La nanotechnologie dans les vaccins

[Source : La vérité]

Précisions par La Quinta Columna sur les composants de nanotechnologie dans les vaccins Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson et AstraZeneca et sur leurs effets.



[Voir aussi :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]




Covid-19 : pourquoi la Suède n’a pas confiné ?

[Source : LLP]

Par Mariam Carette

Vous croyez que la Suède est un exemple en matière de gestion de la crise sanitaire ? Alors comment s’expliquer que malgré une quasi absence de restrictions, la population se soit fait massivement vacciner contre le Covid-19 ? Cela paraît paradoxal ! Bienvenue en Suède !

La Suède ne compte que 10,4 millions d’habitants, son PIB se situe au 24e rang mondial. Ce pays est à la pointe de la technologie dans divers domaines. La Suède est une monarchie constitutionnelle avec un parlement qui mène une politique ultra-libérale capitaliste, avec une note de communisme très particulière où le gouvernement a un rôle de tuteur légal sur ses citoyens. L‘ « étatisme » est une sorte de religion nationale.

Comme nous sommes curieux, que nous aimons savoir et nous poser des questions, nous avons étudié la situation de plus près. Nous vous proposons une petite visite du pays en 10 points, qui nous permettra de mieux voir comment la Suède gère son peuple.


1- Le Personnummer

Le Personnummer est le sésame qui ouvre toutes les portes en Suède : administrations publiques, banques, associations, opérateurs téléphoniques, fournisseurs de gaz et d’électricité, salles de sports etc. Tous ne jurent que par le Personnummer !

C’est à la fin du 17e siècle que ce numéro d’identité national voit le jour. D’abord pour un simple recensement de la population et la collecte des impôts. En 1749, la Suède créait le premier institut de statistiques officiel au monde : Tabellverket connu aujourd’hui sous le nom de Statistiska Centralburân. Le Personnummer tel qu’il est actuellement, a été instauré en 1967. Il est composé de 10 chiffres, calculés d’après l’algorithme de Luhn. Un système infaillible !

2- L’Energiebox

La Suède a commencé à équiper les foyers suédois de compteurs électriques communicants appelés Energybox en 2009. Avant-gardistes les Suédois !

Soi-disant pour que le citoyen fasse des économies. Bizarre cette attention soudaine portée à nos dépenses d’électricité ? Ils ne veulent donc plus de notre argent ? Nous connaissons la même histoire avec le Linky en France.

Tout s’explique quand nous comprenons que la Energybox est soutenue par la technologie HAARP (High-Frequency Active Auroral Research Project). Un programme de surveillance totale de contrôle des consciences et de réduction des populations.

Nous vous invitons à lire « Les Anges ne jouent pas de cette HAARP »

3- La disparition du cash

L’argent liquide a été quasi supprimé du pays depuis 2018. Les banques n’ont plus de distributeurs de billets, les commerçants refusent le cash, même pour un simple café ! De ce fait, plus de marché parallèle, le gouvernement a la main sur chaque Krona (couronne suédoise, Krona ? Krona et Corona, quelle parfaite homophonie ! Y aurait-il une similitude ?), il faut savoir que la Suède ne fait pas partie de la zone euro.

Les banques ont le contrôle sur l’ensemble de la masse financière du pays.

Depuis 2012 le paiement électronique Swish a été adopté par les Suédois à la quasi-totalité. Elle vise à supprimer le cash à 100 % d’ici 2030. 2030 ! Ça nous fait penser à un certain « Agenda 2020-2030 » de Klaus Schwab, président du WEF.

4- La puce RFID

En Suède, la puce sous-cutanée séduit des milliers de personnes. Cet implant remplace clés, cartes bancaire, cartes de visite, billets de train, de cinéma… « C’est génial ! Ça simplifie la vie ! ».

En décembre 2021, la Suède a présenté son projet d’implanter la puce qui servirait de Greenpass, c’est-à-dire de Pass Vaccinal. Et tout cela est strictement volontaire ! Nous ne pouvons nous empêcher de penser à Jacques Attali qui disait en 1981 : « La sélection des idiots se fera ainsi toute seule, ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. » Extrait du livre « L’avenir de la vie », entretien avec Michel Salomon.

5- Hene, le 3e genre

En 2010, le Forum Économique Mondial (WEF, dont le fondateur et président est Klaus Schwab) avait désigné la Suède comme le pays le plus sexuellement égalitaire au monde.

Mais pour de nombreux Suédois l’égalité des sexes ne suffit pas, il faut devenir sexuellement neutre. La Suède reconnaît 170 prénoms unisexes. On habille l’enfant de façon neutre et on lui donne des jouets neutres. Dans de nombreuses écoles maternelles toutes références au sexe des écoliers ont été supprimées. Les enfants ont droit à de la « littérature » LGBT.

Récemment, une institutrice s’est fait licencier car elle refusait, à la demande des parents, d’appeler une petite fille de 7 ans Hene au lieu de fille.

Hene fut mentionné pour la première fois dans les années 60, puis en 1994 il fut intégré en tant que pronom personnel. Au fil du temps il est devenu le 3e genre sexuel officiel. Nous avons donc les enfants filles, les garçons et les henes, sans compter que le petit garçon a l’option de devenir une fille et idem pour la fille.

Le ministère de l’éducation nationale suédois fait tout pour promouvoir une perspective sexuellement égalitaire et éviter ainsi les visions traditionnelles du genre et des rôles parentaux.

Pour comprendre un peu mieux les valeurs et le rôle de la tradition, nous vous invitons à lire « La crise du monde moderne » de René Guénon.

6- LGBT en puissance

La Suède est le pays le plus sympathisant du mouvement LGBT (Lesbian Gay Bisexual Transgender). Il s’agit même d’une norme sociale.

Petit récapitulatif historique :

  • 1930-1940 : les premières luttes contre la discrimination de l’homosexualité. Des réseaux d’entre- aide se développent.
  • 1944 : légalisation de l’homosexualité. Le consentement équivaut celui des hétéros.
  • 1972 : légalisation des transgenres
  • 1995 : légalisation du Pacs pour les homosexuels
  • 2003 : droit d’adoption pour les homosexuels
  • 2005 : droit à la Fiv pour les lesbiennes
  • 2009 : légalisation du mariage pour tous.

La Suède est le pays où le mouvement LGBT a le plus de droits et de légitimité dans le monde entier.

Qui dit LGBT, dit Gaypride.

En 2021 la Suède a accueilli à Malmö la Worldpride. L’événement dure une semaine entière et s’étend dans tout le pays. La Europride a déjà eu lieu 3 fois en Suède. Nous tenons à préciser que « pride » en anglais signifie la fierté. Voici la fierté du Monde.

7- Transplantation d’utérus

En 2014 à Goeteborg, deuxième ville de la Suède, sont nés 8 bébés à la suite d’une greffe d’utérus chez leur mère, une technique en plein développement. Technique que la communauté LGBT souhaiterait vivement reprendre pour des fins personnelles. On dirait de la science fiction, tout comme dans ce film des années 90 avec Arnold Schwarzenegger, « Junior », où un homme tombe enceinte. Le « Madprofessor » Christopher Inglefield, chirurgien et fondateur de la London Transgender Clinic, estime que c’est tout à fait envisageable. Et devinez ? C’est en Suède que la technique a été innovée. Ce fut un flop.

Permettez-nous de nous poser des questions sur l’éthique d’une science sans conscience, qui voudrait implanter l’utérus d’une femme dans le ventre d’un homme ?! Et il accoucherait par où ? Par l’anus ?!

8- L’alcoolisme

En 1850 déjà, le roi Fredrik recense une consommation de 45 litres d’alcool par an par personne. On peut dire que les Suédois sont très exubérants en matière de boisson ! Le manque de luminosité et de chaleur n’aident pas. Raison pour laquelle les pouvoirs publics ont dû réguler l’accès à l’alcool dans le pays. Depuis 1870, l’État a pris le monopole sur la vente et les recettes. En 1955 les boutiques « Systembolaget » ont vu le jour. Ce sont des magasins d’État qui vendent les vins et spiritueux, les alcools jusqu’à 3,5° sont en vente libre. La vente d’alcool est interdite aux moins de 20 ans. Le tourisme d’alcool est très répandu, les Suédois vont se fournir dans les pays limitrophes comme le Danemark et même l’Allemagne où l’alcool y est bon marché.

Nous constatons qu’en matière d’alcool, les Suédois sont bien moins obéissants !

9- Taux de vaccination des vaccins dits classiques

En 2018, notre chère ex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, nous vendait la Suède comme un exemple mondial en terme de couverture vaccinale, lorsque notre gouvernement français avait instauré l’obligation vaccinale à 11 vaccins pour nos bouts de choux. Elle nous disait dans l’émission « Les Maternelles » : « Les Suédois eux, n’ont pas d’obligation vaccinale, et pourtant ils sont vaccinés à 99 %! » La Suède est ainsi souvent prise comme exemple : malgré l’absence totale d’obligation vaccinale, les enfants de moins de 2 ans ont été injectés du vaccin DTPolio à 99 %, il en est de même pour les autres vaccins dits recommandés chez nous avant 2018. Tandis qu’en France il a fallu mettre des obligations vaccinales scolaires et professionnelles, les Suédois eux, ne font pas de distinction entre recommandations et obligations gouvernementales.

10- Taux de vaccination du vaccin Covid-19

Malgré l’absence de confinement et de port du masque obligatoire, le taux de vaccination est extrêmement élevé. Sans oublier que ce vaccin est en phase expérimentale, il n’a donc pas pu se voir délivrer d’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM).

La Suède a commencé sa campagne de vaccination Covid-19 en mars 2020. Au 9 janvier 2022 nous constatons, en consultant les données officielles du site Johns Hopkins, que 72, 24 % des Suédois présentent un schéma vaccinal complet (2 doses) que 7.430.541 personnes sont doublement vaccinées et que 17.887.449 doses ont été attribuées au total.

Nous avons une population de : 10.402.070 individus

Les 2 dosés sont au nombre de : 7.430.541 individus

Ce qui nous fait une différence : 2.971.529 individus restant en Suède qui n’ont pas eu 2 doses.

Donc : 7.430.541 personnes ont eu 2 doses, ce qui nous fait un total de : 14.861.082 doses. Au total 17.887.449 doses ont été administrées.

Ce qui nous fait une différence de : 3.026.367 doses qui ont forcément été administrées aux 2.971.529 personnes restantes. Nous constatons même une « overdose » de 54.838 entre le nombre de doses restantes et le nombre d’individus restants, différence qui s’explique certainement du fait que la Suède a commencé en janvier avec la 3e dose pour les personnes les plus fragiles. Si l’on inclut les personnes primo-vaccinées on atteint un taux qui tend vers du 100 %.

La quantité de personnes injectées est faramineuse !

Notre correspondant sur place nous disait que les gens dans son pays étaient vaccinés à 100 %, que seule une poignée de personnes ne l’était pas et que ces derniers subissaient une discrimination totale de leurs concitoyens. Ça paraît irréel ! Et pourtant les chiffres le confirment !

Pour conclure, il nous semble assez clair que le gouvernement suédois a une énorme emprise sur son peuple et qu’il opère cette manipulation depuis des décennies. Ses moyens de contrôle mentaux sont très sophistiqués.

Le Youtubeur et ex-banquier« Un être Humain » nous rapporte dans l’émission du 4 décembre 2020 sur la chaîne de Hayssam Hoballah, qu’il a fait l’expérience de partir vivre en Suède dans le courant de l’année 2020. Il pensait fuir la dictature sanitaire de l’Hexagone, mais au final il n’a tenu que 2 mois en Suède, alors que le pays vivait librement, tout était ouvert, les gens sortaient où et quand ils voulaient, pendant que nous en France, nous devions signer des auto-attestations pour sortir de notre maison-prison ! Alors pourquoi n’a-t-il pas apprécié toute cette liberté ? En fait il nous dit : « Là-bas, les gens sont prêts ».

Ils sont prêts. C’est du préconditionné, du précuit. Plus qu’à les mettre dans la marmite !

L’état suédois contrôle tellement bien ses sujets qu’ils sont déjà prêts à se faire injecter et pucer. C’est le travail de subversion et d’endoctrinement de la pensée « Attalienne », la pensée unique franc-maçonnique du Nouvel Ordre Mondial (NOM).

La devise suédoise est :

« Nous vous laissons libres, c’est à vous de prendre vos responsabilités. »,
« Vous ne pouvez pas sortir du cadre, vous ne pouvez pas vous en échapper. »

La Suède vend du vent à ses citoyens, de l’illusion, de la magie ! Elle leur fait croire qu’ils sont libres et qu’ils choisissent. Mais en catimini, elle leur suggère et leur soumet sa volonté à elle. C’est avec beaucoup de subtilité et de séduction qu’elle formate ses disciples, ses enfants de la patrie.

Tous les rejetons de Papa-Maman-Suède sont formés dans le même moule. Vous ne verrez évidemment aucune manifestation dans les rues, s’élever contre leur tuteur légal, cela est impensable. On ne critique pas Papa-Maman, c’est très mal vu. Et malheur à celui qui ne veut pas se soumettre à la pensée unique suédoise, c’est l’exclusion directe et à tous les niveaux, que ce soit familial, social ou professionnel. Et non seulement on vous bannit mais on vous finit ! On vous achève mentalement et financièrement. Mise à part cela, le Suédois est libre, libre de choisir la liberté à la suédoise. C’est comme si l’on vous disait que vous pouvez choisir tous les habits que vous voulez, mais que dans tout le magasin il n’y a que la même veste et que même si vous avez besoin de chaussettes, vous ne pouvez qu’acheter une veste, vous avez besoin d’un pantalon, là encore, vous devez achetez une veste. C’est plus égalitaire vous comprenez !

La Suède ne fait jamais rien par la force mais elle suggère implicitement.

D’ailleurs, la Suède prétend vouloir influencer l’Europe, évidemment pas par la force, mais par la séduction. La séduction ! Ce mot nous fait penser à Babylone, la grande prostituée qui a séduit une grande partie de l’humanité… et qui est en train de tomber…




Sans argent liquide = le seuil de l’enfer

[Source : Kla.tv]

Par Ivo Sasek



Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 1977, et si ce que vous allez entendre ne se produit pas exactement de cette manière, comme je vais le dire maintenant, alors on peut me traiter de faux prophète.

J’esquisse ici encore une fois sans ambiguïté la destination vers laquelle toute cette pandémie de Covid veut nous pousser.

Enfin, il ne faut pas oublier de proposer une issue réalisable. Mais passons directement au point essentiel : quelles sont les instructions que l’on nous martèle depuis des mois dans presque tous les grands magasins d’alimentation ? « Payez sans contact ».

Oui, c’est ça : « Payez sans contact ». Je l’entends tout le temps. Et les médias, ces infatigables porte-parole de quelque mystérieux commanditaire, évoquent l’utilisation de l’application « Contact-Tracing ». Bien sûr, tout cela en anglais dans l’espace germanophone. En d’autres termes, nous devons nous rendre de plus en plus traçables partout et à tout moment. Oui, j’ai délibérément choisi ce terme de « traçable », car son ambiguïté nous met déjà dans l’ambiance de la thématique centrale dont il est question ici.

Vous savez, la destination de la plandémie n’est pas seulement la surveillance totale, mais plutôt le contrôle total, la domination totale de chaque citoyen de la Terre !

Tant que c’est possible, ils veulent atteindre cet objectif au moyen du Covid.

La santé à tout prix, telle est la devise politique. Les privations de liberté imposées par les confinements ne peuvent déjà plus être rachetées que par le biais d’indulgences de toutes sortes – et le commerce de billions de dollars est florissant : tout a commencé avec le commerce des indulgences des masques, bien que les experts qui ont donné le ton aient ouvertement souligné au préalable que les masques n’apportaient absolument rien ; cette constatation a toutefois fourni le prétexte idéal pour pouvoir imposer les premiers pas vers la surveillance totale souhaitée du monde entier. Vous comprenez cela ? Cette démarche forcée s’est bien sûr accompagnée depuis d’un commerce toujours plus florissant d’indulgences d’autotest, d’indulgences de tests PCR, puis d’indulgences de vaccins, d’indulgences de passes sanitaires, etc. Mais que ce soit clair : ce ne sera jamais la liberté promise que vous achèterez avec toutes ces indulgences mentionnées et à venir. Vous achetez ainsi uniquement votre état d’esclave total. Et chaque jour, dans les magasins, vous entendez dans les haut-parleurs la manière dont vous achetez votre esclavage : Payez sans contact ! Ecoutez comme ils disent ça : « Payez sans contact ! » « Payez sans contact ! » Bien avant le Covid, d’innombrables lanceurs d’alerte avaient déjà révélé comment la suppression de l’argent liquide constituait une base stratégique pour les dirigeants mondiaux auto-proclamés.

À ce moment-là, nous ne savions encore rien sur le Covid.

Malgré cela, même la plupart des médecins de ce monde essaient d’acheter leur liberté par le biais du commerce des indulgences de certificats et des indulgences de vaccins. Ecoutez-moi, vous tous les médecins qui faites de telles choses : Vous savez très bien qu’avec le Covid, on a jeté aux orties tout, mais vraiment tout ce que vous avez appris sur le sujet dans vos universités. Mais au lieu de vous unir et de vous lever contre ce scandale pour défendre votre savoir chèrement acquis, vous vous taisez, tout simplement ! Et je vais vous dire pourquoi : par pure peur de perdre vos droits d’exercer. Et ce faisant, vous soutenez le plan directeur qui se cache derrière toute cette propagande épidémique et cette terreur des peuples – et vous suivez même l’ordre stratégique du paiement sans contact. Alors que si vous mainteniez fermement et proclamiez haut et fort vos premières leçons de pathologie, de virologie, de biologie ou de quoi que ce soit d’autre, cela pourrait conduire à la mise en échec immédiate de cette stratégie sans argent liquide. Mais même toute personne ayant reçu une formation moyenne dans les domaines de l’anatomie médicale devrait encore avoir en tête ces connaissances de base empiriquement prouvées. Toute infirmière ou par exemple toute sage-femme a appris lors de sa formation de base que les virus ne peuvent pas subsister tout seuls mais qu’ils ont besoin d’un hôte vivant. Alors comment les virus pourraient-ils survivre sur de la matière morte comme des billets de banque ?

Mais venons-en maintenant au point le plus important : la suppression de l’argent liquide rendra chaque citoyen de la Terre vulnérable au chantage jusqu’au bout. Réfléchissez bien à ce que je vais dire ! Les extorsions actuelles ne sont qu’un petit avant-goût de ce qui se passera lorsque nous perdrons l’argent liquide. Ça c’est mon pronostic ! Déjà maintenant, tous ceux qui ne se conforment pas exactement aux diktats sanitaires sont exclus de toutes sortes de commerces, de divertissements, de locaux, de services, de professions, etc. Le rachat de libertés partielles ne peut se faire que par des soumissions ainsi forcées. Une fois l’argent liquide supprimé, les mêmes dictateurs bloqueront les comptes des personnes peu dociles jusqu’à ce qu’elles fassent exactement ce qu’ils veulent. Vous comprenez ? Et, voyez-vous, c’est là que les choses deviennent vraiment difficiles pour nous tous. Aujourd’hui déjà, ces despotes forcent les gens à participer à leur « expérience de vaccination ». Malgré les mises en garde de milliers de spécialistes éminents, qui les avertissent qu’il s’agit de « faux vaccins » dangereux. Ces gens s’en fichent totalement.

Reconnaissez donc que les hommes qui tiennent actuellement les leviers de commande du monde ne peuvent en aucun cas être issus du véritable système de santé. Ils viennent des âmes extrêmement morbides du complexe financier numérique mondial ou, comme l’a prouvé le nouveau chancelier allemand, ils sont au moins mêlés aux cercles financiers les plus influents. Mais les leviers de la domination mondiale sont également détenus par les parties corrompues de Big Pharma et leurs associés, par diverses sociétés secrètes de haut niveau et leurs vassaux souvent ignorants, etc. On en a déjà souvent parlé. Leurs véritables intérêts résident uniquement dans l’assouvissement de leurs désirs de pouvoir anormaux, qu’ils souhaitent pousser à l’extrême sur la voie de l’hyper-maximisation des profits, jusqu’à la domination ultime du monde.

Et l’humanité arrivera à cette destination, à moins que nous n’arrêtions enfin cette guerre hybride ! Mais si la communauté mondiale ne met pas un terme à cette évolution anormale par une décision mondiale claire ou par des décisions mondiales, ces dirigeants malades de l’argent numérique ne tarderont pas à émettre des décrets qui nous semblent aujourd’hui encore totalement impensables.

Alors rien de plus abject, de plus malsain ou de plus pervers ne sera impossible. Je vous le garantis ! Et que personne ne dise que je ne fais que fantasmer. Rappelez-vous la phrase que j’ai dite au début. Si tout ne va pas dans cette direction, avec ou sans le Covid, je serai un faux prophète.

Le Covid n’est qu’un des nombreux fléaux qui nous poussent vers le but ultime que je viens d’évoquer. Aujourd’hui déjà, ces fous, je ne peux pas les appeler autrement, nous obligent à commettre les actes les plus insensés, tu le sais de par ta propre expérience, et nous en avons expliqué des centaines dans nos émissions kla.tv ; mais demain, ces mêmes manipulateurs te couperont les vivres au moindre refus d’obéissance. Ce qui est malheureusement inconcevable pour la plupart des gens de ce monde, c’est le fait que ces maîtres de la contrainte exigeront toutes les perversions encore impensables aujourd’hui. N’oubliez pas à quel point il aurait été impensable, il y a vingt ans encore, que la théorie du genre fasse partie du programme politique mondial, ou que rien qu’en Allemagne, des centaines de milliers d’enfants soient arrachés à leurs parents chaque année, ou que le monde entier soit réduit à la plus stricte nécessité s’il ne se soumet pas à une expérience de vaccination massivement contestée, etc. Et pourtant, toutes ces choses et bien d’autres sont devenues des évidences depuis longtemps. Mais dès que l’argent liquide sera supprimé, tu pourras rapidement subir des prélèvements automatiques, voire des blocages de compte, pour tout écart par rapport au « politiquement correct » à venir. Je dis cela en tant que personne à qui les élites financières dénient depuis de nombreuses années, sans explication, toute solvabilité, bien que je n’aie jamais rien eu à me reprocher. Mais revenons à notre situation : il se pourrait aussi que les dirigeants mondiaux qui viennent d’apparaître trouvent bientôt préférable que tu te fasses vacciner encore plus, puis tester à nouveau, pour protéger la collectivité ; ou que tu changes volontairement de sexe au risque qu’on te bloque ton argent, afin de mieux t’intégrer dans leur image globale ; tu comprends ? Ou alors que tu cèdes tes enfants ou ton partenaire aux dirigeants pour le bien de l’État, sinon ton argent sera bloqué. Suis bien ce que je suis en train de dire.

Si tu commences à douter de moi, demande à ton dictionnaire ce que signifie « Jus Primae Noctis » (c’est-à-dire « droit de cuissage »).

Croyez-le ou non, c’était le droit légal des seigneurs médiévaux de passer la première nuit avec la femme d’un serf, d’un sujet, etc. qui venait de se marier. Oui, la première nuit ! Malgré toutes les moqueries sur les dérives médiévales, nous ne nous rendons même pas compte qu’actuellement, leurs coutumes inhumaines et le commerce des indulgences sont en train d’être décuplés.

Les maîtres de l’argent numérique pourraient aussi trouver tout à coup plus utile que tu partages ta maison avec des immigrés pour renforcer le sens de la communauté, sinon ton argent sera bloqué ; que tu travailles dans une autre profession pour mieux t’intégrer, sinon ton argent sera bloqué ! Ou que tu vives avec un partenaire plus approprié pour te ménager, sinon ton argent sera bloqué ! Vous comprenez de quoi je parle ? Ou que tu n’aies pas de partenaire du tout afin de te protéger. On peut tout décider pour toi, sinon ton argent sera bloqué !

Chacun peut continuer cette énumération à sa guise. Et, croyez-le bien, quoi que vous imaginiez d’impossible, ça pourrait toujours être pire. C’est ce que j’affirme avec conviction à ce stade !

Mais cela ne se produira que si la communauté mondiale n’entreprend pas très rapidement des démarches communes et ne prend pas de décisions à caractère obligatoire.

Je ne peux pas inclure dans cette partie la question de savoir par quels moyens et sous quelle bannière ces décisions mondiales sont prises. Que chacun se saisisse de ce qu’il peut. Que chacun agisse selon ses talents. Pour conclure, je vais juste esquisser trois des décisions mondiales les plus importantes parmi toutes celles que nous devrions prendre. Le premier point est le plus urgent :

  1. Prenons la décision mondiale de ne plus tirer aucun profit des crises, épidémies, pandémies, catastrophes et autres.
    Vous avez bien compris ? Cette décision mondiale de temps de crise doit s’appliquer aussi bien aux individus qu’à tous les types d’entreprises qui profitent de la crise, comme les banques, les entreprises pharmaceutiques, les assurances, les spéculateurs de toutes sortes, les associations, les gouvernements, les organisations caritatives, etc.
    Il est désormais inacceptable qu’une seule et même crise provoque d’un côté d’innombrables victimes tandis que de l’autre, une quantité vraiment infime de profiteurs cupides s’enrichissent sans mesure grâce à ces victimes. Ce n’est tout simplement pas possible. Ce premier point me semble donc, comme je l’ai dit, le plus urgent et le plus nécessaire, c’est la décision mondiale.
  2. Une deuxième décision mondiale doit être la préservation absolue de notre argent liquide pour les raisons susmentionnées et bien d’autres encore. Paye autant que tu le peux en espèces et témoigne partout que l’argent liquide est synonyme de liberté.
  3. Une troisième décision mondiale doit être prise pour y parvenir – il doit donc également y avoir une décision mondiale qui exige l’arrêt inconditionnel de la production de toute technologie de surveillance numérique. Avant tout, il faut empêcher et interdire la technologie 5G qui sert à cela. Elle est de toute façon extrêmement dangereuse pour notre santé, tout comme les générations précédentes d’ondes électromagnétiques.
    Enfin, il faut refuser à tous les médias à redevances obligatoires le droit d’être payés tant qu’ils refusent, comme ils le font depuis longtemps, de publier les contre-arguments et censurent les voix alternatives importantes de la vérité.
    Une fois de plus, il ne s’agit que de la pointe de l’iceberg. Je qualifierais la première décision mondiale – c’est-à-dire l’interdiction absolue de « tirer du profit de la crise » – d’obligatoire et les trois autres sont des options possibles.
    Encore un pronostic pour la fin : la prétendue pandémie se terminera du jour au lendemain si personne ne peut plus en tirer profit. Toute crise provoquée par les hommes se terminera exactement de la même façon.
    S’il vous plaît, diffusez si possible ces avertissements et ces appels sur vos canaux. Informez constamment ceux qui ne sont pas encore au courant. Prenez les choses en main et connectez-vous avec les personnes activement réveillées, partout où c’est possible et avec qui c’est possible.
    Je m’appelle Ivo Sasek, vous connaissez la suite…



2021 — Liste de sportifs professionnels et amateurs victimes des injections

[Source : etouffoir via Nicolas Bonnal]

[Photo : Daniel Aakervik]

« VACCINS » anticovid : des sportifs et des athlètes du monde entier perdent leur santé ou leur vie, par annexion tyrannique de leur droit à disposer d’eux-mêmes.

Cette liste, fantastique travail de mémoire en hommage aux sportifs sacrifiés de ce système, a été établie par un internaute du forum covid-factuel.fr

A

Aakervik Daniel : 17 ans (skieur de fond norvégien professionnel) Saison suspendue après une réaction grave à l’injection. Novembre 2021. 

Abgrall Mathieu : 36 ans pompier volontaire, sportif. L’homme fait un malaise à la caserne de Camaret-sur-Mer et après tentative de réanimation par ses collègues, il décède. Décembre 2021.

Abdel-Rahman Atef : 20 ans (footballeur professionnel égyptien de club de G.Mahalla) Mort en plein match. Mars 2021. 

Abriska Whitnée : 19 ans (handballeuse réunionnaise, équipe belge, club du Fémina Visé) Décède subitement alors qu’elle s’apprête à prendre l’avion pour revenir de La Réunion. Juillet 2021.

Aguero Sergio : 33ans (footballeur argentin professionnel, joueur star du F.C Barcelone, Espagne) En octobre 2021, il fait un malaise en plein match contre le Deportivo Alavés. Les médecins lui diagnostiquent une arythmie cardiaque. En décembre 2021, Aguero annonce mettre un terme à sa carrière pour raisons de santé.

Aukuso Lavea Sulamai : 48 ans (ex-joueur professionnel de rugby néo-zélandais, équipe des Manly Sea Eagles, Australie) Il décède d’une crise cardiaque pendant un entraînement. Décembre 2021.

Al Raqadi Mukhaled : 29 ans (footballeur omanais professionnel, club de Muscat, Oman) Victime d’une crise cardiaque pendant l’échauffement de son équipe, avant le match contre Swabik en championnat. Il est transporté à l’hôpital, mais malheureusement il décède. Décembre 2021.

Ali Abou : 22 ans (footballeur professionnel, joueur du club danois de deuxième division Vendyssel) Fait un malaise en plein match contre le club de Lyngby. Septembre 2021.

Alfasi Arik : 49 ans (entraîneur de la Premier League israélienne de basket) Malgré deux doses d’injection, l’homme jusqu’ici en bonne santé décède du covid, ses proches suspectant qu’il soit mort à cause des injections. Septembre 2021.

Alkhatib Jack : 18 ans (joueur d’une équipe de football américain du lycée Dutch Fork High School, South Carolina, USA) S’effondre après un entraînement et décède. Août 2021.

Allen Imogen : 22 ans (cavalière anglaise, championne de saut d’obstacles) Hospitalisée pour une réaction grave à la première injection Moderna en Juillet 2021, avec deux caillots de sang massifs sur ses poumons. Ne pourra plus jamais monter à cheval.

Amin Ahmed : 24 ans (gardien de but, équipe de troisième division égyptienne Al-Rebat & Al-Anwar SC, Port Saïd) Le joueur meurt d’une crise cardiaque juste après un entraînement. Décembre 2021.

Amoroso Jérémy : 37 ans (militaire français, caporal-chef 1ère classe du 13e Bataillon de chasseurs alpins) Victime d’un malaise après une « marche section » à l’île de La Réunion, il est évacué au centre hospitalier de Bellepierre avec un pronostic vital engagé. Malheureusement il décède deux jours plus tard. Décembre 2021.

Anchan Devaraj : 33 ans (joueur de volley-ball indien de niveau national)  S’effondre alors qu’il participait à un tournoi. Mort sur le chemin de l’hôpital. Mars 2021.

Antwi Emmanuel : 18 ans (Joueur de football américain du club Kennedy High School) Mort après malaise pendant un match. Mars 2021.

Apolinário Alex : 24 ans (footballeur professionnel brésilien, club portugais FC Alverca) Mort  après arrêt cardiaque en plein match. Janvier 2021. 

Archibald Josh : 28 ans (Joueur professionnel américano-canadien de hockey sur glace, équipe de des Oilers d’Edmonton, Canada) En congé indéfini en raison d’une myocardite. Octobre 2021.

Arias Guillermo : 31 ans (footballeur vénézuélien, club du Camaguán FC, troisième division) Meurt en plein match d’un arrêt cardiaque lors d’un tournoi régional. Septembre 2021. 

Armando Montiel Diego : 25 ans (footballeur professionnel argentin, club Atlético de Rafaela, division 2 d’Argentine) En Août 2021, le joueur confie ne plus jamais vouloir recevoir de vaccins, laissant entendre qu’il souffrait de symptômes après avoir reçu l’injection Covid. Il décède d’une méningite en Décembre 2021. 

Arney Moira Claire : 15 ans (jeune footballeuse américaine, club de Toros Academy) Morte pendant un match. Août 2021.

Astolfi Andrea : 45 ans (directeur sportif du Calcio Orsago, Italie) victime d’une crise cardiaque au retour d’un entraînement et décéde sans antécédents médicaux. Septembre 2021.

Azzopardi Ava : 14 ans (adolescente australienne, footballeuse du Runaway Bay Soccer Club, Queensland, Australie) La jeune fille s’effondre après être entrée sur le terrain de foot en Octobre 2021. Dans un état critique, elle est plongée dans un coma artificiel. Revient à la vie et passe plusieurs semaines en unité de soins intensifs pédiatriques. Porte désormais un défibrillateur.

B

Badara Wade Alioune : 28 ans (footballeur amateur sénégalais, équipe du Dakar University Club, Sénégal) Le joueur s’effondre lors d’un entraînement et décède d’un arrêt cardiaque. Décembre 2021 

Banks Isaiah : 16 ans (lycéen américain et joueur d’une équipe de football américain : Norcross High School, Georgia, USA) Mort subite. Novembre 2021.

Barklage Blake : 17 ans (lycéen américain et joueur d’une équipe de football américain : La Salle College High School, Wyndmoor, Pennsylvania, USA) L’adolescent décède d’un arrêt cardiaque après un match de football. Novembre 2021.

Barot Avi : 29 ans (joueur de cricket professionnel indien, club de Saurashtra) Mort d’une crise cardiaque. Octobre 2021.

Bartee Kimera : 49 ans (entraîneur et ex-joueur américain d’une équipe de baseball : les Detroit Tigers, USA) L’homme s’effondre et  décède alors qu’il rend visite à son père. Décembre 2021. 

Bayumi Imad : 45 ans (footballeur égyptien, ancien joueur de l’équipe de la République de Shebin) S’effondre sur le terrain et décède lors d’un match amical en Égypte. Juillet 2021. 

Bedodi simone : 40 ans (Joueur italien de baseball et entraîneur de l’équipe des Carega Park Rangers, Italie) Fait un malaise chez lui et décède. Octobre 2021.

Bell Amish : 20 ans (joueur de rugby du Blairgowrie RFC et étudiant de l’université d’Aberdeen, Écosse) Il fait un arrêt cardiaque pendant un entraînement et est ramené à la vie. Juin 2021. 

Berrier Franck : 37 ans (ex joueur footballeur professionnel français, entraîneur du club KV Ostende) Mort d’un arrêt cardiaque en faisant du sport. Août 2021.

Best Dale : 34 ans (rugbyman australien, équipe des Swans de Maroochydore, Queensland, Australie) Malaise cardiaque pendant un match. Décédé une fois arrivé à l’hôpital. Février 2021.

Betjes Wouter : 14 ans (joueur hollandais de hockey sur gazon) L’élève de l’école de Beverwijk s’effondre sur le terrain pendant un match avec ses copains de classe. Malgré une réanimation cardiaque, il décède plus tard à l’hôpital. Décembre 2021.

Biglione Ronald : 32 ans (footballeur professionnel argentin, équipe du Deportivo Club Independencia, Division 1 Argentine) Décède une semaine après avoir été diagnostiqué avec des caillots sanguins. Octobre 2021.

Binet Gaëtan : 27 ans (sportif et gendarme à la brigade de Port-Jérôme, Seine-Maritime, France) Alors qu’il fait un footing, il est victime d’un arrêt cardiaque et décède . Octobre 2021.

Bitktimirova  Arina : 19 ans ( Championne d’Europe de Taekwon-Do ITFArina Biktimirova) La jeune femme russe est décédée de morte subite. Novembre 2021.

Bitner Mélanie : 47 ans (femme d’affaires et sportive canadienne) La femme fait une réaction grave à sa première injection en Avril 2021 et est admise en urgence à l’hôpital général de Vancouver pour de multiples caillots sanguins. Aujourd’hui malade d’une thrombocytopénie immunitaire, elle a dû arrêter de travailler.

Bizu Borislav : 24 ans (canoé-kayakiste ukrainien, triple champion d’Europe et du monde) Mort d’une septicémie. Décembre 2021.

Blandini Christian : 20 ans (Jeune italien, une « étoile montante » du volley-ball de l’Université de Catane, Italie) Décède d’un arrêt cardiaque foudroyant . Septembre 2021.

Bommer Lucas : 25 ans (gardien de but de handball de l’équipe du HC TuRa Bergkamen, Allemagne) Mort subite. Octobre 2021.

Bos Sebastiaan : 19 ans (joueur de hockey sur gazon, équipe de Laren, Pays-Bas) Mort subite. Septembre 2021.

Böttcher Elly : 17 ans (Footballeuse allemande, club semi-professionnel de Rostocker FC, Allemagne) S’effondre sur le terrain de lors d’un match à Brandenburg et est évacuée à l’hôpital. Octobre 2021.

Bounds Adam : 41 ans (footballeur anglais amateur du Devon, Angleterre) Il fait une réaction grave à l’injection AstraZeneca et décède onze jours plus tard d’une hémorragie cérébrale à l’hôpital de Plymouth. Mai 2021.

Bowman Ryan : 29 ans (footballeur professionnel anglais, joueur de l ‘équipe de Shrewsbury, 3 ième division anglaise) Il est transporté d’urgence à l’hôpital après avoir souffert de palpitations cardiaques lors du match de League One contre Ipswich. Le médecin de l’équipe a constaté que son rythme cardiaque était de « 250 battements par minute » Octobre 2021.

Bozinovski Marko : 20 ans (joueur professionnel de handball du club RK Butel, Macédoine du Nord) Le jeune homme fait un arrêt cardiaque et décède hors match. Juin 2021.

Bradshaw Joe : 19 ans (joueur de football américain à l’université Charleston Southern) Fait un arrêt cardiaque et décède hors match. Mars 2021.

Braun Tim : 27 ans (footballeur amateur allemand, club du SV Hamberge, Schleswig-Holstein, Allemagne) Le joueur s’effondre pendant un match. Il sort du terrain et insiste pour pouvoir rentrer chez lui se reposer. Il va s’allonger mais malheureusement décède dans son sommeil. Juillet 2021.

Bruers Keanu : 19 ans (footballeur belge, club régional de Svelta Melsele, Flandres) Mort subite. 

Bristot Davide : 18 ans (joueur de voleyball amateur italien) Vacciné première dose Pfizer le 17 Juin 2021, il souffre de terribles maux de tête la deuxième semaine de Juillet, suivis de vomissements. Le 14 Juillet, sa mère le trouve mort au pied de son lit le matin. 

Brito Daniel : 23 ans (joueur vénézuélien de baseball, équipe des Phillies, Philadephia, USA) S’effondre sur le terrain pendant un match et doit subir une opération d’urgence. Juillet 2021.

Bruce Alex : 20 ans (rugbyman anglais, club de deuxième division des Batley Bulldogs) Le jeune homme est retrouvé mort dans une chambre d’hôtel française le lendemain de ses débuts en première division contre l’équipe de Toulouse. Août 2021.

Bryce Tevita : 28 ans (joueur de rugby tonguien, équipe de Montclair Rugby Football Club, USA) Arrêt cardiaque pendant un match de demi-finale de la ligue masculine du New Jersey. À environ 15 minutes de la fin du match, Tevita a donné un coup de pied dans le ballon et s’est effondré. Il a subi une crise d’épilepsie, une attaque cérébrale et une crise cardiaque majeure. Miraculeusement réanimé. Octobre 2021.

Bulu Charles : 34 ans (arbitre de foot ghanéen professionnel) S’effondre alors qu’il officie le match de qualification pour la Coupe d’Afrique des Nations 2021 entre la Côte d’Ivoire et l’Ethiopie. Emmené en urgence à un hôpital d’Abidjan. Mars 2021.

Butler Roy : 23 ans (footballeur professionnel irlandais, club anglais de Watford) Le 13 Août, après avoir reçu l’injection J&J, il souffre de graves maux de tête. Malaise général dans l’heure qui suit. Le samedi 14 août, il vomit et a des convulsions. Coma artificiel le 16. Décédé le 17.

C

Cabrera Óscar : 26 ans (basketteur dominicain, équipe de la quatrième division de la Liga EBA espagnole) À la fin du premier quart-temps, apparemment confus ou dans une sorte de transe pendant une seconde ou deux, le joueur reste statique, lâche le ballon de basket et s’effondre sur le sol. Transporté à l’hôpital. Décembre 2021.


Cabrera Roider : 30 ans (basketteur philippin professionnel, club de Terrafirma Dyip) Arrêt cardiaque juste après un match. Novembre 2021.

Čačic Marin : 23 ans (footballeur croate, troisième division de Croatie, club de Nehaj) Après s’être effondré pendant un entraînement, il est immédiatement transporté d’urgence à l’hôpital où il décède. Décembre 2021.

Cairns Chris : 51 ans (Joueur de cricket néo-zélandais, anciennement de l’équipe australienne Black Caps) En Août 2021, il fait une crise cardiaque massive et une rupture de l’aorte. Après de multiples opérations à cœur ouvert, il est aujourd’hui (Décembre 2021) paralysé et ne pourra peut-être plus remarcher.

Campo Alessandro : 25 ans. Frère de Vittoria Campo, trouvé mort chez lui deux jours après l’injection Pfizer. Septembre 2021.

Campo Vittoria : 23 ans (Footballeuse italienne du club de Palerme. Sœur d’Alessandro Campo) Morte après arrêt cardiaque. Octobre 2021

Campus Antonello : 53 ans (entraîneur de foot italien d’une équipe de jeunes de Sardaigne) S’effondre et meurt sur le terrain alors qu’il entraînait son équipe. Septembre 2021.

Canaday Sage : 35 ans (Coureur tchèque d’ultra-marathon) Après une chute sur l’Ultra Trail du Mont Blanc, il s’est avéré que le coureur est mort d’une embolie pulmonaire bilatérale et de caillots sanguins. Il était doublement vacciné et a commencé à avoir des problèmes en Mai au retour d’un vol. Après le rappel injection Pfizer, dans une vidéo il avait témoigné à ses fans avoir subi des effets secondaires sévères, notamment des difficultés à respirer. Juin 2021.

Cattigan Siobhan : 26 ans (joueuse de rugby professionnelle écossaise) Mort subite en novembre 2021.

Chabrera Dani : 29 (ex-footballeur professionnel espagnol du Villareal FC. Entraîneur des gardiens de but du Lokomotiv Tashkent en Ouzbékistan) L’homme est rentré en Espagne plusieurs jours après s’être senti mal et est décédé dans le pays. Décembre 2021

Chardy Jeremy : 34 ans (tennisman professionnel français) « Depuis que j’ai eu mon vaccin (entre les Jeux olympiques et l’US Open, ndlr), j’ai un problème, j’enchaîne les galères. Du coup, je ne peux pas m’entraîner, je ne peux pas jouer», a-t-il dit en expliquant ressentir de violentes douleurs partout dans le corps dès qu’il fait un effort physique. Septembre 2021.

Chedean Nation et Chinelle Henry : les deux jamaïcaines de 35 et 26 ans sont des joueuses de cricket professionnelles, de l’équipe Cricket West Indies. Les deux femmes s’effondrent à 10 minutes d’intervalle en plein match contre le Pakistan. Juillet 2021.

Chiazari Dean : 31 ans (champion de canoë-kayak sud-africain) Décède d’une crise cardiaque lors du marathon de canoë de Fish River, Afrique du Sud. Octobre 2021.

Coghe Rune : 18 ans (footballeur belge, club du KFC Eendracht Hooglede) Réanimé sur le terrain après arrêt cardiaque en plein match. Août 2021

Coman Kingsley : 25 ans (footballeur français professionnel, club du Bayern de Munich) Arythmie cardiaque. Septembre 2021.  

D

D’Arendonk Joppe Erpels, Verhagen Xander, Van Herck Yarno : (Trois cyclistes néerlandais, catégorie junior. Club de Campine) Les trois ados récemment injectés contre le Covid développent des problèmes cardiaques après une course. Direction l’hôpital, dont l’un des trois en soins intensifs. Août 2021.

Dagoury Florian : 34 ans (sportif français, recordman du monde en apnée statique) Myocardite, péricardite et régurgitation mitrale triviale suite vaccin Pfizer. Novembre 2021.
Dale Cameron : 29 ans (Navigateur australien) Décédé six semaines après un avc foudroyant. Août 2021.

Dalibor Nicky : 36 ans (footballeur allemand, Landesliga. Club de SV Olympia Schlanstedt) Le joueur fait un arrêt cardiaque en plein match lors de de la Bruch-Cup en Juillet 2021. Il est réanimé sur le terrain.

De Angelis Romina : 43 ans (volleyeuse italienne) S’effondre pendant un match avec des amis et décède d’une rupture d’anévrisme. Décembre 2021.

Dejan Oršuš : 24 ans (Footballeur professionnel croate, club d’Osk Otok) Décède après un match contre Radničkog en deuxième ligue de comté. Les médias croates ont rapporté que le jeune homme s’est effondré pendant le match. Il a été transporté à l’hôpital de Čakovec et les médecins n’ont pas pu l’aider. Cause du décès due à une crise cardiaque. Avril 2021.

De Jesus Moreira Fellipe : 18 ans (footballeur professionnel brésilien, équipe de l’Atlético-GO, Goiânia, Division 1 du Brésil) Le joueur fait un arrêt cardiaque à l’entraînement, est réanimé puis fait un deuxième arrêt cardiaque dans l’ambulance. Octobre 2021.

Dembélé Moussa : 25 ans (joueur professionnel franco-malien de l’Atlético Madrid. Malaise à l’entraînement, quitte le terrain pour recevoir des soins médicaux. Mars 2021.

De Lorenzo Luciano : 15 ans (jeune cycliste italien) Alors qu’il fait du vélo avec son père, l’adolescent fait un malaise et décède. Novembre 2021.

De Oliveira Faustino Riuler : 23 ans (footballeur professionnel brésilien, joueur du club japonais Shonan Bellmare) Mort d’une crise cardiaque. Novembre 2021.

De siano Domenico : 25 ans (basketteur italien et masseur de l’équipe Forio Basket, Campania, Italie) Le jeune homme décède après un mois à l’hôpital La Schiana de Pozzuoli, suite à une ischémie cérébrale dûe à des caillots de sang dans le cerveau. Décembre 2021.

De Smet Jens : 27 ans (footballeur amateur belge, club de FCC Filosoof) S’effondre et meurt en plein match. Septembre 2021.

De Vecchi Michele : 25 ans (étudiant et coureur de trail) Le jeune homme fait son jogging avec un ami dans les collines de Proseccoen Italie, et décède d’un arrêt cardiaque sur le sentier. Novembre 2021.

De wolff Niels : 27 ans (footballeur amateur belge, équipe des White Star Sombeke,Waasmunster, Belgique) Le joueur est victime d’un arrêt cardiaque après un match contre l’équipe de Warbrook. Réanimé par RCP et défibrillateur. Décédé à l’hôpital trois jours plus tard. Octobre 2021. 

Del Carmen Alvarado Ceylin : 23 ans (cycliste professionnelle néerlandaise, championne d’Europe de l’équipe Alpecin-Fenix) Carrière interrompue suite « perturbation de la numération sanguine » Octobre 2021.

Dimattina Paul :  47 ans (football australien, ex pro des Western Bulldogs) Se retrouve en soins intensifs après la troisième injection Pfizer (booster.) Novembre 2021. 

Dixon Bobby : (footballeur anglais, équipe de Cumbria, Angleterre) Le joueur s’effondre au début du match de Cumberland County League contre Gosforth à Gillford Park. Le staff utilise un défibrillateur pour le ramener à la vie. Décembre 2021.

Dixon Harriet : 15 ans (jeune anglaise sportive de Manchester, en bonne santé et qui avait l’ambition de devenir institutrice) La demoiselle a des migraines très fortes et soudain son état de santé se dégrade. Elle fait un arrêt cardiaque au domicile de ses parents et décède. Juin 2021.

Donadrian Robinson : 17 ans (étudiant, joueur d’une équipe de football américain : la Keenan High Scholl, Columbia, USA) Mort subite. Septembre 2021.

Dorozhkin Vladimir : 38 ans (entraîneur russe et athlète) Il est mort le jour même où il a reçu l’injection Spoutnik. Vacciné juste après midi, mort à minuit. Cardiomyopathie. Juillet 2021.

Dos Reis José : 29 ans (footballeur professionnel, club luxembourgeois Red-Black-Egalité 07)Arrêt cardiaque pendant match, miraculeusement réanimé sur le terrain. Août 2021.

Downey Jacob : 18 ans (Joueur de Hockey, étudiant canadien à l’Université Queen’s de Kingston) Mort subite. 29 septembre.

Downie Josh : 24 ans (joueur professionnel de cricket anglais, de la Nottinghamshire Cricket Board Premier League) mort après arrêt cardiaque à l’entraînement. Mai 2021.

Doyle Conor : 17 ans (étudiant américain et joueur de baseball de la Mustang High School, Oklahoma, USA) L’adolescent s’effondre à la suite d’un arrêt cardiaque pendant une séance d’entraînement matinale. Il est réanimé par les entraîneurs et emmené à l’hôpital. Novembre 2021. 

Dubrovolski Maxim : 17 ans (Footballeur russe amateur) S’effondre et décède pendant un match de la Ligue du Sud-Ouest de Moscou. Juin 2021.

DuHart Devon : 16 ans (joueur d’une équipe de football américain : les Tigers de Little Rock Central High School, Arkansas) Se plaint de sa santé après un entraînement et se rend à l’hôpital. Décède dans la foulée dans son sommeil. Juillet 2021.

Dumervil-Jean Dejmi : 22 ans (joueur d’une équipe de football américain : St. Thomas Aquinas Raiders, l’Université de Louisville, USA) Décède subitement en Novembre 2021.

Duran Ferran : 27 ans (footballeur espagnol, équipe de Maia CE, 4ième Division Catalogne, Espagne) En plein match l’équipe de contre Bescanó B, le joueur fait un arrêt cardiaque. Ramené à la vie grâce à un défibrillateur, nouvel arrêt cardiaque sur le terrain, puis deux autres à l’hôpital de Girona à son arrivée en hélicoptère. Miraculeusement ramené à la vie. Octobre 2021.  

E

Edwards Helen : Arbitre de foot professionnel anglaise. La jeune femme fait une crise cardiaque en plein match de qualification à la World Cup. Septembre 2021.

Elhard Mike : 39 ans (marathonien amateur américain de Minneapolis, USA) L’homme sort s’entraîner en vue du marathon de Chicago, s’effondre et décède peu de temps après le début de son footing. Septembre 2021. 

Elijah Hicks Antonio : 16 ans (joueur d’une équipe de football américain, la Citrus High School, à Inverness, en Floride, USA) L’adolescent fait un arrêt cardiaque alors qu’il s’entraîne avec l’équipe de football de son école. Il est transporté d’urgence au Citrus Memorial Hospital, situé à côté de l’école, mais décède un peu plus tard. Septembre 2021.

Elitok Halil : 25 ans (footballeur amateur turque, équipe de SG Gahmen, Allemagne) S’effondre juste avant un match au sommet de la Kreisliga A2 de football de Dortmund contre Eving Selimiye Spor. Plongé dans le coma artificiel à l’hôpital. Octobre 2021.

Englebert Michaël : 37 ans (footballeur amateur luxembourgeois, club d’Ortho, Belgique) Fait un malaise cardiaque dans le vestiaires après un match. Il est réanimé à l’aide d’un défibrillateur et transporté à l’hôpital de Bastogne, puis Liège. Décède le lendemain. Octobre 2021.

Eriksen Christian : 29 ans (footballeur danois professionnel, joueur star de l’Inter Milan) P.S : les sources sont contradictoires car certaines affirment que le joueur n’était pas vacciné, d’autres au contraire stipulent que son arrêt cardiaque – en Juin 2021, en plein match de l’Euro – a eu lieu 12 jours avoir reçu une injection Pfizer. Toujours est-il que Eriksen est un miraculé, réanimé in extremis à l’aide d’un défibrillateur. Il aura besoin d’un stimulateur cardiaque pour le reste de sa vie.

Eubank Sebastian : 29 ans (boxeur professionnel, fils du célèbre boxeur Sebastian Eubank)
Décède  d’une crise cardiaque pendant une séance de natation. Juillet 2021.

Esparza Nathan : 16 ans (Jeune joueur de football américain, lycée de Castaic High School, Californie, USA) Appelés au domicile de ses parents, les secours de Los Angeles n’ont pas pu réanimer le garçon qui est décédé d’un arrêt cardiaque. Juillet 2021.

Evans Alex : 31 ans (joueur amateur de rugby de l’équipe de Cwmllynfell RFC, pays de Galles) L’homme fait un arrêt cardiaque en plein match du championnat du pays de Galles. Malgré l’intervention des secours, qui tentent de le réanimer à l’aide d’un défibrillateur, il décède quelques instants plus tard. Août 2021.

F

Fathallah Haitem Jabeur : 32 ans (basketteur tunisien, équipe de troisième division italienne : Fortitudo Messina) Le joueur est décédé dans un hôpital de Reggio Calabria, après avoir été victime d’une crise cardiaque pendant le match de son équipe contre Reggio Calabria. Octobre 2021.

Faye Doudou : 35 ans (ex-basketteur professionnel sénégalais du Stade sportif sfaxien en Tunisie) Décède d’une crise cardiaque. Octobre 2021.

Felton Tom : 34 ans (Golfeur et acteur britannique, star de la série de films Harry Potter) S’effondre durant une partie de golf. Septembre 2021.

Ferchaud Diego : 16 ans (footballeur français amateur, ASPPT Caen) Malaise cardiaque en plein match. Septembre 2021.

Fleck John : 30 ans (footballeur professionnel écossais, joueur de l’équipe des Blades, Sheffield United Football) S’effondre en plein match contre Reading et est évacué en urgence du terrain sous oxygène, direction l’hôpital. Novembre 2021.

Follmer Greyson : 19 ans (étudiant américain de l’Ohio, USA. Athlète d’élite, membre des ROTC –   programme de formation des forces armées américaines dans les collèges et universités pour le recrutement et la formation d’officiers) Après sa deuxième injection Pfizer en mai 2021, le jeune homme développe en très peu de temps de graves complications cardiaques : myocardite aiguë.

Forstenlechner Leo : 12 ans (Jeune joueur autrichien de hockey sur glace qui a joué avec l’équipe des Gunners, Oberwart, Autriche) Le gamin décède après avoir été hospitalisé pendant quelques jours à la suite d’un arrêt respiratoire à son domicile.

Fraser Ewan : 30 ans (joueur de hockey sur gazon de Glasgow, équipe de Clydesdale HC) Le joueur est un miraculeusement réanimé par un ami après avoir fait un arrêt cardiaque pendant un match. Dix minutes après s’être effondré, il revient à la vie. Octobre 2021.

Frei Stefan : 36 ans (joueur d’une équipe de football américain : les Seatlle Sounders, USA) À cause de caillots sanguins en Mai 2021, le joueur doit être soigné avec des anticoagulants et ne reprend les matchs qu’en septembre. 

Freitas Vinicius : 20 ans (footballeur amateur du club Macaé Esporte FC, Brésil) Ancien athlète des catégories jeunes du club qui rêvait de jouer au football en tant que professionnel, le joueur est victime d’une crise cardiaque et décède. Décembre 2021. 



G

Gabriel 16 ans (jeune français de Haute-Garonne passionné de basket) Myocardite suite première injection) Septembre 2021

Gallucci Orlando : 49 ans (culturiste italien, entraîneur personnel et athlète décédé d’un arrêt cardiaque après une séance d’entraînement lors des Championnats Européens) Août 2021.

Gard Stéphanie : 19 ans (cavalière australienne) Tombe gravement malade après avoir reçu l’injection Pfizer. Neuropathie périphérique et péricardite. Novembre 2021.

Gare Lanny : 43 ans (joueur de hockey sur glace, équipe des Selber Wölfe, Allemagne)  Après un match contre l’équipe des Lausitzer Füchse, il fait une attaque cérébrale. Décembre 2021.

Garissone Innocent : 20 ans (Un des gardiens de but de l’équipe du P.S.G) Problème cardiaque. S’effondre et perd connaissance lors d’un match contre Chambly. Janvier 2021

Gavazzi Giani Chloe : 12ans (jeune joueuse de tennis italienne, membre de l’Académie Golarsa à Milan) Décédée subitement. Retrouvée morte à domicile par sa mère. Juin 2021

Georgiev Ivo : 49 ans (ex footballeur professionnel bulgare) Mort d’une crise cardiaque. Novembre 2021.

Gérard Joachim : 32 ans (tennisman professionnel belge, handisport) Malaise cardiaque, jeux paralympiques de Tokyo. Septembre 2021.

Gigante Sarah : 21 ans (cycliste olympique et champion australienne en titre du contre-la-montre) La jeune femme fait une réaction grave à l’injection : fortes douleurs thoraciques la contraignant à des hospitalisations répétées après les Jeux olympiques de Tokyo. On lui diagnostique une myopéricardite. Novembre 2021.

Giuliano Santo : 33 ans (Danseur professionnel italien) Victime d’une crise cardiaque cinq jours après avoir reçu la première injection Pfizer et est réanimé par le personnel hospitalier à l’aide d’un défibrillateur. Juillet 2021.

Glenn Jordan : 16 ans (jeune basketteur américain de la Wisconsin Lutheran High School) S’effondre lors d’une pause au début de la mi-temps d’un match. Malaise cardiaque, réanimation avec un défibrillateur, transféré à l’hôpital par ambulance. Janvier 2021.

Gomes Ricardo : 30 ans (footballeur professionnel cap-verdien, joueur de l’équipe du Partizan Belgrade, Serbie) Moins de six semaines après avoir reçu l’injection covid, le joueur s’effondre à l’entraînement. Graves séquelles. Saison de foot à priori finie. Décembre 2021. 

Goodwin Brandon : 26 ans (Joueur américain professionnel NBA, club d’Atlanta Hawks) Souffre de caillots sanguins peu après l’injection de COVID-19 en octobre 2021. Fin de carrière possible, toujours sur la touche 7 mois plus tard.

Goszko Michelle : 44 ans (joueuse de cricket australienne, directrice des North Sydney Bears cricket ) Fait une attaque cérébrale foudroyante et est transportée en urgence à l’hôpital. Novembre 2021.

Gourdon Kevin : 31 ans (rugbyman professionnel, membre du XV de France et de l’équipe de La Rochelle) Il doit mettre un terme à sa carrière suite à un problème cardiaque. Décembre 2021.

Gouveia Jenn : 38 ans (amatrice canadienne, fan de course à pieds) Arrêt cardiaque alors qu’elle faisait son footing à High Park, Toronto. Transportée en urgence à l’hôpital. Décédée. Juillet 2021. 

Graham Sofia : 27 ans (bodybuilder américaine, décède pendant une préparation à la NPC North Americans. Août 2021.

Graham Hansen Caroline : 26 ans (footballeuse professionnelle norvégienne, joueuse du club de Barcelone. Malaise cardiaque pendant la mi-temps d’un match de championnat contre la Real Sociedad. Octobre 2021.

Greb Lukas : 34 ans (entraîneur et footballeur amateur allemand, club du SV Mardorf, Allemagne) Il fait un arrêt cardiaque alors qu’il s’apprête à prendre la parole devant son équipe, pendant la mi-temps d’un match contre le SV Schönstadt. Ramené à la vie grâce à un défibrillateur, il placé en soins intensifs et dans un coma artificiel. Il s’en réveille trois jours plus tard. Novembre 2021.

Greenway Tom : 38 ans (ex-jockey professionnel anglais) Mort subite. Novembre 2021

Gross Jalen : 18 ans (jeune américain de Milwaukee, basketteur de la Marshall High School ) Il meurt d’un arrêt cardiaque en plein match lors d’un tournoi de basket : le All-American Showcase à Chicago. Juin 2021.

Guedez Alexaida : 30 ans (marathonienne vénézuélienne) Décède d’une crise cardiaque lors d’une course dans l’état de Carabobo, Vénézuela. Août 2021.

Gurajdowski Michal : 40 ans (arbitre polonais de la Ligue de football de la WL et parkrunner) Mort subite. Décembre 2021.

Gut-Behrami Lara : 30 ans (coureuse suisse de Coupe du monde de ski alpin) Depuis son injection  en octobre 2021, elle a eu des difficultés respiratoires extrêmes et se plaint d’effets secondaires sévères. Malgré les deux injections, elle tombe malade du Covid courant Décembre.

H

Hagler Marvin : 66 ans (ancienne star de la boxe professionnelle, champion mondial incontesté des poids moyens entre 1980 et 1987) Effets secondaires sévères après l’injection : il est transporté d’urgence à l’hôpital pour des douleurs à la poitrine et des difficultés à respirer avant de mourir quatre heures plus tard selon son fils, James. Mars 2021.

Hall Jamarcus : 16 ans (lycéen et joueur d’une équipe de football américain : les Hilltoppers de la Houston High School, USA) L’adolescent décède le jour où son équipe doit jouer les éliminatoires d’une compétition. Novembre 2021.  

Haman Andy : 54 ans (culturiste américain) Mort d’une embolie pulmonaire. Mars 2021.

Hamilton Jamie : 19 ans (footballeur professionnel écossais, équipe The Accies, Écosse)  Le joueur s’écroule lors d’un match contre le club de Arbroath. Il doit être sorti du terrain alors qu’il se tient la poitrine. Novembre 2021.

Hans Aurélie : 21 ans (ex-footballeuse française amatrice du FC Vendenheim, Alsace, France) L’étudiante en sciences sociales à l’université Strasbourg succombe à un arrêt cardiaque foudroyant. Décembre 2021.

Haralson Parys : 37 ans (ex star de football américain de plusieurs équipes professionnelles de la National Football League, USA) Décédé de mort subite, hors match. Septembre 2021.

Harrison Maxwell : 21 ans (danseur de salon international anglais) Douleurs thoraciques et  difficultés respiratoires cinq jours après la deuxième injection Pfizer. Hospitalisé, on lui diagnostique une péricardite. Carrière de danseur compromise pour au moins un an. Décembre 2021. Touché par ce qui lui arrive, le jeune homme a pris la parole à la télé, sur Britain’s news channel : « Je suis pro-vaccins et je pense que les gens doivent faire leur devoir en protégeant les autres! Mais nous avons besoin d’une conversation nationale sur les implications potentielles du vaccin sur la santé. Plus de mensonges! »

Hatvani Kosinová Alena : 46 ans (culturiste tchèque) Sur le point de participer au NPC/Pro
League Europa Pro 2021, elle décède après avoir été transportée à l’hôpital à Alicante. Août 2021.

Harward Richard : 24 ans (basketteur professionnel américain, équipe des BYU, USA) S’effondre sur le terrain lors d’un match d’exhibition contre Colorado Christian le 4 novembre. En Décembre 2021, Le joueur annonce qu’il se retire du basket-ball en raison de problèmes cardiaques.

Hayes Jimmy : 31 ans (Joueur professionnel Hockey sur glace. Club américain Les Devils du New Jersay) Décédé, Hors match. Août 2021.

Hegedüs Viktor Marcell : 18 ans (footballeur professionnel hongrois, Tarr Andráshida)
Le jeune homme s’effondre et décède pendant un échauffement à l’entraînement. Juin 2021.

Henderson Laura : 42 ans (amatrice écossaise de cross) Arrêt cardiaque pendant un entraînement.
Morte quelques jours plus tard. Mars 2021.

Ho Baek Sang : 20 ans (joueur de baseball d’origine coréenne, élève de l’université George Mason, Virginie, USA) Le jeune homme développe des caillots de sang après une opération bénigne et décède. Juin 2021.

Hoffman Jedd : 15 ans (lycéen et footballeur d’une équipe de football américain : Park City High School, Montana, USA) L’adolescent décède une semaine après avoir fait un arrêt cardiaque lors d’un entraînement. Novembre 2021.

Hicks Ivan : 16 ans (joueur d’une équipe de football américain, la Philadelphia High School, USA) Meurt en plein match pendant une mêlée. Crise cardiaque. Juin 2021.

Hirata Ryōsuke : 33 ans (joueur japonais professionnel de baseball, club des Chuchini Dragons. Développe une angine atypique (maladie cardiaque) Juillet 2021.

Holman Hayden : 22 ans (Marathonien américain de Sugar City, Idaho, USA) S’est effondré pendant le marathon de St. George dans l’Utah. Réanimé dans un premier temps. Décédé à l’hôpital. Octobre 2021.

Hueter Florian : 33 ans (entraîneur autrichien d’une équipe de football américain : les Swarco Raiders Tirol, Innsbruck, Autriche) Mort subite. Décembre 2021. 

Hyde Dave : 29 ans (rugbyman, club du Henley Football Club, Australie) S’effondre et meurt après un match, après avoir subi deux arrêts cardiaques. Septembre 2021.

I

Ibushi Kōta : 39 ans (catcheur star internationale japonais de la fédération de catch New Japan Pro Wrestling) En juillet 2021 il développe des problèmes respiratoires suite à l’injection. Plusieurs mois plus tard, il ne peut toujours pas remonter sur un ring la presse soutient que son état de santé ne s’est pas dégradé à cause de l’injection. Vrai ou faux?

Icenogle Zachary : 19 ans (basketteur et volleyeur au Carthage College de Kenosha, Wisconcin, USA) Mort subite dans son sommeil.

Ingebrigtsen Filip : 28 ans (coureur norvégien professionnel du 1500m) Souffre d’un manque d’énergie pendant plusieurs mois et n’a pu terminer qu’une seule séance d’entraînement après avoir reçu l’injection en Mars 2021.

Ishkeldin Maxim : 31 ans (champion du monde de hockey sur gazon, joueur professionnel de l’équipe russe SKA-Neftyanik) Décède subitement à Novossibirsk, à la suite un problème de coagulation sanguine. Juin 2021. 

Islam Mohammad : 30 ans (footballeur, club de Raziq, Pakistan) S’effondre pendant un match de la coupe du Balochistan Deputy Commissioner, dans la ville de Chaman. Octobre 2021. Décède à l’hôpital.

Ivory Joshua : 15 ans (footballeur américain, élève de la Southwest High School de Macon, Géorgie, USA) S’effondre et meurt pendant un entraînement. Juillet 2021.



J

Jajov Adenan : 30 ans (footballeur amateur macédonien) Trois jours après la deuxième injection Pfizer, l’homme – qui vivait avec des connaissances à Piansano en Italie – jouait au football à cinq sur le terrain du village. Lors d’une pause, il s’effondre sur un banc d’une hémorragie cérébrale et décède. Novembre 2021.

Jelagat Morwa Yvonne : 27 ans (athlète kényane, membre du Volare Sports Running Club, basé à Iten, Kenya) La jeune femme en pleine santé décède peu après une course, à la surprise de ses proches sous le choc. Août 2021.

Jelovac Stevan : 32 ans (basketteur professionnel serbe, équipe de AEK Athens, Grèce) S’effondre en plein match d’une attaque cérébrale. Décède trois semaines plus tard en Décembre 2021.

Jenkins David : 31 ans (Entraîneur de plongeon acrobatique de la Grande-Bretagne pour les Jeux olympiques de Tokyo 2020 et entraîneur principal du Dive London et London Aquatics Center) Mort subite. Octobre 2020.

Joao Kisonga Alexandre : 37 ans (basketteur professionnel, d’origine angolo-congolaise, équipe de   Corsico Basket, Lombardie, Italie) Il développe une périmyocardite aiguë après l’injection Moderna et doit être hospitalisé. Six mois plus tard, il ne peut toujours pas jouer. Juin 2021

John Matty : 33 ans (bodybuilder australien) Péricardite suite injection Pfizer. Décembre 2021.

Johnson Joshua : 16 ans (joueur de football américain, lycée William Monroe de Stanardsville, Virginie, USA) En vacances  avec sa famille,alors qu’il pêche avec son père, il décède subitement. Juin 2021.

Jones Craig : 29 ans (Ceinture noire et champion du monde australien de jiu-jitsu brésilien) ne peut plus s’entraîner ni combattre après une injection Covid. Avril 2021.

Jovani Trejo Ethan : 16 ans (joueur d’une équipe de football américain, lycée de Princeton High School, New Jersey, USA) Lors d’un entraînement, il fait un arrêt cardiaque et décède un peu après son arrivée à l’hôpital. Juin 2021

K

Kalu Samuel : 24 ans (footballeur professionnel nigérian, club des Girondins de Bordeaux) Malaise en plein match. Août 2021. 

Kamaruddin Haziq : 27 ans (archer olympique malaisien) Le double champion olympique est mort d’une maladie coronarienne, dix jours après la deuxième injection Pfizer en Mai 2021 . 

Karlsson Erik : 23 ans (athlète suédois de l’équipe Högby IF, Suède) Il fait un arrêt cardiaque dans le dernier kilomètre de la course Sylvesterloppet à Kalmar. Transporté à l’hôpital en ambulance, il décède quelques jours plus tard.  Décembre 2021. 

Kazmarek Jake : 28 ans (culturiste américain) Décède 4 jours après avoir reçu sa deuxième dose de l’injection Moderna. Octobre 2021.

Khambikova Aliya : 21 ans (Joueuse de volley-ball russe, club de deuxième division d’Ufimochka-Ugntu, Russie) Des rumeurs dans la presse annoncent que la jeune femme est décédée du Covid, mais l’entraîneur de l’équipe révèle que c’est d’une maladie grave et foudroyante. Novembre 2021.

Kyeong-Bo Kim : 20 ans (star e-sport américaine des jeux vidéos, équipe des Fusion de Philadelphie, USA) Mort subite. Novembre 2021.

Kidd Jayson : 12 ans. L’enfant s’effondre et décède en jouant au basket à l’école de Chartiers Valley, Pittsburgh, USA. Octobre 2021.

Kido Markis : 36 ans (star indonésienne du Badminton, médaillé or olympique en double) Décède d’une crise cardiaque alors qu’il jouait dans un complexe sportif à Tangerang, Indonésie. Juin 2021.

King Branson : 23 ans (joueur de hockey sur glace américain de l’Université de Pennsylvanie, USA) Mort subite.

Kinoshita Yusuke : 27 ans (joueur japonais de base-ball professionnel, club de Chunichi Dragons) Fait un malaise alors qu’il jouait au base-ball en Juin 2021. Décède à l’hôpital en Août 2021.

Kirsch Benedikt : 25 ans (footballeur allemand, capitaine de l’équipe du SpVgg Bayreuth, 4ième division allemande) S’effondre en plein match et est transporté à l’hôpital. Octobre 2021. 

Klose Miroslav : 42 ans (ancien footballeur professionnel allemand et entraîneur adjoint du Bayern Munich) Souffre de caillots de sang dans la jambe suite injection Covid en Mai 2021. Il a dû arrêter d’entraîner. Il attend que le traitement médical aide à son rétablissement avant une éventuelle reprise

Knowles Cienna : 19 ans (Cavalière australienne) Hospitalisée pour caillots sanguins suite injection Pfizer. Octobre 2021.

Khosh Hava Navid : 30 ans (footballeur iranien, ancien défenseur de l’équipe de football U23 d’Iran) L’homme décède des suites d’une crise cardiaque. Décembre 2021.

Kozek Krystian : 17 ans  (footballeur amateur polonais, équipe de Wisłok Strzyżów, Division 3 Pologne) Le jeune homme décède de mort subite. 

Krsić Aleksandar : 30 ans (football professionnel serbe, équipe du FK Radnicki, Division 1 Serbie) Le joueur fait un arrêt cardiaque pendant l’entraînement. Il meurt dans l’ambulance en route vers le centre clinique de Novi Sad. Novembre 2021.

Kruglova Anna : 27 ans (championne de l’équipe nationale russe de taekwondo) Le site de réseau social Vkontakte stipule que la jeune femme est décédée deux jours après l’injection. Octobre 2021.

Kuhn Shawn : 21 ans (étudiant en Sport Management de l’Université de Géorgie, USA) Après une deuxième injection Pfizer en Mai 2021, il réagit mal. Il développe une pneumonie sévère en plein mois d’Août et sa santé se détériore rapidement. Il décède en Octobre 2021.

Kwemoi Soet Gilbert : 23 ans (athlète kényan professionnel, ancien médaillé or olympique 1500m) S’effondre à son domicile de Kitale et décède un peu plus tard à l’hôpital. Août 2021.  

L

Laksour Badr : 41 ans (footballeur amateur, club de Rasteau, France) Lors de la Coupe Grand Vaucluse, alors que son équipe affronte Avignon, le joueur s’écroule quelques minutes après être entré en jeu. Malgré la prise en charge des secours, il décède. Octobre 2021.

Lartillot Frédéric : 49 ans (footballeur français amateur, association des vétérans du football de Nurieux-Volognat) Mort dans les vestiaires, après un match. Septembre 2021.

Lawrinas Nickolas : 17 ans (étudiant américain footballeur, équipe des Tigres du MCHS) Mort subite. Mai 2021.

Leavey Jalen : 19 ans (étudiant et joueur d’une équipe de football américain : Philadelphia High School, USA) Le jeune homme décède en rentrant sur le campus après un match.

Lebel-Farrell Kamila : 19 ans (étudiante canadienne, joueuse de l’équipe de basketball de l’Université Queen’s) Décédée. Elle s’effondre en s’étirant avant son jogging matinal. Juin 2021.

Lefèvre Simon : 21 ans (footballeur belge, Ligue de la Coupe, équipe de Mons Nord) Malaise cardiaque en plein match. Décembre 2021.

Lefèvre Martin : 16 ans (footballeur français d’Agneaux) Malaise en plein match de coupe Gambardella. Octobre 2021. Le gamin tombe subitement sur le terrain, paralysé de tout le côté droit, il perd la parole mais reste conscient) Diagnostic à l’hôpital : AVC ou inflammation d’une artère du cerveau.

Leite Costa Marilio : 48 ans (coureur de fond professionnel portugais) Disparaît lors d’un cross country à Marco de Canaveses, au Portugal. Un autre coureur dit l’avoir vu à 3 km de la ligne d’arrivée, assis et se reposant. Interrogé sur le fait de savoir s’il avait besoin d’aide Leite Costa répond qu’il ne fait que récupérer l’effort et qu’il va bientôt reprendre sa course. On le retrouve dans une ravine 2 jours plus tard. Décédé. Sa famille affirme « que l’injection Pfizer contre le Covid-19 deux jours avant la course pourrait être la cause. Juillet 2021. 

Lemaître Christophe : 31 ans (sprinter français) Il doit renoncer aux J.O suite réaction à l’injection. Juin 2021.

Lever Jake : 25 ans (Joueur de football australien de l’équipe des Demons, Melbourne F.C, Australie) Il s’effondre sur la pelouse en plein entraînement. Décembre 2021.

Liénard Dimitri : 33 ans (footballeur français professionnel, club de Strasbourg) Malaise sur le terrain. Septembre 2021.

Lima Robert : 49 ans (Ancien footballeur professionnel de l’Olympia, originaire d’Uruguay) Mort d’un arrêt cardiaque alors qu’il jouait au football avec des amis. Juin 2021.

Lindelöf Victor : 27 ans (footballeur suédois professionnel, jouant à Manchester United) Obligé de quitter le terrain pendant un match contre Norwich car ne se sent pas bien (douleurs thoraciques, du mal à respirer) Décembre 2021.

Lodhgar Murtaza : 45 ans (entraîneur de l’équipe de cricket de Mizoram, Inde) Lors d’un déplacement sportif avec son équipe, l’homme meurt d’une crise cardiaque après un dîner. Septembre 2021. 

