ASSELINEAU : que faire au second tour ? « tout sauf Macron ! »

[Source : Union Populaire Républicaine]

Tout est intéressant, avec des informations inédites.

À la minute 31, il parle aussi du risque d’injection ARNm (dont Macron s’est même vanté hier !) aux enfants de moins de 12 ans, et même de moins de 5 ans, dont les conséquences seraient irréversibles (dommages cérébraux graves).

Christine Côte




Débat du second tour : un président sortant surexcité et sur la défensive

Par Lucien Samir Oulahbib

Certes, en n’attaquant pas directement sur la gestion calamiteuse de la fausse crise sanitaire, MLP a concédé en particulier sur les « 600 milliards d’euros », idem sur les sanctions contre la Russie en oubliant de parler des accords de Minsk2 qui ont été violés alors que la France les avait parrainés avec l’Allemagne ; mais, dans l’ensemble, et à la différence de 2017, et malgré une baisse de régime en matière de calcul budgétaire, MLP a pu montrer que poussé à bout le président sortant peut perdre ses nerfs tout en se rattrapant aux branches de l’argument éculé, « pas vous, pas ça » à propos d’un renvoi à De Gaulle, lui lance le président sortant moraliste.

Sur la santé et l’école, sur l’écologie au sens large (comment produire ?) le président sortant a été sur la défensive malgré ses petits poings lancés en avant comme pour tambouriner un mur qu’il a lui-même créé, mur d’incompréhension, d’incertitude, de promesses non tenues.

Sur le nucléaire, l’agriculture, la souffrance animale, la fermeture des classes, la justice, le président sortant soit botte en touche, soit promet toute une foule de choses comme s’il venait de se présenter pour la première fois.

Et puis, à ce propos, avec ses « dix mille policiers en plus » il ne fait que rattraper, un peu, les erreurs d’un Sarko et d’un Hollande (qui le soutiennent) tout en continuant à faire croire que les « féminicides » n’ont rien à voir avec le manque d’appropriation des « codes » qui touche en réalité une belle partie d’une immigration refusant de les assimiler et partant d’apprendre à respecter les femmes par exemple ni à comprendre que l’on ne s’impose pas dans la rue par la violence.

Concernant la question de la « laïcité » bien entendu le président sortant n’y comprend rien croyant qu’il n’y a aucun lien entre voile, islam et immigration, et en cela il adopte le propos de son ministre de l’intérieur qui propose plutôt l’assimilation à… l’islam… Il prétend par ailleurs connaître mieux que MLP la différence entre islam et islamisme, joue sur l’émotion en l’accusant de vouloir « arracher » le voile ou de créer les conditions de la guerre civile alors que normalement la loi si elle est légitime peut d’autant plus être acceptée comme règle légale.

Sur les réformes institutionnelles, le président sortant prétend donner un cours de droit constitutionnel, tout en se lamentant de n’avoir pas pu convaincre sa majorité sur la proportionnelle et le référendum, en rappelant que tous ces manques viendraient de la « pandémie » en dernier lieu alors qu’il a lui-même créé les conditions de sa disproportionnalité d’une part, et comme le rappelle MLP d’autre part il aurait pu demander à sa majorité de voter ces deux réformes. Sauf que comme d’habitude ce sera « demain on rase gratis » ou alors « avec moi un autre monde est possible » soit un ticket avec le Président de LFI, c’est-à-dire une double dystopie.

Dans l’ensemble, le Président sortant a été médiocre, la challenger a eu du mal à démarrer, mais lorsqu’elle a pu avancer des analyses et des mesures concrètes MLP a été bien meilleure qu’en 2017.

Reste à savoir si le pragmatisme sensible prévaudra sur la morgue intangible d’un président sortant de plus en plus hors sol.




La fin de la vaccination PFIZER est-elle proche ?

Par Nicole Delépine

La Pologne prend une décision majeure et s’oppose à la Commission européenne. La fin de Pfizer et la remise en question de l’UE ?

« Varsovie refuse d’accepter et de payer de nouvelles livraisons de vaccins »(([1] Covid-19 : 181 morts en 24 heures, 25 276 malades hospitalisés (lefigaro.fr) ))

La Pologne refuse de recevoir et de payer de nouvelles livraisons de vaccins anti-Covid, a déclaré mardi le ministre de la Santé, indiquant que son pays disposait toujours de 25 millions de doses non utilisées.

« À la fin de la semaine dernière, nous avons eu recours à la clause de force majeure et informé à la fois la Commission européenne et le principal fabricant de vaccins (Pfizer, ndlr) que nous refusions de recevoir ces vaccins et que nous refusions également d’effectuer les paiements », a déclaré Adam Niedzielski à la télévision d’informations en continu TVN24.

« Cette situation entraînera un conflit juridique. En fait il a déjà lieu », a-t-il ajouté en indiquant que le contrat portant sur les vaccins avait été signé « entre la Commission et les producteurs » et que son pays ne fait pas directement partie de ce contrat.

Selon lui, la Pologne, pays de 38 millions d’habitants, dispose toujours de 25 millions de doses de vaccins, alors que 67 à 70 millions d’autres ont été commandées. Actuellement, environ 51 % des Polonais ont été entièrement vaccinés, 59 % ont reçu une seule dose, et le taux de vaccination a fortement baissé, selon les données du ministère de la Santé.

Un peu de transparence montre les dangers des injections Pfizer

Cette information survient en même temps des groupes d’avocats ont obtenu par jugements que Pfizer ouvre les dossiers qu’il comptait garder secrets 75 ans. Ces dossiers sont explosifs : par exemple Pfizer savait dès le début de la pandémie que l’immunité naturelle était meilleure que celle obtenue par l’injection.

Des effets secondaires graves et des décès avaient été cachés sur le premier essai. :

La quantité de vax selon les lots varient de 1 à 100 expliquant les différences majeures d’effets secondaires. Un essai mondial caché à la population cobaye.

Informations relayées sur twitter : (Tara F [56]) le 17 avril 2022 et theepochtimes, suite à la publication le 1er avril 2022 d’un autre lot de 11 000 documents Pfizer par la Food and Drug Administration des États-Unis.(([2] FDA and Pfizer Knew COVID Shot Caused Immunosuppression (theepochtimes.com) ))

Aucune différence d’évolution n’a été observée entre ceux qui avaient déjà été infectés par le COVID et ceux qui avaient reçu le vaccin. Aucun des deux groupes n’a connu d’infection grave.

La 2e révélation est que les effets secondaires des injections étaient plus graves chez les jeunes, âgés de 18 à 55 ans, que chez ceux âgés de 55 ans et plus. Fait intéressant, la documentation de Pfizer comprend également des informations médicales que les médias grand public et les vérificateurs de faits ont qualifiées de désinformation.

Pfizer savait que, dans la première semaine suivant l’injection, les personnes de tous âges souffraient d’une immunosuppression transitoire ou, en d’autres termes, d’un affaiblissement temporaire du système immunitaire, après la 1re dose.

Cela peut avoir faussé les taux d’infection, car les personnes n’étaient considérées comme partiellement vaccinées que 14 jours après leur premier vaccin et officiellement complètement vaccinées 2 semaines après la deuxième dose.

Or, si les personnes sont sensibles à l’infection au cours de cette première semaine, mais sont considérées comme non vaccinées pendant cette période, cela donne l’impression que les personnes non vaccinées sont plus sujettes à l’infection alors que ce n’est tout simplement pas vrai.

L’essai Pfizer avait d’emblée montré que l’infection était plus fréquente dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo et de manière significative : 409 contre 287 — au cours des 7 premiers jours suivant le vaccin.

Pfizer et la Food and Drug Administration des USA conscients dès le premier essai que le vaccin provoquait une immunosuppression.

Les dernières données du gouvernement britannique montrent que

par rapport aux non-vaccinés, ceux qui ont reçu deux doses sont :

– Jusqu’à 3 fois plus susceptibles d’être diagnostiqués positifs au COVID-19

– 2 fois plus susceptibles d’être hospitalisés avec COVID-19

– 3 fois plus susceptibles de mourir du COVID-19

La comparaison des taux de mortalité suggère que toute personne de plus de 40 ans qui a été doublement piquée est désormais plus susceptible de mourir du COVID qu’une personne non vaccinée du même âge.

Complications des pseudo vaccins aux USA

Au 25 mars 2022, il y avait aux USA 145 781 hospitalisations et 26 396 décès répertoriés liés à la « vaccination ». Et en UE (27 pays seulement sans la GB)

La documentation de Pfizer comprend également des informations médicales que les médias grand public et les vérificateurs de faits ont qualifiées de désinformation.

Un formulaire de consentement pédiatrique énumère plusieurs effets secondaires possibles, y compris un taux de myocardite de 10 sur 100 000 — bien supérieur au taux de 1 sur 50 000 (c’est-à-dire 2 sur 100 000) précédemment rapporté par les gouvernants et les médias mainstream.

Dans l’histoire moderne, aucun médicament n’a été aussi nocif et mortel que ces injections expérimentales.

Et pour les vaccins seulement :

Entre décembre 2020 et fin février 2021, Pfizer a expédié 126 212 580 doses de son « vaccin » ARNm dans le monde. Divisé par 158 893 effets secondaires dont il avait reçu notification, nous obtenons un taux d’événements indésirables par dose de près de 1/800

IL SAVAIT. Il était tout simplement irresponsable de « vacciner » en masse !

Pfizer avoue avoir engagé 600 personnes juste pour traiter « le grand nombre de rapports d’effets secondaires des vaccins » et prévoyait d’en engager 1800 pour fin juin 2021 !

Pendant ce temps Macron déclarait le vaccin obligatoire pour les soignants et imposait le Pass Sanitaire…

Révélé par les documents publiés via FDA dans un nouveau lot, on en est à 11 000 documents maintenant. Page 6 du rapport « reissue_5.3.6 postmarketing experience.pdf »

DRAME COLLECTIF

De l’aide proposée sur le canal Telegram Artemisia college :

Éloïse Soave :

Via : https://odysee.com/@LeLibrePenseur.org : 2/LLE20-Eloise-Soave-pfizer:4 Soave :

« Nous allons vers des effets secondaires à retardement. Il y a des personnes qui ont des effets secondaires à l’instant T, mais pour celles qui n’en ont pas, personne ne dit que dans 1 an, 2 ans, vous n’allez pas avoir la liste qui est déjà constatée par pharmacovigilance sur les effets secondaires… Il n’y a personne qui vous le garantit aujourd’hui… Ce sera notre héritage à tous… J’ai beaucoup de témoignages d’hommes sur les effets secondaires… De gros problèmes d’érection, problèmes cardiaques… AVC entraînant la mort… Je vous invite à me contacter, si vous avez besoin d’aide juridique ou autre ».

Pour des informations récentes sur les effets secondaires, vous pouvez écouter les replays du doctothon du 16 avril 2022.

Et aussi aller voir Instagram #OUESTMONCYCLE — APRÈS LA « VACCINATION » ?

Lola Dewaere (actrice) a brisé le silence : « Hémorragie et caillots de sang » :

https://www.rtl.fr/culture/medias-people/cotonavirus-lola-dewaere-temoigne-des-douleurs-dont-elle-est-victime-depuis-sa-vaccination-7900134121.

Lola Dewaere témoigne des douleurs dont elle est victime depuis sa vaccination

« Hémorragie et caillots de sang », l’actrice Lola Dewaere parle de son calvaire qu’elle associe a ses vaccinations contre le Covid-19.

Lola Dewaere
Lola Dewaere
Crédit : CHARLY TRIBALLEAU / AFP

« MOI JE VEUX QUE ÇA S’ARRÊTE ! » supplie Lola Dewaere dans une publication Instagram. L’actrice française y explique son parcours vaccinal, semé de syndrome pré menstruel, d’absence de règles et d’hémorragies accompagnées de caillots de sang.

Lola Dewaere explique comment elle vit avec ces symptômes : « Je dois aller tous les jours tourner avec 1 culotte prémenstruelle + 1 serviette par-dessus + 1 tampon et je dois me changer toutes les 10 minutes, car même ces triples protections ne suffisent pas! » L’actrice de 42 ans se compare notamment à des scènes de film d’horreur pour imager le flux menstruel insupportable qu’elle subis depuis maintenant plusieurs mois.

Selon elle, ces symptômes sont dus aux trois doses de vaccin contre le Covid-19 qu’elle a reçues depuis le mois d’aout. Elle appelle également aux témoignages en partageant une photo du compte @ouesmoncycle, qui partage des témoignages de femmes ayant des cycles menstruels perturbés depuis leur injection de vaccin Covid-19. 


https://www.instagram.com/p/CbDIhFBAD2e

Les experts en parlent depuis longtemps :

Alexandra Henrion-Caude (généticienne, à 22 min) :



Diane Protat (avocate, vidéo de Reaction19 du 8 mars 2022 à 31 min) :

https://videos.reaction19.fr/?mediaId=e010b212-e6fa-4467-803c-0a47dc666a15

Recensement de témoignages de femmes à la suite de la « vaccination » :

OSONS-EN PARLER ENSEMBLE : Les pseudo vaccins font débander !

Et les hommes finissent par parler aussi de leurs problèmes d’érection molle puis absente associée à une grande fatigue après les injections, mais ces troubles de l’érection sont bientôt mis sur le compte d’une dépression liée au contexte. Ben voyons !

Pour ne pas être soumis à l’obligation de la pseudo vaccination et ses complications : voter tout sauf Macron !

Et pendant ce temps-là le président espère être reconduit et a déjà promis s’il était réélu la vaccination obligatoire pour tous y compris pour les petits

Vous voulez vraiment continuer le massacre ? À VOUS DE JOUER DIMANCHE, ET NE CROYEZ SURTOUT PAS AUX VIDÉOS ET AUTRES QUI VOUS SOMMENT DE NE PAS ALLER VOTER

MANIPULATION




24 avril 2022. Voter Emmanuel Macron ou Marine Le Pen ?

Par Claude Janvier

Incroyable, mais vrai. Jean-Luc Mélenchon et ses fidèles appellent à voter Macron. En réalité, ils exhortent à ne pas donner une seule voix à l’extrême droite, ce qui revient au même. L’extrême gauche au secours du soldat Macron. Mince alors ! Désabusé devant tant de trahison, je le fus encore plus, quand Fabien Roussel, le chef du PC, fit de même, bien droit dans ses bottes. La troisième et dernière onde de choc me frappa quand, avec sa casquette vissée sur la tête et son air négligé, le trotskiste Philippe Poutou, lui aussi, retourna sa veste, en appelant à voter l’innommable. Les communistes au chevet du destructeur mondialiste du pays. Jean Jaurès, au secours ! Reviens, ils sont devenus totalement cupides et corrompus.

Les fidèles partisans de Jean-Luc Mélenchon devraient se poser des questions concernant un échange de SMS sans équivoque entre Emmanuel Macron et le patron de « La France Soumise ». Le préfixe « In » ayant volé en éclat définitivement depuis le 10 avril 2022 après les résultats du premier tour. En effet, selon « Le Canard Enchaîné », Mélenchon a bien envoyé au président sortant le message suivant « J’ai clairement pris position contre Le Pen. À vous, maintenant, de donner des signes clairs à nos électeurs pour leur permettre de bouger ». Extrait de l’article de Marianne du 13 avril 2022 intitulé : Taxe sur les grandes entreprises, SMS à Mélenchon… Macron drague à gauche, toute !

La cohorte de députés mélenchonistes appelle à ne pas voter pour l’extrême droite. Abstention ou vote Macron. En clair, ils vous demandent de voter pour celui qui va continuer à détruire les fondements de notre société, de notre patrimoine et de notre culture.

Il faudrait que les abstentionnistes comprennent une bonne fois pour toutes que, par leur faute, les mêmes énarques sont élus depuis plus de 40 ans. S’abstenir c’est maintenir la caste au pouvoir. S’abstenir, c’est trahir vos voisins, vos amis, votre famille et votre pays. L’abstention n’est pas un choix puisqu’il consiste à laisser les autres décider à sa place.

Que les partisans et dirigeants de l’UDI, de la LR, du PS et des Verts appellent à voter pour le président sortant, nous en avons l’habitude. Bien au chaud à boire des coupettes avec quelques toasts de foie gras, tout va pour le mieux.

Mais avant de montrer qui sont les partisans du non-changement afin de préserver leurs acquis, voici en quelques lignes le bilan peu flatteur d’Emmanuel Macron.

– Plus d’un Français sur deux en âge de travailler est au chômage ou en situation précaire.

– 7 personnes sur 10 renoncent à se soigner pour des raisons financières, à cause du manque de médecins et de structures de soins ou du délai d’attente interminable. Le virus et le président. Jean-Loup Izambert et Claude Janvier. IS édition

– 17 millions de Français touchés à des degrés divers par la crise du logement.

– 15,8 millions de pauvres sur 32 millions d’actifs. Car en France, en dessous de 800 € de revenu par personne — 1423,31 € pour un couple —, vous êtes considéré comme pauvre. Mais rassurez-vous, à partir de 801 €, vous n’êtes plus considéré comme étant dans le besoin. Le virus et le président. Jean-Loup Izambert et Claude Janvier. IS édition

– Démantèlement systématique du Code du travail, boulots précaires en hausse, augmentation du chômage, endettement du pays, privatisation de secteurs entiers de l’économie, Emmanuel Macron poursuit la politique de destruction nationale de « Sarkozy l’Américain » et de « Flamby le bricoleur ».

– Le taux d’endettement des ménages français a atteint un nouveau record historique de 101,8 % de leur revenu disponible au troisième trimestre 2021.(([1] https://www.capital.fr/immobilier/immobilier-en-france-la-bulle-se-degonfle-tres-serieusement-quelle-sera-lampleur-de-la-chute-1433424))

– Désertification industrielle. Depuis 1980, les branches industrielles ont perdu près de la moitié de leurs effectifs, soit 2,2 millions d’emplois. Dans le même temps, la part de l’industrie dans le PIB a reculé de 10 points pour s’établir à 13,4 % en 2018, contre 25,5 % en Allemagne, 19,7 % en Italie, ou encore 16,1 % en Espagne.(([2] https://www.strategie.gouv.fr/sites/strategie.gouv.fr/files/atoms/files/fs-2020-rapport-politiques-industrielles-table.pdf))

– Inflation constante, hausse des taxes, hausse scandaleuse des carburants, de l’énergie, des denrées alimentaires et des matières premières. – La crise sanitaire, comme la guerre en Ukraine, n’est responsables en rien de la crise économique actuelle — . Il est évident que ces deux crises ne vont pas contribuer à juguler l’inflation, mais comme nous l’avons largement démontré dans notre ouvrage « Le virus et le président », l’effondrement de notre société était déjà bien réel. 

– Gestion calamiteuse de la crise sanitaire. Pas de masques, hôpitaux sous-équipés, réduction drastique des budgets, les cliniques privées non sollicitées ni réquisitionnées pour aider les hôpitaux publics, prescription totalement écartée de médicaments efficaces pour enrayer le virus au profit de l’obligation presque obligatoire pour tout le monde de se faire injecter des liquides expérimentaux encore en phase 3 d’essai clinique.

– Répression sanglante des gilets jaunes. Pour rappel : 13 morts, 27 personnes ont perdu un œil, plus de 150 blessés graves, plus de 1500 blessés et, cerise sur le gâteau, des gens emprisonnés pour leurs convictions politiques. 

– Plus de 200 milliards de cadeaux fiscaux aux grands patrons du CAC 40 chaque année. – Exonérations fiscales, subventions publiques, crédit d’impôt —

Cinq ans de règne sans partage, sans dialogue et sans compassion. Emmanuel Macron a réussi l’exploit insensé de fracturer la société en deux, développant un antagonisme au sein de nombreuses familles et de nombreuses entreprises. Une catastrophe.  

Le plus affligeant est que, malgré ce palmarès sordide, pratiquement tous les institutions, syndicats et fondations appellent à voter pour lui. La France est bien gangrenée par une caste politico, médiatico, intello, bobo, bien ancrée à ses privilèges. Heureusement qu’une grande majorité des citoyens de ce pays va réfléchir — je l’espère —, et prendre la bonne décision. À savoir, pas d’abstention et pas une seule voix pour Emmanuel Macron.

Si vous hésitez malgré tout, voici la liste des associations, fondations, syndicats et médias qui vous trahissent tous les jours. Boycottez toute cette engeance et arrêtez vos donations, vous ne vous en porterez que mieux. Vous pouvez noter qu’une telle mobilisation n’a pas pu se faire sans un démarchage intensif et accéléré grâce à une multitude d’employés qui ont travaillé d’arrache-pied afin d’obtenir les accords et participations des artistes, sportifs, etc. Beaucoup d’argent investi.

– 11 avril 2022. L’immonde journal « le Monde », canard subventionné par nos impôts et par la fondation Gates, appelle à voter Macron au second tour. Dans un éditorial publié à cette date, Jérôme Fenoglio, le directeur du quotidien, l’annonce sans détours en évoquant une « responsabilité historique ». Le fondateur de ce qui est devenu un instrument de propagande majeur de la doxa gouvernementale, doit, se retourner dans sa tombe.

– 12 avril 2022. La Fondation Abbé Pierre appelle à voter Macron. Son fondateur doit, lui aussi, se retourner dans sa tombe, vu que sa fondation déclare et je cite : « … Nous le savons, les 5 années passées n’ont pas été à la hauteur des enjeux sur le plan de la lutte contre la pauvreté, la précarité, le creusement des inégalités et le mal-logement… ». Soit leurs dirigeants sont « maso », soit la vérité est ailleurs… Sans surprises, Bruno Morel, directeur général d’Emmaüs solidarité, embraye le pas à la décision de la Fondation Abbé Pierre.(([3] https://www.challenges.fr/immobilier/la-fondation-abbe-pierre-appelle-a-voter-emmanuel-macron_808949))

– 13 avril 2022. Le CNOSF — Comité National Olympique et Sportif Français — appelle à voter Macron. Après l’appel d’une cinquantaine de sportifs de haut niveau aux comptes off-shore du même qualificatif, le comité déclare : « Parce que le CNOSF défendra toujours les valeurs humanistes et d’universalité portées par le sport, son Conseil d’administration constate, à une large majorité, que le programme d’Emmanuel Macron est le seul à répondre à cet enjeu fondamental ». Encore une escouade de nantis qui n’ont pas lu le programme de Marine Le Pen. BFMTV Présidentielle : le CNOSF appelle à son tour à voter Macron. 13 avril 2022

– 13 avril 2022. Le pacte du pouvoir de vivre — 65 organisations — appelle à voter contre l’extrême droite au deuxième tour de l’élection présidentielle. Extrait de leur communiqué :

« Certes, nous sommes à bien des égards critiques sur le bilan du quinquennat d’Emmanuel Macron : les réponses du gouvernement à l’urgence climatique n’ont jamais été à la hauteur de l’enjeu ; la faible ambition en matière de lutte contre la pauvreté n’a fait qu’aggraver les inégalités ; le déficit de dialogue avec la société civile a creusé la défiance démocratique… Aussi nous entendons et comprenons le sentiment éprouvé par beaucoup, parmi les plus exclus, les jeunes, les militants du climat, les syndicalistes… d’avoir été ignorés par le pouvoir en place.

Pour autant, nous ne pouvons pas accepter une vision de notre pays faisant la part belle à la préférence nationale, hostile par nature aux étrangers et aux valeurs d’accueil et d’hospitalité. »

Sans blague. En clair, on ne vous aime pas, mais on revote pour vous.(([4] https://www.pactedupouvoirdevivre.fr/actualites/communique-le-pacte-du-pouvo
https://www.pactedupouvoirdevivre.fr/membres))

– 14 avril 2022. L’UNIOPSS — Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux — appelle à voter Macron. Communiqué de presse à cette date. Extrait :

« Néanmoins, si nous sommes critiques vis-à-vis du bilan social d’un président de la République, nous sommes conscients du danger pour la démocratie et des conséquences irréversibles que représenterait l’accession de l’extrême droite au pouvoir. En conséquence, nous appelons à voter Emmanuel Macron le 24 avril prochain… »

– 15 avril 2022. Des artistes jaillissent de leurs salons confortables pour lancer une tribune appelant à voter Macron. Extrait : « Demain, nous n’osons imaginer ce que deviendrait la culture au sein de notre pays si c’était elle que le suffrage désignait », insistent les signataires de la tribune, parmi lesquels Gilles Lellouche, Charlotte Gainsbourg, Pierre Arditi, — chantre du vote à gauche. Macron est de gauche, c’est nouveau ? -, Jane Birkin, etc. Plus décevant, Fabrice Luchini, Catherine Frot et Bruno Solo. Le Parisien. Présidentielle : près de 500 artistes appellent à voter Macron, « sans illusions, sans hésitations et sans trembler ».

– 15 avril 2022. Un collectif de professionnels de santé appelle à voter Macron. Un des signataires de ce collectif est le Dr Martin Blachier. Tiens donc ! Je vous fais grâce du communiqué lénifiant à la gloire d’Emmanuel Macron. Les membres de ce collectif doivent être atteints d’Alzheimer, car la destruction du système de soins méthodique orchestré durant le quinquennat Macron est évidente. Obéissant au doigt et à l’œil à Bruxelles, raréfaction des budgets, manque de matériels, soignants virés et matraqués… J’en passe et des meilleures. De ce fait, là aussi, la vérité est ailleurs.(([5] https://vnexplorer.net/politique-de-sante-non-au-projet-demagogique-de-marine-le-pen-eh20226492820.html))

– 15 avril 2022. JDD : un collectif d’universitaires appelle à voter Emmanuel Macron face à Marine Le Pen lors du second tour de la présidentielle. Je vous fais grâce du discours inconsistant.(([6] https://www.lejdd.fr/Politique/tribune-medecins-infirmiers-elus-1-000-acteurs-de-la-sante-appellent-a-faire-barrage-a-lextreme-droite-4106125))

– 15 avril 2022. Voici la liste d’autres associations appelant à voter Emmanuel Macron. Publié par Public Sénat. – On croit rêver — . Ligue des droits de l’homme (LDH), le Syndicat de la magistrature (SM), le Syndicat des avocats de France, la Confédération paysanne, les organisations étudiantes Fage, FSE, MNL et Unef, le syndicat Solidaires, les ONG Oxfam, Greenpeace et Amis de la Terre, les associations Attac, Droit au logement et FCPE, le Mrap, et SOS Racisme. Ouf ! N’en jetez plus, la cour est pleine.(([7] https://www.publicsenat.fr/article/politique/presidentielle-des-associations-appellent-a-faire-barrage-a-marine-le-pen-202810))

– 16 avril 2022. Médecins, infirmiers, élus… 1 000 acteurs de la santé appellent à faire barrage à l’extrême droite. Dans cette tribune au JDD, plus d’un millier de professionnels de santé lancent « un appel solennel en faveur du seul vote qui permet de préserver nos solidarités », celui d’Emmanuel Macron. « Les valeurs de notre système de santé ne sont pas celles de l’extrême droite », écrivent-ils. Ils oublient les fermetures des lits, la réduction drastique des budgets, le manque de matériel, les maternités fermées, le refus de soigner les non-vaccinés, etc.(([8] https://www.lejdd.fr/Societe/le-24-avril-choisissons-lespoir-et-lambition-plus-de-150-universitaires-appellent-a-voter-pour-macron-4105996))

– 18 avril 2022. Laurent Berger (CFDT) et Philippe Martinez (CGT) appellent à voter Macron et de facto, la retraite à 65 ans. Marcel D Le média en 442, 18 avril 2022. Laurent Berger (CFDT) et Philippe Martinez (CGT) appellent à voter Macron et la retraite à 65 ans

Extrait du média 442 : L’État finance les syndicats :

« Comme les médias mainstream n’ont pas besoin d’abonnés pour vivre, les syndicats n’ont pas besoin d’adhérents. En 2021, le taux de syndicalisation en France est le plus faible de son histoire, de l’ordre de 7 % des salariés. En 2019, il était de 10,3 %. L’État a donné 18,7 millions en 2020 à la CFDT et 18,1 à la CGT via l’AGFPN (association nationale de gestion des fonds du paritarisme).

Les revenus des dirigeants syndicalistes sont semblables à ceux des électeurs de Macron (3 500 €/mois). Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, perçoit 5 400 euros mensuels, 13e mois compris. Le salaire mensuel de Philippe Martinez serait de 3 439 euros/mois, primes et treizième mois inclus. Et tout cela, c’est frais non inclus… Les syndicats ne sont pas vendus. Ils sont payés pour être vendus. »

Rappelez-vous qu’en 2017, Laurent Berger, traitait de factieux les Gilets Jaunes et déclara plus tard que le problème des soignants suspendus n’est pas important.

– 18 avril 2022. Nagui, Bruno Guillon, Valérie Damidot, Michel Cymès, etc. – Le toubib qui s’en est pris violemment aux soignants non vaccinés.—Voir la liste des animateurs qui appellent à voter pour Emmanuel Macron.(([9] https://www.public.fr/News/Nagui-Bruno-Guillon-Valerie-Damidot-la-liste-de-ces-animateurs-qui-appellent-a-voter-pour-Emmanuel-Macron-1706263))

– 19 avril 2022. WWF France attend un « projet sincère et détaillé » d’Emmanuel Macron etc. Totalement surréaliste. Macron nous plombe d’Éoliennes — dont les composants sont non recyclables —, et achète le gaz de schiste américain — qui est une catastrophe écologique —, mais tout va bien. Le WWF France fait confiance à Macron. JDD WWF France attend un « projet sincère et détaillé » d’Emmanuel Macron pour affronter la crise écologique.

– 19 avril 2022. Depuis Lyon, l’Association des Maires Ville & Banlieue de France appelle à voter pour Emmanuel Macron. On croit rêver. À travers un communiqué ce mardi, l’association entend voter « contre le recul des valeurs de fraternité, qui constituent le cœur battant de la Nation. »(([10] https://www.leprogres.fr/elections/2022/04/19/depuis-lyon-l-association-des-maires-ville-banlieue-de-france-appelle-a-voter-pour-emmanuel-macron-dimanche))

– 19 avril 2022. L’Écho touristique. Élection présidentielle : l’UNAT Paca appelle à voter pour Emmanuel Macron. Et oui, même une association de tourisme se mobilise.(([11] https://www.lechotouristique.com/article/election-presidentielle-lunat-paca-appelle-a-voter-pour-emmanuel-macron))

À la lumière de cette liste non exhaustive, vous pouvez réaliser que, pratiquement, l’ensemble des universitaires, des médias de masse, des sportifs de haut niveau, des artistes subventionnés bien au chaud, des fondations type « usine à gaz » plus ou moins utiles, des syndicats félons, de la myriade d’associations « humanitaires » — à prouver — et enfin de la haute sphère médicale, est prêt à toutes les compromissions afin de garder leurs avantages. La grande caste au pouvoir.

C’est vrai, il vaut mieux voter pour Emmanuel Macron qui va nous entériner la proposition de loi 3714. Quésako ? C’est un projet de loi liberticide, déposée le 21 décembre 2020 à l’Assemblée Nationale, instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires, — Procédure accélérée —.(([12] https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3714_projet-loi))

Exemple d’un des articles : Art. L. 3131-4 b) :

Prendre des mesures de réquisition de toute personne et de tous biens et services nécessaires pour répondre à la menace ou à la situation sanitaire ou autoriser l’adoption de telles mesures.

Nous atteignons des summums de trahisons inégalées. Difficile d’admettre qu’il y ait autant de compromissions ! Et pour les adjoints, les cadres, les sous-chefs fidèles et une majorité d’élus locaux rampants, le profit est toujours bien palpable. Car, pour les seconds couteaux, les largesses de l’office, comme pour les gens de maison, sont grand ouvertes !

Ne vous étonnez pas que pléthores d’ONG et d’associations plus ou moins utiles veulent s’installer en France. Et pour celles qui y sont déjà, ne vous étonnez pas qu’elles appellent à voter en faveur de Macron. Car, voici un extrait de l’ordonnance n° 2022-533 du 13 avril 2022, — vous noterez la date —, définissant la nature, les conditions et les modalités d’octroi par le gouvernement de privilèges, immunités et facilités à des organisations internationales, d’agences décentralisées de l’Union européenne et à certaines associations ou fondations. Voici un extrait de l’article 2 :

I. — Une organisation internationale répondant aux conditions prévues à l’article 1er jouit de la capacité juridique sur le territoire de la République française. Elle peut notamment contracter, acquérir ou aliéner des biens immobiliers et mobiliers et ester en justice.

II. — Sont octroyés à une organisation internationale répondant aux conditions prévues à l’article 1er les privilèges, immunités et facilités suivants :

1° L’inviolabilité des locaux, des biens, des archives, des documents, de la correspondance et de la valise diplomatique ;

2° L’immunité de juridiction, sous réserve des dispositions de l’article 7 ;

3° L’immunité d’exécution pour les biens et avoirs de l’organisation ;

4° L’exonération de la taxe sur la valeur ajoutée sur les livraisons de biens et les prestations de service destinés à son usage officiel, le cas échéant dans les limites et conditions fixées par les conventions internationales instituant l’organisation et, dans tous les cas, dans les limites et conditions fixées par la législation fiscale française ;

5° L’exonération de la taxe foncière sur les propriétés bâties, de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères et de la taxe sur les locaux à usage de bureaux pour les locaux que l’organisation occupe au titre de ses activités officielles et dont elle est propriétaire, ainsi que, pour les seules places de stationnement réservées à des véhicules immatriculés en série privilégiée desservant des locaux affectés à son usage officiel et dont elle est propriétaire, de la taxe sur les surfaces de stationnement ;

6° L’exonération de la taxe d’habitation pour les locaux affectés à l’usage officiel de l’organisation internationale ;

7° L’exonération des droits de mutation lors de l’acquisition d’un bien immobilier destiné à l’usage officiel de l’organisation internationale ;

8° L’exonération des droits de douane et taxes à l’importation des marchandises et services nécessaires aux activités de l’organisation internationale ;

9° L’exonération des taxes à l’introduction de marchandises ou de services destinés à son usage officiel, le cas échéant, dans les limites et conditions fixées par les conventions internationales instituant l’organisation et, dans tous les cas, dans les conditions fixées par la législation fiscale française ;

10° L’exonération de taxes sur l’achat de véhicules de service(([13] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000045570469))

Les preuves sont là. Comme un puzzle, il faut les chercher, les trouver, les assembler et ensuite les montrer et les dénoncer !

Marine Le Pen est déjà jugée alors qu’elle n’a jamais dirigé le pays. Elle n’est pas jugée non plus sur son programme. Personne n’est capable d’affirmer qu’elle pourrait ou pas apporter une meilleure gestion à notre pays. De toute façon, elle ne pourra gouverner qu’avec un gouvernement d’unité nationale. Donc, rien ne pourra être pire qu’Emmanuel Macron, serviteur de l’oligarchie financière mondiale apatride états-unienne, qui ordonne au parlement européen de piller les nations occidentales. Si Marine Le Pen est élue, ce sera cinq ans de répit, où cette emprise toxique pourra reculer. C’est à espérer et cela vaut vraiment le coup d’essayer. Nous n’avons rien à perdre et tout à y gagner.

Face à la machine de guerre propagandiste de la caste macroniste, l’avenir de notre pays est entre les mains de chacun. Ne vous trompez pas.

Claude Janvier

Écrivain, essayiste. Auteur de trois livres « coups de gueule ». Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition. À paraître bientôt, avec les mêmes auteurs : « Covid-19 : Le bilan en 40 questions. Retour sur deux ans d’infos et d’intox ». IS édition https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/

Notes :




Le gouvernement du Canada s’est associé au Forum économique mondial pour imposer un système de type crédit social pour voyager

[Source : guyboulianne.com]

Par Guy Boulianne

Vous vous demandez pourquoi votre gouvernement vous empêche de voyager à l’intérieur ou à l’extérieur du Canada si vous n’êtes pas pleinement vacciné ? C’est qu’il vous trahit au plus haut niveau et qu’il vous enc*le tout aussi profondément. Entre un Justin Trudeau qui vient d’être nommé par António Guterres pour promouvoir le « développement durable » dans le monde par l’ONU et une Chrystia Freeland qui siège au conseil d’administration du Forum économique mondial (FEM) où elle côtoie sur une base régulière son fondateur Klaus Schwab, les Canadiens sont les pauvres victimes d’un complot de haute trahison en vertu du Code criminel canadien (L.R.C. (1985), ch. C-46(2)b). Oui, les gouvernements complotent contre vous. Cela ne veut pas dire que le secret soit nécessaire pour eux puisque, selon le dictionnaire Larousse, comploter équivaut à « avoir un comportement qui prête à penser qu’on prépare une action dirigée contre quelqu’un, quelque chose ; manigancer ». Les comploteurs n’ont plus besoin de se cacher comme autrefois car ils sont désormais rendus à l’étape de l’exécution de leurs plans machiavéliques pour vous asservir tous. On vous empêche de voyager car vous êtes des prisonniers à l’intérieur de votre propre pays jusqu’à ce que leur système de contrôle social numérique « à la chinoise » soit dûment implanté sur le sol canadien.

Sachez que les politiciens véreux n’en ont rien à foutre de vous. Ils n’en ont rien à foutre de la Constitution de votre pays. Ils n’en ont rien à foutre de votre vie ou de votre mort. Tout ce qu’ils veulent est de servir la Bête de l’événement et ainsi acquérir une miette de pouvoir. Mais ils s’apercevront que cette miette de pouvoir se délaiera rapidement et qu’il ne leur restera que le vide d’une coque sans âme.

En effet, le gouvernement du Canada, Air Canada et deux grands aéroports canadiens se sont associés au Forum économique mondial (FEM) sur un projet d’identification numérique qui pourrait nécessiter un système de type crédit social pour voyager. Ce projet est connu sous le nom “Known Traveler Digital Identity” (Identité numérique du voyageur connu). « Le groupe pilote, convoqué par le Forum économique mondial, est composé du gouvernement du Canada et des Pays-Bas, d’Air Canada, de KLM Royal Dutch Airlines, de l’aéroport international Montréal-Trudeau, de l’aéroport international Pearson de Toronto et de l’aéroport d’Amsterdam Schiphol », écrit le FEM. Le KTDI est considéré comme un moyen de « promouvoir des voyages de passagers sûrs et fluides en prévision de l’évolution des comportements et des attentes des voyageurs, du besoin critique de renforcer la sécurité transfrontalière et de l’augmentation du nombre de passagers attendue au cours de la prochaine décennie ». Le site Web affirme qu’il est basé sur une « identité numérique décentralisée » qui permettra aux gouvernements de confirmer la preuve de citoyenneté et d’autres aspects de l’identité. Chaque fois qu’un gouvernement vérifie l’identité numérique (digital ID) d’une personne, elle est ajoutée à son dossier, ce qui peut affecter son statut.

Known Traveler Digital Identity (KTDI) est une vision de « surveillance par conception » pour le suivi et le contrôle des voyageurs plus dystopique que tout ce que nous avons vu auparavant. KTDI utiliserait un registre distribué basé sur une chaîne de blocs pour relier, via une application sur l’appareil mobile d’un voyageur, toutes les données suivantes :

  • Biométrie (initialement des images faciales, éventuellement aussi des empreintes digitales, etc.) ;
  • Pièces d’identité émises par le gouvernement (numéro de passeport, etc.) ;
  • Historique des voyages, y compris les journaux des passages frontaliers, des séjours à l’hôtel et éventuellement des locations de voitures et/ou d’autres événements ;
  • Journaux d’achat et éventuellement informations sur les comptes bancaires et/ou autres enregistrements financiers et de transaction ;
  • « Évaluation des risques » prédictifs et scores de profilage générés à chaque point « d’intervention » avant et pendant chaque voyage ou transaction.

Chaque séjour à l’hôtel, achat ou autre transaction deviendrait comme un passage frontalier estampillé de manière permanente dans votre passeport dans le cadre d’un « laissez-passer de voyage » numérique soumis à une inspection sur demande par les autorités aux points d’« intervention » ultérieurs. Toutes ces données sont destinées à être utilisées pour discriminer les voyageurs dont les profils pré-criminels liés à l’identité sont classés comme « à haut risque » ou « à faible risque » :

L’accès à un historique de voyage et à des journaux de transactions plus complets est un objectif de longue date des agences gouvernementales de surveillance et de contrôle des voyages. Conformément aux normes établies par l’OACI, un espace est réservé sur la puce RFID de chaque passeport électronique pour les données d’historique de voyage. Mais cela était destiné, pour autant que nous puissions en juger, uniquement aux données de passage des frontières ou d’entrée / sortie, et non aux journaux de séjours à l’hôtel ou à d’autres transactions. À notre connaissance, peu de pays ont enregistré des données d’historique de voyage sur des puces RFID de passeport, probablement en raison de l’espace limité réservé dans la structure des données et des complications liées à la modification ou à l’ajout en toute sécurité des données sur la puce une fois qu’elle est écrite pour la première fois et signé numériquement par le gouvernement émetteur.

Lors d’une présentation à la conférence Hotel Electronic Distribution Network Association (HEDNA), des représentants d’Accenture (le maître d’œuvre du FEM pour le projet KTDI) et Marriott se sont vantés de la façon dont, sur la base des données KTDI, un individu pouvait être choisi parmi une foule pour « liste noire » utilisant la reconnaissance faciale automatisée, « sans arrêter ni reconnaître la caméra ». Il peut donc être utilisé pour une surveillance de masse subreptice et non consensuelle.

Les partenaires du projet KTDI incluent des agences gouvernementales (DHS, OACI, INTERPOL, etc.) et les industries aériennes et informatiques des compagnies aériennes (IATA, Amadeus, etc.). Mais ce n’est pas tout. Parmi les autres partenaires du projet KTDI figurent Google (Google a acquis un fournisseur de système de réservation informatisé en 2010, mais on ne sait pas à quel titre Google participe au projet KTDI), les chaînes hôtelières Marriott and Hilton (basées aux États-Unis) et Accor (basées en France), et la société de traitement des paiements et des cartes de crédit Visa.https://www.youtube.com/embed/hyFLmnb2xHM?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent

La dystopie totalitaire du Forum économique mondial devient réalité

En janvier 2018, un projet pilote de surveillance des voyageurs aériens, commandé par le Forum économique mondial, a été approuvé à Davos.

A l’époque, l’économiste Norbert Häring présentait le projet Known Traveler Digital Identity (KTDI) comme une « dystopie totalitaire ». Un rapport de suivi montre que les multinationales associent avec succès les gouvernements et l’UE à leurs plans. Le Covid-19 accélère considérablement la mise en œuvre et Bill Gates nous fait savoir par inadvertance comment.

À l’instar du rapport de 2018 intitulé “The Known Traveller: Unlocking the potential of digital identity for secure and seamless travel” (Le voyageur connu : Libérer le potentiel de l’identité numérique pour un voyage sécurisé et fluide), ce livre blanc plus technique de KTDI intitulé “Known Traveler Digital Identity Specifications Guidance” (Guide des spécifications d’identité numérique des voyageurs connus) a été publié sans fanfare sur Internet, en mars 2020. Ces rapports, préparés par le cabinet de conseil Accenture, sont destinés à être lus uniquement par des personnes du secteur de la surveillance et de la sécurité numériques. Pour des raisons compréhensibles, ces personnes préfèrent parler d’identité numérique plutôt que de contrôle ou de surveillance numérique.

Voici comment le schéma KTDI est censé fonctionner : nous téléchargeons des informations nous concernant dans une base de données — ou autorisons d’autres à le faire. Tout d’abord, cela devrait être une preuve d’identité des autorités, mais aussi nos antécédents de voyage, les données bancaires, les chambres d’hôtel, les réservations de voitures de location, les documents des universités, des bureaux gouvernementaux et bien plus encore. Si nous voulons franchir une frontière, nous donnons préalablement aux autorités accès à cette base de données, afin qu’elles puissent voir à l’avance que nous sommes inoffensifs. Grâce à la reconnaissance faciale et à notre smartphone (idéalement) biométriquement lié, ils peuvent nous reconnaître au passage de la frontière. Si nous avons été suffisamment diligents dans la fourniture de données, nous serons autorisés à contourner les files d’attente des autres voyageurs, bénéficiant d’un traitement préférentiel et de contrôles minimaux. Toutefois, comme il est indiqué dans le premier rapport KTDI, en cas de doute sur les intentions d’un voyageur, l’agent des frontières peut, sur la base des informations fournies à l’avance, poser à la personne concernée des questions plus approfondies, par exemple « pour mieux comprendre ses activités récentes ».

On peut facilement imaginer à quel point cette diffusion des données sera « volontaire » une fois le système mis en place. Ce sera du genre : vous pouvez librement choisir si vous voulez entrer dans le pays et remettre la clé de vos données, ou si vous préférez rester à l’extérieur. Un essai est déjà en cours par les autorités frontalières du Canada et des Pays-Bas, avec les compagnies aériennes KLM et Air Canada dans les aéroports d’Amsterdam, de Toronto et de Montréal.

Les entreprises participantes, telles que Visa et Google, ne développent pas un tel système pour les autorités policières à leurs propres frais uniquement par sens du devoir cosmopolite. Le rapport KTDI 2018, ainsi que le livre blanc actuel, indiquent tous deux que l’autosurveillance à la frontière sert à créer une masse critique de participants à la norme de partage de données interopérable à l’échelle mondiale qui doit être introduite.

Les autorités frontalières sont simplement le catalyseur idéal d’un système mondial de surveillance de masse assistée par les citoyens et de partage de données, impliquant progressivement tous les gouvernements du monde. Une fois que les États-Unis et quelques autres grands pays auront pris part à ce programme, les citoyens d’un pays dont le gouvernement refuse de participer auront de grandes difficultés à voyager à l’étranger.

Une fois que tous les gouvernements auront adhéré à cette norme pour l’échange volontaire forcé de données avec les citoyens, il est prévu que nous serons également autorisés à transmettre nos données dans les interactions quotidiennes avec les entreprises et les autorités. Dans les deux rapports, la santé, l’éducation, la banque, l’aide humanitaire et les élections sont les domaines mentionnés.https://www.youtube.com/embed/cnUAQKKnEAU?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent

Un système global et totalitaire

Le livre blanc de KTDI précise la grande ambition du projet dans ses conclusions :

« Ce document décrit l’ambition de KTDI de fournir les bases d’un écosystème d’identité décentralisé accepté à l’échelle mondiale. Un développement plus poussé et une adoption plus large dépendent de la maximisation de l’interopérabilité des échanges de données et de la confiance fédérée. Le succès reposera sur la coopération entre les gouvernements mondiaux, les régulateurs, l’industrie aéronautique, les fournisseurs de technologie et d’autres acteurs pour établir des normes et des spécifications mondiales pour la conformité de toutes les parties prenantes. »

Les conditions d’application de cette norme mondiale de surveillance sont excellentes. Le projet Known Traveler utilise des normes techniques pour les informations d’identification vérifiables et les identifiants décentralisés tels qu’ils sont actuellement développés par le World Wide Web Consortium (W3C). Le W3C est l’organisme de normalisation le plus important pour l’Internet et est dominé par les entreprises américaines d’Internet et de télécommunications.

Les membres du W3C recoupent fortement ceux de la Decentralized Identity Foundation, que des multinationales telles que Microsoft et de nombreuses petites entreprises du secteur de la sécurité numérique ont fondée pour faire progresser les normes mondiales de contrôle d’identité. Les entreprises qui composent ce groupe ont souvent des liens très étroits avec la communauté du renseignement. US Homeland Security a été impliqué dans le projet Know Traveler depuis le début. Lors des forums d’identité numérique pertinents, des représentants d’entreprises des industries de l’identité et de la sécurité numériques se mêlent aux représentants de toutes les agences de sécurité et de renseignement concernées.

Volontariat forcé

L’astuce est la fiction du volontariat, le consentement explicite, s’il est extorqué, à l’utilisation des données, que vous devez donner chaque fois que vous souhaitez recevoir un service gouvernemental dans ce système ou si vous souhaitez simplement payer quoi que ce soit par voie numérique. Ceci est similaire à ce qui vous arrive si vous vous déplacez sur le World Wide Web aujourd’hui. Vous devez constamment accepter volontairement de surveiller les demandes des opérateurs du site Web ou simplement choisir de rester à l’écart.

Le système mondial envisagé a un aspect particulièrement pernicieux, qui tourne en dérision l’autonomie et le contrôle souvent annoncés de ceux qui sont supposés posséder leurs données :

« Les attributs d’identité sont attestés et fournis par les autorités émettrices (c’est-à-dire le numéro de passeport, les coordonnées bancaires). Une autorité émettrice peut également révoquer un VC (identifiant virtuel) qu’elle avait précédemment émis en mettant à jour l’accumulateur cryptographique basé sur la blockchain en conséquence. »

Imaginez à quoi cela ressemblera lorsque ce système sera mis en place comme prévu dans le monde entier, dans tous les pays, aussi répressifs soient-ils. Supposons que l’abolition de l’argent liquide – qui est menée en parallèle par plus ou moins le même groupe d’entreprises et d’agences – soit menée à bien. Pour tout ce que vous voulez faire ou payer, vous dépendez de la présence d’une coche aux bons endroits dans la base de données sur vous. Si vous tombez en disgrâce auprès de votre propre gouvernement, il pourrait supprimer la coche de vos informations d’identité et vous visser, même si vous n’êtes pas dans le pays. Votre banque peut faire de même.

