Pourquoi le Great Reset est l’Agenda du Chaos….

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Avec le temps, et avec le temps seulement, la véritable nature du Great Reset apparaît. C’est celle de l’Agenda du Chaos mondial où, sous l’apparence d’un ordre multilatéral coordonné et harmonieux, les peuples sont mis en coupe réglée pour enrichir une infime minorité de possédants à la solde de qui des gouvernements corrompus et autoritaires oeuvrent sans état d’âme. Cet Agenda se déroule dans la hâte et la violence sous nos yeux depuis plusieurs années, mais nous n’y avions pas forcément pris garde. En tout cas, progressivement, on comprend comment cet Agenda a pris forme, comment il a été possible, ce vers quoi il tend : l’asservissement généralisé dans un ordre bipolaire où Chine et Etats-Unis espèrent constituer de nouveaux blocs dociles et rentables. Nous en dévoilons ici les dix étapes.

Nous ne l’avions pas clairement vu, mais l’Agenda du Chaos mondial se met en place, accéléré par le Great Reset, depuis plusieurs années. Il a fallu un long travail d’approche, une stratégie minutieuse, patiente, pour y parvenir. Et l’Agenda est loin d’être achevé, même si l’accélération de la cadence ces derniers mois traduit la panique certaine de la caste mondialisée face à la tournure des événements. 

Comprendre l’Agenda du Chaos

Je sais que beaucoup contestent l’existence d’un Agenda, parce qu’ils ne croient pas au complot, ou parce qu’ils ont peur d’être taxés de complotisme. Par crainte d’être cloué au pilori, il est provisoirement impossible (mais cela reviendra, avec le temps) de penser raisonnablement l’histoire contemporaine, d’en démêler les fils compliqués.

Tout historien sérieux est sommé d’admettre la propagande officielle comme une vérité brute, sinon il s’expose à une infamante mise à l’index. 

Pour dédramatiser les enjeux, il n’est pas inutile de commencer par un point sur la philosophie de l’histoire, pour replacer cette question du complotisme dans ses justes proportions et dans un cadre intellectuel cohérent. 

Toute la question qui est posée dans l’Agenda du Chaos mondial est celle de la place des forces sociales ou collectives et de leurs antagonismes dans l’histoire. L’histoire évolue-t-elle par hasard ? ou bien résulte-t-elle du conflit des volontés, éventuellement orchestré par des forces organiques ?

La question du complot et du complotisme

Selon la propagande officielle, penser que l’histoire ne soit pas une suite de décisions politiques rationnelles et désintéressées, ne soit pas un libre jeu du hasard et de la raison, en quelque sorte, c’est être complotiste. 

Selon cette propagande (assez bien orchestrée, concédons-le, mais qui s’embarrasse au final de trop peu de détails qui font vrai pour être crédible), une chauve-souris a volé pendant 400 kilomètres pour mordre un pangolin sur un marché de Wuhan en Chine. Le pangolin a mordu un Chinois qui passait par là, et, sans lien avec le laboratoire expérimental situé à proximité… qui travaillait sur des souches de coronavirus, l’épidémie a éclaté, contaminant le monde entier, sans traitement possible, si ce n’est un vaccin mis au point en 300 jours, qui ne comporte aucun effet secondaire dangereux et qui doit être rendu obligatoire dans les mois qui suivent sa mise sur le marché. 

Dans le même temps, tous les gouvernements des pays industrialisés ont rationnellement fait le choix de confiner leur population, puis d’imposer un passe sanitaire fonctionnant à partir d’un QR Code, puis de transformer ce passe sanitaire en passe vaccinal. Ils ont aussi fait le choix de s’endetter massivement auprès de leur banque centrale, jusqu’à mettre en péril la solvabilité des générations futures. 

Bref, nous sommes priés d’admettre sans broncher une fable selon laquelle, après des années de divergences internationales, le monde entier a brutalement retrouvé son unité et son harmonie pour adapter une réponse monolithique à une épidémie sortie de nulle part. 

Le moindre libre examen sur cette fable est immédiatement taxé de complotisme. 

Ce fut par exemple la thèse défendue par la prétendument prestigieuse revue scientifique The Lancet, dans une tribune du 19 février 2020, co-signée par un groupe de scientifiques qui dénonçaient tout scepticisme sur l’origine animale du virus. ” Conspiracy theories do nothing but create fear, rumours, and prejudice that jeopardise our global collaboration in the fight against this virus”, écrivaient-ils. (Les théories du complot ne font rien d’autre que créer la peur, des rumeurs et des préujugés qui fragilisent la collaboration mondiale dans le combat contre le virus). 

Pendant plus d’un an, le réseau social Facebook bannira sans état d’âme toute publication émettant un doute sur la fable de la chauve-souris qui a mordu un pangolin qui a mordu un Chinois. 

Assez rapidement pourtant, c’est l’Organisation Mondiale de la Santé qui diligentera une mission d’enquête en Chine pour comprendre l’origine réelle du virus. Dans l’équipe d’enquête se trouve un certain Peter Daszak, co-auteur de l’article du Lancet, et lié de longue date aux recherches sur le coronavirus en Chine, qui s’empressera d’affirmer que l’origine du virus est bien naturelle… rapidement démenti par le directeur général de l’OMS lui-même. 

Il est donc évident que l’accusation de complotisme portée par Daszak le 19 février 2020, et la censure officielle mise en place par les GAFAM sur l’origine réelle de l’épidémie, ont été et sont des paravents pour empêcher tout examen critique sérieux des circonstances historiques précises dans lesquelles cette épidémie est survenue. 

Il est tout aussi évident que des publications reconnues comme The Lancet ont prêté leur concours à une entreprise de propagande délibérée, destinée à empêcher toute transparence sur la façon dont l’épidémie est apparue et dont, ensuite, elle a été gérée. 

Ce qui nous intéresse ici n’est pas de relever, étape après étape, les moments où la propagande officielle a menti, et où elle a rejeté dans le complotisme toute opposition, voire tout doute sur le simple bon sens des discours tenus par les gouvernants ou par leurs affidés, sur l’épidémie. 

Ce qui nous intéresse, c’est de comprendre par quels mécanismes l’histoire s’est construite, et de savoir s’il s’agit d’un complot ourdi par quelques personnages mystérieux qui tirent les ficelles. Ou bien est-ce une affaire un peu plus compliquée ?

Entre propagande et complot, la réalité

Ma position, au demeurant assez commune dans la recherche historique, est de considérer que les événements ne s’expliquent ni par un complot ni par un enchaînement transparent et désintéressé comme nous le propose la propagande. 

L’histoire contemporaine s’explique plutôt par un immense antagonisme de forces collectives, dont certaines sont plus ou moins organisées. 

Autrement dit, l’histoire n’est certainement pas cette pièce de théâtre écrite par avance que les complotistes nous proposent. Il n’y a pas, tapis dans l’ombre, quelques scénaristes, quelques marionnettistes, qui prévoient tout et qui agitent des personnages en bois pour dérouler une intrigue dont ils connaissent l’issue. 

En revanche, il est incontestable que l’hyper-capital d’abord anglo-saxon, et maintenant mondialisé, qui s’est constitué grâce à une révolution numérique mal maîtrisée ou mal “régulée”, nourrit depuis une bonne décennie la tentation de profiter des circonstances historiques heureuses grâce auxquelles il s’est taillé la part du lion pour consolider et étendre sa domination sur le monde. 

Cet hyper-capital, souvent résumé dans l’expression GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon), dispose d’un véritable éco-système organisé et pensé pour influencer, de façon “soft” mais efficaces, le cours des événements. 

Les visages de cet écosystème sont nombreux. Beaucoup connaissent le Forum Economique Mondial de Davos, fondé par Klaus Schwab dont j’ai analysé le Great Reset. Mais il existe bien d’autres instances où la caste mondialisée se retrouve pour faire avancer son emprise sur les affaires. 

Nous y reviendrons dans les chapitres suivants. 

Ce qu’il est important de souligner ici, c’est que l’influence de la caste mondialisée sur le déroulement des événements historiques ne correspond pas à un complot, mais à une sorte de pulsion collective qui a trouvé sa formulation dans un agenda relativement bien séquencé, que nous exposons dans les lignes qui suivent. 

Sur le fond, il n’y a ici nul conspirationnisme. Il y a une simple compréhension du conflit des volontés dont parlait Emmanuel Kant à la fin du dix-huitième siècle. L’histoire ne s’explique par la manipulation de tous par quelques-uns, mais par l’opposition d’intérêts entre les uns et les autres. 

Parfois, comme le pensent les libéraux, cette opposition produit des résultats harmonieux. C’est l’objet de la pensée de Bastiat. 

Parfois, elle tourne au conflit. C’est l’objet de la pensée de Marx. 

C’est à ce conflit qui nous mène au chaos que nous assistons. 

La domination par la caste et le chaos mondial

Avant de détailler les dix étapes-clés de l’agenda du chaos, il faut sans doute poser la question première du pourquoi, c’est-à-dire de la finalité ultime que poursuit la caste mondialisée avec son agenda savamment partagé. 

Cette finalité pourrait être longuement discutée, et des divergences existent probablement, fortes, substantielles, au sein même de la caste, entre les objectifs à atteindre. 

Par exemple, George Soros est très hostile à la Chine, alors que Klaus Schwab n’hésite pas à se rapprocher du Parti Communiste Chinois. On peut penser que l’obsession vaccinale de Bill Gates ne correspond pas aux obsessions virtuelles de Mark Zuckerberg. 

Au sein de la caste, la téléologie de la domination diffère. 

Mais un point commun unit ces aspirations ou ces visions différentes : la haine des Etats-nations, qui sont les empêcheurs de tourner en rond, et, in fine, la haine de la liberté. 

On ne dira jamais assez comment l’idéologie mondialiste a mal vécu l’évolution des vingt dernières années : la montée du “populisme” en Occident, l’échec de la Constitution Européenne, rejetée par referendum, le Brexit, l’élection de Trump, sont autant de menaces vitales pour la mondialisation des marchés et la négociation de contrats sans obstacle souverainiste. 

Il suffit de lire le Great Reset de Schwab pour comprendre combien le populisme ou le nationalisme constitue la menace principale qui pèse sur la mondialisation. On trouvera par exemple cette phrase révélatrice à la page 87 du livre de Schwab :

” À mesure que les coûts sociaux provoqués par les effets asymétriques de la mondialisation augmentaient (notamment en termes de chômage dans le secteur manufacturier des pays à haut revenu), les risques de la mondialisation financière sont devenus de plus en plus évidents suite à la grande crise financière qui a débuté en 2008. Ainsi combinés, ils ont déclenché la montée de partis populistes et de droite dans le monde entier (plus
particulièrement en Occident), qui, lorsqu’ils arrivent au pouvoir, ont souvent recours au nationalisme et font la promotion d’un programme isolationniste, deux notions contraires à la mondialisation. “

Saluons la grande lucidité de Schwab sur les inconvénients de la mondialisation, sur ses risques, sur ses déséquilibres, et saluons l’intelligence des solutions qu’il propose pour combattre la tentation protectionniste et populiste : asservir les peuples en les nivelant et en les faisant entrer à coup de chausse-pieds en acier dans une chaussure trop petite : celle d’un ordre mondialisé où une caste s’enrichit en tentant d’hypnotiser les peuples avec des techniques de manipulation de masse. 

Et c’est bien cet horizon indépassable qui nous est proposé : neutraliser le populisme par tous les moyens possibles afin de laisser le champ libre à la mondialisation. 

Dans cet objectif commun, dans cette alliance tactique qui unit des anti-chinois et des pro-chinois, des vaccinolâtres et des technolâtres de tous poils, il y a un ciment durable, puissant : la haine des réactions populaires, le mépris pour les “populistes” et les “nationalistes”, la peur des soulèvements, et la recherche d’une domination la plus fluide possible pour que le business continue et même prenne de l’ampleur. 

La lutte est là. La victoire à remporter n’est pas ailleurs. Il faut faire la guerre aux Etats-nations et à leurs défenseurs, et attirer le monde entier dans la seringue univoque de la grande famille humaine conduite par une élite éclairée. 

Et tant pis si, pour y arriver, le chaos est semé partout, et si la domination fait fi des droits naturels, à commencer par la liberté de choisir son propre destin, pour assurer son triomphe. 

Ordo ab chao. 

Les 10 étapes de l’Agenda du Chaos

Ces opérations ne sont pas nées de nulle part, et sous la houlette de quelques esprits déterminés, comme celui de Klaus Schwab, elles se sont inscrites dans un canevas à grosses mailles dont on mesure aujourd’hui l’impressionnante efficacité. 

Schématiquement, nous pouvons décomposer ce canevas, cet Agenda du Chaos, en dix étapes-clés :

  1. Syndiquer la caste mondialisée et tisser une connivence durable : cette première étape a consisté, dans les années 2000, puis 2010, à forger une conscience de caste commune et à bâtir des relais solides pour une action concertée. Ce fut par exemple l’oeuvre des Young Global Leaders de Davos (lancés en 2004)
  2. Concentrer les médias pour construire une hégémonie culture : cette étape décisive a commencé dans les années 2000 dans les démocraties occidentales, mais atteint son apogée avec la domination écrasante de Google et de Facebook, qui captent la valeur de l’information et disposent d’un primat sur celle-ci. L’éviction de Donald Trump hors des réseaux sociaux en dévoilera le projet final
  3. Industrialiser le “narratif” de la protection pour justifier la domination : pas de domination hégémonique durable, pas de combat contre le populisme sans une industrialisation du discours de la protection des peuples par la caste. Ce fut par exemple le projet de Bill Gates, entamé en 2010, sur la vaccination mondiale, qui s’est appuyé sur une constellation impressionnante d’organisations qu’il a lui-même fomentées comme le GAVI ou le CEPI. Grâce à cette industrie mondiale, la caste peut endormir la vigilance des peuples en les convainquant qu’elle protège
  4. Sidérer les consciences par des chocs systémiques : la survenue de l’épidémie de COVID 19 a montré de quoi la caste était capable pour mettre en place son Agenda du Chaos. L’utilisation du choc épidémique, son instrumentalisation politique, pour domestiquer les peuples et vaincre les résistances est un prodigieux tour de force qui n’aurait pas été possible sans une industrialisation préalable des médias, de la connivence entre intérêts publics et intérêts privés, et du discours dominant
  5. Généraliser la peur comme mode de gouvernement : le corollaire indispensable à cette stratégie du choc, c’est la peur comme mode de gouvernement. La gestion du COVID a montré comme cette peur était savamment orchestrée, par exemple par la mise en scène de points quotidiens sur le nombre de morts prétendus du virus, alors même que, selon toute vraisemblance, les chiffres des décès étaient artificiellement gonflés pour entretenir l’angoisse
  6. Transformer les opposants en boucs-émissaires : cette manoeuvre est au coeur de la gestion du COVID depuis le début. Tous ceux qui osent contester la propagande sont rejetés dans le complotisme et accusés d’être à l’origine de tous les maux de la société. La politique de ségrégation à l’égard des non-vaccinés l’a abondamment montré
  7. Accélérer les transferts de souveraineté vers des instances multilatérales sous contrôle : cette étape essentielle est intervenue grâce à l’éviction de Donald Trump. Avec l’arrivée de Joe Biden au pouvoir, la caste mondialisée a pu remettre ses dadas en route : les COP, les G quelque chose (7, 8, 20). En Europe, le Conseil a décidé de nombreux transferts de souveraineté dans différents domaines, dont la santé
  8. Mettre les populations sous surveillance constante : cette dimension essentielle de l’Agenda du Chaos ne se limite pas à la mise en place du contact tracing prôné par le Great Reset de Schwab. Elle inclut différentes mesures liberticides, comme la limitation dans la libre circulation des personnes selon leur statut vaccinal, mais aussi la généralisation de la reconnaissance faciale, l’autorisation des drones dans la vie quotidienne, la mise en place de fichiers uniques des populations, intégrant le fichage des opinions philosophiques
  9. Orchestrer la domination financière des nations : la crise du COVID a donné lieu à une explosion de la dette mondiale, qu’elle soit publique ou privée. Qui dit dette dit aussi créancier, et entrée du débiteur en dépendance vis-à-vis de son créancier. Pendant que les GAFAM se sont enrichis à coups de dizaines ou de centaines de milliards, des Etats ont définitivement perdu toute autonomie financière vis-à-vis des banques centrales et de la finance américaine en empruntant pour éviter la déroute. 
  10. Prendre le contrôle des monnaies : cette phase ultime, régulièrement appelée Great Reset monétaire, se déploiera en plusieurs étapes, dont la mise en place de monnaies numériques et l’instauration d’une politique budgétaire conforme aux vues de la Modern Monetary Theory (MMT), déjà exposée dans nos colonnes. Cette politique écrasera les classes moyennes et créera des paradis fiscaux pour les plus riches. La mise en place de l’euro numérique est prévue pour 2023, mais on peut penser que le Great Reset monétaire interviendra en 2024 si les mid-terms américaines consacrent une large victoire des Républicains. 

In fine, l’Agenda du Chaos s’achèvera lorsque le suffrage universel sera vidé de sa substance, et lorsqu’une gouvernance mondiale se substituera au concert des Nations. 

Dans cet univers dystopique subsisteront deux castes : les “intouchables” vivant de l’helicopter money versé par la caste, et les mondialisés, qui seront les seuls à accéder aux profits. 

La dystopie en action

Comme on le voit, l’Agenda du Chaos a pris forme il y a une quinzaine d’années avec l’apparition des Young Global Leaders, dont l’achèvement se mesure maintenant. Il ne faudrait bien entendu pas limiter la syndication de la caste mondialisé à ces seuls Young Global Leaders, mais ils constituent la face emblématique d’un système de cooptation qui s’est mis en place dans la durée pour créer une connivence profonde entre les élites mondiales. 

L’Agenda s’est accéléré, nous l’avons dit, avec l’irruption de Trump et la montée du souverainisme partout dans le monde. 

Sans ces circonstances, il est probable que son évolution aurait été à peine perceptible jusqu’en 2030, année fixée pour les premières réalisations de l’Accord de Rio, puis de Paris. 

Le COVID a constitué une formidable opportunité pour accélérer l’allure. L’histoire dira un jour comment cette accélération est intervenue. 

En attendant, il est très probable que les deux prochaines années concentrent de nouveaux événements douloureux supposés briser pour longtemps la capacité de résistance des peuples. 

Au premier rang de ces événements, une nouvelle crise financière devrait permettre la mise en place des monnaies numériques et le retrait de cash complètement dévalués. 

C’est la stratégie du chaos. 

Dans la lecture des pages qui suivent [dans un prochain livre], il ne faut surtout pas oublier que cet Agenda est le fait d’une caste, en rien un scénario inévitable. 

Il appelle, de la part des peuples, un effort de conscience, et la mise en place d’une véritable stratégie de sécession, que nous détaillerons dans la deuxième partie de ce livre. 




Enthoven, SOS Racisme… Ou l’enfer des bonnes intentions…

Par Lucien SA Oulahbib

Le fait qu’un Raphaël Enthoven ait pu être invité par Marion Maréchal, il y a quelques années, pour dire son mot sur la situation politique des droites (et il était invité aussi à de nombreuses reprises sur Z&N) en dit long sur le degré de fragilité intellectuelle de cette « famille » politique qui est toujours à la recherche de reconnaissance à gauche. Comme si, peut-être, le manque d’intellectuels de renom depuis la disparition de Raymond Aron et de Jean-François Revel, et, surtout, l’hégémonisme du néo-léninisme dans les universités et les grandes écoles signifiaient en creux que cette famille dite de « droite » se sent toujours orpheline d’adoubement et aussi de « guide » (jusqu’à en chercher du côté d’Onfray, c’est dire). Elle se sent donc obligée d’aller quémander les « analyses » d’un garçon coiffeur (spécialiste en es mèches idéologiques) pour être estampillée de moraline autorisée (qu’un Ménard fabrique désormais à haute dose de son côté).

Le récent incident qui a opposé cette secte de puristes provocateurs à Ivan Rioufolparce que celui-ci soulignait que l’hygiénisme — y compris racialiste — a toujours eu des arguments sanitaires pour s’autojustifier (en l’occurrence le ghetto de Varsovie, comme l’indiquent certains chercheurs… israéliens), est bien le symbole de cet état de fait qui voit au fond un camp dit du « Bien » se repaître d’un antifascisme tranquille persuadé qu’il suffit d’avancer les termes « extrême droite, nauséabonde » comme analyse nécessaire et suffisante pour tout emporter, surtout un second tour aux Présidentielles.

Et même si la caractérisation antipasse=antivax=antisémites=suprématistes s’est amoindrie (pas au Canada en tout cas), il n’en reste pas moins. Et alors que cette campagne hygiéniste s’apparente de plus en plus à un fiasco affairiste (le ministre de la Santé en étant réduit à faire des rabais avec son trois en 1 de bateleur multitaches), un Enthoven continue de la jouer gros savant épidémiologiste tout en continuant de mépriser un Raoult qui a bien raison de ne pas discuter avec lui. Ils ne jouent pas dans la même catégorie. Autant proposer à Tyson de rencontrer un poids plume (en badminton) quand bien même se prétendrait-il champion du monde (et au royaume des aveugles…).

Décidément, le fait que des officines imposent des quasi-OGM pour une maladie aux effets infimes s’ils sont pris à temps pour les plus fragiles (et de ce fait ceux qui ont diabolisé les traitements précoces devront également juridiquement rendre des comptes) passe toujours comme une lettre à la poste.

Mais, en réalité, n’assistons-nous pas à la montée en puissance d’un discrédit généralisé, d’une dévalorisation des institutions et de diverses autorités jusqu’à ces instances allant remettre en cause vitamine D et huiles essentielles dans une fuite en avant perpétuelle ? Une société de défiance s’est installée, depuis des lustres certes (d’où le taux abstentionniste) et la situation actuelle qui charrie ses anathèmes du jour n’est décidément pas là pour en temporiser les rythmes dissolvants, bien au contraire…




La Croix-Rouge se retire de la campagne de vaccination en Autriche

[Source : Aube Digitale]

[Photo : Gerry Foitik, chef de la Croix-Rouge en Autriche]

Les fanatiques du gouvernement autrichien seront bientôt seuls car le front de la vaccination s’effondre de manière assez spectaculaire. Même la Croix-Rouge abandonne maintenant le navire en perdition qu’est la vaccination et se retire de la campagne « L’Autriche se vaccine ».

Le commandant des secours de la Croix-Rouge, Gerry Foitik, l’a fait savoir dans une lettre interne que le quotidien Wochenblick a pu consulter. Comme Caritas et Diakonie, la Croix-Rouge a également fait part de ses inquiétudes concernant la vaccination obligatoire. Pour les acteurs qui insistent sur le vaccin, l’insécurité juridique est de plus en plus grande et le risque de litiges juridiques pendant des années dans les secteurs de la santé, du social et des soins.

La Croix-Rouge se retire de la campagne de vaccination

La loi sur les préjudices corporels prescrits par des vaccins a été adoptée hier au Bundesrat, mais le régime du covid perd ses soutiens. De plus en plus de personnes se retirent, y compris la Croix-Rouge. Selon l’organisation de sauvetage, la Chancellerie fédérale avait déjà pris en charge les « mesures de communication » de la campagne de vaccination depuis juillet.

La question se pose maintenant : Pourquoi maintenant alors que ce retrait a été « communiqué de manière transparente et publique » en été déjà ? La raison pourrait être que Foitik, qui était auparavant un extrémiste de la mesure et connu pour ses interviews bizarres avec des masques, est préoccupé par les implications juridiques de la vaccination forcée.

Le patron de la Croix-Rouge considère le vaccin comme une « responsabilité individuelle imposée par l’État »

M. Foitik a annoncé mercredi, par le biais d’une lettre, que la Croix-Rouge se retirait de la campagne « L’Autriche se vaccine ». Après avoir été responsable de la campagne « L’Autriche se vaccine » pendant l’été 2021, la page d’accueil et tous les canaux de médias sociaux vont maintenant également revenir dans le domaine de responsabilité du ministère de la Santé. Dans sa lettre, M. Foitik a lui-même qualifié l’obligation de vaccination de « responsabilité individuelle imposée par l’État ».

Le secrétaire général du FPÖ, Michael Schnedlitz, a demandé si la lettre de M. Foitik ne pouvait pas également être considérée comme un retrait de l’obligation de vaccination : « M. Foitik, qui a été royalement récompensé par le gouvernement pour ses commentaires au début de la pandémie de Corona, prend maintenant ses distances avec la campagne de vaccination – et donc aussi avec l’obligation de vacciner ? »

De plus en plus d’arguments contre la vaccination obligatoire

Les déclarations de Foitik sont d’autant plus intéressantes qu’avant l’adoption de la loi sur l’obligation de vaccination au Bundesrat jeudi, des organisations sociales telles que Caritas et Diakonie ont exprimé, en plus de la Croix-Rouge, leurs préoccupations concernant la loi sur l’obligation de vaccination.

Tous y voient une grande incertitude juridique et le danger d’années de litiges pour les secteurs de la santé, des soins et du social dans toute l’Autriche. « Plus la loi sur la vaccination obligatoire se rapproche, plus les inquiétudes de toutes parts quant à l’absence de justification de cette mesure augmentent. Apparemment, la Croix-Rouge a maintenant tiré la corde et décidé de se retirer de la campagne de vaccination », a déclaré M. Schnedlitz.

Des milliards dépensés pour les vaccins

L’industrie pharmaceutique a conclu des contrats d’une valeur de plusieurs milliards avec l’Autriche. C’est ce qu’a révélé la question parlementaire du FPÖ au ministre de la Santé Wolfgang Mückstein (Verts).

Le chef de file du FPÖ, Herbert Kickl, a noté avec grande surprise que de plus en plus d’injections de génie génétique sont commandées, alors qu’elles sont de moins en moins consommées.

« Cela met en évidence les tractations grossières et coûteuses du gouvernement autrichien avec l’industrie de la vaccination, qui non seulement confirment les pires attentes, mais les dépassent », a déclaré M. Kickl.

Jusqu’à présent, les géants pharmaceutiques ont facturé 246 millions d’euros à l’Autriche jusqu’à la fin du mois d’octobre. Jusqu’à présent, 23,9 des 57 millions de doses de vaccin commandées ont été livrées. Plus de 300 millions d’euros devront être payés pour les 33,1 millions de doses de vaccin qui doivent encore être livrées. Le gouvernement souhaite encore en acheter 33,5 millions.

Au moins 283 140 doses de vaccin sont allées là où elles devraient aller : à la poubelle.

Plus d’un demi-milliard d’euros pour les fabricants de vaccins
« Au total, le gouvernement fédéral autrichien a fait affaire avec l’industrie de la vaccination pour un montant de plus d’un demi-milliard d’euros jusqu’à présent. Et avec l’achat de 33 millions de doses de vaccin supplémentaires prévu pour cette année, 300 millions d’euros supplémentaires viendront s’ajouter. Les vaccinations Corona des Autrichiens sont donc un marché d’un milliard d’euros conclu par le gouvernement fédéral avec l’industrie de la vaccination », a ajouté M. Kickl.

Moins de la moitié des doses de vaccin consommées

D’énormes quantités de « vaccins » ont été commandées, dont ils ne peuvent se débarrasser qu’ »en forçant la population à se faire administrer le vaccin ». Des loteries et des tombolas sur les vaccins sont utilisées pour attirer les gens, a expliqué M. Kickl. Moins de la moitié des quantités commandées ont effectivement été livrées et consommées jusqu’à présent. « La vaccination obligatoire imposée légalement et inconstitutionnelle n’est due à rien d’autre qu’à une compulsion pathologique d’achat de la part du gouvernement fédéral. »

Tous les indices de corruption montrent que l’industrie pharmaceutique fait partie des secteurs commerciaux les plus corrompus au monde. « Qui profite du fait que l’Autriche commande de plus en plus de vaccins, alors qu’il en faut de moins en moins et que la pandémie de covid continue de reculer ? »

Traduction de Free West Media par Aube Digitale




Après des révélations militaires sur les effets du vaccin anti-Covid sur la fécondité, l’ancien vice-président de Pfizer, Michael Yeadon, demande des excuses aux médias pour leurs « mensonges »

[Source : michelledastier.com]

Par Michelle d’Astier de la Vigerie

Alors que les lanceurs d’alerte militaires américains ont confirmé une augmentation d’environ 300 % des fausses couches en 2021, le Dr Yeadon a critiqué les médias pour leurs attaques et calomnies qui avaient suivi ses premiers avertissements.

Après avoir été discrédité par les médias du Système concernant sa crainte que les vaccins  anti-COVID-19 puissent causer des problèmes de fertilité chez les jeunes femmes, le Dr Michael Yeadon demande maintenant les excuses de la part des médias alors que des données divulguées aux États-Unis de source militaire confirment ces résultats tragiques.

« Je ne suis pas vindicatif, mais je veux un peu d’humilité et de contrition de la part de la BBC et de tous les autres médias qui ont menti à leur public », a déclaré l’ancien vice-président de Pfizer et scientifique.

Yeadon, qui a passé 32 ans dans l’industrie à la tête de la recherche sur de nouveaux médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec le poste de recherche le plus élevé dans son domaine, était l’auteur d’une pétition soumise à l’Agence européenne des médicaments (EMA) en décembre 2020 qui a soulevé d’importantes préoccupations concernant le manque de tests suffisants des vaccins expérimentaux anti-COVID-19, avant leurs autorisations d’utilisation d’urgence.

En ce qui concerne la possibilité que les injections mettent en danger la fertilité des femmes, Yeadon et son collègue, le Dr Wolfgang Wodarg, ont écrit :

« Rien n’indique si les anticorps contre les protéines de pointe des virus du SRAS agiraient également comme des anticorps anti-syncytine-1. Cependant, si tel devait être le cas, cela empêcherait également la formation d’un placenta qui rendrait les femmes vaccinées stériles».

« Il est important de noter qu’aucun de ces agents basés sur les gènes n’avait terminé ce qu’on appelle la » toxicologie de la reproduction « « , a souligné Yeadon dans sa récente déclaration. « Plus d’un an plus tard, cette batterie de tests sur les animaux n’a toujours pas été faite. Il n’y avait donc pas et il n’y a toujours pas d’ensemble de données soutenant la sécurité pendant la grossesse ou avant la conception

Le Professeur Yeadon rappelle la tragédie de la thalidomide, il y a plus de 60 ans et dit que la population pouvait espérer que certains, au moins dans les médias, auraient assez de mémoire pour prendre cette préoccupation au sérieux.

« Au lieu de cela, nous avons été attaqués, diffamés et vilipendés sur tous les supports, de Twitter à la BBC », ajoute le Professeur Yeadon, insistant sur le fait que les médias mainstream ont activement menti au public, déclarant explicitement que ces « vaccins » étaient totalement sans danger pendant la grossesse.

L’agence de presse Reuters avait particulièrement combattu les mises en garde de scientifiques et médecins à ce sujet.

Yeadon rappelle que l’animatrice de talk-show de la BBC Radio Emma Barnett, l’avait explicitement attaqué à l’antenne, ce qui l’a également conduit à accuser le programme de calomnie. En réponse, après un peu d’enquête, l’éditeur du programme s’est excusé auprès de Yeadon et a retiré leur fausse représentation de l’ancien scientifique de Pfizer de leur podcast enregistré.

Une source supplémentaire de préoccupation concernant la fertilité était que :

« les produits d’ARNm (Pfizer et Moderna) s’accumuleraient dans les ovaires« , a expliqué Yeadon.

« Une demande d’accès à l’information adressée à l’Agence japonaise des médicaments a révélé que l’accumulation de produit dans les ovaires s’est produite lors d’expériences sur des rongeurs. J’ai effectué des recherches dans la littérature sur la base de ces préoccupations spécifiques et j’ai trouvé une revue de 2012, attirant explicitement l’attention sur la preuve que les formulations de nanoparticules lipidiques en tant que classe s’accumulent en fait dans les ovaires et peuvent représenter un risque reproductif non apprécié pour les humains. C’était « un problème bien connu » des experts dans ce domaine », a expliqué Yeadon.

« Je le répète. L’industrie pharmaceutique savait bien, en 2012, que la formulation de ces agents dans des nanoparticules lipidiques les conduirait à s’accumuler dans les ovaires des femmes à qui ils étaient administrés ».

« Personne dans l’industrie ou dans les principaux médias ne pourrait prétendre qu’ils ne connaissaient pas ces risques pour une grossesse réussie », a-t-il souligné.

Les résultats de la fuite militaire américaine confirment les dommages causés aux enfants à naître et à la fertilité

« C’est donc avec une colère et une tristesse immenses que j’ai entendu des médecins militaires dénoncer les preuves de préjudices pendant la grossesse que leur base de données exclusive de surveillance de la sécurité avait rejetées », a déclaré Yeadon, faisant référence aux révélations de la semaine dernière lors d’une table ronde du Sénat américain .

Le rapport de source militaire apprend que les femmes de l’armée américaine vaccinées contre le Covid connaissent des taux de fausse couche 3 fois supérieures à la normale.

En fait, ces fuites de révélations faites par trois « militaires de haut rang décorés qui sont médecins et responsables de la santé publique », dans des déclarations sous serment sous peine de parjure, montrent plusieurs augmentations des impacts négatifs sur la fertilité, y compris l’avortement spontané, parmi cette population militaire. où l’application d’une obligation d’injection expérimentale de vaccin anti-COVID est strictement observée.

Selon les révélations de ces militaires, les augmentations suivantes de 2021 n’incluent que les 10 premiers mois de l’année (de janvier à octobre) et sont comparées à la moyenne complète sur cinq ans des chiffres pris de 2016 à 2020.

  • Fausses couches : augmentation de 279%
  • Infertilité féminine : augmentation de 471 %
  • Infertilité masculine : augmentation de 344 %
  • Malformations congénitales (malformations congénitales) : augmentation de 156 %

Et étant donné que la plupart des enfants conçus après ces injections ne sont pas nés avant novembre 2021, le chiffre final des malformations congénitales devrait également augmenter de manière significative.

Yeadon a poursuivi en implorant la population :

« S’il vous plaît, ne vous faites pas injecter ces produits expérimentaux intrinsèquement dangereux et inefficaces. Avertissez toutes vos connaissances des risques de grossesse, désormais confirmés par des dénonciateurs de médecins de l’armée américaine. »

« S’il vous plaît, dites-leur également qu’il est probable qu’il y ait d’autres conséquences sur la santé reproductive, même chez les jeunes filles, en raison de l’accumulation de nanoparticules lipidiques dans leurs ovaires. »

Ayant initialement alerté l’EMA de plusieurs autres résultats toxiques possibles dus aux injections, Yeadon a souligné que lui et le Dr Wodarg avaient malheureusement également raison sur leur avertissement de « réactions allergiques potentiellement mortelles à la vaccination », citant des exemples du Royaume-Uni d’urgence interventions et morts tragiques.

«Journalistes, régulateurs, professionnels de la santé et politiciens, ainsi, bien sûr, que les fabricants, je ne sais pas comment vous envisagez de vous en sortir avant que le grand public n’apprécie plus pleinement ce que vous avez fait », a écrit Yeadon.

« Une possibilité est que vous ne puissiez pas cacher votre complicité dans les torts massifs que vous avez causés à des millions de personnes. Dans ce cas, j’ai hâte de témoigner contre vous devant un tribunal », a-t-il conclu.




Entre 600 000 et 700 000 décès du Covid-19 depuis mars 2020 au niveau mondial. Les preuves !

Par Claude Janvier

Santé publique France, avec ses 3,831 milliards d’euros de subventions pour 2021 — oui vous lisez bien, la dotation exceptionnelle de Santé publique France pour 2021 passe à 3,8 milliards d’euros pour la « prévention épidémique et la constitution de stocks stratégiques » (Tec hôpital 24 février 2021) —, nous a informé dans son rapport du 1er avril 2021, page 47, tableau 10, que le nombre de décès imputés au Covid-19 seul (sans comorbidités) s’élevait, entre le 1er mars 2020 et le 1er avril 2021 à 14 471. Très, très loin des plus de 100 000 décès annoncés par la presse. Voir mon billet complet publié à l’époque.(([1] https://reseauinternational.net/chiffre-des-deces-covid-19-canular-charlatanisme-et-contre-verite/))

Déjà en 2020, Santé publique France — 625 agents — avait reçu une dotation exceptionnelle de 860 millions d’euros… Pour 2022, nous ne savons pas encore, mais ça promet. Les stocks millésimés de Champagne Cristal Louis Roederer, de Romanée Conti ou de Cheval Blanc vont pouvoir augmenter…

Coup de théâtre : Le 26 janvier 2022, le politicien britannique Nigel Farrage a annoncé que la mortalité Covid-19 en Grande-Bretagne sur 24 mois est à peine de 17 300 décès (sans comorbidités). Bien, bien loin des 153 000 décès annoncés par la presse anglaise.(([2] https://arnauddebrienne.wordpress.com/2022/01/26/17-300-morts-du-covid-19-en-grande-bretagne-selon-nigel-farage-et-non-pas-153-000/))

Il y a donc une similitude étrange avec notre voisin outre-Manche. Après un rapide calcul, il est évident qu’à peine 12 % des chiffres des décès imputés au Covid-19 seul sont corrects.

197 pays se partagent la terre selon la liste officielle reconnue par l’ONU.(([3] https://www.instinct-voyageur.fr/il-y-a-324-pays-dans-le-monde-et-non-197-pays/)) La déferlante médiatique nous indique qu’il y a, à ce jour, 5 658 019 millions de décès dans le monde à cause de la Covid-19.(([4] https://www.sortiraparis.com/actualites/a-paris/articles/212134-coronavirus-dans-le-monde-jeudi-3-fevrier-2022-nouveaux-cas-et-morts-en-24h))

À la lumière des révélations de Santé publique France et de Nigel Farrage, appliquons 12 % à ce chiffre. Le résultat est incontestable : 678 962 décès réels imputés au seul Covid-19 depuis le début de cette « épidémie » planétaire.

La grippe saisonnière affecte, chaque année, 3 à 5 millions de personnes dans le monde et en moyenne 470 000 en meurent. Selon l’OMS, entre 290 000 et 650 000 personnes décèdent chaque année de la grippe.(([5] https://www.planetoscope.com/mortalite/602-.html))(([6] https://www.who.int/fr/news/item/14-12-2017-jusqu-%C3%A0-650-000-d%C3%A9c%C3%A8s-par-an-sont-dus-aux-affections-respiratoires-li%C3%A9es-%C3%A0-la-grippe-saisonni%C3%A8re)) D’ailleurs, selon cette « vénérable » institution, la Covid-19 ne serait pas plus dangereuse que la grippe.(([7] https://blogs.mediapart.fr/gabas/blog/121020/selon-loms-la-covid-ne-serait-pas-plus-dangereuse-que-la-grippe))

À ce sujet, les exemples sont légion. Mercredi 2 février 2022, le Professeur Yazdan Yazdanpanah, directeur d’études à l’INSERM, interviewé par Apolline Malherbe, RMC Story, déclare «… qu’il est possible que finalement la Covid-19 devienne une maladie saisonnière pour laquelle on aurait besoin d’une vaccination par an »… Le nouveau variant B.A.2 est un sous-variant d’Omicron. Il est probablement plus transmissible, mais pas plus dangereux…

En bref, c’est comme la grippe… Et tout ce cirque planétaire pour ça ? 

Car en effet, il est légitime de se demander pourquoi avoir paralysé une planète entière ? Pourquoi avoir fait tant d’efforts pour faire s’écrouler un pan entier de l’économie mondiale ? Pourquoi avoir précipité dans la détresse et le chagrin un bon nombre de personnes ?

Si la vente des « liquides expérimentaux » afin d’engraisser les laboratoires pharmaceutiques est une des réponses et l’imposition d’un passe vaccinal liberticide à une population en majorité tétanisée par le bourrage de crâne en est une autre, il n’empêche que les preuves s’accumulent et que la supercherie est de plus en plus visible. 

Rappelez-vous brièvement la chronologie de cette hystérie sanitaire. Port du masque en extérieur, en intérieur, dans les voitures, les plages, dans les forêts, attestations dérogatoires pour aller promener le chien ou faire ses courses, couvre-feux, passe sanitaire devenu récemment passe vaccinal, concerts annulés, restaurants fermés, discothèques bouclées, prendre un café debout est interdit, mais le boire assis est autorisé, les grands-parents doivent manger la bûche de Noël dans la cuisine, pendant que le reste de la famille est dans le salon, port du masque dès l’âge de 6 ans, vaccination autorisée des enfants, passe vaccinal imposé à l’entrée d’un hôpital… Ouf, n’en jetez plus. La liste des stupidités est non-exhaustive. Et vous avez obéi à tout ça ? Et vous continuez ? Sans blague ? 

Une dose, puis deux doses, et maintenant trois doses. Overdose ? Pas encore, car bientôt, la quatrième dose sera obligatoire et vous ne serez toujours pas immunisés contre la bestiole mutante. « Contaminator », le long métrage infini, avec ses trop nombreux fans qui ne s’en lassent pas…

Holà, braves gens, il est temps de regarder la vérité en face. Tout ce cirque ne vise qu’à vous contrôler, et le pire c’est que ça marche. Effarant le nombre de gens qui se sont précipités pour se faire injecter le « précieux liquide », sous des prétextes divers et variés.

Bientôt la puce sous la peau nous arrive via Bill Gates « of Hell », un des serviteurs zélés du Mordor(([8] Le Mordor, le pays noir, dans l’œuvre magistrale de Tolkien, « Le seigneur des anneaux ».))! Un futur splendide où vous ne serez qu’un numéro vacciné jetable est en train de se profiler à l’horizon. Cela ne vous branche pas ? Si c’est le cas, vous avez encore le pouvoir de dire non, comme nos amis Canadiens qui le font en ce moment. Car, si la situation s’aggrave, vous ne pourrez pas dire que vous n’étiez pas prévenu.

Claude Janvier

Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition. www.is-edition.com

Notes




Pseudovaccination en Grande-Bretagne, bilan au 5 février 2022 : les injections géniques ne protègent ni des formes graves ni de la mortalité

Par le Dr G Delépine

[Photo : PAUL CHILDS/REUTERS]

La Grande-Bretagne a été la pionnière des injections, initialement par Astra Zeneca dès décembre 2020. Quel bilan peut-on tirer 14 mois plus tard ?

Du point de vue vente de « vaccins », c’est un franc succès : au 25 janvier 2022, un total de 137 372 778 doses de « vaccin » a été administré à environ 68 millions d’habitants. Mais du point de vue sanitaire, c’est un échec sévère, tant sur la progression de l’épidémie, que sur la mortalité attribuée au Covid.

Échec total de la vaccination sur l’épidémie

Les injections n’ont pas du tout arrêté l’épidémie. Les deux mois qui ont suivi la campagne éclair d’inoculation ont été au contraire suivis d’une franche poussée d’infection passant de 15 000 cas quotidiens le 7 décembre 2020 à près de 60 000 cas le 10 janvier 2021.

Avant les injections Astra Zeneca, le 7/12/2020, après dix mois d’épidémie, la Grande-Bretagne recensait 1,74 million de contaminés. Deux mois plus tard, ce chiffre avait plus que doublé (3,95 millions).

L’incapacité des injections Astra Zeneca à protéger de la maladie et des contaminations a été spectaculairement illustrée par l’épidémie survenue à bord du Queen Elizabeth alors que la totalité des marins à bord était « vaccinée ».

Elle a été confirmée sur l’ensemble du pays et, en février 2022 le nombre de Britanniques contaminés atteint 16,37 millions, douze fois plus qu’avant les injections, comme le montre cette courbe des contaminations quotidiennes publiée par l’Organisation Mondiale de la Santé.

Dans l’histoire de la médecine, aucun « vaccin » n’a connu un pareil échec. Mais il est vrai qu’il ne s’agit pas d’un vaccin selon la définition de Pasteur (composé d’antigènes provenant du virus tué ou inactivé), mais d’un médicament génique expérimental (comportant un ARN messager conduisant nos cellules à produire la protéine spike).

Devant ces faits indiscutables, comment les propagandistes de la pseudo vaccination peuvent-ils oser encore prétendre qu’être injecté protège les autres ? Il s’agit d’une publicité totalement mensongère.

Des injections incapables de diminuer, ni le risque de formes graves ni la mortalité

Constatant qu’il n’est plus crédible de dire que les pseudo vaccins protègent des contaminations, les propagandistes des laboratoires, les agences françaises et les médias prétendent qu’ils protégeraient des formes graves et diminueraient le risque d’être hospitalisé ou de mourir du Covid.

Mais les chiffres officiels de l’Office National des Statistiques anglais et israélien montrent que ce n’est pas vrai.

Fin décembre 2021, les hospitalisations en réanimation en Angleterre comptent un pourcentage de vaccinés égal à celui de la population générale.

Même phénomène en Écosse où la pseudo vaccination n’a pas diminué le nombre des hospitalisations, bien au contraire :

Les injections géniques ne diminuent donc pas le risque d’être hospitalisé ni celui d’être hospitalisé en réanimation.

Elles ne diminuent pas non plus le risque de mourir du Covid.

Du 1er février 2021 au 12 septembre 2021, en Angleterre, les non-vaccinés ne comptaient que pour 28 % des décès dus au covid, alors que les vaccinés regroupaient 72 % des décès.

Public Health Scotland confirme le même schéma d’échec vaccinal incapable de diminuer la mortalité Covid.

Du 14 août 2020 au 12 septembre 2020, avant toute injection, l’Écosse n’avait comptabilisé que sept décès liés au covid-19. Après avoir contraint une grande partie de la population à se faire vacciner, elle a enregistré 222 décès, au cours de la même période un an plus tard.

En Écosse, comme en Angleterre 80 % de ces décès surviennent chez les vaccinés.

Contrairement à ce que répète la propagande quotidienne que l’on subit en France, alimentée par des organismes dépendant de l’état qui cachent les données brutes, et les délibérations du conseil de défense, les données britanniques prouvent que la pseudo vaccination ne protège ni des formes graves ni de la mort attribuée au Covid19.

Qui sont les plus irresponsables ? Les vaccino prudents qui attendent de disposer des résultats définitifs des essais avant de prendre une décision ou ceux qui se flattent de les « emmerder » pour les forcer à accepter des injections expérimentales qui se sont révélées inefficaces sur la transmission de la maladie et ont généré beaucoup d’effets délétères ?




Lettre ouverte d’un médecin à un directeur d’établissement scolaire

Par Dr Geneviève BOURGEOIS

Dr Geneviève BOURGEOIS
Médecin à Briare

À Monsieur le Directeur

Briare, le 02 février 2022

Objet : lettre ouverte d’un médecin à un directeur d’établissement scolaire

Monsieur le Directeur,

C’est en tant que parent d’élève de votre groupe scolaire mais aussi en tant que médecin que je vous adresse ce courrier.

Ce mardi 25 janvier, un large collectif de parents nous invitait à une journée de retrait suite aux mesures de plus en plus incohérentes, inutiles et surtout néfastes, dictées par notre gouvernement. J’étais prête à le faire pour marquer les esprits et ouvrir enfin un dialogue sur ce sujet, sans céder à la panique et aux croyances. L’efficacité des confinements et des masques, en dehors des précautions de soins en établissement de santé, relève du mythe.

Cependant, mon mari et moi-même ne voulons pas faire porter ce combat à nos enfants, alors même qu’il a pour but l’arrêt de ces protocoles hystériques qui pèsent sur eux.

Nous les avons donc laissés aller en cours ce 25 janvier et je vous écris, en espérant que vous comprendrez la légitimité de cette démarche.

La Société Française de Pédiatrie, les orthophonistes, les acteurs de santé mentale de l’enfance n’ont eu cesse d’interpeller les pouvoirs publics sur l’inutilité, l’inefficacité et les effets néfastes des masques sur nos enfants. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) relate l’ensemble des méfaits liés au port du masque :

  • maux de tête
  • auto-contamination
  • problèmes respiratoires (majoration largement au delà des seuils d’alerte, du taux de CO2 sous le masque)
  • problèmes de communication
  • troubles de concentration
  • somnolence
  • problèmes cutanés (irritation, aggravation de l’acné…)

Une méta-analyse compilant plus de 150 études vient d’être publiée. Elle conclut que « l’ensemble des données probantes indique que les masques faciaux {dans leur utilisation actuelle hors établissement de santé} sont largement inefficaces ». Selon elle, « les données disponibles suggèrent que les masques faciaux peuvent être réellement nocifs ».

En tant que médecin et président du CLIN (Comité de Lutte Contre les Infections Nosocomiales) au sein d’un établissement de santé, j’ai étudié l’évolution de la littérature scientifique sur la COVID, jour après jour depuis début 2020. J’ai traité tous mes patients atteints de COVID avec les traitements précoces dont l’efficacité est largement prouvée, et ce, malgré l’intimidation de certains confrères, de l’ARS et du Conseil de l’Ordre. Ceux-ci préféraient regarder l’état de nos patients s’aggraver, trop souvent jusqu’au décès, alors que nous avions de quoi les traiter facilement. Je n’ai eu aucun décès à déplorer malgré leur grand âge.

Nous savons traiter la COVID, même chez les patients très fragiles ou très âgés, si on nous laisse prescrire en toute éthique et déontologie médicale. Ne faisons pas peser les peurs des adultes sur les enfants peu impliqués dans les chaînes de transmission et qui n’ont aucun risque individuel face à cette maladie.

Je suis allée jusqu’à la suspension pour défendre une médecine fondée sur les preuves et non sur les intérêts financiers des laboratoires et de nos décisionnaires corrompus ou idéologisés. Ce faisant, je revendique aussi le respect du consentement libre et éclairé des patients et leur droit au secret médical.

J’ai dû défendre cette vision de la médecine devant l’organisme-même qui devrait la promouvoir et la garantir : le Conseil de l’Ordre des médecins. Ils ont pu attester que je n’étais ni « complotiste » ni « anti-vax » et qu’ils n’avaient rien à me reprocher sur le plan déontologique.

Je suis allée jusqu’à la suspension pour ne pas prendre part à ce qu’Hannah Arendt appelle la « responsabilité diluée » et la « banalisation du mal ». Je refuse de prendre une quelconque part de responsabilité dans :

  • La discrimination aux soins par le pass sanitaire imposé dans les Hôpitaux,
  • La non-assistance à personne en danger par l’absence d’accès aux traitements précoces,
  • La mise en danger d’autrui par l’imposition de traitements inefficaces et dangereux (Remdesivir°, Molnupiravir°, Paxlovid°) et d’injections expérimentales qu’on dit « vaccin anti-COVID ». Le Président du Conseil Scientifique du gouvernement lui-même a reconnu que c’était un traitement et non un vaccin. La pharmacovigilance est éloquente sur la dangerosité de ces injections : 38 000 morts en Europe, 3 millions d’effets secondaires selon EudraVigilance.

Le Conseil d’État, dans son ordonnance rendue le 1er juin 2021 a considéré les protocoles sanitaires dans les établissements scolaires comme « recommandations pour favoriser {…} l’application {…} des prescriptions émises par le ministère ». Ils ne sont pas une obligation juridiquement opposable et les directeurs d’établissement doivent donc les appliquer avec discernement.

Les hospitalisations actuelles d’enfants infectés sont dues au virus VRS (117 enfants hospitalisés pour COVID, 1700 pour bronchiolite) qui donne gastro et bronchiolite. C’est le même virus que le rhume, nous n’allons pas tous les ans confiner pendant huit jours toutes les familles dont un membre est enrhumé.

La bonne stratégie est de laisser les enfants respirer et d’arrêter de les tester. Les tests représentent pour eux un traumatisme physique et psychologique. Les isoler en cas de positivité a pour seule conséquence d’augmenter le risque de contamination de leurs parents.

Il faut tester les adultes symptomatiques pour les traiter et c’est tout. C’est la SEULE stratégie valable scientifiquement (pour rappel, seuls les pays qui arrêtent la vaccination et les confinements mais traitent précocement les adultes malades voient leur nombre de cas ainsi que de décès diminuer et sortent de l’état d’urgence).

La maltraitance faite aux enfants par l’application des protocoles (avec masques, tests et confinements), qu’on sait non seulement inefficaces mais aussi délétères, continuera-t-elle à passer par votre établissement ?

Allez-vous vous rendre complice de cette stratégie ? Ou informerez-vous votre hiérarchie de votre réticence à appliquer ces protocoles contre-productifs et « de nature à compromettre gravement un intérêt public» (cf article 28, alinéa 1er, de la loi du 13 juillet 1983) ?

J’ai une grande confiance dans la qualité d’instruction de votre équipe.

J’aimerais pouvoir avoir cette même confiance dans son discernement pour assurer l’intérêt supérieur des enfants.

Dans la situation où nos enfants seraient cas contact d’un autre élève, nous ne les ferons pas tester. Si nous devons les garder, nous nous occuperons de notre mieux de leur instruction et si vous n’acceptez pas leur retour sans test et avant les sept jours prescrits, mon mari et moi-même serons dans l’obligation de rechercher une autre voie d’instruction pour nos enfants.

Même dans les hôpitaux et EHPAD où les personnes accueillies sont les plus fragiles vis-à-vis du SARS-CoV-2, les protocoles ne sont pas aussi stricts (1 test par semaine en période de cluster) que les protocoles scolaires (tests à J0, J2, J4) alors qu’il est clairement prouvé que les enfants participent peu à la chaîne de transmission et ne font que très rarement de formes graves de COVID.

Allons-nous compromettre la santé physique et mentale de nos enfants :

  • en leur imposant nos peurs d’adultes terrorisés par les médias pour une maladie à la létalité inférieure à 0,5 %, qu’on sait traiter ?
  • en leur imposant des injections qui, dans leur tranche d’âge, font plus de victimes que la pathologie contre laquelle elles sont censées protéger ?
  • en leur imposant des masques inefficaces et néfastes qui augmentent dangereusement leur taux de CO2 ?
  • en maintenant des conditions qui ont fait exploser le taux de suicides chez les adolescents et même les enfants ?

J’espère que ce courrier aura retenu votre attention et que nous pourrons échanger de vive voix sur ce sujet lors d’un rendez-vous.

Veuillez agréer, Monsieur le Directeur, mes salutations respectueuses

Dr Geneviève BOURGEOIS




Liste de sportifs vax décédés, par un groupe d’avocats

[Source : https://t.me/joinchat/oogvX6U4Y903ZWZk]

[Voir aussi :
Matt Le Tissier : « Je n’ai jamais rien vu de tel… C’est incroyable le nombre de sportifs qui s’effondrent »
2021 — Liste de sportifs professionnels et amateurs victimes des injections
Brisons le silence, sauvons nos enfants : la liste effroyable des décès de sportifs depuis le début de la vaccination !
Sportifs de haut niveau, les vaccins covid diminuent vos performances ! MàJ]

Sportifs professionnels et olympiques décédés ou gravement blessés au point d’arrêter ou suspendre leurcarrière après vaccination+amateurs décédés pendant la pratique de leur sport !

Liste évolutive – Les plus récents en haut de la liste, par date de décès ou d’annonce des blessures subies

Vous souhaitez aider ?

1 — Vous trouvez trace dans un article sur le web de : un autre sportif PROFESSIONNEL décédé récemment (et souvent brutalement) ou se plaignant de problèmes de santé l’obligeant à suspendre ou interrompre sa carrière OU un sportif amateur décédé ou subissant des troubles cardiaques et/ou AVC,etc. PENDANT LA PRATIQUE de son sport.

2 — Vous vérifiez dans la liste ci-dessous, avec la date du décès ou d’annonce des blessures, que le sportif n’est pas encore mentionné (svp, n’envoyez pas de listes complètes, la comparaison avec ce que nous avons déjà recensé nous prendrait des heures).

3 — Si le sportif n’y figure pas encore, vous envoyez un message dans le groupe Telegram (https://t.me/joinchat/oogvX6U4Y903ZWZk) avec le nom et le prénom du sportif, et un lien au moins vers un article qui en parle (PAS dans une liste de nom de victimes, il faut réellement un article ou un morceau d’article consacré à l’incident, avec quelques détails [âge, lieu, etc.].

4 — Nous vérifierons ensuite toutes les informations, et si l’info remontée correspond bien à notre recherche, nous l’ajouterons dans la liste. Cette liste est régulièrement transmise à de nombreux avocats qui luttent, afin qu’ils disposent toujours de la plus récente possible.

4 — Ensuite vous surveillez sur le même groupe, la liste sera fréquemment remise à jour pour être à nouveau diffusée, afin que chacun puisse aider.

VOTRE AIDE COMPTE !! Cette liste pourra ensuite servir dans de très nombreuses procédures !

