Audition du Pr Christian Perronne au Parlement du Luxembourg : toute la manipulation autour du covid révélée en 8 minutes

[Source : soleilverseau.com via RI]

Le Très Honorable, Vénérable et Courageux Professeur Christian PERRONNE né le 19 mars 1955 à Angers, est un médecin et Professeur des universités-praticien hospitalier français. Il est spécialisé dans les pathologies tropicales et les maladies infectieuses émergentes. Il a été Président de la commission spécialisée « Maladies transmissibles » du Haut Conseil de la santé publique en FrancePrésident des Comités Techniques des vaccinations pendant de nombreuses années, Vice-Président à l’O.M.S du groupe d’experts pour les vaccins pour toute la zone EURO de l’OMS incluant l’Europe, la Russie et l’Asie Centrale.

Il était l’invité du Parlement luxembourgeois, ce jeudi 13 Janvier 2022. Il a commencé son audition par une présentation rapide de son parcours professionnel dans le domaine de la santé, des épidémies et des vaccins. Il a ensuite expliqué de façon claire toute la manipulation et la supercherie autour du COVID-19 et des vaccins, en 8 minutes.






La déshumanisation numérique de l’humanité

[Source : etresouverain.com]

Par Julian Rose, Contributeur, Waking Times

Ray Kurzweil n’a pas de Dieu à honorer. Il a une machine, et il veut que nous passions tous à cette version numérique du divin. Il veut que nous devenions des super-ordinateurs, sauf de nom. Il l’appelle « la singularité », un nom à consonance quasi-religieuse. La singularité signifie « la fusion du réel et du synthétique ».

Kurzweil considère qu’il s’agit d’un acte suprême qui mettra fin à la nécessité de l’évolution humaine en transférant le sens et le but de la vie dans une encyclopédie électro-numérique « en temps réel » composée de billions de circuits électriques sans âme qui imitent ce que nous appelons la « connaissance ».

Il n’est pas le seul à penser de la sorte, il y a aussi Zuckerberg, Schwab, Musk et je ne sais qui d’autre. Et puis il y a toute une série d’adeptes qui suivent derrière, qui suivent tous le même chemin. Des dizaines de millions, voire des milliards d’entre eux. Ils ne se décrivent pas comme des adeptes de la « singularité », ils vénèrent simplement le même totem numérique et lui permettent de prendre progressivement le contrôle de leur vie – mégaoctet par mégaoctet, gigaoctet par gigaoctet – jusqu’à ce qu’ils ne puissent plus être décrits comme humains.

Lorsque vous voyez des personnes qui regardent constamment vers le bas, vous vous rendez compte qu’elles se métamorphosent en quelque chose de moins humain. L’aspiration – le désir de grandir, d’apprendre et d’être plus que ce que l’on est – est une action qui va vers le haut.

L’impulsion de l’aspiration à un état de conscience supérieur, est un mouvement ascendant. Comme un arbre ou une fleur qui tend vers la lumière, nous, les humains, le faisons aussi.

Mais ceux qui sont séduits par leurs téléphones portables, leurs I pods, leurs tabs et autres, regardent toujours en bas. Dans un endroit où la seule lumière est celle des LED sur le visage de leur appareil.

Lentement mais sûrement, les humains se transforment en ce à quoi ils sont accros. Ils perdent leur capacité à voir et à répondre à la Lumière réelle, leur ange gardien et leur lien inné avec la conscience cosmique universelle. Ils perdent leur humanité. Leur âme est neutralisée, court-circuitée, supprimée.

Chaque fois que l’on s’assied devant un écran lumineux, on est sujet à l’hypnose. On devient inconsciemment dépendant de ce qui est la technologie d’accès à un autre monde d’être et de percevoir : « un monde virtuel ».

Kurzweil et les milliards de personnes qui adoptent sa fascination pour l’existence virtuelle font peser un lourd fardeau sur le reste de la vie. Ils sont un poids mort imposé à la matière vivante. Ils sont les récepteurs et les émetteurs de champs énergétiques déformés – et ces champs polluent les champs vibratoires naturels responsables de la santé et du bien-être de toute matière vivante.

Les personnes qui ne regardent que vers le bas « répandent » leurs vibrations négatives sur les autres personnes de leur entourage. C’est une réalité vibratoire. Et lorsqu’il est associé au rayonnement EMF émanant de ce à quoi ils sont accros, les rythmes circadiens de la biosphère sont noyés dans un électrosmog omniprésent.

La résonance de Schumann (7,86 hertz), qui maintient l’équilibre de l’environnement naturel, y compris les êtres humains, la faune et la flore, est reléguée au second plan, tandis que les fréquences de rayonnement synthétique émises par les tours et les émetteurs 3, 4 et 5G deviennent le champ énergétique prédominant.

Un champ de tension qui est dispersé et accentué par les petites bombes à retardement de poche dont environ 95 % des personnes vivant et travaillant dans les sociétés occidentales ne peuvent supporter de se séparer.

Mais quand votre meilleur ami est une machine, vous êtes facilement victime de ses pouvoirs.

L’histoire d’amour de l’homme avec la technologie s’est intensifiée au fil des décennies. Il y a toujours eu une fascination pour ce qui semble rendre la vie quotidienne plus facile et plus « pratique ».

Mais le prix à payer pour les accessoires numériques de l’ère moderne, toujours plus high-tech et « irréparables », est beaucoup trop élevé. Ils ne peuvent pas être simplement rejetés comme quelque chose « dont on ne peut pas se passer ».

La nourriture, l’eau, les vêtements, le logement et les médicaments appartiennent à cette catégorie, mais pas les technologies de commodité qui tuent.

Nous, les humains, ne sommes pas des machines. Nous avons des corps physiques sensibles, des cerveaux étonnamment brillants et des pouvoirs exquis de perception et de spiritualité. Le rôle de la machine est de soutenir cette condition, et non de l’annuler. Il s’agit d’accentuer un sens créatif de la proportion et de la réactivité à « échelle humaine » dans la vie quotidienne.

Les multiples jouets technologiques d’aujourd’hui ont été transformés en armes. Ils sont nés de la recherche et du développement militaires. Ils ont été conçus et dessinés comme des armes intentionnelles et des outils de surveillance, combinés en un seul.

Ils ne sont accompagnés d’aucun avertissement sanitaire, si ce n’est de quelques précautions en petits caractères, moins évidentes que celles associées aux jouets en plastique. Les enfants sont incités à nouer des relations à long terme avec ces jouets électromagnétiques toxiques et avec les mondes virtuels dans lesquels ils attirent leurs propriétaires, comme des papillons de nuit vers la flamme. Ce sont des accessoires militaires, édulcorés et domestiqués pour devenir des outils de torture « amicale ». Des armes silencieuses qui déforment de manière séduisante la divine condition humaine.

Aujourd’hui, nous commençons à voir les conséquences désastreuses de l’adoption d’un tel degré de foi aveugle dans le faux dieu borgne appelé « progrès », avec sa promesse faustienne de nous rapprocher toujours plus de la terre promise de la perfection technologique. La transmutation d’êtres humains chaleureux, spontanés et créatifs en cyborgs stériles et sans âme.

Tel est le programme de Kurzweil, Zuckerberg, Gates et Schwab pour l’avenir de l’humanité ; ces sombres agents du génocide de l’âme humaine.

Alors protégez vos précieuses âmes sensibles avec votre propre vie. Ne les laissez jamais être asservies par la technologie. Donnez-leur le véritable espace de respiration dont elles ont besoin pour se faire connaître à vous.

Car seule votre âme connaît la véritable direction de la Terre promise.

[Voir aussi :
Effets nocifs des ondes pulsées (Wi-Fi, cellulaires, compteurs intelligents…)
Comment le système nous a rendus si mous
Réflexion sur la vie, la matière et la conscience
Numérisation, asservissement, Apocalypse
La religion de l’Antéchrist
Les machines pour jouer à Dieu]




Vatican et troisième « vaccin » selon le Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

Par Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

PCB :
Un appel au personnel du Vatican afin qu’il refuse le troisième vaccin

vidéo :https://vkpatriarhat.org/fr/?p=14962
https://pardonnez-moi.wistia.com/medias/2qvhof4ujl
https://bcp-video.org/fr/personnel-du-vatican/
https://ugetube.com/watch/TOivwrJEdMayV1O
https://rumble.com/vsalep-personnel-du-vatican.html
https://cos.tv/videos/play/33366288601486336
https://www.bitchute.com/video/vjIJMFpOjWbx/



Cher personnel du Vatican — cardinaux, évêques, prêtres, ou à toute personne que cela puisse concerner,

Vous avez déjà reçu deux vaccins sous la forte pression du Pape illégitime. Ce faisant, vous avez créé un précédent préjudiciable pour la vaccination obligatoire dans le monde entier. Vous avez causé une grande offense, car votre geste donne l’impression que le vaccin à ARN messager est inoffensif et bon pour la santé, ce qui est un mensonge colossal ! Même si vous n’avez pris qu’un placebo, votre culpabilité pour cette offense trompeuse et causée à beaucoup de personnes, persiste. Sur l’ensemble du personnel du Vatican, seuls trois gardes suisses ont quitté le Vatican de façon honnête. C’est dommage qu’il n’y ait pas de cardinal, d’évêque ou de prêtre qui préfère également quitter le Vatican, plutôt que de prendre part à ce précédent criminel de la vaccination.

Vous avez déjà reçu un ultimatum exigeant cette troisième vaccination avant le 1er février ; sinon vous risquez d’être expulsés du Vatican. Qu’allez-vous faire ? Y a-t-il au moins trois évêques ou prêtres courageux qui quitteront le Vatican à temps ? Tous les experts honnêtes mettent en garde contre cette vaccination. N’avez-vous pas entendu parler du Sommet des médecins qui s’est tenu à Rome, en septembre ? Ses participants ont mis en garde contre le dangereux vaccin à ARN messager. Ils sont soutenus par plus de 12 700 médecins et spécialistes. Nous fournissons au moins quelques déclarations d’experts incorruptibles afin de vous aider à prendre la bonne décision, sur base d’informations vraies.

Le Dr Luc Montagnier : « Ce vaccin constitue le plus grand risque de génocide de toute l’histoire de l’humanité. »

Commentaire : Le professeur Montagnier est lauréat du prix Nobel dans le domaine de la virologie. Aujourd’hui, il met clairement en garde contre le risque de génocide vaccinal. Bergoglio, de son côté, claironne dans le monde entier : « Aujourd’hui, nous devons nous faire vacciner. »

Le Dr Wolfgang Wodarg : « La personne vaccinée devient un organisme génétiquement modifié. Ce qui se passe maintenant frise le génocide. Nous devons les traduire en justice pour crimes contre l’humanité. »

Commentaire : Le professeur Wodarg a longtemps été président du Comité sanitaire du Conseil de l’Europe. Il vous met en garde contre le fait de devenir un organisme génétiquement modifié par le biais de la vaccination ! Il tire la sonnette d’alarme parce que ce crime contre l’humanité constitue une menace de génocide.

Le professeur Alexander Alexeevich Redko : « La vaccination n’est possible que contre des infections stables telles que la rougeole, la rage… On reçoit le vaccin et, ensuite, on est immunisé pour le reste de sa vie. Si le virus mute, il ne peut y avoir de vaccin non nocif contre celui-ci ! »

Commentaire : Le professeur russe A. Redko souligne le non-sens des vaccins Covid en raison de la mutation rapide du virus.

Le Dr Vernon Coleman : « Nous avons une horrible avalanche de preuves montrant que ces maudits vaccins tuent et mutilent des gens… C’est un génocide mondial. Combien de temps les gens vont-ils rester silencieux ? Combien de personnes doivent (encore) mourir ? »

Commentaire : Dès le début, le Dr Coleman a averti que l’affaire du covid, avec son vaccin expérimental à ARN messager, est une fraude organisée.

Le Dr Lawrence Palevsky : « Il a été démontré que la protéine spike provoque une inflammation du cerveau et des dommages neurologiques, des crises cardiaques, des maladies pulmonaires, des maladies du foie et des reins. L’ARN messager permet au corps de produire des protéines spike de façon continue. »

Commentaire : le Dr Palevsky avertit le public que le vaccin à ARNm incite le corps à produire des protéines de pointe de manière continue. La protéine de pointe provoque une inflammation du cerveau et des dommages neurologiques, des crises cardiaques, des maladies pulmonaires, des maladies du foie, des maladies rénales et d’autres maladies.

Pamela Acker, chercheuse dans le secteur des vaccins : « Lorsque vous recevez ce vaccin, vous injectez dans votre corps des morceaux de cet individu qui a été assassiné. Ainsi, vous finissez par perdre votre ADN réel et par avoir l’ADN de ces cellules fœtales avortées qui s’incorpore à vos propres cellules. Dans de nombreux cas, les bébés… parce que cela est fait exprès et à des fins de recherche, donc ils accoucheront effectivement ces bébés par césarienne. Donc, ils enlèvent ces tissus pendant que le bébé est vivant, et cela implique des quantités extrêmes de douleur, ce qui rend le tout encore plus sadique. Les Aztèques, lorsqu’ils consacraient leurs temples, arrachaient littéralement le cœur battant des victimes qu’ils tuaient au sommet des temples, puis jetaient leurs corps sur le côté. C’est à peu près exactement la même chose que font ces chercheurs. »

Commentaire : Bergoglio, ainsi que la Congrégation pour la doctrine de la foi du Vatican et de nombreuses conférences épiscopales, déclarent que ces vaccins sont éthiques. Ils trouvent des excuses en disant qu’il ne s’agit que de quelques lignées cellulaires remontant à environ un demi-siècle. Cependant, une scientifique américaine prouve, sur base de son expérience de première main sur le terrain, que ces crimes de meurtre sadique d’enfants à naître se produisent aujourd’hui !

Le professeur et Dr Jean-Bernard Fourtillan : « Ils ont ainsi déclenché une fausse pandémie, pour nous faire accepter et réclamer un vaccin, soi-disant « salvateur », qui est en fait un poison mortel, destiné à nous contrôler, à nous asservir et, finalement, à nous exterminer, en réduisant la population mondiale selon le plan annoncé par Bill Gates. »

Commentaire : En une évaluation complète, cet expert français montre ce que le vaccin est destiné faire, à savoir mutiler, asservir et finalement exterminer l’humanité. Bergoglio, cependant, prétend absurdement qu’il s’agit d’un acte d’amour.

Le professeur et Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste : « Le grand danger de ce vaccin est que vous injectez le gène du virus dans votre corps. Il va circuler dans le corps et entrer dans des cellules que vous ne connaissez pas. Et je vous préviens, si vous faites cela, vous courez à votre perte. Pour clarifier les choses, je ne me ferai jamais vacciner. »

Commentaire : Ce professeur de microbiologie et chercheur insiste sur les dangers du vaccin à ARN messager et, par son exemple, incite à ne pas se faire vacciner. Son contraire est le pseudo-pape Bergoglio, qui a soumis tout le Vatican à une vaccination criminelle. Il les terrorise à présent pour qu’ils prennent la troisième dose de vaccin.

Carlo Maria Viganò : « On ne peut en aucun cas accepter l’administration de sérums génétiques expérimentaux, au cours de la fabrication desquels des enfants ont été tués au troisième mois de grossesse : leur sang retomberait sur ceux qui les produisent, comme sur ceux qui les imposent, ainsi que sur ceux qui les reçoivent. »

Vous avez entendu une évaluation effectuée par des spécialistes et, enfin, l’attitude morale envers ce dangereux vaccin, qui est associé au meurtre d’enfants à naître. Un chercheur américain témoigne qu’il ne s’agit pas d’une lignée cellulaire du passé, mais que les crimes associés au vaccin se produisent aujourd’hui dans les laboratoires !

Cher personnel du Vatican, cardinaux, évêques, prêtres, ou toute personne que cela puisse concerner ! Par l’autorité de Dieu, nous vous exhortons à vous repentir, c’est-à-dire à rejeter la troisième dose de vaccin. Si vous gâchez cette chance de vous sauver, les paroles de Jésus sur le figuier stérile s’appliqueront à vous. Il sera coupé et chassé de la vigne du Christ.

En même temps, les paroles suivantes s’appliquent aux pharisiens religieux et aux sadducéens libéraux actuels : « Couvée de vipères ! Qui vous a averti de fuir la colère à venir ? Portez donc des fruits dignes de la repentance !… Et même maintenant, la hache est portée à la racine des arbres. C’est pourquoi tout arbre qui ne porte pas de bons fruits sera coupé, et jeté dans le feu éternel. Christ, en tant que juge, nettoiera complètement son aire de battage… Il brûlera la paille à l’aide d’un feu inextinguible ». (cf. Mt 3, 7-12) Il vous dira aussi : « Je ne vous connais pas, d’où que vous veniez. Retirez-vous de Moi, vous tous les ouvriers de l’iniquité de Bergoglio !… Vous serez chassés… Il y aura des pleurs et des grincements de dents ». (cf. Lc 13, 27f) Ces mots de mise en garde contre la vaccination à ARNm vous sont adressés aujourd’hui. Réveillez-vous du sommeil de la mort spirituelle !

La vaccination à ARN messager est un anti-baptême satanique, par lequel une personne tombe sous le pouvoir de l’esprit de mensonge et de mort. Bien que vous le sachiez, avez-vous toujours peur de franchir une étape radicale et de dire clairement NON au troisième vaccin ? Si vous recevez cette troisième dose de vaccin de sang-froid, comment supporterez-vous le jugement de Dieu ? Cette lettre témoignera également contre vous, puisque vous aurez cyniquement rejeté la vérité. Vous avez rejoint la rébellion contre Dieu et le génocide de l’humanité en toute connaissance de cause. Repentez-vous tant qu’il en est encore temps ! Ne prenez pas la troisième dose de vaccin, et quittez le Vatican au plus vite ! Ce faisant, vous donnerez satisfaction concernant l’indignation que vous avez causée en prenant les deux premières doses de vaccin. Il s’agit d’une étape concrète afin que vous soyez sauvés.

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr

Évêques secrétaires

Le 31 décembre 2021


PCB :
Réponse à la troisième vaccination terroriste au Vatican

vidéo : https://vkpatriarhat.org/fr/?p=14969
https://pardonnez-moi.wistia.com/medias/6yaw0klhkm
https://bcp-video.org/fr/terroriste-au-vatican/
https://rumble.com/vsas5r-troisime-vaccination.html
https://cos.tv/videos/play/33368190643901440
https://www.bitchute.com/video/APLrtKMSfCIK/
https://ugetube.com/watch/BqbSug7MsiLGbzW



Chers Pères du ministère épiscopal,

Le Vatican a annoncé que quiconque parmi le personnel refuserait de recevoir le troisième vaccin avant le 1er février, serait licencié immédiatement, sans préavis.

Rendez-vous compte que vous êtes sous la domination de l’occupant, l’archi-hérétique et criminel Bergoglio. Il vous forcera à exécuter ses crimes contre le Christ et contre l’humanité dans votre diocèse, et dans votre nation. Vous devrez accomplir son projet de vaccination génocidaire. Vous savez certainement que le vaccin à ARN messager perturbe le génome humain, entre autres choses. Il est associé au graphène, à la production de protéines spike et au sang de bébés à naître assassinés de façon sadique. En fait, ce n’est même pas un vaccin, c’est un anti-baptême satanique. En outre, il existe un vain espoir selon lequel tout sera terminé après la troisième vaccination ; il est déjà question d’une quatrième vaccination. Cela ouvre la voie à un système de vaccination permanent, dont le but consiste à transformer les humains en robots biologiques et en organismes génétiquement modifiés. Le résultat final est la réduction de l’humanité, et ensuite ? Le lac de feu.

Vous allez devoir affronter l’enfer éternel si vous ne vous séparez pas de l’anti-évangile vaccinal du Vatican. Vous ne pouvez plus rester passifs ! Dans cette situation, la passivité constitue un crime ! Vous devez vous opposer activement à cette machinerie mortelle. Si vous ne le faites pas, vous serez jugés par Dieu et par les hommes pour avoir trahi le Christ, et pour crimes contre l’humanité.

Le Vatican bergoglien a mis en route la machinerie de la vaccination obligatoire. Ce faisant, il a créé un précédent pernicieux, ainsi qu’une fausse justification morale pour les gouvernements maléfiques. Si vous, les évêques, restez silencieux à ce stade, vous serez les premiers responsables du génocide de votre propre nation. Le gouvernement fera appel au Vatican apostat, et perdra la dernière parcelle de conscience. Mais vous représentez le Vatican au sein de votre nation. Votre passivité est suffisante que pour que la nation soit détruite. Aujourd’hui, vous êtes obligés de sortir de ce crime organisé par le Vatican bergoglien et de lui dire un NON très clair ! C’est là le véritable chemin synodal, et la repentance salvatrice. Si vous n’en sortez pas, votre unité avec la diabolisation programmée sous le Vatican bergoglien aura un impact plus profond que celui des politiciens ou du courant dominant trompeur. À cause de votre trahison, chers évêques, Dieu ne pourra pas intervenir pour sauver votre nation. Mais si vous sortez de ce système malfaisant, la bulle sournoise du Vatican éclatera et Dieu, par votre acte de foi, interviendra pour sauver à la fois l’Église et votre nation.

Chers évêques, une très grande responsabilité vous incombe, à laquelle vous ne pouvez échapper. Vous serez soit des héros, soit des criminels. De plus, cela détermine le salut de votre propre âme : soit vous obtiendrez la couronne de la gloire éternelle, soit vous serez éternellement damnés en enfer avec tout le système sataniste du covid.

Que le serviteur du Christ, Сarlo Maria Viganò, soit pour vous un exemple de bravoure et de fidélité ! Décidez-vous pour Dieu et pour le salut de votre nation, même au prix de devenir une Église des catacombes ou de subir un martyre, sanglant ou non !

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

Le 29 décembre 2021

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Project Veritas : au Pentagone la nocivité des vaccins à ARN messager est un secret de Polichinelle

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Edouard Husson

Anthony Fauci a dissimulé au Sénat les origines du COVID et les implications américaines dans la recherche menée au Laboratoire P4 de Wuhan. C’est confirmé par une nouvelle vidéo et des documents secrets que s’est procurés Project Veritas. Ces documents viennent compléter des informations datant de la fin du printemps 2021 et que nous avions déjà présentées à nos lecteurs. Surtout, ils confirment comment les médias subventionnés ont créent un écran de fumée permanent qui dissimule la réalité et permet aux dirigeants d’agir de façon dissimulée. Dans les bureaux capitonnés du Pentagone, on dit la vérité non seulement sur l’origine accidentelle de la pandémie mais aussi sur la nocivité des vaccins à ARN messager.

Voici, pour nos lecteurs, en traduction française, les explications données par Project Veritas, qui accompagnent la vidéo : 

“[WASHINGTON, D.C. – 10 janvier 2022] Project Veritas a obtenu des documents surprenants et jamais vus auparavant concernant les origines du COVID-19,  la recherche sur les gains de fonctions, les vaccins, les traitements potentiels qui ont été supprimés, et les efforts du gouvernement pour dissimuler tout cela.

Les documents en question proviennent d’un rapport de la Defense Advanced Research Projects Agency, mieux connue sous le nom de DARPA, et étaient cachés dans un disque étiqueté “top secret”.

La DARPA est une agence du Département de la Défense des Etats-Unis chargée de faciliter la recherche de technologies ayant des applications militaires potentielles.

Project Veritas a obtenu un rapport  adressé à l’Inspecteur Général du Département de la Défense écrit par le Major du Corps des Marines, Joseph Murphy, un ancien membre de la DARPA.

Le rapport indique qu’EcoHealth Alliance a approché la DARPA en mars 2018, demandant un financement pour mener des recherches sur le gain de fonction des coronavirus transmis par les chauves-souris. La proposition, nommée Project Defuse, a été rejetée par la DARPA pour des raisons de sécurité et parce qu’elle violait le moratoire sur la recherche de gain de fonction de base.

Selon les documents, le NAIAD, sous la direction du Dr Fauci, a poursuivi les recherches à Wuhan, en Chine, et sur plusieurs sites aux États-Unis.

Le Dr Fauci a affirmé à plusieurs reprises, sous serment, que les NIH et NAIAD n’ont pas été impliqués dans la recherche de gain de fonction avec le programme EcoHealth Alliance. Mais selon les documents obtenus par Project Veritas, qui décrivent pourquoi la proposition d’EcoHealth Alliance a été rejetée, la DARPA a certainement classé la recherche comme un gain de fonction.

“La proposition ne mentionne ni n’évalue les risques potentiels de la recherche sur le gain de fonction (GoF)”, une citation directe de la lettre de rejet de la DARPA.

Le rapport du Major Murphy détaille les grandes inquiétudes suscitées par le programme COVID-19 de gain de fonction, la dissimulation de documents, la suppression de remèdes potentiels, comme l’Ivermectin et l’Hydroxychloroquine, et les vaccins à ARNm.

Project Veritas a contacté la DARPA pour obtenir des commentaires sur les documents cachés et s’est entretenu avec le responsables des communications de documents, Jared Adams, qui a déclaré : “Cela ne me semble pas normal”, lorsqu’il a été interrogé sur la manière dont les documents ont été entourés de secret. “Si un document est classifié, il doit être marqué de manière appropriée”, a déclaré M. Adams. “Je ne suis pas du tout familier avec des documents non marqués qui résident dans un espace classifié, non.”

Dans une vidéo publiée lundi soir, le PDG de Project Veritas, James O’Keefe, a posé une question fondamentale à la DARPA :

“Qui à la DARPA a pris la décision d’enterrer le rapport original ? Ils auraient pu tirer la sonnette d’alarme au Pentagone, à la Maison Blanche ou au Congrès, ce qui aurait pu empêcher toute cette pandémie qui a entraîné la mort de 5,4 millions de personnes dans le monde et causé beaucoup de douleur et de souffrance à des millions d’autres.”

Le Dr Anthony Fauci n’a pas encore répondu à une demande de commentaire sur cette histoire”.

Pour comprendre les documents antérieurs publiés dans la presse de langue anglaise, auxquels il est fait allusion, nous rappelons ce que nous avions exposé à nos lecteurs. 

Quand la DARPA refusait, d’autres départements du Pentagone acceptaient de financer la recherche d’EcoHeath Alliance

Le Pentagone a versé sur plusieurs années 39 millions de dollars à Eco Health Alliance,  une ONG qui a elle-même transféré de l’argent à l’Institut de virologie de Wuhan. Quelle partie de cette somme est-elle allée aux recherches du Docteur Shi Zhengli, la désormais célèbre “Batwoman”, soupçonnée d’être à l’origine de l’accident de laboratoire qui aurait déclenché la crise du COVID-19? Il va falloir continuer à investiguer mais le comportement d’Anthony Fauci ou de Peter Daszak, scientifique d’origine britannique, collaborateur de longue date de Madame Shi et directeur d’Eco Health Alliance révèle des hommes qui ont cherché à effacer des traces compromettantes d’une collaboration avec les recherches les plus dangereuses menées à Wuhan. 

Au début 2020, Donald Trump a vite repéré un sérieux problème

Jusqu’en 2020, EcoHealth Alliance ne s’est jamais caché de ses liens avec l’Institut de virologie de Wuhan. India Today a rediffusé récemment des déclarations décomplexées de Peter Daszak, le responsable de l’organisation sur ce sujet. Et tout expert du secteur savait que cette ONG, créée pour étudier les nouvelles maladies, finançait également des expériences universellement controversées (qu’elles fussent menées en Chine, en France ou aux Etats-Unis) de “gain de fonction”, qui consistent à rendre des virus dangereux plus infectieux pour étudier leurs effets sur les cellules humaines.

Et puis est venu l’épidémie de COVID 19. Rapidement, les soupçons se sont tournés vers le laboratoire P4 de Wuhan. Une tempête politique a éclaté en mai 2020,  lorsque l’ancien président Donald Trump a annulé une subvention de 3,7 millions de dollars destinée à EcoHealth Alliance et plus particulièrement à Peter Daszak. En fait, l’ancien président américain avait suffisamment d’informations sur le fait que l’argent gouvernemental avait été très mal utilisé. Et contre ceux qui criaient au scandale, les informations dont nous disposons aujourd’hui lui donnent raison. 

En effet, des données sur les subventions fédérales rassemblées par James Baratta et Mariamne Everett montrent qu’EcoHealth Alliance a reçu plus de 123 millions de dollars du gouvernement – de 2017 à 2020 – et que l’un de ses plus grands bailleurs de fonds est le ministère de la Défense, qui a versé près de 39 millions de dollars à l’organisation depuis 2013.

Il va bien entendu falloir déterminer quelle part de cet argent a été consacrée à la recherche menée à l’Institut de virologie de Wuhan – et nous savons par les documents de Project Veritas que la DARPA a refusé le “Projet Defuse” –  mais il ne fait aucun doute que de l’argent a été versé par certaines branches du Pentagone comme le montrent à la fois l’intitulé des financements et le comportement suspect de Fauci et Daszak.

De l’argent du Pentagone pour le développement de recherches intéressant hautement l’armée chinoise

Les subventions du Pentagone comprenaient 6 491 025 dollars de la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) de 2017 à 2020 avec la description suivante : “Comprendre le risque d’émergence de zoonoses transmises par les chauves-souris en Asie occidentale “.

La subvention a été classée dans la catégorie ” recherche scientifique – lutte contre les armes de destruction massive “. On appréciera cette inversion totale de la réalité puisque, comme nous l’avons indiqué dans un précédent article, l’Armée Populaire de Libération comptait beaucoup sur les recherches menées dans le P4 de Wuhan pour développer des armes biologiques. De même que la mission du DTRA est de “contrer et dissuader les armes de destruction massive et les réseaux de menaces improvisées”, EcoHealth Alliance vous pose la question sur son site web: ” Qui s’interpose entre vous et la prochaine pandémie?”. 

EcoHealth Alliance  a également reçu 64,7 millions de dollars de l’Agence américaine pour le développement international (USAID), 13 millions de dollars de Health and Human Services, qui comprend les National Institutes of Health et les Centers for Disease Control, 2,3 millions de dollars du Department of Homeland Security et 2,6 millions de dollars de la National Science Foundation.

Et, comme résume le Daily Mail : “Un chiffre de financement gouvernemental de 3,4 millions de dollars a été largement commenté, après que le conseiller médical en chef de la Maison Blanche, Anthony Fauci, a été interrogé lors d’une audition au Sénat sur la quantité d’argent que les National Institutes of Health ont envoyé au laboratoire de Wuhan via ses subventions à EcoHealth Alliance en 2019. Mais les chiffres totaux des subventions, y compris le financement du Pentagone sont beaucoup plus importants”. James Baratta et Marianne Everett ont rassemblé les déclarations de subventions des agences gouvernementales américaines à EcoHealth Alliance. Ils ont découvert que la déclaration de l’EHA concernant son vaste financement militaire se trouve dans la section “Politique de confidentialité” de son site web, sous le titre “EcoHealth Alliance Policy Regarding Conflict of Interest in Research”. Dans cette déclaration, l’EHA indique qu’elle est “le bénéficiaire de diverses subventions de la part d’agences fédérales, dont le National Institute of Health, la National Science Foundation, l’US Fish and Wildlife Service, l’US Agency for International Development et le Department of Defense”. EcoHealth Alliance ne divulgue pas le montant exact de son financement par le Pentagone.

Plongée dans les eaux troubles du marécage: de Bagdad 2002 à Wuhan 2019

En 2014, l’administration Obama a instauré un moratoire, qui interdisait de mener aux USA la recherche sur le “gain de fonction”, après que des scientifiques se soient inquiétés du fait qu’elle pourrait conduire à une pandémie mondiale due à un virus génétiquement amélioré s’échappant d’un laboratoire.

Les expériences financées par EcoHealth Alliance en Chine relevaient du même type de recherche. Eh bien, pour contourner le moratoire du gouvernement Obama, EHA a utilisé une faille qui autorise la recherche dans les cas “d’urgence pour protéger la santé publique ou la sécurité nationale”, James Baratta et Marianne Everett, toujours eux, ont découvert que l’un des “conseillers politiques” d’EcoHealth Alliance est David Franz, ancien commandant du principal centre de guerre et de biodéfense biologique du gouvernement américain, Fort Detrick. Franz est surtout connu comme ayant été placé par le Pentagone dans la Commission spéciale des Nations Unies qui avait inspecté l’Irak en 2002 à la recherche d’armes biologiques, chimiques  ou nucléaires. Le même homme qui avait contribué à inventer des armes qui n’existaient pas en Irak se retrouve, deux décennies plus tard, à dissimuler des recherches létales menées par son pays. 

Quand le Docteur Daszak créait des fake news

En février 2020, M. Daszak a persuadé plus d’une vingtaine d’autres scientifiques de signer une lettre qu’il avait adressée au très respecté journal médical The Lancet. Comme le résume très bien le Daily Mail : “Cette lettre  a intimidé la plupart des experts, qui ont refusé d’envisager que le virus puisse avoir été fabriqué par l’homme et s’être échappé de l’institut de Wuhan. Jamie Metzl, ancien haut fonctionnaire de l’administration Clinton, qui siège aujourd’hui au comité consultatif de l’Organisation mondiale de la santé sur l’édition du génome humain, a déclaré au DailyMail.com que la lettre du Lancet “était de la propagande scientifique et une forme de brutalité et d’intimidation”.

La lettre commune, publiée dans le journal médical le 19 février 2020, faisait l’éloge des scientifiques chinois “qui continuent à sauver des vies et à protéger la santé mondiale face à l’épidémie de Covid-19” et ajoutait : “Nous sommes unis pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le Covid-19 n’a pas une origine naturelle”. Le 21 juin 2021, soit plus d’un an après, The Lancet publiait une mise au point de Peter Daszak qui assurait qu’il n’était pas en conflit d’intérêt en co-signant le courrier de février 2020 étant donné qu’il n’avait jamais reçu d’argent d’un laboratoire chinois sur ce sujet. Et pour cause, c’est lui qui en versait ! 

Ce n’est pas le seul scandale qui est en train de sortir. Malgré ses liens étroits avec le laboratoire chinois, M. Daszak avait également été choisi par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour faire partie de l’équipe de 13 membres chargée de trouver la cause de la pandémie. On se rappelle qu’en mars 2021, après les conclusions provisoires de la commission (et les déclarations de Peter Daszak) écartant à nouveau la possibilité d’une fuite de laboratoire, l’OMS avait été obligée de présenter un communiqué plus nuancé suite à des protestations internationales. 

Liberté de ton au Pentagone pour parler des origines du COVID et de la nocivité des vaccins à ARNm


L'évaluation du major murphy au début de l'été 2021 from EdouardHusson

Evidemment, vu toutes ces révélations dans les médias avant l’été 2021, chaque département du Pentagone a fait évaluer en interne son évaluation au risque. Le document le plus intéressant de ceux publiés par Project Veritas est précisément cette évaluation du risque pour la DARPA par le Major Murphy, que nous mettons à diposition de nos lecteurs ci-dessus. 

Elle contient en outre un témoignage extraordinaire de la liberté avec laquelle, au sein du Pentagone, on évaluait, il y a quelques mois, les origines du COVID-19 et, surtout, la réalité des vaccins à ARN messager. 

Une analyse très détaillée en a été proposée par un compte sérieux sur Twitter. Les lecteurs pourront cliquer sur le tweet pour dérouler le THREAD (fil twitter): 

https://twitter.com/MimeSophie/status/1480901358245007360



Un protocole scolaire dément, inutile et hors de prix qui bloque les pharmacies et l’école

Par Gérard Delépine

La folie aurait-elle frappé le ministère de l’Éducation nationale ? Leur protocole sanitaire et en particulier celui des tests est totalement inutile, angoissant pour les enfants et leurs parents, irréalisable dans sa première version et hors de prix. Ce n’est pas aux pharmacies qu’il faut consacrer l’argent public, mais bien à l’hôpital et aux soignants.

Trop de parents et d’enseignants s’inquiètent lorsqu’on signale un cas de covid dans leur classe. Cela témoigne de l’efficacité de la propagande terrorisante des médias et de la nécessité de rappeler les données scientifiques du monde réel pour les rassurer :

1°) Les enfants ne transmettent pas la maladie ni aux enfants ni aux adultes.
2°) Les enfants positifs à l’école ont été contaminés en dehors de l’école.
3°) Les enfants ne risquent rien du covid
4°) Les enseignants risquent moins d’être contaminés à l’école que dehors.
5°) Les enseignants ne risquent qu’exceptionnellement des formes graves.
6°) Tester les enfants et isoler les positifs et les cas contacts ne sert à rien, mais coute très cher.

Les enfants ne transmettent pas la maladie ni aux autres enfants ni aux adultes(([1] Benjamin Lee et William V. Raszka Transmission du COVID-19 et enfants : l’enfant n’est pas à blâmer
Pediatrics août 2020, 146 (2) e2020004879 ; DOI : https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879))

Au 11/1/2022, la recherche sur PubMed(([2] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov)) avec les items « Children covid19 transmission » fait apparaître une liste de près de 2920 articles, qui tous démontrent l’absence ou l’extrême rareté de la transmission du Sars-CoV-2 par les enfants.

Quelques articles, écrits par des auteurs virologues ou de mathématiciens qui ne traitent pas de patients et liés aux fabricants de vaccins ou aux organismes responsables des campagnes de vaccinations accusent les enfants d’être responsables de la propagation de l’infection, sans jamais présenter de faits avérés. Ils se basent sur des résultats de laboratoires (charge virale) ou des simulations fausses pour suggérer que les enfants pourraient contaminer autrui. Leurs conclusions, écrites au conditionnel sont diffusées à l’indicatif et présentées comme des preuves par les médias pour amplifier la peur. Revenons au monde réel.

Plus de 20 études épidémiologiques(([3] RIVM Institut national de la santé publique et de l’environnement : rapports de patients COVID-19 reçus des services municipaux de santé publique (GGD) aux Pays-Bas))(([4] Ladhani SN, et al : COVID-19 in children: analysis of the first pandemic peak in England. Arch Dis Child. 2020 Dec;105(12):1180-1185. doi: 10.1136/archdischild-2020-320042.))(([5] Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance (NCIRS) : COVID-19 in schools – the experience in NSW [Internet]. Sydney: NCIRS; 2020))(([6] Heavey L, et al. : No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveillance: bulletin Europeen sur les maladies transmissibles = European communicable disease bulletin. 2020 May 25(21) ))(([7] Les enfants et le COVID-19. 20 juillet 2020. [cité le 13 août 2020]. https://www.rivm.nl/fr/roman-coronavirus-covid-19/enfants-et-covid-19))(([8] Dub T et al. : Transmission of SARS-CoV-2 following exposure in school settings: experience from two Helsinki area exposure incidents. medRxiv. 2020:2020.07.20.20156018))(([9] Helena C. et al : transmission dynamics of SARS-CoV-2 within families with children in Greece: a study of 23 clusters)) internationales (dont 3 en France : de l’INSERM(([10] Danis K et al. : Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020. Clinical Infectious Diseases. 2020)), de l’Institut Pasteur(([11] Arnaud Fontanet et al : SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv preprint)) et de l’association Activ(([12] Cohen R et col : Assessment of SARS-CoV-2 infection by Reverse transcription-PCR and serology in the Paris area: a cross-sectional study. BMJ Paediatr Open. 2020 Dec 29;4(1) ))) ont recherché des transmissions par les enfants. Aucune n’a trouvé d’exemple probant.

Après le confinement les réouvertures de classe ont été particulièrement surveillées(([13] Kim J, et al. Rôle des enfants dans la transmission domestique du COVID-19. Arch Dis Enfant. 2020. 7 août 4
Stein-Zamir C, et al. A large COVID-19 outbreak in a high school 10 days after schools’ reopening, Israel, May 2020. Euro Surveill. 2020;25(29):pii=2001352))(([14] Ismail SA, Saliba V, Lopez Bernal J, Ramsay ME, Ladhani SN. SARS-CoV-2 infection and transmission in educational settings: a prospective, cross-sectional analysis of infection clusters and outbreak in England. Lancet Infect Dis. 2021 Mar 21(3):344-353.)) partout dans le monde ; nulle part cette réouverture de classe n’a été suivie d’une reprise de l’épidémie dans la population.

Les pays comme la Suède et la Finlande, qui ont laissé leurs écoles ouvertes n’ont pas remarqué de transmission interinfantile ni de conséquence sur la communauté.

En France les seules transmissions par des enfants ont été alléguées par Castex et K. Lacombe qui ont accusé leurs enfants sans en apporter les preuves dans une revue scientifique qui aurait certainement publié de telles raretés mondiales ! (Mon Dieu quel malheur d’avoir un parent médecin lié à Big Pharma ou un ministre !)

Les enfants positifs ont été contaminés en dehors de l’école.

Toutes les études publiées dans la littérature montrent que les enfants sont rarement contaminés (1 % en Angleterre(([15] Ladhani SN, Amin-Chowdhury Z, Davies HG, and al. COVID-19 in children: analysis of the first pandemic peak in England. Arch Dis Child. 2020 Dec;105(12):1180-1185)) à 2 % en Chine(([16] Wu Z, McGoogan JM. Caractéristiques et enseignements importants de l’épidémie de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) en Chine : résumé d’un rapport de 72 314 cas du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies. JAMA 2020. 24 février)) des cas lors de la première vague) et que les contaminés l’ont été par leurs parents à domicile. Enfin, que les enfants contaminés sont plus rarement malades que les adultes.

Lorsque plusieurs cas sont repérés dans une classe cela traduit seulement une forte incidence dans la communauté extrascolaire. L’école est un témoin du niveau d’infection dans la population, mais pas un vecteur de transmission sauf parfois entre adultes.

Les enfants ne risquent rien du covid

En France sur plus de 15,5 millions de mineurs on compte 13 décès avec le covid en deux ans alors que l’épidémie de grippe de la saison 2019-2020 en a tué 12 en quatre mois. Daniel Lévy-Bruhl, épidémiologiste de la Société Française de Pédiatrie précisait la fréquence des comorbidités des victimes infantiles du Covid « il n’y avait qu’un seul enfant pour lequel le décès était survenu dans un contexte où la seule cause possible était le Covid-19. Pour les autres enfants, soit ils avaient des facteurs de risque, soit le décès est survenu dans un contexte où plusieurs éléments ont pu contribuer à l’issue fatale et en particulier des infections sévères parmi lesquelles on a retrouvé le SARS-CoV-2. »

Dans le monde toutes les études scientifiques publiées ont confirmé que les enfants ne risquent presque rien du Covid19 (trois fois moins que de la grippe saisonnière), et qu’ils ne transmettent pas la maladie. Ceux qui prétendent le contraire sont ignorants et/ou menteurs et expriment seulement leurs angoisses.

Les enseignants risquent moins d’être contaminés à l’école que dehors et ne risquent qu’exceptionnellement des formes graves

L’étude ComCor(([17] Rebecca Grant, Tiffany Charmet, Laura Schaeffer et al Impact of SARS-CoV-2 Delta variant on incubation, transmission settings and vaccine effectiveness: Results from a nationwide case-control study in France The Lancet Regional Health – Europe Available online 26 November 2021, 100278)) menée par l’Institut Pasteur sur plus de 160 000 participants a montré que les professeurs faisaient partie des « catégories professionnelles les moins à risque ». « Les cours en amphithéâtre ou en salle pour la formation continue, le sport en extérieur (…) n’ont pas été associés à un sur risque d’infection », affirment les auteurs de l’étude.

Cette absence de sur risque de contamination du corps enseignant est confirmée par la quasi-totalité des études internationales et par la synthèse de l’ECDC (European Center for Disease Prevention and Control)(([18] European Centre of Disease Control and Prevention. COVID-19 in children and the role of school settings in transmission – first update. 2020. Available from: https://www.ecdc.europa.eu/en/publications-data/children-and-school-settings-covid-19-transmission)). Les seuls cas de contamination d’enseignants décrits à l’école dans la littérature médicale concernent des contaminations entre enseignants en dehors des cours.

De plus, l’âge de la retraite relativement précoce des enseignants (57 à 62 ans) les protège des formes graves et des risques de décès ainsi que l’observent toutes les études sur le sujet qui « n’ont généralement pas révélé un risque professionnel plus élevé pour le personnel éducatif ».(([19] Chen YH, Glymour M, Riley A, et al. Excess mortality associated with the COVID-19 pandemic among Californians 18–65 years of age, by occupational sector and occupation: March through October 2020. medRxiv, Jan 2021. https://doi.org/10.1101/2021.01.21.21250266 une arnaque))

Il est d’ailleurs significatif qu’on dispose de listes des soignants morts du Covid, mais qu’aucune liste n’existe pour les enseignants et que la recherche sur internet avec l’item « enseignant mort du covid en France » ne permet de ne retrouver que le cas du premier mort français qui souffrait de lourdes comorbidités qui, d’après les médecins qui l’ont soigné, constituent les vraies causes de sa mort.

De même, la recherche dans la base de données médicales américaine PubMed avec les mots clefs « teacher dead from Covid » ne recense que 6 articles dont aucun ne rapporte un cas.

Les données actuelles de la science sont donc très rassurantes pour les enseignants et ne justifient absolument pas leur anxiété actuelle concernant leur risque Covid.

Tester les enfants pour isoler les enfants positifs et leurs cas contacts ne sert à rien

L’utilisation des tests PCR pour affirmer qu’une personne est malade et/ou contagieuse, inventée par Drosten, conseillée par l’OMS et imposée par de nombreux gouvernements est une arnaque ! Ces tests PCR ne permettent pas d’affirmer qu’une personne est ou sera malade ni qu’elle puisse être contagieuse. Et encore moins un enfant !

L’inutilité médicale du dépistage par ces tests, quel que soit l’âge, a été spectaculairement démontrée par le dépistage massif (10 millions de Chinois) réalisé entre le 14 mai et le 1er juin 2020 autour de Wuhan(([20] Cao, S., Gan, Y., Wang, C. et al. Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China. Nat Commun 11, 5917 (2020). https://doi.org/10.1038/s41467-020-19802-)). Aucun des 300 cas asymptomatiques détectés à cette occasion, mis en quarantaine et surveillés de près n’a excrété de virus cultivable ni présenté de signes cliniques dans les mois qui ont suivi et aucun de leurs 1 174 contacts étroits n’a été contaminé. Ce dépistage massif intéressant pour la science n’a servi à rien pour la médecine et n’a pas évité une seule contamination.

Le Covid-19, comme toute maladie, devrait être pris en charge par les médecins traitants. Le diagnostic doit être suspecté sur la clinique et ne pas reposer uniquement sur des tests PCR dont les faux positifs sont légion chez les asymptomatiques (plus de 97 %). Ces tests ne doivent en aucun cas être retenus comme critère diagnostique comme l’ont affirmé déjà de nombreuses juridictions, dont la cour d’appel du Portugal en novembre 2020. Alors, pourquoi les imposer sinon pour faire croire à une épidémie persistante et maintenir la population dans l’angoisse ?

Les conséquences sociales des mesures prétendument sanitaires imposées par Blanquer sont très dommageables avec 7 % des enseignants actuellement absents (car déclarés asymptomatiques ou cas contact), les pharmacies bloquées par des queues de parents et d’enfants attendant des heures dehors dans le froid de l’hiver alors que la grippe flambe, l’aggravation des conséquences psychologiques de la peur que ravivent les tests et les masques.

Mais il faut insister sur le coût faramineux pour la société (coût direct des tests en 2021 six milliards et environ 1 milliard prévu pour le seul mois de janvier 2022 auquel il faut ajouter les conséquences financières colossales des arrêts de travail et des quarantaines inutiles prises en charge par la collectivité sur la foi d’un test trompeur. Ces milliards d’euros dépensés sans intérêt sanitaire auraient été bien mieux utilisés pour renforcer nos hôpitaux saturés chaque hiver depuis plus de dix ans, bien avant le Covid et dont l’état pitoyable sert de prétexte à la suppression de nos libertés.

Il n’existe aucune raison sanitaire à toutes les mesures prises contre les enfants et les adultes depuis plus de 18 mois. Elles sont politiques visant à soumettre les peuples et réorganiser les sociétés jadis démocratiques selon le modèle autoritaire chinois.

Ni les enfants ni les enseignants ne peuvent tirer aucun bénéfice du protocole sanitaire actuel. Ils risquent moins du Covid que de la grippe qui sévit actuellement. La Suède a démontré que les mesures autoritaires étaient inutiles. Il suffit de demander aux malades de rester chez eux. Les enseignants et les parents terrorisés n’ont qu’à lire les articles scientifiques cités pour s’en convaincre. Ils peuvent aussi porter un masque si cela les rassure et se faire injecter s’ils croient en l’efficacité des vaccins dont se moque pourtant totalement Omicron.





Retournement espagnol : le covid assimilé à un simple rhume hivernal

[Source : MPI]

Par Francesca de Villasmundo

L’Espagne est le premier État de l’UE à changer la vision de la « pandémie » covid : stop avec le décompte des cas et des hospitalisations.

« Nous le traiterons comme un rhume commun. »

La « pandémie » est en train de changer. Pour cette raison, l’Espagne est en train de changer sa façon de vivre et de vivre avec le virus. C’est l’idée qui circule en Espagne par la voix du Premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, qui a déclaré que le moment était venu de surveiller la pandémie d’une manière différente. « L’Espagne développe un système pour surveiller le Covid comme une grippe courante », titre le journal El Pais.

« Nous avons les conditions pour ouvrir, progressivement et avec prudence, le débat au niveau technique et européen, pour commencer à évaluer l’évolution de cette maladie avec des paramètres différents de ceux que nous avons jusqu’à présent », a déclaré Sanchez dans une interview à la radio Cadena Ser. Le journal espagnol souligne que les protocoles deviennent plus permissifs et aussi les restrictions car la plupart des gens ont maintenant été en contact avec virus et vaccins, ce qui les protègent des formes graves de la maladie.

La prochaine étape que le gouvernement espagnol a en tête sera de commencer à traiter les variants du Covid d’une manière plus similaire à ce qui se fait avec la grippe : arrêter de compter les cas et de tester chaque symptôme. Le but est de considérer le Sars-Cov-2 comme toute autre maladie respiratoire. Les autorités sanitaires espagnoles travaillent depuis des mois sur cette transition pour élaborer un plan pour abandonner progressivement la surveillance universelle du covid et basculer vers celle dite « sentinelle », celle utilisée depuis des années contre la grippe.

« Au lieu de dénoncer chaque cas de Covid détecté dans le pays, ce qui est insoutenable à long terme, un groupe de médecins des écoles primaires ou des centres de santé sera stratégiquement choisi, en collaboration avec les hôpitaux, pour servir de témoins. »

L’objectif sera de créer un échantillon statistiquement significatif réparti en points clés, comme cela se fait avec les enquêtes, qui permet de calculer comment la maladie, la plus bénigne et la plus sévère, se propage, non plus au moyen d’un décompte numérique où sont insérés tous les cas mais un décompte à partir duquel les nombres les plus significatifs sont extrapolés. Le décompte des asymptomatiques et de ceux qui ne se retrouvent pas à l’hôpital disparaîtrait, pour ainsi dire.

Les responsables du Centre de Coordination des Alertes et Urgences Sanitaires (CCAES), ceux du Rapport d’Alerte, où sont représentés les techniciens de toutes les communautés autonomes et ceux du Centre National d’Epidémiologie (CNE) ont programmé diverses réunions pour en discuter changement de philosophie : quand et comment il sera mis en œuvre.

« Maintenant, compte tenu de l’énorme transmissibilité du covid, c’est un très grand défi de se conformer strictement aux protocoles de surveillance universels, cela devient impossible », a déclaré à El Pais Amparo Larrauri, chef du groupe de surveillance de la grippe et autres virus respiratoires au CNE. « En effet, les protocoles ont déjà commencé à se relâcher et les tests de contact direct des positifs ne sont plus obligatoires s’ils ne présentent pas de symptômes, par exemple », précise-t-il.

« Face à cette nouvelle réalité, nous travaillons à passer d’une surveillance universelle à une sentinelle des infections respiratoires aiguës légères dans les écoles primaires et sévères dans les hôpitaux. »

Il est clair que tout ne peut pas être changé du jour au lendemain. « Nous avons des engagements internationaux – relatifs à la notification de tous les cas – et les systèmes sentinelles doivent être consolidés », conclut Larrauri.

Un pas en avant vers une sortie de la folie covidienne…

Francesca de Villasmundo




Covid et spike syndrome : à ne pas confondre !

Par Jamila Buret

Un précédent article avait pour titre : « En faisant produire la protéine spike par les cellules, vacciner revient à inoculer la maladie ».

Le présent article a pour but de préciser la « maladie » qui est inoculée.

« Malgré un taux de vaccination élevé, la Corée du Sud enregistre la pire épidémie de Covid depuis le début de la pandémie. »

« On remarque une forte proportion de personnes vaccinées parmi les malades du Covid hospitalisés ou en soins intensifs. »

« Les risques de contamination sont plus élevés chez les vaccinés que chez les non-vaccinés ».

Ces constats d’une recrudescence de l’épidémie reviennent de plus en plus, surtout dans les pays à forte couverture vaccinale.

Première réaction logique : les vaccins anti Covid ne protègent pas de l’infection au virus SARS-CoV-2 ni des formes graves. Et cette inefficacité augmente avec le nombre de doses injectées ainsi qu’avec chaque nouveau variant ! Alors, à quoi servent ces vaccins ?

Deuxième réaction : celle des spécialistes qui cherchent des explications.

La première explication possible est la facilitation de l’infection par les anticorps ou ADE (antibody dependent enhancement), que l’on appelle aussi « maladie aggravée par la vaccination » (vaccine-associated enhanced disease), qui s’applique à tous les coronavirus. Au lieu de protéger de la maladie en cas de contact avec le virus, le vaccin facilite l’infection !

Une autre possibilité concerne les problèmes d’immunodéficience : plus de 140 études publiées à ce jour montrent que la protéine Spike provoque une perturbation et un dérèglement majeurs du système immunitaire de l’hôte humain.

Une troisième explication consisterait à remettre en cause le diagnostic de Covid (maladie due à l’infection par le coronavirus SARS-CoV-2) chez une partie des personnes vaccinées. On aurait tendance à mettre l’étiquette « Covid » sur des symptômes qui ne sont pas dus à une infection par le SARS-CoV-2, mais à un effet indésirable du vaccin, lié à la toxicité de la protéine spike.

Cet article est un essai de démonstration de cette dernière hypothèse.

Rappelons que le diagnostic du Covid est basé essentiellement sur le test PCR.

1 Diagnostic du Covid

En Fac de médecine, les étudiants apprennent que chaque maladie est caractérisée par son tableau clinique : l’ensemble des symptômes de cette maladie. Et les médecins ont toujours diagnostiqué la maladie lors d’une consultation, par l’examen des symptômes présentés par le patient ; ils ne font éventuellement appel à des tests, analyses, IRM, etc., que pour confirmer et/ou préciser le diagnostic.

Dans le cas du Covid, on s’est focalisé sur les seuls tests PCR pour diagnostiquer la maladie et l’on a assimilé « cas positif » à malade, même en l’absence de symptômes ; alors qu’un vrai malade présente des signes cliniques (fièvre, toux, migraine…).

Cette pseudo-pandémie a introduit plusieurs concepts nouveaux en médecine, comme le « cas positif » ou simplement « cas », et grâce à la propagande des médias mainstream, l’immense majorité du public confond désormais « cas » et malade. Ce qui est une aberration ! Répétons-le encore une fois : un malade, pour n’importe quelle maladie, présente des symptômes de cette maladie !

Autres nouveaux concepts : « cas asymptomatique », « cas contact », « cluster ».

Le choix de caractériser l’épidémie par le nombre de cas a permis d’en amplifier la gravité, alors que, traditionnellement, les épidémiologistes se sont toujours référés à la mortalité.

Tests PCR

« Le test PCR est un processus. Il ne vous dit pas que vous êtes malade ».

DrKaryMullis, lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, décédé en août 2019.

La RT-PCR est une technique d’amplification de matériel génétique nécessaire dans des recherches en laboratoire. Son inventeur, à plusieurs reprises, a insisté pour dire qu’elle ne pouvait en aucun cas être utilisée pour le diagnostic de maladies virales.

De plus, les tests PCR utilisés pour détecter les « cas positifs » ont été imposés à la population dans des conditions techniques discutables : absence de standardisation, nombre de cycles d’amplification trop élevé (40 à 50), responsable d’un très grand nombre de faux positifs, manque de spécificité.

Ainsi, plus on réalisait de tests, plus on augmentait le nombre de cas positifs, au point que l’on a pu parler « d’épidémie de cas ». Et c’est sur ce nombre de cas, anormalement élevé, et sans aucune signification quant à l’ampleur de l’épidémie (puisqu’un cas n’est pas un malade), que se sont basées toutes les prédictions menaçantes de « nième vague », d’hécatombe annoncée, justifiant des mesures restrictives et liberticides de plus en plus sévères.

Et cela continue avec le variant omicron, qui, bien que très contagieux est très peu létal.

Cependant, en juillet 2021, une véritable bombe (passée inaperçue) a éclaté : le CDC américain ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid » !

Et à partir du 1er janvier 2022, il doit retirersa demande à la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis,d’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) du panel de diagnostic RT-PCR, introduit en février 2020.

Le CDC reconnaît que le test PCR n’est pas spécifique : » les résultats positifs du test PCR n’excluent pas une infection bactérienne ou une co-infection par d’autres virus ». Ce test ne peut donc pas identifier le SARS-CoV-2 et ses variants ; pas plus qu’il ne peut faire la différence entre ce virus et ceux de la grippe ou du rhume.

Mais cette décision du CDC n’a pas été diffusée dans les médias et les cas positifs détectés par PCR continuent à être systématiquement classés dans la catégorie « cas confirmés du variant Covid-19 Omicron », même si l’on est en pleine période de grippe et de rhume.

Ainsi, la pseudo-pandémie de Covid a été basée sur des tests défectueux et non valides. Plusieurs milliards de personnes, dans plus de 190 pays, ont été testées, et les 260 millions de « cas positifs », détectés et présentés comme des cas confirmés de Covid, n’ont plus aucun sens au vu de la déclaration du CDC.

Sans parler du coût prohibitif de tous ces tests.

2 Toxicité de la protéine spike

Depuis le début de la pandémie, de nombreux chercheurs se sont intéressés à la protéine spike de surface du virus SARS-CoV-2 et ils ont découvert que cette protéine est un facteur de virulence essentiel du virus. Or, c’est justement cette protéine qui a été choisie comme antigène dans les vaccins à ARNm ou à ADN.

Ainsi, le vaccin anti-Covid est une injection de milliers de milliards de paquets ARNm qui transforment le corps du vacciné en une « usine de production » de protéines spike. Et cela concerne des millions de personnes vaccinées. Il est donc essentiel de comprendre les effets biologiques de cette protéine, à court, moyen et long termes.

Les résultats de centaines d’études montrent que ses nombreuses potentialités toxiques sont autonomes de la présence du virus SARS-CoV-2 et peuvent reproduire des manifestations cliniques de la maladie Covid (processus inflammatoires, thromboses, dysfonctionnements pulmonaires, neurologiques, cardiovasculaires, hépatiques, intestinaux, rénaux, ORL, cutanés, conjonctivaux).

Et de nouveaux effets pathogènes de la protéine spike continuent d’être découverts : déclenchements d’auto-anticorps ACE2 (maladies microvasculaires systémiques) ; problèmes de réparation de l’ADN ; affinité pour des protéines anti cancéreuses ; problèmes d’immunodéficience.

ttps://www.francesoir.fr/societe-science-tech/sars-cov2-alertes-sur-les-potentialites-toxiques-de-la-proteine-spike

https://www.francesoir.fr/societe-sante/la-proteine-de-pointe-du-nouveau-coronavirus-joue-un-role-cle

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/arn-vaccinaux-de-pfizer-producteurs-de-proteines-spikes

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/pourquoi-la-proteine-spike-est-toxique-dans-le-Covid-19-et-aussi-dans-les-vaccins

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/nous-ne-sommes-pas-anti-vax-nous-sommes-anti-spike

En résumé, le problème des vaccins anti-Covid à ARNm ou à ADN est que la protéine spike qu’ils font fabriquer par les cellules a la même toxicité que la protéine spike du SARS-CoV-2.

De plus, avec la deuxième, la troisième, la nième injection, c’est à chaque fois un nouveau boost de protéine spike qui est produit, alors même que les anticorps et l’organisme sont en train de travailler à son élimination. Cela revient à jeter de l’huile sur le feu ! Et c’est totalement inutile contre les nouveaux variants, car c’est justement la protéine spike qui subit les mutations à chaque fois.

3 Effets indésirables des vaccins

La similitude entre les symptômes du Covid et les effets indésirables des vaccins a été relevée par de nombreux médecins qui se sont arrêtés à ce constat.

Mais on peut aller plus loin et, au vu de la toxicité de la protéine spike seule, au vu de la non-spécificité et du manque de fiabilité des tests PCR, on peut déduire qu’une partie des personnes vaccinées, apparemment malades du Covid, ne sont pas infectées par le virus SARS-CoV-2.

Elles présentent en fait les symptômes de ce que l’on pourrait appeler le « ’spike syndrome » qui est un effet indésirable des vaccins dû aux effets pathogènes de la protéine spike.

En d’autres termes, en l’absence d’infection par le virus ou par un de ses variants, une personne vaccinée peut présenter un tableau clinique de la maladie Covid, assorti d’un test positif, alors qu’il s’agit d’un effet indésirable du vaccin, ce que l’on pourrait appeler un « Covid vaccinal » ou « spike syndrome ».

Dans ce cas, il ne s’agit pas d’un manque d’efficacité du vaccin par rapport à l’infection, mais d’une maladie induite par le vaccin et que l’on confond avec le Covid.

La recrudescence de l’épidémie dans les pays à forte couverture vaccinale n’est donc vraie qu’en partie. En réalité, il s’agit aussi d’effets indésirables des vaccins apparaissant comme une maladie Covid.

Est-il possible de différencier les deux maladies ? Certainement pas avec les tests PCR qui ne sont pas spécifiques et doivent probablement aussi détecter la protéine spike seule. Cependant, le CDC a proposé aux laboratoires l’adoption d’une méthode multiplexée afin de différencier le SARS-CoV-2 du virus de la grippe.

Conclusion

Le choix de la protéine spike comme antigène dans les vaccins anti-Covid a été le pire choix possible, au point que l’on peut se demander si c’est une simple coincidence…

D’abord, comme nous l’avons vu, en raison des nombreux effets pathogènes de cette protéine.

Ensuite, à cause de la réponse immunitaire du corps : seuls des anticorps anti-spike sont fabriqués après vaccination, alors que c’est justement sur la protéine spike que les mutations des différents variants se sont faites. D’où l’inefficacité des vaccins pour ces variants. Alors que dans une infection naturelle, le corps réagit contre plusieurs protéines du virus et produit les anticorps correspondants.

Quant à la recrudescence annoncée de la pandémie, des réserves sérieuses doivent être faites, à cause de la non-fiabilité des tests PCR, mais aussi à cause du spike syndrome que l’on confond avec l’infection au virus.

L’étiquette « Covid » est finalement bien commode pour masquer et maquiller une maladie vaccinale en infection virale ; pour « blanchir » certains effets indésirables des vaccins anti Covid !

Un exemple récent vient conforter cette hypothèse ; il s’agit d’une information diffusée le 31/12/2021 :

« 2/3 des 25 membres de la station polaire belge sont testés positifs au Covid, après 17 semaines de confinement, bien que complètement vaccinés, testés au test PCR avant leur arrivée, et vivant à des milliers de kilomètres du monde civilisé ».

En fait, chaque fois qu’une personne vaccinée est déclarée malade du Covid, après un test PCR positif et avec ou sans symptômes, il faudrait remettre en cause ce diagnostic : est-elle vraiment infectée par le virus ou bien est-ce plutôt un effet indésirable du vaccin, le « ’spike syndrome » ?

De plus, avec la multiplication des doses injectées, on relance à chaque fois le processus de production de protéine spike, augmentant du même coup les risques d’effets secondaires. Actuellement, les personnes vaccinées triple dose sont les plus atteintes (par le nouveau variant omicron ??).

Va-t-on, à chaque nouvelle dose injectée, inventer un nouveau variant plus « méchant » que les précédents pour expliquer la recrudescence des effets indésirables ??

Quant à la propagation de protéines spike par les vaccinés, des études doivent encore être réalisées pour préciser cet aspect de la vaccination.


À propos de l’auteure

Jamila Buret est scientifique, docteure en physique, professeure universitaire à la retraite.




Covid-19 — L’art de raisonner juste sur des hypothèses fausses

[Source : https://micheldogna.fr]

[Illustration : des hypothèses fausses ne peuvent qu’entraîner des conclusions fausses.]

Par Michel Dogna

[Note de Joseph :

Syllogisme et sophisme

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond à la réalité, aux faits observables (et parfois mesurables) ou objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut être cohérente et logique ou sembler l’être de prime abord avec un regard superficiel, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel. Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ». Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ». La théorie virale relève de syllogisme, de sophisme et/ou d’illusion mentale ou intellectuelle, même si elle est presque mondialement considérée comme fondée et valable. (Voir aussi plus bas.)

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).]

