatale : le sauvetage par la vaccination générale est un mythe. Comme toutes les religions, il ne repose que sur la foi des croyants. La réalité, visible depuis plusieurs mois, est que la vaccination n’enraye nullement la propagation de l’épidémie. Et pour cause, il est bien établi que la vaccination n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus.

Le quatrième constat est que, comme toutes les idéologies religieuses ou laïques, la vaccination intégrale est une structure psychorigide aveugle à tout effet pervers et sourde à toute remise en cause. En l’occurrence, il est tabou de parler d’effets indésirables graves liés à la vaccination des jeunes. Or la réalité est là, qui ne pourra pas être indéfiniment cachée sous le tapis. Les adeptes de la nouvelle religion ont déployé de grands efforts pour dénier toute pertinence aux données de pharmacovigilance qui étaient disponibles déjà l’été dernier. Ils ne pourront rien contre l’accumulation des publications scientifiques qui documentent notamment les risques inédits de problèmes cardiaques (thromboses, péricardites, myocardites) chez les adolescents vaccinés (voir par exemple iciiciiciici et ). En d’autres termes, le rapport bénéfice/risque est clairement défavorable à la vaccination des jeunes. Pour cette raison, plusieurs pays scandinaves ont déjà renoncé à injecter aux jeunes les vaccins ARNm, rejoints il y a quelques jours par le Japon. Au demeurant, lorsque le gouvernement avait saisi le Comité Consultatif National d’Ethique le 27 avril 2021, ce dernier avait conclu que « la vaccination des enfants de moins de 12 ans ne semble pas éthiquement et scientifiquement acceptable ». Mais qui se soucie encore de l’éthique ?

Enfin, le cinquième et dernier constat est que cette idéologie industrielle et scientiste de la vaccination intégrale fonctionne comme les religions en temps de crise par le passé. Elle a ses grands prêtres et ses dévots, qui monopolisent plus que jamais la parole sur les plateaux de télévision. Elle a son inquisition médiatique qui excommunie les penseurs déviants et rêverait de pouvoir les brûler comme jadis les sorcières. Et elle produit massivement des boucs-émissaires (les non-vaccinés) qui sont traités comme autrefois les pestiférés ou les lépreux, plus récemment les victimes du Sida que J.-M. Le Pen voulait enfermer dans des « sanatoriums ». Situation d’autant plus absurde que tout vacciné est un futur non-vacciné qui s’ignore, puisque tout sera remis en cause pour celui ou celle qui ne fera pas sa troisième dose, avant sa quatrième (déjà actée par M. Delfraissy), sa cinquième, sa sixième, etcetera. Le principe même du « pass sanitaire » a beau reposer sur un mensonge éhonté (répétons que la vaccination ne bloque ni l’infection ni la transmission), sa logique discriminatoire se déploie dramatiquement depuis plusieurs mois. Et comme si la perte d’emploi, le non-accès aux restaurants, aux lieux culturels, etc., ne suffisait pas, les gouvernements européens rivalisent à présent d’imagination contre l’espèce de nouvel ennemi public n°1 qu’est devenu le non-vacciné. A l’image de l’Autriche, il ne suffit plus d’exclure, on voudrait maintenant mettre à l’amende, punir et enfermer. Cette logique discriminatoire morbide, qui viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables », dresse les citoyens les uns contre les autres et sera certainement décrite un jour par les historiens comme une sorte de folie collective orchestrée par des personnes ayant perdu tout sens des valeurs démocratiques et des droits de l’homme. Nous ne devons pas nous y résigner et rester muets devant un tel désastre intellectuel et moral.

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Les 1 200 premiers signataires

  • Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS (site)
  • Laurent Toubiana, chercheur à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
  • Paul Touboul, professeur de médecine (cardiologie, rythmologie) à l’université de Lyon
  • Jean Roudier, professeur de médecine à l’Université d’Aix-Marseille, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097
  • Christian Vélot, généticien moléculaire, enseignant-chercheur à l’Université Paris-Saclay
  • Jean-Paul Bourdineaud, professeur de toxicologie et biochimie à l’Université de Bordeaux
  • Claude Escarguel microbiologiste, ex président du syndicat national des praticiens des hôpitaux généraux, porte-parole du collectif de médecins « traitants » « AZI-THRO-d’hospitalisations, Co-président de l’association de malades Covid-longs UPGCS
  • Didier Lambert, président d’une association de patients, ancien membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance de l’ANSM
  • Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille, directrice du GREDIAUC
  • Juliette Rouchier, économiste, directrice de recherche au CNRS
  • Marie-Thérèse Dimanche-Boitrel, biologiste, directrice de recherche à l’INSERM
  • Jean-Marc Sabatier, microbiologiste, directeur de recherche au CNRS
  • Alain Wurtz, MD, PhD, professeur émérite de chirurgie thoracique à l’Université de Lille
  • Jacques Tilouine, professeur de Mathématiques, Université de Paris XIII
  • Bernard Boitrel, biochimiste et chimiste, directeur de recherche au CNRS, Université de Rennes 1
  • Jean-Louis Rouvillain, professeur de médecine à l’Université des Antilles-Guyane
  • Youri Timsit, microbiologiste, directeur de recherche au CNRS
  • Boris Bardot, généticien, enseignant-chercheur à Sorbonne Université
  • Christian Meny, physicien, Directeur de recherche au CNRS
  • Denis Geraads, directeur de recherches émérite au CNRS
  • Danièle Dehouve, anthropologue, directrice de recherche émérite au CNRS
  • Philippe Cluzeau, Enseignant Chercheur en Chimie à l’Université de Bordeaux
  • Alessandro A. Negroni, professeur de philosophie du droit, chercheur à l’Université de Gênes (Italie)
  • David Lepoutre, Professeur de sociologie à l’Université de Paris Nanterre
  • Gaëtan Flocco, maître de conférences en sociologie, Université d’Evry Paris-Saclay
  • Fabrice Caudron, maître de conférences à l’Université de Lille
  • Jean Baratgin, professeur en psychologie cognitive à l’Université Paris 8
  • Thierry Huck, PhD, chercheur au CNRS
  • Thomas Fernique, chargé de recherche CNRS
  • Marielle Aguilar, biostatisticienne au CNRS
  • Christian Toinard, professeur des Universités
  • Matthieu Smyth, professeur à l’Institut des Sciences Religieuses de l’Université de Strasbourg
  • Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale, Sorbonne-Université
  • Rafaëlle Maison, professeur de droit public à l’Université Paris-Saclay
  • Christopher Pollmann, professeur des universités agrégé de droit public, Université de Lorraine–Metz
  • Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
  • Boris Kolev, mathématicien, directeur de recherche au CNRS
  • Edith Galy, Professeure des universités en Ergonomie
  • Dominique Labbé, chercheur, retraité de l’Université de Grenoble-Alpes
  • Claude Roux, directeur de recherche honoraire au CNRS
  • Jean-Marie Seca, professeur de sociologie à l’Université de Lorraine
  • Alain Deville, Physicien, Professeur Emérite Université Aix-Marseille, membre de l’APS
    Maryse Esterle, sociologue, Université d’Artois
  • Hélène Banoun, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM
  • Emmanuelle Darles, maîtresse de conférences en informatique à l’Université de Poitiers
  • Vincent Pavan, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université
  • Marie Cécile Guérin, maître de conférences HDR en droit à l’Université de Bordeaux
  • Stéphane Vautier, professeur des Universités (psychométrie et méthodologie)
  • Yves Martinez-Maure, professeur de mathématiques à Sorbonne Université
  • Carolyn Granier-Deferre, maître de conférences émérite à l’Université de Paris
  • Nicolas Bonnet, professeur à l’Université de Bourgogne-Franche-Comté
  • Jacques Maillard, physicien des particules et nucléaire, retraité du CNRS, docteur d’Etat
  • Michel Duyme, Directeur de recherches Honoraire du CNRS, Sciences de la Vie
  • Isabelle Bore, Maître de Conférences à l’Université de Picardie-Jules Verne
  • Yves André, docteur en astrophysique, prix Servant de l’Académie des Sciences de Paris
  • Daniel Muller, Chargé de recherche en chimie, Université de Rennes 1
  • Nathalie Prudhomme, maîtresse de conférences en psychologie à Aix-Marseille Université
  • Frédéric Grillot, professeur à l’Institut Polytechnique de Paris
  • Elsa Faugère, anthropologue, chargée de Recherches à l’INRAE
  • Claire Berton-Carabin, directrice de recherche
  • Alain Joets, physicien, chargé de recherche au CNRS
  • François Réveret, physicien, ingénieur de recherche au CNRS
  • Guy Chapouillié, professeur Émérite ENSAV, Université de Toulouse Jean Jaurès
  • Philippe Schepens, professeur en Sciences du langage (retraité) Université de Franche-Comté
  • Pierre Bouopda, maître de conférences en Sciences économiques, Université Polytechnique Hauts-De-France
  • Catherine Frier, maitre de conférences à l’Université de Grenoble
  • Jocelyne Porcher, directrice de recherche à l’INRAE
  • Daniel Krob, directeur de recherches au CNRS (en disponibilité), ancien professeur de l’Ecole Polytechnique
  • Béatrice Mabilon-Bonfils, professeur de sociologie à l’Université de Cergy-Pontoise
  • Serge Chaumier, professeur à l’Université d’Artois 
  • Dorothée Dussy, anthropologue, directrice de recherche au CNRS
  • Christophe Al-Saleh, philosophe, maître de conférences à l’Université de Picardie
  • Bernard Lamizet, ancien professeur des universités, Institut d’études politiques de Lyon
  • Jean Philippe Garnier, École Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Poitiers, Université de Poitiers
  • Christine Zimmer, maître de conférences, Université de Bourgogne
  • Jean-Igor Ghidina, Maître de conférences HDR à l’Université de Clermont-Auvergne
  • Michael Esfeld, professeur de philosophie des sciences, Université de Lausanne (Suisse)
  • Frédéric Planchet, membre agrégé de l’Institut des Actuaires, Professeur des universités
  • Jean Chéry, CNRS & Université de Montpellier
  • Guillaume Zambrano, maître de conférences en Droit à l’Université de Nîmes
  • Evelyne Fargin, Professeur Emérite à l’Université de Bordeaux
  • Maryse Badel, Professeur à l’Université de Bordeaux
  • Cornelia Personne, PhD, Université technique de Darmstadt (Allemagne)
  • Jean Garagnon, maître de conférences honoraire à l’Université de Montpellier 3
  • Nathalie Leroux, maîtresse de conférences à l’Université Paris Nanterre
  • Henri Courivaud, docteur en droit, chargé de conférences à l’université de Grenoble-Alpes
  • Alain Léger, Professeur de sociologie, retraité de l’Université
  • Mélanie Guyonvarch, maîtresse de conférences à l’Université Evry
  • Lucien Samir Oulahbib, Ph. D., HDR, sociologie et sciences politiques, chercheur associé au CLESID
  • Danielle Deville, agrégée de sciences physiques, professeur en CPGE
  • Françoise Clerc, professeur émérite des universités, Sciences de l’Education
  • Pierre Chaillot, statisticien
  • Pierre Roche, docteur en sociologie HDR
  • Bruno Courcelle, Professeur émérite à l’Université de Bordeaux
  • Vincent Bertrand, maître de conférences à l’Université de Lorraine
  • Denis Lafarge, Chargé de Recherche au CNRS
  • Hélène San Clemente, ingénieur CNRS
  • Matthieu Jouvert, ingénieur d’études CNRS
  • Hervé Guyon, maître de conférences en Psychologie Statistique à l’Université de Bretagne Occidentale
  • Pascal Visine, Ingénieur d’études CNRS
  • Laurent Le Guillou, maître de conférences (Physique) à la Sorbonne Université
  • Christakis Georgiou, politiste à l’Université de Genève
  • Jérôme Vincent, ingénieur et professeur agrégé de physique
  • Florence Poirier, biochimiste, Ingénieure de Recherche à l’Université Paris 13
  • Fernand Bentolila, retraité, professeur des universités
  • Fabrice Megrot, médecin (PhD / HDR), chercheur associé au CNRS
  • Christian Germanaz, maitre de conférences à l’Université de La Réunion
  • Pierre-Jacques Hamard, Senior Research Scientist, Memorial Sloan Kettering Cancer Center (New York, USA)
  • Christophe Pouzat, neurophysiologiste et statisticien, chercheur au CNRS
  • Guillaume Lavoué, Professeur des Universités en Informatique, École Centrale de Lyon
  • Idriss Aberkane, Ph.D
  • Fabrice Colomb, sociologue, enseignant-chercheur à l’Université d’Evry Val d’Essonne
  • Olivier Dagnelie, maître de conférences en économie, Université de Pau et des pays de l’Adour
  • Nicolas Guérin, Maître de conférences (HDR) en Psychologie à Aix-Marseille Université
  • Marie-Ange Dat, enseignante-chercheuse en Sciences du langage Université de Nantes
  • André Bernold, retraité de la Michigan State University
  • Stéphanie Dupoiron, statisticienne et professeure de mathématiques à l’Université et en Grande École
  • Agathe Torti Alcayaga, maîtresse de conférences à l’Université Sorbonne Paris Nord
  • André Cayol, enseignant-chercheur retraité de l’Université de Compiègne-Sorbonne
  • Eric Teinturier, enseignant au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)
  • Pascal Bouchez, enseignant-chercheur à l’Université Polytechnique Hauts-de-France
  • Renaud Gabet, Institut Polytechnique de Paris
  • Jean Vallès, maître de conférences en mathématiques à l’Université de Pau
  • Anne-Marie Bonnand-Reilly, ex ingénieur d’études à l’INSERM (méthodologiste et biostatisticienne)
  • Michel Deshaies, est professeur de géographie à l’Université de Lorraine
  • Geneviève Lheureux, maîtresse de conférences à l’Université Lyon 3
  • Oscar Brousse, docteur en géographie, chargé de recherche au University College London (Royaume-Uni)
  • Martine Timsit-Berthier, docteur en médecine, docteur en sciences, retraitée de l’Université de Liège (Belgique)