14/11/2021 Joly en pleine course ce dimanche à Nantes C’est durant la première course de la réunion PMH de Nantes, ce dimanche 15 novembre, que le professionnel Pascal Joly (62 ans) est décédé, vraisemblablement des suites d’un arrêt cardiaque, au sulky d’un de ses jeunes pensionnaires Jigove du Greny.
https://www.equidia.fr/articles/actualite/disparition-tragique-de-pascal-joly-en-course-ce-dimanche-a- nantes
14/11/2021 Dombasle-sur-Meurthe : l’ex-championne de France Julie Le Galliard nous a quittés Le monde de la boxe est en deuil. Ce dimanche, l’une de ses figures féminines s’en est allée. Julie Le Galliard avait 31 ans. L’article indique toutefois qu’elle est décédée du covid. Ceci devra être confirmé. https://www.estrepublicain.fr/sport/2021/11/15/dombasle-l-ex-championne-de-france-julie-le-galliard- nous-a-quittes
13/11/2021 En Mayenne. Le joueur Martin Jégu (U18, donc entre 16 et 18 ans) fait « deux arrêts cardiaques » à l’issue du match de foot. Samedi 13 novembre 2021, un jeune joueur de football de Renazé (Mayenne) a été victime de deux très graves malaises cardiaques à l’issue d’un match disputé à Saint-Ouën-des-Toits. Il n’a dû la vie sauve qu’à l’intervention très rapide du public et des secours. https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/en-mayenne-le-joueur-fait-deux-arrets-cardiaques-a-l-issue- du-match-de-foot-137cf0bc-457b-11ec-8acd-08271a51a470
12/11/2021 Jean-Yves Artu décède d’un arrêt cardiaque à 61 ans. C’était un type bien, un personnage attachant, franc et droit. Jean-Yves Artu, ancien grand jockey d’Auteuil devenu entraineur à succès, est décédé à Chantilly le vendredi 12 ,novembre des suites d’une crise cardiaque survenue sans aucun signe avant-coureur, à 61 ans. Jean-Yves, qui avait pris tous les risques physiques pendant sa carrière de jockey, est mort d’une crise cardiaque survenue à 17H00.  » Il n’y a eu aucun signe avant-coureur » explique sa femme et associée, l’indispensable Carole Artu, autre grande figure des hippodromes. http://www.france-sire.com/article-grand_destin-30972-jean_yves_artu_decede_d_un_arret_cardiaque_a_61_ans.php https://www.equidia.fr/articles/actualite/disparition-tragique-de-pascal-joly-en-course-ce-dimanche-a-nantes
10/11/2021 Le Norvégien Daniel Aakervik, un des meilleurs juniors du pays, ne peux pas faire d’efforts intensifs depuis plusieurs mois suite à une injection et ce n’est pas le seul… Considéré comme un des meilleurs Norvégiens de son âge en ski de fond et en biathlon, il a vu sa préparation stoppée suite à la première injection. « J’ai tout de suite senti que quelque chose ne marchait plus » indique t’il. « J’ai fait des analyses de sang qui ont montré que beaucoup de mes paramètres n’étaient pas bons, les médecins ont considéré cela comme des effets secondaires du vaccin » poursuit-il. « Depuis je ne peux plus m’entrainer de manière intensive, je peux le faire uniquement de manière tranquille, patienter et attendre que cela se passe mieux. Je pensais débuter ma saison début décembre, ce ne sera pas le cas. »
https://www.ski-nordique.net/encore-un-jeune-sportif-assomme-par-le-vaccin.6421343-72348.html
7/11/2021 Bodybuilder Kali Muscle has massive heart attack after thinking blood clot was heartburn a day after Shawn Rhoden’s death
https://www.the-sun.com/news/4021747/kali-muscle-heart-attack-blood-clot-shawn-rhoden/
6/11/2021 Jens De Smet, un jeune footballeur de 27 ans, est décédé ce samedi en plein match. Le jeune homme jouait dans une équipe au plus bas échelon du foot amateur avec ses amis, pour le plaisir. Ses deux frères ne comprennent pas ce décès aussi douloureux que soudain…
https://planetes360.fr/un-jeune-de-27-ans-decede-en-match-de-foot-amateur-mon-frere-etait-en-forme/
6/11/2021 LEGEND LOST Shawn Rhoden dead at 46 – Mr Olympia champion passes away as pro bodybuilder is mourned by loved ones. MR Olympia champion Shawn Rhoden has reportedly died at the age of 46. The pro bodybuilder suffered a fatal heart attack, according to sources close to Generation Iron.
https://www.the-sun.com/news/4012756/shawn-rhoden-dead-mr-olympia-champion/
5/11/2021 Tous ces sportifs vaccinés qui meurent jeunes ou qui deviennent cardiaques… Voici un petit tour du monde des grands et moins grands sportifs morts ou atteints après s’être fait vacciner sous la pression de leurs fédérations et des gouvernements qui les chapeautent. On se souvient tous de Kylian Mbappé qui se fait shooter pour Macron devant la France entière, et qui foire lamentablement son Euro 2020. Évidemment, les journalistes mainstream et Tristan Mendès diront qu’il n’y a aucun lien. Les liens et l’amalgame existent uniquement quand il s’agit de dénoncer les conspirationnistes ou « l’extrême droite », l’expression méprisante pour « la France ».
https://fr.sott.net/article/38656-Tous-ces-sportifs-vaccines-qui-meurent-jeunes-ou-qui-deviennent- cardiaques
(A propos des amateurs ET des professionnels)
5/11/2021 Un athlète d’élite explique la blessure causée par un vaccin et l’ignorance des médecins. Kyle Warner a 29 ans et était au sommet de sa carrière de coureur de VTT lorsqu’il a reçu, en juin 2021, sa deuxième dose du COVID-19 de Pfizer. Il a souffert d’une réaction si extrême qu’en octobre, il passait encore des journées entières au lit, simplement accablé par un effort psychologique ou physique excessif. Warner a partagé son expérience détaillée avec John Campbell, un infirmier et instructeur à la retraite basé principalement en Angleterre, et s’est rendu à Washington, D.C., au début du mois de novembre 2021 pour faire passer le message que les photos de COVID-19 ne sont pas toujours aussi sûres qu’on l’a laissé croire. Même une personne d’une vingtaine d’années, en pleine forme physique, peut être gravement blessée, c’est pourquoi Warner peut s’exprimer contre les mandats de vaccination.
https://www.tidewaternews.com/uncategorized/elite-athlete-explains-vaccine-injury-and-doctors- ignorance-jpg/
5/11/2021 Caroline Graham Hansen (footballeuse professionnelle norvégienne de 26 ans), sortie en attendant des tests cardiaques
https://www.lelibrepenseur.org/inquietudes-au-barca-deux-cas-darythmie-en-une-semaine/
https://www.lavanguardia.com/deportes/futbol-femenino/20211105/7841651/caroline-graham-hansen- baja-pendiente-pruebas-cardiologicas.html
5/11/2021 Tous ces sportifs vaccinés qui meurent jeunes ou qui deviennent cardiaques… Voici un petit tour du monde des grands et moins grands sportifs morts ou atteints après s’être fait vacciner sous la pression de leurs fédérations et des gouvernements qui les chapeautent. On se souvient tous de Kylian Mbappé qui se fait shooter pour Macron devant la France entière, et qui foire lamentablement son Euro 2020. Évidemment, les journalistes mainstream et Tristan Mendès diront qu’il n’y a aucun lien. Les liens et l’amalgame existent uniquement quand il s’agit de dénoncer les conspirationnistes ou « l’extrême droite », l’expression méprisante pour « la France ».
https://fr.sott.net/article/38656-Tous-ces-sportifs-vaccines-qui-meurent-jeunes-ou-qui-deviennent- cardiaques
2/11/2021 Un match de football de deuxième division norvégienne a été interrompu lundi après que le milieu de terrain islandais Emil Pálsson a été victime d’un arrêt cardiaque pendant le jeu. Le joueur de 28 ans de Sogndal a subi l’attaque alors que le match contre Stjordals-Blink entrait dans la 12e minute, a indiqué son club dans un communiqué. Le match a eu lieu au stade du Campus de Fosshaugane. « Le milieu de terrain Emil Pálsson a fait un arrêt cardiaque à la 12e minute », indique le communiqué. Il a ensuite été réanimé par l’équipe médicale présente sur place et transporté d’urgence à l’hôpital où il est actuellement en convalescence.
https://www.independent.co.uk/sport/football/norway-footballer-emil-palsson-cardiac-arrest- b1949583.html
1/11/2021 Une footballeuse vaccinée meurt deux mois après son frère – tous deux d’un arrêt cardiaque La joueuse de football italienne Vittoria Campo est décédée hier à Palerme, deux mois après son frère Alessandro. La sportive de 23 ans, bien connue dans la ville sicilienne, est décédée d’un arrêt cardiaque le 1er novembre après avoir été transportée d’urgence à l’hôpital. Son frère de 25 ans avait été retrouvé mort le 1er septembre après être allé faire une sieste. Dans un premier temps, on a supposé que sa mort soudaine était due à l’ingestion d’une toxine ou d’une drogue illicite. Finalement, l’autopsie a déterminé que la cause du décès était un arrêt cardiaque. Ses amis ont alors révélé qu’il avait en fait été vacciné quelques jours seulement avant sa mort prématurée. Leur père, accablé de douleur, a confirmé que les deux frères et sœurs avaient reçu les vaccins COVID.
https://www.hollywoodlanews.com/soccer-player-cardiac-arrest-brother/
30/10/2021 Les raisons du décès du basketteur Doudou Faye enfin connues C’est le Stade sportif sfaxien, club dont Doudou Faye portait jusque là les couleurs, qui a donné la triste nouvelle via sa page facebook. Doudou FAYE, basketteur sénégalais, a été rappelé à Dieu le samedi 30 octobre 2021, selon son club qui a annoncé la triste nouvelle sur ses canaux officiels. Une bien triste novelle pour le basket sénégalais. Le défunt athlète est décédé à l’âge de 35 ans. Il a été victime d’un malaise cardiaque, précise-t-on. Suite à cette mauvaise nouvelle, le championnat tunisien de basketball a tenu à rendre hommage à l’un de ses membres éminents.
https://chrono-actu.com/2021/10/31/les-raisons-du-deces-du-basketteur-doudou-faye-enfin-connues/
30/10/2021 Espagne, l’attaquant de 33 ans Kun Agüero du FC Barcelone a dû être remplacé lors d’un match en raison de problèmes cardiaques. Il est maintenant à l’hôpital pour des examens. https://kurier-at.translate.goog/sport/fussball/herzprobleme-barcelona-drei-monate-ohne- agueero/401790371?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=nui On annonce ensuite qu’il pourrait mettre fin à sa carrière (« Aguero va peut-être devoir prendre sa retraite ! »
https://www.sport.es/es/noticias/barca/aguero-retirarse-12839601
29/10/2021 Allemagne, Selim Levent (48 ans) co-entraîneur du Hertha BSC, meurt subitement et de façon inattendue.
https://www.naphire.hu/felfoghatatlan-tragedia-meghalt-dardai-pal-48-eves-segitoje-covidos-volt/
29/10/2021 Boris Sadecki jouait pour les Capitals de Bratislava, de l’Ice HL, lorsqu’il est tombé au sol lors d’un match contre les Bulldogs de Dornbirn le 29 octobre. Les médecins auraient passé plusieurs minutes à soigner le jeune homme de 24 ans, le réanimant avant de le transporter à l’hôpital, où il avait passé 11 jours avant l’annonce de son décès. Dans un communiqué, l’équipe a demandé qu’aucune autre information ne soit rendue publique sur la mort de Sadecki pour le moment.
https://news-24.fr/profond-chagrin-le-chagrin-alors-que-lancien-but-de-24-ans-du-joueur-de-hockey- vainqueur-de-la-saison-decede-11-jours-apres-setre-effondre-sur-la-glace/
28/10/2021 Un garçon de 12 ans en Pennsylvanie s’effondre et meurt lors d’un entraînement de basket-ball au collège
https://www-pennlive-com.translate.goog/crime/2021/10/pa-boy-12-collapses-dies-at-middle-school- basketball-practice.html?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=nui
27/10/2021 Moment de silence en mémoire de Jayson Kidd lors du match de football de Chartiers Valley. Kidd est l’élève de 7e année qui s’est effondré et est mort pendant un entraînement de basket-ball en début de semaine. The Medical Examiner says he had a rare condition that restricts blood flow to the heart.
https://pittsburgh.cbslocal.com/2021/10/30/chartiers-valley-moment-of-silence-jayson-kidd/
27/10/2021 Ronald Biglione, un joueur de football du Deportivo Club Independencia est décédé une semaine après avoir été diagnostiqué avec des caillots sanguins. Les médias ont d’abord rapporté qu’il souffrait d’une “maladie rare” au moment de son décès. Il a ensuite été révélé que la cause de sa mort était en fait un PTI (purpura thrombocytopénique thrombotique) résultant de sa deuxième dose de vaccin COVID-19. Le PTI est une maladie du sang dans laquelle des caillots se forment dans les petits vaisseaux sanguins de l’organisme. La thrombocytopénie immuno-thrombotique induite par les vaccins a été largement rapportée dans la littérature médicale à la suite des campagnes de vaccination contre la nouvelle maladie COVID-19. La nouvelle est tombée au moment où la star argentine du football Sergio Aguero a été diagnostiquée comme souffrant d’arythmie cardiaque – un rythme cardiaque irrégulier – après avoir souffert de problèmes cardiaques lors de ses débuts à domicile avec le FC Barcelone contre Alaves. L’attaquant est absent pour un minimum de 3 mois.
https://www.profession-gendarme.com/ronald-biglione-un-joueur-de-football-du-deportivo-club- independencia-est-decede-une-semaine-apres-avoir-ete-diagnostique-avec-des-caillots-sanguins/
https://www.hollywoodlanews.com/footballer-dead-blood-clots-vaccine/
26/10/2021 La star équestre adolescente Cienna Knowles hospitalisée pour des caillots sanguins après un vaccin Pfizer Une star de l’équitation « en super bonne santé », hospitalisée pour des caillots sanguins, a mis cela sur le compte du vaccin Pfizer. Les autorités n’ont pas confirmé ses dires.
https://www.news.com.au/lifestyle/health/health-problems/teen-equestrian-star-cienna-knowles- hospitalised-with-blood-clots-after-pfizer-vaccine/news-story/286e7cd42e896b091e4b257322296a05
24/10/2021 Michaël Englebert, 37ans, décède à la suite d’un malaise cardiaque après son match avec Ortho. Après le match disputé au matin par son équipe réserve à Mageret, les joueurs ont regagné le vestiaire. C’est là que Michaël Englebert, joueur d’Ortho né en 1984, est tombé, victime d’un malaise cardiaque, environ une heure après la rencontre, au moment de sortir de la douche. L’homme, père de deux enfants, a pu être réanimé grâce à un défibrillateur. Il a ensuite été emmené à l’hôpital de Bastogne, avant d’être transféré à Liège. On apprenait malheureusement son décès ce lundi en soirée.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20211025_01629177/un-joueur-d-ortho-victime-d-un-malaise- cardiaque-apres-son-match
24/10/2021 Un véritable drame s’est déroulé ce dimanche 24 octobre dans le Nord Isère, au cours d’un match de football, comme il y en a tous les dimanches. Lors de la rencontre entre la Bâtie Montgascon et Dolomieu, un homme de 46 ans a fait un malaise cardiaque à la mi-temps, aux alentours de 13h30. Il n’a pas pu être réanimé.
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/nord-isere-un-gardien-de-decede-d-un-arret- cardiaque-a-la-mi-temps-d-un-match-1635141400
23/10/2021 NEW JERSEY – Un joueur de rugby de 28 ans en bonne santé s’est effondré le samedi 23 octobre pendant un match et a été déclaré cliniquement mort après n’avoir eu aucun battement de cœur pendant 28 minutes. Tevita Bryce a été transporté à l’hôpital sans pouls et une intervention chirurgicale d’urgence a été pratiquée pour retirer un caillot de sang qui s’était déplacé vers son cœur. Il a miraculeusement survécu à cet incident qui s’est produit deux mois seulement après que sa femme a publié sur Facebook qu’ils avaient pris rendez-vous pour se faire vacciner.
https://thecovidworld.com/tevita-bryce-28-year-old-rugby-player-collapses-on-field-2-months-after- facebook-post-from-wife-telling-theyre-getting-vaccinated/
17/10/2021 Un joueur de 41 ans est mort subitement lors d’un match de foot ce dimanche à Avignon.
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-joueur-de-foot-decede-sur-le-terrain-a-avignon- 1634490552
17/10/2021 Vers 21 heures ce vendredi soir au Tampon, Christophe Ramassamy, un footballeur de 54 ans, a été victime d’une crise cardiaque mortelle. Les secours n’ont rien pu faire pour le réanimer. Vers 21 heures ce vendredi 15 octobre, un drame s’est produit au Tampon . Alors qu’un match de football se déroulait au Bras de Pontho, un joueur s’est effondré au sol.
https://www.archysport.com/2021/10/death-of-christophe-ramassamy-its-a-great-loss-for-reunion- football/
16/10/2021 Le jeune joueur de cricket de Saurashtra, Avi Barot, est décédé après un arrêt cardiaque. Le joueur, qui a également représenté l’Haryana et le Gujarat au cours de sa carrière, est décédé vendredi alors qu’il était emmené à l’hôpital après s’être senti mal à son domicile à Ahmedabad. Il laisse derrière lui sa mère et sa femme, qui attend le premier enfant du couple.
https://www.thehindu.com/sport/cricket/young-saurashtra-cricket-player-avi-barot-dies-after-suffering- cardiac-arrest/article37015873.ece
15/10/2021 Un homme de 53 ans, originaire d’Eraclea, qui se trouvait à Trévise sur un terrain de football du quartier de la Fiera, dans la Via Zanella, a été pris d’un malaise alors qu’il s’entraînait avec des amis hier, jeudi 14 octobre 2021. Crise cardiaque sur le terrain de football Un arrêt cardiaque, selon les rapports.
https://it.geosnews.com/p/it/veneto/tv/infarto-sul-campo-da-calcio-a-treviso-giocatore-salvato-dai- compagni-di-squadra_35815673
15/10/2021 Une adolescente lutte pour sa vie à l’hôpital après s’être effondrée pendant un match de football à Surfers Paradise cette nuit. Ava Azzopardi a été victime d’un « incident médical grave » après être entrée sur le terrain de l’Apollo Soccer Club de Surfers Paradise vers 18h30 vendredi.
https://sportyjones.com/gold-coast-teen-critical-after-collapsing-during-soccer-game-mygc-com-au/
14/10/2021 Le FCV pleure Andréa Lombard, 21 ans, décédée mercredi des suites d’un AVC. Joueuse de l’équipe Féminine Sénior du FC Villefranche de Lauragais, le club lui rendra un vibrant hommage ce dimanche avant la rencontre de l’équipe fanion face à l’Entente Astarac Bigorre.
https://www.rugbyrama.fr/rugby/amateur/2020-2021/carnet-noir-le-fcv-perd-brutalement-andrea- lombard-joueuse-de-l-equipe-feminine_sto8586270/story.shtml
14/10/2021 Le football brésilien a failli subir une tragédie. Fellipe de Jesus Moreira, jeune de l’Atlético Goianiense, a subi un double arrêt cardiaque qui a failli mettre fin à ses jours d’un coup de crayon. Le club lui-même a communiqué la nouvelle par ses canaux officiels et a félicité les services médicaux pour l’action rapide qui a permis de sauver la vie du garçon de 18 ans. Selon les docteurs Avimar Teodoro et Lucas Ricci , Fellipe a subi le premier arrêt cardiaque au centre de formation et le second a déjà eu lieu aux urgences. Pour le moment, le mineur est intubé dans une unité de soins intensifs à Goiania et reste en danger de mort, comme l’indiquent les médecins.
https://es.besoccer.com/noticia/un-jugador-sufrio-una-doble-parada-cardiaca-1055104
13/10/2021 L’adolescent s’est senti mal après une crise d’asthme. Puis son état a subitement empiré et le garçon a succombé à une crise cardiaque. « C’est un grand choc pour tous. » Ce mercredi, un adolescent du collège Henri IV à Nay, dans le Béarn, est mort après une crise cardiaque consécutive à une crise d’asthme lors d’un cours d’éducation physique et sportive, rapporte le quotidien Sud-Ouest. Pyrénées-Atlantiques: un collégien meurt d’une crise cardiaque en cours de sport
https://www.bfmtv.com/police-justice/pyrenees-atlantiques-un-collegien-d-une-crise-cardiaque-en- cours-de-sport_AN-202110130516.html
13/10/2021 Mexique – Le décès d’un mineur de moins de 16 ans a été signalé, identifié comme étant Héctor Manuel Mendoza. Les médecins du centre médical ont confirmé le décès du mineur à 18h10 après avoir tenté d’appliquer des actions pour le réanimer, la cause du décès était due à une crise cardiaque fulminante.
https://www.el-mexicano.com/estatal/fallece-deportista-de-16-anos-en-unidad-deportiva/2130616
10/10/2021 PIEDIMONTE MATESE – Pompeo Tretola, joueur de Matese qui s’est écroulé à la 22ème minute du match à domicile contre Vastese, valable pour la quatrième journée de la ronde F de la Serie D, a été immédiatement transporté à l’hôpital. Le jeune joueur de Matesino a réussi à appeler à l’aide avant de s’effondrer sur le sol suite à un malaise, perdant ainsi connaissance.
https://casertace.net/guarda-il-video-giocatore-18enne-sviene-improvvisamente-in-campo-soccorso-da-un-avversario/
10/10/2021 Un joueur de foot fait un arrêt cardiaque avant le match Saint-James contre Avranches. Juste avant le début du match Saint-James contre Avranches, un joueur a fait un arrêt cardiaque dimanche 10 octobre. Il a été secouru par un pompier qui joue dans l’équipe adverse.
https://actu.fr/normandie/avranches_50025/un-joueur-de-foot-fait-un-arret-cardiaque-avant-le-match-saint-james-contre-avranches_45566459.html
9/10/2021 Ryan Bowman, star de Shrewsbury, est transporté d’urgence à l’hôpital pour des douleurs thoraciques « inquiétantes » et un cœur battant à environ 250 bpm L’attaquant de SHREWSBURY Ryan Bowman a été transporté à l’hôpital samedi après-midi après avoir quitté le terrain contre Ipswich en se tenant l’estomac et la poitrine. Le joueur de 29 ans a dû quitter le terrain après 35 minutes et a été transporté à l’hôpital d’Ipswich près de Portman Road.
https://www.the-sun.com/sport/premier-league/3825491/shrewsbury-ryan-bowman-rushed-hospital-heart-issue-ipswich/
9/10/2021 Arrêt cardiaque en piste L’athlète de Colverde (17 ans) est toujours sérieux, sauvegardé par le défibrillateur Il a été maintenu en vie par la nervosité des entraîneurs et l’utilisation correcte du défibrillateur au centre sportif de via al Pascolo à Gironico. Le dramatique jeudi soir, qui, dans la dernière partie de la séance d’entraînement de l’équipe d’athlétisme, a vu un jeune de 17 ans de Colverde, un athlète de compétition de la Polisportiva, perdre connaissance à la suite d’un arrêt cardiaque, n’a pas tourné au drame grâce à premiers secours.
https://www.laprovinciadicomo.it/stories/Cronaca/arresto-cardiaco-in-pista-latleta-di-colverde-e-ancora-grave-salvato-dal-defib_1409337_11/
8/10/2021 Quandarius Wilburn, un joueur de football universitaire de 18 ans meurt après s’être effondré pendant un entraînement Un joueur de football universitaire de Virginie est décédé après s’être soudainement effondré pendant un entraînement dimanche. Le Richmond Times-Dispatch rapporte que Quandarius Wilburn, 18 ans, qui jouait au poste de défenseur pour les Panthers de la Virginia Union University, est décédé le 8 août alors qu’il participait à des exercices de conditionnement au Hovey Stadium de l’école.
https://www.msn.com/en-us/news/us/18-year-old-college-football-player-dies-after-collapsing-during-practice/ar-AANa1dQ
8/10/2021 Un joueur de foot meurt en plein match à Massay, dans le Cher Un joueur du SC Massay, près de Vierzon (Cher), est mort en plein match ce vendredi 8 octobre. Cet homme de 49 ans, père de deux garçons, était licencié dans le club depuis plus de 15 ans.
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-joueur-de-foot-meurt-en-plein-match-dans-le-cher-1633808920
6/10/2021 Florian Dagoury, recordman du monde d’apnée, diagnostiqué avec une myocardite et une péricardite après sa vaccination Pfizer. Le Français, basé en Thaïlande, a connu une diminution significative de sa capacité à retenir sa respiration et s’est rendu chez un cardiologue qui lui a dit qu’il s’agissait d’un effet secondaire courant du vaccin Pfizer. Un autre cardiologue lui diagnostiquera une myocardite, une péricardite et une régurgitation mitrale triviale (Insuffisance mitrale). Voici son témoignage : « Après ma deuxième dose, j’ai remarqué que mon rythme cardiaque était beaucoup plus élevé que la normale et que ma capacité à retenir mon souffle avait considérablement diminué. Pendant le sommeil, je suis à 65-70bpm — battement par minute (BPM) — au lieu de 37-45bpm. Pendant la journée, je suis toujours au-dessus de 100bpm au lieu de 65bpm, même lorsque je m’assois et me détends. Une fois, j’ai même atteint 177bpm alors que je dînais avec des amis ! Dix jours après mon deuxième vaccin, j’ai consulté un cardiologue qui m’a dit que c’était un effet secondaire courant du vaccin Pfizer, qu’il ne fallait pas s’inquiéter et qu’il fallait se reposer. Quarante jours après le deuxième vaccin, je n’avais pas progressé et j’ai donc consulté un autre cardiologue qui m’a diagnostiqué une myocardite, une péricardite et une régurgitation mitrale triviale ! Il s’agit essentiellement d’une inflammation des muscles cardiaques causée par le système immunitaire et de petites fuites de sang provenant des valves qui ne se ferment plus correctement. J’ai maintenant du mal à atteindre 8 mn d’apnée, 150 m de plongée et j’ai même une forte envie de respirer en faisant des plongées de 40 m. Une diminution de 30 % de mes performances de plongée en gros. » Florian Dagoury recommande aux plongeurs d’apnée du monde entier d’éviter les vaccins ARNn et de choisir les vaccins « fait à l’ancienne comme Sputnik, Sinovac, Sinopharm ».
https://lemediaen442.fr/florian-dagoury-recordman-du-monde-dapnee-diagnostique-avec-une-myocardite-et-une-pericardite-apres-sa-vaccination-pfizer/
https://www.instagram.com/p/CUrJkJ-FuFd/
3/10/2021 L’ancien meneur de jeu des Atlanta Hawks, Brandon Goodwin, a déclaré avoir développé des caillots sanguins après avoir reçu le vaccin Covid, ce qui lui a fait manquer la fin de la saison 2020-21 de la NBA. Dans un post sur Twitch, Goodwin a déclaré : « Oui, le vaccin a mis fin à ma saison. À mille pour cent. » Il a également déclaré qu’on lui avait dit « de ne rien dire à ce sujet, de ne le dire à personne ». Goodwin poursuit : « Je suis tombé malade et je ne m’en suis jamais vraiment remis. J’avais toujours mal au dos, j’étais juste super fatigué pendant les matchs. J’avais l’impression que je ne pouvais pas courir sur le terrain. J’avais mal au dos. J’ai vraiment commencé à avoir mal au dos. Alors, je me suis dit : « OK, il faut que j’aille chez le médecin ». C’est là que j’ai découvert que j’avais des caillots sanguins. Tout ça s’est passé en l’espace d’un mois. J’allais bien jusque là. J’allais bien jusqu’à ce que je prenne le vaccin, j’allais bien… Oui, le vaccin a mis fin à ma saison. Mille pour cent. »
https://www.peachtreehoops.com/2021/10/3/22706769/former-atlanta-hawks-guard-brandon-goodwin- claims-covid-19-vaccine-ended-his-season et
https://web.archive.org/web/20211110091806/https://thecovidworld.com/world-class-athletes-who- died-or-suffered-severe-injuries-after-covid-19-vaccine/
(la page doit être consultée via ce site d’archive, puisqu’elle a été supprimée à son emplacement initial)
1/10/2021 Le gardien de but junior et pêcheur amateur Bruno Stein du FC An der Fahner Höhe est décédé à l’âge de 15 ans. Il avait assumé le rôle de son père, décédé lui aussi, auprès de ses frères et sœurs jusqu’à la fin.
https://web.archive.org/web/20211003020525/https://www.thueringer-allgemeine.de/sport/im-himmel-mit-handschuhen-und-angel-fahner-torwart-stein-stirbt-mit-15-id233468250.html
30/9/2021 Le triathlète Antoine Méchin met un terme à sa saison à cause du vaccin Moderna Suite à une première injection Moderna le 28 juin 2021, le triathlète ressent une oppression et un manque de souffle, le 17 juillet lors d’une course trail, toujours cette sensation d’oppression très présente, douleur au bras gauche, nous explique Antoine Méchin sur sa page Facebook. Le lendemain 18 juillet, après un examen à l’hôpital de Saintes, pas d’inquiétude selon le médecin, rien à signaler, le stress et la fatigue sont sûrement les causes des symptômes. Le 16 aout, il fait sa deuxième injection Moderna — pour pouvoir nager en piscine, c’est obligatoire. Le 13 septembre les mêmes symptômes persistent (impression d’oppression, de souffle court, de poids sur le sternum). Rendez-vous à la clinique du sport à Bordeaux le 21 septembre avec le médecin cardiologue qui annule tout de suite les tests d’effort, soupçonnant une embolie. Le médecin et ses collègues lui expliqueront que « depuis quelque temps nous avons un nombre croissant de patients sportifs dans le même cas ! » Le médecin décide de lui donner rendez-vous en urgence pour une scintigraphie pulmonaire. Comprenant l’arnaque vaccinale, Antoine Méchin dira : « Je suis désormais sous traitement et j’espère retrouver mes capacités pulmonaires (dans 3-6-9-12 mois ?) En attendant : repos et basse intensité pendant plusieurs mois ». « Abîmer la santé des personnes en pleine forme pour préserver la santé des plus faibles, un choix d’une logique implacable ».
https://www.wikistrike.com/2021/09/le-triathlete-antoine-mechin-met-un-terme-a-sa-saison-a-cause-du- vaccin-moderna.html
29/9/2021 Mort subite du manager de l’équipe de football : Thalheim entre choc et deuil pour Dietmar Gladow
https://www.mz.de/lokal/bitterfeld/plotzlicher-tod-des-fussball-teamleiters-thalheim-zwischen-schock- und-trauer-um-dietmar-gladow-3253245
28/9/2021 Un adolescent de Philadelphie est mort d’une maladie cardiovasculaire en jouant au football
https://www.dailylocal.com/2021/09/28/chester-county-coroner-philadelphia-teen-died-of- cardiovascular-disease-while-playing-football/
28/9/2021 Tragédie sur un terrain de football lundi soir à Usini, commune de la province de Sassari. Antonello Campus, 53 ans de Sassari et entraîneur des Juniors de l’Usinese, à la fin de l’entraînement du soir s’est subitement effondré sur le gazon synthétique du terrain de sport Peppino Sau : il est décédé d’une crise cardiaque, selon le premier rapport. Le campus a été immédiatement secouru, avec un massage cardiaque et un défibrillateur dans le complexe sportif.
https://www.today.it/citta/antonello-campus.html
27/9/2021 Hann. Münden : Les premiers intervenants sauvent la vie d’un footballeur de 17 ans Les personnes concernées n’oublieront jamais ce jour : Lors d’un match de jeunes à Hann. Münden, un footballeur de 17 ans de l’équipe de la ligue du district JSG Hoher Hagen est tombé et a dû être réanimé. L’entraîneur des adversaires, TG Münden, administre un massage cardiaque.
https://www.goettinger-tageblatt.de/Die-Region/Hann-Muenden/Hann.-Muenden-Ersthelfer-retten-17- jaehrigem-Fussballer-das-Leben
27/9/2021 Arbitre victime d’un arrêt cardiaque : choc pour le football amateur 85 minutes ont été jouées dans le match de classe régionale du Lauber SV contre le SG Buchdorf-Daiting dimanche lorsque l’arbitre s’effondre. Il a subi un arrêt cardiaque et est en danger de mort. Le lendemain, les personnes impliquées étaient sous le choc lorsqu’elles ont raconté l’incident. « Un de nos joueurs se tenait près de l’arbitre », raconte Armin Scheuerer, le responsable de division du SG Buchdorf-Daiting, qui était spectateur sur le parcours. « Au début, il pensait que l’arbitre avait trébuché. Mais ensuite, il a vite vu que c’était grave et a appelé à l’aide. »
https://www.augsburger-allgemeine.de/donauwoerth/Herzstillstand-von-Schiedsrichter-schockt- Amateur-Fussball-in-der-Region-Donauwoerth-id60657326.html
26/9/2021 « C’était une crise cardiaque. » Le père Stefano est précis en tentant de donner une justification scientifique à la situation dramatique qui a frappé sa fille de 20 ans à l’issue d’une course au centre équestre européen centre équestre  » de Masotti , dans le Pistoiese. « Elle venait de terminer l’exhibition – raconte le père de la jeune femme, avec une émotion non dissimulée – et elle remerciait son cheval, comme il arrive toujours à la fin des courses. Au bout de quelques secondes, nous l’avons vue s’effondrer au sol : le cheval à un de l’autre côté et vous de l’autre. Vous pouvez aussi très bien voir sur la vidéo de la course ». Une scène terrible qui s’est déroulée sous les yeux de tous, y compris des parents, mais qui pour cette raison même a permis au médecin de garde présent à la compétition d’intervenir immédiatement pour porter secours.  »
https://www.lanazione.it/firenze/cronaca/amazone-infarto-1.6844981
24/9/2021 Le prodige du cyclisme Greg Luyssen (22 ans) de De Panne à propos de son départ forcé à cause d’un problème cardiaque : « Je ne veux plus jamais ressentir cette horrible sensation ».
https://kw.be/sport/wielrennen/wielerbelofte-greg-luyssen-22-uit-de-panne-over-gedwongen-afscheid- door-hartprobleem-dat-akelig-gevoel-wil-ik-nooit-meer/
24/9/2021 Le joueur de Tennis Jérémy Chardy a annoncé suspendre sa saison en raison de réactions au vaccin contre le Covid-19. Le Français 73e mondial évoque des douleurs quasiment paralysantes. Jérémy Chardy, 73e mondial, a été contraint de suspendre sa saison sans savoir pour combien de temps, en raison d’une réaction au vaccin Pfizer contre le Covid, a-t-il annoncé le 23 septembre à l’AFP. «Depuis que j’ai eu mon vaccin, j’ai un problème, j’enchaîne les galères. Du coup, je ne peux pas m’entraîner, je ne peux pas jouer», a-t-il justifié en expliquant ressentir de violentes douleurs partout dans le corps dès qu’il fait un effort physique. En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/91011-tennis-francais-jeremy-chardy- suspend-apres-reaction-contre-vaccin-contre-covid
https://francais.rt.com/france/91011-tennis-francais-jeremy-chardy-suspend-apres-reaction-contre- vaccin-contre-covid
21/9/2021 Match de la DFB interrompu ! Une femme de ligne transportée hors du terrain Après une bonne demi-heure de jeu à Chemnitz mardi, Helen Edwards a dû être soignée puis transportée dans les catacombes sur une civière. Elle a montré son cœur à plusieurs reprises avant que le personnel médical de l’équipe allemande ne se précipite vers elle.
https://www.rtl.de/cms/dfb-spiel-unterbrochen-linienrichterin-vom-platz-getragen-4834888.html
21/9/2021 Le triathlète saintais Antoine Méchin met un terme à sa saison et « ne se referait pas vacciner si c’était à refaire » Le triathlète saintais Antoine Méchin a officialisé sa fin de saison via un post Facebook, mardi 21 septembre 2021. Il affirme que son embolie pulmonaire est liée au vaccin Moderna qu’il a pris contre le Covid.
https://www.sudouest.fr/sport/course-pedestre/triathlon/le-triathlete-saintais-antoine-mechin-met-un- terme-a-sa-saison-et-ne-se-referait-pas-vacciner-si-c-etait-a-refaire-6234090.php
20/9/2021 Tragédie lors d’un match de football à Divitz : un entraîneur (50 ans) s’effondre et meurt sur le bord du terrain. Dirk Splisteser, entraîneur et président du SG Traktor de Divitz près de Barth, est victime d’une crise cardiaque pendant le match de son équipe. Les tentatives de réanimation d’une heure ne peuvent le sauver. La femme et le fils doivent assister au drame sur place.
https://www.ostsee-zeitung.de/Nachrichten/MV-aktuell/Tragoedie-bei-Fussballspiel-in-Divitz-bei-Barth- Trainer-bricht-zusammen-und-stirbt-am-Spielfeldrand
19/9/2021 OTTAWA — L’Université d’Ottawa pleure le décès du joueur de football des Gee-Gees Francis Perron, qui est décédé peu après le premier match de la saison des Gee-Gees. Dans une déclaration publiée sur le site Web des Gee-Gees, le président de l’Université d’Ottawa, Jacques Fremont, a déclaré que Perron est décédé peu de temps après le match de samedi entre les Gee-Gees et l’Université de Toronto à Toronto. Perron, 25 ans, était un étudiant en génie mécanique à l’Université d’Ottawa et un joueur de ligne défensive à sa cinquième saison avec l’équipe de football des Gee-Gees.
https://ottawa.ctvnews.ca/university-of-ottawa-student-athlete-francis-perron-dies-shortly-after-gee- gees-football-game-1.5591964
18/9/2021 Opération cardiaque surprenante : le FC Bayern sans Coman pour le moment Le Bayern Munich devra se passer de l’international français Kingsley Coman pour le moment. Selon l’entraîneur Julian Nagelsmann, l’ailier a dû être opéré jeudi en raison d’un « trouble mineur du rythme cardiaque ». Coman devrait rejoindre l’entraînement de l’équipe dans une semaine et demie ou deux semaines.
https://sport.sky.de/fussball/artikel/fc-bayern-news-kingsley-coman-faellt-nach-herz-operation- aus/12410380/34090
17/9/2021 Le FC Nantes vient de publier un communiqué annonçant que l’un de ses jeunes joueurs avait fait un malaise cardiaque à l’entraînement jeudi après-midi. Il a été pris en charge très vite et se trouve désormais à l’hôpital. Les secours sont intervenus très rapidement notamment avec le défibrillateur situé proche du terrain d’entraînement.
https://sport.gentside.com/football/malaise-cardiaque-un-jeune-joueur-du-fc-nantes- hospitalise_art67051.html
15/9/2021 John Stokes, 21 ans, membre de l’équipe de golf de la NCAA Tennessee State University, s’est récemment exprimé sur les médias sociaux pour raconter comment il a souffert d’une myocardite, ou inflammation cardiaque, quatre jours après sa deuxième dose de Pfizer. « Je suis un étudiant-athlète de division 1 sans aucun problème de santé antérieur et j’ai reçu la deuxième injection de COVID mardi, et en quatre jours, on m’a diagnostiqué une myocardite et on m’a dit que je ne pourrai probablement pas jouer ma saison senior maintenant. » Stokes a poursuivi en exprimant son désaccord avec le mandat de vaccination de la NCAA, et a affirmé qu’il y a beaucoup d’autres étudiants athlètes qui ont également contracté des problèmes cardiaques à la suite de la prise du vaccin. « Il n’est pas juste que les gens soient obligés de se faire vacciner parce qu’il y a des effets secondaires réels comme ceux-là qui peuvent vous arriver, et la NCAA ne devrait pas obliger les étudiants athlètes à se faire vacciner à cause de ce qui pourrait arriver aux problèmes de santé de tant d’autres étudiants athlètes, ce qui m’est arrivé », a poursuivi Stokes. « J’ai parlé avec d’autres étudiants-athlètes qui ont dû subir une chirurgie cardiaque ou qui ont eu des problèmes cardiaques à cause de cela et c’est très effrayant. Et beaucoup de personnes de notre groupe d’âge présentent apparemment un risque plus élevé de problèmes cardiaques à cause du vaccin et il faut vraiment en parler », a-t-il ajouté.
https://www.newswars.com/healthy-athletes-suddenly-fall-ill-die-after-forced-covid-injection-and-the- medias-silent/
12/9/2021 Dimitri Liénard s’est écroulé sur la pelouse du Groupama Stadium ce dimanche lors du déplacement de Strasbourg à l’OL (3-1). Victime d’un malaise, il a été évacué sur civière, ce qui a naturellement rappelé de mauvais souvenirs aux amateurs de football après le drame dont a été victime Christian Eriksen durant l’Euro 2020. Heureusement, Alexander Dijku a rassuré après la rencontre : « C’était juste un malaise, il nous a rejoints dans le vestiaire après la rencontre », déclare le Strasbourgeois dans des propos relayés par RMC Sport.
https://www.walfoot.be/news/2021-09-13/dimitri-lienard-capitaine-de-strasbourg-sest-effondre-sur-le- terrain
11/9/2021 Le footballeur Wessam Abou Ali, 22 ans, est réveillé mais « choqué » à l’hôpital après s’être effondré sur le terrain lors d’une « expérience horrible ». Le FOOTBALlEURR Wessam Abou Ali est réveillé mais « choqué » à l’hôpital après s’être effondré sur le terrain samedi. Le Danois a été transporté d’urgence à l’hôpital après l’incident déchirant survenu alors qu’il jouait pour le club de deuxième division Vendyssel FF contre Lyngby.
https://www.thesun.co.uk/sport/football/16118079/footballer-wessam-abou-ali-awake-hospital-collapse/
11/9/2021 Le joueur danois de deuxième division Wessam Abou Ali s’effondre sur le terrain – le jeu est abandonné L’attaquant Wessam Abou Ali de la deuxième division Vendsyssel FF s’est effondré lors du match contre Lyngby samedi. Le joueur de 22 ans a été soigné sur le terrain, ses coéquipiers ont formé un cercle autour de lui. Selon l’association, Abou Ali était de nouveau « conscient » lorsqu’il a été transporté à l’hôpital en ambulance. Il est dans un état stable
https://www.spox.com/de/sport/fussball/international/2109/News/daenischer-zweitligaspieler-wessam- abou-ali-kollabiert-auf-dem-platz.html
11/9/2021 Trévise, le directeur sportif meurt à 45 ans après un entraînement Andrea Astolfi était retourné à son domicile. Au cours de la soirée, il avait dit à ses amis qu’il ne se sentait pas bien. Ses parents ont été les premiers à l’aider.
https://corrieredelveneto.corriere.it/treviso/cronaca/21_settembre_11/treviso-dirigente-sportivo-muore- 45-anni-l-allenamento-84b27b18-130c-11ec-8a90-29d83ddfbd2a.shtml
10/9/2021 Décès d’un joueur de foot après un match : ses coéquipiers ont tout tenté pour le sauver. Un habitant de Béard Géovreissiat est décédé d’un arrêt cardiaque vendredi soir dans les vestiaires du stade du village.
https://www.leprogres.fr/culture-loisirs/2021/09/11/deces-d-un-joueur-de-foot-apres-un-match-ses- coequipiers-ont-tout-tente-pour-le-sauver
10/9/2021 Ce serait très amer pour BSG Chemie ! Le flanker Lucas Surek (24 ans) risque d’être absent pendant des mois – on soupçonne une inflammation du muscle cardiaque. Des examens plus détaillés sont à venir. Il serait le cinquième absent après Max Keßler, Alexander Bury, Stephane Mvibudulu et Andy Wendschuch. L’entraîneur Miroslav Jagatic (45) : « Nous devons nous serrer les coudes encore plus maintenant. Et ce, avant le choc de demain (13 heures) chez l’ancien champion de RDA, le BFC, leader incontesté avec son buteur de neuf buts Christian Beck (33). « Il a le dessus là-dessus », sait Jagatic. « Ce sera brutalement difficile. Nous allons essayer de rendre l’impossible possible. »
https://www.bild.de/sport/fussball/fussball/chemie-leipzig-personalsorgen-vorm-bfc-knaller- 77642120.bild.html#remId=1696410702268304075
9/9/2021 Christian Blandini, un joueur de volley-ball de l’Université de Catane décrit comme une « étoile montante », est décédé de façon inexplicable le 9 septembre. Dans un communiqué, l’université a décrit le décès de l’étudiant en génie industriel comme une « mort soudaine ».
https://newsicilia.it/catania/cronaca/fai-buon-viaggio-lacrime-per-christian-blandini-morto-a-soli-20-anni- lunedi-i-funerali/706923
6/9/2021 Le cœur d’un enfant de 13 ans s’arrête pendant qu’il joue au football : Pietro est sauvé par un défibrillateur. Le cœur s’arrête à 13 ans alors qu’il jouait au football : Pietro est sauvé in extremis par un défibrillateur. L’utilisation opportune du défibrillateur du centre sportif municipal et la présence de médecins ont sauvé la vie de Pietro, 13 ans, qui s’est effondré en plein entraînement de football. Un événement soudain et inattendu s’est produit vendredi après-midi dans les installations sportives de Viale dello Sport à Saccolongo (Padoue) et a tenu tout le monde en haleine.
https://www.leggo.it/italia/cronache/malore_campo_calcio_cuore_defibrillatore_padova_5_settembre_2 021-6177403.html
5/9/2021 Le club de West Bridgford Colts est sous le choc. Victime d’un malaise cardiaque lors d’un match disputé quelques jours plus tôt, le footballeur Dylan Rich est décédé à seulement 17 ans ce dimanche 5 septembre.
https://www.voici.fr/news-people/actu-people/mort-de-dylan-rich-a-17-ans-le-footballeur-a-ete-victime- dun-malaise-cardiaque-en-plein-match-711936
4/9/2021 Le footballeur Okafor Kelechi, 21 ans, meurt à l’entraînement. « Nous étions partis à l’entraînement ce jour-là. Il est allé faire une bataille aérienne. En descendant, il a perdu l’équilibre et s’est cogné la tête sur le sol. « Immédiatement, les entraîneurs lui ont administré les premiers soins, essayant de le ranimer. Comme cela n’a donné aucun résultat, ils l’ont emmené d’urgence à l’hôpital. Mais il est mort en chemin.
https://www.vanguardngr.com/2021/09/newly-recruited-footballer-dies-few-hrs-before-he-was-to-leave- nigeria-for-europe-2/
4/9/2021 Hospitalisé en soins intensifs à l’hôpital Papa Giovanni XXIII. Le directeur du centre sportif est en contact avec son père : « Il devrait être hors de danger ». L’état de santé du jeune garçon de 16 ans qui a fait un arrêt cardiaque sur le terrain de football du centre sportif de la Villa d’Almè peu avant 20 heures samedi est stable. Le jeune homme se trouve dans l’unité de soins intensifs de l’hôpital « Papa Giovanni XXIII » de Bergame.
https://www.ecodibergamo.it/stories/premium/Cronaca/malore-in-campo-a-villa-dalme-il- ragazzo-di-16-anni-e-stabile_1406260_11/
4/9/2021 Des scènes dramatiques ont eu lieu le week-end dernier dans la 2. Klasse Triestingtal en Basse-Autriche lors du match entre SC Berndorf et ASV Baden. À la huitième minute du match, un joueur de l’ASV Baden s’est soudainement effondré sur le terrain et a dû être réanimé et stabilisé. Un hélicoptère d’urgence a été demandé car on soupçonnait une insuffisance cardiaque, a décrit le SC Berndorf sur sa page Facebook. En attendant, on dit que le joueur se porte bien dans ces circonstances.
https://www.fanreport.com/at/news/spieler-bricht-bei-unterhaus-partie-zusammen-1360143
4/9/2021 Un jeune joueur de l’ASPTT Caen victime d’une crise cardiaque en plein match.
https://www.archyworldys.com/a-young-player-of-the-asptt-caen-victim-of-a-heart-attack-in-full-match/
4/9/2021 Quelle est la cause de la mort subite de Dave Hyde (29 ans) à l’hôpital ? Nous sommes tristes d’annoncer le décès du joueur de deuxième ligne des Henley Hawks. La cause du décès de Dave Hyde n’est pas révélée officiellement après qu’il ait été transporté d’urgence à l’hôpital après un match de la dernière journée. Le club de rugby de National League 2 South, Henley, a révélé la nouvelle de son décès. Il a été emmené à l’hôpital, après s’être effondré après le match du club d’Oxfordshire contre Old Albanian le samedi 4 septembre 2021.
https://usdaynews.com/celebrities/celebrity-death/dave-hyde-death-cause/
4/9/2021 Jens De Smet, 27 ans, de Maldegem, est décédé samedi dernier après un malaise pendant un match de football. « C’est tellement irréel qu’il soit parti maintenant ». Jens jouait au football pour le FCC Filosoof, une équipe de café qui joue ses matchs à domicile juste de l’autre côté de la frontière néerlandaise, à Eede. « La deuxième mi-temps était en cours et notre adversaire venait de marquer », raconte son coéquipier Benjamin Buysse. « Soudain, Jens s’est assis sur le sol et peu après, il s’est allongé dans l’herbe. Quelques coéquipiers se sont précipités vers lui et on a tout de suite compris que ça n’allait pas. Quelqu’un a commencé le massage cardiaque sur Jens et nous avons immédiatement appelé une ambulance. Lorsque les services d’urgence sont arrivés, ils ont repris le massage cardiaque. Un peu plus tard, ils l’ont emmené à l’hôpital de Bruges. Un jour plus tard, nous avons appris que Jens n’avait pas survécu… »
https://newswep.com/jens-27-collapses-on-the-football-field-and-dies-this-is-not-maldegem/
2/9/2021 MERIDIAN, Miss. (WTOK) – La ville de Philadelphie pleure la perte d’un ancien étudiant-athlète et étudiant de l’East Central Community College, Jalen Leavey, qui est décédé de façon inattendue jeudi soir. L’ECCC a déclaré que Leavey s’est effondré après que le groupe soit rentré sur le campus après un match de football contre l’East Mississippi Community College à Scooba jeudi.
https://www.msn.com/en-us/sports/ncaafb/eccc-band-member-dies-after-football-game/ar-AAO6WK3
2/9/2021 Drame du football : un jeune talent de 17 ans meurt d’un arrêt cardiaque. Il s’est effondré sur le terrain. Dylan Rich avait un grand rêve : devenir footballeur professionnel. Il a tout donné pour son équipe britannique, les West Bridgford Colts – également dans le duel contre Boston United jeudi dernier. Mais le jeune homme de 17 ans s’est effondré sur le terrain. Une crise cardiaque. Sur le chemin de l’hôpital, son cœur aurait subi une nouvelle crise cardiaque. Les médecins urgentistes se sont battus pour sa vie. Quatre jours plus tard, cependant, c’est une triste certitude : le cœur de Dylan a perdu le combat, le jeune joueur de football est mort.
https://www.rtl.de/cms/fussball-drama-nach-doppeltem-herzinfarkt-17-jaehriges-talent-dylan-rich-stirbt- an-herzversagen-4826938.html
2/9/2021 Jeux Paralympiques: Joachim Gérard, victime d’un malaise, hospitalisé d’urgence à Tokyo Joachim Gérard a été hospitalisé d’urgence mercredi à Tokyo à la suite d’un malaise, a communiqué le Comité paralympique belge dans la soirée. Le joueur de tennis, qui a participé aux Jeux Paralympiques, a repris connaissance et « les premiers examens semblent indiquer que le problème serait d’ordre cardiaque » précise le communiqué. Joachim Gérard « a été victime d’un malaise soudain et totalement inattendu », explique-t-on dans le communiqué. « Les services d’urgence sont arrivés rapidement sur place et ont emmené Joachim Gérard à l’hôpital. Ayant repris connaissance, il a pu répondre aux questions qui lui ont été posées. Les premiers examens semblent indiquer que le problème serait d’ordre cardiaque.
https://www.msn.com/fr-be/sport/other/jeux-paralympiques-joachim-g%C3%A9rard-victime-d-un- malaise-hospitalis%C3%A9-d-urgence-%C3%A0-tokyo/ar-AAO0mZl
2/9/2021 Greg Van Avermaet : L’ancien champion olympique sur route abandonne la Coupe du monde de cyclisme en raison des effets secondaires du vaccin. Le cycliste médaillé d’or olympique 2016, Greg Van Avermaet, a jeté l’éponge pour les Championnats du monde de cette année après avoir déclaré que son système immunitaire a été compromis par le vaccin contre le coronavirus qu’il a reçu en juin. « J’ai reçu mes résultats lundi soir et ils ne sont pas vraiment bons. C’est-à-dire que : Les valeurs sanguines ne révèlent rien. Parfait, comme toujours, ce qui est aussi ma grande force. D’autres données prouvent qu’il y a quelque chose qui ne va pas dans mon système immunitaire. Mon corps se bat contre un adversaire inconnu et c’est probablement le vaccin. Je dors bien, je m’entraîne bien et je me sens bien, mais il me manque 3 % de ma forme optimale. »
https://cyclingtips.com/2021/09/greg-van-avermaet-blames-lack-of-form-on-covid-vaccination/ et
https://web.archive.org/web/20211110091806/
https://thecovidworld.com/world-class-athletes-who- died-or-suffered-severe-injuries-after-covid-19-vaccine/
(la page doit être consultée via ce site d’archive, puisqu’elle a été supprimée à son emplacement initial)
29/8/2021 C-Liga : Un joueur s’effondre, le match se termine à Flammersbach Football C-League Dillenburg : Dans le groupe 1, Weidelbach a célébré sa première victoire, et dans le groupe 2, un joueur de Hirzenhain a perdu connaissance. L’ambulance est arrivée.
https://www.mittelhessen.de/sport/fussball/dillenburg/c-liga-spieler-bricht-zusammen-partie-in- flammersbach-endet_24378553
26/8/2021 Francesca Marcon : Une joueuse de volley-ball de 38 ans développe une péricardite après avoir reçu son deuxième vaccin COVID-19 de Pfizer. La joueuse de volley-ball italienne Francesca Marcon a immédiatement souffert d’essoufflement et de douleurs thoraciques après avoir reçu le vaccin Pfizer. Elle s’est rendue aux urgences le lendemain où les médecins lui ont diagnostiqué une péricardite. La joueuse de volley-ball a partagé sa réaction indésirable sur Instagram : « Peut-être que mon discours est un peu blasphématoire, mais je me demande s’il n’existe pas une forme de compensation pour ceux qui subissent des dommages pour la santé après avoir reçu le vaccin ? Je précise que je ne suis pas anti-vax mais je n’ai jamais été convaincu de faire ce vaccin et j’ai eu la confirmation. Je ne sais pas si cela vous intéresse mais j’ai eu et j’ai toujours une péricardite post- vaccinale. Qui paie le prix de tout cela ? »
https://thecovidblog.com/2021/08/26/francesca-marcon-38-year-old-italian-volleyball-player-develops- pericarditis-after-second-pfizer-mrna-injection-wonders-who-pays-the-price/
et https://web.archive.org/web/20211110091806/https://thecovidworld.com/world-class-athletes-who- died-or-suffered-severe-injuries-after-covid-19-vaccine/
(la page doit être consultée via ce site d’archive, puisqu’elle a été supprimée à son emplacement initial)
24/8/2021 Match abandonné après un effondrement Un incident dramatique s’est produit lors du match de la Ligue du district d’Augsbourg entre le FC Emersacker et le TSV Pfersee. À la 77e minute, l’assistant de l’arbitre s’interrompt. À la 77e minute, l’assistant de l’arbitre s’effondre sur le banc de touche. Elle a dû être soignée dans une ambulance pendant plus d’une heure jusqu’à ce qu’elle soit apte au transport. Le jeu a ensuite été abandonné. Le football a été relégué au second plan.
https://www.augsburger-allgemeine.de/augsburg-land/sport/Kreisliga-Augsburg-Spielabbruch-nach- Zusammenbruch-id60410841.html
24/8/2021 LUXEMBOURG – Les membres du club du Red Black Pfaffenthal sont sous le choc. Un de leurs joueurs s’est effondré sur le terrain et a dû être réanimé.
http://www.lessentiel.lu/de/sport/sports_in_luxemburg/story/luxemburger-fu-baller-ereilt-eriksen- schicksal-15405892
23/8/2021 La tristesse envahit le programme de football de Fort Scott avec la mort de Tirrell Williams (19 ans) suite à un effondrement sur le terrain.
https://www.chanute.com/sports/article_92dcfab8-0463-11ec-b027-dbb87f1a9d05.html
23/8/2021 Santo Giuliano : un danseur professionnel de 33 ans subit une crise cardiaque 5 jours après avoir reçu le « vaccin » Pfizer COVID-19 DUBAI – Un danseur professionnel italien a été victime d’une crise cardiaque 5 jours après avoir reçu le « vaccin » Pfizer COVID-19. Santo Giuliano, 33 ans, a reçu son injection le 15 juillet. Santo a été hospitalisé le 19 juillet avec une forte fièvre et une « très forte pression dans la poitrine ». Il a fait une crise cardiaque un jour plus tard, où le personnel hospitalier a dû le réanimer à l’aide d’un défibrillateur. Le jeune danseur se trouvait à Dubaï pour un événement lié à son travail, où il lui a été demandé de se faire vacciner pour « plus de sécurité ». Santo a pris la parole sur Instagram pour partager son histoire : « Cinq jours après la première dose », écrit- il, « je me suis retrouvé dans un hôpital avec un arrêt cardiaque ». Une vidéo de son lit d’hôpital accompagne son post Instagram avec une mise à jour à ses followers sur son état de santé actuel :
https://web.archive.org/web/20210919204419/
https://thecovidworld.com/santo-giuliano-33-year-old- professional-dancer-suffers-heart-attack-5-days-after-receiving-the-pfizer-covid-19-vaccine/
https://www.italy24news.com/entertainment/news/40391.html
22/8/2021 Fabrice N’Sakala, défenseur du Besiktas, s’effondre pendant un match de championnat turc
https://gulfnews.com/sport/football/besiktas-defender-fabrice-nsakala-collapses-during-turkish-league- match-1.81739546
22/8/2021 SASSUOLO, ITALIE – Un footballeur professionnel a été diagnostiqué avec une myocardite après sa vaccination au COVID-19. Pedro Obiang, 29 ans, a reçu son vaccin COVID-19 en juillet. Il a été hospitalisé peu après pour des problèmes cardiaques. Il est sorti de l’hôpital après 10 jours, mais ne pourra pas jouer au football pendant au moins 6 mois. Un médecin, qui préfère rester anonyme, a confirmé que le footballeur souffrait d’une myocardite.
https://thecovidworld.com/pedro-obiang-29-year-old-professional-footballer-suffers-myocarditis-after- covid-19-vaccine/
22/8/2021 Ce dimanche, la tragique nouvelle a été confirmée : la marathonienne, Alexaida Guédez, est décédée d’une crise cardiaque alors qu’elle participait à une course de 5 km à Naguanagua. La jeune femme s’est effondrée environ 50 mètres avant d’atteindre la ligne d’arrivée, tout près de l’endroit où son fils l’attendait. Elle a été emmenée dans un centre médical où des spécialistes ont tenté de la réanimer, mais sans résultat positif. L’athlète a un palmarès de médailles dans les jeux nationaux. En l’absence de Yulimar Pineda, elle a été la coureuse d’élite du Venezuela, remportant le semi-marathon de Valence, le Caracas Rock et la course IVOO.
https://www.el-carabobeno.com/alexaida-guedez-muere-de-un-infarto/
21/8/2021 Fabrice N’Sakala, professionnel de Besiktas, s’est effondré pendant le match des Aigles contre Gaziantep (0-0). N’Sakala s’était effondré au milieu de la deuxième mi-temps sans aucun contact avec son adversaire et à une certaine distance du ballon. Le joueur a été transporté en urgence dans un hôpital voisin dès que possible.
https://www.spox.com/de/sport/fussball/international/2108/Artikel/besiktas-profi-fabrice-n-sakala- kollaps-entwarnung-krankenhaus.html
20/8/2021 L’athlète italien Orlando Gallucci retrouvé mort quelques jours après les Championnats du monde européens NPC 2021 Un autre athlète a été retrouvé mort en Espagne. Orlando Gallucci a été retrouvé mort quelques heures après une séance d’entraînement.
https://fitnessvolt.com/orlando-gallucci-found-dead/
17/8/2021 La fille (15 ans) de l’entraîneur de football d’une école secondaire est morte lors d’un entraînement avec son club, selon l’école texane. « Il a été porté à notre attention qu’une jeune femme s’est effondrée hier à l’entraînement de football alors qu’elle s’entraînait avec l’Académie des Toros, et est décédée plus tard », a déclaré RGV FC Toros dans un communiqué, selon MyRGVNews.
https://www.msn.com/en-us/sports/more-sports/high-school-soccer-coach-e2-80-99s-daughter-dies-at- practice-with-her-club-texas-school-says/ar-AANtik8
14/8/2021 Dimitri McKee, star du football des lycées d’Alabama, est mort la nuit dernière à l’âge de 17 ans après s’être évanoui lors d’un entraînement de football.
https://www.nfldraftdiamonds.com/2021/08/dimitri-mckee/
14/8/2021 L’athlète kenyan Gilbert Kwemoi est mort Kwemoi est décédé vendredi dans un hôpital de Mt Elgon, à l’âge de 23 ans. https://www.the-star.co.ke/news/2021-08-14-kenyan-athlete-gilbert-kwemoi-is-dead/
https://diasporamessenger.com/2021/08/kenyan-gold-medalist-in-china-gilbert-kwemoi-collapses-dies/
14/8/2021 Il ne peut toujours pas le comprendre, mais heureusement, il peut raconter son histoire. Jente Van Genechten, 25 ans, s’est soudainement effondré sur le terrain lors d’un match de football avec sa nouvelle équipe, Lanaken. Tout comme l’international danois Christian Eriksen lors du championnat d’Europe, Jente a perdu connaissance après un arrêt cardiaque.
https://www.hbvl.be/cnt/dmf20210817_97727440
12/8/2021 Drake GEIGER, 16 ans, joueur de football lycéen du Nebraska s’est effondré et est mort d’un coup de chaleur alors que son équipe s’entraînait dans la région d’Omaha où l’indice de chaleur a dépassé les 100 degrés (Fahrenheit), ont déclaré des proches et des responsables. Drake Geiger, un jeune attaquant et défenseur de 16 ans de l’Omaha South High School, est mort mardi après avoir été victime d’un malaise 10 minutes après le début de l’entraînement, alors que sa température corporelle atteignait 122 degrés, a déclaré son père au Omaha World-Herald. « Il ne s’en est pas sorti », a déclaré Scott Hoffman. « Ils ont dit que sa température corporelle était extrêmement élevée et qu’ils n’arrivaient pas à la faire baisser. » M. Hoffman a déclaré que son fils mesurait 6 pieds 3 et pesait 389 livres, mais qu’il n’avait pas de problèmes de santé connus et n’avait jamais été hospitalisé auparavant.
https://nypost.com/2021/08/12/nebraska-hs-football-player-dies-during-first-practice-of-season/
10/8/2021 Un jeune père et footballeur meurt d’une crise cardiaque pendant un entraînement. On se souvient d’un jeune père de famille comme d’un homme au cœur d’or, décédé subitement lors d’une séance d’entraînement de football. Lee Moses, 29 ans, a quitté son domicile le 12 août pour s’entraîner avec le Palmerston North Marist Football Club à la Central Energy Trust Arena. Il a souffert de douleurs à la poitrine pendant l’entraînement et est décédé après une crise cardiaque inattendue, laissant derrière lui sa compagne Tori Batley, 26 ans, et deux jeunes enfants.
https://www.stuff.co.nz/manawatu-standard/news/300387209/young-father-and-footballer-dies-of- heart-attack-during-training
10/8/2021 Sassuolo annonce qu’une maladie « de nature virale » contraint son milieu équato-guinéen Pedro Obiang au repos jusqu’à nouvel ordre. En ces temps de pandémie, ce communiqué publié lundi par Sassuolo sème le trouble. Le club italien a annoncé que son milieu de terrain Pedro Obiang ne pouvait pas reprendre le football pour le moment. En cause, « la détection d’une maladie bronchopulmonaire de nature virale » chez l’international équato- guinéen de 29 ans lors de ses derniers tests médicaux.
https://www.football365.fr/maladie-de-nature-virale-prive-pedro-obiang-sassuolo-de-football- 9981742.html
7/8/2021 Un joueur de football de 15 ans de Detroit Catholic Central meurt quelques jours après s’être effondré lors d’une séance de conditionnement. Le Detroit Catholic Central a annoncé le décès du joueur de football Stephen Sylvester, âgé de 15 ans, qui est décédé samedi dernier après s’être effondré lors d’une séance de conditionnement physique organisée le lundi de la semaine dernière.
https://www.mlive.com/highschoolsports/2021/08/15-year-old-football-player-from-detroit-catholic- central-dies-days-after-collapsing-at-conditioning.html
6/8/2021 Ce joueur du VfB Schloß Holte a sauvé la vie de son adversaire. Julian Pietsch du VfB Schloß Holte 2 réanime un joueur du SpVgg. Oelde 2 après qu’il se soit effondré pendant le match sur le terrain de sport. L’urgentiste ne tarit pas d’éloges.
https://www.nw.de/sport/lokalsport/kreis_guetersloh/guetersloh/23065338_Dieser-Spieler-vom-VfB- Schloss-Holte-rettete-seinem-Gegenspieler-das-Leben.html
6/8/2021 Le Franc-Comtois d’origine Christian Dumont est mort subitement à 58 ans d’une crise cardiaque, il était un grand personnage du biathlon français
https://www.estrepublicain.fr/sport/2021/08/06/le-franc-comtois-d-origine-christian-dumont-est-mort- subitement-a-58-ans-il-etait-un-grand-personnage-du-biathlon-francais
3/8/2021 Yusuke Kinoshita : un joueur de baseball professionnel de 27 ans est mort 5 semaines après la vaccination au COVID-19 Le joueur de baseball japonais Yusuke Kinoshita est décédé 5 semaines après sa vaccination au COVID-19. L’homme de 27 ans, qui jouait pour les Chunichi Dragons, s’est effondré pendant un entraînement de rééducation de son épaule droite le 6 juillet et a été transporté d’urgence à l’hôpital où il a été placé sous respirateur. Il est mort sans reprendre conscience le 3 août. Il avait reçu son vaccin huit jours avant de s’effondrer. Le propriétaire des Dragons de Chunichi, Uichiro Oshima, a déclaré peu avant sa mort : « J’ai entendu dire qu’il était tombé malade après sa vaccination. Il est hospitalisé et lutte actuellement pour sa vie. Je ne connais pas la relation de cause à effet entre sa vaccination et son effondrement. » Le lanceur de 27 ans originaire d’Osaka aurait fait des exercices intenses immédiatement après sa vaccination, ce qui pourrait être à l’origine de son effondrement et de son décès.
https://web.archive.org/web/20211110091806/https://thecovidworld.com/world-class-athletes-who- died-or-suffered-severe-injuries-after-covid-19-vaccine/
2/8/2021 Rune Coghe, un footballeur s’est effondré pendant un match. Dimanche, à Eltendorf, un joueur s’est effondré pendant un match de football entre Eltendorf et Gerersdorf-Sulz. Le jeune homme de 18 ans a été transporté à l’hôpital par un hélicoptère de secours.
https://burgenland.orf.at/stories/3115210/
31/7/2021 Selon le magazine de handball néerlandais Handballstarpunt, Whitnée Abriska, 19 ans, de l’équipe de première division belge Handball Fémina Visé, est décédée subitement d’une crise cardiaque. Whitnée Abriska, originaire de l’île de la Réunion, était en vacances avec sa famille et devait reprendre l’avion pour la Belgique lundi. Quelques heures avant le vol de retour, son cœur s’est arrêté de manière totalement inattendue, a rapporté le magazine sportif belge Les Sports+. La cause du décès n’est pas encore connue.
https://www.handball-world.news/o.red.r/news-1-2-17-43217.html
31/7/2021 Nos pensées vont à Daniel Brito (23 ans) et à ses proches après que le joueur mineur des Phillies se soit effondré sur le terrain pendant le match de samedi entre les IronPigs de Lehigh Valley (Phillies) et les Red Wings de Rochester (Nationals). Le match a été suspendu, et Brito a été transporté d’urgence dans un hôpital voisin où il a été opéré. Peu d’informations ont été rendues publiques pour le moment, mais les Phillies ont publié une déclaration.
https://thatballsouttahere.com/2021/07/31/phillies-minor-leaguer-daniel-brito-undergoes-emergency- surgery/
27/7/2021 Les responsables de la Southwest High School déclarent que Joshua Ivory, Jr., 15 ans, a été emmené à l’hôpital après avoir eu de graves problèmes médicaux pendant l’entraînement lundi soir. Il est décédé à l’hôpital.
https://deaddeath.com/joshua-ivory-death-obituary-joshua-ivory-has-died/
24/7/2021 L’équipe de football de la Little Rock Central High School a annoncé le décès de son coéquipier senior, Devon DuHart, le samedi 24 juillet. Le jeune homme de 16 ans a été retrouvé mort à l’intérieur de sa maison après avoir fait une crise dans son sommeil, selon sa famille. Il s’était plaint de sa santé après l’entraînement la semaine dernière et avait été emmené à l’hôpital jeudi. Il a été libéré mais a été retrouvé vendredi matin.
https://www.msn.com/en-us/sports/nba/little-rock-central-high-school-mourns-sudden-death-of-senior- football-player/ar-AAMDm4g
24/7/2021 Un footballeur de Bielefeld fait un arrêt cardiaque sur le terrain.
https://www.lz.de/owl/23056948_Bielefelder-Fussballer-erleidet-Herzstillstand-auf-dem-Platz.html
21/7/2021 Kjeld Nuis : un patineur de vitesse de 31 ans, deux fois médaillé d’or olympique et détenteur du record du monde, développe une péricardite après avoir pris du Pfizer. Le patineur de vitesse néerlandais, Kjeld Nuis, a été diagnostiqué avec une péricardite une semaine après sa première vaccination Pfizer. Le double médaillé d’or olympique a publié sur son Instagram qu’il présentait de graves symptômes de grippe et une pression thoracique avant que son médecin et son cardiologue ne diagnostiquent une péricardite enflammée. M. Nuis a d’abord signalé qu’il était très malade, mais il a ensuite posté sur son Instagram qu’il se rétablissait heureusement grâce au diagnostic précoce de son médecin du sport et de son cardiologue. « Il y a exactement 2 semaines aujourd’hui, j’étais à l’hôpital avec un péricarde enflammé. Heureusement, mon médecin du sport était là très tôt et m’a examiné avec le cardiologue. »
https://kanekoa.substack.com/p/world-class-athletes-suffer-vaccine et
https://www.instagram.com/p/CRl0twZIYiu/ et
https://web.archive.org/web/20211110091806/
https://thecovidworld.com/world-class-athletes-who- died-or-suffered-severe-injuries-after-covid-19-vaccine/
(la page doit être consultée via ce site d’archive, puisqu’elle a été supprimée à son emplacement initial)
16/7/2021 Kyle Warner, vététiste professionnel, atteint de péricardite, de tachycardie posturale et d’arthrite après l’injection Pfizer La combativité de Kyle Warner, professionnel vététiste de montagne, n’est plus à démontrer. Le coureur d’enduro professionnel a connu bien des difficultés dans le passé et doit faire face aujourd’hui aux effets secondaires du vaccin Pfizer. Loin de se morfondre, il décide de parler et de témoigner sans relâche, il le fait comme un devoir envers ses semblables. L’homme de 29 ans a révélé sur Instagram comment le vaccin Pfizer a détruit sa carrière après la deuxième dose anti-covid.
https://lemediaen442.fr/kyle-warner-vetetiste-professionnel-atteint-de-pericardite-de-tachycardie- posturale-et-darthrite-apres-linjection-pfizer/
https://www.instagram.com/p/CRZmdZgHvgg/
14/7/2021 Kjeld Nuis très malade après la vaccination :  » Le corps ne coopère pas « . Kjeld a déclaré à RTL Boulevard qu’il était très malade après sa vaccination. Pour cette raison, le début de son entraînement pour la prochaine saison de patinage est très difficile.
https://www.rtlboulevard.nl/entertainment/showbizz/artikel/5241690/kjeld-nuis-ziek-na-vaccinatie
11/7/2021 Le footballeur amateur Marvin Schumann, 17 ans, de Gifhorn a dû être réanimé
https://www.braunschweiger-zeitung.de/region/article232757649/Gifhorner-Amateurfussballer-musste- reanimiert-werden-wie-Eriksen.html
10/7/2021 Le culturiste George Peterson est mort à 37 ans … Trouvé dans une chambre d’hôtel Le bodybuilder George Peterson – alias « Da Bull » – est décédé de façon inattendue cette semaine à seulement 37 ans, quelques jours avant de participer à une compétition de bodybuilding de haut niveau. George Peterson se trouvait à Orlando lorsqu’il est décédé. Il se préparait pour la compétition Olympia, qui débute mercredi.
https://www.tmz.com/2021/10/07/bodybuilder-george-peterson-dead-37-years-old-mr-olympia-arnold- classic/
28/6/2021 Cajetan Chinoyelum Nsofor, élève 13 ans du lycée Legacy meurt pendant une séance d’athlétisme
https://www.ktnv.com/news/legacy-high-school-student-dies-during-athletic-practice
26/6/2021 Une élève de 11 ans est morte ce vendredi dans son école d’Eure-et-Loir après un malaise cardiaque.
https://www.estrepublicain.fr/faits-divers-justice/2021/06/26/une-eleve-de-cm2-meurt-apres-un- malaise-cardiaque-a-l-ecole
13/6/2021 Christian Eriksen, la star du football danois qui s’est effondrée sur le terrain lors d’un match du Championnat d’Europe samedi, a subi un arrêt cardiaque et « était parti » avant d’être réanimé à l’aide d’un défibrillateur, a déclaré le médecin de son équipe. L’état d’Eriksen, 29 ans, un milieu de terrain, était stable et « continue d’être hospitalisé pour des examens complémentaires », a déclaré dimanche l’Union danoise de football dans un communiqué publié sur Twitter. Elle a ajouté qu’Eriksen « envoyait ses salutations à ses coéquipiers ».
https://www.nbcnews.com/news/world/euro-2020-denmark-soccer-player-christian-eriksen-stable-after- collapsing-n1270602
7/6/2021 Fulda (oz/sm) – Le FV Horas, tout le district de tennis de table de Fulda et de nombreux compagnons de toute l’Allemagne pleurent le décès de Michael Schneider, qui est décédé de manière totalement inattendue mardi dernier à l’âge de 38 ans.
https://www.osthessen-zeitung.de/einzelansicht/news/2021/juni/nachruf-tischtennis-kreis-trauert-um- michael-schneider.html
4/6/2021 Giuseppe Perrino est mort : crise cardiaque à 29 ans ! Un footballeur s’effondre sur le terrain et meurt Le choc du décès dans la communauté italienne de Poggiomarino. Lors d’un match de charité pour son frère décédé, l’ancien footballeur professionnel italien Giuseppe Perrino est mort. L’homme de 29 ans s’est soudainement effondré sur le terrain de football.
https://www.news.de/sport/855921508/giuseppe-perrino-ist-tot-todesursache-herzinfarkt-fussballer-mit- 29-jahren-gestorben-bei-benefiz-spiel-fuer-bruder-rocco/1/
26/5/2021 Le lycéen de deuxième année en bonne santé de 6’9″ 17 ans, Everest Romney, a été hospitalisé après avoir souffert de migraines sévères et d’un gonflement du cou après la vaccination. Cet événement indésirable grave a laissé Everest à peine capable de marcher. Dans les 24 heures qui ont suivi le vaccin, Everest a commencé à ressentir une « quantité exorbitante » de douleur et d’enflure au cou qui provenait du même côté que celui où il avait reçu le vaccin. Cherie a emmené son fils chez le pédiatre, qui a diagnostiqué un muscle froissé et lui a mis une minerve. Le médecin a été « plutôt dédaigneux », a déclaré Cherie. « On nous a renvoyés à la maison ». After the headaches went on for days, Everest was taken to an emergency room visit where he was diagnosed with blood clots in his brain.
https://www.newswars.com/healthy-athletes-suddenly-fall-ill-die-after-forced-covid-injection-and-the- medias-silent/
23/5/2021 Article général sur la « perte de vitesse » des sportifs pros après vaccination
https://www.rtl.be/sport/football/diables-rouges/les-sportifs-de-haut-niveau-en-perte-de-vitesse-apres- le-vaccin-cela-pourrait-avoir-un-impact-sur-les-diables-rouges-1301170.aspx
17/5/2021 Dans une vidéo TikTok déchirante, un homme a décrit comment un athlète universitaire anonyme de 23 ans fréquentant une école de l’Ivy League, décrit comme un « pilier de sa communauté », est décédé après avoir pris un vaccin imposé par l’université. « Il est maintenant mort parce qu’il était tenu de se faire vacciner », a décrit l’homme.
https://www.newswars.com/healthy-athletes-suddenly-fall-ill-die-after-forced-covid-injection-and-the- medias-silent/
14/5/2021 Haziq Kamaruddin : un archer de 27 ans, deux fois olympique, est mort 10 jours après avoir reçu le vaccin Pfizer. L’archer malaisien Haziq Kamaruddin est décédé à l’âge de 27 ans le 14 mai après s’être effondré à son domicile quelques jours après avoir reçu le vaccin COVID-19 de Pfizer. L’archer, qui avait participé à deux Jeux olympiques, a succombé à l’obstruction d’une artère coronaire. Kamaruddin a reçu la première dose du vaccin le 13 avril. Il a reçu la deuxième dose le 4 mai et a posté une photo sur Instagram. Kamaruddin a représenté la Malaisie aux Jeux de Londres en 2012 et de Rio en 2016 et espérait se qualifier pour les Jeux olympiques de Tokyo cet été, la compétition de qualification devant se dérouler à Paris en juin. Il était également membre de l’équipe de recurve de son pays qui a remporté l’argent aux Jeux asiatiques d’Incheon en 2014. https://web.archive.org/web/20211110091806/https://thecovidworld.com/world-class-athletes-who- died-or-suffered-severe-injuries-after-covid-19-vaccine/
https://www.thestar.com.my/sport/archery/2021/05/14/national-archer-haziq-kamaruddin-passes-away- at-age-27
27/4/2021 Craig Jones : le champion du monde de jiu-jitsu brésilien de 29 ans abandonne la compétition après avoir été blessé par un vaccin Craig Jones, ceinture noire de jiu-jitsu brésilien et champion du monde, a annoncé sur Instagram qu’il ne pouvait plus combattre ni s’entraîner après avoir fait une mauvaise réaction au vaccin Covid-19, provoquant une accumulation de liquide dans son estomac. Craig Jones a été le champion du monde Polaris 205 lbs et le champion du monde Polaris 185 lbs en 2018 et 2019. Il a également terminé à la 2e place du championnat du monde ADCC en 2019.  » Je suis sorti les gars. Un des malchanceux qui a fait une réaction indésirable au vaccin Covid. Je ne vais pas vous ennuyer avec tous mes symptômes, mais j’ai fini par porter un tas de liquide autour de mon estomac et je ne peux pas m’entraîner et encore moins faire des compétitions. »
https://www.instagram.com/p/COJafoMlxvn/ et
https://web.archive.org/web/20211110091806/https://thecovidworld.com/world-class-athletes-who- died-or-suffered-severe-injuries-after-covid-19-vaccine/
(la page doit être consultée via ce site d’archive, puisqu’elle a été supprimée à son emplacement initial)
23/4/2021 Luis Ojeda Suárez, footballeur et ancien joueur de l’équipe de jeunes de l’UD Las Palmas, est décédé subitement à l’âge de 20 ans. La nouvelle a choqué le monde du football et l’UD Las Palmas a montré sur son compte Twitter son chagrin et sa consternation face au décès du joueur de 20 ans.  » Consterné par le décès soudain de Luis Ojeda Suárez, canterano qui a fait partie de notre équipe de jeunes pendant deux saisons (2017/18 et 2018/19). L’UD Las Palmas exprime ses plus sincères condoléances à sa famille, ses amis et toute la famille jaune. DEP », a écrit le club des Canaris sur son compte Twitter.
https://www.antena3.com/noticias/deportes/futbol/emotiva-carta-lola-ortiz-muerte-novio-futbolista-luis-ojeda-soporto-idea-volver-ver-verte-nunca-mas_20210426608696616e5d5b0001eb20e9.html
29/3/2021 Un joueur de lycée californien meurt après s’être effondré pendant un match Emmanuel Antwi, un élève de terminale du lycée John F. Kennedy de Sacramento, a été transporté à l’hôpital après être tombé pendant un match vendredi soir.
https://www.nbcnews.com/news/us-news/california-high-school-player-dies-after-collapsing-during- game-n1261706
20/3/2021 La mort du culturiste Andy Haman, à 54 ans, choque ses fans et sa famille Haman serait décédé le samedi 20 mars 2021. La cause de son décès n’a pas encore été communiquée. La communauté du bodybuilding a été laissée stupéfaite par son décès soudain.
https://nypost.com/2021/03/22/bodybuilder-andy-hamans-death-at-54-shocks-fans-family/
17/3/2021 Décès de Miguel Antonio Lugo (17 ans) Miguel Antonio Lugo est décédé tragiquement le lundi soir 1er mars 2021 à l’entraînement de football.
https://deaddeath.com/death/miguel-antonio-lugo-death-obituary-miguel-antonio-lugo-has-died/



La Saskatchewan (province canadienne) abandonnera toutes ses restrictions et son passeport vaccinal d’ici la fin du mois

[Source : quebecnouvelles.info]

Par Cosmin Dzsurdzsa

La Saskatchewan est la première province [équivalente d’un État américain] à annoncer l’abandon de toutes les restrictions COVID-19, y compris les exigences en matière de preuve de vaccination.