Revenons début janvier 2020 à Wuhan : des gens tombent subitement morts en marchant dans la rue, d’autres meurent en quelques minutes d’une embolie pulmonaire, d’autres d’une crise cardiaque fatale… Panique !

Hypothèse officielle :

Un méchant coronavirus grippal nommé COV 19 échappé accidentellement du laboratoire P4 (haute sécurité expérimentale) de Wuhan — ceci agrémenté d’une histoire à dormir debout avec des pangolins et des chauves-souris…

Réalités associées :

  1. En décembre 2019 toute la population de Wuhan a reçu un vaccin obligatoire (déjà ARNmessager) contre la grippe, qui on le sait maintenant, a pour premier effet (confidentiellement classique) de faire chuter toutes les défenses immunitaires. Mais ce n’est pas tout, nous avons pu apprendre plus tard par la Dr Karen Kingston — ex-employée Pfizer, que ce vaccin avait été chargé d’oxyde de graphène nano – preuves à l’appui les factures du principal fabricant chinois qui attestent une très grosse vente aux grands labos à cette époque (revoir « Le grand secret de Pfizer » — news du 26 août 2021). On apprendra quelques mois plus tard par la Quinta Columna espagnole que tous les vaccins ARNm contiennent de l’oxyde de graphène qui génèrent des milliers de micro caillots sanguins. Ceux-ci ayant tendance à s’agglutiner occasionnent des thromboses subites, souvent fatales.
     
  2. 10 000 antennes relais 5G qui avaient été préalablement installées dans Wuhan ont été mises en service pile en même temps que l’alerte de l’hécatombe Corona Covid.
    Des études d’un laboratoire de recherche indépendant ont mis en évidence qu’une nouvelle fréquence porteuse 60 gigahertz de la 5G excite les atomes d’oxygène ambiant le rendant partiellement inutilisable par l’hémoglobine du sang — des pluies d’oiseaux et d’insectes morts en vol furent relatées à cette époque dans des journaux, ceci confirmant l’action asphyxiante du rayonnement 5G 60 gigahertz.
     
  3. On ne parle guère non plus de la protéine Spike des vaxx ARNm qui, à l’aide de l’hydrogel Darpa, s’invite à l’intérieur des cellules qu’elle rencontre, et embauche leur ARN pour la dupliquer à l’infini dans tout le corps — ceci endommageant gravement, voire mortellement, les réactions immunitaires face aux agressions des variants à venir. J’en reste là par souci de concision.

Arrêter de se tromper de cible

Nous avons là trois armes de destruction massive complémentaires et non répertoriées — puisqu’invisibles — qui ont permis de stigmatiser au départ le monde entier par des effets effrayants d’une soi-disant pandémie corona — car il fallait que personne ne comprenne l’origine top secret de la catastrophe. Oui il fallait un leurre, un faux drapeau pour détourner l’attention du public, et ce leurre a été le CoV 19 une simple grosse grippe que l’on a montée en mayonnaise, en interdisant tous les remèdes basiques efficaces.

Même la plupart des scientifiques s’y sont laissés prendre ! J’en suis aussi étonné que consterné, car je continue à voir encore maintenant au bout de deux ans, que parmi la plupart des « poids lourds » de la recherche et de la médecine, aucun, à part quelques rares « hors-pistes », ne relève la tête du guidon Covid/variants et ne prend en compte ce trio fatal « graphène/5G/spike ». Même chose dans la majorité des débats TV et vidéos !

On ne sort pas de ce mirage viral !!!

  • NOTA : savez-vous que tout vaxxé est sans le savoir porteur d’un identifiant détectable par un simple tél portable androïde ?

Quel est le rôle réel des 3, 4, 5e doses, dites « Boosters » ?

Nous avions vu que l’oxyde de graphène nano rend notre corps supraconducteur magnétique et électrique et en fait une excellente antenne. De son côté, la 5G sert de porteuse de télécommande pour programmer le corps (et éventuellement l’esprit) des vaxxés.
Mais nous avions vu aussi que le graphène rencontre des ennemis in situ, qui sont le L-Glutathion et possiblement les antidotes qui sont : la TM gemmo d’aiguille de pin et/ou le dioyde de chlore ClO²- – du Sanchlor. Donc, avec les semaines et les mois, les vaxxés s’appauvrissent en oxyde de graphène, ceci handicapant le contact radio de la 5G.

Considérez donc que les doses dites vaccinales anti-variants sont encore un joli mensonge — le seul but est de vous recharger en graphène pour entretenir le contact avec votre « maître » qu’est devenue la 5 G !

À titre de conclusion

  • Combien de temps va-t-on encore faire passer pour des vaccins, des soupes de Frankenstein qui ne sont faites que pour falsifier notre ARN puis notre ADN, ceci pour nous diminuer et non nous augmenter, nous blesser et non nous nous protéger, et faire des 10 % de survivants prévus « des robots » corvéables et jetables à souhait ?
     
  • Combien de temps va-t-on continuer à disserter à l’infini sur des chiffres et des statistiques contradictoires qui ne mènent qu’à des mesures de second ordre, autour d’un virus qui a vécu 70 jours comme tous les virus et qu’on n’a même jamais su isoler, ou de ses multiples variants aussi éphémères, vers un bourbier sans fin et sans solutions ?
     
  • Combien de millions de morts prématurées ou subites post vaccinales, combien de millions de grands-parents (les soi-disant inutiles), combien de millions de jeunes détruits physiquement et mentalement va-t-il falloir pour que le peuple sorte de sa torpeur disciplinée pour enfin, sans même avoir à se battre, DIRE ENSEMBLE NON A TOUT, ET ARRÊTER D’OBÉIR aux tyrans criminels ainsi qu’à leurs valets collabos profiteurs corrompus.
     
  • Rien ni personne ne peut faire quoique ce soit contre cela.
     
  • Nota : militaires, gendarmes et diverses forces de l’ordre n’attendent que cela pour se joindre au peuple et le soutenir.

[Voir aussi :

L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)


Articles liés à la thérie virale, la vaccination et la santé en général :

Quelques bons gros mensonges scientifiques
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
1968-2018 : la descente aux enfers !
Si seulement les humains étaient aussi bons que les animaux. Le monde aurait alors de l’espoir
Coup de froid
Prendre sa santé en main
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Articles récents :
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie

Sur le graphène :
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

Sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

Sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

Sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Dossier 5G et ondes pulsées

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]

Meurtre par injection

Dans « Meurtre par injection : histoire de la conspiration mondiale contre la santé », Eustace Mullins décrit, preuves à l’appui, la prise de contrôle par un groupe privé aux mains des Rockefeller de toute l’organisation de la santé aux États-Unis, depuis les facultés de médecine jusqu’aux organismes dits caritatifs, en passant par l’industrie pharmaceutique et les assurances médicales. Mais il y a pire dans ce qu’a découvert l’auteur : cette mainmise a été permise grâce à la complaisance, voire la complicité d’agents fédéraux censés œuvrer pour le bien commun et non pour les intérêts d’une petite élite financière aux visées messianiques et impérialistes.

Lire la suite]




Steve Bannon, ancien conseiller de Donald Trump, encourage les Français à combattre la dictature sanitaire

[Source : lemediaen442.fr]

Voici un message adressé aux Français par Steve Bannon, le 8 janvier, lors la manifestation pour la Liberté ! Dans cette vidéo — publiée sur le Twitter de Florian Philippot — nous pouvons voir l’ancien conseiller de l’ex-président des États-Unis Donald Trump encourager le peuple de France.

Celui qui est également dirigeant de médias, réalisateur et producteur de cinéma appelle les Français à s’unir. « Vous devez vous unir pour défendre la souveraineté de votre pays. Et maintenant pour défendre votre souveraineté sur votre santé et votre corps. Il est plus important que jamais de s’unir, et en France tout particulièrement. » Steve Banon considère que la France a un rôle primordial à jouer pour combattre les élites mondialistes et ainsi se libérer des griffes sanitaires. « On a vu Macron dire que les non-vaccinés ne sont pas des citoyens, vous êtes l’exemple de comment mener ce combat pour le monde entier. N’oublions pas : le monde entier vous regarde. Ces manifestations sont essentielles. Elles motivent les souverainistes à travers le monde. Et leur donnent la confiance de ne pas céder en disant “nous ne nous conformerons pas.” »

Transcription :

A tous nos collègues et compatriotes en France, comme vous le savez, nous menons tous en ce moment un combat contre les passes vaccinaux et l’ingérence de l’élite mondialiste. Tous les souverainistes, maintenant plus que jamais, doivent s’unir. Vous devez vous unir pour défendre la souveraineté de votre pays. Et maintenant pour défendre votre souveraineté sur votre santé et votre corps. Il est plus important que jamais de s’unir, et en France tout particulièrement.

On a vu Macron dire que les non-vaccinés ne sont pas des citoyens, vous êtes l’exemple de comment mener ce combat pour le monde entier. Croyez-moi, c’est un combat mondial. Ici aux Etats-Unis c’est très difficile. Les mots clés sont « ne vous soumettez pas si vous n’êtes pas à l’aise avec le vaccin ». Le consentement libre et éclairé est essentiel.

Nous vous soutenons est mesurons bien l’immensité des épreuves que vous traversez. N’oublions pas : le monde entier vous regarde. Ces manifestations sont essentielles. Elles motivent les souverainistes à travers le monde. Et leur donne la confiance de ne pas céder en disant « nous ne nous conformerons pas ».

Merci à vous et sachez qu’ici ,dans le “War Room”, vous avez tout notre soutien pour votre mission et pour l’objectivité de votre combat.

Le Média en 4-4-2


[Voir aussi :
Rav dynovisz : la délivrance finale viendra de France
La dictature sanitaire aura une fin
L’épouse du Machiah sera une Française
Quelles actions résistantes mener en 2022 ?
France, relève-toi !
Sortir de la crise
La France revivra-t-elle?
La clef de la libération]




Un système d’esclavage à tous les étages

[Source : @quantumleaptraduction]



[Voir aussi :
Discours de Robert F. Kennedy, Jr. et de Catherine Austin Fitts à Milan, Italie le 13 novembre
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »]




La bénignité du variant Omicron inquiète la Bourse ! Omicron, le cadeau de Noël anti-covid pour l’Humanité

Par Gérard Delépine

Depuis l’apparition d’Omicron en Afrique du Sud, le nombre de cas journaliers a flambé touchant autant les vaccinés complets que les non-vaccinés démontrant ainsi que les pseudo vaccins actuels ne protègent pas d’Omicron.

Selon une étude pré publiée fin décembre dans The Lancet, seulement 5 % des personnes infectées ont été hospitalisées, dont 29 % pour des symptômes sévères. En même temps la mortalité quotidienne s’effondrait avec une moyenne de 0,84/million sur le dernier mois.

Le 31/12/2021 le ministre Mondli Gungubele a déclaré : « selon nos experts, Omicron a atteint son pic sans se traduire par un changement significatif ou alarmant concernant le nombre d’hospitalisations ». Le gouvernement sud-africain a levé le couvre-feu et les établissements de nuit ont repris un fonctionnement normal(([1] Omicron : South Africa says fourth wave peak has passed as it lifts curfew BMJ 2022; 376 doi: 07 https://doi.org/10.1136/bmj.o7)). Et cette évolution très favorable ne peut pas être attribuée aux pseudo-vaccins très peu utilisés ici (<30 %).

Même phénomène en Grande-Bretagne où l’explosion Omicron, avec près de 200 000 cas quotidiens remplace progressivement le variant delta.

Cette progression d’Omicron s’accompagne d’une baisse nette de la mortalité quotidienne attribuée au covid19 avec une moyenne de 110/J (1,62/million) en décembre 2021.

Philippe Froguel, professeur à l’Imperial College de Londres, explique qu’il n’y a « pas d’augmentation de nombre de morts et une très faible hausse des gens en réanimation». Le professeur David Livermore, microbiologiste de l’University East Anglia a d’ailleurs déclaré « nous devons accueillir avec bienveillance Omicron qui chasse les souches précédentes ».

Au Canada, dans l’état d’Ontario une étude(([2] Ulloa, A. C., Buchan, S. A., Daneman, N., & Brown, K. A. (2021). Early estimates of SARS-CoV-2 Omicron variant severity based on a matched cohort study, Ontario, Canada. medRxiv. doi:10.1101/2021.12.24.21268382. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.12.24.21268382v2.)) a récemment comparé l’évolution de 6,314 cas d’Omicron au même nombre d’infectés Delta comparables entre le 22 novembre et le 17 décembre 2021. Les 6,314 cas d’Omicron ont donné lieu à 21 hospitalisations (0,3 %) et aucun mort alors que les infectés delta ont nécessité 116 hospitalisations (2,2 %) aboutissant à 7 décès (0,3 %).

En Allemagne où plus de 73 % de la population a reçu des injections anti-covid, l’épidémie est repartie de plus belle confirmant l’inefficacité des pseudo vaccins qui pourraient même favoriser l’infection par Omicron d’après un relevé récent de l’institut Koch. Mais la progression d’Omicron est suivie d’une diminution de la mortalité quotidienne.

En France, les derniers chiffres de Santé publique France confirment la bénignité d’Omicron : sur 338 cas confirmés d’Omicron, seules cinq personnes issues de ce groupe de malades ont été hospitalisées, alors même que trois de ces patients n’étaient pas vaccinés, et aucun n’a nécessité de séjour en réanimation.

Au total, dans tous les pays qui ont été ou sont encore affectés par Omicron, les médecins soulignent qu’il est plus souvent asymptomatique ou très peu symptomatique, se manifestant comme un gros rhume, sans les atteintes bronchiques et pulmonaires des souches précédentes.

Et l’immunité naturelle obtenue après la guérison d’Omicron paraît être aussi efficace que celle obtenue avec les autres virus (immunité naturelle totale et définitive : on ne fait jamais deux fois les oreillons, ni la rougeole, ni la polio…).

Revenons aux origines de la vaccination

Le père de la vaccination est Edward Jenner, médecin de campagne anglais qui eut l’idée en 1796 d’inoculer des volontaires avec le virus de la vaccine. Cette maladie infectait les vaches et protégeait les vachères qui les trayaient de la variole, grave pandémie de l’époque qui tuait plus de 30 % des malades. Il a ainsi inventé et donné son nom à la vaccination.

Omicron qui n’est guère plus dangereux que la vaccine paraît pouvoir représenter la vaccine du Covid et sa dissémination rapide devoir sonner la fin de l’épidémie.

La Bourse ne s’y trompe pas et Omicron fait baisser le cours des entreprises des vaccins

Pour deviner les résultats non publiés d’un essai de nouveau médicament, nous avons souvent regardé l’évolution des cours de bourse ; lorsque les résultats de l’essai sont favorables, le cours du laboratoire fabricant s’envole, alors qu’il baisse si les résultats préliminaires, le contexte et les espoirs de vente sont médiocres.

La Bourse montre qu’elle pense que l’arrivée d’Omicron va diminuer le marché des vaccins anticovid et les cours de Pfizer, de Moderna et de Valneva chutent.

Valneva avait gagné plus de 200 % ces deux dernières années grâce aux espoirs qu’avaient suscités son candidat vaccin contre le COVID-19 en cours d’examen par l’Agence européenne des médicaments (EMA).

Mais les études montrant la bénignité d’Omicron qui supplante actuellement les autres souches, font craindre aux investisseurs que le besoin en vaccins devienne moins important en 2022, avec l’arrêt de nouvelle campagne de vaccination et pousse à la baisse les cours de Pfizer et encore davantage ceux de Moderna.

Comme quoi le bonheur des populations peut faire le malheur des investisseurs !





Prévisions 2022 – Un feu de poubelle à la frontière d’un âge sombre

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par James Howard Kunstler – Le 31 Décembre 2021 – Source kunstler.com

Si 2021 a été l’année de la corruption maximale, de la décadence politique et de la folie dans l’histoire des États-Unis, 2022 ressemblera à un retour convulsif aux rigueurs déchirantes de la réalité, avec des pertes choquantes, des comptes à rendre, et pas mal de châtiments pour les voyous et les réprouvés qui ont conduit notre pays dans le fossé. Les dilemmes abondent maintenant dans les décombres de l’économie, de la culture et de la politique. Les années où « tout va et rien ne compte » sont terminées – même si vous ne le savez peut-être pas encore, à l’aube du vingt-deuxième siècle. Bienvenue au banquet des conséquences. La soupe est servie !

Le peuple américain s’est fait avoir à l’envers et à l’endroit, à l’intérieur et à l’extérieur, en travers et de tout côté, et de haut en bas ; poussé au bord du suicide national par une combinaison d’ennemis à l’intérieur et à l’extérieur. Si le PCC de la Chine voulait tirer le maximum d’avantages d’une Amérique affaiblie et confuse, il n’aurait pas pu trouver de partenaires plus zélés que le séditieux Parti démocrate et le Dr. Anthony Fauci, les entreprises pharmaceutiques meurtrières, les médias malhonnêtes et imprudents, et une foule démoniaque d’agences fédérales, en particulier la « communauté des renseignements » avec ses trois zélateurs – la CIA (Moe), le DOJ (Larry), le FBI (Curley) – plus les nombreuses chambres d’horreur secrètes du Pentagone. Ajoutez à cela les tyrans de Big Tech, les mandarins marxistes des campus et les narcissiques sataniques d’Hollywood. Oh, et n’oublions pas la principauté maléfique de l’arnaque et de l’escroquerie qu’est Wall Street.

Nous ne savons toujours pas exactement quel rôle le PCC et son Armée de libération du peuple ont joué dans les origines de la Covid-19, et nous ne le savons pas parce que le gouvernement américain ne veut pas que nous le sachions – parce qu’il a joué un rôle dans cette affaire – et les médias d’information ne lèveront pas le petit doigt pour le découvrir non plus, parce qu’ils sont le bras propagandiste du régime au pouvoir. Nous en savons beaucoup sur les opérations du Dr Fauci et de ses collègues qui ont financé le développement du virus à Wuhan dans le but d’introduire une série de « vaccins » extrêmement rentables qui, en fait, ont prolongé et exacerbé la pandémie, et ont blessé ou tué des millions de personnes dans le monde entier.

Nous savons également que ce même groupe d’acteurs de la santé publique et de Big Pharma ont truqué les essais cliniques qui ont précédé les autorisations d’utilisation d’urgence qui ont permis de libérer les « vaccins » sur la population, et qu’il a délibérément entravé et supprimé des traitements éprouvés avec des médicaments bon marché et hors brevet qui auraient sauvé des centaines de milliers de vies s’ils avaient été autorisés dans le cadre des soi-disant normes de pratique qui régissent la médecine de nos jours. La même bande a truqué ses rapports statistiques chaque fois que cela était possible, notamment en ne réparant pas le site web VAERS du CDC, qui ne fonctionne pas bien, pour répertorier les réactions indésirables aux « vaccins », mais aussi en créant des conditions qui rendent impossible de distinguer les décès réels dus à la Covid-19 des décès dus aux « vaccins », et des décès causés par des comorbidités ou des événements extérieurs tels que des accidents de la route ou des meurtres par balle.

En 2021, une montagne de preuves a été accumulée sur tous ces méfaits criminels, couronnée par l’énorme livre de Robert F. Kennedy Jr. sur la carrière impie du Dr Fauci à l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), un manuel d’accusation virtuel, méticuleusement annoté, qui sera utilisé dans d’innombrables procès contre le Dr Fauci, ses collègues qui lui survivent, et les nombreuses agences et ONG – et peut-être dans les procès criminels de ces criminels très connus.

Voilà où en sont les choses au tournant de la nouvelle année 2022. Qui ne veut pas savoir ce que ce jeu historique va devenir ? Beaucoup de scénarios changent rapidement. Il est évident que l’administration « Joe Biden » veut faire durer la pandémie au moins une année de plus, notamment pour maintenir en place l’arnaque des bulletins de vote par correspondance « d’urgence » qui a perverti les élections de 2020. Mais plus de la moitié du pays a compris cette escroquerie et je prédis que des règles de vote plus rigoureuses seront mises en place – ou, si ces réformes rencontrent une résistance, une bataille si féroce que les élections pourraient même ne pas avoir lieu à la date prévue.

À l’heure actuelle, trop d’Américains en ont déjà assez d’être bousculés par des fonctionnaires censés agir pour leur bien. Ils voient clair dans les méfaits du racket de la Covid-19. Ils ont assisté au viol de l’intérêt public. Ils comprennent que les « vaccins » sont une expérience désastreuse menée en toute illégalité. Ils ont été témoins des dommages causés à eux-mêmes et à leurs proches. Ils sont consternés par le détournement de la science par des gens aussi profanes sur le plan scientifique que les nécromanciens, les astrologues et les inquisiteurs d’antan.

Ils ne se soumettront plus à aucun confinement, à aucune tentative d’interférence et de destruction des petites entreprises. Ils en ont assez des manigances raciales et sexistes qui ont désorganisé la société, ruiné des villes déjà en difficulté, travesti le principe de base de la sécurité publique et forcé les gens à faire semblant autour d’une psychopathologie et d’une dépravation évidentes. Ils ne vont plus jouer le jeu. Ils vont résister et se battre – dans les conseils municipaux, dans les commissions scolaires, dans les tribunaux, et sur les champs de bataille, s’il faut en arriver là.

La pandémie du vieil homme

Il a continué à rouler. Le variant Omicron du coronavirus, moins létal mais plus infectieux, qui déchire actuellement les populations mondiales, semble indiquer que la fin de ce mélodrame vicieux est en vue. Prédisons que la phase de maladie proprement dite de la Covid-19 s’éteindra d’elle-même au plus tard au printemps, à moins que les acteurs malveillants ne disposent d’autres monstres cultivés en laboratoire qu’ils peuvent lâcher dans la population générale dès qu’ils en ont envie. Mais les effets néfastes installés par ces démons dans les vaccins continueront à tuer et à handicaper les gens pendant longtemps.

Nous savons que les protéines de pointe ont été observées cliniquement dans le corps humain jusqu’à quinze mois après une injection d’ARNm, et qu’elles provoquent de nombreux dommages aux vaisseaux sanguins, aux organes et au système immunitaire. Nous venons tout juste de célébrer le premier anniversaire des vaccins – sans compter que des millions de personnes ont reçu des injections supplémentaires et des rappels jusqu’à cette semaine – de sorte que ces protéines de pointe nocives continueront à exercer leur influence pendant toute l’année 2022 et au-delà.

Comme l’a récemment averti le médecin thaïlandais et allemand Sucharit Bhakdi, l’affaiblissement du système immunitaire des personnes vaccinées pourrait provoquer une résurgence à grande échelle de maladies mortelles ancestrales, comme la tuberculose, qui sont toujours présentes en petites quantités dans notre organisme et qui sont généralement supprimées. Les populations d’Asie et d’Afrique sont particulièrement vulnérables car l’assainissement public et l’eau potable y sont plus sommaires. Les vaccins provoqueraient également l’expression de cancers latents, notamment chez les personnes en rémission. La mortalité due aux vaccins pourrait finalement être plus importante que les décès dus au virus lui-même.

En arrière-plan de tout cela se cache cette prédiction inquiétante faite par la société d’analyse militaire Deagel il y a plusieurs années, qui estimait que la population des États-Unis s’effondrerait à 99 millions d’habitants en 2025, contre plus de 330 millions actuellement. Deagel n’a jamais expliqué cela, et ils ont retiré leur page web l’année dernière lorsque leurs prévisions alarmantes ont soudainement commencé à sembler plausibles. Je dis ça comme ça.

Quoi qu’il en soit, l’épisode Covid-19 va bouleverser la vie de plusieurs millions de personnes, en particulier dans les nations de la civilisation occidentale, qui ont été les plus durement touchées en termes de politique gouvernementale autodestructrice. La pandémie a accéléré l’effondrement des économies industrielles, un processus que j’appelle la longue urgence, et qui finira par affecter toutes les nations, même si l’Occident est le premier à sombrer. Les sociétés seront propulsées dans une période de désordre, sûrement plus longue et plus difficile dans certains endroits que d’autres, en fonction des ressources locales. La destination de ce voyage est un endroit où le projet humain est mené à une échelle et à un niveau bien inférieurs à ceux auxquels nous nous sommes habitués à notre époque, avec beaucoup moins de confort et de commodités « modernes », et des pertes choquantes en matière de connaissances et de sciences appliquées. Ce ne sera pas la première fois que cela se produit dans l’histoire de l’humanité, mais les dégâts seront beaucoup plus importants.

Économie, finances et argent

Notre économie est liée à nos ressources énergétiques. Le modèle économique qui consiste à fournir des combustibles fossiles à l’économie mondiale est brisé à bien des égards, et par conséquent, le modèle économique d’une économie de production industrielle de haute technologie est également brisé. L’industrie du pétrole de schiste a été lancée à la faveur d’une marée haute de financements à coûts quasi nuls et, depuis dix ans, elle a produit une énorme quantité de pétrole (bien qu’elle ne soit pas de première qualité, manquant de distillats lourds comme le diesel et le fioul domestique). Dans le processus, les producteurs de pétrole de schiste ont prouvé qu’ils ne pouvaient pas gagner de l’argent avec ces opérations très coûteuses, et nous entrons maintenant dans une période de pénurie de capital qui leur rendra plus difficile d’attirer de nouveaux investissements et de continuer à performer. En outre, ils sont en train d’épuiser les « points chauds » pour le forage et la fracturation.

Ce qui reste après avoir soustrait le pétrole de schiste, ce sont les champs conventionnels qui étaient en fort déclin en 2008, lorsque la campagne de schiste a commencé. En 2022, la production pétrolière américaine devrait tomber en dessous de 9 millions de barils par jour. Nous consommons un peu moins de 20 millions de barils par jour et importons la différence. Vous auriez toutes les raisons de penser qu’une scène mondiale plus désordonnée pourrait interférer avec nos importations de pétrole en 2022. Il faut s’attendre à ce que la consommation baisse également, à mesure que l’activité économique s’affaiblit. Prévoyons une baisse de la consommation à 15 millions de barils par jour. Les marchés pétroliers seront donc désordonnés, avec une oscillation des prix, car les pénuries et la destruction de la demande se poussent et se tirent mutuellement. Rappelez-vous l’équation de base : un pétrole supérieur à 75 dollars le baril affaiblit les économies ; un pétrole inférieur à 75 dollars le baril écrase les compagnies pétrolières.

L’espoir persiste que nous pouvons faire fonctionner les systèmes complexes de la vie moderne avec des sources d’énergie alternatives, mais ce souhait ne se concrétise pas. La prise de conscience de ce fait se répandra dans la société occidentale en 2022 et créera davantage d’anxiété, de pensées désordonnées, de comportements sectaires et d’effondrement des normes sociales. Pour l’instant, l’arène publique est entièrement occupée par la psychose collective qui a d’abord éclaté autour de Donald Trump, puis s’est déplacée vers la Covid-19. Le stress et la tension de ces dynamiques démoralisantes pourraient conduire en 2022 à l’éclatement d’une violence politique qui rendra encore plus difficile l’obtention d’un consensus sur une façon de sortir de nos dilemmes économiques.

Acceptons de comprimer notre histoire économique récente, puisque je l’ai répétée de nombreuses fois dans les articles hebdomadaires du blog Clusterfuck Nation : Nous avons remplacé nos activités de fabrication de biens sur le terrain par ce que l’on appelle la financiarisation, essentiellement la fabrication de dettes – emprunter à l’avenir pour faire fonctionner nos systèmes complexes aujourd’hui, afin de compenser les pertes accumulées par notre modèle économique énergétique défaillant. Tout cela n’était qu’une escroquerie, car on ne peut pas créer la prospérité par la simple gestion d’instruments censés représenter la richesse s’il n’y a pas de production réelle de richesse matérielle derrière. La dette n’est pas une richesse. Vous pouvez jouer avec elle sur les marchés financiers, l’acheter et la vendre, manipuler les taux d’intérêt et les prix pour donner l’impression que les choses fonctionnent. Mais cela ne va pas plus loin, jusqu’au moment où la réalité dépasse l’artifice, et c’est là où nous en sommes. Substituer la dette à la richesse a introduit des perversités dans l’économie. Désormais, il est impossible de connaître la valeur réelle de quoi que ce soit – la « découverte des prix » est désactivée – et cela se répercute également sur le comportement socio-économique. Aujourd’hui, de nombreuses activités commerciales, y compris les domaines de l’enseignement supérieur et de la médecine, censés être éthiques, sont devenues de redoutables rackets, c’est-à-dire des efforts pour gagner de l’argent de manière malhonnête. Nous ne pouvons plus prétendre que tout cela est correct. Nous nous retrouvons avec un gigantesque édifice de dettes qui ne seront jamais remboursées et tout un tas de mauvais comportements qui corrodent notre humanité.

Après avoir passé deux décennies à masquer notre incapacité à payer pour faire fonctionner notre société, la Réserve fédérale a finalement réussi à générer de l’inflation à l’ancienne – la destruction de l’argent lui-même – et pas seulement le gonflement du prix des actions, sa spécialité depuis tant d’années. Ils ont maintenu l’inflation à distance pendant tout ce temps en l’exportant vers d’autres pays qui nous ont envoyé des biens réels en échange de nos promesses en papier : bons du Trésor, billets de banque, obligations. Les confinements et la destruction des entreprises ont finalement tué cet équilibre, puis le malaise croissant entre les États-Unis et la Chine a commencé à tuer les chaînes d’approvisionnement. Maintenant, la mondialisation est sur la corde raide et avec elle, notre capacité à exporter de la monnaie papier du Trésor américain. Tout l’« argent jeté par hélicoptère » injecté dans le système pendant la crise Covid poursuit maintenant les marchandises qui ont un parcours plus difficile jusqu’à leurs points de vente. Les pièces de machines, les voitures et bien d’autres choses deviennent difficiles à obtenir. Les prix augmentent. Les systèmes tombent en panne et leurs défaillances se répercutent sur d’autres systèmes.

Avec une inflation qui tourne officiellement autour de 8 %, et officieusement plutôt autour de 15 %, le taux d’intérêt réel d’un bon du Trésor à dix ans est le taux nominal de 1,49 % moins la différence entre 8 et 15 %, un chiffre profondément négatif. Posséder ce papier est une perte sèche. Si le taux d’inflation continue à suivre le rythme de 2021 en 2022, la perte s’accentuera. Si l’inflation se poursuit à un rythme supérieur à celui de 2021, le papier du Trésor sera comme autant de couvertures contre la variole sur le marché obligataire mondial et l’Amérique frôlera l’inflation galopante à la Weimar. Nous ne pourrons plus offrir d’obligations en échange de marchandises. La Fed devra les manger. Nous importerons l’inflation, les prix des biens continueront d’augmenter. L’Amérique est dans un trou qu’elle a elle-même creusé. Que peut-on faire ?

La Fed a deux choix, tous deux peu prometteurs. 1) « Resserrement ». Par incréments mesurés, la Fed abandonne le QE (assouplissement quantitatif, achat d’obligations, alias « monétisation de la dette »), non seulement par l’achat de papiers du Trésor américain, mais aussi les obligations d’entreprises et les titres adossés à des créances hypothécaires. Il s’agit d’augmenter les taux d’intérêt pour qu’ils soient supérieurs aux taux d’inflation réels afin de redonner aux gens l’ancienne motivation réelle pour acheter des obligations, à savoir un flux d’intérêt fiable supérieur à l’inflation. La dernière fois que l’inflation a menacé l’Amérique, en 1981, le président de la Fed, Paul Volker, a fait grimper les taux des fonds fédéraux (à court terme) jusqu’à 20 %, ce qui a mis un terme aux emprunts pendant un certain temps, provoqué une récession, mais a permis d’y arriver. L’ennui, c’est que la dette nationale et le bilan de la Fed étaient minuscules à l’époque, comparés aux inimaginables milliers de milliards sur les bilans aujourd’hui. Et il restait encore beaucoup d’industries productives dans le pays.

La fin de l’assouplissement quantitatif, combinée à la hausse des taux d’intérêt, ramènerait les marchés à l’équilibre – ce qui revient à dire qu’ils s’effondreraient, car la fin des taux d’intérêt quasi nuls signifierait qu’il ne serait plus possible d’utiliser l’effet de levier (l’argent emprunté) pour acheter des actions, qui sont largement surévaluées après des années et des années de ces manigances. L’offre sur les actions prendrait fin. Pas assez d’acheteurs pour satisfaire les vendeurs. Les marchés baissent. Cela provoque plus de ventes… une ruée vers la sortie… attention à la suite…

Le resserrement des conditions de financement ferait également chuter la valeur des obligations, car la valeur des obligations est inversement proportionnelle aux taux d’intérêt : lorsque ceux-ci augmentent, le prix des obligations diminue. Les détenteurs d’obligations prendraient donc le bouillon. Le resserrement fait en fait disparaître l’argent – phhhtttt ! – car il provoque des défauts de paiement (les gens ne remboursent pas leurs dettes). Dans notre système, l’argent est prêté pour exister et les prêts non remboursés font disparaître l’argent. Les gens et les entreprises font faillite. Des taux d’intérêt plus élevés pousseront également les entreprises à ne pas pouvoir rembourser leurs obligations. Sans accès à plus de dettes, de nombreuses grandes entreprises pourraient être obligées de fermer, de faire faillite, peut-être pour toujours. Le gouvernement, croulant sous les dettes, s’étoufferait sous les paiements d’intérêts plus élevés. À mesure que l’argent disparaît, le capital se raréfie et les petites entreprises, qui dépendent désespérément du crédit renouvelable, font faillite. L’effet net de tous ces dommages sur les marchés financiers est une profonde dépression économique, dans ce cas, le cas d’urgence à long terme, probablement une dépression qui devient permanente puisque la base de cette économie particulière à haute énergie, l’industrie pétrolière, s’effondre avec tout le reste.

Le choix numéro 2) de la Réserve Fédérale est : Ne pas resserrer. Au contraire, continuez à imprimer de l’argent comme un fou, peut-être même plus qu’avant, et continuez à essayer de maintenir les taux d’intérêt bas. Continuer à acheter des obligations, des billets, n’importe quel papier de dette que le système vomit. Ce n’est qu’un vieux stratagème appelé « botter en touche ». Le problème est que nous sommes au bout de la route. L’inflation à l’ancienne a déjà commencé en 2021, suite à deux décennies d’assouplissement quantitatif, qui a ensuite été considérablement aggravée par les dépenses publiques massives pour atténuer la crise Covid. Il n’est plus question de jouer avec les achats d’obligations et les taux d’intérêt, de jouer à cache-cache avec les réserves bancaires, de planquer de l’argent dans des « véhicules à usage spécial » et autres cachettes bancaires qui permettront de maintenir la stabilité et le bonheur. À partir de maintenant, imprimer de l’argent comme un fou ne fait que détruire la valeur de notre argent. Vous aurez beaucoup d’argent, mais il perdra de plus en plus de valeur chaque jour – ce qui n’est qu’une autre façon de faire faillite.

Puis, comme le dollar achète de moins en moins de choses, les dollars détenus à l’étranger sont jetés en échange de tout ce qui est offert : minerais, céréales, produits finis, immobilier américain, métaux précieux, autres monnaies moins endommagées, et ainsi de suite. Mieux vaut posséder des objets de valeur réelle que des dollars qui perdent rapidement leur pouvoir d’achat. Les étrangers se débarrassent également des bons du Trésor américain, car l’inflation détruit leur valeur. Lorsque les étrangers font cela, les dollars retournent aux États-Unis, ce qui provoque encore plus d’inflation. Rapidement, l’Amérique est inondée de dollars et à court de biens que vous pouvez acheter avec ces dollars. Vous êtes riche en dollars mais en même temps fauché.

Le résultat est sensiblement le même dans les deux cas : le niveau de vie en Amérique baisse considérablement. Ce que je prédis pour 2022, c’est que la Réserve fédérale se lancera dans un programme de resserrement tant annoncé, puis l’abandonnera au premier signe de difficulté, l’inévitable baisse du marché boursier. La Réserve fédérale recommencera alors à acheter nos propres titres de créance et tentera de faire baisser les taux d’intérêt, si elle le peut, ce qui ne sera peut-être plus possible. La Fed perdra bientôt tout contrôle sur la monnaie américaine. Elle pourrait essayer de retirer les « vieux » dollars et de les remplacer par de « nouveaux » dollars garantis par quelque chose, l’or et l’argent étant les candidats évidents. Cela conduira à une forte réévaluation à la hausse des deux métaux. Prévoyons que l’or atteindra 5 000 dollars et l’argent 200 dollars d’ici la fin 2022.

Il se peut qu’il y ait une tentative timide d’établir une sorte de monnaie numérique américaine officielle (la rumeur court depuis des années). Les Américains résisteront à l’idée d’être parqués dans ce corral où chacune de leurs transactions financières est traçable, imposable et punissable. Ils auront appris leur leçon à ce sujet des tyrannies Covid-19. Ils en ont assez d’être bousculés. Ils ne font plus confiance aux autorités en matière d’argent, de gouvernement, de médecine, ou de quoi que ce soit d’autre. Quoi qu’il en soit, d’un point de vue pratique, trop d’Américains opèrent déjà en marge du système et dépendent de l’argent liquide pour faire toutes leurs affaires. Beaucoup d’entre eux sont ce qu’on appelle « non bancarisés ». Ils ne peuvent pas participer aux systèmes de paiement informatisés. Ils resteront en dehors de la boucle numérique et feront des affaires avec de l’argent, de l’or ou d’autres objets. Ils fonctionneront comme les Vénitiens du 14ème siècle.

Je doute que le bitcoin et ses imitateurs survivent encore longtemps après que le système financier a été forcé de se réajuster à la réalité. Ils ont prospéré uniquement en tant que cibles spéculatives. La chaîne de blocs est très intelligente, mais en fin de compte, le bitcoin et ses semblables ne représentent… rien… rien du tout. Ils ont attiré beaucoup d’argent qui circulait dans le système pendant les années de pseudo-prospérité artificielle, et c’est fini. Quoi qu’il en soit, ils dépendent totalement de la stabilité d’Internet et du réseau électrique pour fonctionner et vous seriez surpris de la fragilité de ces deux systèmes. Le début de l’année 2022 pourrait être votre dernière chance de sortir du bitcoin avec quelque chose à montrer pour témoigner de cette aventure.

Politique et société

La psychose collective décrite par Mattias Desmet de l’Université de Gand est à l’origine d’une grande partie de ce que nous observons dans la politique américaine depuis quelques années maintenant. Elle a apparemment été déclenchée par l’élection de Donald Trump. Mais il me semble que ce syndrome était préparé et cultivé par l’appareil de sécurité, de surveillance et de renseignement de l’« État profond » américain depuis des décennies. Les libéraux Démocrates n’ont pas eu besoin de Trump pour devenir fous à lier. Ils ont plutôt été manipulés par les agents de l’État profond dans les grands médias, en commençant par l’absurde psy-op de la collusion du RussiaGate et en poursuivant pendant quatre ans des plans infâmes pour désactiver et évincer M. Trump. Bien qu’il ait été présenté comme l’ennemi juré des animaux domestiques et des projets de la gauche – marxisme identitaire, ouverture des frontières – en tant que président, M. Trump était en réalité bien plus une menace pour l’État profond lui-même, et pour sa matrice de richesse, de pouvoir et de privilèges, et ils ont tout mis en œuvre, à l’exception de l’assassinat, pour l’écarter du plateau de jeu.

Sa persévérance et sa résilience face à tout cela furent remarquables. Mais au bout du compte, ses ennemis ont organisé des élections marquées par divers types de fraude et ont réussi à se débarrasser du Golem d’or de la grandeur. La façon dont « Joe Biden », l’enveloppe vide d’un politicien grincheux, a pu être désigné par le parti Démocrate est l’un des plus grands mystères des temps modernes. Sa victoire lors de la primaire du Super Tuesday, qui lui a valu l’investiture, a certainement été truquée par le DNC. Sa campagne, du début à la fin, a été un simulacre public. Si les électeurs avaient pu voir les documents sur son fils, Hunter, et la trace de pots-de-vin enregistrée dans des centaines d’e-mails, de contrats et d’autres documents sur l’« ordinateur portable de l’enfer »« Joe Biden » serait en prison fédérale plutôt qu’à la Maison-Blanche. Mais Facebook, Twitter et Google ont conspiré pour censurer toute mention de cela, et les gens n’ont jamais eu l’information. Alors, et maintenant ?

Eh bien, en ce début d’hiver 2022, les Américains découvrent à quel point ils se sont fait avoir sur la Covid-19, et à quel point « Joe Biden » & Co. ont mal géré les questions économiques et d’autres choses, comme l’invasion quotidienne à travers la frontière mexicaine, et à quel point « JB » & Co. ont mal géré nos relations étrangères – le fiasco du retrait afghan, etc – et généralement quelle figure pathétique « JB » présente au monde… et tout cela ressemble à la danse des fantômes du parti Démocrate. Prédisons que le parti ne survivra pas intact aux élections de mi-mandat de 2022 en tant que faction politique cohérente.

Je donne 70 / 30 chances que « Joe Biden » se retire « pour des raisons de santé » bien avant les élections de mi-mandat. Il est en train de s’effondrer sous nos yeux. Il peut à peine prononcer une phrase compréhensible. Il se ridiculise et ridiculise le pays tous les jours. Ses sondages sont au plus bas…. Donc, ok, il fait un plongeon et se retire de la scène. Kamala Harris prête serment. La présidente Harris nomme Barack Obama comme vice-président. Dites, quoi… !

M. Obama est de retour aux commandes – comme s’il n’avait jamais été aux commandes depuis le 20 janvier 2021, vraiment ? – allant jusqu’à occuper effrontément le Bureau ovale en tant que VIP pour les affaires courantes – reléguant Mme Harris dans un placard à balais. Les Démocrates réclament la démission de Mme Harris et la remise officielle des rênes à M. Obama. (Les présidents sont limités à deux mandats électifs, mais la constitution ne stipule pas une telle nomination circonstancielle au poste). Kamala s’efface gracieusement. Au nom de l’« unité » et de l’équilibre des sexes, M. Obama nomme Liz Cheney comme nouvelle vice-présidente. C’est un scénario possible. Réécrivez cette pièce avec Hillary Clinton à la place de Barack Obama. Les Démocrates vont devoir tenter un geste désespéré pour conserver le pouvoir.

Même ainsi, il est difficile d’imaginer des circonstances dans lesquelles le parti Démocrate conserverait le contrôle effectif du gouvernement. Si les élections de mi-mandat ont lieu, les Républicains reprendront le contrôle de la majorité de la Chambre et du Sénat, avec de nombreux nouveaux visages MAGA parmi eux. Les espoirs et les rêves des Démocrates pour un changement transformateur seront jetés aux toilettes. Le gouvernement au niveau national devient impuissant, inefficace, incapable de s’acquitter de ses fonctions ou de gérer quoi que ce soit – tout cela a été prédit explicitement, soit dit en passant, dans mon livre The Long Emergency (Grove-Atlantic, 2005). Nos adversaires étrangers profiteront-ils de la situation ? Les cinquante États pourront-ils gérer leurs affaires sans les subventions de Washington DC ? Les gouverneurs ont intérêt à se préparer à des temps étranges.

La droite politique s’est montrée prudente et circonspecte depuis la débâcle de la marche du 6 janvier 2021 sur le Capitole. Les pauvres boobs cajolés par les usines du FBI pour s’être introduit dans le bâtiment ont été traités de manière abominable par leur gouvernement, et probablement de manière extra-légale. Mais surtout, le coup du 6 janvier a mis un frein à toute nouvelle action de rue de la droite pendant l’année de mandat de « Joe Biden ». Cela pourrait changer en 2022. L’humeur des personnes politiquement motivées de part et d’autre du spectre doit être aggravée par l’effondrement de l’économie. Et au fur et à mesure que l’année avance, ce ne seront que des Américains affamés, en colère et de toutes sortes qui vont ouvrir les portes de l’enfer parce qu’ils ne savent pas quoi faire d’autre.

Toute l’anxiété qui alimente la psychose collective, qui s’est d’abord concentrée sur Trump, puis sur la Covid-19 (et les non-vaccinés), pourrait enfin déplacer son énergie vers la source réelle de nos malheurs et de nos chagrins : l’establishment de Washington. Le déclin et la chute de la Covid-19 vont laisser un grand trou dans l’âme anxieuse et perdue de la nation, et il faudra bien le remplir avec quelque chose. Nous sommes propulsés dans une scène qui ressemble à une guerre civile, mais il devient de plus en plus difficile de déterminer qui est de quel côté, ou même quels sont les côtés – ou comme Mick Jagger l’a célèbrement hurlé à Altamont en 69, « Who’s foit-ing an’ whut faw ? » C’est de la pure folie. La loi de Murphy rencontrera Zombieland pendant sept jours en mai.

Géopolitique

Bon sang, qui sait… ? Les Russes sont furieux parce qu’il y a trente ans, après l’effondrement du système soviétique et la tentative de Vlad Poutine de recoller une sorte de nation fonctionnelle à partir des débris, nous leur avions promis en termes clairs de ne pas étendre l’OTAN, puis, année après année, nous avons ajouté de nouveaux pays à l’OTAN, y compris d’anciennes républiques soviétiques s’étendant jusqu’aux frontières de la Russie. Ensuite, les États-Unis, sous la direction de M. Obama, ont mené la « révolution de couleur » en Ukraine, en essayant de forcer cet État pathétique, véritable punching-ball, à se ranger de notre côté… et, cela fait, nous menaçons maintenant de l’intégrer à l’OTAN, ce qui signifie que nous aimerions stationner des fusées, voire des troupes et toutes sortes d’autres équipements militaires sur ce qui a été le paillasson de toutes les tentatives d’invasion de la Russie dans l’histoire moderne. Êtes-vous surpris que la Russie ait tracé une ligne dans le sable à cet endroit ?

On ne peut pas faire confiance au département d’État d’Anthony Blinken ou à l’armée transsexuelle du général Milley pour croire que le fait de mettre la Russie au pied du mur pourrait être bénéfique pour les États-Unis. Si l’on considère à quel point nous sommes économiquement faibles, à quel point nous sommes tragiquement désunis, à quel point nous sommes devenus minces et mous, peut-être que déclencher une guerre pour l’Ukraine n’est pas une si bonne idée. On ne peut qu’espérer.

De l’autre côté, il y a la Chine, l’Empire du Milieu renaissant de l’oncle Xi, avec ses gratte-ciel étincelants, ses nouveaux aéroports et autoroutes éblouissants, son fabuleux système de crédit social pour contrôler son énorme population à la Orwell. La Chine a beaucoup d’atouts, mais ce qui lui nuit n’est pas si évident, à commencer par le fait qu’elle a du mal à s’approvisionner en combustibles fossiles à long terme. La Chine n’a tout simplement pas beaucoup de pétrole ou de gaz naturel, et elle utilise un charbon de qualité de plus en plus médiocre pour faire tourner son industrie. Ses importations de pétrole doivent passer par deux goulots d’étranglement mondiaux, le détroit d’Ormuz et le détroit de Malacca. En bref, malgré les grands progrès réalisés par la Chine pour passer du XIIe siècle à une modernité éblouissante, elle risque de se heurter au dilemme énergétique, comme toutes les autres nations « avancées ».

Ce n’est un secret pour personne que, sous la direction de l’ambitieux empereur marxiste Xi Jinping, la Chine veut occuper le rôle d’hégémon mondial que l’Amérique s’efforce de ne pas abandonner. Le rôle d’hégémon nécessite généralement une expansion géographique. Nous sommes certainement inquiets d’une prise de contrôle de Taïwan, qui est, en fait, l’installation de microprocesseurs offshore de l’Amérique. Il est concevable que la Chine puisse prendre le contrôle de Taïwan par mille petits pas sans tirer un coup de feu – le PCC ayant infiltré la politique, les médias et l’éducation aux États-Unis – ou par la force, ne serait-ce que pour marquer un point théâtral, mais pourquoi risquer un échange nucléaire ?

La Chine s’aventure dans de nombreuses régions reculées du monde depuis des années sans attirer l’attention de la communauté internationale, achetant des terres agricoles et des sites miniers dans toute l’Afrique de l’Est, et maintenant elle lorgne sur des ouvertures dans plusieurs nations sud-américaines riches en ressources qui ont récemment élu des présidents socialistes sympathiques. La Chine a obtenu des contrats pour exploiter les ports aux deux extrémités du canal de Panama, stratégiquement important, il y a plus de vingt ans, et le Panama a signé un protocole d’accord pour rejoindre l’initiative Belt-and-Road de la Chine en 2017. Cela a attiré l’attention de l’administration Trump, qui répondait à l’expansionnisme de la Chine par des tarifs douaniers et des sanctions. M. Trump a fait suspendre plusieurs projets d’infrastructure chinois concernant des ponts, des trains à grande vitesse et des améliorations portuaires dans la zone du canal. « Joe Biden », un important client chinois, regarde maintenant de l’autre côté.

La Chine peut-elle réellement contrôler les terres indisciplinées d’Asie centrale, vitales pour ses ambitions de Nouvelles routes de la soie. Par exemple, l’Afghanistan, où la Chine cherche à établir de gigantesques opérations minières, mais doit encore se frotter aux fougueux talibans. Prévoyons que la Chine de 2022 sera bloquée dans son expansion et paralysée par ses problèmes énergétiques. Ajoutons à cela les problèmes sur ses marchés d’exportation, les États-Unis et l’Europe, qui commencent à imploser financièrement et dont la demande de produits manufacturés chinois diminue.

Ensuite, il y a le marasme bancaire de la Chine, des milliards de prêts irrécouvrables, des entreprises géantes qui vacillent et des garanties sous la forme d’un millier de gratte-ciel construits avec un ciment de si mauvaise qualité que c’est un miracle que les bâtiments tiennent encore debout. Comment le fragile système bancaire chinois pourra-t-il faire face à la contagion des problèmes financiers des États-Unis et de l’Europe ? Prédisons que la Chine se trouve dans une situation économique suffisamment difficile pour que des troubles intérieurs éclatent, que le gouvernement réagisse de manière excessive et qu’elle soit trop paralysée par ses problèmes politiques internes pour faire des dégâts au-delà de ses frontières pour le moment.

Enfin, l’Europe. Oh, la belle Europe, le parc à thème touristique de ma vie avec ses belles villes, ses paysages soignés, ses cafés, ses cathédrales, ses filles à moto, sa fabuleuse culture profonde. On dirait que tout cela est en train de s’écrouler, avec des signes d’un retour aux bouleversements politiques du 20e siècle. D’une manière ou d’une autre, la Covid-19 a poussé l’Autriche et l’Allemagne à revenir à un comportement qui ressemble un peu à ce qui s’est passé pendant les années Hitler. Difficile à croire, je sais, mais regardez-les ! Des tactiques d’état policier ! Vaccinations forcées ! Confinements ! Des punitions sévères pour ceux qui résistent. C’est écœurant, et on dirait que c’est en train de s’installer.

L’économie de l’Euroland est un désastre. Ses problèmes énergétiques sont pires que ceux de la Chine. À l’exception de la Norvège, dont les gisements de pétrole de la mer du Nord s’épuisent, et de quelques mines de charbon épuisées, l’Europe n’a pratiquement rien pour les combustibles fossiles. Le projet « vert » de l’Allemagne en matière d’énergie éolienne et solaire n’a pas fonctionné. Elle est de plus en plus dépendante du pétrole et du gaz russes, et la position de l’Allemagne au sein de l’OTAN la soumet aux machinations des États-Unis contre la Russie, ce qui a entravé l’ouverture du gazoduc russe Nord Stream 2 passant par la mer Baltique. Ils pourraient finir par geler cet hiver et mourir de faim l’hiver suivant. Le système bancaire européen est une fraude risible, car l’UE n’a aucun contrôle sur les décisions fiscales prises par les gouvernements membres qui émettent des obligations de plus en plus sans valeur. L’année s’annonce difficile, avec des gouvernements qui se succèdent et qui trébuchent. La France aura peut-être un peu de chance. Le journaliste franc-tireur Éric Zemmour remporte l’élection présidentielle et fait renaître l’esprit national français. Il est toujours coincé par la pourriture des finances, mais au moins il remonte le moral du pays. Et contrairement aux Allemands, la France n’a pas choisi de fermer son industrie nucléaire, donc les lumières resteront allumées.

Et voilà, habitants de la Clusterfuck Nation. Je ne peux pas faire plus avec ça. Je vous souhaite à tous de la force dans les douze mois à venir, du courage, de la gentillesse et toutes les bonnes choses dont nous sommes capables. Nous en aurons besoin. Il y a encore beaucoup de choses à chérir dans ce pays qui est le nôtre, ces bons vieux États-Unis, et je crois que nous allons les redécouvrir lors de cette « Double-deuce » [Double 2, 22 soit 2022, NdT], ainsi qu’une certaine capacité à nous dire la vérité sur les choses qui comptent et à agir en conséquence ! Excelsior, braves cœurs !

James Howard Kunstler

Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d’abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu’au ciel.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




Exemple d’inefficacité des « vaccins » anti-covid

[Source : soirmag]

Par Pierre De Vuyst

La Station Princesse Elisabeth paralysée par le covid

Trois cas Covid ont été évacués, deux tiers du personnel de la base ont été contaminés. Tout le monde se trouve en quarantaine jusqu’au 12 janvier.

Elle a beau être située en Antarctique, l’endroit le plus reculé et isolé de la planète, la Station Polaire Princesse Elisabeth n’est pas épargnée par la pandémie de Covid-19 et ce malgré la mise en place de règles sanitaires très strictes. Sur le personnel actuellement présent dans la base scientifique belge, trois membres ont d’abord été déclarés positifs à la maladie, mais le virus a proliféré… Les informations du « Soir mag » ont été confirmées auprès du Secrétariat polaire belge.

Un cas positif au Covid a d’abord été détecté le 14 décembre parmi les membres de l’équipe arrivée sept jours plus tôt, lors du deuxième vol d’acheminement. La personne infectée a été immédiatement placée en isolement, mais malgré cela, les tests effectués sur le reste des voyageurs ont révélé que deux d’entre eux avaient également contracté le virus.

[Note de Joseph :
Les tests PCR généralement utilisés pour soi-disant détecter des personnes malades de la Covid représentent une véritable fraude scientifique et permettent d’étiqueter « malades de la Covid » ou « cas asymptomatiques » des personnes en bonne santé, ceci dans 97 % des cas avec le nombre de cycles d’amplification des débris génétiques contenus dans le nez des individus. Voir :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs.
Combien d’entre ces personnes étaient effectivement malades ? Et de quoi dans ce cas ? D’un rhume baptisé Omicron ? D’un mal de gorge ?]

Ces trois premières personnes concernées ont été évacuées le 23 décembre. Mais depuis lors, le virus est quand même parvenu à circuler dans la station. La Station polaire est en effet un bâtiment passif, donc particulièrement bien isolé. Elle a donc offert un environnement propice au coronavirus. Actuellement, 25 personnes sont présentes dans la station et 5 sont en expédition. Deux tiers de ces personnes ont été contaminées ! Aucune d’entre elles ne souffre toutefois actuellement de symptômes sévères. Par ailleurs, la station dispose de deux médecins urgentistes et de tout le matériel nécessaire tant pour les soins (y compris une intubation) que pour l’analyse des tests PCR.

Tous vaccinés

Entré en contact avec les autorités fédérales responsables du programme de la Station Polaire Princesse Elisabeth, l’explorateur Alain Hubert, opérateur exécutif de la station et responsable des mesures de sécurité, y compris sanitaires, a confié que tout le personnel présent avait reçu au préalable deux doses de vaccin, une personne a même bénéficié du booster. Il a aussi signalé que toutes les stations polaires ouvertes en Antarctique sont actuellement touchées par le fléau du Covid.

[Note de Joseph : même dans le cadre de la théorie virale, cette situation démontre l’inutilité de la « vaccination » anti-Covid.
Voir aussi :
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
et
L’effondrement de l’hypothèse virale,
ainsi que les liens annexes inclus.]

Réuni en urgence dans l’après-midi du 27 décembre, le Conseil stratégique du Secrétariat polaire a décidé de maintenir le personnel présent sur place (sous réserve d’une dégradation de la situation sanitaire). Il interdit aussi toute nouvelle entrée dans la station avant que le cluster ait disparu et, à tout le moins jusqu’au 12 janvier, la date d’arrivée initiale de deux nouvelles expéditions.

Enfin, le Conseil stratégique a choisi d’écourter au maximum la saison de recherche et de présence dans la station (qui se déroule pendant l’été arctique), d’annuler et de reporter l’une des deux campagnes prévues, la mission Météorites Bamm! (qui devait partir hier soir de Belgique à destination de la base). Le projet Recto est, lui, maintenu. Mais son personnel ne pourra accéder au site qu’après une période de quarantaine en Afrique du Sud, et lorsque les membres présents dans la station présenteront tous un test PCR négatif. L’annulation d’une des deux missions s’explique par le fait qu’en raison des événements, Alain Hubert est actuellement le seul guide disponible sur place, les deux autres n’ayant pu accéder au site. Il ne peut donc encadrer seul deux expéditions. Son état de santé et sa capacité à guider seront par ailleurs vérifiés par les deux médecins de la station.

Selon un virologue consulté par le Secrétariat polaire, la probabilité est grande que l’infection à la station soit le fait du variant Omicron, étant donné que celui-ci représente 99 % des cas en Afrique du Sud, qui est justement le pays de dernière escale avant l’Antarctique. Ce variant est moins dangereux que le variant Delta, mais plus contagieux. Sa période d’incubation est très réduite. Le cluster devrait être éteint dans les 15 jours.

Des mesures draconiennes

Cette contamination au Covid est pour le moins surprenante au regard des mesures de sécurité prévues. Tout le personnel en partance pour la station était sous le coup d’une obligation vaccinale et a dû passer un examen médical avant le départ. Tout le monde a reçu deux doses de vaccins (et une personne un booster). Chacun a dû subir un test PCR en Belgique deux heures avant le départ vers l’Afrique du Sud. Puis un test PCR cinq jours après l’arrivée à Cape Town, mais aussi dix jours de quarantaine. Un nouveau test au départ de Cape Town pour l’Antarctique et encore un test PCR cinq jours après l’arrivée. Malgré toutes ces précautions, le Covid a réussi à s’inviter dans la base ! Ce qui en dit long sur la dangerosité et l’efficacité de ce fléau…




Le cynisme d’Anthony Fauci raconté par Steve Kirsch

[Source : stevekirsch-substack-com via etouffoir.blogspot.com]

Comment le jeu est vraiment joué

Pour mémoire, voici la note secrète que Tony Fauci a envoyée aux dirigeants mondiaux expliquant clairement les règles de base de la réponse à la pandémie. Révélé ici pour la première fois.

Par Steve Kirsch

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Ce n’est que ma supposition éclairée sur ce que Fauci a probablement dit aux dirigeants mondiaux sur la façon de faire face à la pandémie de COVID. Beaucoup de gens m’ont dit que c’était le meilleur morceau que j’aie jamais écrit.

REMARQUE
Pour ceux qui ont du mal à déterminer s’il s’agit d’un fait ou d’une fiction, la réponse est que le mémo n’a jamais existé, mais s’il y avait un mémo, et si Fauci disait la vérité, c’est ma supposition sur ce qu’il aurait écrit.

