Ma femme a du crédit

[Extraits de : crashdebug.fr]

Par folamour

Documentaire de LCP sur le système de crédit social chinois. Le fait est que nous avons des informations sur la structure, le système goblablement, mais pas beaucoup d’autres infos.

Sébastien Le Belzic et sa femme chinoise Lulu témoignent d’une partie de leur vie en Chine.

Le crédit social chinois vient de l’étude de la législation américaine sur les crédits.

Vous allez le voir ‘in-vivo’ en action, et c’est glaçant. Le système a été mis en partie en place lors des JO de Pékin en 2008. Il devrait être finalisé rapidement. Or on sait les souhaits de notre gouvernement [de France] et de Thalès, et des autres acteurs du secteur…, de faire de notre pays une ‘vitrine technologique’ (destinée à la vente), de nos capacités de surveillance pour les JO de 2024.

On sait aussi que le noyau dur de leur carte d’identité numérique européenne sera le dossier numérique de santé, aussi vous avez jusqu’à la fin du mois pour le désactiver.

Ce documentaire est un peu comme une bouteille à la mer avant le désastre.

Le motif « sécuritaire » et terroriste en France est en partie bidon puisque le gouvernement fricotte avec des groupes terroristes depuis 1982.

De plus…, à partir de votre score, ils pourront vous refuser des assurances ou des crédits, voire de voyager, et n’oubliez pas qu’à partir de cela, ils pourront faire comme dans minority report, de la « justice prédictive…« .

Bref, c’est l’enfer sur Terre du traçage et de l’évaluation permanente, une société des « citoyens sains avec des corps sains », et des « devoirs avant les droits » comme appelé des vœux de notre président, bref une « énorme prison » à ciel ouvert, où vous ne pouvez pas vous cacher, grâce à la monnaie digitale et au mariage de la High-tech et du capitalisme, sur fond de vieux rèves d’eugénisme nazis (il faut le rappeler quand même), ceci avec l’accord de ce qui nous sert gouvernement ‘officiel’ bien sûr.

Et vu les forces en présence, et les intérêts gouvernementaux et financiers, peu d’espoir d’une prise de conscience salvatrice qui nous permettrait communément d’éviter ce piège du « crédit social », en le refusant massivement.

Pour cela il faudrait que les gens soient informés, aussi si le cœur vous en dit, partagez ce documentaire sur vos réseaux sociaux, et désactivez votre « espace santé« , noyau dur du dispostif européen.



Une société entièrement placée sous surveillance. Des caméras dans les rues, une pour deux habitants. Des applications sur le téléphone portable qui vous tracent à chacun de vos déplacements et enregistrent tout de vos habitudes de consommation. Voilà le quotidien de Lulu et de ses compatriotes, confrontés à cette technologie qui juge leurs vies chaque jour, chaque heure, chaque seconde. Lulu est la femme de Sébastien Le Belzic. Journaliste installé à Pékin depuis 2007, il a décidé de filmer son quotidien pour comprendre en quoi cette révolution technologique et sociale impacte la vie de son épouse.




Dernier mensonge médiatique à dénoncer : les pseudo vaccins actuels qui protègeraient des formes graves de Covid-19

Par Gérard Delépine

IL FAUT DÉMENTIR LE DERNIER ARGUMENT PROVAX QUI SERAIT LA PRÉVENTION DES FORMES GRAVES

Vaccins anti-covid : comment continuer à les imposer malgré leur inefficacité avérée à prévenir la maladie et à éviter la transmission du virus et malgré leurs dangers maintenant reconnus même sur les TV et singulièrement pour les enfants innocents du covid ?

Informez encore et encore pour faire disparaître la peur de ce petit virus si peu méchant chez les moins de 65 ans (et curable chez tous, surtout traité précocement) et faire comprendre l’inutilité d’une injection.

Regardez les faits avérés pour lutter contre la politique sanitaire mensongère fondée sur la peur, la propagande et la censure.

En cette période, le président affirme « vouloir emmerder les non vaccinés » et impose encore le passe vaccinal jusqu’au 15 mars.

Espère-t-il qu’en le supprimant juste avant le vote présidentiel il obtiendra le vote des électeurs qu’il a si longtemps « emmerdés » comme les otages victimes du syndrome de Stockholm(([1] Le terme « syndrome de Stockholm » doit son nom à l’analyse d’une prise d’otage ayant eu lieu à Stockholm en 1973 par le psychiatre Nils Bejerot. Il s’agit d’un phénomène psychologique observé chez des otages ayant vécu durant une période prolongée avec leurs geôliers et qui ont développé une sorte d’empathie, de contagion émotionnelle vis-à-vis de ceux-ci.))?

La plupart des pays font disparaître dès maintenant toutes les mesures coercitives. L’analyse de l’intérêt sanitaire réel de la pseudo vaccination à la lumière de ses résultats avérés d’après les données de l’OMS, et en particulier sa prétendue efficacité de la pseudo vaccination prévenir les formes graves doit une nouvelle fois être réévaluée.

Les données publiées par l’OMS et celles des agences sanitaires du monde entier, comparant les pays entre eux montre que les affirmations mainstream sur les pseudo vaccins sont fausses !

Les pseudo vaccins sont incapables d’arrêter l’épidémie

Les pays les plus vaccinés ne contrôlent pas l’épidémie, qu’il s’agisse d’Israël champion de Pfizer où l’explosion récente des contaminations dément cruellement les propos du ministre de la Santé(([2] Salomé Vincendon ISRAËL : D’APRÈS LE MINISTRE DE LA SANTÉ, LES VACCINS « PROTÈGENT » DU VARIANT OMICRON BFM TV Le 01/12/2021
https://www.bfmtv.com/international/moyen-orient/israel/israel-d-apres-le-ministre-de-la-sante-les-vaccins-protegent-du-variant-omicron_AN-202112010164.html)) prétendant que les vaccins protégeraient d’Omicron,

Malgré son taux record d’injection Pfizer, Israël a dû faire face à des vagues successives de plus en plus fortes établissant à chaque vague de nouveaux records de contaminations journalières.

ou de la Grande-Bretagne :

En Grande-Bretagne, la pseudo vaccination massive n’a pas non plus protégé la population.

En France, malgré un taux de couverture vaccinal atteignant 90 % dans les groupes cibles, le nombre de contaminations quotidiennes a été établi le 26 janvier 2022 avec le record absolu (500 563) depuis le début de la crise malgré des restrictions de plus en plus fortes qui renient les principes fondamentaux de notre démocratie.

Et cette incapacité à contrôler l’épidémie s’est répétée dans tous les pays adeptes de la stratégie du tout vaccinal.

Le 22 décembre 2021, Tedros Adhanom Ghebreyesus directeur de l’OMS a reconnu que les doses de rappel ne suffiraient pas pour sortir de la pandémie.

« Aucun pays ne pourra se sortir de la pandémie à coups de dose de rappel »

Les pseudo vaccins ne protègent ni des formes graves ni de la mort

NON MR PRAUD, NON DR BLACHIER, LES INJECTIONS NE PROTÈGENT PAS DES FORMES GRAVES, regardez les courbes de l’OMS et les rapports des agences sanitaires étrangères.

En France, les agences continuent à prétendre que les injections diminuent le risque de formes graves. Et les médias français, y compris ceux qui s’éloignent progressivement de la doxa covidienne répètent encore en boucle que les pseudo-vaccins protègeraient des formes graves et qu’il faudrait vacciner les personnes à risque !

Cet échec à prévenir les formes graves et les morts est pourtant constaté dans tous les pays qui pratiquent la transparence de leurs données sanitaires.

En Israël, les injections Pfizer n’ont pas prévenu les formes graves et les morts et ont même permis en février 2022 l’établissement de records de mortalité quotidienne depuis le début de l’épidémie.

En septembre 2021 le ministre de la santé israélien, pour inciter à la troisième injection, avait reconnu sur une télévision israélienne que « la grande majorité des formes graves étaient observées chez les doubles vaccinés ».

Cinq mois plus tard, le 3/2/22, le Prof. Yaakov Jerris, directeur de l’hôpital Ichilov a déclaré(([3] A Israel National News 03.02.22 15:12)):

« 80 % des formes graves de covid sont observées chez les vaccinés complets (à trois doses) » ajoutant « les vaccins n’ont pas d’utilité pour diminuer la sévérité de la maladie »

En février 2022, le pays champion officiel des injections Pfizer s’est retrouvé avec les USA parmi les plus hautes mortalités quotidiennes mondiales par million d’habitants (8/Million).

En Grande-Bretagne, l’agence sanitaire officielle affirme que les vaccinés remplissent les réanimations. Le pourcentage de non-vaccinés en réanimation n’est pas supérieur à celui de la population générale prouvant ainsi que les injections ne protègent pas des formes graves.

En France, les agences et les médias prétendent que les injections diminuent le risque de formes graves, comme à l’époque de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl où elles prétendaient que le nuage radioactif s’était arrêté à la frontière.

Leur propagande est favorisée par la définition trompeuse(([4] Définition trompeuse des « vaccinés » pour prétendre que l’injection génique protégerait des formes graves | Mondialisation.ca)) des « vaccinés » qui n’acquièrent ce qualificatif que 15 jours après la deuxième injection(([5] Et bientôt la troisième…)) excluant ainsi toutes les complications et les morts post injections précoces, truquant l’estimation véritable de la proportion des « formes graves » hospitalisées selon leur statut vaccinal. Sans compter qu’un patient hospitalisé pour un lourd traitement chirurgical nécessitant des soins critiques est le plus souvent catalogué « covid », si son test est positif alors l’on sait qu’il existe plus de 50 % de faux positifs lors des dépistages chez les asymptomatiques.(([6] Luc Perino Plaisir de la mathématique et de la clinique élémentaires Le monde 28/11/2021
https://www.lemonde.fr/blog/expertiseclinique/tag/faux-positif/))

Cette absence de protection des formes graves est constatée dans tous les pays qui pratiquent la transparence de leurs données sanitaires et explique en partie que les pays très vaccinés souffrent presque tous d’une mortalité plus élevée que celle des pays adeptes des traitements précoces

D’après Lesgards et al, les 3 raisons pour lesquelles ces pseudo vaccins protègent peu ou pas du tout contre les formes graves (ni d’ailleurs contre les infections moins sévères) sont les suivantes :

  1. ils ne stimulent pas la production des IgA sécrétoires vs circulantes(([7] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/lettre-dinformation-lattention-des-senatrices-et-senateurs-lesgards
    http://www.apar.tv/alt-news/des-resultats-dautopsie-donnent-des-preuves-irrefutables-du-role-des-injections-a-base-darnm-dans-les-deces-post-vaccination/));
  2. dans les épidémies à coronavirus les anticorps sont volontiers facilitants ;
  3. l’oxydation et inflammation induites par spike sont responsables de morts chez des sujets ayant des comorbidités, atteints du COVID.

OPACITÉ FRANÇAISE

Il est invraisemblable qu’en France ni les données brutes selon le statut vaccinal réel ni les comptes rendus du comité scientifique covid (classés « secret défense » pour 50 ans) ne soient pas publiés alors que le Premier ministre se flatte de la transparence de la gestion de la crise Covid.

Aucune donnée chiffrée vérifiable ne montre que les vaccins diminueraient la gravité du covid. Toutes les données officielles publiées à l’étranger prouvent le contraire.

La prétendue efficacité des pseudo vaccins à protéger des formes graves ne constitue donc qu’une publicité mensongère à visée marchande, et les journalistes et médecins qui découvrent l’ampleur de la manipulation devraient ouvrir les yeux sur ce point fondamental et répéter en boucle que les nombreux traitements précoces disponibles sont efficaces y compris chez les patients âgés ou comorbides.





Terrain — 2e partie

[Source : cv19.fr]

Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

La deuxième partie de TERRAIN explore les conséquences globales de l’adoption d’un modèle de santé non viable basé sur la théorie des germes et ouvre la porte à un biome synergique d’autocorrection et de guérison connu par tous les êtres vivants sous le nom de théorie du terrain.






Questions relatives à la 5G

Par Arthur Firstenberg

QUESTIONS FRÉQUEMMENT POSÉES

Qu’est-ce que la technologie sans fil ?

La technologie sans fil est un moyen d’envoyer des informations ou de l’énergie dans l’espace sans fil. Elle comprend :
– les satellites, les radars, la radio, la télévision, les tours cellulaires, les téléphones cellulaires, les téléphones sans fil, les fours à micro-ondes
– les compteurs intelligents, le WiFi, le Bluetooth, les trackers de fitness, les montres intelligentes, les babyphones
– claviers, souris, imprimantes, casques et haut-parleurs sans fil, systèmes de sécurité sans fil, clés de voiture sans fil, ouvreurs de porte de garage sans fil, chargeurs de batterie sans fil, télécommandes, microphones sans fil.
– puces RFID dans les cartes de crédit et les permis de conduire, colliers et puces radio dans les animaux sauvages, le bétail et les animaux de compagnie, puces dans les appareils ménagers
– prothèses auditives sans fil, dispositifs d’écoute assistée, pendentifs d’alerte médicale, puces dans les implants médicaux, stimulateurs cardiaques sans fil
– véhicules autonomes, drones et robots
– de nombreux autres dispositifs radioélectriques qui prolifèrent dans le monde d’aujourd’hui.

Chacun de ces appareils, sans exception, émet des rayonnements.

Quel est le problème de la technologie sans fil ?

En remplaçant les fils par des radiations, nous nageons dans un océan de champs électromagnétiques artificiels qui interfèrent avec la vie elle-même. En fait, nous nous électrocutons nous-mêmes, nos enfants, nos animaux domestiques, les insectes, les oiseaux, les animaux, les arbres et les plantes qui nous entourent et toute la création vivante. Nous sommes en train de tuer notre planète.

Il s’agit d’une exposition à long terme, non ? Un cancer qui met des années à se développer ?

Non. Les effets sont rapides. Le rythme cardiaque change immédiatement. Le taux de sucre dans le sang augmente en quelques minutes. Avoir des appareils sans fil allumés dans votre maison perturbe votre sommeil et votre mémoire. L’utilisation d’un téléphone portable détruit les cellules du cerveau en quelques minutes ou quelques heures, et peut provoquer une attaque ou une crise cardiaque. Des études montrent que même le cancer peut se développer dans les mois qui suivent la première exposition. Lorsqu’une tour cellulaire est allumée, les oiseaux quittent immédiatement la zone. Les insectes disparaissent. Même les limaces et les escargots disparaissent. La plupart de ces phénomènes se produisent en un rien de temps.

Quels types de rayonnements sont utilisés dans la technologie sans fil ?

Toutes les fréquences des ondes radio, les micro-ondes, le rayonnement infrarouge, la lumière visible, les lasers, les ondes sonores et même le rayonnement nucléaire. La plupart des appareils domestiques utilisent des micro-ondes.

Les micro-ondes ne sont-elles pas naturelles ? Les micro-ondes ne proviennent-elles pas du soleil et des étoiles ?

La quasi-totalité des rayonnements que nous recevons de l’univers sont la lumière et la chaleur du soleil, et non les micro-ondes. Le rayonnement micro-ondes qu’une personne reçoit d’une tour de téléphonie mobile moyenne est des millions de fois plus fort que l’ensemble du rayonnement micro-ondes provenant du soleil et des étoiles. Le rayonnement micro-ondes que le cerveau d’une personne reçoit de son téléphone portable est des milliards de fois plus fort que le rayonnement micro-ondes du soleil et des étoiles. Et à n’importe quelle fréquence, il est des milliers de milliards de fois plus puissant que le rayonnement micro-ondes qu’il reçoit du soleil et des étoiles à cette fréquence. Et les faibles micro-ondes du soleil et des étoiles ne sont pas pulsées et modulées. Ce sont les pulsations et la modulation qui causent la plupart des dommages.

La lumière et les micro-ondes ne sont-elles pas toutes deux électromagnétiques ? Par conséquent, les micro-ondes ne sont-elles pas sans danger ?

Non. C’est comme dire que l’arsenic est sans danger parce que l’oxygène et l’arsenic sont tous deux des éléments, ou que le cyanure est sans danger parce que l’eau et le cyanure sont tous deux des produits chimiques. Mais l’oxygène et l’eau sont nécessaires à la vie, alors que l’arsenic et le cyanure sont des poisons mortels. Il en va de même pour les rayonnements électromagnétiques. La lumière visible est nécessaire à la vie. Le rayonnement micro-ondes est un poison mortel.

Les produits chimiques toxiques ne sont-ils pas plus dangereux que les rayonnements électromagnétiques ?

L’électromagnétisme est plus complexe et plus fondamental que la chimie. L’électromagnétisme façonne le soleil et les étoiles. L’électromagnétisme anime la vie. L’électromagnétisme est derrière la chimie. Il n’y a pas de « force chimique » dans l’univers. En dehors des noyaux atomiques, il n’y a que la gravité et l’électromagnétisme. L’électromagnétisme guide tout ce que nous voyons, y compris nous-mêmes. La chimie est un effet, pas une cause.

Ne pouvons-nous pas trouver des fréquences sûres ? Cela ne résoudrait-il pas le problème ?

C’est considérer la technologie sans fil et la vie de manière trop simpliste.

La plupart des technologies sans fil n’ont qu’un seul objectif : transmettre des informations aux ordinateurs, des informations d’une grande complexité et variété. Il ne s’agit pas d’un simple rayonnement constant d’une seule amplitude et d’une seule fréquence : un tel rayonnement ne transporterait aucune information. Il s’agit plutôt de plusieurs grandes bandes de fréquences, chacune divisée en centaines, milliers et millions de fréquences individuelles de toutes largeurs de bande différentes, qui se chevauchent et interagissent, pulsées à des intervalles extrêmement variés, dans une énorme variété de formes, de motifs et de durées, partout dans le monde. Même un seul signal provenant d’un seul appareil présente une variété d’amplitudes, de fréquences et de pulsations, et est modulé de manière complexe afin de transporter toutes les informations nécessaires pour être lues par un téléphone portable ou un ordinateur.

La vie doit également transporter une complexité énorme, presque infinie, d’informations dans ses systèmes nerveux et ses méridiens, et stocker et traiter ces informations dans ses cellules, ses organes et ses chakras, ainsi que dans son ADN qui est partagé et circule entre des trillions d’individus de 50 millions d’espèces différentes, tous connectés les uns aux autres et à la terre, au ciel et à l’univers dans un grand circuit d’énergie et d’informations.

Le nuage artificiel d’énergie et d’information interfère, domine et détruit le circuit naturel et vivant d’énergie et d’information. Il ne peut en être autrement.

Qu’en est-il du LiFi ? Si la lumière est sûre, pourquoi ne pas utiliser la lumière au lieu des micro-ondes ?

La lumière est un nutriment. Nous l’absorbons avec nos yeux, et dans notre sang. Elle est nécessaire à la santé. Elle régule nos biorythmes. Les plantes vertes en ont besoin pour la photosynthèse. Nous absorbons davantage les pulsations et les fréquences de modulation lorsqu’elles sont transportées dans notre corps par la lumière que lorsqu’elles sont transportées dans notre corps par les micro-ondes. Le LiFi est plus dangereux pour la vie que le WiFi.

Les téléphones portables sont beaucoup plus petits que les tours de téléphonie mobile. Cela ne signifie-t-il pas qu’ils sont plus sûrs ? Cela ne veut-il pas dire que les radiations ne voyagent pas aussi loin ?

Les téléphones cellulaires et les tours de téléphonie cellulaire émettent les mêmes rayonnements ; la taille n’a rien à voir avec cela. La principale différence réside dans le fait qu’une tour cellulaire émet simultanément autant de signaux qu’il y a de téléphones cellulaires communiquant avec elle à ce moment-là, alors qu’un téléphone cellulaire n’émet qu’un canal vocal et un canal de données. Une tour cellulaire émet donc un rayonnement plus fort qu’un téléphone cellulaire, mais au moment où il atteint votre corps, son rayonnement est beaucoup plus faible que celui d’un téléphone cellulaire que vous tenez dans votre main, près de votre corps. De plus, un téléphone cellulaire émet des signaux qu’une tour de téléphonie cellulaire n’émet pas : Bluetooth, WiFi, GPS et autres signaux.

Le rayonnement d’un téléphone cellulaire se propage aussi loin que le rayonnement d’une tour de téléphonie cellulaire. Le rayonnement d’un téléphone cellulaire atteindra toutes les personnes, tous les animaux, tous les oiseaux, tous les insectes et toutes les plantes en ligne de mire avec lui, quelle que soit la distance. Il atteindra une tour cellulaire à 90 miles de distance. Il atteindra un satellite à 22 300 miles de distance. Il atteindra Mars à 200 millions de kilomètres. Avec 15 milliards d’appareils mobiles sur la Terre, nous ne polluons pas seulement nos maisons, nos quartiers et notre planète, mais l’ensemble du système solaire.

Mon téléphone portable ne me rend pas malade. Pourquoi devrais-je arrêter de l’utiliser ?

Votre téléphone portable nuit à votre santé, que vous en soyez conscient ou non. Il endommage la barrière hémato-encéphalique — la barrière qui empêche les bactéries, les virus et les produits chimiques toxiques d’entrer dans le tissu cérébral ; la barrière qui maintient l’intérieur de votre tête à une pression constante, vous évitant ainsi de subir une attaque. Le tissu cérébral ne possédant pas de récepteurs de la douleur, de nombreux dommages peuvent se produire sans douleur. Au contraire, ils entraîneront des pertes de mémoire, des difficultés de concentration, de l’anxiété, une dépression, des troubles du sommeil, etc. Chez les rats, des dommages à la barrière hémato-encéphalique peuvent être détectés après seulement deux minutes d’exposition à un téléphone portable. Après une exposition de deux heures, les dommages sont permanents. Il n’y a aucune raison pour qu’il en soit autrement chez l’homme.

Le rayonnement de votre téléphone portable ralentit également votre métabolisme, c’est-à-dire votre capacité à digérer les sucres, les graisses et les protéines. Cela entraîne soit l’obésité, soit la perte de poids, en fonction de votre patrimoine génétique. Il est également à l’origine du diabète, des maladies cardiaques et du cancer. La technologie sans fil est la cause de plus d’obésité, de diabète, de maladies cardiaques et de cancers que tout autre facteur.

Les personnes qui sont conscientes des dommages en temps réel sont celles qui peuvent les ressentir dans leur système nerveux ou leur cœur. Cela représente peut-être un tiers de la population. Ils ont l’impression d’être électrocutés. Et ils le sont, mais tout le monde l’est aussi. Les quelques personnes qui ont entendu parler d’une telle chose s’appellent « électrosensibles ». Ceux qui n’en ont pas entendu parler pensent qu’ils souffrent d’anxiété, ou qu’ils ont un trouble neurologique ou cardiaque.

Un téléphone à clapet n’est-il pas plus sûr qu’un smartphone ?

Tous deux sont numériques et tous deux émettent des rayonnements micro-ondes pulsés et modulés. Et malgré ce que beaucoup de gens pensent, les téléphones à clapet peuvent émettre autant de rayonnements, voire plus, que les smartphones. Mais la sécurité n’est pas déterminée par le niveau de puissance. Les dommages causés à la barrière hémato-encéphalique sont les plus importants au niveau de puissance le plus faible, du moins chez les rats de laboratoire. La bande passante est plus importante que le niveau de puissance. Les smartphones utilisent plus de bande passante que les téléphones à clapet.

En résumé, les téléphones portables tuent des gens depuis leur invention. Dans chaque ville des États-Unis où le service 2G « flip phone » a été mis en service pour la première fois en 1996 ou 1997, la mortalité a augmenté immédiatement, le jour même de sa mise en service dans chaque ville. Et la santé générale de la population a été endommagée de façon permanente. Au moins dix mille Américains sont morts des radiations dans les trois mois qui ont suivi la mise en service des téléphones à clapet 2G dans différentes villes en 1996 et 1997. Il est impossible de savoir si la plupart des personnes sont mortes à cause de leurs nouveaux téléphones ou des nouvelles tours de téléphonie mobile : les radiations proviennent des deux.

L’utilisation d’un téléphone portable n’est-elle pas sans danger tant que vous le tenez loin de votre tête ?

Il y a une vingtaine d’années, quelqu’un a commencé à promouvoir l’idée du « panache de champ proche » qui était censé s’étendre sur 15 cm à partir d’un téléphone cellulaire, et que si vous teniez votre téléphone à plus de 15 cm de votre tête, vous étiez en sécurité. C’est une fiction totale. Le « panache » de champ proche n’existe pas. Il n’existe pas.

La région très proche d’une source de rayonnement, où le champ électrique et le champ magnétique sont séparés et complexes, s’appelle le champ proche. L’espace très éloigné de la source, où les champs électrique et magnétique sont liés et diminuent avec la distance, est appelé champ lointain. Les champs proche et lointain se fondent l’un dans l’autre. Il n’y a pas de ligne de démarcation où l’un s’arrête et l’autre commence. Et il n’est certainement pas vrai que le rayonnement s’arrête à 15 cm. Si c’était vrai, le rayonnement n’atteindrait jamais une tour cellulaire et le téléphone ne fonctionnerait pas. Et si c’était vrai pour un téléphone cellulaire, ce serait également vrai pour une tour cellulaire, qui émet le même rayonnement. Une tour cellulaire serait donc sans danger si vous vous tenez à plus de 15 cm d’elle. C’est absurde !

Et votre corps est un conducteur, donc si vous tenez le téléphone dans votre main, quelle que soit la distance qui vous sépare de votre tête, les micro-ondes sont conduites dans votre main et dans tout votre corps, et votre bras est une extension du téléphone et fait partie de l’antenne rayonnante.

Si vous posez le téléphone sur une table en face de vous et que vous ne le tenez pas, les micro-ondes ne font que vous irradier et ne sont pas dirigées vers vous. Mais comme pour certains types de dommages, par exemple les dommages à la barrière hémato-encéphalique, les dommages augmentent avec la distance, cela ne vous protège pas non plus.

Si les niveaux de rayonnement des téléphones portables et des tours de téléphonie cellulaire étaient réduits, cela ne les rendrait-il pas sûrs ?

Non. C’est le contenu informationnel, et non le niveau de puissance, qui cause le dommage. Un téléphone portable expose le cerveau à des micro-ondes d’une puissance d’environ 10 milliwatts par centimètre carré. À des niveaux de puissance mille milliards de fois inférieurs, il a été démontré que les micro-ondes affectent l’ovulation, le système immunitaire, la croissance des plantes, les ondes cérébrales humaines et la structure de l’ADN.

N’avons-nous pas besoin de plus d’études avant de savoir si les micro-ondes sont dangereuses ?

Non. En 1980, nous disposions déjà de 10 000 études. Aujourd’hui, nous en avons au moins 30 000. Il y a plus d’études montrant la nocivité des micro-ondes et des radiofréquences que de tous les autres polluants, à l’exception de la fumée de tabac et du mercure.

Depuis combien de temps cela dure-t-il ? Depuis combien de temps savons-nous que la technologie sans fil est nocive ?

Depuis aussi longtemps que la technologie sans fil existe. Lors de la première démonstration publique de la radio par Marconi dans la plaine de Salisbury en 1896, les spectateurs ont décrit diverses sensations nerveuses qu’ils ont ressenties. Lorsque Marconi a allumé la première station de radio française à Wimereux, un homme qui vivait à proximité a « éclaté avec un revolver » parce que les ondes lui causaient de vives douleurs internes. Le soir du 22 janvier 1901, lorsque Marconi a mis en marche un nouvel émetteur plus puissant sur l’île de Wight, la reine Victoria, en résidence sur l’île, a eu une attaque et est morte. En quelques années, 90 % des abeilles de l’île avaient disparu. Marconi lui-même a souffert de fièvres récurrentes à partir du moment où il a commencé à expérimenter la radio et pour le reste de sa vie. Il a souffert de neuf crises cardiaques, la dernière l’ayant tué à l’âge de 63 ans. Avant même Marconi, au début des années 1890, Jacques-Arsène d’Arsonval a publié les résultats d’expériences sur des humains et des animaux montrant que les hautes fréquences affectent la pression sanguine et modifient profondément le métabolisme.

Les responsables des entreprises de télécommunications savent-ils que leurs produits sont nocifs ? Nous font-ils subir cela délibérément ?

Ils utilisent des téléphones portables comme le reste du monde et sont dans le déni comme tout le monde. Ce déni, qui est profondément ancré dans la société, remonte au début du développement de l’électricité dans les années 1700.

Je garde mon téléphone éteint, sauf en cas d’urgence. Cela ne me protège-t-il pas, ainsi que les autres ?

Un téléphone portable laisse échapper des radiations de tous ses circuits résonnants, même s’il est éteint, tant que la batterie est dans le téléphone. Il en va de même pour un modem ou un routeur WiFi, tant qu’il est branché. J’ai mesuré des radiations provenant de modems dont le WiFi était désactivé. Je peux toujours dire si quelqu’un porte un téléphone portable, car je peux sentir les radiations, même s’il est éteint et caché dans sa poche, même à l’autre bout de la pièce. Je ne me suis jamais trompé.

Quelle que soit la raison pour laquelle vous avez un téléphone portable — n’importe quel type de téléphone portable — toutes les tours de téléphonie cellulaire du monde doivent être présentes pour que le téléphone fonctionne quand vous le voulez. Peu importe que vous utilisiez rarement le téléphone, toutes les antennes relais doivent être présentes. Si vous ne l’utilisez « qu’en cas d’urgence », c’est encore pire, car vous êtes susceptible de l’utiliser dans des endroits éloignés où il n’y a pas de tours de téléphonie cellulaire et où le service n’est pas bon. Chaque appel que vous passez depuis un endroit où il n’y a pas de tours est enregistré comme une demande de service, et votre fournisseur finira par installer une tour cellulaire à cet endroit en réponse à ces appels.

Lorsque je suis à la maison, j’utilise mon téléphone portable relié par un cordon Ethernet à un modem. Cela ne me protège-t-il pas ?

Cela ne vous protège pas, car il émet toujours des radiations. Cela ne protège pas les autres, car lorsque vous n’êtes pas chez vous, vous avez besoin de toutes les tours de téléphonie mobile pour être présent et vous irradiez tout le monde autour de vous simplement en transportant le téléphone.

Il n’y a pas de lignes terrestres disponibles là où je vis. J’ai besoin de mon téléphone portable.

Si les gens ne se débarrassent pas de leurs téléphones portables, il n’y aura bientôt plus de lignes fixes nulle part. L’existence des lignes fixes dépend de la demande. L’existence des téléphones portables dépend de la demande. Personne ne nous fait ça. Nous le faisons à nous-mêmes.

La fibre est-elle la solution ?

La fibre optique permet la 5G. Les antennes 5G sont reliées entre elles et à l’Internet par des câbles en fibre optique. Les entreprises de télécommunications sans fil dépensent des centaines de milliards de dollars pour poser de la fibre dans le monde entier pour la 5G. Lorsqu’une entreprise de fibre optique ou une ville pose des câbles de fibre optique, les entreprises de téléphonie mobile paient pour avoir le droit de les utiliser. Une fois la fibre posée, elles y collent des antennes et diffusent la 5G.

En quoi la 5G est-elle différente de la 4G ?

La 5G peut utiliser des fréquences beaucoup plus élevées (ondes millimétriques). Mais la plus grande différence est que les tours 5G et les appareils mobiles 5G visent des faisceaux étroitement concentrés les uns sur les autres au lieu d’envoyer le rayonnement dans toutes les directions. Si vous tenez un téléphone 5G dans votre main, la tour 5G la plus proche vous suit et dirige un faisceau de rayonnement directement sur votre corps. C’est ce que l’on appelle la technologie de réseau phasé et elle entraîne une plus grande pénétration des rayonnements dans votre corps, même à des fréquences d’ondes millimétriques, que les technologies sans fil précédentes. Les tours 5G envoient également des rayonnements dans toutes les directions, car elles scrutent constamment l’environnement à la recherche d’appareils avec lesquels se connecter.

La 5G est-elle une arme ?

Non. La 5G peut utiliser des ondes millimétriques. Il existe également des armes de contrôle des foules qui utilisent des ondes millimétriques. Mais ces armes sont mille fois plus puissantes, elles ne sont pas modulées et ne transportent aucune information. Ce sont des technologies différentes qui ont été développées par des personnes différentes à des fins différentes.

Existe-t-il des dispositifs qui peuvent nous protéger de ces fréquences ?

Il existe aujourd’hui de nombreuses entreprises qui exploitent la crédulité des personnes qui cherchent désespérément à se protéger d’un assaut qui vient de partout. Elles vendent des puces « protectrices » à placer sur votre téléphone portable ou votre ordinateur, des pendentifs et des bracelets qui vont « neutraliser » ou « harmoniser » les rayonnements, des dispositifs à brancher dans votre mur qui vont « protéger » une zone de plusieurs centaines ou milliers de mètres carrés autour de votre maison. Certains annoncent qu’il s’agit d’appareils « quantiques », ou qu’ils sont basés sur la technologie « scalaire » ou les champs de « torsion », qui sont des mots sexy qui ont l’air scientifiques, mais ne veulent rien dire. Vous ne pouvez pas « neutraliser » ou « harmoniser » les rayonnements. Ces appareils, sans exception, sont inefficaces et la plupart vous feront du mal.

Beaucoup de ces appareils émettent un signal de 7,83 Hz qui est censé reproduire la première résonance Schumann de la Terre. Il s’agit de sources ponctuelles qui ne peuvent pas dupliquer une fréquence naturelle qui nous baigne de toutes parts. Ils permettent à certaines personnes de se sentir bien pendant quelques semaines, et peuvent créer une dépendance, tout comme les fréquences d’un téléphone portable ou d’un ordinateur, mais ils vous feront du mal.

Quelles sont les alternatives ?

L’alternative, ce sont les fils. Les téléphones câblés. Des ordinateurs câblés. Il n’est pas nécessaire de réinventer la roue, les fils sont ce que nous avions avant le sans-fil et sont supérieurs à tous points de vue. Les fils transmettent les mêmes voix, mais plus clairement. Les mêmes informations, mais de façon plus sûre. Et l’information est contenue dans les fils, au lieu d’être diffusée sur toute la terre dans un nuage de radiations. Le sans-fil est pratique, mais au nom de la commodité, nous nous tuons en temps réel et détruisons notre planète.

Lecture recommandée : 

L’arc-en-ciel invisible : Une histoire de l’électricité et de la vie
En particulier :
Chapitre 8, « Le mystère de l’île de Wight ».
Chapitre 9, « L’enveloppe électrique de la Terre ».
Chapitre 11, « Le cœur irrité ».
Chapitre 12, » La transformation du diabète ».
Chapitre 13, « Le cancer et la faim de la vie ».
Chapitre 16, « Abeilles, oiseaux, arbres et humains ».

Arthur Firstenberg




Les racines de la soumission

Par Jean Bitterlin

Nombreux sont les signaux qui ont été émis depuis le début de la crise coronacircus qui auraient dû déclencher une réaction chez les gens. Pourtant il n’en a rien été.

Parmi ces signaux, citons :

  • Il n’y a pas eu de surmortalité dans les décès toutes causes confondues (donc il ne peut pas y avoir eu de « pandémie »).
  • Les décès concernaient surtout les personnes âgées avec comorbidité(s).
  • La quasi-disparition de la grippe.
  • De nombreux autres fléaux causent infiniment plus de décès que ce qui a été attribué au soi-disant virus SARS-CoV-2.
  • Le caractère follement propagandiste de toute la « pandémie ».
  • Les sommes folles mises en jeu qui ont servi à enrichir les plus riches et à enchaîner les générations futures dans la dette (et donc dans l’esclavage).
  • Les absurdités des annonces (les variants qui disparaissent aussi vite qu’ils sont apparus) et des mesures (tels que le port du masque, y compris pour les tout-petits)
  • La non-isolation du virus (il n’y a pas une seule étude qui montre l’isolation du SARS-CoV-2 !)
  • L’absence de débat qui est la base même de la science et la mise en place de la censure.
  • Etc., etc.

Il n’y a plus cette petite flamme qui devrait être en chacun d’entre nous, qui nous avertit que « quelque chose ne colle pas » et qui déclenche un travail de réflexion et de recherche. Cette petite flamme s’est éteinte y compris (et surtout) chez ceux qui se targuent d’être des intellectuels diplômés. Quelle en est la raison ?

Je pense qu’il faut chercher dans ce qui est profondément ancré dans la nature humaine :

  1. Le conformisme. C’est l’appartenance au groupe qui a permis à l’espèce humaine de survivre ; c’est également vrai pour la plupart des autres espèces (les lions chassent en groupe. Pour les oies, pendant que certaines broutent l’herbe d’autres surveillent l’arrivée d’éventuels prédateurs). Se conformer à l’avis de la majorité a un côté rassurant ; il est agréable de se sentir accepté par le groupe auquel on appartient, il n’y a pas de conflit et cela permet de se valoriser en donnant un avis qui ne peut qu’être approuvé.
  2. La fainéantise. Dans la Nature toutes les espèces animales ont comme règle absolue de ne faire que les efforts qui sont strictement nécessaires à la survie de l’espèce. S’il n’en va pas tout à fait de même pour l’espèce humaine, le « moindre effort » reste malgré tout une règle : tous nos gestes tendent vers l’optimisation. Alors évidemment entre se conformer, ce qui ne demande aucun effort, et chercher à vérifier les faits, pour la plupart le choix est vite fait.
  3. La peur de la mort et de la souffrance. Les miracles indéniables de la médecine dans certains domaines ont profondément marqué l’espèce humaine. La plupart de nos contemporains pensent que le but de l’immortalité sera atteint un jour et ne se soucient donc plus des carences ou des excès liés à leur mode de vie. Évidemment si vous leur annoncez une pandémie susceptible d’éradiquer l’espèce humaine vous les plongez dans le plus profond désespoir et pouvez les manipuler à votre guise.
  4. La très haute opinion qu’ont les gens d’eux-mêmes et qui fait qu’ils ne peuvent même pas envisager qu’ils se trompent ou qu’ils ont été dupés. Le doute est une chose totalement absente de leur esprit.

Chez certains il y a encore une petite flamme vacillante, mais ils sont malheureusement dans l’incapacité à analyser les gravités des différentes menaces et donc à hiérarchiser les problèmes. Et ils ont donc toujours quelque chose de plus important à faire que de s’atteler à l’essentiel (qui est d’ailleurs souvent plutôt difficile à résoudre).