Lokar Soufiane : 30 ans (footballeur professionnel et capitaine de l’équipe d’Algérie Mouloudia Saida) S’effondre et décède en plein match de ligue 2 algérienne suite à une crise cardiaque. Décembre 2021.

Lombard Andréa : 21 ans (jeune française, gendarme et passionnée de rugby) La gendarme mobile était basée en Ariège, et appartenait à l’escadron 33/6 de Pamiers. Elle décède à l’hôpital après un accident vasculaire cérébral. Octobre 2021.

López Antonio : 32 ans (footballeur professionnel espagnol de l’équipe Real Murcia, Division 2 Espagne) Le joueur souffre d’une cardiomyopathie qui, inévitablement, l’oblige à prendre sa retraite du football. Octobre 2021.

López Jony : 16 ans (footballeur amateur, club Sol del Este, de la ville de Ciudad del Este, Paraguay) L’adolescent s’effondre et décède lors d’un entraînement. Novembre 2021.

Loth Frédéric : 40 ans (footballeur amateur français, équipe de Salouël RC) Il fait un arrêt cardiaque après un entraînement de football à Salouel. Sauvé par un massage cardiaque et un défibrillateur. Juin 2021.

Lucchu Clément : 25 ans (basketteur camerounais, ex joueur du club universitaire philippin de Manille, le College of Saint Benilde Blazersen) Mort d’un arrêt cardiaque. Février 2021.

Lugo Antonio Miguel : 17 ans (étudiant joueur de football américain, club de Wallkill High School’s) Mort suite à un malaise, juste après entraînement. Mars 2021. 

Lugo Julio : 45 ans (ancien joueur dominicain professionnel de baseball – 20001-2011 – vainqueur des World Series avec son équipe des Red Sox, Boston, USA) Décédé d’une crise cardiaque. Novembre 2021.

Luker Logan : 17 ans (Capitaine de l’équipe galloise de rugby du Penygraig, Pays de Galles) Mort subite. Novembre 2021.

Luyssen Greg : 22 ans (cycliste belge professionnel) Annonce qu’il met un terme à sa carrière suite à des lésions cardiaques induits par l’injection Pfizer. Novembre 2021. 

M

Macedo Bruno : 22 ans (footballeur français du FC Nueil-les-Aubiers, en équipe réserve) mort subitement à son domicile. Novembre 2021.

Magden Ben : 36 ans (ex basketteur australien professionnel) Péricardite. Décembre 2021.

Maqsood Anwar : 44 ans (joueur de cricket gallois, équipe de Sully Centurions, à Glamorgan, Pays de Galles) Décède d’une crise cardiaque en plein match. Juillet 2021. Dead

Marcon Francesca : 38 ans (volleyeuse professionnelle italienne, club de Bergame) La joueuse développe une péricardite. Août 2021.

Marques Edgar : 20 ans (footballeur amateur portugais, équipe de Pedrógão de São Pedro, Beira Baixa, Portugal) Le jeune homme s’effondre au milieu de la deuxième mi-temps d’un match. Il est transporté en urgence à l’hôpital Amato Lusitano de Castelo Branco. Décembre 2021.

Martínez Canosa Ezequiel : 20 ans (footballeur amateur du club de Fisterra, Espagne) Alors que son équipe joue contre le club de Puebla, le joueur fait un malaise et s’effondre sur le terrain. Il dit avoir ressenti un pincement très fort au niveau du cœur et ne plus pouvoir respirer. Novembre 2021.

Matos Ian : 32 ans (plongeur acrobatique brésilien qui a participé aux Jeux olympiques de 2016) Il décède après avoir été hospitalisé pendant deux mois d’une infection de la gorge, qui s’est finalement propagée à son estomac et à ses poumons. Décembre 2021.

McGonagle Meaghan : 41 ans (Femme professeur et entraîneur de volley-ball des garçons et des filles de la Cranston High School East, Rhode Island, USA) Décès suite maladie foudroyante.

McKee Dimitri : 17 ans (joueur de l’équipe de football américain Lee-Montgomery, Alabama, USA) Le jeune homme perd connaissance après un entraînement et est transporté à l’hôpital où il décède. Août 2021. 

Meadows John : 49 ans (culturiste américain) Mort d’une embolie pulmonaire. Août 2021.

Mears Dave : 58 ans (ancien champion d’arts martiaux anglais) L’homme est sur un long chemin de guérison et d’adaptation après une réaction indésirable suite à l’injection AstraZeneca le 4 mars 2021. En Avril, alors que son état de santé se dégrade, il fait une thrombose veineuse profonde et doit être amputé d’une jambe.

Méchin Antoine : 31 ans (triathlète français professionnel) Suite à une première injection Moderna le 28 juin 2021, le triathlète ressent une oppression et un manque de souffle, le 17 juillet lors d’une course trail, toujours cette sensation d’oppression très présente, douleur au bras gauche.
Le lendemain 18 juillet, après un examen à l’hôpital de Saintes, pas d’inquiétude selon le médecin, rien à signaler, le stress et la fatigue sont sûrement les causes des symptômes. Le 16 août, il fait sa deuxième injection Moderna — pour pouvoir nager en piscine, c’est obligatoire. Le 13 septembre les mêmes symptômes persistent (impression d’oppression, de souffle court, de poids sur le sternum).,
 Rendez-vous à la clinique du sport à Bordeaux le 21 septembre avec le médecin cardiologue qui annule tout de suite les tests d’effort, soupçonnant une embolie. Le médecin et ses collègues lui expliqueront que « depuis quelque temps nous avons un nombre croissant de patients sportifs dans le même cas ! » Le médecin décide de lui donner rendez-vous en urgence pour une scintigraphie pulmonaire. Comprenant l’arnaque vaccinale, Antoine Méchin dira : « Je suis désormais sous traitement et j’espère retrouver mes capacités pulmonaires (dans 3-6-9-12 mois ?) En attendant : repos et basse intensité pendant plusieurs mois. » « Abîmer la santé des personnes en pleine forme pour préserver la santé des plus faibles, un choix d’une logique implacable. »

Melandez Andres : 20 ans (joueur de baseball américain, équipe des Guardians, Cleveland, USA) Mort subite. Décembre 2021.

Mendoza Manuel Hector : 16 ans (Athlète de l’Institut municipal des sports et loisirs d’Ensenada, Mexique. Club d’athlétisme des Halcones Zinnia Garayar) L’adolescent meurt d’une crise cardiaque lors d’un entraînement. Octobre 2021.

Mirosavljević Nemanja : 25 ans (ex-footballeur professionnel serbe, club de de Grafičar, division 2 Serbie, et entraîneur équipe de jeunes) Le jeune homme fait un arrêt cardiaque et décède après 7 jours de coma. Décembre 2021.

Moa Taniela : 36 ans (ancien joueur tongien international de rugby à XV des Tonga, qui a joué principalement en Nouvelle-Zélande et en France) Mort subite. Décembre 2021.

Moira Claire Arney : 15 ans (Joueuse de football américaine du lycée de McAllen, au Texas) S’effondre et décède pendant l’entraînement.

Morando Filippo : 37 ans (joueur amateur italien de football, Padoue, Italie) Il s’effondre pendant un jogging. Réanimé par d’autres personnes présentes, il est transporté à l’hôpital puis est renvoyé chez lui. Décède 5 jours plus tard. Octobre 2021.

Moscon Giani : 27 ans (cycliste professionnel italien, club de Ineos Grenadiers) Le 4ième du Paris-Roubaix 2021 doit subir des investigations médicales après des anomalies du rythme cardiaque. Octobre 2021.

Mosheur Raman : 16 ans (Jeune homme sportif originaire du Bangladesh) Vacciné fin Août 2021 avec l’injection Moderna, il développe de multiples symptômes tels qu’une forte fièvre et des maux de tête sévères. Décède quelques jours plus tard en Octobre à l’hôpital de Venise, Italie.

Moses Lee : 29 ans (footballeur néo-zélandais, club des Maristes de Palmerston North) Il décède d’une crise cardiaque au cours d’une séance d’entraînement. Août 2021.

Mould-Leonard Sammy : 19 ans (étudiant anglais et footballeur, équipe de Texas A&M International University men’s soccer, USA) Deux jours après deuxième injection Moderna, caillot de sang dans les poumons, altération de la capacité à parler, marcher et respirer. Décembre 2021.

N

Nair James Rory : 26 ans (jeune néo-zélandais, en bonne santé et sportif amateur) Ville de Dunedin, New-Zealand. Palpitations cardiaques pendant plusieurs jours suite à l’injection PfizerDécède douze jours après la piqûre. Novembre 2021.

Ni Heldhin Daire : 29 ans (joueuse irlandaise de football gaélique de la Young Ireland GAA de Dundalk, Irelande) Elle fait un malaise et décède pendant ses vacances à Prague. Novembre 2021.

Nikoličová Julija : 38 ans (ex-volleyeuse professionnelle macédonienne d’origine ukrainienne, 60 sélections en équipe nationale de Macédoine et championne de France avec l’Arvor 29 en 2012) Décédée d’une crise cardiaque. Octobre 2021.

N’Sakala Fabrice : 31 ans (footballeur professionnel congolais, club de Besiktas Istanbul) Malaise en plein match. Août 2021.

Nsofor Chinoyelum Cayetano : 13 ans. (Le garçon est un adepte du football américain, lycée Legacy High School, Las Vegas, USA) Il décède pendant un entraînement. Juin 2021. 

Nuis Kjeld : 31 ans (patineur de vitesse professionnel néerlandais, double médaillé or olympique) Péricardite une semaine après 1ère injection Pfizer. Juillet 2021. 

Núñez Martín Juan Manuel : 17 ans (jeune basketteur espagnol, équipe de Málaga, Espagne) Mort subite. Juillet 2021.


O

Obiang Pedro : 29 ans (footballeur professionnel équato-guinéen, joueur de l’équipe italienne Sassuolo) Hospitalisé suite myocardite. Août 2021. 

O’Donnell Tim : 41 ans (Triathlète professionnel, 22 fois victorieux dont 2 Ironman) Crise cardiaque pendant une compétition. Mars 2021

Ojeda Suárez Luis : 20 ans (footballeur argentin professionnel, ex-titulaire du club espagnol UD Las Palmas. Mort subite. Avril 2021.

Olguin Alberto : (Jeune caddie mexicain de golf PGA pour Manuel Torres) S’effondre et décède d’une crise cardiaque sur le parcours lors d’un événement du Tour Latinoamerica au Mexique. Octobre 2021.

Oršuš Dejan : 24 ans (footballeur professionnel croate du NK Otok) Crise cardiaque en plein match. Décède un peu plus tard à l’hôpital du comté de Čakovec. Avril 2021.

P

Pálsson Emil : 28 ans (footballeur professionnel islandais, joueur de l’équipe de Sogndal, deuxième division norvégienne) Il fait un arrêt cardiaque foudroyant lors d’un match contre Stjordals-Blink. Réanimé par l’équipe médicale présente sur place, il est transporté à l’hôpital. Novembre 2021.

Paollaci Teddy : 42 ans (footballeur amateur, club de Ourville-en-Caux) Malaise cardiaque dans les vestiaires après le match. Octobre 2021.

Parks Keaton : 24 ans (footballeur professionnel américain (soccer), club de New York) Doit interrompre ponctuellement sa saison en raison de caillots sanguins. Novembre 2021.

Payton Carmyne : 15 ans (élève d’une école de Long Island, New York, USA) Il s’effondre pendant l’entraînement d’un stage de basket-ball scolaire et décède d’un arrêt cardiaque. Novembre 2021. 

Pedretti Fabio : 24 ans (traileur italien) Arrêt cardiaque pendant une course. Décédé peu après à l’hôpital. Décembre 2021.

Peeters Daouda : 22 ans (footballeur professionnel belge, milieu de terrain de la Juventus de Turin, Italie) En Novembre 2021, on lui diagnostique avec une neuropathie, des troubles sensoriels et des difficultés motrices. 1 mois plus tard, il ne peut toujours reprendre le foot pense à une fin de carrière

Pérez Francisco : 35 ans ( sportif espagnol et militaire de la caserne d’Aizoáin, Navarre, Espagne) 17 jours après l’injection AztraZeneca, il fait une thrombose du sinus cérébral avec thrombocytopénie et hémorragie cérébrale et décède. Mai 2021.

Perrier Michaël : 32 ans (footballeur suisse professionnel, équipe de Stade Lausanne Ouchy, deuxième division suisse) Suite à la première dose de l’injection Moderna en Avril 2021, lors d’un entraînement le joueur est victime d’un grave arrêt cardiaque. Reçoit 5 chocs d’un défibrillateur, puis reste 3 jours dans un coma artificiel. Après 5 mois de repos, une arythmie cardiaque et une légère inflammation sont encore présentes. Fin de carrière.

Perrino Giuseppe : 29 ans (footballeur italien, ex-pro du Parma Calcio) Mort après arrêt cardiaque en plein match. Juin 2021.

Perron Francis : 25 ans (football américain. Club universitaire canadien d’Ottawa.) Mort après un match. Septembre 2021. 
Petterson George : 37 ans (culturiste américain) Retrouvé mort dans sa chambre d’hôtel avant la compétition Mr Olympia. Rupture d’anévrisme. Octobre 2021.

Pietro : 13 ans (footballeur italien. Club Janus Nova de Saccolongo) Malaise cardiaque pendant match. Le gamin est ramené à la vie grâce à un défibrillateur. Septembre 2021.

Plakhuta Victor : 35 ans  (champion russe de Power Lifting) Contrairement à ce qu’annonce le ministère de la Santé du Primorsky Krai, les amis du sportif annoncent qu’il est mort deux semaines après avoir été injecté contre le coronavirus. Décédé d’une pneumonie bilatérale. Novembre 2021.

Ploner Florian : 22 ans (handballeur de l’équipe SC Ferlach, Autriche) Le joueur fait arrêt cardiaque pendant un match. Septembre 2021.

Portjanko Julija : 38 ans ( Joueuse de handball macédonienne d’origine ukrainienne, son dernier club était le WHC Vardar) Succombe à une crise cardiaque. Octobre 2021.

Preciado Jose Edgar : (Golf, caddie colombien) Victime d’une crise cardiaque fatale à son hôtel après le deuxième tour du Holcim Colombia Classic à Bucaramanga, en Colombie. Juin 2021

Q

Quandarius Wilburn  : 19 ans (footballeur américain,  club de l’université Virginia Union, USA) Le joueur fait un malaise pendant un entraînement et décède un peu plus tard à l’hôpital. Août 2021.

Quintana Alfredo : 32 ans (Handballeur professionnel cubain, club de FC Porto) Lors d’une séance d’entraînement, il fait un arrêt cardiaque et décède. Février 2021

R

Raducanu Emma : 19 ans (tenniswoman professionnel canadienne) En détresse respiratoire, la joueuse doit interrompre un mach contre Ajla Tomljanovic lors du tournoi de Wimbledon, Angleterre. Abandon de la compétition. Juillet 2021.

Ramassamy Christophe : 54 ans (footballeur français senior, club de AS Saint Yves, La Réunion) S’effondre et décède d’une crise cardiaque en plein match. Juillet 2021.

Ramirez Ernesto : 16 ans (jeune basketteur américain du Texas) Alors qu’il joue avec des copains au basket, il s’effondre sur le terrain et meurt, cinq jours après l’injection Pfizer. Une autopsie montre que son cœur était deux fois plus gros que la normale. Avril 2021.

Rhoden Shawn : 46 ans (culturiste jamaïcain, Mr Olympia 2018) Mort d’une crise cardiaque. Novembre 2021. 

Rico Gonzalez Leticia : 51 ans (triathlète mexicaine) Décède subitement lors du triathlon de Cozumel au Mexique. Septembre 2021.

Riggles Lexi : 16 ans (Collégienne américaine du Hanover College et diplômée en 2018 du Danville High School) L’adolescente jouait au basket pour l’équipe des Danville Warriors. Mort subite. Octobre 2021.

Ritch Dylan : 17 ans (Footballeur anglais, club des West Bridgford Colts, fédération du Nottinghamshire ) Lors d’un match de FA Youth Cup contre le Boston United, Dylan Ritch fait un arrêt cardiaque. Traité à l’aide d’un défibrillateur sur le terrain, il est transporté au Queen’s Medical Centre et subit un second arrêt cardiaque dans l’ambulance. Décède par la suite. Septembre 2021.

Robinson Donadrian : 17 ans (footballeur d’une équipe de football américain du lycée W.J. Keenan de Columbia, South Carolina, USA) Mort subite. Août 2021.

Rokicki Michael : 37 ans (ex nageur professionnel polonais) Mort subite. Décembre 2021.

Romney Everest : 17 ans (Joueur de basket du lycée de l’Utah) Hospitalisé après avoir souffert de migraines sévères et d’un gonflement dans son cou suite à la vaccination. Dans les 24 heures après avoir reçu l’injection Pfizer en Mai 2021, Everest a commencé à ressentir une « quantité exorbitante » de douleur et de gonflement dans le cou qui provenait du même côté qu’il a reçu l’injection. Une radiographie a révélé qu’il avait plus de 100 caillots de sang dans ses poumons.

Ros José Javier : 22 ans (footballeur espagnol, équipe de UCAM Murcia B) Doit arrêter la saison de foot suite péricardite. Décembre 2021.

Roseman Andrew : 17 ans (lycéen américain et joueur de baseball, équipe des Red Land Patriots en Pennsylvanie) Mort subite. Juillet 2021.

Rossi Marco : 19 ans (Joueur de hockey professionnel autrichien, joueur du club de Minnesota Wild, USA) Myocardite diagnostiquée suite injection. Avril 2021.

Roth Meghan : 34 ans (marathonienne américaine et entraîneur de course à pied dans le Minnesota, USA) La femme fait une crise cardiaque pendant le marathon de Boston) Octobre 2021.

Rud Jensen Benjamin : 25 ans (footballeur amateur danois, équipe de Vordingborg, île de Seeland, Danemark) Le joueur s’effondre sur le terrain à la fin du match contre le FC Nakskov. Réanimé, il est transporté à l’hôpital de Nykøbing Falster pour des examens complémentaires. Novembre 2021. 



S

Sabard Benoit : 49 ans (footballeur senior français, Sporting Club de Massay) s’effondre et décède en plein match. Octobre 2021.

Sádecký Boris : 24 ans (Star slovaque du hockey sur glace, équipe des Bratislava Capitals, Slovaquie) Il fait un arrêt cardiaque en plein match contre les Dornbirn Bulldogs et décède quelques jours plus tard. Novembre 2021.

Salase Mike : 39 ans (rugbyman, joueur de la Northland rugby league, Nouvelle-Zélande. Membre de plusieurs équipes masculines seniors de Northern Swords, y compris l’équipe 2020 qui a remporté le championnat national) S’effondre et décède lors d’un match. Juillet 2021  

Sandjo Adrien : 18 ans (footballeur amateur camerounais, équipe régionale des moins de 19 ans Piémont et Vallée d’Aoste, Italie) S’effondre et décède en plein match. Décembre 2021.

Santos Alencar Adans João : 38 ans (ancien footballeur professionnel de l’équipe brésilienne Brusque) Décède après avoir subi une crise cardiaque fulgurante pendant un match de footvolley. Octobre 2021.

Saracevic Zlatko : 59 ans (légendaire handballeur arrière droit yougoslave des années 80, 90, entraîneur ces dernières années du club RK Podravka, Croatie) Il décède d’une crise cardiaque juste après la victoire de son équipe dans le derby contre le RK Lokomotiva. Février 2021.

Sarpong Owusu Albert : 20 ans (Sportif étudiant à l’université du Ghana) Décède en Décembre 20021, deux jours après avoir été injecté. Un de ses amis, anéanti, confie : « Pourquoi encourageons-nous, forçons-nous les gens prendre ce vaccin alors que nous ne sommes pas totalement sûrs qu’il fonctionne pleinement, et maintenant qui tenons-nous pour responsable de sa mort ? Une jeune vie fauchée. Il aurait vécu s’il n’avait pas pris le vaccin. »

Sauret Pablo : 21 ans (élève gardien de la paix) Le jeune homme est victime d’un arrêt cardiaque au cours d’une séance d’entraînement, dans le cadre de sa formation réalisée à l’école nationale de police de Nîmes, 263ème promotion. Transporté par les médecins du SMUR aux urgences de l’hôpital local, il est malheureusement déclaré décédé à son admission. Décembre 2021.

Schneider Michael : 38 ans (pongiste allemand professionnel) Mort subite. Juin 2021.

Schulz Kwabenaboye :  23 ans (footballeur allemand, équipe régionale, club Berliner AK) Le joueur s’effondre à la fin du match. Problèmes cardiaques. Évacué sous oxygène à l’hôpital. Juste après, un autre joueur Ugur Ogulcan Tezel s’effondre à son tour. Décembre 2021.

Scorteccia Lorenzo: 23 ans (gardien de but amateur de l’équipe de  Campitello, Italie) Meurt d’un arrêt cardiaque 15 jours après l’injection Pfizer. Juin 2021.

Shabbaz Fatimah : 22 ans (joueuse américaine du club de volley-ball A&T de Caroline du Nord) Mort subite d’un anévrisme. Novembre 2021.

Sharanovich Aidan : 45 ans (ancien footballeur professionnel, club slovène de Primorja) Décède des suites d’une crise cardiaque. Août 2021.

Shelby Grace Allen : 17 ans (Adolescente de l’équipe de bowling du comté de Dyer, Tennessee, USA) Hospitalisée en raison d’une réaction grave à l’injection Covid-19, la demoiselle a commencé à souffrir de douleurs dorsales alors qu’elle jouait au bowling, en lançant la boule elle ne sentait plus ses bras et ses jambes. On lui diagnostique un syndrome de Guillain-Barré. Octobre 2021.

Scherer Matt : 38 ans (athlète, sprinter américain originaire de l’Oregon, réputé pour ses chronos aux USA) Mort subite. Décembre 2021.

Sidorov Nikita : 18 ans (footballeur russe, joueur de l’équipe de jeunes de Znamya Truda, Russie) Décède d’un anévrisme cérébral pendant un match de foot. Avril 2021.

Siegfried Alexander : 42 ans (footballeur amateur allemand, club de VfB Moschendorf,
Allemagne) S’effondre et décède pendant un match. Octobre 2021.

Setniewski Karol : 14 ans (jeune footballeur du club de Znicz Pruszków en Pologne) Il se plaint d’un mal de tête le lendemain d’un match de football et est emmené à l’hôpital. Victime d’une inflammation du cerveau il tombe dans le coma et malgré une opération décède. Décembre 2021.

Simpson Mark : (footballeur de la ligue semi-professionnelle Northern Counties Est League, Angleterre) Suite à des palpitations cardiaques, le joueur s’effondre dans le vestiaire à la mi-temps. Décembre 2021.

Singh Luther : 24 ans (footballeur professionnel sud-africain, joueur de l’équipe du FC Copenhague, Danemark) Il est admis à l’hôpital pour observation et tests après être tombé malade lors d’un match. Il n’est pas état de rejouer au moins jusqu’à la fin de l’année. Novembre 2021. 

Smith Bert : 56 ans (arbitre américain de basket-ball universitaire, NCAA) Malaise pendant un match. Diagnostic hôpital : caillots de sang dans les poumons. Avril 2021

Solano Nelson : 21 ans (footballeur amateur paraguayen, équipe de 1º de Marzo F.C, San Antonio, Paraguay) Décède d’une crise cardiaque à la fin d’un match. Novembre 2021. 

Somanna Thottiyanda : 23 ans (joueur indien de hockey sur gazon) Le jeune homme fait un arrêt cardiaque et décède lors d’un match du championnat de hockey Chowrira. Décembre 2021. 

Soravilla sabrina : 25 ans (footballeuse professionnelle de l’équipe nationale uruguayenne) Suite à un problème cardiaque, elle est contrainte de stopper sa carrière. Novembre 2021. 

Spiltsteser Dirk : 50 ans (entraîneur et président du SG Traktor de Divitz, près de Barth, Allemagne) Meurt d’une crise cardiaque en plein match. Septembre 2021.

Stalock Alex : 34 ans (joueur professionnel américain de hockey sur glace, équipe des Oilers d’Edmonton, Canada) Saison à l’arrêt suite diagnostic myocardite. Mars 2021.

Stein Bruno : 15 ans (Jeune gardien de but belge, club allemand du FC An der Fahner Höhe) Mort subite. Septembre 2021.

Stevenson Carly : Adolescente américaine (athlète de lancer de poids et de disque du Wartburg College, Colorado, USA) S’effondre et est transportée d’urgence à l’hôpital avec des caillots de sang dans les poumons et le cœur. Revient à la vie après trois arrêts cardiaques mais garde de graves séquelles. Juillet 2021.

Stewart Tremaine : 32 ans (Footballeur professionnel jamaïcain du FC Dunbeholden) S’effondre et est décède pendant un match. Avril 2021. 

Stokes John : 21 ans (étudiant américain, athlète de l’université du Tennessee) Il développe une Myocardite quatre jours après sa seconde injection Pfizer. Septembre 2021.

Surek Lucas : 24 ans (footballeur professionnel allemand, club BSG Chemie Leipzig) Le jeune homme développe une myocardite. Septembre 2021.

Sylvester Stephen : 15 ans (footballeur américain, Detroit Central Catholic High School, USA) S’effondre et  décède lors d’une séance d’entraînement. Août 2021.

T

Taft Benjamin : 33 ans (entraîneur-joueur allemand de football, club de SV Unterferrieden, Bavière. Allemagne) Fait un arrêt cardiaque après le match de son équipe. Décède quelques jours plus tard à l’hôpital. Octobre 2021. 

Tampwo Marco : 19 ans (footballeur professionnel, club italien de l’Atletico Fiuggi de Rome) Il meurt d’une crise cardiaque à son domicile. Août 2021. 

Tatum Azorean : 13 ans (jeune footballeur d’un lycée de Memphis, Tennessee, USA) Ayant reçu l’injection contre le Covid, il tombe peu à peu malade, jusqu’à s’effondrer en plein cours et devoir être transporté à l’hôpital. Un test Covid signale qu’il est positif au virus. L’état de santé du gamin ne s’améliore pas, au contraire il décède une semaine plus tard. Août 2021. 

Taylor Leah : 22 ans (étudiante en doctorat dans l’Iowa, USA, et promotrice de fitness) La jeune femme est hospitalisée pour myocardite après une injection Pfizer en Juillet 2021. Plusieurs mois après, elle est incapable de faire de l’exercice et fait face à un avenir précaire après avoir succombé à la pression de son université de se faire injecter le vaccin expérimental.

Taylor Leon : 34 ans (footballer anglais, équipe semi-professionnelle de Darlaston Town 1874, Walsall, Angleterre) Mort subite. Novembre 2021.

Teare Cooper : 22 ans (athlète américain de cross-country) Le jeune homme s’effondre dans les derniers mètres des championnats de cross-country D1 de la NCAA, USA) Novembre 2021.

Terrier Martin : 24 ans (footballeur français professionnel, club de Lyon) S’effondre sur le terrain en plein match contre Toulouse, victime d’un malaise. Direction l’hôpital pour des examens. Décembre 2021.

Timoucin Sen :  (footballeur turque, membre du club régional de Großkrotzenburg, Allemagne) Après dix minutes de jeu, le joueur s’effondre en plein match contre l’équipe du Spvgg Oberrad et est transporté dans une clinique de Gelnhausen. Octobre 2021.

Torp carl-Erik : 27 ans (footballeur professionnel du club norvégien de Brann Bergen) Crise cardiaque en plein match. Septembre 2021. 

Tounkara Guimbala : 34 ans (footballeur professionnel malien, club de l’AS Police, Mali) Après un entraînement, le joueur fait un malaise cardiaque et décède. Novembre 2021.

Traoré Adama : 26 ans (footballeur professionnel malien, club du Fc Sheriff Tiraspol, Transnistrie) Malaise en plein match de ligue des Champions contre le Real Madrid. Novembre 2021

Trejo Jovani Ethan : 16 ans. Le jeune footballeur américain fait un malaise et décède sur un terrain de sport du lycée de Princeton. Juin 2021.

Tretola Pompéo : 18 ans (footballeur italien, équipe de Matese évoluant en Série D) S’effondre dans un match joué à domicile contre Vastese. Transporté à l’hopital. Octobre 2021.

Trotta Antonio : 34 ans (commissaire de police italien, ville de Catanzaro, Calabre, Italie) L’homme fait un avc alors qu’il contrôle l’entrée des supporters de Foggia pour le match de Serie C contre Catanzaro. Puis il fait une crise cardiaque et est transporté d’urgence au service de soins intensifs de l’hôpital de Cosenza, où il décède. Décembre 2021.

Tucker Jordan : 20 ans (footballeur semi-pro de la North West Counties Football League, Lancashire, Angleterre) Décédé de mort subite. Novembre 2021. 

Turner Eric : 41 ans (mannequin de fitness et culturiste américain de Salt Lake City, Utah, USA) Suite à l’injection, le sportif fait une dissection spontanée de l’artère coronaire. Novembre 2021. 

Uğur Ogulcan Tezel : 24 ans (footballeur tunisien, équipe régionale club Berliner AK) Le joueur s’effondre juste après son collègue de la même équipe, Schulz Kwabenaboye. Des problèmes cardiaques nécessitent un transfert à l’hôpital sous oxygène. Décembre 2021. 

Usta Anil : (footballeur amateur turque, club du VfB Schwelm, Allemagne) Le joueur fait un malaise cardiaque pendant un match. Septembre 2021.  

V

Valastro Roberto : 42 ans (policier italien de Siderno, Calabre, Italie) l’homme fait un jogging sur la plage de Locri lorsqu’il s’effondre. Il succombe à un anévrisme cérébral. Décembre 2021.  

Van Avermaet Greg : 36 ans (cycliste professionnel belge, équipe AG2R Citroën) Suite à l’injection Pfizer en Juin 2021, sa carrière est à l’arrêt. Des tests sanguins révèlent que son système immunitaire est déréglé.

Van Barneveld Raynomd : 54 ans (joueur néerlandais professionnel de fléchettes, quintuple champion du monde) Il s’effondre et reçoit des soins paramédicaux lors de l’événement PDC Darts’ Player Championship. Mars 2021.

Van Dierman Kane : joueur de rugby, équipe des Sydney Convicts, Australia) Mort subite. Décembre 2021. 

Van Genechten Jente : 25 ans (footballeur professionnel belge, club de Het Belang van Limburg) Arrêt cardiaque pendant un match. Août 2021.

Vasquez Aaron : 14 ans (adolescent du New Jersey, école de Dumont) Le gamin fait un arrêt cardiaque et décède alors qu’il joue au basket avec des amis à l’école) Novembre 2021.

Verdú Morales Juan Carlos : 27 ans (footballeur amateur espagnol, équipe du quartier de Numancia, ville de Elda en Espagne.) Lors d’un match, il demande à sortir du terrain car il ne sent pas bien. Après la partie, il commence à se sentir mal, à avoir des convulsions et perd connaissance. Il est rapidement transporté à l’hôpital général universitaire d’Elda, où il décède. Décembre 2021

Vidal Lise : 43 ans (ex championne planche à voile, deux titres de championne d’Europe) Décédée d’une hémorragie cérébrale. Juillet 2021.

Vilellas Soros Héctor : 27 ans (athlète amateur espagnol) Fait un arrêt cardiaque et décède lors du semi-marathon Behobia-San Sebastián. Novembre 2021.

Vinny Curry : 33 ans (joueur d’une équipe de football américain professionnel, les New York Jets, USA)  Le joueur a été diagnostiqué avec un trouble sanguin rare en juillet 2021 qui a nécessité l’ablation de sa rate.

W

Wakefield David : 27 ans (joueur de cricket néo-zélandais, capitaine de l’équipe du Old Boys Collegians Cricket Club) S’effondre pendant l’entraînement à cause d’une myocardite. Ramené à la vie grâce à un défibrillateur, il est hospitalisé trois semaines en soins intensifs et doit suivre une rééducation intensive avant de pouvoir marcher et parler. Mars 2021.

Walker Simon : 42 ans (entraîneur de football et athlète anglais de la ville d’Oswestry) Moins d’une semaine après sa première injection AstraZeneca en Mai 2021, il est hospitalisé pour des des caillots sanguins massifs et des dommages cardiaques permanents. Aujourd’hui, son cœur ne fonctionne qu’à 20 % de son niveau de fonctionnement normal.

Wandão : 33 ans (ex footballeur professionnel brésilien, équipe de São Mateus, de la première division d’Espírito Santo) Victime d’une crise cardiaque alors qu’il joutait un match avec des amis, le joueur est transporté à l’hôpital mais y décède. Mars 2021.

Warner Kyle : 29 ans (vététiste professionnel) Fin de carrière suite à injection Pfizer: péricardite, syndrome de tachycardie orthostatique posturale et arthrite. Juillet 2021.

Wendland Brad : 48 ans (entraîneur d’une équipe de football américain, les Bluejays de Waseca, Minnesota, USA) L’homme fait un arrêt cardiaque sur la touche lors d’un match. Septembre 2021.

Williams Tirrel : 19 ans (footballeur américain, club de Fort Scott community college, Kansas, USA) Décède après s’être effondré sur le terrain pendant un entraînement. Août 2021. Dead

Willson Luke : 31 ans (joueur professionnel d’une équipe de football américain, né au Canada. Vainqueur du super Bowl avec son équipe en 2014, les Seahawks de Seattle) Péricardique grave, il doit mettre un terme à sa carrière en Août 2021.

Wingate Major : 37 ans (basketteur américain, ancien capitaine de l’équipe de basket du Tennessee) Meurt subitement. Octobre 2021.

Wolfe Lewis John : 20 ans (étudiant américain et joueur de tennis amateur, champion d’Alabama, USA) Mort subite. Décembre 2021.

Woodward Rob : 36 ans (entraîneur anglais de football, équipe junior amateur du club Stonydelph) Décédé suite crise cardiaque. Décembre 2021.

Wyke Charlie : 28 ans (footballeur professionnel anglais, équipe des Wigans) hospitalisé après un malaise à l’entraînement. Novembre 2021.

XY

Young Jordan : 27 ans (combattant de MMA originaire de Urbandale, USA) mort subite. Décembre 2021. 

Yu-bin Lee : 20 ans (étudiante coréenne, sportive amatrice) S’effondre quatre jours après sa première dose de l’injection Moderna et est transportée d’urgence à l’hôpital où elle subit une opération du cerveau. La jeune femme de 20 ans décède une semaine plus tard. 




Z

Zemmouri Damien : 37 ans (ancien boxeur de la JS Fleury full-contact, Caen, France) Le sportif meurt subitement d’une rupture d’anévrisme. Décembre 2021. 

Zey Jascha : 16 ans (jeune footballeur allemand, club de  d’Eisbachtaler Sportfreunde (Rhénanie-Palatinat) Malaise. Décède à l’hôpital. Juillet 2021.

Zielinski Piotr : 27 ans (footballeur professionnel polonais, joueur du club SSC Naples) Obligé de sortir du terrain en plein match contre Empoli après 20 minutes de jeu. Douleur dans la poitrine, du mal à respirer. Décembre 2021.

Zisper Paul : 27 ans (basketteur du Bayern Munich, Allemagne) Après l’injection J&J, le jeune homme développe une hémorragie cérébrale spontanée qui nécessite une opération d’urgence. Septembre 2021.

Zucolini Arthur : 29 ans (ancien basketteur professionnel monégasque, joueur de l’équipe La Chorale en France et Charleroi en Belgique) Mort arrêt cardiaque pendant le sommeil. Juillet 2021.

JANVIER    2022

Angola Braian : 27 ans (joueur de basket-ball professionnel colombien de l’AEK Athènes) Le sportif a subi des scans détaillés après avoir signalé un malaise, révélant une myocardite. Il est exclu du jeu pour une durée indéterminée. 16 janvier.
 

Atcho Sarah : 26 ans (sprinteuse suisse, détentrice avec ses coéquipières du record suisse du relais 4 * 100m) Suite à sa troisième injection (booster) la jeune athlète souffre d’une péricardite. Saison à l’arrêt. 18 Janvier. 

Astudillo Aaron : 21 ans (footballeur amateur chilien, équipe de Deportes Melipilla) Le jeune homme fait un malaise cardiaque pendant un match amical. 12 Janvier. 

Aubameyang Pierre-Emerick : 32 ans (footballeur professionnel gabonais, jouant au club d’ Arsenal, Division 1 Angleterre) Après un diagnostic de lésions cardiaques, sa saison est à l’arrêt. 14 Janvier.

Basilashvili Nikoloz : 29 ans (tennisman professionnel géorgien) En détresse respiratoire sévère, le joueur doit interrompre un mach contre Stefanos Tsitsipas lors de la coupe ATP de Sydney, Australie. Abandon du tournoi. 05 Janvier.

Bastías Fischer Renato : 38 ans (triathlète chilien de haut niveau) Il fait un arrêt cardiaque et décède lors du triathlon Ironman de Pucόn au Chili. 13 Janvier

Cann Robin : 19 ans (cycliste amateur francais de l’UC Briochine, National 3) Le jeune homme a commencé à souffrir d’arythmies cardiaques qui le rendent mal à l’aise pendant l’effort. Les médecins lui ont conseillé de subir une opération cardiaque. 12 Janvier.

Cavichioli Mateus : 34 ans (footballeur professionnel de l’équipe América Futebol Clube, Brésil)
Le 15 janvier 2022, un examen médical de routine du club a détecté un problème cardiaque, ce qui n’était pas le cas des examens médicaux précédents. Diagnostic d’une artère obstruée. A reçu son premier vaccin covid-19 en septembre 2021.

Coulibaly Ousmane : 32 ans (footballeur professionnel, équipe de Al-Wakrah, Qatar Stars League) Le joueur fait un malaise cardiaque durant un match du championnat du Qatar contre l’équipe de Al-Rayyan. Il est réanimé sur le terrain et transporté en urgence à l’hôpital. 08 Janvier.

Davis Alphonso : 21 ans (footballeur canadien professionnel, club du Bayern Munich, Division 1 Allemagne) Suite à la troisième injection Pfizer (booster) il développe une myocardite, sa saison de foot est à l’arrêt. 14 Janvier.

Da Graca Marco : 19 ans (footballeur professionnel de la Juventus de Turin, Division 1 Italienne) Le joueur a développé une arythmie cardiaque diagnostiquée le 17/01. Doublement injecté, le 28 Décembre il est testé positif au COVID-19. En Janvier 2022, il doit être opéré en raisons de ses problèmes cardiaques. Saison à l’arrêt.

Ferreira Fernando : 26 ans (triathlète brésilien et policier militaire de Pernambuco, État du Brésil) Alors qu’il fait du sport, le jeune homme s’effondre et décède. 13 Janvier.

Fields Oisin : 30 ans (footballeur amateur irlandais, équipe de Navan Harps) L’homme décède subitement alors qu’il joue au foot avec des amis. 05 Janvier

Henrique Oliveira da Silva Souza Pedro : 15 ans. Le jeune footballeur décède à la suite du tournoi de la Coupe nationale de football de Goianésia, une municipalité de l’État de Goiás, au Brésil. 11 Janvier.

Isaías : 17 ans (jeune footballeur brésilien amateur, club de Flamengo de Piauí) Lors d’un entraînement, il se dirige vers le banc de touche, où il s’est effondré et décède. 11 Janvier.

Janaína Piske Monique : 32 ans (combattante de MMA) Elle fait un arrêt cardiaque chez elle à Santa Catarina au Brésil, où elle est retrouvée morte par ses parents. 02 Janvier.

Jakupovic Dalila : 30 ans (tenniswoman professionnelle slovène) Durant l’Open d’Australie, elle est contrainte d’abandonner son match contre Stefanie Vögele après être tombée au sol. Alors que la presse met son abandon sur le dos des fumées provoquées par les incendies du pays, elle déclare au média The Western Australian : « J’avais vraiment peur de m’effondrer. C’est pourquoi je suis tombée par terre parce que je ne pouvais plus marcher. Je n’ai pas d’asthme et je n’ai jamais eu de problèmes respiratoires. En fait, j’aime la chaleur. J’ai déjà joué en Chine et la pollution ne m’a jamais fait un pareil effet. Je ne sais pas ce qui s’est passé mais c’est angoissant. » 13 Janvier.

Kondilios James : 23 ans (scientifique et sportif – champion de dynamophilie – reconnu dans son pays, l’Australie) La mort de ce jeune homme LE 04 Janvier 2022 a fait beaucoup de bruit du côté de Canberra. Officiellement il est mort du Covid alors qu’il était double vacciné et en bonne santé. Des voix se sont élevées : soulevant cette première question à propos de l’innocuité des piqûres, dont certains n’hésitent pas à dire qu’elles sont mortelles ; soulevant également cette deuxième question : si ce jeune homme était protégé contre le COVID-19 parce qu’il était doublement vacciné et qu’il n’avait pas de problème de santé sous-jacent, que s’est-il passé ? Cela remet en cause l’argument selon lequel l’injection vous protège du virus.

Lemina Mario : 28 ans (footballeur professionnel gabonais, jouant au club de l’OGC Nice, Division 1 France) Après un diagnostic de lésions cardiaques, sa saison est à l’arrêt. 14 Janvier. 

Menaldo Marcos : 25 ans (footballeur guatémaltèque professionnel, club du DeportivoMarquense, Division 1 ; Guatemala)  Le joueur s’effondre à l’entraînement et a décède suite à une crise cardiaque. 03 Janvier. 

Merlo Nascimento Mariano : 27 ans (championne brésilienne de Moutain Bike) Alors qu’elle est en famille, la jeune femme se sent mal et s’effondre. Malgré l’arrivée des secours et son transport à l’hôpital, elle décède. 14 Janvier.

Meyé Axel : 26 ans (footballeur professionnel gabonais, jouant au club de Ittihad Tanger, Division 1 Maroc) Après un diagnostic de lésions cardiaques, sa saison est à l’arrêt. 14 Janvier.

Santana Lucas :18 ans (footballeur brésilien, équipe de São Bento) Il s’effondre sur le terrain à la 17e minute de la deuxième mi-temps du match de la Copa São Paulo contre EC São 

Bernardo au stade Baetão. Transporté à l’hôpital en ambulance pour examens. 05 Janvier. 

Schlumpf Fabienne : 31 ans (marathonienne suisse, détentrice du record suisse du marathon) Depuis sa troisième dose (booster), l’athlète souffre d’une myocardite qui lui interdit la pratique du sport. Elle ne pourra sans doute plus jamais faire de compétitions. 07 Janvier.

Strbak Miroslav : 32 ans (combattant polonais d’arts martiaux mixtes) L’homme fait un arrêt cardiaque à l’entraînement. 07 Janvier.




Dans presque tous les pays, le coronacircus est en train de se terminer

Par Nicole Delépine

Quelques informations glanées sur les RS et tues par les médias

La Norvège, l’Allemagne, l’Espagne, la Croatie, la Grande-Bretagne, l’Irlande du Nord, l’Écosse et beaucoup d’autres pays allègent, ou suppriment les restrictions sanitaires. Comment leurs habitants vont-ils faire en venant en France ?

Emmanuel Macron va-t-il leur infliger les mêmes restrictions qu’aux Français au risque de les faire fuir ?

Selon Emmanuel de Villiers :

« Arrêt du délire Covid un peu partout, en Angleterre, Israël, Espagne, Suède… Avec l’application du ridicule pass vaccinal totalement à contretemps le Président Macron aurait glissé à son chauffeur en arrivant à Bruxelles : “Ernest, je suis très emmerdé !” »

Pr Christian Perronne

Je pense que c’est en train de craquer de partout, l’OMS fait machine arrière… la Roumanie a supprimé l’obligation vaccinale… Aux États-Unis ça commence à craquer, on a vu que la Cour suprême a censuré la loi de Joe Biden qui voulait imposer le vaccin.

ROYAUME-UNI

Westminster développe maintenant une « stratégie à long terme pour vivre avec Covid-19 »

La fin des restrictions au Royaume-Uni annoncée par Boris Johnson au parlement ; voyez à 46 s quand BoJo annonce la fin du port du masque en faisant un clin d’œil. Ce cri de liberté en dit long

[Qtime Network ⭐️⭐️⭐️ / 19/01/2022 / EN]

La Grande-Bretagne va « traiter le coronavirus comme un rhume » : Bojo se prépare à mettre fin à toutes les restrictions sur les médicaments.

Boris Johnson annonce la levée des principales restrictions en Angleterre, dès la semaine prochaine :

– Fin du port du masque obligatoire
– Suppression du Pass Sanitaire
– Fin du télétravail recommandé
– Abandon du pass sanitaire pour les discothèques et les grands événements
– Travail à domicile — Abandonné
– L’auto-isolation expire le 24 mars

Par suite d’une requête officielle, Nigel Farage a obtenu le nombre exact de personnes qui sont mortes « uniquement » du Covid au Royaume-Uni : 17 371. Sachant que 153 000 personnes ont été déclarées comme « morts Covid »…

TCHÉQUIE

Le gouvernement tchèque abandonne l’Obligation Vaccinale pour les plus de 60 ans et le personnel soignant

JAPON

Zéro obligation et moins de 10 morts quotidiennes depuis novembre 2021 dans ce pays de 125 millions d’habitants

ESPAGNE

« Pourquoi je libère le Peuple ? Parce que ce que je vois en France ou en Australie me donne la Nausée ! Je dis NON à la Malveillance d’État »

Pedro Sánchez, 1er Ministre espagnol en DIRECT de l’entretien du 10/01/2022.

L’Espagne va revivre normalement et stopper toutes les restrictions

Décisions :

– Terminés les tests massifs
– Ne plus tracer les contacts
– Arrêter les isolements
– Laisser totalement tomber le masque.

#PasseVaccinal #BruleTonPass

La ministre de la Santé souhaite engager le débat avec les autres pays européens.

ÉCOSSE

La Première ministre écossaise Nicola Sturgeon a annoncé la fin des restrictions restantes, tout en appelant la population à la prudence. 

La plupart des restrictions restantes liées au Covid-19 en Écosse seront assouplies à partir de lundi, a annoncé mardi 18 janvier le gouvernement écossais après une « chute importante » du nombre de nouveaux cas.

Les discothèques rouvrent, le télétravail reste recommandé

À partir de lundi, les discothèques pourront rouvrir et les jauges dans les salles de spectacle seront levées. Jusqu’à présent, seuls trois ménages pouvaient se réunir à l’intérieur, une limite qui sera également levée. Nicola Sturgeon a cependant souligné que « malgré l’amélioration de la situation, le niveau de contaminations au Covid dans la population est toujours élevé. Donc, pour minimiser le risque d’attraper le virus, il serait judicieux que nous restions tous prudents dans nos interactions sociales à ce stade. » Le télétravail continuera d’être recommandé lorsque c’est possible et les masques resteront obligatoires dans les lieux publics intérieurs et dans les transports en commun.

ALLEMAGNE

14.01.2022 : Deutscher Bundesrat Berlin –

Le ministre-président Reiner Haseloff annonce au nom du Bundestag allemand et selon la conférence ministérielle que la situation pandémique d’ampleur nationale est « terminée » !

Cela signifie logiquement que : * toute loi d’urgence est abrogée * toute obligation de vaccination est définitivement écartée * l’autorisation d’urgence des vaccins est nulle et non avenue * toute restriction COVID est nulle et non avenue…

7 h 52 · 20 janv. 2022·Twitter

toute obligation de port de masque est nulle et non avenue * toute restriction d’accès aux commerces et aux emplois est nulle et non avenue ! Est-ce la raison pour laquelle les médias ne rapportent pas cette décision ? Les gars, c’est fini…

NORVÈGE

Dès septembre 2021

« L’Institut norvégien de santé publique (FHI) classe la maladie de Covid-19 comme respiratoire, aussi dangereuse que la grippe ordinaire. En revanche, il précise que la pandémie n’est pas terminée, mais est entrée dans une nouvelle phase — le Covid-19 est désormais l’équivalent d’une maladie respiratoire courante, comme la grippe ou une infection respiratoire — due à plusieurs facteurs : les mutations qu’ils souffraient du SRAS-CoV-2, ce qui le rend moins dangereux, l’immunité naturelle et induite par le vaccin que la société norvégienne a obtenue.

Bien que le virus continue de circuler, il ne provoque pas d’augmentation du nombre d’hospitalisations, ce qui signifie que le SRAS-CoV-2 ne fait plus pression sur le système médical norvégien. FHI évalue désormais le coronavirus comme similaire à d’autres virus respiratoires, tels que ceux qui causent le rhume ou la grippe saisonnière ».

Dans des études menées par FHI, il a été constaté que les personnes partiellement et complètement vaccinées avec Covid-19 ont un faible risque d’hospitalisation, mais qu’il en va de même pour les personnes en bonne santé qui n’appartiennent pas à des groupes à risque.

Selon les dernières statistiques de FHI, 67 nouveaux patients ont été hospitalisés avec Covid-19 comme cause principale au cours de la semaine 37, ce qui représente une diminution par rapport aux 95 cas de la semaine précédente. Parmi les nouveaux cas à la semaine 37, seuls 9 patients ont eu besoin de soins intensifs, une diminution par rapport aux 22 semaines précédentes.

La Norvège ne recommande pas le vaccin pour les 5-11 ans mais table sur l’immunité naturelle pour cette tranche d’âge. Il y a encore des pays où l’état réfléchit intelligemment. Battons-nous pour que ce soit le cas en France

ISRAËL, NOTRE MODÈLE

L’explosion des cas plus nombreux à chaque vague affirme l’échec de « la stratégie tout vaccin, tout pass »

20 Janvier 2021 « Il n’y a aucune logique médicale ou épidémiologique dans le pass sanitaire » affirme le ministre des Finances Avigdor Lieberman qui a appelé à mettre fin à l’utilisation généralisée du « passeport vert »

Le ministre des Finances Avigdor Lieberman n’est pas n’importe qui ! Car c’est de sa rupture avec Netanyahou qu’il a fait chuter ce dernier !
https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/1642516691-israel-covid-19-le-ministre-des-finances-demande-l-annulation-du-passeport-vert

il travaille avec « toutes les autorités » afin de mettre fin au pass sanitaire et de « maintenir une routine de vie normale pour tous. »

QUÉBEC

Québec renonce à l’obligation vaccinale des soignants devant les résistances ! « Le réseau ne peut se passer des personnels non vaccinés » dit leur ministre de la Santé. Bravo pour cette remarque de bon sens ! Que Véran qui pleure qu’il n’a « pas de soignants en réserve » en prenne de la graine !

BRÉSIL

20 Janvier Jair Bolsonaro : « Aucun gouverneur ou maire ne pourra imposer la vaccination enfants. En outre, aucune amende ou autre sanction ne sera appliquée aux parents ! »

BOLIVIE

Grand Bravo à nos amis Résistants Boliviens ! Le gouvernement de Luis Arce a cédé aux mobilisations antivaccins des secteurs sociaux du parti au pouvoir lui-même et a suspendu en Bolivie l’exigence à partir du 26 janvier dans les institutions publiques et privées de la carte de vaccination contre le Covid-19 ou des tests PCR négatifs. Belle victoire !

La THAILANDE reconnait que le vaccin blesse et tue

Les médias thaïs présentent cette information de manière très anodine.

Et pourtant, elle est explosive !

« Une compensation financière d’un milliard de bahts a été accordée par le Bureau de la sécurité nationale (NHSO) aux personnes ayant subi des effets négatifs après avoir été vaccinées contre le Covid-19.

Une compensation de 400 000 bahts a été accordée à 2 264 familles de patients décédés ou de personnes souffrant d’un handicap permanent qui aurait pu être attribué aux effets secondaires de l’inoculation ».

2264 décès ou blessures graves (handicaps à vie) ont donc été reconnus par les autorités comme causés par les vaccins… Une compensation de 10 000 euros a été versée à chaque famille…

À ce jour, 45,4 millions de Thaïlandais sont « totalement vaccinés » (2 ou 3 doses). Un rapide calcul démontre donc que 1 personne « vaccinée » sur 20 000… est tuée ou soufre de séquelles à vie après ces injections. Une sur vingt mille…

En Australie

Pays qui a toujours proclamé que les vaccins étaient surs et efficaces : pourtant plus de dix mille victimes des vaccins demandent des indemnisations qui pourraient atteindre 30 millions d’euros.

Au total, ce petit survol montre qu’en janvier 2022 partout dans le monde les gouvernements abandonnent les restrictions prétendument sanitaires pour traiter le covid comme une grippe.

Macron veut-il paraphraser Victor Hugo en proclamant « S’il n’en reste qu’un, je serai celui-là »…?




La destruction de la Médecine et du Savoir s’accentue

Par Lucien SA Oulahbib

Lu sur FigaroVox : 

« (…) Il s’agit d’un réel scandale que tout le monde fait semblant d’ignorer. Alors que chaque jour les médias constatent la pénurie de médecins, cette « brillante » réforme nous conduit à des aberrations majeures. Ainsi, dans la note finale d’admission en 2e année, deux oraux de dix minutes chacun comptent à égalité ou plus que 15 heures d’examens écrits. Vous avez bien lu ! D’un côté, 15 heures d’examens écrits (12 matières, 240 h de cours) et de l’autre, 2 oraux de 10 min. (sans formation spécifique) qui comptent plus que les écrits. La palme revient à l’Université de Paris où l’oral compte pour 72 % contre 28 % pour les écrits !

Avez-vous une idée des sujets de ces oraux qui permettent d’évaluer les compétences transversales des étudiants à l’Université de Paris ?

Voici un exemple de sujet délirant de l’épreuve de « mise en situation » de l’université de Paris : « Dans un musée, on voit une enseigne d’une ancienne chocolaterie du XVIIIe siècle avec un domestique noir qui sert sa maîtresse blanche. Le nom de la chocolaterie est “le nègre joyeux”. Qu’en pensez-vous ? ». Il s’agit pourtant bien d’un sujet censé évaluer si les étudiants « disposent des compétences nécessaires pour accéder aux formations de médecine », selon le décret. (…) »

Tout y est dit. Puisque la médecine est désormais caduque, remplacée par un peu de Doliprane et des injections expérimentales, le bétail humain du zoo urbain global doit se soumettre ou se démettre en ânonnant les mantras serviles à l’instar de ce qui se passait en URSS et encore en Chine ou dans les pays dominés par le djihadisme systémique. Il n’est plus jugé sur des critères de compétence, mais d’allégeance à la Secte Scientiste Hygiéniste Affairiste au néonazisme « éclairé » par le Guide [Führer en allemand].

Il s’agit en effet de domination négative à l’état pur. La domination positive est plutôt celle qui maîtrise la spécialité dédiée et qui donc « domine » légitimement le « champ » incriminé, alors que la domination négative, elle, réduit la notion de « pouvoir » à celle de puissance, décidant par exemple de l’état d’exception (cher à Schmitt), mais elle oublie que le pouvoir est aussi fait d’autorité et de compétence (comme l’indique Weber) en ce sens où si le citoyen accepte d’obéir, c’est bien parce qu’il a confiance dans les institutions qui organisent la société du fait de leurs compétences respectives. Ce n’est à l’évidence plus le cas.

À lire ce qui est demandé plus haut aux futurs médecins obligés ainsi d’acquiescer à une remarque anachronique qui bien entendu ne sied plus aujourd’hui, nous en sommes en effet visiblement bien loin.

Au fond, les médecins ne sont plus que des distributeurs en parapharmacie, au même titre que les profs devenus des animateurs de classes déréglées par l’anomie et réglées par des valeurs qui annihilent toute possibilité de transmettre un savoir objectif en ce sens où il ne trie pas les faits en fonction de priorités politiques, mais laïques ou comment former des esprits libres à même de créer le monde de demain au lieu de le subir ?

Dommage (encore une fois) qu’aucun candidat ne prenne réellement la mesure de cette destruction de la médecine (et du Savoir en général) alors qu’il serait possible de servir de la crise médicale actuelle pour repenser la notion de santé en y intégrant les nouvelles avancées de la médecine dite « intégrative » au sens d’articuler une connaissance d’ensemble de l’être humain et aussi du citoyen : certains n’ont-ils pas dit : « j’ai mal à ma France » ? Ils seraient aujourd’hui traités de « factieux », surtout s’ils se mettent à applaudir les mains hautes…

Ainsi va le monde global du Bâtir inversé : la déconstruction intégrale.




De la crise financière et monétaire à la terreur Étatique de la pandémie COVID

[Source : les7duquebec.net]

Tout commence par la crise financière et monétaire

Connaissez-vous les récits de vos grands-parents au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, lorsque des mesures monétaires très douloureuses ont été mises en œuvre dans le contexte de l’inflation galopante, des dettes de guerre et des personnes qui avaient tout perdu ? Je voudrais évoquer très brièvement ce qui s’est passé à l’époque, puis faire le lien avec notre époque actuelle.

Tout d’abord, la réforme monétaire [1] a eu lieu en 1948, lorsque le Reichsmark est devenu le Deutsche Mark. Toutefois, le nouvel État en a profité pour se débarrasser d’une grande partie de ses dettes en ne donnant que 6,50 marks pour 100 reichsmarks. Cela s’appliquait à tout ce qui se trouvait sur les comptes bancaires, aux emprunts d’État, aux obligations, aux crédits d’épargne-logement et également aux crédits d’assurance-vie et d’assurance retraite. Les dettes, c’est-à-dire les crédits, et les paiements courants (loyers, primes, etc.) ont en revanche été convertis 1:1 et ont donc été maintenus dans leur intégralité. Dans le cadre de la réforme monétaire de 1948, les actifs financiers ont donc été massivement dévalorisés.

Comme la réforme monétaire avait particulièrement touché les épargnants et épargné les propriétaires de biens immobiliers, la compensation des charges [2] a été mise en œuvre en août 1952 pour les citoyens possédant des biens matériels, notamment des biens immobiliers. Une compensation des charges de 50% a été versée à l’État sur tous les biens. Cette énorme charge financière a ensuite été payée à l’État sur 30 ans par tranches d’un quart d’année. En 1982, la loi sur la compensation des charges a pris fin avec les derniers versements.

Le système financier, avec ses intérêts composés, ne cesse de tomber dans un piège qu’il s’est lui-même tendu. Au fil des années, le capital se concentre (s’accumule) entre les mains d’un groupe extrêmement riche et  restreint de capitalistes (plus de 2000 multimilliardaires). Les autres personnes doivent rémunérer cette fortune des super-riches par le biais de leur force de travail salarié (la plus-value), mais cela devient de plus en plus difficile, car le capital à rémunérer ne cesse d’augmenter alors que la part des salaires tend à diminuer dans la richesse collective. C’est pourquoi ce système a besoin d’une remise à zéro de temps en temps.

Autrefois, les guerres étaient très appréciées à cet effet (remettre la comptabilité sociale à jour en faisant payer les travailleurs). Sous le mode de production capitaliste on acceptait des morts et des souffrances pour préserver et développer la richesse sociale collective que les riches accumulaient pour leur bénéfice personnel. Pourquoi en serait-il autrement aujourd’hui ?

Jusqu’à présent, il n’y a pas eu de troisième guerre mondiale (compte tenu des immenses arsenaux nucléaires, cela serait dangereux pour les «élites» et les milliardaires eux-mêmes), mais le problème du système financier en faillite subsiste…comment le résoudre?

Depuis les années 1980, la dérégulation des marchés financiers et l’apparition de marchés de produits dérivés très spéculatifs sont venues aggraver la situation, faisant perdre encore plus de terrain à la formation de capital réel (capital mobilier et immobilier ou capital constant et variable).

C’est ainsi qu’est survenue la crise financière de 2008. Les banques et les investisseurs ont été « sauvés » par les États. Mais à un prix très élevé. Outre l’endettement extrême de l’État (dont les contribuables devront finalement s’acquitter), de larges couches de la population, en particulier en Allemagne, ont été quasiment partiellement dépossédées de leurs biens par des taux d’intérêt négatifs et des hausses extrêmes des prix des biens patrimoniaux dues à l’afflux d’argent des banques centrales. Les prix élevés de l’immobilier ne signifient pas qu’ils ont pris de la valeur. Les monnaies (notamment l’euro et le dollar américain) ont simplement perdu de leur valeur en raison de l’abondance d’argent. Cela doit tôt ou tard conduire à un crash. Le plus tard sera le pire.

En 2019, nous y sommes presque arrivés. En septembre, les marchés financiers ont failli connaître une nouvelle crise qui aurait éclipsé la crise financière de 2008. Le marché dit « repo » (il s’agit de la partie du marché monétaire par laquelle les banques et les hedge funds se prêtent de l’argent entre eux), qui représente un volume mondial d’environ 15 000 milliards d’euros !!!, a dû être sauvé par la banque centrale américaine, la Fed, à hauteur de centaines de milliards de dollars américains. Après le sauvetage des banques en 2008 et l’endettement extrême des États qui s’en est suivi, une nouvelle crise aurait conduit au chaos par le biais d’effets dominos mondiaux. Le public ne s’en est toutefois pas rendu compte. [3]

Le terrorisme Étatique sanitaire comme tactique pour imposer le «Grand reset»,  pour le bénéfice des riches

De mon point de vue, cela a déclenché la « pandémie » dont les «élites» parlent depuis longtemps, afin de remettre le système financier et économique mondial sur pieds et de protéger et d’accroître encore la fortune des super-riches…ce que l’élite aime appeler le «Great Reset» c’est-à-dire, faire payer les travailleurs pour les dettes des riches.

L’OMS a été mise au pas depuis longtemps à grand renfort d’argent, notamment en provenance de Chine et d’investisseurs privés [4], et les États membres sont tenus, par le biais du Traité sur le règlement sanitaire international (RSI) contraignant en droit international, de suivre les instructions de l’OMS, notamment en cas de pandémie. Ce traité a été amendé en 2005 en vue de la mondialisation croissante et de la propagation internationale de maladies infectieuses telles que le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et est entré en vigueur le 15 juin 2007 [5].

En avril 2009 (donc peu après le début de la crise financière), la définition d’une pandémie a été nettement édulcorée par l’OMS [6]. Alors qu’il fallait auparavant un « très grand nombre » de morts dans le monde pour qu’une pandémie se déclare, il ne suffit depuis lors que de résultats de tests positifs. Ainsi, la pandémie de grippe porcine a pu être déclarée dès le 11 juin 2009. Heureusement, cette pandémie a pu être démasquée comme étant totalement exagérée. A l’époque, le test PCR avait déjà joué un rôle peu glorieux. Le 31 octobre 2020, l’OMS a encore modifié la définition de l’immunité de groupe, qui ne pourra plus être atteinte à l’avenir par l’immunité naturelle, mais uniquement par la vaccination [7].

Par ailleurs, avez-vous remarqué que le CDC américain n’autorise plus le test PCR pour la détection de la maladie de Corona à partir du début de l’année? Celui-ci ne peut pas faire la différence de manière fiable entre les virus Influenza et Corona [8]. Peut-être une des raisons pour lesquelles l’influenza semble avoir disparu ? Ceci n’est qu’une parenthèse.

En 2010, la fondation Rockefeller avait déjà décrit dans son rapport «Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international» [9] le scénario du « lockstep », c’est-à-dire du «pas de géant», en cas de pandémie de grippe. Il s’agissait de réfléchir aux possibilités et aux défis politiques et sociaux qui résulteraient de cette pandémie anxiogène. Il en est ressorti qu’une synchronisation mondiale associée à des mesures répressives serait prometteuse pour l’installation d’États totalitaires de surveillance et de contrôle à la suite de la pandémie.

D’autres éléments de notre vie actuelle ont également été préparés avant Corona, comme par exemple un certificat de vaccination numérique dans l’UE depuis 2018 [10] [11]. Le Global Vaccination Summit qui s’est tenu à Bruxelles le 12.09.2019 sous l’égide de la Commission européenne et de l’OMS est également très instructif à ce sujet [12].

Le 19.10.2019 a ensuite eu lieu à New York l’«Event 201» (traduit : événement de janvier [20]) sous l’égide du Johns Hopkins Center for Health Security (créé par la fondation Rockefeller) et avec le soutien de la fondation Bill et Melinda Gates et du Forum économique mondial (World Economic Forum – WEF) [13]. L’exercice portait sur le cas fictif d’une pandémie mondiale déclenchée par un nouveau coronavirus appelé nCov-19. Outre le lockdown et les restrictions de voyage, il a été question de la communication en cas de pandémie et de la gestion des fake news.

Dans la « pandémie » qui a ensuite effectivement eu lieu à partir de janvier 20, l’université Johns-Hopkins fournit dans le monde entier, via le Corona Dash-Board, les chiffres qui justifient l’abolition des droits fondamentaux dans le monde entier, la fondation Bill et Melinda Gates fournit les vaccins via ses investissements (entre autres, depuis l’automne 2019, elle investit dans BioNTech) [14] et le Forum économique mondial, avec son fondateur Klaus Schwab et son livre « Covid-19 – The Great Reset » [15], fournit le cadre idéologique.

Toutefois, deux modifications législatives du Bundestag allemand à l’automne 2019, donc également avant la soi-disant pandémie de Corona (SARS-CoV-2), sont décisives: Modification de l’article 21 de la loi sur la réglementation du droit d’indemnisation sociale (loi sur la compensation des charges) du 12.12.2019 avec application à partir du 01.01.2024.

Dans cette modification, l’objectif de «l’assistance aux victimes de guerre» pour lequel la loi sur la compensation des charges a été créée est remplacé par le terme «indemnisation sociale» et il est fait référence au livre quatorzième du code social, qui a également été modifié. Modification du Code social quatorzième livre (SGB XIV) du 07.11.2019 avec application à partir du 01.01.2024.

« Le nouveau livre 14 du Code social (SGB XIV) règle l’indemnisation des besoins liés aux dommages subis par … les personnes qui ont subi un préjudice de santé suite à une vaccination préventive ou à d’autres mesures de prophylaxie spécifique selon la loi sur la protection contre les infections».

Résumons donc brièvement la situation : L’État pourra, à partir du 01.01.2024, procéder à une compensation des charges (un joli mot pour expropriation) dans les actifs de l’ensemble de la population pour l’indemnisation des victimes de la vaccination.

Les contrats divulgués avec les fabricants de vaccins expliquent que ceux-ci n’assument aucune responsabilité [16]. Cela incombe aux candidats à la vaccination qui, en acceptant « la vaccination proposée », assument eux-mêmes le risque de participer à cette expérience médicale. Pourquoi pensez-vous que les vaccins Covid, qui n’ont que des autorisations conditionnelles, sont les seuls vaccins où il faut signer un document de consentement? [17]. En fin de compte, on participe à une étude médicale pour laquelle le fabricant n’assume aucune responsabilité. La victime d’une vaccination ne peut que se tourner vers l’État et espérer une indemnisation.

Une obligation générale de vaccination est importante pour l’État, car c’est la seule façon de justifier une répartition des charges sur tous les citoyens. Sinon, tous ceux qui ne se sont pas fait vacciner pourraient à juste titre se demander pourquoi ils devraient être responsables des dommages subis par les autres, qui ont volontairement pris le risque de la vaccination expérimentale. De plus, il s’agit bien sûr aussi de ne plus avoir de groupe de contrôle non vacciné, ce qui est en fait obligatoire pour une étude médicale, mais qui pourrait soulever des questions sur la responsabilité personnelle de certains protagonistes.

Pour obtenir une autorisation régulière sans obligations spécifiques, les fabricants de vaccins doivent obtenir d’autres résultats d’études et remplir d’autres obligations spécifiques dans un certain délai [18]. En attendant, les autorisations conditionnelles sont prolongées sur une base annuelle, ce qui a été fait récemment par l’EMA dans le cas de BioNTech/Pfizer, Moderna et AstraZeneca.

La vaccination et le pass-saitaire comme moyen de surveillance

D’ici fin 2023 (en supposant un cycle de 6 mois), chaque sujet/citoyen aura reçu 7 injections de ces vaccins expérimentaux basés sur le génie génétique. Cela correspond d’ailleurs aux quantités incroyables de doses de vaccins commandées par l’UE. Dès le lancement de la campagne de vaccination, 2,3 milliards de doses de vaccins ont été commandées, pour seulement 450 millions d’habitants environ [19], soit 5 vaccins par habitant de tout âge. Entre-temps, encore plus de doses ont été commandées, notamment en mai 1,8 milliard de doses supplémentaires de BioNTech [20]. Ceux qui pensent que les rappels actuels sont suffisants, croient aussi au malade asymptomatique et au test PCR.

Si l’on tient compte des graves effets secondaires des vaccins jusqu’à présent, y compris les décès, qui dépassent toutes les échelles des vaccins actuels (voir graphique sur la base de la banque de données américaine VAERS), il faut s’attendre à un nombre extrêmement élevé de victimes et de dommages liés aux vaccins dans les années à venir.

Le 23 septembre 2021, une demande a déjà été déposée au Parlement européen pour la création d’un fonds pour les victimes de la vaccination. Dans cette demande, les chiffres de l’Agence européenne des médicaments (EMA) concernant les effets secondaires, qui étaient déjà près d’un million à cette date, sont révélateurs [21]. Entre-temps, ces chiffres sont encore nettement plus élevés et le nombre de cas non déclarés devrait être très important [22].

Il faut donc s’attendre à un nombre énorme de victimes et de décès dus à la vaccination d’ici 2024, ce qui rend très probable l’appel à un partage des charges.

Il se pourrait toutefois que les indemnisations ne soient qu’un prétexte et que l’on perçoive nettement plus d’argent par le biais d’une compensation des charges que ce qui serait en fait nécessaire.

Réforme monétaire et remise à zéro (Great reset) du système économique en faillite

L’État a également besoin de la fortune de ses citoyens pour une nouvelle monnaie, l’euro numérique, sur lequel la BCE travaille officiellement depuis cette année [23]. Les États européens (comme d’autres États occidentaux, notamment les États-Unis) sont fortement endettés et majoritairement en faillite. En revanche, le patrimoine appartient aux citoyens. Pour que l’euro numérique ait une valeur, la BCE et les États de la zone euro doivent être désendettés. Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que la présidente de la Commission européenne, Ursula von-der-Leyen, exige désormais une vaccination obligatoire à l’échelle européenne [24]. Cela pourrait donc être utilisé dans toute l’Europe comme prétexte à des expropriations.

En outre, la Chine va déjà introduire en 2022 une nouvelle monnaie numérique adossée à des actifs, qui est déjà en phase de test et devrait être lancée dans tout le pays pour les Jeux olympiques d’hiver de 2022 [25]. Cependant, la Chine possède désormais beaucoup plus d’actifs que les pays industrialisés occidentaux, ce qui rendra la monnaie très forte et mettra les autres sous pression. Selon la volonté des dirigeants chinois, l’e-yuan doit remplacer le dollar comme monnaie de référence.

Les citoyens de l’UE et d’autres pays occidentaux seront bientôt prêts eux aussi pour une réforme monétaire. L’inflation actuellement alimentée artificiellement (générée entre autres par des retards de livraison et des pénuries de microprocesseurs) va encore s’accélérer [26] et faire en sorte que les citoyens qui s’appauvrissent peu à peu réclament des compensations, des «aides» de l’État.

La nouvelle monnaie sera probablement une monnaie purement numérique, sans argent liquide, basée sur la technologie blockchain ou similaire. Elle devrait alors être reliée, sous forme de portefeuille, à une identité numérique au sens de l’ID2020 [27], dont les carnets numériques de vaccination feront également partie ou constitueront la base. En tant que monnaie de banque centrale, elle ne sera, comme on peut s’y attendre, plus liée à un compte bancaire. Chaque citoyen aura son propre compte de banque centrale auprès de la BCE. Les publications de Norbert Häring à ce sujet sont d’ailleurs très instructives [28].

Jusqu’à présent, il n’est pas encore question de réforme monétaire avec le projet d’euro numérique de la BCE. En outre, il est toujours souligné que l’on ne veut pas abolir l’argent liquide avec l’euro numérique, mais ne disait-on pas aussi jusqu’à récemment qu’il n’y aurait jamais de vaccination obligatoire en Allemagne ?

Puce d’identité numérique comme système de contrôle de masse

Grâce à la carte d’identité numérique, les droits fondamentaux peuvent en outre être liés à la réalisation de prescriptions étatiques, comme en Chine avec son système de scoring social. Aujourd’hui, il faut se faire vacciner pour avoir accès à la vie publique. Qu’en sera-t-il demain ? D’autres expériences médicales pour Big Pharma, des mesures médicales contre la surpopulation, le blocage du porte-monnaie numérique pour les produits et services qui consomment trop de CO2, comme la viande ou les voyages ? Le citoyen devient ainsi totalement vulnérable au chantage. Pas d’argent et pas de droits fondamentaux en cas de «mauvais comportement». Et qui manifestera encore si on lui coupe ensuite les vivres en guise de punition?

Cela laisse présager le pire pour notre liberté et notre prospérité. Selon le tableau dressé par le Forum économique mondial pour l’année 2030 : «Vous ne posséderez rien, mais vous serez heureux» [29].

Encore quelques mots pour conclure à l’attention des citoyens, des élus, des journalistes ou des juges qui pensent que cela ne les concerne pas, parce qu’ils peuvent peut-être, grâce à leurs relations avec des médecins ou à leur position actuelle, obtenir le carnet de vaccination tant convoité, même sans piqûre. C’est encore possible, car on veut faire entrer le plus de gens possible dans le système du passeport Covid sans grande résistance. Mais il existe déjà des brevets pour des vaccins biométriques infalsifiables, comme le Microneedle Tattoo du célèbre Massachusetts Institute of Technology (MIT), qui a été présenté le 18 décembre 2019 [30] [31]. L’étau se resserre de plus en plus pour tout le monde. Est-ce ce que vous voulez pour vos enfants et vos familles ? Tous ceux qui participent se rendent complices.

Les droits fondamentaux inaliénables et le code de Nuremberg [32] ont été créés en tant que leçon suite au troisième Reich, selon lequel aucun être humain ne peut être contraint de participer à une expérience médicale contre sa volonté :

« …le consentement volontaire du sujet de recherche (est) absolument nécessaire. Cela signifie que la personne concernée doit être capable, au sens juridique du terme, de donner son consentement ; qu’elle doit être en mesure d’exercer son jugement sans être influencée par la violence, la fraude, la ruse, la pression, la simulation ou toute autre forme de persuasion ou de contrainte ; qu’elle doit connaître et comprendre suffisamment le domaine concerné dans ses détails pour être en mesure de prendre une décision raisonnable et éclairée ». Il est évident que cette obligation a déjà été violée de manière flagrante par la pression (2G et autres). Qu’est-ce qui va suivre ?

Traduit de l’Allemand

https://uncutnews.ch/impfpflicht-zur-rettung-des-finanzsystems/


Sources

VERSION ORIGINALE ALLEMANDE

Source : https://uncutnews.ch/impfpflicht-zur-rettung-des-finanzsystems/




Appel à affamer les non-vaccinés : je fais citer le docteur Masson en correctionnelle !

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Chacun se souvient que, au mois de décembre, le médecin radiologue Jean-Philippe Masson, avait appelé à affamer les non-vaccinés sur la boucle WhatsApp lancée par l’Institut Santé de Frédéric Bizard, qui compte 90 membres éminents (dont moi-même, exclu depuis cette date). J’ai décidé de le poursuivre en justice pour incitation publique à la haine. L’audience, qui aura lieu le 21 mars, sera l’occasion de connaître le point de vue des juges sur le discours très macroniste du « j’emmerde les non-vaccinés ».