Si cela vous arrive, vous pouvez essayer de continuer pendant un certain temps. Mais finalement, vous devrez peut-être faire ce que le héros de la science-fiction “Soleil à crédit” de Michel Grimaud (1975) a dû faire. Lorsque sa carte électronique, dont tout le monde avait besoin pour se déplacer et se nourrir, a été confisquée par l’un des guichets automatiques, il s’est volontairement présenté aux portes de la prison et est resté volontairement en prison jusqu’à sa libération, car sinon il serait mort de faim.

Si le gouvernement américain ou les algorithmes contrôlés par ses agences ont quelqu’un dans le monde en vue, ils peuvent faire la même chose. Soit ils demandent au gouvernement ou aux banques respectifs d’invalider tous les documents numériques de la personne cible, soit les sociétés Internet américaines qui contrôlent le système peuvent le faire, soit les agences privées américaines de notation de crédit réduisent la cote de crédit.

Une grande partie de cela est déjà possible aujourd’hui et se fait, mais pas souvent à des particuliers. Mais le système ne sera complet et parfait que s’il existe une norme technique mondialement acceptée qui permet d’accéder à toutes ces données et documents de n’importe où. Ce n’est qu’alors que Washington (ou plutôt Fort Meade et Langley) pourront contrôler à partir de leurs ordinateurs personnels tout le monde dans tous les coins participants du monde. Dans le même temps, les gouvernements nationaux autoritaires pourront contrôler tout le monde dans leur propre sphère d’influence, qu’ils soient chez eux ou à l’étranger.

C’est l’agenda derrière le travail intense que l’USAID, Gates et le Forum économique mondial font, avec l’aide d’une ONU dépendante, pour créer des identités numériques pour chaque personne sur le globe. Ils travaillent à travers ID4Africa, ID2020 et une douzaine d’autres initiatives et consortiums similaires avec ID dans leurs noms.

Rapport minoritaire rechargé

Tout le monde peut alors être guidé par un anneau nasal normalement imperceptible. Cependant, cela pourrait être brutalement tiré, même si vous n’avez rien fait du tout, simplement parce qu’un algorithme conclut que vous êtes un type qui, statistiquement, pourrait bientôt causer des problèmes, comme dans le film “Minority Report”. L’ambition d’y arriver est documentée dans le premier rapport KTDI du Forum économique mondial avec une citation en surbrillance du directeur de Google, Rob Torres :

« Les entreprises technologiques ont fait des progrès majeurs dans l’exploration de données, l’apprentissage automatique et l’intelligence artificielle permettant une analyse prédictive améliorée. En combinaison avec les informations fournies par les passagers, ces technologies peuvent être utilisées par les gouvernements pour… analyser des modèles complexes de mégadonnées dans le but de prévoir les risques de sécurité aux frontières. »

La citation indique clairement que l’identité numérique ne consiste pas simplement à donner à chacun un moyen facile de prouver qui vous êtes au moyen d’un certificat de naissance numérique ou d’une carte d’identité numérique, comme ils essaient de nous le faire croire. Si vous n’êtes pas encore convaincu, voici une autre citation, extraite du “EU blockchain observatory report on digital identity and blockchain” (Rapport de l’observatoire de la blockchain de l’UE sur l’identité numérique et la blockchain) :

« Lorsque nous parlons d’identité numérique, nous devons la comprendre comme la somme de tous les attributs qui existent à notre sujet dans le monde numérique, une collection de points de données en croissance et en évolution constantes. »

Ainsi, l’identité numérique signifie tout ce qui peut être stocké numériquement et qu’il y a à savoir sur nous, nos actions et nos préférences. Il s’agit d’introduire tout ce que l’on sait sur une personne dans une base de données qui peut être exploitée par toutes les entreprises et tous les gouvernements participants et manipulée par eux à tout moment. De sorte que les entreprises peuvent nous diriger en tant que bétail de consommation dans le bon corral et nous tondre chacun de nous individuellement et de manière optimale, et nous avoir comme des bêtes de somme peu exigeantes et obéissantes. Il s’agit pour les gouvernements et les entreprises d’être en mesure de détecter très tôt toute personne qui pourrait vouloir sortir du système ou casser le système.

Remarquablement, le Forum économique mondial affirme qu’il n’a pas encore proposé de concept pour la gouvernance de cette infrastructure de contrôle totalitaire mondiale, c’est-à-dire qui devrait être aux commandes de ce système. Le Livre blanc dit :

« Les travaux sur la définition et le développement d’un cadre de gouvernance approprié pour le concept KTDI se poursuivent et seront abordés dans un prochain rapport. »

En d’autres termes, les gouvernements sont censés s’engager dans ce concept sans que l’on sache qui tirera les ficelles. En réalité, bien sûr, c’est assez clair. C’est Washington et les grandes entreprises américaines, directement ou par l’intermédiaire d’organismes internationaux tels que le Forum économique mondial, le W3C, le GAFI et bien d’autres, qu’ils dominent.

Les gouvernements et l’ONU se sont alignés

Néanmoins, les gouvernements et une ONU dépendante de l’argent des entreprises semblent très désireux de participer à ce système de surveillance mondial développé par les multinationales et la US Homeland Security. Il est commercialisé par les entreprises participantes de l’industrie de la sécurité et de l’identité sous le nom euphémique d’identité auto-souveraine (SSI).

A Bruxelles, ce terme, SSI, s’impose. Le Comité économique et social européen, un organe de l’UE au sein duquel les associations d’employeurs, les syndicats et d’autres groupes d’intérêt sont censés représenter la « société civile organisée », a élaboré un cadre européen d’identité souveraine (eSSIF). C’est presque un contre un la dystopie décrite dans les rapports du Forum économique mondial.

Les gouvernements de 21 pays, dont l’Allemagne, ont formé un “partenariat européen de la blockchain” trois mois seulement après la réunion du Forum économique mondial de 2018 au cours de laquelle le concept de voyageur connu a été présenté. Ce partenariat semble viser à faire progresser le concept de surveillance du Forum économique mondial dans son incarnation européenne eSSIF. L’un des objectifs de travail de ce partenariat, comme indiqué dans la présentation du Comité économique et social en lien ci-dessus, est de savoir comment préserver les valeurs démocratiques européennes dans la mise en œuvre des SSI. Bonne chance avec ça !

Il existe plusieurs autres groupes et partenariats au niveau européen pour la mise en œuvre du SSID et il existe divers groupes associés aux Nations Unies au niveau mondial. Il devrait déjà être clair que KTDI et SSI ne sont pas des idéaux irréalistes de Washington et des entreprises technologiques, mais un plan réaliste qui est déjà mis en œuvre à l’échelle mondiale.

Le Covid-19 accélère beaucoup les choses

Les réactions des gouvernements à la Covid-19 en Corée du Sud et en particulier à Wuhan, en Chine, et des programmes similaires qui devraient bientôt être mis en œuvre en Occident, accélèrent le glissement mondial vers un contrôle algorithmique total de la population. À Wuhan, si vous ne pouvez pas afficher un bouton vert sur votre smartphone de surveillance qui signale que vous n’êtes probablement pas infecté, vous êtes interdit d’accès à la plupart ou à toutes les formes de transport en commun et vous n’êtes pas autorisé à entrer dans les restaurants ou à vous enregistrer dans les hôtels. En Corée du Sud, les enregistrements des caméras de surveillance, les données des cartes de crédit et les données GPS sont évalués pour identifier et suivre les porteurs potentiels de virus.

Dans une entrevue vidéo du 24 mars 2020, le deuxième homme le plus riche et probablement le plus puissant du monde est interviewé par le modérateur de TED Chris Anderson à propos de la stratégie corona américaine. Dans sa pose de pouvoir décontractée habituelle, Bill Gates parle comme s’il était président des États-Unis ou chef de l’ONU. L’interview devient particulièrement intéressante lorsque Gates en vient à l’immunité présumée des personnes qui se sont déjà remises d’une infection. Gates relie cela à la question de savoir comment et quand les restrictions de voyage peuvent être assouplies :

« Finalement, nous devrons avoir un certificat indiquant qui est une personne récupérée, qui est une personne vaccinée, parce que vous ne voulez pas que des gens se déplacent dans le monde où vous avez certains pays, qui ne le contrôleront pas, malheureusement. Vous ne voulez pas bloquer complètement la capacité de ces personnes à aller et revenir et à se déplacer. »

Et puis vient la phrase doublement intéressante :

« Il y aura donc éventuellement ce type de preuve d’immunité numérique, qui facilitera la réouverture mondiale. »

Cette dernière phrase est doublement intéressante à cause du mot « numérique » et parce que la phrase n’est contenue que dans une version légèrement plus longue de la vidéo que quelqu’un a téléchargée pour la préserver. Dans la vidéo officielle de TED, cette phrase a été coupée (à la minute 34:27). Selon les commentaires sous la vidéo plus longue, cela s’est produit dans l’après-midi du 31 mars. C’est étonnant, car la seconde moitié de la phrase sur la réouverture des frontières est en fait une très bonne conclusion sur ce sujet, avant que l’intervieweur ne pose la question suivante. On ne le couperait pas pour des raisons journalistiques. La couper par souci de brièveté n’aurait pas beaucoup de sens, car elle ne dure que deux ou trois secondes et la coupure est perceptible.

C’était vraisemblablement le mot « numérique » qui devait être supprimé. Car cela invite à des questions qui mènent finalement à tout ce qui constitue le programme Known Traveler. Dans ce qui reste de la vidéo officielle, Gates ne parle que d’un certificat. Cela invite à comprendre ce dont il parle : seuls ceux qui ont un certificat d’immunité délivré par une autorité sanitaire peuvent réserver un vol, et seuls ceux qui peuvent le produire peuvent monter à bord d’un avion et passer l’immigration. Ce serait assez facile à mettre en œuvre et relativement sans problème.

Avoir le certificat en version numérique semble plus pratique, car ce serait plus rapide et plus facile. Mais si une preuve d’immunité numérique pour les voyages internationaux doit être (machine-)utilisable à l’échelle mondiale, elle a besoin d’une norme mondiale pour le certificat, d’un emplacement de stockage pour les certificats considéré comme sûr et généralement accessible, d’une norme d’échange de données qui fonctionne partout, et une norme mondiale pour certifier l’authenticité d’une preuve numérique. Le Known Traveler Program, piloté par la US Homeland Security et le Forum économique mondial, veut développer et mettre en œuvre tout cela. Bill Gates est l’un des membres les plus influents du Forum économique mondial, sinon le plus influent.

Google et Apple viennent à la rescousse

Le 10 avril 2020, Google et Apple ont annoncé qu’ils coopéreraient afin de permettre aux applications de suivi des contacts d’être interopérables sur les systèmes d’exploitation Adroid et iOS à partir du mois de mai suivant et de programmer la capacité de suivi dans leurs propres systèmes d’exploitation peu après. La recherche des contacts nécessite que les autorités sanitaires puissent alimenter le système, dont le numéro de téléphone est connecté à une personne testée positivement. Celui-ci peut facilement être complété en cochant la case convalescence ou vaccination. Et voila, le programme Known Traveler est prêt dans une première application.

Et comme il se doit, le volontariat, la souveraineté sur ses propres données (Self-Sovereign Identity) est totalement préservée. Chacun peut décider par lui-même s’il veut voyager et utiliser l’application de suivi ou s’il préfère rester à la maison.

Étant donné que Google et Apple travaillent de toute façon en étroite collaboration et en toute confiance avec les autorités de sécurité et les services secrets, il ne sera pas difficile d’ajouter d’autres domaines d’application. Tout d’abord, les autorités de sécurité peuvent cocher la case « ne peut pas voyager » ou « à surveiller » si nécessaire. Encore plus intéressant, la fonction de suivi des contacts peut être utilisée pour établir un réseau de contacts de personnes à surveiller et pour ajouter ces contacts à la liste. Au-delà de cela, le système pourrait être affiné davantage selon les besoins dans le sens de ce qui est décrit dans les rapports Known Traveler qu’Accenture a produits pour le FEM.

Grâce à la Covid-19, le Brave New World prend forme bien plus rapidement qu’on ne l’aurait cru. Et grâce à la Covid-19, beaucoup ou même la plupart des gens trouveraient actuellement un tel pouvoir totalitaire souhaitable. La Covid-19 est un cadeau du ciel pour les plans du Forum économique mondial.https://www.youtube.com/embed/y_GFx1uXdhk?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent


TÉLÉCHARGEMENT DES RAPPORTS DU KNOWN TRAVELER DIGITAL IDENTITY :
SOURCES ET RÉFÉRENCES :



Millière et BHL même combat ?

Par Lucien SA Oulahbib

On serait tenté de le croire à lire un Millière dont la prose uniquement à charge aurait pu être signée par BHL et peut-être même Botul qui sait ?… Millière l’a sans doute lu lui aussi, car sa cécité ne peut s’expliquer autrement. Et pourtant, il lui aurait suffi lui l’anglophone d’aller sur des sites comme The DuranScott Ritter, ou encore celui d’un Pierre-Antoine Plaquevent, pour, au moins, avoir un autre son de cloche. Mais que nenni, Millière aime bien catégoriser et son aveuglement décide pour lui (ainsi Xavier Moreau serait poutiniste puisqu’il habite Moscou…)

Misère de la philosophie politique qui prétend quitter la stratosphère des utopies glacées pour prétendre dire le réel alors qu’elle ne fait que le travestir. Comment par exemple Millière peut-il prétendre qu’à Boutcha les massacres soient liés à l’armée russe qui y était partie trois jours auparavant et alors que le maire s’en vantait le soir de son départ sans faire mention d’aucune boucherie (qui aurait été opérée non plus en représailles par les milices d’Azov à l’encontre de pro-russes abattus [brassard blanc au bras] mais par les mercenaires Wagner aux dernières nouvelles de la propagande unilatérale) ? Comment se fait-il que Millière n’observe pas que les trois quarts de l’armée du régime de Kiev étaient déjà dans le Donbass avant le 24 février en vue d’une attaque (comme il est admis maintenant) et que la marche vers Kiev était en fait une diversion tactique, ce qui ne veut pas dire que l’effondrement de ce régime manipulé par la famille Biden en particulier, l’État profond US (qui a eu la peau de Trump) la Secte globaliste en général, ne soit pas désiré par Poutine et ceux qui le soutiennent.

Mai si Poutine était uniquement l’assassin prétendu pourquoi ne pas raser l’Ukraine comme l’explique Scott Ritter (ci-dessus) ? Israël a le même problème stratégique : il pourrait raser Gaza, détruire toutes les infrastructures palestinistes, déplacer la mosquée en haut du Mont du Temple, il ne le fait pas alors que naguère l’on ne prenait pas autant de gants : brûler Carthage, effacer Dresde, lancer du napalm sur les forêts vietnamiennes, tuer des centaines de milliers de juifs sous… l’Empire romain…

On dirait à lire Millière qu’il n’est pas au courant des laboratoires de guerre bactériologique installés en Ukraine, des magouilles de la famille Biden là-bas depuis des années, de la volonté occidentale de prolonger la guerre, l’action de forces spéciales UK et US à Marioupol, la présence de sous-marins et des parachutistes dans quelques actions inexpliquées (attaques sur le terrain russe, frappe contre un navire de guerre russe en mer d’Odessa) et, plus largement, toutes ces tentatives idéocratiques majeures opérées par la Secte scientiste hygiéniste affairiste (S.H.A) en un mot globaliste pour mettre au pas les peuples à commencer par le peuple américain via la disparition des frontières la destruction économique de la classe moyenne « en tant que classe » la décadence exacerbée qui obligea Rome à se convertir au christianisme comme d’aucuns parmi la Secte veulent se convertir à un islam soufi en apparence laissant cependant la part belle à l’islam djihadiste en sous-main ; les autres membres de la Secte s’abandonnant aux délices croient-ils du 666, vendant ainsi leur âme au diable, la « Bête de l’évènement » aurait dit un certain Macron (il faudrait d’ailleurs réécrire une nouvelle version de Faust et de Dorian Gray).

BHL, non, bien sûr, mais Millière, n’a-t-il pas vu tout cela lorsqu’il a écrit par exemple son livre défendant Trump ?… Hélas, l’aveuglement idéologique est la pire des cécités qui tord de belle manière la perception, un Millière qui a toujours défendu l’entrée de la Turquie d’Erdogan au sein de l’U.E, qui continue à différencier islam et islamisme le tout dans le droit fil du relativisme culturel anglo-saxon et donc du communautarisme exacerbé à la seule différence que l’islam n’étant pas une culture et une religion comme les autres, il veut être le seul mâle de la horde et non pas seulement exister en folklore ; ce qui implique une lutte territoriale sans merci façon Darwin, à commencer par les territoires mentaux laissés à l’abandon, après avoir été détruits, à l’Ouest, alors qu’à l’Est et au Sud ces territoires ne sont pas encore réduits à l’état de friches, même s’ils sont hélas encore imprégnés des faux élixirs marxistes-léninistes et islamiques incapables de les sortir de la corruption et de la lutte entre clans qui les rendent alors de plus en plus vermoulus devant les coups de boutoir djihadistes, la prégnance maoïste, tout en étant défendus par les mercenaires de Wagner cette armée dite secrète de Poutine….

Or, si l’on faisait notre Cyrano (de Bergerac…) il pourrait être pourtant concédé que la binarité globaliste versus patriote n’est pas aussi simple et qu’en effet par exemple en Chine sous régime post maoïste l’acharnement pseudo-thérapeutique du « zéro Covid » n’est pas sans rappeler ce qui s’est passé en Nouvelle-Zélande et en Australie : la démesure hygiéniste alors que l’injection expérimentale a en réalité fabriqué plus de « cas » et plus de morts ; ce qui renvoie au fait qu’au sein même de cette binarité d’autres courants internes à chaque champ s’affrontent pour en avoir l’hégémonie (comme l’explique très bien Plaquevent [ci-dessus] et, aussi, pour tenter même d’asseoir une domination au-dessus des deux camps, telle par exemple cette cohabitation étrange au sein de l’OMS entre les maoïstes et Bill Gates…

Mais alors… Ne s’agirait-il au fond que d’une lutte entre « oligarques » comme le pense Paul Rhoads dans un dernier entretien [à partir de 25:11] ? Mais même les « oligarques » peuvent avoir une pensée divergente, ainsi Musk voulant acheter Twitter, Gates s’acharnant à contrôler la santé du monde avec ses quarante milliards octroyés à l’OMS, sans oublier Pfizer affilié à Mc Kinsey [ou l’inverse ?…], Soros et ses incroyables donations pour accélérer la « créolisation » chère à cet oligarque français nommé Mélenchon…

Pourquoi dans ces conditions Poutine n’aurait-il pas lui aussi quelques ambitions de cette nature, lui qui pourtant avait proposé que la Russie entre dans l’OTAN en 2000 ? Était-ce une ruse, une fourberie de plus ?… Facile…

Millière est-il devenu un inconditionnel de l’État profond américain ? Sans doute pas, vu la manière dont il aura défendu Trump [celui-ci ayant fait cependant moult compromis avec la Secte, en particulier via le « vaccin », mais sans retour sur investissement…]. Il semble pourtant rouler pour lui désormais voyant la paille dans l’œil de l’ours russe, refusant de voir la poutre dans celui de la pieuvre otanesque au service de la Secte S.H.A.




Contre Macron le 24 avril 2022

[Source : p-plum.fr]

[Transmis par Christine Côte]

Par Fred (pplum-admin)

J’ai cinquante et un ans. Je n’ai jamais gagné une élection présidentielle. Jamais je n’aurai imaginé voter Le Pen de ma vie. Mais la crise Covid a révélé à mes yeux que le personnage Macron est pire que le personnage Le Pen.

Le cœur du problème est le décalage entre le narratif et la réalité. On vous dit qu’il y a une grave épidémie qu’il faut s’isoler les uns des autres, etc. Mais la réalité c’est qu’il n’y a pas de grave épidémie. Voir le livre de l’épidémiologiste Laurent Toubiana « Covid19 une autre vision de l’épidémie » éditions L’Artilleur 2022. La réalité, c’est que la peur d’une grave épidémie est orchestrée par la propagande afin de réaliser un objectif politique bien précis : habituer les gens à s’identifier électroniquement à chaque geste de la vie quotidienne.

Nous pourrions donc continuer à faire comme s’il n’y avait pas de décalage, comme si c’était normal de voir des gens masqués alors qu’il n’y aucune raison, comme si ça allait de soi d’obliger les élèves à tuer toutes les bactéries de leurs mains avec du gel bactéricide à chaque entrée en classe alors que ça nuit à leur santé.

Mais ce décalage nous place en situation de dissonance cognitive, c’est très grave. On s’enfonce dans la folie.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est jeu-enfant-formes.jpeg.

Quand un enfant joue à faire rentrer une forme ronde dans un trou carré, il cesse assez vite parce qu’il voit bien que ça ne rentrera pas. Les adultes eux, peuvent continuer jusqu’au burn-out, jusqu’à la violence sur soi ou sur les autres ou sur les objets.

Si vous observez ces graphiques (([1] https://twitter.com/felicittina/status/1507813114879922179
https://twitter.com/Mounotella/status/1496197873293275140)), vous voyez que le vaccin tue des gens en leur injectant la Spike. Quand vous essayez de faire coller cette réalité au narratif institutionnel (le vaccin sauve de la covid), ça ne marche pas. Donc, soit vous devenez fou, soit vous trouvez une échappatoire.

Une échappatoire possible est le complotisme : celui qui montre le graphique serait un complotiste, c’est-à-dire qu’il choisirait des images afin de faire croire que les gouvernements veulent tous nous tuer.

Comme Didier Raoult, je préfère qu’on me traite de complotiste plutôt que de devenir fou. Je préfère vivre pas longtemps sain d’esprit plutôt que vivre longtemps dans la dissonance cognitive.

À continuer avec Macron, on arrivera inévitablement à ce qui se passe en Chine : des policiers abattent un chien à coups de bâton dans la rue. La Police covidiste rafle les animaux de compagnie parce qu’ils sont suspectés de véhiculer la covid. La Police covidiste retire les enfants à leurs parents. 25 millions de personnes sont confinées à Shanghai, il n’y a plus à manger. Les habitations sont réquisitionnées pour servir de quarantaine. La Police fait s’agenouiller les gens pour leur scanner le QR Code en pleine rue. Tout ça pour… la Covid ?? Ce qui est en train de se passer en Chine est la pire horreur qu’on avait plus vue depuis longtemps.

https://twitter.com/El_Dic_TatoR/status/1513565318781845504

Les Chinois ne sont pas différents de nous. Quand on essaie de faire coller le narratif avec la réalité alors que ça ne marchera jamais, on devient violent. La violence qu’on a observée à l’hôpital en France (on ligote un vieux sur son lit d’hôpital pour qu’il garde son masque contre la covid, puis il meurt par exemple) vient de là. Si vous n’arrivez pas à faire rentrer la forme ronde dans le trou carré, il y a des moyens d’adultes que l’enfant ne connaît pas : casser le trou, limer le trou, couper la forme et surtout rejeter la faute sur quelqu’un d’autre qui a touché le trou ou la forme. Bref, employer les grands moyens… Inhumains…

Avec Macron, nous sommes entrés dans la dictature absolue : le système où les gens croient être libres. C’est une hallucination collective.

« Leur propagande est marquée par un mépris extrême des faits.« 

H.Arendt

« Un groupe d’oligarques a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis » Vera Sharav et Ariane Bilheran (([2] https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/vera-sharav-et-ariane-bilheran Vidéo 1h10))

Je pense aux soignants et pompiers dont la vie est devenue un enfer parce qu’ils n’ont pas la même culture vaccinale que les crânes d’oeufs du Ministère. Marine Le Pen a promis de réintégrer les soignants non vaccinés (([3] https://www.europe1.fr/politique/presidentielle-marine-le-pen-veut-reintegrer-15000-soignants-mis-a-pied-4105801)). Je sais, ça ressemble à une manoeuvre électoraliste, mais ce n’est pas comme Macron qui annonce un projet de VIe République après le 1er tour pour draguer les électeurs de J.-L. Mélenchon. Cette mesure de réintégrer les soignants non vax, faite en novembre 2021, elle dit quelque chose sur le coup de frein à donner sur la politique vaccinale totalitaire de Emmanuel MacKinsey.

En réalité, c’est le think tank progressiste Terra Nova qui évoque le mieux la parole de Marine Le Pen, en essayant de dézinguer ses points de vue sur la pandémie « scientifiquement », c’est-à-dire avec les chiffres présentés dans le journal transhumaniste « Le Monde » (([4] https://tnova.fr/societe/sante/marine-le-pen-et-le-covid-deux-ans-dincoherences/)).

Il faut que M. Le Pen devienne présidente pour que les injections (soi-disant contre la covid-19) cessent d’être le laissez-passer de toute activité humaine sur cette Terre. Voter contre Macron est un message adressé à la prochaine Assemblée nationale ; si Marine Le Pen n’est pas présidente, si elle n’a pas la majorité, il y aura eu au moins ce message.

Je note quand même que l’abrogation des lois sur l’état d’urgence sanitaire et sur le passe sanitaire n’est pas dans le programme de Marine Le Pen (([5] https://mlafrance.fr/programme)). Contrairement à la France Insoumise de Mélenchon (([6] C’est dans son programme ici :
https://laec.fr/section/31/sorganiser-pour-faire-face-aux-pandemies?q=sanitaire,passe )).

Quand je vois le programme du Rassemblement National, tout ce discours sécuritaire, je me dis que c’est de la gnognote comparé à la dictature complètement hallucinée qui s’est mise en place avec le covidisme.

Macron MacKinsey flatte l’égoïsme le plus vil. On est entre gens qui ont le « passe » et on en profite à fond de nos loisirs égoïstes. Mais qu’est-ce qui peut être pire en termes de totalitarisme que cet encouragement massif au repli sur soi et la délation ?

Mettre du gel bactéricide sur les mains, c’est comme éradiquer tous les étrangers dans les zones frontalières, sous prétexte que certains sont dangereux, alors il faudrait tous les éliminer, peu importe qu’il y en ait une immense majorité qui soit bénéfique et que l’équilibre puisse être atteint naturellement comme toujours. Cette idéologie radicale qui tient de la folie est mise en application sur chacun, sur les enfants par la Macronie progressiste. Il faut y mettre un coup d’arrêt.

« On nous vole ce qu’on a de plus précieux : notre vie intérieure ! À l’est, c’est la foire du parti qui la foule aux pieds, à l’ouest, c’est la foire du commerce! »

A. Soljenitsyne

Je conçois ma décision comme un électro-choc pour celles et ceux qui continuent de croire que le Ministère de la Santé et leurs commanditaires de Davos (Gates, l’OMS, les GAFAM et compagnie) nous veulent du bien en nous faisant faire des tests PCR à tout bout de champ. Le test PCR a été officiellement arrêté aux USA parce qu’il ne dit pas – il n’a jamais dit – que vous étiez malade. Parce qu’il ne fait pas bien la différence entre la grippe et la covid…

Macron a déchaîné la Police sur les manifestants en gilets jaunes, qui défendent l’honneur des travailleurs. J’ai observé ces gens mutilés par la Préfecture sous Macron. Et nous avons vu ces migrants à Calais, traités par des bêtes inhumaines. Avec Macron, avec n’importe qui d’autre, nous sommes déjà dans cette société de la précarité totale : les riches sont de plus en plus riches et ça marche aussi très bien dans l’autre sens, ça va même avec. Les plus faibles trinquent toujours en premier.

Macron ou Le Pen, mon message est destiné à celles et ceux qui sont dans le narratif de la société industrielle, « on n’arrête pas le progrès ». Il n’y a rien de plus urgent justement que d’arrêter la fuite en avant de la société industrielle et de revenir aux fondamentaux simples de la vie sur Terre. Lire à ce sujet « La Fin de la mégamachine – Sur les traces d’une civilisation en voie d’effondrement » Fabian Scheidler Seuil 2020.

En écrivant ce texte, je voudrais que tout le monde se préserve des injonctions paradoxales, des ordres contradictoires qui placent les gens dans des situations de dissonance cognitive. Par exemple il faut arrêter de faire du « développement durable », c.-à-d. continuer avec le « développement », mais de manière « durable ». C’est l’équation impossible à résoudre, la destruction du psychisme calme et modéré.

Avec Marine Le Pen présidente, j’entends les sirènes transphobes, homophobes : Marine a été mariée, elle a eu des enfants. Macron lui, c’est un pédé qui pelote les Messieurs muscles noirs. Comme si j’en avais quelque chose à faire de ces trucs. Quand on a perdu un oeil en manif, quand on a perdu son boulot de soignant non vax, quand on ne peut plus entrer dans une médiathèque à cause de sa culture propre, quand on se désole de la casse du service public, qu’est-ce qu’on en a à faire de la couleur et des préférences sexuelles du commanditaire ? Un dictateur, c’est un dictateur. Qu’il soit cisgenre ou LGBT-compatible ne lui donne pas le droit de se comporter comme un dictateur. Qui peut imaginer une seconde que Marine Le Pen puisse faire abroger la loi sur l’avortement en France en 2022 ? La société civile veille. Par contre, Macron lui, on connaît ses méthodes de progressiste : il ferait aboutir – apparemment en douceur avec les médias de masse – le projet de portefeuille numérique européen, qui contiendrait la monnaie numérique voulue par les grands trusts internationaux.

On a été élus, on a essayé de faire mieux, et ça a donné comme d’habitude »

Viktor Tchernomyrdine

Et encore et toujours :

« Je sais que partout dans le monde, il y a des gens qui s’entretuent.
C’est pas gai.
Mais je sais aussi qu’il y a des gens qui s’entre-vivent.
J’irai les rejoindre.« 

Jacques Prévert

En vous souhaitant bonne journée

Fred

PS : à lire aussi « N’oublions jamais que sous E.Macron, on a voulu nous faire accepter : … »

PPS : Graphique spectaculaire qui montre que le décès covid chez les 0-9 ans est corrélé à la génévaccination (il y a de quoi devenir fou de réaliser ce qu’on fait aux enfants, et dans quel monde on vit !) : 




La FDA et Pfizer savaient que l’injection COVID provoquait une immunosuppression

[Source : mondialisation.ca]

Par Dr Joseph Mercola

Le 1er avril 2022, un autre lot de 11 000 documents Pfizer a été rendu public par la Food and Drug Administration américaine. Les données des essais de Pfizer révèlent que l’immunité naturelle était aussi efficace que le vaccin et que les effets secondaires du vaccin étaient plus graves chez les moins de 55 ans. Étant donné que le risque de COVID sévère est considérablement plus faible chez les personnes plus jeunes, un risque élevé d’effets secondaires est inacceptable, et l’injection aurait dû être limitée aux personnes présentant un risque élevé de COVID sévère.

Le taux d’effets indésirables par dose pour le mRNA jab de Pfizer, basé sur ses propres études, est de près de 1 sur 800, et le taux de myocardite est de 10 sur 100 000 – bien plus élevé que le taux de 2 sur 100 000 rapporté précédemment.

Le formulaire de consentement de Pfizer précise que l’effet sur le sperme, les fœtus et les enfants allaités est inconnu. Pourtant, les autorités sanitaires et les médias considèrent comme un « fait » que l’injection n’affecte pas la santé reproductive ou la fertilité et qu’elle est parfaitement sûre pour les femmes enceintes et les mères allaitantes.

Les documents de Pfizer montrent qu’ils n’ont pas exclu le risque d’augmentation des anticorps dépendants. La maladie améliorée associée au vaccin (VAED) est répertoriée comme un « risque potentiel important ». Au 28 février 2021, Pfizer avait recensé 138 cas de VAED présumés, dont 75 étaient graves, entraînant une hospitalisation, une invalidité, des conséquences potentiellement mortelles ou le décès ; 38 cas étaient mortels et 65 n’étaient pas résolus.

Pfizer et la FDA savaient également que des personnes de tous âges présentaient une suppression transitoire de la fonction immunitaire pendant une semaine après la première dose.

https://www.youtube.com/embed/5eJ5TIT6zvk

Avec un nouveau lot de 11 000 documents de Pfizer, publiés le 1er avril 2022, de vieux soupçons ont trouvé un nouveau soutien. Comme le rapporte la coanimatrice de « Rising », Kim Iversen (vidéo ci-dessus), la première révélation qui fait l’effet d’une bombe est que l’immunité naturelle fonctionne, et que Pfizer le savait depuis le début.

Les données de l’essai clinique ont montré qu’il n’y avait pas de différence de résultats entre les personnes ayant déjà été infectées par le COVID et celles qui ont été vaccinées. Aucun des deux groupes n’a connu d’infection grave. L’immunité naturelle était également statistiquement identique à la vaccination en termes de risque d’infection.

Les jeunes adultes sont plus susceptibles de subir des effets secondaires

La deuxième révélation est que les effets secondaires des injections étaient plus graves chez les jeunes, âgés de 18 à 55 ans, que chez les personnes âgées de 55 ans et plus. (Le risque d’effets secondaires augmentait également avec les doses supplémentaires, de sorte que le risque était plus élevé après la deuxième dose qu’après la première).

Comme beaucoup d’entre nous l’ont dit depuis le début, le risque de COVID grave est considérablement plus faible chez les jeunes que chez les plus de 60 ans, ce qui rend inacceptable un risque élevé d’effets secondaires.

Comme l’a noté The Naked Emperor sur Substack (1), « avec un vaccin qui produit des réactions et des événements indésirables plus fréquents et plus graves chez les personnes plus jeunes, le vaccin aurait dû être limité aux personnes qui étaient réellement à risque de COVID-19 grave. »

Les documents de Pfizer montrent un taux élevé de myocardite

Il est intéressant de noter que la documentation de Pfizer comprend également des informations médicales que les médias grand public et les vérificateurs de faits ont qualifiées de désinformation ou d’informations erronées. Un formulaire de consentement pédiatrique énumère plusieurs effets secondaires possibles, dont un taux de myocardite de 10 sur 100 000 – bien plus élevé que le taux de 1 sur 50 000 (c’est-à-dire 2 sur 100 000) rapporté précédemment.

Nous savons également que la myocardite est beaucoup plus fréquente chez les jeunes hommes, de sorte que pour eux, le risque est nettement supérieur à 10 sur 100 000, puisqu’ils constituent la majeure partie de ces blessures.

Les effets sur la santé reproductive sont inconnus

Le formulaire de consentement précise également que les effets sur le sperme, les fœtus et les enfants allaités sont inconnus. Pourtant, les autorités sanitaires et les médias considèrent comme un « fait » que l’injection n’affecte pas la santé reproductive ou la fertilité et qu’elle est parfaitement sûre pour les femmes enceintes et les mères qui allaitent.

Si un effet est inconnu, par définition, vous ne pouvez pas prétendre qu’il est inoffensif. Si vous le faites, vous mentez, purement et simplement, et le Dr Rochelle Walensky, directrice des Centres de contrôle et de prévention des maladies, n’est qu’une des nombreuses personnes coupables de cela. Elle a assuré à plusieurs reprises au public que le vaccin ne présentait aucun risque pour la santé des femmes enceintes ou de leurs bébés. Voici Walensky en mai 2021 :

https://www.youtube.com/embed/WSgNTUjzwxQ

Et la voilà, en octobre 2021, qui continue à affirmer qu’il n’y a aucun risque.

https://www.youtube.com/embed/yKh_kPptRGY

De même, en août 2021, lorsque le Comirnaty a été homologué, le Dr Anthony Fauci, directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases, a affirmé que le vaccin COVID était sans danger pendant la grossesse :

Regardez la vidéo en anglais ICI

L’American College of Obstetricians and Gynecologists (ACOG) fait également des déclarations définitives sur la sécurité, affirmant que « la vaccination peut avoir lieu à n’importe quel trimestre, et l’accent doit être mis sur la réception du vaccin dès que possible afin de maximiser la santé de la mère et du fœtus ».(2) Pourtant, même l’étiquette de Comirnaty (3, 4) indique que « les données disponibles sur Comirnaty administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour informer des risques associés au vaccin pendant la grossesse ».

Le renforcement dépendant des anticorps n’a pas été exclu

De nombreuses personnes qui ont mis en garde contre la possibilité que les injections d’ARNm provoquent un renforcement des anticorps (ADE) – une situation dans laquelle vous finissez par être plus sensible à une infection grave que vous ne l’auriez été autrement – ont été dénigrées et diabolisées par les médias et qualifiées de propager de la désinformation.

Pourtant, le propre formulaire de consentement de Pfizer indique clairement :

« Bien que cela n’ait pas été observé à ce jour, on ne peut pas encore exclure que le vaccin étudié puisse rendre plus grave une maladie ultérieure liée au COVID-19. »

Comme l’a noté Iversen, si l’ADE n’était vraiment pas un sujet de préoccupation, le formulaire de consentement ne l’inclurait pas. Pourtant, il est là.

La maladie améliorée associée au vaccin (VAED) est également répertoriée comme un  » risque potentiel important  » dans le tableau 5 de la page 11 d’un document intitulé  » 5.3.6 Cumulative Analysis of Post-Authorization Adverse Event Reports « (5).

Au 28 février 2021, Pfizer comptait 138 cas de VAED présumés, dont 75 étaient graves, entraînant une hospitalisation, une invalidité, des conséquences potentiellement mortelles ou le décès ; au total, 38 cas se sont avérés mortels et 65 sont restés non résolus (6, 7).

De plus, comme le note le Daily Expose (8),

« les essais cliniques de phase 3 sont conçus pour découvrir les effets secondaires fréquents ou graves avant qu’un vaccin ne soit approuvé, y compris les EIM. Mais c’est là que réside le problème, [car] aucun des vaccins COVID-19 n’a terminé les essais de phase 3. »

L’essai de phase 3 de Pfizer doit se terminer le 8 février 2024 (9), soit dans près de deux ans ! Malgré cela, Pfizer a conclu dans sa soumission à la FDA qu’ » aucun des 75 cas ne pouvait être considéré de manière définitive comme un VAED [Vaccine-associated enhanced disease, Maladie renforcée associée aux vaccins].  »

« [Comment diable n’ont-ils pas pu conclure définitivement que le VAED était à blâmer alors que 75% des cas confirmés de « percée » qui leur ont été rapportés étaient des maladies graves entraînant une hospitalisation, une invalidité, des conséquences mortelles de la mort ? ». demande The Daily Expose.(10)

Pfizer était au courant de l’immunosuppression

Une autre déclaration révélatrice trouvée dans les documents est la suivante :

 » L’évaluation clinique en laboratoire a montré une diminution transitoire des lymphocytes, observée dans tous les groupes d’âge et de dose après la dose 1, qui s’est résorbée en une semaine environ… « .

En d’autres termes, Pfizer savait que, dans la première semaine suivant l’injection, des personnes de tous âges subissaient une immunosuppression transitoire, ou en d’autres termes, un affaiblissement temporaire du système immunitaire, après la première dose.

Comme l’a noté Iversen, cela peut avoir faussé les taux d’infection, car les personnes n’étaient considérées comme partiellement vaccinées que 14 jours après leur première injection (11), et officiellement complètement vaccinées deux semaines après la deuxième dose.

Si les personnes sont susceptibles d’être infectées pendant cette première semaine, mais qu’elles sont considérées comme non vaccinées pendant cette période, cela donne l’impression que les personnes non vaccinées sont plus sujettes à l’infection, alors que ce n’est tout simplement pas le cas. Le propre essai de Pfizer a montré que l’infection était significativement plus fréquente dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo – 409 contre 287 – dans les sept premiers jours suivant le vaccin.(12)

Les personnes entièrement vaccinées sont plus susceptibles de mourir du COVID

Le fait que Pfizer et la Food and Drug Administration américaine savaient que l’injection provoquait une immunosuppression est incriminé, maintenant que les données du gouvernement britannique montrent que, par rapport aux personnes non vaccinées, celles qui ont reçu deux doses sont : (13)

  • Jusqu’à trois fois plus susceptibles de recevoir un diagnostic de COVID-19
  • Deux fois plus de risques d’être hospitalisées à cause du COVID-19.
  • Trois fois plus de risques de mourir du COVID-19.

Les documents de Pfizer admettent qu’il y a eu une baisse temporaire de la fonction immunitaire après la première dose, mais les données du monde réel montrant un risque accru d’infection grave et de décès dû au COVID chez les personnes ayant reçu une double injection suggèrent que l’EIM peut aussi être en jeu plus tard.

Le graphique ci-dessous, créé par Daily Expose (14) à partir des données du rapport de surveillance des vaccins de l’UKHSA pour la semaine 13, 2022 (15) (pages 40 et 45), révèle qui est le plus susceptible de contracter le COVID. Et le taux d’infection des triples-vaccinés est encore plus élevé que celui des doubles-vaccinés.

covid-19 case rate

Le graphique suivant a été créé par le Daily Expose (16) à partir des données des pages 41 et 45, en comparant les taux d’hospitalisation COVID.

covid-19 hospitalization rate

Enfin, il y a une comparaison des taux de mortalité, basée sur les pages 44 et 45 du rapport de surveillance des vaccins de l’UKHSA pour la semaine 13, 2022.(17) Toute personne âgée de plus de 40 ans qui a reçu une double injection est maintenant plus susceptible de mourir du COVID qu’une personne non vaccinée du même âge.

covid-19 death rate

Efficacité négative des vaccins dans le monde réel

Le Daily Expose poursuit en calculant et en établissant un graphique du taux d’efficacité du vaccin COVID dans le monde réel, et les nouvelles sont terribles : (18)

« Si les taux pour 100 000 sont plus élevés chez les vaccinés, ce qui est le cas, cela signifie que les injections de COVID-19 ont une efficacité négative dans le monde réel. Et en utilisant la formule d’efficacité des vaccins de Pfizer, nous pouvons déchiffrer avec précision quelle est l’efficacité réelle dans chaque groupe d’âge.

La formule d’efficacité des vaccins de Pfizer : Taux de non-vaccination pour 100k – Taux de vaccination pour 100k / Taux de non-vaccination pour 100k x 100 = Efficacité du vaccin …

Ces données montrent que toutes les personnes doublement vaccinées de plus de 18 ans ont entre 2 et 3 fois plus de risques d’être infectées, avec une efficacité vaccinale de moins 87 % chez les 18-29 ans et de moins 178 % chez les plus de 80 ans.

[Toutes les personnes doublement vaccinées de plus de 30 ans ont entre 0,2 et 2 fois plus de risques d’être hospitalisées, avec une efficacité vaccinale de moins 1 % chez les 30 à 39 ans et de moins 76 % chez les plus de 80 ans.

Le graphique suivant montre l’efficacité réelle du vaccin COVID-19 contre le décès parmi la population doublement vaccinée en Angleterre, sur la base des taux de décès fournis ci-dessus …

[Toutes les personnes doublement vaccinées âgées de plus de 40 ans ont entre 2 et 3 fois plus de risques de mourir du COVID-19, avec une efficacité vaccinale de moins 90 % chez les 30 à 39 ans et de moins 156 % chez les plus de 80 ans ».

covid-19 vaccine effectiveness

Pfizer a embauché 600 personnes pour traiter un nombre sans précédent de rapports.

Au cours des deux dernières années, nous avons gardé un œil sur le système américain de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS), secouant la tête avec incrédulité alors que les chiffres augmentaient par centaines chaque semaine, dépassant rapidement les blessures liées à tous les autres vaccins combinés au cours des 32 dernières années.(19)

Au 25 mars 2022, on comptait 1 205 753 rapports liés au vaccin COVID, dont 145 781 hospitalisations et 26 396 décès.(20) Aucun produit médical de l’histoire moderne n’est comparable. Rien n’a été aussi dommageable et mortel que ces injections expérimentales.

Entre décembre 2020 et fin février 2021, Pfizer a expédié 126 212 580 doses de sa piqûre d’ARNm dans le monde entier. Divisé par 158 000 effets secondaires, nous obtenons un taux d’événements indésirables par dose de près de 1:800.

Dans un lot précédent de documents, nous avons appris que Pfizer avait reçu 42 086 rapports de cas contenant un total de 158 893 événements au cours des trois premiers mois du déploiement. Dans ce communiqué, le nombre de doses expédiées était expurgé, mais dans le communiqué du 1er avril 2022, il ne l’était plus, ce qui signifie que nous pouvons maintenant calculer le taux d’événements indésirables signalés à Pfizer au cours de ces trois premiers mois.

Entre décembre 2020 et fin février 2021, Pfizer a expédié 126 212 580 doses de sa piqûre d’ARNm dans le monde entier. Divisé par 158 000 effets secondaires, nous obtenons un taux d’événements indésirables par dose de près de 1 sur 800 (21), ce qui est tout simplement follement irresponsable.

Nous disposons également de documents montrant que Pfizer, à la fin du mois de février 2021, avait embauché 600 employés supplémentaires à temps plein pour traiter l’afflux sans précédent de rapports d’effets indésirables, et qu’elle prévoyait qu’à la fin du mois de juin 2021, elle en embaucherait plus de 1 800 (22).

En fin de compte, la vaccination COVID restera dans l’histoire comme la plus grande fraude médicale jamais commise avec la participation volontaire des entreprises pharmaceutiques et des organismes de réglementation. Et il n’y a pas de perspective de fin.

En mars 2022, la FDA a autorisé les doses 4 et 5, sur la base d’une étude préliminaire (23,24) qui a révélé qu’une quatrième injection Moderna était efficace à 11 % et provoquait des effets secondaires chez 40 % des patients, et qu’une quatrième injection Pfizer était efficace à 30 % et provoquait des effets secondaires chez 80 % des personnes.

Je ne sais pas ce qu’il faudra pour que ce cauchemar de santé publique prenne fin et que les parties responsables soient appelées à répondre de leur négligence criminelle, mais apparemment, nous n’avons pas encore atteint l’indignation de masse critique.

Dr Joseph Mercola

Article original en anglais :

FDA and Pfizer Knew COVID Shot Caused Immunosuppression
By Dr. Joseph Mercola, le 14 avril 2022

Traduction : Mondialisation.ca avec DeepL.

Notes

La source originale de cet article est Mercola.com
Copyright © Dr Joseph MercolaMercola.com, 2022




Effets graves des vaccins : des chiffres aveuglants qui restent dans l’ombre

[Source : covidhub.ch]

La réalité des cas graves et des morts semble apparaître au grand jour aux Etats-Unis, révélée par des études solides. Mais les médias accaparés par la guerre en Ukraine peuvent-ils s’y intéresser ?

La vérité et l’étendue des effets graves des «vaccins» Covid deviennent de plus en plus évidentes, notamment suite à l’obligation imposée par la justice étasunienne à Pfizer de révéler l’ensemble de ses données sur les essais cliniques et les effets secondaires cachés. Pourtant, la guerre en Ukraine semble éclipser fort «opportunément» des preuves alarmantes qui devraient normalement faire la Une des médias.

Les documents relatifs au vaccin de Pfizer contredisent le récit «sûr et efficace» qui avait conduit à autoriser dans la hâte les injections géniques dès fin 2020. 9 pages d’effets secondaires, 158 893 effets secondaires, 42 086 rapports de cas pathologiques, 1 223 décès au cours des trois premiers mois d’utilisation du Pfizer et un taux de mortalité record chez les jeunes américains au cours du second semestre de 2021.

Demande judiciaire

L’avocat Aaron Siri et un groupe de scientifiques et de professionnels de la santé appelé Public Health and Medical Professionals for Transparency (PHMPT) ont déposé une demande en vertu de la loi sur la liberté d’information (FOIA) auprès de la Food and Drug Administration des États-Unis afin d’obtenir les documents utilisés pour approuver le vaccin à ARNm de Pfizer en août 2021.

La FDA avait réussi à examiner l’ensemble des 329 000 pages de données et à accorder une autorisation d’urgence au vaccin Pfizer en seulement 108 jours, mais a ensuite demandé 75 ans pour divulguer intégralement ces informations au PHMPT et au public.

«Le gouvernement protège Pfizer»

Siri a écrit sur son Substack :

« Alors, mettons les choses au clair. Le gouvernement fédéral protège Pfizer de toute responsabilité. Lui donne des milliards de dollars. Oblige les Américains à se faire injecter son produit. Mais ne vous laisse pas voir les données prouvant la sécurité et l’efficacité de son produit. Pour qui le gouvernement travaille-t-il ? »

Alors que l’affaire judiciaire était en cours, les 91 premières pages de documents de Pfizer publiées en novembre 2021 ont révélé que dans les 90 premiers jours suivant l’autorisation d’utilisation d’urgence du vaccin à ARNm de Pfizer, la société avait déjà reçu 158 893 rapports d’effets secondaires et 42 086 rapports de cas pathologiques, dont 1 223 décès.