La civilisation industrielle a su tirer parti de ces facteurs innés (conformisme, fainéantise, peur, ego surdimensionné) pour nous emmener et nous enfermer dans des dogmes. Pour cela elle s’est appuyée sur la perversion de certaines puissantes institutions qui ont modelé le cerveau de la plupart d’entre nous.

  1. L’École : loin d’être un outil de développement personnel formant des citoyens libres et autonomes, l’école tue tout esprit critique et tout esprit de curiosité. Elle est là pour, comme le disait Ivan Illich, faire comprendre à quel barreau de l’échelle sociale nous avons droit (je rajouterais « en nous conformant à ses préceptes »).
  2. La Science : bien peu de personnes ne peuvent ne serait-ce qu’imaginer comment fonctionnent de nos jours les sciences biomédicales. Tout n’est que gains financiers, conflits d’intérêts et pouvoir ; la vraie science (celle qui se fonde sur le débat, qui cherche même à réfuter ses propres dires) a totalement disparu. C’est ainsi que l’hypothèse virale a pu s’imposer, que « les vaccins sont sûrs et efficaces » a pu s’imposer et que seuls les progrès de la science pourront nous éviter les « pandémies » ou malheurs futurs.
  3. Les Médias : comme pour la science, bien peu de personnes ne peuvent ne serait-ce qu’imaginer combien les médias sont corrompus (essentiellement d’ailleurs par les laboratoires pharmaceutiques et la finance) et qu’ils ne font que répéter ce que leur dictent certains groupes dont la puissance défie toute imagination. Le caractère propagandiste des médias s’est vraiment révélé avec la « pandémie Covid-19 » quand bien même cela faisait des décennies que ce caractère existait (très régulièrement des « spécialistes » s’exprimaient dans les médias sur les dangers de tel ou tel « virus » et de la nécessité de se vacciner).

Dans ces conditions est-il possible d’échapper au « Système » ? La réponse est hélas ! non pour la plupart d’entre nous. Si de la maternelle à la fin de vos études vous avez appris qu’il faut avoir peur des méchants « virus », que les vaccinations ont sauvé l’Humanité — messages relayés en toute occasion par le corps médical (qui ne veut que votre bien) et relayés très régulièrement par les médias — alors vous ne pouvez qu’intégrer ces messages comme vérité absolue ; et vous conformer.

Une minorité a néanmoins été capable de « résister ». Ce sont toutes ces personnes, évoquées plus haut, dont le parcours de vie a réussi à préserver cette petite flamme ou celles dont la petite flamme a été rallumée par une information, un vécu, une rencontre. Grande est leur responsabilité, car si elles ne veulent pas être également emportées elles se doivent de porter la parole en tous lieux et en toute occasion. Et cela signifie qu’elles se doivent étudier, approfondir et être capables de tenir le discours capable de rallumer la petite flamme encore éteinte chez la grande majorité.

Pour illustrer tout ce qui précède je voudrais vous raconter l’anecdote suivante : fin des années 1970, j’enseignais les mathématiques à des élèves apprentis. Parmi eux, un élève tout ce qu’il y a de plus sérieux, avec de bons résultats, docile, avec peu d’humour, dont le père était patron d’une petite entreprise d’imprimerie. Je suis resté en contact avec cet élève depuis donc plus de 40 ans et j’ai suivi l’évolution de l’entreprise qui est allée s’installer dans de nouveaux locaux. Cela fait des années que je lui envoie tout un tas d’articles sur la vaccination et sur le coronacircus, sans d’ailleurs susciter la moindre réaction de sa part, ce qui ne m’étonnait pas puisque je me doutais qu’il était tout à fait soumis au discours mainstream. Il y a quelques mois, lors d’une rencontre il m’annonce que ses parents se sont fait vacciner ; il était clair pour moi, le connaissant, qu’il allait suivre le même chemin. Il y a une dizaine de jours, ayant besoin de ses services, je lui demande comment ça va et il me répond « La santé va bien (mis à part un infarctus), les affaires, c’est pas bon ». Bien entendu, j’ai immédiatement compris ce qui s’était passé : il s’est fait injecter la première dose, puis la deuxième et peu de temps après il a eu son problème cardiaque, ce qui est désormais un grand classique. Mais, et cela semble à peine croyable (sauf à bien avoir compris tout ce qui précède), voilà que j’apprends qu’à peine sorti de l’hôpital il a accepté de recevoir la troisième dose de rappel !! (Ce qui en dit d’ailleurs long sur ce qu’est devenue la médecine)

Le coronacircus a fait de son entreprise relativement florissante une entreprise qui ne vaut plus un sou (qui veut reprendre une entreprise alors qu’il n’y a plus de travail ni même d’espoir que les affaires reprendront). Voilà une personne que cette arnaque absolue qu’est le Covid-19 aura si ce n’est ruiné du moins fait perdre une somme considérable et qui de plus a véritablement attenté à sa vie. Eh bien, au lieu de se poser des questions (de rallumer la petite flamme), d’aller crier son désespoir et sa colère à l’encontre de tous ceux qui ont organisé cette arnaque Covid-19, le voilà qui en redemande en acceptant cette dose de rappel. Seule la soumission absolue, celle où il n’y a plus ni esprit critique ni esprit de révolte, peut expliquer cela. Il n’y a finalement rien de plus puissant que la croyance en un « virus ».

Jean Bitterlin le 17 février 2022




Comment Big Pharma et Bill Gates luttent contre la démocratie et la santé publique

[Source : Ligne Droite • La matinale de Radio Courtoisie
@LigneDroiteMatinale]






Le passe vaccinal bientôt intégré au passeport numérique européen. Numérisé, tracé, et bientôt pucé !

Par Claude Janvier

Mauvaise nouvelle : le portefeuille d’identité numérique européen a passé le stade de la puberté. Il va devenir adulte à partir de septembre 2022. Merci à Mike Boroswki pour son entretien réalisé le 8 février 2022, de Madame la députée européenne Virginie Joron,(([1] https://www.youtube.com/watch?v=TPPEcotXK04)) que je relate dans les grandes lignes.

À feu doux pendant deux ans, vous avez accepté, en grande majorité, et sans broncher les confinements, les couvre-feux, les attestations de sorties, les plages où la position assise était interdite, les brasseries où prendre son café debout était prohibé mais le siroter assis était autorisé et enfin, le passe sanitaire. Puis, mijotage oblige, la sauce a été réduite à un passe vaccinal, trois doses. Désormais, totalement confits, engourdis et soumis, vous êtes cuits à point pour accepter l’esclavage ultime : le passeport numérique européen.

Virginie Joron, députée EU, travaille entre autres, dans la Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs. Après plus de vingt ans d’Internet, nos gouvernants font semblant de pousser des cris d’orfraie concernant le monopole des GAFAM. — Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft —, alors qu’ils se félicitent en secret des censures et de leur contrôle numérique mondial.

Cette commission voudrait les réglementer, car ils ne respectent aucune loi mise à part les leurs. But louable. Mais les explications de Virginie Joron laissent à penser que ce ne sera pas si simple.

En effet, à peine le sujet GAFAM débattu en commission, elle a été sommée, avec un autre rapporteur de la commission, de s’expliquer en « visio » avec la Maison-Blanche. Des députés européens obligés de s’expliquer devant le gouvernement américain, incroyable, mais malheureusement réel.

Aux sceptiques, pensant que Bruxelles est indépendante des USA, revoyez votre copie. Washington leur a demandé d’y aller mollo avec les pauvres chéris de la Silicon Valley, de ne pas les brusquer et donc de ne pas leur nuire. L’UE est donc bien une franchise américaine, sans aucun pouvoir décisionnaire, à part celui de promouvoir le slogan unique « d’America first ».

Ça devrait vous éclairer sur le fait que l’UE fera tout pour sanctionner encore et toujours la Russie, ainsi que les pays non-alignés, tels que l’Iran, la Syrie et le Venezuela. Toutes les pièces du puzzle sont présentes. Encore faut-il accepter de les regarder.

Quand vous vous faites grattouiller les sinus par un test RT-PCR,(([2] RT-PCR : Reverse Transcriptase-Polymerase Chain Reaction)) savez-vous que les résultats sont transmis à Microsoft ? Non, vous ne le saviez pas ? Et bien, c’est la réalité. Vos données personnelles sont gérées en finalité par une équipe de Bill Gates « of Hell », un des serviteurs zélés du Mordor.(([3] Le Mordor, le pays noir, dans l’œuvre magistrale de Tolkien, « Le seigneur des anneaux ».)) Souriez, vous êtes tracés.

La souveraineté française n’existe plus. L’UE est totalement à la botte de l’oligarchie mondiale financière apatride. La Commission européenne a présenté en mars 2021 une « boussole numérique » — au cas où vous perdriez le nord — pour traduire les ambitions numériques de l’UE pour 2030 en termes concrets.(([4] https://labo.societenumerique.gouv.fr/2021/06/17/une-boussole-numerique-pour-leurope/))

Bientôt, vous serez l’heureux propriétaire d’un portefeuille d’identité numérique européen, couplé avec votre passe vaccinal, avec votre photo d’identité cachée dans votre QR code.(([5] https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/qr-code-et-identite-bientot-lies)) Étant donné que la majorité des gens se sont habitués à exhiber leur passe vaccinal sous forme de QR code, vous aurez bientôt le plaisir de pouvoir montrer votre minois, avec le sourire bien évidemment proscris, genre tête de bagnard. Le top !

D’ailleurs, le QR code existe quasiment partout. Asseyez-vous à la terrasse d’une brasserie, et très souvent vous avez le QR code de la carte des mets et des boissons collé sur la table. Vous scannez et vous profitez — pour employer le slogan niaiseux apprécié d’une grande majorité de restaurateurs bien dans le moule. Ces derniers ne réalisent pas qu’ils sont en train de se faire manger — un comble pour un restaurateur — par le Grand Reset (Klaus Schwab, fondateur de Davos) qui écrit dans cette « bible » les plans de l’oligarchie mondiale. L’un d’entre eux décrit qu’il ne subsistera, dans peu de temps, que 3 ou 4 grands groupes agroalimentaires et ses franchises mondiales.

« Une identité fiable et sécurisée pour tous les Européens ». Tel est le slogan de l’UE. Dans un monde peuplé d’humanistes, ce serait merveilleux. Malheureusement, la vérité est ailleurs. L’oligarchie mondiale veut contrôler chaque citoyen de la Terre, avec pour credo : contrôle, puissance et bénéfices engrangés.

Mme Stella Kyriakidès ou Stella Kyriakidou, commissaire à la santé et à la sécurité alimentaire, est aussi « Madame vaccin », puisque c’est elle qui a signé les contrats d’achats des liquides expérimentaux ARNm de Pfizer, Moderna, et des deux autres. Elle déclare :

« … Aujourd’hui, nous proposons d’actualiser les possibilités d’utilisation des certificats en cas de déplacement dans l’UE afin d’apporter une sécurité aux citoyens aussi longtemps que les besoins de santé publique persisteront… ».

La commission a donc proposé le 3 février 2022 de prolonger d’un an le certificat Covid-19 de l’UE. Les arguments sont simples :

« Le virus Covid-19 reste largement répandu en Europe, avec les nouveaux variants qui ne cessent d’apparaître ».

Cerise sur le gâteau, la sémillante Chypriote a une affaire non résolue sur les bras :

« … Des crédits de plusieurs millions d’euros ont été accordés dans des conditions opaques au mari de la commissaire européenne. L’affaire a poussé un eurodéputé à demander des explications à celle qui est en charge de l’achat des vaccins au nom de l’UE… »

Oh, la vilaine… — RT France 17 mai 2021 : corruption : la commissaire européenne à la Santé Stella Kyriakidou au cœur d’une polémique.(([6] https://francais.rt.com/international/86789-prets-bancaires-la-commissaire-europeenne-a-la-sante-kyriakidou-au-coeur-d-une-polemique))

Le certificat Covid est donc là pour longtemps, car le portefeuille d’identité numérique a été voté à l’unanimité en 2021 au sein de l’UE, peu importe le parti politique.

Que va donc contenir votre E-wallet ou portefeuille électronique ? Tout : carte d’identité — la nouvelle CI Française est écrite en anglais. Cherchez l’erreur —, permis de conduire, carte d’électeur, dossier médical, vaccins, numéro de sécurité sociale, maîtresses et amants (presque)… Mais la première chose qu’ils veulent mettre en place dedans est le dossier médical. Tiens donc… Cela vous étonne ? On comprend mieux l’empressement à entériner le passe vaccinal. En ce moment, quelques pays de l’UE ont levé le pied à son propos, mais rassurez-vous, c’est pour mieux l’intégrer dans votre futur portefeuille électronique. N’en doutez pas, nous l’aurons à vie.

Le texte date de 2014 — 8 ans déjà —, avec en substance la volonté de digitaliser les informations. Le travail est pratiquement terminé, car les parlementaires et commissaires européens ont mis le turbo pour y arriver.

Un des articles phares du fondement de l’UE est la liberté de circulation. Mais depuis deux ans, sans respect des règlements ni des lois, tout a été balayé d’un revers de la main. Il faut avoir un passe vaccinal pour se déplacer dans l’UE. Bienvenu dans un crédit social à la Chinoise, sauce européenne, avec la bénédiction de l’oncle Sam.

25 % de la population en Europe ne possède pas de smartphone. Ceux-là ne pourront bientôt plus bouger, à moins de s’en procurer un. Et si une personne n’a pas de passe vaccinal et refuse le portefeuille électronique ? Elle ne sera rien, n’aura droit à rien, et ne pourra franchir aucune frontière, puisqu’elle n’aura pas d’identité.

L’identité numérique est vendue comme un service qui ne sera pas obligatoire. « …Ne cherchez plus vos papiers dans vos poches. À la place, exhibez votre E-wallet dans votre smartphone… ». Très subtil. Personne n’y sera obligé, sauf que dans les faits, il sera obligatoire, à moins de vivre dans son coin, retiré de tout, en cultivant ses endives. Et encore…

Facultatif demain, obligatoire après-demain. Prochaine étape, la puce sous la peau. Encore mieux que le smartphone. Pas de risque de perte, votre mémoire sera sous la peau. Jason Bourne sort de ce corps !(([7] Jason Bourne est le héros d’une trilogie de l’écrivain Robert Ludlum : La mémoire dans la peau, La mort dans la peau et La vengeance dans la peau.)) Le grand piège mondial dans toute sa splendeur.

Cerise sur le gâteau, votre E-wallet sera géré par des sociétés privées. Toutes vos pathologies, vos penchants, votre bon ou mauvais cholestérol seront à la vue des assurances, des banques, et des institutions. Pratique, car vous saurez pourquoi votre assurance a subitement majoré vos échéances ou pourquoi votre banquier vous refuse un prêt.

Un « magnifique » futur s’ouvre devant chacun de nous. Et vous avez encore confiance dans ceux qui nous gouvernent ? Franchement, vous ne devriez pas. Ce sont des menteurs patentés. Un exemple : ils nous ont garanti l’anonymat lors du scan de votre QR code à un serveur de restaurant. Ils nous ont dit que le serveur ne verrait que la couleur verte — passe valide — ou la couleur rouge — passe invalide —. C’est vrai, mais ils ont oublié de vous signaler que votre nom et votre date de naissance s’affichent aussi.

Étant donné que nous sommes gouvernés par l’oligarchie financière mondiale apatride, les excès sont à prévoir. Le monde des bisounours n’existe que dans l’imaginaire, et franchement, on a du mouron à se faire. Tout, absolument tout, sera contrôlé. Y compris le tri de vos déchets. La taxonomie verte est aussi sur les rails au sein de l’UE. Vous triez bien, un bon point, vous vous mélangez un peu les pinceaux, un mauvais point. Pendant ce temps-là, les grands pollueurs continueront de pourrir la planète sans être inquiétés.

À méditer :

« Confier nos vies numériques au gouvernement et aux sociétés privées, plutôt qu’à Facebook et Google, c’est sauter de la poêle à frire pour aller dans le feu », a déclaré le député européen Patrick Breyer (Allemagne)

Claude Janvier

Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition. www.is-edition.com

Pour aller plus loin :

https://www.latrompette.fr/articles/posts/l-europe-s-apprete-a-lancer-une-carte-d-identite-numerique-pour-tous-les-citoyens

https://www.crashdebug.fr/l-ue-lance-un-portefeuille-numerique-derniere-etape-vers-une-societe-sans-argent-liquide-zerohedge-com

https://www.bfmtv.com/economie/economie-social/union-europeenne/l-ue-va-lancer-un-portefeuille-numerique-pour-faciliter-la-vie-des-europeens_AN-202106010139.html

https://ec.europa.eu/info/strategy/priorities-2019-2024/europe-fit-digital-age/european-digital-identity_fr

https://www.nouvelobs.com/politique/20210603.OBS44840/l-ue-veut-creer-une-identite-numerique-europeenne-pour-rassembler-tous-vos-documents-officiels.html#modal-msg

https://www.carbone4.com/analyse-taxonomie-europeenne

Notes




Un député européen veut des éclaircissements sur le graphène dans les vaccins Covid et pose des questions

[Source : frontnieuws.com]

Le député italien Sergio Berlato veut des éclaircissements sur le graphène dans les vaccins Covid. Il rappelle une étude récente du Dr Ricardo Delgado Martin et du Dr Pablo Campra, qui prétend avoir trouvé du graphène dans les vaccins Covid en utilisant la spectroscopie Ram.

Berlato souligne également qu’en 2018, une équipe de chercheurs a montré que le graphène peut convertir des signaux électriques en signaux térahertz ultracourts à des milliards de cycles par seconde. Les composants électroniques à base de silicium que nous utilisons aujourd’hui atteignent des vitesses d’horloge de x gigahertz, avec 1 GHz équivalent à un milliard de cycles par seconde, rapporte Uncutnews.ch.

Les scientifiques ont montré que le graphène peut convertir des signaux à ces fréquences en signaux à des fréquences des milliers de fois plus élevées que les signaux générés avec du silicium, a déclaré Berlato. Voir aussi Front news Un laboratoire britannique découvre du graphène dans des vaccins C19.

Le graphène est ainsi capable d’absorber les radiations, ce qui signifie qu’il est hautement toxique et nocif pour la santé humaine si ce matériau est utilisé dans un vaccin, affirme le député européen.

[Voir aussi :
La nanotechnologie dans les vaccins
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]

Il demande à la Commission européenne si, à la lumière de ces recherches récentes, elle entend faire examiner attentivement la présence de graphène dans les vaccins Covid par un laboratoire indépendant.





Sauvons les enfants des injections géniques

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur RL]

Il est urgent de sauver les enfants !
Arrêtons ce pouvoir aveugle, en refusant l’injection des petits 5 – 11 ans et bientôt des 6 mois – 5 ans présentée dans les médias comme un « progrès » !
L’injection est irréversible et rien n’est connu actuellement pour annuler les effets pervers de ce médicament en expérimentation. Alors parents, résistez !
Il n’existe aucune raison pour accepter cette injection morbide, car les enfants ne font pas de formes sévères du covid, ne contaminent ni les adultes ni les enfants, et le pseudo-vaccin ne protège en aucun cas des contaminations.

QUELLE JUSTIFICATION EN DEHORS DE LA SOUMISSION À UN POUVOIR QUI VOUS TROMPE DEPUIS DEUX ANS ?

Les mesures prétendument sanitaires imposées à des milliards d’individus dans le monde ont gravement nui à l’humanité avec ses conséquences d’interruption de soins, d’activités scolaires et sportives, d’aggravation de la pauvreté, d’explosions des troubles psychiques dépressions, suicides, etc. Et tout particulièrement aux enfants et jeunes adultes dont la vie va être impactée pendant plusieurs décennies par ces traumatismes successifs.

Nous avons évoqué dans « les enfants sacrifiés du covid » l’ensemble des conséquences sanitaires et scolaires des décisions mortifères et injustifiées imposées sans aucune justification scientifique réelle aux populations. Le confinement imposé brutalement alors que le Président quelques jours plutôt nous incitait à aller au théâtre a constitué le premier traumatisme majeur dans la vie des jeunes (et des moins jeunes).

La coupure brutale de leur milieu scolaire, périscolaire, sportif, musical, amical les a plongés dans l’infortune que l’écran d’ordinateur n’a bien évidemment pas compensée. Et depuis ce funeste mois de mars 2020, les persécutions se sont poursuivies par l’obligation invraisemblable du port du masque (sans aucun intérêt sanitaire, comme de multiples études l’ont démontré bien antérieurement à ce scénario) et de privations de liberté ubuesques et tragiques en même temps, comme l’interdiction de se promener en forêt ou sur la plage, même seul. Les mesures délirantes et discordantes, contradictoires d’un jour à l’autre ont entraîné des troubles cognitifs, des dépressions, des décrochages scolaires etc., dont les séquelles sont innombrables à court, moyen et long terme, tant économiques, sociales que psychologiques.

Nous ne sommes pas dans un problème sanitaire, mais bien uniquement politique visant à habituer des populations entières à se soumettre, à se déshumaniser et à ressembler de plus en plus aux petits Chinois qui « s’adapteraient » selon nos médias complices.
Non, ils ne sont pas adaptés, mais SOUMIS. Non, nous ne devons pas laisser soumettre nos enfants aux caprices des milliardaires mondialistes en recherche de légions d’« esclaves » déshumanisés obéissants, aveugles et sourds. Le port du masque des scolaires encore d’actualité en janvier 22 alors que l’épidémie est terminée et que les enfants ne sont pas à risque est infâme. Il démontre, s’il en était besoin, la perversité des mesures sans intérêt sanitaire.

Le masque est une torture psychologique, physique, mentale. Dès l’été 2020 des psychologues, orthophonistes, pédopsychiatres, enseignants appelaient au secours, constatant chez les très jeunes des troubles de gravité variable, comme l’incapacité à apprendre à lire, à écrire, sans l’aide de la reconnaissance des lettres et syllabes sur la bouche, chez l’enseignant et l’élève. La perte de l’apprentissage du langage non verbal est aussi d’une gravité certaine dans la formation des émotions et des rapports entre humains, aussi petits soient-il. Nous avons, comme d’autres, insisté sur la toxicité particulière du port du masque en crèche et maternelle conduisant à des enfants qui ne savent pas ce qu’est un visage (leurs dessins en témoignent)…

Ce pouvoir a-t-il seulement réfléchi aux conséquences multiples de ce masque inutile favorisant infections locales et pulmonaires en plus des déformations anatomiques bien décrites par les dentistes et ORL. Une circulaire pondue par un énarque dans un beau bureau des ors de la République, imposant le port du satané masque et basta, on obéit. La France est devenue une vaste expérience de Milgram, la population étant hypnotisée par un message unique infiniment répété par tous les médias mainstream financés par le pouvoir et Big Pharma, focalisé sur le risque du virus, qui pourtant de toute évidence ne constitue plus une menace réelle et n’a jamais été grave pour les individus de moins de 65 ans sans maladie associée.

Et comme cela ne suffisait pas, a commencé la grande braderie du pseudo-vaccin qui allait tout arranger et avant tout les finances de Pfizer et affidés. Les pressions médiatiques ont divisé les familles, rajoutant du stress au stress, et la soumission du peuple espérant sortir du marasme via la piqûre merveilleuse, ou simplement pouvoir continuer à gagner sa vie a été large. Les multiples prêches des ministres ont utilisé la pensée magique via cette piqûre.

Les mentalités ont changé, la recherche d’emploi a chuté (réglant magnifiquement le taux de chômage, faute de nouveaux inscrits). Les étudiants et élèves se sont, pour trop d’entre eux, désintéressés du fond, et ont privilégié la vie au jour le jour, ne voulant pas pour la majorité d’entre eux entendre parler des possibles effets délétères du masque et autres coercitions ni de ceux de la piqûre libératrice, que nient effrontément les officiels du ministère.

Et quand trop de sportifs contraints de se vacciner par leurs fédérations sont tombés au champ d’honneur, les médecins de plateau ont inventé une nouvelle maladie cardiaque… Et pourtant combien de décès déjà chez les jeunes vaccinés, que certains se permettent de relativiser par rapport au nombre d’injectés.

Mais si c’était votre enfant qui a perdu la vue, qui aura des problèmes de stérilité, ou des maladies auto-immunes, quand ce ne sera pas une maladie de la vache folle, ou qui a perdu la vie d’emblée ? Rare effet secondaire ? Oui, espérons-le, mais votre enfant n’est pas une statistique et a-t-il mérité de jouer à la roulette russe, pour vous rassurer, pour obéir, pour vous soumettre par fatigue, facilité , fuite ? Nous sommes là, parents, grands-parents pour les défendre et non pour les livrer en sacrifice, enfant martyre qui symbolise le don ultime de l’innocence face à la violence.

La résistance à la piqûre magique et la tentative du miracle du test tous azimuts

Et comme il y avait de la « résistance » tout de même y compris chez les soignants, et les pompiers aux premières loges pour constater les dégâts, ils eurent l’idée de génie du TEST à gogo qui nous a coûté dix milliards d’euros en 2021 et beaucoup de peur, de drames, d’arrêt de travail et d’école. La peur, toujours la peur, leur seule arme.

Alors que les enfants ne contaminent pas et ne risquent rien, ils ont créé des queues dignes de l’URSS de jadis, devant les pharmacies pour détecter les cas contacts, ces fameuses personnes sans symptômes, sans maladie, mais qui de l’imagination de nos politiques, permettraient de perpétrer cette psychose populaire, en faisant croire malgré tout à un RISQUE !

Nouvelle déstabilisation des écoles, mais aussi des entreprises par les absences imposées par le pouvoir. Tout ça pourquoi ? User la patience du peuple et l’envoyer dans les centres de la piqûre, rapidement avant que le cirque de la plandémie ne se dévoile trop vite. Si on peut encore utiliser les millions de doses achetés à Pfizer, ce sera toujours cela… et ils tentent d’accélérer encore et encore. Ils espèrent pouvoir maintenir leurs restrictions délétères le plus longtemps possible pour les annuler peu de temps avant les élections en proclamant « la victoire contre le vilain virus grâce aux mesures sanitaires et aux vaccins » et en tirer un bénéfice électoral.

Eh oui, car la réalité finit par apparaître, malgré la mise en scène mondiale, le bilan des injections apparaît de plus en plus clairement catastrophique dans les pays les plus vaccinés, qui sont devenus les plus contaminés et les plus touchés par la mortalité. À ces pays très vaccinés, qui souffrent d’une mortalité cumulée record s’opposent ceux qui ont refusé les ukases de l’OMS et utilisé les traitements précoces (tels que l’hydroxychloroquine, antibiotiques, Ivermectine etc.).

L’Algérie, dont la population est semblable à celle de la France par l’âge et les comorbidités de sa population, a démontré l’efficacité du protocole Raoult.

Manifestement la situation évolue très vite et il est indispensable que les parents fassent échapper leurs enfants à l’injection morbide, car rien ne pourra les protéger des effets délétères irréversibles des injections.
Espérons que les convois de la liberté dans tous les pays du monde nous libèrent enfin.

Enfin, préservons nos enfants en allant informer les parents partout où ils sont menacés d’injection. Vous en sauverez peut-être quelques-uns. Le collectif Blouses Blanches l’a expérimenté efficacement en allant s’entretenir avec les parents tentés.
« L’acharnement des corrompus sur les enfants s’intensifie pendant qu’on parle élections et autres jeux olympiques. (voir sur Telegram leaders unis pour la protection des enfants)
https://www.ouest-france.fr/bretagne/melesse-35520/une-vaccimobile-pour-les-enfants-le-mercredi-16-fevrier-b1805c88-a1b5-47b7-bb9b-e646c776b366

Melesse. Une « vaccimobile » pour les enfants le mercredi 16 février

Afin de répondre à l’élargissement de la campagne de vaccination contre le Covid aux enfants âgés de 5 à 11 ans, la Croix-Rouge, avec la collaboration de l’Agence régionale de santé (ARS), a mis en place une « vaccimobile » qui se déplace de commune en commune. « Les cas contacts peuvent se faire vaccin… »

Appelez les journaux pour protester contre cette publicité normalement interdite puisque ce médicament expérimental est remboursé par la Sécurité Sociale…




Repenser le SIDA

Par Tom Di Ferdinando

Traduction : Jean Bitterlin

Bienvenue à Rethinking AIDS (Reconception du SIDA) !

Nous sommes dans un processus de transition de Rethinking AIDS en Unmasking Covid and AIDS (Réévaluation du SIDA en Démasquage du Covid et du SIDA) (avec une appellation provisoire de Rethinking AIDS/Unmasking Covid).

Pour quelle raison repenser Rethinking AIDS ?

Rethinking AIDS était un prolongement du groupe originel Group for the Scientific Reappraisal of the HIV/AIDS Hypothesis (Groupe pour une Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH/SIDA), une alliance de scientifiques de niveau mondial qui par la suite comptait parmi ses membres trois lauréats du Prix Nobel et près de trois mille autres signatures.

Ce qui a rassemblé tout le monde dans les années 1980 c’étaient les assertions extrêmement discutables faites au sujet du VIH et du SIDA par des gens comme des médecins et des responsables de Santé Publique tels Robert Gallo et Anthony Fauci.

Notre scepticisme a été catalysé aux environs de 1987 par un tout nouvel article publié par le Dr Peter Duesberg qui démontrait que ce qui était appelé rétrovirus comme le « VIH » n’était ni pathogène ni cancérogène, et donc ne pouvait causer le SIDA — un article que l’industrie naissante du SIDA a publiquement répudié, mais qu’elle craignait en privé.

Fonctionnant sur le principe que leur opposition jouait selon les mêmes règles alors en vigueur, la première étape du premier groupe a été de publier un signal d’alarme, une requête à la communauté scientifique pour une réévaluation scientifique de ce qui, selon leur opinion, n’était qu’une hypothèse erronée : à savoir, qu’un présumé rétrovirus « VIH » (le « virus de l’immunodéficience humaine ») était la cause d’un présumé syndrome « SIDA » (le « syndrome de l’immunodéficience acquise »).

Ils ont résumé leur inquiétude en tout juste quatre phrases :

Il est largement admis par le grand public qu’un rétrovirus appelé VIH provoque un groupe de maladies appelé SIDA. De nombreux scientifiques biochimistes remettent maintenant cette hypothèse en question. Nous proposons qu’une réévaluation minutieuse des preuves existantes pour et contre cette hypothèse soit menée par un groupe indépendant approprié. Nous proposons en outre que des études épidémiologiques critiques soient conçues et entreprises.

Ils ont cherché à publier ce petit paragraphe dans Nature, Science, the Lancet ou le New England Journal of Medicine, les quatre principaux périodiques scientifiques dans lesquels ils étaient nombreux à avoir vu leurs articles maintes fois publiés.

Mais cette fois-ci, silence ! Personne ne publierait l’appel. Il importait peu qu’il soit soutenu par un groupe de 32 signataires légitimes, qualifiés et hautement estimés.

Alors pour quelle raison n’ont-ils pu le faire publier ?

C’est simple. Parce que le Directeur en chef de la Santé Publique d’alors, le Dr Anthony Fauci, avait déjà à cette époque cette sorte de pouvoir de veto. En tant que représentant à part entière de l’industrie des vaccins travaillant pour ce que nous savons maintenant être un front à part entière de l’industrie des vaccins (NIAID, CDC et FDA), Fauci était, tout comme il l’est maintenant, un pare-feu puissant contre le véritable examen scientifique et la véritable dissidence, c’est-à-dire un vrai ennemi à la fois de la liberté scientifique et du Premier Amendement. Vous pensez que nous exagérons ? Robert F. Kennedy Jr nous a fait à tous la faveur de nous documenter cela dans un seul livre (« Le Vrai Anthony Fauci » – dernier livre publié par Robert F. Kennedy Jr – NdT).

Le fait est que nos premières suspicions étaient exactes — il n’y avait aucune preuve scientifique crédible pour soutenir l’affirmation que le « VIH » causait le « SIDA », et 35 ans plus tard, il n’y a toujours aucune preuve. Cela peut paraître choquant d’entendre cela, mais c’est la vérité.

Avance rapide d’environ 40 ans jusqu’au « Covid-19 », et que trouve-t-on ? Les mêmes tactiques alarmistes, les mêmes contradictions, les mêmes fausses prédictions, les mêmes tests bidons, la même approche de traitement mortel, tout cela, mais sur un plan plus mondial, plus coordonné et même plus socialement destructeur. Et le général qui mène la charge ? Anthony Fauci.

Une fonction essentielle du nouveau Rethinking AIDS/Unmasking Covid (Réévaluation du SIDA/Démasquage du Covid — NdT) est d’exposer à la vue de tous, cette relation profonde entre le « Covid-19 » et le « VIH/SIDA ». En tant que tout premiers « dissidents du SIDA », nous sommes les mieux équipés pour mener la tâche. Mais cette fois-ci c’est différent.

Dans les années 1980, nous nous sentions obligés, sur le plan scientifique, de donner à Fauci et à ses collègues le bénéfice du doute, c’est-à-dire de supposer que lui-même et les partisans de l’hypothèse VIH/SIDA avaient tout simplement commis une erreur scientifique majeure. Cependant, le fait qu’avec le « Covid-19 » ils aient fait exactement la même erreur, mais sur une échelle multipliée par mille, signifie que ni (l’hypothèse) « VIH/SIDA » ni (l’hypothèse) « Corona/covid » ne sont des erreurs ; elles sont hautement organisées et ce sont des pièces de théâtre complètement préméditées.

Le but de la science est la vérité. Le but de la commercialisation est la vente. Le SIDA et le Covid n’ont pas été découverts, ils ont été vendus, avant tout par la peur et par les mensonges par omission. Leur fonction était de garantir des contrats gouvernementaux lucratifs pour les projets de l’industrie du médicament et des « vaccins » de Fauci. Et ses efforts sont liés à d’encore plus grands projets du Forum Économique Mondial et de l’Organisation Mondiale de la Santé. Pour cette raison le « Covid » s’est porté davantage du domaine du marketing médical vers le domaine de l’ingénierie sociale. Mais on parlera de cela plus tard.

L’arme la plus populaire aujourd’hui, utilisée par les ennemis de la vérité pour réduire au silence ceux qui signalent les faits évidents et les contradictions sans fin, est l’affirmation qu’ils « se fient aux données scientifiques ». C’est la toute nouvelle arme pour monter les gens les uns contre les autres et pour détourner leur attention des vrais sociopathes qui les ont, au départ, fait se battre les uns contre les autres. Et c’est si facile de prouver que cette affirmation est fausse.

Une pierre angulaire de la science est de susciter la contestation, d’embrasser les points de vue opposés et de chercher à prouver la fausseté de son hypothèse. Se cachant derrière la bannière de la « science », les dirigeants de Big Tech par exemple se targuent ouvertement de la manière dont ils censurent et évincent des médias sociaux ceux qui disent des choses contraires aux diktats du CDC, de la FDA, d’Anthony Fauci et de Bill Gates. Mais ça, ce n’est pas de la science. Alors la prochaine fois que quelqu’un vous dit « nous nous fondons sur des données scientifiques » ou vous accuse en disant « Ce n’est pas ce que dit la science » ou « Vous ne croyez pas en la science », dites-leur qu’ils mentent, parce que vous ne pouvez pas embrasser la science et en même temps être un partisan de la censure.

Pour que ce sujet complexe reste simple, nous allons souligner les trois principaux éléphants dans le salon covidien : 1) Le « virus in silico » (les virus sont « fabriqués » à partir de bribes trouvées et qui sont réarrangées à l’aide de programmes informatiques qui « bouchent » les interstices manquants — NdT), 2) les effets potentiellement mortels des « confinements », et 3) la grande expérience de l’industrie des « vaccins » à ARNm à laquelle l’Humanité a accepté de se soumettre sans esprit critique. Si vous comprenez la signification et les conséquences de ces trois choses, vous aurez une solide connaissance du tableau d’ensemble hors duquel ces trois phénomènes ont émergé.

Pour terminer, et pour avoir un meilleur aperçu des changements des nouveaux objectifs, de la portée et de la fonction de RA/UCA, lisez l’introduction de la conférence de 2020 produite par un de nos membres, intitulée Covid : Le Nouveau SIDA. Et, à ce deuxième lien vous trouverez une analyse qui incite à la réflexion sur comment une arnaque de l’amplitude de celle du Covid a pu prendre une telle ampleur et pris racine en premier lieu dans le psychisme de gens prétendument libres — des gens qui se battront jusqu’à la mort pour protéger leurs libertés face à un fasciste déclaré, mais qui se prosterneront, se dégonfleront, se soumettront et abandonneront avec joie ces mêmes libertés face à un fasciste caché.

Alors que le travail de bon nombre des premiers dissidents du SIDA était catalysé par le remarquable travail scientifique et le leadership spirituel du Dr Peter Duesberg, la « partie Covid » actuelle est catalysée et poussée même plus loin, quoique d’une manière très différente, par le remarquable travail d’une autre signataire du groupe des premiers signataires, la Dr Eleni Papadopoulos-Eleopoulos. En tant que leader du Groupe de Perth, son travail — effectué simultanément, mais de manière indépendante du travail du Dr Duesberg — affirmait également que le « VIH » ne pouvait pas provoquer le SIDA. Non parce qu’il était inoffensif, mais parce que personne n’a jamais suivi les protocoles standards pour l’isolation et la purification pour prouver son existence même. Pas de « VIH » signifie pas de protéines « VIH » pas d’ARN ou d’anticorps, et par conséquent pas de test significatif.

Le Dr Stefan Lanka a même donné à ce problème encore plus de contexte en indiquant de façon critique les défauts rédhibitoires dans les fondements de la virologie même — le vrai talon d’Achille scientifique de toutes les affirmations au sujet du « SIDA infectieux » et du « Covid infectieux ». Mais on parlera également de cela plus tard.

Il y a un dernier éléphant dans le salon Covid qui mérite une mention spéciale. Il s’agit de l’impact dévastateur qu’ont eu depuis 1984 le Dr Fauci et l’Industrie pharmaceutique et des Vaccins sur la santé et le bien-être du public en général. Comme le souligne avec éloquence Kennedy, le travail de Fauci était de déterminer les causes et les mesures préventives à la fois pour les maladies chroniques et les maladies infectieuses. Non seulement ces maladies ont augmenté de manière spectaculaire sous la direction de Fauci — rien que la maladie chronique chez les enfants était de 6 % au début de son mandat, et en 2006 elle était à 54 % — il est parvenu à transformer les institutions fédérales de santé et de sûreté d’organismes de santé publique en « incubateurs » de l’industrie du vaccin et des médicaments.