Plainte contre Jean-Philippe Masson, radiologue, président de la FNMR pour incitation à la haine from Société Tripalio

Je vous avais parlé, au mois de décembre, de cette boucle WhatsApp de l‘Institut Santé de Frédéric Bizard, qui prône “l’autonomie solidaire en santé”. Autonomie, on veut bien croire. Solidaire, on comprend un peu trop ce que cela signifie : solidaire entre certains, mais pas entre d’autres. 

Le docteur Jean-Philippe Masson se lâche sur WhatsApp

Pour promouvoir son obscur institut, énième structure de lobbying dans le domaine de la santé, Frédéric Bizard avait lancé une boucle WhatsApp avec des personnalités diverses (dont votre serviteur). Dans la pratique, cette boucle a surtout servi de caisses de résonance à des médecins en mal de reconnaissance.

Dans ce cadre, plusieurs figures de la santé, comme le docteur Jean-Philippe Masson, radiologue à Carcassonne et président (réélu, donc expérimenté) de la Fédération Nationale des Médecins Radiologues (FNMR) ont échangé sur la meilleure façon de convaincre les non-vaccinés de se faire vacciner. 

Nous étions en décembre, en pleine campagne orchestrée par Mc Kinsey et par le gouvernement, de persuasion sur le danger que les non-vaccinés représentent (prétendument) pour les vaccinés. 

Cette ambiance très guerrière a suscité des vocations. Nous vous l’avions raconté : le docteur Masson, avec quelques autres, a trouvé l’idée du siècle, interdire aux non-vaccinés de se ravitailler. Condamnés à la faim, ils seraient bien obligés de subir l’injection. 

Voilà une belle morale chez quelqu’un qui a prêté le serment d’Hippocrate. Et voilà une logique citoyenne empreinte de “solidarité”, preuve que l’Institut Santé véhicule pleinement les idées dont il se revendique. 

On rappellera ici que, même aux pires moments de la Shoah, le régime nazi n’a jamais endossé l’appel à la privation de nourriture pour ses victimes. 

La justice doit prendre position sur les appels à la haine des médecins pro-vax

Ceux qui suivent nos colonnes savent que je ne suis pas un grand ami des procédures – procédures judiciaires comprises. Mais là, trop c’est trop !

Sans cibler particulièrement le docteur Masson, dont je pense que, à l’image de son collègue Marty, ce n’est pas par l’intelligence qu’il brille le plus, il est important que la justice de la République prenne clairement position sur ses propos tenus contre l’égalité de tous les citoyens. 

Est-il répréhensible d’appeler publiquement à affamer les non-vaccinés, surtout lorsqu’on préside une fédération de médecins. Je le crois profondément. 

Il me paraît nécessaire que le public soit clairement informé de ce que recouvre la phrase d’Emmanuel Macron “je veux emmerder les non-vaccinés”

Il ne s’agit pas de mots en l’air. Il y a, dans les beaux quartiers, dans la caste mondialisée, des gens éduqués, diplômés, qui appellent clairement au génocide de ceux qui ne pensent pas comme eux. 

Le 21 mars, je souhaite que la justice dise clairement Stop ! et qu’elle sanctionne durement ceux qui, sous couvert de leur prétendue science, revendiquent le pire de l’obscurantisme. 

Si vous souhaitez participer à la campagne de shaming de Rester libre ! sur le sujet, rejoignez-la

Et surtout, le 21 mars, soyez au Palais de Justice avec nous. 




Situation sanitaire mondiale le point au 22 01 2022 : pays avec traitement précoce, versus les tout vax

Par le Dr Gérard Delepine

Si les gouvernements et les médecins honnêtes avaient voulu faire autrement et utiliser les traitements précoces : le point au 22 01 2022

Depuis le début de la crise Covid, une propagande effrénée assortie d’une censure féroce nous assène « il n’y a pas de traitement possible …rentrez chez vous et prenez du Doliprane…le confinement sauve des vies…la fin de la crise viendra des vaccins… »

Puis après la mise sur le marché des pseudo vaccins « les vaccins sont efficaces à 97 %. Ils sont sûrs et efficaces…Vous vacciner vous protège et protège les autres…vaccinez-vous et vous retrouverez vos libertés… »

Mais la réalité est têtue et, progressivement, dément tous ces slogans mensongers. Après un an d’une vaccination imposée à plus de 80 % des Français, les restrictions s’intensifient dans une stratégie du tout vaccinal dont l’échec est maintenant reconnu par l’OMS, qui en a pourtant été la grande conseillère, et de nombreux pays qui abandonnent actuellement toute restriction (Espagne, Grande-Bretagne, etc.…).

L’argument le plus fréquemment utilisé par les médias et le pouvoir pour justifier la politique sanitaire qui nous empêche de vivre libre est : « tous les pays pratiquent la même politique ».

Mais cette affirmation est mensongère : près de la moitié des pays du monde (dont l’Inde, les pays d’Afrique tropicale, la Chine, la Malaisie) ont utilisé des traitements précoces, permettant des comparaisons solides avec les pays occidentaux soumis à une dictature sanitaire du tout injection.

Lors des comparaisons, pour évaluer l’efficacité des politiques anti-covid, nous utilisons les données officielles publiées par l’OMS avec, pour étalon la mortalité mondiale cumulée au 11/1/2022 qui atteint 693/Million.

Globalement l’analyse des données de l’OMS est porteuse d’espoir en objectivant l’efficacité des traitements précoces et/ou préventifs utilisés entre autres en Afrique et en Inde et la très grande bénignité d’Omicron qui va sauver les pays soumis à la dictature vaccinale.

L’Afrique tropicale démontre que les traitements précoces sont efficaces

Certains pays africains par choix et/ou nécessité n’ont pas ou très peu vacciné et ont utilisé des traitements anciens et bon marché (antipaludéens et Ivermectine) ou des plantes locales qu’ils utilisent depuis longtemps pour lutter contre le paludisme et de nombreuses parasitoses (Artemisia annua).

En janvier 2022, l’OMS recense en Afrique, un peu plus de 7,8 millions de cas (2,2 % du total mondial) et 200 000 morts Covid (4 % du total mondial), alors qu’elle regroupe un peu plus de 17 % de la population mondiale.

Cette très faible mortalité africaine pourrait sembler d’autant plus inattendue que les systèmes hospitaliers sont bien plus délabrés que les nôtres, qu’ils manquent chroniquement de médicaments et de médecins et que très peu d’Africains (moins de 3 %) ont été vaccinés. D’ailleurs, depuis le début de la crise, les médias mainstream aux ordres de l’ordre mondial avertissent de l’imminence d’une catastrophe Covid dans ce continent et nos gouvernants voudrait leur imposer la thérapie génique expérimentale.

Certes la jeunesse des Africains constitue un facteur protecteur important : le pourcentage des plus de 65 ans varie de 2,5 % (Tchad) à 12 % (Maurice) alors qu’il atteint 20 % en Europe et 17 % aux USA. Comme la très grande majorité des victimes du Covid se recrute parmi les plus de 65 ans, la proportion des malades à risque en Afrique est en moyenne quatre fois inférieure à celle de l’Europe et pourrait expliquer une partie de sa sous-mortalité constatée. De fait, après correction de la mortalité par l’âge, les Africains bénéficient encore de 7 fois moins de morts Covid par million d’habitants (en excluant l’Afrique du Sud qui concentre 45 % de la mortalité africaine globale pour les raisons explicitées plus loin).

L’éventuel rôle protecteur du climat tropical sur la mortalité Covid, parfois évoquée, est rendu peu vraisemblable par la carte des mortalités mondiales qui montre que les pays tropicaux d’Amérique du Sud (où le paludisme ne sévit pas et dont les populations ne prennent pas d’antipaludéens) souffrent autant du Covid que ceux d’Amérique du Nord et d’Europe.

La mortalité Covid des pays africains exposés au paludisme est inférieure à 80/million soit, 22 fois plus faible qu’en France.

La comparaison au 20/1/2022 des cartes de la mortalité Covid et de l’incidence du paludisme montre que les pays, dont la population exposée au paludisme prend des antipaludéens chaque jour, bénéficient d’une mortalité Covid beaucoup plus faible 10 à 180 fois inférieure à celle de la France (1847/M) comme : le Nigéria (14/M), le Mali (33/M), le Congo (65/M), La Tanzanie (12/M), le Tchad (11/M), le Cameroun (68/M), le Niger (11/M), la Côte d’Ivoire (27/M), la Guinée (30/M), le Kenya (99/M), le Sénégal (116/M), le Gabon (129/M).

Les populations du Maghreb, comme celle de l’Afrique du Sud, ne prenaient pas d’antipaludéens avant l’arrivée du Covid.

En Algérie, la population à risque, les plus de 60 ans, représente 25 % du total. Dès mars 2020, les autorités sanitaires algériennes ont recommandé le protocole Raoult qui a été largement utilisé. Au 19/1/2022, la mortalité cumulée ne dépasse pas 144/M, soit 13 fois moins que la France.

Le 31 mai 2021 sur « Canal Algérie », un membre du comité scientifique algérien a employé le terme de « curatif » concernant ce traitement.

Au Maroc, le gouvernement qui avait initialement fortement milité pour la chloroquine n’a plus conseillé ce traitement après les mises en garde infondées de l’OMS. Au 19/1/2022 la mortalité cumulée atteint 401/Million.

La Tunisie a suivi les recommandations de l’OMS et suspendu l’utilisation de la chloroquine en mai 2020. Cet arrêt a été suivi par la progression de la maladie et l’apparition des premiers décès. Au 19/1/2022, la mortalité Covid atteint les chiffres européens : 2165/M.

L’Afrique du Sud ne souffre pas de paludisme et n’utilisait pas d’antipaludéens lorsque le Covid est apparu. La stratégie utilisée a été semblable à celle de la France : confinement, refus des traitements précoces, vaccin. Elle a banni la chloroquine et plus récemment l’Ivermectine. Elle constitue actuellement le second pays africain à la plus forte mortalité Covid avec 1556 morts par million d’habitants, supérieure à la mortalité européenne moyenne, mais paraît être sortie de l’épidémie depuis la fin de la vague Omicron.

Cet examen rapide de l’évolution du Covid en Afrique montre la parfaite corrélation entre une mortalité faible et la prise quotidienne d’antipaludéens et/ou d’Ivermectine/Artémisine.

Il n’y a pas de miracle africain. Il n’y a que la confirmation que les traitements par antipaludéens et/ou Ivermectine/Artémisine sont efficaces.

La comparaison des îles Africaines de l’océan Indien met en évidence la supériorité du traitement par Artémisine sur les pseudo vaccins

Dans l’océan Indien, quatre îles se situent dans un cercle de 1000 kilomètres de rayon : Maurice, la Réunion, les Seychelles, Madagascar. Leurs conditions climatiques, leur mode de vie et les caractéristiques de leurs populations sont très proches. Mais les trois premières ont adopté la stratégie de l’OMS, tandis que Madagascar adoptait le traitement précoce par l’Artémisine. La comparaison de leurs évolutions est démonstrative.

Madagascar : 29 millions d’habitants, dont 2 % de vaccinés

Le gouvernement a fait la promotion de l’utilisation préventive d’un antipaludéen local, l’Artemisia qui a été beaucoup consommée.

Au 19/1/2022, l’épidémie est maîtrisée depuis début juin 2021 après 55 827 cas et 1169 morts, soit une incidence globale de 1963/Million et une mortalité globale 39/Million, soit 18 fois moins que la moyenne mondiale et 48 fois moins que celle de la France.

Île Maurice 70 % d’injectés

En 2022, la population de l’île Maurice compte 1 280 000 personnes. La vaccination a commencé mi-février 2021 et au 17/11/2021 plus de 70 % de la population avait reçu au moins une injection.

Depuis la campagne de vaccination le nombre de morts par a été multiplié par 24 (de 10 à 240). Au 12/12/2021, la mortalité cumulée s’élève à 200/million, soit 5 fois supérieure à celle de Madagascar.

La Réunion compte 905 000 habitants dont 58 % sont vaccinés

La politique sanitaire suivie est celle de la métropole avec l’interdiction des traitements précoces et un tout vaccin. Au 12/12/2021, l’épidémie reste active, le nombre de cas cumulé atteint 63 863 avec 391 morts (mortalité 415/M), soit le triple la moyenne africaine et 12 fois celle de Madagascar.

La catastrophe vaccinale des Seychelles vaccinées à 90 %

Fin décembre 2020, le pays comptait moins de 500 cas de Covid-19 confirmés et 3 morts. En espérant sauver sa prochaine saison touristique, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population. En janvier 2022, la couverture vaccinale dépasse 90 %.

Mais depuis la vaccination, les Seychelles ont dû faire face à une hausse considérable des cas qui a incité le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars dans la journée, les casinos…

Au 19 janvier 2022, le pays comptait 32 850 cas confirmés et 133 morts contre 500 cas et 3 morts avant la vaccination. Ainsi après 12 mois de vaccination, le nombre de cas a été multiplié par 64, la mortalité par 44. L’incidence globale atteint 332078/million et la mortalité globale attribuée au Covid s’élève à 1415/million, 8 fois plus que la moyenne africaine et 38 fois celle de Madagascar.

Cette analyse des îles africaines de l’océan Indien confirme l’efficacité du traitement par Artemisia et l’inefficacité dangereuse des vaccins. Le traitement précoce et/ou préventif par Artemisia a permis à Madagascar de compter 40 fois moins de morts par million que la stratégie OMS du tout vaccin adoptée aux Seychelles.

L’Inde très peu vaccinée a utilisé avec succès les traitements précoces et préventifs

Le système de santé indien est beaucoup moins bien pourvu que celui de la plupart des pays, avec une dépense par habitant de 73 dollars à peine, contre 4 690 dollars en France. Compte tenu de l’état de leurs hôpitaux et de la grande promiscuité de la population qui s’entasse dans les mégalopoles, les experts prédisaient une catastrophe sanitaire majeure qui n’a pas eu lieu.

Le 22/3/2020, lors de la première vague, l’Indian covid19 Task force a refusé de suivre l’avis de l’OMS déconseillant HCQ sur la foi de l’étude truquée publiée par le Lancet et a, au contraire, recommandé le traitement préventif par l’hydroxychloroquine du personnel soignant, des forces de l’ordre et des foyers, contenant des personnes contaminées par le Covid-19. Ce traitement préventif a contrôlé la première vague en limitant considérablement la diffusion de la maladie avec un pic de nouvelles contaminations quotidiennes qui n’a pas dépassé 75/Million, alors qu’en France il a atteint 1072/M.

Au 30 janvier 2021 l’Inde ne comptabilisait que 8275 cas/Million d’habitants alors qu’à cette date la France en recensait 47 715/M (3 114 542), soit six fois plus.

Cette forte réduction du risque de contamination lors de la première vague ne peut pas être attribuée à l’âge de la population, car l’infection atteint à peu près également toutes les tranches d’âge, même si son expression et sa gravité en dépendent fortement. Ce traitement préventif ciblé a aussi fortement réduit la mortalité puisqu’au 30 janvier 2021, l’Inde comptait dix fois moins de morts que la France (118 morts/M contre 1156/M).

Le début timide de la vaccination en janvier 2021 a été suivi par relatif abandon des traitements préventifs et l’explosion du nombre de cas en mars 2021 puis de la mortalité en avril, obligeant le ministère de la Santé indien à actualiser ses recommandations, en ajoutant l’Ivermectine à la liste des traitements officiellement recommandés. Les contaminations journalières ont très rapidement diminué ainsi que la mortalité. Grâce à l’Ivermectine, l’Inde bénéficie depuis juillet 2021 d’une accalmie qui confine à la guérison et sa mortalité cumulée globale par million d’habitants est quatre fois et demie plus faible que celle de la France (395 vs 1843).

Depuis l’utilisation de l’Ivermectine, la mortalité quotidienne attribuée au covid en Inde se maintient autour de 300, équivalent français de 15/J, alors que notre moyenne actuelle tourne autour de 200/J.

L’Inde n’est pas le seul pays à avoir utilisé l’Ivermectine avec succès

Au Mexique, l’État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer la mortalité avec l’Ivermectine.

Plus de 20 études randomisées ont démontré avec certitude que l’Ivermectine a une très grande efficacité contre la Covid-19 — en prévention, en traitement précoce et à l’hôpital.(([1] https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/wp-content/uploads/2021/03/BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf.)) En France, le Dr Gérard Maudruxa publié une synthèse complète(([2] BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf.))(([3] Ivermectine for COVID-19: real-time meta analysis of 75 studies Covid Analysis, Jan 17, 2022, Version 172
https://ivmmeta.com)) de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine.

De très nombreux scientifiques et médecins du monde entier militent pour généraliser la prescription d’Ivermectine, comme l’Alliance FLCCC aux États-Unis, le groupe BIRD en Grande-Bretagne, le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation mondiale de la Santé. Au Japon, le président de l’Association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament.

Les négationnistes institutionnels : aveugles ou corrompus ?

L’Autorité européenne du médicament (EMA) déconseille ce médicament prétendant« les données disponibles ne soutiennent pas son utilisation pour le Covid-19 en dehors d’essais cliniques » de même que l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) prétextant que les preuves d’efficacité n’étaient pas « concluantes ». L’Agence française du médicament (ANSM) a refusé d’accorder à l’Ivermectine une recommandation temporaire d’utilisation, estimant qu’on ne peut pas « présumer d’un bénéfice/risque favorable » alors que certaines de ces mêmes agences ont défendu ou autoriser sans preuves réelles les pseudo vaccins, le Remdesivir, l’Evusheld(([4] nouvelle bithérapie d’anticorps monoclonaux contre la Covid-19, autorisée en accès précoce sur le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament)) et le 21 janvier 2021 le Paxlovid qui serait donné aux patients susceptibles de faire une forme grave !

C’est d’autant plus ahurissant que le risque de l’Ivermectine est nul : avec trente ans de recul et plusieurs milliards de doses prescrites, même à des enfants et des personnes âgées, aucun risque sérieux n’a été signalé aux doses recommandées.

Ces refus de l’Ivermectine, comme celui de l’hydroxychloroquine, ne reflètent que le crédo d’un petit groupe de pseudoscientifiques trop liés à l’industrie pharmaceutique et sous la pression de politiques qui refusent qu’un médicament du domaine public à un prix ridicule puisse concurrencer les dernières inventions brevetées et hors de prix de leurs amis industriels.

L’excellente nouvelle de l’arrivée d’Omicron, possible futur « vaccin » naturel idéal

Manifestement, nos dirigeants veulent continuer de gouverner par la peur, via les tests multiples que tout le monde ou presque va pouvoir pratiquer (décret du 21 janvier 2022), pour prolonger des mesures contraires aux données de la science, au simple bon sens et aux droits de l’homme pour leurs profits et ceux de Big Pharma.

Mais leur dernier croquemitaine (Omicron) que les médias montent en épingle risque fort de les décevoir en mettant définitivement fin au coronacircus.

En effet sa plus grande contagiosité va progressivement le rendre dominant en 2022. Or il est très peu mortifère et son installation devrait progressivement réduire la mortalité vers zéro comme tendent à le démontrer l’Afrique du Sud et la Grande-Bretagne.

Il pourrait représenter le vaccin idéal : naturel, gratuit et efficace pour la vie.

Vive le variant omicron et n’en ayez pas peur ! Il va nous libérer.





Décision du Conseil Constitutionnel : la fin des illusions ?

Par Lucien SA Oulahbib

Il n’est pas sûr que soit évaluée dans son importance gravissime pour les libertés cette avalisation absolument inique, celle d’une telle loi scélérate, en l’occurrence le fait de rendre « comme » obligatoire ce qui ne l’est pas déjà légalement à savoir l’injonction d’une injection censée éviter « des formes graves », alors qu’il suffisait de laisser les médecins prescrire les traitements précoces qui marchent. Rappelons d’ailleurs qu’interdire ces derniers est criminel et sera sans aucun doute durement châtié lorsque la Raison retrouvera ses droits ; mais quand ? Car il n’est cependant pas sûr, répétons-le, que soit encore saisi à sa juste mesure le piétinement faramineux actuel de nos libertés, et ce au moment même où la Grande-Bretagne et l’Espagne décident de classer cette pandémie (une syndémie en réalité) comme « endémique » ce qui implique de plutôt soigner les personnes fragiles et laisser vivre normalement la grande majorité de la population en particulier les enfants qui ne sont ni à risque ni dangereux.

Mais pour les fanatiques de la secte hygiéniste, la Grande-Bretagne ne compte pas, parce qu’elle a quitté l’UE, un crime de lèse-majesté pour les jusqu’au-boutistes de la solution injectable. Ceux-ci se sont « enkystés » dans un « long tunnel » de déni (pour paraphraser leurs propres dires lorsqu’ils parlent et montrent du doigt les non-injectés comme source du mal, car autrement tout aurait été bien sûr accompli), alors que — et ce comme prévu par les spécialistes (et non les charlatans de la lumpen intelligentsia, qu’ils soient médecins, politiques, journalistes, ou pseudo-philosophes) — l’accélération des contaminations (avec bien moins de létalité) est objectivement liée au fait que ces injections initialement structurées pour répondre (provisoirement) à la souche initiale ont un spectre bien trop spécifique (à la différence de l’immunité naturelle et acquise) et donc laissent passer les nouvelles variations.

À quoi bon de toute façon s’entacher ainsi puisque de tels arguments sont inécoutables pour des sectaires ? Rappelons-nous ce ministre de la santé qui dès qu’il entend le mot « hydroxychloroquine » sort son revolver clownesque en répondant à Martine Wonner que cela ne se « fume » pas, lui qui à sa troisième injection s’en est trouvé alité.

Sans doute [à cause de] un de ses enfants, peut-être à l’instar du Premier Ministre qui a accusé sa fille de 11 ans et dont la célérité à définir le terme de « dangereux » devrait être citée comme exemple type et symbole monstre d’une narration absurde frisant non pas la démence (dépassée depuis longtemps), mais la monstruosité.

Car nous en sommes là. Ce sont des monstres (comme il a été déjà dit dans plusieurs textes), au sens de recombinés synthétiques qui associent des bribes d’un peu de toutes les idéologies et que j’ai proposé de nommer soit Secte Scientiste hygiéniste affairiste (la SSHA), soit la Secte néonazie plus synthétiquement parlant, car il s’agit d’un projet à la fois racialiste et génétique. Il est racialiste au sens de créer une nouvelle « race » tout en dénonçant le racisme. Et pour ce faire il emploie les manipulations génétiques géniques génitales multiformes, le tout dans une ambiance idéologique de manipulation mentale à haute dose en injectant des séries comportementalistes via les réseaux fictionnels que des « influenceurs » patentés ou « miroirs mimétiques » doivent à la fois initier et entretenir (entertainment [ce terme anglais signifie « divertissement »]).

La tératologie politique dont j’essaye d’esquisser les contours dans plusieurs ouvrages et articles tente alors déjà de comprendre la genèse de ce processus idéologique qui a produit de tels mutants (ou « variants ») tout en sachant bien sûr qu’il est sans doute très inconfortable déjà de penser que des (prétendus) partisans de l’antifascisme et de la démocratie se soient ainsi transformés, et ce peu à peu, en leur contraire, comme l’engendrement (et non l’enfantement) d’Aliens  à l’instar du film bien connu ou encore du Portrait de Dorian Gray.

Mais c’est ainsi : l’incrédulité entoure toujours la force prégnante d’une nouvelle argumentation comme le prophétisait déjà Marshall Mac Luhan lorsque dans son livre » La galaxie Gutenberg » (précédant le suivant — « Medium is the message » — qui a tant influencé la pensée de Jean Baudrillard cité aujourd’hui de plus en plus par… Didier Raoult dans ses vidéos) Mac Luhan indiquait que lorsque la nouveauté conceptuelle dépassait les 20 %, le public moyen des influenceurs était perdu ou rebuté parce qu’ils ont été formés dans l’ancienne blockchain conceptuelle ce qui fait qu’ils ne peuvent adouber une pensée qui les remet en cause même indirectement ; aussi préfèrent-ils l’ignorer, voire l’effacer, et ainsi croient-ils, pensent-ils « protéger » le « grand » public de pensées « complotistes », un peu comme autrefois où la lecture des Écritures ne pouvait se faire que par l’intermédiaire des Clercs.

Mais quand ceux-ci « trahissent » (transition aisée, mais opportune…), faut-il attendre que de 20 nous passions à 30, 40, puis 50, enfin 80 % d’une argumentation recevable alors qu’il n’est pas sûr que cedit « grand » public que l’on prétend préserver ne soit pas à même d’appréhender lui-même la nouveauté ? La mode fonctionne ainsi : une nouvelle forme apparaît et se répand partout parce qu’elle rend visible ce qui se tramait comme esprit du temps.

[Note de Joseph : une certaine vision des choses, d’ordre métaphysique, ésotérique ou religieux, considère que les nouvelles idées proviennent d’un ensemencement du plan mental commun à l’Humanité et tout individu suffisamment sensible à ce plan peut alors les capter. Les plus réceptifs sont souvent des penseurs, des inventeurs ou des artistes. Ils s’en emparent puis les transmettent alors sous une forme ou une autre : textes, paroles, inventions, expressions artistiques… les rendant alors plus accessibles à ceux qui ne sont pas autant réceptifs ou mentalement outillés. Cependant, il peut exister une fraction des penseurs et autres capteurs d’idées qui préfèrent conserver pour eux-mêmes les nouveautés de peur de perdre leurs privilèges. Et dans le même temps, ceux parmi les privilégiés qui ne sont pas eux-mêmes des récepteurs d’idées nouvelles tendent à lutter contre ces dernières pour le même motif ou pour éviter de chambouler ce qui justifiait jusqu’à présent leur vie. Ils peuvent entraîner derrière eux tous ceux qui ont peur de perdre leurs repères, leurs habitudes ou leur confort physique, moral ou psychique…]

Espérons qu’il en soit bientôt ainsi : que l’illusion d’un « État de droit » inamovible se dissolve, que les « civilisations sont des êtres mortels » et que sans un Appel, un Sursaut, une Révélation enfin (ou le travail séculaire des Prophètes, aujourd’hui des Précurseurs) il soit enfin possible de prévenir la fin si l’on ne fait rien.

Mais, à l’inverse, et après tout, la Terre en a vu d’autres sur quatre milliards et quelques années de son émergence, les dinosaures ont bien disparu, l’espèce humaine serait donc en train de se détruire, à une vitesse sans doute plus lente que celle des premiers, du moins en apparence…

Et puis comme nous sommes encore dans une période interglaciaire, celle-ci touche peut-être à sa fin ou le retour vers le grand froid (« Anéantir » clame justement le Prophète à la mode) : spirituellement c’est fait, politiquement aussi, économiquement en cours.




L’Autriche devient le premier pays de l’UE à imposer la vaccination obligatoire à tous les adultes

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Le 20 janvier, l’Autriche est devenue le premier État du vieux continent à adopter la vaccination obligatoire contre le Covid-19. En octobre 2021, ils avaient essayé le confinement des non-vaccinés, mais avaient abandonné quelques semaines plus tard. Et voilà que, malgré l’ampleur et la régularité des manifestations populaires, le gouvernement autrichien fait une fois de plus le choix de l’autoritarisme en imposant la vaccination.

Lire aussi : Confiner seulement les non-vaccinés ? Une idée venue d’Autriche qui pourrait devenir virale

Pendant ce temps, hors de l’Union européenne, le Royaume-Uni annonce mettre fin aux quelques restrictions qui restaient encore en place d’ici à la fin du mois de janvier.

Un projet de loi auquel seule l’extrême-droite s’est opposée

Le projet de loi sur la vaccination obligatoire annoncé en novembre a été adopté au Parlement autrichien par une large part de la classe politique (137 pour, 33 contre sur 183 sièges). La mesure prendra effet le 4 février. Outre les Verts, partenaires de coalition des conservateurs, les chefs des partis social-démocrate et libéral se sont prononcés en faveur du texte.

Seule l’extrême-droite s’y est opposée en vertu de la nécessité de protéger les libertés individuelles. Le chef du parti anti-immigration FPÖ, virulent opposant à la politique sanitaire du gouvernement, a dénoncé lors des débats « un projet ouvrant la voie au totalitarisme en Autriche ». « Nous n’avons pas la majorité aujourd’hui au Parlement, mais nous l’avons à l’extérieur », a lancé Herbert Kickl, assurant qu’il défierait la loi.

À l’inverse, le chancelier conservateur (OVP) Karl Nehammer a déclaré devant la presse avant l’ouverture de session que « la vaccination est la chance pour notre société d’atteindre une liberté durable et continue, sans que le virus nous restreigne ».

Suite à l’adoption de cette mesure, le gouvernement ne cache pas sa crainte d’une réaction violente des Autrichiens. Il a donc décidé d’instaurer des « périmètres de protection » aux abords des établissements de santé, des centres de vaccination et de tests.

Une amende allant jusqu’à 3 600 euros en cas de non-vaccination

En vertu de la nouvelle loi, les non-vaccinés pourront écoper d’une amende pouvant aller de 600 à 3 600 euros. Elles seront levées si le contrevenant se fait vacciner dans les deux semaines.

À ce stade, environ 72 % de la population de 8,9 millions d’habitants est entièrement vaccinée, un pourcentage inférieur à la France. Pour laisser du temps aux non-vaccinés, qui se verront tous adressés une lettre de convocation, les contrôles ne seront lancés qu’à partir de la mi-mars.

Le 20 janvier au matin, une petite foule s’était réunie aux abords du Parlement. D’après Kerstin, enseignante de profession et contactée par l’AFP, qui a souhaité garder son nom de famille confidentiel, la loi est contraire à la Constitution et « bafoue les droits fondamentaux ». Avec elle, d’autres opposants à la vaccination ont exprimé leurs inquiétudes sur « les effets à long terme » des vaccins, assurant d’une même voix qu’ils ne paieraient de toute façon pas l’amende. Le gouvernement autrichien enverra-t-il en prison les non-vaccinés qui ne s’affranchiront pas de la sanction financière ?

Sur Twitter, la commentatrice politique Eva Vlaardingerbroek a annoncé : « L’Autriche est tombée. L’Europe ne fait officiellement plus partie de l’Occident libre. »

Un peu plus tôt sur la chaine Fox News, elle dénonçait la mise en place en Europe « d’un régime de contrôle et de surveillance de masse tyrannique » et appelait à un sursaut en Autriche, de sorte que le continent ne connaisse le même sort que la Chine sous contrôle communiste. 

Auteur(s): FranceSoir




Le scandale financier et sanitaire des tests PCR anticovid répétitifs

Par Gérard Delépine

Tests PCR anticovid répétitifs :
coût faramineux pour efficacité sanitaire nulle

Depuis mai-juin 2020, la propagande gouvernementale nous rabâche :

« testez-vous, pour vous protéger et protéger les autres ».

Cette propagande a reçu un accueil enthousiaste et populaire bien conditionné par des médias aux ordres diffusant un message unique. Certains anxieux se sont fait tester plusieurs fois par jour aboutissant à réaliser plus de 2 millions de tests en un seul jour début janvier 2022, et à une dépense de plus d’un milliard d’euros pour le seul mois de décembre 2021.

Pourtant l’intérêt des dépistages chez les asymptomatiques n’a pas été démontré.

Le rôle d’un gouvernement est de gérer l’argent public au mieux, en attribuant les ressources là où elles sont utiles, en se guidant sur des bilans réguliers coût/efficacité, mais pour les tests (qui ont été élevés au niveau d’un tabou), cela n’a jamais été fait. Toute critique semble quasiment blasphématoire.

Le dépistage massif au moment des fêtes de Noël 2021 a-t-il été utile ?

Le but des tests est officiellement de dépister les asymptomatiques supposés contaminants pour les isoler et casser ainsi la chaîne des contaminations. Si cela était efficace, on devrait observer, une à deux semaines après un dépistage massif, une baisse franche des nouveaux cas quotidiens. Les chiffres et les courbes publiés par l’Organisation Mondiale de la Santé permettent de vérifier l’évolution inverse.

L’« épidémie de tests » a commencé début novembre 2021 et s’est accélérée depuis cette période, depuis que le gouvernement veut maintenir la peur et convaincre la population de vacciner les jeunes et les enfants.

Cette augmentation massive du nombre de nouveaux cas journaliers ne résulte pas seulement de l’augmentation forte du nombre de tests réalisés (le pourcentage de tests positifs a également augmenté durant cette période).

Durant ces derniers mois, le dépistage massif n’a donc pas permis de limiter la progression de l’épidémie.

Pourquoi le dépistage des asymptomatiques est inutile

Le dépistage anticovid par tests PCR mis au point par Drosten, le conseiller d’Angela Merkel, et imposé par l’OMS dès janvier 2020 repose sur deux hypothèses : la supposée spécificité des tests et le caractère soi-disant contaminant des personnes testées positives. Or aucune de ces deux hypothèses n’est vraie.

Chez une personne ne présentant aucun signe clinique, la positivité d’un test PCR n’indique absolument pas qu’elle est malade, ni qu’elle le deviendra, ni qu’elle est porteuse de virus, ni qu’elle peut le transmettre.

Ces constatations ont initialement été faites dès septembre 2020 sur 3790 cas positifs.(([1] Rita Jaafar Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère — Maladies infectieuses cliniques, 28/9/2020 ciaa1491))

De même aucun des 300 asymptomatiques positifs en PCR dépistés autour de Wuhan (10 millions de personnes testées)(([2] France info avec AFP : Après avoir mobilisé plus de 28 000 soignants sur plus de 2 800 sites, les autorités de Wuhan (Chine) ont réalisé la plus vaste opération de dépistage du Covid-19 chez dix millions d’habitants pour un prix de 127 millions de dollars — lundi 9 août 2020)) ne s’est révélé porteur de virus cultivable, ni contaminant, ni atteint par la maladie après un mois de surveillance.

La spécificité du test PCR Covid est très incertaine(([3] Covid : La PCR nasale peut-elle mentir ? Dr Pascal Sacré, AIMSIB, 30 août 2020))

En septembre 2020 un article du Lancet(([4] Elena Surkova Vladyslav, Nikolayevskyy, Francis Drobniewski False-positive COVID-19 results: hidden problems and costs Lancet: September 29, 2020)) soulignait le manque de spécificité du test et le danger de ne pas le confronter aux éléments cliniques.

«Tout résultat de test de diagnostic doit être interprété dans le contexte de la probabilité de maladie avant le test. Pour COVID 19, l’évaluation de la probabilité pré-test inclut les symptômes, les antécédents médicaux de COVID-19 ou la présence d’anticorps, toute exposition potentielle à COVID-19 et la probabilité d’un autre diagnostic. Lorsque la probabilité de pré-test est faible, les résultats positifs doivent être interprétés avec prudence…

L’excrétion prolongée d’ARN viral, dont on sait qu’elle dure des semaines après la guérison, peut-être une raison potentielle de résultats positifs aux tests par écouvillonnage chez les personnes précédemment exposées au CoV-2 du SRAS. Toutefois, et c’est important, aucune donnée ne suggère que la détection de faibles niveaux d’ARN viral par RT-PCR équivaut à une infectiosité, à moins que la présence de particules virales infectieuses n’ait été confirmée par des méthodes de culture en laboratoire. » 

Dès novembre 2020, la chambre d’appel du tribunal de Lisbonne avait jugé(([5] http://c-politix.lescigales.org/La-Cour-d-Appel-de-Lisbonne-condamne-les-tests-PCR-et-les-decisions-administratives-qui-en-decoulent.html)) que ce test manquait trop de fiabilité pour affirmer le diagnostic de Covid chez un asymptomatique et décider de son isolement.

La FDA a admis dans un document récent(([6] Centers for Disease Control and Prevention Division of Viral Diseases 1600 Clifton Rd NE Atlanta GA 30329 CDC-006-00019, Revision: 07 CDC/DDID/NCIRD/ Division of Viral Diseases Effective: 07/21/2021)) que le test PCR « Covid » a été développé sans échantillon viral spécifique isolé pour l’étalonnage des tests, reconnaissant qu’il teste quelques séquences d’ARN insuffisamment spécifiques du virus.

Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR. Il n’existe aucun test légitime permettant d’identifier avec précision la présence du SRAS-CoV-2.

Extraits choisis du document de la FDA de janvier 2020 et réactualisé régulièrement (dernier en juillet 2021)

« Since no quantified virus isolates of the 2019-nCoV were available for CDC use at the time the test was developed and this study conducted, assays designed for detection of the 2019-nCoV RNA were tested with characterized stocks of in vitro transcribed full length RNA (N gene; GenBank accession : MN908947.2)… »

« Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et que cette étude a été menée, des tests conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN transcrit in vitro sur toute la longueur (gène N ; Accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/μL) enrichi en un diluant constitué d’une suspension de cellules A549 humaines et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique.

CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel

« Les résultats concernent l’identification de l’ARN du SRAS-CoV-2.

L’ARN du SRAS-CoV-2 est généralement détectable dans les échantillons des voies respiratoires supérieures et inférieures pendant l’infection. Les résultats positifs sont révélateurs d’une infection active par le SRAS-CoV-2, mais n’excluent pas une infection bactérienne ou une co-infection par d’autres virus. L’agent détecté peut ne pas être la cause définitive de la maladie. Les laboratoires aux États-Unis et dans leurs territoires sont tenus de rapporter tous les résultats aux autorités de santé publique compétentes.

Les résultats négatifs n’excluent pas l’infection par le SRAS-CoV-2 et ne doivent pas être utilisés comme seule base pour le traitement ou d’autres décisions de prise en charge des patients. Les résultats négatifs doivent être combinés avec des observations cliniques, des antécédents du patient et des informations épidémiologiques. »

« Mea Culpa de l’OMS »

L’OMS en avril 2021 avait attiré l’attention de l’invalidité de trop des tests PCR, surtout lorsque les laboratoires utilisent un nombre de séquences d’amplification du signal trop élevées. Aucun compte n’a été tenu de cette mise en garde, du moins dans la plupart des labos français.(([7] Le Pr Prof Michel Chossudovsky mentionne qu’il existe plusieurs autres défauts concernant le test PCR qui ne sont pas abordés dans cet article. (Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky :
The 2020 Worldwide Corona Crisis: Destroying Civil Society, Engineered Economic Depression, Global Coup d’État and the Great Reset (Chapitre II)
ou La crise mondiale du Corona de 2020 de Michel Chossudovsky))

Vous trouverez ci-dessous la « rétractation » soigneusement formulée par l’OMS :

« Le document d’orientation de l’OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence. La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente.

Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test. »

Ces mises au point officielles confirment que les tests PCR ne sont pas fiables et ne devraient en aucun cas être utilisés par les gouvernements comme preuve de la « pandémie ».

Les coûts financiers et humains colossaux de ces tests inutiles et trompeurs

En 2021, le seul coût direct des tests avoisine les 12 milliards d’€. Mais il faut aussi tenir compte des coûts indirects résultant des mesures sanitaires inutiles qui en résultent (quarantaines injustifiées). Avec près de 300 000 cas quotidiens et le double ou triple de cas contacts, le nombre total de victimes de ces tests dépasse plusieurs millions de personnes, aboutissant à la désorganisation de l’hôpital, des entreprises et des familles, de l’école (l’isolement d’un enfant testé positif entraîne souvent l’arrêt de travail d’un des parents) et la facture de ces coûts indirects dépasse les 50 milliards €.

Sans compter les angoisses injustifiées créées par ces tests qui aggravent les problèmes psychologiques de la population et entravent la reprise économique via arrêts de travail pour dépression, etc.

Tout ça pour aucun bénéfice sanitaire mesurable !

Il est grand temps que nos dirigeants reviennent aux moyens classiques d’évaluer des épidémies, le comptage des malades et celui des morts de la maladie et abandonnent leur stratégie du gouvernement par la peur qui saborde l’économie. Le réseau sentinelle existe et est parlant. Il n’y a qu’à le consulter pour faire cesser cette comédie des faux malades.





Covid-19 : Remettez tout en question – Restez sains d’esprit – Vivez libres

[Source : dailysceptic.org]

Par Sally Beck 

Traduction : Jean Bitterlin

Pourquoi ne publient-ils pas les données sur les décès d’enfants après la vaccination contre le Covid ?

Les parents d’enfants âgés de 12 à 17 ans veulent que les responsables du Gouvernement publient les données de sécurité en temps réel pour les vaccins Covid. Une mère est tellement inquiète sur la possibilité que ses trois enfants pourraient souffrir d’événements indésirables graves qu’elle a demandé en leur nom à la Haute Cour la divulgation publique complète (de ces données — NdT).

Le Bureau National des Statistiques (en anglais ONS pour Office for National Statistics — NdT) admet qu’il détient les chiffres, mais ne les a pas révélés publiquement, donc jeudi dernier, la mère EF, qui ne peut être nommée pour des raisons juridiques, a fait part de son inquiétude au juge Jonathan Swift et lui a demandé d’ordonner à l’ONS de divulguer les données. Sa requête a été refusée.

Elle a déclaré :

« Je ne suis pas surprise. J’ai l’impression que le juge avait déjà pris sa décision ».

Pour ceux d’entre nous qui sont devant les tribunaux, c’était certainement comme s’il avait pris sa décision et que personne n’osait remettre en cause les décisions du Secrétaire à la Santé Sajid Javid.

La présentatrice de télévision et de radio Beverley Turner, qui a aidé à collecter plus de 100 000 £ pour financer l’action et qui a été vilipendée pour avoir posé des questions sur la sécurité des vaccins, était également présente. Elle a déclaré :

« Il semblait que le juge avait déjà décidé de l’issue. Il était hostile aux demandeurs et chaleureux envers les accusés. Tout ce que nous faisons c’est de nous battre pour la transparence et pour cela, nous avons eu une réponse hostile ».

On sait que les vaccins Covid à ARNm de Pfizer et Moderna peuvent causer les maladies inflammatoires cardiaques myocardite et péricardite, le plus souvent chez les jeunes gens, alors que l’Oxford/AstraZeneca peut provoquer des caillots sanguins et des accidents vasculaires cérébraux. Nous ne savons pas dans quelle mesure, et si les enfants sont décédés ou ont été handicapés de manière permanente à la suite d’une vaccination Covid.

Les enfants d’EF, AB et CD, ont saisi les tribunaux en septembre dernier pour arrêter le déploiement du vaccin pour les 12 à 17 ans (for 12-17-year-olds) et ont demandé un réexamen de la décision de justice. Ils disent qu’il leur faut les chiffres de l’ONS afin d’étayer un appel puisque la demande a été rejetée.

Leur mère EF, qui est leur représentante dans la procédure, a déclaré :

« La cour a été informée que seuls deux enfants sans maladies sous-jacentes sont décédés jusqu’à présent. Il est clair que la Covid n’est pas un problème pour les jeunes, mais le vaccin peut en être un. Tout ce que nous voulons c’est une divulgation honnête des chiffres afin que les parents puissent prendre une décision éclairée. Aucun d’entre nous n’est anti-vaccin, mais nous sommes inquiets par le manque de données de sécurité pour les injections Covid.

Nous savons que les vaccins à ARNm (ARN messager — NdT) sont expérimentaux et qu’ils sont proposés au titre de la procédure d’urgence. Nous savons également que les essais ne se terminent officiellement qu’en 2023. De nombreux parents ne veulent pas que leurs enfants soient des cobayes ».

Après avoir examiné les preuves, la Commission Mixte sur la Vaccination et l’Immunisation (en anglais JCVI pour Joint Committee on Vaccination and Immmunisation — NdT) a recommandé de ne pas vacciner les 12 à 15 ans (recommended against vaccinating 12-15-year-olds), mais les quatre médecins en chef du Royaume-Uni ont passé outre à cet avis.

Au 22 décembre (2021 — NdT) l’Organisme de Réglementation des Médicaments et des Soins de Santé (en anglais : MHRA pour Medicines and Healthcare products Regulatory Agency — NdT) qui évalue l’innocuité des nouveaux médicaments a reçu 2 546 rapports d’événements indésirables (ce qui représente vraisemblablement 10 % du total réel — 10% of the true total) pour les moins de 18 ans par le biais de leur système d’auto déclaration Carte Jaune (Yellow Card) mais qui ne donnent des détails qu’au sujet d’inflammation cardiaque.

Un communiqué a dit :

« Au 17 novembre 2021, il y a eu 432 signalements de myocardites et 332 signalements de péricardites suite à l’utilisation du vaccin Pfizer. Il y a eu 101 signalements de myocardites et 57 signalements de péricardites suite à l’utilisation du vaccin Moderna. Il s’agit là d’un risque potentiel avec le vaccin COVID-19 Pfizer BioNTech et le vaccin COVID-19 de Moderna et le MHRA (voir ci-dessus — NdT) surveille de près ces événements ».

Nous savons que 2,9 millions d’enfants ont reçu leurs premières doses Pfizer et 20 550 ont eu leurs premières doses Moderna alors que 11 600 enfants ont reçu leurs premières doses Oxford/AstraZeneca (encore qu’il ne soit plus recommandé pour les moins de 40 ans parce que ce groupe d’âge est plus sensible aux caillots sanguins potentiellement mortels). Près d’un million de moins de 18 ans ont reçu une deuxième injection.

L’action en justice a été engagée par l’avocat Stephen Jackson du cabinet Jackson Osborne et a été plaidée par l’avocat plaidant Francis Hoar, qui a subi des interruptions constantes de la part du juge Swift. Il a présenté à la cour les preuves de la pathologiste consultante Clare Craig.

Le Dr Craig a déclaré que les chiffres de l’ONS (rappel Bureau national des Statistiques — NdT) disponibles concernant le nombre de décès dans le groupe des 15-19 ans montraient :

« une tendance d’un excès de décès non-Covid chez les garçons de cet âge qui dépassait les décès des années précédentes ».

Du 1er mai 2021 au 30 décembre 2021, 402 décès masculins avaient été enregistrés, 34,6 % de plus que la moyenne des cinq ans entre 2015 et 2009. Le nombre pour les femmes sur la même période était de 163, une diminution comparée à la moyenne sur cinq ans de 175.

L’avocat plaidant Heather Emmerson, représentant l’ONS, qui ne s’est pas attiré la colère du juge Swift, a déclaré :

« Nous n’acceptons pas une augmentation significative des décès de garçons comparés avec les années précédentes. Ceci parce qu’il est difficile d’un point de vue statistique de calculer un taux de mortalité moyen ».

Elle a néanmoins reconnu :

« qu’il y avait une augmentation marginale de la mortalité sur cette période, mais les chiffres devraient être traités avec prudence. Les différences sont suffisamment faibles qu’elles pourraient être causées par un retard dans l’enregistrement du décès ».

Le Dr Vahé Nafilyan, statisticien de la santé à l’ONS, a déclaré dans un communiqué qu’ils ne possédaient que 62 % des données demandées, car 38 % des décès devaient encore être enregistrés. Potentiellement, la marge de mortalité pourrait augmenter jusqu’à 38 % ou décroître d’autant ou quelque part entre les deux.

Une enquête est exigée lorsqu’un médecin légiste pense qu’un décès a été dû à autre chose qu’une mort naturelle. Le décès ne peut pas être enregistré tant que le médecin légiste n’a pas procédé à l’autopsie et examiné les autres preuves et qu’il a décidé de la cause. Il y a actuellement un délai de 12 mois pour les enquêtes.

Mme Emmerson (l’avocate représentant l’ONS — NdT) a déclaré qu’elle n’était pas convaincue que si l’ONS publiait les données disponibles que les destinataires (les personnes qui demandent les données à l’ONS – NdT) les interpréteraient correctement — une déclaration que les plaignants ont trouvée condescendante. « Nous devons être extrêmement prudents au sujet de ces données et sur les conclusions qui peuvent en être tirées », a-t-elle déclaré à la cour.

Elle était également préoccupée que bien que les données soient anonymes sans publication des noms, dates de naissance ou régions, les identités des enfants pourraient être découvertes, citant des articles de journaux faisant état de morts subites d’enfants qui pourraient être liées aux données.

Le juge Swift a déclaré :

« La corrélation n’équivaut pas à la causalité et les informations de l’ONS ne sont pas nécessaires pour se prononcer sur cette revendication ».

Rien de tout cela n’aide les parents qui sont également inquiets par le fait qu’en posant des questions raisonnables ils sont étiquetés anti-vaxx. La mère des trois enfants, Bev Turner, a déclaré :

« Je n’ai jamais entendu le terme avant 2021. Tout ce que les parents veulent ce sont les dernières données de sécurité qui ne sont tout simplement pas disponibles, de sorte que nous ne savons pas si les vaccins peuvent causer des problèmes neurologiques, des problèmes de fertilité ou d’autres problèmes physiologiques ».

Le parent EF (la maman — NdT), qui a deux filles âgées de 13 et 16 ans admissibles à la vaccination, et un fils de sept ans, actuellement trop jeune pour recevoir l’injection, dit qu’à cause de cette incertitude ses enfants étaient anxieux à l’idée de la recevoir.

« Aucun d’entre eux ne veut se faire vacciner » a-t-elle déclaré, « et l’une d’entre elles a une amie qui s’est évanouie immédiatement après avoir reçu le vaccin et a ensuite manqué l’école pendant deux semaines. Nous n’avons pas d’autre détail sur ce sujet, mais elle était clairement souffrante sinon elle aurait été à l’école. Nous n’avons pas d’information. Ils ne peuvent pas nous dire si les injections causent le cancer ou la cécité et jusqu’à ce que nous le sachions, comment pouvons-nous prendre une décision en parfaite connaissance de cause ? »

Sally Beck est une journaliste freelance (qui travaille à son compte et qui propose ses articles aux médias — NdT) qui a 30 ans d’expérience dans la rédaction d’articles dans les journaux et magazines nationaux. Cet article a été publié pour la première fois dans TCW Défendre la Liberté (first published in TCW Defending Freedom) par Sally Beck / le 17 janvier 2022.




Ce que signifie VRAIMENT « vivre avec le Covid » et la prochaine étape dans le plan de la gouvernance mondiale

[Source : Sott.net]

[Illustration : « Covid, je suis rentré à la maison ! »]

Par Kit Knightly — Off Guardian

Pourquoi les médias se mettent-ils désormais à minimiser l’hystérie Covid qu’ils ont jusqu’à aujourd’hui entretenue ? Est-ce parce que la « pandémie » est vraiment terminée ? Ou s’agit-il d’un élément important du processus de manipulation des esprits [particulièrement accéléré depuis près de deux ans – NdT] ?

Ces derniers jours, voire ces dernières semaines, nous avons assisté à une nette modification de l’attitude des médias mainstream face à la « pandémie » de Covid.

De nombreux exemples de ce que l’on pourrait qualifier de « dissidence » se sont produits, si les médias n’étaient pas aussi étroitement contrôlés. Mais, puisque les médias sont étroitement contrôlés, nous devons le qualifier de changement apparent du message.

Le Dr Steve James, consultant en anesthésie,a confronté le ministre britannique de la santé, Sajid Javid, sur la faiblesse de la science qui soutient les obligations vaccinales [anti-Covid-19 – NdT. Notez que cette confrontation a été diffusée sur Sky News :

Traduction : « La science n’est pas assez solide ».

« Regardez le moment où un consultant hospitalier non vacciné interpelle le ministre de la Santé Sajid Javid au sujet de la politique gouvernementale de vaccins COVID obligatoires pour le personnel du Service national de santé. »

Il y a quelques jours, le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC, a participé à l’émission « Good Morning America » pour parler de la vague « Omicron », et a fini par souligner que la plupart des décès « Omicron » présentent [à la base – NdT] de multiples comorbidités.

Note du traducteur : En effet, selon le CDC, « plus de 75 % des décès Covid se sont produits au sein d’une population qui était atteinte d’au moins quatre comorbidités. » et « 94 % des décès Covid se sont produits au sein d’une population qui présentait des problèmes de santé. »

On peut en effet parler d’un virage à 180° !!! Ou du moins, c’est à cela que ça ressemble…

Dans une autre interview, avec Fox News, le Dr Walenksy a déclaré que le CDC allait publier des données sur le nombre de personnes décédées à cause du Covid, et sur le nombre de personnes décédéesavecle Covid.

Tout ceci soulève une série de questions importantes.

  • Pourquoi le directeur du CDC s’engage-t-il (apparemment) dans ces argumentations sceptiques quant au Covid après avoir prétendu pendant deux ans qu’elles n’existaient pas ?
  • Pourquoi Sky News a-t-elle diffusé, puis tweeté, le clip vidéo d’un médecin défiant le ministre de la Santé ?
  • Pourquoi The Guardian publie-t-il des titres tels que « Il faut mettre fin aux vaccinations massives et vivre avec le Covid, selon l’ancien Monsieur vaccins », et pourquoi cite-t-il des membres du personnel médical qui affirment que nous devons « traiter le Covid comme la grippe » ?
  • Pourquoi de nouvelles études selon lesquelles les cellules T de rhumes ordinaires peuvent « vous protéger du Covid » sont-elles mises en avant par les médias mainstream ?

On ne peut pas nier que le discours change et qu’ils lèvent le pied dans la narration [jusque-là hystérique – NdT]. Un nouveau chapitre s’ajoute au récit : celui de « vivre avec le Covid ».

Depuis plus d’un mois, c’est une expression à la mode dans toute la presse occidentale.

Le 1er décembreForbes titrait :

« Pourquoi le Covid-19 endémique sera une cause de célébration. »

Un article qui affirmait, entre autres, que « le Covid-19 endémique ne sera pas pire que la grippe saisonnière ». Ce sentiment a est désormais répété ad nauseum dans de nombreux médias.

Nous avons déjà mentionné l’article du Guardian du 8 janvier, mais il y a aussi un article antérieur daté du 5 décembre et intitulé « De la pandémie à l’endémie : voici comment nous pourrions revenir à la normale ».

CNBC a publiétrois articles presque identiques sur ce sujet en l’espace de deux semaines :

« La pandémie de Covid pourrait prendre fin l’année prochaine, selon les experts – voici à quoi cela ressemble, et comment les États-Unis pourraient y parvenir » — 9 décembre
« La pandémie pourrait prendre fin en 2022 – selon les experts médicaux, voici à quoi une vie ‘normale’ pourrait bientôt ressembler » — 15 décembre
« Omicron pourrait flamber à travers les États-Unis – et potentiellement accélérer la fin de la pandémie de Covid, selon un expert » — 22 décembre

Le jour de l’an, Voxa publié un article intitulé :

« Malgré Omicron, le Covid-19 va devenir endémique. Voici comment. »

Bloombergannonce qu’Omicron marque la fin de « la phase aiguë de la pandémie ».

Hier encore, The New York Posttitrait : « Le Covid deviendra endémique d’ici la fin de l’année, selon l’ancien chef du groupe de travail de Biden », et USA Todayposait la question « La pandémie change. Omicron apportera-t-il une nouvelle normalité pour le Covid-19 ? »

Et plus tôt dans la journée, Channel 4 a affirmé que « Le Covid en 2022 » signifie « apprendre à vivre avec le virus ».

Le message n’est pas seulement véhiculé par les médias. Des rapports indiquent que « vivre avec le Covid »sera la stratégie du gouvernement britannique à l’horizon 2022, avec une publication officielle sur ce sujet attendue « dans les semaines à venir ».

Ainsi, « vivre avec le virus » va être ajouté au vocabulaire de la narration Covid aux côtés de « aplatir la courbe » et de « la nouvelle normalité ». Mais qu’est-ce que cela implique réellement ? Quand ils disent « vivre avec le Covid », que veulent-ils vraiment dire ?

Tout d’abord, ne commettons pas l’erreur de faire confiance à un gouvernement, un média mainstream ou un « expert », simplement parce qu’ils commencent à dire 20 % de la vérité. Ce sont des menteurs, ils ont un dessein, c’est toujours vrai, et vous ne devriez jamais l’oublier, même quand — ou plutôt surtout quand — ils vous disent soudain ce que vous voulez entendre. Ils ne reconnaissent pas soudainement avoir eu tort. Ils ne font pas volte-face, ils ne corrigent pas leurs erreurs, ils ne retrouvent pas la raison et ils ne changent pas de camp. Il n’ont pas abandonné leurs convictions antérieures. Aucune vague de mauvaise conscience ne traverse l’élite [elle n’en a pas – NdT].

Ils ont un objectif. Ils ont toujours un objectif. Vous devriez également chasser de votre esprit toute idée de « retour à la normale ». Ce n’est pas le cas. Comment le savons-nous ? Parce qu’ils l’ont dit.

La moitié des articles qui parlent de « vivre avec le Covid » expliquent en détail comment les choses ne changeront pas vraimentPrenez celui-là, tiré du Guardian d’hier [9 janvier – NdT] :

« Vivre avec le Covid ne signifie pas forcément renoncer à toute mesure de protection. »

Il indique que le Covid pourrait bientôt devenir endémique, que les tests de dépistage de masse sur les personnes asymptomatiques pourraient être contre-productifs et qu’il faudrait peut-être y mettre un terme, mais rien ne change en ce qui concerne les masques ou les [soi-disant – NdT] vaccins et tout cela laisse la porte grande ouverte à un nouveau « variant » qui pourrait à l’avenir déclencher d’autres confinements :

« Vivre avec le Covid ne doit pas signifier inverser toutes les mesures de protection. Si une meilleure ventilation et des masques faciaux réduisent l’impact des maladies respiratoires hivernales, c’est un point positif, même si le Système de santé n’est plus sous la menace imminente d’être débordé. Nous devrons également rester vigilants face à la menace de nouveaux variants qui pourraient encore nous amener à revenir en arrière. Aucune garantie n’existe quant au fait qu’un autre variant, plus infectieux et plus virulent qu’Omicron, puisse à l’avenir émerger. Les scientifiques affirment que le soutien des efforts de vaccination à l’échelle mondiale sera crucial pour sécuriser le chemin vers la normalité. »

Les masques, le télétravail et la distanciation sociale dans les endroits bondés pourraient tous rester dans les parages, selon l’un des articles de CNBC mentionnés ci-dessus. Et « les rappels d’injection Covid pourraient bien se transformer en vaccins annuels comme ceux contre la grippe ». Pendant ce temps-là, les « experts » nous avertissent que même lorsque le Covid sera devenu endémique, nous devrons nous préparer à des « flambées » tous les trois ou quatre mois. Il semble bien que « vivre avec le virus » signifie maintenir le statu quo, assouplir quelques restrictions, mais laisser la voie libre à de nouvelles vagues de peur hystérique et paranoïaque si le besoin s’en fait sentir.

Mais pourquoi ? Pourquoi font-ils cela maintenant ? Il se pourrait qu’il y ait des scissions et des dissensions, voire des fissures dans les allées du pouvoir. Il est possible que certains membres du grand club suprême souhaitent à ce stade mettre un terme à la pandémie, par crainte que toute avancée supplémentaire sur la voie de la « Grande réinitialisation » ne mette en péril leur propre position ou leur propre richesse.

Peut-être.

Ce qui me semble le plus probable, c’est qu’ils ont le sentiment d’être déjà allés trop loin, et que pousser plus loin pourrait faire voler en éclats tout leur scénario.

Pour utiliser une métaphore appropriée, imaginez le programme de la « Grande réinitialisation » comme une armée d’invasion, traversant ville après ville, remportant bataille après bataille et brûlant tout sur son passage. Il arrive un moment où vous devez vous arrêter. Vos lignes d’approvisionnement sont tendues, vos hommes sont fatigués et leur nombre diminue, et les citoyens soumis à l’occupation opposent de plus en plus de résistance. Persistez néanmoins, et toute votre stratégie pourrait s’effondrer.

Dans cette situation, il faut se retirer sur une position défendable et la fortifier. Vous ne rendez pas les terres que vous avez prises, ou du moins pas en grande partie, mais vous cessez d’avancer. Les gens dont vous avez envahi les terres, si fatigués de se battre, seront tellement heureux que la guerre soit terminée qu’ils seront soulagés par ce répit avant de réaliser à quel point les terres qui leur ont été prises sont nombreuses. Ils pourraient même affirmer « qu’ils les gardent, à condition qu’ils cessent de nous attaquer ». C’est ainsi que fonctionnent les conquêtes, depuis l’époque de la Rome antique et au-delà. Un cycle d’agressions suivi de fortifications.

Lorsque nous passerons de « pandémie » à « endémie », nos droits [supprimés en raison d’une soi-disant crise – NdT] ne nous seront pas rendus, les injections, la surveillance et le climat de peur et de paranoïa subsisteront, mais les gens seront tellement soulagés par la trêve dans la campagne d’effroi et de propagande qu’ils cesseront de résister. Ils ne riposteront pas, et la « nouvelle normalité » deviendra littéralement juste ça, normale.

Ils donneront probablement leur feu vert au financement de tout ce que Bill Gates voudra faire pour s’assurer que « le Covid soit la dernière pandémie ». Et puis, un jour, lorsque les gens seront à nouveau sages et dociles, un nouveau variant fera son apparition, ou encore nous aurons besoin d’un « confinement climatique », et la pression pour le contrôle de tous les aspects de nos vies reprendra de plus belle. La meilleure chose que nous puissions faire à ce stade est de ne pas tomber dans le piège.

La presse, les politiciens et Big Pharma ne viennent pas tous de découvrir la vérité, ils utilisent simplement quelques petites parties de la vérité qu’ils ont [à dessein – NdT] ignorées pendant deux ans pour fortifier leur position. Mais ce n’est pas une mauvaise chose pour autant. Le fait même qu’ils ressentent le besoin de le faire montre que la résistance se développe, et qu’ils essaient de nous endormir.

Ce serait le pire moment pour arrêter de se battre.

Note du traducteur : Et pour votre information, ça ne peut pas être fini, puisqu’il il ne faut jamais présumer de l’issue d’un événement qui est toujours en cours.

On peut cependant suspecter que ce changement d’orientation dans les messages ne sert qu’à déblayer le terrain narratif pour mettre en place la phase suivante qui devrait être introduite rapidement :

  • des « chocs » environnementaux qui mèneraient à d’éventuels confinements climatiques,
  • des pénuries croissantes de nourriture et de chauffage,
  • un chaos économique et inflationniste,
  • la mise hors service et/ou le remplacement d’Internet,
  • sans oublier de mentionner des « problèmes » avec la Russie,
  • voire une cyber-attaque mondiale…

Cette liste n’est pas exhaustive et le choix est large.

En d’autres termes, ces monstres pourraient bien ouvrir un deuxième front très bientôt, car comme l’aurait dit Virgile dans l’Énéide, et en se référant au Cheval de Troie :

« Je crains les Grecs, même lorsqu’ils font des cadeaux. »

Source de l’article initialement publié en anglais le 10 janvier 2022 : Off Guardian
Traduction et emphases : Sott.net




Pour Macron, les emmerdements volent désormais en escadrille

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Début janvier, Emmanuel Macron tentait un pari pré-électoral : celui « d’emmerder les non-vaccinés » pour se refaire une santé auprès de ses admirateurs. Manifestement, le pari n’est pas seulement peu concluant. Il est tout proche d’être complètement perdu, si l’on en juge par les emmerdements… qui se succèdent pour lui, et qui pourraient bien mal se terminer. Le Stalingrad de Macron est en passe de déroute complète.

Macron a des ennuis, qui volent en escadrille en ce moment. Il faut dire que réduire la politique à la communication, fût-elle électorale, cela n’a qu’un temps. 

Macron et sa terrible séquence européenne

Déjà, en décembre, Emmanuel Macron avait donné une conférence de presse sur la présidence française de l’Union qui n’avait intéressé personne, et avait fait moins bien que le débat Mélenchon-Zemmour. 

Hier, Macron a fait pire. Sa prestation à Strasbourg, devant la presse, bien devant le Parlement européen, a tourné au cataclysme. 

D’abord, les journalistes européens ont quitté la salle parce qu’ils ne pouvaient poser aucune question. Eh oui! Emmanuel, il n’y a qu’en France où la presse est aux ordres, à ce point en tout cas. 

Ensuite, le Président en titre de l’Union est arrivé au Parlement sous les huées de la foule, comme le montrent les images que nous diffusions ci-dessus. 

Enfin, les orateurs français se sont succédé à la tribune du Parlement pour dire pis que pendre de lui

Ces déconvenues s’accompagnent de discussions tendues avec l’Allemagne sur la remise à plat de l’orthodoxie budgétaire pronée par le traité de Maastricht. 

Bref, la présidence française de l’Union est loin d’être la marche triomphale que le Président imaginait sans doute. 

Ibiza, ce peut aussi être très emmerdant

Sur le front intérieur, la situation n’est guère meilleure. 

Manifestement, le ministre Blanquer est le bouc-émissaire désigné pour un sacrifice humain dans les jours à venir. Après avoir pédalé dans la semoule de son 50è protocole sanitaire en dix-huit mois, Blanquer passe à la désagréable paëlla de son séjour à Ibiza durant la trêve des confiseurs, d’où il a annoncé le 49è protocole

Pour comble de drôlerie, la compagne de Jean-Michel Blanquer, Anna Cabana, a animé un débat sur la chaîne de télévision israélienne I24 sur le sujet… Pouvait-on donner un meilleur sentiment de connivence entre les medias et les politiques ?

Ce jeudi, la deuxième grève des enseignants depuis la rentrée de janvier est annoncée…

Pas sûr que Blanquer puisse tenir jusqu’aux présidentielles à ce rythme. Et, pour Macron, disposer d’un tel maillon faible dans son gouvernement à l’approche des élections va bientôt relever du casse-tête. 

Le front Mc Kinsey est ouvert

Dans le même temps, le Sénat a ouvert un front inattendu pour le Président : l’audition de Mc Kinsey, dans le cadre d’une enquête sur le recours de l’Etat aux cabinets de conseil privés. 

L’audition retransmise hier a eu un effet désastreux. Le représentant du cabinet américain, qui emploie le fils Fabius, a peiné à justifier l’utiliser des très coûteuses missions achetées par l’Etat… notamment par le ministère de l’Education Nationale. 

De notre point de vue, il y a là un départ d’incendie qui pourrait fortement inquiéter le pouvoir. Le rôle de Mc Kinsey dans la gestion de la crise sanitaire est tout sauf clair et transparent, et c’est peut-être le fil d’une pelote qui remonte jusqu’à un barril de TNT qui est brutalement tiré. 

Il semblerait que, dès aujourd’hui, le Premier Ministre ait donné d’importantes instructions pour limiter les dégâts dans les mois à venir. 

Dans tous les cas, l’audition malheureuse d’hier a nourri le sentiment de conflits d’intérêts et de gaspillage des fonds publics par l’équipe au pouvoir. 

Affaires de financements

Accessoirement, la majorité présidentielle ne vit pas une période de beau fixe. On notera les tensions entre le nouveau parti d’Edouard Philippe et « Agir » de Franck Riester. Mais on notera aussi que les échanges semblent animés entre LREM et le MODEM pour financer la campagne

Les révélations du Parisien sur ce sujet sont riches d’enseignement :

Pour le premier meeting de la Maison commune de La Mutualité, sous la bannière « Ensemble citoyens ! », un accord avait par exemple été trouvé. Coût du raout : 200 000 euros, financé selon nos informations au trois-quarts par LREM (150 000 euros) et au quart par le MoDem (50 000 euros), un Marcheur tenant à souligner qu’Agir avait apporté « une petite contribution, mais vraiment minoritaire ». 

200.000 € le meeting, c’est bon à savoir. 

Turbulences présidentielles

Bref, l’entrée en campagne pour Emmanuel Macron ne semble pas particulièrement heureuse, ni annonciatrice de bonnes nouvelles. 

On peut même dire que le pire est à craindre. Le pari de l’offensive clivante lancée début janvier contre les non-vaccinés est d’ores et déjà perdue, si l’on en juge à la façon dont le « narratif » sur l’urgence sanitaire s’effrite même dans les médias subventionnés. Et le plus dur reste à faire. 

Au point de renoncer à une candidature ?

Nous annoncions, en juillet, que le passe sanitaire serait le Stalingrad de Macron. Nous maintenons ce pronostic. 




Qui est Bill Gates ?

[Source : @JeanneTraduction via lezarceleurs]

Bill Gates ou la domestication du monde – The Corbett Report

PARTIE 1 : Qui est Bill Gates ? de 00:00 à 23:28
PARTIE 2 : Le plan de Bill Gates pour vacciner le monde de 23:28 à 50:45
PARTIE 3 : Bill Gates et la grille de contrôle de la population de 50:45 à 1:27:02
PARTIE 4 : Rencontrez Bill Gates de 1:27:02 à la fin



[Voir aussi :
Gates blâme la « liberté » occidentale
Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias
Bill Gates : Les gouvernements doivent punir les utilisateurs en ligne qui s’opposent aux masques et aux vaccins
Les données : l’« or noir » du XXIe siècle
3 mois avant le COVID, l’Union mangeait la soupe du vaccin servie par Bill Gates et Big Pharma
Fondation Bill & Melinda Gates — la grande arnaque révélée
La philanthropie de Bill Gates alimente la machine capitaliste
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
Bill Gates explique que le vaccin covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN
Bill Gates et le hold-up vaccinal
Bill Gates détient des actions importantes à la fois dans Pfizer et BioNTech, et il est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des produits de santé et de médecine
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !
Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice
La martingale de Bill Gates dévoilée
Bill Gates et la fin de l’Amérique
Covid et domination planétaire – Comment Bill Gates et ses amis milliardaires se sont assurés le soutien des médias
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Robert Kennedy junior s’entretient avec Vandana Shiva
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé
Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins
Il y a des preuves que Bill Gates est impliqué dans les micropuces implantables même s’il nie lui-même avoir jamais été impliqué avec elles
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
Bill Gates appelle les chefs religieux à manipuler leurs paroissiens pour qu’ils se fassent vacciner contre le coronavirus
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Bill Gates : un Sataniste déguisé en brebis?
Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant!
Vandana Shiva : « Avec le coronavirus, Bill Gates met en place son agenda sur la santé »
Les micropuces de Bill Gates
Le Congrès Américain a donné 100 milliards de dollars à Bill Gates pour le traçage des contacts 6 mois avant la « pandémie »
Robert F Kennedy Jr. expose le plan de dictature des vaccins de Bill Gates – cite le «complexe du Messie» tordu de Gates
Au tour du meurtrier Bill Gates !
Le Diable a un pied dans la porte et le Vatican ne fait rien — où l’on retrouve encore Bill Gates
Bill Gates a-t-il demandé à Bergoglio de fermer l’Église catholique ?
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist

sur Sott.net :

La page Instagram de Bill Gates est inondée de messages demandant son arrestation pour « crimes contre l’humanité »
L’obsession de Bill Gates pour les vaccins
Bill Gates franchit le Rubicon digital, en disant que les « rassemblements de masse » ne reviendront peut-être pas sans un vaccin mondial
Bill Gates et l’élite mondiale NE VACCINENT PAS leurs propres enfants… et pour cause
Bill Gates : L’incroyable arnaque derrière sa fondation
Bill Gates refuse de recommander une bonne nutrition (zinc, vitamine D, vitamine C) et se concentre entièrement sur les vaccins et le suivi de l’état par la police
Bill Gates a « prédit » le coronavirus chinois il y a un an avec une simulation disant que 33 Millions de personnes pourraient mourir dans les six premiers mois
L’armée américaine mais aussi Bill Gates investissent dans la manipulation génétique à grande échelle
Bill Gates, le prédicateur : « un pathogène transmis dans l’air et se propageant rapidement peut tuer 30 millions de personnes en moins d’un an »
La Fondation Gates finance un système de surveillance des contestataires des vaccins
Bill Gates donne des millions pour cultiver les OGM
Bill Gates : un bienfaiteur de l’humanité… version OGM et nucléaire
Londres, Bill Gates, promettent des millions pour la vaccination
Une base de données en vue de vacciner tous les enfants doit être créée, selon Bill Gates
Le mariage Gates et Monsanto : attention, danger pour le planète
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Marcel s’occupe de Bill Gates et de l’OMS
La FDA met fin au programme d’essais Covid-19 soutenu par Bill Gates
Corbett Report : Bill Gates et la grille de contrôle de la population
Dépeuplement, ID2020 et preuve d’immunité numérique – La doctrine agressive de la Fondation Gates pour une vaccination massive]




L’histoire sans fin des pandémies et de l’embrigadement total de la population mondiale selon l’épidémiologiste Alice Desbiolles

Par Claude Janvier

Étoile montante de l’OMS, elle bénéficie de plus en plus d’une large couverture médiatique. Intrigué par cette sémillante doctoresse, j’ai voulu en savoir plus.

Le 5 janvier 2022, au micro de Sonia Mabrouk, Europe 1,(([1] https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/bien-etre/%C2%ABnous-sommes-rentr%C3%A9s-dans-l%C3%A8re-des-pand%C3%A9mies%C2%BB-alerte-alice-desbiolles/ar-AASrJsX
https://les7duquebec.net/archives/269544)) l’épidémiologiste, s’exprime ainsi : « Selon elle, le coronavirus n’est qu’un “amuse-gueule” de ce que nous allons vivre ces prochaines années… Nous rentrons dans l’ère des pandémies, on peut parler d’épidémie de pandémie… ». La messe est dite ! L’évangile selon « Saint OMS ».

Médecin de santé publique, la dame a écrit et publié un livre dans lequel elle décrit qu’une « biodiversité riche et variée protège les humains du risque de pandémie ». Et de continuer :

« Tout simplement grâce à l’effet de dilution, qui fait que les agents pathogènes vont être dilués dans une très grande quantité, avec une grande variabilité génétique ».

Rien de tel que la dilution, c’est bien connu. Surtout celle des glaçons dans le Pastis… Si seulement, la stupidité pouvait se diluer dans l’atmosphère… Rêve pieux… Mais revenons dans la réalité. Ce genre de consigne diluée peut satisfaire une grande partie de la population, déjà complètement anesthésiée par l’hystérie sanitaire ambiante, mais pas moi. En effet, rien de nouveau sous le soleil. Il est évident que moins de pollution amène de facto une meilleure santé physique et mentale. L’art et la manière d’enfoncer une porte ouverte.

En revanche, elle ne dénonce pas les grands pollueurs (l’industrie pétrolière et chimique), ni la pollution engendrée par les portes-containers sillonnant les océans, ni l’inutilité des éoliennes inondant le paysage avec des composants non recyclables, etc. Elle surfe, comme beaucoup d’autres, sur une écologie de pacotille, culpabilisant les citoyens plutôt que les magnats de l’industrie pétrolière et chimique. Tout ce cirque est amplement relayé grâce aux écologistes extrêmes surnommés à juste titre « Khmers verts », prônant une vie de plus en plus minimaliste. En perspective, un magnifique futur où chacun possédera son studio aux murs végétalisés, avec un balcon où trois plants de tomates rachitiques essaieront de survivre, et un vélo électrique pour aller faire les courses dont la batterie est non recyclable.

Elle pointe du doigt l’élevage industriel. Sur ce point, je ne peux qu’être en accord avec elle. Les élevages industriels sont à bannir, tant sur le plan du bien-être des animaux que sur le plan nutritionnel.

Mais une grande partie de ses références se trouve être dans un rapport de l’IPBES*. Quésaco ? Encore une usine à gaz, dotée de moyens financiers énormes, dont le but est de pondre des rapports, qui ne changent pas grand-chose aux dégâts irréversibles des grands pollueurs internationaux, et au manque d’éducation d’une grande partie de la population mondiale sur le fait qu’il faudrait s’abstenir de jeter des emballages plastiques le long des routes et dans les rivières.