Ces effets secondaires indésirables comprenaient 25 957 troubles du système nerveux, 17 283 troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif, 14 096 troubles gastro-intestinaux, 1 972 troubles du système sanguin et lymphatique et 1 098 troubles cardiaques.

La FDA sommée de divulguer les données

En janvier, un juge a ordonné à la FDA de publier ses données cliniques sur les vaccins Covid-19 de Pfizer, ce qui a entraîné la publication d’une partie des documents de Pfizer – plus de 10 000 pages – par la FDA le 1er mars 2022.

Cette tranche de documents comprenait 9-pages d’effets secondaires qui énumèrent 1 291 effets indésirables potentiels par ordre alphabétique.

Dans un tableau distinct intitulé « Problèmes de sécurité« , Pfizer a informé la FDA que l’anaphylaxie était un « risque identifié« , que la sur-maladie associée au vaccin (VAED) était un « risque potentiel » et que le géant pharmaceutique manquait d’informations concernant l’utilisation pendant la grossesse, l’utilisation chez les enfants et l’efficacité du vaccin.

Des centaines d’employés embauchés pour suivre les effets secondaires

Une autre série de documents publiés fin mars a révélé que Pfizer a reçu tellement de rapports d’effets secondaires indésirables au cours des trois premiers mois suivant le lancement du vaccin qu’elle a embauché 600 employés à temps plein uniquement pour traiter les rapports d’événements indésirables liés aux effets secondaires du vaccin, et qu’elle prévoit d’en embaucher 1200 autres d’ici juin 2021.

Le site d’information The Blaze a également révélé le mois dernier que le gouvernement américain a payé des centaines d’entreprises médiatiques pour faire la publicité des vaccins contre le Covid-19, tandis que ces mêmes médias répétaient les mantras « sûr et efficace » et « pandémie de non-vaccination » sans informer le public de toute étude ou donnée scientifique contraire.

Orchestration d’une campagne médiatique «positive»

En réponse à une demande déposée par Blaze Media en vertu de la loi sur la liberté de l’information, le HHS (Département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis – WIKI) a révélé qu’il avait acheté de la publicité à ABCCBS et NBC, ainsi qu’aux chaînes d’information câblées Fox NewsCNN et MSNBC, à d’anciennes publications médiatiques comme le New York Post, le Los Angeles Times et le Washington Post, à des sociétés de médias numériques comme BuzzFeed News et Newsmax, et à des centaines de journaux et de chaînes de télévision locaux.

« Ces médias ont été collectivement responsables de la publication d’un nombre incalculable d’articles et de segments vidéo concernant le vaccin, qui étaient presque uniformément positifs sur le vaccin en termes d’efficacité et de sécurité« , a rapporté Blaze Media.

Les mantras «sûr et efficace» contredits par les décès constatés

Alors que le gouvernement fédéral et les médias d’entreprise répétaient les mantras «sûr et efficace» et «pandémie des non-vaccinés», les données d’Israël, d’Islande et de Singapour ont montré que la majorité des cas de Covid-19 se sont produits chez les personnes présentant un parcours vaccinal complet au cours de l’été 2021, et les données d’Angleterre ont montré que plus de 70% des décès dus au Covid-19 se sont produits chez les personnes présentant un parcours vaccinal complet depuis septembre 2021.

En outre, de nombreuses bases de données gouvernementales officielles ont émis des signaux d’alarme indiquant que les vaccins à ARNm sont loin d’être aussi sûrs que prévu.

Le nombre total de décès associés aux vaccins Covid-19 dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS – Système de pharmacovigilence recensant les effets secondaires dus aux vaccins, NdT) des CDC est de 26 396, soit près du triple des 9 619 décès associés à tous les autres vaccins combinés au cours des 32 dernières années.

1,2 million de cas rapportés

ll y a eu un total de 1 205 753 rapports associés aux vaccins contre le Covid-19 dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) des CDC, y compris :

  • 145 781 hospitalisations
  • 125 791 soins urgents
  • 48 852 handicapés permanents
  • 41 320 réactions allergiques graves
  • 37 579 myocardite/péricardite
  • 26 396 décès
  • 14 949 paralysie de Bell
  • 13 527 crises cardiaques
  • 13 224 bardeaux
  • 9 533 anaphylaxie
  • 6 256 thrombocytopénie
  • 4 423 fausses couches

Les CDC affirment qu’aucun de ces décès n’a été causé par les vaccins Covid-19, mais leurs propres données montrent que 50 % des décès surviennent dans les 48 heures suivant la vaccination, avec une corrélation directe entre le nombre de décès et le nombre de jours après la vaccination.

Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour signaler les réactions indésirables aux vaccins aux États-Unis. (Réd. Covidhub: les estimations généralement admises indiquent qu’à peine 10% des effets secondaires sont rapportés)

Explosion de maladies dans l’armée

Des lanceurs d’alerte ont publié la base de données épidémiologiques médicales du ministère de la Défense (DMED) et ont signé des déclarations sous serment selon lesquelles les données correspondaient à leur expérience clinique dans le traitement des soldats en 2021. Les données ont montré ces pourcentages d’augmentation des maladies parmi le personnel militaire par rapport à la moyenne des cinq dernières années :

  1. Hypertension – augmentation de 2 181 %.
  2. Crises cardiaques – augmentation de 269%.
  3. Cancer : augmentation de 300 %.
  4. Péricardite – augmentation de 175 %.
  5. Myocardite – augmentation de 285 %.
  6. Embolies pulmonaires – augmentation de 467 %.
  7. Infarctus cérébral – augmentation de 393 %.
  8. Paralysie de Bell – augmentation de 319 %.
  9. Syndrôme de Guillain-Barré – augmentation de 250 %.
  10. Immunodéficiences – augmentation de 275 %.
  11. Irrégularité menstruelle – augmentation de 476 %.
  12. Sclérose en plaques – augmentation de 487 %.
  13. Fausse couche – augmentation de 306%.
  14. VIH – augmentation de 590 %.
  15. Douleur thoracique – augmentation de 1 529 %.
  16. Respiration difficile – augmentation de 905 %.
  17. Problèmes neurologiques – augmentation de 1048%.

Le ministère de la Défense a répondu, par l’intermédiaire d’un site Web de fact-checking, qu’il s’agissait d’un problème dans sa base de données, qui a entraîné une sous-déclaration des données des cinq dernières années, et que ce problème n’a été découvert qu’après que ces médecins militaires ont attiré son attention sur l’augmentation de la maladie.

Le risque cardiaque pour les jeunes

Le risque de myocardite ou d’inflammation cardiaque, en particulier chez les jeunes hommes, a été établi par de nombreux gouvernements dans le monde, ce qui a conduit huit pays à suspendre les vaccins contre le Covid-19 pour les groupes d’âge plus jeunes en raison du risque de myocardite.

  • Taiwan suspend le 2ème vaccin Pfizer pour les 12-17 ans
  • L’Islande suspend Moderna pour tous les âges
  • La Suède suspend Moderna pour les moins de 30 ans
  • La Finlande suspend Moderna pour les moins de 30 ans
  • Le Danmark suspend Moderna pour les moins de 18 ans
  • La Norvège suspend Moderna pour les moins de 18 ans
  • La France suspend Moderna pour les moins de 30 ans
  • L’Allemagne suspend Moderna pour les moins de 30 ans

En outre, la Suède et la Norvège ne recommandent pas les vaccins contre le Covid-19 pour les enfants de moins de 12 ans et le Royaume-Uni ne recommande pas les vaccins contre le Covid-19 pour la majorité des enfants de moins de 18 ans.

Les grands médias ne répercutent pas

Alors que les médias grand public et les grandes entreprises technologiques ont occulté tout ce qui s’opposait au mantra de Pfizer, «sûr et efficace», plus de 17 000 médecins et scientifiques ont signé la déclaration de Rome recommandant de ne pas vacciner les enfants en bonne santé en raison du risque d’effets secondaires, du profil de sécurité à long terme inconnu de ces vaccins à ARNm et du risque négligeable de Covid-19 pour les enfants.

Les médias grand public ont supprimé les études d’autopsie qui montrent que les vaccins Covid-19 sont la cause du décès.

Le Dr Peter Schirmacher, pathologiste allemand de renommée mondiale, a publié en août 2021 un rapport d’autopsie de 40 personnes décédées dans les deux semaines suivant leur vaccination avec les vaccins COVID-19.

Il a déterminé que 30 à 40 % de ces personnes sont mortes à cause de la vaccination.

Médecin allemand de haut vol réduit au silence

Le Dr Shirmacher a estimé que la fréquence des conséquences fatales de la vaccination est sous-estimée. Le pathologiste a cité « des effets secondaires rares et graves de la vaccination – comme une thrombose veineuse cérébrale ou des maladies auto-immunes. »

Le Dr Peter Schirmacher est président par intérim de la Société allemande de pathologie, directeur de l’Institut de pathologie de l’hôpital universitaire de Heidelberg et président de l’Association allemande pour l’étude du foie.

Les médias n’en ont pas parlé et les géants d’internet ont interdit les comptes qui tentaient de partager le rapport du Dr Schirmacher. L’entrepreneur et mécène Steve Kirsch a révélé que la « famille de Schirmacher était menacée s’il continuait à parler. Alors il a arrêté de parler. C’est la façon dont la science fonctionne aujourd’hui. »

Autopsies alarmantes ignorées

Les docteurs Sucharit Bhakdi et Arne Burkhardt ont réalisé des autopsies séparées de personnes décédées dans un délai de 7 jours à 6 mois après avoir été vaccinées avec les vaccins contre le COVID-19.

Ils ont déterminé que 14 des 15 (93%) personnes autopsiées sont mortes d’affections causées par le vaccin contre le COVID-19. Leur étude, publiée le ou vers le 10 décembre 2021, est également confrontée au désintérêt des médias. Les médecins ont conclu :

«L’analyse histopathologique montre des preuves évidentes de pathologie de type auto-immune induite par le vaccin dans de multiples organes. Il est évident que l’on doit s’attendre à ce qu’une myriade d’événements indésirables dérivant de tels processus d’auto-attaque se produisent très fréquemment chez tous les individus, en particulier après des injections de rappel. Il ne fait aucun doute que l’injection de vaccins génétiques COVID-19 met des vies en danger de maladie et de mort. Nous notons que les vaccins à ARNm et à vecteur sont représentés parmi ces cas, de même que les quatre principaux fabricants. »

Les docteurs Arne Burkhardt et Sucharit Bhakdi ont présenté leur étude d’autopsie le 10 décembre 2021, mais elle a été largement ignorée, dénigrée ou censurée par les médias grand public et les grandes entreprises technologiques.

Les sociétés d’assurance révèlent la mortalité en hausse des 18-64 ans

Les données du CDC et le PDG d’une compagnie d’assurance de 100 milliards de dollars ont déclaré que le taux de mortalité en 2021 pour les personnes âgées de 18 à 64 ans a augmenté de façon étonnante de 40% par rapport aux niveaux pré-pandémiques et que la majorité des décès ne sont pas classés comme étant dus au Covid-19.

« Nous constatons actuellement les taux de mortalité les plus élevés que nous ayons jamais vus dans l’histoire de ce secteur, et pas seulement chez OneAmerica« , a déclaré Scott Davison, directeur de la compagnie d’assurance OneAmerica, basée à Indianapolis, qui existe depuis 1877 et compte environ 2 400 employés.

Cette augmentation représente «un nombre énorme», parmi «principalement les personnes en âge de travailler» qui ont des plans d’assurance-vie de groupe parrainés par l’employeur par le biais de OneAmerica, selon The Center Square.

«Du jamais vu»

«Et ce que nous avons vu juste au troisième trimestre, nous le voyons se poursuivre au quatrième trimestre, c’est que les taux de mortalité sont en hausse de 40% par rapport à ce qu’ils étaient avant la pandémie« , a déclaré Davison lors d’une conférence de presse en ligne la semaine dernière. « Pour vous donner une idée de la gravité de la situation, une catastrophe de trois sigmas (c’est-à-dire d’une gravité qui n’arrive en moyenne qu’une année sur 200) correspondrait à une augmentation de 10 % par rapport à la prépandémie. »

« Donc 40%, c’est du jamais vu« , a-t-il ajouté.

Cette augmentation record des taux de mortalité chez les personnes âgées de 25 à 64 ans, qui a débuté en juillet 2021, peut être observée dans les données de mortalité (toutes causes) des CDC présentées ci-dessous par le site USMortality.com :

Davantage de vaccinés parmi les morts

Comme l’a déjà publié Kanekoa’s Newsletter, une analyse critique des données originales de l’essai clinique de Pfizer montre que davantage de personnes sont mortes dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo.

Pfizer a supprimé l’essai en double-aveugle au bout de deux mois, n’a pas testé les biomarqueurs qui auraient constitué des signes précurseurs de la maladie et a qualifié de «douleur abdominale fonctionnelle» l’un des participants à l’essai, âgé de 12 ans, paralysé dans un fauteuil roulant et contraint de s’alimenter par sonde.

Déjà en 2008, le New York Times a publié un article intitulé « Des experts concluent que Pfizer a manipulé des études« .

Pfizer : des milliards versés aux médecins… et à la justice

Pfizer a retardé la publication d’études négatives, a déformé des données négatives pour les présenter sous un jour plus positif et a contrôlé le flux de données de recherche clinique afin de promouvoir son médicament contre l’épilepsie Neurontin.

En 2010, le New York Times a publié un article intitulé « Pfizer donne des détails sur les paiements aux médecins« .

Pfizer a admis avoir versé environ 20 millions de dollars à 4 500 médecins et autres professionnels de la santé pour des consultations et des interventions en son nom au cours des six derniers mois de 2009. Pfizer a également versé 15,3 millions de dollars à 250 centres médicaux universitaires et autres groupes de recherche pour des essais cliniques au cours de la même période.

Pfizer, qui a payé pendant plusieurs décennies des milliards de dollars d’amendes pénales, a réussi à s’emparer des médias, des grandes entreprises technologiques et des agences de réglementation pendant la crise du Covid-19, mais ses propres documents contredisent le récit « sûr et efficace » qui a été servi au public américain.




Atteinte à la dignité de la personne humaine sous l’empire d’Emmanuel Macron : une dignité que Marine Le Pen propose de rétablir

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Amine Umlil, pour FranceSoir

TRIBUNE — C’est en ma qualité de citoyen français, à «l’apparence arabo-musulmane» – expression empruntée à un homme politique français – et venant de l’autre côté de la Méditerranée il y a maintenant plus de 30 ans, que je souhaite publiquement m’exprimer quelques jours avant le vote du second tour de l’élection présidentielle prévu dimanche 24 avril 2022.

La France m’a chaleureusement accueilli et permis de construire un curriculum vitae (C.V.) dont un extrait est disponible sur le site du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet. J’ai toujours mis à disposition, et en œuvre de façon effective, ces formations et compétences acquises en poursuivant un seul et exclusif but : celui de l’efficience (qualité, sécurité, coût) des soins notamment médicamenteux dispensés à toute personne humaine.

Durant cette longue formation hospitalo-universitaire (« bac + 15 » avant de prétendre à un poste de praticien hospitalier ; « 3 ans » de licence dans une première faculté de droit ; « 2 ans » de Master en droit de la santé dans une seconde faculté de droit et à l’EHESP (école des hautes études en santé publique) ; soit près de « 20 ans »), menée en parallèle avec notamment des compétitions sportives (en particulier football et karaté shotokan, je n’ai jamais subi de discrimination.

Une telle discrimination est venue, brutalement et de façon insidieuse, me percuter lors de mon exercice professionnel en tant que pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier au sein de l’hôpital public de Cholet. Mais cette discrimination ne m’empêche pas de travailler et de vivre. J’ai appris à vivre avec cette discrimination eu égard à sa chronicité ; elle ne serait l’œuvre que de l’arbitraire. Elle ne serait que l’expression de la jalousie, la médiocrité, l’hypocrisie, l’incompétence, l’hostilité, la haine, la mauvaise foi, la calomnie, la xénophobie, etc. Ou peut-être, la matérialisation d’une volonté de ʺplaire au Maîtreʺ afin d’obtenir quelques avantages et servir des intérêts catégoriels et personnels.

Mais, je ne pense pas me tromper beaucoup en disant que je n’ai jamais été aussi discriminé, humilié, méprisé, violenté, etc. que sous l’empire du président de la République, Monsieur Emmanuel Macron. Néanmoins, cette fois, je me sens moins seul : cette discrimination, fondée sur l’état de santé de la personne humaine, cible tous mes concitoyens français. Lorsque nous sommes tous dans la galère, c’est que tout va bien.

Comme nombre de mes concitoyens, et violemment, je me vois « socialement désactivé de façon extrajudiciaire ». Sans jugement ni même un entretien préalable, mes fonctions sont suspendues, ma rémunération est immédiatement interrompue, tout autre travail rémunéré m’est interdit. Le non-respect de cette interdiction de travail m’expose même à des sanctions pénales : amende, emprisonnement, condamnation à des travaux d’intérêt général.

Un criminel, lui, est présumé innocent avant d’être jugé par un tribunal impartial et tant que ce jugement n’est pas revêtu de l’autorité de la chose jugée (tant qu’il n’est pas devenu définitif). Lui, il a le droit de présenter sa défense avant la prononciation de la sanction. Une fois détenu, il est pris en charge, logé, nourri et peut travailler en vue de sa réinsertion.

Avec brutalité, une simple décision administrative, signée par un fonctionnaire zélé au C.V. inconnu, me propulse ainsi dans un monde jusqu’alors improbable, inattendu. Le séjour, qui se profile, est d’une durée indéterminée. L’horizon s’assombrit. Mais, je ne suis pas seul. Je rejoins la cohorte de toutes ces femmes et de tous ces hommes qui viennent d’être, eux aussi, déclarés socialement éteints, indésirables. Mais ces Hommes sont intrinsèquement éclairés et demeurent profondément humains.

Voir aussi : « Il y a eu une cassure »: comment vivent les soignants suspendus, quatre mois après ?

Soudainement, je suis mis dans un « état de nécessité » et ne peux m’empêcher de penser au juge Paul Magnaud.

Une image se dessine. Elle révèle une nouvelle forme de sanction. Une forme inédite de représailles. De maltraitance. Je suis mis dans une position indéfinie, attaché psychologiquement et de façon invisible par les conséquences escomptées, projetées, inévitables, de l’interdiction de tout travail rémunéré. Une sangle mentale qui me projette l’impossibilité de pouvoir continuer à subvenir à mes besoins vitaux et non d’estime ; et à ceux de ma famille, une cible par ricochet. Une musique qui me chante : vous serez bientôt incapable d’accéder aux biens et aux services de première nécessité. Bientôt, vous allez pouvoir crever de faim. Ma position est figée de façon illimitée en espérant mon usure ; une perte de repères qui me conduirait à m’abandonner à mon invisible tortionnaire, à céder à ses désirs : à accepter de m’injecter, finalement, le produit expérimental.

Quelle différence entre cette image (ci-dessus décrite) et celle qui consiste à attacher une personne humaine (qui, elle, est condamnée suite à un procès équitable à la peine capitale) sur une chaise avant de lui injecter le produit fatal ?

Nombreux sont les soignants et autres professionnels tels que les pompiers qui refusent cette injection expérimentale, car ils semblent percevoir la mort au bout de la seringue.

Traitements inhumains et dégradants ? De la torture ? Une nouvelle forme de la peine capitale de nature psychologique et sociale ?

Sous l’empire d’Emmanuel Macron, le « dernier jour du condamné, sans procès équitable, à la peine capitale de nature psychologique et sociale » semble désormais écrit.

De façon inattendue, de manière imprévisible, le pas est franchi.

Je me sens trahi.

Désormais, j’appartiens à ce nouveau groupe doté d’un statut particulier et placé hors de l’espèce humaine.

Brusquement, tout s’arrête donc. Impuissant, je ne peux que contempler ce long parcours hospitalo-universitaire qui vient d’être soudainement, et brutalement, malmené par un acte administratif qui ne semble pas émouvoir, outre mesure, les ʺSeigneursʺ du Conseil d’État. Un simple papier d’une seule page, nommé « Décision N°2021- X », me propulse ainsi dans une dimension aux contours incertains. Une exécution qui vient anéantir cette expérience professionnelle acquise et punir les enseignements dispensés par mes Maîtres de la faculté ; au détriment de l’usager du système de santé et de la collectivité. En quelques secondes, le temps s’arrête.

Voir aussi : « Aujourd’hui, il n’y a pas de contre-pouvoir » Dr Amine Umlil

En pareilles circonstances, le calme et la patience sont de rigueur. Un regard dans le rétroviseur s’impose. Histoire de faire le point. Le temps de dresser un état des lieux et de repérer les différentes variables de la nouvelle équation soumise. Un instant pour tenter de comprendre. Un moment de réflexion qui cherche à dessiner le visage de cette nouvelle planète aux paysages étranges et insaisissables. Les premiers traits de ce visage révèlent la première des pauvretés, des inégalités, des vulnérabilités. Cette misère est celle du travestissement du sens des mots qui, combiné au pervertissement du raisonnement, constitue la source première dans laquelle la main invisible puise l’alinéation suprême de toute une population humaine.

Les faits relevés, en temps réel, depuis plusieurs mois, pourraient bien révéler une affaire inédite dans l’histoire de la science moderne, de la médecine, de la pharmacie, du droit.

Le médecin aurait cédé la place au ʺvendeurʺ qui tombe même la chemise devant les caméras pour ʺdonner l’exempleʺ, pense-t-il.

Les « données acquises de la science », sur lesquelles le médecin fonde sa prescription, sont supplantées par des slogans.

À l’information médicale et pharmaceutique succède la communication commerciale et ses avatars politique, administratif, médiatique.

« Tous vaccinés, tous protégés » ;
« Vaccination. COVID19. Si vous avez des courbatures après le vaccin, pas d’inquiétude… c’est que vous avez trop pédalé ! Prenez rdv dès maintenant (…) » (avec une photo montrant des jeunes personnes pédalant à la surface de l’eau (mer ou rivière ?) ;
« Les vaccins ont des effets désirables » (avec une photo où l’on voit une jeune fille et un jeune garçon s’embrasser) ;
« Etc. ».

Autant d’affiches et bidouillages publicitaires, utilisant des techniques de vente et fonctionnant comme des hameçons, qui cherchent à ferrer des personnes humaines, dont les plus jeunes d’entre elles, pour le restant de leurs vies.

Mais, en cas d’effets indésirables notamment graves, par exemple en cas de « décès » constaté après l’injection expérimentale, le vendeur exige « la preuve diabolique » aux personnes qui affirment avoir été victimes de leurs méthodes déloyales, plus même que du produit expérimental lui-même.

Sous la présidence d’Emmanuel Macron, une nouvelle parenthèse dans notre corpus juridique, hérité du droit romain, aurait été, vigoureusement et dangereusement, ouverte.

Cette parenthèse est celle de l’impossible consentement.

Impossible eu égard aux incertitudes sur le rapport bénéfice/risque du produit expérimental d’une part ; et aux méthodes utilisées qui sont susceptibles de relever du dol (action du vendeur consistant à cacher à l’acheteur des éléments essentiels du produit en vente par mensonge, et/ou par manœuvres frauduleuses, et/ou par réticence afin de conclure la vente) et de la contrainte (violence) d’autre part.

L’information du public sur ce produit n’a été ni claire, ni loyale, ni appropriée, ni pérenne comme l’exige la loi (au sens large) et notamment le Code de la santé publique. Une telle distorsion est susceptible de vicier le consentement de la personne qui est censé être libre et éclairé. Ce consentement, mis au rang des libertés fondamentales, est même renforcé lors des essais cliniques tels que ceux, toujours en cours, qui concernent ces vaccins contre la Covid-19.

Vicier ce consentement revient à porter atteinte aux principes protégés de l’inviolabilité, de l’indisponibilité, de l’inaliénabilité du corps humain ; au principe de l’autonomie de la volonté de la personne humaine.

En somme, vicier ce consentement revient à porter atteinte à la dignité de la personne humaine.

Lors de la ʺgestionʺ de la Covid-19 (maladie liée au coronavirus : le Sars-CoV-2), la France, et l’Occident en général, semble avoir subi le traitement jusqu’alors infligé à l’hémisphère Sud ; et que Jean Ziegler a décrit, dès 2005, dans L’Empire de la honte. Il s’agit notamment la « soumission des peuples aux intérêts des grandes compagnies privées ». Dans ce livre, paru chez Fayard, l’auteur cite ce que Jean-Paul Marat aurait publié dans L’Ami du peuple (le 26 juillet 1790), dans un célèbre texte intitulé « Vrais moyens que le peuple soit heureux et libre » :

« Le premier coup que les princes portent à la liberté n’est pas de violer avec audace les lois, mais de les faire oublier… Pour enchaîner les peuples, ils commencent par les endormir. »

Monsieur Emmanuel Macron a réussi l’exploit d’arriver à adoucir mon regard, qui reste néanmoins vigilant, envers ce qui est désigné comme étant « l’extrême droite ». C’est dire à quel point je ressens la nausée, et c’est peu dire, envers la politique d’obligation vaccinale contre la Covid-19 directement imposée par une soi-disant ʺloiʺ qui heurte notre bloc de constitutionnalité, qui ne respecte pas le droit européen, qui viole les conventions internationales telles que la Convention d’Oviedo ; ou indirectement dictée via l’infâme passe sanitaire ou vaccinal.

Concernant ce consentement de la personne humaine, notre système juridique (composé de textes nationaux (français), régionaux (européens) et internationaux) est irrigué par le Code de Nuremberg. En ayant rappelé ce fait historique lors d’une réflexion sur ladite obligation vaccinale contre la Covid-19, je suis cité directement devant le tribunal correctionnel d’Angers (Maine-et-Loire) pour « Injures publiques » à l’encontre de deux « fonctionnaires » qui « se sentent » visés.

Ce procès, au parfum de Nuremberg, est prévu le jeudi 28 avril 2022 à 14 heures. Je suis « le prévenu », l’accusé.

Non, je ne pense donc pas me tromper beaucoup en disant que je n’ai jamais vu pareille atteinte à la dignité de la personne humaine, jamais subi une telle discrimination, que sous l’empire d’Emmanuel Macron.

Madame Marine Le Pen, elle, propose de rétablir cette dignité perdue pour toute personne concernée. Aujourd’hui, et dans l’urgence, c’est ce seul point qui compte désormais. Elle, au moins, n’a jamais été en position de gouverner la France ; et à ce titre, elle pourrait bénéficier du doute et prétendre à une présomption simple de bonne foi jusqu’à preuve du contraire. D’autant plus qu’Emmanuel Macron ne semble pas vouloir fermer ladite parenthèse ouverte qui pourrait nous amener vers un avenir incertain, voire dangereux.

Après tout, « À Amine, il ne manque pourtant que l’« r » de Marine. » (Le Spectre de l’Isotèle).

« Luchar es mi destino.
« Cette nuit, j’ai rêvé du mur. Ce mur auquel j’ai parlé tout au long de l’été dernier. » (Entre Dieu et moi, c’est fini, de Katarina Mazetti). Un mur de verre à travers lequel j’ai aperçu de loin mon ami Amine Leblanc.
En réalité, ce mur est sourd et muet. Je n’ai su lui parler qu’avec mon regard. Il n’a pu me répondre qu’en me laissant entrevoir de brèves images en temps réel. Des images tantôt en couleurs, tantôt en noir et blanc. Une étrange distinction qui laisserait supposer que le blanc et le noir ne seraient point des couleurs. Une classification, une standardisation, une mise en relief comme si l’on voulait opposer le white au black.
Ce mur-écran, c’est comme un voyage sur place, dans le temps et dans l’espace, qui devient possible par un simple regard à travers ce mur-frontière. Ce mur-prison. Impuissant, je me suis contenté d’observer les courtes séquences qui me sont présentées dans le désordre. Des événements qui se déroulent au pays des Codes-Bleu-Marianne. Un paysage situé de l’autre côté de la rive. De l’autre côté de ce mur-miroir. Un film long, et en même temps intense, que j’ai regardé durant l’été dernier, la gorge serrée. Et cette nuit, dans mon rêve, j’ai revu cette scène qui ne cesse de me hanter.
(…). » Le Spectre de l’Isotèle, Amine Umlil

[Voir aussi https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/lettre-ouverte-vaccins-contre-la-covid-19-monsieur-le-president-demission-veran]

Texte initialement publié sur « Analyse citoyenne indépendante« , le blog d’Amine Umlil, et repris avec l’aimable autorisation de son auteur.

Auteur(s): Amine Umlil, pour FranceSoir




Lettre aux citoyens de confession musulmane : attention vax obligatoires en vue

[Voir aussi sur RL]

Par Nicole Delépine

Lettre aux citoyens, aux anciens collègues et amis de confession musulmane : attention aux vax obligatoires que nous promet Macron.

Rapportons tout d’abord les réflexions de Youssef Hindi d’après premier tour et l’éclairage qu’il donne au vote Mélenchon dont 7/10 citoyens de confession musulmane auraient voté pour lui.

ÉTAIENT-ILS BIEN INFORMÉS ? Savent-ils que J.L.MELENCHON DÉFEND LES LGBT, LE WOKISME, ETC. ;

Youssef Hindi explique que les citoyens musulmans qui ont voté pour Jean-Luc Mélenchon, ne sont probablement pas réellement informés(([1] Telegram: Contact @YoussefHindi)): celui-ci défend les LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres) et l’enseignement de la théorie du genre à l’école tout à fait répréhensible du point de vue islamique (et autres…).

En ce qui concerne MLP, il estime qu’elle a des positions de gauchiste et non d’extrême droite et se bat pour la laïcité, il ne pense pas que le vote pour Emmanuel Macron soit meilleur du point de vue de leur foi.

Il compare ce qu’ont fait Darmanin et Macron qui ont poursuivi dans le « blasphème » (il cite la visite d’EM au Liban). La 3 ième république s’est attaquée violemment au catholicisme, mais ne s’est pas mêlée du culte catholique. En revanche, E. M voudrait s’en mêler pour l’islam…

Pour Youssef Hindi, Emmanuel Macron est plus radical, il est une synthèse du wokisme, des LGBT. D’un point de vue islamique, le vote pour JLM et pour E.M est plus condamnable que celui pour MLP.

« Voter contre Emmanuel Macron, c’est réduire sa légitimité. Il faut lui faire barrage pour l’affaiblir.
Ce qui vous attend, c’est la vax obligatoire, c’est l’appauvrissement. »(…)

LES RISQUES DE LA PSEUDO-VACCINATION

Mon combat pendant ces deux ans a été d’informer au maximum les citoyens contre les mensonges de la coronafolie, en particulier contre les pseudo vax expérimentaux. L’étude des effets cachés des injections expérimentales est tragique, tant les situations terribles s’amoncellent. Et comme pédiatre et cancérologue, je tente d’avertir les gens afin qu’ils fassent échapper au moins leurs enfants à ces injections mortifères.(([2] Effets toxiques des vax anticovid sur le cycle menstruel et la fonction érectile — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([3] Les enfants sacrifiés du covid G et N Delépine éditions fauves janvier 2022))

Dans ce contexte, j’ai été émue par le texte envoyé par une militante des libertés, enseignante de français en collège, relatant sa tentative d’information (imposée) dans ses classes, en l’occurrence des 5e. J’ai découvert à cette occasion un aspect qui m’avait jusque-là échappé et que je souhaite partager avec vous tous.(([4] Réflexions d’un professeur de lettres soumise à un devoir d’information de ses élèves sur le vax covid, entre mythe et réalité — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Au sein de cette belle tribune, on peut lire :

« (…) Un autre document évoquait la dangerosité de l’injection sur les femmes enceintes et les problèmes de stérilité. »

Une main s’est levée, en jetant des coups d’œil nerveux à d’autres camarades sans arrêt. La voix était faible et gênée. Il est vrai qu’on était au début de l’année scolaire et qu’il peut être très intimidant de s’exprimer à cet âge au milieu de 29 autres congénères.

Mais ici, il semblait qu’il y ait un secret qui allait être dévoilé dans la peur et l’incertitude de l’assentiment, même des amies les plus proches, un secret qui ne demandait pourtant qu’à s’ouvrir, une gesticulation insoutenable le trahissant.

« C’est vrai ! », a-t-elle presque hurlé l’œil hirsute, « c’est vrai ! », « je connais des jeunes filles qui n’ont plus leurs règles depuis qu’elles se sont fait vacciner ». Puis, les autres, celles touchées en plein cœur par les œillades fébriles ont fini par ouvrir la bouche, au milieu des « n’importe quoi, ça se saurait si c’était vrai ». Cette vigueur à réfuter était la preuve manifeste d’un rejet de type déni comme l’on a pu en observer tant dans notre société adulte et cette scène n’échappait pas à la règle. Ses « sœurs » ont confirmé pourtant : il y avait bien un problème de menstruations dans bon nombre de cas, au moins temporaire, et de l’ordre de 1 à 3 mois en post-injection, voire de 6 mois au fil des injections. Puis, la cloche a sonné et vous savez comme c’est à cet âge ! Tous les sacs se sont refermés à la vitesse des fermetures éclair et de l’Enfer d’être là sans savoir vraiment pourquoi. Le pourquoi ? Un problème récurrent chez ces enfants qui ont besoin de sens là où on ne leur en donne pas. »

« J’ai cru aller boire mon café à la suite de l’incident, mais la jeune fille, la première, vous savez, celle qui s’étrangle de ce qu’elle voit et se jette au front, pas par courage, mais par incapacité à faire autrement face à l’inacceptable, elle attendait derrière moi comme une ombre. Elle était mince et s’était faufilée pour devenir ce mur et que les autres sortent en l’oubliant. Elle a fait signe à ses sœurs d’aller en récré sans elle puis, après s’être assuré que nulle autre que moi ne pouvait l’entendre, elle m’a raconté comment elle avait cherché des preuves pour argumenter en défaveur de la vaccination et n’en avait trouvé aucune et comment il n’y en avait pas plus en faveur sur les sites gouverne-menteurs. Elle souhaitait que je lui donne mes sources pour en lire plus.

Peut-être avait-elle trouvé pour la première fois sur le sujet, dans ce froid établissement, une porte ouverte et libre qui ne risquait pas de se refermer en couperet. Je lui demandais alors si c’était elle la jeune fille : elle m’a parlé de sa sœur biologique et de ses autres sœurs, de ses cousines, de toutes ces jeunes filles vaccinées qui n’avaient plus leurs règles. Il faut préciser que dans notre culture, je parle de l’une de mes cultures d’origine, la culture orientale, les femmes parlent entre elles, peu importe qu’il y ait un hammam ou pas.

Dans ces familles marocaines comme dans les familles algériennes ou tunisiennes, les femmes échangent sur l’intimité et se confient. Là, la confidence était rude, glaçante : les jeunes femmes vaccinées voyaient leur vie changer, car elles se faisaient répudier par leurs maris, faute de pouvoir enfanter et d’avoir leurs règles, mauvais signe pour la fertilité.

La jeune fille vivait dans la peur et l’incompréhension, l’impuissance de pouvoir aider ses grandes sœurs, le sentiment d’appartenir à un monde qui n’était pas le même que ses camarades : liée à celles qui partageaient ce quotidien, ses amies, sœurs et cousines dans un communautarisme créé par ceux qui les y avaient enfermées et les regardaient de l’extérieur.

Alors devant la volonté claire et affirmée du candidat Macron de faire vacciner toute la population via l’obligation vaccinale préconisée par l’UE et en particulier de nos petits, il me semble indispensable de vous informer directement avant que trop de jeunes votants naïfs se fassent berner par JL Mélenchon qui aurait des liens rapprochés avec le président en poste et qui leur demande de ne surtout pas voter MLP.

Macron et Mélenchon ont échangé des SMS, dimanche soir. Le message du leader insoumis est ainsi résumé : « J’ai clairement pris position contre Le Pen. À vous, maintenant, de donner des signes clairs à nos électeurs pour leur permettre de bouger »

Le Canard enchaîné — 13/04/2022

Toute la population, quelle que soit ses croyances doit savoir que l’obligation vaccinale nous menace en cas d’élection de Emmanuel Macron.

Ils doivent connaître tous les dangers en tous genres de ces injections morbides, y compris les aspects particuliers en fonction des pratiques et religions.

Et le seul moyen d’y échapper est d’évacuer l’alliance morbide Macron Mélenchon qui pointe son nez.(([5] Vers une cohabitation Macron-Mélenchon ? — Riposte Laique))

EN RÉSUMÉ :

TOUT SAUF MACRON !

ÉVITEZ L’ABSTENTION QUI FAVORISE LE SORTANT

QUI EST POUR LA VACCINATION OBLIGATOIRE Y COMPRIS CHEZ LES ENFANTS.

Protégez vos femmes, vos sœurs, vos enfants ; combien de fausses-couches chez les femmes enceintes vax.

POUR LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS AVEC REMBOURSEMENT DE LEURS RÉMUNÉRATIONS VOLÉES QUE MLP A PROMIS(([6] Au cours de son meeting à Avignon, dans le Vaucluse, ce jeudi 14 avril, Marine Le Pen a dévoilé plusieurs mesures concernant les conséquences de la crise sanitaire. L’une des plus emblématiques repose sur la volonté de la candidate qualifiée pour le second tour de l’élection présidentielle de réintégrer les personnes non vaccinées travaillant dans des établissements de santé. « Je réintégrerai les 15 000 soignants expulsés (par l’obligation de la vaccination et du pass sanitaire NDLR) comme des malpropres » « Et je leur verserai les salaires dont ils ont été injustement privés », a-t-elle annoncé.
Présidentielle 2022 : Marine Le Pen veut réintégrer les soignants non vaccinés — Valeurs actuelles))

POUR LA SUPPRESSION TOTALE DU PASS Y COMPRIS A L’HÔPITAL, les malades sont encore interdits de visites de proches non vaccinés actuellement !

POUR LA RECONSTRUCTION DU SYSTÈME DE SANTÉ EN ÉVACUANT LE POIDS DE LA BUREAUCRATIE

Dr Nicole Delépine




Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale

[Source : Profession Gendarme]

Il avait été l’un des premiers scientifiques à montrer l’agglutinement des globules rouges sous l’influence des ondes électromagnétiques des compteurs communicants (Linky et ses acolytes pour le gaz et l’eau) sous microscope à fond sombre. À l’époque on y remarquait déjà des dégradations des globules ainsi que des formations en rouleaux de pièces de monnaie qu’on a pu voir également suite aux toxines Covid.

[Voir aussi le dossier
5G et ondes pulsées]




Pourquoi la faction macronienne veut-elle empêcher toute réforme constitutionnelle ?

Par Lucien SA Oulahbib

Pourtant il est possible de lire ceci sur le site même du Conseil Constitutionnel (3e partie : L’étendue du pouvoir de révision) :

« Selon le Conseil constitutionnel, le pouvoir constituant dérivé, c’est-à-dire le pouvoir de réviser la Constitution, « est souverain » (décision n° 92-312 DC du 2 septembre 1992, Traité sur l’Union européenne, cons. 19). Ainsi, une révision constitutionnelle peut avoir pour objet d’abroger, de modifier ou de compléter des dispositions de valeur constitutionnelle. »

Aussi l’idée qu’il ne serait pas possible de recourir à l’article 11 de la Constitution sans avis favorable préalable du Conseil Constitutionnel se révèle fausse, du moins dans la mesure où le sujet du référendum proposé ne remet pas en cause par exemple « la forme républicaine du gouvernement » ; ce qui n’est pas le cas lorsqu’il s’agit seulement de rendre plus aisé l’accès citoyen au processus référendaire en abaissant par exemple le nombre nécessaire pour cette saisie ; à moins de considérer que l’article 3 de la Constitution soit désormais caduc :

« La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum ».

Mais « qui » déciderait de cette caducité ? Et ne serait-elle pas, déjà, une violation par excellence du caractère « républicain » qui s’appuie en premier lieu sur une « souveraineté nationale » « appartenant au Peuple » ? Cela ne reviendrait-il pas dans ce cas à donner le pouvoir constitutionnel réel (les trois pouvoirs) à une espèce d’archontes qui autrefois en Grèce reléguaient l’avis du Peuple à son aspect purement consultatif ?

Or, c’est précisément ce qui se passe peu à peu maintenant : ou comment déposséder sans le dire le peuple en lui indiquant qu’au fond il ne serait pas assez mature, pensez donc ! Il pourrait remettre la peine de mort en route, ou réduire certaines dispositions en matière d’immigration comme le droit du sol… Et alors ? Du moment que le peuple « souverain » le décide… À moins bien sûr de considérer que décidément c’est la Constitution elle-même qui s’avère anticonstitutionnelle, voire « populiste » ?

Et puis, ce n’est pas parce que la peine de mort serait réinstaurée que les juges devraient systématiquement l’employer… Ce n’est pas parce que le droit du sol serait remis en cause que la possibilité de devenir français, s’il est mérité, s’il n’est entaché d’aucune exaction pénale, ne serait plus possible…

En fait, cette excitation provenant pour une part de certains membres du Parlement et d’autre part de certains caciques proches de la faction macronienne a comme objet réel d’empêcher le Peuple d’être souverain ; ce qui est là une décision totalement antidémocratique qui ferait définitivement basculer vers une démocrature oligarchique s’appuyant sur deux déviations majeures :

1/la transformation, de fait, du Conseil Constitutionnel en Conseil des Archontes qui déciderait de l’utilisation « sage » de l’article 11 ;

2/ la préséance accentuée de l’Exécutif sur le législatif et le judiciaire par le biais de décisions anticonstitutionnelles dites « urgentes » comme cette modification du code de la santé publique (en particulier son article L.111-4, p.27) via ledit « état d’urgence sanitaire » ce qui est en contradiction patente avec le « bloc de constitutionnalité » dans ses divers articles défendant les droits imprescriptibles comme la liberté et la résistance à l’oppression…

Nous sommes donc bien à un tournant :

  • soit le « peuple souverain » accepte non plus de déléguer seulement son pouvoir, mais de se destituer carrément lui-même en quelque sorte, remettant ainsi son pouvoir à des instances certes élues, comme la Présidence et le Parlement, mais dont l’élaboration et la mise en exécution des décisions relèveraient principalement d’instances non élues (le Conseil Constitutionnel) ou occultes telles que le conseil de défense, le conseil scientifique et, plus en amont, les lobbys divers déguisés en « conseils » privés.
  • Soit le « peuple souverain » accepte au contraire de jouer pleinement son rôle en faisant en sorte de rééquilibrer sa réelle participation, déjà en intervenant plus souvent via le référendum, ensuite en faisant en sorte que les communes, départements, régions retrouvent leur autonomie décisionnelle (ou la réelle décentralisation) sous la supervision du Sénat et de la Cour des Comptes. Celle-ci aurait aussi désormais droit de poursuite et de mise sous tutelle (par exemple la Ville de Paris), tandis que l’Assemblée serait plus en charge des affaires européennes et internationales quitte à ce que sur des lois organiques jugées « essentielles », le Congrès se réunisse et/ou l’on fasse appel au Peuple par référendum.

Nous sommes de toute façon devant une réelle crise constitutionnelle que ladite crise sanitaire a révélée, et qui fait suite à la violation déjà politique du résultat du référendum de 2005.

Il ne faut donc pas se leurrer sur le second tour de la Présidentielle :

  • soit le Peuple décide d’accepter sa dépossession constitutionnelle pour sa dissolution finale et vote Emmanuel Macron ;
  • soit le Peuple décide de retrouver sa souveraineté pleine et entière, au-delà du conflit, permanent, en son sein, et vote Marine Le Pen.



Macron lit-il les statistiques de l’OMS avant de critiquer la chloroquine et de soutenir le Vax ?

Par Dr Nicole & Gérard Delépine

[Voir aussi sur la-verite-vous-rendra-libres.org]

Lors d’une interview récente, E. Macron pensait discréditer sa rivale en affirmant « si Le Pen avait été au pouvoir vous auriez eu la chloroquine et pas de vaccin » espérant ainsi s’attirer la reconnaissance d’un électorat bien conditionné par la propagande des médias.

© BFMTV Emmanuel Macron face à la presse le 12 avril à Mulhouse :

« Je n’oublie pas ce que Madame Le Pen a dit constamment pendant la crise du Covid », a déclaré Emmanuel Macron lors d’un micro-tendu, avant de détailler: « Elle allait soigner les gens à la chloroquine. Elle allait vacciner les gens avec un vaccin russe dont même l’Organisation mondiale de la santé a déclaré qu’il n’était pas efficace… Et elle a critiqué assez méthodiquement toutes les décisions prises par le gouvernement, sans lesquelles nous n’aurions pas tenu« .

Et pourtant ce fut une des meilleures déclarations de MLP pendant cette crise du covid, et le plus beau compliment qu’il peut lui faire. Oui, il fallait traiter les patients de covid19 par l’hydroxychloroquine dont l’efficacité se confirme à long terme. Ecoutez la récente interview du Pr Raoult et du Pr Millon : Chloroquine & Censure – YouTube

Et l’analyse complète du PR Million

Présentation complète du Pr Million : https://filesender.renater.fr/?s=down…

Il devrait aussi lire les résultats des injections expérimentales tels qu’ils sont publiés par l’OMS et l’université John Hopkins et reproduits en français dans :

Les « vaccins » augmentent-ils le risque de contamination et de mort par Covid19 ? Confirmation un an plus tard – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)

Qu’il s’agisse de l’échec des injections Pfizer en Israël :

Ou de l’échec des injections Astra Zeneca et autres en Grande Bretagne :

Si Macron était mieux informé, il aurait évité cet argument de la chloroquine inefficace et du vaccin salvateur car il clame ainsi son ignorance des données avérées de l’OMS qui démontrent que les pays qui ont utilisé la chloroquine pleurent en moyenne dix fois moins de morts Covid que ceux qui comme la France ont appliqué la stratégie du tout vaccin.

Les pays qui ont utilisé l’hydroxychloroquine sont essentiellement africains

Les pays africains tropicaux sont des zones d’endémie du paludisme et leurs populations prennent tous les jours des antipaludéens. Certaines régions de l’inde et du Pakistan vivent sous la même menace et utilisent la même protection. L’Inde après examen des données avérées par son comité Covid a axé officiellement sa stratégie Covid sur les traitements précoces et même préventifs par HCQ (hydroxychloroquine), antibiotiques et ivermectine. L’Algérie a fermement conseillé et largement utilisé le traitement Raoult contre le Covid19.

Les pays occidentaux riches ont au contraire suivi les recommandations de l’OMS, officiellement refusé la chloroquine et imposé la vaccination forcée.

Les données de l’OMS mises en graphique par l’Université John Hopkins prouvent que la stratégie du tout vaccin aboutit à une mortalité 5 à 20 fois supérieure à celle centrée sur la chloroquine.

Si Le Pen avait été au pouvoir et permis aux médecins d’utiliser la chloroquine comme le conseillaient les Professeurs Raoult et Perronne, et de nombreux autres en France et à l’étranger, nous déplorerions 120000 à 130000 morts de covid de moins !

Avant de s’autoglorifier de sa politique sanitaire que lui a conseillée McKinsey, le candidat Macron et le collège des généralistes enseignants feraient bien de vérifier les données que l’OMS publie sur OMS Covid Dashboard !

Auteurs : Dr Nicole & Gérard Delépine




Le serment d’Hippocrate à géométrie variable du Collège national des généralistes enseignants (CNGE)

Par le Dr G Delépine

Le Collège national des généralistes enseignants (CNGE) a appelé à voter Macron relayé sur les réseaux sociaux par le Dr Jérôme Marty, président de l’UFML, le Syndicat national des jeunes médecins généralistes (SNJMG) ou encore le Dr Mathias Wargon(([1] En époux d’une ministre…)), chef des urgences de l’hôpital de Saint-Denis.

Ils affirment(([2] https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/politique-de-sante/generalistes-enseignants-etudiants-universitaires-et-mutualite-appellent-clairement-faire-barrage)) que le serment d’Hippocrate serait :

« en totale contradiction avec celles de l’extrême droite qui a toujours prôné un discours d’exclusion, de sectarisme, d’intolérance et de xénophobie qui heurte au plus profond le, sens de nos pratiques et de nos engagements ».