Le premier ministre Scott Moe en a fait l’annonce lors d’une conférence de presse lundi soir, précisant que les restrictions prendraient fin le 28 février et reconnaissant le désir des Canadiens “d’un retour à la normale”.

“Les députés de notre caucus l’entendent de la bouche des gens à qui ils parlent dans toute la province et des gens qu’ils représentent en fin de compte, et les gens demandent à leur gouvernement un retour à la normale – une levée des restrictions en matière de santé publique – et nous examinons très certainement comment nous pouvons y parvenir dans les semaines à venir ici en Saskatchewan “, a déclaré M. Moe.

L’annonce survient après un changement important de l’opinion publique canadienne, qui s’oppose aux restrictions en cas de pandémie.

Selon un nouveau sondage de l’Institut Angus Reid, 54 % des Canadiens sont d’accord ou tout à fait d’accord avec l’idée de mettre fin aux restrictions et de permettre aux personnes à risque de s’auto-isoler. Toutes les régions, à l’exception du Canada atlantique, ont rapporté un soutien majoritaire.

L’Alberta et l’Ontario ont également laissé entrevoir certains signes d’une plus grande ouverture.

Plus récemment, le premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney, a déclaré qu’il espérait voir la fin du programme de preuve de vaccination d’ici mars.

“J’ai dit, lorsque nous avons introduit le programme de preuve de vaccination au début du mois de septembre, que je ne prévoyais pas qu’il se poursuive au-delà du premier trimestre de 2022. Cela correspondrait à la fin du mois de mars “, a déclaré M. Kenney la semaine dernière.

Le médecin en chef de l’Ontario, Kieran Moore, a également déclaré la semaine dernière qu’il était temps pour les gens “d’apprendre à vivre avec le COVID-19”, prévoyant que la menace du virus s’estompera dans un avenir proche.

“Je pense que nous devons commencer à comprendre que nous devons apprendre à vivre avec ce virus”, a déclaré M. Moore.

Quant au Québec, le premier ministre François Legault est revenu sur son projet de taxer les personnes non vaccinées de la province après avoir été confronté à une forte opposition du public.

“Je comprends que cela divise les Québécois, et en ce moment nous devons construire des ponts”, a déclaré Legault mardi. “Mon rôle est d’essayer de rassembler les Québécois pour qu’ils restent unis en tant que peuple.”

Pour en lire davantage :




Le Canada tout entier s’est joint au convoi, sauf Trudeau qui accuse Freedom Convoy 2022 de propager la haine, le racisme et la violence

[Source : mondialisation.ca]

« Hier, je me tenais avec des amis et des collègues sur l’un des nombreux viaducs d’autoroute de Toronto, alors que nous assistions à un moment véritablement historique devant nos yeux remplis de larmes. Des milliers de Canadiens épris de liberté, de tous les horizons, étaient rassemblés là – comme partout dans le pays – dans un froid glacial, brandissant des drapeaux et des pancartes pour montrer leur soutien à des centaines de courageux chauffeurs de camions de transport qui passaient devant nous dans le convoi de la liberté en route vers la capitale nationale. »

David Skripac, auteur de renom et pilote ayant servi comme capitaine dans l’Aviation royale du Canada.


Selon Justin Trudeau :

les manifestants « ont exprimé une rhétorique haineuse et de la violence envers leurs concitoyens ».

« Alors à ceux qui sont responsables de ce comportement – il faut que cela cesse, […].

Les Canadiens à la maison regardent avec dégoût [disgust] et incrédulité ce comportement, se demandant comment cela a pu se produire dans la capitale de notre pays. …

M. Trudeau affirme que personne n’a le droit « d’abuser, d’intimider et de harceler […] ses concitoyens ».

(Déclaration du 31 janvier suivie d’une conférence de presse, vidéo ci-dessous)

« Dégoût et incrédulité » selon Trudeau. Des millions de Canadiens d’un océan à l’autre ont soutenu et continuent de soutenir le convoi pour la liberté 2022.

Il n’y a eu aucune preuve de racisme, de haine et de violence de la part des manifestants, ni d’abus contre des concitoyens, comme l’a prétendu le premier ministre.

[Voir aussi :
Désinformation contre le convoi de la liberté, de la part d’un organe de propagande mainstream
et
Les médias mainstream canadiens continuent bien sûr de mentir. Mise à jour 5]

Le vaccin est sans danger selon Trudeau

M. Trudeau affirme sans preuve que le vaccin est sans risque. Nous ne soutenons pas la désinformation et les théories du complot, dit-il.

Il attaque Erin O’Toole, chef du Parti conservateur. Il appelle les politiciens à réfléchir  très sérieusement à qui ils soutiennent.

Il appelle les politiciens à « respecter la science ».

Science et faits

M. Trudeau appelle à « faire confiance à la science, à faire confiance aux faits ». À cet égard, je le soutiens pleinement.

Mon message à Justin Trudeau :

Je vous suggère de lire les rapports officiels sur la science et les faits de l’Union européenne, des États-Unis et du Royaume-Uni concernant les décès et les événements indésirables liés aux vaccins qui ont été signalés, enregistrés et consignés. N’oubliez pas : La plupart des décès et des effets indésirables ne sont pas signalés.

Il s’agit de chiffres officiels. Ce sont des faits.

TOTAL pour l’UE/le Royaume-Uni/les États-Unis – 61 654 décès liés à l’injection de Covid-19 et 9 755 085 blessures signalés au 28 janvier 2022.

Et Santé Canada n’informe pas les Canadiens sur les décès et les effets indésirables liés au vaccin Covid-19.

Voir la déclaration de Trudeau suivie d’une conférence de presse bilingue :

https://www.youtube.com/embed/Y8YZ5l5rJrE

Le Premier ministre Justin Trudeau déclare que « les discours haineux et les symboles racistes ne doivent pas être tolérés au Canada. » 1:46

Voir la vidéo ci-dessous.

Voilà ce qui se passe. Et Trudeau appelle cela une « minorité marginale ».

Vidéo : TOUT le Canada a rejoint le convoi, sauf Trudeau

https://www.youtube.com/embed/N23pYH18xGs

Croix gammées

Trudeau a fait référence aux croix gammées, laissant entendre que les organisateurs soutiennent les symboles néo-nazis. (Le Times of Israel a confirmé qu’il y a eu un événement avec une croix gammée et un drapeau confédéré à Ottawa).

Ce que Trudeau omet de mentionner, c’est que son gouvernement soutient la Garde nationale ukrainienne, qui est contrôlée par des éléments néonazis.

Selon le Ottawa Citizen (9 novembre 2021)

« Les fonctionnaires canadiens qui ont rencontré les membres d’un bataillon ukrainien lié aux néonazis n’ont pas dénoncé l’unité, mais étaient plutôt inquiets que les médias exposent les détails de la rencontre, selon des documents nouvellement publiés.

Les Canadiens ont rencontré les dirigeants du bataillon Azov et ont été informés par eux en juin 2018. Les officiers et les diplomates ne se sont pas opposés à la réunion et se sont plutôt laissés photographier avec les responsables du bataillon, malgré les avertissements précédents selon lesquels l’unité se considérait comme pro-nazie. Le bataillon Azov a ensuite utilisé ces photos pour sa propagande en ligne, soulignant que la délégation canadienne avait exprimé « l’espoir d’une coopération fructueuse future. »

Il existe de nombreuses preuves du soutien canadien et américain aux néonazis en Ukraine, qui remontent à l’Euromaïdan de 2014 :

Andriy Parubiy cofondateur du Parti social-national néo-nazi d’Ukraine (rebaptisé par la suite Svoboda) a été nommé [en 2014] secrétaire du Comité de la sécurité nationale et de la défense nationale (RNBOU). (Рада національної безпеки і оборони України), un poste clé qui outrepasse le ministère de la Défense, les forces armées, les forces de l’ordre, la sécurité nationale et le renseignement.

Le leader néo-nazi Andriy Parubiy invité par Trudeau à Ottawa

Lors de la formation d’un nouveau gouvernement en 2014, le leader néo-nazi Andriy Parubiy est devenu député. Il a ensuite été nommé vice-président de la Verkhovna Rada (Parlement ukrainien).

En 2016, le leader nazi Andreiy Parubiy a été invité à Ottawa pour rencontrer le Premier ministre du Canada.

Le vice-président du Parlement ukrainien, Andriy Parubiy, s’est rendu à Ottawa en février 2016 pour rencontrer le premier ministre. Lors de cette réunion (de gauche à droite) se trouvent l’ambassadeur de l’Ukraine au Canada Andriy Shevchenko, le vice-président de la Verkhovna Rada Andriy Parubiy, le premier ministre Justin Trudeau et le député Borys Wrzesnewskyj.

Michel Chossudovsky

Article original en anglais :

ALL of Canada Has Joined The Convoy, Except Trudeau. Accuses Freedom Convoy 2022 of Propagating Hatred, Racism and Violence, publié le 31 janvier 2022

À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPA), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003) – La mondialisation de la pauvreté,  America’s « War on Terrorism » (2005) – Guerre et Mondialisation, The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il collabore à l’Encyclopédie Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à crgeditor@yahoo.com

Voir en anglais : Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

Articles en français de Michel Chossudovsky sur Mondialisation.ca
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2022




Ce que pense Kyle Kemper, demi-frère de Trudeau, sur la situation actuelle

[Source : LeLibrePenseur.org]

Kyle Kemper, le demi-frère de Justin Trudeau sur les vaccins covid, le Forum économique mondial [WEF], la Grande Réinitialisation et comment son frère fait partie d’un agenda mondialiste :

« … Toute cette arnaque covid est un phénomène orchestré à l’échelle mondiale pour consolider le pouvoir et générer d’énormes profits, faciliter davantage la transition de la richesse des pays vers les entreprises… Je ne sais pas comment quelqu’un peut nier cela… »




[Source : guyboulianne.com]

La journaliste du Western Standard, Mélanie Risdon, s’est entretenue le 27 janvier dernier avec Kyle Kemper, fils de Fried Kemper et de Margaret Trudeau et demi-frère du Premier ministre Justin Trudeau. Celui-ci se décrit comme un stratège visionnaire, un technologue et un artiste. Kemper s’est ouvertement opposé à une grande partie de ce que représente Justin Trudeau et a activement critiqué son demi-frère sur les réseaux sociaux. Kyle Kemper pense qu’une « corporatocratie mondiale » a profité de la crise du COVID pour diminuer la démocratie et renforcer le contrôle sur la vie des gens. Il n’est pas le seul à avoir de telles opinions. Mais il est le seul à vouloir renverser une structure de pouvoir dans laquelle son frère siège au sommet.

Kemper est un adepte de Bitcoin depuis 2013. Fervent défenseur de la cryptomonnaie et anti-vaxxeur autoproclamé, le demi-frère de Justin Trudeau pense que l’humanité est à la croisée des chemins. « Est-ce que je lui parle de ces choses ? Non. J’adorerais lui parler, ainsi qu’à son peuple, mais il est très clair qu’il y a un pare-feu », a déclaré Kemper. Il voit la politique des partis comme un « chemin de la gloire, un chemin du pouvoir, un chemin de l’ego ». Il a déclaré que « la dictature mondiale de la santé » a imposé une réponse qui a finalement rendu les gens en moins bonne santé, avec des niveaux croissants de suicide et de dépression, ainsi que « l’effacement » des petites entreprises telles que les sept restaurants que sa famille gère à Ottawa.

Kemper pense qu’il reste un « fossé gigantesque » dans la communauté scientifique concernant la réponse au COVID. « Les fabricants de vaccins sont exonérés de toute responsabilité. Cela me fait peur. Il existe de nombreuses façons d’améliorer notre système immunitaire pour lutter contre le coronavirus. Le soleil nous donne de la vitamine D et c’est excellent pour le système immunitaire. Mais Justin et les responsables de la santé publique ne disent pas aux gens de sortir et de prendre de la vitamine D. »

Sur les réseaux sociaux, Kemper a encouragé les gens à signer la pétition e2961, qui a été parrainée à la Chambre des communes par le conservateur Derek Sloan. Il n’hésite pas à nommer la vaccination COVID-19 « expérimentation humaine », suggérant qu’il pourrait y avoir des effets secondaires graves. Sur sa page Facebook, Kemper a fustigé « la grande réinitialisation » et les gens « qui pensent que 100 % de la planète doit être vaccinée avec une concoction expérimentale pour prévenir une maladie avec un taux de guérison de 99 %. C’est de la pure folie. Je ne suis pas d’accord. »

Vous pouvez écouter ci-dessous un extrait de l’entrevue avec Mélanie Risdon et Kyle Kemper, ou bien la vidéo intégrale sur la plateforme Youtube : https://youtu.be/hzuDTmBe6YQ.



Kyle Kemper

Transcription de l’entrevue (extrait ci-haut) :

Kyle Kemper : Je pense que je ne crois pas en un contrôle fortement centralisé, je ne crois pas au gouvernement mondial, je ne crois pas que les corporations ont à cœur le meilleur intérêt des personnes, car les corporations ont une responsabilité envers les actionnaires pour générer des profits et si c’est votre objectif principal, cela pourrait se faire aux dépens des gens.

La façon dont les « corporatocratie » mondiales sont mise en place, comme Klaus Schwab l’a récemment dit en 2017, il a parlé spécifiquement de la façon dont il était heureux que Justin, l’un de ses protégés, soit dans la position dans laquelle il se trouve, et qu’il a infiltré le cabinet avec tous leurs membres, et donc, vous regardez ça de tous les côtés du conseil, vous savez qu’ils sont infiltrés. Et puis nous avons cette illusion gauche-droite qui se produit, alors qu’en réalité les deux parties sont les mêmes.

Vous savez, vous regardez ce que fait O’Toole par rapport à ce que fait Justin, ils ne sont que des pousseurs de vaccins en ce moment et je n’appelle pas ça un vaccin, C’EST UN FAUX VACCIN, CE N’EST PAS UN VACCIN… Il ne fournit pas d’immunité et il n’arrête pas la transmission, donc ce n’est pas un vaccin… C’est une biotechnologie expérimentale, nanotechnologie magnétique gluante, ça ne m’intéresse pas.

Mélanie Risdon : Eh bien, c’est intéressant que vous en parliez, parce que je vous ai en quelque sorte suivi sur Twitter et j’ai vu certaines des réponses que vous fournissiez, pas seulement à votre frère, Justin Trudeau, mais aussi aux gens qui ont twitté à son sujet et j’ai vu un tweet où vous avez dit… vous avez hashtag #Fakevaccine. Vous disiez que les gens doivent enquêter sur le vaccin, suivre l’argent, c’est bien au-delà de Justin.

Donc en disant cela, ma question est, êtes-vous en train d’insinuer que votre frère, notre Premier ministre est contrôlé ? Que pensez-vous de ce tweet ?

Kyle Kemper : Je veux dire, je pense que toute cette arnaque covid est un phénomène orchestré à l’échelle mondiale pour consolider le pouvoir, générer d’énormes profits et faciliter plus de richesses des pays aux corporations. Je veux dire, je ne sais pas comment quelqu’un peut nier cela. Vous savez que le Canada a dépensé plus d’un trillion de dollars, ce sont d’énormes montants d’argent.

Mélanie Risdon : Et donc vous pensez que Justin Trudeau soutiendrait cela, s’il savait très bien quel était l’agenda, pensez-vous qu’il l’appuierait ?

Kyle Kemper : Vous savez, je pense que cela revient à cet état d’hypnose, je crois vraiment qu’il croit que ce qu’il fait est la bonne chose, même s’il sait que c’est l’agenda du Forum économique mondial (FEM). Il croit que c’est la bonne chose à faire.

Mélanie Risdon : Agenda du FEM, signifiant le Forum économique mondial.

Kyle Kemper : Vous savez, « Great Reset », le « quatrième programme de la révolution industrielle » :  vous ne posséderez rien et vous serez heureux.

Ils apportent des revenus de base universels, ils imposeront des monnaies digitales de la banque centrale, ils mettent en place des systèmes de CRÉDIT SOCIAL, ouais, sur la population.

Ce sont des rêves tyranniques hystériques incroyables à mon avis, vous savez, et ils les ont lentement mis en œuvre et cela nécessite plus que le gouvernement, la technologie, les médias, l’industrie pharmaceutique, tous travaillant ensemble dans cette charade géante.






L’AFP : la plus grande fabrique française de fausses nouvelles

Par Gérard Delépine

L’AFP, c’est 8 « Fake News » [Fausses nouvelles] en une seule dépêche(([1] « AFP Factuel Attention aux assertions trompeuses de Christian Perronne sur la vaccination anti-Covid devant des députés luxembourgeois 27 01 2022 »)) contre le Pr Perronne

Jadis, les agences de presse rapportaient les faits sans prendre parti, laissant les commentaires aux éditorialistes et autres commentateurs. Mais depuis le Covid-19 la plupart d’entre elles, rémunérées par Bill Gates, sa fondation et ses extensions, se sont transformées en organes de propagande provax et émettent sans arrêt des désinformations qu’elles surnomment pompeusement « checknews » [vérification de nouvelles].

Actuellement l’AFP, financée largement par l’État met à la disposition de tous l’information disponible facilement utilisable et qui devient la référence facile pour tous les petits journaux qui n’ont pas de subsides pour envoyer des journalistes dans le monde. « Fact check » [Vérification des faits] à disposition !

Parmi celles-ci, l’AFP se signale par son agressivité malveillante envers les donneurs d’alerte comme récemment envers le professeur Perronne.

Nous reprendrons quelques-uns des mensonges de l’AFP les plus éhontés utilisés pour discréditer le professeur Perronne qui ne peut pas être qualifié d’antivax : expert vaccins de l’OMS pour l’Europe, il a établi pendant plus de dix ans le calendrier vaccinal français.

1°) Les injections Covid actuelles seraient des vaccins ! L’AFP ment en le prétendant

Pasteur a défini un vaccin comme contenant des antigènes provenant d’un virus tué ou inactivé. Les injections anticovid actuelles ne contiennent aucun antigène, mais ont pour principe actif un ARN messager. Ce sont donc des médicaments génétiques à visée préventive et non pas des vaccins.

Affirmer le contraire comme le fait l’AFP témoigne de l’ignorance de ce qu’est un vaccin ou d’une mauvaise foi marchande. D’ailleurs le Pr Delfraissy lui-même a récemment admis qu’il s’agissait en réalité d’« une forme, un peu, de vaccin médicament… Disons un « vaxicament”. » L’AFP va-t-elle bientôt le traiter lui aussi de complotiste ?

2°) Ces injections sont bien expérimentales. L’AFP ment en prétendant : « les vaccins autorisés en France ne sont plus au stade expérimental »

Pour tenter de démentir ce fait établi et vérifiable, l’AFP utilise des déclarations trompeuses de responsables des vaccinations ou de médecins très liés aux lobbys pharmaceutiques, mais ne montre aucun fait probant.

Il est pourtant très facile de savoir si un médicament est encore en expérimentation : il suffit de consulter le site gouvernemental américain « clinicaltrials.gov » qui recense tous les essais médicamenteux en cours, leur état d’achèvement et éventuellement leurs résultats publiés.

Si l’AFP l’avait fait, elle aurait constaté qu’aucun pseudovaccin actuel n’a terminé ses essais phase 3 dont la fin est espérée pour janvier 2023.

L’essai le plus avancé, celui de Pfizer ne sera terminé que dans un an !

Par définition tant que l’essai phase 3 n’est pas terminé, le médicament est expérimental. D’ailleurs l’autorisation de mise sur le marché qui lui a été accordée est conditionnelle rappelant qu’elle n’est que provisoire en attendant la fin des essais.

Mais peut-être que les « fact checkers » de l’AFP ne savent pas consulter le site « clinicaltrials.gov » ou ont du mal à lire l’anglais.

3°) Les vrais vaccins sont destinés à empêcher les contaminations. L’AFP ment en prétendant le contraire

Le succès des vaccinations contre les viroses telles que la variole, la fièvre jaune, l’hépatite B, les oreillons, la rubéole, la poliomyélite repose sur cette capacité à empêcher d’attraper et de transmettre la maladie. Cette propriété première des vaccins à prévenir toute transmission virale constitue même l’argument fétiche pour imposer les obligations vaccinales :

« il faut vacciner tout le monde pour protéger les plus faibles ».

Certes, certains vaccins n’y parviennent qu’à 90-95 % (vaccin contre la rougeole) et les vaccins antigrippaux sont les moins efficaces (10 à 50 %), car le virus mute chaque année et la formule vaccinale retenue ne constitue qu’un pari sur le mutant le plus probable et c’est pour cette raison qu’ils ne sont obligatoires dans aucun pays.

Un vaccin incapable d’empêcher les transmissions risque, d’un point de vue sociétal, de se révéler plus dangereux qu’utile, car il risque d’inciter les injectés qui se croient protégés à adopter des comportements à risques. Cela a été constaté lors des essais de vaccins antisida et aussi lors de la mise en œuvre du passe sanitaire en Autriche.

4°) Il faut au moins dix ans pour qu’un vaccin normal soit autorisé. L’AFP ment en prétendant le contraire

Vaccination info service, organe de promotion des vaccins, précise sur son site(([2] https://vaccination-info-service.fr/Generalites-sur-les-vaccinations/Qualite-securite-et-efficacite-des-vaccins/Securite-et-qualite-des-vaccins/Recherche-et-essais-cliniques-sur-les-vaccins)):

« Compte tenu des études et des tests exigés par les autorités, le développement d’un vaccin est très long, d’une durée pouvant aller de neuf à quatorze ans, voire plus (exemple du VIH/SIDA). »

Le dernier vaccin de Sanofi, le vaccin Dengvaxia a nécessité 20 ans de recherche d’après Dr Olivier Brandicourt, Directeur Général de Sanofi.(([3] https://www.sanofi.com/fr/media-room/communiques-de-presse/2015/2015-12-09-16-30-00))

Le dernier vaccin contre l’hépatite a de même nécessité plus de dix ans de recherche.

Le vaccin Mosquirix développé pour lutter contre le paludisme à partir de 1996 n’a été accepté en Europe qu’en 2015 (19 ans après le début des recherches).

Mais l’AFP fait semblant d’ignorer ces informations indiscutables.

5°) L’AFP prétend imprudemment : « la technologie de l’ARN messager, élaborée depuis près de 30 ans et qui s’est révélée très efficace contre le Covid ». C’est trompeur et mensonger

Certes cette technologie d’injection génique a été développée depuis longtemps, mais avec des échecs graves (leucémies après traitement des enfants bulles), mais elle n’avait jamais été utilisée en pathologie infectieuse. Pour un « vaccin », il s’agit donc d’une technologie expérimentale qui justifie les plus grandes précautions.

Surtout, les résultats avérés de ces pseudo vaccins en population réelle sont franchement mauvais : incapables d’éviter la maladie et les contaminations.

L’évolution sanitaire des pays les plus vaccinés le démontre, comme celle d’Israël désormais dans le peloton de tête mondial du nombre de personnes contaminées par nombre d’habitants.

D’après les chiffres du ministère israélien de la Santé publiés le 30 janvier 2022, beaucoup de personnes testées positives avaient déjà contracté le Covid-19 ou bien avaient été vaccinées, et parfois même avaient reçu une quatrième dose.

De quelle efficacité l’AFP glorifie-t-elle les pseudo vaccins ? De faciliter l’infection ?

6° Les vaccins n’empêchent pas de faire des formes graves ni de mourir du covid. L’AFP ment en le niant

Toutes les agences gouvernementales françaises sont mobilisées pour faire croire cette fable comme à l’époque de Tchernobyl pour prétendre que le nuage s’était arrêté à la frontière. Mais dans les autres pays, les agences sanitaires sont moins dépendantes de l’état et permettent une appréciation plus objective.

Ainsi en Israël, en janvier 2022 le nombre de patients développant des symptômes sévères n’a pas cessé d’augmenter. Ce chiffre devrait dépasser le record de 1 200 cas graves atteint il y a un an, alors que la première campagne de vaccination n’avait pas encore produit ses effets. D’après le ministère de la Santé, au 30 janvier 2022, sur les 1 099 cas graves recensés dans le pays, 47 % sont à jour de leur vaccination anti-Covid.

La mortalité quotidienne actuelle dépasse déjà les records de la vague précédente.

Grande-Bretagne

Le 29/12/2021 UK Health Security Agency (UKHSA) a recensé 815 malades hospitalisés en soins intensifs pour Omicron.

25 % (206) d’entre eux n’avaient reçu aucune injection, 6 % (49) une dose, 43 % (352) deux doses et 23 % (189) 3 doses, ce qui reproduit à peu près le statut vaccinal de la population générale et montre l’absence de protection des formes graves par les injections.

7°) Oui, il existait des traitements efficaces au moment de l’homologation des vaccins. L’AFP ment en prétendant le contraire

Pour s’en convaincre, il suffit de comparer l’évolution de l’épidémie en Algérie (qui a utilisé le protocole Raoult) à celle des pays voisins, Tunisie, Italie, France dont les populations sont proches par le pourcentage de plus de 60 ans et leurs comorbidités, mais qui ont interdit l’utilisation de l’hydroxychloroquine.

Fin janvier 2022 l’Algérie compte 13 à 15 fois moins de morts de Covid par millions de personnes que les pays qui ont interdit les traitements précoces.

Mais l’AFP croit peut-être qu’il y a eu un miracle en Algérie.

8°) L’AFP se comporte en révisionniste des procès de Nuremberg et défend ainsi la position nazie de la primauté de la société sur l’individu, pourtant clairement condamnée lors de ces procès.

Rappelons les faits historiques.

Après la 2e Guerre mondiale, les alliés voulant punir les responsables des crimes contre l’humanité ont organisé deux procès, l’un contre les responsables politiques, l’autre contre les médecins responsables des expériences médicales faites dans les camps de concentration.(([4] Bruno Halioua Le procès des médecins de Nuremberg : l’irruption de l’éthique médicale moderne Vuibert, 2007))(([5] https://www.memoiresdeguerre.com/article-proces-des-medecins-nazis-42235659.html)) La moitié de ces essais thérapeutiques concernait des vaccins et en particulier contre le typhus, l’hépatite virale, le typhus, la typhoïde, la fièvre jaune, la dysenterie, la tuberculose, la gangrène gazeuse.

Pour réfuter l’argumentation de défense des accusés, les experts du tribunal ont approfondi les questions éthiques et juridiques, jusque-là peu explorées qu’ils ont résumées en Code de Nuremberg.(([6] Philippe Amiel, François Vialla Le « code de Nuremberg », une jurisprudence pénale inaugurale en droit international de la santé
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01248128/document))(([7] Amiel P., « Code de Nuremberg » : texte original en anglais, traductions et adaptations en français », in Des cobayes et des hommes : expérimentation sur l’être humain et justice, Paris, Belles Lettres, 2011, appendice électronique
http://descobayesetdeshommes.fr/Docs/NurembergTrad))

Ce code que les entreprises pharmaceutiques et leurs mercenaires voudraient abolir constitue le fondement des règles éthiques de la recherche médicale rappelées dans la déclaration d’Helsinki(([8] https://www.fhi360.org/sites/default/files/webpages/fr/RETC-CR/nr/rdonlyres/e3vjr6w3l5e2acb6uezmtjmslkergm5udhzoqwtt3ixs5ntx5e7cp32ppismbsifle2vkurebdhmcn/HelsinkiDeclarationFrench.pdf)) de l’Association Médicale Mondiale(([9] https://www.wma.net/fr/ce-que-nous-faisons/ethique/declaration-dhelsinki/)) et de la convention d’Oviedo.(([10] http://www.preventionvaccin.org/post/La-convention-d-Oviedo))(([11] http://www.espace-ethique-poitoucharentes.org/obj/original_115108-oviedo-original_111432-convention-d-oviedo.pdf)) Les accords signés par la France à Oviedo en 1997 proclament entre autres :

Article 1 : « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

Article 2 : Primauté de l’être humain L’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science.

Article 5 : Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. »

Le jugement rendu les 20 et 21 août 1947 a acquitté 7 des 23 accusés. 9 ont été condamnés à de longues peines de prison, et 7 condamnés à mort ont été exécutés par pendaison le 2 juin 1948 pour n’avoir pas respecté le consentement volontaire du sujet humain.

La convention d’Oviedo, signée par la France en 1997 a été transposée dans le droit national par le Décret no 2012-855 du 5 juillet 2012.(([12] portant publication de la convention pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : convention sur les droits de l’homme et la biomédecine, signée à Oviedo))

D’un point de vue légal, ce n’est pas le code de Nuremberg, mais la convention d’Oviedo qui interdit donc d’imposer une obligation d’injecter des substances expérimentales comme le sont actuellement les pseudo vaccins Covid.

En affirmant le contraire, l’AFP reprend l’argumentaire de défense des médecins nazis.

Globalement dans ce réquisitoire mensonger contre le Professeur Perronne, l’AFP ne s’est pas comportée en journaliste, mais plutôt comme un tribunal de l’Inquisition n’interrogeant même pas l’accusé, ne citant aucun fait avéré, diffusant sans précaution des mensonges d’État et n’hésitant pas à faire du révisionnisme historique.

Y a-t-il encore des journalistes respectueux de l’éthique à l’AFP ?

Mais il est vrai qu’un chien ne mord pas la main qui le nourrit et l’État nourrit généreusement l’AFP à qui elle fournit environ la moitié de son budget.





Les « experts » sanitaires admettent que les masques servent à contrôler les gens

[Source : aubedigitale.com]

Les obligations de porter des masques n’ont jamais eu pour but de contrôler le virus – elles ont toujours eu pour but de contrôler les gens. Et maintenant, les experts sanitaires l’admettent enfin.

L’analyste médicale d’extrême gauche de CNN, Leana Wen, qui était auparavant présidente du Planned Parenthood, a récemment admis que les masques en tissu n’ont jamais été efficaces.

« Les masques en tissu ne sont pas appropriés pour cette pandémie. Ils ne conviennent pas à la pandémie omicron, ni à la pandémie delta ou alpha, ni à aucune des variants précédents, car il s’agit de quelque chose qui se propage dans l’air », a déclaré Mme Wen.

« Ne portez pas de masque en tissu », a-t-elle dit dans un autre segment, les comparant à des « déguisements ».

Le Federalist rapporte : Il ne s’agit pas seulement d’une tête flottante sur CNN. Dans une lettre adressée au personnel du Capitole, le médecin traitant aurait annoncé la fin des masques chirurgicaux bleus, des masques en tissu et des guêtres, ordonnant de porter désormais « les masques KN95 ou N95 », plus protecteurs.

« Les masques chirurgicaux ne suffisent PLUS pour un virus aérien qui se transmet aussi vite, voire plus vite, que n’importe quel virus connu de l’humanité », a tweeté un professeur paranoïaque de l’université du Colorado à Boulder. Le Washington Post a également réagi.

Et voici que les Centers for Disease Control and Prevention révèlent qu’un masque chirurgical « n’est pas considéré comme une protection respiratoire ».

WebMD s’est également emparé de l’affaire, invitant les Américains à se débarrasser des masques en tissu portés par les acheteurs fouineurs pendant qu’ils font la leçon aux personnes non masquées pour qu’elles se couvrent le visage. Ils ne sont pas suffisants et ne l’ont jamais été.

C’est maintenant la sagesse transmise par les experts, que les muselières transpirantes, fragiles et qui démangent qui ont été imposées aux écoliers, aux athlètes en bonne santé, aux employés socialement distants, aux mères faisant leurs courses et même à leurs enfants en bas âge ne sont « pas appropriées ». Ce ne sont rien de plus que des « décorations faciales » contre un virus qui est dans l’air et qui ne peut être contenu.

C’est presque comme si les conservateurs lisaient les études scientifiques disponibles et disaient cela depuis le début. Peut-être que les masques en tissu imbibés de sueur dans les salles de sport ne sont pas vraiment bons pour la santé, comme l’ont suggéré de nombreuses personnes de droite. Le masque de ma fille de 3 ans, qu’elle ne peut s’empêcher de toucher, n’est probablement pas bon pour sa santé, ont pensé d’autres. Pourtant, la réponse de la gauche à ce retour en arrière a été le mépris et la censure habituels.

Amazon a interdit un livre de l’ancien journaliste du New York Times, Alex Berenson, qui présentait les preuves scientifiques de l’inefficacité des obligations en matière de masques. Big Tech a utilisé de fausses vérifications des faits pour étouffer les reportages scientifiques du Federalist sur les masques. L’ancien conseiller du groupe de travail sur le COVID de la Maison Blanche, le Dr Scott Atlas, s’est vu interdire de publier des références à des études scientifiques sur les masques, sous les encouragements de Jake Tapper et du Dr Sanjay Gupta de CNN sur Twitter. YouTube, propriété de Google, a tristement supprimé une interview d’Atlas en juin.

Pourtant, maintenant, les « experts » de la gauche vont sur les chaînes de télévision pour annoncer que nous devons cesser de porter les masques chirurgicaux et en tissu qui sont devenus synonymes de la moralité de COVID, et ils annoncent qu’en fait nous savions que ces masques étaient « inappropriés » depuis le début.

Les Américains sont censés accepter ça. En réponse à l’éclairage gazeux, ils sont censés se débarrasser docilement des masques en tissu qu’ils ont été réprimandés et contraints de porter, et aller acheter des masques plus résistants pour protéger Dieu sait qui de cette vague de virus qui se manifeste sous la forme d’un simple rhume, même pour la grande majorité des personnes non encore vaccinées.

Si dans de nombreuses régions saines du pays, les masques sont depuis longtemps une préoccupation secondaire, ce n’est pas le cas pour d’autres Américains. L’obligation de porter un masque est encore trop répandue, et l’État de l’Oregon tout entier lance l’idée d’une obligation « permanente » de porter un masque.

D’autres poches autoritaires, comme Madison, dans le Wisconsin, ne laissent jamais expirer leurs obligations temporaires. Bien sûr, ces obligations ne requièrent aucun type particulier de couverture du visage. Donc, comme l’a dit Wen, les masques ne sont rien de plus que des « déguisements », ce qui signifie que les obligations ne sont rien de plus que du théâtre politique.

L’éclairage est suffisant pour rendre n’importe qui complètement fou, mais en admettant que la plupart de nos masques ne suffisent pas, les experts ont également admis quelque chose de bien plus important. Ces masques et les obligations qui les accompagnent n’ont jamais eu pour but de contrôler un virus. Ils ont toujours eu pour but de contrôler les gens.

[Voir aussi :
Effets nocifs des masques
Courte note sur la dimension occulte des masques
Comment leurs masques rendent bêtes et méchants
Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires]




Une chercheuse dénonce la censure suite au retrait de son analyse des effets indésirables du vaccin contre le COVID-19 par un journal

[Source : Aube Digitale]

Jessica Rose n’a rien demandé de tout cela. Elle a commencé à analyser les données relatives aux effets indésirables des vaccins contre le COVID-19 dans le seul but de maîtriser un nouveau logiciel. Mais elle ne pouvait pas ignorer ce qu’elle voyait et a décidé de publier les résultats de son analyse. L’instant d’après, elle se trouvait dans un «monde bizarroïde », a-t-elle déclaré à The Epoch Times.

Un assistant en pharmacie d’investigation tient une dose du vaccin COVID-19 de Johnson & Johnson avant de l’administrer dans le cadre d’un essai clinique à Aurora,
dans le Colorado, le 15 décembre 2020.
(Michael Ciaglo/Getty Images)

Un article qu’elle a coécrit sur la base de son analyse a été retiré par la revue universitaire Elsevier dans des circonstances qui ont fait sourciller ses collègues. 

La revue a refusé de commenter l’affaire.

Rose a obtenu un doctorat en biologie computationnelle à l’université Bar-Ilan, en Israël. Après avoir terminé ses études post-doctorales sur la dynamique moléculaire de certaines protéines, elle était à la recherche d’un nouveau défi. Passant à un nouveau logiciel de calcul statistique, elle a cherché un ensemble de données intéressant pour aiguiser ses compétences. Elle a choisi le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), une base de données contenant des rapports sur des problèmes de santé survenus après une vaccination et pouvant ou non avoir été causés par celle-ci.

Une infirmière administre un vaccin Covid-19 à un membre du personnel de santé et de soins
à l’hôpital NHS Louisa Jordan de Glasgow,
en Écosse, le 23 janvier 2021.
(Jane Barlow/PA)

Elle a déclaré qu’elle ne cherchait rien de particulier dans ces données.

« Je ne me pose pas de questions », dit-elle.

Ce qu’elle a trouvé, cependant, l’a troublée.

La base de données VAERS existe depuis 1990 et a pour but de donner un signal d’alerte précoce en cas de problème avec un vaccin. N’importe qui peut soumettre les rapports, qui sont ensuite vérifiés pour éviter les doublons. Ils sont en grande partie déposés par le personnel de santé, sur la base de recherches antérieures. Habituellement, il y aurait environ 40 000 rapports par an, dont plusieurs centaines de décès.

Mais avec l’introduction des vaccins contre le COVID-19, les rapports du VAERS ont explosé. Le 7 janvier, on comptait plus d’un million de rapports, dont plus de 21 000 décès. Parmi les autres problèmes notables, on compte plus de 11 000 crises cardiaques, près de 13 000 cas de paralysie de Bell et plus de 25 000 cas de myocardite ou de péricardite.

Rose a trouvé ces données alarmantes, avant de réaliser que les autorités et même certains experts les rejetaient généralement.

« Il est clair que ces autorités et ces experts ne se préoccupent pas des personnes qui subissent des effets indésirables », a-t-elle déclaré.

Les arguments habituels contre les données du VAERS sont qu’elles ne sont pas vérifiées et ne sont pas fiables.

Rose, cependant, estime que ces arguments ne sont pas pertinents : le VAERS n’a jamais été conçu pour fournir des réponses définitives, mais pour donner une alerte rapide et, selon elle, c’est exactement ce qu’il fait.

« Il émet tellement de signaux de sécurité et ils sont ignorés », a-t-elle déclaré.

Une capture d’écran de la page d’accueil du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS),
qui est coparrainé par les CDC, la FDA et le HHS.
(Capture d’écran/The Epoch Times)

Elle a fait équipe avec Peter McCullough, interniste, cardiologue et épidémiologiste, pour rédiger un article sur les rapports du VAERS concernant la myocardite chez les jeunes – un problème déjà reconnu comme un effet secondaire de la vaccination, bien que généralement décrit comme rare.

Au 9 juillet, ils ont trouvé 559 rapports du VAERS de myocardite, dont 97 chez des enfants âgés de 12 à 15 ans. Certains d’entre eux peuvent avoir été liés au COVID lui-même, qui peut également causer des problèmes cardiaques, mais le nombre de cas était trop élevé pour écarter la probabilité que les vaccins soient impliqués, selon les auteurs.

« Dans les 8 semaines qui ont suivi l’offre publique des produits COVID-19 à la tranche d’âge 12-15 ans, nous avons trouvé 19 fois le nombre attendu de cas de myocardite chez les volontaires vaccinés par rapport aux taux de myocardite de base pour cette tranche d’âge« , indique l’article.

Deux semaines plus tard, le 15 octobre, l’article a disparu du site Web d’Elsevier, remplacé par un avis de « retrait temporaire ». Non seulement les auteurs n’ont pas été informés de la raison, mais ils n’ont pas été informés du tout, selon Rose.

« C’est sans précédent aux yeux de tous mes collègues », a-t-elle déclaré.

Lorsqu’ils ont soulevé la question auprès du journal, on leur a d’abord dit que l’article avait été retiré parce qu’il ne correspondait pas à une « invitation », a déclaré Rose. Cette réponse a été jugée non pertinente par McCullough, qui a menacé de porter plainte pour rupture de contrat. Le journal a alors invoqué ses conditions d’utilisation, affirmant qu’il avait le droit de refuser tout article pour quelque raison que ce soit.

La raison pour laquelle l’article a été retiré n’est toujours pas claire.

« Je m’excuse, mais Elsevier ne peut pas commenter cette enquête », a déclaré Jonathan Davis, responsable de la communication du journal, dans un courriel adressé à The Epoch Times.

Fin novembre, le document a été remplacé par un avis indiquant que « l’article a été retiré à la demande de l’auteur ou des auteurs et/ou de l’éditeur. »

« Cela ressemble juste à une censure bizarre qui n’est pas vraiment justifiée », a déclaré Rose.

Les conclusions de l’article ne sont pas nécessairement controversées. Une étude danoise récente a conclu, par exemple, à un risque élevé de myocardite chez les jeunes gens ayant reçu le vaccin contre le covid de Moderna.

Cependant, il est courant, même pour les articles qui examinent les problèmes potentiels liés aux vaccins, de présenter leurs résultats d’une manière qui soutient toujours la vaccination.

« C’est ce que vous devez dire pour que votre travail soit publié de nos jours », a déclaré Rose.

Son article ne fait rien de tel.

« Dans le cadre de toute analyse risques/bénéfices qui doit être effectuée dans le contexte de produits expérimentaux, les points mentionnés ici doivent être pris en compte avant qu’une décision puisse être prise concernant l’acceptation d’injections à deux doses de ces produits expérimentaux anti COVID-19, en particulier chez les enfants, et en aucun cas, le consentement parental ne doit être supprimé dans quelque circonstance que ce soit pour éviter que des enfants ne se portent volontaires pour des injections avec des produits dont la sécurité ou l’efficacité n’ont pas été prouvées », indique l’article.

Le document qualifie également les vaccins de « produits biologiques injectables », en référence au fait qu’ils sont différents de tous les autres vaccins traditionnels.

Un vaccin traditionnel utilise des « agents pathogènes entiers vivants ou atténués », tandis que les vaccins contre le COVID utilisent de « l’ARNm dans des nanoparticules lipidiques », a expliqué Mme Rose par courriel. Elle a précisé que les nanoparticules lipidiques comprennent « des lipides cationiques qui sont hautement toxiques ». Pfizer, le fabricant du vaccin contre le COVID-19 le plus populaire dans de nombreux pays, a abordé la question en affirmant que la dose est suffisamment faible pour garantir « une marge de sécurité acceptable », selon l’agence européenne des médicaments, le Comité des médicaments à usage humain (pdf).

Rose a également fait remarquer que les vaccins contre le COVID-19 n’ont pas subi « les 10 à 15 années de tests de sécurité auxquels les vaccins ont toujours été soumis… pour des raisons évidentes ».

A ce stade, Rose n’est plus un observateur impartial. La lecture des innombrables rapports VAERS lui a ouvert une fenêtre sur les difficultés de ceux qui pensent avoir été lésés par les vaccins.

« Je parle au nom de tous ces gens », dit-elle.

Un résident en médecine interne est assis dans une salle d’attente
avant de recevoir une dose du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19
dans un hôpital d’Aurora, dans le Colorado, le 16 décembre 2020.
(Michael Ciaglo/Getty Images)

Dans le passé, 50 rapports de décès dans le VAERS inciteraient les autorités à appuyer sur les freins et à enquêter, a déclaré Rose. Selon elle, cela aurait dû se produire avec les vaccins COVID-19 il y a un an.

Non seulement cela ne s’est pas produit, mais on ne sait même pas ce qui serait suffisant pour convaincre les autorités de le faire.

« Quel est le chiffre limite pour le nombre de décès ? » demande Rose.

Le contre-argument est que les vaccins sauvent plus de vies qu’ils n’en coûtent. Mais, selon Rose, cette logique est erronée puisque les vaccins n’existent pas depuis assez longtemps et n’ont pas fait l’objet d’études suffisamment approfondies pour permettre de déterminer le nombre de vies qu’ils peuvent coûter.

On sait toutefois que le VAERS sous-estime les effets indésirables des vaccins – par un facteur allant de 5 à 100, selon certaines estimations.

Soumettre un rapport VAERS prend environ 30 minutes et de nombreux médecins n’ont tout simplement pas le temps, a déclaré Rose. Certains peuvent avoir l’impression que le fait de remplir le rapport peut les faire passer pour des « anti-vaxx ». D’autres peuvent simplement ne pas associer le problème de santé auquel ils sont confrontés à la vaccination. D’autres encore ne sont peut-être même pas au courant de l’existence du VAERS.

Il est peu probable qu’un nombre significatif de rapports soient frauduleux, a-t-elle suggéré, rappelant que la soumission d’un faux rapport est un délit fédéral.

Rose a maintenant rejoint les rangs des médecins et chercheurs dissidents sceptiques à l’égard de la ligne officielle sur les vaccins et la pandémie en général. Elle décrit cette démarche comme quelque chose qu’elle est obligée de faire en dépit des obstacles qu’elle rencontre.

« Nous ne voulons pas faire cela. Mais c’est notre devoir. Les médecins ont fait le serment de ne pas faire de mal. Et les chercheurs intègres ne peuvent pas détourner le regard de cette question », a-t-elle déclaré par courrier électronique.

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale




L’enterrement de la théorie virale

Par Joseph Stroberg

Pour déterminer la validité d’une théorie scientifique touchant une discipline particulière, il est bien davantage utile de connaître la démarche scientifique et le propre de la science que d’être un expert du domaine en question. Le propre de la science est le doute, la remise en question des connaissances acquises à la lumière de nouvelles données ou informations, par exemple suite à l’exploration de nouvelles voies ou à l’observation du réel sous un nouvel angle de vue ou selon une nouvelle perspective. Une théorie explicative de phénomènes observés ne peut être véritablement d’ordre scientifique que si elle est contestable par l’argumentation ou l’expérimentation dans le cadre de la démarche scientifique. Si a contrario elle se pose en vérité absolue ou définitive, alors elle ne relève pas de science, mais de superstition ou de croyances religieusement ou affectivement entretenues. À la lumière de nombreux faits et constats, nous allons tenter de montrer ici en quoi la théorie virale ne relève pas de science, mais de scientisme et de croyances erronées.

1)- La démarche scientifique

Il s’agit d’une méthode rigoureuse pour tenter d’expliquer la réalité objective, présentée schématiquement ici.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

1. L’analyse

Elle consiste à subdiviser l’étude en éléments plus simples aux propriétés et fonctions particulières.

La modélisation

La modélisation est une phase de l’analyse consistant à rechercher les interactions entre les éléments de l’objet d’étude, dont les relations de cause à effet qui peuvent exister entre eux ou vis-à-vis de systèmes extérieurs.

La démonstration d’un lien de causalité

De manière rigoureuse, pour établir l’existence d’une relation de cause à effet entre un phénomène ou élément A et un phénomène ou élément B, il est nécessaire et suffisant de vérifier les conditions exposées ci-après.

(Voir https://nouveau-monde.ca/leffondrement-de-lhypothese-virale/)

La démonstration scientifique s’appuie sur la logique. En logique pure, pour qu’un phénomène, un événement, un objet ou un être vivant soit la cause unique d’un autre phénomène, événement, objet ou être vivant, il doit respecter les conditions logiques suivantes :
Il est suffisant que la présence de la cause entraîne la présence de la conséquence prévue
ou inversement que l’absence de la conséquence implique l’absence de la cause.
Si la cause est effectivement unique, il n’y a bien sûr aucune autre cause systématiquement présente.

Il est par contre nécessaire que l’absence de la cause entraîne l’absence de la conséquence prévue, ou qu’inversement la présence du phénomène prévu implique la présence de la cause.

Exemple en climatologie :

Si les nuages étaient la cause unique de la pluie, il serait suffisant que la présence de nuages entraîne celle de la pluie et inversement l’absence de pluie impliquerait l’absence de nuages.

Or, on observe assez souvent la présence de nuages sans qu’il y ait de pluie du tout et dans certains cas, au lieu de pluie, on a plutôt de la neige ou de la grêle.

De plus, il serait nécessaire que l’absence de nuages entraîne l’absence de la pluie
ou inversement que la présence de la pluie implique celle des nuages.

Mais dans la pratique, on a pu pourtant observer de la pluie fine en certains lieux et circonstances sans nuages visibles, par phénomène de condensation localisée de vapeur d’eau.

Donc, tout cela montre logiquement que les nuages ne sont pas la cause unique de la pluie et que d’autres facteurs (ou éléments causaux) interviennent, comme la température et la pression de l’atmosphère.

Exemple en virologie :

Si un virus donné (comme le supposé SRAS-CoV-2 pourtant jamais physiquement isolé) était la cause unique de la maladie Covid-19 qu’on lui attribue, alors il serait suffisant que sa présence entraîne la maladie associée, et inversement l’absence de la maladie impliquerait l’absence du virus.

Or, on observe assez souvent que des personnes auraient prétendument le SRAS-CoV-2 dans leur organisme alors qu’elles ne sont pas malades et n’ont aucun symptôme, au point qu’on les appelle « malades asymptomatiques ».

De plus, il serait nécessaire que l’absence du virus entraîne l’absence de la maladie ou qu’inversement la présence de la maladie entraîne celle du virus.
Or, comme les symptômes de cette maladie couvrent d’autres maladies ou phénomènes (comme les symptômes de la grippe ou comme les effets sur la santé d’ondes électromagnétiques pulsées) et que l’on a pu les observer sans le moindre lien avec le SRAS-CoV-2, on peut dire que l’on a des personnes qui aujourd’hui seraient diagnostiquées Covid-19 sans pour autant que l’on y détecte de SRAS-CoV-2.

Donc tout cela montre qu’au mieux le SRAS-CoV-2 n’est pas la cause unique de la Covid-19, mais que d’autres facteurs doivent logiquement intervenir s’il a quelque chose à y voir (et si par hasard il existe vraiment, mais n’est pas un simple artefact virtuel produit d’une méthodologie qui n’a rien de scientifique).

Exemple en électricité :

Si le courant électrique est la cause unique de la lumière d’une lampe, il est suffisant que la présence du courant dans le filament de l’ampoule entraîne son éclairage et inversement, l’absence de courant implique l’absence de lumière.

Ceci est effectivement observé à partir du moment où le courant est d’intensité suffisante. (En toute rigueur, on pourrait toutefois ici invoquer une cause secondaire, à savoir l’existence d’une résistance électrique au passage du courant dans le filament. Et donc en toute rigueur le courant électrique est la cause principale, mais pas unique de l’éclairage de la lampe.)

De plus, il est nécessaire que l’absence de courant entraîne l’absence de lumière dans l’ampoule
ou inversement que la présence de lumière implique celle du courant.

On n’observe effectivement pas de lampes électriques allumées sans qu’elles soient parcourues par un courant électrique

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond aux faits objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut sembler cohérente et logique de prime abord, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel.

  • Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ».
  • Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ».

Exemple :

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des expériences, des mesures et des évaluations pour vérifier leur conformité à ce que prévoit la théorie. Une bonne théorie doit être prédictive.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproduits autant de fois que nécessaire afin de réduire la part d’erreurs et des biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption et qui peuvent amener à fausser les résultats).

Contre-expériences

Appelées aussi expériences de contrôle ou encore expériences témoins, elles consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter pourtant d’obtenir les mêmes effets.

Par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement.

2)- La théorie virale

Cette théorie suppose depuis 1954 que des virus de taille nettement plus petite que celle des bactéries et des cellules végétales, animales ou humaines sont susceptibles d’y pénétrer pour s’y multiplier en utilisant leur matériel génétique, puis d’en sortir pour aller infecter d’autres individus de même espèce, voire d’autres espèces, alors qu’ils ne sont pas eux-mêmes vivants. L’effet d’une telle invasion parasitaire serait alors l’apparition subséquente des maladies non bactériennes telles que la grippe, la variole et la polio. Le lien de causalité supposé est le suivant : la cause est le virus et l’effet automatique est alors une maladie virale spécifique aux symptômes caractéristiques. Le gros problème est que l’existence d’un tel lien causal n’a jamais été établie pour aucun des supposés virus, comme nous allons le voir, et que l’existence même de telles particules (non vivantes qui seraient externes aux organismes vivants végétaux, animaux et humains, mais guère capables de survivre hors d’eux plus de quelques heures) n’est pas non plus scientifiquement et rigoureusement démontrée.

Que font les virologues lorsqu’ils prétendent isoler un virus ?

« Les virologistes croient aux virus parce qu’ils ajoutent au tissu et aux cultures cellulaires du sang, de la salive ou d’autres fluides corporels supposés infectés — après avoir retiré les nutriments de la culture cellulaire respective et après avoir commencé à l’empoisonner avec des antibiotiques toxiques. Ils pensent que la culture cellulaire est alors tuée par les virus. »

Dr Stefan Lanka, qui ne revendique plus le titre de « virologue », dans https://nouveau-monde.ca/la-fausse-idee-appelee-virus-la-rougeole-a-titre-dexemple/

« Les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. À l’encontre de tout bon sens, de toute logique, de l’usage de la langue anglaise et de l’intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion [ou soupe chimico-génétique] contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico » [du mot « silicium », pour indiquer sa nature purement logicielle, puisque les microprocesseurs à la base du fonctionnement des ordinateurs sont faits de semi-conducteurs en silicium]. À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel. »

Dr Andrew Kaufman, dans https://nouveau-monde.ca/declaration-sur-lisolement-des-virus/

« La théorie des virus pathogènes remonte au XIXe siècle et les virologues ont passé la première moitié du XXe siècle à essayer d’extraire ces virus présumés directement d’hôtes vivants. Les échecs répétés les ont amenés à changer de cap dans les années 1950 afin de conserver une quelconque crédibilité. Les virologues devaient fournir quelque chose à montrer à leurs investisseurs potentiels, y compris à l’industrie pharmaceutique en plein essor qui s’impatientait de développer des vaccins et des traitements antimicrobiens.

En 1954, des scientifiques ont rapporté qu’ils avaient des preuves de la présence du virus de la rougeole en se basant sur l’observation qu’un échantillon provenant d’un patient atteint de la rougeole avait tué certaines cellules dans un tube à essai. Ces phénomènes sont connus sous le nom d’”effets cytopathiques”. Les auteurs ont admis que “bien qu’il n’y ait aucune raison de conclure que les facteurs in vivo [chez l’homme] sont les mêmes que ceux qui sous-tendent la formation de cellules géantes et les perturbations nucléaires in vitro [dans le tube à essai], l’apparition de ces phénomènes… pourrait être associée au virus de la rougeole.”

L’apparition du CPE (effet cytopathique) est à la base des allégations frauduleuses d’isolement et de pathogénicité de la virologie moderne : un échantillon (par exemple, un écouvillon nasal) est prélevé sur un patient et mélangé à des cellules dans un tube à essai, les cellules meurent et l’on déclare qu’un virus a été “isolé”. Ce que les virologues ne veulent pas que vous sachiez, c’est que les mêmes résultats peuvent être obtenus sans ajouter de prétendus échantillons de virus dans le tube à essai — en d’autres termes, c’est le processus lui-même, la privation de nourriture de la cellule et l’ajout de diverses substances toxiques telles que des antibiotiques et des antifongiques, qui provoquent la réaction et la mort des lignées cellulaires déjà anormales, sans qu’aucun virus ne soit nécessaire. (Des photographies d’infections “factices” sont parfois fournies, mais les détails de ces expériences se distinguent par leur absence).

Il y a, bien sûr, les images de ce qu’on prétend être le virus à l’origine de tous nos problèmes. Cependant, ces images 3D colorées ne sont rien d’autre que des images générées par ordinateur constituant une représentation artistique. »

Docteurs Mark Bailey et John Bevan-Smith dans https://nouveau-monde.ca/la-fraude-du-covid-19-et-la-guerre-contre-lhumanite/

Pour simplifier, les étapes du processus qui prétend isoler un virus et le caractériser sont les suivantes :

  1. récolte de matériel biologique infecté (sang, morve, peau, etc. selon le cas) ;
  2. prétendue « culture » des virus dans une préparation qui mélange le matériel infecté, des cellules prétendument propices à la culture virale, des antibiotiques et des antifongiques toxiques et des substances susceptibles de favoriser la multiplication virale ;
  3. après la mort des cellules de culture, centrifugation de la soupe résultante pour séparer les composants par densité et recueillir la couche supposée contenir les virus reproduits ;
  4. séquençage par logiciel informatique qui découpe d’abord en morceaux le matériel génétique recueilli avant de reconstituer virtuellement la supposée séquence génétique complète du supposé virus d’après un modèle de base supposé être celui du virus ou très proche de lui.

3)- Confrontation de la théorie virale à la rigueur scientifique

Avant même de chercher à déterminer la réalité ou non d’un lien causal entre virus et maladies qualifiées de virales, si au moins l’une des quatre étapes qui viennent d’être évoquées est démontrée sans fondement scientifique, alors c’est déjà suffisant pour faire s’effondrer la théorie puisqu’alors cela confirmerait qu’aucun virus ne peut être véritablement isolé en suivant une telle procédure. Et s’il ne peut pas être isolé, il devient impossible de démontrer ensuite qu’il provoque bien une maladie.

À notre connaissance, un seul scientifique s’est jusqu’à maintenant donné la peine d’effectuer des expériences de contrôle pour vérifier ou pour infirmer la validité du supposé processus d’isolement, de purification et de caractérisation d’un virus donné. Il s’agit de Stefan Lanka (Voir en particulier :
https://nouveau-monde.ca/stefan-lanka-conduit-les-experiences-temoins-refutant-la-virologie/
https://nouveau-monde.ca/la-verite-sur-la-rage-le-virus-de-la-mosaique-du-tabac-le-graphene-et-les-resultats-de-la-2e-phase-des-experiences-temoins/
https://nouveau-monde.ca/la-fin-de-la-virologie-la-3e-phase-des-experiences-temoins-du-sars-cov-2/)

Lors de la première phase, en plus des cellules humaines récoltées, on trouve au minimum le matériel génétique des cellules de cultures, mais aussi possiblement des cellules de chien, de chat ou de quoi que soit d’autre qui se trouve dans l’environnement de l’individu malade ou supposément infecté d’un virus.

Pour ce qui concerne la seconde phase, Lanka a effectué des expériences témoin qui démontrent que l’on parvient à faire mourir les cellules de culture sans ajouter aucun tissu biologique infecté, mais par le seul fait du processus lui-même. En d’autres termes, il a démontré ainsi que ce sont les conditions expérimentales seules qui produisent l’effet de mort cellulaire et de supposée multiplication virale qui en découle, ceci à cause des produits chimiques toxiques ajoutés et de l’insuffisance ou de l’inadéquation des nutriments reçus par les cellules de culture.

Lors de la troisième phase, en raison de la mixture présente dans l’étape 1, et compte tenu de l’absence à ce stade d’expériences de contrôle, il n’y a aucune assurance que le matériel génétique récolté après centrifugation et purification correspond uniquement à celui du malade ou de la personne soi-disant viralement infectée.