À : Dirigeants mondiaux
De : Tony Fauci
Objet : Règles de base pour la santé et la sécurité dans le monde

  1. NE JAMAIS permettre une autopsie appropriée par des personnes capables de déterminer un vaccin. Si une autopsie ne peut être évitée, assurez-vous que le coroner est en sous-effectif, n’a pas les compétences et les tests appropriés et n’a pas le temps de le faire correctement. Offrez également de payer les frais funéraires s’ils sautent l’autopsie. Cela fonctionne généralement. Quoi que vous fassiez, assurez-vous que personne ne lise ce guide pour savoir comment effectuer une autopsie efficace.
  2. Ne permettez jamais à quiconque de faire une analyse sur ce qu’il y a dans les flacons. Dans les rares cas où une analyse a lieu, nous sommes à vos côtés. Nous prétendrons que les personnes qui ont fait l’analyse sont des anti-vaccins qui ont volé des biens du gouvernement et ont délibérément contaminé les flacons avant qu’ils ne soient analysés. Nous avons toutes les bases couvertes.
  3. Assurez-vous que les compagnies pharmaceutiques jouissent d’une immunité totale contre les poursuites. Sinon, on est complètement foutus. Le Congrès est dans notre poche là-dessus. Nous les avons forcés à fournir l’immunité dans les années 1980. Il n’y avait alors que quatre fabricants, et nous nous sommes tous entendus illégalement pour nous assurer qu’à moins que le Congrès n’accepte notre demande ridicule, nous ne fabriquerions plus de vaccins.
  4. Étiquetez toute personne qui s’oppose à nous comme « anti-science ». Cela fonctionne vraiment bien. Même le sénateur Johnson n’aime pas ça.
  5. Assurez-vous que le programme de vaccination contre les blessures (le CCP) ne verse jamais un centime aux victimes du vaccin COVID. Même payer un centime serait une reconnaissance que les vaccins ne sont pas sûrs. Cela provoquerait une hésitation vaccinale. Nous ne pouvons pas avoir cela.
  6. Mandater les vaccins pour tout le monde (sauf le Congrès et la Cour suprême). Donnez-le-leur juste après la naissance. Nous ne voulons pas avoir un groupe de contrôle ici qui ne meurt pas. Si les gens font cette comparaison, nous sommes foutus. C’est pourquoi nous avons éliminé le groupe placebo dans tous les essais cliniques, afin que personne ne sache jamais à quel point ces vaccins sont dangereux. La mort d’un membre du Congrès ou de la Cour suprême sur nous n’aura pas l’air bien. Nous pouvons toujours l’appeler « sans rapport » si cela se produit.
  7. En cas d’incapacités qui surviennent au cours des essais cliniques, modifiez le symptôme lors de la rédaction du rapport d’étude pour la FDA. Donc « paralysie permanente » -> « douleur abdominale légère ». Croyez-moi, cela fonctionne. Maddie de Garay, est notre enfant d’affiche. La presse ne couvrira jamais sa blessure parce que nous leur avons dit de ne pas le faire. Nous pouvons faire de la fraude à la vue de tous et personne ne nous attrape là-dessus, c’est tellement bien contrôlé. C’est incroyable à quel point nous avons bien compris cela.
  8. Si quelqu’un meurt à cause du vaccin au cours d’un essai clinique de vaccin, ne paniquez pas. Écrivez simplement dans le rapport que le décès « n’est pas lié au vaccin ». La FDA ne vous demandera pas comment vous avez déterminé cela. Quiconque pose de telles questions stupides sera renvoyé de la FDA.
  9. Il y aura plus de rapports de décès toutes causes confondues dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo, comme près de 25 % de plus (comme dans l’essai Pfizer), mais ne vous inquiétez pas. C’est parce que les vaccins sont super mortels, duh. Cependant, en 1) choisissant des cohortes très saines et 2) en limitant la taille des cohortes, nous pouvons affirmer que la différence de décès n’est « pas statistiquement significative ». Cela trompe tous les « vrais » scientifiques. Ils diront « oh ça a du sens » et ne creuseront pas plus profondément. Cela fonctionne à chaque fois. Les penseurs critiques comme Chris Martenson n’ont pas d’importance parce qu’ils n’ont pas assez d’adeptes pour avoir de l’importance. Et nous avons supprimé Bret Weinstein pour qu’il n’invite plus jamais Robert Malone dans son émission.
  10. La communauté médicale ne vérifiera jamais votre travail si vous travaillez au CDC. Ils subissent un lavage de cerveau dès le premier jour à la faculté de médecine pour toujours faire confiance aux autorités médicales. Nous les transformons essentiellement en moutons et enlevons leurs capacités de pensée critique. Et la médecine est si compliquée qu’ils doivent nous faire confiance parce qu’ils n’ont pas le temps, les compétences ou les outils pour faire des conneries comme regarder la base de données VAERS. C’est ainsi que nos fidèles employés, comme John Su, peuvent s’en tirer avec des présentations des données VAERS sans même mentionner le facteur de sous-déclaration. Personne ne lui pose de questions sur l’URF.
  11. Nous pouvons toujours faire approuver des choses, même si elles sont nocives pour la santé. C’est parce que nous avons demandé à tout le monde sur les panneaux extérieurs de ne jamais interroger les membres de notre personnel sur des choses comme celle-ci. Ils savent qu’on va les expulser du comité comme on l’a fait avec cet imbécile de Martin Kulldorff qui laisse les faits et la science entraver sa réflexion. Et si c’était un expert mondial de Harvard. Experts?!? Nous n’avons pas besoin d’experts. Nous n’avons pas à vous montrer d’experts puants. Nous avons besoin de gens qui suivent les ordres ici et ne remettent pas en cause le récit. Les membres externes du comité ont tous vu ce que nous avons fait à Kulldorff et cela leur envoie un message effrayant qu’ils comprennent tous : respectez nos règles ou faites-vous trancher la tête. Ils ne sont pas stupides. Le respect des règles s’applique également aux employés : nous vous expulserons si vous suivez réellement la science. Découvrez comment nous avons obtenu l’approbation du vaccin pour les adolescents. Rien ne peut m’arrêter. Pas le Congrès. Pas des employés renégats. Pas même les comités extérieurs. Je contrôle tout et ils sont impuissants à m’arrêter.
  12. Bien sûr, il y aura beaucoup d’arrêts cardiaques et les médecins des urgences verront tout cela, mais ils sont trop occupés pour suivre les statistiques et se rendre compte qu’il y a une légère augmentation. Et personne ne trouvera de signal même si les chiffres sont évidents.
« Il est difficile de faire comprendre quelque chose à un homme lorsque son salaire dépend de son incompréhension de cette chose. »
(Upton Sinclair)
  1. Poursuivre agressivement la révocation de la licence médicale de toute personne qui parle contre le récit. Même un seul tweet mettant en garde les gens contre le vaccin ou remettant en question le port du masque devrait être un motif de révocation de licence. Croyez-moi, toutes les commissions médicales le comprennent. Si un médecin prescrit de l’ivermectine pour COVID, il est grillé. Nous ne voulons pas que quiconque découvre que les choses fonctionnent.
  2. NE JAMAIS faire une enquête proactive pour découvrir le dénominateur des événements. En 1985, nous avons soigneusement conçu le système VAERS afin que personne ne connaisse jamais le vrai dénominateur afin que nous puissions affirmer que chaque vaccin est sûr, peu importe à quel point il est dangereux. Cela nous permet de prétendre que tous ces signaux sont rares. Il y a dix ans, nous avons tué le projet ESP-VAERS parce qu’il était trop précis. Bobby Kennedy nous a expliqué cela dans son livre, mais son livre est si long que personne ne le trouvera. C’est à la page 73 du livre (ou recherchez AHRQ si vous avez l’édition Kindle).
  3. Nous utilisons des masques pour surveiller notre niveau de contrôle. Les masques ne fonctionnent pas du tout. On vient d’inventer cette merde. Nous ne sommes pas stupides. Nous savons que les deux essais randomisés n’ont montré aucun effet. L’étude que le CDC cite pour justifier les masques dans les écoles était horriblement confuse, mais elle a montré les résultats que nous voulions voir. Et même quand on nous interpelle à ce sujet dans une superbe vidéo sur YouTube, ça n’a pas d’importance. Nous n’avons même pas eu besoin de YouTube pour extraire la vidéo. Donc ça marche. C’est pourquoi nous nous référons TOUJOURS à cette étude (plutôt qu’aux études randomisées plus définitives dont nous ne parlons pas du tout). Mais croyez-moi, le public ne sait pas que nous ne faisons que leur montrer les études de merde qui soutiennent notre programme. Ils nous font totalement confiance parce que nous sommes les autorités. Ils n’ont pas le temps de faire des recherches. Soyons honnêtes ici. Peu de gens vont acheter le livre « La vérité sur les masques » de Judy Mikovits sur Amazon. Regardez, seulement 82 notes sur un sujet qui touche 300 millions de personnes ! Les masques sont donc notre canari dans la mine de charbon. Si les gens ne se conforment pas à nos conseils ridicules de masquage, c’est un signe que nous perdons le contrôle, nous devons donc durcir l’application en faisant des choses comme criminaliser le fait de ne pas faire ce que nous disons. Ce contrôle sur l’esprit des gens est essentiel à notre succès. On peut même leur faire porter un double masque, ils sont tellement stupides. Ils ne peuvent pas comprendre que 2 x 0 = 0. Ces gens feront tout ce que nous disons.
  4. Nous menons une énorme campagne d’éducation pour faire croire aux gens qu’il s’agit d’une « pandémie de non vaccinés » plutôt que d’une « pandémie de personnes qui n’ont jamais reçu de traitement précoce ». Cela fonctionne totalement. Nous n’avons même pas eu à montrer une seule statistique d’un hôpital. La presse en mange.
  5. Nous disons aux gens « faites confiance à la science ». Cela fonctionne toujours car ils nous considèrent comme les autorités en matière de science. PERSONNE n’a vu le dessin animé Peanuts :
« Faites confiance à la science » est la déclaration la plus anti-science qui soit. Remettre la science en question, c’est comme ça qu’on fait de la science !
  1. Nous versons aux hôpitaux d’énormes primes pour classer les décès comme des décès dus au COVID afin de maintenir la peur en vie. Si quelqu’un meurt dans un accident de voiture, mais qu’il est testé positif pour COVID (en utilisant un seuil de cycle élevé, c’est généralement comme cela que cela se fait), alors le décès est un décès COVID. L’hôpital gagne de l’argent et nous utilisons les statistiques pour faire passer le COVID comme une urgence.
  2. Les chercheurs apprennent rapidement à réécrire leurs études à l’appui du récit. Considérez l’étude sur les masques danois. Cela montrait que les masques ne fonctionnaient pas. Personne ne le publierait. Ils ont donc rapidement «appris» à manipuler la science pour soutenir le récit. Le rédacteur en chef du BMJ a en fait dénoncé cela, mais heureusement, personne ne l’a lu. S’il fait encore quelque chose de stupide comme ça, on le fera retirer. Les scientifiques qui refusent de se conformer, comme Jessica Rose et Peter McCullough, découvrent que leur article est retiré de la revue par l’éditeur parce que nous avons dit à l’éditeur de le retirer. Ils se sont conformés. Nous contrôlons la science, pas les scientifiques.
  3. Assurez-vous que vos médecins ne sont PAS informés sur la façon de déclarer au VAERS ; n’aggravons pas un problème. Nous ne voulons pas que quelqu’un dénonce. C’est déjà assez grave. Nous allons corriger VAERS pour le faire planter davantage (comme juste avant d’appuyer sur soumettre) et rendre l’UX plus difficile à utiliser, juste au cas où.
  4. Les seuls traitements précoces autorisés sont ceux créés par nos grands sponsors pharmaceutiques. Tout le reste, nous devons poursuivre les médecins et leur retirer leur licence s’ils prescrivent de la merde qui fonctionne comme l’ivermectine. Nous veillerons à ce que personne ne découvre que l’ivermectine est ce que le Japon utilise pour atteindre zéro décès par COVID. On a fait virer Pierre Kory de son travail. D’autres le remarqueront. Cliff Lane est à la tête du comité des directives COVID. Il me rapporte et il est loyal. Il veillera à ce qu’aucun traitement précoce viable ne soit recommandé, à moins qu’il ne provienne de grandes sociétés pharmaceutiques. Avez-vous vu le travail à succès qu’il a fait sur la fluvoxamine? Il s’agit d’un médicament qui réduit de 12 fois le nombre de décès dus au COVID, mais Cliff et son équipe ont rédigé une brillante rédaction du FUD pour donner l’impression que le médicament n’a pas fonctionné. Ces gars sont brillants. L’écriture va tromper tout le monde. Parce que si quelqu’un s’y oppose, nous réduisons leur financement du NIH. C’est pourquoi aucun chercheur aux États-Unis ne va appeler notre bluff sur la cote de fluvoxamine. Ils ne vont jamais se prononcer contre nous ou ils se retrouveront sans financement et sans emploi.
  5. En commercialisant des antiviraux qui fonctionnent partiellement, cela signifie que nous pouvons augmenter notre prix de vente moyen. Maintenant, nous pouvons commercialiser les deux produits pour tout le monde : un vaccin qui ne fonctionne pas et une pilule qui ne fonctionne pas. Et lorsque les gens se plaignent d’être toujours infectés, nous leur disons simplement d’augmenter le dosage des pilules et de se faire booster plus fréquemment. Ces gens sont tellement stupides qu’ils ne comprendront jamais.
  6. Nous devons faire d’Omicron une menace sérieuse, même s’il n’y a que quelques morts. Ceci est nécessaire pour maintenir l’EUA sur les vaccins. Si la pandémie s’en va, on est foutus. Nous devons donc maintenir les États-Unis dans un état d’urgence avec de nouveaux variants plus dangereux. Étant donné que les gens meurent tout le temps avec Omicron (en fait, seulement 1 décès aux États-Unis jusqu’à présent, mais nous ne le mentionnons jamais), nous donnons l’impression qu’ils sont morts « de » Omicron pour maintenir le flux de revenus. Ils ne comprendront jamais cela. Nous disons simplement aux gens qu’ils doivent prendre des mesures désespérées pour éviter cette menace nouvelle et inconnue.
  7. Les médias grand public ont été formés pour ne jamais mentionner que le vaccin pourrait être une cause de décès, même si la personne est décédée dans les heures suivant le vaccin et qu’elle était auparavant en parfaite santé et n’avait aucun antécédent de maladie cardiaque. S’ils meurent dans leur sommeil moins de 24 heures après la vaccination, la presse ne fera que rapporter cela comme une « mort tragique inattendue » et il n’y aura aucune mention du vaccin. Même le NY Times ne dira rien lorsque son meilleur personnel mourra des suites de la vax. Lorsque le rédacteur en chef du NY Times, Carlos Tejada, est décédé à l’âge de 49 ans juste un jour après le coup, sa nécrologie n’en disait pas un mot. C’est exactement ce que nous leur avons dit : n’impliquez jamais le vaccin, peu importe à quel point les preuves sont incriminantes.
  8. Censurer/discréditer/ridiculer quiconque tente de remettre en question le récit, par exemple en faisant un lien entre le vaccin et la mort ou en disant que les masques ne fonctionnent pas ou en prétendant qu’ils sont blessés par le vaccin. C’est parce que vous n’avez pas les faits de votre côté, vous devez donc recourir à d’autres techniques. N’essayez jamais de gagner sur les faits ; c’est une proposition perdante. Remettez en question leur raison, leur motivation, trouvez les erreurs qu’ils ont commises dans le passé, appelez-les un « théoricien du complot », faites remarquer que leur famille pense qu’ils sont fous. Faites tout votre possible pour remettre en question leur crédibilité. Les gens oublieront rapidement les faits.
  9. N’acceptez JAMAIS un débat avec l’opposition. Ce serait dévastateur parce que nous perdrions. Vous devez donc complètement ignorer toute tentative. Même s’ils vous offrent 2 millions de dollars pour venir à la table des débats comme l’a fait le fauteur de troubles Kirsch. Affirmez que cela leur donnerait de la crédibilité. Donc, même pour quelqu’un comme RFK Jr. qui a un best-seller du NY Times, continuez à prétendre qu’il n’a aucune crédibilité comme l’a fait Jake Tapper. Vous ne voulez jamais donner de temps d’antenne aux « manivelles ». Jake est bien entraîné. Lisez cet éditorial du Wall St. Journal qui documente comment Francis Collins et moi contrôlons le récit. C’est ainsi que procèdent les professionnels. Même lorsque nous sommes interpellés par le Wall St. Journal sur nos tactiques d’intimidation, cela ne tient tout simplement pas. Nous sommes comme le Téflon. Nous ne pouvons rien faire de mal.
  10. Continuez à répéter « sûr et efficace ». Dites-le suffisamment de fois pour le croire et cela vous permettra d’ignorer tous les corps tombant comme des mouches autour de vous, y compris des trucs comme des enfants de 3 ans qui meurent d’un arrêt cardiaque moins d’un jour après avoir été vaccinés. Lorsque cela se produit, pensez « c’est juste un coup de chance ».
  11. Nous avons exempté les employés du CDC, d’autres agences et du Congrès de tout mandat. Sinon, nous ne serions pas en mesure de garder quelqu’un d’employé là-bas. Saviez-vous que presque aucun des employés du CDC ne fait vacciner ses enfants ? C’est incroyable que la presse grand public n’ait jamais découvert cela. Au CDC, la devise est « faites ce que nous disons, pas ce que nous faisons ». Les Américains sont si naïfs ; ils pensent que nous marquons le pas. Certainement pas. Nous ne sommes pas stupides.
  12. La grande technologie nous aidera à nous assurer que personne n’apprend la vérité. Comme nous le savons tous, afin de maintenir la formation de masse en place, la censure est requise. Mon bon ami Marc Zuckerberg fera tout ce que je dirai. Les autres PDG d’entreprises de haute technologie boivent également du Kool-Aid. Ils sont bien trop occupés à gérer leur entreprise pour se plonger dans la science. Ils ignorent donc totalement que les vaccins sont mauvais et que les médicaments comme l’ivermectine sont bons. Je leur ai dit à tous de ne pas écouter les gens répandre de fausses informations. Ainsi, aucun des principaux PDG de la Silicon Valley, comme la PDG de YouTube, Susan Wojcicki, n’entendra jamais la vérité. Ces gens pensent tous qu’ils sont du bon côté de cette bataille et ils pensent qu’ils font ce qui est le mieux pour la société. Ce sont des imbéciles. Ils n’ont aucune idée de la façon dont ils sont utilisés et, mieux encore, ils ne le comprendront jamais. Nous avons tous les réseaux sociaux pour censurer quiconque remet en question le récit : Facebook, YouTube, Twitter, LinkedIn, Medium, etc. Les deux seuls gros que nous n’avons pas encore capturés sont Substack et Quora. Lorsque ceux-ci seront suffisamment importants pour nous en préoccuper, nous les rachèterons simplement et censurerons tout le contenu qui va à l’encontre du récit. Zuck est le meilleur. Supprimer les groupes de blessures vaccinales comptant 250 000 personnes est la bonne chose à faire. Personne ne pourra récupérer ces preuves puisqu’il n’y a pas de FOIA pour les entreprises privées. Ainsi, lorsque les gens posent des questions sur les effets indésirables des vaccins, nous pouvons dire : « Quel blessé ? Quels effets indésirables ? »
  13. J’ai financé le virus, mais personne ne va mettre 2 et 2 ensemble. S’il n’y avait pas eu un connard de sénateur (Rand Paul), personne ne saurait que j’ai financé le gain de la recherche fonctionnelle à Wuhan. Écoutez, je suis le gars qui a causé tout ce gâchis et qu’est-ce qu’ils font ? Ils m’ont chargé de le nettoyer ! Ces gens sont plus bêtes qu’un clou de porte. Je crée la plus grande catastrophe de la planète et on me donne ensuite de l’argent infini à dépenser pour « la nettoyer ». Hé, saviez-vous que n’importe quel président de comité démocrate peut demander mes e-mails non caviardés avec une simple lettre au NIH ? Mais ils ne le feront pas, car cela révélerait qu’ils ne faisaient pas leur travail de surveillance. Nous pouvons littéralement nous en tirer avec un meurtre et PERSONNE ne va nous défier. Ce type, Kirsch, a estimé que nous avons tué plus de 150 000 Américains avec le vaccin jusqu’à présent, mais le nombre réel est plus du double. En gros, nous pouvons nous en tirer avec un meurtre et personne n’est plus sage. Tout se passe à la vue de tous.
  14. Même si nous sommes exposés, personne ne le croira. John Stewart a exposé tout le schéma dans une interview sur The Late Show avec Stephen Colbert. Il a raconté toute l’histoire, jusqu’aux cartes de visite. Mais tout le monde pensait qu’il plaisantait. Juste avant sa mort, le comédien espagnol El Risitas a admis l’ensemble du projet dans une vidéo au monde entier. Tout le monde pensait qu’il plaisantait à l’époque. Regardez la vidéo.
  15. Ne vous inquiétez pas si ce mémo tombe entre de mauvaises mains. Si la presse reçoit ce mémo, elle ne le publiera pas. Et même si tout ce putain de mémo est publié, les gens sont maintenant tellement endoctrinés qu’ils ne le croiront jamais, même s’ils peuvent tout vérifier. Il n’y a donc rien à craindre.

Si vous avez des questions sur l’un de ces points, envoyez-moi un e-mail à tony@mail.nih.gov.

Errata:

  1. Le mandat du président s’applique à toutes les agences HHS. Cela ne s’applique pas au Congrès ou à la Cour suprême.



Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg

Par Ron Unz — 29 décembre 2021

Le mois dernier j’ai lu le nouveau livre de Robert F. Kennedy Jr Le vrai Anthony Fauci qui est presque immédiatement devenu le best-seller n° 1 d’Amazon.

J’ai été très impressionné par la grande quantité de matériel présenté, qui critiquait vivement notre industrie pharmaceutique et ses alliés proches dans la bureaucratie de la santé publique. Mais ce qui m’a vraiment choqué c’est que pratiquement la moitié du texte — environ 200 pages — était consacrée à la présentation et à la promotion de l’affirmation étonnante que tout ce qu’on nous avait raconté sur le VIH/SIDA depuis plus de 35 ans constituait probablement un canular. Cette dernière question est devenue le point central de ma propre révision.

[Voir aussi :
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du sida
SIDA : le doute — Film documentaire RTS, ARTE France, TVE, Histoire TV. 1997
Contestation du lien entre VIH et SIDA]

American Pravda : Vaccination, Anthony Fauci et le SIDA

Ron Unz — The Unz Review — 6 décembre 2021 – 6 100 mots

Pourtant, d’après les informations fournies dans le best-seller de Kennedy, n° 1 des ventes d’Amazon, cette image bien connue et solidement établie, que je n’avais jamais sérieusement remise en question, est presque entièrement fausse et frauduleuse, revenant essentiellement à un canular des médias médicaux. Au lieu d’être responsable du SIDA, le virus VIH est probablement inoffensif et n’avait rien à voir avec la maladie. Mais lorsque des personnes se sont révélées être infectées avec le VIH, elles ont été traitées par les premiers médicaments du SIDA extrêmement lucratifs, médicaments qui étaient en fait mortels et qui souvent les tuaient. Les premiers cas de SIDA avaient été causés principalement par une consommation élevée de certaines drogues illicites, et le virus VIH avait été diagnostiqué à tort comme étant responsable. Mais comme Fauci et les sociétés pharmaceutiques avides de profits ont rapidement construit d’énormes empires sur cette erreur de diagnostic, ils se sont farouchement battus pour la maintenir et la protéger, exerçant toute leur influence pour supprimer la vérité dans les médias tout en détruisant les carrières des chercheurs honnêtes qui contestaient cette fraude. Pendant ce temps le SIDA en Afrique était quelque chose de totalement différent, probablement causé principalement par la malnutrition et autres conditions locales.

J’ai trouvé le récit de Kennedy aussi choquant que tout ce que j’ai déjà rencontré.

Dans des circonstances normales, j’aurais été extrêmement réticent à faire miennes des affirmations apparemment aussi farfelues, mais la crédibilité de certains des partisans était difficile à ignorer.

Pourtant, le premier soutien sur la quatrième de couverture vient du Professeur Luc Montagnier, le chercheur en médecine qui a été lauréat du Prix Nobel pour avoir découvert le virus VIH en 1984, et il écrit : « Malheureusement pour l’Humanité, il y a de nombreuses, nombreuses contre-vérités émanant de Fauci et de ses sous-fifres. RFK Jr expose les décennies de mensonges ». De plus, on nous dit que dès la Conférence Internationale sur le SIDA de San Francisco de juin 1990, Montagnier avait publiquement déclaré « le virus VIH est inoffensif et passif, c’est un virus bénin ».

Il se peut que ce lauréat du Prix Nobel ait approuvé le livre pour d’autres raisons et peut-être que le sens de sa frappante déclaration de 1990 ait été mal interprété. Mais l’opinion d’un chercheur qui a remporté un Prix Nobel pour avoir découvert le virus VIH ne devrait certainement pas être totalement ignorée dans l’évaluation de son rôle possible.

Comme l’explique Kennedy, trois autres lauréats du Prix Nobel en sciences ont également exprimé un scepticisme public similaire pour le récit conventionnel VIH/SIDA, l’un d’entre eux étant Kary Mullis, le célèbre créateur du test PCR révolutionnaire (NdT : Kary Mullis a inventé la PCR, il n’a pas inventé le test PCR).

Malgré le formidable succès du livre, il a d’abord été ignoré par les médias grand public. Ce silence a finalement été brisé un mois après la publication lorsque l’Associated Press (Associated Press, une des plus importantes agences de presse du Monde — NdT) a publié un article de dénigrement de 4 000 mots qui attaquait durement l’auteur et son best-seller controversé.

How a Kennedy Built an Anti-Vaccine Juggernaut Amid COVID-19

(Comment un Kennedy a bâti un mastodonte Anti-Vaccin au milieu de la COVID-19) Michelle R. Smith et coll. – The Associated Press – 15 décembre 2021 – 4 000 mots

Cependant, comme je l’ai noté dans ma propre réponse, cette longue dénonciation avait entièrement évité le sujet VIH/SIDA, qui constituait certainement la partie la plus explosive du matériel de Kennedy. Six journalistes de l’AP et des chercheurs avaient passé au minimum dix jours à produire cet article, de sorte que leur silence total sur ce sujet m’est apparu extrêmement suspect. Si près de la moitié du livre de Kennedy soutenait que le VIH/SIDA était un canular médiatique médical et que ses critiques les plus sévères refusaient de le contester sur ce point, tout lecteur impartial doit certainement commencer à suspecter qu’au moins quelques-unes des remarquables affirmations de l’auteur étaient probablement exactes.

RFK Jr. as America’s #1 HIV/AIDS Denier and the Sounds of Media Silence
(RFK Jr en tant que négationniste n° 1 en Amérique de VIH/SIDA et le Silence Assourdissant des Médias)

Ron Unz – The Unz Review – 15 décembre 2021 – 1 500 mots

Avant la récente épidémie du Covid, le SIDA avait passé près de quatre décennies en tant que maladie la plus médiatisée au Monde, et j’ai commencé à me demander si je n’avais pas été complètement induit en erreur durant toutes ces années par mes journaux quotidiens. J’ai écouté les longues interviews de Kennedy par Tucker Carlson, Steve Bannon et Jimmy Dore, mais aucun des présentateurs n’a jamais abordé la question du SIDA, peut-être parce qu’ils la considéraient comme étant une diversion par rapport au sujet plus urgent des vaccins Covid et par rapport aux autres mesures de santé publique controversées. En fait, Kennedy lui-même n’avait jamais été associé auparavant au sujet VIH/SIDA et il a souligné que son reportage visait simplement à « exposer les voix dissidentes aux yeux de tous », de sorte qu’il me faudrait consulter d’autres sources pour des informations supplémentaires. Par chance, son livre a identifié clairement la plus importante figure du débat.

L’un des héros scientifiques les plus importants dans le récit de Kennedy est le Professeur Peter H. Duesberg de Berkeley (de l’université de Berkeley). Durant les années 1970 et 80, Duesberg avait été généralement considéré comme l’un des plus importants virologistes du Monde, élu à l’âge de 50 ans à la prestigieuse Académie Nationale des Sciences, faisant de lui un de ses plus jeunes membres de l’histoire. Dès 1987, il a commencé à soulever de sérieux doutes sur l’hypothèse VIH/SIDA et à souligner les dangers de l’AZT, publiant finalement sur le sujet une série d’articles de revues qui ont progressivement convaincu de nombreuses autres personnes, parmi lesquelles Montagnier. En 1996 il a publié L’invention du Virus du SIDA un ouvrage massif de 712 pages exposant son cas, avec l’avant-propos fourni par Kary Mullis le lauréat du Prix Nobel, le célèbre inventeur de la technologie PCR et lui-même autre critique de premier plan de l’hypothèse VIH/SIDA. Duesberg alla jusqu’à souligner la confiance qu’il portait à son scepticisme à l’égard du VIH en proposant qu’on lui injecte du sang contaminé par le VIH.

Mais plutôt que de débattre ouvertement avec un opposant scientifique aussi solide, Fauci et ses alliés ont mis Duesberg sur la liste noire pour l’attribution de tout financement gouvernemental, détruisant ainsi sa carrière de chercheur, tout en le diffamant et en faisant pression sur d’autres pour qu’ils fassent de même. D’après des collègues chercheurs cités par Kennedy, Duesberg a été détruit en guise d’avertissement et d’exemple pour les autres. Pendant ce temps, Fauci a déployé son influence pour que ses critiques soient bannis des principaux médias nationaux, s’assurant que peu de personnes, en dehors d’un segment étroit de la communauté scientifique, puissent un jour prendre conscience de la controverse en cours.

Donc la théorie qu’il me fallait étudier revenait à l’hypothèse Duesberg, l’adversaire longtemps étouffé de notre orthodoxie VIH/SIDA régnante. Heureusement pour mes besoins les hérésies scientifiques dépourvues de financement et mises sur liste noire par les revues importantes ont tendance à produire un ensemble d’œuvres très gérable. Les milliards (de dollars — NdT) dépensé dans la recherche orthodoxe du SIDA ont donné naissance à bien plus de 100 000 articles de revues universitaires, plus ce qu’un lecteur diligent ne pouvait digérer en une douzaine de vies. Mais la plus récente publication académique que j’ai pu trouver provenant de l’autre bord était un long article de synthèse publié il y a 18 ans par Duesberg et deux de ses collaborateurs. En effet, selon leur épilogue, les auteurs avaient passé plusieurs années à se battre contre l’inlassable hostilité de l’establishment régnante du SIDA pour faire imprimer leur article, establishment qui avait réussi à faire pression sur deux précédentes revues pour qu’elles annulent la publication.

The chemical bases of the various AIDS epidemics: recreational drugs, anti-viral chemotherapy and malnutrition (PDF)

(Les bases chimiques des différentes épidémies de SIDA : drogues récréationnelles, chimiothérapie antivirale et malnutrition (PDF))

Peter Duesberg, Claus Koehnlein et David Raznick — Journal of Bioscience — juin 2003

Bien que j’aie une solide formation scientifique, il me manque l’expertise en médecine ou microbiologie nécessaire pour évaluer correctement leur article. Mais en le lisant attentivement en tant que profane, je l’ai trouvé solide et persuasif, certainement digne d’être publié. Et quand je l’ai transmis à quelqu’un avec une formation médicale professionnelle, il l’a considéré comme extrêmement impressionnant, un exposé convaincant de la thèse révolutionnaire des auteurs.

L’une des affirmations centrales de Duesberg était que la maladie connue sous le nom de SIDA en fait n’existait pas, mais n’était simplement que l’étiquette attachée à un groupe de plus de deux douzaines de maladies différentes, qui avaient toutes une variété de causes différentes, dont seulement certaines étaient des agents infectieux. En effet, la plupart de ces maladies étaient connues et traitées depuis des décennies, mais elles n’étaient désignées « SIDA » que si la victime était également testée positive au virus VIH, ce qui n’avait probablement rien à voir avec la maladie.

À l’appui de leur position contraire (à la thèse officielle — NdT), les auteurs ont noté que les différents groupes à haut risque de « SIDA » avaient tendance à n’être touchés que par des versions particulières de la maladie, le « SIDA » dont souffraient les hémophiles étant généralement très différent du « SIDA » des villageois africains et ne chevauchant que légèrement les maladies des homosexuels ou des toxicomanes par intraveineuse. En fait, le modèle du « SIDA » en Afrique semblait complètement différent de celui du Monde développé. Mais si toutes ces maladies différentes étaient réellement causées par un seul virus VIH, des syndromes aussi complètement différents sembleraient des anomalies déconcertantes, difficiles à expliquer d’un point de vue scientifique.

En 2009, 6 ans après la publication de ce long article, un cinéaste indépendant, de nom Brent Leung, a produit un documentaire de 90 minutes sur le SIDA, fortement sympathique à la thèse de Duesberg, et quelqu’un l’a récemment porté à mon attention. Il y a une grande pénurie de matériel pro Duesberg, donc bien que je ne trouve que rarement des sources d’information vidéo utiles, ce cas était une exception importante. Le film soulignait les énormes inconsistances de la position de l’orthodoxie scientifique, et comprenait également des interviews importantes de Duesberg, Mullis, Fauci et de nombreux autres chercheurs et journalistes clés provenant des deux côtés du débat. Le documentaire dans son entier est facilement disponible sur YouTube (pour la version avec sous-titre en français :

Le peu de personnes ayant visionné le film explique qu’il n’ait pas encore été censuré par YouTube — NdT), ceux qui sont intéressés peuvent donc le visionner et décider par eux-mêmes.

Le journaliste John Lauritsen avait couvert la controverse VIH/SIDA pendant des décennies, écrivant deux livres sur le sujet et servant comme importante source pour le propre travail de Kennedy. Il a récemment rejoint un des fils de discussion sur notre site web et il m’a suggéré de republier sa conférence de 2018, qui résumait de façon utile l’histoire et l’état actuel de la question. (Cette conférence a été organisée par un Américain, Martin Barnes, qui s’est établi dans le sud de la France dans le village Vers Pont du Gard)

Making Our Case In the Battle for Truth
(Plaider notre cause dans la Bataille pour la Vérité)

John Lauritsen — Conférence Vers pont du Gard — 16 juin 2018 – 2 500 mots

Bien que j’aie trouvé tout ce matériel pro Duesberg utile pour étoffer les arguments, la majeure partie chevauchait le contenu du livre de Kennedy, et l’analyse était nécessairement partiale. Sous la pression de l’establishment médical et son lobby du SIDA, les médias dominants ont presque entièrement fermé leurs portes à toute dissidence sur la question et refusent d’engager le dialogue avec les critiques, semblant plutôt avoir recours à la liste noire et au boycott. Cela suggérait la relative faiblesse du cas orthodoxe, mais n’ayant pas d’échanges d’arguments et contre-arguments, je ne pouvais facilement peser la puissance des deux côtés. Heureusement j’ai découvert que cette situation avait été très différente dans le passé.

J’ai passé la plus grande partie du début des années 2000 à créer un système d’archivage de contenu qui comprend des collections presque complètes de quelques centaines de nos principaux magazines d’opinion de ces 150 dernières années, ces publications influentes qui ont façonné notre compréhension du Monde. Le projet était pratiquement un échec total puisque très peu de personnes l’ont utilisé, et j’ai facilement trouvé une longue liste d’articles axés sur l’hypothèse de Duesberg, la plupart d’entre eux datant des années 1990. Durant cette période le rideau de fer de la censure n’était pas encore tombé, et le sujet avait été traité largement et avec respect dans les principales publications.

J’ai lu attentivement plus d’une douzaine d’articles de fond les plus conséquents qui avaient tous été publiés dans des périodiques libéraux, conservateurs et libertaires, tout ce qu’il y a de plus grand public et respectable. Une des surprises majeures a été de voir à quel point le débat semblait avoir peu changé. Les preuves et arguments que Duesberg et ses alliés scientifiques avaient avancés il y a trente ans semblaient remarquablement similaires à ce qui était présenté dans le livre de Kennedy publié à peine le mois dernier.

Le numéro d’été de Policy Review, une des revues spécialisées conservatrices les plus sobres et les plus influentes des États-Unis, avait offert à Duesberg et à un co-auteur une tribune pour la théorie controversée, et leur article en résultant comptait près de 9 000 mots. Selon l’éditeur, ce sujet a provoqué plus de lettres et réponses — positives et négatives — que tout ce qui avait paru dans l’histoire de la revue, et devint un de leurs articles les plus discutés. En conséquence, le numéro suivant du trimestriel a présenté certaines de ces réactions ainsi que les réponses des deux auteurs, l’ensemble de l’échange comptant presque 13 000 mots.

Is the AIDS Virus a Science Fiction? (PDF)

(Le Virus du SIDA est-il une Science-Fiction ?)

Des comportements Immunosuppressifs, et non le VIH, peuvent être la cause du SIDA

Peter H. Duesberg et Bryan J. Ellison — Policy Review — Été 1990 – 8 800 mots

Is HIV the Cause of AIDS? (PDF)
(le VIH est-il la Cause du SIDA ?)

Des critiques répondent — Policy Review — Automne 1990 – 12 700 mots

Plusieurs années plus tard, un développement semblable s’est déroulé chez Reason, le magazine de luxe phare du mouvement libertaire américain. Le magazine a publié un long article illustré par la couverture approuvant les affirmations de Duesberg et rédigé par trois de ses alliés scientifiques, l’un d’entre eux, un ancien professeur de la Faculté de Médecine de Harvard et un autre récent lauréat du Prix Nobel. Une fois de plus, le résultat a été un énorme déversement de réactions tant de soutien que critiques, et le long débat a été publié dans un numéro ultérieur.

What Causes AIDS? (PDF)

(Qu’est-ce qui cause le SIDA)

Nous ne savons toujours pas ce qui cause le SIDA

Charles A. Thomas, Kary B. Mullis et Phillip E. Johnson

Reason – Juin 1994 – 4 600 mots

What Causes AIDS? The Debate Continues (PDF)
Qu’est-ce qui cause le SIDA ? Le débat continue

Les critiques répondent — Reason — Décembre 1994 – 9 100 mots

Le Lancet est une des revues médicales les plus importantes du Monde et en 1996, l’année suivant sa nomination en tant que rédacteur en chef, Richard Horton a publié dans les pages de la prestigieuse, d’un point de vue intellectuel, New York Review of Books (revue bimensuelle qui traite des questions d’actualité en se basant sur une importante revue de presse — NdT) pour produire une discussion de 10 000 mots sur les théories de Duesberg telles qu’elles étaient exposées dans trois des livres et recueils du chercheur.

Horton était manifestement une des personnalités les plus respectables de l’establishment, mais bien qu’il se soit surtout prononcé en soutien du consensus orthodoxe VIH/SIDA, il a présenté la perspective totalement contraire de Duesberg en toute impartialité, avec respect, mais pas sans réserve.

Cependant, ce qui m’a le plus frappé dans le récit de Horton c’est à quel point il semblait atterré par le traitement de Duesberg par le complexe médico-industriel régnant en Amérique, tel que c’est suggéré par son titre « Vérité et Hérésie au sujet du SIDA ».

La toute première phrase de son long article de synthèse mentionnait la « vaste industrie universitaire et commerciale construite autour… du VIH » ainsi que le défi fondamental que Duesberg posait à son fondement scientifique. Avec pour conséquence que le « brillant virologue » était devenu le « scientifique vivant le plus vilipendé » et le sujet « d’attaques des plus condamnables ». Les principales revues scientifiques avaient fait preuve d’une « attitude partiale alarmante », ce qui a eu pour partie comme conséquence que d’autres dissidents potentiels avaient été dissuadés de poursuivre leurs théories alternatives.

Selon Horton, les considérations financières étaient devenues un élément central du processus scientifique, et il a noté avec horreur qu’une conférence de presse sur la recherche, qui remettait en question l’efficacité d’un médicament anti-SIDA particulier, était en fait bourrée de journalistes spécialisés dans la finance, focalisés sur les efforts des dirigeants d’entreprise à détruire la crédibilité d’une étude qu’ils avaient eux-mêmes aidée à concevoir, mais qui allait maintenant à l’encontre de leur propre produit.

Plus important encore, bien que Horton était dans l’ensemble sceptique par rapport aux conclusions de Duesberg, il était absolument cinglant envers les opposants au virologue dissident.

Un des aspects les plus troublants du différend entre Duesberg et l’establishment du SIDA était la façon dont on avait refusé à Duesberg la possibilité de tester son hypothèse. Dans une discipline régie par des affirmations empiriques de la vérité, les preuves expérimentales sembleraient la manière la plus évidente de confirmer ou de réfuter les affirmations de Duesberg. Mais Duesberg avait trouvé les portes de l’establishment scientifique closes à ses fréquents appels à des tests…

Duesberg mérite d’être entendu, et l’assassinat idéologique qu’il a subi restera un témoignage embarrassant des tendances réactionnaires de la science moderne… À une époque où les idées nouvelles et de nouvelles voies d’investigation sont si désespérément recherchées, comment la communauté du SIDA peut-elle se permettre de ne pas financer la recherche de Duesberg ? »

Cette dernière phrase retentissante clôturait toute la critique, parue il y a plus d’un quart de siècle dans une publication prestigieuse et influente. Pour autant que je sache, la critique sincère de Horton est tombée entièrement dans des oreilles de sourds, et l’establishment du SIDA a simplement ignoré toute la controverse tout en faisant progressivement pression sur les médias pour qu’ils mettent fin à toute couverture. Cela semble confirmer pleinement le récit fourni dans le best-seller actuel de Kennedy.

Truth and Heresy About AIDS

(Vérité et Hérésie au sujet du SIDA)

Richard Horton – The New York Review of Books – 23 mai 1996 – 10 100 mots

Pris ensemble, ces cinq articles comptent plus de 45 000 mots, la longueur d’un petit livre, et fournissent probablement un débat aussi bon et équilibré sur l’Hypothèse Duesberg que ce qu’on peut trouver où que ce soit.

D’après l’article de l’AP le livre de Kennedy s’est probablement vendu à 200 000 exemplaires dans les premières semaines suivant sa publication du 16 novembre. Le livre a ravi la place de n° 1 sur Amazon et a conservé cette position une bonne partie du mois de décembre, donc les ventes globales peuvent maintenant s’élever à plus du double de ce chiffre.

Mais même si le nombre total d’exemplaires imprimés devait éventuellement atteindre le million ou plus, de tels chiffres ne représentent tout au plus une minuscule fraction des dizaines de millions d’Américains qui sont submergés chaque jour par les messages fortement promus par nos médias électroniques et nos médias sociaux, organismes médiatiques qui mettent sur liste noire ou qui boycottent le matériel important que Kennedy présente. Donc à moins que le mur défensif des médias ne puisse être contourné avec succès, le message du livre de Kennedy se limitera probablement surtout à cette fraction de la population qui est déjà à l’écoute, renforçant peut-être leur détermination, mais gagnant relativement peu de nouveaux adhérents.

Il y a plusieurs années, j’ai exactement analysé ce problème, soulignant les difficultés à surmonter un tel blocus médiatique et la stratégie possible à poursuivre, et certaines de mes suggestions méritent d’être citées en larges extraits :

Les médias grand public (mainstream en anglais — NdT) existent en un tout homogène, de sorte que l’affaiblissement ou le discrédit dans un domaine particulier réduit automatiquement également son influence partout ailleurs.

Les éléments du récit médiatique auxquels est confronté un groupe anti-establishment particulier peuvent être trop forts et bien défendus pour les attaquer avec efficacité, et de telles attaques peuvent être écartées comme étant motivées par l’idéologie. Par conséquent, la stratégie la plus productive peut parfois être une stratégie indirecte, en attaquant le récit médiatique ailleurs, à des endroits où il est bien plus faible et bien moins défendu. En plus, gagner ces batailles plus faciles peut générer une plus grande crédibilité et impulsion, ce qui ensuite peut être appliqué à des attaques ultérieures sur des fronts plus difficiles.

Certaines portions de ce mur médiatique peuvent être solides et vigoureusement défendues par de puissants intérêts particuliers, ce qui rend les assauts difficiles. Mais d’autres portions, peut-être plus âgées et moins connues, ont décrépi avec le temps, leurs défenseurs s’en étant éloignés. Enfoncer le mur à ces endroits plus faibles peut être plus facile, et une fois que la barrière a été brisée en plusieurs endroits, la défendre en d’autres devient bien plus difficile.

Par exemple, considérez les conséquences si l’on démontre que le récit médiatique établi est complètement faux sur un événement individuel. Une fois ce résultat largement reconnu, la crédibilité des médias sur tous les autres sujets, même n’ayant aucun rapport serait quelque peu atténuée. Les gens ordinaires concluraient naturellement que si les médias se sont trompés si longtemps sur un point important, ils pourraient se tromper également sur d’autres points, et la puissante suspension de l’incrédulité qui fournit aux médias son influence deviendrait moins puissante. Même les individus qui forment collectivement le corpus des médias pourraient commencer à considérer de sérieux doutes sur eux-mêmes en ce qui concerne leurs certitudes antérieures.

Le point crucial c’est que de telles percées peuvent être les plus faciles à réaliser dans des sujets qui semblent être simplement d’importance historique, et qui sont totalement éloignés de toute conséquence pratique actuelle.

Selon les paramètres habituels du débat public, les défis à l’orthodoxie établie sont traités comme étant des « affirmations extraordinaires » qui doivent être justifiées par des preuves extraordinaires. Cette exigence peut être injuste, mais elle constitue la réalité dans de nombreux échanges publics, fondés sur le cadre fourni par les médias prétendument impartiaux.

Étant donné que la plupart de ces controverses impliquent un large éventail de questions complexes et de preuves ambiguës ou contestées, il est souvent extrêmement difficile d’établir de façon concluante une théorie non orthodoxe, disons à un niveau de confiance de 95 ou 98 %. Par conséquent, le verdict des médias est presque invariablement « Cas non prouvé » et les contestataires sont jugés vaincus et discrédités, même s’ils semblent réellement avoir la prépondérance des preuves de leur côté. Et s’ils contestent haut et fort l’injustice de leur situation, cette même réponse est alors citée par la suite par les médias comme preuve supplémentaire de leur fanatisme ou de leur paranoïa.

Cependant, supposons qu’une stratégie entièrement différente ait été adoptée. Au lieu d’essayer de monter un dossier « au-delà de tout doute raisonnable », les tenants fournissent simplement suffisamment de preuves et analyses pour suggérer qu’il y a 30 % ou 50 % ou 70 % de chances que la théorie non orthodoxe soit vraie. Le fait même qu’aucune affirmation de quasi-certitude ne soit avancée fournit une défense puissante contre toute accusation plausible de fanatisme ou de pensées délirantes. Mais si la question est d’importance énorme et — comme c’est habituellement le cas — la théorie non orthodoxe a été presque totalement ignorée par les médias, bien qu’elle ait apparemment au moins une chance raisonnable d’être vraie, alors les médias peuvent être attaqués de manière efficace et ridiculisés pour leur paresse et leur incompétence. Ces accusations sont très difficiles à réfuter et puisqu’aucune affirmation n’est faite que la théorie non orthodoxe s’est nécessairement avérée exacte, simplement qu’elle pourrait éventuellement être correcte, toute contre-accusation de tendance conspiratrice tomberait à plat.

En effet, les seuls moyens que les médias pourraient avoir pour réfuter efficacement ces accusations seraient d’explorer tous les détails complexes de la question (aidant en cela à porter eux-mêmes à une attention plus large différents faits controversés) et ensuite prétendre qu’il n’y a qu’une chance négligeable que la théorie soit correcte, peut-être 10 % ou moins. Ainsi, l’habituelle charge de la preuve est complètement inversée. Et comme il est peu probable que la plupart des membres des médias n’aient jamais accordé une attention sérieuse sur le sujet, il se pourrait que leur présentation, faite par des ignorants, soit assez faible et vulnérable face à une déconstruction bien informée. En effet, le scénario le plus probable est que les médias continueront à ignorer totalement toute la controverse, renforçant ainsi ces accusations plausibles de paresse et d’incompétence.

American Pravda: Breaching the Media Barrier

(Pravda Américaine : traverser la barrière médiatique)

Ron Unz – The Unz Review – 24 octobre 2016 – 2 500 mots

Le public principal du livre de Kennedy est la communauté anti-vaxx importante et mobilisée, et beaucoup de ces personnes peuvent ignorer sa longue discussion sur la controverse VIH/SIDA, ou même l’écarter au motif qu’elle détourne l’attention. Mais je pense que c’est une grave erreur stratégique. Au lieu de cela un accent majeur sur le récit douteux VIH/SIDA et l’hypothèse opposée de Duesberg peut constituer le meilleur moyen de discréditer l’establishment médical dominant de l’Amérique, et ainsi permettre une réévaluation de notre politique vaccinale. Comme je l’ai expliqué vers la fin de ma recension :

En tant qu’observateur extérieur sans expertise particulière dans ces domaines de la médecine, j’ai été impressionné par une grande partie du matériel que Kennedy a réuni en soutien à ses points de vue non orthodoxes sur les vaccins et les traitements Covid, mais j’ai trouvé que les preuves qu’il a fournies sur le VIH et le SIDA étaient beaucoup plus compréhensives et persuasives, tout en étant plus appuyées par des experts faisant bien plus autorité. Mais si, comme il l’affirme, la vérité au sujet du VIH et du SIDA a été supprimée avec succès pendant des décennies par l’ensemble de l’industrie médicale, alors nous devons nécessairement devenir très méfiants au sujet des autres allégations médicales, y compris celles concernant le Covid et les vaccinations.

Je me demande même si cela ne représente pas une partie du sous-entendu caché de l’âpre bataille actuelle au sujet de la vaccination et la réaction presque paranoïaque de tant d’opposants. Ceux qui ont contesté le dogme scientifique officiel sur le SIDA ont depuis longtemps été chassés de la place publique, de sorte que bien peu parmi ceux qui puisent leurs informations des médias grand public sont même au courant du conflit. Mais le genre de théories divergentes présentées par Kennedy a probablement circulé depuis des années à l’intérieur de segments particuliers de la population, et ces personnes sont devenues fermement convaincues qu’un grand nombre d’Américains sont morts parce que l’establishment médical a infligé le traitement mortel AZT pour lutter contre l’inoffensif virus VIH. Donc elles deviendraient alors extrêmement méfiantes si elles apprenaient qu’un virus Covid à faible mortalité était traité par l’utilisation généralisée de nouveaux vaccins expérimentaux qui ont complètement contourné le processus de test habituel grâce à un ensemble de dérogations d’urgence. Après avoir absorbé le contenu remarquable de l’important livre de Kennedy, je pense qu’il n’est pas déraisonnable d’avoir de telles préoccupations.

Lectures associées :

Traduction Jean Bitterlin, le 5 janvier 2022




Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique

Conférence de Peter Duesberg – Université de Californie à Berkeley

Académie Internationale de Médecine Buccale et de Toxicologie
Las Vegas, 12 Septembre 2015
Peter Duesberg – Université de Californie à Berkeley
Hôte : Dr Richard Fischer

Traduction : Jean Bitterlin – 2019

[Voir aussi :
Fauci et la grande arnaque du sida
SIDA : le doute — Film documentaire RTS, ARTE France, TVE, Histoire TV. 1997
et
Contestation du lien entre VIH et SIDA]

L’ascension et l’effondrement de l’hypothèse virus-SIDA

Est-ce déjà un chapitre de l’Histoire de la Science ?

Comme vous allez le voir maintenant – Je pense que la réponse est Oui.

L’origine de l’hypothèse Virus-SIDA en 1984

En mai 1984 le laboratoire du chercheur en virologie Robert Gallo de l’Institut National de la Santé (NIH) a publié une série sensationnelle de 4 articles dans le même n°du magazine Science qui promettait de mettre fin à la panique générale de ce qui était alors une mystérieuse épidémie de SIDA.

D’après ces articles, le laboratoire de Gallo avait trouvé que ‘la cause première du SIDA’ est un nouveau rétrovirus sexuellement transmissible.

L’hypothèse virus-SIDA de Gallo a été acceptée du jour au lendemain,

  • (1) parce que Science est le journal scientifique le plus prestigieux des Etats-Unis,
  • (2) parce que le NIH est l’institut de financement le plus puissant des Etats-Unis qui finance plus de 80% de la recherche médicale
  • et (3) parce que la presse publique, surtout le New York Times avait propagé l’histoire que la nouvelle épidémie était sexuellement transmissible – et que d’après Liz Taylor “Nous sommes tous concernés”.

Il y avait néanmoins deux défauts fondamentaux dans les articles sensationnels de Gallo qui remettent en question l’hypothèse de ‘cause première’.

Défaut 1 . Le ‘virus qui serait la cause’ n’a été trouvé que dans moins de 50% des malades du SIDA de Gallo (voir tableau 1). Donc le virus ne remplissait même pas le premier des classiques postulats de Koch – 100% de corrélation. (voir ci-après).

Défaut 2. A l’insu de Science, une vérification ultérieure du laboratoire de Gallo n’a pas confirmé ne serait-ce qu’une seule des isolations de virus de Gallo.

Tableau 1. Détection et isolation du HTLV-III chez des malades avec SIDA et pré-SIDA

(Gallo et al. Science, vol. 424, p500-503,1984)

Postulats de Koch définissant la cause d’une maladie microbienne

  1. Le microbe/virus est trouvé dans tous les cas (100%) de la maladie.
  2. Le microbe/virus peut être isolé de la maladie.
  3. Le microbe/virus isolé cause la maladie chez un hôte approprié, animal ou humain.

[Ndlr : d’autres versions de ces postulats en formulent 4 ou 5 et non seulement 3. Il s’agit probablement ici d’une version simplifiée pour les besoins de la conférence.]

Mais l’hypothèse Virus-SIDA a prévalu sur toutes les questions ‘techniques’.

Sous les ‘feux des projecteurs’ de l’hypothèse de Gallo et du NIH, le virus du SIDA nouvellement découvert a été considéré comme mettant fin au mystère de la nouvelle épidémie du SIDA – sans tenir compte de ‘questions techniques’.

Grâce à Gallo/NIH la nouvelle épidémie serait maintenant contrôlable par les protections conventionnelles contre les maladies vénériennes, et serait d’après Margaret Heckler Secrétaire à la Santé en 1984, bientôt complètement évitée, ‘en moins de deux ans’, par un nouveau vaccin antiviral.

En raison de ce soutien somptueux à l’hypothèse virus-SIDA par le NIH et de l’excitation publique au sujet de la découverte de ‘la cause du SIDA’ – le nouveau virus a été immédiatement baptisé ‘virus du SIDA’ dans les médias et a été nommé virus de l’Immunodéficience Humaine (VIH) dans la littérature professionnelle (Science, 1986).

L’Académie Nationale des Sciences et l’Institut de Médecine unissent leurs forces pour faire face à une épidémie de SIDA imminente.

Alarmés par le nouveau ‘virus du SIDA’ sexuellement transmissible et la perspective d’une épidémie nouvelle ‘de type syphilis’ – l’Académie Nationale des Sciences et l’Institut de Médecine ont uni leurs forces etnommé des experts dans un ‘comité du ruban bleu’ pour faire face à une menaçante épidémie de SIDA.

Le Prix Nobel pour les rétrovirus David Baltimore a été désigné pour diriger le comité d’experts qui a fait le brouillon d’un livre complet de stratégies pour défendre les Américains contre une épidémie de SIDA imminente.

Les stratégies du comité ont été publiées par l’Académie dans un nouveau livre ‘Affronter le SIDA’.

“Il y a actuellement de 1 à 1,5 millions d’Américains infectés avec le VIH.”

“Parmi eux on s’attend à ce que 20 à 30% développent le SIDA avant 1991.”

“Les cas de SIDA … acquis par contacts hétérosexuels vont passer de 1 100 en 1986 à presque 7 000 en 1991… “

“Les cas de SIDA pédiatriques vont presque décupler durant les 5 prochaines années à plus de 3 000 cas cumulés…”

(Affronter le SIDA, 1986).

Le comité suivait ainsi exactement les prédictions de la théorie microbienne classique des maladies

La théorie des germes prédit (depuis Koch et Pasteur) qu’une nouvelle maladie virale ou microbienne se répand dans une population de manière exponentielle jusqu’à ce que tous les sujets susceptibles ne soient infectés en l’espace de quelques semaines ou mois – tout juste comme lors de la grippe saisonnière.

La population infectée guérit ensuite en générant une immunité, mais quelques-uns peuvent périr de l’infection. En conséquence l’épidémie décline alors de manière exponentielle parce que les survivants sont immunisés contre lenouveau microbe (ou décédés).

Pour toutes les nouvelles épidémies infectieuses l’essor et le déclin exponentiels des infections forment des courbes en cloche classiques.

Dans la page suivante je montre l’exemple de la grippe mondiale après la Première Guerre Mondiale en 1918.

La courbe classique en cloche de l’épidémie de grippe aux Etats-Unis et en Europe en 1918.

Hausse et baisse exponentielles en quelques mois.

Notes :

  • Abscisse en mois.
  • La mortalité augmentée 6 fois.
  • Les virus se multiplient de manière exponentiel le en moins de 24 heures.

La propagande scientifique en faveur de l’hypothèse VIH-SIDA a atteint son apogée en 2000 avec la ‘Déclaration de Durban’ de Nature

En 2000 Nature a publié “Plus de 5 000 articles scientifiques, parmi lesquels des lauréats du Prix Nobel, “ont déclaré” que le VIH tuera 24 millions de personnes en Afrique.

Ils ont “déclaré” en outre, « Les preuves que le VIH est la cause du SIDA est tranchée, exhaustive et sans ambiguïté » – mais n’offraient comme preuve directe que leur seule ‘autorité’.

La déclaration désigne l’Afrique comme “épicentre du SIDA”, 24,5 millions des 30 millions de séropositifs du Monde sont Africains, bien que « le VIH ignore toute frontière ».

Mais la carte présentée dans leur déclaration montre des frontières très nettes :

“Le VIH ignore …les frontières’’ Déclaration de Durban (Nature 2000)

Page 1/2 de la déclaration signée par plus de 5 000 scientifiques dans Nature

Remarque : une image couleur avec de grands sourires , mais aucun espace pour les preuves.

Texte de la photo :

Titre : La Déclaration de Durban

Le VIH cause le SIDA. Freiner la propagation de ce virus doit rester la première étape en vue d’éliminer cette maladie dévastatrice.

17 ans après la découverte du virus à immunodéficience humaine, des milliers de personnes du monde entier se rassemblent à Durban en Afrique du Sud pou participer à la XIIIème conférence internationale du SIDA qui débute la semaine prochaine (9 juillet). Au tournant du millénaire les chiffres publiés la semaines dernière révèlent qu’environ 34,3 millions de personnes dans le Monde vivent avec le VIH ou le SIDA, 24,5 millions d’entre elles en Afrique subsaharienne. Rien que l’an passé 2,8 millions de personnes sont décédées du SIDA, le taux le plus élevé depuis le début de l’épidémie. Si la tendance actuelle se poursuit, le Sud et le Sud-Est de l’Asie, l’Amérique du Sud et les régions de l’ancienne Union Soviétique porteront également un lourd fardeau lors des deux prochaines décennies.

Le SIDA se répand par infection, comme de nombreuses autres maladies telles que la tuberculose et la malaria qui causent la maladie et la mort particulièrement dans les communautés défavorisées et appauvries. Le VIH-1 qui est responsable de la pandémie de SIDA, est un rétrovirus étroitement apparenté à un virus d’immunodéficience simienne (SIV) qui infecte les chimpanzés. Le VIH-2 qui est ‘prévalent’ en Afrique de l’Ouest et qui s’est répandu en Europe et en Inde, est presque indiscernable du SIV qui infecte les singes cercocèbes noirs. Bien que le VIH-1 et le VIH-2 sont d’abord apparus pour la première fois en tant que zoonoses – infections transmises d’animal à humain – les deux se répandent maintenant par contact sexuel, de mère à enfant, et via le sang contaminé.

Une source animale pour une infection n’est pas unique au VIH. La peste est venue par les rongeurs, la grippe par les oiseaux. Le virus Nipah par les cochons. Au Royaume Uni une variante de la maladie de Creutzfeld-Jacob est identique à la maladie de ‘la vache folle’. Une fois que le VIH s’est installé chez les humains, il a rapidement suivi les habitudes et les mouvements humains. Comme beaucoup d’autres virus, le VIH ne connaît pas de frontières sociales, politiques ou géographiques.

La preuve que le SIDA est causé par le VIH-1 ou le VIH-2 est tranchée, exhaustive et sans ambiguïté et répond aux normes les plus élevées de la science. Les données remplissent exactement les mêmes critères que celles des autres maladies virales, telles que la polio, la rougeole et la variole.

Les malades avec le syndrome d’immunodéficience acquise, peu importe où ils vivent sont infectés avec le VIH.

Légende de la photo : Si rien n’est fait le nombre de décès du SIDA en Afrique sera énorme.

Alors quels sont à ce jour, 31 ans plus tard et des milliards dépensés, les résultats de l’hypothèse VIH ?

Malgré 31 années d’efforts les prédictions suivantes de l’hypothèse du virus restent non confirmées (voir les preuves par la suite)

  1. Pas d’épidémie généralisée aux USA, en Europe – et même en Afrique.
  2. Pas de preuve que le SIDA soit contagieux.
  3. Pas de vaccin.
  4. Pas de médicaments curatifs : les traitements consistent en une chimiothérapie inévitablement toxique (par ex. le terminateur de chaîne AZT ; voir ci-dessous)
  5. Le NIH ne finance que la recherche associant le VIH au SIDA.

Prédiction non confirmée n°1 ‘Pas d’épidémie généralisée du SIDA …’

Commençons par la Déclaration de Durban de Nature que 24 millions d’Africains sont en train demourir du SIDA et que le continent africain sera très bientôt décimé par le SIDA.

Contrairement à la ‘Déclaration de Durban’ de Nature, la population de l’Afrique subsaharienne a triplé depuis qu’il y a le SIDA, passant de 400 millions en 1984 à 1,2 milliards maintenant.

Malgré la forte prévalence des anticorps contre le VIH (Déclaration de Durban), les statistiques de la Banque Mondiale et du Bureau de Recensement International US montrent que la population de l’Afrique subsaharienne dans son ensemble a doublé depuis le début de l’ère VIH-SIDA au début des années 1980 – passant de 400 millions à 800 millions en 2007 – et est maintenant sur le point de tripler à 1,2 milliards.

Même le New York Times le confirme – en passant – que la population a fortement augmenté malgré le VIH

Le 4 mai 2011, le New York Times publie que l’Afrique venait d’atteindre le milliard d’habitants et devrait être le continent de plus forte croissance démographique pour le siècle à venir.

L’article faisait remarquer en passant, ‘’l’épidémie de SIDA, aussi dévastatrice qu’elle ait pu être, n’a pas été le désastre démographique prédit autrefois’’. (New York Times du 4 mai 2011, p.A1 et A3)

Donc le VIH ne peut pas être le virus tueur tel qu’on l’avait décrit dans la ‘’Déclaration” de plus de 5 000 scientifiques dont des Prix Nobel.

Au lieu de cela, le VIH peut être crédité d’une explosion démographique.

Et qu’en est-il advenu de l’épidémie générale du SIDA en Amérique ‘prévue’ par le NIH/Gallo et par le Comité Affronter le SIDA de l’Académie?

L’épidémie de SIDA sexuellement transmissible prédite dans l’ensemble de la population des Etats-Unis n’a pas été confirmée depuis 1984.

Considérant le fait que nous, les 300 millions d’Américains, produisons environ 4 millions de bébés par an, et qu’il n’y a toujours pas de vaccin contre le virus sexuellement transmissible du SIDA, la théorie des germes prédirait une énorme épidémie générale de SIDA ‘hétérosexuel’ depuis 1984.

Exactement – ce que Gallo et le comité du ruban bleu de l’Académie et l’Institut de Médecine prédisaient également. Mais ceci n’arriva pas.

Au lieu de cela nous avons trouvé une microépidémie constante, non exponentielle (et donc non due à un nouveau virus!) de moins de 0,01% ou environ 20 000 ‘cas de SIDA’ pour 300 millions de personnes par an.

Et tous ces cas proviennent de groupes anormaux, communément appelés ‘groupes à risque’ – qui n’ont pas formé une courbe en forme de cloche qui est typique pour tout nouveau virus pathogène. Voir ci-après

Centres de Contrôle des Maladies : Rapport graduel, pas d’augmentation exponentielle du ‘SIDA’ au cours des années depuis 1984 début du dépistage. Puis une diminution constante et une stabilisation à 20 000 ‘cas de SIDA’ ou < 0,01 % sur 300 millions de 1997 à 2008 et à ce jour.

Remarque : le graphique cache plus qu’il ne montre. Il n’y a pas de courbe en forme de cloche en quelques mois comme c’est typique pour les épidémies [prétendument] dues à un nouveau virus..

La courbe classique en cloche de l’épidémie de grippe aux Etats-Unis et en Europe en 1918 :

Hausse et baisse exponentielles en quelques mois.

Notes :

  • Abscisse en mois.
  • La mortalité augmentée 6 fois.
  • Les virus se multiplient de manière exponentiel le en moins de 24 heures.

Résumé : le SIDA aux Etats-Unis depuis 1984 :

Pas d’augmentation exponentielle due à une épidémie de SIDA naissante, mais une micro-épidémie constante chez les ‘groupes à risque’ et existante depuis longtemps.

Donc au lieu de la grosse nouvelle épidémie de SIDA, il y a une micro-épidémie constante, qui affecte un groupe à risque, inférieure à 0,01% de la population américaine !

L’évolution constante dans le temps et la restriction aux ‘groupes à risque’ excluent tous deux une nouvelle épidémie virale.

Alors quels sont ces groupes à risque?

« Groupes à risque » aux USA :

Pas compatibles avec une ‘nouvelle maladie vénérienne’ généralisée

Total cumulé des cas de SIDA aux USA de 1984 à 2008 :

Homosexuels mâles 513 138
Toxicomanes par intraveineuse 341 456
“Hétérosexuels à risque” 188 584
(normalement drogues
récréatives)
Hémophiles, transfusés et 20 509
bébés de mères séropositives
Total 1 063 687
Moyenne par année 41,000

Donc le SIDA aux USA est restreint à des groupes à risque non aléatoires et non expansibles – contrairement à une nouvelle maladie sexuellement transmissible

Cette restriction constante à des groupes à risque est le schéma classique des maladies dues au mode de vie.

Exemples : cancers du poumon liés au tabagisme, cirrhose du foie liée à l’alcoolisme.

Mais si vous vous tracassez toujours encore si malgré tout le SIDA est contagieux, regardez l’image qui suit.

Aucune preuve que le SIDA soit contagieux

Depuis 2009 aucun médecin ou infirmière n’a jamais contracté le SIDA (non simplement le VIH) au contact des plus de 1 030 000 malades du SIDA aux USA. Et il n’y a pas de vaccin pour protéger les médecins !

Mais environ 1 000 médecins ou infirmières contractent chaque année l’hépatite des patients soignés.

Parmi les milliers de chercheurs du Monde entier travaillant sur le VIH aucun n’a contracté le SIDA.

Aucune épouse d’hémophile séropositif n’a contracté le SIDA de son mari.

Depuis 1984 aucune épidémie du SIDA chez les hétérosexuels n’a eu lieu aux USA, en Europe, en Asie et même en Afrique (voir précédemment)

Aucune épidémie de SIDA ne s’est produite chez les prostituées où que ce soit dans le Monde.

Aucune épidémie pédiatrique ne s’est produite parmi les bébés nés de millions de mères séropositives, particulièrement en Afrique.

Conclusion : le SIDA n’est pas contagieux.

Partie 2
Théorie alternative du SIDA

Afin d’expliquer,

  1. Pourquoi le VIH n’a pas provoqué de nouvelle épidémie sexuelle dans notre pays ni dans aucun autre pays,
  2. Pourquoi le SIDA n’est pas guéri ou évité par des anticorps contre

le VIH trouvé chez tous les malades du SIDA par les tests Gallo/NIH,

  1. Pourquoi le SIDA n’est pas contagieux,
  2. Pourquoi le SIDA est confiné dans des petits ‘groups à risque’ avec des risques anormaux de santé tels que la consommation de drogues récréatives, et de médicaments antiviraux inévitablement toxiques tel que le terminateur de chaîne AZT.

Nous avons avancé une théorie du SIDA alternative. Voir la suite

Nouvelle théorie du SIDA

Le SIDA est une épidémie chimique provoquée par :

  1. La consommation sur le long terme de drogues psychotropes récréatives et aphrodisiaques.
  2. Les ‘terminateurs de chaîne AND’ et les ‘inhibiteurs de protéase’ prescrits aux ‘positifs au VIH’ pour se prévenir du SIDA ou le guérir.

En conséquence le SIDA est une maladie chimique/de mode de vie largement évitable plutôt qu’une infection virale fatale inevitable !

Alors quelles sont les preuves ?

Drogues récréatives consommées par des homosexuels masculins d’après les CDC

Ainsi la consommation répandue de drogues récréatives/aphrodisiaques par une minorité d’homosexuels masculins explique la raison pour laquelle ils ont formé un ‘groupe à risque’ pour le SIDA.

Une raison supplémentaire en est la malheureuse et répandue prescription aux séropositifs de médicaments anti VIH inévitablement toxiques tel que le terminateur de chaîne AZT.

En France les poppers toujours en vente libre en juin 2019 !!

Les médicaments antiviraux prescrits aux séropositifs :

‘Le SIDA par prescription’ ?

L’AZT, terminateur de chaîne ADN, premier médicament antiviral utilisé depuis 1987

L’AZT avait été conçu en 1964 par Horwitz et al. pour la chimiothérapie afin de tuer les cellules cancéreuses mais en tuant également les cellules normales – particulièrement les cellules intestinales à croissance rapide – ce qui était le prix rationnel à payer.

Par conséquent l’AZT c’est ‘Le SIDA par prescription’ pour les séropositifs.

AZT = SIDA par prescription

L’AZT peut provoquer une anémie mortelle, une grave déficience immunitaire, le cancer, des dommages nerveux ainsi qu’au foie, la perte de masse musculaire, la démence, la diarrhée et d’autres maladies (Duesberg et al. (2003) J. Biosc.)

Sur l’étiquette on peut lire : Toxique

Toxique par inhalation, au contact de la peau et si avalé. Organes ciblés : sang, moëlle osseuse. Si vous vous sentez mal consultez un médecin (montrez l’étiquette si possible). Portez des habits protecteurs appropriés.

Les problèmes générés par les médicaments anti VIH/SIDA

Les médicaments anti VIH/SIDA sont des inhibiteurs de la synthèse de l’ADN conçus au départ pour la chimiothérapie cancéreuse.

Il y a 3 problèmes fondamentaux avec cette thérapie :

  1. L’AZT est inévitablement immunotoxique, c’est le ‘SIDA par prescription’.
  2. Le VIH ne se duplique même pas, ne fabrique pas d’ADN chez les malades ou chez les personnes ayant des anticorps contre le VIH.
  3. Le VIH ne cause pas le SIDA.