Médecin qui se bat depuis toujours pour le strict respect de ce serment que j’ai juré de respecter et de défendre, je suis scandalisé de cette instrumentalisation politique par des organisations et des personnes qui ne l’ont jamais défendu contre les décisions du gouvernement Macron qui l’ont bafoué pendant ces deux dernières années telles que :

1°) L’interdiction faite aux médecins de prescrire de la Chloroquine sous le fallacieux prétexte d’une toxicité que seuls des articles mensongers signalaient (en totale contradiction avec l’expérience de 50 ans d’usage libre sans toxicité notable.) Interdiction sans précédent historique que le CNGE n’a pas dénoncée.

2°) L’injonction de ne donner que du Doliprane(([3] À risque par ailleurs :
http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/utilisation-paracetamol-erreur-prejudiciable-pour-la-sante))

Qu’ont-ils fait à ces moments pour « préserver l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. », comme ils l’ont juré ?

3°) Le décret Rivotril et l’instruction de pratiquer des euthanasies actives des personnes âgées au Rivotril sur simple suspicion de covid, sans l’avis des intéressés ni de leurs familles interdites de visite.

Qu’ont-ils fait pour défendre cette partie de leur serment : « Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. » ? Euthanasie active que trop peu médecins et en tout cas pas le CNGE ont dénoncée.(([4] Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/decret-rivotril-compassion-223015))

4°) Et lors de l’instruction ministérielle de ne pas adresser aux urgences nos aînés suspects de covid, pourquoi le CNGE n’a-t-il pas répondu comme le serment le prévoit :

« Je ne permettrai pas que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, croyance… s’interposent entre mon devoir et mon patient ».

5°) Qu’a fait le CNGE lors des décisions Macron d’instaurer un apartheid avec les pass sanitaire puis vaccinal y compris dans les maternités et les hôpitaux ? A-t-il oublié que tout médecin a juré :

« Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. »

Tout au long de cette crise, la défense du serment d’Hippocrate n’a apparemment pas préoccupé le CNGE lors des violations réalisées par le gouvernement Macron. Mais elle monte un procès d’intention à M Le Pen ? Deux poids, deux mesures qui font fortement douter de l’éthique du CNGE.

De plus cette application à géométrie variable du serment d’Hippocrate se double d’un déni scientifique. L’ignorance du Collège national des généralistes enseignants atteint des sommets lorsqu’il affirme :

« , le Rassemblement national s’est illustré au cours de la crise Covid par des prises de position s’opposant brutalement aux données scientifiques. En deux ans, Marine Le Pen a défendu la liberté de prescription d’hydroxychloroquine ou s’est montrée “fondamentalement opposée à la vaccination Covid des enfants. »

En effet, il suffit de consulter les données publiées par l’OMS(([5] Consultable en français à « OMS coviddashboard » :
https://covid19.who.int/)) et les courbes de l’université John Hopkins pour vérifier que les affirmations du CNGE sur la chloroquine et les pseudo vaccins en contradiction totale avec données scientifiques du monde réel reposent uniquement sur le crédo gouvernemental.

1°) Que ce soit en Algérie qui a conseillé et appliqué le protocole Raoult et qui compte treize fois moins de morts par millions que nous(([6] https://ripostelaique.com/le-succes-de-lalgerie-face-au-covid-confirme-lefficacite-du-protocole-raoult.html)) alors que sa population partage les mêmes facteurs de risque (âge avancé(([7] Les 60 ans et plus représentent 25 % d la population algérienne : près de 11 millions, sur une population globale de plus de 40 millions d’après l’agence officielle d’Algérie.)), obésité, hypertension…) que la nôtre :

2°) Ou en Afrique équatoriale qui souffre du paludisme et dont les populations qui prennent quotidiennement des antipaludéens ont été largement épargnées(([8] https://nouveau-monde.ca/lafrique-test-geant-pour-la-chloroquine-comparaisons-des-mortalites-covid-entre-lafrique-et-leurope/)):

3°) ou en Inde dont le Covid task force a refusé de suivre l’OMS et fortement conseillé l’usage préventif et précoce de la chloroquine

3°) Que les vaccins ont été incapables de diminuer la mortalité Covid. Les pays qui ont prescrit des traitements efficaces (HCQ, Artémisine, Ivermectine) comptent 5 à 20 fois moins de morts que ceux qui, comme la France, ont refusé les traitements précoces et imposé le crédo du tout vaccin

4°) que l’injection des enfants par des substances géniques expérimentales qui ne sont pas des vaccins(([9] Selon Pasteur un vaccin est constitué d’antigènes obtenus à partir de l’agent pathogène inactivé ou tué. Les pseudo vaccin covid ne contiennent pas d’antigène, mais seulement un ARN messager.)) est inutile et dangereuse n’est donc absolument pas justifiée.

Chez l’enfant, les pseudo vaccins ne peuvent pas lui être utiles. Toutes les études publiées et toutes les sociétés de pédiatrie du monde s’accordent pour affirmer que le covid est rare chez l’enfant et qu’il est le plus souvent asymptomatique et qu’il n’est pas dangereux. Le relevé de santé publique France montre que dans cette tranche d’âge, il est trois fois moins dangereux que la grippe. Les enfants ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel des injections anti-covid.(([10] Large bibliographie in « Les enfants sacrifiés du covid » par N et G Delépine éditions Fauves 2022))

Toutes les études épidémiologiques montrent que les enfants ne contaminent personne et qu’ils ne constituent pas un vecteur de transmission communautaire.

Leur injecter des produits expérimentaux qui se sont de plus révélés incapables de prévenir les transmissions ne présente donc aucun intérêt pour les personnes fragiles.

Surtout les injections géniques expérimentales sont dangereuses(([11] https://docteur.nicoledelepine.fr/le-point-sur-les-complications-des-pseudovaccins-anticovid-au-4-mars-2022/))(([12] https://pgibertie.com/2022/03/09/mise-en-danger-de-la-vie-dautrui-ils-savaient-et-pourtant-ils-ont-meme-pique-des-enfants-et-des-femmes-enceintes/)) et de nombreuses allergies, myocardites ont été signalées.

En France fin février 2022, on dénombrait selon l’ANSM déjà 44 enfants décédés de cette injection expérimentale et 241 en UE au 1er janvier 2022 selon l’Eudravigilance, site de l’agence européenne recensant les accidents médicamenteux.

Nous ne devrions pas mettre les enfants en danger par une vaccination de masse contre une maladie qui n’est pas dangereuse pour eux”, ont alerté 93 médecins israéliens devant la constatation des complications qu’ils constataient chez l’enfant.

La défense du serment d’Hippocrate doit être permanente et non partisane. Elle doit se baser sur les faits avérés et l’état des connaissances scientifiques. Le Collège national des généralistes enseignants et le Syndicat national des jeunes médecins généralistes n’ont pas dénoncé les multiples violations de ce serment par le gouvernement Macron. On s’étonne donc qu’ils s’en préoccupent aujourd’hui.

Leur communiqué actuel, par son orientation grossièrement partisane et son refus de reconnaître les faits établis publiés par l’OMS, ressemble plus à une Fatwa religieuse qu’à une appréciation objective des faits.

Quelle que soit l’opinion que l’on peut avoir sur tel ou tel candidat, le Collège national des généralistes enseignants et le Syndicat national des jeunes médecins généralistes devraient raison garder et ne pas nier les réalités de la science : les pseudo vaccins expérimentaux sont inefficaces, incapables de contenir le covid même avec des doses de rappel.

Même Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé l’a rappelé quelques jours avant noël(([13] https://www.france24.com/fr/sant%C3%A9/20211222-l-oms-affirme-que-les-doses-de-rappel-ne-mettront-pas-fin-%C3%A0-la-pand%C3%A9mie)):

« Aucun pays ne pourra se sortir de la pandémie à coups de dose de rappel Des programmes de rappel sans discernement ont toutes les chances de prolonger la pandémie, plutôt que d’y mettre fin ».

Ce communiqué partisan et négationniste ne fait pas honneur à leurs signataires !





Macron ou l’implosion accélérée de l’État

Par Lucien SA Oulahbib

Cette évidence se renforce à l’écoute de Jean-Baptiste Rivoire, fondateur de Off Investigation interviewé par FranceSoir : il n’y est question que d’occultations, zones d’ombres, double jeu d’un côté, volonté de faire taire toute analyse contraire et sur divers sujets (jusqu’à certaines rides effacées) de l’autre ; ou comment certains principes fondamentaux de la République et de la Nation française, à savoir la liberté d’expression et l’exigence de vérité dans les affaires publiques (déjà) sont détruits, implosés, dispersés façon puzzle ; en sus des diverses autres institutions comme cela se sait depuis longtemps (justice, armée, police, taxes, système scolaire, mille-feuilles administratif…).

Ne serait-ce que d’ailleurs, à l’instar d’une Commission européenne prenant des décisions illégales en matière de liberté de la presse et de soutien unilatéral au régime de Kiev, l’émergence inédite et surtout superfétatoire de ce supposé « Conseil de défense » (avec la présence paraît-il de conseillers privés) et qui se sont tous deux (Commission et Conseil) superposés à toutes les instances légales jusqu’à les effacer de fait pour imposer de pseudo impératifs « sanitaires » ; le tout au nom d’études dites « scientifiques » aujourd’hui attaquées devant les tribunaux par certains membres du Conseil Scientifique Indépendant tant elles ne reposent que sur des suppositions d’exponentielles ad hoc c’est-à-dire arrangées à partir d’équations trafiquées à dessein.

Certes, cette implosion de l’État n’est pas nouvelle. Elle se résume par exemple dans ce qui est nommé depuis des lustres « la casse du service public », sauf que cette formulation employée au départ à « gauche » est quelque peu biaisée parce qu’elle ne tient pas compte du fait que ce dernier a été « cassé » également par cette dernière. La gauche et l’extrême gauche (conseillère moralisatrice à la Trotski) n’ont eu de cesse d’y empêcher toute réforme qualitative, et non pas tout simplement comptable, comme par exemple permettre enfin l’avancement par le mérite innovant, participatif, horizontal, et non par l’ancienneté verticale qui décourage les jeunes et permet le pantouflage (public-privé pour les A). De telles réformes impliquent de réellement autonomiser toutes les instances (jusqu’à la prépondérance surfaite de l’Assemblée sur le Sénat) jusqu’à permettre aux établissements scolaires de choisir leurs enseignants au lieu de se les voir parachutés via des comités noyautés de plus en plus idéologiquement en particulier à l’Université.

Il serait également loisible en matière de santé d’admettre enfin qu’au lieu d’asseoir le budget de la Sécurité Sociale uniquement sur les cotisations salariales il le soit aussi sur des dividendes gérés non pas par des fonds de pension privés, mais publics sous la houlette de la Banque des dépôts et des consignations (qui peut certes déléguer à des assurances et des mutuelles privées). Il serait alors possible d’octroyer au salarié son salaire complet (en l’aménageant : salaire brut + une partie seulement des cotisations patronales, le reste allant à un Fonds Commun de Solidarité afin d’alimenter les soins lourds) afin que chaque salarié puisse enfin choisir son affiliation assurantielle dans la mesure où celle-ci est en dernier ressort contrôlée par la structure publique (la Banque de dépôt peut être épaulée par la Cour des Comptes qui aurait droit de poursuivre.

Or, au lieu de démocratiser ainsi en innovant réellement à tous les niveaux, la technostructure au pouvoir depuis les années Pompidou et surtout Giscard l’a concentré entre quelques mains, certes publiques, mais inféodées de plus en plus à des fonds de pension privés en dernier ressort [les cabinets de conseils leur appartenant] ; d’où cette harmonisation quantitative comptable injuste et incohérente [suppression de lits et de services en pleine crise sanitaire], alors qu’une harmonisation qualitative de longue durée et réellement horizontale aurait permis de ne pas les fermer, surtout dans les campagnes, en permettant par exemple leur cogestion avec d’autres structures comme les médecines d’accompagnement [kiné, thérapies diverses, médecines alternatives], l’allopathie et les médecines dites « douces » devant ainsi travailler de concert, car comme l’a bien montré la crise de la C.19 la première n’a pas eu vraiment le dernier mot en prétendant se substituer au système immunitaire naturel voire en l’excitant partiellement et surtout provisoirement [une dose tous les trois mois relevant bien plus d’une médecine affairiste que réellement hippocratique].

Tout cela pour dire que l’État français, même plus jacobiniste dans le bon sens colbertiste du terme, s’effondre sous les doubles coups de boutoir du « conseil » privatisé exacerbé qui d’une part prétend suppléer aux dites lenteurs de la haute administration [ce qui n’est pas faux : ainsi l’emploi effréné de ces cabinets de conseils a bien été analysé par un Didier Raoult au sens où leur prégnance provient d’une incurie notoire entremêlée d’envie et de luttes de pouvoir au sein même des instances régulatrices publiques], et d’autre part, précisément, le second coup de boutoir provient, et ce depuis des lustres, de toutes ces structures superposées au fil du temps, tous ces « 400 fromages » non plus AOC, mais administratifs qui pompent littéralement les finances publiques, pour rien… Leurs rapports, qu’elles pondent erratiquement [même pas annuellement pour certaines], n’ayant guère à envier à ceux du conseil américain ayant aujourd’hui son quart d’heure de gloire.

Aussi, de deux choses l’une, soit l’on désire continuer à dépecer l’État pour « les copains et les coquins » comme le font Macron et Mélenchon, ces deux faces de la même médaille sectaire et scientiste, soit l’on donne une chance à une version que l’on espère raisonnée d’un souverainisme enfin retrouvé ; à charge cependant que cela ne se passe pas comme avec Sarkozy qui n’a même pas été capable « d’ouvrir son gouvernement jusqu’aux sarkozistes » comme l’avait déploré feu Patrick Devedjian

Or, « Nous », partisans de la France dite profonde, diesel, bière et pinard, saucisson [mais aussi couscous et canard laqué, mafé de poulet…], nucléaire, clopes, poire [whisky, vodka…] et franche rigolade autour de belles blagues salaces entrecoupées de poésies et de discussions féroces sur la Vieille Garde, César, le cor de Roland [que j’entends encore…], Foch et Galliéni, la bataille idéologique entre Proudhon et Marx [entre autres…], Say et Keynes, « nous » ne pouvons pas laisser ce beau pays entre les mains visqueuses d’un « Joker » sournois et sociopathe considérant par exemple qu’insulter les Français serait affectueux, alors que c’est du domaine de pratiques sado-maso qui n’ont pas leur place dans l’espace public ; au même titre d’ailleurs que le voile-gandoura islamique et la confusion père/mère, homme/femme à ranger comme points de vue privés, en aucun cas éléments publics propres à l’espace commun qui n’est pas un terrain vague, malgré ce vague à l’âme permanent qui me fait dire de plus en plus que celle-ci décidément n’appartient pas seulement à « la » Nation, surtout lorsque celle-ci est de plus en plus mal dirigée…




Avec Macron, à quels « progrès » s’attendre ?

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur RL]

ATTENTION DANGER  SI VOUS PROLONGEZ CE MANDAT !

OBLIGATION VACCINALE ANTICOVID EN DISCUSSION  ET RETOUR DU PASS

Lors d’une interview sur Brut, le présidentiable Emmanuel Macron laisse entrevoir ses projets pour le peuple de France. S’il est réélu le 24 avril 2022, il ne s’interdira pas de réintroduire le pass vaccinal et donc l’obligation vaccinale pour accéder aux lieux de loisirs, bars, restaurants, transports…et satisfaire les desiderata de l’UE et de l’OMS…(([1] https://lemediaen442.fr/macron-annonce-que-sil-est-reelu-le-24-avril-il-ne-sinterdira-pas-davoir-recours-au-pass-vaccinal/))

ET LA DÉCONSTRUCTION EN MARCHE

Le président affectueusement, probablement, nous expliqua qu’il n’existait pas de culture française. La première fête de la musique à l’Élysée en 2017 nous fit rapidement comprendre que les « artistes » rappeurs LGBT étaient devenus les maîtres du temple, mais surtout que les autres devraient se taire. La suite le confirmera.

Il est urgent de se remémorer toutes les preuves de la déconstruction de nos valeurs, à commencer par celle de la famille.

Encore quelques jours pour réfléchir et ne pas laisser passer le représentant du « progressisme » sans limites imposé par le nouveau monde, dans lequel être un homme blanc hétérosexuel voire chrétien est une devenu une aberration et bientôt peut-être un délit …

Dans mon jeune temps, un pédopsychiatre bien introduit dans la nouvelle mafia de la déconstruction et du wokisme qu’on ne nommait pas encore ainsi, nous dit à propos de l’utilisation du MINITEL dans les années 1980 « soyez moderne, mon vieux ». Nous avons ri, souvent, en nous remémorant ce moment où un chef de service de pédiatrie était  plus préoccupé par les possibilités du Minitel que de ses patientes atteintes d’anorexie mentale.

Nous n’avions pas compris la gravité de ce « soyez modernes » et de tout ce qui s’ensuivit comme la gauchisation des universités conduisant à l’interdiction de certains auteurs célèbres à Sciences po ou à l’université de Lille ou d’un professeur d’allemand à l’université de Grenoble ou Lyon… et à la censure de plus en plus systématique de toute « opinion » différente de la doxa officielle, vite cataloguée complotiste, extrême droite, voire fasciste… Plusieurs chercheurs sérieux qui publiaient sur Médiapart en ont fait la douloureuse expérience au cours de ces deux ans.

CONSÉQUENCES TRAGIQUES DE LA DÉCONSTRUCTION EN COURS(([2] JL Touraine rapporteur de la loi de bioéthique expliqua qu’il voulait séparer sexe et reproduction…)): UN EXEMPLE MARQUANT

QU’ EST DEVENU LE CONCEPT DE BÉBÉ ? Réaffirmons que c’est un être pensant s’il en est, même encore fœtus !

Toutes les mères « normales «  en témoigneront. Ils réagissent à la voix du papa, et du grand frère,  à la musique classique ou à telle chanson ou morceau de jazz. UN BÉBÉ !

Et c’est ce bébé qu’on prétend pouvoir « TUER » selon son humeur y compris à neuf mois ! Combien de femmes malades ont -elles payé de prison cet INFANTICIDE  dont on voudrait faire disparaître le nom (mais pas l’acte monstrueux) en même temps que toutes les traces de « CIVILISATION » ?

LA VOLONTÉ AFFIRMÉE D’EXTENSION DE L’AVORTEMENT JUSQU’À NEUF MOIS

Pourquoi le porte-parole du gouvernement G. Attal se croit-il obligé de parler de cela  maintenant, deux jours après le premier tour à France info  ? Qui est sa clientèle ?

Les macronistes en sont-ils si fiers ? Difficile à comprendre si on n’a pas versé encore dans la pathologie de la secte internationale eugéniste et anaffective. TUER UN BÉBÉ A NEUF MOIS DE GROSSESSE, comment est-ce possible et pire encore s’en flatter ?

Oui ils ont cette volonté monstrueuse aberrante et purement idéologique car on ne voit pas bien à quoi cela peut servir ! (Qu’on m’explique … )

« Et Il suffisait pour le vérifier d’entendre ce matin à 8 heures le 11 avril au lendemain du premier tour sur France-Inter le  porte-parole Gabriel Attal d’E Macron exprimant la volonté macronienne d’extension encore et encore de l’avortement ; jusqu’à ce qu’il ne puisse plus être qualifié d’infanticide. »(([3] Le blog de Bernard Antony: Le 24 avril, pas une voix pour Macron (bernard-antony.com) ))

L’OMS préconise l’avortement jusqu’à 9 mois, sans condition | Epoch Times

Mais puisque l’OMS nous le demande, ce doit être bien. Conviction d’Attal, Macron et Cie,  ou simplement obéissance aux Maîtres du monde comme Bill Gates et son organisation, l’OMS qu’il finance en grande partie ?

« L’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de publier un document dans lequel elle préconise aux gouvernements de supprimer la limite de temps légale pour l’avortement, et ce, en toute circonstance, sans justification médicale. »

L’OMS invoque les droits des « femmes, des jeunes filles ou des autres personnes enceintes », droits qui seraient brimés par les lois leur interdisant de mettre fin à leur grossesse passé un certain délai, sans jamais évoquer le « droit de l’enfant à naître ».

C’est la même OMS qui nous a imposé la coronafolie depuis plus de deux ans. C’est de l’OMS qu’il faut se débarrasser pour que cessent ces terribles injonctions que les gouvernements obéissants appliquent aveuglément.

EN FRANCE L’AVORTEMENT FUT DÉPÉNALISÉ EN 1975

Simone Veil, en présentant la loi relative à l’interruption volontaire de grossesse, précisait :

« Je le dis avec toute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. »

Poursuivant son discours, elle ajoutait :

« Mais comment le tolérer sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ? Je voudrais tout d’abord vous faire partager une conviction de femme – je m’excuse de le faire partager une conviction de femme – je m’excuse de la faire devant cette assemblée presque exclusivement d’hommes : aucune femme ne recourt de gaité de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes. »

Et que de mensonges n’a-t-on pas faire dire  depuis quarante ans à cette représentante de femmes véritables féministes, et non pas agents de déconstruction de l’Humanité. Elle voulait aider des femmes en détresse, et non détruire la civilisation.

Comment aurions pu imaginer que,  presque cinquante ans plus tard, il faudrait autoriser le meurtre d’un bébé de neuf mois de grossesse, un infanticide, pour ne pas être considéré comme RINGARD voire facho ?

ILS SONT DÉCONNECTÉS DE LA VIE, DE L’AMOUR

Il faut éviter de laisser au pouvoir le Progressisme, mais aussi d’élire des députés wokistes.

N’oublions pas qu’en Juillet 2020 LES DÉPUTÉS ONT DÉJÀ VOTÉ CETTE HORREUR : légalisation de l’avortement jusqu’à la fin de  grossesse, si mère en détresse … au nom des droits de la femme ?  Bientôt les discrètes limites vont tomber pour obéir à l’OMS.

L’ENFANT N’A -T-IL AUCUN DROIT ?

Écoutez  Mme le Pr Alexandra Henrion Caude sur la loi dite de « bioéthique »(([4] vote de la loi dite de bioéthique en 2020 autorisant le meurtre de fœtus à terme 
https://youtu.be/qAbdhGpUyo8
https://youtu.be/SIvah08L_Jk)) votée en juillet 2020 sous le mandat d’E. Macron et vous comprendrez ce que déshumanisation, déconstruction,  casse de la famille et même de son concept, veulent dire et à quoi l’on s’engage avec un nouveau mandat E. Macron ( mais aussi si  JL Mélenchon ou d’autres « progressistes avaient été élus) :

Il y avait bien eu quelques réactions au vote de cette épouvantable loi qui n’a d’éthique que le nom, mais peu audibles dans la mesure où les médias obéissants ne pouvaient que soutenir un projet présenté par le gouvernement.(([5] https://t.co/0g62Xvw3xO   l’avortement désormais autorisé pour “détresse psychosociale” jusqu’au terme de la grossesse. Ce n’est plus un avortement c’est un crime qui n’a rien d’éthique comme tous les crimes…. Christian Coulon  August 3, 2020))(([6] Après l’élimination des vieux dans les Ehpad, le massacre des innocents et la fabrication de « Frankenstein » (francesoir.fr) ))(([7] Une fin de nuit du 31 juillet 2020 comme par hasard…))

Chers lecteurs, cette déclaration de G. Attal au nom du Président est tellement grave que je pourrais m’arrêter là et vous demander de ne mettre au pouvoir présidentiel ou législatif une personne ayant voté  ou soutenu ce texte digne des dictatures les plus immondes :

« La légalisation de la Procréation Médicalement Assistée pour les couples lesbiens était le paravent de cette loi soi-disant attendue par les français (combien ?). Mais derrière ce sujet déjà clivant, se cachent des choses beaucoup plus graves, telles que l’autorisation de fabrication de chimères homme-animal à partir d’embryons humains sacrifiés et plus globalement la marchandisation du corps humain qui ouvre la voie vers la création en éprouvette d’être sans origine, sans âme. Au passage un cavalier législatif introduit dans la loi dite de Bioéthique l’avortement jusqu’au 9ème mois de grossesse. »

Loi dite de bioéthique, « urgence sanitaire » au temps d’Orwell ? 

Clairement, cette loi n’a rien de « bio » ni d’éthique ! Elle en est tout point son contraire, en bonne représentante de la dictature orwellienne qui se met en place et dans laquelle l’inversion du sens des mots est une astuce classique largement utilisée par nos gouvernants.

Voici ce qu’écrivait E.M.  le 1er aout 2020 : @EmmanuelMacron :

« le projet de loi bioéthique vient d’être adopté en 2e lecture par l’Assemblée nationale. Je salue l’engagement des parlementaires, des membres du gouvernement et du Comité consultatif national d’éthique. Ils ont permis l’adoption d’un texte d’équilibre dans un débat apaisé. »

Peut-on se sentir apaisé quand on autorise la fabrication d’enfants SANS PÈRE et qu’en même temps on légalise l’avortement de bébés viables et pensants jusqu’à neuf mois ?

« Le projet de ceux qui courent après le progrès sans regarder où il les mène est une fable destructrice ».

(J.-F. Poisson)

Rien n’a changé depuis le vote en 2020 et confirmé après passage au sénat en 2021, en dehors du fait qu’à l’aube d’un possible deuxième mandat ils s’en flattent.

Qui peut voter pour de telles personnes ?

On parle de vote en son « âme et conscience » …




Rémi Tell : « Je me méfie plus de l’extrême centre que de l’extrême droite ! »

[Source : Sud Radio]

Avec Rémi Tell, entrepreneur et cofondateur du collectif Peuple Libre, auteur de Paroles révoltées, aux éditions Perspectives Libres.




Pour une transparence totale sur la mortalité des moins de 45 ans en fonction du statut vaccinal

[Source : leslignesbougent.org]

Par Thibaut de Santé Non Censurée

Pétition

Adressé à : Mesdames et Messieurs de l’Assemblée nationale, Mesdames et Messieurs les SénateursPour une transparence totale sur la mortalité des moins de 45 ans en fonction du statut vaccinal

Chers amis,

Est-il possible que les Français de moins de 45 ans aient connu plus de décès en 2021 que les années précédentes ? Et que cette mortalité : 

  1. n’ait rien à voir avec le Covid…
  2. Et ait tout à voir avec la gestion de l’épidémie, en particulier les campagnes de vaccination de masse ?

C’est la question archi-brûlante que se posent plus de 900 chercheurs, universitaires, professionnels de santé et de droit à la suite du Dr Laurent Toubiana.

Ce dernier, épidémiologiste désormais bien connu, s’est vu refusé par le Sénat l’accès aux données des décès toutes causes confondues en lien avec le statut vaccinal…[1]

Seules ces données permettraient de faire la lumière complète sur la mortalité anormale enregistrée chez les moins de 45 ans en France et dans de nombreux pays européens.

Ces informations permettraient d’écarter ou de confirmer l’hypothèse d’un vaccin dangereux.

En effet, sachant que la moyenne des décès du Covid s’établit à 82 ans[2], il n’est guère possible d’attribuer un quelconque effet significatif du Covid sur la mortalité des moins de 45 ans…

Or c’est bien ce qu’enregistre le site Euromomo[3], qui surveille la mortalité européenne : une surmortalité anormale chez les 15-44 ans en 2021…

-> Ces décès supplémentaires sont-ils dus aux injections ARN ? 

-> Ou faut-il aller chercher une explication ailleurs ?

Il est impossible de tirer des conclusions tant que le Sénat refuse de révéler cette information pourtant disponible dans le Système National des Données de Santé (SNDS)[4].

En ouvrant les données des décès toutes causes confondues en lien avec le statut vaccinal, les chercheurs pourront dire si les 15-44 ans vaccinés ont connu une mortalité supérieure ou inférieure à celle des 15-44 ans non-vaccinés.

Il est fondamental que ces données puissent être ouvertes avant le premier tour de l’élection présidentielle.

Comment juger le bilan du Président sortant si une telle information n’est pas analysée, discutée et révélée aux électeurs ?

Le Gouvernement et les Parlementaires ont rendu la vaccination quasi obligatoire en France, en affirmant que les vaccins étaient sûrs et efficaces. Qu’ont-ils à craindre ?

N’est-ce pas là l’occasion rêvée de faire taire les “complotistes” et les vaccino-sceptiques ?

Devant ce manque de transparence de nos autorités, j’ai décidé de soutenir la demande de Laurent Toubiana et des 900 chercheurs, et je vous demande, cher lecteur, de la soutenir avec moi, afin que ces données soient révélées aux citoyens français AVANT les élections présidentielles.

Seule une mobilisation populaire de grande ampleur peut les convaincre de revenir sur leur refus d’ouvrir ces accès !

POUR UNE TRANSPARENCE TOTALE SUR LA MORTALITÉ DES MOINS DE 45 ANS EN FONCTION DU STATUT VACCINAL

JE SIGNE LA PÉTITION

Les rapports qui suggèrent un lien entre surmortalité et vaccination de plus en plus nombreux

Ce refus du Sénat de publier ces informations n’est peut-être pas anodin.

Il intervient en pleine campagne présidentielle et au moment où l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament), Eudravigilance (base de données européenne de rapports d’effets indésirables au niveau européen) ou encore VAERS (base de données des effets secondaires des vaccins aux Etats-Unis) émettent des rapports alarmants.

Les chiffres officiels sur les effets indésirables des vaccins sont inquiétants[5,6,7,8] :

  • L’ANSM met en avant plus de 137 000 effets indésirables à la suite de la vaccination en France, dont plus de 30 000 considérés comme graves ;
  • Eudravigilance rapporte 1 327 876 signalements d’effets indésirables et 36 267 décès ;
  • VAERS rapporte 21 000 décès confirmés et plus d’un million d’effets secondaires.

Ces organismes, bien sûr, refusent à ce jour d’établir un lien de causalité entre la vaccination et les décès. 

Aucune enquête n’est diligentée. 

On se contente d’accuser les citoyens ou scientifiques qui s’interrogent d’être des « complotistes » ou “d’extrême-droite”.

Les candidats à la présidence française font tout pour évacuer le sujet ne sachant trop s’ils sauront en profiter électoralement…

C’est donc à nous simples citoyens de faire le travail ! Nous devons faire pression pour que toute la lumière soit faite sur les chiffres de surmortalité chez les jeunes.

POUR UNE TRANSPARENCE TOTALE SUR LA MORTALITÉ DES MOINS DE 45 ANS EN FONCTION DU STATUT VACCINAL

JE SIGNE LA PÉTITION

Je rappelle que les chiffres de surmortalité chez les jeunes sont issus d’un institut indépendant[9] et proviennent de sources fiables.

Ils sont incontestables.  Nos voisins enregistrent d’ailleurs la même chose !

EUROPE

Sur ces graphiques, on visualise nettement que la courbe bleu foncé des décès des 15-44 ans entre 2018 et 2022, augmente nettement à partir de 2021, et finit par dépasser le taux moyen de mortalité des années précédentes (en gris).

N’est-il pas urgent de faire toute la lumière sur ce phénomène ?

Des Français, des Anglais, des Allemands de 45 ans ou moins sont-ils morts en cherchant à se protéger d’une maladie qui ne les menaçaient pas ? Nous devons en avoir le cœur net !

POUR UNE TRANSPARENCE TOTALE SUR LA MORTALITÉ DES MOINS DE 45 ANS EN FONCTION DU STATUT VACCINAL

JE SIGNE LA PÉTITION

Faire la lumière sur le lien entre surmortalité et vaccination

Nous, citoyens français, sommes en droit de savoir si oui ou non il y a un lien entre les décès de nos jeunes et la vaccination.

Ce n’est pas question d’être pro-vax ou anti-vax.

Ce n’est pas non plus une question politique.

Nous avons besoin de faire la lumière et commencer à établir un premier bilan de la politique vaccinale.

En donnant un accès aux données de mortalité toutes causes confondues, à des chercheurs indépendants, sans lien avec le Gouvernement qui a trop à perdre dans cette histoire, et encore moins avec les fabricants de vaccins, il sera possible :

  • d’établir ou non un lien entre les décès et les injections ;
  • de vérifier si les personnes non vaccinées meurent plus que les personnes vaccinées, à âge égal ;
  • de vérifier s’il existe un lien ou non entre la date de vaccination et la date de décès.

Je signe la pétition

Nous avons le droit de savoir, et nous sommes tous concernés.

Pour rappel, il y a eu en France 140 millions de doses administrées, et 94% des plus de 12 ans en ont reçu au moins une.

Ce n’était jamais arrivé dans l’Histoire de la France.

N’oublions pas que les vaccins ont été mis au point en quelques mois seulement alors qu’il faut normalement plusieurs années et de nombreux essais thérapeutiques avant la mise sur le marché.

N’oublions pas que les campagnes de vaccination successives n’ont pas empêché d’attraper le virus et de se retrouver à l’hôpital. Selon la Drees, 70% des personnes à l’hôpital en février étaient vaccinées.[10]

Nous avons le droit de savoir.

Je signe la pétition

Sources

Auteur : Thibaut de Santé Non Censurée




Un ancien conseiller climat d’Obama : le GIEC se trompe et ment

[Source : hommelibre]

La science aurait réglé la question climatique ? Détrompez-vous. Voici un des scientifiques de haut niveau qui conteste les méthodes et les conclusions du GIEC. Il a pourtant été un des conseillers climat de Barak Obama.

Le doute

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Il se nomme Steven Koonin. Cet homme tranquille est une tête, multidiplômé d’éminentes universités. Tranquille mais actif pour l’environnement, il a entre autres travaillé chez BP pour étudier le développement à long terme des énergies renouvelables.

Il a également travaillé pour le président Obama comme haut responsable du Département de l’énergie. Ce Département a d’ailleurs publié un article élogieux à son sujet. Extrait:

« Le Dr Koonin a particulièrement défendu les programmes de recherche en simulation haute performance, calcul exascale, énergie de fusion inertielle et surveillance, rapport et vérification des gaz à effet de serre. (…) En tant que scientifique en chef chez BP de 2004 au début de 2009, le Dr Koonin a développé la stratégie technologique à long terme pour les sources d’énergie alternatives et renouvelables. »

Ce n’est pas un fantaisiste. 

Pour Steve Koonin ce que les médias, les politiciens et les militants disent à propos de la science du climat, est si éloigné de la science actuelle que c’est absurdement, manifestement faux.

Après avoir adhéré aux thèses du GIEC, le doute s’est installé. 

Impossibles prévisions

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En 2013 il réalisait que:

« Les humains exercent une influence croissante, mais physiquement faible, sur le réchauffement climatique. Les résultats de nombreux modèles climatiques différents sont en désaccord, voire en contradiction, les uns avec les autres et avec de nombreux types d’observations.

En bref, la science est insuffisante pour faire des prévisions utiles sur la façon dont le climat va changer au cours des prochaines décennies, et encore moins sur l’effet que nos actions auront sur lui. »

Il vient de publier un livre sur la science, dont le titre est explicite:

« Non établie ? Ce que la science du climat nous dit, ce qu’elle ne dit pas, et pourquoi c’est important ». 

Sa critique est sévère. Selon cet article qui résume son livre :

« Steven Koonin explique qu’il a commencé à avoir des doutes sur la solidité des conclusions du GIEC en lisant le dernier rapport du GIEC, en 2014 : « La science du climat était beaucoup moins mûre que je ne l’avais supposé… La science ne peut pas faire des prévisions utiles sur le changement climatique des décennies à venir et encore moins sur les effets de nos actions… » »

Impact humain minime

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« Je sentis que la communauté scientifique désinformait le public en ne disant pas toute la vérité ».

Il fit paraître dans le Wall Street Journal du 19 septembre 2014 un article intitulé « La science du climat n’est pas établie ». Il y écrivait :

« L’impact de l’activité humaine sur le climat semble comparable à la variation naturelle du climat ».

Certains de ses collègues ont défendu une forme d’omerta :

« Certains scientifiques pensaient qu’il n’y a pas de mal à un peu de désinformation si cela aide à « sauver la planète » et qu’il ne fallait pas « mentionner les doutes qu’ils pouvaient avoir ». Paul Watson, cofondateur de Greenpeace, disait : « Ce qui compte n’est pas ce qui est vrai, mais ce que les gens croient vrai ». Ils préféraient la persuasion à l’information, l’efficacité à l’honnêteté. »

On a demandé son exclusion de sa chaire de la New York University. C’est une conception particulière des partisans de l’inclusion: l’annulation des personnes qui dérangent la doctrine officielle.

L’alarmisme climatique dominait les media, les ONG, la politique et donc les autorités et responsables scientifiques. Steven Koonin en fut choqué. Car pour lui, « l’impact économique du réchauffement dû à l’homme sera minime (environ deux ans de croissance économique) jusqu’à la fin du siècle » (même avec un réchauffement de 6°C, quatre fois celui visé par les Accords de Paris).

Contradiction

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Il relève des problèmes d’insuffisance de données dans les rapports du GIEC, par exemple :

« Les nuages posent un problème, car ils sont généralement plus petits que les dimensions d’une boite. Ils doivent être remplacés par des hypothèses de caractéristiques homogènes dans la boite. Leur influence sur le climat est en fait très mal connue. Les aérosols posent aussi un problème, car ils refroidissent l’atmosphère dans des conditions mal connues. »

Ce spécialiste des modélisations affirme :

« Certaines des hypothèses des modèles ont été faites pour que les résultats des modèles correspondent à l’historique des températures passées, d’autres pour obtenir les hausses de température futures souhaitées par leurs auteurs. »

D’ailleurs :

« … les résultats des modèles sont en contradiction les uns avec les autres et avec beaucoup d’observations et sont devenus de plus en plus divergents avec chaque génération de modèle. »

Il semble que de plus en plus de gens, et de scientifiques, commencent à ne plus supporter l’alarmisme climatique. Je rappelle aussi la contrition de Michael Shellenberger, ancien activiste revenu à la raison. Son livre : Never Apocalypse. (image 4)

Après avoir pointé les mensonges du GIEC, Steve Koonin va plus loin dans la critique de l’alarmisme des vecteurs dédiés à la peur: alarmisme  des médias, des politiques et des militants. Il relativise le rôle du CO2.

0,7 %

Son récent livre n’est pas encore traduit en français et il faudra le lire pour disposer de plus de détails sur ses affirmations. Heureusement cet article le résume avantageusement. Suite des extraits :

« Steven Koonin donne une raison scientifique essentielle pour laquelle le CO2 émis par l’homme a peu d’influence sur la température de l’atmosphère : la saturation de l’effet de serre du CO2 par le CO2 naturel. 

Il compare ce phénomène à celui d’une « vitre noire » : une première couche de peinture noire sur une vitre transparente la rend en partie opaque ; une deuxième couche ne change pratiquement rien à son opacité. De même le CO2 anthropique ne change presque rien au réchauffement dû au CO2 naturel : la chaleur absorbée par tout le CO2 émis par l’homme depuis 1750 ne représente que 0,7% de la chaleur absorbée par le CO2 naturel. »

Je fais confiance à ses calculs, n’ayant pas la possibilité de les vérifier par moi-même. 

Simulations

Il n’est pas le seul à aboutir à ces conclusions. En 2014, avec la méthode de l’identification*, un scientifique français spécialiste mondial des modèles, Philippe de Larminat (image 2 : son livre), écrivait:

« Les simulations de l’auteur (ndla: lui-même) sont bien moins alarmistes que celle présentées dans le dernier rapport du GIEC qui indique des augmentations de température dans une fourchette de 2 °C à 6 °C dans les 100 prochaines années. Les simulations de l’auteur indiquent quant à elles une fourchette comprise entre 0,5 °C et 2 °C sur la même période. » 

Il ajoute:

« Dans son ouvrage l’auteur démontre tout l’intérêt de la méthode d’identification* qui, sur la base des données, montre la contribution essentielle de l’activité solaire dans l’augmentation de la température du globe, alors que cette dernière est très largement minimisée dans les modèles du GIEC. 

Une analyse statistique met en évidence que cette minimisation est d’au moins un facteur 10 ! Dans cette situation les modèles du GIEC n’ont pas été en mesure de prédire la pause climatique** en vigueur depuis presque 20 ans. »

Agence politique

Sur l’image 3 on voit l’évolution de la température mondiale moyenne depuis 2002. On constate bien la pause jusqu’en 2016, année d’un El Niño extrêmement intense qui a provoqué une bouffée de chaleur peu résorbée ensuite par une Niña faible.

L’image 4 montre l’évolution des températures de surface des océans, les réelles en noir en bas du graphique, comparées aux prévisions délirantes des modèles qui tous déforment et exagèrent. C’est sur la base des pires estimations de ces modèles que se fonde l’idée d’urgence climatique. On dirait que le réel n’est pas d’accord et veut casser le moral du GIEC.

Le GIEC se trompe, et il cache la vérité, selon ces observations, et selon les expériences réalisées par les deux scientifiques de pointe que je cite aujourd’hui.

Le problème du GIEC est sa politisation. Comme indiqué dans ses statuts, il a été créé pour prouver le réchauffement par tous les moyens, pas pour étudier le climat de manière objective et contradictoire. Ses membres et soutiens sont pour beacoup des activistes écopolitiques, ou des flippés comme Greta.

Leurre

D’ailleurs les rapports du GIEC sont séparés en deux. Une version longue, plutôt nuancée, et une version courte pour les décideurs politiques, version beaucoup plus alarmiste. Et ses chiffres laissent place à une très large approximation. Par exemple

« Selon le nouveau rapport des experts du climat du Giec adopté ce vendredi à Stockholm, la température moyenne sur la Terre devrait augmenter de 0,3° à 4,8° d’ici à 2100. Ce qui représente une hausse du niveau des océans de 26 à 82 cm. »

Augmentation entre 0,3° et 4,8°, un rapport de 1 à 16 (ça fait quand-même beaucoup !) dont les médias alarmistes et les activistes radicologistes ne retiennent que la valeur la plus élevée – qui est la plus alarmiste et anxiogène et pourtant la moins probable. Idem pour les océans: de 26 à 82 cm, il y a un battement inutilisable car on ne sait pas quelle sera la réalité.

L’urgence climatique est un leurre, écrivait François Gervais récemment. Plus je creuse le sujet, plus j’en viens à la même conclusion.

Et je suis extrêmement attristé de voir tant de gens suivre aveuglément ces discours de peur qu’on nous injecte comme un poison, ou comme un formatage de type religieux. On n’est pas loin d’une sorte de hold-up économique et moral sur la société dans son ensemble.

Hypnose

À la télé l’autre jour, des activistes du climat s’exprimaient. L’un disait: « Je ne prendrai plus l’avion ». Quel dommage pour lui. Un autre affirmait qu’être végan est une condition de base pour être activiste du climat. Une condition ? Les petits tyrans affûtent leurs armes. 

Une autre s’opposait à cela. Mais comment se rendra-t-elle en Amérique, continent qu’elle souhaite visiter? « En voilier » dit-elle. Construire des voiliers pollue, les matériaux polluent, la présence de dizaines de milliers de voiliers sur les océans va polluer pire que le plastic. Bon, ils sont à l’âge où l’on dit des conneries avec beaucoup de sérieux. J’attends de les voir s’émanciper de la peur.

Le réchauffement n’est pas la question environnementale majeure, c’est bien plus la pollution.

On peut espérer que le réalisme reprendra ses droits. Ou alors, à force de renoncements (ils savent déjà interdire), l’économie s’écroulera. Qui ça, « ils »? Les rouges, les activistes, les politiques intéressés à faire des voix, les réacs du climat, les fachos du thermomètre, et les autres. Ils seront chômeurs de par leur propre initiative. Cette génération qui a tout reçu va-t-elle détruire les acquis dont notre notre vie bénéficie tant? Il me semble que c’est un vrai débat dont les enjeux ne sont pas encore transparents.

Résiste !

Le GIEC n’est pas un organisme scientifique neutre mais une officine politique et le fer de lance de lobbys de plus en plus puissants. Les grandes questions environnementales à quoi je souscris sont la réduction des pollutions, l’aménagement des territoires et des villes, la santé des forêts, les économies d’énergie. Cette courte liste n’est pas exhaustive.

Il devient nécessaire, urgent peut-être, de mettre en cause sans ménagement les méthodes et conclusions du GIEC, et la doctrine politico-médiatique de l’apocalypse, avant que la folie de l’urgentisme climatique ait durablement porté atteinte à notre civilisation, et ait engendré une génération de « sauveurs » qui deviendront nos tyrans en grandissant.

Une nouvelle oppression se met en place, avec notre consentement aveugle. La critique de ce système d’oppression ne suffit pas, il faut une résistance active.

Il nous faut réfléchir au comment résister.

[Voir aussi le dossier Climat]


*Note 1

« L’identification est la détermination d’un modèle mathématique à partir des observations en entrée et en sortie du système que l’on souhaite étudier. En d’autres termes, trouver (identifier) les liens entre les causes et les effets. Dans le sujet qui nous intéresse, les entrées sont la concentration du dioxyde de carbone atmosphérique, l’activité solaire ou encore l’activité volcanique. La sortie est la température de surface du globe. On parle ici de modèle « boite noire », c’est-à-dire que les liens entre les entrées et la sortie sont purement mathématiques, à aucun moment cette modélisation ne cherche à représenter physiquement la réalité des processus mis en œuvre. La méthode est donc « libre » et non contrainte a priori.

Les modèles du GIEC1 sont tout le contraire : ce sont des modèles numériques basés sur les lois physiques. Ainsi les résultats obtenus par ces modèles dépendent fortement des lois implémentées. Ces modèles sont donc d’une part fortement contraints par les variables et paramètres des équations qui les construisent et d’autre part évidemment incapables de reproduire des processus qui n’ont pas été pris en compte parce que, par exemple, trop complexes. »

**Note 2:

La pause a duré jusqu’en 2015. Un très puissant et long El Niño a ensuite envoyé une grosse bouffée de chaleur dans l’atmosphère et fait monter les moyennes. Il a fallu attendre quatre ans pour qu’une Niña digne de ce nom, puissante, commence à inverser la tendance. La contribution des océans au réchauffement est remarquable à chaque épisode El Niño intense depuis 30 ans.




Stoppez le scénario covid19, toxique pour les peuples et la démocratie : l’exemple de l’Australie

La fin du mirage des confinements et des pseudo vaccins en Australie

Depuis l’apparition du Covid-19, les dirigeants australiens se sont illustrés par leur croyance en la stratégie « zéro Covid » par le confinement et la pseudo vaccination, et le mépris du Premier Ministre Scott Morrison pour les Droits de l’homme qui n’a pas hésité à utiliser tous les moyens pour imposer la pseudo vaccination.

Au début de la crise, l’isolement de leur île-continent leur a permis de contenir la maladie mieux que d’autres pays occidentaux (comme la France) appliquant des stratégies similaires et de faire croire la population à l’utilité des restrictions.

Mais l’arrivée d’Omicron a démontré la vanité de la croyance « zéro covid » et les dangers d’injecter massivement des produits expérimentaux. Des dizaines de milliers de demandes d’indemnisation d’effets secondaires des pseudo vaccins ont été déposées et le Sénat australien demande maintenant une transparence complète sur les obligations qui ont été imposées à la population sans aucun débat scientifique démocratique.

Évolution de l’épidémie

En mars 2020, l’Australie a fermé ses frontières presque hermétiquement à tout visiteur de l’extérieur (y compris à ses propres ressortissants), multiplié les confinements et imposé les injections expérimentales par tous les moyens. On ne compte plus les personnes qui n’ont pu retrouver leur famille ou accompagner un mourant. Les rares voyageurs autorisés devaient accepter une quarantaine obligatoire de 14 jours dans les hôtels australiens – qui coûtait à chaque voyageur 3 000 dollars australiens (1 900 euros).

Au 8 avril 2022, plus de 56 millions d’injections avaient été réalisées (à 95 % des 25 millions d’Australiens) et en novembre 2021 les dirigeants se vantaient d’avoir obtenu l’immunité collective qui devait assurer la fin de l’épidémie.

La tornade Omicron, arrivée début décembre 2021 en se moquant de la fermeture des frontières, a prouvé que l’immunité vaccinale n’était qu’un mythe et son intensité, plus forte en Australie que dans les pays moins vaccinés, suggère même que les injections expérimentales pourraient avoir favorisé les contaminations.

Au niveau mondial la poussée actuelle d’omicron semble en effet d’autant plus forte que la proportion de vaccinés est élevée.

Ce tsunami de contaminations manifestement d’autant plus fort que la population est davantage vaccinée fait que l’Australie a perdu son statut de pays relativement épargné par le Covid et qu’elle est en passe de rejoindre les pays les plus contaminés.

Et malheureusement la mortalité a suivi les contaminations plaçant maintenant l’Australie bien au-dessus des mortalités observées dans les pays pauvres (qui n’ont pas eu les moyens de se vacciner) et Madagascar peu vacciné (mais traité par Artémisine).

Ce brutal échec contre le covid est d’autant plus mal vécu que la population a payé le prix fort de la stratégie tout « confinement-vaccin » par les conséquences désastreuses des mesures sanitaires et les complications vaccinales.