Quand est-ce que tout cela finira et qui va l’arrêter ? La chose la plus remarquable au sujet de la Santé Publique c’est qu’il s’agit de la seule discipline — et Fauci le seul personnage public — qui peut se vanter de 50 années persistantes d’échec lamentable et de toujours prétendre au « succès » et à l’ordonnancement des financements (Le Dr Fauci a un budget annuel de 6 milliards de dollars qui sont bien entendu dirigés vers les instituts de recherche orthodoxes — NdT).

Nous préparons un nouveau site Internet, qui sera bientôt actif, qui se concentrera sur cette relation SIDA-Covid, ses implications sociales, économiques et médicales, ainsi que sur les fondements scientifiques de la virologie. Par-dessus tout, nous examinerons les attaques physiques et psychologiques sur la liberté qui ont permis à des sociopathes de l’industrie de Santé Publique de faire des ravages sur le reste du monde pendant tant de décennies. Nous vous présenterons la preuve que l’Establishment SIDA/Covid ne veut pas que vous voyiez, et nous vous permettrons de faire votre propre opinion.

C’est comme avoir affaire à toute brute destructrice. La cabale SIDA/Covid et la machinerie mondiale sont reliées non seulement pour prospérer sur notre ignorance, mais plus important encore sur notre docilité. Avec les préservatifs, les masques, la distanciation sociale et les injections expérimentales, les confinements, les fermetures de commerce, les passeports vaccinaux et les obligations à durée indéterminée — tous pour promouvoir le changement de nom de la « grippe » — nous avons permis à un État centralisé de prendre la responsabilité de notre santé et de nos systèmes immunitaires. Notre docilité, et le libre abandon de la responsabilité de nos corps, de notre santé et de nos libertés individuelles est le vrai virus qui détruit le tissu social de notre société de moins en moins libre.

Tom Di Ferdinando

Président de Réévaluation du SIDA/Démasquage du Covid

Traduction Jean Bitterlin le 15.02.2022




Quand une simulation du Ministère de la Santé admet que si tous les 0 à 19 ans étaient injectés, il y aurait trois fois plus de décès covid (hors effets secondaires)

[Source : pgibertie.com]

Le ministère de la Santé est-il complotiste? Sans tenir compte des effets secondaires, il admet que la vaccination des moins de 20 ans a été un désastre ! Les journalistes et les politiques ont-ils de la merde dans les yeux????

Depuis plusieurs jours, les données de la DREES admettent les effets négatifs de la vaccination pour les moins de 20 ans. Il faut dire que pour cette catégorie d’âge les non-vaccinés sont trop nombreux pour que les manipulations soient faciles …Marco Nius est aux aguets et rien de ce que publie la DREES ne lui échappe…

Les documents ci-dessous sont des captures d’écran de la DREES .

https://app.powerbi.com/view?r=eyJrIjoiMTkzYjlkMjktZThkMi00NDFiLWE1NzUtNjhjN2UzYmVjOGM4IiwidCI6IjIwNTk5OGJhLWVkZjAtNDFlZi1iMzZjLTU2NWVkNjMxZGM5YyJ9

Que dit la simulation de la DREES ?

Si la vaccination des moins de 20 ans avait été interdite, il y aurait eu 300 000 cas covid de moins, 150 passages en soins critiques et 8 décès en moins (hors effets secondaires). Si tous les moins de 20 ans avaient été vaccinés, il y aurait eu 1,5 million de cas en plus, 740 passages en soins critiques et 38 décès en plus.

[Note de Joseph : les simulations sont basées sur des modélisations qui ne reflètent pas nécessairement la réalité. Par exemple, celles du GIEC pour le climat se sont systématiquement révélées erronées.]

En dehors de la simulation, les statistiques observées, OMICRON N’A RIEN CHANGÉ.
LA VACCINATION A TOUJOURS EU UN EFFET NÉGATIF POUR LES MOINS DE 20 ANS.

AVEC OMICRON CI-DESSOUS

La DREES se désolidarisera-t-elle de Fabien Mathieu qui publie sur son site officiel? Il s’agit sans doute de :

Fabien Mathieu

Researcher chez LINCS

Paris et périphérie 




Pfizer, un colosse aux pieds d’argile ?

Par Nicole Delépine

Chaque seconde, les fabricants de vaccin les plus importants (Pfizer, BioNTech, Moderna) réalisent, ensemble, plus de 1000 dollars de profits.

Argent public, profits privés

« Cette entreprise américaine a réalisé 900 millions de dollars de profits au cours du seul premier trimestre de 2021. La source de ces profits est à chercher dans les près de 4 milliards de doses de vaccins à ARN messager (ARNm) que les gouvernements du monde entier lui ont commandées dont 2,4 milliards par la seule Commission Européenne et 600 millions par les USA.

Pourtant, Pfizer n’a contribué ni à la recherche scientifique autour de ce vaccin ni à son développement. La technologie ARNm a été inventée dans les laboratoires de BioNTech, cette innovation a été financée par d’énormes subventions publiques. Par exemple Les États-Unis ont financé à hauteur de 11 milliards de dollars la recherche, le développement et la précommande de doses. L’État allemand y a investi 375 millions d’euros.

Pfizer possédait la capacité de produire ce vaccin en masse et détenait les brevets des procédés industriels utilisés, l’entreprise a pu vendre le vaccin comme son propre produit. La propriété privée des moyens de production a donc permis à Pfizer d’avoir la main sur une avancée scientifique financée, à l’origine, par de l’argent public ».

Avidité maximale

Pour des frais de production s’élevant à 1,18 dollar par dose de vaccin, Pfizer a vendu au gouvernement américain la dose au prix de 19,50 dollars !

L’Union Européenne avait réussi à négocier le prix des injections Pfizer à 12 euros, mais lorsqu’elle a décidé de multiplier sa demande de vaccins, l’entreprise a augmenté ses prix de plus de 25 %.(([1] Pfizer quietly warns investors about tidal wave of potential fraud revelations soon to come (op-ed) – Miami Standard
Published on February 11, 2022 By Miami Standard News Staf))

Au 14 février 2022, un total de 10 101 955 700 doses de vaccin a été administré, et 66 % des habitants des pays du G7 — Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni — ont reçu au moins deux doses.

À l’opposé, à peine 6 % de la population globale du continent africain a été injectée (?), ce qui leur a évité les effets secondaires majeurs.

Les données de l’OMS montrent pourtant que les injections Pfizer n’ont pas diminué la mortalité Covid19 dans les pays les plus vaccinés qui se retrouvent dans le groupe des plus fortes mortalités.

L’inefficacité médicale multiplie les profits

La très faible durée (2-3 mois) de la protection alléguée de l’injection Pfizer a constitué un formidable accélérateur de profits pour Pfizer, car les gouvernements ont depuis multiplié les commandes.

Ainsi la Commission européenne qui avait initialement commandé 600 millions de doses (300 en décembre 2020 et 300 janvier 2021) a signé pour plus de 1,8 milliard de doses (à prix majoré !) en mai 2021 prévoyant ainsi 6 rappels par adulte en 2022 et 2023 !

Une propagande omniprésente pour Pfizer s’accompagne d’une dévalorisation des produits concurrents

« il est attesté que Pfizer a mené des campagnes de désinformation visant ses concurrents. Ainsi, un documentaire diffusé par Channel 4 — une chaîne britannique — a révélé que Pfizer avait payé de prétendus “experts” pour affirmer que le vaccin d’AstraZeneca (beaucoup moins cher) pouvait entraîner un cancer et menaçait la vie des patients immunodéprimés ».

MAIS L’AVENIR EST PEUT-ÊTRE MOINS ROSE

Les dissimulations de la FDA condamnées en justice.

Cet article(([2] Pfizer quietly warns investors about tidal wave of potential fraud revelations soon to come (op-ed) – Miami Standard
Published on February 11, 2022 By Miami Standard News Staf)) relate les réactions de Pfizer à la suite des révélations hautement probables de la justice quand elle aura connaissance de documents cachés jusque-là.

Pfizer met discrètement en garde les investisseurs contre les conséquences possibles des révélations de fraudes.

Cette tribune craint que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis obéisse aux tribunaux qui l’ont condamnée à communiquer le premier lot mensuel de 55 000 pages de données de Pfizer concernant le « vaccin Pfizer ». Est-ce imaginable que ce monstre de pouvoir obéisse ?

L’agence avait initialement décidé de ne produire que 500 pages de documents Pfizer par mois, ce qui aurait nécessité plusieurs décennies pour en obtenir la totalité. Tout le monde avait hurlé, mais personne n’espérait une issue positive. Cependant, les contestations judiciaires ont abouti à l’accélération de ce calendrier d’accès aux documents.

On imagine que Big Pharma cherche des solutions pour poursuivre les dissimulations comme Pfizer en a l’habitude. Mais ici le scandale est mondial et les bénéfices encore plus époustouflants que les fois précédentes. Y arriveront-ils ?

Cette année, Pfizer s’attend à générer plus de 54 milliards de dollars de ventes, à moins que son énorme arnaque ne s’effondre complètement. Rêvons un peu.

Dans son plus récent rapport sur les résultats du quatrième trimestre de l’année 2021, Pfizer a averti les investisseurs que les choses ne s’annonçaient pas aussi bien que prévu.

Aurons-nous rapidement la totalité des rapports qui révèlent la fraude et la tromperie comme certains l’espèrent ?

Le communiqué Pfizer prévient les investisseurs

« qu’il pourrait y avoir de nouvelles données précliniques, cliniques ou de sécurité défavorables et d’autres analyses de données précliniques, cliniques ou de sécurité existantes ou d’autres informations concernant la qualité des données précliniques, cliniques ou de sécurité, y compris par audit ou inspection »

En d’autres termes, les rapports fournis à la FDA pour obtention d’une AMM PROVISOIRE auraient été falsifiés… Quelles seront les conséquences ?

Le communiqué Pfizer mentionne que « les publications à venir pourraient affecter le cours de l’action de la société », prévenant les investisseurs que le temps des bénéfices record de Pfizer touche bientôt à sa fin en raison de « préoccupations concernant l’intégrité des données cliniques ».

Maintenant que Pfizer a engrangé des milliards grâce à la fraude, la société affirme que le covid pourrait magiquement « disparaître complètement ».

Pfizer fait référence dans son rapport au fait que le temps de la plandémie pourrait prendre fin alors qu’une masse critique de la population mondiale réalise enfin à la vérité sur l’escroquerie plandémique.

« Il semblerait que l’objectif de Pfizer depuis le début était de pressurerla planète pour des profits obscènes aussi longtemps que possible grâce à son arnaque au “vaccin”. Sachant que les gens finiraient par tout comprendre, cependant, le plan a été conçu de manière à cacher toutes les données incriminantes des essais cliniques jusqu’en 2076 ».

Rappelons qu’en France les délibérations du conseil de défense sont dissimulées par un secret défense pour 50 ans, mais que le gouvernement se flatte de la gestion transparente de ses décisions.

MAIS le calendrier des publications prévu en 2076 est bousculé par la justice. « Quel serait l’impact d’un procès pour crimes contre l’humanité sur l’entreprise ? » a demandé quelqu’un de Zero Hedge.

« Ce n’était pas pour rien », a déclaré quelqu’un d’autre à propos de la persistance des confinements et des obligations vaccinales, dont nous savons maintenant qu’ils n’ont rien fait pour arrêter la propagation. « C’était pour les profits et instaurer le contrôle social ».

Plus de nouvelles connexes sur les injections mortelles de covid de Pfizer peuvent être trouvées sur Corruption.news et aussi sur de nombreuses sources établies à partir des données officielles des agences sanitaires.(([3] EFFETS DÉLÉTÈRES DES INJECTIONS ANTICOVID : STOP ! / LE POINT AU 8 02 22 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))
Les sources de cet article incluent ZeroHedge.com, NaturalNews.com, Brighteon.TV

Effectivement de nombreuses informations apparaissent, comme cette conversation entre Fauci — le Mr Santé des présidents des USA toujours en poste — et un biologiste sur la « fabrication du virus » en mars 2020 ! On comprend que Pfizer et Fauci soient inquiets des révélations qui n’attendront pas cinquante ans comme prévu (y compris en France !). Le Grand Jury démarré en ce mois de février 2022 par l’avocat international Reiner Fuellmich et associés permettra aussi d’en savoir plus.

Les actions Pfizer

QUAND VOTRE SANTÉ N’EST PLUS QU’UN JEU EN BOURSE ! ARRIVEZ-VOUS À Y CROIRE ? Triste réalité, pourtant…

Selon Boursorama La valeur du jour à Wall Street Pfizer déçoit les investisseurs avec ses perspectives 2022 – 08/02/2022 à 17:22 — Boursorama

AOF•08/02/2022 à 17:22

(AOF) — Pfizer occupe la dernière place du S&P 500 avec un repli de 5,8 % à 50,10 dollars, dans le sillage de perspectives 2022 décevantes. En même temps que la publication de ses résultats trimestriels, le laboratoire pharmaceutique a en effet annoncé viser cette année un bénéfice ajusté par action de 6,35 à 6,55 dollars, alors les analystes de FactSet en attendent 6,71. De même, les revenus devraient être compris en 98 et 102 milliards de dollars, pour un consensus s’élevant à 103,2 milliards.

Parmi ces revenus, Pfizer espère réaliser environ 32 milliards de dollars de ventes pour son vaccin anti-covid, le Comirnaty, ainsi que 22 milliards pour sa pilule antivirale, le Paxlovid. Malheureusement, cela reste là aussi en dessous des attentes du marché, puisque les données Refinitiv font état d’anticipations de 33,79 milliards et 22,88 milliards de dollars respectivement.

Au niveau de la production, le laboratoire a dépassé son objectif de réaliser 3 milliards de doses du Comirnaty en 2021 et veut désormais en fabriquer plus de 4 milliards cette année.

Mais malgré des perspectives en deçà des attentes, Pfizer a toutefois su engendrer plus de bénéfices que prévu au quatrième trimestre 2021. Le groupe a en effet publié un profit trimestriel de 3,39 milliards de dollars, soit 59 cents par action, très loin des 847 millions, ou 15 cents par action, générés un an plus tôt à la même époque. Hors éléments exceptionnels, le BPA ressort ainsi à 1,08 dollar (+151 %), bien au-dessus du consensus FactSet de 87 cents.

Les revenus du laboratoire pharmaceutique ont quant à eux plus que doublé (+105 %) à 23,84 milliards de dollars.

Sur l’ensemble de l’année 2021, le bénéfice ajusté s’est élevé à 4,42 dollars par action et le chiffre d’affaires a atteint 81,3 milliards. Les ventes du vaccin anti-covid ont contribué à hauteur de 36,8 milliards de dollars, alors que celles de l’antiviral, autorisé à partir de fin décembre, ont été limitées à 76 millions.

Mais probablement cela va aller beaucoup plus mal pour les ventes de vaccins, comme le PDG de Moderna le craint probablement qui a vendu de grosses quantités d’actions avant la chute récente des cours.

En attendant, Pfizer tente de prolonger l’autorisation « d’urgence » du pseudovaccin en ce 14 février 22.





Comment début 2022 un pneumologue peut-il adhérer totalement à la doxa ? Être pour toutes les mesures sanitaires, pour la vaccination obligatoire, la dictature, etc.

Par Alain Tortosa

J’écris « un » parce que c’est un exemple vécu, mais il est évident que je pourrais écrire « la quasi intégralité des pneumologues ».

Ceci est d’autant plus perturbant que de l’autre côté de l’échiquier des médecins, tout aussi diplômés et respectables, ont fait le choix de dénoncer toutes ces mesures, aussi bien leur inefficacité que leur dangerosité.

Alors pour en revenir à mon exemple, comment un médecin (a priori) intelligent, extrêmement impliqué dans le devenir de ses patients et avec vingt ans de pratique, peut en arriver à ne pas douter et basculer dans un extrémisme qui touche au religieux ?

Ce n’est pas le cas de celui-ci, mais dorénavant des « médecins » de ville affichent qu’ils refusent de prendre en charge des malades non vaccinés ; c’est dire le degré de folie.

« Interdit aux lépreux ! »

Le consentement libre et éclairé qui est inscrit dans la loi, pierre angulaire de la médecine, n’est plus.

Je précise que toute la suite de mon texte relève de données officielles, d’études publiées dans des revues scientifiques ou par l’OMS et que d’aucuns peuvent qualifier de « complotistes » pour se disculper de leur devoir d’information et de recherche.

Mon pneumologue que je vais nommer Jean-Michel pour des raisons de facilité d’écriture considère que le gouvernement est bien « gentil » et plutôt laxiste en permettant aux non-vaccinés d’aller à l’hôpital.

En revanche, il n’a aucun état d’âme pour prendre en charge des fumeurs chroniques qui peuvent saturer les réanimations.

Médecin qui approuve les interdictions de fumer dans les lieux publics et peste contre le tabagisme passif qui peut nuire à autrui.

Jean-Michel impose donc le masque là aussi sans état d’âme et avec conviction…

Il faut qu’il soit mis et même « bien mis » par sa clientèle y compris des enfants…

Rien à redire suite à l’obligation faite aux enfants de le porter à l’école 10 heures par jour ou plus…

Nous sommes de toute évidence dans une gestion de crise, en temps de guerre, et il existe des priorités !

Je vous rappelle que Jean-Michel est pneumologue, qu’il traite des patients qui ont des problèmes respiratoires…

Vous avez essayé de porter un masque avec une pneumonie ? Moi oui, pendant quelques secondes !

La capacité de l’humain à débrancher son cerveau est quand même remarquable…

(Au point que les extraterrestres ont dû classer notre planète dans la catégorie à protéger, tant nous devons être uniques dans l’Univers)

Attendez :

  • Jean-Michel porte un masque « efficace »… Comme « le masque protège les autres, mais pas soi » (il va m’en falloir des cours de rattrapage)… il ne peut donc nous reprocher de faire courir un risque aux autres patients, Jean-Michel portant le sien.
  • Jean-Michel aère bien évidemment son cabinet entre chaque patient en prenant soin de ne pas être sur le chemin du courant d’air entre la table d’auscultation et la fenêtre… à moins qu’il ne se baisse quand il ouvre la fenêtre pour éviter les virus qui ont soif de liberté.
  • Jean-Michel utilise du gel hydroalcoolique « efficace » au point qu’il a installé une citerne de 10 000 litres à l’arrière du cabinet.
  • Jean-Michel est bien entendu triplement vacciné d’un vaccin « efficace » et attend sa quatrième dose « efficace ».

Et vous voudriez me faire croire qu’imposer un masque à ses patients améliorerait la sécurité de tout un chacun ?!

Je ne sais pas vous, mais à ce stade je ne vois plus que l’autopsie du cerveau de Jean-Michel pour comprendre…

Ah pardon, la seule erreur de Jean-Michel est d’ausculter ses patients, ce qui pour le coup est totalement irresponsable.

De nombreux praticiens sont passés à la consultation à distance, ce qui me semble beaucoup plus raisonnable et au moins autant efficace et humain…

Alors, hormis cette erreur, comment Jean-Michel a-t-il pu basculer dans ce monde délirant ?

Il est non seulement persuadé de vivre dans les tranchées de Verdun depuis deux ans, mais aussi persuadé que les mesures et les solutions actuelles ne sont pas à remettre en question.

Il ne doute pas, comme mon frère qui faisait son service militaire à Berlin dans les années quatre-vingt, qui était intimement convaincu de l’attaque imminente des Soviétiques.

Jean-Michel semble avoir des certitudes et il serait totalement vain de chercher à discuter avec lui.

Il ne verrait que folie et délire dans mes propos irresponsables.

Pourquoi un médecin totalement impliqué dans son métier ne dispose-t-il pas des informations publiques dont moi, simple quidam (ce que certains covidistes ne manquent pas de me reprocher), j’ai connaissance ?

Comment peut-il ne pas douter ?

Comment peut-il ne pas se faire sa propre opinion ?

Comment peut-il ne pas se questionner ?

Et comment en arrive-t-il à piétiner des années d’expérience et de déontologie ?

Vous et moi avons la réponse… c’est la peur et l’inconnu !

Depuis deux ans, des médecins qui côtoyaient des patients hautement contagieux avec pas ou peu de protections, ont désormais peur de mourir ou peur de tuer leurs patients…

Je ne suis plus tout jeune et je peux vous dire que hormis dans des hôpitaux pour des chirurgiens ou des infirmières de bloc (j’ai écrit chirurgien et infirmière afin de faire rager les woke), je n’ai jamais vu de personnels médicaux masqués ou habillés en cosmonaute…

Une amie complotiste hospitalisée m’a rapporté à ce propos que pour ses soins standards l’infirmière ne portait qu’un masque, mais que pour son test PCR, la même infirmière s’était habillée en cosmonaute… pour ensuite reprendre une tenue normale.

C’est dire à quel point nous devons rester humbles, de toute évidence, seuls les esprits supérieurs peuvent comprendre.

Alors…

Comment un pneumologue qui exerçait sans masque (sauf exception) peut-il en arriver à contrarier la respiration déjà laborieuse de ses patients en les forçant à porter un masque ou en induisant une peur telle que le masque devient préférable à l’odieux virus ?

Comment fait-il pour croire en l’efficacité de ce dispositif, alors même que les études antérieures à la crise avaient non seulement démontré la dangerosité du produit, mais aussi sa totale inefficacité en population générale ?

(cf 7milliards.fr).

Comment a-t-il pu adhérer à l’interdiction de soin ?

Comment a-t-il pu ne pas se révolter suite à l’interdiction d’usage de molécules de plus de 40 ans et sans effets secondaires graves connus, quand bien même elles fussent inefficaces ?

Comment a-t-il pu accepter la consigne de donner uniquement du paracétamol, molécule notoirement connue pour ses effets indésirables sur les défenses immunitaires ?

Comment a-t-il pu adhérer au « restez chez vous et allez aux urgences si votre situation se dégrade » ?

Comment a-t-il pu adhérer au confinement d’une population générale dans laquelle le virus circulait déjà ?

Ici encore toutes les études des temps anciens avaient démontré l’inefficacité et les effets pervers.

Comment a-t-il pu adhérer au mythe des patients asymptomatiques, positifs à un PCR foireux et déclarés « malades » et dangereux pour autrui ?

Comment a-t-il pu jeter aux oubliettes le réseau Sentinelles, qu’il utilisait tous les ans pour connaître l’évolution des épidémies en France ?

Comment a-t-il pu ignorer que le réseau n’a JAMAIS détecté une épidémie de Covid (seuil épidémique jamais atteint) ?

Comment a-t-il pu ignorer que les données Santé Publique France sont totalement bidons, que le nombre de patients hospitalisés, en soins critiques, ou décédés du Covid comprenait les patients malades du Covid, mais surtout les personnes positives à un test PCR ?

Le covidiste a du mal à vous croire quand vous lui dites qu’un accidenté de la route positif au Covid rentre dans les statistiques des hospitalisations Covid.

Et je ne parle pas du taux de personnes en réa qui est simplement un faux grossier… Il n’y a jamais eu de saturation des lits des soins critiques à l’échelle nationale.

Concernant les injections…

Comment pouvait-il croire que le « vaccin » pourrait être un espoir alors même qu’il ne ciblait QUE la protéine spike d’un virus ARN dont le métier est de muter sans arrêt ?

Comment peut-il croire qu’il présente un rapport bénéfice vs risque positif pour une population qui sur le plan statistique risque plus de mourir de foudroiement ?

Comment peut-il être convaincu d’un bénéfice vs risque positif alors que c’est une thérapie ARNm expérimentale ?

Comment peut-il ignorer les effets secondaires graves officiellement répertoriés alors même que les études prouvent que le taux de remonté est marginal ?

Comment peut-il approuver la vaccination des enfants, des femmes enceintes en l’absence totale d’études alors même que deux ans avant il hésitait à prescrire de l’aspirine à cette même population ?

Et comment, alors que l’on sait sans le moindre doute que le « vaccin » n’empêche ni de tomber malade ni les contaminations, peut-il être un ayatollah de la vaccination y compris pour une population jeune et en bonne santé ? (Il n’y a qu’à regarder la courbe des contaminations.)

Comment peut-il continuer à ne voir d’issue que dans le « vaccin » alors même que l’explosion du nombre de cas dans les pays hautement vaccinés prouve la totale inefficacité du produit pour contenir l’épidémie ?

Je vous rappelle que le « vaccin » devait éradiquer le virus, mais ça aussi, c’est oublié.

Comment ignore-t-il que son « vaccin » dont il ne reste plus officiellement que le « il protège des formes graves » ne présente aucun intérêt pour des populations qui ne font pas de formes graves ?

Comment ignore-t-il que l’immunité naturelle suite à une infection est plus solide que ces pseudos-vaccins ?

Comment ignore-t-il son inefficacité pour les personnes immunodéprimées en fin de vie, la seule population qui en aurait besoin et qui décède avec le virus ?

À noter qu’il n’existe aucune étude prouvant que la mortalité finale est diminuée dans les populations à risque…

Nous avons vacciné des milliards d’individus sans évaluer l’efficacité de la mesure !

Alors, comment expliquer ce côté dramatique ?…

A-t-il une surmortalité dans sa patientèle ?

C’est possible (ou pas), mais est-ce le virus qui est en cause ou l’interdiction de consulter en cancérologie, les retards de prise en charge, le confinement, le Rivotril, la peur induite jour après jour et les interdictions de soin ?

A-t-il été le témoin vivant des dégâts engendrés par ce virus (que n’a pas vu Sentinelles) ou a-t-il vécu le drame par procuration ?

Aurait-il été conscient de cette terrible « épidémie » si BFM ne lui en avait pas parlé ou a-t-il modifié sa pratique pour coller au fléau rapporté par la propagande ?

A-t-il subi ou induit une surmortalité si tel est le cas ?

Et s’il n’a pas eu à supporter une surmortalité est-ce dû à toutes ses actions « héroïques », à tous ses protocoles ou ceux-ci relèvent-ils de la patte de lapin ?

… Je serais curieux d’avoir les réponses.

Comment a-t-il piétiné sa déontologie ?

Comment a-t-il oublié sa loi, que le patient passait avant la collectivité et qu’il devait avoir un bénéfice personnel au soin préconisé ?

Comment en arrive-t-il à approuver l’apartheid et même l’interdiction d’accès aux soins pour les non-vaccinés ?

Comment un médecin que l’on pouvait qualifier (à tort ? Je ne crois pas.) de « bon » médecin a-t-il désormais exactement le même discours extrémiste que BFM TV ?

Sa formation ?

Je ne le crois pas… autant pour des médecins formés récemment j’entends qu’on leur apprend à ne pas penser, à ne faire qu’appliquer des protocoles… mais pas pour des médecins qui ont commencé leurs études il y a plusieurs dizaines d’années et qui ont un vécu.

Et ce n’est pas uniquement les médecins abonnés au Quotidien du Médecin, vitrine de l’industrie pharmaceutique qui sont victimes de cette amnésie délirante.

Des médecins abonnés à la revue Prescrire (qui elle aussi a disparu), revue vivant sans publicité, ont aussi basculé…

Quel début d’explication ?

En premier lieu, les médecins sont aussi des humains et ils ont aussi bouffé du BFM, du Monde ou du Libération toute la journée…

La peur rend fou, nous en avons la preuve quand des personnels soignants en arrivent à se protéger avec des sacs poubelles totalement inefficaces.

Ils sont alors guidés par l’irrationnel comme un médecin qui en arrive à refuser un patient non-vacciné.

Ce n’est plus de la science, c’est du moyen-âge, c’est de la lutte contre des esprits malins.

Est-ce le fait que l’OMS, les autorités de santé, les politiques, les revues médicales ont TOUTES tenu le même discours, ce qui aurait suffi à les faire basculer dans une foi dénuée de science ?

Ceci associé à une chasse aux sorcières pour faire taire toutes les voix dissidentes pouvant faire croire à un consensus…

Il n’existe plus de discours critiques, mais uniquement des « complotistes antisémites ».

Pour autant aussi bien moi que vous lisant ce texte ne sommes pas tombés dans ce délire…

(J’hypothèse qu’aucun Jean-Michel ou covidiste ne lira ce texte).

Concernant le « vaccin », tout le monde peut savoir qu’il a été approuvé sur les seules études publiées par le « gentil fabricant qui œuvre pour le bien de l’humanité ».

Tout le monde peut savoir que ces industriels ont été condamnés par le passé à des milliards de dollars d’amende pour publicité mensongère, tromperie ou corruption de médecins, de politiques, de journalistes…

Quiconque étudie les données de commercialisation verra que les patients vaccinés faisaient moins de formes graves que les non-vaccinés, mais qu’au final il y avait plus de morts dans la population vaccinée, ce qui ne peut s’expliquer que par les effets secondaires.

Et le fait que l’on injecte des millions de personnes avec un « vaccin » conçu pour une souche qui n’existe plus depuis des mois (années) n’interroge pas !

Je ne pense pas que Jean-Michel et les autres utilisaient le vaccin contre la grippe d’il y a 2 ans pour protéger leurs patients…

Mais tout ça, c’était avant, c’était le monde d’avant, la science d’avant, les valeurs d’avant… avant le FLEAU !

Et bien ni Jean-Michel ni les autres n’ont eu cette curiosité ou ne se sont posé ces questions, y compris les lecteurs assidus de Prescrire !

Pourquoi ?

Je ne vois que la peur et la sidération…

Une campagne médiatique mondiale a été organisée avec la complicité des Ferguson et leurs prédictions bidons auquel il ne croit pas lui-même (il ne respectait pas le confinement), l’OMS et toutes les autorités sanitaires.

Nous les « résistants » avons peut-être eu un peu peur au début, mais pas au point de basculer dans la panique, l’irrationnel ou la sidération…

Peut-être sommes-nous plus terre à terre, plus St Thomas.

Cela me fait penser à « La guerre des mondes », l’émission de Radio diffusée en 1938 qui annonçait une invasion extraterrestre et qui aurait entraîné la panique des auditeurs.

Personnellement je n’ai pas vu de cadavres dans la rue et je n’ai pas connu ni ouï dire qu’une personne jeune ou en bonne santé était décédée de cet odieux virus, et ce en deux ans de Covid.

Nous n’avons pas vécu une épidémie différente de la grippe.

Pour nous simples mortels, cette épidémie n’est que médiatique.

Il y a ceux qui ont cru le scénario et ceux comme nous qui ont douté…

Ça veut probablement dire que le schéma de la peur, de l’inconnu, de la perte de repères et la plongée dans une incertitude s’est déclenché chez eux avant que le scénario du doute et du besoin de compréhension ne se mette en branle…

Il a aussi bien sur les benêts, les moutons qui ne se posent jamais de questions et qui obéissent, point.

Les naïfs, les honnêtes gens qui ne pensent pas que le Mal puisse exister et qui croient que l’histoire ne se répète pas.

Les sceptiques qui croient plus en la bêtise humaine qu’à un plan machiavélique.

Il y a donc des médecins qui entrent dans ces catégories.

Mais concernant Jean-Michel, il y a probablement la conjonction de la peur et de la naïveté « si toutes les autorités disent la même chose, c’est que c’est vrai ».

Je persiste à penser que si la peur n’était pas de la partie cette bascule n’aurait pas eu lieu au point de balayer des années d’expérience, de bon sens et de déontologie.

Je radote, mais merde ! « Comment un pneumologue peut-il masquer ses patients ? »

Demeure aussi le fait que la remise en question est difficile pour l’humain.

Et d’autant plus difficile que l’erreur est à ce point gigantesque et dans la durée…

Après trois doses, avoir lavé le cerveau de ses patients pour les convaincre de s’injecter y compris les enfants, vendu du masque à outrance, du confinement, de l’absence de traitements efficaces et vendu jour après jour de la peur (très mauvaise pour les défenses immunitaires) et ce pendant deux ans…

Il n’est pas évident d’ouvrir les yeux sur cette réalité, sur sa réalité, son aveuglement, son absence de recul, sa « naïveté », mais aussi et surtout sa complicité active dans un crime contre l’humanité, l’économie des classes moyennes ou populaires et la démocratie.

La science dit que le masque, les confinements, les gestes barrières sont totalement inefficaces en population générale.

La science dit que ces injections expérimentales généralisées à l’ensemble de la population sont totalement inefficaces pour contrôler l’épidémie et diminuer la mortalité.

La science dit que ces injections sont dangereuses dans le présent et à l’avenir totalement incertain.

Mais ça, Jean-Michel ne peut le croire, il ne peut même pas se poser sérieusement la question, il ne peut pas se permettre de douter.

Merci

Alain Tortosa.

14 février 2022 https://7milliards.fr/tortosa20220214-medecin-2022-doxa.pdf




Les « contre-manifestants » de Trudeau contre le Convoi canadien. Reportages ridicules des médias

[Source : mondialisation.ca]

Par Michel Chossudovsky

Selon CTV News : « Dimanche après-midi, les contre-manifestants bloquaient toujours la rue Elgin aux véhicules en direction du nord. La police a finalement fermé la rue Elgin et la bretelle de sortie Metcalfe du Queensway en direction de l’ouest. »

La contre-offensive de Trudeau

Un « mouvement de masse » de citoyens d’Ottawa en faveur de Justin Trudeau.

Pas plus de 30 manifestants frustrés qui accusent la police d’Ottawa de  » collusion avec les terroristes « .

Et les médias applaudissent.

Elgin Street

Rapport « documenté et vérifié » de la CBC

Le mouvement de contre-manifestation « semble prendre de l’ampleur » selon la CBC :

Alors que la manifestation contre les mesures de santé publique COVID-19 en est à son troisième week-end, la résistance des résidents d’Ottawa semble s’accroître.

Les contre-manifestations ont commencé samedi, avec des centaines de personnes défilant dans le quartier du Glebe à Ottawa, et se sont poursuivies dimanche matin, lorsqu’un groupe de personnes a bloqué une intersection importante pour empêcher un certain nombre de véhicules de se joindre à la manifestation principale au centre-ville.

Le barrage improvisé a commencé à se former dimanche matin vers 9 h, lorsqu’une vingtaine de résidents se sont rendus à l’intersection de la rue Bank et de la promenade Riverside.

Ma question à Trudeau. Avez-vous l’appui du peuple canadien ?

1,4 million de résidents dans la région métropolitaine d’Ottawa-Gatineau. Selon les rapports, quelques centaines de résidents se sont présentés.

Et seulement « 20 résidents se sont rendus à l’intersection de Bank et Riverside Drive ».

Et 30 autres résidents ont bloqué Elgin à Argyle. (tel que rapporté par CTV)

Wow.

Combien de Canadiens vont voter pour Justin Trudeau ?

Une autre question pertinente. Avez-vous des appuis au sein du Caucus libéral ?

Canada – Le député libéral Joël Lighbound critique la gestion des mesures sanitaires

Plusieurs députés libéraux soutiennent le convoi de la liberté. L’Alberta et la Saskatchewan ont supprimé le « passeport-vaccinal » :

Un député du propre caucus de Justin Trudeau accuse le Premier ministre de diviser et de stigmatiser les Canadiens en politisant les mandats de vaccination et les restrictions Covid-19. (Politico)

Votre gouvernement minoritaire « marginal » est-il en voie de disparition ?

Michel Chossudovsky

Article original en anglais :

Trudeau’s “Counter-Protesters” against Canada Convoy. Ridiculous Media Reports

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2022




Jetez ces masques que je ne saurais voir ! Jetez les muselières qui ne protègent personne !

Par Gérard Delépine

Pour faire semblant de combattre le virus Omicron, le ministre de la Santé (?) vient d’annoncer, qu’après l’interdiction du pop-corn dans les cinémas, l’interdiction du casse-croûte dans le train, et l’interdiction de manger ou boire debout dans les bars, il faudra prolonger le port du masque aux enfants à partir de 6 ans dans les écoles pendant huit heures de suite et même dans la cour ou les séances de sport ! Aberration et torture prolongée des enfants !

Mais comment peut-on être aussi peu scientifique et aussi tyrannique ?

Cette mesure ne peut avoir aucun impact positif sur la transmission du Covid.

Ses conséquences délétères sur la santé physique et psychique sont connues.

Ignorance crasse ? Sadisme ordinaire ? Dans l’Histoire, le massacre des innocents n’a été utile qu’à la satisfaction des sadiques.

Quelques déclarations de l’OMS

En juin 2020, le Dr Mike Ryan, directeur exécutif du programme d’urgence sanitaire de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a déconseillé le port d’un masque facial en mars, précisant :

« Il n’y a aucune preuve spécifique suggérant que le port de masques par la population aurait un avantage potentiel.

Il existe des preuves suggérant le contraire dans l’utilisation abusive du port du masque, ou de son l’ajustement incorrect ».(([1] https://twitter.com/WHO/status/1244639057398902785))

La Dr Maria Van Kerkhove de l’OMS, a recommandé :

« Dans la communauté, nous ne recommandons pas le port de masques sauf si vous êtes malade et comme mesure pour empêcher la propagation de votre part ».(([2] https://www.cnn.com/2020/03/30/world/coronavirus-who-masks-recommendation-trnd/index.html))

« les essais randomisés ne suggèrent pas un effet bénéfique des masques faciaux »

« Pour les personnes en bonne santé, l’obligation du port du masque est peu susceptible d’arrêter la propagation… ».(([3] https://www.businessinsider.com/who-no-need-for-healthy-people-to-wear-face-masks-2020-4))

En dehors du milieu médical exposé, le masque ne sert à rien.(([4] Pour protéger les malades des germes que pourraient leur passer les soignants et non pour les virus qui ne sont pas stoppés par toutes les sortes de masques.))

Au 12/2/2022, la consultation de la base de données médicales américaines PubMed liste 2448 articles répondant aux mots clefs « facial Mask covid ». Parmi ces 2448 articles, aucun ne rapporte d’étude randomisée prouvant que le port généralisé du masque diminue le risque de transmission du covid19.(([5] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19216002/))(([6] https://www.cambridge.org/core/journals/epidemiology-and-infection/article/face-masks-to-prevent-transmission-of-influenza-virus-a-systematic-review))(([7] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1111/j.1750-2659.2011.00307.x))(([8] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2749214))(([9] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1111/jebm.12381))(([10] https://www.qeios.com/read/1SC5L4))

Les articles qui prônent l’obligation du masque ne rapportent aucune étude réelle du port du masque par la population générale, mais des simulations reposant sur des hypothèses très incertaines.(([11] halte aux prophètes ! Analysons les faits, stoppons la Peur — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Ils se basent sur des expériences de laboratoires mesurant les charges virales autour de malades et les propriétés de filtration des différents types de masques suggérant que le masque pourrait diminuer le risque de contaminations. Leurs conclusions prudemment exprimées au conditionnel sont ensuite reprises à l’affirmatif par les médias et utilisées par les dirigeants à l’appui de leurs décisions tyranniques.