Le premier essai contrôlé confirme la toxicité prévisible de l’AZT

En 1987, le New England Journal of Medicine a publié le premier essai placebo contrôlé de l’AZT :

Il a montré des anémies mortelles chez 24% des sujets et la neutropénie chez 16% en moins de quelques semaines après traitement des 149 malades du SIDA (Fischl et al. New England Journal of Medicine, 1987).

En plus, ‘de graves réactions indésirables, particulièrement la myélosuppression’, ont été observées.

Nausées, myalgie, insomnies et de violents maux de tête ont été rapportés plus fréquemment chez les receveurs d’AZT.

Un essai contrôlé confirme la prévisible toxicité de l’AZT

‘La macrocytose s’est développée en quelques semaines chez la plupart des patients du groupe AZT’ (NEJM et Science, 1987)

30 des 149 receveurs d’AZT n’ont pu être maintenus en vie que par des transfusions sanguines.

Après 21 mois, 42% des malades du groupe sous AZT et 35% de du groupe de contrôle étaient décédés.

Il se peut que de nombreux malades du groupe de contrôle soient décédés non seulement du SIDA mais également parce qu’ils ont reçu de l’AZT par ‘compassion’.

Deuxième essai contrôlé : l’AZT n’évite pas le SIDA chez les séropositifs et augmente la mortalité de 25%

En 1994 l’étude Franco-britannique Concorde, la plus grande étude placébo contrôlée de sa sorte examine 1 749 sujets sans SIDA, la plupart d’entre eux étant des homosexuels masculins séropositifs.

Résultat : l’AZT ne peut éviter le SIDA et augmente la mortalité de 25%.

Les auteurs ont conclu, “Les résultats de Concorde n’encouragent pas au recours précoce à la zidovudine (AZT) chez les adultes infectés au VIH sans symptôme de maladie.”

Une autre facette des médicaments anti SIDA : mourir de maladies ‘non définies SIDA’ en étant sous médicaments anti VIH (!) ctd

Une fois que les médicaments antiviraux ont été approuvés, au début de 1987, les malades américains qui avaient le SIDA et qui étaient traités avec des cocktails de médicaments antiviraux commencèrent à développer des maladies non définies SIDA et à en mourir.

Par exemple, Reisler et al. ont publié en 2003 dans le J.AIDS

“Les effets les plus indésirables de grade 4 (“événements graves engageant le pronostic vital qui ne sont pas définis SIDA”) les plus courants étaient liés au foie (148 patients, 2,6% par personne et par an)

Les événements cardiovasculaires étaient associés avec un risque de décès plus élevé (rapport du risque = 8,64 ; 95% Cl :5,1 à 14,5)

Reisler et al. poursuivirent : « Le premier événement indésirable de grade 4 et le premier événement SIDA étaient associés avec des risques de décès similaires, respectivement 5,68 et 6,95. »

El-Sadr et al. déclarent dans le New England Journal of Medicine de 2006 « un paramètre secondaire important était la maladie cardiovasculaire, rénale et hépatique. »

Reisler et al. et Sadar et al. concluent qu’environ 50% des malades du SIDA traités avec des médicaments meurent de maladies non définies SIDA induites par les médicaments antiviraux.

Conclusion : Les médicaments antiviraux provoquent des maladies définies SIDA ainsi que des maladies non définies SIDA

La Névirapine pour éviter la transmission mère-enfant du VIH

L’inhibiteur de synthèse du VIH ‘Névirapine’ est désormais utilisée comme prophylaxie de la transmission du VIH de mère à enfant.

Néanmoins, les directives de traitement du NIH (National Institutes of Health – Institut National de la Santé) informent :

‘‘… le risque de plusieurs maladies non définies SIDA, parmi lesquelles les maladies cardiovasculaires, hépatiques, rénales et certaines malignités non SIDA est supérieur au risque du SIDA chez les personnes avec des taux de lymphocytes T CD4 >200 cellules/mm3. »

2012, San Francisco Chronicle:

UCSF AIDS researcher:

Gladstone is a UCSF AIDS department on Mission Bay.

Extrait d’un article titré publié par Erin Allday dans le journal San Francisco Chronicle du 25 septembre 2012 et titré “les malades du SIDA vieillissent prématurément”

“Tout comme nous vieillissons les animaux il sera également intéressant de voir comment leur système immunitaire vieillit. Nous pouvons examiner si l’effet du vieillissement est provoqué par le virus, par les médicaments VIH ou par une association ou quelque chose de tout-à fait nouveau” a dit Shomyseh Sanjabi, un assistant chercheur à Gladstone. “Vous pouvez vraiment aborder quelques-unes des questions que personne n’a été pour le moment capable d’aborder dans le champ”.

Gladstone est le département SIDA de l’Université de Californie et de San Francisco qui se trouve à Mission Bay en Californie.

2009, vieillissement prématuré sous médicaments anti-VIH

New York Magazine, Novembre 2009

Gauche : Russel Steinke , 56 ans, 23 ansde VIH. A souffert de perte de mémoire, de dommages nerveux aux pieds, de lipodystrophie, de fatigue.

Droite Enrico McLane, 52 ans, 17 ans de VIH. A souffert de perte de mémoire à court terme, pose de 2 prothèses aux hanches.

SF Chronicle, un homme sans VIH après 8 années sous médicaments anti-VIH.

Différence entre médications SIDA et VIH?

Pas d’affirmation dans l’article de 2004, XX.

Le diagnostic du médecin du patient atteint du SIDA sans VIH après 8 années sous médicaments anti-VIH.

D’après le médecin responsable, « le malade a présenté des symptômes qui pouvaient concorder avec un diagnostic VIH »

(Guthrie J., article du journal sur « Un faux diagnostic a été découvert après 8 ans » dans le San Francisco Chronicle, San Francisco pages B1, B7, 27 août 2004).

Conclusions

1. Toutes les preuves scientifiques disponibles indiquent que le VIH est, comme tous les autres rétrovirus, un rétrovirus inoffensif ; les rétrovirus n’ont jamais provoqué d’épidémie de quelque maladie que ce soit.

2. Compte tenu

  • Premièrement de l’inévitable toxicité des médicaments anti-VIH et
  • Deuxièmement des preuves épidémiologiques et virologiques que le VIH ne tue pas les lymphocytes T (Hoxie, Levy et al., 1984) il n’y a aucune justification pour quelque médicament anti-VIH que ce soit.

Néanmoins, des prescriptions à vie de l’AZT et d’autres médicaments anti-VIH sont le traitement standard des soins pour les séropositifs aux Etats-Unis et dans le reste du Monde.

Sommes-nous seuls ?
Apparemment plus

L’article de Goodson a été vu plus de 20 000 fois !

Interrogations sur l’hypothèse VIH-SIDA. 30 années de dissidence.

Patricia Goodson, Département de la Santé et de la Kinésiologie, Université Texas A&M.

Depuis 1984 lorsque l’hypothèse VIH provoque le SIDA fut annoncée, de nombreux chercheurs ont mis en doute la prémisse et proposé des explications alternatives. Trente ans plus tard des thèses divergentes tout comme des interrogations de l’hypothèse dominante persistent. Cet article synthétise les questions soulevées les plus pertinentes ainsi que les théories qui proposent des causes non virales du SIDA. La synthèse est organisée en fonction de quatre catégories de données qui semblent étayer l’hypothèse VIH-SIDA : les marqueurs moléculaires rétroviraux, la transmission d’images par microscopie électronique (ME) de particules rétrovirales; l’efficacité des médicaments antirétroviraux; et les données épidémiologiques. Malgré trois décennies d’investissements concertés dans l’hypothèse dominante, les questions et défis persistants synthétisés ici offrent aux professionnels de santé publique une occasion de réfléchir à leur présomptions et pratiques concernant l’hypothèse VIH/SIDA.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4172096/

Y a-t-il de l’Espoir? Oui, VOUS êtes l’Espoir!

Et merci à vous tous de m’avoir invité pour cette si rare conférence ‘liberté de pensée’ et ‘liberté de parole’

FIN

(Appaudissements)




Lettre d’information aux élus, maires, députés, sénateurs et citoyens sur le risque du pass vaccinal pour notre démocratie, le 7 janvier 2022

Par Nicole Delépine

L’épidémie due au Covid-19 a provoqué au courant de l’année 2020 une situation considérée comme une urgence sanitaire majeure. Devant ce coronavirus inconnu, dont la première forme a été déclarée à Wuhan en 2019, les gouvernements se sont retrouvés face à une situation complexe.

La France a décidé d’appliquer des mesures plus sécuritaires que sanitaires, qui ont affecté une grande partie de nos citoyens : mesures barrières, confinement, couvre-feu, et masques y compris chez les enfants encore aujourd’hui, etc.

Puis, le Gouvernement a choisi d’appliquer une stratégie uniquement « vaccinale » s’appuyant sur des injections de médicaments préventifs géniques expérimentaux, promettant des effets rapides. Une stratégie du « tout vaccinal » s’est alors mise en place, réponse unique aux vagues successives de cas positifs, en interdisant les traitements précoces (pour des raisons qu’il restera à évaluer lors d’autres commissions d’enquête), pourtant utilisés avec succès dans de nombreux pays comme en Inde.

Pseudo-vaccins usant de nouvelles technologies

Ces « vaccins » ne reposent pas, dans leur conception et dans leur action, sur des méthodes traditionnelles d’élaboration des vaccins selon Pasteur. Ces médicaments préventifs géniques expérimentaux utilisent de nouvelles technologies, pour la majorité à ARN messager et ADN recombinés, jamais utilisées chez l’homme pour lutter contre une infection.

Leur autorisation de mise sur le marché (AMM) a été donnée dans le cadre d’une procédure d’urgence, après étude accélérée de phase I et II dont les conditions d’exécution n’ont pas été transparentes. La phase III est toujours en cours, les premiers résultats sont attendus pour 2023 : il s’agit de substances expérimentales dont les effets bénéfiques, s’ils existent, semblent de très courte durée et dont les effets indésirables à long et moyen terme sont inconnus et, pour certains, inquiétants (modification du génome et de l’épigénétique ?).

Du fait de son ampleur même, cette campagne « vaccinale », réalisée en pleine épidémie et à un rythme très soutenu, devrait être suivie d’une campagne de surveillance et de gestion du risque, similaire aux procédés habituels de surveillance et d’évaluation des risques en population générale.

Incertitudes sur les effets secondaires

L’incertitude de sécurité de ces nouveaux « vaccins » utilisés en France s’est confirmée par le suivi des stratégies vaccinales mises en œuvre autant sur notre territoire que sur celui des pays européens voisins.

Le vaccin Astrazeneca, d’abord proposé sans contre-indication particulière à l’ensemble de notre population, a été remis en cause du fait de nombreux cas de thromboses dans de nombreux pays européens, constatant une balance bénéfice de la « vaccination » et risque du Covid, au moins incertaine, si ce n’est négative. Puis, un avis de la Haute Autorité de Santé du 9 juillet a demandé de vacciner par les autres vaccins disponibles. La France a d’ailleurs arrêté de commander ce vaccin.

Concernant le « vaccin » Moderna, après avoir été injecté sans restriction particulière concernant les catégories d’âge ou état de santé, il est maintenant remis en question par des pays voisins européens, en particulier scandinaves (Suède, Norvège, Danemark puis Finlande) et le Japon qui l’ont interdit aux hommes de moins de 30 ans.

Ces revirements dans les stratégies « vaccinales » confirment l’incertitude qui règne sur les effets secondaires de ces injections.

Cette incertitude, illustrée par ces deux revirements, interpelle, car les effets secondaires avérés touchent une population relativement jeune, peu ou pas sujette aux complications du Covid, mais risquant de développer un effet grave post-vaccinal.

Il convient de mettre ces deux faits en perspective des effets secondaires déclarés par différents organismes officiels dépendant des États.

Le VAERS (Vaccine Adverse Events Reports, base de données des effets secondaires des vaccins aux États-Unis) rapporte plus d’un million d’effets secondaires, dont 21 000 décès confirmés au 27 décembre 2021 et 20 560 myocardites. Selon le VAERS, les inoculas contre le Covid-19 ont accumulé, en 1 an, plus d’effets secondaires graves que TOUS LES AUTRES VACCINS RÉUNIS EN 34 ANS.

L’agence européenne du médicament (EMA) relève des effets secondaires suspectés d’être associés à cette campagne de vaccination, publiés sur EudraVigilance (base de données de l’EMA, de rapport d’effets indésirables de l’UE hors UK)(([1] Base de données européenne des rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments — Décharge de responsabilité (adrreports.eu) )):

les effets indésirables globaux retenus par EudraVigilance sont publiés pour un total de signalements de 1 327 876 observations, au 1er janvier 2022.

Pfizer : 668 442 ; Moderna : 188 082 ; Astra : 428 330 ; Janssen : 43 022.

Et, un total de 36 267 décès susceptibles d’être en rapport avec l’administration de l’injection.

(Pfizer : 16 481 décès ; Moderna : 10 170 décès ; AstraZeneca : 7 371 décès ; Janssen : 2 245 décès).

D’autres chiffres dans le monde interpellent, 50 % des myocardites et des péricardites sont survenues après l’injection de la seconde dose singulièrement chez les moins de 30 ans (chiffres VAERS confirmés en UE, en UK, en Israël) et touchent d’autant plus les plus jeunes (moins de 20 ans).

En France, selon les mots de la directrice générale de l’ANSM, elle-même, lors de son audition au Sénat, le 29 décembre 2021, « on le sait, il y a une sous-déclaration en pharmacovigilance ». Malgré tout, elle s’inquiète du taux élevé de déclarations, comparativement aux années précédentes :

« À mi-novembre 2021, nous avons 110 000 déclarations d’effets indésirables pour les 4 vaccins antiCovid. Dans une année normale, nous avons 45 000 déclarations tous médicaments confondus ».

Les effets secondaires déclarés à l’ANSM en moins d’un an en France s’élèvent à 121 486 cas dont 24 % graves. Thrombose, myocardite, péricardite, pancréatite aiguë, polyarthrite, troubles du rythme cardiaque, zona et maintenant encéphalites et maladie à prions (dite de la vache folle) sont des complications bien décrites. Plus de 1 100 décès, rien que pour le vaccin Pfizer, sont signalés sur le site de l’ANSM.

On estime habituellement que 10 % seulement des cas sont déclarés.

Cette absence dans le suivi de pharmacovigilance est constatée par nombre de travaux universitaires, soulignant le manque d’informations des soignants, leur temporalité restreinte pour exercer un suivi des patients. Ce déficit de moyens peut entraîner des dérives, comme un fort taux de non-prise en compte d’effets secondaires et l’autocensure des soignants sur les déclarations par méconnaissance du mécanisme compliqué de déclaration en pharmacovigilance.

De plus, les vaccinodromes n’ont pas assuré le service « après-vente », laissant les personnes en situation de détresse et sans réel recours possible.

L’incertitude sur les effets secondaires de ces vaccins doit être levée

Les effets secondaires des pseudo-vaccins ne sont pas pris en compte dans l’action gouvernementale, le ministre de la Santé s’obstinant à nier les décès, pourtant signalés par l’agence gouvernementale française.

Ces déclarations négationnistes sont suivies d’une forte incitation vaccinale de la part du Gouvernement, que ce soit par des discours, mais également par des mesures restrictives de liberté qui ont été votées au sein de l’hémicycle.

La loi n° 2021-1465 du 10 novembre 2021 prolonge l’obligation vaccinale pour les soignants et soumet les libertés fondamentales au pass sanitaire pour les citoyens à partir de 12 ans et risque d’être aggravée par le vote de la loi en cours d’examen en ce début janvier, transformant le pass sanitaire en vaccinal.

Actuellement, les autorités sanitaires poussent à la vaccination des enfants à partir de 5 ans, alors que les enfants de moins de 19 ans risquent moins du Covid que de la grippe saisonnière ordinaire (zéro risque du Covid chez les enfants sans comorbidités) et que le pseudo-vaccin ne protège pas des contaminations : aucun intérêt individuel ni collectif, mais des effets indésirables qui pourraient se révéler catastrophiques pour notre pays dans un futur proche. Souvenons-nous notamment de la Dépakine et du Dengvaxia de SANOFI qui a causé la mort de centaines d’enfants aux Philippines.

L’action gouvernementale ne prend pas en compte les effets secondaires déclarés liés aux « vaccins » et poursuit une politique de quasi-obligation vaccinale, sans un système de pharmacovigilance proportionné à ces mesures.

Rôle de protection du Parlement

Le rôle du Parlement est de contrôler l’action gouvernementale. Il est aussi de faire le lien entre politiques et citoyens, indispensable à la vie démocratique de notre pays.

Depuis plusieurs mois, ce lien est distendu et une rupture de confiance s’observe entre une partie de la population et le pouvoir. Des manifestations citoyennes d’ampleur et à l’opposé, les mesures attentatoires aux libertés fondamentales du Gouvernement s’accentuent.

L’impératif est d’autant plus grand, au vu de l’échelle de « vaccination », avec pour rappel une troisième dose nécessaire pour la validité du passe sanitaire et bientôt une quatrième et l’élargissement de la vaccination des enfants à partir de 5 ans.

Devant le nombre de décès et d’accidents graves laissant des séquelles à long terme, un moratoire de la « vaccination » est urgent.

Afin d’éviter une catastrophe sanitaire d’ampleur nationale dans les prochaines années, le Sénat se doit, avant de laisser l’exécutif poursuivre sa stratégie d’obligation indirecte de participation à des essais cliniques d’injections géniques, de s’assurer que la pharmacovigilance est suffisante pour détecter des effets secondaires sur court, moyen et long terme.

Une pétition a été déposée sur le site des pétitions du Sénat, le 7 janvier 2022, par le Docteur Julien Devillerger, demandant un arrêt immédiat des injections et la constitution d’une commission d’enquête sénatoriale chargée de faire un état des lieux des effets secondaires consécutifs à l’injection vaccinale contre le Covid-19, ainsi que du système de pharmacovigilance français. Elle devrait être ouverte à la signature d’ici une quinzaine de jours.





Au Québec en 1989, dénonciation des vaccins et de l’ordre des médecins comme faisant partie du business de Big Pharma, mais ne relevant pas de science. Mise à jour

[Source : OrandiaTV]

[À partir de la minute 46 :]

[Mise à jour :]

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Créateur du « Vitalium » composé congelé à base de cellules souches

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D’origine française, P.D.G du Laboratoire Cryolab en Suisse, le docteur Bontemps a débuté ses recherches en 1958 dans le service du Professeur Bordet à l’école vétérinaire de Maison Alfort à Paris et, jusqu’en 1967, a terminé la mise au point de sa technique en Mésenchymothérapie appliquée en médecine vétérinaire.

Il a collaboré avec de nombreuses sommités du monde scientifique dont le Dr. Rouif du service de santé des armées, Division de radio-Biologie Expérimentale, Professeur Debrot de Lausanne, Dr. P. Loron, Médecin des hôpitaux de Paris, Dr. Jean Valnet, autorité mondialement connue en phyto et aromathérapie. Le Docteur L. Rolland, vétérinaire, et un très grand nombre de professionnels médicaux qui ont collaboré avec lui. Après avoir complété ses recherches sur la thérapie des grands brûlés et irradiés nucléaires, technique maintenant reconnue par l’élite médicale internationale, il met au point la ligne de soin esthétique Cryos, faisant faire un pas de géant au marché de la cosmétique.

Le Dr. Raymond Bontemps était un de nos plus grands biologistes contemporains et les résultats de ses travaux ont amorcé une ère nouvelle vers une cosmétologie naturelle, efficace et sans adjuvants chimiques qui, tout en éliminant les allergies et les effets secondaires indésirables, repousse plus loin les limites des soins esthétiques modernes. Sa Mort est survenu le 20 mars, à l’âge de 81 ans. Décédé à Templeuve (7520, Belgique) le mercredi 1 février 2012.

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VITALIUM ou cryoesthétique – du grec « cryo » : froid – est une technique de cosmétologie externe qui utilise le froid, de -18 à -20 °C, pour sa supraconductivité (stimulant de la microcirculation).

Elle a été mise au point et développée par le Professeur Raymond Bontemps.

Après avoir complété ses recherches sur la thérapie des grands brûlés et irradiés nucléaires, (technique maintenant reconnue par l’élite médicale internationale,) il a mis au point la ligne de soins esthétique Cryos, faisant faire un pas de géant au marché des cosmétiques.

Le Docteur Bontemps était un de nos plus grand biologiste contemporains et les résultats de ses travaux ont amorcés une ère nouvelle vers une cosmétologie naturelle, efficace et sans adjuvants chimiques qui, tout en éliminant les allergies et les effets secondaires indésirables, repousse plus loin les limites des soins esthétiques modernes.

Cette technique simple, facile et agréable permet de nourrir les tissus SANS conservateur, tout en éliminant les allergies et les effets secondaires indésirables, de retarder le vieillissement de la peau et même d’effacer les traces de détérioration en lui donnant une nouvelle jeunesse.

(Source : orandia.com)




Lettre ouverte du Professeur Jean Gabriel Balique aux élus

Par Professeur Jean Gabriel Balique
Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie

À propos du projet de pass vaccinal
Lettre ouverte.
Le 30 décembre 2021

Mesdames les Sénatrices, Messieurs les Sénateurs, Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

L’objet de ma lettre est de vous alerter sur les risques de l’obligation du pass vaccinal qui n’est autre qu’une obligation vaccinale déguisée. Je ne peux pas en tant que médecin et citoyen accepter cette mesure injustifiée, inefficace, incohérente, injuste, liberticide et dangereuse pour la santé. Je ne suis ni complotiste ni anti-vaccins.

MESURE INJUSTIFIÉE

I – IL N’Y A AUCUNE JUSTIFICATION SANITAIRE :

en effet contrairement à la catastrophe sanitaire annoncée, le covid 19 n’est pas plus grave qu’une épidémie de grippe. Le covid 19 a entraîné 20 000 décès 2020 en France (loin des chiffres avancés). La mortalité est de 0,02 % (moyenne d’âge : 85 ans) et ne correspond qu’à des personnes à risques. Ces chiffres sont comparables à ceux de la grippe. Le taux des hospitalisations liées au covid a été de 2 % en 2020 (rapport AIHT).

Ce n’est donc pas la grippe espagnole, ni Ebola, ni la diphtérie.

COMME CHAQUE ANNÉE DEPUIS TOUJOURS les services hospitaliers et les réanimations sont débordés par des formes graves, pendant l’épisode aigu. Le taux d’absentéisme est élevé dans tous les secteurs : entreprises, établissements scolaires, commerces… Au bout de quelques jours, tout rentre spontanément dans l’ordre avec l’immunité naturelle. À aucun moment, le pays n’a été paralysé. Il n’y a jamais eu de plan blanc généralisé. Jamais la population n’a été terrorisée et culpabilisée. Mais la grande différence avec cette épidémie de covid c’est que, jusqu’à l’année dernière, ce sont les médecins qui ont toujours géré seuls ces crises en prescrivant suivant leurs connaissances. Il n’y avait jamais eu d’intervention du pouvoir politique ni du conseil de défense, ni d’interdiction de prescrire !

LA CRISE DE L’HÔPITAL DATE DE PLUS DE 30ANS. Les décisions prises : poursuite de fermeture de lits, traitement inhumain du personnel soignant parfois encensé puis rejeté, N ’ONT FAIT QU’AGGRAVER LA SITUATION. On n’a jamais vu autant de départs et si peu de candidatures. La démotivation est telle que les écoles d’infirmières et d’aides-soignants ne se remplissent plus. (voir P.-S. : la crise hospitalière)

Dans ces conditions, pour la grippe, il n’y a jamais eu d’obligation vaccinale ou de pass vaccinal, simplement une recommandation avec des vaccins éprouvés. Il n’y a jamais eu besoin de terroriser la population avec le décompte des cas quotidiens, des hospitalisations, des passages en réanimation et des décès, ni de tests permanents.

II- LE VARIANT OMICRON APPARAÎT TRÈS CONTAGIEUX, MAIS BÉNIN :

un simple rhume, une toux, voire aucun symptôme en cas de découverte par un test systématique. Les formes graves et les décès sont rares comme le montre l’expérience de l’Afrique du Sud. En France malgré l’augmentation vertigineuse des cas, le nombre de patients en soins critiques reste stationnaire autour de 4 000 soit seulement 20 % des 20 000 lits de soins.

POUR CES 2 RAISONS, IL N’Y A AUCUNE JUSTIFICATION À UNE OBLIGATION.

UNE MESURE INEFFICACE : FIASCO DES VACCINS

Le vaccin contre le covid 19 proposé en novembre 2020 qui devait nous protéger et nous permettre de reprendre une vie normale, se révèle un fiasco. Personne ne peut nier son inefficacité à protéger du variant Delta et à éviter les contaminations.
Au contraire, tous les pays qui ont largement vacciné ont vu une explosion de l’épidémie. À l’opposé, les pays faiblement ou pas vaccinés comme les pays d’Afrique, l’Inde ont une mortalité 10 fois moindre et l’épidémie est terminée, tout cela grâce aux traitements !
Les faits encore une fois ont contredit les prévisions alarmantes des gouvernants.
Au lieu d’accepter ce constat, on essaye de faire croire que le vaccin évite les rares formes graves.
Contrairement à ce qui est affirmé, il n’y a pas que des non-vaccinés à l’hôpital ou en réanimation. En Israël, en Angleterre, pays où le taux de vaccination est proche de 90 %, les hôpitaux et les réanimations sont remplis de patients vaccinés. Il n’y a qu’en France où il n’y a aucun vacciné ! Mais les dirigeants ne sont plus à un mensonge près. Tout est bon pour forcer la vaccination, comme la mise en scène de faux patients non vaccinés en réanimation qui auraient échappé à la mort et qui supplient de se faire vacciner !

LA TROISIÈME DOSE : UNE MESURE INCOHÉRENTE SANS AUCUN ARGUMENT SCIENTIFIQUE

Le gouvernement veut imposer une troisième dose d’un vaccin INEFFICACE sur le variant Delta et sans aucun argument pour savoir s’il protégera du variant Omicron.
DE PLUS, DE FAÇON INCOMPRÉHENSIBLE, SELON LE BON VOULOIR DU CONSEIL DE DÉFENSE LES DÉLAIS DE RE-INJECTION SONT ÉLASTIQUES SUIVANT LE TAUX DE CONTAMINATION, RÉGULIÈREMENT RÉDUITS : 5 mois, 4 mois et maintenant 3 mois. Quelle improvisation ? Jusqu’à combien d’injections ? Sur quels arguments ?

Le gouvernement propose des doses de rappel sans limite dans le temps, sur décision politique, LA VACCINATION DEVIENT DE FAIT UN TRAITEMENT. Ce qui est certain c’est que ces faits démontrent que L’ON EST BIEN EN PLEINE PHASE EXPÉRIMENTATION À l’ÉCHELLE MONDIALE. Le directeur de l’OMS, lui-même, vient de mettre en garde sur cette stratégie incompréhensible : la répétition des doses n’est pas une solution.

L’IMMUNITÉ NATURELLE, POURTANT LA PLUS EFFICACE ET PROLONGÉE, n’est pas prise en compte contre toute logique médicale ! Du jamais vu en médecine. Au minimum devrait être proposée une vérification du niveau de l’immunité naturelle avant toute proposition de vaccination.

UNE MESURE DISCRIMINANTE ET LIBERTICIDE

Il n’y a finalement plus de différence entre vaccinés et non vaccinés : les deux peuvent contaminer ! Il est donc inadmissible qu’un Premier ministre et un ministre de la Santé, et maintenant une partie de la population conditionnée stigmatisent les non-vaccinés de façon répétée pour leur faire endosser tous leurs échecs et diviser la société. Ils ne peuvent pas supporter qu’ils veuillent garder leur liberté de pensée.
Les personnes non vaccinées ont un esprit civique plus poussé que les vaccinés : en effet elles respectent plus rigoureusement les mesures de prévention en faisant régulièrement des tests.
C’est une discrimination. Le chantage au vaccin se multiplie et est inacceptable, comme par exemple lorsque certains oncologues obligent, alors que l’on ne connaît rien des effets de ces vaccins sur l’immunité, que leurs patients soient vaccinés pour poursuivre leur traitement ! C’est la première fois en médecine qu’il y a du chantage pour bénéficier d’un traitement. Les médecins ont toujours respecté le choix de leurs patients même s’ils refusaient le traitement bénéfique proposé.

UNE MESURE DANGEREUSE : UN «VACCIN » TOUJOURS EN PHASE D’EXPÉRIMENTATION, RESPONSABLE DE COMPLICATIONS ET DE DÉCÈS ANORMALEMENT ÉLEVÉS

Comme vous le savez, ce vaccin n’est qu’une thérapie génique en cours de phase d’expérimentation. Cette phase 3 de mise au point d’un médicament se terminera le 31 janvier 2023. Maintenant que l’on a du recul sur cette phase déclenchée au niveau mondial, les médecins de terrain voient apparaître de nombreuses complications. Au 2 octobre 2021, l’Agence Européenne du Médicament, l’EMA, recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications dont 1 million de graves. Ces chiffres ne représentent qu’une partie des cas observés.
En France, l’Agence Nationale du Médicament (ANSM) dans son rapport du 16 septembre 2021 rapporte 22 559 cas graves parmi lesquels des décès. Sachant qu’un dixième des complications est rapporté, ce vaccin n’aurait jamais été mis sur le marché si les règles habituelles avaient été respectées.
TOUTES CES COMPLICATIONS SURVIENNENT PRÉCOCEMENT APRÈS LA VACCINATION CHEZ DES PERSONNES SANS ANTÉCÉDENTS AYANT JUSQUE LÀ UNE VIE NORMALE. De nombreuses complications sont rapportées : myocardites, AVC, maladie de Guillain barré, maladie auto-immune, sans compter des maladies exceptionnelles qui se déclarent et flambent : maladie de Charcot, maladie à prion, développement de cancers jusque-là contrôlés.

Je ne parlerai pas des effets induits : troubles psychologiques, suicides provoqués par les mesures prises, toutes les autres pathologies graves qui ne sont plus détectées ou traitées de façon optimale. Un Doctothon vu par 12 millions de personnes, évidemment occulté par les médias du pouvoir, a permis de voir l’ampleur de ces complications et des situations dramatiques engendrées. Ces complications n’épargnent pas les enfants et adolescents.

N’êtes-vous pas frappé par le nombre anormalement élevé, cette année, de mort subite de sportifs de haut niveau sur les terrains ? Ces sportifs ont tous été vaccinés pour pouvoir vivre leur passion !

Parallèlement dans la même population de personnes sans co-morbidité, non vaccinées il n’y a aucun décès du covid, seules sont exposées les personnes à risques, c’est pour cette seule population que le « vaccin » peut avoir une certaine protection. Pourquoi voulez-vous encore rendre obligatoire un « remède » plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques !

La mise au point d’un essai de vaccin anti H1N1 a été arrêtée pour beaucoup moins de complications. Aucun des vaccins obligatoires n’a entraîné de telles complications. Aux USA, le Professeur Scot Youngblmood relève en moyenne 158 décès annuels associés à l’ensemble des vaccins classiques. Depuis l’introduction des vaccins covid 19 il y a plus de 17 000 morts signalés d’après le VAERS (Système de signalement d’effets indésirables des vaccins).

REJETER LE PROJET ET IMPOSER UN MORATOIRE

Dans ces conditions, on ne peut plus laisser la gestion de la crise au gouvernement et à son comité de défense. L’échec est patent. Il est donc urgent de rejeter cette proposition de pass vaccinal et proposer enfin un moratoire où tous les acteurs de la santé puissent être entendus, même s’ils ne font pas partie des ayatollahs scientifiques.
Faites comme au Royaume-Uni qui vient de renoncer à la vaccination obligatoire et à la vaccination des moins de 15 ans, malgré la flambée du variant Omicron. Au Texas, la vaccination des jeunes est interdite. Au Danemark, seules sont vaccinées les personnes à risques avec une liberté totale retrouvée sans pass sanitaire.

EN ATTENDANT, il faut supprimer tous les pass et réintégrer toutes les personnes qui ont été rejetées de la société. Maintenir toutes les mesures de prévention que les Français connaissent bien maintenant : masques, lavage des mains, distanciation, aération des locaux.
L’Uttar Pradesh, état d’Inde de 320 millions d’habitants, a distribué massivement des kits « Ziverdo » à la population à titre préventif entraînant une baisse spectaculaire des contaminations par rapport à l’état voisin du Kerala où aucune mesure n’a été prise.
Tester largement et gratuitement. Renforcer l’immunité naturelle. Réserver ces vaccins aux seules personnes à risques. Respecter la liberté des citoyens sans contraintes.

En cas de contamination ou d’atteinte du Covid : il faut TRAITER. En cas de cas contact, il est possible de traiter préventivement. Pour les cas avérés, il existe des traitements à l’efficacité reconnue scientifiquement, comme l’ivermectine, l’hydroxychloroquine. Ces traitements ont été préconisés et appliqués avec succès par les Pr Perronne et Raoult et utilisés aussi dans de nombreux pays.
Ces professeurs, mondialement reconnus, ont du jour au lendemain été rejetés par quelques scientifiques et les médias aux ordres du pouvoir. De très nombreux médecins les ont prescrits avec succès. Il est scandaleux qu’en deux ans il n’y ait eu aucune communication sur les traitements et encore plus scandaleux d’interdire aux médecins de les prescrire. Cette interdiction est à l’origine d’une surmortalité.

Il faut que le gouvernement, obnubilé par le nombre de contaminations quotidiennes et les prévisions alarmistes des statisticiens, arrête de terroriser la population comme il l’a fait l’année dernière où il n’y a pas eu la catastrophe annoncée. Spontanément l’épidémie s’éteindra d’elle-même grâce à l’immunité naturelle bien supérieure.

La multiplication des conseils de défense, proportionnelle à la croissance du taux de positivité doit être arrêtée, ainsi que la course inefficace, de plus en plus liberticide, à la prise de mesures souvent irréfléchies et désavouées souvent quelques jours après avoir été reconnues inapplicables.

Avec l’état de guerre, le gouvernement bafoue les libertés individuelles et les valeurs de la République : liberté, égalité et fraternité sans oublier le désastre économique provoqué.
La population commence sérieusement à se poser des questions sur leur compétence et ne supportera pas encore longtemps cette gouvernance. Sachez que vous aurez été informés, je ne suis pas le seul à le faire. Le moment venu, lorsque la vérité éclatera, probablement rapidement compte tenu de l’accumulation des données scientifiques et des données du terrain sur les complications et les conséquences sociales de ces décisions, votre responsabilité sera engagée.
Allez-vous encore longtemps accepter, comme l’ensemble de la population, de servir de « cible au jeu tragique de fléchettes » auquel se livrent les dirigeants. Ne votez qu’en votre âme et conscience, il n’y a plus de parti politique qui compte à ce stade, c’est une cause nationale de liberté individuelle et de société.

Je vous prie de croire, Messieurs et Mesdames les élus, en mes respectueuses salutations.

Professeur Jean Gabriel BALIQUE
Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie

Dernière minute

L’Espagne vient de décider de laisser déferler la vague Omicron, ne propose pas de 3e dose et donne confiance à l’immunité personnelle.

P.-S. : La crise hospitalière n’est pas nouvelle. En 2000, j’ai démissionné de la fonction publique pour les raisons actuelles. Il y a deux mesures fondamentales à prendre :

  • 1 remettre les médecins au centre de la gouvernance de l’hôpital
  • 2 outre l’augmentation de salaire, il est indispensable de mieux considérer et respecter les soignants. Il faut reconstruire des unités à taille humaine où règne un esprit d’équipe, voir familial. L’exemple de l’hôpital de Valenciennes est à ce titre exemplaire. Un hôpital se gère avec le cœur et non avec des tableaux Excel.



Stop aux atteintes aux droits et aux libertés des Français !

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Collectif d’avocats, pour FranceSoir

TRIBUNE — Alors que le projet de loi sur le pass vaccinal est en cours d’examen à l’Assemblée, 81 avocats appartenant à 27 barreaux en France lancent un cri d’alarme dans une tribune commune à destination de l’ensemble des Français qu’ils enjoignent à réagir contre la liquidation de leurs droits les plus fondamentaux. Ils dénoncent un processus de destruction de l’État de droit et des libertés publiques à l’œuvre depuis maintenant deux ans, qui trouve son expression emblématique dans les derniers propos prononcés par le président de la République lui-même : « Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder, on va continuer de le faire (…) Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je deviens un irresponsable. Un irresponsable n’est plus un citoyen. »


Nous, avocats, appelons à un sursaut de conscience des Français face au piétinement, depuis bientôt deux ans, de leurs droits et de leurs libertés.

Nous alertons sur le projet de loi du gouvernement du 27 décembre dernier, qui fait à nouveau peser de lourdes menaces sur les droits et libertés des Français.

Nous, avocats, avons juré d’exercer nos fonctions avec « dignité, conscience, indépendance, probité et humanité ».

Aujourd’hui, c’est au nom de la conscience et de l’humanité attachées à notre ministère que nous lançons cet appel.

Les dernières décisions du gouvernement, toujours aussi liberticides, nous ont révoltés, indignés, mais elles ne nous ont pas surpris.

C’est désormais devenu une habitude de la part de ce gouvernement, au prétexte de préserver la santé des Français, de les maltraiter, de leur manquer de respect, de les infantiliser, de les rudoyer, de les menacer, de leur faire du chantage.

La simple comptabilité de l’épidémie soulève déjà des interrogations. Depuis toujours, la gravité d’une pandémie se mesure au nombre de malades, c’est-à-dire de symptômes médicalement constatés, et au nombre de morts qu’elle provoque.

Il semblerait que désormais, seul le nombre de tests positifs suffit. Mais, comment comprendre que la gravité d’une épidémie se mesure avec comme seul critère le nombre de « cas », c’est-à-dire de simples tests, alors qu’il s’agit de personnes en bonne santé, qui, pour la plupart, ne seront jamais malades ? Ainsi, l’outil de communication choisi par le gouvernement, l’incidence de « cas », ne correspond pas à un nombre de malades, comme l’explique Laurent Toubiana, épidémiologiste à l’INSERM et directeur de l’IRSAN. Ceci, d’autant que le nombre de cas est établi au moyen de tests dont la fiabilité ne fait pas l’unanimité dans la communauté scientifique.

De même, l’expérience a montré que le Covid s’attaque, pour l’essentiel, aux personnes âgées et/ou fragiles. Ainsi, la moyenne d’âge des personnes décédées est de 82 ans et le taux de létalité de la maladie n’est que de 0,04%.

Dès lors, les mesures prises pour lutter contre ce virus apparaissent comme totalement disproportionnées et, ce, dès l’origine. Ainsi, immédiatement après le confinement, dont il est acquis qu’il n’a eu aucun effet en termes sanitaires, les mesures les plus absurdes se sont succédé : port du masque partout, tout le temps, notamment par les enfants, auto-autorisation de sortie, plages dynamiques, fermeture des rayons dits non-essentiels des magasins d’alimentation, ouvertures des stations de ski, mais fermeture des remontées mécaniques ou, désormais, obligation de consommer assis dans les bars et les restaurants, sans parler de la menace de devoir se munir d’un passe vaccinal, d’un masque et d’un test négatif pour entrer dans les lieux publics choisis à la discrétion du gouvernement.

Il serait vain de tenter d’établir une liste complète de ces mesures farfelues et sans aucun intérêt sanitaire, tant elle serait longue et tant elle semble vouloir s’allonger encore.

Une situation inédite et profondément intolérable qui ne semble, pourtant, pas avoir porté ses fruits en termes sanitaires puisque, s’il on en croit le gouvernement lui-même, la situation serait catastrophique.

Pourtant, les chiffres officiels aujourd’hui disponibles permettent un recul qui incite à relativiser les discours alarmistes et les mesures disproportionnées dont ils font le lit. Ainsi, pour ne prendre qu’un seul exemple, l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation estime, elle-même, dans son rapport pour l’activité hospitalière de l’année 2020, à 2% les hospitalisations pour Covid sur le total des hospitalisations pendant l’année 2020.

À quoi bon tout cela, alors ?

Il n’empêche, obtus aux faits, le gouvernement poursuit son œuvre destructrice des droits et des libertés des Français à un point extrême.

Le chantage au vaccin s’intensifie, y compris sur les enfants de plus de douze ans que le projet de loi entend soumettre au passe vaccinal pour les activités autres que scolaires, ou encore nos données de santé qui seront accessibles au préfet, lequel voit ses pouvoirs de placement en psychiatrie élargis.

Pourtant, les dernières données de la science montrent, sans que le doute soit plus permis, une efficacité des « vaccins » qui diminue avec le temps, une transmissibilité du virus en dépit de la vaccination et d’aucuns préviennent que les rappels pourraient être inefficaces contre les variants qui circulent actuellement !

De prime abord, la cohorte de mesures absurdes et dommageables prises depuis bientôt deux ans semble avoir été acceptée avec une étonnante docilité par l’ensemble des citoyens. Mais, ce serait faire fi de la pression à la peur et au chantage qui s’exerce sur eux depuis des mois. Or, comme chacun sait, la peur a, de tout temps, été un excellent levier pour s’assurer de l’obéissance de la population. Elle l’est aujourd’hui encore.

Les Français, comme la plupart des citoyens européens, ont été domestiqués, au point d’accepter sans broncher les consignes les plus absurdes, convaincus par des médias « mainstream » ayant abandonné toute intégrité journalistique en se faisant l’écho de la seule voix du gouvernement, que leur survie dépend de leur obéissance.

Il est vrai que l’État a usé sans vergogne de tous les subterfuges : culpabilisation, menaces, chantages, mesures de rétorsion, mensonges, dénonciations, manipulation des chiffres et d’autres encore.

On ne peut que constater avec effroi que l’État a été aidé dans son entreprise par une justice qui, faisant preuve d’une fidélité sans faille, a purement et simplement avalisé les décisions les plus contraires aux principes de droit qui nous régissaient jusque-là. Une justice dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’a pas fait la preuve de l’indépendance que les justiciables sont en droit d’attendre d’elle.

Le Conseil d’État a ainsi approuvé et validé la quasi-totalité des décisions prises par l’exécutif, même les plus insensées, même les plus illégitimes, n’hésitant pas à se dédire à quelques semaines d’intervalle, revenant sans coup férir sur ses propres appréciations !

Du jamais vu !

On rappellera que, dans la mesure où le principe reste encore la liberté et l’interdiction, l’exception, il appartient à l’autorité qui pose une interdiction d’en démontrer, non seulement le bien-fondé, mais également la nécessité et le caractère indispensable.

Or, depuis la mise en place de l’état d’urgence sanitaire, ces principes, essentiels dans un État de droit, ont été balayés. Non seulement, l’État ne se donne pas la peine de fournir la moindre justification des restrictions inédites des libertés qu’il impose, mais, interrogé par la Commission nationale informatique et libertés, la CNIL, sur l’efficacité des mesures imposées, il reste étonnamment silencieux.

Pour autant, le Conseil d’État ne semble pas s’en offusquer…

Il ne fait aucun doute qu’une fois cette crise passée, certains auront des comptes à rendre, que ce soient les décideurs de ces mesures ou que ce soient ceux qui, par peur, par lâcheté, par indifférence, pour asseoir leur autorité ou par simple esprit moutonnier les auront publiquement défendues, appliquées ou fait appliquer. Ceci, sans aucune remise en cause, aucune distance, sans jamais s’interroger sur leur utilité ou sur leur légitimité. Il en ira de même de ceux qui auront stigmatisé, mis à l’écart, bannis leurs concitoyens pour avoir fait appel à la raison et au discernement ou pour avoir émis des critiques. N’hésitant pas à les faire passer, au mieux, pour des capricieux, au pire, pour des « complotistes », un terme bien vague, ou pour des malades mentaux.

Oui, au moment de faire le bilan, nous aurons la lourde obligation de nous interroger sur ce qui est arrivé et sur ce que nous n’avons pas su, pas pu ou pas voulu empêcher.

Aurait-on jamais pu imaginer que, dans un État démocratique comme le nôtre, de telles dérives puissent être admises ?

Pourtant, force est de constater que tel est le cas.

La majorité de nos concitoyens, tétanisée par la peur soigneusement entretenue par les canaux officiels, s’est laissé dépouiller, impuissante, de tous ses droits et ses libertés fondamentaux.

Il aurait été vain de compter sur la diligence du gouvernement pour ne jamais en arriver là. Bien au contraire. Peu importe le respect des libertés fondamentales, s’il s’agit de préserver la santé, a-t-il tenté de se justifier. Toute autre considération est nulle et non avenue. La détresse d’une part grandissante de la population, la fragilisation du tissu économique, l’abandon de la jeunesse et des personnes vulnérables n’entrent pas dans les savants calculs de ce gouvernement.

Pendant ce temps, au terme de l’adoption d’un nombre inouï de textes, les plus grands principes du droit et les règles qui régissent la vie quotidienne de tout un chacun, ont été invalidés et écartés.

Qu’il s’agisse du libre consentement, de la liberté de disposer de son corps, de l’intérêt supérieur de l’enfant, de l’autorité parentale, des libertés publiques, de la police administrative, des libertés individuelles et des droits fondamentaux, du droit du travail et de la fonction publique, du droit de la santé, du service public ou encore de la réparation des dommages causés aux victimes d’accidents médicaux.

Et la liste est loin d’être exhaustive.

Ces nouvelles règles infligent une violence sociale inouïe que traduit une multiplication sans précédent des actions en justice relatives à la crise. Et, nous assistons, depuis, dans nos cabinets et dans les prétoires, comme dans le reste de la société à une détresse économique, sociale et psychologique d’une profondeur insondable.

Aujourd’hui, des Français toujours plus nombreux réalisent que ces mesures ubuesques, où le ridicule le dispute à l’absurde, n’ont qu’un très lointain rapport avec la préservation de leur santé.

Ils comprennent enfin que l’on s’est joué d’eux, qu’on leur a menti, qu’on les a manipulés. L’intolérable chantage exercé sur eux leur apparaît maintenant pour ce qu’il est : odieux et illégitime. Et, il est d’autant plus illégitime que les Français ont perdu leurs libertés de citoyen et leurs droits parmi les plus fondamentaux.

Ainsi, la soumission à l’injonction est devenue la condition pour exercer ses libertés, la stigmatisation d’une partie de la population, la règle (aujourd’hui, ce sont les personnes non-vaccinées, mais qui seront les prochains ?). Peut-on l’accepter ?

Liberté, égalité, fraternité ? En est-on toujours aussi certain ?

Comme le dit Bellamy : « Le spectacle des reniements gouvernementaux donne le vertige ».

Ce à quoi les rédacteurs de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, une boussole précieuse en ces temps troublés, auraient pu répondre que

« l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements ».

Il faut à présent que les Français réagissent.

Il est temps !

SIGNATAIRES :

Me Martine BAHEUX, Avocat au Barreau de Nice
Me Laurent CHAVAL, Avocat au Barreau de Grenoble
Me Anne-Claire RIMET, Avocat au Barreau de Bordeaux
Me Anaïs LE FALHER, Avocat au barreau de Paris
Me Stéphanie POUSSARD, Avocat au Barreau de Toulon
Me Olivia MONTEIL, Avocat au Barreau de Paris
Me Viviane SOUET, Avocat au Barreau de Paris
Me Matthieu CORDELIER, Avocat au Barreau de Paris
Me Catherine de VALLOMBREUSE, Avocate au Barreau de Versailles
Me Paul-Antoine DEMANGE, Avocat au Barreau de Paris
Me Aurélie DUPUY-BOCAGE, Avocat au Barreau de
Me Lorène BOURDIN, Avocat au Barreau de Paris
Me Shirley DEROO, Barreau de Paris
Me Sabah RAHMANI, Avocate au Barreau de Lyon
Me Amanda N’DOUBA, Avocate au Barreau de Paris
Me M.J Emilie IRIGOIN, Avocat au Barreau de Pau
Me Elisabeth SUISSA-DESSENNE, Avocat au Barreau de Lille
Me Chloé SCHMIDT-SARELS, Avocat au Barreau de Lille
Me François PALLIN, Avocat au Barreau de Paris
Me Grégory DEL REGNO, Avocat au Barreau de Pau
Me Christine CLAUDE-MAYSONNADE, Avocat au Barreau de Tarbes
Me Maïalen TROTTA, Avocat au Barreau de Paris
Me Sabrina SETTEMBRE, Avocat au Barreau de Marseille
Me Delphine Ravon, Avocat au Barreau de Paris
Me Antoine LOUBIER, Avocat au Barreau de Paris
Me Maïa MONTLUÇON, Avocat au Barreau de Bordeaux
Me Bernard RINEAU, Avocat au Barreau de Nantes
Me Marc GOUDARZIAN, Avocat au Barreau de Paris
Me Stéphane VACCA, Avocat au Barreau de Paris
Me Catherine de VALLOMBREUSE, Avocate au Barreau de Versailles
Me Thibault MERCIER, Avocat au Barreau de Paris
Me François SOUCHON, Avocat au Barreau de Chartres
Me Raoudah M’HAMDI, Avocat au Barreau de Marseille
Me MH MORTON HAMILL, Avocat au barreau de Nice
Me Thibaut ADELINE-DELVOLVE, Avocat au Barreau de Versailles
Me Laure LAYDEVANT, Avocate au Barreau d’Aix-en-Provence
Me Olivier ARNAUBEC, Avocat au Barreau de Nice
Me Sandrine REBOUL, Avocat au Barreau de Nice
Me Jean-Pierre JOSEPH, Avocat au barreau de Grenoble
Me Laetitia RIGAULT, Avocat au Barreau de Saint-Denis – LA REUNION
Me Dominique GANTELME, Avocat au Barreau de Paris
Me Jean-François REYNAUD, Avocat au Barreau de Montpellier
Me Anne-Victoria FARGEPALLET, Avocat au Barreau d’Avignon
Me Alexandra MANCHES, Avocat au Barreau de Paris
Me Maxellende de la Bouillerie, Avocate au Barreau de Paris
Me Nathalie NOEL, Avocat au Barreau de Bordeaux
Me Hakima SLIMANE, Avocat au Barreau de Paris
Me SPINELLA Marie-Noëlle, Avocate au Barreau de Paris
Me Valérie LEPAGE ROUSSEL, Avocate au Barreau de Paris
Me Marine GRINSZTAJN, Avocat au Barreau de Hauts-de-Seine
Me Camille DIRE, Avocat au Barreau de Nice
Me Romain GUERINOT – Avocat au Barreau de Nice
Me Hélène SEGURA, Avocate au Barreau de l’Eure
Me Karine SHEBABO, Avocat au Barreau de Paris
Me Christophe GUILLAND, Avocat au Barreau de CHAMBERY
Me Lou GODARD, Avocat au Barreau d’Aix-en-Provence
Me Philippe BERTHET, Avocat au Barreau de Toulon
Me Fabrice HONGRE-BOYELDIEU, Avocat au Barreau de Versailles
Me Nancy RISACHER, Avocat au Barreau d’Epinal
Me Virginie DE ARAUJO – RECCHIA, Avocat au Barreau de Paris
Me Claire GONIN, Avocat au Barreau de Lyon
Me Arthur de DIEULEVEULT, Avocat au Barreau de Paris
Me Sabrina BOUAOU, Avocat au Barreau de l’Essonne
Me Christine CHEVAL, Avocat au Barreau de Paris
Me Delphine LOISEAU, Avocat au Barreau de Paris
Me Samia BOURAHLI, Avocat au Barreau de Marseille
Me Asif ARIF, Avocat au Barreau de Paris
Me Delphine GUENIER, Avocat au barreau de Marseille
Me Hermine MKHITARIAN – SORRENTINO, Avocate au Barreau de Nice
Me Maud MARIAN, Avocat au Barreau de Paris
Me Marie BOISSEAUX, Avocat au Barreau de Bordeaux
Me Lauriane BUONOMANO, Avocat au Barreau d’Aix-en-Provence
Me Florian BECAM, Avocat au Barreau de Libourne
Me Blandine RUSSO, Avocat au barreau de Paris
Me Ludivine BOISSEAU, Avocate au Barreau de Lyon
Me Sihem LAOUBI, Avocat au Barreau de Paris
Me Nathalie BEURGAUD BONADA, Avocat au Barreau de Nice
Me Agnès TEISSEDRE, Avocat au Barreau des Hauts-de-Seine
Me David Libeskind, Avocat au barreau de Paris
Me Vanessa HINDER, Avocat au Barreau de Lyon
Me Pauline RIVIERE, Avocat au Barreau de Chambéry
Me Joëlle Verbrugge, Avocat au Barreau de Bayonne

Auteur(s): Collectif d’avocats, pour FranceSoir




Les malades imaginaires de Molière et la crise sanitaire

Par Nicolas Bonnal

Vains et peu sages médecins ;
Vous ne pouvez guérir par vos grands mots latins
La douleur qui me désespère :
Votre plus haut savoir n’est que pure chimère.

J’ai écrit ce texte il y a dix ans, bien avant cette crise sanitaire-totalitaire. Je ne faisais que méditer Molière. J’y parlais de masque sanitaire, de Boulgakov et j’oubliais de citer Watzlawyck, l’auteur du livre immortel : « faites vous-même votre malheur » à coups de dépenses de santé et de terrorisme médical façon Knock. Je recommanderai aussi le film The Road to Wellville d’Alan Parker. Mais citons-nous :

Je me suis levé au milieu de la nuit, j’avais comme un malaise. « Un vent frais m’éveilla, je sortis de mon rêve ». J’ai allumé la télé et au milieu d’autres horreurs je suis tombé sur une émission sur les centenaires. On fait pédaler des petits vieux avec des masques à oxygène, et on nous promet des merveilles. On ne nous promet jamais que des merveilles. Sans parler chiffres, comme toujours. Les gérontologues sont satisfaits et vont filer en première classe à un autre congrès. Dans cinquante ans j’aurai cent ans ! Et dans cent ?

Ce que je vois m’effare. Le monde entier crève comme Argan sous les dépenses de santé. Elles ont explosé en Chine et dans les pays du tiers-monde (j’ai été une fois hospitalisé, et très bien, pour six euros la nuit, en Bolivie !). Elles sont de mille milliards ici, de deux mille milliards là. N’importe quelle opération coûte dix ou cent mille euros, n’importe quelle chambre d’hôpital coûte deux mille euros, et je ne vous parle pas des ambulances ou du prochain forfait — c’est le cas de le dire ! Quant à la consultation à cent euros chez l’éminent spécialiste du coin, j’y ai renoncé.

 J’ai par ailleurs vu assez d’amis mourir et souffrir pour rien dans les chambres des hôpitaux les plus divers et les plus multiculturels pour daigner accorder de l’importance à la médecine d’aujourd’hui qui est en train de ruiner la planète comme elle ruinait la poche des bourgeois au temps de Louis XIV. Au train où cela va, grâce à la dette et tout le reste, nous serons deux milliards d’octogénaires en l’an 2100, bravo le monde moderne et tout son dynamisme ! L’historien chrétien Philippe Ariès nous prévenait déjà il y a quarante ans : on nous privera de notre mort. Et on aura siphonné la société. Le pronom indéfini « on » aura accompli cette énième merveille.

 J’en reviens à Molière, car on a oublié de quoi parle son malade imaginaire, qui a fasciné le grand Boulgakov dans son essai superbe : d’argent.

 Le monde de Molière est un monde bourgeois, et c’est déjà le nôtre : on n’y parle que d’argent, de manières branchées, mariage intéressé, et bien sûr de la santé. On ne croit plus en Dieu, mais on ne veut plus mourir ! On n’aime pas sa femme, mais on ne veut pas vivre seul ! On comprend pourquoi plus nous dégénérons plus nous nous reconnaissons dans ce théâtre de la Fin. Mais laissons parler le maître :

 « Trois et deux font cinq, et cinq font dix, et dix font vingt. Trois et deux font cinq. “Plus, du vingt-quatrième, un petit clystère insinuatif, préparatif, et rémollient, pour amollir, humecter, et rafraîchir les entrailles de Monsieur.” Ce qui me plaît de Monsieur Fleurant, mon apothicaire, c’est que ses parties sont toujours fort civiles : “les entrailles de Monsieur, trente sols.” Oui, mais, Monsieur Fleurant, ce n’est pas tout que d’être civil, il faut être aussi raisonnable, et ne pas écorcher les malades. »

 Argan n’oublie pas son pharmacien au passage. En attendant Homais… Parler de maladie et de santé, c’est parler chiffres et pognon. Il n’y a que l’argent qui les intéresse, et c’est bien vu de Molière. C’est pourquoi le glissement technologique de la médecine moderne, qui a succédé aux économes vaccins (les médecins aux pieds nus en Chine avaient fait tripler l’espérance de vie, et c’était une bonne espérance de vie, pas une espérance de géronte), a permis de multiplier par dix, parfois par cent, les dépenses de médecine. On ne va pas s’en plaindre, mais c’est comme ça !

 Argan est comme l’homme sans qualité, l’homme qui ne peut plus dormir parce qu’il a quelque chose à se reprocher : sa conscience. Il n’oublie pas d’être un peu scabreux au passage et poursuit son monologue festif et très technique.

 « Avec votre permission, dix sols. “Plus, dudit jour, le soir, un julep hépatique, soporatif, et somnifère, composé pour faire dormir Monsieur, trente-cinq sols.” Je ne me plains pas de celui-là, car il me fit bien dormir. Dix, quinze, seize et dix-sept sols, six deniers. “Plus, du vingt-cinquième, une bonne médecine purgative et corroborative, composée de casse récente avec séné levantin, et autres, suivant l’ordonnance de Monsieur Purgon, pour expulser et évacuer la bile de Monsieur, quatre livres.”

 J’ignore jusqu’où ira la médecine et son humanité de vieilles carcasses retapées qui roule avec, et s’en fait tourner. On me parle d’opérations à 300 000 euros, de couvertures à quinze cents milliards… La limite comme toujours, ce sera l’argent, sauf si indéfiniment les as de Goldman Sachs aux commandes en Europe comme en Amérique arrivent à faire bonne impression et à financer nos bicentenaires, comme il est bientôt prévu de le faire. Dette publique à 2 ou 400 % ? En attendant 3000 ? Tout est de toute manière lié à de la bonne volonté mutuelle. Mais continuons, comme dirait l’autre, le génial début de cette pièce sans égale.

 “Ah ! Monsieur Fleurant, tout doux, s’il vous plaît ; si vous en usez comme cela, on ne voudra plus être malade : contentez-vous de quatre francs. Vingt et quarante sols.”

 Il me semble que dans sa géniale exclamation Molière met le doigt sur la cible : nous jouons au malade, nous voulons être malades, nous voulons dépenser cet argent, nous doublons ou triplons des dépenses qui pourraient sans cela être maîtrisées. La maladie est un job à plein temps. C’est un hobby, une passion. Mais par ailleurs on sait très bien en plus qu’à part la réparation de garage avec les pièces détachées prélevées sur des morts, en attendant les clones, tout repose sur du vent dans la dépense de santé.

 “Je ne m’étonne pas si je ne me porte pas si bien ce mois-ci que l’autre. Je le dirai à Monsieur Purgon, afin qu’il mette ordre à cela. Allons, qu’on m’ôte tout ceci. Il n’y a personne : j’ai beau dire, on me laisse toujours seul ; il n’y a pas moyen de les arrêter ici.”

 90 % est dans le psychique. Les progrès de la médecine moderne sont les progrès de la dépense publique et donc les progrès de la bêtise humaine, celle qui se sert de la technologie comme de la télévision, parce qu’elle ne veut plus être seule et parce qu’elle a peur. L’homme n’a plus été capable de s’adresser à Dieu, il s’est déshumanisé et technicisé. Et grâce au diable, il est trop tard pour qu’il s’en rende compte. Il mourra inconscient, hagard, perclus de tubes partout, devant une webcam. On comprend pourquoi les zombis sont à la mode dans l’anticulture contemporaine.

 “Est-il possible qu’on laisse comme cela un pauvre malade tout seul ? Drelin, drelin, drelin : voilà qui est pitoyable ! Drelin, drelin, drelin : ah, mon Dieu ! Ils me laisseront ici mourir. Drelin, drelin, drelin.”




La thérapie génique ou le modèle machine de la biologie, la négation du mystère, le réductionnisme biologique et le scientifique qui a tenté de nous mettre en garde

[Source : Sott.net]

Entretien avec Richard Strohman

Par Celia Farber — Substack

Je savais que cette interview était importante, j’en ai régulièrement parlé au fil des années. Aujourd’hui, je considère Richard Strohman comme le George Orwell de la tyrannie génomique naissante.

[Photo : © Robert Holgren
Richard Strohman]

Si nous pensons que le monde des organismes est un monde de machines, nous commencerons à nous traiter mutuellement comme des machines. C’est l’énorme danger de tout ce modèle mécaniste des organismes. C’est ce terrible cauchemar qui devient réalité. Mon inquiétude à ce sujet correspond à celle exprimée par William Blake :

« Ce qui semble être, est, à ceux à qui cela semble être, productif des conséquences les plus épouvantables, jusqu’aux tourments, au désespoir, à la mort éternelle. »

Richard Strohman, Professeur émérite — Source

Pour ceux qui ont lu ce [précédent – NdT] article, dans lequel j’ai assimilé le Covid à la biologie luciférienne — vous vous souvenez peut-être que j’ai cité une interview du regretté professeur Richard Strohman, dont je n’avais à l’époque pas donné le lien. Eh bien, je l’ai retrouvée. En la lisant aujourd’hui, les mots et les mises en garde de Strohman sont bien plus saisissants que ce que j’ai été capable de comprendre à l’époque, il y a plus de vingt ans.

C’est toujours l’une des interviews que je chéris le plus.

En préambule à cette interview, je dois dire que j’avais compris, à l’époque, le quoi mais pas le pourquoi. Je savais que les choses étaient très bizarres, et malfaisantes, mais je ne comprenais pas de quelle dimension idéologique tout cela émergeait — à savoir quelle en était l’origine. J’ai fait une mise au point post-facto et ajouté quelques liens et mises à jour. J’espère que vous prendrez le temps de lire les avertissements prophétiques du Dr Strohman sur la génomique technocratique.

Il existe d’ailleurs des personnes qui revendiquent de grands domaines de pensée et qui ont le sens des relations publiques — trop pour citer les géants qui ont tracé les chemins permettant à leurs idées d’exister. C’est la raison pour laquelle je ressens un besoin impérieux de pénétrer dans ma forêt d’anciens géants — tous méconnus — et de leur donner la parole. J’ai été témoin du fait que Kary Mullis [inventeur du test PCR et dissident du VIH] et Peter Duesberg [formulateur de la théorie du cancer de l’aneuploïdie, père de la dissidence du VIH] sont devenus des noms familiers, en dépit de l’existence depuis trente ans d’un dispositif mondial consacré à immoler leur « crédibilité ». Je pense que Richard Strohman devrait être le prochain, tout comme le seront particulièrement des héros scientifiques plus connus tels que Barbara McClintock et Lynn Margulis — dont les travaux ont joué un rôle déterminant dans l’opposition au déterminisme génétique, au réductionnisme biologique et, in fine, au génocide qui ne dit pas son nom.

Une brève note, comme une luciole dans ma mémoire — authentique, mais me croirez-vous ?

En 1988, après avoir réalisé ma première interview avec Peter Duesberg, il m’a demandé de téléphoner à Barbara McClintock. J’avais peut-être 22 ans. Je ne savais pas qui elle était, mais je savais qu’elle était lauréate du prix Nobel. Tout ce dont je me souviens est ceci : une voix très faible au téléphone a dit : « Oui, Peter a raison ».

L’histoire exige des fouilles, du temps, de la patience et, dans certains cas, des miracles.

Je viens de découvrir que Richard Strohman était né le même jour que mon père Barry — le 5 mai — alors je me réjouis que ce soit la fête des pères aujourd’hui.

Bonne fête des pères, Pères, que vous soyez les pères de vos propres enfants, des enfants d’autres hommes ou, d’ailleurs, de formes de pensée, d’animaux, de champs, de tout ce qui exige un dévouement sacrificiel à la protection de la vie biologique [texte récupéré écrit par Celia Farber, 2009, The Truth Barrier, les parties du texte en gras sont de moi, pour l’emphase].

Richard Strohman, professeur émérite de biologie moléculaire et cellulaire à l’université de Californie à Berkeley, est décédé le 4 juillet 2009, à l’âge de 82 ans.

Je me suis sentie profondément reconnaissante du privilège qui m’a été donné d’avoir, à deux reprises, pu m’entretenir avec lui au cours de la dernière décennie de sa vie. Il incarnait l’une des anciennes voix scientifiques les plus poignantes que j’aie jamais rencontrées, dans ce que j’ai fini par nommer la tradition « éplorée » de la science, laquelle contraste avec celle plus révolutionnaire, zélée et lucrative.

Strohman, 2003, sur l’échec et le danger du déterminisme génétique.

De 1973 à 1976, Strohman avait été président du département de zoologie de Berkeley à l’université de Californie, et de 1976 à 1979, directeur du programme de santé et des sciences médicales, toujours à Berkeley. Il étudiait « […] la régulation de la croissance des cellules et des tissus et la différenciation cellulaire en utilisant des approches moléculaires et cellulaires ». Il fut l’un des premiers signataires du Groupe pour la réévaluation scientifique de l’hypothèse du VIH/Sida, et avait qualifié le paradigme du VIH/Sida de « désastreux ».