Les mesures autoritaires ont-elles diminué la mortalité ? À quel prix ?

De très nombreuses études réalisées par des chercheurs indépendants de ceux qui les ont promues(([1] Ari R Joffe et al COVID-19 : Rethinking the Lockdown Groupthink
Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778. doi : 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33718322/))
Lockdowns Do Not Control the Coronavirus: The Evidence AIER Staff — December 19, 2020))(([2] Rabail Chaudhry et al A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes”. EClinicalMedicine 25 (2020) 100464. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32838237/))(([3] Christof Kuhbandner et al Was Germany’s Corona Lockdown Necessary?”. Advance: Sage Preprint, June 23, 2020
https://advance.sagepub.com/articles/preprint/Comment_on_Dehning_et_al_Science_15_May_2020_eabb9789_Inferring_change_points_in_the_spread_of_COVID-19_reveals_the_effectiveness_of_interventions_/12362645))(([4] Inferring change points in the spread of COVID-19 reveals the effectiveness of interventions
DOI: 10.1126/science.abb9789
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32414780/))(([5] Eran Bendavid Assessing mandatory stay‐at‐home and business closure effects on the spread of COVID‐19 Eur J Clin Invest. 2021 Feb 1 : e13484.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7883103/))(([6] Comment on Flaxman et al. (2020, Nature, https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7): The 1illusory effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe
Authors:Stefan Homburg, Christof Kuhbandner
https://advance.sagepub.com/articles/preprint/Comment_on_Flaxman_et_al_2020_The_illusory_effects_of_non-pharmaceutical_interventions_on_COVID-19_in_Europe/12479987))(([7] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic” by. MedRxiv Pre-print May 1, 2020 https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))(([8] Jonas Herby, Lars Jonung, and Steve H. Hanke A LITERATURE REVIEW AND META-ANALYSIS OF THE EFFECTS OF LOCKDOWNS ON COVID-19 MORTALITY SAE./No.200/January 2022/October 2021
https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf)) ont analysé les évolutions avérées de l’épidémie selon les restrictions imposées. Elles ont toutes conclu, comme la dernière macroanalyse de l’université Johns Hopkins(([9] https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf)):

« les mesures de confinement n’ont eu que peu ou pas d’effets sur la santé publique, elles ont imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où elles ont été adoptées. En conséquence, les politiques de confinement sont mal fondées et devraient être rejetées en tant que stratégies de gestion des pandémies ».

En Australie, le professeur Gigi Foster de l’Université de Galle du Sud, dans un article(([10] Gigi Foster Correctly counting the cost shows Australia’s lockdown was a mistake
https://www.afr.com/policy/economy/correctly-counting-the-cost-shows-australia-s-lockdown-was-a-mistake-20200525-p54w1o)) complétant son témoignage devant le Parlement de l’état de Victoria a démontré que le coût du confinement de six semaines est au moins trois fois supérieur au bénéfice que le confinement pourrait potentiellement apporter.

« Considérez que nous entendons parler de manière disproportionnée du nombre de cas, plutôt que du nombre de personnes souffrant de symptômes ou hospitalisées. Si nous comptions les cas de tous les virus qui nous infectent et les traitions comme la redoutable peste du genre de celle à laquelle le COVID a été élevé dans les médias, nous ne ferions rien toute la journée à part nous cacher sous le lit. Ce qui compte, ce sont les souffrances humaines et la mort, et non le fait que quelqu’un soit testé positif à un virus particulier… Ce qui se passe ici n’est pas le combat de nos vies contre une peste redoutable. Ce sont des politiciens qui sacrifient volontairement le bien-être de leur peuple, espérant que le peuple considère leurs actions comme une offrande suffisante. C’est l’équivalent moderne de tuer des vierges dans l’espoir d’obtenir une bonne récolte. Il faut arrêter cette folie ».

Le Dr Martin Lally, directeur d’un cabinet d’experts, examinant les complications et les avantages de la stratégie de verrouillage de l’Australie en mars 2020 par rapport à la poursuite d’une stratégie d’atténuation a conclu(([11] Lally M. A cost-benefit analysis of COVID-19 lockdowns in Australia. Monash Bioeth Rev. 2022 Jan 28:1–32. doi: 10.1007/s40592-021-00148-y. Epub ahead of print. PMID: 35088370; PMCID: PMC8794621.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8794621/)) comme le professeur Foster :

« les confinements coûtent bien plus de vies qu’ils n’en sauvent ».

En Australie, comme partout dans le monde, les restrictions de liberté n’ont aucunement atténué l’épidémie et ont entraîné d’innombrables victimes collatérales.

Cinq membres du comité scientifique, dont le Pr Delfraissy, l’ont d’ailleurs reconnu dans une lettre en anglais au Lancet(([12] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin
Jean-François Delfraissy Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet : 2021 February 18
https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext)):

« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale ». « Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRASCoV-2. ».

Mais ces déclarations, cachées par les médias, sont restées lettre morte.

La santé mentale et le bien-être ont été touchés en raison de l’isolement social, tandis que les hôpitaux, le personnel et les patients sont également soufferts de traitements retardés ou annulés. Il y a aussi l’impact grave sur les enfants dont la scolarité a été interrompue pendant les fermetures d’écoles(([13] https://www.businessthink.unsw.edu.au/articles/covid-19-lockdowns-cost)), et les effets à long terme des réductions du PIB. En Australie, 2020 a sans aucun doute été l’une des années les plus difficiles jamais enregistrées. Les restrictions ont eu un effet négatif sur la majorité des 200 entreprises australiennes. L’indice ASX200 a subi une période de forte volatilité, de nombreuses entreprises perdant de la valeur en raison de la suspension de leurs activités, comme celles des secteurs du voyage. La situation de l’emploi reste difficile, avec un taux de chômage global de 6,8 % et des prévisions selon lesquelles le marché du travail ne reviendra pas à la normale avant 2023.

En Australie comme en France, des restrictions hypocrites

Envers la population ordinaire, ces restrictions de liberté inutiles ont été sauvages et sans aucune humanité, utilisant les brutalités policières pour les faire respecter.

En août 2020, une femme enceinte de jumeaux habitant le nord de la Galles du Sud a voulu consulter en urgence l’hôpital de plus proche (160 Kms) à Brisbane (Queensland), mais elle a été refoulée à la limite des deux états, et a dû repartir pour Sidney distant de 600 Kms ; après un voyage de 16 heures, les médecins ont constaté la mort d’un de ses deux bébés.

De même, un garçon de 6 ans atteint de paralysie cérébrale revenant des USA, où il venait d’être lourdement opéré, a été astreint à une quarantaine de 14 jours malgré son état et le fait que, comme tout enfant, il ne présentait aucun risque de contaminer autrui.

En octobre 2021, Melbourne est devenue la ville la plus fermée au monde avec un total de 277 jours de confinement,(([14] Cristal Wu Journaliste numérique
https://www.skynews.com.au/australia-news/coronavirus/melbourne-passes-buenos-aires-record-as-the-worlds-most-lockeddown-city/news-story/c59ca9114ea99c930eca57568cd2df35)) principalement en deux longues périodes de juillet à octobre 2020 et d’août à octobre 2021, et en même temps la plus contaminée d’Australie.

Mais le confinement, sévère avec la population ordinaire, s’est révélé tendre avec les riches et célèbres comme Nicole Kidman, Keith Urban et Dani Minogue qui ont été dispensés de quarantaine, et l’arrivée de 1200 personnes du monde entier lors du tournoi de tennis d’Australie ou lors des manifestations des Black lives Matters rassemblant 10 000 protestataires tolérées par le gouvernement en signe de sympathie à leur cause, tandis que 37 000 résidents australiens n’avaient pas le droit de rentrer chez eux et restaient coincés à l’étranger ou dans des états australiens voisins.

Et lorsque les habitants de Melbourne ont tenté de manifester contre la violation de leurs libertés, ils ont fait face à une police violente utilisant des lanceurs de balles, gaz lacrymogènes et bombes à poivre.

Tout cela pour imposer un confinement scientifiquement infondé et qui a coûté bien plus de vies qu’il prétendait en sauver.

Les pseudo vaccins sont bien plus dangereux que la maladie

Les injections anti-covid ont été présentées faussement comme des vaccins(([15] Ce ne sont pas des vaccins selon la définition de Pasteur, car ils ne contiennent aucun antigène. D’ailleurs Delfraissy lui-même l’a reconnu et les appelant  « vaxmédicament ».)) et déclarées très efficaces (>95 % d’efficacité alléguée) et sans danger alors même que leurs essais n’étaient pas terminés (ils ne le seront qu’en 2023).

15 mois plus tard, la persistance et souvent même l’exacerbation de l’épidémie dans les pays les plus vaccinés montre que la prétendue efficacité était mensongère. Partout où l’on avait le plus vacciné (Israël, Chili, Malte, Islande, Gibraltar, etc.), l’épidémie est repartie de plus belle… Globalement depuis la vaccination, le nombre total de cas par million a été multiplié par près de 200 en Australie (de 1200 à 192 000), par 10 en France (de 44 000/M à 400 000/M) et par 5 à 6 dans les autres pays très vaccinés alors que les gouvernants promettaient la fin de l’épidémie dès qu’une portion notable de la population serait vaccinée.

La prétendue « excellente tolérance des pseudo vaccins » était tout aussi mensongère.

15 mois après le début des injections en Australie, plus de 10 000 Australiens ont déposé des demandes d’indemnisations pour des complications graves des pseudo vaccins(([16] https://www.news.com.au/finance/work/at-work/more-than-10000-aussies-plan-to-claim-for-covid-injuries-under-the-governments-nofault-indemnity-scheme/news-story/4d4e8a1ff7489b6f0728766ebee5c8b2)) et devraient recevoir entre 5 000 et 20 000 dollars australiens sans avoir à entreprendre des poursuites judiciaires.

En effet le gouvernement australien a accordé aux fournisseurs de deux vaccins COVID-19 une immunité contre la responsabilité pour les effets secondaires. Bien que les détails précis ne soient pas publiés, il semble que le gouvernement paierait la facture de l’indemnisation si un vacciné gagnait une action en justice contre la société pharmaceutique.

Selon le Sydney Morning Herald, le gouvernement australien pourrait être obligé de débourser une somme pouvant atteindre au moins 50 millions de dollars australiens, afin de dédommager les personnes ayant subi des effets secondaires importants liés à la vaccination contre le Covid-19.

Comme les enfants et les jeunes ont moins à craindre du Covid19 que de la grippe saisonnière, le risque de complications vaccinales (thromboses, myocardites…) fait clairement pencher fortement la balance avantages/risques de ces traitements-injections du côté du risque. Les pseudo vaccins n’ont aucune justification chez les jeunes.

Le réveil de la démocratie ?

Le comité Covid du Sénat australien vient enfin de demander que tous les rapports de la commission nationale Covid soient rendus publics, y compris « toutes les déclarations de conflits d’intérêts réels et perçus faites par les commissaires », et « tous les procès-verbaux précédents et futurs du comité principal australien de protection de la santé ». La présidente du comité, Katy Gallagher, a déclaré aux journalistes à Canberra que le comité avait été « empêché » d’accéder à des informations cruciales. Cela comprenait des documents du cabinet national, que le gouvernement Morrison veut garder confidentiels.

Sa demande de transparence rejoint les exhortations d’experts indépendants.

« À l’heure actuelle(([17] 2021 https://www.smh.com.au/national/stop-this-human-sacrifice-the-case-against-lockdowns-20210627-p584o7.html)) (Juin21), nous devons concentrer notre attention et notre protection sur les personnes de notre population qui sont réellement vulnérables aux effets graves de ce virus. Nous devons acheter des médicaments et établir des protocoles de traitement qui permettent de réduire la gravité des symptômes du COVID, tout en offrant des vaccins à toute personne appartenant à des groupes vulnérables qui le souhaite – sans contrainte et sans attacher les taux de vaccination de la population aux ouvertures des frontières. »





L’état de la liberté de la presse et de la liberté d’expression au Québec est pire qu’en France

[Source : putsch.media]

Julien Garon-Carrier : « Pourquoi au Québec aucun média n’a-t-il réussi à obtenir et à publier les documents que la firme Mc Kinsey a fourni au gouvernement du Québec? »

Les médias n’avaient pas bonne presse bien avant la crise sanitaire aussi bien en France qu’au Québec. Et la défiance s’est accélérée pendant la pandémie de Covid19, toujours aussi bien au Québec qu’en France.

Julien Garon-Carrier, Éditeur en chef, d’un nouveau média en lancement au Québec « Libre Média » explique dans les colonnes de Putsch cette méfiance pour les médias et la naissance de « Libre Média » actuellement en cours de financement participatif.

Quel est l’état de la liberté de la presse et de la liberté d’expression au Québec?

Comme dans le reste du monde occidental, la liberté de presse a été particulièrement mise à mal durant les deux dernières années, soit depuis le début de la crise sanitaire. Aujourd’hui, elle est peut-être bien dans un état plus lamentable au Québec qu’ailleurs, puisque l’écosystème médiatique québécois forme un microcosme unique et hermétique.
Ainsi, la plupart des grands médias pendant la pandémie se sont alimentés aux mêmes sources, soit strictement des experts médicaux québécois, qui sont quasiment devenus des vedettes médiatiques : invités à la radio et à la télévision, cités dans les journaux quotidiennement.
Or, ces experts, dont certains ont des conflits d’intérêts avec des entreprises pharmaceutiques, avaient presque tous les mêmes points de vue sur les mesures sanitaires adoptées par le gouvernement du Québec (confinement, couvre-feux, port du masque, distance entre les individus) et sur la vaccination. Et leurs points de vue ont été très peu nuancés, c’est-à-dire que trop souvent ils s’imbriquaient parfaitement à ceux du gouvernement et de la Santé publique du Québec.

« Les experts, dont certains ont des conflits d’intérêts avec des entreprises pharmaceutiques, avaient presque tous les mêmes points de vue sur les mesures sanitaires adoptées par le gouvernement du Québec »

Dans ce contexte, les médias ont manqué à leur obligation critique d’exercer pleinement leur rôle de chien de garde de la démocratie, celui propre au quatrième pouvoir. En somme, ils n’ont été que la courroie de transmission des discours des experts médicaux et des politiques.
Il n’y a eu aucun espace dans le débat public pour les opinions divergentes ou les propos d’experts qui allaient à l’encontre de la doxa. Et parlons franchement, il y a eu de la censure et de l’intimidation de la part des médias, et l’utilisation de techniques de manipulation psychologique de la part du gouvernement.

Bref, l’espace mental du libre arbitre s’est significativement rétréci depuis deux ans au Québec. Après tout, plus d’un Québécois sur deux croit que les représentants des médias tentent de les tromper volontairement. Avec Libre Média, nous comptons y remédier.

« Plus d’un Québécois sur deux croit que les représentants des médias tentent de les tromper volontairement »

Vous évoquez dans une vidéo que les sources de financement québécois ne favorisent pas leur indépendance ? Pouvez-vous nous en dire quelques mots?

Le financement des médias québécois pose problème pour deux raisons. D’une part, le gouvernement fédéral (gouvernement du Canada) subventionne le salaire de plusieurs journalistes. Et d’autre part, le gouvernement provincial (gouvernement du Québec) a acheté une quantité de publicité phénoménale pendant la pandémie, représentant des centaines de millions de dollars, pour inciter la population à respecter les mesures sanitaires et à se faire vacciner.
Un adage vieux comme le monde stipule qu’on ne mord pas la main qui nous nourrit. Cet adage prend tout son sens dans le contexte actuel : il révèle l’évidence.
Que se serait-il passé si un média de masse avait décidé de donner la parole chaque semaine à des experts qui n’auraient pas endossé le récit dominant, qui auraient véhiculé des hypothèses différentes, qui auraient émis des réserves sur l’approche à adopter pour la gestion sociale de la pandémie ?

Pourquoi au Québec aucun média n’a-t-il réussi à obtenir et à publier les documents-conseils que la firme Mc Kinsey a fourni au gouvernement du Québec ? Ce qui fait polémique en France est balayé sous le tapis de l’autre côté de l’Atlantique. Le financement est, et sera toujours, un levier pour effectuer des pressions sur les contenus.

« Pourquoi au Québec aucun média n’a-t-il réussi à obtenir et à publier les documents que la firme Mc Kinsey a fourni au gouvernement du Québec ? »

L’impartialité des grands médias a été remise en cause par beaucoup pendant la crise sanitaire. Quelle analyse faites-vous de cette situation ?

L’impartialité est un principe associé à celui de l’équilibre des points de vue, afin d’offrir un texte objectif aux lecteurs. Or, sous le couvert du consensus scientifique, les médias de masse nous ont balancé les propos d’experts qui, en fait, n’exposaient qu’un seul côté de la médaille, n’exploitaient qu’une seule facette de l’histoire.
Par exemple, nulle part dans les médias québécois, les risques des effets à long terme des injections ARN-m n’ont été sérieusement discutés. Lorsqu’ils étaient évoqués, ses détracteurs s’empressaient de lui opposer le risque de la forme longue de la maladie à coronavirus.
Ou encore, lorsque l’ancien animateur vedette de Radio-Canada, Stéphane Bureau, a interviewé le professeur Raoult à l’été 2021, cela lui a vivement été reproché, alors que les points de vue opposés à la chloroquine se sont maintes fois fait entendre sur les ondes du média d’État. Il a même reçu un blâme de l’ombudsman de Radio-Canada. Et au terme de cette saga, M. Bureau a choisi de ne pas renouveler son contrat avec le média d’État.
Et je pourrais continuer comme ça en dressant une liste effarante de sujets, de thèmes et d’angles qui ont, à toutes fins pratiques, soit été ignorés par les grands médias, soit reçus un traitement biaisé.
Bref, l’impartialité en a pris pour son rhume dans les médias au Québec pendant la pandémie de COVID-19.


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Le rôle du journaliste consiste à dévoiler la vérité au grand jour, dans une optique de probité publique.
Cela s’inscrit dans une démarche d’indépendance d’esprit, voire de marginalité, afin de promouvoir le libre-arbitre et de produire une information qui colle à la réalité, ce qui n’est pas une mince tâche, puisque les contraintes structurelles des organes de presse pèsent lourd sur le journaliste. Après quelques avertissements d’un patron, le journaliste intériorise la censure et met en place des mécanismes d’autocensure qui le poussent à livrer le type de contenu que son employeur attend de lui. Chez Libre Média, nous souhaitons offrir de la latitude à nos journalistes, tout en respectant l’éthique de la profession.

« Après quelques avertissements d’un patron, le journaliste intériorise la censure et met en place des mécanismes d’autocensure qui le poussent à livrer le type de contenu que son employeur attend de lui »

Quel sera votre modèle économique chez Libre Média ? Uniquement de l’abonnement ?

Nous revendiquons être un média financé par le peuple et pour le peuple, donc oui les abonnements constitueront une bonne part de nos recettes. Cependant, nous souhaitons avoir une couverture médiatique d’envergure à terme et cela nécessitera des revenus d’annonceurs, mais attention, pas n’importe lesquels. Nous désirons des annonceurs publicitaires dont la vision et les valeurs s’arrimeront à 100 % avec celles de Libre Média, afin d’assurer l’entière indépendance de pensée de nos contenus.

« Ni de gauche, ni de droite, nous créons un nouveau paradigme ». Néanmoins quelle sera votre ligne éditoriale ?

Notre ligne éditoriale mise sur le respect des valeurs de notre coopérative, soit la liberté, la transparence et la bienveillance. Nous voulons éviter les grilles de lecture prédéterminées qui encadrent la réflexion et la cloisonnent dans un espace mental restreint. Il y a de bonnes idées à gauche et de bonnes idées à droite. Néanmoins, la transcendance des clivages pour donner préséance à l’humain dans toute sa sacralité oriente notre ligne éditoriale.
En ce sens, la mission de Libre Média consiste également à mettre en vitrine l’émergence de modèles régénératifs économiques et de gouvernance du développement territorial. S’inscrivant dans un paradigme de décentralisation du pouvoir décisionnel et un retour à l’équilibre avec notre environnement naturel, ce mouvement régénératif s’accélère particulièrement depuis quelques années au Québec et à l’échelle de l’Occident.

Allez-vous aussi traiter de sujets internationaux ou vous concentrer sur le Québec ?

Naturellement, nous allons nous concentrer sur le Québec et le Canada. L’information internationale s’avère complexe et chaque région du monde possède ses enjeux géopolitiques stratégiques et ses particularités culturelles et politiques. Cela requiert des journalistes d’expérience avec un bon bagage, des études et une bonne tête, ce qui est assez dispendieux.
Par exemple, faute de budget, au Québec la plupart des médias de masse francophone, pour ne pas dire l’ensemble d’entre eux, emploient les services de l’AFP pour les nouvelles internationales. Nous voyons mal comment un média indépendant comme Libre Média pourrait diffuser les articles de l’AFP, qui admettons-le, sont « orientés ». Donc, oui, développer l’information internationale, mais sur le long terme, pour bien faire les choses.

Est-ce que les Québécois sont enclins aujourd’hui à s’abonner de nouveaux médias indépendants ?

Il y a deux ans, soit avant la crise sanitaire, la réponse à cette question aurait été toute autre, mais aujourd’hui, il y a une partie substantielle de la population qui est prête à poser ce geste. Le peuple n’est pas dupe. Une prise de conscience s’est opérée. Il a vu le « storytelling » des médias, la propagande des gouvernements, les articles biaisés en faveur d’un point de vue! Le peuple a soif d’une information qui sort de l’ordinaire.
Et à en juger par notre campagne de financement sur notre page libremedia.ca, ayant permis d’amasser plus de 80 000 $ en trois semaines, je crois que nous sommes sur la bonne voie. Il y a certainement un lectorat prêt à investir, c’est indéniable et de bon augure.

Pour en savoir plus sur Libre Media : https://libremedia.ca/




Baisse des performances sportives après vaccination par un vaccin COVID-mRNA

[Source : reinfocovid.fr]

À RETENIR

  • Aucun des sujets vaccinés n’a pu atteindre son niveau antérieur à la vaccination.
  • Le temps de récupération après l’effort était plus long chez les vaccinés qu’avant la vaccination ; il était également plus long que chez les non vaccinés.
  • Ces effets sont encore observés chez tous les sportifs vaccinés, jusqu’à plusieurs mois après la vaccination des premiers sportifs.

Cet article est une traduction de l’article de J. Murphy, C. Huber, “Student athletes perform worse than controls following COVID vaccines”(([1]  J. Murphy, C. Huber, Student athletes perform worser than controls following COVID vaccines 20 jan 22 https://pdmj.org/papers/Student_athletes_perform_worse_than_controls_following_COVID_vaccines))

Il s’agit de l’étude rétrospective des performances sportives de vingt jeunes athlètes-étudiants de Lycées et Collèges après vaccination par un vaccin anti-COVIDmRNA.(([1]  J. Murphy, C. Huber, Student athletes perform worser than controls following COVID vaccines 20 jan 22 https://pdmj.org/papers/Student_athletes_perform_worse_than_controls_following_COVID_vaccines)) La moitié d’entre eux était vaccinée et l’autre ne l’était pas (décision prise au préalable par leurs parents). Les activités sportives des deux groupes étaient les mêmes. Les auteurs ont aussi comparé les performances des sujets vaccinés avec leurs résultats antérieurs à la vaccination. On verra que les modifications observées après vaccination sont utiles pour illustrer les modifications cardiovasculaires apparaissant lors de la vaccination.

[Voir aussi :
Liste de sportifs vax décédés, par un groupe d’avocats
Matt Le Tissier : « Je n’ai jamais rien vu de tel… C’est incroyable le nombre de sportifs qui s’effondrent »
2021 — Liste de sportifs professionnels et amateurs victimes des injections
Brisons le silence, sauvons nos enfants : la liste effroyable des décès de sportifs depuis le début de la vaccination !
Jeune et sportive, sa vie s’effondre après sa première injection
Sportifs de haut niveau, les vaccins covid diminuent vos performances !
15 joueurs de tennis ont abandonné le tournoi de Miami « pour des raisons de santé »
Stop au poison ! Une liste d’athlètes de classe mondiale qui sont morts ou ont subi des blessures graves après le vaccin COVID-19]

Les preuves de corrélation entre des lésions et des décès avec l’administration de vaccins CovidmRNA sont en train de s’accumuler et les études cliniques consacrées à ce phénomène se comptent par centaines(([2] COVID vaccines scientific proof lethal. Jan 5 2022
https://www.saveusnow.org.uk/covid-vacciine-scientific-proof-lethal/)). Plus de1.500 types d’effets indésirables, dont beaucoup sont connus pour entraîner un handicap permanent, avec un total dépassant 158.000 cas, ont été trouvés après l’utilisation de vaccin anti-Covid Pfizer, et les auteurs encouragent les lecteurs à en lire la liste sur les 9 dernières pages du rapport joint ici(([3]  Cumulative analysis of post-authorization adverse event reports of PF-07302048 (BNT62B2) received through 28_Feb-2021 Pp. 30-38
https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-postmarketing-experiencce.pdf)). Ce document de Pfizer n’avait pas été ouvert au public par la FDA qui voulait le rendre inaccessible avant 75 ans, a été déclassifié en décembre 2021 sur Ordre du Tribunal(([4] US District Court. Northern District of Texas. Public Health and Medical Professionals for Transparency v Food and Drug Administration. Complaint for declaratory and injunctive relief
https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/10/001-Complaint-101021.pdf)). Les médecins et les scientifiques du monde entier se sont alarmés de voir les risques de lésions sévères et de décès dûs à cette vaccination. Le Dr Sucharit  BHAKDI, immunologiste et microbiologiste renommé, et le Dr A. BURKHARDT, pathologiste, ont résumé le rôle direct de la vaccination dans les morts observées(([5]  S. BHAKDI, A. BURKHARDT. On COVID Vaccines : why they cannot work, and irrefutable evidence of their causative role in deaths after vaccination. 
https://doctors4covidethics.org/wp-content/uploads/2021/12/end-covax.pdf)). Les résultats d’autopsie montrent plus d’anomalies au niveau cardio-vasculaire que pour n’importe quel autre organe. L’élévation des marqueurs d’inflammation est corrélée avec les vaccins anti-COVID(([6]  S. Gundry. Abstract 10712 : Observational findings of PULS cardiac test finding for inflammatory markers in patients receiving mRNA vaccines. Circulation. Nov 8 2021
https://www.ahajournals.org/doi/abs/10.1161/circ.144.suppl_1.10712)). Et on pense que les morts soudaines observées parmi les athlètes pendant l’année 2021 depuis l’expansion de l’utilisation des vaccins anti-COVID est principalement dûe à une pathologie cardiaque ou cardiovasculaie sévère.

Deux entraineurs partageaient l’entraînement des athlètes-étudiants et avaient des relations franches et informelles avec leurs élèves. Ils ont ainsi pu connaître leurs réactions après vaccination, de même qu’ils ont pu facilement savoir qui était vacciné et qui ne l’était pas. Une stricte anonymisation des sportifs, de leurs parents et de leurs entraîneurs a été respectée pour éviter l’aspect émotionnel lié à la propagande faite pour la vaccination par les leaders politiques. Le choix des parents, quant à la vaccination de leur enfant, n’a pas été connu ni par les entraîneur ni par les auteurs de l’étude avant que celle-ci soit terminée.

Voici le rapport des entraîneurs obtenu rétrospectivement après leur observation des sujets vaccinés :

  1. Aucun des sujets vaccinés n’a pu atteindre son niveau de performance antérieur à la vaccination. Tous ont été en dessous de leur niveau en 2020, selon les évaluations des deux entraîneurs.
  2. Aucun des sujets vaccinés ne peut soutenir le même exercice pendant la durée qu’ils toléraient pourtant avant la vaccination.
  3. Le temps de récupération après l’effort était plus long chez les vaccinés qu’avant la vaccination ; il était également plus long que chez les non vaccinés.
  4. Après les injections de vaccin, la plupart sinon tous les vaccinés se plaignaient de l’une ou plus des réactions suivantes après vaccination :
    1. Douleur thoracique
    2. Sensation de vertige
    3. Voir des étoiles
    4. Se sentir près de s’évanouir
    5. Souffle court

Les jeunes sportifs parlaient à leur entraîneur spontanément et librement de ces symptômes.

  1. Les filles non-vaccinées étaient maintenant capables de battre les garçons vaccinés en compétition. Ceci est inattendu et considéré comme inhabituel par les entraîneurs.

1), 2), 3) et 5) sont encore observés chez tous les sportifs vaccinés, jusqu’à plusieurs mois après la vaccination.

Par contre, les sportifs non-vaccinés n’ont eu aucun des symptômes ou déficit de leurs performances sportives ou de diminution de leur endurance, comme observé par les deux entraîneurs, et continuent à améliorer leurs performances et leur endurance, comme s’y attendaient les entraîneurs.

On peut s’attendre à ce que les athlètes aient une circulation sanguine plus efficace pendant un exercice que s’ils étaient sédentaires. Cette augmentation de la circulation a pour but de suppléer au besoin accru d’Oxygène du corps et à l’élévation d’activité métabolique que requiert cet exercice.

Augmenter le flux sanguin requiert une augmentation du débit cardiaque et une vasodilatation artérielle. La vasodilatation coronaire est contrôlé par des mécanismes autorégulateurs, de même que l’innervation neurologique vasculaire médiée par le système nerveux autonome et les hormones servent à ajuster vasodilatation et vasoconstriction, si c’est rendu nécessaire par une activité physique.

Les vaccins COVIDmRNA démarrent leur activité par la production de protéine Spike partout dans le corps. Les effets de cette protéine Spike sur les récepteurs ACE2 dans l’endothélium vasculaire sont une vasoconstriction. Le résultat peut être l’empêchement d’augmentation de flux sanguin et d’oxygène, au moment où la demande est la plus importante, pendant l’exercice. Les facteurs immunitaires et inflammatoires associés à la protéine Spike peuvent aussi affecter les cellules périvasculaires et périartérielles, aboutissant à une infiltration de lymphocytes T-CD8 et de lymphoctes NK(([6]  S. Gundry. Abstract 10712 : Observational findings of PULS cardiac test finding for inflammatory markers in patients receiving mRNA vaccines. Circulation. Nov 8 2021
https://www.ahajournals.org/doi/abs/10.1161/circ.144.suppl_1.10712)). Tout cela peut diminuer la vasodilatation coronaire.

De plus, les positions et les effets de la protéine Spike viennent compliquer le problème de l’apport de sang aux tissus coronaires et périphériques. Exsudant de la surface endothéliale, les protéines Spike sont arrimées sur les récepteurs ACE2. Ceux-ci sont suspectés d’affecter défavorablement un flux sanguin turbulent plutôt qu’un flux laminaire. Quand le sang stagnant s‘accumule, la cascade des réactions de coagulation démarre de façon ubiquitaire dans tout le corps. De tels micro-caillots s’épaississent et ralentissent le flux sanguin, ce qui va encore plus empêcher la livraison de sang et d’oxygène dans les lits capillaires du cœur et à la périphérie.

Donc, le flux sanguin coronaire peut être défavorablement affecté par une viscosité élevée, qui est aussi causée par une agrégation des globules rouges, provoquée par la protéine Spike par le biais d’une adhésion via la molécule CD 147. En résultat, le cœur se fatigue à pousser au travers des artérioles et des capillaires du corps un liquide plus visqueux que le sang normal.

Un tel mécanisme, décrit plus loin ici(([7]  C.Huber. Heart damage from the COVID vaccines : is it avoidable ? PDMJ 3 Jul 14 2021
https://pdmj.org/papers/myocarditis_paper)) crée un obstacle au passage optimal du sang, ce qui affectera nécessairement tous les receveurs de vaccins anti-COVID générateurs de protéines Spike. Nous devons donc recommander d’éviter l’utilisation de tout vaccin anti-COVID  pour tous les enfants ou jeunes adultes qui prévoient ou réalisent un engagement dans les exercices physiques.

Références




On a ce qu’on mérite

[Source : oumma.com]

Par Hocine Kerzazi
10 avril 2022, 9 h 39 min

L’élection présidentielle annonce des lendemains difficiles et celui du 24 avril sera particulièrement violent. La France se réveillera dans la douleur et il faudra se regarder en face. À moins qu’un sursaut salvateur ne se produise.

La France a besoin d’un bouleversement, d’une prise de conscience radicale. L’état de santé démocratique du pays est préoccupanti mais, à en croire les sondages, trop peu de Français en mesurent la gravitéii.

Et pour cause, de savants procédés de soumissioniii et de manipulation des massesiv sont déployés par le président depuis cinq ans, et ça marche : une foule d’adeptes sensibles aux grosses ficelles médiatiques s’interdit de réaliser qu’un désastre se prépare sous leur nez. Ils persistent à nier le péril démocratique en cours et refusent tout ce qui invalide désormais la légitimité du président-candidat. Ils font prévaloir la logorrhée médiatique, leur dogmatisme ou leur carrière sur la réalité du bilan présidentiel.

Quand on leur présente des faits concrets, ils refusent de les voir, s’enferment dans des calculs politiciens, des attaques personnelles et des raisonnements par étiquettes, déconsidérant les messagers pour s’épargner à bon compte de juger le réel. Ils sont comme le coyote du cartoon qui galope dans le vide sans s’apercevoir que le sol s’est dérobé sous ses pieds. La chute n’est pas moins inévitable.

Aussi, il y a là de quoi être particulièrement inquiet de ces attitudes d’aveuglement volontaire. Inquiet d’abord de voir des Français se résigner et attendre l’homme providentiel qu’on choisira pour eux. Inquiet ensuite d’en voir se défausser, et participer à leur propre naufrage.

Je suis d’autant plus préoccupé que j’ai dressé le bilan social catastrophique d’Emmanuel Macron, et que je tente d’alerter sur ce qui se joue sous leurs yeuxv. Je montre en effet dans mon livre qu’il est encore temps d’agir contre ce déclin de la démocratie et l’autoritarisme en cours. Par exemple, avec les mesures politiques de bon sens dont je rends compte dans le dernier chapitre, mais surtout par la critique à la racine du macronismevi, par le dévoilement de ses ressorts idéologiquesvii, de la teneur de son projetviii et de son échec manifesteix.

Le fait est que toutes ses belles promesses se sont envoléesx. Les mirages de la novlangue et du jargon techno-managérial se sont évanouisxi. Ne restent que le vide moral et les scandalesxii. Les milliardaires d’Open-Luxxiii privent nos services publics de milliers de milliards d’eurosxiv, mais le scandale continue d’être occulté par des gouvernants complaisants et une machine médiatique complicexv. Comment admettre qu’une infime part du peuple français « s’exonère, en cachette, des charges communes et de l’intérêt général »xvi alors que, dans le même temps, un président arrose de millions des cabinets privés américainsxvii, explique « qu’il n’y a pas d’argent magique » pour les hôpitaux aux aboisxviii, qu’il faut « se serrer la ceinture »xix, et donc travailler plus longtempsxx ?

À l’heure où les scandales sapent les bases de notre société, l’urgence du moment commande de ne plus faire semblant de rien. Les Français ne sont pas des moins que rien tout juste bons à consommer, à obéir et à se taire. Nombre d’entre eux oppose une résistance farouche à l’apathie que les empires du divertissement s’appliquent à instiller dans leurs esprits. Mais ils doivent encore se libérer d’une triple aliénation : celle des mass-médias qu’il est temps de rendre véritablement indépendantsxxi ; celle de l’oligarchie dont il faut révoquer les privilègesxxii ; celle de la croissance aveugle et forcenée qui mine le progrès humainxxiii.

Ce n’est qu’à cette condition, en développant une conscience avertie, libre et humaine, qu’ils pourront s’extraire du défaitisme ambiant et regagner leur souveraineté.

Mais pour que s’accomplisse cette espérance, un chemin tortueux reste à parcourir. L’élection présidentielle ouvre la voie et nous place devant nos responsabilités : décider de notre destin collectif ou se complaire dans l’effondrement. Alors, quelle que soit l’issue du scrutin, « on aura ce qu’on mérite ».

Notes

i https://www.economist.com/graphic-detail/2021/02/02/global-democracy-has-a-very-bad-year?utm_campaign=editorial-social&utm_medium=social-organic&utm_source=twitter

ii La situation tient en six points : 1. « Grand effondrement » des services publics : https://www.ouest-france.fr/elections/presidentielle/presidentielle-plusieurs-associations-alertent-du-grand-effondrement-des-services-publics-87115970-8dbd-11ec-b752-e3a9d18d1e6e; 2. Appauvrissement des plus pauvres : https://www.ouest-france.fr/economie/social/les-francais-les-plus-riches-s-enrichissent-les-plus-pauvres-s-appauvrissent-6971836 ; 3. Surveillance de masse : https://www.la-croix.com/France/Radicalisation-algorithmes-traquer-signaux-faibles-2021-04-28-1201153078 ; https://www.lci.fr/justice-faits-divers/fichiers-de-renseignement-le-conseil-d-etat-autorise-le-fichage-des-opinions-politiques-ou-appartenances-syndicales-2174615.html ; 4. Recul du droit à l’information : https://www.lemonde.fr/international/article/2020/12/18/loi-securite-globale-le-conseil-de-l-europe-exhorte-led-senat-a-amender-le-texte_6063815_3210.html ; 5. Limitation des libertés: https://www.laquadrature.net/2019/05/09/une-loi-contre-la-haine-anti-macron/https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3452_proposition-loi; 6. Répression violente : https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/11/24/un-nouveau-camp-de-migrants-au-c-ur-de-paris-aussitot-violemment-demantele_6060869_3224.htmlhttps://www.lefigaro.fr/marches-des-libertes-un-photographe-syrien-blesse-rsf-denonce-des-violences-policieres-20201128https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/videos-le-journaliste-remy-buisine-frappe-au-sol-par-un-policier-a-paris-enquete-ouverte_37683319.htmlhttps://www.mediapart.fr/journal/france/030121/comment-les-forces-de-l-ordre-ont-sabote-la-manifestation-du-12-decembre-2020?onglet=fullhttps://www.amnesty.org/fr/latest/news/2020/11/france-is-not-the-free-speech-champion-it-says-it-is/http://www.snj.fr/thèmes/liberté ; https://rsf.org/fr/observatoire19-Coronavirus-Covid19https://www.lemonde.fr/police-justice/video/2019/12/11/notre-enquete-video-comment-la-police-a-grievement-blesse-un-gilet-jaune-le-16-novembre-sur-la-place-d-italie-a-paris_6022448_1653578.html ; https://www.lemonde.fr/police-justice/video/2019/10/17/gilets-jaunes-comment-un-policier-a-tire-au-lbd-40-dans-la-tete-d-un-manifestant_6015828_1653578.htmlhttp://www.snj.fr/thèmes/liberté ; https://rsf.org/fr/observatoire19-Coronavirus-Covid19https://www.mediapart.fr/journal/france/180619/liberte-d-expression-nicole-belloubet-veut-s-attaquer-la-loi-de-1881https://vincennesparisot.wordpress.com/page/3/, https://www.lemonde.fr/…/gilets-jaunes-reporters-sans… , https://www.coe.int/fr/web/commissioner/-/maintaining-public-order-and-freedom-of-assembly-in-the-context-of-the-yellow-vest-movement-recommendations-by-the-council-of-europe-commissioner-for-https://news.un.org/fr/story/2019/03/1037951, https://www.nouvelobs.com/societe/20190312.OBS1572/gilets-jaunes-le-defenseur-des-droits-denonce-un-renforcement-de-la-repression-en-france.html…

iii Comme l’écrit Français Ruffin, Emmanuel Macron a perdu le consentement du peuple : « Vous ne dirigez plus. Il ne vous reste que la force de coercition : la police tous les samedis, les matraques et les gaz lacrymogènes. Vous ne dirigez plus : vous dominez ». Ce qui importe à Emmanuel Macron n’est pas de gouverner le peuple français mais de le soumettre. https://francoisruffin.fr/pacte-aeroports-de-paris/.

iv Pour gérer la crise sanitaire, on attendait d’un Président de la République qu’il réunisse les experts français de santé publique et qu’il consulte les organes officiels. Cependant, Emmanuel Macron a préféré monter de toutes pièces un pseudo « conseil scientifique » créé par cooptation, sans valeur scientifique, ni aucune attribution en santé publique. Pire, il a préféré engager des organisations privées, des Nudge Unit, spécialisées dans le neuro-marketing, la suggestion mentale et les techniques manipulatoires d’incitation et de modulation des comportements. Celles-ci ont ainsi été chargées de prendre toutes les décisions concernant la crise sanitaire afin, espérait le président, nous conduire dans la « bonne direction ». https://www.francebleu.fr/infos/societe/coronavirus-comment-les-sciences-comportementales-aident-les-politiques-a-gerer-la-crise-sanitaire-1585316002,

v Hocine Kerzazi, Islamo-diversion. Un quinquennat de casse sociale, Paris : L’Harmattan, 2021, 196 p.

vi https://oumma.com/emmanuel-zemmour/

vii https://oumma.com/sublime-imposture/

viii https://oumma.com/si-macron-est-reelu/

ix https://oumma.com/2022-lapocalypse/

x https://www.acrimed.org/Les-editocrates-eblouis-par-Macron-et-en-rage, https://www.lemonde.fr/politique/article/2019/04/04/a-l-assemblee-le-grand-debat-accouche-d-une-souris_5445660_823448.html

xi https://www.marianne.net/politique/emmanuel-macron-elu-il-va-falloir-s-habituer-sa-novlanguehttps://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/la-novlangue-manageriale-un-instrument-de-manipulation-au-service-du-pouvoir/

xii https://oumma.com/lautre-scandale-de-macron/

xiii OpenLux est une enquête monumentale lancée par Le Monde et un consortium international de journalistes. Elle révèle l’ampleur de l’évasion et de la fraude fiscales : 37 des 50 familles les plus riches de France échappent ainsi au fisc. Des dizaines de privilégiés gravitant dans les arcanes de la finance, des médias et de la politique privent les caisses publiques françaises de centaines de milliards d’euros chaque année. 6 500 milliards de fortunes planqués dans des paradis fiscaux. Autant de recettes en moins pour nos hôpitaux, pour nos écoles, pour nos retraites.

xiv https://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2017/11/06/25001-20171106ARTFIG00212-paradise-papers-face-a-l-evasion-fiscale-la-classe-politique-demunie.php

xv Pas un mot (ou presque), dans les médias de milliardaires parfois mis en cause. Rien dans Le Parisien et Les Échos du milliardaire Bernard Arnault ; rien sur BFM-TV, RMC, Libération du milliardaire Patrick Drahi ; rien sur Challenges et Sciences et Avenir du groupe Nouvel Observateur du milliardaire Claude Perdriel ; rien dans Paris Match, Journal du Dimanche et Europe 1 du milliardaire Arnaud Lagardère. https://www.francetvinfo.fr/economie/impots/paradis-fiscaux/paradis-fiscaux-on-vous-resume-openlux-ces-revelations-qui-epinglent-le-luxembourg-et-des-grandes-fortunes-francaises_4289725.html

xvi https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/02/08/openlux-en-n-osant-pas-nommer-un-paradis-fiscal-on-ne-s-attaque-pas-aux-questions-qui-minent-nos-democraties_6069135_3232.html

xvii https://www.humanite.fr/politique/vaccination/derriere-le-fiasco-vaccinal-les-ravages-dune-gestion-confiee-aux-cabinets

xviii https://www.franceculture.fr/emissions/le-temps-du-debat/budget-largent-est-il-devenu-magique

xix https://www.20minutes.fr/economie/2095087-20170629-jusqu-point-france-va-devoir-serrer-ceinture-cour-comptes-rend-rapport ; https://www.lepoint.fr/economie/comment-les-collectivites-locales-vont-devoir-se-serrer-la-ceinture-17-07-2017-2143796_28.php ; https://www.capital.fr/economie-politique/les-chambres-de-commerce-priees-de-se-serrer-la-ceinture-1297351 ;

xx https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/04/29/non-les-salaries-francais-ne-travaillent-pas-moins-que-leurs-voisins_5456229_4355770.html#:~:text=Les%20décodeurs-,Non%2C%20les%20salariés%20français%20ne%20travaillent%20pas%20moins%20que%20leurs,ou%20plus%20que%20leurs%20voisins.

xxi Cagé, J. Huet, B. L’Information est un bien public. Refonder la propriété des médias, Seuil, février 2021.

xxii https://www.bastamag.net/Herve-Kempf-Il-est-vital-pour-l

xxiii https://www.traxmag.com/elon-musk-veut-diffuser-de-la-musique-directement-dans-votre-cerveau/https://www.francetvinfo.fr/sciences/high-tech/bill-gates-steve-jobs-quand-les-patrons-de-la-silicon-valley-interdisent-les-portables-et-les-reseaux-a-leurs-enfants_2514445.html, https://www.techniques-ingenieur.fr/actualite/articles/implantation-sous-cutanee-des-micropuces-rfid-ou-en-est-on-91046/




Le plus gros mensonge de l’histoire: La base de données est erronée. Il n’y a jamais eu de pandémie. Les mandats Covid, y compris le vaccin, sont invalides.

[Source : mondialisation.ca]

Les « cas confirmés Covid-19 » par PCR n’ont aucun sens. Le projet de test d’antigènes et à domicile de plusieurs milliards de dollars est faux

Par Prof Michel Chossudovsky

Cet article a été publié initialement le 28 mars 2022.

Introduction

Déstabiliser la structure sociale, politique et économique de 190 pays souverains ne peut constituer une « solution » pour lutter contre le virus. Mais c’était la « solution » imposée qui fut mise en œuvre en plusieurs étapes dès le début de la crise corona en janvier 2020. C’est la destruction de la vie des populations à l’échelle mondiale. C’est la déstabilisation de la société civile.

La fausse science a soutenu ce programme dévastateur. Les mensonges ont été soutenus par une campagne de désinformation massive dans les médias. Des « alertes Covid » 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, incessantes et répétitives au cours des deux dernières années.

Le confinement historique du 11 mars 2020 a déclenché un chaos économique et social dans le monde entier. C’était un acte de « guerre économique » : une guerre contre l’humanité. 

Ce programme diabolique a sapé la souveraineté des États-nations. 

Il a contribué à une vague de faillites. Il a appauvri des populations entières à l’échelle mondiale.

Cela a conduit à une spirale de la dette globale libellée en dollars. 

Les puissantes structures du capitalisme mondial, le grand capital (Big money) et son appareil militaire et de renseignement en sont la force motrice.

En utilisant des technologies numériques et de communication avancées, le verrouillage et la «fermeture» de l’économie mondiale sont sans précédent dans l’histoire de l’humanité.

Le rôle central du test de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse (RT-PCR)

Dès le début, les médias et les gouvernements ont négligé et ignoré les défauts et les faussetés concernant le test RT-PCR comme moyen de détecter la propagation du virus et d’identifier le SRAS-CoV-2.

« Le PCR est un processus. Il ne vous dit pas que vous êtes malade ».

Dr. Kary Mullis , lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019.

« Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements, appuyés par des conseils scientifiques de sécurité et par les médias dominants, pour justifier des mesures excessivescomme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, (…) sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels. »

Dr Pascal Sacrémédecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste renommé en santé publique.

La base de données des « cas confirmés Covid-19 » est invalide.

La désinformation médiatique a prévalu pendant plus de deux ans malgré le fait que l’OMS et le CDC (avec les sous-entendus habituels) aient confirmé ce que l’on savait depuis le tout début en janvier 2020, à savoir que le test RT-PCR utilisé pour justifier tous les mandats Covid-19 sans exception incluant le confinement, la distanciation sociale, le masque, le confinement de la main-d’œuvre, la fermeture de l’activité économique, etc. étaient erronés et invalides. 

L’OMS a publié son Mea Culpa il y a plus d’un an, le 20 janvier 2021. Quelques mois plus tard, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC)   (21 juillet 2021) appelaient au retrait du test PCR comme méthode valide afin de  détecter et identifier le SRAS-CoV-2. 

Depuis le 31 décembre 2021, le test PCR n’est plus considéré comme valide par le CDC aux États-Unis. Pour plus de détails, voir :  Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés Covid-19 »

Le CDC a maintenant fermement reconnu que le test PCR ne différencie pas de manière efficace entre la maladie Covid-19 et la grippe saisonnière. Un PCR positif n’implique pas un « cas confirmé Covid-19 ». Il pourrait s’agir de la grippe ou d’un rhume corona. Le CDC a appelé à son retrait à compter du 31 décembre 2021.

Cliquez ici ou sur l’écran pour voir la vidéo



Fake Data : 465 millions de soi-disant « cas confirmés Covid-19 »

Si le test PCR est invalide (confirmé par de nombreuses études ainsi que par l’OMS, les CDC),  les 465 millions dits « Confirmed Covid-19 Cases »  (voir schéma ci-dessous, 18 MARS 2022) collectés et compilés dans le monde depuis le début de la crise Covid-19 n’ont aucun sens. Cliquez ici pour obtenir les derniers chiffres.