Et concernant la dernière phase, Lanka a démontré qu’il pouvait obtenir n’importe quelle séquence génétique virale, puisqu’au cours du processus, on commence par découper les brins d’ADN en petites séquences de nucléotides avant de les soumettre à un complexe processus de reconstitution logicielle lors duquel on élimine des éléments indésirables qui ne cadrent pas avec le modèle viral supposé et pour lequel on comble les trous en fonction de ce modèle, ceci à volonté. De plus et au final et le plus souvent, le puzzle ainsi reconstitué ne correspond même pas à 100 % du génome supposé. Pour donner une idée de la « valeur » scientifique d’une telle procédure qui n’est nullement expérimentale, mais purement informatique, ce procédé est similaire à celui qui consisterait à découper en petits morceaux les feuilles d’un millier de romans, à les mélanger au hasard, puis à s’efforcer de reconstituer un roman donné (par exemple Les trois mousquetaires) sans même être certain que ce roman faisait partie du lot des romans découpés en morceaux. Si les morceaux de feuilles sont suffisamment petits, après moult ajustements, rabotage de mots dans certains bouts de phrases, ou ajout de termes dans d’autres morceaux, on pourra presque sûrement à un moment donné s’approcher du roman voulu, disons avec le même pourcentage de précision que pour la séquençage génétique, à savoir quelque chose comme 99,7 %. Si le pourcentage descend trop bas, on parlera alors d’un roman « variant » : Omicron ou Delta, ou quoi que ce soit d’autre. Et si on est plus proche d’un des variants déjà trouvés que du roman original, on dira alors qu’on a affaire à un sous-variant. Quoi qu’il en soit, on ne reconstitue ainsi quasiment jamais le roman cherché et d’autre part, rien ne permet de s’assurer que ce roman viral était bien présent dans la mixture initiale.

Aucune des quatre étapes n’est scientifiquement rigoureuse, et lorsque Lanka a effectué les expériences témoins indispensables pour une telle rigueur, il a tout simplement démontré qu’il pouvait obtenir tout et n’importe quoi en matière de prétendus virus. Lui et quelques autres chercheurs ou médecins se sont penchés sur la littérature existante en matière d’isolement de virus et ont pu constater qu’aucun texte ne démontre scientifiquement et rigoureusement l’existence d’un virus avec un code génétique bien déterminé et qui aurait pu être simultanément observé par microscopie. La totalité du processus relève essentiellement de scientisme, voire de fraude involontaire ou intentionnelle, mais ne démontre scientifiquement rien et surtout pas l’existence de virus pathogènes non vivants, mais parasites qui se multiplieraient dans des cellules vivantes.

« La mort des tissus/cellules est également considérée comme l’isolation d’un virus parce qu’ils prétendent que quelque chose de l’extérieur, d’un autre organisme, a été apporté dans le laboratoire, bien qu’un virus n’ait jamais été isolé au sens du mot isolation, et n’ait jamais été photographié et caractérisé biochimiquement en tant que structure unique entière. Les micrographies électroniques des supposés virus montrent en réalité des particules cellulaires assez normales provenant de tissus et cellules en train de mourir, et la plupart des photos ne montrent qu’un modèle informatique (CGI — computer generated images — images générées par ordinateur ou images de synthèse — NdT). Parce que les parties impliquées CROIENT également que les tissus et cellules en train de mourir deviennent eux-mêmes des virus, leur mort est également considérée comme la propagation du virus. Les parties impliquées croient toujours ceci parce que le découvreur de cette méthode a reçu le Prix Nobel et ses articles sur les « virus » restent des articles de référence. »

Stefan Lanka dans https://nouveau-monde.ca/la-fausse-idee-appelee-virus-la-rougeole-a-titre-dexemple/

4)- Véritable cause des maladies et des apparentes contagions

La théorie virale s’avérant bidon, Lanka et quelques autres pionniers ont redécouvert les anciennes théories abandonnées à cause d’intérêts pharmaceutiques puissants et les ont améliorées à la lumière des dernières découvertes, notamment celle de l’existence scientifiquement démontrée elle des exosomes. Ces composants sont produits par les cellules organiques lorsqu’elles sont agressées d’une manière ou d’une autre par des toxines, par le froid, par des ondes électromagnétiques, par des champs électriques, par des émotions négatives ou par d’autres facteurs stressants. Ils ont la même apparence que celle attribuée à certains modèles de virus, parce que notamment le scientisme moderne de base matérialiste tend trop souvent à inverser causes et effets.

« Toutes les affirmations qui disent que les virus sont des agents pathogènes sont fausses et sont basées sur des erreurs d’interprétation facilement identifiables, compréhensibles et vérifiables. Les vraies causes des maladies et phénomènes qui sont imputées aux virus ont déjà été découvertes et recherchées : cette connaissance est désormais disponible. Tous les scientifiques qui pensent qu’ils travaillent en laboratoire sur des virus sont en fait en train de travailler sur des particules habituelles de tissus spécifiques en train de mourir ou sur des cellules qui ont été préparées d’une manière spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules sont en train de mourir parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et tissus infectés étaient en train de mourir parce qu’ils étaient affamés et empoisonnés suite aux expériences dans le laboratoire. »

Stefan Lanka dans https://nouveau-monde.ca/la-fausse-idee-appelee-virus-la-rougeole-a-titre-dexemple/

Par ailleurs, des expériences assez récentes tendent à démontrer que le corps humain, de nature électrique et magnétique, est également sensible à distance à la condition vitale des autres. Les phénomènes physiques de résonance et d’induction magnétique peuvent en partie expliquer l’influence contagieuse de la bonne ou au contraire de la mauvaise santé des uns sur les autres, en plus du fait que bien des prétendues « épidémies » ne résultent le plus souvent que de l’exposition à des facteurs communs à une région donnée, voire dans certains cas à la planète entière. Et dans pratiquement tous les cas d’épidémies historiques, on a pu trouver des explications alternatives à celle de bactéries ou de virus.

(Voir :
https://nouveau-monde.ca/la-contagion-quelques-elements-de-reponse-a-contrario-de-la-funeste-doxa-actuelle/

https://nouveau-monde.ca/le-mythe-de-la-contagion-virale-pourquoi-les-virus-incluant-les-%e2%80%89coronavirus%e2%80%89-ne-sont-pas-la-cause-des-maladies/
https://nouveau-monde.ca/epidemies-et-contagions/
https://nouveau-monde.ca/la-microbiophobie-ambiante-est-hors-de-controle-de-nouvelles-perspectives-sur-la-veritable-nature-des-virus/
https://nouveau-monde.ca/larc-en-ciel-invisible-une-histoire-de-lelectricite-et-de-la-vie)

Dans le cas particulier de la maladie Covid-19 qui regroupe de multiples symptômes (grippaux, cardio-vasculaires, etc.), il se trouve que ces symptômes ont été démontrés comme pouvant être causés par diverses ondes électromagnétiques, surtout sous forme artificielle pulsée et particulièrement dans la bande des micro-ondes. C’est comme par hasard le cas des ondes Wi-Fi, 3G, 4G, 4G+ et 5G. Et il apparaît que les lieux d’apparition de la Covid coïncident temporellement et géographiquement de manière plutôt précise avec celle de l’implantation de la 5G à laquelle le corps humain n’a pas encore eu le temps de s’adapter. Il apparaît également que des facteurs additionnels tels que la quantité de métaux, notamment lourds, dans le corps sont susceptibles d’aggraver les symptômes, car alors les cellules du corps éprouvent davantage de difficulté pour se purifier de l’agression subie. Le corps humain est de nature électrique et magnétique très sensible et l’existence des électrocardiogrammes et des électroencéphalogrammes en est une des preuves. Les ondes électromagnétiques pulsées évoquées ci-dessus sont fortement susceptibles de perturber les délicats équilibres et mécanismes biologiques qui reposent sur cette nature électrique et magnétique, comme le cycle énergétique de Krebs, les influx nerveux et les processus neuronaux. Chercher à ridiculiser la probable ou au moins possible causalité entre 5G et Covid ne relève pas de science, mais d’obscurantisme scientiste et de fermeture d’esprit ou au mieux de soumission à des intérêts financiers liés à l’industrie pharmaceutique et/ou à celle des télécommunications, secteurs particulièrement influents de nos jours.




Les pays les plus vaccinés ont TOUS eu une forte augmentation des décès en 2021

[Source : numidia-liberum]

« Je pense qu’il est très probable que la prochaine phase impliquera la mort à une échelle qui éclipsera les allégations de « décès dus au Covid-19″ à ce jour. »

Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer

Question : Pourquoi la mortalité en Écosse était-elle plus élevée en 2021 qu’en 2020 ?

Réponse : Parce que plus de gens mouraient. Et la raison pour laquelle plus de gens mouraient, c’est parce que plus de gens avaient été vaccinés. En d’autres termes, il existe un lien entre la hausse de la mortalité et le vaccin Covid-19.

Question : Vous ne pouvez pas prouver cela.

Réponse : Vous avez raison, je ne peux pas. Les preuves sont toutes circonstancielles. Mais c’est convaincant, tout de même. Par exemple, la hausse de la mortalité ne s’est pas seulement produite en Écosse. Cela s’est produit dans de nombreux pays qui ont lancé des campagnes de vaccination de masse au début de 2021. Ils ont tous constaté une augmentation significative de la mortalité toutes causes confondues. Pourquoi donc? Qu’ont-ils fait de différent en 2021 par rapport aux années précédentes ?


Par Mike Whitney



Question : Je vois où vous voulez en venir, mais je ne pense toujours pas que vous ayez suffisamment de preuves pour plaider votre cause.

Réponse : D’accord, alors vous me dites : pourquoi plus de personnes sont-elles décédées en 2021 qu’en 2020 ? Et, gardez à l’esprit que la mortalité toutes causes confondues n’est pas seulement en hausse ; elle a brisé la moyenne quinquennale. Découvrez ce post d’Alex Berenson sur Substack :

L’Écosse compte 87 % d’adultes vaccinés ; les décès hebdomadaires sont maintenant 30% au-dessus de la normale

14 octobre, Ceci provient du tableau de bord quotidien Covid-19 de Public Health Scotland :

« Les 315 décès supplémentaires enregistrés la semaine dernière représentent une augmentation de 30% par rapport à la moyenne quinquennale pré-pandémique pour cette période de l’année. Il s’agit de la 20e semaine consécutive avec un excès de décès supérieur à la moyenne quinquennale et le plus élevé depuis la semaine se terminant le 10 janvier 2021. »

Même en excluant les décès de Covid, ils étaient près de 20 % au-dessus de la normale pour la semaine la plus récente, et la tendance est à la hausse. » ( « L’Écosse compte 87 % d’adultes vaccinés ; les décès hebdomadaires sont désormais supérieurs de 30 % à la normale » , Alex Berenson Substack)

Question : Mais comment pouvez-vous construire un dossier sur les données d’un seul pays ? C’est ridicule.

Réponse : Mais il n’y a pas que l’Écosse. La même règle s’applique à de nombreux pays qui ont lancé des campagnes de vaccination au début de 2021. Voici plus de Berenson :

Ajoutez l’Allemagne – la nation la plus peuplée d’Europe – aux pays qui connaissent une mortalité toutes causes confondues inhabituellement élevée qui n’est PAS liée à Covid.

En septembre, l’Allemagne a signalé près de 78 000 décès, soit plus de 10% de plus que le chiffre attendu, ont déclaré les démographes du gouvernement allemand plus tôt cette semaine.

Presse : « Chiffres de mortalité (en Allemagne) en septembre 2021 : 10 % au-dessus de la médiane des années précédentes. » ( « Ce n’est pas seulement au Royaume-Uni ; les décès toutes causes confondues sont également bien au-dessus de la normale en Allemagne (80 % d’adultes entièrement vaccinés) », Alex Berenson Substack)

Et puis il y a ceci sur le compte Twitter de Data Analyst (consultez les graphiques):
Data Analysis @Data_is_Louder

26 octobre
Mystère COVID Les décès au Danemark, en Finlande et en Norvège sont plus nombreux que lors de leur pire épidémie de Covid. Ces décès excessifs mystérieux se sont produits en même temps que le déploiement de la vaccination.

​Danemark – – « 5 mois d’affilée 2021 a battu le record de 10 ans de personnes décédées de toutes causes … ..alors que les décès dus au Covid-19 sont proches de zéro au cours de la même période.

Il en va de même en Irlande, au Royaume-Uni et en Israël. Jetez un œil à l’Angleterre (10 à 59 ans).

en bleu décès des non vaxxés, en marron clair décès des vaxxés

Ce qui est si troublant dans ce tableau, c’est qu’il montre comment les vaccins ciblent les jeunes. « Alors que le nombre de décès dus au COVID se limite en grande partie aux personnes âgées… ce sont les jeunes qui portent le poids des blessures (effets indésirables)  causées par le vaccin. Selon VigiAccess, la base de données des événements indésirables de l’Organisation mondiale de la santé, 41 % des plus de 2,4 millions de blessures causées par le vaccin signalées à ce jour concernent des personnes de moins de 44 ans, et seulement 6 % concernent des personnes de plus de 75 ans . la pandémie vient de commencer, et ce sont des crises cardiaques induites par les injections de COVID chez les jeunes » , Lifesite News)

C’est quelque chose que vous n’allez pas lire dans les médias, et pour une bonne raison aussi. Parce que cela saperait leur objectif mortel de continuer à faire la promotion du vaccin.

Voici plus de l’analyste quantitatif Joel Smalley :

Joel@RealJoelSmalley

Mise à jour hebdomadaire des décès du CDC. « Bien que » plus de 80 % soient entièrement vaccinés, depuis le 24 juillet, les décès de plus de 65 ans en Floride sont 14 % plus élevés qu’à la même période l’an dernier. « Malgré » au moins 50% de vaccination complète chez les moins de 65 ans, les décès ont augmenté de 46% et augmenteront à mesure que les rapports se rattraperont.

Les exemples sont partout sur Internet. Vous n’avez pas besoin de chercher très loin. Partout où des vaccinations de masse ont eu lieu, là aussi, la moralité a augmenté. Et – encore une fois – ce ne sont pas des décès de Covid. Il s’agit principalement des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des caillots sanguins, des maladies circulatoires et des problèmes neurologiques ; les mêmes maladies induites par les vaccins contre lesquelles nous avons été avertis par les médecins et les scientifiques qui nous ont dit la vérité depuis le début. Il s’avère qu’ils avaient raison après tout.

En termes simples, les vaccins augmentent les décès, ils ne les réduisent pas. Ils aggravent les choses et ne les améliorent pas. Ils perpétuent la crise sans y mettre fin. Et c’est pourquoi la ligne rouge du graphique pointe vers le haut. C’est une indication que le nombre de morts continuera d’augmenter tant que nous continuerons à faire ce que nous faisons maintenant, en inoculant à des millions de personnes un agent pathogène cytotoxique qui déclenche des caillots sanguins, une inflammation et une auto-immunité. Voici un autre graphique de l’Écosse avec un court commentaire du Daily Skeptic :

“…. la présence d’une épidémie de Covid ne s’est pas vue à l’été 2020, mais s’est vue à l’été 2021. Qu’est-ce qui diffère entre les deux années ? La réponse évidente est le déploiement de la vaccination COVID-19. Il n’y avait pas de programme de vaccination contre le COVID-19 en 2020, mais il y a eu un déploiement séquentiel des vaccinations contre le Covid à des tranches d’âge de plus en plus jeunes en 2021, un schéma que nous voyons dans la manifestation de décès excessifs . …. Le système de notification des événements indésirables de la carte jaune,…. a déjà enregistré plus de 1700 décès dans la population britannique associés aux vaccins COVID-19. Il existe donc un cas prima facie pour que la vaccination contre le COVID-19 soit un facteur contribuant à l’augmentation spectaculaire des décès excessifs en été en Écosse en 2021. »
(« Les vaccins entraînent-ils des décès excessifs en Écosse, demande un professeur de biologie » , The Daily Skeptic)

Avez-vous remarqué comment les médias tentent de dissimuler la soudaine augmentation de la mortalité ? Voici un bon exemple tiré d’un article du UK Telegraph :

« Alors que l’attention reste fermement fixée sur Covid-19, une deuxième crise sanitaire émerge tranquillement en Grande-Bretagne. Depuis le début du mois de juillet, il y a eu des milliers de décès en excès qui n’ont pas été causés par le coronavirus. Selon les experts de la santé, c’est très inhabituel pour l’été. Bien que des décès excessifs soient attendus pendant les mois d’hiver, lorsque le temps froid et les infections saisonnières se combinent pour exercer une pression sur le NHS, l’été connaît généralement une accalmie.

Cette année est une aberration inquiétante.

Selon l’Office for National Statistics (ONS), depuis le 2 juillet, il y a eu 9.619 décès supplémentaires en Angleterre et au Pays de Galles, dont 48% (4 635) n’ont pas été causés par Covid-19.

Donc, si toutes ces personnes supplémentaires ne meurent pas du coronavirus, qu’est-ce qui les tue ?

Les données de Public Health England (PHE) montrent qu’au cours de cette période, il y a eu 2.103 enregistrements de décès supplémentaires avec une cardiopathie ischémique, 1.552 avec une insuffisance cardiaque, ainsi que 760 décès supplémentaires avec des maladies cérébrovasculaires telles que les accidents vasculaires cérébraux et les anévrismes et 3. 915 avec d’autres maladies circulatoires. .” (« Des milliers de personnes de plus que d’habitude meurent… mais ce n’est pas à cause du Covid », Telegraph)

Donc, selon l’article, il y avait:

  • 24 % de décès par insuffisance cardiaque en plus par rapport au niveau de référence
  • 19 % de cardiopathie ischémique
  • 16 % de maladies cérébrovasculaires (AVC)
  • 18% d’autres maladies circulatoires

Toutes ces maladies cérébrovasculaires, cardiaques et circulatoires ne sont pas soudainement tombées du ciel en 2021. Ce sont des blessures générées par le vaccin. Vous pouvez  voir?

Et ils sont tous liés à la protéine de pointe qui est le « mécanisme d’action biologique » qui « endommage les vaisseaux sanguins, les organes et provoque des caillots sanguins, et qui peut tuer un être humain ? » (Citation : Dr Peter McCullough)

Vous êtes-vous demandé pourquoi plus de personnes sont mortes cette année de Covid que pendant toute l’année 2020 ? Selon Johns Hopkins, Covid a tué 353.000 personnes aux États-Unis en 2020. Mais en seulement 10 mois en 2021, 390.000 personnes sont mortes. Comment est-ce possible ? Après tout:

  1. Beaucoup de personnes extrêmement vulnérables sont déjà décédées
  2. Les experts disent que Delta n’est pas aussi mortel que l’infection originale de Wuhan
  3. 100 millions de personnes (selon le CDC) ont déjà survécu au Covid et bénéficient désormais d’une immunité naturelle
  4. Et 190 millions de personnes ont été doublement vaxxées

Ce sont quatre raisons pour lesquelles les décès devraient diminuer. Mais ils ne diminuent pas, ils augmentent.

Pourquoi?

Le vaccin, voilà pourquoi.

Et pourquoi les pays avec les taux de mortalité Covid-19 les plus élevés sont-ils aussi les pays les plus vaccinés ?

C’est parce qu’« il existe une corrélation positive massive entre le pourcentage de vaccination et les décès ».

Mais ne me croyez pas sur parole. Vérifiez par vous-même. Faites vos propres recherches.

Récemment, le professeur Norman Fenton de l’Université Queen Mary de Londres a passé au crible les statistiques du gouvernement (ONS) pour voir s’il pouvait « déterminer le rapport risque-bénéfice global des vaccins Covid-19 » en comparant « les taux de mortalité toutes causes confondues entre les vaccinés et les non vaccinés ». dans chaque catégorie d’âge.

Sa réflexion à ce sujet était simple :

« Si Covid est aussi dangereux qu’on le prétend – et si le vaccin est aussi efficace qu’on le prétend – nous devrions maintenant avoir vu beaucoup plus de décès liés à Covid parmi les non vaccinés que parmi les vaccinés… .(et) Si le vaccin est aussi sûr qu’on le prétend, alors il aurait dû y avoir très peu plus de décès de causes non liées au Covid parmi les vaccinés que les non vaccinés (dans chaque tranche d’âge). Ainsi, le nombre de décès toutes causes confondues devrait être plus élevé chez les non vaccinés que chez les vaccinés (dans chaque groupe d’âge), confirmant que les avantages de la vaccination l’emportent sur les risques. ( Les divergences et les incohérences dans les ensembles de données du gouvernement britannique compromettent l’exactitude des comparaisons des taux de mortalité entre vaccinés et non vaccinés »)

Simple, non ? En d’autres termes, si le vaccin est si bon, cela devrait être clair à partir des données. Mais ce n’est pas ce que Fenton a découvert. Ce qu’il a découvert, c’est le contraire. Il a constaté que la mortalité toutes causes confondues est plus élevée chez les personnes vaccinées que chez les non vaccinées. (Et selon la façon dont vous interprétez les données, cela pourrait être beaucoup plus élevé.) Fenton espérait que son analyse aurait un impact sur le débat sur le programme de vaccination en cours, mais au lieu de cela, il a été violemment dénoncé comme un extrémiste de droite, ce qui arrive à quiconque ose défier le récit officiel. Voici plus de NPR:

« À l’intérieur du service des urgences de l’hôpital Sparrow à Lansing, dans le Michigan, les membres du personnel ont du mal à soigner des patients qui se présentent beaucoup plus malades qu’ils ne l’ont jamais vu. Tiffani Dusang, la directrice des soins infirmiers de la salle d’urgence, vibre pratiquement d’anxiété refoulée en regardant tous les patients allongés sur une longue file de civières appuyées contre les murs beiges des couloirs de l’hôpital. « C’est difficile à regarder », dit-elle dans son chaleureux accent texan.

Mais elle ne peut rien faire. Les 72 chambres des urgences sont déjà remplies.

« Je me sens toujours très, très mal quand je marche dans le couloir et que je vois que les gens souffrent ou ont besoin de dormir ou de se taire. »

Même dans les régions du pays où le COVID-19 ne submerge pas le système de santé, les patients se présentent aux urgences plus malades qu’ils ne l’étaient avant la pandémie , leurs maladies sont plus avancées et nécessitent des soins plus compliqués.

Des mois de retards de traitement ont exacerbé les maladies chroniques et aggravé les symptômes. Les médecins et les infirmières disent que la gravité de la maladie varie considérablement et comprend des douleurs abdominales, des problèmes respiratoires, des caillots sanguins, des problèmes cardiaques et des tentatives de suicide, entre autres. ( « Les urgences sont maintenant submergées de patients gravement malades – mais beaucoup n’ont même pas de COVID », NPR)

Répétez : « douleurs abdominales, problèmes respiratoires, caillots sanguins, problèmes cardiaques ». En d’autres termes, le surpeuplement des salles d’urgence pourrait aussi bien être lié aux blessures induites par les vaccins qu’aux «traitements retardés». Et remarquez comment l’auteur semble véritablement préoccupé par les urgences en plein essor, mais ne mentionne jamais une seule fois l’éléphant dans la pièce ; le vaccin. Était-ce juste une erreur de sa part ou était-ce sa véritable intention d’embobiner ses lecteurs dès le départ ?

Ensuite, il y a ce joyau du New York Post qui tente de préparer le public à l’assaut des troubles « thromboemboliques » auxquels nous serons confrontés dans un avenir très proche. L’article est intitulé à juste titre « La crise cardiaque peu connue qui frappe des femmes » en forme et en bonne santé « dès l’âge de 22 ans ». Voici un extrait de l’article :

« Lorsque vous pensez à une crise cardiaque, vous imaginez immédiatement quelqu’un qui est plus âgé et qui pourrait déjà avoir des problèmes de santé sous-jacents. Mais les experts ont averti que des femmes aussi jeunes que 22 ans pourraient être frappées par une maladie peu connue.

La dissection spontanée de l’artère coronaire (SCAD) se produit lorsqu’une déchirure se forme dans un vaisseau sanguin du cœur, rapporte le New York Post. Il peut ralentir ou bloquer le flux sanguin vers le cœur, provoquant une crise cardiaque , des anomalies du rythme cardiaque ou une mort subite, selon les experts de la clinique Mayo.

En général, il s’agit d’une affection peu courante, mais les médecins exhortent les femmes à faire pression pour obtenir un diagnostic et des soins en ce qui concerne les symptômes. La condition est plus fréquente chez les femmes âgées de 30 à 60 ans – mais les experts ont averti qu’elle atteint des femmes en forme et en bonne santé dès l’âge de 22 ans. La crise cardiaque peu connue qui frappe des femmes « en forme et en bonne santé » dès l’âge de 22 ans , New York Post)

C’est compris? Ainsi, selon le Post, il est tout à fait normal qu’un jeune de 22 ans en pleine forme soit frappé de mort par une crise cardiaque. Pensez-vous que l’auteur essaie peut-être d’adoucir les attitudes envers les blessures induites par les vaccins avant qu’elles ne nous frappent comme une tonne de briques ? En effet, il l’est, tout comme l’article du Times of India sur la célébrité superstar et maniaque du fitness, Puneeth Rajkumar, décédé il y a quelques jours d’un arrêt cardiaque. Il avait 46 ans. Selon le Times of India :

La mort soudaine de Rajkumar a une fois de plus mis en évidence les périls auxquels de nombreux trentenaires et quarantenaires sont confrontés aujourd’hui, à savoir le risque croissant de maladies cardiaques et d’arrêts cardiaques … (Rajkumar) souffrait d’une grave maladie cardiaque alors qu’il faisait de l’exercice au gymnase. Connu pour être ouvertement en forme et en bonne santé, Rajkumar avait l’habitude de s’entraîner souvent…

Il y a eu une augmentation choquante du nombre d’arrêts cardiaques observés chez les personnes en bas âge, voire dans la vingtaine. Alors que les maladies cardiaques et les arrêts cardiaques étaient généralement considérés comme une «condition de personnes âgées», ce n’est plus le cas, et maintenant un signe d’avertissement dont les médecins exhortent les gens à être extrêmement conscients. …

En raison de la pandémie, les médecins ont également souligné que les préoccupations concernant les questions liées à la santé cardiaque ont été repoussées et qu’il est maintenant plus probable qu’auparavant que les gens souffrent de crises cardiaques silencieuses et d’arrêts cardiaques. ( « L’acteur de Kannada Puneeth Rajkumar décède à 46 ans, a subi un grave arrêt cardiaque alors qu’il s’entraînait », Times of India)

Semble-t-il que les médias ont accepté leur rôle de complices de l’extermination de masse ou est-ce une exagération ?

Quoi qu’il en soit, on peut s’attendre à voir un déluge d’articles similaires surgir un peu partout dans un futur proche. Des articles comme celui-ci :

« L’activité physique peut augmenter le risque de crise cardiaque, selon une étude – Les nouvelles découvertes ne l’emportent pas sur les bienfaits de l’exercice pour la santé, soulignent les chercheurs », The Irish Times

Ou ca:

« Les crises cardiaques chez les jeunes sont en hausse » The Hindu

Ou ca:

«Les cas de crise cardiaque ont augmenté en 2021 sans barre d’âge; voici ce qui y a conduit », cnbctv18

Pouvez-vous voir ce qui se passe ? Ces articles à l’emporte-pièce ont tous été concoctés dans le même but, faire croire au public que l’extraordinaire vague de décès parmi les jeunes en bonne santé est tout à fait normale. (« Rien à voir ici. Passez votre chemin. ») Mais, bien sûr, rien de tout cela n’est normal. Tout cela est épouvantablement étrange et choquant, c’est pourquoi nous nous concentrons tellement sur les décès excessifs et la mortalité toutes causes confondues. Parce que, selon nous, ceux-ci fourniront les preuves dont nous avons besoin pour montrer que le vaccin est un élément essentiel du programme de dépopulation de l’élite visant à réduire la population mondiale de milliards de personnes. Nous croyons toujours que c’est ce qui se passe réellement.Les gros sous ont décidé d’éradiquer quelques milliards d’entre nous des cafards afin qu’ils aient plus d’espace pour garer leurs Learjets. Il se trouve qu’ils ont choisi le vaccin comme une alternative « moins salissante » pour nous faucher dans les rues avec des mitrailleuses. Non pas qu’ils en perdent le sommeil.

Alors, comment se passe le plan, demandez-vous? Vérifiez-le:

« Selon les statistiques de mortalité toutes causes confondues, le nombre d’Américains décédés entre janvier 2021 et août 2021 est supérieur de 18% au taux de mortalité moyen entre 2015 et 2019. »

Et voici un extrait d’un article qui a extrait ses données de recherches plus diverses. Regarde:

« Le COVID Jab est-il responsable de décès excessifs ?…

Matthew Crawford du Rounding the Earth Newsletter, a examiné les statistiques de mortalité avant et après le déploiement des vaccins COVID… Crawford poursuit en examinant les données des pays qui ont une utilisation substantielle des vaccins tout en ayant simultanément des taux très faibles de COVID-19 . De cette façon, vous pouvez avoir une meilleure idée de savoir si les piqûres COVID pourraient être responsables de l’excès de décès , par opposition à l’infection elle-même.

Il a identifié 23 pays qui répondent à ces critères, représentant 1,88 milliard d’individus, soit environ un quart de la population mondiale….. Crawford procède à un certain nombre d’ajustements pour supprimer les valeurs aberrantes qui pourraient fausser les ensembles de données, (mais) après avoir supprimé les nations avec plus de 100 décès par COVID par million avant leur programme de vaccination, il a proposé 13 pays avec une population combinée de 354 millions. 

Remarquablement, cependant, le nombre de décès par COVID dans ces 13 pays est 11,61 fois plus élevé après la vaccination, par rapport à avant le déploiement des piqûres . Dans cinq des 13 pays, 90 % de leurs décès dus au COVID-19 ont été enregistrés après le début de leurs campagnes de vaccination.

« À première vue, ces résultats renforcent le fait que les vaccins expérimentaux tuent des gens », écrit Crawford. « À tout le moins, c’est un signal de sécurité de plus qui devrait inciter les autorités qui se soucient de notre santé à venir à la table pour une discussion sur la façon d’affiner les données qu’elles n’analysent à la connaissance de personne… » ( » Are The COVID Jabs responsable des tendances à la hausse de la mortalité ? » Mercola.com)

Intéressant, hein ? Donc, si vous prenez les pays où il n’y a pas beaucoup de virus et que vous vaccinez quand même une tonne de personnes, vous pouvez vraiment voir combien de personnes sont tuées par le vaccin. Au moins 10 fois plus !

En revanche, dans les pays où il y a beaucoup de propagation virale, les effets néfastes du vaccin sont beaucoup moins visibles. Mais peu importe comment vous la coupez, la protéine de pointe érode l’infrastructure vitale du corps, affaiblissant le système vasculaire, tuant les cellules saines et les mitochondries, épuisant les lymphocytes tueurs et court-circuitant le système immunitaire. Les effets d’entraînement de cette attaque féroce peuvent être l’une des myriades de maladies qui évoluent inévitablement à partir d’un système circulatoire ravagé par des agents pathogènes, notamment l’arrêt cardiaque, l’accident vasculaire cérébral, l’embolie pulmonaire, l’auto-immunité et une foule d’autres. À l’heure actuelle, les crises cardiaques semblent en tête de liste. Découvrez ce bref article du Dr Peter McCullough :

Le monde assiste actuellement à une pandémie de crises cardiaques N-STEMI causées par des caillots sanguins

Un certain type de crise cardiaque est en augmentation dans le monde. Les professionnels de la santé en Écosse ont constaté une forte augmentation d’un type de crise cardiaque potentiellement mortel appelé crise N-STEMI. Cette condition est le résultat d’artères partiellement bloquées qui coupent l’apport sanguin au cœur. Il présente moins de lésions tissulaires qu’une attaque STEMI régulière mais peut être tout aussi fatale…. Les cas d’attaques STEMI sont restés stables pendant des années, (mais) ont récemment augmenté … Au cours de l’été, l’hôpital a dû augmenter son nombre de lits de cardiologie de 44 %, car les travailleurs de la santé de première ligne ont dû faire face à une demande accrue de patients victimes d’une crise cardiaque… .

Une pandémie de crises cardiaques provoquée par une injection cytotoxique qui inflige des dommages à ses victimes, qu’elles meurent ou non. Est-ce un résumé exact du vaccin Covid-19 ?

Il est. Voici plus de The Expose:

« Les données disponibles du Center for Disease Control aux États-Unis montrent que depuis le lancement du programme de vaccination contre le Covid-19 aux États-Unis, les décès dus à des » résultats cliniques anormaux non classés ailleurs « ont augmenté de façon exponentielle par rapport aux niveaux de vaccination pré-Covid-19. …

Les décès dans cette catégorie comprennent les cas pour lesquels aucun diagnostic plus précis n’a pu être établi… ou les symptômes étaient difficiles à déterminer… ou les cas ont été référés ailleurs.)

« … le nombre de décès dus à des résultats cliniques anormaux… a maintenu une moyenne stable d’un peu plus de 1 000 par semaine depuis février 2020, et était également à ces niveaux avant la prétendue pandémie qui frappe les États-Unis. Cependant, vers la fin mars / début avril 2021, il y a eu une augmentation soudaine du nombre de décès anormaux enregistrés par semaine, grimpant soudainement… à plus de 7 000 par semaine à la mi-septembre, ce qui représente une augmentation de 600 % en moyenne observée chaque semaine avant le début du déploiement de la vaccination Covid-19.

La question est bien sûr, pourquoi ?

… La seule chose que des millions de personnes ont en commun depuis que les décès anormaux ont commencé à augmenter par rapport à la moyenne attendue, c’est que des millions de personnes ont reçu une injection expérimentale, pour laquelle il n’existe aucune donnée de sécurité à long terme pour savoir quelles en seront les conséquences. sera.

Les données officielles du CDC suggèrent que les conséquences d’un déploiement expérimental de masse de la vaccination sont une augmentation choquante du nombre de décès dus à des causes anormales non identifiées… » ( « Enquête : les données officielles du CDC montrent une augmentation choquante du nombre de décès dus à des causes anormales causes mystérieuses depuis le début des vaccinations contre le Covid-19 » , The Expose)

L’article est cohérent avec les nombreuses histoires que nous avons entendues d’infirmières rapportant des patients présentant des symptômes inhabituels «excentriques» qui échappent au diagnostic traditionnel. Cela ne devrait pas être surprenant étant donné les propriétés uniques de la protéine de pointe dont l’attaque furtive sur le système vasculaire a déjà déclenché un tsunami de maladies cardiovasculaires, neurologiques et immunologiques sans précédent. Tous ces décès peuvent être attribués à un « coup de mort empoisonné » qui pousse sans relâche la mortalité toutes causes plus élevée tout en tuant des personnes de plus en plus jeunes. Si vous en doutez, regardez combien d’athlètes meurent peu de temps après avoir été injectés. C’est une histoire qui ne manquera pas de déprimer tout être humain normal.

Voir ici : « VAGUE DE SPORTIFS DANS LE MONDE SOUFFRANT D’UNE MALADIE INATTENDUE », Pas The Beeb.com

Regardez également cette vidéo éclairante de 2 minutes traitant de l’arrêt cardiaque et de notre faux système de signalement des blessures causées par les vaccins. (VAERS)

Le Dr Mike Yeadon a résumé les développements récents dans un commentaire qu’il a récemment publié sur la chaîne Robin Monotti . Il a dit :

« Il n’y a pas de fin de jeu logique… mais la tyrannie totalitaire… et le dépeuplement de masse… Certains collègues sont d’accord avec la partie tyrannie, mais rechignent au dépeuplement. (Mais) les preuves le montrent fermement.

En effet, c’est le cas.

Source : L’Exposé




Laurent Toubiana : une autre vision de l’épidémie

[Source : recherche.irsan.fr]

Diagramme présenté dans la vidéo :

Conférence en Italie :

http://recherche.irsan.fr/fr/documentation/index/voir/175-29-janv.-2022-Conférence-scientifique-Franco-Italienne




L’espace circumterrestre, bientôt une poubelle ?

[Source : cielvoile.fr]

Par Arthur Firstenberg

Alors que l’attention d’un monde terrifié a été rivée sur un virus, et que les préoccupations concernant les radiations se sont concentrées sur la 5G au sol, l’assaut des cieux a atteint des proportions astronomiques. Au cours des deux dernières années, le nombre de satellites qui tournent autour de la terre est passé de 2 000 à 4 800, et une avalanche de nouveaux projets a porté le nombre de satellites en fonctionnement, approuvés et proposés à au moins 441 449. Et ce nombre ne comprend que les satellites en orbite basse (LEO) qui résideront dans l’ionosphère.

[Voir aussi :
L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie
►Dossier 5G et ondes pulsées
et pour ce qui concerne son lien possible avec la Covid :
La nanotechnologie dans les vaccins
Graphène et 5G
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?]

Les projets de satellites comprennent ceux énumérés ci-dessous. Les entreprises sont basées aux États-Unis, sauf indication contraire.

17 270 satellites déjà approuvés par la Commission fédérale des communications des États-Unis :

Amazon (Kuiper) – 3 236 satellites
Astro Digital – 30 satellites
Black Sky Global – 36 satellites
Boeing – 147 satellites
Capella Space Corp. 7 satellites
Globalstar (en activité depuis 2000) – 48 satellites
Hawkeye 360 – 80 satellites
ICEYE – 6 satellites (FINLANDE)
Iridium (en service depuis 1998) – 66 satellites
Kepler Communications – 140 satellites (CANADA)
Loft Orbital – 11 satellites
OneWeb – 720 satellites (ROYAUME-UNI)
Planet Labs (en activité) – 200 satellites
R2 Space, LLC – 8 satellites
Spire Global – 175 satellites
SpaceX – 11 943 satellites
Swarm – 150 satellites
Telesat – 117 satellites (CANADA)
Theia Holdings – 120 satellites
Umbra Lab – 6 satellites
Viasat – 24 satellites

Demandes pour 65 912 satellites en cours devant la FCC :

Amazon (Kuiper) – 4 538 satellites supplémentaires
AST & Science – 243 satellites
Astra Space – 13 620 satellites
Boeing – 5 789 satellites supplémentaires
Black Sky Global – 14 satellites supplémentaires
Fleet Space Technologies – 40 satellites (AUSTRALIE)
Hughes Network Systems – 1 440 satellites
Inmarsat – 198 satellites (ROYAUME-UNI)
Kepler Communications – deux constellations supplémentaires de 360 satellites et 212 satellites (CANADA)
Lynk Global – 10 satellites (HONG KONG)
Maxar Technologies – 12 satellites
New Spectrum – 30 satellites (CANADA)
OneWeb – 6 368 satellites supplémentaires (ROYAUME-UNI)
Orbital Sidekick – 6 satellites
SN Space Systems – 1 190 satellites (ROYAUME-UNI)
SpaceX – 30 000 satellites supplémentaires
Telesat – 1 554 satellites supplémentaires (CANADA)
Terra Bella – 24 satellites (15 déjà opérationnels)
Viasat – 264 satellites supplémentaires

Constellations totalisant 14 872 satellites annoncées par les gouvernements :

Guowang – 12 992 satellites (CHINE)
Roscosmos – 264 satellites nommés Marathon (RUSSIE)
Roscosmos – 640 satellites nommés Sfera (RUSSIE)
Defense Advanced Research Projects Agency – 20 satellites (MILITAIRE AMÉRICAIN)
Space Development Agency – 500 satellites (MILITAIRE AMÉRICAIN)
UN:IO – 400 satellites (COMMISSION EUROPÉENNE)
Yaogan – 76 satellites (déjà en service) (MILITAIRE CHINOIS)

Autres constellations LEO prévues par des sociétés américaines et étrangères, totalisant plus de 16 055 satellites :

4pi Lab – 16 satellites (CANADA)
ADA Space – 192 satellites (CHINE)
Aerospacelab – deux constellations (nombre de satellites inconnu) (BELGIQUE)
Aistech – 20 satellites (ESPAGNE)
Albedo Space – 24 satellites
Alpha Insights – nombre inconnu (CANADA)
Analytical Space – 36 satellites (sous contrat avec U.S. SPACE FORCE)
Apogee Networks – 18 satellites (NOUVELLE-ZÉLANDE)
Astrocast – 100 satellites (SUISSE)
Astrome – 198 satellites (INDE)
Aurora Insight – 12 satellites
Avant Space – 30 satellites (RUSSIE) équipés de lasers pour servir de panneau d’affichage dans l’espace pour diffuser des publicités
Axelspace – 50 satellites (JAPON)
BeetleSat – 80 satellites (ISRAËL)
Canon – 100 satellites (JAPON)
Capella Space Corp – 29 satellites supplémentaires
Carbon Mapper – 20 satellites
Care Weather – 50 satellites
Chang Guang – 138 satellites (CHINE)
China Aerospace Science and Industry Corporation – 80 satellites (CHINE)
Climavision – 50 satellites
Commsat – 72 satellites (8 déjà opérationnels) (CHINE)
ConstellR – 30 satellites (ALLEMAGNE)
Curvalux – 240 satellites (ROYAUME-UNI)
Earth Observant – 30 satellites
EarthDaily Analytics – 6 satellites (CANADA)
Earth-i – 15 satellites (ROYAUME-UNI)
EchoStar – 30 satellites (CANADA)
Elecnor Deimos – nombre inconnu (ESPAGNE)
EOSAgriSat – 12 satellites (FRANCE)
Eutelsat – 25 satellites (FRANCE)
ExactEarth (en activité) – 68 satellites (CANADA)
Fleet Space – 60 satellites supplémentaires (AUSTRALIE)
Future Navigation – 120 satellites (CHINE)
GalaxEye – 15 satellites (INDE)
Galaxy Space – 1 000 satellites (CHINE)
Geely – nombre inconnu (CHINE)
GeoOptics – 50 satellites
GHG Sat – 10 satellites (CANADA)
GP Advanced Projects – 9 satellites (ITALIE)
Guodian Gauke – 38 satellites (CHINE)
Hanwha Systems – 2 000 satellites (CORÉE DU SUD)
HEAD Aerospace – 48 satellites (CHINE)
Hera Systems – 50 satellites
Horizon Technologies – 13 satellites (ROYAUME-UNI)
Hydrosat – 16 satellites
Hypersat – 6 satellites
ICEYE – a déjà lancé 14 satellites et en prévoit 18, soit 12 satellites de plus que ce qui a été approuvé par la FCC (FINLANDE)
Innova Space – 100 satellites (ARGENTINE)
IQPS – 36 satellites (JAPON)
Kinéis – 25 satellites (FRANCE)
KLEO – 300 satellites (ALLEMAGNE)
Kleos Space – 80 satellites (LUXEMBOURG)
Lacuna Space – 240 satellites (ROYAUME-UNI)
Launchspace – 124 satellites
LunaSonde – nombre inconnu (ROYAUME-UNI)
Lynk Global – 4 990 satellites supplémentaires (HONG KONG)
LyteLoop – 6 satellites
MDA – nombre inconnu
Mission Space – nombre inconnu (LETTONIE)
Modularity Space – 150 satellites
Muon Space – nombre inconnu
Myriota – 50 satellites (AUSTRALIE)
NanoAvionics – 72 satellites (LITUANIE)
Ningxia – 10 satellites (CHINE)
NorthStar – 52 satellites (CANADA)
OHB Italia – 20 satellites (ITALIE)
Omnispace – 200 satellites
OQ Technology – 60 satellites (LUXEMBOURG)
Orbital Micro Systems – 40 satellites
OroraTech – 100 satellites (ALLEMAGNE)
PION Labs – nombre inconnu (BRÉSIL)
PIXXEL – 36 satellites (INDE)
PlanetIQ – 20 satellites
PredaSAR – 48 satellites
Prométhée – nombre inconnu (FRANCE)
QEYNet – numéro inconnu (CANADA)
QianSheng – 20 satellites (CHINE)
Reaktor Space Lab – 36 satellites (FINLANDE)
Rocket Lab – « Méga-constellation » de nombre inconnu (NOUVELLE-ZÉLANDE)
Rogue Space Systems – 40 satellites
Rovial – nombre inconnu (FRANCE)
Saab – 100 satellites (SUÈDE)
SaraniaSat – nombre inconnu
Sateliot – 100 satellites (ESPAGNE)
Satellogic – 90 satellites (ARGENTINE)
SatRevolution – 1500 satellites (POLOGNE)
Scanworld – 10 satellites (BELGIQUE)
Scepter et ExxonMobil – 24 satellites
SCOUT – nombre inconnu
Shanghai Lizheng – 90 satellites (CHINE)
Skykraft – 210 satellites (AUSTRALIE)
Space JLTZ – 200 satellites (MEXIQUE)
Space Union – 32 satellites (LITUANIE)
SpaceBelt – 12 satellites
SpaceFab – nombre inconnu
Spacety – 56 satellites (CHINE)
Stara Space – 120 satellites
Startical – 200 satellites (ESPAGNE)
Sternula – 50 satellites (DANEMARK)
Synspective – 30 satellites (JAPON)
Telnet – 30 satellites (TUNISIE)
Tomorrow.io – 36 satellites
Totum Labs – 24 satellites
Trion Space – 288 satellites (LIECHTENSTEIN)
Trustpoint – nombre inconnu
Umbra Labs – 18 satellites supplémentaires
UnseenLabs – 50 satellites (FRANCE)
Vyoma Space – nombre inconnu (ALLEMAGNE)
WiseSat Space – nombre inconnu (SUISSE)
Xona – 300 satellites
ZeroG Lab – 378 satellites (CHINE)
Zhuhai Orbita – 34 satellites (CHINE)

Le Rwanda, qui veut catapulter l’Afrique au rang de leader mondial de l’espace, a déposé le 21 septembre 2021 auprès de l’Union internationale des télécommunications (UIT) une demande de 327 320 satellites. Sa proposition comprend 937 plans orbitaux, répartis en 27 coquilles orbitales (couches de satellites à différentes altitudes), avec 360 satellites dans chaque plan.
Agence spatiale rwandaise – 327 320 satellites (RWANDA)

TOTAL : 441 449 SATELLITES OPÉRATIONNELS, APPROUVÉS ET PROPOSÉS
(+18 constellations dont le nombre n’est pas encore connu)

La plupart des satellites de la liste ci-dessus seraient en orbite à des altitudes comprises entre 325 km (200 miles) et 1 100 km (680 miles), sauf que certaines des orbites proposées par le Rwanda descendent jusqu’à 280 km (174 miles). La liste ci-dessus ne comprend pas les applications pour les satellites en orbite géostationnaire (GEO), ou pour les constellations LEO de moins de 5 satellites, ou les constellations en orbite terrestre moyenne (MEO) telles que :
Intelsat (à 8600 km) – 216 satellites (LUXEMBOURG).
Mangata Networks (à 6 400 km et 12 000 km) – 791 satellites
O3b (à 8 062 km) – 112 satellites (LUXEMBOURG)

ÉCLAIRER LE CIEL NOCTURNE

Les scientifiques ont déjà commencé à publier des articles analysant l’effet que tous ces satellites auront, non seulement sur l’astronomie, mais aussi sur l’aspect du ciel nocturne et la visibilité des étoiles pour tous les habitants de la planète. Un article publié en ligne le 29 mars 2021 dans Monthly Notices of the Royal Astronomical Society par des scientifiques de Slovaquie, d’Espagne et des États-Unis est intitulé « La prolifération des objets spatiaux est une source rapidement croissante de luminosité artificielle du ciel nocturne. » La diffusion de la lumière solaire de tous les objets dans l’espace, écrivent les auteurs, provoque une « nouvelle lueur du ciel » au début et à la fin de chaque nuit qui a déjà éclairci le ciel nocturne naturel d’environ 10 %. Les auteurs craignent que « la contribution supplémentaire des nouvelles méga-constellations de satellites » ne ruine le ciel nocturne dans des proportions bien plus importantes.

Un groupe d’astronomes canadiens a publié un article dans le numéro de janvier 2022 de The Astronomical Journal. « Des mégaconstellations de milliers à des dizaines de milliers de satellites artificiels (satcons) sont rapidement développées et lancées », écrivent-ils. « Ces satcons auront des conséquences négatives sur la recherche en astronomie observationnelle, et sont sur le point d’interférer radicalement avec l’observation des étoiles à l’œil nu dans le monde entier. » Ils ont analysé quel serait l’effet sur l’astronomie si 65 000 nouveaux satellites en orbite basse étaient lancés. À 40 degrés de latitude (milieu des États-Unis, Méditerranée, milieu de la Chine, Japon, Buenos Aires, Nouvelle-Zélande), disent ces auteurs, plus de 1 000 de ces satellites seront ensoleillés et visibles dans le ciel en été, même à minuit. À des latitudes plus élevées (nord des États-Unis, Canada, la plupart de l’Europe, Russie), des milliers de ces satellites seront visibles toute la nuit.

Un autre document, intitulé Report on Mega-Constellations to the Government of Canada and the Canadian Space Agency, a été commandé par la Société canadienne d’astronomie et soumis au gouvernement canadien le 31 mars 2021. Il s’agit d’un document émouvant. Ces astronomes écrivent :

« Dans les temps anciens, les humains, partout dans le monde, avaient accès à un ciel complètement noir. En revanche, aujourd’hui, 80 % des Nord-Américains ne peuvent pas voir la Voie lactée depuis leur lieu de résidence en raison de la pollution lumineuse. Le manque d’obscurité que de nombreuses personnes connaissent aujourd’hui en raison de la pollution lumineuse urbaine a été associé à de nombreux problèmes de santé physique et mentale, tant chez les humains que chez les animaux sauvages. Mais il existe encore des poches d’obscurité où les citadins peuvent échapper à la pollution lumineuse et découvrir des cieux presque aussi sombres que ceux vus par nos ancêtres. Malheureusement, la pollution lumineuse des satellites sera un phénomène mondial : il n’y aura plus aucun endroit sur Terre où l’on pourra profiter d’un ciel exempt de satellites lumineux en orbite.

« Quiconque a déjà passé du temps dans un endroit vraiment sombre à regarder les étoiles comprend le puissant sentiment d’union et d’humilité que cet acte inspire. Nos vies, nos soucis, voire notre planète entière, semblent si relatifs à cette échelle – un sentiment qui a façonné la littérature, l’art et la culture dans le monde entier. En observant le ciel nocturne, il devient immédiatement évident que nous faisons partie d’un univers vaste et merveilleux, rempli d’innombrables étoiles… Le lien avec le ciel fait partie de notre humanité, et tous les être humains sur Terre sont en réel danger de perdre cela…

« À l’œil nu, l’observation des étoiles à partir d’un endroit où le ciel est sombre permet de voir environ 4 500 étoiles… Lorsque Starlink approchera des 12 000 satellites en orbite, la plupart des gens au Canada verront plus de satellites que d’étoiles dans le ciel. »

LA PLUS GRANDE FOSSE À ORDURES DU MONDE

Non seulement des milliers de satellites entiers menacent les cieux, mais une quantité phénoménale de débris gravitent autour de la Terre à la suite de collisions, d’explosions ou d’autres destructions de satellites dans l’espace. Depuis 64 ans que l’homme lance des fusées, les couvertures protectrices de l’ionosphère et de la magnétosphère sont devenues la plus grande poubelle de la Terre.

Selon l’Agence spatiale européenne, il y a aujourd’hui, en orbite autour de la Terre, 7 790 satellites intacts, dont 4 800 fonctionnent. Depuis 1957, il y a eu plus de 630 ruptures, explosions, collisions et autres événements destructeurs de satellites. Cela a entraîné la création de plus de 9 700 tonnes de débris spatiaux. Il y a, en orbite aujourd’hui :
30 430 débris actuellement suivis.
36 500 objets d’une taille supérieure à 10 cm
1 000 000 d’objets d’une taille comprise entre 1 cm et 10 cm
330 000 000 d’objets d’une taille comprise entre 1 mm et 1 cm.

EFFETS SUR L’OZONE, LES TREMBLEMENTS DE TERRE ET LES ORAGES

La couche d’ozone

Dans un article de 2020 intitulé « The environmental impact of emissions from space launches : A comprehensive review « , Jessica Dallas et ses collègues de l’Université de Nouvelle-Galles du Sud ont écrit que  » l’appauvrissement de la couche d’ozone est l’une des plus grandes préoccupations environnementales entourant les lancements de fusées depuis la Terre. « 

En 2021, il y a eu 146 lancements de fusées orbitales pour mettre 1 800 satellites dans l’espace. À ce rythme, pour maintenir et remplacer continuellement 100 000 satellites en orbite basse, dont la durée de vie moyenne est de cinq ans, il faudrait plus de 1 600 lancements de fusées par an, soit plus de quatre par jour, pour toujours.

Les années 2020 et 2021 ont été marquées par deux des plus grands trous d’ozone en Antarctique depuis le début des mesures en 1979. Le trou de 2020 a également été le plus long jamais enregistré, et celui de 2021 n’a été que de quelques jours plus court ; plus grand que le continent Antarctique, il a commencé fin juillet 2021 et s’est terminé le 28 décembre 2021. Tout le monde accuse encore les chlorofluorocarbones (CFC), qui ont été interdits par le protocole de Montréal en 1978. Personne ne se penche sur les lancements de fusées, qui ont été plus nombreux en 2020 et 2021 qu’au cours des années précédentes. En plus des 146 lancements orbitaux de 2021, il y a eu 143 lancements suborbitaux de fusées à plus de 80 kilomètres d’altitude, soit un total de 289 lancements à haute altitude pour l’année, ou presque un par jour.

Tremblements de terre et orages

En 2012, Anatoly Guglielmi et Oleg Zotov ont examiné les preuves que l’utilisation mondiale de l’électricité a un effet sur l’activité sismique et les orages. En particulier, la consommation mondiale d’électricité connaît un pic chaque heure à l’heure juste, et il en va de même pour le nombre moyen de tremblements de terre dans le monde. En 2020, un groupe de scientifiques italiens a fourni des informations supplémentaires : l’activité solaire est également en corrélation avec les tremblements de terre, et elle semble le faire en augmentant la tension de l’ionosphère. Comme cela doit augmenter le flux de courant dans le circuit électrique mondial (voir le chapitre 9 de mon livre, L’arc-en-ciel invisible), cela augmenterait les courants électriques qui traversent la croûte terrestre à tout moment, ce qui augmenterait la tension sur les failles sismiques et augmenterait la fréquence des tremblements de terre. Le titre de l’article italien est « Sur la corrélation entre l’activité solaire et les grands tremblements de terre dans le monde ».

On peut douter que 100 000 satellites, bien qu’émettant de puissantes ondes radio, puissent élever la tension ionosphérique. Cependant, l’échappement des fusées de chaque lancement émet des tonnes de vapeur d’eau, qui est plus conductrice que l’air sec. La stratosphère est sèche et contient très peu d’eau, et toute eau que les humains y déposent y reste pendant des années et s’accumule. Les multiples lancements quotidiens de fusées, à perpétuité, rempliront la stratosphère de vapeur d’eau, augmenteront sa conductivité et le courant circulant dans le circuit électrique mondial. Le courant circulant dans la croûte terrestre augmentera, ce qui pourrait accroître la fréquence des tremblements de terre.

Je suppose également que cela augmenterait la fréquence et la puissance des orages dans le monde. S’il n’y avait pas d’orages, la tension ionosphérique, qui est en moyenne de 300 000 volts, se déchargerait en 15 minutes environ. Une centaine d’éclairs par seconde, quelque part sur la Terre, la rechargent en permanence. En augmentant le flux de courant dans le circuit électrique mondial, l’ionosphère se déchargerait plus rapidement, et comme ce sont les orages qui rechargent la batterie de la Terre, la fréquence et la violence des orages devraient augmenter.

MODIFICATION DE L’ENVIRONNEMENT ÉLECTROMAGNÉTIQUE DE LA TERRE

Ce que tout le monde ignore complètement, c’est l’effet de toutes les radiations des satellites sur l’ionosphère, et par conséquent sur la force vitale de tout être vivant. La relation de l’électricité avec le qi et le prana a échappé à l’attention de l’homme moderne. Les physiciens de l’atmosphère et les médecins chinois n’ont pas encore partagé leurs connaissances les uns avec les autres. Or, à l’heure actuelle, un tel partage est crucial pour la survie de la vie sur Terre.

« Le Yang pur forme le ciel, et le Yin turbulent forme la terre. Le Qi de la terre monte et se transforme en nuages, tandis que le Qi du ciel descend et se transforme en pluie. » C’est ainsi que le Classique de médecine interne de l’Empereur jaune a décrit le circuit électrique mondial il y a 2 400 ans — le circuit qui est généré par l’ionosphère et qui circule perpétuellement entre le ciel Yang (positif) et la terre Yin (négatif). Le circuit qui nous relie à la terre et au ciel et qui circule dans nos méridiens en nous donnant vie et santé. Un circuit qui ne doit pas être pollué par les fréquences émises par cent mille satellites, dont certains faisceaux auront une puissance effective allant jusqu’à dix millions de watts. C’est de la folie pure, et jusqu’à présent, personne n’y prête attention. Personne ne se demande même si les satellites ont quelque chose à voir avec le déclin profond et simultané, à l’échelle de la planète, du nombre d’insectes et d’oiseaux, et avec la pandémie de troubles du sommeil et de fatigue que connaissent tant de personnes. Tout le monde est tellement concentré sur un virus et sur les antennes au sol que personne ne prête attention à l’holocauste qui descend de l’espace.

Arthur Firstenberg
Auteur, The Invisible Rainbow : Une histoire de l’électricité et de la vie
Administrateur, Appel international pour stopper la 5G sur Terre et dans l’espace
Gardien, ECHOEarth.org (End Cellphones Here On Earth) P.O. Box 6216
Santa Fe, NM 87502 USA téléphone : +1 505-471-0129
arthur@cellphonetaskforce.org

Les 33 derniers bulletins d’information, y compris celui-ci, peuvent être téléchargés et partagés sur la page des bulletins d’information du Cellular Phone Task Force. Certaines de ces lettres sont également disponibles en allemand, espagnol, italien, français, norvégien et néerlandais.

Pour signer l’appel, rendez-vous sur :

https://www.5GSpaceAppeal.org




Le recours aux forêts pour rester libre

[Source : euro-synergies.hautetfort.com]

Le recours aux forêts

Par Roberto Pecchioli 

Source : Ereticamente & https://www.ariannaeditrice.it/articoli/passare-al-bosco

Les ivrognes accusent le dernier verre : avant, ils étaient encore sobres. Ce n’est pas vrai, mais il y a toujours une goutte qui fait déborder le vase lorsqu’un changement, une idée, une adhésion ou un refus radical se matérialisent et deviennent soudainement réalité. L’écrivain a décidé d' »aller dans les forêts », d’entrer dans la clandestinité.

Admirateurs d’Ernst Jünger, nous entendons suivre les indications du Traité du Rebelle, celui qui va dans les forêts, chassé corps et âme par un ordre qui exige avant tout un contrôle capillaire. Le Rebelle sent qu’il n’appartient plus à rien et « franchit le méridien zéro par ses propres forces ». C’est le geste extrême de défiance au nom de la liberté la plus précieuse, celle de dire non.

Ces deux dernières années, les occasions de dissidence radicale se sont multipliées, et nous ressentons maintenant une accélération à laquelle nous ne pouvons échapper qu’en opposant un refus total, une distance existentielle, morale, voire physique. Nous pourrions énumérer une longue série de faits qui nous incitent à « recourir aux forêts », c’est-à-dire à franchir la frontière de la dissidence et à entrer dans le territoire de la rébellion. Citons-en quelques-uns : par exemple, les propos impromptus du président français Macron, le banquier de la galaxie Rothschild placé à la tête d’une grande nation. En inaugurant la présidence semestrielle de l’Union européenne, le jeune homme a demandé que l’avortement soit inclus comme un droit fondamental dans la Charte des droits de l’UE.

Nous ne voulons pas nous laisser entraîner dans un débat insidieux sur l’interruption volontaire de grossesse (IVG, acronyme bureaucratique neutre). Cependant, imaginer que se débarrasser des enfants à naître – c’est-à-dire des futurs membres de la communauté destinés à la perpétuer – puisse être un droit fondamental, c’est-à-dire quelque chose d’indiscutable, la pierre angulaire d’une société, est un signe de folie criminelle. Ce prétendu droit condamne une civilisation à la mort par extinction, foulant aux pieds le premier des « droits », le droit à la vie. De plus, ce serait un droit accordé à seulement la moitié de l’humanité, puisque – jusqu’à ce que les oligarques en décident autrement – les grossesses sont l’apanage des mammifères femelles. Nous utilisons le langage zoologique parce que c’est le seul langage compris par la culture post-humaine. Les pères – ou plutôt les fournisseurs de sperme – ne comptent pour rien, bien que cinquante pour cent du matériel génétique leur appartienne. A l’heure des droits inhumains et de la culture de l’effacement, le rôle des élites se confirme : fossoyeurs de la civilisation dont ils sont les enfants privilégiés.

Il ne reste que la forêt, ou l’image situationniste du petit homme derrière la grille de l’asile qui demande à un passant extérieur : comment c’est « là-dedans » ? Mauvais, merci. Pendant ce temps, le passeport sanitaire vert imposé aux Italiens sous sa super forme avance de manière menaçante. Mme Von der Leyen, l’angélique Ursula europoïde, prévient que la numérisation de l’existence doit se faire par étapes forcées. Frau Blue Eyes nous informe clairement que tous nos faits – compte bancaire, paiements, données de santé – deviendront numériques (une séquence de chiffres d’identification) insérés dans une sorte de carte d’identité universelle.

Qu’est-ce que le passeport vaccin si ce n’est le système d’exploitation, l’application matricielle dans laquelle nous pouvons insérer nos vies personnelles, intimes, économiques et relationnelles ? Même l’un des virologues vedettes de la télévision, Matteo Bassetti, commence à prendre ses distances, affirmant que ce pass n’a pas de réelle signification sanitaire et devient un instrument de division sociale. Bienvenue parmi nous, professeur. La preuve la plus éclatante en est le traitement réservé à une députée en exercice, Sara Cunial, qui n’est pas vaccinée et qui est empêchée de voter pour le président de la république. La presse en a peu parlé, sauf pour ridiculiser ou offenser la députée. Nous ne connaissons pas ses opinions politiques, mais nous sommes convaincus qu’elle a rendu un immense service à l’interprétation de ce qui se passe.

Récapitulons, pour que nous ayons le temps de réfléchir dans la forêt : le corps électoral qui vote pour le chef de l’État est composé de tous les députés et sénateurs, plus les représentants des régions. C’est ce que nous dit l’Article 83 de la Constitution (la plus belle du monde, hein !). En droit – c’est ce que nous ont appris ceux qui savaient, à l’époque de l’éducation civique – la forme est le fond. A tel point que les services parlementaires ont mis en place des formes de vote pour permettre au bureau de vote (le parlement en session commune) de ne pas exclure les malades, les personnes atteintes de la maladie de Covid et les positifs asymptomatiques. Un député étant décédé, ils se sont empressés, à juste titre, de proclamer élu son remplaçant afin de ne pas priver le corps électoral de son intégralité.

En revanche, Sara Cunial (photo), qui n’est pas vaccinée et ne dispose pas du sauf-conduit magique, ne peut pas voter bien qu’elle soit en parfaite santé. L’Italien moyen est indifférent aux questions de droit (en fait, il est constamment trompé par la loi) et tout au plus conseillerait-il au député vénitien de faire un tampon et d’exercer son droit sans faire d’histoires. Elle fait bien de ne pas s’incliner : elle va perdre sa bataille, mais elle a montré que la constitution ne compte pour rien, puisqu’un document administratif (le laissez-passer vert) vaut plus que le droit de vote. Dans quelques mois, il y aura des élections municipales : voulez-vous parier que vous ne pourrez pas voter sans laissez-passer vert, au mépris de l’article 48 de cet autre papier-là, dorénavant assimilé à des déchets à recycler ?

De cette façon, le système aura préétabli sa victoire, puisque les dissidents – ceux qui n’ont pas de laissez-passer et ceux qui ne veulent pas le montrer comme un signe de liberté – ne pourront pas exprimer leurs opinions. Pendant ce temps, celui qui possède la technologie qui a permis le laissez-passer vert et celui qui a le pouvoir de surveillance devient notre maître, mais qui s’en soucie. Nous ne nous plaindrons que lorsqu’ils nous empêcheront de retirer notre argent. Un puissant appareil de pouvoir privatisé (les géants de la technologie qui possèdent le savoir et les moyens de communication informatique ; les patrons de la finance qui créent de l’argent à partir de rien et nous le prêtent à titre gracieux, créant ainsi l’illusion de la dette ; les multinationales de la santé) fournit aux États – préalablement vidés de leur souveraineté et de leur pouvoir réel – l’arme du contrôle, devenu pouvoir sur la vie. Les peuples reculent devant la peur de la contagion et de la mort, devant la désinformation et la privation des outils de jugement.

Alexandre Soljenitsyne, qui comprenait la tyrannie, implorait ceux qui n’avaient pas le courage de la rébellion ouverte de ne pas devenir au moins complices du mal ; le message tombe dans l’indifférence. La tyrannie, écrit Jünger, n’est possible que si la liberté a été domestiquée, réduite à un concept vide. Tout a un prix et la condition de l’animal domestiqué entraîne celle de la bête de boucherie. Le système du politiquement correct et son extrême – la sous-culture des « réveillés » – est une expérience à grande échelle de domestication contrôlée. Il n’y a pas d’autre choix que de vivre en tant qu’immigrant illégal en essayant d’échapper à la Mégamachine et de maintenir la flamme de la liberté.

À une époque où la stupidité et l’ignorance sont élevées au rang de drapeau, rares sont ceux qui reconnaissent la grande portée symbolique et la tension morale d’un monument à Prague (photo, ci-dessous). Dédié à la mémoire de la violence communiste, il consiste en une série de figures humaines en bronze. Dans la première, on peut voir le corps intact ; dans la dernière, il ne reste que des lambeaux épars. Il s’agit d’un hommage aux victimes du communisme réel qui montre parfaitement comment la personne humaine est progressivement détruite afin de la soumettre jusqu’à sa disparition. Cela vaut pour tous les totalitarismes, même ceux qui avancent sur les ailes de la technologie et de la privatisation oligarchique de tout, insatiables dans leur volonté de dominer et d’annihiler l’autonomie intellectuelle et spirituelle.