Après avoir pris sa retraite de Berkeley, il a parcouru le monde pour donner des conférences sur les dangers du déterminisme génétique et du réductionnisme biologique.

En 2000, dans le cadre d’une mission pour le TALK Magazine, j’ai pour la première fois interviewé le professeur Strohman. Le professeur Strohman m’avait été recommandé par Harvey Bialy, alors rédacteur en chef de Nature Bio/Technology, après avoir confié à ce dernier que j’avais été chargé d’une mission étrange, qui semblait exiger un article positif, voire euphorique, sur la « thérapie génique ». J’avais en effet été contacté par un rédacteur en chef pour m’informer du souhait de Tina Brown que j’écrive un article sur le sujet pour le magazine. J’ai décliné l’invitation, parce qu’il existait très peu sinon aucune chance que je puisse le présenter comme étant « de bon augure », mais le rédacteur en chef a insisté.

Pour vous donner une idée de l’engouement de l’époque, lisez cette présentation informative, qui date de 1999 :

Imaginez un monde où une personne pourrait modifier sa structure génétique et réorienter le cours futur de l’évolution chez son enfant et chez elle-même. Grâce à la thérapie génique, c’est une possibilité très réelle. À l’avenir, il pourrait être aussi facile de modifier sa santé physique ou mentale que de se faire vacciner contre la grippe aujourd’hui. Mais les effets de la thérapie génique sont durables et pourraient affecter votre future progéniture ainsi que votre propre santé.

Découverte au milieu des années 1970, la thérapie génique a permis aux chercheurs d’isoler certains gènes de l’ADN. Dans les années 1980, le terme thérapie génique a fait son entrée sur la scène scientifique et a fait avancer la recherche.

La définition de la thérapie génique est la suivante :

« technique dans laquelle les gènes responsables d’un défaut sont eux-mêmes remplacés par des gènes corrects chez le patient afin de guérir une maladie (Macer, 1990). »

[!]

Note du traducteur : La « thérapie génique » est le terme qui a remplacé celui d’eugénisme, lequel devait faire peau neuve après la Seconde Guerre mondiale et le Nazisme, mais son idéologie sous-jacente est restée la même.

En raison de mon déni du VIH (définition de la maladie ici – Hyperlien en français – NdT]), je ne voulais rien avoir à faire avec la « thérapie génique », et ce, même avant d’avoir entendu parler de Jesse Gelsinger.

Qui était Jesse Gelsinger ?

Jesse Gelsinger avait 18 ans lorsqu’il s’est porté volontaire pour un essai clinique à Penn State [université en Pennsylvanie – NdT] afin de tester l’effet de la thérapie génique sur un trouble métabolique rare appelé déficience en OTC [le déficit en ornithine transcarbamylase est une maladie héréditaire qui entraîne une accumulation d’ammoniac dans le sang – NdT]. Quelques heures après avoir été perfusé avec des « gènes correcteurs » contenus dans un adénovirus affaibli, Jesse a souffert d’une défaillance de plusieurs organes, et quelques jours plus tard, son sang était presque totalement coagulé, il était boursouflé au point d’être méconnaissable et en état de mort cérébrale — avant d’être débranché.

Sa mort a provoqué un silencieux arrêt brutal des recherches alors en plein essor en thérapie génique. Quand je suis allé à Penn, première étape de ma tournée d’interviews pour l’article du TALK, le responsable des relations publiques m’a confié :

« Je ne sais pas trop quoi vous dire. Nous avons tué un jeune de 18 ans. »

Permettez-moi de souligner :

« Ces mots ont été prononcés par le responsable des relations publiques du centre médical où le meurtre a eu lieu. J’ai également interviewé de manière exhaustive le père endeuillé de Jesse, Paul. Il m’aura fallu attendre 20 ans pour apprendre que non, la thérapie génique ne s’est pas arrêté net, comme le veut le mythe. Au contraire, en 2000, le scientifique qui était chargé de l’essai clinique et qui a, dans son zèle inconsidéré, causé la mort de Jesse, a été discrètement et secrètement financé par une subvention de 29,4 millions de dollars versée par GlaxoSmithKline, pour continuer à travailler sur la thérapie génique — juste après le drame. Vous pouvez lire l’histoire de la « rédemption » du Dr James Wilson et l’histoire de GlaxoSmithKline, ainsi que d’autres histoires de gros sous ici. »

Note du traducteur : Jesse Gelsinger est décédé le 17 septembre 1999. Voir ce lien pour comprendre ce qu’est et ce qu’implique un déficit en ornithine transcarbamylase.

Au fait, quand des gens sont tués dans leurs « essais cliniques », ils ont une expression très précise pour ça : « Leçons apprises ».

La troublante actualité d’alors concernant la thérapie génique auraient pu devenir le nouveau sujet de mon article pour TALK — mais non, ils n’en voulaient pas. Après de nombreuses réécritures et tentatives linguistiques pour ne pas faire de ce drame une chose sans importance, l’article a été enterré.

Lors de la conférence « Repenser le sida » qui s’est tenue à Oakland en 2009, j’ai rencontré le petit-fils de Richard Strohman, Josh Nicholson, et je lui ai dit que j’avais cette interview quelque part, que je la retrouverai, la transcrirai et la publierai. Je lui ai dit que son grand-père était un grand homme.

Je suis également redevable à Harvey Bialy pour m’avoir remis dans le droit chemin, alors que mes éditeurs m’envoyaient dans un abîme abject. Merci encore à Harvey. [La nouvelle m’est parvenue que Harvey Bialy est mort en 2020, mais personne dans mon entourage ne me l’a dit, je ne suis donc pas sûr que cela soit vrai].
© InconnuL’interview avec Richard Strohman, professeur émérite

[Entretien réalisé en 2000 ; l’original a été précédemment publié sur Truth Barrier, 2009].

Q :Je crois savoir que la thérapie génique, en tant que domaine, a connu une crise après la mort de Jesse Gelsinger, mais qu’elle reprend de l’élan…

R : Oui. Le drame a vite été oublié. Notre mémoire de ces choses est si vite dépassée par le battage médiatique suivant sur le tout nouveau gène et le tout nouveau traitement potentiel. Le monde est plein de remèdes potentiels qui n’arrivent jamais.

Q :Vous donnez des conférences sur les interprétations erronées de la médecine génétique, c’est bien cela ?

R : Ma perspective sur ce sujet est un peu plus large. C’est ma nouvelle vocation, examiner les limites du déterminisme génétique, examiner les lacunes de la science que j’ai moi-même pratiquée pendant 30 ans.

J’ai beaucoup travaillé sur la sclérose en plaques, qui est une véritable maladie génétique. Mon point de vue est qu’il existe des maladies génétiques. La thérapie génique est en théorie quelque chose à examiner, mais en même temps nous devons dire qu‘il n’existe pas un seul cas de thérapie génétique qui ait jamais fonctionné avec succès. Pas un seul.

Q :Mais l’autre camp revendique des succès en France, etc.

R : Je ne sais pas où se trouvent les données. Dans les journaux ? Tous ces gens à Penn se sont totalement laissés emportés par leur propre battage médiatique. Il y a toujours, dans ces centres médicaux, un bio-éthicien attitré qui n’est rien d’autre qu’un manipulateur, et dont le rôle est de reconnaître les difficultés et de les expliquer.

Mais ces personnes supposent que la génétique moléculaire peut réellement faire ce qu’elle dit pouvoir faire. Ils nous préparent à ce qu’ils pensent être inévitable. Puis ils affutent leurs patins pour que tout cela avance plus vite.

J’ai été interviewé par la télévision suédoise au sujet de Gelsinger.

La critique qui en est habituellement faite est que si l’on prend un cas simple, l’introduction de gènes dans des plantes, des plantes génétiquement modifiées, où les tests peuvent être effectués sur un grand nombre de personnes sans avoir à se soucier de l’éthique, ce que l’on voit c’est la chose suivante : si on introduit le gène à l’aide d’un vecteur viral et que le vecteur est là parce qu’il — et nous revenons ici à notre vieil ami Peter Duesberg — constitue un puissant facteur, le gène sélectionné sera exprimé à des niveaux qu’il n’atteint jamais dans la Nature, donc… ce robinet d’expression génétique qui est ouvert en permanence pour exprimer la protéine en question est en lui-même un phénomène totalement anormal. Il y a un autre problème. En laboratoire, on constate que le gène est activé [pour rendre la] plante résistante au pesticide. Dans le cadre de cette étroite analyse du succès attendu, on constate que le transfert de gène a réussi, qu’il a été incorporé dans le génome de l’hôte, qu’il est stable, qu’il peut être hérité, et enfin que la protéine pour laquelle le gène code est bien présente, qu’elle est exprimée. Le caractère non naturel tend à disparaître. Les questions qui ne sont pas posées sont les suivantes : Quels sont les autres effets secondaires de ce transfert de gènes ? C’est comme si l’on entrait dans une pièce remplie de gens et que l’on y insérait une opinion qu’ils n’ont jamais entendue auparavant, et que l’on s’attendait à ce qu’elle disparaisse comme si elle n’avait jamais été prononcée. À New York, par exemple. Cela n’arrive jamais. Et ça n’arrive jamais dans ces cellules non plus.

Monsanto sait que tout cela est bien réel. Toutes ces entreprises de technologies agricoles sont conscientes du processus, mais elles choisissent délibérément — et c’est là le profond problème éthique que la science devrait examiner et [qu’elle ignore] — elle choisit en toute connaissance de cause les limites les plus étroites pour estimer qu’il s’agit d’un succès. Il s’agit d’un acte criminel. Et je pense que la FDA y adhère.

Lorsque l’on doit utiliser ces méthodes en laboratoire, et appliquer vos critères de réussite, puis prendre ces mêmes critères de réussite et les appliquer aux biens et services qui sortent du laboratoire et qui se retrouvent sur des milliers d’hectares de terres cultivées ou dans les organismes des jeunes hommes hospitalisés à Philadelphie, ces critères étroits sont dépassés par les réalités du monde réelCe qui se produit ici est un acte criminel entièrement imputable à l’impudence de ces scientifiques et à leur ignorance de la complexité biologique. Pour eux, rien de mieux ne peut en être dit, en raison du fait que la majorité d’entre eux sont conscients des mesures qui pourraient être effectuées pour vérifier tout cela, mais qui sont trop coûteuses à réaliser.

Ces personnes ne veulent pas que la FDA approuve un quelconque inventaire de ces produits. Nous avons beaucoup à apprendre des aliments génétiquement modifiés que nous pouvons transposer dans les cas très rares de modifications génétiques chez l’homme.

La biologie de l’ADN comporte toute une palette de nouvelles connaissances dont ces personnes ne sont pas conscientes. C’est en cela que dans le processus de transfert de gènes, la moindre perturbation environnementale des caractères liquide et fluide du génome lui-même change tout.

C’est la métaphore de la machine appliquée à la biologie. La biologie est dominée par un point de vue mécaniste. Et c’est l’une des plus grandes erreurs. Les êtres vivants [rires] ne sont pas des machines. Ils peuvent agir comme des machines, mais ils n’en sont pas.

La science, à laquelle nous devons attribuer une certaine qualité, a complètement capitulé devant les intérêts des entreprises, et comment s’en sortir ? Il s’agit d’un sujet très difficile.

Q :Comment pouvons-nous retracer le fil de cette histoire ? Où cela commence-t-il ?

R : Tout a commencé lorsque Barbara McClintock [dans les années 1940 et 1950] a montré que les gènes pouvaient être transférés de manière transversale entre les organismes, et même entre les espèces, mais lorsque la technologie s’est améliorée, il est devenu évident que l’on pouvait manipuler les gènes en laboratoire et transférer des gènes normaux. Nous participions à ces recherches dans le cadre de la sclérose en plaques ; nous avions des modèles animaux et nous pouvions réaliser des expériences très simples et transférer des gènes normaux dans des cellules qui contenaient la mutation. C’est ce qui a alimenté ce battage médiatique selon lequel on pouvait guérir des êtres humains ou des organismes entiers, et que l’on pouvait faire des choses très intéressantes avec des cellules individuelles, mais c’était en culture et donc dans des conditions limitées.

Donc, oui, il y avait beaucoup d’excitation autour de tout cela, mais ce n’était pas très élaboré. Nous ne savions pas grand-chose de ce que nous saurions cinq ans plus tard sur la complexité du génome et sa capacité à être déstabilisé lorsque ce genre de choses était réalisé. On pouvait obtenir un effet positif en introduisant un bon gène, mais on n’était pas capable de mesurer le revers de la médaille. Quelle était la réponse de la cellule, que se passerait-il si cela concernait le corps entier, et quelle serait les interactions avec cet énorme éventail de possibilités computationnels.

C’est la raison pour laquelle les entreprises ne veulent pas s’y intéresser, car c’est trop complexe. La quantité d’argent et d’efforts qu’il faudrait investir dans cette technologie revient à la rendre impossible. Vous ne pouvez pas vous le permettre ; vous devez prendre ces raccourcis.

[Ces choses sont] transcalculatives [au-delà de la capacité humaine à configurer un ordinateur pour le calculer – NdT].

Tout le concept relatif à la capacité de l’organisme vivant le plus simple qui soit à résister à notre interprétation scientifique de manière complète est, je pense, bien acceptée.

Ce sont des interactions qui atteignent ce que l’on appelle une catastrophe de calcul. Les informaticiens disent qu’il n’y a pas d’ordinateur qui pourrait faire le calcul et qu’il n’y en aura jamais.

Q :Mais la thérapie génique repose sur le fait que ce n’est pas le cas, n’est-ce pas ?

R : Oui, il y a deux choses. Premièrement, il ne faut pas s’attendre à ce que nous puissions déterminer ce qu’est l’organisme à partir du génome, parce que l’organisme lui-même ne le fait pas.

L’organisme se détermine lui-même à partir d’une vaste gamme de données, y compris les données génétiques. L’idée du succès de la thérapie génique est qu’en plaçant un seul gène, il sera exprimé et que l’insertion et l’adaptation à l’insertion seront normales à tous les autres égards. Il s’agit d’une hypothèse et c’est une énorme supposition.

Q :Mais c’est pourtant ce sur quoi tout repose.

R : C’est en effet là-dessus que tout repose ! Et ils évitent tous les autres [aspects].

La seule avancée que j’ai vue, c’était le comité AAA sur la thérapie de la lignée germinale qui a publié un rapport la semaine dernière dans lequel ils déclarent que c’est trop dangereux, que cela ne devrait pas être fait avec des œufs et des cellules. Il y a trop de choses que nous ignorons et que nous ne pouvons probablement pas savoir.

Le transfert de gènes d’une manière telle qu’ils ne peuvent être hérités.

Le transfert de gènes ne devrait pas se faire dans les cellules de la lignée germinale, dans les œufs et les spermatozoïdes. C’est la première fois que le comité a donné des signes de contrainte aux intérêts des entreprises en leur disant qu’elles doivent ralentir. Que les chercheurs doivent ralentir.

Q :Pourquoi leur alarmisme s’est-il limité à la thérapie génique de la lignée germinale ?

R : C’est une bonne question. Je n’en sais rien.

Si l’on comprend l’hypothèse qui est faite, il n’existe pas pour autant de réponse scientifique qui soit appropriée. Il n’existe aucun moyen pour eux de dire « Ne vous inquiétez pas, nous allons arranger ça ».

Et s’ils le disent, on peut alors leur poser cette question : « Voulez-vous dire que vous ne savez vraiment pas ce que vous faites ? ».

Ils ne savent pas ce qu’ils font.

Ils se sont mis à penser que ce que nous devons savoir, c’est qu’il existe des programmes génétiques responsables des traits les plus complexes des êtres humains et d’autres organismes, et que si nous pouvions vraiment comprendre le génome humain dans sa totalité, si nous pouvions savoir ce qu’est le génome humain juste en l’imprimant sur papier, alors tout à coup, d’une manière ou d’une autre nous aurions, grâce à cette version imprimée, une sorte d’illumination. C’était presque comme si on en attendait une sorte d’expérience religieuse.Une certaine épiphanie viendrait une fois que cette image d’ensemble serait publiée. Il y a dix ans, nous en étions tous béats, ou du moins la plupart d’entre nous l’étaient, mais pas dans les classes d’étude, pas dans la formation des étudiants, ces laboratoires moléculaires sont allés de l’avant avec toute cette notion que d’une manière ou d’une autre, tout serait compris et qu’il fallait attendre et voir, et ne pas sous-estimer la science et toute l’importance de la patience, et bla bla bla et c’était ça, et c’est toujours ça, et ces gars sont là avec leurs gros ordinateurs et ils ne comprennent pas les limites comme le font les physiciens. Et les physiciens semblent rester silencieux sur tout cela, vous l’avez remarqué. C’est ainsi que le Projet génome humain cherche maintenant désespérément un moyen d’expliquer ce qu’il va faire avec les données qu’il a collectées et l’humiliation qui s’annonce est presque du même ordre que le phénomène du VIH/SIDA. Ces gens-là ne savent pas comment passer du génome à l’organisme, point final. Ils ne peuvent rien faire et la raison pour laquelle ils ne peuvent rien faire est la raison que Tom Kuhn a expliquée : Si vous avez un paradigme qui s’essouffle, vous ne pouvez pas le remplacer par un nouveau tant que ce dernier n’est pas opérationnel. Nous n’avons pas de nouveau paradigme opérationnel, et nous sommes donc coincés et il est très difficile de s’en sortir.

Étant donné le pouvoir et l’argent des multinationales intéressées, cette affaire se réglera d’elle-même. Tout se joue autour des applications. Le Projet génome humain est financé — et il l’a été dès le début — afin de guérir les maladies humaines et de fournir les moyens d’augmenter l’espérance de vie.

Les Japonais vont bientôt vivre jusqu’à 90 ans, les gènes ne sont même pas mentionnés.

C’est un autre problème : l’espérance de vie n’a rien à voir avec la génétique.

Toute l’excitation est venue du fait qu’il y a quinze ans, certains parmi les biologistes s’accrochaient à l’idée qu’il existait quelque chose appelé « programmes génétiques ».

La seule chose qui leur restait à découvrir était cette thérapie génique, en utilisant les résultats du Projet génome humain et les outils moléculaires pour alimenter ce battage médiatique et tenter de devenir une industrie majeure. Il s’agit là de servir la recherche fondamentale.

Ils n’ont tout simplement pas anticipé cette réalité. En fait, ils l’ont fait mais… ils ont décidé d’ignorer les inquiétudes qu’ils pouvaient avoir. Il y avait d’autres patients qui montraient des signes de sensibilité. Il y avait des signaux d’alarme qui clignotaient. Ce qui a tué Jesse Gelsinger, c’est cette insistance du laboratoire à vouloir se concentrer sur la computation.

Ils ne savent pas ce qui s’est passé.

Ils ne savent pas ce qui s’est passé !

Il existe beaucoup de rapports sur toutes les différentes choses qui peuvent se produire lorsque l’on introduit de l’ADN étranger dans une cellule, mais ils sont tous ignorés. Il existe des articles qui montrent que quand on prend des cellules en culture et qu’on y introduit de l’ADN pour les mettre dans l’organisme d’un animal, des choses bizarres se produisent.

Q :Quelles genres de choses ?

A :Les cellules deviennent sensibles, elles présentent une réponse d’hypersensibilité, toute séquence d’ADN aussi petite que 25 paires de bases environ va générer des réactions vraiment imprévisibles de la part des cellules. Le simple fait de mettre des cellules en culture afin de procéder à cette manipulation crée des instabilités génétiques, qui sont héritées. On le voit très clairement dans les cellules végétales. Le fait que l’expérience ne génère rien et que c’est dû à l’énorme quantité de variabilité dont vous ne savez rien est… tout cela est négligé au grand péril de tout le monde.

Q :Une industrie naît grâce à un quelconque moment d’eurêka, n’est-ce pas ?

R : Oui.

Q :Comment expliquer les raisons pour lesquelles ils ont pensé que cela fonctionnerait ?

R : C’est tellement simple, c’est comme pour le VIH, on ne peut pas à y croire.

Ils ont fait toutes leurs expériences dans des conditions contrôlées en laboratoire, ce qui les a fait fonctionner, les résultats étaient visibles. Tout a changé d’une manière prévisible. Bien sûr, ce qu’ils n’ont pas montré, ce sont les choses qui se sont produites et qui n’était pas prévisibles. Mais toutes ces données sont justement celles qu’ils ont jetées à la poubelle. Et on continue à faire les expériences de différentes manières jusqu’à trouver la méthode qui donne la réponse souhaitée.

Q :Puis le filon a commencé à être exploité ?

R : Oui. Autrefois, la science aurait pu trouver une solution, mais elle a tellement été accaparée par les relations avec les entreprises et la hâte de transposer au marché les résultats obtenus en laboratoire qu’elle a créé tout cela. Donc la [vraie] méthode de la science est ancienne.

[Par le passé], nous n’avons jamais eu cette pression incessante pour produire quelque chose d’utile — utile dans le sens rentable. Et dans ces circonstances, tout le monde est pris dans l’engrenage. Tout le monde s’y laisse prendre, et les subventions et les millions de dollars affluent dans les laboratoires, et des carrières se créent.

Q :Le battage médiatique autour de la thérapie génique n’est-il pas venu du sida et du cancer ?

R : Oh oui, tout est dû aux gènes, que ce soit un gène humain, un gène normal ou un gène viral. Toute causalité commence par le gène.

Q :Et d’où vient cette croyance ?

R : Cela vient, ma chère, de Gregor Mendel. Une ligne droite et une ligne droite simple, c’est absurdement, grotesquement simple. Passer de Mendel aux centres médicaux est la chose la plus absurde du monde.

Note du traducteur : Gregor Johann Mendel était un météorologue, mathématicien, biologiste, frère augustin et abbé de l’abbaye Saint-Thomas de Brno, dans le Margraviat de Moravie. Né dans une famille germanophone de la partie silésienne de l’Empire autrichien (l’actuelle République tchèque), il a été reconnu à titre posthume comme le fondateur de la science moderne de la génétique.

Q :Pourquoi ?

R : Parce que Mendel a décrit des caractéristiques très simples chez les plantes.

C’est ce que j’ai publié il y a un an, les données sont qu’il y a ces maladies chez les humains auxquelles on peut attribuer une causalité à un seul gène, et on peut avoir un certain espoir de faire quelque chose contre ces maladies. Mais si l’on cherche dans l’almanach mondial dans quelle mesure l’une de ces maladies génétiques ou toutes ces maladies génétiques combinées entrent en jeu dans l’espérance de vie ou les taux de mortalité, on ne trouverez rien. Il existe des milliers de maladies génétiques, mais elles ne représentent que moins de 2 pour cent de notre charge de morbidité. Maintenant, on prend cette même logique infructueuse et on l’applique aux maladies complexes, on parle maintenant des maladies cardiaques et du cancer, et c’est totalement étrange — c’est une science bizarre et terrible. Quiconque dit que ça ne fonctionnera pas est un Luddite, un anti-intellectuel et un anti-scientifique.

Note du traducteur : Un Luddite était, à l’époque de la révolution industrielle, un membre d’une des bandes d’ouvriers du textile anglais, menés par Ned Ludd, qui, de 1811 à 1813 et en 1816, s’organisèrent dans un mouvement clandestin pour détruire les machines, accusées de provoquer le chômage.

Ils pensent qu’ils font de la science pour le plaisir de la science. Ils pensent que si leurs travaux nous mènent dans un tunnel obscur, ils trouveront la sortie et la lumière, etc. La question est de savoir ce que nous faisons dans le monde réel en attendant que tout le monde découvre où se trouve la lumière. Il s’agit d’une autre question éthique à laquelle la science n’a pas de réponse et nous devons envisager la question du point de vue de l’élaboration de lignes directrices pour la science, ce qui suscite également une forte résistance. C’est comme un déni du premier amendement ou quelque chose comme ça. J’appelle cette technologie une invitation au diable. Un des phénomènes les plus destructeurs de l’histoire du monde.

Q :Le paradigme dans lequel nous nous trouvons actuellement s’appelle comment ?

R :Le modèle machine de la biologie. La vie est une machine, les éléments de la machine sont les gènes et les protéines, et nous pouvons réduire la machine à ses parties. C’est l’idée que nous pouvons contrôler la vie.

Q :Et quel est le paradigme qui a été remplacé par ce modèle ?

R : C’est une question intéressante. Il n’y a jamais eu de paradigme monolithique autre que l’évolution, qui fait ces temps-ci l’objet de nombreuses critiques. Je pense que nous sommes en pleine révolution. Lilly Kay, du MIT, a écrit un livre à ce sujet il y a quelques années.

Il y a 50 ou 60 ans, il existait un pluralisme dans les sciences de la vie, nous pouvions avoir un paradigme évolutionniste ou un paradigme holistique… mais les pouvoirs en place, même avant la Seconde Guerre mondiale, ont décidé que la direction que nous allions prendre serait la biologie moléculaire et une voie déterministe. Que la vie était contrôlée par ces structures que nous pouvions maîtriser et donc que nous pouvions de cette façon contrôler la vie.

Je ne sais pas s’ils étaient assez machiavéliques pour se dire « voilà comment nous pourrions tous nous enrichir ». Mais [dans le passé], il existait un pluralisme au sein de la science, et de nombreuses directions différentes, [cela a disparu]. Aujourd’hui, rien n’est scientifique en biologie à moins qu’il ne s’agisse de génétique. C’est ce qui s’est produit. On le voit dans l’évolution structurelle de l’université. Il y a 50 ans, nous avions des départements dédiés aux organismes, zoologie et botanique. Dans la plupart des grandes universités, ces départements ont été supprimés. J’étais le président du département de zoologie ; maintenant, il a disparu. J’appelle cela le programme de rénovation urbaine intellectuelle, ils ont démoli les quartiers et construit tous ces gratte-ciel et personne ne se parle.

Toutes ces directions de recherche sont peut-être encore là, mais elles suivent néanmoins la même musique. Les anciennes idées métaphysiques, selon lesquelles la vie n’était que partiellement matérialiste et qu’il fallait quelque chose appelé force vitale pour expliquer complètement la vie… C’était obscur à bien des égards, et la biologie tentait depuis longtemps de s’en libérer lorsque Mendel est arrivé avec les particules héréditaires. Au début du XXe siècle, nous avons commencé à associer les particules conceptuelles de Mendel à des éléments appelés chromosomes, puis aux gènes, d’une manière qui a permis à l’ensemble de la structure de la biologie de se rapporter à la grande question cosmologique de l’évolution. C’était la fin de toute forme d’étroitesse d’esprit. Un passage en force vers le matérialisme et le déterminisme.

Dick Rowan a déclaré dans un de ses articles publiés dans la New York Review of Books :

« Vous devez comprendre que la biologie moderne est matérialiste. Nous sommes acquis au matérialisme. Et nous n’allons pas laisser Dieu revenir s’immiscer dans la partie. »

Au nom de ne pas laisser Dieu revenir s’immiscer dans la partie, nous ne faisons pas face à la réalité. Ce que l’on pourrait considérer comme mystique est simplement quelque chose que d’autres personnes appellent complexité et la complexité est scientifique, elle ne coïncide tout simplement pas avec cette pensée linéaire qui caractérise la majeure partie de la génétique.

L’épigenèse est tout ce qui concerne le génome et qui n’est pas le gène. C’est un vieux mot. La forme moderne de l’épigenèse est la découverte scientifique dont ne parlent pas ces sociétés… si vous perturbez une cellule en culture, le génome répondra à ce changement de façon très spécifique, une partie de la réponse d’une cellule aux stimuli, beaucoup de choses changeront dans la façon dont les gènes sont exprimés. Les gènes qui étaient silencieux avant que vous ne leur donniez un stimulus sont maintenant amenés à s’exprimer selon un schéma différent de celui que vous veniez d’utiliser. Et ce n’est pas tout, les gènes seront marqués par des voies chimiques que désormais nous connaissons mais dont nous ne comprenons pas le schéma.

On change les structures organisationnelles des gènes sans changer les gènes eux-mêmes, car l’idée que l’on puisse changer les gènes autrement que par mutation aléatoire serait hérétique [en référence au néo-darwinisme – NdT].

Tous ces changements compliqués [se produisent] lors de l’exposition du génome de la cellule à un certain nombre de stimuli, et particulièrement par l’intervention d’un ADN étranger.Les gènes fabriquent des protéines, les protéines interagissent les unes avec les autres. Ils forment des réseaux et ces réseaux acquièrent une vie qui leur est propre. Ils ont une logique qui fait défaut au génome. Ils n’existent que dans le monde réel de l’expression. [C’est le] phénomène épigénétique, et l'[immense] complexité n’apparaît nulle part dans cette impulsion des entreprises qui veulent tout soigner par le biais de l’interventionnisme.

Q :Quels sont vos motifs d’inquiétude ? Quel est le scénario le plus dangereux qui peut découler de tout cela ?

R :Je crains que nous ne contaminions la planète entière avec des plantes génétiquement modifiées. Et que cela soit irréversible. Et nous n’avons même pas la moindre idée de ce qui pourrait s’en suivre.

Le PDG de Sun Microsystems, Bill Joy, a publié un article important dans Wired, en mars de cette année. Bill Joy appelle à un ralentissement de la technologie. Le co-fondateur de Sun Microsystems. Vous savez de quoi il a peur ? Il a peur que ce que nous allons faire… ça fait déjà partie de toute cette affaire de manipulation génétique des humains, des embryons… Joy a peur que nous commencions à créer des hybrides, entre les êtres humains et les circuits nanotechnologiques fabriqués dans des endroits comme Sun Microsystems, et que ces hybrides prennent le dessus. C’est le dirigeant, il parle sérieusement. C’est un gars sérieux. Et nous, les biologistes… Je crains qu’avant de fabriquer les robots, nous ayons déjà créé les conditions qui exigeront les robots, car il n’y aura plus rien d’appelé agriculture.

[Mention d’un bulletin d’information sur l’eugénisme technocratique.]

Q : Est-ce la perte potentielle de la vie organique sur notre planète Terre ?

R :Oui.

Q : Qu’est-ce qui vous inquiète le plus quand vous pensez à la soi-disant thérapie génique ?

R : Ce qui m’inquiète, c’est l’inquiétude exprimée par William Blake :

« Ce qui semble être, est, à ceux à qui cela semble être, productif des conséquences les plus épouvantables, jusqu’aux tourments, au désespoir, à la mort éternelle. »

Si nous pensons que le monde des organismes est un monde de machines, nous commencerons à nous traiter mutuellement comme des machines. C’est l’énorme danger de tout ce modèle mécaniste des organismes. C’est ce terrible cauchemar qui devient réalité.

Source de l’article initialement publié en anglais le 20 juin 2021 : celiafarber.substack.com
Traduction et emphases : Sott.net




Pétition pour la destitution du président Macron

[Source : leslignesbougent.org]

Pétition pour la destitution du président Macron

Nous,
citoyens français, demandons une motion de censure à l’Assemblée nationale en vue de la destitution du président Macron et de son gouvernement pour manquement grave à sa fonction présidentielle, maintient d’une population dans un état d’urgence sanitaire abusif, mensonge d’état, corruption, mauvaise gestion de crise, détournement d’argent public à des fins personnelles de campagne électorale, prise d’intérêt, mise en danger de la vie d’autrui, abus de pouvoir, népotisme, cloisonnement et discrimination d’une partie éclairée de la population, décohésion sociale, gouvernement par la peur et la répression, désorganisation de l’appareil constitutif et administratif de la France, accusations calomnieuses à l’égard des services sanitaires du pays, pillage en règle et en bande organisée des richesses de la nation, détournement des médias à des fins de propagande coercitive et nuisible au bien être physique et psychique de ses administrés, empoisonnement par abus et usure d’ustensiles non appropriés au bien-être de tous (masques inutiles et polluants), incitation à l’ostracisme et à la violence, tentative de génocide par obligation d’utilisation de produit non réglementés et dont la dangerosité est avérée (thérapie génique), mensonge par omission et manipulation de masse par des personnes détenant autorité, élitisme, bafouement de la constitution de la 5e république, promulgation par décrets de lois iniques en vue d’asservissement des citoyens, décrédibilisation et destruction du système de santé, utilisation des pouvoirs publics et des forces de l’ordre à des fins de répression, privation des citoyens de leurs libertés fondamentales d’expression, de pensée, de mouvement et d’épanouissement.

Nous demandons également la mise sous tutelle populaire du Sénat, du Conseil Constitutionnel et de l’Assemblée nationale pour prise d’intérêts ainsi que le Conseil de l’ordre médical, la faculté de médecine, la magistrature et les différentes académies qui se sont portés caution de ces agissements.

Nous demandons que ce président restitue les pouvoirs que le peuple lui a confiés au début de son mandant.

Qu’il soit saisi de tous ses biens et avoirs pour rembourser tout ou partie du préjudice susnommé.

De même une interdiction électorale et également une interdiction de pratiquer sur le territoire.

Qu’il soit également dessaisi de ses appointements de retraité de la haute fonction publique après son mandat.

L’abrogation et l’annulation pure et simple de tout son mandat y compris l’annulation des ventes des fleurons technologiques du pays à des puissances étrangères et soit poursuivit pour haute trahison.

Auteur : Luqy

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L’effondrement de l’hypothèse virale. Mise à jour

[Source : Jérémie Mercier]

Pour ce 19e numéro de « Science en Conscience » pour ReinfoCovid, Jérémie Mercier reçoit Urmie Ray, docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment.

Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » [Sur la science : concepts, cultures et limites] (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles.

Crédit musique générique : Erik Baroux

► Retrouvez Urmie Ray sur son site : https://urmieray.com/fr/

► Retrouvez ReinfoCovid sur le site : http://reinfocovid.fr/

► Retrouvez Jérémie Mercier sur son site : https://www.jeremie-mercier.com/
et sur son groupe Telegram : https://t.me/DeconfineTaSante

[Ndlr: à partir de 9 min 50 pour ce qui concerne l’hypothèse virale]



[Voir aussi :
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
et liens annexes]

[Mise à jour : la démonstration scientifique s’appuie sur la logique. En logique pure, pour qu’un phénomène, un événement, un objet ou un être vivant soit la cause unique d’un autre phénomène, événement, objet ou être vivant, il doit respecter les conditions logiques suivantes :
Il est suffisant que la présence de la cause entraîne la présence de la conséquence prévue
ou inversement que l’absence de la conséquence implique l’absence de la cause.
Si la cause est effectivement unique, il n’y a bien sûr aucune autre cause systématiquement présente.

Il est par contre nécessaire que l’absence de la cause entraîne l’absence de la conséquence prévue, ou qu’inversement la présence du phénomène prévu implique la présence de la cause.

Exemple en climatologie :

Si les nuages étaient la cause unique de la pluie, il serait suffisant que la présence de nuages entraîne celle de la pluie
et inversement l’absence de pluie impliquerait l’absence de nuages.

Or, on observe assez souvent la présence de nuages sans qu’il y ait de pluie du tout et dans certains cas, au lieu de pluie, on a plutôt de la neige ou de la grêle.

De plus, il serait nécessaire que l’absence de nuages entraîne l’absence de la pluie
ou inversement que la présence de la pluie implique celle des nuages.

Mais dans la pratique, on a pu pourtant observer de la pluie fine en certains lieux et circonstances sans nuages visibles, par phénomène de condensation localisée de vapeur d’eau.

Donc, tout cela montre logiquement que les nuages ne sont pas la cause unique de la pluie et que d’autres facteurs (ou éléments causaux) interviennent, comme la température et la pression de l’atmosphère.

Exemple en virologie :

Si un virus donné (comme le supposé SRAS-CoV-2 pourtant jamais physiquement isolé) était la cause unique de la maladie Covid-19 qu’on lui attribue, alors il serait suffisant que sa présence entraîne la maladie associée, et inversement l’absence de la maladie impliquerait l’absence du virus.

Or, on observe assez souvent que des personnes auraient prétendument le SRAS-CoV-2 dans leur organisme alors qu’elles ne sont pas malades et n’ont aucun symptôme, au point qu’on les appelle « malades asymptomatiques ».

De plus, il serait nécessaire que l’absence du virus entraîne l’absence de la maladie ou qu’inversement la présence de la maladie entraîne celle du virus.
Or, comme les symptômes de cette maladie couvrent d’autres maladies ou phénomènes (comme les symptômes de la grippe ou comme les effets sur la santé d’ondes électromagnétiques pulsées) et que l’on a pu les observer sans le moindre lien avec le SRAS-CoV-2, on peut dire que l’on a des personnes qui aujourd’hui seraient diagnostiquées Covid-19 sans pour autant que l’on y détecte de SRAS-CoV-2.

Donc tout cela montre qu’au mieux le SRAS-CoV-2 n’est pas la cause unique de la Covid-19, mais que d’autres facteurs doivent logiquement intervenir s’il a quelque chose à y voir (et si par hasard il existe vraiment, mais n’est pas un simple artefact virtuel produit d’une méthodologie qui n’a rien de scientifique comme cela est démontré dans la vidéo).

Exemple en électricité :

Si le courant électrique est la cause unique de la lumière d’une lampe, il est suffisant que la présence du courant dans le filament de l’ampoule entraîne son éclairage et inversement, l’absence de courant implique l’absence de lumière.

Ceci est effectivement observé à partir du moment où le courant est d’intensité suffisante. (En toute rigueur, on pourrait toutefois ici invoquer une cause secondaire, à savoir l’existence d’une résistance électrique au passage du courant dans le filament. Et donc en toute rigueur le courant électrique est la cause principale, mais pas unique de l’éclairage de la lampe.)

De plus, il est nécessaire que l’absence de courant entraîne l’absence de lumière dans l’ampoule
ou inversement que la présence de lumière implique celle du courant.

On n’observe effectivement pas de lampes électriques allumées sans qu’elles soient parcourues par un courant électrique.]

[Ndlr : ceci réfute également la théorie selon laquelle des virus se seraient incorporés à l’ADN humain pour faire de l’Homme ce qu’il est aujourd’hui]




David Pujadas s’attaque frontalement au mirage Omicron, preuves à l’appui

[Source : lemediaen442.fr]

Rien ne va plus, Pujadas commence à s’énerver. L’agacement face aux mensonges n’est plus tenable. (…) Une chose est certaine, il en a gros sur la patate et n’est certainement pas le seul journaliste à être agacé.


Nous sommes jeudi 30 décembre 2021 et le journaliste de LCI a décidé de s’attaquer frontalement au tsunami Omicron, afin de montrer aux téléspectateurs qu’il n’est en réalité qu’un mirage. Les arguments sont là, les chiffres, les preuves et face à ce constat sans appel, David Pujadas commence par cette phrase :

« l’Apocalypse Omicron, alors je dis Apocalypse, parce que c’est couramment admis. On ne peut pas dire Omicron sans dire tsunami, raz-de-marée, la falaise, le mur qui va tous nous ensevelir. C’est ce qu’on entend dans les médias. C’est ce qu’on entend chez les médecins. Vous lisez dans la presse, vous l’entendez à la radio, vous le voyez à la télévision. Bref, la peur, l’inquiétude. »

.

Le Média en 4-4-2




Et si la plus grande expérience de l’histoire sur les êtres humains était un échec ?

[Source : anguillesousroche.com]

Un collègue analyste boursier chevronné m’a envoyé un lien par SMS aujourd’hui, et lorsque j’ai cliqué dessus, j’avais du mal à croire ce que je lisais. Quel titre. « Le PDG d’une compagnie d’assurance-vie de l’Indiana affirme que les décès ont augmenté de 40 % chez les personnes âgées de 18 à 64 ans ».

[Ndlr : l’accès à l’article étant visiblement interdit depuis l’UE — signalé par plusieurs utilisateurs —, voici sa capture PDF :]

Ce titre est une bombe de vérité nucléaire se faisant passer pour l’enveloppe de manille sèche d’un agent d’assurance pleine de tables actuarielles.

Des personnes nous écrivent fréquemment, à Jill et à moi-même. Des gens que nous n’avons jamais rencontrés. Ils appellent, ils viennent à la ferme sur rendez-vous ou à l’improviste, ils remplissent nos boîtes aux lettres électroniques de leurs demandes. Ils veulent tous quelque chose : du temps, de l’attention, une interview. Beaucoup veulent nous parler de leurs peurs, de leurs maladies, de leurs cauchemars ou (ce qui semble souvent) de conspirations paranoïaques. Et puis, avec le temps, ces peurs et ces « conspirations » se confirment. Comme me l’a dit récemment Jan Jekielek (rédacteur en chef du Epoch Times), il est de plus en plus difficile de distinguer les théories du complot de la réalité.

Un visiteur de ferme m’a raconté qu’il avait prédit un nombre massif de décès dans les trois années à venir à cause des vaccins génétiques, et que tout cela était lié au « Grand Reset » et au programme de dépeuplement du Forum économique mondial (FEM). J’ai essayé de le rassurer en lui disant que, selon moi, c’était hautement improbable – tout en pensant en privé à la facilité avec laquelle les gens tombent dans ce type d’idées de conspiration, et au fait que je dois faire attention à ne pas tomber dans ce travers lorsque je suis confronté à tant de décisions de santé publique qui semblent soit incompétentes, soit infâmes. À l’époque, je ne connaissais le FEM que comme l’hôte d’une grande fête annuelle à Davos, en Suisse, où les super riches et les hoi oligoi des nations occidentales se rendaient pour assister à des conférences Ted, boire le meilleur vin, voir et être vu. Je suis stupide. Quel long et étrange voyage cela a été. Je doute que même Hunter S. Thompson aurait pu l’imaginer dans son état le plus drogué et alcoolisé. Il suffit de dire que je nomme Ralph Steadman comme illustrateur officiel de la pandémie de SRAS-CoV-2. Ou un Hieronymus Bosch ressuscité.

Mais je m’éloigne d’un point que j’ai peur d’énoncer clairement.

Il commence à me sembler que la plus grande expérience sur les êtres humains de l’histoire a échoué. Et, si ce rapport plutôt sec d’un cadre supérieur d’une compagnie d’assurance-vie de l’Indiana s’avère vrai, alors la campagne de Reiner Fuellmich sur les « crimes contre l’humanité » visant à convoquer de nouveaux procès de Nuremberg commence à sembler beaucoup moins chimérique et beaucoup plus prophétique.

Voici ce que m’a inspiré ce rapport de Margaret Menge, collaboratrice de The Center Square.

« Le directeur de la compagnie d’assurance OneAmerica, basée à Indianapolis, a déclaré que le taux de mortalité avait augmenté de 40% par rapport aux niveaux d’avant la pandémie chez les personnes en âge de travailler.

« Nous observons, en ce moment même, les taux de mortalité les plus élevés que nous ayons vus dans l’histoire de cette activité – et pas seulement chez OneAmerica », a déclaré le PDG de la compagnie, Scott Davison, lors d’une conférence de presse en ligne cette semaine. « Les données sont cohérentes chez tous les acteurs de cette activité ».

OneAmerica est une compagnie d’assurance de 100 milliards de dollars dont le siège social se trouve à Indianapolis depuis 1877. La société compte environ 2 400 employés et vend de l’assurance-vie, notamment de l’assurance-vie collective aux employeurs de l’État.

M. Davison a déclaré que l’augmentation du nombre de décès représente « un nombre énorme, énorme », et que ce ne sont pas des personnes âgées qui meurent, mais « principalement des personnes en âge de travailler de 18 à 64 ans » qui sont les employés d’entreprises qui ont des plans d’assurance-vie de groupe par le biais de OneAmerica.

« Et ce que nous avons vu au troisième trimestre, et que nous voyons se poursuivre au quatrième trimestre, c’est que les taux de mortalité ont augmenté de 40% par rapport à ce qu’ils étaient avant la pandémie », a-t-il dit.

« Pour vous donner une idée de la gravité de la situation, une catastrophe de trois sigmas ou d’une année sur 200 correspondrait à une augmentation de 10 % par rapport à la période pré-pandémique. « Donc 40 %, c’est du jamais vu ».

Alors, qu’est-ce qui explique cette hausse sans précédent de la mortalité toutes causes confondues ?

« La plupart des demandes de remboursement de décès déposées ne sont pas classées comme des décès COVID-19,

‘Ce que les données nous montrent, c’est que les décès qui sont déclarés comme des décès COVID sous-estiment grandement les pertes réelles de décès parmi les personnes en âge de travailler à cause de la pandémie. Il se peut que tous les décès ne soient pas inscrits sous la rubrique COVID sur leur certificat de décès, mais leur nombre est tout simplement énorme, énorme.’ »

Prenez un moment pour lire l’article en entier. Maintenant. Puis continuons, en supposant que vous l’ayez fait.

AU MINIMUM, d’après ce que j’ai lu, on doit conclure que si ce rapport se tient et est confirmé par d’autres dans le monde aride des actuaires d’assurance-vie, nous avons à la fois une énorme tragédie humaine et un profond échec de politique publique du gouvernement américain et du système HHS américain pour servir et protéger les citoyens qui paient pour ce « service ».

Si cela est vrai, alors les vaccins génétiques si agressivement promus ont échoué, et la campagne fédérale claire visant à empêcher un traitement précoce avec des médicaments vitaux a contribué à une perte massive et évitable de vies.

Au pire, ce rapport implique que les mandats fédéraux de vaccination sur le lieu de travail ont conduit à ce qui semble être un véritable crime contre l’humanité. Des pertes massives de vies chez des travailleurs (présumés) qui ont été forcés d’accepter un vaccin toxique à une fréquence plus élevée que la population générale de l’Indiana.

DE PLUS, nous avons également vécu la campagne de propagande et de censure la plus massive et la mieux coordonnée au niveau mondial de l’histoire de l’humanité. Tous les grands médias de masse et les entreprises de technologie des médias sociaux se sont coordonnés pour étouffer et supprimer toute discussion sur les risques des vaccins génétiques ET/OU des traitements alternatifs précoces.

Si ce rapport est vrai, il faudra rendre des comptes. Il ne s’agit pas seulement d’écraser le premier amendement de la Constitution des États-Unis et de le broyer dans la boue avec une armée d’infanterie lourde alimentée par l’intelligence artificielle. Cet article se lit comme la description sèche d’un événement de masse évitable causé par une procédure médicale expérimentale obligatoire. Une procédure pour laquelle toutes les possibilités pour les victimes de s’informer sur les risques potentiels ont été méthodiquement effacées de l’internet et de la conscience publique par une cabale internationale corrompue opérant sous le drapeau de la « Trusted News Initiative ». George Orwell doit se retourner dans sa tombe.

J’espère avoir tort. Je crains d’avoir raison.

Lire aussi : Malone : Ne prenez pas part au mensonge

Sources : Zero HedgeDr. Robert Malone via Substack




La forteresse Macron se lézarde ! infligez-lui la déroute qu’il mérite

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

La forteresse Macron se lézarde plus vite et plus profondément que nous ne pouvions l’imaginer. Après une nouvelle offensive éclair menée entre Noël et Nouvel An (dont le mauvais effet psychologique sur ses soutiens a probablement été sous-estimé par son entourage), Macron enchaîne désormais les déconvenues. Après avoir renoncé au passe sanitaire en entreprise, avoir concédé le retour du certificat du rétablissement, le gouvernement doit composer avec des députés qui se rebellent, et des fissures partout dans l’édifice et dans la « narration » qui lui sert à justifier sa politique de ségrégation. C’est le moment d’intensifier la pression pour infliger une dérouté à ce président scélérat.



La forteresse Macron n’est pas encore tombée, mais des fissures, et mêmes des brèches s’ouvrent dans l’édifice, qui laissent à penser que tout est désormais possible. 

Travail de sape dans la forteresse Macron

Hier, les députés se sont rebellés contre le mépris présidentiel pour le débat parlementaire. Il faut dire que les couleuvres commencent à être trop grosses à avaler, même pour un député grouillot qui doit son élection au Président (et qui lui devra, en juin, si les choses continuent, son élimination au premier tour des législatives). 

Déjà, cet été, le Président avait attendu la veille de la Fête Nationale pour annoncer la vaccination obligatoire des soignants et le passe sanitaire. Attendre que les Français soient en vacances pour prendre ce genre de mesure autoritaire n’a rien de glorieux. 

Déjà, cet été, le Président avait exigé des députés qu’ils votassent sans broncher un texte qui en a fait vaciller plus d’un. 

Mais cet hiver, rebelotte. Et cette fois, ce ne sont pas les séjours à la plage qui ont morflé. C’est la trêve sacrée entre le renouveau de la lumière et le changement d’année. 

Il est probable que très peu de conseillers autour d’Emmanuel Macron aient un sens sacré suffisant pour comprendre combien ce genre d’habitude devient déplacée lorsqu’elle touche aux fondements spirituels de la société. Mais nous sommes convaincus que cette maladresse a un impact beaucoup plus important qu’on ne le pense. 

Mais Macron ne s’est pas contenté du prétexte d’une prétendue cinquième vague pour imposer des mesures copiées de l’Italie. Il ne s’est pas contenté de faire travailler les conseillers d’Etat entre Noël et Nouvel An. Il a aussi exigé des députés qu’ils accélèrent les débats jusqu’à ne plus débattre… pour pouvoir tenir un calendrier dont on mesure les sous-entendus politiques. 

Tout ce que Pfizer prend n’est plus à prendre

Qui est dupe, désormais, de la soumission du pouvoir en France aux intérêts de Pfizer ?

L’ampleur des effets secondaires est de plus en plus difficile à nier. Même dans les beaux quartiers parisiens, l’affaire prend une tournure inattendue, comme le montre ce message sur les réseaux sociaux :

Peu à peu, le “narratif” gouvernemental prend l’eau. Les doutes viennent à un nombre grandissant de personnes sur l’empressement que Macron met à refourguer du Pfizer à tour de bras. 

Dans la rue, on entend partout que la troisième dose passe mal. Ceux qui la subissent prennent de façon fréquente de plein fouet des effets secondaires extrêmement désagréables. Il devient difficile de les cacher, et la cécité du ministre de la Santé sur ce point est suspecte. 

Lorsque les “complotistes” en parlaient, on pouvait ricaner. Mais lorsque soi-même on fait l’épreuve de ce moment difficile, l’esprit s’ouvre…

L’annonce d’une quatrième dose, dans ces conditions, a beaucoup fragilisé la crédibilité de la politique menée par Macron. Beaucoup en viennent à se demander ce que cela cache vraiment !

Profitons-en pour contre-attaquer de façon unie

C’est le moment de passer à l’action !

Nous vous proposons une action commune entre Rester libre ! et Bon Sens, l’association créée par Christian Perronne et quelques autres. 

Il s’agit d’expliquer à votre député que vous ferez ce qu’il faut pour qu’il ne soit pas réélu s’il vote le passe sanitaire. 

Je suis très heureux de cette alliance avec Bon Sens pour mener cette action de dissuasion. 

Vous trouverez ici tous les détails sur cette action qui vous prendra 5 minutes. Ces 5 minutes sont vitales pour la démocratie.

De toutes les manières, passez à l’action. Sortez de la mine, descendez des collines. Tout ce que vous ferez ira dans le bon sens. 

Figurez-vous que 2022 peut nous réserver d’excellentes surprises ! et figurez-vous que vous pouvez contribuer à les créer !




Le Conseil mondial de la santé (WCH) appelle à un arrêt immédiat des « vaccins » expérimentaux contre la Covid-19

Auteur : « Bon Sens »

Des témoignages, des études, des appels à la prudence mis à mal, quand bien même LES FAITS sont édifiants et prouvés scientifiquement.

Tous ces appels de Médecins, Scientifiques, lanceurs d’alerte ne peuvent plus être ignorés…

Le Conseil mondial de la santé (WCH) appelle à un arrêt immédiat des « vaccins » expérimentaux contre la Covid-19, dans une déclaration qui a été créée et signée par des médecins, des avocats et d’autres personnes aidant à diriger le nouveau Conseil mondial de la santé.

ET CEUX NE SONT PAS DES CONSPIRATIONISTES !

Des experts de renommée mondiale, dont le Dr Paul Alexander, le Dr Byram Bridle, le Dr Geert Vanden Bossche, le Prof. Dolores Cahill et les Drs. Sucharit Bhakdi, Ryan Cole, Richard Fleming, Robert W. Malone, Peter McCullough, Mark Trozzi, Michael Yeadon, Wolfgang Wodarg et Vladimir Zelenko, ENTRE AUTRES, avertissent constamment le monde des effets indésirables résultant des injections expérimentales de Covid-19. ILS mettent également en garde contre leurs effets à long terme, qui ne peuvent être connus pour le moment, car la plupart des essais cliniques ne seront achevés qu’en 2023, et certains jusqu’en 2025.

Le Conseil mondial de la santé a débuté en septembre 2021 dans le but de fournir les derniers avis scientifiques impartiaux. Il s’agit d’une coalition faîtière initialement composée de 45 organisations axées sur la santé du monde entier. Les recommandations élaborées par les médecins sont conçues pour aider le public à prendre les meilleures décisions en matière de santé.

Le Conseil mondial de la santé déclare qu’il est temps de mettre un terme à cette crise humanitaire. En outre, le Conseil déclare également que toute implication directe ou indirecte dans la fabrication, la distribution, l’administration et la promotion de ces injections viole les principes fondamentaux de la common law, du droit constitutionnel et de la justice naturelle, ainsi que le Code de Nuremberg, la Déclaration d’Helsinki et d’autres traités internationaux.

Nous savons maintenant que les enfants sont plus de cent fois plus susceptibles de mourir de ces injections expérimentales que Covid-19.

Les athlètes injectés, dans le monde, s’effondrent sous nos yeux. Malgré le fait que les systèmes de notification soient limités et passifs, des millions d’effets indésirables ont été enregistrés, notamment la mort, la paralysie, les caillots sanguins, les accidents vasculaires cérébraux, la myocardite, la péricardite, les crises cardiaques, les fausses couches spontanées, la fatigue chronique et la dépression extrême…

Déclaration du WCH (World Council for Health) ⬇️⬇️

https://worldcouncilforhealth.org/campaign/covid-19-vaccine-cease-and-desist/

Déclaration du Conseil mondial de la santé sur Omicron (B.1.1.529) ⬇️⬇️



Une autre déclaration, celle de Barrington, qui regroupe des épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques de la santé publique, qui sont vivement préoccupés par les effets néfastes sur la santé physique et mentale des politiques COVID-19 en vigueur, et ils recommandent une approche qu’ils appellent, la protection ciblée.

Déclaration De Great Barrington ⬇️⬇️

https://gbdeclaration.org/

[Voir aussi :
Comment parvenir à l’immunité collective : la déclaration de Barrington]




Les fausses promesses du Dépistage Prénatal Non Invasif (DNPI)

[Source : genethique.org]

Pour 15 alertes “justifiées”, 85 sont erronées : les tests prénataux non invasifs recherchant des maladies de plus en plus rares induisent les femmes en erreur, dénonce le New York Times. Pour en arriver à ces conclusions, le journal a interrogé des chercheurs et combiné les données de plusieurs études concernant les cinq tests de microdélétion les plus courants aux États-Unis.(([1] Tests recherchant le Syndrome de Di George, le syndrome du cri du chat, le syndrome Wolf Hirschhorn et les syndromes de Prader Willi et Angelman, et syndrome de délétion 1p36)) Sans remettre en question le dépistage des trisomies 21 et 18 (cf. Trisomie 21 : des chiffres têtus ; Le CIB met en garde sur les « tendances eugéniques » du DPNI).

« Promesse de la Silicon Valley aux femmes enceintes », ces tests prénataux sont censés détecter de « graves » anomalies génétiques du fœtus avec une précision « remarquable ». D’abord centrés sur la trisomie 21, ces tests se sont répandus depuis une dizaine d’années. Cherchant à se démarquer les unes des autres, les entreprises commercialisant ces tests ont petit à petit proposé d’élargir le nombre de maladies dépistées. Se tournant vers des maladies de plus en plus rares. Or selon le New York Times, ces prédictions se révèlent fausses dans la plupart des cas.

En outre, ces résultats sont anxiogènes pour la femme enceinte, et poussent à l’avortement (cf. Tests préconceptionnels, dépistage prénatal : une surabondance d’informations anxiogènes. ;  Le diagnostic prénatal source d’angoisse pour les femmes). Une étude réalisée en 2014 montrait déjà que dans 6% des cas, les femmes n’attendaient pas la confirmation des résultats du test de dépistage(([2] Par un examen diagnostic, comme une amniocentèse.)) pour avorter.

Médecins et femmes enceintes sont induits en erreur, estime le New York Times, par des brochures présentant les tests comme « fiables », « extrêmement précis ». Certaines entreprises vont jusqu’à proposer des tests sans publier de données sur leurs performances, ou n’indiquent que les chiffres pour leurs meilleurs dépistages. D’autres fondent leurs affirmations sur des études incluant seulement 1 ou 2 grossesses présentant la maladie en question (cf. Irlande : informer sur les failles des tests de dépistage prénatal ; Au Royaume-Uni, des publicités pour le DPNI retirées). Ces tests échappent en effet au contrôle de la FDA(([3] Food and Drug Administration)), qui ne les règlemente pas.

Mais les gains financiers sont énormes : les estimations des analystes sur la taille du marché du dépistage prénatal vont de 600 millions de dollars à des milliards de dollars, et le nombre de femmes passant ces tests devrait encore doubler d’ici 2025 (cf. Le développement mondial du marché du test prénatal non invasif ; Des intérêts financiers à l’origine des pressions visant à intégrer le DPNI dans le dépistage de la trisomie 21 ?).

Source : New York Times, Sarah Kliff et Aatish Bhatia (01/01/2022)




Appel à la résistance des députés, sénateurs, élus, citoyens contre une société orwellienne

Par Nicole Delépine

Bravo, Mme la Députée M Wonner en ce triste 3 janvier où le macronisme tente d’enterrer la démocratie et de transformer notre société en une terre orwellienne.

Elle a raison, cette courageuse députée.

Votre pass vaccinal arrive trop tard, car les Français ont bien compris que le variant omicron avec lequel vous vouliez nous affoler, en fait apporte une immunité naturelle qui va enterrer cette pandémie. On peut multiplier les cas, en imposant une folie de tests, mais cela ne multiplie pas les hospitalisés ni les morts qui seraient vraiment liés au covid.

et le commentaire du ministre est inadmissible :

Duval Philippe

« Que l’on soit d’accord ou pas avec Martine #Wonner, rien ne justifie les propos tenus par Olivier Véran

. En plein examen de la loi à l’Assemblée nationale, #Veran en réponse à l’intervention de la députée : “Madame Wonner, la chloroquine ne se fume pas” »

Et les Français clament leur refus de l’apartheid devant l’Assemblée nationale malgré le déluge.

Le groupe LFI pose une motion de rejet présenté par Jean-Luc Mélenchon :

https://twitter.com/i/broadcasts/1lPKqmDYVllKb

Député Dupont-Aignan

Le texte de loi du #passevaccinal débattu à partir de ce jour 3 janvier 2022

Je me battrai de toutes mes forces à l’Assemblée nationale pour faire tomber le passe vaccinal, qui est une arme de plus de destruction massive de notre devise Liberté, Égalité et Fraternité ! #DirectAN

Députée Mathilde Panot

En Macronie, l’individu est coupable. Coupable d’être chômeur, coupable d’être pauvre, ou encore, coupable d’être malade !

Bravo à ces députés qui tentent d’éveiller les collègues contre ce totalitarisme qui avance, même pas masqué…

Les citoyens doivent participer à cette information des députés, sénateurs, élus en leur écrivant leur propre lettre

Ou inspirée de lettres ouvertes déjà proposées :

Il faut agir tout de suite : adresser dès aujourd’hui une lettre aux députés et aux sénateurs — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Joindre nos députés et leur faire comprendre l’importance de leur vote qui pourrait transformer notre société en apartheid et aboutir un jour ou l’autre à de la violence pour en sortir.

Dans l’immédiat, joignons-les dans leurs permanences ou par écrit ou téléphone, qu’ils sachent que nous savons l’horreur du projet, et que nous saurons leur prise de position.

Rodolphe Bacquet (rbacquet@mail1.alternatif-bien) a initié la pétition « non au pass vaccinal » qui atteint le million 200 000 signatures et qu’il faut continuer à transférer le plus possible — texte dans le lien ci-dessus)

[Pétition] NON AU PASS VACCINAL ! (leslignesbougent.org)

ou en transmettant des lettres ouvertes comme celle de J E Chabert :

De : Jacques-Elie Chabert <je.chabert@gmail.com>
Envoyé : vendredi 31 décembre 2021 12 h 35
À : undisclosed-recipients:
Objet : Fwd: votez NON AU PASS VACCINAL

Madame la Sénatrice, Monsieur le Sénateur,
Madame la Députée, Monsieur le Député,

Le projet du gouvernement de Jean Castex est d’instaurer un « Pass vaccinal » qui remplacerait le « Pass sanitaire ». Ces deux instruments de contrôle, « Pass vaccinal » et « Pass sanitaire », sont des atteintes à l’état de droit qu’aucune « crise » ne justifie.

À un point de bascule aussi crucial, votre responsabilité historique est engagée au moment même où la CNIL vient d’autoriser l’envoi à la CNAM et aux médecins de la liste de leurs patients non-vaccinés en prévoyant que l’on pourrait tordre le nez au règlement qui protège les données personnelles, la CNIL gesticule et feint de se battre pour résister à l’extorsion de nos données personnelles de santé par les multinationales américaines et en tout premier Microsoft [A].

Ces dispositions porteraient gravement atteinte à notre constitution et à nos lois, qui spécifient que tout acte médical doit être consenti de façon libre et éclairée. En fait, il a bien été établi qu’un acte médical imposé sous la contrainte — il en existe de toutes sortes — est condamné par les lois supranationales de Nuremberg qui furent conçues pour conjurer le retour à la barbarie des camps de concentration [B].

Ces dispositions violeraient la loi de l’Union Européenne encadrant l’instauration du « pass sanitaire », qui a expressément interdit qu’un tel document puisse aboutir à une discrimination entre vaccinés et non-vaccinés.

Ces dispositions méprisent les avertissements du Conseil Constitutionnel qui exigeait que le « pass sanitaire » soit temporaire. Si « temporaire » est maintenant synonyme de « en attendant de mettre en place pire » alors nous devons condamner et sanctionner le cynisme achevé de l’équipe qui prétend nous gouverner.

Facteur aggravant et constituant de cette protestation, ce « pass vaccinal » n’a pas de fondement scientifique. Le Pr Delfraissy a admis lors de sa dernière audition au Sénat que le « pass sanitaire » n’avait pas endigué l’épidémie de Covid, son but étant de contraindre les citoyens à la vaccination [C]. Le « pass sanitaire » n’a eu aucun effet sur la contagiosité virale et les hôpitaux accueillent maintenant de doubles et triples vaccinés. Ce vaccin ne « marche » pas et, contrairement à l’argument cent fois répété, il ne prévient pas la survenue des « formes graves ». Les effets adverses et les effets paradoxaux explosent [D].

En droit français et en droit international, il n’est pas possible d’imposer une obligation de traitement médical à une personne en bonne santé ne présentant aucun surcroît de risque pour son entourage, la vaccination COVID n’étant pas altruiste. La loi portée par M. Castex étant une véritable « obligation vaccinale » assortie d’un dispositif punitif, n’est pas légale. L’accepter serait une faute qui aurait pour conséquence une mise sous tutelle et un asservissement du peuple français tout entier qui, par son injustice, déclencherait un enchaînement de mesures toujours plus coercitives.  

• Si vous donnez votre feu vert au gouvernement sur le « pass vaccinal », vous posez les bases d’un modèle de société où le contrôle du statut médical conditionnera la vie sociale et facilitera la prédation de l’État américain sur l’ensemble de l’économie. Le principe « KYC » (Know Your Customer) qui soutend cette gigantesque opération et qui prétend tout connaître de nos entrailles n’est pas acceptable ;

• Votre approbation aurait pour conséquence d’opposer deux classes de citoyens à l’intérieur du même pays : vaccinés contre non-vaccinés et vous introduiriez une discrimination qui ne connaît que de sombres exemples dans l’histoire de notre pays et celles des peuples ;

• Votre approbation aurait pour conséquence de condamner la totalité des citoyens à un traitement expérimental appelé « vaccination », sans limite annoncée de durée, avec une dose supplémentaire tous les 3 mois. Alors que l’expérimentation de vaccination de masse aurait dû être stoppée, on a, comme pour les antibiotiques, toutes les raisons de redouter des conséquences à long terme de cette surconsommation.

C’est à peine concevable, mais il faut se rendre à l’évidence que les fabricants de médicaments exercent une telle pression sur les politiques et les médias que « protéger » devient synonyme de « condamner ». Il ne m’appartient pas de prodiguer un complément de culture sur la vaccination. À chacun de faire ses recherches en déjouant le grossier narratif officiel.

Je vous demande solennellement, vous, représentants du peuple français auxquels sera soumis ce projet de loi début janvier, de défendre la liberté républicaine, la justice sociale, notre intégrité et l’économie de la France en censurant ce projet de loi.