Le traité sur la pandémie et le code de vérification QR 

Début mars 2022, un organe intergouvernemental de négociation (INB) a été créé avec le mandat de  créer un « traité sur la pandémie », c’est-à- dire  une entité mondiale de gouvernance de la santé sous les auspices de l’OMS, qui l’emporterait sur l’autorité des États membres de l’OMS :

« L’INB a tenu sa première réunion pour rédiger et négocier un instrument international sur la prévention, la préparation et la réponse à la pandémie sous l’autorité de l’OMS »

Mercola

Le traité sur la pandémie   est lié au  projet de code de vérification QR de l’OMS ,  qui vise à créer une banque de données numérique mondiale de 7,9 milliards de personnes. Les deux initiatives seraient menées simultanément par l’OMS en liaison avec ID2020  et la Gavi Alliance , toutes deux financées par la Fondation Gates.

Peter Koenig décrit le QR Code comme « une identification entièrement électronique – reliant tout à tout de chaque individu (dossiers de santé, bancaires, personnels et privés, etc.). »

Selon  David Scripac   « Un système mondial d’identification numérique est en cours de création. [L’objectif] du FEM – et de toutes les banques centrales  [est] de mettre en place un système mondial dans lequel les données personnelles de chacun seront intégrées au réseau de monnaie numérique de banque centrale – Central Bank Digital Currency (CBDC). 

Le code de vérification QR ouvre potentiellement la voie à la mise en place d’ un « État policier mondial » contrôlé par l’établissement financier. Cela fait partie de ce que feu David Rockefeller a appelé « la marche vers le gouvernement mondial ».

La légitimité du traité sur la pandémie et du code de vérification QR sous les auspices de l’OMS repose sur la présomption que la prétendue « pandémie de la Covid-19 est réelle » et que le « vaccin à ARNm constitue une SOLUTION à la prétendue pandémie Covid-19 ».

Les deux initiatives sont fondées sur la fraude pure et simple et la corruption: 

1. Le nombre de « cas confirmés cumulatifs de la Covid-19 » résultant du test RT-PCR ne justifiait aucunement la décision de l’OMS de lancer officiellement une pandémie à l’échelle planétaire en date du 11 mars 2020 Les chiffres étaient ridiculement bas. Il n’y avait aucune preuve que le SRAS-CoV-2 se propageait à l’échelle nationale ou internationale.

2. Les consignes de confinement transmises en mars 2020 à plus de 190 États membres de l’ONU sont totalement invalides.

3. La méthodologie utilisant le test PCR pour détecter et identifier le SRAS-CoV2 et ses variants présumées a été reconnue par l’OMS et le CDC comme étant totalement dysfonctionnelle, comme indiqué ci-dessus.

4. Toutes les données relatives aux cas confirmés cumulatifs de la Covid-19 compilées par les gouvernements nationaux et tabulées par l’OMS depuis janvier 2020 sont invalides et dénuées de sens.

5. Le vaccin Covid-19 lancé en novembre 2020 a entraîné une vague mondiale de mortalité et de morbidité à la hausse.

Dans cet article, je distinguerai plusieurs phases dans l’évolution de cette crise.

Phase I : un nombre ridiculement bas de « cas confirmés Covid-19 » utilisé pour justifier le lancement de la pandémie de la Covid-19

Depuis le tout début, les estimations de «cas positifs confirmés» font partie d’un «jeu de chiffres».

La première étape de cette crise fut le lancement d’une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) par l’OMS le 30 janvier . Bien qu’officiellement elle n’ait pas été désignée comme une « pandémie », cette décision a néanmoins contribué à mener la campagne de peur. Le nombre de «cas confirmés» basés sur des estimations erronées (PCR) utilisés pour justifier cette décision de grande envergure était ridiculement bas.

La population mondiale hors Chine est de l’ordre de 6,4 milliards. Au 30 janvier 2020 hors de Chine, il y avait :

83 cas dans 18 pays, et seulement 7 d’entre eux n’avaient aucun antécédent de voyage en Chine. (voir OMS , 30 janvier 2020).

Il n’y avait aucune « base scientifique » pour justifier le lancement d’une urgence mondiale de santé publique de portée internationale.

Capture d’écran du tableau OMS, 29 janvier 2020 ,

Le jour suivant, le 31 janvier 2020 :   le président Trump suspend les voyages aériens avec la Chine , ce qui a contribué à enclencher la crise du transport aérien et du commerce des marchandises. Les cinq soi-disant «cas confirmés» aux États-Unis  étaient suffisants pour «justifier» la décision du président Trump du 31 janvier 2020.

20 février 2020 :  Lors d’une conférence de presse le jeudi 20 février après-midi (heure CET) lors d’un  briefing à Genève, le directeur général de l’OMSLe Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus , a déclaré qu’il était:

« préoccupé par le fait que la possibilité de contenir l’épidémie de coronavirus se « fermait »…

« Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais qu’elle se rétrécit. »

Ces déclarations étaient basées sur 1076 cas en dehors de la Chine pour une population de 6,4 milliards.

Ces déclarations ont d’emblée contribué à intensifier la campagne de peur, malgré le fait que le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était extrêmement faible.

Les 20 et 21 février 2020 marquent le début du krach financier de 2020 qui fut enclenché par la déclaration du Dr Tedros. 

11 mars 2020 : Le 11 mars 2020 : Le verrouillage. 44 729 « cas confirmés » pour justifier la fermeture de 190 économies nationales.

Une pandémie est généralement définie comme:

« Une épidémie d’une maladie survenant sur une vaste zone géographique (telle que plusieurs pays ou continents) et affectant généralement une proportion importante de la population »

(Webster-Merriam , emphase ajoutée)

En supposant que le test PCR est valide (ce qui n’est pas le cas), le nombre de cas confirmés cumulés le 11 mars était ridiculement bas. 44 279 cas PCR positifs dans le monde en dehors de la Chine.

C’EST UNE FRAUDE. IL N’Y AVAIT PAS DE PANDÉMIE LE 11 MARS 2020

Le directeur général de l’OMS avait déjà annoncé la dite pandémie lors de sa conférence de presse du 21 février .

« le monde devrait faire plus pour se préparer à une éventuelle pandémie de coronavirus ». L’OMS avait appelé les pays à être « dans une phase de préparation ».

L’OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale à un moment où le  nombre de cas confirmés hors de Chine (6,4 milliards d’habitants) était de l’ordre de   44279 et 1440 décès  (chiffres enregistrés par l’OMS pour le 11 mars, (au 12 mars) (voir tableau). Ce sont les chiffres utilisés pour justifier le confinement et la fermeture de 190 économies nationales.

(Le nombre de décès hors de Chine mentionné dans la conférence de presse de Tedros était de 4291).

Aux États-Unis, recensés le 11 mars 2020, il y a eu selon John Hopkins : 1 335 « cas » et 29 décès  (« présomptifs » plus PCR confirmés).

Selon l’OMS,  le 9 mars, il y avait 3457 cas aux États-Unis.

Aux États-Unis, le 9 mars 2020, il y avait  3 457 «cas confirmés»  sur une population de 329,5 millions de personnes

Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS .

Au Canada le 9 mars 2020, il y avait 125 « cas confirmés » sur une population de 38,5 millions de personnes

Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS .

Ce sont les chiffres utilisés pour justifier la « fermeture » des États-Unis et du Canada en mars 2020.

C’EST UNE FRAUDE. UN GROS MENSONGE.  

Immédiatement après l’annonce de l’OMS du 11 mars 2020, la campagne de peur s’accélère

Pourtant, c’est sur la base de ces 44 729 cas que des politiques de confinement d’une ampleur sans précédent furent imposées à 190 pays souverains par le biais d’une procédure décisionnelle complexe qui inévitablement exigeait la fraude, les menaces et la corruption de la classe politique.

Le confinement du 11 mars a été suivi du jeudi noir, un deuxième krash financier majeur, qui a immédiatement suivi l’annonce de la pandémie.

Phase II. Mars-décembre 2020 : Campagne de peur. Le test PCR passe à la vitesse supérieure.

De mars 2020 jusqu’au lancement du vaccin ARNm COVID-19 en novembre 2020, le test PCR passe à la vitesse supérieure.

Depuis le 11 mars 2020, suite au confinement, les gouvernements nationaux furent invités à mettre en œuvre le test PCR-RT à grande échelle, dans le but d’augmenter le nombre de cas covid positifs dans le monde.

Test, Test, Test : Les chiffres ont commencé à grimper en vue de générer de plus en plus de fausses statistiques.

Regardez le tableau ci-dessous. On observe un très petit nombre de cas positifs au début mars 2020. Et puis, les cas positifs de la Covid montent en flèche en avril, mai et juin 2020.

Phase III. Début novembre 2020. Début du programme mondial de vaccination contre la Covid

Soutenu par la désinformation médiatique, le vaccin à ARNm fut présenté comme une solution pour endiguer la pandémie. Amplement documenté, ce vaccin a déclenché dès son apparition en décembre 2020 une tendance à la hausse de la mortalité et de la morbidité.

Vidéo : Dans de nombreux pays, il y a eu un changement significatif de la mortalité suite à l’introduction du vaccin à ARNm

https://www.youtube.com/embed/xSrc_s2Gqfw

Source : HeathData.org

#Oui, c’est un « Vaccin tueur »

Les preuves sont accablantes. Les derniers chiffres officiels  indiquent environ :

65 629 décès liés à l’injection Covid-19 et 10 439 642 blessures signalés au 24 février 2022. pour l’UE, les États-Unis et le Royaume-Uni réunis.

Mais seule une petite fraction des victimes ou des familles des personnes décédées passera par le processus fastidieux de déclaration des décès et des effets adverses liés au vaccin aux autorités sanitaires nationales.

Désinformation des médias : Le virus est un « tueur à gages », « Le vaccin sauve des vies » !

Le SARS-CoV2 détecté par le test PCR est de manière implacable dépeint comme  un « virus tueur ».

Il y a beaucoup d’inconnues cruciales à propos de ce virus, y compris la façon dont il tue exactement, s’il évoluera vers quelque chose de plus – ou de moins – mortel… « .

« Il  y a de nombreuses inconnues cruciales à propos de ce virus, y compris comment exactement il tue, s’il évoluera vers quelque chose de plus — ou moins — mortel  … »

Nature

Un rapport sensationnaliste de la BBC sous le titre :  « Pourquoi le virus est-il une telle menace » soutient (en citant et en déformant des « avis scientifiques ») que le virus a une « tactique évolutive tueur de délit de fuite » [hit and run] pour propager l’infection Covid-19 loin et large. Rapport opportun publié deux semaines avant le lancement du vaccin à ARNm :

« Maître de la tromperie. Aux premiers stades d’une infection, le virus est capable de tromper l’organisme . …

Il [le virus] se comporte comme un tueur « avec délit de fuite » 

La quantité de virus dans notre corps commence à culminer la veille de la maladie. …

Mais il faut au moins une semaine avant que la Covid ne progresse au point où les gens ont besoin d’un traitement hospitalier. « C’est une tactique évolutive vraiment géniale – vous ne vous couchez pas, vous sortez et passez un bon moment », déclare le professeur Lehner.

Ainsi, le virus est comme un conducteur dangereux qui fuit la scène – le virus est passé à la prochaine victime bien avant que nous ne guérissions ou ne mourions.

En termes clairs, « le virus se moque » de votre mort, dit le professeur Lehner, « c’est un virus de type hit and run »(un tueur en délit de fuite).Il fait des choses particulières et inattendues au corps ( BBC, James Gallagher, 22 octobre 2020, emphase ajoutée) (Voir l’article en français : Pourquoi le coronavirus est-il si mortel ?)Propos absurdes! La BBC personnifie le virus tueur, dans le but de semer la panique. Non seulement ces rapports sensationnalistes sont basés sur les résultats des tests PCR invalides, mais ils contredisent également la définition officielle de l’OMS concernant la Covid -19

« Les symptômes les plus courants de la COVID-19 sont la fièvre, la toux sèche et la fatigue. … Ces symptômes sont généralement légers et commencent progressivement. Certaines personnes sont infectées mais ne présentent que des symptômes très légers . La plupart des gens (environ 80 %) se rétablissent de la maladie sans avoir besoin de soins hospitaliers. Environ 1 personne sur 5 qui contracte la COVID-19 tombe gravement malade et développe des difficultés respiratoires. »

D’ailleurs, rarement évoqué par les médias ou par les politiciens : Le CDC (qui est une agence du gouvernement américain) confirme que la Covid-19 est similaire à la grippe:

« La grippe (grippe) et la COVID-19 sont toutes deux des maladies respiratoires contagieuses, mais elles sont causées par des virus différents . La COVID-19 est causé par une infection par un nouveau coronavirus (appelé SRAS-CoV-2) et la grippe est causée par une infection par des virus de la grippe .

Étant donné que certains des symptômes de la grippe et de la COVID-19 sont similaires, il peut être difficile de faire la différence entre eux en se basant uniquement sur les symptômes, et des tests peuvent être nécessaires pour aider à confirmer un diagnostic . La grippe et la COVID-19 partagent de nombreuses caractéristiques, mais il existe des différences essentielles entre les deux. »

Si le public avait été informé et rassuré que la Covid est « similaire à la grippe », la campagne de peur serait tombée à plat. Et le programme de vaccination aurait été carrément rejeté.

Il convient de noter que le vaccin à ARNm présenté à l’opinion publique comme une solution pour freiner le virus tueur s’est appuyé sur le test PCR comme moyen valable d’évaluer la propagation de la maladie. Aux États-Unis, le vaccin à ARNm a été lancé le 14 décembre 2020. Six semaines plus tard, l’OMS abroge la validité du test PCR. À son tour, le 21 juillet 2021, le CDC déclare le PCR invalide comme moyen de détecter le virus.

Phase IV : 26 novembre 2021, « Black Friday ». Le variant Omicron

Souvenez-vous de la crise d’Omicron, toujours en cours. Effrayant. Un nouveau variant Covid aurait été découverte en Afrique du Sud et qui s’est propagée dans le monde entier. Comment a-t-il été détecté ? Le test PCR ?

Tout a commencé le Black Friday, le lendemain du Thanksgiving (Action de Grâce aux Etats Unis), le 26 novembre 2021.

Cela a déclenché une nouvelle campagne de peur ainsi qu’une instabilité sur les marchés boursiers, les actions des producteurs de vaccins Big Pharma augment en flèche.  Cela a incité les gens à se faire vacciner.

L’annonce d’omicron était une fraude soigneusement préparée. Deux jours plus tard, l’OMS a poliment abrogé la déclaration de son propre groupe de travail consultatif :

«  Il n’y a actuellement aucune information suggérant que les symptômes associés à Omicron soient différents de ceux des autres variants . »  

À son tour,  le Dr Angelique Coetzee , présidente de l’Association médicale sud-africaine (SAMA) a décrit le variant omicron comme « extrêmement bénigne, pour nous [ce sont] des cas bénins.  … J’ai parlé à d’autres collègues à moi et ils donnent la même image. ( Voir l’interview vidéo sur CNBC )

Ces rectifications n’ont en rien entravé la campagne de peur 24 heures sur 7 jours alimentée par la désinformation médiatique. En fait, cela a créé la panique.

Pendant ce temps, une campagne massive de tests à domicile a été lancée.

Phase V : Des milliards de tests à domicile et antigéniques distribués à l’échelle mondiale

Tests massifs à domicile : la peur est « bonne pour les affaires » [Fear is Good for Business]

Littéralement, des milliards de kits de test d’antigènes et à domicile ont été distribués à l’échelle mondiale. Aux États-Unis, plus d’un milliard de kits de test ont été mis à la disposition d’une population de 340 millions d’Américains.

Au Canada, 291 millions de trousses de test ont été distribuées. La population du Canada est de l’ordre de 38,5 millions d’habitants.

Dans de nombreux pays, le variant « mortel » Omicron est devenue le prétexte pour mettre en place de nouveaux verrouillages partiels, l’accélération du mandat vaccinal, des restrictions de voyage ainsi que des mandats de confinement et de séjour à domicile pendant la période des vacances de Noël et du Nouvel An.

Vous trouverez ci-dessous les chiffres des soi-disant « cas confirmés Covid-19 » dans le monde au début novembre 2021. (01/11/21)

Augmenter le nombre de FAUX « cas confirmés Covid-19 »

Coïncidant avec la crise d’Omicron, l’augmentation de l’importation et de la distribution de littéralement des milliards de kits de test à domicile et d’antigènes a contribué à  faire augmenter le nombre de FAUX « cas confirmés Covid-19 ».

En moins de 5 mois (du 1er novembre 2021 au 18 mars 2022), les cas confirmés cumulés ont presque doublé.

L’achat par Joe Biden de plus d’un milliard de kits de test à domicile et d’antigènes  

Aux États-Unis , la Maison Blanche a annoncé en janvier qu’elle achetait aux frais des contribuables :

 » Un milliard de tests à offrir gratuitement aux Américains avec la commande en ligne d’un demi-milliard de tests commence le 19 janvier ». 

Cet achat s’ajoutait aux livraisons antérieures de plusieurs centaines de millions de kits à domicile.

À partir de fin novembre, les kits de test à domicile ont contribué à augmenter les soi-disant « cas confirmés » aux États-Unis. (Voir graphique ci-dessous)

Ces chiffres sont fake car l’OMS et le CDC ont classé le test PCR comme étant invalide.

Et les tests à domicile sont classés comme moins fiables que le test PCR qui est considéré comme la référence absolue (gold standard).

Achat par Justin Trudeau de 291 millions de kits de test à domicile et d’antigènes

Au Canada, le premier ministre Justin Trudeau a commandé une première livraison de  94 millions de kits de test rapide à domicile (kits d’auto-test et de test d’antigène) en novembre 2021, qui furent livrés et distribués dans les provinces.

140 millions de tests supplémentaires furent commandés par le gouvernement fédéral au début de janvier 2022 pour un coût de 1,7 milliard de dollars (canadiens) aux frais des contribuables.

Le Canada a une population de 38,5 millions d’habitants et nous avons maintenant 291 millions de kits de test rapide d’antigène (voir tableau ci-dessous). Autrement dit environ 7 tests par personne. 

Ce processus a contribué au cours des derniers mois à semer la peur et le chaos au sein des familles canadiennes tout en augmentant le nombre de soi-disant « cas confirmés Covid-19 »

Le coût estimé pour les contribuables canadiens est de l’ordre de 3,5 milliards de dollars canadiens.

Voir Santé Canada (tableau ci-dessous)

Test PCR Gold Standard. (Référence absolue)

Ironiquement, les tests à domicile sont comparés au test PCR (invalide) qui est maintenant considéré comme étant le soi-disant gold standardSelon le NYT ( mis à jour le 10 novembre 2021 ), les kits de test rapide d’antigène et à domicile sont moins efficaces que le test PCR :

Les tests antigéniques rapides sont moins fiables pour détecter la Covid-19 chez les personnes à faible charge virale que les tests PCR « gold standard » que vous obtiendrez d’un fournisseur de soins de santé. Une étude a révélé qu’un test antigénique rapide à domicile avait 64% de chances de détecter correctement le virus chez les personnes présentant des symptômes qui avaient été testées positives lors d’un test PCR. (Le test n’a détecté qu’environ 36% de ceux qui avaient le virus mais qui n’avaient pas de symptômes.)

Ce que le NYT ne mentionne  pas, c’est que le CDC avait demandé l’arrêt du test PCR « Gold Standard » en date du 23 juillet 2021 avant son retrait officiel le 31 décembre 2021. (voir analyse ci-dessus)

La directive du CDC admet tacitement que le test PCR ne différencie pas efficacement le « SARS-CoV-2 et les virus de la grippeNous le savons depuis le début. Bien qu’il leur ait fallu près de deux ans pour reconnaître que le test PCR est invalide, le test PCR est considéré comme la référence absolue (gold standard) par rapport aux kits de test d’antigène et à domicile.

  • 31 décembre 2021 : Le CDC déclare le test PCR invalide
  • Test PCR invalide confirmé comme Gold Standard (référence absolue)
  • Des milliards et des milliards d’antigènes et de tests à domicile font grimper les chiffres
  • 12 mars 2022 452 201 564 cas cumulés 

Les résultats des tests à domicile et antigéniques n’ont aucun sens. Ils ne confirment en aucun cas une augmentation des soi-disant « cas confirmés COVID-19 ».

L’augmentation des chiffres est largement attribuable à la vente et à la distribution mondiales de milliards de tests à domicile et d’antigènes. Cela a à son tour contribué à une nouvelle vague de peur et d’instabilité sociale.

Cette augmentation artificielle des soi-disant «cas confirmés COVID-19» s’est produite à un moment où un grand pourcentage de la population mondiale a été vacciné.

« La peur est bonne pour les affaires » : beaucoup d’argent derrière les kits d’auto-test Covid-19

Ce qui est en jeu, c’est une opération de plusieurs milliards de dollars afin de vendre et distribuer des kits d’auto-test Covid-19 dans le monde entier sur une période de plusieurs années..En décembre 2021, Bloomberg rapportait que.« le marché des autotests atteindra » 5,96 milliards de dollars en 2020 et devrait atteindre 8,11 milliards de dollars d’ici 2027 « ..Ces chiffres concernent uniquement le marché américain, qui représente environ 4% de la population mondiale. Il est maintenant avéré que les kits à domicile sont vendus dans un grand nombre de pays. C’est un programme au niveau mondial axé sur les profits de plusieurs milliards de dollars. .Qui détient les droits de propriété intellectuelle ?  .La Fondation Gates a joué un rôle clé dans le lancement du «test COVID-19 auto-administré» qui fut approuvé par la FDA fin mars 2021..« La FDA a pris cette décision sur la base des résultats d’une étude menée par United Health Group. La Fondation Gates a fourni un soutien technique pour la conception de cette étude » ( Fondation Gates)

En août 2021, la Fondation Gates et la Fondation Open Society de Soros ont  investi dans

« l’acquisition de Mologic, une société britannique spécialisée dans le développement de technologies de tests rapides, notamment pour la Covid-19 et diverses maladies tropicales ».

Mologic est décrit comme « un leader des tests rapides [qui] présente une opportunité unique ».

Cette initiative consistait à « renommer » Mologic en « une entreprise sociale à but non lucratif ». qui fonctionnerait sous les auspices du  Global Access Health de la Fondation Gates.

L’objectif déclaré de GAH est d’agir comme « une entreprise sociale qui élargit l’accès à une technologie médicale de pointe abordable, telle que des tests de diagnostic et des processus de fabrication ».

Michel Chossudovsky

L’article a été publié initialement en anglais le 19 mars 2022.

Traduction et révision par l’auteur.


À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPA), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003) – La mondialisation de la pauvreté,  America’s « War on Terrorism » (2005) – Guerre et Mondialisation, The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il collabore à l’Encyclopédie Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à crgeditor@yahoo.com

Voir en anglais : Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

Articles en français de Michel Chossudovsky sur Mondialisation.ca
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2022




Surmortalité en Europe chez les jeunes depuis cet été : pourquoi le Sénat refuse-t-il de publier les données de mortalité post-vaccinale ?

[Source : agoravox]

Le site Euromomo (European mortality monitoring) propose des indicateurs pour suivre la mortalité des pays européens. Depuis l’été 2021, le nombre de décès des 15-44 ans européens est sorti de la « moyenne normale » calculée par le site, avec un dépassement quasi continu de la zone de surmortalité. Mais de quoi peuvent bien mourir nos jeunes depuis cet été ?

Lien vers les vidéos : 

Partie 1 : https://youtu.be/ZPCkx1zwY20

Partie 2 : https://odysee.com/@decoderleco:c/surmortalite_jeunes_vaccins



Une surmortalité trop fréquente partout en Europe

Pour savoir si un pays a plus de morts que l’attendu, Euromomo propose un z-score par pays et semaine. Le z-score est la différence entre le nombre de décès constaté (x) et le nombre de décès attendu (μ) divisé par l’écart-type de la distribution (&#120648 ;).

S’il est positif, c’est qu’il y a une surmortalité et s’il est négatif c’est qu’il y a une sous-mortalité. Il sera d’autant plus grand que la différence entre les décès constatés et les décès attendus est éloignée des différences habituelles.

On constate alors que les z-score des 15-44 ans sont très souvent positifs depuis le milieu de l’année 2021 pour une grosse majorité de pays. La plupart des pays ne franchissent pas la courbe en pointillés représentant une surmortalité anormale. En revanche, au niveau européen, lorsque les données des pays sont agrégées, on observe ce franchissement. Cela signifie qu’en Europe, on constate une légère surmortalité partout en même temps.

Pour se rendre compte que cette surmortalité est vraiment anormale dans chaque pays, même si elle ne franchit pas les pointillés, faisons l’hypothèse qu’elle est due au hasard. Constater une surmortalité ou une sous-mortalité revient alors à jouer à pile ou face. Entre la semaine 20 et la semaine 52 de 2021, il y a 33 semaines. Cela représente donc 33 lancers. Cela fait 2^33 résultats possibles (soit un peu plus de 8,5 milliards). Le nombre de lancers où l’on obtient k fois « pile » est donné par la formule :

On peut alors calculer la probabilité de faire n’importe que nombre de fois « pile » en 33 lancers.
La probabilité de chaque résultat est donnée par la courbe ci-dessous :

En 33 lancers, on réalise entre 9 et 24 « pile » dans 99,5 % des cas. Sur 33 semaines, nous pouvons donc considérer « normal » d’avoir un z-score négatif entre 9 et 24 fois. Il n’y a qu’une chance sur 200 d’obtenir moins de 9 z-score négatifs ou plus de 24 z-score négatifs sur 33 semaines.

On constate alors qu’en 2021, le z-score est très peu souvent négatif pour une majorité de pays d’Europe. Par exemple, en France, il n’y a que 3 semaines qui ont un z-score négatif. Sur les 26 zones considérées, 12 ont moins de 9 z-scores négatifs sur 33 périodes (et 3 en ont plus de 24). Cette situation est exceptionnelle au regard des mêmes périodes les années précédentes. Le résultat est sans appel : il y a trop de morts en 2021 depuis cet été chez les 15-44 ans selon les projections euromomo.

Une vérification s’impose

Évidemment, découvrir qu’il y a plus de morts que prévu impose de vérifier l’origine de la prédiction, tout spécialement en période de « crise ». En effet, depuis 2 ans nos institutions composées de « grands spécialistes » poussent des cris d’orfraie devant « l’hécatombe Covid » en oubliant que la population vieillit et que des hausses mortalités « anormales » arrivent en fait tous les 2 à 3 ans. Malheureusement, Euromomo ne nous donne pas le détail du calcul de son z-score. Il nous faut donc télécharger les données pour vérifier par d’autres méthodes si nous trouvons les mêmes résultats. Pour mémoire, toutes les données utilisées sur la chaîne Décoder l’éco sont publiques et en provenance des instituts officiels, et tous mes programmes sont publics et en ligne sur github. J’invite tout chercheur qui souhaiterait les utiliser à me contacter si besoin.

La majorité des pays d’Europe fournit les données de décès hebdomadaires et de population par tranche d’âge. Nous pouvons donc reconstruire une prévision des années 2019, 2020 et 2021, à partir des années 2013 à 2018, pour mesurer toute surmortalité.

Nous avons réalisé 2 projections différentes pour vérifier si elles sont cohérentes entre elles et avec celle d’euromomo. Les tranches d’âge sont les 15-24 ans, les 25-49 ans, les 50-59 ans, les 60-69 ans, les 70-79 ans et les plus de 80 ans. Comme Euromo, nous réalisons des projections hebdomadaires.

Ces projections doivent nécessairement prendre en compte :

–    1) L’évolution tendancielle du nombre de décès (due à l’évolution de la pyramide des âges et éventuellement à celles des quotients de mortalité) ;

–    2) La saisonnalité (plus de décès en été pour les jeunes, plus de décès en hiver pour les plus âgés).

Par exemple, pour les 70-79 ans au Danemark, on constate qu’il y a de plus en plus de décès. Cela signifie que cette population augmente à cause du vieillissement des baby-boomers. De plus, les décès sont bien plus nombreux l’hiver que l’été pour cette tranche d’âge. On les relie aux maladies hivernales. Notre projection doit donc prévoir cette hausse des décès et cette mortalité hivernale.

À l’inverse, le nombre de décès des 15-24 ans en Pologne a tendance à baisser. La Pologne est également un pays qui vieillit. On y trouve de moins en moins de jeunes. Contrairement aux personnes âgées, les décès sont plus nombreux l’été. On les relie aux comportements à risque des jeunes pendant cette période. Notre projection pour les jeunes doit continuer cette baisse et prévoir plus de morts l’été.

De manière naturelle la saisonnalité sera gérée en utilisant pour chaque semaine que l’on souhaite projeter les mêmes semaines des années du passé. Par exemple, la prédiction de la semaine 10 de 2020 est construite à partir des semaines 10 des années 2013 à 2018.

La tendance longue est gérée de manière différente dans les 2 modèles.

–    Le premier modèle ne tient compte que du nombre de décès total par tranche d’âge de chaque semaine. Il prolonge la tendance observée entre 2013 et 2018 de ce nombre de décès, de manière linéaire, pour les années 2019, 2020 et 2021. Ce modèle considère que toutes les tendances d’évolution de population et de quotients de mortalité se prolongent 3 années de plus. La courbe rouge représente les décès observés et la courbe grise les décès prévus par le modèle. La partie noire est la période servant à la construction du modèle et la partie violette est la partie testée.

Il suffit ensuite de calculer la différence entre le modèle et la réalité pour savoir s’il y a une surmortalité ou une sous-mortalité. Avec ce modèle, le constat est simple : quasiment tous les pays connaissent une surmortalité depuis l’été 2021 chez les jeunes. Par exemple, si on somme tous nos pays d’Europe fournissant les données, on obtient le graphique ci-dessous pour les 15-24 ans. Une barre rouge représente une surmortalité et une barre verte une sous-mortalité. La courbe bleue représente une tendance de 6 semaines. Elle reste nettement au-dessus de 0.

–    Le deuxième modèle tient compte du nombre de décès total par tranche d’âge de chaque semaine et de la population de cette tranche d’âge chaque semaine. Pour se faire, le modèle calcule la mortalité standardisée par âge (retrouvez le détail du calcul des décès standardisés dans cette vidéo). 

Il prolonge la tendance observée entre 2013 et 2018 de ce nombre de décès standardisés, de manière linéaire, comme précédemment, pour les années 2019, 2020 et 2021. Ce modèle considère que les changements du nombre de décès d’une année sur l’autre s’expliquent par l’évolution de la pyramide des âges et par l’évolution de la tendance des quotients de mortalité. On retrouve encore le même résultat : les jeunes meurent trop.

Donc, quel que soit le modèle que l’on choisit pour projeter les décès, que ce soit les modèles Euromomo ou ceux que nous venons de voir, on conclut qu’il y a trop de décès chez les jeunes européens depuis l’été 2021. Mais pourquoi meurent-ils ? Que s’est-il passé de spécial dans une majorité de pays d’Europe depuis l’été 2021 ?

Le Sénat refuse d’analyser la mortalité selon le statut vaccinal

Nous venons donc de voir que nos jeunes européens meurent trop depuis cet été. C’est étrange puisqu’aucun pays n’a relevé la moindre surmortalité avant 60 ans en 2020. Il n’y a donc jamais eu de lien jusqu’ici entre les vagues estampillées Covid et la mortalité des jeunes. En revanche, la plupart des pays d’Europe ont lancé une vaccination de masse anti-Covid cet été, avec la mise en place du fameux pass-vaccinal pour forcer les populations à se faire injecter.

En France, d’après les chiffres du gouvernement, 94 % des personnes âgées de plus de 12 ans ont ainsi reçu au moins une dose, le plus souvent deux ou trois. De tels chiffres sont sans précédent dans l’histoire. Le dernier rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) fait état de plus de 148 000 effets indésirables renseignés en France, dont un quart considérés graves. Eudravigilance met par ailleurs en ligne les remontées de pharmacovigilance européenne et comptabilisait à la mi-février 2022 plus de 17 000 décès signalés par des professionnels de Santé. Aux États-Unis, les chiffres publiés par la VAERS sont encore plus impressionnants.

Nombre de remontées de pharmacovigilance déclarées sur Eudravigilance au 17/02/2022 :

Le 9 février 2022, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques a été saisi par le Sénat pour étudier les effets secondaires des vaccins. Pour s’assurer que les travaux de cette commission permettraient réellement de conclure sur le sujet et pas d’enterrer cette question, le Dr Laurent Toubiana a déposé le 19 février 2022 une pétition réclamant que le Sénat fasse procéder à une analyse de la mortalité toutes causes confondues en fonction du statut vaccinal des personnes. Les données existent dans le Système National des Données de Santé (SNDS). Elles nous permettraient de déterminer précisément la mortalité des personnes vaccinées et non vaccinées par tranche d’âge et par période, de constater s’il existe ou non une relation entre la date de vaccination et la date de décès. Cette demande, pourtant naturelle et pleine de bon sens, a été refusée sans aucune justification par la commission sénatoriale chargée de faire le tri dans les pétitions.

Il y a donc une censure extrêmement grave de la part de la commission du Sénat, qui refuse que soit rendue publique la possibilité de cette analyse de la mortalité post-vaccinale. Pour dénoncer cette censure, Laurent Mucchielli a écrit une tribune déjà signée par plus de 600 chercheurs, scientifiques, avocats et professionnels de santé. Il est nécessaire aujourd’hui de mettre en lumière ce refus du Sénat et d’obliger le gouvernement à publier ces données essentielles. De quoi peut donc bien avoir peur le Sénat ? Pourquoi l’analyse de la mortalité à la suite d’injections de vaccins sûrs et efficaces poserait problème ? N’aurait-on pas dû suivre précisément les chiffres de mortalité suite aux injections depuis plus d’un an ? En particulier avant de les proposer aux enfants et de forcer la main aux plus de 12 ans ?

Des surmortalités synchronisées avec les campagnes vaccinales

Le site de l’ecdc fournit une base de données du nombre de vaccins distribués dans chaque pays, chaque semaine, et par tranche d’âge. Il est alors possible de joindre ces données de vaccination aux données de mortalité que nous avons calculées précédemment. 

On observe dans beaucoup de pays et de tranches d’âges, des hausses de mortalité importantes au moment exact de la campagne vaccinale, suivies d’une mortalité au-dessus de la moyenne. Ces hausses sont visibles aussi bien avec le modèle de mortalité simple qu’avec le modèle de mortalité standardisée. 

Il faut souligner que, si ces injections engendraient des problèmes de santé, on aurait exactement les mêmes courbes. On observerait tout d’abord des hausses de mortalité pour les quelques personnes qui ne supportent pas l’injection et qui font une réaction forte, puis une mortalité un peu plus élevée que d’habitude pour les personnes que l’injection a rendues durablement malades. Voici une dizaine d’exemples parmi tous les cas possibles :

Pour les 15-24 ans du Portugal et de Pologne, on observe une surmortalité au moment des campagnes vaccinales. Elle est particulièrement forte au Portugal qui a injecté 95 % de sa population jeune en très peu de temps, et plus diffuse en Pologne qui n’a injecté que 55 % de ces jeunes et sur un temps plus long.

Pour les 25-49 ans en Estonie et en Hongrie on observe également des hausses de mortalité au moment des injections. La Hongrie est le premier pays à avoir massivement vacciné ses jeunes et connaît une hausse de mortalité très tôt dans l’année.

Pour les 50-59 ans en France et en Grèce on observe différentes vagues de mortalité depuis le début des campagnes vaccinales également.

Pour les 60-69 ans en Autriche et en Croatie les courbes de surmortalité épousent presque parfaitement les courbes des vaccinations.

Pour les 70-79 ans au Danemark et en Italie on observe bien une surmortalité au printemps, au moment où la mortalité hivernale est censée descendre. Tout se passe comme si les injections avaient déclenché une nouvelle vague de mortalité hivernale dans l’année. Pour mémoire la vague de mortalité d’octobre 2020, a lieu exactement au moment des injections des vaccins antigrippaux.

En plus de ces concordances sur les graphiques, nous avons vérifié si un pic de vaccination correspond à un pic de décès. Vous trouverez les résultats en ligne sous forme de tableau. Pour cela nous regardons les 2 plus gros pics de surmortalité depuis le début de la vaccination, et nous vérifions s’ils se trouvent à moins de 2 semaines d’un pic de vaccination. Par exemple, il y a en moyenne 41 semaines depuis le début de la vaccination des 25-49 ans. Il y a donc une probabilité de 5 sur 41 (soit 12 %) que le plus gros pic de décès soit à proximité du pic de la dose 1. Il y a une probabilité de 23 % que l’un des 2 plus gros pics de décès soit à proximité du pic de la dose 1. Nous constatons que sur nos 17 pays étudiés, cela arrive dans 40 % des cas, ce qui est significativement trop : les pics de mortalité sont trop souvent proches des pics vaccinaux pour que cela soit dû au hasard. Les pics de mortalité des jeunes sont trop souvent proches des pics de vaccination des doses 1 et 2, et les pics de mortalité des plus âgés sont trop souvent proches du pic de vaccination de la dose 3.

Nous ne sommes pas les seuls à trouver toutes ces concordances. Le chercheur belge Patrick Meyer a publié un préprint qui conclut à un lien significatif entre le nombre d’injections et la surmortalité dans de nombreux pays européens en utilisant des méthodes de machine-learning. Les chercheurs Sprio Pantazatos et Hervé Seligmann ont publié un préprint montrant un lien entre le nombre de personnes vaccinées et la surmortalité constatée dans les différents États américains. Les chercheurs Steve Ohana et Alexandra Henrion-Caude ont également publié un préprint montrant les liens entre la vaccination et les hausses de mortalité des jeunes en Israël. C’est également ce que montre Christof Kuhbandner sur les données détaillées allemandes.

Il est assez surprenant de voir autant de statistiques aller dans le même sens, sans que cela ne fasse aucun bruit dans les médias. Ce sont pourtant ce genre de statistiques qui ont amené autant de monde à conclure qu’un virus était responsable des hausses de mortalité. On se demande donc à quoi joue la commission du Sénat en refusant d’étudier la mortalité toutes causes post-vaccinale. Qui a conseillé à la commission d’enterrer cette requête de Laurent Toubiana ? Est-ce le même cabinet de conseil qui depuis le début de la crise conseille la DREES dans ces choix statistiques ?

Quelle que soit votre opinion sur les vaccins, les virus ou la pandémie de Covid-19, la seule chose certaine c’est que nous n’aurons jamais les réponses à nos questions si nous n’exigeons pas d’avoir tous les éléments. Nous avons donc tous besoin d’avoir les chiffres à disposition pour enfin savoir et trancher. Il faut absolument forcer le Sénat et le Ministère de la Santé à publier toutes ses données. C’est une question vitale de Santé Publique et même de Souveraineté et de Démocratie. Au-delà même de cette question des vaccins, il est nécessaire de nous battre pour obtenir le droit de savoir et de décider.




Effets secondaires des vaccins : les scientifiques allemands jettent plusieurs pavés dans la mare

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Tabou pour certains, scandale pour d’autres, les effets secondaires de la vaccination anti-Covid sont un sujet de plus en plus prégnant, qui prend la forme d’une dangereuse cocotte minute… Médecins et scientifiques allemands travaillent d’arrache-pied à ce que la glace soit brisée. Si bien que la presse mainstream n’arrive plus à éluder la question et se voit bien obligée de rapporter des propos pour le moins inquiétants quant à la campagne de vaccination.

Les observations du généraliste Eric Freisleben

Ainsi, la Berliner Zeitung ou encore la télévision nationale ont dû rapporter ces jours-ci les observations d’un médecin berlinois très en vue, le généraliste Erich Freisleben. Un relai inhabituel étant donné que celui-ci s’est déclaré à maintes reprises contre toute obligation vaccinale, et avait publié en 2021 un livre réquisitoire : Medizin ohne Moral (Médecine sans morale).

En 35 ans d’exercice, Eric Freisleben déclare avoir vu, jusqu’en 2021, environ cinq cas d’effets secondaires graves des vaccins. Or, depuis 2021 et les injections anti-Covid, il a vu « 96 cas avérés » et a dû embaucher un autre médecin à son cabinet pour y faire face. Il explique 3 % de ces patients vaccinés sont en incapacité totale de travailler. Sur un échantillon de 60 patients vaccinés, les D-dimères sont anormalement élevés chez 40 % d’entre eux ; ce sont les signaux de micro-caillots diffus.

Il a également trouvé des « anticorps antagonistes », observés normalement sur environ 3 % des poches de sang, et seulement chez un malade grave ou chronique. Mais, sur les patients présentant des effets secondaires que voit désormais le médecin, « 90 % d’entre eux sont dans ce cas. » Ces récepteurs se trouvant dans le cœur, les yeux, les reins, cela expliquerait la diversité des symptômes. « Nous connaissons leur existence, mais pour combien de temps ces anticorps entraveront-ils le trajet des signaux, nous n’en savons rien encore. De tels incidents n’ont jamais été observés avec d’autres formes de vaccin », explique-t-il.

Déplorant la passivité des autorités et l’absence de toute recherche officielle sur les effets secondaires, Eric Freisleben expérimente actuellement un traitement à la cortisone, qui fonctionne relativement bien chez environ 70 % des blessés, car suppose-t-il, les injections auraient déclenché un processus inflammatoire massif et généralisé. Il relève également, chez 95 % des patients présentant des effets secondaires, un manque flagrant de « Memory-Tc cells », des cellules qui jouent un rôle essentiel dans l’immunité.

À l’instar de ce médecin généraliste, en amont du vote au Parlement qui a eu lieu jeudi 7 avril, d’autres scientifiques de renom ont donné de la voix.

Surmortalité post-vaccinale

55 scientifiques, dont 43 professeurs titulaires d’université, ont décidé de tirer groupés pour défendre le professeur Christof Kuhbandner.

Le 21 janvier 2022, Christof Kuhbandner, expert des techniques statistiques et de modélisation mathématique, avait publié en open source un article de 28 pages intitulé « La surmortalité grimpe en corrélation chronologique avec les vaccinations-COVID« . Il y concluait que « la courbe des décès en 2021, ainsi que celle de la surmortalité, réflètent avec un léger décalage dans le temps, presqu’exactement la courbe de la 1ère et 2ème dose des vaccins puis des rappels ». Cet article a déclenché un barrage hostile, notamment de la part de l’Institut Leibniz pour la recherche en économie, sur la rubrique de leur site : « La non-statistique du mois ». (Unstatistik des Monats: Impfquote und Übersterblichkeit, eine „Spurious Correlation“ = Taux de vaccinés et surmortalité – une corrélation fallacieuse).

Le 3 avril, les susnommés 55 scientifiques ont signé et publié une lettre ouverte argumentée, appelant au retrait immédiat de l’article de la rubrique « Unstatistik des Monats » :

« Nous nous agaçons de ce que la rubrique renommée Unstatistik des Monats puisse publier un texte aussi mal recherché et douteux de point de vue factuel, texte qui de surcroît et de manière flagrante désinforme le grand public au sujet d’un signal d’alarme qui existe et qui indique des effets secondaires possibles des injections anti-COVID. Ainsi, nous exigeons le retrait immédiat de ce texte et la publication d’une mise au point. Des publications aussi peu sérieuses entravent la bonne pratique scientifique en vue du développement de médicaments sûrs, ce qui – ainsi que le démontre l’histoire de la pharmacovigilance – met en danger la santé et la vie d’innombrables êtres humains et nourrit la défiance envers tous les vaccins dans la population. »

Le Paul-Ehrlich Institut en prend pour son grade

À la mi-mars, cinq professeurs titulaires de chimie à cinq universités différentes, en Suisse et en Allemagne, avaient cosigné plusieurs lettres au Paul-Ehrlich Institut (PEI, équivalent de l’ANSM), exigeant d’avoir accès aux données « sur le potentiel oncogène des injections à ARNm ». Ils demandaient aussi l’accès aux études validant l’utilisation des adjuvants des injections ALC-0159 et ALC-0350, des réponses précises sur le contrôle qualité des lots, ainsi que le détail des dispositifs officiels prévus pour le signalement des effets secondaires. Ces lettres pointent des manquements notables. Mais, n’ayant pas reçu de réponse satisfaisante dans les 15 jours fixés comme échéance, les professeurs ont fait publier l’une des lettres en précisant leurs exigences dans les journaux allemands.

Les dangers de la protéine Spike

De même, à la mi-mars et depuis son laboratoire de pathologie à Reutlingen, le médecin légiste Arne Burkhardt a envoyé une série de lettres au PEI, dans laquelle il expose les résultats actualisés des 40 autopsies qu’il a supervisées et appelle à un arrêt immédiat à la campagne de vaccination. Dans la lettre du 16 mars, désormais publique, il écrit notamment :

« Dans tous les tissus des organes étudiés, notamment le système vasculaire, le cœur et le cerveau des personnes subitement décédées en relation temporelle avec la vaccination contre le SARS-CoV-2 (dont la majorité ne prenaient aucun traitement et n’étaient pas hospitalisés), apparaissent des lésions correspondant à l’action de substances toxiques, accompagnées de réactions inflammatoires, témoin de lésions intravitales. Les résultats histologiques sont, dans leur combinaison, extrêmement inhabituels et dans certains cas jamais observés auparavant. […] Dans ces lésions et les zones inflammatoires autour des vaisseaux, il a été possible d’identifier nettement l’expression de la protéine Spike grâce à l’immunohistochimie, qui est particulièrement spécifique. Ainsi a-t-on pu démontrer que cela est provoqué par la vaccination plutôt que par une infection au virus SARS-CoV-2. »

Et le Pr Burkhardt conclut sa lettre au PEI ainsi :

« Pour ces motifs, nous vous demandons instamment, en ce qui concerne ces médicaments (appelés vaccins) basés sur l’ARNm ou pro-ARNm :

a.  Comirnaty
b.  Spikevax
c.  Vaxzevria
d.  Vaccin Covid-19 Janssen

1. le retrait immédiat desdits médicaments actuellement en circulation ;
2. la suspension immédiate des autorisations de leur mise sur le marché ;
3. la présentation au signataire de cette lettre avant le 18 mars 2022 d’une copie de vos décisions en la matière. »

Si la lettre est restée sans réponse, elle a toutefois été lue par des dizaines de milliers d’Allemands avant le vote sur l’obligation vaccinale.

Lire aussi : En faisant produire la protéine Spike par les cellules, vacciner revient à inoculer la maladie

La BKK Pro Vita avait sonné l’alerte

Fin février 2022, Andreas Schöfbeck, alors président du conseil de BKK ProVita, l’une des caisses d’assurance maladie d’entreprise les plus importantes du pays, pulvérisait les rapports officiels en assurant dans une lettre que le nombre d’effets secondaires était sous-estimé d’un facteur 10.

Lire aussi : Effets secondaires des vaccins: un assureur allemand pulvérise les rapports officiels

Début mars, Andreas Schöfbeck a été congédié, le jour même où il avait prévu sa rencontre avec le Paul-Ehrlich Institut.

Quelques semaines après qu’il a été remplacé, le mathématicien et analyste des données Tom Lausen a déposé une plainte visant le nouveau chef de la mutuelle BKK Pro Vita. Et ce devant une centaine de procureurs allemands.

Lire aussi : Obligation vaccinale en Allemagne: procureurs et magistrats accusent le coup avec force

Dans un premier temps, Tom Lausen avait écrit au PEI pour demander si la nouvelle direction du BKK avait transmis les données chiffrées dont faisait état Andreas Schöfbeck, et si le PEI veillait à ce que les associations de médecins conventionnés transmettent, elles aussi, les données de pharmacovigilance conformément à la loi. Le long silence qui s’ensuivit a incité le mathématicien à prendre un avocat. Puis, il a déposé plainte, car « il est tout à fait possible que la vaccination provoque des blessures que les vaccinés ne peuvent imaginer d’avance. Ce sont des délits potentiels. »




Effets toxiques des vax anticovid sur le cycle menstruel et la fonction érectile

Par Nicole Delépine

ATTENTION ! NOS VOTES ENGAGENT AUSSI VOTRE SANTÉ

Si nous insistons sur les dangers d’une vaccination obligatoire anticovid toujours expérimentale qui pourrait être imposée en cas de renouvellement du mandat de l’actuel président ou d’une élection de V. Pécresse, voire de Jadot et Hidalgo, c’est que les malheurs s’accumulent chez les vaccinés !