Elle continue avec l’OMS, une liste « blueprint »(([2] https://www.who.int/teams/blueprint/covid-19
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_l%27OMS_des_maladies_prioritaires)) des pathologies émergentes qu’il convient de surveiller de par leur fort risque potentiel pandémique : Covid-19, Ebola, Marburg, Zika, et la maladie X(([3] https://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_X)) — ajoutée par l’OMS en 2018 donc bien avant l’apparition de la « Covid-19 ». La maladie X est donc une maladie encore inconnue — diantre — mais que l’OMS pointe comme étant une maladie qui un jour, très probablement, émergera et qui sera potentiellement très grave avec un risque pandémique majeur.

L’OMS, « l’Organisation Morbide de la Santé », ose donc épouvanter la population avec une prospective terrifiante qu’une maladie inconnue déferlera sur la planète. Pareille déclaration non scientifiquement démontrée et totalement infondée, relève d’une grande perversité et d’une totale escroquerie. L’OMS est bel et bien une organisation corrompue, aux ordres de l’oligarchie financière mondiale apatride.(([4] https://www.magazine-decideurs.com/news/qui-finance-l-oms)) La liste des bienfaiteurs de l’organisation dépendante de l’ONU pour l’année 2018 est longue. Et pour n’en citer que quelques-uns, retenons la fondation Bill & Melinda Gates, la Gavi Alliance : où siègent en permanence Bill & Mélinda Gates, Baxter international inc., la Commission européenne, le Rotary International ou encore l’Unicef. Que du « beau » monde !

[Voir aussi :

Ebola : briser les mensonges et la supercherie

Nous sommes avertis, de temps en temps, qu’une nouvelle épidémie d’Ebola (ou de Marburg) pourrait se propager. C’est l’une de ces attractions à venir dans le théâtre qui montre un film de virus après l’autre. (…) La campagne massive pour faire croire que le virus Ebola peut attaquer à tout moment, après le moindre contact, est plutôt réussie. (…) Pour ne pas résoudre les problèmes du peuple, une histoire servant de couverture est nécessaire, une histoire qui disculpe la structure du pouvoir.

Nouvelle plandémie en vue ?

Des indices convergents vers une possible prochaine « plandémie » autour d’un nouveau « virus » (Marburg ?). (Vidéo 23 min)

]

Il est surprenant que ce genre de déclaration totalement spécieuse trouve un écho en la personne d’Alice Desbiolles. Alice au pays des merveilles ? Pas du tout. Alice au service d’une OMS et d’une industrie pharmaceutique totalement infectées.

Il est plus que temps de faire le ménage dans ce cloaque pseudo-scientifique et de supprimer un bon nombre d’organisations mondiales qui ne font que le jeu de l’oligarchie mondiale financière apatride.

Claude Janvier

Écrivain polémiste, enquêteur. Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition(([5] https://www.facebook.com/isedition/posts/3828261610600344))

Notes :

IPBES *La Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) est un organe intergouvernemental créé en 2012. Il est placé sous l’égide du Programme des Nations unies pour l’environnement, du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) et de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Il siège à Bonn, en Allemagne, et compte aujourd’hui 132 États membres.





Ebola : briser les mensonges et la supercherie

[Source : nomorefakenews.com indiquée par lezarceleurs]

Par Jon Rappoport

Encore une fois, le virus fait la couverture

Nous sommes avertis, de temps en temps, qu’une nouvelle épidémie d’Ebola pourrait se propager. C’est l’une de ces attractions à venir dans le théâtre qui montre un film de virus après l’autre.

Dans ce cas, le hameçon de peur est le symptôme de saignement. Cela fait trembler les gens dans le noir. Ô mon Dieu, regarde le SANG. C’est… LE VIRUS.

Yahoo News, 26/02/21(([1] https://www.yahoo.com/now/exclusive-white-house-preparing-order-for-enhanced-airport-screenings-for-ebola-203354978.html)):

« … l’Organisation mondiale de la santé a signalé un groupe de cas d’Ebola en Guinée… L’administration Biden va de l’avant avec des plans pour dépister les passagers des compagnies aériennes de deux pays africains arrivant aux États-Unis pour Ebola… ”

Parce que je fais le travail que les autres ne feront pas… et parce que j’ai couvert l’histoire d’Ebola en 2017 et 2014, voici des citations essentielles de mes articles pendant cette période.

Il y a un résultat prévisible : dans les cliniques et les hôpitaux du Congo, les personnes effrayées qui arrivent avec ce que l’on appelle les « premiers signes » d’Ebola seront diagnostiquées comme des cas probables. Quels sont ces symptômes ? Fièvre, frissons, mal de gorge, toux, maux de tête, douleurs articulaires. Semble familier? Normalement, cela s’appellerait simplement la grippe.

La campagne massive pour faire croire que le virus Ebola peut attaquer à tout moment, après le moindre contact, est plutôt réussie.

Les gens se bousculent pour faire monter le niveau d’hystérie.

Et cela empêche de porter un regard attentif sur le Libéria, la Sierra Leone et la République de Guinée, trois pays africains où la pauvreté et la maladie font partie de la vie quotidienne d’un nombre écrasant de personnes.

La structure de commandement dans ces zones a un seul dicton : ne résolvez pas le problème humain.

Ne nettoyez pas les approvisionnements en eau contaminé. Ne rendez pas les terres volées aux gens afin qu’ils puissent prospérer et cultiver de la nourriture et enfin atteindre la santé nutritionnelle. Ne résolvez pas le surpeuplement. N’installez pas d’assainissement de base. Ne renforcez pas les systèmes immunitaires. Ne laissez pas les gens avoir le pouvoir, car ils se débarrasseraient alors des mastodontes que sont les entreprises locales et mondiales qui aspirent la terre de toutes ses ressources.

Pour ne pas résoudre les problèmes du peuple, une histoire servant de couverture est nécessaire, une histoire qui disculpe la structure du pouvoir.

Un virus pour servir de couverture

Tout tourne autour du virus. Le démon. L’étrange agresseur.

Oubliez tout le reste. Le virus est l’ennemi unique.

Oubliez par exemple le fait qu’une étude récente portant sur 15 pharmacies et 5 dispensaires de médicaments hospitaliers en Sierra Leone a découvert l’utilisation généralisée et déraisonnable des antibiotiques bêta-lactamines.

Ces médicaments sont hautement toxiques. Un de leurs effets ? Saignement excessif.

Ce qui se trouve justement être l’effrayant « effet Ebola » qui est claironné dans la presse mondiale.

(J Clin Microbiol, juillet 2013, 51(7), 2435-2438) et Annals of Internal Medicine déc. 1986, « Potentiel de saignement avec les nouveaux antibiotiques bêta-lactamines »)

Oubliez le fait que les entreprises de pesticides sont connues pour expédier des pesticides toxiques interdits en Afrique. Un effet des produits chimiques ? Saignement.

Oubliez ça. Tout tourne autour du virus et rien que du virus.

Oubliez le fait que, pendant des décennies, l’une des principales causes de décès dans le tiers monde a été la diarrhée incontrôléeLes électrolytes sont évacués du corps et l’adulte ou le bébé meurt(La diarrhée est également répertoriée comme un symptôme « Ebola ».)

Tout médecin sensé ferait de son premier ordre du jour de remplacer les électrolytes par une simple supplémentation, mais non, la ligne médicale standard va dans ce sens :

La diarrhée est causée par des germes dans le tractus intestinal, nous devons donc accumuler des quantités massives d’antibiotiques pour tuer les germes.

Les médicaments tuent toutes les bactéries de l’intestin, y compris celles qui sont nécessaires et bénéfiques, et le patient ne peut pas absorber le peu de nourriture à laquelle il a accès et il meurt.

En cours de route, il peut aussi saigner.

Mais non, tous les saignements viennent d’Ebola. C’est le virus. Ne pense à rien d’autre.

Oubliez le fait que les vaccins à adénovirus, qui ont été utilisés au Libéria, en Guinée et au Libéria (l’épicentre d’Ebola), ont, selon vaccines.gov, les effets indésirables suivants : sang dans les urines ou les selles et diarrhée.

Le journaliste Charles Yates a découvert un scandale au Libéria autour de la plantation de caoutchouc Firestone – déversement de produits chimiques, eau empoisonnée.

Et maladie de peau.

«Rash» est répertorié comme l’un des symptômes d’Ebola.

Ensuite, il y a l’usine d’embouteillage Liberia Coca Cola : un liquide noir immonde qui s’infiltre dans l’environnement – des animaux qui meurent.

La malnutrition chronique et la famine – des conditions endémiques au Libéria, en Sierra Leone et en Guinée – sont la première cause de déplétion des lymphocytes T (c’est-à-dire la suppression du système immunitaire) dans le monde.

Vous voyez le tableau ?

Dans une correspondance par e-mail avec moi, David Rasnick, PhD, a annoncé cette découverte choquante :

« J’ai examiné en détail la littérature sur l’isolement et l’Ems [EM : images au microscope électronique] des virus Ebola et Marburg. Je n’ai trouvé aucune preuve convaincante que le virus Ebola (et d’ailleurs Marburg) ait été isolé chez l’homme. Il n’y a certainement aucune preuve confirmative de l’isolement humain.

En d’autres termes, rien ne prouve que le virus Ebola existe réellement.

Rasnick a obtenu son doctorat au Georgia Institute of Technology et a passé 25 ans à travailler avec des protéases (une classe d’enzymes) et des inhibiteurs de protéase. Il est l’auteur du livre The Chromosomal Imbalance Theory of Cancer [La théorie du déséquilibre chromosomique du cancer]. Il a été membre du Comité consultatif présidentiel sur le sida d’Afrique du Sud.

Les vraies raisons de « l’épidémie d’Ebola » incluent, mais ne sont pas limitées à :
►la pollution industrielle ; 
►les pesticides organophosphorés (provoque des saignements)
►la vaste surutilisation d’antibiotiques (provoque des saignements); carences nutritionnelles graves et débilitantes (pouvant provoquer des saignements)
►famine; perte drastique d’électrolyte; 
►diarrhée chronique; 
►misère; guerre; 
►terres agricoles volées ; 
►les campagnes de vaccination (chez les personnes dont le système immunitaire est compromis, les vaccins peuvent facilement anéantir leurs derniers lambeaux de santé).

Qu’en est-il des médecins et des infirmières en Afrique de l’Ouest, qui traitent les patients atteints d’Ebola ? Ces agents de santé tombent malades de « la maladie redoutée ».

Le sont-ils?

Ils travaillent à des températures très élevées, dans des salles de clinique probablement aspergées de pesticides organophosphorés extrêmement toxiques. Ils sont enfermés dans des combinaisons de matières dangereuses, où les températures augmentent encore plus, entraînant la perte de jusqu’à cinq litres de fluides corporels pendant un quart de travail d’une heure. Ensuite, en convalescence, ils ont besoin d’une réhydratation par voie intraveineuse et sont aspergés de produits chimiques désinfectants toxiques. Ils retournent dans les combinaisons pour un autre tour de service. Un médecin a rapporté que, à l’intérieur de sa combinaison, il y avait du chlore (toxique). Ces facteurs à eux seuls pourraient causer une maladie dangereuse et même la mort, et, bien sûr, les symptômes de base de « Ebola ».

Les experts exprimaient de sérieux doutes sur Ebola, depuis 1977. Dès le début de l’hystérie.

La référence de 1977 ici est : « Ebola Virus Haemorrhagic Fever : Actes d’un colloque international sur l’infection par le virus Ebola et autres fièvres hémorragiques tenu à Anvers, Belgique, du 6 au 8 décembre 1977 ».

Ce rapport fait 280 pages. Cela vaut la peine d’être lu et étudié, pour voir comment les experts hésitent, couvrent leurs paris, et pourtant font des aveux préjudiciables :

Par exemple, « Il est impossible de considérer le diagnostic virologique de l’infection à virus Ebola indépendamment du diagnostic des fièvres hémorragiques en général. Le tableau clinique de la maladie est en effet trop peu spécifique pour permettre une quelconque hypothèse quant au virus qui pourrait être responsable d’un cas donné. »

Boom !

Pour ceux qui soulignent qu’il y a des antécédents de fièvres hémorragiques (hémorragiques) dans certaines parties de l’Afrique, il y a des antécédents de malnutrition horrible, dont un aspect est le scorbut, qui provoque des saignements de toutes les muqueuses.

Conclusion : pas besoin de virus pour expliquer le saignement.

Ensuite, nous avons des pesticides

La référence ici est « Mesurer les risques écologiques et sanitaires des pesticides dans l’agriculture ouest-africaine… » 17 février 2014, publié dans Philosophical Transactions of The Royal Society, par PC Jepson et al.

« L’enquête a été menée sur 19 sites dans cinq pays et a obtenu des informations auprès de 1704 personnes qui cultivaient 22 cultures différentes. Au cours des 2 années d’enquête, les agriculteurs ont déclaré avoir utilisé 31 pesticides…

… certains composés représentaient un risque élevé dans de multiples compartiments environnementaux et de santé humaine, notamment le carbofuran, le chlorpyrifos, le diméthoate, l’endosulfan et le méthamidophos.

Les effets sur la santé comprenaient l’inhibition de la cholinestérase, la toxicité pour le développement, l’altération de la fonction thyroïdienne et la diminution du nombre de globules rouges… »

L’étude note également que « les importations de pesticides en Afrique de l’Ouest ont augmenté d’environ 19 % par an dans les années 1990… bien avant la croissance de la production agricole de 2,5 %… » En d’autres termes, les pesticides ont inondé l’Afrique de l’Ouest.

Voici une autre observation essentielle faite dans l’étude :

« La distribution et la vente de pesticides en Afrique de l’Ouest ne sont pas efficacement réglementées. Les multiples canaux d’approvisionnement incluent généralement le reconditionnement de stocks obsolètes ou illégaux [extrêmement toxiques] et la correspondance entre le contenu des conteneurs et ce qui est indiqué sur l’étiquette est médiocre… »

Les fournisseurs de pesticides dissimulent des pesticides interdits – sur lesquels ils subissent une perte, car ils ne peuvent pas les vendre – et les placent dans des conteneurs étiquetés avec les noms des pesticides légaux

Considérons les pesticides spécifiquement mentionnés dans l’étude.

Carborfuran – Selon la fiche d’information sur les substances dangereuses du ministère de la Santé et des Services aux personnes âgées du New Jersey, l’exposition au carbofuran « peut causer de la faiblesse, de la transpiration, des nausées et des vomissements, des douleurs abdominales et une vision floue. Des niveaux plus élevés peuvent provoquer des contractions musculaires, une perte de coordination et peuvent provoquer un arrêt de la respiration [mort imminente].

Le chloropyrifos, le diméthoate et le méthamidophos sont des organophosphates. Le Pesticide Action Network décrit les organophosphorés comme « parmi les pesticides les plus toxiques de tous… ils désactivent une enzyme, la cholinestérase, qui est essentielle au bon fonctionnement des nerfs ».

L’endosulfan est progressivement éliminé à l’échelle mondiale, car il est extrêmement toxique et perturbe le système endocrinien.

Ces pesticides peuvent produire et produisent un certain nombre de symptômes appelés « Ebola » :

Saignements, nausées, vomissements, diarrhée, éruption cutanée, douleurs à l’estomac, coma.

Mais tout cela est balayé par l’hystérie autour du Virus.

Voici une citation d’une étude, « Potentiel de saignement avec les nouveaux antibiotiques bêta-lactamines« , Ann Intern Med décembre 1986 ; 105(6):924-31 :

« Plusieurs nouveaux antibiotiques bêta-lactamines altèrent l’hémostase normale [processus corporels qui arrêtent le saignement]… Ces antibiotiques provoquent souvent une prolongation marquée du temps de saignement du modèle (plus de 20 minutes)… un saignement dangereux dû à une agrégation plaquettaire altérée nécessite un traitement avec des concentrés plaquettaires. ”

Voici un résumé de MedlinePlus :

« La bactérie Clostridium difficile vit normalement dans l’intestin. Cependant, trop de ces bactéries peuvent se développer lorsque vous prenez des antibiotiquesLa bactérie dégage une forte toxine qui provoque une inflammation et des saignements dans la muqueuse du côlonTout antibiotique peut causer cette maladie. Les médicaments responsables du problème sont la plupart du temps l’ampicilline, la clindamycine, les fluoroquinolones et les céphalosporines… »

Examinons donc le niveau d’utilisation des antibiotiques en Afrique de l’Ouest et dans le tiers monde.

Voice of America, 26 février 2014, « … les antibiotiques sont devenus le choix automatique pour traiter un enfant fiévreux.

AAPS (Association américaine des scientifiques pharmaceutiques) :

« Par exemple, dans la plupart des régions d’Afrique de l’Ouest, les antibiotiques sont couramment vendus comme médicaments en vente libre. »

TWN (Third World Network):

« … une enquête menée en 1999 a montré que près d’un produit antidiarrhéique sur deux dans les pays du Tiers-Monde contenait un antibiotique inutile… » [et la diarrhée chronique dans le Tiers-Monde est une cause majeure de décès, donc vous pouvez être sûr que ces médicaments antidiarrhéiques sont consommés en grande quantité].

« … 75 produits (dont certains antibiotiques) qui avaient été retirés ou interdits dans un ou plusieurs pays européens ont été identifiés dans le tiers monde en 1991. »

Bien sûr, les antibiotiques interdits seraient exceptionnellement toxiques.

En Afrique de l’Ouest, l’utilisation d’antibiotiques atteint des sommets… et les antibiotiques provoquent des saignements.

Saigner où ? Dans le tube digestif.

À la lumière de cela, considérez l’extrait suivant de l’article de healthgrades.com, « Qu’est-ce que le vomissement de sang? »

« Les vomissements de sang indiquent la présence d’un saignement dans le tube digestif…

« Les vomissements de sang peuvent être causés par de nombreuses conditions différentes, et la gravité varie selon les individus. La matière vomie peut être rouge vif ou de couleur foncée comme du marc de café… »

Oui, il s’avère que toute source d’hémorragie interne dans le tube digestif, comme la surconsommation d’antibiotiques, peut amener une personne à vomir du sang.

« Le caractère unique » de « Ebola-blood-vomiting » est un conte de fées.

Quoi d’autre pourrait causer le symptôme de saignement « Ebola » en Afrique de l’Ouest ?

Nous avons le fait que les insecticides organophosphorés sont largement utilisés pour la pulvérisation intérieure, dans les maisons ouest-africaines et, sûrement, dans les cliniques, pour tuer les moustiques. Une étude rapporte : « Avec une résistance élevée au DDT présente dans une grande partie de l’Afrique de l’Ouest, les carbamates et les organophosphates sont des alternatives de plus en plus importantes aux pyréthrinoïdes pour la pulvérisation intradomiciliaire à effet rémanent (IRS). »

Parmi les effets, d’une exposition sévère aux organophosphorés : diarrhée, tremblements, démarche chancelante, troubles sanguins, décès, tous décrits en référence à Ebola.

Et puis il y a ceci : « Chez neuf patients souffrant d’intoxication aux organophosphorés, la fonction plaquettaire et les paramètres de coagulation sanguine ont été étudiés… Chez cinq des neuf patients, une tendance hémorragique marquée a été observée. La tendance hémorragique dans l’intoxication aux organophosphorés est probablement principalement causée par la fonction plaquettaire défectueuse. (Klin Wochenschur, 3 septembre 1984;62 (17):814-20, auteur : m. Zieman)

Du saignement. Mais pas d’un virus.

Et les vaccins ? Plusieurs campagnes de vaccination ont été menées en Afrique de l’Ouest. Je n’ai trouvé aucune enquête indépendante approfondie sur les ingrédients de ces vaccins. Mais par exemple, un simple vaccin contre la grippe, Fluvirin, comporte un risque «d’hémorragie».

Plusieurs autres vaccins de routine peuvent provoquer des vomissements. Le HiB, par exemple.

Nous avons ce rapport terrifiant – du Daily Observer (libérien), 14 octobre, « Breaking : Formaldéhyde dans l’eau causant prétendument des symptômes semblables à ceux d’Ebola » :

« Un homme de Schieffelin, une communauté située dans le comté de Margibi sur l’autoroute Robertsfield, a été arrêté pour avoir tenté de mettre du formaldéhyde dans un puits utilisé par la communauté. »

« Les rapports indiquent que vers 10 heures du matin, il s’est approché du puits avec de la poudre dans une bouteille. Assailli par la communauté, il a avoué qu’il avait été payé pour mettre du formaldéhyde dans le puits, et qu’il n’était pas le seul. Il aurait dit aux habitants de la communauté : « Nous sommes nombreux ». Il y a des agents à Harbel, Dolostown, Cotton Tree et d’autres communautés à travers le pays, a-t-il dit.

« La radio d’État, ELBC, rapporte qu’au moins 10 personnes dans la communauté de Dolostown sont mortes après avoir bu de l’eau provenant de puits empoisonnés. »

L’ATSDR (Agence américaine pour les substances toxiques et le registre des maladies) dans ses lignes directrices pour la prise en charge médicale de l’empoisonnement au formaldéhyde, énumère ces symptômes : « nausées, vomissements, douleurs, saignements, dépression du SNC, coma…« 

Il existe d’autres sources d’empoisonnement en Afrique de l’Ouest. Leurs composants et leurs effets nécessitent une étude plus approfondie.

Par exemple : Firestone.

Depuis près d’un siècle, l’entreprise exploite une immense plantation de caoutchouc au Libéria. Selon une estimation, Firestone contrôle 10 % des terres arables du pays.

Outre les conditions de vie et de travail misérables des habitants, qui saignent les arbres pour le caoutchouc et amènent leurs jeunes enfants au travail afin de respecter les quotas quotidiens de Firestone, il y a le problème de la pollution massive.

D’irinnews : « LIBERIA : la communauté exige des réponses sur la pollution par le caoutchouc » :

« MONROVIA, 4 juin 2009 (IRIN) – Les personnes vivant à côté de la plantation de Firestone Natural Rubber Company à Harbel, à 45 km de Monrovia, la capitale du Libéria, affirment que la pollution de la concession détruit leur santé, ruine leurs moyens de subsistance et tue même des habitants.

« La concession de caoutchouc de Firestone au Libéria est le deuxième plus grand producteur de caoutchouc en Afrique et emploie quelque 14 000 Libériens.

« Les habitants de la ville de Kpanyarh, juste à côté de la plantation de caoutchouc de Firestone à Harbel, disent que le ruisseau dans lequel ils pêchent et boivent leur eau pendant la saison sèche a été contaminé par des toxines. »

« ‘Nous avions l’habitude de pêcher et de boire l’eau’, a dit à IRIN John Powell, un habitant de Kpanyarh âgé de 67 ans, lors d’une visite au ruisseau qui coule juste à l’extérieur de la ville. Il a déclaré que l’eau était devenue toxique en octobre 2008. « Nous ne pouvons plus la boire. Certains de nos gens en sont déjà morts. Nous avons attiré l’attention de Firestone sur notre sort, mais ils l’ont ignoré.

« À la mi-mai, lors d’une visite d’IRIN dans la région, des vapeurs acides émanant du ruisseau ont fait couler les yeux des gens et ont rendu la respiration difficile.

D’après BBC News : « L’enquête de trois mois a révélé qu’une usine au sud-est de la capitale Monrovia était responsable de niveaux [toxiques] élevés d’orthophosphate dans les ruisseaux. »

De laborrights.org : En raison du manque d’eau potable sur la plantation, « cette situation fait que les entailleurs et autres employés non qualifiés et leurs familles n’ont d’autre choix que de boire dans des puits peu profonds et des ruisseaux ».

Et bien sûr, ces ruisseaux sont fortement pollués.

Qui sait combien et quels produits chimiques toxiques ont été rejetés de la plantation Firestone dans les ruisseaux et les rivières environnantes ?

Une enquête plus approfondie en Afrique de l’Ouest pourrait bien révéler encore plus de raisons de saignement, dont aucune n’a rien à voir avec un virus. La région regorge d’activités industrielles qui produisent des polluants majeurs – exploitation minière, exploration et forage pétroliers en mer, exploitation du caoutchouc, etc.

Ensuite, nous arrivons aux articles de presse effrayants sur les médecins et les agents de santé « frappés par Ebola, qui s’effondrent », qui traitent des patients dans les cliniques Ebola en Afrique de l’Ouest.

Ces agents de santé portaient des combinaisons de matières dangereuses. Isolés du monde extérieur, travaillant par quarts à l’intérieur de ces combinaisons bouillantes, où ils perdent 5 litres de liquide corporel par heure, ils sortent pour se réhydrater, s’aspergent de produits chimiques toxiques pour se désinfecter, puis rentrent à nouveau.

Un médecin a déclaré au Daily Mail qu’il pouvait sentir d’intenses vapeurs de chlore pendant qu’il travaillait dans son costume. Cela signifie que le produit chimique toxique était en fait avec lui.

Pas étonnant que certains agents de santé s’effondrent et meurent. Aucun virus n’est nécessaire.

Extrait du Daily Mail du 5 août 2014, un article intitulé « Dans des combinaisons chaudes bouillantes… » :

« Le docteur Hannah Spencer a révélé comment elle s’oblige à se sentir en sécurité à l’intérieur d’une combinaison Hazmat scellée à l’air chaud… »

« Ébullition : les médecins et les infirmières perdent jusqu’à cinq litres de sueur pendant une heure de travail en combinaison et doivent passer deux heures à se réhydrater après… »

« Pour minimiser le risque d’infection, ils doivent porter des bottes en caoutchouc épaisses qui arrivent jusqu’aux genoux, une combinaison imperméable, des gants, un masque facial, une cagoule et des lunettes pour s’assurer qu’aucun air ne puisse toucher leur peau. »

« Dr. Spencer, 27 ans, et ses collègues perdent jusqu’à cinq litres de sueur pendant un quart de travail traitant des victimes et doivent ensuite passer deux heures à se réhydrater.

« Dans leur camp, ils subissent de multiples décontaminations, notamment la pulvérisation de chlore sur leurs chaussures. »

« Dr. Spencer : « Nous aimerions maintenir une visite [du patient] entre 45 minutes et une heure, mais maintenant, nous l’étirons à près de deux heures. Nous nous soumettons à un stress physiologique très fort lorsque nous utilisons des équipements de protection individuelle.

« Nous transpirons, nous perdons de l’eau. Nous devenons plus chauds et cela fait des ravages sur le corps. Notre propre endurance commence à s’épuiser.

Dans un autre article du Daily Mail (« Ce qui est choquant, c’est à quoi ressemblent les patients atteints d’Ebola avant de mourir… »), le Dr Oliver Johnson décrit le travail en tenue de protection : « La chaleur des combinaisons est rapidement écrasante, car vos lunettes s’embuent et vous sentez le sueur dégoulinant en dessous. Et l’odeur de chlore est intense.

Vous voyez le tableau ? Imaginez perdre cinq litres d’eau de votre corps en une heure. Pendant que vous êtes pris au piège dans une combinaison de matières dangereuses encombrante. Pendant que vous traitez un patient qui, par exemple, pourrait vouloir s’échapper de la clinique parce qu’il a peur de vous et de votre médecine occidentale.

Imaginez avoir besoin de deux heures après être sorti de votre combinaison pour vous réhydrater. Ensuite, vous revenez pour plus. Bien sûr, vous vous décontaminez également avec des produits chimiques toxiques, notamment du chlore.

Mais cela n’a absolument rien à voir avec la raison pour laquelle vous pourriez tomber malade. Non. Si vous tombez malade, si vous vous effondrez ou si vous mourez subitement, c’est Ebola. Le virus.

Bien sûr que ça l’est. [Dans le discours officiel.]

Pas besoin de se demander. Ne posez pas de questions. Croyez l’Organisation mondiale de la santé et les Centers for Disease Control. Ils disent toujours la vérité.

Coda : L’enquêteuse canadienne, Christine Massey, a fait un travail époustouflant en remplissant des demandes en vertu de la Loi sur la liberté d’information pour obtenir la preuve que divers virus ont déjà été isolés et purifiés (c’est-à-dire découverts). Le 15 mars 2021, elle a reçu une réponse du CDC concernant le virus Ebola(([2] https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/03/CDC-Ebola-FOIA-request-response-No-Records.pdf)). Le CDC l’a informée qu’ils n’avaient trouvé aucun enregistrement indiquant que le virus avait jamais été isolé et purifié, à partir d’un échantillon de patient.

Massey et ses collègues ont déposé sept autres demandes FOIA auprès de diverses agences gouvernementales – à la recherche de preuves que le virus Ebola a déjà été isolé et purifié – et la réponse a toujours été la même : aucun document de ce type n’existe.

[Voir aussi :
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey]

En plus d’exposer l’horrible vérité sur « Ebola » et ce qui s’est réellement passé en Afrique de l’Ouest, j’ai une autre raison d’écrire cet article. Je recommande vivement cette méthode d’investigation aux chercheurs indépendants.

Vous commencez par la cause médicale supposée de la maladie et du décès. Vous examinez cette cause et voyez si elle existe réellement. Dans le même temps, vous effectuez une plongée profonde parallèle, afin de savoir si des causes non virales expliquent les symptômes de la maladie et de la mort.

Tout cela vise à « découvrir l’histoire qui sert de couverture » qui est promue pour cacher les crimes des entreprises et des gouvernements.

En 1987, alors que j’écrivais mon premier livre, AIDS INC. , j’ai sondé une grande quantité de données et j’ai trouvé ma voie dans cette approche. Cela a fonctionné à l’époque, et au cours des années qui ont suivi, cela a fonctionné à maintes reprises.

Comme je ne me lasse pas de le dire : « le virus » est la plus grande couverture jamais inventée.

[Voir aussi Nouvelle plandémie en vue ?
et ses liens annexes.]

(Dans ma collection Power Outside The Matrix , j’entre dans les détails de cette approche du journalisme d’investigation dont vous pouvez énormément bénéficier.)


SOURCES




Nouvelle plandémie en vue ?

[Source : profession-gendarme.com]

ALERTE ❗ Marburg Arnaque Totale



[Voir aussi :
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal
L’effondrement de l’hypothèse virale
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagion
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie
Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme]




Le jour où Jake Tapper (de CNN) a vendu son âme à Big Pharma

[Source : lewrockwell.com]

Par Robert F. Kennedy Jr.Children’s Health Defense — 8 janvier 2022

Traduction : Jean Bitterlin

Il y a une raison pour laquelle Jake Tapper de CNN à l’intention de me désigner comme étant une « menace » et un « menteur » et pourquoi il refuse de débattre avec moi sur le contrôle de la matérialité des faits et des preuves scientifiques. Voici le fond de l’histoire.

Apparemment, consterné par les solides ventes de mon best-seller « The Real Anthony Fauci », le présentateur de CNN Jake Tapper — au lieu d’examiner l’œuvre de manière critique — s’est servi de son compte Twitter pour déverser contre moi un déluge d’insultes ad hominem.

Rompant avec la traditionnelle retenue de neutralité journalistique, de rectitude professionnelle et de rigueur intellectuelle, il m’a désigné de « dangereux », d’être « une menace », « un menteur », « un escroc », « un fraudeur », « un déséquilibré » et autres.

Mais les diffamations de Tapper flottent dans l’atmosphère, sans fondements ni citations. Si je suis un menteur, alors quel était mon mensonge ? Si je suis un escroc, alors quel est mon profit ou avantage personnel ? Si je suis un fraudeur, alors où est ma déclaration inexacte ?

Je reconnais que je suis une menace dangereuse, mais seulement pour l’industrie pharmaceutique, pour ses technocrates captifs et pour ses flagorneurs médiatiques.

Alors que j’ai répondu à sa calomnie par un tweet respectueux l’invitant à débattre avec moi, Tapper a refusé, expliquant qu’il ne débattrait pas avec un « théoricien du complot ». De manière caractéristique, il a négligé de citer une seule théorie du complot dont il croit que j’ai fait la promotion.

Et est-il crédible de m’écarter comme étant un théoricien du complot indigne d’un débat ? Après tout, je suis le fondateur et ancien président de la plus grande association de protection de l’eau et fondateur et président en exercice de l’une des plus grandes associations de défense de la santé des enfants.

J’ai gagné des centaines de procès, parmi lesquels des victoires historiques contre MonsantoDuPontExxonSmithfield Foods et les principaux pollueurs des industries chimiques, du carbone, pharmaceutiques et agricoles. (Dont bon nombre me traitaient également de « théoricien du complot »).

Mon dernier livre, « le véritable Anthony Fauci » (The Real Anthony Fauci) est sans doute le livre comportant le plus de références à avoir jamais figuré au sommet des listes mondiales de best-sellers durant six semaines consécutives. Avec 500 000 exemplaires vendus, il a attiré le nombre spectaculaire de plus de 5 500 critiques cinq étoiles (92 %).

Malgré l’extrême hostilité envers ce livre de la part des médias mainstream et du cartel médical, jusqu’à présent personne n’a encore identifié une seule inexactitude factuelle dans ses 250 000 mots.

Si mon livre n’est que théories du complot sans fondement, alors M. Tapper ne devrait-il pas se réjouir de l’opportunité qui lui est donnée de me corriger avec des faits ou des arguments qui vont au-delà des injures ?

Permettez-moi, alors, de vous proposer ma propre théorie pour l’apoplexie de M. Tapper.

De nombreuses personnes font, au cours de leur vie, des pactes faustiens, échangeant leur intégrité personnelle contre des avantages matériels. Bien souvent la métamorphose se produit comme une érosion graduelle de la fibre morale. De temps en temps cela se produit en un instant ; un homme se trouve à la croisée des chemins moraux et choisit le côté sombre.

Il se trouve que j’étais aux premières loges lorsque Jake Tapper a eu son moment de crise morale. Je suppose que sa féroce attaque au vitriol envers moi est une réaction à son embarras dont j’étais le témoin au moment même où M. Tapper a choisi la carrière plutôt que la moralité.

En juillet 2005, Jake Tapper était le producteur principal d’ABC lorsque le réseau lui a ordonné de tirer un long exposé à partir de la conférence secrète de Simpsonwood en 2000 organisée par les Centres de Contrôle des Maladies et de la Prévention (les fameux CDC — NdT).

En voici le contexte :

En 1999, en réponse à l’explosion des épidémies d’autisme et autres troubles neurologiques, le CDC a décidé d’étudier son vaste Datalink de Sécurité des Vaccins — le dossier médical et de vaccination de millions d’Américains, archivé par les principaux HMO (Health Maintenance Organization — organisme de gestion des dépenses de santé — NdT) pour savoir si l’escalade spectaculaire du calendrier vaccinal, à partir de 1989, était le coupable. L’épidémiologiste interne du CDC, Thomas Verstraeten, a dirigé l’effort.

Les graphes des données initiales de Vertraeten suggéraient que les vaccins Hépatite B qui contiennent du mercure — administrés au cours de premiers mois de vie — étaient associés à un large éventail de blessures neurologiques parmi lesquelles une augmentation spectaculaire de 1 135 % des risques d’autisme [soit 11 fois plus] chez les enfants vaccinés.

Les résultats de Verstraeten ont propulsé le CDC en DEFCON 1 (mesure militaire de menace, le DEFCON 1 correspondant à la menace la plus grave commandant une réponse immédiate aux menaces ou attaques — NdT). Les plus hauts responsables de l’agence ont convoqué, pour une réunion secrète de deux jours dans le centre de retraite isolé de Simpsonwood à Norcross en Géorgie, 52 représentants de l’industrie pharmaceutique, les plus éminents vaccinologues du milieu universitaire et de l’Académie Américaine de Pédiatrie (AAP) et des fonctionnaires régulateurs de santé publique de l’Institut National de la Santé, de l’Administration des Denrées Alimentaires et des Médicaments (FDA), du CDC, de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et de l’Agence Européenne du Médicament pour élaborer une stratégie pour cacher au public ces terribles révélations.

En 2005 j’ai obtenu la transcription explosive de cette réunion et j’étais sur le point d’en publier des extraits dans Rolling Stones (Deadly Immunity, 18 juillet 2005). Ces enregistrements, de manière ironique, dépeignaient ces principaux caïds du cartel des vaccins en équilibre au bord de leur propre précipice moral, et racontaient leur effondrement dans la corruption durant deux jours écœurants de débat.

La plupart de ces personnes étaient des médecins et des responsables chargés de la réglementation qui avaient consacré leur vie par idéalisme et par profonde préoccupation pour les enfants. Les données de Verstraeten les confrontaient avec le fait que les niveaux cumulés de mercure dans tous ces nouveaux vaccins qu’ils avaient recommandés avaient surdosé une génération d’enfants américains avec des concentrations de mercure plus de cent fois supérieures aux expositions que l’Agence de Protection de l’Environnement considérait comme sûres.

En recommandant une très grande batterie de nouveaux vaccins pour les enfants, les organismes de régulation de santé publique avaient en quelque sorte négligé de calculer les charges cumulatives de mercure et d’aluminium dans toutes les nouvelles injections.

Le Dr Peter Patriarca, qui était alors le directeur à la FDA du Bureau de la Recherche et de l’Examen sur les Vaccins, a exprimé le sentiment général d’horreur lorsqu’il a demandé pour quelle raison personne n’avait calculé l’exposition cumulée au mercure des enfants alors que les décideurs ajoutaient cette cascade de nouveaux vaccins au calendrier de vaccination des enfants :

« La conversion du pourcentage de thimérosal en microgrammes réels de mercure implique une algèbre de niveau 3e (donc de collégien — NdT). Qu’est-ce qui a pris autant de temps à la FDA pour faire les calculs ? »

Dans les jours tendus qui ont précédé le conclave de Simpsonwood, le défenseur de la santé des enfants, le Dr Ruth Etzel de la EPA (Environmental Protection Agency — NdT) a plaidé avec ses collègues responsables de la santé publique d’admettre publiquement qu’ils avaient fait une terrible erreur en empoisonnant par inadvertance les enfants américains et de réparer les dégâts.

Le Dr Etzel a exhorté l’AAP (American Academy of Pediatrics — NdT) et les organismes de réglementation gouvernementaux de gérer la crise avec la même honnêteté et le même remords public dont avait fait preuve Johnson & Johnson en découvrant des produits chimiques toxiques dans la préparation de son Tylénol :

« Nous devons suivre trois règles de base : (1) agir rapidement pour informer les pédiatres que les produits ont plus de mercure que ce que nous pensions ; (2) être francs avec les consommateurs sur le pourquoi nous n’avons pas trouvé cela plus tôt ; (3) faire preuve de contrition. Si le public perd confiance dans les recommandations des Services de Santé Publique, alors la bataille de la vaccination va se briser. Pour garder la confiance, nous devons être francs et honnêtes et aller rapidement de l’avant pour remplacer ces produits ».

Confrontée aux preuves scientifiques de leur rôle dans la calamité des maladies chroniques, la cabale fit exactement l’inverse. Les transcriptions choquantes de Simpsonwood montrent le Dr Patriarca et d’autres caciques de la santé publique s’avertissant les uns les autres de leurs responsabilités quant à leurs réputations, à leur vulnérabilité face aux avocats des plaignants et des dommages potentiels au programme de vaccination.

Le Dr Patriarca a prévenu que la divulgation publique des découvertes explosives du CDC donnerait aux Américains le sentiment que la FDA, le CDC et les décideurs en matière de vaccination dormaient aux commandes pendant des décennies en permettant au Thimérosal de rester dans les vaccins destinés aux enfants.

Après plus de deux jours de discussions intenses, ces agents de Big Pharma et ces technocrates gouvernementaux se sont persuadés les uns les autres afin de transformer leur désastreuse erreur en infamie — en doublant la mise et en cachant leur erreur au public.

Tapper a vu une première ébauche de mon histoire (destinée à être publiée dans — NdT) Rolling Stones et a proposé qu’en échange de l’exclusivité, il fasse un documentaire d’accompagnement pour ABC programmé pour être diffusé le jour de la publication du magazine.

Tapper a passé plusieurs semaines à travailler sur l’histoire avec moi et une équipe de journalistes et de techniciens enthousiastes. Au cours de ses fréquentes conversations avec moi lors de cette période, il était brûlant d’indignation sur les révélations Simpsonwood. Il a agi comme un journaliste qui espère gagner un Emmy (les Emmy Awards sont des récompenses décernées aux meilleures émissions et meilleurs professionnels de la télévision — NdT).

La veille de la diffusion de l’article, c’est un Tapper exaspéré qui m’a appelé pour me dire que les responsables d’ABC lui avaient ordonné de retirer l’histoire. Le réseau des annonceurs publicitaires de l’industrie pharmaceutique menaçait d’annuler ses publicités.

« L’entreprise nous a dit de la fermer », fulminait Tapper. Il m’a dit que c’était la première fois dans sa carrière que les responsables lui ordonnaient d’étouffer une histoire.

ABC avait annoncé l’exposé Simpsonwood, et son annulation soudaine a déçu une armée de défenseurs de la sécurité des vaccins et de parents d’enfants blessés (par un vaccin — NdT) qui ont inondé le réseau (ABC – NdT) par un maelström de mails de colère.

En réponse, ABC changea de tactique et promit publiquement de publier l’article. Au lieu de cela, après un retard d’une semaine, le réseau a diffusé de manière trompeuse un reportage assemblé à la hâte qui faisait la promotion des vaccins et assurant les auditeurs que les vaccins contenant du mercure étaient sûrs.

Le nouveau débat « bait and switch » (émission d’ABC qui dénonce la méthode consistant à appâter les gens avec un produit bon marché pour ensuite leur vendre autre chose — NdT) suivait exactement les points de discussion de Pharma (Big Pharma — NdT). « Je fais confiance à l’institut de Médecine », a déclaré en conclusion l’obséquieux rédacteur médical d’ABC, le Dr Tim Johnson. Le débat était précédé et suivi par une annonce publicitaire pharmaceutique.

Après la publication de l’article (l’article a finalement été publié par le magazine Rolling Stone — NdT) j’ai appelé Jake pour me plaindre. Il ne m’a ni répondu ni rappelé.

Durant les 16 années qui ont suivi, Big Pharma a renvoyé l’ascenseur à M. Tapper en promouvant de manière agressive sa carrière. Pfizer sponsorise sans vergogne le journal télévisé de Tapper sur CNN, annonçant sa propriété sur l’espace — et le servage sous contrat de M. Tapper — avant chaque épisode avec la phrase chargée de sens : « Pfizer vous présente ».

Sous le terme apparent de ce parrainage, CNN et Tapper fournissent à Pfizer une plate-forme pour commercialiser ses produits et permettre à la société pharmaceutique — un criminel en série — de dicter le contenu à CNN.

Cet arrangement a transformé The Lead with Jake Tapper  (nom du journal télévisé présenté par Jake Tapper sur CNN — NdT) en un véhicule de propagande pour Big Pharma et a effectivement réduit le rôle de M. Tapper à celui de représentant pharmaceutique — promouvant sans vergogne la peur pornographique, la confusion et la phobie des germes, et guidant son public vers des produits pharmaceutiques brevetés à haut rendement (financier — NdT).

L’objectif principal de Tapper durant la pandémie a été de promouvoir des niveaux de terreur suffisants pour compenser tous les mensonges officiels à l’encontre de la pensée critique.

Tout cet argent provenant de Big Pharma exige naturellement que M. Tapper fasse des courbettes au Dr Fauci, et l’esclavage du présentateur de CNN a contribué à faire de l’émission de Tapper la tribune du directeur de l’Institut National de l’Allergie et des Maladies Infectieuses (le NIAID dont le Dr Fauci est le directeur depuis 1984 ! – NdT).

C’est un endroit sûr pour le Dr Fauci pour obtenir de Jake des résultats fiables.

« La compétition de léchage de bottes à CNN est assez nauséabonde », a observé la journaliste d’investigation Celia Farber qui a relaté la mauvaise gestion du Dr Fauci au NIAID durant plus de 25 ans. « C’est à la fois ruineux pour la démocratie et pour la santé publique ».

Un autre journaliste a comparé la servilité horriblement gênante de Tapper envers le Dr Fauci à l’adulation d’un chien loyal et obéissant. « C’est comme un chien qui regarde une partie d’échecs », dit l’ancien journaliste du New York Times Alex Berenson. « Tellement d’intensité et si peu de compréhension ».

Tapper a passé deux ans sans poser une seule question difficile au Dr Fauci. Il a dissimulé l’implication de Fauci (le NIH aurait financé à Wuhan des expériences de gain de fonction sur des virus — NdT), supprimé les nouvelles de blessures vaccinales, a manipulé psychologiquement les blessés, et défendu toutes les orthodoxies officielles sur le port du masque, les confinements, la distanciation sociale, les vaccins, le Remdesivir, l’Ivermectine et l’hydroxychloroquine.

Il n’a jamais posé de questions sur la santé publique, la santé mentale et les coûts économiques liés aux confinements, sur les fardeaux disproportionnés des politiques du Dr Fauci sur les minorités, la classe ouvrière et les pauvres du Monde.

Il n’a jamais demandé au Dr Fauci d’expliquer pour quelle raison les pays et États qui ont refusé les prescriptions du Dr Fauci ont systématiquement eu de meilleurs résultats en matière de santé. Par exemple, pour quelle raison les taux de mortalité américains sont-ils 1 000 fois supérieurs aux taux de mortalité des pays africains tels que le Nigéria et des États indiens qui utilisent largement l’hydroxychloroquine et l’Ivermectine ? M. Tapper n’autorise tout simplement jamais des points de vue contraires dans son émission.

Il continue à chanter les louanges des vaccins contre la COVID comme étant une technologie miracle que les personnes peuvent prendre quatre fois et qui peuvent malgré cela contracter et propager la maladie.

« Il n’appelle jamais le Dr Fauci sur ses déclarations hésitantes dénuées de science », a dit Farber. « Le Dr Fauci semble capable de paralyser les traits de curiosité du cerveau de Tapper ».

Il faut que Tapper demande au Dr Fauci pour quelles raisons, sous sa direction, l’Amérique a souffert du plus grand décompte de décès au Monde. Avec 4,2 % de la population mondiale, notre nation a subi 15 % des décès COVID.

Au lieu de cela, il opère tel un grand prêtre de toute l’orthodoxie officielle, travaillant à déifier le Dr Fauci et à oindre toutes ses déclarations absurdes, hésitantes et contradictoires avec une infaillibilité papale. Le meilleur moyen de susciter l’indignation de Tapper c’est de critiquer le Dr Fauci.

Voici quelques exemples de tromperies éhontées de M. Tapper :

Le 2 février 2021, Tapper a réfuté les affirmations que le grand joueur de baseball Hank Aaron ait pu décéder suite à une vaccination COVID. Le roi du home run (coup de maître au baseball lorsque le joueur envoie la balle au-delà des limites du terrain — NdT) s’était présenté à une conférence de presse organisée par le CDC 17 jours plus tôt. Tapper a affirmé à son auditoire que le médecin légiste du comté de Fulton avait déterminé qu’Aaron était décédé de « causes naturelles ».

Lorsque le médecin légiste du comté de Fulton a nié par la suite avoir jamais vu le corps d’Aaron, et encore moins avoir effectué une autopsie, Tapper a refusé de corriger son histoire.

En août 2021, Tapper a donné au Dr Fauci une tribune pour répandre la rumeur que des Américains qui s’étaient fait berner étaient en train de s’empoisonner avec un « remède pour cheval » appelé Ivermectine.

Dans une interview du 29 août 2021, le Dr Fauci a dit à Tapper « Il n’y a absolument aucune preuve que cela fonctionne, et cela pourrait potentiellement avoir de la toxicité… avec des gens qui sont allés dans des centres antipoison parce qu’ils ont pris le médicament à une dose ridicule et finissent par tomber malades. Il n’y a aucune preuve clinique qui indique que cela fonctionne ».

Tapper n’a jamais corrigé le Dr Fauci. Il n’a jamais souligné qu’il y avait alors 70 études révisées par des pairs démontrant l’efficacité miraculeuse de l’Ivermectine contre la COVID.

Il n’a pas contesté la qualification de remède pour cheval faite par le Dr Fauci au sujet de l’Ivermectine en faisant remarquer que le médicament avait remporté à la fois un Prix Nobel et été mis dans la liste des « médicaments essentiels » de l’OMS pour son efficacité miraculeuse contre les maladies humaines, et que les gens en ont consommé des milliards de doses sans aucun signalement significatif au niveau de la sécurité.

M. Tapper n’a jamais pensé à demander au Dr Fauci s’il essayait de décourager l’utilisation d’un médicament bon marché et efficace qui pourrait concurrencer ses vaccins expérimentaux.

Au lieu de cela, Tapper a de manière abjecte répété comme un perroquet les points de discussion :

« Les centres antipoison signalent que leurs appels explosent dans des endroits comme le Mississippi et l’Oklahoma, parce que certains Américains essaient, pour traiter et éviter de contracter le coronavirus, d’utiliser un médicament antiparasite pour chevaux appelé Ivermectine ».

Peu importait à Tapper que les responsables du Mississippi tout comme ceux de l’Oklahoma aient rapidement nié que quiconque dans leur état ait été hospitalisé pour un empoisonnement à l’Ivermectine. Tapper n’a jamais corrigé son histoire fausse.

Le 14 septembre 2021, Tapper a obligeamment donné au Dr Fauci une tribune pour contester l’inquiétude de la rappeuse Nicki Minaj que les vaccins COVID puissent affecter la fertilité. Le Dr Fauci a simplement déclaré :

« La réponse à cela, Jake, est un non catégorique ».

Comme d’habitude, Tapper n’a pas demandé au Dr Fauci de citer une étude pour soutenir son affirmation. Il n’a jamais souligné que tous les fabricants de vaccins COVID reconnaissent que leurs produits ne sont pas testés pour les effets sur la fertilité, ou que des données récentes ont montré des augmentations spectaculaires de fausses couches et de prééclampsies chez les femmes vaccinées. (La prééclampsie est une complication de grossesse qui se caractérise par une pression sanguine élevée et des signes de dommages au foie et aux reins — NdT).

Néanmoins, sur la base de la seule parole du Dr Fauci, CNN s’est précipitée pour diffamer et discréditer la rappeuse et pour assurer au public que Minaj avait tort. Après tout, le Dr Fauci avait parlé !

Il est facile de voir comment deux années d’une telle déférence obséquieuse ont encouragé le Dr Fauci, en novembre 2021 à déclarer :

« Je représente la science ».

Il y a beaucoup trop d’autres exemples de la promotion non critique par Tapper de mensonges du gouvernement et de l’industrie pharmaceutique, ne serait-ce que pour les résumer. Il ne s’agit pas de mensonges inoffensifs. Chacun d’entre eux a de potentielles conséquences pour la santé publique.

Le terme de « projection psychologique » décrit l’extraordinaire précision avec laquelle un certain type de personnes applique aux autres des termes péjoratifs, ces termes mêmes qui décrivent avec le plus de précision leurs propres défauts.

Lorsque M. Tapper me traite de « déséquilibré », de « menace pour la santé publique », d’« escroc », de « menteur », n’est-il pas victime de projection ?

Dans une démocratie, les fonctions essentielles du journalisme sont de dire la vérité au pouvoir, d’exposer sans relâche la corruption et de toujours maintenir une posture de scepticisme envers les centres de pouvoir du gouvernement et des entreprises.

Ce que fait Jake Tapper est à l’opposé du journalisme. Tapper, au lieu de cela, s’aligne sur le pouvoir et se fait propagandiste des narratifs officiels et un agent publicitaire servile pour les élites puissantes et les technocrates gouvernementaux.

Sa fureur à l’encontre de ceux qui contestent leurs récits n’est donc pas étonnante.




Le Pape François a rencontré secrètement le PDG de Pfizer avant de rendre la vaccination obligatoire au Vatican

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

[Transmis par Nicolas Bonnal]

Par Edouard Husson

Le Pape François a rencontré deux fois secrètement le PDG de Pfizer, Albert Bourla, en 2021, avant de rendre la vaccination obligatoire au Vatican: telle est l’information explosive recueillie auprès de sources internes par le National Catholic Register, un média américain d’information catholique. On appréciera à sa juste mesure le fait que le pape qui a pris le nom de Saint François d’Assise, apôtre de la pauvreté, pousse jusqu’à fréquenter le PDG d’une entreprise qui a gagné des milliards durant la pandémie. Et même, qu’il se soit fait lobbyiste de l’industrie vaccinale en expliquant que la vaccination contre le COVID était en « acte d’amour ». La parution de cette information malgré la crainte qu’inspire le pape jésuite révèle que l’Eglise est à la veille d’une remise en cause profonde du pontificat de Jorge Maria Bergoglio.

Selon des sources vaticanes, qui se sont confiées au National Catholic Register, le Saint-Père a rencontré à deux reprises le PDG de Pfizer, Albert Bourla, au Vatican, bien que les détails précis de ces rencontres qui ont eu lieu en 2021, ne soient pas connus.

Contrairement à la plupart des audiences privées du pape, ces rencontres n’ont pas été annoncées par le bureau de presse du Saint-Siège, qui n’a pas répondu aux demandes répétées de confirmation de ces rencontres.

Un porte-parole de Pfizer a déclaré : “Nous ne pouvons ni confirmer ni démentir car, selon notre politique, les mouvements de nos cadres sont considérés comme confidentiels.”

Les rencontres d’Albert Bourla avec le pape ne seraient pas la première rencontre papale secrète de ce type ces dernières années. En novembre 2019,  le pape a reçu en privé Melinda Gates. La rencontre, bien connue au Vatican,  n’a jamais été reconnue officiellement.

En mai dernier, Bourla a pris part à une conférence en ligne du Vatican sur la santé intitulée “Unite to Prevent & Unite to Cure” à l’occasion de laquelle il a pu – et d’autres participants avec lui, faire l’éloge de la vaccination dans la lutte contre le COVID-19. 

Se vacciner contre le COVID, un acte d’amour?

Prenez le temps d’écouter ce passage d’Albert Bourla à la télévision française. Il y explique que la seule façon de surmonter la peur de se faire injecter le vaccin, c’est “l’amour” (sic!). Pour lui, la vaccination n’a pas seulement une valeur individuelle mais sociale: il faut le faire pour nos proches et le reste de la société. 

ça ne vous rappelle rien? Le pape François déclarant à l’été 2021: “La vaccination est un moyen simple, mais profond de promouvoir le bien commun et de prendre soin les uns des autres, en particulier des plus vulnérables. Je prie Dieu pour que chacun puisse apporter son petit grain de sable, son petit geste d’amour”

Impossible de dire lequel des deux hommes a le plus influencé l’autre. Mais force est de constater que le pape qui a pris le nom du “Pauvre d’Assise” se trouve de connivence avec le PDG d’une entreprise pharmaceutique qui a gagné des milliards grâce aux vaccins contre le COVID. Une entreprise représentative des dérives du capitalisme contemporain que le Pape aime par ailleurs fustiger. 

Le Pape parle du capitalisme inclusif; mais en l’occurrence il fraye avec un représentant du capitalisme de connivence, l‘une des entreprises les plus condamnées au monde. Où seraient les profits de Pfizer sans l’argent public qui sert à financer la recherche puis l’achat des vaccins? 

Comment ne pas être profondément gêné par le fait que le Pape ait pu recevoir deux fois le PDG de Pfizer puis choisir cette entreprise pour la vaccination au Vatican? Une vaccination rendue obligatoire!  

Comment expliquer qu’un pape qui dit lutter pour un ordre plus juste accepte le petit jeu d’un capitalisme de connivence qui a fait écarter médicaments existants (tombés dans le domaine public) au profit d’un produit nouveau, fabriqué trop vite et vendu très cher? Comment comprendre quue le pape de l’encyclique Laudato Si fasse aussi peu attention aux dégâts causés par les effets secondaire du vaccin. Ou bien l’écologie humaine est-elle sans importance? 

Evidemment, en homme de pouvoir, François a cessé de parler “d’amour” en évoquant la vaccination dans son discours de voeux 2022 aux ambassadeurs. Il sent le vent tourner et se contente de parler d’un choix raisonnable en attendant d’autres médicaments. Mais cela ne peut pas dissiper la désagréable impression que le Pape sert de caution religieuse à la gouvernance internationale

L’Église a besoin d’un « Père Elijah »

Si vous ne l’avez jamais lu, plongez-vous dans l’extraordinaire roman de Michael D. O’BrienPère Elihjah. Le héros est un frère carme qui fut David Schäfer, rescapé de la Shoah puis promis à devenir Premier ministre d’Israël; mais il avait tout lâcher pour se convertir et entrer en religion. Un pape qui est un mélange de Jean-Paul II et de Benoît XVI demande au Père Elijah d’aller affronter spirituellement le “Président de la Fédération des Etats européens”, qui tenait à la fois (prophétiquement, quand le roman a été écrit à la fin des années 1990) de Mario Draghi et d’Emmanuel Macron. Ce président d’une Europe devenue fédérale est immensément populaire car il agit au nom d’une religion de l’Amour, destinée à devenir une religion mondiale.  Et le Père Elijah doit aller l’affronter car l’homme fait pression sur le Saint-Siège, pour que ce dernier se joigne au nouveau syncrétisme. 

Ce morceau central d’une trilogie romanesque commencée dans Varsovie occupée et se finissant à Jérusalem a le souffle d’un roman de Chesterton ou de C.S. Lewis

La différence entre le roman et la réalité d’aujourd’hui, c’est que François se juge assez fort pour ne pas avoir besoin d’un “Père Elijah”. Il pense pouvoir frayer avec les hommes de la gouvernance mondiale sans faire courir de danger à l’Eglise. Il accompagne en partie le syncrétisme ambiant et s’engage pour une “Maison d’Abraham” à Abu Dhabi ou joue avec l’idée d’une version “amazonienne” du christianisme. François décrit la vaccination comme un “acte d’amour” et il approuve la censure sur les réseaux sociaux. Il pactise avec la Chine communiste au risque de sacrifier l’Eglise clandestine chinoise. Et il adhère à un “Pacte mondial pour l’Education” en faisant entrer à l’Académie des Sciences un économiste aussi controversé que Jeffrey Sachs, ancien néolibéral converti à l’écologie et dont le fil directeur a toujours été l’adhésion sans fard au malthusianisme le plus radical. 

La fuite concernant les entrevues avec Albert Bourla est le signe qu’au Saint-Siège on commence à juger contre-productive la façon de faire de l’actuel Souverain Pontife. Il est certes redouté; mais on le dit malade ; et les grandes manœuvres ont commencé pour sa succession

Ce qui est sûr, c’est que le renouveau dont aura besoin l’Eglise se trouve plutôt dans les romans de Michael D. O’Brien que dans les liaisons dangereuses du Pape François avec les puissants de ce monde, d’Albert Bourla à Bill Gates. 




Révélations de la DARPA sur Fauci : le troublant mutisme de la presse

[Source : h16free.com]

Il y a une semaine, le projet Veritas publiait différents documents dont le contenu, s’il était vérifié, pourrait largement remettre en question nombre d’affirmations colportées par les médias, les experts et les politiciens sur la pandémie, son origine et son déroulement, et éclairerait l’histoire de ce virus d’une lumière nouvelle, particulièrement incriminante pour une partie de l’administration américaine…

Si vous vous en tenez à la presse et aux médias grand public français, il est assez peu probable que vous ayez entendu parler du Projet Veritas, ni de ses dernières révélations.

Les rares articles évoquant cette association remontent à plusieurs mois, lorsqu’elle avait publié différentes vidéos montrant, en caméra cachée, ce que pensaient vraiment différents scientifiques et personnages haut placés dans différents groupes pharmaceutiques comme Pfizer : les allégations obtenues dans ces vidéos, jamais démenties ni par ces sociétés, ni par les personnes enregistrées, sont relatées dans une ou deux notules dans les médias français qui, bons soldats, ont fait le minimum syndical afin de bien faire comprendre à leurs (moins en moins nombreux) lecteurs que Project Veritas est avant tout une organisation ultra-conservatrice (lire « ultra-beurk ») et que peu importent les informations qu’elle a pu récolter, étant dans le Camp du Mal, elle ne peut être crédité d’absolument rien.

Au-delà de ces éléments, rien n’a donc transpiré depuis dans la presse française des allégations rassemblées et publiées lundi dernier. De rares journaux américains s’y sont intéressés, mais on constate essentiellement une distance gênée face aux révélations accumulées qui méritent cependant un peu plus d’intérêt.

En effet, selon Project Veritas, un responsable militaire, le Major du Corps des Marines Joseph Murphy, aurait affirmé dans un rapport adressé à l’Inspecteur Général de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) – une agence américaine chargée de recherches et développements militaires – que le virus SARS-CoV2 serait le résultat d’une manipulation génétique humaine dirigée par les Américains, cherchant essentiellement à combiner la viralité d’un coronavirus commun à la létalité de précédents virus SARS-CoV1 et MERS.

Mieux encore : ces documents incriminent directement Anthony Fauci, le directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses aux États-Unis, Institut qui aurait ainsi subventionné l’ONG EcoHealth Alliance dans ces dangereuses recherches alors que la DARPA les aurait refusées précisément en raison de la nature même de ces expériences et de l’interdiction qui frappait alors (et continuent de courir) sur de telles manipulations (dites « gain de fonction« ), et ce alors même que Fauci a déposé plusieurs fois sous serment, devant des commissions d’enquêtes du Sénat américain, qu’il n’en avait rien été.

À ces éléments déjà sulfureux qui viennent s’ajouter aux nombreuses et insistantes rumeurs sur l’évasion du virus du laboratoire de Wuhan ainsi qu’aux précédentes révélations provenant de la publication des emails détaillés de Fauci montrant des comportements étonnants (et très peu éthiques) de sa part, sans même évoquer les expériences de torture sur des chiens menées par le NIH et révélées en octobre dernier, on comprend que l’actuel conseiller de Joe Biden pour la gestion de l’actuelle pandémie soit mis sur la sellette…

Ce qui pose évidemment quelques soucis à l’ensemble des médias américains et européens qui n’ont eu de cesse de suivre assez scrupuleusement (et encenser un peu trop ouvertement) les orientations et diktats plus ou moins grotesques qu’il a empilés depuis le début de la crise.

Et pendant que les rumeurs et allégations s’empilent sur Fauci, la DARPA n’a pas confirmé mais pas plus infirmé l’exactitude des documents fuités. Cependant, s’ils sont confirmés exacts, ils sont particulièrement lourds de conséquences puisqu’ils indiqueraient notamment que les actuels vaccins sont d’assez mauvaise qualité et de sûreté douteuse et que des traitements curatifs auraient été identifiés très tôt, ce qui, là encore, jetterait une lumière crue sur les agissements de certains afin de cacher cette information.

Rassurez-vous, tous ces éléments ne vous seront pas fournis par les canaux habituels tant est grand l’écart avec le discours officiel. Vous pourrez cependant vous faire votre propre opinion en allant voir les éléments publiés et les vidéos qui les accompagnent :

https://twitter.com/VigilantFox/status/1480740626161414145

Avant une possible disparition inopinée, la vidéo complète est ici :

À la suite de cette publication, certains élus américains ont cependant décidé d’agir : six députés (membres de la Chambre des représentants), à savoir Madison Cawthorn, Bill Posey, Diana Harshbarger, Lisa McClain, Randy Weber et Matt Gaetz, ont ainsi envoyé une lettre (consultable ici) au secrétaire à la Défense, au secrétaire à la Santé, aux Services sociaux ainsi qu’au directeur du CDC, Rochelle Walensky, avec une liste de questions auxquelles ils aimeraient obtenir des réponses.

De la même façon, le sénateur Ron Johnson (un Républicain du Wisconsin) exige également des réponses. Il a lui aussi envoyé une lettre au Secrétaire à la Défense Lloyd Austin avec une liste de questions et quelques demandes, notamment celle de connaître ce qui fut fait du rapport une fois celui-ci remis…

Même si l’on ne peut guère être optimiste quant à ces demandes – dont l’aspect politique n’est évidemment pas à écarter – gageons cependant que certains citoyens (américains et européens, en réalité) attendent ces réponses avec obstination, ne serait-ce que pour déterminer à quel point ces allégations sont exactes ou non. Si elles sont fausses, on s’étonnera du mutisme des institutions concernées. Si elles sont vraies, les conséquences devraient, dans un monde normal, être particulièrement dévastatrices.

Pourtant et jusqu’à présent, malgré l’enjeu évident, aucun journal grand public, aucune chaîne de télévision, aucune Elise Glucet sur la brèche toujours dans les bons coups fumants, ne semblent vouloir enquêter sérieusement. Du côté des GAFAM, on note même le déploiement des techniques habituelles lorsqu’une information gênante sort, puisque sur Twitter, différents membres du projet Veritas ont déjà été bannis, et que Google rivalise d’inventivité dans ses algorithmes pour camoufler ces informations (des recherches à ce sujet sur Google puis sur DuckDuckGo mettent bien en lumière le décalage qui existe entre les deux moteurs de recherche).

Si le passé est un indicateur en matière de comportement de ces firmes et de ces médias, on peut raisonnablement imaginer que ces allégations pour le moment sulfureuses seront admises du bout des lèvres dans six mois, le temps moyen qui sépare le complotisme de la froide réalité…




Les Français sont trahis par une propagande dont les effets sont pénalement condamnables

[Source : Dr_Astrid_Stuckelberger]



Les Français sont trahis par une propagande
dont les effets sont pénalement condamnables

La propagande est un concept désignant un ensemble de techniques de persuasion mises en œuvre pour propager, par tous les moyens disponibles, une idée, une opinion, une idéologie ou une doctrine et pour stimuler l’adoption de comportements au sein d’un public cible.

Les Français subissent la propagande d’une bande organisée usurpant des fonctions régaliennes et abusant de l’auditoire des médias de masse.

Article 132-71 CP :

« Constitue une bande organisée au sens de la loi tout groupement formé ou toute entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, d’une ou de plusieurs infractions »

INFRACTIONS AUX OBLIGATIONS RÉGALIENNES DE L’ÉTAT

L’une des fonctions régaliennes de l’Etat est d’assurer la sécurité des citoyens. Allant contre le principe régalien de la protection des Français cette bande organisée qui en usurpe les fonctions, n’hésite pas à mettre en danger les citoyens en dépit des codes internationaux. Par exemple le règlement européen du 14 juin 2021 interdit les discriminations à l’encontre des personnes ne souhaitant pas participer (pour raison de santé parfois) à une expérimentation clinique de phase 3 en dépit des recommandations des fabricants des dits produits expérimentaux. Cette mise en danger fait suite à des pressions psychologiques, et pour certains Français, c’est fatal ! Les actes de décès l’attestent ! Ceci, alors que le code de Nuremberg précise que « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ».

En infraction avec l’article 313-1 du Code Pénal, cette bande organisée n’hésite pas à escroquer le citoyen français par l’usage de faux, par l’abus d’une qualité vraie et par l’emploi de manœuvres frauduleuses et elle l’escroque au profit d’intérêts qui ne sont pas d’intérêt général mais des intérêts d’entreprises privés ! Cette bande organisée usurpant des fonctions régaliennes trompe nos concitoyens et les détermine ainsi, à leur préjudice à consentir un acte opérant obligation de renoncer au droit d’inviolabilité de leur corps.

Pour arriver à ces desseins délinquants et criminels, voire ses actes terroristes, cette bande organisée utilise la propagande, qui elle-même à l’endoctrinement.

Et cela parce que la très grande majorité des journalistes ont oublié (volontairement ou du fait de pressions) la Déclaration des devoirs et des droits des journalistes, Munich, 1971

Le préambule de cette déclaration commence ainsi :

« Le droit à l’information, à la libre expression et à la critique est une des libertés fondamentales de tout être humain. Ce droit du public de connaître les faits et les opinions procède l’ensemble des devoirs et des droits des journalistes.

La responsabilité des journalistes vis-à-vis du public prime toute autre responsabilité, en particulier à l’égard de leurs employeurs et des pouvoirs publics »

Parmi les devoirs essentiels du journaliste, dans la recherche, la rédaction et le commentaire des événements :

« 1) respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître ; 2) défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique ;

3) publier seulement les informations dont l’origine est connue ou les accompagner, si c’est nécessaire, des réserves qui s’imposent ; ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et les documents ;

6) rectifier toute information publiée qui se révèle inexacte ;

8) s’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation, les accusations sans fondement ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d’une information ;

9) ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs ;

10) refuser toute pression et n’accepter de directives rédactionnelles que des responsables de la rédaction.

Tout journaliste digne de ce nom se fait un devoir d’observer strictement les principes énoncés ci-dessus ; reconnaissant le droit en vigueur dans chaque pays, le journaliste n’accepte, en matière d’honneur professionnel, que la juridiction de ses pairs, à l’exclusion de toute ingérence gouvernementale ou autre. »

Nous Français, nous subissons tous des violences psychologiques, également appelées harcèlement moral, du fait de la répétition quotidienne et cela plusieurs fois par jour, car tous les médias quel qu’ils soient (TV, radio, presse, internet) répètent le discours de cette bande organisée, sans aucun esprit critique, poussant les citoyens français à se faire injecter un produit en phase expérimental.

VOLONTÉ MANIFESTE DE HARCÈLEMENT ET D’ENDOCTRINEMENT

Article 222-33-2-2 du Code Pénal

« Le fait de harceler une personne par des propos ou comportements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation de ses conditions de vie se traduisant par une altération de sa santé physique ou mentale est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende lorsque ces faits ont causé une incapacité totale de travail inférieure ou égale à huit jours ou n’ont entraîné aucune incapacité de travail

L’infraction est également constituée :

1. Lorsque ces propos ou comportements sont imposés à une même victime par plusieurs personnes, de manière concertée ou à l’instigation de l’une d’elles, alors même que chacune de ces personnes n’a pas agi de façon répétée ;

2. Lorsque ces propos ou comportements sont imposés à une même victime, successivement, par plusieurs personnes qui, même en l’absence de concertation, savent que ces propos ou comportements caractérisent une répétition.

Les faits mentionnés aux premier à quatrième alinéas sont punis de 2 ans d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende :

1° Lorsqu’ils ont causé une incapacité totale de travail supérieure à huit jours ;

2° Lorsqu’ils ont été commis sur un mineur de quinze ans ;

3° Lorsqu’ils ont été commis sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficiencephysique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur ;

4° Lorsqu’ils ont été commis par l’utilisation d’un service de communication au public en ligne ou par le biais d’un support numérique ou électronique ;

5° Lorsqu’un mineur était présent et y a assisté.

Les faits mentionnés aux premier à quatrième alinéas sont punis de 3 ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende lorsqu’ils sont commis dans 2 des circonstances mentionnées aux 1° à 5°. »

En relayant en boucle les informations de cette bande organisée, les médias de masse se rendent complices de celle-ci par fourniture de moyens.

Article 121-7 CP :

« Est complice d’un crime ou d’un délit la personne qui sciemment, par aide ou assistance, en a facilité la préparation ou la consommation »

Les médias, en relayant à longueur de journée les décisions d’une bande organisée usurpant des fonctions régaliennes, se rendent aussi complices d’abus de faiblesse, en mettant le peuple français dans un état de sujétion psychologique, en usant de chantage au pass sanitaire, puis vaccinal pour que les Français aillent se faire injecter un produit encore expérimental.

Article 223-15-2 CP :

« Est puni de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 euros d’amende l’abus frauduleux de l’état d’ignorance ou de la situation de faiblesse … d’une personne en état de sujétion psychologique ou physique résultant de l’exercice de pressions graves ou réitérées ou de techniques propres à altérer son jugement, pour conduire … cette personne à un acte … qui lui est gravement préjudiciable.

Lorsque l’infraction est commise par le dirigeant de fait ou de droit d’un groupement qui poursuit des activités ayant pour but ou pour effet de créer, de maintenir ou d’exploiter la sujétion psychologique ou physique des personnes qui participent à ces activités, les peines sont portées à cinq ans d’emprisonnement et à 750 000 euros d’amende »

De pressions graves, réitérées exercées par les médias de masse, de ces techniques propres à altérer le jugement des citoyens, il en résulte une mise en danger de la vie d’autrui

Article 223-1 CP :

« Le fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. »

LA RESPONSABILITÉ DE TOUS LES ÉLUS ET FONCTIONNAIRES DE LA RÉPUBLIQUE :
EMPÊCHER LES INFRACTIONS

Cette mise en danger délibérée peut également être le fait de maires, de préfets, n’exerçant pas leur devoir de discernement, de désobéissance

Les fonctionnaires qui obéissent à des ordres illégaux peuvent être poursuivis au titre des articles mentionnés au titre 2 du livre premier du Code Pénal

Cette mise en danger des citoyens est également en infraction avec l’article 40 du Code de Procédure Pénal

« Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs »

Maires et Préfets se rendre tout autant coupables de la mise en danger des citoyens par leur manquement ou négligence à une obligation légale à l’article 121-3 CP :

«… Il y a délit, lorsque la loi le prévoit, en cas de faute d’imprudence, de négligence ou de manquement à une obligation de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, s’il est établi que l’auteur des faits n’a pas accompli les diligences normales compte tenu, le cas échéant, de la nature de ses missions ou de ses fonctions, de ses compétences ainsi que du pouvoir et des moyens dont il disposait. »

« les personnes physiques qui n’ont pas causé directement le dommage, mais qui ont créé ou contribué à créer la situation qui a permis la réalisation du dommage ou qui n’ont pas pris les mesures permettant de l’éviter, sont responsables pénalement s’il est établi qu’elles ont, soit violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, soit commis une faute caractérisée et qui exposait autrui à un risque d’une particulière gravité qu’elles ne pouvaient ignorer »

De cette mise en danger et ces violences psychologiques peuvent en résulter des décès et des infirmités permanentes :

Article 222-14-3 CP :

« Les violences … sont réprimées quelle que soit leur nature, y compris s’il s’agit de violences psychologiques »

Article 222-7 CP :

« Les violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner sont punies de 15 ans de réclusion criminelle. »

Article 222-8 CP :

« L’infraction définie à l’article 222-7 est punie de 20 ans de réclusion criminelle lorsqu’elle est commise :

1° Sur un mineur de quinze ans ;

8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d’auteur ou de complice »

Article 222-9 CP :

« Les violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente sont punies de 10 ans d’emprisonnement et de 150 000 euros d’amende. »

Article 222-10 CP :

« L’infraction définie à l’article 222-9 est punie de 15 ans de réclusion criminelle lorsqu’elle est commise :

1° Sur un mineur de quinze ans ;

8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d’auteur ou de complice »

Il est à constater, actuellement, de nombreux effets secondaires à la suite des injections de produits expérimentaux contre le Covid19,ce sont des informations publiques, et ces dommages corporels sont recensés à travers le monde.

Tel qu’en atteste la base de données de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS)

VigiAccess a été lancé par l’OMS en 2015 pour permettre au public d’accéder aux informations contenues dans VigiBase, la base de données mondiale de l’OMS sur les effets secondaires potentiels signalés des médicaments. Les effets secondaires – connus techniquement sous le nom d’effets indésirables des médicaments (EIM) et d’effets indésirables suivant la vaccination (EIAS) – sont signalés par les centres nationaux de pharmacovigilance ou les autorités nationales de réglementation des médicaments qui sont membres du Programme international de surveillance des médicaments (PIDM) de l’OMS. Le PIDM de l’OMS a été créé en 1968 pour assurer une utilisation plus sûre et plus efficace des médicaments.

http://www.vigiaccess.org/

À la date du 15/01/2022, le nombre total d’enregistrements recueillis : 2 961 255

MISE EN DANGER PAR PRESSIONS PSYCHOLOGIQUES

Les personnes ayant eu recours à ces injections, l’ont faites en raison des violences psychologiques.