Au début, il y a l’homme libre ; ensuite, la personne est conditionnée par le pouvoir de l’appareil de propagande et de répression. Au final, il reste une « entité » humaine, vouée à la seule survie biologique, privée de la volonté nécessaire pour penser, dans un contexte de démotivation, de désespoir et d’apathie.

Le vingtième siècle a changé la qualité de l’attaque contre la liberté, qui est devenue une science, assistée par de nouvelles connaissances appliquées contre l’homme, malgré les prémisses et les avertissements. Pensez au « conditionnement opérant » inventé par le psychologue comportementaliste Burrhus Skinner.  Nous vivons enfermés dans la « cage » de Skinner. Le psychologue a placé une souris – ou un pigeon – dans une cage munie de deux leviers. L’un a transmis un choc électrique, l’autre de la nourriture. Après plusieurs essais, l’animal a compris quel levier délivrait la nourriture (renforcement positif) et a compris qu’il ne fallait pas appuyer sur celui qui donnait le choc (renforcement négatif).

Le conditionnement opérant, récompense et punition, est né. Pour l’homme zoologique, la récompense est le droit à la pulsion libidinale ; la punition est la solitude, la dérision, la discrimination envers ceux qui n’appuient pas sur le bon levier. Le résultat est le conformisme plombé du troupeau.

L’université britannique de Northampton a récemment atteint la perfection, une autre goutte qui fait déborder le vase de la tolérance, un exemple brutal de conditionnement opératoire. Les professeurs de l’université – la classe dirigeante de la culture – ont décidé de mettre en garde les étudiants contre le contenu du roman 1984 de George Orwell, l’une des œuvres dans lesquelles la dénonciation du totalitarisme et l’aspiration à la liberté personnelle et communautaire sont les plus fortes. Le message transmis aux élèves est appelé « trigged warning », un avertissement psychologique qui rappelle une expérience traumatisante. « La lecture de 1984 peut aborder des sujets difficiles liés à la violence, au genre, à la sexualité, à la classe sociale, à la race, à la maltraitance, aux abus sexuels, aux idées politiques et au langage offensant. »

Un travail sur l’absence de liberté est fortement déconseillé car il est le vecteur de déclenchements – de traumatismes psychologiques – au nom de la prudence, de la peur, du silence. Dans le monde sensible, craintif et hypersensible du politiquement correct, il vaut mieux éviter ce qui pourrait déranger, c’est-à-dire faire réfléchir et prendre parti. Tout cela non pas au détriment des analphabètes, mais des jeunes universitaires. La conséquence est que la future classe dirigeante ne connaîtra rien – sous peine de souffrir sous la forme traumatique du déclenchement – des vices des dictatures et de la censure. L’avertissement détournera d’une œuvre qui pose des questions inconfortables et deviendra une aide puissante pour ceux qui s’arrogent une supériorité morale si grande qu’ils effacent tout ce qui ne coïncide pas avec leurs vues.

Dans le roman 1984, les étudiants britanniques pourraient découvrir l’autocensure qui les entoure et les restrictions à la liberté d’expression (deux processus qui marchent ensemble), des indications que le totem et le tabou démocratiques sont faux, du moins estompés, et que les groupes de pression progressistes ont pris le contrôle de l’opinion publique, alternant habilement renforcements positifs et négatifs, récompenses et punitions. Un exemple très clair est lié aux mots, à savoir le néo-langage mentionné par le « dangereux » Orwell. Il y a quelques années encore, on parlait de réchauffement de la planète ; plus tard, l’expression « changement climatique » s’est imposée. La situation est désormais qualifiée d' »urgence climatique ». Qu’est-ce qui a changé en quelques années? La réalité climatique planétaire s’est-elle soudainement précipitée ou le récit dominant a-t-il changé pour des raisons économiques et idéologiques ?

Décourager la lecture d’ouvrages qui obligent à la réflexion critique revient à s’enfermer dans la cage de Skinner. Des chocs électriques pour tout ce qui n’est pas un renforcement positif, la nourriture décidée par le pouvoir. Dans l’empire des Illuminati et des Eveillés, la déesse Raison se couche, dévorée par ses enfants. Laquelle des statues de Prague correspond à l’état de notre société ? Il est significatif que le monument se trouve dans la ville de Franz Kafka, qui a décrit avec lucidité la fragmentation de l’individu face à des structures sociales tellement plus fortes que lui.

Ce n’est qu’en passant par les forêts, exilés et clandestins, que nous pouvons rester semblables à la statue en position verticale, l’homme libre. Sans l’autonomie de lire et de tirer nos propres conclusions d’un livre, comme les étudiants de Northampton, nous sommes au bout du rouleau, la figure humaine brisée, sans bras, avec la moitié de la poitrine cassée, boiteuse. Les inquisiteurs sont au pouvoir, nous dirigeant vers un néo-monde qui cache la lumière comme dangereuse pour les yeux. Dans les forêts résonne l’admonition d’Augustin d’Hippone : « tant que nous vivons, nous luttons, et tant que nous luttons, c’est un signe que nous ne sommes pas encore vaincus et que l’Esprit vit en nous. Et si la mort ne vient pas à toi comme un vainqueur, qu’elle vienne à toi comme un guerrier. »




Le prépuce des bébés est utilisé dans la fabrication des vaccins

[Source : vactruth.com]

Traduction : Jean Bitterlin

Avertissement : Certaines personnes pourront trouver choquante l’information contenue dans cet article et ses images bouleversantes.

Chaque année des enfants sont circoncis. Pendant cette procédure chirurgicale, une partie du tissu pénien protecteur est enlevée. Ce tissu enlevé de son pénis peut être vendu à des sociétés et institutions en recherche du grand nombre de cellules fibroblastes humaines et d’autres cellules qu’il contient. La plupart des personnes ne sont pas au courant que depuis des décennies, les fabricants de vaccins ont utilisé ces prépuces dans la recherche, la culture et la mise au point des vaccins.

Certains microorganismes utilisés par les fabricants de vaccin ont besoin de cellules humaines vivantes afin qu’ils puissent se reproduire. Les cellules du prépuce sont utilisées à cet effet. Les cellules du prépuce peuvent être utilisées pour changer un microorganisme sauvage trouvé dans la nature en un microorganisme génétiquement modifié dans le but de l’utiliser dans les vaccins.

Les prépuces des bébés sont utilisés pour la recherche pour la rubéole, la varicelle et le papillomavirus humain (HPV). Ils sont utilisés dans la fabrication des vaccins à cytomégalovirus sur lesquels les compagnies pharmaceutiques travaillent depuis quelques décennies. Ce vaccin utilisant les cellules du prépuce a déjà été créé et les essais cliniques ont déjà commencé. L’ADN de l’enfant dont le prépuce a été utilisé dans la fabrication du vaccin ne peut pas être entièrement enlevé des vaccins avant l’administration. Les chercheurs utilisent également le prépuce pour créer des lignées cellulaires immortalisées de télomérase transcriptase inverse pour être utilisées dans les vaccins.

Des cellules isolées du prépuce de l’enfant sont préférées parce que les cellules de l’enfant ont une durée de vie supérieure à celles isolées du prépuce d’un adulte. Le problème en cours avec les compagnies qui utilisent le prépuce des enfants pour mettre au point des vaccins et d’autres produits est immense ; seule une petite partie peut être abordée ici pour en discuter. Il est important de rechercher comment les vaccins sont fabriqués avant de les recevoir, si vous voulez éviter des contaminants indésirables dans votre corps.

Les hôpitaux et cliniques peuvent vendre des prépuces prélevés sur des nouveau-nés

Ce que nous appelons prépuce est en fait une partie d’un système entier de peau aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Chez l’homme durant l’opération de circoncision, de vingt à cinquante pour cent de la peau qui protège le pénis est enlevée chirurgicalement, avec ou sans analgésique. Il y a des fois où des accidents chirurgicaux se produisent et on en enlève davantage.

Si un hôpital ou une clinique obtenait le consentement pour utiliser le prépuce à des fins qu’ils pensaient être désirés, le prépuce pouvait alors être vendu à ce moment-là, même si le bébé ne survivait pas.

Prépuce en train d’être enlevé durant une opération de circoncision.

L’ablation chirurgicale du prépuce tue au moins un nouveau-né garçon tous les deux jours aux États-Unis. Avant d’être circoncis, ces nouveau-nés sont déjà en train d’essayer de débarrasser leur corps des produits chimiques toxiques qu’on leur a injectés, piqûre de vitamine K de synthèse et vaccin Hépatite B qu’on leur a donné peu de temps après la naissance. Ces décès lors de circoncision se produisent généralement suite à une infection qui se produit, à un traumatisme profond, à une perte de sang, ou parce que leurs petits poumons explosent suite à leurs pleurs intenses. Ceci est une estimation prudente, puisque les décès suite à la circoncision ne sont habituellement pas signalés aux États-Unis ou ailleurs.[1][2]

Chaque hôpital ou clinique détermine ce qu’il advient du morceau de peau excise. Il peut être jeté en tant que déchet biologique, donné aux parents qui veulent le garder, ou il peut devenir la propriété de l’hôpital ou de la clinique pour un usage ultérieur qui leur semble nécessaire, si un formulaire de consentement a été signé dans ce sens.

Comment les cellules de prépuce sont isolées

Après la circoncision du bébé, si le but est de vendre le prépuce dans un but lucratif, il peut être conservé et vendu d’une manière légale. Les prépuces peuvent également faire l’objet de don.

Une fois que le prépuce a été obtenu par les chercheurs dans un laboratoire il subit de nouveaux traitements. Le prépuce est posé sur une coupelle puis coupé en lamelles. Il est ensuite trempé dans une solution enzymatique pour favoriser la séparation des couches de tissus. Lorsque cette séparation a eu lieu, chaque lamelle de prépuce est enlevée afin de séparer la couche épidermique extérieure de la couche cutanée qui se trouve dessous. Les deux sortes de couches sont mises dans des coupelles séparées. Ceci afin d’isoler les cellules spécifiques de chaque couche.

La couche épidermique du dessus contient des cellules qui produisent la kératine, appelées kératinocytes. La couche du derme du dessous contient les cellules fibroblastes. Ce sont ces kératinocytes et les cellules fibroblastes qui sont utilisés pour la recherche, la culture et la mise au point de vaccins.

Une liste qui donne toutes les étapes de cette opération est exposée sur la page Internet de Thermo Fisher Scientific, titrée Isolation, Culture Primaire et Cryoconservation des Fibroblastes Néonataux humains.[3]

Tiré de la publication :
« Isolation et culture des kératocytes humains obtenus de la peau ou de cheveux fraîchement prélevés en vue de la production de cellules souches pluripotentes induites.
Figure 2 : Isolation enzymatique de l’épiderme et du derme. (a) L’échantillon de prépuce ou d’une autre peau est placé de telle sorte que le côté épiderme soit placé en dessous (dans le cas présenté épiderme à pigmentation foncée) et le tissu conjonctif détaché est gratté à l’aide d’un scalpel. (b) Le tissu est coupé en plus petits morceaux de 4 à 5 mm de largeur et placé dans une solution de dispase (enzyme — NdT)durant une nuit à 4°C. (c) Le jour suivant, l’épiderme est décollé et placé dans une deuxième coupelle dans le milieu. (d) Le résultat final est une coupelle avec le derme qui peut être utilisé pour l’isolation de fibroblastes et l’autre coupelle peut être utilisée pour l’isolation de kératocyne. »[4]

Il y a d’autres méthodes pour arriver à ce que le prépuce se sépare en deux.[5]

Une fois que les cellules spécifiques du prépuce sont isolées, le prépuce a été dégradé et n’est plus reconnaissable. L’image ci-dessous montre des cellules isolées de fibroblaste du prépuce d’un bébé après qu’elles aient été nourries par une mixture de croissance dans laquelle il y avait du sérum fœtal de bovin.

Crédit Image : Primcells.com
Vue microscopique de cellules fibroblastes altérées de prépuce, utilisées pour la recherche
« Les fibroblastes de la peau sont des cellules qui se trouvent sous la couche de derme de la peau et qui sont responsables de la fabrication de la matrice extracellulaire et du tissu conjonctif de la peau. Ces cellules jouent un rôle important dans la guérison de blessure et dans la régénération de la peau. Les fibroblastes de peau humaine néonatale issus de cellules souches sont préparés avec les standards les plus élevés à partir de tissu de prépuce. Ils gardent une très grande capacité de prolifération et peuvent être cultivés avec au moins 20 duplications. Ces cellules sont le choix idéal pour toutes les recherches liées à la peau. »[6]

Les cellules de prépuce de nouveau-né sont alors cryoconservées et prêtes pour une commande

Après d’autres manipulations, les cellules sont habituellement gardées dans un tube et cryoconservées dans de l’azote liquide jusqu’à ce qu’elles soient vendues et utilisées pour de nouvelles recherches.[7]

« Le Dr Tinari estime qu’entre l’opération et la valeur de revente du prépuce, chacun prépuce vaut environ 100 000 dollars. »[8]

Des tubes de cellules fibroblaste qui proviennent de prépuce de nouveau-né valent beaucoup d’argent. Un tube de ces cellules fibroblaste d’un prépuce de nouveau-né âgé de 2 semaines ou moins est vendu des centaines de dollars par tube.[9][10]

Des kératocytes isolés et cryogénisés provenant de prépuce humain néonatal et contenant des séquences d’ADN viral du singe SV40 cancérigènes sont vendus pour un montant de près de mille dollars par commande, provenant d’un prépuce prélevé sur un nouveau-né.[11]

Les compagnies pharmaceutiques achètent ces cellules. Elles peuvent prendre des microorganismes et les faire pénétrer dans les cellules du prépuce en se servant de substrats de culture issus de sang de veau et d’autres produits chimiques afin qu’elles puissent cultiver des souches vaccinales génétiquement modifiées. Ceci est fait pour fabriquer de nouveaux vaccins et pour la recherche de ceux qui existent déjà.[12][13]

Mise en vente de cellules fibroblastes de prépuce humain néonatal.
Crédit Photo : Advancedbimatrix.com

La mise au point de vaccin à cytomégalovirus utilisant du prépuce est en cours

En fait il y a des centaines de vaccins qui sont actuellement mis au point ; quelques-uns sont fabriqués en utilisant les cellules fibroblastes de prépuce.[14]

Pendant plusieurs décennies il y a eu des tentatives de créer un vaccin contre une infection d’un cytomégalovirus congénital qui peut passer de la mère à son futur bébé pendant la grossesse si la mère a été infectée. Bien qu’il n’ait pas été prouvé qu’un virus est la cause de l’infection — il est plus probable qu’elle soit causée par le régime alimentaire, la pollution environnementale, les vaccins, les pesticides et d’autres produits chimiques de synthèse qui ont été au contact de la personne — les chercheurs, d’une façon ou d’une autre, supposent que cette infection est causée par un virus et ils veulent un vaccin pour cela.

Un vaccin à cytomégalovirus (VCM) élaboré à partir de prépuces humains est déjà entré en phase d’essais cliniques. Le prépuce est utilisé pour atténuer la souche vaccinale, ce qui signifie que la souche du vaccin lui-même a été affaiblie par rapport à son état originel pour la rendre moins virulente dans le vaccin. L’ADN du nouveau-né mâle dont provient le prépuce finit par se trouver dans le vaccin parce que cet ADN ne peut être complètement enlevé.[15]

Méthode d’atténuation du cytomégalovirus et information sur le brevet US 4058598 A du vaccin

« L’atténuation de la souche du VCM nécessite un nombre considérable de passages dans des cultures de tissus, particulièrement dans des cellules fibroblastes humaines, pour réduire fortement sa pathogénicité, mais sans qu’elle perde une immunogénicité et une infectiosité suffisantes. »

« Les cultures de cellules susceptibles de convenir pour des passages en série de la présente invention comprennent des cultures de cellules humaines, de préférence exemptes de virus contaminants ou autres microorganismes tels que le mycoplasme… Des cellules primaires et secondaires de fibroblastes humains sont spécialement appropriées pour ce but, telles que le célèbre fibroblaste embryonnaire (M.A.F.), les fibroblastes de fœtus et les cellules diploïdes de fibroblastes de poumon embryonnaire… »

« Les cellules humaines se sont révélées indispensables pour les VCM parce que le virus a une grande spécificité d’espèces et ne se cultive bien que dans les cellules humaines. Les cellules à fibroblastes sont préférées dans ce but… »

« Il est préférable de multiplier le virus dans plus qu’une de ces cellules à fibroblastes. Un historique de passages qui comprend au moins 8 passages dans chacun des types de cultures mentionnées plus haut, par exemple, le M.A.F., les fibroblastes de prépuce humain, H.E.L., les cellules M.R.C. 5 a été retenu. »[16]

Vaccins à cytomégalovirus et information sur le brevet WO 2009049138 A1 des méthodes de production

« Il a été prouvé conformément avec la présente invention que les souches de VCM de laboratoire qui ont subi des passages répétés sur des fibroblastes peuvent être traitées avec succès par multiplication sur la lignée cellulaire choisie. »

« Par exemple une souche VCM peut être passée de multiples fois dans des fibroblastes puis amplifiée dans des cellules épithéliales pour être ensuite utilisée pour produire un vaccin. Il serait souhaitable que les VCM puissent être amplifiées/multipliées sur une ou plusieurs séries dans le type de cellules sélectionné. »[17]

Vaccins à cytomégalovirus et information sur le brevet US 20100285059 A1 des méthodes de production

« Des méthodes pour faire croître la diversité des vaccins à cytomégalovirus par la sélection des types de cellules dans lesquelles le virus se propage et l’utilisation des cytomégalovirus produits par ces méthodes dans la mise au point des compositions du vaccin ont été publiées. Les compositions des vaccins y compris le VCM isolé provenant de cellules épithéliales ont également été publiées »

« L’invention concerne généralement le champ de la mise au point de vaccins. Plus spécifiquement l’invention concerne les méthodes pour augmenter la diversité des vaccins à cytomégalovirus au travers de la sélection d’un type de cellule dans lequel le virus est multiplié et l’utilisation des cytomégalovirus produits par ces méthodes dans la mise au point des compositions des vaccins.[18]

Lignées cellulaires immortalisées de transcriptase inverse de télomérase humaine (hTERT) pour l’utilisation de l’information des vaccins

« Les lignées cellulaires immortalisées ATCC de transcriptase inverse de télomérase humaine représentent une rupture dans la recherche en biologie cellulaire qui combine la nature in vivo des cellules souches avec la capacité classique des lignées cellulaires de survivre en continu in vitro »[19]

Lignées cellulaires immortalisées Htert, leur préparation et l’utilisation de l’information donnée par le brevet WO 20020116555 A2

« Une lignée cellulaire immortalisée est fournie ce qui est adapté pour son utilisation dans la production de vaccins … »

« Comme décrit ci-dessus, les souches de fibroblastes humains ont une durée de vie limitée. Ce qui est par conséquent un problème spécifique pour les chercheurs qui travaillent sur le HCMV. Des variations expérimentales sont causées parce que les différents laboratoires se servent de différentes souches cellulaires et, comme ils accroissent les doublements de population, les fibroblastes changent. Les stocks de fibroblastes s’épuisent et des agents contaminants (par ex le mycoplasme) peuvent être introduits en utilisant de nouvelles cellules (ce qui arrive typiquement avec les fibroblastes de prépuce humain). »

« Il a aussi été démontré que des cellules fibroblastes de prépuce humain immortalisées étaient capables avec des papillomavirus humains de type 16 E6 et E7 oncogènes de rendre efficace la réplication de virus »[20]

Le prépuce utilisé pour la recherche d’information du vaccin de la rubéole

Un extrait tiré d’une étude de 1979 dont le titre était Immunodépression et isolation du virus de la rubéole à partir de lymphocytes humains après vaccination avec deux vaccins de la rubéole explique comment les souches vaccinales créées pour la rubéole ont subi des passages par le prépuce pour la recherche.

« La stimulation par PHA des lymphocytes infectés in vitro avec des vaccins du virus de la rubéole. Les lymphocytes de 4 personnes vulnérables ont été infectés avec des doses différentes de vaccins du virus de la rubéole, deux d’entre eux avec le RA27/3, les autres avec le HPV77. Les virus des vaccins avaient subi deux passages dans des cultures tissulaires : RA27/3 dans des cellules fibroblastes de prépuce humain et HPV77 dans des cellules Véro. »[21]

Le prépuce utilisé dans la recherche d’information pour le vaccin HPV

Une étude explicite, L’utilisation de cultures de cellules de prépuce humain pour l’isolation du groupe de virus de l’herpès dans le laboratoire de recherche, explique commentdivers prépuces ont été utilisés pour développer les vaccins HPV, se servant de types spécifiques de souris qui étaient sérieusement mutilées durant cette expérience.

« Les cultures cellulaires provenant de tissus de prépuce humain ont été utilisées pour l’isolation de virus des spécimens diagnostiqués. Les prépuces ont été recueillis dans une solution équilibrée de Hank et ensuite traités le même jour en les dispersant dans de la trypsine. Une semaine après le traitement des tissus à la trypsine, les premières cultures cellulaires étaient prêtes à l’emploi. Des sous-cultures en continu in vitro ont engendré une colonie de cellules qui se multipliaient librement in vitro et ont encouragé la croissance de virus du groupe des herpès. Dans trois cas testés dans notre laboratoire ces six derniers mois, des virus du groupe des herpès ont été isolés sur le HES. Les changements cytopathogènes des cellules HFS (Human Foreskin—prépuce humain—NdT) ont été observés 5 à 8 jours après l’infection. Ces changements n’ont pas été constatés sur deux autres cultures de cellules d’origine humaine (WI-38et Hep2) ou sur des cellules primaires de rein de singe. Les virus isolés de ces trois cas étaient des cytomégalovirus (CMV) de l’urine d’un nouveau-né de 2 semaines, un second CMV d’une lésion cutanée d’un patient ayant subi une greffe rénale et un troisième un virus herpès simplex d’un frottis de l’œil d’une jeune fille. Après quelques sous-cultures sur les cellules HFS, les trois virus ont produit du CPE sur d’autres cellules humaines prédisposées. La préparation des cellules HFS est aisée, la disponibilité du tissu est élevée et la valeur diagnostique est incontestable. Il serait souhaitable que ce tissu et ses cultures cellulaires soient utilisés plus souvent pour les diagnostics et dans les laboratoires de recherche. »[22][23]

Le prépuce utilisé dans la recherche d’information du vaccin de la varicelle

Les études sur le virus varicelle-zona (VZV) ont également été faites en utilisant du prépuce de nouveau-né. HFF signifie human foreskin fibroblasts (Fibroblastes de prépuce humain).

Une étude, Résultats de l’expression atypique des cyclines et de l’activité de la kinase dépendant de la cycline lors de l’infection de fibroblastes de prépuce humain par le virus varicelle-zona, indique :

« La réplication du VZV est limitée aux cellules humaines et aux cellules de singe et beaucoup de lignées cellulaires utilisées pour multiplier le virus proviennent de carcinomes dans lesquels le cycle de la cellule est perturbé. Par conséquent, les cellules primaires HFF ont été retenues pour ces études, car elles s’inhibent au contact lorsqu’elles atteignent une densité élevée, ce qui imite leur état de repos dans le derme et le mécanisme de leur cycle cellulaire est régulé d’une manière habituelle. »[24]

Autres usages du prépuce de nouveau-né

Les chercheurs ont également trouvé des moyens de modifier les cellules d’un prépuce de nouveau-né pour arriver à cultiver une surface de 250 000 pieds carrés de peau afin d’en faire des greffes pour les grands brûlés et les patients diabétiques.

Le prépuce est utilisé à des fins de recherche sur cellules souches, pour fabriquer des cosmétiques, même des cosmétiques injectables. Ils sont utilisés pour renouveler les paupières et utilisés par des chirurgiens stomatologistes pour remodeler la bouche. Et la liste continue. Tout simplement ce n’est pas parce que les chercheurs ont trouvé de nombreux usages pour le prépuce que cela rende tout ceci acceptable. Il est important d’avoir conscience que les hôpitaux et cliniques ont chacun leur propre formulaire de consentement en ce qui concerne le prépuce. Ce qui est écrit en petit caractère peut aider à déterminer ce qu’il advient du prépuce lorsqu’il est prélevé.

Il faut que les parents fassent les recherches et apprennent ce qui passe dans ces aiguilles des vaccins.[25][26]

La population vaccinée est génétiquement modifiée

Les vaccins obtenus par culture cellulaire sont contaminés, y compris ceux fabriqués à partir de prépuce humain. Ces cultures cellulaires sont considérées comme hasardeuses et peuvent répandre des maladies infectieuses. Par conséquent ils ne devraient pas être injectés ou administrés par voie orale si le but est de garder la population en bonne santé. Des cellules utilisées pour fabriquer ces vaccins, et qui proviennent de toute source biologique issue d’organismes vivants, peuvent se retrouver dans le produit final qui finit dans la population vaccinée.[27]

Conclusion

Les laboratoires qui fabriquent les vaccins ont souvent utilisé du sang et des parties du corps de vaches, chiens, vers, souris, poulets, nouveau-nés humains, singes, cochons d’Inde, lapins, rats, etc., pour faire ces vaccins donc l’utilisation de prépuces de nouveau-nés ne surprendra pas tout le monde. Pour bon nombre c’est quelque chose d’effroyable.[28]

Les circoncisions alimentent des industries multimilliardaires. Si vous voyez du prépuce néonatal à vendre, ce qu’on trouve très facilement sur Internet, rappelez-vous que ces enfants nouveau-nés n’ont pas donné leur accord pour être circoncis ni leur accord pour que leur prépuce soit vendu, utilisé à des fins de recherche ou injectés dans des personnes par le biais des vaccins.[29]

De nos jours de plus en plus de parents cherchent à connaître le dessein du prépuce et des vaccins, et veulent laisser leurs nouveau-nés tels qu’ils sont nés, intacts et exempts de vaccins.

Références

  1. http://www.drmomma.org/2010/05/death-from-circumcision.html
  2. http://www.cirp.org/library/death/
  3. https://www.thermofisher.com…neonatal-fibroblasts.html
  4. https://pdfs.semanticscholar.org…pdf
  5. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4467300/
  6. http://www.primcells.com…Human-SF-neonatal.pdf
  7. https://www.systembio.com/downloads…pdf
  8. https://thetyee.ca/News/2006/07/25/Circumcision/
  9. http://www.foreskin.org/f4sale.htm
  10. https://www.thermofisher.com/order/catalog/product/C0045C
  11. https://www.atcc.org/Products..Foreskin_Keratinocytes/CRL-4048.aspx
  12. http://vaxxter.com/the_disgusting_cow_stuff_in_vaccines/
  13. https://vactruth.com/2013/10/28/7-disgusting-ingredients/
  14. http://phrma-docs…development-drug-list-vaccines.pdf
  15. http://www.clinicalmicrobiologyandinfection.com…
  16. http://www.google.sr/patents/US4058598
  17. http://www.google.sr/patents/WO2009049138A1?cl=en
  18. https://www.google.com/patents/US20100285059
  19. https://www.atcc.org/en/Products/Cells…
  20. https://www.google.com/patents/WO2002016555A2?cl=en
  21. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles…pdf
  22. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/180793
  23. http://jvi.asm.org/content/69/4/2716.full.pdf
  24. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1472175/
  25. http://vaccinechoicecanada.com/vaccine-ingredients…
  26. https://www.cdc.gov/vaccines/pubs/pinkbook/downloads…pdf
  27. http://www.cellprolabs.com/sites/default/files/downloads…pdf
  28. https://www.fda.gov/ohrms/dockets…pdf
  29. https://www.atcc.org/products/all/SCRC-1041.aspx



Professeur Joyeux : « Ne vous faites pas vacciner ! Attendez 84 jours et l’équipe au pouvoir sera à la porte ! »

[Source : michelledastier.com]






AUTRICHE — Coup de théâtre — La fin de la plandémie le 19 février ? Relâchements et Cour Constitutionnelle

Transmis par Christine Côte

Aujourd’hui le ministre du covid Mückstein (VERT) a annoncé, de façon totalement imprévisible, les relâchements suivants. L’explication se trouve plus bas. Ils ont une liste de question de la part de la cour constitutionnelle auxquelles ils doivent répondre avant le 18 février.

Traduction par Christine Côte

https://www.sozialministerium.at/Informationen-zum-Coronavirus/Coronavirus—Aktuelle-Ma%C3%9Fnahmen.html

À partir du 5 février 2022, l’heure de fermeture des bars et restaurants sera repoussée de deux heures (de 22 h à 24 h) et la limite du nombre de personnes pour les rassemblements sans places assises attribuées passera de 25 à 50 personnes. Lors des manifestations, seules la règle des 2G et une obligation de FFP2 seront applicables à partir de cette date (au lieu des règles actuelles « 2G+ »* + Rappel).

À partir du 12 février 2022, la règle des 2G sera supprimée dans les commerces. L’obligation de porter un masque FFP2 s’appliquera alors sans interruption dans tous les magasins.

À partir du 19 février 2022, la règle 2G sera étendue à la règle 3G** dans le secteur de la restauration. La validité des tests PCR sera réduite à 48 heures pour le secteur de la restauration — pour tous les autres secteurs, la validité des tests PCR restera de 72 heures comme auparavant. Si les tests PCR ne sont pas disponibles, les tests antigènes sont également valables pour une durée de 24 heures. La règle des 3G s’appliquera également aux manifestations à partir de ce moment-là (au lieu de la règle précédente des 2G).

* 2G : « Genesen oder Geimpft » c.-à-d. rétabli ou injecté.
** 3G : entièrement injecté (2 injections, à condition qu’elles ne soient pas périmées !), ou rétabli, ou testé négatif.


https://reitschuster.de/post/game-over-setzen-wiens-verfassungsrichter-die-regierung-matt/

Game Over ?
Les juges constitutionnels de Vienne mettent-ils le gouvernement en échec ?
Des questions explosives jusqu’ici taboues

PUBLIÉE LE 29 janv. 2022

Une tribune de Chris Veber [Ancien Vert]

C’est terminé. Le 26 janvier 2022, la Cour constitutionnelle autrichienne (VfGH) a lancé une procédure de contrôle des décrets et a transmis au ministre autrichien de la Santé un ensemble de questions. Des questions qui étaient jusqu’à présent absolument taboues, qui ébranlent les fondements de la « pandémie ». Le ministre de la Santé a jusqu’au 18 février 2022 pour répondre, ce qui correspond également à la date de fin de la « pandémie » en Autriche.

Plus précisément, la Cour constitutionnelle veut savoir si les chiffres d’hospitalisation et de décès englobent toutes les personnes infectées. L’ancienne question an ou avec Covid. Si toutes les personnes testées positives ont été comptabilisées, la Cour constitutionnelle aimerait en connaître la raison.

En outre, la Cour constitutionnelle souhaite obtenir le détail de la répartition des cas de décès et d’hospitalisation liés au Covid. Où Corona était-il en cause ? Où est-ce seulement un test « positif » sans signification ? Elle demande même l’âge des personnes décédées et hospitalisées !

Le ministre de la Santé doit également apporter des preuves de la pertinence de l’obligation de porter un masque FFP2.

C’est alors que les choses se gâtent (pour la mafia pharmaceutique). La Cour constitutionnelle évalue le risque de décès par Covid à 0,15 %. Elle demande comment il faut comprendre la réduction absolue et relative du risque d’une vaccination. La VfGH veut savoir quelle est la réduction absolue du risque après une, deux ou trois vaccinations. Le mensonge de l’efficacité à 95 % est à bout de souffle.

Il y a encore mieux. La « pandémie des non vaccinés » est remise en question. Le ministre de la Santé doit répondre dans quelle mesure la « vaccination préventive » réduit le risque d’infection, de maladie et de transmission. Puisque « l’état des connaissances scientifiques semble indiquer que même les personnes vaccinées contre le Covid peuvent être infectées par le SRAS-CoV-2, contracter le Covid et transmettre le SRAS-CoV-2 ».

Ensuite, on entre dans des domaines dangereux pour le ministre de la Santé. La Cour constitutionnelle veut connaître le risque d’hospitalisation après une maladie et après une vaccination, ventilé par cohorte d’âges et par nombre de vaccinations. C’est là qu’interviennent les effets secondaires des vaccins, jusqu’ici si nonchalamment ignorés.

Même le « confinement des non-vaccinés » ne reste pas sans réponse. La Cour constitutionnelle demande de combien le taux d’occupation des lits serait plus élevé sans ce confinement.

La question la plus mortelle pour le gouvernement arrive à la fin. La Cour constitutionnelle demande à savoir s’il est exact qu’il y aura moins de décès Covid en 2021, mais qu’il y aura tout de même une surmortalité hebdomadaire à trois chiffres. Il veut savoir comment s’explique cette surmortalité.

Toutes ces questions ont été posées par des extrémistes de droite et des complotistes, depuis le début de la « pandémie ». Le gouvernement les a balayées avec la complicité active de médias achetés et d’experts dociles. C’est maintenant terminé. Le gouvernement doit répondre aux questions de la Cour constitutionnelle.

Je pense que la réponse à ces questions mettra fin à la « pandémie ». Elle met également fin au gouvernement.

Il semble que nous nous en soyons sortis une fois de plus avec les honneurs. N’oublions pas cette leçon. La liberté ne meurt jamais de manière dramatique. Elle meurt par tranches. Nous ne devons jamais la prendre pour acquise. Nous devons nous battre pour elle ! Et ce, jusqu’à ce ce que les dirigeants soient emmenés menottes aux poignets et virés de leurs fonctions.

Vous trouverez la lettre complète de la Cour constitutionnelle ici :

https://chrisveber.blogspot.com/2022/01/game-over.html#:~:text=Ich%20glaube%2C%20die,%C3%84mtern%20entfernt%20wurden.

Les contributions des auteurs externes reflètent toujours l’opinion de l’auteur, et non la mienne. Et je suis d’avis que ce sont justement les contributions d’auteurs controversés qui sont particulièrement précieuses pour la discussion et la démocratie. J’estime mes lecteurs en tant qu’adultes et je veux leur offrir différents points de vue pour qu’ils puissent se faire leur propre opinion.

Chris Veber est un ex-Vert, ex-philosophe, entrepreneur, journaliste indépendant.

Image : Shutterstock

Texte : br

https://reitschuster.de/post/game-over-setzen-wiens-verfassungsrichter-die-regierung-matt/




Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure

[Source : RL]

Propos recueillis par Pierre Cassen

C’est avec grand plaisir que nous accueillons ce jour Nicole Delépine qui, avec son mari Gérard, depuis le début de cette crise, fait profiter nos lecteurs, sur la crise sanitaire, d’une vision rationnelle et plutôt rassurante, aux antipodes du discours angoissant véhiculé par le pouvoir et, hélas, nombre de confrères de Nicole et Gérard. 

Nicole nous présente le nouveau livre qu’elle vient de publier…

Toutes les mesures coercitives n’ont fait qu’aggraver la situation des enfants

Riposte Laïque : Vous publiez ce jour votre dernier livre, intitulé « Les enfants sacrifiés du covid », et vous sous-titrez « Isolement, masques et vaccins ». Considérez-vous que la France a vraiment plus mal traité ses enfants que les autres pays européens, ou dans le monde ?

Nicole Delépine : Il est évident que la France a considérablement plus maltraité ses enfants que certains pays européens comme la Suède ou la Biélorussie qui n’ont jamais fermé leurs écoles, ni imposé des masques, ni tests aux enfants. Ni inventé des pass limitant la pratique des sports, ni restreint l’accès aux lieux de culture et de spectacle, etc…

Et ces pays ont pourtant un bilan Covid moins mauvais que le nôtre. Comme quoi il apparait que ce que nous évoquions dès les premiers mois du coronacircus, toutes les mesures coercitives n’ont fait qu’aggraver la situation des enfants et adolescents dont ils paient un lourd tribu.

Les 11 vaccins imposés aux enfants en 2017 furent une répétition générale

Riposte Laïque : Dès l’arrivée de Macron au pouvoir, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a fait passer les vaccinations obligatoires de trois vaccins (diphtérie, tétanos, poliomyélite) à onze (rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B…). Des spécialistes ont estimé qu’on mettait en danger les enfants. Pourtant, apparemment, cette vaccination accrue n’a pas créé de problèmes nouveaux, quatre ans après. Pensez-vous que ces nouvelles dispositions étaient légitimes ?

Nicole Delépine : Effectivement les onze vaccins imposés aux nouveau-nés qui posent un problème majeur pour la santé des enfants ont été acceptés dans l’indifférence de trop de Français, comme à un autre bout de la vie l’abandon des vieux dans les EHPAD et leur euthanasie forcée dès mars 2020.

Dire qu’il n’y a pas de conséquences est bien sûr impossible tant il faudrait évaluer l’impact de ces charges d’aluminium entre autres imposées aux bébés très supérieures à ce que nous avons reçu dans toute notre vie de boomer. La fragilité des enfants très vaccinés aux infections, allergies etc., relève aussi de l’analyse nécessaire qu’ont déjà abordé d’autres auteurs.

Quant aux jeunes parents, ils continuent à vivre dans la terreur de ces injections multiples dont Mme Buzyn avait promis le caractère temporaire d’autant que les organisations consultées avaient voté en défaveur de ce projet. Certains retardent leur projet d’enfant en raison de ces contraintes absurdes et dangereuses destinées à satisfaire Big pharma et l’UE.

En fait, 2017 fut une répétition pour tester la tolérance des citoyens à accepter n’importe quel ukase sans aucune justification médicale et en urgence. Voici ce que nous écrivions en novembre 2017 évoquant le code de Nuremberg, avant ce vote cruel des vaccinations obligatoires :

«  Pourtant il semble que le nœud de la question du vote parlementaire siège à ce niveau. En effet, personne n’a probablement l’intention de transformer en quelques minutes de débat, à l’Assemblée ou au Sénat, nos parlementaires en vaccinologues de haut rang. Seraient-ils capables d’assimiler en peu de temps (puisque le vote est une urgence pour le gouvernement !) l’épidémiologie, l’histoire des vaccins et de l’hygiène, et de leurs rôles respectifs ou complémentaires, l’efficacité clinique des vaccins en passe d’être imposée sur la mortalité à long terme, et pas seulement sur la montée d’anticorps chez les vaccinés , et surtout les effets secondaires attendus, sans parler des côtés économiques – que la justification de leur vote sur l’obligation ne pourrait y trouver ses racines.

Quel devrait-être en démocratie le rôle du Parlement pour la santé, si ce n’est de mettre à la disposition du citoyen les meilleures conditions de soin, sans interférer dans son libre choix de personne pensante, ni dans celui des professionnels, les médecins. Bref, je n’avais pas compris que l’assemblée se devait de réécrire les traités de médecine, et les imposer aux robots médecins et aux patients-citoyens objets ».

Et la loi fut votée très vite dans le silence assourdissant des médias et des associations, en dehors de quelques exceptions.

Nous écrivions déjà :

« Ne doit-on pas suffoquer lorsque le président du conseil de l’Ordre ou des médecins connus  se permettent d’affirmer haut et fort que « la vaccination ne se discute pas » et que ceux qui oseraient élever une objection se verraient soumis aux foudres de l’ordre des médecins, vieille institution fondée sous Vichy ? »

Le professeur Holland a évoqué les droits civils liés qui élimineraient le droit au consentement éclairé de refuser les vaccinations. Elle a rappelé que « l’histoire nous a montré les résultats d’une intrusion du gouvernement dans les droits médicaux… »

Relisant cette tribune vous ne serez pas étonné de ce qui nous arriva depuis 2020, du comportement de l’ordre des médecins, foulant au pied le consentement éclairé des patients et le libre choix du médecin à donner les meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science, diffamant et poursuivant les docteurs osant soigner leurs patients.

Le Pr Holland  avait pourtant insisté à la tribune de l’ONU :

« Les Nations Unies, ainsi que la communauté internationale ont l’obligation de respecter les droits humains liés à la vaccination ».
 « Le Code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….). »

Les mensonges d’Etat ont d’emblée désigné les enfants comme coupables

Riposte Laïque : On est passé du masque obligatoire à l’école à partir de 11 ans, au masque obligatoire à partir de 6 ans. On est passé de la vaccination à partir de 12 ans, avec 90 % de vaccinés, à celle à partir de 5 ans. Pourtant, les associations de défense des droits de l’enfant ont été fort discrètes. Les associations de Parents d’élèves et les Syndicats d’enseignants n’ont pas protesté, si ce n’est pour réclamer encore plus de mesures restrictives. Et rares ont été, sur les plateaux de télévision, mis à part Marie-Estelle Dupont, les chroniqueurs à protester contre ce que certains appellent la maltraitance des enfants. Comment expliquez-vous cela ?

Nicole Delépine : La crédulité à la propagande gouvernementale, la peur, fille de l’ignorance, la censure, le conformisme, et la corruption ont réussi à fait croire que les enfants pouvaient être dangereux.

Les mensonges d’Etat ont d’emblée désigné les enfants comme coupables, en fermant les écoles puis en leur imposant des mesures soi-disant sanitaires alors que les toutes les études épidémiologiques mondiales montraient pourtant que les enfants sont innocents du covid et l’ont toujours été depuis le début.

Le ministère a honteusement diffusé une pub dans laquelle un enfant était accusé d’avoir envoyé sa grand-mère en réanimation.

Quelle violence cruelle intégrée dans la tête des enfants ? Combien de temps mettront-ils à effacer ces images, malgré nos explications réitérées de mensonge médiatique et de manipulation ?

Les médecins honnêtes ont été exclus des grands médias et seuls les alarmistes invités et pour bon nombre corrompus et en tous cas manipulés et manipulateurs .

Une fois la peur des enfants installée, parents et enseignants ont accepté les mesures pourtant absurdes. Des associations se sont montées progressivement dans les provinces, tentant chacune d’obtenir une amélioration ponctuelle sur le port insupportable du masque par exemple, mais avec bien des difficultés.

Mais ce sont les syndicats de l’éducation nationale qui sont le plus à blâmer, répétant à loisir les mensonges de leur administration, comme si leur seule obsession était de poursuivre un combat purement syndical sans tenir une seule seconde compte des tragiques conséquences tant scolaires que psychologiques sur les enfants, mais aussi sur les professeurs.

On parle de décrochage des élèves et étudiants, mais ne faut-il pas insister aussi sur celui des profs ?

37.000 décès, et ils continuent l’injection expérimentale !

Riposte Laïque : Pouvez-vous nous faire le point sur les effets secondaires du vaccin, en France et dans le monde ?

Nicole Delépine : Nous avons déjà, à de multiples reprises publié le point sur les effets secondaires officiellement reconnus sur les bases de données internationales, telle le Vaers américain, l’ANSM agence française, Eudravigilance pour l’EMA ou le MHRA pour la Grande- Bretagne.

L’augmentation exponentielle des effets rapportés n’a cessé de nous interpeller, en particulier par exemple le nombre de décès relaté par l’UE de plus de 37 000 en ce début janvier 22. L’interrogation majeure est de comprendre pourquoi les médecins ont accepté la poursuite de cette injection expérimentale (premiers résultats prévus en janvier 2023 selon clinicaltrials.gov ), devant un tel nombre de décès, alors que n’importe quel essai clinique a toujours été interrompu après quelques décès (par exemple le H1N1 a été stoppé après 53 décès).

Nous pouvons en ce jour donner les informations récentes fournies par la publication de lanceurs d’alerte militaires américains qui ont étudié les données militaires en comparaison aux années précédentes avant l’épisode covid.

« Outre le pic des diagnostics de fausses couches (avortements spontanés), on constate une augmentation de près de 300 % des diagnostics de cancer (d’une moyenne de 38 700 par an sur cinq ans à 114 645 au cours des 11 premiers mois de 2021). Il y a également eu une augmentation de 1 000 % des codes de diagnostic pour les problèmes neurologiques, qui sont passés d’une moyenne de base de 82 000 à 863 000 !

Voici d’autres chiffres donnés lors de l’interview :
⦁ infarctus du myocarde 269% d’augmentation
⦁ paralysie de Bell 291 % d’augmentation
⦁ malformations congénitales (pour les enfants de militaires) 156 % d’augmentation
⦁ infertilité féminine augmentation de 471%
⦁ embolies pulmonaires augmentation de 467%
Tous ces chiffres concernent les visites ambulatoires, car c’est là que se produisent la plupart des diagnostics dans l’armée. Cependant, Renz a dit que les augmentations étaient également indiquées chez les patients hospitalisés. J’ai vu l’une des déclarations sous serment de l’un des médecins militaires, qui dit ceci : « C’est mon opinion professionnelle que les augmentations majeures des incidences des cas de fausses couches, de cancers et de maladies susmentionnés sont dues aux « vaccinations » COVID-19″.

Nous pouvons aussi vous montrer les derniers tableaux de EudraVigilance qui résume les effets délétères reconnus par l’agence européenne qui même si tout le monde considère qu’ils sont sous-estimés restent très impressionnants.

Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure

Riposte Laïque : Pourquoi avez-vous éprouvé le besoin d’écrire ce livre ?

Nicole Delépine : Il nous a semblé que la multiplication des articles, vidéos, interviews, manifestations, tracts etc.… tant en France qu’à l’étranger, pourtant de plus en plus nombreux et souvent de grande qualité n’ont pas encore suffi à ouvrir les yeux de tant de personnes hypnotisés par le discours initial gouvernemental permanent d’un message unique des médias, aboutissant à l’hypnose bien décrite par des psychologues de la manipulation comme Ariane Bilheran.

Nous espérons que le format livre atteigne des personnes différentes, éloignées des réseaux sociaux et que dans l’immédiat, cette synthèse du sacrifice des enfants pendant ces deux ans puisse ouvrir des yeux à temps pour éviter la sinistre « vaccination » que le pouvoir essaie encore d’imposer alors qu’il sait l’épidémie terminée, qu’il sait que les enfants ne risquent rien et ne contaminent pas. Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure.

Si certains peuvent hésiter à injecter leurs petits, cela donnera le temps d’en sauver quelques-uns, de faire jour à cette sinistre plandémie dont le voile se déchire rapidement comme l’extraordinaire cortège vers Ottawa des routiers canadiens et américains et de la population le démontre depuis quelques jours. Espérons qu’ils gagneront et que l’effet domino permettra une libération rapide des autres peuples martyrs dans le monde.

Riposte Laïque : Que pensez-vous de l’attitude de certains de vos confrères, qui, sur les plateaux de télévision, multiplient les pressions sur le gouvernement pour qu’il accentue les mesures répressives contre les non-vaccinés ? Attribuez-vous cette attitude aux seuls conflits d’intérêt ?

Nicole Delépine : Le propre du régime totalitaire est d’arriver à dire 2 + 2 = 5 sans être choqué comme l’a bien démontré George Orwell. Il crée des conditions de manipulation de masse par un discours unique permanent, visible et subliminal, effaçant le reste et conduit à la capacité d’éliminer ce qu’on voit. On a vu, on refoule, et on voit quelqu’un qui dit ce qu’on a vu et celui-là on le diffame, on le maudit, on le maltraite.

Alors le comportement de nos confrères n’est pas homogène. Il y a les corrompus d’emblée, les employés de Big pharma qui n’ont fait que leur travail parmi lesquels des « grands professeurs » d’emblée sur les plateaux. Et puis il y a des situations plus complexes des niveaux intermédiaires.

La corruption pudiquement rebaptisée liens d’intérêts explique que beaucoup de ces confrères se comportent comme les représentants de commerce des marchands de vaccins ou de médicaments nouveaux hors de prix. Mais la corruption n’est pas uniquement financière; en disant ce que l’élite voulait les entendre dire, ils ont été invités sur les grands médias et se sont fait connaître sans que leurs travaux scientifiques, ni leur connaissances ne le justifient.

Le désir de reconnaissance médiatique parfois d’ailleurs relativement bien rémunéré en a conduit à la griserie des plateaux dans une société starisée et adepte de la téléréalité.

Une histoire antérieure de plusieurs décennies a conditionné les médecins

Mais n’oublions pas que la soumission de trop nombreux collègues a été conditionnée progressivement par la main mise de la sécurité sociale (vidée de son sens initial) et des agences régionales de santé sur les prescriptions via les références médicales opposables dès 1993, puis les recommandations rapidement imposées et les certifications, et le plan cancer qui a par exemple enlevé aux cancérologues tout pouvoir de prescription individualisée depuis les années 2000.
N’oublions pas non plus que dans les années 30 plus de 60% des médecins allemands étaient membres du parti nazi. Notre formation ne prépare guère à l’indépendance d’esprit.

Riposte Laïque : Nous sommes à moins de trois mois de l’élection présidentielle. Quel est votre regard sur la posture des principaux candidats, concernant la politique vaccinale des prétendants ?

Nicole Delépine : Il est évident que la posture des candidats sur la situation sanitaire permet de faire un tri rapide de ceux qu’il faut absolument éliminer de la sphère politique comme tous ceux qui les suivraient et convoiteraient des postes de députés ou conseillers municipaux ou autres. Tout candidat digne de ce nom doit clairement affirmer qu’il doit rendre aux médecins la liberté de pratiquer la médecine et qu’il faudra faire de plus un grand ménage dans l’organisation administrative du domaine de la santé. Notre ouvrage « soigner ou obéir » avait abordé ce sujet dans l’indifférence générale en 2016 lors de la précédente élection présidentielle. Ce travail est à reprendre et compléter. Nous sommes à leur disposition pour éclaircir ce domaine.

Riposte Laïque : Le passe vaccinal vient d’être mis en application, ce 24 janvier , en France. Castex a promis des allègements, dans trois semaines, si la situation sanitaire le permettait. Certains pays allègent le dispositif, comme la Grande-Bretagne ou l’Espagne, mais d’autres accentuent la pression, comme la Grèce et l’Autriche, qui veulent rendre la vaccination obligatoire, avec lourdes amendes pour les contrevenants. Pensez-vous, comme le dit régulièrement Florian Philippot, que c’est la mobilisation des Français, tous les samedis, qui empêche le régime d’aller plus loin ?

Nicole Delépine : Le pouvoir va rapidement être dépassé (y compris en Grèce ou en Autriche) puisqu’en quatre jours la situation est déjà complètement différente, et les mesures coercitives sont de plus en plus décalées avec la réalité qui nous entoure et en particulier le recul de tous les pays par rapport à leurs exigences initiales, y compris l’Autriche et l’Allemagne qui renoncent à imposer la vax obligatoire. Le gouvernement a déjà renoncé à faire appliquer le pass vaccinal en Guadeloupe.

Les manifestations hebdomadaires ont été évidemment d’une importance cruciale, démontrant une frange de population déterminée jamais prête à céder et se solidifiant par ces rencontres importantes en nombre et en symbolique. Il est évident qu’il va falloir passer à la vitesse supérieure et pourquoi pas, comme en Allemagne passer à des manifestations quotidiennes dans nombreuses villes de France en même temps, et pourquoi pas imaginer un convoi de la Liberté inspiré de nos amis canadiens.

Soyons sûrs que les résistants patriotes, gilets jaunes et autres s’unissent rapidement pour faire sauter TOUTES LES MESURES SANITAIRES devenues intolérables dans un monde où des pays voisins comme l’Espagne ou l’Angleterre revivent normalement et où la Suède n’a jamais abandonné cette vie normale d’antan.

A moins que le domino international n’aille encore plus vite ?

Riposte Laïque : Comment fait-on pour se procurer votre livre ?

Nicole Delépine : Dans toutes les bonnes librairies ou sur le site de FAUVES EDITIONS ou autres sites en ligne comme Amazon ou Fnac ou les sites de libraires en ligne

Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose ?

Oui, il faut rapidement sortir de cette tragédie, évitant les injections qu’on voudrait encore faire subir aux petits, mais aussi aux grands, puis passer à la reconstruction de notre système de santé, mais aussi de l’éducation nationale, etc…

Prendre soin de tous ceux que cette crise a abimés, en particulier les injectés hypnotisés ou les « malgré eux » qui ont accepté de se faire injecter pour sauver leurs revenus et nourrir leur famille etc. Les tentatives de traitement des effets secondaires vont se multiplier et il faudra en faire profiter nos amis, connaissances et surtout ne pas diviser, mais se réconcilier.

Remonter le moral des troupes dans un grand mouvement positif qui engagera chacun et lui redonnera des objectifs réparateurs permettant résilience et avenir ouvert et enthousiasmant. Une reconstruction post guerre mondiale de fait !

Bref pour nous tous du travail sur la planche et de nombreux projets de livres en ce qui nous concerne.

www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

https://t.me/DrDelepine  sur telegram




Risque civil et pénal pour le parent qui ferait injecter son enfant sans accord de l’autre parent !

Par Nicole Delépine

POURRAIT-ON SANS RISQUE FAIRE INJECTER SON ENFANT SANS L’ACCORD DE L’AUTRE PARENT ? 
Non ! RISQUE DE PLAINTE CIVILE ET PÉNALE

Le parent non consentant est en mesure d’engager la responsabilité civile TANT du parent qui prend l’initiative sans son accord que celle des tiers qui y procéderaient. Ceux-ci ne me paraissent pas pouvoir se retrancher derrière la présomption de l’article 372-2 puisqu’il ne s’agit PAS d’un « acte usuel ».

Les dispositions des lois votées depuis mai 2021 dans le cadre de la crise Covid ne sont en AUCUN CAS exclusives de la responsabilité pénale de chacun des intervenants.

Sur le consentement DU ou DES parents à l’injection des enfants

Par Maître X — https://t.me/maitreXOFFICIEL — Avocate dans un barreau français

En vertu des dispositions combinées des différents textes de loi adoptés depuis mai 2021, le législateur prétend que le consentement d’un seul des deux parents serait suffisant tant pour faire pratiquer un test de dépistage que pour faire « vacciner » un mineur.

La succession des dispositions, organisée comme toujours sous forme de jeu de piste, les dispositions récentes modifiant ou complétant les dispositions plus anciennes, découle des sources suivantes :

. Loi 2021-689 du 31 mai 2021, Art. 1 § II
https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000043567200/2022-01-28/

. Cette loi fut dans un premier temps mise à jour par la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021, art. 1er :
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000043909676

. Une nouvelle mise à jour découle de la loi n° 2022-46 du 22 janvier 2022.
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000045062855

À l’issue de ce parcours législatif, l’article qui nous intéresse aujourd’hui est donc rédigé de la façon suivante :

« G.-Lorsque le Premier ministre prend les mesures mentionnées au A du présent II, seule l’autorisation de l’un ou l’autre des titulaires de l’autorité parentale est requise pour la réalisation d’un dépistage ou l’injection du vaccin contre la covid-19, sans préjudice de l’appréciation des éventuelles contre-indications médicales.

Il en est de même lorsque le ministre chargé de la santé prend les mesures mentionnées aux articles L. 3131-1 et L. 3131-16 du code de la santé publique pour autoriser la vaccination des mineurs âgés d’au moins cinq ans. »

Or, la conformité de cette disposition pose différentes questions légales.

  • AU REGARD DE L’ARTICLE 372 DU CODE CIVIL

Le principe posé par le Code civil (Art. 372) est celui de l’exercice CONJOINT de l’autorité parentale. En d’autres termes, les décisions relatives aux enfants se prennent conjointement par les deux titulaires de l’autorité parentale.

De son côté, l’article 372-2 du Code civil autorise dans certains cas les parents à agir seuls, en étant « réputés agir avec l’accord de l’autre » à l’égard des tiers, mais uniquement lorsqu’il s’agit d’actes « usuels » de l’autorité parentale relativement à la personne de l’enfant.

Deux éléments, dans cette disposition, sont à relever :

  • Il ne vise que les actes « usuels » relatifs à la personne de l’enfant. L’administration d’un traitement médical, quel qu’il soit, et moins encore lorsqu’il s’agit d’un traitement en phase d’essai thérapeutique, fût-il nommé « vaccin » par les pouvoirs publics, n’est assurément PAS un « acte usuel » relatif à la personne de l’enfant.
  • En outre, cette disposition du Code civil est en réalité une protection accordée aux tiers avec qui l’un des parents serait en contact, et permettant à ce tiers de présumer l’accord de l’autre parent pour ces actes « usuels ».

Lorsque, comme c’est le cas dans l’hypothèse que nous étudions aujourd’hui, l’autre parent n’est PAS d’accord, et qu’il l’a expressément notifié, la responsabilité du parent qui tente de procéder malgré tout à cet acte me paraît déjà engagée sur le plan civil.

Ainsi il a été décidé qu’en cas de désaccord des parents, un établissement scolaire qui a connaissance de ce désaccord DOIT recueillir l’accord des deux parents pour chaque décision à prendre relativement à l’enfant (CAA Paris, 13/11/2020, 20PA01156).

En d’autres termes, cette possibilité d’agir SEUL n’est ouverte à l’un des parents que s’il est de bonne foi, et l’article 372-2 ne protège que les tiers, et seulement s’il s’agit d’actes « usuels ».

On voit dès lors mal à quel titre les lois prises depuis mai 2021 permettraient, sans violer le Code civil, à l’un des deux parents de décider seul et de faire procéder seul à une injection de matériel de thérapie génique sur l’un de ses enfants, lorsqu’il sait ne pas être en accord avec l’autre titulaire de l’autorité parentale.

Le parent non consentant est en mesure d’engager la responsabilité civile TANT du parent qui prend l’initiative sans son accord que celle des tiers qui y procéderaient. Ceux-ci ne me paraissent pas pouvoir se retrancher derrière la présomption de l’article 372-2 puisqu’il ne s’agit PAS d’un « acte usuel ».

En admettant même — quod non — qu’une loi puisse, sans le mentionner expressément, modifier une disposition du Code civil, les difficultés ne s’arrêtent pas là, comme nous allons le voir.

  • AU REGARD DU DROIT EUROPÉEN

Dans la hiérarchie des normes, le droit européen est supérieur au droit national.

Dans son règlement n° 536/2014 du Parlement et du Conseil, l’Union européenne a édicté de nombreuses règles relatives « aux essais cliniques de médicaments à usage humain ».

Le texte complet de ce règlement est accessible ici : https://bit.ly/3r7bVjl

En vertu de l’article 32 de ce règlement, et outre les conditions déjà prévues de façon générale pour l’ensemble des participants, il est obligatoire de recueillir le consentement éclairé du « représentant désigné légalement ».

J’ajoute à cela que si, comme nous venons de le voir, le droit du mineur prévoit l’exercice CONJOINT de l’autorité parentale, c’est donc logiquement l’accord des DEUX parents qui doit être recueilli, et, mieux encore, l’accord « éclairé », c’est-à-dire suffisamment informé ».

Le même article 32 prévoit en outre que pour être légal, l’essai clinique doit « se rapporter directement à une condition médicale touchant le mineur OU être d’une nature telle qu’il ne peut être réalisé que sur des mineurs » (Art. 32.1.f du règlement).

Les informations scientifiques à cet égard ne manquent pas pour démontrer que les enfants ne meurent quasiment pas du Covid, et que, la vaccination n’empêchant pas la transmission du virus, rien ne justifie qu’ils soient injectés, même pas la recherche d’une « immunité collective » qui ne sera manifestement pas atteinte grâce à ces injections. Les injections dites « vaccinales » contre le Covid-19 ne se rapportent donc absolument pas « à une condition médicale touchant le mineur » et ne sont pas « d’une nature telle qu’elles ne peuvent être réalisées que sur des mineurs ». C’est tout le contraire !

D’un autre côté, l’importance des effets secondaires remontés dans le monde entier et notamment les affections cardiaques (péricardites et myocardites) touchant des mineurs doit faire écarter la participation de ceux-ci aux essais thérapeutiques.

  • Au regard du droit pénal

Enfin, les dispositions des lois votées depuis mai 2021 dans le cadre de la crise Covid ne sont en AUCUN CAS exclusives de la responsabilité pénale de chacun des intervenants.

Les informations remontées dans le cadre de la pharmacovigilance démontrent la grande nocivité des injections.

Pour cette raison, différentes plaintes ont été déposées, notamment sur des incriminations d’empoisonnement et de complicité d’empoisonnement. Je me réfère, entre autres, à la plainte des associations Bons Sens, AIMSIB et Collectif des Maires Résistants, lancée contre les députés ayant participé à la commission mixte paritaire de la loi du 5 août 2021 (voir ici :

Plusieurs infractions pénales me semblent pouvoir être envisagées, en partant bien sûr du postulat que les injections sont potentiellement dangereuses, ce que nous démontrent les données de pharmacovigilance.

  • 223-1 du Code pénal : Mise en danger délibérée de la vie d’autrui

« Le fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. »

  • 221-5 du Code pénal :

« Le fait d’attenter à la vie d’autrui par l’emploi ou l’administration de substances de nature à entraîner la mort constitue un empoisonnement.

L’empoisonnement est puni de trente ans de réclusion criminelle.

Il est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu’il est commis dans l’une des circonstances prévues aux articles 221-2, 221-3 et 221-4.

Les deux premiers alinéas de l’article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à l’infraction prévue par le présent article. »

  • Article 222-19 al 1er du Code pénal :

« Le fait de causer à autrui, dans les conditions et selon les distinctions prévues à l’article 121-3, par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, une incapacité totale de travail pendant plus de trois mois est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende. »

Tout ceci étant posé, il me reste à vous proposer un outil pratique.

Si vous êtes dans la situation du parent NON-consentant et que l’autre parent insiste pour procéder à cette injection sur vos enfants mineurs, voici un modèle de courrier que je vous suggère de lui envoyer en recommandé avec AR si possible.

Vous pouvez envisager l’envoi de cette lettre par email, mais il vous faudra prouver qu’il l’a bien reçu, et en cas de litige cela peut poser de réelles difficultés. ! Si vous envoyez cela par email et que vous n’avez pas de réponse du destinataire (ce qui vous permettrait de démontrer qu’il a bien reçu le mail auquel il répond), je vous conseille de doubler alors l’envoi par un courrier recommandé ensuite.

Adaptez bien sûr en fonction de votre situation lorsque deux variantes sont proposées, séparées par un «  / »

« Cher/chère…

Je suis contraint(e) de t’adresser ce message par écrit vu les circonstances.

Tu as manifesté l’intention/le souhait de faire vacciner notre/nos enfant(s) contre la Covid-19 malgré mon désaccord sur ce point.

Pour appuyer les droits que tu estimes avoir à ce niveau, tu invoques les communications gouvernementales et télévisées expliquant que l’accord d’un seul des deux parents peut suffire pour autoriser une telle injection.

Or, il apparaît que la situation est, juridiquement, bien plus complexe.

  • Sur le plan civil, tout d’abord, le Code civil prévoit que l’autorité parentale doit s’exercer de façon CONJOINTE, ce qui implique un accord des DEUX titulaires de cette autorité (Art. 372 C.c.). Il n’a pas été expressément dérogé à cette disposition par la loi. En outre, soumettre un mineur à une injection de produit thérapeutique en phase d’essai clinique n’est PAS un acte “usuel” au sens de ce même Code civil, de telle sorte qu’un tiers ne pourrait pas présumer de mon consentement si tu te présentes seul.
  • Au niveau européen, soit à un niveau qui prime sur le droit interne, des dispositions sont également prévues. En vertu de l’article 32 du Règlement n+536/2014 du Parlement et du Conseil de l’Union européenne, il est obligatoire de recueillir le consentement de la personne qui, légalement, représente l’enfant. Ceci renvoie donc, pour le droit français, à l’article 372 du Code civil qui prévoit, par principe, une autorité conjointe.

Ce même article 32 du règlement européen indique que pour être légale, la participation du mineur à l’essai clinique doit se rapporter directement à une condition médicale touchant le mineur OU être d’une nature telle qu’il ne peut être réalisé que sur des mineurs » (Art. 32.1.f du règlement).

Or, et comme tu le sais, les enfants ne courent aucun risque face à cette maladie, et en toute hypothèse moins de risques que ceux liés à l’injection elle-même.

Il va de soi que les obstacles et discriminations posées actuellement par les gouvernements, et restreignant notamment la liberté de voyager, de participer à des activités, etc. ne sont PAS considérés comme des risques liés à la maladie elle-même, et qu’il n’est pas acceptable que notre/nos enfant(s) soi (en)t soumis à un essai clinique uniquement pour des raisons de confort liées à un voyage/une inscription à une activité/ etc. (complétez vous-même selon les motivations du parent concerné).

  • Enfin, sur le plan pénal, je t’informe que si tu devais exposer notre/nos enfant(s) à ce risque, une plainte serait immédiatement déposée sur base de l’article 223-1 du Code pénal (mise en danger délibérée de la vie d’autrui).

À cela s’ajoutent deux autres dispositions du Code pénal que je n’hésiterai pas à invoquer dans une plainte en cas de besoin :

. Art. 221-5 du Code pénal (atteinte à la vie d’autrui par l’emploi ou l’administration de substances de nature à causer la mort)

. Art. 222-19 al 1er (visant tout acte de nature à causer une ITT pendant plus de 3 mois, par maladresse, imprudence, inattention ou négligence).

Il est dès lors INDISPENSABLE, tant en vertu de la loi française que du droit européen que nous agissions DE COMMUN ACCORD quant à toute décision relative à la santé de notre/nos enfant(s). Je t’exprime dès lors, de façon formelle, MON DÉSACCORD COMPLET pour toute « vaccination » en l’état actuel des choses.

Merci d’en prendre note.

(Il vous reste à terminer la lettre comme vous le souhaitez).

Gardez toujours une copie exacte de ce qui a été envoyé, et ce au format papier (en plus de l’éventuelle copie du mail dans votre ordinateur.


Merci à Maître X de son aide pour vous proposer un modèle de lettre si malheureusement vous êtes dans cette situation dramatique qui manipule familles et enfants.

et pour les informations sur les risques de cette injection appelée abusivement « vaccin » notre synthèse vient de paraître :

Voir aussi :

Les enfants sacrifiés du Covid

et :

Les enfants sacrifiés du Covid — Morceaux choisis

Des extraits significatifs du dernier livre des docteurs Nicole et Gérard Delépine.