L’utilisation de masques par les malades contagieux qui toussent et par le personnel médical qui les traite est logique, mais même dans ces situations particulières son efficacité réelle n’a pas été établie scientifiquement, singulièrement contre les virus.

La seule étude randomisée (Danmask 19)(([12] Bundgaard H et al. Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers: A Randomized Clinical Trial. Annals of Internal Medicine 2020)) publiée conclut :

« La recommandation de porter des masques chirurgicaux pour compléter d’autres mesures de santé publique n’a pas réduit le taux d’infection par le SRAS-CoV-2 chez les porteurs ».

L’examen des courbes de contaminations dans les pays qui se masquent montre d’ailleurs que cette mesure n’a aucun effet visible d’atténuation de l’épidémie. Bien au contraire. Ainsi en France le nombre de contaminations journalières n’a jamais été aussi élevé que lorsque le masque a été rendu obligatoire.

La comparaison des contaminations journalières en France masquée et en Suède non masquée confirme l’inutilité de l’obligation des masques.

Alors pourquoi nos dirigeants imposent-ils cette mesure dont l’utilité n’a jamais été prouvée scientifiquement ?

Le masque est une muselière

En réalité les obligations de porter des masques n’ont jamais eu pour but de contrôler le virus — elles ont toujours eu pour but de contrôler les gens.(([13] Les mystères du masque, entre déraison, soumission, panique et contagion (francesoir.fr) juin 2020))

Le masque constitue un signe de servitude, comme jadis dans l’Empire romain, le collier que portaient les esclaves (mais au moins les colliers d’esclaves ne gênaient pas leur respiration).

L’obligation du masque est encore plus aberrante et scandaleuse chez l’enfant

Le port du masque, inefficace chez l’adulte, est doublement injustifié chez l’enfant, car celui-ci ne craint rien du covid et ne transmet pas la maladie.

Le seul protocole sanitaire réellement justifié à l’école serait la suppression de toutes ces mesures inutiles et toxiques et de demander aux enfants et adultes malades de rester à domicile jusqu’à la fin de la période de possible contagion.(([14] Comme on l’a toujours fait en cas de grippe ou d’autre maladie contagieuse.))

En Suède les écoles sont restées ouvertes sans mesures contraignantes et aucune conséquence nocive sur les contaminations dans la population n’a été observée.(([15] Vlachos J, Hertegård E, B Svaleryd H. The effects of school closures on SARS-CoV-2 among parents and teachers. Proc Natl Acad Sci U S A. 2021 Mar 2;118(9):e2020834118. doi : 10.1073/pnas.2020834118. PMID : 33574041 ; PMCID : PMC7936333.))(([16] School closures and SARS-CoV-2. Evidence from Sweden’s partial school closure
Jonas Vlachos, Edvin Hertegård, Helena Svaleryd medRxiv 2020.10.13.20211359; doi: https://doi.org/10.1101/2020.10.13.20211359 Proceedings of the National Academy of Sciences doi: 10.1073/pnas.2020834118))(([17] Jonas F. Ludvigsson, MD, Ph.D. Karolinska Institute, Stockholm, Suède Écoles ouvertes, Covid-19 et morbidité des enfants et des enseignants en Suède N Engl J Med 2021 ; 384 : 669-671 DOI : 10.1056/NEJMc2026670))

Les protocoles sanitaires imposés aux enfants français ne constituent donc que des brimades inutiles, sauf pour leur enseigner la soumission.

Le port prolongé du masque est nocif

Il s’accompagne d’une moindre hygiène des mains et d’un contact plus fréquent de celles-ci avec le visage créant ainsi une nouvelle voie de transmission possible en plus d’autres effets insupportables.

Maux de tête

Une étude randomisée japonaise de 2009 conclut :

« Les sujets masqués étaient significativement plus susceptibles de souffrir de maux de tête pendant la période d’étude ».

Un article de 2014(([18] https://medcraveonline.com/JLPRR/effects-of-long-duration-wearing-of-n95-respirator-and-surgical-facemask-a-pilot-study.html)) rapporte qu’environ un tiers des travailleurs avait des maux de tête avec le masque, la plupart avaient des maux de tête préexistants qui étaient amplifiés et 60 % avaient besoin d’analgésiques pour les soulager.

En mai 2020, une étude(([19] https://bmcpublichealth.biomedcentral.com/articles/10.1186/1471-2458-12-106))(([20] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32232837/)) a observé que 81 % des soignants qui portaient un masque développaient des maux de tête, certains avaient des maux de tête préexistants qui étaient aggravés par les masques, et tous avaient l’impression que les maux de tête affectaient leur performance au travail.

Le port prolongé du masque entraîne une hypoxie

la plupart des études montre que les masques peuvent provoquer une hypoxie et une hypercapnie.

En 2008, des chercheurs ont mesuré l’effet des masques faciaux sur 53 chirurgiens à l’aide d’un oxymètre avant et à la fin des interventions. Ils ont découvert que le masque réduisait les niveaux d’oxygène dans le sang proportionnellement à la durée de port du masque.

Chaque jour ou presque, des professionnels de diverses spécialités insistent sur les inconvénients spécifiques à leur domaine. Les dentistes sont inquiets.

Le docteur François Thibault, de la Baule, rappelle que le port du masque nous fait passer en respiration buccale, perturbant notre respiration.

« le flux d’air étant insuffisant par des narines couvertes et les conséquences néfastes sont nombreuses. L’air n’est plus suffisamment réchauffé et dépoussiéré comme il doit l’être lors du passage normal dans les fosses nasales avant d’arriver aux poumons. Le sang chaud qui arrive du cerveau n’est plus refroidi au contact de cet air froid. Notre cerveau surchauffe et fatigue. »

« Nous nous auto-intoxiquons par le gaz carbonique que nous rejetons dans le masque. L’hypercapnie, terme scientifique qui désigne une trop forte concentration de CO2 dans le sang, constitue un vrai risque pour le cerveau qui consomme à lui seul 20 % de l’oxygène total qui rentre par les poumons. Les conséquences peuvent aussi conduire à une dépression du système nerveux central, une élévation de la fréquence cardiaque, des sautes d’humeur et de fatigue, des nausées, des vomissements, jusqu’à la perte de conscience ».

« Il est important de respecter au moins 2 pauses par jour de 10 minutes en extérieur, dit-il. La pause est plus facile pour les adultes qui peuvent sortir quelques minutes, voire faire une pause cigarette. Les petits sont à la merci de leurs enseignants souvent terrorisés victimes de la propagande des médias et de leurs syndicats ».

« Par la respiration buccale, nous asséchons notre bouche et raréfions la salive protectrice des dents et des muqueuses ».

Les ophtalmologistes observent des conjonctivites rebelles à tout traitement chez les porteurs de lunettes. L’air inspiré peut-être chargé de microscopiques fibres constituantes des masques dont le marquage « CE » ne garantit pas complètement l’innocuité et qui viennent coloniser les alvéoles pulmonaires, portes ouvertes aux futurs problèmes respiratoires graves.

Le dentiste alerte sur les « néfastes conséquences du port du masque dont on mesurera peut-être les conséquences dans quelques années, comme on l’a fait trop tard pour l’amiante ».

Les orthophonistes insistent aussi sur le rôle physiologique de la respiration nasale interdite par le masque.

« La respiration buccale pose de nombreux problèmes : abolition du rôle du nez dans le filtrage des virus et bactéries, sécheresse buccale, halitose (mauvaises odeurs) et caries, dysharmonie du développement de la mâchoire et du visage.

La respiration buccale court-circuite le rôle de filtrage préventif du nez. »

Mais de plus :

« la respiration buccale a un retentissement sur la croissance de la sphère faciale. Lorsque la respiration est nasale (normale), la langue modèle l’arcade supérieure en y prenant une grande place. C’est ce qui permet une croissance harmonieuse de la face (palais large, dents alignées). Lorsque la respiration est buccale, la langue est positionnée sur le plancher de la bouche, elle ne joue pas son rôle d’expansion de l’arcade supérieure. Le palais reste étroit, les dents avancent, le visage grandit en longueur, les os et les muscles de la face se développent de façon disharmonieuse(([21] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20129889/)). La sécheresse buccale entraîne une déshydratation des cordes vocales provoquant des hemmages (raclement de la gorge) et des tensions, crispation des muscles des organes phonateurs qui, à long terme, peuvent créer des nodules, voire des polypes et par conséquent une dysphonie. La désorganisation du mécanisme respiratoire peut entraîner un essoufflement et des forçages vocaux(([22] http://chinois.discipline.ac-lille.fr/quoi-de-neuf/revue-de-presse/2020-11-mgen_livret_voixmasque_novembre2020-1)) débouchant également sur des dysphonies ».

« Le port du masque impacte de manière non négligeable les apprentissages du langage, de la lecture, la construction des émotions, les comportements des enfants mais aussi la vue ou encore le développement des fonctions oro-myo-faciales ».

Pour l’environnement, l’obligation généralisée du port du masque est une catastrophe créant chaque année en France près de 50 000 tonnes de déchets non recyclables potentiellement contaminés.(([23] Virus, champignons, bactéries))

Il ressort de cette revue de la littérature qu’il n’y a pas de preuves que le port d’un masque de quelque nature que ce soit ait un impact significatif sur la prévention de la propagation du virus. 

Au contraire, il existe de nombreuses preuves que le port continu d’un masque facial peut provoquer des maux de tête, une hypercapnie et une hypoxie et peut rendre l’infection beaucoup plus grave.

Le devoir du médecin

En plus de protéger la santé de leurs patients, les médecins doivent également fonder leurs actions sur la Déclaration de Genève de 1948, révisée en 2017 selon laquelle, chaque médecin s’engage à mettre la santé et la dignité de son patient au premier plan et, même sous la menace, de ne pas utiliser ses connaissances médicales pour violer les droits de l’homme et les libertés civiles.

Dans le cadre de ces constatations, nous propageons donc une action explicitement médicale, tenant compte de la réalité factuelle scientifique contre la prétendue efficacité générale des masques, et des effets individuels indésirables pour les porteurs de masque.

Si vous n’êtes pas malade, ni au contact direct prolongé de malades, jetez votre muselière qui ne constitue qu’un instrument d’apprentissage à la soumission comme étudie le dernier livre de Roland Gori, « la fabrique de nos servitudes ».(([24] Editions Les liens qui libèrent))





Laurent Mucchielli décrit l’état du monde à partir de la crise Covid

[Source : AIMSIB]

J’ai également beaucoup apprécié le combat de Laurent Mucchielli et son livre en est le reflet que beaucoup auront intérêt à lire pour mieux comprendre ce qui s’est passé depuis deux ans
Merci à lui de son effort de synthèse dans son livre « la doxa du covid »

Nicole Delépine

Il fallait s’y attendre, quand un immense sociologue formé à l’histoire, de surcroît parfaitement imperméable aux pressions extérieures, décide de publier un ouvrage sur la crise de la Covid-19, les révélations et les mises en accusations pleuvent dru. Toutes y sont disséquées, démontrées, évidemment parfaitement sourcées. On plaint presque tous ceux qui apparaissent au fil du livre, car on comprend que quand la justice se penchera enfin sur leurs implications diverses et variées, leurs projets d’avenir s’en verront radicalement modifiés. (…)

Ins Montagnier

Vincent RELIQUET (V.R.) – Cher Laurent, il faut d’abord te présenter à notre public bien que probablement ce préalable ne soit plus d’une très grande utilité aujourd’hui. Tu es chercheur au CNRS depuis 1997, médaillé par lui, élevé au grade de directeur de recherche en 2006, tu as participé à la réalisation d’une foule énorme d’ouvrages et d’articles (*). Depuis le début de la crise sanitaire, tu as publié toute une enquête sur ton blog chez Mediapart mais hélas ta liberté de parole, qu’on aurait attendu comme plutôt encouragée sur ce type de site, t’a valu de découvrir la censure en août 2021, poussé par un collectif de « bien-pensants » qui souhaitait laisser toute la place au récitatif covid officiel. Tu leur as pardonné depuis ?

Laurent MUCCHIELLI (L.M.) – Non, j’estime que ce que fait Mediapart depuis le début de cette crise est impardonnable. Je peux évidemment comprendre toutes les personnes qui doutent et qui hésitent, ou encore celles qui ont suivi le discours officiel au début mais le regrettent aujourd’hui. J’en connais beaucoup, y compris dans mon entourage. Nous avons tous été victimes d’une propagande industrielle et politique massive. Mais je ne peux pas oublier celles et ceux qui ont joué un rôle aussi actif et nocif dans le débat public que Mediapart. La chasse à l’homme qu’ils ont décidé d’orchestrer (avec d’autres journalistes parisiens, au Monde, à Libération, à l’Express, à Marianne notamment) au détriment de Didier Raoult est une faute à la fois intellectuelle et morale car, derrière le personnage qui a évidemment ses qualités comme ses défauts, des questions majeures de stratégie sanitaire étaient en jeu. Questions qu’ils ont fortement contribué à rendre invisibles et incompréhensibles en concentrant l’attention sur une seule personne, déchaînant contre elle cette espèce de cancel culture qui a envahi les réseaux sociaux et où tous les coups sont permis dans le but de tuer symboliquement les personnes. Et ils ont fait le même coup à d’autres comme le Dr Louis Fouché. Loin d’aider à réfléchir collectivement et d’apporter du débat contradictoire, ils ont parfaitement servi la propagande industrielle et politique du moment. Ceci s’est illustré jusqu’à la caricature vis-à-vis des nouvelles thérapies géniques improprement appelées « vaccins ». Leur positionnement pro-vax (pour reprendre ces raccourcis ordinaires du débat public) est confondant de simplisme et de naïveté. Ils ont ainsi joué un rôle important dans le naufrage de la gauche politique durant cette crise. Pire encore, ils ont joué un rôle dans la dérive autoritariste d’un gouvernement qui n’a trouvé aucun contre-pouvoir capable de lui rappeler les limites à ne pas franchir.

Leur attitude à mon égard participe de cet ensemble. Pour faire court, en transformant mon blog en une sorte de mini-revue en ligne où j’ai publié près de 70 articles et 46 auteurs (universitaires et/ou médecins pour la plupart), je leur amenais une véritable contre-enquête, un véritable débat contradictoire et accessoirement des lecteurs. Ils auraient pu s’en réjouir, nous aurions même pu travailler en collaboration plus étroite. J’ai tenté à plusieurs reprises de dialoguer en écrivant à Edwy Plenel, à Fabrice Arfi ainsi qu’à la rédaction de la partie blog du journal. Je n’ai reçu en retour qu’un grand silence méprisant. Eux qui prétendent défendre la liberté d’expression, valoriser les lanceurs d’alerte et faire alliance avec les intellectuels critiques, ont pourtant fait exactement le contraire. Ils m’ont d’abord invisibilisé le plus possible sur leur propre site (via des procédés de shadow-banning), et finalement ils m’ont censuré à quatre reprises. Et pas simplement moi mais aussi les universitaires et les médecins que je publiais, nous traitant de complotistes et de propagateurs de « fake news », en chœur avec des lobbies liés aux industries pharmaceutiques, se réclamant de la « vraie science » et qui sont spécialisés dans le harcèlement en ligne, l’attaque ad hominem et la dénonciation calomnieuse. On a connu mieux que ce parti-pris superficiel digne d’une chaîne d’information en continu. Edwy Plenel se vante d’avoir sorti l’affaire Cahuzac, il devrait se souvenir que cette affaire était aussi celle de mallettes qui transitaient entre la Suisse et Paris, ayant pour origine un grand industriel de la pharmacie qui est devenu milliardaire grâce à la gestion calamiteuse de cette épidémie.

Se faisant, Mediapart s’est mis au même niveau que tous ces petits sites de prétendu « fact-checking » que l’on voit fleurir sur Internet et qui permettent à quelques influenceurs à la mode de propager leur médiocrité intellectuelle dans le débat public. Je pense à « Fact and furious » créé par un ancien militaire (Antoine Daoust) qui se fait manifestement un devoir de protéger le gouvernement contre toute critique de sa politique de santé. Je pense à « Conspiracy watch », dont le fondateur (Rudy Reichstadt) est un proche des milieux de pensée extrême-droitisant, dont on se souvient de la façon dont, après un sondage de l’IFOP, il se moquait des « pauvres gens » qui pouvaient penser que le virus avait pour origine un accident de laboratoire à Wuhan. Ce ridicule ne l’empêche pas d’être invité jusque sur les plateaux de télévision du service public, à la place des chercheurs qui ont de véritables compétences sur ce sujet. Je pense encore à « La Tronche en biais », alias Thomas Durand, un influenceur qui utilise YouTube et des outils de « co-financement » anonymes comme Tipeee pour faire commerce de la propagande, qui est aussi accueilli comme rédacteur par le magazine de l’Association Française pour l’Information Scientifique (AFIS), un lobby aux positions pro-OGM, pro-glyphosate, pro-big-pharma, pro-nucléaire et j’en passe, tout en se permettant de se proclamer « indépendant » (quelle farce !).

Alors oui, c’est bien un naufrage pour Mediapart, et cela m’attriste beaucoup car j’étais un soutien et un abonné de la première heure, qui donc s’en ira désormais proposer ailleurs son travail de chercheur désintéressé et d’intellectuel engagé.

V.R. – Quand on veut savoir « à qui on a affaire » aujourd’hui s’agissant d’un personnage public, c’est très simple : on regarde d’abord ce qui s’écrit d’officiel sur le web et en général on est vite renseigné sur la façon dont l’establishment le considère. Par exemple ta page Wikipédia [1] nous fait comprendre immédiatement que tu sens depuis peu franchement le souffre, regarde :

Wikipedia, capt. écran

Tu as suscité « une guerre d’édition » ! Espérons que tu ne vas pas faire sauter le serveur de leur site et quelques lignes plus loin la catastrophe se confirme : tu serais l’auteur de « propos controversés et propagateur de fausses nouvelles sur la dangerosité du virus…/… participant à la désinformation sur la pandémie de la Covid-19 ». On pourrait pleurer de tristesse devant tant d’imbéciles accusations, dont la puérilité et l’absence de fond démontre toute la nullité partisane de tes détracteurs chez Wikipedia. Sérieusement, de tels écrits t’ont-ils blessé voire gênés dans l’exercice de ton travail quotidien de chercheur ?

L.M – Tu connais le dicton sur la bave du crapaud et la blanche colombe… Non, sincèrement, je ne suis pas atteint par le torrent d’imbécilités plus ou moins malveillantes qu’on peut trouver sur Internet aujourd’hui me concernant. Cela ne fait que confirmer et exemplifier mon analyse du fonctionnement du débat public. L’un des volets de mon enquête consiste précisément à essayer de comprendre comment un ensemble d’acteurs (parmi lesquels la plupart des journalistes) se sont de facto associés pour organiser la clôture du débat public, l’érection de frontières entre ce qu’il est permis ou non de penser et de dire, contribuant massivement à imposer comme seule légitime la narration globale que j’appelle la Doxa du Covid. Quant à Wikipedia, chacun comprend désormais que cette entreprise collective au départ pleine de promesses démocratiques (comme Internet et les réseaux sociaux de manière générale) et animée par des bénévoles enthousiastes, est devenue le lieu d’une lutte d’influence où les trolls et les lobbyistes se déchainent pour imposer la vision du monde découlant de leurs intérêts politiques ou commerciaux. C’est triste là encore, mais c’est la réalité. Tous les chercheurs et tous les enseignants doivent en tirer les leçons et expliquer notamment aux jeunes qu’ils ne doivent pas manipuler ce site naïvement. Wikipedia n’est pas une « encyclopédie en ligne » où l’on pourrait se faire une connaissance minimale de l’état des savoirs sur n’importe quelle question. Beaucoup de contenus sont utilement informatifs mais ils perdent toute neutralité dès que les questions posées prennent une dimension politique ou économique. Ils deviennent alors au mieux l’expression du point de vue dominant dans le débat public d’un pays, à un moment donné de son histoire, au pire l’expression de la petite propagande des influenceurs qui ont réussi provisoirement à gagner la « guerre d’édition » dont tu parles.

V.R. – Avant d’aborder le fond de ton dernier ouvrage, je souhaiterais que tu visionnes ce sujet diffusé pendant le JT de TF1 en février 2010 par Corinne Lalo (aimsib) [2] et Etienne Bourbotte, au sujet de la grippe porcine de 2009 :https://www.youtube.com/embed/GfB–uQA4iU?controls=0

L.M. – Ce rappel est salutaire. L’espèce d’amnésie qui a frappé un peu tout le monde en février-mars 2020 est l’une des choses qui m’a le plus étonné. L’affaire de la pandémie de grippe H1N1 en 2009-2010 a en effet de nombreux points communs cruciaux avec ce que nous venons de vivre. Cela ressemble à une sorte de premier essai non transformé pour les industries pharmaceutiques, le philanthrocapitalisme de la galaxie Bill Gates et tous leurs affidés que l’on trouve dans les organisations supranationales comme l’OMS et la Commission européenne, ainsi que dans la haute administration sanitaire et parmi les politiques dans de nombreux pays du monde, à commencer bien sûr par les riches pays occidentaux. Le drame est que nous n’avons pas su tirer les leçons d’H1N1. La raison fondamentale, à mon avis, est la sous-estimation de l’ampleur et de l’efficacité des trafics d’influence et de la corruption organisée par ces industries et par ce philanthrocapitalisme. Les quelques outils de contrôle supplémentaires mis en place après 2009 ont montré leurs terribles limites. A quoi cela sert-il d’obliger les médecins à déclarer leurs liens d’intérêts avec les industries si, le moment venu, aucun d’entre eux n’a l’honnêteté d’en faire état quand il intervient dans les médias ou même dans une enceinte parlementaire ? Et si aucun journaliste n’a ni la présence d’esprit de faire trois clics sur son ordinateur pour chercher ces liens d’intérêt, ni le courage de les signifier à son interlocuteur lorsque celui-ci s’exprime publiquement sur les stratégies sanitaires à adopter ?

Voyez aussi le déni de la pharmacovigilance en matière d’effets indésirables des nouvelles thérapies géniques. Cette affaire trahit globalement un échec cuisant pour la démocratie sanitaire à laquelle beaucoup travaillent depuis des décennies. Nos instruments de contrôle de l’industrie et de protection des populations sont clairement sous-calibrés. Ils n’ont pas pesé lourd face à la déferlante de la communication biaisée de l’OMS et des gouvernements, suscitée par les puissances financières qui leur murmurent aux oreilles.
Entendons-nous bien : l’épidémie de 2020-21 est clairement plus redoutable que celle de 2009. Cela semble dû essentiellement à la contagiosité et la mutagénicité plus fortes du Sars-CoV-2 dont il est presque certain désormais qu’il est le produit accidentel d’expériences virologiques de laboratoire menées en Chine avec le soutien financier massif des Etats-Unis. Or, précisément, les corrupteurs sont allés jusqu’à tenter d’interdire même ce questionnement sur l’origine du virus, le qualifiant de « complotiste ». Et la plupart des gens sont tombés dans le panneau.

V.R. – Tu portes à notre connaissance une nouvelle proprement inouïe et qui a échappé à nombre d’entre nous : En 2020 le vrai patron de l’OMS, à savoir son financier Bill Gates, a réussi à publier un article dans le New England Journal of Medicine ! [3] On y lit qu’il veut sauver des vies, ce qui demeure pour le moins suspect quand on connaît sa position résolument « réductionniste » qu’il souhaite appliquer à la population du monde. Mais le meilleur est à venir, il écrit : « …/… Scientists sequenced the genome of the virus and developed several promising vaccine candidates in a matter of days, and the Coalition for Epidemic Preparedness Innovations is already preparing up to eight promising vaccine candidates for clinical trials .” [4] Ton avis sur l’intrusion de Gates l’informaticien dans la médecine des épidémies ?

https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762

L.M. – Pendant longtemps, j’ai vécu sur le souvenir de mes cours de fac en droit international (j’ai fait du droit avant de faire de l’histoire et de la sociologie) où l’on présentait à juste titre l’OMS comme une organisation financée par les pays occidentaux. Mais c’était à la fin des années 1980… En 2019, mon attention avait été attirée par le petit livre d’un journaliste français (Lionel Astruc, L’art de la fausse générosité. La fondation Bill et Melinda Gates, Actes Sud). Et en 2020, dès que j’ai compris que l’OMS était en train de créer une nouvelle panique mondiale, comme en 2009, j’ai commencé à chercher des informations sur les enjeux financiers sous-jacents. J’ai, entre autres, fait une chose très simple : regarder le financement de l’OMS. J’ai fait alors cette « découverte » :  Le premier financeur de l’OMS n’est plus le gouvernement américain, c’est un financeur privé : Bill GatesJ’ai poursuivi en essayant d’objectiver le réseau de fondations et d’associations philanthropiques, de partenariats et de systèmes de dons (défiscalisés bien entendu), mis en place ces vingt dernières années par celui qui fut longtemps l’homme le plus riche du monde (avant d’être détrôné par Jeff Bezos, propriétaire d’Amazon, et Elon Musk, propriétaire de Tesla). J’ai alors compris que le Sars-CoV-2 était l’occasion rêvée, l’aubaine tant attendue, de déployer le grand projet de vaccination intégrale du monde dont Bill Gates ne se cache pas, et ce depuis des années. Sa présence dans le champ des politiques mondiales de santé est devenue tellement banale que l’on peut en effet assister, médusé, à ce que je raconte page 77 de mon livre, à savoir le fait que Bill Gates peut se permettre et se voir autorisé, par une rédaction soi-disant scientifique et indépendante, à publier un article dans une des plus prestigieuses revues médicales du monde (le New England Journal of Medicine) en avril 2020. Article dans lequel on trouve un concentré de la doxa : c’est la « pandémie du siècle », le virus est hyper-dangereux même pour les gens « en bonne santé », mais tout va bien car la science va fabriquer un vaccin sûr et efficace « en quelques jours », là où il fallait des années jusque-là. On croit rêver, et pourtant ce n’est pas le cas.

La philanthropie de Bill Gates alimente la machine capitaliste

Lionel Astruc est l’auteur d’une enquête approfondie sur la Fondation Bill et Melinda Gates. Créée en 2000 par l’un des hommes les plus riches de la planète, Bill Gates, le père de Microsoft (fortune personnelle estimée à 96,5 milliards de dollars, selon le classement Forbes 2019), la Fondation Bill et Melinda Gates se donne pour missions la lutte contre la pauvreté, la protection de la santé, le renforcement de l’éducation, la promotion d’une agriculture intensive…

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V.R. –  A partir de la page 79, tu nous brosses un portrait glaçant de l’expansion financière des firmes pharmaceutiques et parallèlement tu cites Jean-Dominique Michel, un autre de nos membres d’élite, qui ne cesse jamais de dénoncer la « corruption systémique » [5] régulièrement utilisée par ces entreprises. Quelques exemples consternants sont relatés dans ton ouvrage. Sans tout révéler, peux-tu nous en dire un mot ici ?

L.M. L’essentiel tient en trois constats :
1) Le premier est celui de l’importance de ce secteur économique et financier. Avec près de 1 200 milliards de dollars américains de chiffre d’affaires en 2019, soit une multiplication par 3 depuis le début du 21ème siècle, l’industrie pharmaceutique est devenue l’un des plus grands secteurs industriels du monde et peut-être le plus rentable de tous. Les grands groupes pharmaceutiques qui se sont constitués rivalisent désormais avec l’industrie pétrolière, les groupes bancaires, les GAFAM, l’industrie du luxe, l’industrie automobile et les cigarettiers. Ils font partie de ces multinationales interconnectées par le jeu des participations croisées dans l’actionnariat, qui dominent le monde et y imposent leurs intérêts. Ils développent également les mêmes stratégies de maximisation des profits que la plupart de ces multinationales (rachats d’entreprises, licenciements dans les pays d’origine, délocalisation dans les pays pauvres, tricherie sur les prix, évasion fiscale, lobbying intense, détournement des aides publiques à leur profit, etc.). Les patrons de ces firmes sont parmi les mieux payés du monde et les dividendes qu’elles reversent à leurs actionnaires sont parmi les plus importants du monde. Ils sont donc devenus un acteur central du nouveau capitalisme financier dominant la planète.
2) Le second constat est que ces gigantesques groupes pharmaceutiques dominent non seulement le marché mondial des médicaments, mais ils influencent aussi de plus en plus la recherche médicale, au point de la contrôler en grande partie dans certains domaines. Les fameux essais cliniques (ou essais thérapeutiques) sont financés et réalisés très majoritairement par ces industriels, parfois à la demande des agences publiques comme la Food and Drug Administration aux USA ou l’Agence Européenne du Médicament. C’est dans cette mouvance politico-industrielle que s’est fixée une sorte d’ersatz de l’Evidence Based Medecine (« médecine fondée sur des preuves ») avec ces méthodes statistiques de randomisation donnant l’illusion d’une démonstration mathématique infalsifiable, à grand renfort de données collectées à l’aide de moyens financiers que seule l’industrie peut généralement s’offrir, créant ainsi des standards artificiels souvent inaccessibles pour la recherche publique indépendante. Le principe est de substituer le calcul statistique à l’expérience clinique, la démonstration mathématique à la pratique médicale. Conséquence d’un tel système : un nombre croissant de médecins-chercheurs multiplient les publications sur les maladies et les médicaments, lors même qu’ils n’en ont pas de pratique médicale. Les malades sont devenus de simples unités statistiques.
3) Et le troisième constat est relatif au trafic d’influence et à la corruption, qui est plus forte que jamais. Les laboratoires payent des études à ces médecins-chercheurs testant leurs médicaments, ils en déterminent les protocoles et vont jusqu’à payer plusieurs milliers d’euros par patients inclus dans l’étude. Ils organisent également des boards et autres « réunions stratégiques » dans lesquels les médecins-chercheurs sont associés à la détermination des projets des laboratoires et pour lesquels ils sont fréquemment payés entre 1 000 et 2 000 euros la journée. Les laboratoires financent également les voyages et tous les frais de ces médecins-chercheurs pour qu’ils aillent présenter leurs résultats dans des colloques internationaux dont l’organisation est elle-même très largement financée par les industriels. Dans certains cas, ces derniers vont jusqu’à réaliser eux-mêmes les études dans leurs laboratoires et proposer ensuite à des médecins universitaires plus ou moins renommés de les signer de leurs noms. Cela s’appelle le ghostwriting et a donné lieu à de nombreuses fraudes ces dernières années, à l’image du Lancet Gate en mai 2020.
Mais la question de la corruption ne se limite pas à l’univers médical. Ce qui donne à la corruption une ampleur démesurée, c’est aussi la transformation des rapports entre organisations publiques et privées. En cause, la circulation des mêmes personnes entre ces deux univers aux logiques de fonctionnement et aux finalités pourtant théoriquement opposées (le bien public pour les unes, l’enrichissement personnel pour les autres). Au-delà même du phénomène que l’on appelle en France le « pantouflage », le problème majeur qui se pose désormais est celui du changement de la nature de ces relations. Nous avons été habitués à penser un monde dans lequel les puissances publiques (Etats et organisations supranationales) sont un peu les gendarmes du monde économique privé. Or, ce monde est en train de disparaître sous nos yeux.  Nous entrons dans un monde où les puissances publiques deviennent des partenaires des groupes commerciaux privés dont certains ont de fait acquis autant de pouvoir qu’un Etat. Ceci se voit très bien dans plusieurs pays, dont la France. Ceci devrait faire l’objet de grandes discussions politiques. Je n’en vois guère pour le moment.

V.R. – De Gilead à Air France, tu me vois venir ? Qu’est-ce qu’il faut retenir en peu de mots sur cette énorme boite américaine méconnue en France qu’est Gilead ?

L.M. – Le groupe américain Gilead Sciences emploie près de 12 000 personnes et a fait un chiffre d’affaires de 22,5 milliards de dollars en 2019. Parmi ses actionnaires, figurent certains des plus gros fonds d’investissement américains. Le premier est The Vanguard Group, concurrent direct de Black Rock (le plus gros gestionnaire d’actifs du monde et l’un des plus importants actionnaires du CAC40). Vanguard est par ailleurs le premier actionnaire d’Apple, possède 5% d’Amazon et est entré au capital de nombre de grandes entreprises françaises. Même chose pour le second actionnaire de Gilead, Capital Research and Management, qui possède des parts du capital de la Caisse des Dépôts et Consignations, de Veolia, de Bouygues, de Schneider, de la Société Générale, de Pernod et d’Air France. Nous sommes donc bien ici au cœur du capitalisme financier actuel, c’est-à-dire celui qui est entièrement dominé par les banques et autres fonds d’investissements contrôlant l’actionnariat des grandes entreprises et ayant pour logique fondamentale la maximisation de la valeur pour l’actionnaire.

Au demeurant, la suite n’aurait pas dû surprendre tant Gilead était déjà connu pour pratiquer une exagération des prix à des fins d’enrichissement maximum. Je rappelle dans mon livre l’affaire du Sovaldi dans la lutte contre l’hépatite C, affaire qui a fait la fortune de Gilead. Dès le tout début de la crise du Covid, ce dernier a voulu refaire le coup en faisant acheter par tous les pays du monde un antiviral pour traiter le Covid : le Remdesivir. L’industriel y travaille depuis l’épidémie du virus Ebola qui traversa l’Afrique de l’Ouest en 2014-2015. Les recherches montreront pourtant par la suite que ce médicament était déjà inefficace sur Ebola. Mais qu’à cela ne tienne, face à la nouvelle pandémie de coronavirus, tout l’enjeu pour cet industriel était de convaincre que son produit était le plus efficace pour traiter les personnes infectées, et lancer ainsi sa production industrielle de masse. Il a en ce sens déployé toute sa puissance de lobbying et de trafic d’influence, au point que, dès le départ, l’OMS et un certain nombre de chercheurs importants dans plusieurs pays occidentaux (tels Yazdan Yazdanpanah et Franck Chauvin en France, tous deux membres du Conseil scientifique Covid-19, le second étant aussi le président du Haut Conseil de la Santé Publique qui fera d’emblée barrage à la proposition de l’IHU de Marseille au profit du Remdesivir) annonçaient déjà que l’antiviral de Gilead était la solution la plus prometteuse. Étrangement, tandis qu’elle bloquera l’hydroxychloroquine, l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) délivrera très rapidement une autorisation de mise sur le marché (AMM) pour le Remdesivir.
On sait aujourd’hui que ce médicament est inefficace et même dangereux. Il n’est quasiment plus utilisé dans les pays occidentaux. Mais si Gilead est passé une fois encore à côté du jackpot mondial, il s’est quand même enrichi grâce à la seconde grande stratégie des nouvelles industries capitalistiques : la spéculation boursière. Enfin, son intense lobbying lui permettra de parvenir tout de même à fourguer pour 1,2 milliard de son produit à l’Union Européenne fin 2020, avant que cette dernière ne s’en débarrasse vers les pays pauvres en ayant de surcroît l’indécence de présenter la chose comme de la générosité. La chose se reproduira du reste avec le « vaccin » d’AstraZeneca. Je note toutefois que certains pays africains (comme le Nigeria) ont bien compris l’arnaque et répondent « non merci » à cette fausse générosité.

V.R. – Le délire corruptif qui règne à l’Agence Européenne du Médicament (EMA) semble t’avoir particulièrement intéressé, je te remercie d’ailleurs d’avoir cité un de mes articles dans ta démonstration. Ce passage de ton livre est vraiment sidérant…

L.M. – L’affaire Ursula Von der Leyen est un révélateur du trafic d’influence et de la corruption qui sévissent en effet au sein de la Commission européenne et d’agences comme l’EMA. Madame négocie personnellement avec le PDG de Pfizer des contrats dont le contenu est étrangement tenu top secret, tout en ayant un mari travaille dans l’industrie des biotechs et un fils qui travaille chez Mc Kinsey, le cabinet de conseil qui s’enrichit démesurément en organisant la communication (i.e. la propagande) des campagnes vaccinales de nombreux pays (dont la France). Et quand on demande des comptes à madame, elle répond qu’elle a malencontreusement effacé ses conversations avec monsieur Bourla, avec lequel on la voit s’enlacer à la cérémonie de l’Atlantic Council récompensant les meilleurs business-leaders du moment. On nous prend vraiment pour des imbéciles et c’est gros comme le nez au milieu du visage. Et pourtant, à une ou deux exceptions près (comme Etienne Campion à Marianne), aucun journaliste ne s’en est inquiété. Voilà typiquement le sujet d’intérêt public majeur dont un journal comme Mediapart aurait dû s’emparer, plutôt que de s’enfermer dans sa haineuse petite entreprise de démolition de Didier Raoult. Et les intellectuels ne valent guère mieux hélas. Où sont passés tous les universitaires et les journalistes dits « d’investigation » qui ont travaillé ces dernières années sur ces phénomènes de lobbying et de corruption organisée par les industriels, comme sur les nouvelles formes de marketing, de propagande et autres méthodes de story telling ? Toute cette affaire est une dramatique défaite de la pensée.