Certains, de force pour continuer à gagner leur vie (personnel soignant, pompiers, etc. les MALGRÉ EUX), d’autres sous pression pour poursuivre un sport ou plus simplement pour se sentir « comme tout le monde » ne doutant pas de la bonne foi des médecins de plateaux (ignorant leurs liens étroits avec Big Pharma) ou de nos gouvernants, ne pouvant imaginer leur indifférence par rapport aux conséquences potentielles. D’importants effets toxiques ont été rapportés : des décès immédiats, mais aussi de nombreux problèmes cardiaques, des AVC, etc..

Nous insisterons ici sur les conséquences morbides sur les menstruations et l’érection, souvent tues.

Très tôt on a entendu des « rumeurs » sur les femmes et leurs règles, sujet tabou par excellence au moins chez les plus âgées ou très jeunes. Aussi lorsqu’une femme de 75 ans ménopausée depuis un quart de siècle, s’est remise à saigner, il est évident que les médecins ont nié tout lien de cause à effet, si même on a osé OSE (!) évoquer cette absurde hypothèse.. Les rumeurs ont enflé, car les complotistes sont terribles et veulent écouter les citoyens. Et quand des bébés au sein de leur mère vaccinée (éliminant de la protéine spike dans son lait probablement) ont présenté des saignements vaginaux, on a hurlé au délire.

Mais les observations s’accumulant, des citoyens ont pris en main le problème que les scientifiques ou soi disant tels ont refusé de voir. Une jeune femme Mélanie, prise dans le drame des troubles des règles constatant que des amies avaient aussi des soucis, a créé un groupe Instagram « où est mon cycle » (#ouestmoncycle) qui a rapidement gonflé.

Une audition de la créatrice du compte Instagram dédié à cet effet secondaire, de maître Diane Protat (qui défend les hôtesses de l’air et les pilotes contraints à la vaccination) et du docteur Laurence Kayser a été réalisée au parlement européen en présence d’une députée européenne Virginie Joron, qui tente d’obtenir une commission d’enquête sur les possibles effets délétères des « vaccins ». Mais même cela est quasiment blasphématoire.

Table ronde sur les effets de secondaires qui seraient liés aux vaccins Covid !

Prenez le temps d’écouter cette table ronde qui décrit bien les troubles ressentis par de nombreuses victimes de l’expérimentation, des jeunes femmes qui ne peuvent plus dormir tant elles doivent se changer devant l’importance des saignements, ou pire ne peuvent plus sortir de la douche. La gynécologue belge témoigne de la grande difficulté de soigner certaines de ses patientes pour lesquelles les traitements classiques ne marchent pas et dont certaines sont obligées de passer à l’hystérectomie pour cesser de souffrir le martyre et de saigner.

Si la femme a déjà trois enfants, ce n’est que moindre mal encore que l’hystérectomie ne soit pas une opération anodine. Mais quid de la femme qui voulait faire des FIV pour lesquelles on lui a imposé le vax et qui a présenté ces saignements majeurs aboutissant à une ablation de son utérus. Vaccinée pour bénéficier de la chance de procréer et se retrouver sans utérus… Acceptable ?

Et ces gamines de treize ans réglées régulièrement qui voient leurs règles disparaître ou au contraire se retrouvent comme leurs aînées devant des saignements les coinçant à la maison plusieurs jours de suite. Tout ça pour quoi alors que cette injection n’a aucun intérêt à leur âge et ne protège personne de la contamination. Que les mamans soient inquiètes de leur fertilité à long terme est logique et personne ne peut leur répondre. ET NE FAITES PAS « VACCINER » VOS ENFANTS !

Témoignez auprès de Mélanie ou d’une des autres intervenantes. Le tabou doit être levé.

Quant aux hommes devenus impuissants après une ou deux injections, qu’ils osent parler même si c’est encore plus difficile que pour la gent féminine !

et Maître Protat devant le sénat où l’audience n’est malheureusement pas publique.

Maître Diane Protat 137 000 effets indésirables :

Vidéo : Me Diane Protat s’exprime suite à l’audition de l’OPECST du Sénat — La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)

Des radiologues s’étonnent de la fréquence des examens des testicules demandés chez leurs patients depuis la vaccination. Thromboses multiples sont découvertes….

Il faut faire cesser ces injections à haut risque dans divers domaines (les cardiopathies chez les jeunes, etc..) exiger des enquêtes parlementaires et dans cette attente imposer un moratoire.

Bientôt le temps d’un vote national puis de législatives. Les candidats doivent se positionner clairement sur ce sujet majeur pour l’avenir de nos enfants et de l’humanité.

TÉMOIGNAGES REÇUS À LA SUITE DE LA PARUTION DE L’ARTICLE DANS RL

Covid : Injections responsables de troubles menstruels et d’impuissance — Riposte Laique, mais aussi cet article sur internet :

Covid-19 : des femmes accusent le vaccin, « l’ablation de l’utérus, c’est la seule solution qui se présentait à moi » (anguillesousroche.com)

« J’ai fait ma deuxième vaccination début août et quinze jours après j’ai commencé à avoir des douleurs extrêmement fortes qu’on peut comparer à des douleurs d’accouchement, non-stop jour et nuit et qui duraient pratiquement trois semaines », raconte Julie.

Pour Julie, l’apparition des premiers symptômes peu de temps après l’injection est la preuve que la survenue brutale de sa maladie est liée au vaccin.

« L’adénomyose est une maladie qui évolue lentement donc c’est surprenant », fait remarquer Julia Maruani, gynécologue libéral et hospitalier à Marseille, qui ajoute prudemment « maintenant, il y a des mécanismes qu’on ne connaît pas sur la vaccination et les effets sur l’utérus… »

La jeune femme est membre du collectif « Où est mon cycle », qui a été auditionnée lundi au Parlement européen et qui sera entendu mercredi par une commission d’études sur les effets secondaires des vaccins au Sénat.

UN TÉMOIGNAGE D’UN CABINET MÉDICAL DE GÉNÉRALISTES

« Une jeune patiente de 19 ans, en pleine santé, jamais de soucis de règles, a fait 2 doses de Pfizer pour pouvoir prendre le train des vacances l’été 2021. Aménorrhée de 6 semaines puis ménorragies continues après la 2e dose pendant plus de 3 mois entraînant une anémie, une asthénie majeure. Découverte d’un adénome hypophysaire et d’une hyperprolactinémie.

Sa gynéco affirme qu’elle voyait depuis quelques mois — après vaccination — une quantité de jeunes femmes présentant de tels troubles menstruels similaires avec d’immenses difficultés à faire remonter et accepter par la pharmacovigilance.

Aucun traitement efficace sur ces troubles (ni progestérone, ni pilule, ni Spotof)

Quel avenir pour la fertilité de cette jeune femme ?

Un collègue médecin généraliste m’a fait part de sa colère : une de ses patientes en PMA de 35 ans qui avait une bonne réserve folliculaire en février 2021 s’est retrouvée ménopausée (plus aucun follicule dans les ovaires à l’écho) dans les suites immédiates de la vaccination en juin 2021.

Une de mes patientes, enceinte de 7 mois, s’est fait vacciner sur les conseils de sa gynécologue. Résultat, myalgies, asthénie, toux, douleurs abdominales. Accouchement Ok mais covid périnatal pour la mère et l’enfant retrouvés en soins intensifs tous les deux.

Le bébé à un mois de vie présentait des marbrures généralisées anormales inquiétantes et un petit poids de naissance.

La filleule d’un ami vaccinée en juin, enceinte en juillet de son premier enfant a dû faire une interruption thérapeutique de grossesse en septembre à 14 SA pour anencéphalie du fœtus et graves malformations (alors que le taux de folates était parfaitement normal chez cette jeune femme en pleine santé de corpulence normale)

Un de mes patients travaillant aux pompes funèbres de notre secteur — qui souhaite rester anonyme- a témoigné auprès de moi, car il était choqué : Il a géré un bébé mort-né entre janvier et juin, et curieusement 8 mort-nés presque à terme de la grossesse entre juin et septembre 2021… Du jamais vu dans toute sa carrière ! Il constatait également une augmentation de 30 % des décès de personnes entre 45 et 60 ans l’été 2021… Du jamais vu non plus.

Ces signaux sont très alarmants, sachant qu’un cabinet médical est un échantillon représentatif de la population générale… »

ET MÊME UNE RÉACTION DE HANOUKA SUR TMTP

Cyril Hanouna consterné de voir Éloïse, 32 ans, victime du vaccin : « C’est inadmissible, elle n’aurait pas dû se faire vacciner ! » (lemediaen442.fr)

Quelles seront les conséquences sur l’ensemble de la population de ces injections imposées par la pub ou les institutions et l’autoritarisme du président en poste ? Qui va évaluer leurs responsabilités pour avoir fait croire avec les médias aux ordres à l’innocuité des vax et à leur efficacité ?

Trop de malheurs engendrés. Il faut que cela cesse et il faut changer de gouvernance !

ET POURQUOI L’ENSEMBLE DES CANDIDATS N’ONT-ILS PAS PROFITE DE LEURS SPOTS TV POUR DEMANDER L’INTERRUPTION DE CES INJECTIONS DANGEREUSES ET INUTILES ?

ATTENTION L’OBLIGATION VACCINALE EST ENCORE DANS LES TUYAUX DE L’UE
ET LES COMMANDES DE VAX SE MULTIPLIENT À NOUVEAU

https://ec.europa.eu/info/law/better-regulation/have-your-say/initiatives/13375-extension-of-the-regulation-about-the-digital — certificat-COVID-de

NOUS DEVONS RECONQUERIR NOTRE INDEPENDANCE ET FAIRE STOPPER DE TOUTE URGENCE CES INJECTIONS EXPERIMENTALES




Un exemple du bras long de l’OTAN et accessoirement de Soros dans le récit médiatique anti-russe

[Source : ahmedbensaada.com]

Soros et Le Quotidien d’Oran

Par Ahmed Bensaada

J’ai longtemps écrit pour Le Quotidien d’Oran (LQO). C’était un réel plaisir de composer des textes pour ce journal. En fait, ce n’était pas pour le « Quotidien » lui-même, mais pour « Oran », ma ville, mon phare, le centre de gravité de mes pérégrinations.

Je me suis éloigné de ce quotidien lorsque j’ai constaté que mes écrits (notamment « Arabesque$ ») sur le rôle néfaste de l’Occident dans la politique du monde arabe en général et de l’Algérie en particulier dérangeaient sa ligne éditoriale. Il en a été de même avec mon livre sur Kamel Daoud ou celui sur les « ténors autoproclamés du Hirak » dont les sujets sont directement ou indirectement liés au thème précédent.

Non seulement mes livres n’ont jamais fait l’objet de recensions sérieuses, ni de critiques argumentées, ni d’interviews sérieuses comme c’est le cas dans d’autres médias algériens ou étrangers, mais ils ont été systématiquement l’objet de sordides attaques et d’ignobles dénigrements sur les colonnes même du LQO.

C’est Ahcène-Djaballah (BAD pour les intimes), qui s’est chargé de ces basses besognes. Ah, ce sacré BAD! Avec un CV pédant aussi long que la Muraille de Chine, ce vénérable « môssieu » tient, sur LQO, la rubrique littéraire la plus malhonnête, la plus insignifiante et la plus insipide qu’il m’ait été donné de lire.

Voici deux exemples pour illustrer mon propos. Alors qu’il avoua ne pas avoir encore lu mon livre (sic) sur Kamel Daoud, BAD ne se priva pas de pondre une lamentable critique truffée de faussetés et d’attaques ad personam. Un vrai professionnel ce BAD!

J’ai adressé un texte à la direction de LQO pour faire valoir mon droit de réponse. Résultat? Motus et bouche cousue en parfaite contradiction avec l’éthique journalistique. J’attends toujours une réponse depuis…2016!

Au sujet de mon livre sur le Hirak, il le traita de « petit livre » « truffé de complots… mais, heureusement que les complots n’ont jamais fait l’Histoire ». Un langage identique, presque mot à mot, à celui d’un certain Zitout, sujet de Sa Majesté et accessoirement dirigeant du mouvement « Rachad » : LQO, BAD, Rachad, même combat?

Échaudé par ma première expérience et connaissant parfaitement la notion de « liberté d’expression » chez LQO, je n’ai pas osé demander un droit de réponse. Néanmoins, un honnête journaliste a décidé de ne pas laisser passer la chose.

Ah, j’oubliais. Il parait que BAD est « Professeur associé à l’École supérieure de journalisme et des sciences de l’information d’Alger/Ben Aknoun). Non, sérieux, ce n’est pas une blague?

Après cette nécessaire introduction pour situer dans quelle fange se vautre LQO, allons à notre sujet principal.

Il y a quelques jours, un ami me fit parvenir une copie du LQO datée du 23 mars 2022. J’allais poliment la mettre dans la corbeille lorsqu’un encadré, bien visible sur la une, attira mon intention.

Il s’agissait de trois articles présentés comme « supplément autour du monde » :

  • « Les conséquences économiques de la guerre en Ukraine » par Mohamed A. El-Erian;
  • « Des sanctions économiques, une arme de destruction massive », par Raghuram Rajan;
  • « Le Potemkine militaire de Poutine », par Daniel Gros.

Il est donc question de trois articles traitant tous du conflit entre la Russie et l’Ukraine. Intéressant à lire, n’est-ce pas?

Certes, mais on se rend vite compte que les articles en question sont politiquement orientés selon une vision occidentale, clairement anti-russe. On aurait cru qu’ils étaient écrits par le secrétaire général de l’OTAN en personne.

Extrait de la une du LQO du 23 mars 2022

Dans le premier texte, on peut lire, par exemple :

« La Russie va être confrontée à de graves problèmes de change, des pénuries massives, l’effondrement du rouble, des arriérés de plus en plus importants et aux prévisions d’une population qui s’attend à ce que sa situation se dégrade ».

Mais avec ce portrait de fin du monde en Russie, l’auteur est beaucoup plus indulgent quant aux conséquences du conflit sur les pays occidentaux qui ne cessent de souffler sur la braise de la guerre au lieu de chercher des solutions pour une rapide fin de crise.

Dans le second, l’auteur traite la Russie de « nain économique relativement à sa puissance militaire » et prédit que les sanctions contre la Russie « porteront atteinte au niveau de vie et la santé de la population russe et pousseront à la hausse son taux de mortalité ». Il qualifie les sanctions contre la Russie de « moyen efficace (autrement dit, douloureux) mais civilisé de répondre à l’agression et à la barbarie », tout en encourageant de « s’en prendre aux biens des élites du pays agresseur ».

On aurait bien aimé l’entendre parler de l’isolement politique de l’Occident par rapport au reste du monde, ou des conséquences économiques de ces sanctions sur les pays occidentaux eux-mêmes.

Dans le troisième et dernier article, Daniel Gros nous apprend que « les Ukrainiens qui défendent chèrement leur patrie, semblent avoir un net avantage sur les forces russes d’invasion », que « la corruption a envahi la gouvernance russe », que « les pilotes russes semblent avoir peu d’expérience », que « Poutine a déclaré une guerre à partir d’un point de départ matériel faible » et qu’il « a mis la Russie sur la voie d’un déclin économique démoralisant ».

Il ne s’agit pas d’un article d’analyse, mais d’un pamphlet de pure propagande otanesque anti-russe.

Dans ces trois textes, aucun mot n’a été prononcé sur les causes réelles du conflit, sur la position agressive de l’OTAN et son inexorable expansion vers l’Est, sur le coup d’État de l’Euromaïdan, sur les conséquences négatives des sanctions sur les pays occidentaux et sur l’isolement historique de l’Occident.

Mais pourquoi LQO publie-t-il les textes de propagande de l’OTAN? Pourquoi participe-t-il à la gigantesque opération de désinformation menée par les médias occidentaux? Que viennent faire ces trois auteurs dans un journal algérien?

La réponse se trouve dans le petit rectangle placé au-dessus des noms des auteurs : « Project Syndicate : an association of newspapers around the world ».

Logo de « Project Syndicate »

Une visite sur le site officiel de « Project Syndicate » nous donne nombre d’informations sur cet organisme.

Tout d’abord, sur la page d’accueil on peut lire une série d’articles idéologiquement orientés contre la Russie. Pas un seul petit billet qui pourrait nuancer la vision du conflit ou donner la parole à des analystes susceptibles de faire la part des choses. NIET!

Mais quel est cet organisme et quelle est sa mission? La réponse est sur leur site.

Tout d’abord voici son slogan :

« Nous croyons que le monde entier mérite d’avoir accès à ses plus grands esprits. Notre mission est d’atteindre ceux qui n’ont pas cette opportunité ».

Sa mission est définie comme suit :

« Project Syndicate produit et diffuse des commentaires originaux de haute qualité à un public mondial. Avec des contributions exclusives d’éminents dirigeants politiques, décideurs, universitaires, chefs d’entreprise et militants civiques du monde entier, nous fournissons aux médias et à leurs lecteurs des analyses et des informations de pointe, quelle que soit leur capacité de paiement. Nos membres comprennent plus de 600 médias – dont plus de la moitié reçoivent nos commentaires gratuitement ou à des tarifs subventionnés – dans 156 pays ».

Ainsi, cet organisme s’est fixé comme tâche, entre autres, de diffuser les écrits des « plus grands esprits » occidentaux ou non, pourvu qu’ils interprètent les évènements avec une grille d’analyse occidentale. Car, même si les noms des auteurs des trois articles cités précédemment ne sont pas tous occidentaux, il n’en demeure pas moins que leurs écrits épousent les thèses occidentales, sans nuance aucune. Comme nous l’avons souligné à maintes reprises par le passé, l’Occident a besoin de ses « néocolonisés » et de ses « alibis ethniques ».

Cette vision occidentale est ensuite propagée dans les pays moins développés et ce, en plusieurs langues. Tout cela gratuitement ou à des coûts très modiques.

Parmi les auteurs estampillés « grands esprits » par « Project Syndicate », on peut citer de célèbres noms comme Donald Rumsfeld, secrétaire à la Défense (2001-2006) de George W. Bush, George Robertson, secrétaire d’État à la Défense (1997-1999) de Tony Blair et secrétaire général de l’OTAN (1999-2003), Joseph S. Nye, concepteur américain du « Soft power », Zbigniew Brzezinski, conseiller à la sécurité nationale (1977-1981) du président Jimmy Carter, Saad Eddin Ibrahim (le collègue de Lahouari Addi à la NED), activiste égyptien largement financé par l’administration américaine et George Soros, spéculateur financier et milliardaire américain. N’oublions pas que Soros est le grand promoteur de la « société ouverte », qu’il a parmi ses multiples « réalisations », le financement des « révolutions colorées », en particulier la « révolution orange » (Ukraine 2004) et qu’il a été partie prenante dans la formation des cyberactivistes arabes qui ont été fortement impliqués dans le « printemps » arabe.

Comme on peut le constater, il s’agit bien de « grands esprits » qui ont servi avec ardeur le bellicisme de l’OTAN et l’hégémonie américaine à travers le monde.

À titre indicatif, il faut savoir que le plus récent article de George Soros publié sur le site de « Project Syndicate » a pour titre : « Vladimir Poutine et le risque de la IIIe guerre mondiale ». Pour se faire une idée sur sa teneur, il suffit de lire la dernière phrase :

« Nous ne pouvons qu’espérer que Poutine et Xi [Jinping] seront chassés du pouvoir avant qu’ils ne puissent détruire notre civilisation ».

Avec une telle animosité, on comprend bien pourquoi la fondation « Open Society » de Soros a été bannie de la Russie en 2015.

D’autre part, « Open Society » a récemment créé le « Fonds ukrainien pour la démocratie » doté de 25 millions de dollars, ce qui en dit long sur le positionnement de Soros et de sa fondation en ce qui concerne le conflit entre la Russie et l’Ukraine.

Et, bien entendu, si le nom de Soros est cité dans « Project Syndicate » son chéquier ne doit pas être très loin. En effet, le site officiel de « Project Syndicate » indique que « Open society » figure en première place parmi ses contributeurs financiers et cela a été ainsi depuis plusieurs années. À titre d’exemple, pour les années 2000 et 2002, la contribution de la fondation Soros a été respectivement de 902 000$ et 1 151 000$.

Dans un article universitaire intitulé « L' »empire » des médias Soros : le pouvoir de la philanthropie pour créer le consentement » publié en 2008, Michael Barker cite une « une liste non exhaustive de projets médiatiques financés par Soros pour illustrer la gamme d’organisations que Soros utilise pour manipuler la démocratie dans le monde ». Bien évidemment, « Project Syndicate » y figure.

Sur un autre document, on apprend que seuls deux journaux algériens ont été en relation avec « Project Syndicate » : LQO et La Tribune. Le second n’existant plus depuis quelques années, seul LQO continue à s’abreuver du savoir des « grands esprits » occidentalistes et à le disséminer dans les cerveaux de ses lecteurs.

LQO et La Tribune, les deux seuls membres algériens de « Project Syndicate »

En résumé, nous pouvons dire que le « Project Syndicate » sert à diffuser des analyses typiquement occidentales et otanesques. Financé, entre autres, par « Open Society » de George Soros, il permet actuellement à LQO à diffuser la propagande de l’OTAN en Algérie dans le cadre du conflit russo-ukrainien.

Sachant que nous vivons à l’ère des guerres de quatrième génération (G4G) et que l’information est devenue un produit « arsenalisé », il est inquiétant pour notre pays de constater que de tels points de vue, totalement orientés, puissent être aussi facilement publiés dans des journaux algériens et fallacieusement considérés comme émanant de « sommités » mondiales. Pourtant, les trois articles cités auparavant sont d’une navrante médiocrité.

D’autant plus que cela se fait par l’intermédiaire d’une organisation occidentale qui sous-entend que les « grands esprits » ne sont que celles ou ceux qui produisent des analyses qui sont en accord avec les intérêts occidentaux ou considérés comme tels. Ajoutons à cela un schéma de diffusion de l’information à sens unique, purement néocolonial : de l’Occident vers les pays moins développés.

Cela veut dire aussi qu’il est impossible à un « petit esprit » (non occidentaliste, bien sûr!) de publier, dans un journal occidental, un point de vue différent de celui dicté par les médias mainstream. Cela est encore plus clair actuellement, dans le contexte de la guerre russo-ukrainienne.

Tout cela tendrait à expliquer pourquoi mes livres dérangent tant la ligne éditoriale de LQO et pourquoi BAD a été chargé des basses besognes : Ahmed Bensaada n’a été adoubé ni par « Project Syndicate », ni par « Open Society ». Il ne sera donc jamais un « grand esprit » à leurs yeux parce qu’il ne parle pas leur langage.

Et toute voix discordante est automatiquement traitée de complotiste. N’est-ce pas BAD?




Vos pensées contrôlent votre ADN !

[Source : https://www.theepochtimes.com via santeglobale.world]

L’idée commune selon laquelle l’ADN détermine une grande partie de qui nous sommes — non seulement la couleur de nos yeux ou de nos cheveux, par exemple, mais aussi nos dépendances, nos troubles ou notre susceptibilité au cancer — est une idée fausse, a déclaré le biologiste des cellules souches Bruce Lipton, PhD.

« Vous vous retrouvez plus ou moins victime de votre hérédité », a déclaré Lipton dans le documentaire « Biology of Belief » [La biologie des croyances]. « Le problème avec ce système de croyances est qu’il s’étend à un autre niveau. … Vous devenez irresponsable. Vous dites, « Je ne peux rien y faire, alors pourquoi essayer ? » »

« Ce concept dit que vous êtes moins puissant que vos gènes », a expliqué Lipton.

Il a dit que la perception d’une personne, et non la programmation génétique, est ce qui stimule toute action dans le corps :

« Ce sont en fait nos croyances qui sélectionnent nos gènes, qui sélectionnent notre comportement. »

Pour expliquer comment cela fonctionne, il a commencé au niveau des 50 à 65 milliards de cellules qui composent le corps humain. Il a montré comment une cellule fonctionne indépendamment de l’ADN et comment ses perceptions des stimuli environnementaux affectent l’ADN. Il a ensuite appliqué les mêmes principes au corps humain dans son ensemble, montrant le pouvoir que nos perceptions, nos croyances, ont sur l’ADN.

Ce qui suit est un résumé simpliste de la compréhension de Lipton. Pour plus de détails, vous pouvez regarder son documentaire plus bas [dans l’article original en anglais].

Explication en 5 étapes

1. La cellule est comme un corps humain et fonctionne sans ADN

La cellule est comme un corps humain. Il est capable de respirer, de digérer, de se reproduire et d’autres fonctions vitales. Le noyau, qui contient les gènes, est traditionnellement considéré comme le centre de contrôle, le cerveau de la cellule.

Pourtant, lorsque le noyau est retiré, la cellule continue ses fonctions vitales pendant un mois ou plus et elle peut encore reconnaître les toxines et les nutriments. Il semble que le noyau — et l’ADN qu’il contient — ne contrôle pas la cellule.

Il y a 50 ans, les scientifiques ont supposé que les gènes contrôlent la biologie. « Cela semblait tellement correct. Nous avons acheté l’histoire », a déclaré Lipton. « Nous n’avons pas les bonnes hypothèses. »

2. L’ADN est contrôlé par l’environnement

Les protéines remplissent les fonctions dans les cellules et sont les éléments constitutifs de la vie. On a longtemps pensé que l’ADN contrôle ou détermine les actions des protéines.

Lipton propose un modèle différent. Les stimuli environnementaux qui entrent en contact avec la membrane cellulaire sont perçus par les protéines réceptrices de la membrane. Cela déclenche une réaction en chaîne de protéines transmettant ce qui pourrait être décrit comme des messages à d’autres protéines, motivant l’action dans la cellule.

L’ADN est recouvert d’une gaine protectrice de protéine. Les signaux environnementaux agissent sur cette protéine, l’amenant à s’ouvrir et à sélectionner certains gènes à utiliser, des gènes spécifiquement nécessaires pour réagir à l’environnement actuel.

Fondamentalement, l’ADN n’est pas le début de la réaction en chaîne. Au lieu de cela, la perception de l’environnement par la membrane cellulaire est la première étape.

S’il n’y a pas de perceptions, l’ADN est inactif.

« Les gènes ne peuvent pas s’activer ou se désactiver… ils ne peuvent pas se contrôler », a déclaré Lipton. Si une cellule est coupée de tout stimulus environnemental, elle ne fait rien. 

« La vie est due à la façon dont la cellule réagit à l’environnement. »

3. La perception de l’environnement n’est pas nécessairement la réalité de l’environnement

Lipton a cité une étude de 1988 de John Cairns publiée dans la revue Nature intitulée « L’origine des mutants ». Cairns a montré que les mutations de l’ADN n’étaient pas aléatoires, mais se produisaient de manière prédéterminée en réponse à des stress environnementaux.

« Dans chacune de vos cellules, vous avez des gènes dont la fonction est de réécrire et d’adapter les gènes si nécessaire », a expliqué Lipton. Dans un tableau illustrant les découvertes de Cairns dans le journal, les signaux environnementaux se sont révélés distincts de la perception des signaux environnementaux par l’organisme.

La perception de l’environnement par un être agit comme un filtre entre la réalité de l’environnement et la réaction biologique à celui-ci.

« La perception réécrit les gènes », a déclaré Lipton.

4. Croyances humaines, choisir de percevoir un environnement positif ou négatif

Tout comme une cellule possède des protéines réceptrices pour percevoir l’environnement à l’extérieur de la membrane cellulaire, les humains ont les cinq sens.

C’est ce qui aide une personne à déterminer quels gènes doivent être activés pour une situation donnée.

Les gènes sont comme des programmes sur un disque d’ordinateur, a déclaré Lipton. Ces programmes peuvent être divisés en deux classes : la première concerne la croissance, ou la reproduction ; le second concerne la protection.

Lorsqu’une cellule rencontre des nutriments, les gènes de croissance sont activés et utilisés. Lorsqu’une cellule rencontre des toxines, les gènes de protection sont activés et utilisés.

Lorsqu’un être humain rencontre l’amour, les gènes de croissance sont activés. Lorsqu’un être humain rencontre la peur, les gènes de protection sont activés.

Une personne peut percevoir un environnement négatif alors qu’il existe en fait un environnement favorable ou positif. Lorsque cette perception négative active les gènes de protection, la réponse du corps est de passer en mode combat ou fuite.

5. Combat ou fuite

Le flux sanguin est dirigé des organes vitaux vers les membres, qui sont utilisés pour se battre et courir. Le système immunitaire devient de moindre importance. Si vous imaginez les réponses dont nous avions autrefois besoin pour fuir un lion, par exemple, les jambes auraient été infiniment plus importantes dans cette situation immédiate que le système immunitaire. Ainsi, le corps privilégie les jambes et néglige le système immunitaire.

Ainsi, lorsqu’une personne perçoit un environnement négatif, le corps a tendance à négliger le système immunitaire et les organes vitaux. Le stress nous rend aussi moins intelligents, moins lucides. La partie du cerveau liée aux réflexes a plus d’importance en mode combat ou fuite que la partie liée à la mémoire et aux autres fonctions mentales.

Lorsqu’une personne perçoit un environnement aimant, le corps active les gènes de croissance et nourrit le corps.

Lipton a donné l’exemple des orphelinats d’Europe de l’Est, où les enfants reçoivent beaucoup de nutriments, mais peu d’amour. Il a été constaté que les enfants placés dans ces institutions présentaient un retard de développement en termes de taille, d’apprentissage et d’autres domaines. L’incidence de l’autisme est également élevée. Lipton a déclaré que l’autisme dans ce cas est un symptôme d’activation des gènes de protection, comme la construction de murs.

« Les croyances agissent comme un filtre entre l’environnement réel et votre biologie », a-t-il déclaré. Ainsi, les gens ont le pouvoir de changer leur biologie. Il est important de garder une perception claire, a-t-il dit, car sinon vous ne développerez pas biologiquement les bonnes choses pour l’environnement réel qui vous entoure.

« Vous n’êtes pas victimes de gènes », a-t-il dit, demandant au public de réfléchir :

« Avec quelles croyances sélectionnez-vous des gènes? »

[Voir aussi (avec vidéos) :
RÉALITÉ PARALLÈLE-REPROGRAMMER VOTRE VIE
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus
Modifier notre ADN via notre conscience !]




Et si notre organisme n’était pas du tout stérile ? Un siècle d’erreurs scientifiques

[Source : aimsib.org via santeglobale.world]

Source image : Pixabay

Par La rédaction de l’AIMSIB

Brigitte Fau nous propose de revoir ici une expérience singulière et dérangeante que chacun peut vérifier dans sa cuisine, tendant à infirmer totalement les hypothèses pasteuriennes qui président à la vision actuelle du vivant et de son interaction avec les microbes. Abandonner définitivement Pasteur, êtes-vous prêt ? Bonne lecture.


En Juillet 2017 dans une lettre ouverte à notre ministre de la santé(([1] http://www.andrefougerousse-recherche.fr/435764009)), le Pr A. Fougerousse parle des « dogmes erronés de PASTEUR »et demande que les travaux de Béchamp et Tissot soient repris avec les moyens modernes par des universitaires indépendants. Il y a de quoi interpeller quiconque s’interroge sur l’obligation vaccinale.

En Janvier 2019, un article(([2] https://www.researchgate.net/publication/330453639_Multi- Method_Characterization_of_the_Human_Circulating_Microbiome)) étudiant le « microbiome(([3] Matériel génétique associé à des microbes)) circulant » nous présente sous une forme discrète, comme anodine dans les nombreux méandres de la science :

« Alors que la colonisation de diverses niches corporelles (l’intestin, par exemple) par des communautés dynamiques de micro-organismes est maintenant universellement acceptée, l’existence de populations microbiennes dans d’autres zones « classiquement stériles», y compris le sang, est un concept relativement nouveau »

« classiquement stériles », « concept nouveau » : Non ! Pas pour ceux qui connaissent les travaux de Béchamp. C’est ainsi 140 années d’erreurs, d’errance, pour la science se basant sur des principes non démontrés, et combien encore ?

[Voir aussi :
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Les Racines de nos Maladies
Épidémies et contagions
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons]

Remontons l’histoire

Dans la pratique des sciences, …l’imagination … qui tend à nous porter continuellement au delà du vrai, l’amour-propre et la confiance en nous-mêmes qu’il sait si bien nous inspirer, nous sollicitent à tirer des conséquences qui ne dérivent pas des faits…

-« il n’est donc pas étonnant que dans les sciences physiques en général, on ait souvent supposé au lieu de conclure ; que les suppositions, transmises d’âge en âge, soient devenues de plus en plus imposantes par le poids des autorités qu’elles ont acquises, et qu’elles aient enfin été adoptées et regardées comme des vérités fondamentales, même par de très bons esprits… »

Lavoisier(([4] Lavoisier Extrait du discours préliminaire du Traité élémentaire de chimie))

La vaccination et la pathologie sont basées sur les principes de Pasteur suivants(([5] L. Pasteur. Recherches sur la putréfaction p.1189. « le corps des animaux est fermé dans les cas ordinaires, à l’introduction des germes des êtres inférieurs…)):

  • Le milieu intérieur est stérile (« asepsie des organismes vivants »),
  • Il faut le protéger des « microbes » venant de l’extérieur (« panspermie atmosphérique »)

Suivant les conseils sages de Lavoisier, posons-nous la question : Ces principes sont-ils des suppositions devenues des vérités ou bien sont-ils tirés des faits ? Comment Pasteur a-t-il tenté de prouver l’asepsie ?

Une expérience consiste à laisser à température ambiante un morceau de viande fraichement prélevé à un animal sain, totalement débarrassé et isolé des germes de l’air. En l’absence de germes externes et internes (asepsie des animaux), celle-ci ne doit pas subir de putréfaction.

Voyons quelles expériences de ce type ont été menées :
De nombreux chercheurs ont utilisé des méthodes diverses et parfois très sophistiquées pour s‘assurer qu’aucun germe de l’air ne pouvait intervenir(([6] A. Béchamp : « les microzymas . avec l’hétérogènie… » 4e conférence)). Pasteur s’est inspiré des expériences de ses prédécesseurs (Schwann, Helmholtz, Cl. Bernard…) légèrement modifiées. Dans le principe il fait bouillir des infusions (ici, le morceau de viande) pendant quelques minutes de façon que les vapeurs balaient et tuent les germes puis il l’expose dans de l’air calciné ou filtré par du coton… Sans rentrer dans les détails, tous sont d’accord pour s’être assurés qu’aucun germe de l’air n’intervient.

Résultat des expériences :
Toutes les expériences aboutissent systématiquement à une altération de la viande avec dégagement gazeux malodorant. Exception faite des cas où la viande a subi une ébullition prolongée au point d’en coaguler tous les sucs (Expérience de Schoeder et Dusch). Pasteur dit :

« j’ai constaté que la viande se faisande d’une manière prononcée si elle est en petites quantités et qu’elle se gangrène si elle est en masse plus considérable »(([7] L. Pasteur. Recherches sur la putréfaction p.1194 – A noter que Pasteur reconnaîtra beaucoup plus tard (s’inspirant, seulement en partie malheureusement, des travaux d’Antoine Béchamp) et parlant de fruits blets, que les fruits subissent effectivement une fermentation « de leur cellule » après la mort, persistant donc à nier toute cause provocatrice interne, et ne démontrant aucunement cette conclusion. (cf. L. Pasteur, « Faits nouveaux pour servir à la théorie de la fermentation »). A. Béchamp explique que les cellules disparaissent beaucoup trop rapidement pour en être la cause.))

Pasteur, convaincu que les germes ne peuvent provenir que de l’air, nie que cette altération soit due à une quelconque cause provocatrice interne à la viande. Et en l’absence d’approfondissement voilà l’explication servant de conclusion qu’il donne :

« loin de la putréfaction…la gangrène me paraît être l’état … d’une partie d’organe conservé, malgré la mort, à l’abri de la putréfaction… …Il est impossible aux températures ordinaires de soustraire cette chair à la réaction des liquides et des solides les uns sur les autres »(([7] L. Pasteur. Recherches sur la putréfaction p.1194 – A noter que Pasteur reconnaîtra beaucoup plus tard (s’inspirant, seulement en partie malheureusement, des travaux d’Antoine Béchamp) et parlant de fruits blets, que les fruits subissent effectivement une fermentation « de leur cellule » après la mort, persistant donc à nier toute cause provocatrice interne, et ne démontrant aucunement cette conclusion. (cf. L. Pasteur, « Faits nouveaux pour servir à la théorie de la fermentation »). A. Béchamp explique que les cellules disparaissent beaucoup trop rapidement pour en être la cause.))

Pasteur a ainsi admis l’asepsie des êtres vivants.

Comment la « science » a-t-elle pu se contenter d’une si faible conclusion ayant autant de conséquences ? Ce qu’en disait A. Béchamp :

« J’affirme que si on mettait ensemble tous les liquides et tous les solides du même organisme, mais préalablement réduits à l’état de principes immédiats, ils ne produiraient rien de semblable à ce que M. Pasteur appelle viande faisandée ou réduite à l’état de gangrène ».

Et il s’inquiète :

«… Je ne pouvais m’empêcher de faire remarquer qu’ayant pris pour bases de ses derniers travaux sur l’étiologie des maladies, une hypothèse non vérifiée et des principes que l’observation n’a jamais confirmés, il engageait la médecine dans une mauvaise voie »

Et en effet, la médecine et la science n’ont jamais remis en question les dogmes de Pasteur, qui ont été admis comme des vérités absolues sans jamais avoir été vérifiés. Demandons-nous quelles devraient être les conclusions de l’expérience. Béchamp (et son équipe) démontre que l’analyse des produits issus de l’altération de la viande, témoignent d’une fermentation donc de la présence de ferments internes d’une part et cela explique que dans le cas de l’ébullition prolongée, les ferments sont détruits entièrement grâce à quoi la viande ne subit aucune altération.

30 années de recherche ont été consacrées à comprendre le rôle de ce ferment qu’il a su isolé, qu’il appelle microzyma. On trouve des microzymas dans l’air, mais également dans la craie, et surtout dans tous les êtres organisés, au sein de leurs tissus, de leurs humeurs … dans lesquels ils jouent un rôle essentiel et ils peuvent devenir morbides et évoluer (polymorphisme) en bactéries uniquement si le milieu dans lequel ils exercent leur fonction se déséquilibre.

Retour à nos jours

La science découvre donc ENFIN, la présence d’un microbiome dans nos milieux si longtemps considérés stériles, remettant en cause le dogme de l’asepsie des organismes supérieurs. Il faut bien comprendre la nuance entre « microbiote » et « microbiome » :

Le terme microbiome décrit le matériel génétique codant pour les différentes populations microbiennes (microbiote) qui peuplent notre corps.

Les scientifiques détournés (volontairement, sans aucun doute) des découvertes de Béchamp, n’ont encore aucune idée de la localisation de ce matériel génétique, ADN / ARN « bactérien » et l’associe à d’éventuelles bactéries qui seraient en dormance dans les individus sains. Nous n’en avons pas fini avec ce lavage de cerveau que nous avons tous subi en suivant la voie de Pasteur ; les scientifiques ne peuvent s’empêcher de penser pasteurien, ils admettent toujours que ces éléments microbiens sont étrangers à nos organismes. Ils admettent toujours qu’ils sont de formes invariables (monomorphisme).

Pourtant constatant que le premier dogme de Pasteur est faux, il devrait douter de ses autres dogmes admis, non ? Eh bien non, parce qu’ils ne connaissent pas les travaux de Pasteur, ils font confiance à ce qu’ils ont appris et « ce qui appartient à l’histoire est du passé ». Dommage ! En remontant à la source des erreurs, on peut repartir sur de meilleures bases. Alors combien d’années encore et de détours sans fin attendrons-nous pour comprendre que ces éléments sont vitaux.

Comprenez-bien ce qu’Antoine Béchamp a démontré : Prenez tous les constituants de notre organisme, sans ces petits êtres qui nous peuplent, rien ne se passerait, rien ne bougerait ;

  • Qu’est-ce qui anime tout ce qui se passe dans nos corps ?
  • Comment la cellule se constitue, s’organise ?
  • Comment l’ADN se retrouve dans un noyau, dans une cellule, elle-même transitoire ?
  • Comment …. ?

Notre science analyse nos constituants, constate des événements, des changements qui s’opèrent, mais il manque un chainon essentiel : Qui est l’organisateur ? « les microzymas sont à la racine même de l’organisation, sans eux pas d’organisation, pas de matière vivante »

Les microzymas nous survivent !…

Les découvertes d’A.Béchamp sont toujours en avance sur notre science malgré nos moyens techniques impressionnants. Pourtant rien ne sera fait pour faciliter la tâche des scientifiques. Il faut savoir que les travaux de Béchamp ont été cachés. Pour preuves :

  • Il n’apparaît même pas dans l’encyclopédie Universalis qui nous servait de référence dans nos recherches estudiantines à une époque pas si lointaine.
  • Anecdote que m’a confiée le Pr A. Fougerousse : « En visitant la Faculté de Médecine de Montpellier à l’occasion des journées du patrimoine (il y a quelques années), j’ai vu que le portrait de BECHAMP avait été retiré de la Salle des Actes, où figurent tous ses collègues. C’est dans cette salle que se déroulent toutes les soutenances. Il y a certes une petite ruelle située en face de la Fac de Médecine qui porte le nom d’Antoine BECHAMP. Et une rue porte son nom à OSTWALD, ville de la banlieue de Strasbourg, depuis 1982, ville dont j’ai été le maire de 1979 à 1991 ».
  • Il ne faut pas tuer la poule aux œufs d’or et tout sera fait pour détourner toute velléité de s’y intéresser.
  • Une étude datant de 2017(([8] https://www.nature.com/articles/s41598-017-10479-8)), commanditée probablement, analyse des particules du sang, inférieurs à 0,2 μ et n’y trouvant aucun matériel génétique, conclut à l’inexistence de particules vivantes et balaye ainsi sans autre approfondissement les travaux considérables de Béchamp, Enderlein, Naessens, Villequez…

Alors, que ces personnes nous expliquent où se situe ce fameux microbiome ! Et s’ils n’ont pas trouvé ce matériel génétique dans les particules qu’ils ont analysés, ils n’ont sans doute pas analysé les bonnes particules dont les tailles sont variables suivant les centres où elles se trouvent. Béchamp les mesurait de l’ordre de 0,5 μ dans le foie et les trouvaient effectivement plus petites, logées plutôt dans la fibrine du sang(([9] Des condensés des travaux de Béchamp sont à votre disposition sur mon site
https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/)). Mais ont-ils seulement tenté d’utiliser un filtre entre 0,2 et 0,5 μ ?

Les scientifiques se contentent parfois de vraiment peu pour confirmer leur vision. Beaucoup auraient des leçons à prendre de Béchamp précisément qui remettait sans cesse en cause ses propres résultats pour être sûr de ne rien laisser passer.

Il avait aussi conscience des limites techniques de son époque et posait les questions auxquelles je suis impatiente de connaître les réponses grâce à nos nouvelles techniques. Alors quand ? Ces travaux sont publiés, ils ont été étouffés par la propagande pasteurienne, dont on découvre seulement les mensonges. Il faut plus que jamais rétablir cette injustice.

Conclusion

Suivons attentivement les travaux sur le microbiome et attendons (patiemment !) la suite, puisque notre gouvernement refuse de confier à des universitaires indépendants la reprise des travaux de Béchamp, Tissot … avec les nouveaux moyens, malgré les demandes insistantes du Pr A. Fougerousse…(([1] http://www.andrefougerousse-recherche.fr/435764009))

Sources




Racines nazies de la famille royale britannique ?

[Source : Sott.net]

[Photo : © Popperfoto/Getty Images
Le duc de Windsor, qui fut pendant quelques mois en 1936 le roi Édouard,
lors d’une tournée dans l’Allemagne nazie en 1937.]

Les racines nazies de la Maison de Saxe-Cobourg-Gotha (Windsor) mises en lumière par de nouvelles révélations

Par Matt Ehret

Au milieu de la tempête de désinformation orwellienne qui façonne notre monde actuel, le haut est devenu le bas, le blanc est devenu le noir et le bien est devenu le mal [plus que jamais sans doute – NdT].

Bien que les maux du nazisme aient été vaincus principalement grâce aux sacrifices consentis par les Russes pendant la Seconde Guerre mondiale, il est de plus en plus courant d’affirmer que le véritable méchant de la grande guerre était Staline. Et en dépit du fait que les nazis refusant d’accepter le changement social et économique ont été absorbés par la machine de renseignement dirigée par les Five Eyes pendant la Guerre froide — lesquels ont donné naissance à des nazis de deuxième et troisième générations présents en Ukraine aujourd’hui — on nous répète que l’Ukraine est un temple de la liberté et un phare de la démocratie sur le territoire duquel nous devrions risquer d’allumer le feu nucléaire mondial pour le défendre.

Lorsque des vérités gênantes sont capables de percer l’illusion enivrée de Novlangue orwellienne qui a contaminé les grandes lignes de la pensée actuelle, elles constituent une véritable bouffée d’air frais. L’une de ces vérités concerne la reconnaissance par les médias mainstream de l’authenticité du contenu scandaleux et funeste de l’ordinateur portable de Hunter Biden. Ces révélations ont forcé les États-uniens à prendre conscience que leur actuel président a, sous le règne d’Obama, directement bénéficié des systèmes de pots-de-vin et de corruption qu’il supervisait alors qu’il était vice-roi d’une Ukraine infestée de nazis.

Le roi nazi de Channel 4 est nu

Une autre révélation explosive — laquelle a provoqué une onde de choc dans les grandes lignes de la pensée occidentale ces derniers jours — a été présentée dans un documentaire diffusé sur la chaîne britannique Channel 4, intitulé « Edward VIII : Britain’s Traitor King » [Le roi traître de Grande-Bretagne – NdT].

Ce film, basé sur un livre de l’historien Andrew Lownie qui va bientôt sortir, utilise des rapports récemment déclassifiés issus des archives royales pour raconter l’histoire du roi britannique nazi Édouard VIII, qui non seulement souhaitait la victoire des nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, mais a activement travaillé à la réalisation de cet objectif depuis le moment où il a été contraint d’abdiquer le trône en 1936 (prétendument pour épouser une divorcée américaine, Wallis Simpson) jusqu’aux jours les plus sombres de la guerre elle-même.

Comme le prouve ce documentaire, apprendre à sa jeune nièce Elizabeth II comment faire un sieg heil correct ne fut pas sa seule courbette envers le nazisme.

Alors qu’il était en exil au Portugal, où le couple royal s’est lié avec l’élite allemande, le documentaire cite des câbles diplomatiques envoyés par Édouard à des responsables allemands, exigeant que les nazis bombardent sans relâche l’Angleterre pour la soumettre en 1940, encourageant la mort de millions de civils innocents. Le film cite également un discours peu connu dans lequel Édouard a appelé à la capitulation de la Grande-Bretagne devant les nazis en 1939, discours que la BBC a refusé de diffuser. Même après avoir été envoyé aux Bahamas par des fonctionnaires impériaux qui avaient décidé qu’il était plus opportun d’abattre leur monstre Frankenstein que de poursuivre leurs plans antérieurs pour un Nouvel Ordre mondial fasciste, le futur roi nazi avait envoyé un câble aux fonctionnaires d’Hitler indiquant qu’il était prêt à revenir en Europe si nécessaire et à reprendre sa place légitime sur le trône en tant que roi aryen.

Édouard VIII et Hitler
© Alamy Stock Photo
Édouard VIII et Hitler

Au-delà du film — Les racines nazies des Windsor

Outre le cas d’Édouard VIII, il existe de nombreux autres liens pour le moins embarrassants entre les nazis et la maison de Windsor (anciennement Saxe-Cobourg-Gotha) que le film ne mentionne pas, dont certains impliquent directement le défunt prince consort Philip Mountbatten (alias le [décédé – NdT] duc d’Édimbourg).

Trois des quatre sœurs du duc d’Édimbourg ont été mariées à des princes nazis, et le mari de l’une d’entre elles (Sophie) est devenu un officier Waffen SS ayant le rang d’Oberführer (chef supérieur).

Ce dernier, le prince Christophe de Hesse-Cassel, était le chef du Forschungsamt (Direction de la recherche scientifique), une opération spéciale de renseignement dirigée par Hermann Göring, et il était également Standartenführer (colonel) de la SS dans l’équipe personnelle de Heinrich Himmler. Les quatre beaux-frères de Philip, avec lesquels il vivait, sont tous devenus des fonctionnaires de haut rang du parti nazi.

Philip a lui-même perpétué la tradition familiale, ayant d’abord été éduqué dans les années 30 dans le cadre d’un programme nazi centré sur l’eugénisme, avant de fonder en 1961 le World Wildlife Fund (WWF) avec un autre ancien membre du parti nazi, le prince Bernhard des Pays-Bas, eugéniste de toujours et fondateur du groupe Bilderberg. Philip et Bernhard ont été rejoints par Sir Julian Huxley (alors président de l’Eugenics Society of Britain) en tant que cofondateur du WWF. Dans une interview accordée en août 1988 à la Deutsche Press Agentur, le prince Philip a proclamé son désir de revenir dans une prochaine vie sous la forme d’un virus mortel pour aider à « résoudre la surpopulation ».