Lettre ouverte aux services de police de l’Ontario, relative à l’absence de preuves de l’existence du SRAS-CoV-2

Par Christine Anne Massey

Traduction : Jean Bitterlin

À l ’attention immédiate de :
Sylvia Jones (Solliciteur Général de l’Ontario)
et tous les membres des Services de Police de l’Ontario

LETTRE OUVERTE ET COMMUNICATION D’URGENCE

Dossier de Preuves et Exposé de Faits :
ON N’A JAMAIS PROUVÉ L’EXISTENCE DU « VIRUS COVID-19 »
« LE COVID-19 » EST UN MENSONGE MONDIAL

Avis : Atteinte et Responsabilité

CESSEZ ET ABANDONNEZ TOUTE INGÉRENCE « COVID-19 »

Agissez selon vos serments solennels qui exigent de protéger et de servir
Nous le Peuple

Enquêtez, Portez plainte, Procédez à des Arrestations ou Démissionnez

Déposé au Service de Police de Peterborough
500 Water St, Peterborough, ON K9H 3M3
Le 18 décembre 2021

À l’attention immédiate de :
Sylvia Jones (Solliciteur Général de l’Ontario)
Et à tous les membres des services de Police de l’Ontario
En service ou hors service, parmi lesquels mais pas seulement :

  • Sylvia Jones (a woman who sometimes ACTS as: Solicitor General of Ontario)
  • Gary Conn (a man who sometimes ACTS as: President, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Chatham-Kent Police Service)
  • Antje McNeely (a man who sometimes ACTS as: Immediate Past President, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Kingston Police)
  • Nishan Duraiappah (a man who sometimes ACTS as: First Vice President, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Peel Regional Police)
  • Daryl Longworth (a man who sometimes ACTS as: Vice President, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Woodstock Police Service)
  • Jim MacSween (a man who sometimes ACTS as: Vice President, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, York Regional Police)
  • Roger Wilkie (a man who sometimes ACTS as: Vice President, Ontario Association of Chiefs of Police; Deputy Chief, Halton Regional Police Service)
  • Scott Tod (a man who sometimes ACTS as: Secretary-Treasurer, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, North Bay Police Service)
  • Jeff McGuire (a man who sometimes ACTS as: Executive Director, Ontario Association of Chiefs of Police)
  • Thomas Carrique (a man who sometimes ACTS as: Director, Canadian Association of Chiefs of Police; Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Commissioner, Ontario Provincial Police)
  • Jodie Boudreau (a woman who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Assistant Commissioner, Ontario Provincial Police)
  • James Ramer (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Interim Chief, Toronto Police Service)
  • Jeff Skye (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Deputy Chief, Treaty Three Police Service)
  • Sylvie Hauth (a woman who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Thunder Bay Police Service)
  • Hugh Stevenson (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Sault Ste. Marie Police Service)
  • Mark MacGillivray (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Smiths Falls Police Service)
  • Tim Farquharson (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Deputy, Peterborough Police Services)
  • Frank Bergen (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police, Chief, Hamilton Police Service)
  • Craig Ambrose (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Owen Sound Police Service)
  • Mark Campbell (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Strathroy-Caradoc Police Service)
  • Paul Pedersen (a man who sometimes ACTS as: Director, Canadian Association of Chiefs of Police; Chief, Greater Sudbury Police Service)
  • Bob Hall (a man who sometimes ACTS as Member, Peterborough Police Services Board)
  • Les Kariunas (a man who sometimes ACTS as Member, Peterborough Police Services Board) Diane Therrien (a woman who sometimes ACTS as: Member, Peterborough Police Services Board; Mayor, Corporation of the City of Peterborough)
  • Gary Baldwin (a man who sometimes ACTS as Member, Peterborough Police Services Board) Mary ten Doeschate (a woman who sometimes ACTS as Member, Peterborough Police Services Board)
  • Scott Gilbert (a man who sometimes ACTS as a Chief, Peterborough Police Services)

Avis : Atteinte à la personne, Responsabilité, Mise en Demeure

Chers Sylvia, Gary, Antje, Nishan, Daryl, Jim, Roger, Scott, Jeff, Thomas, Jodie, James, Jeff, Sylvie, Hugh, Mark, Tim, Frank, Craig, Mark, Paul, Bob, Les, Diane, Gary, Mary, Scott, etc… :

Moi, Christine Anne de la famille Massey, présente une procédure de violation, de responsabilité et mise en demeure, avec des preuves vérifiées, et avec un groupe de pairs la présente à la « commission des services de police de Peterborough », ce samedi 18 décembre 2021.

Les mêmes preuves ont déjà été présentées à :

  • Avis : Atteinte à la personne (N° de fichier OPP : 2545021-0051) le 13 septembre 2021 à la POLICE PROVINCIALE DE L’ONTARIO. (OPP signifie Ontario Provincial Police — NdT)
  • Avis : Atteinte à la personne (N° de fichier : SM 21028560) le 12 novembre 2021 à la commission des services de police de SAULT STE MARIE.
  • Avis : Atteinte à la personne (N° de fichier : SU 21084581) le 30 novembre 2021 à la commission des services de police de SUDBURY.

Bref exposé des faits « COVID-19 », incluant des transgressions et des responsabilités :

  1. Un présumé « virus » doit être purifié (c’est-à-dire isolé) avant de pouvoir être séquencé, caractérisé et doit être étudié à l’aide d’expériences de contrôle.
  2. Le séquençage et la caractérisation sont nécessaires pour l’identification d’un « virus » spécifique.
  3. Des expériences répétées de contrôle sont nécessaires pour la détermination de la cause, par un « virus », de la maladie.
  4. La purification d’un présumé « virus » prélevé sur de nombreux échantillons de malades, et ensuite la caractérisation, le séquençage et les expériences répétées de contrôle sont nécessaires avant de l’on puisse logiquement et scientifiquement conclure que ce « virus » circule dans les humains et est la cause d’une présumée nouvelle maladie.
  5. Il est impossible de valider un « test » sans référence absolue (en anglais « gold standard » — NdT)
  6. Il est impossible de valider un « test » dont on affirme qu’il « confirme » la présence d’un « virus » (ou une « infection virale ») avant qu’il n’ait été prouvé que le « virus » existe.
  7. Il est impossible de valider un « test » dont on affirme qu’il « confirme » une « maladie virale » avant qu’il n’ait été prouvé que le présumé virus 1) existe et 2) cause la maladie.
  8. Les études publiées dans lesquelles les auteurs affirment avoir « isolé » et « séquencé » le présumé « virus COVID-19’ (c’est-à-dire le “SARS-CoV-2’) (ou tout autre présumé virus, y compris le SARS-CoV-1) ne décrivent pas l’isolation/purification d’un présumé virus à partir d’échantillons de malades (ou de quoi que ce soit d’autre).
  9. Les études publiées dans lesquelles les auteurs affirment avoir « isolé » et séquencé le “présumé “SARS-CoV-2’ (ou tout autre présumé virus, y compris le SARS-CoV-1) ne décrivent pas l’extraction du matériel génétique à partir d’un échantillon purifié du ‘virus’ ou ne décrivent pas la découverte/détermination d’un ‘génome viral’.
  10. Les réponses d’accès à l’information (fondée sur le principe du droit à l’information, la FOI — Freedom of Information, liberté d’accès à l’information — oblige les agences fédérales américaines à transmettre leurs documents à quiconque en fait la demande, quelle que soit sa nationalité sous peine d’être condamnées — NdT) de 41 institutions (parmi lesquelles l’Agence de Santé Publique du Canada, Santé Canada et toutes les 5 institutions canadiennes qui ont affirmé avoir ‘isolé le virus’) et les réponses d’accès à l’information et les documents judiciaires de 100 autres institutions de plus de 25 autres pays montrent que les gouvernements et les institutions de santé/science du Monde entier ont de manière uniforme échoué à fournir ou à citer ne serait-ce qu’un rapport décrivant la purification du présumé ‘SARS-CoV-2’ (ou de tout autre présumé ‘variant’) provenant d’un échantillon de malade, par quiconque, où que ce soit sur Terre.
  11. Les réponses FOI provenant du Centre du Contrôle de Maladies et de la Prévention US (le ou les célèbres CDC — NdT) ou d’ailleurs n’ont produit aucun rapport décrivant la purification du présumé ‘virus SRAS’ de 2003 ou d’aucun ‘coronavirus’ du rhume, par quiconque, où que ce soit sur Terre.
  12. Les gouvernements et établissements de santé/science du Monde entier ont démontré qu’ils n’étaient pas en mesure de prouver l’existence du présumé ‘SARS-CoV-2 (ou de tout ‘variant’ présumé).
  13. Les gouvernements et établissements de santé/science du Monde entier ont démontré qu’ils n’étaient pas en mesure de prouver que le présumé ‘SARS-CoV-2 (ou de tout ‘variant’ présumé) est la cause de quelque maladie que ce soit, nouvelle ou ancienne.
  14. Toutes les réponses FOI mentionnées ci-dessus et documents du tribunal sont accessibles au public à l’adresse URL suivante :
    https://www.fluoridefreepeel.ca/fois-reveal-that-health-science-institutions-aroundthe-world-have-no-record-of-sars-cov-2-isolation-purification/
    et en compilation PDF dans des unités de stockage aux adresses URL suivantes :
    https://tinyurl.com/IsolationFOIs ;
    http://bit.ly/awcevidence.
  15. Tous les tests, diagnostics, statistiques, projections, modélisations et injections ‘COVID-19’ quelle que soit leur nature ne sont pas valides et en fin de compte basés sur des illusions, des idées fausses, de mauvaises interprétations, de l’ignorance, de l’incompétence, une information incomplète et/ou des fraudes intentionnelles.
  16. Toutes les ingérences dans les vies et corps d’hommes, de femmes ou d’enfants (y compris les enfants à naître) associées au ‘COVID-19 ont été des abus illégaux ; parmi celles-ci (mais non limitées à) tous les ordres, les intimidations, les menaces, les amendes, les contraventions, les arrestations, les incarcérations, les saisies, les fermetures, les restrictions publiques de toute sorte (parmi lesquelles les hôpitaux, les écoles, les tribunaux, les commissariats, les magasins, les parcs, les centres de loisirs, etc.), les refus de fournir des services et les refus de fournir des emplois rémunérés, imposés et/ou appliqués par des responsables politiques, les personnels médicaux, les employeurs et les directions et membres des corporations des services de police de l’Ontario, etc.
  17. Tout homme ou toute femme qui illégalement agit contre un homme, une femme ou un enfant est responsable de tout préjudice ou dommage qu’ils causent.

J’appose mon sceau ci-dessous, et déclare que les ‘faits COVID-19’ ci-dessus sont vrais, sous peine de mort.

Christopher James de la famille Pritchard, Gabriel Gilles de la famille Proulx (OPP) (OPP pour Ontario Provincial Police — NdT), Liam James de la famille Brechin, et Timothy Miles de la famille Calhoun (Chef adjoint à la retraite/31 ans de service chez les pompiers) apposent également leurs sceaux et font la même déclaration.

D’autres preuves irréfutables vérifiables concernant la fraude et les transgressions COVID-19 sont disponibles sur un disque de stockage à l’adresse URL suivante : bit.ly/awcevidence

Cela inclut :

LA FRAUDE COVID-19 & LA GUERRE CONTRE L’HUMANITÉ
(preuve avérée à cette affirmation déposée)
par le Dr Mark Bailey et le Dr John Bevan-Smith :
https://drsambailey.com/2021/11/11/the-covid-19-fraud-war-on-humanity/

[Voir aussi, en français :
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité]

UN MEURTRE SE DÉROULE, SOUS VOTRE SURVEILLANCE :

Les dispositions éthiques d’une intervention médicale exigent la divulgation complète et un consentement réellement volontaire. Le Code de Nuremberg est reconnu dans le Monde entier, parce que l’expérimentation médicale sans consentement légal était censée ne PLUS JAMAIS se produire à l’encontre de l’Humanité. Toutes les personnes chargées de l’application de la loi sont tenues de faire respecter cela.

Notez également que dans le domaine juridique, à l’intérieur duquel opère habituellement la Police Canadienne, l’article 245 du Code Criminel du Canada déclare : ‘Quiconque administre ou fait administrer à toute personne ou fait en sorte qu’une personne prenne un poison ou toute autre chose destructrice ou nocive est coupable…’

Et pourtant, sans exagération aucune, les preuves telles que déposées factuellement prouvent sans doute possible que :

  • « Le COVID-19 » est un mensonge mondial,
  • On n’a jamais pu prouver l’existence du présumé virus et des présumés variants ou qu’ils soient la cause de quelque maladie que ce soit,
  • Il n’y a aucune raison d’introduire les tests « COVID-19″’, les injections ou les « mesures » de quelque nature que ce soit,
  • Il n’y a aucun fondement même pour les termes « 2019-nCoV », « SARS-CoV-2 » ou « COVID-19 »,
  • Les hommes, femmes, enfants et enfants à naître du Monde entier ont été terrorisés et soumis à un empoisonnement atroce et illégal, à une expérimentation médicale, et à des fautes professionnelles médicales ;

Abus : Terrorisme, méfait et crimes contre l’Humanité se produisent ici en Ontario. L’administration d’interventions médicales inutiles, toxiques et invasives qui sont ‘acceptées’ sans pleine divulgation et suite à des propos alarmistes sans fondement, des menaces, du harcèlement, de la coercition, de la manipulation et de la désinformation provenant d’hommes et de femmes se faisant passer pour des ‘experts en santé publique’ et des ‘fonctionnaires’ est infâme, ne sera pas tolérée et ne restera pas sans conséquences pour les coupables et les complices.

Un meurtre est un meurtre, que le décès soit instantané ou lent.

UN EXPOSE DES FAITS GÉNÉRAUX :

  1. Tout homme ou femme qui agit illégalement contre un homme, une femme ou un enfant est responsable de tout préjudice ou dommage qu’il cause.
  2. À moins que vous ne puissiez établir avec des preuves vérifiables écrites un ou plusieurs des points suivants, alors aucun d’entre vous n’a de droit sur moi (nous le peuple) et il en va de même pour les autres hommes/femmes/personnes qui sont sous vos ordres ou de tout autre organisme de fonction publique qui tente de contrôler les gens :
  • Qui prétend que moi (nous le peuple) suis la propriété de tout homme ou femme qui agit en étant au service d’une corporation.
  • Qui présente un contrat où je renonce à mes droits inaliénables en faveur de tout homme ou femme.
  • Qui présente un contrat où je renonce à mes droits inaliénables en faveur des organismes de fonction publique que vous représentez.
  • Qui produit une preuve vérifiable que le Canada ne reconnaît pas la Loi de Dieu sur ce pays.

CESSEZ ET RENONCEZ

Nous exigeons de toutes les personnes qui agissent en tant que fonctionnaires de cesser et de renoncer à toute ingérence ‘COVID-19’, et à toutes les autres ingérences illégales de toute nature, parmi lesquelles le refus d’exercer votre mission auprès d’hommes, femmes et enfants qui n’ont pas eu l’injection COVID-19, et de renoncer, pour les agents de police de l’Ontario, d’avoir à choisir entre les exigences de port du masque et le refus d’un emploi rémunéré.

ENTRAVE À LA JUSTICE DANS NOS TRIBUNAUX PUBLICS

De plus, l’homme, Christopher James de la famille Pritchard, dont le sceau est apposé sur ce document et sur tous les trois dépôts antérieurs mentionnés ci-dessus, vous offre une aide immédiate à vous et à vos organismes afin de répondre à ces faits horribles qui demandent votre intervention immédiate. Cet homme et d’autres sont privés du droit d’accéder à nos tribunaux publics à Milton et Barrie par des fonctionnaires et des membres du barreau. Ceci exige votre intervention immédiate.

Il est prouvé, vérifié sur les registres publics que « les règles de procédure civile » ne s’appliquent PAS à nous le peuple.

Nous avons de nombreuses communications avec des élites agissant en tant que « hauts magistrats » dont AUCUN n’a réussi à produire les preuves requises disant que les règles s’appliquent à nous le peuple pour avoir accès à un tribunal public et de présenter nos demandes et saisir la justice. Ces personnes agissant aux dits tribunaux commettent une obstruction massive et cautionnent le terrorisme même qui est vérifié, ce qui nécessite que le tribunal des réclamations doit aller de l’avant à l’extérieur d’une société privée (BAR) qui n’a AUCUN droit, sur tout homme ou femme, de leur refuser de solliciter l’administration de la justice dans nos tribunaux PUBLICS. Ils BLOQUENT l’accès requis sans en avoir le droit.

Réglez cela immédiatement. Christopher James a toutes les preuves et communications prouvant cette affirmation.

POUR L’AVENIR

La fraude et la manipulation ont été commises à l’encontre de nous tous et de nos proches, et toutes les personnes citées dans cette communication (la liste des officiers de police destinataires de la lettre qui est au début — NdT) continuent à se dresser contre nous le peuple, à cause du manque de connaissances.

Il n’y a plus d’excuse maintenant. Le temps est venu pour être une lumière dans ce Monde. Vos serments de protéger et de servir doivent tous vous guider tel un phare lorsque nous arrêterons ensemble cette attaque menée par des entités nationales et étrangères, conçues pour détruire notre pays et pour détruire, en fin de compte, le Monde. C’est notre heure… protégez la population !!!

Choisir la recherche de la vérité et s’y tenir exige du courage. Nous demandons que vous trouviez ce courage, enquêtez sur cette affaire le plus vite possible et apportez des preuves qui vont à l’encontre de nos revendications, sinon accomplissez votre devoir envers la population qui est d’AGIR et de mettre un terme à la fraude COVID-19, au meurtre et au terrorisme qui se produit dans nos communautés. Si vous ne voulez pas remplir votre devoir envers vos semblables, démissionnez.

Une fois que l’un d’entre vous, à l’intérieur de l’un de vos organismes de la fonction publique, est prêt à prendre position… des millions d’honorables hommes et femmes attendent et sont prêts à passer à l’action afin d’être debout avec vous, épaule contre épaule, pour combattre ce mal.

Maintenant notre heure est venue de passer à l’action et d’affronter ensemble ce mal. Que Dieu soit avec nous tous. Que la grâce surabonde.

CONTACT — INFORMATION :

Christine Anne de la famille Massey 580 Fagan Avenue Peterborough, ON K9J 4J1
cmssyc@brigitteChristopher
James de la famille Pritchard awarriorcalls@outlook.co

Traduction Jean Bitterlin le 23 janvier 2022

[Voir aussi, en plus de l’article mentionné plus haut par l’auteure :
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
L’interprétation erronée du virus — 2e partie]




Allons-nous remplacer une dictature de la minorité par une dictature de la majorité relative ?

Par Alain Tortosa

Tel pourrait être le slogan retenu par une forte proportion de résistants qui s’opposent à la dictature actuelle.
Je n’évoque ici que ceux qui ont des projets qui me semblent réalistes et non les porteurs d’utopie (même si l’utopie est source d’espoir) qui nous baignent dans l’amour des peuples et une vraierévolution mondiale.

Nous les résistants sommes plutôt unanimes sur le constat :

« Notre président, pantin de forces qui nous dépassent, nous a, par ses seules décisions, imposé la pire des dictatures que nous ayons connue depuis des décennies, voire plus… »

Je serais généreux en disant que 10 % des Français adhèrent encore à son modèle de société et nous sommes bien d’accord pour réaffirmer qu’il s’agit bien d’une forme de coup d’État, d’une prise de contrôle d’une petite minorité sur l’ensemble du peuple français…
(10 % c’est les voix obtenues par Larem au premier tour des élections régionales 2021 tandis que les instituts de sondage prêtent 24 % au premier tour des présidentielles 2022 à E. Macron et une réélection, quel que soit le cas de figure !)

Pour autant, quand j’écoute les opposants, les mots de référendum, qu’ils soient initiés par le gouvernement ou par le peuple, ne représenteraient que la mise en œuvre de la dictature d’une majorité relative…

Certains croient (naïvement) qu’il y aurait une « Humanité », un peuple « bon » qui voudrait aller à l’unisson dans la même direction…

Atterrissez un peu s’il vous plaît…
Il suffit que deux personnes discutent politique (au sens noble du terme) pour voir émerger très très vite de profonds désaccords…

Prenons l’exemple de la dictature actuelle, certains vous diront :

« C’est une secte juive dissidente qui cherche à provoquer l’apocalypse pour accélérer l’arrivée du Messie et réduire la population mondiale. Ils sont « en mission pour le Seigneur(([1] Livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? »))» comme disait le PDG de Goldman Sachs (si je ne me trompe).
Regardons à qui appartiennent les plus grandes banques d’affaires. »

« C’est une opération financière organisée par les plus grandes fortunes mondiales dont l’enrichissement a été colossal ces deux dernières années.
Comme d’habitude les pauvres plus pauvres et les riches plus riches. »

« C’est la dictature communiste qui étend encore plus son emprise et la volonté de faire de tout habitant de la Terre un esclave grâce au « crédit social à la chinoise ».
« Au nom de la prétendue sécurité et du prétendu bien commun, les libertés individuelles doivent disparaître.
La crise dite sanitaire a vu une explosion des mesures liberticides. »

Personnellement j’aurais plutôt tendance à penser que c’est une alliance (contre nature) de ces trois-là.
Une opportunité de convergence même s’ils ne partagent rien ou pas grand-chose hormis leurs pathologies narcissiques ou psychopatiques…
Tout ceci pour vous dire à quel point l’unanimité est impossible.

Si à cela vous rajoutez ceux qui n’en ont rien à foutre, les moutons, les paniqués du Covid, il va être bien difficile de marcher tous dans le même sens.

Et si vous posez la question au peuple français « voulez-vous moins de liberté ? », la réponse sera bien évidemment majoritairement « oui ».

Alors quand dans une conversation vous passez de deux à trois personnes, un jeu d’alliances s’imposera et conduira à un conflit…

Alors :

  • Si vous me proposez d’être le dictateur autocrate, je n’y serai peut-être pas opposé même si le poste ne garantit pas une mort naturelle…
  • Si vous me proposez d’être le dictateur démocratiquement élu par une majorité relative de Français (donc une minorité), il est probable que j’adhère au poste.
    J’endosserai alors le costume de « dictateur bienveillant » quand bien même j’imagine que la plupart des dictateurs psychopathes se pensent aussi bienveillants.
  • En revanche, si vous me proposez d’être sous le joug de l’un ou de l’autre, ma situation personnelle ne sera pas fort différente, quelle que soit la procédure d’arrivée du dictateur.

Que faire donc pour ajouter un peu de démocratie dans la dictature démocratique ?

Convenez qu’il n’est pas possible d’appeler « démocratie » un système qui impose à une majorité un modèle qui n’est pas le sien…

Se faire élire en affirmant que l’on consultera le peuple pour les décisions c’est :

  • Soit mentir pour être élu (efficace, habituel, mais p as populaire à long terme).
  • Soit démissionner à court terme parce que le peuple voudra, et plus vite que l’on ne le croit, une voie qui est à l’opposée de ses propres convictions.
  • Soit appliquer des décisions à l’encontre de ses valeurs ce qui ne doit pas être réjouissant…

Le scrutin majoritaire à deux tours

L’arnaque suprême des élections en France est le scrutin majoritaire à deux tours.
Un Président ou un député obtiendra au mieux 20 % au premier tour.
Et ce alors même qu’il aura fraudé sur les urnes, qu’il aura été proposé et financé par les lobbyistes, soutenu par un parti et odieusement plébiscité par des médias corrompus…

Ce politicien qui ne représente au mieux que 20 % des électeurs inscrits sera donc officiellement élu « à la majorité »…. Fou rire dans la salle.
Le pays sera ainsi gouverné par une personne que 80 % des électeurs ne souhaitaient pas…

Prenons l’exemple d’Emmanuel Macron en 2017 qui a obtenu au premier tour 24 % des voix exprimées, soit 18 % des é lecteurs inscrits au premier tour.(([2] https://mobile.interieur.gouv.fr/Archives/Archives-elections/Election-presidentielle-2017/Election-presidentielle-2017-resultats-globaux-du-premier-tour))

Ce qui veut dire que seuls 15 % des Français de plus de 15 ans ont choisi M Macron !
J’entends qu’il serait difficile de faire voter les bébés, mais ramené à la population totale du pays, seuls 13 % des Français l’ont choisi comme Président de la République. Un français sur dix !

Et grâce à la mascarade du 2e tour, politiques et médias ne se privent pas de dire qu’une majorité de Français a voté pour le président élu.

Et ce, je le répète, en tenant compte du fait que seuls les candidats adoubés par le système ont le droit de se présenter (500 signatures des grands électeurs, maires, dont les signatures ne sont plus désormais anonymes), une puissance financière (occulte) indispensable et un soutien des médiascomplices.

Bref le candidat élu ET choisi ET adoubé par le système arrivera au pouvoir avec 15 % des voix des Français de plus de 15 ans !

Quand on pense que 85 % de ces Français n’ont pas choisi « leur » président élu, il en deviendrait presque logique d’adopter l’exact inverse de ses décisions politiques.

La représentativité du candidat choisi

Se pose un autre problème… celui de l’incarnation de ses valeurs et de ses projets politiques dans un candidat unique.
La notion de gauche, centre, droite n’a plus aucun sens en ces temps de dictature, d’Europe et de souverainisme.
Qui aurait cru il y a dix ans que ce que les médias appellent « l’extrême droite » ou « populistes » serait les défenseurs de nos libertés face à la dictature sanitaire ?

Des communistes, de Mélanchon, à Larem, en passant par Valérie Pécresse et jusqu’à Zemmour ou Marine Le Pen, que des enfermistes voulant vous priver de vos droits civiques et vous vacciner de force pour le « bien commun » et la « sécurité » !

Certains voyant le vent tourner comme Mélanchon ou Marine Le Pen commencent à se rallier par opportunisme du côté des défenseurs des libertés même si cela sonne vraiment faux…
Bref, difficile de se reconnaître dans les valeurs de ces personnes qui prônent le contraire des libertés…

De plus la gauche d’aujourd’hui n’incarne plus le « il est interdit d’interdire », mais le woke, le IEL et autres destructions de la famille et une somme d’interdits légaux et moraux de plus en plus imposants.

Quant à la droite dite « traditionnelle », qui est censée défendre la famille, la liberté d’entreprendre (et même l’ultralibéralisme, un monde sans frontières et sans règles) c’est la sécurité et l’inter dit quisont devenus le socle fondateur.

Du contrôle, du contrôle, du contrôle !

Comment une personne qui prône les droits de l’homme pourrait-elle s’incarner dans un candidat « traditionnel » ?

Au-delà de leur soif d’esclavage et de soumission des peuples, comment pourrais-je me reconnaître dans un politicien de l’échiquier « standard » ?

Imaginez qu’à titre personnel je serais :

  • Plutôt qualifié de gauche pour ce qui est de la justice sociale.
    Je suis totalement choqué que des fortunes privées soient plus importantes que des États, que le Sud soit notre réserve d’esclaves, que 1 % de la population possède plus que 99 % du reste, que l’on pourrait éradiquer définitivement la faim dans le monde en claquant des doigts (cf « 7 milliards d’esclaves et demain ? »).
    Je pense aussi que le droit à l’eau, à l’énergie, à l’éducation devrait être inscrit dans la constitution…
    Valeurs qui sont donc « censées » être le socle de la gauche.
  • En revanche sur un plan économique je suis pour la liberté d’entreprendre, la liberté tout court, la liberté de réussir, le droit à la propriété et pour un capitalisme terrien régulé et humain… (distributisme) qui serait plutôt qualifié de droite.
  • Et pour les valeurs sociétales, au risque de choquer une fois de plus, je suis pour la famille, contre la procréation assistée de couples non mixtes, pour une limitation (et surtout une évaluation) de l’avortement, ainsi qu’absolument opposé au IEL et au renoncement de Disney à mettre des nains dans le futur remake de Blanche Neige et les sept nains.
    J’imagine qu’ils seront remplacés par des adultes pédophiles ou des enfants transgenres multiethniques.
    Bref je pourrais être qualifié d’extrême droite tendance Cro-Magnon par certains…

Pensez-vous sincèrement qu’il va m’être aisé de trouver un candidat qui adhère à l’ensemble de mes valeurs phares ?
Pas gagné…

Donc de nos jours, à moins d’être dans le moule d’un candidat formaté dit de gauche, centre ou droite et de renoncer à nos libertés qu’ils ne portent pas, la majorité des électeurs sont condamnés à la « trahison » dès lors qu’ils choisiront un candidat désigné par le système. Existe-t-il des solutions ?

La fin du mythe de la démocratie basée sur la majorité relative

Oublier le mythe que nous français serions UN avec les mêmes idées, espoir s, valeurs ou désirs…
Oublier que nous pourrions majoritairement adhérer à une politique issue des urnes.
Nous sommes des humains, tous différents, bien que le système cherche à nous formater et nous décérébrer depuis des dizaines d’années.
L’ultralibéralisme et la dictature chinoise veulent faire de nous des zombies et des ultra consommateurs, mais il demeure quand même quelques millions de Français chez qui ça ne prend pas…

« Tous consommateurs, tous endettés, tous prisonniers de notre prison dorée, tous serviles. »

Des valeurs communes ?

Que n’ai-je été à critiquer pendant des années le modèle américain !…
Quelle tristesse de voir des communautés vivre séparément, ne partageant même pas la langue (là je n’adhère pas du tout).

Hormis les dernières années où tout est mis en œuvre pour que démocrates et républicains s’affrontent (je simplifie), on pouvait parler d’une unité de l’Amérique.
De nombreux habitants des USA, même s’ils ne semblent avoir rien en commun, adhèrent et sont réellement fiers d’être américains (le sujet n’est pas de savoir s’ils ont à l’être ou pas).
Cela veut dire que toutes ces différences, toutes ces communautés ont un socle commun, des valeurs communes et adhèrent à une entité plus grande que leur communauté d’origine et qu’ils nomment « les États-Unis d’Amérique ».

Nous devons ouvrir les yeux et il est plus que temps de faire le deuil du mythe de l’intégration à la française qui se veut plus une assimilation.
Nous voyons bien que c’est un échec total.

Le danger de l’assimilation ?

L’assimilation engendre de fait de la peur, de la défiance et au final le rejet.
Si je suis étranger et que l’on définit la France comme étant rigide et figée qui refuse tout de l’extérieur, alors je ne vais pas me reconnaître dans cette France et je vais me réfugier dans le communautarisme et me replier sur moi-même.

Donc au contraire de m’ouvrir, au contraire de me nourrir de ce qui fait de la France une terre des Lumières, je vais m’enfermer de plus en plus, m’isoler de plus en plus et défendre un passéisme auquel je n’aurais pas adhéré naturellement.

Ainsi l’autre, celui qui n’est pas comme moi, devient de fait une menace… et donc un ennemi.
À trop vouloir une assimilation utopique, car totale, je dirais même une dissolution d’autrui dans un moule, je transforme mon pays en tribus hostiles qui ne partagent plus rien, qui n’ont plus un idéal commun, ce qui au final est totalement contre-productif.

J’ai peur de fait que nous allions de plus en plus vers la désintégration, car à la différence des USA (d’antan), nous sommes nombreux à nous sentir rejetés (encore plus avec la dictature sanitaire) et endehors du moule des valeurs communes qui ne semblent plus exister.

Si l’on reprend l’exemple de la « plandémie », le pouvoir a tout fait pour opposer les paniqués et les rassurristes, les pro-esclavage « pour le bien de tous » et les pro-liberté individuelle.
Au point qu’il ne faudrait qu’une petite étincelle pour enflammer la poudre et provoquer une guerre civile.

« Liberté, égalité, fraternité. »

Nous avons la chance d’avoir un passé riche, riche de siècles de royauté, de chrétienté, comme riche de siècle des Lumières, de la république et d’un idéal démocratique.

Inutile de réinventer la roue, il suffit de se rendre devant n’importe quels mairies ou palais de justice et lire :

« Liberté, égalité, fraternité »

Et ce n’est pas un hasard si le mot « liberté » est en premier…

Il ne peut y a avoir démocratie ou droits de l’homme sans mettre le mot liberté avant tout !

Si vous avez le malheur d’écrire, « santé », « sécurité » ou « intérêt général » en tête de gondole alors vous ouvrez en grand les portes de la dictature où l’individu passera après un « grand tout ».

Nous en avons eu l’illustration durant la dictature sanitaire que nous vivons qui a poussé sa perversion et son ignominie à sacrifier la jeunesse, l’innocence et la santé d’enfants dans le but de protéger officiellement des grabataires en fin de vie à qui l’on interdisait et interdit toujours tout traitement.

Au nom d’un prétendu « intérêt général », la dictature a réduit à néant notre liberté de déplacement, notre liberté à vivre sans masque, notre liberté de choix médical, notre liberté d’expression et nos espoirs au nom d’une prétendue « solidarité »…

Dès lors que l’être humai n n’est plus au sommet de l’échelle, il devient une variable d’ajustement, un outil au service de la « nation », un simple objet qui ne saurait perturber le projet national.

Le liant

Le liant ce n’est pas l’intégration, la dissolution, le liant c’est l’adhésion à des valeurs fortes communes comme celle des droits de l’homme.

Notre démocratie, notre constitution doit être le cadre du vivre-ensemble et de l’adhésion à un socle de valeurs communes inébranlables et surtout in-négociables.

De toute évidence, la constitution (et les institutions) américaine comporte des amendements qui protègent la liberté individuelle de tout citoyen, mais aussi de l’arbitraire venant aussi bien d’autrui que du gouvernement.
Ainsi le gouvernement américain ne peut se transformer allégrement en dictature grâce à des institutions fortes et indépendantes.

Ce qui visiblement manque à la constitution française qu’il est possible de bafouer grâce à la traîtrise et la corruption d’un conseil constitutionnel qui n’a pas besoin de rendre de comptes lors de décisions aussi illégales que félonnes.

Si je veux que mon voisin respecte ma liberté, je me dois de respecter les siennes toujours dans le cadre qui nous rassemble.
Qu’importe ma race, ma couleur, ma religion ou mes opinions politiques, je suis français, je me sens français en adhérant à un ensemble de valeurs qui font la France et encore une fois parfaitement résumé au fronton des mairies.
L’ennemi devient de fait le faiseur de désunion, le destructeur du socle commun au détriment du lien…

Je ne vais pas m’étendre sur le socle minima, mais il ne saurait être question de prosélytisme, de religion ou de mœurs supérieures, de destruction de la famille, de contraintes imposées aux seules femmes, ni autres principes qui font de nous ce dénominateur commun.
En devenant français, je me dois de laisser à la porte des traditions qui ne sont pas compatibles avec nos valeurs quand bien même je trouverais sympa de lapider ma femme adultère en live sur C8 à 20 h 30… cela n’est pas compatible avec les Lumières, ce n’est pas compatible avec la France, ce n’est pas compatible avec les droits de l’homme.

Le socle, ce qui fait de nous des Français, se doit d’être ce liant.

Liberté !

C’est donc le bastion à dé fendre et celui qui est attaqué de toutes parts depuis des dizaines d’années.

Le mot « liberté » a été remplacé par le mot « sécurité », illusion de sécurité devrais-je dire…

Le moteur permettant de vendre cette sécurité est la peur. Entretenir le peuple dans une incertitude politique, économique, sociale et même sociétale.
Peur qui est désormais « sanitaire » afin de nous sidérer et imposer une illusion de sécurité.

La peur de demain étant sans limites grâce au fameux « réchauffement climatique », encore un ennemi invisible, qui pour « sauver la planète » devra nous faire renoncer aux quelques maigres libertés qu’il nous reste encore.

De fait, notre code pénal prend un kilo par an en ajoutant des dizaines d’interdits pour notre « sécurité ».
La Novlangue est devenue banale et de nombreux politiques ou autres prêtres médiatiques n’hésitent plus à dire que « l’interdit c’est la liberté ».

Interdits qui par ailleurs nous sont imposés, mais ne sont jamais évalués (par des experts indépendants non corrompus) d’un point de vue efficacité et sociétal.

Regardez les panneaux devant un parc ou une plage, regardez le domaine de ladite sécurité routière.
On ne sait que contrôler et interdire de plus en plus pour « notre bien ».

Il faut dire qu’il est tellement facile de niveler par le bas et d’interdire que d’autoriser en maximisant l’efficacité et la sécurité sans porter atteinte aux libertés.
Et nous vivons depuis tellement longtemps dans un monde de règlements délirants et d’interdits permanents que nous trouvons cela normal…

Quel fou remettrait en cause aujourd’hui l’obligation, je dis bien l’obligation, d’une ceinture de sécurité pour les majeurs ?
Et bien d’ici quelques années, quel fou remettrait en cause l’obligation de porter un casque dans les escaliers ?
La liberté est quasi morte si nous ne décidons pas de la ranimer.

Impasses dans la démocratie « classique »

Dès lors qu’une démocratie ne peut être basée que sur la dictature de la majorité, elle en devient de fait un leurre.
Dès lors qu’elle conduit une minorité (une majorité relative) à décider pour tous les autres pendant un temps certain… (en fait tout le temps, c’est juste les « victimes » qui changent).

Il n’est de fait plus raisonnable ou possible de donner les pleins pouvoirs à un élu pendant cinq ans, et ce sans contre-pouvoir dont les actions ne feront qu’accroître le sentiment d’injustice et les soifs de communautarisme (du fait qu’il ne représente que le désir d’une minorité). « Comment adhérer si je me sens exclu ?… »

Il faut donc bien arriver à trouver un principe de gouvernance qui soit à la fois à l’écoute et respectueux de la quasi-totalité des citoyens, mais pour autant que l’on puisse avancer.

Dès que nous sommes plus de deux et que nous ne sommes pas d’accord, soit nous ne faisons rien, soit un de deux sera frustré.
Il n’y a pas de solutions, mais uniquement des pansements démocratiques.

Si la moitié des Français veut quitter l’Euro et l’autre non alors la moitié des Français devra subir une décision extrêmement importante à laquelle elle n’adhère pas.
Et pour des raisons de stabilité, il faudra bien que cette décision ait une pérennité dans le temps…

Le peuple dans toutes les instances

Il est néanmoins possible d’ajouter un peu de démocratie dans cette dictature généralisée et dans laquelle (actuellement) des décisions importantes sont prises sans même demander l’aval de la majorité des citoyens.
Il est indispensable que toutes les instances, tous les organes consultatifs et décisionnels intègrent les citoyens.
Des citoyens tirés au sort comme dans les jurys des cours d’assises doivent siéger afin de représenter le peuple.
Ils doivent être désignés par exemple pour 1 an et disposer d’un pouvoir double, celui de rapporter les décisions, mais aussi les mêmes pouvoirs que les autres membres.
Il faut néanmoins être conscient que la majorité n’a pas toujours raison et qu’il n’est pas raisonnable, voire dangereux de laisser le peuple choisir en tout.
Imaginez que vous proposiez aux citoyens de baisser les retenues (impôts, taxes…) de 50 %, c’est la catastrophe assurée l’année suivante.
De même il n’est pas possible de tout autoriser… demander aux citoyens s’ils sont d’accord pour enfermer les non-vaccinés ne serait pas constitutionnellement possible, il faut donc de sérieux verrouillages dans la constitution pour ne pas basculer dans une « dictature légale ».

Des procédures de destitution

Il appartiendra d’en fixer les modalités, mais tout é lu, tout membre d’une institution doit pouvoir être révoqué par le peuple si celui-ci pense qu’il a trahi sa mission.
Cela pourrait prendre la forme d’un référendum r évocatoire dans lequel tout citoyen serait d’abord informé à charge et à décharge afin de se forger sa propre opinion.
Cette procédure de destitution incluant tous les élus y compris le Président de la République.
Il faudrait bien entendu réfléchir à une procédure qui allie à la fois démocratie et fonctionnement des institutions. Il ne s’agirait pas de pouvoir changer de Président ou de député tous les 15 jours.

La Constitution

C’est le manuel d’utilisation le tronc commun, la bible qui fait la France.
Et qui dit « bible » dit « gardien de l’écriture ».
De fait, le Conseil constitutionnel doit être dissous et remplacé par une institution indépendante et révocable qui a pouvoir supérieur sur les décisions gouvernementales.
Bien entendu, ici aussi, il ne saurait exister d’institutions sans des représentants du peuple tirés au sort et nommés pour 1 an (par exemple) sur le principe des jurés d’assise.

Voilà
Je développerai dans mes prochains textes des aspects pratiques et une liste de réformes qu’il serait juste de mener.

Merci.

Alain Tortosa.

28 janvier 2022.
https://7milliards.fr/tortosa20220128-vers-une-democratie.pdf




Selon la journaliste Sharyl Attkisson, les vérificateurs de faits sont employés pour embrouiller le public

[Source : aubedigitale]

Sharyl Attkisson, journaliste récompensée par cinq Emmy Awards, a déclaré qu’elle avait constaté un effort accru pour manipuler le public afin qu’il apprécie la censure et désapprouve le journalisme. L’une des stratégies employées est le recours à des vérificateurs de faits tiers, a-t-elle déclaré.

« Presque tous les modes d’information ont été cooptés, s’ils peuvent l’être par un groupe quelconque, et les vérificateurs de faits ne sont pas différents », a déclaré Mme Attkisson à l’émission « American Thought Leaders » d’EpochTV.

« Soit ils ont été cooptés, dans de nombreux cas, soit ils ont été créés dans le but de diffuser des récits et de la propagande », a déclaré Attkisson.

« Tout cela fait partie d’un paysage très bien financé et bien organisé qui dicte et oriente les informations qu’ils veulent que nous ayons. »

Mme Attkisson dit qu’elle a commencé à remarquer que les informations étaient contrôlées au début des années 2000, lorsque l’entreprise de médias pour laquelle elle travaillait essayait activement de supprimer certains reportages.

« Le mouvement de repli s’est orienté vers la volonté d’empêcher la diffusion d’un reportage ou d’empêcher une étude d’être rapportée dans les nouvelles, et pas seulement de présenter l’autre côté, ni de s’assurer qu’elle était rapportée avec exactitude », a-t-elle déclaré à propos des histoires de l’industrie pharmaceutique qu’elle couvrait à l’époque.

En 2016, Attkisson a entendu l’ancien président Barack Obama dire que les actualités devaient être filtrées, après quoi les médias grand public ont commencé à utiliser systématiquement le terme « fake news » pour décrire des nouvelles principalement conservatrices qu’ils jugeaient fausses.

« Et je me souviens avoir pensé que c’était une chose tellement étrange à dire, parce qu’il n’y avait pas de grand mouvement parmi le public, que les gens avaient besoin que leurs informations soient filtrées, que quelqu’un devait intervenir et nous dire quoi penser, filtrer ce qui était en ligne. Mais … après cela, si vous regardez les médias, jour après jour, il y avait des gros titres sur les fake news et le filtrage de ce qui devrait et ne devrait pas être rapporté.  »

Attkisson faisait référence au commentaire d’Obama lors de la conférence Frontières de la Maison Blanche à Pittsburgh, en Pennsylvanie, en octobre 2016.

« C’est pertinent pour notre démocratie, la citoyenneté. Nous allons devoir reconstruire, au sein de ce far west sauvage du flux d’informations, une sorte de fonction de contrôle à laquelle les gens adhèrent », a déclaré Obama.

Parce qu’Attkisson était curieuse de cette idée de gestion des informations, elle a fait des recherches sur le sujet de la mésinformation, ce qui l’a conduite à un organisme à but non lucratif appelé First Draft, financé par l’ancien PDG de Google, Eric Schmidt.

Le président Barack Obama et la candidate démocrate à la présidentielle Hillary Clinton saluent les délégués après le discours d’Obama lors de la troisième journée de la Convention nationale démocrate à Philadelphie, le 27 juillet 2016. (J. Scott Applewhite/AP Photo)

« Et si vous regardiez le site web de l’association à but non lucratif quand ils disaient fake news, ils voulaient dire des fake news entièrement basées sur le conservatisme et leur point de vue ; il n’y avait pas de version libérale des fake news. Et puis, en l’espace de quelques semaines, le président Obama prononce le discours, les médias s’en emparent et courent avec. »

Attkisson a déclaré que l’expression « fake news » a en fait été lancée par la gauche, mais qu’elle a été effectivement détournée par l’ex président Donald Trump et que maintenant la plupart des gens pensent qu’il a inventé l’expression.

« Mais il est en fait bien documenté qu’il s’agit d’une invention des militants politiques gauchistes pendant la période que j’ai décrite », a déclaré Mme Attkisson.

Pour son livre « Smear », elle a interviewé des personnes qui travaillent à la diffusion de la mésinformation et de la propagande dans le but de confondre le public.

« Et ils m’ont expliqué que, s’ils ne font rien de plus que de brouiller le paysage de l’information, peut-être que vous ne croyez pas totalement ce qu’ils disent, mais ils en ont fait assez pour que vous ne soyez plus sûr de rien. »

La censure pendant la pandémie

Mme Attkisson a reproché aux grands organes d’information d’être les « porte-parole » du gouvernement ou d’autres groupes d’intérêt au lieu de les contester ou de leur demander des comptes, notamment en ce qui concerne la pandémie.

Elle a déclaré que peu de temps après le début de la pandémie, elle a parlé à de nombreux scientifiques, gouvernementaux et privés, au sujet du virus et de son évolution avant de se faire une opinion. Elle a demandé à certains de ces scientifiques de s’exprimer, mais ils ont eu peur.

« Ils ont dit qu’ils n’osaient pas s’exprimer de peur d’être controversés, et de peur d’être traités de négationnistes du coronavirus, car cette expression commençait à être utilisée dans les médias. Et deuxièmement, ils craignaient de contredire le Dr Fauci, qui, selon eux, avait été en quelque sorte adoubé ou canonisé dans la presse pour des raisons qu’ils ne comprenaient pas. »

Le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, témoigne lors d’une audience de la commission sénatoriale de la santé, de l’éducation, du travail et des pensions au Capitole, le 11 janvier 2022. (Shawn Thew/Getty Images)

Le Dr Anthony Fauci est le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) depuis 1984, ce qui lui a permis de conseiller sept présidents sur des questions de santé publique, dont le COVID-19. Il a été accusé d’avoir trompé le public sur le financement de la recherche de gains de fonctions en Chine.

Selon Mme Attkisson, les National Institutes of Health ont utilisé l’argent des contribuables pour financer des recherches sur le gain de fonction en partenariat avec la Chine, mais les médias ont affirmé le contraire.

« Et puis le récit est géré d’une autre manière Je me souviens après avoir examiné les subventions elles-mêmes à ma satisfaction, parce que je ne savais pas ce qui était vrai jusqu’à ce que je trouve la documentation et puis encore entendre, non seulement des personnalités de la santé publique, mais les journalistes prétendent comme s’ils connaissaient la vérité, que rien de tout cela n’était arrivé. »

Elle a ajouté qu’une autre façon d’embrouiller le public au sujet de la vérité est de qualifier quelque chose de conspiration, comme la théorie de la fuite en laboratoire liée au nouveau coronavirus.

« Et pourtant, quand vous entendez les gens parler de « théorie du complot », c’est conçu pour saisir cette petite partie de votre cerveau qui dit, eh bien, cette chose n’est pas vraie », a déclaré Attkisson.

« Et moi, je garde toujours l’esprit ouvert et je me dis que cette chose folle qu’ils disent être une théorie du complot peut très bien contenir une part de vérité ».

Attkisson pense que la raison pour laquelle certaines personnes peuvent être manipulées pour croire le récit présenté par les médias corporatifs est qu’elles vivent dans « une boîte », ce qui signifie qu’Internet est leur seule source d’information.

« Et les personnes qui veulent contrôler l’information comprennent que si elles ne peuvent contrôler que quelques sources de base – nous parlons de Google, Twitter, Facebook et Wikipedia – elles ont la mainmise sur l’information, car nous avons tous été dirigés vers ces quelques sources ».

Selon elle, leur objectif est de vous faire croire que vous êtes en minorité et de vous faire craindre de soulever des objections au récit. 

« On peut vous faire croire que si vous vivez dans la boîte, alors je dis constamment aux gens, vivez en dehors de la boîte. Oui, vous pouvez obtenir des informations là-bas et faire ce que vous faites en ligne. Mais certainement, faites confiance à votre dissonance cognitive. Parlez aux gens qui vous entourent. »

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale




L’interprétation erronée du virus — 2e partie

Par Stefan Lanka

Traduction : Jean Bitterlin

Début et fin de la crise corona, par le Dr Stefan Lanka

[Voir la première partie :
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple]

La définition du SARS et Corona ou Covid-19 indique qu’une pneumonie atypique est considérée comme le tableau clinique qui caractérise la maladie. Si des germes pathogènes de la pneumonie connus peuvent être détectés, la pneumonie est considérée comme une pneumonie typique, si ce n’est pas le cas, elle est atypique. Un des deux faits décisifs pour le SARS et la crise corona c’est qu’au moins 20 à 30 % de toutes les pneumonies sont atypiques. Les causes de la pneumonie atypique sont clairement connues et par conséquent on ne doit PAS affirmer qu’elles sont dues à un nouveau virus.

Cette information est censurée par les infectiologues et virologues et est le fondement des peur et panique actuelles, parce que l’on crée l’impression chez ceux qui sont affectés, dans le public et chez les responsables politiques que la pneumonie atypique serait particulièrement dangereuse et souvent fatale parce qu’il n’y a pas de médicaments ou de vaccins pour cette supposée nouvelle maladie.

À partir du moment où une procédure de test pour le supposé nouveau virus est offerte, ce qui est caché par ceux qui sont impliqués, des personnes en bonne santé testent également « positif », le nombre de cas augmente automatiquement. Au début les personnes avec une pneumonie typique sont également incluses, puis de plus en plus de personnes avec d’autres maladies. Ceci est considéré comme une preuve pratique de la propagation du virus. Automatiquement de plus en plus d’autres maladies sont ajoutées à la maladie initiale « pneumonie atypique » et ce « syndrome » est affiché comme étant « la maladie du nouveau virus ».

L’autre fait décisif, et pas seulement pour le SARS et la crise corona, est que, pour des raisons compréhensibles, les virologues, qui affirment que les virus causent la maladie, étouffent une situation ouvertement étalée. La procédure de test proposée est une méthode de détection génique. Les séquences géniques qu’ils utilisent pour le test de détection n’ont pas été isolées d’un virus. Ils isolent des séquences de gènes typiques qui sont libérées en quantités accrues lorsque le tissu et les cellules meurent. Ces séquences géniques généralement courtes sont des composants du métabolisme humain et sont la base sur laquelle s’appuie le travail ultérieur du laboratoire. Avec l’aide de programmes informatiques, les virologues ne sont que capables de construire mentalement de longs brins de matériaux génétiques à partir de courtes séquences de gènes. On fait ensuite passer ceux-ci comme étant de vrais génomes viraux. Ceci est la raison pour laquelle les résultats positifs de tests sont obtenus de manière répétée même chez les personnes en bonne santé.

Afin d’éviter d’avoir à se réfuter eux-mêmes, ces virologues, systématiquement, ne tiennent pas compte de deux lois prescrites par la science. L’une est de vérifier systématiquement toutes leurs propres affirmations. L’autre est de tester toutes leurs hypothèses et méthodes utilisées au moyen d’expériences de contrôle (appelées aussi contre-expériences ou encore expériences témoin). S’ils effectuaient les expériences de contrôle, ils trouveraient que TOUTES les séquences géniques courtes, qu’ils ne font que lier mentalement à un brin de génome de virus, proviennent du métabolisme humain et non de l’extérieur, d’un virus allégué.

La dynamique propre de la crise corona a été déclenchée le 30 décembre 2019 par le communiqué sur Internet d’un jeune ophtalmologiste, communiqué qui s’est immédiatement et très rapidement répandu. Il a informé des amis que dans son hôpital plusieurs personnes étaient placées en quarantaine, que sept cas de SARS (en français SRAS pour Syndrome Respiratoire Aigu Sévère – NdT) étaient confirmés, qu’ils (les amis – NdT) devaient être prudents et devaient se protéger. Le Professer Christian Drosten de (l’hôpital universitaire – NdT) de la Charité à Berlin en a entendu parler, a commencé immédiatement le développement d’un procédé de test pour virus SARS, avant même qu’il ne soit absolument clair ou puisse être clair, si le rapport provenant de Chine était vrai et prouvé, et par-dessus tout avant que les virologues chinois ne publient leurs résultats.

Les virologues concernés de la Commission Chinoise de Contrôle des Maladies (en anglais CCDC pour Chinese Disease Control Commission, l’équivalent du CDC américain — NdT) ont publié leurs résultats les 24 janvier 2020 et 3 février 2020. Ils font état dans leur rapport de l’isolation de nombreuses séquences de gènes qui, intellectuellement assemblées les unes aux autres, pourraient représenter un brin génétique d’un nouveau type de virus. Les auteurs indiquent de manière explicite — comme tous les autres virologues impliqués à ce jour — que les expériences impérativement nécessaires qui permettraient d’affirmer qu’il s’agit vraiment d’un brin génétique d’un virus pathogène n’ont pas encore été menées. Au contraire : les virologues chinois ont indiqué de manière explicite que le brin génétique construit avait 90 % de similitudes avec un allégué virus corona de chauve-souris, inoffensif et connu depuis des décennies.

Le 21 janvier 2020 (3 jours avant la première publication du CCDC !) l’OMS a recommandé à toutes les nations d’utiliser la procédure de test mise au point par le Professeur Drosten. En affirmant qu’il avait mis au point une procédure de test fiable pour le virus qui se propageait rapidement en Chine, le Professeur Drosten, au mépris de toutes les règles clairement définies du travail scientifique, règles qui font partie de son contrat de travail, et en violant les lois de la pensée et de la logique de la virologie, a déclenché et entraîné l’accroissement et la mondialisation de la panique chinoise de l’épidémie.

1. Début de la crise Corona

Lorsque le 30 décembre 2019 le jeune ophtalmologue Li Wenliang a informé sept de ses amis médecins de Wuhan via WhatsApp que dans son hôpital plusieurs personnes étaient mises en quarantaine, que sept cas de SARS avaient été confirmés, qu’ils devaient être prudents et se protéger, il n’avait pas l’intention de semer la panique. Si cela avait été le cas, il aurait mis cette communication sur Internet et averti le public. Un des sept destinataires de cette communication WhatsApp privée a publié sur Internet, sans se rendre compte des conséquences possibles, une « copie d’écran », donc une photo de cette communication. Naturellement, cette information s’est répandue très rapidement en Chine et ensuite dans le Monde entier.

Cette communication, à cause de la panique causée par la crise SARS, que l’Organisation Mondiale de la Santé avait classifiée le 12 mars 2003 comme « menace mondiale », a déclenché une vague de peur, de panique et d’enquêtes auprès des autorités de santé et du gouvernement chinois. Suite à cela, le 31 décembre 2019 le gouvernement de Pékin a envoyé à Wuhan une « équipe d’intervention » constituée d’épidémiologistes et de virologues de la Commission Chinoise de Contrôle des Maladies (CCDC) afin de soutenir les autorités de santé de la ville et celles de la province environnante de Hubei. Il s’agissait d’examiner et de vérifier les allégations au sujet du déclenchement d’une épidémie. Au cas où une épidémie s’était vraiment déclenchée, alors la situation devait être contrôlée de façon appropriée.

Dans les premières publications pertinentes des auteurs du CCDC sur les résultats de leur recherche, « Un nouveau coronavirus chez des patients avec une pneumonie en Chine, 2019 »1 il n’est pas fait mention d’une accumulation de cas de pneumonies atypiques (« patients with pneumonia of unknown cause »). Ils écrivent dans le rapport que les patients constatés pouvaient être regroupés dans un « cluster », dans un groupe à caractéristiques communes. La caractéristique commune était la visite plus ou moins fréquente à un marché de gros de poissons (seafood wholesale market) de Wuhan. On peut juger à quel point le groupe de patients avec une pneumonie atypique était vraiment faible par le fait que le CCDC n’a prélevé des écouvillons et des fluides des voies respiratoires inférieures que sur quatre patients afin de rechercher des agents pathogènes connus et inconnus.

Entre-temps la panique à Wuhan et dans les environs progressait de manière extrême. Même les mesures prises par la police, mettant en demeure le 3 janvier 2020 l’ophtalmologue Li Wenliang, de s’engager par écrit en signant une déclaration avec une clause d’infraction à la loi, déclaration par laquelle il s’engageait à ne plus rien diffuser au sujet d’une possible épidémie de SARS, ne put plus ralentir la dynamique d’une panique qui s’aggravait dangereusement. Le 10 janvier 2020 Wenliang, et ses parents peu de temps, développèrent les symptômes d’une pneumonie. Li Wenliang s’isola de lui-même parce qu’il était persuadé qu’il avait été infecté la veille avec le virus SARS par une de ses patientes. Et cela aussi augmenta la panique.

Les médecins traitants ont effectué un grand nombre de tests différents, qui se sont tous révélés négatifs. Comme son état de santé se détériorait et que de plus en plus de personnes faisaient ouvertement état de leur sympathie envers son sort, il a continué à être testé jusqu’à ce qu’un premier test SARS soit, le 30 janvier 2020, évalué comme étant « positif ». Le désastre de la panique SARS croissante, qui mutait en une crise corona mondiale, a suivi son cours.

Li Wenliang a diffusé ce résultat sur Internet avec les mots suivants : « Today nucleic acid testing came back with a positive result, the dust has settled, finally diagnosed ». « Aujourd’hui le résultat du test génétique est revenu avec un résultat positif, la poussière est retombée, finalement diagnostiqué. »

Cette annonce a augmenté la panique déjà existante. Tout devint hors de contrôle lorsqu’il a publié sur Internet sa déclaration du 3 janvier 2020 qui lui avait été imposée par laquelle il s’engageait à ne plus rien diffuser. Cette diffusion, qui était dangereuse pour lui, était et est encore considérée comme étant une preuve pour toutes les personnes paniquées qu’il y avait une nouvelle épidémie de SARS, parce que le médecin, qui était lui-même touché, malgré la menace de sanctions, continuait à informer et à avertir l’opinion publique. La panique continuait à grandir parce que l’état de santé de Li Wenliang se détériorait malgré le recours intensif à de nombreuses substances antibiotiques, et que l’opinion publique y prenait régulièrement part. La situation était sur le point de dégénérer parce que l’information de sa mort avait été plus que chaotique et contradictoire. Ceci était et est encore la raison principale pour laquelle l’opinion publique chinoise et mondiale a accepté qu’à Wuhan une épidémie d’un nouveau SARS était apparue, qui cependant fut redéfinie en une nouvelle épidémie, une pandémie avec un nouveau nom, Covid-19.

2. Une des deux causes possibles de la peur de Li Wenliang

La peur de l’ophtalmologue Li Wenliang reposait sur des événements de 2003 en Chine, lorsque des scientifiques occidentaux affirmèrent qu’en Chine du Sud était apparu un grand nombre de pneumonies atypiques. Deux jours après l’élaboration intellectuelle du brin génomique du soi-disant nouveau virus (SARS-CoV-1) dans laquelle le Professeur Drosten était considérablement impliqué2, ce dernier a proposé un procédé de test pour ce prétendu nouveau virus3. Environ 800 personnes avec une pneumonie atypique, c’est-à-dire une pneumonie où l’on n’a pas pu démontrer la présence d’un agent pathogène connu, mais qui avec le test du Professeur Drosten avaient été testés positifs, sont décédées par conséquent — peut-être par sous ou surtraitement — avec le diagnostic SARS au lieu de « pneumonie atypique ».

Le fondement, que la peur du SARS s’était maintenue et avait augmenté jusqu’en 2019, ce sont deux publications de 2013 et 2017, les spéculations sur la possibilité de l’apparition d’un nouveau virus corona SARS. Les auteurs des deux publications ont indiqué qu’il y avait des indices de l’existence de séquences géniques courtes chez les chauves-souris saines qui pouvaient être interprétées comme étant des constituants d’un virus. Ces courtes séquences génomiques avaient des similitudes avec celles des courtes séquences génomiques qui en 2003 avaient été déclarées comme étant des composants du soi-disant Coronavirus SARS 1 (SARS-CoV-1). SARS (SRAS en français — NdT) signifie Syndrome Respiratoire Aigu Sévère ce qui est une autre description pour les symptômes d’une pneumonie atypique.

Au sujet de ces élaborations intellectuelles (fictives reformulées en réalité) de brins génétiques, il est affirmé qu’il est possible qu’ils se forment aussi en réalité et pourraient former un virus réel. Un tel prétendu virus, mais encore inoffensif chez les chauves-souris et chez d’autres animaux sauvages, pourrait par morsure, contact ou par consommation passer sur l’Homme (le fameux franchissement de la barrière d’espèce — NdT) pour devenir un virus tueur. Chez les Humains, ce virus inoffensif, par des changements (des mutations), pourrait effectivement se transformer en un nouveau coronavirus SARS qui cause une maladie. Il faut s’attendre à tout moment à un tel événement et à la vague de maladies en résultant, comme par exemple la pneumonie atypique.

À ce jour les virologues n’ont pas été capables d’isoler un virus SARS à partir d’un patient, d’une chauve-souris, d’un autre animal ou dans un laboratoire et ainsi prouver l’existence d’un brin de virus SARS intact et complet. La supposition des virologues qu’il existe également dans la réalité des brins génomiques viraux, qui sont construits de la même manière que les brins qui ont été assemblés intellectuellement à partir de courtes séquences génomiques n’a pas pu, à ce jour, être confirmée. Bien qu’il existe des techniques standards simples pour la détermination de la longueur des séquences géniques, on n’a pas réussi à prouver, d’une manière ou d’une autre, l’existence et la présence d’un brin génomique de virus SARS.

Les peurs massivement alimentées par de telles fausses affirmations étaient le fondement des craintes de l’ophtalmologue Li Wenliang tout comme chez les autres médecins et infectiologues et pas seulement à Wuhan. Ces affirmations sont la raison pour laquelle, à partir du 31 décembre 2019, les épidémiologistes et virologues du CCDC se sont focalisés sur la découverte de séquences génomiques similaires qui en 2003 avaient été définies comme composantes des coronavirus SARS (davantage sur ce propos plus bas).

3. La 2e des causes possibles de la peur de Li Wenliang

La crise SARS et Corona a débuté avec l’affirmation dans les médias qu’il y avait une prolifération de patients avec une pneumonie atypique. Cette affirmation n’a jamais été étayée. La seule chose qui ait été affirmée c’est que les pneumonies atypiques qui étaient survenues pouvaient être expliquées par l’acceptation de l’émergence d’un nouveau virus, parce que quelques-unes de ces personnes avec une pneumonie atypique avaient eu un contact avec des marchés d’animaux. Afin de pouvoir confirmer cette supposition qu’un virus inconnu puisse être à l’origine d’une pneumonie atypique, des faits connus et décrits dans la littérature scientifique médicale ont été supprimés. Il y a en effet un large spectre de causes non infectieuses pour les pneumonies atypiques. Ces pneumonies atypiques, pour différentes raisons, sont plus souvent mortelles que ce n’est le cas pour les pneumonies typiques.

Parmi les causes, il y a l’inhalation de gaz d’échappements, de solvants et de produits chimiques. L’introduction d’aliments, de boissons ou de contenu de l’estomac, lors de troubles de la déglutition ou de perte de connaissance, qui pénètrent dans les poumons peuvent également causer les pneumonies les plus graves (pneumonie d’aspiration). Rien que l’eau est suffisante et peut provoquer une grave pneumonie atypique lorsqu’elle parvient dans les poumons des noyés. Comme autre cause, il y a le spectre des dysfonctionnements immunologiques, tels que les allergies et les réactions auto-immunes. Il est également connu que les radiations dans le traitement du cancer peuvent également déclencher une pneumonie qui ne peut pas être distinguée d’une pneumonie typique. Les pneumonies hypostatiques (pneumonies qui évoluent sans symptômes permettant d’alerter — NdT) sont connues chez les personnes âgées. Celles-ci apparaissent suite à des rétentions d’eau (œdème) lors d’alitement prolongé, suite à des faiblesses cardiaques et rénales, ce qui peut entraîner une ventilation et une circulation sanguine insuffisantes dans le poumon, qui résulte directement en une inflammation du poumon et peut donc conduire à une pneumonie atypique.

De manière logique, une combinaison de causes qui par ailleurs sont à seuil bas agit également dans la pneumonie atypique. Une pneumonie atypique peut très rapidement se transformer en pneumonie typique, au cas où se produit une colonisation secondaire du poumon enflammé. C’est la raison pour laquelle la proportion de pneumonies atypiques est probablement plus élevée que les 20 à 30 % estimés.

Dans les études des cinq personnes qui sont documentées dans les deux publications pertinentes concernant la crise corona6, il n’y a pas eu de recherches sur la présence ou les antécédents possibles de signes, de mécanismes et d’effets de ces causes connues de la pneumonie atypique. De toute façon la plupart du temps les virologues ne font pas cela et, vu les circonstances entourant la panique, cela n’était pas non plus possible pour les membres du CCDC. L’exclusion de la mention de pneumonie atypique est la preuve d’une faute professionnelle médicale et empêche le bon traitement des patients. Les personnes affectées courent alors le danger d’être soumises à un mauvais traitement à base de cocktails d’antibiotiques avec de nombreux effets secondaires, surtout dans le cas de surdosage, qui est en lui-même en mesure d’aboutir aux décès des patients7. Il doit être bien clair que la panique extrême, surtout dans les problèmes respiratoires, peut, indépendamment de tout le reste, provoquer le décès. La panique peut tuer en très peu de temps, et pas seulement dans les problèmes cardiovasculaires.