Les personnes ayant eu recours à ces injections, l’ont faites en raison de la propagande produite par cette bande organisée usurpant des fonctions régaliennes et abusant de l’auditoire des médias de masse, usant de peur, allant jusqu’à terroriser la population, et cette bande tente d’imposer son Ordre discriminatoire en effectuant notamment un chantage via le pass sanitaire et pass vaccinal nécessaire pour accéder aux loisirs (restaurant, cinéma, sport, etc).

Le mode opératoire de cette bande organisée est pénalement condamnable : Article 132-71 CP :

Le fait de gouverner par le terreur est par définition du terrorisme.

« Recours à la terreur et à la violence pour imposer ses idées politiques ou son autorité »

https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/terrorisme/

Là encore, vous penserez en premier lieu en entendant le mot « terrorisme », que ce n’est pas le cas. Mais cela est une nouvelle fois dû à la dialectique utilisée par les gouvernants.

La définition du terrorisme donnée par les gouvernants est une définition politique donc restreinte :

« Ensemble d’actes de violence (attentats, prises d’otages, etc.) commis par une organisation ou un individu pour créer un climat d’insécurité, pour exercer un chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine à l’égard d’une communauté, d’un pays, d’un système »

https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/terrorisme/77478

LA VOLONTÉ MANIFESTE DE NUIRE AUX CITOYENS FRANÇAIS

Cette bande organisée (usurpant des fonctions régalienne, abusant de l’auditoire des médias de masse) fait suite à des directives de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), mais ne considère pas les messages d’alerte de cette même organisation sur l’injection à répétition de produits expérimentaux sur les Français. La volonté de nuire de cette bande organisée est manifeste.

La France définit le terrorisme, dans son Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale de 2013, comme des actions auxquelles « ont recours des adversaires qui s’affranchissent des règles de guerre conventionnelle pour compenser l’insuffisance de leurs moyens et atteindre leurs objectifs politiques. »

Le Système des Nations Unies, qui est aussi souvent appelé officieusement la « famille des Nations Unies », est composé de l’Organisation des Nations Unies et de nombreux programmes, fonds et institutions spécialisées. Chacune de ces entités a sa propre direction, son propre budget et ses propres États Membres. Les programmes et fonds sont financés par des contributions volontaires plutôt que statutaires. Les institutions spécialisées sont quant à elles des organisations indépendantes financées par des contributions volontaires et statutaires.

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) est l’une de ces organisations indépendantes.

L’OMS est l’autorité directrice et de coordination des efforts visant à amener tous les peuples au niveau de santé le plus élevé possible. Son but est d’améliorer les perspectives d’avenir et la santé future pour toutes les populations du monde. La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité, comme le stipule la Constitution de l’OMS.

L’OMS obtient son financement de deux sources principales : les contributions fixées des États Membres (les cotisations des pays) et les contributions volontaires d’États Membres et d’autres partenaires.

Les contributions volontaires proviennent en grande partie d’États Membres, d’autres organisations des Nations Unies, d’organisations intergouvernementales, de fondations philanthropiques, du secteur privé et d’autres sources.

Parmi les fondations philanthropiques se trouvent notamment la Fondation Bill & Melinda Gates, qui , pour l’année 2021, tous sujets de subventions confondus, a donné 299.172.879 $

Alors que, par exemple, la France a donné pour l’exercice 2018/2019 : 0,9 million de dollars

Il apparaît donc que l’OMS reçoit en grande partie des financements privés.

D’autre part, si l’on consulte le site de la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique (HATVP), il apparaît que la Fondation Bill & Melinda Gates y figure depuis 2018.

Et notamment en 2020, pour « Promouvoir le rôle de l’aide publique au développement française vers les fonds multilatéraux de sante notamment dans le cadre de la réponse globale à la crise COVID » :

  • Type d’actions de représentation d’intérêts
  • Organiser des discussions informelles ou des réunions en tête-à-tête
  • Transmettre aux décideurs publics des informations, expertises dans un objectif de conviction Etablir une correspondance régulière (par courriel, par courrier…)
  • Catégorie de responsables publics
  • Collaborateur du Président de la République
  • Membre du Gouvernement ou membre de cabinet ministériel – Affaires sociales et santé, Economie et finances, Affaires étrangères et développement international

De ce fait, des membres du gouvernement français qui se soumettent en dépit de leur fonction régalienne à cette bande organisée qui terrorise les Français, les affaiblit psychologiquement et physiquement et mène des actes d’hostilité et des actes d’agression contre la France, doivent faire l’objet de plaintes pour intelligence avec l’ennemi.

Article 411-4 CP :

  • Le fait d’entretenir des intelligences avec une puissance étrangère, avec une entreprise ou organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou avec leurs agents, en vue de susciter des hostilités ou des actes d’agression contre la France, est puni de 30 ans de détention criminelle et de 450 000 euros d’amende.

Est puni des mêmes peines le fait de fournir à une puissance étrangère, à une entreprise ou une organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou à leurs agents les moyens d’entreprendre des hostilités ou d’accomplir des actes d’agression contre la France. »

PDF de l’article

(qui n’inclut pas les PDF intermédiaires)




Planet Lockdown – Documentaire complet version française

[Sources : cv19.fr et LHK]

« La rencontre avec l’équipe de Planet lockdown fut pour moi un moment incroyable tant la relation avec l’équipe du film a été intense. Imaginez des jeunes gens qui décident de faire quelque chose pour l’humanité. Ils voyaient bien que quelque chose ne tournait pas rond dans le monde des virus et du partenariat sanitaire issu de l’amalgame indigeste des secteurs publics-privés.
Ils ont donc pris le matériel nécessaire et sont partis à a découverte d’un Occident brisé dont la population semble prise en otage quand elle n’a pas tout simplement pas succombé à un virus dont les traitements ont été confisqués.
Le sort qui a été réservé aux personnes âgées isolées est un élément marquant de ce méprisable épisode de l’histoire humaine.
L’autre élément scandaleux étant la vaccination d’enfants et mineurs qui n’ont pas donné leur consentement à leur participation à l’immense expérimentation.
La bonne nouvelle est que l’édifice officiel commence à prendre l’eau de tous les côtés (cf. article ci-dessous). Je suppose que les gestionnaires de la crise covidienne commencent à s’inquiéter…
Bref, après plus d’une année de travail, le film Planet Lockdown a été mis à disposition du public hier soir. »

Liliane Held-Khawam (LHK)

Planet Lockdown est un documentaire sur la situation dans laquelle se trouve le monde. Les réalisateurs se sont entretenus avec certains des esprits les plus brillants et les plus courageux de ce monde, notamment des épidémiologistes, des scientifiques, des médecins, des avocats, des manifestants, un homme d’État et un prince. Ces âmes courageuses ont eu le courage de dire la vérité et nous inspirent à faire de même. Nous devons avoir le courage de surmonter nos peurs. Et une fois que nous l’avons fait, tout devient plus facile.

Vous y retrouverez entre autres Louis Fouché, Alexandra Henrion-Caude, Catherine Austin Fitts, Astrid Stuckelberger, Liliane Held-Khawam, Michael Yeadon, Carrie Madej, Václav Klaus et Reiner Fuellmich dans l’une des plus belles et peut-être plus importante réalisation depuis le début de cette crise.



Merci à Liliane Held-Khawam pour la version française.

Retrouvez toutes les interviews complètes sur le site https://planetlockdownfilm.com/

Vous pouvez soutenir le documentaire ici : https://planetlockdownfilm.com/support-the-movie/




L’art de la guerre

Source : ebooksgratuits.com

[Transmis par Philippe Loubière]

Par Sun Tzu

Sun Tzu

L’ART DE LA GUERRE

Les Treize Articles

traduit par le père Amiot

Publication du groupe « Ebooks libres et gratuits » – http://www.ebooksgratuits.com/

Source du texte : Jean-Philippe Thiébaud. http://www.ifrance.com/artdelaguerreselonsuntzu
Avec nos remerciements.

Table des matières

Article I De l’évaluation

Article II De l’engagement

Article III Des propositions de la victoire et de la défaite

Article IV De la mesure dans la disposition des moyens

Article V De la contenance

Article VI Du plein et du vide

Article VII De l’affrontement direct et indirect

Article VIII Des neuf changements

Article IX De la distribution des moyens

Article X De la topologie

Article XI Des neufs sortes de terrain

Article XII De l’art d’attaquer par le feu

Article XIII De la concorde et de la discorde

Article I
De l’évaluation

Sun Tzu dit : La guerre est d’une importance vitale pour l’État. C’est le domaine de la vie et de la mort : la conservation ou la perte de l’empire en dépendent ; il est impérieux de le bien régler. Ne pas faire de sérieuses réflexions sur ce qui le concerne, c’est faire preuve d’une coupable indifférence pour la conservation ou pour la perte de ce qu’on a de plus cher, et c’est ce qu’on ne doit pas trouver parmi nous.

Cinq choses principales doivent faire l’objet de nos continuelles méditations et de tous nos soins, comme le font ces grands artistes qui, lorsqu’ils entreprennent quelque chef-d’œuvre, ont toujours présent à l’esprit le but qu’ils se proposent, mettent à profit tout ce qu’ils voient, tout ce qu’ils entendent, ne négligent rien pour acquérir de nouvelles connaissances et tous les secours qui peuvent les conduire heureusement à leur fin.

Si nous voulons que la gloire et les succès accompagnent nos armes, nous ne devons jamais perdre de vue : la doctrine, le temps, l’espace, le commandement, la discipline.

La doctrine fait naître l’unité de penser ; elle nous inspire une même manière de vivre et de mourir, et nous rend intrépides et inébranlables dans les malheurs et dans la mort.

Si nous connaissons bien le temps, nous n’ignorerons point ces deux grands principes Yin et Yang par lesquels toutes les choses naturelles sont formées et par lesquels les éléments reçoivent leurs différentes modifications ; nous saurons le temps de leur union et de leur mutuel concours pour la production du froid, du chaud, de la sérénité ou de l’intempérie de l’air.

L’espace n’est pas moins digne de notre attention que le temps ; étudions le bien, et nous aurons la connaissance du haut et du bas, du loin comme du près, du large et de l’étroit, de ce qui demeure et de ce qui ne fait que passer.

J’entends par commandement, l’équité, l’amour pour ceux en particulier qui nous sont soumis et pour tous les hommes en général ; la science des ressources, le courage et la valeur, la rigueur, telles sont les qualités qui doivent caractériser celui qui est revêtu de la dignité de général ; vertus nécessaires pour l’acquisition desquelles nous ne devons rien négliger : seules elles peuvent nous mettre en état de marcher dignement à la tête des autres.

Aux connaissances dont je viens de parler, il faut ajouter celle de la discipline. Posséder l’art de ranger les troupes ; n’ignorer aucune des lois de la subordination et les faire observer à la rigueur ; être instruit des devoirs particuliers de chacun de nos subalternes ; savoir connaître les différents chemins par où on peut arriver à un même terme ; ne pas dédaigner d’entrer dans un détail exact de toutes les choses qui peuvent servir, et se mettre au fait de chacune d’elles en particulier. Tout cela ensemble forme un corps de discipline dont la connaissance pratique ne doit point échapper à la sagacité ni aux attentions d’un général.

Vous donc que le choix du prince a placé à la tête des armées, jetez les fondements de votre science militaire sur les cinq principes que je viens d’établir. La victoire suivra partout vos pas : vous n’éprouverez au contraire que les plus honteuses défaites si, par ignorance ou par présomption, vous venez à les omettre ou à les rejeter.

Les connaissances que je viens d’indiquer vous permettront de discerner, parmi les princes qui gouvernent le monde, celui qui a le plus de doctrine et de vertus ; vous connaîtrez les grands généraux qui peuvent se trouver dans les différents royaumes, de sorte que vous pourrez conjecturer assez sûrement quel est celui des deux antagonistes qui doit l’emporter ; et si vous devez entrer vous-même en lice, vous pourrez raisonnablement vous flatter de devenir victorieux.

Ces mêmes connaissances vous feront prévoir les moments les plus favorables, le temps et l’espace étant conjugués, pour ordonner le mouvement des troupes et les itinéraires qu’elles devront suivre, et dont vous réglerez à propos toutes les marches. Vous ne commencerez ni ne terminerez jamais la campagne hors de saison. Vous connaîtrez le fort et le faible, tant de ceux qu’on aura confiés à vos soins que des ennemis que vous aurez à combattre. Vous saurez en quelle quantité et dans quel état se trouveront les munitions de guerre et de bouche des deux armées, vous distribuerez les récompenses avec libéralité, mais avec choix, et vous n’épargnerez pas les châtiments quand il en sera besoin.

Admirateurs de vos vertus et de vos capacités, les officiers généraux placés sous votre autorité vous serviront autant par plaisir que par devoir. Ils entreront dans toutes vos vues, et leur exemple entraînera infailliblement celui des subalternes, et les simples soldats concourront eux-mêmes de toutes leurs forces à vous assurer les plus glorieux succès.

Estimé, respecté, chéri des vôtres, les peuples voisins viendront avec joie se ranger sous les étendards du prince que vous servez, ou pour vivre sous ses lois, ou pour obtenir simplement sa protection.

Également instruit de ce que vous pourrez et de ce que vous ne pourrez pas, vous ne formerez aucune entreprise qui ne puisse être menée à bonne fin. Vous verrez, avec la même pénétration, ce qui sera loin de vous comme ce qui se passera sous vos yeux, et ce qui se passera sous vos yeux comme ce qui en est le plus éloigné.

Vous profiterez de la dissension qui surgit chez vos ennemis pour attirer les mécontents dans votre parti en ne leur ménageant ni les promesses, ni les dons, ni les récompenses.

Si vos ennemis sont plus puissants et plus forts que vous, vous ne les attaquerez point, vous éviterez avec un grand soin ce qui peut conduire à un engagement général ; vous cacherez toujours avec une extrême attention l’état où vous vous trouverez.

Il y aura des occasions où vous vous abaisserez, et d’autres où vous affecterez d’avoir peur. Vous feindrez quelquefois d’être faible afin que vos ennemis, ouvrant la porte à la présomption et à l’orgueil, viennent ou vous attaquer mal à propos, ou se laissent surprendre eux-mêmes et tailler en pièces honteusement. Vous ferez en sorte que ceux qui vous sont inférieurs ne puissent jamais pénétrer vos desseins. Vous tiendrez vos troupes toujours alertes, toujours en mouvement et dans l’occupation, pour empêcher qu’elles ne se laissent amollir par un honteux repos.

Si vous prêtez quelque intérêt aux avantages de mes plans, faites en sorte de créer des situations qui contribuent à leur accomplissement.

J’entends par situation que le général agisse à bon escient, en harmonie avec ce qui est avantageux, et, par là-même, dispose de la maîtrise de l’équilibre.

Toute campagne guerrière doit être réglée sur le semblant ; feignez le désordre, ne manquez jamais d’offrir un appât à l’ennemi pour le leurrer, simulez l’infériorité pour encourager son arrogance, sachez attiser son courroux pour mieux le plonger dans la confusion : sa convoitise le lancera sur vous pour s’y briser.

Hâtez vos préparatifs lorsque vos adversaires se concentrent ; là où ils sont puissants, évitez-les.

Plongez l’adversaire dans d’inextricables épreuves et prolongez son épuisement en vous tenant à distance ; veillez à fortifier vos alliances au-dehors, et à affermir vos positions au-dedans par une politique de soldats-paysans.

Quel regret que de tout risquer en un seul combat, en négligeant la stratégie victorieuse, et faire dépendre le sort de vos armes d’une unique bataille !

Lorsque l’ennemi est uni, divisez-le ; et attaquez là où il n’est point préparé, en surgissant lorsqu’il ne vous attend point. Telles sont les clefs stratégiques de la victoire, mais prenez garde de ne point les engager par avance.

Que chacun se représente les évaluations faites dans le temple, avant les hostilités, comme des mesures : elles disent la victoire lorsqu’elles démontrent que votre force est supérieure à celle de l’ennemi ; elles indiquent la défaite lorsqu’elles démontrent qu’il est inférieur en force.

Considérez qu’avec de nombreux calculs on peut remporter la victoire, redoutez leur insuffisance. Combien celui qui n’en fait point a peu de chances de gagner !

C’est grâce à cette méthode que j’examine la situation, et l’issue apparaîtra clairement.

Article II
De l’engagement

Sun Tzu dit : Je suppose que vous commencez la campagne avec une armée de cent mille hommes, que vous êtes suffisamment pourvu des munitions de guerre et de bouche, que vous avez deux mille chariots, dont mille sont pour la course, et les autres uniquement pour le transport ; que jusqu’à cent lieues de vous, il y aura partout des vivres pour l’entretien de votre armée ; que vous faites transporter avec soin tout ce qui peut servir au raccommodage des armes et des chariots ; que les artisans et les autres qui ne sont pas du corps des soldats vous ont déjà précédé ou marchent séparément à votre suite ; que toutes les choses qui servent pour des usages étrangers, comme celles qui sont purement pour la guerre, sont toujours à couvert des injures de l’air et à l’abri des accidents fâcheux qui peuvent arriver.

Je suppose encore que vous avez mille onces d’argent à distribuer aux troupes chaque jour, et que leur solde est toujours payée à temps avec la plus rigoureuse exactitude. Dans ce cas, vous pouvez aller droit à l’ennemi. L’attaquer et le vaincre seront pour vous une même chose.

Je dis plus : ne différez pas de livrer le combat, n’attendez pas que vos armes contractent la rouille, ni que le tranchant de vos épées s’émousse. La victoire est le principal objectif de la guerre.

S’il s’agit de prendre une ville, hâtez-vous d’en faire le siège ; ne pensez qu’à cela, dirigez là toutes vos forces ; il faut ici tout brusquer ; si vous y manquez, vos troupes courent le risque de tenir longtemps la campagne, ce qui sera une source de funestes malheurs.

Les coffres du prince que vous servez s’épuiseront, vos armes perdues par la rouille ne pourront plus vous servir, l’ardeur de vos soldats se ralentira, leur courage et leurs forces s’évanouiront, les provisions se consumeront, et peut-être même vous trouverez-vous réduit aux plus fâcheuses extrémités.

Instruits du pitoyable état où vous serez alors, vos ennemis sortiront tout frais, fondront sur vous, et vous tailleront en pièces. Quoique jusqu’à ce jour vous ayez joui d’une grande réputation, désormais vous aurez perdu la face. En vain dans d’autres occasions aurez-vous donné des marques éclatantes de votre valeur, toute la gloire que vous aurez acquise sera effacée par ce dernier trait.

Je le répète : On ne saurait tenir les troupes longtemps en campagne, sans porter un très grand préjudice à l’État et sans donner une atteinte mortelle à sa propre réputation.

Ceux qui possèdent les vrais principes de l’art militaire ne s’y prennent pas à deux fois. Dès la première campagne, tout est fini ; ils ne consomment pas pendant trois années de suite des vivres inutilement. Ils trouvent le moyen de faire subsister leurs armées au dépens de l’ennemi, et épargnent à État les frais immenses qu’il est obligé de faire, lorsqu’il faut transporter bien loin toutes les provisions.

Ils n’ignorent point, et vous devez le savoir aussi, que rien n’épuise tant un royaume que les dépenses de cette nature ; car que l’armée soit aux frontières, ou qu’elle soit dans les pays éloignés, le peuple en souffre toujours ; toutes les choses nécessaires à la vie augmentent de prix, elles deviennent rares, et ceux même qui, dans les temps ordinaires, sont le plus à leur aise n’ont bientôt plus de quoi les acheter.

Le prince perçoit en hâte le tribut des denrées que chaque famille lui doit ; et la misère se répandant du sein des villes jusque dans les campagnes, des dix parties du nécessaire on est obligé d’en retrancher sept. Il n’est pas jusqu’au souverain qui ne ressente sa part des malheurs communs. Ses cuirasses, ses casques, ses flèches, ses arcs, ses boucliers, ses chars, ses lances, ses javelots, tout cela se détruira. Les chevaux, les bœufs même qui labourent les terres du domaine dépériront, et, des dix parties de sa dépense ordinaire, se verra contraint d’en retrancher six.

C’est pour prévenir tous ces désastres qu’un habile général n’oublie rien pour abréger les campagnes, et pour pouvoir vivre aux dépens de l’ennemi, ou tout au moins pour consommer les denrées étrangères, à prix d’argent, s’il le faut.

Si l’armée ennemie a une mesure de grain dans son camp, ayez-en vingt dans le vôtre ; si votre ennemi a cent vingt livres de fourrage pour ses chevaux, ayez-en deux mille quatre cents pour les vôtres. Ne laissez échapper aucune occasion de l’incommoder, faites-le périr en détail, trouvez les moyens de l’irriter pour le faire tomber dans quelque piège ; diminuez ses forces le plus que vous pourrez, en lui faisant faire des diversions, en lui tuant de temps en temps quelque parti, en lui enlevant de ses convois, de ses équipages, et d’autres choses qui pourront vous être de quelque utilité.

Lorsque vos gens auront pris sur l’ennemi au-delà de dix chars, commencez par récompenser libéralement tant ceux qui auront conduit l’entreprise que ceux qui l’auront exécutée. Employez ces chars aux mêmes usages que vous employez les vôtres, mais auparavant ôtez-en les marques distinctives qui pourront s’y trouver.

Traitez bien les prisonniers, nourrissez-les comme vos propres soldats ; faites en sorte, s’il se peut, qu’ils se trouvent mieux chez vous qu’ils ne le seraient dans leur propre camp, ou dans le sein même de leur patrie. Ne les laissez jamais oisifs, tirez parti de leurs services avec les défiances convenables, et, pour le dire en deux mots, conduisez-vous à leur égard comme s’ils étaient des troupes qui se fussent enrôlées librement sous vos étendards. Voilà ce que j’appelle gagner une bataille et devenir plus fort.

Si vous faites exactement ce que je viens de vous indiquer, les succès accompagneront tous vos pas, partout vous serez vainqueur, vous ménagerez la vie de vos soldats, vous affermirez votre pays dans ses anciennes possessions, vous lui en procurerez de nouvelles, vous augmenterez la splendeur et la gloire de État, et le prince ainsi que les sujets vous seront redevables de la douce tranquillité dans laquelle ils couleront désormais leurs jours.

L’essentiel est dans la victoire et non dans les opérations prolongées.

Le général qui s’entend dans l’art de la guerre est le ministre du destin du peuple et l’arbitre de la destinée de la victoire.

Quels objets peuvent être plus dignes de votre attention et de tous vos efforts !

Article III
Des propositions de la victoire et de la défaite

Sun Tzu dit : Voici quelques maximes dont vous devez être pénétré avant que de vouloir forcer des villes ou gagner des batailles.

Conserver les possessions et tous les droits du prince que vous servez, voilà quel doit être le premier de vos soins ; les agrandir en empiétant sur les ennemis, c’est ce que vous ne devez faire que lorsque vous y serez forcé.

Veiller au repos des villes de votre propre pays, voilà ce qui doit principalement vous occuper ; troubler celui des villes ennemies, ce ne doit être que votre pis-aller.

Mettre à couvert de toute insulte les villages amis, voilà ce à quoi vous devez penser ; faire des irruptions dans les villages ennemis, c’est ce à quoi la nécessité seule doit vous engager.

Empêcher que les hameaux et les chaumières des paysans ne souffrent le plus petit dommage, c’est ce qui mérite également votre attention ; porter le ravage et dévaster les installations agricoles de vos ennemis, c’est ce qu’une disette de tout doit seule vous faire entreprendre.

Conserver les possessions des ennemis est ce que vous devez faire en premier lieu, comme ce qu’il y a de plus parfait ; les détruire doit être l’effet de la nécessité. Si un général agit ainsi, sa conduite ne différera pas de celle des plus vertueux personnages ; elle s’accordera avec le Ciel et la Terre, dont les opérations tendent à la production et à la conservation des choses plutôt qu’à leur destruction.

Ces maximes une fois bien gravées dans votre cœur, je suis garant du succès.

Je dis plus : la meilleure politique guerrière est de prendre un État intact ; une politique inférieure à celle-ci consisterait à le ruiner.

Il vaut mieux que l’armée de l’ennemi soit faite prisonnière plutôt que détruite ; il importe davantage de prendre un bataillon intact que de l’anéantir.

Eussiez-vous cent combats à livrer, cent victoires en seraient le fruit.

Cependant ne cherchez pas à dompter vos ennemis au prix des combats et des victoires ; car, s’il y a des cas où ce qui est au-dessus du bon n’est pas bon lui-même, c’en est ici un où plus on s’élève au-dessus du bon, plus on s’approche du pernicieux et du mauvais.

Il faut plutôt subjuguer l’ennemi sans donner bataille : ce sera là le cas où plus vous vous élèverez au-dessus du bon, plus vous approcherez de l’incomparable et de l’excellent.

Les grands généraux en viennent à bout en découvrant tous les artifices de l’ennemi, en faisant avorter tous ses projets, en semant la discorde parmi ses partisans, en les tenant toujours en haleine, en empêchant les secours étrangers qu’il pourrait recevoir, et en lui ôtant toutes les facilités qu’il pourrait avoir de se déterminer à quelque chose d’avantageux pour lui.

Sun Tzu dit : Il est d’une importance suprême dans la guerre d’attaquer la stratégie de l’ennemi.

Celui qui excelle à résoudre les difficultés le fait avant qu’elles ne surviennent.

Celui qui arrache le trophée avant que les craintes de son ennemi ne prennent forme excelle dans la conquête.

Attaquez le plan de l’adversaire au moment où il naît.

Puis rompez ses alliances.

Puis attaquez son armée.

La pire des politiques consiste à attaquer les cités.

N’y consentez que si aucune autre solution ne peut être mise à exécution.

Il faut au moins trois mois pour préparer les chariots parés pour le combat, les armes nécessaires et l’équipement, et encore trois mois pour construire des talus le long des murs.

Si vous êtes contraint de faire le siège d’une place et de la réduire, disposez de telle sorte vos chars, vos boucliers et toutes les machines nécessaires pour monter à l’assaut, que tout soit en bon état lorsqu’il sera temps de l’employer.

Faites en sorte surtout que la reddition de la place ne soit pas prolongée au-delà de trois mois. Si, ce terme expiré, vous n’êtes pas encore venu à bout de vos fins, sûrement il y aura eu quelques fautes de votre part ; n’oubliez rien pour les réparer. À la tête de vos troupes, redoublez vos efforts ; en allant à l’assaut, imitez la vigilance, l’activité, l’ardeur et l’opiniâtreté des fourmis.

Je suppose que vous aurez fait auparavant les retranchements et les autres ouvrages nécessaires, que vous aurez élevé des redoutes pour découvrir ce qui se passe chez les assiégés, et que vous aurez paré à tous les inconvénients que votre prudence vous aura fait prévoir. Si, avec toutes ces précautions, il arrive que de trois parties de vos soldats vous ayez le malheur d’en perdre une, sans pouvoir être victorieux, soyez convaincu que vous n’avez pas bien attaqué.

Un habile général ne se trouve jamais réduit à de telles extrémités ; sans donner des batailles, il sait l’art d’humilier ses ennemis ; sans répandre une goutte de sang, sans tirer même l’épée, il vient à bout de prendre les villes ; sans mettre les pieds dans les royaumes étrangers, il trouve le moyen de les conquérir sans opérations prolongées ; et sans perdre un temps considérable à la tête de ses troupes, il procure une gloire immortelle au prince qu’il sert, il assure le bonheur de ses compatriotes, et fait que l’Univers lui est redevable du repos et de la paix : tel est le but auquel tous ceux qui commandent les armées doivent tendre sans cesse et sans jamais se décourager.

Votre but demeure de vous saisir de l’empire alors qu’il est intact ; ainsi vos troupes ne seront pas épuisées et vos gains seront complets. Tel est l’art de la stratégie victorieuse.

Il y a une infinité de situations différentes dans lesquelles vous pouvez vous trouver par rapport à l’ennemi. On ne saurait les prévoir toutes ; c’est pourquoi je n’entre pas dans un plus grand détail. Vos lumières et votre expérience vous suggéreront ce que vous aurez à faire, à mesure que les circonstances se présenteront. Néanmoins, je vais vous donner quelques conseils généraux dont vous pourrez faire usage à l’occasion.

Si vous êtes dix fois plus fort en nombre que ne l’est l’ennemi, environnez-le de toutes parts ; ne lui laissez aucun passage libre ; faites en sorte qu’il ne puisse ni s’évader pour aller camper ailleurs, ni recevoir le moindre secours.

Si vous avez cinq fois plus de monde que lui, disposez tellement votre armée qu’elle puisse l’attaquer par quatre côtés à la fois, lorsqu’il en sera temps.

Si l’ennemi est une fois moins fort que vous, contentez-vous de partager votre armée en deux.

Mais si de part et d’autre il y a une même quantité de monde, tout ce que vous pouvez faire c’est de hasarder le combat.

Si, au contraire, vous êtes moins fort que lui, soyez continuellement sur vos gardes, la plus petite faute serait de la dernière conséquence pour vous. Tâchez de vous mettre à l’abri, et évitez autant que vous le pourrez d’en venir aux mains avec lui ; la prudence et la fermeté d’un petit nombre de gens peuvent venir à bout de lasser et de dompter même une nombreuse armée. Ainsi vous êtes à la fois capable de vous protéger et de remporter une victoire complète.

Celui qui est à la tête des armées peut se regarder comme le soutien de État, et il l’est en effet. S’il est tel qu’il doit être, le royaume sera dans la prospérité ; si au contraire il n’a pas les qualités nécessaires pour remplir dignement le poste qu’il occupe, le royaume en souffrira infailliblement et se trouvera peut-être réduit à deux doigts de sa perte.

Un général ne peut bien servir État que d’une façon, mais il peut lui porter un très grand préjudice de bien des manières différentes.

Il faut beaucoup d’efforts et une conduite que la bravoure et la prudence accompagnent constamment pour pouvoir réussir : il ne faut qu’une faute pour tout perdre ; et, parmi les fautes qu’il peut faire, de combien de sortes n’y en a-t-il pas ? S’il lève des troupes hors de saison, s’il les fait sortir lorsqu’il ne faut pas qu’elles sortent, s’il n’a pas une connaissance exacte des lieux où il doit les conduire, s’il leur fait faire des campements désavantageux, s’il les fatigue hors de propos, s’il les fait revenir sans nécessité, s’il ignore les besoins de ceux qui composent son armée, s’il ne sait pas le genre d’occupation auquel chacun d’eux s’exerçait auparavant, afin d’en tirer parti suivant leurs talents ; s’il ne connaît pas le fort et le faible de ses gens, s’il n’a pas lieu de compter sur leur fidélité, s’il ne fait pas observer la discipline dans toute la rigueur, s’il manque du talent de bien gouverner, s’il est irrésolu et s’il chancelle dans les occasions où il faut prendre tout à coup son parti, s’il ne fait pas dédommager à propos ses soldats lorsqu’ils auront eu à souffrir, s’il permet qu’ils soient vexés sans raison par leurs officiers, s’il ne sait pas empêcher les dissensions qui pourraient naître parmi les chefs ; un général qui tomberait dans ces fautes rendrait l’armée boiteuse et épuiserait d’hommes et de vivres le royaume, et deviendrait lui-même la honteuse victime de son incapacité.

Sun Tzu dit : Dans le gouvernement des armées il y a sept maux :

I.  Imposer des ordres pris en Cour selon le bon plaisir du prince.

II. Rendre les officiers perplexes en dépêchant des émissaires ignorant les affaires militaires.

III. Mêler les règlements propres à l’ordre civil et à l’ordre militaire.

IV. Confondre la rigueur nécessaire au gouvernement de État, et la flexibilité que requiert le commandement des troupes.

V. Partager la responsabilité aux armées.

VI. Faire naître la suspicion, qui engendre le trouble : une armée confuse conduit à la victoire de l’autre.

VII. Attendre les ordres en toute circonstance, c’est comme informer un supérieur que vous voulez éteindre le feu : avant que l’ordre ne vous parvienne, les cendres sont déjà froides ; pourtant il est dit dans le code que l’on doit en référer à l’inspecteur en ces matières ! Comme si, en bâtissant une maison sur le bord de la route, on prenait conseil de ceux qui passent ; le travail ne serait pas encore achevé !

Tel est mon enseignement :

Nommer appartient au domaine réservé au souverain, décider de la bataille à celui du général.

Un prince de caractère doit choisir l’homme qui convient, le revêtir de responsabilités et attendre les résultats.

Pour être victorieux de ses ennemis, cinq circonstances sont nécessaires :

I. Savoir quand il est à propos de combattre, et quand il convient de se retirer.

II. Savoir employer le peu et le beaucoup suivant les circonstances.

III. Assortir habilement ses rangs.

Mensius dit : « La saison appropriée n’est pas aussi importante que les avantages du sol ; et tout cela n’est pas aussi important que l’harmonie des relations humaines. »

IV. Celui qui, prudent, se prépare à affronter l’ennemi qui n’est pas encore ; celui-là même sera victorieux. Tirer prétexte de sa rusticité et ne pas prévoir est le plus grand des crimes ; être prêt en-dehors de toute contingence est la plus grande des vertus.

V. Être à l’abri des ingérences du souverain dans tout ce qu’on peut tenter pour son service et la gloire de ses armes.

C’est dans ces cinq matières que se trouve la voie de la victoire.

Connais ton ennemi et connais-toi toi-même ; eussiez-vous cent guerres à soutenir, cent fois vous serez victorieux. Si tu ignores ton ennemi et que tu te connais toi-même, tes chances de perdre et de gagner seront égales.

Si tu ignores à la fois ton ennemi et toi-même, tu ne compteras tes combats que par tes défaites.

Article IV
De la mesure dans la disposition des moyens

Sun Tzu dit : Anciennement ceux qui étaient expérimentés dans l’art des combats se rendaient invincibles, attendaient que l’ennemi soit vulnérable et ne s’engageaient jamais dans des guerres qu’ils prévoyaient ne devoir pas finir avec avantage.

Avant que de les entreprendre, ils étaient comme sûrs du succès. Si l’occasion d’aller contre l’ennemi n’était pas favorable, ils attendaient des temps plus heureux.

Ils avaient pour principe que l’on ne pouvait être vaincu que par sa propre faute, et qu’on n’était jamais victorieux que par la faute des ennemis.

Se rendre invincible dépend de soi, rendre à coup sûr l’ennemi vulnérable dépend de lui-même.

Être instruit des moyens qui assurent la victoire n’est pas encore la remporter.

Ainsi, les habiles généraux savaient d’abord ce qu’ils devaient craindre ou ce qu’ils avaient à espérer, et ils avançaient ou reculaient la campagne, ils donnaient bataille ou ils se retranchaient, suivant les lumières qu’ils avaient, tant sur l’état de leurs propres troupes que sur celui des troupes de l’ennemi. S’ils se croyaient plus forts, ils ne craignaient pas d’aller au combat et d’attaquer les premiers. S’ils voyaient au contraire qu’ils fussent plus faibles, ils se retranchaient et se tenaient sur la défensive.

L’invincibilité se trouve dans la défense, la possibilité de victoire dans l’attaque.

Celui qui se défend montre que sa force est inadéquate, celui qui attaque qu’elle est abondante.

L’art de se tenir à propos sur la défensive ne le cède point à celui de combattre avec succès.

Les experts dans la défense doivent s’enfoncer jusqu’au centre de la Terre. Ceux, au contraire, qui veulent briller dans l’attaque doivent s’élever jusqu’au neuvième ciel. Pour se mettre en défense contre l’ennemi, il faut être caché dans le sein de la Terre, comme ces veines d’eau dont on ne sait pas la source, et dont on ne saurait trouver les sentiers. C’est ainsi que vous cacherez toutes vos démarches, et que vous serez impénétrable. Ceux qui combattent doivent s’élever jusqu’au neuvième ciel ; c’est-à-dire, il faut qu’ils combattent de telle sorte que l’Univers entier retentisse du bruit de leur gloire.

Sa propre conservation est le but principal qu’on doit se proposer dans ces deux cas. Savoir l’art de vaincre comme ceux qui ont fourni cette même carrière avec honneur, c’est précisément où vous devez tendre ; vouloir l’emporter sur tous, et chercher à raffiner dans les choses militaires, c’est risquer de ne pas égaler les grands maîtres, c’est s’exposer même à rester infiniment au-dessous d’eux, car c’est ici où ce qui est au-dessus du bon n’est pas bon lui-même.

Remporter des victoires par le moyen des combats a été regardé de tous temps par l’Univers entier comme quelque chose de bon, mais j’ose vous le dire, c’est encore ici où ce qui est au-dessus du bon est souvent pire que le mauvais. Prédire une victoire que l’homme ordinaire peut prévoir, et être appelé universellement expert, n’est pas le faîte de l’habileté guerrière. Car soulever le duvet des lapins en automne ne demande pas grande force ; il ne faut pas avoir les yeux bien pénétrants pour découvrir le soleil et la lune ; il ne faut pas avoir l’oreille bien délicate pour entendre le tonnerre lorsqu’il gronde avec fracas ; rien de plus naturel, rien de plus aisé, rien de plus simple que tout cela.

Les habiles guerriers ne trouvent pas plus de difficultés dans les combats ; ils font en sorte de remporter la bataille après avoir créé les conditions appropriées.

Ils ont tout prévu ; ils ont paré de leur part à toutes les éventualités. Ils savent la situation des ennemis, ils connaissent leurs forces, et n’ignorent point ce qu’ils peuvent faire et jusqu’où ils peuvent aller ; la victoire est une suite naturelle de leur savoir.

Aussi les victoires remportées par un maître dans l’art de la guerre ne lui rapportaient ni la réputation de sage, ni le mérite d’homme de valeur.

Qu’une victoire soit obtenue avant que la situation ne se soit cristallisée, voilà ce que le commun ne comprend pas.

C’est pourquoi l’auteur de la prise n’est pas revêtu de quelque réputation de sagacité. Avant que la lame de son glaive ne soit recouverte de sang, État ennemi s’est déjà soumis. Si vous subjuguez votre ennemi sans livrer combat, ne vous estimez pas homme de valeur.

Tels étaient nos Anciens : rien ne leur était plus aisé que de vaincre ; aussi ne croyaient-ils pas que les vains titres de vaillants, de héros, d’invincibles fussent un tribut d’éloges qu’ils eussent mérité. Ils n’attribuaient leur succès qu’au soin extrême qu’ils avaient eu d’éviter jusqu’à la plus petite faute.

Éviter jusqu’à la plus petite faute veut dire que, quoiqu’il fasse, il s’assure la victoire ; il conquiert un ennemi qui a déjà subi la défaite ; dans les plans jamais un déplacement inutile, dans la stratégie jamais un pas de fait en vain. Le commandant habile prend une position telle qu’il ne peut subir une défaite ; il ne manque aucune circonstance propre à lui garantir la maîtrise de son ennemi.

Une armée victorieuse remporte l’avantage, avant d’avoir cherché la bataille ; une armée vouée à la défaite combat dans l’espoir de gagner.

Ceux qui sont zélés dans l’art de la guerre cultivent le Tao et préservent les régulations ; ils sont donc capables de formuler des politiques de victoire.

Avant que d’en venir au combat, ils tâchaient d’humilier leurs ennemis, ils les mortifiaient, ils les fatiguaient de mille manières. Leurs propres camps étaient des lieux toujours à l’abri de toute insulte, des lieux toujours à couvert de toute surprise, des lieux toujours impénétrables. Ces généraux croyaient que, pour vaincre, il fallait que les troupes demandassent le combat avec ardeur ; et ils étaient persuadés que, lorsque ces mêmes troupes demandaient la victoire avec empressement, il arrivait ordinairement qu’elles étaient vaincues.

Ils ne veulent point dans les troupes une confiance trop aveugle, une confiance qui dégénère en présomption. Les troupes qui demandent la victoire sont des troupes ou amollies par la paresse, ou timides, ou présomptueuses. Des troupes au contraire qui, sans penser à la victoire, demandent le combat, sont des troupes endurcies au travail, des troupes vraiment aguerries, des troupes toujours sûres de vaincre.

C’est ainsi que d’un ton assuré ils osaient prévoir les triomphes ou les défaites, avant même que d’avoir fait un pas pour s’assurer des uns ou pour se préserver des autres.

Maintenant, voici les cinq éléments de l’art de la guerre :

I. La mesure de l’espace.

II. L’estimation des quantités.

III. Les règles de calcul.

IV. Les comparaisons.

V. Les chances de victoire.

Les mesures de l’espace sont dérivées du terrain ;

les quantités dérivent de la mesure ;

les chiffres émanent des quantités ;

les comparaisons découlent des chiffres ;

et la victoire est le fruit des comparaisons.

C’est par la disposition des forces qu’un général victorieux est capable de mener son peuple au combat, telles les eaux contenues qui, soudain relâchées, plongent dans un abîme sans fond.

Vous donc, qui êtes à la tête des armées, n’oubliez rien pour vous rendre digne de l’emploi que vous exercez. Jetez les yeux sur les mesures qui contiennent les quantités, et sur celles qui déterminent les dimensions : rappelez-vous les règles de calcul ; considérez les effets de la balance ; la victoire n’est que le fruit d’une supputation exacte.

Les considérations sur les différentes mesures vous conduiront à la connaissance de ce que la terre peut offrir d’utile pour vous ; vous saurez ce qu’elle produit, et vous profiterez toujours de ses dons ; vous n’ignorerez point les différentes routes qu’il faudra tenir pour arriver sûrement au terme que vous vous serez proposé.

Par le calcul, estimez si l’ennemi peut être attaqué, et c’est seulement après cela que la population doit être mobilisée et les troupes levées ; apprenez à distribuer toujours à propos les munitions de guerre et de bouche, à ne jamais donner dans les excès du trop ou du trop peu.

Enfin, si vous rappelez dans votre esprit les victoires qui ont été remportées en différents temps, et toutes les circonstances qui les ont accompagnées, vous n’ignorerez point les différents usages qu’on en aura faits, et vous saurez quels sont les avantages qu’elles auront procurés, ou quels sont les préjudices qu’elles auront portés aux vainqueurs eux-mêmes.

Un Y surpasse un Tchou. Dans les plateaux d’une balance, le Y emporte le Tchou. Soyez à vos ennemis ce que le est au Tchou.(([1] Si Y pèse environ 700 grammes, Tchou ne pèse même pas un gramme))

Après un premier avantage, n’allez pas vous endormir ou vouloir donner à vos troupes un repos hors de saison. Poussez votre pointe avec la même rapidité qu’un torrent qui se précipiterait de mille toises de haut. Que votre ennemi n’ait pas le temps de se reconnaître, et ne pensez à recueillir les fruits de votre victoire que lorsque sa défaite entière vous aura mis en état de le faire sûrement, avec loisir et tranquillité.

Article V
De la contenance

Sun Tzu dit : Généralement, le commandement du grand nombre est le même que pour le petit nombre, ce n’est qu’une question d’organisation. Contrôler le grand et le petit nombre n’est qu’une seule et même chose, ce n’est qu’une question de formation et de transmission des signaux.

Ayez les noms de tous les officiers tant généraux que subalternes ; inscrivez-les dans un catalogue à part, avec la note des talents et de la capacité de chacun d’eux, afin de pouvoir les employer avec avantage lorsque l’occasion en sera venue. Faites en sorte que tous ceux que vous devez commander soient persuadés que votre principale attention est de les préserver de tout dommage.

Les troupes que vous ferez avancer contre l’ennemi doivent être comme des pierres que vous lanceriez contre des œufs. De vous à l’ennemi, il ne doit y avoir d’autre différence que celle du fort au faible, du vide au plein.

La certitude de subir l’attaque de l’ennemi sans subir une défaite est fonction de la combinaison entre l’utilisation directe et indirecte des forces.(([2] Directe : fixer et distraire. Indirecte : rompre là où le coup n’est pas anticipé))

Usez généralement des forces directes pour engager la bataille, et des forces indirectes pour emporter la décision. Les ressources de ceux qui sont habiles dans l’utilisation des forces indirectes sont aussi infinies que celles des Cieux et de la Terre, et aussi inépuisables que le cours des grandes rivières.

Attaquez à découvert, mais soyez vainqueur en secret. Voilà en peu de mots en quoi consiste l’habileté et toute la perfection même du gouvernement des troupes. Le grand jour et les ténèbres, l’apparent et le secret ; voilà tout l’art. Ceux qui le possèdent sont comparables au Ciel et à la Terre, dont les mouvements ne sont jamais sans effet : ils ressemblent aux fleuves et aux mers dont les eaux ne sauraient tarir. Fussent-ils plongés dans les ténèbres de la mort, ils peuvent revenir à la vie ; comme le soleil et la lune, ils ont le temps où il faut se montrer, et celui où il faut disparaître ; comme les quatre saisons, ils ont les variétés qui leur conviennent ; comme les cinq tons de la musique, comme les cinq couleurs, comme les cinq goûts, ils peuvent aller à l’infini. Car qui a jamais entendu tous les airs qui peuvent résulter de la différente combinaison des tons ? Qui a jamais vu tout ce que peuvent présenter les couleurs différemment nuancées ? Qui a jamais savouré tout ce que les goûts différemment tempérés peuvent offrir d’agréable ou de piquant ? On n’assigne cependant que cinq couleurs et cinq sortes de goût.

Dans l’art militaire, et dans le bon gouvernement des troupes, il n’y a certes que deux sortes de forces ; leurs combinaisons étant sans limites, personne ne peut toutes les comprendre. Ces forces sont mutuellement productives et agissent entre elles. Ce serait dans la pratique une chaîne d’opérations dont on ne saurait voir le bout, tels ces anneaux multiples et entremêlés qu’il faut assembler pour former un annulaire, c’est comme une roue en mouvement qui n’a ni commencement ni fin.

Dans l’art militaire, chaque opération particulière a des parties qui demandent le grand jour, et des parties qui veulent les ténèbres du secret. Vouloir les assigner, cela ne se peut ; les circonstances peuvent seules les faire connaître et les déterminer. On oppose les plus grands quartiers de rochers à des eaux rapides dont on veut resserrer le lit : on n’emploie que des filets faibles et déliés pour prendre les petits oiseaux. Cependant, le fleuve rompt quelquefois ses digues après les avoir minées peu à peu, et les oiseaux viennent à bout de briser les chaînes qui les retiennent, à force de se débattre.

C’est par son élan que l’eau des torrents se heurte contre les rochers ; c’est sur la mesure de la distance que se règle le faucon pour briser le corps de sa proie.

Ceux-là possèdent véritablement l’art de bien gouverner les troupes, qui ont su et qui savent rendre leur puissance formidable, qui ont acquis une autorité sans borne, qui ne se laissent abattre par aucun événement, quelque fâcheux qu’il puisse être ; qui ne font rien avec précipitation ; qui se conduisent, lors même qu’ils sont surpris, avec le sang-froid qu’ils ont ordinairement dans les actions méditées et dans les cas prévus longtemps auparavant, et qui agissent toujours dans tout ce qu’ils font avec cette promptitude qui n’est guère que le fruit de l’habileté, jointe à une longue expérience. Ainsi l’élan de celui qui est habile dans l’art de la guerre est irrésistible, et son attaque est réglée avec précision.

Le potentiel de ces sortes de guerriers est comme celui de ces grands arcs totalement bandés, tout plie sous leurs coups, tout est renversé. Tels qu’un globe qui présente une égalité parfaite entre tous les points de sa surface, ils sont également forts partout ; partout leur résistance est la même. Dans le fort de la mêlée et d’un désordre apparent, ils savent garder un ordre que rien ne saurait interrompre, ils font naître la force du sein même de la faiblesse, ils font sortir le courage et la valeur du milieu de la poltronnerie et de la pusillanimité.

Mais savoir garder un ordre merveilleux au milieu même du désordre, cela ne se peut sans avoir fait auparavant de profondes réflexions sur tous les événements qui peuvent arriver.

Faire naître la force du sein même de la faiblesse, cela n’appartient qu’à ceux qui ont une puissance absolue et une autorité sans bornes (par le mot de puissance il ne faut pas entendre ici domination, mais cette faculté qui fait qu’on peut réduire en acte tout ce qu’on se propose). Savoir faire sortir le courage et la valeur du milieu de la poltronnerie et de la pusillanimité, c’est être héros soi-même, c’est être plus que héros, c’est être au-dessus des plus intrépides.

Un commandant habile recherche la victoire dans la situation et ne l’exige pas de ses subordonnés.

Quelque grand, quelque merveilleux que tout cela paraisse, j’exige cependant quelque chose de plus encore de ceux qui gouvernent les troupes : c’est l’art de faire mouvoir à son gré les ennemis. Ceux qui le possèdent, cet art admirable, disposent de la contenance de leurs gens et de l’armée qu’ils commandent, de telle sorte qu’ils font venir l’ennemi toutes les fois qu’ils le jugent à propos ; ils savent faire des libéralités quand il convient, ils en font même à ceux qu’ils veulent vaincre : ils donnent à l’ennemi et l’ennemi reçoit, ils lui abandonnent et il vient prendre. Ils sont prêts à tout ; ils profitent de toutes les circonstances ; toujours méfiants ils font surveiller les subordonnés qu’ils emploient et, se méfiant d’eux-mêmes, ils ne négligent aucun moyen qui puisse leur être utile.

Ils regardent les hommes, contre lesquels ils doivent combattre, comme des pierres ou des pièces de bois qu’ils seraient chargés de faire rouler de haut en bas.

La pierre et le bois n’ont aucun mouvement de leur nature ; s’ils sont une fois en repos, ils n’en sortent pas d’eux-mêmes, mais ils suivent le mouvement qu’on leur imprime ; s’ils sont carrés, ils s’arrêtent d’abord ; s’ils sont ronds, ils roulent jusqu’à ce qu’ils trouvent une résistance plus forte que la force qui leur était imprimée.

Faites en sorte que l’ennemi soit entre vos mains comme une pierre de figure ronde, que vous auriez à faire rouler d’une montagne qui aurait mille toises de haut : la force qui lui est imprimée est minime, les résultats sont énormes. C’est en cela qu’on reconnaîtra que vous avez de la puissance et de l’autorité.

Article VI
Du plein et du vide

Sun Tzu dit : Une des choses les plus essentielles que vous ayez à faire avant le combat, c’est de bien choisir le lieu de votre campement. Pour cela il faut user de diligence, il ne faut pas se laisser prévenir par l’ennemi, il faut être campé avant qu’il ait eu le temps de vous reconnaître, avant même qu’il ait pu être instruit de votre marche. La moindre négligence en ce genre peut être pour vous de la dernière conséquence. En général, il n’y a que du désavantage à camper après les autres.

Celui qui est capable de faire venir l’ennemi de sa propre initiative le fait en lui offrant quelque avantage ; et celui qui est désireux de l’en empêcher le fait en le blessant.

Celui qui est chargé de la conduite d’une armée, ne doit point se fier à d’autres pour un choix de cette importance ; il doit faire quelque chose de plus encore. S’il est véritablement habile, il pourra disposer à son gré du campement même et de toutes les marches de son ennemi. Un grand général n’attend pas qu’on le fasse aller, il sait faire venir. Si vous faites en sorte que l’ennemi cherche à se rendre de son plein gré dans les lieux où vous souhaitez précisément qu’il aille, faites en sorte aussi de lui aplanir toutes les difficultés et de lever tous les obstacles qu’il pourrait rencontrer ; de crainte qu’alarmé par les impossibilités qu’il suppute, où les inconvénients trop manifestes qu’il découvre, il renonce à son dessein. Vous en serez pour votre travail et pour vos peines, peut-être même pour quelque chose de plus.

La grande science est de lui faire vouloir tout ce que vous voulez qu’il fasse, et de lui fournir, sans qu’il s’en aperçoive, tous les moyens de vous seconder.

Après que vous aurez ainsi disposé du lieu de votre campement et de celui de l’ennemi lui-même, attendez tranquillement que votre adversaire fasse les premières démarches ; mais en attendant, tâchez de l’affamer au milieu de l’abondance, de lui procurer du tracas dans le sein du repos, et de lui susciter mille terreurs dans le temps même de sa plus grande sécurité.

Si, après avoir longtemps attendu, vous ne voyez pas que l’ennemi se dispose à sortir de son camp, sortez vous-même du vôtre ; par votre mouvement provoquez le sien, donnez-lui de fréquentes alarmes, faites-lui naître l’occasion de faire quelque imprudence dont vous puissiez tirer du profit.

S’il s’agit de garder, gardez avec force : ne vous endormez point. S’il s’agit d’aller, allez promptement, allez sûrement par des chemins qui ne soient connus que de vous.

Rendez-vous dans des lieux où l’ennemi ne puisse pas soupçonner que vous ayez dessein d’aller. Sortez tout à coup d’où il ne vous attend pas, et tombez sur lui lorsqu’il y pensera le moins.

Pour être certain de prendre ce que vous attaquez, il faut donner l’assaut là où il ne se protège pas ; pour être certain de garder ce que vous défendez, il faut défendre un endroit que l’ennemi n’attaque pas.

Si après avoir marché assez longtemps, si par vos marches et contre-marches vous avez parcouru l’espace de mille lieues sans que vous ayez reçu encore aucun dommage, sans même que vous ayez été arrêté, concluez : ou que l’ennemi ignore vos desseins, ou qu’il a peur de vous, ou qu’il ne fait pas garder les postes qui peuvent être de conséquence pour lui. Évitez de tomber dans un pareil défaut.

Le grand art d’un général est de faire en sorte que l’ennemi ignore toujours le lieu où il aura à combattre, et de lui dérober avec soin la connaissance des postes qu’il fait garder. S’il en vient à bout, et qu’il puisse cacher de même jusqu’aux moindres de ses démarches, ce n’est pas seulement un habile général, c’est un homme extraordinaire, c’est un prodige. Sans être vu, il voit ; il entend, sans être entendu ; il agit sans bruit et dispose comme il lui plaît du sort de ses ennemis.

De plus, si, les armées étant déployées, vous n’apercevez pas qu’il y ait un certain vide qui puisse vous favoriser, ne tentez pas d’enfoncer les bataillons ennemis. Si, lorsqu’ils prennent la fuite, ou qu’ils retournent sur leurs pas, ils usent d’une extrême diligence et marchent en bon ordre, ne tentez pas de les poursuivre ; ou, si vous les poursuivez, que ce ne soit jamais ni trop loin, ni dans les pays inconnus. Si, lorsque vous avez dessein de livrer la bataille, les ennemis restent dans leurs retranchements, n’allez pas les y attaquer, surtout s’ils sont bien retranchés, s’ils ont de larges fossés et des murailles élevées qui les couvrent. Si, au contraire, croyant qu’il n’est pas à propos de livrer le combat, vous voulez l’éviter, tenez-vous dans vos retranchements, et disposez-vous à soutenir l’attaque et à faire quelques sorties utiles.

Laissez fatiguer les ennemis, attendez qu’ils soient ou en désordre ou dans une très grande sécurité ; vous pourrez sortir alors et fondre sur eux avec avantage. Ayez constamment une extrême attention à ne jamais séparer les différents corps de vos armées. Faites qu’ils puissent toujours se soutenir aisément les uns les autres ; au contraire, faites faire à l’ennemi le plus de diversion qu’il se pourra. S’il se partage en dix corps, attaquez chacun d’eux séparément avec votre armée toute entière ; c’est le véritable moyen de combattre toujours avec avantage. De cette sorte, quelque petite que soit votre armée, le grand nombre sera toujours de votre côté.

Que l’ennemi ne sache jamais comment vous avez l’intention de le combattre, ni la manière dont vous vous disposez à l’attaquer, ou à vous défendre. Car, s’il se prépare au front, ses arrières seront faibles ; s’il se prépare à l’arrière, son front sera fragile ; s’il se prépare à sa gauche, sa droite sera vulnérable ; s’il se prépare à sa droite, sa gauche sera affaiblie ; et s’il se prépare en tous lieux, il sera partout en défaut. S’il l’ignore absolument, il fera de grands préparatifs, il tâchera de se rendre fort de tous les côtés, il divisera ses forces, et c’est justement ce qui fera sa perte.

Pour vous, n’en faites pas de même : que vos principales forces soient toutes du même côté ; si vous voulez attaquer de front, faites choix d’un secteur, et mettez à la tête de vos troupes tout ce que vous avez de meilleur. On résiste rarement à un premier effort, comme, au contraire, on se relève difficilement quand on d’abord du dessous. L’exemple des braves suffit pour encourager les plus lâches. Ceux-ci suivent sans peine le chemin qu’on leur montre, mais ils ne sauraient eux-mêmes le frayer. Si vous voulez faire donner l’aile gauche, tournez tous vos préparatifs de ce côté-là, et mettez à l’aile droite ce que vous avez de plus faible ; mais si vous voulez vaincre par l’aile droite, que ce soit à l’aile droite aussi que soient vos meilleures troupes et toute votre attention.

Celui qui dispose de peu d’hommes doit se préparer contre l’ennemi, celui qui en a beaucoup doit faire en sorte que l’ennemi se prépare contre lui.

Ce n’est pas tout. Comme il est essentiel que vous connaissiez à fond le lieu où vous devez combattre, il n’est pas moins important que vous soyez instruit du jour, de l’heure, du moment même du combat ; c’est une affaire de calcul sur laquelle il ne faut pas vous négliger. Si l’ennemi est loin de vous, sachez, jour par jour, le chemin qu’il fait, suivez-le pas à pas, quoique en apparence vous restiez immobile dans votre camp ; voyez tout ce qu’il fait, quoique vos yeux ne puissent pas aller jusqu’à lui ; écoutez tous les discours, quoique vous soyez hors de portée de l’entendre ; soyez témoin de toute sa conduite, entrez même dans le fond de son cœur pour y lire ses craintes ou ses espérances.

Pleinement instruit de tous ses desseins, de toutes ses marches, de toutes ses actions, vous le ferez venir chaque jour précisément où vous voulez qu’il arrive. En ce cas, vous l’obligerez à camper de manière que le front de son armée ne puisse pas recevoir du secours de ceux qui sont à la queue, que l’aile droite ne puisse pas aider l’aile gauche, et vous le combattrez ainsi dans le lieu et au temps qui vous conviendront le plus.

Avant le jour déterminé pour le combat, ne soyez ni trop loin ni trop près de l’ennemi. L’espace de quelques lieues seulement est le terme qui doit vous en approcher le plus, et dix lieues entières sont le plus grand espace que vous deviez laisser entre votre armée et la sienne.

Ne cherchez pas à avoir une armée trop nombreuse, la trop grande quantité de monde est souvent plus nuisible qu’elle n’est utile. Une petite armée bien disciplinée est invincible sous un bon général. À quoi servaient au roi d’Yue les belles et nombreuses cohortes qu’il avait sur pied, lorsqu’il était en guerre contre le roi de Ou ? Celui-ci, avec peu de troupes, avec une poignée de monde, le vainquit, le dompta, et ne lui laissa, de tous ses États, qu’un souvenir amer, et la honte éternelle de les avoir si mal gouvernés.

Je dis que la victoire peut être créée ; même si l’ennemi est en nombre, je peux l’empêcher d’engager le combat ; car, s’il ignore ma situation militaire, je peux faire en sorte qu’il se préoccupe de sa propre préparation : ainsi je lui ôte le loisir d’établir les plans pour me battre.

I. Détermine les plans de l’ennemi et tu sauras quelle stratégie sera couronnée de succès et celle qui ne le sera pas.

II. Perturbe-le et fais-lui dévoiler son ordre de bataille.

III. Détermine ses dispositions et fais-lui découvrir son champ de bataille.

IV. Mets-le à l’épreuve et apprends où sa force est abondante et où elle est déficiente.

V. La suprême tactique consiste à disposer ses troupes sans forme apparente ; alors les espions les plus pénétrants ne peuvent fureter et les sages ne peuvent établir des plans contre vous.

VI. C’est selon les formes que j’établis des plans pour la victoire, mais la multitude ne le comprend guère. Bien que tous puissent voir les aspects extérieurs, personne ne peut comprendre la voie selon laquelle j’ai créé la victoire.

VII. Et quand j’ai remporté une bataille, je ne répète pas ma tactique, mais je réponds aux circonstances selon une variété infinie de voies.

Cependant si vous n’aviez qu’une petite armée, n’allez pas mal à propos vouloir vous mesurer avec une armée nombreuse ; vous avez bien des précautions à prendre avant que d’en venir là. Quand on a les connaissances dont j’ai parlé plus haut, on sait s’il faut attaquer, ou se tenir simplement sur la défensive ; on sait quand il faut rester tranquille, et quand il est temps de se mettre en mouvement ; et si l’on est forcé de combattre, on sait si l’on sera vainqueur ou vaincu. À voir simplement la contenance des ennemis, on peut conclure sa victoire ou sa défaite, sa perte ou son salut. Encore une fois, si vous voulez attaquer le premier, ne le faites pas avant d’avoir examiné si vous avez tout ce qu’il faut pour réussir.

Au moment de déclencher votre action, lisez dans les premiers regards de vos soldats ; soyez attentif à leurs premiers mouvements ; et par leur ardeur ou leur nonchalance, par leur crainte ou leur intrépidité, concluez au succès ou à la défaite. Ce n’est point un présage trompeur que celui de la première contenance d’une armée prête à livrer le combat. Il en est telle qui ayant remporté la plus signalée victoire aurait été entièrement défaite si la bataille s’était livrée un jour plus tôt, ou quelques heures plus tard.

Il en doit être des troupes à peu près comme d’une eau courante. De même que l’eau qui coule évite les hauteurs et se hâte vers le pays plat, de même une armée évite la force et frappe la faiblesse.

Si la source est élevée, la rivière ou le ruisseau coulent rapidement. Si la source est presque de niveau, on s’aperçoit à peine de quelque mouvement. S’il se trouve quelque vide, l’eau le remplit d’elle-même dès qu’elle trouve la moindre issue qui la favorise. S’il y a des endroits trop pleins, l’eau cherche naturellement à se décharger ailleurs.

Pour vous, si, en parcourant les rangs de votre armée, vous voyez qu’il y a du vide, il faut le remplir ; si vous trouvez du surabondant, il faut le diminuer ; si vous apercevez du trop haut, il faut l’abaisser ; s’il y du trop bas, il faut le relever.

L’eau, dans son cours, suit la situation du terrain dans lequel elle coule ; de même, votre armée doit s’adapter au terrain sur lequel elle se meut. L’eau qui n’a point de pente ne saurait couler ; des troupes qui ne sont pas bien conduites ne sauraient vaincre.

Le général habile tirera parti des circonstances même les plus dangereuses et les plus critiques. Il saura faire prendre la forme qu’il voudra, non seulement à l’armée qu’il commande mais encore à celle des ennemis.

Les troupes, quelles qu’elles puissent être, n’ont pas des qualités constantes qui les rendent invincibles ; les plus mauvais soldats peuvent changer en bien et devenir d’excellents guerriers.

Conduisez-vous conformément à ce principe ; ne laissez échapper aucune occasion, lorsque vous la trouverez favorable. Les cinq éléments ne sont pas partout ni toujours également purs ; les quatre saisons ne se succèdent pas de la même manière chaque année ; le lever et le coucher du soleil ne sont pas constamment au même point de l’horizon. Parmi les jours, certains sont longs, d’autres courts. La lune croît et décroît et n’est pas toujours également brillante. Une armée bien conduite et bien disciplinée imite à propos toutes ces variétés.

Article VII
De l’affrontement direct et indirect

Sun Tzu dit : Après que le général aura reçu du souverain l’ordre de tenir la campagne, il rassemble les troupes et mobilise le peuple ; il fait de l’armée un ensemble harmonieux. Maintenant il doit mettre son attention à leur procurer des campements avantageux, car c’est de là principalement que dépend la réussite de ses projets et de toutes ses entreprises. Cette affaire n’est pas d’une exécution aussi facile qu’on pourrait bien se l’imaginer ; les difficultés s’y rencontrent souvent sans nombre, et de toutes espèces ; il ne faut rien oublier pour les aplanir et pour les vaincre.

Les troupes une fois campées, il faut tourner ses vues du côté du près et du loin, des avantages et des pertes, du travail et du repos, de la diligence et de la lenteur ; c’est-à-dire qu’il faut rendre près ce qui est loin, tirer profit de ses pertes même, substituer un utile travail à un honteux repos, convertir la lenteur en diligence ; il faut que vous soyez près lorsque l’ennemi vous croit bien loin ; que vous ayez un avantage réel lorsque l’ennemi croit vous avoir occasionné quelques pertes ; que vous soyez occupé de quelque utile travail lorsqu’il vous croit enseveli dans le repos, et que vous usiez de toute sorte de diligence lorsqu’il ne croit apercevoir dans vous que de la lenteur : c’est ainsi qu’en lui donnant le change, vous l’endormirez lui-même pour pouvoir l’attaquer lorsqu’il y pensera le moins, et sans qu’il ait le temps de se reconnaître.

L’art de profiter du près et du loin consiste à tenir l’ennemi éloigné du lieu que vous aurez choisi pour votre campement, et de tous les postes qui vous paraîtront de quelque conséquence. Il consiste à éloigner de l’ennemi tout ce qui pourrait lui être avantageux, et à rapprocher de vous tout ce dont vous pourrez tirer quelque avantage. Il consiste ensuite à vous tenir continuellement sur vos gardes pour n’être pas surpris, et à veiller sans cesse pour épier le moment de surprendre votre adversaire.

Ainsi prenez une voie indirecte et divertissez l’ennemi en lui présentant le leurre(([3] Morceau de cuir rouge en forme d’oiseau auquel on attachait un appât pour faire revenir le faucon sur le poing)); de cette façon vous pouvez vous mettre en route après lui, et arriver avant lui. Celui qui est capable de faire cela comprend l’approche directe et indirecte.

De plus : ne vous engagez jamais dans de petites actions que vous ne soyez sûr qu’elles tourneront à votre avantage, et encore ne le faites point si vous n’y êtes comme forcé, mais surtout gardez-vous bien de vous engager à une action générale si vous n’êtes comme assuré d’une victoire complète. Il est très dangereux d’avoir de la précipitation dans des cas semblables ; une bataille risquée mal à propos peut vous perdre entièrement : le moins qu’il puisse vous arriver, si l’événement en est douteux, ou que vous ne réussissiez qu’à demi, c’est de vous voir frustré de la plus grande partie de vos espérances, et de ne pouvoir parvenir à vos fins.

Avant que d’en venir à un combat définitif, il faut que vous l’ayez prévu, et que vous y soyez préparé depuis longtemps ; ne comptez jamais sur le hasard dans tout ce que vous ferez en ce genre. Après que vous aurez résolu de livrer la bataille, et que les préparatifs en seront déjà faits, laissez en lieu de sûreté tout le bagage inutile, faites dépouiller vos gens de tout ce qui pourrait les embarrasser ou les surcharger ; de leurs armes mêmes, ne leur laissez que celles qu’ils peuvent porter aisément.

Veillez, lorsque vous abandonnez votre camp dans l’espoir d’un avantage probable, à ce que celui-ci soit supérieur aux approvisionnements que vous abandonnez sûrement.

Si vous devez aller un peu loin, marchez jour et nuit ; faites le double du chemin ordinaire ; que l’élite de vos troupes soit à la tête ; mettez les plus faibles à la queue.

Prévoyez tout, disposez tout, et fondez sur l’ennemi lorsqu’il vous croit encore à cent lieues d’éloignement : dans ce cas, je vous annonce la victoire.

Mais si ayant à faire cent lieues de chemin avant que de pouvoir l’atteindre, vous n’en faites de votre côté que cinquante, et que l’ennemi s’étant avancé en fait autant ; de dix parties, il y en a cinq que vous serez vaincu, comme de trois parties il y en a deux que vous serez vainqueur. Si l’ennemi n’apprend que vous allez à lui que lorsqu’il ne vous reste plus que trente lieues à faire pour pouvoir le joindre, il est difficile que, dans le peu de temps qui lui reste, il puisse pourvoir à tout et se préparer à vous recevoir.

Sous prétexte de faire reposer vos gens, gardez-vous bien de manquer l’attaque, dès que vous serez arrivé. Un ennemi surpris est à demi vaincu ; il n’en est pas de même s’il a le temps de se reconnaître ; bientôt, il peut trouver des ressources pour vous échapper, et peut-être même pour vous perdre.

Ne négligez rien de tout ce qui peut contribuer au bon ordre, à la santé, à la sûreté de vos gens tant qu’ils seront sous votre conduite ; ayez grand soin que les armes de vos soldats soient toujours en bon état. Faites en sorte que les vivres soient sains, et ne leur manquent jamais ; ayez attention à ce que les provisions soient abondantes, et rassemblées à temps, car si vos troupes sont mal armées, s’il y a disette de vivres dans le camp, et si vous n’avez pas d’avance toutes les provisions nécessaires, il est difficile que vous puissiez réussir.

N’oubliez pas d’entretenir des intelligences secrètes avec les ministres étrangers, et soyez toujours instruit des desseins que peuvent avoir les princes alliés ou tributaires, des intentions bonnes ou mauvaises de ceux qui peuvent influer sur la conduite du maître que vous servez, et vous attirer vos ordres ou des défenses qui pourraient traverser vos projets et rendre par là tous vos soins inutiles.

Votre prudence et votre valeur ne sauraient tenir longtemps contre leurs cabales ou leurs mauvais conseils. Pour obvier à cet inconvénient, consultez-les dans certaines occasions, comme si vous aviez besoin de leurs lumières : que tous leurs amis soient les vôtres ; ne soyez jamais divisé d’intérêt avec eux, cédez-leur dans les petites choses, en un mot entretenez l’union la plus étroite qu’il vous sera possible.

Ayez une connaissance exacte et de détail de tout ce qui vous environne ; sachez où il y a une forêt, un petit bois, une rivière, un ruisseau, un terrain aride et pierreux, un lieu marécageux et malsain, une montagne, une colline, une petite élévation, un vallon, un précipice, un défilé, un champ ouvert, enfin tout ce qui peut servir ou nuire aux troupes que vous commandez. S’il arrive que vous soyez hors d’état de pouvoir être instruit par vous-même de l’avantage ou du désavantage du terrain, ayez des guides locaux sur lesquels vous puissiez compter sûrement.

La force militaire est réglée sur sa relation au semblant.

Déplacez-vous quand vous êtes à votre avantage, et créez des changements de situation en dispersant et concentrant les forces.

Dans les occasions où il s’agira d’être tranquille, qu’il règne dans votre camp une tranquillité semblable à celle qui règne au milieu des plus épaisses forêts. Lorsque, au contraire, il s’agira de faire des mouvements et du bruit, imitez le fracas du tonnerre ; s’il faut être ferme dans votre poste, soyez-y immobile comme une montagne ; s’il faut sortir pour aller au pillage, ayez l’activité du feu ; s’il faut éblouir l’ennemi, soyez comme un éclair ; s’il faut cacher vos desseins, soyez obscur comme les ténèbres. Gardez-vous sur toutes choses de faire jamais aucune sortie en vain. Lorsque vous ferez tant que d’envoyer quelque détachement, que ce soit toujours dans l’espérance, ou, pour mieux dire, dans la certitude d’un avantage réel. Pour éviter les mécontentements, faites toujours une exacte et juste répartition de tout ce que vous aurez enlevé à l’ennemi.

Celui qui connaît l’art de l’approche directe et indirecte sera victorieux. Voilà l’art de l’affrontement.

À tout ce que je viens de dire, il faut ajouter la manière de donner vos ordres et de les faire exécuter. Il est des occasions et des campements où la plupart de vos gens ne sauraient ni vous voir ni vous entendre ; les tambours, les étendards et les drapeaux peuvent suppléer à votre voix et à votre présence. Instruisez vos troupes de tous les signaux que vous pouvez employer. Si vous avez à faire des évolutions pendant la nuit, faites exécuter des ordres au bruit d’un grand nombre de tambours. Si, au contraire, c’est pendant le jour qu’il faut que vous agissiez, employez les drapeaux et les étendards pour faire savoir vos volontés.

Le fracas d’un grand nombre de tambours servira pendant la nuit autant à jeter l’épouvante parmi vos ennemis qu’à ranimer le courage de vos soldats : l’éclat d’un grand nombre d’étendards, la multitude de leurs évolutions, la diversité de leurs couleurs, et la bizarrerie de leur assemblage, en instruisant vos gens, les tiendront toujours en haleine pendant le jour, les occuperont et leur réjouiront le cœur, en jetant le trouble et la perplexité dans celui de vos ennemis.

Ainsi, outre l’avantage que vous aurez de faire savoir promptement toutes vos volontés à votre armée entière dans le même moment, vous aurez encore celui de lasser votre ennemi, en le rendant attentif à tout ce qu’il croit que vous voulez entreprendre, de lui faire naître des doutes continuels sur la conduite que vous devez tenir, et de lui inspirer d’éternelles frayeurs.

Si quelque brave veut sortir seul hors des rangs pour aller provoquer l’ennemi, ne le permettez point ; il arrive rarement qu’un tel homme puisse revenir. Il périt pour l’ordinaire, ou par la trahison, ou accablé par le grand nombre.

Lorsque vous verrez vos troupes bien disposées, ne manquez pas de profiter de leur ardeur : c’est à l’habileté du général à faire naître les occasions et à distinguer lorsqu’elles sont favorables ; mais il ne doit pas négliger pour cela de prendre l’avis des officiers généraux, ni de profiter de leurs lumières, surtout si elles ont le bien commun pour objet.

On peut voler à une armée son esprit et lui dérober son adresse, de même que le courage de son commandant.

Au petit matin, les esprits sont pénétrants ; durant la journée, ils s’alanguissent, et le soir, ils rentrent à la maison.

Mei Yao-tchen dit que matin, journée et soir représentent les phases d’une longue campagne.

Lors donc que vous voudrez attaquer l’ennemi, choisissez, pour le faire avec avantage, le temps où les soldats sont censés devoir être faibles ou fatigués. Vous aurez pris auparavant vos précautions, et vos troupes reposées et fraîches auront de leur côté l’avantage de la force et de la vigueur. Tel est le contrôle du facteur moral.

Si vous voyez que l’ordre règne dans les rangs ennemis, attendez qu’il soit interrompu, et que vous aperceviez quelque désordre. Si leur trop grande proximité vous offusque ou vous gêne, éloignez-vous afin de vous placer dans des dispositions plus sereines. Tel est le contrôle du facteur mental.

Si vous voyez qu’ils ont de l’ardeur, attendez qu’elle se ralentisse et qu’ils soient accablés sous le poids de l’ennui ou de la fatigue. Tel est le contrôle du facteur physique.

S’ils se sauvent sur des lieux élevés, ne les y poursuivez point ; si vous êtes vous-même dans des lieux peu favorables, ne soyez pas longtemps sans changer de situation. N’engagez pas le combat lorsque l’ennemi déploie ses bannières bien rangées et de formations en rang impressionnant ; voilà le contrôle des facteurs de changement des circonstances.