  • Paule Seite, Professeur de biochimie à l’Université de Poitiers
  • Ollivier Charlade, enseignant-chercheur à l’Université Grenoble Alpes
  • Pascal Fugier, maître de conférences à l’Université de Cergy Paris
  • Luc Forest, professeur agrégé de Physique, Université de Bordeaux
  • Maxime Audebert, enseignant-chercheur à l’Université de Lyon
  • Damien Jeanne, chargé d’enseignement aux universités de Caen et du Havre, chercheur associé au CNRS
  • Jean-Louis Olive, anthropologue, professeur à l’université de Perpignan Via Domitia
  • Olivier Crevoisier, professeur d’économie à l’Université de Neuchâtel (Suisse)
  • Magali Soulatges, maîtresse de conférences à l’Université d’Avignon
  • François Hou, docteur en histoire, enseignant à l’Université
  • Marie Estripeaut-Bourjac, Professeur Émérite à l’Université de Bordeaux
  • Pierre Bitoun, sociologue, retraité de l’INRAE
  • Céline Schott, Ingénieure d’études INRAE
  • Dan Ioan Muresan, maître de conférences à l’Université de Rouen Normandie
  • Joël Colonna, Maître de conférences en droit privé à Aix-Marseille Université
  • Chantal Carpentier, docteur d’Etat, maîtresse de conférences des Universités retraitée
  • Philippe Huetz, Dr. en biophysique moléculaire, chercheur
  • Jean-Luc Périllié, Maître de conférences émérite en Philosophie, Université de Montpellier 3
  • Guillaume Saint-Pierre, Statisticien, chargé de recherche du développement durable
  • Amdé Burnol, ingénieur, docteur en géochimie environnementale
  • Vincent Lejour, Ingénieur en génétique moléculaire, Institut Curie Paris
  • Jacques H. Julliard, Docteur en chimie, Docteur d’Etat es sciences biologiques, retraité du CNRS
  • Fanny Kieffer, Maître de Conférences en histoire des sciences à l’Université de Strasbourg
  • Françoise Bloch, socio-anthropologue, retraitée du CNRS
  • Roland Assaraf, physicien, chargé de recherche au CNRS, Sorbonne Université
  • Sylvie Bordère, chimiste, chargée de recherche au CNRS
  • Nicolas Chevalier, physicien, chargé de recherche au CNRS
  • Clément Evain, Maître de conférences des universités en physique
  • Patrick Verovic Maître de conférences en mathématiques à l’Université Savoie Mont Blanc
  • Colette Anné, mathématicienne, retraitée du CNRS
  • Loïc Renoud, Ph.D, maître de conférences à Okayama University (Japon)
  • Sylvain Fève, ingénieur au CNRS
  • Sabine Scarzello, Ingénieur d’études au CNRS, Docteur en Sciences de la vie
  • Christiane Capron, professeur de psychologie honoraire des Universités
  • Yan Bour, docteur en anthropologie, chercheur associé à l’Université Côte d’Azur
  • Gwenola Graff, Chargée de recherche à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD)
  • Pierre-Marie Gassin, enseignant chercheur à l’ENSCM
  • Denis Rotillon, maître de Conférences en Mathématiques, Université de Toulouse
  • Delphine Prou, Science Research Manager au Memorial Sloan Kettering Cancer Center a (New York, USA)
  • Pascal Ragouet Professeur de sociologie à l’Université de Bordeaux
  • Claude Dechesne, ancien chargé de Recherche à l’INSERM
  • Eugenia Lamas, chercheuse, ancienne de l’INSERM
  • Jacqueline Grima, directeur de recherches au CNRS
  • André PICOT (président de l’ATC), Directeur de recherche honoraire du CNRS
  • Alexandra Henrion Caude, généticienne, directrice de l’Institut de recherche Simplissima
  • Fabrice Wilhelm, professeur des université, PR 9E section, à l’Université de Franche-Comté
  • Olivier Ozenda, Dr en math appliquées de l’Université Grenoble alpes, post doc INRAE
  • Michèle Leclerc-Olive, Chercheure (HDR) au CNRS honoraire
  • Gaëlle Martin-Gassin, maître de conférences à l’Université Montpellier 
  • Maïté Lascaud, professeure agrégée, chercheure associée LVis Lyon
  • Massimo Nespolo, enseignant-chercheur à l’Université de Lorraine, Nancy
  • Sophie Le Gal, Maître de conférences à l’Université de Nantes
  • Rosolino Lionti, ingénieur de recherche
  • Michèle Ramond, Professeur honoraire de l’Université Paris 8
  • Alain Chatelet, enseignant-chercheur à l’École Nationale Supérieure d’architecture de Toulouse
  • Clara RomeroMaitre de conférences en Sciences du langage à l’Université de Paris
  • Sabine Fenner-Wegener, enseignante aux universités de Darmstadt et Marbourg (Allemagne)
  • Ariel Prunell, ex Directeur de Recherche CNRS, spécialité Biologie moléculaire
  • Shirin Jindani, PhD., enseignant à l’Université Rennes 2
  • Muriel Cassel-Piccot, maître de conférences à l’Université Lyon 3
  • Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie à l’Université de Bordeaux
  • Jean-Christophe Cousin, maître de conférences, Telecom Paris, Institut Polytechnique de Paris
  • Régis Chambert, enseignant-chercheur retraité de l’Institut Jacques Monod de l’Université Paris 7
  • Henri Persat, Dr ès Science, PhD en Biologie, médaillé du CNRS
  • Duval Marie-France, Professeur retraitée, Aix-Marseille Université
  • Sacha Singh, enseignant à l’Université de Lille
  • Xavier Moniot-Lundy, juriste et enseignant (droit, économie) à l’Université
  • Etienne Fieux, Maître de conférences, Institut de Mathématiques de Toulouse, Université Paul Sabatier
  • Isabelle Aubert, Maitre de conférences en sciences de l’ingénierie et du numérique à l’Université de Bordeaux
  • Michel Massol, Chimiste-Médecin, Professeur Honoraire à l’Université Toulouse III
  • Isabelle Salle, enseignante-chercheuse à l’Ecole d’Economie d’Amsterdam (Pays-Bas)
  • Anne Isla, Economiste, Université de Toulouse
  • Hélène Conjeaud, Retraitée, Chercheure au CNRS (Biophysique)
  • Eric Desmons, agrégé de droit public, professeur des universités
  • Alain Pénoël, professeur agrégé de mathématiques, docteur de l’Université Paris VI
  • Patrick Labarthe, Professeur émérite à l’Université de Zurich (Suisse)
  • Anselm Gerhard, professeur à l’Université de Berne (Suisse)
  • Joseph Romano, sociologue, maître de conférences HDR, retraité de l’Université de Lorraine
  • André Fougerousse, professeur de Chimie émérite à l’Université de Strasbourg
  • Alain Bernard, agrégé de droit privé, professeur émérite des universités
  • Roland Hinnion, professeur de mathématiques (retraité) à l’Université Libre de Bruxelles (Belgique)
  • Pierre Couturier, Maître de conférences à l’Université de Clermont-Auvergne
  • Denis Roux, docteur d’Etat, retraité de l’université
  • Marc Cizeron, maître de conférences HDR à l’Université de Clermont-Auvergne
  • Jeanne-Louise Deschamps, doctorante en droit public de l’Université de Limoges
  • Agnès Rouby, enseignante-chercheuse dans l’enseignement supérieur
  • Giordano Mastrocola, chercheur à l’Université Toulouse – Jean Jaurès
  • Dominique Harmand, professeur émérite de l’Université de Lorraine
  • Géraldine Victoir, maître de conférences, université Paul Valéry Montpellier 3
  • Shanti Rouvier, docteur en Psychologie Clinique et Psychopathologie, chargée de cours à Aix Marseille Université 
  • Thierry Ternisien d’Ouville, chercheur retraité au Centre National d’études des Télécommunication
  • Françoise Morato Lallemand, Maitre de conférences, Faculté des sciences, Université de Montpellier
  • Charles Bourdeau, ingénieur de recherche, retraité du CNRS
  • Rémi Mongruel, économiste, chercheur à l’IFREMER
  • Eric Perera, Sociologue, maître de conférences HDR à l’Université de Montpellier
  • Marie lecomte-Tilouine, anthropologue, chercheuse au CNRS
  • Daniel Richard, Professeur retraité des Universités en Neurosciences
  • Daniel Boichu, Enseignant-chercheur retraité de l’Université de Compiègne
  • Élisabeth Campagna-Paluch, docteure en Anthropologie Sociale, Université Paris VIII- Saint-Denis
  • Claude Depollier, professeur émérite à le Mans Université
  • Estelle Garbay-Velázquez, maître de conférences à l’Université de Bourgogne Franche-Comté
  • Nadine Piat, professeur à l’École Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques
  • Emmanuel Piat, Maître de Conférences HDR à l’École Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques
  • Bernard Valette, doctorat d’État, chercheur associé au Laboratoire ISTerre (Chambéry-Grenoble, UGA, USMB), retraité de l’IRD
  • Martine Timsit-Berthier, Docteur en Médecine, Docteur en Sciences. Retraitée de l’Université de Liège (Belgique)
  • Marie-Françoise Petit-Glatron, chercheuse retraitée du CNRS, Sciences de la Vie
  • Maxime Parisotto, Ph.D et chercheur en biochimie
  • Pauline Garnier-Géré, PhD, Chercheur en génétique évolutive à INRAE
  • Philippe Mengue, Agrégé et Docteur d’État en philosophie
  • Marc Richevaux, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale
  • Jérôme Couillerot, professeur à l’Université Lyon 3, détaché auprès de l’université St Joseph (Beyrouth, Liban)
  • Bruno Décoret, maitre de conférences agrégé de mathématiques HDR
  • Christophe Lemardelé, enseignant, historien des religions
  • Christophe Brochier, sociologue, maître de conférences à l’Université Paris 8
  • Maxime Prévost, Professeur titulaire à l’Université d’Ottawa (Canada)
  • Franck Galtier, chercheur en économie politique au CIRAD
  • Anne Mandeville, Maître de conférences HDR en science politique à l’Université Toulouse Capitole
  • Milagros Ezquerro, Professeure des Universités
  • Raphaël Gély, Professeur aux Université Saint-Louis (Bruxelles, Belgique)
  • Caroline De Mulder, professeur à l’Université de Namur (Belgique)
  • Michèle Crogiez Labarthe, professeur ordinaire à l’Université de Berne (Suisse)
  • Madalina Calamaz, maître de conférences des universités
  • Benoit Marpeau, Maître de conférences en Histoire à l’Université de Caen-Normandie
  • Jean-François Georgis, Physicien, Maître de Conférences à l’Université Toulouse III
  • Nadia Lamm professeure retraitée de l’Université de Rouen
  • François Rosset, professeur à la Faculté des Lettres de l’Université de Lausanne (Suisse)
  • Hélène Bregani, psychologue (retraitée) à l’Université de Genève (Suisse)
  • Anne Mantero, maître de conférences à l’Université de Franche-Comté