La réponse à la question essentielle, si effectivement un nouveau virus a été détecté ou si de petites parties de matériel génétique provenant du corps ont été considérées ou mal interprétées comme étant des composants d’un virus, cette réponse est essentielle pour que la crise Corona puisse se terminer rapidement ou non. Comme pour le H1N1 les auteurs de la crise Corona disent que celle-ci ne peut se terminer que grâce à la vaccination. Mais l’idée de la vaccination peut également être réfutée, comme celle des virus.

Le souvenir de la pandémie de grippe porcine de 2009, qui entre temps a été oubliée, peut être très utile pour l’analyse et la qualification des événements entourant le déclenchement et le maintien de la crise Corona. La volonté majoritaire dans la population était alors de se laisser vacciner contre les virus allégués de la grippe porcine. Puis il y eut un retard dans les livraisons annoncées de vaccins. Les vaccins ne pouvaient pas être conditionnés dans des seringues prêtes à l’emploi, car les nouveaux stimulants qui étaient utilisés pour la première fois endommageaient le mélange du vaccin et le rendaient inutilisable. En conséquence, le vaccin a été conditionné dans des ampoules pour 10 personnes et le stimulant ne pouvait être rajouté que juste avant l’acte vaccinal.

À cette époque, on a appris que les stimulants, appelés adjuvants, sans lesquels le vaccin ne pourrait pas déployer son effet, sont nouveaux et non testés. On a appris que ces nouveaux adjuvants comportaient des nanoparticules. On sait que les nanoparticules, en raison de leur taille minuscule, sont très réactives, et utilisées à cause de cela comme catalyseurs dans de nombreuses réactions chimiques, par exemple elles agissent lors de processus techniques de telle manière que les surfaces se comportent de façon complètement différente par rapport à ce que l’on peut atteindre par des méthodes habituelles. Puis on apprit que la Chancelière Fédérale Angela Merkel et l’Armée Allemande devaient recevoir ce vaccin, mais sans le nouvel adjuvant à nanoparticules, contrairement à la Police et à la population qui elles recevraient le vaccin avec les nanoparticules non testées.

Le résultat fut que 93 % de la population a refusé le vaccin qui avait été produit pour elle. Seuls 7 % des Allemands se sont laissés administrer le vaccin. Le métabolisme humain ne peut pas métaboliser et extraire les nanoparticules. À cause de ce refus de la part de la presque totalité de la population, la grippe porcine disparut effectivement du jour au lendemain, comme par enchantement, hors des médias dans un naufrage et les vaccins dans un haut-fourneau. (On s’autorise une petite polémique : de manière étonnante le virus de la grippe porcine H1N1 a pris au grand galop la poudre d’escampette, n’a plus infecté d’autres personnes, n’a pas rendu malades les infectés, et a arrêté immédiatement sa présence dans les médias. Peut-être le virus de la grippe porcine s’est-il transformé en virus de la grippe halieutique, pour remonter les cours d’eau dans le corps des saumons et pour frapper à nouveau avec une force groupée sur le marché de Wuhan.)

Les épidémiologistes, infectiologues et virologues ont appris de l’échec de la planification de la pandémie qui n’a pas atteint l’apogée de la vaccination. Ils ont analysé les causes et publié leurs connaissances et recommandations pour le futur dans le n°12 de décembre 2010 du Bulletin de Santé Fédéral (en allemand : Bundesgesundheitsblatt — NdT). Le titre révélateur de ce numéro « Pandemien, Lessons learned » (Pandémies, leçons retenues — NdT) ce qui revient à dire : Les enseignements que nous avons tirés de la débâcle de la grippe porcine H1N1.

Quelques-unes des contributions de ce n° sont visibles sur Internet8, toutefois pas les plus importantes. Les recommandations clés pour la gestion de la pandémie sont :

  • S’assurer que les experts ne se contredisent pas lors de discussions publiques.
  • Implication précoce dans les médias dominants et les médias sociaux.
  • Contrôle d’Internet. Ceci pour éviter que des affirmations et des critiques du consensus et de ne pas mettre en danger l’acceptation des mesures politiques et sociales.

Ces recommandations ont maintenant été mises en œuvre avec succès ! Internet est censuré, les opposants critiques sont exclus avec, entre autres, des insultes. Les arguments irréfutables de l’acceptation de la pandémie qui ont réussi à pénétrer dans le débat public ne sont tout simplement pas abordés. Dans les médias et le personnel politique, on n’écoute qu’un seul expert, le professeur Drosten. La seule « critique » qui lui a été adressée, prononcée par un virologue VIH, avait pour but de renforcer l’affirmation centrale de l’existence d’une nouvelle sorte de virus, le SARS-CoV-2.

4. La mondialisation de la panique chinoise du virus SARS et la réorientation en crise corona par le Professeur Drosten

Le Professeur Christian Drosten de la Charité à Berlin (rappel la Charité est l’hôpital universitaire de Berlin — NdT) affirme qu’il a à partir du 1er janvier 2020 mis au point une méthode de détection génique avec laquelle il peut démontrer la présence du nouveau coronavirus chez les humains8. Le 21 janvier 2020, l’OMS a recommandé à la Chine et à toutes les autres nations le test fiable qu’il avait mis au point afin de pouvoir déterminer la propagation du prétendu nouveau coronavirus10.

Afin a) de pouvoir comprendre quelles hypothèses et quels faits sont à la base des affirmations du Professeur Drosten et b) pour vérifier si ses conclusions sur sa mise au point du test pour le nouveau coronavirus sont de manière logique et scientifiquement prouvées ou non, ou même réfutées, il est nécessaire d’expliquer les termes, techniques et représentations utilisés dans son argumentation et d’analyser les deux publications cruciales auxquelles se réfère le Professeur Drosten.

  • Comment sont définis un virus et un coronavirus ?
  • Comment dans ce contexte sont définies les séquences ?
  • Comment fonctionnent les détections de séquences désignées comme PCR, comme RT-PCR et comme « temps réel » PCR ?
  • À quel moment la détection de la présence de séquences chez les humains peut-elle être annoncée comme preuve de la présence d’un virus ?
  • Comment l’existence d’un virus est-elle démontrée scientifiquement ?

Terminologie

  • En science un virus est défini par son matériel génétique propre, qui n’appartient qu’à ce seul virus.
  • Le matériel génétique d’un virus est également désigné brin de matériel génétique, molécule génétique virale ou génome.
  • Le matériel génétique viral d’un virus contient successivement les différentes séquences génétiques pour la formation des différentes protéines virales, qui sont désignées comme étant des gènes viraux.
  • Le matériel génétique d’un virus peut être composé de l’une ou de l’autre des espèces moléculaires génétiques ADN ou ARN.
  • Les coronavirus sont ainsi définis qu’ils sont composés d’une molécule ARN spécifique qui est entourée d’une enveloppe.
  • Le matériel génétique d’un virus particulier est défini par sa longueur particulière précise et par la disposition exacte de la structure du brin génomique viral.
  • La composition du matériel génétique d’un virus résulte de la détermination exacte du nombre et de la succession spécifique des quatre éléments constitutifs (les 4 bases azotées appelées adénine, thymine, cytosine et guanine — NdT) dont se compose le matériel génétique. Les quatre éléments constitutifs sont appelés nucléotides.
  • Le processus de détermination de la succession (séquence— NdT) des éléments constitutifs d’un matériel génétique est appelé séquençage.
  • Le résultat de la détermination de la succession des éléments constitutifs d’un matériel génétique est appelé séquence ou séquence génétique.
  • Les virus pathogènes sont caractérisés par le fait que leur séquence est unique et n’apparaît pas dans des corps en bonne santé.
  • Afin de pouvoir démontrer et de déterminer la présence de matériel génétique d’un virus, selon les règles de la pensée et de la logique qui précèdent chaque science en tant que règle fondamentale, ce virus doit être isolé et être présenté sous forme pure, afin que les séquences géniques qui ne sont pas spécifiques ne soient pas mal interprétées comme étant des éléments du virus.
  • La disposition de la séquence d’un matériel génétique n’est possible que si elle se présente sous forme d’ADN.
  • Afin de pouvoir déterminer la séquence d’un matériel génétique, qui se présente sous forme d’ARN, il faut qu’elle soit auparavant transformée par voie biochimique en ADN.
  • Le processus de transformation d’un matériel génétique d’ARN en ADN est désigné par « Transcription Inverse » (en anglais « Reverse Transcription » ou RT — NdT) et abrégé en RT.

Les techniques utilisées par le Professeur Drosten et premières conclusions.

  • La présence et la longueur d’un matériel génétique sont déterminées par le fait qu’il est séparé selon sa longueur grâce à un champ électrique. Les petits morceaux migrent plus vite, les plus longs migrent plus lentement. En même temps sont ajoutées, afin de pouvoir déterminer la longueur du matériel génétique étudié, différentes longueurs de matériel génétique de longueurs connues. Cette technique standard fiable pour la détection et la détermination de la longueur d’un matériel génétique est appelée « électrophorèse sur gel ».
  • Si la concentration d’un matériel génétique donné est trop faible pour qu’elle soit détectable par « l’électrophorèse sur gel », alors elle peut être augmentée à volonté grâce à une technique de duplication illimitée d’ADN appelée Réaction de Polymérisation en Chaîne (en anglais Polymerase Chain Reaction d’où son nom de PCR — NdT). C’est ainsi que de l’ADN non détectable par électrophorèse peut être rendu visible. Ceci est un prérequis pour que du matériel génétique puisse subir des examens plus approfondis, surtout pour la cruciale détermination subséquente de sa longueur et séquence.

L’inventeur de cette technique PCR, Kary Mullis, qui en 1993 s’est vu décerner le Prix Nobel de Chimie (pour cette invention — NdT), a signalé très tôt que sa méthode qu’il avait développée pour l’analyse de la pureté de l’air dans les usines de fabrication de puces électroniques pour ordinateur était très sujette aux erreurs. Dans son discours à Stockholm, qui est sur la page du Comité du Prix Nobel, il a également souligné, qu’il n’y avait pas de preuve vérifiable, vraiment scientifique, que la substance génétique, qui est appelée génome du VIH, déclenche vraiment une faiblesse immunitaire ou une des différentes maladies qui, de manière inadmissible, sont résumées sous le terme « SIDA » et qui sont traitées avec une chimiothérapie hautement toxique. Il a souligné que le consensus « que le VIH déclenchait une déficience immunitaire » n’existait que chez les scientifiques impliqués (ayant des intérêts — NdT)

Afin de pouvoir multiplier un ADN avec la technique PCR, il est nécessaire d’en connaître la composition, la séquence de l’ADN. Parce qu’un ADN ne peut être multiplié avec la PCR que si au début et à la fin de l’ADN, se lient de petits fragments de gènes produits artificiellement qui correspondent aux séquences du début et de la fin de l’ADN à multiplier. Ces petits morceaux d’ADN artificiellement produits sont appelés pour cela « molécules amorces » de la PCR, ou Primer. Ils ont en général de 24 à 30 nucléotides (éléments constitutifs de la substance génétique).

Avec la PCR ne peuvent donc pas être détectés des séquences inconnues ou des virus inconnus. Ce n’est que la détermination de la séquence d’un virus qui rend possible la mise au point d’un test PCR pour la détection d’une séquence génique qui provient d’un virus.

  • Au tout début de la PCR, il n’était que possible de déterminer, au moyen de l’électrophorèse sur gel, la quantité d’ADN amplifié après l’arrêt de la réaction d’amplification PCR. Entre-temps ont été ajoutés certains colorants aux enzymes et substances nécessaires à la PCR. La détection de ces colorants lors du déroulement de la PCR indique à peu près quelles concentrations artificiellement amplifiées d’ADN sont apparues et environ quelle quantité d’ADN était réellement présente au début de la PCR. Puisque la détermination de la quantité d’ADN générée artificiellement peut être déterminée à peu près pendant le déroulement de la technique PCR, cette extension de la technique PCR est appelée « PCR temps réel » (RT-PCR en anglais – NdT). Comme un autre pas avait précédé la « PCR temps réel », la conversion d’ARN en ADN au moyen de la « Transcription Inverse » (en anglais Reverse Transcription ou RT – NdT), la « PCR temps réel » est appelée « RT-PCR temps réel » (en anglais « real time RT-PCR » – NdT).
  • Le Professeur Drosten utilise dans le test qu’il a mis au point pour la détection du nouveau coronavirus la technique « RT-PCR temps réel ». À cet effet, au premier janvier 2020 il a choisi dans une base de données de courtes séquences géniques proposées qui sont attribuées au virus SARS. Sur la base de ces séquences de petits fragments géniques qui ont été interprétés comme possibles composants des coronavirus, il a conçu les séquences PCR amorces (rappel : en anglais Primer — NdT) cruciales pour la PCR, afin de détecter avec sa « RT-PCR temps réel » le virus « encore » inconnu en Chine.

Lorsque les 10 et 12 janvier 2020 sont apparues sur Internet les compositions préliminaires de séquences qui ultérieurement ont été modifiées et qui ont été publiées11 les 24 janvier et 3 février 2020, cela représentait le résultat des deux premiers essais pour identifier le virus qui était encore inconnu. Les virologues du CCDC ont à cet effet réuni théoriquement, au moyen de programmes informatiques, les séquences des petits fragments géniques en un possible génome. Les virologues du CCDC déclarent dans les deux publications qu’il n’existe encore aucune preuve au sujet de ces propositions de séquence, qu’elles puissent effectivement déclencher des maladies. Les 10 et 12 janvier, les propositions chinoises de séquences étaient encore provisoires et n’avaient pas encore été soumises au processus strict, scientifiquement requis, de la vérification.

Par le fait que le 21 janvier 2020, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ait recommandé le test de détection PCR mis au point par le Professeur Drosten pour la détection du nouveau virus avant même la publication des deux premières propositions chinoises de séquences est un premier fait prouvé : le Professeur Drosten a utilisé des données non vérifiées pour son test PCR du 2019-nCoV rapidement mondialisé, qui le 7 février 202012 avec le concours du Professeur Drosten a été rebaptisé en SARS-CoV-2.

Avec le changement de dénomination de « nCoV » en « SARS-CoV-2’ au 7 février 2020 une simple hypothèse d’un virus défectueux ou inoffensif en un agent pathogène dangereux a donné l’impression à l’opinion publique qu’un virus SARS avait été découvert en Chine, qui déclenche une maladie dangereuse, à savoir le SARS et qui avait tué la nouvelle idole de Chine, Li Wenliang qui avait éclipsé la direction du parti (communiste chinois — NdT). En faisant cela, le Professeur Drosten et ses collègues du Groupe de Nomenclature des Virus ont répondu à l’attente d’une population effrayée jusqu’à la moelle : « Finally diagnosed », « Finalement diagnostiqué ». Cette attente a été réveillée par une dynamique propre de panique de masse déclenchée par le docteur en médecine Li Wenliang et apparemment remplie par le Professeur Drosten. Ce qui est important dans l’évaluation de ce fait est la réalité qu’à cette date tous les virologues directement impliqués ont témoigné — et jusqu’à ce jour témoignent —, qu’il n’y a pas de preuve que ce nouveau virus déclenche effectivement des maladies. Ou bien n’apparaît-il qu’en parallèle dans les maladies, lors des traitements des maladies, après les traitements, chez quelques personnes en bonne santé, chez de nombreuses personnes en bonne santé ou chez tout le monde ?

Rien que cela prouve que le Professeur Drosten a dépassé les frontières claires et visibles des pratiques scientifiques déloyales pour aller vers d’importantes et reconnaissables fraudes. Il ne pourra pas non plus avancer l’excuse d’avoir utilisé la publication au 23 janvier 202013 de sa procédure de test dans un journal, dans lequel les affirmations avancées n’ont pas été vérifiées avant la mise sous presse.

5. Les questions cruciales pour une fin rapide de la crise corona

La question centrale et décisive si le Professeur Drosten a respecté son devoir scientifique, qui fait partie de son contrat de travail14, de vérifier lui-même et de manière approfondie toutes les affirmations qui sont dans sa publication sur le procédé de détection qu’il a mis au point et sur ses déclarations publiques basées à ce sujet.

En raison de ce devoir scientifique central, il y a trois questions cruciales qui en découlent :

  1. Le Professeur Drosten a-t-il vérifié si les séquences géniques, qui sont la base de son procédé de test et qui ont été mises à sa disposition par les virologues chinois sont effectivement des séquences qui proviennent d’un virus ?
  2. Le Professeur Drosten a-t-il réalisé les expériences de contrôle qui en science sont impératives et qui prouvent si les séquences qu’il a utilisées proviennent effectivement d’un virus ? A-t-il réalisé ces expériences de contrôle, si les séquences qu’il a utilisées, qu’il attribue au nouveau virus, en réalité qui ne sont pas des séquences, qui apparaissent dans n’importe quel métabolisme, peut-être même dans des plantes, comme par exemple dans la papaye de Tanzanie15 ou dans les métabolismes lors de maladies ?
  3. Sur la base de quels hypothèses, expériences et contrôles le Professeur Drosten peut-il affirmer qu’avec son procédé de test, pour lequel il ne prouve que des zones partielles de 2 gènes du génome sur un total de 10 gènes du coronavirus, qu’il prouve la présence d’un virus entier, actif et causant des maladies ? Et pas seulement des fragments d’un virus après un supposé combat victorieux du système immunitaire, ou bien la présence de virus « défectueux » ou « incomplets » ou « inoffensifs » qui sont typiques dans notre matériel génétique et qui constituent 50 % de la masse des gènes de nos chromosomes ?

Les réponses proviennent, à ce jour, des faits documentés du Professeur Drosten lors de la mise au point du procédé de test et de non-faits documentés du Professeur Drosten. Le virologue Professeur Drosten, qui a mis au point la détection du nouveau coronavirus (appelé d’abord 2019-nCoV puis à partir du 7 février 2020 SARS-CoV-2), décrit la mise au point du procédé de test dans une publication publiée le 23 janvier 202016. Dans la page 3 de cet article, dans la colonne de gauche, 8 lignes du bas, il nous décrit le premier et décisif pas de sa démarche :

“Avant l’annonce publique de séquences de virus provenant de cas avec 2019-nCoV, nous nous sommes reposés sur les médias sociaux qui annonçaient la détection d’un virus similaire au SARS. C’est pour cela que nous avons supposé qu’un CoV relié au SARS est impliqué dans le déclenchement (de l’épidémie — NdT).”

Ce qui signifie que le Professeur Drosten et ses collaborateurs, sur la base d’annonces dans les médias sociaux, ont accepté que dans l’épidémie alléguée d’une pneumonie atypique un coronavirus en rapport avec le SARS pourrait être impliqué. À ce moment-là aucune donnée clinique n’était disponible qui aurait pu servir de base à une telle hypothèse. Quel était le pas suivant ?

“Nous avons téléchargé toutes les séquences de virus complètes et partielles (longueur moyenne > à 400 nucléotides) reliées au SARS qui, au 1er janvier 2020, étaient disponibles dans la GenBank (banque de gènes— NdT).” Ça continue dans la colonne de droite de la page 3, 3e ligne à partir du haut :

“Ces séquences nous les avons (Remarque de moi-même, Stefan Lanka : à partir d’une séquence standard de virus SARS prédéfinie) alignées et l’alignement a été utilisé pour la conception de l’essai (Figure supplémentaire S1 dans le supplément de cette publication).”

“Après la publication de la première séquence 2019-nCoV sur virological.org, nous avons choisi 3 tests avec comme base dans quelle mesure elles correspondaient au génome du 2019-nCoV (Figure 1).”

À partir de ces propos découlent des réponses, des conclusions et des conséquences claires :

  1. Le Professeur Drosten a-t-il vérifié si les séquences géniques qui sont la base de son procédé de test et qui ont été mises à sa disposition par les virologues chinois sont véritablement des séquences qui proviennent d’un virus ? La réponse est non ! Il ne pouvait pas vérifier si les séquences proposées provenaient d’un virus, parce que dans les deux publications décisives décrivant l’obtention des séquences géniques qu’il avait utilisées ces séquences n’étaient pas disponibles avant la mise sur le marché de son test.
  2. Le Professeur Drosten a-t-il réalisé les expériences de contrôle qui en science sont impératives et qui prouvent si les séquences qu’il a utilisées proviennent effectivement d’un virus. A-t-il réalisé les expériences de contrôle pour savoir si les séquences qu’il a utilisées, qu’il attribue au nouveau virus, ne sont pas en réalité des séquences qui apparaissent dans n’importe quel métabolisme, peut-être même dans des plantes, comme par exemple dans la papaye de Tanzanie15 ou dans les métabolismes lors de maladies ?
    La réponse est : Non ! Ni lui, ni les virologues du CCDC ou d’autres n’ont à ce jour de manière prouvée réalisé ces contrôles impératifs et dans le cas où ils les auraient réalisés alors ils ne les ont pas publiés. Pour ces expériences de contrôle cruciales, il faut utiliser de courtes séquences génétiques provenant du métabolisme de personnes en bonne santé afin de les séquencer. Ces courtes séquences géniques doivent, comme celles provenant de personnes malades, être assemblées en un long génome d’un virus, à l’aide des mêmes programmes informatiques. Cet essai n’a soit jamais été effectué ou n’a jamais été publié. Il n’est même pas fait mention de ce contrôle obligatoire et résultant des règles de la logique de la virologie — de contrôler ses propres résultats de manière approfondie. Au moment où cet essai est effectué et publié, la crise corona est instantanément terminée.
    L’autre test de contrôle, basé sur la logique scientifique, est le dépistage intensif, au moyen du procédé PCR (RT-PCR temps réel), d’échantillons cliniques de personnes avec d’autres maladies que celles qui sont décrites comme attribuées au virus et à partir d’échantillons provenant de personnes en bonne santé, d’animaux et de plantes, pour voir si ces échantillons ne sont pas également testés « positif ». Ces expériences de contrôle supplémentaires, qui logiquement sont obligatoirement nécessaires afin de valider un procédé de test, à savoir vérifier s’il est valable et a une signification, n’ont à ce jour jamais été effectuées et on n’a même pas affirmé qu’elles ont été effectuées. C’est la raison pour laquelle l’inventeur et les producteurs de ce procédé de test se sont couverts, par les renseignements correspondant sur la notice d’information, par exemple que le test n’est à utiliser qu’à fins d’études et n’est pas adapté à des fins de diagnostic.

Je peux prédire avec certitude que des personnes qui libèrent des séquences géniques d’un type de tissu de l’épithélium squameux, par exemple les patients insuffisants rénaux, seront testées positives à 100 % avec le test PCR développé par le Professeur Drosten, si la quantité de frottis prélevée sur elles est un peu multipliée et concentrée. Très vraisemblablement tous les organismes peuvent être testés positifs.

J’en appelle aux biochimistes, bio informaticiens, virologues et spécialistes de cultures cellulaires de réaliser ces essais de contrôle, de les diffuser et de m’en informer. J’ai conçu une expérience de contrôle où l’excuse que le matériau échantillon ait été contaminé avec le virus SARS-CoV-2 avant ou pendant l’essai de contrôle est exclue à l’avance.

Les coûts pour la réalisation des expériences de contrôle seront couverts si moi-même et d’autres observateurs neutres avons le droit d’être présents lors des expériences de contrôle et que chaque pas (de l’expérience — NdT) est décrit. Veuillez, pour la prise de contact, vous adresser à l’éditeur. Cela ne sert à rien s’il n’y a que moi à présenter les résultats des essais de contrôle.

  1. Sur la base de quels hypothèses, expériences et contrôles le Professeur Drosten peut-il affirmer qu’avec son procédé de test, pour lequel il ne prouve que des zones partielles de 2 gènes du génome sur un total de 10 gènes du coronavirus, qu’il prouve la présence d’un virus entier, actif et causant des maladies ? Et pas seulement des fragments d’un virus après un supposé combat victorieux du système immunitaire, ou bien la présence de virus « défectueux » ou « incomplets » ou « inoffensifs » qui sont typiques dans notre matériel génétique ?

Le Professeur Drosten n’a pas pris en considération ces questions logiques, car elles n’apparaissent nulle part dans ses publications et affirmations. La détection de seules quelques petites séquences de gènes d’un génome ne pourra jamais prouver la présence d’un virus intact et donc capable de se reproduire. Pour pouvoir qualifier de valide un tel test PCR, il faudrait d’abord entreprendre des études, dont les résultats montrent que la détection de petites séquences de gènes prouve automatiquement la présence d’un génome entier et intact d’un virus. De telles études logiques et impératives n’ont pas été menées ou signalées à ce jour.

La Professeure Karin Mölling, virologue de pointe dans le domaine des virus associés aux cellules, des virus décrits comme endogènes, incomplets ou défectueux, a qualifié les mesures adoptées comme étant injustifiées, et ce dès le début de la crise corona. Elle a démontré dans des publications et dans son livre17 que la moitié des génomes de l’être humain, par conséquent la moitié des séquences dont sont constitués nos chromosomes, proviennent de séquences géniques inactives et défectueuses. Ce qu’elle ne sait pas, ou cache, est la réalité que le métabolisme génère constamment une grande quantité de séquences géniques ARN de composition quelconque, qui n’apparaissent pas sous forme d’ADN dans les chromosomes. Cette réalité remet en question l’existence affirmée de tous les virus ARN, comme par exemple les coronavirus, les virus Ebola, le VIH, le virus de la Rougeole, et les virus SRAS. Ce fait est également le fondement de la raison pour laquelle, avec les expériences de contrôle, non seulement la crise Corona touchera à sa fin, mais également la peur et les traitements inadaptés dus à toute la virologie des présumés virus responsables de maladies. Je peux assurer que les vraies causes et phénomènes de l’infection, qui sont attribuées aux virus, sont prouvées au sens « positif » du mot « Science ». Je fais référence à cette fin aux contributions passées « Mauvaise interprétation du virus » du magazine WissenschafftPlus n°1/2020 qui peut aussi être obtenu en fichier PDF. Et naturellement les nombreuses contributions antérieures autour de cette problématique.

La suite « Mauvaise interprétation du virus III » suivra.

Sources :

  1. A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019. N Engl J Med 2020; 382: 727-33. DOI : 10.1056/NEJ- Moa2001017. Veröffentlicht am 24.1.2020.
  2. Von der Verantwortung eines Virologen. Ist Christian Drosten Opfer oder Täter? Veröffentlicht im Blog des Friedensaktivisten Peter Frey, peds-ansichten.de am 26.5.2020.
  3. SARS, Wikipedia. https://de.wikipedia.org/wiki/Schweres_akutes_Atemwegssyndrom (Eintrag vom 29.5.2020);
  4. Xing-Yi Ge et al., Isolation and characterization of a bat SARS-like coronavirus that uses the ACE2 receptor. Nature. Band 503, 2013, S. 535–538, doi:10.1038/nature12711;
  5. Discovery of a rich gene pool of bat SARS-related coronaviruses provides new insights into the origin of SARS coronavirus. Ben Hu, Lei-Ping Zeng, Xing-Lou Yang et al., PLoS Pathogens. 13(11): e1006698, doi:10.1371/journal.ppat.1006698;
  6. Siehe Quelle 1 und : A new coronavirus associated with human respiratory disease in China. Nature | Vol 579 | 12 March 2020 | 265-269.
    https://doi.org/10.1038/s41586-020-2008-3. Veröffentlicht am 3.2.2020.;
  7. Pathological findings of COVID-19 associated with acute respiratory distress syndrome. Lancet Respir Med 2020; 8: 420–22.
    Published Online February 17, 2020.
    https://doi.org/10.1016/ S2213-2600(20)30076-X;
  8. Bundesgesundheitsblatt, Ausgabe Nr. 12, Dezember 2010. Pandemien. Lessons learned https://link.springer.com/journal/103/53/12;
  9. Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR. Prof. Christian Drosten und Mitarbeiter. Euro Surveill. 2020;25(3):pii=2000045.
    https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045. Veröffentlicht am 23.1.2020.
  10. Diagnostika: Erster Test für neuartiges Coronavirus entwickelt. Medica Magazin vom 21.1.2020. https://www.medica.de/de/News/Archiv/Diagnostika;
  11. Siehe 6;
  12. Severe acute respiratory syndrome-related coronavirus: The species and its viruses — a statement of the Coronavirus Study Group. bioRxiv preprint doi: https://doi. org/10.1101/2020.02.07.937862;
  13. Siehe 9;
  14. §2 Grundsätze Guter Wissenschaftlicher Praxis: (1) u.a. „alle Ergebnisse konsequent selbst anzuzweifeln“ und „die anerkannten Grundsätze wissenschaftlicher Arbeit in den einzelnen Disziplinen einzuhalten.“ In: Neufassung der Satzung der Charité – Universitätsmedizin Berlin zur Sicherung Guter Wissenschaftlicher Praxis vom 20.06.2012 (AMB Charité Nr. 092, S. 658) Zu finden unter: https://www.charite.de/fileadmin/ user_upload/portal/charite/presse/publikationen/amtl-mittei lungsblatt/2016/AMB_208.pdf;
  15. Wie mit den Befunden in der Öffentlichkeit umgegangen wird, dass auch Früchte „positiv“ auf „SARS-Cov-2“ getestet werden ist, finden Sie beispielhaft hier: https://www.zdf.de/nachrichten/panorama/coronavirus-papaya-ziege-tansania-test-100. html
  16. Siehe 9;
  17. Siehe das Buch von Karin Mölling mit dem interessanten Titel „Viruses: More Friends Than Foes“, 420 Seiten, das 2016 auch auf Deutsch erschienen ist.

Traduction Jean Bitterlin 30 octobre 2020




Les enfants sacrifiés du Covid — Morceaux choisis

Par Joseph Stroberg

Afin de donner une idée assez fidèle du contenu du dernier livre des docteurs Nicole et Gérard Delépine, Les enfants sacrifiés du Covid, en voici quelques extraits significatifs :

Depuis bientôt deux ans, le monde est soumis à une tentative coordonnée et brutale de transformer la société humaine occidentale en une réplique de la société chinoise imposant un contrôle social fondé sur l’obéissance au sein d’un totalitarisme revendiqué.

La propagande Covid instillant la peur a permis de soumettre les masses populaires par le matraquage quotidien d’un message unique et omniprésent sur tous les médias : « Le virus est dangereux et risque de vous tuer, le contact des autres vous met en danger ». L’unicité du message a engendré l’hypnose de la majorité des gens et conduit à la situation catastrophique d’aujourd’hui avec dislocation des rapports humains, y compris familiaux.

(Extrait du prologue)

Depuis près de 21 mois, de très nombreuses publications françaises et internationales1 démontrent que les enfants (non gravement malades par cancers, immunodépression, etc.) sont innocents du Covid, à risque zéro d’en mourir, et de surcroît ne transmettent pas le virus SARS-CoV-2, ni aux autres enfants, ni aux adultes.

(Extrait p. 9)

Mais il est bien vite apparu que l’objectif de la « plandémie » mise au point par quelques milliardaires au forum de Davos, annoncé et répété par l’évènement Event 201 et mis en œuvre par la majorité des 194 pays signataires du conseil mondial de l’OMS3, n’était pas médical, mais politique.

(Extrait p. 9-10)

Après le confinement, les mesures inutiles de distanciation à l’école, l’obligation de port de masques inefficaces et toxiques encore à l’heure actuelle.

(Extrait p. 10)

Les adolescents, poussés à l’injection sans le consentement de leurs parents dès 16 ans, et pour les plus jeunes avec seulement celui d’un parent, ont déjà cédé au chantage pour pouvoir continuer à sortir, danser ou boire une bière avec les copains sans entrave. On leur disait que ce pseudo vaccin était inoffensif et qu’il fallait « faire confiance à la science ». Laquelle ? À la véritable science qui cultive le doute et progresse grâce aux controverses, ou bien au scientisme des marchands du temple vaccinal qui interdit tout débat démocratique ? À la science des vrais docteurs au chevet des malades, diffamés, vilipendés, ou à celle des marchands de tapis qui s’expriment en permanence sur tous les médias, propriétés des milliardaires actionnaires des Big Pharmas producteurs des injections miracles ?

(Extrait p. 10-11)

Et comme les dégâts ne sont pas suffisants, on s’apprête à imposer quasiment de force l’injection des petits de 1 à 6 ans, en attendant celles des bébés qui suivra logiquement, si on n’arrête pas cette folie meurtrière.

(Extrait p. 11)

D’abord, y a-t-il eu maladie : quels sont les symptômes, l’évolution et les risques éventuels de l’infection par SARS-CoV-2 chez l’enfant ?
« Nous pensons fortement que les enfants sont les victimes du management du Covid et non de la maladie appelée Covid. »

(Extrait p. 13)

Toutes les études sur le sujet soulignent que la susceptibilité d’un enfant à la contamination est largement inférieure à celle des adultes, sans qu’on en ait formellement démontré les raisons.

(Extrait p. 14)

[La plupart du temps,] les enfants n’éprouvent aucun symptôme, ne sont pas malades, ce sont éventuellement des porteurs sains.
Lorsqu’ils sont cliniquement malades, les symptômes sont habituellement bénins (…)

(Extrait p. 14-15)

Le Covid-19 tue très exceptionnellement les enfants, environ trois fois moins que la grippe (…)

(Extrait p. 22)

Les parents doivent pouvoir prendre des décisions sur la vaccination en toute connaissance de cause, et tout particulièrement de cette absence de risque chez l’enfant sain.

(Extrait p. 22)

L’enfant ne participe qu’infiniment peu, ou pas, à la transmission du Covid.

(Extrait p. 23)

La contamination quasi exclusive des enfants par des contacts familiaux suggère que l’activité scolaire, diminuant le temps passé à domicile, est ainsi susceptible de diminuer le risque de contamination des enfants.

(Extrait p. 26)

Les enfants ne contaminent pas les autres, ni adultes ni enfants !

(Extrait p. 27)

Par rapport aux adultes, l’incidence et la gravité de la maladie Covid-19 sont très faibles chez les enfants, et leur rôle dans la propagation de la maladie est infime. Par conséquent, les pseudo vaccins géniques anti-Covid 19 devraient avoir une sécurité et une efficacité pleinement démontrées dans la prévention, non seulement des complications, mais de la transmission pour justifier l’injection des enfants. Ce qui est loin d’être le cas en décembre 2021.

(Extrait p. 32)

La fermeture inutile des écoles a gravement nui aux enfants.

(Extrait p. 33)

Les conclusions du Centre européen de contrôle des maladies infectieuses sont claires : « Les preuves issues de la recherche des contacts dans les écoles et les données d’observation d’un certain nombre de pays de l’UE montrent que la réouverture des écoles n’a pas été associée à une augmentation de la transmission communautaire. Les données disponibles indiquent également que les fermetures d’établissements de garde d’enfants et d’enseignement ne constituent pas une mesure de contrôle efficace pour la transmission communautaire du Covid-19 et que de telles fermetures ne fourniraient probablement pas une protection supplémentaire significative de la santé des enfants, car la plupart développent une forme très légère Covid-19. »

(Extrait p. 41)

Une étude récente de l’UNESCO montre que plus de 100 millions d’enfants tomberont en dessous du niveau de compétence minimum en lecture en raison de l’impact des fermetures d’écoles.

(Extrait p. 44)

Avec la pandémie, les anxiétés, dépressions, troubles alimentaires ont augmenté chez les moins de 18 ans de 30 à 60 % selon les études.

(Extrait p. 47)

Selon une étude de l’Observatoire national de la Santé (Onaps), réalisée en 2019 et 2020,
« après le confinement, les enfants de CE2 ont perdu 20 % de leurs capacités physiques et 40 % de leurs fonctions cognitives ».

La catastrophe de l’enseignement atteint tous les enfants et adolescents de l’école des tout-petits à l’université.

« Pendant le confinement, enfants, ados, adultes, nous avons été comme en prison. Nous n’avons pas eu le droit de voir nos amis… » Témoignages de tant d’ados…

(Extrait p. 48)

Bien pratique ce sujet unique télévisé sur le nombre de morts ou de lits d’hôpitaux disponibles, et ces messages falsifiés. Qu’importe si on sacrifie nos enfants sur tous les plans !

(Extrait p. 52)

Le port du masque chez les enfants sains à risque zéro de formes graves (et qui ne contaminent ni les adultes ni les autres enfants) est une ineptie démontrée par toutes les études scientifiques qui ont analysé le sujet. Mais les nombreux articles parus dans des revues internationales et cités par des auteurs sérieux n’ont pas été entendus ni même probablement lus par nos dirigeants.

(Extrait p. 56)

Mesure politique de conditionnement des masses physiquement et psychologiquement bloquante, la muselière est de plus extrêmement toxique sur le plan anatomique, infectieux, et scolaire. Elle saborde l’apprentissage et les rapports humains en désignant l’autre comme le danger.

(Extrait p. 56-57)

« L’air n’est plus suffisamment réchauffé et dépoussiéré comme il doit l’être lors du passage normal dans les fosses nasales avant d’arriver aux poumons. Le sang chaud qui arrive du cerveau n’est plus refroidi au contact de cet air froid. Notre cerveau surchauffe et fatigue. »

(Extrait p. 58)

« Nous nous auto-intoxiquons par le gaz carbonique que nous rejetons dans le masque. L’hypercapnie, terme scientifique qui désigne une trop forte concentration de CO2 dans le sang, constitue un vrai risque pour le cerveau qui consomme à lui seul 20 % de l’oxygène total qui rentre par les poumons. Les conséquences peuvent aussi conduire à une dépression du système nerveux central, une élévation de la fréquence cardiaque, des sautes d’humeur et de fatigue, des nausées, des vomissements, jusqu’à la perte de conscience. Comme les symptômes apparaissent plus rapidement avec l’effort physique, le port du masque est fortement déconseillé en courant, à vélo, ou toute autre activité sportive. »

(Extrait p. 59)

Le dentiste de Vendée insiste : « Par la respiration buccale, nous asséchons notre bouche et raréfions la salive protectrice des dents et des muqueuses. »

(Extrait p. 60)

La liste des inconvénients du port du masque est longue, très longue.

(Extrait p. 62)

Les bébés recueillis par des loups parlent le langage du loup. Que parlera le bébé d’une femme sans visage ?

(Extrait p. 69)

Qu’est-ce que le pass sanitaire ?
Un rappel nauséabond de l’Occupation [pendant la Seconde Guerre mondiale]. Pour ceux qui y auraient échappé, se terrant dans leurs pénates et sortant le moins possible, évitant les lieux exigeant ce document honteux, quelques indices.

(Extrait p. 73)

Les preuves innombrables, reconnues par tous, dé-montrent qu’un « vacciné », quel que soit le nombre de doses reçues, peut contaminer autrui (injecté ou non injecté).

(Extrait p. 75)

« Les parents boivent, les enfants trinquent. »
L’avocat D. Guyon souligne fort justement les implications particulièrement graves pour les enfants des décisions parentales, quant au pass sanitaire.

(Extrait p. 78)

L’incitation à l’injection mise en œuvre à travers un martelage systématique, comme « sésame pour retrouver la liberté », ajouté à la pression sociale d’être une personne non vaccinée, conduira les enfants sacrifiés à accepter l’inacceptable, de la mise en condition par le port du masque puis du pass enfin à la vaccination et ensuite à la banalisation de toutes les mesures coercitives, élargissant la notion de pass à de nombreuses situations non sanitaires, comme la surveillance de leur respect de mesures dites environnementales, ou du paiement de vos amendes. Le projet en cours de réalisation est maintenant clair. Aux peuples de choisir s’ils se soumettent ou non.

(Extrait p. 82)

La santé mentale des enfants est fortement perturbée par la crise sanitaire à court terme et le sera à long terme.

(Extrait p. 83)

Depuis le début de la pandémie, les hospitalisations en psychiatrie d’enfants de moins de 15 ans ont augmenté de 80 % et le nombre de tentatives de suicide a doublé en France (…)

(Extrait p. 86)

La crise sanitaire a agi, de plus, comme un amplificateur des inégalités sociales et frappé plus durement les familles les moins privilégiées, plus vulnérables (jeunes, femmes, familles monoparentales, précaires, etc.) davantage exposés au risque de dégradation de leur situation financière, voire de basculement dans la précarité, et en conséquence à l’augmentation des troubles psychiques.

(Extrait p. 87)

Priver les enfants de câlins entre eux et avec les adultes, imposer des distances relèvent de la psychiatrie lourde du prescripteur, mais aussi de complices soumis à ces ordres ineptes, privés de bon sens et de sensibilité, réduits à l’état végétatif de robot obéissant et de capos dignes d’une autre époque.
Ce vécu relationnel perturbé va engendrer des drames à long terme.

(Extrait p. 92)

Le réseau neuronal se construit dans les cinq premières années de vie. Être élevé en crèche par des éducateurs et des auxiliaires de puériculture masqués et qui évitent tous les contacts physiques (car terrorisés comme le reste de la société) risque d’avoir des effets très négatifs.

(Extrait p. 93)

Il ne s’agit pourtant pas de vrais vaccins comme ceux de Pasteur. (…) Ce sont en réalité des thérapies géniques (d’ailleurs définies ainsi dans le contrat avec la FDA). Elles sont toujours expérimentales : les résultats définitifs des essais phase 3 ne seront pas connus avant 2023.

(Extrait p. 96)

La fable de l’épidémie de Covid chez l’enfant résulte seulement de la multiplication des tests PCR fallacieux153 imposée par le pouvoir. Il s’agit d’une épidémie de cas créée par la multiplication de tests (inutiles du point de vue sanitaire), mais pas de malades.

(Extrait p. 107-108)

Les atteintes cardiaques ont été les plus rapidement identifiées même aux yeux des pro- vaccins, car les chutes inopinées parfois mortelles de sportifs de haut niveau jeunes en pleine forme physique, ou de politiciens, artistes en train d’être filmés sont difficiles à cacher. Évidemment, les médias ont tenté de faire passer pour coïncidences ces drames, mais jamais une telle « série de coïncidences » n’avait été observée spontanément ou après un vrai vaccin.

Une nouvelle fois, les médias diffusent d’énormes mensonges. Non, les crises cardiaques ne sont pas habituelles chez les jeunes non vaccinés qui jouent au foot dans la cour. Vous avez tous des enfants à l’école ou des petits enfants. Combien de fois avant les pseudos vaccins avez-vous entendu parler de décès brutal au cours d’un cours d’éducation physique ? Jamais ! Revenez sur terre et cessez de croire aux balivernes tragiques de journalistes corrompus et/ou rendus fous via la coronafolie.

(Extrait p. 111)

Les effets secondaires neurologiques associés aux injections anti-SARS-CoV-2 sont nombreux, divers, et parfois très invalidants. Parmi eux, le plus fréquent et le plus bénin est le mal de tête, suivi du syndrome de Guillain-Barré, de la thrombose des sinus veineux et de la myélite transverse et plus récemment on a observé en France des maladies proches de la maladie à prions appelée Creutzfeld-Jakob (maladie de la vache folle).

(Extrait p. 122)

Les pseudo vaccins anti-Covid représentent donc un risque de mort fœtale cent fois plus élevé que le vaccin contre la grippe.

(Extrait p. 123)

L’argument le plus fréquemment utilisé pour justifier la politique sanitaire qui, sans nous protéger, nous empêche de vivre libre est :
« Tous les pays pratiquent la même politique d’interdiction des traitements précoces en attendant les vaccins. »
Mais cette affirmation est mensongère : près de la moitié des pays du monde (dont l’Inde, les pays d’Afrique tropicale, la Chine, la Malaisie) ont utilisé des traitements précoces permettant des comparaisons avec les pays occidentaux soumis à une dictature sanitaire.

(Extrait p. 133-134)

Depuis le début du coronacircus, nous avons subi des mensonges gouvernementaux permanents pour justifier des décisions médicalement illogiques, disproportionnées, brutales et contre-productives. Leur caractère tyrannique nous a convaincus qu’il ne s’agissait pas d’une crise médicale, mais bien d’une guerre contre la démocratie utilisant un prétexte sanitaire.

(Extrait p. 145)

Il faudra étudier le comportement manipulateur et destructeur des mondialistes, pour mieux comprendre ce qui nous est arrivé. Mais c’est un autre sujet, scénario de manipulation destructrice appliqué à la société.

(Extrait p. 151)

L’OMS a transformé une épidémie de grippe sévère en une pandémie virale, par un simple changement de définition orchestrée depuis de nombreuses années après une tentative ratée en 2009 avec le H1N1.

(Extrait p. 152)

L’ouvrage comporte de nombreuses références et des exemples en provenance de divers pays dont la Grande-Bretagne, les États-Unis, Israël et la France.

Table des matières

Prologue
Les enfants sacrifiés de la mascarade Covid 7
Introduction
Le massacre des innocents 9
1. L’histoire de la maladie liée au coronavirus SARS-CoV-2 chez l’enfant, et ses particularités 13
2. Les enfants sont innocents du Covid 23
3. Les enfants et les adolescents n’ont rien gagné de la fermeture des écoles 33
4. La torture prolongée des enfants par le port du masque pour leur apprendre la soumission 56
5. Le drame du pass sanitaire chez l’enfant et ses conséquences psychologiques et humaines à long terme 73
6. Les conséquences psychiques des mesures liberticides imposées sous prétexte de Covid 83
7. L’échec des pseudos vaccins, injections géniques expérimentales 95
8. Les dangers géniques chez l’enfant 106
9. On pouvait faire autrement, en d’autres termes : traiter précocement 133
Conclusion
Refusons le totalitarisme et protégeons l’avenir de nos enfants 145

Site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

https://t.me/DrDelepine sur telegram




20 % des Français envisagent de se suicider

[Source : bvoltaire.fr]

Un chiffre qui fait froid dans le dos, et qui a dû être au cœur de ce cinquième Comité stratégique de la santé mentale et de la psychiatrie, le vendredi 21 janvier, en présence de Sophie Cluzel, secrétaire d’État au Handicap, et d’Olivier Véran, ministre de la Santé. Une nécessité, quand on observe la pandémie psychologique des deux dernières années : ainsi, d’après les chiffres dévoilés par Santé publique France, en septembre 2021, 63 % des Français déclarent des problèmes de sommeil (14 points de plus qu’avant la crise sanitaire), 15 % des Français montrent des signes d’un état dépressif, 23 % d’un état anxieux et 10 % ont eu des pensées suicidaires au cours de l’année (5 points de plus qu’avant la crise sanitaire). Si pandémie Covid il y a eu, on peut être sûr que la pandémie psychologique est une réalité.

À l’heure où, pendant le premier confinement de 2020, le gouvernement et les médias lançaient l’alerte sur les violences faites aux femmes, est-ce que le problème de l’isolement, de l’enfermement et de la déscolarisation avec les conséquences psychologiques à craindre attirait autant l’attention ?

Notons que les autorités s’étaient penchées sur la question. Dès le 23 mars 2020, c’est-à-dire à peine quelques jours après le début du premier confinement, Santé publique France lançait CoviPrev : une enquête visant à suivre les comportements des Français et leur santé mentale. C’était en effet judicieux d’y penser. SOS Amitié, une association de bénévoles épaulant des personnes en détresse psychologique, a recensé 102.644 appels du 15 mars au 10 mai 2020, contre 77.722 sur la même période en 2019. Il était effectivement utile que les autorités se penchent sur la question.

Pour quels résultats ? En novembre 2020, 20 % des Français ont pensé sérieusement au suicide, ce qui, d’après la fondation Jean-Jaurès, est un chiffre à peu près équivalent à celui de l’année 2016 ; la différence étant que le nombre de tentatives augmente : 27 % en 2020, contre 22 % d’entre elles en 2016.

L’augmentation des tentatives de suicide chez les jeunes, le reflet d’une génération sacrifiée ?

Il n’est guère besoin d’être un grand spécialiste de la petite enfance pour être affligé à l’idée des conséquences que peuvent avoir, sur le long terme, les mesures sanitaires sur des élèves de primaire et de collège : déstructuration de la scolarité au moment où ils apprennent les fondamentaux, désocialisation au moment où ils apprennent à vivre en société. Comment vont-ils se tourner vers l’avenir ?

Les conséquences sur le court terme ont déjà de quoi effrayer. En octobre 2021, l’hôpital Robert-Debré, à Paris (XIXe), faisait état d’une augmentation de 299 % des admissions aux urgences pour tentatives de suicide chez les moins de 15 ans, entre juillet-août 2019 et mars-avril 2021.

« Il faut se méfier d’une vision centrée sur un seul hôpital », fait remarquer Vincent Jardon, responsable dans les Hauts-de-France de VigilanS, un dispositif de suivi des personnes ayant tenté de se suicider. Mais cela étant dit, il note que « le constat général semble assez partagé sur le territoire national ».




Covid : La stratégie des Amish a payé

[Source : cruciforme]

[Photo : © Shutterstock]

Parce qu’ils n’ont pas la télévision, les Amish n’ont pas eu peur du covid. Pendant que le reste du monde se confinait, ils ont payé le prix de l’immunité et même prospéré économiquement.

Ils sont près de 350.000 aux USA, dont 30.000 dans le seul comté de Lancaster. C’est là que l’équipe de Full Measure, le pendant Américain de notre émission « 7 à 8 », a enquêté cet automne, remettant la célèbre communauté chrétienne sur le devant de la scène. Alors que le pays connaissait un confinement généralisé, les Amish ont continué leur vie comme si de rien n’était et ils ont même prospéré.

Outre leur aversion pour le progrès technique, les Amish se méfient de 3 choses, explique Steven Nolt, sociologue et lui-même membre d’une branche moins rigoriste, le mennonisme : le Gouvernement, le système scolaire et le système de santé publique. Pas question de cesser de se réunir et de changer leurs habitudes, ni de supprimer la « Sainte Cène » (la communion dominicale), où tout le monde trempe les lèvres dans le même verre. Contrairement aux autres communautés, la surmortalité n’a pas été aussi forte qu’ailleurs au pire moment de l’épidémie.

Pionniers de l’immunité collective

Selon Nolt, 90% des Amish ont alors contracté le covid. L’essentiel étant pour eux de rester en famille, pas question pour les malades d’aller dans les hôpitaux. L’isolement extrême était alors la règle et les visites y étaient interdites. Pendant que le monde entier était à l’arrêt, la communauté a redoublé d’efforts au travail et même prospéré économiquement, raconte l’un d’entre eux.

Dès mars 2021, ils furent la première communauté à avoir atteint l’immunité collective. Depuis toujours réfractaires aux vaccins, ils ont préféré faire confiance à leur système immunitaire, prouvant par là que le seul vrai moyen de vaincre le virus est encore de laisser faire la Nature…


[Source : @LeLibrePenseur.org]






USA — Des lanceurs d’alerte partagent des données médicales du ministère de la Défense qui font exploser le débat sur la sécurité des vaccins

[Source : actuintel]

Données, transparence et surveillance. C’est ce qui a manqué à la plus grande expérience sur les humains de tous les temps tout au long de cette pandémie. Aujourd’hui, des lanceurs d’alerte médicaux militaires ont présenté ce qu’ils prétendent être l’ensemble de données le plus précis et le plus révélateur sur la sécurité des vaccins que l’on puisse trouver.

Les politiciens et les médias pro-pharma affirment que l’outil de pharmacosurveillance du CDC, le VAERS, n’est pas assez performant pour déclencher des enquêtes sur les vaccins, car n’importe qui peut soi-disant soumettre une entrée d’événement indésirable lié à un vaccin. Ainsi, tous les signaux de sécurité inquiétants émis par le VAERS sont ignorés, même si ce système a été mis en place pour consoler le public en exonérant les fabricants de vaccins de toute responsabilité. Aujourd’hui, des dénonciateurs militaires présentent des données qui, si elles sont vérifiées, signalent des problèmes de sécurité extrêmement inquiétants concernant le vaccin, qui font passer les données du VAERS pour un jeu d’enfant.

Lundi, au cours de l’audition de cinq heures du sénateur Ron Johnson sur un « COVID-19 : Second Opinion », l’avocat de l’Ohio Thomas Renz, qui représente des clients poursuivant les mandats de vaccination, a présenté des données de facturation médicale du DOD provenant de la base de données d’épidémiologie médicale de la défense (DMED) qui brosse un tableau choquant et inquiétant de la santé des membres de notre service en 2021.

https://twitter.com/TheChiefNerd/status/1485695818996854788

Selon l’armée, DMED est l’outil Web de la Direction de la surveillance de la santé des forces armées (AFHSB) qui permet d’interroger à distance les données anonymisées sur le personnel et les événements médicaux des composantes actives contenues dans le système de surveillance médicale de la défense (DMSS). En d’autres termes, il contient chaque code de facturation médicale CIM pour tout diagnostic médical dans l’armée soumis à la facturation de l’assurance médicale pendant une période donnée. Trois médecins militaires ont présenté à Renz des données interrogées qui montrent un pic choquant et soudain dans presque tous les codes CIM pour les blessures courantes liées aux vaccins en 2021.

Dans une déclaration sous peine de parjure (NDLR : donc sous serment) que Renz prévoit d’utiliser devant un tribunal fédéral, les docteurs Samuel Sigoloff, Peter Chambers et Theresa Long – trois médecins militaires – ont révélé qu’il y a eu une augmentation de 300% des codes DMED enregistrés pour des fausses couches dans l’armée en 2021 par rapport à la moyenne sur cinq ans. La moyenne sur cinq ans était de 1 499 codes pour des fausses couches par an. Au cours des 10 premiers mois de 2021, elle était de 4 182. Comme Renz me l’a expliqué dans une interview avec TheBlaze, ces médecins ont interrogé les chiffres de centaines de codes de 2016 à 2020 pour établir une moyenne de base sur cinq ans. Ces codes concernaient généralement des affections et des blessures que la littérature médicale a établies comme étant des effets indésirables potentiels des vaccins.

M. Renz m’a dit que les chiffres tendaient à être remarquablement similaires pour toutes ces années précédentes, y compris en 2020, qui était la première année de la pandémie mais avant la distribution des vaccins. Mais en 2021, les chiffres sont montés en flèche, et les données de 2021 ne comprennent même pas les mois de novembre et décembre. Ainsi, certains responsables de la santé publique supposent que le COVID lui-même expose les femmes à un risque plus élevé de fausses couches. Mais le nombre de codes de fausses couches enregistrés en 2020 était en fait légèrement inférieur à la moyenne sur cinq ans (1 477). Cependant, ils n’étaient pas radicalement inférieurs à la moyenne dans une catégorie quelconque, au point que l’on puisse suggérer qu’il s’agit d’un reflet de la diminution des consultations médicales liée au confinement, qui a en quelque sorte conduit à une augmentation des diagnostics en 2021.

La base de données contient tous les codes CIM pour les visites à l’hôpital militaire et les visites ambulatoires. Les données présentées par Renz jusqu’à présent proviennent toutes de l’interrogation des données de diagnostic ambulatoire.

Outre le pic des diagnostics de fausses couches (code CIM O03 pour les avortements spontanés), on constate une augmentation de près de 300 % des diagnostics de cancer (d’une moyenne de 38 700 par an sur cinq ans à 114 645 au cours des 11 premiers mois de 2021). Il y a également eu une augmentation de 1 000 % des codes de diagnostic pour les problèmes neurologiques, qui sont passés d’une moyenne de base de 82 000 à 863 000 !

Voici d’autres chiffres qu’il n’a pas mentionnés lors de l’audition mais qu’il m’a donnés lors de l’interview :

  • infarctus du myocarde : 269 % d’augmentation
  • paralysie de Bell : 291 % d’augmentation
  • malformations congénitales (pour les enfants de militaires) : 156 % d’augmentation
  • infertilité féminine : augmentation de 471 %
  • embolies pulmonaires : augmentation de 467 %

Tous ces chiffres concernent les visites ambulatoires, car c’est là que se produisent la plupart des diagnostics dans l’armée. Cependant, Renz a dit que les augmentations étaient également indiquées chez les patients hospitalisés. J’ai vu l’une des déclarations sous serment de l’un des médecins militaires, qui dit ceci :

« C’est mon opinion professionnelle que les augmentations majeures des incidences des cas de fausses couches, de cancers et de maladies susmentionnés sont dues aux « vaccinations » COVID-19 ».

Tous ces chiffres concernent les visites ambulatoires, car c’est là que se produisent la plupart des diagnostics dans l’armée. Cependant, Renz a dit que les augmentations étaient également indiquées chez les patients hospitalisés. J’ai vu l’une des déclarations sous serment de l’un des médecins militaires, qui dit ceci :

« C’est mon opinion professionnelle que les augmentations majeures des incidences des cas de fausses couches, de cancers et de maladies susmentionnés sont dues aux « vaccinations » COVID-19 ».

Selon Renz, c’est l’expérience clinique réelle des trois médecins cités et de plusieurs médecins anonymes qui les a conduits à enquêter sur DMED, et leurs découvertes reflétaient leur expérience du traitement de patients atteints de maladies extrêmement inhabituelles chez de jeunes soldats en bonne santé depuis le lancement des vaccins.

J’ai parlé à l’un des dénonciateurs qui affirme être gravement préoccupé par le fait de voir de jeunes soldats atteints de cancers métastatiques soudains, de maladies auto-immunes et de troubles cardiaques et circulatoires qui ont poussé de nombreux soldats à abandonner divers programmes de formation. « Ces médecins ont été motivés à explorer les données DMED en raison du nombre d’augmentations de cas qu’ils constataient de manière empirique », a déclaré le dénonciateur, qui a servi dans l’armée pendant de nombreuses années.

« Certains médecins de l’ensemble de la force (toutes branches confondues) ont été intimidés par les ordres de ne pas effectuer l’ensemble des tests et de ne pas adhérer aux règlements, qui ordonnent implicitement des bilans complets pour les effets indésirables des vaccins EUA. Il faudra que d’autres médecins militaires se manifestent et partagent leurs expériences pour que l’énormité de ces allégations soit pleinement établie et qu’une enquête soit menée dans toute son ampleur. »

Renz affirme qu’il dispose d’une vidéo avec deux témoins montrant l’ensemble du processus de téléchargement de ces données depuis la base de données et qu’il est prêt à la présenter au tribunal. Il m’a également dit que ce n’était que « la partie émergée de l’iceberg », car les codes ont augmenté de façon exponentielle dans de nombreuses autres catégories de diagnostics. M. Renz a déclaré que sa feuille de calcul, qui comprend plus de 100 catégories de diagnostics médicaux, a été communiquée au sénateur Johnson et à son personnel avant l’audience de lundi.

Il est important de noter que ces chiffres ne représentent pas le nombre de personnes individuelles diagnostiquées pour diverses affections, mais le nombre de codes de diagnostic utilisés dans leur totalité à un moment donné. Par exemple, une personne victime d’un accident vasculaire cérébral va évidemment accumuler de nombreux codes CIM neurologiques au cours d’une année, avec de multiples visites ambulatoires et hospitalières. Toutefois, la comparaison entre les pommes et les pommes des cinq années précédentes montre clairement un pic incontestable des affections.

Si ces chiffres sont vérifiés dans les procès à venir, alors, en l’absence d’une fraude massive à l’assurance militaire ou d’un problème bizarre dans le système, cela pourrait donner une image choquante des problèmes de sécurité des vaccins qui indiquerait que non seulement les signaux de sécurité du VAERS auraient dû être immédiatement suivis, mais qu’ils sont en proie à une terrible sous-déclaration. L’armée est une population définie, limitée, et étroitement contrôlée et surveillée. Ils sont également très majoritairement jeunes et en bonne santé. Si les allégations de problèmes neurologiques, cardiaques et de cancer liés aux vaccins sont effectivement vraies, l’armée serait l’endroit le plus révélateur pour le découvrir, et ses données sont les plus fiables et les plus incontestables.

Le DMED est littéralement un programme de surveillance épidémiologique conçu dans le but exprès de détecter les poussées de maladies et de blessures afin de s’assurer que l’armée est prête au combat. Il s’agit de sécurité nationale encore plus que de santé publique. Pourquoi l’armée n’aurait-elle pas tiré la sonnette d’alarme et prévenu immédiatement le CDC au sujet de ces données ? Sur le site Web du système de santé militaire, la Division de surveillance de la santé des forces armées (AFHSD) est décrite comme :

« la ressource épidémiologique centrale pour les forces armées des États-Unis, menant une surveillance médicale pour protéger ceux qui servent notre nation en uniforme et les alliés qui sont essentiels à nos intérêts de sécurité nationale ».

Comment l’Agence sanitaire de la défense (DHA) a-t-elle pu ignorer les signaux de surveillance criants et flagrants d’une vie entière, et comment cela n’a-t-il pas été communiqué au grand public ? La question est de savoir pourquoi les analystes de la santé publique militaire n’ont pas communiqué avec les médecins militaires au sujet des pics choquants de diagnostics cette année et pourquoi ils n’ont pas publié d’analyse pour l’expliquer.

Pour sa part, le sénateur Ron Johnson a déclaré lors de l’audience de lundi qu’il avait mis le ministère de la Défense en demeure de ne pas supprimer les données. « Le ministère de la Défense, l’administration Biden sont avertis qu’ils doivent préserver ces dossiers et que cela doit faire l’objet d’une enquête », a déclaré Johnson. M. Renz a déclaré lors de l’audience que certaines des données relatives à la myocardite avaient glissé vers l’arrière depuis que les médecins les avaient téléchargées l’année dernière.

Même si, d’une manière ou d’une autre, ces augmentations fracassantes n’ont rien à voir avec les vaccins, n’est-il pas important que notre gouvernement enquête sur ce qui semble être un déclin catastrophique de la santé de notre force de combat en service actif ? Après tout, les données du DMED ont été conçues dans ce but précis. « Une personne peut faire un travail de recherche rien qu’avec ces données », a déclaré l’un des dénonciateurs à qui j’ai parlé.

« Elles ont été conçues dans ce but précis. La quantité de points de données que vous pouvez interroger est presque illimitée. »

L’essentiel, selon Renz, est que la charge de la preuve incombe au gouvernement, et non aux militaires et aux citoyens contraints de prendre les clichés. Si les fabricants sont exonérés de toute responsabilité en cas de coercition gouvernementale pour l’utilisation de leur produit, et que les seules données de sécurité pharmacologique dont nous disposons sont complètement ignorées, alors quel est le recours de la population pour remédier aux problèmes de sécurité ? Selon l’avocat de l’Ohio, si les injections sont sûres et efficaces, alors le Pentagone ne devrait avoir aucun problème à expliquer la source de ces augmentations gargantuesques de cas de nombreuses maladies. La transparence est le remède le plus efficace contre une pandémie de secret.




La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

Par le Dr Stefan Lanka

Traduction : Jean Bitterlin

Source en anglais : https://davidicke.com/wp-content/uploads/2020/07/Paper-Virus-Lanka-002.pdf

[Voir aussi une autre traduction, plus récente :

]

Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».

[Voir aussi :
Dossier Vaccins et virus]

Le phénomène de simultanéité ou d’apparition subséquente de symptômes chez différentes personnes, qui a été jusqu’à présent interprété comme étant une contagion et était considéré comme causé par la transmission d’agents pathogènes, est dorénavant facile à comprendre grâce aux nouvelles découvertes. Ainsi nous avons maintenant une nouvelle vision de la vie (qui est en réalité une vision ancienne) et une nouvelle vision de l’intégration cosmologique des processus biologiques.

La perspective « nouvelle », ou plutôt redécouverte, ne pouvait provenir que de l’extérieur de la « science » officielle : une des raisons à cela c’est que les personnes travaillant dans les institutions scientifiques ne s’acquittent pas de leur première obligation — de douter en permanence et de revérifier une deuxième fois chaque théorie. Sans quoi ils auraient déjà découvert que la mauvaise interprétation est déjà en place depuis longtemps et était devenue un dogme uniquement par des activités extrêmement ascientifiques dans les années 1858, 1953 et 1954.

La transition vers une nouvelle explication de la santé, de la maladie et de la guérison ne réussira que parce que tous les thérapeutes et scientifiques peuvent sauver leur face grâce à elle. À partir de l’Histoire et de la nouvelle perspective sur la biologie et la vie, nous avons également des explications pour les émotions, l’ignorance et toutes sortes de comportements humains. Ceci est le deuxième message d’optimisme. Sortir d’une impasse et pardonner les erreurs du passé peut même avoir lieu d’une manière plus efficace, plus on comprend ce qui s’est passé et plus on apprend pour le futur.

Je sais que pour toutes les personnes directement concernées, tels que les médecins, les virologistes, les professionnels de la santé, et par-dessus tout les personnes affectées par le système, qui souffrent de mauvais diagnostics ou même qui ont perdu un proche à cause de cela, il peut être difficile d’accepter sur le plan intellectuel l’explication de la réalité que je vais vous proposer dans cet article. Afin que la théorie des germes pathogènes ne devienne pas d’une ampleur dangereuse, comme c’était le cas avec le SIDA, la Maladie de la Vache Folle, le SRAS, le MERS (Middle East Respiratory Syndrom — Syndrome respiratoire du Moyen-Orient — NdT) le Corona et d’autres cas variés de grippes animales, ou même ne mène à une rupture de l’ordre public, je demande poliment à toutes les personnes qui découvrent à l’instant les faits sur la « non-existence » des supposés virus de discuter du sujet d’une manière objective et non émotionnelle.

La situation actuelle

Toutes les affirmations qui disent que les virus sont des agents pathogènes sont fausses et sont basées sur des erreurs d’interprétation facilement identifiables, compréhensibles et vérifiables. Les vraies causes des maladies et phénomènes qui sont imputées aux virus ont déjà été découvertes et recherchées : cette connaissance est désormais disponible. Tous les scientifiques qui pensent qu’ils travaillent en laboratoire sur des virus sont en fait en train de travailler sur des particules habituelles de tissus spécifiques en train de mourir ou sur des cellules qui ont été préparées d’une manière spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules sont en train de mourir parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et tissus infectés étaient en train de mourir parce qu’ils étaient affamés et empoisonnés suite aux expériences dans le laboratoire.