Si, réduits au désespoir, ils viennent pour vaincre ou pour périr, évitez leur rencontre.

À un ennemi encerclé vous devez laisser une voie de sortie.

Si les ennemis réduits à l’extrémité abandonnent leur camp et veulent se frayer un chemin pour aller camper ailleurs, ne les arrêtez pas.

S’ils sont agiles et lestes, ne courez pas après eux ; s’ils manquent de tout, prévenez leur désespoir.

Ne vous acharnez pas sur un ennemi aux abois.

Voilà à peu près ce que j’avais à vous dire sur les différents avantages que vous devez tâcher de vous procurer lorsque à la tête d’une armée vous aurez à vous mesurer avec des ennemis qui, peut-être aussi prudents et aussi vaillants que vous, ne pourraient être vaincus, si vous n’usez de votre part des petits stratagèmes dont je viens de parler.

Article VIII
Des neuf changements

Sun Tzu dit : Ordinairement l’emploi des armées relève du commandant en chef, après que le souverain l’a mandaté pour mobiliser le peuple et assembler l’armée.

I. Si vous êtes dans des lieux marécageux, dans les lieux où il y a à craindre les inondations, dans les lieux couverts d’épaisses forêts ou de montagnes escarpées, dans des lieux déserts et arides, dans des lieux où il n’y a que des rivières et des ruisseaux, dans des lieux enfin d’où vous ne puissiez aisément tirer du secours, et où vous ne seriez appuyé d’aucune façon, tâchez d’en sortir le plus promptement qu’il vous sera possible. Allez chercher quelque endroit spacieux et vaste où vos troupes puissent s’étendre, d’où elles puissent sortir aisément, et où vos alliés puissent sans peine vous porter les secours dont vous pourriez avoir besoin.

II. Évitez, avec une extrême attention, de camper dans des lieux isolés ; ou si la nécessité vous y force, n’y restez qu’autant de temps qu’il en faut pour en sortir. Prenez sur-le-champ des mesures efficaces pour le faire en sûreté et en bon ordre.

III. Si vous vous trouvez dans des lieux éloignés des sources, des ruisseaux et des puits, où vous ne trouviez pas aisément des vivres et du fourrage, ne tardez pas de vous en tirer. Avant que de décamper, voyez si le lieu que vous choisissez est à l’abri par quelque montagne au moyen de laquelle vous soyez à couvert des surprises de l’ennemi, si vous pouvez en sortir aisément, et si vous y avez les commodités nécessaires pour vous procurer les vivres et les autres provisions ; s’il est tel, n’hésitez point à vous en emparer.

IV. Si vous êtes dans un lieu de mort, cherchez l’occasion de combattre. J’appelle lieu de mort ces sortes d’endroits où l’on a aucune ressource, où l’on dépérit insensiblement par l’intempérie de l’air, où les provisions se consument peu à peu sans espérance d’en pouvoir faire de nouvelles ; où les maladies, commençant à se mettre dans l’armée, semblent devoir y faire bientôt de grands ravages. Si vous vous trouvez dans de telles circonstances, hâtez-vous de livrer quelque combat. Je vous réponds que vos troupes n’oublieront rien pour bien se battre. Mourir de la main des ennemis leur paraîtra quelque chose de bien doux au prix de tous les maux qu’ils voient prêts à fondre sur eux et à les accabler.

V. Si, par hasard ou par votre faute, votre armée se rencontrait dans des lieux plein de défilés, où l’on pourrait aisément vous tendre des embûches, d’où il ne serait pas aisé de vous sauver en cas de poursuite, où l’on pourrait vous couper les vivres et les chemins, gardez-vous bien d’y attaquer l’ennemi ; mais si l’ennemi vous y attaque, combattez jusqu’à la mort. Ne vous contentez pas de quelque petit avantage ou d’une demi victoire ; ce pourrait être une amorce pour vous défaire entièrement. Soyez même sur vos gardes, après que vous aurez eu toutes les apparences d’une victoire complète.

VI. Quand vous saurez qu’une ville, quelque petite qu’elle soit, est bien fortifiée et abondamment pourvue de munitions de guerre et de bouche, gardez-vous bien d’en aller faire le siège ; et si vous n’êtes instruit de l’état où elle se trouve qu’après que le siège en aura été ouvert, ne vous obstinez pas à vouloir le continuer, vous courrez le risque de voir toutes vos forces échouer contre cette place, que vous serez enfin contraint d’abandonner honteusement.

VII. Ne négligez pas de courir après un petit avantage lorsque vous pourrez vous le procurer sûrement et sans aucune perte de votre part. Plusieurs de ces petits avantages qu’on pourrait acquérir et qu’on néglige occasionnent souvent de grandes pertes et des dommages irréparables.

VIII. Avant de songer à vous procurer quelque avantage, comparez-le avec le travail, la peine, les dépenses et les pertes d’hommes et de munitions qu’il pourra vous occasionner. Sachez à peu près si vous pourrez le conserver aisément ; après cela, vous vous déterminerez à le prendre ou à le laisser suivant les lois d’une saine prudence.

IX. Dans les occasions où il faudra prendre promptement son parti, n’allez pas vouloir attendre les ordres du prince. S’il est des cas où il faille agir contre des ordres reçus, n’hésitez pas, agissez sans crainte. La première et principale intention de celui qui vous met à la tête de ses troupes est que vous soyez vainqueur des ennemis. S’il avait prévu la circonstance où vous vous trouvez, il vous aurait dicté lui-même la conduite que vous voulez tenir.

Voilà ce que j’appelle les neuf changements ou les neuf circonstances principales qui doivent vous engager à changer la contenance ou la position de votre armée, à changer de situation, à aller ou à revenir, à attaquer ou à vous défendre, à agir ou à vous tenir en repos. Un bon général ne doit jamais dire : Quoi qu’il arrive, je ferai telle chose, j’irai là, j’attaquerai l’ennemi, j’assiégerai telle place. La circonstance seule doit le déterminer ; il ne doit pas s’en tenir à un système général, ni à une manière unique de gouverner. Chaque jour, chaque occasion, chaque circonstance demande une application particulière des mêmes principes. Les principes sont bons en eux-mêmes ; mais l’application qu’on en fait les rend souvent mauvais.

Un grand général doit savoir l’art des changements. S’il s’en tient à une connaissance vague de certains principes, à une application routinière des règles de l’art, si ses méthodes de commandement sont dépourvues de souplesse, s’il examine les situations conformément à quelques schémas, s’il prend ses résolutions d’une manière mécanique, il ne mérite pas de commander.

Un général est un homme qui, par le rang qu’il occupe, se trouve au-dessus d’une multitude d’autres hommes ; il faut par conséquent qu’il sache gouverner les hommes ; il faut qu’il sache les conduire ; il faut qu’il soit véritablement au-dessus d’eux, non pas seulement par sa dignité, mais par son esprit, par son savoir, par sa capacité, par sa conduite, par sa fermeté, par son courage et par ses vertus. Il faut qu’il sache distinguer les vrais d’avec les faux avantages, les véritables pertes d’avec ce qui n’en a que l’apparence ; qu’il sache compenser l’un par l’autre et tirer parti de tout. Il faut qu’il sache employer à propos certains artifices pour tromper l’ennemi, et qu’il se tienne sans cesse sur ses gardes pour n’être pas trompé lui-même. Il ne doit ignorer aucun des pièges qu’on peut lui tendre, il doit pénétrer tous les artifices de l’ennemi, de quelque nature qu’ils puissent être, mais il ne doit pas pour cela vouloir deviner. Tenez-vous sur vos gardes, voyez-le venir, éclairez ses démarches et toute sa conduite, et concluez. Vous courriez autrement le risque de vous tromper et d’être la dupe ou la triste victime de vos conjectures précipitées.

Si vous voulez n’être jamais effrayé par la multitude de vos travaux et de vos peines, attendez-vous toujours à tout ce qu’il y aura de plus dur et de plus pénible. Travaillez sans cesse à susciter des peines à l’ennemi. Vous pourrez le faire de plus d’une façon, mais voici ce qu’il y a d’essentiel en ce genre.

N’oubliez rien pour lui débaucher ce qu’il y aura de mieux dans son parti : offres, présents, caresses, que rien ne soit omis. Trompez même s’il le faut : engagez les gens d’honneur qui sont chez lui à des actions honteuses et indignes de leur réputation, à des actions dont ils aient lieu de rougir quand elles seront sues, et ne manquez pas de les faire divulguer.

Entretenez des liaisons secrètes avec ce qu’il y a de plus vicieux chez les ennemis ; servez-vous-en pour aller à vos fins, en leur joignant d’autres vicieux.

Traversez leur gouvernement, semez la dissension parmi leurs chefs, fournissez des sujets de colère aux uns contre les autres, faites-les murmurer contre leurs officiers, ameutez les officiers subalternes contre leurs supérieurs, faites en sorte qu’ils manquent de vivres et de munitions, répandez parmi eux quelques airs d’une musique voluptueuse qui leur amollisse le cœur, envoyez-leur des femmes pour achever de les corrompre, tâchez qu’ils sortent lorsqu’il faudra qu’ils soient dans leur camp, et qu’ils soient tranquilles dans leur camp lorsqu’il faudrait qu’ils tinssent la campagne ; faites leur donner sans cesse de fausses alarmes et de faux avis ; engagez dans vos intérêts les gouverneurs de leurs provinces ; voilà à peu près ce que vous devez faire, si vous voulez tromper par l’adresse et par la ruse.

Ceux des généraux qui brillaient parmi nos Anciens étaient des hommes sages, prévoyants, intrépides et durs au travail. Ils avaient toujours leurs sabres pendus à leurs côtés, ils ne présumaient jamais que l’ennemi ne viendrait pas, ils étaient toujours prêts à tout événement, ils se rendaient invincibles et, s’ils rencontraient l’ennemi, ils n’avaient pas besoin d’attendre du secours pour se mesurer avec lui. Les troupes qu’ils commandaient étaient bien disciplinées, et toujours disposées à faire un coup de main au premier signal qu’ils leur en donnaient.

Chez eux la lecture et l’étude précédaient la guerre et les y préparaient. Ils gardaient avec soin leurs frontières, et ne manquaient pas de bien fortifier leurs villes. Ils n’allaient pas contre l’ennemi, lorsqu’ils étaient instruits qu’il avait fait tous ses préparatifs pour les bien recevoir ; ils l’attaquaient par ses endroits faibles, et dans le temps de sa paresse et de son oisiveté.

Avant que de finir cet article, je dois vous prévenir contre cinq sortes de dangers, d’autant plus à redouter qu’ils paraissent moins à craindre, écueils funestes contre lesquels la prudence et la bravoure ont échoué plus d’une fois.

I. Le premier est une trop grande ardeur à affronter la mort ; ardeur téméraire qu’on honore souvent des beaux noms de courage, d’intrépidité et de valeur, mais qui, au fond, ne mérite guère que celui de lâcheté. Un général qui s’expose sans nécessité, comme le ferait un simple soldat, qui semble chercher les dangers et la mort, qui combat et qui fait combattre jusqu’à la dernière extrémité, est un homme qui mérite de mourir. C’est un homme sans tête, qui ne saurait trouver aucune ressource pour se tirer d’un mauvais pas ; c’est un lâche qui ne saurait souffrir le moindre échec sans en être consterné, et qui se croit perdu si tout ne lui réussit.

II. Le deuxième est une trop grande attention à conserver ses jours. On se croit nécessaire à l’armée entière ; on n’aurait garde de s’exposer ; on n’oserait pour cette raison se pourvoir de vivres chez l’ennemi ; tout fait ombrage, tout fait peur ; on est toujours en suspens, on ne se détermine à rien, on attend une occasion plus favorable, on perd celle qui se présente, on ne fait aucun mouvement ; mais l’ennemi, qui est toujours attentif, profite de tout, et fait bientôt perdre toute espérance à un général ainsi prudent. Il l’enveloppera, il lui coupera les vivres et le fera périr par le trop grand amour qu’il avait de conserver sa vie.

III. Le troisième est une colère précipitée. Un général qui ne sait pas se modérer, qui n’est pas maître de lui-même, et qui se laisse aller aux premiers mouvements d’indignation ou de colère, ne saurait manquer d’être la dupe des ennemis. Ils le provoqueront, ils lui tendront mille pièges que sa fureur l’empêchera de reconnaître, et dans lesquels il donnera infailliblement.

IV. Le quatrième est un point d’honneur mal entendu. Un général ne doit pas se piquer mal à propos, ni hors de raison ; il doit savoir dissimuler ; il ne doit point se décourager après quelque mauvais succès, ni croire que tout est perdu parce qu’il aura fait quelque faute ou qu’il aura reçu quelque échec. Pour vouloir réparer son honneur légèrement blessé, on le perd quelquefois sans ressources.

V. Le cinquième, enfin, est une trop grande complaisance ou une compassion trop tendre pour le soldat. Un général qui n’ose punir, qui ferme les yeux sur le désordre, qui craint que les siens ne soient toujours accablés sous le poids du travail, et qui n’oserait pour cette raison leur en imposer, est un général propre à tout perdre. Ceux d’un rang inférieur doivent avoir des peines ; il faut toujours avoir quelque occupation à leur donner ; il faut qu’ils aient toujours quelque chose à souffrir. Si vous voulez tirer parti de leur service, faites en sorte qu’ils ne soient jamais oisifs. Punissez avec sévérité, mais sans trop de rigueur. Procurez des peines et du travail, mais jusqu’à un certain point.

Un général doit se prémunir contre tous ces dangers. Sans trop chercher à vivre ou à mourir, il doit se conduire avec valeur et avec prudence, suivant que les circonstances l’exigent.

S’il a de justes raisons de se mettre en colère, qu’il le fasse, mais que ce ne soit pas en tigre qui ne connaît aucun frein.

S’il croit que son honneur est blessé, et qu’il veuille le réparer, que ce soit en suivant les règles de la sagesse, et non pas les caprices d’une mauvaise honte.

Qu’il aime ses soldats, qu’il les ménage, mais que ce soit avec discrétion.

S’il livre des batailles, s’il fait des mouvements dans son camp, s’il assiège des villes, s’il fait des excursions, qu’il joigne la ruse à la valeur, la sagesse à la force des armes ; qu’il répare tranquillement ses fautes lorsqu’il aura eu le malheur d’en faire ; qu’il profite de toutes celles de son ennemi, et qu’il le mette souvent dans l’occasion d’en faire de nouvelles.

Article IX
De la distribution des moyens

Sun Tzu dit : Avant que de faire camper vos troupes, sachez dans quelle position sont les ennemis, mettez-vous au fait du terrain et choisissez ce qu’il y aura de plus avantageux pour vous. On peut réduire à quatre points principaux ces différentes situations.

I. Si vous êtes dans le voisinage de quelque montagne, gardez-vous bien de vous emparer de la partie qui regarde le nord ; occupez au contraire le côté du midi : cet avantage n’est pas d’une petite conséquence. Depuis le penchant de la montagne, étendez-vous en sûreté jusque bien avant dans les vallons ; vous y trouverez de l’eau et du fourrage en abondance ; vous y serez égayé par la vue du soleil, réchauffé par ses rayons, et l’air que vous y respirerez sera tout autrement salubre que celui que vous respireriez de l’autre côté. Si les ennemis viennent par derrière la montagne dans le dessein de vous surprendre, instruit par ceux que vous aurez placé sur la cime, vous vous retirerez à loisir, si vous ne vous croyez pas en état de leur faire tête ; ou vous les attendrez de pied ferme pour les combattre si vous jugez que vous puissiez être vainqueur sans trop risquer. Cependant ne combattez sur les hauteurs que lorsque la nécessité vous y engagera, surtout n’y allez jamais chercher l’ennemi.

II. Si vous êtes auprès de quelque rivière, approchez-vous le plus que vous pourrez de sa source ; tâchez d’en connaître tous les bas-fonds et tous les endroits qu’on peut passer à gué. Si vous avez à la passer, ne le faites jamais en présence de l’ennemi ; mais si les ennemis, plus hardis, ou moins prudents que vous, veulent en hasarder le passage, ne les attaquez point que la moitié de leurs gens ne soit de l’autre côté ; vous combattrez alors avec tout l’avantage de deux contre un. Près des rivières mêmes tenez toujours les hauteurs, afin de pouvoir découvrir au loin ; n’attendez pas l’ennemi près des bords, n’allez pas au-devant de lui ; soyez toujours sur vos gardes de peur qu’étant surpris vous n’ayez pas un lieu pour vous retirer en cas de malheur.

III. Si vous êtes dans des lieux glissants, humides, marécageux et malsains, sortez-en le plus vite que vous pourrez ; vous ne sauriez vous y arrêter sans être exposé aux plus grands inconvénients ; la disette des vivres et les maladies viendraient bientôt vous y assiéger. Si vous êtes contraint d’y rester, tâchez d’en occuper les bords ; gardez-vous bien d’aller trop avant. S’il y a des forêts aux environs, laissez-les derrière vous.

IV. Si vous êtes en plaine dans des lieux unis et secs, ayez toujours votre gauche à découvert ; ménagez derrière vous quelque élévation d’où vos gens puissent découvrir au loin. Quand le devant de votre camp ne vous présentera que des objets de mort, ayez soin que les lieux qui sont derrière puissent vous offrir des secours contre l’extrême nécessité.

Tels sont les avantages des différents campements ; avantages précieux, d’où dépend la plus grande partie des succès militaires. C’est en particulier parce qu’il possédait à fond l’art des campements que l’Empereur Jaune triompha de ses ennemis et soumit à ses lois tous les princes voisins de ses États

Il faut conclure de tout ce que je viens de dire que les hauteurs sont en général plus salutaires aux troupes que les lieux bas et profonds. Dans les lieux élevés mêmes, il y a un choix à faire : c’est de camper toujours du côté du midi, parce que c’est là qu’on trouve l’abondance et la fertilité. Un campement de cette nature est un avant-coureur de la victoire. Le contentement et la santé, qui sont la suite ordinaire d’une bonne nourriture prise sous un ciel pur, donnent du courage et de la force au soldat, tandis que la tristesse, le mécontentement et les maladies l’épuisent, l’énervent, le rendent pusillanime et le découragent entièrement.

Il faut conclure encore que les campements près des rivières ont leurs avantages qu’il ne faut pas négliger, et leurs inconvénients qu’il faut tâcher d’éviter avec un grand soin. Je ne saurais trop vous le répéter, tenez le haut de la rivière, laissez-en le courant aux ennemis. Outre que les gués sont beaucoup plus fréquents vers la source, les eaux en sont plus pures et plus salubres.

Lorsque les pluies auront formé quelque torrent, ou qu’elles auront grossi le fleuve ou la rivière dont vous occupez les bords, attendez quelque temps avant que de vous mettre en marche ; surtout ne vous hasardez pas à passer de l’autre côté, attendez pour le faire que les eaux aient repris la tranquillité de leur cours ordinaire. Vous en aurez des preuves certaines si vous n’entendez plus un certain bruit sourd, qui tient plus du frémissement que du murmure, si vous ne voyez plus d’écume surnager, et si la terre ou le sable ne coulent plus avec l’eau.

Pour ce qui est des défilés et des lieux entrecoupés par des précipices et par des rochers, des lieux marécageux et glissants, des lieux étroits et couverts, lorsque la nécessité ou le hasard vous y aura conduit, tirez-vous-en le plus tôt qu’il vous sera possible, éloignez-vous-en le plus tôt que vous pourrez. Si vous en êtes loin, l’ennemi en sera près. Si vous fuyez, l’ennemi poursuivra et tombera peut-être dans les dangers que vous venez d’éviter.

Vous devez encore être extrêmement en garde contre une autre espèce de terrain. Il est des lieux couverts de broussailles ou de petits bois ; il en est qui sont pleins de hauts et de bas, où l’on est sans cesse ou sur des collines ou dans des vallons, défiez-vous-en ; soyez dans une attention continuelle. Ces sortes de lieux peuvent être pleins d’embuscades ; l’ennemi peut sortir à chaque instant vous surprendre, tomber sur vous et vous tailler en pièces. Si vous en êtes loin, n’en approchez pas ; si vous en êtes près, ne vous mettez pas en mouvement que vous n’ayez fait reconnaître tous les environs. Si l’ennemi vient vous y attaquer, faites en sorte qu’il ait tout le désavantage du terrain de son côté. Pour vous, ne l’attaquez que lorsque vous le verrez à découvert.

Enfin, quel que soit le lieu de votre campement, bon ou mauvais, il faut que vous en tiriez parti ; n’y soyez jamais oisif, ni sans faire quelque tentative ; éclairez toutes les démarches des ennemis ; ayez des espions de distance en distance, jusqu’au milieu de leur camp, jusque sous la tente de leur général. Ne négligez rien de tout ce qu’on pourra vous rapporter, faites attention à tout.

Si ceux de vos gens que vous avez envoyés à la découverte vous font dire que les arbres sont en mouvement, quoique par un temps calme, concluez que l’ennemi est en marche. Il peut se faire qu’il veuille venir à vous ; disposez toutes choses, préparez-vous à le bien recevoir, allez même au-devant de lui.

Si l’on vous rapporte que les champs sont couverts d’herbes, et que ces herbes sont fort hautes, tenez-vous sans cesse sur vos gardes ; veillez continuellement, de peur de quelque surprise.

Si l’on vous dit qu’on a vu des oiseaux attroupés voler par bandes sans s’arrêter, soyez en défiance ; on vient vous espionner ou vous tendre des pièges ; mais si, outre les oiseaux, on voit encore un grand nombre de quadrupèdes courir la campagne, comme s’ils n’avaient point de gîte, c’est une marque que les ennemis sont aux aguets.

Si l’on vous rapporte qu’on aperçoit au loin des tourbillons de poussière s’élever dans les airs, concluez que les ennemis sont en marche. Dans les endroits où la poussière est basse et épaisse sont les gens de pied ; dans les endroits où elle est moins épaisse et plus élevée sont la cavalerie et les chars.

Si l’on vous avertit que les ennemis sont dispersés et ne marchent que par pelotons, c’est une marque qu’ils ont eu à traverser quelque bois, qu’ils ont fait des abattis, et qu’ils sont fatigués ; ils cherchent alors à se rassembler.

Si vous apprenez qu’on aperçoit dans les campagnes des gens de pied et des hommes à cheval aller et venir, dispersés çà et là par petites bandes, ne doutez pas que les ennemis ne soient campés.

Tels sont les indices généraux dont vous devez tâcher de profiter, tant pour savoir la position de ceux avec lesquels vous devez vous mesurer que pour faire avorter leurs projets, et vous mettre à couvert de toute surprise de leur part. En voici quelques autres auxquels vous devez une plus particulière attention.

Lorsque ceux de vos espions qui sont près du camp des ennemis vous feront savoir qu’on y parle bas et d’une manière mystérieuse, que ces ennemis sont modestes dans leur façon d’agir et retenus dans tous leurs discours, concluez qu’ils pensent à une action générale, et qu’ils en font déjà les préparatifs : allez à eux sans perdre de temps. Ils veulent vous surprendre, surprenez-les vous-même.

Si vous apprenez au contraire qu’ils sont bruyants, fiers et hautains dans leurs discours, soyez certain qu’ils pensent à la retraite et qu’ils n’ont nullement envie d’en venir aux mains.

Lorsqu’on vous fera savoir qu’on a vu quantité de chars vides précéder leur armée, préparez-vous à combattre, car les ennemis viennent à vous en ordre de bataille.

Gardez-vous bien d’écouter alors les propositions de paix ou d’alliance qu’ils pourraient vous faire, ce ne serait qu’un artifice de leur part.

S’ils font des marches forcées, c’est qu’ils croient courir à la victoire ; s’ils vont et viennent, s’ils avancent en partie et qu’ils reculent autant, c’est qu’ils veulent vous attirer au combat ; si, la plupart du temps, debout et sans rien faire, ils s’appuient sur leurs armes comme sur des bâtons, c’est qu’ils sont aux expédients, qu’ils meurent presque de faim, et qu’ils pensent à se procurer de quoi vivre ; si passant près de quelque rivière, ils courent tous en désordre pour se désaltérer, c’est qu’ils ont souffert de la soif ; si leur ayant présenté l’appât de quelque chose d’utile pour eux, sans cependant qu’ils aient su ou voulu en profiter, c’est qu’ils se défient ou qu’ils ont peur ; s’ils n’ont pas le courage d’avancer, quoiqu’ils soient dans les circonstances où il faille le faire, c’est qu’ils sont dans l’embarras, dans les inquiétudes et les soucis.

Outre ce que je viens de dire, attachez-vous en particulier à savoir tous leurs différents campements. Vous pourrez les connaître au moyen des oiseaux que vous verrez attroupés dans certains endroits. Et si leurs campements ont été fréquents, vous pourrez conclure qu’ils ont peu d’habileté dans la connaissance des lieux. Le vol des oiseaux ou les cris de ceux-ci peuvent vous indiquer la présence d’embuscades invisibles.

Si vous apprenez que, dans le camp des ennemis, il y a des festins continuels, qu’on y boit et qu’on y mange avec fracas, soyez-en bien aise ; c’est une preuve infaillible que leurs généraux n’ont point d’autorité.

Si leurs étendards changent souvent de place, c’est une preuve qu’ils ne savent à quoi se déterminer, et que le désordre règne parmi eux. Si les soldats se groupent continuellement, et chuchotent entre eux, c’est que le général a perdu la confiance de son armée.

L’excès de récompenses et de punitions montre que le commandement est au bout de ses ressources, et dans une grande détresse ; si l’armée va même jusqu’à se saborder et briser ses marmites, c’est la preuve qu’elle est aux abois et qu’elle se battra jusqu’à la mort.

Si leurs officiers subalternes sont inquiets, mécontents et qu’ils se fâchent pour la moindre chose, c’est une preuve qu’ils sont ennuyés ou accablés sous le poids d’une fatigue inutile.

Si dans différents quartiers de leur camp on tue furtivement des chevaux, dont on permette ensuite de manger la chair, c’est une preuve que leurs provisions sont sur la fin.

Telles sont les attentions que vous devez à toutes les démarches que peuvent faire les ennemis. Une telle minutie dans les détails peut vous paraître superflue, mais mon dessein est de vous prévenir sur tout, et de vous convaincre que rien de tout ce qui peut contribuer à vous faire triompher n’est petit. L’expérience me l’a appris, elle vous l’apprendra de même ; je souhaite que ce ne soit pas à vos dépens.

Encore une fois, éclairez toutes les démarches de l’ennemi, quelles qu’elles puissent être ; mais veillez aussi sur vos propres troupes, ayez l’œil à tout, sachez tout, empêchez les vols et les brigandages, la débauche et l’ivrognerie, les mécontentements et les cabales, la paresse et l’oisiveté. Sans qu’il soit nécessaire qu’on vous en instruise, vous pourrez connaître par vous-même ceux de vos gens qui seront dans le cas, et voici comment.

Si quelques-uns de vos soldats, lorsqu’ils changent de poste ou de quartier, ont laissé tomber quelque chose, quoique de petite valeur, et qu’ils n’aient pas voulu se donner la peine de la ramasser ; s’ils ont oublié quelque ustensile dans leur première station, et qu’ils ne le réclament point, concluez que ce sont des voleurs, punissez-les comme tels.

Si dans votre armée on a des entretiens secrets, si l’on y parle souvent à l’oreille ou à voix basse, s’il y a des choses qu’on n’ose dire qu’à demi-mot, concluez que la peur s’est glissée parmi vos gens, que le mécontentement va suivre, et que les cabales ne tarderont pas à se former : hâtez-vous d’y mettre ordre.

Si vos troupes paraissent pauvres, et qu’elles manquent quelquefois d’un certain petit nécessaire ; outre la solde ordinaire, faites-leur distribuer quelque somme d’argent, mais gardez-vous bien d’être trop libéral, l’abondance d’argent est souvent plus funeste qu’elle n’est avantageuse, et plus préjudiciable qu’utile ; par l’abus qu’on en fait, elle est la source de la corruption des cœurs et la mère de tous les vices.

Si vos soldats, d’audacieux qu’ils étaient auparavant, deviennent timides et craintifs, si chez eux la faiblesse a pris la place de la force, la bassesse, celle de la magnanimité, soyez sûr que leur cœur est gâté ; cherchez la cause de leur dépravation et tranchez-la jusqu’à la racine.

Si, sous divers prétextes, quelques-uns vous demandent leur congé, c’est qu’ils n’ont pas envie de combattre, ne les refusez pas tous ; mais, en l’accordant à plusieurs, que ce soit à des conditions honteuses.

S’ils viennent en troupe vous demander justice d’un ton mutin et colère, écoutez leurs raisons, ayez-y égard ; mais, en leur donnant satisfaction d’un côté, punissez-les très sévèrement de l’autre.

Si, lorsque vous aurez fait appeler quelqu’un, il n’obéit pas promptement, s’il est longtemps à se rendre à vos ordres, et si, après que vous aurez fini de lui signifier vos volontés, il ne se retire pas, défiez-vous, soyez sur vos gardes.

En un mot, la conduite des troupes demande des attentions continuelles de la part d’un général. Sans quitter de vue l’armée des ennemis, il faut sans cesse éclairer la vôtre ; sachez lorsque le nombre des ennemis augmentera, soyez informé de la mort ou de la désertion du moindre de vos soldats.

Si l’armée ennemie est inférieure à la vôtre, et si elle n’ose pour cette raison se mesurer à vous, allez l’attaquer sans délai, ne lui donnez pas le temps de se renforcer ; une seule bataille est décisive dans ces occasions. Mais si, sans être au fait de la situation actuelle des ennemis, et sans avoir mis ordre à tout, vous vous avisez de les harceler pour les engager à un combat, vous courez le risque de tomber dans ses pièges, de vous faire battre, et de vous perdre sans ressource.

Si vous ne maintenez une exacte discipline dans votre armée, si vous ne punissez pas exactement jusqu’à la moindre faute, vous ne serez bientôt plus respecté, votre autorité même en souffrira, et les châtiments que vous pourrez employer dans la suite, bien loin d’arrêter les fautes, ne serviront qu’à augmenter le nombre des coupables. Or si vous n’êtes ni craint ni respecté, si vous n’avez qu’une autorité faible, et dont vous ne sauriez vous servir sans danger, comment pourrez-vous être avec honneur à la tête d’une armée ? Comment pourrez-vous vous opposer aux ennemis de État ?

Quand vous aurez à punir, faites-le de bonne heure et à mesure que les fautes l’exigent. Quand vous aurez des ordres à donner, ne les donnez point que vous ne soyez sûr que vous serez exactement obéi. Instruisez vos troupes, mais instruisez-les à propos ; ne les ennuyez point, ne les fatiguez point sans nécessité ; tout ce qu’elles peuvent faire de bon ou de mauvais, de bien ou de mal, est entre vos mains.

Dans la guerre, le grand nombre seul ne confère pas l’avantage ; n’avancez pas en comptant sur la seule puissance militaire. Une armée composée des mêmes hommes peut être très méprisable, quand elle sera commandée par tel général, tandis qu’elle sera invincible commandée par tel autre.

Article X
De la topologie

Sun Tzu dit : Sur la surface de la terre tous les lieux ne sont pas équivalents ; il y en a que vous devez fuir, et d’autres qui doivent être l’objet de vos recherches ; tous doivent vous être parfaitement connus.

Dans les premiers sont à ranger ceux qui n’offrent que d’étroits passages, qui sont bordés de rochers ou de précipices, qui n’ont pas d’accès facile avec les espaces libres desquels vous pouvez attendre du secours. Si vous êtes le premier à occuper ce terrain, bloquez les passages et attendez l’ennemi ; si l’ennemi est sur place avant vous, ne l’y suivez pas, à moins qu’il n’ait pas fermé complètement les défilés. Ayez-en une connaissance exacte pour ne pas y engager votre armée mal à propos.

Recherchez au contraire un lieu dans lequel il y aurait une montagne assez haute pour vous défendre de toute surprise, où l’on pourrait arriver et d’où l’on pourrait sortir par plusieurs chemins qui vous seraient parfaitement connus, où les vivres seraient en abondance, où les eaux ne sauraient manquer, où l’air serait salubre et le terrain assez uni ; un tel lieu doit faire l’objet de vos plus ardentes recherches. Mais soit que vous vouliez vous emparer de quelque campement avantageux, soit que vous cherchiez à éviter des lieux dangereux ou peu commodes, usez d’une extrême diligence, persuadé que l’ennemi a le même objet que vous.

Si le lieu que vous avez dessein de choisir est autant à la portée des ennemis qu’à la vôtre, si les ennemis peuvent s’y rendre aussi aisément que vous, il s’agit de les devancer. Pour cela, faites des marches pendant la nuit, mais arrêtez-vous au lever du soleil, et, s’il se peut, que ce soit toujours sur quelque éminence, afin de pouvoir découvrir au loin ; attendez alors que vos provisions et tout votre bagage soient arrivés ; si l’ennemi vient à vous, vous l’attendrez de pied ferme, et vous pourrez le combattre avec avantage.

Ne vous engagez jamais dans ces sortes de lieu où l’on peut aller très aisément, mais d’où l’on ne peut sortir qu’avec beaucoup de peine et une extrême difficulté ; si l’ennemi laisse un pareil camp entièrement libre, c’est qu’il cherche à vous leurrer ; gardez-vous bien d’avancer, mais trompez-le en pliant bagage. S’il est assez imprudent pour vous suivre, il sera obligé de traverser ce terrain scabreux. Lorsqu’il y aura engagé la moitié de ses troupes, allez à lui, il ne saurait vous échapper, frappez-le avantageusement et vous le vaincrez sans beaucoup de travail.

Une fois que vous serez campé avec tout l’avantage du terrain, attendez tranquillement que l’ennemi fasse les premières démarches et qu’il se mette en mouvement. S’il vient à vous en ordre de bataille, n’allez au-devant de lui que lorsque vous verrez qu’il lui sera difficile de retourner sur ses pas.

Un ennemi bien préparé pour le combat, et contre qui votre attaque a échoué, est dangereux : ne revenez pas à une seconde charge, retirez-vous dans votre camp, si vous le pouvez, et n’en sortez pas que vous ne voyiez clairement que vous le pouvez sans danger. Vous devez vous attendre que l’ennemi fera jouer bien des ressorts pour vous attirer : rendez inutiles tous les artifices qu’il pourrait employer.

Si votre rival vous a prévenu, et qu’il ait pris son camp dans le lieu où vous auriez dû prendre le vôtre, c’est-à-dire dans le lieu le plus avantageux, ne vous amusez point à vouloir l’en déloger en employant les stratagèmes communs ; vous travailleriez inutilement. Si la distance entre vous et lui est assez considérable et que les deux armées sont à peu près égales, il ne tombera pas aisément dans les pièges que vous lui tendrez pour l’attirer au combat : ne perdez pas votre temps inutilement, vous réussirez mieux d’un autre côté.

Ayez pour principe que votre ennemi cherche ses avantages avec autant d’empressement que vous pouvez chercher les vôtres : employez toute votre industrie à lui donner le change de ce côté-là ; mais surtout ne le prenez pas vous-même. Pour cela, n’oubliez jamais qu’on peut tromper ou être trompé de bien des façons. Je ne vous en rappellerai que six principales, parce qu’elles sont les sources d’où dérivent toutes les autres.

La première consiste dans la marche des troupes

La deuxième, dans leurs différents arrangements.

La troisième, dans leur position dans des lieux bourbeux.

La quatrième, dans leur désordre.

La cinquième, dans leur dépérissement.

Et la sixième, dans leur fuite.

Un général qui recevrait quelque échec, faute de ces connaissances, aurait tort d’accuser le Ciel de son malheur ; il doit se l’attribuer tout entier.

Si celui qui est à la tête des armées néglige de s’instruire à fond de tout ce qui a rapport aux troupes qu’il doit mener au combat et à celles qu’il doit combattre ; s’il ne connaît pas exactement le terrain où il est actuellement, celui où il doit se rendre, celui où l’on peut se retirer en cas de malheur, celui où l’on peut feindre d’aller sans avoir d’autre envie que celle d’y attirer l’ennemi, et celui où il peut être forcé de s’arrêter, lorsqu’il n’aura pas lieu de s’y attendre ; s’il fait mouvoir son armée hors de propos ; s’il n’est pas instruit de tous les mouvements de l’armée ennemie et des desseins qu’elle peut avoir dans la conduite qu’elle tient ; s’il divise ses troupes sans nécessité, ou sans y être comme forcé par la nature du lieu où il se trouve, ou sans avoir prévu tous les inconvénients qui pourraient en résulter, ou sans une certitude de quelque avantage réel de cette dispersion ; s’il souffre que le désordre s’insinue peu à peu dans son armée, ou si, sur des indices incertains, il se persuade trop aisément que le désordre règne dans l’armée ennemie, et qu’il agisse en conséquence ; si son armée dépérit insensiblement, sans qu’il se mette en devoir d’y apporter un prompt remède ; un tel général ne peut être que la dupe des ennemis, qui lui donneront le change par des fuites étudiées, par des marches feintes, et par un total de conduite dont il ne saurait manquer d’être la victime.

Les maximes suivantes doivent vous servir de règles pour toutes vos actions.

Si votre armée et celle de l’ennemi sont à peu près en nombre égal et d’égale force, il faut que des dix parties des avantages du terrain vous en ayez neuf pour vous ; mettez toute votre application, employez tous vos efforts et toute votre industrie pour vous les procurer. Si vous les possédez, votre ennemi se trouvera réduit à n’oser se montrer devant vous et à prendre la fuite dès que vous paraîtrez ; ou s’il est assez imprudent pour vouloir en venir à un combat, vous le combattrez avec l’avantage de dix contre un. Le contraire arrivera si, par négligence ou faute d’habileté, vous lui avez laissé le temps et les occasions de se procurer ce que vous n’avez pas.

Dans quelque position que vous puissiez être, si pendant que vos soldats sont forts et pleins de valeur, vos officiers sont faibles et lâches, votre armée ne saurait manquer d’avoir le dessous ; si, au contraire, la force et la valeur se trouve uniquement renfermées dans les officiers, tandis que la faiblesse et la lâcheté domineront dans le cœur des soldats, votre armée sera bientôt en déroute ; car les soldats pleins de courage et de valeur ne voudront pas se déshonorer ; ils ne voudront jamais que ce que des officiers lâches et timides ne sauraient leur accorder, de même des officiers vaillants et intrépides seront à coup sûr mal obéis par des soldats timides et poltrons.

Si les officiers généraux sont faciles à s’enflammer, et s’ils ne savent ni dissimuler ni mettre un frein à leur colère, quel qu’en puisse être le sujet, ils s’engageront d’eux-mêmes dans des actions ou de petits combats dont ils ne se tireront pas avec honneur, parce qu’ils les auront commencés avec précipitation, et qu’ils n’en auront pas prévu les inconvénients et toutes les suites ; il arrivera même qu’ils agiront contre l’intention expresse du général, sous divers prétextes qu’ils tâcheront de rendre plausibles ; et d’une action particulière commencée étourdiment et contre toutes les règles, on en viendra à un combat général, dont tout l’avantage sera du côté de l’ennemi. Veillez sur de tels officiers, ne les éloignez jamais de vos côtés ; quelques grandes qualités qu’ils puissent avoir d’ailleurs, ils vous causeraient de grands préjudices, peut-être même la perte de votre armée entière.

Si un général est pusillanime, il n’aura pas les sentiments d’honneur qui conviennent à une personne de son rang, il manquera du talent essentiel de donner de l’ardeur aux troupes ; il ralentira leur courage dans le temps qu’il faudrait le ranimer ; il ne saura ni les instruire ni les dresser à propos ; il ne croira jamais devoir compter sur les lumières, la valeur et l’habileté des officiers qui lui sont soumis, les officiers eux-mêmes ne sauront à quoi s’en tenir ; il fera faire mille fausses démarches à ses troupes, qu’il voudra disposer tantôt d’une façon et tantôt d’une autre, sans suivre aucun système, sans aucune méthode ; il hésitera sur tout, il ne se décidera sur rien, partout il ne verra que des sujets de crainte ; et alors le désordre, et un désordre général, régnera dans son armée.

Si un général ignore le fort et le faible de l’ennemi contre lequel il a à combattre, s’il n’est pas instruit à fond, tant des lieux qu’il occupe actuellement que de ceux qu’il peut occuper suivant les différents événements, il lui arrivera d’opposer à ce qu’il y a de plus fort dans l’armée ennemie ce qu’il y a de plus faible dans la sienne, à envoyer ses troupes faibles et aguerries contre les troupes fortes, ou contre celles qui n’ont aucune considération chez l’ennemi, à ne pas choisir des troupes d’élite pour son avant-garde, à faire attaquer par où il ne faudrait pas le faire, à laisser périr, faute de secours, ceux des siens qui se trouveraient hors d’état de résister, à se défendre mal à propos dans un mauvais poste, à céder légèrement un poste de la dernière importance ; dans ces sortes d’occasions il comptera sur quelque avantage imaginaire qui ne sera qu’un effet de la politique de l’ennemi, ou bien il perdra courage après un échec qui ne devrait être compté pour rien. Il se trouvera poursuivi sans s’y être attendu, il se trouvera enveloppé. On le combattra vivement, heureux alors s’il peut trouver son salut dans la fuite. C’est pourquoi, pour en revenir au sujet qui fait la matière de cet article, un bon général doit connaître tous les lieux qui sont ou qui peuvent être le théâtre de la guerre, aussi distinctement qu’il connaît tous les coins et recoins des cours et des jardins de sa propre maison.

J’ajoute dans cet article qu’une connaissance exacte du terrain est ce qu’il y a de plus essentiel parmi les matériaux qu’on peut employer pour un édifice aussi important à la tranquillité et à la gloire de État Ainsi un homme, que la naissance où les événements semblent destiner à la dignité de général, doit employer tous ses soins et faire tous ses efforts pour se rendre habile dans cette partie de l’art des guerriers.

Avec une connaissance exacte du terrain, un général peut se tirer d’affaire dans les circonstances les plus critiques. Il peut se procurer les secours qui lui manquent, il peut empêcher ceux qu’on envoie à l’ennemi ; il peut avancer, reculer et régler toutes ses démarches comme il le jugera à propos ; il peut disposer des marches de son ennemi et faire à son gré qu’il avance ou qu’il recule ; il peut le harceler sans crainte d’être surpris lui-même ; il peut l’incommoder de mille manières, et parer de son côté à tous les dommages qu’on voudrait lui causer. Calculer les distances et les degrés de difficulté du terrain, c’est contrôler la victoire. Celui qui combat avec la pleine connaissance de ces facteurs est certain de gagner ; il peut enfin finir ou prolonger la campagne, selon qu’il le jugera plus expédient pour sa gloire ou pour ses intérêts.

Vous pouvez compter sur une victoire certaine si vous connaissez tous les tours et tous les détours, tous les hauts et les bas, tous les allants et les aboutissants de tous les lieux que les deux armées peuvent occuper, depuis les plus près jusqu’à ceux qui sont les plus éloignés, parce qu’avec cette connaissance vous saurez quelle forme il sera plus à propos de donner aux différents corps de vos troupes, vous saurez sûrement quand il sera à propos de combattre ou lorsqu’il faudra différer la bataille, vous saurez interpréter la volonté du souverain suivant les circonstances, quels que puissent être les ordres que vous en aurez reçus ; vous le servirez véritablement en suivant vos lumières présentes, vous ne contracterez aucune tache qui puisse souiller votre réputation, et vous ne serez point exposé à périr ignominieusement pour avoir obéi.

Un général malheureux est toujours un général coupable.

Servir votre prince, faire l’avantage de État et le bonheur des peuples, c’est ce que vous devez avoir en vue ; remplissez ce triple objet, vous avez atteint le but.

Dans quelque espèce de terrain que vous soyez, vous devez regarder vos troupes comme des enfants qui ignorent tout et qui ne sauraient faire un pas ; il faut qu’elles soient conduites ; vous devez les regarder, dis-je, comme vos propres enfants ; il faut les conduire vous-même. Ainsi, s’il s’agit d’affronter les hasards, que vos gens ne les affrontent pas seuls, et qu’ils ne les affrontent qu’à votre suite. S’il s’agit de mourir, qu’ils meurent, mais mourez avec eux.

Je dis que vous devez aimer tous ceux qui sont sous votre conduite comme vous aimeriez vos propres enfants. Il ne faut pas cependant en faire des enfants gâtés ; ils seraient tels, si vous ne les corrigiez pas lorsqu’ils méritent de l’être, si, quoique plein d’attention, d’égards et de tendresse pour eux, vous ne pouviez pas les gouverner, ils se montreraient insoumis et peu empressés à répondre à vos désirs.

Dans quelque espèce de terrain que vous soyez, si vous êtes au fait de tout ce qui le concerne, si vous savez même par quel endroit il faut attaquer l’ennemi, mais si vous ignorez s’il est actuellement en état de défense ou non, s’il est disposé à vous bien recevoir, et s’il a fait les préparatifs nécessaires à tout événement, vos chances de victoire sont réduites de moitié.

Quoique vous ayez une pleine connaissance de tous les lieux, que vous sachiez même que les ennemis peuvent être attaqués, et par quel côté ils doivent l’être, si vous n’avez pas des indices certains que vos propres troupes peuvent attaquer avec avantage, j’ose vous le dire, vos chances de victoire sont réduites de moitié.

Si vous êtes au fait de l’état actuel des deux armées, si vous savez en même temps que vos troupes sont en état d’attaquer avec avantage, et que celles de l’ennemi leur sont inférieures en force et en nombre, mais si vous ne connaissez pas tous les coins et recoins des lieux circonvoisins, vous ne saurez s’il est invulnérable à l’attaque ; je vous l’assure, vos chances de victoire sont réduites de moitié.

Ceux qui sont véritablement habiles dans l’art militaire font toutes leurs marches sans désavantage, tous leurs mouvements sans désordre, toutes leurs attaques à coup sûr, toutes leurs défenses sans surprise, leurs campements avec choix, leurs retraites par système et avec méthode ; ils connaissent leurs propres forces, ils savent quelles sont celles de l’ennemi, ils sont instruits de tout ce qui concerne les lieux.

Donc je dis : Connais toi toi-même, connais ton ennemi, ta victoire ne sera jamais mise en danger. Connais le terrain, connais ton temps, ta victoire sera alors totale.

Article XI
Des neufs sortes de terrain

Sun Tzu dit : Il y a neuf sortes de lieux qui peuvent être à l’avantage ou au détriment de l’une ou de l’autre armée. 1° Des lieux de division ou de dispersion. 2° Des lieux légers. 3° Des lieux qui peuvent être disputés. 4° Des lieux de réunion. 5° Des lieux pleins et unis. 6° Des lieux à plusieurs issues. 7° Des lieux graves et importants. 8° Des lieux gâtés ou détruits. 9° Des lieux de mort.

I. J’appelle lieux de division ou de dispersion ceux qui sont près des frontières dans nos possessions. Des troupes qui se tiendraient longtemps sans nécessité au voisinage de leurs foyers sont composées d’hommes qui ont plus envie de perpétuer leur race que de s’exposer à la mort. À la première nouvelle qui se répandra de l’approche des ennemis, ou de quelque prochaine bataille, le général ne saura quel parti prendre, ni à quoi se déterminer, quand il verra ce grand appareil militaire se dissiper et s’évanouir comme un nuage poussé par les vents.

II. J’appelle lieux légers ou de légèreté ceux qui sont près des frontières, mais pénètrent par une brèche sur les terres des ennemis. Ces sortes de lieux n’ont rien qui puisse fixer. On peut regarder sans cesse derrière soi, et le retour étant trop aisé, il fait naître le désir de l’entreprendre à la première occasion : l’inconstance et le caprice trouvent infailliblement de quoi se contenter.

III. Les lieux qui sont à la bienséance des deux armées, où l’ennemi peut trouver son avantage aussi bien que nous pouvons trouver le nôtre, où l’on peut faire un campement dont la position, indépendamment de son utilité propre, peut nuire au parti opposé, et traverser quelques-unes de ses vues ; ces sortes de lieux peuvent être disputés, ils doivent même l’être. Ce sont là des terrains clés.

IV. Par les lieux de réunion, j’entends ceux où nous ne pouvons guère manquer de nous rendre et dans lesquels l’ennemi ne saurait presque manquer de se rendre aussi, ceux encore où l’ennemi, aussi à portée de ses frontières que vous l’êtes des vôtres, trouverait, ainsi que vous, sa sûreté en cas de malheur, ou les occasions de suivre sa bonne fortune, s’il avait d’abord du succès. Ce sont là des lieux qui permettent d’entrer en communication avec l’armée ennemie, ainsi que les zones de repli.

V. Les lieux que j’appelle simplement pleins et unis sont ceux qui, par leur configuration et leurs dimensions, permettent leur utilisation par les deux armées, mais, parce qu’ils sont au plus profond du territoire ennemi, ne doivent pas vous inciter à livrer bataille, à moins que la nécessité ne vous y contraigne, ou que vous n’y soyez forcé par l’ennemi, qui ne vous laisserait aucun moyen de pouvoir l’éviter.

VI. Les lieux à plusieurs issues, dont je veux parler ici, sont ceux en particulier qui permettent la jonction entre les différents États qui les entourent. Ces lieux forment le nœud des différents secours que peuvent apporter les princes voisins à celle des deux parties qu’il leur plaira de favoriser.

VII. Les lieux que je nomme graves et importants sont ceux qui, placés dans les États ennemis, présentent de tous côtés des villes, des forteresses, des montagnes, des défilés, des eaux, des ponts à passer, des campagnes arides à traverser, ou telle autre chose de cette nature.

VIII. Les lieux où tout serait à l’étroit, où une partie de l’armée ne serait pas à portée de voir l’autre ni de la secourir, où il y aurait des lacs, des marais, des torrents ou quelque mauvaise rivière, où l’on ne saurait marcher qu’avec de grandes fatigues et beaucoup d’embarras, où l’on ne pourrait aller que par pelotons, sont ceux que j’appelle gâtés ou détruits.

IX. Enfin, par des lieux de mort, j’entends tous ceux où l’on se trouve tellement réduit que, quelque parti que l’on prenne, on est toujours en danger ; j’entends des lieux dans lesquels, si l’on combat, on court évidemment le risque d’être battu, dans lesquels, si l’on reste tranquille, on se voit sur le point de périr de faim, de misère ou de maladie ; des lieux, en un mot, où l’on ne saurait rester et où l’on ne peut survivre que très difficilement en combattant avec le courage du désespoir.

Telles sont les neuf sortes de terrain dont j’avais à vous parler ; apprenez à les connaître, pour vous en défier ou pour en tirer parti.

Lorsque vous ne serez encore que dans des lieux de division, contenez bien vos troupes ; mais surtout ne livrez jamais de bataille, quelque favorables que les circonstances puissent vous paraître. La vue de leur pays et la facilité du retour occasionneraient bien des lâchetés : bientôt les campagnes seraient couvertes de fuyards.

Si vous êtes dans des lieux légers, n’y établissez point votre camp. Votre armée ne s’étant point encore saisie d’aucune ville, d’aucune forteresse, ni d’aucun poste important dans les possessions des ennemis, n’ayant derrière soi aucune digue qui puisse l’arrêter, voyant des difficultés, des peines et des embarras pour aller plus avant, il n’est pas douteux qu’elle ne soit tentée de préférer ce qui lui paraît le plus aisé à ce qui lui semblera difficile et plein de dangers.

Si vous avez reconnu de ces sortes de lieux qui vous paraissent devoir être disputés, commencez par vous en emparer : ne donnez pas à l’ennemi le temps de se reconnaître, employez toute votre diligence, que les formations ne se séparent pas, faites tous vos efforts pour vous en mettre dans une entière possession ; mais ne livrez point de combat pour en chasser l’ennemi. S’il vous a prévenu, usez de finesse pour l’en déloger, mais si vous y êtes une fois, n’en délogez pas.

Pour ce qui est des lieux de réunion, tâchez de vous y rendre avant l’ennemi ; faites en sorte que vous ayez une communication libre de tous les côtés ; que vos chevaux, vos chariots et tout votre bagage puissent aller et venir sans danger. N’oubliez rien de tout ce qui est en votre pouvoir pour vous assurer de la bonne volonté des peuples voisins, recherchez-la, demandez-la, achetez-la, obtenez-la à quelque prix que ce soit, elle vous est nécessaire ; et ce n’est guère que par ce moyen que votre armée peut avoir tout ce dont elle aura besoin. Si tout abonde de votre côté, il y a grande apparence que la disette régnera du côté de l’ennemi.

Dans les lieux pleins et unis, étendez-vous à l’aise, donnez-vous du large, faites des retranchements pour vous mettre à couvert de toute surprise, et attendez tranquillement que le temps et les circonstances vous ouvrent les voies pour faire quelque grande action.

Si vous êtes à portée de ces sortes de lieux qui ont plusieurs issues, où l’on peut se rendre par plusieurs chemins, commencez par les bien connaître ; alliez-vous aux États voisins, que rien n’échappe à vos recherches ; emparez-vous de toutes les avenues, n’en négligez aucune, quelque peu importante qu’elle vous paraisse, et gardez-les toutes très soigneusement.

Si vous vous trouvez dans des lieux graves et importants, rendez-vous maître de tout ce qui vous environne, ne laissez rien derrière vous, le plus petit poste doit être emporté ; sans cette précaution vous courriez le risque de manquer des vivres nécessaires à l’entretien de votre armée, ou de vous voir l’ennemi sur les bras lorsque vous y penseriez le moins, et d’être attaqué par plusieurs côtés à la fois.

Si vous êtes dans des lieux gâtés ou détruits, n’allez pas plus avant, retournez sur vos pas, fuyez le plus promptement qu’il vous sera possible.

Si vous êtes dans des lieux de mort, n’hésitez point à combattre, allez droit à l’ennemi, le plus tôt est le meilleur.

Telle est la conduite que tenaient nos anciens guerriers. Ces grands hommes, habiles et expérimentés dans leur art, avaient pour principe que la manière d’attaquer et de se défendre ne devait pas être invariablement la même, qu’elle devait être prise de la nature du terrain que l’on se occupait et de la position où l’on se trouvait. Ils disaient encore que la tête et la queue d’une armée ne devaient pas être commandées de la même façon, qu’il fallait combattre la tête et enfoncer la queue ; que la multitude et le petit nombre ne pouvaient pas être longtemps d’accord ; que les forts et les faibles, lorsqu’ils étaient ensemble, ne tardaient guère à se désunir ; que les hauts et les bas ne pouvaient être également utiles ; que les troupes étroitement unies pouvaient aisément se diviser, mais que celles qui étaient une fois divisées ne se réunissaient que très difficilement. Ils répétaient sans cesse qu’une armée ne devait jamais se mettre en mouvement qu’elle ne fût sûre de quelque avantage réel, et que, lorsqu’il n’y avait rien à gagner, il fallait se tenir tranquille et garder le camp.

En résumé, je vous dirai que toute votre conduite militaire doit être réglée suivant les circonstances ; que vous devez attaquer ou vous défendre selon que le théâtre de la guerre sera chez vous ou chez l’ennemi.

Si la guerre se fait dans votre propre pays, et si l’ennemi, sans vous avoir donné le temps de faire tous vos préparatifs, s’apprêtant à vous attaquer, vient avec une armée bien ordonnée pour l’envahir ou le démembrer, ou y faire des dégâts, ramassez promptement le plus de troupes que vous pourrez, envoyez demander du secours chez les voisins et chez les alliés, emparez-vous de quelques lieux qu’il chérit, et il se fera conforme à vos désirs, mettez-les en état de défense, ne fût-ce que pour gagner du temps ; la rapidité est la sève de la guerre.

Voyagez par les routes sur lesquelles il ne peut vous attendre ; mettez une partie de vos soins à empêcher que l’armée ennemie ne puisse recevoir des vivres, barrez-lui tous les chemins, ou du moins faites qu’elle n’en puisse trouver aucun sans embuscades, ou sans qu’elle soit obligée de l’emporter de vive force.

Les paysans peuvent en cela vous être d’un grand secours et vous servir mieux que vos propres troupes : faites-leur entendre seulement qu’ils doivent empêcher que d’injustes ravisseurs ne viennent s’emparer de toutes leurs possessions et ne leur enlèvent leur père, leur mère, leur femme et leurs enfants.

Ne vous tenez pas seulement sur la défensive, envoyez des partisans pour enlever des convois, harcelez, fatiguez, attaquez tantôt d’un côté, tantôt de l’autre ; forcez votre injuste agresseur à se repentir de sa témérité ; contraignez-le de retourner sur ses pas, n’emportant pour tout butin que la honte de n’avoir pu réussir.

Si vous faites la guerre dans le pays ennemi, ne divisez vos troupes que très rarement, ou mieux encore, ne les divisez jamais ; qu’elles soient toujours réunies et en état de se secourir mutuellement ; ayez soin qu’elles ne soient jamais que dans des lieux fertiles et abondants.

Si elles venaient à souffrir de la faim, la misère et les maladies feraient bientôt plus de ravage parmi elles que ne le pourrait faire dans plusieurs années le fer de l’ennemi.

Procurez-vous pacifiquement tous les secours dont vous aurez besoin ; n’employez la force que lorsque les autres voies auront été inutiles ; faites en sorte que les habitants des villages et de la campagne puissent trouver leurs intérêts à venir d’eux-mêmes vous offrir leurs denrées ; mais, je le répète, que vos troupes ne soient jamais divisées.

Tout le reste étant égal, on est plus fort de moitié lorsqu’on combat chez soi.

Si vous combattez chez l’ennemi, ayez égard à cette maxime, surtout si vous êtes un peu avant dans ses États : conduisez alors votre armée entière ; faites toutes vos opérations militaires dans le plus grand secret, je veux dire qu’il faut empêcher qu’aucun ne puisse pénétrer vos desseins : il suffit qu’on sache ce que vous voulez faire quand le temps de l’exécuter sera arrivé.

Il peut arriver que vous soyez réduit quelquefois à ne savoir où aller, ni de quel côté vous tourner ; dans ce cas ne précipitez rien, attendez tout du temps et des circonstances, soyez inébranlable dans le lieu où vous êtes.

Il peut arriver encore que vous vous trouviez engagé mal à propos ; gardez-vous bien alors de prendre la fuite, elle causerait votre perte ; périssez plutôt que de reculer, vous périrez au moins glorieusement ; cependant, faites bonne contenance. Votre armée, accoutumée à ignorer vos desseins, ignorera pareillement le péril qui la menace ; elle croira que vous avez eu vos raisons, et combattra avec autant d’ordre et de valeur que si vous l’aviez disposée depuis longtemps à la bataille.

Si dans ces sortes d’occasions vous triomphez, vos soldats redoubleront de force, de courage et de valeur ; votre réputation s’accroît dans la proportion même du risque que vous avez couru. Votre armée se croira invincible sous un chef tel que vous.

Quelque critiques que puissent être la situation et les circonstances où vous vous trouvez, ne désespérez de rien ; c’est dans les occasions où tout est à craindre qu’il ne faut rien craindre ; c’est lorsqu’on est environné de tous les dangers qu’il n’en faut redouter aucun ; c’est lorsqu’on est sans aucune ressource qu’il faut compter sur toutes ; c’est lorsqu’on est surpris qu’il faut surprendre l’ennemi lui-même.

Instruisez tellement vos troupes qu’elles puissent se trouver prêtes sans préparatifs, qu’elles trouvent de grands avantages là où elles n’en ont cherché aucun, que sans aucun ordre particulier de votre part, elles improvisent les dispositions à prendre, que sans défense expresse elles s’interdisent d’elles-mêmes tout ce qui est contre la discipline.

Veillez en particulier avec une extrême attention à ce qu’on ne sème pas de faux bruits, coupez racine aux plaintes et aux murmures, ne permettez pas qu’on tire des augures sinistres de tout ce qui peut arriver d’extraordinaire.

Si les devins ou les astrologues de l’armée ont prédit le bonheur, tenez-vous-en à leur décision ; s’ils parlent avec obscurité, interprétez en bien ; s’ils hésitent, ou qu’ils ne disent pas des choses avantageuses, ne les écoutez pas, faites-les taire.

Aimez vos troupes, et procurez-leur tous les secours, tous les avantages, toutes les commodités dont elles peuvent avoir besoin. Si elles essuient de rudes fatigues, ce n’est pas qu’elles s’y plaisent ; si elles endurent la faim, ce n’est pas qu’elles ne se soucient pas de manger ; si elles s’exposent à la mort, ce n’est point qu’elles n’aiment pas la vie. Si mes officiers n’ont pas un surcroît de richesses, ce n’est pas parce qu’ils dédaignent les biens de ce monde. Faites en vous-même de sérieuses réflexions sur tout cela.

Lorsque vous aurez tout disposé dans votre armée et que tous vos ordres auront été donnés, s’il arrive que vos troupes nonchalamment assises donnent des marques de tristesse, si elles vont jusqu’à verser des larmes, tirez-les promptement de cet état d’assoupissement et de léthargie, donnez-leur des festins, faites-leur entendre le bruit du tambour et des autres instruments militaires, exercez-les, faites-leur faire des évolutions, faites-leur changer de place, menez-les même dans des lieux un peu difficiles, où elles aient à travailler et à souffrir. Imitez la conduite de Tchouan Tchou et de Tsao-Kouei, vous changerez le cœur de vos soldats, vous les accoutumerez au travail, ils s’y endurciront, rien ne leur coûtera dans la suite.

Les quadrupèdes regimbent quand on les charge trop, ils deviennent inutiles quand ils sont forcés. Les oiseaux au contraire veulent être forcés pour être d’un bon usage. Les hommes tiennent un milieu entre les uns et les autres, il faut les charger, mais non pas jusqu’à les accabler ; il faut même les forcer, mais avec discernement et mesure.

Si vous voulez tirer un bon parti de votre armée, si vous voulez qu’elle soit invincible, faites qu’elle ressemble au Chouai Jen. Le Chouai Jen est une espèce de gros serpent qui se trouve dans la montagne de Tchang Chan. Si l’on frappe sur la tête de ce serpent, à l’instant sa queue va au secours, et se recourbe jusqu’à la tête ; qu’on le frappe sur la queue, la tête s’y trouve dans le moment pour la défendre ; qu’on le frappe sur le milieu ou sur quelque autre partie de son corps, sa tête et sa queue s’y trouvent d’abord réunies. Mais cela peut-il être pratiqué par une armée ? dira peut-être quelqu’un. Oui, cela se peut, cela se doit, et il le faut.

Quelques soldats du royaume de Ou se trouvèrent un jour à passer une rivière en même temps que d’autres soldats du royaume de Yue la passaient aussi ; un vent impétueux souffla, les barques furent renversées et les hommes auraient tous péri, s’ils ne se fussent aidés mutuellement : ils ne pensèrent pas alors qu’ils étaient ennemis, ils se rendirent au contraire tous les offices qu’on pouvait attendre d’une amitié tendre et sincère, ils coopérèrent comme la main droite avec la main gauche.

Je vous rappelle ce trait d’Histoire pour vous faire entendre que non seulement les différents corps de votre armée doivent se secourir mutuellement, mais encore qu’il faut que vous secouriez vos alliés, que vous donniez même du secours aux peuples vaincus qui en ont besoin ; car, s’ils vous sont soumis, c’est qu’ils n’ont pu faire autrement ; si leur souverain vous a déclaré la guerre, ce n’est pas de leur faute. Rendez-leur des services, ils auront leur tour pour vous en rendre aussi.

En quelque pays que vous soyez, quel que soit le lieu que vous occupiez, si dans votre armée il y a des étrangers, ou si, parmi les peuples vaincus, vous avez choisi des soldats pour grossir le nombre de vos troupes, ne souffrez jamais que dans les corps qu’ils composent ils soient ou les plus forts, ou en majorité. Quand on attache plusieurs chevaux à un même pieu, on se garde bien de mettre ceux qui sont indomptés, ou tous ensemble, ou avec d’autres en moindre nombre qu’eux, ils mettraient tout en désordre ; mais lorsqu’ils sont domptés, ils suivent aisément la multitude.

Dans quelque position que vous puissiez être, si votre armée est inférieure à celle des ennemis, votre seule conduite, si elle est bonne, peut la rendre victorieuse. Il n’est pas suffisant de compter sur les chevaux boiteux ou les chariots embourbés, mais à quoi vous servirait d’être placé avantageusement si vous ne saviez pas tirer parti de votre position ? À quoi servent la bravoure sans la prudence, la valeur sans la ruse ?

Un bon général tire parti de tout, et il n’est en état de tirer parti de tout que parce qu’il fait toutes ses opérations avec le plus grand secret, qu’il sait conserver son sang-froid, et qu’il gouverne avec droiture, de telle sorte néanmoins que son armée a sans cesse les oreilles trompées et les yeux fascinés. Il sait si bien que ses troupes ne savent jamais ce qu’elles doivent faire, ni ce qu’on doit leur commander. Si les événements changent, il change de conduite ; si ses méthodes, ses systèmes ont des inconvénients, il les corrige toutes les fois qu’il le veut, et comme il le veut. Si ses propres gens ignorent ses desseins, comment les ennemis pourraient-ils les pénétrer ?

Un habile général sait d’avance tout ce qu’il doit faire ; tout autre que lui doit l’ignorer absolument. Telle était la pratique de ceux de nos anciens guerriers qui se sont le plus distingués dans l’art sublime du gouvernement. Voulaient-ils prendre une ville d’assaut, ils n’en parlaient que lorsqu’ils étaient aux pieds des murs. Ils montaient les premiers, tout le monde les suivait ; et lorsqu’on était logé sur la muraille, ils faisaient rompre toutes les échelles. Étaient-ils bien avant dans les terres des alliés, ils redoublaient d’attention et de secret.

Partout ils conduisaient leurs armées comme un berger conduit un troupeau ; ils les faisaient aller où bon leur semblait, ils les faisaient revenir sur leurs pas, ils les faisaient retourner, et tout cela sans murmure, sans résistance de la part d’un seul.

La principale science d’un général consiste à bien connaître les neuf sortes de terrain, afin de pouvoir faire à propos les neuf changements. Elle consiste à savoir déployer et replier ses troupes suivant les lieux et les circonstances, à travailler efficacement à cacher ses propres intentions et à découvrir celles de l’ennemi, à avoir pour maxime certaine que les troupes sont très unies entre elles, lorsqu’elles sont bien avant dans les terres des ennemis ; qu’elles se divisent au contraire et se dispersent très aisément, lorsqu’on ne se tient qu’aux frontières ; qu’elles ont déjà la moitié de la victoire, lorsqu’elles se sont emparées de tous les allants et de tous les aboutissants, tant de l’endroit où elles doivent camper que des environs du camp de l’ennemi ; que c’est un commencement de succès que d’avoir pu camper dans un terrain vaste, spacieux et ouvert de tous côtés ; mais que c’est presque avoir vaincu, lorsque étant dans les possessions ennemies, elles se sont emparées de tous les petits postes, de tous les chemins, de tous les villages qui sont au loin des quatre côtés, et que, par leurs bonnes manières, elles ont gagné l’affection de ceux qu’elles veulent vaincre, ou qu’elles ont déjà vaincus.

Instruit par l’expérience et par mes propres réflexions, j’ai tâché, lorsque je commandais les armées, de réduire en pratique tout ce que je vous rappelle ici. Quand j’étais dans des lieux de division, je travaillais à l’union des cœurs et à l’uniformité des sentiments. Lorsque j’étais dans des lieux légers, je rassemblais mon monde, et je l’occupais utilement. Lorsqu’il s’agissait des lieux qu’on peut disputer, je m’en emparais le premier, quand je le pouvais ; si l’ennemi m’avait prévenu, j’allais après lui, et j’usais d’artifices pour l’en déloger. Lorsqu’il était question des lieux de réunion, j’observais tout avec une extrême diligence, et je voyais venir l’ennemi. Sur un terrain plein et uni, je m’étendais à l’aise et j’empêchais l’ennemi de s’étendre. Dans des lieux à plusieurs issues, quand il m’était impossible de les occuper tous, j’étais sur mes gardes, j’observais l’ennemi de près, je ne le perdais pas de vue. Dans des lieux graves et importants, je nourrissais bien le soldat, je l’accablais de caresses. Dans des lieux gâtés ou détruits, je tâchais de me tirer d’embarras, tantôt en faisant des détours et tantôt en remplissant les vides. Enfin, dans des lieux de morts, je faisais croire à l’ennemi que je ne pouvais survivre.

Les troupes bien disciplinées résistent quand elles sont encerclées ; elles redoublent d’efforts dans les extrémités, elles affrontent les dangers sans crainte, elles se battent jusqu’à la mort quand il n’y a pas d’alternative, et obéissent implicitement. Si celles que vous commandez ne sont pas telles, c’est votre faute ; vous ne méritez pas d’être à leur tête.

Si vous êtes ignorant des plans des États voisins, vous ne pourrez préparer vos alliances au moment opportun ; si vous ne savez pas en quel nombre sont les ennemis contre lesquels vous devez combattre, si vous ne connaissez pas leur fort et leur faible, vous ne ferez jamais les préparatifs ni les dispositions nécessaires pour la conduite de votre armée ; vous ne méritez pas de commander.

Si vous ignorez où il y a des montagnes et des collines, des lieux secs ou humides, des lieux escarpés ou pleins de défilés, des lieux marécageux ou pleins de périls, vous ne sauriez donner des ordres convenables, vous ne sauriez conduire votre armée ; vous êtes indigne de commander.

Si vous ne connaissez pas tous les chemins, si vous n’avez pas soin de vous munir de guides sûrs et fidèles pour vous conduire par les routes que vous ignorerez, vous ne parviendrez pas au terme que vous vous proposez, vous serez la dupe des ennemis ; vous ne méritez pas de commander.

Lorsqu’un grand hégémonique attaque un État puissant, il fait en sorte qu’il soit impossible à l’ennemi de se concentrer. Il intimide l’ennemi et empêche ses alliés de se joindre à lui. Il s’ensuit que le grand hégémonique ne combat pas des combinaisons puissantes États et ne nourrit pas le pouvoir d’autres États. Il s’appuie pour la réalisation de ses buts sur sa capacité d’intimider ses opposants et ainsi il peut prendre les villes ennemies et renverser État de l’ennemi.

Si vous ne savez pas combiner quatre et cinq tout à la fois, vos troupes ne sauraient aller de pair avec celles des vassaux et des feudataires. Lorsque les vassaux et les feudataires avaient à faire la guerre contre quelque grand prince, ils s’unissaient entre eux, ils tâchaient de troubler tout l’Univers, ils mettaient dans leur parti le plus de monde qu’il leur était possible, ils recherchaient surtout l’amitié de leurs voisins, ils l’achetaient même bien cher s’il le fallait. Ils ne donnaient pas à l’ennemi le temps de se reconnaître, encore moins celui d’avoir recours à ses alliés et de rassembler toutes ses forces, ils l’attaquaient lorsqu’il n’était pas encore en état de défense ; aussi, s’ils faisaient le siège d’une ville, ils s’en rendaient maîtres à coup sûr. S’ils voulaient conquérir une province, elle était à eux ; quelques grands avantages qu’ils se fussent d’abord procurés, ils ne s’endormaient pas, ils ne laissaient jamais leur armée s’amollir par l’oisiveté ou la débauche, ils entretenaient une exacte discipline, ils punissaient sévèrement, quand les cas l’exigeaient, et ils donnaient libéralement des récompenses, lorsque les occasions le demandaient. Outre les lois ordinaires de la guerre, ils en faisaient de particulières, suivant les circonstances des temps et des lieux.

Voulez-vous réussir ? Prenez pour modèle de votre conduite celle que je viens de vous tracer ; regardez votre armée comme un seul homme que vous seriez chargé de conduire, ne lui motivez jamais votre manière d’agir ; faites-lui savoir exactement tous vos avantages, mais cachez-lui avec grand soin jusqu’à la moindre de vos pertes ; faites toutes vos démarches dans le plus grand secret ; placez-les dans une situation périlleuse et elles survivront ; disposez-les sur un terrain de mort et elles vivront, car, lorsque l’armée est placée dans une telle situation, elle peut faire sortir la victoire des revers.

Accordez des récompenses sans vous préoccuper des usages habituels, publiez des ordres sans respect des précédents, ainsi vous pourrez vous servir de l’armée entière comme d’un seul homme.

Éclairez toutes les démarches de l’ennemi, ne manquez pas de prendre les mesures les plus efficaces pour pouvoir vous assurer de la personne de leur général ; faites tuer leur général, car vous ne combattez jamais que contre des rebelles.

Le nœud des opérations militaires dépend de votre faculté de faire semblant de vous conformer aux désirs de votre ennemi.

Ne divisez jamais vos forces ; la concentration vous permet de tuer son général, même à une distance de mille lieues ; là se trouve la capacité d’atteindre votre objet d’une manière ingénieuse.

Lorsque l’ennemi vous offre une opportunité, saisissez-en vite l’avantage ; anticipez-le en vous rendant maître de quelque chose qui lui importe et avancez suivant un plan fixé secrètement.

La doctrine de la guerre consiste à suivre la situation de l’ennemi afin de décider de la bataille.

Dès que votre armée sera hors des frontières, faites-en fermer les avenues, déchirez les instructions qui sont entre vos mains et ne souffrez pas qu’on écrive ou qu’on reçoive des nouvelles ; rompez vos relations avec les ennemis, assemblez votre conseil et exhortez-le à exécuter le plan ; après cela, allez à l’ennemi.

Avant que la campagne soit commencée, soyez comme une jeune fille qui ne sort pas de la maison ; elle s’occupe des affaires du ménage, elle a soin de tout préparer, elle voit tout, elle entend tout, elle fait tout, elle ne se mêle d’aucune affaire en apparence.

La campagne une fois commencée, vous devez avoir la promptitude d’un lièvre qui, se trouvant poursuivi par des chasseurs, tâcherait, par mille détours, de trouver enfin son gîte, pour s’y réfugier en sûreté.

Article XII
De l’art d’attaquer par le feu

Sun Tzu dit : Les différentes manières de combattre par le feu se réduisent à cinq. La première consiste à brûler les hommes ; la deuxième, à brûler les provisions ; la troisième, à brûler les bagages ; la quatrième, à brûler les arsenaux et les magasins ; et la cinquième, à utiliser des projectiles incendiaires.

Avant que d’entreprendre ce genre de combat, il faut avoir tout prévu, il faut avoir reconnu la position des ennemis, il faut s’être mis au fait de tous les chemins par où il pourrait s’échapper ou recevoir du secours, il faut s’être muni des choses nécessaires pour l’exécution du projet, il faut que le temps et les circonstances soient favorables.

Préparez d’abord toutes les matières combustibles dont vous voulez faire usage : dès que vous aurez mis le feu, faites attention à la fumée. Il y a le temps de mettre le feu, il y a le jour de le faire éclater : n’allez pas confondre ces deux choses. Le temps de mettre le feu est celui où tout est tranquille sous le Ciel, où la sérénité paraît devoir être de durée. Le jour de le faire éclater est celui où la lune se trouve sous une des quatre constellations, Qi, Pi, Y, Tchen. Il est rare que le vent ne souffle point alors, et il arrive très souvent qu’il souffle avec force.

Les cinq manières de combattre par le feu demandent de votre part une conduite qui varie suivant les circonstances : ces variations se réduisent à cinq. Je vais les indiquer, afin que vous puissiez les employer dans les occasions.