Veuillez recevoir, Mesdames et Messieurs les élus de l’Assemblée nationale et du Sénat, l’expression de ma très haute considération.

Jacques-Elie Chabert
je.chabert@gmail.com


[A]
https://www.dataprivacy.pro/le-contentieux-entre-microsoft-et-la-cnil/
https://www.msn.com/fr-fr/finance/economie/feu-vert-de-la-cnil-%C3%A0-lenvoi-aux-m%C3%A9decins-de-la-liste-de-leurs-patients-non-vaccin%C3%A9s/ar-AALS27Y
https://www.lemondedudroit.fr/decryptages/61993-nouvelles-exigences-cnil-transmission-donnees-partenaires-commerciaux-courtiers-donnees.html
https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_les-gouvernements-decident-en-opposition-au-citoyen-selon-la-presidente-de-la-ligue-des-droits-humains-invitee-a-jeudi-en-prime?id=10706245

[B]
http://www.revuedlf.com/droit-administratif/sur-la-liceite-dune-obligation-vaccinale-anti-covid/
https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32021R0953&from=EN
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006070721/LEGISCTA000006136059/#LEGISCTA000006136059

[C]
https://www.liberation.fr/checknews/jean-francois-delfraissy-a-t-il-dit-que-le-pass-sanitaire-ne-protege-pas-20211209_R7DTOX4XPVBJRPBNIFX42ZLDWQ/

[D]
Le système américain VAERS enregistre les rapports de blessures et de décès dus aux vaccins. Il a été bien documenté que la base de données ne contient que 1 % à 10 % des vrais chiffres, pour diverses raisons. En d’autres termes, les nombres réels peuvent être 10x à 100x plus que ceux dans la base de données. 46 dossiers VAERS d’enfants décédés à la suite d’un Pfizer : https://goodsciencing.com/covid/46-children-killed-by-covid-vaccines-in-us/ _ https://vaers.hhs.gov/ et https://www.adrreports.eu/fr/, les deux organes de pharmacovigilance — américain et européen — ressentent officiellement déjà, ensemble, pour l’Europe et les États-Unis, cent mille (100 000) morts et cinq millions (5 000 000) de personnes subissant les effets secondaires graves (AVC, myocardites, paralysies de Bell, Creutzfeldt-Jakob — y compris d’enfants, y compris de fœtus dans les mères enceintes), en conséquence directe de la vaccination COVID.

Et pour la morale de l’Histoire

Richard Ferrand, le président de l’Assemblée nationale ne pourra pas assister aux débats sur le pass vaccinal.

« Déclaré positif à la suite d’un test réalisé ce matin et doté d’un schéma vaccinal complet, le président reste à l’isolement, conformément aux directives sanitaires »

Richard Ferrand « continuera à distance à exercer ses responsabilités » et « a demandé au vice-président David Habib de présider la séance des questions au gouvernement ».




Lettre ouverte aux députés et sénateurs à propos du projet de loi sur le pass vaccinal

Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs,

Cette présente lettre ouverte constitue notre cinquième lettre ouverte, après celles :

Certains d’entre vous ont pris des positions fermes contre l’obligation vaccinale ainsi que contre le pass sanitaire, et nous tenons à vous en remercier de tout cœur. Vous avez su discerner le projet de société liberticide et totalitaire qui se met en place sous prétexte de crise sanitaire.

D’autres n’ont simplement pas pris en compte les faits que nous avons rapportés et qui sont vérifiables par tout un chacun à condition de faire l’effort d’examiner les sources d’information – la plupart du temps censurées par nos grands médias –, notamment la littérature scientifique, les données officielles de pharmacovigilance et les nombreuses voix de lanceurs d’alerte courageux qui appellent à l’arrêt immédiat de la campagne de vaccination et dénoncent le climat délétère qui s’installe par la propagande d’État, la désinformation massive, la censure sur les réseaux sociaux, la suppression de la liberté d’expression, du débat scientifique contradictoire, et la promotion de la pensée unique.

D’autres encore continuent de balayer d’un revers de main rapide les arguments scientifiques développés et les craintes d’un totalitarisme sanitaire que nous avons exprimées, sans jamais interagir de manière sérieuse et scientifique aux faits que nous présentons, mais en se cramponnant à leur idéologie. Cette attitude dénote un mépris pour le peuple et une confiscation de la représentativité populaire que les parlementaires sont censés assurer.

Nous tenons, une fois de plus, à vous alerter sur le projet de loi mortifère et scandaleux de pass vaccinal sur lequel vous serez appelés à voter aujourd’hui, ce lundi 3 janvier 2022, et qui n’était en fin de compte que le véritable objectif du gouvernement.

En effet, mettant à profit les fêtes de fin d’année, le gouvernement a décidé d’adopter un projet de loi transformant le pass sanitaire en passe vaccinal dans les prochains jours.

De même qu’il avait fait adopter le pass sanitaire dans la torpeur de l’été, il réédite la même manœuvre en essayant de faire adopter un projet liberticide au moment même où les Français étaient occupés à fêter Noël puis le jour de l’An.

Ce projet de passe vaccinal retire à la parole publique ce qui lui restait de crédibilité, crédibilité qui était déjà anéantie par le flot incroyable de mensonges et de contre-vérités, tous plus graves les uns que les autres, que le gouvernement n’a cessé de proférer, en toute impunité.

Comme des millions de concitoyens, nous estimons que l’adoption de ce pass vaccinal serait une forfaiture en termes de libertés publiques. La pétition lancée par Rodolphe Bacquet contre le pass vaccinal juste après l’annonce du projet a été déjà signée par 1 174 779 citoyens au 3 janvier 2022 à 10h05, ce qui montre une mobilisation massive de l’opinion publique contre ce dispositif. Permettez-nous de vous rappeler quelques faits importants dont certains sont mis en avant dans le texte de cette pétition :

1Le pass vaccinal est l’aboutissement d’un an de mensonges successifs.

Depuis un an, le gouvernement fait “passer la pilule” à coup de promesses non tenues, et même de mensonges. 

  • Emmanuel Macron, il y a un an, annonçait ainsi que la vaccination ne deviendrait pas obligatoire :
  • L’on nous avait ensuite promis que le pass sanitaire serait provisoire :
  • Puis qu’il n’y aurait pas de pass vaccinal :



Et maintenant, voici ce qui s’est passé (depuis un an, avec une inflexion accélérée depuis six mois seulement) :

27 décembre 2020 : Emmanuel Macron réaffirme sur Twitter que le vaccin ne serait pas obligatoire ;

25 février 2021 : en marge d’un Conseil européen, le Chef de l’État garantissait qu’il «ne conditionnerait pas l’accès à certains lieux à la vaccination»,

31 mai 2021 : mise en place du pass sanitaire uniquement pour les «grands rassemblements» de plus de 1000 personnes ;

5 août 2021 : extension à de nombreux lieux publics du pass sanitaire jusqu’au 15 novembre 2021, date limite de son application, nous assurait Olivier Véran ;

15 octobre 2021 : fin de la gratuité des tests de dépistage ;

10 novembre 2021 : prolongation du pass sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022 ;

25 novembre 2021 : réduction du délai de validité des tests de dépistage de 72 heures à 24 heures ;

17 décembre 2021 : annonce de la mise en place du pass vaccinal.

Ces manipulations accumulées permettent au gouvernement d’aller toujours plus loin pour violer notre consentement !

Tous ces mensonges répétés à l’envie par l’exécutif destinés à faire accepter progressivement, par palier, des mesures dont l’objectif inavoué était de parvenir à instaurer un pass vaccinal généralisé sont l’expression et la preuve d’une manipulation de masse à visage découvert.

Nos dirigeants sont ainsi passés maîtres dans une technique appelée “le pied dans la porte”. Elle consiste à faire une demande peu coûteuse qui sera vraisemblablement acceptée, suivie d’une demande plus coûteuse. La deuxième demande a plus de chance d’être acceptée si elle a été précédée de l’acceptation de la première, qui crée une sorte de palier et un phénomène d’engagement.

Voilà comment : l’on a commencé par nous demander des choses “simples” comme porter un masque et faire une première dose de vaccin. La porte était ouverte vers une deuxième dose, puis une 3ème dose, avant une 4ème déjà annoncée par les experts pour le printemps.

2Le pass vaccinal exerce un chantage pour violer notre consentement, en complète violation de l’éthique médicale la plus élémentaire et des traités et conventions internationaux.

Maintenant que tous les verrous législatifs ont été levés, que l’opinion a été formatée pour accepter un narratif mensonger soutenu par la peur, le ministre de la santé, M. Olivier Véran, déclare, avoue sans la moindre honte et dans la plus complète impunité, que le « pass vaccinal est une forme déguisée d’obligation vaccinale ».

Ainsi, l’exécutif a fait désormais tomber le masque et a reconnu à de nombreuses reprises que le pass sanitaire n’était ni plus, ni moins qu’une extorsion de consentement pour contraindre à la vaccination. Il entend même aujourd’hui aller plus loin dans la violation de notre Constitution et souhaite imposer un pass vaccinal, qui n’a plus rien de sanitaire puisqu’un test négatif est plus efficace que le vaccin pour prévenir les contaminations.

Ces comportements vont à l’encontre de tous les textes internationaux sur le respect de la dignité humaine, le consentement éclairé et l’expérimentation médicale sur les êtres humains.

De tels propos montrent combien M. Véran sait tirer profit de sa position de ministre pour extorquer un consentement par la contrainte et la ruse. De tels propos et de tels actes, dans une véritable démocratie où la justice et les institutions fonctionneraient normalement et de manière impartiale auraient suscité une vague d’indignation appelant à sa démission et auraient déjà mené leurs auteurs devant les tribunaux, servant de pièces à conviction. Mais pourquoi n’en est-il rien ?

La France a ratifié le 13 décembre 2011 la convention d’Oviedo qui contient les principes du code de Nuremberg et qui est opposable à la France depuis le 1er avril 2012. Le décret n° 2012-855 correspondant a été publié le 5 juillet 2012.

Que dit cette convention ?

Ce traité part de l’idée que l’intérêt de l’être humain doit prévaloir sur l’intérêt de la science ou de la société.

Il énonce une série de principes et d’interdictions concernant la génétique, la recherche médicale, le consentement de la personne concernée, le droit au respect de la vie privée et le droit à l’information, la transplantation d’organes, l’organisation du débat public sur ces questions, etc.

Chapitre I

Chapitre II

Chapitre III

Chapitre V

Chapitre VIII

La France est liée par la signature de cette convention et ne peut pas faire ce qu’elle veut.

Le gouvernement le sait et fait tout pour nous extorquer notre consentement sans passer par l’obligation effective avec un produit expérimental non caractérisé correctement.

Le pass sanitaire ou vaccinal est un moyen de chantage, d’intimidation et d’extorsion du consentement. Cet outil porte une atteinte gravissime à nos droits fondamentaux humains inaliénables qui ne peuvent pas être subordonnés à des injections répétées imposées par le gouvernement.

Ces droits sont la liberté d’aller et venir, le droit à la vie privée, le droit au travail, le droit à l’éducation.

La discrimination et la haine érigées en mode de gouvernance par le Président Macron sont des atteintes graves à nos droits fondamentaux et relèvent du Code pénal.

3. Le pass vaccinal n’a aucun fondement scientifique et s’oppose à toute rationalité : la vaccination de masse, bien au contraire, conduira inéluctablement à un drame sanitaire.

La littérature scientifique révèle clairement que la vaccination n’est certainement pas la panacée qui nous est vantée à coups de slogans publicitaires simplistes qui s’apparentent aux envolées commerciales des marchands de tapis. Rappelons-ici quelques faits scientifiques indiscutables tels que les présente le Professeur Gunter Kampf de la faculté de médecine de Greifswald en Allemagne, qui dément dans un article récent du Lancet, chiffres à l’appui, cette affirmation selon laquelle l’on assisterait à une pandémie de non-vaccinés :

  • Les vaccinés ont un poids dans la transmission du virus non négligeable et qui ne cesse d’augmenter.
  • Les charges virales sont identiques chez les vaccinés et les non–vaccinés.
  • En Allemagne, 54 % des cas de Covid-19 frappent des personnes vaccinées.
  • Les vaccinés peuvent développer des formes graves de la Covid-19 et en mourir.
  • Les vaccinés peuvent transmettre la Covid-19 même à des individus vaccinés.

Face à ces faits vérifiables, en réalité, des centaines de professionnels de la santé dûment compétents sont parvenus à la conclusion opposée à celle du discours ambiant officiel martelé à longueur de journée, qualifiant l’utilisation de ces injections expérimentales Covid-19 d’« inutiles, inefficaces et de dangereuses » ; alors que plus de 59 000 scientifiques et praticiens médicaux ont affirmé qu’en raison du danger relativement faible de la Covid-19 pour la grande majorité de la population, « ceux qui courent un risque minimal » devraient être autorisés « à vivre leur vie normalement [et] à développer une immunité [collective] contre le virus » en dehors de tout vaccin ; et que plusieurs milliers d’autres ont qualifié d’ « irresponsable » le fait d’exposer la population à un vaccin insuffisamment testé pour contrer un virus aussi faible. En effet, dans « la grande majorité des cas (~ 99,8 % dans le monde), le SRAS-CoV-2 n’est pas mortel. Il s’agit généralement d’une maladie dont la gravité va du léger au modérément grave. Par conséquent, l’écrasante majorité des personnes ne sont pas à risque face à la Covid-19 et n’ont pas besoin d’être vaccinées » (source). La Covid-19 a un âge moyen de décès qui est plus élevé que celui de la population générale, ce qui démontre sa nature bénigne, et le taux de survie global est de 99,74 %.  Les taux de survie rapportés pour les personnes de moins de dix-huit ans sont de 99,998 %, pour celles de dix-huit à cinquante ans, de 99,95 %, de cinquante à soixante-cinq ans, de 99,4 %, et pour celles de plus de soixante-cinq ans, de 94 %, ce qui équivaut à des personnes de moins de 70 ans ayant une meilleure chance de mourir de la grippe que de la Covid-19 qui présente une menace globale comparable aux pandémies de grippe moyennes de 1936 et 1957. Il est nécessaire ici de préciser que même ces chiffres  constituent des statistiques de décès  considérablement gonflées, causées par des méthodes de comptage très défectueuses utilisées et promues par des agences de santé du gouvernement fédéral aux intérêts conflictuels. Des centaines de professionnels de la santé affirment qu’ « environ 99 % des gens sont déjà protégés contre la Covid-19 par des réponses anticorps de type mémoire » et que « la plupart des gens seront désormais immunisés en raison de leur exposition au SRAS-CoV-2 », de sorte que cette population ne « bénéficiera pas du tout de la vaccination ».

Au sujet du variant Omicron qui a servi à justifier le pass vaccinal, David Pujadas, sur LCI, a martelé le 31 décembre 2021 :

« Non, l’Apocalypse Omicron n’a pas lieu »,

et toute la panique générée par les médias tourne court, une fois les données scientifiques examinées calmement et consciencieusement.

La séquence de 1 mn 13 s extraite de la vidéo ci-dessus et dans laquelle le présentateur de télévision déconstruit le narratif apocalyptique peut également être visionnée ci-dessous :



Le Pr Jean-Michel Claverie, pour sa part, n’hésite pas à dénoncer le narratif covidien officiel comme une escroquerie profitant à quelques firmes pharmaceutiques, mais dénué de tout fondement scientifique.

https://www.youtube.com/embed/qELr4EplWGA

C’est également ce que clame l’épidémiologiste Laurent Toubiana de l’INSERM qui fait valoir que la Covid-19 est « l’un des plus gros mensonges de tous les temps », et est une « épidémie très banale » tant les chiffres réels sont anecdotiques :

  • 33-40 malades/100000 habitants/semaine,
  • très peu d’hospitalisés.

Il ne faut pas compter les « cas » dépistés, mais les personnes qui tombent vraiment malade.

https://www.youtube.com/embed/C3zJrBJkXmY

La généticienne Alexandra Henrion Caude, anciennement directrice de recherche à l’INSERM et spécialiste de l’ARN, nous explique, dans un langage simple et clair, pourquoi il ne faut pas prendre une troisième dose, puis une quatrième dose, etc. alors que le vaccin ne fonctionne pas. Il suffit d’avoir un peu de bon sens pour comprendre ce qui est expliqué dans la vidéo ci-dessous :



Ces faits réunis ont conduit le Dr Harvey Risch, épidémiologiste de l’Université de Yale, entre autres scientifiques compétents et de renommée mondiale, à qualifier la présente pandémie de « pandémie de peur » artificiellement créée.

Le vaccinologue belge Geert Vanden Bossche explique dans un entretien ses réticences sur la vaccination de masse pendant la pandémie. Dans une autre vidéo en anglais, de durée 15 mn 15 s, le vaccinologue adresse un appel solennel à l’OMS en suppliant l’organisation d’abandonner la vaccination de masse, notamment des enfants, avertissant du désastre sans précédent qu’elle provoquerait (et dont nous voyons déjà les tragiques prémices).

4. Le pass vaccinal exposerait nos concitoyens à des effets délétères ou mortels de thérapies géniques expérimentales, ce qui relève d’un acte criminel aggravé par son caractère intentionnel et prémédité.

Plus grave, le pass vaccinal contraindrait beaucoup de nos concitoyens à une vaccination génique expérimentale, qui a déjà tué l’équivalent d’une petite ville de plus de 35 000 habitants dans l’Union européenne d’après les statistiques officielles de l’organisme européen Eudravigilence, sans parler des effets graves non rémissibles qui se chiffrent en centaines de milliers (https://www.adrreports.eu/en/covid19_message.html). Ce « massacre » est inédit dans l’histoire de la vaccination. Notre prix Nobel de Médecine, le Professeur Luc Montagnier, et d’autres virologistes, épidémiologistes, spécialistes de biologie moléculaire de renommée internationale, dont l’un des inventeurs du vaccin à ARNm, le Dr Robert Malone, nous alertent régulièrement sur des effets délétères que nous ne faisons qu’entrevoir (maladies neuro-dégénératives, AVC, thromboses, myocardites…)  Comme le Pr Luc Montagnier, nous appelons à l’arrêt immédiat de cette folie vaccinale sous la contrainte.

Nous présentons ci-dessous les statistiques extraites de la base de données Eudravigilance pour les effets secondaires graves ou mortels des vaccins Moderna / Pfizer / Janssen / Astrazeneca dans l’Union européenne, qui est la partie émergée de l’iceberg vaccinal vers lequel fonce le Titanic occidental avec à son bord des passagers crédules, conditionnés par une propagandastaffel bien huilée ou bercés d’illusions scientistes : le Titanic ne peut pas couler ! Nous avons également tabulé ces statistiques dans ce fichier Excel.

Le nombre de doses administrées et de personnes vaccinées peut se trouver sur :

https://vaccinetracker.ecdc.europa.eu/public/extensions/COVID-19/vaccine-tracker.html#uptake-tab

Pfizer – Biontech (Tozinameran) Fatal
26/06/21
Sans rémission
26/06/21
Fatal
25/12/21
Sans rémission
25/12/21
Troubles du système sanguin et lymphatique 88 229 14976
Troubles cardiaques 1078 2338 2338 14061
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 9 30 43 157
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 5 2512 11 8996
Troubles endocriniens 2 104 5 697
Troubles oculaires 18 2352 36 8025
Troubles gastro-intestinaux 377 9922 745 29753
Troubles généraux et conditions du site d’injection 2412 32856 4537 95992
Troubles hépatobiliaires 31 114 83 399
Troubles du système immunitaire 36 577 85 2452
Infections et infestations 804 4115 1688 13865
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 116 771 290 2318
Enquêtes 292 2587 481 8524
Troubles du métabolisme et de la nutrition 152 917 266 2689
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 99 18641 200 53423
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 24 103 130 482
Troubles du système nerveux 843 23001 1719 71591
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 15 56 65 307
Problèmes liés aux produits 0 13 3 36
Troubles psychiatriques 113 2191 191 8055
Troubles rénaux et urinaires 126 418 252 1541
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 2 1263 5 27477
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 928 5431 1774 18800
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 70 6461 134 21407
Circonstances sociales 12 232 21 1125
Procédures chirurgicales et médicales 20 61 136 405
Troubles vasculaires 305 3212 705 10111
Total 7977 120278 16172 417664
Nombre de doses 177694000 177694000 525596153 525596153
% / nombre de dose 0,0044892 0,0676883 0,0030769 0,0794648
Moderna (spikevax)        
Troubles du système sanguin et lymphatique 31 958 109 3604
Troubles cardiaques 474 883 1028 4464
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 4 18 9 64
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 0 866 6 2836
Troubles endocriniens 1 42 6 202
Troubles oculaires 8 834 35 2590
Troubles gastro-intestinaux 148 2539 368 8988
Troubles généraux et conditions du site d’injection 1849 10969 3313 36579
Troubles hépatobiliaires 14 83 47 222
Troubles du système immunitaire 5 202 18 828
Infections et infestations 245 1305 937 4630
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 82 512 185 1418
Enquêtes 93 704 295 2817
Troubles du métabolisme et de la nutrition 87 385 239 1231
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 80 4791 202 16752
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 17 51 77 229
Troubles du système nerveux 438 6474 944 22464
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 2 48 6 138
Problèmes liés aux produits 0 1 4 9
Troubles psychiatriques 70 750 166 2593
Troubles rénaux et urinaires 60 223 192 729
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 2 241 8 4701
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 416 1736 1056 6373
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 30 2120 88 8035
Circonstances sociales 13 275 40 913
Procédures chirurgicales et médicales 41 90 164 467
Troubles vasculaires 146 1028 372 3252
Total 4356 38128 9914 137128
Nombre de doses 22057000 22057000 140715073 140715073
% / nombre de doses 0,0197488 0,1728612 0,0070454 0,0974508
Astrazeneca        
Troubles du système sanguin et lymphatique 150 3719 257 4946
Troubles cardiaques 431 2580 768 4599
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 3 37 6 75
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 0 3780 6 5678
Troubles endocriniens 3 116 4 278
Troubles oculaires 14 4784 30 6703
Troubles gastro-intestinaux 169 18037 385 22473
Troubles généraux et conditions du site d’injection 952 56700 1664 72315
Troubles hépatobiliaires 29 163 64 289
Troubles du système immunitaire 13 564 33 936
Infections et infestations 236 4819 492 7486
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 86 1840 186 2790
Enquêtes 85 3531 185 5221
Troubles du métabolisme et de la nutrition 51 2824 106 3436
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 47 37151 136 47802
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 8 95 32 216
Troubles du système nerveux 573 46270 1075 60663
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 4 35 17 78
Problèmes liés aux produits 0 47 1 70
Troubles psychiatriques 29 3986 64 5568
Troubles rénaux et urinaires 34 786 68 1153
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 0 2912 3 7987
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 414 8264 931 11609
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 23 10994 57 15114
Circonstances sociales 5 210 6 513
Procédures chirurgicales et médicales 16 196 28 328
Troubles vasculaires 258 4817 487 7484
Total 3633 219257 7091 295810
Nombre de doses 43198000 43198000 138153102 138153102
% / nombre de doses 0,0084101 0,5075628 0,0051327 0,2141175
Janssen        
Troubles du système sanguin et lymphatique 17 145 44 421
Troubles cardiaques 62 167 181 623
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 0 8 1 20
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 0 90 2 629
Troubles endocriniens 1 2 1 49
Troubles oculaires 3 195 8 686
Troubles gastro-intestinaux 24 829 85 2284
Troubles généraux et conditions du site d’injection 144 3847 586 9538
Troubles hépatobiliaires 4 15 13 46
Troubles du système immunitaire 0 23 10 130
Infections et infestations 14 166 171 791
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 8 120 22 289
Enquêtes 119 1938
Troubles du métabolisme et de la nutrition 11 70 52 224
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 17 2263 49 5539
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 0 10 8 31
Troubles du système nerveux 73 2574 228 6977
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 1 2 1 11
Problèmes liés aux produits 0 2 0 1
Troubles psychiatriques 5 124 20 524
Troubles rénaux et urinaires 8 50 28 164
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 0 57 6 1367
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 44 538 275 1554
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 2 344 10 1271
Circonstances sociales 3 34 4 186
Procédures chirurgicales et médicales 26 170 65 354
Troubles vasculaires 63 605 160 1317
Total 530 12450 2149 36964
Nombre de doses 3124000 3124000 48531244 48531244
% / nombre de doses 0,0169654 0,3985275 0,0044281 0,0761654
Total 16496 390113 35326 887566
Nombre de personnes complètement vaccinées dans l’UE     307391000 307391000
Nombre total de doses administrées 246073000 246073000 852995572 852995572
Ratio effets secondaires ou mortels / nombre de personnes complètement vaccinées     0,0001149 0,0028874
Ratio effets secondaires ou mortels / nombre total doses 6,7037E-05 1,5854E-3 4,1414E-05 0,00104053
Source: https://qap.ecdc.europa.eu/public/extensions/COVID-19/vaccine-tracker.html#distribution-tab
Eudravigilance: https://www.adrreports.eu/en/search_subst.html#
Nombre de morts (toutes classes d’âge confondues) / nombre cas déclarés en France 0,019547325 0,012904174
Nombre morts 0-59 ans / nombre cas déclarés en France 0,001954733 0,001290417
Sources :
https://fr.statista.com/statistiques/1104103/victimes-coronavirus-age-france/
https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/dashboards/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6

Pourtant, une première brèche avait été ouverte dès le printemps dernier, elle continue à s’élargir, mais les officiers supérieurs, sans doute grisés par les appâts de quelque princesse vénéneuse de la pharmacie, n’osent pas entendre son grondement lugubre :

1) Sur 308 millions de vaccinés, il y a eu 35 000 morts et 900 000 affections graves sans rémission. Ceci est du jamais vu pour une campagne de vaccination. Le Pr Luc Montagnier parle, avec raison, de « folie vaccinatoire ».  Le Pr Christian Perronne, ancien vice-président du groupe « European advisory group of experts on immunisation », qui conseille la politique vaccinale européenne de l’Organisation mondiale de la santé, a la même analyse.

2) Le taux de mortalité de la Covid pour la classe d’âge 0-60 ans, qui représente environ 10 % des cas mortels en France, et de l’ordre de 1 mort pour 1000 malades déclarés, est trois fois inférieur à la probabilité de développer un effet secondaire grave non rémissible (toutes classes d’âge confondues) suite à l’administration des vaccins géniques mentionnés plus hauts. Où est le bénéfice ?

Il est encore possible d’affiner cette analyse de la nocivité des vaccins en examinant précisément la répartition des événements indésirables et létaux sur les différents lots. En réalité, tous les lots des vaccins anti-Covid19 ne se valent pas ! Il s’agit en fait d’une gigantesque loterie.

Le site http://howbad.info regroupe des tableaux sur les différents effets des vaccins Covid répartis par lots. Il s’agit d’une mise en forme des données officielles présentes sur le site gouvernement des Etats-Unis VAERS.

Les données au 23 décembre 2021 ont été compilées dans le tableau Excel ci-joint. Il ressort de ces données qu’un faible pourcentage de lots (5 % pour les Etats-Unis, 30 % en dehors des Etats-Unis) sont associés à 90 % des effets indésirables et à un nombre de décès jusqu’à 200 fois supérieur à celui associé au pourcentage des lots moins nocifs.

Toujours dans le registre des effets délétères des vaccins anti-Covid, il convient de noter qu’il y a eu une multiplication par 5 des morts subites d’origine cardiaque chez les joueurs de la FIFA en 2021.

Il ne s’agit pas de 24 athlètes, ni de 30, ni de 75 – non, depuis décembre 2021, ce sont 183 athlètes et entraîneurs professionnels qui se sont soudainement effondrés ! 108 d’entre eux sont morts ! Selon la littérature, le phénomène d’effondrement d’un athlète pour des raisons non liées à une blessure est rare. Alors, quelle est donc la cause de cette soudaine épidémie ?

Stephen Connolly et le Dr Yaffa Shir-Raz présentent leur analyse :

Dans plus de 80 des cas, comme les stars du football Sergio Aguero et Christian Eriksen, les athlètes se sont effondrés pendant le jeu, la course ou l’entraînement, ou immédiatement après. Dans la plupart des cas, il a été rapporté que la cause de l’effondrement est liée au cœur, notamment une myocardite, une péricardite, une crise cardiaque ou un arrêt cardiaque. La deuxième cause signalée est la coagulation.

Nous soulignons que la liste dont nous disposons est encore plus longue, mais par souci de prudence, des dizaines de cas ont été retirés de celle-ci, dont nous ne disposions pas de tous les détails, de sorte que seuls les cas rapportés en détail ont été inclus. En outre, nous avons supprimé les cas dans lesquels des facteurs de risque antérieurs étaient mentionnés, tels qu’une maladie cardiaque ou un diabète.

Pour obtenir une meilleure image des données par rapport aux années précédentes, nous n’avons examiné que les données relatives aux décès d’athlètes enregistrés auprès de la FIFA et avons comparé les données concernant le nombre de MCS (morts cardiaques subites)/DSI (morts subites inexpliquées) chez ces athlètes au cours des années précédentes au nombre de cas en 2021.

Pour savoir combien de décès se sont effectivement produits au cours des deux dernières décennies parmi les joueurs de la FIFA (2001-2020), nous avons utilisé Wikipedia – « Liste des footballeurs d’association décédés en jouant ». Pour savoir combien de cas se sont produits en 2021, nous avons utilisé la liste collectée par nos soins dans « Real-Time News » (qui inclut les cas notés dans Wikipedia pour 2021).

Le Dr Josh Guetzkow, maître de conférences au département de sociologie et d’anthropologie et à l’Institut de criminologie de l’Université hébraïque, a analysé les données. « Un article publié dans le British Medical Journal montre que le risque de MCS est de un sur 50 000 (avec une fourchette de un sur 30 000 à un sur 80 000) », explique-t-il. « Selon les données de la FIFA, en 2000, il y avait 242 000 athlètes enregistrés dans l’association, et en 2006, 265 000 athlètes enregistrés. En supposant que la FIFA n’a pas changé de manière significative en vingt ans, l’on peut s’attendre à environ 5 décès par an ».

Selon Wikipédia, sous la rubrique « Liste des footballeurs d’association décédés en jouant », entre 2001 et 2020, il y a eu en moyenne 4,2 décès par an attribués à des MCS ou à des DSI, la grande majorité étant des MCS. En revanche, en 2021, selon notre liste, il y a eu 21 cas de MCS/DSI parmi les joueurs de la FIFA. En d’autres termes, au lieu de 4 décès par an dus aux MCS/DSI (selon les données de Wikipédia), ou de 5 cas par an (calculés selon le BMJ) pendant la période 2001-2020, 21 joueurs sont décédés jusqu’à présent cette année.

C’est-à-dire environ 5 fois plus que la moyenne annuelle !

Ce chiffre s’avère statistiquement significatif. En fait, il n’y a pas eu d’autre année depuis 2001 où la différence entre le nombre de cas observés de MCS/DSI et le nombre attendu soit statistiquement significative. En 2021, elle est hautement significative sur le plan statistique et ne peut se produire par hasard qu’environ 2 fois sur 1 000.

Stephen Connolly et Dr Yaffa Shir-Raz, « 5-fold increase in sudden cardiac deaths of FIFA players in 2021« .

Face à tous ces chiffres accablants et effrayants que vous pourrez aisément vérifier, Mesdames et Messieurs les élus, notre ministre de la santé Olivier Véran ose affirmer, de manière effrontée, dans une fourberie qui le caractérise désormais, que les « rapports de l’ANSM qui sont publics et transparents ne déplorent à ce stade pas de cas avérés de décès imputables à la vaccination ».

Il semble assez évident que seule l’administration de ces substances à la protéine spicule aux personnes âgées ou « à risque » aurait encore un sens. Mais encore faut-il bien évaluer le bénéfice-risque de la potion. Notez que les sociétés pharmaceutiques Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson ont été condamnées à plusieurs reprises pour malversations :

  • depuis l’année 2000, Pfizer a été inculpé 74 fois d’infractions pénales et civiles et a payé plus de 4 milliards de dollars d’amendes, les principales infractions ayant été la commercialisation non approuvée de produits, la corruption, les fausses déclarations, les violations de sécurité ;
  • la société Johnson & Johnson a dû payer une amende de 8 milliards de dollars suite à la mise sur le marché de produits pharmaceutiques dangereux qui ont occasionné des milliers de morts et de séquelles ;
  • les mêmes sociétés pharmaceutiques sont sous le coup d’une amende de 25 milliards de dollars pour la commercialisation d’opioïdes qui ont occasionné 48 000 morts par an (commercialisation rendue possible par des malversations auprès de services de vérification et de personnels peu scrupuleux du corps médical),

et que dernièrement le scandale « PfizerGate » a encore ébranlé le narratif covidien officiel, sans que les médias en tirent les conclusions qui s’imposent. Le problème de fraude sur les données des essais cliniques du vaccin Pfizer avait été soulevé par le journal scientifique réputé The British Medical Journal (BJM) qui a été l’objet d’un « fact-checking » orienté de Facebook, ce qui montre à quel point les géants des réseaux sociaux et les GAFAM se livrent à une guerre de désinformation contre la science et les scientifiques intègres.

Le Dr Robert A. Malone, le Pr Luc Montagnier, le Dr Alexandra Henrion Caude, le Dr Geert Vanden Bossche, entre autres, ont alerté sur les effets à long-terme (cancers, destruction des défenses immunitaires, maladies neuro-dégénératives, etc.) des vaccins anti-Covid-19 qui se manifesteront au fil des mois prochains et au fil des « boosters ». La surmortalité anormale constatée pour les 15-44 ans pendant l’année 2021 est rapportée sur le site https://www.euromomo.eu/ et peut donc être suivie.

Concernant les femmes enceintes, en octobre 2021, le New England Journal of Medicine a finalement admis que l’étude originelle – publiée le 14 octobre 2021 par Shimabukuro et. al – ayant servi de caution à la campagne de vaccination Covid-19 du CDC et de la FDA, ciblant les femmes enceintes, était corrompue. L’étude correctrice est intitulée “Spontaneous Abortions and Policies on COVID-19 mRNA Vaccine Use During Pregnancy”.

Le Dr Joseph Mercola, sur son site aux Etats-Unis, récemment, a expliqué comment les auteurs de l’étude originelle avait intégralement truqué leurs conclusions.

L’étude portait sur 827 femmes enceintes et l’objectif en était d’évaluer le taux de fausses couches pour toutes les femmes vaccinées contre la Covid-19 durant les 20 premières semaines de la grossesse. C’est alors que deux médecins de Nouvelle-Zélande – les Dr Aleisha Brock et Simon Thornley – reprirent les données de cette étude, afin de mettre en exergue qu’il s’agissait en fait d’une catastrophe intégrale avec une incidence cumulative d’avortements spontanés de l’ordre de 82 % (104/127) à 91 % (104/114).

« Une nouvelle analyse de ces données indique une incidence cumulative d’avortements spontanés de l’ordre de 82 % (104/127) à 91 % (104/114) – à savoir de 7 à 8 fois plus que ce présentent les résultats originaux des auteurs de l’étude.»

En fait, selon ces deux médecins néo-zélandais : 

«une évaluation des 827 femmes dans le dénominateur de ce calcul révèle qu’entre 700 et 713 femmes enceintes furent exposées au vaccin après que le cadre temporel, pour l’analyse, a été dépassé – à savoir les 20 premières semaines de grossesse.»

Ainsi, Shimabukuro et. al avaient inclus, dans leurs analyses de ce groupe de 827 femmes, des femmes enceintes alors qu’elles n’avaient pas été vaccinées durant les 20 premières semaines (mais plus tard) et que, donc, elles ne pouvaient pas être à risque de fausse couche post-vaccinale suite à une injection reçue durant le premier trimestre. 

Parmi les 104 bébés perdus durant les 20 premières semaines, 96 moururent avant la fin des 13 premières semaines de grossesse, ce qui signifie que la vaccination Covid-19, durant cette première partie de la grossesse, signe, quasiment, l’arrêt de mort du fœtus. 

Entre autres effets collatéraux primaires, il faut, également, signaler 9,4 % de bébés prématurés.

Quant à la vaccination des enfants, là encore les mesures prises sont complètement absurdes. En effet, des médecins et scientifiques allemands ont rapporté récemment que pas un seul enfant en bonne santé âgé de 5 à 18 ans n’est mort de la Covid en Allemagne au cours des 15 premiers mois de l’épidémie. Même en incluant les enfants et les adolescents présentant des pathologies préexistantes, seuls six enfants de cette tranche d’âge sont morts, ont constaté les chercheurs. Les maladies graves étaient également extrêmement rares. Selon les chercheurs, la probabilité qu’un enfant en bonne santé âgé de 5 à 11 ans ait besoin de soins intensifs pour une infection par la Covid était d’environ 1 sur 50 000. Pour les enfants plus âgés et plus jeunes, les probabilités étaient un peu plus élevées, soit environ 1 sur 8 000. Environ 1,5 million d’enfants ou d’adolescents allemands ont été infectés par le Sars-Cov-2 entre mars 2020 et mai 2021, ont constaté les chercheurs.

Résultats : Le taux global d’hospitalisation associé à l’infection par le SARS-CoV-2 était de 35,9 pour 10 000 enfants, le taux d’admission en soins intensifs était de 1,7 pour 10 000 et le taux de létalité de 0,09 pour 10 000. On a constaté que les enfants sans comorbidités étaient nettement moins susceptibles de souffrir d’une évolution grave ou fatale de la maladie. Le risque le plus faible a été observé chez les enfants âgés de 5 à 11 ans sans comorbidité. Dans ce groupe, le taux d’admission en soins intensifs était de 0,2 pour 10 000 et la létalité n’a pas pu être calculée en raison de l’absence de cas. Le taux global du PIMS-TS était de 1 pour 4 000 infections par le SRAS-CoV-2, la majorité étant des enfants sans comorbidités.

Sorg, A. L. et al., « Risk of Hospitalization, severe disease, and mortality due to COVID-19 and PIMS-TS in children with
SARS-CoV-2 infection in Germany
« . Prépublication medRxiv, 30 novembre 2021.

Les chercheurs ont fait part de leurs conclusions dans un article de 17 pages publié sur le serveur de prépublication medrxiv récemment (cet article est également téléchargeable ici).

5. Le pass vaccinal signe l’enterrement définitif et irrémédiable de l’État de droit et l’entrée dans un totalitarisme sanitaire, une société orwellienne.

Cinq observations des plus pertinentes sur le projet de loi sur le pass vaccinal déposé par le gouvernement devant l’Assemblée Nationale ont été faites par le collectif de juristes DéjàVu :

  1. Le pouvoir exceptionnel réclamé par le gouvernement n’aurait plus pour objectif de “lutter contre la propagation de l’épidémie de Covid-19”, mais de “lutter contre l’épidémie de Covid-19”. Pourquoi cet élargissement fait-il l’objet de la première disposition de ce projet de loi ? La nuance est subtile, mais interroge sur le but poursuivi et sur sa circonscription dans le temps, qui reste pourtant, en droit, la condition d’un régime d’exception.
     
  2. La large possibilité de prendre un transport longue distance sans pass sanitaire en cas d’urgence serait supprimée et remplacée par un très restreint “motif impérieux d’ordre familial ou de santé » lorsque le voyageur ne dispose pas de certificat d’injection, sous réserve d’avoir en plus un test négatif (sauf en cas d’urgence, en plus de l’impériosité du motif, ainsi que de son caractère familial ou sanitaire). Ce glissement sémantique trahit-il un glissement de régime ?
     
  3. L’interdiction de contrôler une identité par les personnes chargées de vérifier le pass (par exemple, un serveur dans un restaurant) est à nouveau remise en question par le gouvernement en ces termes : “Il [pourrait] être exigé, en cas de doute sur ces documents, la présentation d’un document officiel d’identité.
     
  4. Comme si le régime déjà en vigueur n’était pas déjà assez répressif, une peine d’amende de 1 500 € maximum serait distribuée aux personnes utilisant le pass d’un tiers ainsi qu’aux exploitants qui ne contrôleraient pas le pass à l’entrée de leur établissement.
     
  5. À l’article 2 du projet de loi, vous constaterez que le gouvernement tente encore d’aggraver les mesures d’isolement et de quarantaine et donne aux préfets la possibilité de “recevoir les données strictement nécessaires à l’exercice de leurs missions de suivi et de contrôle du placement en quarantaine ou à l’isolement”.

Et ce collectif de conclure :

Après avoir prétendu il y a un an que “la vaccination contre le coronavirus ne sera pas obligatoire” (source), le Président de la République, le Premier Ministre et le ministre de la santé démontrent leur capacité à gouverner par fausses promesses successives pour instaurer un régime répressif durable basé sur des motifs sanitaires.

En simple, comme l’a résumé le Ministre de la santé, ce projet de loi est pire qu’une obligation vaccinale sous peine d’amende : “Le pass vaccinal est une façon d’arriver à l’obligation vaccinale, mais moi, je pense que c’est plus efficace que de mettre une amende” (source).

C’est le député européen Les Républicains François-Xavier Ballamy qui, avec raison, exprime ses préoccupations de voir l’État de droit se déliter devant nos yeux :

Mais tout cela est en fait très logique ; car ce que révèle ce nouveau revirement, c’est que le passe vaccinal comme le passe sanitaire depuis le début ne sont pas des mesures sanitaires. Ce que nous disions dès juillet est aujourd’hui rendu incontestable par le fait que le gouvernement refuse désormais de prendre en compte un test négatif pour établir ce passe. Si l’objectif était de limiter la circulation du virus dans des lieux précis, un test négatif est pourtant bien plus efficace pour cela qu’une preuve de vaccination, puisque ni deux ni trois doses – ni même quatre ou cinq demain… – n’empêchent d’être contaminé et contagieux. Il est donc totalement irrationnel que le premier ministre ose accuser les Français non vaccinés de «non-assistance à personne en danger », comme si eux seuls diffusaient le virus… De fait, en réduisant le passe sanitaire au vaccin, le gouvernement ne réduit en rien le risque de contamination là où il est exigé ; il ne fait que contraindre les Français à une vaccination que la loi n’a pourtant jamais rendue obligatoire. Sur ce point, une mention spéciale doit d’ailleurs être réservée au Conseil d’État, qui a sombré dans l’indignité en se reniant lui-même avec une servilité littéralement pitoyable. En juillet, il avait admis le principe du passe sanitaire à la condition expresse qu’un test négatif permettrait son obtention – sans quoi, écrivait-il, il ne s’agirait plus d’une mesure de protection, mais d’une incitation vaccinale dissimulée. Ne pas délivrer ce passe à des personnes prouvant pourtant qu’elles sont indemnes du Covid constituerait, écrivaient les magistrats, «une atteinte disproportionnée à la liberté d’aller et venir, au droit au respect de la vie privée et familiale ». Quelques mois plus tard, les mêmes magistrats viennent d’approuver la mesure précise qu’ils interdisaient, et de bénir ainsi l’enterrement de ces principes fondamentaux…

Ce qui disparaît, c’est une règle essentielle pour l’État de droit, résumée ainsi par notre Constitution : «Nul ne peut être contraint de faire ce que la loi n’ordonne pas. » Avec le passe vaccinal, le gouvernement tombe dans une contradiction désastreuse pour les libertés publiques, l’égalité en droit et l’amitié civique. Il s’agit en effet de dire que la vaccination n’est pas obligatoire, mais que ceux qui ne s’y plient pas sont quand même coupables, et qu’il devient par conséquent légitime d’accuser, de blâmer, de brimer, de punir, de priver même de droits absolument fondamentaux des concitoyens qui ne se sont pourtant soustraits à aucune obligation légale. Le gouvernement pense-t-il pouvoir arrêter l’épidémie par la vaccination généralisée, en dépit des préconisations de l’OMS, des expériences acquises ailleurs dans le monde, et de la survenue de cette cinquième vague dans un pays déjà massivement vacciné ? S’il le pensait, il assumerait de rendre cette vaccination obligatoire par la loi. S’il ne le fait pas, c’est qu’il se contente de désigner des boucs émissaires pour justifier une crise hospitalière dont il est, en réalité, l’un des premiers responsables, avec ses prédécesseurs. La situation ne serait pas si dramatique pour les soignants héroïques qui affrontent cette épidémie si ce gouvernement n’avait pas fermé des lits et laissé l’hôpital perdre encore de nombreux personnels formés, au milieu même de la crise.

En attendant, la transformation du passe sanitaire en passe vaccinal trahit la folie de la logique dans laquelle nous entrons, qui se vérifie à ses conséquences déjà manifestes sur notre droit : alors que le scrupule du droit à la vie privée justifiait jusque-là d’interdire aux policiers municipaux tout contrôle d’identité, le serveur d’un bistro demandera maintenant votre passeport pour vous servir une limonade… Le Parlement peut bien se plier, les autorités judiciaires se renier, l’opinion elle-même s’endormir, il faut maintenir ce principe, jusqu’à ce qu’ait lieu une prise de conscience désormais vitale. En démocratie, la souveraineté du peuple s’exprime par la loi qui oblige, non par la contrainte déguisée. Elle garantit que la liberté est la règle, non l’exception ; et elle reconnaît que les droits fondamentaux ne sont pas une concession de l’État attribuée pour bonne conduite. Vaccinés ou non, nous avons aujourd’hui tous le devoir de rappeler quelques évidences en danger.

François-Xavier Bellamy, «Le passe vaccinal ou la poursuite du délitement de l’État de droit». Le Figaro, 28 décembre 2021.

Jusqu’où ira le gouvernement ? Étant donné la virulence des mesures « sanitaires » qui sont imposées à une cadence effrénée suivant une logique liberticide préméditée et habilement conçue, et la turpitude de l’exécutif qui excelle dans les revirements, vérités en demi-teinte et mensonges les plus ahurissants et scandaleux, la question mérite d’être posée de la manière la plus grave.

https://www.youtube.com/embed/pVodZHnnvTQ

Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs, pouvez-vous, voulez-vous en toute conscience être complices de tels mensonges, de tels agissements frauduleux, de telles manipulations sournoises, d’une telle trahison de la démocratie, de telles violations de l’État de droit, d’un tel anéantissement de la dignité humaine ?

Même le Conseil constitutionnel, qui est la plus haute juridiction de notre démocratie et le dernier rempart contre l’arbitraire du pouvoir et qui est censé protéger les Français des abus de pouvoir de l’exécutif ou des parlementaires, des dispositions législatives qui vont à l’encontre de notre Constitution, ne respecte pas ses propres statuts, s’empêtre dans ses contradictions dans sa volonté manifeste d’entériner l’extension du pass sanitaire, trahit sa haute fonction de gardien de la Constitution et devient le chien de garde d’un pouvoir dévoyé dont les dérives éclatent en plein jour. C’est pourquoi nous réclamons la démission des membres du Conseil constitutionnel et vous demandons de vous associer à cette démarche.

Nous vous demandons de vous opposer par tous les moyens à l’adoption législative du pass vaccinal, qui est d’autant plus injustifié que la virulence de la Covid-19 semble s’atténuer, le virus Omicron se révélant beaucoup moins dangereux que ses prédécesseurs.

Le professeur Mattias Desmet, psychologue et statisticien belge, explique le comportement absurde et irrationnel que nous observons actuellement dans le monde entier en ce qui concerne la pandémie de Covid et ses contre-mesures. Il appelle ce phénomène « psychose de formation des masses ». Il s’agit une sorte d’hypnose des foules qui aboutit à faire tomber littéralement une grande partie de la population dans un état de psychose. La psychose de formation des masses explique comment les Allemands ont accepté les atrocités commises par le parti nazi dans les années 1930, et elle explique pourquoi tant de personnes dans le monde entier soutiennent aujourd’hui l’apartheid médical et la destruction des personnes non vaccinées. C’est tellement irrationnel et inhumain que beaucoup se sont demandés comment nous en sommes arrivés là. Il s’avère que la psychologie du totalitarisme a été étudiée depuis des décennies et que tout ceci peut être expliqué comme un phénomène psychiatrique qui apparaît lorsque certaines conditions existent dans une société. Ne pensez pas que cette crainte du fascisme soit révolue. Lorsqu’un Président de la République cherche à stigmatiser une partie de la population (les non-vaccinés), leur menant la vie dure, en ne leur permettant pas de vivre et allant jusqu’à les déposséder de leurs libertés et droits fondamentaux garantis par la Constitution et la Déclaration des droits de l’homme, il faut clairement sonner l’alerte. Toutes ces décisions seront suivies de décisions beaucoup plus graves, violentes, sanguinaires, si la spirale du mécanisme totalitaire n’est pas interrompue dès maintenant.

La normalienne Ariane Bilheran (docteur en psychopathologie, spécialiste de la psychologie du pouvoir, pouvoir déviant et abusif) a bien analysé l’idéologie sanitaire nazie et a largement cité un article universitaire qui effectue une reconstitution historique des faits qui ont conduit les Nazis à l’apogée de leur délire paranoïaque collectif, à savoir l’extermination de masse : l’idéologie nazie était, exactement comme aujourd’hui, de type sanitaire. Cette idéologie a orchestré le délire collectif et partant, a organisé le totalitarisme dans ses pulsions liberticides et mortifères.

Et le Professeur Gunter Kampf de la faculté de médecine de Greifswald en Allemagne, dans un article du Lancet, que nous mentionnions plus haut, lance également le même avertissement :

Historiquement, les États-Unis et l’Allemagne ont tous deux engendré dans l’histoire récente des expériences négatives, en stigmatisant une partie de la population pour leur couleur de peau ou leur religion.

Pr Gunter Kampf.

Stigmatiser les non-vaccinés comme le fait et y encourage le gouvernement n’est pas justifié et est le prélude certain à un fascisme rampant. Nous ne sommes déjà plus en démocratie.

Face à l’entêtement des autorités dans le monde entier, des plaintes pénales ont été déposées :

  • Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et Hannah Rose, avocate spécialisée dans les droits de l’homme ont déposé une plainte pénale historique adressée à la Cour pénale internationale contre des personnalités de premier plan dans le domaine de la santé publique, les accusant de génocide.
  • Une plainte pénale contre MM. les ministres Jean Castex, Olivier Véran et Michel Blanquer a été déposée par Me Virginie de Araujo Recchia devant la Cour de Justice de la République, accusés des chefs suivants :
    • abus fraduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse (article 223-15-2 du Code pénal),
    • extorsion et tentative d’extorsion (articles 312-1 et 312-9 du Code pénal),
    • empoisonnement et tentative d’empoisonnement (article 221-5 du Code pénal),
    • tromperie aggravée et tentative de tromperie aggravée commise en bande organisée (articles L441-1 et L454-1 du Code de la consommation et articles 132-71 du Code pénal),
    • escroquerie et tentative d’escroquerie commise en bande organisée (articles 313-1 et 132-71 du Code pénal),
    • génocide (article 211-1 du Code pénal).
  • Une plainte pénale a été déposée aux États-Unis contre Alex Azar (secrétaire à la Santé et aux Services sociaux des États-Unis), le Dr Anthony Fauci (conseiller médical en chef du président des États-Unis), le Dr Peter Daszark (président de l’ONG basée à New York, EcoHealth Alliance), la FDA (Food and Drug Administration, l’administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments), les CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies), le NIAID (National Institute of Allergy and Infectious Diseases, ou Institut national des allergies et des maladies infectieuses), Moderna et Pfizer sur la base des huit chefs d’accusation suivants :
    • 18 U.S.C § 2331 §§ 802- Actes de terrorisme perpétré sur le territoire intérieur et ayant entraîné la mort de citoyens américains.
    • 18 U.S.C § 2339 – Complots en vue de commettre des actes de terrorisme.
    • 15 U.S.C §1-3 – Complots en vue de commettre une activité commerciale criminelle.
    • 18 U.S.C § 175 – Financement et création d’une arme biologique.
    • 15 U.S.C. §8 – Manipulation du marché et répartition.
    • 18 U.S.C § 1001 – Mensonges auprès du Congrès.
    • 15 U.S.C. §19 – Directions imbriquées.
    • 18 U.S.C § 2384 – Atteinte à la sureté de L’État.

Au vu de tous les éléments graves qui viennent d’être exposés et de la menace réelle et imminente de totalitarisme qui guette notre démocratie battue en brèche, considérant que plus de 2 300 professionnels de la santé et universitaires en France ont récemment élevé leur voix contre les mesures sanitaires Covid-19 du gouvernement et la nouvelle religion covidienne qui a pris le contrôle de la nation, et considérant, enfin, que plus de 5 000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence criminelle et revendiquent le respect du Serment d’Hippocrate, nous vous demandons instamment de lancer au plus vite la procédure de motion de censure du gouvernement.

Si par malheur le projet devait être adopté par les deux assemblées, et la censure rejetée, nous vous demandons de vous rassembler avec au moins 59 autres parlementaires pour déférer ce projet de loi au Conseil constitutionnel afin qu’il en prononce l’inconstitutionnalité.

Si ce texte devait malgré tout être voté et promulgué, et si nous constations que vous aviez participé à son adoption, nous serions obligés de conclure que le parlement français n’est qu’une chambre d’enregistrement de décisions prises dans les cénacles internationaux promouvant la « Grande Réinitialisation » si chère au Forum de Davos, associant « Big Pharma » et « Big Media » qui censure toute information contraire à la doxa d’une société orwellienne en gestation ; et nous vous assurons que vos noms ne seront pas oubliés de l’Histoire. Avec d’autres juristes compétents, nous mènerons un combat sans merci et sans relâche pour que la vérité éclate et que les responsables d’un crime contre l’humanité sans précédent soient jugés par une justice impartiale.

En espérant que vous comprendrez à quel point ce projet de loi marquerait l’avènement d’une société totalitaire qui n’est pas celle que nous voulons et qu’aucun être humain de bon sens ne désirerait pour lui-même, les siens et sa progéniture, nous vous prions, Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs, d’agréer l’expression de nos sentiments distingués.

Aussi la loi n’a point de vie, la justice n’a point de force ; car le méchant triomphe du juste, et l’on rend des jugements iniques.

Habacuc 1:4.

Vigilance Pandémie, le 3 janvier 2022.




Luxembourg — Lettre ouverte contre l’obligation vaccinale

[Transmis par Christine Côte]

E F V V – European Forum for Vaccine Vigilance
Jean-Pierre EUDIER, Président,
7, Rue des Maximins
8247 MAMER

Commission Consultative Nationale d’Éthique
Madame la Présidente
Julie-Suzanne BAUSCH
18-20, Montée de la Pétrusse
L-2327 Luxembourg

LETTRE OUVERTE

Luxembourg, le 3 janvier 2022

Conc. : Votre rapport du 8 décembre 2021 sur l’obligation vaccinale des majeurs

Madame la Présidente,

Dans votre rapport du 8 décembre 2021, vous ouvrez la porte à la vaccination des enfants ainsi qu’à l’obligation vaccinale des majeurs.

La Commission semblait naguère hostile à la vaccination obligatoire, peut-être reviendra-t-elle de nouveau sur cette opinion dans six mois. Vous avez avec vous votre conscience, votre morale et votre responsabilité.

Vos considérations semblent préparer l’opinion publique à briser le tabou de l’inviolabilité du corps humain et du droit de la personne, de refuser, d’interrompre ou de s’abstenir d’un soin.

Tout comme les membres de la Commission, nous sommes des membres de la société civile, comptant parmi nous des juristes, des médecins, des fonctionnaires concernés par la vie de la cité.

Nous sommes tout d’abord au regret de devoir évoquer la question des liens éventuels de certains membres de la Commission avec les membres du Gouvernement et d’autres personnalités du monde politique.

En particulier, nous vous prions de nous confirmer que l’homonymie de votre patronyme avec Monsieur le vice premier Ministre François BAUSCH, n’est qu’une pure coïncidence.

Votre Commission étant un rouage de la démocratie, cette question doit pouvoir être évoquée en toute quiétude et objectivité.

Votre confirmation nous suffira.

Nous nous devons de combattre votre point de vue.

En laissant disparaître la pensée individuelle, le conformisme favorise les dérives d’un processus de négation des libertés individuelles et d’acceptation d’une politique de ségrégation.

Aussi, nous nous permettons de vous adresser la présente lettre ouverte en vous invitant à venir débattre sachant que le travail de la Commission doit obéir à l’exigence systématique de « recherches et débats pluralistes, objectifs qui tiennent compte de la complexité de l’horizon normatif de notre société. »

« À qui est persuadé détenir une vérité universelle, il est indécent d’oser demander des preuves. C’est le principe de l’intégrisme religieux. La peur de la maladie et de la mort nous rendent vulnérables face aux marchands d’espoir. La démarche scientifique n’échappe pas aux règles de la psyché humaine. La science nous a sorti de l’obscurantisme, veillons à ce qu’elle ne nous y replonge pas. Ce n’est pas au réel de se plier à nos croyances. »

Peut-être n’y prêterez-vous aucune attention.

Il nous importe aussi de laisser le témoignage que nous nous y sommes opposés, l’avenir jugera ensuite de l’opinion et de l’attitude de chacun.

Il s’agit encore de faire prendre conscience à nos concitoyens que l’oppression et le chantage à la vaccination ne sont pas des choses normales et de leur donner les arguments juridiques afin de s’y opposer.

Nous évoquons ici non seulement les mesures liberticides sous prétexte de la crise sanitaire mais aussi et surtout au regard de la stigmatisation et la pression exercées sur une partie de la population.

La science et la rationalité ont disparu faisant place à une idéologie politique assumée visant à vacciner à tout prix l’ensemble de la population.

Le passage du système 3G au système 2G dans les cinémas et les restaurants en est l’exemple le plus éloquent. Cette politique apparaît ici contre-productive, voire potentiellement favorable à la diffusion du virus.

L’avis du Collège médical du 8 décembre 2021 est particulièrement éloquent dans ce contexte :

« le collège médical constate avec satisfaction que le gouvernement se propose donc de suivre cet avis d’augmenter la pression sur les non-vaccinés et même de façon renforcée (seuls les certificats de vaccination et de rétablissement 2G sont admis pour les activités et les établissements dits de loisirs) ».

Le Collège médical appelle ainsi à des « mesures coercitives renforcées » sur les récalcitrants à la vaccination.

Ces termes sont terribles car ils opèrent un glissement dans une logique qui justifie l’exercice de la violence sur la population.

Vous l’admettez d’ailleurs vous-même dans votre rapport en stigmatisant ceux qui n’ont « pas fait leur devoir de citoyen ».

Jusqu’où irons-nous ? Après les avoir privés de leurs moyens de subsistance, faut-il enfermer les réfractaires ? Faudra-t-il même les priver de l’autorité parentale ? De leurs comptes bancaires ? Faudra-t-il aller jusqu’à les condamner pour mise en danger de la vie d’autrui ?

Tout est possible dans cette logique qui veut qu’ils soient les responsables de la pandémie !

La minorité est déjà fortement marginalisée par des communications agressives de personnalités influentes du monde politique, n’hésitant pas à la décrire comme complotiste et inconsciente des risques qu’elle fait encourir aux autres.

Après avoir été stigmatisés, culpabilisés puis privés de leurs droits, les réfractaires à la vaccination seront désormais « hors la loi » avec l’obligation déjà programmée à la vaccination, à en croire votre rapport.

Toutes ces annonces accentuent la dangereuse dérive vers une stratégie de désignation d’un bouc émissaire. Quand on désigne un groupe de personnes comme coupable de tous les maux d’un pays, l’Histoire nous montre que c’est non seulement toujours faux et qu’ensuite cela finit toujours très mal.

Vous rétorquerez très certainement que tel est le jeu de la démocratie et que la majorité des citoyens approuvent la politique du gouvernement.

L’anomalie devient la norme.

Des bonnes fois sont abusées, des mauvaises fois abusent.

Les citoyens ont l’impression d’être les jouets d’un scénario absurde. L’école est désorganisée, le monde économique est sur les nerfs. La science, la rationalité et le droit ont disparu, place aux passions.

La politique de ségrégation du laissez-passer vaccinal est présentée comme la seule alternative au confinement.

Près de deux ans après la sidération du confinement, les citoyens constatent à présent que nous n’avons ni la liberté, ni la sécurité et que nos enfants en subissent en première ligne les conséquences.

Nous ne concevons pas la démocratie comme la tyrannie de la majorité.

Il y a lieu de respecter les institutions gardiennes de la démocratie et notamment la Constitution mais aussi les traités internationaux comme la Convention européenne des Droits de l’Homme.

Le justiciable doit, en outre, pouvoir faire usage d’un recours effectif de constitutionnalité et non pas plusieurs mois ou même années après lorsqu’il est exposé à la suspension de ses revenus.

Or, les pouvoirs publics semblent miser sur la durée des procès tout en prenant de court le justiciable en transférant de surcroît la responsabilité de l’application de la loi sur les opérateurs économiques.

Il n’est donc pas surprenant qu’en se coupant des conseils de sagesse et de pondération que la constitution luxembourgeoise et européenne lui permettrait de conserver, il s’insinue une forme très archaïque de pouvoir dans une vision unilatérale de l’ordre social arrêtée depuis le choix de l’état d’urgence sanitaire.

Le Grand-Duché du Luxembourg doit respecter les engagements dont il est signataire et notamment la résolution 2361 de l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe votée le 27 janvier 2021 par tous les pays de la communauté laquelle prescrit une attitude respectueuse des libertés qu’elle énonce clairement dans les paragraphes suivant :

7.3.1 « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement; »

et 7.3.2 « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner; »

Les principes définis dans la résolution 2361 doivent être respectés.

Le respect de la parole donnée est une valeur essentielle qui fonde la confiance nécessaire à l’exercice du pouvoir.

Même sur le site Internet du Ministère de la Santé, à la question : est-ce que la vaccination contre la COVID-19 sera obligatoire, il est répondu : « Comme pour la plupart des vaccins dans notre pays, la vaccination contre la COVID-19 sera effectuée sur base volontaire »(https://covid19.public.lu/fr/vaccination.html).

Les citoyens se sentent trahis par l’application insidieuse du système « CovidCheck », d’abord sur une base volontaire, puis réservée aux manifestations nocturnes et à présent généralisée sous contrainte à une grande partie des activités sociales.

Un État qui ne respecte pas les obligations internationales qu’il a signées, pour imposer par la force un vaccin démontre qu’il remplace son devoir de convaincre par l’autoritarisme et rompt ainsi le contrat social.

Nous vous invitons également à la lecture de l’article 5 de la Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine signée le 4 avril 1997 à Oviedo (Espagne). Cette Convention est le seulinstrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’Homme dans le domaine biomédical.

Elle reprend les principes développés par la Convention européenne des Droits de l’Homme dans le domaine de la biologie et de la médecine.

Ce texte est une Convention cadre visant à protéger la dignité et l’identité de tous les êtres humains et à garantir à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses autres droits et libertés fondamentales à l’égard des applications de la biologie et de la médecine.

Nous reproduisons ici son article 5 qui prévoit :

« Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé.

Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques.

La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. »

Un vaccin ou une injection dite « vaccinale » est bien évidemment « une intervention dans le domaine de la santé » au sens de la Convention.

Par conséquent la convention d’Oviedo telle qu’interprétée par le Conseil de l’Europe, interdit aux États signataires, le vaccin obligatoire, la contrainte et la discrimination des personnes non vaccinées.

Plus généralement, la convention d’Oviedo prohibe implicitement la politique du laissez-passer vaccinal, beaucoup ayant été contraints à la vaccination pour pouvoir retrouver leur vie sociale ou simplement travailler.

Il est vrai que l’article 26-1 de la Convention d’Oviedo prévoit une exception :

« L’exercice des droits et les dispositions de protection contenues dans la présente Convention ne peuvent faire l’objet d’autres restrictions que celles qui, prévues par la loi, constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sûreté publique, à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé publique ou à la protection des droits et libertés d’autrui. »

Toutefois, celle-ci ne s’applique pas en l’espèce.

La recherche médicale ne peut cependant pas faire l’objet de restrictions au libre consentement, conformément à l’article 16 de la Convention :

« Les restrictions visées à l’alinéa précédent ne peuvent être appliquées aux articles 11, 13, 14, 16, 17, 19, 20 et 21. »

Article 16 : Protection des personnes se prêtant à une recherche

« Aucune recherche ne peut être entreprise sur une personne à moins que les conditions suivantes ne soient réunies :

i. il n’existe pas de méthode alternative à la recherche sur des êtres humains, d’efficacité comparable ;

ii. les risques qui peuvent être encourus par la personne ne sont pas disproportionnés par rapport aux bénéfices potentiels de la recherche ;

iii. le projet de recherche a été approuvé par l’instance compétente, après avoir fait l’objet d’un examen indépendant sur le plan de sa pertinence scientifique, y compris une évaluation de l’importance de l’objectif de la recherche, ainsi que d’un examen pluridisciplinaire de son acceptabilité sur le plan éthique ;

iv. la personne se prêtant à une recherche est informée de ses droits et des garanties prévues par la loi pour sa protection ;

v. le consentement visé à l’article 5 a été donné expressément, spécifiquement et est consigné par écrit. Ce consentement peut, à tout moment, être librement retiré. »

Les vaccins disponibles sont en phase 3 d’essais cliniques, jusqu’au 27 octobre 2022 pour MODERNA et au 2 mai 2023 pour PFIZER. Jusqu’à ces dates, il ne s’agit que de médicaments expérimentaux. Les termes utilisés pour le vaccin PFIZER est « Investigational medicinal product » (IMP) (médicament expérimental) ; Protocole Pfizer pp. 46,139 clinicaltrialsregister.eu

Il s’agit d’essais cliniques au sens de l’article 2 du règlement UE 536/2014 pour lesquels l’Agence européenne du médicament n’a délivré qu’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle au sens de l’article 4 du Règlement 507/2006.