  • Christian Ferrié, Professeur de chaire supérieure (CPGE, Strasbourg)
  • Hélène Pelczar Maître de conférences
  • Georgie Durosoir, professeur émérite à la Sorbonne Université
  • Aurélien Dyjak, docteur en sociologie, enseignant-chercheur à l’Université d’Aix-Marseille
  • Valérie Lowit Ingénieure d’études à l’Université de Paris
  • Christophe Leroy, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire
  • Jean Jimenez, docteur en Génie Biologique et Médical
  • Alain Brunel, docteur en biologie
  • Maya Habegger, Docteur en psychologie cognitive, neurosciences et biologie neurale
  • Michel Herren, docteur en philosophie (Lausanne)
  • Jean-Marc Del Percio-Vergnaud, docteur en science politique
  • Simon Archipoff, docteur en informatique
  • Christophe Andréo, docteur en sociologie
  • Nicolas Murcier, docteur en sociologie
  • Eveline Jaumary-Lapeyre, Docteur en Science Politique et droit public
  • Damien Gauden, Docteur ès sciences physiques
  • Patrice Gibertie, PhD, géographe
  • Françoise Gil, sociologue
  • Véronique Verdier, Docteur en philosophie, Université Paris 1
  • Marc G. Wathelet, Ph.D., docteur en biologie moléculaire
  • Emmanuelle Reulier, Docteur ès sciences économiques
  • Patrick Frayssinet, docteur en médecine, docteurs es sciences
  • Martine Lacour Masvigner, docteur en psychologie
  • Agnès Segura, Docteur en psychologie
  • Géraldine Bérail, Docteur en chimie de l’environnement et santé
  • Maxime Izoulet, docteur en économie de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS, Paris)
  • Agnès Lainé, historienne, Institut des mondes africains
  • Georges Herault, Professeur des universités
  • Alain Delannoy, docteur de l’Université d’Orléans
  • Gérard Maudrux, médecin, ancien président de la Caisse maladie des professions libérales et de la Caisse de retraite des médecins
  • Michel Cucchi, Directeur d’hôpital
  • Jacques Bouaud, chargé de valorisation de la recherche à l’AP-HP
  • Vincent Béja, ancien statisticien et chargé d’études à l’Observatoire Régional de la Santé de Provence Alpes Côte d’Azur
  • Bruno van Peteghem, Association Toxicologie-Chimie (ATC), Président du fonds de dotation I For Lyme (iFL)
  • Benoît Bataille, médecin anesthésiste réanimateur
  • Anne-Marie Monjo, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Olivier Lhoest, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Pierre-Yves Garnier, médecin, expert scientifique à l’international
  • Laure Laffly, biochimiste/biologiste (ancienne cadre R&D chez Sanofi vaccin)
  • Anne Stein, praticien hospitalier et maitre de conférences en biochimie à Aix-Marseille-Université
  • Pascal Trotta, Ancien Interne des Hôpitaux de Paris, Lauréat de la Faculté de Médecine de Paris, médecin radiologue, fondateur de l’institut de médecine naturelle de Saint-Sébastien
  • Nancy Béchard Radiologue
  • Andrei Cividjian, Chargé de mission – recherche, Hospices Civils de Lyon
  • Michel Ternoy, psychologue retraité de la Fonction Publique Hospitalière, Docteur d’état
  • Louis-Claude Le Gueult, médecin biologiste, ancien Directeur du site transfusionnel du Havre
  • Paul Bousquet, médecin, santé publique (évaluateur de risques)
  • Judith Ribbe, médecin en santé du travail
  • Philippe Teyber, cadre supérieur de santé
  • Jacqueline Collard, chimiste, présidente associative, ancienne administratrice CHU de Grenoble, représentante ARS AURA
  • Marie-Estelle Dupont psychologue clinicienne
  • Carole Xavier, médecin spécialiste en Anatomie Pathologique
  • Beatrice Fort médecin anesthésiste réanimatrice
  • Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Nabil Bensalem, Médecin Généraliste et urgentiste
  • Michel Thomas, docteur en médecine
  • Isabelle Chivilo, médecin généraliste
  • Gérard Vigneron, médecin généraliste
  • Philip Siegenthaler, médecin généraliste (Suisse)
  • Yves Colliez, médecin généraliste
  • Alain Garenne, médecin généraliste
  • Isabelle Grégoire, Docteur en médecine, médecine générale
  • Franck Hugbéké, chirurgien-dentiste
  • Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier 
  • Dominique Lesuisse, psychiatre (Bruxelles)
  • François Thioly, psychiatre
  • Laurent Jacquemin médecin psychiatre
  • William Suerinck, Dr en médecine, psychiatre, ex Praticien Hospitalier
  • Maria Ancona, psychothérapeute en Psychiatrie (Fonction Publique Hospitalière)
  • Michel Brack, médecin ex attaché INSERM
  • François-Xavier Roth, praticien hospitalier, pédiatre
  • Marie Grenet, médecin, pédiatre
  • Christine Coremans, Cardio-pédiatre
  • Gérard Machline, médecin généraliste
  • Helene Chollet médecin généraliste
  • Françoise Volot, médecin généraliste
  • Bernard Verdoux, médecin généraliste
  • Marie Pasquier, médecin coordonnateur en EHPAD (suspendue)
  • Marlène Mellinger Chirurgien-dentiste
  • Pierre-Laurent Vidal, médecin généraliste
  • Véronique Pécastaings, sage-femme
  • Sandrine Mathieu, sage-femme
  • Hélène Roux, médecin généraliste
  • Brigitte Bertoldo médecin régulateur libéral SAMU (suspendue)
  • Daniel Chollet pneumologue
  • Catherine Raulin, médecin ostépathe
  • Marc L’Hospitalier, ostéopathe
  • Philippe Ollivier, médecin, ophtalmologie
  • Idriss Abiola, infirmier anesthésiste 
  • Éric Reboli, médecin urgentiste
  • Arturo Perez, médecin urgentiste
  • Fabien Quédeville, médecin généraliste
  • Sandro Provenzano, médecin généraliste
  • Catherine Dubien, médecin généraliste
  • Marc Arer, médecin généraliste (suspendu)
  • Catherine Delmas, médecin dermatologue
  • Dominique Rivière, médecin, gériatre, praticien hospitalier
  • Diane Williot, médecin généraliste et médecin coordonnateur en Ehpad
  • Roseline Marie, médecin généraliste
  • Dominique Eraud médecin généraliste
  • Emmanuel Pichot, médecin radiologue
  • Catherine Solignac Fernstrom, immuno-allergologue
  • Delphine Rive médecin généraliste
  • Vincent Reliquet, médecin généraliste (AIMSIB)
  • Laurent Huillard, médecin généraliste
  • Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste
  • Robert Le Texier, médecin généraliste
  • Brigitte Weiss, médecin généraliste
  • Christian Marquis, médecin généraliste
  • Alain Berthier, médecin généraliste
  • Philippe Cliquet, médecin généraliste
  • Pascale Mourgues, médecin généraliste retraitée
  • Line Cabot, médecin généraliste
  • Christian Sarthe médecin généraliste
  • Patrick Viot, médecin généraliste
  • Anne-Laure Geslin, médecin généraliste
  • Bertrand Calichiama, médecin généraliste
  • Georges Oberzusser, médecin généraliste et médecin du travail
  • Hélène Oberzusser, radiologue
  • Ida Berar, radiologue
  • Marie Josephe Contrucci. Cadre de santé en Centre hospitalier
  • Denise Peyrat-Colonna, chirurgien dentiste
  • Christophe Grangeon, médecin urgentiste
  • Jean-Luc Lebrun, médecin, ex-praticien hospitalier (cessation d’activités)
  • Jacques Le Lann, médecin généraliste, gériatre et spécialiste de Santé Publique et Médecine Tropicale
  • Eric Beeth, Docteur en Médecine (Bruxelles)
  • Frédéric Schnee, Docteur en médecine générale
  • Anne Marie Begué-Simon, médecin homéopathe retraité, ancien maître de conférences et expert près des Tribunaux
  • Jean-Philippe Cros, médecin Honoraire des Hôpitaux, ancien chef de service
  • Françoise Caumont, chirurgien-dentiste
  • Corinne Masson, sage-femme (interdite d’exercer)
  • Bertrand Jop, Cardiologue 
  • Jacques Mabit, médecin généraliste
  • Catherine Maso, médecin généraliste
  • Joelle Locatelli, médecin généraliste
  • Véronique Ahari, médecin généraliste
  • Philippe Lemasson, médecin généraliste
  • Jean-Bernard Morez, médecin généraliste
  • Bernard Bozzi, médecin généraliste
  • Béatrice Georget-Tard, médecin généraliste
  • Jean-Marc Rehby, médecin généraliste
  • Floriane Lefèvre, médecin généraliste
  • Olivier Vercruysse, médecin généraliste
  • Alain Mazeyrat, médecin généraliste
  • Éric Portes, médecin généraliste
  • Bruno Geoffray, médecin généraliste
  • Franck Zeiger, médecin généraliste
  • Alain Carillon, médecin généraliste
  • Daniel Fagnano, médecin généraliste
  • Anne Nespolo, médecin généraliste
  • Claire Lenclud médecin généraliste
  • Christiane Vallin, médecin généraliste
  • Maryse Morin-Bateau, médecin généraliste
  • Michel Marcadé, médecin généraliste
  • Anne Catherine Martin, médecin généraliste
  • Catherine Gal Bozzi, médecin généraliste
  • Sylvie Leroux, médecin généraliste
  • Hubert Sroussi, médecin généraliste
  • Alain-Philippe Maniette, médecin généraliste
  • Dominique Prost médecin généraliste
  • Daniel Robinson, médecin généraliste, ancien médecin des hôpitaux de Lyon
  • Patrice Perrette, médecin généraliste, ancien président du Collège des Généralistes
  • Alain Batarec, médecin généraliste
  • Simone Casabon, médecin généraliste
  • Michel Boudet, médecin généraliste
  • Anne-Lise Vidal, docteur en médecine
  • Gaëlle Douhet, docteur en médecine générale 
  • René Messagier, docteur en médecine
  • Olivier Personne, médecin généraliste (Allemagne)
  • Daniel Dhaussy, médecin généraliste retraité
  • Jean Marie Pavard, médecin retraité
  • Isabelle Rossetti, médecin généraliste
  • Daniela Engel médecin généraliste
  • Philippe Imbert, médecin généraliste
  • Françoise Douady, médecin généraliste
  • Caroline Chalbos. Médecin généraliste
  • Philippe Bonnet, médecin généraliste
  • Jean-Luc Boesch, médecin généraliste
  • Catherine Artviga, médecin généraliste
  • Estelle Prevost, médecin psychiatre
  • Jérôme Jeudy médecin généraliste
  • Béatrice Mullie, médecin généraliste
  • Corinne Constantin, médecin généraliste
  • Pascal Henriot, médecin généraliste
  • Chrystelle Martin, médecin généraliste
  • Marie-Christine Rabut, médecin généraliste
  • Jean Grimberg, Chirurgien Orthopédiste
  • Frédéric Pic, médecin, rhumatologue
  • Martine Mérour pneumologue
  • Farida Ouadghiri chirurgien gynécologue à l’hôpital de Niort (suspendue)
  • Laurence Duboc-Lecocq, docteur en Médecine Vétérinaire 
  • Claire Martin, médecin vétérinaire
  • Nadine Prouilhac, sage-femme
  • Aurélie Colin, sage-femme 