V.R. – Tu abordes ensuite le point le plus crucial de ton livre, à mon avis, et c’est ce que tu appelles le « viol des foules », qui ne comprend pas cette manipulation mentale abominable se met immédiatement en position de se faire à nouveau duper lors de la prochaine crise, le Dr Pascal Sacré avait déjà abordé ce phénomène chez nous, il y a un an [6]…

L.M. – J’ai intitulé ce chapitre « Le viol des foules par la propagande politique », reprenant le titre d’un vieux livre de Serge Tchakhotine, paru en 1939, interdit en France et même brûlé ensuite par la Gestapo. Les dictatures n’aiment pas que l’on objective leurs stratégies d’endoctrinement des masses. Mais il faut croire que les démocraties ne l’aiment pas non plus. A moins qu’elles ne soient déjà plus vraiment des démocraties. Quoi qu’il en soit, j’analyse effectivement les formes et les contenus de l’intense propagande que le gouvernement français (parmi d’autres) a déployé pour faire croire à la population que le vaccin était la fin de l’histoire, qu’il fallait d’urgence injecter à tout le monde (adultes, personnes âgées, enfants, femmes enceintes) ces produits prétendus « totalement sûrs », qui allaient « nous débarrasser de l’épidémie » (en bloquant la contagion) et qui étaient « efficaces à 95% » pour empêcher les formes graves de Covid. Ah, la magie des chiffres…

Je montre que, pour réaliser cette grande manipulation, le gouvernement a usé de toutes les ficelles et tout le registre de la propagande : technique de « la bouse blanche » consistant à envoyer dans les médias des médecins triés sur le volet pour vanter les mérites de la nouvelle politique vaccinale, technique du « choix truqué » consistant à placer les citoyens devant un prétendu choix entre la solution qu’on veut leur imposer et une fausse alternative en réalité inacceptable (du genre : préférez-vous être vaccinés ou reconfinés ?), et enfin bien entendu la technique de « la grenouille ébouillantée » consistant à amener progressivement les gens vers le point d’arrivée prévu en réalité dès le départ, mais en y allant par étapes, à coups de demi-mensonges successifs, afin de faire accepter très progressivement quelque chose qui, si il avait énoncé d’emblée, aurait été jugé inacceptable pour beaucoup. En l’occurrence, il fallait amener doucement les citoyens à renoncer à une de leurs libertés fondamentales en acceptant l’idée que seule une vaccination intégrale et forcée de la population s’imposait pour nous « libérer » de l’épidémie.

V.R. – L’heure de nous quitter est venue. Nous ne sortons pas de ton interview beaucoup plus optimiste qu’au moment où nous l’avons abordée, mais avec une envie bien plus grande de dévorer ton passionnant bouquin. Vivement le tome II, on s’y prépare avec délectation. Ton mot de la fin ?

L.M. – D’abord je te remercie de me donner ainsi la parole et de traiter mon travail avec sérieux. Le tome 2 paraîtra en mars, il reprendra les meilleurs « épisodes » de ma série initiée en mars 2020, avec 40 chapitres et 30 auteurs. C’est un travail collectif qui n’est certainement pas parfait mais dont je suis fier et qui me donne le sentiment d’avoir fait ce que je devais faire.

Ensuite un mot pour dire que j’avais depuis longtemps l’habitude d’être attaqué, essentiellement par l’extrême droite, du fait de mes travaux sur la sécurité (qui montrent notamment comment on passe là aussi son temps à effrayer la population pour mieux vendre de l’idéologie sécuritaire et des technologies très coûteuses comme la vidéosurveillance). Mais depuis le début de la crise du Covid, j’ai été couvert d’insultes et de calomnies à un point que je n’avais jamais connu. Et surtout, indépendamment des affidés des industriels et des intellectuels de cour (comme le très macroniste Gérald Bronner qui a publié contre moi en août 2021, dans Le Monde, une tribune aussi agressive que dénuée de contenu, avant d’être nommé par l’Elysée à la tête d’une commission), la plupart de ces insultes sont venues de gens qui disent appartenir à la gauche intellectuelle et politique. Certains sont même allés jusqu’à m’accuser de complicité avec l’extrême droite, moi qui la combat depuis 30 ans et qui y avait consacré tout mon dernier livre paru juste avant le premier confinement (La France telle qu’elle est. Pour en finir avec la complainte nationaliste, Fayard, 2020). C’est dire à quel point nous sommes en pleine confusion mentale. Il faudra du temps pour en sortir et essayer de rebâtir quelques digues intellectuelles et éthiques. La chose est essentielle car l’histoire est loin d’être terminée. D’autres crises sécuritaires, sanitaires et écologiques sont à venir. Et si nous ne sommes pas mieux armés pour les affronter, j’ai peur que les dégâts individuels et collectifs soient plus importants encore, notamment que l’idéal démocratique finisse par disparaître au profit d’une gestion autoritaire des biens publics par des intérêts privés.

Crédit photo : © Editions Eolienne

(*) Ouvrages de Laurent MUCCHIELLI :

Direction d’ouvrage

  • Histoire de la criminologie française, Paris, L’Harmattan, 1995, 535 p. (ISBN2-7384-3136-4, notice BnF no FRBNF36685469)
  • Avec Massimo Borlandi, La Sociologie et sa méthode : les règles de Durkheim un siècle après, Paris, L’Harmattan, 1995, 415 p. (ISBN2-7384-4033-9, notice BnF no FRBNF35804890)
  • Avec Dominique Duprez, Les Désordres urbains : regards sociologiques, Chêne-Bourg-Genève, Médecine et hygiène, 2000, 440 p. (ISBN2-8257-0726-0, notice BnF no FRBNF37733537)
  • Avec Philippe RobertCrime et sécurité : l’état des savoirs, Paris, La Découverte, coll. « Textes à l’appui », 2002, 438 p. (ISBN2-7071-3620-4, notice BnF no FRBNF38811277)
  • Gendarmes et voleurs : de l’évolution de la délinquance aux défis du métier, Paris, L’Harmattan2007
  • Avec Véronique Le Goaziou, Quand les banlieues brûlent : retour sur les émeutes de novembre 2005, Paris, La Découverte, 2eédition 2007
  • Avec Marwan MohammedLes Bandes de jeunes : des blousons noirs à nos jours, Paris, La Découverte, 2007
  • La Frénésie sécuritaire : retour à l’ordre et nouveau contrôle social, Paris, La Découverte, 2008
  • Avec Pieter Spierenburg, Histoire de l’homicide en Europe, de la fin du Moyen Âge à nos jours, Paris, La Découverte, 2009
  • Avec Xavier Crettiez, Les Violences politiques en Europe : un état des lieux, Paris, La Découverte, 2010, 336 p. (ISBN9782707164582)
  • Avec Christian Mouhanna,La police contre les citoyens ?, Nîmes, Champ social, coll. « Question de société », 2011, 182 p. (ISBN978-2-35371-105-5)

En collaboration

Notes et sources:

[1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Mucchielli
[2] https://www.aimsib.org/2021/12/09/encore-des-hormones-mais-pour-combien-de-temps/
[3] Gates B,Responding to Covid-19 — A Once-in-a-Century Pandemic? N Engl J Med 2020; 382:1677-1679 DOI: 10.1056/NEJMp2003762 https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762
[4] Traduction : Les scientifiques ont séquencé le génome du virus et développé plusieurs vaccins candidats prometteurs en quelques jours, et la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations prépare déjà jusqu’à huit vaccins candidats prometteurs pour des essais cliniques.
[5] Michel JD, Covid : anatomie d’une crise sanitaire, Paris, HumenSciences, 2020, p.109
[6] Pascal Sacré, « Pavlov ou la Covid-19, comprendre l’inhibition transmarginale » https://www.aimsib.org/2021/01/17/pavlov-ou-la-covid-19-comprendre-linhibition-transmarginale/




L’avenir du Covid ? Vers la fin…

Par Alain Tortosa

Le passe vaccinal va disparaître même s’il peut tenir encore un moment du fait des hôpitaux « normalement » saturés…

Grâce aux actuels et futurs variants du rhume 19, il sera aisé d’affirmer que les hôpitaux sont remplis de patients (positifs) Covid comme le font les autorités depuis des mois…

(C’est d’autant plus facile de le dire que les hôpitaux sont toujours saturés, car c’est le principe de gestion retenu, principe qui n’est pas forcément condamnable, mais que l’on doit assumer. Il serait logique d’appeler gaspillage de l’argent public, des hôpitaux pleins à 10 % qui emploieraient des personnels à ne rien faire.)
(Je vous rappelle qu’il n’existe pas de statistiques distinguant les patients malades du Covid et les patients positifs à un PCR et asymptomatiques.)

Bref, il sera facile de montrer qu’un pourcentage extraordinaire de patients en soins-critiques sont positifs au Covid.
Et comme nous avons la chance d’avoir environ 1800 décès par jour en France, il sera toujours aisé de déclarer journellement des centaines de personnes en fin de vie et positives au Covid « décédées du Covid ».

Donc sur le papier le scénario Covid peut fonctionner pendant des dizaines d’années…

Le problème est que même les plus croyants sont obligés de voir une certaine réalité :

  • Quasi tout le monde a contracté la dernière version du virus.
  • Les vaccinés ont, au moins autant sinon plus, contracté le « virus de la mort ».
  • Quasi personne n’a connaissance d’une personne relativement jeune et en bonne santé qui aurait été « terrassée par l’odieux virus »… En deux ans nous n’avons toujours pas enjambé de cadavres dans la rue.

Le seul bastion qui résiste encore et qui tient plus d’un mantra que d’une réalité scientifique est le fameux « le vaccin nous protège des formes graves ! »

Pardon, il existe un deuxième mensonge, et de taille, qui est « le vaccin est totalement inoffensif ».

Bon an, mal an, une partie du peuple accepte l’idée d’un « vaccin » efficace pendant trois mois, qui n’empêche pas de tomber malade ni de contaminer autrui…

Même Delfraissy, qui est en très bonne position au top 50 des menteurs, a reconnu publiquement que c’était une sorte de « médicament vaccin »…

Toute la question est donc de savoir combien de temps ces mensonges tiendront encore…

La croyance en l’innocuité des vaccins relève d’une volonté affichée de ne pas regarder les données officielles…
Cette croyance peut tenir tant que le « vacciné » ou son entourage ne souffre pas d’effets secondaires dont il peut ignorer le lien.

Nous connaissons (tous) des vaccinés qui ont souffert d’effets secondaires plus ou moins graves des injections, mais qui ne font pas le lien pour la simple raison que le reconnaître c’est reconnaître sa propre bêtise.

« Comment ai-je pu être assez stupide pour m’injecter quatre doses de cette merde ! »

C’est donc la réalité de l’inefficacité de l’injection associée à la réalité des effets secondaires qui font que des millions de Français n’ont pas (encore ?) fait leur troisième dose.

Le gouvernement est coincé dans une quadrature du cercle :

  • Convaincre que le vaccin n’est pas efficace et ne permettra pas de mettre fin à l’épidémie pour obliger de nouvelles doses et poursuivre les mesures dictatoriales.
  • Convaincre que le vaccin est efficace pour inciter les non-vaccinés.

Le mythe de la vaccination « efficace » ne tient que par les « formes » graves.

Le slogan pro-injection est uniquement :

« Le vaccin empêche de mourir ! »

Il devient de fait indispensable que les morts du Covid ne soient que des non-vaccinés !

Mais quand bien même les données ne sont que mensonges, les autorités sanitaires reconnaissent que la moitié ou la majorité des morts sont aussi des vaccinés.

La pirouette « c’est logique qu’il y ait plus de morts chez les vaccinés, car il y a plus de vaccinés que de non-vaccinés » est totalement ridicule et elle est pourtant gobée par des débiles qui ont totalement oublié qu’un vaccin est censé vous empêcher de mourir…

Les autorités sortent alors de leur chapeau :

« En fait les vaccinés décédés sont des immunodéprimés et il est normal que le vaccin soit inefficace pour cette population. »

Attention le mal de tête !

Nous devons donc nous vacciner pour « ne pas faire de formes graves, mais uniquement quand le vaccin est efficace pour nous. »

Je me permets donc la question idiote.

« Qui meurt du coronavirus ? »

« Les gens qui ont de bonnes défenses immunitaires ? »

Je ne le pense pas… et je crois que c’est plutôt l’inverse…

La version officielle serait donc qu’il est vital de se vacciner pour éviter de faire des formes graves que l’on ne fait pas naturellement quand on a de bonnes défenses immunitaires. Alors même qu’il est totalement inutile de se vacciner lorsque l’on a de mauvaises défenses immunitaires…
On a quand même réussi à inventer le « vaccin » qui n’empêche pas la contamination et qui ne protège pas ceux qui devraient être protégés et qu’il est donc « indispensable » de répandre.

Le « boost » pourrait, quant à lui, avoir des effets totalement délétères par la répétition d’une attaque sur des défenses affaiblies…

Le citoyen à qui l’on avait promis la liberté grâce à la vaccination constate que l’épidémie est bien présente alors que 90 % de la population est officiellement vaccinée. Il est bien obligé de douter de l’efficacité de ce produit quand bien même l’ennemi désigné devient le « non-vacciné ».

Le fait qu’il soit obligé de faire un rappel tous les trois mois devrait le conduire à penser que c’est un traitement préventif, non curatif et certainement pas un vaccin qui, rappelons-le, est toujours en phase expérimentale.

Produit qui n’empêche donc pas de mourir si on doit mourir du fait de ses défenses immunitaires défaillantes… (abîmées par les confinements, les distanciations, le port du masque…)

Pour poursuivre ses doses, il faut vraiment avoir envie d’aller au restaurant ni discuter avec personne et se contenter d’écouter BFM.

L’ensemble de ces éléments fait que la vaccination est condamnée à plus ou moins long terme…

Même les mainstream commencent à dire quelques vérités et les citoyens en ont marre…

Planifions un relâchement pour les élections afin d’obtenir quelques voix supplémentaires, et ce avec quelques mois de trêve…

Cette « libération » permettra de perdre 90 % des résistants qui seront heureux d’aller au restaurant ou au camping et qui auront la naïveté de croire que « la liberté est de retour »…

Tout en sachant que le dernier bastion à tomber sera le masque à l’intérieur, seul et unique outil permettant de rendre visible la menace fantôme et de faire d’autrui un danger potentiellement mortel…

Mais la loi permettant d’avoir recours au passe de la honte se terminant en juillet, il ne serait pas illogique qu’un « nouveau variant beaucoup plus contagieux et à la dangerosité inconnue » se présente un peu avant la date butoir.

De fait il n’est pas non plus illogique de penser qu’une nouvelle « vague » pourrait être programmée en juin…

Ce serait sans doute la vague « test », celle qui permettrait de déterminer si le peuple est encore prêt à gober cette plandémie que le réseau Sentinelles n’a toujours pas vue…

En revanche si le peuple ne gobe plus alors la dictature devra très très vite enchaîner sur le « changement climatique » et mettre en place des lois liberticides pour poursuivre et accélérer la marche vers notre asservissement.

Merci.

Alain Tortosa

13 novembre 2022
http://7milliards.fr/tortosa20220213-avenir-fin-covid.pdf




Passe vaccinal : la femme médecin de santé publique qui fait tomber les sénateurs de leurs fauteuils

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

par LaurianeB

La Commission des affaires sociales s’est réunie mardi 8 février pour entendre la Docteur Alice Desbiolles, médecin de santé publique et épidémiologiste. En 1h et 45 minutes, avec un calme olympien, l’intervenante met en pièces détachées le passe vaccinal, démonte la stratégie sanitaire gouvernementale, désosse les schémas de modélisation, abat les fondations de la vaccination des enfants et donne une bonne leçon de déontologie médicale à toute l’assemblée. Les sénateurs, n’ayant pas l’habitude d’entendre une voix si dissonante sur la gestion du Covid, sont ressortis de cet entretien complètement désarçonnés (mais nous ça va).

Les Sénateurs ont dû se mordre les doigts d’avoir invité cette médecin de santé publique. En voulant se donner l’illusion de donner la parole à tous les bords, ils n’avaient peut être pas soupçonné à quel point cette dernière n’a pas l’air d’avoir peur des représailles venant de ses pairs. Oups. 

L’instauration du passe vaccinal ne repose sur aucun critère scientifique

Pour rappel la Commission des affaires sociales est en charge de contrôler l’action du gouvernement dans la mise en place du passe vaccinal. Ses travaux ont débuté le 1er février et elle a 6 mois pour remettre un rapport et formuler des propositions.

La Sénatrice Chantal Deseyne intervient la première en donnant son ressenti sur la décision de changer le passe sanitaire en passe vaccinal. Elle a l’impression que c’est un outil qui sert uniquement à renforcer (voire à forcer tout court) la vaccination, mais jusqu’à présent aucune donné scientifique probante n’est venue étayer cette décision (ce que nous vous avions rapporté une première fois ici). Peut-on mesurer l’impact du dispositif et est-il toujours nécessaire ?

La réponse du Docteure Desbiolles est sans appel, il n’existe à ce jour aucun rationnel scientifique ou donnée probante su l’efficacité du passe sanitaire ni aucune étude de bonne qualité avec un fort niveau de preuve.

De plus, les différents passes ont effectivement renforcé la vaccination, mais pas chez les personnes les plus vulnérables. Il n’aide en rien à pondérer la saturation des hôpitaux puisqu’un rapport interne récent de l’AP-HP précise que la plupart des déprogrammations d’interventions sont dues à un départ du personnel soignant.

Une étude du conseil d’analyse économique considère bien que 4000 morts ont pu être évités grâce à la mise en place de ce dispositif mais un des ses auteurs est membre du conseil de scientifique, on ne peut pas recommander un outil et juger impartialement de son efficacité.

En réalité, ce qui a contribué à la mise en place du passe vaccinal, ce sont les données de modélisation, pour lesquelles le médecin en santé publique émet de grandes réserves – sans blague. 

Des outils de mesure remplis de biais

Depuis mars 2020, il y a un recours systématique aux modélisations pour justifier les décisions de santé publique. Alice Desbiolles explique que les modélisations ont un niveau de preuve extrêmement faible, elles n’ont pas vocation à servir de base pour instaurer de telles mesures contraignantes sur la population.

Qui plus est, aucune évaluation a posteriori sur la confrontation des modèles avec le réel n’a été effectuée.

Par exemple, la base de décision à l’implémentation du passe sanitaire dépend de l’avis du conseil scientifique datant du 6 juillet 2021 , partant de l’hypothèse que les vaccins réduisent le risque d’hospitalisation de 95%, le risque d’infection de 80% et de transmission de 50%.

L’intervenante remet aussi en cause la neutralité des bulletins épidémiologiques hebdomadaires publiés par Santé Publique France. Le dernier en date indique que la part de patients ne présentant pas de comorbidités a augmenté, en oubliant de préciser plus de 80% des patients actuellement en réanimation ont au moins une comorbidité. En plus, le surpoids a disparu des facteurs de risques et toutes les classes d’âge sont mélangées.

TousAntiCovid rapporte un nombre de patients hospitalisés en réanimation et en soins critiques, mais en soins continus l’indicateur de référence est le nombre de lits. Comment peut-on comparer plusieurs services avec un indicateur différent ?

Elle regrette également le manque de données s’agissant des enfants. Sur les causes de soit disant décès Covid chez l’enfant et sur l’efficacité de la vaccination chez les 11-18 ans, Santé Publique France ne communique qu’à l’oral, et pour cause …

Les études concernant la vaccination des enfants ne sont pas probantes

La sénatrice Laurence Cohen interroge sur l’utilité de la vaccination des enfants, vu que les écoles sont fortement touchées par l’épidémie. Pour rappel, l’évaluation du vaccin à destination des enfants est toujours en cours jusque 2026 selon ClinicalTrials.gov.

Selon Mme Desbiolles, le virus circule partout, les écoles ne sont que la représentation de la circulation virale à l’échelle du pays. La vaccination des plus jeunes sur ce type de virus peut être une  stratégie contreproductive. En Allemagne par exemple, lorsqu’on a mis en place la vaccination contre la varicelle, on a observé une forte augmentation  du nombre de formes graves de varicelle chez les adultes vaccinés.

Le suivi médian des sujets de l’étude en cours est de 2 mois et le panel représente peu de personnes. Pour la Docteure il est clair que l’étude n’est pas assez probante pour mettre en lumière de potentiels effets indésirables.

Enfin, elle rappelle que le port du masque dans les écoles ne fait l’objet d’aucun rationnel scientifique ni d’aucun essai clinique de bonne qualité. L’OMS ne recommande pas de faire l’activité physique avec un masque « On impose des choses aux enfants en dépit du bon sens et de données sérieuses ».

Merci, Madame, nous sommes toujours en attente d’un éclair de génie de la part du Conseil d’Etat.

La stratégie zéro covid est vouée à l’échec, alors pourquoi persister ?

La sénatrice Emilienne Poumirol demande elle s’il est possible de faire un éventuel mea culpa et de changer de stratégie, elle qui a toujours plaidé pour la vaccination obligatoire.

La vaccination obligatoire en population générale fait partie de la Stratégie dite « zéro covid », qui a été abandonnée dans la plupart des pays qui ont tenté de la pratiquer.

Il existe des réservoirs animaux, il est totalement illusoire de prétendre pouvoir éradiquer un virus de cette nature par la vaccination. De plus, le risque d’échappement vaccinal induisant une pression de sélection est réel (simulé par un modèle du CRNS en 2022). 

Enfin – l’apothéose de l’entretien, du miel à mes oreilles – elle rappelle le principe le plus basique qui soit et qui n’aurait jamais dû être oublié : on ne protège pas un individu contre son gré. L’obligation vaccinale n’a pas sa place dans sa vision de la médecine, qui a vocation à être suggestive, et pas normative. Le respect du consentement des personnes est un élément majeur de la progression du droit des patients, consacré par la loi Kouchner de 2002.

Aller dans le sens d’une telle démarche romprait définitivement le lien de confiance entre la population et les scientifiques, les politiques et la médecine.

L’audition se termine dans une ambiance tendue, certains Sénateurs n’acceptant pas l’idée de remettre en cause la stratégie adoptée jusqu’alors. Alice Desbiolles conclu en mettant les pendules à l’heure – et en énonçant ce principe cher à tout juriste :

« La charge de la preuve de l’efficacité d’une politique publique incombe à la puissance qui l’a mise en place, ce n’est pas à moi de démontrer que cela fonctionne ou que cela ne fonctionne pas ».

Nous saluons ici la parfaite déontologie dont a fait preuve Alice Desbiolles tout au long de son audition. Quand certains Sénateurs minimisent et ricanent au fait de présenter un passe pour accéder à l’hôpital et qu’on lui répond « oui mais c’est un passe sanitaire, pas vaccinal …» elle récite à la lettre le serment d’Hippocrate. Et oui, l’éthique, ça calme. 

Toute sa démonstration est parfaitement sourcée, de bout-en-bout, dans des termes clairs et précis (il y en a pour qui c’est le métier), contrairement à d’autres président de conseil scientifique qui viennent les mains dans les poches affublés d’une assurance déconcertante et d’une attitude qui laisserait presque penser que c’est l’auditionné qui auditionne.  

Le Président de séance Alain Milon ne sait pas trop comment conclure la séance et se dit perturbé car trop de scientifiques ont un point de vue différent. Tant mieux, les choses avancent, mercredi 9 janvier a été décidé la mise en place d’une nouvelle commission d’enquête sénatoriale sur les effets secondaires des vaccins.

On y arrive.




Didier Raoult rend hommage au Professeur Luc Montagnier. Mise à jour

[Source : Sud Radio]


Une grande droiture et une profonde intégrité

Nous sommes particulièrement touchés par la disparition du Professeur Montagnier. Au-delà de son œuvre scientifique majeure et de sa vie consacrée au service de la science, il a témoigné toute sa vie durant d’une grande droiture et d’une profonde intégrité. Et malgré cela, si peu de considération de la part de ceux qui monopolisent la parole depuis deux ans…
Nous adressons toutes nos condoléances à sa famille ainsi qu’à toutes les personnes affectées par son départ.

Le professeur Montagnier nous rétablit dans notre héritage avec cette seule phrase :

“L’homme gagnera s’il se concentre sur la loi de la nature et uniquement sur cela”.

N’en déplaise aux chantres du scientisme, le chemin de la Liberté s’ouvre à nous.

Le collectif Reinfo Covid.






Par Dr. Édouard Broussalian

Mort du Pr. Luc Montagnier

France Soir, le dernier journal libre en France, a été le premier à annoncer la mort du Pr. Montagnier. Moi qui me croyais blindé, j’ai eu de la peine à contenir quelques larmes. Je ne le connaissais pas personnellement, n’ayant jamais eu la chance de le rencontrer, je ne manquais cependant jamais ses interventions.

Si sa mort résonne aussi fort dans nos cœurs d’homéopathes c’est parce que seul le semblable agit sur le semblable : il appartenait à cette rare catégorie du vrai scientifique. Pas celui qui manipule des éprouvettes ou un microscope, pas celui qui exécute son boulot pour se payer une belle bagnole, mais bien celui qui est à la recherche de la Vérité.

Je n’avais de cesse d’admirer son courage tranquille devant la meute des journalistes corrompus et autres « anti-fakemed » laquais des mondialistes. Il a été l’un des premiers à comprendre la dimension électromagnétique liée avec le vivant. A ce titre il a vaillamment défendu l’homéopathie au risque de sa carrière professionnelle.[1]

Ce qui suscitera l’étonnement des générations futures c’est comment un homme de cette stature scientifique aura été jeté en pâture à des rats à peine pubères et dont le seul mérite personnel consiste en l’acquisition de la bipédie. Seules les dictatures présentent cette capacité à détruire ce qui est grand pour fonctionner avec les êtres les plus veules.

Montagnier n’a évidemment pas mordu à l’hameçon du COVID dont il aura été aussi l’un des premiers à dénoncer haut et fort l’escroquerie. Honte à tous les « scientifiques » qui se sont tus ou qui ont cherché à le ridiculiser. Leur soumission à l’omerta est la preuve qu’ils ne sont pas à la recherche de la vérité, maudits soient ces nains qui trahissent les idéaux de tous les géants qui les ont précédés.

Lincoln a dit une chose que nos tyrans mondialistes gorgés d’inculture crasse[2] ignorent, à savoir qu’on « peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. » Comme je l’ai déjà maintes fois répété, seule l’insurrection nous sortira de cette dictature. Elle démarre enfin grâce aux Convois de la Liberté. La peur changera de camp avec le Grand Réveil.

Alors seulement le Pr. Montagnier pourra enfin prendre la place qui lui revient et figurer au Panthéon des plus grands.

  • [1] Il suffit de lire la presse mainstream pour y découvrir les ragots habituels. Entre autres abjections, sur RFI.FR on apprenait que :
    « La communauté a même un terme pour ce phénomène : la « nobelite », la maladie du Nobel. Cette tendance qu’ont certains lauréats du prix à mettre à profit leur notoriété pour défendre des thèses pseudo-scientifiques à propos de sujets sur lesquels ils n’ont jamais travaillé. »
    N’est-il pas curieux que personne ne dénonce les prix Nobels qui condamnent des sujets sur lesquels ils n’ont jamais travaillé ?
  • [2] Cette formulation était répétée à l’envi par Pierre Desproges dès les années 1980. Il aimait à dénoncer la progression de l’incurie dans la société.



Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

[Source : cv19.fr]

TERRAIN expose le canular tyrannique de la pandémie mondiale, construite sur le modèle erroné de la maladie, connu sous le nom de “théorie des germes”. Ce documentaire en deux parties explore la théorie du terrain, un modèle de santé fonctionnant en symbiose avec la nature pour promouvoir le bien-être et la guérison, sans recourir à un paradigme médical corrompu et défaillant.

TERRAIN motive et inspire les spectateurs à comprendre le pouvoir et la responsabilité du consentement.

La première partie de TERRAIN remet en question la théorie des germes, un système de croyance obsolète et non scientifique basé sur des fraudes et des mauvaises interprétations.

Un film produit par Marcelina Cravat et Andrew Kaufman.
Avec le Dr Andrew Kaufman, le Dr Barre Lando, le Dr Stefan Lanka, le Dr Mark McDonald, le Dr Tom Cowan, le Dr Kelly Brogan, le Dr Samantha Bailey, Sayer Ji, Sally Fallon, Peggy Hall, Tony Roman, Alphonso Faggiolo et Veda Austin.



Terrain — 2e partie

https://odysee.com/@cv19:b/Terrain-Le-Film-Partie-1-la-grippe-des-cigognes:3

Sous-titres par https://cv19.fr

Bande annonce : https://odysee.com/@cv19:b/Terrain-Le-Film-Bande-Annonce:0

Pour soutenir et en savoir plus sur le projet : https://terrainthefilm.com/




Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?

[Source : cv19.fr]

Par le Dr. Mark Bailey

La question de l’existence de virus pathogènes reste importante, car la croyance en de tels virus mobilise des milliards de dollars de ressources et de fonds de recherche. Ces deux dernières années, nous avons également vu comment un prétendu virus peut être utilisé comme un outil politique pour mettre les populations au pas. Ce n’est pas la première fois que cela se produit : par exemple, la “découverte” du VIH dans les années 1980 a donné naissance à une industrie de plusieurs milliards de dollars et a également été utilisée à des fins politiques dans la plupart des régions du monde. (Les erreurs concernant l’existence de la particule du VIH et le fait qu’elle soit à l’origine du SIDA sont décrites dans Virus ManiaFR. Pour ceux qui souhaitent approfondir le sujet, je recommande le magnus opus de The Perth Group sur ce sujet).

“Les virus sont de petits parasites intracellulaires obligatoires qui, par définition, contiennent un génome d’ARN ou d’ADN entouré d’une enveloppe protéique protectrice, codée par le virus.”

Medical Microbiology, 4th edition, 1996

Le journaliste indépendant Jeremy Hammond, qui se présente comme exposant la “dangereuse propagande d’État” entourant le COVID-19 et les dangers des vaccins, a ainsi fait la curieuse déclaration suivante en 2021 :

“l’affirmation fausse selon laquelle le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé (c’est-à-dire que son existence n’a jamais été prouvée) nuit considérablement à la crédibilité du mouvement pour la liberté de la santé et repose sur une ignorance totale de la science (le virus est constamment isolé et son génome entier est séquencé par des scientifiques du monde entier)”.

Jeremy Hammond, 9 mars 2021

Je dirais que l’ignorance est du côté de Hammond, qui semble parvenir à sa conclusion en répétant essentiellement les affirmations des virologues et en rassurant le public sur la validité de leurs méthodologies. Ces dernières semaines, nous avons également vu le Dr Joseph Mercola présenter l’interview de Hammond et le blog de Steve Kirsch (qui fait également appel à l’autorité de la virologie) comme des “preuves” de l’existence du SARS-CoV-2. Kirsch déclare s’appuyer sur “les avis des experts en qui j’ai confiance”, ce qui signifie qu’il a remis l’argument entre les mains d’autres personnes plutôt que d’enquêter lui-même sur la question. Mais est-il sage pour ces combattants de la liberté sanitaire qui s’opposent aux “experts” de l’establishment COVID de ne pas également remettre en question les virologues de l’establishment ?

Le Dr Andy Kaufman a produit une réfutation point par point du soutien de Hammond à la méthodologie d’”isolement” de la virologie moderne ici, tandis que le Dr Tom Cowan a prévenu que nous ne faisions que commencer à démanteler les absurdités de la virologie ici. Le Dr Sam Bailey a publié de nombreuses vidéos sur la question de l’isolement des virus, dont la plupart ont été interdites sur YouTube mais peuvent encore être trouvées sur Odysee. En outre, dans un essai que j’ai cosigné avec le Dr John Bevan-Smith, nous décrivons le premier pilier de la fraude COVID-19FR comme l’utilisation abusive du terme “isolement” par la virologie. En résumé, comme les virologues n’ont pas été en mesure d’isoler physiquement le moindre virus au siècle dernier, ils ont simplement changé la définition du mot, de sorte que même les virologues admettent que le terme est désormais utilisé de manière vague. Une situation étrange lorsque la méthode scientifique exige une terminologie précise.



J’ai observé au cours des deux dernières années que de nombreux scientifiques, médecins et journalistes sont heureux de sauter par-dessus ce gouffre de l’”isolement” et de citer les “génomes de coronavirus” déposés dans des bases de données comme preuve que le virus doit exister. Par exemple, Steve Kirsch écrit dans son blog que :

“Je sais que Sabine Hazan a vérifié que la séquence du virus obtenue auprès de l’ATCC correspondait exactement à ce qu’elle a trouvé chez les personnes atteintes du virus.”

Steve Kirsch, 10 janvier 2022

Il cite l’article de Hazan “Detection of SARS-CoV-2 from patient fecal samples by whole genome sequencing” comme preuve de cette affirmation. Kirsch admet qu’il ne sait pas comment les génomes ont été créés, mais ses…

“amis scientifiques semblent satisfaits avec eux. À 2 000 $ la dose, je ne pense pas qu’ils commercialiseraient le produit s’il était contaminé et inutile. Ai-je tort ?”

Steve Kirsch, 10 janvier 2022

Malheureusement, il semble avoir été dupé par la façade high-tech du génie génomique de la virologie, où des “virus” sont créés à partir de diverses séquences génétiques détectées. En fait, il arrive que les séquences ne soient pas vraiment détectées du tout, comme l’expose le Dr Stefan Lanka dans ce qui pourrait être le coup de grâce de la virologieFR.



L’article de Hazan peut servir d’exemple de la méthodologie défectueuse utilisée pour créer ces “génomes de virus”. L’équipe de recherche a obtenu des échantillons de matières fécales de 14 participants et a procédé à l’examen des séquences génétiques qu’elle pouvait détecter dans ces échantillons. Le premier problème se pose dans la section “méthodes”, lorsque l’équipe déclare que “le contrôle positif du SARS-CoV-2 de l’ATCC (SARS-CoV-2 inactivé par la chaleur, VR-1986HK ; souche 2019-nCoV/USA-WA1/2020) a été inclus tout au long du traitement de l’échantillon”. Comment ont-ils su que l’échantillon contenait le virus inactivé ? Parce que l’ATCC (American Type Culture Collection) l’affirme sur son site Web en déclarant que “cette souche a été isolée à l’origine d’un cas humain dans l’État de Washington et a été déposée par les Centers for Disease Control and Prevention”. Et comment les CDC ont-ils su qu’ils avaient le virus ? Parce qu’ils ont affirmé l’avoir trouvé dans cet article.

“Coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère
d’un patient atteint d’une maladie à coronavirus, États-Unis”
Mais où était le virus ?

Dans le document des CDC, il est dit qu’ils ont recueilli “des spécimens cliniques d’un patient ayant contracté le COVID-19 lors d’un voyage en Chine et qui a été identifié à Washington, aux États-Unis”. Ils ont conclu que le patient avait le COVID-19 sur la base d’un résultat de PCR qui a détecté certaines séquences dites provenir du SARS-CoV-2. Mais à ce stade, ils n’avaient aucune preuve de l’existence d’un virus – tout ce qu’ils avaient, c’était quelques séquences génétiques détectées chez un patient atteint d’une infection virale présumée. Après avoir réalisé une expérience de culture tissulaire en tube à essai sur leur échantillon clinique et prétendu qu’il y avait des preuves de la présence d’un virus en raison d’effets cytopathiquesFR non spécifiques, ils ont commencé à construire leur “génome”. Ils déclarent que “nous avons utilisé 50 μL de lysat viral pour l’extraction de l’acide nucléique total pour les tests de confirmation et le séquençage.” Il s’agit d’un autre tour de passe-passe, car il n’a pas été démontré que le “lysat viral” provenait d’un virus, il s’agit simplement d’une soupe de cultures de cellules fragmentées et d’autres additifs.

L’affirmation selon laquelle ils ont “extrait l’acide nucléique des isolats” est tout aussi trompeuse. Ils ont laissé entendre qu’ils ont isolé un virus et qu’ils savent quelles séquences d’ARN proviennent de son contenu. Cependant, cela nécessiterait que les prétendues particules virales soient réellement isolées physiquement par purification, ce qu’ils n’ont pas fait. Et je dis “présumées” parce que même s’ils purifiaient les particules, il faudrait encore démontrer qu’elles répondent à la définition d’un virus – y compris le fait d’être un parasite et l’agent causal de la maladie – ce qui n’a pas été démontré par ces auteurs ni par aucun autreFR.

Dans tous les cas, comment ont-ils su quelles séquences génétiques appartenaient au “virus” en premier lieu ? Ils ont “conçu 37 paires de PCR emboîtées couvrant le génome sur la base de la séquence de référence du coronavirus (numéro d’accession GenBank NC045512)”. Et d’où vient cette “séquence de référence” ? Cela se rapporte à l’article de Fan Wu, et al décrivant l’homme de 41 ans qui a été admis à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec une pneumonie bilatérale et malgré l’absence de nouvelles caractéristiques cliniques, on a dit qu’il était atteint d’une maladie qui a ensuite été appelée “COVID-19”.

Voir : La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité

Le spécimen était constitué de lavages pulmonaires bruts, il contenait donc un mélange de cellules humaines et potentiellement toutes sortes d’autres micro-organismes et fragments génétiques. Ils ont simplement affirmé qu’il y avait un virus dans le mélange. À partir de cet échantillon mixte, ils ont généré à l’aveugle des dizaines de millions de séquences différentes, puis ont mis leur logiciel au travail pour voir comment ils pouvaient les assembler. Pour réaliser cet “ajustement”, le logiciel a recherché des “contigs”, c’est-à-dire des zones où différents fragments semblent avoir des séquences qui se chevauchent. Parmi les centaines de milliers de séquences hypothétiques générées de cette manière, ils ont constaté que la plus longue séquence “continue” que l’ordinateur a pu créer faisait environ 30 000 bases et ont conclu que cette création informatique devait être le génome du nouveau virus présumé.

Ils pensaient qu’il s’agissait du génome parce que leur séquence de 30 000 bases générée de manière hypothétique était similaire à 89,1 % à ” un isolat de coronavirus (CoV) de chauve-souris semblable au SRAS, le SL-CoVZC45 “. Le “génome” de l’”isolat” de CoV de chauve-souris a été généré en 2018 après que “19 paires d’amorces PCR dégénérées ont été conçues par alignement multiple des séquences SARS-CoV et SL-CoV de chauve-souris disponibles déposées dans GenBank, ciblant presque toute la longueur du génome.” En d’autres termes, ils connaissaient déjà la séquence à rechercher sur la base des séquences qui avaient été précédemment déposées dans la GenBank. Mais comment les producteurs de ces séquences déjà déposées savaient-ils qu’ils avaient trouvé des génomes viraux ? Bienvenue dans le raisonnement circulaire de la virologie moderne.