I. Dès que vous aurez mis le feu, si, après quelque temps, il n’y a aucune rumeur dans le camp des ennemis, si tout est tranquille chez eux, restez vous-même tranquille, n’entreprenez rien ; attaquer imprudemment, c’est chercher à se faire battre. Vous savez que le feu a pris, cela doit vous suffire : en attendant, vous devez supposer qu’il agit sourdement ; ses effets n’en seront que plus funestes. Il est au-dedans ; attendez qu’il éclate et que vous en voyiez des étincelles au-dehors, vous pourrez aller recevoir ceux qui ne chercheront qu’à se sauver.

II. Si peu de temps après avoir mis le feu, vous voyez qu’il s’élève par tourbillons, ne donnez pas aux ennemis le temps de l’éteindre, envoyez des gens pour l’attiser, disposez promptement toutes choses, et courez au combat.

III. Si malgré toutes vos mesures et tous les artifices que vous aurez pu employer, il n’a pas été possible à vos gens de pénétrer dans l’intérieur, et si vous êtes forcé à ne pouvoir mettre le feu que par dehors, observez de quel côté vient le vent ; c’est de ce côté que doit commencer l’incendie ; c’est par le même côté que vous devez attaquer. Dans ces sortes d’occasions, qu’il ne vous arrive jamais de combattre sous le vent.

IV. Si pendant le jour le vent a soufflé sans discontinuer, regardez comme une chose sûre que pendant la nuit il y aura un temps où il cessera ; prenez là-dessus vos précautions et vos arrangements.

V. Un général qui, pour combattre ses ennemis, sait employer le feu toujours à propos est un homme véritablement éclairé. Un général qui sait se servir de l’eau et de l’inondation pour la même fin est un excellent homme. Cependant, il ne faut employer l’eau qu’avec discrétion. Servez-vous-en, à la bonne heure ; mais que ce ne soit que pour gâter les chemins par où les ennemis pourraient s’échapper ou recevoir du secours.

Les différentes manières de combattre par le feu, telles que je viens de les indiquer, sont ordinairement suivies d’une pleine victoire, dont il faut que vous sachiez recueillir les fruits. Le plus considérable de tous, et celui sans lequel vous auriez perdu vos soins et vos peines, est de connaître le mérite de tous ceux qui se seront distingués, c’est de les récompenser en proportion de ce qu’ils auront fait pour la réussite de l’entreprise. Les hommes se conduisent ordinairement par l’intérêt ; si vos troupes ne trouvent dans le service que des peines et des travaux, vous ne les emploierez pas deux fois avec avantage.

La nécessité seule doit faire entreprendre la guerre. Les combats, de quelque nature qu’ils soient, ont toujours quelque chose de funeste pour les vainqueurs eux-mêmes ; il ne faut les livrer que lorsqu’on ne saurait faire la guerre autrement.

Lorsqu’un souverain est animé par la colère ou par la vengeance, qu’il ne lui arrive jamais de lever des troupes. Lorsqu’un général trouve qu’il a dans le cœur les mêmes sentiments, qu’il ne livre jamais de combats. Pour l’un et pour l’autre ce sont des temps nébuleux : qu’ils attendent les jours de sérénité pour se déterminer et pour entreprendre.

S’il y a quelque profit à espérer en vous mettant en mouvement, faites marcher votre armée ; si vous ne prévoyez aucun avantage, tenez-vous en repos ; eussiez-vous les sujets les plus légitimes d’être irrité, vous eût-on provoqué, insulté même, attendez, pour prendre votre parti, que le feu de la colère se soit dissipé et que les sentiments pacifiques s’élèvent en foule dans votre cœur. N’oubliez jamais que votre dessein, en faisant la guerre, doit être de procurer à État la gloire, la splendeur et la paix, et non pas d’y mettre le trouble, la désolation et la confusion.

Ce sont les intérêts du pays et non pas vos intérêts personnels que vous défendez. Vos vertus et vos vices, vos belles qualités et vos défauts rejaillissent également sur ceux que vous représentez. Vos moindres fautes sont toujours de conséquence ; les grandes sont souvent irréparables, et toujours très funestes. Il est difficile de soutenir un royaume que vous aurez mis sur le penchant de sa ruine ; il est impossible de le relever, s’il est une fois détruit : on ne ressuscite pas un mort.

De même qu’un prince sage et éclairé met tous ses soins à bien gouverner, ainsi un général habile n’oublie rien pour former de bonnes troupes, et pour les employer à sauvegarder État et à préserver l’armée.

Article XIII
De la concorde et de la discorde

Sun Tzu dit : Si, ayant sur pied une armée de cent mille hommes, vous devez la conduire jusqu’à la distance de cent lieues, il faut compter qu’au-dehors, comme au-dedans, tout sera en mouvement et en rumeur. Les villes et les villages dont vous aurez tiré les hommes qui composent vos troupes ; les hameaux et les campagnes dont vous aurez tiré vos provisions et tout l’attirail de ceux qui doivent les conduire ; les chemins remplis de gens qui vont et viennent, tout cela ne saurait arriver qu’il n’y ait bien des familles dans la désolation, bien des terres incultes, et bien des dépenses pour État

Sept cent mille familles dépourvues de leurs chefs ou de leurs soutiens se trouvent tout à coup hors d’état de vaquer à leurs travaux ordinaires ; les terres privées d’un pareil nombre de ceux qui les faisaient valoir diminuent, en proportion des soins qu’on leur refuse, la quantité comme la qualité de leurs productions.

Les appointements de tant d’officiers, la paie journalière de tant de soldats et l’entretien de tout le monde creusent peu à peu les greniers et les coffres du prince comme ceux du peuple, et ne sauraient manquer de les épuiser bientôt.

Être plusieurs années à observer ses ennemis, ou à faire la guerre, c’est ne point aimer le peuple, c’est être l’ennemi de son pays ; toutes les dépenses, toutes les peines, tous les travaux et toutes les fatigues de plusieurs années n’aboutissent le plus souvent, pour les vainqueurs eux-mêmes, qu’à une journée de triomphe et de gloire, celle où ils ont vaincu. N’employer pour vaincre que la voie des sièges et des batailles, c’est ignorer également et les devoirs de souverain et ceux de général ; c’est ne pas savoir gouverner ; c’est ne pas savoir servir État

Ainsi, le dessein de faire la guerre une fois formé, les troupes étant déjà sur pied et en état de tout entreprendre, ne dédaignez pas d’employer les artifices.

Commencez par vous mettre au fait de tout ce qui concerne les ennemis ; sachez exactement tous les rapports qu’ils peuvent avoir, leurs liaisons et leurs intérêts réciproques ; n’épargnez pas les grandes sommes d’argent ; n’ayez pas plus de regret à celui que vous ferez passer chez l’étranger, soit pour vous faire des créatures, soit pour vous procurer des connaissances exactes, qu’à celui que vous emploierez pour la paie de ceux qui sont enrôlés sous vos étendards : plus vous dépenserez, plus vous gagnerez ; c’est un argent que vous placez pour en retirer un gros intérêt.

Ayez des espions partout, soyez instruit de tout, ne négligez rien de ce que vous pourrez apprendre ; mais, quand vous aurez appris quelque chose, ne la confiez pas indiscrètement à tous ceux qui vous approchent.

Lorsque vous emploierez quelque artifice, ce n’est pas en invoquant les Esprits, ni en prévoyant à peu près ce qui doit ou peut arriver, que vous le ferez réussir ; c’est uniquement en sachant sûrement, par le rapport fidèle de ceux dont vous vous servirez, la disposition des ennemis, eu égard à ce que vous voulez qu’ils fassent.

Quand un habile général se met en mouvement, l’ennemi est déjà vaincu : quand il combat, il doit faire lui seul plus que toute son armée ensemble ; non pas toutefois par la force de son bras, mais par sa prudence, par sa manière de commander, et surtout par ses ruses. Il faut qu’au premier signal une partie de l’armée ennemie se range de son côté pour combattre sous ses étendards : il faut qu’il soit toujours le maître d’accorder la paix et de l’accorder aux conditions qu’il jugera à propos.

Le grand secret de venir à bout de tout consiste dans l’art de savoir mettre la division à propos ; division dans les villes et les villages, division extérieure, division entre les inférieurs et les supérieurs, division de mort, division de vie.

Ces cinq sortes de divisions ne sont que les branches d’un même tronc. Celui qui sait les mettre en usage est un homme véritablement digne de commander ; c’est le trésor de son souverain et le soutien de l’empire.

J’appelle division dans les villes et les villages celle par laquelle on trouve le moyen de détacher du parti ennemi les habitants des villes et des villages qui sont de sa domination, et de se les attacher de manière à pouvoir s’en servir sûrement dans le besoin.

J’appelle division extérieure celle par laquelle on trouve le moyen d’avoir à son service les officiers qui servent actuellement dans l’armée ennemie.

Par la division entre les inférieurs et les supérieurs, j’entends celle qui nous met en état de profiter de la mésintelligence que nous aurons su mettre entre alliés, entre les différents corps, ou entre les officiers de divers grades qui composent l’armée que nous aurons à combattre.

La division de mort est celle par laquelle, après avoir fait donner de faux avis sur l’état où nous nous trouvons, nous faisons courir des bruits tendancieux, lesquels nous faisons passer jusqu’à la cour de son souverain, qui, les croyant vrais, se conduit en conséquence envers ses généraux et tous les officiers qui sont actuellement à son service.

La division de vie est celle par laquelle on répand l’argent à pleines mains envers tous ceux qui, ayant quitté le service de leur légitime maître, ont passé de votre côté, ou pour combattre sous vos étendards, ou pour vous rendre d’autres services non moins essentiels.

Si vous avez su vous faire des créatures dans les villes et les villages des ennemis, vous ne manquerez pas d’y avoir bientôt quantité de gens qui vous seront entièrement dévoués. Vous saurez par leur moyen les dispositions du grand nombre des leurs à votre égard, ils vous suggéreront la manière et les moyens que vous devez employer pour gagner ceux de leurs compatriotes dont vous aurez le plus à craindre ; et quand le temps de faire des sièges sera venu, vous pourrez faire des conquêtes, sans être obligé de monter à l’assaut, sans coup férir, sans même tirer l’épée.

Si les ennemis qui sont actuellement occupés à vous faire la guerre ont à leur service des officiers qui ne sont pas d’accord entre eux ; si de mutuels soupçons, de petites jalousies, des intérêts personnels les tiennent divisés, vous trouverez aisément les moyens d’en détacher une partie, car quelque vertueux qu’ils puissent être d’ailleurs, quelque dévoués qu’ils soient à leur souverain, l’appât de la vengeance, celui des richesses ou des postes éminents que vous leur promettez, suffiront amplement pour les gagner ; et quand une fois ces passions seront allumées dans leur cœur, il n’est rien qu’ils ne tenteront pour les satisfaire.

Si les différents corps qui composent l’armée des ennemis ne se soutiennent pas entre eux, s’ils sont occupés à s’observer mutuellement, s’ils cherchent réciproquement à se nuire, il vous sera aisé d’entretenir leur mésintelligence, de fomenter leurs divisions ; vous les détruirez peu à peu les uns par les autres, sans qu’il soit besoin qu’aucun d’eux se déclare ouvertement pour votre parti ; tous vous serviront sans le vouloir, même sans le savoir.

Si vous avez fait courir des bruits, tant pour persuader ce que vous voulez qu’on croie de vous, que sur les fausses démarches que vous supposerez avoir été faites par les généraux ennemis ; si vous avez fait passer de faux avis jusqu’à la cour et au conseil même du prince contre les intérêts duquel vous avez à combattre ; si vous avez su faire douter des bonnes intentions de ceux mêmes dont la fidélité à leur prince vous sera la plus connue, bientôt vous verrez que chez les ennemis les soupçons ont pris la place de la confiance, que les récompenses ont été substituées aux châtiments et les châtiments aux récompenses, que les plus légers indices tiendront lieu des preuves les plus convaincantes pour faire périr quiconque sera soupçonné.

Alors les meilleurs officiers, leurs ministres les plus éclairés se dégoûteront, leur zèle se ralentira ; et se voyant sans espérance d’un meilleur sort, ils se réfugieront chez vous pour se délivrer des justes craintes dont ils étaient perpétuellement agités, et pour mettre leurs jours à couvert.

Leurs parents, leurs alliés ou leurs amis seront accusés, recherchés, mis à mort. Les complots se formeront, l’ambition se réveillera, ce ne seront plus que perfidies, que cruelles exécutions, que désordres, que révoltes de tous côtés.

Que vous restera-t-il à faire pour vous rendre maître d’un pays dont les peuples voudraient déjà vous voir en possession ?

Si vous récompensez ceux qui se seront donnés à vous pour se délivrer des justes craintes dont ils étaient perpétuellement agités, et pour mettre leurs jours à couvert ; si vous leur donnez de l’emploi, leurs parents, leurs alliés, leur amis seront autant de sujets que vous acquerrez à votre prince.

Si vous répandez l’argent à pleines mains, si vous traitez bien tout le monde, si vous empêchez que vos soldats ne fassent le moindre dégât dans les endroits par où ils passeront, si les peuples vaincus ne souffrent aucun dommage, assurez-vous qu’ils sont déjà gagnés, et que le bien qu’ils diront de vous attirera plus de sujets à votre maître et plus de villes sous sa domination que les plus brillantes victoires.

Soyez vigilant et éclairé ; mais montrez à l’extérieur beaucoup de sécurité, de simplicité et même d’indifférence ; soyez toujours sur vos gardes, quoique vous paraissiez ne penser à rien ; défiez-vous de tout, quoique vous paraissiez sans défiance ; soyez extrêmement secret, quoiqu’il paraisse que vous ne fassiez rien qu’à découvert ; ayez des espions partout ; au lieu de paroles, servez-vous de signaux ; voyez par la bouche, parlez par les yeux ; cela n’est pas aisé, cela est très difficile. On est quelquefois trompé lorsqu’on croit tromper les autres. Il n’y a qu’un homme d’une prudence consommée, qu’un homme extrêmement éclairé, qu’un sage du premier ordre qui puisse employer à propos et avec succès l’artifice des divisions. Si vous n’êtes point tel, vous devez y renoncer ; l’usage que vous en feriez ne tournerait qu’à votre détriment.

Après avoir enfanté quelque projet, si vous apprenez que votre secret a transpiré, faites mourir sans rémission tant ceux qui l’auront divulgué que ceux à la connaissance desquels il sera parvenu. Ceux-ci ne sont point coupables encore à la vérité, mais ils pourraient le devenir. Leur mort sauvera la vie à quelques milliers d’hommes et assurera la fidélité d’un plus grand nombre encore.

Punissez sévèrement, récompensez avec largesse : multipliez les espions, ayez-en partout, dans le propre palais du prince ennemi, dans l’hôtel de ses ministres, sous les tentes de ses généraux ; ayez une liste des principaux officiers qui sont à son service ; sachez leurs noms, leurs surnoms, le nombre de leurs enfants, de leurs parents, de leurs amis, de leurs domestiques ; que rien ne se passe chez eux que vous n’en soyez instruit.

Vous aurez vos espions partout : vous devez supposer que l’ennemi aura aussi les siens. Si vous venez à les découvrir, gardez-vous bien de les faire mettre à mort ; leurs jours doivent vous être infiniment précieux. Les espions des ennemis vous serviront efficacement, si vous mesurez tellement vos démarches, vos paroles et toutes vos actions, qu’ils ne puissent jamais donner que de faux avis à ceux qui les ont envoyés.

Enfin, un bon général doit tirer parti de tout ; il ne doit être surpris de rien, quoi que ce soit qui puisse arriver. Mais par-dessus tout, et de préférence à tout, il doit mettre en pratique ces cinq sortes de divisions. Rien n’est impossible à qui sait s’en servir.

Défendre les États de son souverain, les agrandir, faire chaque jour de nouvelles conquêtes, exterminer les ennemis, fonder même de nouvelles dynasties, tout cela peut n’être que l’effet des dissensions employées à propos.

Telle fut la voie qui permit l’avènement des dynasties Yin et Tcheou, lorsque des serviteurs transfuges contribuèrent à leur élévation.

Quel est celui de nos livres qui ne fait l’éloge de ces grands ministres ! L’Histoire leur a-t-elle jamais donné les noms de traîtres à leur patrie, ou de rebelles à leur souverain ? Seul le prince éclairé et le digne général peuvent gagner à leur service les esprits les plus pénétrants et accomplir de vastes desseins.

Une armée sans agents secrets est un homme sans yeux ni oreilles.





LETTRE OUVERTE sur les vaccins contre la Covid-19, à Monsieur Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier de Cholet

[Source : ctiapchcholet.blogspot.com]

[photo : Pierre Vollot, directeur du centre hospitalier de Cholet. | ARCHIVES CO – ÉTIENNE LIZAMBARD]

il est vain et illusoire de vouloir tenter de supprimer les preuves susceptibles d’être utiles pour les juges

Par Docteur Amine UMLIL

Cholet, le 15 janvier 2022

Monsieur Pierre VOLLOT,
Directeur
Centre hospitalier de Cholet

Copie adressée à notamment :

  • Monsieur le Président de la République, Emmanuel MACRON ;
  • Monsieur le Premier ministre, Jean CASTEX ;
  • Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé, Olivier VÉRAN ;
  • l’Assemblée nationale ;
  • [au] Sénat ;
  • la haute autorité de santé (HAS) ;
  • l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) ;
  • [au] Réseau français des 31 centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) ;
  • [au] Collège national des [médecins] Généralistes enseignants (CNGE) ;
  • l’Ordre national des pharmaciens ;
  • l’Ordre des médecins ;
  • l’Agence régionale de santé (ARS) des pays-de-la-Loire ;
  • la Présidente de la Région des Pays-de-la-Loire, Madame Christelle MORANÇAIS ;
  • [au] Groupement hospitalier de territoire de Maine-et-Loire (GHT49) ;
  • [au] Président du Conseil de surveillance du centre hospitalier de Cholet, Maire de Cholet, Président de l’agglomération du choletais, Député honoraire, Monsieur Gilles BOURDOULEIX ;
  • la Presse.

Par la présente, j’accuse réception de votre nouvelle (nième) lettre recommandée avec avis de réception (LRAR) en date du 11 janvier 2022 par laquelle vous me mettez, à nouveau, « en demeure, immédiatement, de : Mettre hors ligne » le présent site (blog) du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet « pour rendre sa consultation impossible par les utilisateurs d’internet ». À nouveau, vous me demandez aussi de vous transmettre « les codes d’accès et d’administration » de ce site afin que vous puissiez supprimer les articles qui informent les professionnels de santé et le public sur le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19 ; les articles qui vous gênent en somme.

Votre prétention est particulièrement osée eu égard d’une part à vos déclarations publiques, ainsi qu’auprès du centre national de gestion (CNG), qualifiant ce site de « blog personnel » (cliquer ici) ; et d’autre part au contenu de votre plainte (et celle de votre directeur adjoint, Monsieur Eric MOREAU) pour « Injure publique ».

Dans vos accusations figurant dans votre nouvelle prose du 11 janvier 2022, je suis ʺsurprisʺ de ne pas vous voir aussi imputer au CTIAP ce qui est arrivé à la Présidente de la commission médicale d’établissement (CME) qui a, selon la presse, « porté plainte (…) pour faux, usage de faux et séquestration » (cliquer ici et ici); les démissions soudaines et groupées des membres de cette CME ; les conditions de travail en psychiatrie notamment révélées dans la presse depuis plusieurs semaines ; ce que des articles de presse viennent de révéler ce même 11 janvier 2022 (date de votre LRAR) : « Cholet. Un employé de l’hypermarché E. Leclerc poignardé par un patient ayant fui l’hôpital » ; ce que la presse a aussi révélé sur la « garde à vue » du Maire de Cholet ce même 11 janvier 2022 ; etc.

À nouveau, votre lettre appelle de ma part les rectifications et observations, non exhaustives, qui suivent.

En effet, vous écrivez :

« Docteur,

À ce jour, vous n’avez toujours pas tenu compte des précédents courriers (2021-071 / 2021-084) adressés par le Centre hospitalier de Cholet vous mettant en demeure de cesser la publication de vos articles sur le Blog du CTIAP du Centre hospitalier.

Cela est inacceptable. »

Ma réponse : Or, en réalité, ces deux précédents courriers, datés du mois de septembre 2021, m’ont été adressés par vous-même (et vous n’êtes pas le Centre hospitalier de Cholet) durant ma suspension de mes fonctions (dans le cadre de l’obligation vaccinale contre la Covid-19) que vous avez prononcée à mon encontre avec interruption immédiate de ma rémunération et interdiction de toute autre activité rémunérée ; et sans même répondre à mes questions formulées à votre demande. Et comme je ne suis pas votre vassal, je n’ai vu en plus aucun argument objectif, sérieux et vérifiable qui justifie votre demande. D’ailleurs, vous n’avez pas donné suite à vos deux précédentes mises en demeure.

Vous soutenez : 

« Outre vos propos particulièrement irrespectueux à l’encontre de la direction de l’établissement et de la politique du gouvernement, vous publiez désormais des articles critiques à l’encontre de l’établissement qui ne correspondent pas davantage à de la pharmacovigilance. Il ne s’agit plus que d’articles où vous avancez votre avis personnel, sans références scientifiques ou appareils critiques adaptés.

Le Centre hospitalier de Cholet vous rappelle à nouveau que le CTIAP de l’établissement n’a aucune visée politique, journalistique ou polémique.

Manifestement, les articles du blog du CTIAP de Cholet ne correspondent absolument pas à la communication définie pour le CTIAP et ont un contenu désobligeant, polémique et très défavorable pour l’image du Centre hospitalier.

Spécialement, il n’est pas acceptable de relater votre différend avec le Centre hospitalier ni le critiquer, sur un blog censé traiter de pharmacovigilance. »

Ma réponse : Or, en réalité, le site du CTIAP n’est pas censé traiter uniquement de pharmacovigilance. Il suffit de relire la mission affichée du CTIAP et de relire les articles publiés depuis 2015.

Vos accusations ne mentionnent aucun fait précis et votre prose se contente de livrer vos sentiments dans le but de nourrir une appréciation d’ordre général.

Je vous rappelle que c’est vous qui avez en premier attaqué, publiquement, le CTIAP via les réseaux sociaux et par voie de presse ; dès que le CTIAP a commencé à rendre visible au public les données publiées par les autorités ad hoc concernant les incertitudes sur la composition et le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19.

Mes domaines de compétence, dans lesquels vous vous êtes introduit de façon brutale, autorisent la critique des données et des pratiques. Une telle critique relève du débat public, contradictoire et utile.

Ce sont les pratiques déviantes, révélées notamment par différents rapports établis par les corps d’inspection et dont certains sont repris par la presse, qui portent atteinte à l’image du centre hospitalier de Cholet. Tout comme le turn-over incessant des praticiens.

D’ailleurs dans votre plainte, vous soutenez : « Il est possible de critiquer la politique sanitaire du gouvernement ». Mais, vous n’êtes plus à une contradiction près.

Le CTIAP ne fait pas de la « communication ». Il propose des analyses concernant le domaine complexe du médicament et de son environnement.

Je note que mes « propos » ne seraient plus « injurieux »… Ils deviendraient « désobligeants »… Et le respect commence par l’expression d’un parler vrai.

Vous affirmez : 

« Il n’est spécialement pas acceptable dans vos publications :

–    De faire état d’un « mésusage d’un médicament » sans preuves scientifiques à l’appui de votre opinion » 

en ajoutant le lien vers l’article du CTIAP, en date du 30 décembre 2021, qui s’intéresse à la troisième dose du vaccin contre la Covid-19.

Ma réponse : Or, en réalité, cet article confronte les recommandations des autorités officielles et leurs médias aux données de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) des vaccins contre la Covid-19 et notamment du vaccin des laboratoires BioNTech/Pfizer. L’on déduit donc que, selon vous, l’AMM serait « mon opinion » et ne ferait pas partie desdites « preuves scientifiques ». Mais, vous êtes juste un directeur administratif qui s’aventure, de façon imprudente, dans le domaine scientifique.

Les lecteurs sont invités à relire l’article, que vous contestez, publié sous le titre « Vaccins contre la Covid-19 : l’année 2021 s’achève par un nouveau « mésusage » promu par les autorités officielles et leurs médias ».

Vous affirmez : 

« Il n’est spécialement pas acceptable dans vos publications :

–    D’accuser le Centre hospitalier de Cholet d’un prétendu « comportement déviant », de mal interpréter un rapport de la Chambre régionale des comptes (et non de la Cour des comptes), ce qui ne rentre pas dans vos fonctions, ne concerne aucunement le sujet de la pharmacovigilance, et porte atteinte à l’image de l’établissement et de son personnel » 

en joutant le lien vers l’article du CTIAP en date du 23 décembre 2021.

Ma réponse : Or, en réalité, la Chambre régionale des comptes (dont le site indique également Cour des comptes) publie elle-même ceci : « l’établissement offre un environnement favorable aux comportements déviants ». Elle a relayé son rapport sur notamment le réseau social Twitter. Ce rapport a été repris par la presse. Et le CTIAP a précisé notamment ceci : « Ces comportements défectueux de quelques individus ne peuvent que porter atteinte à l’image du centre hospitalier de Cholet ». Et lorsque la presse indique « L’hôpital droit dans ses bottes », le CTIAP précise de façon générale que « l’hôpital n’est pas responsable des pratiques déviantes d’un directeur administratif notamment ». Il n’y a pas lieu de confondre une personne, auteur de faits fautifs et répréhensibles, avec la fonction et/ou avec la structure qui accueille cette personne.

Par ailleurs, vous vous autorisez à dénigrer publiquement, de façon injustifiée et à plusieurs reprises, les travaux du CTIAP qui sont pourtant inaccessibles à vos compétences et à votre fonction ; et vous seriez ensuite surpris de voir le CTIAP s’intéresser à vos propres pratiques déjà révélées par la Cour des comptes et de la presse ?

Selon vous, les Magistrats de la Chambre régionale des comptes raconteraient n’importe quoi (cf. les déclarations que la presse a mises dans votre propre bouche) et le CTIAP interprèterait mal le rapport de la Cour alors qu’il n’a fait que recopier ce que ces Magistrats ont retenu de façon définitive.

Les lecteurs sont invités à relire l’article, que vous contestez, publié sous le titre « Hôpital public de Cholet : « l’établissement offre un environnement favorable aux comportements déviants » (Cour des comptes, 13 décembre 2021) ».

Et vous semblez venir au secours des « 119 médecins [et quelques pharmaciens] choletais » qui ont réagi, par voie de presse, à l’étude sur les effets indésirables initiée par d’autres médecins et à laquelle le CTIAP apporte son aide. En effet, vous affirmez :

« Il n’est spécialement pas acceptable dans vos publications :

–    De présenter, prétendument au nom du Centre hospitalier de Cholet, une réponse polémique à une tribune dans la presse par des médecins et pharmaciens en faveur du vaccin contre la covid19 » 

en ajoutant le lien vers l’article du CTIAP en date du 20 décembre 2021.

Ma réponse : Or là encore, en réalité, cette réponse circonstanciée du CTIAP est fondée sur les données de ladite AMM notamment. Elle précise : « Il sera ainsi répondu point par point à ces affirmations en se référant à des documents officiels publiés par les autorités ad hoc tels que le RCP (résumé des caractéristiques du produit) constituant l’annexe I de l’AMM (autorisation de mise sur le marché) « conditionnelle » ; et en convoquant des dispositions légales (loi au sens large) consacrant les caractères de l’information qui doit être dispensée à toute personne humaine pour permettre à celle-ci de donner son consentement de façon libre et éclairée. Des extraits de rapports établis par l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) seront rappelés. (…) ».

Selon vous, ces références indépendantes et réglementaires en tout premier lieu ainsi que l’AMM relèveraient de la « polémique ».

On dirait que ces « 119 médecins [et quelques pharmaciens] choletais » seraient venus à votre secours suite à votre attaque, par voie de presse, ciblant ladite étude sur les effets indésirables (pharmacovigilance donc) ; et maintenant, à votre tour, vous semblez venir à leur secours… eu égard à cette réponse circonstanciée du CTIAP qui semble les avoir mis en difficulté d’autant plus que leurs noms sont désormais gravés dans leur propre tribune.

Les lecteurs sont invités à relire cette réponse du CTIAP publiée sous le titre « LETTRE OUVERTE. Vaccins contre la Covid-19 : Réponse circonstanciée du CTIAP du centre hospitalier de Cholet aux « 119 médecins [et quelques pharmaciens] choletais » ».

Dans une tribune publiée le 8 janvier 2022 dans Le Figaro, il est possible de lire ce que constate un médecin en santé publique et épidémiologiste, Madame Alice DESBIOLLES : « Vaccins : « Une partie du corps médical a quitté la déontologie et l’éthique pour sombrer dans la morale » ».

Vous poursuivez en affirmant : 

« Il n’est spécialement pas acceptable dans vos publications :

–    D’interpeller vivement un médecin choletais extérieur à l’établissement et de lui proposer un « débat télévisé en direct » 

en ajoutant le lien vers l’article du CTIAP en date du 14 décembre 2021.

Ma réponse : Or là encore, en réalité, c’est ce médecin qui a interpelé, par voie de presse, le CTIAP. Il est aussi à l’origine de ladite tribune des 119 médecins (et quelques pharmaciens) choletais susmentionnée. Il a déjà exercé à l’hôpital de Cholet. Il est aussi un homme politique de dimension locale (choletaise). Et la proposition dudit débat public en direct date du mois de mars 2021 suite aux propos imputés, par la presse, à ce médecin ; des propos me ciblant directement (cliquer ici).

L’on voit bien que vous prenez toujours la défense des détracteurs du CTIAP ; y compris ceux anonymes qui attaquent le CTIAP via les réseaux sociaux. Vous semblez avoir saisi la mauvaise branche.

Vous continuez vos accusations en affirmant : 

« Ces articles, en plus de ne rien avoir à faire sur un blog du Centre hospitalier de Cholet consacré à la pharmacovigilance nuisent gravement à l’image et à la réputation de l’établissement et à ses relations avec les professionnels de santé choletais. Ils génèrent une ambiance délétère au sein de l’établissement et sont susceptibles de nuire à vos collègues du Centre hospitalier mais également aux patients qui pourraient penser que le Centre hospitalier soutient, sans réserve, vos propos désobligeant et partiaux, relatés sur le blog du CTIAP ».

Ma réponse : Or, en réalité, ces articles révèlent au public lesdits comportements déviants observés depuis le début de la vaccination contre la Covid-19, et notamment au sein du centre hospitalier de Cholet. Ce sont vos propres pratiques qui nuisent gravement à l’image et à la réputation de l’hôpital public de Cholet. Ce sont vos méthodes brutales qui génèrent une ambiance délétère au sein de l’établissement et sont de nature à porter atteinte à l’efficience des soins (qualité, sécurité, coût) dispensés aux patients.

Dans vos accusations figurant dans votre nouvelle prose, et comme je vous le disais plus haut, je suis ʺsurprisʺ de ne pas vous voir aussi imputer au CTIAP ce qui est arrivé à la Présidente de la commission médicale d’établissement (CME) qui a, selon la presse, « porté plainte (…) pour faux, usage de faux et séquestration » (cliquer ici et ici) ; les démissions soudaines et groupées des membres de cette CME ; les conditions de travail en psychiatrie notamment révélées dans la presse depuis plusieurs semaines ; ce que des articles de presse viennent de révéler ce même 11 janvier 2022 (date de votre LRAR) : « Cholet. Un employé de l’hypermarché E. Leclerc poignardé par un patient ayant fui l’hôpital » ; ce que la presse a aussi révélé sur la « garde à vue » du Maire de Cholet ce même 11 janvier 2022 ; etc.

C’est sur la base de cette nouvelle argumentation paralogique, qu’un psychiatre pourrait qualifier de « Projection », que vous me demandez : 

« Ainsi, je vous rappelle que vous n’avez pas respecté la décision du Centre Hospitalier de Cholet [en réalité la vôtre, votre désir], de mettre le blog hors ligne et surtout le rendre inaccessible immédiatement.

En conséquence, je vous mets en demeure, immédiatement, de :

–    Mettre hors ligne le blog (…) [cliquer ici] pour rendre sa consultation impossible par les utilisateurs d’internet,
–    Remettre à la direction de la communication est [et] au service informatique les codes d’accès et d’administration du blog (…) [cliquer ici] et les informations techniques utiles pour son administration au nom du Centre hospitalier,
–    Remettre à la direction de la communication et au service informatique la liste et le contenu des articles informatifs relatifs au mésusage du médicament répondant à la mission du CTIAP.

Je vous remercie des suites favorables que vous donnerez à cette décision.

A toutes fins utiles, je vous rappelle que conformément à la réglementation applicable, vous disposez d’un délai de deux mois à compter de la réception de la présente décision valant mise en demeure pour porter le contentieux devant la juridiction compétente.

Je vous prie de croire, Docteur, en l’expression de mes salutations distinguées.

Le directeur,

Pierre VOLLOT »

Ma réponse : Or, en réalité, votre démarche semble suivre un seul but : tenter de supprimer des preuves vérifiables qui sont susceptibles d’être utiles pour les juges notamment lors des nombreux procès qui semblent se profiler à l’horizon et notamment devant les juridictions pénales.

D’ailleurs, je vous rappelle que vous, ainsi que votre directeur adjoint (Monsieur Eric MOREAU), m’avez délivré une « CITATION DIRECTE DEVANT LE TRIBUNAL CORRECTIONNEL » au mois de novembre 2021.

N.B. : Tribunal judiciaire (correctionnel) ; audience du 6 décembre 2021, 14h : votre absence, celle de votre directeur adjoint, ainsi que celle de vos avocats désignés, remarquées par le Tribunal

Le 6 décembre 2021, je me suis rendu au tribunal conformément à votre citation pour « Injure publique ». Or, le tribunal a relevé votre absence, celle de votre directeur adjoint (Monsieur Eric MOREAU) ainsi que celles de vos deux avocats désignés dans votre citation. Pourtant, vous étiez les principaux concernés par cette première audience. La situation a été telle que le tribunal pensait que j’étais l’auteur de cette procédure… Mais, rassurez-vous, j’ai rectifié en précisant que j’étais le « prévenu »

Ma plainte pénale contre X, elle, est entre les mains du Procureur de la République bien avant votre citation directe. Son contenu est d’une toute autre dimension.

Il est surprenant de vous voir me demander la suppression du blog du CTIAP alors qu’il est le sujet de votre propre plainte.

Plusieurs juristes ainsi que des personnes touchées par des effets indésirables graves et des familles de personnes décédées suite à l’administration de ces vaccins contre la Covid-19 (et sans présumer de la certitude du lien de causalité), notamment, se sont appropriés le contenu du CTIAP.

Il est donc vain et illusoire de continuer de m’envoyer, notamment à mon domicile, vos lettres recommandées avec avis de réception (LRAR) qui ne font, encore une fois, que gaspiller les deniers publics.

Vous ne tenez même pas compte des très nombreuses lettres de satisfaction envers le CTIAP que vous avez vous-mêmes reçues de la part de plusieurs personnes. Vous méprisez aussi les interrogations des représentants des usagers (cliquer ici).

En réalité, ce même 11 janvier 2022 (date de votre LRAR), je vous ai adressé un e-mail important. Comme vous le savez, la liste des destinataires de cet e-mail comprend également d’autres personnes exerçant au centre hospitalier de Cholet : les médecins, les pharmaciens, les sage-femmes, les internes, votre secrétariat, l’équipe de direction, les cadres, les infirmiers, les syndicats.

Mon e-mail du même 11 janvier 2022 (date de votre LRAR)

Cet e-mail vous aurait sans doute dessiné le chemin qui semble se profiler vers la manifestation de la vérité. Il vous aurait peut-être fait sentir la fragilité de la branche que vous avez décidé de saisir, à plusieurs… Je vous écrivais ceci :

« Bonjour,

Pour information :

1)  « [Covid-19] Les mesures qui n’ont aucune base scientifique ni efficacité prouvée et qui sont, de plus, attentatoires aux libertés et pénalisantes pour la vie économique, sociale et familiale ne doivent plus être proposées… » (Jean LEONETTI, le 9 janvier 2022) ;

2)  « Pr Éric CAUMES : ʺClairement, ce n’est pas un très bon vaccin [contre la Covid-19]. Surtout il est éphémère, ce n’est pas une durée de protection qui est en année ni en mois.ʺ (LCI, le 8 janvier 2022) ;

 3)  N.B. : J’éviterais de vous relayer la qualification utilisée par le professeur Jean-Michel CLAVERIE sur CNEWS concernant les vaccins contre la Covid-19, ainsi que les tribunes publiées par plusieurs juristes notamment dans Le Figaro.

 4)  Rappel : Note d’Alerte du Conseil scientifique du 20 août 2021 (cf. article du CTIAP du 11 septembre 2021) : cliquer ici

 5)  Etc. (cf. notamment les analyses du CTIAP).

Bien cordialement,

 Docteur Amine UMLIL

(…) »

Ledit Professeur Jean-Michel CLAVERIE qualifie publiquement ce vaccin ainsi : « Ce vaccin est une escroquerie ».

Depuis mon e-mail du 11 janvier 2022, la vérité semble encore davantage en marche.

Ce 11 janvier 2022, la presse française notamment publie la nouvelle position de l’OMS (organisation mondiale de la santé) et de l’EMA (agence européenne du médicament) sur la vaccination contre la Covid-19. Par exemple, Franceinfo avec AFP (agence France presse) publie un article intitulé « Covid-19 : combattre la pandémie à coups de doses de rappel n’est pas une stratégie viable, estime l’OMS ». Cet article précise : 

« L’agence de l’ONU juge qu’il faut désormais développer des vaccins ayant un impact sur la transmission et la prévention de l’infection ».

Le 12 janvier 2022, au sein du Parlement du Luxembourg, le prix Nobel français, Monsieur le Professeur Luc MONTAGNIER, soutient publiquement : « Ces vaccins sont des poisons ».

Suite à mon e-mail du 11 janvier 2022, vous auriez sans doute réalisé votre contribution très active, et infondée, visant à saboter le travail du CTIAP ; et donc à empêcher l’information des professionnels de santé et du public sur la réalité du rapport bénéfice/risque des vaccins expérimentaux contre la Covid-19 (essais cliniques toujours en cours). Vous avez utilisé le dol et la violence pour tenter d’atteindre votre but : relayer le discours officiel et rien que ce discours malgré ses incohérences et incertitudes. Vous ne supportez pas le débat public, contradictoire et utile. Vous croyez disposer des compétences nécessaires pour contester mes travaux. Pourtant, il vous suffit de mettre votre Curriculum vitae (C.V.), que je ne connais pas, face au mien pour pouvoir, peut-être, voir jaillir votre incompétence et votre mauvaise foi. Et surtout, vos méthodes surannées pourraient être qualifiées de dangereuses pour les patients et nocives pour le centre hospitalier de Cholet ainsi que pour ses praticiens.

Il y aurait comme un décalage, et c’est peu dire, entre les prérogatives de votre respectable fonction et votre comportement. Et l’on a pu voir ce qui est arrivé à ladite Présidente de la CME qui aurait osé vous opposer une résistance (cliquer ici et ici)…

Vos pratiques personnelles, votre rapport au pouvoir, interrogent. Ils offriraient un vrai laboratoire de tout ce qu’il ne faudrait pas faire dans un hôpital public.

À l’avenir, je vous demande donc de bien vouloir cesser de m’adresser ce type de lettre dont le contenu me contraint à la classer, comme certains de vos précédents courriers, dans la rubrique « petites frappes » : sans intérêt.

À l’inverse, je vous invite à vous souvenir de comment les différents corps d’inspection qualifient mes travaux (inspection régionale de la pharmacie, service régional de la police judiciaire (SRPJ), inspection générale des affaires sociales (IGAS) lors d’une enquête pénale diligentée suite au décès d’un enfant, médecin inspecteur régional du travail, Ordre national des pharmaciens, agence nationale d’accréditation et d’évaluation en santé (ANAES), haute autorité de santé (HAS), etc.). L’exemple suivant pourrait aider à rafraîchir votre mémoire ainsi que celle de la petite bande locale :

« Conflit avec la hiérarchie et l’institution portant sur des valeurs éthiques. » ;

« (…) Du côté travail, alors même qu’il est certain que son caractère rigoureuxles valeurs d’honnêteté et de droiture sur lesquelles Monsieur UMLIL est construit, l’ont amené à se trouver en décalage au niveau des exigences dans le travail par rapport à l’institution et le chef de service (…). ».

Le 8 janvier 2022, lors de son audition, le Professeur Michaël PEYROMAURE déclare « On est arrivé à un stade où nous ne sommes non seulement plus considérés par notre hiérarchie administrative, mais même plus écoutés. C’est-à-dire que les directives tombent, parfois un simple mail, parfois par un courrier, de temps à autre à l’occasion d’une réunion collective on n’a pas forcément été prévenus. Et lorsqu’on tente d’opposer une résistance à ce que l’on considère comme étant un projet néfaste pour les patients, et bien l’administration sait comment s’y prendre parce qu’elle s’entoure très souvent de collègues malheureusement et là je voudrais mettre le doigt aussi sur une faille du système qu’on a créée de collègues qui hélas prennent le parti de l’administration pour vous acculer et vous forcer à l’obéissance. Notre système est totalement déshumanisé. Il est caporalisé. Il est soviétisé. Et je dirais même que la fuite de personnels qu’on a aujourd’hui, la démission des médecins est liée davantage encore à ce problème qualitatif de perte de sens qu’au problème quantitatif de perte des moyens. Nous avons l’habitude de travailler avec peu de moyens mais en revanche nous ne pouvons plus supporter d’être traités de cette manière. » Ce qui rappelle ma réflexion qui a été publiée, le 22 mai 2020, dans le journal Le Point sous le titre « TRIBUNE. L’hôpital public a besoin d’un choc structurel ».

Vous persistez à vouloir violer mon indépendance professionnelle dont le dispositif légal ainsi que les écritures de l’Ordre national des pharmaciens vous ont été pourtant rappelés à plusieurs reprises. Alors, je vous adresse une récente confirmation émanant de l’Ordre national des pharmaciens. Dans un document qui m’a été adressé en décembre 2021, je peux lire :

« DÉFENDRE L’HONNEUR ET L’INDÉPENDANCE DE LA PROFESSION

L’indépendance du pharmacien doit être pleine et entière, sans pression de la part de tiers. »

En l’espèce, ledit tiers c’est vous. Et vous n’avez aucune chance de me réduire à une position d’isotèle, d’esclave…

En réalité, la Covid-19 n’a fait que dévoiler au public ce qui se passe dans notamment l’hôpital public français, et en particulier celui de Cholet, depuis de nombreuses années ; depuis au moins 2005. Il suffit de vous souvenir de ma première alerte qui avait été adressée, en 2007, au Procureur Général concernant les dysfonctionnements évitables du circuit du médicament.

Vous auriez pu soutenir le CTIAP lors de la tempête. Vous avez fait un autre choix. Et surtout, vous persistez dans votre attitude. Les faits sont têtus. Les choses sont désormais écrites.

Les quelques soi-disant ʺjournalistesʺ, qui vous ont aidé dans votre entreprise de harcèlement notamment à l’encontre du CTIAP et de son pharmacien responsable, auront aussi à rendre des comptes le moment venu. Et surtout, parce qu’ils ont contribué à vicier le consentement libre et éclairé des gens : à tromper ces personnes humaines ; à porter atteinte à la dignité de la personne humaine.

Par conséquent, il est donc vain et illusoire de vouloir tenter de supprimer les preuves contenues dans le site (blog) du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet et concernant les vaccins contre la Covid-19.

D’ailleurs, le 13 janvier 2022, le CTIAP était parmi les intervenants lors d’une Conférence organisée à Niort.

« L’heure est grave. Faut-il expliquer ce qu’il advient d’une société où le droit n’est plus légitime ? ». C’est par cette question que se termine l’analyse d’un Professeur de droit à Paris I : Muriel FABRE-MAGNAN. Sa réflexion est publiée, le 21 décembre 2021, dans Le Figaro sous le titre « L’État de droit est-il malade du Covid-19 ? ». Ce Professeur alerte : « Notre démocratie n’est pas un acquis irréversible. Elle est faite du respect de règles ou, comme le dit Olivier JOUANJAN dans son magistral dernier livre (Justifier l’injustifiable. L’ordre du discours juridique nazi, PUF, 2017), d’un minimum de formes ». Ce Professeur de droit constate :

« Ce ʺdeux poids deux mesuresʺ se paye.
L’absurdité des mesures privatives de libertés et la manipulation des règles punitives et vexatoires se payent.
L’instauration d’une mise à l’index des non vaccinés et d’une division entre les citoyens se paye.
Les atteintes à la liberté, la démission de nos juridictions supérieures face aux abus de pouvoirs, la pérennisation de l’état d’exception se payent aussi.
Le prix de tout cela est même en réalité très cher : la délégitimation du droit et de nos institutions. »

Ce Professeur de droit ajoute : « Ceux qui nous gouvernent portent une très lourde responsabilité ». Elle poursuit : 

« Nul ne peut apporter aux droits des personnes et aux libertés fondamentales des restrictions qui ne seraient pas tout à la fois justifiées et proportionnées par rapport au but recherché. Or, depuis le début de la pandémie, les atteintes aux libertés ont été au contraire marquées par la démesure et la disproportion. »

Concernant le projet de transformation du « passe sanitaire » en « passe vaccinal », ce Professeur de droit considère : « Les plus hautes juridictions de notre pays se déshonoreraient à ne pas s’opposer fermement à une atteinte aussi patente au principe de proportionnalité ». Elle ajoute que « les droits et libertés [ne] « doivent [pas] toujours céder devant les raisons de sécurité et de santé ». Elle rappelle le « danger de ces manipulations de la liberté et du consentement, et la pente totalitaire ». En rappelant des « affaires » historiques, elle affirme : « s’il y a une certitude pour les juristes, c’est que le mépris et l’abandon des règles éthiques finissent toujours devant les tribunaux par des procès en responsabilité ».

Ce Professeur de droit constate : « On ne comprend plus ce que Kant appelait la dignité de la personne humaine ».

Mais, les juges, eux aussi, semblent ʺse réveillerʺ… comme le laisseraient penser les très récentes décisions des tribunaux administratifs notamment…

Ainsi que le conseil national des barreaux (avocats) qui vient d’adopter une « Résolution » lors de l’Assemblée générale en date du 14 janvier 2022. On peut y lire :

« (…) CONSTATE que les mesures proposées portent toujours plus atteinte aux droits et libertés fondamentaux et notamment à la liberté d’aller et venir, au droit au secret médical, au droit au respect de la vie privée, à la liberté d’accès au droit et à l’exercice des droits de la défense et aux droits des enfants protégées par le CIDE ;

RAPPELLE que, si la situation de crise exceptionnelle liée à la pandémie de Covid-19 suppose des mesures exceptionnelles, ces dernières doivent se conformer au principe de légalité et être strictement nécessaires, proportionnées et adaptées aux risques sanitaires encourus, que ces mesures doivent, en outre, être entourées de garanties pour assurer une protection contre les risques d’abus, d’arbitraire et de discrimination et qu’elles doivent nécessairement être strictement limitées et encadrées dans le temps et strictement répondre aux nécessités de la lutte contre l’épidémie ;

(…)

S’ALARME du caractère attentatoire au droit au secret médical et au respect de la vie privée (…). »

Enfin, je vous propose de lire la « Tribune libre d’Akhenaton » publiée, le 12 janvier 2022, sous le titre :

« Le maître et ses perroquets »

La société civile semble ʺse réveillerʺ. Et La Vérité est déjà en Marche.

Etc. (liste des faits non exhaustive).

En me réservant le droit de parfaire la présente réponse circonstanciée rédigée et publiée suite à votre nouvelle agression injustifiée et matérialisée dans votre LRAR en date du 11 janvier 2022 ci-dessus mentionnée,

En espérant vous voir « immédiatement » revenir à la raison, au bon sens, à la cohérence, à l’objectivité et au courage d’admettre l’échec de la politique sanitaire contre la Covid-19 notamment (en particulier de l’obligation vaccinale), je vous prie de bien vouloir recevoir, Monsieur le directeur, l’expression de mes salutations distinguées.

Docteur Amine UMLIL

Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier

Juriste (droit de la santé)

Centre hospitalier de Cholet

Extrait du Curriculum vitae (C.V.)




Les «millardaires du Covid», et ce que cela raconte sur nous et notre société

[Source : blick.ch]

Par Myret Zaki

En 2020, la pandémie a créé plus de 50 milliardaires, dont les inventeurs des vaccins. Contraste saisissant avec le passé: un vaccin était alors un bien commun et ses inventeurs ne faisaient pas fortune. Zoom sur l’hyperfinanciarisation de la santé et ses conséquences.

[Illustration :
Les vaccins contre le Covid : des coûts en bonne partie publics, mais des bénéfices intégralement privés.]

Le conflit entre vaccinés et non vaccinés occupe les discussions et divise le public. Mais une autre question, tout aussi majeure, doit nous intéresser. Celle qui concerne les milliards de bénéfices privés gagnés par des médecins et scientifiques grâce au Covid-19. Non pas des millions, mais des milliards. Est-ce que cela a toujours été ainsi? Qu’est-ce que cela raconte sur l’évolution de nos sociétés? C’est ce que nous allons voir dans les lignes qui suivent.

Des profits sans précédent, engrangés à la faveur d’une crise majeure. Ceci, grâce aux commandes de milliards de doses de vaccins achetées par les Etats. Mais aussi grâce à la financiarisation de ces pharmas, biotechs et équipementiers: la plupart de ces groupes privés sont cotés en bourse, ou y sont entrés en 2020. Les investisseurs achètent leurs titres pour profiter de l’explosion des profits sur les ventes de vaccins Covid, de flacons pour les transporter ou encore d’équipements médicaux et de traitements. C’est surtout via la hausse fulgurante de leurs actions en bourse que les fondateurs et investisseurs sont devenus les nouveaux milliardaires de la santé, avec le Covid. Cette question d’un enrichissement inouï dans un contexte de crise de santé publique interroge sur l’évolution de nos économies et les valeurs qu’elles véhiculent. Au début du siècle passé, comme on le verra plus loin, la santé relevait du domaine public et les vaccins ne permettaient pas à leurs inventeurs de s’enrichir. En cinquante ans, le développement de vaccins s’est déplacé vers le domaine privé, l’enrichissement lors des crises s’est décomplexé, et les fabricants ont bénéficié de milliards placés par des investisseurs privés. Mais ce qu’on dit moins, c’est qu’ils ont aussi bénéficié d’argent public. La situation est que des entrepreneurs privés réalisent des milliards de profits sur le marché du Covid, en partie grâce aux investisseurs privés, mais aussi grâce au financement public payé par les contribuables.

Le Covid a généré 50 nouveaux milliardaires en 2020

Rien qu’en 2020, le magazine «Forbes» a trouvé 50 nouveaux milliardaires qui le sont devenus grâce au Covid 19. A commencer par les fortunes bâties sur les vaccins Pfizer/BioNTech et Moderna. Le médecin allemand d’origine turque, Uğur Şahin, CEO et cofondateur de BioNTech, a vu sa fortune atteindre 4,2 milliards de dollars. En 2021, le chiffre d’affaires de BioNTech a été multiplié par 100, grâce à la vente des vaccins à travers le monde. Vient ensuite le Français Stéphane Bancel, l’homme d’affaires qui dirige Moderna, la biotech qui a mis au point l’autre vaccin principal. Il avait investi dans le groupe, ce qui a hissé sa fortune personnelle à 4,2 milliards de dollars lui aussi, grâce à l’explosion des ventes. Moderna a également fait deux autres milliardaires: Timothy Springer et Robert Langer, des investisseurs fondateurs, tous deux professeurs à Harvard et au MIT.

Elément intéressant: cette forte financiarisation des pharmas et biotechs, qui passe par les nombreuses entrées en bourse permettant d’enrichir les investisseurs et fondateurs, n’est pas l’apanage des seuls pays occidentaux. Bien au contraire, c’est même en Chine, pays étatiste s’il en est, que le plus de nouveaux milliardaires ont vu le jour. Une trentaine d’entre eux ont rejoint le club à dix chiffres, à la faveur du Covid, en cotant leurs groupes en bourse. A commencer par la Chinoise Yuan Liping, qui est devenue la femme la plus riche du Canada avec 4,1 milliards de dollars grâce à ses parts dans Shenzhen Kangtai Biological Products, fabricant chinois exclusif du vaccin développé par Astra Zeneca et l’Université d’Oxford. De même, Hu Kun, président de Contec Medical Systems, fabricant d’équipements médicaux (oxymètres de pouls, appareils pulmonaires), a vu sa fortune atteindre 3,9 milliards, quand la valeur de sa société a explosé à la bourse de Shenzhen à la suite de la vente de ses équipements, devenus indispensables dans le monde.

On compte aussi l’Italien Sergio Stevanato, devenu milliardaire (1,8 milliard) en fabricant les flacons en verre pour transporter des millions de vaccins dans le monde. Mais aussi des dizaines de milliardaires de biotechs, dont des canadiennes et américaines, qui ont mis au point des traitements à base d’anticorps et des médicaments pour le Covid.

Une manière de voir cela est de saluer cet incroyable dynamisme entrepreneurial qui s’est manifesté à travers le monde, alimenté par les investissements privés, et qui a permis de fournir rapidement les traitements et équipements indispensables à la lutte contre la pandémie.

Mais cela reviendrait à ne voir que la moitié de l’histoire. En effet, ces groupes pharmaceutiques ont bénéficié de fonds publics considérables pour développer les vaccins. BioNTech a reçu pas moins de 445 millions de dollars du gouvernement allemand, en plus de 100 millions d’euros de crédit financé par l’Union européenne. Le gouvernement américain a quant à lui aidé Moderna à hauteur de 1 milliard de dollars. Le vaccin d’AstraZeneca-Oxford a aussi reçu 1 milliard de dollars de financement américain. En tout, le gouvernement américain aurait déboursé 10,5 milliards de dollars de financements pour accélérer le développement de vaccins, pressé par la pandémie. Les Etats-Unis et l’UE se sont en outre engagés à l’avance à acheter des millions de doses à prix élevé, pour offrir un marché garanti aux vaccins, quel que soit le résultat des tests d’efficacité, prenant le risque entrepreneurial à la place de ces groupes, ce qui constitue une autre forme d’aide publique. Ce n’est pas tout: le tremplin de ces percées scientifiques sur l’ARN et la protéine spike, ce sont des décennies d’investissements publics dans la recherche et le développement, notamment par le United States National Institutes of Health, comme l’a démontré l’économiste et professeure britannique à University College London, Mariana Mazzucato.

Coûts publics, bénéfices privatisés

Sauf qu’ensuite, les profits ont été entièrement privatisés. Comme je l’ai souvent expliqué, ce processus s’inscrit dans un nouveau paradigme économique anti-libéral, révélé par la crise financière de 2008: le soutien public inconditionnel et sans retour pour des acteurs privés. On avait aussi vu cela lors de la crise de 2008, quand les banques ont été sauvées unilatéralement par les Etats après avoir engrangé des milliards de profits spéculatifs sur les subprime, qui n’ont jamais été ni restitués ni sanctionnés.

Certes, à travers l’épisode du Covid 19, les acteurs des pharmas et des biotechs ont amené de l’innovation et des solutions indispensables, mais encore une fois, elle repose sur des décennies de recherches publiques. Dès lors, on ne peut faire l’économie d’une discussion sérieuse concernant la répartition des coûts de ces vaccins pour la société, et des bénéfices 100% privatisés. Ni sur la financiarisation du secteur: des cours d’actions qui explosent à la verticale, et des investisseurs qui «dumpent» (vendent) le titre à l’instant où la société annonce des résultats préliminaires prometteurs des tests cliniques. Cela a méchamment tendance à reléguer la mission de livrer des vaccins aux populations du monde en bas des priorités.

Ainsi donc, nous avons en réalité des partenariats publics-privés pour développer les vaccins. Et en face, les groupes privés n’ont pas repayé les aides à l’Etat, n’ont pas partagé les bénéfices. Les titres de ces groupes sont devenus des objets de spéculation lucrative, éloignés de la mission sanitaire de leurs produits. Les Etats, après avoir contribué au développement, ont ensuite acheté ces produits avec l’argent des contribuables. On voit que les flux vont dans un seul sens. Dans l’urgence, les Etats ont échoué à défendre les conditions d’un système vraiment libéral: dans un tel système, le privé prendrait tous ses risques intégralement, sans soutien public. Et, seulement à cette condition, il mériterait d’encaisser tous ses profits intégralement, car le mérite lui en reviendrait en totalité. Mais en réalité, on a encouragé un système de subventions à sens unique, dans lequel les bénéfices des premières doses et suivantes sont gagnés par le privé, alors que la recherche publique du National Institutes of Health a été essentielle dans les percées sur la protéine spike et l’ARN Messager.

Pour Mariana Mazzucato, qui dirige à l’OMS une commission sur la «santé pour tous» («Health for all»), «pour que ces avancées technologiques se traduisent en une santé pour tous, les innovations qui sont créées collectivement doivent être régies par l’intérêt public et non par le profit privé, écrit-elle dans une tribune. Cela est particulièrement vrai quand il s’agit de développer, fabriquer et distribuer des vaccins dans le contexte d’une pandémie.» Face à une offre vaccinale focalisée sur les pays riches, qui ont commandé l’essentiel des vaccins à prix fort, privant largement les pays pauvres de doses basiques, l’économiste plaide contre «un modèle d’innovation biopharmaceutique surfinanciarisé». Elle appelle à l’accès aux vaccins pour tous, à la gratuité et à l’universalité des vaccins. Elle plaide pour l’open science, pour la transparence sur les résultats cliniques vis-à-vis du public et pour une reprise en main étatique de l’investissement dans la santé publique.

Les vaccins, un bien commun ?

Trouver à l’innovation médicale d’autres ressorts que l’hyperfinanciarisation, changer le «business model» pour faire des vaccins un bien commun de l’humanité comme par le passé, sur lequel l’enrichissement n’est pas un objectif, ne sera pas chose aisée, tant la financiarisation est avancée. Pour Pfizer par exemple, la maximisation de la valeur actionnariale reste le but premier, tandis qu’Astra Zeneca s’est au moins engagé à ne pas encaisser de profits «pendant la pandémie» (il restera tout de même difficile d’établir si le fabricant offrira son vaccin à prix coûtant, tant la transparence de ces groupes fait défaut sur le véritable coût de production net).

Et pour finir, un retour dans le passé s’impose, entre les années 1920 et les années 1950, lors desquelles les inventions des plus importants vaccins de notre ère ont eu lieu, contre des maladies extrêmement mortelles. Jetons un coup d’œil dans le rétroviseur, histoire de voir d’où l’on vient, et à quel point le curseur s’est déplacé de la notion de bien public, d’une déconnexion entre science et «big money», vers celle de labos privés valorisés au bénéfice par action et devenus des usines à milliardaires. Prenons les vaccins que nous avons reçus dans notre enfance, tout comme nos enfants: diphtérie, tuberculose, tétanos ou polio. Des maladies qui étaient les premières causes de mortalité infantile.

Les inventeurs de vaccins n’étaient ni investisseurs, ni entrepreneurs, ni startupers, ni hommes d’affaires. Ils ont travaillé pour l’Institut Pasteur, fondation à but non lucratif, ou pour des universités. Ils ont certes accumulé titres, récompenses et médailles pour leurs inventions, ainsi que des Prix Nobel. Ils ont des bustes à leur image et des rues à leur nom. Mais ils n’ont jamais possédé le vaccin, qui n’était pas un produit coté en bourse sur lequel on pouvait parier, et ils n’ont pas fait fortune car ils agissaient dans un cadre public. Gaston Ramon, dont la contribution à la science a été majeure avec les vaccins contre la diphtérie et le tétanos, écrivait en 1936: «Depuis dix années, je n’ai pris ni vacances, ni repos, ni distraction d’aucune sorte…» Il est «entré en science comme en religion», dit de lui l’institut Pasteur.

Quant à l’inventeur du vaccin contre la poliomyélite dans les années 1950, c’est un Américain dont le laboratoire était basé à l’Université de Pittsburgh. Financé par une fondation pour la polio, il a mis au point le vaccin. Il a commencé par le tester sur lui-même et sur sa famille. Pas mal, comme alignement avec les intérêts du public. L’université a annoncé la découverte. Il a renoncé à le faire breveter, de manière à ce qu’il soit accessible aux millions de personnes qui en avaient besoin. Selon les estimations, il aurait renoncé à un bénéfice d’environ 7 milliards de dollars. Un de ses concurrents, Albert Sabin, qui avait développé un vaccin concurrent contre la polio, a fait de même en donnant son invention à l’humanité. Ou quand la science rime avec la classe. Ces personnes ont été couvertes d’honneurs, mais pas de profits illimités, et ont toujours partagé le crédit avec d’autres qui les ont précédés. Pas de doute, l’état d’esprit a bien changé.




Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal

[Source : cv19.fr]

Après avoir étudié la biologie moléculaire au MIT, le Dr Kaufman a obtenu son diplôme de médecine à l’université de Caroline du Sud, puis s’est spécialisé en psychiatrie au centre médical de l’université de Duke.

Des virus aux injections et aux médicaments, cette vidéo (> 1 h 20) aborde les hypothèses de base qui sous-tendent l’ensemble du récit sur le covid.



Vidéo originale (en anglais) : https://odysee.com/@AKINA:7/2021-12-16-SC6-Andrew-KAUFMAN-EN-HD4:8


[Voir aussi :

L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)

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Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
1968-2018 : la descente aux enfers !
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie


Sur la contagion

La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.


Sur la vaccination

Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Meurtre par injection

Dans « Meurtre par injection : histoire de la conspiration mondiale contre la santé », Eustace Mullins décrit, preuves à l’appui, la prise de contrôle par un groupe privé aux mains des Rockefeller de toute l’organisation de la santé aux États-Unis, depuis les facultés de médecine jusqu’aux organismes dits caritatifs, en passant par l’industrie pharmaceutique et les assurances médicales. Mais il y a pire dans ce qu’a découvert l’auteur : cette mainmise a été permise grâce à la complaisance, voire la complicité d’agents fédéraux censés œuvrer pour le bien commun et non pour les intérêts d’une petite élite financière aux visées messianiques et impérialistes.

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Citations médicales sur les vaccinations

Citations et sources bibliographiques concernant les vaccinations.

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Citations médicales sur les vaccinations

Citations et sources bibliographiques concernant les vaccinations.

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Brèves de Covid — Nous vivons une époque formidable qui nous met à l’abri de l’horreur. Humour coloré…

Par Alain Tortosa

14 janvier

Fait divers :
Accident mortel sur l’A7, le chauffard n’était pas vacciné.

« C’est la violence inhabituelle de l’accident qui a interpellé les services de secours. Un pompier a déclaré “en 20 ans de métier, je n’avais jamais vu un tel impact” Interrogé par les enquêteurs, le chauffard qui a miraculeusement survécu a déclaré “J’étais dans une spirale complotiste infernale et je regrette mon geste, j’invite tous les humains à se vacciner au plus vite.” Face que sa déclaration sauve des vies et que des irresponsables retrouvent la raison ! Le préfet en a aussi profité pour rappeler le résultat des dernières études scientifiques qui prouvent que le risque d’accident est multiplié par 10 quand on n’est pas vacciné et doublé si en plus on ne porte pas de masque FFP2 en voiture. »

Trafic :
Prévisions d’embouteillages pour le WE.

« Bison futé nous annonce que les routes seront saturées dans les prochaines semaines malgré une baisse de trafic de 90 % des automobilistes qui resteront chez eux. En effet selon les spécialistes, les 10 % qui prendront la route vont inexorablement congestionner autant les routes que s’ils avaient été 100 %. Cela pourrait, paraît-il, s’expliquer par une dégradation des routes. Bison Futé n’a pas été en mesure de nous dire quel pourcentage de voitures devraient rester chez elles pour éviter cette saturation. Il semblerait que même si 99 % des voitures renonçaient à sortir et que seul 1 % se rendaient sur les routes, cela pourrait quand même conduire à terme à la saturation totale du réseau. Notons que certains individus au QI fort peu développé continuent de se demander comment 10 % peut amener la même saturation que 100 %. Précisons que de nombreuses routes ont été fermées à l’initiative des autorités ces dernières années, ce qui pourrait participer à la congestion.  Sans compter que certains personnels responsables de l’entretien des routes sont interdits d’exercice ceci pouvant retarder les travaux. »

Santé :
Bonne nouvelle, le Covid n’est plus la seule maladie mortelle !

« L’année 2020 fut une année apocalyptique durant laquelle toute personne décédée l’était du Covid. Plus de mort de grippes, de cancers, d’AVC, de problèmes cardiaques… Le Covid s’arrangeait systématiquement pour voler la vedette des autres maladies. Rendez-vous compte de la perfidie d’un tel virus sans morale, ni foi, ni loi. Vous aviez par exemple un gentil cancer qui grignotait petit à petit la vie d’un patient depuis plus de 10 ans… enfin celui-ci allait mourir dans d’horribles souffrances et le cancer récolter justement les fruits de tant d’années de labeurs et de douleurs… Et au moment de donner le coup de grâce, ce petit con de virus pointait sa tête et le pauvre cancer n’avait qu’à pleurer seul dans son coin suite à l’annonce : « un nouveau mort du coronavirus ! ». Heureusement l’année 2021 a mis fin à cette injustice flagrante, et ce grâce au vaccin ! Ne pensez pas que la vaccination permette aux personnes en fin de vie de ne plus mourir, non, l’objet n’est pas là… Elle permet aux maladies ayant concouru à tuer le patient de recouvrer leur dignité. Ainsi un malade vacciné, positif au Covid et qui décède, a désormais le droit, et même l’obligation d’être mort de ses maladies principales. Cette même personne qui en 2020 aurait été déclarée morte du Covid est désormais décédée du cancer en étant positive au Covid. Ce vaccin permet donc de rétablir la justice ! Veuillez noter que seules les personnes vaccinées bénéficient de cette dérogation, les personnes non vaccinées décédées ET positives au Covid demeurent quant à elle mortes du Covid quand bien même elles eues été écrasées par un train… mais positives. On voit bien la justesse du slogan gouvernemental « vous ne voulez plus mourir du Covid, vaccinez-vous ! »

Santé :
Le casse-tête des vaccinés non vaccinés.

« Depuis que le bon sens a parlé et qu’il a été admis qu’un rappel aurait lieu tous les 3 mois, soit 4 rappels par an, les vaccinés seront désormais non vaccinés 4 fois 15 jours. En effet je vous rappelle que pour chaque injection, on considère que la dose n’est pas active avant quinze jours ! Ce qui porte désormais à deux mois (minimum) la durée annuelle durant laquelle tout vacciné sera considéré non vacciné. Anticiper la dose de rappel ne résoudrait pas le problème de la perte du statut vaccinal durant 15 jours. Car il y a consensus pour dire qu’il y a chute des défenses immunitaires dans les jours suivant l’injection avant que celle-ci ne prenne efficacement le relais. Le conseil scientifique travaille à une solution, mais hormis les mettre à l’isolement, ne voit pas d’alternatives. Le patronnât a quant à lui suggéré qu’elles soient considérées en vacances durant ces périodes transitoires et placées à l’isolement à leur domicile. »

Fait divers :
Accident de la route.

« Un drame a été évité près de Bourgoin Sur Cerises Molles. Un automobiliste de 42 ans a percuté la vitrine de l’épicerie hier soir à 21 h 30. Bien heureusement l’épicerie était fermée… L’automobiliste déclara qu’il ne comprenait pas et que contrairement à ses habitudes, il n’avait bu que 5 verres de Pastis. Envoyé en comparution immédiate, le juge s’est voulu clément en affirmant « heureusement, vous étiez vacciné et le vaccin vous a protégé. Sans celui-ci, l’accident eu pu être 10 fois pire. » L’automobiliste sortit libre avec un simple avertissement et une obligation de rappel vaccinal pour les 3 prochaines années. »

Société :
pass vaccinal, protégeons les non-vaccinés.

« Les faux pass constituent un fléau qu’il faut enrayer. Alors que le pass sanitaire permettait d’avoir quelques convives avec preuves de non-positivité dans les restaurants, le pass vaccinal met fin à cette situation. Désormais seules les personnes munies d’un QR-code vaccinal pourront pénétrer dans un restaurant ou pénétrer leur voisin(e) dans un club échangiste. Plus aucun élément ne permettra de savoir si votre voisin de table (vacciné) est positif au virus ! C’est pourquoi le ministre supplie les non-vaccinés de ne pas utiliser de faux QR-code. Le ministre a déclaré “il ne serait que folie de fréquenter ces lieux de hautes contaminations pour les non-vaccinés” et de préciser qu’ils mettent leur vie en danger. Une fois de plus, nous avons la preuve que le gouvernement ne vise pas par ces mesures à nuire aux non-vaccinés, mais à les protéger des vaccinés. Raisons pour lesquelles il a été proposé d’interdire l’entrée dans un hôpital pour les non-vaccinés, celui-ci étant un bouillon de culture de vaccinés positifs et donc extrêmement dangereux. »

Fait divers :
Le violeur vaccinateur.

« Enfin l’affaire du « violeur vaccinateur » a été élucidée. Depuis plusieurs mois, un mystérieux violeur agissait dans la ville de Miremoi Le Gros et sa proche banlieue. Le violeur ne ciblait que des non-citoyens non vaccinés, hommes, femmes et enfants. La population des bonnes gens vaccinés n’en avait que faire au point que ni la gendarmerie ni la police n’enquêtait sur l’affaire. Tout le monde jugeant “bien fait pour leur gueule, ils l’ont bien cherché ces cons et n’ont qu’à se vacciner comme tout le monde !” L’affaire aurait pu s’arrêter là sans le viol d’une sexagénaire qui, elle, était vaccinée. La famille de la victime a fini par convaincre celle-ci de porter plainte alors même que la victime disait garder un “excellent souvenir de l’agression”. Une enquête a été menée et le “violeur vaccinateur” a été interpellé. Celui-ci a immédiatement reconnu les faits et s’est excusé d’avoir agressé la vieille dame qui lui aurait dit qu’elle n’était pas vaccinée… d’aucuns se demandent si la victime n’aurait pas menti volontairement pour se faire violenter. Le violeur a alors expliqué aux enquêteurs qu’il était en mission pour le Seigneur. Qu’ayant entendu dire que l’on retrouvait de l’ARN messager dans les testicules et le sperme, celui-ci pénétrait ses victimes dans le but de les vacciner et donc les protéger. Le jugement a été rendu ce matin, le juge a indiqué “Nous avons bien pris note de la noble intention qui est la vôtre… Mais d’une part vous prenez le risque d’être contaminé et d’autre part le législateur n’a pas encore statué sur votre heureuse initiative. Personne ne doute du fait qu’il faudrait forcer les non-vaccinés à se vacciner, qu’ils n’ont que ce qu’ils méritent, mais pour autant il est encore un petit peu trop tôt pour promouvoir le viol des non-vaccinés, raison pour laquelle nous vous condamnons à cesser vos activités durant 6 mois et vous assurer de la prise régulière des doses de rappel.” »

Société :
Crise de l’autorité parentale.

« De plus en plus de pharmaciens témoignent de la perte d’autorité et du laxisme de certains parents. Des vidéos circulent sur Internet avec ces parents de la honte qui renoncent à faire tester leur enfant en plein caprice. Des enfants sans repères et visiblement sans éducation se livrent à des simagrées lors de la pénétration du petit coton-tige dans leur narine. Nous sommes ici au-delà du caprice en voyant ces enfants dont les qualités d’acteurs leur permettraient de devenir joueurs professionnels de football. Rappelons que le test PCR est totalement indolore et qu’il est totalement normal que le coton-tige soit imbibé de sang lorsqu’on le retire. Il en va de la survie des grands-parents de procéder à des tests massifs et réguliers de ces petits cons d’enfants sans conscience. Alors parents ressaisissez-vous et ne vous laissez pas manipuler par quelques gouttes de sang ou de crises épileptiques après le test. Note : En cas d’écoulement d’une substance grisâtre dans les heures qui suivent, merci de consulter un médecin. »

Fait divers :
Accident de la route.

« Moignon Sur Les Pauls, un automobiliste perd l’usage de ses freins dans la descente de Malmonté. Stupeur et sidération chez le conducteur qui ne comprend pas comment cela a pu se produire. En effet la voiture avait été révisée la veille, les freins vérifiés, les plaquettes de frein changées et le carnet d’entretien étant parfaitement à jour (tous les 3 mois). Le problème ne venant a priori ni de la voiture ni du conducteur, nous étions face à un mystère. C’était sans compter sur la logique et la perspicacité de l’inspecteur Lestapo. Après enquête, il a été établi que la voiture de son voisin était une vieille guimbarde non entretenue et qu’elle serait en toute logique la cause de la défaillance des freins du véhicule quasi neuf victime de l’accident. On ne redira jamais assez que les véhicules non entretenus, même à l’arrêt, menacent les véhicules entretenus. »

Santé :
Campagne de prévention du gouvernement.

« Nous avons tous vu cette excellente campagne gouvernementale dans laquelle le gouvernement incite les Français à ouvrir les fenêtres. Nul ne remet en doute le bon sens et l’intelligence de la mesure, mais les plus perspicaces d’entre vous ont remarqué une personne assise devant la fenêtre qui se prenait le flot de virus durant l’aération. C’est vraiment la faute à pas de chance ! Matignon réfléchit à une nouvelle campagne et un décret a désormais été publié dans lequel il est précisé « lors de l’aération d’un local, il est interdit à toute personne de plus de 90 cm debout ou 90 cm en position assise de se tenir plus de 34,5 secondes devant la fenêtre. Elle peut néanmoins se tenir debout après 5 min 27 s d’aération sauf en cas de vent violent rabattant qui fait re-rentrer les virus.» Notons que les membres de la fédération des personnes de petite taille se sont réjouis de cette mesure de bon sens. »

Santé :
Simplification du protocole sanitaire à l’école (faits réels).

« Le gouvernement soucieux d’allier protection des Français, bon sens et simplicité a modifié le protocole sanitaire. Lorsqu’un cas de Covid est déclaré dans une classe, les parents pourront attendre la fin de la journée pour aller chercher les enfants cas contact sauf s’ils sont symptomatiques. Les enfants cas contact devront faire 3 tests à J0, J+2 et J+4 avec attestation sur l’honneur. Les classes ne ferment plus lorsqu’un ou plusieurs cas de Covid sont déclarés dans une classe. Si un nouveau cas positif est identifié dans une classe dans un délai inférieur à 7 jours, les élèves n’ont plus à répéter le parcours des 3 tests. En revanche si un enfant n’est pas cas contact, mais positif et qu’il a une vaccination complète alors il doit subir un isolement de 5 jours, si le test effectué le 5e jour est négatif ET en l’absence de symptômes depuis 48 heures, l’isolement étant porté à 7 jours dans le cas contraire. Mais lorsqu’un enfant est positif sans vaccination ou avec une vaccination incomplète selon le nombre de doses exigées et selon qu’il ait attrapé le Covid il y a moins de 6 mois, l’isolement est de 7 jours et non 5 jours. Si le test effectué le 7e jour est négatif et en l’absence de symptômes depuis 48 h, l’isolement étant porté à 10 jours dans le cas contraire. Lorsqu’un enfant est cas contact, mais avec vaccination complète il n’y a pas d’isolement, mais un autotest immédiat et à J+2 et J+4. Lorsqu’un enfant est cas contact sans vaccination ou avec vaccination incomplète il y a isolement de 7 jours et un autotest à l’issue de l’isolement. Notez qu’il faudrait vraiment être de mauvaise foi pour critiquer ces mesures qui de toute évidence simplifient grandement le protocole. »

Santé :
Troubles de l’enfance et vaccination.