  • Nathalie Ba, sage-femme
  • Fanny Semblat, sage-femme
  • Morgane Chazaud, sage-femme hospitalière
  • Nicolas Bojic, médecin gériatre
  • Marie Gaspard, médecin biologiste
  • Véronique Grasset médecin généraliste
  • Jacky Maillard, médecin généraliste
  • Eric Menat, médecin généraliste
  • Christine Le Pezron médecin généraliste
  • Michel Souid, médecin généraliste et gériatre
  • Jean Claude Bourrin, médecin généraliste retraité
  • Alix Moulanier, Médecin généraliste
  • Armelle Blanchard, médecin généraliste
  • Corinne Bernard, Docteur en médecine
  • Jacques Gardan, médecin généraliste
  • Murielle Oger Rucker, médecin généraliste
  • Agnès Koenig, médecin anesthésiste réanimateur
  • Philippe Bos, médecine anesthésiste réanimateur
  • Sylvie Cagnin, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Isabelle Curtet, médecin anesthésiste réanimateur
  • Richard Faitg, médecin anesthésiste réanimateur
  • Laurent Durinck, Anesthésiste
  • Valérie Mach-Alingrin, médecin en soins intensifs, Centre hospitalier
  • Élisabeth Angoujard, docteur en médecine, radiologue 
  • Nelly Blanchet, médecin inspecteur de santé publique
  • Jean Gabriel Balique, chirurgien hospitalier
  • Eve Lefrancq, Médecin Cardiologue
  • Valérie Sierra, médecin cardiologue
  • Bernard Hardt, Chirurgien Urologue
  • Janine Nazaire docteur en chirurgie dentaire
  • Francis Fiocconi, radiologue
  • Béatrice Gay, oncologue médical et médecine interne générale
  • J. Oosterlinck, médecin généraliste
  • Pierre Jacq, chirurgien-dentiste
  • Isabelle Le Bras chirurgien-dentiste
  • Jacqueline Mariani, chirurgien-dentiste
  • Marie-Jacques Poncet, médecin gynécologue
  • Antoine Gastal, médecin MPR des Hôpitaux de Saint Maurice
  • Hélène De Cristoforo, médecin généraliste
  • Virginie Thomas-Haag, médecin urgentiste
  • Anne Crepy, médecin gériatre
  • Geneviève Pagnard, psychiatre
  • David Esfandi, Psychiatre 
  • Frédéric Badel, psychiatre
  • Marie Hélène Lottin, psychiatre
  • Jacques Vigne, psychiatre
  • Louise Riguet, Médecin psychiatre
  • Muriele Savigny, psychiatre
  • Jean-Michel Delaroche, psychiatre
  • Lise Gandolfi, psychologue
  • Fabienne Carver Psychologue clinicienne
  • Aline Gosset-Rage, psychologue clinicienne
  • Yamina Cherrou, psychologue clinicienne
  • Isaline Heulin, psychologue
  • Alexandra Meert, Psychologue
  • Laure Novarese psychologue clinicienne
  • Sylvie Blasquez, Psychologue clinicienne
  • Lise Nathanson, psychologue clinicienne
  • Claire Roy, pharmacienne
  • Jean-Jacques Devic, pharmacien 
  • François Carre, docteur en pharmacie
  • Coralie Amar, Dr vétérinaire
  • Laurent Aufrere, docteur en chirurgie dentaire
  • Jacqueline Warnet, Gastro-entérologue
  • Paul-André Bellot, chirurgiuen-dentiste
  • Jean-Pierre Letourneur, Gastroentérologue
  • Hélène Costamagna, Gynécologue
  • Tess Deffinis Ostéopathe 
  • Hélène Hamon pédiatre
  • Corinne Tilloy, médecin généraliste
  • Hilde De Smet médecin généraliste (Belgique)
  • François Le Corre, médecin généraliste retraité
  • Valérie Papapietro, médecin gastro-entérologue
  • Patrick Bruno, Ingénieur hospitalier
  • Arnaud Brun, Docteur en pharmacie
  • Aurore Rizzon, psychologue clinicienne (suspendue)
  • Jean-Luc Laurent, psychologue clinicien
  • Rose-Marie Rohé Psychologue clinicienne
  • Viviane Truel psychologue clinicienne
  • Laurence Maury, psychologue
  • Hervé Staub, médecin généraliste
  • Patrick Marcon, médecin généraliste
  • François Berenger, médecin, pédopsychiatre
  • Catherine Bonnet, médecin, pédopsychiatre
  • Frédéric Goaréguer, médecin, pédopsychiatre
  • Véronique Helmlinger, médecin psychiatre (suspendue)
  • Clélia Dubois, aide médico-psychologique en psychiatrie
  • Danielle Vautrin, médecin généraliste
  • Claude Murtaza médecin généraliste
  • Philip Keros, médecin généraliste
  • Gilles Cizeron, médecin généraliste
  • Annie Logli-Poumerol, médecin généraliste
  • Cecile Miraglia Romer, médecin généraliste
  • Bernadette Meignan médecin généraliste
  • Laurent Hervieux, médecin généraliste
  • Didier Tarte médecin généraliste
  • Catherine Noel, Docteur en médecine
  • Anne Marie Pillon, médecin généraliste retraité
  • Yannick Jouan, docteur en Médecine
  • Jean-Luc Stanek, Santé Navale et docteur en chirurgie dentaire
  • Xavier Le Gregam, médecin généraliste homéopathe
  • Philippe Vernet, docteur en médecine – chirurgien
  • Antoine Damotte, chirurgien orthopédiste
  • Marc Franchini, Chirurgien Ophtalmologiste 
  • Philippe Gombourg, chirurgien-dentiste
  • Gabin Lopez, médecin ophtalmologiste
  • Léna Le Flem, biologiste médical, PhD
  • Valérie Daubié sage-femme
  • Guylaine Lestienne Sage-femme
  • Françoise Casas, Psychomotricienne Psychothérapeute
  • Pascale Cloquell-Munos psychomotricienne
  • Anne-Sita Forest, Psychomotricienne
  • Marion James-Leduc, Psychomotricienne
  • Marianna Drinoczi, Psychologue clinicienne
  • Charline Chaveneau Orthophoniste
  • Laurent Redien, masseur-kinésithérapeute, ostéopathe
  • Sabine David, masseur-kinésithérapeute
  • Cyrille Ortman, kinésithérapeute
  • Sylvain Lafargue, masseur-kinésithérapeute
  • Matthias Giraudon, kinésithérapeute
  • Kim Gallois, kinésithérapeute
  • Clément Belmahdi, Masseur-kinésithérapeute
  • Françoise Cluzeau kinésithérapeute
  • Marie-Laure Pignier, masseur-kinésithérapeute
  • Caroline Grante, masseur-kinésithérapeute
  • Rose-Blanche Lehours Chaboud, infirmière en santé mentale
  • Laurence Jacquin Infirmière
  • Isabelle Rousset, Infirmière
  • Virginie Guillaume infirmière
  • Deniz Sevim, infirmière
  • Florence Marechaux, infirmière Education Nationale
  • Marie-Claude Durel, infirmière
  • Monique Lars, infirmière
  • Valérie Hutsebaut Infirmière
  • Nelly Cahuzac, Infirmière
  • Véronique Chevalier Infirmière 
  • Marielle Raggi, infirmière
  • Guillaume Renouf¸ infirmier
  • Nicolas Wodiczko, infirmier
  • Bénédicte Huguet infirmière
  • Cynthia Thezenas, infirmière Puéricultrice
  • Éric Comellini, Psychomotricien
  • Fabienne Garcia Kinésithérapeute
  • Ghislaine Le Corre, Kinésithérapeute
  • Thomas Brossier masseur kinésithérapeute
  • Laurence Meert, Kinésithérapeute
  • Bernard Chervet, psychiatre 
  • Pierre Babilliot, médecin psychiatre
  • Suzette Vieira Roth, pédiatre
  • Nicolas Ziolkowski Responsable Affaires Réglementaires et Évaluations cliniques – Dispositifs Médicaux
  • Isabelle Hoehne, docteur en médecine, médecin généraliste (cessation d’activité)
  • Rose-Marie Castello, médecin du Travail
  • Donia Hammami, vétérinaire
  • Ingrid Labbé, cadre de santé hospitalier, masseur kinésithérapeute
  • Julie Ceccone Radiophysicienne médicale en cancérologie, en CHRU
  • Francoise Poulain, praticien hospitalier urgentiste
  • Nathalie Caradot, docteur en médecine
  • Béatrice Petit, médecin généraliste retraitée
  • Philippe Martin, Ostéopathe
  • Emmanuelle Gaultron, ostéopathe
  • Marie Labat Médecin spécialiste
  • Philippe Saegesser médecin anesthésiste
  • Vincent Morault Docteur en Pharmacie
  • Isabelle Lagny, Médecin du travail
  • Marie Pascual, médecin du travail
  • Yves Richard, docteur en Chirurgie Dentaire
  • Catherine Lidon, sage-femme
  • Sébastien Moret, kinésithérapeute 
  • Virginie Pichault, infirmière en psychiatrie
  • Claude Deroussent, Médecin Généraliste
  • Dominique Ricci Cagnol, médecin ORL
  • Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin ORL
  • Gérard Delépine chirurgien orthopédiste et cancérologue
  • Nicole Delépine pédiatre cancérologue
  • Marie Dominique Tronchon, Ostéopathe, psychothérapeute
  • Richard Defay neuropediatre
  • Annie Aubin, docteur en médecine
  • Geneviève Farrachi, médecin généraliste
  • Julien Petit, médecin généraliste
  • Isabelle Chivilo, médecin généraliste
  • Jean François Teyssier, médecin généraliste
  • Gilles Spagnolo, médecin Gynécologue Obstétricien
  • Jean-Luc Lauer, Kinésithérapeute-ostéopathe
  • Stéphan Lepetit-Teston, Ostéopathe, Kinésithérapeute
  • Laurent Redien, kinésithérapeute
  • Frédéric Texereau, chirurgien dentiste
  • Anne-Françoise Van den Bulke, infirmière anesthésiste
  • Jean-Marc Le Gall, kinésithérapeute
  • Danièle Augé psychanalyste
  • Sandrine Raison. Infirmière
  • Noelle Vial, infirmière
  • Lucie Campitelli infirmière
  • Flottes Noémie, orthophoniste
  • Christine Mathou Orthophoniste
  • Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste (radiée)
  • Corinne Martin Rondeau, Orthophoniste (suspendue)
  • Emmanuelle Colson, Orthophoniste
  • Françoise Font Orthophoniste
  • Thibaut Berry, électroradiologie médicale
  • Jolanta Amouyal, Psychologue Clinicienne et du Travail
  • Françoise Verriest, psychothérapeute
  • José Pedralva da Silva, Psychologue clinicien
  • Elsa Hybertie psychologue clinicienne
  • Sandra Pain psychologue
  • Agathe Vastel-Paris, docteur en pharmacie, diplômée en biologie médicale
  • Laura Minart, docteur en médecine, médecine du travail
  • Déborah Busidan, médecin du travail
  • Martine Breteau, médecin du travail
  • Zineb Deheb, médecin, dermatologue
  • Jean-Charles Luizard, psychiatre
  • Laura Giusti, médecin psychiatre 
  • Bernard Chervet, psychiatre
  • Sylvie Imbert psychiatre
  • Magali Delvaux, médecin psychiatre
  • Anne Meriglier, psychologue clinicienne (suspendue)
  • Françoise Ternoy, psychomotricienne
  • Delphine Bensaïd, psychologue clinicienne
  • Yvette Klein Wurtz psychologue clinicienne
  • Dominique Lismonde, psychologue clinicienne
  • Roselyne Charvet Dischly, psychologue clinicienne
  • Aleth Naquet, psychologue clinicienne
  • Catherine Vasseur psychothérapeute
  • Charles-Henri Crochet, psychologue clinicien
  • Michel Forné-Vivó, médecin, psychothérapeute
  • Marie-Bénédicte Hibon, médecin généraliste
  • Christian Latriche, médecin généraliste, homéopathe, acupuncteur
  • Jacqueline Guérin, docteur en médecine
  • Philippe Danjou Urologue, praticien hospitalier.
  • Benjamin Guy, médecin hospitalier
  • Dominique Jaulmes, médecin hospitalier