Pour expliquer la boucle dans laquelle les virologues semblent être pris au piège, cet article de 2019 publié dans Virology illustre bien le problème :

“Trois méthodes principales basées sur le HTS [séquençage à haut débit] sont actuellement utilisées pour le séquençage du génome entier viral : le séquençage métagénomique, le séquençage par enrichissement de cible et le séquençage par amplicon PCR, chacune présentant des avantages et des inconvénients (Houldcroft et al., 2017). Dans le séquençage métagénomique, l’ADN (et/ou l’ARN) total d’un échantillon comprenant l’hôte mais aussi des bactéries, des virus et des champignons est extrait et séquencé. C’est une approche simple et rentable, et c’est la seule approche qui ne nécessite pas de séquences de référence. Au contraire, les deux autres approches HTS, l’enrichissement des cibles et le séquençage des amplicons, dépendent toutes deux d’informations de référence pour concevoir les appâts ou les amorces.”

Maurier F, et al, “A complete protocol for whole-genome sequencing of virus from clinical samples,” Virology, May 2019.

On touche là à la racine du problème. Les génomes de référence “viraux” sont créés par séquençage métagénomique, mais celui-ci est effectué sur des spécimens bruts (tels que des lavages de poumons ou des cultures de tissus non purifiés) et l’on déclare ensuite que les séquences sélectionnées sont d’origine virale. Il y a donc déjà deux problèmes : premièrement, il n’y a pas eu d’étape (c’est-à-dire de purification) pour montrer que les séquences proviennent de l’intérieur de “virus” et deuxièmement, comme décrit ci-dessus, les “génomes” générés par ordinateur sont simplement des modèles hypothétiques assemblés à partir de petits fragments génétiques, et non quelque chose dont l’existence a été prouvée dans la nature comme une séquence entière de 30 000 bases. Cependant, ces modèles in silico deviennent alors effectivement le “virus” et une entité telle que le SARS-CoV-2 est créée. Une fois que la première séquence de ce type est déposée dans une base de données, le “virus” peut être “trouvé” par d’autres grâce aux mêmes techniques métagénomiques défectueuses. Ou, comme l’indique l’article de Virology, il peut être “trouvé” par enrichissement de la cible et séquençage de l’amplicon (généralement par PCR), mais cela nécessite de disposer d’une séquence de référence… c’est-à-dire d’un modèle inventé in silico par séquençage métagénomique où la provenance des fragments génétiques était inconnue.

Il n’y a aucune partie dans le processus ci-dessus qui établit soit :

1) la composition génétique de toute particule imagée ou imaginée ; ou
2) la nature biologique de ces particules, c’est-à-dire ce qu’elles font réellement.

C’est une belle nanoparticule,
mais de quoi est-elle faite et que fait-elle ?

Pouvons-nous maintenant revenir à l’article de Hazan pour constater qu’il s’agit d’un exercice inutile de virologie absurde. Ils déclarent qu’avec leur “contrôle positif du SARS-CoV-2 provenant de l’ATCC”, les “génomes des patients ont été comparés au génome de référence du SARS-CoV-2 Wuhan-Hu-1 (MN90847.3)”. Le numéro d’accès MN90847.3 fait référence au “génome” actualisé qui aurait été trouvé chez l’homme de 41 ans de Wuhan, comme indiqué ci-dessus dans l’article de Fan Wu et al. La boucle est bouclée : à aucun moment il n’a été démontré qu’il y avait un virus en suivant cette piste de “génomes”. L’équipe de Fan Wu n’a jamais trouvé de virus, elle a simplement affirmé que sa simulation informatique de séquence génétique était une “nouvelle souche de virus à ARN de la famille des Coronaviridae”, sans prouver que la séquence existait dans la nature ou provenait de l’intérieur d’un virus. Par conséquent, il n’y a pas eu de “détection du SARS-CoV-2 à partir d’échantillons de matières fécales de patients” comme le prétend le titre de l’article de Hazan, à moins que “SARS-CoV-2” ne signifie des séquences génétiques d’on-ne-sait-quoi provenant d’on-ne-sait-où. Peu importe où ou à quelle fréquence ces séquences sont détectées – il n’a jamais été prouvé qu’elles étaient de nature virale. Ainsi, lorsque Steve Kirsch affirme que Hazan “a vérifié que la séquence du virus obtenue de l’ATCC correspondait exactement à ce qu’elle a trouvé chez les personnes atteintes du virus”, il se trompe.

De quel “virus” parle-t-il ?

Auteur : Dr. Mark Bailey
Mark est un chercheur dans le domaine de la microbiologie, de l’industrie médicale et de la santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Source (en anglais) : https://drsambailey.com/covid-19/warning-signs-youve-been-tricked-by-virologists/




L’invention du SARS-CoV-2

[Source : cv19.fr]

Deus Ex Machina et l’invention du ” SARS-CoV-2 “

Par Dr. Mark Bailey

Un mathématicien allemand travaillant avec le Dr Stefan Lanka vient de publier un rapport intitulé “Analyse structurelle des données de séquençage en virologie — Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2“. Il fournit encore plus de preuves que les virologues sont pris dans un monde de simulations informatiques – des simulations qui ne sont pas fiables même selon leurs propres termes, sans compter qu’elles sont déconnectées de la réalité. Cette analyse est une contribution importante qui expose un autre élément de l’anti-science utilisée pour soutenir cette fausse pandémie. En outre, il s’agit d’un démantèlement technique de la manière dont tous les “virus” sont inventés et ensuite “trouvés”, dans un jeu de tromperie permanent.

Voir : « La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité » (présentation vidéoEN)

L’article est très technique et nécessite une certaine compréhension de la manière dont les virologues créent un “génome”, en partant d’un échantillon brut provenant d’un patient prétendument infecté par le virus “COVID-19”. Pour vous faciliter la tâche, j’ai produit un résumé des principales conclusions, présentées ci-dessous :

  • Il a été démontré qu’aucune des séquences génétiques utilisées pour produire les génomes du ” SARS-CoV-2 ” ne provenait de l’intérieur d’un virus. L’origine des fragments génétiques n’est pas claire.
  • La séquence originale de novo du ” SARS-CoV-2 ” construite par ordinateur et publiée par Fan Wu et al n’a pas pu être reproduite par la méthodologie décrite dans leur article, ce qui soulève des questions sur la façon dont ils l’ont produite et ont annoncé le nouveau ” virus ” au monde.
  • Les protocoles PCR sont calibrés sur des séquences d’origine non confirmée que l’on retrouve clairement chez de nombreux humains et apparemment aussi chez d’autres chosesIl n’a pas été démontré que le processus PCR permettait de détecter un “virus”, et encore moins de diagnostiquer une maladie inventée appelée “COVID-19”.
  • Les virologues se trompent eux-mêmes en effectuant des amplifications à 35 ou 45 cycles, car cela peut entraîner la “détection” de séquences qui ne sont même pas présentes dans l’échantillon. En effet, la méthodologie peut aboutir à la “détection” de n’importe quelle séquence qu’ils espèrent trouver.
  • Fan Wu et al auraient pu trouver de meilleures correspondances pour le “VIH” et le “virus de l’hépatite D” que pour “un nouveau coronavirus” chez leur homme de 41 ans de Wuhan, qui a présenté une pneumonie comme l’un des premiers cas déclarés de “COVID-19”. S’ils veulent trouver un “virus”, tout dépend de ce qu’ils demandent à l’ordinateur de chercher.

Bien sûr, cela a beaucoup plus de sens quand on s’attaque à la racine du problème : le ” SARS-CoV-2 ” n’est rien de plus qu’une simulation informatique et il n’y a jamais eu de virus à l’origine – tout cela est une fraude mondialeFR. La virologie semble ignorer qu’elle s’enfonce davantage dans une crise épistémologique, et pas seulement dans le domaine de la génomique, comme le souligne cet article de Mike Stone. Dans l’article de Stone, j’ai remarqué dans la section des commentaires que le Dr Valendar Turner du Perth Group a souligné que feu Sir John Maddox, ancien rédacteur en chef de Nature, avait lancé un avertissement pertinent en 1988. Il semble que ceux qui s’immergent dans le monde des techniques de détection moléculaire indirecte risquent de ne plus voir la forêt derrière les arbres, comme il le déclarait si justement :

“N’y a-t-il pas un danger, en biologie moléculaire, que l’accumulation de données prenne tellement d’avance sur leur assimilation dans un cadre conceptuel que les données finissent par constituer un obstacle ? Le problème vient en partie du fait que l’excitation de la chasse laisse peu de temps à la réflexion. Il y a des subventions pour produire des données, mais pratiquement aucune pour prendre du recul et réfléchir.”

Maddox, J. Nature 335, 11 (1998)

Nous nous efforcerons de continuer à dénoncerFR ces méthodologies antiscientifiques et d’encourager les autres à se demander si l’industrie de la virologie, qui représente des milliards de dollars, et les “traitements” bidon qui y sont associés et qui proviennent du gigantesque complexe pharmaceutique, aident réellement les gens à améliorer leur santé. Pour ceux d’entre nous qui voient qu’il n’y a aucune base solide à tout cela, il n’y a aucune chance que nous suivions les conseils des médecins et des scientifiques qui font la promotion de ces modèles malsains. Et, ce qui est peut-être encore plus important, nous savons qu’il ne faut prendre aucun des produits pharmaceutiques frauduleux et de plus en plus pervers qui sont le produit de cette pseudo-science et qui sont utilisés comme véhicules pour délivrer des composants néfastes et non répertoriés. Une fois de plus, vous pouvez éviter tous ces problèmes en indiquant :

Où est le virus* ?

*Particule minuscule qui est un parasite intracellulaire obligatoire (c’est-à-dire capable de se répliquer et transmissible) contenant un génome entouré d’une enveloppe protéique protectrice, codée par le virus.

Auteur : Dr. Mark Bailey
Mark est un chercheur dans le domaine de la microbiologie, de l’industrie médicale et de la santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Source (anglais) : https://drsambailey.com/covid-19/deus-ex-machina-and-the-invention-of-sars-cov-2/




Lettre ouverte à l’Académie de Médecine : « La plaidoirie de la déficience intellectuelle aggravée est la seule à pouvoir vous tirer d’affaire »

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Mehdi Belhaj Kacem, pour FranceSoir

LETTRE OUVERTE — Chères et chers membres de l’Académie Nationale de Médecine,

Votre réputation n’est plus à faire. C’est vous qui avez, il y a déjà plus d’un an, prescrit à la population de remettre son masque entre deux bouchées pendant les repas, ou de ne pas parler dans les transports en commun, derrière les mêmes masques, pour limiter la transmission du virus, et autres conseils frappés au sceau du bon sens et de la rationalité.  Comme le dit un comique génial, récemment censuré sur YouTube, Sébastien Recchia : « Si ces gens sont médecins, moi, je suis spécialiste en fission nucléaire ».

Je ne doute pas une seconde que des expressions comme “conflits d’intérêt” ou “compte en banque offshore” soient totalement absentes de votre vocabulaire, et donc que vous soyez, déontologiquement, au-dessus de tout soupçon.

C’est donc en vertu de votre réputation, de votre compétence et de votre intégrité inattaquables que vous vous êtes fendus, tout récemment, d’un communiqué à l’adresse du personnel enseignant français, en particulier des directrices et directeurs d’école, intitulé sobrement : “Vaccination des enfants de 5-11 ans : ne plus hésiter”. Le menteur compulsif qui nous tient lieu de ministre de la Santé a commencé à prêcher publiquement en ce sens : ça sent, comme on dit, le tir croisé. Pour vous appuyer dans vos louables efforts, vous pouvez d’ores et déjà compter sur le médecin et haut franc-maçon Gilbert Deray (dont le nom évoque étrangement Gilles de Rais…), l’un des plus visibles sur les plateaux télévisés, et aussi l’un des mieux payés par l’industrie pharmaceutique en France ; sa spécialité étant la néphrologie, on peut dire que le fait de quitter gaillardement son domaine de compétence est, dans le monde où nous vivons, un sport très à la mode. Le plus grand penseur politique des cinquante dernières années, Guy Debord, qualifiait ce monde de “société du spectacle”, et disait qu’on y assistait à “la fin carnavalesque de la division du travail”.

“Un financier va chanter, un avocat va se faire indicateur de police, un boulanger va exposer ses préférences littéraires, un acteur va gouverner, un cuisinier va philosopher sur les moments de cuisson comme jalons dans l’histoire universelle. Chacun peut surgir dans le spectacle afin de s’adonner publiquement, ou parfois pour s’être livré secrètement, à une activité complètement autre que la spécialité par laquelle il s’était d’abord fait connaître.”

Au plus haut niveau, par exemple, on intronisera président de l’OMS (Organisation Mondiale du Sadisme) quelqu’un qui n’a jamais fait d’études de médecine, mais est plutôt connu, dans son pays, comme assassin, tortionnaire et dissimulateur d’épidémies de choléra. Le principal bâilleur de fonds de la même Organisation, qui dirige nos vies depuis deux ans, un informaticien médiocre, mais multimilliardaire eugéniste, qui n’a jamais étudié la médecine non plus, sera baptisé “médecin du monde” par la chaîne télévisée qu’il finance tout aussi bien. Enfin, un neurologue mythomane va vacciner de ses propres mains des femmes enceintes. Vous avez donc de qui tenir, vous qui n’êtes que les sous-fifres de ces gens-là.

Vous n’aurez jamais fait état, dans vos communiqués, des effets traumatisants et débilitants que deux années du port du masque auront provoqué sur nos enfants, diminuant considérablement leur taux d’oxygénation, et les mutilant d’une gamme presque infinie de capacités cognitives, ainsi que de leurs capacités de concentration. Pire, vous aurez avalisé les mesures qui ont déterminé cet état de fait, et donc collaboré activement à la martyrisation de toute une génération de têtes blondes. Vous aurez parrainé ce tournant civilisationnel majeur, qui consiste à rendre des enfants responsables de leurs parents et grands-parents (“si tu ne fais pas ce qu’on te dit, tu mets en danger la vie de papi et mami”), lors même que, dans toutes les innombrables cultures anthropologiques connues à ce jour, c’était le contraire qui était censé fonctionner, et les parents et grands-parents être responsables de leurs enfants et petits-enfants. J’avoue appartenir à cette vieille école, comme en témoigne la présente lettre, de façon sans doute déplorable à vos yeux “progressistes”.

Je suis un citoyen français, écrivain et philosophe, et père d’un merveilleux enfant de six ans. J’ai fait de très nombreuses interventions publiques depuis un an pour défendre l’avenir de ce dernier, et c’est donc plus que jamais à ce titre que je m’adresse à vous. Soit dit en passant : par mon métier, j’ai l’amour de la belle langue, et la mère de mon fils est professeure d’italien, à ses heures poétesse. Je trouve que la moindre des choses, quand on rédige des communiqués prenant une responsabilité si grave concernant la vie de nos enfants, c’est tout de même d’écrire un français correct. Or, à vous lire, la chose laisse largement à désirer, comme j’en donnerai quelques exemples croquignolets.

Je commence par la fin de votre communiqué, car là s’y trouve l’essentiel, à savoir vos consignes au corps enseignant pour populariser la “vaccination” de masse de nos lardons. De toute façon, peu importe l’endroit par lequel on prend votre lettre : celle-ci consiste en un frichti psychédélique d’aberrations sémantiques, une insulte à chaque ligne de la rationalité discursive, un copier-coller aléatoire d’inconsistances logiques.

« Afin de prévenir les risques individuels et collectifs liés à l’imprévisible évolution de la pandémie, les Académies recommandent de hâter la vaccination des enfants âgés de 5 à 11 ans contre la Covid-19… » C’est une sorte d’oxymore modal, comme il en abonde tant depuis deux ans de délire “sanitaire” à crâne ouvert : si l’évolution de cette “pandémie” est imprévisible, comment faites-vous pour la “prévenir” ? Toujours la “fin carnavalesque” de la division du travail : nous attendions des médecins, et nous avons en fait affaire à des diseuses de bonne aventure. Il faut “prévenir” une “pandémie” qui, de l’avis de nombreux spécialistes, est en train de s’éteindre partout. Au-delà des spécialistes, c’est l’écrasante majorité des gouvernements qui le pense, des pays de l’Est à l’Angleterre et à l’Espagne, des pays scandinaves à (au-delà de l’Europe) Israël, le pays le plus “vaccinoleptique” du monde : partout, les dictatoriales “mesures sanitaires” ont été levées, passe “sanitaire” ou “vaccinal” compris. Les quelques pays qui font un baroud d’honneur (c’est-à-dire de déshonneur) en ce sens, se comptent en Europe sur le doigt d’une main : France, Italie, Allemagne, Autriche et Belgique.

Lire aussi : L’Angleterre lève aujourd’hui toutes les restrictions sanitaires, le Danemark le 1er février

Pourquoi donc, attendu ce tableau d’ensemble, se “hâter”, toutes affaires cessantes, de “vacciner” des enfants qui ont un taux de survie de 99,998 % à ce virus ? Voici vos arguments : le variant Omicron atteint bien davantage les enfants que les autres (variants), même si ses symptômes sont ceux d’un simple rhume. Pourquoi donc, depuis que la vaccination existe, n’a-t-on donc pas vacciné les enfants contre le rhume ? Pourquoi la chose devient-elle tout à coup si urgente, et même frénétiquement nécessaire ? Mystère et boule de gomme.

Vous surenchérissez ensuite dans “l’art” de l’antiphrase : « Le bénéfice individuel doit être clairement expliqué aux parents : c’est un bénéfice direct incontestable par l’induction d’une immunité qui sera plus forte que celle induite par l’infection seule, ou qui la renforcera, et protègera les enfants en réduisant le risque de formes graves lié à de nouveaux variants, à court et moyen termes. » Si la “vaccination” induit une immunité plus forte que celle garantie par l’infection seule, comment pouvez-vous savoir que celle-ci ressortira renforcée par l’injection ? Cette phrase est, encore une fois, une insulte à la logique modale la plus élémentaire. Puis, vous reprenez du service divinatoire : il y aura, c’est certain, de nouveaux variants, et la “vaccination”, qui n’a pas protégé les adultes et adolescents des variants surgis après les injections, y parviendra pourtant avec nos enfants, par on ne sait quel miracle performatif. Bien plus : les meilleurs spécialistes du monde ont établi que lesdits nouveaux variants provenaient directement de la frénésie “vaccinale”. L’antiphrase est donc encore plus spectaculaire que sa simple forme signifiante immédiatement intelligible : vous conseillez, pour combattre les éventuels futurs variants, d’exercer la pratique même qui les provoque.

Vous devriez donc, à mon humble avis, retirer cette lettre de votre site, et vous adresser plutôt au personnel enseignant au titre suivant : vous réapprendre à vous exprimer dans un français correct, au sens de Boileau : “ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement”. À l’inverse, et comme vous le démontrez à chaque ligne, quand on a vocation à justifier l’injustifiable, à argumenter l’intenable, ou à être un vulgaire camelot, on s’enlise dans un marécage sémantique putride, où se noient toutes les règles élémentaires de ce qu’un illustre collègue, Ludwig Wittgenstein, appelait la “grammaire logique”.  

Vous n’en continuez pas moins sur cette prometteuse lancée, en nous disant “vouloir atteindre le plus rapidement possible une bonne couverture vaccinale”. Il est merveilleux de constater qu’un mot relevant plus du business model que de la santé, « couverture vaccinale », a remplacé le bon vieux mot qui désignait le bénéfice qui était attendu, naguère encore, d’un vaccin, à savoir l’immunité. Car ces vaccins n’empêchent ni la transmission ni l’infection (comme il est de notoriété officielle, et comme chacun a pu les constater dans son entourage), et le Covid-19 ne menace pas les enfants. Pourquoi voudrait-on les « couvrir », si ce n’est pour écouler des marchandises achetées en excès démentiel avec nos impôts, et qu’on ne pourra bientôt plus administrer à des adultes, excédés par la multiplication de « doses de rappel » d’un produit qui n’a si manifestement servi jusqu’ici à rien ? Ce sont les pays les plus vaccinés, comme Israël, Gibraltar ou… la France, qui ont enregistré les plus hauts taux de contamination, les plus grands nombres d’hospitalisations, ainsi que les pics de mortalité les plus verticaux. “On ne change pas une équipe qui perd” : telle semble être la devise, depuis deux ans, de nos plus hautes autorités “sanitaires”.

Voir aussi : « Nous vivons une grave crise de l’intelligence »: Ivan Rioufol publie son « Journal d’un paria »

Mais si, mais si, nous avancerez-vous en désespoir de cause, le vaccin a une utilité : celle de protéger les personnes à risque, lit-on à tout instant dans la presse oligarchique et subventionnée dont vous vous faites les vertueux relais, à moins que ce ne soit l’inverse. “Protéger les plus fragiles”, nous serine-t-on à longueur de temps pour promouvoir la panacée “vaccinale” universelle, et désormais à nos chères têtes blondes. Demain, leur demandera-t-on de marcher avec une canne parce que leur grand-père boite ? De porter des lunettes parce que leur tonton est bigleux ? « Tu dois protéger papi et mami, tous deux triples vaccinés, donc censément protégés, en te vaccinant contre une maladie qui ne te concerne pas, et qui n’empêche personne d’être contaminé ou infecté. » Autant leur dire de marcher sur la tête ; ou, de manière plus “crédible”, à quatre pattes, au prétexte que le virus circule à un mètre de hauteur du sol à peu près.

Vous envisagez ensuite plusieurs moyens « d’augmenter l’offre de vaccination (…) pour les enfants » (toujours le registre lexical du business) :

1° « en diversifiant les personnes autorisées à vacciner les enfants ». Là, je dois admettre que vous faites preuve d’une certaine générosité. Ce ne seront plus seulement les soignants, médecins ou infirmières, qui profiteront de la manne vaccinale en étant surpayés à vacciner à tour de bras : une infirmière peut se “faire” près de 12 000 euros de plus-value par mois grâce à cette activité, et un médecin s’est publiquement vanté de s’être “fait” plus de 165 000 euros grâce à la “vaccination” depuis plus d’un an. Mais il est hors de doute que toute cette mobilisation vise à une protection désintéressée de la santé publique. Il semblerait pourtant que cette “mobilisation totale”, comme le disait l’écrivain Ernest Jünger, ne suffise pas. À suivre votre “logique” jusqu’au bout, on pourrait convoquer à la rescousse les vétérinaires, les mécaniciens, les bouchers, les coiffeurs. À ce compte, le plus simple est encore, bien sûr, de demander au personnel enseignant lui-même d’apprendre à jouer de la seringue, sans prendre les balourds détours phraséologiques de votre lettre.

Dans la foulée, pourquoi ne pas aussi rééduquer vos collègues de l’Ordre des médecins, en leur administrant la piqûre de rappel sémantique suivante, totalement oubliée par eux depuis deux ans : que le but premier d’un médecin, c’est tout de même de soigner, non de sommer les malades de rester chez eux en prenant du Doliprane, ou de faire la promotion de potions chimiques expérimentales.

2° « en allégeant les obstacles administratifs qui limitent l’accès des enfants à la vaccination ». Ach ! La lourdeur administrative ! Quelle entrave à l’efficacité ! Car oui, sans toutes ces lois, ces codes civils, ces codes de Nuremberg ou d’Helsinki, ces conventions d’Oviedo, ces déclarations des droits de l’homme, tout serait tellement plus simple. On organiserait une sortie scolaire au vaccinodrome de Skyrock, et hop ! La fête à la piquouze pour tous les enfants, avec confiseries et joujous gratuits à la clé. Il est même permis d’interpréter cette phrase faussement anodine en un sens politiquement plus radical : ces enfants, pour lesquels la notion de « consentement libre et éclairé » n’a pas de sens, doivent aussi bien être soustraits au consentement de leurs parents. L’État sait mieux que ces abusifs géniteurs ce qui est bon pour leurs rejetons. Les Académies, comme la vôtre, qui pourvoient les conseils appuyant ces États bienveillants, et qui ont donné tant de preuves de leur rationalisme, de leur intégrité et de leur efficacité depuis deux ans, ne font qu’appuyer ce changement de paradigme civilisationnel, à côté de quoi les plus délirantes mesures prises par les pires régimes totalitaires du vingtième siècle sont de la petite bière. Nos remuants moutards doivent être matés sans ménagement, en étant de plus en plus soustraits à l’autorité de leurs parents, et livrés pieds et poings liés à la gestion des États, des Académies et des Multinationales bienfaisants.

3° « en favorisant les prises de rendez-vous de vaccination pour les enfants scolarisés ». Cela veut dire, par exemple, en les convoquant chez la directrice, où les attendrait l’institutrice ou la dame de la cantine une seringue à la main ? Vous parlez plus loin d’”équipes mobiles” : pourquoi ne pas dès lors inventer un nouveau jeu, sur le mode de la chasse à courre, où ce seraient les professeurs de sport qui cavaleraient derrière les enfants rétifs à l’injection-miracle ? Pourquoi ne pas organiser des rodéos vaccinaux, où l’on attraperait nos gosses récalcitrants au lasso ? Comme on disait en mai 68 : “l’imagination au pouvoir”, que diable !

4° « en organisant des séances de vaccination à l’école par des équipes mobiles, en concertation avec la médecine scolaire ». Si la médecine scolaire est de la partie, alors, c’est rassurant, et nous pouvons enfin respirer un bon coup (votre lettre a tout de même quelque chose de suffocant). Car la médecine scolaire est censée être correctement informée du caractère encore expérimental de ces thérapies géniques, qui n’ont reçu qu’une autorisation provisoire de mise sur le marché, suite à des essais cliniques dont il a été démontré (le “Pfizergate”) qu’ils ont été truqués.

Lire aussi : « PfizerGate » ? Révélations sur des essais cliniques falsifiés par le triptyque Pfizer – Ventavia – FDA

Vous évitez, dans cette lettre d’anthologie, de faire état des plus de 40 000 morts officiellement enregistrés à ce jour dans la seule Europe suite aux injections de masse, comme des plus de 3 000 000 d’effets indésirables, dont la moitié très grave ; mais vous mettez cependant en avant, toujours munis de votre cartomancie, la “rareté des effets indésirables post-vaccinaux” sur nos enfants.

5° « en “allant vers” les enfants porteurs de comorbidités et non vaccinés pour convaincre les parents de la nécessité de les vacciner face au risque de formes graves ». Là encore, votre maniement du français m’est tout à fait opaque. Pourquoi mettre “allant vers” entre guillemets, et en italiques ? Peut-être faites-vous là usage de quelque langage initiatique. Serait-ce trop vous demander que de m’en livrer quelques clés ? Car sinon, prise dans sa littéralité, la phrase est encore une fois une pure aberration sémantique : c’est en se jetant sur les enfants très fragiles que les enseignants vont convaincre les parents ? Avec vous, il y a décidément besoin d’explication de texte, voire d’exégètes spécialisés… On ne peut en tout cas pas vous reprocher votre manque d’inventivité. Depuis deux ans, la psychose covidiste a installé toute une Novlangue qui foule aux pieds tout ce qui nous tenait lieu jusque-là de rationalité clinique : “porteur asymptomatique”, “comorbidités”, “cas contact”… c’est à chaque ligne que vous enrichissez ce qui constituera un jour le Dictionnaire des idées covidistes, qui aura son Flaubert, ou son Léon Bloy.

6° « en utilisant tous les moyens d’information et de communication dévolus à l’éducation pour la santé afin de convaincre et rassurer les parents hésitants ». Ici, je sais bien que vous demander d’économiser l’usage des périphrases relèverait du vœu pieux, comme de vous conseiller d’aller plus droitement au but : “mettez en place tous les moyens de propagande dont vous disposez, pour convaincre les parents sceptiques d’utiliser sur leurs enfants un produit qui s’est déjà avéré inefficace, et souvent dangereux, sur eux-mêmes”. Ici, vous êtes en parfaite affinité avec la stratégie communicationnelle de notre président, qui a pourvu les médias grand public de trois milliards d’euros depuis son investiture ; argent qu’il eût été malvenu d’utiliser pour construire des hôpitaux, ou pourvoir de nouveaux lits ceux qui existent déjà. Le même a payé presque aussi grassement, pour la gestion de la prétendue “crise”, un cabinet d’affaires connu pour sa responsabilité dans la mort de plus de 500 000 américains.

7° « Les bénéfices collectifs de la vaccination des enfants doivent aussi être rappelés dans plusieurs domaines (scolaire, familial, état psychique, social, …), ainsi que le renforcement de l’immunité collective, nécessaire pour réduire la propagation des virus et limiter la possible émergence de nouveaux variants. » Cette phrase synthétise à merveille tout votre sérieux. Car, comme l’écrasante majorité d’entre vous se tient dans un confortable anonymat, il est impossible de vous demander publiquement quels sont vos domaines exacts de compétence. Cette phrase vous trahit, et nous les fait deviner en un éclair : vous êtes en vérité toutes et tous dentistes, au sens moyenâgeux du terme, tel notre ministre de la Santé, qui a quitté depuis deux ans sa spécialité neurologiste pour l’extraction de gencives signifiantes.

Car nous les avons vus, en deux ans, les “bénéfices” incommensurables du type d’instructions que vous nous avez délivrées sans compter : sur le plan “scolaire”, un sabotage presque total de l’éducation de nos enfants ; sur le plan “familial”, une sorte d’instauration de la guerre civile domestique (par exemple, “booster” les taux de divorce en statufiant sur le fait que l’autorisation d’un seul des parents est suffisante pour faire de l’enfant un cobaye) ; sur le pan de “l’état psychique”, une exponentiation vertigineuse des troubles psychiatriques, dépressifs et suicidaires chez nos adolescents et chez nos enfants ; sur le plan social, une aimable atmosphère de délation, de persécution et de pulsions génocidaires à l’encontre des non-vaccinés, qui rappellent les heures les plus glorieuses de notre longue histoire.

8° Je finis par mentionner ce qui constitue peut-être la perle de votre prosopopée informe, et qui prend une forme tout anodine, entre parenthèses : “La rareté des effets indésirables post-vaccinaux doit être mise en balance avec l’existence de formes sévères (PIMS, myocardite, Covid long) dont la fréquence risque d’augmenter avec la recrudescence des cas symptomatiques actuellement observés chez l’enfant.” Passe encore que vous vouliez faire accroire que c’est le virus lui-même qui provoque chez des enfants en bonne santé des PIMS et des Covids longs. Mais la myocardite ? Toute personne correctement informée sait que c’est avec la “vaccination” de masse qu’a commencé la flambée de myocardites (et de péricardites) chez d’innombrables jeunes gens et adolescents en parfaite santé. Et donc vous couronnez votre lamentable laïus par un mensonge patenté où, comme très souvent depuis deux ans, on inverse la relation de cause à effet (le sociologue Baudrillard parlait de façon prémonitoire de “précession des effets sur les causes”).

Je serais donc vous, je prévoirais de plaider, à l’avenir, la débilité mentale précoce, plutôt que de vous voir acculés à avouer le mensonge délibéré ; car il est impossible d’ignorer cet effet secondaire massif auprès de nos jeunes gens et adolescents. Promouvoir cette injection en pleine connaissance de connaissance sera donc, quand viendra l’heure des comptes, considéré comme sciemment criminel. La plaidoirie de la déficience intellectuelle aggravée, à laquelle votre prose invertébrée fournit de très solides arguments, est la seule à pouvoir vous tirer d’affaire. Prenez donc les devants, dès maintenant, et présentez sans plus attendre, dans votre future lettre publique, vos excuses à la population, pour deux années de mensonges patentés, et à jets continus.

Je finis cette lettre sur un appel d’offres public : j’aimerais savoir qui se cache, depuis deux ans, derrière tous ces entérinements “scientifiques” des mesures gouvernementales. Comme je l’ai dit plus haut, l’écrasante majorité d’entre vous se terre dans le plus confortable anonymat. Même les médecins de plateaux télévisés sont, à ce titre, plus loyaux que vous. Or, le jour où une démocratie digne de ce nom aura recommencé à exister en France, vous aurez, comme tous les complices de la mascarade quasi-littérale que nous subissons depuis deux ans, à répondre de vos prises de position en matière de santé publique : et ce, non seulement sur le plan de la médecine physique et mentale, mais aussi sur le plan politique, économique, social.

Voilà, je vous laisse sur ces menues considérations. Veuillez en tout cas ne surtout pas recevoir, en aucune façon, l’expression de mes salutations distinguées, ni celle de ma sympathie, pas plus que de mes cordialités.

Auteur(s): Mehdi Belhaj Kacem, pour FranceSoir




Le combat pour les libertés paye ! Au 11 février 2022 quatre provinces canadiennes vont être libérées grâce aux convois de la liberté

Par Gérard Delépine

Il y a trois semaines, dans un silence assourdissant des médias, les camions de la liberté ont commencé leur croisade contre les mesures prétendument sanitaires qu’imposaient les dirigeants canadiens et en particulier le passe vaccinal.

Trudeau et sa clique ont d’abord méprisé les camionneurs, puis les ont accusés d’être des complotistes, des suprémacistes blancs (l’une des figures du mouvement est une Indienne !), puis d’être manipulés par Moscou.

Il a affirmé qu’ils n’étaient qu’une poignée.

Mais sur les routes, les camionneurs ont partout été salués par la population.

Des manifestants applaudissent depuis un pont au-dessus d’une autoroute proche de Toronto le convoi de camions qui convergeait vers Ottawa, jeudi 27 janvier 2022 | COLE BURSTON/AFP

et les policiers ont refusé de les arrêter.

Fin janvier, ils ont occupé Ottawa dans le calme comme ils l’avaient promis et Trudeau s’est caché dans sa propriété sous protection policière pendant près d’une semaine, car il aurait été infecté par le Covid malgré ses trois doses.

À Ottawa, malgré l’état d’urgence décrété par le maire, l’occupation du centre-ville autour du parlement s’est poursuivie dans le calme.

« La situation actuelle est complètement hors de contrôle, car ce sont les protestataires qui font la loi », a déploré dimanche 6 février 2022, le maire Jim Watson sur une radio locale, constatant que les manifestants « sont beaucoup plus nombreux que nos policiers ».

L’état d’urgence est décrété.

Pour mettre fin à l’occupation de la ville, le maire prévient :

« Toute personne qui tenterait d’apporter un soutien matériel (carburant, etc.) aux manifestants risque d’être arrêtée. Cette mesure est désormais en vigueur. »

Dimanche 6 février, la police d’Ottawa a indiqué avoir procédé à 7 interpellations et 100 contraventions…(([1] https://twitter.com/OttawaPolice/status/1490657893657546753)) Peter Sloly, chef de la police d’Ottawa reconnaissant qu’il n’avait « pas suffisamment de ressources pour arrêter les manifestants ».

Le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles (JCCF), un groupe juridique représentant le Freedom Convoy à Ottawa, a déclaré que :

« la police enfreindrait la loi si la police tentait d’intimider ou d’arrêter des personnes qui apportent de la nourriture ou d’autres fournitures à des camionneurs qui exercent pacifiquement leurs charte, droits et libertés à Ottawa ».

« Les personnes qui apportent de la nourriture, de l’eau, de l’essence ou d’autres fournitures aux camionneurs qui manifestent pacifiquement n’enfreignent aucune loi. Il n’y a aucun fondement à cette menace policière », a déclaré l’avocat du JCCF, Nicholas Wansbutter dans un communiqué.

Certaines provinces canadiennes ont annoncé qu’elles annulaient leurs mandats de vaccination alors que les camionneurs canadiens protestataires continuent de bloquer les principales artères à la frontière canado-américaine et obstruent la capitale canadienne malgré la répression de la police d’Ottawa.

Premières victoires

Le Premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney, a annoncé lors d’un point de presse le 8 février que le programme de passeport vaccinal de la province prendrait fin à minuit et que la plupart des règles sanitaires de la province seraient terminées dans les trois semaines. Kenney a annoncé que les règles de masque obligatoires seront annulées pour les enfants de moins de 12 ans dans tous les contextes et pour tous les enfants dans les écoles.

Le 8 février 2022, le Premier ministre de la Saskatchewan, Scott Moe, a également déclaré que son gouvernement commencerait à lever ses ordonnances de santé publique en cas de pandémie selon une approche progressive, à compter de lundi 14 février avec la suppression de son programme de passeport vaccinal.

Le Québec, qui avait précédemment annoncé son intention d’imposer des amendes punitives aux non-vaccinés, a déclaré le 8 février que la plupart des restrictions seraient levées d’ici le 14 mars. Le Premier ministre du Québec, François Legault, a signalé la levée des mesures Covid dans sa juridiction d’ici la mi-mars.

« Nous devrons apprendre à vivre avec le virus. Il y aura peut-être une sixième vague éventuellement, mais nous devrons vivre avec Covid »

La province des îles du Prince Edward a également annoncé qu’elle allait supprimer les restrictions prétendument sanitaires.

Tamara Lich, l’une des leaders du mouvement, répondant à Trudeau qui refuse pour l’instant d’abolir les mesures sanitaires a déclaré :

« Notre départ se fera quand le Premier ministre fera la bonne chose et mettra fin à toutes les obligations et restrictions ».

Ces premières victoires montrent que les protestations populaires massives peuvent faire reculer les tyrans.

Effectivement les choses bougent puisqu’au Parlement fédéral, les conservateurs menés par Candice Bergen ont présenté une motion demandant au gouvernement de Trudeau de présenter un plan pour mettre fin aux obligations vaccinales et aux restrictions sanitaires d’ici la fin du mois.

Cette motion pourrait être adoptée grâce à l’appui du Bloc québécois Mario Simard qui s’est dit favorable.

CONVOI DE LA LIBERTÉ français. Le convoi de la liberté est en route

Les premiers véhicules doivent arriver à Paris ce vendredi 11 février 2022.