Les virologistes croient aux virus parce qu’ils ajoutent au tissu et aux cultures cellulaires du sang, de la salive ou d’autres fluides corporels supposés infectés — après avoir retiré les nutriments de la culture cellulaire respective et après avoir commencé à l’empoisonner avec des antibiotiques toxiques. Ils pensent que la culture cellulaire est alors tuée par les virus. Néanmoins la mort du tissu et des cellules se produit exactement de la même manière que lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologistes n’ont apparemment pas remarqué ce fait. D’après la logique scientifique et les règles de la conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être réalisées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de ce qu’on appelle « la propagation du virus », afin de voir si ce n’était pas la méthode elle-même qui causait ou falsifiait le résultat, les scientifiques auraient dû effectuer des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatives, dans lesquelles ils auraient ajouté des substances stériles ou des substances provenant de personnes ou d’animaux en bonne santé à la culture cellulaire.

Ces expériences de contrôle n’ont, à ce jour, jamais été effectuées par la « science » officielle. Durant le procès du virus de la rougeole, j’ai demandé à un laboratoire indépendant d’effectuer cette expérience de contrôle et le résultat a été que les tissus et cellules meurent à cause des conditions du laboratoire, exactement de la même manière que lorsqu’ils arrivent au contact avec du matériel supposé « infecté ».

L’objectif visé des expériences de contrôle est d’exclure la possibilité que la méthode ou la technique appliquée puisse entraîner le résultat. Les expériences de contrôle sont en science le devoir le plus élevé et également la base exclusive de l’affirmation que la conclusion est scientifique. Durant le procès du virus de la rougeole, c’était l’expert légalement désigné qui a indiqué que les articles qui sont cruciaux pour la virologie entière ne contenaient pas d’expériences de contrôle. Ceci nous apprend que les scientifiques respectifs travaillent d’une manière extrêmement ascientifique, sans même le remarquer.

Cette approche totalement non scientifique a vu le jour en juin 1954, lorsqu’un article spéculatif non scientifique et réfutable a été publié, d’après lequel la mort d’un tissu dans un tube à essai était considérée comme preuve possible de la présence d’un virus. Six mois plus tard, le 10 décembre 1954, l’auteur principal de cette opinion s’est vu décerner le Prix Nobel de Médecine pour une autre théorie tout aussi spéculative. La spéculation de juin 1954 fut alors élevée en fait scientifique et devint un dogme qui à ce jour n’a jamais été contesté. Depuis juin 1954, la mort de tissu et de cellules dans un tube à essai a été considérée comme preuve de l’existence d’un virus.

La soi-disant preuve de l’existence des virus

La mort des tissus/cellules est également considérée comme l’isolation d’un virus parce qu’ils prétendent que quelque chose de l’extérieur, d’un autre organisme, a été apporté dans le laboratoire, bien qu’un virus n’ait jamais été isolé au sens du mot isolation, et n’ait jamais été photographié et caractérisé biochimiquement en tant que structure unique entière. Les micrographies électroniques des supposés virus montrent en réalité des particules cellulaires assez normales provenant de tissus et cellules en train de mourir, et la plupart des photos ne montrent qu’un modèle informatique (CGI — computer generated images — images générées par ordinateur ou images de synthèse — NdT). Parce que les parties impliquées CROIENT également que les tissus et cellules en train de mourir deviennent eux-mêmes des virus, leur mort est également considérée comme la propagation du virus. Les parties impliquées croient toujours ceci parce que le découvreur de cette méthode a reçu le Prix Nobel et ses articles sur les « virus » restent des articles de référence. Plus sur ce sujet ci-dessous.

Sans avoir purifié cette mixture consistant en des tissus et cellules en train de mourir, provenant de singes, de fœtus de bovins et d’antibiotiques toxiques, cette mixture est utilisée comme vaccin « vivant, parce qu’elle est supposée consister en de soi-disant virus « atténués ». La mort des tissus et cellules — du fait du manque de nutriments et de l’empoisonnement et non à cause d’une supposée infection — a continuellement été mal interprétée comme évidence de l’existence des virus, comme évidence de leur isolation et comme évidence de leur propagation.

De ce fait, la mixture toxique obtenue, pleine de protéines étrangères, d’acides nucléiques étrangers (ADN et ARN) d’antibiotiques cytotoxiques, de toutes sortes de microbes et de spores est étiquetée « vaccin vivant ». Par la vaccination elle (la mixture — NdT) est injectée dans les enfants, principalement dans les muscles, en quantité telle que si elle était injectée dans les veines cela aboutirait immédiatement à une mort certaine. Seules des personnes ignorantes qui font aveuglément confiance aux autorités de l’État qui « testent » et homologuent les vaccins peuvent considérer la vaccination comme une « petite piqûre inoffensive ». Les faits vérifiables démontrent le danger et la négligence de ces scientifiques et politiciens qui affirment que les vaccins sont sûrs, n’ont que peu ou pas d’effets et protégeraient d’une maladie. Aucune de ces affirmations n’est scientifique et vraie, bien au contraire : en se basant sur des analyses scientifiques précises, on constate que les vaccins sont inutiles et la littérature relative admet le manque de toute preuve en leur faveur. 2

Des molécules individuelles sont extraites de particules de tissus et cellules morts, elles sont mal interprétées comme étant des parties d’un virus et sont réunies de manière théorique en un modèle de virus. Un virus réel et complet n’apparaît nulle part dans toute la littérature « scientifique ». Le processus de découverte faisant consensus pour le « virus » de la rougeole, dans lequel les participants ont débattu afin de déterminer ce qui appartenait au virus et ce qui ne lui appartenait pas a duré des décennies.

Légende du diagramme (d’abord moitié gauche et ensuite la moitié droite du diagramme) :

  • Les expériences de contrôle sont manquantes et ainsi on n’a pas tenu compte du fait qu’il n’y avait qu’une preuve hypothétique et imaginaire (de l’existence — NdT) des virus et pas de preuve matérielle scientifique.
  • On supprime les nutriments. Les cellules sont supposées devenir « affamées » afin d’absorber les supposés virus.
  • (On ajoute des — NdT) Antibiotiques toxiques qui tuent les cellules. Les antibiotiques sont supposés exclure que la mort attendue des cellules est causée par une bactérie.
  • Ladite injection de sang ou de salive de personnes malades. « Expérience d’infection »
  • Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement. Fausse croyance : Les cellules meurent d’un virus.
  • Pas d’infection. « Expériences de contrôle ». À ce jour ni la médecine ni la « science » n’ont effectué des expériences de contrôle.
  • Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement. La réalité : Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement

Avec l’apparemment nouveau Coronavirus 2019 chinois (rebaptisé entre-temps, 2019 — nCoV), ce processus de conclusions consensuelles ne dure que le temps de quelques clics de souris.

De la même manière avec quelques clics de souris, un programme peut créer n’importe quel virus en assemblant des molécules de petites parties d’acides nucléiques de tissu et cellules morts avec une composition biochimique déterminée, les arrangeant ainsi comme souhaité en un génotype plus long qui est ensuite déclaré être le génome complet du nouveau virus. En réalité, même cette manipulation, appelée « alignement », ne peut conduire à un matériel génétique « complet » d’un virus qui pourrait ensuite être appelé son génome.

Dans ce processus de construction théorique de « l’ADN viral », les séquences qui ne correspondent pas sont « gommées » et celles qui manquent sont ajoutées. Ainsi, est inventée une séquence ADN qui n’existe pas en réalité et qui n’a jamais été découverte et scientifiquement démontrée dans son ensemble. En un mot : À partir de petits fragments, d’une manière théorique et selon un modèle de virus ADN, un morceau plus grand est également fabriqué théoriquement, qui en réalité n’existe pas. Par exemple dans la construction « théorique » de l’ADN du virus de la rougeole avec ses petits fragments de particules cellulaires il manque plus de la moitié des séquences moléculaires qui représenteraient un virus complet. Celles-ci sont pour partie artificiellement créées par des méthodes biochimiques et les autres sont tout simplement inventées. 3

Les scientifiques chinois, qui affirment maintenant que les acides nucléiques à partir desquels le génome du nouveau Coronavirus 2019 a été construit d’une manière théorique4 proviennent de serpents venimeux, sont également les victimes de cette fausse idée planétaire actuelle, comme nous le sommes tous. Plus de « séquences ADN » sont inventées, plus ils « découvrent » de similarités avec n’importe quoi. Ces erreurs se produisent d’une manière méthodique. Une grande partie de notre travail universitaire travaille ainsi : Une théorie est inventée, on discute toujours à l’intérieur de cette théorie, ils l’appellent science et prétendent que cela représente la réalité. En réalité ça ne représente que la théorie postulée. 5

Légende du diagramme 2 ci-dessous (de gauche à droite)

Comment une séquence ADN virale est construite de manière hypothétique à partir de molécules cellulaires typiques et comment il a été prouvé durant le procès du virus de la rougeole que les « virus » ne sont que des modèles imaginaires artificiels.

  • Cellules en train de mourir. Composants typiques de cellules en train de mourir.
  • Isolation des particules spécifiques (les acides nucléiques. Un virus n’est jamais apparu ni n’a été vu dans un être humain.
  • Détermination de la composition. Les scientifiques croient que les particules cellulaires sont des morceaux d’un virus.
  • De petites particules sont ajoutées de manière théorique dans un modèle de virus. Les personnes impliquées croient que ce modèle imaginaire représente un « virus », bien que ce modèle n’a jamais été trouvé dans la vie réelle.

Les tests viraux

À cause de l’absence d’expériences de contrôle négatif, les scientifiques impliqués n’ont pas encore remarqué que tous les tests pour « virus » aboutiront à un certain nombre de « positifs », selon la sensibilité de l’étalonnage de l’équipement de dépistage. Les « templates » dont ils se servent dans les tests afin de trouver les supposés « virus » ne proviennent pas des « virus », mais plutôt du tissu, des cellules et du sérum fœtal (du sang sans les composants spécifiques) provenant d’animaux, surtout de singes et de veaux. Parce que ces animaux sont sur le plan biochimique très similaires à nous autres humains, il est clair que de telles particules, qui sont faussement interprétées comme étant des particules virales, peuvent être trouvées au moyen de « tests viraux » chez tous les humains. Certains « virus » et leurs « vaccins » — pas le « virus » de la rougeole — proviennent réellement de fœtus humains avortés. Il est spécialement très éclairant ici que tous les tests détectent des molécules qui existent dans chaque être humain et que les vaccins peuvent causer des réactions allergiques particulièrement dangereuses qui ont été appelées « maladies auto-immunes ».

Un des composants des vaccins qui est le plus contaminé et le plus impur est le sérum fœtal de bovin, sans lequel le tissu et les cellules dans le laboratoire ne peuvent pas du tout être cultivées ou ne croissent pas assez rapidement, et qui est, de la manière la plus horrible qui soit, extrait de fœtus sans anesthésie. Il contient toutes sortes de microbes connus ou inconnus, leurs spores et un très grand nombre de protéines inconnues. En plus de ces particules provenant de tissus de rein de singe, ce sont également les particules de ce sérum fœtal que les scientifiques extraient et analysent lorsqu’ils croient qu’ils réunissent un « virus », qui n’existe pas et dont on n’a jamais prouvé dans toute la littérature « scientifique » qu’il était un « virus » dans sa globalité.

Parce que les vaccins sont fabriqués exclusivement sur la base de ces substances, ceci explique pourquoi ce sont surtout les personnes vaccinées qui testent « positif » à tous ces « virus » imaginaires à partir desquels les vaccins sont fabriqués. Les tests ne réagissent qu’aux particules animales des supposés virus, aux protéines animales ou aux acides nucléiques qui sont souvent identiques ou très similaires aux protéines et acides nucléiques humains. Les tests viraux ne trouvent pas quelque chose de spécifique, certainement rien de « viral » et à cause de cela ils sont sans utilité. Néanmoins, les conséquences, comme nous l’avons vu avec Ebola, le VIH, l’Influenza, etc., c’est que les gens sont paralysés par la peur et souvent meurent à cause des traitements très dangereux auxquels ils se soumettent.

Il est à noter qu’aucun soi-disant « test viral » n’a un résultat « oui » ou « non », mais ils sont plutôt calibrés d’une manière telle qu’ils peuvent être interprétés comme « positif » seulement après qu’un niveau particulier de concentration ait été atteint. Ainsi, on peut arbitrairement tester « positif » juste quelques personnes, de nombreuses personnes, aucune personne ou toutes les personnes, et les animaux, selon le calibrage du kit de test. La dimension de toute cette illusion scientifique devient claire dès que nous comprenons que des symptômes par ailleurs tout à fait « normaux » ne sont diagnostiqués comme étant le SIDA, l’ESB (maladie de la vache folle — NdT), la grippe, la rougeole, etc. que s’il y a un test « positif » pour ces symptômes.

Des détails cruciaux

Jusqu’en 1952, les virologistes croyaient qu’un virus était une protéine ou une enzyme toxique, empoisonnant directement le corps, et qu’il (le virus — NdT) était d’une manière ou d’une autre multiplié par le corps lui-même et se propageait dans le corps tout comme entre des personnes et entre des animaux.

La médecine et la science ont abandonné cette idée en 1951, parce que le virus suspecté n’avait jamais été vu dans un microscope électronique et, par-dessus tout, aucune expérience de contrôle n’avait jamais été effectuée. Il était admis que même chez les animaux en bonne santé, les organes et tissus libéraient lors du processus de décomposition les mêmes produits de décomposition qui avaient auparavant été mal interprétés comme étant des « virus ». La virologie s’était contredite elle-même. 6

Néanmoins, lorsque la femme de Crick, dernier lauréat du Prix Nobel, dessina une double hélice et que ce dessin fut publié dans le célèbre magazine scientifique Nature comme un supposé modèle conçu scientifiquement, un battage médiatique nouveau et qui a eu beaucoup de succès commença, la soi-disant génétique moléculaire. À partir de ce moment, les causes des maladies étaient considérées comme étant dans les gènes. L’idée qu’on se faisait du virus changea et, le lendemain, un virus n’était plus une toxine, mais plutôt une séquence génétique dangereuse, un ADN dangereux, une souche virale dangereuse, etc. Cette nouvelle virologie génétique était fondée par de jeunes chimistes qui n’avaient aucune idée de la biologie et de la médecine, mais ils avaient des crédits de recherche illimités. Et ils ne savaient pas que la vieille virologie s’était déjà contredite elle-même.

Pendant plus de 2000 ans, nous avions ce dicton : pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. Depuis 1995, depuis que nous avons posé les questions sur les preuves et publié les réponses, nous pouvons ajouter : car ils ne peuvent admettre que ce qu’ils ont appris et expérimenté est faux et, plus que cela, c’est dangereux et même mortel. Parce que personne jusqu’à présent n’a compris l’ensemble du contexte et n’a eu le courage de dire la vérité, nous avons même plus d’hypothèses subsidiaires, telles que le « système immunitaire » ou « l’épigénèse », afin de maintenir ces théories fictives.

L’idée du virus est née de la logique imposée du dogme de la théorie cellulaire. Puis vint l’idée de la bactérie pathogène, des toxines bactériennes, puis des toxines virales, jusqu’à ce que cette idée ait finalement été abandonnée en 1952. À partir de 1953, l’idée de Virchow d’un poison maladie (en latin = virus) devint un virus génétique, qui à son tour donna naissance à l’idée de gènes cancéreux, puis nous avons eu « la guerre contre le cancer » fondée durant l’ère Nixon, et ensuite apparut l’idée de gènes pour tout. Néanmoins en 2000, la théorie génétique fut également réfutée, après que des données contradictoires du soi-disant génome humain furent publiées en même temps que les affirmations embarrassantes que le génome humain entier avait été cartographié, quand bien même plus de la moitié de celui-ci était complètement inventé. 7

Les gens ne sont pas au courant qu’il est très difficile pour les mondes universitaires respectifs d’admettre qu’ils étaient impliqués dans de si mauvaises idées.

Les soi-disant macrophages

Le modèle pour l’idée d’un virus génétique chez les humains, animaux et plantes, qui a commencé à se développer à partir de 1953, étaient les soi-disant mangeurs de bactéries, appelés macrophages, qui avaient attiré l’attention des scientifiques depuis 1915. À partir de 1938, lorsque les microscopes électroniques disponibles dans le commerce ont été utilisés dans la recherche, ces phages ont pu être photographiés, isolés en tant que particules entières et tous leurs composants pouvaient être déterminés biochimiquement et caractérisés. Pour les isoler, par exemple concentrer les particules et les séparer de tous les autres composants (= isolation), afin d’un seul jet les photographier immédiatement dans leur état isolé et les caractériser, ceci, néanmoins, ne s’est jamais produit avec les soi-disant virus humains, d’animaux ou de plantes parce qu’ils n’existent pas.

Les scientifiques qui cherchaient des bactéries et des phages et qui ont travaillé avec de réelles structures existantes ont fourni un modèle sur ce à quoi pouvait ressembler les virus humains d’animaux et de plantes. Néanmoins les « experts des phages » ont négligé, à cause de leur interprétation erronée des phages comme mangeurs de bactéries, le fait que le phénomène de la formation de ces particules est causé par l’extrême autofécondation des bactéries. Cet effet, par exemple la formation et la libération des phages (mangeurs de bactéries alias virus bactériens), n’existe pas avec des bactéries pures fraîchement extraites d’un organisme ou de l’environnement. Lorsque leurs nutriments sont lentement retirés ou si leurs conditions de vie deviennent impossibles, les bactéries normales, par exemple les bactéries qui ne sont pas cultivées dans un laboratoire, créent les formes de survie connues, les spores, qui peuvent survivre pendant longtemps ou même « éternellement ». À partir des spores, de nouvelles bactéries apparaissent dès que les conditions de vie s’améliorent.

Néanmoins, des bactéries ayant été isolées, lorsqu’elles ont été cultivées en laboratoire, perdent toutes leurs caractéristiques et aptitudes. Bon nombre d’entre elles ne périssent pas automatiquement au travers de cette autofécondation, mais plutôt se transforment soudainement et complètement en petites particules qui, dans la perspective de la théorie « du bon contre le méchant », ont été mal interprétées comme étant des mangeurs de bactéries. En réalité, les bactéries proviennent de ces « phages » particuliers et retournent également dans ces formes de vie lorsque les conditions de vie ne sont plus disponibles. Günther Enderlein (1872 – 1968) a exactement décrit ces processus : comment les bactéries apparaissent de structures invisibles, leur développement en des formes plus complexes et inversement. C’est pour cette raison que Enderlein n’était pas d’accord avec la théorie cellulaire, d’après laquelle la vie apparaît à partir de cellules et est organisée au niveau cellulaire. 8 Lorsque j’étais jeune étudiant, j’ai moi-même isolé une telle « structure » de phage d’une algue marine et croyais à ce moment-là avoir découvert le premier virus inoffensif, le premier « système hôte à virus ».

L’idée que les bactéries existent en tant qu’organismes viables simples, qui peuvent exister sans autre forme de vie est fausse. Sous une forme isolée, automatiquement après quelque temps elles meurent progressivement. Ceci n’est jamais venu à l’esprit des scientifiques, parce qu’après une « isolation » réussie, une partie d’entre elles (les bactéries — NdT) est congelée et peut être travaillée dans le laboratoire des décennies plus tard. L’idée de bactéries vivant en structures indépendantes qui peuvent survivre par elles-mêmes est un artéfact de laboratoire, une mauvaise interprétation.

Ainsi, l’affirmation que les bactéries sont immortelles est donc fausse. Les bactéries ne sont immortelles qu’en étant en symbiose avec un grand nombre d’autres bactéries, moisissures et probablement de nombreuses autres formes de vie inconnues qui sont difficiles à caractériser, telles que par exemple les amibes. Les amibes, bactéries et moisissures forment des spores dès que leur environnement de vie (propice à la vie — NdT) disparaît et réémergent une fois que les conditions de vie reviennent. Si on compare cela avec les êtres humains, nous avons les mêmes perspectives : Sans un environnement propice à la vie, duquel et avec lequel nous vivons, rien ne peut exister.

Néanmoins ces découvertes vont bien plus loin. Non seulement le concept des espèces tout entier se dissout, mais également l’idée et l’affirmation sur la supposée existence de la matière morte. Les observations et les conclusions sur une « matière active » vivante (comme l’appellent les physiciens) sont rejetées comme étant du vitalisme scientifique. Néanmoins il y a de nombreuses preuves que tous ces éléments, que « l’opinion dominante » en « science » ne considère pas comme vivants, proviennent et se développent en fait à partir de la membrane d’eau, par exemple la « Ursubstanz » la source primordiale de la vie. Ces éléments créent ensuite les acides nucléiques, et autour des acides nucléiques ils créent la vie biologique sous la forme d’amibes, de bactéries, de tardigrades et de formes de vie plus complexes. Nous avons deux confirmations distinctes de cette perspective. L’une d’entre elles peut être observée par chaque personne pour elle-même tout comme pour d’autres personnes, que la vie biologique dans la forme de notre corps est réellement la matérialisation des éléments d’une conscience existante. Nous pouvons les nommer et nous connaissons la manière exacte dans lesquels nos organes et le psychisme interagissent et s’influencent mutuellement à travers l’information (par exemple un seul mot qui peut soit infliger des dégâts ou résoudre un conflit), nous pouvons vérifier tous ces aspects parce qu’ils sont prédictibles. De ce fait, les trois critères de la recherche scientifique sont remplis. 11 Ces découvertes et la connaissance de la manière dont elles sont en relation les unes avec les autres nous libèrent de la peur tout comme elles nous libèrent de la mentalité « le bien contre le mal » qui induit la peur et les modèles comportementaux qui en dérivent. Ces découvertes scientifiques révélatrices clarifient également les processus de la maladie, de la guérison, de la « crise de guérison », de la guérison suspendue (alias le vieux concept de « contagion »). Virus, il est temps de partir.

Le cauchemar de la science matérialiste semble se réaliser : même la matière morte apparente est vivante, elle est vitale. Le vitalisme, d’après lequel il y a une force de vie dans chaque chose, a été contesté par les philosophes grecs Démocrite et Épicure et les partisans de leur doctrine. Leur argument principal était qu’ils voulaient châtier tout abus de la foi et en empêcher sa répétition. Leur intention était apparemment bonne, néanmoins ils ignoraient qu’en niant les concepts de conscience et d’esprit et en niant tous les niveaux de manifestation de ces forces, ils se sont transformés involontairement en destructeurs de vie et en ennemis du peuple.

Ces interprétations « le bien contre le mal » qui ont été découvertes et décrites par Silvio Gesell11 (en général) et par Ivan Illich14 (en médecine), sont en constante augmentation à cause de la soif de profits et de ses conséquences fatales. Les conséquences de la compulsion inhérente à notre système monétaire de toujours plus de croissance, de croissance permanente, qui génère des catastrophes cycliques et apporte des vainqueurs encore plus puissants et simultanément un appauvrissement et une souffrance en constante augmentation, est interprété par toutes les personnes impliquées comme preuve d’un principe du mal, parce que ces personnes ne connaissent pas les mécanismes inhérents de manière tenace et mathématiquement déterminés du système monétaire. Il apparaît que les personnes du côté des vainqueurs, qui sont éthiquement corrects, considèrent les profits générés de manière mathématiquement obligatoire comme la preuve de leur piété et de leur exceptionnalité. Ceci n’était pas seulement la base du Manichéisme (Mani était le fondateur babylonien de cette religion dont les partisans sont appelés manichéens), mais a toujours été la force d’entraînement des dangereux aspects et effets de l’industrialisation, comme Maw Weber et d’autres l’ont découvert.

La réanimation de la Virologie grâce au Lauréat du Prix Nobel John Franklin Enders.

Nous avons expliqué dans plusieurs articles de notre magazine « WissenschafftPlus » commençant en 2014, le cadre élargi de l’évolution pernicieuse de la biologie et de la médecine, le dogme indéfendable de ladite théorie cellulaire qui prétendait que le corps se développe à partir de cellules et non à partir de tissus. La théorie cellulaire de la vie, la « pathologie cellulaire », inventée par Rudolf Virchow en 1858, qui est à ce jour la base exclusive pour la biologie et la médecine, prétend que toute maladie (et également toute vie) provient d’une cellule unique, qui est d’une certaine manière prise en otage par un virus, commence à se détériorer et ensuite propage ce virus. Deux aspects cruciaux ont servi de condition préalable et de base pour l’acceptation mondiale actuelle de la pathologie cellulaire, à partir de laquelle la théorie infectieuse, les théories génétique, immunitaire et cancéreuse se sont développées.

  1. La théorie cellulaire a été mise en œuvre que parce que Rudolf Virchow a supprimé des découvertes cruciales au sujet des tissus. Les résultats et les observations en ce qui concerne la structure, la fonction et l’importance centrale des tissus dans la création et le développement de la vie, qui étaient déjà connus en 1858, réfutent sous tous ses aspects la théorie cellulaire et subséquemment les théories génétiques, immunitaires et cancéreuses qui en découlent. 16
  2. Les théories de l’infection n’ont été établies comme dogme mondial que par les politiques concrètes et l’eugénisme du Troisième Reich. Avant 1933, les scientifiques osaient contredire cette théorie ; après 1933, ces scientifiques critiques ont été réduits au silence. 17

Afin de travailler avec des « virus » et effectuer lesdites expériences infectieuses, avant que le concept de virologie ne soit abandonné en 1952, les « virologistes » étaient forcés de dissoudre et filtrer des tissus malades et putrescents. Le filtrat concentré, du moins le pensaient-ils, contenait un agent pathogène, une toxine, qui serait, pensaient-ils, constamment produite par les cellules infectées.Jusqu’en 1952, un « virus » était défini comme étant un poison pathogène sous la forme d’une protéine, qui, en tant qu’enzyme causait des dommages d’une manière inconnue, qui pouvait causer la maladie et être transmissible. Après 1953, l’année où le supposé ADN de la forme d’une hélice alpha a été publiquement annoncé, l’idée même d’un virus est devenue celle d’un génotype malveillant enveloppé dans des protéines. Ainsi, un changement de paradigme s’est produit entre 1952 et 1954 en ce qui concerne l’image d’un virus.

« Des expériences d’infection » sur des animaux ont été menées avec les fluides filtrés d’organismes putrescents ou à partir de fluides supposés contenir les protéines/enzymes qui étaient supposées représenter le virus. Les résultats avaient pour but de prouver qu’un virus était présent et causerait la maladie qui lui était attribuée. Néanmoins, ce qui n’est jamais publiquement mentionné c’est que les symptômes supposés causés par un virus chez l’humain ne pouvaient jamais être reproduits dans des expériences sur des animaux. Au lieu de cela il n’y avait toujours que des symptômes « similaires », qui étaient alors prétendus être identiques à la maladie chez l’humain. Cependant, rien de tout cela n’a jamais été prouvé scientifiquement.

À ce jour, il manque les expériences de contrôle à toutes les « expériences de l’infection », par exemple la preuve que les symptômes ne sont pas causés par le « traitement » du matériel génétique dans la soi-disant expérience de l’infection.

Afin d’exclure que ce ne sont pas les fluides du tissu malade qui causent les symptômes, il aurait fallu avoir fait une expérience identique, mais avec d’autres fluides ou avec des fluides stérilisés. Pourtant, ceci ne s’est jamais produit.

Des expériences animales extrêmement cruelles sont menées jusqu’à ce jour — par exemple dans le but de prouver la transmission de la rougeole — au cours desquelles des singes sont attachés et immobilisés dans une chambre à vide avec un tube dans leur nez, et ensuite torturés par des scientifiques qui introduisent les fluides supposés infectés par le tube dans la trachée et les poumons des singes. Exactement les mêmes dommages seraient causés avec une solution saline stérile, du sang stérilisé, du pus ou de la salive. Les symptômes induits, qui ne sont que « similaires » à la rougeole, sont alors prétendus être la rougeole.

Puisque les fluides supposément infectés sont pressés au travers d’un filtre qui supposément élimine les bactéries et qu’ils sont légèrement chauffés, les scientifiques prétendent que la souffrance et la mort des animaux de ces expériences ne peut pas être causée par des bactéries, mais plutôt par des « agents pathogènes » plus petits, les virus. Les scientifiques impliqués ignoraient le fait déjà connu à ce moment qu’il y a beaucoup plus de bactéries inconnues que celles que l’on connaît, que de nombreuses bactéries sont résistantes à la chaleur et qu’elles forment des spores qui ne peuvent pas être filtrés. Il est important de mentionner ici qu’il n’y a de toute façon pas non plus de preuve que les bactéries causent une maladie. Elles sont souvent présentes dans le processus de la maladie, tout comme les pompiers éteignant un feu. Les bactéries ne causent pas la maladie, mais participent plutôt aux processus utiles de réparation biologique. Tout comme pour les virus, la soi-disant preuve de l’apparent rôle négatif des bactéries est [représentée par] les horribles expériences animales qui sont complètement dénuées de sens puisque les expériences de contrôle sont manquantes.

Enders et la Polio

Jusqu’en 1949, les « virologistes » cultivaient leurs présumés « virus » (des protéines) en plaçant un morceau de matériel génétique putrescent, qui avait été prélevé d’un tissu supposé infecté par un virus, sur une tranche de tissu du même type. L’intensification visible du processus de putréfaction qui était transmis du tissu « malade » au tissu « sain » était mal interprétée comme prolifération et propagation du virus, du poison pathogène. À cause des expériences de contrôle effectuées pour la première fois avec des tissus sains, les virologistes ont découvert que ce qu’ils voyaient était des processus assez normaux de décomposition de tissu et non un virus qui ne serait présent que dans le tissu « malade ».

En 1949 Enders « a découvert » par chance — parce qu’il n’avait pas de tissu nerveux « sain » frais de disponible — que d’autres types de tissus commençaient également à se décomposer si un morceau de cerveau d’une personne qui venait de décéder de la polio était placé sur eux. Auparavant les virologistes avaient cru que tous les virus ne pouvaient que se propager dans le matériel génétique auxquels ils causaient des dommages. Pour la découverte présumée que les « virus » se propageaient également dans d’autres tissus, qu’ils n’endommagent pas chez les humains vivants, Enders et les autres universitaires impliqués se virent décerner le Prix Nobel de Médecine le 10 juin 1954.

À partir de là, le prétendu « virus de la polio » a été propagé en mélangeant du tissu de peau et du muscle provenant de fœtus humain avec de la substance cérébrale provenant de personnes qui étaient décédées de la « polio », induisant par là une décomposition totale. Le filtrat de cette mixture était considéré comme contenant un virus. Le célèbre Jonas Salk a adopté exactement cette idée sans nommer son inventeur. Salk utilisait le filtrat de tissu fœtal humain décomposé en tant que vaccin contre la polio, le New York Times a déclaré que le vaccin fonctionnait et serait sans danger et Salk a généré des millions de dollars avec le vaccin de la polio, sans rien partager avec l’inventeur de l’idée d’utiliser des fœtus humains en décomposition.

Pour ces raisons, Enders a travaillé dur pour développer une autre technique, pour laquelle il pouvait s’attribuer le mérite depuis le tout début. Il a choisi le deuxième domaine le plus lucratif des maladies de la théorie des germes, à savoir celle des symptômes appelés rougeole. Enders utilisa les mêmes idées et méthodes de la bactériologie (dans laquelle il avait été diplômé) et il croyait que les phages étaient les virus des bactéries.

De manière analogue à cette technique de démonstration de la manière dont les phages supposément détruisent les bactéries dans une boîte de Petri, il a développé une bande de tissu sur laquelle un fluide supposé infecté était déposé. De manière analogue à la disparition des bactéries, la disparition de la bande de tissu a été jugée être en même temps la présence du virus suspecté, la preuve de son existence, son isolation et sa propagation. Ce protocole précis est toujours appliqué de nos jours dans les cas de rougeole et, légèrement modifié, comme « preuve » de tous les virus pathogènes. 19 Cette mixture de cellules/tissu mourants ou morts est maintenant appelé un « vaccin vivant ». Si des particules individuelles provenant de tissu mort ou des molécules produites synthétiquement sont utilisées dans des vaccins, les experts l’appellent « vaccin tué » ou « vaccin inactivé ».

Enders a attribué les chiffres étonnamment élevés de décès et blessures que le vaccin de la polio Salk causait dans la population à la contamination du vaccin, c’est la raison pour laquelle il travaillait dans son laboratoire avec des tissus provenant de reins de singes et du sérum fœtal de chevaux et de veaux en gestation.

Il y a quatre différences frappantes et cruciales entre les preuves des (bactério) phages qui existent et les prétendues preuves des « virus » hypothétiques chez les humains et chez les animaux. Ces différences clarifient les fausses suppositions d’Enders, puisqu’il a complètement oublié ses doutes clairement exprimés auparavant une fois qu’il avait eu le Prix Nobel, et ainsi il a conduit tous ses collègues, et par voie de conséquence le Monde entier (voir la panique du Corona), sur la mauvaise voie… Le Monde entier, excepté un joli, mais têtu village souabe près du lac de Constance (où habite le Dr Lanka) :

  1. Les (bactério) phages ont effectivement été isolés au sens du mot « isolation » avec des méthodes standard (centrifugation en gradient de densité). Immédiatement après l’isolation ils ont été photographiés au microscope électronique, leur pureté est déterminée et leurs composants, leurs protéines et leur ADN ont été biochimiquement décrits d’une traite, dans un seul article.
  2. En ce qui concerne tous les « virus » d’humains, d’animaux ou de plantes, aucun virus n’a jamais été isolé, photographié sous une forme isolée et ses composants n’ont jamais été biochimiquement caractérisés d’une traite, à partir de « l’isolat ». En réalité il y avait au cours des années un processus de consensus, dans lequel les particules individuelles de cellules mortes étaient attribuées à un modèle de virus. Les phages servaient de modèle pour l’ensemble de ce processus d’interprétation, comme nous pouvons le voir clairement sur les premiers dessins d’un « virus ».
  3. Le tissu et les cellules utilisés pour la « preuve et la propagation » des « virus » sont préparés d’une manière très spéciale avant l’acte de la supposée « infection ». 80 % de leurs nutriments sont retirés, afin qu’ils deviennent » affamés’ et absorbent mieux les « virus ». Ils sont traités avec des antibiotiques afin d’exclure la possibilité que des bactéries, qui sont toujours et partout présentes, dans tous les tissus et dans tous les sérums, puissent causer la mort attendue des cellules. Il n’a été admis qu’en 1972 par des experts biochimistes que ces antibiotiques endommageaient et tuaient par eux-mêmes les cellules, un fait que les virologistes avaient ignoré auparavant. La « famine » et « l’empoisonnement » est ce qui tue les cellules, mais ceci était et est toujours mal interprété comme étant la présence, l’isolation, l’effet et la propagation d’hypothétiques virus.
  4. En ce qui concerne les virus, les expériences de contrôle, qui en science sont cruciales et requises, n’ont, à ce jour, pas été effectuées ; elles pourraient exclure la possibilité qu’au lieu d’un virus ce ne sont que des particules cellulaires typiques qui étaient mal interprétées comme étant un virus. En ce qui concerne l’isolation, la description biochimique et les microphotographies électroniques des phages, les expériences de contrôle ont cependant toutes été effectuées.

De ce fait les spéculations d’Enders datées du 1er juin 1954 20 sur la preuve possible d’un « agent » qui pourrait « peut-être » jouer un rôle dans la rougeole devint, après 1952, un fait apparemment « scientifique » et la base exclusive pour toute la nouvelle virologie génétique, tout cela à cause de son Prix Nobel de décembre 1954 pour le « vaccin contre la polio à base de fœtus humain ». Quelques mois après avoir reçu son prix Nobel, Enders oublia ou supprima les contradictions et les doutes qu’il avait lui-même mentionnés dans un article de 1954. Souffrant toujours à cause du plagiat commis par Jonas Salk, qui avait volé son idée pour le vaccin de la polio, Enders déclara que toutes les futures mises au point d’un vaccin contre la polio devront être basées sur sa technique (celle d’Enders).

Enders a tué lui-même ses cultures de tissus par le traitement avec des antibiotiques (sans expérience de contrôle négatif — et ceci, dans le contexte de la vaccination obligatoire, est un aspect crucial). Depuis qu’Enders a expérimenté avec des tissus d’un jeune garçon qui s’appelait David Edmonston, le premier modèle de « virus » de la rougeole (assemblé de manière hypothétique à partir de particules provenant de tissus morts) a été appelé « souche Edmonston ». Le vaccin de la rougeole, en tant que somme toxique de tous ces morceaux de tissu, est également censé contenir la « souche Edmonston ». Une partie de cette mixture contenant des tissus de singe mort et du sérum fœtal de bovin est constamment congelée puis régulièrement utilisée pour « inoculer » d’autres tissus/cellules mourant afin de créer des « virus de la rougeole » et des « vaccins vivants ».

L’importance de remporter le procès du virus de la rougeole

Les cruciaux opinions d’experts, protocoles et décisions du procès du virus de la rougeole (2012 – 2017) auxquels je vais me référer dans ce qui suit sont disponibles gratuitement sur Internet : www.wissenschafftplus.de/blog. D’autres opinions d’experts et réfutations concernant le virus de la rougeole, que la Cour n’a pas pris en compte, sont publiées dans les éditions des magazines WissenschafftPlus de 2014 à 2017.

Le contexte du procès virus de la rougeole, qui a commencé en 2011, était d’empêcher les vaccinations obligatoires programmées de la rougeole. Un ancien ministre fédéral de la Justice m’avait appelé et demandé des données scientifiques pour aider à arrêter l’introduction de la vaccination obligatoire. Un procureur principal de premier plan nous a donné l’idée d’offrir une récompense à qui apportera la preuve du « virus de la rougeole » et, dans le procès civil qui suit, d’établir sur le plan juridique qu’il n’y a pas de preuves scientifiques soutenant les affirmations que le virus de la rougeole existe et que les vaccins étaient sûrs et efficaces. Notre plan a été une réussite totale. Ceci se comprend facilement si l’on sait que l’article de John Franklin Enders et al., daté du 1er juin 1954 est devenu la seule et exclusive base de la production de vaccins à « virus vivants » de la nouvelle virologie génétique tout entière, après que la vieille virologie ne soit décédée de mort naturelle en 1951-1952.

Sachant que l’Institut Robert Koch (RKI), contrairement à ses obligations légales, n’avait pas publié un seul article sur l’existence présumée du virus de la rougeole, j’ai offert une récompense de 100 000 € pour un article scientifique du RKI contenant les preuves scientifiques de l’existence du virus de la rougeole. Un jeune docteur de Sarre me présenta six articles, mais aucun ne provenait du RKI ; les articles étaient : celui d’Enders daté du 1er juin 1954 et cinq autres basés exclusivement sur l’article d’Enders, l’un d’entre eux étant l’examen le plus exhaustif d’autres articles sur le virus de la rougeole. Dans cet « examen », ils décrivent le laborieux processus de construction du consensus qui a duré des décennies et comprenait des dilemmes tels que quelles parties des tissus morts devaient être attribués au modèle du virus de la rougeole et également comment le modèle du virus de la rougeole devait être constamment modifié.

Je répondis au jeune docteur (qui me demanda avec insistance de renoncer au (vraiment) coûteux « conflit juridique » et de lui payer immédiatement l’argent de la récompense) que dans aucune de ses six publications il n’y avait de structure virale identifiable, mais qu’il y avait plutôt des particules et structures cellulaires typiques facilement reconnaissables. Sur ce, il a déposé une plainte au tribunal local de Ravensburg, sans néanmoins présenter à la Cour les six publications. Le tribunal de Ravensburg se prononça contre moi, quand bien même les six publications n’ont jamais apparu dans les dossiers juridiques. En dehors de cela, le verdict du tribunal local de Ravensburg a eu lieu sous des circonstances plus qu’inhabituelles. 23

Lors de l’Appel devant la Haute Cour de Justice de Stuttgart le plaignant a admis devant le juge qu’il n’avait pas lu lui-même les six publications. Donc il prévoyait de me faire taire, et par là réduire au silence la réfutation centrale de la vaccination, par une « bataille juridique insipide ». Il était peut-être lui-même une victime de la fausse croyance aux virus, probablement parce qu’il faisait confiance à ses professeurs qui n’avaient aucune idée des développements erronés en médecine depuis 1858, et n’ont pas fait de recherches historiques au sujet de leurs fausses croyances, devenant ainsi simultanément coupables et victimes de leur croyance fatale dans la théorie des germes et leur confiance en la vaccination.

Il est possible que le plaignant n’ait pas lu les six publications qu’il m’a présentées, mais qu’il n’a pas présentées à la Cour. Au moins, il est clair qu’il ne les a pas regardées lui-même, parce que ce sont les seules publications du domaine entier qui comprend environ 30 000 articles techniques au sujet de « la rougeole » dans lesquelles la référence à l’existence acceptée du virus de la rougeole est faite. Néanmoins, toutes les tonnes d’autres articles, que personne n’est capable de lire jusqu’au bout, supposent « à priori » l’existence du virus de la rougeole et se réfèrent toujours à des citations de citations, qui ne sont finalement et exclusivement que basées sur de prétendues « preuves » fournies par Enders le 1er juin 1954.

Le tribunal local de Ravensburg a décidé en 2014 d’accepter la plainte du Dr Bardens et a conclu que l’argent de la récompense devait être payé même sans publication du RKI. En dehors de cela, le tribunal local de Ravensburg a décidé qu’il ne serait pas nécessaire que les preuves scientifiques de l’existence du virus de la rougeole soient publiées dans un seul article, mais que l’ensemble des 3 366 articles (la totalité de tous les articles cités dans les six publications soumises au tribunal) de 1954 à 2007 devait être accepté comme preuve.

L’expert nommé légalement, le professeur Podbielski de Rostock a donc soutenu (ou la Cour locale a ajusté sa décision d’ouverture à l’opinion de l’expert) : « Je dois formellement clarifier qu’en biologie on ne peut fournir de preuves dans le sens classique du terme comme on peut le faire en mathématiques ou en physique. En biologie, on ne peut que recueillir des indices, qui ensuite dans leur intégralité deviennent définitifs.

Fondé sur cette affirmation extrêmement scientifique découlant du manque d’arguments de Podbielski et sur son préjugé provenant des contradictions entre la réalité et les croyances auxquelles il s’était tellement attaché, quelque chose s’est produit que les scientifiques du comportement appellent « déplacement », Podbielski a inventé une excuse désespérée, à savoir que la biologie et la médecine basée sur celle-ci, tout comme les vaccinations sont en soi ascientifiques et sans preuves : Dans son opinion, seule une collection d’indices pouvait « un jour » et « d’une manière ou d’une autre » (pratiquement) devenir valide. Un aveu aussi explicite de la nature scientifique existante des biologie et médecine actuelles n’avait jamais été exprimé avec une telle clarté.

Ce qui à présent est le plus important est de faire un usage légal de toutes ces preuves de la nature scientifique de la théorie de l’infection et des politiques vaccinales qui impactent déjà nos droits constitutionnels. Nous devons faire de telle sorte qu’au 1er mars 2020, la vaccination obligatoire contre la rougeole, votée et mise en œuvre en Allemagne, tout simplement disparaisse.

Suite de cet article :

  1. Le devoir de la science d’effectuer des expériences de contrôle. Les déclarations sur le protocole données par le Professeur Podbielski lors du procès virus de la rougeole que toutes les déclarations cruciales au sujet de l’existence du virus de la rougeole et toutes les publications ultérieures, contrairement à son avis écrit d’expert, ne contiennent pas une seule expérience de contrôle.
  2. L’importance cruciale du jugement juridique de la Haute Cour de Justice de Stuttgart du 16/02/2016, Article 12 U 63/15 pour les politiques de virologie et de vaccination.
  3. Rapports et conseil sur ce qui a déjà été fait dans le but de revenir sur la loi de vaccination obligatoire de la rougeole

suivront dans la prochaine édition de WissenschafftPlus 2/2020

Liste des sources

  1. Le Prix Nobel est pour de nombreuses raisons la chose la plus embarrassante qui puisse arriver à un scientifique et à la société :

    1. Toute reconnaissance est basée sur « l’opinion dominante » respective de l’orthodoxie universitaire et ses déclarations d’exclusivité.
    2. Toutes ces reconnaissances se sont révélées être fausses après une courte période allant de plusieurs années à plusieurs décennies. De ce fait le Prix Nobel empêche l’avancement de la connaissance scientifique en transformant de simples affirmations en dogmes.
    3. Un petit nombre de personnes extrêmement élitistes ayant quitté le domaine de la réalité sont, au bout du compte, en charge de décider ce qui est de la science et ce qui ne l’est pas. Ces personnes prédéfinissent les façons et méthodes et suppriment toute connaissance qui contredit leurs points de vue. La pratique de « révision par les pair », qui est l’évaluation des articles scientifiques avant leur publication, empêche que tout élément de connaissance indésirable réfutant leurs idées et dogmes ne finisse par être publié. Pour plus d’information lire le rapport sur le Prix Nobel dans le magazine WissenschafftPlus N° 1/2017. Le rapport comprend la photo d’une sculpture montrant l’essence de ce problème et en dit plus long que tout discours.

  1. Les membres de l’association Libertas&Sanitas, dans leurs efforts d’arrêter la vaccination obligatoire, ont publié une documentation complète sur la connaissance disponible aux décideurs des autorités de santé. De cette manière il a été prouvé qu’il n’y avait en Allemagne pas de données disponibles qui mènent à la conclusion que les vaccins sont sûrs et que la vaccination ne fait courir qu’un risque minime. De plus : en Allemagne on ne recueille pas les données qui aident à vérifier si d’après les définitions de l’OMS il y a une propagation ou une épidémie de rougeole ou un arrêt à cette propagation grâce aux vaccins à ce sujet. Voir : www.libertas-sanitas.de. Je recommande également la remarquable vidéo “Raison&Logik dans la discussion sur le Priorix (Rougeole — Oreillons — Rubéole — Vaccin vivant) [2020]
  2. Ceux qui maîtrisent l’anglais réaliseront en lisant la publication suivante que la construction d’un génome viral complet est quelque chose de tout simplement purement théorique : “Séquence Génomique Complète d’un virus sauvage de la rougeole isolé durant l’épidémie du printemps 2013” que l’on peut trouver ici : https://edoc.rki.de/handle/176904/1876. L’Institut Robert Koch était impliqué dans cette recherche. Le Prof. Mankertz, co-auteur de la publication et à la tête de l’Institut National de Référence pour la Rougeole, les Oreillons et la Rubéole, a prétendu sur demande que les expériences de contrôle étaient effectuées pour cette étude dans le but d’exclure que les composants typiques des cellules étaient mal interprétés comme étant des particules virales. Néanmoins elle a refusé de publier la documentation concernant ces expériences de contrôle. Lors de l’appel (le procès en appel de Stuttgart — NdT) le Prof. Mankertz a répondu qu’elle n’avait pas les expériences de contrôle disponibles, mais qu’elle était sûre que ses collègues de Munich ont dû procéder et documenter de telles expériences. J’ai personnellement écrit à tous les auteurs et à leurs responsables de laboratoire pour leur demander les expériences de contrôle, qui sont une obligation depuis1998. Aucun n’a répondu. Les recteurs des instituts de recherche contactés n’ont pas non plus répondu à mes questions et donc la procédure d’appel n’a abouti à rien.
  3. Publication du 22.01.2020 : La recombinaison homologue au sein de la glycoprotéine de spicule du coronavirus nouvellement identifié peut stimuler la transmission croisée entre espèces de serpent à humain. Auteurs : Wei Ji, Wei Wang, Xiaofang Zhao, Junjie Zai, Xingguang Li. Visible sur le lien : https://doi.org/10.1002/jmv.25682
  4. Pour plus d’informations lire les pages 33 à 36 de l’article “Une nouvelle perspective sur la vie — Partie II.”, magazine WissenschafftPlus n° 2/2019. Dans cet article est expliqué comment presque toute forme de science académique et financée par l’État suivra automatiquement des tendances erronées. L’historien du droit et sociologue Eugen Rosenstock avait déjà montré cela en 1956, mentionnant spécifiquement la théorie de l’infection et la médecine du cancer qui étaient déjà réfutées alors.
  5. Karlheinz Lüdtke : Sur l’Histoire des débuts de la virologie. Comment s’est développée la compréhension de la nature des virus grâce aux progrès technologiques dans l’examen des agents infectieux filtrables. Réimpression N° 125 (1999) de l’‘Institut Max Planck de l’Histoire des Sciences), 89 pages.
  6. Sur la réfutation de toutes les idées antérieures sur le soi-disant matériel génétique en tant qu’édifice et fonction du plan de vie, vous pouvez vous référer à mes articles dans le magazine WissenschaftPlus. L’index pour toutes les éditions depuis 2003 est disponible sur Internet. L’article qui mérite particulièrement d’être lu est “Patrimoine Génétique et Résolution”, publié dans “DIE ZEIT” le 12 juin 2008 et qui est disponible gratuitement sur Internet. Cet article résume que le “génome” change constamment, et donc ne peut pas effectuer des choses que les scientifiques attribuent aux génomes et également que ses changements sont mal interprétés comme étant des gènes des maladies.
  7. Un bon aperçu du travail et du système de connaissances du Prof. Günther Enderlein peut être trouvé dans la thèse de doctorat écrite par le Dr. Elke Krämer, ‘Vie et Travail du Dr. Günther Enderlein (1872 — 1968)’. Publié en tant que livre en 2012 par Reichl Verlag à St Goar.
  8. Virus géants et l’Origine de la Vie). WissenschafftPlus N° 1/2014
  9. Comprendre l’Eau, Reconnaître la Vie. Eau-PI : Plus que de l’H2O énergisée. WissenschafftPlus n° 6/2018. Cette contribution peut être trouvée sur notre site web www.wissenschafftplus.de sous “Textes importants”.
  10. Voir l’introduction sur une nouvelle perspective de la vie dans les publications N°1, 2 et 3/2019 de WissenschafftPlus.
  11. Présentation complète du procès virus de la rougeole : Go Virus go, la Cour Fédérale de Justice laisse tomber la croyance aux virus. WissenschafftPlus N° 2/2017. Également libre d’accès sur Internet : wissenschafftplus.de
  12. Comme introduction aux constatations et propositions de solutions de Silvio Gesell afin d’échapper aux mécanismes autonomes du système monétaire vous pouvez lire le livre “Qui a peur de Silvio Gesell” écrit par Hermann Benjes (292 pages)
  13. Ivan Illich. La Némésis Médicale : La Critique de la Médicalisation de la Vie. 1976 et 1995
  14. Dans son livre “La Médecine peut-elle être guérie ? La corruption d’une profession”, l’auteur Seamus O’Mahony, un célèbre gastroentérologue irlandais, déforme les écrits d’Ivan Illich. Illich affirme que son diagnostic sur la perversion de la médecine a, comme “seule” cause les dynamiques internes résultant de la compulsion de faire du profit, l’industrie pharmaceutique étant un joueur de plus dans ce système. D’un autre côté O’Mahony rend responsable l’industrie pharmaceutique pour la corruption des professions médicales et conclut que la médecine ne peut pas être guérie. D’après lui, la médecine par elle-même ne serait pas capable de se débarrasser de cette perversion et seule une catastrophe humanitaire ou une guerre pourrait rendre possible une remise à plat. De cette manière il passe par-dessus la mauvaise conception qui a pris naissance en 1858 à cause de Virchow : L’incorrecte, et même à cette époque sans fondements, théorie de la pathologie cellulaire qui était le précurseur des théories de l’infection, du système immunitaire des gènes et du cancer développées plus tard, mais également fausses et dangereuses. A la page 262 de son livre, l’auteur reconnaît qu’il y avait une autre école de médecine qui comprenait la santé comme le résultat d’une vie en harmonie avec soi-même et avec son environnement, mais cette école n’avait aucune chance. Il se référait à la “psychosomatique” du Prof. Claus Bahne Bahnson et ses collègues internationaux. Ils n’ont pas fait beaucoup de progrès pourtant, empêtrés qu’ils étaient dans la fausse biochimie de la théorie cellulaire. Seul le Dr. Ryke Geerd Hamer a réussi à développer une théorie psychosomatique scientifique, complète et individualisée.
  15. Rudolf Virchow, une Stratégie du Pouvoir. Partie 1 et Partie 2. Siegfried Johan Mohr. WissenschafftPlus N° 5/2015 et N° 6/2015 sur la Développement de la Médecine et de l’Humanité, Stefan Lanka, WissenschafftPlus N° 6/2015.
  16. Annette Hinz-Wessels. L’Institut Robert Koch dans le National-Socialisme, Kulturverlag Kadmos, 192 pages, 2012. Le livre souligne que c’est seulement après que les scientifiques allemands opposés et réfutant la théorie de l’infection ont été tués, déportés ou emprisonnés, que la théorie de l’infection s’est transformée en une théorie de courant dominant acceptée dans le Monde entier.
  17. Voir la version anglaise de l’article Wikipédia au sujet de John Franklin Enders.
  18. Le Premier Virus de la Rougeole. Jeffrey P. Baker. Publié dans le magazine Pediatrics, Septembre 2011, 128 (3) 435-437 ; DOI : https://doi.org/10.1542/peds.2011-1430
  19. Propagation dans les Cultures de Tissus d’Agents Cytopathogènes de Patients ayant la Rougeole. John F. Enders et Thomas C. Peebles. Dans le magazine “Procédures de la Société pour la Biologie Expérimentale et la Médecine”, Vol. 86, n°2 du 1er juin 1954.
  20. Voir 12
  21. Protocole de l’essai du 12.03.2015 devant le Tribunal Local de Ravensburg, page 7 partie inférieure. Voir www.wissenschafftplus.de/blog/de
  22. Protocole de l’essai du 12.03.2015 devant le Tribunal Local de Ravensburg, page 7 partie haute. Voir www.wissenschafftplus.de/blog/de
  23. Peut être trouvé ici : https://lrbw.juris.de ou ici : www.wissenschafftplus.de/blog/de

Traduction Jean Bitterlin 29 juillet 2020




Covid — et si la vaccination n’était pas la seule voie ?

Par Alain Tortosa

Il est évident que la vaccination de masse a sauvé des vies, peut-être même des milliards à travers le monde…

La question n’est pas là, seul un crétin décérébré pourrait ignorer que le dicton gouvernemental est vrai « tous vaccinés, tous protégés »… des formes graves, dans certains cas avec un peu de chance.

Pour autant demeurait une question primordiale :

« Comment ma famille et moi-même avons-nous échappé à ces formes graves alors même que nous ne sommes pas vaccinés ? »

Ma première idée fut la suivante :

« Si les non-vaccinés menacent les vaccinés protégés par un vaccin efficace, peut-être que les vaccinés au contraire, protègent les non-vaccinés. »

Cette idée ô combien séduisante se heurte quand même à la dure réalité rappelée par le gouvernement :

« Nous devons empêcher les non-vaccinés de manger dans un restaurant pour les protéger des vaccinés ! »

D’autre part, si j’entends que les vaccinés pourraient empêcher les non-vaccinés d’attraper le Covid, ce dont nul être doué d’un cerveau ne peut douter au regard de l’évolution des courbes de vaccinations et de contagions, j’ai quand même un peu de mal à comprendre comment les vaccinés pourraient m’empêcher de faire une forme grave !

La théorie faisant que mes voisins me protègent des formes graves me semble donc une impasse bien qu’elle fût séduisante et logique…

D’aucuns pourraient penser que ceci n’est que pur hasard, que ma survie ne soit due qu’à la chance… Pour autant ce « hasard » semble souvent se réaliser si j’en crois mes fréquentations ou mes lectures.

C’est alors que j’ai eu un éclair de génie… Ils sont si rares que je ne me prive pas de les souligner !

« Et si la raison de notre survie familiale était la conséquence de la présence de panneaux photovoltaïques sur le toit de la maison ? »

Je ressens bien que la piste, évidemment fort intéressante, ne doit pas être prise à la légère, et je dois suivre mon intuition…

Les scientifiques pourront probablement déduire que le champ électrique nous protège et augmente notre immunité comme l’électricité statique bloque les virus qui sortent de mon corps et sont arrêtés par le masque alors que les virus entrants ne sont pas bloqués.

(Je vous rappelle que le masque est là pour protéger autrui, mais pas soi-même.)

Si cette théorie convaincante se confirme on pourra alors affirmer que ;

« Les panneaux photovoltaïques nous protègent des formes graves du Covid ! »

J’avais d’ailleurs par le passé exposé ma théorie sur l’efficacité d’une plume dans le cul afin de bloquer nos flatulences fatales pour nos aînés, quand bien même nous ne mangions que du tofu.

Il ne s’agit pas de dire n’importe quoi, mais de science dure au même titre que c’est bien « le vaccin qui protège des formes graves ».

J’avoue humblement ne pas être le premier homme à avoir des idées aussi géniales…

Rappelez-vous des sociétés primitives qui sacrifiaient des humains pour faire tomber la pluie ou avoir de bonnes récoltes.

Plus récemment, en l’an 2000, les guignols de l’information sur Canal+ nous avaient alertés sur le bug de l’an 2000, je vous rappelle que tous les ordinateurs devaient planter et revenir en 1900 et ainsi engendrer le chaos sur la planète

La World Company présidée par M Sylvestre avait trouvé une parade « mettre un jouet, Sophie la girafe, offert à de nombreux bébés, sur son bureau »

L’an 2000 fut, les ordinateurs ne plantèrent pas, et la World Company de déclarer : « vous voyez bien que la girafe a fonctionné ».

C’est donc en se nourrissant de millénaires d’expériences scientifiques qu’il a été décidé de confiner, mettre des masques, avoir une distanciation, avoir un passe sanitaire, se vacciner, etc. pour se protéger de l’horrible fléau.

Les « spécialistes » médiatiques et le gouvernement n’ont pas manqué de nous rappeler dans leur grande sagesse que des milliers, voire des millions de vies avaient été épargnées par ces mesures de bon sens que nul ne pourrait remettre en question aujourd’hui sans être d’une mauvaise foi coupable.

C’est donc avec fierté que je vous redis, c’est certain, ma famille a été protégée des formes graves par nos panneaux photovoltaïques qui sont désormais à la fois écologiques (qui pourrait en douter), mais aussi un puissant élément de protection contre les coronavirus…

Je me voyais ainsi tel le futur prix Nobel à côté de Pfizer, la compagnie ayant aussi des actions dans le photovoltaïque et les énergies dites « vertes »…. comme la couleur des dollars.

Mais ma fille m’a fait remarquer, n’ayez pas d’enfants, je vous le conseille…

Elle m’a donc fait justement remarquer que sa voisine avait fait un Covid, mais sans la moindre forme grave alors que leur logement n’avait pas de panneaux photovoltaïques et qu’ils n’étaient pas vaccinés.

Était-ce le fruit du hasard ?

Était-ce la fin de ma brillante découverte ?

Non, bien entendu… !

2022 est l’année de la Science (avec un grand S) et après analyse et enquête rigoureuse nous avons appris qu’ils possédaient des bougies parfumées au gingembre.

Rendez-vous compte des implications que cela entraîne : non seulement le vaccin, le masque et les gestes barrières nous protègent efficacement des formes graves, non seulement les panneaux photovoltaïques nous protègent… mais aussi les bougies parfumées au gingembre !

Mais attention, gardons raison ! Il ne s’agit pas de penser ou faire n’importe quoi…

Je vous signale que des malades mentaux pensent que la Terre est ronde et qu’elle tournerait autour du soleil, c’est dire le degré de folie qui habite certains humains.

Ces mêmes malades mentaux vont jusqu’à dire que des traitements précoces comme l’HCQ, des antibiotiques combinées à de l’Ivermectine pourraient empêcher les formes graves de Covid et même de tomber malade !

Ne basculons pas en plein délire, la folie ne doit pas céder la place à la raison et à la science.

Mais réjouissons-nous mes frères, cette crise a permis de faire sortir le meilleur de l’humain.

Jamais planète entière n’avait connu un tel élan de solidarité, d’amour et d’entraide entre les peuples face à cet odieux fléau.

Et sans parler des progrès inouïs dans la médecine et en épidémiologie !

En l’espace de quelques mois, nous en avons appris plus sur les virus que durant les dix dernières décennies et c’est bien là le miracle de l’amour et de la tolérance…

Enfin l’obscurantisme est derrière nous et la lumière, de la vérité révélée, nous aveugle !

Je ne résiste pas au plaisir de vous fournir quelques exemples prouvant les progrès extraordinaires accomplis en quelques mois…

  • Les asymptomatiques : Nous savons désormais (ce que nous ignorions totalement depuis des siècles) que les asymptomatiques, des personnes en bonne santé positives à un test sont extrêmement dangereuses pour autrui et des tueurs potentiels de grands-parents. Grâce à cette découverte extraordinaire, des personnes qui se croient en bonne santé savent désormais qu’elles sont malades et en danger de mort. La méthodologie est à ce point innovante qu’il est nécessaire de chercher des traces de virus par un test nasopharyngé, le test salivaire étant bien entendu inefficace ou dangereux. Rendez-vous compte que nous avons découvert que des personnes qui n’avaient aucun symptôme, qui ne toussaient pas, ne crachaient pas, n’expectoraient pas et dont le virus était indétectable dans la salive ou le bout du nez pouvaient transmettre un virus mortel… Qui s’en serait douté ? Nous ne pouvons que bénir l’inventeur du test PCR et surtout les scientifiques, grâce à ce test 100 % efficace qui prouve sans le moindre doute l’existence d’un virus de type sars-cov2 vivant et en quantité suffisante pour entraîner une contagion.
  • Les confinements : Par le passé nous croyions bêtement que pour se protéger d’un fléau il fallait faire un blocus hermétique de la ville et empêcher quiconque qui fût malade de pénétrer, au risque de contaminer le reste de la population. Nous étions à ce point idiots que nous mettions les bateaux qui provenaient de l’étranger en quarantaine afin de s’assurer qu’aucun passager n’était malade ou en train de couver une maladie. Quels sots nous étions ! En 2020 nous avons enfin compris qu’il n’était pas nécessaire de boucler une ville, une population ou un pays entier avant l’arrivée du premier malade. Quelle avancée pour la science ! Nous pouvions attendre que le virus circule depuis des semaines (voir des mois) dans tout le pays avant de le boucler… Nous avons enfin compris qu’en enfermant dans un même lieu les biens portants et les malades, et en permettant aussi le déplacement de millions de personnes, qu’il était possible de contenir un virus et prévenir les contaminations. Petit bémol cependant, chaque personne qui sortait devait se faire une autoattestation de sortie afin de garantir l’absence de contaminations, point essentiel s’il en est…. Et ça a fonctionné ! L’épidémie a reculé après le pic épidémique, preuve en est de l’efficacité des confinements.
  • Les masques : Mais là ne sont pas les seules avancées… Nous avons appris que des masques souillés, portés sur le menton, manipulés 50 fois par jour, humides, dont la notice précise qu’ils n’arrêtent pas les virus et dont l’orifice est comparable à un filet de pêche utilisé pour ramasser du sable, bloquent efficacement la propagation du virus. Prouvant par la même que toutes les études des années précédentes n’avaient aucune valeur et n’avaient aucun fondement scientifique.
  • Et que dire des connaissances inouïes acquises sur ce virus Le fait que selon les saisons ils s’attaquaient aux personnes assises ou aux personnes en mouvement. Qu’il était plus dangereux l’été, car nous sortions, mais qu’il était plus dangereux l’hiver parce que nous restions à l’intérieur. Que nous devions si possible dîner pour Noël dans le jardin, nous basant sur les excellentes conditions de santé des personnes sans domicile vivant dans la rue. Qu’il était plus dangereux quand nous étions debout qu’assis et inversement. Qu’il détestait le supermarché et les grands magasins ainsi que le métro, mais adorait les restaurants ou les cinémas. Je pourrais en écrire des pages, tant nous en avons appris… et nous en apprenons encore !

Nous ne le dirons jamais assez, et même si le bilan est à ce point terrible que les statistiques nationales semblent ignorer l’existence d’une surmortalité significative, les moins de 60 ans étant plutôt en sous-mortalité, le fait est que nous avons appris du virus et des humains…

Alors certaines mauvaises langues s’offusquent des milliards gagnés par Pfizer alors même qu’il faut bien qu’ils amortissent les frais de recherches subventionnés et financés si justement par les États et les dons !

Il faut dire que BioNTech a travaillé d’arrache-pied pour saisir les données chinoises du Sars-cov2 et sorti en l’espace de 3 heures le premier « vaccin » à ARNm.

Et quand on pense qu’il coûte environ 1 dollar à la production, il n’est que justice qu’il fût revendu 10 ou 20 dollars pièce…

À noter que la politique commerciale de Pfizer est écologique !

Vous connaissez le principe de « plus tu consommes, plus tu payes » et bien ici ils ont fait pareil… Les premières commandes étaient facturées moins cher que les suivantes à l’Union Européenne.

Mais refermons cette parenthèse sur cette polémique immonde, je vous rappelle que nous risquions l’extinction de la race humaine sans ce don du Seigneur qu’est le vaccin à ARN-messager dont nul ne peut douter de l’innocuité et de l’efficacité.

Pensez à tous ces petits Africains obligés de prendre ce médicament expérimental qui date de 40 ans appelé Ivermectine et dont nous ne connaissons pas les effets à long terme.

Ici, point de risque, et comme l’a dit un célèbre médecin médiatique, le docteur Marty « On n’a jamais eu autant de recul sur un vaccin que sur celui-là […] Il y a trois milliards de personnes vaccinées sur la Terre, ce qui donne un recul extrêmement important sur les effets secondaires éventuels ».

Comment imaginer ensuite des risques sur 10 ou 20 ans ? Ridicule !

Donc si nous avons désormais toutes les preuves qu’il existe plusieurs méthodes efficaces pour se protéger des formes graves comme les panneaux photovoltaïques,

il me semble opportun que le tribunal de l’Inquisition juge de la crédibilité de remèdes et de filtres magiques pour lutter contre le fléau.

Merci

Alain Tortosa

Le 25 janvier 1422
https://7milliards.fr/tortosa20220125-espoir-remedes-virus.pdf