  • Véronique Aymes, docteur en chirurgie dentaire et professeur de mathématiques
  • Nadine Dumont, psychothérapeute
  • Elodie Petit-Aguilar, psychologue clinicienne
  • Fabrice Guilbaud, psychologue clinicien
  • Jean-Pierre Morinière docteur en pharmacie
  • Sophia Hamdi, psychologue
  • Karine Baillieu, psychologue
  • Florence Amat, psychologue
  • Florence Pichot, psychologue
  • Gilles Rochette, psychologue
  • Sophie Plantade, psychologue
  • Ève Cottignies, psychologue clinicienne 
  • Catherine Duchossoy, psychologue clinicienne
  • Christophe Charpiot, Psychologue de l’Education nationale
  • Eve Martin, psychologue de l’Éducation nationale
  • Françoise Zannier, Psychologue et docteur en Psychologie
  • Valérie A.G. Ventureyra, PhD, Docteur en Psychologie
  • Véronique Debeaumont, psychologue sociale 
  • Iréne Bouchaud psychothérapeute
  • Monique-Cécile Drouet, psychiatre
  • Clémence Garçon, soignante (suspendue)
  • Alain Freby, Médecin généraliste
  • Marceline Bogaert, kinésithérapeute
  • Johanna Radosevic, psychomotricienne (suspendue)
  • Marjorie Etienne, cadre de santé, infirmier fonction publique hospitalière (suspendue)
  • Sarah Kharmouche, kinésithérapeute
  • Mathieu Armessen Ostéopathe
  • Goulven Saliou, infirmier spécialisé en bloc opératoire
  • Anne-Françoise Hémion, pédicure-podologue
  • Jacques Guillet, masseur-kinésithérapeute
  • Michèle Serres médecin généraliste
  • Françoise Salkowsky médecin généraliste
  • Pierre Pennamen, Docteur en Médecine
  • Laurence Le Gall, médecin généraliste
  • Cécile Poiroux, médecin généraliste
  • Sophie Colmart, médecin généraliste
  • Sandra Jasmin médecin généraliste
  • Christophe Robin, médecin généraliste
  • Karine Delaumône, médecin généraliste
  • Michel Jreige, médecin généraliste, ancien urgentiste (suspendu)
  • Pierre Billon, docteur en médecine générale
  • Emmanuel Peyre médecin généraliste
  • Guaracy Gadegbeku, médecin générale
  • Valerie Vigne Chazaud sage-femme
  • Sternotte Isabelle, Ostéopathe, Sage-femme
  • Bénédicte Dassonville, médecin généraliste, ingénieur de l’ENSH
  • Marc Naudin, ostéopathe
  • Sophie Bezert, Orthophoniste
  • Charline Chaveneau, orthophoniste
  • Laurence Ducol, orthophoniste
  • Najia Majdi, sage-femme
  • Anne Veyrac, infirmière
  • Murielle Jouannet Infirmière 
  • Alain Giordanetto, infirmier
  • Martine Gaillard, infirmière
  • Sandy Bonne, infirmier
  • Benjamin Guglielmi, infirmier, cadre de Santé
  • Claude Robert, Orthodontiste
  • Zoé Debain, masseur kinésithérapeute
  • Laurent Lalliot Masseur kinésithérapeute
    Isabelle Lalliot Masseur kinésithérapeute
  • Béatrice Adam – Kinésithérapeute
  • Fabienne Carbonnel masseur-kinésithérapeute
  • Joëlle Thuet, infirmière
  • Magali Morroni, infirmière anesthésiste
  • Jean-Marc Casamatta, infirmier de bloc opératoire
  • Raphaëlle Montassut-Diarra, infirmière
  • Virginie Rossi, infirmière en psychiatrie à l’hôpital
  • Fabienne Ormillien, infirmière
  • Marc Heinrich, infirmier
  • Nathalie Vigat, infirmière
  • Jacqueline Segot, Infirmière
  • Stéphanie Montagut infirmière
  • Dominique Danjou Loire, infirmière de bloc opératoire
  • Marie-Line Ferreira, infirmière
  • Lyne Furco infirmière
  • Marie-Hélène Scheidel infirmière
  • Alexandra Wendel, infirmière
  • Patricia Bacquet, infirmière faisant fonction de cadre
  • Cécile Fernandez, infirmière en pédopsychiatrie
  • Vladimir Pavlovic, Educateur spécialisé en pédopsychiatrie
  • Sylvain POIREL, infirmier, CHU de Montréal (Canada)
  • Catherine Huerta, infirmière en EHPAD
  • Margot Schnell, infirmière
  • Emmanuelle Mesmacque, infirmière 
  • Aude Buche, infirmière
  • Jackie Trividic, infirmière
  • Christine Fernandez, infirmière
  • Cristine-Isabel Goncalves. Infirmière en CHRU
  • Marie-Anne Février, Infirmière Puéricultrice
  • Yvette Laugier, Infirmière
  • Isabelle Côte, Infirmière
  • Annie Dumas, infirmière
  • Nathalie Devaucoup Infirmière
  • Jean Michel Valentini, infirmier
  • Sophie Cauchois, infirmière
  • Marie-Odile Desvalois, Infirmière
  • Marion Philippon infirmière en hématologie à l’hôpital
  • Viviane Defrance, infirmière scolaire, retraité
  • Nathalie Blanchard, infirmière puéricultrice
  • Jean-Roch Aubertein, Infirmier
  • Zoé Moutel, Infirmière
  • Nadine Mulas, infirmière
  • Sylvie Bonnefoy Infirmiere
  • Florence Joyeux, Infirmière
  • Carole Auger, Infirmière
  • Laurence Villedieu infirmière, auxiliaire de vie
  • Françoise Astier, agents des services hospitaliers qualifiés en Ehpad
  • Fatima Jriri, aide-soignante
  • Marie-Pierre Barrier, aide-soignante
  • Cyril Sala, aide-soignant
  • Hasna Bouzid aide-soignante
  • Charlène Kluck, aide-soignante (suspendue)
  • Lise-Marie Chemineau Infirmière
  • Christine Keiser, sage-femme
  • Christophe Joie, ergothérapeute en Centre hospitalier Province de Liège (Belgique)
  • Emmanuelle Cart-Tanneur, pharmacienne biologiste
  • Frédérique Pegeot, pharmacien
  • Martine Dejean, pharmacienne
  • Stéphanie Cellier, pharmacienne
  • Cathy Nicoud, infirmière urgences pédiatriques
  • Julia Froment, aide-soignante
  • Margaux Chopin, aide-soignante gérontologie
  • Marie Weinrich, médecin généraliste
  • Laurent Hennequin, Docteur en Médecine, ancien chef de service de Radiologie en CHR
  • Luc Quintin, médecin anesthésiste réanimateur, charge de recherches au CNRS (physiologie cardiovasculaire)
  • Guy Van Hoonacker, médecin anesthésiste réanimateur 
  • Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur hospitalier
  • Denis Asselineau, médecin anesthésiste réanimateur
  • Koryna Socha, PhD, médecin et docteur en sciences médicales
  • Marie-Hélène Poirier Garcia, psychiatre, EPSM
  • Gaël Puget, orthophoniste
  • Renée Marx, orthophoniste
  • Anne Mouriès, orthophoniste
  • Marie France Coquillay, pharmacienne et enseignante chercheuse retraitée
  • Alain Le Hyaric, médecin en santé publique
  • Florence Parent, Médecin de santé publique
  • Pierre Buet, médecin généraliste
  • Chau Huu Tin, docteur en Médecine
  • Nathalie Souzan-Delagrave, docteur en Médecine
  • Cécile Morgan, médecin généraliste
  • Brigitte Chorliet, médecin généraliste
  • Claire Paris, médecin Généraliste
  • Julie Chataing, médecin généraliste
  • Virginie Airiau, médecin généraliste
  • Sylvie Descriaud, Chirurgien-dentiste
  • Anne Damais-Cepitelli, médecin biologiste
  • Jean Emsallem, Médecin Vasculaire
  • Marcel Hoehne, chirurgien vasculaire
  • Philippe Cepitelli, médecin
  • Perrine Millet, médecin, gynécologue obstétrique
  • Christian Quichaud médecin généraliste
  • Amel Abbad, attachée de Recherche Clinique
  • Benoit Artault, médecin, ancien directeur médical de centre de santé
  • Marie Claude Granget-Calliet, psychologue clinicienne
  • Julien Reboul Coordinateur Service éducatif de soins de santé à domicile (SESSAD)
  • Monique Marien Sroussi, gynécologue
  • Linh Hoang-thi médecin acupuncteur
  • Roman Florent, infirmier
  • Amandine Laurent infirmière
  • Anne Laissus, Infirmière
  • Marianne Passarrieu, pharmacienne
  • Anne Gardiesn pharmacienne
  • Marie Belliot, infirmière de réanimation à l’hôpital Jacques cœur de Bourges (suspendue)
  • Fatima Rezig, infirmière
  • Pascale Morbois, infirmière
  • Arlette Fétat, infirmière
  • Florence Verbaenen, infirmière en psychiatrie
  • Caroline Giron, psychologue
  • Denis Bellano, Docteur en psychologie, psychologue clinicien
  • Éric Lemlé, docteur en chirurgie dentaire
  • Laetitia Trossat, médecin en soins palliatifs
  • Jean-Jacques Picard, kinésithérapeute ostéopathe
  • Raphaël Sendrez masseur-kinésithérapeute
  • Marie-Christine Faure, infirmière puéricultrice
  • Jacques Pollini, anthropologue de la santé
  • Anne Camus-Bruneau, orthophoniste
  • Nicole Chaudière, pharmacienne
  • Laurent Tonnerre, infirmier
  • Nicolas Soloy, Art Thérapeute en Hôpital de jour
  • Florence Pierre, masseur kinésithérapeute
  • Denis Chefdor, Masseur-Kinésithérapeute ostéopathe
  • Marie-Laure Martin, kinésithérapeute
  • Caroline Lecouvette kinésithérapeute
  • Serge Houël, Masseur Kinésithérapeute (interdit d’exercer)
  • Frédéric Barbier Damiette, kinésithérapeute (suspendu)
  • Dimitri Jacques, psychothérapeute, biologiste en nutrition
  • Eberhardt Wittich, ex biologiste et chimiste
  • Théodore Rottier, psychologue
  • Emmanuelle Schulz psychologue clinicienne
  • Martine Durand Jullien, médecin généraliste
  • Patricia Melot médecin généraliste
  • Lagorce Sebastien, médecin généraliste
  • Sophie Dévé, médecin généraliste
  • Nicole Perrot médecin généraliste
  • Caroline Mouzet, Médecin généraliste
  • Martin Gauthier, médecin généraliste
  • Romain Dupont Docteur en médecine
  • Donald Archer, médecin généraliste retraité
  • Benoit Ochs, médecin généraliste (Luxembourg)
  • Jean Pascal Serbera médecin généraliste
  • Marie-Cécile Tellier, médecin généraliste
  • Ourdia Krim, médecin spécialiste
  • Marie-Line Eon, médecin et docteur en science de l’éducation
  • Philippe Yannic médecin biologiste
  • Cyril Loubradou, ostéopathe
  • Marie Fages, kinésithérapeute
  • Jean-Marie Kerlo, masseur kinésithérapeute
  • Jean-Pierre Gay-Montchamp, praticien hospitalier, pharmacologie-toxicologie
  • Daniele Guieu, Docteur Vétérinaire
  • Grégory Desfilles, Masseur Kinésithérapeute
  • Valérie Franco, infirmière
  • Laura Roux, infirmière
  • Christine Munier Infirmière libérale
  • Gabrielle Charvet, infirmière
  • Laurence Queffurus-Lepetit, infirmière dans un centre de cancérologie en CHRU
  • Pascale Grimm, infirmière
  • Lucie Massart-Chauvet, vétérinaire
  • Clotilde Maurin, masseur-kinésithérapeute
  • Antoine Rault, vétérinaire
  • Christine Goldie, Attachée de Recherche Clinique
  • Serge Perrin, sapeur-pompier professionnel
  • Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé
  • Murielle Bauchet, économiste et consultante en santé publique
  • Tetsuaki Shigemitsu, Médecin-épidémiologiste
  • Silvia Moreno, Microbiologiste PhD
  • Karen Brandin, docteur en théorie algébrique des nombres (mathématiques)