[Voir aussi :
L’ancien tireur d’élite de Trudeau coordonne la sécurité bénévolement pour les camionneurs après sa démission pour refus de se faire vacciner
La couverture biaisée par les grands médias de la manifestation des camionneurs canadiens
Camionneurs de la liberté à Ottawa : l’astucieuse et encourageante analyse d’une journaliste canadienne
Dernières nouvelles du Canada : Trudeau a fui les camionneurs (sous le prétexte local de test positif à la Covid)
Canada : le milliardaire Elon Musk soutient les camionneurs ; Trudeau se planque à l’arrivée des routiers
Camionneurs : au tour de l’Europe ?
Les camionneurs australiens organisent à leur tour un convoi vers leur capitale
Canada : un énorme convoi de camions se dirige vers la capitale pour protester contre l’obligation vaccinale des camionneurs. Mise à jour 4
100.000 camionneurs veulent bloquer Ottawa pour libérer le Canada
Convois de la liberté : après la sidération du peuple, la sidération de la caste
Le convoi de la liberté en France et ailleurs dans le monde — 9 février… Mise à jour 3
« Convoi de la liberté », la révolte populaire ne faiblit pas malgré la répression et les menaces
Manifestations à Londres et NY en soutien au Convoi de la Liberté
Impact positif du Convoi de la liberté à Ottawa au Canada
Carlson fustige Justin Trudeau sur les ondes de Fox News : « Il n’y a pas de despote plus effrayant que le premier ministre du Canada »
LE Grand Réveil de l’Amérique ! Mise à jour 3
La majorité des Canadiens souhaitent maintenant la fin de toutes les restrictions sanitaires
Le Canada tout entier s’est joint au convoi, sauf Trudeau qui accuse Freedom Convoy 2022 de propager la haine, le racisme et la violence
Désinformation contre le convoi de la liberté, de la part d’un organe de propagande mainstream
Les médias mainstream canadiens continuent bien sûr de mentir. Mise à jour 5
Les routiers canadiens roulent vers la capitale Ottawa contre le pass vaccinal]




Convois de la liberté : après la sidération du peuple, la sidération de la caste

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Les convois de la liberté vont-ils renverser définitivement un régime honni ? On peut le souhaiter. Après deux ans d’humiliations covidiennes, il faut que le Stalingrad déclenché par Macron en juillet 2021, qu’il est en train de perdre, ne s’arrête pas à une simple défaite ponctuelle. Il faut pousser notre avantage jusqu’à Berlin, rétablir la démocratie, et laver notre honneur.

Les convois de la liberté marchent sur Paris, où ils devraient arriver vendredi. Nul ne connaît à ce stade l’étendue du mouvement, ni ses intentions exactes. Encore que…

Mais ce mouvement pourrait tout à fait indiquer un renversement en profondeur : après avoir gouverné à force de sidération, par une série de coups brutaux bien orchestrés, la caste pourrait très bien, désormais, être victime des méthodes qu’elle a utilisées. 

On se régale !

Sidération au Canada, avec les convois de la liberté

Signe des temps, les convois de la liberté sont mondialisés, comme les mesures liberticides adoptées pour prétendument lutter contre le COVID et protéger notre santé. 

L’opération a débuté au Canada, là où brillent les bons élèves de la mondialisation. Tous ceux qui veulent retrouver l’impressionnante liste de Young Global Leaders schwabisés promus par Justin Trudeau soit comme ministres soit comme ambassadeurs peuvent se référer à mon article d’hier, qui est aussi le premier chapitre de mon livre, et accessoirement la description de la première étape du Great Reset, que j’appelle l’Agenda du Chaos. 

En faisant mes recherches, j’en suis resté bouche bée. Les Young Global Leaders sont un véritable nid de vipères. Tu découvres brutalement que, sous une pierre ou une motte de terre que tu croyais anodine, grouille toute une population de serpents sournois prêts à mordre. 

L’erreur de Trudeau, qui s’est comporté comme le premier de la classe devant maître Schwab, est de ne pas avoir compris qu’il n’était pas taillé pour le rôle. Et un matin, il s’est révélé avec un véritable siège d’Ottawa mené par tout le petit peuple, bien décidé à le dessouder de son siège. 

On se délecte par avance de la gestion de la crise canadienne. 

Car tous ceux qui ont suivi l’affaire ont bien noté que la caste et ses médias ont, au Canada comme en France, commencé par nier l’évidence : le peuple gronde, le peuple se révolte, mais ils refusaient de l’entendre. 

Comme chez nous, la nomenklatura canadienne a réagi par le déni, la surdité, le mépris, l’arrogance. Quoi ? Deux ans après une impressionnante campagne d’abrutissement des masses, le peuple bouge encore ?

Oh que oui ! et l’absurde maire d’Ottawa a beau déclarer l’état d’urgence, les blocages continuent. 

Je pense ici à tous ceux qui répètent à l’envi depuis plusieurs mois qu’il faut se contenter de manifester sagement pour ne pas justifier l’instauration de l’état d’urgence par Macron. Mais démonstration est faite ! l’état d’urgence ne change rien. Un blocage est un blocage, et quand le peuple prend possession de la rue, la police ne peut plus rien. 

En France, la sidération va-t-elle changer de camp ?

Deux ans d’abrutissement ! c’est bien le mot. Deux ans que nous petit-déjeunons, déjeunons, soupons quotidiennement avec le spectacle d’une maladie dont on ne connaît toujours pas le véritable nombre de victimes, mais qui est brandie comme une image du Diable par des prêtres exorcistes. 

Car deux ans d’abrutissement, ce sont d’abord deux années d’une formidable régression intellectuelle de la caste, qui s’est mue en grande inquisitrice pour effrayer tous les sceptiques. Qu’on ne me parle plus jamais des “Lumières” qui seraient détenues par nos dirigeants. Ils ne sont que des talibans morbides, des Savonarole, noyés dans les peurs et les calculs tordus pour cacher leur incompétence et leur incapacité à gouverner sans mobiliser le populisme des peurs primales.

Deux ans d’abrutissement à subir des dîners de famille où le beau-père t’épuisait avec son angoisse de la maladie, et où la belle-soeur te reprochait de ne pas être vacciné. Deux interminables années où n’importe quelle stupidité dite sur TF1 ou France Inter, ou écrite dans n’importe quel torchon du style de 20 Minutes devenait prétexte à un appel au génocide. 

Combien de diplômés, de médecins, d’enseignants, de hauts fonctionnaires sous hypnose manifeste n’avons-nous pas dû subir, durant ces deux ans, en acceptant leurs humiliations, leurs mensonges manifestes, leurs dénis, leurs injures, leurs menaces, leurs appels à la haine ?

Combien d’innocents Rudy Reichstag et Tristan Mendès-France n’ont-ils pas dénoncé comme dignes du bûcher durant ces deux ans d’occupation intérieure ?

Une belle épuration, moi, je leur mettrais. 

Et c’est bien ce qu’on peut leur souhaiter, à tous ces menteurs, ces imposteurs, ces trouillards, ces lâches, qui se sentaient forts parce que le Petit Timonier de l’Elysée leur flattait la croupe et leur répètait qu’ils étaient les meilleurs. Un bon renversement de la sidération. Je veux les voir mouiller leur culotte en rendant des comptes pour tous ces moments où nous avons dû cacher notre qualité de citoyens de la République. 

Dira-t-on un jour combien la grandeur de la France a été humiliée par tous ces fakes qui ont prétendu détenir la vérité, qui nous ont forcé à tricher avec de faux passes sanitaires pour rentrer dans un café, qui nous tiennent à l’écart des théâtres, des concerts, des musées, de la culture dont ils sont des usurpateurs ? 

Je suis pour qu’ils paient chèrement ces moments d’incompréhension dans les yeux de ma fille, lorsque je lui expliquais qu’aller au ski, au poney, au restaurant, au musée, à la bibliothèque municipale risquait de devenir compliqué parce que nous appartenons aux pestiférés que le pouvoir a désigné comme indésirables. 

Ils nous ont volé du temps de vie, avec leurs conneries. Qu’ils réparent maintenant, au centuple. 

Le Young Global Leader Gabriel Attal continue à forer droit

Alors que les signaux virent au rouge pour la caste mondialisée depuis plusieurs semaines, leur cécité continue, et leurs petits soldats s’obstinent à forer droit dans le granit. 

Regardez Gabriel Attal. Il fait partie de la promotion 2020 des Young Global Leaders. C’est un homme de Davos. L’un des pions de l’Agenda du Chaos. Lorsque ces occupations mondialisées lui en laissent le temps, il est accessoirement porte-parole du gouvernement.

Cruelle ironie de cette France au bord du gouffre où son gouvernement s’exprime par la bouche d’une tête à claques stipendiée par les apatrides. 

Que nous dit-il ? 

Que le passe vaccinal, accouché dans la douleur il y a quinze jours, sera “levé” dans un mois. Et il ajoute que la France est l’un des pays d’Europe qui a imposé le moins de contraintes dans la lutte contre le COVID. 

Mais de qui se moque-t-il ?

Je me souviens encore de ce 15 août 2021 où, dans ma bonne ville de Liège, j’ai fait la fête au milieu d’une foule sans masque quand, en France, il était interdit de danser dans les bars, et il était interdit d’entrer dans les bars sans passe sanitaire.

Attal ment. Attal est aux ordres. Attal, par arrivisme, a trahi son pays pour servir la soupe aux profiteurs de la mondialisation. 

Je ne forme qu’un voeu, expiatoire, aujourd’hui : ils nous ont trahi, qu’ils paient, et qu’ils paient chèrement. 

Je l’ai écrit plusieurs fois. Le 12 juillet 2021, Macron a vendu son âme au Great Reset en imposant d’inutiles souffrances à son peuple. Il s’est lancé dans une bataille de Stalingrad qu’il est en train de perdre. 

Ne nous contentons pas de lui infliger une défaite ponctuelle. Poussons notre avantage jusqu’à Berlin. Assiégons-le dans son bunker. 

Je vois les camions, les voitures, les motos affluer sur Paris, et je ne forme qu’un voeu : celui de cet ultime siège, que j’espère victorieux, pour laver l’infamie dont nous avons été victime. 

Que la caste mondialisée sache enfin ce qu’il en coûte de mépriser le peuple et l’intelligence. 




Les mensonges des médias et les rites sacrés de la secte des « vaccins » Covid

[Source : Sott.net]

Par Kit Knightly — OffGuardian

La couverture médiatique de la mort de Szilveszter Csollany montre que le fait d’être catalogué comme « anti-vaccin » dépend davantage de ce que l’on pense que de ce que l’on fait.

© Inconnu
Traduction de l’image : Voir ci-dessous.

The Independent a fait une entrée précoce (et en force) dans la course au prix du « pire journalisme de l’année », en rapportant hier la mort de l’entraîneur de gymnastique hongrois Szilveszter Csollany avec le titre :

« Le médaillé d’or olympique anti-vaccin Szilveszter Csollany meurt du Covid, à 51 ans »

[à gauche sur l’image – NdT]

Le problème flagrant de ce titre apparaît clairement trois paragraphes après le début de l’article :

« Alors que Csollany avait, selon le [journal hongrois Blikk] exprimé des opinions anti-vaccination sur les médias sociaux, le sextuple médaillé des championnats du monde avait été vacciné pour pouvoir continuer à travailler comme entraîneur de gymnastique. »

[à droite sur l’image – NdT]

Le traitement journalistique est épouvantable, pernicieux jusqu’à en être criminel.

Les preuves fournies pour les prétendues « opinions anti-vaccination » de Csollany sont inexistantes. Des ouï-dire de seconde main, au mieux. Aucune citation directe, aucune source indiquée. OffGuardian aurait honte de publier quelque chose d’aussi peu convaincant. N’importe quel média devrait en avoir honte.

Mais, bien sûr, ce n’est pas la partie la plus scandaleuse — comme vous pouvez le voir dans la partie [mise en gras – NdT] de la citation ci-dessus — le supposé « anti-vaccin » avait été « vacciné ».

Enfouir cela dans l’article, avec un tel titre, est une tromperie délibérée. Ils savent que de nombreuses personnes liront le titre et supposeront qu’il n’a pas été « vacciné » sans jamais lire l’article en lui-même, et ils comptent là-dessus pour répandre une impression intentionnellement fausse. La définition même de la désinformation.

Après avoir délibérément déformé la vie de cet homme, ils en font de même pour sa mort. Ils ne lui accordent même pas le respect d’une évaluation honnête quant à ses dernières semaines de vie et ignorent totalement toutes les questions pertinentes relatives à sa santé.

Ils ne se demandent jamais pourquoi un homme de 51 ans, auparavant en bonne santé, a dû être placé sous respirateur, ni comment une pneumonie associée à l’usage d’un respirateur ou un traumatisme induit par ce dernier ont pu contribuer à son décès.

L’article admet volontiers qu’il est mort « du Covid » alors qu’il avait été « vacciné », mais il ne tente même pas de l’expliquer, et se contente d’une phrase en l’air qui suggère « qu’il a contracté le virus peu de temps après avoir été « vacciné » et qu’il n’avait donc pas accumulé suffisamment d’anticorps », ce qui n’est étayé par aucun avis ou source médicale.

Après avoir admis qu’il avait ÉTÉ « vacciné », et seulement peu de temps avant sa mort, l’article n’envisage même pas une seconde la conclusion logique évidente : le « vaccin » a pu jouer un rôle dans sa mort, ou l’a carrément tué. Il ne réfute même pas l’idée, il refuse simplement de reconnaître son existence.

Mais en réalité, le pire aspect de ce trou noir d’intégrité n’est pas le titre délibérément trompeur, ni le manque d’éthique journalistique la plus élémentaire, c’est bien plus profond que cela. Un message tacite est dissimulé dans la tonalité de l’écriture, et on peut également observer la présence d’un glissement des définitions linguistiques.

La pensée implicite enfouie dans le texte est la suivante : même s’il a été « vacciné », ses prétendus doutes signifient qu’il était toujours un « anti-vaccin » et qu’il méritait donc de mourir. Qu’en exprimant ses « opinions anti-vaccination », il a attiré sur lui la malédiction du Covid. Comme s’il avait attiré la colère de Dieu en proférant une hérésie. Ce n’est pas la première fois que nous voyons le récit officiel tenter, voire réussir, à séparer le sens du terme « anti-vaccin » du statut vaccinal d’une personne.

En Australie, le Premier ministre des Territoires du Nord Michael Gunner a récemment déclaré aux médias :

« Si vous soutenez ou confortez quelqu’un qui argumente contre le vaccin, vous êtes un anti-vaccin, peu importe votre statut personnel en matière de vaccination. »

Oui, en Australie, un anti-vaccin peut être une personne « vaccinée » qui « conforte » une autre personne opposée au « vaccin », et elle n’a pas besoin d’être d’accord avec celle qui est anti-vaccin, tolérer son point de vue est suffisant. C’est un système de croyance digne de l’âge des ténèbres, dans lequel il suffit d’entendre parler d’hérésie pour être souillé. Tout cela fait partie de la redéfinition, ou plutôt de l’élargissement de cette dernière, de ce que signifie, à la base, le terme « anti-vaccin » dans l’esprit des gens. Encore un autre « pivotement de notre langue ».

Note du traducteur : Sur « pivoter le langage », voir l’article de l’auteur, traduit et publié par Sott.net : Covid — Sournois et radical, le CDC modifie le sens du statut vaccinal

Szilveszter Csollany est accusé d’avoir « exprimé des opinions anti-vaccination » sur les médias sociaux, mais dans le climat actuel, cela peut signifier presque n’importe quoi : s’opposer aux obligations vaccinales, aux passeports vaccinaux ou à l’injection pour lesenfants de vaccins toujours en phase de test. Toutes ont été décrites comme des positions « anti-vaccin ». Vous pourriez avoir reçu tous les vaccins [« habituels » – NdT] qui vous ont été proposés, mais si vous refusez le « vaccin » Covid parce que les données de sécurité à long terme sont méconnues, vous serez quand même qualifié d’« anti-vaccin ».

Et désormais, vous pouvez vous bien faire « vacciner », mais vous serez catalogué comme un « anti-vaccin » parce que vous avez déjà exprimé des doutes ou posé des questions. L’injection est devenue l’équivalent littéral d’un rite religieux, dans lequel vos croyances sont tout aussi importantes que vos actions, peut-être même plus. Les « vaccins » sont « sans danger et efficaces », tel est le mantra de l’ère moderne, scandé dans les chapelles télévisées.

Au début, on disait aux gens qu’en étant anti-vaccin, ils allaient mourir, car les « vaccins » sont le sang nouveau du Christ, et en les acceptant dans son cœur, on est promis à la vie éternelle. Ce conditionnement est allé si loin que les gens l’inversent et le recrachent : désormais, si vous mourez, vous devez forcément avoir été anti-vaccin. Être « vacciné », mais ne pas croire au « vaccin », est tout aussi hérétique que de rejeter le « vaccin », et dans un tel esprit, vous resterez non « vacciné ».

Et comme une cucking stool des temps modernes, si — comme le pauvre Szilveszter Csollany — vous vous faites injecter le « vaccin » et mourez quand même, cela montre seulement que votre foi n’était pas assez forte, que vous étiez secrètement un anti-vaccin dans l’âme, et la presse le mentionnera dans votre nécrologie. Les médias parlent tous de cette façon.

Note du traducteur : Une cucking stool était une chaise attachée au bout d’une perche, utilisée autrefois pour plonger les délinquants dans un étang ou une rivière en guise de punition. Elle était notamment utilisée Angleterre et en Écosse.

Je ne sais pas du tout s’ils le font de façon malhonnête pour créer cette atmosphère bizarre de ferveur religieuse, ou s’ils ne réalisent même pas qu’ils le font de façon malhonnête pour créer cette atmosphère bizarre de ferveur religieuse à force d’être pris par le fanatisme. Et je ne sais pas ce qui est le pire.

Quoi qu’il en soit, le but est clair : établir un monde où être « anti-vaccination » n’est plus défini par ce que vous faites, mais par ce que vous dites et pensez, voire même ce que vous permettez aux autres de penser. Une étiquette passe-partout, si vague qu’elle est fonctionnellement dénuée de sens, mais universellement appliquée à toute personne qui s’écarte d’un seul degré du courant dominant, la transformant en un outlander qui doit être absolument évité.

C’est vraiment une secte. Il n’y a pas d’autre façon de le décrire.

Source de l’article initialement publié en anglais le 26 janvier 2022 : OffGuardian
Traduction et emphases : Sott.net




Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

[Voir aussi :
Premier jour du procès : Reiner Fuellmich s’adresse au Jury, et expose les faits. Mise à jour]

Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importanteCette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultimequi est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement inefficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

[Note de Joseph : en toute rigueur scientifique, ce n’est pas le virus lui-même qui est traité, sachant notamment qu’il n’a jamais été isolé (voir :
L’enterrement de la théorie virale
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey), mais les symptômes attribués à une maladie nommée Covid-19 et dont les causes sont manifestement autres qu’un virus naturel.]

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui.

Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en mains par l’autre partie par le biais de leur principale plate-forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous.
Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.
Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Organisation mondiale de la santéBill GatesBlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.
Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Kurz, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, -la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. […]


[Source : http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_620229c67d6b4.pdf]

Transcription complète

Grand Jury – Session 1

https://youtu.be/ELTFNkCdzjA

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




Les données officielles du gouvernement du Canada indiquent que les personnes entièrement vaccinées ne sont qu’à quelques semaines du syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA)

[Source : resistance-mondiale.com]

Les données du gouvernement du Canada sur le Covid-19 suggèrent que la plupart des personnes “entièrement vaccinées” développent un syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) complet induit par le vaccin Covid-19, après avoir confirmé que le système immunitaire des personnes entièrement vaccinées s’est déjà dégradé à une moyenne de moins 81 %.

[Voir aussi :
Les données officielles indiquent que les personnes triplement vaccinées développent le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) à un rythme alarmant

Au contraire du scientisme ambiant depuis plusieurs décennies, la rigueur scientifique tend à démontrer qu’il n’existe aucun lien causal entre VIH et SIDA, mais que ce syndrome qui couvre les symptômes de plusieurs maladies provient en fait d’intoxications (aggravées par la malnutrition). Voir :
Dr. Claus Köhnlein – Du SIDA au Covid-19 : une arnaque qui dure depuis plus de 40 ans
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
La pseudo vaccination anti-Covid est elle-même source d’intoxications multiples, dont celle due à la protéine Spike.]

Les chiffres de la Covid-19 canadienne sont produits par le gouvernement du Canada (voir ici).

Leurs dernières données sont disponibles en format pdf téléchargeable ici.

La page 20 et suivantes des données sur les cas de Covid-19 depuis le tout début de la campagne de vaccination contre le Covid-19 au Canada le 14 décembre 20 jusqu’au 15 janvier 22 –

À première vue, il semblerait que le Canada connaisse actuellement une pandémie de personnes non vaccinées, les personnes entièrement vaccinées n’étant pas loin derrière. Mais cette apparence est une fraude.

En examinant un rapport publié précédemment avec des chiffres sur les cas entre le 14 décembre 2020 et le 4 décembre 2021, puis en effectuant une simple soustraction, nous sommes en mesure de déduire le nombre de cas de Covid-19 par statut vaccinal entre le 5 décembre 2021 et le 15 janvier 2022, et ils sont stupéfiants.

Voici le tableau du nombre de cas par statut vaccinal entre le 14 décembre 2020 et le 4 décembre 2021, grâce au don de la ‘WayBackMachine ‘ –

Le tableau suivant montre le nombre de cas par statut vaccinal entre le 5 décembre 2021 et le 15 janvier 2022, une fois que nous soustrayons simplement les chiffres du 4 décembre des chiffres du 15 janvier dans les deux tableaux ci-dessus –

Comme vous pouvez le voir clairement, malgré l’énorme discrimination contre les non vaccinés par le Premier ministre canadien Justin Trudeau, le Canada connaît une pandémie de personnes entièrement vaccinées, avec ce groupe démographique enregistrant un nombre choquant de 492 893 cas entre le 5 décembre et le 15 janvier 2022, contre seulement 61 971 cas parmi la population non vaccinée.

Au Canada, selon le rapport du 4 décembre, 22,2 millions de personnes sont au moins doublement vaccinées et 23,2 millions de personnes sont au moins partiellement vaccinées.

Selon les statistiques officielles, la population du Canada en 2020 était estimée à 38,01 millions –

Par conséquent, puisque 23,1 millions de personnes au Canada ont reçu au moins une seule dose d’un vaccin contre la Covid-19, cela laisse environ 14,81 millions de personnes au Canada qui ne sont pas vaccinées contre la Covid-19 .

Le gouvernement du Canada ne parvient pas à produire les taux de cas par 100 000 qui nous permettront de déterminer l’efficacité du vaccin dans le monde réel, mais heureusement, nous pouvons déterminer nous-mêmes quels sont ces taux de cas.

Pour calculer le taux de cas non vaccinés pour 100 000, il suffit de diviser la taille de la population non vaccinée par 100 000, puis de diviser le nombre de cas par la réponse à l’équation précédente.

Population = 14,81 millions / 100 000 = 148,1
Nombre de cas = 61 972 / 148,1 = 418,4

Ce qui signifie que le taux de cas non vaccinés est de 418,4 cas de Covid-19 pour 100 000 habitants.

Nous effectuons ensuite un calcul similaire pour les personnes entièrement vaccinées –

Population = 22,2 millions / 100 000 = 222
Nombre de cas = 492 893 / 222 = 2 220,23

Ce qui signifie que le taux de cas entièrement vaccinés est de 2 220,23 cas de Covid-19 pour 100 000 habitants.

Ensuite, nous pouvons utiliser la formule d’efficacité du vaccin de Pfizer pour déterminer l’efficacité du vaccin dans le monde réel.

Taux de cas non vaccinés – Taux de cas vaccinés / Taux de cas non vaccinés = Efficacité du vaccin
418,4 – 2 220,23 = -1 801,83/ 418,4 x 100 = moins -430,6 %

Par conséquent, l’efficacité réelle du vaccin Covid-19 au Canada est de MOINS-430,6 %. Cela signifie que les personnes entièrement vaccinées sont 5,3 fois plus susceptibles d’être infectées par le Covid-19 que la population non vaccinée. C’est ce que la vaccination a fait aux Canadiens.

Mais l’efficacité d’un vaccin n’est pas vraiment une mesure d’un vaccin, c’est une mesure de la performance du système immunitaire d’un vacciné par rapport à la performance du système immunitaire d’une personne non vaccinée.

Le vaccin Covid-19 est censé entraîner votre système immunitaire à reconnaître la protéine de pointe de la souche originale du virus Covid-19. Pour ce faire, il demande à vos cellules de produire la protéine de pointe, puis votre système immunitaire produit des anticorps et se souvient de les utiliser plus tard si vous rencontrez à nouveau la partie pointe du virus Covid-19.

Mais le vaccin ne traîne pas après la formation initiale, il laisse votre système immunitaire s’occuper du reste. Ainsi, lorsque les autorités déclarent que l’efficacité des vaccins s’affaiblit avec le temps, ce qu’elles veulent vraiment dire, c’est que la performance de votre système immunitaire s’affaiblit avec le temps.

Le problème que nous voyons ici est que le système immunitaire ne revient pas à son état d’origine et naturel. Si c’était le cas, les résultats de l’infection par Covid-19 seraient similaires aux résultats parmi la population non vaccinée.

Au lieu de cela, il continue de décliner à un rythme qui signifie que la population non vaccinée a un système immunitaire plus performant, ce qui signifie que les injections de Covid-19 déciment le système immunitaire des personnes entièrement vaccinées.

Mais pour déterminer les performances du système immunitaire, nous devons modifier légèrement le calcul utilisé pour déterminer l’efficacité du vaccin et diviser notre réponse par le plus grand des taux de cas vaccinés ou non vaccinés.

Taux de cas non vaccinés – Taux de cas vaccinés / le plus grand taux de cas non vaccinés / vaccinés = Performance du système immunitaire

418,4 – 2 220,23 = -1 801,83/ 2220,23 x 100 = moins-81,55 %

Cela signifie que les Canadiens entièrement vaccinés ont actuellement une réponse immunitaire inférieure de 81,55 % à celle des non-vaccinés contre le Covid-19.

Par conséquent, le Canadien moyen entièrement vacciné n’a plus que 18,45 % de son système immunitaire pour lutter contre certaines classes de virus et certains cancers, etc. La question est de savoir quand les 18,45 % restants de son système immunitaire seront épuisés ?

Si nous recommençons tout ce que nous avons fait ci-dessus avec les chiffres tirés du rapport Covid-19 du gouvernement du Canada contenant des données jusqu’au 4 décembre 2021 , et un autre rapport précédent contenant des données jusqu’au 13 novembre 2021 , nous pouvons déterminer le vrai- l’efficacité mondiale des vaccins et les performances du système immunitaire entre le 14 novembre et le 4 décembre 2021.

Cela nous permettra de voir le taux de déclin entre le 14 novembre et le 15 janvier 2022.

Voici les chiffres sur les cas par statut vaccinal entre le 14 décembre 2020 et le 13 novembre 2021 –

Il ne nous reste plus qu’à les soustraire des chiffres du 4 décembre pour calculer le nombre de cas par statut vaccinal entre le 14 novembre et le 4 décembre 21.

Le tableau suivant nous montre la réponse –

La majorité des cas étaient encore parmi les personnes entièrement vaccinées, mais comme vous pouvez le voir, les niveaux par rapport aux non vaccinés étaient loin des niveaux observés entre le 5 décembre et le 15 janvier 2022.

Sur la base des niveaux de vaccination à l’époque, ces chiffres équivalent à un taux de cas de 91,45 pour 100 000 parmi les non vaccinés et à un taux de cas de 101,06 parmi les personnes entièrement vaccinées.

Par conséquent, l’efficacité du vaccin dans le monde réel entre le 14 novembre et le 4 décembre 21 équivalait à moins-10,5 %, et la performance du système immunitaire à moins-9,5 %.

Cela signifie qu’entre le 4 décembre et le 15 janvier 2022, l’efficacité du vaccin a chuté de 420,5 % et les performances du système immunitaire ont chuté de 71,6 % par rapport aux chiffres enregistrés entre le 14 novembre et le 4 décembre 2021.

Nous n’osons pas vous dire ce que cela pourrait signifier pour le système immunitaire des personnes entièrement vaccinées au Canada d’ici la fin février 2022.

Ces chiffres vraiment étonnants montrent que nous sommes plus de 5 fois plus à l’abri du Covid-19 que les vaccinés dans une chambre, un restaurant, un bar, une discothèque, un train, un bateau ou un avion rempli de personnes non vaccinées que nous ne le sommes avec ” personnes complètement vaccinées ».

Il semble également que les non vaccinés atteignent l’immunité du sous-groupe contre Covid-19 alors que les vaccins entièrement vaccinés sont empêchés de l’atteindre par les vaccins.

Les chiffres canadiens ont détruit le dossier des passeports pour les vaccins partout dans le monde et prouvent à eux seuls le cas d’une interdiction immédiate de la thérapie génique et de la vaccination aux protéines de pointe.

Si les personnes entièrement vaccinées se débrouillent si mal contre Covid-19, c’est parce que les anticorps induits par le vaccin contre la protéine spike Alpha sont pratiquement inutiles contre Omicron. Ainsi, la détérioration progressive du système immunitaire causée par la production incessante de la protéine spike n’a presque rien pour se cacher, rien pour se protéger.

Le Royaume-Uni compte 72,1 % de la population double vaccinée, 55,6 % de la population triple vaccinée, 5,8 % de la population partiellement vaccinée et 22,1 % de la population non vaccinée ( ourworldindata ). Les Britanniques s’en tireront donc un peu moins bien que les Canadiens en ce moment, avec un pourcentage nettement plus élevé de victimes de la vaccination.

Les données officielles du gouvernement canadien sur le Covid-19 montrent que toute personne entièrement vaccinée sera atteinte du SIDA à médiation vaccinale dans un laps de temps très court, à moins que quelque chose ne change radicalement. La partie du système immunitaire qui reste actuellement capable de combattre l’Omicron se sera dissipée.

Cela entraînera un lourd fardeau pour les services de santé du Canada, ainsi que des souffrances et des décès massifs. Tout cela nous a été infligé par un système de santé corrompu. Ce doit être le plus grand but contre son camp de l’histoire médicale.

Source : https://dailyexpose.uk/2022/02/06/canada-gov-data-suggests-fully-vaccinated-developing-ade/




France info diffuse une publicité mensongère visant les enfants !

Par Gérard Delépine

Ce 7 février 2022 vers 16 h, j’écoutais France Info lorsque j’entendis une publicitémensongère qui a fleuri un temps sur les panneaux des autoroutes avant d’être heureusement abandonnée.

« Enfant de 5 à 11 ans, vous pouvez vous vacciner pour vous protéger et protéger les autres »

Comment le ministère de la Santé peut-il faire diffuser une publicité aussi mensongère ?

Les enfants jeunes sont naturellement protégés de la maladie et ne font que très exceptionnellement des formes graves.

Ils peuvent être contaminés par leurs parents, mais ne risquent pratiquement rien contrairement à ce qu’affirment certains médecins et journalistes des plateaux télé. Lors de la première vague, selon les chiffres de l’Organisation Mondiale de la Santé et du National Health Service ils ne représentaient que 1 à 2 % des cas et le plus souvent sans aucun symptôme.

Daniel Lévy-Bruhl, pédiatre et épidémiologiste, rappelait qu’en juin 2021 on recensait depuis le début de la crise « 13 décès d’enfants, dont 10 étaient considérés comme imputables au Covid-19 » précisant :

« Il n’y avait qu’un seul enfant dont le décès était survenu dans un contexte où la seule cause possible était le Covid-19. Pour les autres enfants, soit ils avaient des facteurs de risque, soit le décès est survenu dans un contexte où plusieurs éléments ont pu contribuer à l’issue fatale et en particulier des infections sévères parmi lesquelles on a retrouvé le Sars Cov-2 ».

Par comparaison, la grippe saisonnière tue chaque année entre 7 et 10 enfants… Pour les enfants le Covid est 3 à 10 fois moins mortifère que la grippe banale.

Ils ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel d’un pseudo vaccin par ailleurs incapable de prévenir l’infection.

Promettre aux enfants « vaccinez-vous pour vous protéger » est donc un pur mensonge.

Les enfants ne contaminent pas les autres et leur vaccination ne peut donc pas protéger les autres

Plus de 20 études épidémiologiques dans plus de dix pays(([1] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available:
https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/children-and-covid-19))(([2] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020;25:2000903.))(([3] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020 Google Scholar)) ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

— L’étude de Santé Publique France(([4] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America)) est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.

— L’étude de l’institut Pasteur(([5] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020)) sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

— L’étude Coville(([6] Prévalence du portage du SRAS — Cov2 chez les enfants asymptomatiques et légèrement symptomatiques (COVILLE)
https://www.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04318431))(([7] Prévalence du portage du SARS–CoV2 chez l’enfant asymptomatique et pauci symptomatique, étude transversale, prospective, multicentrique, observationnelle en soins primaires
https://www.infovac.fr/docman-marc/public/covid-19/1689-coville-study/file)),
dirigée par le professeur Robert Cohen, portant sur 600 enfants âgés de 0 à 15 ans conclut : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

B Lee et W. V. Raszka confirment dans une revue générale publiée dans Pediatrics(([8] Benjamin Lee et William V. Raszka Covid19 transmission children are not to blame Pediatrics aug 2020, 146 e2020004879; DOI :
https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879)): « transmission du COVID-19 et enfants : l’enfant n’est pas à blâmer. »

Promettre aux enfants « vaccinez-vous pour protéger les autres » est donc totalement mensonger.

D’ailleurs, les pseudo vaccins actuels sont incapables d’arrêter les épidémies.

Pour s’en convaincre, il suffit de regarder les évolutions du nombre de nouveaux cas journaliers dans les pays qui ont vacciné le plus comme Israël :

Ou en Grande-Bretagne :

Ou la France injectée à 80 %

Je croyais qu’il existait une loi interdisant la publicité mensongère… et de surcroît de la publicité pour un médicament remboursé par la sécurité sociale… Les temps ont changé.





La Polynésie réclame l’arrêt des mesures liberticides liées à la Covid et aux pseudo vaccins




Dr Wodarg : extrême prudence en raison de la dissimulation de la composition du vaccin Covid 19 !

[Source : Kla.tv]



Arne Burkhardt et Walter Lang, pathologistes de Reutlingen, ont pu confirmer pour la première fois que la protéine Spike, produite dans le corps par le vaccin Covid-19, pourrait être responsable d’inflammations et de lésions des vaisseaux sanguins pouvant entraîner la mort.

Des militants américains ont montré, en analysant les dommages causés par les vaccins, à quel point les lots de vaccins ont des effets extrêmement variables, allant de l’absence quasi-totale d’effets secondaires à des milliers de complications très graves, souvent mortelles. Cela est dû à une composition différente des doses de vaccin, ce qui ne devrait pas exister et qui est passé sous silence par Big Pharma, la politique et les médias.

Regardez maintenant les conclusions novatrices et les recommandations urgentes que le Dr Wodarg, spécialiste allemand en immunologie, donne sur ces faits.


Bonjour chers « promeneurs » ! [à l’écran : nom que se donnent en Allemagne les manifestants depuis l’interdiction de manifester]

Je suis heureux de pouvoir m’adresser à vous. Ces derniers temps, j’ai beaucoup réfléchi et j’ai appris beaucoup de nouvelles choses. Après m’être occupé des virus pendant de nombreuses années, je n’ai en fait plus guère envie de m’occuper de ce sujet, car il n’y a en fait rien de nouveau en matière de virus. Il y a du nouveau dans la biotechnologie. La biotechnologie prend un essor prodigieux, car elle s’est mise au service de ceux qui veulent changer le monde, qui veulent étendre leurs intérêts, étendre leur pouvoir. Avant, ils le faisaient avec des guerres. Aujourd’hui, les guerres sont difficiles. Aujourd’hui, celui qui déclenche une guerre doit s’attendre à devenir lui-même une victime. Aujourd’hui, on utilise d’autres choses pour faire peur et la biotechnologie s’y prête très bien. Elle fait des choses qui sont très petites, on ne peut les voir qu’avec des appareils spéciaux. On peut y croire ou ne pas y croire. Les effets des interventions biotechnologiques arrivent parfois beaucoup plus tard.

Cette pandémie à laquelle on nous fait croire à l’aide du test PCR, est en totale contradiction avec ce que la plupart des gens vivent. Et ils font à nouveau l’expérience de la grippe cet hiver. Certains l’ont attrapée ; elle a touché un grand nombre de personnes, certaines en meurent. Mais ce qui est nouveau cette année, cet hiver, c’est qu’après un an d’applications génétiques et biotechnologiques imposées à des milliards de personnes, les prétendus vaccins, qui sont en fait des interventions génétiques, ont des conséquences. Au début, il était très difficile de savoir quelles étaient ces conséquences, ce n’était pas toujours le cas. Certaines personnes ont eu des effets secondaires très graves, d’autres n’ont rien ressenti du tout ou ont seulement ressenti quelque chose à l’endroit de l’injection. Il y a eu des séries où, dans une maison de retraite, beaucoup de ces personnes qui avaient reçu cette injection sont mortes peu après. Il y a ces nombreux sportifs, ces jeunes hommes musclés qui ont reçu une injection dans le muscle et qui ont ensuite eu une myocardite ou une insuffisance cardiaque. Donc il y a eu beaucoup de phénomènes différents que nous avons vus, mais ce n’était pas non plus chez tout le monde. Maintenant, on voit un peu plus clair dans cette obscurité : après que quelques scientifiques très, très intelligents ont analysé de plus près les données de la base de données des effets secondaires VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System] aux États-Unis. Ils ont en effet constaté que seuls quelques lots provoquaient ces effets secondaires graves. La plupart des lots ne provoquent presque pas d’effets secondaires, pas plus d’effets secondaires que d’autres vaccins connus également. Mais quelques lots sont très dangereux. Certains ont entraîné un risque trois mille fois plus élevé que les vaccins normaux, d’autres un risque mille fois plus élevé, deux mille fois plus élevé. Et des centaines, voire des milliers de personnes en sont mortes. Cela signifie qu’en fait, ce n’est pas possible, parce que les seringues qui sont vendues doivent contenir la même chose partout. Et cela n’existe pas ailleurs, qu’un prétendu vaccin contienne parfois quelque chose de dangereux et parfois non.