L’application de ces normes interdit l’obligation ou la contrainte vaccinale car les vaccins ne sont pas définitivement agréés puisque les essais cliniques continuent.

Pour autant, même à supposer pour les besoins de notre raisonnement que les vaccins en question seraient définitivement agréés, les restrictions à l’article 5 de la Convention d’Oviedo doivent être proportionnelles et mesurées en tenant compte des droits fondamentaux.

Si suspendre les contrats de travail pourrait correspondre à un simple sentiment de protection de la santé publique liée à une épidémie qui fait plusieurs fois le tour du monde, laisser les travailleurs sans revenus de substitution, est un acte inhumain et dégradant.

La CEDH a constaté dans un arrêt de Grande Chambre que laisser des individus sans revenus pendant plusieurs mois, est bien un acte inhumain et dégradant au sens de l’article 3 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.

ARRÊT DE LA GRANDE CHAMBRE M.S.S contre Grèce et Belgique requête 30696/09 du 21 janvier 2011

« 263. Au vu de ce qui précède et compte tenu des obligations reposant sur les autorités grecques en vertu de la directive européenne « Accueil » (paragraphe 84 ci-dessus), la Cour est d’avis qu’elles n’ont pas dûment tenu compte de la vulnérabilité du requérant comme demandeur d’asile et doivent être tenues pour responsables, en raison de leur passivité, des conditions dans lesquelles il s’est trouvé pendant des mois, vivant dans la rue, sans ressources, sans accès à des sanitaires, ne disposant d’aucun moyen de subvenir à ses besoins essentiels. La Cour estime que le requérant a été victime d’un traitement humiliant témoignant d’un manque de respect pour sa dignité et que cette situation a, sans aucun doute, suscité chez lui des sentiments de peur, d’angoisse ou d’infériorité propres à conduire au désespoir. Elle considère que de telles conditions d’existence, combinées avec l’incertitudeprolongée dans laquelle il est resté et l’absence totale de perspective de voir sa situation s’améliorer, ont atteint le seuil de gravité requis par l’article 3 de la Convention.

Il s’ensuit que le requérant s’est retrouvé, par le fait des autorités, dans une situation contraire à l’article 3 de la Convention. Dès lors, il y a eu violation de cette disposition. »

Nous vous invitons à considérer encore le règlement (UE) 2021/953 du Parlement européen et du Conseil du 14 juin 2021 relatif à un cadre pour la délivrance, la vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE).

Celui-ci interdit clairement la discrimination à l’encontre des personnes ne souhaitant pas se faire vacciner :

« la délivrance de certificat en vertu du paragraphe 1 du présent article ne peut entraîner de discrimination fondée sur la possession d’une catégorie spécifique de certificats visées à l’article 5, 6 et 7 »

Il prohibe implicitement mais nécessairement l’obligation vaccinale. Nous vous rendons attentif au considérant 36 dudit règlement :

« Il y a lieu d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple pour des raisons médicales, parce qu’elles ne font pas partie du groupe cible auxquelles le vaccin contre la Covid 19 est actuellement administré ou pour lequel il est actuellement autorisé, comme les enfants, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité de se faire vacciner ou ne souhaitent pas le faire. »

Pour revenir à la vaccination des enfants :

Votre Commission admet elle-même dans son rapport que le risque est « assez limité » pour l’enfant de tomber malade mais que la vaccination des plus petits « augmente en chiffres absolus le taux de vaccination de la population » (sic).

Tout d’abord, il faut avoir bien peu de cœur pour imputer la propagation du virus à des enfants.

C’est l’intérêt personnel de nos enfants qui nous importe et non pas les objectifs d’augmentation du taux de vaccination.

Suivant la Convention internationale des droits de l’enfant, c’est d’ailleurs sur le seul critère de l’intérêt supérieur de l’enfant que doit être prise toute décision qui concerne un mineur.

La même notion est reprise au terme de la Charte des Droits fondamentaux de l’Union européenne en son article 24 :

« dans tous les actes relatifs aux enfants, qu’ils soient accomplis par des autorités publiques ou des institutions privées, l’intérêt supérieur de l’enfant doit être une considération primordiale. »

Nous estimons que des enquêtes sérieuses devraient être lancées avant de continuer la campagne de vaccination, ou du moins qu’il est impératif d’informer de manière claire le public du risque significatif d’apparition d’effets secondaires, y compris de décès.

Nous nous permettons de vous rappeler la campagne de vaccination de sinistre mémoire contre le papillomavirus.

Un article du 27 mars 2008 du journal « Le Jeudi », bien moins complaisant avec les autorités, dénonçait le manquement au devoir d’information du Ministre quant à l’efficacité du vaccin et les effets secondaires :

« Ce que le ministre de la santé n’a pas dit. Le ministre de la santé a failli dans sa mission d’information. Les parents doivent être mis en garde sur le fait que les signataires de cette lettre ne leur ont pas tout dit et même que certaines de leurs affirmations deviennent fausses par omission. »

La Cour européenne des Droits de l’Homme s’est prononcée au sujet de la légitimité de l’obligation vaccinale des enfants aux termes d’un arrêt du 8 avril 2021 (VAVRICKA c/ REP. TCHÈQUE).

Si la Cour européennes des Droits de l’Homme n’a pas sanctionné l’obligation vaccinale tchèque pour la vaccination traditionnelle, il ne s’agit pour autant en aucun cas d’une légitimation juridique de la vaccination obligatoire contre la COVID.

La Cour rappelle que, selon sa jurisprudence, la vaccination obligatoire, en tant qu’intervention médicale non volontaire, constitue une ingérence dans l’exercice du droit au respect de la vie privée tirée de l’article 8 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.

La Cour européenne des Droits de l’Homme a donc rendu une décision in concreto en tenant compte de plusieurs éléments comme :

  • la vaccination existe depuis de nombreuses années,

    Ce n’est pas le cas du vaccin COVID élaboré dans un temps record et qui est encore en phase d’essai.

  • les maladies contre lesquelles le vaccin lutte sont graves,

    Dans l’immense majorité des cas de COVID-19, l’infection est bénigne. Les statistiques officielles ne montrent pas une surmortalité significative en 2020. Selon les statistiques officielles luxembourgeoise, 85 % des décès concernent des personnes âgées de plus de 60 ans. Après plus de deux ans de lutte, nous savons donc quelle doit être la cible prioritaire des soins.

  • les effets secondaires sont connus et peu significatifs,

    En décidant de vacciner une population en bonne santé face à un virus qui ne la tuera pas, il est indispensable d’avoir un très haut niveau de qualité du vaccin, ce qui est contredit par les chiffres officiels du ministère de la santé et les suspensions et retraits de vaccin pourtant déjà administrés.

    Surtout, une méfiance existe compte tenu des suspensions et interdictions de vaccins en cours (Johnson&Johnson et Astra Zeneca). Des cas de thrombose ont été révélés et il convient de déterminer s’ils sont sans lien avec les vaccins réalisés.

    Les 11 décès reconnus à Luxembourg sur une période de moins d’un an de vaccination constituent un chiffre considérable qui ne peut être passé sous silence.

  • les conséquences de la non-vaccination sont temporaires et limitées,

    Les conséquences de la non-vaccination sont extrêmement violentes allant jusqu’à la suspension des moyens de subsistances et l’exclusion des activités sociales et de loisirs.

  • la vaccination obligatoire n’entraînait pas de contrainte physique.

    Ce n’est pas encore le cas mais nous ne pouvons pas exclure une telle dérive au train où vont les choses.

Une lecture mesurée et raisonnable de la motivation de l’arrêt VAVRICKA ne plaide guère pour la légalité de l’obligation vaccinale pour le cas de la COVID-19.

Le temps du droit n’est pas le temps des médias et de la politique, il est d’ailleurs possible qu’une initiative si téméraire soit tuée dans l’œuf avant même sa mise effective en application.

Nous oublions nos principes, les engagements politiques et nos traités au profit d’une idéologie politique assumée visant à vacciner l’ensemble de la population.

Au nom de quels principes ?

Est-ce au nom du « bien commun » de la mythique immunité collective ?

Au Grand-Duché de Luxembourg, malgré un taux de vaccination de près de 80 %, nous atteignons des records de contamination, à savoir un taux quasi équivalent à celui de l’année précédente lorsque nous ne disposions pas du vaccin.

On promettait la liberté au Danemark en septembre dernier avec des taux record de vaccination. En décembre 2021, le pays est de nouveau confiné…

Un confinement a été décrété pour les fêtes de Noël aux Pays-Bas, dont le taux de vaccination de la population avoisine les 80%.

Malgré un taux de vaccination de quelques 80%, l’Islande connaît depuis novembre 2021 un pic de contamination inouï, deux fois supérieur à l’année précédente lorsque la population ne disposait pas du vaccin.

Voici la définition du mot « vaccin » dans le dictionnaire LAROUSSE :

« Substance d’origine microbienne (microbes vivants atténués ou tués, substances solubles) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l’immunité à l’égard de l’infection déterminée par les microbes mêmes dont elle provient et parfois à l’égard d’autres infections. »

Il est désormais clair que la vaccination n’empêche pas la transmission du virus, rendant illusoire la mythique immunité collective.

Le vaccin ne peut tout au plus constituer un traitement prophylactique potentiel contre des formes graves.

Les études scientifiques et notamment la référence « LANCET » dans un article de Günter KAMPF du 19 novembre 2021 intitulé « The epidemiological relevance of the COVID-19-vaccinated population is increasing » et une multitude d’autres recherches de la même teneur démontrentclairement que la vaccination n’empêche pas la propagation du virus.

Nous citons l’article scientifique précité :

Many decision makers assume that the vaccinated can be excluded as a source of transmission. It appears to be grossly negligent to ignore the vaccinated population as a possible and relevant source of transmission when deciding about public health control measures”.

Il faudrait donc multiplier les « boosters » (quel mot horrible !) à l’apparition d’un nouveau variant, sous peine de se voir privé de vie sociale et professionnelle, toujours sans garantie quant à l’efficacité, ni quant au danger potentiel du vaccin.

A cette course absurde, mais fort lucrative pour l’industrie pharmaceutique, nous serons toujours en retard d’une bataille.

D’ailleurs, qui en décidera ?

Délèguerons-nous à l’industrie pharmaceutique le pouvoir de décider du nombre de doses à administrer ?

Au-delà de la question des primo-vaccinés, cette pression intolérable concerne l’ensemble de la population, vaccinée ou non.

Si deux vaccins ont déjà échoué, on aura besoin d’urgence d’une troisième dose, puis d’une quatrième et ainsi de suite.

Combien de doses faudra-t-il encore avant d’admettre que les vaccins n’ont pas l’efficacité voulue ?

Les sources officielles révèlent que Commission européenne a 4,6 milliards de doses de vaccins contre la COVID-19 et des négociations sont en cours pour obtenir des doses supplémentaires,soit quelques 10 doses par personnes, enfants compris, en tenant compte de la population totale de l’Union européenne.

Tout vacciné est un futur non-vacciné s’il décide de ne plus se soumettre aux différents rappels de vaccination programmés.

La création d’un laissez-passer vaccinal, voire l’obligation vaccinale ne sont pas des réponses sérieuses pour lutter contre la pandémie quand près de 80 % des luxembourgeois sont déjà vaccinés.

Il y a un manque de proportion évident entre la lutte contre la pandémie de la COVID-19 et les droits fondamentaux des citoyens qui vont vivre une « mort sociale », alors que les mutations du virus, rendent la multiplication des doses vaccinales moins efficaces.

D’ailleurs, de plus en plus de scientifiques, voire même de politiques, prennent leurs distances avec la politique du tout vaccinal.

En Angleterre, le comité de la Chambre des Lords s’est déclaré hostile à l’obligation vaccinale et fustige les essais :

« il existe une incertitude considérable quant à l’efficacité des vaccins contre le covid, certaines complications graves à court terme et un manque de données sur les méfaits à long terme. »

Une information relayée par le « British Medical Journal » BMJ dont voici un extrait traduit :

« En tant que médecins et professionnels de la santé, dont beaucoup travaillent dans le NHS, nous tenons à exprimer notre opposition à ce que la vaccination anti-SRAS-CoV-2 soit obligatoire pour tout groupe de personnes, y compris les travailleurs de la santé et les soignants. Nous convenons avec le comité de la Chambre des Lords que les preuves sont insuffisantes pour justifier cette mesure, mais le gouvernement et le Parlement ne semblent pas être à l’écoute et les vaccins obligatoires pour lepersonnel du NHS devraient être promulgués cette semaine.

Nous ne contestons pas que le covid-19 peut être et a été une infection dangereuse, et nous convenons que les vaccins sont efficaces dans de nombreuses situations. Cependant, il existe une incertitude considérable quant à l’efficacité des vaccins contre le covid, certaines complications graves à court terme et un manque de données sur les méfaits à long terme. Dans cette situation, il est impératif queles gens soient en mesure de faire un choix en toute connaissance de cause quant à l’opportunité de se faire vacciner ou non. »

Dans son rapport de surveillance du vaccin COVID-19 de la semaine 42, l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni admet à la page 23 que les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination :

« (…) recent observations from UK Health Security Agency (UKHSA) surveillance data that N antibody levels appear to be lower in individuals who acquire infection following 2 doses of vaccination. »

L’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni poursuit en expliquant que cette baisse d’anticorps est pratiquement permanente.

A l’opposé, près de 140 publications scientifiques attestent l’efficacité de l’immunité naturelle à long terme après l’infection COVID-19 :

L’immunité est apparemment étudiée non seulement sous l’aspect des anticorps mais également des T cells (immunité à plus long terme), car l’immunité existe même en l’absence d’anticorps.

Elle est bien supérieure à la protection vaccinale.

L’immunité naturelle est occultée au Luxembourg, si bien que des personnes présentant un taux élevé d’anticorps doivent se soumettre à la vaccination après une période qui n’est pas déterminée par une consultation médicale individuelle préalable.

Alors qu’elle est parfaitement ignorée au Luxembourg, l’immunité naturelle fait l’objet d’un projet de loi aux États-Unis dénommé « Natural Immunity is real Act » :

« The applicable agency shall acknowledge, accept, agree to truthfully present, and incorporate, the consideration of natural immunity as it pertains to COVID–19 with respect to the individuals subject to the applicable regulations. »

Est-ce au nom de la préservation du système hospitalier ?

Nous observons que des épisodes grippaux d’une ampleur supérieure à la crise actuelle étaient relativement banalisés par le passé.

Nous nous permettons de citer ici la réponse de Madame la Ministre de la santé à la question parlementaire numéro 2697 du 25 janvier 2017 de Monsieur le Député Halsdorf concernant l’épidémie de grippe :

« La grippe causée par le virus influenza survient le plus souvent au Luxembourg vers janvier et février. Cet épisode est d’une durée d’environ deux mois (…) Cette saison-ci, la grippe a débuté au Luxembourg fin décembre 2016 et a atteint son pic à la mi-janvier 2017. Le nombre de cas semble actuellement aller en diminution. En parallèle à cet épisode, on constate une augmentation du nombre de décès toutes pathologies confondues.

L’inspection sanitaire de la direction de la santé suit le nombre hebdomadaire de décès et a constaté que ce nombre est passé d’une moyenne hebdomadaire d’environ 80 décès à 120 décès par semaine à la mi-janvier 2017. Ce phénomène est constaté tous les ans lors de l’épisode grippal. Le surplus de décès survient principalement auprès de personnes ayant des problèmes de santé graves et qui se trouvent en fin de vie. Les décès ne sont souvent pas directement dus à la grippe elle-même mais la conséquence de l’infection virale aggravant les problèmes de santé préexistants (…) »

Permettez-nous de reprendre les données figurant dans un avis juridique du cabinet d’avocats

« FRANK, COHRS & BOCK » en date du 14 octobre 2021 : « selon la carte sanitaire de 2019 du Ministère de la Santé (sortie en 2021), le nombre de lits disponibles s’élève à un total de 2.644 lits (2.221 dans les

4 centres hospitaliers et 423 dans les établissements hospitaliers spécialisés). Il s’avère que moins d’un pour cent (1%) des lits disponible est pris par des patients hospitalisés à cause ou avec le COVID-19 ».

D’après les données officielles du site du Ministère de la Santé, 51 personnes se trouvaient hospitalisées pour raisons de COVID-19 en date du 20 décembre 2021, soit moins de 2% du total des lits disponibles.

Nous devons également reprendre une statistique encore moins réjouissante, celle du nombre de décès et d’effets secondaires liés à l’administration du vaccin.

La communication gouvernementale prétendant que les vaccins sont sûrs, efficaces et sans dangers apparaît en contradiction avec les clauses d’exonération des contrats relatifs aux vaccins, mais aussi des données de la pharmacovigilance.

Suivant le rapport officiel du 1er novembre 2021 émis par le Ministère de la Santé, on recense quelques 1.940 cas d’effets secondaires immédiats des vaccins dont 430 cas graves et 11 décès.

Parmi les 430 cas, on recense 286 cas médicalement significatifs, 115 cas de recours à une hospitalisation, 18 cas de mise en jeu du pronostic vital et 11 décès.

Si une entreprise avait tué 11 personnes avec son produit, nous tenterions de mettre les responsables en prison.

On ne sait strictement rien du contenu des seringues vendues par Pfizer mais il nous est demandé de faire confiance à cette firme qui s’est précisément distinguée par son passé de malfaiteur et de charlatan.

Outre les effets secondaires thrombo-emboliques décrits en début de campagne de vaccination, d’autres pathologies inflammatoires se sont manifestées.

L’exemple le plus connu est celui de la découverte récente des problèmes de myocardite et péricardite et l’inclusion de ces signaux de sûreté (quoique tardive) dans les rapports de l’Agence Européenne du Médicament, dont on ne citera que celui lié au myocardites et péricardites et qui peut être consulté en suivant le lien ci-après :

https://www.ema.europa.eu/en/documents/prac-recommendation/updated-signal-assessment-report-myocarditis-pericarditis-tozinameran-covid-19-mrna-vaccine_en.pdf

Pour reprendre juste quelque lignes de ce document, contrairement à ce que la presse voudrait faire croire, les effets indésirables de ces produits ne sont pas du tout anodins allant jusqu’aux séquelles permanentes et irréversibles, une mortalité précoce ou même à la mort immédiatement après l’injection :

« In 50% of cases, acute myocarditis resolves quickly within 2-4 weeks, however 25% may develop persistent cardiac dysfunction and 25% may deteriorate to end-stage dilated cardiomyopath (p. 4/86, Updated Signal assessment report on Myocarditis, pericarditis withTozinameran (COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) – COMIRNATY) (…).

3.1.2.1. MYOCARDITIS As of 31 May 2021, in Eudravigilance were received 145 cases reporting myocarditis with Comirnaty vaccine in the EEA. In these 145 cases, 143 cases were assessed as serious for which the seriousness criteria was ticked 172 times as follows: 5 times‘Death’, 18 times Life-threatening, 104 times Hospitalization, 2 times Disablingand 43 times ‘Seriousness Other (p.34/86, Updated Signal assessment report on Myocarditis, pericarditis with Tozinameran (COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) – COMIRNATY) »

De plus, ces mêmes documents montrent clairement que les problèmes relatifs au profil de sûreté de ces produits sont loin d’être résolus, même dans le cas de signaux déjà documentés et acceptés par l’Agence Européenne du Médicament:

« Comment PRAC Rapporteur: The MAH (Marketing Autorisation Holder, dans ce cas ci Pfizer Biontech) did not provide the requested age strata under 25 years of age: 12-15, 16-19, 20-24. This is not acceptable as the current signal is strongest in those age groups. Moreover, the same predominance within these age groups is consistent in several other O/E analysis conducted by Israel, USA, UK and the WHO. Question 2 is not resolved.” (p. 18/86, Updated Signal assessment report on Myocarditis, pericarditis with Tozinameran (COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) – COMIRNATY,) »

De nouveaux effets secondaires apparaissent régulièrement.

Les nanoparticules lipidiques des vaccins à ARN-messager ont été pointées du doigt dans le risque de développer des maladies auto-immunes et allergiques.

Il est impossible de prévoir exactement à ce jour quels types de désordres immunitaires pourraient émerger à l’avenir pour chaque type de vaccin mis sur le marché.

Pourtant la campagne de vaccination bat son plein sans que nous ne puissions poser la moindre question et, les mêmes causes produisant les mêmes effets, elle fera encore immanquablement des décès.

Qui en assumera la responsabilité morale et judiciaire ? Souvenons-nous du « responsable mais pas coupable » lors du procès qui a suivi l’affaire du sang contaminé chez nos voisins?

Quant à la responsabilité financière, qui l’assumera sinon le contribuable ?

Compte tenu des risques qu’elle fait peser sur la santé de la population, nous estimons qu’il est très grave d’imposer la vaccination tant que nous ne disposons pas d’une information loyale et objective, telle que décrite par de nombreuses sources indépendantes, de tous les effets secondaires potentiels réparables ou irréparables à court, moyen et long terme, avec certification que tous les paramètres médicaux concernant les essais et les études requis ont été satisfaits.

Il ressort de ce qui précède que l’obligation vaccinale générale de la population n’est pas juridiquement défendable.

Dans le cadre de la vaccination contre la COVID-19, aucun des critères de proportionnalité et d’efficacité visés aux termes des Traités et principes européens, par rapport à l’objectif de santé suivi, n’apparait rempli compte tenu de :

  • La connaissance relativement incomplète de la maladie,
  • La capacité de mutation du virus,
  • La circonstance que les personnes à risque sont majoritairement vaccinées,
  • La vaccination diminue en efficacité avec le temps,
  • La vaccination n’arrête pas la propagation ni la contamination par le virus,
  • Les effets secondaires existent et restent inconnus à long terme,
  • Nous sommes toujours en phase d’essais cliniques,
  • Le vaccin n’empêche pas de tomber parfois sévèrement malade à cause des variants,
  • Aucun objectif d’éradication ne peut être scientifiquement avancé par rapport à un virus qui a déjà fait plusieurs fois le tour du monde.

Nous sommes partisans du principe de la vaccination, sous réserve que celle-ci soit sûre, efficace et nécessaire et qu’elle tienne compte de l’identité biologique de chaque individu, paramètre dangereusement oublié par le principe de l’obligation.

Tous ceux qui souhaitent être vaccinés contre la COVID -19 doivent pouvoir le faire, y compris en choisissant le vaccin approprié, notamment le vaccin chinois SINOVAC réalisé avec un virus désactivé sur base de la méthode traditionnelle.

Nous ne comprenons pas pourquoi le principe de la liberté de choix du vaccin approprié est ignoré au mépris des pétitions publiques.

La pétition publique n°1827 demande la distribution au Luxembourg du vaccin russe Sputnik V contre la COVID-19.

La pétition publique n°2141 demande à repousser la date des mesures « CovidCheck » au travail jusqu’à la disponibilité du nouveau vaccin « NOVAVAX ».

La pétition publique n°1950 plaide pour ne pas rendre la vaccination COVID-19 obligatoire et de ne pas instaurer, avec le temps, de discriminations entre les personnes vaccinées et les personnes non-vaccinées.

Elle a recueilli la signature de 11.456 (mauvais ?) citoyens.

La pétition publique n°2078 demande l’égalisation des mesures « CovidCheck » à l’ensemble de la population afin de lever les contraintes et discriminations qui se mettent en place pour forcer les non-vaccinés à céder et se laisser vacciner.

Elle a été signée par 5.722 citoyens.

S’agit-il de mauvais citoyens car ils ont osé émettre des réserves quant à la politique du tout vaccinal ?

Nous sommes inquiets de la violence du discours à l’encontre de la population non-vaccinée ou qui décidera de ne plus se soumettre aux injections à venir.

Subissant déjà une forte pression sociale en raison d’un choix personnel, nous craignons d’être soumis à la vindicte populaire devant un discours de plus en plus agressif, haineux et radical jusque dans les termes de votre rapport.

Nous estimons que, le traitement par l’anathème, la peur et la contrainte visant à imposer à tout prix la vaccination au mépris des droits fondamentaux issus des engagements internationaux, par :

  1. la radicalisation du discours des pouvoirs publics contre les réfractaires,
  2. la multiplication progressive des restrictions serrant comme dans un étau les réfractaires,
  3. les mesures discriminatoires imposées afin « d’augmenter la pression sur les non-vaccinés et même de façon renforcée »,
  4. La mise en œuvre du laissez-passer vaccinal sur le lieu de travail sous peine de suspension des moyens de subsistance au mépris notamment du droit au travail garanti par la Constitution aux termes de son article 11: « la loi garantit le droit au travail et l’État veille à assurer à chaque citoyen l’exercice de ce droit. La loi garantit les libertés syndicales et organise le droit de grève » et du respect du principe de « l’égalité de traitement en matière d’emploi et de travail » (article L-251.1 du Code du Travail).

CONSTITUENT un traitement INHUMAIN et DÉGRADANT au sens de l’article 3 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.

La finalité idéologique des mesures visant à « augmenter la pression sur les non-vaccinés et même de façon renforcée » (sic) n’est en aucun cas une justification sanitaire, tout au plus un grave abus de droit sanctionné par l’article 54 de la Charte des Droits fondamentaux de l’Union européenne :

« Aucune des dispositions de la présente Charte ne doit être interprétée comme impliquant un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits ou libertés reconnus dans la présente Charte ou à des limitations plus amples des droits et libertés que celles qui sont prévues par la présente Charte. »

Nous comprenons certes la tentation accessoire d’instaurer un modèle de société de « la solidarité et de la responsabilité » en tirant les leçons de la crise COVID comme une « destruction créatrice » pour reprendre l’expression de Schumpeter.

Nous ne pouvons qu’être sceptiques face à ceux qui voient la crise sanitaire comme une « fenêtre d’opportunités » pour la transition vers la « société numérique », impliquant la numérisation de nos vies jusque dans notre for intime, la géolocalisation, l’inspection et, à terme, l’aliénation de l’individu et la servitude.

Beaucoup parmi nous sont issus des pays totalitaires de l’ancien bloc soviétique et sont légitimement hostiles aux modèles préfabriqués qui s’apparentent en réalité à une « construction destructrice ».

Les dispositions inédites dans l’histoire récente du Grand-Duché prennent des proportions totalitaires dans le sens premier et original du terme, à savoir une intrusion étatique sur la totalité des activités individuelles.

Certes, nous n’avons pas l’écho du bruit des bottes, mais les réfractaires à la vaccination verront leurs moyens de subsistance suspendus ou devront accepter un chantage à leur vie familiale et position sociale.

Beaucoup d’entre nous se sont battus pour leur liberté dans leur pays d’origine et ne sauraient à présent accepter de s’engouffrer vers un totalitarisme « soft » par confort ou par paresse.

Nous serions ravis d’échanger avec vous et nous vous montrerons que nous ne sommes nullement des irresponsables, des extrémistes « anti-vax » ou d’autres caricatures médiatiques, mais de simples citoyens.

Votre commission étant ouverte à l’échange et aux débats d’idées, nous nous permettons de vous inviter à débattre publiquement avec nous, avec nos juristes, avec nos médecins, nos comptables et nos fonctionnaires.

YES, WE CARE !

Nous vous prions d’agréer, Madame la Présidente, l’expression de nos sentiments très distingués.

Pour EFVV

Jean-Pierre Eudier

Président

Copie de ce courrier à :

  • Son Altesse Royale le Grand-Duc Henri
  • Xavier Bettel, Premier ministre, Ministre d‘Etat
  • Paulette Lenert, Ministre de la Santé
  • Fernand Etgen, Président de la Chambre des Députés

Copie de ce courrier par e-mail à :

  • Mesdames et Messieurs les Députés
  • Mesdames et Messieurs les Conseillers d’Etat
  • Représentants des organes de presse Grand-Ducale



Des idéologues ignares de plus en plus virulents deviennent en plus l’arbre qui cache la forêt

Par Lucien SA Oulahbib


« Le 25 mars 1939, l’adhésion aux Jeunesses hitlériennes devient obligatoire pour les jeunes voulant pratiquer des activités sportives ou encore aller à l’école. »

Au fur et à mesure que l’échec s’avère de plus en plus violent (les cas actuels sont essentiellement dus aux injectés) y compris quant aux formes graves — ils sont également majoritaires en soins critiques — car même à deux doses vous êtes considérés à plus de 65 ans comme non injectés, alors que ces formes dites graves ou longues peuvent être précisément évitées avec les traitements précoces comme cela a été démontré par les études indépendantes, eh bien nos idéologues, dépités, aigris, suintant le mal-être « systémique » se lancent désormais durablement dans la vindicte éructant des torrents d’insanités propagandistes en guise de revolver

Ces coupe-jarrets verbaux en sont donc réduits non seulement à insulter, mais aussi à racoler façon Café du Commerce de la rue Blondel ou à Pigalle (« j’ai un ami qui est mort de la C19 ») en « oubliant » que l’on meurt aussi d’infections inflammatoires aiguës (par millions annuellement) sans parler d’effets secondaires induits par des traitements, surtout en cas d’injection expérimentale à AMM conditionnelle (mais de cela : chut ! Circulez braves gens, et réajustez votre muselière tout en écoutant les dernières de « Jacques a dit » question boire, manger, etc., etc.).

Aussi est-il pitoyable (honteux même) d’entendre encore cesdits « philosophes » (Enthoven, Ferry, Onfray…) pérorer à l’encontre des dits « antiVax ». Mais qu’attendre de ces « sophistes », strictement dit ? Ils vendent en effet, comme au temps de Socrate, leur camelote intitulée pompeusement « sagesse », mais, concédons-le, avec quelques capacités, réelles, de vulgarisation sur les questions courantes (qu’est-ce que la vie, l’amour, la mort, ma bonne dame ? Dans quel « état j’erre » — étagère ?) ; d’où leurs succès, patents, comme bateleurs mondains. Mais de là à les entendre parler santé, médecine (ce qui est cependant leur droit en tant qu’humains et citoyens vivant en démocratie), du moins sur ce ton non seulement pédant obséquieux, mais si péremptoire, il y a là un pas de trop qui devraient plutôt leur faire honte (s’ils en avaient conscience, il est vrai), en particulier les deux premiers lorsqu’ils se permettent de faire la leçon à Raoult et Perronne alors qu’ils n’ont même pas le millième de leur compétence en la matière. On est bien loin de Socrate. Ne parlons même pas de Descartes, Montaigne…

Le plus grave cependant n’est même plus là, mais dans leur cécité persistante et volontaire (en particulier pour les deux premiers) à refuser obstinément de voir ce qui (se) passe sur ce « passe » visiblement promulgué comme étant la première phase dudit « Grand Reset » (programmé depuis quelques décennies en fait) : les passes climatiques et sociétaux devraient en effet suivre.

On peut (hélas) géométriser le modèle suivant d’après les données observées (mais j’espère me tromper) : comme il a été acheté dans les 7 à 10 doses, si la 4e arrive disons en avril (puis tous les trois mois, du moins pour l’instant en janvier 2022), il nous en reste au moins 3 à placer, ce qui nous renvoie à début 2023, un bon tempo pour accélérer le passage à la contrainte liée à ladite « urgence climatique », une alarme lancinante depuis cependant bientôt trente ans, et qui pourrait maintenant basculer en contrainte effective lors du raout annuel de la « COP » puisque le passe sanitaire aura fait le « sale boulot » pour pénétrer les consciences volages des pays repus. L’on verra alors ces porte-flingues de la Cause justifier l’idée qu’après tout, puisque nous avons ce « passe » (qui en plus s’appelle « green » ici et là), ce serait bien de nous en servir pour nous discipliner de mieux en mieux (et là on verra peut-être Ferry manger définitivement son chapeau, lui qui était tant anti « khmer vert »…).

Le fait par exemple que Jadot puisse devenir 1er Ministre en cas de nouvelle victoire de Macron 1er lors du quasi-plébiscite présidentiel à venir serait un bon moyen d’y arriver à cette globalisation bio-numérique. Puis ce passe pourrait devenir « sociétal » dans la foulée, afin de lutter contre « l’extrême droite » et ses deux mamelles zemmouristes : « l’islamophobie » et la « LGBTIphobie ». Une telle « avancée progressiste » pourrait être d’ailleurs d’autant plus validée qu’il s’agira sans doute d’appliquer une directive dite « européenne » déjà certainement dans les tuyaux, tapie dans l’ombre en attendant « la fenêtre d’opportunité » chère à nos adeptes du « Grand Reset ».

Nos « idéologues » auront alors beau jeu de parler (vociférer) à l’encontre de tous ces « monstres ou des déments » qui refuseraient ce nouveau passe trinitaire (santé, climat, moral) pour sauver la Terre et, dans la foulée, nous sauver du « typhus moral ».




La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité

[Source : cv19.fr (Recherches Covid-19)]

[Ndlr : de nombreux articles présentés par Nouveau Monde autour des approches alternatives à la théorie virale et à celle, plus générale, des germes proviennent du site Recherches Covid-19 qui effectue un remarquable travail de collecte d’informations dans ce domaine.]

Les docteurs Mark Bailey et John Bevan-Smith viennent de publier un article choc intitulé “La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité”.
Ils couvrent tout ce qui se cache derrière la fraude – y compris les acteurs, la PCR, la virologie, la modélisation et plus encore.


Contenus

Résumé

Première partie

L’agenda mondialiste
Le cheval de Troie
La double tromperie de la virologie
Les quatre piliers de la fraude COVID-19
Le premier pilier : L’isolement

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique
Le troisième pilier : La PCR
Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Troisième partie

En résumé
Conclusion
POST-SCRIPTUM
Crimes contre l’humanité
L’insulte finale
A propos des auteurs

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Résumé

Le COVID-19 est une fraude parce que son agent causal présumé, un prétendu nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2, n’a pas été prouvé comme existant dans la nature et n’a donc pas été établi comme la cause du COVID-19, la maladie et la pandémie inventées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Pour la même raison, il n’y a pas de variants du “virus”, qui n’existent que de manière hypothétique dans les ordinateurs, les banques de gènes en ligne et dans l’esprit de personnes innocentes qui ont été complètement bernées par leurs gouvernements.

La fraude du COVID-19, avec ses nombreuses allégations grotesques, ne constitue rien de moins qu’une guerre contre l’humanité menée par des organisations telles qu’Anser, Fors Marsh et Palantir qui mènent l’escroquerie par l’intermédiaire de Big Pharma, avec ses soutiens et ses complices, notamment le Forum économique mondial, la Fondation Bill et Melinda Gates, l’OMS, les conglomérats technologiques, les médias de masse, les gouvernements complices et les “pirates” du COVID tels que l’UNC Chapel Hill et l’Imperial College London, pour ne citer que quelques bénéficiaires de la fraude.

Le COVID-19 est une guerre contre l’humanité parce que les politiciens et leurs gouvernements continuent d’utiliser cette maladie imaginaire pour terroriser et emprisonner leurs citoyens, en les privant de leurs droits fondamentaux et de leurs libertés, et en violant leurs corps autrefois inviolables par des injections expérimentales et dangereuses contenant une séquence d’ARNm de protéine spike générée par ordinateur qui ordonne au corps de s’empoisonner. Ces injections infâmes, qui contiennent également des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées, affectent des millions de personnes et en tuent plusieurs milliers dans le monde entier, dont 218 Néo-Zélandais au 2 octobre 2021.[1]

Une fraude virologique est au cœur de ces crimes contre l’humanité : le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé physiquement ni démontré comme étant l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Dans cet article, les auteurs examinent le monde illusoire de la virologie pour expliquer comment un virus que personne n’a vu ni ne sait d’où il vient, dont personne ne sait ce qu’il fait ni où il va, traverse, selon les fraudeurs, les frontières et les barrières et vient vous chercher où que vous soyez. Comment se fait-il, demandent les auteurs, que cette folie fantasmagorique se soit transformée en un monde empreint de peur, dans lequel les gouvernements démocratiques ont abandonné les principes démocratiques pour s’engager dans le contrôle et la “suppression d’êtres humains”, ce qui pourrait simplement se transformer en une “variante” de la troisième guerre mondiale ?[2]


[Voir aussi :
L’effondrement de l’hypothèse virale
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey

Sur le graphène :
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

Sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

Sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

Sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]


Première partie

L’agenda mondialiste

Ne vous méprenez pas, nous sommes actuellement assaillis par une fraude mondiale d’une telle ampleur et d’une telle malveillance qu’elle menace notre existence même telle que nous la connaissons sur cette planète.

L’escroquerie concerne un prétendu nouveau coronavirus, inventé et non découvert par la virologie, qui a permis à Bill Gates de prédire une pandémie unique en son genre, nécessitant des milliards de vaccins pour la combattre, ce qui lui permet d’augmenter considérablement les actifs du Bill and Melinda Gates Trust qui se trouve aux côtés de la Bill and Melinda Gates Foundation (BMGF).[3]

Un autre qui se préparait avec impatience au déploiement de ces ” vaccins ” de masse, qui ne sont pas des vaccins mais des armes biologiques, était Peter Daszak de EcoHealth Alliance. Comme il l’a déclaré en 2015, “nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité des MCM [Contre-mesures médicales], comme un vaccin pan-influenza ou pan-coronavirus. Les médias sont un facteur clé, et l’économie suit le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront s’ils voient des bénéfices à la fin du processus.”[4]

En septembre 2019, le Global Preparedness Monitoring Board, une création de l’OMS et de la Banque mondiale, a conseillé aux pays de se préparer à un potentiel “pathogène respiratoire mortel” en investissant dans “des vaccins et des thérapeutiques innovants, une augmentation de la capacité de fabrication, des antiviraux à large spectre et des interventions non pharmaceutiques appropriées”. [5] Ils ont également conseillé que “tous les pays doivent développer un système pour partager immédiatement les séquences génomiques de tout nouveau pathogène”.[6]

Le monde était préparé à une ” pandémie ” et le 4 décembre 2019, le Dr Anthony.
Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré que son agence ” menait et soutenait des recherches pour développer des technologies de plateforme vaccinale de pointe qui pourraient être utilisées pour développer des vaccins antigrippaux universels ainsi que pour améliorer la vitesse et l’agilité du processus de fabrication des vaccins antigrippaux “. Ces plates-formes technologiques comprennent l’ADN, l’ARN messager (ARNm), les particules de type viral, les vaccins à base de vecteurs et les nanoparticules auto-assemblées.[7] Tout était donc prêt pour libérer les technologies génétiques et les nanoparticules sur des populations sans méfiance, sous couvert d’une crise sanitaire à quelques semaines de distance. Il suffisait de remplacer la grippe, qui n’avait plus réussi à effrayer le monde depuis longtemps, par un “nouveau” coronavirus mortel imaginaire.

Les événements qui se sont déroulés au cours des 20 derniers mois auraient semblé inconcevables il y a encore deux ans, sauf dans l’esprit de personnes comme Gates et Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, qui avaient déjà imaginé de détruire la démocratie de l’intérieur par une réponse autodestructrice induite par la peur d’un tel virus. Comme Schwab l’a écrit dans La Grande Réinitialisation, semant les graines de son programme mondial : “Depuis qu’il a fait son entrée sur la scène mondiale, le COVID-19 a radicalement bouleversé la façon de gouverner les pays, de vivre avec les autres et de prendre part à l’économie mondiale. “[8] C’était une affirmation extraordinaire pour un coronavirus si “nouveau” que les séquences des protéines de pointe (spike) étaient déjà brevetées par leurs inventeurs et, dans le cas du brevet américain 7279327 B2, attribué à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, aux États-Unis, en 2007, et prétendument fourni à Moderna en novembre 2019, un mois avant que le COVID-19 ne fasse son entrée sur la scène mondiale à Wuhan.[9] C’est la chanson que Schwab aime chanter avec Thierry Malleret : ” La crise mondiale déclenchée par la pandémie de coronavirus n’a pas de parallèle dans l’histoire moderne. Nous ne pouvons pas être accusés d’hyperbole lorsque nous disons qu’elle plonge notre monde dans son ensemble et chacun d’entre nous individuellement dans les moments les plus difficiles que nous ayons connus depuis des générations. C’est un moment décisif pour nous – nous aurons à faire face à ses retombées pendant des années, et beaucoup de choses changeront à jamais”.[10] La choriste mondialiste, ancienne Premier ministre néo-zélandaise, Helen Clark, coprésidente du Groupe indépendant de l’OMS pour la préparation et la réponse à la pandémie, reprend le même refrain hyperbolique : “En moins d’un an et demi, le COVID-19 a infecté au moins 150 millions de personnes et en a tué plus de trois millions. Il s’agit de la pire crise sanitaire et socio-économique combinée de mémoire d’homme, et d’une catastrophe à tous les niveaux… Le COVID-19 est le Tchernobyl du XXIe siècle – non pas parce qu’une épidémie est comparable à un accident nucléaire, mais parce qu’il a montré si clairement la gravité de la menace qui pèse sur notre santé et notre bien-être. Elle a provoqué une crise si profonde et si étendue que les présidents, les premiers ministres et les responsables d’organismes internationaux et régionaux doivent maintenant accepter d’urgence leur responsabilité de transformer la manière dont le monde se prépare et réagit aux menaces sanitaires mondiales.”[11]

Ces affirmations absurdes et non fondées des mondialistes constituent une source de peur sur laquelle s’appuient les entreprises pharmaceutiques telles que Pfizer pour soutirer de vastes sommes d’argent aux États-nations qui vendent leur peuple pour une bouchée de pain. Cette pratique d’extorsion est à la base de l’accord de fabrication et de distribution qui a fait l’objet d’une fuite entre Pfizer et l’Albanie, en vertu duquel la première exigeait de la seconde qu’elle accepte que le “vaccin” Pfizer soit soumis à des “risques et incertitudes significatifs”, qu’il “puisse ne pas réussir pour” un large éventail de raisons, et que Pfizer n’ait “aucune responsabilité pour tout échec … dans le développement ou l’obtention de l’autorisation du produit conformément aux dates estimées décrites dans cet accord.[12]

Derrière les “leurres”, comme David Martin décrit les principaux acteurs pharmaceutiques – Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, Merck Ridgeback, Gilead Sciences – se trouvent les criminels parrainés par l’État, les “corsaires” : Anser, “le plus grand contractant de toute la campagne terroriste COVID”, qui gère l’opération Warp Speed ; Fors Marsh, l’agence qui a créé le label COVID-19 et qui est chargée de veiller à ce que le message COVID-19 soit le même dans le monde entier ; Palantir, de Peter Thiels, qui vous suit par téléphone où que vous soyez grâce à Gotham Data Tracking ; et Publicis Sapient, qui coordonne toutes les données COVID-19 et dit au monde entier combien il y a de cas COVID, bien qu’il n’y ait pas de cas COVID à compter.[13] Puis il y a les pirates, parmi lesquels on peut compter : Ralph Baric et son Chimera Laboratory à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, qui a reçu plus de 100 millions de dollars depuis 1999 pour transformer en armes les particules du coronavirus, dont 28 millions de dollars du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci pour transformer en armes la protéine spike ; Vanderbilt ; Emory ; Johns Hopkins University ; University of California System ; Massachusetts Institute of Technology ; New York University Langone ; German Centre for Infection Research ; Imperial College London ; Institute for Health Metrics and Evaluation ; et Erasmus.[14]

Le bouton “go” a été poussé sur cette fraude mondialiste lorsqu’un ouvrier de 41 ans s’est présenté à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec des symptômes indiscernables des autres maladies respiratoires courantes parmi les 11 millions de résidents qui subissent une pollution asphyxiante dans la capitale de la province chinoise du Hubei. Le génome d’un virus que personne n’avait vu, et encore moins isolé et purifié, a été publié début janvier 2020, rebaptisé SRAS-CoV-2 par le Comité international de taxonomie des virus le 11 février, le jour même où le chef d’orchestre de la fraude, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus (Tedros), a annoncé son compagnon conséquent : “nous avons maintenant un nom pour la maladie : COVID-19. Je vais l’épeler : C-O-V-I-D trait d’union 1 9 – COVID-19”.[15]

À la fin du mois de mars 2020, la démocratie était à genoux, le peuple en tant que peuple exclu de la vie publique, emprisonné dans ses foyers. Les camps d’exclusion étaient désormais nos maisons. Et puis l’impensable : les politiciens ont annoncé qu’ils allaient inoculer à leurs populations des injections génétiques codées hautement expérimentales, jamais utilisées auparavant sur des humains, et dont les essais cliniques, déjà tronqués et grotesques, devaient encore durer des années.[16] Nos représentants élus n’ont pas pris la peine de nous le dire. Ils ne nous ont pas dit non plus que ceux qui semblaient tolérer l’inoculation initiale pouvaient transporter dans leur corps des bombes à retardement de maladies neurodégénératives et auto-immunes potentielles ainsi que des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées.[17]

Le cheval de Troie

Tout tourne autour de ces deux concepts : absence et présence. De quoi est fait le SARS-CoV-2 : d’absence ou de présence ? Telle est la question que nous devons trancher. Car sans la présence instanciée du SARS-CoV-2, il n’y a pas de cas de COVID-19 à compter, et donc pas de motif ou de justification pour la réponse d’un gouvernement à une pandémie fantôme.

Cet assaut contre l’humanité s’appuie sur un cheval de Troie pour introduire la tromperie dans nos esprits et nos corps, rendant possible la réalisation de l’agenda mondialiste d’un réseau de contrôle de la population dans le but ultime apparent de contrôler les populations de toutes les manières possibles.[18]

Alors que les débats se poursuivent dans le monde entier sur les origines du COVID-19, le nombre de cas les plus récents, sa létalité et l’efficacité des prétendus vaccins, les participants à ces débats semblent tenir pour acquis qu’un virus existe réellement. La grande majorité du public et du corps médical ignore que le cheval de Troie est la virologie moderne et ses méthodes antiscientifiques qui affirment l’existence de virus tels que le SARS-CoV-2. La plupart seraient surpris d’apprendre que le “virus” n’a jamais été trouvé à l’intérieur d’un seul être humain et qu’il n’a jamais été démontré qu’il était la cause d’une quelconque maladie.

La double tromperie de la virologie

Le crime contre l’humanité COVID-19 exige l’absence de ce virus. Il n’existe donc aucune référence matérielle permettant de recouper le génome fictif, afin d’établir, par exemple, si les prétendues protéines du SARS-CoV-2 proviennent spécifiquement du prétendu virus.

Ce tour illusoire repose sur la double tromperie de la virologie : (a) la substitution de la signification du dictionnaire et du postulat scientifique du substantif “isolement” par son contraire ; et (b) la substitution de la fausse procuration consistant à induire des effets cytopathiques (CPE) en inoculant des lignées cellulaires typiquement anormales in vitro par la procuration postulée consistant à infecter un hôte sain ou non malade in vivo pour établir la causalité entre le pathogène supposé et la maladie. Cependant, même l’utilisation de lignées cellulaires “normales” ne permettrait pas d’établir la causalité selon les postulats de Koch ou tout autre postulat scientifique, puisqu’il s’agit simplement d’observations en éprouvette impliquant des virus présumés.

Cette double tromperie constitue une violation des postulats sur lesquels la communauté scientifique s’appuie depuis longtemps. Cette absence physique fait du SARS-CoV-2 une fraude sans faille, que les virologues financés par l’industrie applaudissent et que le complexe médico-pharmaceutique exploite et récompense. Cet art noir est si obscur et son langage si ardu que peu de gens dans le grand public s’arrêteraient pour le remettre en question. Même Stephen Bustin, expert en réaction en chaîne par polymérase (PCR) et créateur des protocoles MIQE conçus pour dompter le “Far West” de la RT-PCR, se laisse prendre à cette fraude virologique, comme il l’a révélé dans son interview avec Eric Coppolino :

Eric Coppolino (EFC) : Mais il y a deux définitions différentes de l’isolement qui circulent. L’une est que vous le séparez de tout le reste, et l’autre est que vous le mettez dans un bouillon et vous le trouvez.
Stephen Bustin (SB) : Oui. Eh bien, ce n’est pas vraiment mon domaine d’expertise. En ce qui me concerne, j’ai lu les articles et si c’est la façon standard d’isoler un pathogène, alors je n’ai aucun problème avec cela.
EFC : Eh bien, c’est la façon actuelle qui est utilisée, je dirais, que l’idée d’une véritable purification vous le séparez dans une centrifugeuse, et vous savez que vous avez un échantillon de seulement cela. Et c’est ce qui est séquencé et utilisé pour amorcer la PCR. Il ne semble pas que ce soit ce qui se passe…
SB : Eh bien, la façon dont la séquence a été établie, en prenant les échantillons du patient original, en cultivant quelque chose, puis en le séquençant, puis en désassemblant la séquence, et ce qui en est ressorti, c’est le virus du SRAS.[19] Qui ressemblait alors de très près à un virus du SRAS de chauve-souris. Et qui était évidemment différent. Donc, ça… Eh bien, vous savez, c’est une façon standard de faire les choses, donc je ne peux pas vraiment faire d’autres commentaires à ce sujet, sauf que pour moi, c’est parfaitement acceptable et c’est la façon de faire.[20]

Les quatre piliers de la fraude COVID-19

Si p, alors q ; maintenant q est vrai ; donc p est vrai. Par exemple : “Si les porcs ont des ailes, alors certains animaux ailés sont bons à manger ; maintenant certains animaux ailés sont bons à manger ; donc les porcs ont des ailes. Cette forme de déduction est appelée méthode scientifique. “[21] Bertrand Russell, 1946

La fraude mondiale COVID-19 repose sur quatre piliers, tous interdépendants.

Le premier pilier : L’isolement

La théorie des virus pathogènes remonte au XIXe siècle et les virologues ont passé la première moitié du XXe siècle à essayer d’extraire ces virus présumés directement d’hôtes vivants. Les échecs répétés les ont amenés à changer de cap dans les années 1950 afin de conserver une quelconque crédibilité. Les virologues devaient fournir quelque chose à montrer à leurs investisseurs potentiels, y compris à l’industrie pharmaceutique en plein essor qui s’impatientait de développer des vaccins et des traitements antimicrobiens.

En 1954, des scientifiques ont rapporté qu’ils avaient des preuves de la présence du virus de la rougeole en se basant sur l’observation qu’un échantillon provenant d’un patient atteint de la rougeole avait tué certaines cellules dans un tube à essai. Ces phénomènes sont connus sous le nom d’”effets cytopathiques”.[22] Les auteurs ont admis que “bien qu’il n’y ait aucune raison de conclure que les facteurs in vivo [chez l’homme] sont les mêmes que ceux qui sous-tendent la formation de cellules géantes et les perturbations nucléaires in vitro [dans le tube à essai], l’apparition de ces phénomènes … pourrait être associée au virus de la rougeole. “[23]

L’apparition du CPE (effet cytopathique) est à la base des allégations frauduleuses d’isolement et de pathogénicité de la virologie moderne : un échantillon (par exemple, un écouvillon nasal) est prélevé sur un patient et mélangé à des cellules dans un tube à essai, les cellules meurent et l’on déclare qu’un virus a été “isolé”. Ce que les virologues ne veulent pas que vous sachiez, c’est que les mêmes résultats peuvent être obtenus sans ajouter de prétendus échantillons de virus dans le tube à essai – en d’autres termes, c’est le processus lui-même, la privation de nourriture de la cellule et l’ajout de diverses substances toxiques telles que des antibiotiques et des antifongiques, qui provoquent la réaction et la mort des lignées cellulaires déjà anormales, sans qu’aucun virus ne soit nécessaire. (Des photographies d’infections “factices” sont parfois fournies, mais les détails de ces expériences se distinguent par leur absence).

Il y a, bien sûr, les images de ce qu’on prétend être le virus à l’origine de tous nos problèmes. Cependant, ces images 3D colorées ne sont rien d’autre que des images générées par ordinateur constituant une représentation artistique.[24] Elles ont été utilisées par les médias du monde entier pour alimenter l’imagination du public sur l’existence d’un minuscule microbe ressemblant à une mine marine qui pourrait le frapper et le couler à tout moment. Quant aux images de micrographie électronique mises en avant dans les publications scientifiques, elles montrent simplement des nanoparticules dans et autour de cellules de culture, comme décrit dans les expériences de laboratoire ci-dessus.

Schéma 1. ” Effets cytopathiques – aucun virus requis”[25]

Elles sont censées être les virus du SARS-CoV-2 sur la base de déclarations arbitraires. Par définition, un virus est une particule infectieuse qui peut provoquer une maladie chez un hôte vivant. Aucune de ces propriétés essentielles n’a été démontrée dans les expériences virologiques décrivant l’isolement et la pathogénicité prétendus.

Les virologues ont passé des décennies à tenter de le faire sans succès et, au lieu d’admettre qu’il pouvait y avoir un problème avec la théorie des virus, ils ont simplement changé le sens du mot. C’est un état de fait scandaleux. Le monde est actuellement pris en otage parce que les virologues n’isolent pas réellement les virus, ils se contentent de dire qu’ils le font, et ne semblent pas s’inquiéter du fait que l’assaut actuel contre l’humanité repose sur cette fraude scientifique évidente.

La première fraude, fondamentale, consiste à affirmer que le virus a été isolé et qu’il est l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Si cette affirmation (toujours non fondée) n’était pas acceptée, la fraude du COVID-19 imploserait, tout comme la “pandémie du siècle” de Gates. En d’autres termes, la fraude de l’isolement repose sur la violation du sens accepté pour tromper, alors que, par exemple, un “isolat” n’a pas plus été isolé que de simples pensées. Cela met en place un discours circulaire vicieux auquel il est impossible d’échapper : la prémisse de l’existence est établie par le mensonge, et par son insistance absolue, l’existence du virus est “confirmée” de manière concluante et répétée. La virologie se nourrit de cette insistance, car sans elle, il n’y a pas de virus, pas de virologie, pas de “tests” PCR “positifs”, et plus d’emplois pour les virologues qui inventent des virus que Big Pharma combat avec des “vaccins” miraculeux. C’est également la raison pour laquelle les idées qui vont à l’encontre de ce récit sont censurées par le gouvernement et par les grands médias, et pourquoi les agences de sécurité de ce pays terrorisent les personnes qu’elles prétendent protéger, en leur imposant la fraude virologique sur laquelle repose toute la mascarade. L’ensemble de l’appareil d’État est actuellement dédié à cette cause.

Fan Wu et al.[26]

Plutôt que de recourir à la méthode largement utilisée par les virologues pour affirmer l’isolement et la pathogénicité par l’induction de CPE (effet cytopathique), Fan Wu et al, les premiers inventeurs du génome du SARS-CoV-2, ont envoyé l’échantillon extrait du liquide pulmonaire du patient directement au séquençage pour deux plateformes d’assemblage de novo afin de rechercher de courts fragments génétiques ou “reads”.[27] Il est important de noter que les échantillons envoyés pour le séquençage n’étaient pas des virus physiquement isolés mais des échantillons bruts contenant des millions de fragments génétiques uniques provenant du patient lui-même, d’innombrables microbes, et même de l’air que le patient avait respiré sur le chemin de l’hôpital. Plus de 56,5 millions de “reads” ont été produites à partir de cette “soupe” génétique et assemblées pour créer 384 096 contigs (longues séquences génétiques) sur Megahit, et 1,32 million de contigs sur Trinity.[28] Peut-être avec une prédisposition à prouver leur canular infondé selon lequel il existe “la capacité continue de la propagation virale de l’animal à causer une maladie grave chez les humains”, Fan Wu et al. ont choisi la plus longue (30 474 nucléotides) qui, selon eux, avait une identité de nucléotides de 89,1 % avec le génome in silico du coronavirus de la chauve-souris (SL-CoVZC45) inventé en 2018.[29] Ainsi, un “génome” aussi proche génétiquement qu’un humain l’est d’un chat domestique abyssinien est devenu le modèle utilisé pour la conception d’amorces pour la méthode RT-PCR afin de soi-disant détecter un virus dont l’existence n’avait pas été démontrée.[30] Par la suite, il a été décidé que le génome avait besoin d’un couper-coller, peut-être pour le faire paraître encore plus proche des 29 802 nucléotides du modèle de chauve-souris SL-CoVZC45 et il a été réduit à 29 875 nucléotides dans la version suivante sur GenBank.[31] Mais les artistes n’en avaient pas fini avec leur création et un troisième et dernier modèle a été dessiné avec une séquence terminale complètement différente comportant 23 bases adénines consécutives, ce qui ressemblait davantage au modèle de chauve-souris qui comportait 26 bases adénines consécutives en queue.[32] On ne sait pas très bien comment les virologues ont pu savoir quel “génome” choisir alors que toutes les options étaient des constructions informatiques hypothétiques. Il devient donc rapidement évident que l’anti-science de la virologie et la perversion du mot “isolement” sont non seulement délirantes mais aussi très trompeuses et qu’elles ne peuvent servir de base à quoi que ce soit, et encore moins à la santé et au bien-être de populations entières.

Un an plus tard, le Dr Wu Zunyou, du CDC chinois, dans une interview avec Janis Mackey-Frayer, déclarait que l’isolement n’avait jamais eu lieu : “Ils n’ont pas isolé le virus”, a-t-il déclaré. “C’est la question [pourquoi aucune donnée n’a été partagée]. Je ne soupçonne pas que cela provienne de ce à quoi nous pensions au départ.”[33]

Cette fraude fondatrice a été récompensée par des subventions en 2020 d’un montant total de 900 000 dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates accordées aux deux institutions auxquelles 14 des 19 coauteurs de la fraude étaient affiliés : L’Université Fudan a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-006277 ” pour soutenir l’étude épidémiologique et identifier les risques élevés d’infection par le COVID-19, ce qui contribuera à la stratégie d’intervention de santé publique nationale et internationale et au développement de produits “, pour un montant total de 300 000 dollars ; et le China CDC a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-005832 ” pour soutenir la réponse d’urgence et l’évaluation, et préparer la Chine à la pandémie potentielle, ce qui contribuera non seulement à contrôler et à contenir la maladie, mais aussi à apporter l’expérience de la Chine à la santé mondiale “, pour un montant total de 600 000 dollars.[34]

Peng Zhou et al.

Des méthodes pseudo-scientifiques similaires et la même fausse revendication d’isolement se retrouvent dans l’article de Peng Zhou et al. reçu par Nature 13 jours après celui de Fan Wu et al. mais publié en ligne dans le même volume, 579, le même jour, le 3 février 2020.[35] Ces auteurs revendiquent également l’isolement réussi de ce qu’ils appellent “2019-nCoV BetaCoV/Wuhan/WIVO4/2019” (EPI_ISL_402124) mais sur la base des CPE (effets cytopathiques) qu’ils ont observés dans trois lignées cellulaires.[36] Cependant, il s’agit de substituts illégitimes de l’infection postulée d’un animal ou d’un hôte sain (non malade). Les trois lignées cellulaires utilisées étaient les suivantes : Les cellules Vero E6 (aneuploïdes) dérivées du rein d’un singe vert africain ; Huh7, une lignée cellulaire d’hépatocytes humains prélevée sur une tumeur du foie en 1982 et cultivée par la suite ; et les cellules HeLa humaines dérivées d’une femme humaine en 1951 souffrant d’un carcinome cervical et cultivées par la suite.[37] Aucune de ces lignées cellulaires ne répond au critère postulé d’un hôte sain avec lequel on peut tester la pathogénicité, mais elles sont privilégiées car elles produisent les effets recherchés, c’est-à-dire un effet cytopathique et l’apparition de vésicules extracellulaires. Aux lignées cellulaires ont été ajoutés, entre autres, des sels inorganiques, du sérum bovin fœtal pour nourrir les cellules, et un ensemble d’éléments cytotoxiques tels que l’amphotéricine B – un antifongique, la trypsine – qui hydrolyse les protéines, la pénicilline – un antibiotique, la streptomycine – un autre antibiotique, le glutaraldéhyde – un désinfectant et un fixateur, le tétroxyde d’osmium – un agent oxydant à toxicité aiguë, et la résine époxy – pour créer un substrat solide pour le découpage en tranches ultrafines.[38] Bizarrement, en se basant sur le fait qu’un ARN de provenance inconnue faisait partie de la culture dans laquelle de nombreuses cellules sont mortes à la suite d’une famine induite et d’un stress avec des ingrédients cytotoxiques, les auteurs ont affirmé qu’ils avaient réussi à isoler leur virus, 2019-nCoV BetaCov, et non que le cocktail d’ingrédients cytotoxiques avait décimé leurs lignées cellulaires anormales.

En bref, Peng Zhou et al. n’ont rempli aucun des postulats permettant d’identifier le virus ou de confirmer qu’il est à l’origine d’une quelconque maladie. Le prétendu virus n’avait même pas été physiquement isolé et purifié pour une caractérisation biochimique et restait donc entièrement théorique.

Cela n’a apparemment pas inquiété la Fondation Bill et Melinda Gates, la fondation qui fournit à l’Académie chinoise des sciences, à laquelle 24 des 27 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19, sous le numéro INV-006377, d’un montant total de 359 820 USD, dans le but suivant : “Soutenir le développement d’une plateforme d’essais pour la sélection de médicaments et de vaccins sous-unitaires contre le coronavirus, qui contribuera à l’innovation de produits pour le contrôle de la pandémie de COVID-19”.[39]

Na Zhu et al.

Publiés dans The New England Journal of Medicine le 20 février 2020, Na Zhu et ses collaborateurs décrivent leur étude des échantillons des voies respiratoires inférieures, y compris le liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA), prélevés chez quatre patients atteints de pneumonie de cause inconnue, qui s’étaient tous rendus au Huanan Seafood Market de Wuhan peu avant leur tableau clinique.[40]

Bien qu’ils affirment avoir isolé le virus, il est clair que les auteurs n’entendent pas le terme “isolement” dans le sens du dictionnaire et du principe, mais dans le sens antonymique de la virologie et dans celui de la substitution de cellules hôtes malades à des cellules non malades pour établir la causalité entre un prétendu virus et la maladie du patient.[41] Dans ce cas, le surnageant centrifugé à partir du LBA du patient “a été inoculé sur des cellules épithéliales humaines… réséquées à partir de patients subissant une chirurgie pour un cancer du poumon”, bien que prétendument exemptes d’agents pathogènes.[42] En tout état de cause, des cellules cancéreuses seraient présentes dans ces cellules et, comme elles ont l’habitude de le faire, ces cellules produiraient une abondance d’exosomes, qui seraient visibles par le biais de la microscopie électronique à transmission.[43] Contrairement à Fan Wu et al et Peng Zhou et al, Na Zhu et al ont bien produit des images de ce qu’ils ont décrit comme des “particules de 2019-nCoV” mais sans aucune vérification de leur composition biochimique à partir d’un spécimen purifié.[44] Il est tout simplement impossible d’établir, à partir des images proposées, que les particules sont des virus (c’est-à-dire infectieux et pathogènes) ou qu’elles contiennent le prétendu génome du SARS-CoV-2.

Pourtant, malgré cette double tromperie qui hante la virologie, les virologues s’accrochent à leurs convictions et à leur métier. Car comme le disent Na Zhu et al : “Bien que notre étude ne réponde pas aux postulats de Koch, nos analyses fournissent des preuves de l’implication du 2019-nCoV dans l’épidémie de Wuhan.”[45] La base de cette affirmation semble être que les auteurs ont placé des pointes en forme de flèche sur des vésicules extracellulaires de composition inconnue et les ont baptisées “2019-nCoV”.

L’implication et la composition inconnue étaient toutefois suffisantes pour la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a accordé à l’Institut national de contrôle et de prévention des maladies virales, auquel 13 des 18 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19 sous le numéro INV-019121 pour un montant de 71 700 dollars US “pour aider le CDC chinois à évaluer la qualité des réactifs de diagnostic sérologique du COVID-19 en Chine et fournir des preuves de l’utilisation scientifique des réactifs dans le diagnostic clinique et l’enquête épidémiologique”.[46]

Leon Caly et al.

Leon Caly et al. ont produit leur propre version sous le titre “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia” (isolement et partage rapide du nouveau coronavirus de 2019 (SRAS-CoV-2) chez le premier patient diagnostiqué avec COVID-19 en Australie) lorsqu’ils ont fait état d’un homme de 58 ans originaire de Wuhan qui s’est “senti mal” à son arrivée à Melbourne le 19 janvier 2020.[47]

Lorsqu’ils ont affirmé que les cellules Vero “présentaient des vésicules liées à la membrane cytoplasmique contenant des particules de coronavirus”, Caly et al. n’ont pas pu trouver de “virions” avec la prétendue protéine spike, ils ont donc ajouté de la trypsine au milieu de culture cellulaire, et avant qu’ils aient pu dire “Jack Robinson”, la trypsine, dont la fonction est de digérer les protéines, avait englouti la couche protéique externe d’un “virion” sphérique de 100 nm pour révéler “la frange caractéristique en forme de couronne des protéines spike”, ce qui, ajoutent-ils sans la moindre ironie, “a immédiatement amélioré la morphologie du virion”.[48] En d’autres termes, lorsque les exosomes ne ressemblaient pas au virus qu’ils souhaitaient, ils leur ont donné un petit coup de pouce trypsinisé. Les prétendus virions n’ayant pas été purifiés, leur composition biochimique n’a pas pu être établie : le “génome” proposé a en fait été constitué après avoir généré “environ 30 000 000 de “reads”” à partir du mélange de cultures de tissus.[49] Comme pour tous les autres articles de cette nature, aucune explication n’a été fournie quant à la manière dont ces particules seraient à l’origine de maladies ou si ces mêmes particules existent dans l’organisme humain. Là encore, on ne peut parler que de vésicules extracellulaires de signification inconnue, produites à partir de cellules rénales anormales de singe dans une éprouvette. Le problème supplémentaire de savoir si les images de micrographie électronique de tissus préparés in vitro ressemblent même à celles de cellules vivantes dépasse le cadre de cet essai.