  • Virginie Charreau, ingénieur en nutrition, diététicienne nutritionniste
  • Thierry Raffin, PhD, sociologue
  • Emmanuelle Lepoutre, sophrologue
  • Claire Seigneur, Psychologue
  • Margot Szefer, ergothérapeute
  • Josiane Risacher, Ergothérapeute
  • Martine Crogiez, Ergotherapeute
  • Nathalie Pech, PhD, économiste
  • Gauthier Lasou, ingénieur chercheur
  • Catherine Vaillandet, orthophoniste
  • Karine Rabiet, orthophoniste
  • Xavier Gallet, psychopraticien
  • Lucia Martinez, Aide médico-psychologique en EHPAD
  • Céline Merigot, éducatrice spécialisée auprès d’adultes ayant des troubles psychologiques
  • Christine Quélier, Sociologue et psychologue
  • Pierre Concialdi, chercheur en sciences sociales
  • Monique Plaza, chercheur en neuropsychologie
  • Anna Marie Cournil, gérontologie sociale
  • Renaud de Bellefon, docteur en histoire
  • Gérald Pech, ingénieur, ancien chercheur dans le spatial
  • François Sanchez, doctorant à l’université de Mulhouse
  • Hervé Brochart, chercheur, docteur ès sciences pharmaceutiques
  • Olivier Rimbault, docteur en lettres classiques, chercheur indépendant
  • Jean-Claude Barescut, ingénieur (nucléaire, radioprotection)
  • Anne-Marie Ropert, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts
  • Julie Lioré, anthropologue, rédactrice scientifique indépendante
  • Pierre Goletto, retraité, École Centrale de Marseille, IAE d’Aix en Provence
  • Victor Molinié, interne en médecine (spécialité gériatrie) en CHU
  • Martine Ladouce, Docteur en chirurgie dentaire
  • Philippe Ladouce, Docteur en chirurgie dentaire
  • Irina-Maria Stefanescu Chirurgienne
  • Anna Levy Bencheton Dermatologue
  • Romy Roudier, pharmacienne
  • Odile Huchet, pharmacienne
  • Yannick Marcadet, pharmacien
  • Marie-Claude Marcadet Fièvet, pharmacienne
  • Mireille Coulon, masseure-kinésithérapeute, cadre de santé
  • Séverine Guitton, Cadre de santé
  • Anne Vincent, Cadre de santé
  • Fabienne Consoli, médecin généraliste
  • Françoise Rometti Psychiatre
  • Sylvie Laval, psychiatre
  • Sophie Sabatier, médecin généraliste
  • Brigitte Faure médecin généraliste
  • Fabienne Emonnot psychiatre
  • Yvette Dorémieux, psychiatre
  • Hanna Kump pédiatre
  • Daniel Avisse médecin généraliste
  • Régis Pouthier, médecin généraliste
  • Corinne Navarro, médecin généraliste
  • Dominique Sabatier, médecin généraliste
  • Véronique Beranger, médecin généraliste
  • Gaëtan Cantineau, radiologue
  • Claudie Henru, pharmacienne
  • Katia Bustamante, chirurgien
  • Frédéric Teste, Ostéopathe
  • Mélanie Faucher, psychologue en centre hospitalier
  • Caroline Collin-Blondel, psychologue clinicienne et ancienne attachée de recherche clinique (suspendue)
  • Danièle Santini, psychologue
  • Erika Cadat, psychologue clinicienne
  • Patricia Bres, infirmière
  • Mireille Klenovski, infirmière
  • Frédérique Yampolsky, infirmière
  • Florie Gaeta, infirmière hospitalière
  • Philippe Chauveau, infirmier
  • Marie-Anne Morien, infirmière
  • Marie-Françoise Stigliani, pharmacienne
  • Jean-Pierre Moutel, médecin généraliste
  • Stéphane Cheslet, podologue posturologue
  • Solen Halloin, sage-femme (suspendue)
  • Laurence Borgogno, médecin vétérinaire
  • Amandine Eloy, opticienne
  • Marie Berthet, dermatologue
  • Thierry Coquet, aide-soignant
  • Nicolas Ecobichon infirmier
  • Fabienne Tremillon, Infirmière
  • Stéphanie Delaigue infirmière
  • Dominique Cadoret, psychologue
  • Marie Boutrolle psychologue
  • Muriel Chetcuti, ergothérapeute
  • Josiane Risacher, Ergothérapeute
  • Gérard Martinez psychologue Clinicien
  • Bernard Guibbaud, psychologue, sexologue
  • Elisabeth Griffon, assistante sociale hospitalière (suspendue)
  • Nicolas Erhardt, cadre socio-éducatif dans la fonction publique hospitalière (suspendu)
  • Eddy Prave, ingénieur et technicien de recherche, Université de Rennes 2
  • Raymond Barbry, chercheur au Centre international de recherche en étude transdisciplinaire (CIRET)
  • Jérémie Salvadero, docteur en psychopathologie clinique et psychanalyse
  • Marc Guibert, gynécologue obstétricien
  • Charles Bénard, électro-radiologie
  • Thuy Chi Nguyen, médecin généraliste
  • Suzanne Vanet, chirurgien
  • Nicole Sicard, docteur en médecine, ancien chef de service hospitalier, accompagnante en santé
  • Thierry Deliere, chirurgien vasculaire, ancien Chef de service à l’Hôpital
  • Gaëlle Saliou, docteur en pharmacie
  • Patrick Guérin, docteur vétérinaire
  • Jolivet Delphine, infirmière
  • Paul Polis, médecin vétérinaire
  • Florence Lair, médecin radiologue
  • Claire Pasquinelli Masseur-Kinésithérapeute
  • Anne Gauquelin, orthophoniste
  • Josselyne Abadie, consultante éthique
  • Aïd Zair, kinésithérapeute
  • Marie-Christine Hénaut, kinésithérapeute
  • Delphine Leterrier kinésithérapeute
  • Sylvain Deleplanque, psychologue clinicien
  • Marie-Claire Hemptinne, psychothérapeute
  • Gérard Ostermann, psychothérapeute
  • Marie-Gabrielle Vasseur, chirurgien-dentiste 
  • Christine Blanc, médecin Généraliste
  • Céline Arnaud, sage-femme
  • Claire Soulas, infirmière
  • Fabrice Davison, Infirmier
  • Andrée Martini, infirmière anesthésiste
  • Frederic Jolly, Podologue
  • Christine Oliveira, psychothérapeute
  • Vanessa Girard, ostéopathe
  • Jérôme Turostowski Osteopathe
  • Anne Bastin, orthophoniste
  • Antoine Fredot, pédicure Podologue 
  • Gwénaëlle Gombourg, chirurgien-dentiste
  • Denis Ribbe, Praticien Hospitalier Urgentiste et gériatre
  • Anna Rosset, biologiste, médecin spécialiste en radio-oncologie
  • Philippe de Joux, médecin généraliste
  • Yvonne Parquer, médecin généraliste
  • Valérie Mayaud, médecin généraliste
  • François Ribière, médecin généraliste
  • Hélène Skolka, médecin généraliste
  • Annie Bendayan, médecin généraliste
  • Marcel-Marie Gricourt, médecin généraliste
  • Anne Belin médecin généraliste
  • Olivier Boumendil, médecin radiologue
  • Samira El Ouali, médecin ostéopathe
  • Jean-Dominique Maupu, Médecin retraité
  • Christine Cieur, docteur en pharmacie
  • Odile Normant, directrice d’Établissements Médico-sociaux
  • Carole Pellissier, Masseur kinésithérapeute
  • Françoise Rouillé, infirmière cadre et psycho-clinicienne
  • Henri Duchemin, ambulancier (suspendu)
  • Pascale Le Marquand, Ambulancière hospitalière
  • Nathalie Ingenito, laboratoire bio-médical
  • Marie-Hélène Lacarra, kinésithérapeute
  • Solène Charon, kinésithérapeute et Ostéopathe
  • Julia Froment, aide-soignante
  • Esther Joly, sociologie et psychanalyste
  • Florence Belasco, psychologue clinicienne
  • Yoanna Micoud, psychologue
  • Lecomte Valérie, infirmière
  • Gérard Bunel, infirmier
  • Danièle Mullet, infirmière
  • Anne-Laure Durix, infirmière
  • Pascale Polly, infirmière
  • Philippe Baudier, infirmier de Secteur Psychiatrique 
  • Clothilde Mora, diététicienne-nutritionniste
  • Vanessa Szpatkowski, infirmière
  • Amélie Huberlant, infirmière anesthésiste
  • Aram Ndiaye, Infirmière en cancérologie
  • Viviane Dubost, psychologue
  • Lucile Brochot, vétérinaire
  • Charles-Antoine Winter, diététicien nutritionniste
  • Jean-Guillaume Bellier, professeur agrégé de géographie
  • Benoît Diné, ingénieur de recherche
  • Jean-Pierre Reyal, ingénieur à l’INSA
  • Nicolas Tetaz, Ingénieur spatial
  • Gabrielle Radault, PhD., Ingénieur Brevets
  • Patrick Meunier, enseignant agrégé de Biochimie-génie biologique
  • Xavier Audebert, audioprothésiste
  • Xavier Pascal, Ingénieur informaticien
  • Sabine Lasou, ingénieur chercheur
  • Patrick Lawson, ingénieur d’études
  • Bruno Vassoille, ingénieur d’études
  • Thomas Metge, ingénieur d’études
  • Maxime Goulon, Ingénieur d’études
  • Olivier Gosselet, Ingénieur d’études
  • Dorothée Dumay, Ingénieur d’études
  • Sandrine Marasco, technicienne de laboratoire d’analyses médicales
  • Jean-Jacques Navarro, ingénieur à Centrale Paris
  • Frédéric Goupil, Ingénieur aéronautique
  • Marc Savall, docteur en informatique de l’INSA
  • Helene Chambatte Abeille, ancien interne des hôpitaux de Lyon
  • Jean Soldini, Ph.D, philosophe et historien de l’art
  • Roland Dubourg, chercheur en sûreté nucléaire
  • René Chiche, professeur de philosophie, Vice-président du syndicat Action et Démocratie/CFE-CGC, membre du Conseil supérieur de l’éducation
  • Benoît Brandin, professeur agrégé de philosophie
  • Marc Thibault professeur agrégé de philosophie
  • Sophie Amant, professeur de sciences économiques et sociales, doctorante en sociologie
  • Marie-Virginie Cambriels, doctorante à l’Université Paul-Valéry Montpellier 3
  • Jörg-Andreas Bötticher, Professeur FHNW/ Musikhochschule, Basel (Suisse)
  • Jean Leplant, enseignant dans les Établissement et Services de Réadaptation Professionnelle
  • Laurent Gaillard, professeur de sciences physiques
  • Anne Girerd, professeur agrégé de Sciences de la vie et de la terre
  • Kévin Krantz, professeur agrégé de philosophie
  • Jacques Eutrope, Ph.D, retraité de l’industrie
  • Denis Guillec, professeur agrégé de philosophie
  • Marie-Suzanne Bourgeade, enseignante-chercheuse retraitée de l’université
  • Georges Sorais, Professeur de mathématique/Sciences physiques
  • Jean-Claude Villanueva, psychologue clinicien, chargé d’enseignement à l’Université de Montpellier
  • Christophe M. Dubois, ancien chercheur à l’Institut d’études européennes de l’Université Catholique de Louvain, ancien attaché de cabinet ministériel
  • Sylvie Lasserre, PhD, grand reporter
  • Renaud Vidal, chercheur en gestion de crise
  • Gérald Sawicki, professeur agrégé et docteur en histoire contemporaine
  • Sébastien Aubert, normalien, professeur agrégé de génie mécanique
  • Dominique Arnaud, ingénieur retraitée du corps de l’industrie et des mines, Autorité de sûreté nucléaire
  • Michel Doucet, ingénieur chercheur retraité du CEA
  • Alvaro Buero Buoro, géophysicien
  • Cathy Brunel, microbiologiste
  • Michèle Florquin, biologiste (Belgique)
  • Guylain Cabantous, vice-président de CPAM, membre de la commission exécutive CGT Santé Action Sociale