Nous assistons actuellement à l’apparition d’une toute nouvelle technologie censée nous immuniser, mais ce n’est pas le cas. Car ces injections dans le muscle ne nous empêchent pas de continuer à être infectés par des virus et de transmettre ces virus. Même de transmettre les Coronavirus, même le variant Omicron, qui est l’un des nombreux variants à venir, elle se transmet. Et nous nous contaminons avec eux. Mais ce n’est pas ce qui nous rend si malades, ce qui nous rend malades maintenant, ce qui rend beaucoup de gens malades, ce sont les effets secondaires de ces injections. Ce sont les thromboses dues aux protéines Spike. Ce sont aussi les inflammations, les déficiences immunitaires qui apparaissent. Tous ces effets sont dus en partie aux protéines formées dans le corps, ou au fait que le système immunitaire est réorienté dans le corps et que le système immunitaire n’est pas confronté à des parties de virus là où il le fait habituellement, c’est-à-dire dans la bouche et le pharynx, mais quelque part dans le corps. Et ça irrite le système immunitaire, ça le perturbe et ça conduit à des réactions erronées. En outre, comme on le sait maintenant, les protéines Spike peuvent pénétrer dans le noyau des cellules immunitaires et peuvent y provoquer de graves perturbations et entraîner une déficience immunitaire. Cela aussi est de plus en plus observé, mais curieusement, ce n’est pas le cas partout. Sinon, des millions de personnes mourraient et des millions de personnes tomberaient malades dès maintenant. Nous ne savons pas si des millions de personnes ne tomberont pas malades plus tard à cause des effets à long terme. Mais ce qu’on observe dans la banque de données, c’est que justement, pour certains lots, beaucoup tombent malades, mais ça veut dire que les entreprises pharmaceutiques ne mettent pas toujours la même chose dans les seringues.
Et ça ne doit pas se produire, nous avons en fait des autorités de contrôle qui garantissent que c’est une norme, que ce qui est écrit est bien ce qu’il y a dedans. Elles ne le font pas. Et ça s’explique à mon avis par le fait que nous avons maintenant, ce qu’on appelle la « procédure télescopique ». Nous sommes soi-disant en situation de pandémie, et dans cette situation beaucoup de choses sont autorisées, qui ne le seraient jamais autrement.

Il y a des phases où les vaccins sont testés : Phase un – deux – trois – et ensuite l’autorisation de mise sur le marché et ensuite une étude d’observation – phase quatre – encore après. En fait, nous sommes dans la phase quatre, où toutes les autres étapes devraient déjà avoir eu lieu. Mais nous savons que pour beaucoup de ces vaccins, il n’y a pas eu de véritables tests sur les animaux. Et beaucoup de choses n’ont pas été exclues. Des essais n’ont été réalisés que sur des personnes en bonne santé, bien que ces vaccins soient maintenant recommandés pour les malades et même pour les femmes enceintes ! Cela signifie que beaucoup de choses sont inconnues et que beaucoup de choses sont en train d’être testées.

Et c’est bien sûr une énorme opportunité. Il y a maintenant 128 fabricants de vaccins différents qui font des essais cliniques – certains même avec des virus qui se reproduisent eux-mêmes ; c’est-à-dire des vaccins qui se reproduisent eux-mêmes – jadis cela n’aurait jamais été autorisé. Et le patron de Bayer a lui-même déclaré lors du « Global Health Summit » à Berlin : « Il est étonnant de voir tout ce que les gens acceptent maintenant. Il y a deux ans, personne n’aurait accepté ce qu’on injecte aujourd’hui. Et l’industrie est ravie ; ils ont de nombreux brevets, ils peuvent maintenant tout essayer, et personne ne le remarque. Le comité d’éthique approuve tout…, après tout, c’est une pandémie. Et maintenant, beaucoup se réjouissent déjà des nouveaux vaccins, des vaccins qu’on prétend meilleurs. Ils essaient quelque chose qui n’existait pas auparavant. Et ils ne savent pas comment ils vont l’essayer. Il existe les études pour la détermination de la dose, le vaccin est injecté à forte dose à des gens et à dose plus faible à d’autres. Nous observons la même chose actuellement, par exemple Biontech l’a fait avec des millions de personnes aux États-Unis. Ils ont eu des seringues, des lots, qui ont eu 3 000 fois plus de létalité – 3 000 fois plus d’effets toxiques, d’autres ont eu 2 500 fois plus, puis ils en ont eu une avec 2 000 fois d’effets toxiques, puis avec 1 500, 1 000 et 500. Ils ont donc correctement titré, et cela pendant la phase quatre. D’habitude, on le fait avec peu de gens en phase deux. Et maintenant, on le fait comme ça, sans que personne ne le remarque.

Et vous, chers médecins, vous êtes d’accord avec cela ! Vous faites ces injections. Vous transformez vos patients en cobayes. Saviez-vous que ce sont des expériences qui sont faites ici ? Vous pouvez le lire, c’est publié dans les données VAERS. J’ai mis les sources sur mon site et je l’explique également. Ce qui se passe actuellement est un crime. Ce sont des essais sur l’homme – ; et les gens ne sont pas d’accord, ils sont contraints de le faire. C’est une chose très grave que de transformer en cobayes des personnes qui n’ont pas le choix. Cela s’est déjà produit en Allemagne et a conduit aux procès de Nuremberg. Et ces personnes qui ont fait cela ont été condamnées. Ce qui se passe actuellement ce n’est pas un hasard ; mais ce sont des expériences qu’on fait volontairement, et intentionnellement. Et on profite de la peur des gens et de la prétendue « situation d’urgence » et de la stupidité des politiciens qui laissent passer ça, et de la corruption des institutions qui sont censées nous protéger. Ils nous exposent à ces expériences. La biotechnologie donne des possibilités inimaginables. Maintenant pendant la pandémie, ils peuvent essayer tout ce qu’ils voulaient essayer depuis longtemps. Mais les politiques qui sont censés nous protéger ne le comprennent manifestement pas, ou alors ils sont corrompus.

Je peux bien imaginer que certains le comprennent très bien, ceux qui sont particulièrement bruyants et qui nous disent : c’est nécessaire, il faut le faire. Ceux qui ont aussi de très bonnes relations avec l’industrie. Je suis consterné par cette énergie criminelle que nous observons, et surtout que les médecins acceptent ça et y participent. Je me réjouis qu’il existe désormais une base de données dans laquelle on peut faire des recherches. Si on va sur Google, on la trouve sous le titre : « How bad is my batch » « A quel point mon lot est mauvais ». Là, on peut voir lesquelles de ces doses étaient très dangereuses, lesquelles sont moins dangereuses. Bien sûr, il est possible que les doses futures n’y figurent pas encore. Mais si vous devez ou voulez vous faire injecter ou si vous y êtes contraint et que vous voulez quand même le faire, demandez à votre médecin s’il sait de quel lot il s’agit, s’il s’agit d’un des lots dangereux ou d’un lot qui ne l’est pas, où il n’y a que du sel de cuisine, ou qui ne contient rien de nocif.

Demandez à votre médecin, ne vous faites pas injecter n’importe quoi. Chaque médecin devrait savoir quels lots lui sont livrés et devrait être sûr qu’on a vérifié ce qu’il y avait dedans, non ? Nous savons maintenant qu’il n’y a pas la même chose dans tous les lots. C’est interdit. Nous savons que cela se fait quand même. On nous force à prendre ces injections. Et c’est pourquoi, chers médecins, vous devez demander ces informations, demandez ce que vous avez reçu, ce qu’on vous a livré. Chers pharmaciens, demandez : « qu’est-ce que vous me livrez-là ? Comment puis-je être sûr de ce qu’il y a dedans ? » Et chers patients, dites NON. Dites non à l’injection si vous n’êtes pas sûr qu’il s’agisse d’un produit contenant ce qui est écrit. Et même dans ce cas, dites non. Car vous ne pouvez toujours pas être sûr – ce sont des criminels qui sont à l’œuvre. Et vous ne devez pas vous livrer à ces criminels. J’espère vraiment que notre justice se remettra en marche. Elle pourrait bien sûr se rendre immédiatement chez Biontech, confisquer les ordinateurs, aller immédiatement voir ce qui se passe réellement. Vérifier immédiatement, dans les livres, dans les ordinateurs, partout, pour voir ce qu’ils ont fait. Mais notre justice préfère aller voir les médecins qui essaient de protéger les patients de ces injections et elle fouille le cabinet de ceux-ci plutôt que d’aller voir ces criminels. Nous vivons dans un monde terrible.

Les gens qui sont responsables de tout cela, qui ont planifié cela depuis longtemps, ils abusent des biotechnologues et des virologues et des pharmacologues pour entretenir notre peur. Les gens qui meurent maintenant dans les hôpitaux, prétendument avec le Covid, la plupart d’entre eux meurent des effets secondaires des injections. Et quand on dit que ceux qui se trouvent dans les hôpitaux sont tous des non vaccinés ! Vous savez, les non vaccinés, ce sont aussi des gens qui ont reçu le vaccin, l’injection, au cours des 14 derniers jours et qui ne sont pas encore comptés parmi les vaccinés. Mais c’est justement pendant ces 14 premiers jours que se produisent les effets secondaires aigus et graves. Cela signifie que de nombreuses personnes sont rendues malades en recevant une injection et on les compte parmi les non vaccinés. Ce qui est bien sûr totalement faux et c’est délibérément un aveuglement épidémiologique.

C’est incroyable tout ce qu’on nous demande de faire. Et je trouve merveilleux que vous descendiez dans la rue. Je trouve ça merveilleux que vous vous défendiez et que vous ne vous laissiez pas transformer en victimes d’un projet criminel. Je vous remercie tellement de vous engager et je vous souhaite tout le bonheur possible, une bonne santé et beaucoup de plaisir les uns avec les autres quand vous vous promenez dans les rues lors des manifs pacifiques. Vous ne devez pas avoir peur les uns des autres, les personnes vaccinées qui ont survécu ne doivent pas non plus avoir peur. Et j’espère qu’il n’y aura pas de conséquences à long terme pour ceux qui n’ont pas eu d’effets secondaires. Restons unis, vaccinés et non vaccinés. Et chassons les criminels de la maison, afin que nous puissions à nouveau débattre et nous entendre démocratiquement, conformément à notre loi fondamentale, dans des conditions de vie normales, comme nous en avons l’habitude. Restez courageux. Restez engagés. Restez unis.
Et oui, à la prochaine fois. Au revoir, Wolfgang Wodarg.

de hm

Sources / Liens : Dr. Wodarg zu den verschwiegenen Covid-19-Impf-Zusammensetzungen
https://www.bitchute.com/video/JqINeUu312v3/




Les effets secondaires graves des injections expérimentales éclatent au grand jour dans le monde entier

Par Nicole Delépine

Protégeons les injectés ! Qu’ils stoppent cette intoxication et protégeons les enfants ! Que les parents ne les condamnent pas à un avenir incertain !

La plupart des injectés ne veulent pas entendre parler des drames post injections et préfèrent continuer à écouter la pensée magique de Véran et de ses complices malgré leurs mensonges permanents.

Pourquoi ? Difficulté à reconnaître qu’on s’est trompé ? Drame psychologique personnel ? Pourtant, regarder la réalité en face pourrait leur éviter d’aggraver leur état avec les autres doses que Veran veut imposer de plus en plus fréquemment. Il existe manifestement une toxicité cumulative, en particulier en matière de problèmes cardiaques et neurologiques. Tentons de les informer par des tracts, des discussions à la sortie des magasins, pendant les manifestations, etc.

Tentons de les informer le plus doucement et humainement possible, car ce sont des victimes. Victimes du viol des consciences par les médias, les patrons, mais aussi des familles angoissées qui ont harcelé les vaccino prudents jusqu’à ce qu’ils se laissent « convaincre » et deviennent des « malgré nous ».

N’ajoutons pas un jugement de valeur aux pressions subies et mensonges médiatiques répétés qu’ils ont subis. Informons-les pour qu’ils épargnent leurs enfants.

Rappelons d’emblée qu’aussi bien aux USA qu’en UE ou en Grande-Bretagne, ou en Suisse le nombre d’effets délétères est extrêmement élevé par rapport aux complications enregistrées des vax depuis trente ans.

Toutes les classes d’âge ont été atteintes par les effets secondaires, y compris les plus âgées

Chez les sujets âgés, à haut risque par leurs pathologies sous-jacentes de tous types (artérite, etc.), la mortalité a été élevée lors des premières doses, mais le lien de causalité directe est systématiquement nié.

Sauf en Norvège (https://www.lindependant.fr/2021/01/15/covid-19-la-norvege-annonce-le-deces-de-23-personnes-suite-a-des-injections-du-vaccin-pfizer-9313761.php), où après la mort post vaccinales de 23 pensionnaires de maison de retraite les autopsies réalisées chez 13 d’entre eux suggéraient que des effets secondaires courants pourraient avoir contribué à des réactions graves chez les personnes âgées fragiles.

À la suite de ces constatations, l’agence sanitaire a recommandé de ne pas injecter les personnes âgées de plus de 80 ans. « Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves ». « Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents ».

De nombreux vieillards sont morts rapidement après leur première dose par AVC, infarctus ou « mort subite » en plus des gens âgés en EHPAD ou en HAD « euthanasiés » sans leur volonté au Rivotril (de l’ordre de 10 000).

Et le pouvoir a poussé à les injecter sous prétexte de leur fragilité qui n’a que renforcé les risques de l’injection. Encore maintenant, on entend trop souvent dire qu’on pourrait réserver le « vax » aux plus de 65 ans, alors qu’il existe des traitements précoces efficaces et que les plus vieux restent des citoyens à part entière qui ont aussi la liberté de penser et d’accepter ou non ce poison. S’exonérer d’un refus total de ces thérapies géniques est inacceptable…

Chez les gens de tous âges porteurs d’une maladie chronique, on note de plus en plus des aggravations de ces pathologies spécifiques : cancers(([1] Thérapies géniques anticovid et cancers — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) (y compris en rémission avec évolution rapide), maladies neurologiques de type SEP, etc., et autres auto-immunes de tous genres.

Chez les plus jeunes, la survenue de myocardites(([2] MYOCARDITES POST VACCIN COVID : RISQUE INACCEPTABLE CHEZ L’ENFANT QUI NE RISQUE RIEN DU VIRUS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) post injections a rapidement été notée, d’autant plus fréquente que le « vacciné » est plus jeune et en particulier chez les adolescents. Nous sommes très inquiets pour les plus petits qui commencent à être injectés sans raison sanitaire réelle.

Chez les femmes, de nombreux troubles des cycles menstruels qui durent, fausses couches augmentées de façon importante, naissance de nouveau-nés qui décèdent rapidement dans le mois qui suit la naissance, ont rapidement attiré l’attention depuis les premiers mois des injections, qui auraient dû faire interrompre les vax de la part du corps médical et refuser de la part des citoyens, et imposer au minimum un moratoire.

Point actuel sur les chiffres publiés sur différents sites officiels

Selon le site américain VAERS

VAERS data des Centers for Disease Control & Prevention

Total de 1 071 856 déclarations d’événements indésirables dans tous les groupes d’âge après injection anti-COVID :

22 607 décès et 178 994 événements graves entre le 14 décembre 2020 et le 21 janvier 2022.

Les données DMED (pharmaco vigilance des armées américaines) ont fuité

Avec les principaux effets secondaires constatés par comparaison aux années antérieures. Précisons qu’il s’agit d’une population jeune en bonne santé donc ces chiffres sont particulièrement inquiétants.(([3] Il y a une tentative de relativiser en changeant l’année de comparaison, mais ces chiffres restent instructifs))

  • Tachycardie : augmentation de 202 %
  • Cancer du testicule : augmentation de 269 %
  • Dysfonctionnement ovarien : augmentation de 337 %
  • Migraines : augmentation de 352 %
  • Embolie pulmonaire : augmentation de 368 %
  • Infertilité féminine : augmentation de 372 %
  • Néoplasmes de la thyroïde et d’autres glandes endocrines : augmentation de 374 % 08
  • Démyélinisation : augmentation de 387 %
  • Cancer du sein : augmentation de 387 %
  • Syndrome de Guillain-Barré : augmentation de 451 %
  • Tumeurs malignes des organes digestifs — augmentation de 524 %
  • Sclérose en plaques : augmentation de 580 %
  • Tumeurs malignes de l’œsophage : augmentation de 794 %
  • Maladies du système nerveux : augmentation de 948 %
  • Hypertension : augmentation de 2 081 %

Myocardites en fonction de l’âge rapportées par le VAERS

Les atteintes cardiaques ont été les premières à inquiéter sérieusement les Israéliens au début des injections massives. Elles ont été rapidement constatées aux USA et demeurent un drame terrible pour les jeunes particulièrement touchés dont parallèlement les risques du covid lui-même étaient zéro.(([2] MYOCARDITES POST VACCIN COVID : RISQUE INACCEPTABLE CHEZ L’ENFANT QUI NE RISQUE RIEN DU VIRUS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) Insistons sur le fait que l’atteinte cardiaque même si elle ne tue pas tous les patients affectés reste une lésion définitive qui va compromettre l’espérance de vie du sujet très probablement et en tous cas le rendre incapable d’activités sportives intenses.

Taux d’effets secondaires : les chiffres sur le site du gouvernement du Canada

Des effets secondaires graves post-vaccination « par 100 000 doses administrées et non par 100 000 personnes »

Selon le site de l’ANSM pour la France

Selon le site de l’UE 27 pays

Et dans le détail des pathologies

Drame chez les enfants pourtant à risque zéro du covid :

Via t.me/vaccinosceptique

DRAME CHEZ LES SPORTIFS

https://etouffoir.blogspot.com/2022/01/vaccins-des-sportifs-et-des-athletes-du.html?m=

VACCINS —Des sportifs et des athlètes du monde entier perdent leur carrière, leur santé et parfois leur vie, par suppression tyrannique de leur droit à disposer d’eux-mêmes.

Conclusion

Il est évident que l’accumulation des effets secondaires déclarés dans le monde n’est plus possible à résumer en un article, tant les données sont importantes en nombre et qualité. Ce petit résumé a pour but de rappeler la dangerosité de ces injections toujours expérimentales et donc d’aider à résister à l’injection de commodité par lassitude du harcèlement.

Mais comme le répète Mike Yeadon inventeur de la technique et lanceur d’alerte inquiet des conséquences de sa création, l’effet de l’injection est irréversible, tant pour les conséquences rapides que surtout pour les effets à long terme.

Protégez vos enfants. REFUSEZ TOUTE INJECTION.





L’ancien tireur d’élite de Trudeau coordonne la sécurité bénévolement pour les camionneurs après sa démission pour refus de se faire vacciner

[Source : Annie Tissot]

[Lors de sa démission :]

« Les officiers de police doivent connaître les limites de leur autorité.
Même en période d’urgence l’Emergency Act garantit les droits fondamentaux aux Canadiens : droit de se déplacer, droit à la liberté, à la sécurité, droit à ne pas être retenu sans raison, égalité devant la loi, droit à la protection…

Selon la Loi Suprême du Canada je suis engagé « à faire respecter la loi »

Je ne peux être complice de la politique fédérale : elle est injuste, contraire aux droits fondamentaux.
Notre devoir est de faire appliquer la loi, d’empêcher les crimes, d’enquêter sur les violences. Je pense aux intimidations envers nos scientifiques, aux médicaments retirés.
Nous demandons une enquête sur ces actes criminels. Le peuple est divisé, en colère.
Si nous refusons la soumission, sans violence, notre nombre grandira. Si nous continuons à obéir rien ne changera et nous en serons responsables. »

Vidéo en anglais :



[Voir aussi, en français :
Canada SPÉCIAL :
un courageux policier de la GRC dénonce la gestion tyrannique et illégale de la crise Covid]


[Source : resistance-mondiale.com]

Le caporal Daniel Bulford, un ancien tireur d’élite de la RCMP (Royal Canadian Mounted Police) qui a été démis de ses fonctions après avoir refusé de se faire vacciner, a un nouvel emploi : il soutient les opérations de sécurité pour les bénévoles du programme “Adoptez un camion”.

Avant que la conférence de presse pour les médias dignes de confiance couvrant le Convoi de la Liberté ne commence, The Counter Signal a rencontré Bulford, qui a confirmé qu’il ne protège plus le Premier Ministre ingrat.

Beaucoup se souviendront de Bulford pour une interview explosive avec The Counter Signal l’année dernière, dans laquelle il s’est prononcé contre le mandat de vaccination, qualifiant la décision du gouvernement d’imposer un tel mandat de “comportement de type autoritaire”.

Tous ceux qui souhaitent regarder l’interview complète peuvent le faire en cliquant ici.



M. Bulford, ardent défenseur de la liberté des Canadiens et porte-parole de Mounties 4 Freedom, a démissionné en raison de son refus de se conformer au mandat.

Oui, après avoir servi son pays pendant plus de dix ans, il a été congédié à cause d’une décision médicale très personnelle.

Il s’est ensuite entretenu avec Rebel News, expliquant les raisons qui l’ont poussé à rester sur ses positions et à ne pas se conformer au mandat.


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“Je fais partie d’une catégorie que l’on pourrait considérer comme étant à faible risque – j’ai presque 40 ans, juste un peu moins, je suis en très bonne santé, très actif, je n’ai pas de comorbidités sous-jacentes – et j’ai intégré à mon style de vie, depuis probablement l’école secondaire, le fait de prendre la santé et la forme physique au sérieux”, a expliqué M. Bulford.

De toute évidence, sa passion pour la défense de ses concitoyens canadiens n’a pas diminué d’un iota, et il a maintenant un travail tout aussi important pour protéger les camionneurs qui l’apprécient sans doute plus que Trudeau ne l’a jamais fait.

Source : https://www.thecountersignal.com/news/former-sniper-for-trudeau-is-now-head-of-freedom-convoy-security


[Source : GlobalNews]

Le porte-parole de la manifestation des camionneurs affirme avoir des « informations très fiables » selon lesquelles personne n’a été arrêté

S’adressant aux journalistes jeudi à Ottawa (Ontario), Daniel Bulford, ancien agent de la GRC et actuel porte-parole des manifestations du « Convoi de la liberté 2022 », a déclaré qu’il disposait d’« informations très fiables » selon lesquelles personne directement associé à la manifestation n’avait été arrêté ou inculpé par la police, malgré les rapports faisant état de multiples arrestations liées aux manifestations de camionneurs en cours dans la capitale nationale.




PCB : De courageux spécialistes des États-Unis, de Russie et de République tchèque partagent la vérité sur la vaccination

[Source : bcp-video.org]


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Regardez cette vidéo sur: https://courageux.wistia.com/medias/xfcq41bkqc   
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Les premiers mois de l’année dernière (2020) ont été marqués par l’épidémie d’une infection qui a causé moins de décès que la grippe saisonnière ordinaire. Cette pandémie artificielle a non seulement affecté les soins de santé, mais a également paralysé l’économie, l’éducation, la vie privée, et a sapé le moral. Le Vatican a pris une part active à cette pandémie artificielle. Le pseudo-pape lui a ouvert la voie par l’idolâtrie de Pachamama, promouvant sans relâche la légalisation de la sodomie. Dieu a placé devant nous le feu temporel (2P 2:6) et éternel (Jude 1:7) comme exemple d’avertissement de punition contre la sodomie. Par ses activités criminelles, Bergoglio a consciemment jeté une malédiction sur l’Église et sur l’humanité. Ce pseudo-pape a cyniquement boycotté les avertissements urgents des experts contre la vaccination par ARNm. Il a forcé tout le Vatican à se faire vacciner. Tous, à l’exception de trois gardes, ont succombé.

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB), d’autre part, a soutenu la véritable position des scientifiques moraux incorruptibles, qui ont défendu la vérité contre ce système de mensonge. Rappelons-nous leur voix. Ils comprennent des scientifiques américains de haut niveau tels que le Dr Judy Mikovits et le Dr David Martin, la microbiologiste tchèque Soňa Peková et le professeur Alexander Redko de Russie. Mentionnons brièvement la conférence scientifique à Saint-Pétersbourg qui s’est tenue les 20 et 21 octobre 2021, ainsi que le sommet des médecins à Rome, les 12 et 14 septembre 2021, où plus de 12.700 médecins et scientifiques ont signé la Déclaration de Rome. Ils ont qualifié la vaccination expérimentale forcée de crime contre l’humanité, comme cela est défini dans le Code de Nuremberg.

Comment les spécialistes américains David Martin et Judy Mikovits caractérisent-ils le vaccin ?

Dr David MartinCe n’est pas un vaccin. Il s’agit d’un ARN messager conditionné dans une enveloppe graisseuse qui est délivrée à une cellule. Il s’agit d’un dispositif médical conçu pour stimuler la cellule humaine afin qu’elle devienne un créateur d’agents pathogènes. Ce n’est pas un vaccin… Les vaccins sont en fait un terme défini par la loi. Il s’agit d’un terme légalement défini en vertu de la loi sur la santé publique et des normes du CDC et de la FDA.

Rocco Galati : Alors, comment dois-je m’y référer ? Un agent chimique ?

Dr Judy MikovitsExact. C’est un agent pathogène synthétique. Ils ont littéralement injecté la partie très pathogène du virus dans l’organisme.

Rocco GalatiSi c’est un agent pathogène, cela me dit que ça va me rendre malade.

Dr Judy MikovitsExact.

Dr David MartinOn vous injecte une substance chimique afin d’induire une maladie, pas pour induire une réponse immuno-transmissive. En d’autres termes : rien à ce sujet ne vous empêchera de transmettre quoi que ce soit. Il s’agit de vous rendre malade, et d’avoir vos propres cellules comme étant la chose qui vous rend malade.

Rocco GalatiCela va donc déclencher une réponse auto-immune ?

Dr. Judy MikovitsÇa peut, et ça le fera…

Dr David Martin… entre autres choses …

Dr Judy MikovitsCela peut causer directement la sclérose en plaques, la maladie de Lou Gehrig, la maladie d’Alzheimer, parce que c’est ce qu’est l’expression de cette enveloppe pathogène ; cela peut provoquer une accélération du cancer… C’est que l’expression de ce morceau de virus est connue depuis des décennies. On vous injecte la maladie – littéralement.

Les experts américains disent à propos du vaccin à ARNm que cette substance chimique ne peut même pas être qualifiée de vaccin selon les normes du CDC et de la FDA, et selon la loi sur la santé publique. Il faut savoir que tout chrétien est obligé en âme et conscience, et selon la loi de Dieu, de ne pas obéir à l’autorité ecclésiastique ni au Pape s’ils ordonnent aux gens de commettre un péché grave.

Aujourd’hui, le pape et la hiérarchie de l’Église se sont ouverts aux hérésies, et s’opposent publiquement à la loi de Dieu. Si ces apostats forcent les gens à se faire vacciner, alors il est littéralement vrai que : « Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes ! » (Actes 5:29.) L’apôtre Pierre souligne : « Jugez par vous-mêmes s’il est juste aux yeux de Dieu de vous obéir plutôt qu’à Dieu ».

Que dit l’expert en immunologie, le professeur Alexander Redko, de Saint-Pétersbourg en Russie, sur ce problème actuel ?

Professeur Alexander Redko : Je passe du temps dans les hôpitaux où ils traitent les patients Covid. Je suis bien renseigné; je suis l’évolution et je sais ce qui s’y passe… Et ce sont surtout ceux qui avaient été vaccinés qui tombent malades. Ils développent tous les symptômes évidents du coronavirus. Selon les données des pathologistes et des anatomistes, plus de 62 % des personnes hospitalisées dans les services d’hospitalisation pour malades du Covid, sont totalement vaccinées. Les codes QR désignent ceux qui sont bons et ceux qui sont mauvais. Les sains sont les mauvais, les malades et les vaccinés sont les bons. C’est ce que le code QR indique, rien de plus. Il n’y a pas de pandémie. Pour être admissible à une pandémie, il faut que l’épidémie soit présente dans tous les pays. Mais il n’y a pas d’épidémies, ici. Pour les épidémies, il faut que 5% (de la population) soient malades en même temps. Le test PCR est fait pour les virus à longue chaîne. Et c’est un virus à chaîne courte. Cela signifie qu’il vient d’un domaine complètement différent. Il n’est pas possible de l’utiliser (le test PCR) pour identifier le coronavirus. Nous mourrons tous d’un mensonge total. Parce que peu importe où vous allez, vous trouverez un mensonge. C’est un crime que de prescrire des antiviraux à quelqu’un s’il n’a pas le SRAS-Cov-2. Et cela se retrouve dans les protocoles du ministère de la Santé ! Que faire avec le ministère de la Santé ? Vous devez y répondre vous-mêmes. Maintenant, vous faites de nous tous des cinglés isolés. Vous allez nous enfermer et transférer les enfants dans un apprentissage à distance afin de détruire notre santé immunitaire. Ce n’est pas une pandémie, mais une infodémie. Et tout ce qui se passe n’est que de la politique et une expérience socio-économique utilisant notre population. Spoutnik V – ce n’est pas Spoutnik « Vee », mais « Five », car c’est le cinquième vaccin sur lequel ils ont travaillé dans l’histoire de leur entreprise. Et ils n’ont pas réussi à en faire un, de vaccin.

Je pense qu’il faut se faire vacciner si :

A) il y a un vaccin,
B) si le virus ne mute pas, autrement dit, si le vaccin peut aider à lutter contre ce qui est présent dans l’environnement. Le virus qui était là il y a quelque temps, n’est plus là. La chose contre laquelle ils veulent développer un vaccin – et qui prend généralement six ans à fabriquer – eh bien, ce virus n’est plus là. Il existe des variantes delta, ils peuvent les appeler comme ils veulent, mais c’est déjà quelque chose de complètement différent. Et vous dites que vous vous faites vacciner contre quelque chose qui était ici il y a deux ans – c’est une fraude. C’est une escroquerie criminelle. Ils disent que le vaccin n’aide plus, parce que nous avons une nouvelle mutation ici. Et pourquoi continuez-vous à vacciner ? Si vous vous souciez vraiment de cela, fabriquez un vaccin contre cette mutation ! C’est pourquoi ce qu’ils nous proposent n’est pas un vaccin. C’est l’adénovirus 26, l’adénovirus 5, sur lequel ils ont mis de la protéine de pointe – et pourquoi ? Ce n’est pas clair. Car le SRAS-Cov-2 n’a jamais été isolé. Ils offrent une récompense de 1,5 million d’euros à quelqu’un pour l’isoler. Et si personne ne l’a jamais isolé, contre quoi vaccinez-vous réellement ? Pourquoi trompez-vous les gens ? Il s’agit d’un projet commercial. Et j’insiste sur le fait qu’il n’est même pas possible d’en discuter, car

  • a) le virus n’a pas été isolé,
  • b) il n’y a pas de vaccin contre lui,
  • c) les essais cliniques se termineront le 31 décembre 2022 – et aujourd’hui, nous sommes en 2021.

Les essais ne sont pas terminés, les résultats de la première phase où tous les rats sont morts n’ont pas été publiés. Les résultats de la troisième phase ne sont pas non plus publiés, car ces essais ne sont pas terminés. Le titre d’anticorps n’a pas été déterminé, l’impact anti-épidémique n’a pas été identifié, la réponse immunitaire n’a pas été précisée – de quel type de résultats s’agit-il ?! En cas de tels résultats, le projet doit être arrêté, au lieu de commencer la vaccination de masse.

Mais les gens ne le savent pas. Ils disent : « J’ai été vacciné. Je vais bien ». 25% des gens reçoivent une injection de placebo, c’est ce qui vous fait vous sentir bien, et c’est la raison pour laquelle vous retombez malade. Mais ceux qui ont été vraiment vaccinés tombent plus gravement malades. Et ils attrapent tous un coronavirus à part entière avec tous les symptômes post-covid, avec des lésions pulmonaires, avec des lésions du système nerveux central, avec le syndrome de Guillain-Barré et tous les autres problèmes. Tout ce qui accompagne le Covid, le même est présent avec le vaccin.

Et j’ai beaucoup de connaissances et de connaissances de mes connaissances, qui

  • a) sont tombées malades et
  • b) ne sont plus en vie – après le vaccin.

Concrètement, après le vaccin ?

Oui, spécifiquement après le vaccin. Selon les données des pathologistes et des anatomistes, plus de 62 % des personnes hospitalisées dans les services d’hospitalisation pour malades du Covid sont totalement vaccinées. Les menteurs professionnels des médias grand public ainsi que les menteurs présents au sein de l’église, promeuvent une vaccination non testée et dangereuse. En revanche, un véritable expert, qui est une voix d’avertissement de vérité, et un reproche vivant pour beaucoup, crie : « Pourquoi trompez-vous les gens ? »

  • 1) Le virus n’a jamais été isolé,
  • 2) il n’existe aucun vaccin contre lui,
  • 3) les essais cliniques ne sont pas terminés.

Les fraudeurs n’ont pas dit que tous les rats étaient morts au cours de la première phase des essais. L’expert met en garde contre le terrorisme vaccinal anticonstitutionnel : « Nous mourrons tous d’un mensonge total. Parce que peu importe où vous allez, vous trouverez un mensonge ! ». En plus il contient de l’oxyde de graphène portant un identifiant.

Le pseudo-pape Bergoglio est le plus grand menteur. Il est bien conscient que ce pseudo-vaccin perturbe le génome humain, ce qui constitue une rébellion contre Dieu le Créateur. Il contient des nanoparticules, et fait partie d’un plan de puçage contre lequel la Bible met en garde en parlant du lac de feu ! Le pseudo-pape sait que le vaccin contient des tissus arrachés sadiquement aux poumons ou aux reins d’enfants à naître vivants, et qui sont ensuite assassinés. C’est de la diabolisation. Le sang des enfants assassinés lors de ce rituel satanique, est sur les personnes qui reçoivent ce pseudo-vaccin. C’est l’anti-baptême du diable par lequel ce menteur et ce meurtrier (le diable) réclame les âmes des vaccinés.

Et ces crimes de rébellion contre Dieu et contre l’humanité sont cyniquement appliqués par l’archi-hérétique qui occupe la papauté. Il proclame des slogans démagogiques et criminels : « Le vaccin (doit être) pour tous ! », et ce sans un seul argument scientifique et, en opposition à la loi de Dieu, il dit de sang-froid : « Il faut le faire ! ». Appeler ce crime scandaleux un acte d’amour est le comble de l’audace, de l’obstination diabolique et de l’impénitence. Nous demandons : Un acte d’amour envers qui ? Envers Satan ? De plus, cet archi-hérétique attise la haine et le lynchage des innocents par le mensonge lorsqu’il les accuse d’être une menace pour les bien-portants ! Mais la réalité est tout autre. Les vaccinés trompés deviennent des laboratoires qui produisent de nouveaux virus dangereux.

L’archi-menteur, Judas et imposteur religieux (Bergoglio) est suivi de nombreux évêques et prêtres traîtres, catholiques et orthodoxes. Ils imposent même la vaccination comme condition pour entrer dans les églises ! C’est un geste de trahison du Christ, et de service envers Satan. Un chrétien ne doit plus entrer dans une telle église, car cela le mettrait sur un chemin qui mène à la damnation éternelle. Le professeur Redko parle d’une voix prophétique d’avertissement : « Nous mourrons tous d’un mensonge total. » Et nous ajoutons : C’est surtout le mensonge des politiciens corrompus, des médias de masse et du clergé traître.

Qu’il y ait des évêques courageux, comme le bon pasteur Carlo Maria Viganò. qui adoptent la même position envers le coronavirus que les médecins courageux, appelant la vérité la vérité et un mensonge un mensonge.

Écoutons brièvement la microbiologiste tchèque Soňa Peková : 

« Au printemps 2020, nous l’avons traité de front, je veux dire, notre laboratoire, car c’est mon travail de détecter les maladies infectieuses chez les humains et les animaux. J’y travaille intensément depuis 2006. Nous avons abordé cette situation de manière professionnelle, et nous étions ravis d’aider au diagnostic. On a travaillé là-dessus tout le printemps, on s’est beaucoup impliqués, presque au point où ce n’était plus sain. Nous avons continué pendant l’été et jusqu’à l’automne 2020, bien sûr. À ce moment-là, j’ai compris ce qui se passait. Essentiellement, mes hypothèses selon lesquelles quelque chose de minable se passait ont été confirmées. Ensuite, nous nous sommes retirés des tests, car nous avons réalisé que le but de ce qui se passait n’était rien de plus qu’une intimidation brutale des gens et de la société, et tout ce qui était important était d’inciter constamment à la peur et de maintenir en vie ce sentiment de peur de toutes les manières possibles. Alors, ils continuent les tests, et de nouveaux foyers de cas positifs surgissent çà et là… Néanmoins, il y a actuellement peu de cas positifs. J’ai l’information des unités de soins intensifs de l’ARO, à Prague… Ce n’est donc pas une pandémie. En fait, nous aurions dû sonner la retraite il y a longtemps, et dire : Eh bien, nous avons tous été un peu confus, revenons en arrière, travaillons et allons à l’école et continuons à vivre une vie normale, et plus de masques faciaux ni quoi que ce soit de similaire. Le Covid n’est qu’un instrument de quelque chose qui apportera des changements au sein de la société, et puisque l’outil qu’ils avaient choisi d’utiliser est le plus fort, ils ont attaqué l’instinct le plus fort, qui est l’auto-préservation. Ils vous intimident en disant que vous allez mourir d’un virus, mais nous allons tous mourir : certains dans 30 ans, certains dans 2 ans, certains aujourd’hui. Personne ne sait quand cela se produit et les gens ne le voient pas, mais ils ont tous commencé à craindre terriblement de mourir d’un virus. Et c’est une guerre psychologique ».

L’année dernière, Soňa Peková et son laboratoire ont diagnostiqué 30.000 personnes, et sont arrivés à la conclusion qu’il ne s’agissait pas d’une pandémie et que le Covid n’était qu’un outil de guerre psychologique pour le changement de la société. L’instinct d’auto-préservation a été attaqué pour vous effrayer avec la pensée que vous mourrez d’un virus, mais nous mourrons tous tôt ou tard. Et les gens ne s’en rendent pas compte. Que dire de plus ?

Que les gens commencent à réaliser qu’ils finiront par mourir. C’est une réalité dont personne ne peut douter. Oui, une personne mourra plus tôt, une autre plus tard. La vraie sagesse consiste à penser à la fin, à se souvenir de la mort, du jugement de Dieu et de l’éternité. Que les gens commencent à s’en rendre compte, surtout en cette période de mensonges et de pressions relatifs au Covid, et visant à hâter la mort. La solution ne consiste pas à tomber dans le désespoir ; la solution est la Vérité, c’est-à-dire Jésus, le Fils de Dieu et le Sauveur. Il a gagné la vie éternelle pour nous. Il est la résurrection et la vie. Nous avons seulement besoin de Le recevoir : « Tous ceux qui L’ont reçu, Il leur a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu » (Jn 1,12). Pour pouvoir le recevoir et lui permettre de vivre en nous, il faut appeler la vérité la vérité et le mensonge le mensonge, aujourd’hui surtout en ce qui concerne la question de la fraude vaccinale. Que tous les professionnels de la santé courageux et véridiques soient pour nous un exemple sur le chemin de la vérité. Aujourd’hui, ils sont la voix prophétique salvatrice de toute l’humanité.

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr               + Timothée OSBMr

Évêques secrétaires