Il n’est pas nécessaire d’en dire plus sur les folies de cet article et sur les absurdités virologiques qui le sous-tendent, si ce n’est pour ajouter que le ministère néo-zélandais de la santé (MOH) déclare qu’il s’agit d’un exemple “d’isolement et de culture du virus en laboratoire”.[50]

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique

Cette tragédie mondiale a été en grande partie rendue possible par le déclin de la science ” – l’étude systématique de la nature et du comportement de l’univers matériel et physique, basée sur l’observation, l’expérience et la mesure ” – vers le scientisme, “l’application non critique des méthodes scientifiques à des domaines d’étude inappropriés “.[51] Cela est devenu un système de croyance sécularisé dont l’autorité repose sur sa propre performativité et sur la présupposition d’une préexistence phénoménologique dans laquelle les suppositions et les hypothèses sont considérées comme concluantes et les abstractions sont traitées comme des répliques du réel.

Le deuxième pilier de la fraude COVID-19 est celui du séquençage génomique.

Les virologues prétendent avoir établi la structure génétique complète de virus tels que le ” SARS-CoV-2 ” et l’avoir téléchargée dans des banques de données, comme Fan Wu, Peng Zhou, Na Zhu, Leon Caly et leurs équipes l’ont fait au début de 2020, et comme beaucoup l’ont fait depuis. Là encore, ils affirment avoir un “isolat” du virus, mais cette déclaration est faite après avoir “construit” le génome à partir de leur mélange contenant des fragments génétiques de provenance inconnue. Dans le cas de Fan Wu et al, bien qu’il n’y ait pas de chauves-souris en vente dans le marché couvert de fruits de mer où le patient travaillait, et bien que les auteurs n’aient pas été en mesure de confirmer un hôte intermédiaire ou un réservoir pour leur virus, ils ont néanmoins choisi in silico (par ordinateur) un autre coronavirus de chauve-souris comme modèle pour créer WH-Human 1 (SARS.-CoV-2).[52] Tout cela, sans doute, fait partie intégrante du besoin de validation scientifique de la virologie, qui s’exprime dans sa quête depuis 20 ans de l’eldorado des chauves-souris où, selon elle, se trouvent tous les trésors du monde en matière de coronavirus.[53] En attendant, elle continue d’inventer des virus pour nourrir Big Pharma et se maintenir à flot.

Le processus utilisé par la virologie pour prétendre à “l’isolement” peut être résumé comme suit. À partir de la “soupe” biologique prélevée dans les poumons ou les écouvillons nasaux des patients, qui contient toutes sortes de matériel provenant du sujet humain, d’innombrables microbes commensaux et de contaminants potentiels, les plates-formes d’assemblage de novo recherchent de courts fragments génétiques. Après avoir trouvé des millions de fragments uniques dans le mélange, ces logiciels assemblent un “génome” (un long morceau) en fonction des paramètres définis dans le programme. En cours de route, il y a un peu de couper-coller et si des morceaux sont “manquants”, d’autres modèles prêts à l’emploi peuvent être ajoutés pour combler les lacunes. Cependant, les algorithmes, les modèles de probabilité et les sélections arbitraires créés par l’homme ne peuvent pas répondre par “oui” ou par “non” à la question de son existence physique dans la nature, notamment parce que tout “génome” de coronavirus utilisé comme modèle dans sa production sera également propositionnel, la méthodologie n’offrant aucun lien confirmable avec l’univers matériel ou physique, faisant du nouveau membre du genre Coronavirus un simple produit supplémentaire des processus sui-référentiels de la virologie.

Une analogie pour ces processus serait que vous trouviez un million de cartes sur le sol, chacune avec des phrases partielles. Vous commencez à les arranger pour en faire des phrases complètes, puis finalement une histoire. Si certaines parties ne correspondent pas, vous les jetez, et si des parties semblent manquer, vous empruntez un paragraphe d’une autre histoire. Mais comment savoir s’il s’agit d’une histoire existante et non d’une invention de votre part ? Et pourquoi n’y aurait-il pas dix petites histoires, ou pas d’histoire du tout ? En bref, vous ne pouvez pas prétendre connaître l’histoire si vous n’avez pas accès à l’histoire complète avant de commencer. Et c’est là que réside la tromperie de la virologie – les virologues ne travaillent pas avec un génome complet parce qu’ils ne travaillent pas avec un virus complet. Ils travaillent avec des morceaux aléatoires de matériel biologique et nous disent ensuite que cela constitue la preuve d’un virus. Cependant, ceux d’entre nous qui examinent attentivement leurs expériences peuvent voir qu’il y a un problème : il n’y a aucune preuve matérielle d’un quelconque virus.

En effet, ce que l’on ne dit pas au public, c’est qu’aucun virus appelé SARS-CoV-2 n’a jamais été réellement isolé et purifié en tant que structure unique. Ce qui se passe, c’est simplement le séquençage à l’aveugle d’échantillons bruts qui contiennent des fragments génétiques de provenance inconnue. Par conséquent, il n’existe aucune preuve, pas même la plus vague garantie, que le “génome” in silico qui en résulte existe dans la nature ou a quelque chose à voir avec un “virus”. De cette façon, cependant, l’invention du “virus” est présentée comme une découverte, son faux statut étant assuré rétroactivement par l’acte de dénotation par lequel sa dénomination prétend à son existence antérieure et à sa pathogénicité.

Qu’un génome hypothétique fictif inventé par une telle anti-science soit au cœur de cet assaut contre l’humanité est un scandale scientifique et éthique. C’est cette fausse science qui a mis le monde sens dessus dessous. C’est là le caractère insidieux du crime de la virologie, une version généralisée de la fausse revendication de l’isolement qui donne aux politiciens la “permission” de violer ceux qu’ils emploient, et d’étendre leur programme systématique de violation corporelle au secteur privé, les dernières victimes étant les travailleurs du commerce au détail et de l’hôtellerie.[54]

Pour le reste, le crime s’insinue dans notre conscience sous couvert de devoir et de bienfaisance, amenant nombre d’entre nous à accepter dans notre corps le contenu inconnu de flacons que le gouvernement n’a apparemment pas pris la peine de vérifier, produits par un fabricant ayant un palmarès spectaculaire de fraude médicale criminelle, contenu qui, en outre, introduit clandestinement dans notre corps des vecteurs génétiques aux effets mal déterminés, tout cela pour le plus grand bien de la protection de la société contre une maladie mortelle qui n’existe pas.[55]

La façon dont une démocratie contemporaine a pu se laisser prendre à une telle absurdité grotesque mais mortelle dépasse le cadre de cet essai. Il suffit de dire que c’est la raison pour laquelle le gouvernement néo-zélandais n’est pas “votre unique source de vérité”, mais un pourvoyeur criminel de mensonges monumentaux qu’il utilise pour couvrir ses lâches crimes contre l’humanité, ses actes de terreur et de démocide, ainsi que le carnage socio-économique généralisé et la dislocation qu’il continue d’infliger à la population de cette whenua [terre en Maori], reproduisant les circonstances antérieures à l’établissement des pires régimes totalitaires.

Le troisième pilier : La PCR

Le troisième pilier de la fraude COVID-19 concerne la mauvaise application de la PCR (modifiée en RT-PCR, reverse-transcriptase-PCR afin de détecter l’ARN monocaténaire, car la PCR ne peut qu’amplifier l’ADN avec précision). Cette application erronée porte sur l’amplification de séquences d’ARN prélevées sur des sujets humains qui appartiendraient au SARS-CoV-2 et à une maladie appelée COVID-19. Or, la PCR ne peut confirmer ni l’un ni l’autre de ces éléments ; sa capacité se limite uniquement à l’amplification des séquences nucléotidiques sélectionnées, et non à la détermination de leur provenance ou de leur signification. Cette fraude repose donc sur l’attribution d’une signification aux séquences amplifiées, qui est fournie par : (a) la référence au génome imaginaire in silico et non à une entité physique prouvée appelée SARS-CoV-2 ; et (b) une “maladie” qui, par un raisonnement circulaire absurde, a été définie par le résultat de la PCR lui-même. Le SARS-CoV-2 n’a jamais été localisé chez un sujet humain, isolé, purifié, puis photographié et caractérisé biochimiquement comme une structure unique. Il n’a pas été prouvé qu’il existe dans la nature ; en fait, des composants clés ont été brevetés en 2007, ce qui, par définition, signifierait qu’ils sont fabriqués par l’homme.[56] En ce qui concerne les courtes séquences nucléotidiques détectées par les kits PCR utilisés, elles existent mais proviennent d’ailleurs, et non d’un virus étiqueté ” SARS-CoV-2 ” (si la PCR est mal faite ou à des nombres de cycles élevés, comme c’est le cas habituellement, la séquence cible peut même ne pas exister dans l’échantillon et un résultat ” positif ” est simplement un artefact du processus). En outre, la PCR ne peut pas diagnostiquer le statut infectieux d’un humain de manière avérée et aucun lien cohérent n’a jamais été trouvé entre un état pathologique et les résultats de la PCR. En bref, la mauvaise application de la PCR signifie que le COVID-19 est une construction scientifiquement dénuée de sens qui ne représente rien de plus qu’une illusion référentielle.

Dès le départ, le but de cette application erronée était de fournir la base statistique d’une pandémie basée sur une maladie inventée par l’OMS au profit de l’élite et de certains membres de l’industrie pharmaceutique, et non pour l’humanité. Au 3 janvier 2020, avec seulement ” 44 cas-patients atteints de pneumonie d’étiologie inconnue “, il n’y avait aucune base pour amorcer le bouton de démarrage de la pandémie que l’OMS et l’industrie pharmaceutique recherchaient désespérément ; Moderna et BioNTech, le partenaire de Pfizer, avaient par exemple perdu près d’un milliard de dollars à eux deux en 2,5 années financières entre 2016 et 2019.[57]

Dr Kary Mullis, l’inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR) : “Cela ne vous dit pas que vous êtes malade.” (Photo : LA Times 13 août 2019)

Cependant, après la publication sur le site Internet de l’OMS, les 13 et 17 janvier 2020, de séquences de tests PCR non évaluées par des pairs, conçues par Christian Drosten et al. pour détecter le prétendu virus, des tests conçus, comme l’ont reconnu les auteurs, ” sans disposer de matériel viral “, le nombre de cas de COVID-19 a commencé à augmenter.[58]

Entre le 22 et le 24 janvier, l’OMS a convoqué une réunion d’urgence pour suivre la situation internationale, alors que seuls 17 décès et 581 cas avaient été signalés à ce stade.[59] Cette absence de cas posait un problème aux entreprises pharmaceutiques désireuses de mettre sur le marché leurs dispositifs hautement expérimentaux de codage génétique, déguisés en vaccins, sans avoir à passer par les processus d’approbation normaux, qu’elles doutaient de pouvoir satisfaire. [60] Une urgence de santé publique pourrait être le moyen de contourner les conditions d’autorisation rigoureuses des autorités réglementaires.[61] Les “tests” RT-PCR ont atteint leur objectif, produisant suffisamment de cas pour que Tedros déclare “une urgence de santé publique de portée internationale” (PHEIC), et pour alimenter la rhétorique : “L’heure est aux faits, pas à la peur. L’heure est à la science, pas aux rumeurs. L’heure est à la solidarité et non à la stigmatisation.”[62] En effet, en sept jours seulement, à partir du 24 janvier, le nombre de cas de COVID-19 a augmenté de 1 245,61 % dans le monde, passant de 581 à 7 818, dont 98 seulement en dehors de la Chine.[63] Le lendemain, le nombre total de cas était passé à 9 826.[64] La fraude internationale était là, au grand jour, avec la croissance astronomique d’un virus fantôme qui n’avait pas été isolé et dont on n’avait pas encore démontré qu’il était à l’origine d’une quelconque maladie. Tedros recommandait d’accélérer le “développement de vaccins, de thérapies et de diagnostics”, ce qui était encore plus important que “l’urgence de santé publique de portée internationale”.[65]

L’odeur de la fraude était partout. Drosten a omis de déclarer qu’il était membre du comité éditorial d’Eurosurveillance lorsque son article et celui de ses co-auteurs ont été publiés dans Eurosurveillance le 23 janvier, deux jours après avoir été soumis.[66] Il est également apparu que Drosten serait “probablement poursuivi en justice pour détention d’un titre de doctorat frauduleux”.[67] Un autre co-auteur, Chantal Reusken, a également omis de déclarer qu’elle faisait partie du comité éditorial d’Eurosurveillance, et un autre co-auteur de Drosten, Olfert Landt, PDG de TIB Molbiol, a omis de déclarer son conflit d’intérêts jusqu’au 29 juillet 2020, alors que sa société fabriquait un kit PCR basé sur les séquences de test publiées.[68] Pour Landt, la tromperie s’est avérée très payante, comme son entreprise l’indiquera plus tard : “TIB Molbiol … fournit des kits de test PCR COVID-19 depuis début janvier 2020. Au cours des 12 derniers mois, nous avons livré plus de 60 millions de tests.”[69]

Soudain, le monde a été plongé non pas dans une pandémie virale mais dans une pandémie de PCR générant la peur dans le monde entier. Mais la peur paie et paie bien. L’institution à laquelle les créateurs les plus éminents de cet article étaient associés, l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin, a reçu une subvention 2020 du BMGF sous le numéro INV-005971 “pour développer des outils de diagnostic et de virologie permettant une réponse rapide au nouveau coronavirus 2019” pour un montant total de 249 550 dollars.[70]

La pandémie de tests PCR a maintenant soutenu la pandémie fantôme de COVID-19 pendant presque deux ans. On prétend que la PCR peut détecter un virus et une infection, mais ce n’est qu’une tromperie de plus. La méthode PCR amplifie simplement des fragments génétiques, c’est tout. Comme nous l’avons établi, personne n’a de spécimen physiquement isolé ni même prouvé l’existence du virus. C’est pourquoi les séquences des tests PCR de Drosten ont été conçues sans virus, tout comme les séquences des tests des centres américains de contrôle et de protection des maladies (CDC).[71] En d’autres termes, la PCR a été calibrée pour détecter les séquences génétiques d’un “virus” dont l’existence dans la nature n’a pas été démontrée. Au lieu de cela, elle détecte des séquences de provenance inconnue que l’on trouve chez certains humains et, semble-t-il, chez certaines chèvres, une caille et un jaquier.[72] Comme l’a souligné Kary Mullis, l’inventeur de la PCR, lauréat du prix Nobel, la PCR “ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé va vous faire du mal ou quoi que ce soit de ce genre”.[73] En effet, bien qu’il se présente comme un “flux de travail diagnostique pour le 2019-nCoV”, l’article de Drosten décrit simplement la sensibilité analytique et la spécificité de leur protocole PCR pour amplifier les séquences nucléotidiques sélectionnées, il n’établit aucune spécificité diagnostique pour une quelconque condition clinique.[74] Ainsi, bien que les autorités sanitaires affirment que la PCR est adaptée au diagnostic du COVID-19, un tribunal autrichien a confirmé le contraire en mars 2021, son jugement faisant écho à celui de Mullis : “‘un test PCR n’est pas adapté au diagnostic et ne dit donc rien en soi sur la maladie ou l’infection d’une personne’”.[75] Le partenaire complémentaire dans le crime de la PCR est la définition de l’OMS d’un cas de “COVID-19”.[76] Essentiellement, un cas confirmé peut être et sera très probablement “une personne ayant un test d’amplification de l’acide nucléique (TAAN) positif”, c’est-à-dire un test PCR, que la personne soit malade ou non.[77] Cela a créé une situation absurde où un cas de “COVID-19” n’est rien d’autre que le résultat du test PCR d’un test qui n’en est pas un, car le test PCR n’a aucune capacité de diagnostic à cet égard, puisqu’il s’agit simplement d’un outil d’amplification. Les tests PCR “positifs” sont ensuite affichés par des organisations telles que l’Université et la Médecine John Hopkins qui présentent des statistiques dénuées de sens comme si elles étaient légitimes. En d’autres termes, aucun des 243 554 336 cas de COVID-19 affichés sur le tableau de bord du coronavirus de Johns Hopkins au 25 octobre 2021 n’existe en dehors du discours vicieusement circulaire qui repose uniquement sur la double prémisse non prouvée selon laquelle le SARS-CoV-2 a été isolé et est à l’origine du COVID-19.[78]

En conséquence, nous vivons aujourd’hui une tyrannie médicale, déconnectée du monde naturel et tellement absurde que la détection de quelques fragments génétiques chez une personne peut servir d’excuse pour enfermer une nation entière.

Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Les nombres astronomiques de cas produits par la méthode PCR sont devenus la base du nombre de reproduction (R0) qui a initialisé tous les modèles épidémiologiques du COVID-19. Pourtant, même en s’appuyant sur ces chiffres sans valeur, la modélisation des épidémies, connue depuis longtemps pour sa faillibilité prédictive, a quand même réussi à produire des prédictions spectaculairement grotesques.

Le plus grand pourvoyeur de cette absurdité spéculative est Neil Ferguson de l’Imperial College London (ICL), auteur principal du rapport 9 de l’ICL, publié sans examen par les pairs le 16 mars 2021, qui prédit que 550 000 personnes au Royaume-Uni et 2,2 millions de personnes aux États-Unis mourraient dans un délai d’environ trois mois sans intervention non pharmacologique (masque, confinement…)[79] Ses prédictions catastrophiques ont amené les gouvernements à changer de cheval à mi-chemin et ont provoqué, comme on pouvait s’y attendre, une panique généralisée parmi un public non averti, créant un environnement de peur et une volonté de se conformer aux politiques de “santé” publique dans de nombreux pays. Lorsqu’il a finalement publié les programmes du rapport 9 pour les soumettre à l’examen du public, Ferguson a constaté qu’ils étaient ridiculisés par les experts commerciaux et universitaires. Un expert commercial a estimé qu’il s’agissait d’un “désordre bogué qui ressemble plus à un bol de pâtes aux cheveux d’ange qu’à une pièce de programmation finement réglée”, tandis que des scientifiques de l’université d’Édimbourg ont signalé qu’il échouait “au test scientifique de base consistant à produire les mêmes résultats à partir du même ensemble initial de paramètres”.[80] Dix jours plus tard, Ferguson, qui estime que les modèles sont des “versions simplifiées de la réalité”, prédit, dans un autre article cosigné par l’ICL, que 40 millions de personnes pourraient mourir dans le monde à cause du COVID-19.[81]

La modélisation du chaos en Nouvelle-Zélande a été largement le domaine de trois groupes. Le premier à publier son rapport, daté du 27 février 2020, a été le groupe de modélisation commandé par le gouvernement, l’University of Otago Wellington COVID-19 Response Group (UOWCRG). Dans ce rapport, les modélisateurs “estiment que le nombre de décès probables se situe entre 12 600 et 33 600”, ce qui correspond à 0,67 % de la population néo-zélandaise et à plus de 52 millions de décès dans le monde.[82] N’ayant effectué aucun contrôle préalable sur les circonstances de l’origine du SARS-CoV-2, mais ayant recueilli diverses informations à son sujet de toutes parts, y compris ses données de reproduction (R0) provenant de quatre sources différentes et le nombre de cas d’infection en Australie, l’UOWCRG a prédit que le système hospitalier du pays serait submergé par “336 000 personnes” nécessitant une “hospitalisation”, et entre 67 000 et 79 000 patients nécessitant des unités de soins intensifs dans le pire des cas.[83]

Cependant, la fantasmagorie de mort massive sur laquelle l’état d’exception a été décidé ne repose pas sur les modélisateurs mandatés par le gouvernement, mais sur deux rapports de modélisation non mandatés et non évalués par des pairs, dont les huit auteurs, quatre pour chaque rapport, n’avaient aucune qualification en épidémiologie ni aucune expérience préalable de la modélisation d’une épidémie humaine. Leurs prédictions astronomiques n’étaient pas le fruit d’une rigueur scientifique mais d’une spéculation algorithmique fondée sur des chiffres de cas provenant du ministère de la santé pour l’un des rapports, et pour l’autre, sur des “comparaisons avec des données internationales sur les parcours des cas et des études de modélisation pour les épidémies au Royaume-Uni et aux États-Unis (Ferguson et al 2020)” afin de calibrer leur “nombre de reproduction avec contrôle (Rc)”.[84] Le premier de ces rapports provient de Wigram Capital Advisors, une petite société de conseil en macroéconomie spécialisée dans la Chine et l’Asie.[85] L’autre, Te Pūnaha Matatini (TPM), qui se décrit comme un “Centre d’excellence en recherche sur les systèmes complexes”, est rattaché à l’université d’Auckland.[86] Les modèles de Wigram ont été “exécutés autour du 22 mars” et prévoyaient 4 000 cas de COVID-19 pour le 3 avril et 10 000 pour le 9 avril.[87] C’est à la modélisation de Wigram que le gouvernement s’est référé le 23 mars quand il a affirmé : “Si la transmission dans la communauté décolle, le nombre de cas doublera tous les cinq jours.”[88] Si l’Australie avait connu le même nombre de cas le même jour, doublant tous les cinq jours, sa population de 25,5 millions d’habitants aurait été infectée à la mi-juin et, sur la même base, la population mondiale de 7,8 milliards d’habitants aurait été infectée à la fin de juillet 2020.[89]

L’auteur principal de TPM est intervenu de manière spectaculaire le dimanche 22 mars, en s’adressant aux médias avec l’affirmation alarmante que sa modélisation provisoire, réalisée sur la table de sa cuisine, suggérait que 60 000 personnes allaient mourir à moins qu’une “stratégie de suppression agressive” ne soit mise en œuvre “dès que possible”, ce qui, par miracle, permettrait de sauver 50 000 de ces vies.[90] Les modélisateurs n’avaient aucun précédent auquel se référer concernant les effets d’une telle stratégie, mais surtout, ils n’avaient aucune idée de l’existence même du virus. Comme l’a admis l’auteur principal, ces résultats ont été produits avec “beaucoup d’approximation” en se basant sur des données provenant de l’étranger, tandis que la modélisation elle-même traitait “la Nouvelle-Zélande comme une grande ville où tout le monde a la possibilité d’infecter quelqu’un d’autre”, une erreur fondamentale qui a contribué aux prévisions de mortalité grotesques du rapport.[91] Le lendemain matin, les 60 000 de TPM étaient passés à 1,67 % de la population, soit 83 500 personnes qui pourraient mourir sans aucune mesure d’intervention de “santé” publique, une histoire fantaisiste sans fondement dans la réalité mais qui a fait trembler les parlementaires et à laquelle les apprentis sorciers croient encore un an plus tard.[92] Extrapolé à la population mondiale, “le ministère de I’autopromotion de TPM” venait de prédire que 130 260 000 personnes allaient mourir dans le monde. Le petit groupe TPM a été richement récompensé par le gouvernement avec un prix de 6 millions de dollars pour l’avoir aidé à promouvoir un récit absurde et à susciter une peur sans fondement dans la population de la Nouvelle-Zélande.[93] Si TPM a remporté le prix de la prédiction la plus grotesque, l’ICL de Neil Ferguson a été le grand gagnant. Gates, qui apprécie une histoire effrayante qui confirme ses “prédictions”, qui ferme une grande partie du monde et qui décide que seuls les “vaccins” peuvent le rouvrir, a puisé dans ses réserves pour son frère d’armes de l’ICL, sortant de sa poche arrière un ensemble de subventions pour 2020 d’un montant total de 91 494 791 dollars.[94] Parmi ces subventions, citons INV-016635, d’un montant total de 1 080 771 USD, pour “évaluer l’efficacité potentielle d’un vaccin à base d’acide ribonucléique (ARN) contre le COVID-19”, INV-023013, d’un montant total de 140 041 USD, pour “modéliser l’impact potentiel des diagnostics rapides pour le COVID-19”, et INV-023210, d’un montant total de 1 487 605 USD, pour comprendre comment les impacts sociaux et autres impacts indirects du COVID-19 (distanciation sociale, quarantaine, etc.) et les perceptions du risque influencent les comportements sexuels à risque qui pourraient conduire au VIH.[95] Si l’année 2020 a été une année record pour l’ICL, M. Gates s’occupait depuis longtemps de l’ICL, la Fondation Bill et Melinda Gates lui ayant accordé des subventions depuis 2002 pour un montant total de 302 164 640 USD, soit environ 16 000 000 USD par an au cours des 19 dernières années.[96]

Alors que la confusion et le débat font rage sur ces modèles, sur les raisons pour lesquelles le “virus” se comporte si différemment selon les endroits, sur l’existence d’une surmortalité et sur l’efficacité des “vaccins”, tout cela n’est qu’une distraction. Si l’on examine l’article d’origine de Fan Wu et al. et tous ceux qui ont suivi, la vérité est que l’existence du “SARS-CoV-2” n’a pas été démontrée. Il n’y a pas de “COVID-19” en dehors d’un récit malveillant imposé à l’humanité.

Troisième partie

En résumé

La fraude du COVID-19 est l’œuvre d’élites internationales, de l’industrie pharmaceutique et de politiciens complices travaillant à un programme mondialiste, dont l’objectif semble être l’extinction des droits de l’homme et des libertés et le démantèlement de la démocratie dans le but de contrôler les populations et d’extorquer de vastes sommes d’argent aux pays sur la base qu’une maladie, le COVID-19, inventée par l’OMS, représente une menace sérieuse pour leurs populations.

Le fondement de cet agenda est la fraude selon laquelle un nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2 a été trouvé et isolé chez des sujets humains et qu’il a été démontré qu’il était la cause d’une maladie appelée COVID-19. Rien de tout cela ne s’est produit.

Le remède proposé pour ce supposé virus tueur est une protéine de pointe (spike) produite par une séquence génétique qui ne se trouve pas dans la nature mais dans un brevet américain de 2007. Les “vaccins” basés sur cette séquence ont tué plusieurs milliers de personnes dans le monde et en ont mutilé et blessé des millions d’autres.

La base statistique de cette pandémie fantôme a été déterminée par l’application erronée d’une méthode PCR qui n’a aucune spécificité diagnostique (clinique) établie. Elle n’a pas permis de diagnostiquer un seul cas d’une nouvelle maladie et n’a produit que des nombres de cas “COVID-19” sans signification.

En conséquence, le gouvernement néo-zélandais est complice de la fraude mondiale du COVID-19 et est donc accusé de crime inconsidéré, notamment de violation des droits de l’homme, de crimes contre l’humanité, de démocide, d’actes de terreur et de meurtre de masse.

Conclusion

Depuis l’entrée en vigueur, le 25 mars 2020, de l’Avis de préparation aux épidémies (COVID-19) 2020, nous vivons dans l’état d’urgence, que l’on peut décrire comme un espace liminal entre la loi et la vie, où la loi ne s’applique plus et où la force pure s’approprie l’anarchie pour se faire la loi.[97] Positionné dans une sorte de “no man’s land entre le droit public et le fait politique”, l’état d’urgence “n’est pas une dictature (qu’elle soit constitutionnelle ou inconstitutionnelle, commissariale ou souveraine) mais un espace dépourvu de droit, une zone d’anomie dans laquelle toutes les déterminations juridiques – et surtout la distinction même entre public et privé – sont désactivées.”[98] Nos maisons sont devenues des prisons, nos corps ne sont plus inviolables, la marque de l’aiguille détermine qui est inclus et qui est exclu, tout cela incarne l’état d’urgence et peut être considéré comme un signe avant-coureur de ce qui nous attend.

Pour conclure, nous espérons que cet essai pourra à la fois vous encourager et vous aider à vous préparer à ce qui nous attend. Car dans le climat actuel, dans ce contexte politique, les circonstances ne feront que continuer à se détériorer si nous ne nous soulevons pas en masse pour réclamer ce que nous avons appris qu’il est si facile de perdre mais volé par ce gouvernement en moins de deux ans, le tout sur la base d’une fraude imbécile qui a néanmoins terrorisé et divisé le peuple de Nouvelle-Zélande au point de le rendre dysfonctionnel, divisant les familles et les amis, les amants, les âmes sœurs, les collègues et les meilleurs amis.

Cet essai vise également à encourager la poursuite des recherches sur la légitimité des méthodologies employées par les virologues établis, ainsi que sur la mauvaise application de la PCR dans les diagnostics cliniques. Si ces méthodes anti-scientifiques continuent à être largement acceptées, nous risquons de voir encore plus de “pandémies” sans fondement, nécessitant encore plus de “vaccins”, se poursuivre indéfiniment dans le cadre de la “nouvelle normalité”. En fait, un fabricant a déjà fait part de son intention de “développer un vaccin combiné à ARNm “afin que les gens puissent recevoir une injection chaque automne pour une protection très efficace contre les virus respiratoires les plus problématiques”.[99]

Il n’y a rien de normal à ce que l’industrie pharmaceutique et les organisations mondialistes créent une demande de thérapies géniques inutiles par la peur et la création de pseudo-pandémies. Il n’y a rien de normal en ce qui concerne la censure sans précédent du débat scientifique et l’empêchement des praticiens médicaux de fournir un consentement éclairé à leurs communautés. Seuls les plus naïfs pourraient croire que, dans cet environnement artificiel, une cabale d’élites et une industrie ayant un bilan effroyable de préjudices et de décès font du monde un endroit plus sain pour ses habitants.

Les tyrannies naissent et disparaissent. Celle-ci, dans son ascension, est déjà en train de s’étouffer de son propre orgueil. Les façades scientifiques et idéologiques sur lesquelles cette escroquerie s’appuie entraîneront sa propre chute et, avec elle, une nouvelle ère dont nous hériterons tous. Les tyrans cachés, lorsqu’ils finissent par émerger, sont toujours nus, des vaisseaux vides remplis des idées des autres, faisant la guerre aux innocents pour se cacher de ce qui leur manque. Ils n’ont pas encore appris que le contrôle est une voie sans issue ou que ce qui fait s’élever l’esprit humain n’est rien d’autre que l’acceptation.

POST-SCRIPTUM

Dans le cadre du processus de reprise pacifique de ce qui appartient au peuple néo-zélandais, Heterodoxies Society Incorporated a déposé une procédure le 6 août 2021 devant la Haute Cour d’Auckland, CIV-2021-4041599. Malheureusement, depuis lors, sur la base d’un artifice juridique qui n’a aucune base statutaire apparente ou valeur juridique, l’affaire a été suspendue, c’est-à-dire confinée dans un équivalent de quarantaine juridique. Voici une partie de ce que la Cour a récemment refusé d’entendre.

Crimes contre l’humanité

“Il est question de bio-armement intentionnel de protéines de pointe à injecter aux gens pour les rendre dépendants d’un vaccin contre les ”pancoronavirus”. Cela n’a rien à voir avec un agent pathogène qui a été libéré… Il s’agit d’injecter aux gens une protéine S1 connue pour être nocive… La tragédie, c’est que nous sommes dans un monde où des centaines de millions de personnes se voient injecter une séquence informatique stimulant un agent pathogène… qui est vendue sous ce que l’office des brevets, la profession médicale et la FDA et ses propres normes cliniques ne considèrent pas comme un vaccin, mais en utilisant ce terme, nous soumettons maintenant des centaines de millions de personnes à ce que l’on savait être, en 2005, une arme biologique. ” Dr David Martin, 12 juillet 2021[100]

Le 20 septembre 2021, une conférence de presse s’est tenue à l’Institut de pathologie de Reutlingen, en Allemagne, afin de présenter, dans la première partie intitulée “Cause du décès après une vaccination Covid-19”, les conclusions des pathologistes Arne Burkhardt et Walter Lang qui avaient enquêté sur dix décès de personnes de plus de 50 ans décédées dans le contexte chronologique de l’administration de soi-disant vaccins COVID-19, dont le Comirnaty de Pfizer. Dans la deuxième partie, “Composants non déclarés des vaccins Covid-19”, les éléments non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits ont été présentés et discutés par divers participants, dont des médecins d’Allemagne et d’ailleurs.[101]

Le professeur Dr Burkhardt a enseigné pendant de nombreuses années aux universités de Hambourg, Berne et Tübingen, et a également été professeur invité/visiteur dans un certain nombre d’universités du monde entier. Il a dirigé l’Institut de pathologie de Reutlingen pendant 18 ans, après quoi il a exercé en tant que pathologiste. Il a publié plus de 150 articles dans des revues spécialisées. Le professeur Dr Walter Lang a travaillé comme pathologiste à la faculté de médecine de Hanovre de 1968 à 1985, puis a fondé un institut privé de pathologie à Hanovre où il a travaillé pendant 25 ans. De 1985 à 2020, il a effectué des examens de consultation pour la pathologie de la clinique pulmonaire de Herner. Ils étaient accompagnés dans cette présentation par le professeur Dr Werner Bergholz, ancien professeur d’électrotechnique spécialisé dans la gestion de la qualité et des risques à l’université Jacobs de Brême, qui avait travaillé pendant 17 ans dans la gestion de la production de puces chez Siemens avant cette nomination.[102]

Sur les dix personnes décédées qui ont subi un examen post mortem, Burkhardt et Lang, se fondant sur le matériel tissulaire obtenu auprès des médecins légistes qui avaient d’abord examiné les cas, ont estimé que cinq des décès étaient très probablement liés aux “vaccins” COVID-19, deux probablement, un n’était pas clair et ils ont considéré que deux n’avaient aucun lien de causalité.[103] “Dans trois cas, ils ont trouvé des maladies auto-immunes rares ; l’une d’entre elles était si rare qu’ils ne l’ont découverte qu’en regardant de près l’image numérisée. Il s’agissait de la maladie de Hashimoto, une hypothyroïdie déclenchée par une réaction auto-immune ; de la vascularite leucoclastique, une réaction inflammatoire dans les capillaires qui entraîne des saignements de la peau ; et du syndrome de Sjögren, une inflammation des glandes salivaires et lacrymales.”[104] On a observé un large éventail de maladies, certaines communes, d’autres rares. Les trouver dans un collectif de dix patients était “très extrême”, a déclaré Burkhardt.[105] Comme il le dit : “Nous sommes en présence d’un système immunitaire qui dépasse complètement les limites, qui s’attaque de lui-même à lui-même, et l’inflammation a lieu dans chaque organe, dans chaque vaisseau… et cela conduit à une forte réaction auto-immune et à des maladies. Ce sont des maladies, je dirais, qui sont de 1 pour 100 000 normalement.”[106]

Selon les pathologistes, les lymphocytes avaient afflué et causé une destruction cellulaire massive. Ils ont montré des images d’accumulations de lymphocytes dans une grande variété de tissus, du muscle cardiaque au rein, au foie, à la rate et à l’utérus”, et aussi “des images dans lesquelles le tissu a été massivement attaqué en conséquence, et toute une série de follicules lymphocytaires … au mauvais endroit, par exemple dans le tissu pulmonaire”.[107] Ils “ont également montré des détachements de cellules endothéliales – qui sont les cellules lisses qui forment la paroi des vaisseaux sanguins – des amas de globules rouges qui finissent par provoquer une thrombose, et des cellules géantes qui [s’étaient] formées autour des corps étrangers piégés”.[108] Burkhardt l’a décrit comme suit dans ce résumé paraphrasé de ses conclusions générales : “J’ai beaucoup réfléchi à ce que j’ai vu et je n’ai pu voir qu’une seule chose, à savoir des lymphocytes déchaînés (devenus fous furieux) dans tous les organes et tous les tissus. Nous assistons à une réaction immunitaire extrême, une attaque de soi-même contre soi-même (déclenchée par le vaccin). J’ai été témoin de l’hyperplasie (croissance excessive) et de l’activation des organes lymphatiques, des ganglions lymphatiques et de la rate, ainsi que de l’infiltration des lymphocytes dans les organes non lymphatiques. Le résultat (de cette tempête lymphocytaire) est la perte de la capacité et de la fonction immunitaires externes, combinée à une inflammation et une destruction des tissus causées par les lymphocytes, avec le risque d’une réaction auto-immune prolongée. Personne ne peut dire si et combien de temps il faudra à ces tissus pour se régénérer et retrouver leur état normal et sain.”[109]

Vous trouverez ci-dessous des diapositives représentatives préparées et présentées par le Dr Burkhardt lors de la conférence de presse :

Figure 2. Légende pour le cas 7 : C’est une image à plus haute résolution d’un follicule lymphatique dans le tissu alvéolaire pulmonaire. On voit également ces follicules lymphatiques autour des vaisseaux sanguins pulmonaires. Il s’agit d’une preuve évidente de dommages alvéolaires (dans les poumons). Ce qui se passe ici, c’est que l’appareil immunitaire d’une personne attaque ses propres tissus. Ainsi, les vaccins déclenchent des maladies auto-immunes qui peuvent ne pas se manifester avant plusieurs années. L’infiltration massive de lymphocytes dans les tissus cérébraux, cardiaques, pulmonaires et rénaux est un signal d’alarme pour les maladies auto-immunes et le cancer. Attendez-vous à voir les taux de cancer augmenter considérablement dans les années à venir.”
Figure 3. Légende pour le cas 2 : Cette diapositive montre des vaisseaux sanguins du tissu pulmonaire avec un amas d’érythrocytes (globules rouges).”
Figure 4. Légende : Le syncytium a englouti et tente de digérer une de ces structures non biologiques (identifiées par la flèche jaune) dans le tissu pulmonaire. Le syncytium va échouer dans sa tentative de digestion.”

Dans la deuxième partie, un large éventail d’images de corps étrangers trouvés dans les flacons des fabricants a été photographié et leurs mouvements enregistrés par vidéo. Selon les présentateurs, aucun de ces objets n’a jamais été trouvé dans les vaccins traditionnels et ne devrait se trouver dans le corps humain. Leurs formes vont de l’apparence d’une carte SIM à des filaments en forme de perles et à de grandes formes rocheuses. Ils semblent être des structures métalliques. Aucun des experts ne savait à quoi elles servaient. “Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience”, et pourtant “ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes”.[110]

Comme l’a dit Holger Fischer, avocat allemand et membre du panel, “nous n’avons pas à avoir la charge de la preuve. Si vous aviez une limonade présentant ce type de contamination, elle serait immédiatement retirée du marché.”[111] Maria Hubmer-Mogg, un médecin autrichien, a abondé dans le même sens. “Ces vaccins doivent être retirés immédiatement et leur utilisation d’urgence révoquée”.[112] Faisant référence au récit de la peur, elle a ajouté : “les gens veulent maintenant vacciner leurs enfants, même leurs tout-petits. C’est quelque chose d’inimaginable, c’est de la pure folie, et cette folie doit être arrêtée immédiatement.”[113]

Après plus de deux heures et demie, Fischer a clôturé la conférence de presse par la déclaration suivante : “Une chose est claire, quiconque persiste à poursuivre en connaissance de cause à partir d’aujourd’hui est légalement punissable ; ils ne peuvent pas dire qu’ils ne l’ont pas fait délibérément ou du moins en partie délibérément. Il s’agit d’un crime contre l’humanité que l’on appelle ” élimination d’êtres humains “, et les partis éliminent leur électorat ici … Beaucoup de gens ne savent pas à quel point ils sont malades. Beaucoup vont peut-être découvrir ce soir [qu’ils ont besoin] de se faire aider … Nous voulons sauver ce qui peut l’être chez ceux qui sont déjà vaccinés.”[114]

Vous trouverez ci-dessous une sélection d’images, présentées lors de la conférence, de nombreux objets non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits. Ces images devraient suffire à elles seules à mettre un terme immédiat au déploiement criminel du Comirnaty en Nouvelle-Zélande.

Figure 5. Légende : Le reste des diapositives montre des corps étrangers non biologiques trouvés dans les vaccins. Ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes. (Plusieurs des diapositives ont été fournies par d’autres médecins en Allemagne ou en Autriche). Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience.”
Figure 6. Légende : OVNIs trouvés dans les vaccins.”
Figure 7. Légende : (On dirait un téléphone portable pour moi !)”
Figure 8. Légende : Salamandre ?”
Figure 9. Légende : Un OVNI dans le sérum du vaccin.” Le Dr Burkhardt affirme en avoir vu des centaines dans des cellules, mais cette image est celle “d’une gouttelette de liquide vaccinal fortement agrandie par microscopie à champ sombre.”
Figure 10. Légende : Un autre filament perlé.”
Figure 11. Légende : Burkhardt remarque les rangées d’objets bleus sur la plus grande tache. Il se demande si ce ne sont pas des nanopuces en quelque sorte.” Ceci montre le corps étranger non biologique dans le liquide vaccinal.
Figure 12. Légende : “Burkhardt se demande si ceci est aussi une puce de graphène.” Est-ce qu’elle “transporte on ne sait quelle information vers l’appareil de fabrication des protéines dans les cellules.”

L’insulte finale

Alors que l’accord conclu par Pfizer avec le gouvernement néo-zélandais reste caché aux yeux du public, et que le contenu des flacons de Pfizer reste occulté par un gouvernement aveugle à sa propre perfidie, une fuite du contrat de fabrication et de fourniture de Pfizer avec l’Albanie ouvre une fenêtre sur le monde infâme dans lequel ce géant pharmaceutique exerce son pouvoir sur les Etats-nations et leur extorque de l’argent sur la base de la fraude COVID-19. Ce contrat, signé par trois fonctionnaires albanais, fait de leur gouvernement une partie au fait que “les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas actuellement connus.”[115] Pourtant, les énormes profits de Pfizer, qui s’élèvent à 12 dollars par flacon selon ce contrat, sont garantis même si une multitude de décès et de blessures surviennent, pour lesquels le gouvernement acheteur doit “indemniser, défendre et dégager de toute responsabilité Pfizer … contre tout procès, toute réclamation, toute action, toute demande, toute perte, tout dommage, toute responsabilité, tout règlement, toute pénalité, toute amende, tout coût et toute dépense … découlant du vaccin, s’y rapportant ou en résultant”.[116] S’agit-il du même type d’arrangement que celui auquel le ministre néo-zélandais des Finances a consenti lorsqu’il a accordé à Pfizer-BioNTech l’immunité de poursuites le 5 octobre 2020, un arrangement qui doit être notifié à la Chambre parce que l’indemnité dépasse 10 millions de dollars ?[117] Si c’est le cas, alors le gouvernement néo-zélandais est également lié par un contrat méprisable, qui sera caché au public pendant dix ans, pour l’achat d’un produit dont il sait et accepte qu’il est “sujet à des risques et des incertitudes significatifs… [et] peut ne pas être efficace”, mais qu’il n’a cessé de promouvoir comme “sûr et efficace”, qu’il a imposé à de larges pans de la population active et qu’il insiste pour que sa séquence de fabrication de poison et ses corps étrangers non déclarés soient introduits dans le corps de nos enfants.”[118]

À propos des auteurs

Dr Mark Bailey MB ChB (Bachelier en médecine et en chirurgie), PGDipMSM (Diplôme de troisième cycle en médecine musculo-squelettique), MHealSc (Maîtrise en sciences de la santé) (Otago)
Est un chercheur en microbiologie, industrie médicale et santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Dr John Bevan-Smith BA (Hons) First Class (Licence de lettres (4 ans) avec mention très bien), PhD (doctorat) (Auckland)
Est un chef d’entreprise, auteur et chercheur, qui a entrepris des recherches pour le Tribunal de Waitangi Te Rōpū Whakamana i te Tiriti o Waitangi/The Ministry of Justice Te Tāhū o te Ture.


Essai original (anglais) : https://drsambailey.com/2021/11/11/the-covid-19-fraud-war-on-humanity/
Présentation vidéo de la partie 1 de l’essai par le Dr. Samantha Bailey (anglais) : The COVID-19 Fraud & War On Humanity (Part 1)
Traduction française : https://cv19.fr

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Références

↑1 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Conférence de presse, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 1:27:20 : https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/ ; Au 25/9/21, un total de 2 448 262 événements indésirables et 26 041 décès avaient été signalés à l’Agence européenne des médicaments (Europe) ; au 15/9/21, un total de 1 204 555 événements indésirables et 1 662 décès avaient été signalés à Yellow Card (Royaume-Uni) ; au 1/10/21, un total de 2 826 646 événements indésirables et 16 310 décès avaient été signalés à VAERS (États-Unis). Le nombre total d’événements indésirables signalés dans ces trois régions s’élève à 6 479 563 et le nombre total de décès à 44 013. Compte tenu de la sous-déclaration connue de ces événements, il est prévu que les chiffres réels pourraient être au moins cinq fois plus élevés.
Voir : America’s Frontline Doctors et al. v Xavier Becerra, Secretary of the U.S. Department of Health and Human Services, et al., Civil Action No. 2:21-cv-00702-CLM, dépôt le 19 juillet 2021, 41 ; Citizens’ Adverse Events register.
↑2 Holger Fischer, in Burkhardt et al., “Cause of death after Covid-19 vaccination”, 2:19:13.
↑3 Bill Gates, “Responding to Covid-19 – A Once-in-a-Century Pandemic ?”, The New England Journal of Medicine (28 février 20) : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762#article_references ; interview de Bill Gates par Ellen DeGeneres, “Bill Gates on Finding a Vaccine for COVID-19, the Economy, and Returning to ‘Normal Life’”, YouTube (14 avril 20) : https://www.youtube.com/watch?v=5oEcxMfwJnw
↑4 “Developing MCMs for Coronaviruses”, dans Rapid Medical Countermeasure Response to Infectious Diseases : Enabling Sustainable Capabilities Through Ongoing Public- and Private-Sector Partnerships : Workshop Summary (Washington DC : National Academies Press, 12 février 2021) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK349040/
↑5 Global Preparedness Monitoring Board, “A World at Risk”, (Sept 2019), https://constitutionwatch.com.au/wpcontent/uploads/A-world-at-risk-WHO.pdf
↑6 Ibid.
↑7 Anthony S. Fauci, “The Role of the National Institutes of Health in Research Addressing Seasonal and Pandemic Influenza”, témoignage devant le House Committee on Energy and Commerce Subcommittee on Oversight and Investigations (4 déc. 2019) :
https://energycommerce.house.gov/sites/democrats.energycommerce.house.gov/files/documents/Testimony%20-%20Fauci%20%28NIH%29%2012.04.2019.pdf
↑8 Klaus Schwab et Thierry Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation (Forum Publishing, Genève, 2020), Couverture arrière
↑9 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No. : US 7,279,327 9 Oct 2007) ; Témoignage du Dr David Martin, “CDC Fraud”, audition de la commission d’enquête extraparlementaire German Corona (12 Jul 21) : https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/.
↑10 Schwab et Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation, 11.
↑11 Helen Clark et S.E. Ellen Johnson Sirleaf, coprésidentes du Groupe indépendant pour la préparation et la réponse aux pandémies, “COVID-19 : Make it the Last Pandemic”, OMS (mai 2021), 4.
↑12 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidentiel Protection Sociale, le Ministre d’Etat pour la Reconstruction et l’Institut de Santé Publique”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 7 (2.1 [b]-[d]) : http://ti-health.org/wp-content/uploads/2021/05/AlbaniaPfizer.pdf
↑13 Dr David Martin, Wise Traditions Conference 2021, “Follow the Patents, Then You Will Understand Covid”, (5 Nov 21) : https://rumble.com/vov60h-dr.-david-martin-follow-the-patents-then-you-will-understand-covid.html
↑14 Ibid, 25:11
↑15 “Remarques du Directeur général de l’OMS lors de la réunion d’information à l’intention des médias sur 2019-nCoV le 11 février 2020”, OMS (11 févr. 20), 2/4 : https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-remarks-at-the-mediabriefing-on-2019-ncov-on-11-february-2020 ; “Pourquoi le virus et la maladie ont-ils des noms différents ?”, OMS (11 févr. 20) : https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/technical-guidance/namingthe-coronavirus-disease-(covid-2019)-et-le-virus-qui-cause-it ; Fan Wu et al, “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank : MN908947.3, GenBank (18 mars 20, soumis le 5 janvier 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947
↑16 Paul D Thacker, “Covid-19 : un chercheur dénonce les problèmes d’intégrité des données dans l’essai vaccinal de Pfizer”, BMJ, 375/n2635 (2 Nov 21), 1-3 : https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2635
↑17 Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause de la mort après la vaccination Covid-19”, Conférence de presse Conférence, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 2:19:13.
↑18 James Corbett, “Bill Gates et la grille de contrôle de la population”, The Corbett Report, (18 mai 20) :
https://odysee.com/@corbettreport:0/gatespopulation:b
↑19 Remarque : Bustin s’est trompé dans ses souvenirs. Comme nous l’expliquons ci-dessous, cette étape non valide n’a pas été effectuée par les inventeurs du SARS-CoV-2.
↑20 Stephen A Bustin, “Why the need for qPCR publication guidelines?-The case for MIQE”, Methods, 50 (16 Dec 2009), 218 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19246619/ ; Interview de Stephen Bustin par Eric Coppolino, “Planet Waves FM Interview with Stephen Bustin conducted by Eric F Coppolino”, transcription par Joshua Halinen, New York 1er février 2021), 01:02:00 : https://cormandrostenreview.com/wp-content/uploads/2021/02/bustintranscript.pdf
↑21 Bertrand Russell, The Basic Writings of Bertrand Russell 1903-1959 (Londres : Routledge, 1992, publié pour la première fois 1961), 200
↑22 John F Enders et William C Peebles, “Propagation in Tissue Cultures of Cytopathogenic Agents from Patients with Measles”, Proceedings of the Society for Experimental Biology and Medicine (PSEBM), 86 (reçu le 16 mai 1954), 277-286.
↑23 Ibid., 287.
↑24 https://www.qwant.com/?client=brz-brave&q=SARS-CoV-2+images&t=images
↑25 La méconnaissance du virus – La rougeole comme exemple; Wissenschafftplus Magazin 01/2020; https://cv19.fr/2021/03/07/la-meconnaissance-du-virus-la-rougeole-comme-exemple/
↑26 Fan Wu, ISPOR Summit (2018): https://www.ispor.org/conferences-education/conferences/past-conferences/ispor-summit-2018/program/speakers/speaker/fan-wu-md-phd
↑27 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, Nature, Vol 579 (3 Feb 20, author correction 2 Apr 20), 266, Methods page: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3
↑28 Ibid. Megahit et Trinity sont les noms de deux plateformes d’assemblage de novo.
↑29 bid., 265-6, Methods page.
↑30 Joan Pontius et al, “Initial sequence and comparative analysis of the cat genome”, Genome Research, 17 (2007), 1680.
↑31 Fan Wu et al., “Wuhan seafood market pneumonia virus isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.2, GenBank (14 Jan 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.2/ ; Dan Hu et al., “Bat SARS-like coronavirus isolate bat-SL-CoVZC45, complete genome”, GenBank : MG772933.1, GenBank (29 sept. 2020) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MG772933.
↑32 Fan Wu et al., “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.3, GenBank (18 Mar 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.3.
↑33 Interview par Janis Mackey-Frayer du Dr Wu Zunyou, “Wuhan maintenant un an après”, NBC Nightly News Broadcast (Full) – 23 janvier 2021 | NBC Nightly News, NBC (23 Jan 21), 13:30-13:50 : https://www.youtube.com/watch?v=TjjA-8JXzYI
↑34 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑35 Peng Zhou et al., “A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin”, Nature, 579 (12 Mar 20), 270-273 plus 16 unnumbered supplementary papers: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2012-7.pdf
↑36 Ibid., 272.
↑37 Ibid, Résumé du rapport, deuxième page non numérotée.
↑38 Ibid, “Methods”, première page non numérotée.
↑39 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑40 Na Zhu et al., “A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019”, The New England Journal of Medicine, 382 (20 Feb 20, first published 24 Jan 20, updated 29 Jan 20), 728.
↑41 Ibid., 728, 730-31.
↑42 Ibid., 728.
↑43 Ibid., 731.
↑44 Ibid.*
↑45 Ibid., 733. Emphasis added.
↑46 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021).
↑47 Leon Caly et al., “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia”, MJA, 212/10 (1 Jun 20, received 25 Feb 20, accepted Mar 20, published 9 Mar 20), 459 : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.5694/mja2.50569.
↑48 Ibid., 461-62.
↑49 Ibid., Supplementary methods: https://onlinelibrary.wiley.com/action/downloadSupplement?doi=10.5694%2Fmja2.50569&file=mja250569-sup-0001-Supinfo.pdf
↑50 Letter of Rebecca Drew, Group Manager, Science and Insights, COVID-19 Health System Response, undated OIA letter Ref: H202008345, Ministry of Health. https://fyi.org.nz/request/14170-request-for-records-held-by-ministry-of-health-describing-the-isolation-of-a-sars-cov-2-virus-directly-taken-from-a-symptomatic-patient-of-covid-19
↑51 Jeremy Butterfield, Editorial Director, Collins Concise Dictionary Fifth Edition (Glasgow: HarperCollins, 2003), 1348.
↑52 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, 265, 268-9.
↑53 David Cyranoski, “SARS outbreak linked to Chinese bat cave”, Nature, 552 (7 Dec 17), 15-16.
↑54 Rahul Battharai, épidémie de Covid 19 Delta : Businesses welcome vaccine certificates for retail and hospitality ” NZ Herald (26 Oct 21) : https://www.nzherald.co.nz/business/covid-19-delta-outbreak-businesses-welcome-vaccine-certificates-for-retail-and-hospitality/WB2WIX4KHGR27ZZNS6JJXFIGKQ/
↑55 “Le ministère de la Justice annonce le règlement le plus important de son histoire en matière de fraude aux soins de santé”, ministère de la Justice des États-Unis (2 septembre 2009), 2 : https://www.justice.gov/opa/pr/justice-department-announces-largest-health-care-fraud-settlement-its-history.
↑56 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No.: US 7,279,327 9 OcT 2007).
↑57 ” Novel Coronavirus (2019-nCoV) Situation Report – 1 “, OMS (21 jan 20), 1 : https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/330760/nCoVsitrep21Jan2020-eng.pdf?sequence=3&isAllowed=y . Moderna, Inc, ” United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement ” (9 nov 2018), 12, 94 ; BioNTech SE, United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement “, (sans date, supposé 2019), 5, F-7 : https://investors.biontech.de/static-files/0eb8771c-1cda-4868-bb9f-bdb22dfd29e4 . Les pertes de Moderna se sont élevées à 230 314 000 dollars pour 2016, 255 916 000 dollars pour 2017 et 243 308 000 dollars pour les neuf mois à fin septembre 2018, et auraient besoin de plus d’investissements. Bien qu’ayant levé 1,1 milliard de dollars depuis 2008 dans le cadre de placements privés de leurs actions, BioNTech a tout de même enregistré une perte avant impôts de 85 950 000 € pour 2017 et de 48 262 000 € pour 2018.
↑58 Victor Corman, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Christian Drosten Charité Virology, Berlin, Germany; Olfert Landt, Tib-Molbiol, Berlin, Germany; Marion Koopmans, Erasmus MC, Rotterdam, The Netherlands; Maria Zambon, Public Health England, London. Additional advice by Malik Peiris, University of Hong Kong, “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor Corman, et al., “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor M Corman, Olfert Landt, Marco Kaiser, Richard Molenkamp, Adam Meijer, Daniel KW Chu, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Julia Schneider, Marie Luisa Schmidt, Daphne GJC Mulders, Bart L Haagmans, Bas van der Veer, Sharon van den Brink, Lisa Wijsman, Gabriel Goderski, Jean-Louis Romette, Joanna Ellis, Maria Zambon, Malik Peiris, Herman Goossens, Chantal Reusken, Marion PG Koopmans, Christian Drosten, “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23: https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045
↑59 Bloomfield Affidavit, (13 Jul 20), 8; “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21): https://en.wikipedia.org/wiki.COVID-19_pandemic_cases_in_January_2020
↑60 Moderna, Inc., “United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement” (9 Nov 2018), 12.
↑61 James Delingpole interview of Reiner Fuellmich, The Delingpod (23 May 21): http://www.odysee.com/@JamesDelingpoleChannel:0/feullmich:8
↑62 “WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20): https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-statement-on-ihr-emergency-committee-on-novel-coronavirus-(2019-ncov)
↑63 “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21); Andrew Joseph, “WHO declare coronavirus outbreak a global health emergency”, STAT (30 Jan 20).
↑64 Ibid.**
↑65 “WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20), 3.
↑66 Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 January 2020), 23.
↑67 William Engdahl, “Coronavirus Scandal Breaking in Merkel’s Germany”, (10 Dec 20): http://www.williamengdahl.com/englishNEO10Dec2020.php
↑68 Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, 29.
↑69 “RT-PCR test kits and VirSNiP Mutation Assays for strain surveillance”, TIB Molbiol (accessed 6 May 20): https://www.tib-molbiol.de/covid-19
↑70 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021).
↑71 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel: For Emergency Use Only Instructions for Use Catalog # 2019-nCoVEUA-01 1000 reactions”, 40: https://www.fda.gov/media/134922/download
↑72 Jesús García Blanca, “The scam has been confirmed: PCR does not detect SARS-CoV-2”, D-Salud-Discovery, 242 (8 Nov 20): https://www.dsalud.com/reportajes/fraudes-y-falsedades-en-el-ambito-medico/ ; English trans.: http://philosophers-stone.info/wp-content/uploads/2020/11/The-scam-has-been-confirmed-Dsalud-
November-2020.pdf ; Jerry Fisayo-Bambi, “Tanzania: goat, paw paw, jackfruit test positive for coronavirus”, Morning Call (6 May 20): https://www.africanews.com/2020/05/06/tanzania-how-can-goat-papaya-pawpaw-test-positive-to-corona-morning-call/
↑73 David James, “PCR Inventor: “It doesn’t tell you that you are sick”, OffGuardian (5 Oct 20): https://off-guardian.org/2020/10/05/pcr-inventor-it-doesnt-tell-you-that-you-are-sick/
↑74 Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23.
↑75 “Austrian Court Rules PCR Test Not Suitable For COVID-19 Diagnosis And That Lockdowns Has No Legal Basis”, GreatGameIndia (8 Apr 21): https://greatgameindia.com/austria-court-pcr-test/
↑76 “WHO COVID-19 Case definitions: Updated in Public health surveillance for COVID-19 | COVID-19: Surveillance, case investigation and epidemiological protocol” (16 Dec 20): https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-Surveillance_Case_Definition-2020.2
↑77 Ibid.***
↑78 Johns Hopkins University & Medicine Coronavirus Resource Center (accessed 25 Oct 21): https://coronavirus.jhu.edu/map.html
↑79 Neil M Ferguson et al., “Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID- 19 mortality and healthcare demand”, Imperial College London (16 Mar 20), 6, 7, 13: DOI: https://doi.org/10.25561/77482
↑80 Hannah Boland and Ellie Zolfagharifard, “Coding that led to lockdown was ‘totally unreliable’ and a ‘buggy mess’, say experts”, The Telegraph (16 May 20): https://www.telegraph.co.uk/technology/2020/05/16/coding-led- lockdown-totally-unreliable-buggy-mess-say-experts/ ; Ram Sagar, “The most devastating software mistake of all time. Why is the Imperial model under criticism?”, AIM (24 May 20): https://analyticsindiamag.com/the-most-devastating-software-mistake- of-all-time-why-is-the-imperial-model-under-criticism/
↑81 Neil M Ferguson et al., “Report 12: The Global Impact of COVID-19 and Strategies for Mitigation and Suppression “, Imperial College London (26 Mar 20), 1: https://doi.org/10.25561/77735
↑82 Lucy Barnard, Nick Wilson, Amanda Kvalsvig, Michael Baker, “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand: Revised Preliminary Report for the NZ Ministry of Health”, University of Otago Wellington (27 February 2020), 1, 5, 11, 12: https://www.health.govt.nz/publication/covid-19-modelling-reports; Bloomfield, Affidavit (13 Jul 20), 101.4.
↑83 Barnard et al., “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand”, 1, 2, 5; Denis Glover, “The Magpies”, in Enter Without Knocking (Christchurch: The Pegasus Press, 1971, first published 1964), 34; “Ventilators and ICU bed capacity”, Ministry of Health (11 May 20); Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501
↑84 Alex James, Shaun C Hendy, Michael J Plank, Nicholas Steyn, “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4: https://www.tepunahamatatini.ac.nz/2020/03/26/suppression-and- mitigation-strategies-for-control-of-covid-19-in-new-zealand/
↑85 “Wigram Capital Advisors Limited”, Dun & Bradstreet: https://www.dnb.com/business-directory/company-profiles.wigram_capital_advisors_limited.218e802dadfa3ba161e5a098660e33ed.html
↑86 “Our Story”, Te Pūnaha Matatini: https://www.tepunahamatatini.ac.nz/about-us/
↑87 Jaijus Pallippadan-Johny, John McDermott, Rodney Jones and Michael Duddin, “Monitoring and Forecasting the COVID-19 Pandemic in New Zealand Including the Successful Impact of the Lockdown”, Public Health Expert (22 May 20): https://blogs.otago.ac.nz/pubhealthexpert/tag/pandemic/
↑88 “Post-Cabinet press conference”, Beehive (23 Mar 20), 1-3; “Prime Minister: COVID-19 Alert Level increased”, Beehive (23 Mar 20); “Post-Cabinet Press Conference 23 March 2020 on COVID19”, YouTube (23 Mar 20), 10:55.
↑89 Ashley Bloomfield, “COVID-19 media update, 24 March”, Ministry of Health (24 Mar 20), 5:08: https://www.health.govt.nz/news-media/news-items/covid-19-media-update-24-march#vid
↑90 Kate Newton, “The man modelling NZ’s Covid-19 spread from his kitchen table”, Radio NZ (27 Mar 20): https://www.rnz.co.nz/news/in- depth/412744/the-man-modelling-nz-s-covid-19-spread-from-his-kitchen- table; Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501 ; Nikki Macdonald, “Coronavirus: Controls could cut Kiwi deaths from 60,000 to 10,000”, Stuff (22 March 20): https://www.stuff.co.nz/national/health/coronavirus/120455106/corona virus-controls-could-cut-kiwi-deaths-from-60000-to-10000
↑91 Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20).
↑92 Alex James et al., “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4.
↑93 New Zealand Tax Payers Union, “Why Is Sean Hendy’s Modelling Group Getting $6m For Advice Treasury Is Paying $30k For Elsewhere?”, Community.Scoop (Oct 11 2021): https://community.scoop.co.nz/2021/10/why-is-sean-hendys-modelling-group-getting-6m-for-advice-treasury-is-paying-30k-for-elsewhere/
↑94 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑95 Ibid.****
↑96 Ibid..
↑97 Epidemic Preparedness (COVID-19) Notice 2020, New Zealand Gazette (25 March 2020).
↑98 Giorgio Agamben, trans. Kevin Attell, State of Exception (Chicago: The University of Chicago Press: 2005), 1, 50.
↑99 Phil Taylor, “Moderna plans triple vaccine targeting flu, COVID and RSV”, Pharmaphorum, (8 Jul 20): https://pharmaphorum.com/news/moderna-plans-triple-vaccine-targeting-flu-covid-and-rsv/
↑100 Evidence of Dr David Martin, “CDC Fraud”, Hearing of the German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee (12 Jul 21): https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/
↑101 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑102 Ibid.*****
↑103 Ibib., 15:50 to 26:20; “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination” (21 Sep 21)”, 1: Source: https://de.rt.com/inland/124390-lymphozyten-laufen-amok-pathologen-untersuchen-todesfaelle-nach-impfung/. Translated from German by http://www.DeepL.com/Translator.
↑104 Ibid.******
↑105 bid., 27:45 on.
↑106 Ibid., 53:00
↑107 “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination”, 1-2.
↑108 Ibid., 2.
↑109 Dr Calvin Luther Martin, “Close paraphrase of Dr Burkhardt’s overall conclusions” (accessed 13 Oct 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑110 Dr Burkhardt, “Slideshow presentation”, Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21); Ibid., 1:53:
↑111 2:19:13.
↑112 Ibid.*******
↑113 Ibid…
↑114 Ibid., 2:34:30.
↑115 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 19 (5.5).
↑116 Ibid., Attachment B – Delivery Schedule and Price, 22 (8.1).
↑117 Ben Strang, “Government grants vaccine suppliers indemnity against claims”, Stuff via Radio NZ (25 Jan 21): https://www.rnz.co.nz/news/alert-top/435107/government-grants-vaccine-suppliers-indemnity-against-claims
↑118 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 7 (2.1 [b]-[c]); “Dr Ashley Bloomfield and MedSafe’s Chris James talk about vaccine approvals”, Ministry of Health (4 Feb 21): https://www.youtube.com/watch?v=th4U_9Ddk4s