Nouvelle fausse pandémie en vue ?

Transmis par Philippe Loubière

[Note de Joseph : l’intérêt d’une telle vidéo n’est pas de faire peur, mais d’une part de comparer avec la crise Covid et d’autre part de se préparer aux éventualités présentées.

Si une fausse pandémie virale est préparée à l’aide d’une nouvelle arme biologique vaccinale, on peut au moins en diminuer les effets en renforçant son système immunitaire. Celui-ci est renforcé par notamment :
– l’absence de peur (garder confiance ou, mieux, la foi) ;
– une nourriture saine et équilibrée (donc au minimum non industrielle, bio et si possible issue de producteurs locaux, mais non pas de multinationales de l’agroalimentaire) ;
– des émotions positives ;
– des pensées saines ;
– l’absence de sources électromagnétiques artificielles (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G, 5G…) dans l’environnement quotidien (au besoin en se procurant des moyens de les contrer) ;
– etc.
]



Extraits :

Marburg le nouveau virus : arme biologique absolue

Soyons attentifs aux paroles de ces chercheurs : les Drs Kieran Morrisey et Roberto Petrella qui risquent leur vie à nous informer.

Bonjour. Je m’appelle Kieran Morrisey. Je suis un ingénieur de 61 ans et j’ai travaillé ces 22 dernières années dans un grand hôpital universitaire de Dublin où j’ai acquis une connaissance approfondie du fonctionnement du système de santé irlandais.

Attention à ce que je vais vous dire : il y aura bientôt une fausse pandémie appelée Marburg. « Ils l’ont déjà préparée… ».

Au cours de mes récentes études sur l’immunologie et la virologie pour essayer de mieux comprendre ce qui se passe avec les virus et les vaccins qu’ils promeuvent, j’ai découvert un article en 2017 écrit par deux scientifiques italiens — le couple Gatti et Montanari — qui testent des vaccins depuis 2004. Ils en ont examiné 44 au total et ont découvert que ces vaccins sont contaminés avec des nanoparticules inorganiques, y compris toutes sortes de substances telles que les métaux lourds, le plomb, etc.

Cela m’amène à penser que les vaccins provoquent des réactions immunitaires depuis de nombreuses années qui peuvent se présenter comme des grippes et d’autres maladies. Plus les symptômes apparaissent, plus on administre de vaccins pour tenter de les prévenir. Il me semble qu’il y a une sorte de boucle sans fin entre les vaccins et les maladies. Les vaccins provoquent des maladies qui exigent plus de vaccins. Nous devons aller au fond des choses. Cependant, au cours de l’enquête, j’ai découvert quelque chose d’encore plus inquiétant.

En avril, Bill Gates — GAVI a publié un article sur son site web dans lequel il affirmait que Marburg était la prochaine grande pandémie dont nous devions nous inquiéter. Marburg est une fièvre hémorragique relativement rare. Nous n’avons eu que 16 cas depuis 2005. Qu’est-ce que Bill Gates et GAVI savent que nous ne savons pas ? Pourquoi est-ce une menace ? Pourquoi l’OMS et les médias conventionnels publient-ils des articles sur cette maladie rare ?

J’ai fait des recherches approfondies et j’ai découvert qu’ils avaient déjà développé un test PCR pour cela. C’est très inquiétant, car maintenant ils peuvent prouver que n’importe qui pourrait avoir le Marburg avec ce test, comme dans le cas du Covid. Comme avec le test PCR actuel, il serait difficile de le réfuter. J’ai aussi trouvé qu’ils ont publié des articles qui affirment que la maladie de Marburg se transmet par les chauves-souris de façon asymptomatique, ce qui a été réfuté pendant la pandémie de Covid.

Si vous n’avez pas de symptômes, vous n’avez pas le virus, donc vous ne pouvez pas le transmettre asymptomatiquement.

Il n’y a pas de propagation asymptomatique d’un virus. Cela a déjà été accepté.

Cependant, des articles qui disent le contraire ont été publiés.

La nouveauté la plus inquiétante que j’ai découverte, c’est qu’on est en train de développer rapidement un nouveau vaccin pour Marburg appelé Rivax, qui contient de la ricine, une substance toxique utilisée dans les attentats terroristes du métro de Tokyo pour tuer un grand nombre de personnes.

Pourquoi auraient-ils mis une toxine si dangereuse dans un vaccin ? C’est très étrange et inquiétant. Mais comment pourraient-ils initier cette pandémie de Marburg sans la propager ? Très simple. Ils l’ont déjà initiée. Les lésions causées par les vaccins Covid comprennent des hémorragies et des caillots, qui sont très semblables à celles de la fièvre hémorragique. En administrant les vaccins de rappel aux prisonniers, dans les maisons de retraite et les hôpitaux, et aux enfants en contact étroit dans les écoles, ils provoquent davantage d’hémorragies et de caillots qu’ils appellent fièvre hémorragique. Ils feront le test avec leur nouveau test PCR et diront que c’est le Marburg.

Cela expliquerait le nombre excessif de morts que nous voyons dans les hôpitaux, ce sera une couverture. Ils diront que les décès ne sont pas dus à des lésions causées par le vaccin Covid, mais au Marburg. Il y aura une soudaine et très grande panique. Il y aura une hystérie de masse jamais vue auparavant. Les gens feront tout pour obtenir quelque chose qui les protège. Le vaccin Rivax sera lancé rapidement et administré à titre expérimental, comme ça s’est passé avec le vaccin Covid. Cependant, une grande différence avec le vaccin de ricine, c’est que l’infrastructure est en marche et les ressources sont déjà en place pour la développer et la gérer dans un laps de temps très court. Ils pourraient atteindre une couverture de 100 % de la population en un temps très court. La ricine contenue dans le vaccin va tuer des milliards de personnes très rapidement. Il n’y a aucun moyen de l’arrêter une fois que c’est commencé. Arrêter de se faire vacciner par le Covid est le seul moyen d’arrêter cette épidémie de Marburg annoncée par Bill Gates, GAVI, l’OMS et qui que ce soit d’autre derrière tout ça.

Nous devons convaincre nos amis, notre famille et tout le monde que c’est une erreur., que ce vaccin les rendra encore plus malades.

Vous devez compter sur votre immunité naturelle et la renforcer avec de la vitamine C et de la vitamine D, du zinc et tous les autres minéraux nécessaires. Si vous êtes atteint de Covid, l’ivermectine et l’hydroxychloroquine sont très efficaces. Nous n’avons pas besoin d’un vaccin qui provoque des symptômes de fièvre hémorragique. Nous devons arrêter ça immédiatement. Si nous ne le faisons pas, nous serons confrontés à une prétendue pandémie de Marburg qui sera le prétexte pour lancer le vaccin à base de ricine qui tuera des milliards de personnes. Nous sommes en mission urgente pour essayer d’arrêter ça avant que ça ne commence. Veuillez faire connaître cette vidéo à tout le monde. J’ai publié toutes les recherches dont j’ai parlé ici sur lewrockwell.com. S’il vous plaît, lisez-le. S’il vous plaît, faites vos propres recherches. Vous verrez que ce que je dis est vrai. Vous vous rendrez également compte que je ne gagne rien à dire tout cela, mais que je perds plutôt.

Je suis sur que mon travail à l’hôpital est en danger, et Dieu sait quoi d’autre. Mais je crois fermement que nous devons faire quelque chose avant qu’ils ne lancent cette menace de Marburg, prétexte pour injecter des substances toxiques de ricine.

Faire connaître cette vidéo (ou ce document).

Tedros le directeur de l’OMS lui-même annonce ce virus et les mesures terribles qui vont être prises…

« Le virus de Marburg est très différent de celui du Covid-19, mais la plupart des éléments de la solution sont les mêmes : isoler et traiter les personnes infectées, suivre et mettre en quarantaine les contacts et impliquer les communautés locales dans la solution. Il n’y a pas encore de vaccin autorisé contre le Marburg, mais plusieurs sont en cours de développement. L’OMS collabore avec ses partenaires pour suivre l’évolution de cette épidémie. »

Écoutons aussi ce que nous dit également le Dr Roberto Petrella médecin gynécologue italien.

Il s’agit d’une fièvre hémorragique similaire à celle du virus Ebola. Elle présentera les effets indésirables des vaccins Covid actuels : thrombose, microembolie, embolie diffuse qui (attention) se fera passer pour des symptômes de Marburg, c’est-à-dire d’un nouveau virus. Et vous, les Italiens (mais aussi les Français NDLR), vous allez y croire ! »

Quant à nos « amis » Bill Gates et Belinda, quelques milliards de cadavres, cela les fait sourire !


La solution ?

Horizontale : informer et arrêter ces vaxxxxxins mortels

Verticale : prier, car les messages du Ciel nous disent en substance : ceux qui n’ont rien à craindre sont ceux qui ont l’âme en paix. Le mal, c’est la peur.




Le scandale Ivermectine

Par Jean-Loup Izambert

(…) suite à l’enquête Le virus et le président réalisée avec l’écrivain-enquêteur Claude Janvier, [la présente] sera suivie d’une nouvelle à paraître en février 2022 – du moins nous l’espérons – sur la désinformation entretenue sur la covid-19 par l’OMS, les dirigeants de l’Union dite « européenne » et tout particulièrement les Français.

Jean-Loup Izambert

Extrait :