Note du traducteur : En 1907, l’Eugenics Educational Society (qui deviendra après 1926 l’Eugenics Society) est fondée en Grande-Bretagne à l’initiative de Francis Galton (1822-1911) et de la réformatrice sociale Sybil Gotto. Source

Le pendant de l’Eugenics Society of Britain se situe de l’autre côté de l’Atlantique : l’American Eugenics Society et l’American Society of Human Eugenics, financées par les familles Rockefeller, Carnegie et Harriman, ainsi que par l’Institut Rockefeller pour la Recherche médicale. Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme

Quant à Francis Galton, l’homme qui voulait améliorer l’espèce humaine et le fondateur de l’eugénisme, il était le cousin de Charles Darwin — dont les théories ont elles aussi largement alimenté le délire eugéniste — et, entre autres, connu pour avoir mis en place de façon systématique la méthode d’identification des individus au moyen de leurs empreintes digitales. Il a également développé des techniques considérées comme l’ancêtre du morphing.

Francis Galton est aussi le père de la formule « nature vs culture », encore au cœur des débats contemporains ; il la devait sans doute à La Tempête, pièce de théâtre de Shakespeare, dans laquelle Prospero se désole que son esclave Caliban soit « Un démon, un diable-né, car à sa nature, la culture ne saurait adhérer ».

Voir aussi : De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses

En ce qui concerne ce virulent concept de réduction de la population, il convient de revenir sur l’œuvre et les paroles de celui qui fut un éminent vice-président du WWF de 1978 à 1981, Maurice Strong, et qui travaillait directement sous les ordres du prince Philip (alors président par intérim du WWF). Selon Justin TrudeauStrong avait cofondé le Forum économique mondial aux côtés de Klaus Schwab en 1971, présidé la Conférence des Nations unies sur la population de 1972 et sa suite à Rio de Janeiro en 1992, tout en jonglant avec un large éventail de casquettes : président de la Banque mondiale, auteur de la Charte de la Terre, fondateur de l’Agence des Nations unies pour la protection de l’environnement et architecte de l’Agenda 21 (récemment rebaptisé Agenda 2030).

Note du traducteur : À propos de Maurice Strong et de l’Agenda 2030, voir les deux articles suivants :

Attachez vos ceintures ! Mesdames, Messieurs maintenant le « Grand Reset » de l’économie mondiale de Davos. Que se passe-t-il après la pandémie de la Covid-19 ? :

[Maurice Strong était] un pétrolier canadien milliardaire et ami proche de David Rockefeller, c’est l’homme qui a joué un rôle central dans les années 1970 pour l’idée que les émissions de CO2 dues à l’homme rendaient le monde non durable. Strong a créé le Programme des Nations unies pour l’environnement et, en 1988, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) pour étudier exclusivement le CO2 d’origine humaine.

Et Vanguard, Blackrock, Big Pharma, Gates, FEM, OMS, ONU & Co — Monopole et Grande réinitialisation

Maurice Strong
© Wikimedia
Maurice Strong

Dans un entretien accordé en mai 1990 au magazine WEST, Strong évoque une réunion à Davos et s’interroge :

« Et si un petit groupe de dirigeants mondiaux arrivait à la conclusion que le principal risque pour la Terre provient des actions des pays riches ? Et si le monde devait survivre, ces pays riches devraient signer un accord réduisant leur impact sur l’environnement. Le feraient-ils ? La conclusion du groupe est « non ». Les pays riches ne le feraient pas. Ils ne changeraient pas. Alors, pour sauver la planète, le groupe décide : Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-il pas de notre responsabilité d’y parvenir ? »

Le prince Philip a fait preuve d’une froideur misanthrope similaire en contemplant le zoo humain :

« Vous ne pouvez pas garder un troupeau de moutons plus important que la quantité que vous êtes capable de nourrir. En d’autres termes, la conservation peut impliquer un abattage afin de maintenir un équilibre entre les nombres relatifs de chaque espèce dans un habitat particulier. Je me rends compte que c’est un sujet très délicat, mais il n’en reste pas moins que l’humanité fait partie du monde vivant. Chaque nouvelle superficie mise en culture signifie qu’une autre superficie est refusée aux espèces sauvages. »

Le cas troublant du Prince Charles

Bien que Philip soit décédé en 2021, son fils et héritier du trône a pris la mission de son père de réduire la population mondiale à cœur, en dirigeant diverses organisations de protection de l’environnement et en tant que parrain de la défunte Liverpool Care Pathway, dont il a été révélé qu’elle a euthanasié plus de 60 000 citoyens britanniques par an, sans leur consentement, entre 2001 et 2013.

Au cours de ses 18 années de règne, la Liverpool Care Pathway a fait pression sur des centaines de prestataires de soins de santé pour qu’ils inscrivent des millions de patients malades et âgés — et coûteux — sur des listes de « fin de vie » sans leur consentement, avec pour conséquence une déshydratation forcée et des perfusions de morphine pour accélérer la mort, alors que des traitements vitaux étaient encore disponibles.

En juin 2020, le prince Charles a cofondé avec son collègue Klaus Schwab l’Initiative Great Reset du Forum économique mondial afin de profiter de la « double crise existentielle » du changement climatique et d’une pandémie [orchestrée – NdT] pour remodeler radicalement les comportements et les systèmes économiques mondiaux. Au-delà des belles paroles utilisées par les milliardaires de Davos pour rallier l’humanité au sauvetage de la planète, le fait est que ces réformes « vertes », « Build Back Better » [reconstruire en mieux – NdT], qui adhèrent à l’énergie durable, à la réduction des émissions de carbone et aux réformes de l’alimentation, comme en témoigne l’agenda européen « Farm to Fork » [de la ferme à la fourchette – NdT], entraîneraient une échelle de mort dont même un Hitler pourrait rougir.

Le pedigree nazi de la famille royale et de ses fidèles dirigeants soulève la question suivante : Pourquoi leur poursuite de la doctrine eugénique nazie sous la forme des mouvements d’euthanasie et de croissance zéro n’a-t-elle pas été plus largement portée à la connaissance du public ? Dans quel type de monde vivons-nous, pour que des faits aussi ahurissants ne soient pas de notoriété publique ?

Le système du Conseil privé

J’espère qu’il devient de plus en plus clair que l’empire britannique et ses aspirations au contrôle de la population n’ont jamais pris fin avec l’annulation du projet Hitler en 1945.

J’espère qu’il devient également clair que cet empire n’a jamais été la nation de Grande-Bretagne, son Parlement ou son peuple.

Le véritable Empire a toujours été une oligarchie financière utilisée par un vaste réseau de structures de pouvoir pour promouvoir les intérêts de l’aristocratie européenne. L’épicentre actuel du pouvoir est constitué par les monarchies anglo-néerlandaises (autrement appelées les Founts of All Honours). C’est ce pouvoir qui contrôle le groupe Bilderberg, son appendice junior le Forum économique mondial, et qui dirige la politique américaine par l’intermédiaire du Council on Foreign Relations basé à New York (la version américaine de Chatham House), surnommé par Hillary Clinton « le vaisseau-mère ».

Note du traducteur : Un « Fount of Honour » désigne le chef d’État d’une nation qui, en vertu de sa position officielle, a le droit exclusif de conférer des titres légitimes de noblesse et des ordres de chevalerie à d’autres personnes.

Chatham House est un autre nom pour le Royal Institute for International Affairs (RIIA) créé en 1919 par les principaux Milnerites du mouvement de la Table ronde qui ont créé le Council on Foreign Relations (CFR) afin de promouvoir l’eugénisme et un gouvernement mondial sous l’égide de la Société des Nations. La branche américaine a reçu son nom pour éviter toute allusion à la terminologie britannique en raison de la méfiance des Américains à l’égard des intrigues britanniques. Les branches canadienne et australienne ont été créées en 1928 et dirigées depuis lors le plus souvent par des agents formés à Oxford. Dans le cas des États-Unis, l’actuel président du CFR, Richard Haass, a obtenu une bourse Rhodes à Oxford en 1978.

Note du traducteur : Ce mouvement est aussi connu sous le nom de Rhodes-Milner Round Table Groups. Parmi les premiers membres se trouvent Lord Balfour, Cecil Rhodes et Lord Nathan Mayer Rothschild. La Table ronde sera financée par la Banque Lazard, la J.P. Morgan & Co. ainsi que par la famille Astor. C’est aujourd’hui un think tank toujours actif. Selon Wikipédia, l’influence de ce groupe aurait et serait très exagéré. Ben voyons…

C’est à Lord Lothian, membre éminent de Chatham House, qu’Hitler a exposé en 1937 son concept de nouvel ordre mondial anglo-allemand en déclarant :

« L’Allemagne, l’Angleterre, la France, l’Italie, l’Amérique et la Scandinavie… devraient parvenir à un accord par lequel elles empêcheraient leurs ressortissants d’aider à l’industrialisation de pays comme la Chine et l’Inde. Il est suicidaire de promouvoir l’établissement d’industries manufacturières dans les pays agricoles d’Asie. »[1]

N’importe quel technocrate prônant un projet de « Reconstruire en mieux pour le monde entier » ou un « New Deal vert mondial » pourrait être l’auteur de cette déclaration.

Aujourd’hui, l’Institut canadien des affaires internationales a été rebaptisé Conseil international du Canada (CIC). Le CIC est présidé par Ben Rowswell, spécialiste du changement de régime formé à Oxford, qui a travaillé en étroite collaboration avec la conseillère privée Chrystia Freeland pour tenter de renverser le gouvernement de Maduro en faveur de Juan Guaido, un pantin du Forum économique mondial, une tentative qui se poursuit encore aujourd’hui.

Un pilier essentiel du contrôle des colonies sous influence anglo-néerlandaise reste le système du Conseil privé, qui est centré sur la Grande-Bretagne, mais qui possède des branches secondaires dans certains pays du Commonwealth. C’est sous l’influence de ce Conseil privé que les agents de niveau inférieur sont institués sous la forme de sous-ministres, de Conseil du Trésor, de comités restreints et d’autres fonctionnaires nommés dans la fonction publique. D’autres acteurs clés des secteurs public et privé gèrent les intérêts de la Couronne. Tous les membres du cabinet du gouvernement sont nommés conseillers privés et tous les conseillers privés prêtent un serment de secret et d’allégeance à la Reine, y compris le serment de garder secret ce qui est discuté lors des réunions du Conseil privé[2].

Note du traducteur : Voir à ce sujet l’excellent article La psychopathie mondialisée et le Partenariat public-privé mondial et ses mécanismes de gouvernance multipartite

Au temps pour les parangons de « l’ordre libre et démocratique fondé sur des règles » !

Comme le documentaire de Channel 4 sur le roi nazi devrait nous le rappeler, certains placards royaux ne peuvent plus contenir le grand nombre de squelettes que certaines forces puissantes ont souhaité mettre à l’abri des regards. L’incapacité de la civilisation occidentale à rejeter la Novlangue orwellienne et autres inversions de la vérité a donné lieu à une tension existentielle qui sera résolue d’une manière ou d’une autre. Quant à savoir si cela signifie que l’héritage anti-humain d’Hitler, du Prince Philip, d’Edward VIII et d’autres nazis royaux passés et présents poussera l’humanité vers un nouvel Âge sombre ou si cela nous fera sortir de notre torpeur et chercher un nouveau destin plus digne, rien n’est certain.

Notes

[1] Transcription depuis l’ouvrage de Sir James R.M. Butler, Lord Lothian, Philip Kerr, 1882-1940, Macmillan and Co., Londres, 1960, pp. 332

[2] Étant donné qu’il est difficile pour les gens ordinaires de se faire à l’idée qu’une institution aussi médiévale existe encore dans le monde moderne, voici une extrait choisi du Serment d’allégeance que tous les conseillers privés doivent prêter en entrant dans cette fonction :

« Je, [nom], jure solennellement et sincèrement être un fidèle serviteur de Sa Majesté la Reine Elizabeth II, en tant que membre du Conseil privé de Sa Majesté pour le Canada. Je déclarerai fidèlement, honnêtement et véritablement ma pensée et mon opinion sur toutes les questions à traiter, à débattre et à résoudre au Conseil privé. En cette qualité, je garderai secrètes toutes les questions qui me seront confiées et révélées ou qui seront traitées secrètement devant le Conseil. D’une manière générale, j’agirai en toutes choses comme un fidèle et véritable serviteur doit le faire pour Sa Majesté. »

À propos de l’auteur

Matthew Ehret est le rédacteur en chef de la Canadian Patriot Review et Chargé de mission à l’université américaine de Moscou. Il est l’auteur de la série de livres Untold History of Canada et de Clash of the Two Americas. En 2019, il a cofondé la Rising Tide Foundation, basée à Montréal. Cet article a été publié pour la première fois sur le site de la Fondation pour la culture stratégique.

Source de l’article initialement publié en anglais le 3 avril 2022 : Substack
Traduction et emphases : Sott.net




Les conséquences sociétales catastrophiques de la politique anti-covid du gouvernement Macron

Par Gérard Delépine

L’effondrement du PIB (-10%), la forte dégradation de la balance des comptes (-53,2 milliards d’€), l’explosion de la dette publique (+420 milliards d’€), l’aggravation record de la pauvreté et des inégalités sociales, la division de la nation et le recul de la démocratie ne sont pas les conséquences du Covid mais essentiellement des mesures autoritaires scientifiquement infondées qui ont été imposées, des lois d’exception qui les ont autorisées du refus de tout débat démocratique, de la censure, de la persécution des opposants et du « quoiqu’il en coûte » a plus de 400 milliards d’euros.

La santé économique et politique du pays nécessite de rétablir liberté et confiance. Pour la rétablir il est indispensable de supprimer toutes les obligations prétendument sanitaires, de stopper la propagande mensongère provax permanente, les censures, les diffamations contre les opposants et d’ouvrir enfin un débat démocratique équilibré.

Dans un article précédent,(([1] https://nouveau-monde.ca/le-bilan-de-la-politique-sanitaire-du-quinquennat-de-macron-est-desastreux/)) nous avons dressé le bilan sanitaire sinistre de la politique anti-covid du gouvernement : plus de 100 000 morts qu’on aurait pu éviter si les ukases du gouvernement Macron avaient respecté les données acquises de la science et l’éthique médicale.

Dans ce second article, nous en évaluerons les conséquences sociétales de ce qu’il faut bien appeler une dictature sanitaire du fait de la propagande permanente des médias, l’obscurité des décisions en partie guidées par le cabinet Kinsey, les mensonges d’état, une censure féroce, les diffamations et les persécutions professionnelles et policières des opposants, le non-respect des droits démocratiques fondamentaux…(([2] Depuis la publication de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19, des ordonnances, décrets, lois de prorogation ont été appliqués sans qu’aucun contre-pouvoir n’ait pu remettre en cause le caractère inconstitutionnel de ces mesures. Nous pouvons le constater à la lecture de la décision du Conseil constitutionnel n° 2020-808 DC du 13 novembre 2020, relative à la loi autorisant la prolongation de l’état d’urgence sanitaire, par laquelle le Conseil constitutionnel refuse de censurer ladite loi alors que : — le gouvernement a utilisé la procédure des votes bloqués (art. 44, al.3 de la Constitution), empêchant ainsi d’adopter un amendement réduisant la période de confinement (amendement qui avait été adopté lors du premier vote).))

Effondrement du PIB (près de -10 %)

En Europe, la baisse du PIB 2020 est directement corrélée à l’intensité et à la durée des mesures restrictives des libertés. L’Espagne (-11 %) et l’Italie (-8,9 %), particulièrement touchées par les confinements lors de la première vague sont les deux États membres qui enregistrent le plus fort taux de récession. Viennent ensuite la Croatie 8,4 %), la Grèce (-8,2 %), le Portugal (-7,6 %) et la France (-8,1 %) ou la chute de la consommation des ménages a atteint 7,1 % et l’investissement a reculé de 9,8 %. Cette baisse du PIB français 2020(([3] https://www.lepoint.fr/economie/covid-19-le-pib-a-chute-de-8-3-en-2020-une-recession-historique-29-01-2021-2411756_28.php)) est à comparer à son augmentation moyenne des dernières années (+2 %), ce qui permet de chiffrer l’impact réel du confinement sur le PIB à -10 %. Nous avons été parmi les plus victimes de contraintes (indice 60 %) et logiquement nous nous retrouvons avec l’une des plus fortes baisses de PIB.

Cette chute du PIB français constitue le record absolu depuis la dernière guerre.

L’Autriche est dans la moyenne de la récession de la zone euro, avec -6,6 % du PIB réel par rapport à 2019. Quant à l’Allemagne, elle accuse un recul de 4,9 % de son PIB par rapport à 2019.

La Finlande (-2,8 %) et la Suède (-2,8 %) qui n’ont pas confiné s’en sortent beaucoup mieux.

Forte dégradation de la balance des comptes

Les mesures pseudo sanitaires ont entraîné une chute des exportations de 16,7 % aggravant le déficit des comptes courants qui a atteint 53,2 milliards € (-2,3 % du PIB) en 2020, alors qu’il était proche de l’équilibre en 2019 (-16,2 milliards €, soit -0,7 % du PIB).(([4] https://www.vie-publique.fr/sites/default/files/rapport/pdf/278462.pdf))

Un « quoiqu’il en coûte » a plus de 400 milliards d’€

Prise en charge du chômage partiel (plus de 34 milliards €), fonds de solidarité créé pour aider les petites entreprises et les indépendants (19,4 milliards €), exonération de cotisations sociales des entreprises (8,2 milliards €). Les primes (2 milliards €) : au total environ 60 milliards €.

Forte contraction de l’activité économique réduisant les recettes fiscales et sociales (100 milliards €).

La garantie de l’État de prêts que les banques ont accordé à près de 600 000 entreprises (jusqu’à 300 milliards €), la réassurance publique sur les encours d’assurance-crédit à hauteur de 10 milliards € et celle des crédits-exports de court terme à hauteur de 2 milliards €, soit plus de 310 milliards € d’engagement, dont on ne peut prévoir combien seront effectivement perdus.

« La crise du Covid-19 va coûter 424 milliards € à l’État français sur trois ans » avait annoncé le 13/4/2021 Olivier Dussopt le ministre de l’Action et des comptes publics. Quatre mois plus tard(([5] B Lemaire interview sur France Inter du 30 août 2021
https://www.challenges.fr/economie/la-facture-du-quoi-qu-il-en-coute-s-eleve-a-240-milliards_778588)), B. Lemaire chiffrait les sommes déjà dépensées à 240 milliards €.

Dans son rapport, rendu public le 9 septembre 2021, la Cour des comptes(([6] La Cour des comptes rapport, les dépenses publiques pendant la crise et le bilan opérationnel de leur utilisation rendu public le 9 septembre 2021
https://www.vie-publique.fr/rapport/281413-rapport-sur-depenses-publiques-pendant-la-crise-et-le-bilan-operationnel)) a relevé la forte hausse des dépenses publiques qui représentent 61,8 % du produit intérieur brut (PIB) en 2020 contre 55,4 % en 2019. Cette « augmentation massive » a contribué à une hausse des déficits publics, de l’État, de l’assurance-maladie et de l’Unedic.

Explosion de la dette publique

En 2019, avant la crise sanitaire, la dette publique de la France s’affichait à 2378 milliards € (97,6 % du PIB) et le déficit à 3,1 %. L’endettement a crû de 232,4 milliards € en 2020 et devrait croître de 185,8 milliards € supplémentaires en 2021. En 2021, la dette publique atteint 2798 milliards € (113 % du PIB) et le déficit 6,5 %.

En deux ans l’impact des mesures sanitaires sur l’accroissement de la dette atteint ainsi 400 milliards € !

Grâce au très faible taux d’intérêt accepté actuellement par les prêteurs la charge de la dette est momentanément contenue, mais elle fait peser une menace considérable sur notre avenir et notre indépendance lorsque les taux remonteront.

Aggravation record de la pauvreté et des inégalités sociales

Les mesures anti-Covid 19 imposées sans fondements scientifiques par le gouvernement Macron (sur les conseils du cabinet McKinsey ?) ont déstabilisé des situations budgétaires déjà très serrées.

Quand les maigres ressources baissent alors que les dépenses augmentent (du fait de la fermeture des cantines scolaires ou de l’augmentation des dépenses d’électricité et de gaz), les privations deviennent quotidiennes.(([7] Secours Catholique, 2020,
www.secours-catholique.org/sites/scinternet/files/publications/rs20-bd.pdf.)) La crise agit ici comme le puissant révélateur d’une insécurité alimentaire(([8] Une personne est en situation d’insécurité alimentaire lorsqu’elle n’a pas un accès régulier à suffisamment d’aliments sains et nutritifs pour une croissance et un développement normaux et une vie active et saine.)) déjà établie.

En 2020, 7 millions de personnes auraient eu recours à l’aide alimentaire, soit près de 10 % de la population française(([9] SECOURS CATHOLIQUE – CARITAS FRANCE ÉTAT DE LA PAUVRETÉ EN FRANCE 2021
https://www.unafo.org/app/uploads/2021/11/rs21.pdf)) contre 2,6 millions en 2006. Du jamais-vu depuis près de 70 ans.

David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a d’ailleurs appelé à cesser d’envisager le confinement comme moyen principal de lutte contre le covid-19(([10] 8 octobre 2020 dans l’hebdomadaire britannique The Spectator))(([11] https://thespectator.info/2020/10/12/who-reverses-course-says-lockdowns-are-too-damaging-and-shouldnt-be-primary-covid-response/)) en pointant les conséquences néfastes de ces mesures :

« Le confinement a des conséquences que vous ne devez jamais minimiser, celle de rendre les gens pauvres, beaucoup plus pauvres. »,

ajoutant :

« les politiques actuelles de confinement produisent des effets désastreux sur la santé publique à court, moyen et long terme. ».

L’appauvrissement des pauvres s’est accompagné d’un enrichissement record des ultrariches (27,5 %) aggravant d’autant les inégalités. La banque suisse UBS et le cabinet de conseil PwC dans leur rapport 2020 sur les milliardaires(([12] Riding the storm
https://www.pwc.ch/en/insights/fs/billionaires-insights-2020.html)), estiment à 10 200 milliards dollars la fortune des 2000 plus riches du monde.

Selon le rapport 2022 d’Oxfam(([13] Oxfam rapport 2022 les inégalités tuent
https://www.oxfamfrance.org/rapports/dans-le-monde-dapres-les-riches-font-secession/)) présenté par Quentin Parrinello :

« la fortune des milliardaires dans le monde a plus augmenté en 19 mois de pandémie qu’au cours de la dernière décennie. Depuis la pandémie, le monde compte un nouveau milliardaire toutes les 26 heures, alors que 160 millions de personnes sont tombées dans la pauvreté.

Avec les 236 milliards € supplémentaires engrangés en 19 mois par les milliardaires français, on pourrait quadrupler le budget de l’hôpital public ou distribuer un chèque de 3500 euros à chaque Français.

Les 5 premières fortunes de France ont doublé leur richesse depuis le début de la pandémie. Elles possèdent à elles seules autant que les 40 % les plus pauvres en France.

« La hausse des grandes fortunes est un phénomène mondial, mais les fortunes françaises ont particulièrement progressé. Bernard Arnault est le deuxième homme qui s’est le plus enrichi au monde depuis le début de la crise, derrière Elon Musk ».

Une catastrophe éducative sans précédent

Les enfants n’ont rien gagné et énormément perdu des fermetures d’écoles. Les conséquences des fermetures de classes pendant 12 semaines, de l’enseignement à distance, des demi-jauges, du port obligatoire des masques n’ont fait l’objet d’aucune évaluation publiée dans des revues à comité de lecture. Et les multiples demandes de preuves de la CNIL concernant l’efficacité des passes sont toujours sans réponse du gouvernement.

Dès avril 2020, l’ONU avait lancé un cri d’angoisse prémonitoire contre les fermetures de classes :

« 188 pays ont imposé des fermetures d’écoles à l’échelle nationale, touchant plus de 1,5 milliard d’enfants et de jeunes. Il est difficile d’imaginer les conséquences potentielles de ces mesures sur l’éducation des jeunes d’aujourd’hui, et le développement de leur capital humain. »

Dans leur rapport du 6 décembre 2021, la Banque Mondiale(([14] Banque mondiale Les pertes d’apprentissage dues à la COVID-19 pourraient coûter à cette génération d’étudiants près de 17 000 milliards de dollars de gains à vie
https://www.banquemondiale.org/fr/news/press-release/2021/12/06/learning-losses-from-covid-19-could-cost-this-generation-of-students-close-to-17-trillion-in-lifetime-earnings)), l’UNESCO et l’Unicef ont estimé que la déscolarisation des enfants risque déjà de leur faire perdre près de 17 000 milliards $ de revenus, soit environ 14 % du PIB mondial actuel.

En France, la fermeture de 12 semaines des classes et les autres mesures anticovidovid-19 ont été responsables d’une forte aggravation du décrochage scolaire(([15] https://www.ouest-france.fr/education/rentree-scolaire/970-000-eleves-ont-decroche-lors-du-confinement-6947547)) qui n’est plus limité aux enfants défavorisés, mais menace maintenant tous les jeunes.

Selon « le Média de l’école »(([16] https://mediadelecole.wordpress.com/2020/11/17/actu-le-confinement-a-multiplie-les-cas-de-decrochage-scolaire/)) les enseignants interrogés définissent un élève désengagé comme un élève qui ne prend plus part aux activités proposées par l’enseignant ou un élève qui ne communique plus. Près de 20 % des élèves ne paraissent pas engagés dans la scolarité depuis le début du confinement. Ils seraient 30 % dans les collèges et lycées des Zones d’Éducation Prioritaire (ZEP). Par ailleurs, 40 % des élèves désengagés n’étaient pas identifiés par leurs enseignants comme des élèves à risque de décrochage, avant le confinement.

Les étudiants ont souffert tout autant des conditions inédites(([17] https://www.studyrama.com/actualite/covid-19-l-impact-de-la-crise-sur-les-conditions-de-107200)) et/ou de l’isolement et des conséquences financières du confinement : 31 % d’entre eux ont déclaré être en détresse psychologique et 10 % des étudiants confinés seuls déclarent avoir bu de l’alcool tous les jours.

43 % des étudiants suivis par M Wathelet(([18] https://www.letudiant.fr/lifestyle/Sante-mutuelle-et-assurance/sante-mentale-la-crise-sanitaire-pese-encore-sur-les-etudiants.html)) présentaient des troubles sévères de la santé mentale : détresse, stress, idées suicidaires, anxiété, dépression…

Entre la perte ou la diminution de l’activité salariée (pour 58 % des étudiants), l’annulation ou le report des stages (78 %) ou encore l’interruption des mobilités internationales et des programmes d’échanges (pour 72 % des étudiants), l’incertitude économique liée aux conséquences économiques des mesures sanitaires rendent les jeunes inquiets pour leur avenir.

25 % des étudiants ont modifié leurs projets d’orientation, et 21 % d’entre estiment que leurs chances d’insertion sont devenues mauvaises en France.

La psychologue M-E Dupont dénonce l’apprentissage à distance et sa grande inefficacité à terme(([19] Marie-Estelle Dupont : « Les Français sont fragilisés par cette pression, ce chantage, cette manipulation… » (lemediaen442.fr) )):

L’enseignement numérique ne permet pas que les informations passent dans la mémoire à long terme. Avec l’ordinateur, vous avez une déprivation sensorielle. Elle a vu des étudiants antérieurement brillants « en état quasi végétatif » en fin d’année scolaire, n’ayant peu ou pas de souvenirs des sujets étudiés. La mémoire immédiate a permis de passer les examens et basta. L’ordinateur désynchronise les cycles cérébraux et c’est la nuit qu’on mémorise. Et si on est tout le temps sur l’ordinateur, on dort mal et on ne mémorise plus.”

L’alternance de cours en direct et de cours à distance entraîne une concentration moindre et une perte d’apprentissage. Nombre d’élèves du primaire ne parviennent plus à rester concentrés ou présentent des phobies scolaires, les lycéens manquent de motivation et décrochent, les étudiants en situation de fragilité économique et affective baissent les bras et abandonnent plus ou moins leurs études.

En septembre 2021, le second baromètre de l’éducation des jeunes en France, un sondage réalisé par Opinion Way(([20] https://www.lejournaltoulousain.fr/societe/decrochage-echec-scolaire-en-hausse-depuis-le-debut-de-la-crise-132438/)) pour les Apprentis d’Auteuil montrait que « près d’un jeune sur cinq se déclare en difficulté scolaire en France, soit près de 1,3 million de jeunes de 16 à 25 ans ». Phénomène en hausse du fait de l’impact des mesures sanitaires, d’un contexte familial dégradé et système éducatif inadapté.“ Loin d’être un épiphénomène, c’est un véritable fait social : 44 % des jeunes en France avouaient avoir rencontré des difficultés scolaires. Par ailleurs, en France, 12,9 % des jeunes de 15 à 29 ans sont sans emploi, ni formation ou simplement déscolarisés.

Une démocratie fragile mal défendue par ceux censés le faire

La crise covid a été marquée par un état d’urgence totalement injustifié permettant au gouvernement de légiférer par décrets violant les droits fondamentaux de l’homme, sans qu’aucun des organismes censés les protéger (médiateur de la république, conseil d’État, conseil constitutionnel) ne réagisse.

Les interdictions de circuler lors des confinements, les couvre-feux…

Aucune de ces mesures liberticides n’a jamais prouvé son efficacité médicale. Aucune de ces mesures liberticides n’a été efficace. Toutes constituent des atteintes majeures à nos libertés.

Avant le covid, l’astreinte à domicile (confinement) représentait une peine qui ne pouvait être prononcée que par un juge envers un criminel. Nous avons tous été considérés comme des criminels par le gouvernement Macron !

Auparavant les couvre-feux n’avaient été utilisés qu’en temps de guerre et les autorisations de sortie (ausweiss) inventées par les Allemands lors de l’occupation. Le gouvernement Macron l’a fait, car il avait déclaré la guerre au virus (ou au peuple qui l’hébergeait ?)

Rétablissement du délit d’opinion pour les médecins

La Révolution française avait supprimé le délit d’opinion et l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 déclare que :

Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.”

La charte de l’ONU de décembre 1948 stipule :

Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.”

Mais, pour empêcher tout débat démocratique sur l’efficacité de sa politique anticovid, le gouvernement macron a rétabli le délit d’opinion pour les médecins. Le 24 décembre 2020, Castex a publié un décret modifiant l’Article R. 4127-19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions autres que la doxa officielle. Le nouvel article R. 4127-19-2 précise que le médecin qui communique avec le public doit suivre l’avis du conseil de l’ordre.

III. — Les communications mentionnées au présent article tiennent compte des recommandations émises par le Conseil national de l’ordre.

C’est donc maintenant le conseil de l’ordre qui détermine la vérité médicale !

Il le fait sans mesure en poursuivant tout médecin qui a le courage d’exprimer une vérité qui n’est pas bonne à dire comme Didier Raoult, Christian Péronne et bien d’autres pour avoir simplement exprimé leur opinion.

Dans le même temps, il refuse de faire respecter la loi qui oblige les médecins de plateau à préciser leurs liens d’intérêts et ne s’offusque pas des mensonges marchands que professent souvent les médecins des médias.

Rétablissement de la censure

Les géants du net, Facebook, google, tweeter ont installé des censeurs féroces supprimant les comptes ou dissimulant les textes qui ne participent pas à l’hystérie Covid.

Les dispositions héritées de la loi de 1881 sur le droit de la presse ne suffisant pas au gouvernement Macron, une loi “anti fausse information” a été votée dès le 20 novembre 2018 (promulguée le 22 décembre 2018) ce qui n’a pas empêché le ministère d’être souvent le premier diffuseur de désinformations.(([21] Rappelez-vous les crédos des masques))

Mais comme elle ne suffisait pas, Emmanuel Macron a installé une commission prétendument indépendante présidée par le sociologue Gérald Bronner et dont les membres, choisis par l’Élysée ont la fâcheuse habitude d’user du terme “complotisme” comme d’un anathème contre quiconque pense mal.(([22] https://www.franceinter.fr/emissions/en-toute-subjectivite/en-toute-subjectivite-du-lundi-04-octobre-2021)) Ils ont créé le ministère de la vérité cher à Orwell.

La France prend-elle pour modèle de liberté de la presse l’URSS ou la Chine ?

Apartheid et fragmentation de la communauté nationale par les pass

Ni le pass sanitaire ni le pas vaccinal n’ont permis de ralentir l’épidémie qui s’est propagée comme jamais auparavant lorsqu’ils étaient en vigueur. Cette inefficacité avérée a motivé leur abandon par tous les autres pays européens qui les ont institués.

Mais les mensonges des médias et du gouvernement Macron sur leur utilité espérée ont fait accepter par le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel les pass, mesures pourtant totalement contraires aux droits du citoyen et à notre devise “Liberté-Egalité-Fraternité” aboutissant à une instrumentalisation des institutions censées servir le peuple et non le pouvoir.

Seul le défenseur des droits a émis des réserves, appelant de ses vœux :

l’organisation d’un débat démocratique public de fond et regretter vivement le choix d’une procédure accélérée compte tenu de l’ampleur des atteintes aux droits et libertés fondamentales prévues par ce projet de loi ainsi que du caractère inédit de certaines dispositions qu’il comporte

Le caractère discriminatoire de ces mesures ne peut être écarté. Elles n’apparaissent pas proportionnées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles poursuivent.”

Ces pass ont créé un véritable apartheid dans la population selon le statut vaccinal et désigné les vaccino prudents à la vindicte des vaccinés. La célèbre phrase présidentielle : “je veux emmerder les non-vaccinés” témoigne à la fois de son mépris des Français et de la démocratie.

Violation des principes de Nuremberg et de la convention d’Oviedo

Les médecins nazis ont été condamnés à la pendaison parce qu’ils avaient imposé des traitements expérimentaux sans accord libre éclairé des personnes traitées. Le code de Nuremberg a ensuite été transposé en droit international par la Convention d’Oviedo signée par la France.

Compte tenu du caractère expérimental des pseudo vaccins (leurs essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023) les obligations vaccinales décrétées pour de nombreuses professions violent clairement la convention d’Oviedo que nous nous sommes pourtant engagés à respecter. Mais URSULA VAN DER LAYEN présidente de la Commission européenne a appelé à violer le code de Nuremberg en déclarant : “je pense qu’il est compréhensible et approprié de potentiellement penser à la vaccination obligatoire au sein de l’Union européenne”.

Diffamation, menaces et persécutions des opposants

L’exemple du professeur Raoult est éloquent. Parce qu’il a osé proposer un vieux traitement qui ne coûtait presque rien, il a été victime d’une campagne organisée de diffamation d’une violence inouïe, puis de menaces personnelles (y compris de menaces de mort), puis de plaintes infondées d’une société savante sponsorisée par Big Pharma et même d’une condamnation scandaleuse du conseil de l’ordre.

Suppression du droit au travail des opposants

Le docteur Pascal Sacré, Benoit Ochs et Denis Agret ont été chassés de leur poste ou interdits d’exercer, comme Philippe De Chazournes et bien d’autres alors qu’ils n’avaient commis aucun délit, ni été l’objet de plainte de patients.

Les soignants vaccino prudents ont été chassés de la profession sans droit aux indemnités chômage ou RSA, ce qui a augmenté le nombre de déserts médicaux et contraint près de 20 % des blocs opératoires à réduire le nombre d’interventions et de nombreux services d’urgence à fermer, le ministre pleurant ensuite qu’il n’était pas responsable de la pénurie de personnel !

L’exécutif bafoue continuellement le bloc constitutionnel depuis le début de la crise. Les conséquences sont désastreuses pour la Nation. Mise en place d’un Comité scientifique et du Comité Analyse, Recherche et Expertise (CARE), dont certains membres ont des liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique et qui de ce fait, ne peuvent être objectifs quant aux décisions à prendre concernant la santé des citoyens





La République en Marche visée par une plainte pour « dérives sectaires »

[Source : FranceSoir]

[Illustration : Me Virginie de Araujo-Recchia, avocate au Barreau de Paris.]

Auteur(s): FranceSoir

Le samedi 2 avril dernier, Me Virginie de Araujo-Recchia a porté plainte contre l’association La République en Marche pour le compte des associations citoyennes BonSens.org (dont Xavier Azalbert, directeur de la publication de FranceSoir, est administrateur) et AIMSIB (L’Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante). Les plaignants accusent le parti politique d’Emmanuel Macron de « dérives sectaires », impliquant des faits « d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse », ainsi que de « complicité d’empoisonnement et de génocide ». Pour avancer cela, les associations et l’avocate s’appuient essentiellement sur les deux dernières années de gestion de crise, notamment sur les mesures liberticides, le contrôle de l’information et « l’hypnose collective ».

Voir aussi : « On se décale du réel en préservant notre système de croyances à tout prix » Jean-Dominique Michel

Presque ironiquement, cette plainte intervient seulement quelques jours après que Me de Araujo-Recchia soit sortie de garde à vue, le 24 mars dernier. Elle avait été interpellée par la DGSI dans le cadre d’une enquête liée à Rémy Daillet, et a finalement été libérée sans que « rien ne lui soit reproché ». Pendant son interrogatoire — dont elle nous a confié le contenu quelques jours plus tard — des questions telles que « Qu’est-ce que le terme complotiste ? », « Qu’est-ce que le nouvel ordre mondial ? » ou encore « Que pensez-vous de la franc-maçonnerie ? » laissaient comprendre que c’était à elle que l’on reprochait une forme de dérive.

Notons qu’en janvier 2022, elle portait déjà plainte, avec son confrère Jean-Pierre Joseph, contre les parlementaires ayant voté la loi du 5 août (reconduction du passe sanitaire et obligation vaccinale).

Deux mois et une interpellation plus tard, elle revient à la charge avec cette plainte contre La République en Marche. BonSens, l’AIMSIB et Me Virginie de Araujo-Recchia partagent dans un communiqué la réflexion qui les a conduites à ce résultat :

Les associations BonSens.org et Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB) s’associent une nouvelle fois dans le cadre d’une plainte visant l’association LaREM pour dérives sectaires impliquant des faits d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse, de complicité d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement, de complicité de génocide.

En effet, le mandat de cinq ans accordé à LaREM a été ponctué de contestations et de manifestations massives. Des manifestations de gilets jaunes aux manifestations hebdomadaires ces derniers mois, réclamant la fin de la propagande « Covid-19 », le rétablissement de l’ordre public et la suppression des mesures attentatoires aux libertés publiques et aux droits fondamentaux proposées par les leaders LaREM et adoptées par la majorité LaREM à l’Assemblée nationale.

Durant ces deux dernières années, aucun des appels à la raison provenant d’experts mondiaux, de juristes, de victimes n’a pu infléchir l’idéologie mortifère des membres de LaREM. Bien au contraire, des consignes ont été données afin que les plateformes et médias grand public censurent et étouffent le plus grand scandale sanitaire de tous les temps.

Les Français qui se sont interrogés et qui ont osé remettre en cause les dogmes et l’idéologie des membres de LaREM se sont vu incriminés, discriminés, ont fait l’objet de propos haineux, ont été censurés, ont perdu leur emploi, leur salaire, leurs liens familiaux, leurs liens sociaux, au mépris total du principe supérieur du respect de la dignité humaine.

Ainsi, ceux qui n’adhèrent pas au narratif sont « impurs »  et mis au ban de la société.

Les signes de reconnaissance des adeptes : le passe sanitaire, le QR code, le passe vaccinal, l’application téléphonique dédiée au traçage du Covid-19 (Certificate of vaccination Identification), le test RT-PCR en remplacement du diagnostic médical, la triple ou quadruple dose d’injection de substance génique expérimentale assurément sans danger nous assure-t-on malgré l’absence d’études le démontrant, le masque talisman en toutes circonstances, en somme toute une panoplie mise à disposition par l’hyper-classe transhumaniste, eugéniste, favorable au contrôle social.

Or tous ces outils censés purifier ou protéger sont de l’ordre de la croyance et n’ont absolument aucune assise scientifique.

Puis, nous avons assisté à une campagne publicitaire sans précédent de la part des membres LaREM de produits pharmaceutiques, pour lesquels nous n’avons aucun recul et qui s’avèrent présenter des risques extrêmement graves en matière de santé publique, il s’agit littéralement d’un appel au suicide collectif.

Nous assistons chaque jour depuis janvier 2020, à l’instauration de la peur, de la terreur et de la culpabilisation au sein de la population désormais traumatisée et sous hypnose collective.

Certains extraits de l’ouvrage intitulé « Le débat interdit – Langage, COVID et totalitarisme », d’Ariane BILHERAN et Vincent PAVAN, publié le 24 mars 2022, repris dans le cadre de cette plainte, en font la pleine démonstration :

« Les méthodes utilisées sont des méthodes sectaires : terreur, séquestration, exclusion, maltraitance, conflit de loyauté (obligeant les individus à faire des choix impossibles), suggestion hypnotique, censure, persécutions. (…)

La logique sacrificielle est en permanence invoquée, que ce soit pour l’exiger ou la dénier : « sacrifier les vacances du printemps pour un été radieux », « sacrifions-nous les jeunes sur l’autel du Covid-19 », « l’OMS appelle à ne pas sacrifier la santé sur l’autel du redressement économique », « le Préfet appelle à sacrifier le mois de mars », « avril sacrifié, mai libéré ? », « sauver Noël mais sacrifier le réveillon du Nouvel an ? », « le monde de la culture craint d’être sacrifié », « respecter les gestes barrières sans sacrifier ses mains ». N’est-ce pas l’esprit de sacrifice qui est également évoqué par le pouvoir au sujet de la Légion étrangère : « Rien n’est obtenu, si rien n’est sacrifié » ? Pourquoi exige-t-on en permanence du peuple un consentement à des sacrifices ?

Le guide du bon citoyen est précisé : c’est celui qui doit se sacrifier. En clair, l’individu n’existe dans ce discours que pour être sacrifié : il doit faire preuve de « bons comportements face au virus », on exige de lui l’obéissance – « se faire tester aux premiers symptômes ». L’acceptation de toutes ces contraintes est considérée comme du civisme, alors qu’est exigée une foi aveugle dans la parole du président. Il faut partir du principe que ce que dit le pouvoir est VRAI. Il faut partir du principe que nous devons lui faire confiance, « s’isoler au premier symptôme ». Ensuite, le message est clair : la punition pour être positif (sans nécessairement être malade), c’est l’exclusion sociale – sortir du groupe. Donc insécurité, déséquilibre et irresponsabilité priment dans ce discours, où l’axe du bien est présenté comme la doxa du pouvoir. On comprend que la protection, c’est la répression ! La protection passe par la répression émanant des décrets. L’individu est de nouveau absorbé dans la fusion avec le chef : « nous avons tous consenti » ; l’opposition et l’opinion plurielle n’existent plus, tout le monde est censé avoir « consenti ».

On peut comprendre effectivement la stigmatisation des événements religieux par une sorte d’effet concurrentiel à la nouvelle religion mondiale de la pandémie, le « covidisme », avec ses rituels.

Une secte exige l’adhésion à une foi de type religieux. On ne demande pas à l’individu d’analyser, mais de croire aveuglément. La persécution et la censure, ainsi que l’intimidation, se sont abattues sur ceux qui voulaient analyser, et non croire.

Une secte ou un culte promet toujours le retour d’un paradis perdu. C’est la même chose avec le système totalitaire. Une secte propose des objets fétiches, ici le Saint Graal était l’injection, censée nous libérer du mal.

La dérive totalitaire est de nature sectaire et prophétique. « La scientificité de la propagande totalitaire se caractérise par l’accent qu’elle met presque exclusivement sur la prophétie scientifique, par opposition à la référence plus traditionnelle au passé », a déclaré Hannah Arendt.

La certitude délirante collective, de type paranoïaque, s’est fondée sur des premiers principes erronés, puis une construction du discours orchestré sur la foi, sans acceptation du moindre doute. Cette foi s’est organisée, dès l’origine, sur trois sophismes, non dévoilés mais présents dans le fond idéologique des discours et des décisions politiques, et que nous exposerons ainsi :

1° L’épidémie justifie une dictature.
2° Seul un vaccin peut faire barrage à l’épidémie.
3° Un vaccin est le seul moyen qui sauvera l’humanité du grand danger qui la menace. (…)

Les citoyens acquièrent peu à peu l’habitude de devoir être autorisés pour leurs moindres faits et gestes, conditionnement néfaste s’il en est, couplé à leur infantilisation : ils sont jugés irresponsables, mésestimés ou insultés par le pouvoir, ce qui montre une classe politique cynique et particulièrement coupée des réalités.

Il s’agit désormais non de science, et encore moins de médecine, mais d’un discours aux accents religieux, avec ses litanies, et son comptage mortifère quotidien, réduisant la complexité du réel à un seul prisme de lecture. La construction d’une nouvelle langue, avec ses mots et ses expressions nouveaux, totalement déconnectée de la réalité de l’expérience, relève davantage de la croyance sectaire et religieuse – donc de la foi dans la messe dite par les médias et le politique – que de la science. »

Par conséquent, en propageant le chaos, LaREM trouble l’ordre public et seule la justice est désormais en mesure de mettre un terme à ses dérives sectaires.

En France, en effet, ce n’est pas la secte en elle-même qui entraîne des poursuites judiciaires, mais plutôt les dérives sectaires relevant de la notion d’ordre public.

En droit administratif français, l’ordre public est l’état social idéal caractérisé par « le bon ordre, la sécurité, la salubrité et la tranquillité publiques », la moralité publique et la dignité de la personne humaine.

Le droit criminel français concède à chacun le droit de nourrir les convictions religieuses, philosophiques ou morales de son choix, toutefois, il n’admet pas que, dans leur extériorisation, elles viennent heurter les exigences de l’ordre public.

Les impératifs de moralité et de santé publiques notamment ne sont pas des concepts abstraits qu’on pourrait croire uniquement tournés vers la satisfaction des besoins de la société.

Leur fonction primordiale est d’ordre humain : ils ont pour finalité d’assurer le respect des droits de l’individu à la vie, à la protection de son intégrité physique et de sa santé, à l’équilibre psychique, au plein développement de ses capacités corporelles et intellectuelles. Bref, à la dignité de la personne. Des atteintes graves peuvent être portées à ces valeurs par l’effet d’agissements ou d’attitudes dictés par des croyances ou convictions exacerbées.

Si l’impérieuse neutralité invite dans un État laïc et démocratique à ne pas stigmatiser l’extravagance de certaines pratiques religieuses, philosophiques ou morales, elle ne peut conduire à en tolérer les dérives. Aussi, lorsque l’ordre public paraît menacé, le droit criminel traduit aussitôt son hostilité par la mise en œuvre de multiples incriminations, relevant généralement du droit pénal « commun » (Loi n° 2001-504 du 12 juin 2001 tendant à renforcer la prévention et la répression des mouvements sectaires portant atteinte aux droits de l’homme et aux libertés fondamentales, dite loi About-Picard).

Un faisceau d’indices permet de caractériser l’existence d’un risque de dérive sectaire :
– la déstabilisation mentale,
– le caractère exorbitant des exigences financières,
– la rupture avec l’environnement d’origine,
– l’existence d’atteintes à l’intégrité physique,
– l’embrigadement des enfants,
– le discours antisocial,
– les troubles à l’ordre public
– l’importance des démêlés judiciaires,
– l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels,
– les tentatives d’infiltration des pouvoirs publics.

Il s’agit d’un dévoiement de la liberté de pensée, d’opinion ou de religion qui porte atteinte aux droits fondamentaux, à la sécurité ou à l’intégrité des personnes, à l’ordre public, aux lois ou aux règlements.

Elle se caractérise par la mise en œuvre, par un groupe organisé ou par un individu isolé, quelle que soit sa nature ou son activité, de pressions ou de techniques ayant pour but de créer, de maintenir ou d’exploiter chez une personne un état de sujétion psychologique ou physique, la privant d’une partie de son libre arbitre, avec des conséquences dommageables pour cette personne, son entourage ou pour la société.

Il importe peu que telle dérive soit commise par un mouvement sectaire, un nouveau mouvement religieux, une religion du Livre ou par un charlatan de la santé. Dès lors qu’un certain nombre de critères sont réunis, dont le premier est la mise sous sujétion, l’action répressive de l’État a vocation à être mise en œuvre (site Miviludes).

L’action du juge, gardien des libertés, va dans le sens de la protection contre toute sujétion physique ou psychologique.

Les associations plaignantes estiment donc qu’il revient désormais au juge de se pencher sur les actions de l’association LaREM et d’évaluer leurs conséquences sur l’ordre public.