« Problèmes d’apprentissages scolaires, problèmes relationnels, retards, agressivité, et si c’était un déficit en vaccination ? La dernière étude publiée par BioNTech ne laisse aucun doute quant à l’origine de ces troubles. Dès la première dose, on constate une diminution de 40 % des symptômes, même chez les patients au tableau clinique le plus sombre. Plus le nombre de doses augmente et plus l’élève devient un élève modèle au point qu’au bout de quelques mois il obtient les félicitations des enseignants à l’exception du sport. Les seuls effets secondaires semblent être une apathie totalement compatible avec l’enseignement tel qu’il est pratiqué en France. De nouvelles études sont en cours chez les prisonniers, mais les premiers résultats semblent encourageants. La population des vaccinés est beaucoup plus docile et obtempère à toutes injonctions. Ceci est vérifié régulièrement en introduisant une directive stupide pour tout nouveau protocole sanitaire. La dernière étant que manger debout expose plus au virus que manger assis. »

Santé, Justice :
« Tous vaccinés tous protégés ! »

« Qui n’a pas entendu ce slogan qui a permis de sauver des millions de vies en France. Hélas à la suite d’une plainte déposée par un groupuscule néonazi de complotistes, le gouvernement s’est vu contraint de modifier le slogan. Celui-ci sera désormais « tous vaccinés, tous protégés d’un décès par Covid ». Et afin que le doute ne soit plus permis, un décret a été publié ce jour précisant : “Toute personne vaccinée décédée, qu’elle soit symptomatique ou pas, qu’elle soit positive ou pas au Sars-cov2 ne pourra être décédée du Covid du fait du vaccin déclaré efficace (voir décret concerné). Son décès sera obligatoirement dû à ses comorbidités et si aucune comorbidité n’est connue au moment de son décès, la cause de décès sera indiquée comme “autre” ou “arrêt cardiaque”. »

Société :
Lutte contre les embouteillages en ville.

« Les services de la voirie se félicitent de la mise en œuvre de restrictions de circulation à Voici en Courgette. La petite agglomération déplorait de nombreux accidents sur la commune. Depuis la mise en place des restrictions (distances entre les véhicules, interdiction de sortie pour les plus anciens, cache calandre, révision obligatoire, nettoyage des véhicules obligatoires, etc.), le nombre d’accidents n’a augmenté que de 66 % ! Les services concernés se félicitent des résultats obtenus et ont annoncé que sans ces mesures efficaces, l’augmentation eut été de 200 %. Nous remercions le maire qui grâce à sa volonté sans faille a permis de limiter l’augmentation des accidents grâce à des mesures audacieuses et efficaces à n’en point douter… Il a déclaré au micro de notre antenne “voici la preuve que des mesures fortes de restrictions des libertés de déplacement sont efficaces”. »

Société :
Grève des enseignants.

« C’est ce jeudi que doit avoir lieu la grève des enseignants. Une fois de plus ceux-ci se retrouvent contraints de faire grève face à l’indifférence du ministère de l’Éducation qui n’hésite pas à les utiliser comme de la chair à canon. Le carnage se poursuit, chaque jour des dizaines de cadavres d’enseignants sauvagement contaminés par des élèves irresponsables sont retrouvés dans les salles de classe. Des rumeurs courent indiquant que certains élèves boiraient le sang de leurs victimes. Et que font le ministère et l’académie ? Rien ! Pourtant cela fait plus d’un an que les enseignants proposent un protocole alliant sécurité des enseignants et bien être des élèves. Rappelons brièvement celui-ci qui consiste à enfermer chaque élève dans un réservoir étanche relié à un système de ventilation. L’élève ayant à la fois son repas de la cantine ainsi qu’une couche pour ses besoins. À la décharge du ministre, les premières expérimentations s’étaient soldées par un petit incident alors que le système de ventilation était en panne. L’enseignante prise de panique ayant préféré fuir que prendre le risque de voir les contaminateurs répandre la peste noire. Raison pour laquelle chaque élève, si le dispositif devait être adopté, aura désormais dans sa cage un canari afin de s’assurer que l’air est respirable. En attendant, c’est la peur au ventre que les enseignants vaccinés 3 doses et avec deux masques ffp2 et une consommation de gel hydroalcoolique de 1 litre à l’heure, pénètrent les salles de classe. Ne sachant jamais s’ils passeront leur soirée parmi les leurs ou à la morgue. Putain de guerre ! »

Santé :
Pourquoi le virus n’aime toujours pas les magasins si le métro…

« Cette nouvelle étude de l’Institut Pasteur ne fait que conforter ce que nous pensions tous, d’instinct… Il est évident que le virus n’aime pas les lieux de consommation même bondés. Je vous rappelle que le Sars-cov2 est un virus des champs issu de l’accouplement entre un pangolin et une chauve-souris. Ce n’est que lorsqu’il a été ramené de force en ville que celui-ci a commencé à s’en prendre aux humains. De fait il est logique de penser que magasins et transports en commun bondés lui rappellent de mauvais souvenirs. D’autre part, je voulais vous rappeler que les gestes barrières sont respectés scrupuleusement dans ces lieux. Personne ne touche un caddy ou une barre dans un transport en commun sans auparavant le laver au gel hydroalcoolique. De même qu’une distance de 12 cm pendant 30 minutes dans un transport en commun ne présente aucun risque de contamination, le masque étant efficace à 100 %, 12 heures d’affilée, et même dans un milieu humide. Heureusement que la science est avec nous pour nous expliquer… »

Sécurité routière :
Conduire en n’étant pas vacciné n’est plus une option.

« Vous vous rappelez sans doute le slogan des années 80, « boire ou conduire il faut choisir ». Il faudra désormais compter sur “non vacciné ou conduire il faut choisir”. C’est ainsi que le juge l’a signifié au chauffard qui avait provoqué un accident dans la nuit de jeudi à vendredi dans la banlieue de Tricotons En Chevreuil. Ce jeune conducteur apparemment sans passé de délinquant de la route avait pris la voiture après une soirée bien arrosée au jus de pomme. Mal lui en a pris, celui-ci n’étant pas conscient de la dangerosité inhérente de son statut vaccinal. Le juge lui a signifié que conduire en état de “carnet de vaccination non à jour”, y compris des doses de rappel, était une circonstance aggravante et que désormais il ne saurait être question de prendre le volant avec un pass vaccinal périmé ou inexistant. La leçon a, semble-t-il, été comprise par le délinquant qui s’est empressé d’aller faire deux doses de rappels coup sur coup. »

Politique :
Devons-nous réserver les mouchoirs aux vaccinés ?

« Face à la vague Omicron qui commence à nous submerger, de nombreuses têtes pensantes commencent à s’inquiéter. Le porte-parole nous a rassurés en nous indiquant que le gouvernement était totalement préparé à cette vague comme il l’a été depuis le début de la crise. Les dernières études sont formelles et prouvent que la 6e dose nous protège efficacement des formes graves entre la salle d’examen et la sortie du centre de vaccination. En revanche, il demeure un doute quant à la durée de l’immunité, si elle nous permettrait de rejoindre notre domicile protégé ou pas… Bref, il est probable qu’Omicron nous mette face à une épidémie de Rhume telle que le monde n’a jamais connu. Nous savons que les USA et la Chine ont acheté des stocks de mouchoirs et il n’est pas certain que la France en dispose suffisamment. Je vous rappelle que le masque perd un peu de son panache lorsque l’on commence à se moucher avec et que la morve coule par les fuites… D’où cette proposition de loi qui propose de réserver les mouchoirs aux seuls vaccinés protégés. Le Ministre de la Santé (prochainement béatifié par le pape) est venu à l’assemblée et nous a expliqué que cette mesure, apparemment de bon sens et en tous les cas juste et morale, n’était pas une bonne idée. En effet si nous empêchons les non-vaccinés de se moucher, on risque de voir leur morve se répandre en tous lieux et ainsi mettre en danger les vaccinés malgré leur vaccin efficace. Quand bien même il eût été juste de les laisser dans leur morve… La proposition de loi a donc été rejetée avec regret. »

Automobile :
Un nouvel additif pour protéger son moteur.

« Un ingénieur allemand a mis au point un additif pour moteur qui le protège et augmente sa durée de vie. Est-il efficace longtemps me direz-vous ? À cette question les spécialistes ont répondu qu’il perdait de l’efficacité avec le temps et qu’il suffisait d’en mettre plus. Pour autant des associations de consommateurs ont déclaré constater de graves dysfonctionnements sur des moteurs et même que certains avaient explosé. Alors qu’il eut été normal de procéder à des tests de sécurité, l’ensemble des acteurs de la profession a balayé le problème et indiqué que ceci n’était que hasard, que des moteurs récents pouvaient exploser et que c’était habituel. Les associations de consommateur ont insisté en affirmant que « non seulement il ne protège pas le moteur, mais il a l’air de le détraquer… » Ici encore la réponse fut simple “il suffit d’en mettre plus”. Les associations ont aussi alerté les consommateurs sur le fait que l’essence utilisée dans les moteurs n’était plus la même depuis quelques mois, que la composition avait changé. Pas d’écho, alors même que l’additif avait été conçu pour être efficace avec un type d’essence, les fabricants nous rassurent et affirment que l’additif fonctionne parfaitement même avec la nouvelle essence. »

Politique :
Décodage des propos du Président.

« Certains Français ont réclamé des explications face aux dernières déclarations du Président de la République. Alors même qu’il avait traité d’emmerdeurs et de non-citoyens les non-vaccinés, celui-ci a déclaré que tous les Français avaient droit à la tranquillité. Ce faisant, nous pouvons imaginer qu’aussi bien les Français que les étrangers en situation régulière vivant sur le sol français avaient droit à cette tranquillité. Une lecture rapide pourrait laisser entendre une certaine forme de contradiction entre le droit à la tranquillité tout en étant emmerdé par le Président. Difficile d’apporter la tranquillité et d’emmerder en même temps ! De plus, il a précisé vouloir doubler le nombre de policiers. Pour autant, croiser deux fois plus de policiers ne sera pas de nature à détendre la population qu’il entend emmerder… Seront-ils en mesure de se sentir tranquilles, j’en doute ».

Automobile :
Les voitures à essence responsables de la saturation du périphérique de Beltour Les Joyeuses !

« C’est ainsi que décrit l’association « Nous avons trouvé nos boucs émissaires ». En effet, cela fait désormais quelques mois que les propriétaires de véhicules à essence sont accusés d’engorger le périphérique ! Les propriétaires de véhicules électriques n’en démordent pas “Nous avons fait l’effort d’acheter les voitures électriques, n’hésitant pas à sacrifier des enfants dans des pays pauvres, et ces connards de propriétaires de vieilles bagnoles engorgent le périph et polluent au point que nous risquons de ne plus pouvoir nous déplacer librement”. Le président de l’association a déclaré que 3900 voitures en moyenne l’empruntaient chaque jour alors même que la capacité n’était que de 6000 véhicules jour. L’association a oublié (volontairement ?) de rappeler que 6000 véhicules était la capacité du périphérique Ouest et que le périphérique Est pouvait accueillir plus de 12 000 véhicules soit un total de 19 000 véhicules. Ainsi la saturation actuelle due aux véhicules ne représente que 20 % et non de 65 % comme le prétend mensongèrement cette association. D’autre part, les services de l’État ont admis leur incapacité à déterminer le type de véhicules concernés. La moitié d’entre eux seraient des camions et non des voitures qui sont toute l’année sur les routes. De fait, les voitures individuelles, celles qui sont accusées de saturer le périph, ne représentent en fait que 10 % du trafic potentiel. Et les dernières données semblent dire que seule la moitié sont des véhicules anciens à essence n’ayant pas disposé d’une révision tous les 3 mois. Bref ces boucs émissaires ne représentent qu’environ 5 % du trafic et ils ne sont donc pas responsables de la saturation du périphérique non saturé. »

Justice :
Le violeur porte plainte contre sa victime non vaccinée et obtient justice !

« À Partout les Noix, c’est ce mercredi que devait comparaître M X et Mlle Baudeleoin au Tribunal. Rappelons que M X avait violé Mlle Baudeleoin âgée de 9 ans dans une cage d’escalier le soir de la Saint-Sylvestre et l’avait laissée pour morte après l’avoir rouée de coups. Les voisins excédés par la présence de ce corps qu’ils devaient enjamber pour rentrer chez eux ont prévenu les services de la mairie afin de le faire enlever. Il se trouve que la victime était encore vivante et elle a pu être réanimée. Ce n’est que quelques jours plus tard que M. X a appris par la presse que l’irresponsable Mlle Baudeleoin, élève à l’école primaire Marc Dutroux, n’était pas vaccinée. Ses parents naviguant dans une sphère complotiste d’extrême droite antisémitisme opposée à toute vaccination. M. X s’est immédiatement rendu à la gendarmerie pour déposer plainte contre l’irresponsable. Les gendarmes ont bien heureusement entendu M X et procédé immédiatement à l’interpellation de la délinquante. Heureusement les examens médicaux ont permis de vérifier que M X n’avait pas été contaminé par l’odieuse criminelle. Lors de l’audience la coupable a reconnu les faits et jugement a été rendu. La coupable a été condamnée à 5 ans d’obligation de rester à résidence, verser une rente à vie à M X et bien entendu lui payer tous ses rappels vaccinaux. Ce fût aussi l’occasion pour la cour de rappeler que “violer n’est pas un acte anodin” et qu’il est important de s’assurer du statut vaccinal de ses victimes. En tous les cas, belle journée à Partout Les Noix pour redonner confiance au système judiciaire. »

Société :
Devons-nous laisser crever de faim les non-vaccinés ?

« Tel était le débat lors des journées des jeunes catholiques à l’université d’été En effet même si Sa Sainteté le pape a été claire en indiquant que les non-vaccinés devaient être excommuniés, ceci étant en accord avec les déclarations du Président de la République rappelant qu’ils ne sont plus des citoyens, le débat demeure quant à leur sort… Je vous rappelle que l’amendement déposé par le candidat LR aux élections proposant la mise à mort des non-vaccinés avait été violemment rejeté par la gauche et les écologistes qui avaient crié au scandale, ceux-ci rappelant avec justesse que le recyclage des cadavres toxiques n’était pas au point et que cette idée, quand bien même nul ne doute de sa justesse et de sa générosité, aurait un impact écologique désastreux.

Il n’en demeure pas moins vrai que des millions de voix de bons Français de toutes confessions s’étaient élevées pour dire à quel point il était injuste de nourrir les non-vaccinés à ne rien faire alors même que de bons Français vaccinés n’avaient pas de ressources pour se nourrir dignement. Raison donc de la création de ces universités d’été. Les débats furent vifs, mais courtois… Nous avions d’un côté les tenant de la ligne dure “qu’ils crèvent dans la charité” et de l’autre les mous, qui pensaient qu’on devait leur fournir le minimum pour les maintenir en vie, mais qu’ils devaient travailler pour obtenir leur nourriture. Les pro-mort ne manquèrent pas de souligner que ce travail constituerait une concurrence déloyale vis-à-vis des travailleurs pauvres de notre belle nation. Ce à quoi la branche gauchiste a proposé qu’il soit assorti une taxe sur leur travail dont les revenus seraient équitablement répartis parmi les 50 fortunes les plus riches de France. C’est grâce à cette proposition juste et équitable que la ligne pro-mort accepta la proposition tout en soulignant l’aspect immoral de laisser en vie des êtres sans âme qui tuent froidement bébés et personnes âgées par leur non-vaccination. »

Santé :
Nouveau protocole dans les clubs échangistes.

« Les membres des clubs échangistes n’auront désormais plus le droit de s’enculer en position debout. Les débats furent rudes à l’Assemblée et au Sénat. Pour une fois l’hémicycle était presque plein, le sujet étant d’importance nationale. Rappelons qu’il est désormais interdit de dîner ou boire debout au bar, que les boîtes de nuit sont fermées, mais que les clubs échangistes demeurent ouverts… D’aucuns, des mauvaises langues, ont dit que c’était du fait que de nombreuses personnalités politiques fréquentaient ces lieux de détente ou se mêlent ébats et débats philosophiques. La réalité est ici scientifique ! Le virus ne se déplace pas sous les 1 min 40 s comme le savent tous les virologues dignes de ce nom. Les directeurs d’établissement ont annoncé qu’ils feraient appliquer la règle et que tout contrevenant sera fouetté cul nu comme il se doit. Les clients sont donc désormais invités à se déshabiller à l’entrée de l’établissement puis à se déplacer à quatre pattes. En l’absence d’ébats, une distance de 40 cm devra être respectée entre le cul de la personne devant et le nez de la personne juste après. Les sénateurs ont déposé un amendement qui a été repris et accepté au Sénat. Qui oserait affirmer qu’ils ne servent à rien ? Cet amendement précise que les nains pourront continuer à se déplacer et enculer les autres participants en position debout (selon leur choix bien sûr). La fédération des nains de France s’est félicitée de cette mesure de bon sens. »

Météo :
Inondations dans le Sud-Ouest.

« Trop c’est trop ! C’est ainsi que le maire de Pas De Bol a débuté son allocution en apprenant que sa commune allait être inondée… Je suis profondément choqué a-t-il ajouté en précisant qu’il avait fait des travaux sur sa commune pour prévenir les inondations et que 100 % de ses administrés étaient vaccinés y compris les vaches et les cochons. Vous comprendrez bien sa colère quand il a appris que les habitants de la commune de Je Mantape avaient décidé de ne pas garder leurs eaux de ruissellement et décidé de les envoyer sur Pas De Bol. Le maire de Pas De Bol a voulu rappeler que cela n’avait rien d’étonnant sachant que les habitants de Je Mantape étaient les moins vaccinés de France. À quand les mesures qui s’imposent ?! »

Société :
Championnats du monde de vaccination.

« Des Français de l’étranger sont sur le point de gagner le Championnat du monde de nombre de doses. Certains vaccins étant non reconnus en Europe ou en France, ils ne peuvent s’intégrer au pass vaccinal. Obligation de refaire toutes les doses comme s’ils n’avaient eu aucune dose. Bien entendu, il n’y a strictement aucun risque à mélanger les vaccins, les technologies… C’est comme toutes les bonnes choses, ça ne peut pas faire de mal… Nous avons donc des ressortissants à l’étranger qui ont eu 6 doses… quelle chance ! En revanche, des participants de métropole ont déposé une plainte auprès du comité organisateur du concours, criant à la concurrence déloyale et à la triche. Afin de ne pas rester en reste et se faire battre, certains Français ont eu l’idée de dire que leur pass vaccinal était un faux afin de pouvoir bénéficier de 3 doses supplémentaires et ainsi rattraper les concurrents. L’organisateur a quand même rappelé que le concours n’était pas un sprint, mais une course de fond et qu’à raison d’une dose tous les trois moins pendant vingt ans, ils auraient largement la possibilité de se rattraper. »

Société :
Remous dans le monde du complotisme (reprise d’une idée parue dans des réseaux sociaux, l’auteur m’est inconnu).

« C’est l’effervescence et la panique depuis plusieurs semaines dans le monde du complotisme. Toutes les théories du complot se révèlent de plus en plus exactes comme l’origine du virus, la création du pass vaccinal et autres balivernes… Celles que les vérificateurs de l’information nommaient théories complotistes tombent les unes après les autres… Il ne reste plus qu’une ou deux théories comme le fait que tout ceci est orchestré en vue du Grand Reset afin de rendre esclaves les humains ou que le but est d’exterminer une grande partie de la population pour que les complotistes soient à court de théories. Un appel d’offres a été lancé afin de pouvoir réalimenter au plus vite… Pour l’instant les propositions ne séduisent pas énormément. Nous avons la théorie de la Terre plate, les chefs d’État qui ont été remplacés par des Reptiliens, la lune qui est une base extraterrestre depuis laquelle les humains sont contrôlés… Néanmoins ne soyons pas trop pessimistes, les meilleures théories sont celles diffusées par les maîtres de ce monde et les médias mainstream. Il n’y a pas de raison de penser qu’ils seront à court d’imagination pour nous nuire et ainsi nous pourrons de nouveau augmenter le nombre de théories du complot. »

Santé :
Traitement obligatoire dans la lutte contre le Sida pour fréquenter les clubs échangistes.

« Le gouvernement a agrée une seule marque de médicaments dans la lutte contre le Sida. Les pratiquants des clubs échangistes pourront désormais se livrer à leur hobby à l’unique condition qu’ils apportent la preuve d’une prise de médicament PZ dans les 3 derniers mois. En revanche les individus qui n’ont pas pris leur traitement se verront totalement interdire l’entrée des clubs même avec une preuve de séronégativité de moins de 24 heures. Quant à celles et ceux à jour de leur traitement et pour lesquels un test a indiqué qu’ils étaient séropositifs, pas d’inquiétude, ils pourront librement continuer à fréquenter les clubs et sans préservatif. Le chef du gouvernement a traité d’égoïstes celles et ceux qui refusaient de prendre ce traitement qui de toute évidence “sauvait des vies”. Vous aurez bien compris que la santé des pratiquants était le plus importante pour le gouvernement qui n’a pas hésité à prendre cette mesure de bon sens. »

Société :
Boycott des entreprises de non-vaccinés.

« L’association, “FIEF, Français Injectés Et Fiers” a lancé une campagne de boycott visant les entreprises dont le ou les dirigeants ne sont pas vaccinés. Cette initiative relevant tellement du bon sens que l’on s’étonne qu’elle n’ait pas eu lieu plus tôt. Pourquoi, nous, bons Français, devrions-nous apporter notre argent à des entreprises sans morale ni conscience qui par leur action ont du sang sur les mains ? Combien de milliers de compatriotes ont vu leur opération supprimée par la saturation des hôpitaux uniquement causée par ces sous-citoyens non vaccinés ? Le président de l’association a déclaré “Les priver de clients et de revenus n’est que justice, ces sous-merdes n’ont qu’à crever dans les caniveaux”. Notons que le Président de la République ainsi que le gouvernement ont salué cette initiative citoyenne et déclaré “nous espérons qu’il y en aura d’autres”… Les bruits de couloir laissent entendre que M Lucien Bolmerbug, président du Fief se verrait bientôt remettre la Légion d’honneur. »

Santé :
Le sport c’est dangereux.

« Le ministère des Sports avec le support du ministère de la Santé met en garde les jeunes contre la pratique sportive. Nous savons depuis des années que le sport peut causer des AVC, des thromboses et des myocardites sur des personnes apparemment en bonne santé. L’effort musculaire déclenchant ces symptômes sous-jacents. Le désormais célèbre slogan “pour plus de sûreté, je ne fais pas de sport” a d’ores et déjà permis de sauver des centaines de vie… Et rappelez-vous “tous vaccinés, tous protégés”. »

Santé :
Dans un coffre ! (Basé sur des faits réels)

« Une mère de famille ayant amené son enfant dans un centre de test afin de s’assurer qu’il était négatif a eu une excellente idée. Apprenant que celui-ci est positif, elle s’est justement empressée de lui coller une baffe en le traitant de petit con “tu aurais pu faire attention et respecter les gestes barrières”. Bien entendu en mère responsable elle lui a signifié qu’il serait consigné dans sa chambre pendant 15 jours avec un pot de chambre et que les repas lui seraient apportés… Il devra de plus porter un masque jour et nuit. Mais là n’est pas l’essentiel, les mesures précédentes n’étant que le minimum raisonnable… Justement paniquée par l’idée de revenir à la maison, elle a bien envisagé de le faire courir derrière la voiture, mais les 15 km d’autoroutes auraient fait perdre trop de temps à la mère. C’est alors qu’elle a eu l’idée géniale d’enfermer son enfant dans le coffre de sa voiture… Ah si tous les parents avaient autant de bonnes idées, nous serions vite débarrassés de ce fléau ! »

Santé, Société :
En France on n’a pas de pétrole, mais on a des idées.

« Tel était le slogan des années 70 suite à la crise pétrolière. Et il n’était pas vain. De multiples médecins médiatiques et hommes politiques regorgent d’imagination pour faire payer les non-citoyens que sont les non-vaccinés. Saluons ici l’excellente initiative de Christian Estrosi qui a proposé de confiner (assigner à résidence) les non-vaccinés en ayant auparavant rendu obligatoire la vaccination et donc introduit le pass vaccinal pour travailler. Mais afin que la mesure soit juste et comprise par l’ensemble des vrais Français, M. Estrosi a précisé que les égoïstes seraient aussi privés d’assurance chômage… On ne va quand même pas leur offrir le gîte et le couvert… merde ! Cette excellence initiative succède à d’autres bonnes idées comme faire payer un impôt supplémentaire aux non-vaccinés, les faire payer ou les interdire de soin à l’hôpital ou les mettre en prison. Ne doutons pas que de nouvelles idées verront le jour dans les prochains jours afin que les bons Français puissent être protégés de ces monstres sans foi ni loi. »

Religion :
Les non-vaccinés ont-ils une âme ?

« C’est de cette question dont ont débattu les évêques lors du dernier concile. Autant il y eut en toute logique unanimité pour excommunier les non-vaccinés qui de toute évidence ne pouvaient pas faire partie de l’église de Rome, autant le débat fut rude concernant la question de l’âme. L’église a fait de grands progrès ces dernières années avec la reconnaissance de l’avortement, de l’utilisation de cellules fœtales pour la fabrication de vaccins, mais demeure plus ou moins indécise sur les non-vaccinés. La devise catholique voudrait qu’on les aime, qu’on les aide, qu’on leur pardonne leurs errements, mais il n’est pas pour autant possible d’ignorer la profondeur de leur horreur qui ferait passer une orgie pédophile comme un hobby banal. Malgré la longueur des débats, il ne fut pas possible de trancher définitivement sur cette question. À ce jour donc les non-vaccinés ne sont ni considérés comme des humains ni comme des animaux. »

Justice :
Majorité pénale.

« Un débat à court en ce moment sur l’âge de la majorité pénale. En effet nous voyons de plus en plus d’enfants en bas âge contaminer leurs grands-parents innocents. Je vous rappelle que la morale veut que les enfants et petits enfants se sacrifient pour leurs grands-parents. C’est quand même la moindre des choses, le minimum de respect possible. Et puis, depuis quand les vieux devraient se sacrifier pour les jeunes ? N’importe quoi. Bref nous voyons même des bébés qui enlèvent leur masque dans la journée pour porter une tétine infectée à leur bouche ! Sans compter ces enfants qui au lieu de rester dans un cercle marqué sur le sol, vont vers d’autres enfants pour jouer. Une enseignante, horrifiée comme il se doit, a même assisté à l’acte criminel d’un enfant qui a voulu prêter sa gomme à un autre enfant. C’était sans compter sur l’intelligence, le bon sens et les réflexes de l’enseignante qui a immédiatement activé l’alarme incendie de l’école. Malgré la pluie, les enfants sont restés pendant 4 heures dans la cour, le temps que les locaux soient désinfectés. Il existe des milliers d’exemples… Bien entendu il semble logique de condamner les parents à de lourdes peines et les priver de leurs droits parentaux, mais on ne peut pas uniquement leur jeter la pierre. Nous savons tous que certains enfants sont mauvais par essence, ils sont incontrôlables et malgré toute la bonne volonté des parents se comportent en tueurs psychopathes prêts à tuer leurs aînés. Le bon sens voudrait donc que la majorité pénale soit désormais à partir de 3 ans. »

Covid :
Olivier Veran positif (en partie réel).

« Le Ministre de la Santé a-t-il été contaminé par ses enfants en âge d’aller à l’école primaire ? C’est en tous les cas la thèse la plus probable, s’ajoutant aux nombreuses victimes de leurs enfants comme Jean Castex ou le Dr Alexandre, si je ne me trompe. Cela nous démontre une fois de plus la dangerosité de ces enfants qui parfois ont un geste tendre en direction de leurs parents, enlevant le masque pendant une seconde. Pour être encore plus sérieux, force est de constater que le respect des gestes barrières et le port du masque nous mettent à l’abri de 110 % des contaminations, mais pas avec les enfants. De nombreuses voix s’élèvent pour réclamer un protocole sanitaire adapté aux enfants. Le principal dirigeant d’un syndicat enseignant a déclaré “ce n’est plus possible, il faut les mettre dans des camps sans quoi l’humanité risque de s’éteindre à cause de ces petits cons.” L’Australie, en avance sur les autres pays est en train de préparer des camps pour enfants dans des parcs d’attractions pour rendre leur incarcération plus ludique. Le porte-parole du gouvernement a quant à lui déclaré “je suis peut-être un enculé, mais au moins je ne risque pas d’être contaminé par mes enfants”. Il a été convenu que lors du prochain remaniement ministériel le quota d’enculés serait porté à 50 % au minimum afin de protéger le gouvernement en cas d’attaque infectieuse massive des enfants envers leurs parents. »

Société :
Plainte de l’association de consommateurs TousUnis.

« L’association de consommateurs TousUnis a déposé plainte contre la société de jeux éducatifs Es Lebe Die Lage. L’association reconnaît que l’idée du jeu “Ramasse tes virus” était excellente et permettait aux enfants de se familiariser à la filtration des virus par les masques. Le problème est que le jeu est totalement injouable. En effet, les enfants doivent ramasser du sable avec une épuisette, mais les trous font 3 cm de côté. Imaginez ces pauvres enfants dire “il est nul ce jeu, il faut vraiment être con pour croire qu’on peut ramasser du sable avec des trous pareils”. Contacté par notre rédaction, le fabricant a tenu à présenter ses excuses et précisé que les ingénieurs (irresponsables) s’étaient basés sur la proportionnalité réelle entre la taille d’un virus et les fibres d’un filtre à café. Une nouvelle version du jeu pourrait remplacer l’épuisette à trous par une épuisette en sac poubelle afin de s’assurer de l’efficacité du ramassage. »

Santé :
Pédophilie et inceste.

« La pédophilie permettrait de renforcer les défenses immunitaires de l’enfant. En ces temps troublés de pandémie mondiale, toute idée est bonne est à prendre. Des chercheurs du MIT sont arrivés à la conclusion que l’inceste pouvait augmenter de 40 % les défenses immunitaires chez l’enfant dès lors qu’il était violé par un proche membre de sa famille (grand-parent, parent, frère, oncle…) Bien évidemment l’agresseur pédophile devait être à jour de son parcours vaccinal afin d’augmenter l’efficacité du traitement. Il a été établi qu’il était préférable d’enculer l’enfant dans les 15 jours suivant le rappel, là où les anticorps sont les plus importants. Une fréquence de deux fois par mois étant suffisante pour maintenir l’immunité et d’une fois par mois pour les moins de 3 ans. Et bonne nouvelle, les effets secondaires sont relativement rares et anodins. Les chercheurs ont constaté quelques rares cas de suicide chez l’enfant ou un peu plus fréquent d’automutilations. Une campagne d’information sera bientôt diffusée en France et plusieurs personnalités publiques se sont généreusement proposées pour parrainer l’association “encule ton neveu”. »

Santé :
Amputation prophylactique.

« Des chercheurs allemands, toujours pionniers dans l’avancée de l’humanité, ont constaté que les enfants de moins de cinq ans qui n’avaient ni main ou ni bras, enlevaient beaucoup moins leurs masques. Ils ont donc acheté des enfants dans des orphelinats roumains et procédé à des amputations “prophylactiques”. Un peu sur le même principe que l’ablation du sein pour empêcher des femmes d’avoir un cancer du sein (pas con et tellement humain, hein ?). L’étude a été menée très sérieusement créant plusieurs groupes. Ceux à qui on coupait les mains, le groupe avec l’avant-bras coupé, le groupe avec tout le bras coupé et le groupe témoin qui possédait des bras et des mains. Les résultats ont montré que le meilleur résultat était obtenu en coupant le bras au niveau du coude avec une augmentation de 80 % de l’adhésion au port du masque. Nous pensons que d’ici un mois, l’opération (banale et sans danger ni contre-indications) devrait être proposée pour les parents qui le désirent aux enfants de moins de 5 ans. Le rapport bénéfice versus risque pour l’enfant étant totalement favorable au regard de la dangerosité du virus sans compter le bénéfice pour les grands-parents et la société. Il a été prouvé que plus l’enfant était mutilé jeune et moins il avait d’effets secondaires, oubliant avec l’âge qu’il avait des bras et des mains avant cette petite opération bénigne. Précisons qu’étant donné le côté anodin de l’opération, l’accord d’un seul parent sera nécessaire pour procéder à l’amputation des deux membres. »

Société :
Conférence-débat à l’université de Vichy.

« Les plus de 60 ans ont été conviés à une conférence à l’université de Vichy dont le thème était “Les enfants sont-ils une menace pour l’humanité ?” Les débats furent vifs, mais courtois. Il est bien loin le temps où nous étions naïfs à penser que les enfants étaient l’avenir de l’homme. Le fléau a rebattu les cartes et ces têtes blondes d’apparence innocente se sont révélées être de dangereux psychopathes tueurs de grands-parents. Comme bien souvent nous n’avons pas voulu ouvrir les yeux alors même que les enseignants nous avaient signalé très tôt la menace qu’ils représentent. Quand je pense qu’ils continuent à les côtoyer chaque jour au péril de leur vie, je suis admiratif. Arrêtons donc de tourner au tour du pot… Le plus simple et le plus efficace pour nous grands-parents serait de les tuer… Pour autant rappelons-nous que les enfants seront demain les adultes qui paieront les retraites et après-demain de paisibles retraités jouissant des plaisirs de la vie… La solution la plus raisonnable serait donc de faire des fermes d’élevage 100 % automatisées, sous cloche en dehors du monde afin de les faire pousser le plus vite possible et ainsi qu’ils deviennent des adultes au service des vieux. Ce n’est qu’avec des initiatives à la fois humanistes et efficaces que nous pourrons sortir du fléau. »

Merci

Alain Tortosa

Tout ceci n’est bien sûr qu’humour noir et caricature et ne saurait avoir de lien avec la réalité

14 janvier 2022.

https://7milliards.fr/tortosa20220114-breves-humour-noir.pdf




« Passe vaccinal » : la Déclaration des droits naturels de l’Homme et du Citoyen est de nouveau au cœur du combat politique

[Source : lecanardrépublicain.net]

Par John Groleau

Ainsi jeudi 6 janvier, la majorité des députés présents(([1] https://www2.assemblee-nationale.fr/scrutins/detail/(legislature)/15/(num)/4279 ; copie :
Notons que le député Jean-Baptiste Moreau, favorable à ce texte, n’a pas participé au vote. Cet élu est une honte pour le département de la Creuse.)) à l’Assemblée nationale ont approuvé le projet de loi pour la mise en place du « passe vaccinal » qui diviserait le Peuple français en fonction de sa situation au regard de la vaccination. Si dans les prochains jours après les processus parlementaires habituels une telle loi était adoptée, elle piétinerait notamment le 1er article de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (DDHC) de 1789 : « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. »

En effet, selon son statut vaccinal vis-à-vis de la covid-19, les citoyens – en particulier non malades/en bonne santé/non atteints – n’auraient plus les mêmes droits, notamment pour l’accès à certains lieux ou établissements et pour la réalisation de certaines activités. De plus, en vue de pouvoir échapper à certaines restrictions de liberté, les citoyens devraient se munir du « passe vaccinal », c’est-à-dire d’un document officiel du gouvernement : la liberté devient une autorisation.

L’objectif constitutionnel de protection de la santé énoncé au point 11 du préambule de la Constitution du 27 octobre 1946, repris en tête de celle du 4 octobre 1958, repose sur l’obligation pour les gouvernants de déployer les moyens nécessaires d’assurer cette protection et non sur une entorse aux libertés et droits fondamentaux, même pour une durée limitée.

Dans cette période contre la déclaration des droits humains que nous vivons, il devient nécessaire de rappeler quelques points historiques sur la DDHC, en particulier d’évoquer ses plus féroces adversaires. N’étant pas un historien, je vais me contenter de rappeler une liste non exhaustive d’éléments me paraissant fondamentaux.

  • Le 26 août 1789, la Déclaration des droits de l’homme et du citoyense référant à la théorie du droit naturel, est votée : ce fut le Manifeste de la Révolution de 1789, réclamé par les États généraux.
  • L’art. 1er de la DDHC de 1789 fut immédiatement combattu par les colons esclavagistes de Saint-Domingue. Dans une lettre à leurs commettants du Cap, les députés des colons blancs avaient présenté la DDHC comme la « terreur » des colons : « Enfin, elle (notre circonspection) est devenue une espèce de terreur, lorsque nous avons vu la Déclaration des droits de l’homme poser, pour base de la Constitution, l’égalité absolue, l’identité de droits et la liberté de tous les individus. »(([2] Voir Florence Gauthier, « De la Révolution de Saint-Domingue à l’Indépendance d’Haïti. Comment sortir de l’esclavage ? 1789-1804 », Le Canard républicain, 30 janvier 2010, et Florence Gauthier, L’aristocratie de l’épiderme. Le combat de la Société des Citoyens de couleur, 1789-1791, Paris, CNRS, 2007.))
  • Le 13 mai 1791, malgré une défense acharnée du côté gauche, dont les principaux porte-parole étaient Grégoire et Robespierre, la majorité de l’Assemblée constitutionnalisa l’esclavage dans les colonies en votant l’article suivant : « L’Assemblée nationale décrète comme article constitutionnel qu’aucune loi sur l’état des personnes non libres ne pourra être faite par le corps législatif pour les colonies, que sur la demande formelle et spontanée des assemblées coloniales. » Cette décision réservait ainsi aux assemblées de colons esclavagistes la législation intérieure des colonies.
  • Le 24 juin 1793, la Convention, nouvelle assemblée constituante, vota la deuxième Déclaration des droits naturels de l’homme et du citoyen.
  • 4 février 1794 : la Convention montagnarde abolit l’esclavage dans les colonies françaises.
  • 9 thermidor – 27 juillet 1794 : chute de la Montagne.
  • La Constitution de 1795 expulse la Déclaration des droits naturels de l’homme et du citoyen du droit constitutionnel français et restaure un suffrage censitaire pour établir une aristocratie des riches. La déclaration placée en tête de la Constitution du Directoire rompt avec la théorie du droit naturel et instaure tout autre chose, les droits et les devoirs de l’homme en société.
  • À partir du Coup d’état de Bonaparte, qui restaura l’esclavage dans les colonies, en 1802, la Déclaration des droits naturels ne fut plus qu’un souvenir en France, jusqu’en… 1946, date à laquelle le Conseil national de la Résistance proposa de rétablir celle de 1789.
  • En 1906, Maurras proclamait : « Nous prenons le ciel à témoin de la vivacité de notre haine pour la démocratie et pour le principe, absolument faux, de la souveraineté du nombre ».
  • Dans un discours datant du 7 avril 1926, Mussolini déclarait : « Nous représentons l’antithèse des immortels principes de 1789 ».
  • Goebbels en 1933 : « L’an 1789 sera rayé de l’histoire ».

Ce n’est pas la première fois dans l’Histoire que des parlementaires, sans le contrôle direct des citoyens, collaborent à la destruction de la République. Bien sûr, on peut rappeler la date du 10 juillet 1940, le Parlement français étant associé à l’opération même qui le liquida avec la République. Par 569 voix contre 80, la loi constitutionnelle voulue par Laval, donnant les pleins pouvoirs constituants à Pétain, fut adoptée.

Comment ne pas évoquer également le 4 février 2008 et le sinistre Congrès du Parlement réuni à Versailles qui a conduit à l’adoption du projet de loi modifiant la Constitution, préalable nécessaire à la ratification du Traité de Lisbonne, copie du Traité Constitutionnel Européen, que le Peuple français avait pourtant rejeté en 2005 par référendum…

Selon le chef de l’État, Emmanuel Macron, « Les devoirs valent avant les droits ».

Mais selon Robespierre, « Lorsque le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».

Toucher et remettre en cause l’article 1er de la DDHC de 1789 est un acte grave qui viole la devise de la République démocratique et sociale :

Liberté, Égalité, Fraternité.

[Ndlr : cependant, il est relativement connu de nos jours que la Révolution française, cette devise (« Liberté, Égalité, Fraternité ») et la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen sont d’origine maçonnique. Voir notamment le symbole en haut de l’illustration.]





La scandaleuse mascarade du débat parlementaire et du prétendu « contrôle » du Conseil constitutionnel

[Source : FranceSoir]

[Photo : L’hémicycle de l’Assemblée nationale, le 9 février 2021 à Paris.
© Ludovic MARIN / AFP/Archives]

Auteur(s): Le Collectif citoyen, pour FranceSoir

TRIBUNE — Au lieu d’engager sa responsabilité avec l’article 49.3 pour faire passer ses lois liberticides et illégales vis-à-vis de notre bloc constitutionnel et/ou les traités et conventions internationales signées par la France, notre « malin » gouvernement a choisi une nouvelle procédure créée lors de la modification constitutionnelle de Nicolas Sarkozy en 2008, appelée « procédure législative d’urgence » (procédure détaillée à la fin du document).

Cette procédure d’urgence a été utilisée pour la loi du 5 août 2021 dite de l’« obligation vaccinale des soignants », la loi du 10 novembre 2021 dite de la « prolongation du passe sanitaire sans contrôle jusqu’en juillet 2022 » et est utilisée pour le projet de loi dite du passe vaccinal actuellement en cours de discussion.

I. Sur la tromperie du peuple français par les « Macron-compatibles » avec la mascarade du débat parlementaire et le prétendu « contrôle » du Conseil constitutionnel

La tromperie du peuple français par les « Macron-compatibles » est bien rodée maintenant, comme le démontre la synthèse ci-dessous :

   1. Le gouvernement introduit un projet de loi à l’Assemblée nationale en procédure accélérée,

   2. Les députés de l’Assemblée nationale votent le projet soit directement, soit en n’étant pas présents à l’Assemblée nationale, laissant ainsi le champ libre aux députés macronistes (il est vrai qu’il est moins risqué pour un député souhaitant voter pour d’éviter de venir à  l’Assemblée nationale le jour du vote afin d’éviter d’avoir son nom placardé dans les « pour » – quelle serait la réaction de ses électeurs ?)

   3. Le projet de loi part ensuite au Sénat. En simplifiant,

  • Si le Sénat vote pour, le projet de loi repart à l’Assemblée nationale pour validation définitive,
  • Si le Sénat vote contre, le projet de loi repart à l’Assemblée nationale qui peut reprendre le texte initial et le valider avec un tour de manège supplémentaire Sénat / Assemblée qui ne sert à rien.
    En résumé, les votes et modifications apportées par le Sénat ne servent à rien !

Comme ils le disent, l’Assemblée nationale, même vide de nos représentants du peuple, les députés, a le dernier mot !

  4. Le projet de loi est ensuite envoyé aux soi-disant « sages » du Conseil constitutionnel.

Le bon peuple français s’attend ensuite à ce que ces fameux « sages » vérifient rigoureusement que la loi respecte les normes supérieures, c’est-à-dire notre Constitution, les traités internationaux et les conventions internationales signés et ratifiés par la France.

Et bien NON cher peuple !

Les fameux « sages » ne vérifient rien !  Oh si, pardon, le Conseil constitutionnel ne vérifie la légalité de la loi que si 60 députés ou sénateurs lui soumettent des questions d’inconstitutionnalité sur des articles précis.

En simplifiant, si l’article X de la loi n’est pas légal vis-à-vis de notre Constitution et qu’aucune question n’est posée sur cet article par un groupe de parlementaires, eh bien l’article X est laissé dans la loi même s’il est illégal !

Vous suivez ?

Donc, en ne posant aucune question, les députés et sénateurs laissent sciemment des articles illégaux dans la loi qui est appliquée et le bon peuple, dont les forces publiques, pense qu’elle est constitutionnellement validée.

Vous allez me dire : et la conformité de la loi vis-à-vis des traités et conventions internationales ratifiés par France ?

Eh bien cher peuple, les fameux « sages » ne vérifient pas que les articles de la loi respectent les traités internationaux et conventions internationales ratifiés par la France. Il a décidé que ce n’était pas son rôle dans l’arrêt n° 74-54 DC du 15 janvier 1975 relatif à la loi IVG.

Donc, en résumé, de nombreux articles composant ces lois sont appliqués alors qu’ils violent scandaleusement la Constitution et/ou les traités et conventions ratifiés par la France.

Voilà la démocratie du monde macroniste !

Pire encore, les députés « Macron-compatibles » votent des articles de loi tout en sachant qu’ils ne sont pas légaux vis-à-vis de nos textes fondateurs de la République.

Pour exemple, lors des débats parlementaires de la semaine dernière sur le pass vaccinal, le député LFI, Eric Coquerel, a rappelé à ses « chers collègues » qu’obliger les Français à la « vaccination » pour pouvoir travailler était parfaitement illégal vis-à-vis du droit français et, spécialement, aux normes constitutionnelles et à de nombreux traités et conventions signés et ratifiés par la France.

Eh bien les députés « Macron-compatibles » l’ont voté quand même tout en sachant qu’il allait passer le soi-disant contrôle passoire des fameux « sages » du Conseil constitutionnel !

https://videos.assemblee-nationale.fr/video.11702485_61d5fe866bc42.2eme-seance–renforcement-des-outils-de-gestion-de-la-crise-sanitaire-suite-5-janvier-2022

Cette stratégie de tromperie du peuple français par les « Macron-compatibles » a notamment été utilisée pour les lois liberticides suivantes :

   – Projet de loi du 25 juillet 2021 relatif à la gestion de la crise sanitaire, dite loi de l’obligation « vaccinale » des soignants devenue la loi du 5 août 2021,

   – Projet de loi du 5 novembre 2021 portant diverses dispositions de vigilance sanitaire, dite loi de la prolongation du passe sanitaire sans contrôle jusqu’en juillet 2022, devenue la loi du 10 novembre 2021,

Et bien entendu, elle est utilisée pour le passe vaccinal :

   – Projet de loi du 5 janvier 2022 renforçant les outils de la gestion de la crise sanitaire et modifiant le Code de la santé publique dite loi du scandaleux et illégal passe vaccinal, actuellement en discussion.
Grâce à la stratégie des « Macron-compatibles », le gouvernement peut dont promulguer et faire appliquer des lois complètement illégales.

Est-ce que nos institutions protègent encore le peuple français d’un gouvernement tyrannique ?

   – Les députés censés représenter le peuple à l’Assemblée nationale se font élire sur des étiquettes de partis politiques et, arrivés à l’Assemblée nationale, ils votent aux ordres de leur parti, même en violant les lois suprêmes qui nous protègent : notre bloc constitutionnel, les traités et conventions internationales ratifiées par la France,

   – Avec la procédure d’urgence introduite insidieusement par N. Sarkozy lors de sa révision constitutionnelle, bien entendu sans demander l’avis du peuple français par referendum, le Sénat a perdu ses pouvoirs de contrôle si tant est qu’il contrôlait avant…

   – Le Conseil constitutionnel ne contrôle plus rien et laisse passer des lois illégales au grand bonheur d’un éventuel dictateur au pouvoir ! Le Conseil constitutionnel est habilement utilisé par le gouvernement afin de faire croire au peuple français et aux forces publiques que les lois sont légales.

Afin de remettre de l’ordre rapidement dans nos institutions afin d’empêcher les politiques de voter des lois illégales vis-à-vis de notre cadre juridique suprême qui est la fondation de notre République (bloc constitutionnel, traités et conventions internationales ratifiés par la France), il serait peut-être temps que le peuple français élise aux prochaines élections législatives des députés qui les représentent vraiment et non des exécutants de partis politiques.

Bien entendu, les Français peuvent encore essayer de demander l’abrogation de ces lois illégales à travers les Questions Prioritaires de Constitutionnalité (QPC), contrôles de conventionnalité et questions préjudicielles devant la CJUE, mais le problème est qu’ils doivent le faire dans le cadre d’une procédure juridictionnelle. Le délai de réponse est très long et la procédure très couteuse en frais d’avocat.

Par exemple, imaginons que le gouvernement arrive à faire voter sa loi imposant la « vaccination » pour pouvoir travailler.  Sans trop rentrer dans les détails juridiques, cette loi viole notamment :

   – L’article 23 du préambule de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 qui affirme :  « Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail » ;

   – La directive 2001/20/CE et le règlement n°536/2014, qui affirment que l’on ne peut pas obliger les Français à suivre des traitements y compris des thérapies géniques préventives ; ce qui est appelé vaccin aujourd’hui n’est juridiquement pas un vaccin, mais un traitement donc un médicament ;

   – Le règlement européen n°2021/935 qui indique qu’il y a lieu d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes non vaccinées ;

   – La Convention d’OVIEDO de 1997, qui affirme que les essais cliniques ne peuvent pas être obligatoires ;

   – Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques de 1966, qui affirme qu’il est interdit de soumettre une personne sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique ;

   – La Charte des droits fondamentaux de l’U.E., qui confirme que dans le cadre de la médecine et de la biologie, le consentement libre et éclairé doit être respecté.

Pour combattre cette loi illégale, un salarié licencié pour cause de non-présentation de son « schéma vaccinal » complet devra donc assigner en justice son employeur pour licenciement abusif en application d’une loi illégale et dans sa procédure, inclure des QPC, demande de contrôle de conventionnalité, question préjudicielle devant la CJUE.

Il devra attendre plusieurs mois avant que le Conseil constitutionnel juge cette fois, suite à la demande en justice introduite par le salarié a posteriori (et non plus dans le cadre de la consultation a priori, lors de la soi-disant validation de la loi illégale) avant que les « sages » lui retournent une réponse.

Il est inconcevable que les juges du Conseil constitutionnel rendent une réponse motivée négative tellement la loi sur le passe vaccinal qui empêche un citoyen de travailler, s’il ne se fait pas injecter une thérapie génique expérimentale, est illégale. À la suite de cette décision plusieurs mois après, le gouvernement sera obligé d’abroger sa loi scélérate. En attendant, cette loi que tous les Français croyaient constitutionnelle est appliquée et peut faire de graves dégâts au sein de la population !

Le problème avec ce système de passation des lois (bien maitrisé par les  « Macron-compatibles ») sans contrôle rigoureux d’un vrai Conseil constitutionnel, à la fois vis-à-vis de notre bloc constitutionnel, mais aussi vis-à-vis des traités et des conventions internationales signés par la France, c’est que des lois illégales peuvent être appliquées pendant des mois voire des années si personne n’a l’idée de les attaquer !

II. Sur l’absentéisme stratégique à l’Assemblée nationale

Il faut d’abord rappeler que le vote de la loi ne requiert pas la présence d’un nombre minimum de députés (par exemple, la moitié) dans l’Hémicycle. Comme le disent le règlement de l’Assemblée nationale et celui du Sénat, « l’Assemblée est toujours en nombre pour délibérer et pour régler son ordre du jour ». Donc, à l’exception de certaines procédures spéciales, l’Assemblée nationale délibère valablement, quel que soit le nombre de députés présents.

 A) Sur l’absentéisme global pour ces trois lois violant les droits fondamentaux des Français :

   – Loi du 5 août 2021 dite de « l’obligation vaccinale des soignants » :
Députés absents à l’Assemblée nationale pour le vote : 60 % d’absents

   – Loi du 10 novembre 2021 dite de la « prolongation du passe sanitaire jusqu’en juillet 2022 sans contrôle »
Députés absents à l’Assemblée nationale pour le vote : 64 % d’absents

   – Loi dite du passe vaccinal actuellement en cours de discussion
Députés absents à l’Assemblée nationale pour le vote : 42 % d’absents

 B) Sur l’absentéisme du groupe Les Républicains ou « comment voter pour sans faire afficher son nom sur le listing des votes afin que les électeurs ne réclament des comptes ? »

Partant, à l’analyse des trois scrutins, il apparaît que, avec 103 (105, pour le scrutin pour la prolongation du passe sanitaire) députés à l’Assemblée nationale, les députés LR seraient en nombre suffisant pour contrer les députés « Macron-compatibles », s’ils le voulaient. Examinons les votes lors des trois scrutins :

   1) Loi du 5 août 2021 dite de « l’obligation vaccinale des soignants »,
Les députés Les Républicains ont voté pour la loi à 84 %, soit directement, soit par abstention, soit par absence !

Pour l’adoption définitive du projet de loi relatif à la gestion de la crise sanitaire, dite loi de l’obligation « vaccinale » des soignants, le 25 juillet 2021, les votes 105 députés du groupe Les Républicains se répartissent de la manière suivante :

https://www2.assemblee-nationale.fr/scrutins/detail/(legislature)/15/(num)/3949

CONTRE : 17 SEULEMENT
POUR par vote : 6
POUR par abstention : 5
POUR par absence : 77
Total des POUR : 88

Seuls 28 députés LR étaient présents dans l’hémicycle pour le vote de la loi sur l’obligation vaccinale des soignants, contre 77 députés LR absents.

   2) Loi du 10 novembre 2021 dite de la « prolongation du passe sanitaire jusqu’en juillet 2022 sans contrôle » :

Les députés Les Républicains ont voté pour la loi à 65 %, soit directement, soit par abstention, soit par absence !

Pour l’adoption définitive du projet de loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire, les votes 103 députés du groupe Les Républicains se répartissent de la manière suivante :

https://www2.assemblee-nationale.fr/scrutins/detail/(legislature)/15/(num)/4114

CONTRE : 36 seulement
POUR par absence : 67

Seuls 36 députés LR étaient présents dans l’hémicycle pour le vote de la loi prolongeant le passe sanitaire, contre 67 députés LR absents.

   3) Loi dite du « passe vaccinal » en cours de discussion

Les députés Les Républicains ont voté pour la loi à 73 %, soit directement, soit par abstention, soit par absence !

Pour l’adoption définitive du projet de loi renforçant les outils de la gestion de la crise sanitaire, le 5 janvier 2022, les votes 103 députés du groupe Les Républicains se répartissent de la manière suivante :

https://www2.assemblee-nationale.fr/scrutins/detail/(legislature)/15/(num)/4279

CONTRE : 24 SEULEMENT
POUR par vote : 28
POUR par abstention : 22
POUR par absence : 29
Total des POUR : 79

Finalement, le groupe LR a très largement permis l’adoption de textes profondément liberticides par un vote favorable ou simplement par abstention ou par absence. Était-ce le mandat que leur ont confié les électeurs, s’agissant d’engager aussi lourdement l’avenir des Français ?

Ce qu’ils ne savent pas (ou plutôt : font comme s’ils ne savaient pas) c’est que de tous côtés des voix de médecins, biologistes, généticiens, virologues, s’élèvent pour dénoncer une véritable hécatombe. Plus on « vaccine » et plus les urgentistes voient arriver des gens ayant reçu une ou plusieurs doses, qu’hypocritement on qualifie de « non-vaccinés ». Le nombre de sportifs de haut niveau s’effondrant en plein match est impressionnant. Selon l’organisme officiel Américain V.A.E.R.S. le nombre de myocardites qui était constant depuis 2010, s’est multiplié par 500 en 2021 !  Bien sûr, les médias mainstream, financés par ceux qui profitent de cette crise, nous cachent cette réalité. Pourtant, il suffit de regarder les sites de l’ANSM ou Eudravigilance qui reconnaissent en plus n’avoir connaissance que de 10% de la réalité, pour constater l’inacceptable. 

À moins que la notion de courage ait disparu du dictionnaire…

Outre le fait que (pour la première fois dans l’histoire de la vaccination) le « vaccin » n’empêche pas de contracter la maladie, rend le sujet contagieux, et ne « protège » que pendant six mois, en courbant l’échine de cette manière, en votant pour cette mascarade inacceptable, nos élus se font les complices d’un empoisonnement collectif. Il y aura forcément des comptes à rendre à une population empoisonnée, car la vérité finit toujours par éclater…

Nota : quelques détails sur la procédure accélérée mise en place par le gouvernement de Nicolas Sarkozy :

Lorsque le gouvernement a préalablement engagé la procédure législative accélérée (issue de la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008) concernant un projet de loi, qu’il a déposé devant l’une des deux chambres du Parlement, chaque assemblée procède à une seule et unique lecture du texte (dans le cadre de la procédure ordinaire, le texte fait l’objet de deux lectures par chaque assemblée successivement, ce que l’on appelle habituellement « la navette »).

Suite à cette unique lecture, le texte est soumis à une procédure de conciliation en commission mixte paritaire (CMP), laquelle comprend sept députés et sept sénateurs (auxquels s’ajoutent autant de membres suppléants).

Au cours de la réunion de la CMP, les parlementaires cherchent à établir un texte de compromis concernant tous les articles restant en discussion. Ils peuvent décider de retenir la rédaction précédemment adoptée par l’une ou l’autre assemblée, ou bien d’élaborer, pour certains articles, une rédaction nouvelle.

Les travaux de cette commission sont consignés dans un rapport. Si les membres de la CMP élaborent et adoptent un texte de compromis, ce texte est reproduit dans le rapport. Dans le cas contraire, le rapport expose les raisons pour lesquelles la conciliation n’a pas pu se faire.

Si le texte de compromis est rejeté par l’une ou l’autre assemblée ou si des amendements au texte de la CMP adoptés par une assemblée ne le sont pas par l’autre, il y a échec de la procédure de conciliation.

Cet échec peut également venir du fait que la commission mixte n’est pas parvenue à établir un texte de compromis.

Dans ces différents cas, le gouvernement a la possibilité de donner le dernier mot à l’Assemblée nationale.

Cette procédure comporte trois étapes se déroulant dans l’ordre suivant :

   – la nouvelle lecture par l’Assemblée nationale,
   – la nouvelle lecture par le Sénat et
   – la lecture définitive par l’Assemblée nationale,

Lors de cette lecture définitive, les députés peuvent reprendre leur texte initial sans tenir compte des modifications du Sénat.

Cette procédure accélérée mise en place par la révision constitutionnelle de N. Sarkozy en 2008 est utilisée par le gouvernement afin de réduire quasiment à néant l’exercice de la démocratie.  Il suffit, en effet, à la République en Marche d’avoir suffisamment de députés « Macron-compatibles »  afin de faire adopter rapidement les lois qu’ils souhaitent sans débats parlementaires sérieux.  Le Sénat ne sert quasiment plus à rien, car ce sont les députés qui ont le dernier mot !

Nicolas Sarkozy a donc réussi à neutraliser le Sénat avec sa procédure accélérée.

Tableaux de vérification des calculs pour France Soir

Tableau de vérification absentéisme global :

Tableau de vérification absentéisme LR :

Auteur(s): Le Collectif citoyen, pour FranceSoir




Nous, non-vaccinés, ce groupe témoin que Big Pharma doit éliminer coûte que coûte

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

L’émergence mondiale d’une réaction haineuse contre les non-vaccinés, quasiment accusés d’être à l’origine du COVID, désormais, soulève la question du groupe témoin que nous constituons. La coordination multilatérale de cette opération est très efficace, et souligne le poids réel de l’influence exercée par les laboratoires pharmaceutiques sur les décisions des États. Mais pourquoi les producteurs d’un vaccin qui ne marche pas, surtout face aux nouveaux variants, sont-ils si pressés d’en finir avec la résistance à ce vaccin ? Serait-ce parce que les non-vaccinés vont bientôt constituer le groupe-témoin gênant sur les effets secondaires durables de leur produit ?

Dans tous les essais pharmaceutiques, on choisit un groupe témoin : il sert d’étalon de comparaison entre ceux qui servent de cobaye et les autres. Le groupe témoin est celui qui n’est pas “expérimenté”. Il ne suit aucun traitement. Et si, statistiquement, tel ou tel phénomène se produit dans le groupe des cobayes, alors on peut suspecter qu’il s’agit d’effets secondaires produits par le traitement, puisque le groupe-témoin n’en souffre pas. 

Les non-vaccinés, cet inquiétant groupe-témoin

Transposée à l’échelle d’un pays, cette technique du groupe témoin correspond assez bien à la situation que nous connaissons entre vaccinés et non-vaccinés.

Officiellement, une très grosse majorité de la population a reçu le traitement magique, qui nous était présenté comme “la seule façon de retrouver une vie normale”. Toujours très officiellement, une infime minorité qui représente tout de même 5 millions de personnes, en France, vit encore à l’état de nature, c’est-à-dire sans vaccin. 

Il y a donc bien un groupe sous traitement et un autre groupe qui ne l’est pas. 

On n’a pas assez insisté sur le caractère perturbant de cette situation pour les laboratoires qui fabriquent les traitements expérimentaux, et pour les gouvernements qui en favorisent l’injection à tout-va. C’est que, si l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle devait se révéler durablement néfaste pour la santé publique, le groupe-témoin apporterait la preuve accablante, irréfutable, grandeur nature, de la forfaiture commise par les apprentis sorciers qui nous enjoignent d’être vaccinés. 

Supposons, par exemple, que le nombre de cancers augmente de 20% l’an prochain chez les vaccinés, alors qu’il reste stable chez les non-vaccinés, nous serions confrontés à une nouvelle affaire du sang contaminé, mais en puissance 10 ou 100. Les gouvernements devraient expliquer pourquoi ils ont miné la vie des non-vaccinés pour les pousser coûte-que-coûte à se faire inoculer un poison. 

Face au risque d’une révolte incontrôlable des vaccinés

Mais la grande peur des gouvernements tient évidemment à la réaction des vaccinés s’ils découvraient que la confiance qu’ils ont portée dans leurs chers dirigeants avait été trompée. 

Nous, les non-vaccinés, contemplons avec un sourire amusé la sotte fatuité de ceux qui se sentent ragaillardis par leurs deux doses de vaccin, qui ont pris la troisième sans broncher, et qui considèrent comme un honneur de pouvoir se faire injecter tous les 3 mois une nouvelle dose d’un produit dont ils ne connaissent rien. Tous ceux-là nous accusent d’être des contaminateurs qui revendiquent le droit de tuer les autres. Et comme Macron leur garantit l’impunité, ils ne sont pas loin de vouloir nous lyncher avec le zèle des petits lèche-culs qui veulent faire plaisir à l’instituteur. 

Mais c’est un pari dont ils n’ont pas conscience. Aveuglés par leur conformisme, ils n’imaginent pas un seul temps que l’État, le cher papa-État, la chère maman Sécurité Sociale, puissent leur avoir menti. Et ils tomberaient de leur chaise s’ils découvraient un jour que la décision de vacciner en masse n’a pas été prise par des âmes candides soucieuses de les protéger, mais par des incompétents, des marionnettes cyniques, qui signent des décrets rédigés par un gouvernement profond dont les rouages sont habilement cachés. 

Nous reviendrons la semaine prochaine sur le rôle joué par les cabinets internationaux de conseil dans la préparation de ces décisions. 

D’ici là, dans l’hypothèse sordide, mais dont chacun pressent la vraisemblance, où le vaccin produirait dans la durée des effets secondaires désastreux comme une recrudescence de cancers, il est imaginable qu’un Macron, qu’un Véran, qu’un Castex, et ailleurs qu’un Draghi ou un Johnson, passeraient de mauvais quarts d’heure. 

N’oublions jamais que, en septembre 1944, ce pays fut mis à feu et à sang par des communistes qui n’ont pas bougé une oreille lorsque Pétain prit le pouvoir en juillet 40, et qu’ils furent souvent aidés dans cette “épuration” par des résistants de la vingt-cinquième heure qui avait besoin de se racheter une conduite après une attitude douteuse durant l’occupation. 

Les moutons d’aujourd’hui peuvent très bien se transformer en liquidateurs, demain, de ce qu’ils ont aimé.

Et cela, les Macron, les Castex, les Véran, le savent parfaitement. 

L’urgence qu’il y a à supprimer le groupe-témoin

Donc, dans l’hypothèse où tout cela tournerait mal, la première manoeuvre d’urgence à actionner consiste évidemment à diminuer au maximum le nombre de “témoins”, pour éviter qu’ils ne constituent un groupe significatif statistiquement, et capable de constituer une preuve évidente des fautes commises par les gouvernements et leurs adjuvants pharmaceutiques. 

D’où le zèle pressant mis à travers le monde dans la répression des non-vaccinés. 

Je recommande à chacun de lire cet article de Marianne tout à fait saisissant sur les différentes sanctions inventées à travers le monde pour “dégrader” les non-vaccinés. On y lit l’anthologie de la violation de l’État de droit : amendes d’un montant variable selon les pays (administrables mensuellement), et même blocage de la carte SIM pour empêcher les non-vaccinés d’accéder à Internet. 

Tout cela relève du délire, mais le bon bourgeois macroniste adore ça, surtout quand il songe lui-même aux tortures qu’il s’inflige depuis tout petit pour réfréner ses passions et ses pulsions afin d’être un parfait prototype de la caste mondialisée : il n’y a pas de raison qu’il soit le seul à souffrir. Être mondialisé, ça se mérite, mon bon Monsieur. 

Ces humiliations quotidiennes infligées à une minorité ne sont évidemment par le seul produit du sadisme élitaire. Elles sont là pour une bonne raison : mais il y aura de non-vaccinés, moins il y aura de preuve sur une éventuelle, possible, plausible, vraisemblable, probable, dégradation générale de l’état de santé des populations du fait du vaccin. Non dans les six mois à venir, mais dans les deux ans, dans les dix ans. 

Il suffit de voir comment les 10.000 Australiens qui demandent réparation à leur gouvernement pour les effets secondaires du vaccin vont coûter pour comprendre que si le nombre de plaignants s’élevait à un million, l’opération “vaccination générale” commencerait à être bigrement saumâtre. 

Pour endiguer le raz-de-marée, il faut donc faire disparaître les preuves : vacciner, vacciner, vacciner et, au besoin, trouver la solution finale pour les “irresponsables” devenus non-citoyens qui résistent toujours. 

Depuis la nuit de Cristal, on connaît la chanson. 

Les prémisses d’une élimination programmée

J’entends d’ici les voix des sceptiques qui crient au complotisme. 

Les mêmes criaient au complotisme lorsque j’annonçais, au mois de mars 2021, l’instauration prochaine du passe obligatoire dans les restaurants. J’ai même eu droit à mon lot de fact-checkers m’expliquant à cette époque que tout cela n’était que fadaise. Je n’avais que quatre mois d’avance sur l’actualité. 

Les mêmes criaient au complotisme lorsque j’annonçais au printemps un projet de vaccination obligatoire pour le mois de novembre. Et finalement, c’est le groupe socialiste au Sénat qui a déposé ce texte en octobre…

Je vous annonce aujourd’hui que, dans les six mois, le gouvernement de la République Française proposera la relégation des non-vaccinés et la confiscation de leurs biens professionnels, si on ne l’arrête pas. 

D’ici là, il aura oeuvré pour maquiller toutes les preuves. 

Regardez avec quelle obstination les médias subventionnés par le contribuable (sur décision de la caste mondialisée) refusent d’évoquer les millions de cas d’effets secondaires recensés par les organismes de pharmacovigilance publique, que ce soit avec le VAERS américain ou avec Eudravigilance en Europe. Il ne s’agit pourtant pas de chiffres complotistes, puisque ce sont des données officielles. 

Mais la peur que les puissants inspirent aux journaleux qui se prennent pour des intellectuels suffit à faire tourner en boucle des arguments bidon comme “ce ne sont pas des effets secondaires, mais des suspicions d’effets secondaires, le lien n’est pas prouvé”.

N’oubliez pas que Macron a effectivement fait couvrir les débats du Conseil de défense sanitaire par le secret défense. 

Tout ceci pue, mes amis. 

Cet acharnement systématique à répéter comme un mantra que le vaccin “marche, c’est prouvé”, alors que les pays les plus vaccinés sont obligés de mettre en oeuvre des mesures prophylactiques que les pays vaccinés n’utilisent pas, cet acharnement systématique à dissimuler la gravité des effets secondaires produits partout par le vaccin, puent le rat du mensonge organisé par les laboratoires pharmaceutiques. 

Partout, nous voyons les medias subventionnés mettre en tête de gondole, aujourd’hui, la question de la vaccination obligatoire.

Et, je le répète, dès la présidentielle passée, ces mêmes médias poseront sans complexe la question de la mise définitive hors d’état de nuire des non-vaccinés. 

Un agenda écrit ailleurs

Cet enchaînement n’est pas seulement le fruit du hasard ou d’une logique qui nous échappe. C’est le résultat concret et immédiat d’un agenda d’ores et déjà rédigé par la caste. 

Nous y reviendrons la semaine prochaine, mais l’intervention des Mc Kinsey et autres Roland Berger sert précisément à cela : à mondialiser un processus de vaccination qui relève de la formalisation industrielle. Ce qui, autrefois, était abordé pays par pays, haute administration par haute administration, fait désormais l’objet d’une “coordination multilatérale” qui permet d’imposer les mêmes mesures coercitives partout en même temps dans le monde. 

Et, dans l’agenda de Mc Kinsey, le processus d’exclusion physique des non-vaccinés est d’ores et déjà inscrit. 

Vous verrez, nous en reparlerons bientôt. 


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Je prends mon destin en main, je shame




Un grand titre danois présente ses excuses et charge les autorités : « Nous avons échoué »

[Source : FranceSoir]

[Photo : Le directeur du Statens Serumsinstitut Henrik Ullum, le ministre de la santé Magnus Heunicke, le Premier ministre danois Mette Frederiksen et le directeur du Conseil national de la santé Soren Brostrom, lors d’une conférence de presse le 17 décembre 2021.
AFP]

Auteur(s): FranceSoir

Le 7 janvier dernier, l’un des plus grands journaux danois a présenté des excuses à son lectorat, avouant avoir été « absorbés de façon presque hypnotique » par les discours des autorités pendant près de deux ans, et n’avoir pas fait preuve d’assez de vigilance.

À la bonne heure

Une repentance qui contraste avec les récentes mesures prises par le royaume. Sous la vague de contaminations d’Omicron, depuis la mi-décembre 2021, le pays a mis en place couvre-feu, passe sanitaire, tests obligatoires malgré la vaccination, fermeture des théâtres, cinémas, salles de concert… Des mesures qui avaient pourtant disparu en septembre 2021, au moment où le Danemark atteignait 73 % de vaccination.

Trois semaines plus tard, dans son article, le journal assure que « les experts nous expliquent la situation par des mouvements de pendules, nous mettant sans cesse en garde contre le monstre corona qui sommeille sous nos lits. » Un renouveau exaspérant des mesures sanitaires, qui ne semblent toutefois pas parties pour durer. Au début du mois, Tyra Grove Krause, responsable de la santé au Danemark, se montrait optimiste quant à l’évolution de l’épidémie, bien qu’elle n’ait pas encore mentionné de changements au niveau des mesures.

Lire aussi : Eric Caumes, David Pujadas, TPMP… Le vent médiatique est-il en train de tourner ?

Le Ekstra Bladet titre « Nous avons échoué »

Il s’agit de l’un des plus grands groupes de presse du pays, un quotidien généraliste en format tabloïd qui date de 1904. « Nous, la presse, avons fait le bilan sur notre travail, et nous avons échoué », écrivent-ils.

À quoi cette soudaine prise de conscience est-elle due ? Aux chiffres des hospitalisations et des décès, et à l’interprétation que l’on peut en faire : « Quelle est la différence entre « avec Covid », et « du Covid » ? Nous ne nous sommes pas posée la question au bon moment. Cela fait une grande différence. » C’est une hypothèse émise depuis longtemps par lesdits complotistes, selon laquelle les chiffres seraient largement gonflés par l’étiquetage abusif des cas « Covid », qui souvent, souffrent de comorbidités. Alors, « avec Covid » ou « du Covid » ?

« Les chiffres officiels d’admission se sont avérés être 27 % plus élevés que le chiffre réel du nombre de personnes hospitalisées simplement parce qu’elles sont atteintes du Covid-19. Nous ne le savons que maintenant », avouent-ils dans l’article.

Un échec partagé avec les autorités sanitaires

Autre exemple mis en avant par le journal : celui des vaccins. « Les vaccins sont constamment désignés comme notre « super arme ». Et nos hôpitaux sont appelés « super hôpitaux ». Néanmoins, ces « super-hôpitaux » sont apparemment soumis à une pression maximale, même si la quasi-totalité de la population est armée d’une « super-arme ». Même les enfants sont vaccinés, dans une très large mesure, ce qui n’a pas été fait dans nos pays voisins », explique humblement le Ekstra Bladet pour souligner le manque d’efficacité des vaccins, notamment pour faire face à Omicron, qui contamine les vaccinés comme les non-vaccinés. Un constat qui fait écho à ce que l’on peut entendre en France.

Aussi le journal tient-il à partager son échec avec les autorités :

« Dans l’ensemble, les messages adressés par les autorités et les responsables politiques au public dans cette crise historique laissent beaucoup à désirer. Ils mentent, comme ils l’ont toujours fait lorsque la population perd confiance en eux. »

Le quatrième pouvoir

En juin 2021, c’était le rédacteur en chef du journal allemand Bild, qui ouvrait la marche en présentant ses excuses à la population dans une vidéo rendue publique : « Je veux exprimer ici ce que ni notre gouvernement, ni notre chancelière n’osent vous dire : nous vous demandons pardon pour avoir fait de vous, pendant un an et demi, des victimes de violences, de négligences, d’isolement et de solitude. […] Pardon pour cette politique et cette couverture médiatique qui, comme un poison, vous a inculqué le sentiment que vous étiez un danger mortel pour la société. […] Quand un État vole ses droits à un enfant, il doit prouver que, par là, il le protège contre un danger concret imminent. Cette preuve n’a jamais été apportée. Elle a été remplacée par de la propagande présentant l’enfant comme un vecteur de la pandémie. Ceux qui voulaient détruire cette propagande n’ont jamais été invités à la table des experts. »

Si l’année 2021 n’a pas connu beaucoup d’autres aveux de ce genre, l’article du journal danois s’inscrit quant à lui dans un bouleversement général de l’opinion, que l’on observe un peu partout depuis l’arrivée du variant Omicron. Servira-t-il d’exemple à d’autres grands médias ?

Auteur(s): FranceSoir




Gates blâme la « liberté » occidentale

[Source : L’échelle de Jacob]

[Voir aussi :
Qui est l’Antéchrist ?]


Gates avec Xi Jinping
https://twitter.com/MichaelPSenger/status/1458506148017934336
idem
Gates avec Trudeau
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Gates avec la Reine Elisabeth d’Angleterre
Gates avec Jeffrey Epstein
Gates avec le roi Philippe et la reine Mathilde de Belgique
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Idem (Photo par Adam Berry/Getty Images)
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Gates avec le Prince Charles (Photo par Steve Parsons – WPA Pool/Getty Images)
Gates avec Trudeau, Obama, Hollande et Modi
Gates avec Mandela
Bill Gates, le Dr Francis Collins et le Dr Anthony Fauci, lors d’un atelier sur la santé mondiale 2017 de la Fondation Gates sur des sujets qui comprenaient la recherche sur les vaccins.
Gates au Forum Économique Mondial de Schwab